Julien L.
Numerama
sam., 07 déc. 2013 14:29 CST
Numerama
sam., 07 déc. 2013 14:29 CST
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Comme d'autres polices dans le monde, le FBI a la possibilité de surveiller à distance un suspect en pénétrant frauduleusement dans son installation informatique. La police judiciaire américaine peut notamment activer la webcam en toute discrétion, en entravant le témoin lumineux.
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Promulguée en 2011, la loi d'orientation et de programmation pour la performance et la sécurité intérieure comporte une disposition qui autorise la police nationale et la gendarmerie à pénétrer, après feu vert judiciaire et sous certaines conditions, les ordinateurs de suspects pour y enregistrer des données informatiques à distance, via l'installation de logiciels espions.
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À l'étranger, d'autres forces de police ont aussi accès à des outils conçus pour espionner à distance un appareil électronique. C'est le cas en Allemagne, mais aussi aux États-Unis. Dans une enquête publiée ce samedi, le Washington Post indique que le FBI - la police judiciaire américaine - a la possibilité d'activer à distance la webcam d'un ordinateur sans se faire repérer.
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En effet, le journal explique que le FBI peut désactiver le voyant lumineux indiquant le fonctionnement de la webcam. Selon l'ancien directeur adjoint de la division de la technologie opérationnelle du FBI, cette approche est utilisée "principalement" dans les affaires les plus graves, incluant le terrorisme et les crimes. Ce qui laisse penser qu'elle est aussi employée dans d'autres cas.
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L'article précise toutefois que le FBI doit passer par la justice américaine avant de procéder à ce type d'intervention. Or, toutes les requêtes ne sont pas validées. Certaines sont effectivement autorisées, d'autres non, au motif qu'elles sont "extrêmement intrusives" et violent le 4e amendement de la constitution américaine. Et même lorsque le mandat est délivré, il peut comporter des limitations.
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Pour un ancien juge, Brian L. Owsley, la technologie évolue tellement vite que la loi a du mal à suivre. "C'est un jeu du chat et de la souris".
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La webcam du Kinect ne sera sans doute plus tout à fait perçue comme autrefois par nombre de joueurs...
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Promulguée en 2011, la loi d'orientation et de programmation pour la performance et la sécurité intérieure comporte une disposition qui autorise la police nationale et la gendarmerie à pénétrer, après feu vert judiciaire et sous certaines conditions, les ordinateurs de suspects pour y enregistrer des données informatiques à distance, via l'installation de logiciels espions.
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À l'étranger, d'autres forces de police ont aussi accès à des outils conçus pour espionner à distance un appareil électronique. C'est le cas en Allemagne, mais aussi aux États-Unis. Dans une enquête publiée ce samedi, le Washington Post indique que le FBI - la police judiciaire américaine - a la possibilité d'activer à distance la webcam d'un ordinateur sans se faire repérer.
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En effet, le journal explique que le FBI peut désactiver le voyant lumineux indiquant le fonctionnement de la webcam. Selon l'ancien directeur adjoint de la division de la technologie opérationnelle du FBI, cette approche est utilisée "principalement" dans les affaires les plus graves, incluant le terrorisme et les crimes. Ce qui laisse penser qu'elle est aussi employée dans d'autres cas.
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L'article précise toutefois que le FBI doit passer par la justice américaine avant de procéder à ce type d'intervention. Or, toutes les requêtes ne sont pas validées. Certaines sont effectivement autorisées, d'autres non, au motif qu'elles sont "extrêmement intrusives" et violent le 4e amendement de la constitution américaine. Et même lorsque le mandat est délivré, il peut comporter des limitations.
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Pour un ancien juge, Brian L. Owsley, la technologie évolue tellement vite que la loi a du mal à suivre. "C'est un jeu du chat et de la souris".
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La webcam du Kinect ne sera sans doute plus tout à fait perçue comme autrefois par nombre de joueurs...
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http://fr.sott.net/article/18194-Le-FBI-peut-activer-la-webcam-en-toute-discretion
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Voir aussi:
Comment Google obligera la presse à s'auto-censurer
RépondreSupprimerGuillaume Champeau
Numerama
ven., 06 déc. 2013 13:59 CST
Comme il l'a déjà fait aux Etats-Unis, Google imposera tôt ou tard son filtre SafeSearch aux internautes qui utilisent son moteur de recherche. Or le filtre est une incitation à l'auto-censure pour les sites de presse, dont les articles les plus "choquants" aux yeux de Google disparaissent des résultats de recherche.
On peut le déplorer ou refuser de l'admettre, mais c'est ainsi. Aucun site de presse ne peut se passer de l'indexation de ses articles par Google. Ne pas être référencé par le moteur de recherche qui est en position de quasi monopole, c'est se rendre invisible pour 95 % des recherches effectuées par les internautes en France, lesquels utilisent Google même pour saisir le nom d'un site qu'ils connaissent.
Que l'on soit un site de presse gratuit ou payant, qui vit de la publicité ou d'abonnements, la visibilité reste la clé de tout modèle économique. Même si les réseaux sociaux apportent une bulle d'oxygène en permettant de se rendre visible sur d'autres canaux, le moteur de recherche reste vital.
Pour les amateurs aussi, qui diffusent des informations à titre non professionnel, le référencement est essentiel. L'intérêt n'est plus économique, il est démocratique. Un article qui n'est pas référencé est un article qui ne sera pas ou peu lu. Celui qui voit ses articles arriver en tête des résultats sur la recherche d'une problématique quelconque est celui qui aura le plus de chances d'avoir une influence sur cette problématique. A ce titre, Google dispose d'un pouvoir encore insoupçonné, qui lui donne la faculté de modeler les esprits en montrant ou en cachant certaines idées (qu'il ait ce pouvoir ne veut pas dire qu'il s'en sert, mais qu'il s'agit d'un risque à prendre en considération).
A ses origines, Google avait été conçu comme un moteur de recherche neutre, qui ne jugeait pas le contenu des pages mais se contentait de les analyser sémantiquement pour y cueillir les mots clés, et de les classer en fonction de l'importance que leur donnait les internautes eux-mêmes. Plus les sites internet pointaient vers une page, plus cette page était jugée crédible et montait dans les résultats.
Puis le moteur de recherche a dû complexifier ses méthodes pour lutter contre le spam, et s'est mis à juger de la qualité intrinsèque des contenus. Il a alors perdu sa neutralité, pour des motifs divers et variés, louables ou inavouables. Plutôt que de chercher à fournir le résultat le plus pertinent ou le plus intéressant, au besoin en faisant remonter une page méconnue et en prenant le risque de se tromper, Google s'est mis à fournir le résultat le plus rassurant. Le moins risqué pour son image de marque. Ce fut la fin de l'idéal de la longue traîne, et la prime donnée aux sites qui bénéficient déjà d'une importante notoriété.
(suite en dessous:)
Mais désormais, Google va plus loin. Depuis décembre 2012, d'abord aux Etats-Unis puis en Grande-Bretagne, en Australie et en Nouvelle-Zélande, le filtre SafeSearch est imposé aux internautes, qui n'ont plus la possibilité de le désactiver. Google ayant l'habitude de tester de type de modifications dans ses versions anglophones avant de l'étendre au monde entier, ce n'est qu'une question de temps avant que SafeSearch devienne imposé également en France :
RépondreSupprimer- voir capture d'écran sur site -
Officiellement, SafeSearch permet d' "empêcher le contenu réservé aux adultes de s'afficher dans les résultats de recherche". Mais l'outil qui permet aux internautes de demander la suppression d'un résultat est plus explicite, en parlant de "contenu choquant", dont la définition est laissée à l'imagination de chacun. "Vous pouvez signaler sur cette page un contenu choquant ou réservé aux adultes", indique Google.
La seule préoccupation du moteur de recherche est l'éventuel manque d'efficacité de son filtre (les faux négatifs) ; pas le trop d'efficacité (les faux positifs)."Si de tels contenus s'affichent encore, merci de nous en informer", demande ainsi le moteur de recherche aux internautes. Mais il n'offre en revanche aucun outil permettant de faire appel d'une suppression abusive.
Or l'activation imposée de SafeSearch va faire disparaître des résultats de Google toute une série d'articles que la presse française, qui n'est pas bercée au rejet de la sexualité imposé par les sites américains, juge adaptée à son public.
Ainsi par exemple, lorsque SafeSearch est activé, cet article de Rue89 sur la remise des Bad Sex Awards est censuré. Aux yeux du très prude Google, le journal numérique a le tort de citer des passages explicites de la littérature érotique. En revanche, Actualitté qui fait preuve de plus de pudeur est bien classé dans les résultats après censure :
- voir capture d'écran sur site -
Autre exemple. Si vous recherchez le "Kamasutra", c'est cet article de Doctissimo qui arrive en tête pour présenter les positions sexuelles, avec force détails. Le 3ème résultat est cet article de Femme Actuelle. Probablement le type d'articles que l'on trouverait en kiosque dans la version en papier glacé. Mais dès que SafeSearch est activé, ce qui sera un jour le cas pour tous les utilisateurs de Google, les deux liens précités disparaissent, et c'est un projet artistique qui arrive en tête :
(suite en dessous:)
- voir capture d'écran sur site -
RépondreSupprimerNous pourrions ainsi multiplier les exemples. Comme nous l'avions déjà écrit, Numerama est lui-même de temps en temps victime de SafeSearch, jusqu'à l'absurde. Google a ainsi censuré un article critiquant la censure de Google, sans que l'on comprenne bien pourquoi. Sans doute le titre était-il responsable (rappelons que Google n'offre aux éditeurs de sites censurés aucun moyen de savoir qu'ils sont ainsi censurés, ni aucune explication, ni aucun recours).
