L'aluminium dans les vaccins, déclencheur de la maladie d'Alzheimer et de l'autisme
04.01.2025 www.kla.tv/31623
Le professeur Christopher Exley est un biologiste très apprécié, le plus grand expert mondial en aluminium et membre de la Royal Society of Biology - une reconnaissance que peu de scientifiques atteignent. L'année dernière, il s'est vu retirer des fonds de recherche pour ses longues années de travail sur la toxicité de l'aluminium. Il a étudié l'influence de ce métal dans des maladies telles que la maladie d'Alzheimer et l'autisme, ainsi que son rôle d'adjuvant dans les vaccins. Comment en est-on arrivé là ?
Dans une interview accordée à "The Epoch Times" ainsi qu'à "The Looking Glass" de l'écrivaine Jackie Black, le professeur Exley a raconté qu'il avait passé sa vie à essayer de répondre à une question brûlante : Quel est le rôle de l'aluminium dans la vie ?
Tout a commencé dans les années 1980 lorsque Exley a étudié pourquoi les poissons mouraient dans les lacs et les rivières acidifiés et qu'il a compris qu'ils mouraient d'un empoisonnement à l'aluminium. L'aluminium, qui était auparavant emprisonné dans les roches et les argiles ou recyclé dans l'environnement par la silice, est devenu biodisponible par le processus d''acidification dû aux pluies acides' et est ainsi entré dans le cycle de vie biologique. Aujourd'hui, nous absorbons de l'aluminium via les aliments transformés, nous le buvons via l'eau, nous cuisinons dans des casseroles et des poêles en aluminium, car de nombreuses poêles sont aujourd'hui en aluminium anodisé. On le trouve dans les aliments pour bébés, les cosmétiques et comme ingrédient principal dans de nombreux vaccins.
Exley et son équipe effectuent des recherches depuis plus de 30 ans et ont rédigé plus de 200 travaux sur l'aluminium. En 2017, Exley a publié un article scientifique montrant un lien évident entre la toxicité de l'aluminium et la maladie d'Alzheimer. Quelques années plus tard, en 2020, le groupe d'Exley a publié son travail révolutionnaire sur la comparaison des niveaux d'aluminium dans le cerveau de personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, de sclérose en plaques et d'autisme dans la revue Scientific Reports du groupe Nature. Il s'est avéré que les cerveaux des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, d'autisme et de sclérose en plaques présentaient des taux élevés d'aluminium.
Au moment de la publication de cet article, les recherches d'Exley s'étaient déjà orientées vers les adjuvants et les vaccins à base d'aluminium, un domaine de recherche qu'ils suivaient depuis de nombreuses années.
Dans une étude publiée sur l'aluminium dans les vaccins, Exley écrivait notamment : "Les sels d'aluminium sont des adjuvants courants dans les vaccins administrés aux enfants. [...] Mais, par exemple, les pédiatres chargés d'administrer le schéma de vaccination aux enfants ne semblent pas être informés des propriétés des adjuvants aluminiques et de leur mode d'action dans les vaccins."
Car les taux d'autisme et de maladie d'Alzheimer continuent d'augmenter depuis des décennies. En 2021, les Centers for Disease Control and Prevention ont indiqué qu'aux États-Unis, selon les données de 2018, environ 1 enfant sur 44 âgé de huit ans est diagnostiqué avec un trouble du spectre autistique. Il s'agit d'une énorme augmentation par rapport à la première étude américaine connue sur l'autisme en 1970, qui avait constaté un taux inférieur à 1 sur 10 000. Le taux d'Alzheimer a augmenté de plus de 145 % entre 2000 et 2019.
Malgré l'augmentation de ces maladies, les recherches d'Exley sur la maladie d'Alzheimer et l'autisme n'ont suscité que le silence des grandes organisations caritatives qui se consacrent à ces maladies. Et l'université de Keele, pour laquelle il travaillait, semblait seulement le tolérer, sans promouvoir ses résultats ni publier de communiqués de presse.
Selon Exley, le lobby de l'aluminium passe largement inaperçu, contrairement à Big Pharma, et à Big Tech, mais il est probablement le plus puissant de tous. Exley a déclaré : "C'est un "grand frère" silencieux qui, bien qu'il s'exprime rarement sur la toxicité de l'aluminium chez l'homme, est toujours là pour soutenir les innombrables industries qui dépendent de son produit." Ainsi, les recherches importantes du professeur Exley n'ont pas été "appréciées", et au lieu de cela, l'université a retiré le financement de ses recherches en juillet 2021. Exley a déclaré à ce sujet :
"Je pense que la pression s'est formée en dehors de l'université. Nous avons établi un lien entre l'aluminium et la maladie d'Alzheimer en disant à qui voulait l'entendre : "Vous n'avez pas besoin d'aluminium : Si vous n'avez pas d'aluminium dans votre cerveau, vous n'aurez pas la maladie d'Alzheimer dans une vie normale."
Mais Exley pense que c'est aussi la science que lui et son équipe ont publiée sur l'aluminium comme adjuvant dans les vaccins qui a conduit les administrateurs de l'Université de Keele à le faire taire.
En effet, AstraZeneca produit le vaccin COVID-19 sur le campus de Keele. La Fondation Bill & Melinda Gates, qui a fortement investi dans la recherche et la promotion des vaccins, est également, selon Exley, l'un des bailleurs de fonds de l'université. Ce qui arrive au professeur Exley est un très bon exemple de la longue histoire de la censure contre la science dérangeante et de la diffamation contre ceux qui insistent pour approfondir de telles recherches. Interrogé sur la manière dont ce système défaillant pourrait être réparé, il a répondu :
"La science ne peut pas s'épanouir si le financement provient de l'industrie, du gouvernement et de grandes organisations caritatives, qui ont tous des intérêts personnels considérables et auxquels on ne peut pas faire confiance. [...]" Exley est désormais à la retraite, bien qu'il affirme qu'il reprendrait ses recherches à tout moment dès que le financement serait assuré.
de ch. Sources / Liens :
Interview avec le Professeurr Christopher Exley https://www.theepochtimes.com/health/expert-on-aluminum-toxicity-forced-out-of-university_4886099.html?
Site de Christopher Exley https://www.aluminiumresearchgroup.com/
Études scientifiques sur l'aluminium https://www.aluminiumresearchgroup.com/publications
https://www.aluminiumresearchgroup.com/history
Aluminium comme déclencheur principal de la maladie d'Alzheimer ? https://content.iospress.com/articles/journal-of-alzheimers-disease-reports/adr170010
L'aluminium dans le cerveau des personnes atteintes d'autisme et de sclérose en plaques https://www.nature.com/articles/s41598-020-64734-6
Aluminium dans les vaccins https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0946672X19304201?via%3Dihub
(...) Car les taux d'autisme et de maladie d'Alzheimer continuent d'augmenter depuis des décennies. En 2021, les Centers for Disease Control and Prevention ont indiqué qu'aux États-Unis, selon les données de 2018, environ 1 enfant sur 44 âgé de huit ans est diagnostiqué avec un trouble du spectre autistique. Il s'agit d'une énorme augmentation par rapport à la première étude américaine connue sur l'autisme en 1970, qui avait constaté un taux inférieur à 1 sur 10 000. Le taux d'Alzheimer a augmenté de plus de 145 % entre 2000 et 2019. (...)
Depuis... 1929 (!) l'aluminium est ajouté aux 'vaccins' !! (1929 !)
Aucun test n’a été effectué sur la capacité de l’ARNm auto amplifié à être transmis au consommateur de viande de canard. La 3eme dose précède l’abattage de quelques jours
le 5 janvier 2025 par pgibertie
La 3eme dose intervient peu de temps avant le gavage et l’abattage: les canards vivent en moyenne 11 à 15 semaines Le gavage dure une semaine , guère plus
Une instruction technique en cours de préparation au niveau de la Direction générale de l’alimentation (DGAL) va confirmer les mesures suivantes qui s’appliquent à compter d’aujourd’hui et jusqu’au 31/12/2024 :
Application obligatoire d’une 3ème dose sur les canards destinés à rester plus de 12 semaines (84 jours) en élevage et situés dans les zones à risque, à savoir Zone à risque de diffusion ZRD et/ou Zone réglementée protégée ZRP Application volontaire d’une 3ème dose sur les canards autour des sites stratégiques (toutes espèces de volailles) de génétique et de reproduction Application volontaire d’une 3ième dose pour les canards destinés à rester plus de 11 semaines en élevage en ZRD. Les conditions de prise en charge de cette 3ème dose, pour les animaux mentionnés ci-dessus, jusqu’au 31 décembre 2024, sont les suivantes :
Par l’État : coûts d’achat des vaccins, de leur stockage et acheminement ainsi que les coûts de supervision de la vaccination par les vétérinaires Par la filière : coût de l’application du vaccin Le texte ci dessous est d’Hélène Banoun, repris par la MCCULLOUGH Foundation
Quel est le danger des vaccins ARNm pour le consommateur?
La France est le seul pays au monde à imposer la vaccination anti-grippe aviaire pour tous les canards d’élevage et les autorités en sont très fières.
Parmi les deux produits proposés, le CEVA à ARNm auto-amplifié est le premier produit de ce type injecté aux oiseaux en phase de commercialisation. Un autre ARNm auto-amplifié est commercialisé pour les porcs par MSD : le Sequivity.
L’USDA inclut un temps de sevrage obligatoire avant consommation de viande d’animal vacciné pour exclure toute contamination par consommation de viande : des tests déterminent au bout de combien de temps aucune trace du vaccin ne peut être identifiée dans une partie quelconque de l’animal.
Toujours aux USA, des projets de loi sont en cours pour obliger l’étiquetage détaillant les vaccins reçus par les animaux de boucherie . Il a été impossible de trouver les traces de telles 1précautions prises en France concernant la viande de canards vacciné
Lorsque les canards sont vaccinés avec le produit CEVA à ARNm auto-amplifiant il faut souligner qu’aucun test n’a été effectué sur la capacité de ce produit génique à être transmis au consommateur de viande canard.
L’ARNm vaccinal est encapsulé et donc protégé dans des nanoparticules lipidiques (LNPs) qui sont théoriquement capables de résister aux sucs gastriques. Donc si le canard a été vacciné à l’ARNm, on peut supposer que ce produit a diffusé dans tout le corps de l’animal (comme ce qui a été montré chez l’homme, la souris, etc,..).
Si la viande est mal cuite (magret par exemple), l’ARNm peut être intact et toujours protégé dans les LNPs : le consommateur peut donc théoriquement être « vacciné » par cet ARNm destiné au canard. De plus on sait que l’ARNm vaccinal des produits géniques anti-COVID-19 Pfizer et Moderna peut être naturellement inclus dans des vésicules extra cellulaires naturelles ou exosomes par les cellules du vacciné; ces exosomes résistent aux sucs digestifs .
Cette éventualité théorique n’a pas été étudiée chez les 20canards puisqu’aucune étude de biodistribution ni de pharmacocinétique n’a été menée dans l’essai de 2022.
Pourtant on sait que des exosomes sont capables d’intégrer des répliquons d’ARNm et de les transmettre à d’autres cellules . Les militants écologistes et les organisations de 21consommateurs se préoccupent beaucoup des OGM végétaux dans l’alimentation mais pas des animaux transformés en OGM par la vaccination!
La crise mondiale du coronavirus Coup d'État mondial contre l'humanité
par Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 2022
À propos de l'auteur
Michel Chossudovski est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.
Il a mené des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a écrit de nombreux articles sur les économies des pays en développement, en mettant l'accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également mené des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, Johns Hopkins International Journal of Health Services ( 1979 , 1983 )).
Il est l'auteur de 13 ouvrages, dont La mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial (2003), La « guerre contre le terrorisme » de l'Amérique (2005) et La mondialisation de la guerre, la longue guerre de l'Amérique contre l'humanité (2015).
Il contribue à l'Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de 20 langues. En 2014, il a reçu la Médaille d'or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d'agression de l'OTAN contre la Yougoslavie. Vous pouvez le contacter à l'adresse crgeditor@yahoo.com .
Avis
Il s'agit d'une ressource approfondie d'un grand intérêt si c'est la perspective plus large que vous souhaitez comprendre un peu mieux, l'auteur est très bien informé sur la géopolitique et cela se reflète dans la manière dont Covid est contextualisé , Dr. Mike Yeadon
Dans cette guerre contre l'humanité dans laquelle nous nous trouvons, dans cet assaut singulier, irrégulier et massif contre la liberté et la bonté des gens, le livre de Chossudovsky est un roc sur lequel soutenir notre combat. – Dr. Emanuel Garcia
En quinze chapitres concis et scientifiques, Michel retrace la fausse pandémie de Covid-19, provoquant comment un test PCR, produisant jusqu'à 97 % de faux positifs confirmés, combiné à une campagne de peur implacable 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. , a pu créer une « plandémie » mondiale chargée de panique ; cette plandémie n'aurait jamais été possible sans le tristement célèbre test de réaction en chaîne par polymérase modifiant l'ADN - qui, à ce jour, est imposée à une majorité de personnes innocentes qui n'ont aucune idée de ce qu'il se passer. Ses conclusions sont corroborées par des scientifiques de renom. -Pierre Koenig
Le professeur Chossudovsky révèle la vérité : « il n'existe pas de lien de cause à effet entre le virus et les variables économiques ». En d'autres termes, ce n'est pas le COVID-19, mais plutôt la mise en œuvre délibérée de mesures de confinement illogiques et scientifiquement infondées qui a provoqué l'arrêt de l'économie mondiale. – David Skripac
La lecture du livre de Chossudovsky nous offre une leçon complète sur la manière dont un coup d'État mondial appelé « The Great Reset » est en cours et qui, s'il n'est pas combattu et vaincu par les peuples épris de liberté du monde entier, aboutira à un avenir dystopique encore inimaginable. Transmettez ce cadeau gratuit du professeur Chossudovsky avant qu'il ne soit trop tard. Vous ne trouverez pas autant d'informations et d'analyses précieuses en un seul endroit. -Edward Curtin
仕組まれたコロナ危機 :
Commenté au Japon 🇯🇵 le 18 novembre 2022
« C'est un livre formidable que je souhaite que les gens de tout le Japon écoutent. Lorsque je lis ce livre, les différents événements expliqués dans l'ordre chronologique tombent tous en place et en contexte, et ils se rapprochent d'un sentiment de réalité. C'est terrifiant. Mon cœur s'est mis à battre et à souffrir au fur et à mesure de ma lecture. Nous devons déterminer soigneusement l'envers de la bonne volonté des personnes qui ont organisé la pandémie de COVID-19. Que pouvons-nous faire en tant que citoyen de terrain ? C'est une question difficile.
…. du produit Description du produitEn savoir plus Description du produit produitなのです.
Ce livre est dédié à ma compagnie de toujours Micheline Ladouceur , qui agit en solidarité avec l' avenir de toute l'humanité.
Remerciements
Je suis redevable à Jezile Torculas pour son soutien et ses conseils concernant l'édition et la production du livre. Mes remerciements vont à Tatuo Uwama qui a pris l'initiative de traduire le manuscrit en japonais. Je remercie également Teresa Balisacan pour son aide à la mise en page et à la conception de la couverture du livre.
Un grand merci à Felicity Arbuthnot, qui a été une source d'inspiration pendant de nombreuses années ; à ma fille Maya, qui m'a permis de comprendre et d'appréhender les impacts dévastateurs de la crise du COVID-19 sur la jeune génération ; à Ariel Noyola Rodríguez, mes remerciements pour ses productions vidéo ; à Michael Welch pour ses programmes de radio exceptionnels de Global Research.
Je suis également redevable au collectif d’auteurs et d’amis de Global Research qui, au cours des dernières années, ont contribué à une compréhension détaillée de la crise du coronavirus qui affecte la vie des gens dans le monde entier.
Mes remerciements vont à Peter Koenig, Manlio Dinucci, David Skripac, Dr Denis Rancourt, Dr Stephen Frost, F. William Engdahl, Christine Massey, Dr Rudolf Haensel, Edward Curtin, Richard Gale, Dr Gary Null, Colin Todhunter, Michael Whitney, Prof. Anthony J. Hall, Dr Pascal Sacré, Dr Reiner Fuellmich, Dr Paul Craig Roberts, Prof. Raul Villegas, Shane Quinn, Stephen Lendman, Mark Taliano, Dr Jacques Pauwels, Prof. Claudia von Werlhof, Caoimhghin Ó Croidheáin, Carla Stea, Bonnie Faulkner, Timothy A. Guzman, Robert Burrowes, Dr Gary G. Kohls, Dr Nicole Delépine, Richard Delgado, Emanuel Pastreich, Mathias Chang, Stephen Sefton, Dr Chandra Muzzafar, pour leurs écrits, leur soutien et leurs encouragements.
Je reste redevable au regretté Padre Miguel d'Escoto Brockmann de m'avoir permis d'acquérir une compréhension critique des contradictions qui règnent au sein du système des Nations Unies.
Préface Chapitre I Introduction. La destruction de la société civile. La campagne de la peur Chapitre II La chronologie du coronavirus Chapitre III Qu'est-ce que le COVID-19, SARS-CoV-2 : comment le tester ? Comment le mesurer ? Chapitre IV Dépression économique artificielle Chapitre V L'enrichissement des super-riches. L'appropriation et la redistribution des richesses Chapitre VI
Les impacts sur la santé mentale
Chapitre VII La science corrompue : « Il n’existe pas de remède ». Suppression de l’hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace Chapitre VIII Le « vaccin » contre la COVID-19 de Big Pharma Chapitre IX La pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 : une répétition générale ? Chapitre X Liberté d’expression. Le mouvement de protestation est catégorisé comme « psychopathes antisociaux » Chapitre XI L'opération mondiale CoVax et le code de Nuremberg. Crimes contre l'humanité, génocide Chapitre XII « Coup d’État mondial » et « Great Reset ». Dette mondiale et « traitement de choc » néolibéral Chapitre XIII La « tyrannie numérique » et le code QR Chapitre XIV La fin de la pandémie de COVID-19 : l'eugénisme et le programme de dépopulation Chapitre XV La voie à suivre : construire un mouvement mondial contre la « tyrannie du coronavirus »
Préface « L’enfer est vide, et tous les démons sont ici. » — William Shakespeare , La Tempête, 1610
La crise du COVID-19 détruit la vie des gens. Ma responsabilité en tant qu'auteur est de révéler la vérité, de briser le flot de désinformation médiatique et de toucher le plus grand nombre possible de personnes dans le monde entier.
Nous sommes confrontés à un processus extrêmement complexe. Au cours des deux dernières années et demie, j’ai analysé presque quotidiennement la chronologie et l’évolution de la crise du COVID-19.
Dès le début de la pandémie, en janvier 2020, les populations du monde entier ont été amenées à croire et à accepter l’existence d’une épidémie dangereuse et en progression rapide. La désinformation médiatique a contribué à entretenir le récit de la COVID-19.
Au moment où nous écrivons ces lignes, des mouvements de protestation ont éclaté dans de nombreux pays. La planète entière est en proie à un chaos économique et social. Une crise alimentaire et agricole mondiale se développe, avec des famines qui éclatent dans toutes les grandes régions du monde (voir chapitre IV).
Dès le début, en janvier 2020, des mensonges et des contre-vérités scientifiques ont été utilisés pour soutenir la légitimité des mandats politiques liés au COVID-19, notamment le confinement, l’imposition du masque facial, la distanciation sociale et la suppression des droits humains fondamentaux.
Le processus de prise de décision est contrôlé par l’establishment financier. Une structure de « gouvernance mondiale » se met en place, qui sape la démocratie et les institutions de la société civile. Les mêmes instructions sont transmises simultanément à des politiciens corrompus dans un grand nombre de pays. Le système des Nations Unies est également complice de cette entreprise diabolique.
La pandémie a été annoncée le 11 mars 2020. Le même jour, des instructions de confinement ont été transmises à 193 États membres des Nations Unies, exigeant essentiellement le confinement de la main-d’œuvre et la « fermeture » du paysage économique et social comme moyen de « combattre le virus ».
Plus de 7 milliards de personnes dans le monde sont directement ou indirectement touchées par la crise du coronavirus et par les mandats destructeurs mis en œuvre par des gouvernements nationaux moralement dépravés.
Depuis la fin de l’année 2020, les gens du monde entier ont été amenés à croire que les injections de vaccins contre la COVID-19 des grandes sociétés pharmaceutiques étaient la « solution ». Et qu’une « nouvelle normalité » serait rétablie une fois que l’ensemble de la population de la planète, soit près de 8 milliards d’habitants, aurait été entièrement vaccinée avec plusieurs doses.
Comment se fait-il qu’un vaccin contre le nouveau virus SARS-CoV-2 , dont le développement aurait pris des années dans des conditions normales, ait pu être lancé aussi rapidement au début du mois de novembre 2020 ? Le « vaccin » à ARNm annoncé par les grandes sociétés pharmaceutiques, Pfizer en tête, repose sur une technologie expérimentale d’édition génétique de l’ARNm qui a une incidence sur le génome humain.
Des tests standards en laboratoire sur des animaux ont-ils été effectués sur des souris ou des furets ?
Ou bien Pfizer a -t-il « directement utilisé des « cobayes » humains » ? Les tests sur les humains ont commencé fin juillet et début août 2020. 2 « Trois mois, c’est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années, c’est la norme . » 3
Copyright Large + JIPÉM, autorisation d'utilisation Cette caricature de Large + JIPÉM explique notre situation difficile : Souris n°1 : « Vas-tu te faire vacciner ? » Souris n°2 : « Vous êtes fous, ils n'ont pas fini les tests sur les humains »
Le projet de vaccin contre la COVID-19 est motivé par le profit. Il est soutenu par des politiciens corrompus au service des intérêts de Big Pharma. Il s’agit de loin du plus grand programme de vaccination de l’histoire mondiale visant à injecter (en plusieurs doses) la totalité de la population de la planète Terre (7,9 milliards de personnes).
Les preuves largement documentées montrent que le vaccin à ARNm a entraîné une augmentation mondiale de la mortalité et de la morbidité.
Les rapports confirment que les vaccins contre la COVID-19 tuent nos enfants. Au Royaume-Uni, « les chiffres les plus élevés en termes de décès toutes causes confondues concernent les adolescents doublement vaccinés ». 4
Description et plan du livre
Le chapitre introductif se concentre sur la campagne de peur, la déstabilisation délibérée de la société civile et le rôle insidieux de la propagande médiatique.
Un examen détaillé de l’histoire de la crise de la COVID-19, examinant la chronologie des principaux événements, est présenté au chapitre II.
Le chapitre III se concentre sur la nature du virus SARS-CoV-2 ainsi que sur le test défectueux de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse ( RT-PCR) qui, dès le départ, a été mis en place par les gouvernements nationaux pour générer de « fausses données » en vue de justifier des mandats politiques excessifs et socialement répressifs.
Les vastes conséquences économiques et sociales de cette crise, y compris le processus d’appauvrissement mondial et la redistribution des richesses en faveur des milliardaires super riches, sont examinées dans les chapitres IV et V. Le chaos économique a contribué à déclencher la crise de la dette mondiale la plus grave de l’histoire du monde.
Les effets dévastateurs des politiques de confinement sur la santé mentale, notamment l’augmentation des suicides et de la toxicomanie, sont examinés au chapitre VI.
Le chapitre VII examine la suppression de l’hydroxychloroquine (HCQ ), un médicament bon marché et efficace.
Le programme de vaccination des grandes sociétés pharmaceutiques a été envisagé plusieurs mois avant l'apparition présumée du nouveau coronavirus à Wuhan fin 2019. Le chapitre VIII passe en revue ce que l'on pourrait qualifier de « vaccin mortel ». La dernière partie du chapitre se concentre sur le projet d'identité numérique ID2020 et l'imposition du soi-disant passeport vaccinal.
Le chapitre IX rappelle les circonstances de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 , qui s’est révélée être une arnaque. Était-ce une « répétition générale » des événements à venir ?
Le chapitre X se concentre sur la dérogation à la liberté d’expression et sur les politiques autoritaires utilisées pour réprimer le mouvement de protestation et assurer la conformité sociale.
Le chapitre XI porte sur les crimes contre l’humanité et le Code de Nuremberg.
Le chapitre XII analyse la « Grande réinitialisation » proposée par le Forum économique mondial qui, si elle était adoptée, consisterait à établir un système de gouvernance mondiale , à supprimer l'État-providence et à imposer des mesures d'austérité massives à une population appauvrie. L'emblème officiel de la « Grande réinitialisation » du WEF est « Ne possédez rien, soyez heureux ».
Le chapitre XIII, intitulé Digital Tyranny, se concentre sur le projet mondial de code de vérification QR qui pose les bases de la création d’une banque de données numériques mondiale de près de 8 milliards de personnes. Peter Koenig décrit le code QR comme « un identifiant entièrement électronique – reliant tout à tout ce qui concerne chaque individu (dossiers médicaux, bancaires, personnels et privés, etc.) ».
Le chapitre XIV se concentre sur l'eugénisme et le programme de dépopulation
Le chapitre XV intitulé La voie à suivre : construire un mouvement mondial contre la tyrannie du coronavirus formule les contours d’un mouvement mondial qui remet en question avec force la légitimité des élites financières, de Big Pharma et al., ainsi que les structures corrompues de l’autorité politique au niveau national.
Un mot sur la méthodologie : notre objectif est de réfuter le « Grand Mensonge » à travers une analyse minutieuse consistant en :
un aperçu historique de la crise du COVID avec des données, des concepts et des définitions précis ; citations de documents officiels et de rapports évalués par des pairs, de nombreuses sources et références sont indiquées ; analyse scientifique et examen détaillé des données, estimations et définitions « officielles » ; et analyse des impacts des « lignes directrices » de l’OMS et des politiques gouvernementales sur les variables économiques, sociales et de santé publique. Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer les gens du monde entier et de réfuter le récit officiel qui a été utilisé comme prétexte et justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers, suivi de l’imposition du « vaccin » « mortel » COVID-19.
Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes.
Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants dans le monde entier.
La vérité est un instrument puissant.
Michel Chossudovsky, Recherche Globale, Montréal, août 2022
Notes de fin
1 F. William Engdahl, 15 novembre 2020. Ce qu'on ne dit pas sur le vaccin contre le coronavirus de Pfizer. Des « cobayes humains » ? https://www.globalresearch.ca/what-not-said-pfizer-coronavirus-vaccine/5729461
2 Ibid.
3 Ibid.
4 The Expose, 29 juillet 2022. Choquant : le gouvernement britannique admet que les enfants vaccinés contre la COVID-19 ont 4 423 % plus de risques de mourir de n'importe quelle cause et 13 633 % plus de risques de mourir de la COVID-19 que les enfants non vaccinés. https://www.globalresearch.ca/print-version-of-covid-book/5780283
Introduction La destruction de la société civile. La campagne de la peur
« Il est temps que tout le monde sorte de cette transe négative, de cette hystérie collective, car la famine, la pauvreté, le chômage de masse tueront et détruiront la vie de bien plus de personnes que le SARS-CoV-2 ! » — Dr Pascal Sacré 1
« Je vois des patients qui ont des éruptions cutanées au visage, des infections fongiques, des infections bactériennes. […] En février et mars [2020], on nous a dit de ne pas porter de masque. Qu’est-ce qui a changé ? La science n’a pas changé. La politique, oui. Il s’agit de conformité. Ce n’est pas une question de science… » — Dr James Meehan 2
« Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de retour en arrière. La folie l’emporte. Le monde est sens dessus dessous. » – Michel Chossudovsky
« Nous sommes confinés alors que le taux de mortalité par infection est inférieur à 0,2 %. » — Dr Richard Schabas 3
Nous nous trouvons à la croisée des chemins de l’une des crises les plus graves de l’histoire mondiale. Nous vivons l’histoire, mais notre compréhension de la séquence des événements depuis janvier 2020 est floue. Partout dans le monde, les citoyens ont été induits en erreur par leurs gouvernements et les médias quant aux causes et aux conséquences dévastatrices de la « pandémie » de COVID-19.
La vérité tacite est que le nouveau coronavirus fournit un prétexte et une justification aux puissants intérêts financiers et aux politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite, d’extrême pauvreté et de désespoir.
Voilà la réalité de ce qui se passe. C'est le résultat d'un processus décisionnel complexe.
Le « confinement de la planète » est une atteinte aux libertés civiles et au « droit à la vie ».
Des économies nationales entières sont en danger. Dans certains pays, la loi martiale a été décrétée.
Le petit et moyen capital est voué à disparaître. Le grand capital prévaut.
Une concentration massive de la richesse des entreprises est en cours.
C’est un « Nouvel Ordre Mondial » diabolique en train de se former.
Zones rouges, port du masque, distanciation sociale, fermeture des écoles, collèges et universités, plus de réunions de famille, plus de fêtes d’anniversaire, de musique, d’arts ; plus d’événements culturels, les événements sportifs sont suspendus, plus de mariages, « l’amour et la vie » sont purement et simplement interdits.
Et dans plusieurs pays, les réunions de famille de Noël et du Nouvel An (2021-2022) étaient illégales.
La fermeture de l’économie mondiale est présentée comme un moyen de combattre le virus. C’est ce qu’ils veulent nous faire croire. Si le public avait été informé que le COVID-19 est « similaire à la grippe saisonnière », la campagne de peur aurait été un échec.
La pandémie a été officiellement lancée par l'OMS le 11 mars 2020, entraînant le confinement et la fermeture des économies nationales de 190 pays (sur 193), États membres des Nations Unies. Les instructions sont venues d'en haut, de Wall Street, du Forum économique mondial (WEF), des fondations milliardaires.
