Par Michel Gay,
le 12 septembre 2015 dans Énergie
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Les énergies renouvelables ont détruit le marché de l’électricité au Royaume-Uni.
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Un rapport de Rupert Darwall1, « Planification centrale et caractéristiques des marchés », publié en mars 2015 au Royaume-Uni par le Centre d’études politiques montre comment les subventions aux énergies renouvelables ont détruit le marché de l’électricité dans ce pays. Il y apparaît que la politique énergétique récente est sur la bonne voie pour être la catastrophe de politique intérieure la plus chère de l’histoire britannique.
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Le secteur de l’électricité a été transformé en un vaste partenariat public-privé qui promet le pire des deux mondes : contrôle par l’État des investissements financés par des capitaux du secteur privé, et mise en place d’entreprises pour engranger les factures élevées d’électricité. La concurrence entre les fournisseurs d’électricité est une plaisanterie coûteuse si elle ne conduit pas à la concurrence entre les producteurs et si elle n’incite pas les marchés à investir dans les technologies de production les plus efficaces.
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Les politiques énergétiques gouvernementales cachent l’intégralité des coûts des énergies renouvelables intermittentes qui sont systématiquement sous-estimés. En plus de leurs coûts élevés de production, les énergies renouvelables nécessitent des capacités « fossiles » supplémentaires (gaz, charbon, pétrole) pour fournir une couverture de l’intermittence lorsque le vent et le soleil font défaut.
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Les énergies renouvelables intermittentes détruisent les marchés
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Les capacités de production solaire et éolienne inondent le marché avec des quantités aléatoires d’électricité fortement subventionnées, et donc au coût marginal proche de zéro, qui détruisent l’économie des centrales électriques conventionnelles. Dans ces conditions, il est impossible d’intégrer de grandes quantités d’énergies renouvelables intermittentes dans un système du secteur privé qui doit assurer l’équilibre de ses comptes… et du réseau.
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Les revenus dépendent donc de la poursuite des subventions gouvernementales, et les investisseurs privés doivent estimer et gérer le risque politique, entraînant une torsion supplémentaire vers le haut pour les factures d’électricité.
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Il faut traiter le problème de l’intermittence et les coûts supplémentaires du réseau pour relier les éoliennes terrestres (£ 8 milliards de livres). C’est encore plus coûteux pour l’offshore (£ 15 milliards de livres). Le coût du réseau atteint un quasi triplement.
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Aucun gouvernement n’a encore produit une analyse démontrant que les énergies renouvelables sont le moyen le plus efficace de réduire les émissions de dioxyde de carbone. Aucun gouvernement n’a publié une analyse du retour sur investissement des capitaux publics en utilisant un comparateur afin de faire un bilan pour justifier ses décisions.
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La conclusion est simple. Vous pouvez avoir les énergies renouvelables, ou le marché et l’équilibre du réseau électrique, mais vous ne pouvez pas avoir les deux.
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Soit les énergies renouvelables sont un « must » (bien qu’aucun gouvernement n’ait présenté une politique économique ou écologique motivée), alors la nationalisation est la réponse, soit l’État enterre ses orientations vers les énergies renouvelables et renvoie le secteur sur le marché. Cette dernière option permettrait aux ménages d’économiser autour de £ 214 par an, en supposant que le gaz remplace l’énergie renouvelable. Elle reviendrait également à se désengager de manière pérenne de la directive sur les énergies renouvelables de l’Union européenne ainsi que de toute politique qui tenterait d’imposer des objectifs individuels aux États membres.
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Comme le fait remarquer Sir Ian Byatt2 dans l’avant-propos du rapport :
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« Les ministres ont détruit le marché de l’électricité tout en discutant de la façon dont ils pourraient améliorer les processus concurrentiels. Les bonnes intentions pour sauver la planète ont conduit à notre appauvrissement. Nous avons besoin d’une meilleure analyse, d’une plus grande transparence, ainsi que d’une prise en compte plus efficace des questions sociales et environnementales, pas de magasins de jouets dans Whitehall. »
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Bien sûr, les Anglais étant depuis toujours si différents de nous, cette situation d’un marché de l’électricité qui part en quenouille à cause des subventions irraisonnées aux énergies renouvelables intermittentes ne peut pas se produire, ni en France, ni en Europe…
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Rupert Darwall est un ancien conseiller spécial du Trésor.
Il a été publié par le Centre d’études politiques en mars 2015 : « Comment les subventions des renouvelables ont détruit le marché de l’électricité au Royaume-Uni« . L’année dernière, il a publié Comment faire pour exécuter un pays : la politique de l’énergie et le retour de l’État (Réforme) et il écrit également pour des journaux et magazines des deux côtés de l’Atlantique. ?
Il a été publié par le Centre d’études politiques en mars 2015 : « Comment les subventions des renouvelables ont détruit le marché de l’électricité au Royaume-Uni« . L’année dernière, il a publié Comment faire pour exécuter un pays : la politique de l’énergie et le retour de l’État (Réforme) et il écrit également pour des journaux et magazines des deux côtés de l’Atlantique. ?
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Sir Ian Byatt, est un économiste britannique qui a été directeur général de l’industrie de régulation de l’eau en Angleterre et au Pays de Galles. ?
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Pr Philippe Even : « Corruptions et crédulité en médecine », des médicaments bidon pour des maladies bidon
RépondreSupprimerEstelle Saget,
L'Express
ven., 11 sept. 2015 03:48 UTC
Philippe Even: "Chez les Anglo-Saxons, on sait, alors qu'en France on ne veut pas savoir. Mais, dans les deux cas, l'industrie reste la plus forte."
