- ENTREE de SECOURS -



mardi 15 septembre 2015

La recherche médicale : majoritairement frauduleuse, c’est rassurant !

le 14 septembre 2015
par jacqueshenry
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Quand le Dr Richard Horton, rédacteur en chef du prestigieux journal de science médicale The Lancet, se met à douter de la science, il ne faut pas prendre ses propos à la légère. Je cite le docteur Horton : « Cette affaire d’anti-science est simple : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement falsifiée. Pourrie par le caractère étriqué des échantillons étudiés, des effets observés pratiquement imperceptibles, des analyses exploratoires et des protocoles expérimentaux sans valeur sans oublier les conflits d’intérêt flagrants, en ajoutant l’obsession pour la poursuite dans des tendances douteuses à la mode du moment. La science a pris un virage vers les ténèbres ».
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On ne peut pas mieux résumer l’état délabré de l’honnêteté scientifique et pour une fois je ne parlerai pas du climat mais de la recherche médicale encore que cette remarque peut s’appliquer pleinement à la recherche climatique si tant est qu’il s’agit bien de recherche. Premier point abordé par le Dr Horton la notion de peer-review est maintenant galvaudée pour le plus grand profit de groupes de pression et dans la recherche médicale il s’agit des grands laboratoires pharmaceutiques. Le Dr Horton le reconnaît, même cette institution vénérable qu’est The Lancet est pratiquement contrôlée par le lobby de la pharmacie. Les manuscrits soumis pour publication n’ont même plus l’apparence de travaux scientifiques. À la première lecture on comprend que les auteurs des articles se sont arrangé pour obtenir des résultats concordant avec une hypothèse pré dictée par les compagnies finançant ces travaux.
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Le Docteur Marcia Angell, éditeur en chef du non moins prestigieux New England Medical Journal abonde dans le sens de Horton : « Il est devenu tout simplement impossible de croire en la validité des recherches cliniques publiées ou de se reposer sur le jugement d’autorités médicales reconnues. Après vingt années au poste d’éditeur en chef de ce journal je ne peux que faire ce constat écoeurant ».
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Le nombre de fraudes scientifiques est devenu invraisemblable. La plupart des publications concernant par exemple certains vaccins et financées par les compagnies pharmaceutiques violent de manière flagrante la convention internationale d’Helsinki sur l’éthique médicale et les bonnes pratiques de laboratoire. Il en est de même pour un grand nombre de médicaments dont les effets adverses voire toxiques ont été sciemment dissimulés par ces mêmes compagnies pharmaceutiques. La grande majorité des recherches sur le cancer ne sont que frauduleuses. Le Docteur John Bailer, Directeur du Centre américain de recherche sur le cancer, ne prend pas de pincettes rhétoriques quand il déclare : « Mon sentiment général est que le programme national de recherche sur le cancer est un échec total ». Il ajoute que la grande majorité des traitements pharmacologiques contre le cancer ont été des fiascos complets. Il reconnaît que la majorité des fonds dédiés à la recherche sur le cancer ont été déviés vers la recherche sur les animaux qui est complètement inutile car les humains ne fonctionnent pas à l’évidence comme les animaux de laboratoire. Presque tous les traitement anti-cancéreux ont été découverts et mis au point en milieu hospitalier et non en laboratoire avec des animaux et pourtant l’essentiel des crédits de recherche alloués vont vers les laboratoires pharmaceutiques qui utilisent ces modèles animaux éloignés de la réalité et donc inutiles.
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L’une des plus grandes fraudes de ces 30 dernières années est le fluor supposé améliorer la santé des dents et du squelette. Ce ne sont même plus des compagnies pharmaceutiques qui sont impliquées dans ce scandale mais des fabricants de lessives et les compagnies de distribution de l’eau qui ajoutent du fluor dans l’eau ! Le docteur Irwin Bross, ancien directeur du Sloan-Kettering Cancer Research Institute, n’y va pas par quatre chemins à propos du fluor des pâtes dentifrice et de l’eau du robinet : « Le fluor cause plus de cancers que toutes les autres substances chimiques. J’en suis arrivé à cette conclusion scientifiquement et biologiquement évidente après mes 50 années de recherche sur le cancer ». Les cancers causés par le fluor représentent deux fois plus de cas que les cancers du sein et, pire, deux fois plus de cas que les cancers du poumon des fumeurs. Le gros souci est qu’on retrouve ce fluor dans toutes les boissons industrielles, sodas, bières et autres jus de fruits. Sous prétexte d’améliorer la santé dentaire le fluor des pâtes dentifrices et de l’eau constitue aussi selon le Docteur Dean Burk un crime des autorités publiques en favorisant l’apparition de millions de cas de cancer. Enfin pour l’anecdote, aucun des soit-disant travaux scientifiques sur les effets du cannabis sur la douleur ou le cancer n’a fait l’objet d’études cliniques sérieuses reconnues pour leur probité. Il s’agit encore d’anti-science caractérisée.
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Finalement le monde scientifique revient à grands pas vers l’époque des alchimistes et pire encore vers l’âge des cavernes. Quand la science régresse comme on peut s’en rendre compte, alors l’humanité toute entière régresse. Et paradoxalement les éditeurs des journaux scientifiques sont aussi complices de ce délabrement de la qualité scientifique car ils se soucient du facteur d’impact de leur journal. En quelque sorte « il faut faire du chiffre » quitte à ignorer les règles les plus élémentaires de l’honnêteté et de l’éthique. Bien évidemment cette situation n’est pas unique à la recherche bio-médicale …
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Sources :
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56 commentaires:


  1. Comme il en a été ancien temps pour les dictionnaires où les explications de mots étaient volontairement falsifiés pour faire plaisir au gouvernement mais bien vite désinfecté par l'arrivée de l'Internet, la dictature maintenant s'attache à faire croire que le blanc est noir et que le noir est blanc ! Une fille n'est plus un fille mais une sorte de garçon et, un garçon n'est plus un garçon mais une sorte de fille ! Mais, la corruption ne s'arrête pas là ! Après les scientifiques interdits de plateaux-télés ou d'antennes-radio comme de colonnes en journaux gloire est donc faite aux faux scientifiques qui expliquent quotidiennement qu'un glaçon qui font peut donner jusqu'à des milliers de fois son volume et faire monter le niveau des mers (qui occupent + de 70 % de l'étendue de notre planète) de plusieurs mètres ! voilà qu'ils s'attaquent au corps médical en faisant afirmer à de faux docteurs ou d'ancien défroqués le bien-fait de tel ou tel médicaments mortels comme telle ou telle vaccination fatale !

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  2. Caught On Tape : Femen Topless manifestants tempête débat musulmane "Qu'elles que soient les épouses elles doivent être battues"

    Soumis par Tyler Durden le 14/09/2015 20:55 -0400


    Si l'Europe est préoccupée par chrétiens et musulmans traversent les différences religieuses et culturelles avant, et compte tenu de l'afflux récent de réfugiés syriens dans le continent, événements au cours du week-end ont confirmé que ces préoccupations valent poignante.

    Ce samedi, lors d'une conférence au Salon musulman à Pontoise, près de Paris, sur le rôle des femmes musulmanes, deux imams intégristes musulmans débattaient de la question de « savoir si des épouses devraient être battues ou non », Telegraph rapports que deux militants manifestant de Femen, âgé de 25 ans et 31, "arraché leurs manteaux de style arabe et a sauté scène le samedi soir. On avait le slogan « nul subjugue me » encré sur son torse. L'autre portait les mots « Je suis mon propre prophète. »

    Chaos est immédiatement entré en éruption. Les imams a rapidement quitté la scène, mais ne pas avant de prendre une longue, regard critique sur les manifestants moitié-conforter, qui saisit les microphones et ont scandé des slogans féministes en Français et en arabe avant d'être grossièrement regroupés hors de la scène par environ 15 hommes et remis à la police. Séquences vidéo de l'incident montre un homme apparemment le coup d'une des femmes.

    Telegraph ajoute que selon Mme Shevchenko, une porte-parole pour le groupe féministe, certains de ces hommes ont crié "Sales putes" et les "tuer". Elle a remercié la police pour protéger les deux femmes, qui ont été placées en détention. Ils ont été libérés après avoir été interrogés par des procureurs, qui a déclaré qu'ils continueraient à enquêter sur ce qui s'est passé. Organisateurs du colloque dit qu'ils pourraient engager des poursuites contre les militants.

    Ils n'étaient pas seuls dans des exceptions à la présence des prédicateurs fondamentalistes à l'événement, où shopping et cuisine ont été présentés comme des activités appropriées « féminines ». Un orateur lors de la Conférence a aurait affiché les appels sur les réseaux sociaux pour les femmes à se voiler leurs visages ou de risque feu de l'enfer et de l'agression sexuelle dans l'au-delà.

    La confrontation a eu lieu après que près de 6 000 personnes ont signé une pétition en ligne contre l'événement. Dans le même temps, twitter messages appelés les manifestants à être lapidée ou violées collectivement. Sur Facebook, les organisateurs de la Conférence a exhorté les musulmans à « coexister » et assister à la dernière journée de l'événement le dimanche. Ils ont dit que c'était "victime d'une frénésie médiatique anti-musulmans".

    Le chaos qui a éclaté lorsque les femmes ont pris d'assaut la scène a été capturé sur vidéo.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-14/caught-tape-topless-femen-protesters-storm-muslim-debate-whether-wives-should-be-bea

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    1. Bien sûr la dictature s'est rangée du côtés des musulmans pour censurer les images 'trop coquantes' de jeunes femmes demi-nues, tandis qu'à leurs télés de merdes étaient diffusées (devant des enfants !) des images de guerres, de sang, de morts et cadavres d'enfants ou d'adultes éparpillés démembrés.

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  3. Les élèves des écoles publiques sont les nouveaux détenus dans l'État américain de la Police


    Soumis par Tyler Durden le 14/09/2015 22:05 -0400
    Soumis par John Whitehead, par l'intermédiaire de l'Institut Rutherford,


    "Tous les jours dans les communautés à travers les États-Unis, les enfants et les adolescents passent la majorité de leurs heures de veille dans les écoles qui sont venus de plus en plus à ressembler à des lieux de détention plus de places d'apprentissage. Des détecteurs de métaux à des tests de drogue, de police accru de surveillance électronique voit tout, les écoles publiques du vingt et unième siècle reflètent une société qui a devenu fixée sur le crime et la violence et la sécurité. » — Journaliste Annette Fuentes

    Dans l'état de police américain, vous êtes soit un prisonnier (enchaîné, contrôlés, surveillés, commandé, limitée dans ce que vous pouvez faire et dire, votre vie ne pas votre propre) ou un fonctionnaire de la prison (officier de police, juge, geôlier, espion, profiteur, etc.).

    En effet, à un moment où nous sommes tous considérés comme suspects, il y a tellement de façons dont une personne peut être marque un criminel pour avoir violé un certain nombre de lois, des règlements ou des politiques. Même si vous n'avez pas sciemment violé aucune loi, il y a toujours une multitude de façons dans laquelle vous pouvez exécuter à l'encontre de l'État policier et se retrouver du mauvais côté d'une cellule de prison.

    Malheureusement, lorsque vous avez un enfant dans l'État américain de la police, la vie est que bien pire.

    Des microcosmes de la police d'État, les écoles publiques de l'Amérique contiennent presque tous les aspects du paysage militarisé, intolérant, insensé, overcriminalized, légaliste, criblé de surveillance, totalitaire qui sévit dans ceux d'entre nous à le « extérieur ».

    Dès qu'un enfant utilise l'une des 98 000 écoles du pays jusqu'au moment où elles les sortent diplômés, elles s'exposeront à une alimentation constante de zéro draconienne les politiques de tolérance qui criminalisent le comportement enfantin, excès de pouvoirs contre l'intimidation des lois qui criminalisent les discours, l'école des officiers de ressource (police) chargées de discipline et/ou arrêter ce qu'on appelle "désordonnée" étudiants, normalisés essais qui met l'accent sur des réponses par coeur au fil de la pensée critique, les mentalités politiquement correctes qui apprendre aux jeunes à censurer eux-mêmes et leur entourage et des systèmes biométriques et surveillance extensifs qui, couplé avec le reste, s'habituer jeunes à un monde dans lequel ils n'ont aucune liberté de pensée, de parole ou de mouvement.

    Si votre enfant a la chance de survivre à sa rencontre avec les écoles publiques, vous devez vous-même compter chanceux.

    La plupart des étudiants n'ont pas cette chance.

    Au moment où l'adolescent moyen en Amérique terminé leurs études de l'école publique, presque un sur trois d'entre eux ont été arrêté.

    Plus de 3 millions d'étudiants sont suspendus ou expulsés des écoles chaque année, souvent pour mauvaise conduite mineure, telles que le « comportement perturbateur » ou « insubordination ». Les étudiants noirs sont trois fois plus susceptibles que les étudiants blancs à affronter la suspension et l'expulsion.

    (suite en dessous:)

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  4. Par exemple, un élève de sixième année de Virginia, le fils de deux enseignants et un membre du programme doués de l'école, a été suspendu pour un an après que les responsables de l'école a trouvé une feuille (probablement une feuille d'érable) dans son sac à dos qu'ils soupçonnaient était la marijuana. Malgré le fait la feuille en question n'était pas de la marijuana (un fait que les responsables savaient presque immédiatement), le garçon de 11-year-old a été encore expulsé de l'école, inculpé de possession de marijuana en tribunal de la jeunesse, s'inscrit dans une école alternative loin de ses amis, l'objet de recherches deux fois par jour pour les médicaments et forcé à évaluer pour des problèmes de toxicomanie.

    Comme le Washington Post met en garde: "il n'est pas grave si votre fils ou votre fille apporte une feuille de véritable pot à l'école, ou s'il apporte quelque chose qui ressemble à une feuille de pot, gombo, tomate, érable, buckeye, etc.. Si votre enfant l'appelle la marijuana comme une plaisanterie, ou si un autre enfant pense qu'il pourrait être de la marijuana, qui est un motif d'expulsion. »

    De nombreuses lois d'état exigent que les écoles avisent l'application de la loi chaque fois qu'un étudiant est trouvée une « substance contrôlée imitation » fondamentalement tout ce qui regarde aime un médicament mais n'est pas réellement illégal. Ainsi, les étudiants ont été suspendus pour apporter aux épices maison école telles que l'origan, menthes souffle, contrôle des naissances pilules et le sucre en poudre.

    Il n'est pas juste les médicaments sosie qui peuvent obtenir un élève en difficulté au titre de l'école politique de tolérance zéro. Armes de sosie (pistolets-jouets — ceux de même taille Lego, images dessinées à la main des canons, des crayons tournoyer "menaçant", imaginaires arcs et de flèches, même les doigts positionnés comme armes à feu) peut se poser également un étudiant en détention.

    Actes de bonté, de préoccupation ou de mœurs base peut également entraîner des suspensions. Un 13-year-old reçut la détention pour l'exposition de l'école à la « responsabilité » en partageant son repas avec un ami a faim. Un élève de troisième a été suspendu pour sa tête de rasage par sympathie pour un ami qui avait perdu ses cheveux à la chimiothérapie. Et puis il y avait la senior high school qui a été suspendu pour avoir dit "bless you" après qu'un camarade éternué.

    Malheureusement, alors que ceux-ci semblent être des incidents isolés, ils témoignent d'un phénomène dans tout le pays dans lequel les enfants sont traités comme des suspects et des criminels, en particulier dans les écoles publiques.

    Les écoles sont devenues un microcosme de l'État américain de la police, jusque dans la foule de technologies de surveillance, y compris les caméras vidéo, scanners de doigt et de palmiers, scanners de l'iris, ainsi que les dispositifs de repérage GPS et RFID, employés de surveiller constamment leur corps étudiant.

    Les questions de fabrication sont pire la police.

    Les étudiants accusés d'être désordonné ou non conformes ont un temps difficile assez naviguer la bureaucratie des commissions scolaires, mais quand vous apportez la police dans l'image, la détention après l'école et visites dans le Bureau du directeur sont transforment en punitions tels que billets de délit, Tribunal de la jeunesse, menottes, Taser et même des peines de prison.

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  5. En l'absence de lignes directrices adaptée à l'école, policiers sont de plus en plus « gué à s'occuper des mineur rulebreaking— pantalons tombants, des commentaires irrespectueux, brèves escarmouches physiques. Ce qui auparavant auraient pu en une détention ou une visite au Bureau du directeur a été remplacé avec une douleur atroce et cécité temporaire, souvent suivie d'un voyage vers le Palais de justice. »

    Grâce à une combinaison de battage médiatique, politique de proxénétisme et d'incitations financières, l'utilisation d'agents de police armés patrouiller les couloirs de l'école a augmenté de façon spectaculaire dans les années depuis l'école Columbine tir (presque 20 000 en 2003). Financé par le U.S. Department of Justice, ces agents de ressources scolaires (OAR) est devenus gardiens de fait dans le primaire, Collège et lycée, pluie de leur propre marque de la justice à ce que l'on appelle « criminels » au milieu d'eux avec l'aide de pistolets Taser, de spray au poivre, de matraques et de force brute.

    Les histoires d'horreur sont légion.

    Une SRO est accusé de poinçonnage d'un élève de 13 ans dans le visage pour couper la ligne de la cafétéria. Ce cop même mettre un autre étudiant dans un étranglement , une semaine plus tard, auraient été frapper l'inconscient de l'étudiant et causant un traumatisme crânien. En Pennsylvanie, un étudiant a été tased après avoir ignoré une ordonnance de mettre son téléphone portable..