La pandémie du 11 mars 2020 a été précédée par une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) de l’OMS le 30 janvier 2020, qui a été suivie en février 2020 par la déstabilisation des marchés financiers.
La vidéo ci-dessous a été initialement publiée par Vimeo il y a plus d'un an, avant le lancement du vaccin. Elle a été retirée le 5 mars 2022 en tant qu'acte de censure dirigé contre Global Research. Regardez-la ci-dessous ou cliquez ici.
Le 30 janvier, on comptait 83 « cas confirmés de COVID-19 » hors de Chine, sur une population totale de 6,4 milliards d’habitants. Dans les jours précédant la crise financière de février, on comptait 1 076 « cas confirmés de COVID-19 » hors de Chine (voir notre analyse au chapitre II).
Ce projet diabolique basé sur des estimations insuffisantes et erronées est décrit avec désinvolture par les médias d’entreprise comme une entreprise « humanitaire » ; la « communauté internationale » a la « responsabilité de protéger » (R2P).
Selon les mots de Diana Johnstone , c'est « le prétexte mondial » . Un « partenariat public-privé » non élu sous les auspices du Forum économique mondial (WEF) est venu au secours des 7,9 milliards d'habitants de la planète Terre. La fermeture des économies nationales de 193 États membres des Nations Unies est présentée comme un moyen de « tuer le virus ».
Cela paraît absurde. La fermeture de l’économie réelle de la planète Terre n’est pas la « solution », mais plutôt la « cause » d’un processus diabolique de déstabilisation et d’appauvrissement à l’échelle mondiale.
L’économie nationale combinée aux institutions politiques, sociales et culturelles constitue la base de la « reproduction de la vie réelle » : revenus, emploi, production, commerce, infrastructures et services sociaux.
Déstabiliser l’économie de la planète Terre ne peut constituer une « solution » pour combattre le virus. Mais c’est la « solution » imposée à laquelle ils veulent nous faire croire. Et c’est ce qu’ils font.
C'est la destruction de la vie des gens, c'est la déstabilisation de la société civile.
Les mensonges sont entretenus par une campagne massive de désinformation médiatique : des « alertes COVID » incessantes et répétitives, 24 heures sur 24 , 7 jours sur 7, depuis plus de deux ans et demi. Il s'agit d'un processus d'ingénierie sociale.
Ce qu’ils veulent, c’est augmenter les chiffres pour justifier le confinement. Les statistiques de décès dus au COVID sont « fabriquées » (voir chapitre III).
Le COVID-19 est présenté comme le « virus tueur ».
Détruire la société civile Les gens sont effrayés et perplexes. « Pourquoi feraient-ils cela ? »
Des écoles vides, des aéroports vides, des épiceries en faillite.
En France, « des églises menacées de kalachnikovs en raison de l’épidémie de COVID-19 » (avril 2020). 4
L’ensemble de l’économie des services urbains est en crise. Les magasins, les bars et les restaurants sont acculés à la faillite. Les voyages internationaux et les vacances sont suspendus. Les rues sont vides. Dans plusieurs pays, les bars et les restaurants sont tenus de relever les noms et les coordonnées des personnes concernées afin de faciliter le traçage des contacts si nécessaire .
Confinement culturel
Parallèlement, à partir de mars 2020, la fermeture des économies nationales dans le monde entier s’est accompagnée d’ un confinement culturel touchant la musique et les événements artistiques. Les musées sont vides, plus d’opéras, plus de symphonies, les salles de concert sont fermées dans le monde entier. Des plateformes numériques dites « stay at home » ont été mises en place. Aux États-Unis, les musées ont annoncé leur fermeture le 12 mars 2020, à commencer par le Metropolitan Museum of Art de New York. En France, le Louvre, Versailles et la Tour Eiffel ont été fermés le 13 mars 2020, deux jours après le confinement.
La liberté d'expression est réprimée
Le récit du confinement est soutenu par la désinformation médiatique, la censure en ligne, l’ingénierie sociale et la campagne de peur.
Les médecins qui remettent en question le discours officiel sont menacés. Ils perdent leur emploi. Leur carrière est détruite. Ceux qui s’opposent au confinement gouvernemental sont qualifiés de « psychopathes antisociaux » .
Des « études » psychologiques évaluées par des pairs sont actuellement menées dans plusieurs pays à partir d’enquêtes par sondage. Acceptez le « gros mensonge » et vous serez catalogué comme une « bonne personne » dotée d’« empathie » et comprenant les sentiments des autres.
Exprimez des réserves concernant la distanciation sociale, le port du masque facial et le vaccin à ARNm, et vous serez étiqueté (selon « l’opinion scientifique ») comme un « psychopathe insensible et trompeur » (voir chapitre XI).
Dans les collèges et les universités, les enseignants sont contraints de se conformer et d’adhérer au discours officiel sur la COVID-19. Remettre en question la légitimité du confinement ou du vaccin dans les « salles de classe » en ligne peut conduire au licenciement.
De nombreux médecins et scientifiques qui se sont opposés au consensus sur le COVID ou au vaccin ont été arrêtés. En décembre 2020, « Jean-Bernard Fourtillan, professeur d’université à la retraite connu pour son opposition au vaccin contre le COVID-19, a été arrêté « par des agents des forces de l’ordre sous commandement militaire, et placé de force à l’isolement à l’hôpital psychiatrique d’Uzès ». Fourtillan est connu pour être un « critique de longue date des vaccins qui utilisent des adjuvants dangereux » ». 7
Google, Facebook et Twitter : le marketing est un grand mensonge Les avis de scientifiques de renom qui remettent en question le confinement, le port du masque ou la distanciation sociale sont « supprimés » par Google :
« YouTube n'autorise pas le contenu qui diffuse de fausses informations médicales qui contredisent les informations médicales de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ou des autorités sanitaires locales sur le COVID-19, y compris sur les méthodes de prévention, de traitement ou de diagnostic du COVID-19 , et les moyens de transmission du COVID-19. » (soulignement ajouté) 8
Ils appellent cela du « fact-checking », sans reconnaître que l’OMS et les autorités sanitaires nationales contredisent leurs propres données et concepts. De même, Twitter a confirmé qu’il « supprimerait tous les messages suggérant qu’il existe des « impacts ou effets indésirables liés à la vaccination » »…
Twitter « effacera de la mémoire tous les messages qui « invoquent une conspiration délibérée » ou « véhiculent des récits nuisibles, faux ou trompeurs » sur les vaccins. »
11 mars 2020 : dépression économique artificielle. Coup d'État mondial ?
Déstabiliser d’un seul coup les économies nationales de 193 pays est un acte de « guerre économique ». Ce programme diabolique porte atteinte à la souveraineté des États-nations. Il appauvrit les populations du monde entier. Il conduit à une spirale de la dette mondiale libellée en dollars.
Les puissantes structures du capitalisme mondial, les grands capitaux, ainsi que leurs appareils de renseignement et militaires, en sont la force motrice. Grâce aux technologies numériques et de communication avancées, le confinement et la fermeture de l'économie mondiale sont sans précédent dans l'histoire du monde.
Cette intervention simultanée dans environ 193 pays porte atteinte à la démocratie. Elle porte atteinte à la souveraineté des États-nations du monde entier, sans qu’il soit nécessaire de recourir à une intervention militaire. Il s’agit d’une forme avancée de « guerre économique » qui éclipse d’autres formes de guerre, notamment les guerres conventionnelles (de type irakien) (voir chapitres IV et V).
Scénarios de « gouvernance mondiale ». Un gouvernement mondial à l’ère post-COVID ? Le projet de confinement du 11 mars 2020 utilise des mensonges et des tromperies pour finalement imposer un régime totalitaire mondial, intitulé « Gouvernance mondiale » (par des fonctionnaires non élus). Selon les mots de David Rockefeller :
« … Le monde est désormais plus sophistiqué et prêt à évoluer vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés . » (cité par Aspen Times , 15 août 2011, c’est nous qui soulignons) 9
Le scénario de gouvernance mondiale impose un programme d’ingénierie sociale et de conformité économique :
Il s’agit d’une extension du cadre politique néolibéral imposé aux pays en développement comme aux pays développés. Il consiste à abandonner « l’autodétermination nationale » et à construire un réseau mondial de régimes pro-américains contrôlés par une « souveraineté supranationale » (gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques (voir chapitre XIII).
Simulation de pandémies Le « scénario de l’étape bloquée » de Rockefeller
La Fondation Rockefeller propose l’utilisation de la « planification de scénarios » comme moyen de mettre en œuvre la « gouvernance mondiale ».
Dans le rapport Rockefeller de 2010 intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international » , des scénarios de gouvernance mondiale et les mesures à prendre en cas de pandémie mondiale sont envisagés .
Plus précisément, le rapport envisageait (p. 18) la simulation d’un scénario Lock Step incluant une souche de grippe virulente mondiale.
« Le scénario Lock Step décrit « un monde de contrôle gouvernemental plus strict et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. » En « 2012 » (c'est-à-dire deux ans après la publication du rapport), [dans le cadre de la simulation] une souche de grippe « extrêmement virulente et mortelle » provenant d'oies sauvages met le monde à genoux, infectant 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois – « la majorité d'entre elles étant de jeunes adultes en bonne santé. » ( Helen Buyniski, février 2020) 12
Le rapport Rockefeller de 2010 a été publié immédiatement après la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 (voir chapitre IX).
La simulation de table Clade X
Le 15 mai 2018, une simulation sur table d’une pandémie intitulée Clade X a été réalisée sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security.
Clade X a été décrit par ses organisateurs comme un exercice de simulation d’une journée sur la pandémie dont le but était « d’illustrer les décisions stratégiques de haut niveau prises aux États-Unis et dans le monde… pour prévenir une pandémie » (soulignement ajouté). 13 Il était « joué par des individus éminents dans les domaines de la sécurité nationale ou de la réponse aux épidémies ».
Bill Gates avait une prescience
« Dans le cas des menaces biologiques, ce sentiment d’urgence fait défaut… Le monde doit se préparer aux pandémies de la même manière qu’il se prépare à la guerre. » (Bill Gates cité dans Business Insider , 17 avril 2018)
L'événement « 201 » d'octobre 2019 Clade X a été suivi par une autre simulation sur table intitulée Event 201 (également sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security ) .
L'événement 201 concernait une épidémie de coronavirus intitulée nCoV-2019. Il s'est tenu le 18 octobre 2019, moins de trois mois avant l'annonce par les autorités chinoises début janvier 2020 d'un nouveau coronavirus intitulé 2019-nCoV (rebaptisé par la suite SARS-CoV-2) :
« Déclaration sur le nCoV et notre exercice de pandémie
24 janvier 2020 – En octobre 2019, le Centre de sécurité sanitaire de l’Université Johns Hopkins a organisé un exercice de simulation de pandémie appelé Event 201 avec des partenaires, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates. Récemment, le Centre de sécurité sanitaire a reçu des questions sur la capacité de cet exercice à prédire l’épidémie actuelle de nouveau coronavirus en Chine.
Pour être clair, le Centre pour la sécurité sanitaire et ses partenaires n’ont pas fait de prédiction lors de notre exercice de simulation. Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie de coronavirus fictive, mais nous avons explicitement indiqué qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. Au lieu de cela, l’exercice a servi à mettre en évidence les défis en matière de préparation et de réponse qui surviendraient probablement en cas de pandémie très grave. Nous ne prévoyons pas maintenant que l’épidémie de nCoV-2019 tuera 65 millions de personnes.
Bien que notre exercice sur table incluait un faux nouveau coronavirus, les données que nous avons utilisées pour modéliser l’impact potentiel de ce virus fictif ne sont pas similaires à celles du nCoV-2019. » (soulignement ajouté) 15
L’exercice de pandémie Event 201 du 18 octobre 2019 a également abordé la manière de gérer les médias sociaux et la soi-disant « désinformation ».
De nombreuses caractéristiques de l’« exercice de simulation » de 201 correspondaient en fait à ce qui s’est réellement passé lorsque le directeur général de l’OMS a lancé une urgence de santé publique mondiale le 30 janvier 2020.
Dans le scénario Event 201 , un effondrement de 15 % des marchés financiers avait été « simulé » . Il n’était pas « prédit » selon les organisateurs et sponsors de l’événement, parmi lesquels figuraient la Fondation Bill et Melinda Gates ainsi que le Forum économique mondial .
Il convient de noter que les sponsors de l’événement 201, dont le Forum économique mondial et la Fondation Gates, ont été activement impliqués dès le début dans la coordination (et le financement) des politiques liées au COVID-19, notamment le test RT-PCR, les procédures de confinement ainsi que le vaccin à ARNm. Les faits suggèrent que ces politiques avaient été planifiées et envisagées bien plus tôt.
Le scénario 201 joueurs
Parmi les 201 « acteurs » du scénario de simulation de l’Université Johns Hopkins figuraient des personnalités clés occupant des postes de conseil ou de direction dans un certain nombre d’organisations clés. Moins de trois mois plus tard, ces 201 « acteurs » ont commencé à s’impliquer activement dans la réponse politique à la pandémie de COVID-19.
« Les personnalités suivantes, issues du monde des affaires, du gouvernement et de la santé publique, ont été chargées de diriger la réponse politique à un scénario d’épidémie fictif dans le cadre de l’exercice sur table sur la pandémie Event 201. » 17
Certains des acteurs clés du scénario 201 ; de gauche à droite : Dr Gao Fu (par 中国新闻网, sous licence CC BY 3.0 ), Jane Halton (par l'OMS/Peter Williams) et Dr Stephen Redd (par le gouvernement américain, sous licence du domaine public )
Les entités directement ou indirectement « représentées » par les « acteurs » incluent l’OMS, Johns Hopkins, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI, Dr Timothy Grant Evans ), les services de renseignement américains, la Fondation Bill et Melinda Gates ( Dr Chris Elias ), la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI, présidente Jane Halton) , le Forum économique mondial (WEF), la Fondation des Nations Unies, les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC, Stephen Redd ), le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC, directeur Dr George Fu Gao ), les grandes sociétés pharmaceutiques ( Adrian Thomas ), la Banque mondiale et le secteur bancaire mondial, les compagnies aériennes et l’industrie hôtelière. Pour plus de détails, cliquez ici.
Il convient de noter que le directeur du CDC chinois, le Dr George Fu Gao, a joué un rôle central dans la supervision de l'épidémie de COVID-19 à Wuhan au début de 2020, en étroite collaboration avec la Fondation Bill et Melinda Gates, Johns Hopkins, etc. Le Dr Gao Fu est un diplômé d'Oxford qui a des liens avec les grandes sociétés pharmaceutiques. Il a également été pendant plusieurs années membre du Wellcome Trust.
Le Dr Stephen Redd (CDC) a joué un rôle clé dans la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 de 2009 aux États-Unis, qui s’est avérée être une fausse campagne (voir chapitre IX).
Il convient également de noter que l’ OMS a initialement adopté un acronyme similaire (pour désigner le coronavirus) à celui de l’exercice Pandemic Event 201 de Johns Hopkins (nCoV-2019) . « … Le nouveau virus a été initialement nommé 2019-nCoV par [l’]OMS. » 18
« Le 11 février 2020, l’OMS a renommé la maladie en maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Le même jour, le groupe d’étude sur les coronavirus (CSG) du Comité international de taxonomie des virus a publié un manuscrit sur bioRxiv dans lequel il suggérait de désigner le 2019-nCoV comme coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2) sur la base d’une analyse phylogénétique des coronavirus apparentés. » ( Lancet ) 19
Le choix du nom SARS-CoV-2 est expliqué au chapitre III en relation avec le rapport dit Drosten.
Renseignement et « l’art de tromper »
La crise du COVID est un instrument sophistiqué des élites au pouvoir. Elle présente toutes les caractéristiques d’une opération de renseignement soigneusement planifiée utilisant « la tromperie et la contre-tromperie » . Leo Straus « considérait le renseignement comme un moyen pour les décideurs politiques d’atteindre et de justifier des objectifs politiques, et non de décrire les réalités du monde ». Et c’est précisément ce qu’ils font en relation avec le COVID-19. 20
« Le prétexte mondial »
Confirmé par d’éminents scientifiques ainsi que par les organismes officiels de santé publique, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), le COVID-19 est un problème de santé publique, mais ce n’est PAS un virus dangereux.
La crise du COVID-19 est une « urgence » de santé publique sous l’égide de l’OMS, qui sert de prétexte et de justification pour déclencher un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique. La tendance est à l’imposition d’un État totalitaire .
L’ingénierie sociale est mise en œuvre. Les gouvernements sont contraints de prolonger le confinement malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.
Il n’existe aucune base scientifique justifiant la mise en œuvre de la fermeture de l’économie mondiale comme moyen de résoudre une crise de santé publique. Les médias et les gouvernements sont impliqués dans la diffusion de fausses informations.
La campagne de peur n’a aucun fondement scientifique. Vos gouvernements mentent. En fait, ils se mentent à eux-mêmes.
1 Dr Pascal Sacré, 7 août 2020. COVID-19 : plus près de la vérité : tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160
2 John CA Manley, 6 octobre 2020. Un médecin prévient que « les pneumonies bactériennes sont en hausse » en raison du port du masque. https://www.globalresearch.ca/medical-doctor-warns-biotic-pneumonias-rise-mask-wearing/5725848
3 Dr Richard Schabas, 19 janvier 2021. Nous sommes confinés alors que le taux de mortalité par infection est inférieur à 0,2 % ? Dr Richard Schabas au premier ministre de l'Ontario, Doug Ford. https://www.globalresearch.ca/were-being-locked-down-infection-fatality-rate-less-than-0-2/5734799
4 Lucy Williamson, 22 avril 2020. Coronavirus : l'église menacée de kalachnikovs en raison de l'épidémie de Covid-19. https://www.bbc.com/news/av/world-europe-52389953
5 OMS, 9 septembre 2020. Suivi de la COVID-19 : recherche des contacts à l'ère numérique. https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/tracking-covid-19-contact-tracing-in-the-digital-age
6 Prof Michel Chossudovsky, 6 octobre 2020. Les vaccinés contre les non vaccinés : ceux qui refusent le vaccin et le récit « officiel » du Covid-19 sont classés comme des « psychopathes ». https://www.globalresearch.ca/collective-narcissism-and-the-dark-triad-those-who-protest-against-the-official-covid-19-narrative-are-categorized-as-psychopaths-is-it-a-witch-hunt/5722151
7 Jeanne Smits, 11 décembre 2020. Un professeur de pharmacie accompli jeté dans un hôpital psychiatrique après avoir remis en question le récit officiel du COVID. https://www.lifesitenews.com/news/accomplished-pharma-prof-thrown-in-psych-hospital-after-questioning-official-covid-narrative/
8 Aide YouTube, et politique relative à la désinformation médicale liée au COVID-19. https://support.google.com/youtube/answer/9891785?hl=fr
9 Will Kesler, 15 août 2011. Attention au Nouvel Ordre Mondial. https://www.aspentimes.com/news/beware-new-world-order/
10 Prof Michel Chossudovsky, 1er mai 2020. Le capitalisme mondial, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus. https://www.globalresearch.ca/global-capitalism-world-government-and-the-corona-crisis/5712312
11 La Fondation Rockefeller et le Global Business Network, mai 2010. Scénarios pour l'avenir de la technologie et du développement international. https://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf
12 Helen Buyniski, 5 février 2020. VIDÉO : Le scénario de simulation « Lock Step » : « Une pandémie de type coronavirus qui devient un déclencheur de contrôles d'État policier ». https://www.globalresearch.ca/all-sectors-us-establishment-lock-step-deep-states-latest-bio-war/5702773
13 Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, sd EXERCICE CLADE X. https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/events/2018_clade_x_exercise/
14 Centre pour la sécurité sanitaire de l'université Johns Hopkins, sd Event 201. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/
15 Johns Hopkins Center for Health Security, 24 janvier 2020. Déclaration sur le nCov et notre exercice de pandémie. https://www.centerforhealthsecurity.org/news/center-news/2020/2020-01-24-Statement-of-Clarification-Event201.html
16 Prof Michel Chossudovsky, 1er mars 2020. Coronavirus COVID-19 : une fausse pandémie ? Qui est derrière elle ? Déstabilisation économique, sociale et géopolitique mondiale. https://www.globalresearch.ca/covid-19-coronavirus-a-fake-pandemic-whos-behind-it-global-economic-and-geopolitical-destabilization/5705063
17 Centre pour la sécurité sanitaire de l'université Johns Hopkins, nd Event 201 joueurs. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/players/
18 Shibo Jiang, Zhengli Shi et al., 19 février 2020. Un nom distinct est nécessaire pour le nouveau coronavirus. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30419-0/fulltext
19 Ibid.
20 Prof Michel Chossudovsky, 12 novembre 2020. La « pandémie » de Covid : détruire la vie des gens. Dépression économique artificielle. Un « coup d'État » mondial ? https://www.globalresearch.ca/the-second-wave-destroyer-peoples-lives-global-coup-detat/5728207
Ce chapitre fournit une chronologie et un historique détaillés de la crise du coronavirus à partir d’août 2019.
1er août 2019 : Glaxo-Smith-Kline (GSK) et Pfizer ont annoncé la création d'un partenariat d'entreprise dans le domaine des produits de santé grand public, notamment des vaccins.
19 septembre 2019 : Réunion de l' Alliance ID2020 L’Alliance ID2020 a tenu à New York son sommet intitulé « Rising to the Good ID Challenge ». L’accent a été mis sur la création d’un vaccin avec un passeport numérique intégré sous les auspices de GAVI (Alliance for Vaccine Identity). L’objectif affiché était la création d’une base de données numérique mondiale .
« L’identité numérique est en cours de définition et de mise en œuvre aujourd’hui , et nous reconnaissons l’importance d’une action rapide pour combler le fossé en matière d’identité », a déclaré Dakota Gruener , directeur exécutif d’ID2020 :
« La vaccination pouvant servir de plateforme à l’identité numérique, le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie . Le programme explorera et évaluera également plusieurs technologies biométriques de pointe pour les nourrissons afin d’offrir une identité numérique persistante dès la naissance…
« Nous mettons en œuvre une approche tournée vers l’avenir en matière d’identité numérique qui donne aux individus le contrôle de leurs propres informations personnelles, tout en continuant à développer les systèmes et programmes existants. » 2
18 octobre 2019 : Événement 201. Exercice de simulation de pandémie 201 Le coronavirus a été initialement nommé 2019-nCoV par l'OMS , le même nom (à l'exception du placement de la date) que celui adopté lors de l'exercice de simulation 201 du 18 octobre 2019 sous les auspices de la Johns Hopkins Bloomberg School of Health, Center for Heath Security (un événement sponsorisé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial). Événement 201 :
« En octobre 2019, le Centre de sécurité sanitaire de l’Université Johns Hopkins a organisé un exercice de simulation de pandémie appelé Event 201 avec des partenaires, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates. … Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie de coronavirus fictive, mais nous avons explicitement déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. (soulignement ajouté, voir chapitre I) . » 3
12 décembre 2019 : Commission municipale de la santé de Wuhan Lorsque l'avis indique que cette date est la date d'apparition initiale la plus ancienne des 59 patients atteints d'une pneumonie virale inexpliquée. ( Chronologie et chronologie précoce ) 4
31 décembre 2019 : Premiers cas de pneumonie de cause inconnue détectés à Wuhan, province du Hubei et signalés à l'OMS. « Au total, 44 cas ont été signalés : 11 patients sont gravement malades, tandis que les 33 autres sont dans un état stable . » 5
1er janvier 2020 : les autorités sanitaires chinoises ont fermé le marché de gros de fruits de mer de Huanan à Wuhan après que des médias occidentaux ont rapporté que des animaux sauvages qui y étaient vendus pourraient être à l'origine du virus. Cette première évaluation a ensuite été réfutée par des scientifiques chinois.
7 janvier 2020 : Les autorités chinoises auraient « identifié un nouveau type de virus » qui (selon les rapports) aurait été isolé le 7 janvier 2020. Aucun détail spécifique n’a été fourni concernant le processus d’isolement du virus. Selon les rapports scientifiques, l’identité ainsi que le processus d’isolement du virus n’avaient pas été entrepris (pour plus de détails, voir le chapitre III). Le nombre de cas était extrêmement faible. « 44 cas de pneumonie alors que des acides nucléiques spécifiques du virus n’ont été trouvés que sur 15 patients ». Aucune preuve d’une épidémie en cours en Chine. 6
11 janvier 2020 : La Commission municipale de la santé de Wuhan annonce le premier décès causé par le coronavirus.
22 janvier 2020 : OMS — Les membres du Comité d’urgence de l’OMS « ont exprimé des points de vue divergents sur la question de savoir si cet événement constitue ou non une USPI [urgence de santé publique de portée internationale] ». La réunion du Comité a été convoquée à nouveau le 23 janvier 2020, en même temps que les réunions du Forum économique mondial de Davos (du 21 au 24 janvier 2020). Le petit nombre de cas en Chine ne justifie pas une USPI. 7
La réunion du Comité d’urgence convoqué par le Directeur général de l’OMS en vertu du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) a exprimé des avis divergents sur la question de savoir si cet événement constituait ou non une USPI. À l’époque, l’avis était que l’événement ne constituait pas une USPI, mais les membres du Comité ont convenu de l’urgence de la situation et ont suggéré que le Comité se réunisse à nouveau dans quelques jours pour examiner la situation plus en détail. (OMS, Déclaration sur la réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV) ) 8
21-24 janvier 2020 : Consultations au Forum économique mondial, Davos, Suisse Les consultations ont été organisées sous les auspices de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) pour le développement d'un programme de vaccination. La CEPI est un partenariat WEF-Gates. Avec le soutien de la CEPI, Moderna, basée à Seattle, fabriquera un vaccin à ARNm contre le 2019-nCoV :
« Le Centre de recherche sur les vaccins (VRC) de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), qui fait partie du NIH, a collaboré avec Moderna pour concevoir le vaccin. » 9
Les éléments de preuve suggèrent que le projet de vaccin contre le 2019-nCoV était déjà en cours en 2019 (voir chapitre VIII). Il a été officiellement annoncé à Davos, deux semaines après l’annonce du 7 janvier 2020 par les autorités chinoises, et à peine une semaine avant le lancement officiel de l’état d’urgence sanitaire mondiale de l’OMS, le 30 janvier 2020.
L'annonce du vaccin WEF-Gates-CEPI précède l'urgence de santé publique de portée internationale (USPI) de l'OMS. Voir la vidéo WEF .
Les intérêts financiers dominants, les fondations milliardaires et les institutions financières internationales ont joué un rôle clé dans le lancement de l’USPPI de l’OMS.
La semaine précédant cette décision historique de l’OMS, l’USPPI a fait l’objet de « consultations » lors du Forum économique mondial (WEF) de Davos (21-24 janvier). Le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros, était présent à Davos. Ces consultations ont-elles contribué à influencer la décision historique de l’OMS du 30 janvier ?
Y a-t-il eu conflit d'intérêt au sens de l'OMS ? Le plus grand donateur de l'OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates qui, avec le WEF et la CEPI, avait déjà annoncé à Davos le développement d'un vaccin contre la COVID-19 avant le lancement historique du PHEIC le 30 janvier .
Le directeur général de l’OMS a bénéficié du soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de l’industrie pharmaceutique et du Forum économique mondial (FEM). Certains éléments portent à croire que la décision de l’ OMS de déclarer l’état d’urgence sanitaire mondiale a été prise en marge du FEM de Davos (du 21 au 24 janvier), en même temps que la réunion du Comité d’urgence du 22 janvier à Genève.
28 janvier 2020 : Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis ont confirmé (sans preuve concrète) que le nouveau coronavirus avait été isolé (voir chapitre III).
30 janvier 2020 : Urgence de santé publique de portée internationale (USPI) de l'OMS La première phase de cette crise a été lancée par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’elle n’ait pas été officiellement qualifiée de « pandémie », elle a néanmoins contribué à alimenter la campagne de peur.
Dès le début, les estimations des « cas positifs confirmés » ont fait partie d’un « jeu de chiffres ».
Dans certains cas, les statistiques n’ont tout simplement pas été mentionnées et dans d’autres cas, les chiffres ont été gonflés de manière sélective dans le but de créer la panique.
Non mentionné par les médias, le nombre de « cas confirmés » basés sur des estimations erronées (RT-PCR) utilisées pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.
La population mondiale hors Chine est de l'ordre de 6,4 milliards d'habitants. Au 30 janvier 2020, hors Chine, on comptait :
« 83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. » (Voir OMS , 30 janvier 2020) 12
Le 29 janvier 2020, la veille du lancement de l’USPPI ( enregistré par l’OMS), il y a eu cinq cas aux États-Unis, trois au Canada, quatre en France et quatre en Allemagne. 13
Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le déclenchement d’une urgence de santé publique mondiale.
Ces faibles chiffres (non mentionnés par les médias) n’ont pas empêché le lancement d’une campagne de peur mondiale.
31 janvier 2020 : Décision du président Trump de suspendre les voyages aériens avec la Chine Le lendemain (31 janvier 2020), Trump a annoncé qu’il refuserait l’entrée aux États-Unis aux ressortissants chinois et étrangers « ayant voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cette décision a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien, les transports, les relations commerciales entre les États-Unis et la Chine ainsi que dans les transactions de fret et de transport maritime.
Alors que l’OMS « n’a recommandé aucune restriction de voyage ou de commerce », les cinq soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis ont été suffisants pour « justifier » la décision du président Trump du 31 janvier 2020 de suspendre les voyages aériens avec la Chine tout en précipitant une campagne de haine contre les Chinois d’origine ethnique dans tout le monde occidental.