Interrogé par L'Express, le Pr Even accuse les labos pharmaceutiques d'avoir créé "un énorme marché artificiel". Avec l'aide, aveugle ou intéressée, de médecins universitaires qui leur servent de caution.
Voilà dix ans que vous dénoncez les médicaments dangereux et l'influence de l'industrie sur les prescriptions des soignants. Dans votre nouveau livre, vous accusez pour la première fois des personnes, et plus seulement le système. Pourquoi avez-vous décidé de mettre en cause, nommément, des médecins?
Je compte provoquer un électrochoc chez les confrères, les sortir de leur passivité. C'est un moyen de leur dire : Réveillez-vous et regardez! Je donne des noms, parce qu'avec une démonstration générale personne ne se sent concerné. Les plus corrompus se drapent dans leur dignité, et rien ne bouge.
Comment distinguez-vous un médecin universitaire indépendant d'un autre sous influence ?
L'indicateur le plus évident, c'est le nombre de ses contrats comme consultant de l'industrie. On le connaît grâce à la loi Bertrand de 2011. Mais un chiffre élevé ne permet pas, à lui seul, d'établir qu'il y a corruption. Il faut regarder, ensuite, la qualité de sa production scientifique, les progrès que ses travaux ont permis dans sa discipline. Certains consultants jouent un rôle positif, je les appelle les consultants blancs. C'est le cas lorsque le médicament sur lequel ils travaillent est bon, par exemple les molécules contre le virus HIV ou les anti-ARN polymérases contre le virus de l'hépatite C. Le problème, c'est quand le médicament est mauvais. Il ne peut être défendu que par un consultant noir.
C'est-à-dire ?
L'industrie doit fabriquer des leaders d'opinion pour imposer sa molécule. Il lui faut des hommes-sandwichs pour porter la bonne parole en France, troisième marché mondial après les États-Unis et le Japon. Les noms de ces médecins apparaissent comme cosignataires dans des articles collectifs dictés par les firmes, où l'on compte jusqu'à 30 auteurs de pays différents. Il ne s'agit pas d'un véritable travail de chercheur. Prenez le cardiologue parisien Philippe Gabriel Steg, qui détient le record du nombre d'articles publiés, 369 au cours des dix dernières années. Un article sérieux, c'est une année de travail. Lui publie tous les dix jours en moyenne!
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Le Pr Steg se trouve être l'un de vos contradicteurs dans la controverse sur le cholestérol. Selon la thèse que vous défendez, le cholestérol n'est pas le coupable dans les maladies cardio-vasculaires et les médicaments destinés à le combattre, les statines, sont inutiles. Cette position vous a valu, en 2013, une tribune virulente intitulée "Non, monsieur Even!". Cinq des sept signataires sont épinglés dans votre livre, dont le Pr Steg. Avez-vous cherché à régler des comptes personnels ?
RépondreSupprimerJ'affirme que le cholestérol n'est pas dangereux, et sur ce point, en effet, j'ai des contradicteurs. S'ils veulent être crédibles, ils doivent d'abord être indépendants. Et quand ils ne le sont pas, je l'écris. Ce n'est pas une coïncidence que plusieurs soient cités dans mon livre: ils le doivent à leurs liens avec l'industrie. Mais je n'ai pas de comptes à régler avec eux. Je mène le combat contre les statines depuis 2004, bien avant de connaître leur existence. Dans ce livre, je poursuis un objectif plus large encore: prouver la dérive, depuis vingt-cinq ans, du système d'évaluation des médicaments.
D'où vient cette dérive, selon vous ?
Les dernières grandes découvertes des laboratoires pharmaceutiques datent de trente ans. Aujourd'hui, ils ne trouvent de vrais nouveaux médicaments que sur des créneaux étroits. Ils continuent à financer ces recherches, c'est la face noble de cette industrie. Mais ces petits marchés ne suffisent pas à faire vivre les entreprises. Alors, elles inventent des maladies bidon comme la préhypertension artérielle ou l'après-ostéoporose, pour lesquelles elles créent des médicaments bidon. C'est la face sombre de l'industrie. Et les autorités sanitaires, qui s'appuient sur des experts achetés par les laboratoires, cautionnent.
Y compris en France ?
Le problème est mondial, à une différence près. Les faits de corruption sont maintenant bien connus en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, ce qui contraste avec l'indifférence et l'opacité qui règnent chez nous. Chez les Anglo-Saxons, on sait, alors qu'en France on ne veut pas savoir. Mais, dans les deux cas, l'industrie reste la plus forte.
Corruption, le mot est fort...
Le terme est violent, je l'emploie à dessein. Parler de conflits d'intérêts, c'est hypocrite. Il est question de médecins opportunistes recrutés et rémunérés pour organiser et manipuler les publications scientifiques. Aujourd'hui, la médecine universitaire française est composée de 80% d'inconscients qui ne voient pas la dérive du système, de 10% qui se voilent la face en se racontant des histoires à eux-mêmes, de 5% qui savent pertinemment ce qu'ils font, et de quelques esprits indépendants qui tentent de moraliser les pratiques.
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Vous-même affirmez ne pas avoir de lien avec l'industrie. Cependant, l'Agence de presse médicale a relevé récemment que l'Institut Necker, association dont vous êtes le président, a reçu des financements de nombreux laboratoires, parmi lesquels Servier, Pfizer, Astellas. Ceux-ci ne devraient-ils pas figurer dans votre déclaration d'intérêts ?