    Défendre l'utilisation de menottes et de spray au poivre pour soumettre les étudiants, un service de police de l'Alabama a estimé que si ils peuvent employer ces tactiques sur les jeunes de l'école, ils devraient également être autorisé à faire au campus.

    Défenseurs de telles tactiques policières sévères et les armes vous diront maintenant que la sécurité dans les écoles devrait être notre première priorité peur qu'on se retrouve avec un autre Sandy Hook. Ce qu'ils ne vont pas vous dire, c'est que ces fusillades sont rares. Comme un rapport du Congrès trouvé, les écoles sont, en général, des endroits sûrs pour les enfants.

    Dans leur zèle à sévir contre les canons et les écoles de verrouillage, ces pom-pom girls pour état policier tactiques dans les écoles peuvent également échouer à mentionner la lucrative, porte sur plusieurs millions de dollars à couper avec des entrepreneurs militaires tels que Taser International pour équiper ces flics école de pistolets Taser, de réservoirs, de fusils et de $ 100 000 systèmes de détection tir.

    En effet, la transformation des services de police de ville natale dans les prolongements des militaires a été reflétée dans les écoles publiques, où école de police ont été doués de pouvoirs puissants fusils M16, véhicules MRAP blindé, lance-grenadeset autres engins militaires. Un Texas school district possède même sa propre 12 membres SWAT team.

    Selon un article de revue de loi sur le pipeline de l'école-de-prison, « de nombreux districts scolaires ont formé leurs propres services de police, si grands qu'ils rivalisent avec les forces des grandes villes des États-Unis dans la taille. Par exemple, la division de la sécurité dans les écoles publiques de la ville de New York est si grande que s'il s'agissait d'un service de police local, il serait la cinquième plus importante force de police dans le pays."

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  6. Les ramifications sont considérables.

    Le terme « école-de-prison de pipeline » désigne un phénomène dans lequel les enfants qui sont suspendus ou expulsés de l'école ont une plus grande probabilité de se retrouver en prison. Une étude a révélé que "être suspendu ou expulsé fait un élève presque trois fois plus de chances d'entrer en contact avec la justice des mineurs au sein de la prochaine année. »

    Non content d'ajouter police à leurs registres employé, les écoles sont également venus pour ressembler à des prisons, équipées de caméras de surveillance, des détecteurs de métaux, chiens renifleurs de drogue, locker au hasard des recherches et forets tireur actif. L'orgueil d'écoles publiques de Detroit un "« $ 5,6 millions 23 000-sq ft. state of the art Centre de commande » et « initiative de sécurité de l'ensemble du district$ 41,7 millions », y compris les détecteurs de métaux et système d'identification où de noms sont vérifiés par le registre des délinquants sexuels visiteurs. »

    Comme si ce n'était pas assez mauvais pour que les écoles du pays sont venus à ressembler à des prisons, le gouvernement est également contractuellement avec les prisons privées à verrou vers le haut de nos jeunes pour un comportement qui autrefois aurait mérité une conférence sévère. Presque 40 pour cent de ces jeunes gens qui sont arrêtés va purger une peine dans une prison privée, où l'accent est mis sur des profits pour les grands géants par-dessus tout.

    Les prisons privées, le plus grand parmi eux étant GEO et les Corrections Corporation of America, profiter en prenant en charge la population carcérale de l'Etat pour une taxe. De nombreux États, sous contrat avec ces prisons privées, acceptent de garder les prisons complets, qui à son tour des résultats en plus d'américains étant arrêté, reconnu coupable et emprisonné pour des "crimes" non violentes comme la tenue d'études bibliques dans leur back yard. Comme le Washington Post souligne, "sous l'influence croissante du lobby la prison, la nation est, en effet, commoditizing des corps humains pour une industrie en poursuite militant de profit... L'influence des prisons privées crée un système qui négocie l'argent pour la liberté de l'homme, souvent au détriment des populations les plus vulnérables du pays : les pauvres, les immigrants et les enfants. »

    Ce système axé sur le profit d'incarcération a également donné lieu à une croissance dans les prisons pour mineurs et des incitations financières pour emprisonner les jeunes. En effet, jeunes sont devenus des cibles faciles pour l'industrie de la prison privée, qui tire profit de criminaliser le comportement enfantin et emprisonnant des jeunes. Par exemple, deux juges de Pennsylvanie fait les manchettes lorsqu'il a été révélé qu'ils aurait conspiré avec deux hommes d'affaires dans un scandale de "kids for cash" de $ 2,6 millions qui a donné lieu à plus de 2500 enfants étant reconnus coupables et emprisonnés dans les prisons privées à but lucratif.

    Il a été dit que les écoles de l'Amérique sont le terrain d'entraînement pour les générations futures. Au lieu d'élever une génération de combattants de la liberté, toutefois, nous semblent être occupé à débiter des citoyens nouvellement frappées de l'État américain de la police qui sont enseignées le dur chemin ce qu'il veut se conformer, de peur et de mars en unisson avec les diktats du gouvernement.

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  7. Comme j'ai remarquer dans mon livre Amérique du champ de bataille : la guerre contre le peuple américain, avec chaque descente de police d'école et de la répression trop zélée qui s'effectue au nom de la sécurité à l'école, la leçon étant communiquée est que les américains — notamment les jeunes — n'ont aucun droit du tout contre l'État ou la police.

    je vais conclure par une anecdote pleine d'espoir sur une école de Philadelphie, surnommée la « prison de Jones » en raison de sa mauvaise réputation pour la violence parmi la population étudiante. Situé dans un quartier désespérément pauvre et dangereux de la ville, John Paul Jones Middle School de population étudiante a grandi parmi les toxicomanes, les colporteurs de drogues, prostituées et la violence armée. « Par middle school, « rapports L'Atlantique, la plupart de ces étudiants "ont assisté à plus de violence que la plupart des américains qui ne servent dans une guerre ne sera jamais. »

    Selon des journalistes d'investigation Jeff Deeney, "patrouillée école policiers le bâtiment à John Paul Jones et les enfants ont été systématiquement soumis à des analyses avec les baguettes de détection des métaux. Toutes les fenêtres étaient couvertes de grille métallique et une chambre qui tient les ordinateurs avaient même des barres de la prison de fer épais sur son extérieur... Tous les jours... [police] serait mis en place un périmètre de policiers sur les blocs autour de l'école, et ces policiers étaient là pour protéger les enfants, ne pas pour protéger les enfants du quartier de voisins. »

    En d'autres termes, John Paul Jones, une des écoles plus dangereux de la ville, était un exemple parfait de l'appareil d'État policier école-de-prison, au travail des citoyens de plus jeunes et les plus impressionnables de la nation.

    Quand la gestion de John Paul Jones a été reprise par une Charte de l'école qui a opté pour désamorcer la présence de l'État policier, décapage, les détecteurs de métaux et empêchés de windows, la police locale a protesté. En fait, ils sont venus porter des gilets de Kevlar. Néanmoins, les responsables de l'école demeuraient déterminés à en finir avec contrôle institutionnel et surveillance, ainsi que les gardes de sécurité agressifs et se concentrer sur coercitifs, non violente des conflits en mettant l'accent sur l'autonomisation de l'étudiant, l'établissement de liens et de gestion de la colère.

    Le résultat : une baisse de 90 % des incidents graves— armes, agressions, viols, vente de drogues — en une seule année. Comme l'élève de cinquième année a remarqué des changements, "il n'y a pas plus de combats. Il n'y a pas plus de la police. C'est mieux pour la communauté. »
    La leçon pour le reste d'entre nous est la suivante : vous obtenez non seulement ce que vous payez, mais vous récolterez ce que vous semez.

    Si vous voulez une nation de criminels, traiter les citoyens comme des criminels.

    Si vous souhaitez que les jeunes qui grandissent de se percevoir comme prisonniers, courir les écoles comme les prisons.

    Mais si vous voulez élever une génération de combattants de la liberté, qui sera réellement exploitée avec justice, équité, responsabilité et égalité envers les uns les autres et leur gouvernement, puis exécutez les écoles comme les forums de la liberté. Enlever les détecteurs de métaux et des caméras de surveillance, réaffectez les flics ailleurs et commencer à traiter les jeunes de notre nation comme citoyens d'une République et non détenus dans un État policier.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-14/public-school-students-are-new-inmates-american-police-state

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  8. Etats-Unis: Le pays où les enfants sont envoyés en prison.
    Quant à l'évocation de la tragédie de Newton, il est prouvé qu'il y avait plusieurs tireurs et RIEN ne prouve que ce soient des enfants qui aient tiré sur d'autres !

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  9. Irak guerre vétéran coups sifflet sur la propagande éhontée, enseignée dans les écoles de Police


    Soumis par Tyler Durden le 14/09/2015 20:45 -0400
    Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg



    Avant d'entrer dans la viande de ce post, je tiens d'abord à un constat : il n'y a aucun « guerre contre la police » qui se passe en Amérique aujourd'hui. Ce qui se passe est un mouvement croissant de gens qui veulent la responsabilisation de la police, de professer une volonté de réformer le système de justice pour que nous nous arrêtons les gens incarcération pour l'oxymore de « crimes sans victime » et la fin de la voleuse généralisée du public sans procédure légale régulière via une pratique dite de confiscation civile.

    J'ai abordé ces sujets largement au fil des ans. Voici quelques exemples :

    Aux États-Unis: 5 % de la Population mondiale, 25 % de ses prisonniers

    Ne salissez pas avec le Texas – descente de Police et arrêt Stand de limonade géré par des filles de 7 à 8 ans

    Graphique du jour – Population carcérale de l'Amérique au cours des 100 dernières années

    Denver Police arrête « Annulation par le Jury » militant pour le passage des brochures d'information

    Terre de l'Unfree – Police et procureurs luttent agressivement pour conserver droit barbare de « Civil Asset Forfeiture »

    Les grèves DEA à nouveau – Agents saisissent économies d'une vie de l'homme sous la confiscation civile sans frais

    Confiscation d'avoirs – comment SPPC Continue d'arracher des américains durement gagné argent avec zéro des répercussions

    Les griefs publics énumérés plus haut sont une demande raisonnable que toute culture civilisée insisterait sur. Néanmoins, de nombreux services de police à travers le pays prennent ces critiques dans le cadre de certains imaginaire « guerre sur la police » qui n'existe pas. Plutôt que de montrer encore une lamelle d'introspection en regardant vers l'intérieur à des erreurs de police a fait ces dernières années, de nombreux officiers sont être sur la défensives, combattant et ont eu recours au mensonge afin de rejeter les préoccupations du public.

    C'est précisément ce qu'un vétéran de la guerre Irak vu récemment en s'entraînant à une Académie de police. Il a partagé son histoire avec le Daily Beast , sous le pseudonyme de Clayton Jenkins. Voici quelques extraits :

    La guerre sur les flics est une réponse grossièrement inexacte aux récents assassinats de policiers qui sont sur la bonne voie pour une autre année qui rivalisera avec les plus sûres au dossier. Décès de coups par des policiers sont en baisse de 27 % cette année, selon la page de Officer Down memorial, et de meurtres de policiers sont en général à un minimum de 20 ans, compte tenu des chiffres actuels pour 2015. Décès de policiers à la présidence de Barack Obama sont plus faibles que les dernières quatre administrations, aller tout le chemin du retour à la présidence de Reagan.

    Pas un seul iota de preuve prend en charge une guerre sur la Police, mais il est devenu un cri de guerre chez certains à l'Académie.

    (suite en dessous:)

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  10. Plus de 80 % des services de police aux États-Unis sont confrontés à des problèmes avec des nombres de faible recrutement. Comme un vétéran de la guerre en Irak, j'ai cherché à consolider ma chance d'emploi travaillant dans l'application de la loi en assistant à une Académie de police locale. J'ai apprécié de servir mon pays comme police militaire et fera telle maintenant comme un agent de police assermenté à la maison.

    Ce qu'ils nous disent dans une école post-Michael Brown ? La culture de la brutalité policière est rarement abordée, mais ce qui est sans cesse mentionné est la notion qu'il y a une guerre sur la Police.

    "L'Administration Obama et la Holder de Eric minent la police. Nous avons des officiers de gauche et à droite en train de mourir et il est dicking éteint en Alaska, "dit l'un de mes instructeurs, se référant au voyage du Président à la semaine dernière de l'Alaska.

    Je perçois comme un professionnel d'application de loi — et comme quelqu'un capable de lire des montagnes de données assez — que la guerre à la drogue a été injustement utilisé comme un instrument d'oppression contre la communauté noire. C'est pourquoi la jardinière public a montré qu'ils ont moins de confiance dans la police ces derniers temps.

    - voir clip & photo sur site -

    Mais il n'y a pas de guerre sur la Police. La mentalité de ce nous vs Them prévaut encore même dans les cadets de l'Académie fraîches. Certaines de ces personnes deviendront peut-être futur oppresseurs brandissant jackbooted, de la matraque. Ou peut-être qu'ils rencontreront la réalité qui trahit la crainte qu'ils apprennent.

    Maintenant, regardez la vidéo suivante de recrutement pour le service de police de Portsmouth, Virginie...

    Pendant ce temps, un agent de Portsmouth a été récemment inculpé aprèstournage mortellement 18 ans William Chapman après qu'il a volé.

    Cela ressemble à une scène de Gaza, pas l'Amérique que nous imaginons.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-14/iraq-war-veteran-blows-whistle-shameless-propaganda-being-taught-police-academies

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  11. La préparation du déploiement militaire russe en Syrie

    Thierry Meyssan
    Voltaire net
    lun., 14 sept. 2015 05:49 UTC


    En marge du Forum économique de Vladivostok, le 4 septembre 2015, le président Vladimir Poutine a confirmé son intention d’intervenir en Syrie contre les jihadistes

    Une campagne a été lancée par les opposants à l'accord entre les États-Unis et l'Iran pour accuser la Russie de vouloir annexer militairement la Syrie comme la Crimée. En réalité, Moscou prépare une opération contre les jihadistes, en application des résolutions de l'Onu, et la mènera avec ou sans Washington. D'ores et déjà la Maison-Blanche a organisé une opération conjointe de la Coalition internationale et de la Syrie. La France tente de prendre le train en marche tout en espérant encore saboter la réconciliation États-Unis/Iran.


    La préparation du déploiement militaire russe se poursuit en Syrie provoquant la colère des Occidentaux. L'annonce que j'avais faite, dans ma chronique hebdomadaire d'Al-Watan [1], de la création d'une Commission militaire conjointe syro-russe, de la transmission d'informations satellitaires russes, de l'arrivée de nombreux experts russes et de la livraisons d'armes plus sophistiquées que précédemment a soulevé une tempête lorsqu'elle s'est trouvée confirmée par les sites israéliens Ynet [2] et DebkaFile [3]. Par la suite, j'ajoutais à ces éléments la modernisation et l'agrandissement de l'aéroport de Lattaquié [4].


    Pourtant, une fois encore, les journalistes israéliens tordaient la réalité. Ils laissaient entendre que la Russie allait déployer son aviation et son infanterie pour défendre un Gouvernement syrien proche de la défaite. Certains commentateurs, notant un possible transfert depuis Sébastopol de la 810ème Brigade de la Marine russe, évoquaient l'exemple de la Crimée et parlaient d'une possible annexion militaire russe de la Syrie [5].



    De nombreuses télévisions atlantistes ont diffusé une vidéo de combats à Lattaquié dans laquelle on entend des officiers de l'armée arabe syrienne parler en russe. Selon Yuri Artamonov, une analyse du bruit des armes permet de conclure que les voix ne sont pas celles des troupes syriennes, mais des jihadistes qu'elles combattent [6]. Nous avons noté depuis longtemps que la plupart des officiers de Daesh communiquent par talkie-walkie en turc et en russe et non pas en arabe.

    Il n'en est évidemment rien. La Fédération de Russie continue à rechercher une solution politique au conflit inter-Syriens, en organisant un dialogue entre le gouvernement et son opposition, en application du Communiqué de Genève du 31 juin 2012 [7]. Simultanément, répondant à l'appel de la République arabe syrienne dans le cadre des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, la Fédération de Russie envisage de suivre l'exemple de la Coalition conduite par les États-Unis contre Daesh, et de lancer sa propre opération contre les jihadistes.

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  12. La Russie en a informé l'émissaire états-unien, Michael Ratney, lors de son voyage, le 28 août, à Moscou [8]. En outre, Sergey Lavrov a publiquement appelé à une coordination avec l'armée états-unienne face aux jihadistes [9].

    Et c'est bien ce qui fait peur au clan Petraeus/Allen/Clinton/Feltman/Juppé/Fabius. En Syrie, un gouffre sépare la réalité de la fiction médiatique. Et comme toujours dans ce type de situation, avec le temps, ce sont les producteurs de propagande qui sont emprisonnés dans leur rhétorique et, en définitive, qui sont intoxiqués par leurs propres mensonges.

    La Fédération de Russie envisage non pas de « réduire » Daesh, mais de vaincre tous les jihadistes, qu'ils se réclament de l'Émirat islamique, d'al-Qaïda, du Front islamique ou de toute autre organisation. Du coup, chacun réalise qu'il n'y a actuellement plus aucun groupe armé anti-gouvernemental qui ne soit pas lié aux jihadistes. C'est tellement vrai que le Pentagone reconnaît ne plus avoir de nouvelles des « rebelles modérés » qu'il avait formés pour lutter contre Daesh, car tous, sans exception, ont déjà rejoint al-Qaïda. Les Syriens qui s'étaient joints aux combattants étrangers au début de la guerre ont réintégré la République, à travers les nombreux accords de réconciliation mis en œuvre depuis trois ans par le gouvernement, ou ont adopté les objectifs des jihadistes.