Cette décision historique du 31 janvier a ouvert la voie à la perturbation du commerce international des matières premières ainsi qu'à l'imposition de restrictions mondiales sur le transport aérien. Elle a finalement contribué à la faillite de grandes compagnies aériennes.
Les « faux médias » ont immédiatement pris de l’ampleur. La Chine a été tenue pour responsable de la « propagation de l’infection » dans le monde entier.
Début février 2020 : l'acronyme du coronavirus a été modifié de nCoV-2019 (son nom lors de l'exercice de simulation de l'événement d'octobre 2011 de Johns Hopkins) à SARS-CoV-2. COVID-19 désigne la maladie déclenchée par le SARS-CoV-2.
20-21 février 2020 : Données mondiales sur le COVID-19 en dehors de la Chine. Le navire de croisière Diamond Princess Alors que la Chine a signalé un total de 75 567 cas de COVID-19 (au 20 février), le nombre de cas confirmés hors de Chine était extrêmement faible et les statistiques basées, en grande partie, sur le test RT-PCR utilisé pour confirmer la « propagation mondiale du virus » étaient pour le moins discutables. De plus, sur les 75 567 cas en Chine, un grand pourcentage s’était rétabli. Et les chiffres de guérison n’ont pas été reconnus par les médias.
Le jour de la conférence de presse historique du Dr Tedros (20 février 2020), le nombre de cas confirmés enregistrés en dehors de la Chine était de 1 073, dont 621 passagers et membres d'équipage du navire de croisière Diamond Princess (bloqué dans les eaux territoriales japonaises).
D’un point de vue statistique, la décision de l’OMS évoquant une potentielle « propagation du virus dans le monde entier » n’avait pas de sens.
Le 20 février, 57,9 % des « cas confirmés » de COVID-19 dans le monde provenaient du Diamond Princess , ce qui n’est guère représentatif d’une « tendance statistique » mondiale. La version officielle est la suivante :
Un passager basé à Hong Kong qui avait débarqué du Diamond Princess à Hong Kong le 25 janvier a développé une pneumonie et a été testé positif au nouveau coronavirus le 30 janvier. Il aurait voyagé le 10 janvier à Shenzhen, en Chine continentale (à la frontière des nouveaux territoires de Hong Kong). Le Diamond Princess est arrivé à Yokohama le 3 février. Une quarantaine a été imposée au croiseur, voir l'étude du NCBI . 14 De nombreux passagers sont tombés malades à cause du confinement sur le bateau. Tous les passagers et l'équipage du Diamond Princess ont subi le test PCR. Le nombre de cas confirmés est passé à 691 le 23 février. 15
A lire attentivement : Du point de vue de l'évaluation des tendances statistiques mondiales, les données ne concordent pas. Sans les données de Diamond Princess, les soi-disant cas confirmés dans le monde en dehors de la Chine au 20 février 2020 étaient de l'ordre de 452, sur une population de 6,4 milliards d'habitants.
Consultez le graphique de l'OMS ci-dessous. Le bleu indique les cas confirmés à bord du Diamond Princess (transport international arrivé à Yokohama le 3 février 2020), dont beaucoup étaient malades, confinés dans leur chambre pendant plus de deux semaines (quarantaine imposée par le Japon). Tous les passagers et membres d'équipage ont subi le test RT-PCR (qui ne détecte ni n'identifie le SARS-CoV-2).
Il va sans dire que ces prétendues données ont joué un rôle déterminant dans le lancement de la campagne de peur et l’effondrement des marchés financiers au cours du mois de février 2020 (voir chapitre IV).
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Source : OMS, février 2020
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Source : OMS, février 2020
20 février 2020 : Le directeur général de l'OMS informe que la pandémie de COVID-19 est imminente Lors d'une conférence de presse le 20 février, jeudi après-midi (CET), lors d'un briefing à Genève, le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu'il était
« préoccupés par le fait que les chances de contenir l’épidémie de coronavirus se « réduisent » »…
« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. » 16
Il n'y a eu que 1 076 cas en dehors de la Chine (y compris le navire de croisière Diamond Princess)
Extrait du discours d'ouverture du Directeur général de l'OMS, 20 février 2020 (Source : OMS )
Remarque : Le graphique de l’OMS ci-dessus, montrant les données du 20 février 2020, indique 1 073 cas ; cependant, la conférence de presse de l’OMS a indiqué 1 076 cas.
Ces déclarations « choc et effroi » ont contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.
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Image : Données de l'OMS enregistrées le 20 février 2020, au début de la crise financière provoquée par la COVID-19. (Source : OMS )
Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 (voir chapitre IV). Hors Diamond Princess, l'OMS a recensé le 20 février un total de 452 cas dits « confirmés » dans le monde hors Chine, pour une population de 6,4 milliards d'habitants — 15 aux États-Unis, 8 au Canada, 9 au Royaume-Uni (voir tableau à droite). Ce sont ces chiffres qui justifient les avertissements du Dr Tedros, « la fenêtre se rétrécit » :
Un nombre plus important de cas hors de Chine a été enregistré en Corée du Sud (153 cas selon l'OMS) et en Italie (enregistrés par les autorités nationales).
La déclaration du Dr Tedros (fondée sur des concepts et des statistiques erronés) a préparé le terrain pour l’effondrement financier de février (voir chapitre IV).
24 février 2020 : Moderna Inc., soutenu par le CEPI, a annoncé que son vaccin expérimental à ARNm contre la COVID-19 , connu sous le nom d'ARNm-1273 , était prêt pour les tests sur l'homme.
28 février 2020 : Une campagne de vaccination de l'OMS a été annoncée par le Directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus : 18
« Plus de 20 vaccins sont en cours de développement dans le monde et plusieurs traitements sont en cours d’essais cliniques. Nous attendons les premiers résultats dans quelques semaines ».
Il convient de noter que la campagne de développement de vaccins a été lancée avant la décision de l'OMS de déclarer une urgence mondiale de santé publique. Elle a été annoncée pour la première fois lors de la réunion du Forum économique mondial de Davos (du 21 au 24 janvier) par la CEPI.
Début mars 2020 : Chine. Plus de 50 % des patients infectés se sont rétablis. Au total, 49 856 patients se sont rétablis du COVID-19 et ont pu quitter l'hôpital en Chine.
L’OMS a enregistré un total de 80 304 cas confirmés en Chine le 3 mars 2020. Cela signifie que le nombre total de « cas confirmés d’infection » en Chine s’élevait à 30 448. Autrement dit, 80 304 moins 49 856 = 30 448. Aucune preuve de pandémie en Chine.
Ces développements concernant la « reprise » n’ont pas été rapportés par les médias occidentaux.
5 mars 2020 : Le directeur général de l’OMS a confirmé qu’en dehors de la Chine, 2 055 cas avaient été signalés dans 33 pays . Environ 80 % de ces cas provenaient de trois pays (Corée du Sud, Iran et Italie).
7 mars 2020 : États-Unis. Le nombre de « cas confirmés » (infectés et guéris) aux États-Unis début mars était de l’ordre de 430, passant à environ 600 (8 mars). Une augmentation rapide des cas positifs au COVID a été enregistrée au cours du mois de mars.
Comparez ces chiffres à ceux relatifs au virus de la grippe B. Le CDC a estimé pour 2019-2020 (pour les États-Unis) « au moins 15 millions de cas de grippe virale… 140 000 hospitalisations et 8 200 décès ». ( The Hill ) 20
7 mars 2020 : Chine. Pas de pandémie en Chine. Le nombre de nouveaux cas signalés en Chine est tombé à deux chiffres. 99 cas ont été enregistrés le 7 mars . Tous les nouveaux cas en dehors de la province du Hubei ont été classés comme « infections importées » (en provenance de pays étrangers). La fiabilité des données reste à établir :
99 nouveaux cas confirmés, dont 74 dans la province du Hubei, … Les nouveaux cas comprennent 24 infections importées — 17 dans la province du Gansu, trois à Pékin, trois à Shanghai et une dans la province du Guangdong .
11 mars 2020 : Le confinement historique dû à la pandémie de COVID-19, « fermeture » d’ environ 190 économies nationales (chapitre IV) Le directeur général de l’OMS avait déjà donné le ton lors de sa conférence de presse du 21 février . 22
« Le monde devrait faire davantage pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus. » L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».
L'OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où il y avait 118 000 cas confirmés et 4 291 décès dans le monde (y compris la Chine). ( 11 mars 2020, selon la conférence de presse ) 23 Que vous disent ces « statistiques » ?
Le nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d'habitants) était de l'ordre de 44 279 et de 1 440 décès ( chiffres enregistrés par l'OMS pour le 11 mars le 12 mars, voir tableau à droite). Ce sont ces chiffres qui ont servi à justifier le confinement et la fermeture d'environ 190 économies nationales.
(Le nombre de décès hors de Chine mentionné lors de la conférence de presse de Tedros était de 4 291).
Aux États-Unis, le 11 mars 2020, il y avait, selon Johns Hopkins, 1 335 « cas » et 29 décès (« présumés » plus confirmés par PCR).
Aucune preuve de pandémie le 11 mars 2020.
Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur a pris de l’ampleur. (Les impacts économiques et financiers sont examinés au chapitre IV)
16 mars 2020 : Le vaccin Moderna mRNA-1273 a été testé en plusieurs étapes auprès de 45 volontaires à Seattle, dans l'État de Washington. Le programme de vaccination a débuté début février :
« Nous ne savons pas si ce vaccin induira une réponse immunitaire, ni s'il sera sûr. C'est pourquoi nous menons un essai », a souligné Jackson. « Il n'en est pas au stade où il serait possible ou prudent de l'administrer à la population générale. » ( AP , 16 mars 2020)
18 mars 2020 : Confinement aux États-Unis 8 novembre 2020 : Lancement du « vaccin » à ARNm contre la COVID-19. (Chapitre VIII) Mi-décembre à fin décembre 2020 : Mise en œuvre mondiale du programme de vaccin à ARNm.
Janvier 2021 (et après) : Tendance à la hausse des décès et des événements indésirables liés aux vaccins documentés par les données officielles ainsi que par le rapport confidentiel de Pfizer (voir chapitre VIII).
Mars 2021 : Scénario d'exercice fictif d'une pandémie mortelle de virus de la variole du singe Une simulation sur table d'un « scénario d'exercice fictif impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe » a été présentée lors de la Conférence de Munich sur la sécurité de mars 2021. Elle a été parrainée par le programme « Renforcement des systèmes mondiaux de prévention et de réponse aux menaces biologiques à conséquences graves » de la Nuclear Threat Initiative (NTI) . (Voir chapitre XIII)
Deux des participants à l' événement Johns Hopkins du 20 octobre 2019, Simulation sur table d'un nouveau coronavirus, étaient présents : le Dr George Gao Fu, directeur du CDC chinois et le Dr Chris Elias , président de la division du développement mondial de la Fondation Gates .
Mai-juin 2021 : Le variant Delta et « une quatrième vague » sont annoncés. Les prétendus dangers du variant Delta ont été utilisés pour accélérer le programme de vaccination ainsi que l’imposition du passeport vaccinal.
Août-septembre 2021 : l'imposition d'un passeport vaccinal dans plusieurs pays occidentaux Octobre 2021 : Publication du rapport confidentiel de Pfizer en vertu de la loi sur la liberté d'information (FOI) Ce rapport confirme les impacts (décès et événements indésirables) du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech (voir chapitre VIII).
Novembre 2021 : le variant Omicron aurait été détecté en Afrique du Sud. Cette campagne de peur a déclenché une nouvelle crise dans le transport aérien, ainsi que des perturbations dans le commerce des matières premières.
Novembre 2021-janvier 2022 : Distribution de milliards de kits de tests antigéniques et de tests à domicile COVID dans le monde entier, ce qui a contribué à doubler le nombre de soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » en six mois. Plus d'un milliard de tests à domicile et antigéniques aux États-Unis, 291 millions au Canada.
24 décembre 2021 : Le confinement de Noël à Omicron en raison du COVID-19 Pas de grandes réunions de Noël, confinement, fermeture partielle des bars et restaurants (qui entraîne davantage de faillites), annulation des événements sportifs et culturels. L’objectif implicite est d’isoler les êtres humains, d’ empêcher les gens de socialiser et de rencontrer leurs proches.
Janvier-février 2022 : confinements partiels. Pratiques discriminatoires à l'encontre des non-vaccinés Dans de nombreux pays, les personnes non vaccinées ont été confinées chez elles, empêchées de voyager, licenciées de leur travail, empêchées d’aller à l’école ou à l’université. On les a accusées d’être des extrémistes et des psychopathes. Ces divisions sociales créent des conflits au sein des familles et des communautés locales, contribuant littéralement à perturber la vie sociale, avec des conséquences dévastatrices sur l’activité économique (voir chapitre XI).
Le convoi de la liberté du Canada 2022
Janvier-début février 2022 : Mouvement de protestation de masse au Canada contre l’obligation vaccinale.
Mars 2022 : Lancement du Traité de l'OMS sur la pandémie
En mars 2022, l’OMS a lancé un organe intergouvernemental de négociation (INB) avec pour mandat de créer « un traité sur la pandémie », c’est-à-dire une entité de gouvernance mondiale de la santé qui, si elle était adoptée, outrepasserait l’autorité des États membres de l’OMS (voir chapitre XIII).
La Chine impose à Shanghai un mandat de tolérance zéro face au COVID A partir du 28 mars 2022 : Le mandat de tolérance zéro COVID a été imposé à Shanghai, ville portuaire de 26 millions d'habitants. Initialement à Shanghai puis étendu aux principales villes chinoises au cours des mois suivants (avril-juillet 2022) (voir chapitre IV).
13 mai 2022 : L'OMS annonce une épidémie de variole du singe D'après l'OMS :
Depuis le 13 mai 2022 , des cas d’orthopoxvirose simienne ont été signalés à l’OMS par 12 États membres qui ne sont pas endémiques pour le virus de l’orthopoxvirose simienne, dans trois régions de l’OMS. Des enquêtes épidémiologiques sont en cours, … Au 21 mai, 92 cas confirmés en laboratoire et 28 cas suspects d’orthopoxvirose simienne faisant l’objet d’enquêtes en cours ont été signalés à l’OMS par 12 États membres » (voir chapitre XIII)
Juin-juillet 2022 : septième vague. Présumé « danger imminent » des sous-variantes BA-4 et BA-5 d’Omicron.
23 juillet 2022 : Urgence de santé publique de portée internationale (USPI) liée à la variole du singe Le directeur général de l’OMS a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) concernant le virus de la variole du singe .
Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a pris cette décision unilatéralement contre un vote majoritaire du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) (RSI).
« Nous sommes confrontés à une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier par le biais de nouveaux modes de transmission… Bien que je [Tedros] déclare une urgence de santé publique de portée internationale, pour le moment, il s’agit d’une épidémie qui se concentre parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes, en particulier ceux qui ont de multiples partenaires sexuels . » 29 (Voir Chapitre XIII )
1 PYMNTS, 18 septembre 2019. Comment créer un réseau mondial d'identité numérique. https://www.pymnts.com/news/consumer-authentication/2019/how-to-build-a-global-digital-identity-network/
2 PYMNTS, 19 septembre 2019. L'Alliance ID2020 dévoile son programme d'identification numérique. https://www.pymnts.com/news/biometrics/2019/id2020-alliance-unveils-digital-id-program/
3 Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, sd Event 201. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/
4 Chiron Return, 30 septembre 2021. Chronologie et début de la « pandémie » de Covid-19, analyse PCR et séquençage. https://www.globalresearch.ca/early-chronology-covid-pcr-assay-sequencing/5757189
5 Ibid.
6 Ibid.
7 OMS, 23 janvier 2020. Déclaration sur la première réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/23-01-2020-statement-on-the-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding-the-outbreak-of-novel-coronavirus-(2019-ncov)
8 Ibid.
9 National Institutes of Health, 16 mars 2020. Début de l'essai clinique du NIH sur un vaccin expérimental contre la COVID-19. https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-clinical-trial-investigational-vaccine-covid-19-begins
10 OMS, 30 janvier 2020. Déclaration sur la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/30-01-2020-statement-on-the-second-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding-the-outbreak-of-novel-coronavirus-(2019-ncov)
11 CDC, 29 décembre 2020. Culture virale du SARS-CoV-2 au CDC. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/lab/grows-virus-cell-culture.html
12 OMS, 30 janvier 2020. Déclaration sur la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/30-01-2020-statement-on-the-second-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding-the-outbreak-of-novel-coronavirus-(2019-ncov)
13 OMS, 29 janvier 2020. Rapport de situation sur le nouveau coronavirus (2019-nCoV) – 9. https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200129-sitrep-9-ncov- v2.pdf?sfvrsn=e2c8915_2
14 Eisuke Nakazawa, Hiroyasu Ino et al., 24 mars 2020. Chronologie des cas de COVID-19 sur le navire de croisière Diamond Princess et considérations éthiques : un rapport du Japon. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7156812/
15 Ibid.
16 OMS, 20 février 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 le 20 février 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19-on-20-february-2020
17 WEF, 13 février 2020. Mise à jour : Coronavirus (COVID-19) | DAVOS 2020. https://www.weforum.org/videos/update-wuhan-coronavirus-covid-19-davos-2020
18 OMS, 28 février 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 - 28 février 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—28-february-2020
19 OMS, 5 mars 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 – 5 mars 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—5-march-2020
20 Joseph Guzman, 27 janvier 2020. Le coronavirus se propage, mais la grippe constitue une menace plus grande pour les Américains. https://thehill.com/changing-america/well-being/longevity/480089-coronavirus-sparks-panic-as-flu-poses-greater-threat-to
21 Xinhua, 7 mars 2020. Xinhua Headlines : Les nouveaux cas de COVID-19 en Chine chutent à deux chiffres depuis le 21 janvier. http://www.xinhuanet.com/english/2020-03/07/c_138853686.htm
22 OMS, 21 février 2020. Conférence de presse sur la maladie à coronavirus (COVID-19). https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/transcripts/who-audio-emergencies-coronavirus-full-press-conference-21feb2020-final.pdf?sfvrsn=954f8ec7_2
23 OMS, 11 mars 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 – 11 mars 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—11-march-2020
24 OMS, 12 mars 2020. Rapport de situation sur la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) – 52. https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200312-sitrep-52-covid-19.pdf
25 The Associated Press, 16 mars 2020. Début des essais du vaccin contre la COVID-19, une première dose administrée à un patient volontaire. https://www.cbc.ca/news/health/coronavirus-vaccine-1.5499244
26 Prof. Michel Chossudovsky, 4 août 2022. Urgence sanitaire mondiale liée à la variole du singe (USPPI) : pour Bill Gates, c'est la « variole monétaire » : simulation d'une pandémie fictive de virus de la variole du singe en mars 2021, mise en service en mai 2022. https://www.globalresearch.ca/bill-gates-warns-smallpox-terror-attacks-urges-leaders-use-germ-games-prepare/5781195?utm_campaign=magnet&utm_source=article_page&utm_medium=related_articles
27 Prof. Michel Chossudovsky, 13 août 2022. Bombshell Document Dump on Pfizer Vaccine Data. https://www.globalresearch.ca/bombshell-document-dump-pfizer-vaccine-data/5763397
28 Prof. Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus grand mensonge de l'histoire du monde : il n'y a jamais eu de pandémie. La base de données est erronée. Les mandats liés à la Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates-including-the-vaccine-are-invalid/5772008
29 OMS, 23 juillet 2022. Déclaration du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion du Comité d'urgence du RSI concernant l'épidémie de variole du singe dans plusieurs pays - 23 juillet 2022. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-the-press-conference-following-IHR-emergency-committee-regarding-the-multi–country-outbreak-of-monkeypox–23-july-2022
Qu'est-ce que le COVID-19, SARS-CoV-2 : Comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ?
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. » — Dr Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce que l’on appelle des tests faussement positifs . » — Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients . » — Dr Pascal Sacré , médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste réputé en santé publique.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en requalifiant les patients atteints de cancer, les victimes d’accident vasculaire cérébral et toutes sortes de décès normaux comme étant dus au Covid, en fait pratiquement n’importe qui montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles, nous savons tous qu’ils ne valent rien, et pourtant des gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d’une radiographie pulmonaire. » — John O’Looney, directeur de pompes funèbres, Milton Keynes, Royaume-Uni
Introduction
Les mensonges des médias, associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue, ont entretenu l’image d’un virus mortel qui se propage inexorablement dans toutes les grandes régions du monde.
Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour la COVID-19.
Au moment de la rédaction du présent rapport, plus de 500 millions de personnes dans le monde ont été classées comme « cas confirmés de COVID-19 » (« cas cumulés »).
La prétendue pandémie aurait entraîné plus de 5,8 millions de décès liés au COVID-19.
Les deux séries de chiffres – morbidité et mortalité – sont invalides. Un appareil de dépistage du COVID hautement organisé (dont une partie est financée par des fondations milliardaires) a été mis en place dans le but d’augmenter le nombre de « cas confirmés de COVID-19 » , qui sont ensuite utilisés comme justification pour imposer le passeport « vaccinal » associé à l’abrogation des droits humains fondamentaux.
Dès le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure, confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies », étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides de la COVID-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application du « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020.
Il n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » . Solidement reconnu par l’opinion scientifique et l’Organisation mondiale de la santé, le test RT-PCR utilisé pour « détecter » la propagation du virus (ainsi que de ses variants) est non seulement défectueux mais TOTALEMENT INVALIDE.
La campagne de peur est constamment alimentée par des déclarations politiques et la désinformation médiatique. Un examen plus approfondi des rapports officiels des autorités sanitaires nationales ainsi que des articles évalués par des pairs donne une image totalement différente.
Dans ce chapitre, nous nous concentrerons sur les questions suivantes :
1. Les caractéristiques du virus SARS-CoV-2 telles que décrites par l'OMS, le CDC et les rapports évalués par des pairs. Est-ce un virus dangereux ?
2. Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse ( RT-PCR) utilisé pour « détecter/identifier » le SRAS-CoV-2.
3. La fiabilité des estimations de mortalité et de morbidité relatives à la prétendue infection à la COVID-19.
Les caractéristiques du SARS-CoV-2 Mensonges par omission : les médias n’ont pas réussi à rassurer le grand public.
Vous trouverez ci-dessous la définition officielle de l'OMS du COVID-19 suivie de celle du CDC :
Les coronavirus sont une grande famille de virus qui peuvent provoquer des maladies chez les animaux ou les humains. Chez l'homme, plusieurs coronavirus sont connus pour provoquer des infections respiratoires allant du simple rhume à des maladies plus graves telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le coronavirus le plus récemment découvert est à l'origine de la maladie à coronavirus COVID-19.
« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. […] Ces symptômes sont généralement légers et apparaissent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des personnes (environ 80 %) se remettent de la maladie sans avoir besoin d’être hospitalisées. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. » 1
Similaire à la grippe selon le CDC COVID-19 versus virus de la grippe A et B (et sous-types)
Rarement mentionné par les médias ou par les politiques : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que le COVID-19 est similaire à la grippe :
« La grippe et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causée par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SARS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus grippaux . Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre elles en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences clés entre les deux. » 2
Si le public avait été informé et rassuré sur le fait que la COVID est « similaire à la grippe », la campagne de peur aurait échoué.
Le confinement et la fermeture de l’économie nationale auraient été rejetés d’emblée.
Selon le Dr Wolfgang Wodarg , la pneumonie est « régulièrement causée ou accompagnée par des coronavirus ». 3
Les immunologistes confirment dans l’ensemble la définition du CDC. La COVID-19 présente des caractéristiques similaires à celles d’une grippe saisonnière associée à une pneumonie.
Selon Anthony Fauci (directeur du NIAID), H. Clifford Lane et Robert R. Redfield (directeur du CDC) dans le New England Journal of Medicine :
« … les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient finalement être plus proches de celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de mortalité d’environ 0,1 % ) ou d’une grippe pandémique (semblable à celles de 1957 et 1968) plutôt que d’une maladie similaire au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de mortalité de 9 à 10 % et de 36 %, respectivement. » 4
Comme c'est pratique : l'article ci-dessus a été publié pour la première fois dans le NEJM le 26 mars 2020, exactement dix jours après la déclaration de l'état d'urgence national par le président Trump le 16 mars 2020. Si ce texte faisant autorité, évalué par des pairs, avait été porté à l'attention du public américain, le mandat de confinement serait tombé à plat.
Fauci s'adresse à la presse de la Maison Blanche sur le COVID-19 en avril 2020, sous les yeux du président Donald Trump (à gauche) et du vice-président Mike Pence (à droite). (Par la Maison Blanche , sous licence du domaine public )
Le Dr Anthony Fauci se ment à lui-même. Dans ses déclarations publiques, il affirme que le COVID est « dix fois pire que la grippe saisonnière ». 5
Il réfute son rapport évalué par des pairs cité ci-dessus. Dès le début, Fauci a joué un rôle déterminant dans la campagne de peur et de panique menée à travers l'Amérique.
Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR) La méthodologie biaisée appliquée sous les directives de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR ) , qui est systématiquement appliqué dans le monde entier depuis février 2020.
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.
Cette évaluation fondée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des deux ans et demi écoulés pour lancer et entretenir la campagne de peur.
Et les gens sont désormais amenés à croire que le « vaccin » contre la COVID-19 est la « solution ». Et que la « normalité » sera rétablie une fois que toute la population de la planète Terre aura été vaccinée.
Le terme « confirmé » est une erreur de langage. Un « cas positif confirmé par RT-PCR » n’implique pas nécessairement un « cas confirmé de COVID-19 ».
Une RT-PCR positive n'est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu'un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l'état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. ( Dr Pascal Sacré ) 7
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs au test RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus routinier d’identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. » 8 (soulignement ajouté)
La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est défectueuse et invalide.
Faux positifs
Le débat précédent, au début de la crise, portait sur la question des « faux positifs ».
Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs . Selon le Dr Pascal Sacré :
« Aujourd’hui, alors que les autorités testent davantage de personnes, il est inévitable qu’il y ait davantage de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 va revenir, ni que l’épidémie se propage par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. » 9
Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe du doigt des erreurs dites « d’erreur » sans pour autant remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.
Le test RT-PCR ne permet pas d'identifier ni de détecter le virus. Le test PCR permet d'identifier des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent le rhume).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui se soumet au test est infectée par le SRAS-CoV-2.
Le schéma suivant résume le processus d’identification des cas positifs et négatifs. Il suffit de la présence de « matériel génétique viral » pour que le test soit classé comme « positif ». La procédure ne permet pas d’identifier ou d’isoler la COVID-19. Ce qui apparaît dans les tests sont des fragments du virus .
- voir graph sur site -
Source : Fonds du Commonwealth
Un test positif ne signifie pas que vous avez le virus et/ou que vous pourriez le transmettre. Selon le Dr Kary Mullis , inventeur de la technique PCR,
« La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie du virus lui-même. »
Selon le célèbre immunologiste suisse Dr B. Stadler :
Ainsi, si nous effectuons un test PCR sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté , mais une petite partie fragmentée du génome viral. Le test est positif tant qu’il reste de minuscules fragments du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test PCR peut être positif, car la méthode PCR multiplie suffisamment une petite fraction du matériel génétique viral [pour être détectée].
Le Dr Pascal Sacré abonde dans le même sens : « Ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, et non le virus dans son ensemble. » 12
« Pour tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois à travers de nombreuses étapes complexes qui sont sujettes à des erreurs, des défauts de stérilité et des contaminations. »
Le test RT-PCR COVID-19 « personnalisé » de l'OMS Deux questions importantes et liées.
Le test PCR ne permet pas d’identifier le virus comme indiqué ci-dessus. De plus, en janvier 2020, l’OMS ne disposait pas d’un échantillon isolé et purifié du nouveau virus 2019-nCoV.
Ce qui était envisagé en janvier 2020 était une « personnalisation » du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’ Institut de virologie de Berlin à l’hôpital de la Charité.
Le Dr Christian Drosten et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin ont mené une étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel » .
Le titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est manifestement erroné. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus de 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cités ci-dessus).
De plus, l’étude publiée par Eurosurveillance reconnaît que l’OMS ne possédait pas d’isolat ni d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCoV :
[Alors que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées,… des isolats ou des échantillons de virus [du 2019-nCoV] provenant de patients infectés n’étaient pas disponibles… » 14
L’équipe de Drosten et al. a ensuite recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’isolat du virus 2019-nCoV , un SARS-CoV 2003 similaire soit utilisé comme « proxy » (point de référence) du nouveau virus :
« Les séquences du génome suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’ une espèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [ 3 , 4 ].
Nous rendons compte de la mise en place et de la validation d’un flux de travail diagnostique pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats viraux disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par la parenté génétique étroite avec le SARS-CoV de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. » ( Eurosurveillance, 23 janvier 2020, c’est nous qui soulignons). 15
Ce que suggère cette déclaration ambiguë, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de COVID-19 » (c’est-à-dire l’infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « la parenté génétique étroite avec le SRAS-CoV de 2003 ».
Cela signifie qu'un coronavirus détecté il y a 19 ans (SARS-CoV 2003) est utilisé pour « valider » l'identité d'un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei fin décembre 2019.
Les recommandations de l’étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates ) ont ensuite été transmises à l’OMS. Elles ont ensuite été approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.
L’OMS ne disposait pas de l’« isolat viral » nécessaire pour identifier le virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.
L'article de Drosten et al. relatif à l'utilisation du test RT-PCR dans le monde entier (sous les directives de l'OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 menée par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et al. internationaux.