RépondreSupprimerJ'estime que non, car ces fonds ne font que transiter par l'Institut Necker. Ce sont des équipes de recherche universitaires qui les sollicitent et les dépensent, pas moi. Je précise que les 250 contrats en cours bénéficient tous à une équipe, jamais à un chercheur à titre personnel.
Vous avez élaboré une méthodologie originale pour identifier les médecins sous influence. Pourquoi l'avoir appliquée à une seule discipline, la cardiologie, et aux seuls hôpitaux publics parisiens ?
Cette méthodologie exige de compiler tous les articles publiés par chaque médecin, un travail titanesque. J'ai donc dû limiter mon champ d'analyse. La cardiologie représente 27% des dépenses de médicaments hors hôpital, soit plus de 6 milliards d'euros. On pourrait économiser au moins 2 à 3 milliards d'euros en se dispensant des molécules inutiles, voire dangereuses, les statines, mais aussi les antiagrégants, la Bivalirudine - un anticoagulant - et les nouveaux anticoagulants. L'industrie s'est taillé un énorme marché artificiel, profitant de la coopération tantôt aveugle, tantôt intéressée, des cardiologues universitaires, essentiellement parisiens. C'est pourquoi j'ai centré mon travail sur eux.
Pensez-vous que la communauté médicale peut se remettre en question ?
J'essaie de me raconter que ce livre aura cet effet. En même temps, le poids de l'industrie est tel... Quant à l'État, je suis très pessimiste sur sa capacité à jouer vraiment son rôle de défenseur des patients.
Que faire, justement, en tant que patient ?
Il faut interroger votre médecin sur les bénéfices et les risques des médicaments qu'il vous prescrit, sur le degré de fiabilité des examens qu'il propose. Quand on vous oriente vers un spécialiste, allez sur le site Transparence-Santé avant la consultation et tapez son nom. Si celui-ci détient plus de 20 contrats avec des firmes, alerte! Ça ne signifie pas qu'il est corrompu, mais ça doit vous inciter à poser encore plus de questions.
Commentaire : Pour une présentation du livre :
Le Pr Philippe Even, coauteur du « Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux » vient de publier un nouveau livre « Corruptions et crédulité en médecine » avec pour sous-titre « Stop aux statines et autres dangers » (Le Cherche-Midi).
Philippe Even est professeur émérite et ancien vice-président de l'université de Paris-5, ancien doyen de la faculté de médecine Necker et ancien président de l'institut Necker. Voici le texte de présentation du site du Cherche-Midi :
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« - Pourquoi les firmes pharmaceutiques fabriquent-elles des maladies qui n'existent pas ?
RépondreSupprimer- Comment falsifient-elles les études de centaines de médicaments ?
- Comment l'industrie pharmaceutique est-elle devenue la plus riche du monde ?
Les faits ici dénoncés sont violents. Avec l'aide d'un petit nombre de médecins universitaires déloyaux, à sa solde, sans qui elle ne pourrait rien, l'industrie pharmaceutique, devenue la première du monde, engrange des bénéfices colossaux. Infiltrée à tous les niveaux décisionnels nationaux et internationaux, politiques, administratifs, universitaires et médicaux, elle est aujourd'hui, selon l'ONU, hors de tout contrôle. Ce livre s'appuie sur une analyse complète de la littérature scientifique pour prouver que :
- cholestérol est sans danger et les statines - toxique lent - sont inefficaces ;
- les antiagrégants ruinent la Sécurité sociale ;
- les nouveaux anticoagulants sont plus ruineux encore, incontrôlables, sans antidote et responsables d'hémorragies mortelles.
Résultat : 15 millions de Français sous ces traitements, 3 milliards d'euros de dépenses inutiles, plus de 1 000 décès par an ! Il faut cesser de les prescrire, et, avec l'accord de son médecin, de les prendre. »
Le site de la FNAC offre, sous la rubrique « Le mot de l'Éditeur », une présentation plus élaborée :
« Par inconscience, naïveté, suivisme, paresse et pour certains, corruption, les médecins, et non l'industrie pharmaceutique », peut-on lire dans la présentation de l'éditeur, « sont les premiers responsables des dérives et scandales concernant les médicaments :
- 50 % de médicaments inefficaces.
- 5 % à haut risque.
- 30.000 morts par an et un scandale national tous les 2 à 3 ans.
- Ordonnances de 2 à 10 médicaments par consultation.
- Consommation 1,5 à 2 fois plus élevée que celle des autres pays.
- 37 milliards d'€ de dépenses, dont 10 à 15 inutiles au seul bénéfice d'une industrie qui, depuis vingt-cinq ans, ne se préoccupe plus de la santé des patients mais exclusivement de ses profits et qui est ainsi devenue de loin la plus rentable du monde, parce qu'elle joue sur les espoirs et les peurs qu'elle suscite en inventant des pseudo-maladies destinées à lui ouvrir de vastes marchés dans les pays riches, alors qu'elle a cessé toute recherche, n'a sorti aucun grand médicament, et ne commercialise plus que des copies ou des médicaments non ou peu utiles vendus à des prix exorbitants.
Cette situation ne peut exister qu'avec la complicité des agences de santé, lentes, incompétentes, irresponsables, noyautées ou corrompues, et surtout avec celle des médecins eux-mêmes. Non pas les généralistes, plus victimes - trop souvent consentantes - que coupables, désinformés pendant leurs études et laissés ensuite aux mains de l'industrie à travers ses visiteurs médicaux, ses journaux, la formation médicale continue que l'État lui abandonne et les recommandations de ses agences téléguidées. Néanmoins, 20 %, plus lucides, y échappent, à travers des associations comme FORMINDEP ou la lecture de Prescrire, seule revue fiable et indépendante que tous devraient lire, mais ne lisent pas.
