Bill Gates au journal BILD – Coup d'envoi pour le Covid 2.0 ?
25.06.2024 www.kla.tv/29505
Le "maître suprême" Bill Gates est venu en personne à Hambourg en mai 2024, dans la rédaction du journal BILD. C'est la presse Springer. Il parlait des enfants. Vous devriez regarder ces deux premières minutes, sur la chaîne YouTube de BILD, de BILD lui-même. Il a parlé d'enfants et tout d'un coup, la directrice de BILD a demandé, je cite : "Je ne sais pas ce que vous voulez dire : "Monsieur Gates, si vous parlez des enfants, nous devons aussi parler des mères. Pouvez-vous expliquer en détail la relation entre le microbiome des mères et l'avenir des enfants ?" Et Bill Gates a parlé du microbiome et a lancé sa campagne publicitaire. C'est l'attaque du microbiome que j'ai prédite, imprimée sur la couverture du livre. Pourquoi ? A partir de mes recherches à propos d'actes criminels. La visite de Bill chez BILD est le coup d'envoi publicitaire de l'attaque du microbiome. C'est le Covid 2.0. Et c'est pourquoi, s'il vous plaît, chers concitoyens, pères et mères,
- pour le bien des enfants, prenez cela au sérieux cette fois, s'il vous plaît ! –
Chers concitoyens, chers piliers de la société, chers universitaires, collaborons de manière professionnelle. Sinon, ce sera le Covid 2.0. Ne suivez pas les maîtres, ne soyez pas des serviteurs !
Directrice Bild : "Pouvez-vous m'expliquer cela en détail, la relation entre le microbiome des mères et l'avenir des enfants ?"
Bill Gates : "Il y a un microbiome dans l'intestin de la plupart des gens. Il existe également un microbiome vaginal. Et il s'avère que cela a des effets très négatifs, lorsque soit le microbiote intestinal soit le microbiote vaginal est déséquilibré.
Reporter Kla.TV : Monsieur Schöning, si vous pouviez approfondir le point concernant le journal BILD, où Bill Gates était invité. Était-ce une coïncidence ? Comment une telle chose a-t-elle pu se produire ?
Dr. Heiko Schöning : Oui, ce n'est pas un hasard si un multimilliardaire comme Bill Gates vient à Hambourg, dans la rédaction de BILD - qui est le plus grand journal d'Allemagne du groupe Springer - ce n'est évidemment pas un hasard. Qu'est-ce qu'il fait là ? Il faut regarder ces deux minutes que BILD lui-même a publiées sur sa chaîne YouTube. Tout est dit dans les deux premières minutes. Et il s'assoit là, il est courtisé. Et ils parlent d'enfants, et puis la directrice de BILD dit : "Monsieur Gates, si nous parlons d'enfants, nous devons aussi parler de mères. Pouvez-vous expliquer cela en détail, le lien entre le microbiome des mères et l'avenir des enfants ?" Complètement à l'improviste. Et Bill Gates n'avait justement rien dit auparavant sur le microbiome, ni aucun lien avec celui-ci. Et c'est là qu'on se rend compte qu'il ne s'agit pas d'un vrai journalisme, mais d'un accord préalable. Ce n'était pas un hasard ! Et nous ne pouvons qu'être reconnaissants, pour ainsi dire, de ce manque de professionnalisme, que même la directrice de BILD s'est contentée de poser sa question, qui était manifestement convenue. Bill Gates a d'ailleurs immédiatement répondu, à propos du microbiome.
Reporter Kla.TV : Très intéressant. Oui, donc nous recommandons l'émission dont M. Schöning vient de parler. Elle a été diffusée le 24 mai 2024 sur Kla.TV allemand, nous la mettons en lien ici avec les sous-titres en français, pour que vous puissiez la consulter à nouveau. C'est très instructif ! Et, Monsieur Schöning, puis-je encore poser une question : Vous avez parlé sur scène d'une collaboration professionnelle. Pourriez-vous expliquer cela un peu plus en profondeur, afin que nous sachions ce que vous avez voulu dire.
Dr. Heiko Schöning : Dans le contexte où je l'ai dit, il s'agissait en fait d'un appel à des adultes professionnels qui ont le sens des responsabilités, pour que nous travaillions ensemble contre le crime organisé. Nous avons également besoin de professionnels qui s'investissent en termes de temps de travail, de ressources financières ou autres. – maintenant, pendant qu’on a encore le temps, surtout en 2024, où les choses semblent relativement calmes – pour nous armer pour le temps qui suivra les élections américaines en 2025 et des élections britanniques Et qu'on puisse ensuite déployer ce que j'ai décrit dans le livre "Attaque du microbiome". Et cette apparition de Bill Gates, c'était le début de cette campagne publicitaire mondiale. Nous devons travailler ensemble ! Ce que je veux vraiment dire par là, c'est qu'il est vraiment temps de tout donner, de s'engager. Car la censure continuera de frapper. Nous sommes à la veille de mesures de guerre et d'un Covid 2.0 mondial, avant l'attaque du microbiome !
Reporter Kla.TV : Merci beaucoup pour cet appel, nous le transmettons à tous les spectateurs, nous le prenons au sérieux. Merci beaucoup pour cet entretien, Monsieur Schöning. Et merci pour votre travail !
de me. Sources / Liens : Élections européennes de la souffrance - grande manifestation de Frankfort sur le Main le 25.05.2024 www.youtube.com/watch?v=CuXE1bEVK3E
Au journal Bild, Bill Gates parle sur le microbiome www.youtube.com/watch?v=Rj_s8zfU_7U
Le scandale du sang contaminé au Royaume-Uni met à nu les élites britanniques
Mises Institute 26 juin 2024
Le paysage politique du Royaume-Uni a été secoué une fois de plus par un nouveau scandale, celui du sang contaminé administré à des patients sans méfiance et qui les a rendus définitivement malades. Ce scandale est différent des autres scandales plus récents ; cela fait des décennies que l’on sait que cela se produit, et pourtant rien n’a été fait par les gouvernements successifs de tous les bords de l’échiquier politique. En tant que libertariens, nous savons pourquoi il en est ainsi, mais il n’est pas surprenant que cela ait complètement échappé à l’esprit de ceux qui font partie du courant politique britannique dominant.
Article original de Owen Ashworth paru dans le Mises Institute.
La réponse des medias et des élus à cette crise est une véritable révélation. C’est pourquoi j’aimerais me concentrer sur ce point dans cet article. Le peu de réflexion qui a présidé à l’analyse des raisons du scandale a confirmé tout ce que je savais déjà sur nos élites politiques. Arrive un moment où je ne devrais plus être étonné, mais ils continuent à me surprendre.
Le rapport a fait grand bruit dans l’arène politique, car il a eu un impact considérable sur des centaines de personnes et a révélé à quel point les gouvernements successifs ont agi avec malveillance. Les réactions donnent un bon aperçu de la manière dont cela s’est produit.
Commençons par les commentaires à l’occasion de l’émission Politics Live. Son animatrice, Jo Coburn, a répondu à Reem Ibrahim, qui tentait de faire valoir que la taille et la bureaucratie de l’État incitaient les acteurs politiques à étouffer le scandale, en déclarant :
« Ce qui est choquant, c’est que cela s’est produit […] Qu’elles soient privées ou publiques, ces choses ne devraient pas se produire, et pourtant elles continuent à se produire ».
Il s’agit là d’un cas où les acteurs du courant dominant sont techniquement corrects mais manquent totalement de substance. Le but de la discussion est de savoir pourquoi c’est arrivé. Reem proposait la bonne réponse, à savoir que les incitations pour les acteurs étatiques à dissimuler des scandales embarrassants et incroyablement préjudiciables atteignent des niveaux que l’on ne verrait jamais dans le secteur privé, mais Jo Coburn a complètement évité cette conversation. Le courant dominant est totalement allergique à toute discussion qui pourrait conduire à une critique de l’État et de ses nombreux organes principaux.
En outre, il est apparu clairement que le leader travailliste de la Chambre des Lords n’était pas non plus à l’aise avec la réponse de Reem et a tenté de l’interrompre en déclarant : « Les compagnies de distribution d’eau ont dissimulé des choses […] Les entreprises privées échouent également. »
Cette remarque est intrigante, car si elle avait compris le point de vue de Reem, elle se serait rendu compte que sa réponse était totalement redondante. Les libertariens ne prétendront jamais que les entreprises privées n’échouent jamais, ou qu’elles sont totalement altruistes, mais l’appareil d’État dispose d’un cadre entièrement différent avec des incitations conduisant à des dissimulations qui, si elles se produisaient dans une entreprise privée, l’obligeraient à mettre la clé sous la porte. Comparer la structure d’incitation de l’État avec celle d’une entreprise privée, c’est mélanger les torchons et les serviettes. Le leader travailliste de la Chambre des Lords a pleinement démontré qu’il ignorait ce fait.
Le Guardian, membre du panel, a indiqué qu’il était assez rafraîchissant que les deux principaux partis politiques travaillent ensemble sur la réponse à apporter au scandale, et sur l’indemnisation que les victimes méritent, en déclarant : « Vous pouvez obtenir beaucoup plus de consensus, beaucoup plus d’accord » entre les deux principaux partis qui travailleront ensemble pour faire ce qu’il convient. Il poursuit, en suggérant que les deux partis ressentent une culpabilité collective et font donc preuve d’une forme de responsabilité collective, ce qui implique qu’il s’agit d’un bon résultat. Rien ne peut être analysé de manière plus légère.
Quel a été l’un des principaux chocs de ce scandale ? Le fait que les deux partis politiques aient cherché à éviter de rougir et à se soustraire à leurs responsabilités. Ce seul fait devrait inspirer à tous les analystes sérieux une bonne dose de scepticisme à propos de l’existence d’un consensus entre les deux partis politiques sur la réponse à apporter.
La responsabilité des actes commis dans le cadre de ce scandale devrait incomber entièrement aux personnes inculpées, mais le fardeau retombera entièrement sur les contribuables qui ne portent aucune responsabilité. Les victimes recevront une compensation financière pour les horreurs qu’elles ont endurées, mais cet argent proviendra des impôts, de sorte que les auteurs du scandale ont réussi à échapper à toute responsabilité.
La réalité des commentaires du membre du Guardian est qu’il se réjouit que les deux grands partis présentent leurs excuses tout en faisant couvrir le coût de l’indemnisation par le contribuable. C’est rafraîchissant. Le problème, c’est qu’il ne lui sera probablement pas venu à l’esprit ce que cela signifie, et c’est la raison pour laquelle la réponse à ce scandale est révélatrice.
L’absence de réflexion intellectuelle des tenants du courant dominant a été pleinement exposée. L’empereur est nu.
Le scandale a révélé bien plus. On dit aux victimes qu’elles recevront une compensation de l’État pour les dommages causés ; en d’autres termes, l’État assumera la responsabilité. Comme l’a montré l’analyse du Guardian, la responsabilité réelle incombera au contribuable. Ainsi, lorsque les acteurs étatiques affirment que l’État assumera la responsabilité, ils désignent en pratique tous les autres acteurs, à l’exception de ceux qui devraient porter l’entière responsabilité de l’affaire. L’attention est attirée sur ce point parce qu’il montre très clairement que le public a accepté ce cadre comme normal et approprié. Le fait que le public ait accepté cette logique signifie que l’effort des intellectuels publics pour convaincre les gens que l’État et la population qu’il gouverne sont en quelque sorte la même chose a incroyablement bien fonctionné. Écouter les réponses de ceux qui font partie du courant politique dominant est extrêmement édifiant (avec modération), car cela vous apprend beaucoup sur leur façon de penser les questions politiques, économiques et philosophiques.
Malheureusement, cela a révélé que la montagne que les libéraux doivent gravir pour changer les mentalités est vraiment énorme.
Les détails du scandale ont été horribles. De nombreuses familles ont été affectées d’une manière que l’on ne peut même pas commencer à comprendre. Si nous ne tirons pas les bonnes leçons de ces événements, nous sommes condamnés à les répéter. Je crains que ce type de scandale ne se répète à l’avenir. La réaction du grand public a mis en évidence l’absence de réflexion de ceux qui occupent des postes de pouvoir, nos soi-disant intellectuels publics.
Elle a également mis en évidence le besoin quasi psychotique des deux principaux partis de défendre le Service national de santé (NHS), en interrompant toute critique pour défendre vigoureusement la bravoure et le courage des travailleurs du NHS. Mais le problème, c’est que personne n’a jamais remis en question le fait que la plupart des critiques du NHS sont accompagnées d’interminables avertissements indiquant qu’elles ne sont pas adressées aux personnes qui y travaillent. Le fait est que la bureaucratie d’État engendre la corruption et que le NHS est l’une des plus grandes bureaucraties du Royaume-Uni. Si le NHS est à l’abri de toute critique, les scandales continueront à se succéder. En outre, il n’y aura pas de progrès tant que le courant dominant refusera de réfléchir correctement à la manière dont ce scandale s’est produit.
Un rapport du Congrès américain confirme la fraude vaccinale
26 juin 2024 de Thomas Oysmüller
Un rapport sur les processus politiques entourant l’approbation de la substance ARNm a été publié lundi par le Congrès américain. Il décrit comment le traitement expérimental à base d’ARNm a pu être approuvé en raison d’un intérêt politique et contrairement aux normes scientifiques, et comment les rapports faisant état de dommages causés par le vaccin ont été supprimés.
Aux États-Unis, c’est la « réévaluation » de la politique Covid qui semble avoir fait le plus de progrès. C’est ce que montre un rapport publié lundi par la sous-commission judiciaire de la Chambre. Il détaille comment l’administration Biden a fait pression sur la Food and Drug Administration (FDA) pour qu’elle aille au-delà de son autorité réglementaire pour commercialiser le composé d’ARNm de Pfizer.
Politique prioritaire
Le rapport intermédiaire de 30 pages, « Politique, intérêts privés et déviation de l'administration Biden par rapport aux réglementations de l'agence dans la pandémie de COVID-19 », détaille comment la Maison Blanche a ordonné à la FDA d'abaisser les propres normes de l'agence. C’est donc l’intérêt politique qui a conduit à modifier le processus d’approbation. La conclusion de l’enquête est résumée : « L’administration Biden voulait rendre les vaccinations obligatoires. Pour ce faire, la FDA a d’abord dû autoriser les vaccins.
Dans un communiqué de presse, la sous-commission écrit (souligné par TKP) :
Le rapport décrit comment l'administration Biden a fait pression sur la Food and Drug Administration (FDA) pour qu'elle aille au-delà de son autorité de réglementation, modifie ses procédures, rogne sur les raccourcis et abaisse les normes de l'agence pour lutter contre le vaccin COVID-19 de Pfizer afin d'être approuvé et rappelé. les vaccinations soient autorisées. Cette autorisation a permis à l’administration Biden d’imposer le vaccin contre le COVID-19 malgré les craintes que le même vaccin puisse causer des blessures chez de jeunes Américains par ailleurs en bonne santé.
"En août 2021, alors que le vaccin Pfizer recevait l'approbation de la FDA et juste avant que le rappel ne reçoive l'EUA, les deux principaux examinateurs du vaccin de la FDA avec des décennies d'expérience ont annoncé qu'ils quitteraient l'agence", a déclaré le président Thomas Massie (R-KY). « Durant la pandémie, la politique a pris le pas sur la science dans les institutions gouvernementales chargées de protéger la santé publique. La FDA a abandonné la directive du Congrès visant à protéger les citoyens contre les fausses allégations et les effets secondaires cachés et a plutôt ignoré ses propres règles pour poursuivre une politique de promotion du vaccin tout en minimisant les dommages potentiels . Révéler et admettre les erreurs qui ont été commises est une étape nécessaire pour restaurer l’intégrité et la confiance dans nos régulateurs.
L'enquête du sous-comité a également révélé que l'agence avait mal géré les rapports faisant état de blessures causées par les vaccins, même si elle était tenue de collecter, résumer et rapporter activement les commentaires sur la sécurité et l'efficacité du vaccin dans le cadre de l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) . Deux anciens scientifiques de la FDA, le Dr. Marion Gruber et le Dr. Philip Krause, a témoigné devant le sous-comité qu'ils se sentaient obligés de prendre des raccourcis dans leur examen des vaccins en raison de pressions extérieures pour accorder une approbation immédiate afin que le gouvernement puisse imposer des vaccins. Malgré les méfaits prouvés du vaccin EUA, l’administration Biden a tenté d’approuver pleinement le vaccin Pfizer dans le cadre du processus de demande de licence de produits biologiques (BLA).
Sous la direction du commissaire par intérim de la FDA, le Dr. Janet Woodcock, une responsable de longue date de la FDA qui a été promue commissaire par intérim par l'administration Biden, et le Dr. Selon Peter Marks, directeur du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques (CBER) de la FDA, l'agence a raccourci le processus BLA, normalement rigoureux, pour désigner le vaccin EUA de Pfizer comme le seul vaccin COVID-19 « entièrement approuvé, sûr et efficace ». sur le marché. Aujourd’hui, l’ancienne commissaire par intérim de la FDA, Woodcock, se dit « déçue d’elle-même » par les dommages causés par les vaccins et que la FDA n’a pas fait assez pour remédier aux dommages causés par les vaccins.
Le rapport conclut également que les blessures causées par les vaccins sont « réelles, évitables et encore largement ignorées par l'administration Biden » . Le rapport précise notamment :
« La culture au sein de la FDA en 2021 ne permettait pas à l’agence de considérer objectivement que son plaidoyer en faveur d’un vaccin obligatoire contre le COVID-19 aurait pu être sous-optimal. C'était clairement difficile pour le Dr. Marks, qui a fait la promotion du vaccin dans 41 vidéos, pour répondre de manière appropriée aux préoccupations concernant les blessures liées à un vaccin avec lequel il était si étroitement impliqué. Il était beaucoup plus facile de simplement prétendre que les symptômes après avoir reçu le vaccin étaient aléatoires.
Ces conclusions sont bien entendu tout sauf nouvelles. Dès août 2021 (!), Robert F. Kennedy a publié un article avec Meryl Nass qui soulignait précisément cette pression politique sur l'approbation et la dissimulation des dommages causés par le vaccin. Ce qui est nouveau, c'est que le Congrès américain a officiellement confirmé cette approche dans un rapport. Probablement un document essentiel pour les futurs litiges.
Lien entre la maladie d'Alzheimer et la vaccination corona
26 juin 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Il semble qu’il n’y ait aucune fin à la découverte des dommages causés par les préparations de vaccination contre le corona. Une étude montre une fréquence répandue de la maladie d'Alzheimer et des problèmes de mémoire chez les personnes vaccinées de plus de 65 ans.
- voir tableau sur site -
Le médecin et scientifique Jee Hoon Roh, MD, PhD, du Collège de médecine de l'Université de Corée à Séoul et ses collègues ont examiné les effets secondaires du vaccin contre le coronavirus pour rechercher des liens possibles avec la maladie d'Alzheimer. L'étude rétrospective nationale de l'équipe visait à étudier un lien entre la vaccination et l'apparition de la maladie neurodégénérative et ses premiers signes, à savoir un léger déficit cognitif.
Les chercheurs ont utilisé les dossiers du Service national coréen d'assurance maladie et analysé les données d'un échantillon aléatoire de 50 % de résidents urbains âgés de 65 ans et plus. L’équipe d’étude a divisé 558 017 participants à l’étude en cohortes vaccinées et non vaccinées. Les individus de la cohorte vaccinée ont été vaccinés avec des vaccins à ARNm ou à ADNc. Les critères d'évaluation de l'étude comprenaient le diagnostic de la maladie d'Alzheimer et de troubles cognitifs légers chez les populations vaccinées, tels que déterminés à l'aide des codes CIM-10.
Les résultats de l’étude soulèvent de nouvelles inquiétudes, c’est le moins qu’on puisse dire. Des preuves préliminaires suggèrent un « lien potentiel entre la vaccination contre la COVID-19, en particulier les vaccins à ARNm, et l’incidence accrue de la maladie d’Alzheimer et de troubles cognitifs légers ».
L' étude de Jee Hoon Roh et al intitulée « Une association potentielle entre la vaccination contre le COVID-19 et le développement de la maladie d'Alzheimer » montre une incidence accrue de la maladie d'Alzheimer et de son précurseur, la déficience cognitive légère (MCI).
Les auteurs sont arrivés à une conclusion claire en écrivant dans le résumé :
« Les résultats ont montré une incidence accrue de troubles cognitifs légers et de la maladie d'Alzheimer chez les personnes vaccinées, en particulier chez celles qui avaient reçu des vaccins à ARNm, dans les trois mois suivant la vaccination. Le groupe vacciné à ARNm présentait une incidence significativement plus élevée de maladie d’Alzheimer… et de MCI… par rapport au groupe non vacciné.
Le cardiologue et scientifique renommé Dr. Peter McCullough rapporte de sa pratique :
« J’ai plusieurs patients qui connaissent un déclin rapide de leurs fonctions cognitives après la vaccination contre le COVID-19. La protéine Spike est produite en grande quantité et sur une longue période après l’injection d’ARNm et a été trouvée dans le cerveau lors de l’autopsie. De plus, la protéine Spike peut se replier et former des plaques amyloïdes, caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.
Compte tenu de la montagne toujours croissante de preuves des dommages sanitaires massifs causés par la campagne de vaccination à ARNm, il devient de plus en plus incompréhensible qu’autant de nouveaux vaccins à ARNm soient en cours de développement.
Comme c’est bêta, le thé commercial réduit de 99,9 % l’infection virale covid dans la bouche…Vont ils l’interdire ? Il est 100 % plus efficace que le vaccin
le 26 juin 2024 par pgibertie
Pendant des milliers d’années, on buvait du thé quand on était malade. https://link.springer.com/article/10.1007/s12560-023-09581-0… En 2020, on nous a dit de prendre du paracétamol et d’attendre les nouvelles molécules pharma à 3000 balles qui font pareil que le thé, mais avec les effets indésirables en plus
Le SRAS-CoV-2 infecte la muqueuse buccale et est excrété dans les liquides salivaires. Traditionnellement, le thé est utilisé par diverses cultures pour traiter les affections respiratoires. L’objectif de cette étude était d’identifier les thés disponibles dans le commerce qui peuvent rapidement inactiver le SRAS-CoV-2 infectieux dans la salive. Initialement, le thé ( n = 24) a été préparé sous forme d’infusions de 40 mg/mL et incubé avec le SARS-CoV-2 remis en suspension dans l’eau, pendant 5 minutes à 37 °C.
Ensuite, cinq thés présentant une réduction > 3 log de l’infectivité du virus ont été étudiés plus en détail avec des perfusions de 40 et 10 mg/mL pendant 60 et 10 s de temps de contact avec le SRAS-CoV-2 remis en suspension dans la salive. Les polyphénols du thé ont été mesurés à l’aide du test Folin-Ciocalteu. Le pouvoir infectieux du SRAS-CoV-2 a été quantifié sur la lignée cellulaire Vero-E6 à l’aide du test TCID50. À une perfusion de 10 mg/mL, le thé noir a montré la réduction la plus élevée (3 log, soit 99,9 %) du SRAS-CoV-2 infectieux en 10 s. Les thés verts, à la menthe, à l’eucalyptus-menthe et à la framboise ont montré une inactivation similaire du SRAS-CoV-2 (1,5 à 2 log, soit une réduction de 96 à 99 %). Aux perfusions de 40 mg/mL, les cinq thés ont présenté une réduction > 3 log de l’infectiosité du virus en 10 s. Les polyphénols du thé, mais pas le pH, étaient significativement corrélés à la réduction du virus. L’analyse du temps d’addition a révélé que les cinq thés présentaient des effets préventifs (0,5 à 1 log, soit une réduction de 68 à 90 %) contre l’infection par le SRAS-CoV-2 des cellules Vero-E6 ainsi que pendant l’infection post-virale (1,2 –1,9 log, soit 94 à 98 %). Cependant, l’effet inhibiteur le plus élevé a été observé lorsque les thés étaient ajoutés au moment de l’infection virale (2 à 3 log, soit 99 à 99,9 %).
Nos résultats donnent un aperçu d’une intervention rapide à domicile (boire du thé ou se gargariser) pour réduire la charge infectieuse du SRAS-CoV-2 dans la cavité buccale, ce qui pourrait également atténuer l’infection de la muqueuse buccale.
Des volontaires sains ont consommé un bonbon contenant du thé vert ou du thé noir, et la salive recueillie immédiatement après la consommation du bonbon a considérablement réduit l’infectiosité du virus BA.1 in vitro. Ces résultats indiquent des substitutions spécifiques d’acides aminés dans les RBD qui influencent de manière cruciale la liaison de l’EGCG/TFDG aux RBD et la sensibilité différente de chaque sous-variante d’Omicron à l’EGCG/TFDG. L’étude pourrait suggérer une base moléculaire pour l’utilité potentielle de ces composés dans la suppression des virus mutants qui pourraient émerger à l’avenir et provoquer la prochaine pandémie.
Julian Assange est libre ! Nous avons tous le pouvoir d'être libres
Par Peter Koenig Recherche mondiale, 26 juin 2024
Voici ce que WikiLeaks a publié dans la nuit du 24 au 25 juin 2024 :
Cela démontre que nous avons tous le pouvoir d’être libres – Julian et sa persévérance l’ont prouvé.
Julian est dans un avion, en compagnie de l'ambassadeur d'Australie en Angleterre, vers les îles Mariannes du Nord, un Commonwealth américain situé dans le Pacifique occidental, où il sera jugé pour acte d'espionnage et accusé de complot en vue d'obtenir illégalement et diffuser des informations classifiées sur la défense nationale .
Voici ce qu'AP a à dire :
Un avion qui transportait probablement le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, est arrivé mardi à Bangkok. Assange plaidera coupable d'une accusation de crime dans le cadre d'un accord avec le ministère américain de la Justice qui lui permettra de se libérer et de résoudre une longue saga juridique qui s'étend sur plusieurs continents et centrée sur la publication d'une mine de documents classifiés. Assange a quitté une prison britannique lundi et comparaîtra plus tard cette semaine devant le tribunal fédéral américain des îles Mariannes du Nord, un Commonwealth américain du Pacifique occidental. Il devrait plaider coupable d'une accusation de conspiration en vue d'obtenir et de diffuser illégalement des informations classifiées sur la défense nationale, selon la loi sur l'espionnage, a déclaré le ministère de la Justice dans une lettre déposée au tribunal.
Voir le rapport complet .
On suppose qu’il s’agit d’un procès symbolique, dans lequel Julian sera reconnu coupable et condamné à plusieurs années de prison, mais étant donné le temps qu’il a déjà passé en prison, il sera libre – LIBRE de retourner dans son pays natal, l’Australie.
Le Premier ministre australien Anthony Albanese et sa ministre des Affaires étrangères, l'honorable Penny Wong , auraient travaillé ces deux dernières années diplomatiquement et discrètement avec les États-Unis, jusqu'au bureau du président Biden, pour enfin parvenir à cet accord.
Nous – le monde pour la liberté – félicitons collectivement Julian pour sa liberté attendue depuis longtemps et pour un avenir paisible et heureux avec sa femme et sa famille – en Australie ou partout où il choisit de vivre.
Cette excellente nouvelle constitue une pause nécessaire dans la sombre actualité quotidienne des guerres, des conflits et des tentatives d’oppression et de répression, infligées pour la plupart par l’Occident. Cela ne nous détourne cependant pas de notre vigilance et de notre lutte pour la paix et l’harmonie dans le monde. Au contraire, cette bonne nouvelle encourage et renforce notre mouvement pour la liberté et la paix.
D’autres nouvelles seront publiées au fur et à mesure de leur apparition.
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Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l'auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
L'éditeur de WikiLeaks a quitté la prison de Belmarsh lundi matin et a quitté le Royaume-Uni pour se rendre en Australie, a indiqué WikiLeaks.
Par Joe Lauria Recherche mondiale, 25 juin 2024
Julian Assange a accepté un accord de plaidoyer avec les États-Unis. Il a quitté Belmarsh lundi et se dirige vers l'Australie, a indiqué WikiLeaks.
"Il a été libéré sous caution par la Haute Cour de Londres et a été libéré à l'aéroport de Stansted dans l'après-midi, où il est monté à bord d'un avion et a quitté le Royaume-Uni", a déclaré WikiLeaks dans un tweet mardi matin, heure de Londres.
Stella Assange, a tweeté : « Julian est libre !!!! Les mots ne peuvent exprimer notre immense gratitude envers VOUS – oui VOUS, qui vous êtes tous mobilisés depuis des années et des années pour que cela se réalise. MERCI. merci. MERCI."
Assange a été libéré à la suite d'un accord de plaidoyer avec les États-Unis, a rapporté la BBC. La chaîne nationale britannique a déclaré :
«Selon CBS, le partenaire américain de la BBC, Assange ne passera pas de temps en détention aux États-Unis et sera crédité du temps passé en prison au Royaume-Uni.
Assange retournera en Australie, selon une lettre du ministère de la Justice.
L’accord – qui le verra plaider coupable à une accusation – devrait être finalisé devant un tribunal des îles Mariannes du Nord le mercredi 26 juin.
Le New York Times a rapporté qu’Assange avait accepté le seul chef d’accusation de la loi sur l’espionnage – « complot en vue de diffuser des informations sur la défense nationale » – en échange d’une peine de cinq ans, dont les États-Unis ont convenu qu’elle avait déjà été purgée en détention provisoire à Belmarsh.
WikiLeaks a publié cette vidéo d'Assange marchant sur la vitre alors qu'il quittait Londres, où il a été emprisonné pendant cinq ans.
Le Sydney Morning Herald a rapporté : « Un dossier judiciaire fait état d’une seule accusation criminelle de complot en vue d’obtenir et de divulguer des documents classifiés de la défense nationale américaine. »
Le journal a déclaré qu’Assange avait plaidé « coupable d’une accusation de conspiration en vertu de la loi sur l’espionnage en vue d’obtenir et de diffuser illégalement des informations classifiées sur la défense nationale, a déclaré le ministère de la Justice dans une lettre déposée au tribunal ».
Bruce Afran, un constitutionnaliste américain, a déclaré à Consortium News qu'un accord de plaidoyer ne crée pas de précédent juridique. Par conséquent, l’accord d’Assange ne mettrait pas en danger les journalistes qui pourraient être poursuivis à l’avenir pour avoir accepté et publié des informations classifiées provenant d’une source parce qu’Assange avait accepté une telle accusation.
Les îles Mariannes sont un territoire américain où Assange finalisera l’accord mardi devant un tribunal fédéral américain.
« Techniquement, il vient aux États-Unis, [sur les îles Mariannes] mais pas dans le district où il a été inculpé », a déclaré Afran. "Et il pourrait être placé en détention, mais nous supposons que les États-Unis agiront de bonne foi."