Il va de soi que si le test PCR utilise le virus SARS-CoV de 2003 comme « point de référence », il ne peut y avoir de cas « confirmés » de COVID-19 du nouveau virus 2019-nCoV (renommé par la suite SARS-CoV-2) ou de ses variantes.
L'identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ? Bien que l’OMS ne possède pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valables et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 a été isolé à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé sur un patient malade » ? 16
Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu’un « nouveau type de virus » avait été « identifié » « similaire à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, pas de source gouvernementale chinoise originale). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :
Nous avons collecté et analysé de manière prospective des données sur des patients atteints d’une infection au 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de nouvelle génération.
Les données ont été obtenues à l'aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l'OMS et le Consortium international sur les infections respiratoires aiguës sévères et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. 17 (soulignement ajouté)
L'étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d'autres documents consultés ) suggère que les autorités sanitaires chinoises n'ont pas procédé à l'isolement/purification de l'échantillon d'un patient. L'utilisation de « l'infection au 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel » (comme cité dans leur étude) est une erreur de langage évidente, c'est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus. L'isolement du virus par les autorités chinoises n'est pas confirmé .
Accès à l'information concernant l'isolat du SRAS-CoV-2
Une enquête détaillée menée par Christine Massey intitulée Freedom of Information Requests: Health/Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-CoV-2 Isolation/Purification fournit des informations sur l’identité du virus. Les réponses à ces demandes émanant de 127 entités dans 25 pays confirment qu’il n’existe aucune trace d’isolement/purification du SARS-CoV-2 « ayant été effectué par quiconque, où que ce soit, jamais ». 19
Les cycles d’amplification à seuil. L’OMS admet que les résultats du « test » RT-PCR sont totalement invalides Le test RT-PCR a été adopté par l'OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détection du virus SARS-CoV-2, suite aux recommandations du groupe de recherche de virologie de Berlin (cité ci-dessus).
Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Elle ne dit pas « nous avons fait une erreur ». La rétractation est soigneusement formulée (voir le document original de l’OMS ici ).
La question controversée concerne le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger et al. :
Le nombre de cycles d'amplification [doit être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten ) 21
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES . C'est pourtant ce qu'elle a recommandé en janvier 2020, en consultation avec l'équipe de virologie de l'hôpital Charité de Berlin.
Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » répertoriés dans le monde au cours des deux dernières années et demie sont invalides.
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al., le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ». 22
Le Mea Culpa de l'OMS Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée de l’OMS.
« Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (soulignement ajouté)
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. » 23
« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides des « cas confirmés de COVID-19 ».
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au COVID d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test, « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… »
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
Cette recommandation est une formule de pure forme. Elle n'aura pas lieu. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, depuis début février 2020.
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 cycles ou plus. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu’elle est appliquée dans le monde entier a conduit au cours des deux ans et demi écoulés à la compilation d’estimations erronées et trompeuses de la COVID-19, qui, selon l’OMS (20 janvier 2021), sont basées sur une méthodologie non valide.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres officiels du COVID » (cas confirmés de COVID-19) n’ont aucune signification .
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie, ce qui signifie que les mesures de confinement et les mesures économiques qui ont entraîné une panique sociale, une pauvreté de masse et du chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification. Selon l’avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 %
…
3. Le nombre de cycles d’amplification (moins de 35 ; de préférence 25 à 30 cycles) ;
En cas de détection de virus, >35 cycles ne détecte que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire [revu en 2] ; si une personne est testée par PCR comme positive lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %, la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » (soulignement ajouté) (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al. Critique de l'étude Drosten ) 24
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » , il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Le mea culpa de l'OMS confirme que la procédure de test PCR COVID-19 telle qu'appliquée n'a aucun sens.
Le CDC ordonne le retrait du test PCR
La rétractation historique de l'OMS est suivie six mois plus tard par un mea culpa du CDC. Le 21 juillet 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) appellent au retrait du test PCR comme méthode valide de détection et d'identification du SARS-CoV-2 :
« Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande adressée à la Food and Drug Administration (FDA ) des États-Unis pour une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) du panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) du CDC, le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SARS-CoV-2 uniquement. »
En prévision de ce changement, le CDC recommande aux laboratoires cliniques et aux sites de test qui ont utilisé le test RT-PCR 2019-nCoV du CDC de sélectionner et de commencer leur transition vers un autre test COVID-19 autorisé par la FDA.
Le CDC encourage les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui peut faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe. (soulignement ajouté) 25
Lisez attentivement : ce que cette directive du CDC admet tacitement, c’est que le test PCR ne fait pas efficacement la différence entre « le SARS-CoV-2 et les virus de la grippe » . Nous le savons depuis le début.
Depuis le 1er janvier 2022, le CDC a retiré son approbation du test RT-PCR aux États-Unis.
Si le test PCR n’est pas valide comme le suggèrent à la fois le CDC et l’OMS, plus de 574 millions de soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » (juillet 2022) ainsi que plus de 6,3 millions de décès présumés liés au COVID (juillet 2022) collectés et comptabilisés dans le monde entier depuis le début de la prétendue pandémie n’ont absolument aucun sens.
La falsification des certificats de décès
Dans la mesure où le test PCR n’est pas valide, il s’ensuit que les estimations des « cas confirmés de COVID-19 », y compris la détection des variants du SARS-CoV-2, sont totalement invalides. Cela signifie à son tour que la méthodologie relative à l’établissement des décès liés au COVID-19 dans le monde est également invalide.
Il convient de noter que dans un rapport de décembre 2020, le CDC a signalé que 94 % des décès attribués au COVID présentaient des « comorbidités » (c’est-à-dire des décès dus à d’autres causes). 26
Pour 6 % des décès, la COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès liés à des pathologies ou causes autres que la COVID-19, on comptait en moyenne 2,6 pathologies ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès liés à chaque pathologie ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupe d'âge.
« Ils inscrivent COVID sur tous les certificats de décès », selon Michael Lanza, directeur de pompes funèbres à Staten Island, New York.
« Les directeurs de pompes funèbres doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, craignant que les chiffres soient « gonflés » » ( Project Veritas ) 27
De plus, si le CDC avait utilisé les critères de son Manuel des médecins légistes et des coroners sur l'enregistrement des décès et la déclaration des décès fœtaux, révision 2003 :
« … le nombre de décès dus à la COVID-19 aurait été inférieur d’environ 90,2 % » (voir H. Ealy, M. McEvoy et al. , 9 août 2020) 28
- voir graph sur site -
Décès aux États-Unis avec au moins une comorbidité. (Source : CDC via IPAK PHPI)
COVID-19 : la « cause sous-jacente du décès » et la clause « le plus souvent » du CDC Bien que le CDC ait reconnu le problème des comorbidités, il a néanmoins émis des instructions totalement invalides concernant les certificats de décès.
À peine une semaine après le confinement historique du 11 mars 2020, des directives spécifiques ont été introduites par le CDC concernant les certificats de décès (et leur tabulation dans le National Vital Statistics System (NVSS)). 29
La COVID-19 sera -t -elle la cause sous-jacente du décès ? Ce concept est fondamental. 30 La cause sous-jacente du décès est définie par l’OMS comme
« la maladie ou la blessure qui a déclenché la série d’événements menant directement à la mort ».
Ce que les CDC ont recommandé en ce qui concerne le codage et la catégorisation statistiques, c’est que la COVID-19 devrait être la cause sous-jacente du décès « le plus souvent ».
Le CDC combine ces deux critères : « cause sous-jacente du décès » et « le plus souvent ».
La COVID-19 sera-t-elle la cause sous-jacente du décès ?
« La cause sous-jacente dépend de la nature et de l’endroit où les conditions sont signalées sur le certificat de décès. Cependant, les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès devraient aboutir à ce que la COVID-19 soit la cause sous-jacente le plus souvent. » 31
Le certificateur n'est pas autorisé à signaler le coronavirus sans identifier une souche spécifique. Et les directives recommandent que COVID-19 soit toujours indiqué.
- voir graph sur site -
Le certificateur ne peut pas déroger aux critères du CDC. La COVID-19 est imposée. Lisez attentivement les critères du CDC . 32
Il n’y a aucune échappatoire.
Ces directives du CDC ont contribué à classer la COVID-19 comme la « cause de décès » enregistrée. Deux concepts fondamentaux prévalent tout au long de ces directives :
La « cause sous-jacente du décès »
La clause « Le plus souvent qu’autrement » qui falsifie la cause du décès Et ces critères sont imposés malgré le fait que le test RT-PCR utilisé pour corroborer la « cause du décès » fournit des résultats trompeurs comme le reconnaissent l’OMS et le CDC.
En pratique, comme indiqué ci-dessus, « COVID-19 probable » ou « COVID-19 probable » sera considéré comme la « cause sous-jacente du décès » sans la réalisation d’un test PCR et sans réalisation d’autopsie.
Les critères établissant la cause « sous-jacente » du décès aux États-Unis sont basés sur la clause « le plus souvent qu’autrement » (voir ci-dessus) établie à l’échelle nationale par le CDC.
Canada : « Estimations » erronées de la cause du décès Au Canada, les critères diffèrent d'une province à l'autre. La catégorisation des causes de décès dans la province canadienne du Québec a fait l'objet de manipulations grossières. 33
Selon une directive du ministère de la Santé du Québec (avril 2020) :
« Si la cause présumée du décès est la Covid-19 (avec ou sans test positif), une autopsie doit être évitée et le décès doit être attribué à la Covid-19 comme cause probable du décès. De plus, les décès dont la cause probable est la Covid-19 sont considérés comme naturels et ne sont pas soumis à un avis du coroner. » (souligné dans le document original) 34
La directive ne permet pas de comptabiliser les comorbidités. Appliquée le 16 avril 2020, cette directive a entraîné une forte augmentation immédiate du nombre de décès attribués à la COVID-19 :
44,9 % du total des décès au Québec ont été attribués à la COVID-19 (semaine du 11 au 18 avril 2020) (voir tableau ci-dessous).
Selon La Presse de Montréal, « avril [2020] a été le mois le plus meurtrier » . Mais La Presse a-t-elle consulté les directives du ministère de la Santé ?
Voici les causes de décès (quotidiennes) pour le Québec correspondant à la semaine du 12 au 18 avril 2020 (immédiatement après la directive gouvernementale) mesurées selon les critères émis par le ministère de la Santé. 35 Il n'y a eu pratiquement aucun cas de COVID ni décès enregistrés en mars 2020.
Tableau ci-dessous : Causes de décès, moyenne quotidienne
- voir graph sur site -
Source : Copyright La Presse
Ces chiffres sont-ils le résultat de la soi-disant pandémie mortelle ? Ou sont-ils le résultat des « directives » du ministère de la Santé basées sur des critères erronés ?
cas « présumé » lié à la COVID « avec ou sans test positif » cause « probable » du décès « L’autopsie doit être évitée » dans le cas du COVID-19 « Les décès dont la cause probable est la COVID-19 sont considérés comme naturels et ne font pas l’objet d’un avis au coroner » Selon M. Paul G. Brunet du Conseil pour la protection des malades (CPM) :
« … On s’est rendu compte à travers les dénonciations de certains médecins que les gens ne mouraient pas de la COVID, mais de déshydratation, de malnutrition, d’abandon , déplore M. Brunet. Alors, de quoi sont vraiment morts les milliers de personnes dans les CHSLD et les résidences privées ? » (cité dans La Presse)
Test, test, test : données non valides et « jeu des nombres » Les gens ont peur. On les encourage à faire le test PCR, ce qui augmente le nombre de faux positifs. Les gouvernements s’efforcent d’augmenter le nombre de tests PCR dans le but de gonfler les estimations des soi-disant « cas confirmés de COVID-19 ».
De plus, depuis fin 2021, plusieurs milliards de kits de tests antigéniques et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d'un milliard de kits de tests ont été distribués aux États-Unis.
Au Canada, qui compte 38,5 millions d’habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de dépistage antigénique de la COVID-19 à domicile. Cette décision a non seulement contribué à alimenter la campagne de peur, mais a également créé une situation de chaos social. Elle a contribué à faire grimper le nombre de soi-disant « cas confirmés ». 36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical du patient.
Annexe au chapitre III Texte intégral de la directive de l'OMS du 20 janvier 2021 37
Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2 Type de produit : Technologies de test d'acide nucléique (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l'OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS à l'intention des utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d’utilisation (IFU) lors de l’interprétation des résultats des échantillons testés à l’aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.
Les recommandations de l'OMS concernant les tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2 indiquent qu'il est nécessaire d'interpréter avec prudence les résultats positifs faibles ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent tenir compte de tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Mesures à prendre par les utilisateurs de DIV :
Veuillez lire attentivement la notice d'utilisation dans son intégralité. Contactez votre représentant local si un aspect du mode d’emploi ne vous paraît pas clair. Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter toute modification du mode d'emploi. Fournissez la valeur Ct dans le rapport au prestataire de soins de santé demandeur.
1. Tests de diagnostic du SRAS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.
2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : valeurs prédictives. BMJ. 1994 9 juillet ;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.
Notes de fin
1 OMS, 8 mars 2020. Déclaration aux médias : Connaître les risques liés à la COVID-19. https://www.who.int/indonesia/news/detail/08-03-2020-knowing-the-risk-for-covid-19
2 CDC, nd Similitudes et différences entre la grippe et la COVID-19. https://www.cdc.gov/flu/symptoms/flu-vs-covid19.htm#table
3 Prof Michel Chossudovsky, 5 avril 2020. Fausses données sur le coronavirus, campagne de peur. Propagation de l'infection à la COVID-19. https://www.globalresearch.ca/fake-coronavirus-data-fear-campaign-spread-of-the-covid-19-infection/5708643
4 Anthony Fauci, Clifford Lane et al., 26 mars 2020. Covid-19 — Naviguer dans l'inconnu. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2002387#
5 Ronald Bailey, 11 mars 2020. Le taux de mortalité dû au COVID-19 est « dix fois pire » que celui de la grippe saisonnière, selon le Dr Anthony Fauci. https://reason.com/2020/03/11/covid-19-mortality-rate-ten-times-worse-than-seasonal-flu-says-dr-anthony-fauci/
6 Ibid.
7 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper l’humanité tout entière. Utiliser un « test » pour confiner la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483
8 CDC, 21 juillet 2021. Panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) des CDC. https://www.fda.gov/media/134922/download
9 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper l’humanité tout entière. Utiliser un « test » pour confiner la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483
10 Joseph Hadaya, Max Schumm et al., 1er avril 2020. Tests individuels pour la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2764238
11 Beda M Sadler, 2 juillet 2020. Coronavirus : pourquoi tout le monde avait tort. Ce n’est pas un « nouveau virus ». « Le conte de fées de l’absence d’immunité ». https://www.globalresearch.ca/coronavirus-why-everyone-wrong/5718049
12 Dr Pascal Sacre, 7 août 2020. COVID-19 : plus près de la vérité : tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160
13 Victor M Corman, Olfert Landt, et al., 23 janvier 2020. Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel. https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
14 Ibid.
15 Ibid.
16 Christine Massey, 4 août 2021. L’identité du virus : les institutions de santé et de science du monde entier « n’ont aucune trace » de l’isolement ou de la purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969
17 Chaolin Huang, Yeming Wang et al., 24 janvier 2020. Caractéristiques cliniques des patients infectés par le nouveau coronavirus 2019 à Wuhan, Chine. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7159299/
18 Fan Wu, Su Zhao, et al., 3 février 2020. Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine. https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
19 Christine Massey, 4 août 2021. L'identité du virus : les institutions de santé et de science du monde entier « n'ont aucune trace » d'isolement ou de purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969
20 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (TAN) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
21 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport de révision Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormandrostenreview.com/report/
22 Ibid.
23 OMS, 11 septembre 2020. Tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2. https://www.who.int/publications/i/item/diagnostic-testing-for-sars-cov-2
24 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport de révision Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormandrostenreview.com/report/
25 CDC, 21 juillet 2021. Alerte laboratoire : modifications apportées à la RT-PCR des CDC pour le test du SARS-CoV-2. https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html
26 CDC, 20 janvier 2022. Affections contribuant aux décès dus à la COVID-19, par État et par âge, données provisoires 2020-2021. https://data.cdc.gov/NCHS/Conditions-Contributing-to-COVID-19-Deaths-by-Stat/hk9y-quqm
27 Project Veritas, 30 avril 2020. BREAKING : Les directeurs de pompes funèbres de l'épicentre de la COVID-19 doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, craignent que les chiffres soient « gonflés ». https://www.projectveritas.com/news/breaking-funeral-directors-in-covid-19-epicenter-doubt-legitimacy-of-deaths/
28 H. Ealy, M. McEvoy et al., 24 juillet 2020. Covid-19 : politiques douteuses, règles manipulées de collecte et de communication des données. Est-il sécuritaire pour les élèves de retourner à l'école ? https://www.globalresearch.ca/covid-fatalities-wer-90-2-lower-how-would-you-feel-about-schools-reopening/5720264
29 Système national de statistiques de l'état civil, 24 mars 2020. Nouveau code CIM introduit pour les décès dus au COVID-19. https://www.cdc.gov/nchs/data/nvss/coronavirus/Alert-2-New-ICD-code-introduced-for-COVID-19-deaths.pdf?fbclid=IwAR2XckyC93jfKqvOue5EdPlNA8LlKKgz4vPZTU1whI4vXLSOADSjsL9XY-M
33 Prof Michel Chossudovsky, 14 février 2021. Québec : Falsification des données de mortalité liées à la Covid-19. https://www.globalresearch.ca/quebec-falsification-of-mortality-data-pertaining-to-covid-19/5737290
36 Prof. Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus grand mensonge de l'histoire du monde : il n'y a jamais eu de pandémie. La base de données est erronée. Les mandats liés à la Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates-including-the-vaccine-are-invalid/5772008
37 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (TAN) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
Économie 101. Le confinement du 11 mars 2020, appliqué simultanément dans 190 pays, a entraîné :
« Le confinement de la main-d’œuvre » couplé à
« La paralysie du travail ».
L’impact prévisible :
La crise économique la plus grave de l’ histoire mondiale.
La profession d'économiste
La profession économique qui se concentre sur le « mécanisme du marché » a ignoré avec désinvolture cette relation causale fondamentale.
Le consensus parmi les économistes politiques et les spécialistes des sciences sociales, tant néoclassiques que « progressistes », est que le « V le virus », à savoir le SARS-CoV-2, est responsable de la chute de l’activité économique.
Une position similaire a été adoptée par les organisations syndicales, dont l’AFL-CIO : le confinement de la main-d’œuvre était considéré comme un moyen de « protéger » les droits des travailleurs.
Lorsque les travailleurs sont confinés chez eux, empêchés de se rendre sur leur lieu de travail, « l’impact de bon sens » est évident : le confinement est propice au chaos économique et social mondial.
Selon les principaux économistes et analystes financiers, la crise économique a commencé début mars 2022, coïncidant avec le début de la guerre en Ukraine.
Cette position est erronée.
La crise économique et sociale actuelle qui affecte l’humanité dans le monde entier trouve ses racines en janvier 2020, suite aux réunions du Forum économique mondial de Davos et au lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) par l’OMS (30 janvier 2020).
Phases et conséquences distinctes
La déstabilisation artificielle de l’économie mondiale se déroule en plusieurs phases distinctes, qui sont examinées dans ce chapitre :
Fin janvier 2020 : l'administration Trump a annoncé (31 janvier 2020) que les États-Unis refuseraient l'entrée aux ressortissants étrangers « ayant voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours » . 1 La décision de Trump a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien et les transports, qui dure toujours. Les échanges commerciaux entre la Chine et les États-Unis ainsi que l'industrie du tourisme ont été perturbés. 20 février 2020 : L’avertissement du Dr Tedros, directeur général de l’OMS, selon lequel une pandémie était imminente a déclenché le krach financier le plus grave depuis 1929. Le confinement du 11 mars 2020 a entraîné la « fermeture » d’environ 193 économies nationales , avec des conséquences économiques et sociales dévastatrices. Novembre-décembre 2020 : Un confinement partiel ainsi que le lancement du vaccin contre la COVID-19 Novembre 2021-janvier 2022 : Le variant Omicron a été utilisé pour justifier un confinement partiel, le lancement du passeport vaccinal, l'application de mesures restrictives dirigées contre les non-vaccinés. Avril-juillet 2022 : Application d'un mandat de confinement dans le cadre du mandat de tolérance zéro COVID de la Chine à Shanghai et dans les principales zones urbaines de Chine.
La perturbation des échanges commerciaux entre les États-Unis et la Chine
La décision de Trump du 31 janvier 2020 a été prise immédiatement après l’annonce de la décision du directeur général de l’OMS de déclencher une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) (30 janvier 2020). À bien des égards, il s’agissait d’un acte de « guerre économique » contre la Chine.
Les répercussions sur les relations commerciales bilatérales entre les États-Unis et la Chine au début de la crise du coronavirus ont été dévastatrices : les importations américaines de matières premières en provenance de Chine ont diminué de 28,3 % au cours des trois premiers mois de la crise du coronavirus.
Suite au confinement du 11 mars 2020 et à la fermeture (partielle) de l’activité économique mondiale, la baisse des importations américaines en provenance de Chine en mars 2020 a été de l’ordre de 36,5 % (par rapport à mars 2019). 4 De plus, en raison de la crise financière profonde qui a débuté en février 2020, la valeur des projets d’investissement direct chinois (annoncés) aux États-Unis a chuté d’environ 90 % ( Financial Times ). 5
Les États-Unis disposent certes d'une économie de haute technologie avancée et diversifiée (tant dans le domaine civil que militaire), mais leur base industrielle est faible. L'économie américaine est tirée par les importations (résultant de délocalisations) et dépend fortement des importations de matières premières en provenance de la République populaire de Chine.
En outre, malgré la domination financière des États-Unis et la puissance du dollar, la structure de « l’économie réelle » américaine présente de graves défaillances, qui ont été aggravées par la crise du coronavirus.
Les facteurs politiques et géopolitiques ont également joué un rôle clé, notamment la campagne anti-chinoise lancée en février 2020 ainsi que les menaces de Washington, affirmant que la Chine était responsable de la « propagation du virus ».
Alors que l'économie américaine est entrée dans une crise profonde à partir du krach financier de février 2020 et du confinement de mars 2020, l'économie nationale chinoise s'est redressée. Les exportations chinoises ont augmenté de manière significative au cours de l'année 2021.
Les relations commerciales bilatérales entre les États-Unis et la Chine sont néanmoins en péril, marquées par une réduction significative des importations chinoises en provenance des États-Unis. Alors que les exportations chinoises vers les États-Unis ont augmenté en 2021, l'excédent commercial mensuel de la Chine avec les États-Unis a augmenté de 31,1 % ( Time , 14 janvier 2022).
En avril 2022, l'économie chinoise a connu un revirement spectaculaire, marqué par l'adoption d'un mandat de tolérance zéro face au COVID-19 ( avec des millions de personnes confinées chez elles), entraînant une fermeture partielle du secteur financier de Shanghai, couplée à une paralysie du commerce des matières premières dans le plus grand port du monde (voir l'analyse ci-dessous).
- voir graph sur site -
Le krach financier du coronavirus de février 2020
Le commerce spéculatif et la fraude financière ont joué un rôle clé. Jeudi après-midi, 20 février, à Genève (heure CET), le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a tenu une conférence de presse. « Je suis préoccupé », a-t-il déclaré, « par le fait que la chance de contenir l’épidémie de coronavirus » se « réduit »…
« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. » 7
Ces déclarations « choc et effroi » ont contribué à déclencher la panique, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible : 1 076 cas pour une population de 6,4 milliards d’habitants (en excluant le Diamond Princess, on dénombrait 452 « cas confirmés » dans le monde) (voir chapitre II).
La déclaration du Dr Tedros (basée sur des concepts et des statistiques erronés) a préparé le terrain pour l’effondrement financier de février déclenché par des informations privilégiées, des connaissances préalables, des transactions sur produits dérivés, des ventes à découvert et une multitude d’opérations de fonds spéculatifs.
La COVID-19 a été étroitement identifiée comme le catalyseur de la crise financière.
Qui était derrière ce catalyseur ?
Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l’incertitude sur les marchés financiers ?
Le petit nombre de « cas confirmés de Covid-19 » hors de Chine (1 076) ne laisse en aucun cas présager d’une épidémie mondiale. Mais cela n’a pas empêché les marchés de s’effondrer.
Les marchés ont été manipulés. Quiconque avait eu connaissance à l’avance (« information privilégiée ») de la déclaration du directeur général de l’OMS du 20 février 2020 aurait pu en tirer des gains financiers considérables.
Y a-t-il eu un conflit d’intérêts (au sens de l’OMS ) ? 8 L’OMS est financée en partie par la Fondation Gates. Selon un rapport de CNBC de septembre 2019, « 60 % des actifs de Bill Gates sont investis en actions [y compris les actions et les fonds indiciels] ». 9
Le krach boursier initié le 20 février, appelé krach du coronavirus 2020 (du 20 février au 7 avril 2020), a été classé comme suit :
« la chute la plus rapide des marchés boursiers mondiaux de l’histoire financière et le krach le plus dévastateur depuis le krach de Wall Street de 1929. »
La cause du krach financier était (selon les « analystes ») le virus, à savoir la « propagation massive » de l’épidémie hors de Chine. Mais c’était un mensonge éhonté. Il n’y a eu que 1 076 cas dans le monde pour une population de 6,4 milliards d’habitants hors de Chine (voir chapitre III). La désinformation médiatique a joué un rôle clé dans la campagne de peur.
Délit d'initié et fraude financière
La possibilité de fraude financière et de « délit d’initié » (qui est illégal) a été dissipée avec désinvolture par les analystes financiers et les médias.
Sans la main humaine, il n’y aurait pas de relation de cause à effet entre un virus microscopique et la gamme complexe de variables financières.
La campagne de peur du « virus mortel » associée aux « avertissements » opportuns du Dr Tedros concernant la nécessité de déclencher une pandémie mondiale ont servi de manière indélébile les intérêts des spéculateurs institutionnels et des fonds spéculatifs de Wall Street. La crise financière a entraîné un changement majeur dans la répartition des richesses monétaires (voir l’analyse au chapitre V).
Dans la semaine qui a suivi l’annonce de l’OMS du 20-21 février, le Dow Jones s’est effondré de 12 % ( CNBC , 28 février 2020). 10 Selon les analystes, la chute du DJIA est le résultat de la propagation mondiale du virus. Une déclaration absurde en contradiction avec le (petit) nombre d’estimations de positifs au COVID de l’OMS (1 076 hors Chine), dont la plupart se basaient sur le test PCR défectueux.
Le lundi 24 février, à la réouverture des marchés boursiers, le Dow Jones a subi une chute sans précédent imputable aux « dangers imminents » que « le COVID se propageait dans le monde entier, créant des incertitudes sur les marchés financiers ».
« Les actions ont chuté lundi (24 février) alors que le nombre de cas de coronavirus en dehors de la Chine a augmenté , attisant les craintes d'un ralentissement économique mondial prolongé dû à la propagation du virus. Le Dow Jones Industrial Average a clôturé en baisse de 1 031,61 points, soit 3,56 %, à 27 960,80 points. » (CNBC) (soulignement ajouté)
- voir graph sur site -
Dow Jones Industrial Average décembre 2019 – mars 2020 (Source : Bloomberg Data )
Le 24 février, Trump a également demandé une aide d’urgence de 1,25 milliard de dollars.
Selon la BBC, les marchés boursiers mondiaux ont connu de fortes chutes « en raison des inquiétudes concernant l’impact économique du virus », suggérant que le virus était « la main invisible » responsable du déclin des marchés financiers.
La COVID-19 a été étroitement identifiée comme le catalyseur de la crise financière.
Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l’incertitude sur les marchés financiers, ainsi que des faillites et une redistribution massive des richesses monétaires ?
11 mars 2020 : La pandémie de COVID-19, le confinement et la fermeture de 190 économies nationales Le 11 mars 2020, l’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de 44 279 et 1 440 décès (chiffres enregistrés pour le 11 mars par l’ OMS le 12 mars 2020).
La « science » derrière cette décision de confinement mondial était basée sur « un modèle mathématique » du Dr Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, comme moyen d’éviter les 600 000 décès « prévus » au Royaume-Uni.
Le « modèle » de Ferguson (qui frise le ridicule) a été utilisé par l'establishment financier comme justification pour déclencher le chaos économique et social dans le monde entier. Les efforts de Ferguson ont été généreusement financés par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur a pris de l’ampleur. Comme lors du krach des 20 et 21 février 2020, la déclaration du directeur général de l’OMS du 11 mars 2020 avait préparé le terrain.
Les marchés boursiers se sont effondrés dans le monde entier. Le lendemain matin, le Dow (DJIA) a chuté de 9,99 % (une baisse de 2 352,60 points pour clôturer à 21 200,62 points). Le jeudi noir, le 12 mars 2020, a été « le pire jour du Dow » depuis 1987. 12 Une fraude financière a été le déclencheur. Un transfert massif de richesses financières avait eu lieu en faveur des milliardaires américains (voir chapitre V).
Les consignes de confinement « Restez chez vous » ont été transmises à 193 États membres des Nations Unies. Les politiques sont les instruments de puissants intérêts financiers. Cette décision de grande envergure était-elle justifiée comme un moyen de lutter contre le virus ?
Cette décision s’appuie sur un modèle de confinement défectueux conçu par l’Imperial College de Londres.
Le « confinement de la main-d’œuvre » couplé à la paralysie du « lieu de travail » (activités productives, commerciales, etc.) conduit de manière indélébile à une profonde dépression économique mondiale.