(suite en dessous:)
Or, et c'est l'objet essentiel de ce livre, les vrais responsables de toutes ces dérives sont nos mille cliniciens universitaires, dont le bagage scientifique, contrairement à ce qu'ils prétendent, est extraordinairement réduit, spécialement dans les disciplines liées au médicament et à son évaluation, biochimie, pharmacologie et statistiques. La plupart n'ont pas la moindre idée de la réalité. Ils ne lisent, au mieux, que le titre et la brève conclusion des articles scientifiques et croient s'informer à travers les bavardages de couloir ou les présentations-minute des congrès médicaux, sans jamais remonter aux sources ni faire de lecture critique, attentive, calculette en main, des grands journaux anglo-saxons falsifiés par l'industrie et présentés de façon à la servir. Ces universitaires-là constituent une masse inerte, toujours prête à avaler les couleuvres et convaincus que les médicaments les plus récents et les plus chers sont les meilleurs, alors que c'est malheureusement presque toujours l'inverse.
RépondreSupprimerLe véritable danger vient de 5 % d'entre eux, baptisés leaders d'opinion clé, achetés et inféodés à l'industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d'enveloppes en liquide, en général à l'étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l'importance des marchés qu'ils assurent à l'industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d'un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu'elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l'industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d'État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu'en pratique, à travers eux, c'est l'industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
Ce livre raconte l'histoire des leaders d'opinion clé aux États-Unis ou ailleurs dans le monde et en sélectionne, en France, une trentaine, dans les disciplines représentant les plus grands marchés, cardiologie, cancérologie, rhumatologie et psychiatrie. Pièces en main et nominalement, sont décrites leurs activités au service d'une industrie dont, universitaires et fonctionnaires de l'État, ils sont devenus les employés. »
Psychomedia.
http://fr.sott.net/article/26399-Pr-Philippe-Even-Corruptions-et-credulite-en-medecine-des-medicaments-bidon-pour-des-maladies-bidon
Création du premier trou de ver magnétique
RépondreSupprimerGuruMed
sam., 12 sept. 2015 06:06 UTC
Un trou de ver, qui peut relier deux régions de l'espace magnétiquement, a été créé en laboratoire et démontré expérimentalement par des physiciens de l'Universitat Autònoma de Barcelona en Espagne.
Ce n'est pas un trou de ver dans l'espace, comme dans le film interstellaire. C'est une structure particulière qui transfère un champ magnétique d'un endroit à un autre dans l'espace de manière à ce que le processus soit invisible et indétectable magnétiquement (uniquement visible par la lumière).
Les chercheurs ont utilisé des métamatériaux et des métasurfaces pour construire le tunnel expérimentalement. Le champ magnétique provenant d'une source, comme un aimant ou un électro-aimant, apparaît à l'autre extrémité du trou de ver comme un monopôle magnétique isolé (un aimant avec un seul pôle, aussi bien nord ou sud, qui n'existe pas dans la nature).
Le champ magnétique semble ainsi se déplacer, comme par magie, d'un endroit à un autre à travers une dimension qui apparait se situer en dehors des trois dimensions classiques.
Pour créer le trou de ver utilisé dans cette expérience, les chercheurs ont conçu une sphère constituée de trois couches : une couche externe avec une surface ferromagnétique (comme dans un aimant en fer standard), une deuxième couche intérieure en matériau supraconducteur et une feuille ferromagnétique roulées en un cylindre qui traverse la sphère d'une extrémité à l'autre et conduit le champ magnétique.
Le dispositif du trou de ver magnétique est composé (de gauche à droite) d’une métasurface ferromagnétique sphérique externe, d’une couche intérieure supraconductrice sphérique et à l’intérieur, d’une feuille ferromagnétique enroulée
Le trou de ver magnétique est analogue à un trou de ver gravitationnel et selon Àlvar Sánchez l'auteur principal de cette étude :
Il change la topologie de l'espace, comme si la région intérieure était magnétiquement effacée de celle-ci.
Les chercheurs ont construit un "tube" magnétique capable de canaliser un champ magnétique d'une source située à une distance de plus de 10 centimètres. (Cependant, cette version était magnétiquement détectable.) En terme d'application, canaliser des champs magnétiques pourrait, par exemple, améliorer la résolution spatiale des images de champ magnétique ou selon Steven Anlage, professeur de physique à l'université de Maryland :
L'autre application serait destinée à l'imagerie par résonance magnétique (IRM), dans laquelle le patient et l'aimant supraconducteur nécessaire pour générer le champ magnétique pourraient être séparés physiquement, et le champ magnétique intense pourrait être appliqué localement sur le patient (au lieu d'avoir à entrer dans une machine IRM).