- voir photo sur site -
Assange en liberté à l’aéroport de Stansted à Londres. ( Vidéo WikiLeaks via X)
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Assange discute d'un accord de plaidoyer avec son avocat Gareth Pierce. ( WikiLeaks via X)
Aitor Martinez, l'avocat d'Assange, a dévoilé les accusations pour lesquelles Assange a apparemment plaidé coupable. Il a écrit : « Julian Assange a conclu un accord avec le DoJ, il est donc enfin LIBRE. » Le document que Martinez a joint à son tweet se lit comme suit :
Le jour sombre de l'Amérique. "Contraindre Julian Assange à plaider coupable d'un crime qu'il n'a pas commis". Scott Ritter
Par Scott Ritter Recherche mondiale, 26 juin 2024
En permettant au gouvernement américain de contraindre Julian Assange à plaider coupable d’un crime qu’il n’a pas commis, l’Amérique s’est condamnée à devenir un pays où dire la vérité est un crime.
« La presse était au service des gouvernés, pas des gouverneurs. Le pouvoir du gouvernement de censurer la presse a été aboli afin que la presse reste à jamais libre de censurer le gouvernement. La presse était protégée afin de pouvoir dévoiler les secrets du gouvernement et informer le peuple. Seule une presse libre et sans retenue peut dénoncer efficacement les tromperies du gouvernement. Et l’une des responsabilités primordiales d’une presse libre est le devoir d’empêcher une quelconque partie du gouvernement de tromper le peuple et de l’envoyer dans des pays lointains pour mourir de fièvres étrangères et de tirs et d’obus étrangers. - Justice Hugo Black, Le New York Times contre les États-Unis, 1971
Julian Assange doit bientôt comparaître devant un tribunal américain sur l'île de Saipan, où il devrait plaider coupable d'une seule violation de la loi sur l'espionnage, à savoir le complot en vue d'obtenir et de divulguer des informations sur la défense nationale.
Assange n’est coupable d’aucun crime. C'est le gouvernement des États-Unis qui agit en violation de la loi et, en supprimant le devoir de Julian Assange en tant qu'éditeur de dénoncer la tromperie du gouvernement sur les crimes de guerre commis par les militaires américains en Irak et d'autres mensonges et tromperies perpétrés par le Département d'État. et le ministère de la Défense, au mépris flagrant du premier amendement de la Constitution des États-Unis.
En soumettant Julian Assange à cinq ans d'emprisonnement dans des conditions horribles dans une prison britannique à sécurité maximale, où il était détenu à l'isolement 23 heures sur 23, le gouvernement américain a brisé l'esprit et la volonté d'un homme dont la cause en était venue à incarner la question fondamentale de la liberté d’expression.
Le rapporteur spécial des Nations Unies pour les droits de l'homme, Juan E. Mendez , a déclaré que
« [l]'isolement cellulaire, [en tant que punition] ne peut être justifié pour aucune raison, précisément parce qu'il impose des douleurs et des souffrances mentales graves au-delà de toute rétribution raisonnable pour un comportement criminel et constitue donc un acte défini [comme]… de la torture. »
Chaque Américain, qu'il soit journaliste ou simplement citoyen croyant au droit fondamental à la liberté d'expression et à une presse libre, doit comprendre l'importance de ce que signifie l'accord de plaidoyer d'Assange : il s'agit d'une attaque frontale contre la liberté d'expression, renversant de fait le Décision historique de la Cour suprême dans l'affaire The New York Times contre les États-Unis, qui a donné naissance aux paroles de Hugo Black pour défendre cette liberté américaine fondamentale.
Qu’il n’y ait aucun doute : Julian Assange est libre, mais la liberté d’expression et la notion de presse libre sont mortes en Amérique aujourd’hui , tuées par notre passivité collective face à la brutalisation de Julian Assange par le gouvernement américain pour son « crime ». d'exposer leurs crimes à la vue du monde entier.
La vérité ne nous libère plus.
Au contraire, faire la lumière sur une vérité qui dérange est devenu un crime.
L’Amérique est aujourd’hui dans un bien pire état qu’elle ne l’était avant que notre gouvernement n’oblige Julian Assange à conclure un accord de plaidoyer.
C'est un jour sombre dans l'histoire de notre pays.
Julian Assange est libre, mais des questions juridiques complexes concernant son cas demeurent
Par le professeur Holly Cullen Recherche mondiale, 26 juin 2024
Aujourd'hui, Julian Assange a quitté le bâtiment de la Cour fédérale à Saipan, dans les îles Mariannes du Nord, en homme libre. Il a plaidé coupable à un chef d'accusation de violation de la loi américaine sur l'espionnage.
Le tribunal acceptant ses 62 mois déjà passés dans la prison de Belmarsh comme une peine suffisante, il n'a plus d'accusation à répondre, ni de peine à purger.
Cependant, cette affaire laisse derrière elle une série de questions juridiques sans réponse et de controverses non résolues. En particulier, certaines questions relatives aux droits humains fondamentaux ne peuvent être abordées que maintenant, voire jamais, dans des affaires futures.
Le chemin de Julian Assange vers la liberté Depuis la création de WikiLeaks il y a 18 ans, Julian Assange a enduré des querelles juridiques, des mandats d'arrêt, l'asile politique, l'incarcération et la menace d'extradition vers les États-Unis . Voici une chronologie des événements majeurs.
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Graphique : La conversation
Les préoccupations en matière de liberté d’expression peuvent-elles empêcher l’extradition ? Une fois qu'Assange a officiellement plaidé coupable, les avocats du gouvernement américain ont annoncé qu'ils retireraient immédiatement la demande d'extradition d'Assange du Royaume-Uni.
Cela signifie que l’ appel qui aurait été entendu plus tard cette année n’ira pas de l’avant.
Pour récapituler, en mai, la Haute Cour du Royaume-Uni a donné à Assange le droit de faire appel de l'ordonnance d'extradition du ministre de l'Intérieur du Royaume-Uni. Cette mesure a été accordée pour deux motifs, tous deux liés à la liberté d'expression.
Le premier moyen d'appel accepté par le tribunal était que l'extradition serait incompatible avec le droit d'Assange à la liberté d'expression, tel que garanti par la Convention européenne des droits de l'homme.
Le deuxième motif, lié au premier, est qu’il serait victime d’une discrimination sur la base de sa nationalité parce qu’il pourrait, en tant que non-citoyen des États-Unis, ne pas pouvoir se prévaloir du droit à la liberté d’expression du premier amendement.
Mais comme cet appel n'est plus en cours, la question de savoir si une menace à la liberté d'expression de l'accusé peut empêcher l'extradition ne sera donc ni débattue ni tranchée. La Cour européenne des droits de l'homme et d'autres organes de défense des droits de l'homme n'ont jamais abordé ce point. Il est peu probable que cela se reproduise de sitôt.
Concernant également la liberté d'expression, la relation entre la loi américaine sur l'espionnage et le premier amendement de la Constitution américaine reste une question ouverte.
Dans les plaidoiries d'aujourd'hui, Assange et le gouvernement américain ont adopté des points de vue différents sur la question de savoir si l'exercice de la liberté d'expression devait constituer une exception aux infractions prévues par la loi sur l'espionnage. Néanmoins, Assange a reconnu qu’aucune jurisprudence américaine existante n’établissait une telle exception.
Cela nous amène à nous demander si le plaidoyer de culpabilité d'aujourd'hui crée un précédent en matière de poursuites contre des journalistes pour espionnage.
Au sens juridique strict du précédent en common law, qui fait référence à une interprétation judiciaire contraignante, ce n’est pas le cas.
Le juge n’a pas déterminé si Assange ou le gouvernement américain avait raison sur le plan juridique. Cependant, le gouvernement américain peut désormais citer cette affaire comme exemple de condamnation d'un journaliste en vertu de la loi sur l'espionnage.
La question de savoir dans quelle mesure un non-ressortissant américain peut s’appuyer sur le premier amendement reste également sur la table. Cette question aurait également été abordée dans l’appel à l’extradition, comme la question de savoir si Assange serait victime d’une discrimination sur la base de sa nationalité.
Détention ou confinement ?
Enfin, l'audience d'aujourd'hui a relancé la question de savoir si le temps passé par Assange à l'ambassade d'Équateur entre 2012 et 2019 compte comme une détention.
Alors que le juge cherchait à déterminer si la peine de « temps purgé » était une peine suffisante pour son infraction, le gouvernement américain a insisté sur le fait que le juge ne pouvait prendre en compte que les 62 mois de prison de Belmarsh.
Les avocats d'Assange ont fait valoir qu'il avait été détenu pendant 14 ans, y compris la période où il avait demandé l'asile à l'ambassade d'Équateur. En 2016, le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire a conclu qu'Assange avait été arbitrairement détenu à l'ambassade, en grande partie en raison de la durée disproportionnée entre son arrestation initiale et la date de l'avis du groupe de travail, soit plus de cinq ans.
Le Royaume-Uni et la Suède ont tous deux rejeté les conclusions du groupe de travail, qu'ils ne considèrent pas comme contraignantes. En outre, les conclusions allaient au-delà de la jurisprudence établie en matière de détention arbitraire, qui se concentre généralement sur les questions de légalité et de procédure équitable plutôt que sur la durée. Seul le membre dissident du groupe de travail a analysé l'impact du comportement volontaire d'Assange sur la durée de son séjour à l'ambassade.
Lors de l'audience d'aujourd'hui, le juge a évoqué les « 14 années d'épreuve » subies par Assange, mais a reconnu que le séjour à Belmarsh était à lui seul une peine suffisante. Le juge a estimé que cette période, d'un peu plus de cinq ans, était comparable aux sept années purgées par Chelsea Manning, qui avait fourni les documents à Assange.
Il convient également de noter que le vice-Premier ministre australien, Richard Marles, s'exprimant sur ABC Radio National, a décrit Assange comme « confiné » dans l'ambassade équatorienne, évitant ainsi le terme juridiquement significatif « détenu ».
Le statut juridique du séjour d'Assange à l'ambassade reste donc ambigu, malgré les conclusions du groupe de travail des Nations Unies de 2016.
Aujourd’hui, l’essentiel est qu’Assange ne fait plus l’objet de poursuites pour espionnage et est désormais libre de retourner auprès de sa famille. Cependant, certaines des questions juridiques soulevées par cette affaire restent malheureusement irrésolues.
La libération de Julian Assange : accords de plaidoyer et sombres héritages
Par le Dr Binoy Kampmark Recherche mondiale, 26 juin 2024
L’une des plus longues sagas de persécution politique touche à sa fin. Autrement dit, si vous croyez aux derniers chapitres. Rien sur le sort de Julian Assange ne semble déterminant. Ses accusateurs et inquisiteurs se réjouiront de l'accord de plaidoyer conclu entre l'équipe juridique du fondateur de WikiLeaks et le ministère américain de la Justice. D’autres, comme l’ancien vice-président américain Mike Pence , l’ ont jugé injustifiablement indulgent.
Accusé d'avoir commis 18 infractions, dont 17 nouvellement liées à l'odieuse loi sur l'espionnage, l' acte d'accusation de juin 2020 contre Assange était une attaque frontale contre les libertés de publication et de discussion d'informations gouvernementales classifiées. Au moment d’écrire ces lignes, Assange est arrivé à Saipan, situé dans le territoire du Commonwealth américain des îles Mariannes du Nord, dans le Pacifique occidental, pour faire face à un nouvel acte d’accusation . L’une des conditions imposées à Assange était qu’il ne se présenterait devant aucun tribunal des États-Unis proprement dits, où, avec des soupçons compréhensibles, il pourrait légalement disparaître.
Comme le révèle la correspondance entre le ministère américain de la Justice et la juge en chef du tribunal de district américain Ramona V. Manglona , la « proximité de ce tribunal fédéral de district américain avec le pays de citoyenneté du défendeur, l'Australie, où nous espérons qu'il reviendra à la fin de la procédure » » était également un facteur.
Devant le tribunal de district américain des îles Mariannes du Nord, il plaidera coupable d'un chef d'accusation de complot en vue d'obtenir et de divulguer des informations sur la défense nationale en vertu de la loi sur l'espionnage de 1917, ou de l'article 793(g) (titre 18, USC). Ce crime est passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 10 000 dollars et/ou jusqu'à 10 ans de prison, même si le temps passé par Assange à la prison de Belmarsh, passé en détention provisoire pendant environ 62 mois, sera à la hauteur.
L' acte d'accusation allègue qu'Assange a sciemment et illégalement conspiré avec Chelsea Manning , analyste du renseignement de l'armée américaine , alors basée à la base opérationnelle de Hammer en Irak, pour recevoir et obtenir des documents, des écrits et des notes, y compris ceux de nature secrète, relatifs à la défense nationale. a délibérément communiqué ces documents de la part de personnes en possession légale ou y ayant accès à des personnes qui n'ont pas le droit de les recevoir, et fait de même de la part de personnes non autorisées à posséder de tels documents.
Avant de se pencher sur les graves implications de ce seul chef d'accusation et de l'accord de plaidoyer, les partisans d'Assange, y compris sa famille immédiate, ses associés et ceux qui avaient travaillé avec lui et bu dans le même puits d'édition, avaient toutes les raisons de ressentir un sentiment surréaliste de intoxication. WikiLeaks a annoncé le départ d'Assange de la prison de Belmarsh à Londres le matin du 24 juin après un séjour de 1 901 jours, sa libération sous caution par la Haute Cour de Londres et sa libération à l'aéroport de Stansted. L'épouse Stella a régulièrement informé ses abonnés du déroulement du vol VJ199. Dans un reportage publié sur son arrivée au palais de justice fédéral de Saipan, elle s'est demandé « à quel point ses sens devaient être surchargés, traversant la mêlée de presse après des années de dépravation sensorielle et les quatre murs » de sa cellule de Belmarsh.
Quant à l’accord de plaidoyer lui-même, il est difficile de lui reprocher du point de vue émotionnel et personnel d’Assange et de sa famille. Il était malade et faisait l'objet d'une lente exécution judiciaire. C’était également le seul point sur lequel le DOJ et l’administration Biden pourraient avancer. Cette année étant électorale aux États-Unis, la dernière chose que le président Biden voulait était un rappel obsédant de cette vilaine saga de persécution politique planant sur les vertus du pays de la liberté.
Il y avait un autre angle, un peu plus sordide, et que le DOJ a dû garder à l’esprit en allégeant l’acte d’accusation : un véritable procès Assange aurait soumis les fantasmes meurtriers de la CIA concernant l’éditeur à un examen minutieux. Celles-ci comprenaient diverses mesures possibles : enlèvement, restitution, voire assassinat, points approfondis dans une contribution de Yahoo News en septembre 2021.
L'un des auteurs de l'article, Zach Dorfman, a publié un rappel important alors que la nouvelle de l'accord de plaidoyer filtrait dans les médias : de nombreux responsables de l'administration Trump, même des critiques acerbes d'Assange, « pensaient que [le directeur de la CIA, Mike] Pompeo complotait de manière téméraire ». l'extrême, et probablement illégal. Ils pensaient également – de manière critique – que cela pourrait nuire aux poursuites contre Assange.» Si les stratagèmes de Pompeo étaient révélés, « cela rendrait le processus de découverte cauchemardesque pour l’accusation, si Assange devait un jour être jugé ».
Du point de vue des éditeurs, des journalistes et des rédacteurs désireux de demander des comptes aux puissants, ce plaidoyer doit être considéré comme extrêmement troublant. Il s’agit en fin de compte de l’exercice brutal du pouvoir extraterritorial américain contre tout éditeur, quel que soit son média et quelle que soit sa nationalité. Alors que le fardeau juridique et la lourdeur des poursuites liées aux accusations ont été considérablement réduits (62 mois semblent moins imposants que 175 ans), la mesure extrait une livre de chair du quatrième pouvoir. Cela indique que les États-Unis peuvent rechercher et vont rechercher ceux qui obtiennent et publient des informations sur la sécurité nationale qu’ils préféreraient garder secrètes sous de fausses notions de « préjudice ».
La condamnation d’Assange renforce également le récit grossier adopté à partir du moment où WikiLeaks a commencé à publier des dossiers sur la sécurité nationale et la diplomatie américaine : de telles activités ne pouvaient pas être considérées comme journalistiques, malgré leur rôle dans l’information des commentaires de la presse ou dans la révélation du côté vénal du pouvoir par le biais de fuites.
Du procureur général Gordon Kromberg aux juges britanniques comme Vanessa Baraitser ; des commentateurs sur la sécurité nationale hébergés dans les médias à un certain nombre de politiciens, y compris la regrettée démocrate californienne Dianne Feinstein et l’actuel président Joe Biden, Assange n’était pas du quatrième pouvoir et méritait d’être harcelé. Il a donné le jeu. Il a pillé et volé les secrets de l'empire.
À cette fin, l’accord de plaidoyer tourne en dérision les arguments et les déclarations effusives selon lesquelles l’accord est en quelque sorte une victoire pour la liberté de la presse. Cela suggère le contraire : toute personne publiant des informations sur la sécurité nationale américaine par un divulgateur ou un lanceur d’alerte est en danger. Bien que ce point n'ait jamais été examiné devant les tribunaux, les éditeurs non américains pourraient ne pas être en mesure de se prévaloir des protections de la liberté d'expression prévues par le premier amendement. La loi sur l’espionnage, pour la première fois dans l’histoire, a acquis une portée mondiale tentaculaire et est devenue une arme contre les éditeurs en dehors des États-Unis, ouvrant la voie à de futures poursuites.
Julian Assange est libre. Washington a élaboré « un accord pour sauver la face ». Violation massive de l'Habeas Corpus en faveur de Washington. Paul C.Roberts
Par le Dr Paul Craig Roberts Recherche mondiale, 25 juin 2024
Si le reportage de Sky News qui m'est parvenu tôt ce matin n'est pas un canular, le gouvernement américain, de plus en plus considéré dans le monde entier comme une organisation criminelle, n'a pas réussi à convaincre les tribunaux britanniques d'extrader Julian Assange . Washington n’a pas pu ou n’a pas voulu fournir aux Britanniques l’assurance qu’Assange ne serait pas maltraité et privé de ses droits.
Beaucoup d’entre nous pensent qu’Assange a été suffisamment maltraité par le gouvernement britannique, qui l’a maintenu en isolement cellulaire pendant 62 mois, une violation massive de l’habeas corpus, en guise de faveur accordée à Washington.
Peut-être que la « justice britannique » s'est lassée de la honte de servir de geôlier à Washington et d'emprisonner un homme qui n'a été reconnu coupable de rien. Les bons points que les Britanniques gagnaient de la part de Washington étaient contrebalancés par l'apparence de complicité dans l'acte de vengeance de Washington contre un journaliste qui avait publié des informations divulguées embarrassantes pour Washington.
Peut-être que les juges britanniques ont décidé que les 13 années que Washington avait volées à Assange, à sa femme et à ses enfants, étaient suffisantes.
Peut-être Washington a-t-il décidé que 13 années d'incarcération d'Assange, sous une forme ou une autre, suffisaient à servir d'avertissement à tous les journalistes à la portée de Washington pour qu'ils ne dénoncent pas les crimes de Washington. Quelle qu’en soit la raison, Washington a élaboré un accord de plaidoyer pour sauver la face afin de mettre fin à la persécution qui a détruit le Premier Amendement. En échange du plaidoyer d'Assange coupable d'un chef d'accusation de « complot en vue d'obtenir et de divulguer des informations sur la défense nationale », la peine d'Assange sera purgée dans la prison britannique.
Ainsi se termine pour Assange l’un des épisodes les plus honteux de l’histoire du gouvernement américain.
Les Américains ne pourront jamais vivre cette honte que leur inflige Washington, parce que le ministère américain de la Justice (sic) continue de la pratiquer sur les citoyens américains eux-mêmes.
Le régime corrompu de Biden, utilisant des condamnations injustifiées et des plaidoyers de culpabilité forcés, a condamné à la prison 1 000 Américains qui ont exercé leurs droits constitutionnellement protégés pour protester en tant qu’« insurgés ».
Le même régime corrompu poursuit en justice l’ancien président américain, et beaucoup pensent l’actuel, président américain, y compris ses avocats, sur la base de fausses accusations. Cela montre aux Américains que si un président peut être maltraité de cette manière, ils n’ont aucune chance. La conséquence est que la peur pousse les Américains à renoncer à leurs droits et à se soumettre à la tyrannie croissante de Washington.
Mon pays aujourd’hui est totalement différent de ce qu’il était lorsque j’y suis né. L’enseignement universitaire et public vise à enseigner aux nouvelles générations que l’Amérique est un exploiteur raciste blanc et que les gens peuvent naître dans le mauvais corps, le sexe d’une personne étant désormais déterminé par auto-déclaration. Les Démocrates aux États-Unis et les partis au pouvoir en Europe sont déterminés à remplacer leurs populations ethniques par des envahisseurs immigrés. Ceci, combiné à ce qui est endoctriné dans les écoles, détruit la civilisation occidentale. Il y a déjà très peu d’engagement politique et intellectuel en ce sens. Les universités blanches sont les détracteurs les plus enragés de la civilisation occidentale.
D’ici novembre, nous devrions connaître trois choses qui, selon leur évolution, accéléreront ou ralentiront notre disparition.
La première est que nous saurons ce que les démocrates vont faire à Trump, et si c’est un scandale, si les gens l’accepteront par peur d’être traités comme les manifestants du 6 janvier ont été traités.
Une autre question est que nous saurons si le rejet des partis européens au pouvoir lors des récentes élections parlementaires européennes se répercutera sur les élections nationales françaises. Si tel est le cas, cela marquera le retour du nationalisme européen et le début de l’éclatement de l’OTAN et du bellicisme américain.
La troisième est que nous saurons si Washington et ses marionnettes européennes sont suffisamment fous pour déployer des soldats de l’OTAN en Ukraine et continuer à tirer des missiles sur des civils russes comme le fait Israël sur les Palestiniens. Si Poutine accepte ces provocations, comme il l’a fait auparavant, nous pourrions être confrontés à la montée en puissance d’un chef de guerre russe qui mettrait fin à notre existence et à celle de l’Europe.
Le fait que ces trois points ne soient pas des points centraux dans les discussions occidentales signifie un manque de sensibilisation et de préparation en cas d’évolution défavorable des événements.
Pendant ce temps, la jeunesse américaine est confrontée à la conscription et à la déprogrammation alors que les citoyens de la civilisation occidentale font défiler leurs téléphones portables à la recherche constante de divertissement.
Julian Assange est libre. Il a quitté la prison à sécurité maximale de Belmarsh le matin du 24 juin, après y avoir passé 1 901 jours. Il a été libéré sous caution par la Haute Cour de Londres et a été libéré à l'aéroport de Stansted dans l'après-midi, où il est monté à bord d'un avion et a quitté le Royaume-Uni.
C’est le résultat d’une campagne mondiale qui a réuni des organisateurs locaux, des défenseurs de la liberté de la presse, des législateurs et des dirigeants de tout le spectre politique, jusqu’aux Nations Unies. Cela a ouvert la voie à une longue période de négociations avec le ministère américain de la Justice, qui a abouti à un accord qui n'a pas encore été formellement finalisé. Nous vous fournirons plus d’informations dès que possible.
Après plus de cinq ans dans une cellule de 2 mètres sur 3, isolé 23 heures sur 23, il retrouvera bientôt son épouse Stella Assange et leurs enfants, qui n'ont connu leur père que derrière les barreaux.
WikiLeaks a publié des articles sans précédent sur la corruption du gouvernement et les violations des droits de l'homme, tenant les puissants pour responsables de leurs actes. En tant que rédacteur en chef, Julian a payé cher pour ces principes et pour le droit du peuple à savoir.
À son retour en Australie, nous remercions tous ceux qui nous ont soutenus, se sont battus pour nous et sont restés totalement engagés dans la lutte pour sa liberté.
MICHEL COLLON investigaction.net mar., 25 juin 2024 21:13 UTC
Je crois que nous pouvons tous énormément nous réjouir de la libération de Julian Assange ! C'est une magnifique victoire des peuples pour la liberté d'expression, pour le droit de savoir, pour la protection de tous les lanceurs d'alerte et des véritables journalistes. Acharné à le torturer, l'Empire voulait imposer un exemple pour décourager tous les lanceurs d'alerte. C'est-à-dire pour protéger ses propres crimes de guerre et contre l'humanité. Le but de Washington n'était pas de juger Julian aux États-Unis mais de le faire mourir à petit feu dans les prisons anglaises. S'il y avait eu un procès, il se serait brillamment défendu et aurait infligé une défaite morale à ses accusateurs.
De cette victoire, nous pouvons, je pense, tirer quatre leçons très importantes...
Leçon n° 1. Il faut s'organiser. Je tiens à rappeler que depuis des années, en Belgique, en France et en d'autres pays, de petits comités d'action solidaire se sont constitués et ont effectué un travail de terrain absolument remarquable. Je me souviens qu'il y a quelques années, nous avions organisé à Bruxelles une séance en solidarité avec Julian, c'était avec l'équipe du ciné-club Attac Bruxelles que je salue et j'avais lancé un appel : il nous faudrait des comités de terrain pour défendre Julian, contrer les médiamensonges répandus sur lui, informer dans la rue, dans des petits débats partout. Montrer pourquoi nous avions besoin d'Assange et de Wikileaks.
En Belgique, Marie-France Deprez et d'autres amis ont relevé ce défi. Présents semaine après semaine, année après année, dans les rues de Bruxelles et de Namur, ils ont réussi à créer un véritable mouvement d'opinion directement auprès des citoyens qui a fini par infléchir les grandes ONG et les médias dominants. Magnifique succès !
En France, Viktor Dedaj, Laurent Dauré, Jacqueline Boucher, Serge Regourd et de nombreux autres ont organisé une quantité impressionnante de débats et de manifestations pour la vérité. Des artistes se sont engagés : Corinne Masiero, Lio, Claude Sérillon, Josianne Balasko, Albert Dupontel, Cédric Klapish, Bruno Gaccio, Anne Roumanoff, Pascal Légitimus, Virginie Ledoyen, Bruno Podalydès, Emir Kusturica, Dominique Blanc, Stéphane Foenkinos, Serge Regourd, et bien d'autres ont signé une pétition dès 2019...
Conclusion : le rapport de forces ne change que par la mobilisation des masses populaires. Ce qui est seulement possible par un travail de terrain, patient et de longue durée. Et un beau jour... la situation bascule !
Leçon n° 2. La diabolisation peut être vaincue. C'était très dur à l'époque : une puissante campagne de diabolisation, organisée par les USA, avait inondé les médias et Internet de calomnies. On lui avait fabriqué et matraqué l'image d'un violeur cynique et d'un hacker sans scrupules. Mais tous ces militants de la bataille de l'info ont réussi à renverser la montagne du mensonge et à mettre l'Empire en échec.
Les éditions Investig'Action ont un petit peu contribué à cette campagne en publiant le petit bouquin très précieux de citations de Julian. Karen Sharpe les a rassemblées et présentées, révélant une pensée très riche sur plein de sujets. Merci Karen ! À lire, méditer, propager !
Leçon n° 3. Les Palestiniens ont sauvé Assange. En résistant aux crimes de guerre d'aujourd'hui, en refusant d'être chassés de leurs terres malgré la cruauté des bombardements, en diffusant avec leurs téléphones les faits réels occultés par le système médiatique, et surtout avec tous ces journalistes palestiniens qui ont donné leur vie pour continuer à informer en sachant que Netanyahou est le plus grand serial killer de tous les temps contre la presse, ce sont eux qui ont changé le rapport de forces. Entre mensonges et vérité, entre États-Unis et peuples résistants, entre médias couchés et médias debout.
Oui, je pense vraiment que Biden le super-menteur a été mis en grandes difficultés par la résistance des Palestiniens. Il tremble pour sa réélection et a jugé qu'il devait lâcher du lest. Ce recul peut et doit nous encourager. Le système impérial multiple ses crimes et se rend de plus en plus détestable. Sur ce terrain, si nous construisons une info libre, bien présentée et bien relayée, nous réussirons à le faire reculer.
Quatrième leçon à tirer : Nous devons absolument protéger les lanceurs d'alerte, TOUS les lanceurs d'alerte. Il y en a beaucoup, je les ai mentionnés dans la préface du petit livre Assange dont je parlais plus haut. Investig'Action lance aujourd'hui un projet important : nous créons sur notre site une rubrique lanceurs d'alerte. Soutenez ce projet, écrivez-nous pour donner un coup de main, aidez à financer !
Assange est libre, mais justice n’a pas été rendue
Par Caitlin Johnstone CaitlinJohnstone.com 26 juin 2024
Julian Assange est libre. Au moment d'écrire ces lignes, il est en route vers les îles Mariannes du Nord, (Nord de l'Australie et EST de la Chine). un territoire américain isolé dans le Pacifique occidental, pour finaliser un accord de plaidoyer avec le gouvernement américain qui le verra condamné à une peine de prison dans la prison de Belmarsh. À moins de manigances louches de la part de l’empire, il retournera ensuite dans son pays d’origine, l’Australie, en homme libre.
Il est important de noter que, selon les experts que j’ai vus commenter ce nouveau développement étonnant, il ne semble pas que son accord de plaidoyer créera de nouveaux précédents juridiques qui seraient préjudiciables aux journalistes à l’avenir. Joe Lauria rapporte ce qui suit pour Consortium News :
« Bruce Afran, un avocat constitutionnel américain, a déclaré à Consortium News qu'un accord de plaidoyer ne crée pas de précédent juridique. Par conséquent, l’accord d’Assange ne mettrait pas en danger les journalistes qui pourraient à l’avenir être poursuivis pour avoir accepté et publié des informations classifiées provenant d’une source parce qu’Assange avait accepté une telle accusation.
J’ai évidemment beaucoup de sentiments à propos de tout cela, ayant suivi cette affaire importante de si près pendant si longtemps et ayant consacré tant de travail à l’écrire. Il y a tellement, beaucoup de travail à faire dans notre lutte collective pour libérer le monde des griffes de la machine à tuer impériale, mais je suis ravi pour Assange et sa famille, et cela fait du bien de marquer une solide victoire dans ce combat.
Cependant, rien de tout cela ne annule les maux impardonnables que l'empire a infligés en persécutant Julian Assange, ni ne renverse les dégâts mondiaux qui ont été causés en faisant de lui un exemple public pour montrer ce qui arrive à un journaliste qui dit des vérités gênantes sur le plus puissant du monde. gouvernement.
Ainsi, même si Assange est libre, nous ne pouvons pas dire à juste titre que justice a été rendue.
La justice ressemblerait à ce qu'Assange obtienne une grâce totale et inconditionnelle et reçoive des millions de dollars de compensation de la part du gouvernement américain pour les tourments qu'ils lui ont infligés par son emprisonnement à Belmarsh à partir de 2019, son emprisonnement de facto à l'ambassade équatorienne à partir de 2012. , et son emprisonnement et son assignation à résidence à partir de 2010.
La justice donnerait l'impression que les États-Unis apportent des changements juridiques et politiques concrets garantissant que Washington ne pourra plus jamais utiliser son pouvoir et son influence à l'échelle mondiale pour détruire la vie d'un journaliste étranger qui a rapporté des faits gênants à son sujet, et qu'ils présentent des excuses officielles à Julian Assange et sa famille.