Des secteurs entiers de l'économie mondiale ont été déstabilisés, ce qui est sans précédent dans l'histoire et s'est produit presque simultanément dans un grand nombre de pays. Les petites et moyennes entreprises ont été acculées à la faillite. Le chômage et la pauvreté sont endémiques.
Dans plusieurs pays en développement, des famines ont éclaté (voir analyse ci-dessous). Les conséquences sociales de ces mesures sont dévastatrices. Les conséquences sanitaires (mortalité et morbidité), y compris la déstabilisation du système de santé national (dans de nombreux pays), dépassent de loin celles attribuées au COVID-19.
Guerre économique
Les instructions sont venues d’en haut, de Wall Street, du Forum économique mondial et des fondations milliardaires. Ce projet diabolique est décrit avec désinvolture par les médias d’entreprise comme une initiative de santé publique « humanitaire ». La « communauté internationale » a une « responsabilité de protéger » (R2P). Un « partenariat public-privé » non élu sous les auspices du Forum économique mondial (WEF) est venu au secours des 7,9 milliards d’habitants de la planète Terre. La fermeture de l’économie mondiale a été présentée comme un moyen de « tuer le virus ».
Cela paraît absurde. La fermeture de l’économie réelle de la planète Terre n’est pas la « solution », mais plutôt la « cause » d’un processus de déstabilisation et d’appauvrissement mondial, qui a à son tour un impact sur les schémas de morbidité et de mortalité. À cet égard, il faut s’attaquer à la relation causale entre les variables économiques (par exemple le pouvoir d’achat, le chômage) et l’état de santé de la population.
L’économie nationale combinée aux institutions politiques, sociales et culturelles constitue la base de la « reproduction de la vie réelle » : revenus, emploi, production, commerce, infrastructures et services sociaux.
Déstabiliser l’économie de la planète Terre ne peut constituer une « solution » pour combattre le virus. Mais c’est la « solution » imposée à laquelle ils veulent nous faire croire. Et c’est ce qu’ils font.
Le confinement et le processus de faillite artificielle Il existe une relation importante entre « l’économie réelle » et le « Big Money », à savoir l’establishment financier.
Ce qui est en cours est un processus de concentration de la richesse, par lequel l’establishment financier (c’est-à-dire les créanciers de plusieurs milliards de dollars) est censé s’approprier les actifs réels des entreprises en faillite ainsi que les actifs de l’État.
L’« économie réelle » constitue le « paysage économique » de l’activité économique réelle : actifs productifs, agriculture, industrie, biens et services, commerce, investissement, emploi ainsi que les infrastructures sociales et culturelles, y compris les écoles, les hôpitaux, les universités, les musées, etc. L’économie réelle aux niveaux mondial et national est ciblée par le confinement et la fermeture de l’activité économique.
Les instructions de confinement transmises aux gouvernements nationaux ont favorisé la déstabilisation du « paysage économique national » de nombreux pays, constitué d’ une structure économique et sociale complexe .
Le confinement « restez chez vous » empêche les gens d’aller travailler. Du jour au lendemain, il crée un chômage de masse (dans le monde entier). A son tour, le confinement s’accompagne de la fermeture de secteurs entiers de l’économie nationale.
Le confinement contribue immédiatement au désengagement des ressources humaines (travail) qui, à son tour, entraîne l’arrêt de l’activité productive.
Les canaux d’ approvisionnement et de distribution sont gelés, ce qui peut conduire à des pénuries de produits de base, et plusieurs centaines de millions de travailleurs dans le monde perdent leur emploi et leurs revenus.
Alors que les gouvernements nationaux ont mis en place divers « filets de sécurité sociale » pour les chômeurs, le paiement des salaires par l’employeur est perturbé, ce qui conduit à un effondrement mondial dramatique du pouvoir d’achat.
C'est une crise des paiements. Les salaires ne sont pas versés. Les ménages pauvres ne peuvent pas acheter de nourriture, payer leur loyer ou leur prêt hypothécaire mensuel. Les dettes personnelles et ménagères (y compris les dettes de carte de crédit) montent en flèche. C'est un processus cumulatif.
Cette mondialisation de la pauvreté entraîne une baisse de la demande des consommateurs, qui se répercute sur le système productif et conduit à une nouvelle série de faillites. Inévitablement, la structure du commerce international des matières premières s'en trouve également affectée.
L'endettement mondial
Les institutions financières de la Global Money sont les « créanciers » de l’économie réelle en crise. La fermeture de l’économie mondiale à partir de mars 2020 a déclenché un processus d’endettement mondial. Sans précédent dans l’histoire mondiale, une manne de plusieurs milliers de milliards de dollars de dettes libellées en dollars frappe simultanément les économies nationales de plus de 190 pays.
Les créanciers chercheront également à acquérir la propriété et/ou le contrôle de la « richesse publique », y compris les actifs sociaux et économiques de l’État, par le biais d’un projet d’endettement massif sous la surveillance des institutions créancières, dont le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement, etc.
Dans le cadre de ce que l’on appelle la « nouvelle normalité », le « Grand Reset » proposé par le Forum économique mondial (WEF), les créanciers (y compris les milliardaires) ont l’intention de racheter des secteurs importants de l’économie réelle ainsi que de prendre le contrôle d’entités en faillite (voir chapitre XIII).
Dans les sections ci-dessous, nous passons brièvement en revue les impacts dramatiques de la fermeture de l’économie mondiale en nous concentrant sur les faillites, la pauvreté mondiale, le chômage, l’apparition de famines ainsi que l’effondrement du système éducatif.
La plupart des chiffres cités ci-dessous proviennent de l’ONU, de gouvernements et de sources connexes, qui ont tendance à sous-estimer la gravité de cette crise mondiale en cours, qui détruit littéralement la vie des gens.
L’endettement dans tous les secteurs de l’activité économique à l’échelle mondiale constitue la force motrice.
Ce qui est présenté ci-dessous n’est que la pointe de l’iceberg.
Faillites
La vague de faillites déclenchée par la fermeture de l'économie mondiale touche aussi bien les petites et moyennes entreprises (PME) que les grandes entreprises. Les faits confirment que les petites et moyennes entreprises sont littéralement anéanties.
Selon une enquête de 2020 du Centre du commerce international, citée par l’OCDE, portant sur les PME de 132 pays :
Deux tiers des micro et petites entreprises déclarent que la crise a fortement affecté leurs activités commerciales et un cinquième d'entre elles indiquent qu'elles risquent de fermer définitivement leurs portes dans les trois mois à venir. Sur la base de plusieurs enquêtes menées dans divers pays, McKinsey (2020) indique qu'entre 25 % et 36 % des petites entreprises pourraient fermer définitivement leurs portes en raison des perturbations survenues au cours des quatre premiers mois de la pandémie. ( Rapport de l'OCDE , souligné par nous) 14
Selon Bloomberg :
« Plus de la moitié des petites et moyennes entreprises européennes déclarent qu'elles risquent la faillite l'année prochaine si leurs revenus ne reprennent pas, ce qui souligne l'ampleur des dégâts causés par la crise du Covid-19.
Une entreprise sur cinq en Italie et en France prévoit de déposer le bilan dans les six mois à venir, selon une enquête réalisée par McKinsey & Co. en août auprès de plus de 2 200 PME des cinq plus grandes économies européennes .
Les enquêtes tendent à sous-estimer l’ampleur de la catastrophe en cours. Les chiffres sont bien plus élevés que ce qui est rapporté.
Aux États-Unis, la procédure de faillite est en cours. Selon un groupe d'universitaires dans une lettre adressée au Congrès :
« Nous prévoyons qu’une part importante des petites entreprises viables seront contraintes de fermer, ce qui entraînera des pertes économiques importantes et irréversibles. Les travailleurs perdront leur emploi même dans des entreprises par ailleurs viables. …
Une série de défauts de paiement semble presque inévitable. À la fin du premier trimestre de cette année, les entreprises américaines avaient accumulé près de 10 500 milliards de dollars de dette, soit de loin le montant le plus élevé depuis que la Réserve fédérale de Saint-Louis a commencé à suivre ce chiffre à la fin de la Seconde Guerre mondiale. « Une explosion de la dette des entreprises », a déclaré M. Altman. » ( NYT , 16 juin 2020) 16
En ce qui concerne les petites entreprises aux États-Unis :
près de 90 % des petites entreprises ont subi un impact négatif fort (51 %) ou modéré (38 %) de la pandémie ; 45 % des entreprises ont connu des perturbations dans leurs chaînes d’approvisionnement ; 25 % des entreprises disposent de moins de 1 à 2 mois de réserves de trésorerie. » ( OCDE ) 17
Les résultats d’une enquête menée auprès de plus de 5 800 petites entreprises aux États-Unis :
… montre que 43 % des entreprises ayant répondu sont déjà temporairement fermées. En moyenne, les entreprises ont réduit leurs effectifs de 40 %. Les trois quarts des répondants indiquent qu’ils disposent de deux mois ou moins de réserves de liquidités. … (OCDE)
Dans une enquête de 2020 , 18
« La moitié des propriétaires de petites entreprises aux États-Unis pensent qu’ils pourraient bientôt être contraints de fermer définitivement. Même pendant la Grande Dépression des années 1930, nous n’avions jamais vu une situation pareille ». 19
Il convient de noter que depuis le confinement de mars 2020 (aux États-Unis et au Canada), les petites et moyennes entreprises ainsi que les grandes entreprises ont reçu de nombreuses aides et prêts dans le cadre de ce que l’on appelle des prêts d’urgence, ce qui a contribué à retarder le dépôt de bilan (aux États-Unis, voir les chapitres VII et XI). Dans le monde entier, le dépôt de bilan a été opportunément reporté à la suite de ce que la Banque mondiale a décrit comme des « milliers de milliards de dollars de soutien financier des gouvernements », généreusement financés par les créanciers du Big Money.
Le chômage mondial
Une contraction massive de l’emploi est en cours à l’échelle mondiale. Dans un rapport d’août 2020, l’ Organisation internationale du travail (OIT) confirme que :
La crise de la COVID-19 a gravement perturbé les économies et les marchés du travail dans toutes les régions du monde, avec des pertes d’heures de travail estimées à près de 400 millions d’emplois à temps plein au deuxième trimestre 2020 , dont la plupart se situent dans les pays émergents et en développement (OIT, 2020a). … Parmi les plus vulnérables figurent les 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle, soit la moitié de la main-d’œuvre mondiale, qui travaillent dans des secteurs connaissant d’importantes pertes d’emplois ou dont les revenus ont été gravement affectés par les confinements.
La crise de la COVID-19 touche de manière disproportionnée 1,25 milliard de travailleurs occupant des emplois à risque, en particulier dans les secteurs les plus touchés comme le commerce de détail, l’hébergement et la restauration et l’industrie manufacturière (OIT, 2020b). La plupart de ces travailleurs sont des travailleurs indépendants, occupant des emplois à faible revenu dans le secteur informel… Les jeunes, par exemple, subissent de multiples chocs, notamment des perturbations dans leur éducation et leur formation, leur emploi et leurs revenus, en plus d’une plus grande difficulté à trouver un emploi. 20
L’OIT n’explique en aucune façon les causes politiques du chômage de masse, résultant des mesures prises par les gouvernements nationaux, prétendument dans le but de résoudre la pandémie de COVID. De plus, l’OIT a tendance à sous-estimer à la fois les niveaux et l’augmentation spectaculaire du chômage.
Le chômage mondial devrait augmenter en 2022-2023 La pandémie est présentée comme la cause du chômage. Selon l' OIT :
Le chômage mondial devrait rester supérieur aux niveaux d’avant la pandémie de COVID-19 au moins jusqu’en 2023. Le niveau de chômage en 2022 est estimé à 207 millions, contre 186 millions en 2019. 21
L’OIT reconnaît que l’impact global sur l’emploi n’est pas révélé par les projections ci-dessus sur le chômage mondial, « parce que de nombreuses personnes ont quitté la population active ».
Ce qui est en jeu, c’est que de larges pans de la main-d’œuvre sont victimes de faillites ainsi que de mesures politiques discriminatoires qui les ont marginalisés du marché du travail.
Les gouvernements nationaux restent sous le contrôle des créanciers mondiaux. Pour l'après-Covid, on envisage la mise en œuvre de mesures d'austérité massives, notamment la suppression des allocations des travailleurs et des filets de sécurité sociale.
Le chômage aux États-Unis
Aux États-Unis, « plus de 30 millions de personnes, soit plus de 15 % de la population active, ont demandé des allocations chômage… » immédiatement après le confinement de mars 2020. ( CSM, 6 mai 2020 ) 22
Annoncé début décembre 2020, « plus de 10 millions d’Américains devraient perdre leurs allocations chômage le lendemain de Noël [2020] à moins que le Congrès n’agisse pour prolonger les principaux programmes liés à la pandémie – une perspective qui, pour l’instant, semble au mieux incertaine. » ( US News and World Report ) 23
Le bord du gouffre se profile à l’horizon alors que les cas de coronavirus se multiplient dans tout le pays et que les demandes d’allocations chômage augmentent, les États et les localités réimposant des restrictions liées au virus. Cette baisse devrait également se produire à l’expiration des protections pour les locataires, les emprunteurs de prêts étudiants et les propriétaires – une confluence d’événements potentiellement dévastatrice pour les particuliers, dont les économies ont été ravagées par la pandémie, et pour l’économie dans son ensemble, qui se remet progressivement de la récession induite par le coronavirus.
Selon la Century Foundation, lorsque les programmes expireront à la fin du mois de décembre [2020], environ 12 millions de personnes pourraient perdre leurs allocations de chômage. ( US News and World Report ) 24
Alors que l’économie américaine connaît le plus grave effondrement de l’histoire, avec plus d’un quart des Américains en âge de travailler au chômage, une calamité supplémentaire se profile : Selon les estimations du Bureau du recensement, 30 à 40 millions d’Américains risquent d’être expulsés en 2021-22 en raison du manque de revenus pour payer leur loyer ou leurs prêts hypothécaires.
Sans aide fédérale ou moratoire prolongé sur les loyers, une calamité aux proportions bibliques pourrait se produire dans les mois à venir. ( Stephen Lendman ) 25
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Le chômage dans l'Union européenne (UE)
« Le chômage dans l’ensemble de l’Union européenne devrait augmenter jusqu’à 9 % en 2020, à la suite de la pandémie de coronavirus et des mesures de confinement imposées par les gouvernements nationaux ». 26
Selon les chiffres officiels de l’UE :
La Grèce, l’Espagne et le Portugal ont de nouveau connu une forte hausse du chômage des jeunes depuis le début de la pandémie. La Grèce a vu son taux passer de 31,7 % en mars [2020] à 39,3 % en juin [2020], tandis que l’Espagne et le Portugal ont connu des augmentations similaires, de 33,9 % à 41,7 % et de 20,6 % à 27,4 % , respectivement.
Le chômage en Amérique latine
En Amérique latine, le taux de chômage moyen était estimé à 8,1 % à la fin de 2019. L’OIT estime qu’il pourrait augmenter de 4 à 5 points de pourcentage pour atteindre 41 millions de chômeurs .
En chiffres absolus, ces taux impliquent que le nombre de personnes qui recherchent un emploi mais ne sont pas embauchées est passé de 26 millions avant la pandémie à 41 millions en 2020 , comme l'ont annoncé les experts de l'OIT.
Ces estimations de l’OIT et de la Banque mondiale sont trompeuses. Selon la Banque interaméricaine de développement (BID) , l’augmentation du chômage dans la région latino-américaine a été de l’ordre de 24 millions en 2020, avec des pertes d’emplois de l’ordre de 3,6 millions en Colombie, 7 millions au Brésil et 7 millions au Mexique. 29
Même ces chiffres tendent à sous-estimer l’augmentation spectaculaire du chômage. Et la situation a évolué en 2021-22, après les confinements partiels qui ont déclenché une nouvelle vague de faillites.
Selon une enquête menée par l'Instituto Nacional de Estadística y Geografía (INEGI), l'augmentation du chômage au Mexique a été de l'ordre de 12,5 millions en avril 2020, c'est-à-dire dans le mois qui a suivi le confinement et la fermeture de l'économie nationale du 11 mars 2020 .
L'apparition des famines
La pauvreté et la sous-alimentation chronique sont une condition préexistante.
Premièrement, il existe un processus historique à long terme de réforme des politiques macroéconomiques et de restructuration économique mondiale qui a contribué à la baisse du niveau de vie dans le monde entier, tant dans les pays en développement que dans les pays développés.
Deuxièmement, ces conditions historiques préexistantes de pauvreté de masse ont été exacerbées et aggravées par l’imposition du confinement lié au COVID.
Alors que de larges pans de la population mondiale vivaient déjà bien en dessous du seuil de pauvreté avant le confinement lié au COVID-19 de mars 2020 , les récentes hausses des prix des denrées alimentaires de base sont dévastatrices.
Selon le Programme alimentaire mondial (PAM), « 690 millions de personnes n’ont pas assez à manger tandis que 130 millions de personnes supplémentaires risquent d’être poussées au bord de la famine. » (Déclaration de novembre 2020)
Ces chiffres sont discutables. Ni la FAO ni le PAM n’ont réussi à aborder le rôle central du confinement et de la fermeture des économies nationales en tant que « mécanisme de choc » qui déclenche simultanément une pauvreté de masse et une déstabilisation de la production agricole dans les pays en développement comme dans les pays développés, dans toutes les grandes régions du monde.
La causalité sous-jacente n'est tout simplement pas abordée. L'analyse du climat et des conflits prime :
« Nous sommes témoins d’une catastrophe qui se déroule sous nos yeux. La famine, provoquée par les conflits et alimentée par les chocs climatiques et la pandémie de COVID-19, frappe à la porte de millions de familles. » (David Beasley, Directeur exécutif du PAM)
Le rapport de la FAO
Selon la FAO, des famines ont éclaté dans au moins 25 pays en développement . Cette étude est incomplète : la plupart des pays d'Asie et d'Amérique latine, d'Europe, du Moyen-Orient et d'Amérique du Nord ne sont pas concernés (voir la carte ci-dessous) :
« L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM) identifient 27 pays qui sont en première ligne face aux crises alimentaires imminentes provoquées par la COVID-19, alors que les effets domino de la pandémie aggravent les facteurs préexistants de la faim.
Aucune région du monde n’est à l’abri, de l’Afghanistan et du Bangladesh en Asie, à Haïti, au Venezuela et en Amérique centrale, à l’Irak, au Liban, au Soudan et à la Syrie au Moyen-Orient, au Burkina Faso, au Cameroun, au Libéria, au Mali, au Niger, au Nigéria, au Mozambique, à la Sierra Leone et au Zimbabwe en Afrique.
L’ analyse conjointe de la FAO et du PAM prévient que ces « pays sensibles » courent un risque élevé de voir leur sécurité alimentaire se détériorer considérablement dans les mois à venir – et dans certains cas, ils le constatent déjà –, avec notamment une augmentation du nombre de personnes plongées dans une situation de faim aiguë.
La pandémie de COVID-19 pourrait avoir des répercussions indirectes profondes et multiformes sur les sociétés et les économies, qui pourraient perdurer bien après la fin de l’urgence sanitaire. Ces répercussions pourraient aggraver les instabilités ou les crises existantes, ou en entraîner de nouvelles, avec des répercussions sur la sécurité alimentaire, la nutrition et les moyens de subsistance.
Avec plus de deux milliards de personnes, soit 62 % de la population active mondiale, employées dans l’économie informelle selon les données de l’OIT, des millions de personnes sont confrontées à un risque croissant de faim. On estime que les revenus des travailleurs informels ont diminué de 82 %, l’Afrique et l’Amérique latine étant les pays où la baisse est la plus forte (OIT 2020). ( FAO , p. 6) 31
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Famine mondiale. Une faim aiguë dans 80 pays
Un rapport du Programme alimentaire mondial (PAM) de novembre 2021 pointe du doigt la famine mondiale et la « faim aiguë dans 80 pays » :
La faim dans le monde continue de progresser à un rythme alarmant : nos dernières estimations montrent que 282,7 millions de personnes dans 80 pays souffrent de niveaux extrêmes de faim aiguë. Cela représente une augmentation d’environ 110 % par rapport à 2019 (année où 135 millions de personnes dans 58 pays étaient classées comme étant en situation d’insécurité alimentaire aiguë).
Cette « estimation » de 287,7 millions de cas de faim aiguë frise le ridicule et les « fausses statistiques » . La pauvreté de masse est répandue dans le monde entier. Cette « estimation » se fonde sur le concept suivant, proposé par le Programme alimentaire mondial (un organisme de l’ONU) comme critère humanitaire et de compassion :
« Un repas par jour, le minimum vital – coûtant 0,43 USD par personne et par jour » ( PAM , p. 1)
Demandez à Bill Gates, qui rachète activement des fermes familiales en faillite : « Combien a coûté votre déjeuner ? »
Les récentes hausses des prix des denrées alimentaires contribuent de manière très concrète à « éliminer les pauvres » par le biais de « décès par famine ». Selon les mots d’ Henry Kissinger :
« Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations ; contrôlez la nourriture et vous contrôlerez les peuples. »
À cet égard, Kissinger avait laissé entendre, dans le cadre du « Mémorandum 200 de l'étude sur la sécurité nationale de 1974 : implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité américaine et les intérêts d'outre-mer », que la récurrence des famines pourrait constituer un instrument de facto de contrôle de la population. Cela fait partie du programme eugéniste du Forum économique mondial.
Famine et désespoir en Inde
Les conséquences sociales et économiques du confinement du 11 mars 2020 en Inde ont été dévastatrices, déclenchant une vague de famine et de désespoir. « Des millions de personnes qui ont perdu leurs revenus sont désormais confrontées à une pauvreté et une faim accrues, dans un pays où, même avant la pandémie, 50 % des enfants souffraient de malnutrition ». 32
Fin novembre 2020, la plus grande grève générale de l'histoire du pays a été menée contre le gouvernement Modi, avec plus de 200 millions de travailleurs et d'agriculteurs. Selon le syndicat des enseignants des universités et collèges de Mumbai :
Cette grève est dirigée contre la crise sanitaire et économique dévastatrice déclenchée par le COVID-19 et le confinement imposé aux travailleurs du pays. Cette situation a été encore aggravée par une série de lois antipopulaires sur l'agriculture et le code du travail promulguées par le gouvernement central. Parallèlement à ces mesures, la politique nationale d'éducation (NEP) imposée à la nation pendant la pandémie causera un préjudice irréparable à l'équité et à l'accès à l'éducation .
Selon Left Voice :
« La pandémie s’est propagée des grandes villes comme Delhi, Bombay et d’autres centres urbains vers les zones rurales où les soins de santé publics sont rares ou inexistants. Le gouvernement Modi a géré la pandémie en donnant la priorité aux profits des grandes entreprises et à la protection des fortunes des milliardaires plutôt qu’à la protection de la vie et des moyens de subsistance des travailleurs. » 34
La sous-alimentation et ce que l’on appelle « l’insécurité alimentaire » ne se limitent pas aux pays en développement.
La terminologie n’est pas tout à fait la même. La « famine » qui est aujourd’hui une réalité aux États-Unis est rarement évoquée. Le confinement (le confinement de la main-d’œuvre) n’est pas non plus reconnu comme un mécanisme ayant déclenché ce que l’on appelle « l’insécurité alimentaire ».
Le ministère américain de l’Agriculture définit « l’insécurité alimentaire » comme « une condition économique et sociale au niveau des ménages caractérisée par un accès limité ou incertain à une alimentation adéquate ».
La « faim » est définie comme « un état physiologique individuel qui peut résulter de l’insécurité alimentaire ». Le terme « famine » apparaît dans le glossaire de l’USDA.
Selon des estimations récentes de Feeding America , un Américain sur sept, soit 45 millions de personnes en 2020, dont 15 millions d’enfants, a connu une « insécurité alimentaire » :
Avant le début de la pandémie, le taux global d’insécurité alimentaire avait atteint son point le plus bas depuis qu’il a commencé à être mesuré dans les années 1990, mais ces améliorations ont été bouleversées par la pandémie .
Selon Stephen Lendman :
« Environ un ménage américain sur quatre a connu l'insécurité alimentaire cette année [2020], soit plus de 27 % des ménages avec enfants.
Une étude de l’Institut de recherche sur les politiques de l’université Northwestern estime que près de 30 % des ménages avec enfants souffrent d’insécurité alimentaire. Les familles noires sont deux fois plus touchées par l’insécurité alimentaire que leurs homologues blanches. Les ménages latinos sont également touchés de manière disproportionnée. » 36
La « solution à la famine mondiale » des milliardaires ?
Dans une ironie amère, le Programme alimentaire mondial (PAM ) a annoncé que les philanthropes milliardaires (dont la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Rockefeller, et al.), qui se sont enrichis au cours de la crise du COVID-19, sont généreusement venus au secours de 42 millions de personnes touchées par la famine .
Il faut garder à l’esprit que ce processus d’appauvrissement mondial est la conséquence directe de l’enrichissement des milliardaires, invariablement réalisé grâce à de fausses données scientifiques et à des transactions frauduleuses (voir chapitre V).
Selon Oxfam , « pour chaque nouveau milliardaire créé pendant la pandémie… des millions de personnes ont été plongées dans l’extrême pauvreté ».
« Les milliardaires réunis à Davos ont vu leur fortune augmenter de façon indécente au cours des deux dernières années. La pandémie et maintenant la forte hausse des prix des denrées alimentaires et de l’énergie ont été une aubaine pour les plus riches, tandis que des millions de personnes sont confrontées à la faim et à la pauvreté alors que le coût de la vie s’envole. » ( Oxfam )
Éducation : les impacts sur nos enfants
Les fondements mêmes de la société civile sont menacés. L’UNICEF estime que 1,6 milliard d’enfants et d’adolescents ont été touchés par la fermeture des écoles dans le monde. 37
« Alors que la pandémie de COVID-19 s’est propagée à travers le monde, une majorité de pays ont annoncé la fermeture temporaire des écoles, affectant plus de 91 % des élèves dans le monde… Jamais auparavant autant d’enfants n’ont été privés d’école en même temps… »
Les collèges et les universités sont également paralysés. Les étudiants sont privés de leur droit à l’éducation. Si l’UNESCO confirme que plus d’un milliard d’apprenants sont concernés , elle n’offre aucune solution concrète ni critique. Le discours officiel sur le soi-disant « partenariat public/privé » imposé aux gouvernements nationaux a été adopté au pied de la lettre.
Des fermetures d'écoles ont été décidées dans 132 pays. Voir le schéma ci-dessous (UNESCO, mai 2020).
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L'examen des conséquences économiques et sociales de ce phénomène révèle un processus complexe. De larges pans de la population mondiale ont été précipités dans la pauvreté et le désespoir. Les diverses agences des Nations Unies citées ci-dessus ont tendance à effleurer la surface de la question. Les causes sous-jacentes ne sont tout simplement pas traitées.
L'économie mondiale du tourisme et des voyages
Avant la crise du coronavirus, les voyages et le tourisme représentaient une part importante de l’économie mondiale : environ dix pour cent du PIB mondial avec une main-d’œuvre estimée à plus de 320 millions d’emplois dans le monde .
L'industrie du voyage et du tourisme, qui comprend les compagnies aériennes, les installations aéroportuaires, le transport terrestre, les hôtels, les centres de villégiature, les restaurants, les musées, les salles de concert, les parcs et une variété de services urbains, a été précipitée dans la faillite, entraînant un chômage de masse.
Les impacts économiques et sociaux sont dévastateurs, en particulier dans les pays qui ont une économie touristique importante (par exemple, l’Italie, la France, la Suisse, la Thaïlande, le Vietnam, le Mexique, Cuba, la République dominicaine, le Pérou et le Panama, entre autres).
La perte d’emplois dans le secteur du tourisme est estimée à environ 100 millions dans le monde (rapport de novembre 2020, voir également le rapport du FMI ).
Pertes d'emplois aux États-Unis
Selon le World Travel and Tourism Council (WTTC), « 9,2 millions d’emplois pourraient être perdus aux États-Unis… si les barrières aux voyages internationaux restent en place ». Le WTTC estime que plus de la moitié de tous les emplois soutenus par le secteur aux États-Unis en 2019 devraient être perdus. Entre 10,8 et 13,8 millions d’emplois dans le secteur du voyage et du tourisme « sont gravement menacés ». 41
Alors que les restrictions sur les voyages aériens, associées au confinement du 11 mars 2020, ont entraîné la disparition des petites compagnies aériennes régionales, au cours de la période 2020-2022, un grand nombre de compagnies aériennes nationales ont été précipitées dans une situation de faillite de fait, notamment Aero-Mexico, Avianca et South African Airlines, entre autres. Selon un rapport , « 43 compagnies aériennes commerciales ont fait faillite depuis janvier 2020 , … cessant ou suspendant complètement leurs opérations » en 2020. Il y a également eu une réaction négative sur la production d’avions civils. 42
La suspension par Trump des voyages aériens vers la Chine le 31 janvier 2020, en raison de cinq cas positifs confirmés de COVID-19 aux États-Unis, a joué un rôle clé dans la préparation de la crise du transport aérien et du tourisme, qui, au moment de la rédaction du présent document, est toujours en cours.
Le confinement a également mis à mal le plus grand projet d'infrastructure de transport en Europe, à savoir le tunnel souterrain reliant le Royaume-Uni à l'Europe continentale. L'Eurostar s'est retrouvé en situation de faillite de fait.
Toutes ces perturbations des voyages internationaux sont présentées à l'opinion publique comme un moyen de lutter contre ce virus mortel. C'est un gros mensonge.
Les chaînes hôtelières et les grandes compagnies aériennes en faillite seront très probablement « reprises » à des prix dérisoires par les multimilliardaires.