Nous avons aussi découverts d'autres articles censurés, dont ce très osé article qui expliquait, sans images ni mots explicites, qui évoquait l'amour et le s*x* (pardon, on s'auto-censure pour éviter la censure de cet article-ci) entre les robots et les hommes. Nous avons beau lire, re-lire et re-re-lire l'article, nous ne voyons pas très bien ce qui justifie qu'il soit pris dans les mailles du filet de SafeSearch. Mais ainsi en juge Google.
- voir capture d'écran sur site -
Il est donc à craindre qu'à l'avenir, et dès que SafeSearch sera activé, la presse française s'interdise de parler de l'un de ses sujets favoris, le sexe, au nom d'un puritanisme qui lui est étranger, mais qui lui est imposé. A quoi bon perdre du temps et de l'argent à écrire des articles qui n'auront plus qu'une vie éphémère ?
Et l'on parle là uniquement des contenus sexuels. Mais comme l'indique Google, ce sont l'ensemble des "contenus choquants" qu'il veut supprimer. Où s'arrêtera sa définition ?
Que s'interdiront d'écrire la presse et les internautes soucieux de référencement de leurs articles, pour échapper à la guillotine SafeSearch ?
http://fr.sott.net/article/18190-Comment-Google-obligera-la-presse-as-auto-censurer
Ainsi, la question primordiale a toujours été "qui va nous défendre ?", mais, quand on voit par qui et comment 'on est défendu'... la solution il faut la chercher ailleurs. Or, les pays qui savaient vivre de leurs richesses 'vingtième-sièclisées' ont peu à peu disparu de la mapemonde et où les pays dit 'émergents' s'apprêtent à faire de même !! De sorte que, peu à peu (!) les gens finissent par se rendre compte qu'ils se sont fait avoir en terme de 'liberté', de 'démocratie', de 'république' et que si la vérité sort de la bouche des enfants, c'est une claque dans la gueule qu'ils se prennent s'ils sont entendus ! D'où le contrôle serré sur Internet où chacun - comme il se doit - est dès lors accusé d'être un ou une terroriste dès lors qu'il ou elle va sur la toile au lieu de se cantonner à ne s'informer que par les médias officiels du gouvernement.
Supprimer"Dans la merde tu serras, dans la merde tu resteras" ou "Tu n'est que poussière et tu retourneras poussière" en terme épousseté !
«La race humaine est en difficulté" maintenant que l'ère post-antibiotique est à nos portes
RépondreSupprimerMonday, Décembre 09, 2013,
Ethan A. Huff, Rédacteur
(NaturalNews) La première personne à être victime de ce qu'on appelle «l'ère post-antibiotique» - un homme en Nouvelle-Zélande est décédé récemment d'une nouvelle souche bactérienne qui est entièrement résistant à tous les antibiotiques connus - a suscité de nouvelles inquiétudes au sujet de ce certains sont maintenant réfère comme le zombie apocalypse de la vie réelle. bactéries résistantes aux médicaments, prévient John Aziz de la semaine, est la plus grande menace de probablement l'humanité pour lesquels il n'y a pas de solution en vue, et cela pourrait très bientôt avoir des conséquences dévastatrices différent de tout ce que le monde a jamais vu. L'avènement de bactéries résistantes aux médicaments n'a rien de nouveau, que ce phénomène a été pratiquée depuis les premiers antibiotiques synthétiques a frappé la scène dans les années 1940. Mais la tendance des agents pathogènes de s'adapter continuellement et développer une résistance aux substances mêmes conçus à l'origine pour les tuer a atteint un point tournant majeur, car il n'y a tout simplement pas assez de nouveaux antibiotiques en cours de développement pour lutter contre toutes ces nouvelles et virulentes «superbactéries». En d'autres termes, les bactéries malignes sont plus malin que le meilleur de ce que la médecine moderne a à offrir, ce qui n'augure rien de bon pour l'avenir de l'humanité. Peut-être le plus responsable de la remontée rapide de la résistance aux antibiotiques est l'utilisation généralisée des antibiotiques en usine animaux de la ferme, qui représente environ 80 pour cent ou plus de l'utilisation d'antibiotiques. L'administration d'antibiotiques aux animaux sains dans le but de les gonflant plus rapidement, par exemple, une pratique qui a cours depuis les années 1950, ne représente que l'un des moyens par lesquels des antibiotiques ont été largement surprescription. Il est également l'un des principaux moteurs de l'épidémie de superbactérie nous sommes confrontés aujourd'hui. "Il n'est pas difficile de faire des microbes résistants à la pénicilline dans le laboratoire en les exposant à des concentrations ne suffit pas de les tuer", a averti Alexander Fleming, le créateur de le premier antibiotique, la pénicilline, en 1945 quand il a reçu son prix Nobel de médecine. "Il y a le danger que l'homme ignorant peut facilement se rendre insuffisant et en exposant ses microbes à des quantités non létales de la drogue rendre résistant."
Les entreprises perverses de la drogue refusent d'investir dans des solutions au problème de «superbactérie» qu'ils ont causé.
(suite en dessous:)
Fleming avait raison, et il était vraiment en avance sur son temps autant que sa compréhension de la microbiologie et de pathologie humaine va. Et la solution, au moins pour les premières décennies, était simplement de développer de nouveaux antibiotiques pour remplacer les anciennes. Mais cette approche ne fonctionne plus et est encore aggravée par le refus de l'industrie pharmaceutique à développer de nouveaux antibiotiques, qui ne sont pas aussi rentable que d'autres domaines de la recherche sur les médicaments. "L'économie sont pervers", écrit Aziz sur la question. "Prendre des mesures préventives aujourd'hui ne serait pas très rentable, car il y a moins de clients potentiels. Les incitations à produire plus et mieux que les antibiotiques coup de pied dans dans les pires circonstances, lorsque des millions de personnes meurent d'infections résistantes aux antibiotiques." Pour dire que le avenir du traitement de la maladie est troublant serait un euphémisme, au moins autant que la médecine conventionnelle est concerné. Les bonnes nouvelles sont qu'il ya beaucoup de remèdes naturels étonnants tels que l'argent colloïdal, l'huile d'origan et de la terre-plein spectre et sels de mer qui sont capables de détruire les agents pathogènes, les même résistant, et ne seront jamais obsolètes. Mais le complexe médico-industriel est peu probable à adopter ces solutions simples de sitôt. "Dans le monde pré-antibiotique, les ions argent sont roi", écrit un commentateur à la semaine , la validation d'une étude récente de l'Université de Boston. «Ils travaillent encore. Les sociétés pharmaceutiques graisse de chat qui obtiennent des milliards de antibiotiques ont dépensé beaucoup d'argent corruption des médecins, des associations médicales et la FDA pour dénigrer l'argent."
RépondreSupprimerhttp://www.naturalnews.com/043176_antibiotic-resistant_bacteria_post-antibiotic_era_human_race.html
NSA, GCHQ 'agents plantés »dans World of Warcraft, Second Life pour espionner les joueurs
RépondreSupprimerDécembre 09, 2013 14:05
La NSA et les organismes GCHQ d'espionnage au Royaume-Uni ont recueilli les cartes des joueurs et déployé des agents de la vie réelle en ligne World of Warcraft et Second Life jeux, une nouvelle fuite par dénonciateur Edward Snowden a révélé.
Un document de la NSA à partir de 2008, intitulé «Exploiter l'utilisation terroriste de Jeux et environnements virtuels», a été publié lundi par The Guardian en partenariat avec le New York Times et ProPublica.
Dans le rapport, l'agence a averti du risque de laisser les communautés de jeux sous-surveillé et les décrit comme un "réseau cible riche en communications" où les objectifs de renseignement pourraient "se cacher dans la vue."
Le document montre que les États-Unis et les agences d'espionnage britanniques ont été la collecte de grandes quantités de données dans le réseau de la console Xbox Live, qui a plus de 48 millions de joueurs.
Agents de la vie réelle ont été déployés dans le jeu multijoueur en ligne World of Warcraft le jeu de rôle et le monde virtuel de Second Life, dans lequel les gens interagissent les uns avec les autres par des avatars.
La NSA et le GCHQ ont également essayé de recruter des informateurs potentiels parmi les joueurs, selon le rapport.
Si analysé correctement, les jeux en ligne peuvent devenir une source importante de données de renseignement, l'auteur anonyme du papier souligné. Ils pourraient être utilisés pour construire des images de réseaux sociaux des joueurs, obtenir leurs photos et leurs implantations géographiques, ainsi que de recueillir leur communications. Les jeux étaient aussi une fenêtre pratique pour des attaques de piratage, selon le rapport.
Toutefois, le document ne fournit aucune information sur des complots terroristes découverts via la surveillance des jeux en ligne, ou toute autre preuve des organisations terroristes qui les utilisent pour la communication.
La NSA avait autant d'agents à l'intérieur des jeux qui une spéciale "le conflit à" groupe a été mis en place afin de s'assurer qu'ils ne seraient pas entraver les opérations de l'autre.
Le monde de créateurs Warcraft de Blizzard Entertainment a dit qu'ils n'avaient pas reçu l'autorisation de la NSA ou GCHQ de recueillir des renseignements à l'intérieur du jeu, et étaient «au courant d'aucune prise de surveillance endroit."