La justice ressemblerait à l’arrestation et à la poursuite des personnes dont Assange a dénoncé les crimes de guerre, et à l’arrestation et à la poursuite de tous ceux qui ont contribué à ruiner sa vie en révélant ces crimes. Cela inclurait toute une série d’agents et de responsables gouvernementaux de nombreux pays, ainsi que plusieurs présidents américains.
La justice ressemblerait à un accueil et à des honneurs de héros venant d’Australie à son arrivée, et à une révision sérieuse des relations obséquieuses de Canberra avec Washington.
La justice ressemblerait à des excuses formelles adressées à Assange et à sa famille par les comités de rédaction de tous les principaux organes de presse qui ont fabriqué le consentement pour sa persécution brutale – y compris et surtout The Guardian — et à la destruction complète de la réputation de tous les préstitués sans scrupules qui ont contribué à le diffamer. au cours des années.
Si ces choses se produisaient, alors nous pourrions peut-être affirmer que justice a été rendue dans une certaine mesure. Dans l’état actuel des choses, tout ce que nous avons, c’est la cessation d’un seul acte de dépravation de la part d’un empire qui ne fait que reculer pour faire place à de nouvelles dépravations plus importantes. Nous vivons tous encore sous une structure de pouvoir à l’échelle mondiale qui a montré au monde entier qu’elle détruirait votre vie si vous dénoncez sa criminalité, puis prenez du recul et réclamez fièrement cette justice.
Donc personnellement, je pense que je vais simplement prendre cette petite victoire avec sérénité en adressant un rapide « merci » au ciel et en me remettant au travail. Il reste encore beaucoup à faire et très peu de temps pour le faire.
Après "8 ans après la Russie intervient en Ukraine pour la libérer" voici qu'Assange après 12 ans de prison en Angleterre et sauvé par un avion qui l'emporte vers une prison sous les Tropiques ! Whoâw !
Qu’est-ce que l’adénomyose ? Maladie non reconnue ayant un impact sur la vie des femmes. Affecte jusqu’à 1 femme sur 5
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 26 juin 2024
L'adénomyose est une maladie utérine bénigne dépendante des œstrogènes qui peut provoquer des saignements utérins anormaux, des douleurs pelviennes et une infertilité.
On estime qu'environ 20 % des femmes, principalement celles en âge de procréer, pourraient souffrir de cette maladie, mais il y a étonnamment peu de sensibilisation à ce sujet.
On pense que l’œstrogène favorise la croissance de l’adénomyose ; de nombreuses personnes sont exposées à un excès d’œstrogènes sous forme de contraception, de thérapie de remplacement des œstrogènes et même d’exposition aux plastiques
L'œstrogène est également cancérigène et antimétabolique, réduisant radicalement la capacité de vos mitochondries à créer de l'énergie cellulaire.
L’une des stratégies les plus importantes contre l’adénomyose – en plus d’éviter les œstrogènes et les xénoestrogènes – consiste à prendre de la progestérone naturelle, qui est anti-œstrogénique.
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L'adénomyose est une maladie utérine bénigne dépendante des œstrogènes 1 , qui implique des symptômes tels que des saignements utérins anormaux, des douleurs pelviennes et l'infertilité. 2 En cas d'adénomyose, le tissu endométrial, qui tapisse normalement l'utérus, se trouve dans le myomètre, ou la paroi musculaire de l'utérus.
En d’autres termes, la muqueuse utérine se développe dans la paroi musculaire de l’utérus 3 , provoquant des symptômes allant de légers à graves. Pour certaines femmes, l’adénomyose ne provoque aucun symptôme tandis que d’autres ressentent une douleur débilitante.
On estime qu'environ 20 % des femmes, principalement celles en âge de procréer, pourraient souffrir de cette maladie 4 , et pourtant, étonnamment, les professionnels de la santé et le public en sont peu conscients. 5
Quels sont les signes et symptômes de l’adénomyose ?
L'adénomyose peut être classée en deux types principaux : focale et diffuse. Dans l'adénomyose focale, le tissu endométrial est localisé dans une ou plusieurs zones spécifiques du muscle utérin. Ces régions localisées sont parfois appelées adénomyomes, qui ressemblent aux fibromes mais contiennent du tissu endométrial.
L'adénomyose diffuse implique une infiltration plus répandue du tissu endométrial dans tout le muscle utérin. Ce type se caractérise par une paroi utérine uniformément épaissie. Dans les deux cas, la muqueuse de l'utérus se développe dans la paroi utérine, entraînant un épaississement et un élargissement de l'utérus, qui dans certains cas peut doubler ou tripler en taille. 6
"Les tissus déplacés continuent d'agir normalement - en s'épaississant, en se décomposant et en saignant - au cours de chaque cycle menstruel", note la Mayo Clinic. 7 Les symptômes courants de l'adénomyose comprennent des saignements menstruels abondants, des crampes menstruelles sévères, des douleurs pelviennes et des ballonnements.
Certaines femmes atteintes d'adénomyose peuvent également ressentir des douleurs pendant les rapports sexuels. L'infertilité est également possible et les femmes atteintes d'adénomyose qui tombent enceintes sont plus susceptibles de présenter des complications telles qu'une fausse couche, un accouchement prématuré, une prééclampsie et des saignements après l'accouchement. 8
La maladie peut parfois être asymptomatique, ce qui rend le diagnostic difficile. Bien que la plupart des femmes qui développent une adénomyose soient âgées de 40 à 50 ans, elle peut également se développer chez des femmes plus jeunes. Cette maladie est de plus en plus fréquente chez les femmes dans la trentaine, 9 et même les adolescentes peuvent être touchées. D'autres facteurs qui augmentent le risque d'adénomyose comprennent :
Mener deux grossesses ou plus jusqu'à terme 10 Chirurgies utérines antérieures, y compris l'ablation des fibromes utérins, la césarienne ou la dilatation et le curetage (D&C) Endométriose Principales causes de l’adénomyose Une combinaison d’hormones, de génétique et d’inflammation ou de lésion de la zone influence probablement le développement de l’adénomyose. Alerte scientifique signalé : 11
« On pense que la région située entre l’endomètre et le myomètre est endommagée, soit par les processus naturels du cycle menstruel, des grossesses et de l’accouchement, soit par des procédures médicales. Chez certaines femmes, les lésions de la couche de tissu endométrial ne guérissent pas comme elles le devraient et les cellules ressemblant à l’endomètre pénètrent et se développent anormalement dans le myomètre.
Il est possible que les incisions utérines pratiquées lors d'une intervention chirurgicale permettent, par exemple, l'invasion directe des cellules de l'endomètre dans la paroi utérine. Il a également été suggéré que le tissu endométrial mal placé pourrait se déposer dans la paroi utérine du fœtus au cours du développement. 12
L’inflammation de la muqueuse utérine après l’accouchement est un autre facteur potentiel susceptible de dégrader les limites des cellules tapissant l’utérus. Une autre théorie suggère que les cellules souches de la moelle osseuse dans le muscle utérin pourraient déclencher la maladie. 13
L’œstrogène, une hormone impliquée dans le cycle menstruel, favoriserait également la croissance de l’adénomyose. Par conséquent, les conditions entraînant des niveaux plus élevés d’œstrogènes peuvent être liées à un risque accru. « Quelle que soit la façon dont l'adénomyose se développe, sa croissance dépend des œstrogènes circulant dans le corps », explique la Mayo Clinic. 14
L'œstrogène favorise l'adénomyose
« Il a été prouvé que les œstrogènes sont les hormones essentielles à la croissance de l’adénomyose », comme l’indique le Journal of Clinical Medicine. 15 Pourtant, le rôle exact des œstrogènes dans l’aggravation de l’adénomyose n’est pas encore entièrement compris.
Dans une étude, les chercheurs ont découvert qu’une molécule appelée miR-145 est beaucoup plus présente dans les tissus de l’adénomyose que dans les tissus sains. 16 Des niveaux élevés de miR-145 activent les gènes qui provoquent l'inflammation et l'adhésion cellulaire.
Un gène important affecté par miR-145 est CITED2, qui joue un rôle clé dans l’arrêt du mouvement cellulaire. L’étude a montré que les œstrogènes, via un récepteur spécifique, augmentent les niveaux de miR-145, favorisant ainsi la progression de l’adénomyose. Yale Medicine explique également : 17
« Les preuves suggèrent qu'une exposition prolongée aux œstrogènes pourrait être un facteur contributif [à l'adénomyose utérine]. Les femmes peuvent être exposées à davantage d’œstrogènes si leurs cycles menstruels sont plus courts que la moyenne ou si elles ont été enceintes deux fois ou plus.
Cependant, de nombreuses personnes sont exposées à un excès d’œstrogènes sous forme de contraception , de thérapie de remplacement des œstrogènes et même d’exposition aux plastiques.
Les dangers d’un taux élevé d’œstrogènes
Bien que l’œstrogène soit communément appelé « l’hormone féminine », cela est trompeur, car il n’est pas réservé aux femmes. De plus, il n’existe pas un seul œstrogène mais plusieurs. L'une des propriétés des œstrogènes est leur capacité à augmenter la capacité des cellules à retenir l'eau, c'est pourquoi les femmes à dominance en œstrogènes sont sujettes à l'œdème (rétention d'eau). Le gonflement cellulaire est à la fois une caractéristique de la réponse cellulaire au stress et un signal de prolifération cellulaire.
Pendant la phase folliculaire du cycle menstruel, les œstrogènes stimulent le gonflement et la multiplication de la muqueuse utérine et des follicules en vue de la fécondation d’un ovule. De même, pendant et après la grossesse, le tissu mammaire gonfle et grossit pour faciliter la production de lait. Mais le gonflement et la prolifération cellulaires sont également une caractéristique du cancer. En effet, le mot oncologie vient du mot grec « oncos », qui signifie gonflement.
Dans son livre de 1997, « From PMS to Menopause: Female Hormones in Context » 18 , le biologiste Ray Peat19 a déclaré qu'il avait été démontré que les œstrogènes reproduisaient la phase de choc de la réaction de stress chez les animaux. Selon Peat, le but physiologique des œstrogènes est de stimuler la division cellulaire en déclenchant l’absorption d’eau par la cellule. Peat soupçonnait également que les œstrogènes étaient un inhibiteur métabolique qui ralentissait la production d'énergie dans la cellule.
De plus, comme l'a expliqué le chercheur en bioénergie Georgi Dinkov dans mon entretien avec lui, les œstrogènes sont cancérigènes et antimétaboliques , réduisant radicalement la capacité de vos mitochondries à créer de l'énergie cellulaire sous forme d'ATP en dépendant de la glycolyse aérobie (l'effet Warburg), qui altère radicalement. la phosphorylation oxydative. Cela contribue encore à son effet cancérigène.
Selon Dinkov, le rôle biochimique des œstrogènes est de faciliter la cicatrisation des plaies. En cas de traumatisme tissulaire, les œstrogènes ramènent les cellules différenciées de ce tissu spécifique à un état semblable à celui des cellules souches, afin de réparer le tissu endommagé. Chez les femmes jeunes et en bonne santé, la progestérone désactivera l'activité des œstrogènes. Cependant, la progestérone diminue avec l’âge, mais pas la synthèse des œstrogènes. Par conséquent, si votre taux d’œstrogènes est élevé et votre taux de progestérone faible, votre risque de cancer augmentera.
Les œstrogènes favorisent également la différenciation et la prolifération des cellules adipeuses (adipocytes) dans la couche adipeuse sous-cutanée, particulièrement répandue au niveau des cuisses, des hanches et des fesses, entraînant ainsi un stockage accru des graisses dans ces zones.
Certaines personnes et certains cliniciens pensent que les œstrogènes bio-identiques résolvent le problème, mais ils ne font rien de tel. L’œstrogène bio-identique présente toujours les mêmes caractéristiques négatives. Il augmente le risque de tous les cancers, réduit votre taux métabolique et augmente votre risque d'obésité, de diabète et d'ostéoporose, ainsi que d'adénomyose.
Conseils pour réduire votre exposition et votre charge aux œstrogènes
Le traitement conventionnel de l'adénomyose implique généralement des analgésiques et des traitements hormonaux, tels que les pilules contraceptives, et même une intervention chirurgicale, y compris l'hystérectomie. Mais l’une des stratégies les plus importantes – outre l’évitement des œstrogènes et des xénoestrogènes – consiste à prendre de la progestérone naturelle. Non seulement la progestérone est anti-œstrogénique, mais c'est un puissant bloqueur du cortisol et améliorera la production d'énergie cellulaire par les mitochondries en bloquant les œstrogènes et le cortisol.
Avant d'envisager d'utiliser la progestérone, il est important de comprendre qu'il ne s'agit pas d'une solution miracle et que vous en tirerez le meilleur parti en mettant en œuvre une approche de régime bioénergétique qui vous permet de brûler efficacement le glucose comme carburant principal avec des électrons de sauvegarde dans vos mitochondries qui réduisent votre production d'énergie. Mon nouveau livre à paraître prochainement sur la santé cellulaire couvre ce processus de manière très détaillée.
Une fois que vous avez réglé votre alimentation, une stratégie efficace qui peut aider à contrecarrer l’excès d’œstrogènes consiste à prendre de la progestérone transmuqueuse (et non orale ou transdermique), qui est un antagoniste naturel des œstrogènes. La progestérone est l’une des quatre hormones dont je pense que de nombreux adultes peuvent bénéficier. (Les trois autres sont l'hormone thyroïdienne T3, la DHEA et la prégnénolone.)
Je ne recommande pas la progestérone transdermique, car votre peau exprime des niveaux élevés d'enzyme 5-alpha réductase, ce qui provoque la conversion irréversible d'une partie importante de la progestérone que vous prenez principalement en allopregnanolone et ne peut pas être reconvertie en progestérone.
A titre de recommandation générale, je recommande de prendre 25 à 50 mg de progestérone bio-identique par jour, le soir une heure avant de se coucher, car elle peut aussi favoriser le sommeil. Pour une biodisponibilité optimale, la progestérone doit être mélangée à la vitamine E naturelle. La différence de biodisponibilité entre la prise orale de progestérone sans vitamine E et la prise avec de la vitamine E est de 45 minutes contre 48 heures.
Vous pouvez fabriquer le vôtre en dissolvant de la poudre de progestérone USP pure dans une capsule de vitamine E de haute qualité, puis en frottant le mélange sur vos gencives. Cinquante milligrammes de progestérone en poudre correspondent à environ 1/32 cuillère à café.
N'utilisez pas de vitamine E synthétique (acétate d'alpha-tocophérol — l'acétate indique qu'elle est synthétique). La vitamine E naturelle sera étiquetée « d alpha tocophérol ». Il s’agit de l’isomère D pur, que votre corps peut utiliser.
Il existe également d'autres isomères de la vitamine E, et vous voulez le spectre complet des tocophérols et des tocotriénols, en particulier les types bêta, gamma et delta, dans l'isomère D efficace. À titre d'exemple de vitamine E idéale, vous pouvez consulter l'étiquette de notre vitamine E dans notre magasin. Vous pouvez utiliser n’importe quelle marque portant une étiquette similaire.
Si vous êtes une femme menstruée, vous devez prendre la progestérone pendant la phase lutéale ou la dernière moitié de votre cycle, qui peut être déterminée en commençant 10 jours après le premier jour de vos règles et en arrêtant la progestérone au début de vos règles.
Si vous êtes un homme ou une femme non menstruée, vous pouvez prendre de la progestérone tous les jours pendant 4 à 6 mois, puis faire une pause pendant une semaine. Le meilleur moment de la journée pour prendre de la progestérone est 30 minutes avant de se coucher car elle a une fonction anti-cortisol et augmentera les niveaux de GABA pour une bonne nuit de sommeil.
Veuillez noter que lorsque la progestérone est utilisée par voie transmuqueuse sur vos gencives, comme je le conseille, la FDA estime que cela la transforme d'une manière ou d'une autre en médicament et interdit à toute entreprise de l'indiquer sur son étiquette. Cependant, sachez qu’il est parfaitement légal pour tout médecin de prescrire une indication non conforme pour un médicament.
Dans ce cas, la progestérone est une hormone naturelle et non un médicament et elle est très sûre même à fortes doses. Ceci est différent de la progestérone synthétique, appelée progestatifs, qui est utilisée par les sociétés pharmaceutiques, mais fréquemment et à tort appelée progestérone, qui est dangereuse et ne devrait jamais être utilisée par quiconque.
Compte tenu des risques pour la santé associés à un excès d’œstrogènes, voici quelques stratégies supplémentaires de bon sens qui peuvent vous aider à limiter votre exposition et à réduire votre charge d’œstrogènes :
Évitez les œstrogènes synthétiques – Minimisez l’exposition aux œstrogènes synthétiques, tels que ceux que l’on trouve dans le traitement hormonal substitutif et les contraceptifs oraux. Consultez un professionnel de la santé qualifié au sujet des traitements alternatifs et/ou des méthodes contraceptives à faible teneur en œstrogènes. Évitez l’acide linoléique (AL) – Les AGPI oméga-6 comme l’AL fonctionnent de manière très similaire aux œstrogènes, car ils augmentent tous deux votre risque de cancer et diminuent la fonction métabolique en supprimant votre thyroïde. Il est préférable de lire mon article complet sur Los Angeles pour plus de détails.
Choisissez des produits naturels — Optez pour des produits de soins personnels naturels et biologiques, notamment des articles de maquillage, de soins de la peau et de soins capillaires, pour réduire l'exposition aux produits chimiques synthétiques comme les parabènes et les phtalates, qui ont des propriétés œstrogéniques. Limiter l’exposition aux pesticides – Choisissez autant que possible des produits biologiques pour réduire l’exposition aux pesticides, dont beaucoup ont des effets œstrogéniques. Laver soigneusement les fruits et légumes peut également aider à éliminer les résidus de pesticides. Repensez vos produits ménagers — De nombreux produits d'entretien ménager, détergents à lessive et assainisseurs d'air contiennent des produits chimiques aux propriétés œstrogéniques. Remplacez-les par des alternatives naturelles et non toxiques ou créez vos propres solutions de nettoyage en utilisant du vinaigre, du bicarbonate de soude et des huiles essentielles. Évitez les récipients en plastique – Réduisez l’utilisation de récipients en plastique et d’emballages alimentaires, qui peuvent libérer des composés œstrogéniques dans les aliments et les boissons. Optez plutôt pour des récipients en verre ou en acier inoxydable pour le stockage des aliments et des bouteilles d’eau.
Maintenir un poids santé – Visez un poids et une composition corporelle sains grâce à une alimentation équilibrée et à une activité physique régulière. L’excès de graisse corporelle, en particulier autour des cuisses, des hanches et des fesses, peut contribuer à des niveaux d’œstrogènes plus élevés. Soutenez la santé du foie – Soutenez la fonction hépatique, car votre foie joue un rôle crucial dans le métabolisme et l’élimination de l’excès d’œstrogènes de votre corps. Adoptez une alimentation riche en nutriments, limitez votre consommation d'alcool et envisagez d'incorporer des herbes et des suppléments bénéfiques pour le foie, comme le chardon-Marie ou la racine de pissenlit. Réduire le stress — Gérez le stress grâce à des techniques de relaxation comme la méditation, des exercices de respiration profonde, le yoga ou en passant du temps dans la nature. Le stress chronique peut perturber l’équilibre hormonal, y compris les niveaux d’œstrogènes, il est donc essentiel de donner la priorité à la réduction du stress. *
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Lésions cérébrales causées par les vaccins à ARNm contre la COVID-19 Deux études sud-coréennes massives bousculent la donne
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 26 juin 2024
Étude n°1 : ( 28 mai 2024, Jee Hoon Roh et al ) Le neuroscientifique japonais, le Dr Hiroto Komano, s'inquiète de la montée explosive de la démence parmi les personnes vaccinées contre le COVID : une étude massive portant sur environ 600 000 personnes révèle
Dans un récent épisode de la chaîne Masako Ganaha publié le 16 juin 2024, le professeur Dr Hiroto Komano, neuroscientifique renommé et professeur au département de neurosciences de la faculté des sciences pharmaceutiques de l'université médicale d'Iwate, a partagé ses sérieuses inquiétudes quant au lien entre Vaccination contre le COVID-19 et augmentation des cas de démence.
Le Dr Komano possède un parcours académique impressionnant. Après avoir obtenu son diplôme de la Faculté des sciences pharmaceutiques de l'Université de Tokyo, il a été assistant à l'université et a occupé des postes de recherche à l'Université de Stanford et à la faculté de médecine de l'Université du Michigan aux États-Unis. Il a également été directeur de laboratoire au Centre national de gériatrie et de gérontologie en avril 2007. Ses principales recherches portent sur la compréhension des molécules impliquées dans l'apparition et la prévention de la maladie d'Alzheimer.
Au cours de l'entretien, le Dr Komano a parlé d'une étude réalisée en Corée du Sud, récemment publiée dans l'International Journal of Medicine par Roh et al. le 28 mai 2024.
Cette étude a examiné les données de santé de 519 330 personnes ayant reçu deux doses du vaccin contre la COVID-19 . et ils ont comparé ces personnes vaccinées à environ 38 687 personnes qui n'ont pas reçu le vaccin .
- voir schéma sur site -
Le Dr Komano a souligné plusieurs constatations troublantes :
Premièrement, elle a montré que l'incidence des troubles cognitifs légers (MCI), un stade précoce de la démence, a plus que doublé chez les individus vaccinés par rapport aux individus non vaccinés ( augmentation de +140 % ).
De plus, dans les trois mois suivant la vaccination, le nombre de personnes vaccinées ayant développé une démence, y compris la maladie d'Alzheimer, a augmenté de 23 % par rapport aux personnes non vaccinées.
Il a souligné l’augmentation inquiétante des cas de démence, déclarant : « Une augmentation de la démence serait désastreuse. Les personnes âgées qui survivent mais courent un risque plus élevé de développer une démence. Actuellement, « une personne sur cinq de plus de 65 ans souffre déjà de démence. " La situation pourrait s'aggraver considérablement, prévient le Dr Kamano : " Cela signifie que cela pourrait concerner deux personnes sur cinq. « Si la vaccination continue sans contrôle, le nombre de cas de démence ne fera qu’augmenter, posant un défi de santé publique important.
Outre les conclusions sur le lien potentiel entre la vaccination contre la COVID-19 et la démence, le Dr Komano a exprimé de graves inquiétudes quant aux implications plus larges de l’administration de tels vaccins. Il a prévenu : « L'administration de ce vaccin, qu'il s'agisse d'un vaccin contre la COVID-19 ou d'un vaccin réplicon, entraîne un affaiblissement du système immunitaire en raison de l'induction d'IgG4, et des personnes meurent d'autres maladies. » Le Dr Komano a également souligné les effets néfastes potentiels sur les enfants et les taux de natalité.
Critiquant le caractère expérimental du vaccin contre la COVID-19, le Dr Komano a exprimé sa conviction que les risques associés au vaccin sont considérables. Il a averti que les cas de démence augmenteraient probablement de manière significative si la vaccination se poursuivait , en particulier chez les personnes âgées. Le Dr Komano a souligné l’importance de poursuivre les recherches pour comprendre les effets à long terme du vaccin sur la santé cognitive.
Le Dr Komano a également souligné la nécessité cruciale d’enquêter sur la question de l’excrétion du vaccin/des protéines de pointe, exprimant sa profonde incrédulité face à la situation actuelle : « Rien de tout cela n’a été correctement étudié, et pourtant ils développent le prochain vaccin à réplicon (ARNm). Il est incroyable qu’ils développent également d’autres vaccins à ARN messager. "
Se joignant à la discussion, l'éminent biologiste moléculaire, le Dr Hiroshi Arakawa, a souligné les problèmes systémiques dans la communauté de la recherche. Il a souligné que pour de nombreux chercheurs, l'accent est mis sur l'obtention de financements et l'avancement de carrière , ce qui signifie souvent éviter les sujets qui n'attirent pas de soutien financier ou ne mènent pas à des publications de premier plan.
Il a noté : « De plus, faire de telles annonces peut entraîner des réprimandes des chercheurs par leurs institutions », établissant un parallèle avec un incident récent aux Pays-Bas où le Centre Princess Maxima a tenté de censurer et de réprimander l'auteur principal d'un article du BMJ qui exhortait les gouvernements à explorer les possibilités potentielles. La thérapie génique à ARNm est nocive.
Étude n°2 : ( 4 juin 2024, Hong Jin Kim et al ) Cette étude vise à étudier les EI psychiatriques après la vaccination contre le COVID-19 à partir d'une vaste cohorte de population à Séoul, en Corée du Sud.
Nous avons recruté 50 % de la population résidant à Séoul, sélectionnée au hasard dans la base de données des réclamations du Service national coréen d'assurance maladie (KNHIS).
Au total, 4 348 412 personnes vivant à Séoul, en Corée du Sud, constituant 50 % de la population, ont été incluses et étudiées.
Les incidences cumulées pour 10 000 EI psychiatriques ont été évaluées une semaine, deux semaines, un mois et trois mois après la vaccination contre le COVID-19.
Résultats L’incidence cumulative de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, de troubles du sommeil et de troubles sexuels trois mois après la vaccination contre le COVID-19 était plus élevée dans le groupe vacciné que dans le groupe sans vaccination.
Dépression +68 % Anxiété, dissociative, stress, somatoforme +44 % troubles du sommeil +93 % La schizophrénie et les troubles bipolaires ont montré une incidence cumulée plus faible dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné.
Figure 2
- voir graph sur sitre -
Étude n°3 : (11 avril 2024, Lazareva et al) Notre revue systématique visait à examiner les cas d’apparition d’une psychose suite à la vaccination contre la COVID-19.
Nous avons mené une revue systématique des rapports de cas et des séries de cas sur l'apparition d'une psychose suite à la vaccination contre la COVID-19 du 1er décembre 2019 au 21 novembre 2023.
Au total, 21 articles décrivent 24 cas d’apparition de nouveaux symptômes psychotiques suite à la vaccination contre la COVID-19.
54 % étaient des femmes, âgées en moyenne de 34 ans, avec un délai moyen d'apparition de 6 jours.
La durée des symptômes psychotiques variait entre 1 et 2 mois avec une moyenne de 52,48 jours.
Des anomalies des analyses sanguines ont été notées dans 50 % des cas, principalement une leucocytose légère à modérée et une élévation de la protéine C-réactive (signe d'inflammation).
Les résultats de l'imagerie par résonance magnétique étaient anormaux dans 20,8 % des cas.
Dans l’ensemble, 50 % des patients ont obtenu un rétablissement complet (50 % non).
CONCLUSION : « Les données suggèrent un lien potentiel entre le jeune âge, les vaccins à ARNm et à vecteur viral avec une nouvelle apparition de psychose dans les 7 jours suivant la vaccination. »
« La collecte de données sur les effets psychiatriques liés au vaccin est cruciale pour la prévention, et un algorithme de surveillance et de traitement des réactions de santé mentale après la vaccination est nécessaire. »
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Mon avis… Les vaccins à ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna traversent la barrière hémato-encéphalique (BBB).
Nous commençons maintenant à obtenir des preuves solides des DOMMAGES CÉRÉBRAUX causés par les vaccins à ARNm contre la COVID-19.
Pour résumer, si vous vous faites vacciner contre le COVID-19 :
à 3 mois : +140 % avaient des troubles cognitifs légers à 3 mois : +23 % souffraient de démence d'Alzheimer à 3 mois : +68 % avaient une dépression à 3 mois : +44 % avaient des troubles anxieux, dissociatifs, stress, somatoformes à 3 mois : +93 % troubles du sommeil dans les 7 jours : risque accru de psychose, risque le plus élevé à 34 ans, avec seulement 50 % de chances de guérison Ce sont des études massives et les preuves de DOMMAGES CÉRÉBRAUX sont indéniables.
Avez-vous remarqué : deux études réalisées en Corée du Sud et une en Lettonie, où les médecins peuvent encore être médecins, apparemment.
Changement climatique et gaz carbonique : fausse durabilité contre durabilité réelle
Par Mark Keenan Recherche mondiale, 24 juin 2024
Le mouvement vert moderne est très éloigné des principes initiaux de l’environnementalisme.
La fausse durabilité est le programme politique conçu et poussé par les Nations Unies, mis en œuvre par des gouvernements inféodés, et qui sert les objectifs des banques privées et des super-entités des mégaentreprises. Au centre de cet agenda se trouvent la tromperie sur le changement climatique et d’autres faux récits de l’ONU, comme décrit dans le livre Transcending the Climate Change Deception Toward Real Sustainability .
Sous la rubrique « FAUX durabilité », nous pouvons considérer des points tels que :
Le changement climatique d’origine humaine est un mensonge commode : il n’est pas causé par le gaz carbonique ou le méthane provenant du bétail, comme les vaches. Les températures étaient plus élevées dans les années 1930 qu’aujourd’hui, mais l’ONU ignore ces données. Un président du comité IPPC de l’ONU a en fait démissionné pour protester contre les mensonges et les fausses informations de l’ONU. La plupart des scientifiques qui affirment que le changement climatique est un problème bénéficient de subventions gouvernementales perpétuelles. L'IPCC de l'ONU sélectionne les données, utilise une modélisation erronée et des scénarios qui n'ont aucun rapport avec le monde réel. La géo-ingénierie sous couvert de lutte contre le changement climatique et la technologie utilisée pour polluer le ciel
Les banquiers centraux financent entièrement l’avancement du « projet » mondial sur le changement climatique. Les banquiers centraux ont détourné le véritable mouvement environnemental en 1992 en créant un faux programme sur le changement climatique. Entre autres arrière-pensées financières, la dynastie bancaire Rockefeller a promu l’agenda de l’alarmisme climatique. Le Chicago Climate Exchange est un canular générateur de milliers de milliards de dollars.
