- ENTREE de SECOURS -



dimanche 1 juillet 2012

2 commentaires:

  1. Mise à jour sur demande du droit d'auteur de la TV Asahi sur la vidéo de TEPCO sur ma chaîne. Youtube vient de m'envoyé gentiment que:


    TV Asahi Corporation a examiné le litige et a publié son allégation du droit d'auteur sur votre vidéo, "Fukushima I Détruisez des végétaux: Vidéo de l'intérieur du réacteur 1, 18/10/2011".

    Peut-être que je devrais avertir que TEPCO Asahi TV réclamait le droit d'auteur sur leur vidéo. Cette vidéo notamment a été vu plus de 22.000 fois. Il s'agit de la séquence du Octobre 18, 2011 Excursion par les travailleurs de TEPCO à l'intérieur du bâtiment réacteur 1. Plus récemment dans le réacteur 1, les travailleurs ont au 1er étage pour mesurer les températures, les niveaux de radiation et de la profondeur de l'eau à travers l'espace sur le plancher. Ils mesurée sur 10 sieverts ou rayonnement heures 20 centimètres au-dessus de la surface de l'eau sous-sol.

    http://ex-skf.blogspot.fr/

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  2. Officiel local: je me sens comme si on nous a tué lentement - Je veux que chacun dans le monde de savoir que nous mangeons et aspirant dans la peur constante - C'est une violation des droits de l'homme

    30 juin 2012 après par Koichi Oyama , Minamisoma membre du conseil municipal, traduit par dissensus au Japon :
    75 SV micro Lors d'une maison située dans Minamisoma Kodaka-ku

    La dose de l'air est d'environ 5 micro SV, et la dose à la surface est d'environ 10 micro SV.
    Le rayonnement est plus des arbres environnants et des bâtiments que depuis le sol. [...]
    Minamisoma n'est pas désigné comme «les zones où il est problématique à vivre». [...]
    Je me sens comme si nous étions tués lentement à cause de l'attente légère du côté administration. [...]
    Nos droits garantis en vertu de la loi ne devraient pas être offensés, et je refuse d'être utilisé comme un cobaye.
    C'est une violation des droits de l'homme.
    Même l'administration a déclaré que la ville n'est pas assez sûre, quant à lui les personnes évacuées sont priées de rentrer chez elles, les écoles ont redémarré, et la décontamination est toujours valable. Je veux que chacun dans le monde de savoir que nous mangeons et aspirant dans la peur constante.
    Une telle situation absurde est autorisée au Japon au 21ème siècle.

    http://enenews.com/local-official-i-feel-as-if-we-were-being-killed-slowly-i-want-everyone-in-the-world-to-know-that-we-are-eating-and-aspiring-in-constant-fear-this-is-infringement-of-human-rights

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    Il a parfaitement raison de s'en prendre aux pouvoirs publics dans la mesure où sont cachées les véritables nuisances de l'accident du 11 Mars 2011. Quant à l'accident lui-même, il n'y en a pas qui soit irrésoluble. Si au premier mort sur la route ils avaient interdit à tous véhicules terrestres à moteur de circuler...
    Là, il s'agit d'un environnement malsain et mortel à moyenne ou longue échéance dont l'admistration se doit d'en reconnaître les effets sur la population. Les populations se doivent d'être informées des véritables dangers encourus même s'il n'est établit que des présomptions de contacts mortels.
    Pour ce qui est de la centrale d'Oi au Sud-Ouest de Tokyo, (remise en route le 1er juillet) elle n'encours plus de danger que les autres partout dans le monde et, compte-tenu de sa configuration en Obama-Bay, elle est identique à celle de Fukushima dans la mesure où s'il y a tremblement de terre en mer du Japon, les conséquences découlant d'un raz-de-marée feraient qu'il y aient des gravats remontés par les vagues ( à 300 m) vers les tuyauteries extérieures non protégées comme il en est des lignes électrique non protégées. Ce qui priverait tous réacteurs d'alimentation nécessaire comme il en a été à la centrale de Fukushima. La suite, on la connaît.

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