Microsoft et Linden Lab, la société derrière Second Life, a refusé de observations sur la question lorsqu'il est sollicité par les journalistes gardien.
http://rt.com/news/nsa-uk-spy-world-warcraft-942/
Des agences d'espionnage en push secrète pour infiltrer le monde virtuel des jeux en ligne
RépondreSupprimerLa NSA et le GCHQ recueillent les chats de joueurs et de déployer des agents de la vie réelle dans World of Warcraft et Second Life Lire le document de la NSA: Exploiter l'utilisation terroriste de Jeux et les environnements virtuels
James Ball
theguardian.com ,Lundi 9 Décembre 2013
Pour l'analyste Agence nationale de sécurité un exposé écrit à ses supérieurs, la situation était claire: à leurs efforts de surveillance actuels manquaient quelque chose. Arsenal impressionnant de l'agence de prises de câble et les attaques de piratage sophistiquées n'était pas assez. Qu'est-ce que c'est vraiment nécessaire était une horde d'orques d'infiltration.
Cette vision de Spycraft a déclenché une action concertée par la NSA et son agence britannique sœur GCHQ d'infiltrer les communautés massives jouer en ligne les jeux , selon des documents secrets révélés par dénonciateur Edward Snowden.
Les fichiers ont été obtenus par le Guardian et sont publiés le lundi en partenariat avec le New York Times et ProPublica .
Les organismes, les documents montrent, ont construit des capacités de collecte de masse contre le réseau de la console Xbox Live, qui a plus de 48 millions de joueurs. Agents de la vie réelle ont été déployés dans les royaumes virtuels, à partir de ces hordes orques dans World of Warcraft pour les avatars humains de Second Life. Il y avait des tentatives, aussi, pour recruter des informateurs potentiels de technologie de l'environnement des utilisateurs des jeux.
Le jeu en ligne est une grosse affaire, attirant des dizaines de millions d'utilisateurs à travers le monde qui habitent leurs mondes numériques comme faire-croire caractères, vivant et en concurrence avec les avatars des autres joueurs. Qu'est-ce que les agences de renseignement craignent, cependant, était que, parmi ces clans d'elfes et de lutins, les terroristes se cachaient.
Le document de la NSA, écrit en 2008 et intitulé Exploiter utilisation terroriste de Jeux et les environnements virtuels, a souligné le risque de communautés de jeux en laissant sous-surveillé, les décrivant comme un "réseau cible riche en communications" où les objectifs de renseignement pourraient "se cacher dans la vue" .
Jeux, l'analyste a écrit, "sont l'occasion!". Selon les notes d'information, de sorte que de nombreux agents de renseignement américains effectuaient des opérations à l'intérieur de jeux qu'un groupe "chamailler" a été nécessaire afin de s'assurer qu'ils n'ont pas été espionnent, ou interférer avec l'autre.
Si elle est correctement exploitée, jeux pourraient produire de grandes quantités de données, selon le document de la NSA. Ils pourraient être utilisés comme une fenêtre pour attaques de pirates, de construire des images de réseaux sociaux des gens à travers "les listes d'amis et d'interaction", de faire des approches par des agents d'infiltration, et pour obtenir des identifiants cibles (comme photos de profil), la géolocalisation, et la collecte des communications .
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La capacité d'extraire des communications de canaux de discussion dans les jeux serait nécessaire, le document de la NSA a fait valoir, en raison du risque pour eux d'être utilisé pour communiquer de manière anonyme: Second Life a été des textes d'anonymes et de la planification d'introduire des appels vocaux, tandis que les panneaux d'affichage de jeu possible, il indique, être utilisé pour partager des informations sur les adresses de forums de terrorisme.
RépondreSupprimerÉtant donné que les consoles de jeux sont souvent casques téléphoniques, caméras vidéo, et autres identifiants, le potentiel pour assembler des informations biométriques des activités a également été une des plus excitantes.
Mais les documents ne contiennent aucune indication que la surveillance jamais déjoué des complots terroristes, ni aucune preuve claire que les groupes terroristes utilisaient les communautés virtuelles de communiquer que les agences de renseignement prédit.
Les opérations soulèvent des inquiétudes concernant la vie privée des joueurs. Il est difficile de savoir comment les agences d'accéder à leurs données, ou le nombre de communications ont été collectées. Il n'est pas clair comment la NSA assuré qu'il ne surveillait pas les Américains innocents dont l'identité et la nationalité peuvent avoir été caché derrière son avatar virtuel.
Le producteur de World of Warcraft en Californie a déclaré que ni la NSA ni GCHQ avaient demandé la permission de recueillir des renseignements dans le jeu. "Nous sommes au courant d'aucune prise de surveillance lieu", a déclaré un porte-parole de Blizzard Entertainment. "S'il l'était, il aurait été fait sans notre connaissance ou permission."
Microsoft a refusé de commenter les dernières révélations, comme l'a fait Philip Rosedale, le fondateur de Second Life et ancien PDG de Linden Lab, l'opérateur de la partie. Les dirigeants de la société n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
La NSA a refusé de commenter sur la surveillance des jeux. Un porte-parole du GCHQ a déclaré l'agence n'a pas «confirmer ou de nier" les révélations, mais a ajouté: "Toute l'œuvre de GCHQ est effectuée conformément à un cadre juridique et politique stricte qui garantit que ses activités sont autorisées, nécessaires et proportionnées, et il est une surveillance rigoureuse, y compris de la secrétaire d'État, l'interception et les services de renseignement commissaires et le comité du renseignement et de la sécurité ".
Bien que les agences d'espionnage auraient été relativement tard pour les mondes virtuels et les communautés formant là, une fois l'idée avait été évoquée, ils ont rejoint en enthousiasme.
En mai 2007, alors chef de l'exploitation de Second Life a prononcé un discours «déjeuner-sac brun" à la NSA expliquant comment son jeu a donné au gouvernement "la possibilité de comprendre la motivation, le contexte et les comportements qui en découlent des non-Américains par l'observation , sans quitter le sol américain ".
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Un problème auteur et d'autres sans nom du papier dans l'organisme face à plaider leur cause - et d'éviter les soupçons que leur objectif était simplement de jouer à des jeux d'ordinateur au travail sans se faire congédier - était la difficulté de prouver les terroristes ont même pensé à utiliser des jeux pour communiquer.
RépondreSupprimerUne invitation de 2007 à une séance d'information interne secrète a noté "les terroristes utilisent des jeux en ligne -. Mais peut-être pas pour leur amusement Ils sont soupçonnés de les utiliser pour communiquer secrètement et de transférer des fonds." Mais les agences n'avaient pas de preuve à l'appui de leurs soupçons.
Le même semble encore se vérifier un an plus tard, mais avec une mesure du progrès: les données de jeux qui avaient été trouvés en relation avec des adresses de protocole Internet, des adresses électroniques et des informations similaires liés à des groupes terroristes.
"Al-Qaïda terroristes sélecteurs de cibles et ... ont été trouvés associés à Xbox Live, Second Life, World of Warcraft, et d'autres GVEs [jeux et environnements virtuels]," le document Notes. "D'autres objectifs comprennent des hackers chinois, un scientifique nucléaire iranien, le Hezbollah, et des membres du Hamas."
Toutefois, cette information était pas ne suffit pas de montrer les terroristes se cachent sous forme de pixels pour discuter de leur prochain terrain. Ces données pourraient signifier simplement quelqu'un d'autre dans un café internet a été le jeu, ou un ordinateur partagé avait déjà été utilisé pour jouer à des jeux.
Ce manque de connaissance du fait que les terroristes étaient en fait en train de comploter émerge en ligne dans les recommandations du document: «Le montant de GVEs dans le monde est de plus en plus, mais ceux spécifiques CT [contre le terrorisme] doit être méthodiquement découvert et validé," il a dit. "Alors seulement nous pouvons trouver des preuves que GVEs sont utilisés à des fins opérationnelles."
Mais pas vraiment savoir si les terroristes ont été jouer à des jeux n'était pas assez pour garder les services de renseignement d'eux. Selon le document, le GCHQ avait déjà fait un "effort vigoureux" d'exploiter les jeux, y compris les «modules d'exploitation» contre le Xbox Live et World of Warcraft.
Cet effort, basée à New Centre de développement de missions de l'agence à la base de la force aérienne Menwith Hill dans le North Yorkshire, a été déjà des dividendes en mai 2008.
À la demande du GCHQ, la NSA avait commencé un effort délibéré pour extraire World of Warcraft métadonnées de leurs troves de l'intelligence, et qui essaie de lier "les comptes, les personnages et guildes" à l'extrémisme et le trafic d'armes efforts islamique. Une note de service a noté plus tard que chez les abonnés actifs du jeu étaient "ingénieurs télécoms, les pilotes de l'ambassade, les scientifiques, les militaires et autres agences de renseignement".
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L'agence britannique ne s'arrête pas à World of Warcraft: par Septembre un mémo noter GCHQ avait "réussi à réussi à obtenir les discussions entre les différents acteurs du jeu sur Xbox Live".
RépondreSupprimerPendant ce temps, le FBI, la CIA et le Service Humint Défense ont tous en cours d'exécution des opérations de renseignement humain - agents secrets - dans Second Life. En fait, trop de monde étaient les mondes virtuels avec le personnel des différents organismes, qu'il y avait un besoin d'essayer de "déconflicter" leurs efforts - ou, en d'autres termes, pour s'assurer que chaque agence a été non seulement dupliquer ce que les autres ont été faire.