Les énergies renouvelables ne constituent pas une solution viable aux problèmes énergétiques mondiaux. En témoignent les travaux de David MacKay, (1967 – 2016), ancien professeur Regius d'ingénierie à l'Université de Cambridge et ancien conseiller scientifique en chef du ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique, dans son livre Sustainable Energy Without Hot Air, voir Endnote . Son analyse montre qu'une superficie deux fois plus grande que l'ensemble du Pays de Galles devrait être entièrement couverte d'éoliennes pour répondre à la demande énergétique du Royaume-Uni, sur la base de la consommation moyenne d'énergie par personne. Voici un extrait de son livre :
« Premièrement, pour qu’une installation renouvelable puisse apporter une contribution appréciable – une contribution comparable à notre consommation actuelle – elle doit être à l’échelle d’un pays. Pour fournir un quart de notre consommation énergétique actuelle en cultivant des cultures énergétiques, par exemple, il faudrait que 75 % de la Grande-Bretagne soit couverte de plantations de biomasse… Quelqu'un qui veut vivre d'énergies renouvelables, mais s'attend à ce que les infrastructures associées à ces énergies renouvelables ne le soient pas. grande ou intrusive, se fait des illusions… nous sommes obligés de conclure que la consommation actuelle ne sera jamais satisfaite par les énergies renouvelables britanniques… Les éoliennes qui seraient nécessaires pour fournir au Royaume-Uni 20 kWh/j par personne représentent 50 fois le matériel éolien total de Danemark; 7 fois tous les parcs éoliens d'Allemagne ; et doubler la flotte totale de toutes les éoliennes dans le monde… La capacité d’énergie solaire requise pour fournir ces 50 kWh par jour et par personne au Royaume-Uni est plus de 100 fois supérieure à celle du photovoltaïque dans le monde entier… »
L’absurdité des voitures électriques – voir cet article Conduire une voiture électrique est un faux environnementalisme – Elon Musk démystifié L’absurdité des bouteilles et des emballages en plastique qui libèrent des microplastiques nocifs pour la santé dans les aliments destinés à la consommation humaine L'échec de la « révolution verte » de l'agriculture industrielle qui dégrade la qualité et la fertilité des sols via l'utilisation de grandes quantités d'herbicides et de pesticides chimiques. Désertification – l’ONU déclare à tort que l’élevage est une cause, mais c’est en réalité une solution
Le véritable environnementalisme a été détourné par les objectifs trompeurs de développement durable de l’ONU – voir l’article Décoder les objectifs de développement durable de l’ONU : endoctriner vos enfants dans le nouvel ordre mondial « faux durable » 30 ans de développement durable défini par l’ONU n’ont pas résolu les véritables problèmes environnementaux et de bien-être humain. L’Agenda 21/2030 des Nations Unies et le programme trompeur de réinitialisation du Forum économique mondial sont des programmes de contrôle et sont à l’opposé d’une véritable durabilité. Les villes intelligentes de l'Agenda 2030 des Nations Unies sont intelligentes pour les contrôleurs du « nouvel ordre mondial », mais ne le sont pas pour vous. Le développement durable de l’ONU est un problème présenté comme une solution
L'astuce des sites du patrimoine mondial et du « réensauvagement » consiste à déplacer les agriculteurs indépendants et les populations locales de leurs terres vers des villes intelligentes où ils ne peuvent pas cultiver beaucoup de nourriture.
La mondialisation des mégaentreprises est un paradigme destructeur. Il s’agit d’une conception visant à diriger les méga-entreprises sur les ressources mondiales et sur l’approvisionnement alimentaire mondial. Des politiques de développement insensées ne peuvent pas produire une société saine. Il faut noter la tragédie des biens communs et la privatisation de tout – voir aussi cet article. La Banque mondiale et le FMI sont des organisations qui ont dévasté le monde en développement en enchaînant les pays dits en développement (et même les soi-disant pays du premier monde) à dette impayable. Le mot « durable » a été détourné par les forces financières et politiques il y a des décennies. La définition trompeuse de Brundtland du développement durable influence les stratégies politiques de développement durable. Il convient de noter les fausses aubes/échecs/défauts des stratégies de découplage, de substitution des ressources et d’éco-efficacité.
Les politiques internationales de « développement durable » approuvent à tort des formes polluantes de croissance du PIB ; et approuve à tort l’usure et l’orthodoxie financière actuelle basée sur l’argent de la dette. Les politiques de l’ONU ne bouleverseront jamais l’orthodoxie ; en fait, l’orientation centrale des politiques de l’ONU est alignée sur l’orthodoxie et conçue par elle.
La stratégie d’économie verte et de croissance verte est une mondialisation destructrice peinte en vert. L'ONU promeut à tort « des formes polluantes de croissance du PIB », provoquant ainsi un impact environnemental. Au-delà d’un certain point, la croissance du PIB n’augmente pas le bien-être humain, elle l’appauvrit. L’économie contemporaine est une idéologie erronée, ce n’est pas une discipline scientifique. Il existe des problèmes systémiques dans le système économique actuel de mondialisation – voir aussi le livre Demonic Economics
À qui sert réellement l’ONU ? La vérité choquante sur le communisme, le capitalisme et la Seconde Guerre mondiale – voir aussi le livre Censored History Tous les gouvernements qui prônent le faux programme de développement durable sont des sociétés enregistrées perpétuellement endettées envers des méga-banques privées et sont conçues pour vous taxer et vous contrôler – voir aussi le livre Demonic Economics. Sous la rubrique « VRAIE durabilité », nous pouvons considérer des points tels que :
Qu’en est-il du véritable défi de la durabilité ? La Terre dont nous dépendons tous – qu’en est-il de la pollution réelle de la terre, de l’air et de l’eau ?
Il est erroné de blâmer la croissance démographique pour les problèmes de durabilité plutôt que de s’attaquer aux causes profondes du système financier et des entreprises. La voie à suivre vers une société humaine mondiale « réelle », durable et résiliente, prospère, implique une réalité distinguée de l'illusion. Dans le système actuel, le monde économique est gouverné par les conséquences de la création de monnaie-dette et par leurs tentacules de contrôle des méga-entreprises. Cela implique de contourner la réinitialisation technocratique du FEM/ONU d’un gouvernement totalitaire mondial unique et non élu. Cela implique de contourner la fausse science dans laquelle la « science » a été récupérée et ajustée pour agir comme un bâton avec lequel vous forcer à vous conformer – voir aussi le livre Godless Fake Science.
Le principe de précaution scientifique visant à protéger la vie humaine et la nature a été largement ignoré dans ce système de mondialisation des entreprises . Ce principe devrait être utilisé pour prévenir les effets à long terme potentiellement indésirables et inconnaissables de technologies qui n’ont pas été testées sur une période prolongée, telles que les nouveaux OGM, les nouveaux composés chimiques fabriqués par l’homme et les nanotechnologies.
Les tentatives de l'ère moderne pour définir scientifiquement la « vraie » durabilité impliquent d'équilibrer les flux de matières avec les capacités de la nature via une conception durable. Ces tentatives incluent : la conception Cradle to Cradle, la conception durable et l’efficacité. Cependant, ces stratégies à elles seules ne compenseront jamais les dégâts du système polluant de la mondialisation des entreprises. Les moteurs fondamentaux de la mondialisation : le système dette-argent qui laisse tous les gouvernements dans une énorme dette impayable ; l'usure qui exige à tout prix le PIB des gouvernements ; et le contrôle croissant des entreprises sur les ressources mondiales doit être abordé.
Un retrait durable d’un système de mondialisation défectueux implique la création de systèmes locaux résilients et l’abandon des faux discours, tels que l’alarmisme climatique d’origine humaine. Actuellement, nous vivons dans un système dépendant du pétrole, du gaz et du charbon (notez que les voitures électriques dépendent de l’électricité produite principalement à partir du pétrole et du charbon). Il existe un risque d’effondrement de la société si le rendement énergétique de l’énergie investie pour ces carburants devient trop faible et si le coût de ces carburants augmente au-delà de ce que les gens peuvent se permettre de payer. Pour éviter la dépendance, il est nécessaire de recourir à des technologies intermédiaires telles que définies par des auteurs tels que EF Schumacher. L’importance de l’agriculture biologique et d’une alimentation exempte de toxines et de composés chimiques d’origine humaine.
Dans le monde de la production conventionnelle, un agriculteur peut pulvériser sur ses cultures des pesticides ; ces produits chimiques peuvent avoir des effets dévastateurs sur la biodiversité nécessaire à une fertilité saine des sols. La réalité de la production maraîchère conventionnelle est l’utilisation systématique d’herbicides, comme le glyphosate, les pesticides et les fongicides. Autrefois, tous les produits alimentaires étaient « biologiques ». Aujourd’hui, des produits chimiques sont couramment utilisés dans la production alimentaire. Une industrie massive réalise d’énormes profits en vendant des produits chimiques utilisés dans le système alimentaire contrôlé par les entreprises . Certains de ces produits chimiques sont en réalité toxiques pour les humains et pour la biodiversité dont dépend la santé des sols. Les produits chimiques n’ont pas leur place dans notre système alimentaire ni dans le sol. Lorsque les agriculteurs biologiques demandent la certification du label biologique, les produits peuvent être vérifiés pour plus de 800 produits chimiques qui pourraient éventuellement se trouver sur le produit ! L’esprit est ahurissant face à cette réalité.
« Comme le paysage des supermarchés serait différent si, au lieu de rechercher des produits « certifiés biologiques », tous les produits pulvérisés devaient porter une étiquette décrivant les traitements chimiques qu'ils ont reçus lors de leur trajet depuis la graine jusqu'au supermarché. Dans quelle mesure notre système alimentaire serait-il différent ? Imaginez votre sac de carottes étiqueté comme suit : quels sont les 10 produits chimiques les plus utilisés sur les carottes cultivées en Irlande en 2015 , la dernière année pour laquelle des données sont disponibles. Lambda-cyhalothrine, Linuron, Métribuzine, Azoxystrobine, Difénoconazole, Pendiméthaline, Prothioconazole, Boscalid, Pyraclostrobin, Tebuconazole » – Agriculteur biologique irlandais, Green Earth Organics
Voir également la solution bio-char pour la gestion des sols et la désertification. Arrêtez la production alimentaire OGM – personne ne connaît les effets à long terme sur les humains et la nature. Dieu nous a donné tous les aliments naturels dont nous avons besoin pour vivre sainement – ne touchez pas au dessein de Dieu. Soyez conscient des ingrédients contenus dans les vaccins – pourquoi injecter aux animaux de ferme, comme les poulets, des vaccins contenant des toxines, dont la science est pour le moins très discutable. Soyez également conscient des toxines présentes dans l’eau fluorée.
L’importance des vaches dans les communautés autosuffisantes contraste fortement avec le faux programme politique et onusien visant à réduire le nombre de vaches et, en fait, à empêcher les populations locales du monde entier de produire leur propre lait cru sain en gardant les vaches dans les communautés locales. Redécouvrir la puissance et le dynamisme des chevaux est également une option pour les communautés rurales résilientes. La redécouverte de la splendeur des anciens villages forestiers et de l'agriculture forestière pour ses fruits, ses herbes, ses matériaux de construction, etc. peut également être explorée.
Avec de nombreuses réglementations agricoles ridicules imposées par le gouvernement, dont beaucoup sont basées sur la fausse science du changement climatique d’origine humaine, il est nécessaire que l’agriculture traditionnelle soit découplée d’un système contrôlé par le gouvernement.
La construction de maisons naturelles utilisant des matériaux naturels et sans utilisation de produits chimiques, de peintures et de meubles (y compris les isolants pompés dans les murs) qui dégagent des gaz dans votre maison peut être explorée.
Il existe d'innombrables façons par lesquelles des personnes libres peuvent facilement travailler pour leur bénéfice mutuel et celui de la société sans que les gouvernements ne s'y opposent en imposant de fausses politiques de durabilité. La seule véritable autorité est Dieu, et non les systèmes de pouvoir corrompus et corrompus créés par l'homme et qui poussent le programme de « fausse durabilité » de l'ONU à promouvoir leurs propres objectifs. *
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Mark Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du gouvernement britannique et de la Division de l'environnement des Nations Unies.
Il contribue régulièrement à Global Research. Il est l'auteur des livres suivants disponibles sur amazon.com
Dépasser la tromperie du changement climatique vers une véritable durabilité Canular climatique sur le gaz carbonique – Comment les banquiers ont détourné le véritable mouvement environnemental Fausse science impie Pas de soucis, pas de virus L’économie démoniaque et les astuces des banquiers Les faux atterrissages sur la Lune et les mensonges de la NASA Histoire censurée du nouvel ordre mondial – Seconde Guerre mondiale, communisme, sionisme, juifs et Vatican
Nota (en passant): Les vaches pètent ! (comme tout le monde !) oui mais... les vaches sont végétariennes 100 % ! L'herbe fait péter ! Et, que vous préconise t-on ? de bouffer des végétaux à la place de la viande !! HAHAHA ! Les végétaux (et pas seulement les fayots) font péter !
Regardez la composition de l'air:
Azote (N2) 78,084 % Oxygène (O2) 20,953 % Argon (Ar) 0,9340 % Vapeur d'eau (H2O) de < 0,5 % à ~ 5 % GAZ RARES: Gaz carbonique 420 ppmv (en 2023) soit 0,041 % Néon (Ne) 18,18 ppm, soit 0, 018 % Hélium (He) 5,24 ppm soit 0,005 % Méthane (CH4) 1,745 ppm soit 0,0000017 % Krypton (Kr) 1,14 ppm soit 0,0000011 % Hydrogène (H2) 550 ppb soit 0,0000000055 %
Méthane (CH4) 1,745 ppm soit 0,0000017 % !!! et... ce serait... un gaz à effet de serre !!: HAHAHAHA ! Un putain de grillage avec une maille tout les 150 km ! HAHAHAHA !
Pass sanitaire, Pass carbone et maintenant Pass pour voter… Le Nouveau Front Populaire défendrait les libertés ? Je comprends :C’est le crédit social !
le 26 juin 2024 par pgibertie
À écouter, absolument, avant de voter le 30 juin. Une proposition scandaleuse de plus venue du Nouveau Front populaire, qui donne la vraie dimension de ce qui nous attend si ces casseurs de société arrivent aux affaires…
Pass sanitaire…
Pass carbone
Pass de bon citoyen pour voter
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Le crédit social est chinois : de 2014 à 2020, le gouvernement y a lancé un programme de construction du « système de crédit social » (shehui xinyong tixi en chinois) qui fait les choux gras de la presse occidentale et inspire des films de science-fiction. En Chine, cette nouvelle forme de gouvernance a d’abord été conçue pour répondre aux difficultés de faire appliquer les lois et les décisions de justice. C’est le grand paradoxe du régime autoritaire chinois : les règles et les lois, pléthoriques et souvent très strictes, continuent d’être peu respectées, tant par les institutions que par les citoyens. Pour compenser, l’Etat-parti gouvernement sévit par des campagnes d’une sévérité inouïe. Il s’agirait donc de trouver un entre-deux : apporter une solution systémique à l’empire de la fraude et de l’arbitraire qu’est la Chine en instaurant une « contrôlocratie » grâce à toutes sortes de paramètres et à l’intelligence artificielle
Exode d’Hollywood : pourquoi les travailleurs du cinéma et de la télévision quittent Los Angeles
Après neuf ans de travail à Hollywood en tant que directeur de la photographie, monteur et réalisateur, Robby Piantanida a déménagé avec sa famille au Texas pour économiser de l'argent. (Zoé Cranfill / Los Angeles Times)
Par Josh Rottenberg Rédacteur 24 juin 2024 à 03h00 (heure du Pacifique)
Los Angeles attire depuis longtemps ceux qui recherchent leur grand succès dans le cinéma et la télévision, attirés par l'attrait de l'épanouissement créatif et de la célébrité. Mais les discussions sur un exode croissant se font de plus en plus fortes, alors que la hausse des coûts du logement et la diminution des opportunités de carrière poussent de nombreuses personnes à poursuivre leurs rêves ailleurs.
La main-d’œuvre de l’industrie du divertissement de la ville a été secouée par une série de chocs sans précédent, depuis une pandémie mondiale jusqu’à la double grève des écrivains et des acteurs de l’été dernier. À mesure que le boom du streaming s’est estompé, les sociétés de divertissement ont perdu des emplois, et les réseaux, les studios et les streamers ont réduit leurs listes de programmes. Alors que l’industrie est aux prises avec un ralentissement et que le coût de la vie à Los Angeles reste élevé, la devise de ceux qui luttent pour rester dans la ville est devenue « Survivre jusqu’en 25 », dans l’espoir d’un rebond l’année prochaine.
Mais beaucoup n’ont tout simplement pas été en mesure, ou n’ont pas voulu, de continuer à endurer la situation dans une ville où les loyers ont augmenté et où les prix de l’immobilier restent à un niveau record, en hausse de 6 % par rapport à l’année dernière seulement. Avec une grève potentielle de 60 000 personnes au sein du syndicat des membres d’équipage qui maintient l’industrie en alerte, sans parler de la menace existentielle de l’intelligence artificielle pour les emplois créatifs, l’incertitude a poussé un nombre croissant de travailleurs du cinéma et de la télévision à chercher la stabilité ailleurs.
Certains sont partis travailler dans des endroits comme Atlanta et le Nouveau-Mexique, qui ont attiré les productions hors de Los Angeles grâce à de généreuses incitations fiscales. D’autres ont complètement abandonné le secteur du divertissement et tentent de se forger une nouvelle carrière. Qu'ils aient déménagé par choix ou par désespoir, les travailleurs déracinés d'Hollywood ont inévitablement fait face à des défis inattendus, tant financiers qu'émotionnels.
Voici trois de leurs histoires :
En matière de production cinématographique et télévisuelle, Robby Piantanida peut faire à peu près tout, de la cinématographie au montage, en passant par la réalisation, les effets visuels et la composition. « Je suis un homme touche-à-tout », dit-il. Mais de nos jours, il semble que tout faire ne soit toujours pas suffisant pour rester à flot.
Au cours des neuf années qui se sont écoulées depuis qu'il a déménagé à Los Angeles, Piantanida a accumulé de nombreux crédits dans des documentaires, des vidéoclips et des projets de cinéma et de télévision. Il a monté un documentaire PBS sur le marchand d'art de Los Angeles Jeffrey Deitch et un court documentaire intitulé « Fertile Ground », sur l'insécurité alimentaire dans le Mississippi, qui a remporté un Emmy régional en 2021. Récemment, il a été directeur de la photographie sur la série « How Music Got Free ». », produit par Eminem et LeBron James et désormais diffusé sur Paramount+, et en tant que directeur de la photographie du film indépendant « Dogleg », le premier film des studios Brain Dead de L.A., qui est désormais sur Mubi.
Mais récemment, comme tant d’autres à Hollywood, Piantanida s’est retrouvé pris dans les courants descendants de l’industrie. Ce mois-ci, confrontés à la diminution des opportunités de travail et à la flambée du coût de la vie à Los Angeles, Piantanida, sa femme et leur fille de 2 ans ont fait leurs valises et sont retournés chez ses parents dans sa ville natale de Tyler, au Texas, pour se regrouper et économiser. de l'argent pendant qu'ils réfléchissent à leur prochain mouvement. « Si nous n’avions pas eu ce genre de soutien familial, je n’ai aucune idée de ce que nous aurions fait », dit-il.
Depuis début 2021, Piantanida et sa famille louaient une maison de trois chambres à Alhambra pour 2 626 $ par mois. Mais pendant la pandémie, sa femme, qui a une formation en production et en design artistique, a été licenciée de son emploi dans une agence artistique et a perdu son salaire à six chiffres. Les opportunités se sont raréfiées pour Piantanida et son revenu annuel est passé d'environ 150 000 dollars à son apogée à plus de 80 000 dollars.
Lorsque leur propriétaire a décidé de vendre leur maison, ils savaient que quelque chose devait céder. « Nous survivons depuis plusieurs années avec un seul revenu », explique Piantanida. « Nous avons dépensé beaucoup d’économies simplement en essayant de maintenir ce rêve en vie. ... Si nous pouvions trouver quelque chose pour le même prix, ce serait formidable, mais tout comme cette maison coûterait près de quatre mille dollars. Le travail est si lent en ce moment que je ne peux pas justifier de dépenser quatre mille dollars par mois que je n’ai pas en loyer. Nous retirerions de l’argent de la retraite de ma femme pour rester à Los Angeles. »
Lorsque Piantanida est arrivé dans la ville il y a près de dix ans, le secteur du streaming était en plein essor et les opportunités pour un cinéaste en herbe semblaient relativement nombreuses. Il avait passé les sept années précédentes à perfectionner ses compétences en cinéma à Jackson, dans le Mississippi, où il avait étudié les beaux-arts à l'université, créant ainsi une société de production à service complet pour des documentaires, des courts métrages, des vidéoclips et du contenu de marque. Même s'il avait beaucoup d'expérience derrière la caméra, Piantanida n'avait pas de véritables relations sur lesquelles s'appuyer à Los Angeles, et son salaire en a d'abord pris un coup.
«J'ai quitté le Mississippi, où je gagnais 2 500 dollars par jour en tournant des publicités, pour m'installer à Los Angeles, où j'ai eu la chance de gagner 500 ou 800 dollars», explique Piantanida. « C’était très difficile de se connecter. Je suis chroniquement mauvais pour me vendre et il y a tellement de contrôles. Tout ce que j’ai fait s’est fait par le bouche à oreille.
Peu à peu, un travail en a entraîné un autre et Piantanida a trouvé sa place. Mais il est de plus en plus difficile de trouver un travail bien rémunéré et enrichissant sur le plan créatif. Au cours des trois dernières années, Piantanida a créé environ 20 à 30 grésillement – de courtes vidéos promotionnelles utilisées pour présenter des émissions de télévision – mais seules quelques-unes ont été vendues sur un marché qui privilégie les contenus moins chers et plus tendance comme les séries de téléréalité et les jeux télévisés de style TikTok. sur des documentaires haut de gamme. Pour rendre les choses encore plus difficiles, les entreprises produisent du contenu en interne, réduisant ainsi les opportunités de travail indépendant pour quelqu'un comme Piantanida, qui n'a aucune représentation et n'a jamais vraiment réussi à accumuler les heures requises pour adhérer à un syndicat.
Piantanida a consacré une grande partie de ce qu'il a gagné à l'équipement, pour un coût annuel de 20 000 à 50 000 dollars, qu'il peut compter comme une déduction commerciale sur ses impôts. « Se tenir au courant des dernières nouveautés coûte très cher », dit-il. « Tout cela changerait si je devenais syndiqué. Je gagnerais autant d’argent que possible et je ne le dépenserais pas en équipement, je le dépenserais en économies. Mais lorsque vous possédez votre propre entreprise et que vous êtes une société S, j'ai été élevé et les agents des impôts m'ont dit : « Achetez simplement du matériel tant que vous le pouvez ». Ce sont des choses que vous pouvez utiliser et avec lesquelles vous pouvez gagner de l’argent.’ J’ai donc toujours réinvesti l’argent dans l’entreprise.
Pour lever des fonds, Piantanida a récemment vendu une partie de cet équipement ; il essaie de se débarrasser de 30 000 $ de lentilles. « Cela améliorerait grandement notre situation », dit-il. "Mais ce n'est pas vraiment un marché d'achat en ce moment."
Au Texas, Piantanida et sa famille paieront 350 $ par mois pour vivre dans un chalet sur la propriété de 12 acres de ses parents et bénéficieront de la garde d'enfants gratuite de ses parents et de sa sœur. En plus de retourner à un travail plus lucratif en entreprise (un emploi récent dans une start-up de santé mentale lui a rapporté 30 000 dollars), Piantanida espère que les généreuses incitations fiscales du Texas pour la production cinématographique, que l'État a augmenté l'année dernière de 45 à 200 millions de dollars. millions, contribuera à mettre le travail local à sa disposition.
"La Californie est en train de ruiner l'industrie, et maintenant le Texas passe à l'action, un peu comme la Louisiane et Atlanta l'ont fait il y a 15 ans", explique Piantanida, qui développe un projet pour PBS Austin comportant des visuels atmosphériques associés à sa propre musique d'ambiance originale. "Il y a beaucoup de travail au Texas, et cela semble être une bonne décision pour nous."
Pourtant, passer du sud de la Californie à l’est du Texas constitue un ajustement majeur. «J'adore le climat de Los Angeles et l'accès aux montagnes et à la plage», déclare Piantanida. «Ça va beaucoup nous manquer. ... Je dois aussi changer mes plaques d'immatriculation, car nous sommes désormais dans le pays de Trump et si nous circulons avec une étiquette californienne, nous allons nous faire harceler.»
Dans environ un an, si les affaires de cinéma et de télévision reprennent et que sa femme décroche un nouvel emploi, le plan est d'essayer de retourner sur la côte ouest et d'acheter une maison, peut-être à Lake Arrowhead ou dans la Bay Area ou Seattle.
«J'ai quitté Tyler quand j'avais 17 ans et je n'ai jamais voulu y retourner», dit Piantanida. « Mais les terres de ma famille sont incroyables : elles s’étendent magnifiquement dans les bois, et vous pouvez être là-bas et être totalement isolé. C’est juste un moment unique dans notre vie pour faire une pause et réévaluer. Ce ralentissement affecte tout le monde. Nous verrons où nous atterrirons.
En 2001, Hollywood était sur une trajectoire ascendante apparemment imparable. Le box-office annuel augmentait chaque année, avec de nouvelles franchises à succès, de "Harry Potter" à "Fast and the Furious" en passant par "Ocean's 11", tandis que Netflix envoyait toujours des DVD par la poste. Ayant déménagé à Los Angeles cette année-là, fraîchement sortie de l'université, Jennifer Brody se sentait prête à prendre la vague.
Avec le recul, compte tenu de tout ce qui est arrivé à l’industrie depuis, elle a l’impression de l’avoir raté.
Au moment où elle est arrivée à Los Angeles, Brody avait étudié le cinéma à l'Université Harvard et effectué deux stages d'été inestimables : l'un travaillant pour un producteur sur le terrain des Walt Disney Studios et l'autre sur le tournage d'un film indépendant décalé de 5 millions de dollars avec un Jake Gyllenhaal alors inconnu appelé « Donnie Darko » – « un petit film qui est devenu un très grand film », dit Brody.
Brody a fait ses premiers pas à Hollywood, décrochant un emploi dans la nouvelle société de production du réalisateur à succès Michael Bay, Platinum Dunes, en tant qu'assistant des producteurs Brad Fuller et Andrew Form. De là, elle a rejoint New Line, où elle a eu un aperçu de projets aussi variés que la trilogie « Le Seigneur des Anneaux » et le drame d’époque de Terrence Malick « Le Nouveau Monde » se sont réunis. En 2008, elle a produit le film de danse « Make It Happen », mettant en vedette Mary Elizabeth Winstead et Tessa Thompson, pour la Weinstein Company.
Visualiser combien de temps chaque génération peut survivre sans revenu ?
PAR TYLER DURDEN MARDI 25 JUIN 2024 - 05:20
Avec près de la moitié des personnes de moins de 34 ans dans le monde incapables de couvrir leurs besoins pendant un mois ou moins sans revenu, il n’est pas surprenant que la résilience financière soit un sujet brûlant.
Ainsi, pour ce graphique, Visual Capitalist s’est associé à la Lloyd’s Register Foundation pour explorer plus en profondeur la résilience économique et déterminer combien de temps une personne moyenne peut se permettre de couvrir ses besoins sans revenu.
- voir graph sur site -
Rapport World Risk Poll 2024 : Résilience économique La Lloyd's Register Foundation produit le World Risk Poll tous les deux ans en partenariat avec Gallup, et le rapport World Risk Poll 2024 explore les risques quotidiens de 147 000 personnes dans 142 pays.
Ils ont demandé aux personnes interrogées pendant combien de temps elles pourraient se permettre de subvenir à leurs besoins fondamentaux, tels que la nourriture, le transport et le logement, si elles perdaient tous leurs revenus.
Voici ce qu’ils ont trouvé :
- voir liste sur site -
Les résultats révèlent une tendance distincte dans tous les groupes d'âge, les répondants se répartissant généralement en deux catégories : ceux qui disposent d'un mois ou moins de ressources financières et ceux qui disposent de plus de quatre mois. Relativement moins de répondants ont déclaré être capables de survivre deux à trois mois.
Résilience économique nationale
Le pays dans lequel vit une personne contribue également de manière significative à sa capacité à couvrir ses besoins fondamentaux.
L’écart est particulièrement marqué entre le pourcentage de personnes interrogées qui ne peuvent couvrir leurs besoins que pendant une semaine ou moins et ceux qui peuvent couvrir leurs besoins pendant un mois ou plus – une infime minorité dans les économies développées, mais une part significative des personnes interrogées dans certains pays en développement. nations.
- voir graph sur site -
Concevoir un monde plus sûr
Le rapport World Risk Poll 2024 a révélé une faiblesse de la résilience économique mondiale. Les individus plus jeunes et ceux des pays en développement courent un risque plus élevé que les individus plus âgés ou ceux des pays développés.
Le rapport met en lumière les risques auxquels les gens ordinaires sont confrontés, comme la durée pendant laquelle ils peuvent subvenir à leurs besoins sans revenu. Cependant, le rapport World Risk Poll 2024 met également en évidence de nombreux autres risques, tels que les déchets plastiques mondiaux, la sécurité des personnes au travail et la menace du changement climatique.
Il y a deux types de personnes. Celui qui est intelligent et cherche du travail et est prêt à se déplacer et, celui qui ne recherche aucun emploi, se déplace vite, vole, tue. C'est l'image de l'immigré.
Bill Gates au journal BILD – Coup d'envoi pour le Covid 2.0 ?
RépondreSupprimer25.06.2024
www.kla.tv/29505
Le "maître suprême" Bill Gates est venu en personne à Hambourg en mai 2024, dans la rédaction du journal BILD. C'est la presse Springer. Il parlait des enfants. Vous devriez regarder ces deux premières minutes, sur la chaîne YouTube de BILD, de BILD lui-même. Il a parlé d'enfants et tout d'un coup, la directrice de BILD a demandé, je cite : "Je ne sais pas ce que vous voulez dire : "Monsieur Gates, si vous parlez des enfants, nous devons aussi parler des mères. Pouvez-vous expliquer en détail la relation entre le microbiome des mères et l'avenir des enfants ?" Et Bill Gates a parlé du microbiome et a lancé sa campagne publicitaire. C'est l'attaque du microbiome que j'ai prédite, imprimée sur la couverture du livre. Pourquoi ? A partir de mes recherches à propos d'actes criminels. La visite de Bill chez BILD est le coup d'envoi publicitaire de l'attaque du microbiome. C'est le Covid 2.0. Et c'est pourquoi, s'il vous plaît, chers concitoyens, pères et mères,
- pour le bien des enfants, prenez cela au sérieux cette fois, s'il vous plaît ! –
Chers concitoyens, chers piliers de la société, chers universitaires, collaborons de manière professionnelle. Sinon, ce sera le Covid 2.0. Ne suivez pas les maîtres, ne soyez pas des serviteurs !
Directrice Bild : "Pouvez-vous m'expliquer cela en détail, la relation entre le microbiome des mères et l'avenir des enfants ?"
Bill Gates : "Il y a un microbiome dans l'intestin de la plupart des gens. Il existe également un microbiome vaginal. Et il s'avère que cela a des effets très négatifs, lorsque soit le microbiote intestinal soit le microbiote vaginal est déséquilibré.
Reporter Kla.TV : Monsieur Schöning, si vous pouviez approfondir le point concernant le journal BILD, où Bill Gates était invité. Était-ce une coïncidence ? Comment une telle chose a-t-elle pu se produire ?