L'étude publiée dans Nature : A Magnetic Wormhole.
http://fr.sott.net/article/26402-Creation-du-premier-trou-de-ver-magnetique
La guerre Minority Report, maintenant, avec les « éliminations préventives »
RépondreSupprimerNicolas Bourgoin
Bourgoin Blog
sam., 12 sept. 2015 04:44 UTC
La guerre est la simple continuation de la politique par d'autres moyens. La décision prise par François Hollande de mener des frappes en Syrie contre des djihadistes présumés montre une nouvelle fois l'actualité de la citation attribuée au Général Clausewitz. Traquer et identifier les terroristes potentiels sur le territoire français par une surveillance renforcée d'Internet, liquider purement et simplement ceux opérant sur le territoire syrien et le tout au mépris des principes du droit national ou international sont les deux faces d'une même politique que n'aurait pas reniée George W. Bush. Créatrice d'instabilité géopolitique et de chaos intérieur, elle alimente la menace même qu'elle prétend combattre comme le montrent les exemples Irakien, Lybien et Syrien. Le terrorisme est en grande partie une réaction, directe ou indirecte, à l'ingérence occidentale. Totalement contre-productif, l'interventionnisme impérialiste n'en est pas moins pratiqué avec un zèle qui ne se dément pas. Au bénéfice de qui ?
Agiter le peuple avant de s'en servir. Une fois l'opinion préparée à grands renforts de storytelling avec terroriste fanatisé et GI américains sauvant une fois de plus des innocents au péril de leur vie, de compassion lacrymale face au drame du petit Aylan, place aux grandes manœuvres. François Hollande va lancer des missions aériennes de renseignement en Syrie pour préparer des éliminations ciblées et éradiquer les groupes terroristes qui menaceraient directement la France. Autrement dit, tuer des djihadistes français partis combattre en Syrie avant qu'ils ne reviennent en France planifier des attentats. Et ce, sans mandat de l'ONU ni concertation avec le gouvernement local. Avec à la clé un afflux supplémentaire de réfugiés pour la plus grande joie du MEDEF et des libéraux qui sauront utiliser comme il convient cette « armée de réserve » industrielle et providentielle pour faire encore un peu plus pression sur les salariés priés de renoncer à leur Code du Travail. Sans compter la multiplication à prévoir des attentats sur le sol français avec la présence inéluctable de djihadistes parmi les réfugiés, ce qui ne manquera pas de justifier a posteriori les mesures liberticides prises pour combattre le risque terroriste.
Cette politique de la canonnière qui bafoue le droit international place la France dans le sillage des anglo-saxons. Rappelons que la Royal Air Force a déjà tué trois djihadistes, dont au moins deux Britanniques, le 21 août dans la région de Rakka, fief de l'Etat islamique parce qu'ils étaient supposés vouloir commettre des attentats contre le Royaume-Uni. David Cameron, mis en cause, a plaidé le droit naturel de légitime défense (garanti par l'article 51 de la charte des Nations Unies) sans toutefois convaincre l'opposition politique ni les associations de défense des droits de l'homme. Les Américains font de même en menant des frappes partout dans le monde avec ou sans l'aval des pays concernés. Les attentats du 11 septembre 2001 ont fait monter en puissance cette politique avec la promulgation du Patriot Act qui légalise les assassinats ciblés et avec la rhétorique de la « guerre contre le terrorisme » qui justifie les opérations militaires préventives contre des États supposés menaçants pour les USA (rogue states).
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Mais elle conduit aussi à une inversion du droit pénal en créant un régime d'exception. Les lois antiterroristes votées sous la présidence Hollande ont déjà sapé certains principes dont celui selon lequel il n'y a pas de sanction sans fait punissable. La présomption de culpabilité introduite par la loi sur le renseignement qui conduit à punir quelqu'un pour ce qu'il est - et donc pour ce qu'il pourrait faire étant donné sa dangerosité supposée - et non pour ce qu'il a fait, ainsi que le délit d'opinion introduit par la loi contre le terrorisme de l'automne 2014 qui criminalise l'apologie du terrorisme sont de vraies machines de guerre contre les principes fondateurs du droit pénal. Et la mise en oeuvre d'assassinats ciblés est une brèche de plus qui va contribuer à faire basculer encore un peu plus notre régime pénal dans ce que Günther Jacobs appelle le droit pénal de l'ennemi. Traiter le délinquant non comme un infracteur mais comme un ennemi (ou un « combattant illégal ») permet d'employer à son encontre un régime d'exception qui va de l'internement extra judiciaire sans garantie procédurale dans des lieux de non-droit à l'homicide pur et simple.
RépondreSupprimerTirer d'abord, discuter ensuite. La nouvelle doctrine de « sécurité globale » née du Rapport Bauer semble monter en puissance sous la présidence Hollande. Surveillance tous azimuts et renseignement préventif, décèlement précoce des foyers de dangerosité et traque aux dissidents, le principe de précaution en matière pénale conduit à toutes les dérives liberticides. Et aussi à la guerre : le nouveau concept de défense globale fait du « terroriste » un ennemi à la fois intérieur et extérieur, ce qui conduit à rapprocher l'industrie de la guerre de celle du contrôle, le domaine de la défense de celui de la sécurité intérieure, comme le spécifiait le livre blanc sur la défense et la sécurité nationale qui « acte la fin du clivage traditionnel entre sécurité intérieure et sécurité extérieure (...) dépasse le cadre strict des questions de défense (...) élargit la réflexion à une sécurité nationale qui intègre désormais des dimensions importantes de la politique de sécurité intérieure ».