À la fin de 2008, ces efforts ont produit au moins une pièce utilisable de l'intelligence, selon les documents: après la retrait succès d'un site Web utilisé pour échanger volés détails de cartes de crédit, les fraudeurs déplacés à Second Life - et GCHQ ont suivi, ayant gagné leur premier "déploiement opérationnel" dans le monde virtuel. Ce, ils ont noté, les mettre en contact avec un "[personnage de jeu] avatar qui utilement spontanément des informations sur les dernières activités du groupe cible".
Second Life a continué à occuper les pensées des agences de renseignement de toute l'année 2009. Une note de service a noté l'économie du jeu était "essentiellement non réglementé» et ainsi «presque certainement être utilisé comme un lieu de blanchiment terroriste et, avec certitude, être utilisé pour la propagande et le recrutement terroriste".
En réalité, le monde virtuel surréaliste et inégal de Second Life n'a pas d'attirer ou de maintenir la masse public promis, et l'attention (et sa base d'utilisateurs) a décliné, si le jeu vit.
Les agences avaient d'autres préoccupations sur les jeux, au-delà de leur utilisation potentielle par les terroristes pour communiquer. Tout comme les groupes de pression qui s'inquiètent de l'effet des jeux informatiques sur l'esprit des enfants, la NSA a exprimé des inquiétudes que les jeux pourraient être utilisés pour "renforcer les préjugés et les stéréotypes culturels", notant que le Hezbollah avait produit un jeu appelé Special Forces 2.
Selon le document, le Hezbollah "la section de la presse reconnaît [le jeu] est utilisé pour le recrutement et la formation", servant de "moyen de radicaliser» dans le but ultime de devenir un "martyr de suicide". Malgré connotations inquiétantes du jeu, le «facteur plaisir» du jeu ne peut être écartée, il déclare. Alors que les Forces spéciales 2 se vend pour 10 $, il conclut, le jeu sert aussi à "financer des opérations terroristes".
Le Hezbollah n'est pas, cependant, la seule organisation à avoir envisagé d'utiliser des jeux pour le recrutement. Comme le document NSA reconnaît: ils ont eu l'idée de l'armée américaine.
"L'armée de l'Amérique est un jeu de l'armée-produit américain qui est libre [à] télécharger à partir de sa page de recrutement», explique la NSA, en notant le jeu est "reconnu pour être si bon à ce l'armée n'a plus besoin de l'utiliser pour le recrutement, ils l'utilisent pour la formation ".
http://www.theguardian.com/world/2013/dec/09/nsa-spies-online-games-world-warcraft-second-life
"World of Warcraft", "Second Life": renseignement surveillé jeux en ligne
RépondreSupprimerLa NSA est également intéressé par les jeux en ligne: à partir d'un document interne montre que les employés de l'intelligence entre les elfes et les orcs sont à la recherche de terroristes. Service des États-Unis et de la Colombie GCHQ surveillés "World of Warcraft", "Second Life" et le Xbox Live.
"World of Warcraft", "marqueur objectif pour les terroristes"
La NSA américaine et son homologue britannique GCHQ intéresse les mondes en ligne tels que "World of Warcraft" ou "Second Life". Cela va de documents révèlent que le dénonciateur Edward Snowden pourrait copier. "The Guardian" et "New York Times" a publié les documents lundi.
Dans une note de 2007 indique que l'on peut identifier le trafic des jeux en ligne dans la surveillance. Pour le Xbox Live et "World of Warcraft" renseignement britannique ont développé avec succès des techniques d'attaque. Ainsi, il aurait été le service possible de se brancher sur la communication entre les deux joueurs.
Les services consulté clairement pour les réseaux Jeux, car c'est là qu'ils terroristes présumés d'Al-Qaïda, les pirates chinois, un scientifique nucléaire iranien et des groupes politiques comme le Hezbollah et le Hamas. La communauté du renseignement devrait «agir maintenant pour planifier l'acquisition, le traitement, la présentation et l'analyse de ces communications», citant le «New York Times» d'une NSA-papier de 2008. "Marqueur cible pour les terroristes" avait été trouvé "dans Xbox Live, Second Life et World of Warcraft."
Jeux pour chatter complots terroristes
L'opérateur de "World of Warcraft", a déclaré lundi qu'il n'avait aucune preuve de la surveillance de l'intelligence des joueurs. Si quoi que ce soit, que ce soit «sans le savoir et notre notre Einweilligung" arriver. Xbox fabricant Microsoft, le fondateur de "Second Life" et actuellement actifs cadres, il voulait par rapport au «Guardian» se prononce pas et le "New York Times".
Comme l'a signalé le "New York Times" avoir chuté en personne à la NSA 2007, le directeur technique de "Second Life". Le jeu en ligne ouvre de nouvelles possibilités, il a déclaré dans une annonce, donc, on peut observer le comportement des étrangers, sans avoir à quitter les États-Unis. Le service secret britannique aurait pu en 2009 pour copier les chats, les messages et les opérations de "Second Life". Les données de trois journées ont été enregistrés à des fins de test, écrit le "New York Times" 176 677 lignes.
(suite en dessous:)
Le directeur technique, Cory Ondrejka pourrait s'expliquer, la présentation de la NSA est similaire à d'autres présentations était qu'il avait donné à cette époque. Onkrejka était en avance sur son temps comme officier de marine de directeur de la technologie et a travaillé temporairement, même lorsque la NSA, équipé de la cote de sécurité «Top Secret», comme le "New York Times" a rapporté. Il est responsable du développement technique dans l'espace mobile sur Facebook dès maintenant.
RépondreSupprimerPentagone a admis renifler fins Jeux afin
Dans un rapport détaillé - "Jeux: Un regard sur les tendances émergentes, les utilisations, menaces et opportunités dans les activités d'influence" - a été consacrée à la société SAIC dans l'industrie du jeu vidéo. Les auteurs Considérations actuelles est de savoir comment des terroristes pourraient utiliser ces jeux pour la communication et la préparation des attaques - et donner des recommandations sur la façon dont les services de renseignement eux-mêmes pourraient développer des jeux. Le commandement des opérations spéciales avait déjà en 2006 et 2007 auprès de diverses entreprises internationales ont collaboré pour produire des jeux qui devraient servir à sammaln informations sur leurs utilisateurs, rapporte le "New York Times".
Les jeux en ligne sont décrits comme une véritable mine d'or pour l'intelligence, en termes d'obtention de l'information - et comme une menace. Les terroristes pourraient se propager à l'aide de la propagande de jeux et de recruter des partisans. Ils pourraient aussi communiquer à travers des réseaux de jeux, ou envoyer de l'argent et de la planification des attaques.
Employés de la NSA au Royaume-Uni auraient passé au peigne fin l'insistance du service Colombie, utilisez le trafic Internet en fonction des utilisateurs "World of Warcraft". Ils se sont rencontrés, selon les documents relatifs aux ingénieurs des entreprises de télécommunications, conducteur des ambassades, des scientifiques, des militaires et des employés d'autres agences de renseignement personnel.
Si grande était l'intérêt des services de renseignement de "Second Life" à l'époque que la création d'un organe de coordination a été proposé. Les divers agents du FBI, de la CIA et de la NSA ne devraient pas passer trop de temps à essayer de se surveiller mutuellement et à recruter.
http://www.spiegel.de/netzwelt/games/world-of-warcraft-nsa-und-gchq-ueberwachten-onlinespiele-a-938014.html
Un rapport révèle plus haut niveau de radioactif xénon-133 à frappé le Canada après Fukushima plus de 6000% de plus que le site web revendications gouv
RépondreSupprimerPublié: le 8 Décembre 2013 à 19h10 HE
par ENENews
Santé Canada la plus haute concentration de site de xénon 133 (Xe-133) détectée à une station canadienne de surveillance de l'OTICE après la catastrophe de Fukushima ( SOURCE ):
Ottawa, Ontario, le 31 Mars, 2011 : 3,64 Bq/m3
St. Johns, Terre-Neuve-et-Labrador le 4 Avril, 2011 : 3,51 Bq/m3
Réseau de surveillance des rayonnements plus forte concentration de Xe-133 (de Santé Canada SOURCE ):
Victoria, Colombie-Britannique, le 20 Mars 2011, : 230 Bq/m3 (approximation, que le chiffre exact ne figure pas sur le graphique)
Sydney, en Colombie-Britannique le 20 Mars, 2011 : 205 Bq/m3 (approximation, comme chiffre exact ne figure pas sur le graphique)
A noter également le site Web de Santé Canada montre que Xe-133 n'a jamais été détectée après Fukushima à Sydney, station de surveillance de la Colombie-Britannique ( SOURCE ).
http://enenews.com/report-reveals-highest-level-of-radioactive-xenon-133-to-hit-canada-after-fukushima-was-over-6000-more-than-govt-website-claims
Voir: Poissons (y compris 'saumon d'élevage'), coquillages & crustacés morts depuis ou infectés.