RépondreSupprimerDr. Heiko Schöning : Oui, ce n'est pas un hasard si un multimilliardaire comme Bill Gates vient à Hambourg, dans la rédaction de BILD - qui est le plus grand journal d'Allemagne du groupe Springer - ce n'est évidemment pas un hasard. Qu'est-ce qu'il fait là ? Il faut regarder ces deux minutes que BILD lui-même a publiées sur sa chaîne YouTube. Tout est dit dans les deux premières minutes. Et il s'assoit là, il est courtisé. Et ils parlent d'enfants, et puis la directrice de BILD dit : "Monsieur Gates, si nous parlons d'enfants, nous devons aussi parler de mères. Pouvez-vous expliquer cela en détail, le lien entre le microbiome des mères et l'avenir des enfants ?" Complètement à l'improviste. Et Bill Gates n'avait justement rien dit auparavant sur le microbiome, ni aucun lien avec celui-ci. Et c'est là qu'on se rend compte qu'il ne s'agit pas d'un vrai journalisme, mais d'un accord préalable. Ce n'était pas un hasard ! Et nous ne pouvons qu'être reconnaissants, pour ainsi dire, de ce manque de professionnalisme, que même la directrice de BILD s'est contentée de poser sa question, qui était manifestement convenue. Bill Gates a d'ailleurs immédiatement répondu, à propos du microbiome.
Reporter Kla.TV : Très intéressant. Oui, donc nous recommandons l'émission dont M. Schöning vient de parler. Elle a été diffusée le 24 mai 2024 sur Kla.TV allemand, nous la mettons en lien ici avec les sous-titres en français, pour que vous puissiez la consulter à nouveau. C'est très instructif ! Et, Monsieur Schöning, puis-je encore poser une question : Vous avez parlé sur scène d'une collaboration professionnelle. Pourriez-vous expliquer cela un peu plus en profondeur, afin que nous sachions ce que vous avez voulu dire.
Dr. Heiko Schöning : Dans le contexte où je l'ai dit, il s'agissait en fait d'un appel à des adultes professionnels qui ont le sens des responsabilités, pour que nous travaillions ensemble contre le crime organisé. Nous avons également besoin de professionnels qui s'investissent en termes de temps de travail, de ressources financières ou autres. – maintenant, pendant qu’on a encore le temps, surtout en 2024, où les choses semblent relativement calmes – pour nous armer pour le temps qui suivra les élections américaines en 2025 et des élections britanniques Et qu'on puisse ensuite déployer ce que j'ai décrit dans le livre "Attaque du microbiome". Et cette apparition de Bill Gates, c'était le début de cette campagne publicitaire mondiale. Nous devons travailler ensemble ! Ce que je veux vraiment dire par là, c'est qu'il est vraiment temps de tout donner, de s'engager. Car la censure continuera de frapper. Nous sommes à la veille de mesures de guerre et d'un Covid 2.0 mondial, avant l'attaque du microbiome !
Reporter Kla.TV : Merci beaucoup pour cet appel, nous le transmettons à tous les spectateurs, nous le prenons au sérieux. Merci beaucoup pour cet entretien, Monsieur Schöning. Et merci pour votre travail !
de me.
Sources / Liens :
Élections européennes de la souffrance - grande manifestation de Frankfort sur le Main le 25.05.2024
www.youtube.com/watch?v=CuXE1bEVK3E
Au journal Bild, Bill Gates parle sur le microbiome
www.youtube.com/watch?v=Rj_s8zfU_7U
https://www.kla.tv/fr
Le scandale du sang contaminé au Royaume-Uni met à nu les élites britanniques
RépondreSupprimerMises Institute
26 juin 2024
Le paysage politique du Royaume-Uni a été secoué une fois de plus par un nouveau scandale, celui du sang contaminé administré à des patients sans méfiance et qui les a rendus définitivement malades. Ce scandale est différent des autres scandales plus récents ; cela fait des décennies que l’on sait que cela se produit, et pourtant rien n’a été fait par les gouvernements successifs de tous les bords de l’échiquier politique. En tant que libertariens, nous savons pourquoi il en est ainsi, mais il n’est pas surprenant que cela ait complètement échappé à l’esprit de ceux qui font partie du courant politique britannique dominant.
Article original de Owen Ashworth paru dans le Mises Institute.
La réponse des medias et des élus à cette crise est une véritable révélation. C’est pourquoi j’aimerais me concentrer sur ce point dans cet article. Le peu de réflexion qui a présidé à l’analyse des raisons du scandale a confirmé tout ce que je savais déjà sur nos élites politiques. Arrive un moment où je ne devrais plus être étonné, mais ils continuent à me surprendre.
Le rapport a fait grand bruit dans l’arène politique, car il a eu un impact considérable sur des centaines de personnes et a révélé à quel point les gouvernements successifs ont agi avec malveillance. Les réactions donnent un bon aperçu de la manière dont cela s’est produit.
Commençons par les commentaires à l’occasion de l’émission Politics Live. Son animatrice, Jo Coburn, a répondu à Reem Ibrahim, qui tentait de faire valoir que la taille et la bureaucratie de l’État incitaient les acteurs politiques à étouffer le scandale, en déclarant :
« Ce qui est choquant, c’est que cela s’est produit […] Qu’elles soient privées ou publiques, ces choses ne devraient pas se produire, et pourtant elles continuent à se produire ».
Il s’agit là d’un cas où les acteurs du courant dominant sont techniquement corrects mais manquent totalement de substance. Le but de la discussion est de savoir pourquoi c’est arrivé. Reem proposait la bonne réponse, à savoir que les incitations pour les acteurs étatiques à dissimuler des scandales embarrassants et incroyablement préjudiciables atteignent des niveaux que l’on ne verrait jamais dans le secteur privé, mais Jo Coburn a complètement évité cette conversation. Le courant dominant est totalement allergique à toute discussion qui pourrait conduire à une critique de l’État et de ses nombreux organes principaux.
En outre, il est apparu clairement que le leader travailliste de la Chambre des Lords n’était pas non plus à l’aise avec la réponse de Reem et a tenté de l’interrompre en déclarant : « Les compagnies de distribution d’eau ont dissimulé des choses […] Les entreprises privées échouent également. »
Cette remarque est intrigante, car si elle avait compris le point de vue de Reem, elle se serait rendu compte que sa réponse était totalement redondante. Les libertariens ne prétendront jamais que les entreprises privées n’échouent jamais, ou qu’elles sont totalement altruistes, mais l’appareil d’État dispose d’un cadre entièrement différent avec des incitations conduisant à des dissimulations qui, si elles se produisaient dans une entreprise privée, l’obligeraient à mettre la clé sous la porte. Comparer la structure d’incitation de l’État avec celle d’une entreprise privée, c’est mélanger les torchons et les serviettes. Le leader travailliste de la Chambre des Lords a pleinement démontré qu’il ignorait ce fait.
RépondreSupprimerLe Guardian, membre du panel, a indiqué qu’il était assez rafraîchissant que les deux principaux partis politiques travaillent ensemble sur la réponse à apporter au scandale, et sur l’indemnisation que les victimes méritent, en déclarant : « Vous pouvez obtenir beaucoup plus de consensus, beaucoup plus d’accord » entre les deux principaux partis qui travailleront ensemble pour faire ce qu’il convient. Il poursuit, en suggérant que les deux partis ressentent une culpabilité collective et font donc preuve d’une forme de responsabilité collective, ce qui implique qu’il s’agit d’un bon résultat. Rien ne peut être analysé de manière plus légère.
Quel a été l’un des principaux chocs de ce scandale ? Le fait que les deux partis politiques aient cherché à éviter de rougir et à se soustraire à leurs responsabilités. Ce seul fait devrait inspirer à tous les analystes sérieux une bonne dose de scepticisme à propos de l’existence d’un consensus entre les deux partis politiques sur la réponse à apporter.
La responsabilité des actes commis dans le cadre de ce scandale devrait incomber entièrement aux personnes inculpées, mais le fardeau retombera entièrement sur les contribuables qui ne portent aucune responsabilité. Les victimes recevront une compensation financière pour les horreurs qu’elles ont endurées, mais cet argent proviendra des impôts, de sorte que les auteurs du scandale ont réussi à échapper à toute responsabilité.
La réalité des commentaires du membre du Guardian est qu’il se réjouit que les deux grands partis présentent leurs excuses tout en faisant couvrir le coût de l’indemnisation par le contribuable. C’est rafraîchissant. Le problème, c’est qu’il ne lui sera probablement pas venu à l’esprit ce que cela signifie, et c’est la raison pour laquelle la réponse à ce scandale est révélatrice.
L’absence de réflexion intellectuelle des tenants du courant dominant a été pleinement exposée. L’empereur est nu.
Le scandale a révélé bien plus. On dit aux victimes qu’elles recevront une compensation de l’État pour les dommages causés ; en d’autres termes, l’État assumera la responsabilité. Comme l’a montré l’analyse du Guardian, la responsabilité réelle incombera au contribuable. Ainsi, lorsque les acteurs étatiques affirment que l’État assumera la responsabilité, ils désignent en pratique tous les autres acteurs, à l’exception de ceux qui devraient porter l’entière responsabilité de l’affaire. L’attention est attirée sur ce point parce qu’il montre très clairement que le public a accepté ce cadre comme normal et approprié. Le fait que le public ait accepté cette logique signifie que l’effort des intellectuels publics pour convaincre les gens que l’État et la population qu’il gouverne sont en quelque sorte la même chose a incroyablement bien fonctionné. Écouter les réponses de ceux qui font partie du courant politique dominant est extrêmement édifiant (avec modération), car cela vous apprend beaucoup sur leur façon de penser les questions politiques, économiques et philosophiques.
RépondreSupprimerMalheureusement, cela a révélé que la montagne que les libéraux doivent gravir pour changer les mentalités est vraiment énorme.
Les détails du scandale ont été horribles. De nombreuses familles ont été affectées d’une manière que l’on ne peut même pas commencer à comprendre. Si nous ne tirons pas les bonnes leçons de ces événements, nous sommes condamnés à les répéter. Je crains que ce type de scandale ne se répète à l’avenir. La réaction du grand public a mis en évidence l’absence de réflexion de ceux qui occupent des postes de pouvoir, nos soi-disant intellectuels publics.
Elle a également mis en évidence le besoin quasi psychotique des deux principaux partis de défendre le Service national de santé (NHS), en interrompant toute critique pour défendre vigoureusement la bravoure et le courage des travailleurs du NHS. Mais le problème, c’est que personne n’a jamais remis en question le fait que la plupart des critiques du NHS sont accompagnées d’interminables avertissements indiquant qu’elles ne sont pas adressées aux personnes qui y travaillent. Le fait est que la bureaucratie d’État engendre la corruption et que le NHS est l’une des plus grandes bureaucraties du Royaume-Uni. Si le NHS est à l’abri de toute critique, les scandales continueront à se succéder. En outre, il n’y aura pas de progrès tant que le courant dominant refusera de réfléchir correctement à la manière dont ce scandale s’est produit.
https://www.contrepoints.org/2024/06/26/476437-le-scandale-du-sang-contamine-au-royaume-uni-met-a-nu-les-elites-britanniques
Un rapport du Congrès américain confirme la fraude vaccinale
RépondreSupprimer26 juin 2024
de Thomas Oysmüller
Un rapport sur les processus politiques entourant l’approbation de la substance ARNm a été publié lundi par le Congrès américain. Il décrit comment le traitement expérimental à base d’ARNm a pu être approuvé en raison d’un intérêt politique et contrairement aux normes scientifiques, et comment les rapports faisant état de dommages causés par le vaccin ont été supprimés.
Aux États-Unis, c’est la « réévaluation » de la politique Covid qui semble avoir fait le plus de progrès. C’est ce que montre un rapport publié lundi par la sous-commission judiciaire de la Chambre. Il détaille comment l’administration Biden a fait pression sur la Food and Drug Administration (FDA) pour qu’elle aille au-delà de son autorité réglementaire pour commercialiser le composé d’ARNm de Pfizer.
Politique prioritaire
Le rapport intermédiaire de 30 pages, « Politique, intérêts privés et déviation de l'administration Biden par rapport aux réglementations de l'agence dans la pandémie de COVID-19 », détaille comment la Maison Blanche a ordonné à la FDA d'abaisser les propres normes de l'agence. C’est donc l’intérêt politique qui a conduit à modifier le processus d’approbation. La conclusion de l’enquête est résumée : « L’administration Biden voulait rendre les vaccinations obligatoires. Pour ce faire, la FDA a d’abord dû autoriser les vaccins.
Dans un communiqué de presse, la sous-commission écrit (souligné par TKP) :
Le rapport décrit comment l'administration Biden a fait pression sur la Food and Drug Administration (FDA) pour qu'elle aille au-delà de son autorité de réglementation, modifie ses procédures, rogne sur les raccourcis et abaisse les normes de l'agence pour lutter contre le vaccin COVID-19 de Pfizer afin d'être approuvé et rappelé. les vaccinations soient autorisées. Cette autorisation a permis à l’administration Biden d’imposer le vaccin contre le COVID-19 malgré les craintes que le même vaccin puisse causer des blessures chez de jeunes Américains par ailleurs en bonne santé.
"En août 2021, alors que le vaccin Pfizer recevait l'approbation de la FDA et juste avant que le rappel ne reçoive l'EUA, les deux principaux examinateurs du vaccin de la FDA avec des décennies d'expérience ont annoncé qu'ils quitteraient l'agence", a déclaré le président Thomas Massie (R-KY). « Durant la pandémie, la politique a pris le pas sur la science dans les institutions gouvernementales chargées de protéger la santé publique. La FDA a abandonné la directive du Congrès visant à protéger les citoyens contre les fausses allégations et les effets secondaires cachés et a plutôt ignoré ses propres règles pour poursuivre une politique de promotion du vaccin tout en minimisant les dommages potentiels . Révéler et admettre les erreurs qui ont été commises est une étape nécessaire pour restaurer l’intégrité et la confiance dans nos régulateurs.
L'enquête du sous-comité a également révélé que l'agence avait mal géré les rapports faisant état de blessures causées par les vaccins, même si elle était tenue de collecter, résumer et rapporter activement les commentaires sur la sécurité et l'efficacité du vaccin dans le cadre de l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) . Deux anciens scientifiques de la FDA, le Dr. Marion Gruber et le Dr. Philip Krause, a témoigné devant le sous-comité qu'ils se sentaient obligés de prendre des raccourcis dans leur examen des vaccins en raison de pressions extérieures pour accorder une approbation immédiate afin que le gouvernement puisse imposer des vaccins. Malgré les méfaits prouvés du vaccin EUA, l’administration Biden a tenté d’approuver pleinement le vaccin Pfizer dans le cadre du processus de demande de licence de produits biologiques (BLA).
RépondreSupprimerSous la direction du commissaire par intérim de la FDA, le Dr. Janet Woodcock, une responsable de longue date de la FDA qui a été promue commissaire par intérim par l'administration Biden, et le Dr. Selon Peter Marks, directeur du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques (CBER) de la FDA, l'agence a raccourci le processus BLA, normalement rigoureux, pour désigner le vaccin EUA de Pfizer comme le seul vaccin COVID-19 « entièrement approuvé, sûr et efficace ». sur le marché. Aujourd’hui, l’ancienne commissaire par intérim de la FDA, Woodcock, se dit « déçue d’elle-même » par les dommages causés par les vaccins et que la FDA n’a pas fait assez pour remédier aux dommages causés par les vaccins.
Le rapport conclut également que les blessures causées par les vaccins sont « réelles, évitables et encore largement ignorées par l'administration Biden » . Le rapport précise notamment :
« La culture au sein de la FDA en 2021 ne permettait pas à l’agence de considérer objectivement que son plaidoyer en faveur d’un vaccin obligatoire contre le COVID-19 aurait pu être sous-optimal. C'était clairement difficile pour le Dr. Marks, qui a fait la promotion du vaccin dans 41 vidéos, pour répondre de manière appropriée aux préoccupations concernant les blessures liées à un vaccin avec lequel il était si étroitement impliqué. Il était beaucoup plus facile de simplement prétendre que les symptômes après avoir reçu le vaccin étaient aléatoires.
Ces conclusions sont bien entendu tout sauf nouvelles. Dès août 2021 (!), Robert F. Kennedy a publié un article avec Meryl Nass qui soulignait précisément cette pression politique sur l'approbation et la dissimulation des dommages causés par le vaccin. Ce qui est nouveau, c'est que le Congrès américain a officiellement confirmé cette approche dans un rapport. Probablement un document essentiel pour les futurs litiges.
https://tkp.at/2024/06/26/bericht-des-us-kongresses-bestaetigt-impfbetrug/
Lien entre la maladie d'Alzheimer et la vaccination corona
RépondreSupprimer26 juin 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Il semble qu’il n’y ait aucune fin à la découverte des dommages causés par les préparations de vaccination contre le corona. Une étude montre une fréquence répandue de la maladie d'Alzheimer et des problèmes de mémoire chez les personnes vaccinées de plus de 65 ans.
- voir tableau sur site -
Le médecin et scientifique Jee Hoon Roh, MD, PhD, du Collège de médecine de l'Université de Corée à Séoul et ses collègues ont examiné les effets secondaires du vaccin contre le coronavirus pour rechercher des liens possibles avec la maladie d'Alzheimer. L'étude rétrospective nationale de l'équipe visait à étudier un lien entre la vaccination et l'apparition de la maladie neurodégénérative et ses premiers signes, à savoir un léger déficit cognitif.
Les chercheurs ont utilisé les dossiers du Service national coréen d'assurance maladie et analysé les données d'un échantillon aléatoire de 50 % de résidents urbains âgés de 65 ans et plus. L’équipe d’étude a divisé 558 017 participants à l’étude en cohortes vaccinées et non vaccinées. Les individus de la cohorte vaccinée ont été vaccinés avec des vaccins à ARNm ou à ADNc. Les critères d'évaluation de l'étude comprenaient le diagnostic de la maladie d'Alzheimer et de troubles cognitifs légers chez les populations vaccinées, tels que déterminés à l'aide des codes CIM-10.
Les résultats de l’étude soulèvent de nouvelles inquiétudes, c’est le moins qu’on puisse dire. Des preuves préliminaires suggèrent un « lien potentiel entre la vaccination contre la COVID-19, en particulier les vaccins à ARNm, et l’incidence accrue de la maladie d’Alzheimer et de troubles cognitifs légers ».
L' étude de Jee Hoon Roh et al intitulée « Une association potentielle entre la vaccination contre le COVID-19 et le développement de la maladie d'Alzheimer » montre une incidence accrue de la maladie d'Alzheimer et de son précurseur, la déficience cognitive légère (MCI).
Les auteurs sont arrivés à une conclusion claire en écrivant dans le résumé :
« Les résultats ont montré une incidence accrue de troubles cognitifs légers et de la maladie d'Alzheimer chez les personnes vaccinées, en particulier chez celles qui avaient reçu des vaccins à ARNm, dans les trois mois suivant la vaccination. Le groupe vacciné à ARNm présentait une incidence significativement plus élevée de maladie d’Alzheimer… et de MCI… par rapport au groupe non vacciné.
Le cardiologue et scientifique renommé Dr. Peter McCullough rapporte de sa pratique :
RépondreSupprimer« J’ai plusieurs patients qui connaissent un déclin rapide de leurs fonctions cognitives après la vaccination contre le COVID-19. La protéine Spike est produite en grande quantité et sur une longue période après l’injection d’ARNm et a été trouvée dans le cerveau lors de l’autopsie. De plus, la protéine Spike peut se replier et former des plaques amyloïdes, caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.
Compte tenu de la montagne toujours croissante de preuves des dommages sanitaires massifs causés par la campagne de vaccination à ARNm, il devient de plus en plus incompréhensible qu’autant de nouveaux vaccins à ARNm soient en cours de développement.
https://tkp.at/2024/06/26/zusammenhang-zwischen-alzheimer-krankheit-und-corona-impfung/
Comme c’est bêta, le thé commercial réduit de 99,9 % l’infection virale covid dans la bouche…Vont ils l’interdire ? Il est 100 % plus efficace que le vaccin
RépondreSupprimerle 26 juin 2024
par pgibertie
Pendant des milliers d’années, on buvait du thé quand on était malade. https://link.springer.com/article/10.1007/s12560-023-09581-0… En 2020, on nous a dit de prendre du paracétamol et d’attendre les nouvelles molécules pharma à 3000 balles qui font pareil que le thé, mais avec les effets indésirables en plus
.https://link.springer.com/article/10.1038/s41598-023-43563-3?fromPaywallRec=true
@sudokuvariante
Le SRAS-CoV-2 infecte la muqueuse buccale et est excrété dans les liquides salivaires. Traditionnellement, le thé est utilisé par diverses cultures pour traiter les affections respiratoires. L’objectif de cette étude était d’identifier les thés disponibles dans le commerce qui peuvent rapidement inactiver le SRAS-CoV-2 infectieux dans la salive. Initialement, le thé (
n = 24) a été préparé sous forme d’infusions de 40 mg/mL et incubé avec le SARS-CoV-2 remis en suspension dans l’eau, pendant 5 minutes à 37 °C.
Ensuite, cinq thés présentant une réduction > 3 log de l’infectivité du virus ont été étudiés plus en détail avec des perfusions de 40 et 10 mg/mL pendant 60 et 10 s de temps de contact avec le SRAS-CoV-2 remis en suspension dans la salive. Les polyphénols du thé ont été mesurés à l’aide du test Folin-Ciocalteu. Le pouvoir infectieux du SRAS-CoV-2 a été quantifié sur la lignée cellulaire Vero-E6 à l’aide du test TCID50. À une perfusion de 10 mg/mL, le thé noir a montré la réduction la plus élevée (3 log, soit 99,9 %) du SRAS-CoV-2 infectieux en 10 s. Les thés verts, à la menthe, à l’eucalyptus-menthe et à la framboise ont montré une inactivation similaire du SRAS-CoV-2 (1,5 à 2 log, soit une réduction de 96 à 99 %). Aux perfusions de 40 mg/mL, les cinq thés ont présenté une réduction > 3 log de l’infectiosité du virus en 10 s. Les polyphénols du thé, mais pas le pH, étaient significativement corrélés à la réduction du virus. L’analyse du temps d’addition a révélé que les cinq thés présentaient des effets préventifs (0,5 à 1 log, soit une réduction de 68 à 90 %) contre l’infection par le SRAS-CoV-2 des cellules Vero-E6 ainsi que pendant l’infection post-virale (1,2 –1,9 log, soit 94 à 98 %). Cependant, l’effet inhibiteur le plus élevé a été observé lorsque les thés étaient ajoutés au moment de l’infection virale (2 à 3 log, soit 99 à 99,9 %).
Nos résultats donnent un aperçu d’une intervention rapide à domicile (boire du thé ou se gargariser) pour réduire la charge infectieuse du SRAS-CoV-2 dans la cavité buccale, ce qui pourrait également atténuer l’infection de la muqueuse buccale.
Des volontaires sains ont consommé un bonbon contenant du thé vert ou du thé noir, et la salive recueillie immédiatement après la consommation du bonbon a considérablement réduit l’infectiosité du virus BA.1 in vitro. Ces résultats indiquent des substitutions spécifiques d’acides aminés dans les RBD qui influencent de manière cruciale la liaison de l’EGCG/TFDG aux RBD et la sensibilité différente de chaque sous-variante d’Omicron à l’EGCG/TFDG. L’étude pourrait suggérer une base moléculaire pour l’utilité potentielle de ces composés dans la suppression des virus mutants qui pourraient émerger à l’avenir et provoquer la prochaine pandémie.
RépondreSupprimerhttps://pgibertie.com/2024/06/26/comme-cest-beta-le-the-commercial-reduit-de-999-linfection-virale-covid-dans-la-bouche-vont-ils-linterdire-il-est-100-plus-efficace-que-le-vaccin/
Julian Assange est libre ! Nous avons tous le pouvoir d'être libres
RépondreSupprimerPar Peter Koenig
Recherche mondiale,
26 juin 2024
Voici ce que WikiLeaks a publié dans la nuit du 24 au 25 juin 2024 :
Cela démontre que nous avons tous le pouvoir d’être libres – Julian et sa persévérance l’ont prouvé.
Julian est dans un avion, en compagnie de l'ambassadeur d'Australie en Angleterre, vers les îles Mariannes du Nord, un Commonwealth américain situé dans le Pacifique occidental, où il sera jugé pour acte d'espionnage et accusé de complot en vue d'obtenir illégalement et diffuser des informations classifiées sur la défense nationale .
Voici ce qu'AP a à dire :
Un avion qui transportait probablement le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, est arrivé mardi à Bangkok. Assange plaidera coupable d'une accusation de crime dans le cadre d'un accord avec le ministère américain de la Justice qui lui permettra de se libérer et de résoudre une longue saga juridique qui s'étend sur plusieurs continents et centrée sur la publication d'une mine de documents classifiés. Assange a quitté une prison britannique lundi et comparaîtra plus tard cette semaine devant le tribunal fédéral américain des îles Mariannes du Nord, un Commonwealth américain du Pacifique occidental. Il devrait plaider coupable d'une accusation de conspiration en vue d'obtenir et de diffuser illégalement des informations classifiées sur la défense nationale, selon la loi sur l'espionnage, a déclaré le ministère de la Justice dans une lettre déposée au tribunal.
Voir le rapport complet .
On suppose qu’il s’agit d’un procès symbolique, dans lequel Julian sera reconnu coupable et condamné à plusieurs années de prison, mais étant donné le temps qu’il a déjà passé en prison, il sera libre – LIBRE de retourner dans son pays natal, l’Australie.
Le Premier ministre australien Anthony Albanese et sa ministre des Affaires étrangères, l'honorable Penny Wong , auraient travaillé ces deux dernières années diplomatiquement et discrètement avec les États-Unis, jusqu'au bureau du président Biden, pour enfin parvenir à cet accord.
Nous – le monde pour la liberté – félicitons collectivement Julian pour sa liberté attendue depuis longtemps et pour un avenir paisible et heureux avec sa femme et sa famille – en Australie ou partout où il choisit de vivre.
Cette excellente nouvelle constitue une pause nécessaire dans la sombre actualité quotidienne des guerres, des conflits et des tentatives d’oppression et de répression, infligées pour la plupart par l’Occident. Cela ne nous détourne cependant pas de notre vigilance et de notre lutte pour la paix et l’harmonie dans le monde. Au contraire, cette bonne nouvelle encourage et renforce notre mouvement pour la liberté et la paix.
RépondreSupprimerD’autres nouvelles seront publiées au fur et à mesure de leur apparition.
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Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l'auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
https://www.globalresearch.ca/julian-assange-free-power-free/5861039
Libre d'aller d'un mur à l'autre !
SupprimerTransfert d'une prison anglaise à une prison américaine !
Julian Assange est enfin libre !
RépondreSupprimerL'éditeur de WikiLeaks a quitté la prison de Belmarsh lundi matin et a quitté le Royaume-Uni pour se rendre en Australie, a indiqué WikiLeaks.
Par Joe Lauria
Recherche mondiale,
25 juin 2024
Julian Assange a accepté un accord de plaidoyer avec les États-Unis. Il a quitté Belmarsh lundi et se dirige vers l'Australie, a indiqué WikiLeaks.
"Il a été libéré sous caution par la Haute Cour de Londres et a été libéré à l'aéroport de Stansted dans l'après-midi, où il est monté à bord d'un avion et a quitté le Royaume-Uni", a déclaré WikiLeaks dans un tweet mardi matin, heure de Londres.
Stella Assange, a tweeté : « Julian est libre !!!! Les mots ne peuvent exprimer notre immense gratitude envers VOUS – oui VOUS, qui vous êtes tous mobilisés depuis des années et des années pour que cela se réalise. MERCI. merci. MERCI."
Assange a été libéré à la suite d'un accord de plaidoyer avec les États-Unis, a rapporté la BBC. La chaîne nationale britannique a déclaré :
«Selon CBS, le partenaire américain de la BBC, Assange ne passera pas de temps en détention aux États-Unis et sera crédité du temps passé en prison au Royaume-Uni.
Assange retournera en Australie, selon une lettre du ministère de la Justice.
L’accord – qui le verra plaider coupable à une accusation – devrait être finalisé devant un tribunal des îles Mariannes du Nord le mercredi 26 juin.
Le New York Times a rapporté qu’Assange avait accepté le seul chef d’accusation de la loi sur l’espionnage – « complot en vue de diffuser des informations sur la défense nationale » – en échange d’une peine de cinq ans, dont les États-Unis ont convenu qu’elle avait déjà été purgée en détention provisoire à Belmarsh.
WikiLeaks a publié cette vidéo d'Assange marchant sur la vitre alors qu'il quittait Londres, où il a été emprisonné pendant cinq ans.
Le Sydney Morning Herald a rapporté : « Un dossier judiciaire fait état d’une seule accusation criminelle de complot en vue d’obtenir et de divulguer des documents classifiés de la défense nationale américaine. »
RépondreSupprimerLe journal a déclaré qu’Assange avait plaidé « coupable d’une accusation de conspiration en vertu de la loi sur l’espionnage en vue d’obtenir et de diffuser illégalement des informations classifiées sur la défense nationale, a déclaré le ministère de la Justice dans une lettre déposée au tribunal ».
Bruce Afran, un constitutionnaliste américain, a déclaré à Consortium News qu'un accord de plaidoyer ne crée pas de précédent juridique. Par conséquent, l’accord d’Assange ne mettrait pas en danger les journalistes qui pourraient être poursuivis à l’avenir pour avoir accepté et publié des informations classifiées provenant d’une source parce qu’Assange avait accepté une telle accusation.
Les îles Mariannes sont un territoire américain où Assange finalisera l’accord mardi devant un tribunal fédéral américain.
« Techniquement, il vient aux États-Unis, [sur les îles Mariannes] mais pas dans le district où il a été inculpé », a déclaré Afran. "Et il pourrait être placé en détention, mais nous supposons que les États-Unis agiront de bonne foi."
- voir photo sur site -
Assange en liberté à l’aéroport de Stansted à Londres. ( Vidéo WikiLeaks via X)
- voir photo sur site -
Assange discute d'un accord de plaidoyer avec son avocat Gareth Pierce. ( WikiLeaks via X)
Aitor Martinez, l'avocat d'Assange, a dévoilé les accusations pour lesquelles Assange a apparemment plaidé coupable. Il a écrit : « Julian Assange a conclu un accord avec le DoJ, il est donc enfin LIBRE. » Le document que Martinez a joint à son tweet se lit comme suit :
- voir doc sur site :
https://www.globalresearch.ca/julian-assange-finally-free/5860912
Le jour sombre de l'Amérique. "Contraindre Julian Assange à plaider coupable d'un crime qu'il n'a pas commis". Scott Ritter
RépondreSupprimerPar Scott Ritter
Recherche mondiale,
26 juin 2024
En permettant au gouvernement américain de contraindre Julian Assange à plaider coupable d’un crime qu’il n’a pas commis, l’Amérique s’est condamnée à devenir un pays où dire la vérité est un crime.
« La presse était au service des gouvernés, pas des gouverneurs. Le pouvoir du gouvernement de censurer la presse a été aboli afin que la presse reste à jamais libre de censurer le gouvernement. La presse était protégée afin de pouvoir dévoiler les secrets du gouvernement et informer le peuple. Seule une presse libre et sans retenue peut dénoncer efficacement les tromperies du gouvernement. Et l’une des responsabilités primordiales d’une presse libre est le devoir d’empêcher une quelconque partie du gouvernement de tromper le peuple et de l’envoyer dans des pays lointains pour mourir de fièvres étrangères et de tirs et d’obus étrangers.