    Par conséquent, s'ils décident de passer à l'acte, les Russes vont attaquer la totalité des groupes armés qui sèment la terreur en Syrie. Les Occidentaux ne pourront plus cacher que la « Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution », qu'ils ont reconnue comme la représentante du peuple syrien, soutient les jihadistes. Ils devront donc prendre en considération les partis politiques de Syrie, y compris ceux qui se sont alliés au Baas pour faire face aux jihadistes.

    Une erreur complète de diagnostic


    Les Occidentaux, qui ont fermé leurs ambassades et se sont privés de tout moyen d'analyser ce qui se passait dans le pays, ont commis plusieurs erreurs de jugement. Ils ignorent la transformation de la société syrienne par quatre années de guerre. D'abord, il y a certes des conflits politiques en Syrie, mais pas de guerre civile. La presque totalité des citoyens s'est rassemblée derrière le président el-Assad contre l'agression étrangère qui menace la survie de la civilisation du Levant.


    La presse atlantiste estime que le régime ne contrôle plus que 20 % du territoire et qu'il va donc bientôt tomber. C'est qu'en effet le territoire syrien habitable est restreint, tandis que le désert est vaste. La République a choisi de défendre les populations plutôt que le territoire avec ses champs de gaz et de pétrole tant convoités. Du point de vue gouvernemental, 20 % de la population a été contrainte par les combats de se réfugier à l'étranger, 75 % se trouve sous la protection de la République, et au maximum 5% dans les vastes territoires dans lesquels les jihadistes évoluent.

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  13. Ensuite, si en 2011 beaucoup croyaient au mythe du « Printemps arabe », il n'en est plus de même aujourd'hui. Le projet du département d'État de placer les Frères musulmans au pouvoir dans tout le monde arabe a fait long feu. L'expérience égyptienne est devenue un repoussoir. Depuis l'opération « Volcan de Damas » de juillet 2012, le conflit est une guerre de jihadistes. Le choix n'est plus d'être pour ou contre le parti nationaliste Baas, mais d'être pour ou contre la modernité. Les jihadistes défendent un modèle de société gouverné par des hommes polygames, où les femmes ne peuvent sortir de chez elles que voilées et escortées par un homme de la famille, où les homosexuels sont mis à mort, où seul l'islam est autorisé et où la pratique wahhabite est obligatoire. Il est déjà surprenant que 5 % de la population accepte de vivre dans les zones où évoluent les jihadistes. Et il est absurde d'espérer qu'ils puissent devenir plus nombreux [10].


    Le cas de la France


    Le président Hollande a annoncé qu'il autorisait ses armées à survoler le territoire syrien pour accumuler des informations sur Daesh et qu'il pourrait ultérieurement les autoriser à bombarder l'organisation jihadiste.


    Il y a une part de gesticulation désespérée dans cette annonce. En effet, François Hollande la justifie par l'impossibilité de lutter efficacement contre Daesh en ne le bombardant qu'en Irak ; mais c'est précisément l'argument que le président Obama avait employé pour le convaincre en 2014 et qu'il avait alors rejeté. De même, il y a une forme de fanfaronnade à clamer que les opérations aériennes ont débuté le 8 septembre alors qu'une tempête de sable d'une intensité historique s'abattait sur le Proche-Orient, brouillait les systèmes de navigation électronique et rendait impossible le décollage des avions. Surtout, il y a une rare mauvaise foi à déclarer que l'Armée arabe syrienne ne détruira pas les aéronefs français parce qu'elle ne contrôle plus le Nord du pays, alors qu'il a secrètement envoyé une ambassade militaire à Damas pour obtenir l'autorisation de survol nécessaire.


    Obama poursuit l'application de l'accord de Lausanne


    Il semble cependant que la France a tiré les conséquences de l'accord signé par Washington et Téhéran, le 14 juillet à Lausanne, et qu'elle ne souhaite pas se trouver isolée dans un Proche-Orient en pleine réorganisation.


    Alors que la Coalition internationale anti-Daesh n'a aucunement combattu l'Émirat islamique, ni en Irak, ni en Syrie, depuis un an, mais l'a au contraire soutenu par des largages d'armes massifs et répétés, le président Obama lui a ordonné d'aider la République arabe syrienne à défendre Hassaké. Les 27 et 28 juillet, les deux forces ont conjointement repoussé Daesh. Les bombardements de la Coalition ont tué environ 3 000 jihadistes.

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  14. Logiquement, la prochaine étape devrait être d'inclure les Forces russes dans la Coalition anti-Daesh, mais c'est peu probable. En effet, les États-uniens et les Français qui s'opposent à la paix avec l'Iran entendent étendre le chaos non seulement au Levant, mais aussi à l'Afrique du Nord et à la mer Noire. Ce sont eux qui accusent la Russie de vouloir « sauver Assad » du « Printemps arabe ». On devrait donc plutôt assister au bombardement de Daesh par deux Coalitions distinctes ; voire, à terme, à une différenciation des rôles, les États-Unis s'occupant de l'Irak et la Russie de la Syrie.En s'accrochant au mythe du « Printemps arabe », qu'ils ont eux-mêmes créé et eux-même détruit, les Occidentaux ont perdu contact avec la réalité. Ils prétendent soutenir un mouvement démocratique hostile au président el-Assad. Mais, outre qu'en temps de guerre la démocratie paraît être un luxe, non seulement les démocrates soutiennent le président el-Assad contre les jihadistes, mais il apparaît comme leur meilleur champion.

    En prenant ses informations exclusivement auprès de l'Observatoire syrien des Droits de l'homme, la presse atlantiste a choisi de s'intoxiquer et d'intoxiquer l'opinion publique. L'OSDH n'est pas une association neutre, mais un organe de propagande des Frères musulmans. Et la confrérie est la matrice de tous les groupes jihadistes. Tous leurs leaders sont des membres ou d'anciens membres des Frères musulmans, d'Ayman al-Zaouahiri à Zahran Allouche. Les Occidentaux payent aujourd'hui les conséquences de quatre années de propagande.
    À retenir :

    - La Russie se prépare à lutter contre Daesh en Syrie, pas contre l'opposition démocratique.

    - En quatre ans de guerre, la société syrienne a profondément changé. Le choix aujourd'hui n'est plus pour ou contre le président el-Assad, mais pour ou contre le modèle de société des Frères musulmans.

    - Il n'y a plus aucun groupe armé anti-Assad qui ne soit pas lié aux jihadistes.

    - Suite à leur accord avec l'Iran, les États-Unis ont mené une opération conjointe avec la Syrie contre les jihadistes à Hassaké.

    - La France a envoyé une ambassade militaire secrète à Damas, début septembre, et a obtenu l'autorisation de survol du territoire.
    Notes :

    [1] « L'armée russe commence à s'engager en Syrie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 24 août 2015. Version arabe dans Al-Watan.

    [2] "Russian jets in Syrian skies", Alex Fishman, Ynet (Yedioth Ahronot), August 31, 2015

    [3] "Russia gearing up to be first world power to insert ground forces into Syria", DebkaFile, September 1, 2015.

    [4] « La France tente d'entraver le déploiement militaire russe en Syrie », Réseau Voltaire, 6 septembre 2015.

    [5] "Poutine Sends His Dirty War Forces to Syria", Michael Weiss & Ben Nimmo, The Daily Beast, September 10, 2015.

    [6] "Are there Russian troops in Syria ?", Yuri Artamonov, September 5, 2015.

    [7] « Communiqué final du Groupe d'action pour la Syrie », Réseau Voltaire, 30 juin 2012.

    [8] "Russia emerges as key player in new round of Syria diplomacy. U.S. diplomat latest to visit Moscow for talks", Guy Taylor, Washington Times, August 28, 2015.

    [9] "Russia to U.S. : talk to us on Syria or risk 'unintended incidents'", Christian Lowe & Julia Edwards, Reuters, September 11, 2015.

    [10] « La guerre civile arabe », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 30 mars 2015.

    http://fr.sott.net/article/26421-La-preparation-du-deploiement-militaire-russe-en-Syrie

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  15. La Russie et la Syrie, plus précisément


    Anthony SAMRANI
    L'orient le jour
    mar., 15 sept. 2015 05:04 UTC


    Des chars d’assaut T-90, le dernier modèle en date de l’armée russe, paradaient à Moscou à l’occasion de la commémoration de la victoire de la Seconde Guerre mondiale, le 9 mai dernier
    Protéger « l'Alaouistan », combattre l'organisation État islamique mais aussi se mettre au centre du jeu diplomatique semblent être les motivations qui ont poussé les Russes à accentuer leur investissement militaire en faveur du régime Assad.

    Ce n'était au départ qu'une rumeur, seulement reprise par quelques médias anglo-saxons comme le Daily Beast. Mais plus les jours ont passé, plus les faits se sont accumulés, plus les chancelleries ont réagi et plus la rumeur s'est transformée en évidence : des troupes russes sont effectivement présentes sur le sol syrien. Selon des propos rapportés hier par deux responsables de l'administration américaine, interrogé par Reuters, la Russie a déployé sept chars T-90 sur un terrain d'aviation près de Lattaquié. Cette nouvelle vient s'ajouter à une série d'informations concernant un important déploiement militaire russe en Syrie : construction d'une piste d'atterrissage à Lattaquié, transport de préfabriqué pour loger des soldats, manœuvres de bateaux militaires russes le long de la côte syrienne, transport et livraison de matériel militaire, établissement d'une tour de contrôle, survol de drone au dessus de Lattaquié, débarquement de chars et d'avions, et d'au moins une unité d'infanterie.

    Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a lui-même admis que les avions russes à destination de Syrie transportaient non seulement de l'aide humanitaire, mais aussi « des équipements militaires conformément aux contrats existants », signés avec le pouvoir syrien. Même s'il continue de démentir toute participation des troupes russes aux combats, confirmant par contre avoir des « experts » sur le terrain, Moscou ne se cache plus.

    La visite de Suleimani

    Après avoir été à l'initiative, ces derniers mois, de la relance diplomatique pour trouver une issue au conflit syrien, la Russie a bousculé le rapport de force en s'investissant directement sur le terrain, au grand dam de Washington et des Européens qui s' « inquiètent profondément » de cette nouvelle donne. Redoutable stratège, le président russe Vladimir Poutine a une nouvelle fois surpris tout le monde et dicte désormais le jeu.

    D'après plusieurs médias, dont as-Safir, l'intervention de Moscou ferait suite à la visite en août dernier du général iranien Qassem Suleimani, pourtant frappé par une interdiction de visa de l'Onu. Le déploiement des troupes russes se ferait donc en coordination avec les Iraniens.

    Alors que Téhéran a annoncé sa volonté de présenter un nouveau plan de paix pour la Syrie, le soutien des deux meilleurs alliés de Damas semble s'inscrire dans une volonté de renforcer, ou au moins de protéger, les positions du régime sur le terrain.

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  16. Même si l'intervention russe est sans doute motivée par plusieurs considérations, sa priorité semble être de protéger la zone de Lattaquié, fief alaouite extrêmement stratégique, fragilisée par l'offensive de l'Armée de la conquête, coalition de rebelles menée par le Front al-Nosra, branche d'el-Qaëda en Syrie, et le groupe salafiste Ahrar el-Cham. Moscou aurait d'ailleurs donné son accord pour la construction d'une nouvelle base militaire russe à Jableh, au sud de Lattaquié, selon le quotidien moscovite Nezavissimaïa Gazet, cité par Courrier International. « Le site de Jableh offrirait les conditions favorables pour une importante concentration de troupes, et l'installation d'une grande réserve d'armements et de matériel militaire », explique le quotidien russe.

    Terrain d'entente

    Selon Michael Weiss, éditorialiste au journal américain The Daily Beast, il ne serait pas étonnant de voir des soldats russes également participer aux combats à Zabadani, étant donné l'importance de ce fief pour « le corridor stratégique iranien ».Outre le fait de sécuriser « l'Alaouistan », les Russes pourraient être tentés de participer davantage à la lutte contre l'organisation État islamique (EI) alors que les jihadistes russes représentent le plus grand contingent européen avec plus de 2 000 engagés dans les rangs jihadistes.

    Cela permettrait non seulement de trouver un terrain d'entente avec les Américains, mais aussi de relancer le projet d'intégrer le régime Assad à une nouvelle coalition contre l'EI. Le Kremlin a d'ailleurs estimé samedi qu'il n'y avait pas d' « alternative » au régime syrien pour lutter contre l'EI. Comme en Ukraine, M. Poutine se sait en position de force : ses adversaires n'ont pas de position claire et n'ont aucune intention de s'investir sur le terrain. De là à dire que M. Poutine a déjà gagné...

    Commentaire : Effectivement, du côté américain, on semble transpirer :
    Les USA demandent à l'Irak de fermer son espace aérien aux avions russes

    Les États-Unis s'appliquent à empêcher la Russie d'acheminer de l'aide humanitaire en Syrie.

    Les autorités américaines exigent de l'Irak qu'il ferme son espace aérien aux avions russes se rendant en Syrie, rapporte le New York Times, précisant qu'une telle requête de Washington datait du 5 septembre alors que Bagdad n'a toujours pas répondu par l'affirmative.

    Le service de presse du gouvernement irakien a refusé de le commenter, arguant qu'il n'avait aucune information sur le survol du territoire du pays par des appareils russes.

    Le quotidien américain écrit, en référence à ses sources à la Maison Blanche, qu'au moins sept avions russes ont gagné la semaine dernière la Syrie via l'espace aérien de l'Irak et de l'Iran. Moscou a choisi ce corridor après la fermeture le 8 septembre par la Bulgarie de son espace aérien, toujours sur l'exigence des Etats-Unis.

    A part la Bulgarie, l'Ukraine a fermé son espace aérien aux avions russes se rendant en Syrie pour y fournir de l'aide humanitaire. Washington a adressé la même demande à la Grèce, mais Athènes n'y a pas répondu.

    La Maison Blanche veut à tout prix empêcher la livraison d'armes russes au gouvernement de Bachar el-Assad.

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  17. Sputnik.
    Le point de vue de Philippe Grasset :
    « (...)

    La communication a constitué un phénomène absolument stupéfiant durant ces dernières semaines, - une fois de plus, dira-t-on, - agissant comme un phénoménal facteur de grossissement des situations et de leurs effets. Quoi qu'il en soit de la vérité chronologique de l'engagement russe, il est certain que celui-ci est devenu un enjeu stratégique de première importance, susceptible de faire évoluer Israël dans un cas où la Russie deviendrait son premier interlocuteur stratégique, d'abord à cause de la communication.

    Il est très possible d'autre part que la puissance de la communication produisant les effets qu'on a vus ait conduit les Russes, non pas à décider d'une aide à la Syrie, - de la poursuite de leur aide à l'accélération de leur aide, — mais bien à modifier la forme de leur action pour en faire un véritable engagement qui deviendrait un acte stratégique majeur. Personne n'a encore rien vu des actes de cet engagement russe, de ses signes concrets, des nouveaux matériels, éventuellement de nouvelles forces, et pourtant la chose est déjà un facteur majeur, sinon le facteur principal de la situation en Syrie. L'exercice naval annoncé du 15 septembre au 7 octobre ressemble déjà à un acte d'affirmation stratégique qui semblerait presque la confirmation d'une prise de pouvoir dont personne, également, n'a rien vu...

    Il est vrai, bien entendu, que les Russes sont formidablement aidés par la crise colossale du pouvoir aux USA, où tout est fait constamment pour radicaliser la situation, pour interdire tout compromis, alors que les USA n'ont ni la volonté, ni la cohésion, ni même les moyens de soutenir ce maximalisme et d'en profiter. On dira que les choses se font "par défaut" en un sens, à cause de cette maladresse US, parce que Poutine n'est pas un homme aventureux qui pose des gestes offensifs audacieux ; simplement, les USA créent des situations qui sont à la fois de vide stratégique et de grand danger de déstabilisation, et dans ce cas les Russes sont conduits, sinon pressés par leur simple analyse des nécessités stratégiques à envisager d'intervenir ; puis ce qui constitue d'abord une obligation aventureuse devient une victoire stratégique simplement par la maladresse de l'autre camp ; à cause de cette communication hystérique qui dénonce l'"intervention russe" en en faisant finalement, sans que l'acteur principal y ait d'abord songé, un acte stratégique fondamental, l'opération devient une victoire stratégique russe, sans la moindre bataille, sans le moindre combat ... Si les choses vont en se confirmant, on peut être sûr que Netanyahou, qui ne manque ni de cynisme ni de réalisme, satisfera sa haine d'Obama en mettant en place un sérieux rapprochement stratégique avec la Russie. »

    http://fr.sott.net/article/26420-La-Russie-et-la-Syrie-plus-precisement

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  18. Syrie: les Etats-Unis et l'Europe se servent de la crise des réfugiés pour intensifier la guerre

    Bill Van Auken
    WSWS
    lun., 14 sept. 2015 09:41 UTC

    Les politiciens et les médias des États-Unis et ceux de l'Europe occidentale se sont cyniquement saisis de la situation terrible des réfugiés fuyant les violences en Syrie comme d'un prétexte pour intensifier la guerre pour un changement de régime dans ce pays.

    Le président français François Hollande et le premier ministre britannique David Cameron, qui s'activent fébrilement pour n'accueillir chacun qu'une poignée de réfugiés, ont annoncé des campagnes de bombardements en Syrie dont l'apparente logique est que plus on larguera d'explosifs sur eux, plus il est probable que les Syriens décideront de rester chez eux.