Le mandat de tolérance zéro face au COVID pour les JO de Shanghai 2022. La déstabilisation de l'économie d'exportation chinoise ? À partir de fin mars, début avril 2022, le gouvernement chinois a ordonné le confinement de Shanghai, une ville portuaire de 26 millions d'habitants.
Le confinement de la main-d'œuvre de Shanghai a été effectué dans le cadre d'un « mandat de tolérance zéro COVID » : « Au moins 38 000 travailleurs médicaux de toute la Chine ont été déployés pour aider Shanghai… dans la lutte contre le variant Omicron… » ( Global Times ) 43
De toute évidence, les autorités sanitaires chinoises ont approuvé sans sourciller le consensus Fauci-Gates sur le confinement fondé sur la « fausse science » . Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC) est dirigé par le Dr George Gao Fu, un collègue d'Anthony Fauci, et al. Anthony Fauci est le mentor du Dr Gao Fu.
Le décret de tolérance zéro de la Chine face au COVID-19 est un « copier-coller » du confinement du 11 mars 2020 (basé sur de « fausses données scientifiques ») parrainé par Anthony Fauci, Bill Gates et al. sous les auspices de l'OMS (en étroite consultation avec le Forum économique mondial). Le décret de tolérance zéro de la Chine face au COVID-19 repose sur une campagne de peur.
À la mi-juillet 2022, les autorités sanitaires chinoises ont annoncé que plusieurs grandes zones urbaines avaient reçu l'ordre de mettre en œuvre le mandat de tolérance zéro COVID comme moyen de lutter contre la « sous-variante hautement transmissible d'Omicron BA.5 » .
La main d'oeuvre a été confinée dans un grand nombre de villes industrielles, ce qui a conduit au chaos économique et social ainsi qu'à un déclin dramatique de l'activité économique. Selon Reuters :
La lignée BA.5 [sous-variante], qui se propage rapidement dans de nombreux autres pays, a été détectée dans des villes comme Xian dans la province du Shaanxi et Dalian dans la province du Liaoning, … Elle a été découverte pour la première fois en Chine le 13 mai chez un patient qui s'était rendu à Shanghai en avion depuis l'Ouganda, a indiqué le Centre chinois de prévention et de contrôle des maladies , sans qu'aucune infection locale ne soit liée au cas ce mois-là .
Ce « patient » d’Ouganda a-t-il fait le test PCR à son retour en Chine ? Les variants et sous-variants ne peuvent en aucun cas être détectés par le test PCR (le virus SARS-CoV-2 originel ne peut pas être détecté par le test PCR, voir chapitre III).
Un grand nombre de zones urbaines ont été fermées dans les principales régions de Chine. Le 11 juillet 2022, la Commission nationale de la santé de Chine a confirmé les données suivantes pour la Chine continentale 45 :
un total de 352 nouvelles infections à la COVID transmises localement ont été enregistrées le 10 juillet, 46 nouveaux cas symptomatiques et 306 nouveaux cas asymptomatiques. 46 nouveaux cas symptomatiques sur une population de 1,45 milliard de personnes ne justifient pas la fermeture des principales zones urbaines chinoises.
Déstabilisation économique : Shanghai et l'économie mondiale Les impacts de ces mesures mises en place par la Commission nationale de la santé chinoise et le CCDC chinois ont mis en péril les chaînes d’approvisionnement du pays .
La « tolérance zéro face au COVID » a contribué à déstabiliser le secteur financier de Shanghai ainsi que son économie d'exportation dynamique. Elle a également contribué à affaiblir les transports intérieurs et les lignes d'approvisionnement en matières premières.
Depuis la mi-avril 2022 (coïncidant avec le confinement de Shanghai), le yuan (CNY) a brusquement baissé par rapport au dollar américain (USD).
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Graphique du taux de change du yuan chinois au dollar américain (Source : Xe)
Le volume des échanges de matières premières entrant et sortant du port de Shanghai (et d’autres grandes villes portuaires) a diminué, ce qui a inévitablement une incidence sur la disponibilité des matières premières « Made in China » dans le monde entier.
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Produits fabriqués en Chine (Par ThiNguyen2021 , sous licence CC BY-SA 4.0)
Le « Made in China » est l’épine dorsale du commerce de détail qui soutient de manière indélébile la consommation des ménages dans pratiquement toutes les grandes catégories de produits , des vêtements aux chaussures, en passant par le matériel informatique, l’électronique, les téléphones portables, les téléviseurs, les jouets, les bijoux, les appareils électroménagers, l’alimentation, etc. Demandez au consommateur américain : la liste est longue.
Les importations en provenance de Chine représentent une activité lucrative de plusieurs milliards de dollars. Elles sont une source de profits et de richesses considérables pour les États-Unis, car les biens de consommation importés de Chine, pays à bas salaires, sont souvent vendus au détail à un prix plus de dix fois supérieur à leur prix d'usine.
Le commerce mondial des matières premières, tant au niveau du gros que du détail, est en crise. Les conséquences potentielles dans toutes les grandes régions du monde sont dévastatrices : pénuries mondiales de biens de consommation essentiels, conjuguées à des pressions inflationnistes.
Ces développements affectent également la souveraineté de la Chine en tant qu’État-nation à l’économie affaiblie, sans parler de son initiative « Ceinture et Route ».
Dans le contexte de la crise actuelle, notamment du « pivot vers l’Asie » de Washington, il existe de graves implications géopolitiques qui ont un impact direct sur la confrontation entre la Chine et les États-Unis.
Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, The Shanghai “COVID Zero Tolerance Mandate”. Une dépression artificielle de l'économie chinoise ?
L’industrie automobile à l’arrêt : une pénurie artificielle dans la production de semi-conducteurs ? L'industrie automobile mondiale a connu une baisse de 15 % de sa production en 2020. Le déclin de 2021-22 est important, affectant principalement la production au Japon, en Corée du Sud et en Chine.
Ce déclin a été accentué par une pénurie de semi-conducteurs :
« Les constructeurs automobiles, qui dépendent de dizaines de puces pour construire un seul véhicule, ont été particulièrement touchés, contraints d’arrêter leurs chaînes de production dans le monde entier en attendant l’approvisionnement en puces. Cette débâcle devrait coûter à l’industrie automobile 450 milliards de dollars de ventes mondiales… En septembre 2021, Toyota a été contraint de réduire la production dans 14 usines au Japon en raison d’un manque de semi-conducteurs. Certaines de ces réductions se poursuivront en octobre en raison d’un manque de composants en provenance d’Asie du Sud-Est, a déclaré Toyota . » ( Washington Post , septembre 2021) 46
Les semi-conducteurs constituent un produit stratégique, utilisé dans de nombreux secteurs, notamment l’électronique, les appareils médicaux, les réseaux électroniques et de communication, etc.
Il existe des indices de possibles manipulations qui ont conduit à des pénuries artificielles de semi-conducteurs affectant un certain nombre de secteurs clés de l’économie mondiale.
Cela a des implications géopolitiques. Le plus grand producteur mondial de semi-conducteurs est la Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC).
« Perturbations de la chaîne d’approvisionnement » mondiale et relations de demande Les confinements décrétés à partir du 11 mars 2020 ont déclenché un processus de déstabilisation économique mondial qui affecte directement les relations entre « offre » et « demande » . Il s’agit de la crise économique la plus grave de l’histoire mondiale, touchant simultanément plus de 190 pays.
L’« offre » concerne la production de biens et de services, à savoir les activités de « l’économie réelle ».
La « demande » fait référence à la capacité des ménages, compte tenu de leur pouvoir d’achat, à acquérir des biens et des services essentiels.
Les relations entre l’offre et la demande sont toutes deux menacées.
Partout dans le monde, de larges secteurs de l’industrie, de l’agriculture et des services urbains sont à l’arrêt. Les mesures de confinement mises en place en mars 2020 ont provoqué des faillites et du chômage, qui ont à leur tour favorisé un processus de désengagement des ressources humaines (travail) et des actifs productifs du paysage économique.
Du côté de l’offre , on assiste à une contraction massive de la production et de la disponibilité des biens et services (matières premières). Des secteurs entiers de l’économie mondiale ne produisent plus , des pénuries de certaines matières premières et services sont apparues. À leur tour, les canaux de transport terrestres et maritimes (par exemple le commerce de conteneurs) sont perturbés depuis mars 2020.
Du côté de la demande , le chômage de masse et la pauvreté provoqués par les mesures de confinement ont contribué à un effondrement sans précédent du pouvoir d’achat (des familles et des ménages du monde entier), ce qui a entraîné à son tour l’effondrement de la demande de biens et de services. La pauvreté est endémique, de larges pans de la population mondiale n’ont pas d’argent pour acheter de la nourriture et des biens de consommation essentiels.
La contraction de la production (offre) couplée à l’effondrement du pouvoir d’achat (demande) conduit à une profonde dépression économique mondiale, accompagnée de pressions inflationnistes.
L'effondrement du pouvoir d'achat résultant du chômage de masse a conduit à une crise croissante de l'endettement personnel , qui se traduit notamment par l'incapacité à payer le loyer mensuel et les mensualités hypothécaires. Ce processus conduit finalement à la confiscation des biens immobiliers.
Aux États-Unis, 68 % des personnes en retard de paiement de leur loyer (chiffres de mai 2021) se sont retrouvées au chômage à cause du confinement.
Ces évolutions sont imputées de manière désinvolte aux « retombées économiques de la pandémie », sans analyser comment l’échec des politiques de confinement a contribué à déclencher le chaos économique et le chômage dans le monde entier.
La crise budgétaire de l'État-nation
Les activités du secteur public financées par l’État, notamment la santé, l’éducation, la culture, les sports et les arts, sont en danger. Pendant ce temps, aux États-Unis, l’administration Biden a favorisé une augmentation massive des dépenses liées à la défense et à la sécurité ainsi qu’à la biotechnologie, en accordant des aides généreuses aux grandes sociétés pharmaceutiques et au complexe militaro-industriel.
Depuis le début de la crise du coronavirus, la dette publique de chaque pays a grimpé en flèche, en grande partie à cause du chaos économique.
Les entreprises en faillite ne paient plus d’impôts. Les chômeurs (sans revenus) ne paient plus d’impôts. L’argent des impôts ne rentre plus dans les caisses de l’État.
L’augmentation du chômage et de la pauvreté à l’échelle mondiale, conjuguée aux faillites, a conduit à une crise budgétaire sans précédent.
À leur tour, les recettes publiques ont été réorientées vers le financement des aides aux entreprises.
L’appropriation privée des richesses a précipité une crise mondiale de la dette. Dans tous les pays, la dette publique a grimpé en flèche.
Mesures d’austérité massives, insolvabilité mondiale
Les gouvernements nationaux ont eu recours à des aides généreuses et à des filets de sécurité sociale pour faire respecter et accepter les mesures liées à la COVID-19 . Ces aides (y compris les prêts à 0 %) sont vouées à être supprimées et remplacées par les mesures d’austérité les plus drastiques de l’histoire du monde.
Une dette publique impayable de plusieurs milliers de milliards de dollars se développe à l’échelle mondiale , associée à un processus que l’on pourrait décrire comme « l’insolvabilité mondiale ».
Les créanciers de l’État sont « Big Money » et, en fin de compte, ce sont eux qui décident.
L’enrichissement de la classe des milliardaires a également contribué à la déstabilisation de l’État-nation (voir chapitre V).
Ce qui se déroule également, c’est la « privatisation de l’État-nation », avec notamment la disparition progressive de « l’État-providence » et de ses institutions publiques (éducation, santé, culture).
Notes de fin
1 Allison Aubrey, 31 janvier 2020. Trump déclare le coronavirus comme une urgence de santé publique et restreint les voyages en provenance de Chine. https://www.npr.org/sections/health-shots/2020/01/31/801686524/trump-declares-coronavirus-a-public-health-emergency-and-restricts-travel-from-c
2 The Economist, 17 février 2020. Le coronavirus propage le racisme contre et parmi les Chinois d'origine ethnique. https://www.economist.com/china/2020/02/17/the-coronavirus-spreads-racism-against-and-among-ethnic-chinese
3 Wallis Wang, 13 février 2020. La communauté chinoise de Grande-Bretagne confrontée au racisme face à l'épidémie de coronavirus. https://www.scmp.com/video/world/3050436/britains-chinese-community-faces-racism-over-coronavirus-outbreak
4 Prof Michel Chossudovsky, 5 novembre 2020. La pandémie de coronavirus et la guerre commerciale de Trump contre la Chine : la dépendance de l'Amérique au « Made in China ». Perturbation potentielle de l'économie américaine. https://www.globalresearch.ca/the-corona-pandemic-and-trumps-trade-war-against-china-americas-dependence-on-made-in-china-potential-disruption-of-the-us-economy/5713552
5 Financial Times, 11 mai 2020. Le découplage économique entre les États-Unis et la Chine s'accélère au premier trimestre 2020. https://www.ft.com/content/115fc14f-4a8a-45da-8688-c59605a5191a
6 Joe Mcdonald, 14 janvier 2022. L'excédent commercial de la Chine a atteint un record en 2021, les exportations ayant bondi de 30 % dans un contexte de demande pandémique. https://time.com/6139334/china-record-trade-surplus-2021/
7 OMS, 20 février 2020. Allocution d'ouverture du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 le 20 février 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19-on-20-february-2020
9 Maggie Fitzgerald, 17 septembre 2019. Plus de 60 % de la richesse de Bill Gates est investie en actions. https://www.cnbc.com/2019/09/17/bill-gates-gave-away-35-billion-this-year-but-net-worth-didnt-drop.html
10 Fred Imbert, Maggie Fitzgerald et al., 28 février 2020. Récapitulatif du marché boursier du vendredi : le Dow perd 3 500 points sur la semaine, clôture à des plus bas, la Fed promet son soutien. https://www.cnbc.com/2020/02/28/stock-market-live-updates-dow-loses-3200-points-and-counting-on-week-bond-yields-collapsing.html
11 OMS, 12 mars 2020. Rapport de situation sur la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) – 52. https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200312-sitrep-52-covid-19.pdf
12 Pipa Stevens, Maggie Fitzgerald, et al., 12 mars 2020. Bourse en direct jeudi : le Dow Jones chute de 2 300 points lors de sa pire journée depuis le lundi noir, marché baissier du S&P 500. https://www.cnbc.com/2020/03/12/stock-market-today-live.html
13 WEF, nd La Grande Réinitialisation. https://www.weforum.org/great-reset/
14 OCDE, 15 juillet 2020. Coronavirus (COVID-19) : Réponses des pouvoirs publics aux PME. https://www.oecd.org/coronavirus/policy-responses/coronavirus-covid-19-sme-policy-responses-04440101/
17 OCDE, 15 juillet 2020. Coronavirus (COVID-19) : Réponses des pouvoirs publics aux PME. https://www.oecd.org/coronavirus/policy-responses/coronavirus-covid-19-sme-policy-responses-04440101/
18 Michael Snyder, 10 décembre 2020. 48 % des petites entreprises américaines craignent d’être bientôt obligées de « fermer définitivement ». https://www.globalresearch.ca/48-us-small-businesses-fear-forced-shut-down-permanently-soon/5732050
19 Chuck Casto, 25 novembre 2020. Alignable : 48 % des petites entreprises risquent de fermer au quatrième trimestre, selon un nouveau sondage. https://www.alignable.com/forum/alignable-48-of-small-businesses-risk-closing-for-good-new-poll
20 OIT, 23 septembre 2020. La COVID-19 entraîne des pertes massives de revenus du travail dans le monde entier. https://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_755875/lang–en/index.htm
21 OIT, 17 janvier 2022. L'OIT abaisse ses prévisions de reprise du marché du travail pour 2022. https://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_834117/lang–en/index.htm
22 Ned Temko, 6 mai 2020. Pas d'emploi, alors quel avenir ? La moitié de la main-d'œuvre mondiale est à la limite du possible. https://www.csmonitor.com/World/2020/0506/No-jobs-so-what-future-Half-the-world-s-workforce-on-the-edge
23 Claire Hansen, 2 décembre 2020. Quelque 12 millions de personnes vont perdre leur aide au chômage après Noël, les mesures de relance étant encore incertaines. https://www.usnews.com/news/national-news/articles/2020-12-02/some-12-million-to-lose-unemployment-aid-after-christmas-with-stimulus-still-uncertain
24 Ibid.
25 Stephen Lendman, 2 décembre 2020. Des millions d'Américains sont susceptibles d'être expulsés. https://www.globalresearch.ca/millions-americans-vulnerable-eviction/5730985
26 Statista, janvier 2022. Taux de chômage dans certains pays européens en novembre 2021. https://www.statista.com/statistics/1115276/unemployment-in-europe-by-country/
27 James Poulter, 15 septembre 2020. L'Europe est confrontée à une crise du chômage des jeunes. https://www.vice.com/en/article/v7gknm/europe-is-facing-a-youth-unemployment-crisis
28 OIT, 1er juillet 2020. OIT : La forte hausse du chômage en Amérique latine et dans les Caraïbes laisse des millions de personnes sans revenus. https://www.ilo.org/caribbean/newsroom/WCMS_749692/lang–en/index.htm
29 Semana, 19 août 2020. Colombie, le troisième pays que plus d'emplois ont perdu en Amérique Latine. https://www.semana.com/empresas/confidencias-on-line/articulo/empleos-que-mas-se-perdieron-en-america-latina-segun-el-bid/296265/
30 Forbes, 3 juin 2020. Un exemple au Mexique gagne 25 % de la population : Heath. https://www.forbes.com.mx/economia-desempleo-mexico-casi-25-poblacion-heath/
31 FAO et PAM, juillet 2020. Analyse des alertes précoces FAO-PAM sur les foyers d'insécurité alimentaire aiguë. https://www.fao.org/3/cb0258en/CB0258EN.pdf
32 Global Research News, 4 décembre 2020. Inde : la plus grande grève de l'histoire du monde : plus de 200 millions de travailleurs et d'agriculteurs protestent contre la pauvreté et le chômage déclenchés par le confinement lié au Covid. https://www.globalresearch.ca/india-largest-strike-in-world-history-over-200-million-workers-and-farmers-paralyze-india/5731395
33 Ibid.
34 Ibid.
35 Feeding America, mars 2021. L'impact du coronavirus sur l'insécurité alimentaire en 2020 et 2021. https://www.feedingamerica.org/sites/default/files/2021-03/National%20Projections%20Brief_3.9.2021_0.pdf
36 Stephen Lendman, 3 octobre 2020. La crise du Covid a déclenché un chômage de masse en Amérique : plus d'un million de demandes d'assurance-chômage aux États-Unis pendant 28 semaines consécutives. https://www.globalresearch.ca/over-one-million-ui-claims-us-28-straight-weeks/5725527
37 Jason Miks et John McIlwaine, 20 avril 2020. Assurer l'apprentissage des enfants du monde entier pendant la pandémie de COVID-19. https://www.unicef.org/coronavirus/assurer-l-apprentissage-des-enfants-du-monde-pendant-la-pandémie-de-covid-19
38 UNESCO, nd Éducation : de la perturbation à la reprise. https://fr.unesco.org/covid19/educationresponse
39 Adam Behsudi, décembre 2020. Les économies dépendantes du tourisme sont parmi celles qui ont le plus souffert de la pandémie. https://www.imf.org/external/pubs/ft/fandd/2020/12/impact-of-the-pandemic-on-tourism-behsudi.htm
40 Margaux MacDonald, Roberto Piazza et al., 2 septembre 2020. Un guide simple pour estimer l'impact de la COVID-19 sur les activités de voyage et d'accueil. Lien PDF
41 Conseil mondial du voyage et du tourisme, 11 novembre 2020. Les États-Unis pourraient perdre 9,2 millions d'emplois en 2020 en raison du COVID-19 et des restrictions de voyage, selon le WTTC. https://wttc.org/Portals/0/Documents/Press%20Releases/US-looks-set-to-lose-9-million-jobs-in-2020-due-to-COVID-19-and-travel-restrictions.pdf
42 Abigail Ng, 8 octobre 2020. Plus de 40 compagnies aériennes ont fait faillite jusqu'à présent cette année, et d'autres devraient suivre. https://www.cnbc.com/2020/10/08/over-40-airlines-have-failed-in-2020-so-far-and-more-are-set-to-come.html
43 Global Times, 4 avril 2022. Plus de 38 000 travailleurs médicaux déployés pour aider Shanghai dans la bataille d'Omicron, le nombre le plus élevé depuis Wuhan début 2020. https://www.globaltimes.cn/page/202204/1257497.shtml
44 Roxanne Liu et Ryan Woo, 11 juillet 2022. Mise à jour 3 - Shanghai prévoit davantage de tests COVID dans le contexte de nouvelles restrictions à travers la Chine. https://ca.news.yahoo.com/1-shanghai-braces-more-mass-040242739.html
45 Ibid.
46 Jeanne Whalen, 23 septembre 2021. La pénurie de semi-conducteurs qui a entravé la production mondiale s'aggrave. https://www.washingtonpost.com/us-policy/2021/09/23/chip-shortage-forecast-automakers/
47 Sarah Treuhaft, Michelle Huang, et al., 16 septembre 2021. La dette locative en Amérique : la stabilisation des locataires est essentielle à une reprise équitable. https://nationalequityatlas.org/rent-debt-in-america
L'enrichissement des super riches L'appropriation et la redistribution des richesses
On attribue à « V le virus » la responsabilité de la vague de faillites et de chômage. C’est un mensonge. Il n’existe aucun lien de cause à effet entre le virus et les variables économiques.
Il faut s'attaquer au processus de décision. Ce sont les puissants financiers et les milliardaires qui sont derrière ce projet qui ont contribué à la déstabilisation (mondiale) de l'économie réelle.
Depuis début février 2020, les super riches ont encaissé des milliards de dollars. En l’espace de quatre mois, coïncidant avec le confinement du 11 mars 2020, la richesse totale détenue par les milliardaires du monde entier est passée de 8 000 milliards de dollars à plus de 10 000 milliards de dollars.
La crise du coronavirus se caractérise par trois phases distinctes, chacune marquée par des changements majeurs dans la répartition de la richesse mondiale.
La crise financière qui a débuté le 20 février a entraîné une redistribution spectaculaire des richesses et de la propriété des actifs financiers. La connaissance préalable, les informations privilégiées et les opérations spéculatives ont joué un rôle essentiel. La déclaration du Dr Tedros de l'OMS du 20 février était-elle fondée sur une connaissance préalable et/ou des informations privilégiées ? (Voir chapitre IV) Le 11 mars, les économies nationales de 190 États membres de l’ONU ont été mises à l’arrêt et ont été bloquées, provoquant des faillites d’entreprises et de PME dans le monde entier. L’événement du 11 mars a également marqué la chute des marchés boursiers du monde entier, à partir du jeudi noir, le 12 mars 2020 (voir chapitre IV). La troisième étape de l’enrichissement des milliardaires concerne la mise en œuvre en 2021-2022 de « confinements partiels », de mandats politiques et de mesures restrictives qui ont contribué à déclencher une nouvelle vague de faillites et de chaos économique. La redistribution des richesses en faveur de la classe des milliardaires est confirmée par une étude de l’IPS résultant de la fermeture de l’économie mondiale en mars 2020. 1
Au niveau mondial, les milliardaires ont été les grands gagnants pendant la pandémie de COVID-19.
Selon un rapport UBS 2020 , environ 2 189 milliardaires dans le monde ont une richesse estimée à 10,2 billions de dollars .
Il s’agit d’une augmentation estimée à 1,5 billion de dollars au cours de la pandémie de 2020, selon les données des milliardaires d’UBS et de Forbes de 2019.
Le rapport d’UBS pose la question : les milliardaires sont-ils des « innovateurs » ou des « perturbateurs » ?
Une fois la tempête passée, une nouvelle génération d'innovateurs milliardaires devrait jouer un rôle essentiel dans la réparation des dégâts. En s'appuyant sur le répertoire croissant de technologies émergentes, les innovateurs de demain numériseront, rafraîchiront et révolutionneront l'économie.
Ne nous faisons pas d’illusions, ces milliardaires corrompus sont des « appauvrisseurs ».
« Armes financières de destruction massive » (AFDM) Bien que le rapport d’UBS et de Forbes (cité ci-dessus) ne parvienne pas à expliquer comment la pandémie de COVID-19 a contribué à cette redistribution massive des richesses, ils confirment néanmoins que « la richesse collective des milliardaires a augmenté à son rythme le plus rapide au cours de la dernière décennie ». 3
En fait, il s’agit de la plus grande redistribution de la richesse mondiale de l’histoire. Elle repose sur un processus systématique d’appauvrissement à l’échelle mondiale. C’est un acte de guerre économique.
Les milliardaires n’ont pas seulement été les bénéficiaires de généreux « plans de relance gouvernementaux » (c’est-à-dire des aides), l’essentiel de leurs gains financiers depuis le début de la campagne de peur du COVID début février 2020 était le résultat de délits d’initiés, de transactions sur produits dérivés et de manipulations des marchés financiers et des marchés des matières premières.
Warren Buffett identifie à juste titre ces instruments spéculatifs (soutenus par des algorithmes sophistiqués) comme des « armes financières de destruction massive ».
Le 18 mars 2020 (coïncidant avec le confinement aux États-Unis), les milliardaires américains disposaient d’une richesse combinée de 2 947 milliards de dollars. Le 8 octobre 2020, leur richesse avait bondi à 3 800 milliards de dollars , soit une augmentation monétaire de 850 milliards de dollars, soit une augmentation de leur richesse combinée de l’ordre de plus de 28 % (voir l’étude IPS 4 ).
Cette estimation ne tient pas compte de l’augmentation de la richesse au cours de la période précédant le 18 mars 2020, marquée par une série de krachs boursiers.
Et à partir de fin 2020, la classe des milliardaires a été impliquée dans le maintien d’une deuxième vague de confinement impliquant la fermeture partielle de l’économie mondiale.
Le tableau ci-dessous identifie l’augmentation de la richesse personnelle des cinq milliardaires américains les plus riches (du 18 mars au 17 juin 2020). (Le tableau ne mentionne pas la richesse des milliardaires américains, qui a augmenté de 266 milliards de dollars supplémentaires de juin à octobre 2020).
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Source : Institut d'études politiques
Croissance de la richesse des milliardaires (mars 2020 – mars 2021) résultant de la mise en œuvre du confinement de mars 2020, Chuck Collins (dans une étude incisive publiée par Inequality.org ) estime la croissance de la richesse des milliardaires sur une année complète, sur la base des données Forbes compilées dans ce rapport par l'ATF et l'IPS. 6,7
Le 18 mars [2020] est utilisé comme le début officieux de la crise car à ce moment-là, la plupart des restrictions économiques fédérales et étatiques en réponse au virus étaient en place. Le 18 mars était également la date choisie par Forbes pour mesurer la richesse des milliardaires pour l'édition 2020 de son rapport annuel sur les milliardaires, qui a fourni une base de référence que l'ATF et l'IPS comparent périodiquement avec les données en temps réel du site Web de Forbes. PolitiFact a évalué favorablement cette méthodologie.
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Source : données Forbes analysées par Americans for Tax Fairness et l'Institute for Policy Studies
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Source : Institut d'études politiques
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Source : données Forbes analysées par Americans for Tax Fairness et l'Institute for Policy Studies
L'enrichissement des grandes sociétés pharmaceutiques
Le rapport Forbes souligne l'enrichissement des PDG des grands conglomérats pharmaceutiques occidentaux et chinois impliqués dans le vaccin COVID ainsi que dans la vente lucrative (dans le monde entier) de masques faciaux et de fournitures médicales.
Il s'agit notamment du PDG de Moderna, Stéphane Bancel , et du co-fondateur de BioNTech, Uğur Şahin .
Les grandes sociétés pharmaceutiques chinoises sont des partenaires à part entière de ce processus d'enrichissement. Parmi les PDG de plusieurs sociétés pharmaceutiques basées en Chine figurent CanSino Biologics de Tianjin, Inco, Contec Medical Systems de Shenzhen et Sansure Biotech, qui fabrique des tests COVID-19, ainsi que le conglomérat chinois de vaccins Sinovac.
Parmi les multimilliardaires de l'industrie pharmaceutique chinoise figure Li Jianquan , président du fabricant chinois de produits médicaux Winner Medical. Plusieurs des produits liés à la pandémie de COVID-19, notamment les masques faciaux, sont fabriqués par Winner Medical.
Li Jianquan a une valeur nette de 6,8 milliards de dollars (pour plus de détails, voir le rapport Forbes ). 10
Pour la liste complète des milliardaires en 2020-2021, consultez la liste Forbes .
En 2022, Forbes a signalé une redistribution de la richesse des milliardaires dans le monde au détriment de la Russie et de la Chine. 34 milliardaires de moins en Russie (par rapport à 2021) et « 87 milliardaires chinois de moins sur la liste » :
« L’Amérique reste en tête du classement mondial, avec 735 milliardaires valant 4,7 billions de dollars, dont Elon Musk, qui arrive en tête du classement des milliardaires mondiaux pour la première fois. La Chine (y compris Macao et Hong Kong) reste en deuxième position, avec 607 milliardaires valant 2,3 billions de dollars. »
Pour la liste complète des milliardaires mondiaux de 2022, consultez le classement des milliardaires en temps réel de Forbes .
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L'enrichissement des milliardaires et la disparition de l'exploitation agricole familiale Le déclin continu de l’agriculture familiale a été exacerbé par les politiques de confinement.
Bill Gates utilise l’argent alloué pendant la crise financière pour étendre son contrôle sur les entreprises dans diverses activités économiques, « en achetant des actifs dévalués à des prix défiant toute concurrence », y compris l’acquisition de terres agricoles ( voir Robert F. Kennedy, Jr. sur le néo-féodalisme ).