SupprimerLe niveau de radiation de l'enregistrement dans l'eau souterraine et près de l'océan à Fukushima - Tepco: "Hausse des lectures de rayonnement est une préoccupation évidente" - 1,4 milliard de Bq / m³ d'émetteurs strontium / bêta
RépondreSupprimerPublié: le 8 Décembre 2013 à 16h13 HE
par ENENews
TEPCO libération immédiate: augmentation progressive de niveaux de radiation au puits peut être liée à l'amélioration des contrôles de SOUTERRAINE, le 5 décembre 2013: [...] hausse progressive des niveaux de radiation à un test bien sur le site de Fukushima Daiichi semble être le résultat d'efforts couronnés de succès pour pomper les eaux souterraines et le détourner de s'écouler dans l'océan [...] Mesures à l'emplacement du puits avaient été généralement dans la fourchette de 400 000 à 800 000 becquerels par litre de bêta brute (montant total de nucléides bêta), mais avait commencé en hausse à la fin de Octobre de cette année. Divers efforts pour contrôler le flux de l'eau contaminée vers l'océan avaient été commencé le 8 Juillet [...] Le 28 Novembre, la lecture à bien 1-16, située dans cette zone près des réacteurs 1 et 2, est passé à 1,1 million bq / l, et le 2 Décembre la lecture était de 1,3 million de Bq / l. [...] Aucun changement n'a été observé dans l'eau de mer rayonnement lectures de densité, les mesures de TEPCO et annonce tous les jours [ si les niveaux n'ont pas diminué, comme on pouvait s'y attendre si le débit a été bloqué]. [...] Il n'y a pas de risque accru pour la santé humaine ou l'environnement. Cependant, les ingénieurs sont [...] continuer à analyser les résultats afin de déterminer plus précisément la cause de l'augmentation. Lac H. Barrett [...] un conseiller de TEPCO, a déclaré: "Bien que la hausse des niveaux de radiation est une préoccupation évidente qui doit être suivie de près, à certains égards, il est une indication de la réussite des efforts concertés de TEPCO à isoler l'eau contaminée et prévenir son écoulement dans la mer. La situation justifie une surveillance continue et une analyse minutieuse, mais il ne semble augmentation du niveau de risque pour les travailleurs, le public ou l'environnement ".
Les résultats les plus récents de 5 Décembre, 2013 ont montré bêta brute à bien 1-16 s'élevant à 1,4 million de Bq / L ou 1,4 milliard de Bq / m³.
Le 6 Décembre 2013, de nouveaux résultats ont montré que le strontium-90 est un pourcentage très élevé de la mesure globale de bêta brute.
1T-4: 7500 de 9500 Bq / L - 79%
1T-5: 2900 de 3200 Bq / L - 91%
2T-2: 740 de 830 Bq / L - 89%
Pourtant, les essais pour le strontium-90 niveaux a été réduit de 2 par mois à seulement 1 à des emplacements près de la mer. (Source: . Tepco, pg 6 )
http://enenews.com/record-radiation-level-in-underground-water-well-near-ocean-at-fukushima-tepco-rise-in-radiation-readings-is-an-obvious-concern
Les fonctionnaires canadiens ont estimé que Fukushima césium-137 version presque le double de Tchernobyl - Sur la base des projections "plus conservatrices et crédibles"
RépondreSupprimerPublié: le 8 Décembre 2013 à 01h18 HE
par ENENews
FUKUSHIMA Daiichi CAS ET ASSOCIÉS RADIOACTIFS TERME SOURCE , la Commission canadienne de sûreté nucléaire:
Même si aucune piscine de combustible usé avait un dégagement, totale césium 137 a été estimé à 1.38E +17, ou 138 PBq (138 quadrillions) pour les 3 réacteurs +.
Le scénario CWC Canada estime peut-être la libération. Voir:
Les trois cœurs de réacteurs sont considérés comme ayant subi une fusion proche de 100%, contrairement au 28% qui a été présumé à l'unité 1
Le scénario CAC suppose des mesures de protection (abris, comprimés de KI, EZ) ont été instituées au besoin; Pourtant, les mesures de protection ont été défaut: Certains résidents ont dit de fuir et abri dans des zones où les niveaux de radiation supérieurs à ce qu'ils fuyaient; comprimés de KI sont pas administrés; Certaines des zones les plus polluées de Fukushima n'a pas évacué pendant des semaines.
La voie de sortie est soupçonné d'être du couvercle de la cuve de confinement levant , ce qui libère plus de rayonnement que l 'hypothèse de la CAC que «voie de presse -> dérivation de confinement primaire (par bien humide)"
Voir aussi: Étude: Fukushima a publié 100 quadrillions de becquerels de césium dans l'atmosphère ... En une seule journée - A propos de l'égalité à la libération totale de Tchernobyl
http://enenews.com/canadian-govt
Nous devons agir rapidement si la Grande-Bretagne est de reprendre son rôle de chef de file dans l'industrie de l'énergie nucléaire
RépondreSupprimerAu cours des 20 prochaines années, on estime que 930bn £ seront dépensés à l'échelle mondiale sur la construction de nouveaux réacteurs nucléaires. Nous devrions viser à gagner une large part de cette entreprise.
Par Keith Cochrane
20h00 GMT le 8 décembre 2013
Aussi improbable que cela puisse paraître, 2013 pourrait être dans les mémoires comme l'année où ce pays fait quelque chose au sujet de son problème d'énergie. Ces îles peuvent être bénis avec des réserves de pétrole, de gaz, éolienne et hydraulique, mais ils ne sont pas assez pour arrêter les futures pannes d'électricité.
En Octobre, le secrétaire à l'Energie, Ed Davey, a conclu un accord pour construire la première nouvelle centrale nucléaire en Grande-Bretagne depuis 1995. Ce projet, à Hinkley Point dans le Somerset, a été rapidement suivie par l'annonce la semaine dernière que le gouvernement avait accepté de souscrire des plans pour un nouveau réacteur à Wyfla dans le nord du Pays de Galles.
Il pourrait être le début d'un nouveau parc nucléaire, qui sont de bonnes nouvelles pour tous ceux qui sont préoccupés par l'avenir énergétique de la Grande-Bretagne. Mais c'est juste le début du changement dont nous avons besoin.
Quand il a fait l'annonce Hinkley, M. Davey a déclaré que la phase de construction créerait 25 000 emplois et 900 autres personnes seraient nécessaires pour exploiter l'installation. Wyfla est prévu de maintenir 6.000 emplois car il est construit, avec un autre de 1000 employés sur une base de jour en jour.
Mais il manquait quelque chose des deux annonces. C'était une vision de la façon dont l'industrie manufacturière de la Grande-Bretagne de bénéficier de cette nouvelle génération de l'énergie nucléaire.
Il est facile d'oublier, mais il fut un temps où la Grande-Bretagne fait a conduit le monde à l'énergie nucléaire. Ce pays était à la maison à la première centrale nucléaire commerciale du monde à Calder Hall en 1956.
Dans la même année, un film d'information du gouvernement a été appelé réalisation atomique. J'ai regardé le film récemment avec un intérêt particulier, comme la société que je dirige, The Weir Group, a fourni les vannes pour Calder Hall.
Quiconque regarde ce film ne peut manquer de se demander ce qui n'allait pas. À l'époque, nous étions à la pointe de la science et de la technologie nucléaire - bâtiment, comme le narrateur du film souligne, «sur les compétences multiples que les ingénieurs britanniques ont gagné au cours des 200 dernières années". Le film prédit que l'avenir du nucléaire serait "une britannique".
Il avait raison, en partie, mais, comme nous le savons maintenant, l'industrie a été autorisé à se faner pour une génération.
Alors, pouvons-nous retrouver un peu de la dynamique affichée avec tant d'enthousiasme dans les années 1950 ?
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Je crois que nous pouvons, mais le gouvernement et l'industrie doivent agir rapidement: des décisions rapides sont nécessaires sur la façon dont beaucoup de la chaîne d'approvisionnement nucléaire va rester en Grande-Bretagne.
RépondreSupprimerEmplois de construction sont importants, mais cette occasion devraient être utilisés pour soutenir une industrie d'approvisionnement nucléaire home-grown qui peuvent répondre aux besoins des ambitions nucléaires de la Grande-Bretagne et ensuite exporter ces compétences et produits dans le monde. Il est trop bon une occasion de rater.
Un résultat de la longue pause dans le nouveau développement est que l'industrie de la fabrication nucléaire a diminué.
Les compétences ont été perdues - un problème particulier dans un secteur qui dépend des gens expérimentés. Les exploitants d'une centrale nucléaire doivent avoir la certitude que les entreprises qui leur fournissent des équipements et services peuvent répondre aux normes très élevées dont ils ont besoin.
S'assurer ces compétences sont en place aura d'importants investissements et les entreprises britanniques ne sera prêt à le faire si ils sont confiants d'être en mesure de profiter des possibilités offertes par le nouveau parc nucléaire.
Les bénéfices potentiels d'assurer une partie importante et durable de la chaîne d'approvisionnement demeure au Royaume-Uni sont énormes. Stratégie industrielle nucléaire Le gouvernement a indiqué que jusqu'à 30 000 emplois pourraient être créés à partir de la nouvelle flotte nucléaire du Royaume-Uni seul.
Je pense que nous devrions être plus ambitieux. Au cours des 20 prochaines années, on estime que 930bn £ seront dépensés à l'échelle mondiale sur la construction de nouveaux réacteurs nucléaires. Nous devrions viser à gagner une large part de cette entreprise.
Cela signifie devenir des experts dans la construction, les essais, l'installation, l'entretien et la mise hors service éventuelle de nouvelles centrales nucléaires. Déclassement seul est estimé à 250 milliards £ d'une industrie.
Les bonnes nouvelles sont que nous avons une base solide sur laquelle bâtir. A Weir, nous connaissons la valeur d'une étiquette «Made in Britain» porte, venant comme il le fait avec une histoire de 60 ans de l'exploitation sûre et réussie.
Notre longue expérience du service de la flotte nucléaire au Royaume-Uni est l'un des raisons pour lesquelles nos produits sont en demande à l'échelle internationale. Notre usine de fabrication de soupape à Elland dans le Yorkshire a des contrats en cours à la fourniture d'équipements pour les centrales nucléaires aux États-Unis, la Chine, l'Inde, la Corée, le Canada et l'Argentine.