    Washington a déclenché une confrontation provocatrice avec la Russie à propos de l'aide militaire de longue date du Kremlin au gouvernement du président Bachar al-Assad, ses mises en garde contre un « développement » de l'aide russe en Syrie devenant de plus en plus hystériques.

    Ces développements récents ne font que souligner l'inconstance des prétextes utilisés par les puissances impérialistes occidentales pour leur intervention sanglante en Syrie. D'abord ce fut la défense des «droits humains» contre le régime Assad, puis la lutte contre le terrorisme de l'Etat islamique (EI) et maintenant, ce sont les réfugiés et l'«ingérence» russe.

    Les véritables forces motrices de l'intervention occidentale sont de purs intérêts géostratégiques et l'installation d'une hégémonie sur les principales ressources énergétiques du monde et les réseaux de pipelines qui les relient au marché mondial. Dans des conditions de crise économique toujours plus profonde, la classe dirigeante, et avant tout l'aristocratie financière américaine, projette d'intensifier la violence militariste.

    Ces tendances s'expriment directement dans le battage incessant des médias pour une escalade de la guerre syrienne. Nulle part cette guerre de propagande n'est plus répandue ou plus hypocrite que dans les pages du «journal de référence» supposé libéral, le New York Times.

    Le chef de cette meute est Roger Cohen, chroniqueur des affaires étrangères du NYT, dont l'article intitulé « Le cauchemar syrien d'Obama » est paru jeudi.

    La thèse de Cohen est que le calvaire du peuple syrien - plus de 200.000 morts, des millions de personnes forcées à l'exil ou déplacées à l'intérieur du pays et toute une société ravagée par la guerre civile - est le produit de «l'inaction de l'Occident».

    «L'interventionnisme américain peut avoir des conséquences terribles, comme l'a démontré la guerre en Irak, » écrit-il. « Mais le non-interventionnisme américain peut être tout aussi désastreux, comme le montre la Syrie. Ne pas faire une chose est autant une décision que de la faire. Le pendule oscille sans cesse entre l'interventionnisme et le repli parce que les États-Unis sont programmés à l'idée qu'ils peuvent rendre le monde meilleur ».

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  19. Quels mensonges réactionnaires et absurdes! Cohen, bien sûr, n'informe pas ses lecteurs qu'il a été dans les médias un des principaux défenseurs de la guerre criminelle contre l'Irak. Quant aux «terribles conséquences», il ne s'en est jamais bien inquiété. En 2009, longtemps après qu'il était clair que la guerre avait fait des centaines de milliers de morts et détruit toute une société, Cohen a écrit, « Je crois toujours que la liberté de l'Irak l'emporte sur son terrible prix».

    Après que la guerre de changement de régime menée par les Etats-Unis et l'OTAN a réussi à renverser et assassiner le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, Cohen a écrit un article triomphaliste intitulé «Un point pour l'interventionnisme». Près de quatre ans plus tard, le pays est le théâtre de conflits sanglants entre milices rivales et l'épicentre de la vague de réfugiés, dont des milliers ont trouvé la mort en cherchant à traverser la Méditerranée.

    Depuis la guerre des Etats-Unis et de l'OTAN en Bosnie en 1995, Cohen a soutenu, en serviteur fidèle de l'appareil militaire et de renseignement américain, toutes les interventions militaires des États-Unis ainsi que leurs opérations de déstabilisation, de l'Iran à l'Ukraine.

    S'il trouve maintenant à redire à la politique d'Obama en Syrie, c'est pour promouvoir les positions de ceux dans l'élite dirigeante américaine qui veulent lancer une guerre à grande échelle

    Cohen incrimine la Maison Blanche pour avoir fait marche arrière en 2013 lorsque Obama menaçait de bombarder les forces gouvernementales syriennes en les accusant d'avoir utilisé des armes chimiques contre des civils. De nombreuses preuves ont fait surface depuis, montrant que ce sont les «rebelles» soutenus par l'Occident qui ont organisé les attaques chimiques dans le but de provoquer une intervention militaire directe des États-Unis.

    Il critique Obama pour son manque de «volonté» et de «conviction dans la puissance américaine», insistant sur ??le fait que les avions de guerre syriens « auraient pu être éliminés» et qu'une «fourniture immédiate et massive d'armes aux rebelles aurait pu changer le cours de la guerre ».

    Tout cela déforme totalement la réalité. Obama a décidé de différer le bombardement de la Syrie en 2013 dans une large mesure à cause d'une hostilité populaire écrasante à une nouvelle guerre. Les débâcles de l'Irak et de l'Afghanistan ont décillé des millions de gens qui ne croient plus à l'« idée » de Cohen que les éruptions du militarisme américain « créent un monde meilleur ». Depuis, la Maison Blanche et l'armée ne cessent de manœuvrer pour relancer leurs plans de guerre et de travailler à de nouveaux prétextes pour une intervention.

    Quant à la fourniture « massive » d'armes aux soi-disant rebelles, elle a bien eu lieu; des milliards de dollars d'armes furent acheminées aux milices islamistes par les principaux alliés de Washington dans la région - l'Arabie saoudite, la Turquie et le Qatar - et sous la conduite de la CIA. Si ces armes ne sont pas parvenues à obtenir la chute d'Assad, c'est parce que des masses de Syriens sont hostiles aux égorgeurs islamistes soutenus par l'étranger.

    Le peuple syrien est la victime, non pas de «l'inaction de l'Occident», mais d'une série d'actes criminels qui vont de la destruction de l'Irak et de la Libye à la fomentation d'une guerre civile sectaire en Syrie même.

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  20. Cohen conclut en déclarant que, si Obama est « à l'aise avec l'utilisation chirurgicale de la force», à savoir les frappes et les assassinats par drones, il est « mal à l'aise avec la puissance militaire américaine ». L'implication est claire: faites-vous une raison et lancez une nouvelle guerre américaine totale au Moyen-Orient.

    Cette perspective est reprise par le collègue de Cohen au NYT, le chroniqueur Thomas Friedman, qui a mené l'offensive de propagande pour la guerre en Irak. Il a fait valoir dans un article mercredi que la seule façon d'arrêter le flux des réfugiés était soit de murer les pays d'où ils fuyaient, soit «les occuper avec des troupes au sol, écraser les méchants et construire un nouvel ordre fondé sur la citoyenneté réelle, un vaste projet qui prendrait deux générations ». En d'autres termes, une recolonisation militaire de tout le Moyen-Orient.

    La logique de l'escalade de la guerre syrienne a aussi été articulée mercredi par un éditorial du Washington Post. Pointant le renforcement russe présumé en Syrie, il déclare: «M. Poutine admet une vérité que M. Obama a refusé d'accepter: toute perspective politique pour l'avenir de la Syrie n'a de sens que si elle est soutenue par la force au sol ... Si M. Obama souhaite voir la vision des États-Unis pour la Syrie prévaloir sur celle de la Russie, il va falloir plus que des appels téléphoniques ».

    L'avertissement ne pourrait être plus clair ou plus terrifiant. Derrière le dos du peuple américain, de puissants éléments dans la classe dirigeante américaine et l'appareil d'Etat s'apprêtent, avec la collaboration de leurs écrivaillons dans les médias, à une intervention militaire qui met en place une confrontation directe entre les Etats-Unis et la Russie, les deux principales puissances nucléaires du monde.

    http://fr.sott.net/article/26415-Syrie-les-Etats-Unis-et-l-Europe-se-servent-de-la-crise-des-refugies-pour-intensifier-la-guerre

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  21. Comment faire pour résoudre la crise de l'Immigration, rapide, facile et pas cher !


    Soumis par Tyler Durden le 15/09/2015 23:30 -0400
    Soumis par Paul Rosenberg via FreemansPerspective.com,


    Non, je ne plaisante pas. Je peux résoudre les crises de l'immigration et des réfugiés sans plus de guerres, sans rassembler les gens comme des animaux et tout en augmentant le PIB. Il n'est pas difficile. Tout ce que vous avez à faire est arrêt de pensée à l'intérieur de la même vieille statu quo.

    Voici le plan :

    #1: la Fed accorde des prêts pour construire de nouvelles villes. Voyant que récemment, ils passaient $ 85 milliards par mois, acheter des bons du Trésor et de la dette hypothécaire, nous allons prendre que comme un plafond. Nous acheter des terres agricoles (ou forêt ou désert) et commencer à installer les utilitaires. Il y a telle une quantité incroyable de terres que nous aurons des milliers de taches au choix.

    #2: les gouvernements fédéral et régionaux s'abstenir de tous les impôts sur les bénéfices de toute personne qui ouvre une entreprise dans les nouvelles villes pour tant qu'ils exploitent ces entreprises. Pense qu'ils viendront ?

    #3: les gouvernements fédéral et régionaux s'abstient de toutes taxes d'immigrants sans papiers (et leurs familles) qui choisissent de résider dans les villes nouvelles. Elles aussi s'abstenir toute application de la Loi de l'immigration lois sur eux. vous voulez parier qu'ils vont apparaître ?

    #4: les gouvernements fédéral et régionaux s'abstenir de toutes taxes, règlement d'exécution, les amendes, les bases, bureaux, les employés, les services et les impositions depuis 100 ans dans les villes nouvelles. "En dehors du statu quo," vous vous souvenez ?

    #5: les gouvernements fédéraux et d'État garantissent que l'entrée et la sortie de/vers ces villes sera sans entrave.

    #6: fédéral et les gouvernements des États conviennent qu'ils fourniront aucune aide sociale, personnes handicapées ou autres programmes de document dans les villes nouvelles depuis 100 ans. Nous ne voulons pas une classe dépendante.

    Oh et encore une chose :

    #7: aucune personne ou société qui fait affaires avec tout gouvernement fédéral ou d'État au cours des dernières 10 ans est considérées pour n'importe quel de ces prêts ; ni n'importe qui avec une participation politique plus d'accessoires. Un groupe de radicaux anarcho-capitalistes se prononce.

    Il y a quelques points précis qui pourraient être ajouté, mais le faire à peu près ces sept points principaux. Le plan en deçà de perfection philosophique (témoin de la réserve fédérale étant nommée dedans), mais il a dû être quelque chose qui fonctionnerait demain matin, et cela serait.

    (suite en dessous:)

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  22. Et puis...
    Et puis nous aurons une mêlée générale excellente. Ces villes deviendrait le lieux d'être. Entreprises commencerait à la recherche du lendemain matin. Centaines d'entre eux, peut-être des milliers. Immigrés seraient affluent vers les villes.

    Libertaire et les types d'entreprise, dégoûtés par le statu quo, seraient charger et conduire aux villes nouvelles juste à s'éloigner de règlements. Non-conformistes des descriptions d'une douzaine de commencerait à acheter une propriété, même sans les allégements fiscaux.

    Ces villes deviendrait, en seulement quelques années, les endroits les plus cool de la planète – de loin.

    Mais...
    C'est vrai, qu'il n'y aura aucune policiers fournis par le gouvernement ou les tribunaux. Et oui, je sais pas combien de personnes ont été formées à paniquer à ce sujet: « Il sera meurtre, mort et le chaos! »

    Je vais prendre les Paris sur ce coup-là.

    Les gens qui viennent à ces villes viendrait à s'échapper de leurs chaînes et d'être productif. Ce sont précisément le genre de personnes qui nettoyer une ville. Et avec aucun impôt à payer pour 100 ans, ils ont beaucoup d'argent supplémentaire à dépenser sur gage services (ou tout autre chose) dont ils ont besoin.

    Et les résultats...
    Ceux-ci seraient les résultats :

    1. Le plan coûtera les différents gouvernements rien du tout. (Je présume ici que les prêts seraient remboursées... qui devrait être presque un jeu d'enfant.)

    2. Les citoyens capricieux qui ne peut pas dormir la nuit à cause de l'immigration pourraient tous se détendre ; tout le monde effrayant serait dans de nouvelles villes et ne serait pas terroriser les plus.

    3. Cela serait sans aucun doute jus le PIB.

    4. 10 villes de 1 million de personnes serait faciles à construire. Il suffit de demander les chinois.

    5. La plupart des fauteurs de troubles habituels serait séparer le statu quo et arrêter de se soucier de leur.

    6. Plaisir, innovation et progrès.

    Alors, pourquoi pas ?

    Et ce même modèle pourrait bien faire en Europe. Ils ont beaucoup de terrain vide trop.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-15/how-solve-immigration-crisis-fast-easy-cheap

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    1. Cà, ça s'appelle un Bidonville ! Avec pollution, meurtres & prostitution dans cette zone désormais de non-droit.

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  23. Poutine accuse le monde de « L'utilisation de groupes terroristes » à déstabiliser des gouvernements


    Soumis par Tyler Durden le 15/09/2015 20:40 -0400


    Si vous avez suivi les incessantes dos-et-vient entre Washington et Moscou au cours des guerres proxy qui fait rage en Ukraine et en Syrie, vous savez que le Kremlin est sans égal quand il s'agit de décrire la politique étrangère américaine d'une manière qui est succincte et précise.

    Ce fut exposée plein plus tôt cette année lors du Conseil de sécurité a publié un document qui a porté le titre subtil "About The US National Security Strategy. de Vladimir Putin" Nous l'avons également vu à plusieurs reprises au cours des dernières semaines à la suite de la Russie intensifié un rôle militaire pour soutenir le régime Assad à Lattaquié. Par exemple, la semaine dernière, le porte-parole de ministère russe des affaires étrangères Maria Zakharova livré l'évaluation suivante hilarante véridique de la façon dont Washington a cherché à caractériser les relations de Moscou avec Damas :

    "Tout d'abord, nous avons été accusés de fournir des armes à ce qu'on appelle « régime sanglant qui persécutait les activistes de la démocratie, maintenant, c'est une nouvelle édition - nous sommes soi-disant nuire à la lutte contre le terrorisme. Qui est de la foutaise complète. "

    Oui, c'est sans doute, mais n'oublions pas que la Russie n'a pas exactement été prochaine lorsqu'il s'agit de reconnaître que, comme Washington, intérêt de Moscou en Syrie est uniquement lié au terrorisme dans la mesure où le terrorisme sert d'outil occidental pour déstabiliser le régime Assad qui, vous l'avez rappelé, doit rester en place si Poutine a l'intention de protéger la poigne de fer de Gazprom sur l'approvisionnement de l'Europe du gaz naturel.

    Bien sûr ce que cela suggère, c'est que, même si la Russie utilise ISIS comme un écran de fumée pour justifier l'envoi de troupes vers la Syrie, le Kremlin est par définition être plus honnête sur ses motivations que la maison blanche. Autrement dit, ISIS a déstabilisé Assad et parce que la Russie a intérêt à maintenir le régime au pouvoir, Moscou ne fait pas de raison d'éradiquer l'État islamique. Aux États-Unis, en revanche, a facilité la déstabilisation du pays en premier lieu en jouant un rôle dans la formation et armer toutes sortes de rebelles syriens et dire que certains d'entre eux pourraient bien ont continué à se battre pour ISIS serait une évaluation très généreuse quand il s'agit de décrire l'implication de la CIA (une évaluation moins généreuse serait d'appeler ISIS un "atout stratégique de CIA»). Que signifie que les États-Unis occupera seulement vraiment tout anéantir ISIS une fois Assad est allé et il est temps d'installer un gouvernement fantoche qui est sympathique à la fois Washington et Riyad et à ce moment - en supposant qu'il n'est aucuns autres régimes dans la région que le Pentagone se sent devrez peut-être déstabiliser - l'armée américaine va rapidement « libérer » la Syrie de l'ISIS « fléau ».

    Certes, la Russie connaît bien le jeu se joue ici et s'il y a quoi que ce soit Vladimir Putin est pas, il est timide sur l'appel aux États-Unis qui est précisément ce qu'il a fait mardi à un sommet sur la sécurité des pays ex-soviétiques à Douchanbé (Tadjikistan). Bloomberg a plus:

    Le Président russe Vladimir Putin, a déclaré que la lutte contre l'Etat islamique doit être la priorité absolue de la communauté mondiale en Syrie, plutôt que de changer le régime de Bachar al-Assad.

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  24. « Il est nécessaire de réfléchir à la transition politique dans ce pays » et Assad est prêt à "impliquer les forces de l'opposition saine dans l'administration de l'état", a dit Poutine. « Mais l'objectif aujourd'hui est certainement sur la nécessité d'unir leurs forces dans la lutte contre le terrorisme ».

    Les pays ont besoin de « mettre de côté les ambitions géopolitiques » ainsi que "d'utilisation directe ou indirecte des groupes terroristes pour atteindre" les objectifs qui incluent le changement de régime, afin de contrer la menace de l'État islamique, a dit Poutine. « Élémentaire bon sens responsabilité pour la sécurité mondiale et régionale exige l'effort collectif de la communauté internationale. »

    La première chose à noter est que Poutine a essentiellement crié aux États-Unis pour utiliser des terroristes pour déstabiliser Assad. Donc pour ceux qui cherchent juste l'argument massue, c'est tout. Tout le monde, lire sur.

    À ce stade, ce qui devrait être évident est que les intentions de Vladimir Putin en Syrie sont tout sauf peu claires. La Russie fournit ouvertement le régime Assad avec l'aide militaire pour tenter d'empêcher les terroristes et extrémistes (dont certains ont été formés par les Etats-Unis et a reçu l'aide du Qatar) de faciliter l'éviction de l'homme fort. C'est aussi simple que cela et franchement, la Russie seulement deux choses n'a pas précisé explicitement et publiquement (parce que cette diplomatie internationale est , après tout, ce qui signifie que tout le monde dort toujours quelque chose) sont i) le rôle que joue la gaz naturel dans tout cela, et ii) que le Kremlin s'emploiera à empêcher quiconque de renverser Assad, donc dans la mesure qu'il y a un réel , bien intentionnés "freedom fighters" en Syrie, ils vont trouver eux-mêmes sur le mauvais bout de tirs de char russe tout de même que ISIS.