Ces véritables « opérations de police extraterritoriales » qui vont conduire à tuer des ressortissants français en Syrie montrent à quel point les frontières entre police et défense nationale sont désormais brouillées. François Hollande, sans doute le président le plus néo-conservateur de la Cinquième République, est un adepte convaincu des assassinats ciblés et des opérations clandestines visant à neutraliser les « cibles prioritaires » (high-value targets) - des personnes jugées dangereuses pour la sécurité nationale, sur le territoire français ou à l'étranger. La menace terroriste, à la fois intérieure et extérieure justifie la stratégie transversale déployée à son encontre qui ouvre encore un peu plus la voie aux régimes d'exception et à la militarisation des politiques de maintien de l'ordre. Cette nouvelle « guerre contre le terrorisme » aura sans doute les mêmes effets que les précédentes : ajouter encore un peu plus de chaos et d'instabilité et ainsi affaiblir, dans le cas présent, l'un des derniers États qui résistent à l'impérialisme occidental.
http://fr.sott.net/article/26401-La-guerre-Minority-Report-maintenant-avec-les-eliminations-preventives
SupprimerCette modification de guerre est très importante autant qu'idiote en temps qu'assassine. La 'guerre préventive' !! C'est-à-dire tuer quelqu'un qui serait peut-être un jour susceptible de n'être pas d'accord avec la dictature imposée !!
Voilà dans quoi les 'chefs d'Etats' sont maintenant passés !! Tuer un gosse qui pourrait s'avérer rebelle un jour !
(voir le reportage en Ukraine où les enfants de 6, 7 ou 8 ans (garçons & filles) sont entraînés au maniement des armes de guerre ! Apprendre tôt à tuer ! Et, de plus, ces gosses sont habillés en nazi non pas aux 'chemises noires' mais tout de jaune vêtus ! Ainsi renaît cette guerre juivo-juive de l'étoile jaune contre son propre symbole de la croix gammée ! qu'ont connus nos ancêtres lors de la seconde guerre mondiale où, sans le savoir, ils pensaient faire la guerre à seulement des allemands ou seulement des français.
« Psychopathes exécutent le monde » ancien US Marine coups siffler sur syrien sous fausse bannière, expose les véritable Agenda
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 12/09/2015 20:45 -0400
Soumis par Sophie McAdam via TrueActivist.com,
"Tous ces joueurs, ces politiciens sont rien de plus que les marionnettes, ils ne servent pas le peuple, il n'y a pas de véritable démocratie, qu'ils servent les riches et puissants qui dirigent le monde et qui serait les banquiers qui contrôlent la masse monétaire. Les banquiers font d'énormes quantités d'argent... les guerres sont parfaits pour eux et au bout du compte, ils contrôlent les politiciens.
Psychopathes courent le monde. »
Ken o ' Keefe est un ancien Marine américain tourné militant anti-guerre qui est apparu sur un débat de Press TV appelé Syrie: guerre de tromperie et absolument appartenant à son adversaire de manière impressionnante que vous allez applaudir à son chaque commentaire.
- voir clip sur site -
Enregistré en août 2013, cette interview est maintenant deux ans vieux, mais à la lumière de la crise actuelle des réfugiés européens, il est aujourd'hui plus pertinente que jamais. Passionné, articulée et bien informés sur le sujet, o ' Keeffe est le mec parfait d'intensifier et de dire ces vérités - et mon garçon, il ne fait un bon travail.
Ce mec nails tant de points cruciaux de la situation de la Syrie lors d'une interview, il va vous falloir sauter partout et perforation du plafond.
"Nous avons torturé et tué et mutilé et violé autour de cette planète ; qui, dans leur esprit considérerait aux Etats-Unis ou l'Occident en général comme dans n'importe quelle position de punir quiconque?" l'ancien combattant commence avec colère, avant de décrire les éléments de preuve pour la Syrie étant une attaque sous fausse bannière (Note : fuite de courriels montrant comment Assad a été encadré par les USA sont détaillées dans cette mise en cache de Daily Mail rapport de janvier 2013, ce qui a été publié en ligne peu avant étant supprimé).
Il souligne à juste titre que les États-Unis ont largué des bombes plus au Vietnam que pendant toute la durée de la 2nde GM combinée, qu'il a régulièrement armes terroristes (mais la presse grand public se référence à eux comme des « combattants de la liberté » quand ça les arrange) et l' ancien marine souligne également comment la soi-disant «guerre contre le terrorisme » n'est rien d'autre qu'une stratégie bien planifiée pour être dans un « plan d'État perpétuel de guerre pour déstabiliser la région pour le grand Israël ».
, « Nous n'opérons en droit international ; Nous avons la Loi de la jungle dans laquelle les riches et les puissants essentiellement déterminent ce qui se passe et ce qui ne va pas. » O ' Keefe crie. Il a correctement fait remarquer que Bush et Blair seraient être "pourrir dans des cellules de prison" si la loi était administrée également à tous, ou même "exécutée si leurs propres règles étaient appliquées à leurs propres crimes". Il reconnaît également que ces hommes ne sont que les marionnettes qui « servent les riches et les puissants banquiers qui contrôlent l'approvisionnement en argent . »
(suite en dessous:)
D'O'Keefe rants sur l'hypocrisie de l'Occident, qui arment les organisations terroristes au nom de la "liberté" pour les civils dans des pays stratégiques géo-politiquement tout en tournant les yeux sur les violations des droits de l'homme vil dans des pays comme l'Arabie saoudite Arabia. Les seules personnes qui tombent encore pour toute cette merde, O'Keefe passionnément fait remarquer, sont "acheté d'envoi prostituées [nos politiciens] ou le plus stupide du muet".