- Justice Hugo Black, Le New York Times contre les États-Unis, 1971
Julian Assange doit bientôt comparaître devant un tribunal américain sur l'île de Saipan, où il devrait plaider coupable d'une seule violation de la loi sur l'espionnage, à savoir le complot en vue d'obtenir et de divulguer des informations sur la défense nationale.
Assange n’est coupable d’aucun crime. C'est le gouvernement des États-Unis qui agit en violation de la loi et, en supprimant le devoir de Julian Assange en tant qu'éditeur de dénoncer la tromperie du gouvernement sur les crimes de guerre commis par les militaires américains en Irak et d'autres mensonges et tromperies perpétrés par le Département d'État. et le ministère de la Défense, au mépris flagrant du premier amendement de la Constitution des États-Unis.
En soumettant Julian Assange à cinq ans d'emprisonnement dans des conditions horribles dans une prison britannique à sécurité maximale, où il était détenu à l'isolement 23 heures sur 23, le gouvernement américain a brisé l'esprit et la volonté d'un homme dont la cause en était venue à incarner la question fondamentale de la liberté d’expression.
Le rapporteur spécial des Nations Unies pour les droits de l'homme, Juan E. Mendez , a déclaré que
« [l]'isolement cellulaire, [en tant que punition] ne peut être justifié pour aucune raison, précisément parce qu'il impose des douleurs et des souffrances mentales graves au-delà de toute rétribution raisonnable pour un comportement criminel et constitue donc un acte défini [comme]… de la torture. »
Chaque Américain, qu'il soit journaliste ou simplement citoyen croyant au droit fondamental à la liberté d'expression et à une presse libre, doit comprendre l'importance de ce que signifie l'accord de plaidoyer d'Assange : il s'agit d'une attaque frontale contre la liberté d'expression, renversant de fait le Décision historique de la Cour suprême dans l'affaire The New York Times contre les États-Unis, qui a donné naissance aux paroles de Hugo Black pour défendre cette liberté américaine fondamentale.
Qu’il n’y ait aucun doute : Julian Assange est libre, mais la liberté d’expression et la notion de presse libre sont mortes en Amérique aujourd’hui , tuées par notre passivité collective face à la brutalisation de Julian Assange par le gouvernement américain pour son « crime ». d'exposer leurs crimes à la vue du monde entier.
RépondreSupprimerLa vérité ne nous libère plus.
Au contraire, faire la lumière sur une vérité qui dérange est devenu un crime.
L’Amérique est aujourd’hui dans un bien pire état qu’elle ne l’était avant que notre gouvernement n’oblige Julian Assange à conclure un accord de plaidoyer.
C'est un jour sombre dans l'histoire de notre pays.
- voir clip sur site :
https://www.globalresearch.ca/americas-dark-day/5861027
(...) « La presse était au service des gouvernés, pas des gouverneurs. (...)
SupprimerFAUX ! Dans une dictature (monarchie, république ou empire) TOUT est permis !
On est pas en Démocratie !
Julian Assange est libre, mais des questions juridiques complexes concernant son cas demeurent
RépondreSupprimerPar le professeur Holly Cullen
Recherche mondiale,
26 juin 2024
Aujourd'hui, Julian Assange a quitté le bâtiment de la Cour fédérale à Saipan, dans les îles Mariannes du Nord, en homme libre. Il a plaidé coupable à un chef d'accusation de violation de la loi américaine sur l'espionnage.
Le tribunal acceptant ses 62 mois déjà passés dans la prison de Belmarsh comme une peine suffisante, il n'a plus d'accusation à répondre, ni de peine à purger.
Cependant, cette affaire laisse derrière elle une série de questions juridiques sans réponse et de controverses non résolues. En particulier, certaines questions relatives aux droits humains fondamentaux ne peuvent être abordées que maintenant, voire jamais, dans des affaires futures.
Le chemin de Julian Assange vers la liberté
Depuis la création de WikiLeaks il y a 18 ans, Julian Assange a enduré des querelles juridiques, des mandats d'arrêt, l'asile politique, l'incarcération et la menace d'extradition vers les États-Unis . Voici une chronologie des événements majeurs.
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Graphique : La conversation
Les préoccupations en matière de liberté d’expression peuvent-elles empêcher l’extradition ?
Une fois qu'Assange a officiellement plaidé coupable, les avocats du gouvernement américain ont annoncé qu'ils retireraient immédiatement la demande d'extradition d'Assange du Royaume-Uni.
Cela signifie que l’ appel qui aurait été entendu plus tard cette année n’ira pas de l’avant.
Pour récapituler, en mai, la Haute Cour du Royaume-Uni a donné à Assange le droit de faire appel de l'ordonnance d'extradition du ministre de l'Intérieur du Royaume-Uni. Cette mesure a été accordée pour deux motifs, tous deux liés à la liberté d'expression.
Le premier moyen d'appel accepté par le tribunal était que l'extradition serait incompatible avec le droit d'Assange à la liberté d'expression, tel que garanti par la Convention européenne des droits de l'homme.
Le deuxième motif, lié au premier, est qu’il serait victime d’une discrimination sur la base de sa nationalité parce qu’il pourrait, en tant que non-citoyen des États-Unis, ne pas pouvoir se prévaloir du droit à la liberté d’expression du premier amendement.
Mais comme cet appel n'est plus en cours, la question de savoir si une menace à la liberté d'expression de l'accusé peut empêcher l'extradition ne sera donc ni débattue ni tranchée. La Cour européenne des droits de l'homme et d'autres organes de défense des droits de l'homme n'ont jamais abordé ce point. Il est peu probable que cela se reproduise de sitôt.
Un précédent d’espionnage ?
RépondreSupprimerConcernant également la liberté d'expression, la relation entre la loi américaine sur l'espionnage et le premier amendement de la Constitution américaine reste une question ouverte.
Dans les plaidoiries d'aujourd'hui, Assange et le gouvernement américain ont adopté des points de vue différents sur la question de savoir si l'exercice de la liberté d'expression devait constituer une exception aux infractions prévues par la loi sur l'espionnage. Néanmoins, Assange a reconnu qu’aucune jurisprudence américaine existante n’établissait une telle exception.
Cela nous amène à nous demander si le plaidoyer de culpabilité d'aujourd'hui crée un précédent en matière de poursuites contre des journalistes pour espionnage.
Au sens juridique strict du précédent en common law, qui fait référence à une interprétation judiciaire contraignante, ce n’est pas le cas.
Le juge n’a pas déterminé si Assange ou le gouvernement américain avait raison sur le plan juridique. Cependant, le gouvernement américain peut désormais citer cette affaire comme exemple de condamnation d'un journaliste en vertu de la loi sur l'espionnage.
La question de savoir dans quelle mesure un non-ressortissant américain peut s’appuyer sur le premier amendement reste également sur la table. Cette question aurait également été abordée dans l’appel à l’extradition, comme la question de savoir si Assange serait victime d’une discrimination sur la base de sa nationalité.
Détention ou confinement ?
Enfin, l'audience d'aujourd'hui a relancé la question de savoir si le temps passé par Assange à l'ambassade d'Équateur entre 2012 et 2019 compte comme une détention.
Alors que le juge cherchait à déterminer si la peine de « temps purgé » était une peine suffisante pour son infraction, le gouvernement américain a insisté sur le fait que le juge ne pouvait prendre en compte que les 62 mois de prison de Belmarsh.
Les avocats d'Assange ont fait valoir qu'il avait été détenu pendant 14 ans, y compris la période où il avait demandé l'asile à l'ambassade d'Équateur. En 2016, le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire a conclu qu'Assange avait été arbitrairement détenu à l'ambassade, en grande partie en raison de la durée disproportionnée entre son arrestation initiale et la date de l'avis du groupe de travail, soit plus de cinq ans.
Le Royaume-Uni et la Suède ont tous deux rejeté les conclusions du groupe de travail, qu'ils ne considèrent pas comme contraignantes. En outre, les conclusions allaient au-delà de la jurisprudence établie en matière de détention arbitraire, qui se concentre généralement sur les questions de légalité et de procédure équitable plutôt que sur la durée. Seul le membre dissident du groupe de travail a analysé l'impact du comportement volontaire d'Assange sur la durée de son séjour à l'ambassade.
Lors de l'audience d'aujourd'hui, le juge a évoqué les « 14 années d'épreuve » subies par Assange, mais a reconnu que le séjour à Belmarsh était à lui seul une peine suffisante. Le juge a estimé que cette période, d'un peu plus de cinq ans, était comparable aux sept années purgées par Chelsea Manning, qui avait fourni les documents à Assange.
RépondreSupprimerIl convient également de noter que le vice-Premier ministre australien, Richard Marles, s'exprimant sur ABC Radio National, a décrit Assange comme « confiné » dans l'ambassade équatorienne, évitant ainsi le terme juridiquement significatif « détenu ».
Le statut juridique du séjour d'Assange à l'ambassade reste donc ambigu, malgré les conclusions du groupe de travail des Nations Unies de 2016.
Aujourd’hui, l’essentiel est qu’Assange ne fait plus l’objet de poursuites pour espionnage et est désormais libre de retourner auprès de sa famille. Cependant, certaines des questions juridiques soulevées par cette affaire restent malheureusement irrésolues.
https://www.globalresearch.ca/julian-assange-free-legal-questions-case-remain/5861015
RépondreSupprimerLa libération de Julian Assange : accords de plaidoyer et sombres héritages
Par le Dr Binoy Kampmark
Recherche mondiale,
26 juin 2024
L’une des plus longues sagas de persécution politique touche à sa fin. Autrement dit, si vous croyez aux derniers chapitres. Rien sur le sort de Julian Assange ne semble déterminant. Ses accusateurs et inquisiteurs se réjouiront de l'accord de plaidoyer conclu entre l'équipe juridique du fondateur de WikiLeaks et le ministère américain de la Justice. D’autres, comme l’ancien vice-président américain Mike Pence , l’ ont jugé injustifiablement indulgent.
Accusé d'avoir commis 18 infractions, dont 17 nouvellement liées à l'odieuse loi sur l'espionnage, l' acte d'accusation de juin 2020 contre Assange était une attaque frontale contre les libertés de publication et de discussion d'informations gouvernementales classifiées. Au moment d’écrire ces lignes, Assange est arrivé à Saipan, situé dans le territoire du Commonwealth américain des îles Mariannes du Nord, dans le Pacifique occidental, pour faire face à un nouvel acte d’accusation . L’une des conditions imposées à Assange était qu’il ne se présenterait devant aucun tribunal des États-Unis proprement dits, où, avec des soupçons compréhensibles, il pourrait légalement disparaître.
Comme le révèle la correspondance entre le ministère américain de la Justice et la juge en chef du tribunal de district américain Ramona V. Manglona , la « proximité de ce tribunal fédéral de district américain avec le pays de citoyenneté du défendeur, l'Australie, où nous espérons qu'il reviendra à la fin de la procédure » » était également un facteur.
Devant le tribunal de district américain des îles Mariannes du Nord, il plaidera coupable d'un chef d'accusation de complot en vue d'obtenir et de divulguer des informations sur la défense nationale en vertu de la loi sur l'espionnage de 1917, ou de l'article 793(g) (titre 18, USC). Ce crime est passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 10 000 dollars et/ou jusqu'à 10 ans de prison, même si le temps passé par Assange à la prison de Belmarsh, passé en détention provisoire pendant environ 62 mois, sera à la hauteur.
L' acte d'accusation allègue qu'Assange a sciemment et illégalement conspiré avec Chelsea Manning , analyste du renseignement de l'armée américaine , alors basée à la base opérationnelle de Hammer en Irak, pour recevoir et obtenir des documents, des écrits et des notes, y compris ceux de nature secrète, relatifs à la défense nationale. a délibérément communiqué ces documents de la part de personnes en possession légale ou y ayant accès à des personnes qui n'ont pas le droit de les recevoir, et fait de même de la part de personnes non autorisées à posséder de tels documents.
Avant de se pencher sur les graves implications de ce seul chef d'accusation et de l'accord de plaidoyer, les partisans d'Assange, y compris sa famille immédiate, ses associés et ceux qui avaient travaillé avec lui et bu dans le même puits d'édition, avaient toutes les raisons de ressentir un sentiment surréaliste de intoxication. WikiLeaks a annoncé le départ d'Assange de la prison de Belmarsh à Londres le matin du 24 juin après un séjour de 1 901 jours, sa libération sous caution par la Haute Cour de Londres et sa libération à l'aéroport de Stansted. L'épouse Stella a régulièrement informé ses abonnés du déroulement du vol VJ199. Dans un reportage publié sur son arrivée au palais de justice fédéral de Saipan, elle s'est demandé « à quel point ses sens devaient être surchargés, traversant la mêlée de presse après des années de dépravation sensorielle et les quatre murs » de sa cellule de Belmarsh.
RépondreSupprimerQuant à l’accord de plaidoyer lui-même, il est difficile de lui reprocher du point de vue émotionnel et personnel d’Assange et de sa famille. Il était malade et faisait l'objet d'une lente exécution judiciaire. C’était également le seul point sur lequel le DOJ et l’administration Biden pourraient avancer. Cette année étant électorale aux États-Unis, la dernière chose que le président Biden voulait était un rappel obsédant de cette vilaine saga de persécution politique planant sur les vertus du pays de la liberté.
Il y avait un autre angle, un peu plus sordide, et que le DOJ a dû garder à l’esprit en allégeant l’acte d’accusation : un véritable procès Assange aurait soumis les fantasmes meurtriers de la CIA concernant l’éditeur à un examen minutieux. Celles-ci comprenaient diverses mesures possibles : enlèvement, restitution, voire assassinat, points approfondis dans une contribution de Yahoo News en septembre 2021.
L'un des auteurs de l'article, Zach Dorfman, a publié un rappel important alors que la nouvelle de l'accord de plaidoyer filtrait dans les médias : de nombreux responsables de l'administration Trump, même des critiques acerbes d'Assange, « pensaient que [le directeur de la CIA, Mike] Pompeo complotait de manière téméraire ». l'extrême, et probablement illégal. Ils pensaient également – de manière critique – que cela pourrait nuire aux poursuites contre Assange.» Si les stratagèmes de Pompeo étaient révélés, « cela rendrait le processus de découverte cauchemardesque pour l’accusation, si Assange devait un jour être jugé ».
Du point de vue des éditeurs, des journalistes et des rédacteurs désireux de demander des comptes aux puissants, ce plaidoyer doit être considéré comme extrêmement troublant. Il s’agit en fin de compte de l’exercice brutal du pouvoir extraterritorial américain contre tout éditeur, quel que soit son média et quelle que soit sa nationalité. Alors que le fardeau juridique et la lourdeur des poursuites liées aux accusations ont été considérablement réduits (62 mois semblent moins imposants que 175 ans), la mesure extrait une livre de chair du quatrième pouvoir. Cela indique que les États-Unis peuvent rechercher et vont rechercher ceux qui obtiennent et publient des informations sur la sécurité nationale qu’ils préféreraient garder secrètes sous de fausses notions de « préjudice ».
La condamnation d’Assange renforce également le récit grossier adopté à partir du moment où WikiLeaks a commencé à publier des dossiers sur la sécurité nationale et la diplomatie américaine : de telles activités ne pouvaient pas être considérées comme journalistiques, malgré leur rôle dans l’information des commentaires de la presse ou dans la révélation du côté vénal du pouvoir par le biais de fuites.
RépondreSupprimerDu procureur général Gordon Kromberg aux juges britanniques comme Vanessa Baraitser ; des commentateurs sur la sécurité nationale hébergés dans les médias à un certain nombre de politiciens, y compris la regrettée démocrate californienne Dianne Feinstein et l’actuel président Joe Biden, Assange n’était pas du quatrième pouvoir et méritait d’être harcelé. Il a donné le jeu. Il a pillé et volé les secrets de l'empire.
À cette fin, l’accord de plaidoyer tourne en dérision les arguments et les déclarations effusives selon lesquelles l’accord est en quelque sorte une victoire pour la liberté de la presse. Cela suggère le contraire : toute personne publiant des informations sur la sécurité nationale américaine par un divulgateur ou un lanceur d’alerte est en danger. Bien que ce point n'ait jamais été examiné devant les tribunaux, les éditeurs non américains pourraient ne pas être en mesure de se prévaloir des protections de la liberté d'expression prévues par le premier amendement. La loi sur l’espionnage, pour la première fois dans l’histoire, a acquis une portée mondiale tentaculaire et est devenue une arme contre les éditeurs en dehors des États-Unis, ouvrant la voie à de futures poursuites.
https://www.globalresearch.ca/release-julian-assange-plea-deal/5860999
Julian Assange est libre. Washington a élaboré « un accord pour sauver la face ». Violation massive de l'Habeas Corpus en faveur de Washington. Paul C.Roberts
RépondreSupprimerPar le Dr Paul Craig Roberts
Recherche mondiale,
25 juin 2024
Si le reportage de Sky News qui m'est parvenu tôt ce matin n'est pas un canular, le gouvernement américain, de plus en plus considéré dans le monde entier comme une organisation criminelle, n'a pas réussi à convaincre les tribunaux britanniques d'extrader Julian Assange . Washington n’a pas pu ou n’a pas voulu fournir aux Britanniques l’assurance qu’Assange ne serait pas maltraité et privé de ses droits.
Beaucoup d’entre nous pensent qu’Assange a été suffisamment maltraité par le gouvernement britannique, qui l’a maintenu en isolement cellulaire pendant 62 mois, une violation massive de l’habeas corpus, en guise de faveur accordée à Washington.
Peut-être que la « justice britannique » s'est lassée de la honte de servir de geôlier à Washington et d'emprisonner un homme qui n'a été reconnu coupable de rien. Les bons points que les Britanniques gagnaient de la part de Washington étaient contrebalancés par l'apparence de complicité dans l'acte de vengeance de Washington contre un journaliste qui avait publié des informations divulguées embarrassantes pour Washington.
Peut-être que les juges britanniques ont décidé que les 13 années que Washington avait volées à Assange, à sa femme et à ses enfants, étaient suffisantes.
Peut-être Washington a-t-il décidé que 13 années d'incarcération d'Assange, sous une forme ou une autre, suffisaient à servir d'avertissement à tous les journalistes à la portée de Washington pour qu'ils ne dénoncent pas les crimes de Washington. Quelle qu’en soit la raison, Washington a élaboré un accord de plaidoyer pour sauver la face afin de mettre fin à la persécution qui a détruit le Premier Amendement. En échange du plaidoyer d'Assange coupable d'un chef d'accusation de « complot en vue d'obtenir et de divulguer des informations sur la défense nationale », la peine d'Assange sera purgée dans la prison britannique.
Ainsi se termine pour Assange l’un des épisodes les plus honteux de l’histoire du gouvernement américain.
Les Américains ne pourront jamais vivre cette honte que leur inflige Washington, parce que le ministère américain de la Justice (sic) continue de la pratiquer sur les citoyens américains eux-mêmes.
Le régime corrompu de Biden, utilisant des condamnations injustifiées et des plaidoyers de culpabilité forcés, a condamné à la prison 1 000 Américains qui ont exercé leurs droits constitutionnellement protégés pour protester en tant qu’« insurgés ».
Le même régime corrompu poursuit en justice l’ancien président américain, et beaucoup pensent l’actuel, président américain, y compris ses avocats, sur la base de fausses accusations. Cela montre aux Américains que si un président peut être maltraité de cette manière, ils n’ont aucune chance. La conséquence est que la peur pousse les Américains à renoncer à leurs droits et à se soumettre à la tyrannie croissante de Washington.
RépondreSupprimerMon pays aujourd’hui est totalement différent de ce qu’il était lorsque j’y suis né. L’enseignement universitaire et public vise à enseigner aux nouvelles générations que l’Amérique est un exploiteur raciste blanc et que les gens peuvent naître dans le mauvais corps, le sexe d’une personne étant désormais déterminé par auto-déclaration. Les Démocrates aux États-Unis et les partis au pouvoir en Europe sont déterminés à remplacer leurs populations ethniques par des envahisseurs immigrés. Ceci, combiné à ce qui est endoctriné dans les écoles, détruit la civilisation occidentale. Il y a déjà très peu d’engagement politique et intellectuel en ce sens. Les universités blanches sont les détracteurs les plus enragés de la civilisation occidentale.
D’ici novembre, nous devrions connaître trois choses qui, selon leur évolution, accéléreront ou ralentiront notre disparition.
La première est que nous saurons ce que les démocrates vont faire à Trump, et si c’est un scandale, si les gens l’accepteront par peur d’être traités comme les manifestants du 6 janvier ont été traités.
Une autre question est que nous saurons si le rejet des partis européens au pouvoir lors des récentes élections parlementaires européennes se répercutera sur les élections nationales françaises. Si tel est le cas, cela marquera le retour du nationalisme européen et le début de l’éclatement de l’OTAN et du bellicisme américain.
La troisième est que nous saurons si Washington et ses marionnettes européennes sont suffisamment fous pour déployer des soldats de l’OTAN en Ukraine et continuer à tirer des missiles sur des civils russes comme le fait Israël sur les Palestiniens. Si Poutine accepte ces provocations, comme il l’a fait auparavant, nous pourrions être confrontés à la montée en puissance d’un chef de guerre russe qui mettrait fin à notre existence et à celle de l’Europe.
Le fait que ces trois points ne soient pas des points centraux dans les discussions occidentales signifie un manque de sensibilisation et de préparation en cas d’évolution défavorable des événements.
Pendant ce temps, la jeunesse américaine est confrontée à la conscription et à la déprogrammation alors que les citoyens de la civilisation occidentale font défiler leurs téléphones portables à la recherche constante de divertissement.
https://www.globalresearch.ca/julian-assange-free/5860926
La liberté de Julian est notre liberté
RépondreSupprimerPar WikiLeaks
Recherche mondiale,
25 juin 2024
Julian Assange est libre. Il a quitté la prison à sécurité maximale de Belmarsh le matin du 24 juin, après y avoir passé 1 901 jours. Il a été libéré sous caution par la Haute Cour de Londres et a été libéré à l'aéroport de Stansted dans l'après-midi, où il est monté à bord d'un avion et a quitté le Royaume-Uni.
C’est le résultat d’une campagne mondiale qui a réuni des organisateurs locaux, des défenseurs de la liberté de la presse, des législateurs et des dirigeants de tout le spectre politique, jusqu’aux Nations Unies. Cela a ouvert la voie à une longue période de négociations avec le ministère américain de la Justice, qui a abouti à un accord qui n'a pas encore été formellement finalisé. Nous vous fournirons plus d’informations dès que possible.
Après plus de cinq ans dans une cellule de 2 mètres sur 3, isolé 23 heures sur 23, il retrouvera bientôt son épouse Stella Assange et leurs enfants, qui n'ont connu leur père que derrière les barreaux.
WikiLeaks a publié des articles sans précédent sur la corruption du gouvernement et les violations des droits de l'homme, tenant les puissants pour responsables de leurs actes. En tant que rédacteur en chef, Julian a payé cher pour ces principes et pour le droit du peuple à savoir.
À son retour en Australie, nous remercions tous ceux qui nous ont soutenus, se sont battus pour nous et sont restés totalement engagés dans la lutte pour sa liberté.
La liberté de Julian est notre liberté.
https://www.globalresearch.ca/julian-assange-free-2/5860913
Assange libre : 4 leçons qui vont nous inspirer
RépondreSupprimerMICHEL COLLON
investigaction.net
mar., 25 juin 2024 21:13 UTC
Je crois que nous pouvons tous énormément nous réjouir de la libération de Julian Assange ! C'est une magnifique victoire des peuples pour la liberté d'expression, pour le droit de savoir, pour la protection de tous les lanceurs d'alerte et des véritables journalistes. Acharné à le torturer, l'Empire voulait imposer un exemple pour décourager tous les lanceurs d'alerte. C'est-à-dire pour protéger ses propres crimes de guerre et contre l'humanité. Le but de Washington n'était pas de juger Julian aux États-Unis mais de le faire mourir à petit feu dans les prisons anglaises. S'il y avait eu un procès, il se serait brillamment défendu et aurait infligé une défaite morale à ses accusateurs.
De cette victoire, nous pouvons, je pense, tirer quatre leçons très importantes...
Leçon n° 1. Il faut s'organiser. Je tiens à rappeler que depuis des années, en Belgique, en France et en d'autres pays, de petits comités d'action solidaire se sont constitués et ont effectué un travail de terrain absolument remarquable. Je me souviens qu'il y a quelques années, nous avions organisé à Bruxelles une séance en solidarité avec Julian, c'était avec l'équipe du ciné-club Attac Bruxelles que je salue et j'avais lancé un appel : il nous faudrait des comités de terrain pour défendre Julian, contrer les médiamensonges répandus sur lui, informer dans la rue, dans des petits débats partout. Montrer pourquoi nous avions besoin d'Assange et de Wikileaks.
En Belgique, Marie-France Deprez et d'autres amis ont relevé ce défi. Présents semaine après semaine, année après année, dans les rues de Bruxelles et de Namur, ils ont réussi à créer un véritable mouvement d'opinion directement auprès des citoyens qui a fini par infléchir les grandes ONG et les médias dominants. Magnifique succès !
En France, Viktor Dedaj, Laurent Dauré, Jacqueline Boucher, Serge Regourd et de nombreux autres ont organisé une quantité impressionnante de débats et de manifestations pour la vérité. Des artistes se sont engagés : Corinne Masiero, Lio, Claude Sérillon, Josianne Balasko, Albert Dupontel, Cédric Klapish, Bruno Gaccio, Anne Roumanoff, Pascal Légitimus, Virginie Ledoyen, Bruno Podalydès, Emir Kusturica, Dominique Blanc, Stéphane Foenkinos, Serge Regourd, et bien d'autres ont signé une pétition dès 2019...
Conclusion : le rapport de forces ne change que par la mobilisation des masses populaires. Ce qui est seulement possible par un travail de terrain, patient et de longue durée. Et un beau jour... la situation bascule !
Leçon n° 2. La diabolisation peut être vaincue. C'était très dur à l'époque : une puissante campagne de diabolisation, organisée par les USA, avait inondé les médias et Internet de calomnies. On lui avait fabriqué et matraqué l'image d'un violeur cynique et d'un hacker sans scrupules. Mais tous ces militants de la bataille de l'info ont réussi à renverser la montagne du mensonge et à mettre l'Empire en échec.
RépondreSupprimerLes éditions Investig'Action ont un petit peu contribué à cette campagne en publiant le petit bouquin très précieux de citations de Julian. Karen Sharpe les a rassemblées et présentées, révélant une pensée très riche sur plein de sujets. Merci Karen ! À lire, méditer, propager !
Leçon n° 3. Les Palestiniens ont sauvé Assange. En résistant aux crimes de guerre d'aujourd'hui, en refusant d'être chassés de leurs terres malgré la cruauté des bombardements, en diffusant avec leurs téléphones les faits réels occultés par le système médiatique, et surtout avec tous ces journalistes palestiniens qui ont donné leur vie pour continuer à informer en sachant que Netanyahou est le plus grand serial killer de tous les temps contre la presse, ce sont eux qui ont changé le rapport de forces. Entre mensonges et vérité, entre États-Unis et peuples résistants, entre médias couchés et médias debout.
Oui, je pense vraiment que Biden le super-menteur a été mis en grandes difficultés par la résistance des Palestiniens. Il tremble pour sa réélection et a jugé qu'il devait lâcher du lest. Ce recul peut et doit nous encourager. Le système impérial multiple ses crimes et se rend de plus en plus détestable. Sur ce terrain, si nous construisons une info libre, bien présentée et bien relayée, nous réussirons à le faire reculer.
Quatrième leçon à tirer : Nous devons absolument protéger les lanceurs d'alerte, TOUS les lanceurs d'alerte. Il y en a beaucoup, je les ai mentionnés dans la préface du petit livre Assange dont je parlais plus haut. Investig'Action lance aujourd'hui un projet important : nous créons sur notre site une rubrique lanceurs d'alerte. Soutenez ce projet, écrivez-nous pour donner un coup de main, aidez à financer !
https://fr.sott.net/article/43717-Assange-libre-4-lecons-qui-vont-nous-inspirer
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Le père noel n'a pas attendu le 25 Décembre pour intervenir !
SupprimerAssange est libre, mais justice n’a pas été rendue
RépondreSupprimerPar Caitlin Johnstone
CaitlinJohnstone.com
26 juin 2024
Julian Assange est libre. Au moment d'écrire ces lignes, il est en route vers les îles Mariannes du Nord, (Nord de l'Australie et EST de la Chine). un territoire américain isolé dans le Pacifique occidental, pour finaliser un accord de plaidoyer avec le gouvernement américain qui le verra condamné à une peine de prison dans la prison de Belmarsh. À moins de manigances louches de la part de l’empire, il retournera ensuite dans son pays d’origine, l’Australie, en homme libre.
Il est important de noter que, selon les experts que j’ai vus commenter ce nouveau développement étonnant, il ne semble pas que son accord de plaidoyer créera de nouveaux précédents juridiques qui seraient préjudiciables aux journalistes à l’avenir. Joe Lauria rapporte ce qui suit pour Consortium News :
« Bruce Afran, un avocat constitutionnel américain, a déclaré à Consortium News qu'un accord de plaidoyer ne crée pas de précédent juridique. Par conséquent, l’accord d’Assange ne mettrait pas en danger les journalistes qui pourraient à l’avenir être poursuivis pour avoir accepté et publié des informations classifiées provenant d’une source parce qu’Assange avait accepté une telle accusation.
J’ai évidemment beaucoup de sentiments à propos de tout cela, ayant suivi cette affaire importante de si près pendant si longtemps et ayant consacré tant de travail à l’écrire. Il y a tellement, beaucoup de travail à faire dans notre lutte collective pour libérer le monde des griffes de la machine à tuer impériale, mais je suis ravi pour Assange et sa famille, et cela fait du bien de marquer une solide victoire dans ce combat.
Cependant, rien de tout cela ne annule les maux impardonnables que l'empire a infligés en persécutant Julian Assange, ni ne renverse les dégâts mondiaux qui ont été causés en faisant de lui un exemple public pour montrer ce qui arrive à un journaliste qui dit des vérités gênantes sur le plus puissant du monde. gouvernement.
Ainsi, même si Assange est libre, nous ne pouvons pas dire à juste titre que justice a été rendue.
La justice ressemblerait à ce qu'Assange obtienne une grâce totale et inconditionnelle et reçoive des millions de dollars de compensation de la part du gouvernement américain pour les tourments qu'ils lui ont infligés par son emprisonnement à Belmarsh à partir de 2019, son emprisonnement de facto à l'ambassade équatorienne à partir de 2012. , et son emprisonnement et son assignation à résidence à partir de 2010.