    Aussi claire que c'est aux États-Unis doivent s'en tenir à l'idée absurde que le Pentagone n'arrive pas à trouver au fond de ce que fait la Russie et à l'idée encore plus absurde que la Russie - qui semble être le seul à l'extérieur de la partie qui est réellement intéressé dans la lutte contre ISIS, comme en témoigne le fait qu'il y a des soldats russes sur le terrain - est en quelque sorte mal l'effort très grave par les États-Unis et ses alliés pour vaincre Radicaux islamiques en Syrie. Voici à nouveau Bloomberg :

    Les intentions de la Russie en Syrie ne sont pas claires et il est important que les diplomates américains à les comprendre, Martin Dempsey, Président de l'US Joint Chiefs of Staff, a déclaré aux journalistes à Tallinn, en Estonie, mardi. Alors que Poutine a dit qu'il veut empêcher l'expansion de l'État islamique, "expliquant le but et voir comment elle évolue en réalité sur le terrain sont deux choses très différentes et nous allons travailler sur ce point," Dempsey a dit.

    À droite, « expliquant"que votre « but » est de prendre votre militaire très puissante et vaincre ce qui équivaut à une grande milice qui est cruellement sous armés et insuffisamment formés en comparaison « et voir comment elle évolue en réalité est deux choses très différentes. » Si vous achetez cet argument, puis vous achetez dans l'idée manifestement ridicule que si les Etats-Unis et la Russie devaient mettre leur armée combinée pourrait porter sur l'ISIS en Syrie, que l'issue de cette bataille serait en quelque sorte dans le doute.

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  25. Le Pentagone sait que c'est une idée stupide, mais ce qu'il sait également est qu'une fois que les troupes américaines sont sur le terrain, il n'existe aucune pas de routage les autres militants pendant que vous êtes là, donc ce qui se passerait à relativement brève échéance, est que l'opposition serait tous parti et puis, Eh bien, que faites-vous avec Assad ?

    La façon la plus simple à aller à ce sujet (sauf si bien sûr vous avez un 9/11 et un reportage sur les armes de destruction massive enterrés dans le désert comme une couverture qui permet une invasion pure et simple, unilatérale), est de permettre à l'ensemble du pays de descendre dans le chaos, jusqu'à ce qu'un ou plusieurs groupes de rebelles/extrémiste parvient enfin à prendre Damas, à quel point vous simplement marcher dedans avec les Marines et les supprimer , puis installez n'importe quel gouvernement, vous voyez l'ajustement. Dans l'intervalle, vous venez de survoler et bombarder des trucs (je l'espère avec une coalition qui comprend l'Europe) afin de s'assurer que la situation reste assez instable. , Mais maintenant, ce plan ne fonctionnera pas, car si nous ne voyons une reprise de la guerre soviétique-afghane, aucun des groupes de rebelles de la Syrie vont être en mesure de mettre en déroute l'armée russe qui signifie aux États-Unis sont coincé à faire exactement ce qu'elle fait maintenant : essayer d'expliquer pourquoi il ne sera pas rejoindre la Russie en une coalition pour éliminer ISIS alors qu'il travaillait pour comprendre ce qui est prévu actuellement que les russes sont officiellement sur le terrain.

    Nous allons fermer avec les éléments suivants de Alexander Golts, un analyste militaire et rédacteur en chef adjoint du journal en ligne Yezhednevny Zhurnal qui parle au Wall Street Journal:

    "L'idée de ce qui est... à voir la Russie dans le cadre de l'alliance des nations civilisées qui sont debout contre la barbarie. Mais cette idée n'aurez pas beaucoup de chance, parce que les Etats-Unis et les Saoudiens et autres considèrent Assad la source du problème. »

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-15/putin-accuses-world-using-terrorist-groups-destabilize-governments

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  26. Comment le ministère de la Justice empêche activement la réforme confiscation civile Asset


    Soumis par Tyler Durden le 15/09/2015 20:30 -0400

    Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg



    Confiscation civile est une des pratiques plus barbares et contraire à l'éthique assurées par l'application de la loi dans ces Etats Unis aujourd'hui. Naturellement, le ministère de la Justice fait tout que son possible pour protéger la pratique.

    Quand je dis que la primauté du droit est mort à l'Amérique, je n'exagère pas. En fait, avec chaque jour qui passe, qu'il devient de plus en plus évident que le ministère de la Justice a non seulement aucun intérêt à la justice, il semble considérer son rôle primaire dorloter et protéger l'anarchie entre la soi-disant « élite » et leurs sbires.

    Post d'aujourd'hui prouve le point une fois de plus. L'état de Californie est en train de passer une loi de confiscation civile actifs et en réponse, le ministère de la justice fournit des points de discussion à la Californie District Attorneys' Association afin qu'il peut lutter plus efficacement contre le projet de loi. Tout cela après le ministère de la justice avait déjà exprimée faux appui à la réforme de confiscation de biens civils.

    Rapports de TechDirt :

    Au début de cette année, Procureur général Eric Holder a tenté de fermer une faille exploitable dans les lois de confiscation de biens. Étatiques et locale Loi répressifs souvent recherchée fédérale « adoption » des saisies afin de contourner les lois déversés actifs dans les fonds généraux ou autrement limités eux de profiter directement de ces saisies. En partenariat avec les organismes fédéraux, les autorités policières souvent vu plus gros gains que de confiscations strictement locales.

    La fermeture de la brèche avait encore ses propres lacunes (saisies pour « la sécurité publique, » divers actes criminels), mais elle a fait une petite tentative de redresser certains incitatifs vraiment pervers. Mais au plus profond à l'intérieur, il semble que le ministère de la justice n'est pas vraiment derrière réforme véritable confiscation. En fait, il semble être exhortant les autorités policières pour lutter contre ces efforts en soulignant à quel point l'argent ces organismes vont « perdre » si elles ne peuvent pas mon pote vers le haut avec oncle Sam

    Un cache de documents mis au jour par l'Institut pour la Justice aujourd'hui démontrent que les policiers fédéraux dans les ministères de la Justice (MJ) et du Conseil du Trésor collaborent avec les organismes d'application de loi locale en Californie pour saper les efforts visant à réformer les lois de confiscation civile de l'État. La Californie District Attorneys Association circule un ensemble de courriels de fonctionnaires avec le ministère de la justice et du Conseil du Trésor, indiquant que le gouvernement fédéral disqualifierait l'état de recevoir des fonds du programme fédéral de partage équitable, si elle passe les réformes en cours. Les documents révèlent aussi que le ministère de la justice a déjà disqualifié au Nouveau-Mexique de participer au programme, après adoption d'un vaste projet de réforme de confiscation civile ce printemps.

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  27. L'insertion du MJ dans le processus législatif commence avec des points de discussion envoyées dans les courriels que la quantité d'organismes de fonds vont « perdre » si ils sont ne sont plus autorisés à fédéraliser saisies le stress. Les documents montrent des membres du département du Trésor qui a confirmé que la réforme de la Californie « forcera » le ministère de la justice de couper droit de l'état des organismes d'application de la boucle — soi-disant parce que le navire-mère ne peut pas sécuriser les condamnations assez rapidement.

    Citant des « ressources, désir ou la capacité technique, » du Conseil du Trésor le Bureau exécutif pour atout confiscation avocate Melissa Nasrah écrit dans un courriel à Santa Barbara principal procureur de District adjoint Lee Carter, "Je doute fortement nos organismes fédéraux peuvent déterminer si une déclaration de culpabilité a eu lieu dans un délai raisonnable", et "il semble que la législation en vigueur, éloigne le pouvoir décisionnel du Conseil du Trésor. En conséquence, je pense que je conseille toujours à nos responsables de la politique qu'il serait prudent de ne pas partager avec les agences de CA cette loi devrait être adoptée. »

    Bien sûr, les « avertissements » du gouvernement fédéral sont fait l'écho dans une lettre de la Californie District Attorneys' Association en opposition du projet de loi. L'association exprime sa consternation abjecte devant le fait que de répression pourrait effectivement avoir pour garantir des condamnations de conserver des biens saisis. Selon l'ACAD, confiscation d'avoirs sans condamnations d'accompagnement s'impose parce que les actes d'accusation et emprisonnement seul ne sont pas assez punitives.

    La version actuelle du projet de loi priverait essentiellement chaque organisme d'application de loi en réception directe de Californie de biens confisqués. Droit de confiscation de la Californie actif sera changé pour le pire, et il paralysera la capacité des forces de l'ordre de confiscation de biens des trafiquants de drogue lors de l'arrestation et l'incarcération constitue une stratégie incomplète de la lutte contre le trafic de drogue.

    Que le ministère de la justice a décidé d'empiler sur — malgré ses efforts de réforme nominale — est aussi moins choquant. Après tout, il prend une coupe de chaque enquête « adopté », tout en permettant aux entités locales de contourner les garanties statutaires destinés à réduire l'abus de confiscation civile au minimum.

    Pour lire la lettre de toute la Californie District Attorneys' Association, allez à la fin de l'article TechDirt .

    Dans le cas où vous ne sont pas encore convaincus du caractère immoral et inconstitutionnel de confiscation civile, c'est-à-dire, vol de police, consultez ce qui suit :

    Terre de l'Unfree – Police et procureurs luttent agressivement pour conserver droit barbare de « Civil Asset Forfeiture »

    Les grèves DEA à nouveau – Agents saisissent économies d'une vie de l'homme sous la confiscation civile sans frais

    Confiscation d'avoirs – comment SPPC Continue d'arracher des américains durement gagné argent avec zéro des répercussions

    (suite en dessous:)

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  28. Citation du jour – une déclaration incroyable de la Procureur de la ville de Las Cruces, Nouveau-Mexique

    « Gens Do pas porter ce beaucoup US monnaie commune... » – il s'agit d'argent comment Police justifier avoir volé American Citizens'

    Pourquoi vous ne devriez jamais, jamais traverser Tenaha, Texas

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-15/how-justice-department-actively-preventing-civil-asset-forfeiture-reform

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  29. Être flic aux States c'est d'abord d'avoir un statut de provilégié, voiture de fonction et pistolet Smith & Wesson qui va avec. Donc, on ne compte plus les excès de vitesse pour arriver à l'heure au bureau ou à la maison, de porte défoncée au bélier, d'argent volé, de personnes tasées ou d'enfants, de femme et d'hommes abattus comme des chiens sans que poursuite ne soir engagée face à l'assassin dans l'exercice de sa mission.
    C'est la loi.

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  30. Comment nos problèmes d'énergie conduisent à un problème d'effondrement de la dette


    Soumis par Tyler Durden le 15/09/2015 19:30 -0400

    Soumis par Gail Tverberg via notre monde fini blog


    Nous n'arrêtons pas habituellement, pour réfléchir à la façon dont l'ensemble de l'économie travaille ensemble. Des principales raisons sont que nous avons manqué de données pour afficher des relations à long terme. Dans ce post, je montre quelques séries chronologiques à long terme relatives à la croissance de l'énergie, la croissance du PIB et dette croissance – aller retour à 1820 dans certains cas – que nous aider à mieux comprendre notre situation.

    Quand je regarde ces séries chronologiques à long terme, je viens à la conclusion que ce que nous faisons maintenant est la construction d'endettement à des niveaux trop élevés, grâce à des coûts élevés d'aujourd'hui de produire des produits énergétiques. Je doute que cela peut être tourné. Ne prévoient la production immédiate d'énormes quantités de produits énergétiques incroyablement bon marché – c'est-à-dire du pétrole à moins de 20 $ par baril en 2014$ et autres produits énergétiques avec des structures de coûts comparables à bas prix.

    Notre objectif devrait être de revenir aux niveaux de coût énergétique nous avait, avant l'approche des coûts dans les années 1970. Croissance de la consommation d'énergie aurait probablement besoin de monter aux niveaux pre-1975 ainsi. Bien sûr, un tel scénario de bas prix et à forte croissance n'est pas vraiment durable dans un monde fini soit. Il aurait suivi les effets indésirables, aussi, y compris le changement climatique.

    Dans ce post, j'explique ma façon de penser qui nous amène à cette conclusion. Des informations de sauvegarde figurent à l'annexe ainsi.

    Insight 1. La croissance économique tend à avoir lieu quand une civilisation peut faire des biens et des services à moindre coût – c'est-à-dire avec travail moins humain et souvent avec moins de ressources d'autres types d'établissements.

    Quand une économie apprend comment faire des produits à moindre coût, le groupe de personnes dans cette économie peut faire plus de biens et de services au total parce que, en moyenne, chaque travailleur peut faire plus de biens et de services dans son temps de travail disponible. Nous pourrions dire que les membres de cette économie deviennent plus productifs. Cette productivité supplémentaire peut être répartie entre les travailleurs, les superviseurs, les gouvernements et les entreprises, permettant ainsi à ce que nous considérons comme la croissance économique.

    Insight 2. La façon dont il a accru sa productivité généralement se déroule est grâce à l'optimisation du travail humain avec une énergie supplémentaire provenant d'autres sources.

    La raison pourquoi nous nous attendrions énergie supplémentaire important est parce que la quantité d'énergie que peut fournir un travailleur individuel n'est pas très grande sans accès à l'énergie supplémentaire. L'analyse montre que l'énergie humaine s'élève à environ 100 watts – environ égale à l'énergie d'une ampoule de 100 watts.

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  31. L'énergie humaine peut être exploité avec une autre énergie dans nombreuses autres formes – le, en brûlant du bois (par exemple, pour la cuisson) ; l'utilisation d'animaux tels que chiens, bœufs et chevaux pour compléter notre travail humain ; l'exploitation de l'énergie de l'eau ou le vent ; la combustion de combustibles fossiles ; et l'utilisation de l'énergie nucléaire. L'ajout de plus en plus grandes quantités de produits énergétiques tend à conduire à une plus grande productivité et donc, une plus grande croissance économique.

    Comme un exemple d'une sorte d'effet de levier, envisagez l'utilisation d'huile pour livrer des marchandises dans des camions. Une entreprise peut être encore en mesure de livrer des marchandises sans cette utilisation de l'huile. Dans ce cas, l'entreprise peut embaucher un employé de marcher à l'emplacement de remise et de transporter les marchandises à livrer entre ses mains.

    Un grand changement se produit lorsque le mazout et autres combustibles modernes deviennent disponibles. Il est possible de fabriquer des camions pour livrer les marchandises. (En fait, combustibles modernes sont nécessaires pour rendre les métaux utilisés dans la construction du camion). Les carburants modernes rendent également possible de construire les routes sur lesquelles le camion fonctionne. Enfin, les produits pétroliers sont utilisés pour l'exploitation du camion.

    Avec l'utilisation d'un camion, le travailleur peut livrer des marchandises plus rapidement, puisqu'il n'a plus à marcher vers ses emplacements de livraison. Ainsi, le travailleur peut livrer des marchandises beaucoup plus dans une journée normale de travail. C'est le moyen qu'augmente sa productivité.

    Aperçu 3. Croissance du PIB a été généralement inférieure à 1,0 % de plus que la croissance de la consommation d'énergie. Les seules périodes où il n'était pas vrai étaient les périodes 1975-1985 et 1985-1995.

    Il s'agit d'une exposition que j'ai préparé à l'aide de données provenant des sources énumérées.

    - voir graphique sur site -

    La figure 1. Croissance du PIB mondial par rapport à la croissance de la consommation énergétique mondiale pour des périodes sélectionnées depuis 1820. Tendances du PIB réels de 1975 de présenter reposent sur les données de PIB réelles USDA en 2010$ pour 1975 et suivantes. (Estimée par l'auteur pour 2015). Estimations du PIB pour avant 1975 reposent sur des mises à jour du projet Maddison à partir de 2013. Croissance de l'utilisation des produits énergétiques est basée sur une combinaison de données de données annexe A partir de Vaclav Smil énergie Transitions : histoire, exigences et perspectives avec BP examen statistique du monde énergie 2015 pour 1965 et suivantes.

    La différence entre la croissance de l'énergie et la croissance du PIB est attribuée à l'efficacité et de la technologie. En fait, la consommation d'énergie et de la technologie utilisent travail main dans la main. Gens n'achètent pas huile juste pour avoir de l'huile ; ils achètent l'huile pour les services qui peuvent fournir des dispositifs utilisant de l'huile. L'efficacité est trop importante. Si un périphérique est moins cher à utiliser, grâce à l'utilisation efficace de l'énergie, consommateurs jugent plus abordable (si le coût de l'appareil lui-même n'est pas trop cher). Ainsi, l'efficacité peut conduire à plus de consommation d'énergie.

    La période entre 1975 et 1985 a été la période quand les économies développées déployaient des nombreux changements y compris

    (suite en dessous:)

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  32. • Changements pour rendre les voitures plus petites et plus de carburant efficace
    • Remplacement de la production d'électricité au fioul avec nucléaire (qui avait besoin d'aucun combustible fossile carburant en cours) et au charbon
    • Remplacement de chauffage domestique à l'aide de l'huile avec des appareils de chauffage plus modernes, ne pas utiliser de l'huile

    Certains de cet effort ont continué dans la période 1985-1995, comme les voitures plus récentes ont progressivement remplacé les voitures anciennes, et les fours modernes progressivement remplacé les générateurs d'air chaud au mazout. Ainsi, nous ne devrions pas être surpris que la période 1975-1985 et 1985-1995 étaient ceux avec croissance anormalement haute efficacité/technologie.