RépondreSupprimerEn bref, c'est une vidéo, vous devez envisager partager avec tout le monde vous savez qui est toujours dans l'illusion que les Etats-Unis et la Grande-Bretagne font bien dans le monde, quelqu'un qui ne croit pas la « théorie du complot » que 9/11 (ou Syrie, ou la Libye, Afghanistan ou Irak) était non orchestré attaques à encore un objectif à long terme sinistre contrôlant le Moyen-Orient et quiconque croit que les désespérés réfugiés fuyant ces pays nous avons systématiquement détruites n'ont pas le droit de demander de l'aide de leurs oppresseurs en Europe et en Amérique du Nord-après tout, sans l'impérialisme occidental, nous n'aurions aucune réfugiés en premier lieu (plus sur cela ici).
Ken O'Keefe a renoncé à la nationalité américaine en 2001 et détient maintenant la citoyenneté irlandaise, Hawaiian & palestinienne. Il a dit sur son blog: « mon allégeance ultime est de ma famille humaine tout entière et sur la planète terre. »
Bien dit.
http://www.zerohedge.com/news/2015-09-12/psychopaths-are-running-world-former-us-marine-blows-whistle-syrian-false-flag-expos
Franchir les frontières avec des pièces d'or et d'argent - un aperçu des choses à venir
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 12/09/2015 17:00 -0400
Soumis par Doug Casey via InternationalMan.com,
Il est bien connu que vous devez faire une déclaration si vous transporter physiquement 10 000 $ ou plus en espèces ou d'instruments monétaires dans ou hors des USA, ou n'importe quel autre pays ; les gouvernements s'entendent sur ces choses, souvent de façon informelle.
Or a toujours été quelque chose d'une zone d'ombre à cet égard. C'est n'est plus officiellement considérés comme argent. Ainsi il est habituellement considéré comme une simple marchandise, comme le cuivre, de plomb ou de zinc, à ces fins. La feuille d'érable canadienne une once et l'aigle nous qu'autant dire ils sont d'une valeur de 50 $ de monnaie.
Mais j'ai récemment eu quelques expériences troublantes franchissant les frontières avec les pièces en. Bien sûr, toute frontière nationale est potentiellement inquiétante à tout moment. Vous pourriez trouver vous-même interrogé, bande recherché, ou détenue pour une raison quelconque ou aucune raison. Mais je soupçonne que ce qui m'est arrivé dans trois des derniers quatre bordures j'ai traversé pourraient être une paille dans le vent.
J'ai accumulé progressivement sur une dizaine une once argent tours dans mon porte-documents, quelques souvenirs émis par les sociétés minières, ainsi que d'autres du Canada, l'Australie, la Chineet les Etats-Unis. Mais quand j'ai quitté Chili quelques mois passés, la personne qui contrôle l'appareil de radiographie m'a arrêté et a insisté j'ai Sortez-les et montrez-les à lui. Cela n'était jamais arrivé avant, mais je l'ai écrit au large au hasard. Puis, quand je partais Argentine quelques semaines plus tard, c'est la même chose. Ce qui était vraiment rare, c'est que l'inspecteur regarda, les a ramenés à son superviseur et a ensuite demandé si j'avais des pièces d'or. Je n'ai pas, il sourit, et je suis allé.
Ce qui a vraiment attiré mon attention a été quelques semaines plus tard, quand je quittais la Mauritanie, l'un du monde plus vers l'arrière pays. Ici, j'ai été aussi interrogé sur les pièces d'argent. Un superviseur était de nouveau appelé et m'a demandé si j'avais des pièces d'or. De toute évidence, quelque chose était en hausse.
Je n'ai pas vu des déclarations officielles sur le mouvement des pièces d'or, mais il semble probable que les gouvernements sont répandent mot aux leurs sbires. Après tout, 10 000 $ en billets de 100 $ est une pile sur un pouce de hauteur ; Il est difficile du cacher et clairement beaucoup d'argent. Mais même à des prix actuellement déprimés, $10,000 est seulement neuf Maple Leafs, un volume beaucoup plus petit. En outre, les pièces sont à l'abri aux chiens renifleurs monnaie, sont beaucoup moins susceptibles d'être contrefaits et n'ont pas des numéros de série. Et si ils sont mis de côté depuis quelques années, ils ne sera pas être endommagés par l'eau, feu, insectes, inflation de la monnaie ou le remplacement complet d'une monnaie. Pièces d'or sont, à bien des égards, un excellent moyen de contourner les contrôles de capitaux. Et je pense qu'ils vont devenir beaucoup plus populaires dans ce rôle.
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C'est parce que, partout dans le monde, argent de papier est en voie de disparition. Les gens sont éloignée d'argent de papier. Qui est en partie parce qu'il y a de moins en moins les succursales de banques où vous pouvez encaisser un chèque et guichets automatiques bancaires sont coûteux à utiliser. Et partiellement parce que tout le monde a un téléphone cellulaire et ils commencent à les utiliser pour les achats voire insignifiantes, comme une tasse de café. Les gouvernements encouragent cela parce que si tous les achats, les ventes et les paiements sont effectués par voie électronique, ils sauront exactement ce que vous faites avec votre argent.
RépondreSupprimerDe leur point de vue, l'élimination des espèces auront plusieurs avantages majeurs: il diminue la possibilité pour évasion fiscale, il diminue les possibilités de "blanchiment d'argent," il élimine les frais d'impression de monnaie, il permet d'éviter la contrefaçon, et il donne l'accès instantané de l'État à l'ensemble des espèces de tout individu. De point de vue d'un individu, cependant, la sécurité et la liberté offerte par une pile d'argent papier vont disparaître.
Une grande partie de la sécurité et la liberté offerte par les banques étrangères et comptes de courtage a déjà disparu. Peu de gens semble conscients du fait qu'il n'y a pas si longtemps, il n'y avait aucune limite à la quantité d'argent que vous pourriez transférer dans ou hors des USA sans le signaler. Ou que vous n'avez pas de signaler l'existence de comptes bancaires offshore ou de courtage (même si vous avez à déclarer un revenu imposable de leur part).