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Elland est à la maison pour les travailleurs très qualifiés, comme vous vous attendez d'ingénieurs conception, la fabrication et le test des vannes d'isolement de 10 tonnes qui ont besoin de protéger un réacteur nucléaire de dommages.
RépondreSupprimerCompte tenu de la nécessité pour la sécurité et la cohérence, le développement de l'expertise et des relations étroites avec les opérateurs internationaux de la nouvelle flotte nucléaire du Royaume-Uni, il sera beaucoup plus probable qu'ils continueront à faire des affaires avec des entreprises britanniques comme ils construisent plusieurs usines au Royaume-Uni et à l'étranger.
Ce pourrait être un partenariat très précieux, mais il a besoin d'être développé rapidement. Entreprises sont prêtes à faire leur part, mais ils ont besoin de savoir cela conduira à une industrie durable.
Les ministres ont montré un leadership admirable quand ils ont annoncé une nouvelle stratégie pour l'industrie nucléaire, mais ils ont besoin de continuer à offrir. Il en va de l'industrie.
Il est temps pour les développeurs de l'énergie pour être plus précis sur les possibilités seront disponibles pour les entreprises britanniques. Ceci est particulièrement important au cours de l'année prochaine, lorsque des décisions cruciales, ce qui pourrait avoir une incidence sur les perspectives à long terme pour l'industrie nucléaire de la Grande-Bretagne, seront prises.
En travaillant ensemble, l'industrie et le gouvernement peuvent assurer un avenir brillant. Mais rien n'est inéluctable.
La possibilité de créer des emplois durables dans une industrie avec un énorme potentiel est là pour être pris.
Les ministres doivent faire pression pour le nombre maximum de contrats à attribuer à des entreprises britanniques et les sociétés d'énergie doivent être prêts à nouer des partenariats durables.
Ce serait vraiment une réalisation atomique et il serait aider ce pays à retrouver son rôle de leader dans une industrie qui fournit le type d'énergie propre et à faible émission de carbone que de nombreux pays ont désespérément besoin.
Keith Cochrane est chef de la direction de The Weir Group et membre du Conseil de l'industrie nucléaire
http://www.telegraph.co.uk/finance/comment/10504568/We-need-to-move-quickly-if-Britain-is-to-regain-its-leadership-role-in-the-nuclear-power-industry.html
Vive la banque privée offshore suisse !
RépondreSupprimerRicardo Payro
Publié le 9 Décembre 2013 à 12:46
La fin programmée du secret bancaire et surtout les problèmes aigus que soulève l'activité transfrontalière des banques helvétiques peuvent laisser penser que l'avenir du private banking suisse passe uniquement par des implantations locales et donc par la gestion dite onshore.
La gestion onshore semble la solution évidente
Bien sûr, en ouvrant des bureaux sur place avec des entités domestiques employant du personnel local, on s'affranchit de la problématique de l'accès aux marchés. De plus, on peut imaginer que l'acquisition de clients soit facilitée puisque des banquiers privés du cru pourront faire fructifier plus pleinement leurs réseaux de contacts personnels. De leur côté, les clients seront également plus facilement rassurés par un accès plus facile à leur banquier. Enfin, cet ancrage local et une plus grande proximité devraient permettre une meilleure connaissance des problématiques d'investissement nationales et donc de proposer une gestion plus adaptée à la culture et aux spécificités fiscales des clients.
Mais le private banking offshore reste inégalé
Cette voie n'est pourtant pas la seule envisageable et le private banking offshore suisse – fiscalisé bien sûr - bénéficie de 5 avantages importants par rapport au modèle de l'implantation onshore:
1 - Meilleure efficacité opérationnelle. Pour les banques, il est évident qu'il est plus efficace de concentrer une activité dans un seul centre plutôt que de diviser leurs forces en une multitude de bureaux de moindre importance.
2 - Plus de compétences à disposition. Pour les clients, c'est également l'assurance de disposer d'un bassin plus riche de spécialistes pour résoudre leurs différents problèmes.
3 - Expérience inégalée. La Suisse demeure encore le modèle à suivre en matière de gestion privée haut de gamme, tant par la qualité des private bankers que par un style de gestion unique, qui combine une relation personnelle forte, une grande diversité de placements disponibles, avec une longue expérience de l'exercice du mandat discrétionnaire.
4 - Emulation. La Suisse abrite les plus grands acteurs du private banking. Cette concentration entraîne une émulation et une amélioration de la compétence, ainsi qu'une saine concurrence, dont bénéficient naturellement les investisseurs.
5 - Richesse de la clientèle internationale. C'est peut-être le facteur de succès le plus important mais le moins reconnu. En effet, la clientèle des banques suisses est très internationale et cette diversité des besoins, des points de vue, des cultures et des idées d'investissement crée un véritable cercle vertueux. Si les banques suisses sont reconnues aujourd'hui comme des expertes en gestion internationale multi-monnaies ou en fonds alternatifs, c'est souvent leurs clients qui leur en ont soufflé l'idée !
Les banques domestiques ne s'adressent en général qu'aux investisseurs locaux. Cela leur permet peut-être de développer une bonne connaissance de leur terroir, mais cela constitue également leur limite. Tout comme une population a besoin de sang neuf pour ne pas dégénérer à force de mariages consanguins, le private banking devient meilleur quand il multiplie les échanges.
http://www.bilan.ch/ricardo-payro/finance-corner/vive-la-banque-privee-offshore-suisse
POLE NORD - Froid record en Alberta (Canada) : jusqu'à - 52 degrés
RépondreSupprimerHebdo Météo
lun., 09 déc. 2013 05:32 CST
Les températures étaient glaciales, samedi, dans les Prairies canadiennes, et plusieurs records de froid sont tombés.
En Alberta, le mercure est descendu à -39 °C dans la ville d'Emonton, fracassant un record enregistré en 2009, alors qu'il avait fait -37 °C.
Cependant, en tenant compte de du refroidissement éolien, la température ressentie s'approchait plutôt de -48.
Du côté de Brooks, également en Alberta, le mercure est descendu à -42,2 °C. Le record précédent, qui avait été enregistré en 1977, était de -38,3 °C.
Cependant, à Brooks, en tenant compte du refroidissement éolien, la sensation était de -52 !
http://fr.sott.net/article/18200-Froid-record-en-Alberta-Canada-jusqu-a-52-degres
POLE SUD - Un record des basses températures enregistré dans l'Antarctique
RépondreSupprimerLa Voix de la Russie
dim., 08 déc. 2013 13:34 CST
Les scientifiques ont enregistré un nouveau record des températures les plus basses sur la surface de la Terre - moins 91,2 degrés Celsius, près de la station japonaise Dome Fuji dans l'Antarctique.
Les experts du Centre national américain pour les données de la neige et de la glace ont fait ces mesures par satellite.
Le précédent record, dont moins 89,2 degrés Celsius, a été enregistré également dans l'Antarctique en 1983 dans la zone de la station soviétique Vostok.
La station Dome Fuji est considérée comme « de haute montagne » parmi toutes les stations existantes dans l'Antarctique. Elle est située à une altitude de 3786 m au-dessus du niveau de la mer.
http://fr.sott.net/article/18186-Un-record-des-basses-temperatures-enregistre-dans-l-Antarctique
La publicité alimentaire: les aliments montrés accusent Unilever, Danone, Red Bull qu'il y a tromperie
RépondreSupprimerDe Mareile Jenß
Ils louent "l'énergie pour la journée" au yogourt ou "pour votre bien-être": Sur fabricants de produits alimentaires de la publicité de leurs produits à promouvoir la santé. Les défenseurs des consommateurs d'aliments montrés plaignent maintenant des messages trompeurs.
Marcher à travers les consommateurs des supermarchés les rencontrer dans toutes les étagères. Que céréales, les produits laitiers ou les boissons pour sportifs - sur les étiquettes des aliments fabricants annoncent des slogans qui prouvent les bienfaits du produit. L'organisation alimentaire Watch estime que les allégations de santé telles pour induire en erreur et appelle une tromperie du consommateur.
Dans une étude alimentaire Watch a maintenant testé différents produits qui sont commercialisés avec des allégations publicitaires sur la santé et le bien-être. Après le défenseur des consommateurs estime que l'ensemble de l'UE est le règlement des revendications de la santé a échoué, les allégations de santé sur les aliments réglementés depuis Décembre 2012 à protéger les consommateurs soient induits en erreur. Le test affiche le.
Règlement sur les allégations de santé ne va pas assez loin
" Danone , Unilever et Co. sont pour commercialiser des produits industriels dans un mauvais regard de la santé ", a critiqué Oliver Huizinga de l'alimentation Watch. Il appelle à une interdiction totale de la publicité sur les aliments de santé. Même les bonbons sont susceptibles d'être annoncés avec des messages de santé, surtout si elles sont les vitamines ont été ajoutées. Un équilibré régime serait, cependant, donc plutôt que de facilité, dit Huizinga.
Les fabricants d'aliments se mélangent vitamines ou de minéraux bon marché dans les boissons gazeuses, les bonbons ou de la saucisse à ce alors commercialiser légalement avec des publicités de santé peut. Alimentation Watch a critiqué dans ce contexte que l'actuel règlement de l'UE de l'année sur les allégations publicitaires liés à la santé («allégations santé») ne protège pas les consommateurs de ces illusions.