    Aperçu 4. La valeur de l'énergie à la société n'est pas le même que le coût d'extraction il, raffiner et expédier vers l'emplacement final souhaité.

    La valeur de l'énergie à la société reflète les autres produits et services qui tant qu'une société, nous pouvons produire, grâce aux bénéfices de l'énergie ajoute à l'ensemble du système. Cette valeur peut être plus élevée ou plus faible que le coût d'extraire l'énergie du sol, traitement et de le livrer afin qu'il fonctionnera dans nos appareils.

    Si le prix du pétrole, ou d'autres produits énergétiques, est faible, on s'attendrait le coût de production inférieur à sa valeur pour la société. Nous pouvons visualiser la relation pour être tel qu'illustré à la Figure 2. C'est le prix bas qui fournit la prestation s'appuyant sur de l'huile.

    - voir graphique sur site -

    La figure 2. Illustration par l'auteur.
    Dans l'exemple donné dans Insight 2 du travailleur, au volant d'un camion sur une route de livrer des marchandises, il y a effectivement beaucoup de « joueurs » impliqués :

    • La compagnie d'extraction de l'huile
    • Le gouvernement de la compagnie d'extraction de l'huile
    • L'entreprise fabriquant le camion
    • Le gouvernement du pays construction de la route
    • L'entreprise embauche le travailleur livraison de la marchandise
    • Le travailleur lui-même

    L'avantage du gain en efficacité est partagée entre les différents acteurs mentionnés ci-dessus. Comment ce partage se fait est basé sur les niveaux relatifs des prix et des taux d'imposition de gouvernement. Ainsi, il y a beaucoup de différents types d'entités (dont je veux parler de la Figure 2 en tant que « consommateurs ») tous obtenir un avantage de l'effet levier des produits pétroliers, en même temps.

    La valeur pour la société de pétrole et d'autres produits énergétiques est quasiment fixe, basé sur le contenu énergétique (dans BTU ou tout autre unité une personne désire). La valeur pour la société peut changer un peu avec l'efficacité énergétique, si nous apprenons à ouvrir les chemins utilisant moins de produits énergétiques et si nous apprenons à fabriquer des camions utilisant moins de produits énergétiques, et si nous pouvons rendre les camions qui utilisent moins diesel par mille.

    (suite en dessous:)

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  33. Si le coût de production de pétrole ou autres hausses de produit énergétique (en d'autres termes, la barre de gauche dans la Figure 2 est plus grand), puis le « fossé » entre le coût de production et de la valeur pour la société (droit bar) peuvent tomber trop bas. La somme d'argent à distribuer, résultant du gain qui vient de consommer d'énergie pour exploiter le travail humain, tombe. Aucun des can entités impliquées obtenir une distribution adéquate : il y a moins d'argent pour payer les intérêts sur la dette ; Il y a moins d'argent pour payer les dividendes versés aux actionnaires ; Il y a moins d'argent à donner aux travailleurs soulève. En fait, cela me rappelle la situation décrite dans mon post, pourquoi nous avons une offre excédentaire de presque tout (huile, travail, capital, etc.)

    S'il y a trop peu d'écart entre le prix de vente de pétrole et de sa valeur pour la société, il arrive à être pression pour le prix du pétrole à l'automne. Cela vient en partie, des augmentations de salaires bas (parce que les salaires sont étant compressés). Si les travailleurs ne peuvent pas acheter des produits finis tels que les maisons et les voitures, le prix des matières premières comme l'acier et l'huile a tendance à baisser. Cela semble être la situation actuelle. En partie cette pression viennent du fait que la société peut vivre pendant un certain temps avec "pressé les marges. Finalement, certains besoins « douleur » pour revenir en arrière pour les producteurs de pétrole (différence entre la colonne de gauche et de la barre centrale de la Figure 2), au lieu de seulement étant supportée par les consommateurs de pétrole (différence entre la droite et milieu bar bar sur la Figure 2). C'est pourquoi nous devrions nous attendre le genre de baisse de prix de pétrole que nous avons connu l'an dernier.

    Insight 5. Nous nous attendrions à ralentir comme huile prix hausse, en raison des points de vue (1) et (2), la croissance économique mondiale.

    Selon (1), nous devons faire des produits plus en plus à un prix avantageux provoque l'augmentation de la croissance économique. L'huile est le produit de l'énergie avec l'utilisation le plus élevé dans le monde entier. Si son coût augmente, il faut une quantité énorme d'économies ailleurs dans le système pour permettre la combinaison à produire toujours plus en plus à un prix avantageux des marchandises.

    Selon (2), c'est qu'il faut augmenter la teneur en énergie. Avec des prix plus élevés, les consommateurs peuvent payer moins. En conséquence, ils ont tendance à consommer moins, en contenu énergétique. Cette faible consommation d'énergie diminue l'effet de levier d'énergie humaine, il tend à être moins la croissance économique.

    - voir graphique sur site -

    La figure 3. Prix de l'énergie mondiale historique en 2014$, du BP Statistical Review of World History 2015.
    La figure 3 montre les prix mondiaux du pétrole. Compte tenu de points de vue (1) et (2), on s'attendrait le taux de croissance économique à ralentir au cours de la période 1975-1985 et au cours de la période 2005-2015, et en fait ils le font, dans la Figure 1.

    Aperçu 6. Increasing debt semble être des principaux moteurs de croissance de la demande et donc la consommation d'énergie.

    Il y a beaucoup de raisons pourquoi nous nous attendrions dette est extrêmement bénéfique pour la croissance économique :

    (suite en dessous:)

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  34. La dette est utilisée pour « lisser » beaucoup de genres de transactions. Par exemple, le paiement des salaires à un individu représente une sorte de dette, car sinon, l'employeur serait tenu de payer au travailleur tous les jours, en utilisant le type de marchandises produites par l'entreprise – quelque chose qui serait très gênant.

    La dette est également utile pour permettre aux grandes opérations financières, telles que l'achat d'une maison ou une usine ou une voiture. Avec la dette, le montant qui doit être économisé à l'avance est grandement réduit. La plupart du coût peut être payée en versements mensuels pendant la durée de l'article acheté. Si la dette sert à payer pour une usine, la sortie de l'usine peut servir à rembourser la dette.

    Un effet indirect de l'ajout de la dette, c'est qu'il permet d'augmenter le prix des matières premières, comme le pétrole, acier et l'électricité. Cela arrive parce qu'avec l'utilisation de la dette, « la demande » pour des produits coûteux tels que maisons, usines et voitures est plus grande, car plus de personnes et d'entreprises peuvent se permettre de les acheter, grâce à la disponibilité de la dette. Ces produits coûteux sont fabriqués avec des matières premières comme l'acier, bois, pétrole et charbon. Avec plus de dette, les prix de ces produits ont tendance à l'équilibre à un niveau supérieur qu'ils auraient autrement. Par exemple, les prix du pétrole peuvent équilibrer à 100 $ le baril, au lieu de 70 $ le baril. À ces niveaux de prix plus élevés, la production provenant de sources de coût élevé devienne rentable – par exemple, l'huile de puits plus profonds, l'eau de dessalement, et charbon transportés sur de longues distances.

    En raison de ces avantages de l'utilisation de la dette, il est difficile pour moi d'imaginer qu'extraction de combustibles fossiles a pu se produire sans l'utilisation de très grandes quantités de dette. Tout d'abord, j'ai discuté de cette question dans Pourquoi Malthus Got His prévisions Wrong.

    La figure 4 montre une estimation de combien la dette mondiale a augmenté, sur une base annuelle, l'inflation, par rapport à l'inflation du PIB. (Voir l'annexe pour plus d'informations.)

    - voir graphique sur site -

    La figure 4. Dans le monde entier l'inflation annuelle taux de croissance moyens dans la dette et le PIB, pour périodes sélectionnées. Voir l'annexe pour plus d'informations au sujet de calcul.
    La figure 4 indique que la croissance de la dette jaillit vers 1950. Une influence a pu livre de John Maynard Keynes, La théorie générale de l'emploi, l'intérêt et l'argent, écrit en 1936. Cet ouvrage a préconisé l'utilisation de dette supplémentaire pour stimuler les économies qui sont développaient à au-dessous de leur plein potentiels. Nous savons aussi que les gouvernements avec guerre dettes nécessaires pour compenser le remboursement de ces dettes de guerre avec la nouvelle « dettes de paix » (dette offert aux entreprises et consommateurs) si ils ne voulaient pas leurs économies à se rétrécir par manque de croissance de la dette. Voir mon post The United States' 65 ans bulle de la dette.

    Insight 7. Une fois que les prix du pétrole de l'inflation passée 20 $ le baril, un changement a eu lieu. Nous avons commencé à avoir beaucoup plus de dettes pour produire un dollar de PIB.

    (suite en desssous:)

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  35. Ce problème peut être vu sur la Figure 4 – les lignes divergent, à partir de la période 1975-1985. Jusque vers 1975, la hausse des niveaux d'endettement était similaire à la croissance du PIB. En fait, si nous regardons la Figure 1, la croissance de l'énergie a également tendance à croître avec la dette et le PIB durant la période pre-1975. Après 1975, nous avons commencé à avoir besoin de quantités croissantes de dette pour générer une croissance du PIB.

    On peut comprendre la nécessité d'une dette plus en pensant à comment tirer parti fonctionne vraiment. S'appuyant sur les travaux en raison du contenu énergétique de l'énergie supplémentaire. Pour obtenir la quantité désirée de la teneur en énergie, une plus grande quantité de dollar d'investissement est nécessaire pour produire la même quantité d'énergie, si le coût de production du produit de l'énergie est plus élevé.

    La plupart des gens regardent la croissance de la dette en pourcentage du PIB, mais il manque une dynamique importante : notre problème survient parce que la croissance de la dette est élevée, soit parce que la croissance du PIB en réponse à la croissance de la dette est faible ? Quand je regarde la Figure 4, ma conclusion est que lorsque les coûts énergétiques étaient faible – essentiellement aux niveaux pre-1975 de 20 $ un baril de pétrole et de même niveaux bon marché pour le nucléaire et d'autre combustibles fossiles – c'était possible pour la croissance de la dette correspondre approximativement à la croissance du PIB. Une fois que les coûts de l'énergie a commencé à augmenter, plus de dette était nécessaire. C'était une dette supplémentaire liée directement au processus de création des produits énergétiques ; partie de cette dette liée au commerce international et aux acheteurs ont besoin de financer les produits finaux de coût plus élevé.

    Basé sur la Figure 4, même la chute de retour à la 30 $ à 40 $ par baril gamme dans la période 1985-2000 ne résout pas l'augmentation de la dette au problème de ratio de PIB. Pour vraiment corriger la situation, nous devons obtenir le coût de production de carburants à un niveau assez bas qu'ils peuvent avec profit être vendus à l'équivalent de moins de 20 $ le baril. Avec des rendements décroissants, cela semble impossible.

    Aperçu 8. Ajout de plus grande efficacité énergétique peut-être exiger plus de croissance de la dette ainsi.

    Le plus grand pic de la dette est entrée dans la période 1975-1985. Si nous comparons la Figure 4 à la Figure 1 et examiner ce qui se passait à ce moment-là, un peu de cette dette supplémentaire peut avoir liées aux changements associés à une efficacité énergétique accrue : nouvelle génération d'électricité d'origine nucléaire efficace pour remplacer la génération d'huile avec de l'électricité ; nouvelle de chauffage maison plus efficace pour remplacer l'ancienne huile selon les appareils de chauffage ; et la construction de nouveaux, plus de voitures économes en carburant.

    Insight 9. La limite que nous atteignons peut être considérée comme une limite d'endettement permise.

    Si la demande provient vraiment de dette supplémentaire, alors ce que nous devons garder la croissance du PIB élevée est une dette qui pousse assez rapidement. (Une autre façon de garder la demande élevée serait grâce à l'augmentation des salaires des travailleurs non-élite. Malheureusement, ces salaires ont tendance à être déprimé par la Loi des rendements décroissants, un problème, que je n'ai pas pu couvrir dans ce post. Voir mon post, Comment économique croissance échoue.)

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  36. Beaucoup de gens croient que la demande énergétique peut s'élever sans cesse. Il me semble que cette croyance est très proche de la croyance qui le ratio dette/PIB peut augmenter sans cesse.

    Aperçu de 10. Notre système de la dette est très proche d'une chaîne de Ponzi.

    Une chaîne de Ponzi est un programme d'investissement frauduleux dans lequel l'opérateur promet un taux élevé de rendement aux investisseurs. Au lieu de l'obtention de ces retours de véritables bénéfices, l'opérateur déboursements de fonds aux investisseurs existants à l'aide de la hausse constante des quantités de nouveaux investissements. Finalement, le plan échoue, un manque de nouveaux dollars de l'investissement.

    Notre situation de croissance économique n'est pas frauduleuse, mais sinon il a mal à l'aise similitudes avec une chaîne de Ponzi. Au lieu d'ajouter de nouveaux investisseurs chaque année, notre économie a besoin d'augmenter son montant de la dette chaque année, afin de continuer à croître le PIB. PIB ne passeraient ses propres, sans investissements supplémentaires financés par l'endettement. Pour aggraver les choses, la quantité requise de dette supplémentaire augmente, le coût de production des produits énergétiques supplémentaires se lève.

    Selon McKinsey Global Institute, annulation de la dette s'élevait à 286 % du PIB à la mi-2014. Il avait été « seulement » 246 % du PIB en 2000. Une personne peut voir de la Figure 4 que même avec ce taux de croissance de la dette, la croissance de l'énergie et la croissance du PIB ralentissent dans des périodes récentes. La réponse semble être d'ajouter plus de croissance dette. Malheureusement, ajoutant plus de dette nous met dans une position où les remboursements de la dette devient trop élevé par rapport aux besoins des dépenses en cours.

    C'est ce problème de la dette qui mène à ma préoccupation, que nous nous dirigeons vers une panne du système financier à court terme. Même dessein ralentissement de la croissance de la dette tend à rendre l'économie lente et donc conduire à un crash. En raison de la nature de Ponzi de notre entente, n'importe quel genre de ralentissement de la croissance de la dette est susceptible d'entraîner une chute de la dette, pour plusieurs raisons :

    • Avec dette inférieure, les prix des produits sont susceptibles de rester faible, ou baisser encore. Tendance à long terme de notre économie à l'inflation se déplacera vers la déflation, rendant la totalité de la dette existante plus difficiles à rembourser.
    • Sans une augmentation rapide de la dette, le prix du pétrole et autres matières premières auront tendance à rester bas, menant à des défauts énormes dans ces secteurs.
    • Une fois que la dette est par défaut de démarrage, les prêteurs sont susceptibles d'exiger des taux d'intérêt afin de compenser la hausse du niveau des valeurs par défaut.

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  37. Annexe : Contexte le PIB mondial à Long terme, l'énergie et des Indications de dette

    Les théories économiques ont grandi à peu près 200 ans sans le bénéfice de renseignements sur la relation entre la croissance économique, la dette et l'utilisation des produits énergétiques, sur une base globale. Données à long terme sont compilées principalement à titre de pays individuels ; de nombreux pays sont disparu par annonces standards, surtout ces dernières années et Pendant des années très anciennes, faire des sommations avant ajustement des montants figurant trompeuses. Fluctuations des niveaux de monnaie ajouter à la confusion.

    En raison de ces problèmes, il est tout à fait possible pour les économistes à élaborer des théories, mais n'ont jamais de bonnes données agrégées pour les tester contre. Données agrégées sont très importantes pour moi, parce que nous vivons aujourd'hui dans un monde globalisé. Il est difficile de donner un sens de l'économie mondiale, si le groupe de pays exportateurs de pétrole présente un modèle, le groupe des pays nouvellement industrialisés montre un autre modèle et nous, en Europe, et Japan show un troisième modèle. Limité à une poignée de pays "comme nous" analyses peuvent fournir des indications très déformées.

    Heureusement, il existe certaines sources de données qui permet l'agrégation des données pour le monde dans son ensemble. En particulier, l' USDA Economic Research Service commodément "remplit les blancs" avec des estimations raisonnables du PIB, ce qui permet aux indications de la somme à un total de monde, au moins pour 1969 et ultérieures. Une autre source de données sur le PIB mondial est le "Projet de Maddison," Démarré par Angus Maddison et maintenant mis à jour par boulon et van Zanden. Données à long terme sur l'énergie mondiale estégalement également disponibles chez BP pour 1965 et les années suivantes et de Smil, pour les années 1820 à 2008, mais il existe des différences de données qui doivent être surmontées pour les combiner.

    Figure 1 a est une répétition de la Figure 1 ci-dessus, montrant la tendance à long terme dans le PIB mondial, réparti entre la croissance de la consommation d'énergie et d'autres changements, principalement liés à l'amélioration de la technologie et une efficacité accrues.

    - voir graphique sur site -

    Figure 1 a. Croissance du PIB mondial par rapport à la croissance de la consommation énergétique mondiale pour des périodes sélectionnées depuis 1820. Tendances du PIB réels de 1975 de présenter reposent sur les données de PIB réelles USDA en 2010$ pour 1975 et suivantes. (Estimée par l'auteur pour 2015). Estimations du PIB pour avant 1975 reposent sur des mises à jour du projet Maddison à partir de 2013. Croissance de l'utilisation des produits énergétiques est basée sur une combinaison de données de données annexe A partir de Vaclav Smil énergie Transitions : histoire, exigences et perspectives avec BP examen statistique du monde énergie 2015 pour 1965 et suivantes.