Qui a changé en 1970, d'abord avec le passage de l'USC 3156, puis la perverse nommée Bank Secrecy Act. Le 1986 Loi sur la réforme fiscale fait très gênant et en grande partie non rentable, d'investir dans des sociétés de placement étrangères passives (PFIC). En 2010, les étrangers compte fiscal Compliance Act (FATCA) requis de chaque institution financière étrangère au monde à rapport d'informations sur les ressortissants américains au gouvernement américain. Les énormes fardeaux réglementaires et les sanctions potentielles qu'elle impose désormais le rendent très difficile de trouver une institution étrangère qui va même ouvrir un compte pour un américain.
Ce sont tous les contrôles de capitaux de fait. Aux États-Unis, les banques commencent à informer les clients qu'ils ne sont pas responsables pour le stockage d'argent ou or, dans leurs coffres. Quand j'étais en Nouvelle Zélande une couple de mois, j'ai été surpris de voir que la branche de banlieue d'une grande banque a été la fermeture vers le bas de son département de boîte substantielle de coffre fort.
Quand je lui demandai pourquoi, le directeur savait seulement que c'était une politique nouvelle et si je voulais une boîte, je dois aller à la branche principale. Cela semble être une autre tendance dans le monde entier. Si il n'est pas un endroit sûr pour stocker, or ou argent de papier, puis gens seront moins susceptibles de les posséder.
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Mais il s'aggrave. Au cours des dernières années, il y a eu des efforts pour passer d'un projet de loi qui permettrait aux Etats-Unis de refuser la délivrance, ou annuler, le passeport de quelqu'un qui est simplement accusé de 50 000 $ ou plus en impôts à payer. J'espère que cela deviendra loi à un moment donné. Après tout, il affirme clairement sur votre passeport qu'il est propriété du gouvernement et il doivent être allumés demande. Les gens sont en fait la forme plus précieuse capital. L'émigration a toujours été presque impossible de régimes autoritaires.
RépondreSupprimerDonc ce qui est prévu? Je m'attendais, comme la guerre subtile sur les espèces et les transferts de capitaux à travers l'élan de frontières de gains, que les pièces d'or vont devenir le prochain Centre d'attention. Alors je suggère que vous agissez maintenant pour battre la ruée de dernière minute.
Ont un pourcentage significatif de votre valeur nette en pièces d'or.
Ont un nombre important de ces pièces stockées hors du pays de votre nationalité.
Concentrer vos futurs achats en petites pièces de monnaie qui sont impossibles à distinguer de la menue monnaie. Des choses comme les souverains britanniques (.23 oz d'or) ou leurs équivalents continentaux (Suisse, allemand, danois, Français, russe, etc., morceaux de généralement.18 onces d'or). Non seulement est or bon marché maintenant, mais elles sont toutes actuellement à seulement quelques points de pourcentage au-dessus de la fonte. Heureusement, ils ont une valeur à collectionner, et elles ressemblent à des changement de poche souvent à une machine à rayons x.
En outre, cela : mettre un tas d'argent aigles dans votre cas bref la prochaine fois que vous voyagez à l'étranger et faites-nous savez si votre expérience ressemble à nos propres.
http://www.zerohedge.com/news/2015-09-12/crossing-borders-gold-and-silver-coins-glimpse-things-come
50 membres des services d'espionnage américains affirment que les rapports concernant l'Etat islamique ont été truqués
RépondreSupprimerpar Mylène Vandecasteele
10 sept. 2015
Plus de 50 analystes du domaine de l’intelligence travaillant hors du Commandement central des forces armées américaines (CENTCOM) affirment que des rapports qu’ils ont rédigés à propos des branches d’Al Qaïda et de l’Etat islamique (EI) en Syrie, ont été modifiés par des officiels haut placés, pour insinuer que ces groupes terroristes étaient plus faibles qu’ils ne l’étaient en réalité, et que les Etats Unis étaient en train de gagner la guerre contre l’EI et al Nusra, la branche d’Al Qaïda en Syrie.
Dans certains cas, certaines parties du rapport étaient supprimées, ce qui aboutissait à un document qui ne décrivait pas précisément la situation. Certains de ces analystes pensent que ces rapports ont été manipulés pour correspondre à une certaine version destinée au public. Or, ces analystes sont plus pessimistes concernant les progrès de l’armée américaine.
Quelques uns de ces rapports étaient soumis au président américain, Barack Obama.
“Le fait que tant de personnes se sont plaintes suggère qu’il y a des problèmes profondément enracinés, systémiques, dans la manière de gérer l’intelligence dans la guerre contre le prétendu Etat islamique”, écrit le Daily Beast, qui a obtenu les témoignages de 11 de ces analystes sous condition d’anonymat.
“Le cancer se trouvait au plus haut niveau du commandement de l’intelligence”, a déclaré un officiel de la Défense américaine.
L'inspecteur général du Pentagone a lancé une enquête.
Selon certaines sources, les informations pertinentes avaient été manipulées d’une manière similaire en 2002 et en 2003, lorsqu’il fallait convaincre le monde que le régime de Saddam Hussein produisait des armes de destruction massive.
http://www.express.be/joker/fr/platdujour/50-membres-des-services-despionnage-americains-affirment-que-les-rapports-concernant-letat-islamique-ont-et-truqus/215567.htm