Fabricant de s'interroger sur l '"expression"
Dernières alimentaire montre dispose de plusieurs produits examinés: "Actimel" Danone, "Belvita biscuits de petit déjeuner" de Mondelez ("l'énergie pour la journée»), «Ferdi Fuchs Salami" de la société Stock Meyer, le "Active O2" boisson de Adelholzener, «Becel pro . activité «margarine Unilever, Nestlé yaourt" LC1 "(" Pour votre bien-être ") et" Red Bull . "Energy Drink Selon Food Voir les produits et leurs allégations publicitaires satisfont Bien que d'un point de vue juridique les spécifications du règlement sur les allégations de santé européenne, les consommateurs mènent mais encore égarés.
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Adelholzener a rejeté les allégations comme «discours pur" dos. En outre, Danone a été intrigué par la représentation des aliments Watchs. Les consommateurs se sont les différentes options pour une alimentation équilibrée ouvertement, "Actimel peut être une partie de celui-ci." Mondelez explique, les consommateurs fournit "pleine et entière sur l'emballage et sur Internet" informations sur les propriétés et la valeur nutritionnelle de ses biscuits de petit déjeuner. Il n'est pas prévu que les autres entreprises concernées ont un point de vue différent.
RépondreSupprimerLes additifs rendent le produit pas sain
Les fabricants doivent être approuvés dans les messages de santé de l'UE. Cependant, seuls les effets isolés de différents additifs sont souvent considérés. Si un aliment est généralement recommandé ou non, l'UE n'est pas cochée. Depuis, des milliers de demandes de fabricants à un aveu de leurs slogans ont été rejetées. Restant toujours resté près de 250 messages de vente autorisés, tels que celui de la vitamine D »pour la fonction normale du système immunitaire» ou magnésium "à la fonction normale des muscles" contribuent. Aussi pour les flavanols de cacao s'est un fabricant de chocolat approuvé allégation de santé - «promouvoir l'élasticité des vaisseaux sanguins." Même pour édulcorés avec du sucre de fruits (fructose) de boissons a un slogan de la santé reconnu, bien que les experts en nutrition classer la consommation de grandes quantités de risqué de l'UE.
"Tout comme sucré yogourt Danone pas avant froid protège, faire vitamines artificiellement de salami gras-salé pas un produit sain et minéraux d'une boisson gazeuse pas un sport de boisson. il peut être dangereux pour les consommateurs si même des produits controversés comme Red Bull ou Becel pro le droit de porter la publicité de la santé. d'activité ", dit Huizinga de l'alimentation Watch. "Les aliments ne sont pas des médicaments . Quiconque est malade ne doit pas aller au supermarché, mais chez le médecin. "
Différend prolongé avec Unilever
Le différend entre Unilever et de l'Alimentation Watch de la margarine "Becel pro.activ" dure longtemps. En 2011, le fabricant a répondu aux critiques de la déclaration qu'il n'y avait «aucune preuve d'un point de vue scientifique" sur les effets secondaires. Alimentation Watch a critiqué cette formulation au motif que dans les phytostérols Margarine contenait entités soupçonnées de provoquer des dépôts dans les vaisseaux et un risque accru de maladies cardio-vasculaires.
Une alimentation Suivre procès était le tribunal de district de Hambourg , a toutefois rejeté. Unilever fait référence à une allégation de santé par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) en 2009 pro.activ Becel accordé et confirmé la sécurité des autorités de margarine. Le tribunal a suivi le raisonnement Unilever et évalué la déclaration légale.
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Compte tenu des allégations actuelles alimentaire Regarder renouvelés Unilever maintenant la déclaration et fait souligne à nouveau à l'effet positif de la margarine qui est scientifiquement confirmé. "L'efficacité des stérols végétaux dans Becel a depuis été occupé dans plus de 45 études pro.activ. Plantes produits contenant des stérols comme Becel pro.activ être des sociétés européennes de cardiologie (ESC) et l'athérosclérose (EAS) a recommandé», a déclaré Unilever.
RépondreSupprimerhttp://www.spiegel.de/gesundheit/ernaehrung/foodwatch-unilever-danone-red-bull-taeuschen-verbraucher-a-937629.html
Un nouveau gaz à effet de serre hautement résistant
RépondreSupprimerLe Monde.fr avec AFP | 10.12.2013 à 03h16
Un nouveau gaz à effet de serre hautement résistant a été détecté dans l'atmosphère par des chercheurs de l'Université de Toronto qui l'ont annoncé lundi 9 décembre.
Le perfluorotributylamine (PFTBA) est un gaz artificiel, utilisé notamment dans la fabrication d'équipements électriques et électroniques. Selon les analyses des chercheurs de Toronto, le PFTBA a l'effet radiatif le plus puissant de tous les gaz que l'on retrouve dans l'atmosphère.
Le PFTBA n'a pas été répertorié jusqu'à présent dans la famille des gaz à effet de serre persistant, dont est notamment issu le gazcarbonique, mais en comparaison, sur une période de cent ans, son impact sur le réchauffement climatique est de loin supérieur au gazcarbonique, avancent ces chercheurs.
AUCUN AGENT CAPABLE DE L'ÉLIMINER
Une seule molécule de PFTBA dans l'atmosphère a le même effet que 7 100 molécules de gazcarbonique, remarque notamment Cora Young, une chimiste de l'Université de Toronto. De plus, ce gaz a une très longue durée de vie dans la basse atmosphère avant de se dissiper dans les couches les plus élevées et on ne connaît aucun agent capable de l'éliminer, affirment les cinq scientifiques responsables de cette étude.
D'après cette étude publiée dans la revue Geophysical Research Letters, le PFTBA s'inscrirait dans une nouvelle classe de gaz effet de serre persistants. Ils préconisent une étude plus approfondie pour établir leur impact réel sur le climat.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/12/10/un-nouveau-gaz-a-effet-de-serre-hautement-resistant_3528186_3244.html
Caracas envisage d'augmenter le prix de l'essence, une des moins chères du monde
RépondreSupprimer10/12 | 02:12
Le vice-président du Vénézuéla, Jorge Arreaza, a indiqué lundi que le gouvernement de Caracas envisageait d'augmenter le prix de l'essence à la pompe, une des moins chères dans le monde.
Cette hausse éventuelle, un sujet tabou au Vénézuéla, va être "étudiée" en concertation "avec les entreprises privées, avec les autorités locales, avec tous les Vénézuéliens", a assuré le vice-président lors d'un entretien avec la chaîne de télévision privée Venvision.
Le litre d'essence au Vénézuéla coûte 0,10 bolivar (un dollar vaut officiellement 6,3 bolivars et un euro en vaut 8,6), ce qui rend le plein d'essence souvent moins cher que le pourboire donné au pompiste, a souligné M. Arreaza.
Le pays, qui dispose des réserves de pétrole les plus importantes du monde, connaît par ailleurs une inflation galopante, qui dépasse les 50%, et des pénuries de produits de consommation courante. Mais le prix de l'essence est gelé depuis plus de 20 ans et une tentative en 1989 pour le relever avait été l'un des détonateurs des émeutes connues sous le nom de "Caracazo".
Ce prix dérisoire fait aussi la fortune des contrebandiers qui vendent de l'essence en Colombie où le litre coûte plus d'un dollar.
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/afp-00570025-caracas-envisage-d-augmenter-le-prix-de-l-essence-une-des-moins-cheres-du-monde-635992.php
Supprimer0,10 Blv = $ 0,02 (0,014 €) le litre d'esssence.(ou, 1,45€/100 l. !).
Nota: Le prix ci-dessus est 20 plus cher que le litre d'essence vendu à la pompe à Bagdad au bon temps de Saddam Hussein. (1 Franc = 100 cts = 200 l. d'essence ou 0,5 cts de F/l.)
Vive les vacances au Vénéze !
Il y a plus d'enfants sans-abri dans New York City depuis la Grande Dépression
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 9 Décembre, 2013
Au moment où Wall Street est absolument nage dans la richesse, New York City connaît une épidémie de sans-abri. Selon le New York Times, la dernière fois il y avait autant d'enfants sans-abri à New York était à l'époque de la Grande Dépression. Et le nombre d'enfants sans-abri aux États-Unis global a récemment établi un nouveau record de tous les temps. Comme je le disais hier, il y a maintenant 1,2 million publics écoliers en Amérique qui sont sans-abri, et ce nombre a augmenté d'environ 72 pour cent depuis le début de la dernière récession. Comme les Américains, nous aimons nous considérer comme "le pays le plus riche de la planète", et pourtant le nombre de jeunes enfants qui n'ont même pas un toit sur leurs têtes la nuit ne cesse de flèche. Il y a vraiment «deux Amériques» aujourd'hui, et malheureusement la plupart des Américains qui vivent dans la «bonne Amérique" ne semblent pas se soucier vraiment trop de la souffrance extrême qui se passe dans le «mauvais Amérique". En fin de compte, ce genre de prix que nous payons tous pour avoir négligé les membres les plus vulnérables de notre société ?
Si vous vivez dans la «bonne Amérique", j'ai beaucoup vous encourage à lire un excellent article sur les sans-abri à New York qui vient d'être publié dans le New York Times. Ce que certains jeunes enfants doivent passer par sur une base quotidienne doit briser tous nos coeurs ...
Elle se réveille au son de respiration. Les petits enfants gisent enchevêtrés à côté d'elle, la poitrine monte et descend sous les manteaux d'hiver et des couvertures de laine. A quelques mètres de là, la mère et le père sommeil près le seau de balai qu'ils utilisent comme une toilette. Deux autres enfants partagent un matelas par le mur en décomposition où les souris vivent, en face du bébé, dont le berceau est chauffée par un sèche-cheveux, perché sur une caisse de lait.