Selon The Land Report (février 2021), Bill et Melinda Gates sont désormais les plus grands propriétaires agricoles des États-Unis, au détriment de l'agriculture familiale, qui au fil des années a été poussée à la faillite.
Le portefeuille de Gates comprend « 242 000 acres de terres agricoles américaines et près de 27 000 acres d’autres terres en Louisiane, en Arkansas, au Nebraska, en Arizona, en Floride, à Washington et dans 18 autres États » (voir l’analyse de Robert F. Kennedy, Jr.). 13
La carte ci-dessous indique que la famille Gates a perdu 268 984 acres de terres. Cela équivaut à l'expropriation de fait de milliers de fermes familiales sur une vaste zone des États-Unis.
Ce processus, mené par l’accumulation des dettes et des faillites, a commencé avant la pandémie et se poursuivra très probablement dans le cadre de ce que l’on appelle la « nouvelle normalité ».
Ce graphique est basé sur un rapport de 2021 de The Land Report
La richesse des milliardaires n’est pas le résultat de la croissance économique Cet enrichissement d’une minorité sociale ne repose pas sur la création de « nouvelles richesses » résultant d’une croissance économique réelle. Bien au contraire. Il est le résultat d’une dépression économique mondiale orchestrée.
Le processus d’ enrichissement des milliardaires se nourrit du chaos économique et social. Il s’appuie largement sur la « campagne de peur » et sur la déstabilisation mondiale des marchés financiers et de l’économie réelle.
Elle a contribué à déclencher un processus sans précédent de redistribution des revenus et des richesses , plongeant de larges pans de la population mondiale dans l’extrême pauvreté.
L’enrichissement milliardaire implique l’acquisition d’actifs économiques et financiers à des prix défiant toute concurrence, le rachat d’entreprises en faillite dans des secteurs majeurs de l’activité économique, la manipulation des marchés (obligations, actions, matières premières, devises, etc.) y compris l’utilisation d’instruments spéculatifs, le commerce de produits dérivés, impliquant une « connaissance préalable » et des « informations privilégiées » (voir chapitre IV).
Notes de fin
1 Chuck Collins, 8 octobre 2020. La richesse des milliardaires américains a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars. https://ips-dc.org/us-billionaire-wealth-up-850-billion/
2 UBS, 2020. Surfer sur la tempête : les turbulences du marché accélèrent les fortunes divergentes. https://www.ubs.com/content/dam/static/noindex/wealth-management/ubs-billionaires-report-2020-spread.pdf
3 Ollie A. Williams, 6 octobre 2020. La fortune des milliardaires atteint 10 000 milliards de dollars pour la première fois grâce aux mesures de relance du gouvernement : UBS. https://www.forbes.com/sites/oliverwilliams1/2020/10/06/billionaire-wealth-hits-10-trillion-for-first-time-ever-thanks-to-government-stimulous/?sh=49cd0e6549ba
4 Chuck Collins, 8 octobre 2020. La richesse des milliardaires américains a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars. https://ips-dc.org/us-billionaire-wealth-up-850-billion/
5 Prof Michel Chossudovsky, 7 novembre 2020. La feuille de route de la Covid-19 : vers le chaos économique mondial et la destruction de la société. https://www.globalresearch.ca/the-covid-19-roadmap-towards-economic-chaos-and-societal-destruction/5725602
6 Chuck Collins, 23 mars 2021. Qui sont les 10 plus grands profiteurs de la pandémie ? https://inequality.org/great-divide/10-biggest-pandemic-profiteers/
7 Americans for Tax Fairness et IPS, 18 mars 2021. Données sur les milliardaires. https://docs.google.com/spreadsheets/d/15n35QH3mq7jxxLmOnrcn2LGtMSssi-x1aCU9_2V9YVM/edit#gid=1259834744
8 Nusaiba Mizan, 12 octobre 2020. Biden affirme que les milliardaires ont gagné 800 milliards de dollars, mais une étude examine la croissance depuis que le marché a atteint son point bas. https://www.politifact.com/factchecks/2020/oct/12/joe-biden/biden-says-billionaires-gained-800-billion-study-l/
9 Giacomo Tognini, 6 avril 2021. Rencontrez les 40 nouveaux milliardaires qui se sont enrichis en combattant le Covid-19. https://www.forbes.com/sites/giacomotognini/2021/04/06/meet-the-40-new-billionaires-who-got-rich-fighting-covid-19/?sh=278895b117e5
12 Robert F. Kennedy Jr., 4 février 2021. Bill Gates et le néo-féodalisme : un regard plus approfondi sur le projet de loi Farmer. https://www.globalresearch.ca/bill-gates-neo-feudalism-closer-look-farmer-bill/5736504
« Si nous ne nous opposons pas dès maintenant à cette folie du confinement, nous sommes complices du meurtre de l’âme de nos enfants ! Pourtant, la majorité des parents et des éducateurs des jardins d’enfants et des écoles… acceptent en silence que des gouvernements corrompus poussent leurs enfants à la folie, voire au suicide, et étranglent ainsi notre avenir à tous. » – Rudolf Haensel, septembre 2021
« Le sourire est une expression faciale qui existe depuis l’aube de l’humanité. C’est une caractéristique inhérente à l’être humain. Couplé à la distanciation sociale obligatoire, le masque Covid cache notre visage et nous empêche d’exprimer nos sentiments lorsque nous rencontrons et interagissons avec nos semblables. Ces obligations créent une aura de désespoir social. Le sourire et le rire réduisent le stress, encouragent le dialogue, l’échange, la solidarité, la résolution des conflits. Le sourire constitue également un moyen de faire face à la campagne de peur du Covid-19 . » – Michel Chossudovsky , mai 2022
« Nous avons constaté un autre coût, notamment dans les lycées. Nous constatons malheureusement aujourd’hui un nombre de suicides bien plus élevé que de décès dus au COVID. Nous constatons un nombre de décès par overdose bien plus élevé », – Dr Robert Redfield , ancien directeur du CDC, 14 juillet 2020
Introduction
Distanciation physique, Corona, Covid-19
La situation de santé mentale de plusieurs milliards de personnes dans le monde due au coronavirus est le résultat de
l’ingénierie sociale incluant le confinement, l’isolement, la distanciation sociale et le masque, la campagne de peur incessante menée 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements, la montée du chômage, de la pauvreté de masse et du désespoir déclenchée par la déstabilisation mondiale des économies nationales. Image : Licence Pixabay / Aucune attribution requise
Les psychiatres ont évoqué les « impacts négatifs » sur la santé mentale liés aux facteurs mentionnés ci-dessus. Confirmés par des rapports évalués par des pairs, les confinements ont également favorisé le déclenchement de dépressions, d’incertitudes et d’anxiété.
« On craint que la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19) ait un impact négatif sur la santé mentale de la population générale par le biais d’une série de mécanismes suggérés : la peur, l’incertitude et l’anxiété ; la distanciation sociale/l’isolement ; la solitude ; et les répercussions économiques. » 1
L’image globale des impacts de la crise du coronavirus sur la santé mentale n’est pas encore complètement établie. Notre analyse se concentrera sur les questions suivantes pour lesquelles des données sont disponibles :
l’augmentation spectaculaire des suicides dans le monde entier dans les pays où le confinement a été imposé, l’augmentation de la mortalité attribuable aux surdoses de drogues (cocaïne, opioïdes), l’augmentation de l’alcoolisme résultant d’une hausse de la consommation d’alcool.
Hausse mondiale des suicides
L’OMS n’a pas rendu compte des décès par suicide depuis le début de la pandémie. De même, au moment de la rédaction du présent rapport, les statistiques sur les suicides aux États-Unis pour 2021-22 ne sont pas disponibles. Notre analyse repose en grande partie sur des rapports d’études de cas.
Suicides aux États-Unis
En 2019, les suicides étaient la dixième cause de décès aux États-Unis, 47 511 Américains se sont suicidés . 2 Le nombre estimé de tentatives de suicide en 2019 était de l'ordre de 1,38 million . 3
Les preuves sont rares.
Un rapport évalué par des pairs et parrainé par le CDC (Mark É. Czeisler, Rashon I. Lane, Emiko Petrosky, et al.) confirme que la perte d’emploi et de pouvoir d’achat au lendemain immédiat du confinement de mars 2020 a joué un rôle clé, en particulier parmi les groupes sociaux « vulnérables » et à faible revenu, dans le déclenchement d’une vague de dépression et d’anxiété, qui a abouti à ce qu’ils décrivent comme des « idées suicidaires » (penser à différentes façons de mourir). 4
Les auteurs confirment que :
Les symptômes des troubles anxieux et des troubles dépressifs ont considérablement augmenté aux États-Unis au cours de la période avril-juin 2020 par rapport à la même période en 2019 ( 1 , 2 ). ….
Le pourcentage de répondants ayant déclaré avoir sérieusement envisagé le suicide dans les 30 jours précédant la fin de l’enquête (10,7 %) était significativement plus élevé parmi les répondants âgés de 18 à 24 ans (25,5 %), les groupes ethniques/raciaux minoritaires (répondants hispaniques [18,6 %], répondants noirs non hispaniques [noirs] [15,1 %]), les aidants naturels non rémunérés autodéclarés pour adultes (30,7 %) et les travailleurs essentiels (21,7 %) .
Une autre étude confirme que « la distanciation sociale/l'isolement et la solitude » résultant des politiques de confinement sont des facteurs qui peuvent avoir contribué au suicide :
« Les conséquences secondaires de la distanciation sociale peuvent augmenter le risque de suicide », ont noté les chercheurs dans un article du 10 avril 2020 publié par l’American Medical Association. 6
« Il est important de prendre en compte les changements dans une variété de facteurs de risque économiques, psychosociaux et liés à la santé. » (Voir FEE )
Essentiellement, les chercheurs ont averti que l’isolement forcé pourrait s’avérer être « une tempête parfaite » pour le suicide . (soulignement ajouté) 7
La question centrale — qui n’est pas abordée par les rapports évalués par les pairs — est de savoir comment la perte d’emploi et de pouvoir d’achat provoquée par le confinement, associée au confinement, conduit à la dépression et au désespoir .
L'anxiété et la dépression résultant du chômage et de la perte de revenus sont un phénomène mondial, sans précédent dans l'histoire du monde. On observe des tendances similaires dans chaque pays. Les pays en développement à faible revenu comme l'Inde connaissent une situation de désespoir total qui touche de larges pans de la population.
Suicides en Inde
Le confinement en Inde a entraîné une hausse des suicides, conséquence de « graves difficultés… alors que des moyens de subsistance entiers ont été détruits, dans un contexte de crise de l’emploi qui s’aggrave ». 9
« Il n’est donc pas surprenant que le spectre du suicide ait fait son apparition, avec une augmentation du nombre de cas de personnes qui, sans prévoir de changement de fortune à l’horizon, se donnent la mort. »
Le Brookings Institute a également abordé le rôle de la crise du coronavirus dans le déclenchement des suicides en Inde :
Des données anecdotiques concernant l’Inde suggèrent une augmentation des suicides en milieu rural. L’Inde a instauré l’un des confinements les plus stricts au monde dans un contexte de taux de pauvreté élevés. … Les confinements ont entraîné l’entrée de millions d’Indiens supplémentaires dans la pauvreté et ont exacerbé l’un des taux de suicide les plus élevés au monde . On estime que le nombre de suicides supplémentaires se chiffre à plusieurs milliers.
Alors que le nombre total de suicides avait diminué de manière constante au cours des dernières années, 2020 a marqué la première fois au cours de la dernière décennie que le nombre de suicides augmentait à nouveau . ( Statista ) 11
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Notez la hausse des taux de suicide immédiatement après le confinement (Source : Ministère de la Santé, de la Protection sociale et du Travail/Graphique : Jason Kwok et Natalie Croker, CNN)
Cette tendance soudaine à la hausse a été déclenchée par les mesures de confinement liées au COVID-19. En 2020, environ 21 000 personnes se sont suicidées au Japon , 12
« Le nombre de suicides au Japon est bien plus élevé, sans doute exacerbé par les répercussions économiques et sociales de la pandémie, que par la maladie COVID-19 elle-même. […] Les statistiques provisoires de l’Agence nationale de police montrent que les suicides ont bondi à 2 153 rien qu’en octobre [2020], marquant le quatrième mois consécutif d’augmentation. » Rapport CBS de novembre 2020 (soulignement ajouté) 13
Le rapport ci-dessus confirme que les suicides parmi les femmes au Japon ont augmenté de façon spectaculaire à la suite du confinement de mars 2020. En octobre 2020 (par rapport à octobre de l'année précédente), les suicides féminins ont augmenté de 83 % (par rapport aux suicides masculins qui ont augmenté de 22 % sur la même période).
Suicides parmi les écoliers japonais
Un rapport de 2021 du ministère japonais de l'Éducation confirme que le suicide parmi les écoliers japonais a atteint un niveau record au cours de l'année scolaire 2020.
« Le Japon a enregistré 415 suicides parmi les écoliers âgés de 6 à 18 ans au cours de l’année scolaire 2020, soit le nombre le plus élevé depuis le début des relevés en 1974… Ce chiffre est 31 % supérieur à celui de l’année scolaire précédente, au cours de laquelle 317 écoliers étaient décédés. » 15
Le rapport du ministère de l’Éducation suggère que « la pandémie a provoqué des changements dans l’environnement scolaire et familial et a eu un impact sur le comportement des enfants »
Décès dus à une surdose de drogue Les principales catégories de médicaments opioïdes (CDC) sont les suivantes :
héroïne illégale opioïdes synthétiques tels que le fentanyl les soi-disant « analgésiques », notamment l’oxycodone (OxyContin®), l’hydrocodone (Vicodin®) codéine morphine etc.
Les médicaments énumérés ci-dessus sont « chimiquement liés et interagissent avec les récepteurs opioïdes des cellules nerveuses du corps et du cerveau » (CDC).
Enregistrée en 2020, la crise du coronavirus a contribué à une augmentation significative des ventes d'opioïdes et de cocaïne aux États-Unis.
D'après le CDC:
Les opioïdes synthétiques (classés par le CDC comme étant principalement du fentanyl fabriqué illicitement) semblent être le principal facteur de l’augmentation des décès par overdose, avec une augmentation de 38,4 % sur la période de 12 mois précédant juin 2019 par rapport à la période de 12 mois précédant mai 2020. …
Les décès par overdose impliquant de la cocaïne ont également augmenté de 26,5 % . … Les décès par overdose impliquant des psychostimulants, comme la méthamphétamine [produite par GSM], ont augmenté de 34,8 %. Le nombre de décès impliquant des psychostimulants dépasse désormais le nombre de décès liés à la cocaïne. 16 ( Rapport du CDC de décembre 2020) (soulignement ajouté)
Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont signalé en décembre 2020 que la pandémie pourrait avoir contribué à « une augmentation des surdoses mortelles de drogue ». Bien que les données soient incomplètes, le rapport des CDC confirme une augmentation considérable du nombre de décès attribuables à une surdose de drogue (liée à la consommation de cocaïne et d’opioïdes) :
Selon les Centers for Disease Control and Prevention , les overdoses de drogue ont été à l'origine de plus de 81 000 décès entre juin 2019 et mai 2020 , soit une augmentation de 18 % par rapport à la période de 12 mois précédente . Ces décès ont augmenté de 20 % ou plus dans 25 États et dans le District de Columbia, selon le rapport. 17 ( Rapport PBS )
Le graphique du CDC basé sur les valeurs prédites et rapportées (c'est-à-dire les nombres) de décès attribués aux surdoses de drogue révèle que le nombre mensuel a commencé à s'accélérer en février 2020. 18
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En avril 2020, 2 146 personnes sont mortes d'une overdose d'opioïdes, suivies de 3 388 décès en mai 2020, marquant les plus fortes augmentations mensuelles depuis 2015, lorsque le gouvernement fédéral a commencé à collecter ces données. 17 ( Cité dans le rapport de PBS )
Le graphique suivant présente les données mensuelles aux États-Unis. Au cours des mois précédant la crise du coronavirus (de juillet 2019 à janvier 2020), le nombre mensuel de décès par overdose de drogue était nettement inférieur à 1 000.
La hausse des prix a commencé en février (coïncidant avec la crise financière). Après le confinement de la mi-mars, les décès par overdose ont explosé.
En mai 2020, le nombre de décès par overdose a dépassé les 3 000, soit plus de trois fois plus que le nombre de décès par overdose enregistrés avant la crise du coronavirus. Aux États-Unis, le nombre mensuel de décès par overdose de drogue enregistrés en 2020 a plus que triplé .
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Graphique basé sur les données du CDC citées ci-dessus. Source : PBS
Des données plus récentes du CDC confirment que l’augmentation des décès attribuables aux surdoses de drogue continue d’augmenter :
De 71 130 décès en 2019 (fin décembre 2019) à 92 478 en 2020 (fin décembre 2020), soit une augmentation de 21 348 décès au cours de l'année 2020 par rapport à 2019. 19
Cette tendance à la hausse s’est poursuivie au cours de l’année 2021.
Au cours de la période de douze mois se terminant en juin 2021, le nombre de décès par surdose de drogue enregistrés a atteint près de 100 000 décès (fin juin 2021 : 98 022).
Décès liés aux opioïdes au Canada
La tendance observée au Canada est conforme à celle observée aux États-Unis. Une augmentation spectaculaire des décès liés aux opioïdes a été enregistrée en Ontario après le confinement d’urgence du 17 mars 2020, qui s’est accompagné d’une baisse du chômage suite à la fermeture de l’activité économique :
Le nombre de décès liés aux opioïdes a augmenté rapidement dans les semaines qui ont suivi la déclaration de l’état d’urgence en Ontario le 17 mars 2020. Dans l’ensemble, il y a eu une augmentation de 38,2 % des décès liés aux opioïdes au cours des 15 premières semaines de la pandémie de COVID-19 (695 décès; moyenne de 46 décès par semaine) par rapport aux 15 semaines immédiatement précédentes (503 décès; moyenne de 34 décès par semaine).
Il convient de noter qu’au cours de la pandémie, le fentanyl (opioïde pharmaceutique) a été responsable de 87 % des décès liés aux opioïdes (87,2 % [N = 538 sur 617]) par rapport à la cohorte pré-pandémique (79,2 % [N = 399 sur 504]).
Le graphique suivant donne une image claire de l’augmentation spectaculaire des visites aux urgences pour surdose d’opioïdes à Ottawa de janvier 2020 à décembre 2020.
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Source : Santé publique Ontario
La production et le commerce des opioïdes
Selon des sources de l'ONU, l'Afghanistan produit actuellement 94 % de l'opium mondial , qui est transformé en héroïne, en morphine et en opioïdes pharmaceutiques. Le commerce de l'héroïne est protégé . 23 La présence militaire américaine en Afghanistan joue un rôle clé. Il s'agit d'une opération de plusieurs milliards de dollars impliquant à la fois les cartels de la drogue (héroïne illégale) et (indirectement) Big Pharma, qui est impliquée dans la vente et la distribution d'opioïdes pharmaceutiques . 24
Plusieurs grandes sociétés pharmaceutiques impliquées dans la commercialisation du vaccin COVID-19, dont Pfizer et Johnson & Johnson, sont également impliquées dans la vente très rentable (et légale) d'opioïdes pharmaceutiques, qui, au cours de la crise du coronavirus (2020-2021), sont devenus l'une des principales sources de surdoses de médicaments.
Les grandes entreprises pharmaceutiques corrompues
Partout aux États-Unis, des collectivités locales ont pris position contre les géants pharmaceutiques en ce qui concerne les opioïdes. En 2019-20, un accord de plusieurs milliards de dollars sur les opioïdes a été conclu avec Purdue Pharma au nom de milliers de villes et de comtés américains.
« En octobre [2020], Purdue, le fabricant de l’Oxycontin, a admis avoir permis la fourniture de médicaments « sans but médical légitime », en versant des pots-de-vin illégaux à des médecins et à d’autres personnes pour prescrire ces médicaments, entre autres accusations. Il a accepté de payer 8,3 milliards de dollars. » ( BBC, 4 février 2021) 25
Au plus fort de la crise du coronavirus (novembre 2020) :
« Quatre grands distributeurs pharmaceutiques (Johnson & Johnson, McKesson, Cardinal Health, Amerisource Bergen) impliqués dans la production (J&J) et la distribution d’ opioïdes sur ordonnance « ont conclu un accord provisoire de plusieurs milliards de dollars avec les comtés et les villes qui les ont poursuivis en dommages et intérêts ». 26
L’accord a été qualifié d’« épidémie d’opioïdes ». Quel est son rapport avec la crise du coronavirus ? Ironie du sort : Johnson & Johnson, qui fait l’objet d’un recours collectif contre les opioïdes sur ordonnance, est également un important distributeur du vaccin contre la COVID-19.
Ces mêmes distributeurs de Big Pharma ont bénéficié de la hausse des ventes d’opioïdes résultant du confinement, ce qui a contribué à une augmentation significative des décès par surdose de drogue au cours de la période 2020-2021 (voir graphiques ci-dessus).
Ironie du sort, la hausse des overdoses de médicaments a entraîné une augmentation des profits des grandes sociétés pharmaceutiques.
Alors que les grandes sociétés pharmaceutiques font l’objet d’un procès civil de plusieurs milliards de dollars pour distribution frauduleuse d’opioïdes sur ordonnance, plusieurs de ces sociétés corrompues sont désormais impliquées dans la promotion de l’initiative vaccinale contre la COVID-19. Selon Bloomberg, « plus de 400 000 Américains sont morts au cours des deux dernières décennies d’une overdose [de médicaments] ». 27
Et depuis le début de la crise du coronavirus en février 2020, les décès mensuels dus à une surdose de drogue ont plus que triplé (voir graphique ci-dessus).
Alcoolisme La toxicomanie et l’alcoolisme sont souvent liés.
« La consommation de drogue et d’alcool a augmenté avec le Covid , tout comme le nombre de suicides . Les lignes d’assistance téléphonique sont saturées et certaines statistiques – les ventes d’alcool en ligne ont augmenté de plus de 200 % aux États-Unis – dressent un tableau sombre. »
« La toxicomanie monte en flèche », affirme Cindi Brand , thérapeute en toxicomanie , qui a déjà travaillé au CAMH.
La pandémie a augmenté toutes les formes d’anxiété et de stress, même… La distanciation sociale signifie que les personnes souffrant de problèmes de dépendance « ne peuvent pas obtenir l’aide dont elles ont besoin en ce moment », dit-elle. (soulignement ajouté) 28
Augmentation des ventes d'alcool
La tendance à la hausse de l’alcoolisme pendant la crise du coronavirus aux États-Unis est confirmée par une augmentation significative des ventes d’alcool . Selon une étude de Nielsen , les ordres de confinement de mars 2020 ont entraîné « une augmentation de 54 % des ventes nationales d’alcool pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à l’année précédente ; les ventes en ligne ont augmenté de 262 % par rapport à 2019 ». 29
Une étude d'échantillon de la RAND Corporation menée avec le soutien du National Institute of Alcohol Abuse and Alcoholism (NIAAA) a consisté à comparer les habitudes de consommation d'alcool des adultes en 2019 avec celles prévalant pendant la crise du coronavirus (2020) :
« Les adultes américains ont fortement augmenté leur consommation d’alcool pendant le confinement déclenché par la pandémie de coronavirus, les femmes augmentant leurs épisodes de forte consommation d’alcool (quatre boissons ou plus en quelques heures) de 41 %.
…
Une enquête nationale a révélé que la fréquence globale de la consommation d’alcool a augmenté de 14 % chez les adultes de plus de 30 ans, par rapport à la même période l’année dernière. L’augmentation a été de 19 % chez tous les adultes âgés de 30 à 59 ans, de 17 % chez les femmes et de 10 % chez les adultes blancs non hispaniques. » ( Rand Corporation ) 30
Bien que l’étude de la Rand Corporation sur les habitudes de consommation d’alcool révèle une augmentation de la consommation d’alcool, les résultats doivent être interprétés avec prudence. L’augmentation enregistrée des ventes réelles d’alcool (54 %) est nettement supérieure à l’augmentation estimée de la consommation, basée sur l’enquête par sondage de la Rand. Parallèlement, cependant, pendant le confinement, la consommation d’alcool a principalement eu lieu à domicile, plutôt que dans les bars et restaurants (fermés).
Selon Michael Pollard , auteur principal de l’étude de la RAND, « la dépression et l’anxiété augmentent, et la consommation d’alcool est souvent un moyen de faire face à ces sentiments ». 32
*
Notes de fin
1 Stefania Chiappini, Amira Guirguis et al., 29 juillet 2020. COVID-19 : l'impact caché sur la santé mentale et la toxicomanie. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7403495/
2 Fondation américaine pour la prévention du suicide, nd Statistiques sur le suicide. https://afsp.org/suicide-statistics/
3 Institut national de la santé mentale, nd Suicide. https://www.nimh.nih.gov/health/statistics/suicide#part_154969
4 Mark É. Czeisler, Rashon I. Lane et al., 14 août 2020. Santé mentale, toxicomanie et idées suicidaires pendant la pandémie de COVID-19 — États-Unis, 24-30 juin 2020. https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/69/wr/mm6932a1.htm
5 Ibid.
6 Mark A. Reger, Ian H. Stanley, et al., 10 avril 2020. Mortalité par suicide et maladie à coronavirus 2019 : une tempête parfaite ? https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/fullarticle/2764584?guestAccessKey=c40eefb2-c634-47ed-b3c3-f00b005e3cf2&utm_
7 Jon Miltimore, 24 novembre 2020. Selon un rapport, le suicide a fait plus de morts en octobre qu'en 10 mois de COVID-19 au Japon. https://fee.org/articles/suicide-claimed-more-lives-in-october-than-10-months-of-covid-19-in-japan-report-shows/
8 Mark A. Reger, Ian H. Stanley, et al., 10 avril 2020. Mortalité par suicide et maladie à coronavirus 2019 : une tempête parfaite ? https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/fullarticle/2764584?guestAccessKey=c40eefb2-c634-47ed-b3c3-f00b005e3cf2&utm_
9 Times Now Digital, 14 septembre 2020. Au milieu de l'épidémie de COVID-19, l'épidémie de suicide en Inde reste sans réponse - ces graphiques montrent comment. https://www.timesnownews.com/india/article/amid-covid-19-outbreak-indias-suicide-epidemic-remains-unaddressed-these-graphs-show-how/652188
10 Carol Graham, 17 novembre 2020. Les coûts humains de la pandémie : est-il temps de donner la priorité au bien-être ? https://www.brookings.edu/research/the-human-costs-of-the-pandemic-is-it-time-to-prioritize-well-being/
11 Statista, mars 2021. Nombre total de suicides commis au Japon de 2011 à 2020. https://www.statista.com/statistics/622065/japan-suicide-number/
12 L. Kettenhofen, 30 novembre 2021. Suicide au Japon – statistiques et faits. https://www.statista.com/topics/5259/suicide-in-japan/
13 Lucy Craft, 13 novembre 2020. Le suicide a fait plus de morts au Japon en octobre que pendant 10 mois de COVID. https://www.cbsnews.com/news/japan-suicide-coronavirus-more-japanese-suicides-in-october-than-total-covid-deaths/
14 Ibid.
15 Emiko Jozuka, 14 octobre 2021. Le nombre de suicides d'enfants au Japon atteint un niveau record. https://edition.cnn.com/2021/10/14/asia/suicide-children-japan-intl-hnk/index.html
16 CDC, 17 décembre 2020. Accélération des décès par overdose pendant la COVID-19. https://www.cdc.gov/media/releases/2020/p1218-overdose-deaths-covid-19.html
17 Laura Santhanam, 28 décembre 2020. Qu'est-ce qui se cache derrière la hausse historique des décès par overdose de drogue dans le cadre de la COVID-19 ? https://www.pbs.org/newshour/health/whats-behind-the-historic-spike-in-drug-overdose-deaths-under-covid-19
18 CDC, 12 janvier 2022. Décomptes provisoires des décès par surdose de drogue. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/drug-overdose-data.htm#data-tables
19 Ibid.
20 Deidre McPhillips, 17 novembre 2021. Pour la première fois, les décès par overdose de drogue dépassent les 100 000 par an, en raison du fentanyl, selon les données du CDC. https://edition.cnn.com/2021/11/17/health/drug-overdose-deaths-record-high/index.html
21 Ontario Drug Policy Research Network, Bureau du coroner en chef de l'Ontario/Service de médecine légale de l'Ontario, et al., novembre 2020. Preliminary Patterns in Circumstances Surrounding Opioid-Related Deaths in Ontario during the COVID-19 Pandemic. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/o/2020/opioid-mortality-covid-surveillance-report.pdf?la=fr
22 Ibid.
23 Prof Michel Chossudovsky, 14 juin 2005. Le butin de guerre : le commerce multimilliardaire de l'héroïne en Afghanistan. https://www.globalresearch.ca/the-spoils-of-war-afghanistan-s-multibillion-dollar-heroin-trade/91
24 MarketWatch, 13 janvier 2022. Taille du marché des médicaments opioïdes, part de marché 2022 Analyse mondiale couvrant l'impact du COVID-19 | Informations détaillées sur les tendances à venir, le taux de croissance et les prévisions futures jusqu'en 2025. https://www.marketwatch.com/press-release/opioids-drugs-market-size-share-2022-global-analysis-covers-covid-19-impact-detailed-insights-on-upcoming-trends-growth-rate-and-future-forecast-to-2025-2022-01-13
25 BBC, 4 février 2021. McKinsey conclut un accord de règlement de 573 millions de dollars sur les opioïdes aux États-Unis. https://www.bbc.com/news/business-55939224
26 KHN Morning Briefing, 6 novembre 2020. 4 sociétés pharmaceutiques acceptent un règlement de 26 milliards de dollars sur les opioïdes. https://khn.org/morning-breakout/4-drug-companies-agree-to-26-billion-opioid-settlement/
27 Jef Feeley, 4 février 2021. McKinsey versera 573 millions de dollars pour régler les réclamations liées aux opioïdes aux États-Unis. https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-02-04/mckinsey-said-to-agree-to-550-million-opioid-claim-settlement-kkq6xumb
28 Liz Braun, 1er octobre 2020. La consommation de drogue et d'alcool augmente pendant la COVID. https://torontosun.com/news/local-news/drug-and-alcohol-use-rising-during-covid
29 NielsenIQ, 7 mai 2020. Rééquilibrer « l'effet COVID-19 » sur les ventes d'alcool. https://nielseniq.com/global/en/insights/analysis/2020/rebalancing-the-covid-19-effect-on-alcohol-sales/
30 RAND, 29 septembre 2020. La consommation d'alcool augmente fortement pendant la pandémie ; la consommation excessive d'alcool chez les femmes augmente de 41 %. https://www.rand.org/news/press/2020/09/29.html
31 Sasha Pezenik, 30 septembre 2020. La consommation d'alcool augmente fortement pendant la pandémie, en particulier chez les femmes. https://abcnews.go.com/US/alcohol-consumption-rising-sharply-pandemic-women/story?id=73302479
La science corrompue : « Il n’existe pas de remède »
Suppression de l'hydroxychloroquine (HCQ), Un médicament bon marché et efficace
La lutte contre l’hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace pour le traitement de la COVID-19, fait rage . La campagne contre l’HCQ s’est faite au moyen de déclarations politiques calomnieuses, de diffamations médiatiques, sans parler d’une « évaluation » officielle, revue par des pairs et publiée le 22 mai par The Lancet, qui s’appuyait sur de faux chiffres et de faux essais.
