Bonheur/malheur II

Imaginez un oiseau survolant la Terre et qui est comme un poisson dans le vaste océan où il peut monter comme descendre et aller à droite ou à gauche comme à l'avant ou en arrière en se retournant, sa définition de l'espace qui l'entoure est donc qu'il est libre d'y aller n'importe quand, n'importe où et sans l'autorisation de personne. Or, l'humain - saisissant l'oiseau comme le poisson - l'enferme dans un réduit appelé 'bocal' ou 'cage' pour ne pas le perdre de vue !!

.

Cela correspond donc à la situation dont il se voit d'être enfermé comme un con mais... mais de pouvoir encore bouger ses bras et ses jambes !! "J'suis beau, non ?"

.

C'est autrement le fait constaté que des personnes parlent/avouent leurs malheurs/mésaventures (de s'être fait enculer ?) comme pour partager leurs problèmes avec d'autres. Le terme de 'partager' n'étant pas là pour étendre la confiture afin qu'il y en ait moins mais de vouloir réellement foutre les autres dans la même merde que l'on a connu afin qu'ils comprennent le ce que c'est que d'y être dedans !! Et, 'comble' de l'explication... il arrive même que le locuteur en question en rajoute... pour faire plus vrai ! (Hahaha !).

.

Donc, la liberté est encore un terme qu'il ne faut pas employer exagérément envers quiconque car, des personnes peuvent en être dépassées/surpassées/aplaties-ras-plat-plat voire terrassées par de telles informations crachées tout cru en pleine gueule et, qu'il serait peut-être mieux (d'après ses avocats) de lui avoir administré par voie rectale comme elle avait pris l'habitude de recevoir et éprouvant même quelques jouissances à se faire encore entretenir par du gros matériel de chantier en attendant d'être envahie par les petites bêtes !

.

Donc, alors qu'il n'y aurait qu'un malheur sur Terre perdu dans un coin où l'on ne va jamais, le voilà qui fait les titres de la 'une' et se répand sur la planète comme traînée de poudre afin d'être informé qu'il n'y a pas que le bonheur sur la planète ! Putain de sa race ! et que l'on doit descendre de son piédestal (où l'on s'assied élégamment tous les jours sur sa cuvette) se torcher le cul vite-fait sans regarder derrière et tirer la chasse et partir en courant comme si de l'avoir fait incombait en terme juridique à un meurtre du fait de rendre cette planète dans un état où l'on ne l'aurait pas découverte en entrant !!

.

Ainsi, après "Quel bonheur de bouffer et de s'en foutre plein la panse" voici donc venir (non-pas "Quel bonheur de bouffer et de s'en foutre plein la panse II") mais: "Quel malheur de devoir en chier et d'en faire participer les autres !"

.

Donc, si le bonheur se partage ("Encore un peu de merde ?") le malheur (des autres) serait tout sucré au point d'en redemander en textes et photos plus films tournés avec l'aide d'historiens sur les lieux d'époque et qu'il est quand même plus captivant/émotionnellement parlant de voir une tête tomber et rouler en tout sens jusqu'aux bas de la rue qu'un lâcher de ballon par un attardé mental qui a perdu le fil ou de celui qui crache en l'air pour voir si ça retombe !

.

Ainsi l'humain vogue t-il entre ce fort esprit de liberté de se foutre tout seul dans la merde en demandant à d'autre le comment çà marche, et, cette excitation sublime que le bonheur véritable serait de voir les autres malheureux !

　

Voir:

http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/04/bonheurmalheur.html