Pourriez-vous imaginer avoir votre propre famille vivre comme ça ? Le nom de la petite fille dans l'histoire est Dasani, et tous les soirs sa famille dort dans un abri sans-abri géré par la Ville qui sonne comme il est tout droit sorti d'un film d'horreur ...
Sa famille vit dans la résidence familiale Auburn, un abri ville décrépite terme pour les sans-abri. C'est un endroit où la moisissure se glisse murs et les cafards essaim, où les excréments et les plug vomi toilettes communes, où les prédateurs sexuels ont en itinérance et les petits enfants montent la garde pour leurs mères célibataires en dehors des douches sales.
Ce n'est pas un endroit pour les enfants. Pourtant, Dasani est parmi 280 enfants à l'abri. Au-delà de ses murs, elle appartient à une tribu vaste et invisible de plus de 22 000 enfants sans abri à New York, le plus grand nombre depuis la Grande Dépression, dans la métropole les plus inégalitaires en Amérique.
Vous pouvez lire le reste de cet excellent article ici . Malheureusement, il y a d'innombrables autres enfants, tout comme Dasani qui vivent comme ça jour après jour, mois après mois, année après année.
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Devrions-nous ne pas être en mesure de faire mieux que ce que la société ? Après tout, le marché boursier a été planant près des niveaux records ces derniers temps, et Wall Street est absolument trempé de la richesse pour le moment.
RépondreSupprimerAvec tant de richesses flottant autour, pourquoi les métros de New York étant " envahis par des sans-abri "en ce moment ?
Quelque chose s'est mal passé.
Je pense que un récent éditorial de David Simon, le créateur de The Wire, résume assez bien les choses. Nous ne sommes pas "une seule Amérique" plus, et la plupart des gens qui vivent dans la «bonne Amérique" ne m'inquiète pas vraiment beaucoup sur ceux qui vivent dans le «mauvais Amérique" ...
L'Amérique est un pays qui est maintenant totalement divisée quand il s'agit de sa société, son économie, sa politique. Il y a certainement des deux Amériques. Je vis dans un, sur un bloc de Baltimore qui fait partie de l'Amérique viable, l'Amérique qui est connecté à sa propre économie, où il y a un avenir plausible pour les personnes nées en elle. Est d'environ 20 pâtés de maisons entièrement une autre Amérique. Il est étonnant à quel point nous avons à faire avec l'autre, et pourtant, nous vivons dans une telle proximité.
Il n'y a pas de barbelés autour de West Baltimore ou autour de East Baltimore, autour de Pimlico, les domaines dans ma ville qui ont été complètement détachés de l'expérience américaine que je connais. Mais il pourrait aussi bien être.
Il était une fois, les choses étaient différentes en Amérique. Personne en voulait d'affaires pour la création d'entreprises solides et faire beaucoup d'argent. Et les hommes d'affaires à succès tels que Henry Ford embauché un grand nombre de travailleurs américains et les très bien payés. Il a estimé que ses travailleurs devraient faire assez d'argent pour acheter les voitures qu'ils construisaient . En ces jours, les hommes d'affaires ont été fidèles à leurs travailleurs et les travailleurs ont été fidèles à ceux qui les employait.
Malheureusement, ces jours sont révolus depuis longtemps. Aujourd'hui, dans les écoles de commerce à travers l'Amérique étudiants sont enseignées que dans le seul but d'une société est de faire autant d'argent que possible pour les actionnaires. Non qu'il n'y ait rien de mal à faire de l'argent. Mais à ce stade, nous avons élevé la cupidité dessus de tous les autres objectifs économiques. Prendre soin de l'autre n'est même pas une considération plus.
Dans l'ancien temps, les grandes entreprises ont besoin en fait notre travail. Mais ce n'est désormais plus le cas. Aujourd'hui, les entreprises expédient des millions de nos emplois à l'étranger et qu'ils remplacent comme beaucoup d'entre nous avec la technologie qu'ils le peuvent. La valeur de la main de l'homme au travail diminue avec chaque jour qui passe.
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En conséquence, la fortune des entreprises et des travailleurs américains sont de plus en plus grandes divergente. Par exemple, l'écart entre les niveaux d'emploi et des cours boursiers n'a jamais été plus grande dans ce pays. Si vous en doutez, il suffit de consulter ce tableau .
RépondreSupprimerEt au lieu de fixer les choses, Barack Obama est en train de négocier un traité secret qui se traduira par des millions d'emplois plus nombreux américains pour être expédiés à l'étranger. Ce qui suit est un bref extrait de cette traité secret d'une source de nouvelles australien ...
Le gouvernement a refusé l'accès Sénat au texte secret de l'accord de commerce, il est en train de négocier à Singapour, en disant qu'il ne sera rendu public après qu'il a été signé.
Comme la ronde finale de négociations ministérielles sur le Partenariat Trans-Pacifique a repris dimanche, lauréat du prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz a écrit à chacun des 12 pays participants d'avertissement que l'accord et le secret qui l'entoure présentés'' graves risques ''.
Alors pourquoi pas nous entendons beaucoup sur ce traité secret des sources d'information des États-Unis?
Si cela va toucher des millions d'emplois américains, les médias grand public ne devraient-ils pas en faire une grosse affaire à la une ?
Et même si nous n'étions pas en train de perdre des millions d'emplois à l'autre bout de la planète, nous serions encore en train de perdre des millions d'emplois aux progrès de la technologie. En fait, un article de CNBC qui a été publié plus tôt cette semaine semble à la hâte le jour où personne n'aura à s'inquiéter de la faible rémunération que les travailleurs de la restauration rapide se plus parce qu'ils seront tous remplacés par des droïdes ...
Peut-être, mais les travailleurs de restauration rapide, protestent les bas salaires et le président des États-Unis équivaut travail avec le droit à un salaire décent, la montée de la technologie prouve une fois de plus pas de cascade, ou de quoi rire. McDonald, où la production alimentaire est déjà à peu près aussi mécanisée que science alimentaire permet, arrêté la mise à jour du célèbre numéro "servi" la figure dans ses restaurants en 1994, un peu moins de 100 milliards, mais combien de temps cela va prendre avant trillions sont servis de leurs hamburgers et frites par un drone, après avoir été cuit par un droïde ? Ces machines fonctionnent pour pas cher, et la meilleure chose est, ils n'ont aucune idée de travail, ou à la dignité ou la clairvoyance d'examiner si les choses «cool» qu'ils peuvent faire en fin de compte contribuer, ou nuire, d'une forte consommation ou pas économie-dépendante.
Alors, quelle est la solution à tout cela ?
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Où vont les millions d'emplois qu'ont désespérément besoin pour "mauvaise Amérique» ?
RépondreSupprimerEh bien, il semble que les bonnes idées sont rares de nos jours. En fait, certaines des idées étant promus par nos «dirigeants» sont absolument fou. Par exemple, un entrepreneur de premier plan a récemment suggéré que la solution à notre crise de l'emploi est pour le Congrès à adopter une loi sur l'immigration qui amènerait à 30 millions de travailleurs plus faiblement qualifiés au cours des dix prochaines années ...
Américains de classe moyenne face à un avenir difficile parce que les robots et les machines éliminent leurs emplois, selon Steve Case, un entrepreneur qui a gagné environ 1 milliard de dollars d'ici la création de la première entreprise fructueuse sur Internet, America Online.
Mais le Congrès pourrait aider la situation en faisant passer un projet de loi sur l'immigration qui importer des entrepreneurs étrangers et près de 30 millions de travailleurs peu qualifiés pour la prochaine décennie, l'affaire devant un auditoire de lobbyistes DC et avocats réunis mardi par le Bipartisan Centre de la politique de l'entreprise à des créances.
Exactement comment cela serait d'améliorer la situation de l'emploi dans ce pays ?
Je n'arrive toujours pas à comprendre cela.
Mais il y a des gens qui croient réellement ce genre de choses.
Pendant ce temps, de nombreuses parties de l'Europe souffrent à travers les choses similaires.
Le taux de chômage dans la zone euro a récemment atteint un nouveau plus haut , et le nombre de personnes vivant dans la pauvreté en Europe continue juste à se développer ...
Plus de 124 millions de personnes dans l'Union européenne - ou près d'un quart de toute la population - vivent sous la menace de la pauvreté ou d'exclusion sociale, un rapport de l'Office statistique de l'Union européenne a révélé.
L'année dernière, 124,5 millions de personnes, soit 24,8 pour cent de la population de l'Europe étaient à risque de pauvreté ou d'exclusion sociale, par rapport à 24,3 pour cent en 2011 et 23,7 pour cent en 2008, l'Eurostat a déclaré dans un document publié plus tôt dans la semaine.
Alors, que va résoudre ce problème ?
Où sont les bons emplois pour les travailleurs en Amérique du Nord et en Europe va venir dans les prochaines années ?
Si vous avez une solution potentielle, s'il vous plaît n'hésitez pas à partager ci-dessous ...
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-most-homeless-children-in-new-york-city-since-the-great-depression
Au post juste avant celui-ci est affiché le prix de l'essence. Vous l'avez lu ? Et chez vous, le litre est à combien ? Pourquoi ? Et si demain le pain est à 1 million, vous ne direz rien ?
SupprimerLes taxes et les impôts ne sont pas fait pour 'la nation', mais pour enrichir les Dirigeants à se protéger et appauvrir les contribuables qui veulent acheter des armes.