La justice donnerait l'impression que les États-Unis apportent des changements juridiques et politiques concrets garantissant que Washington ne pourra plus jamais utiliser son pouvoir et son influence à l'échelle mondiale pour détruire la vie d'un journaliste étranger qui a rapporté des faits gênants à son sujet, et qu'ils présentent des excuses officielles à Julian Assange et sa famille.
RépondreSupprimerLa justice ressemblerait à l’arrestation et à la poursuite des personnes dont Assange a dénoncé les crimes de guerre, et à l’arrestation et à la poursuite de tous ceux qui ont contribué à ruiner sa vie en révélant ces crimes. Cela inclurait toute une série d’agents et de responsables gouvernementaux de nombreux pays, ainsi que plusieurs présidents américains.
La justice ressemblerait à un accueil et à des honneurs de héros venant d’Australie à son arrivée, et à une révision sérieuse des relations obséquieuses de Canberra avec Washington.
La justice ressemblerait à des excuses formelles adressées à Assange et à sa famille par les comités de rédaction de tous les principaux organes de presse qui ont fabriqué le consentement pour sa persécution brutale – y compris et surtout The Guardian — et à la destruction complète de la réputation de tous les préstitués sans scrupules qui ont contribué à le diffamer. au cours des années.
Si ces choses se produisaient, alors nous pourrions peut-être affirmer que justice a été rendue dans une certaine mesure. Dans l’état actuel des choses, tout ce que nous avons, c’est la cessation d’un seul acte de dépravation de la part d’un empire qui ne fait que reculer pour faire place à de nouvelles dépravations plus importantes. Nous vivons tous encore sous une structure de pouvoir à l’échelle mondiale qui a montré au monde entier qu’elle détruirait votre vie si vous dénoncez sa criminalité, puis prenez du recul et réclamez fièrement cette justice.
Donc personnellement, je pense que je vais simplement prendre cette petite victoire avec sérénité en adressant un rapide « merci » au ciel et en me remettant au travail. Il reste encore beaucoup à faire et très peu de temps pour le faire.
Le combat continue.
https://www.lewrockwell.com/2024/06/no_author/assange-is-free-but-justice-has-not-been-done/
Après "8 ans après la Russie intervient en Ukraine pour la libérer" voici qu'Assange après 12 ans de prison en Angleterre et sauvé par un avion qui l'emporte vers une prison sous les Tropiques !
SupprimerWhoâw !
Qu’est-ce que l’adénomyose ? Maladie non reconnue ayant un impact sur la vie des femmes. Affecte jusqu’à 1 femme sur 5
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
26 juin 2024
L'adénomyose est une maladie utérine bénigne dépendante des œstrogènes qui peut provoquer des saignements utérins anormaux, des douleurs pelviennes et une infertilité.
On estime qu'environ 20 % des femmes, principalement celles en âge de procréer, pourraient souffrir de cette maladie, mais il y a étonnamment peu de sensibilisation à ce sujet.
On pense que l’œstrogène favorise la croissance de l’adénomyose ; de nombreuses personnes sont exposées à un excès d’œstrogènes sous forme de contraception, de thérapie de remplacement des œstrogènes et même d’exposition aux plastiques
L'œstrogène est également cancérigène et antimétabolique, réduisant radicalement la capacité de vos mitochondries à créer de l'énergie cellulaire.
L’une des stratégies les plus importantes contre l’adénomyose – en plus d’éviter les œstrogènes et les xénoestrogènes – consiste à prendre de la progestérone naturelle, qui est anti-œstrogénique.
*
L'adénomyose est une maladie utérine bénigne dépendante des œstrogènes 1 , qui implique des symptômes tels que des saignements utérins anormaux, des douleurs pelviennes et l'infertilité. 2 En cas d'adénomyose, le tissu endométrial, qui tapisse normalement l'utérus, se trouve dans le myomètre, ou la paroi musculaire de l'utérus.
En d’autres termes, la muqueuse utérine se développe dans la paroi musculaire de l’utérus 3 , provoquant des symptômes allant de légers à graves. Pour certaines femmes, l’adénomyose ne provoque aucun symptôme tandis que d’autres ressentent une douleur débilitante.
On estime qu'environ 20 % des femmes, principalement celles en âge de procréer, pourraient souffrir de cette maladie 4 , et pourtant, étonnamment, les professionnels de la santé et le public en sont peu conscients. 5
Quels sont les signes et symptômes de l’adénomyose ?
RépondreSupprimerL'adénomyose peut être classée en deux types principaux : focale et diffuse. Dans l'adénomyose focale, le tissu endométrial est localisé dans une ou plusieurs zones spécifiques du muscle utérin. Ces régions localisées sont parfois appelées adénomyomes, qui ressemblent aux fibromes mais contiennent du tissu endométrial.
L'adénomyose diffuse implique une infiltration plus répandue du tissu endométrial dans tout le muscle utérin. Ce type se caractérise par une paroi utérine uniformément épaissie. Dans les deux cas, la muqueuse de l'utérus se développe dans la paroi utérine, entraînant un épaississement et un élargissement de l'utérus, qui dans certains cas peut doubler ou tripler en taille. 6
"Les tissus déplacés continuent d'agir normalement - en s'épaississant, en se décomposant et en saignant - au cours de chaque cycle menstruel", note la Mayo Clinic. 7 Les symptômes courants de l'adénomyose comprennent des saignements menstruels abondants, des crampes menstruelles sévères, des douleurs pelviennes et des ballonnements.
Certaines femmes atteintes d'adénomyose peuvent également ressentir des douleurs pendant les rapports sexuels. L'infertilité est également possible et les femmes atteintes d'adénomyose qui tombent enceintes sont plus susceptibles de présenter des complications telles qu'une fausse couche, un accouchement prématuré, une prééclampsie et des saignements après l'accouchement. 8
La maladie peut parfois être asymptomatique, ce qui rend le diagnostic difficile. Bien que la plupart des femmes qui développent une adénomyose soient âgées de 40 à 50 ans, elle peut également se développer chez des femmes plus jeunes. Cette maladie est de plus en plus fréquente chez les femmes dans la trentaine, 9 et même les adolescentes peuvent être touchées. D'autres facteurs qui augmentent le risque d'adénomyose comprennent :
Mener deux grossesses ou plus jusqu'à terme 10
Chirurgies utérines antérieures, y compris l'ablation des fibromes utérins, la césarienne ou la dilatation et le curetage (D&C)
Endométriose
Principales causes de l’adénomyose
Une combinaison d’hormones, de génétique et d’inflammation ou de lésion de la zone influence probablement le développement de l’adénomyose. Alerte scientifique signalé : 11
« On pense que la région située entre l’endomètre et le myomètre est endommagée, soit par les processus naturels du cycle menstruel, des grossesses et de l’accouchement, soit par des procédures médicales. Chez certaines femmes, les lésions de la couche de tissu endométrial ne guérissent pas comme elles le devraient et les cellules ressemblant à l’endomètre pénètrent et se développent anormalement dans le myomètre.
Il est possible que les incisions utérines pratiquées lors d'une intervention chirurgicale permettent, par exemple, l'invasion directe des cellules de l'endomètre dans la paroi utérine. Il a également été suggéré que le tissu endométrial mal placé pourrait se déposer dans la paroi utérine du fœtus au cours du développement. 12
RépondreSupprimerL’inflammation de la muqueuse utérine après l’accouchement est un autre facteur potentiel susceptible de dégrader les limites des cellules tapissant l’utérus. Une autre théorie suggère que les cellules souches de la moelle osseuse dans le muscle utérin pourraient déclencher la maladie. 13
L’œstrogène, une hormone impliquée dans le cycle menstruel, favoriserait également la croissance de l’adénomyose. Par conséquent, les conditions entraînant des niveaux plus élevés d’œstrogènes peuvent être liées à un risque accru. « Quelle que soit la façon dont l'adénomyose se développe, sa croissance dépend des œstrogènes circulant dans le corps », explique la Mayo Clinic. 14
L'œstrogène favorise l'adénomyose
« Il a été prouvé que les œstrogènes sont les hormones essentielles à la croissance de l’adénomyose », comme l’indique le Journal of Clinical Medicine. 15 Pourtant, le rôle exact des œstrogènes dans l’aggravation de l’adénomyose n’est pas encore entièrement compris.
Dans une étude, les chercheurs ont découvert qu’une molécule appelée miR-145 est beaucoup plus présente dans les tissus de l’adénomyose que dans les tissus sains. 16 Des niveaux élevés de miR-145 activent les gènes qui provoquent l'inflammation et l'adhésion cellulaire.
Un gène important affecté par miR-145 est CITED2, qui joue un rôle clé dans l’arrêt du mouvement cellulaire. L’étude a montré que les œstrogènes, via un récepteur spécifique, augmentent les niveaux de miR-145, favorisant ainsi la progression de l’adénomyose. Yale Medicine explique également : 17
« Les preuves suggèrent qu'une exposition prolongée aux œstrogènes pourrait être un facteur contributif [à l'adénomyose utérine]. Les femmes peuvent être exposées à davantage d’œstrogènes si leurs cycles menstruels sont plus courts que la moyenne ou si elles ont été enceintes deux fois ou plus.
Cependant, de nombreuses personnes sont exposées à un excès d’œstrogènes sous forme de contraception , de thérapie de remplacement des œstrogènes et même d’exposition aux plastiques.
Les dangers d’un taux élevé d’œstrogènes
Bien que l’œstrogène soit communément appelé « l’hormone féminine », cela est trompeur, car il n’est pas réservé aux femmes. De plus, il n’existe pas un seul œstrogène mais plusieurs. L'une des propriétés des œstrogènes est leur capacité à augmenter la capacité des cellules à retenir l'eau, c'est pourquoi les femmes à dominance en œstrogènes sont sujettes à l'œdème (rétention d'eau). Le gonflement cellulaire est à la fois une caractéristique de la réponse cellulaire au stress et un signal de prolifération cellulaire.
Pendant la phase folliculaire du cycle menstruel, les œstrogènes stimulent le gonflement et la multiplication de la muqueuse utérine et des follicules en vue de la fécondation d’un ovule. De même, pendant et après la grossesse, le tissu mammaire gonfle et grossit pour faciliter la production de lait. Mais le gonflement et la prolifération cellulaires sont également une caractéristique du cancer. En effet, le mot oncologie vient du mot grec « oncos », qui signifie gonflement.
RépondreSupprimerDans son livre de 1997, « From PMS to Menopause: Female Hormones in Context » 18 , le biologiste Ray Peat19 a déclaré qu'il avait été démontré que les œstrogènes reproduisaient la phase de choc de la réaction de stress chez les animaux. Selon Peat, le but physiologique des œstrogènes est de stimuler la division cellulaire en déclenchant l’absorption d’eau par la cellule. Peat soupçonnait également que les œstrogènes étaient un inhibiteur métabolique qui ralentissait la production d'énergie dans la cellule.
De plus, comme l'a expliqué le chercheur en bioénergie Georgi Dinkov dans mon entretien avec lui, les œstrogènes sont cancérigènes et antimétaboliques , réduisant radicalement la capacité de vos mitochondries à créer de l'énergie cellulaire sous forme d'ATP en dépendant de la glycolyse aérobie (l'effet Warburg), qui altère radicalement. la phosphorylation oxydative. Cela contribue encore à son effet cancérigène.
Selon Dinkov, le rôle biochimique des œstrogènes est de faciliter la cicatrisation des plaies. En cas de traumatisme tissulaire, les œstrogènes ramènent les cellules différenciées de ce tissu spécifique à un état semblable à celui des cellules souches, afin de réparer le tissu endommagé. Chez les femmes jeunes et en bonne santé, la progestérone désactivera l'activité des œstrogènes. Cependant, la progestérone diminue avec l’âge, mais pas la synthèse des œstrogènes. Par conséquent, si votre taux d’œstrogènes est élevé et votre taux de progestérone faible, votre risque de cancer augmentera.
Les œstrogènes favorisent également la différenciation et la prolifération des cellules adipeuses (adipocytes) dans la couche adipeuse sous-cutanée, particulièrement répandue au niveau des cuisses, des hanches et des fesses, entraînant ainsi un stockage accru des graisses dans ces zones.
Certaines personnes et certains cliniciens pensent que les œstrogènes bio-identiques résolvent le problème, mais ils ne font rien de tel. L’œstrogène bio-identique présente toujours les mêmes caractéristiques négatives. Il augmente le risque de tous les cancers, réduit votre taux métabolique et augmente votre risque d'obésité, de diabète et d'ostéoporose, ainsi que d'adénomyose.
Conseils pour réduire votre exposition et votre charge aux œstrogènes
RépondreSupprimerLe traitement conventionnel de l'adénomyose implique généralement des analgésiques et des traitements hormonaux, tels que les pilules contraceptives, et même une intervention chirurgicale, y compris l'hystérectomie. Mais l’une des stratégies les plus importantes – outre l’évitement des œstrogènes et des xénoestrogènes – consiste à prendre de la progestérone naturelle. Non seulement la progestérone est anti-œstrogénique, mais c'est un puissant bloqueur du cortisol et améliorera la production d'énergie cellulaire par les mitochondries en bloquant les œstrogènes et le cortisol.
Avant d'envisager d'utiliser la progestérone, il est important de comprendre qu'il ne s'agit pas d'une solution miracle et que vous en tirerez le meilleur parti en mettant en œuvre une approche de régime bioénergétique qui vous permet de brûler efficacement le glucose comme carburant principal avec des électrons de sauvegarde dans vos mitochondries qui réduisent votre production d'énergie. Mon nouveau livre à paraître prochainement sur la santé cellulaire couvre ce processus de manière très détaillée.
Une fois que vous avez réglé votre alimentation, une stratégie efficace qui peut aider à contrecarrer l’excès d’œstrogènes consiste à prendre de la progestérone transmuqueuse (et non orale ou transdermique), qui est un antagoniste naturel des œstrogènes. La progestérone est l’une des quatre hormones dont je pense que de nombreux adultes peuvent bénéficier. (Les trois autres sont l'hormone thyroïdienne T3, la DHEA et la prégnénolone.)
Je ne recommande pas la progestérone transdermique, car votre peau exprime des niveaux élevés d'enzyme 5-alpha réductase, ce qui provoque la conversion irréversible d'une partie importante de la progestérone que vous prenez principalement en allopregnanolone et ne peut pas être reconvertie en progestérone.
A titre de recommandation générale, je recommande de prendre 25 à 50 mg de progestérone bio-identique par jour, le soir une heure avant de se coucher, car elle peut aussi favoriser le sommeil. Pour une biodisponibilité optimale, la progestérone doit être mélangée à la vitamine E naturelle. La différence de biodisponibilité entre la prise orale de progestérone sans vitamine E et la prise avec de la vitamine E est de 45 minutes contre 48 heures.
Vous pouvez fabriquer le vôtre en dissolvant de la poudre de progestérone USP pure dans une capsule de vitamine E de haute qualité, puis en frottant le mélange sur vos gencives. Cinquante milligrammes de progestérone en poudre correspondent à environ 1/32 cuillère à café.
N'utilisez pas de vitamine E synthétique (acétate d'alpha-tocophérol — l'acétate indique qu'elle est synthétique). La vitamine E naturelle sera étiquetée « d alpha tocophérol ». Il s’agit de l’isomère D pur, que votre corps peut utiliser.
Il existe également d'autres isomères de la vitamine E, et vous voulez le spectre complet des tocophérols et des tocotriénols, en particulier les types bêta, gamma et delta, dans l'isomère D efficace. À titre d'exemple de vitamine E idéale, vous pouvez consulter l'étiquette de notre vitamine E dans notre magasin. Vous pouvez utiliser n’importe quelle marque portant une étiquette similaire.
RépondreSupprimerSi vous êtes une femme menstruée, vous devez prendre la progestérone pendant la phase lutéale ou la dernière moitié de votre cycle, qui peut être déterminée en commençant 10 jours après le premier jour de vos règles et en arrêtant la progestérone au début de vos règles.
Si vous êtes un homme ou une femme non menstruée, vous pouvez prendre de la progestérone tous les jours pendant 4 à 6 mois, puis faire une pause pendant une semaine. Le meilleur moment de la journée pour prendre de la progestérone est 30 minutes avant de se coucher car elle a une fonction anti-cortisol et augmentera les niveaux de GABA pour une bonne nuit de sommeil.
Veuillez noter que lorsque la progestérone est utilisée par voie transmuqueuse sur vos gencives, comme je le conseille, la FDA estime que cela la transforme d'une manière ou d'une autre en médicament et interdit à toute entreprise de l'indiquer sur son étiquette. Cependant, sachez qu’il est parfaitement légal pour tout médecin de prescrire une indication non conforme pour un médicament.
Dans ce cas, la progestérone est une hormone naturelle et non un médicament et elle est très sûre même à fortes doses. Ceci est différent de la progestérone synthétique, appelée progestatifs, qui est utilisée par les sociétés pharmaceutiques, mais fréquemment et à tort appelée progestérone, qui est dangereuse et ne devrait jamais être utilisée par quiconque.
Compte tenu des risques pour la santé associés à un excès d’œstrogènes, voici quelques stratégies supplémentaires de bon sens qui peuvent vous aider à limiter votre exposition et à réduire votre charge d’œstrogènes :
Évitez les œstrogènes synthétiques – Minimisez l’exposition aux œstrogènes synthétiques, tels que ceux que l’on trouve dans le traitement hormonal substitutif et les contraceptifs oraux. Consultez un professionnel de la santé qualifié au sujet des traitements alternatifs et/ou des méthodes contraceptives à faible teneur en œstrogènes.
Évitez l’acide linoléique (AL) – Les AGPI oméga-6 comme l’AL fonctionnent de manière très similaire aux œstrogènes, car ils augmentent tous deux votre risque de cancer et diminuent la fonction métabolique en supprimant votre thyroïde. Il est préférable de lire mon article complet sur Los Angeles pour plus de détails.
Choisissez des produits naturels — Optez pour des produits de soins personnels naturels et biologiques, notamment des articles de maquillage, de soins de la peau et de soins capillaires, pour réduire l'exposition aux produits chimiques synthétiques comme les parabènes et les phtalates, qui ont des propriétés œstrogéniques.
RépondreSupprimerLimiter l’exposition aux pesticides – Choisissez autant que possible des produits biologiques pour réduire l’exposition aux pesticides, dont beaucoup ont des effets œstrogéniques. Laver soigneusement les fruits et légumes peut également aider à éliminer les résidus de pesticides.
Repensez vos produits ménagers — De nombreux produits d'entretien ménager, détergents à lessive et assainisseurs d'air contiennent des produits chimiques aux propriétés œstrogéniques. Remplacez-les par des alternatives naturelles et non toxiques ou créez vos propres solutions de nettoyage en utilisant du vinaigre, du bicarbonate de soude et des huiles essentielles.
Évitez les récipients en plastique – Réduisez l’utilisation de récipients en plastique et d’emballages alimentaires, qui peuvent libérer des composés œstrogéniques dans les aliments et les boissons. Optez plutôt pour des récipients en verre ou en acier inoxydable pour le stockage des aliments et des bouteilles d’eau.
Maintenir un poids santé – Visez un poids et une composition corporelle sains grâce à une alimentation équilibrée et à une activité physique régulière. L’excès de graisse corporelle, en particulier autour des cuisses, des hanches et des fesses, peut contribuer à des niveaux d’œstrogènes plus élevés.
Soutenez la santé du foie – Soutenez la fonction hépatique, car votre foie joue un rôle crucial dans le métabolisme et l’élimination de l’excès d’œstrogènes de votre corps. Adoptez une alimentation riche en nutriments, limitez votre consommation d'alcool et envisagez d'incorporer des herbes et des suppléments bénéfiques pour le foie, comme le chardon-Marie ou la racine de pissenlit.
Réduire le stress — Gérez le stress grâce à des techniques de relaxation comme la méditation, des exercices de respiration profonde, le yoga ou en passant du temps dans la nature. Le stress chronique peut perturber l’équilibre hormonal, y compris les niveaux d’œstrogènes, il est donc essentiel de donner la priorité à la réduction du stress.
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Remarques
RépondreSupprimer1 Rapports de médecine moléculaire 8 mars 2021
2 J Clin Med. juillet 2023 ; 12(14) : 4828
3, 10, 17 Yale Medicine, Adénomyose utérine
4 Meilleures pratiques et recherche en obstétrique et gynécologie cliniques, août 2006, volume 20, numéro 4, pages 465-477
5, 8, 11 Alerte scientifique 13 mai 2024
6, 9 Cleveland Clinic, Adénomyose
7, 12, 13, 14 Clinique Mayo, Adénomyose
15 J Clin Med. août 2022 ; 11(15) : 4407
16 Biomédecine reproductive en ligne 12 mai 2024, 104108
18 Du syndrome prémenstruel à la ménopause : les hormones féminines en contexte (PDF)
https://www.globalresearch.ca/adenomyosis-affects-women/5861031
Lésions cérébrales causées par les vaccins à ARNm contre la COVID-19
RépondreSupprimerDeux études sud-coréennes massives bousculent la donne
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
26 juin 2024
Étude n°1 : ( 28 mai 2024, Jee Hoon Roh et al )
Le neuroscientifique japonais, le Dr Hiroto Komano, s'inquiète de la montée explosive de la démence parmi les personnes vaccinées contre le COVID : une étude massive portant sur environ 600 000 personnes révèle
Dans un récent épisode de la chaîne Masako Ganaha publié le 16 juin 2024, le professeur Dr Hiroto Komano, neuroscientifique renommé et professeur au département de neurosciences de la faculté des sciences pharmaceutiques de l'université médicale d'Iwate, a partagé ses sérieuses inquiétudes quant au lien entre Vaccination contre le COVID-19 et augmentation des cas de démence.
Le Dr Komano possède un parcours académique impressionnant. Après avoir obtenu son diplôme de la Faculté des sciences pharmaceutiques de l'Université de Tokyo, il a été assistant à l'université et a occupé des postes de recherche à l'Université de Stanford et à la faculté de médecine de l'Université du Michigan aux États-Unis. Il a également été directeur de laboratoire au Centre national de gériatrie et de gérontologie en avril 2007. Ses principales recherches portent sur la compréhension des molécules impliquées dans l'apparition et la prévention de la maladie d'Alzheimer.
Au cours de l'entretien, le Dr Komano a parlé d'une étude réalisée en Corée du Sud, récemment publiée dans l'International Journal of Medicine par Roh et al. le 28 mai 2024.
Cette étude a examiné les données de santé de 519 330 personnes ayant reçu deux doses du vaccin contre la COVID-19 . et ils ont comparé ces personnes vaccinées à environ 38 687 personnes qui n'ont pas reçu le vaccin .
- voir schéma sur site -
Le Dr Komano a souligné plusieurs constatations troublantes :
Premièrement, elle a montré que l'incidence des troubles cognitifs légers (MCI), un stade précoce de la démence, a plus que doublé chez les individus vaccinés par rapport aux individus non vaccinés ( augmentation de +140 % ).
De plus, dans les trois mois suivant la vaccination, le nombre de personnes vaccinées ayant développé une démence, y compris la maladie d'Alzheimer, a augmenté de 23 % par rapport aux personnes non vaccinées.
Il a souligné l’augmentation inquiétante des cas de démence, déclarant : « Une augmentation de la démence serait désastreuse. Les personnes âgées qui survivent mais courent un risque plus élevé de développer une démence. Actuellement, « une personne sur cinq de plus de 65 ans souffre déjà de démence. " La situation pourrait s'aggraver considérablement, prévient le Dr Kamano : " Cela signifie que cela pourrait concerner deux personnes sur cinq. « Si la vaccination continue sans contrôle, le nombre de cas de démence ne fera qu’augmenter, posant un défi de santé publique important.
RépondreSupprimerOutre les conclusions sur le lien potentiel entre la vaccination contre la COVID-19 et la démence, le Dr Komano a exprimé de graves inquiétudes quant aux implications plus larges de l’administration de tels vaccins. Il a prévenu : « L'administration de ce vaccin, qu'il s'agisse d'un vaccin contre la COVID-19 ou d'un vaccin réplicon, entraîne un affaiblissement du système immunitaire en raison de l'induction d'IgG4, et des personnes meurent d'autres maladies. » Le Dr Komano a également souligné les effets néfastes potentiels sur les enfants et les taux de natalité.
Critiquant le caractère expérimental du vaccin contre la COVID-19, le Dr Komano a exprimé sa conviction que les risques associés au vaccin sont considérables. Il a averti que les cas de démence augmenteraient probablement de manière significative si la vaccination se poursuivait , en particulier chez les personnes âgées. Le Dr Komano a souligné l’importance de poursuivre les recherches pour comprendre les effets à long terme du vaccin sur la santé cognitive.
Le Dr Komano a également souligné la nécessité cruciale d’enquêter sur la question de l’excrétion du vaccin/des protéines de pointe, exprimant sa profonde incrédulité face à la situation actuelle : « Rien de tout cela n’a été correctement étudié, et pourtant ils développent le prochain vaccin à réplicon (ARNm). Il est incroyable qu’ils développent également d’autres vaccins à ARN messager. "
Se joignant à la discussion, l'éminent biologiste moléculaire, le Dr Hiroshi Arakawa, a souligné les problèmes systémiques dans la communauté de la recherche. Il a souligné que pour de nombreux chercheurs, l'accent est mis sur l'obtention de financements et l'avancement de carrière , ce qui signifie souvent éviter les sujets qui n'attirent pas de soutien financier ou ne mènent pas à des publications de premier plan.
Il a noté : « De plus, faire de telles annonces peut entraîner des réprimandes des chercheurs par leurs institutions », établissant un parallèle avec un incident récent aux Pays-Bas où le Centre Princess Maxima a tenté de censurer et de réprimander l'auteur principal d'un article du BMJ qui exhortait les gouvernements à explorer les possibilités potentielles. La thérapie génique à ARNm est nocive.
*
Étude n°2 : ( 4 juin 2024, Hong Jin Kim et al )
RépondreSupprimerCette étude vise à étudier les EI psychiatriques après la vaccination contre le COVID-19 à partir d'une vaste cohorte de population à Séoul, en Corée du Sud.
Nous avons recruté 50 % de la population résidant à Séoul, sélectionnée au hasard dans la base de données des réclamations du Service national coréen d'assurance maladie (KNHIS).
Au total, 4 348 412 personnes vivant à Séoul, en Corée du Sud, constituant 50 % de la population, ont été incluses et étudiées.
Les incidences cumulées pour 10 000 EI psychiatriques ont été évaluées une semaine, deux semaines, un mois et trois mois après la vaccination contre le COVID-19.
Résultats
L’incidence cumulative de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, de troubles du sommeil et de troubles sexuels trois mois après la vaccination contre le COVID-19 était plus élevée dans le groupe vacciné que dans le groupe sans vaccination.
Dépression +68 %
Anxiété, dissociative, stress, somatoforme +44 %
troubles du sommeil +93 %
La schizophrénie et les troubles bipolaires ont montré une incidence cumulée plus faible dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné.
Figure 2
- voir graph sur sitre -
Étude n°3 : (11 avril 2024, Lazareva et al)
Notre revue systématique visait à examiner les cas d’apparition d’une psychose suite à la vaccination contre la COVID-19.
Nous avons mené une revue systématique des rapports de cas et des séries de cas sur l'apparition d'une psychose suite à la vaccination contre la COVID-19 du 1er décembre 2019 au 21 novembre 2023.
Au total, 21 articles décrivent 24 cas d’apparition de nouveaux symptômes psychotiques suite à la vaccination contre la COVID-19.
54 % étaient des femmes, âgées en moyenne de 34 ans, avec un délai moyen d'apparition de 6 jours.
La durée des symptômes psychotiques variait entre 1 et 2 mois avec une moyenne de 52,48 jours.
Des anomalies des analyses sanguines ont été notées dans 50 % des cas, principalement une leucocytose légère à modérée et une élévation de la protéine C-réactive (signe d'inflammation).
Les résultats de l'imagerie par résonance magnétique étaient anormaux dans 20,8 % des cas.
Dans l’ensemble, 50 % des patients ont obtenu un rétablissement complet (50 % non).
CONCLUSION : « Les données suggèrent un lien potentiel entre le jeune âge, les vaccins à ARNm et à vecteur viral avec une nouvelle apparition de psychose dans les 7 jours suivant la vaccination. »
RépondreSupprimer« La collecte de données sur les effets psychiatriques liés au vaccin est cruciale pour la prévention, et un algorithme de surveillance et de traitement des réactions de santé mentale après la vaccination est nécessaire. »
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Mon avis…
Les vaccins à ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna traversent la barrière hémato-encéphalique (BBB).
Nous commençons maintenant à obtenir des preuves solides des DOMMAGES CÉRÉBRAUX causés par les vaccins à ARNm contre la COVID-19.
Pour résumer, si vous vous faites vacciner contre le COVID-19 :
à 3 mois : +140 % avaient des troubles cognitifs légers
à 3 mois : +23 % souffraient de démence d'Alzheimer
à 3 mois : +68 % avaient une dépression
à 3 mois : +44 % avaient des troubles anxieux, dissociatifs, stress, somatoformes
à 3 mois : +93 % troubles du sommeil
dans les 7 jours : risque accru de psychose, risque le plus élevé à 34 ans, avec seulement 50 % de chances de guérison
Ce sont des études massives et les preuves de DOMMAGES CÉRÉBRAUX sont indéniables.
Avez-vous remarqué : deux études réalisées en Corée du Sud et une en Lettonie, où les médecins peuvent encore être médecins, apparemment.
https://www.globalresearch.ca/brain-damage-covid-19-mrna-vaccines/5861012
Changement climatique et gaz carbonique : fausse durabilité contre durabilité réelle
RépondreSupprimerPar Mark Keenan
Recherche mondiale,
24 juin 2024
Le mouvement vert moderne est très éloigné des principes initiaux de l’environnementalisme.
La fausse durabilité est le programme politique conçu et poussé par les Nations Unies, mis en œuvre par des gouvernements inféodés, et qui sert les objectifs des banques privées et des super-entités des mégaentreprises. Au centre de cet agenda se trouvent la tromperie sur le changement climatique et d’autres faux récits de l’ONU, comme décrit dans le livre Transcending the Climate Change Deception Toward Real Sustainability .
Sous la rubrique « FAUX durabilité », nous pouvons considérer des points tels que :
Le changement climatique d’origine humaine est un mensonge commode : il n’est pas causé par le gaz carbonique ou le méthane provenant du bétail, comme les vaches. Les températures étaient plus élevées dans les années 1930 qu’aujourd’hui, mais l’ONU ignore ces données. Un président du comité IPPC de l’ONU a en fait démissionné pour protester contre les mensonges et les fausses informations de l’ONU. La plupart des scientifiques qui affirment que le changement climatique est un problème bénéficient de subventions gouvernementales perpétuelles. L'IPCC de l'ONU sélectionne les données, utilise une modélisation erronée et des scénarios qui n'ont aucun rapport avec le monde réel.