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  38. Basé sur la Figure 1 a, la croissance de la consommation énergétique entre 52 % et 89 % de croissance du PIB. Sur la période 1965 à présenter, la croissance de la consommation d'énergie en moyenne 68 % du PIB. Des recherches universitaires donne un résultat similaire. Gael Géraud, qui analyse les résultats pour 50 pays entre 1970 et 2011, affirme que dans les délais, il a étudié, « l'élasticité à long terme sortie évolué entre 60 % et 70 %. » Résultats contrastent de Géraud avec une théorie économique qui dit que l'énergie n'est responsable d'une part de la croissance économique proportionnelle à son coût en pourcentage du PIB – généralement quelque chose comme 8 %.

    Si nous regardons l'efficacité/technologie pièce séparément, la seule fois, il a contribué plus de 1 % par an à la croissance économique ont été durant les délais 1975-1985 et 1985-1995, lorsque la croissance du PIB a dépassé la croissance de l'énergie de 1,4 % et 1,3 % respectivement. C'était le temps où des changements majeurs de l'économie sont déployés en réponse à la flambée des prix des années 1970. Comme indiqué dans la Figure 4 a, c'était aussi l'époque où l'augmentation de la dette était très élevées par rapport à la croissance du PIB, ce qui suggère que la croissance de la dette très élevée est nécessaire pour produire ces gains d'efficacité plus élevées.

    La figure 2 montre une autre façon de voir les mêmes données comme dans la Figure 1 a. La pente de la droite ajustée est 97, ce qui indique que l'énergie la consommation et du PIB ont eu tendance à croître à presque le même taux à long terme.

    - voir graphique sur site -

    Figure 2 a. Données sur la Figure 1, affichées sous la forme graphique X-Y.

    Bien sûr, l'extraction de produits énergétiques est activée par la croissance de la technologie. L'utilisation de produits finis (comme les réfrigérateurs et les voitures), les consommateurs veulent pas l'utilisation du combustible lui-même. Une efficacité énergétique accrue permet également la croissance de l'utilisation de l'énergie, car elle fabrique des produits moins chers pour les acheteurs, ce qui permet la croissance économique. Par exemple, Figure 3 montre la croissance rapide dans l'utilisation de l'électricité en 1900 à 1998 laps de temps, qu'US prix de l'électricité est tombée.

    - voir graphique sur site -

    Figure 3 a. Ayres et prix de l'électricité Warr et demande d'électricité, de "comptabilité de croissance : le rôle d'ouvrage. »

    Une autre chose sans compter que la technologie et l'efficacité énergétique qui permet l'extraction des combustibles fossiles est la croissance de la dette. Ici encore, il y a un problème avec des données insuffisantes, sur une base mondiale à long terme. Nous avons quelques informations sur les récents ratios d'endettement global/PIB basé sur une étude de McKinsey. En outre, Bawerk fournit un graphique montrant une augmentation à long terme dans le ratio de l'encours de crédit aux États-Unis marché dette/PIB. Patrons de dette à long terme associés aux États-Unis, la dette fédérale en soi sont également disponibles. Une chose qui devient évident, c'est qu'il y a eu une forte tendance à la hausse niveau d'endettement, par rapport au PIB, pour les États-Unis et pour le monde, pendant une très longue période.

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  39. Si nous utilisons des données dans le monde entier dans la mesure il est disponible et le substitut américain total des ratios d'endettement sur les premières périodes, nous pouvons faire une approximation raisonnable comment cette croissance de la dette doit avoir eu lieu. Pour corriger l'inflation, j'ai appliqué ces dettes à / PIB aux montants PIB ajusté à l'inflation sous-jacente de la Figure 1 a. Dès que nous aurons des montants de la dette sur une base de l'inflation, il est possible de calculer des taux de croissance annuels moyens dans cette dette de l'inflation. C'est ce que je montre dans la Figure 4 a.

    - voir graphique sur site -

    Figure 4 a. Dans le monde entier l'inflation annuelle taux de croissance moyens dans la dette et le PIB, pour périodes sélectionnées.
    Depuis 1975, l'énergie a progressivement changé pour exiger beaucoup plus de la dette par unité d'énergie produite, pour trois raisons :

    1.Le coût global de production de ces produits énergétiques a augmenté depuis les années 1970. En conséquence, la dette est passée « moins loin » quand il vint à produire des barils de pétrole supplémentaires ou kilowatt-heures d'électricité.
    2.La nature de la production énergétique a commencé orientent vers une plus grande utilisation des investissements frontal par rapport aux dépenses en cours. Cette modification conduit à un besoin de plus de dette, car frontal investissement tend à être financées par la dette, n'est pas le cas de charges en cours. Nécessitant des investissements lourds frontal on peut citer des sables bitumineux, pétrole de schiste, projets pétroliers en eau profonde, éoliennes et solaire PV.

    3.Si les coûts d'investissement sont faibles, sociétés pétrolières et gazières peuvent utilisent souvent les bénéfices provenant de projets antérieurs pour financer de nouveaux projets, donc il n'y a pas de réel besoin d'emprunt. Lorsque les bénéfices sont pressés par la rapide hausse des coûts d'extraction, comme ce fut le cas ces dernières années, compagnies pétrolières commencent à emprunter pour payer les dépenses ordinaires, telles que le paiement des dividendes. Ils sont tellement démunis que presque toute dépense doit être accompli à l'aide de la dette.

    Le reste de l'économie a également connu un besoin accru de la dette comme une hausse des prix de l'énergie. Par exemple, le pétrole importé à un prix élevé nécessite beaucoup plus de dettes que le pétrole importé à bas prix. Maison de A construit à l'aide de pétrole cher et autres produits énergétiques est plus cher à l'achat, exige une hypothèque plus élevée. Lorsque les voitures sont faites pour être plus économes en carburant, ce qui tend à augmenter leurs coûts et donc, le montant de la dette requis par ceux qui achètent ces voitures.

    Il est clair que cette augmentation des ratios d'endettement ne peut pas continuer indéfiniment, pour les raisons exposées dans le texte principal. Peut-être ceux évaluant les sources d'énergie alternatives devraient être informatique ratios estimés « énergie retour sur investissement de la dette » pour ces nouvelles sources. La nouvelle source d'énergie idéale sera très proche autofinancement, avec peu d'accumulation de la dette.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-15/how-our-energy-problems-lead-debt-collapse-problem

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    1. Nullement besoin de 50 graphiques pour démontrer que j'ai raison de dire depuis toujours que la baisse ou supression des taxe sur le pétrole permettrait à N'IMPORTE QUEL PAYS du monde d'effacer sa dette enb moins d'un mois !

      Or, ce que nous VOYONS TOUS est que MALGRE QUE LE PRIX DU BARIL SOIT AU PLANCHER: Les prix à la pompe sont des ESCROQUERIES ORGANISEES !
      Tout est là pour ruiner le peuple et le maintenir dans l'asservissement.

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  40. Banquiers vont être emprisonnés dans la prochaine crise financière


    Soumis par Tyler Durden le 15/09/2015 18:30 -0400

    Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg



    Jesus College de Cambridge hébergé, une fois de plus premier colloque du monde sur la criminalité économique, et plus de 500 distingués conférenciers et panélistes tirées de l'international le plus large possible pour un, se sont réunis pour faire des présentations à des centaines de délégués et les participants.



    Ce qui est très vite apparu cette année a été le sens général de profond dégoût et répugnance qui a été démontrée envers le secteur bancaire mondial.

    Je peux dire avec un certain degré de certitude maintenant qu'un très grand nombre d'universitaires, de répression et les consultants de la conformité financière est désormais rejoint, comme celui, dans leur condamnation totale d'éléments significatifs du secteur bancaire mondial pour leurs activités criminelles organisées.

    De nombreuses banques sont largement identifiés maintenant comme rien de plus que les organisations criminelles entreprise, qui se livrent à la pratique criminelle répandue et conduite malhonnête comme une question de cours et de la politique commerciale délibérée.

    – De l'excellent article : The Banking criminels exposés

    Ma prédiction est que les banquiers vont être emprisonnés dans la prochaine crise économique et financière. Beaucoup, beaucoup de banquiers.

    Il peut sembler à beaucoup que ceux qui travaillent au sein de cette profession restera au-dessus des lois indéfiniment à la lumière de l'absence de toute responsabilité quelle qu'elle soit depuis l'effondrement de 2008. Il peut sembler comme ça, mais en extrapolant cette tendance dans le futur est d'ignorer un environnement politique monumentalement modifié dans le monde entier. De l'ascendant de Donald Trump et Bernie Sanders ici aux États-Unis, à Jeremy Corbyn devenant chef du travail au Royaume-Uni, de grands changements sont certainement ouverts.

    Je suis devenu convaincu de ce changement pour un peu tandis que maintenant, mais nous ne verrez vraiment preuve de celui-ci jusqu'à la prochaine chute. Cependant, quelque chose que j'ai lu plus tôt aujourd'hui vraiment apporté le clou pour moi. Rowan Bosworth-Davies récemment participé à la 33e Symposium International de Cambridge sur la criminalité économique et nous a fourni quelques notes dans un excellent morceau intitulé, The Banking criminels exposés. Voici quelques extraits :

    Jesus College de Cambridge hébergé, une fois de plus premier colloque du monde sur la criminalité économique, et plus de 500 distingués conférenciers et panélistes tirées de l'international le plus large possible pour un, se sont réunis pour faire des présentations à des centaines de délégués et les participants.

    Ce colloque est en effet devenue une icône parmi les autres rencontres internationales de ses knd et au cours des années, il s'est avéré pour être très influent dans la conduite et développement de la politique internationale visant à lutter contre la criminalité économique et financière internationale.

    Ce qui est très vite apparu cette année a été le sens général de profond dégoût et répugnance qui a été démontrée envers le secteur bancaire mondial.

    Je peux dire avec un certain degré de certitude maintenant qu'un très grand nombre d'universitaires, de répression et les consultants de la conformité financière est désormais rejoint, comme celui, dans leur condamnation totale d'éléments significatifs du secteur bancaire mondial pour leurs activités criminelles organisées.

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  41. De nombreuses banques sont largement identifiés maintenant comme rien de plus que les organisations criminelles entreprise, qui se livrent à la pratique criminelle répandue et conduite malhonnête comme une question de cours et de la politique commerciale délibérée.

    Enceinte après Président adressée les implications du niveau scandaleux de fraude de l'IPP, dont calendriers de remboursement et d'indemnisation maintenant courir dans des milliards de livres.

    Certains orateurs ont lutté avec la définition d'une telle activité comme "Ventes abusives" et avait besoin d'être conseillé que ce qu'ils décrivaient était un niveau institutionnalisé de la criminalité financière organisée impliquant la fraude, de faux en écritures comptables, de faux et d'autres infractions impliquant des actes de fausses déclarations et tromperie.

    L'une des questions secondaires qui sortaient de ceci et d'autres débats, a été le sens général et véritable d'égarement que gestion dans ces institutions concernée (et très peu de banques et de maisons financières sont sont échappés de censure pour cette pratique malhonnête) ont quitté cette orgie de singeries criminelles, complètement indemnes. Les protestations de la direction que ces actes malhonnêtes ont été réalisées par quelques éléments voyous, ne retient aucun l'eau et ne saurait être justifiée.

    En fin de compte, je me suis assis là, bouche ouverte tout en preuve contre les institutions financières même de vieux racaille-sac habituel, s'est déroulé, et une longue liste d'organismes, tous apparemment dédié à faire face à la fraude et la criminalité financière, maladroitement tenté d'expliquer pourquoi ils étaient impuissants aider ces victimes.

    Ceci a été suivie d'une longue liste de noms des grands cabinets d'avocats et 5 grands cabinets comptables qui étaient prêts à se joindre à ces banques de paria à intenter des actions juridiques complexes et coûteuses contre ces victimes, ruiner leur, forçant de chez eux, reprendre possession de leurs propriétés, ils avaient travaillé pendant des années à créer, tandis que tout le temps, les régulateurs et les autres organismes , y compris de ma honte et de regret, certaines forces de police sans épines, se tenait près et a cherché à justifier leur inaction.

    A un moment, on nous a montré comment les banques rituellement et délibérément prennent des transcriptions d'appels téléphoniques effectués entre les plaignants et la Banque et délibérément et systématiquement passent par ces conversations, re-éditer et de les reproduire dans un format qui est beaucoup plus favorable à la Banque.

    Pour la première fois, j'ai trouvé un accord systématique parmi les délégués que le secteur bancaire était devenu synonyme de la criminalité organisée. Nombre de participants autrement plus conservatrice a exprimé leur grave préoccupation et leur répugnance à la façon dans laquelle tant de nos plus grands noms de la Banque ont été maintenant se comporter. Il devient beaucoup plus difficile de croire que les banques seront en mesure de compter sur l'appui systématique qu'ils ont traditionnellement apprécié de la plupart des membres du public.

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  42. L'élection de Jeremy Corbyn à la direction du groupe de travail signifie que la criminalité bancaire et fraude financière deviendra un enjeu électoral.

    Mais maintenant, la nouvelle direction du travail se concentrera l'attention des électeurs sur la relation entre le parti Tory et leurs amis très tortueux dans la ville et le degré de protection que les gangsters Square Mile et leur Consiglieri, leurs Capos et leurs parrains deviendra beaucoup plus identifiables. Crime de banque deviendra beaucoup plus identifiable comme une pratique de la ville et leurs amis dans les conservateurs seront considérés comme étant les principaux bénéficiaires.

    Les choses évoluent dans le sens de la justice. Ils sont un endroit glaciaire bien sûr, mais émouvant.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-15/bankers-will-be-jailed-next-financial-crisis

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    1. Ca nous fera une belle jambe que de savoir que les frères de Bernie Madoff couchent tous les soirs en palace-prison 4 étoiles !
      Faut dire que la complicité politique explique que les procès seront renvoyés aux calendes grecques et que des pièces aux dossiers sont toujours manquantes ! Hahahahaha !

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  43. La préparation du déploiement militaire russe en Syrie

    Thierry Meyssan
    Voltaire net
    lun., 14 sept. 2015 05:49 UTC

    En marge du Forum économique de Vladivostok, le 4 septembre 2015, le président Vladimir Poutine a confirmé son intention d’intervenir en Syrie contre les jihadistes
    Une campagne a été lancée par les opposants à l'accord entre les États-Unis et l'Iran pour accuser la Russie de vouloir annexer militairement la Syrie comme la Crimée. En réalité, Moscou prépare une opération contre les jihadistes, en application des résolutions de l'Onu, et la mènera avec ou sans Washington. D'ores et déjà la Maison-Blanche a organisé une opération conjointe de la Coalition internationale et de la Syrie. La France tente de prendre le train en marche tout en espérant encore saboter la réconciliation États-Unis/Iran.

    La préparation du déploiement militaire russe se poursuit en Syrie provoquant la colère des Occidentaux. L'annonce que j'avais faite, dans ma chronique hebdomadaire d'Al-Watan [1], de la création d'une Commission militaire conjointe syro-russe, de la transmission d'informations satellitaires russes, de l'arrivée de nombreux experts russes et de la livraisons d'armes plus sophistiquées que précédemment a soulevé une tempête lorsqu'elle s'est trouvée confirmée par les sites israéliens Ynet [2] et DebkaFile [3]. Par la suite, j'ajoutais à ces éléments la modernisation et l'agrandissement de l'aéroport de Lattaquié [4].

    Pourtant, une fois encore, les journalistes israéliens tordaient la réalité. Ils laissaient entendre que la Russie allait déployer son aviation et son infanterie pour défendre un Gouvernement syrien proche de la défaite. Certains commentateurs, notant un possible transfert depuis Sébastopol de la 810ème Brigade de la Marine russe, évoquaient l'exemple de la Crimée et parlaient d'une possible annexion militaire russe de la Syrie [5].


    De nombreuses télévisions atlantistes ont diffusé une vidéo de combats à Lattaquié dans laquelle on entend des officiers de l'armée arabe syrienne parler en russe. Selon Yuri Artamonov, une analyse du bruit des armes permet de conclure que les voix ne sont pas celles des troupes syriennes, mais des jihadistes qu'elles combattent [6]. Nous avons noté depuis longtemps que la plupart des officiers de Daesh communiquent par talkie-walkie en turc et en russe et non pas en arabe.
    Il n'en est évidemment rien. La Fédération de Russie continue à rechercher une solution politique au conflit inter-Syriens, en organisant un dialogue entre le gouvernement et son opposition, en application du Communiqué de Genève du 31 juin 2012 [7]. Simultanément, répondant à l'appel de la République arabe syrienne dans le cadre des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, la Fédération de Russie envisage de suivre l'exemple de la Coalition conduite par les États-Unis contre Daesh, et de lancer sa propre opération contre les jihadistes.

    La Russie en a informé l'émissaire états-unien, Michael Ratney, lors de son voyage, le 28 août, à Moscou [8]. En outre, Sergey Lavrov a publiquement appelé à une coordination avec l'armée états-unienne face aux jihadistes [9].
    Et c'est bien ce qui fait peur au clan Petraeus/Allen/Clinton/Feltman/Juppé/Fabius. En Syrie, un gouffre sépare la réalité de la fiction médiatique. Et comme toujours dans ce type de situation, avec le temps, ce sont les producteurs de propagande qui sont emprisonnés dans leur rhétorique et, en définitive, qui sont intoxiqués par leurs propres mensonges.