La géo-ingénierie sous couvert de lutte contre le changement climatique et la technologie utilisée pour polluer le ciel
Les banquiers centraux financent entièrement l’avancement du « projet » mondial sur le changement climatique. Les banquiers centraux ont détourné le véritable mouvement environnemental en 1992 en créant un faux programme sur le changement climatique. Entre autres arrière-pensées financières, la dynastie bancaire Rockefeller a promu l’agenda de l’alarmisme climatique. Le Chicago Climate Exchange est un canular générateur de milliers de milliards de dollars.
Les énergies renouvelables ne constituent pas une solution viable aux problèmes énergétiques mondiaux. En témoignent les travaux de David MacKay, (1967 – 2016), ancien professeur Regius d'ingénierie à l'Université de Cambridge et ancien conseiller scientifique en chef du ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique, dans son livre Sustainable Energy Without Hot Air, voir Endnote . Son analyse montre qu'une superficie deux fois plus grande que l'ensemble du Pays de Galles devrait être entièrement couverte d'éoliennes pour répondre à la demande énergétique du Royaume-Uni, sur la base de la consommation moyenne d'énergie par personne. Voici un extrait de son livre :
« Premièrement, pour qu’une installation renouvelable puisse apporter une contribution appréciable – une contribution comparable à notre consommation actuelle – elle doit être à l’échelle d’un pays. Pour fournir un quart de notre consommation énergétique actuelle en cultivant des cultures énergétiques, par exemple, il faudrait que 75 % de la Grande-Bretagne soit couverte de plantations de biomasse… Quelqu'un qui veut vivre d'énergies renouvelables, mais s'attend à ce que les infrastructures associées à ces énergies renouvelables ne le soient pas. grande ou intrusive, se fait des illusions… nous sommes obligés de conclure que la consommation actuelle ne sera jamais satisfaite par les énergies renouvelables britanniques… Les éoliennes qui seraient nécessaires pour fournir au Royaume-Uni 20 kWh/j par personne représentent 50 fois le matériel éolien total de Danemark; 7 fois tous les parcs éoliens d'Allemagne ; et doubler la flotte totale de toutes les éoliennes dans le monde… La capacité d’énergie solaire requise pour fournir ces 50 kWh par jour et par personne au Royaume-Uni est plus de 100 fois supérieure à celle du photovoltaïque dans le monde entier… »
RépondreSupprimerL’absurdité des voitures électriques – voir cet article Conduire une voiture électrique est un faux environnementalisme – Elon Musk démystifié
L’absurdité des bouteilles et des emballages en plastique qui libèrent des microplastiques nocifs pour la santé dans les aliments destinés à la consommation humaine
L'échec de la « révolution verte » de l'agriculture industrielle qui dégrade la qualité et la fertilité des sols via l'utilisation de grandes quantités d'herbicides et de pesticides chimiques.
Désertification – l’ONU déclare à tort que l’élevage est une cause, mais c’est en réalité une solution
Le véritable environnementalisme a été détourné par les objectifs trompeurs de développement durable de l’ONU – voir l’article Décoder les objectifs de développement durable de l’ONU : endoctriner vos enfants dans le nouvel ordre mondial « faux durable »
30 ans de développement durable défini par l’ONU n’ont pas résolu les véritables problèmes environnementaux et de bien-être humain. L’Agenda 21/2030 des Nations Unies et le programme trompeur de réinitialisation du Forum économique mondial sont des programmes de contrôle et sont à l’opposé d’une véritable durabilité. Les villes intelligentes de l'Agenda 2030 des Nations Unies sont intelligentes pour les contrôleurs du « nouvel ordre mondial », mais ne le sont pas pour vous. Le développement durable de l’ONU est un problème présenté comme une solution
L'astuce des sites du patrimoine mondial et du « réensauvagement » consiste à déplacer les agriculteurs indépendants et les populations locales de leurs terres vers des villes intelligentes où ils ne peuvent pas cultiver beaucoup de nourriture.
RépondreSupprimerLa mondialisation des mégaentreprises est un paradigme destructeur. Il s’agit d’une conception visant à diriger les méga-entreprises sur les ressources mondiales et sur l’approvisionnement alimentaire mondial. Des politiques de développement insensées ne peuvent pas produire une société saine. Il faut noter la tragédie des biens communs et la privatisation de tout – voir aussi cet article. La Banque mondiale et le FMI sont des organisations qui ont dévasté le monde en développement en enchaînant les pays dits en développement (et même les soi-disant pays du premier monde) à dette impayable.
Le mot « durable » a été détourné par les forces financières et politiques il y a des décennies. La définition trompeuse de Brundtland du développement durable influence les stratégies politiques de développement durable. Il convient de noter les fausses aubes/échecs/défauts des stratégies de découplage, de substitution des ressources et d’éco-efficacité.
Les politiques internationales de « développement durable » approuvent à tort des formes polluantes de croissance du PIB ; et approuve à tort l’usure et l’orthodoxie financière actuelle basée sur l’argent de la dette. Les politiques de l’ONU ne bouleverseront jamais l’orthodoxie ; en fait, l’orientation centrale des politiques de l’ONU est alignée sur l’orthodoxie et conçue par elle.
La stratégie d’économie verte et de croissance verte est une mondialisation destructrice peinte en vert. L'ONU promeut à tort « des formes polluantes de croissance du PIB », provoquant ainsi un impact environnemental. Au-delà d’un certain point, la croissance du PIB n’augmente pas le bien-être humain, elle l’appauvrit. L’économie contemporaine est une idéologie erronée, ce n’est pas une discipline scientifique. Il existe des problèmes systémiques dans le système économique actuel de mondialisation – voir aussi le livre Demonic Economics
À qui sert réellement l’ONU ? La vérité choquante sur le communisme, le capitalisme et la Seconde Guerre mondiale – voir aussi le livre Censored History
Tous les gouvernements qui prônent le faux programme de développement durable sont des sociétés enregistrées perpétuellement endettées envers des méga-banques privées et sont conçues pour vous taxer et vous contrôler – voir aussi le livre Demonic Economics.
Sous la rubrique « VRAIE durabilité », nous pouvons considérer des points tels que :
Qu’en est-il du véritable défi de la durabilité ? La Terre dont nous dépendons tous – qu’en est-il de la pollution réelle de la terre, de l’air et de l’eau ?
Il est erroné de blâmer la croissance démographique pour les problèmes de durabilité plutôt que de s’attaquer aux causes profondes du système financier et des entreprises.
RépondreSupprimerLa voie à suivre vers une société humaine mondiale « réelle », durable et résiliente, prospère, implique une réalité distinguée de l'illusion. Dans le système actuel, le monde économique est gouverné par les conséquences de la création de monnaie-dette et par leurs tentacules de contrôle des méga-entreprises. Cela implique de contourner la réinitialisation technocratique du FEM/ONU d’un gouvernement totalitaire mondial unique et non élu. Cela implique de contourner la fausse science dans laquelle la « science » a été récupérée et ajustée pour agir comme un bâton avec lequel vous forcer à vous conformer – voir aussi le livre Godless Fake Science.
Le principe de précaution scientifique visant à protéger la vie humaine et la nature a été largement ignoré dans ce système de mondialisation des entreprises . Ce principe devrait être utilisé pour prévenir les effets à long terme potentiellement indésirables et inconnaissables de technologies qui n’ont pas été testées sur une période prolongée, telles que les nouveaux OGM, les nouveaux composés chimiques fabriqués par l’homme et les nanotechnologies.
Les tentatives de l'ère moderne pour définir scientifiquement la « vraie » durabilité impliquent d'équilibrer les flux de matières avec les capacités de la nature via une conception durable. Ces tentatives incluent : la conception Cradle to Cradle, la conception durable et l’efficacité. Cependant, ces stratégies à elles seules ne compenseront jamais les dégâts du système polluant de la mondialisation des entreprises. Les moteurs fondamentaux de la mondialisation : le système dette-argent qui laisse tous les gouvernements dans une énorme dette impayable ; l'usure qui exige à tout prix le PIB des gouvernements ; et le contrôle croissant des entreprises sur les ressources mondiales doit être abordé.
Un retrait durable d’un système de mondialisation défectueux implique la création de systèmes locaux résilients et l’abandon des faux discours, tels que l’alarmisme climatique d’origine humaine. Actuellement, nous vivons dans un système dépendant du pétrole, du gaz et du charbon (notez que les voitures électriques dépendent de l’électricité produite principalement à partir du pétrole et du charbon). Il existe un risque d’effondrement de la société si le rendement énergétique de l’énergie investie pour ces carburants devient trop faible et si le coût de ces carburants augmente au-delà de ce que les gens peuvent se permettre de payer. Pour éviter la dépendance, il est nécessaire de recourir à des technologies intermédiaires telles que définies par des auteurs tels que EF Schumacher.
L’importance de l’agriculture biologique et d’une alimentation exempte de toxines et de composés chimiques d’origine humaine.
Dans le monde de la production conventionnelle, un agriculteur peut pulvériser sur ses cultures des pesticides ; ces produits chimiques peuvent avoir des effets dévastateurs sur la biodiversité nécessaire à une fertilité saine des sols. La réalité de la production maraîchère conventionnelle est l’utilisation systématique d’herbicides, comme le glyphosate, les pesticides et les fongicides. Autrefois, tous les produits alimentaires étaient « biologiques ». Aujourd’hui, des produits chimiques sont couramment utilisés dans la production alimentaire. Une industrie massive réalise d’énormes profits en vendant des produits chimiques utilisés dans le système alimentaire contrôlé par les entreprises . Certains de ces produits chimiques sont en réalité toxiques pour les humains et pour la biodiversité dont dépend la santé des sols. Les produits chimiques n’ont pas leur place dans notre système alimentaire ni dans le sol. Lorsque les agriculteurs biologiques demandent la certification du label biologique, les produits peuvent être vérifiés pour plus de 800 produits chimiques qui pourraient éventuellement se trouver sur le produit ! L’esprit est ahurissant face à cette réalité.
RépondreSupprimer« Comme le paysage des supermarchés serait différent si, au lieu de rechercher des produits « certifiés biologiques », tous les produits pulvérisés devaient porter une étiquette décrivant les traitements chimiques qu'ils ont reçus lors de leur trajet depuis la graine jusqu'au supermarché. Dans quelle mesure notre système alimentaire serait-il différent ? Imaginez votre sac de carottes étiqueté comme suit : quels sont les 10 produits chimiques les plus utilisés sur les carottes cultivées en Irlande en 2015 , la dernière année pour laquelle des données sont disponibles. Lambda-cyhalothrine, Linuron, Métribuzine, Azoxystrobine, Difénoconazole, Pendiméthaline, Prothioconazole, Boscalid, Pyraclostrobin, Tebuconazole » – Agriculteur biologique irlandais, Green Earth Organics
Voir également la solution bio-char pour la gestion des sols et la désertification. Arrêtez la production alimentaire OGM – personne ne connaît les effets à long terme sur les humains et la nature. Dieu nous a donné tous les aliments naturels dont nous avons besoin pour vivre sainement – ne touchez pas au dessein de Dieu. Soyez conscient des ingrédients contenus dans les vaccins – pourquoi injecter aux animaux de ferme, comme les poulets, des vaccins contenant des toxines, dont la science est pour le moins très discutable. Soyez également conscient des toxines présentes dans l’eau fluorée.
L’importance des vaches dans les communautés autosuffisantes contraste fortement avec le faux programme politique et onusien visant à réduire le nombre de vaches et, en fait, à empêcher les populations locales du monde entier de produire leur propre lait cru sain en gardant les vaches dans les communautés locales. Redécouvrir la puissance et le dynamisme des chevaux est également une option pour les communautés rurales résilientes. La redécouverte de la splendeur des anciens villages forestiers et de l'agriculture forestière pour ses fruits, ses herbes, ses matériaux de construction, etc. peut également être explorée.
Avec de nombreuses réglementations agricoles ridicules imposées par le gouvernement, dont beaucoup sont basées sur la fausse science du changement climatique d’origine humaine, il est nécessaire que l’agriculture traditionnelle soit découplée d’un système contrôlé par le gouvernement.
RépondreSupprimerLa construction de maisons naturelles utilisant des matériaux naturels et sans utilisation de produits chimiques, de peintures et de meubles (y compris les isolants pompés dans les murs) qui dégagent des gaz dans votre maison peut être explorée.
Il existe d'innombrables façons par lesquelles des personnes libres peuvent facilement travailler pour leur bénéfice mutuel et celui de la société sans que les gouvernements ne s'y opposent en imposant de fausses politiques de durabilité. La seule véritable autorité est Dieu, et non les systèmes de pouvoir corrompus et corrompus créés par l'homme et qui poussent le programme de « fausse durabilité » de l'ONU à promouvoir leurs propres objectifs.
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Mark Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du gouvernement britannique et de la Division de l'environnement des Nations Unies.
Il contribue régulièrement à Global Research. Il est l'auteur des livres suivants disponibles sur amazon.com
Dépasser la tromperie du changement climatique vers une véritable durabilité
Canular climatique sur le gaz carbonique – Comment les banquiers ont détourné le véritable mouvement environnemental
Fausse science impie
Pas de soucis, pas de virus
L’économie démoniaque et les astuces des banquiers
Les faux atterrissages sur la Lune et les mensonges de la NASA
Histoire censurée du nouvel ordre mondial – Seconde Guerre mondiale, communisme, sionisme, juifs et Vatican
https://www.globalresearch.ca/fake-sustainability-vs-real-sustainability/5860714
Nota (en passant): Les vaches pètent ! (comme tout le monde !) oui mais... les vaches sont végétariennes 100 % ! L'herbe fait péter ! Et, que vous préconise t-on ? de bouffer des végétaux à la place de la viande !! HAHAHA !
SupprimerLes végétaux (et pas seulement les fayots) font péter !
Regardez la composition de l'air:
Azote (N2) 78,084 %
Oxygène (O2) 20,953 %
Argon (Ar) 0,9340 %
Vapeur d'eau (H2O) de < 0,5 % à ~ 5 %
GAZ RARES:
Gaz carbonique 420 ppmv (en 2023) soit 0,041 %
Néon (Ne) 18,18 ppm, soit 0, 018 %
Hélium (He) 5,24 ppm soit 0,005 %
Méthane (CH4) 1,745 ppm soit 0,0000017 %
Krypton (Kr) 1,14 ppm soit 0,0000011 %
Hydrogène (H2) 550 ppb soit 0,0000000055 %
Méthane (CH4) 1,745 ppm soit 0,0000017 % !!! et... ce serait... un gaz à effet de serre !!: HAHAHAHA ! Un putain de grillage avec une maille tout les 150 km ! HAHAHAHA !
Pass sanitaire, Pass carbone et maintenant Pass pour voter… Le Nouveau Front Populaire défendrait les libertés ? Je comprends :C’est le crédit social !
RépondreSupprimerle 26 juin 2024
par pgibertie
À écouter, absolument, avant de voter le 30 juin. Une proposition scandaleuse de plus venue du Nouveau Front populaire, qui donne la vraie dimension de ce qui nous attend si ces casseurs de société arrivent aux affaires…
Pass sanitaire…
Pass carbone
Pass de bon citoyen pour voter
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https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/01/16/le-credit-social-les-devoirs-avant-les-droits_6026047_3232.html
Le crédit social est chinois : de 2014 à 2020, le gouvernement y a lancé un programme de construction du « système de crédit social » (shehui xinyong tixi en chinois) qui fait les choux gras de la presse occidentale et inspire des films de science-fiction. En Chine, cette nouvelle forme de gouvernance a d’abord été conçue pour répondre aux difficultés de faire appliquer les lois et les décisions de justice. C’est le grand paradoxe du régime autoritaire chinois : les règles et les lois, pléthoriques et souvent très strictes, continuent d’être peu respectées, tant par les institutions que par les citoyens. Pour compenser, l’Etat-parti gouvernement sévit par des campagnes d’une sévérité inouïe. Il s’agirait donc de trouver un entre-deux : apporter une solution systémique à l’empire de la fraude et de l’arbitraire qu’est la Chine en instaurant une « contrôlocratie » grâce à toutes sortes de paramètres et à l’intelligence artificielle
https://pgibertie.com/2024/06/26/pass-sanitaire-pass-carbone-et-maintenant-pass-pour-voter-le-nouveau-front-populaire-defendrait-les-libertes-je-comprends-cest-le-credit-social/
Exode d’Hollywood : pourquoi les travailleurs du cinéma et de la télévision quittent Los Angeles
RépondreSupprimerAprès neuf ans de travail à Hollywood en tant que directeur de la photographie, monteur et réalisateur, Robby Piantanida a déménagé avec sa famille au Texas pour économiser de l'argent. (Zoé Cranfill / Los Angeles Times)
Par Josh Rottenberg
Rédacteur
24 juin 2024 à 03h00 (heure du Pacifique)
Los Angeles attire depuis longtemps ceux qui recherchent leur grand succès dans le cinéma et la télévision, attirés par l'attrait de l'épanouissement créatif et de la célébrité. Mais les discussions sur un exode croissant se font de plus en plus fortes, alors que la hausse des coûts du logement et la diminution des opportunités de carrière poussent de nombreuses personnes à poursuivre leurs rêves ailleurs.
La main-d’œuvre de l’industrie du divertissement de la ville a été secouée par une série de chocs sans précédent, depuis une pandémie mondiale jusqu’à la double grève des écrivains et des acteurs de l’été dernier. À mesure que le boom du streaming s’est estompé, les sociétés de divertissement ont perdu des emplois, et les réseaux, les studios et les streamers ont réduit leurs listes de programmes. Alors que l’industrie est aux prises avec un ralentissement et que le coût de la vie à Los Angeles reste élevé, la devise de ceux qui luttent pour rester dans la ville est devenue « Survivre jusqu’en 25 », dans l’espoir d’un rebond l’année prochaine.
Mais beaucoup n’ont tout simplement pas été en mesure, ou n’ont pas voulu, de continuer à endurer la situation dans une ville où les loyers ont augmenté et où les prix de l’immobilier restent à un niveau record, en hausse de 6 % par rapport à l’année dernière seulement. Avec une grève potentielle de 60 000 personnes au sein du syndicat des membres d’équipage qui maintient l’industrie en alerte, sans parler de la menace existentielle de l’intelligence artificielle pour les emplois créatifs, l’incertitude a poussé un nombre croissant de travailleurs du cinéma et de la télévision à chercher la stabilité ailleurs.
Certains sont partis travailler dans des endroits comme Atlanta et le Nouveau-Mexique, qui ont attiré les productions hors de Los Angeles grâce à de généreuses incitations fiscales. D’autres ont complètement abandonné le secteur du divertissement et tentent de se forger une nouvelle carrière. Qu'ils aient déménagé par choix ou par désespoir, les travailleurs déracinés d'Hollywood ont inévitablement fait face à des défis inattendus, tant financiers qu'émotionnels.
RépondreSupprimerVoici trois de leurs histoires :
En matière de production cinématographique et télévisuelle, Robby Piantanida peut faire à peu près tout, de la cinématographie au montage, en passant par la réalisation, les effets visuels et la composition. « Je suis un homme touche-à-tout », dit-il. Mais de nos jours, il semble que tout faire ne soit toujours pas suffisant pour rester à flot.
Au cours des neuf années qui se sont écoulées depuis qu'il a déménagé à Los Angeles, Piantanida a accumulé de nombreux crédits dans des documentaires, des vidéoclips et des projets de cinéma et de télévision. Il a monté un documentaire PBS sur le marchand d'art de Los Angeles Jeffrey Deitch et un court documentaire intitulé « Fertile Ground », sur l'insécurité alimentaire dans le Mississippi, qui a remporté un Emmy régional en 2021. Récemment, il a été directeur de la photographie sur la série « How Music Got Free ». », produit par Eminem et LeBron James et désormais diffusé sur Paramount+, et en tant que directeur de la photographie du film indépendant « Dogleg », le premier film des studios Brain Dead de L.A., qui est désormais sur Mubi.
Mais récemment, comme tant d’autres à Hollywood, Piantanida s’est retrouvé pris dans les courants descendants de l’industrie. Ce mois-ci, confrontés à la diminution des opportunités de travail et à la flambée du coût de la vie à Los Angeles, Piantanida, sa femme et leur fille de 2 ans ont fait leurs valises et sont retournés chez ses parents dans sa ville natale de Tyler, au Texas, pour se regrouper et économiser. de l'argent pendant qu'ils réfléchissent à leur prochain mouvement. « Si nous n’avions pas eu ce genre de soutien familial, je n’ai aucune idée de ce que nous aurions fait », dit-il.
Depuis début 2021, Piantanida et sa famille louaient une maison de trois chambres à Alhambra pour 2 626 $ par mois. Mais pendant la pandémie, sa femme, qui a une formation en production et en design artistique, a été licenciée de son emploi dans une agence artistique et a perdu son salaire à six chiffres. Les opportunités se sont raréfiées pour Piantanida et son revenu annuel est passé d'environ 150 000 dollars à son apogée à plus de 80 000 dollars.
Lorsque leur propriétaire a décidé de vendre leur maison, ils savaient que quelque chose devait céder. « Nous survivons depuis plusieurs années avec un seul revenu », explique Piantanida. « Nous avons dépensé beaucoup d’économies simplement en essayant de maintenir ce rêve en vie. ... Si nous pouvions trouver quelque chose pour le même prix, ce serait formidable, mais tout comme cette maison coûterait près de quatre mille dollars. Le travail est si lent en ce moment que je ne peux pas justifier de dépenser quatre mille dollars par mois que je n’ai pas en loyer. Nous retirerions de l’argent de la retraite de ma femme pour rester à Los Angeles. »
RépondreSupprimerLorsque Piantanida est arrivé dans la ville il y a près de dix ans, le secteur du streaming était en plein essor et les opportunités pour un cinéaste en herbe semblaient relativement nombreuses. Il avait passé les sept années précédentes à perfectionner ses compétences en cinéma à Jackson, dans le Mississippi, où il avait étudié les beaux-arts à l'université, créant ainsi une société de production à service complet pour des documentaires, des courts métrages, des vidéoclips et du contenu de marque. Même s'il avait beaucoup d'expérience derrière la caméra, Piantanida n'avait pas de véritables relations sur lesquelles s'appuyer à Los Angeles, et son salaire en a d'abord pris un coup.
«J'ai quitté le Mississippi, où je gagnais 2 500 dollars par jour en tournant des publicités, pour m'installer à Los Angeles, où j'ai eu la chance de gagner 500 ou 800 dollars», explique Piantanida. « C’était très difficile de se connecter. Je suis chroniquement mauvais pour me vendre et il y a tellement de contrôles. Tout ce que j’ai fait s’est fait par le bouche à oreille.
Peu à peu, un travail en a entraîné un autre et Piantanida a trouvé sa place. Mais il est de plus en plus difficile de trouver un travail bien rémunéré et enrichissant sur le plan créatif. Au cours des trois dernières années, Piantanida a créé environ 20 à 30 grésillement – de courtes vidéos promotionnelles utilisées pour présenter des émissions de télévision – mais seules quelques-unes ont été vendues sur un marché qui privilégie les contenus moins chers et plus tendance comme les séries de téléréalité et les jeux télévisés de style TikTok. sur des documentaires haut de gamme. Pour rendre les choses encore plus difficiles, les entreprises produisent du contenu en interne, réduisant ainsi les opportunités de travail indépendant pour quelqu'un comme Piantanida, qui n'a aucune représentation et n'a jamais vraiment réussi à accumuler les heures requises pour adhérer à un syndicat.
Piantanida a consacré une grande partie de ce qu'il a gagné à l'équipement, pour un coût annuel de 20 000 à 50 000 dollars, qu'il peut compter comme une déduction commerciale sur ses impôts. « Se tenir au courant des dernières nouveautés coûte très cher », dit-il. « Tout cela changerait si je devenais syndiqué. Je gagnerais autant d’argent que possible et je ne le dépenserais pas en équipement, je le dépenserais en économies. Mais lorsque vous possédez votre propre entreprise et que vous êtes une société S, j'ai été élevé et les agents des impôts m'ont dit : « Achetez simplement du matériel tant que vous le pouvez ». Ce sont des choses que vous pouvez utiliser et avec lesquelles vous pouvez gagner de l’argent.’ J’ai donc toujours réinvesti l’argent dans l’entreprise.
Pour lever des fonds, Piantanida a récemment vendu une partie de cet équipement ; il essaie de se débarrasser de 30 000 $ de lentilles. « Cela améliorerait grandement notre situation », dit-il. "Mais ce n'est pas vraiment un marché d'achat en ce moment."
Au Texas, Piantanida et sa famille paieront 350 $ par mois pour vivre dans un chalet sur la propriété de 12 acres de ses parents et bénéficieront de la garde d'enfants gratuite de ses parents et de sa sœur. En plus de retourner à un travail plus lucratif en entreprise (un emploi récent dans une start-up de santé mentale lui a rapporté 30 000 dollars), Piantanida espère que les généreuses incitations fiscales du Texas pour la production cinématographique, que l'État a augmenté l'année dernière de 45 à 200 millions de dollars. millions, contribuera à mettre le travail local à sa disposition.
RépondreSupprimer"La Californie est en train de ruiner l'industrie, et maintenant le Texas passe à l'action, un peu comme la Louisiane et Atlanta l'ont fait il y a 15 ans", explique Piantanida, qui développe un projet pour PBS Austin comportant des visuels atmosphériques associés à sa propre musique d'ambiance originale. "Il y a beaucoup de travail au Texas, et cela semble être une bonne décision pour nous."
Pourtant, passer du sud de la Californie à l’est du Texas constitue un ajustement majeur. «J'adore le climat de Los Angeles et l'accès aux montagnes et à la plage», déclare Piantanida. «Ça va beaucoup nous manquer. ... Je dois aussi changer mes plaques d'immatriculation, car nous sommes désormais dans le pays de Trump et si nous circulons avec une étiquette californienne, nous allons nous faire harceler.»
Dans environ un an, si les affaires de cinéma et de télévision reprennent et que sa femme décroche un nouvel emploi, le plan est d'essayer de retourner sur la côte ouest et d'acheter une maison, peut-être à Lake Arrowhead ou dans la Bay Area ou Seattle.
«J'ai quitté Tyler quand j'avais 17 ans et je n'ai jamais voulu y retourner», dit Piantanida. « Mais les terres de ma famille sont incroyables : elles s’étendent magnifiquement dans les bois, et vous pouvez être là-bas et être totalement isolé. C’est juste un moment unique dans notre vie pour faire une pause et réévaluer. Ce ralentissement affecte tout le monde. Nous verrons où nous atterrirons.
En 2001, Hollywood était sur une trajectoire ascendante apparemment imparable. Le box-office annuel augmentait chaque année, avec de nouvelles franchises à succès, de "Harry Potter" à "Fast and the Furious" en passant par "Ocean's 11", tandis que Netflix envoyait toujours des DVD par la poste. Ayant déménagé à Los Angeles cette année-là, fraîchement sortie de l'université, Jennifer Brody se sentait prête à prendre la vague.
Avec le recul, compte tenu de tout ce qui est arrivé à l’industrie depuis, elle a l’impression de l’avoir raté.
Au moment où elle est arrivée à Los Angeles, Brody avait étudié le cinéma à l'Université Harvard et effectué deux stages d'été inestimables : l'un travaillant pour un producteur sur le terrain des Walt Disney Studios et l'autre sur le tournage d'un film indépendant décalé de 5 millions de dollars avec un Jake Gyllenhaal alors inconnu appelé « Donnie Darko » – « un petit film qui est devenu un très grand film », dit Brody.
Brody a fait ses premiers pas à Hollywood, décrochant un emploi dans la nouvelle société de production du réalisateur à succès Michael Bay, Platinum Dunes, en tant qu'assistant des producteurs Brad Fuller et Andrew Form. De là, elle a rejoint New Line, où elle a eu un aperçu de projets aussi variés que la trilogie « Le Seigneur des Anneaux » et le drame d’époque de Terrence Malick « Le Nouveau Monde » se sont réunis. En 2008, elle a produit le film de danse « Make It Happen », mettant en vedette Mary Elizabeth Winstead et Tessa Thompson, pour la Weinstein Company.
https://www.latimes.com/entertainment-arts/business/story/2024-06-24/leaving-los-angeles-hollywood-strike-no-jobs-cost-of-living
Visualiser combien de temps chaque génération peut survivre sans revenu ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 25 JUIN 2024 - 05:20
Avec près de la moitié des personnes de moins de 34 ans dans le monde incapables de couvrir leurs besoins pendant un mois ou moins sans revenu, il n’est pas surprenant que la résilience financière soit un sujet brûlant.
Ainsi, pour ce graphique, Visual Capitalist s’est associé à la Lloyd’s Register Foundation pour explorer plus en profondeur la résilience économique et déterminer combien de temps une personne moyenne peut se permettre de couvrir ses besoins sans revenu.
- voir graph sur site -
Rapport World Risk Poll 2024 : Résilience économique
La Lloyd's Register Foundation produit le World Risk Poll tous les deux ans en partenariat avec Gallup, et le rapport World Risk Poll 2024 explore les risques quotidiens de 147 000 personnes dans 142 pays.
Ils ont demandé aux personnes interrogées pendant combien de temps elles pourraient se permettre de subvenir à leurs besoins fondamentaux, tels que la nourriture, le transport et le logement, si elles perdaient tous leurs revenus.
Voici ce qu’ils ont trouvé :
- voir liste sur site -
Les résultats révèlent une tendance distincte dans tous les groupes d'âge, les répondants se répartissant généralement en deux catégories : ceux qui disposent d'un mois ou moins de ressources financières et ceux qui disposent de plus de quatre mois. Relativement moins de répondants ont déclaré être capables de survivre deux à trois mois.
Résilience économique nationale
Le pays dans lequel vit une personne contribue également de manière significative à sa capacité à couvrir ses besoins fondamentaux.
L’écart est particulièrement marqué entre le pourcentage de personnes interrogées qui ne peuvent couvrir leurs besoins que pendant une semaine ou moins et ceux qui peuvent couvrir leurs besoins pendant un mois ou plus – une infime minorité dans les économies développées, mais une part significative des personnes interrogées dans certains pays en développement. nations.
- voir graph sur site -
Concevoir un monde plus sûr
Le rapport World Risk Poll 2024 a révélé une faiblesse de la résilience économique mondiale. Les individus plus jeunes et ceux des pays en développement courent un risque plus élevé que les individus plus âgés ou ceux des pays développés.
Le rapport met en lumière les risques auxquels les gens ordinaires sont confrontés, comme la durée pendant laquelle ils peuvent subvenir à leurs besoins sans revenu. Cependant, le rapport World Risk Poll 2024 met également en évidence de nombreux autres risques, tels que les déchets plastiques mondiaux, la sécurité des personnes au travail et la menace du changement climatique.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/visualizing-how-long-each-generation-can-survive-without-income
Il y a deux types de personnes. Celui qui est intelligent et cherche du travail et est prêt à se déplacer et, celui qui ne recherche aucun emploi, se déplace vite, vole, tue. C'est l'image de l'immigré.
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