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  44. La Fédération de Russie envisage non pas de « réduire » Daesh, mais de vaincre tous les jihadistes, qu'ils se réclament de l'Émirat islamique, d'al-Qaïda, du Front islamique ou de toute autre organisation. Du coup, chacun réalise qu'il n'y a actuellement plus aucun groupe armé anti-gouvernemental qui ne soit pas lié aux jihadistes. C'est tellement vrai que le Pentagone reconnaît ne plus avoir de nouvelles des « rebelles modérés » qu'il avait formés pour lutter contre Daesh, car tous, sans exception, ont déjà rejoint al-Qaïda. Les Syriens qui s'étaient joints aux combattants étrangers au début de la guerre ont réintégré la République, à travers les nombreux accords de réconciliation mis en œuvre depuis trois ans par le gouvernement, ou ont adopté les objectifs des jihadistes.
    Par conséquent, s'ils décident de passer à l'acte, les Russes vont attaquer la totalité des groupes armés qui sèment la terreur en Syrie. Les Occidentaux ne pourront plus cacher que la « Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution », qu'ils ont reconnue comme la représentante du peuple syrien, soutient les jihadistes. Ils devront donc prendre en considération les partis politiques de Syrie, y compris ceux qui se sont alliés au Baas pour faire face aux jihadistes.
    Une erreur complète de diagnostic

    Les Occidentaux, qui ont fermé leurs ambassades et se sont privés de tout moyen d'analyser ce qui se passait dans le pays, ont commis plusieurs erreurs de jugement. Ils ignorent la transformation de la société syrienne par quatre années de guerre. D'abord, il y a certes des conflits politiques en Syrie, mais pas de guerre civile. La presque totalité des citoyens s'est rassemblée derrière le président el-Assad contre l'agression étrangère qui menace la survie de la civilisation du Levant.

    La presse atlantiste estime que le régime ne contrôle plus que 20 % du territoire et qu'il va donc bientôt tomber. C'est qu'en effet le territoire syrien habitable est restreint, tandis que le désert est vaste. La République a choisi de défendre les populations plutôt que le territoire avec ses champs de gaz et de pétrole tant convoités. Du point de vue gouvernemental, 20 % de la population a été contrainte par les combats de se réfugier à l'étranger, 75 % se trouve sous la protection de la République, et au maximum 5% dans les vastes territoires dans lesquels les jihadistes évoluent.

    Ensuite, si en 2011 beaucoup croyaient au mythe du « Printemps arabe », il n'en est plus de même aujourd'hui. Le projet du département d'État de placer les Frères musulmans au pouvoir dans tout le monde arabe a fait long feu. L'expérience égyptienne est devenue un repoussoir. Depuis l'opération « Volcan de Damas » de juillet 2012, le conflit est une guerre de jihadistes. Le choix n'est plus d'être pour ou contre le parti nationaliste Baas, mais d'être pour ou contre la modernité. Les jihadistes défendent un modèle de société gouverné par des hommes polygames, où les femmes ne peuvent sortir de chez elles que voilées et escortées par un homme de la famille, où les homosexuels sont mis à mort, où seul l'islam est autorisé et où la pratique wahhabite est obligatoire. Il est déjà surprenant que 5 % de la population accepte de vivre dans les zones où évoluent les jihadistes. Et il est absurde d'espérer qu'ils puissent devenir plus nombreux [10].

    (suite en dessous:)

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  45. Le cas de la France

    Le président Hollande a annoncé qu'il autorisait ses armées à survoler le territoire syrien pour accumuler des informations sur Daesh et qu'il pourrait ultérieurement les autoriser à bombarder l'organisation jihadiste.

    Il y a une part de gesticulation désespérée dans cette annonce. En effet, François Hollande la justifie par l'impossibilité de lutter efficacement contre Daesh en ne le bombardant qu'en Irak ; mais c'est précisément l'argument que le président Obama avait employé pour le convaincre en 2014 et qu'il avait alors rejeté. De même, il y a une forme de fanfaronnade à clamer que les opérations aériennes ont débuté le 8 septembre alors qu'une tempête de sable d'une intensité historique s'abattait sur le Proche-Orient, brouillait les systèmes de navigation électronique et rendait impossible le décollage des avions. Surtout, il y a une rare mauvaise foi à déclarer que l'Armée arabe syrienne ne détruira pas les aéronefs français parce qu'elle ne contrôle plus le Nord du pays, alors qu'il a secrètement envoyé une ambassade militaire à Damas pour obtenir l'autorisation de survol nécessaire.

    Obama poursuit l'application de l'accord de Lausanne

    Il semble cependant que la France a tiré les conséquences de l'accord signé par Washington et Téhéran, le 14 juillet à Lausanne, et qu'elle ne souhaite pas se trouver isolée dans un Proche-Orient en pleine réorganisation.

    Alors que la Coalition internationale anti-Daesh n'a aucunement combattu l'Émirat islamique, ni en Irak, ni en Syrie, depuis un an, mais l'a au contraire soutenu par des largages d'armes massifs et répétés, le président Obama lui a ordonné d'aider la République arabe syrienne à défendre Hassaké. Les 27 et 28 juillet, les deux forces ont conjointement repoussé Daesh. Les bombardements de la Coalition ont tué environ 3 000 jihadistes.
    Logiquement, la prochaine étape devrait être d'inclure les Forces russes dans la Coalition anti-Daesh, mais c'est peu probable. En effet, les États-uniens et les Français qui s'opposent à la paix avec l'Iran entendent étendre le chaos non seulement au Levant, mais aussi à l'Afrique du Nord et à la mer Noire. Ce sont eux qui accusent la Russie de vouloir « sauver Assad » du « Printemps arabe ». On devrait donc plutôt assister au bombardement de Daesh par deux Coalitions distinctes ; voire, à terme, à une différenciation des rôles, les États-Unis s'occupant de l'Irak et la Russie de la Syrie.En s'accrochant au mythe du « Printemps arabe », qu'ils ont eux-mêmes créé et eux-même détruit, les Occidentaux ont perdu contact avec la réalité. Ils prétendent soutenir un mouvement démocratique hostile au président el-Assad. Mais, outre qu'en temps de guerre la démocratie paraît être un luxe, non seulement les démocrates soutiennent le président el-Assad contre les jihadistes, mais il apparaît comme leur meilleur champion.
    En prenant ses informations exclusivement auprès de l'Observatoire syrien des Droits de l'homme, la presse atlantiste a choisi de s'intoxiquer et d'intoxiquer l'opinion publique. L'OSDH n'est pas une association neutre, mais un organe de propagande des Frères musulmans. Et la confrérie est la matrice de tous les groupes jihadistes. Tous leurs leaders sont des membres ou d'anciens membres des Frères musulmans, d'Ayman al-Zaouahiri à Zahran Allouche. Les Occidentaux payent aujourd'hui les conséquences de quatre années de propagande.

    (suite en dessous:)

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  46. À retenir :

    - La Russie se prépare à lutter contre Daesh en Syrie, pas contre l'opposition démocratique.
    - En quatre ans de guerre, la société syrienne a profondément changé. Le choix aujourd'hui n'est plus pour ou contre le président el-Assad, mais pour ou contre le modèle de société des Frères musulmans.
    - Il n'y a plus aucun groupe armé anti-Assad qui ne soit pas lié aux jihadistes.
    - Suite à leur accord avec l'Iran, les États-Unis ont mené une opération conjointe avec la Syrie contre les jihadistes à Hassaké.
    - La France a envoyé une ambassade militaire secrète à Damas, début septembre, et a obtenu l'autorisation de survol du territoire.
    Notes :

    [1] « L'armée russe commence à s'engager en Syrie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 24 août 2015. Version arabe dans Al-Watan.

    [2] "Russian jets in Syrian skies", Alex Fishman, Ynet (Yedioth Ahronot), August 31, 2015

    [3] "Russia gearing up to be first world power to insert ground forces into Syria", DebkaFile, September 1, 2015.

    [4] « La France tente d'entraver le déploiement militaire russe en Syrie », Réseau Voltaire, 6 septembre 2015.

    [5] "Putin Sends His Dirty War Forces to Syria", Michael Weiss & Ben Nimmo, The Daily Beast, September 10, 2015.

    [6] "Are there Russian troops in Syria ?", Yuri Artamonov, September 5, 2015.

    [7] « Communiqué final du Groupe d'action pour la Syrie », Réseau Voltaire, 30 juin 2012.

    [8] "Russia emerges as key player in new round of Syria diplomacy. U.S. diplomat latest to visit Moscow for talks", Guy Taylor, Washington Times, August 28, 2015.

    [9] "Russia to U.S. : talk to us on Syria or risk 'unintended incidents'", Christian Lowe & Julia Edwards, Reuters, September 11, 2015.

    [10] « La guerre civile arabe », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 30 mars 2015.

    http://fr.sott.net/article/26421-La-preparation-du-deploiement-militaire-russe-en-Syrie

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  47. Interview de Bachar el-Assad : « Si les européens sont émus par le sort des réfugiés, qu'ils arrêtent de soutenir les terroristes. C'est le cœur du problème »

    RT
    mar., 15 sept. 2015 04:54 UTC

    Le président syrien a accordé une interview exclusive à plusieurs médias russes dont RT. Situation interne, stratégie occidentale, crise des réfugiés, il aborde tous les sujets qui font l'actualité. A retrouver demain sur RT France.

    Alors que les médias occidentaux parlent sans cesse de la Syrie, peu d'entre eux relaient la parole de son président. Nos chers lecteurs auront l'occasion de l'entendre. Bachar el-Assad a donné une interview exclusive à plusieurs médias russes dont RT. En voici un aperçu :

    Près d'une heure de discussion. Un échange durant lequel le président syrien a abordé tous les sujets qui font l'actualité de son pays. A commencer par la crise des réfugiés. Pour rappel, une grande partie des centaines de milliers de migrants qui tentent de se rendre en Europe sont Syriens. Pour Bachar el-Assad, la relation entre déplacements de populations et terrorisme est évidente : «Si les européens sont émus par le sort des réfugiés, qu'ils arrêtent de soutenir les terroristes. C'est le cœur du problème».

    - voir clip sur site -

    La lutte contre le terrorisme et son porte-étendard Daesh a d'ailleurs occupé une grande partie de l'interview. Bachar el-Assad a rappelé la nécessité de retrouver au plus vite la paix : « Si on demande aujourd'hui à n'importe quel syrien ce qu'il désire le plus au monde, sa première réponse sera la paix et la stabilité pour tous. » Paix qui ne peut être obtenue que par une lutte acharnée selon le dirigeant : « Nous ne pourrons rien faire avant d'avoir triomphé du terrorisme en Syrie. »

    - voir clip sur site -

    A l'instar de Vladimir Poutine, le président syrien appelle à l'unité dans la bataille contre l'extrémisme. « Je voudrais profiter de notre rencontre aujourd'hui pour appeler toutes les forces à s'unir dans la lutte contre le terrorisme, puisque c'est la seule façon d'atteindre les objectifs politiques, établis par les syriens, à travers le dialogue et le processus politique », a-t-il souligné.

    Bachar el-Assad a en également profité pour rassurer l'ethnie kurde et rappeler qu'avant le début de la guerre en 2011, plusieurs minorités cohabitaient dans la sérénité en Syrie : « Pour nous, les kurdes font partie de la société syrienne, ils ne sont pas des étrangers, ils habitent sur notre sol tout comme les arabes, les circassiens, les arméniens et plusieurs autres peuples et confessions, qui ont coexisté en Syrie depuis des siècles. »

    http://fr.sott.net/article/26425-Interview-de-Bachar-el-Assad-Si-les-europeens-sont-emus-par-le-sort-des-refugies-qu-ils-arretent-de-soutenir-les-terroristes-C-est-le-cur-du-probleme

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  48. Un océan souterrain découvert en chine sous un désert

    Sputnik News
    mar., 15 sept. 2015 04:24 UTC

    Des chercheurs chinois ont découvert d'immenses réserves d'eau souterraines dans l'une des régions les plus arides de la planète.

    La découverte a été faite dans le bassin du Tarim, dans la province chinoise du Xinjiang (nord-ouest), rapporte la chaîne Discovery.

    Pendant des travaux de recherche sur le réchauffement climatique dans cette région, les scientifiques se sont aperçus que d'importantes quantités de gazcarbonique y disparaissaient sans aucune raison apparente. En fait, le bassin du Tarim est un énorme "puits de carbone", une zone qui contribue à limiter le réchauffement climatique. D'habitude, ce sont des forêts ou des océans qui aspirent le carbone. En mesurant des échantillons de gazcarbonique dans différents emplacements du désert, les chercheurs sont parvenus à estimer la quantité d'eau infiltrée dans le bassin.

    « C'est une quantité d'eau terrifiante », déclarait le professeur Li Yan, qui conduit l'étude, au South China Morning Post. « Personne n'avait jamais imaginé qu'il puisse y en avoir autant sous le sable. Nous allons devoir revoir notre définition du désert ». Il se peut également qu'il y ait d'autres océans souterrains dans le monde, estime le professeur. En effet, il y aurait 1.000 milliards de tonnes de carbone "manquantes" sur la planète.

    http://fr.sott.net/article/26424-Un-ocean-souterrain-decouvert-en-chine-sous-un-desert

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    1. Ces zones 'humides' par capilarité ne sont en fait que d'immense nappes phréatique (appelées aujourd'hui 'océan' !!) dont bizarrement ont ignore TOUT de sa profondeur, longueur et largeur ! Hahahahaha !

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  49. Allemagne : des migrants logés dans le camp de concentration nazi de Buchenwald

    Sputnik
    lun., 14 sept. 2015 09:32 UTC

    Les autorités allemandes indiquent qu'elles n'avaient pas le choix, suite au manque de fonds nécessaires pour offrir aux demandeurs d'asile une autre forme d'hébergement.

    L'ancien camp de concentration nazi de Buchenwald, où des milliers de personnes ont été exterminées lors de Seconde Guerre mondiale, sert de logement à 21 réfugiés du Proche-Orient et d'Afrique en attente d'examen de leur demande d'asile, rapporte le journal britannique Daily Mail.

    D'après l'édition, les hommes résident dans des baraques disposant de commodités minimales depuis plusieurs mois. Chaque mois, ils reçoivent 135 euros pour acheter de la nourriture et autres biens de première nécessité.

    «C'est une solution d'urgence, mais c'est inévitable», a expliqué Christian Hanke, maire du quartier berlinois de Mitte, en précisant qu' «il y a beaucoup de place dans les hangars».

    En réalité, les résidents eux-mêmes partagent un tel avis.

    Abdurahman Massa, un réfugié originaire d'Erythrée âgé de 20 ans, a raconté que la vocation passée de ces lieux lui est complètement égale, «c'est bien pour moi», a-t-il rajouté.

    Son voisin, l'Algérien Diaoyre, estime également que c'est «bien ici», précisant que «beaucoup d'autres n'ont même pas ça».

    De funeste renommée, Buchenwald est des plus grands camps de concentration nazis sur le sol allemand de l'époque de la Seconde Guerre mondiale; près de 250.000 personnes y ont été détenues entre 1937 et 1945. Environ 56.000 personnes y sont mortes. Le camp est célèbre pour les expériences qui y étaient menées sur les détenus. Ainsi, les autorités SS ont inoculé le typhus et le choléra sur les prisonniers afin de tester différents vaccins.

    Actuellement, l'Allemagne est débordée face à l'afflux massif des réfugiés. Depuis seulement une semaine, 50.000 de migrants en provenance du Proche-Orient et d'Afrique sont arrivés en Allemagne. Le nombre total de réfugiés de janvier à septembre a atteint 350.000 personnes. Selon la Commission européenne, la crise migratoire actuelle est la pire depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    http://fr.sott.net/article/26414-Allemagne-des-migrants-loges-dans-le-camp-de-concentration-nazi-de-Buchenwald

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    1. Ce n'est pas pour rien s'ils n'ont pas été détruits après la guerre !!!

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  50. Nouvelles du MRSA

    le 15 septembre 2015
    par jacqueshenry


    La lutte contre le staphylocoque multirésistant (MRSA) s’intensifie et on doit une nouvelle avancée qui n’en est pas une à un biologiste de la Brigham Young University de l’Église Mormon à Provo dans l’Utah. Le père de ce biologiste avait du être amputé d’une jambe à la suite d’une infection par des staphylocoques et le Docteur Jacob Hatch en voulait personnellement à cette bactérie. Il a donc recherché des bactériophages susceptibles d’attaquer cette sale bête et après un travail acharné a enfin isolé plusieurs souches et quelques-unes d’entre elles se sont révélées efficaces – pour le moment en laboratoire – pour mettre un terme à la prolifération du staphylocoque dans des boites de culture. Ce travail vient d’être publié dans PlosOne (en accès libre, voir le lien) et permettra peut-être de relancer le programme européen de phagothérapie dont on parle peu, du moins dans la presse scientifique.

    Comme je l’avais exposé dans un billet de ce blog en mars dernier, il serait astucieux de collaborer avec les hospitalo-universitaires géorgiens qui utilisent la phagothérapie depuis de nombreuses années pour mettre au point un traitement efficace afin de contrôler les infections dues au staphylocoque car la situation est devenue justement hors de contrôle et plus de 25 % des malades victimes de MRSA en meurent. Les feuilles de châtaigner (voir le lien) constituent un espoir mais très certainement limité à des usages topiques – comme les bactériophages d’ailleurs – mais on peut toujours espérer car comme le disait Guillaume d’Orange « il n’est point nécessaire d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer ». Quand Jacob Hatch a initié ses travaux de recherches de bactériophages dirigés contre les staphylocoques il n’avait aucune idée de la réussite de son travail d’investigation …
    Sources :
    http://news.byu.edu/archive15-sep-mrsaphages.aspx
    http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0131714
    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/08/30/les-feuilles-de-noisetier-une-nouvelle-arme-contre-le-staphylocoque/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/09/15/nouvelles-du-mrsa/

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