L'étude aurait été basée sur l'analyse des données de 96 032 patients hospitalisés pour COVID-19 entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020 dans 671 hôpitaux du monde entier. La base de données avait été fabriquée. L'objectif était de tuer le traitement à l'hydroxychloroquine ( HCQ) pour le compte de Big Pharma.
Alors que l’article de The Lancet a été rétracté, les médias ont accusé avec désinvolture « une petite entreprise américaine » nommée Surgisphere, dont l’un des employés était « un auteur de science-fiction et un mannequin de contenu pour adultes », d’avoir diffusé des « données erronées » (The Guardian) . Cette société basée à Chicago a été accusée d’avoir induit en erreur l’OMS et les gouvernements nationaux, les incitant à interdire l’HCQ. Aucun de ces tests n’a réellement eu lieu.
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Capture d'écran de The Lancet
Bien que la faute ait été imputée à Surgisphere, la vérité tacite (que ni la communauté scientifique ni les médias n'ont reconnue) est que l'étude a été coordonnée par le professeur de Harvard Mandeep Mehra sous les auspices du Brigham and Women's Hospital (BWH), qui est un partenaire de la Harvard Medical School.
Lorsque l'escroquerie a été révélée, le Dr Mandeep Mehra , titulaire de la chaire de médecine distinguée Harvey au Brigham and Women's Hospital, s'est excusé :
« J’ai toujours mené mes recherches dans le respect des normes éthiques et professionnelles les plus strictes. Cependant, nous ne pouvons jamais oublier la responsabilité qui nous incombe en tant que chercheurs de veiller scrupuleusement à nous appuyer sur des sources de données qui respectent nos normes élevées.
« Il est désormais clair pour moi que dans mon espoir de contribuer à cette recherche à un moment où les besoins étaient grands, je n’ai pas fait assez pour m’assurer que la source de données était appropriée à cet usage. Pour cela, et pour toutes les perturbations – directes et indirectes – je suis sincèrement désolé. »
Mandeep R. Mehra, MD, MSC ( déclaration officielle sur le site Web de BWH) 1
Mais ce message « sincèrement désolé » n’était que la pointe de l’iceberg. Pourquoi ?
Les études respectivement sur le remdesivir de Gilead Sciences et sur l'hydroxychloroquine (HCQ) ont été menées simultanément par le Brigham and Women's Hospital (BWH).
Alors que le rapport de The Lancet (22 mai 2020) coordonné par le Dr Mandeep Mehra avait pour but de « tuer » la légitimité de l’HCQ comme remède contre la COVID-19, une autre étude importante (connexe) était menée (simultanément) au BWH concernant le remdesivir pour le compte de Gilead Sciences, Inc.
Le Dr Francisco Marty , spécialiste des maladies infectieuses et professeur associé à la Harvard Medical School, s'est vu confier la coordination des essais cliniques du médicament antiviral remdesivir dans le cadre du contrat de Brigham avec Gilead Sciences, Inc. 2 :
« Le Brigham and Women's Hospital a commencé à recruter des patients pour deux essais cliniques sur le médicament antiviral de Gilead, le remdesivir. Le Brigham est l'un des nombreux sites d'essais cliniques pour une étude initiée par Gilead sur le médicament chez 600 participants atteints d'une maladie à coronavirus modérée (COVID-19) et une étude initiée par Gilead sur 400 participants atteints d'une forme grave de COVID-19.
… Si les résultats sont prometteurs, cela pourrait conduire à une approbation par la FDA, et s’ils ne le sont pas, cela nous donne des informations cruciales dans la lutte contre le COVID-19 et nous permet de passer à d’autres thérapies. »
Bien que le Dr Mandeep Mehra n'ait pas été directement impliqué dans l'étude Gilead Remdesivir BWH sous la supervision de son collègue Dr Francisco Marty, il a néanmoins eu des contacts avec Gilead Sciences, Inc :
« Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat sur le Covid-19 » ( France Soir , 23 mai 2020) 3
Quel était le but de son étude (ratée) ? De saper la légitimité de l’hydroxychloroquine ?
Selon France Soir, dans un rapport publié après la rétractation de The Lancet :
Les réponses souvent évasives du Dr Mandeep R. Mehra , … professeur à la Harvard Medical School, n’ont pas suscité la confiance, alimentant plutôt le doute sur l’intégrité de cette étude rétrospective et de ses résultats . ( France Soir , 5 juin 2020) 4
Le Dr Mandeep Mehra était-il en conflit d'intérêts ? (C'est à BWH et à la Harvard Medical School de décider)
Qui étaient les principaux acteurs ?
Le Dr Anthony Fauci , présenté comme « le plus grand expert américain en maladies infectieuses », a joué un rôle clé dans le dénigrement du remède à base d'HCQ, approuvé des années plus tôt par le CDC, ainsi que dans la légitimation du remdesivir de Gilead.
Le Dr Fauci est à la tête de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis l'administration Reagan. Il est connu pour être le porte-parole de Big Pharma.
Le Dr Fauci a lancé le remdesivir fin juin (voir détails ci-dessous). Selon lui, le remdesivir est le « médicament miracle contre le coronavirus » développé par Gilead Sciences, Inc. Il s'agit d'une aubaine de 1,6 milliard de dollars.
- voir graph sur site -
Gilead Sciences, Inc. : Histoire
Gilead Sciences, Inc est une société biopharmaceutique de plusieurs milliards de dollars qui est aujourd'hui impliquée dans le développement et la commercialisation du remdesivir. Gilead a une longue histoire. Elle bénéficie du soutien de grands conglomérats d'investissement, notamment Vanguard Group et Capital Research & Management Co, entre autres. Elle a développé des liens avec le gouvernement américain.
En 1999, Gilead Sciences, Inc. a développé le Tamiflu (utilisé comme traitement contre la grippe saisonnière et la grippe aviaire). À l'époque, Gilead Sciences, Inc. était dirigée par Donald Rumsfeld (1997-2001), qui a ensuite rejoint l'administration de George W. Bush en tant que secrétaire à la Défense (2001-2006). Rumsfeld était responsable de la coordination des guerres illégales et criminelles en Afghanistan (2001) et en Irak (2003).
Rumsfeld a maintenu ses liens avec Gilead Sciences, Inc tout au long de son mandat de secrétaire à la Défense (2001-2006). Selon CNN Money (2005) : « La perspective d’une épidémie de grippe aviaire… était une très bonne nouvelle pour le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld [qui possédait toujours des actions Gilead] et d’autres investisseurs politiquement connectés à Gilead Sciences. » 5
Anthony Fauci est à la tête du NIAID depuis 1984, utilisant sa position comme « intermédiaire » entre le gouvernement américain et les grandes sociétés pharmaceutiques. Pendant le mandat de Rumsfeld en tant que secrétaire à la Défense, le budget alloué au bioterrorisme a considérablement augmenté, impliquant des contrats avec les grandes sociétés pharmaceutiques, dont Gilead Sciences, Inc. Anthony Fauci considérait que l’argent alloué au bioterrorisme au début de l’année 2002 :
« accélérer notre compréhension de la biologie et de la pathogénèse des microbes qui peuvent être utilisés dans les attaques, ainsi que de la biologie des hôtes des microbes, c'est-à-dire les êtres humains et leur système immunitaire. L'un des résultats devrait être des vaccins plus efficaces et moins toxiques. » ( Washington Post , 7 février 2022) 6
En 2008, le Dr Anthony Fauci a reçu la Médaille présidentielle de la liberté des mains du président George W. Bush « pour ses efforts déterminés et agressifs visant à aider les autres à vivre plus longtemps et en meilleure santé ». 7
Projet Remdesivir 2020 de Gilead Sciences, Inc. Nous nous concentrerons sur les documents (et événements) clés.
Chronologie (février-juin 2020)
21 février 2020 : Communiqué initial relatif à l'essai NIH-NIAID sur le placebo du remdesivir
10 avril : L'étude de Gilead Sciences, Inc publiée dans le NEJM sur « l'utilisation compassionnelle du Remdesivir »
29 avril : Le NIH a publié une étude sur le remdesivir (rapport publié le 22 mai dans le NEJM)
22 mai : L'étude BWH-Harvard sur l'hydroxychloroquine coordonnée par le Dr Mandeep Mehra publiée dans The Lancet
22 mai : Remdesivir pour le traitement de la COVID-19 — Rapport préliminaire , National Institute of Allergy and Infectious Diseases, National Institutes of Health, New England Journal of Medicine (NEJM)
5 juin : Le (faux) rapport du Lancet (22 mai) sur l'HCQ est rétracté
29 juin : annonce de Fauci. Accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences, Inc. pour le remdesivir
10 avril 2020 : L'étude de Gilead Sciences, Inc publiée dans le NEJM sur « l'utilisation compassionnelle du Remdesivir » Un rapport sponsorisé par Gilead a été publié dans le New England Journal of Medicine dans un article intitulé « Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe COVID-19 » (Utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de COVID-19 grave) . Il a été co-écrit par une liste impressionnante de 56 médecins et scientifiques éminents, dont beaucoup ont bénéficié d’honoraires de consultation de Gilead Sciences, Inc.
Gilead Sciences, Inc. a financé l’étude qui incluait plusieurs membres du personnel comme co-auteurs.
« Les tests ont porté sur un total de 61 patients [qui] ont reçu au moins une dose de remdesivir au plus tard le 7 mars 2020 ; 8 de ces patients ont été exclus en raison d’informations manquantes après la référence (7 patients) et d’une date de début de traitement par remdesivir erronée (1 patient)… Sur les 53 patients restants inclus dans cette analyse, 40 (75 %) ont reçu la cure complète de 10 jours de remdesivir, 10 (19 %) ont reçu 5 à 9 jours de traitement et 3 (6 %) moins de 5 jours de traitement. » ( NEJM , 10 avril 2020) 8
L'article du NEJM indique que « Gilead Sciences, Inc. a commencé à accepter les demandes des cliniciens pour une utilisation compassionnelle du remdesivir le 25 janvier 2020. »
De qui, d'où ? Selon l'OMS (30 janvier 2020), il y a eu 86 cas dans 18 pays hors Chine dont 5 aux États-Unis, 5 en France et 3 au Canada.
Plusieurs médecins et scientifiques de renom ont émis des doutes sur l’étude sur l’usage compassionnel du remdesivir menée par Gilead, en insistant sur la petite taille de l’essai. Ironiquement, le nombre de patients participant à l’essai est inférieur au nombre de co-auteurs : « 53 patients » contre « 56 co-auteurs ».
Ci-dessous, nous fournissons des extraits de déclarations scientifiques sur le projet Gilead NEJM ( Science Media Centre) publiées immédiatement après la publication de l'article NEJM 9 :
« L'usage compassionnel est plus justement décrit comme l'utilisation d'une thérapie non autorisée pour traiter un patient parce qu'il n'existe aucun autre traitement disponible . Les recherches basées sur ce type d'utilisation doivent être traitées avec une extrême prudence car il n'y a pas de groupe témoin ni de randomisation, qui sont quelques-unes des caractéristiques des bonnes pratiques dans les essais cliniques. » ( Professeur Duncan Richard , Thérapeutique clinique, Université d'Oxford)
« Il est essentiel de ne pas surinterpréter cette étude. Plus important encore, il est impossible de connaître les résultats pour ce groupe relativement restreint de patients s’ils n’avaient pas reçu de remdesivir. » ( Dr Stephen Griffin , professeur associé, École de médecine, Université de Leeds)
« La recherche est intéressante mais ne prouve rien à ce stade : les données proviennent d'une petite étude non contrôlée. » ( Simon Maxwell, professeur de pharmacologie clinique et de prescription, Université d'Édimbourg)
« Les données de cette étude sont quasiment impossibles à interpréter. Il est très surprenant, voire même contraire à l’éthique, que le New England Journal of Medicine les ait publiées. Il aurait été plus approprié de publier les données sur le site Internet de la société pharmaceutique qui a parrainé et rédigé l’étude. Gilead a au moins clairement fait savoir que cela n’a pas été fait de la manière dont un article scientifique de haute qualité serait rédigé. » ( Professeur Stephen Evans, professeur de pharmacoépidémiologie, London School of Hygiene & Tropical Medicine)
« Il est très difficile de tirer des conclusions utiles d’études non contrôlées comme celle-ci, en particulier dans le cas d’une nouvelle maladie pour laquelle nous ne savons pas vraiment à quoi nous attendre et dont les résultats varient considérablement d’un endroit à l’autre et au fil du temps. Il faut vraiment s’interroger sur l’éthique de ne pas procéder à une randomisation – cette étude représente avant tout une occasion manquée. » ( Prof. Adam Finn, professeur de pédiatrie, Université de Bristol)
Pour consulter le document complet du Centre Science Média relatif aux expertises, cliquez ici .
29 avril 2020 : L'étude des National Institutes of Health (NIH) sur le Remdesivir Le 29 avril, suite à la publication de l'étude de Gilead Sciences, Inc dans le NEJM le 10 avril, un communiqué de presse des National Institutes of Health (NIH) sur le remdesivir a été publié. Le document complet a été publié le 22 mai par le NEJM sous le titre : Remdesivir pour le traitement de la COVID-19 — Rapport préliminaire (NEJM).
L’étude a été lancée le 21 février 2020. Le titre du communiqué de presse du 29 avril était : « Des données évaluées par des pairs montrent que le remdesivir pour le COVID-19 améliore le temps de guérison. »
Il s'agit d'un rapport financé par le gouvernement qui comprend des données préliminaires issues d'un essai randomisé portant sur 1 063 patients hospitalisés. Les résultats de l'essai intitulé Adaptive COVID-19 Treatment Trial (ACTT) sont préliminaires, menés sous la direction du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du Dr Fauci :
Un comité indépendant de surveillance des données et de la sécurité (DSMB) supervisant l'essai s'est réuni le 27 avril pour examiner les données et a partagé son analyse intermédiaire avec l'équipe de l'étude. Sur la base de leur examen des données, ils ont noté que le remdesivir était meilleur que le placebo du point de vue du critère d'évaluation principal, le temps de récupération, une mesure souvent utilisée dans les essais sur la grippe. La récupération dans cette étude a été définie comme un état suffisamment bon pour une sortie de l'hôpital ou un retour à un niveau d'activité normal.
Les résultats préliminaires indiquent que les patients ayant reçu du remdesivir ont eu un temps de récupération 31 % plus rapide que ceux ayant reçu un placebo (p<0,001). Plus précisément, le temps médian de récupération était de 11 jours pour les patients traités par remdesivir contre 15 jours pour ceux ayant reçu un placebo. Les résultats ont également suggéré un avantage en termes de survie, avec un taux de mortalité de 8,0 % pour le groupe recevant du remdesivir contre 11,6 % pour le groupe placebo (p=0,059). 10
Dans le rapport précédent du NIH du 21 février 2020 (publié au début de l'étude), la méthodologie était décrite comme suit :
… Un essai clinique randomisé et contrôlé visant à évaluer l’innocuité et l’efficacité de l’antiviral expérimental remdesivir chez les adultes hospitalisés diagnostiqués avec la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) …
Les chiffres. Où ? Quand ?
Le rapport du 21 février confirme que le premier participant à l’essai est « un Américain rapatrié après avoir été mis en quarantaine sur le navire de croisière Diamond Princess » qui a accosté à Yokohama (eaux territoriales japonaises) (voir chapitre II). « Treize personnes rapatriées par le département d’État américain du navire de croisière Diamond Princess » ont été sélectionnées comme patients pour l’essai placebo.
Ironiquement, au début de l’étude, 58,7 % des « cas confirmés » dans le monde (542 cas sur 924) (en dehors de la Chine) se trouvaient à bord du navire de croisière Diamond Princess à partir duquel les patients initiaux du placebo de l’essai ont été sélectionnés.
Où et quand : Le test dans les 68 sites sélectionnés ? Cela a eu lieu plus tard car au 19 février (données de l'OMS), les États-Unis n'avaient enregistré que 15 cas positifs (voir tableau ci-dessous).
« Au total, 68 sites ont finalement rejoint l’étude – 47 aux États-Unis et 21 dans des pays d’Europe et d’Asie. » (soulignement ajouté)
Dans le rapport final du NEJM du 22 mai intitulé Remdesivir pour le traitement du COVID-19 — Rapport préliminaire :
L'essai a été mené sur 60 sites et 13 sous-sites aux États-Unis (45 sites), au Danemark (8), au Royaume-Uni (5), en Grèce (4), en Allemagne (3), en Corée (2), au Mexique (2), en Espagne (2), au Japon (1) et à Singapour (1). Les patients éligibles ont été assignés au hasard selon un rapport 1:1 pour recevoir soit du remdesivir, soit un placebo. La randomisation a été stratifiée selon le site d'étude et la gravité de la maladie au moment de l'inscription .
Le Washington Post a salué l'annonce d'Anthony Fauci (29 avril) 12 :
« Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci, … ne constituent pas une solution miracle ou un remède… Mais en l’ absence de traitement approuvé pour le Covid-19, a déclaré [Lie] Fauci, ce traitement deviendra la norme de soins pour les patients hospitalisés…
« Les données montrent que le remdesivir a un effet clair, significatif et positif sur la réduction du temps de guérison », a déclaré Fauci.
« Le premier essai clinique rigoureux du gouvernement sur le médicament expérimental remdesivir comme traitement contre le coronavirus a donné des résultats mitigés à la communauté médicale mercredi - mais a rallié les marchés boursiers et suscité l'espoir qu'une arme précoce pour aider certains patients était à portée de main.
Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a dirigé l'essai contrôlé par placebo, ont révélé que le médicament accélérait la guérison des patients hospitalisés mais n'avait qu'un effet marginal sur le taux de mortalité.
… Les remarques de Fauci ont renforcé les spéculations selon lesquelles la Food and Drug Administration demanderait une autorisation d’utilisation d’urgence qui permettrait aux médecins de prescrire le médicament.
En plus des essais cliniques, le remdesivir a été administré à plus de 1 000 patients dans le cadre d'un usage compassionnel. [Se réfère également à l'étude de Gilead publiée le 10 avril dans le NEJM]
L'étude, portant sur [plus de] 1 000 patients sur 68 sites aux États-Unis et dans le monde [??], offre la première preuve [??] issue d'une grande étude clinique [??] randomisée [??] de l'efficacité du remdesivir contre la COVID-19.
L’étude du NIH sur le placebo a fourni des « résultats préliminaires ». Bien que l’essai sur le placebo ait été « randomisé », la sélection globale des patients sur les 68 sites n’a pas été entièrement randomisée. Voir le rapport complet. 13
22 mai 2020 : Le rapport controversé (rétracté) du Lancet sur l'hydroxychloroquine (HCQ) Il convient de noter que le rapport complet du NIH-NIAID intitulé Remdesivir pour le traitement du COVID-19 – Rapport préliminaire a été publié le 22 mai 2020 dans le NEJM, le même jour que le rapport controversé du Lancet sur l'hydroxychloroquine.
Immédiatement après sa publication, les médias se sont déchaînés, diffamant le remède à base d’HCQ, tout en applaudissant le rapport du NIH-NIAID sur le remdesivir publié le même jour.
Le remdesivir, seul médicament autorisé pour traiter la COVID-19,a accéléré le temps de guérison des patients atteints de la maladie,… « C’est un médicament très sûr et efficace », a déclaré Eric Topol, fondateur et directeur du Scripps Research Translational Institute. « Nous disposons désormais d’un premier médicament efficace contre la Covid-19, ce qui constitue une avancée majeure et sera complété par d’autres médicaments [et combinaisons de médicaments] ».14
Lorsque l’article de Bingham-Harvard paru dans le Lancet sur l’HCQ a été rétracté le 5 juin, il était trop tard, il n’a reçu qu’une couverture médiatique minime. Malgré cette rétractation, le traitement à base d’HCQ « avait été tué ».
29 juin 2020 : feu vert de Fauci. Le contrat de 1,6 milliard de dollars pour le remdesivir avec Gilead Sciences, Inc. Le Dr Anthony Fauci a donné son « feu vert » à Gilead Sciences, Inc. le 29 juin 2020.
Le rapport semi-officiel du gouvernement américain parrainé par le NIH-NIAID (22 mai) intitulé Remdesivir for the Treatment of COVID-19 — Preliminary Report (NEJM) a été utilisé pour justifier un accord majeur avec Gilead Sciences, Inc. (Un rapport final a été publié le 5 novembre 2020)
Le rapport a été largement financé par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, et par les National Institutes of Health (NIH).
Le 29 juin, sur la base des conclusions du rapport NIH-NIAID publié dans le NEJM, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé au nom de l'administration Trump un accord visant à garantir d'importantes réserves de médicament remdesivir auprès de Gilead Sciences, Inc. pour le traitement du COVID-19 dans les hôpitaux et cliniques privés américains.
L'étude précédente de Gilead, basée sur des résultats d'analyses peu nombreux et publiée dans le NEJM (10 avril) sur 53 cas (et 56 co-auteurs), n'a pas été mise en avant. Les résultats de cette étude ont été remis en question par plusieurs médecins et scientifiques de renom.
Qui pourra s’offrir le remdesivir ? 500 000 doses de remdesivir sont envisagées à 3 200 dollars par patient, soit 1,6 milliard de dollars (voir l’ étude d’Elizabeth Woodworth ).
Le médicament a également été approuvé pour la commercialisation dans l’Union européenne sous le nom de marque Veklury.
Si ce contrat est mis en œuvre comme prévu, il représente pour Gilead Sciences, Inc. et les hôpitaux et cliniques privés américains bénéficiaires une somme d’argent colossale.
Selon le secrétaire d'État à la Santé et aux Services Sociaux de l'administration Trump, Alex Azar (29 juin 2020) :
« Dans la mesure du possible, nous voulons nous assurer que tout patient américain qui a besoin de remdesivir puisse l’obtenir [à 3 200 dollars]. L’administration Trump fait tout ce qui est en son pouvoir pour en savoir plus sur les thérapies vitales contre le COVID-19 et garantir l’accès à ces options pour le peuple américain. »
Remdesivir versus hydroxychloroquine (HCQ) Un timing précis :
L’étude du Lancet (publiée le 22 mai 2020 et rétractée par la suite) avait pour but de saper la légitimité de l’hydroxychloroquine comme traitement efficace contre la COVID-19, en vue de maintenir l’accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences, Inc. le 29 juin. La légitimité de cet accord reposait sur l’étude NIH-NIAID du 22 mai dans le NEJM qui était considérée comme « préliminaire ».
Ce que le Dr Fauci n’a pas reconnu, c’est que la chloroquine avait été « étudiée » et testée il y a 15 ans par le CDC comme médicament destiné à être utilisé contre les infections à coronavirus. Et que l’hydroxychloroquine a été utilisée en 2020 dans le traitement du COVID-19 dans plusieurs pays.
Selon le Virology Journal (2005), « la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS ». 17 Elle a été utilisée lors de l’épidémie de SRAS-1 en 2002. Elle a reçu l’approbation du CDC.
L'HCQ n'est pas seulement efficace, elle est « peu coûteuse » par rapport au remdesivir, soit environ « 3 120 dollars pour un patient américain avec une assurance privée ».
L'étude sur le remdesivir de Gilead Sciences, Inc. (plus de 50 auteurs) a été publiée dans le New England Journal of Medicine le 10 avril 2020.
Il a été suivi par le rapport préliminaire du NIH-NIAID sur le remdesivir pour le traitement de la COVID-19, publié le 22 mai 2020 dans le NEJM. Et le même jour, le 22 mai, le rapport sur l'hydroxychloroquine coordonné par le Dr Mehra de BWH-Harvard a été publié par le Lancet (qui a ensuite été rétracté).
La Harvard Medical School et le BWH sont responsables de l’hébergement et du financement du rapport du Lancet sur l’HCQ coordonné par le Dr Mandeep Mehra.
Y a-t-il un conflit d'intérêts ? BWH a participé simultanément à une étude sur le remdesivir dans le cadre d'un contrat avec Gilead Sciences, Inc.
Bien que le rapport du Lancet coordonné par le Dr Mehra de Harvard ait été rétracté, il a néanmoins servi les intérêts de Gilead Sciences, Inc.
Il est important qu'une évaluation scientifique et médicale indépendante soit entreprise, respectivement de l'étude évaluée par des pairs du Gilead Sciences, Inc. New England Journal of Medicine (NEMJ) (10 avril 2020) ainsi que de l'étude NIH-NIAID également publiée dans le NEJM (22 mai 2020).
Notes de fin
1 Brigham and Women's Hospital, 22 mai 2020. Aucune amélioration du taux de mortalité chez les patients atteints de COVID-19 ayant reçu de l'hydroxychloroquine. https://www.brighamandwomens.org/about-bwh/newsroom/press-releases-detail?id=3592
2 Brigham and Women's Hospital, 30 mars 2020. Deux essais cliniques sur le remdesivir en cours au Brigham and Women's Hospital. https://www.brighamhealthonamission.org/2020/03/26/two-remdesivir-clinical-trials-underway-at-brigham-and-womens-hospital/
3 Xavier Azalbert & Eric Gyssler, 5 juin 2020. De coïncidences en coïncidences, la connexion de Boston sert-elle le Remdesivir ? https://www.francesoir.fr/politique-monde/coincidences-coincidences-boston-connexion-serves-remdesivir
5 Nelson D. Schwartz, 31 octobre 2005. La participation croissante de Rumsfeld dans Tamiflu Le secrétaire à la Défense, ancien président du détenteur des droits de traitement contre la grippe, voit la valeur du portefeuille augmenter. https://money.cnn.com/2005/10/31/news/newsmakers/fortune_rumsfeld/
6 George F. Will, 7 février 2002. Guerre et santé. https://www.washingtonpost.com/archive/opinions/2002/02/07/war-and-health/c1e5dfb2-c373-45ef-87d1-eb89f0db557c/
7 Bibliothèque George W Bush, 30 mars 2020. https://twitter.com/gwblibrary/status/1244601539227942914?lang=fr
8 Jonathan Grein, Norio Ohmagari, et al, 11 juin 2020. Utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de formes graves de la Covid-19. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007016#article_references
9 Prof. Stephen Evans & Prof. Adam Finn, 11 avril 2020. Réaction d'experts à une étude sur l'utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de COVID-19 grave. https://www.sciencemediacentre.org/expert-reaction-to-a-study-about-compassionate-use-of-remdesivir-for-patients-with-severe-covid-19/
10 National Institute of Allergy and Infectious Diseases, 25 février 2020. Début de l'essai clinique du NIH sur le remdesivir pour traiter la COVID-19. https://www.niaid.nih.gov/news-events/nih-clinical-trial-remdesivir-treat-covid-19-begins
11 John H. Beigel, Kay M. Tomashek et al., 5 novembre 2020. Remdesivir pour le traitement du Covid-19 — Rapport final. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007764?query=recirc_mostViewed_railB_article
12 Laurie Mcginley et Christopher Rowland, 29 avril 2020. Le remdesivir de Gilead améliore le temps de récupération des patients atteints de coronavirus dans un essai du NIH. https://www.seattletimes.com/nation-world/gileads-remdesivir-improves-recovery-time-of-coronavirus-patients-in-nih-trial/
13 Ibid.
14 Matthew Herper, 22 mai 2020. Une étude sur le Covid-19 détaille les avantages du traitement au remdesivir, ainsi que ses limites. https://www.statnews.com/2020/05/22/covid-19-study-details-benefits-of-treatment-with-remdesivir-and-also-its-limitations/
15 Elizabeth Woodworth, 27 août 2020. Remdesivir pour le Covid-19 : 1,6 milliard de dollars pour un médicament « modérément bénéfique » ? https://www.globalresearch.ca/remdesivir-covid-19-1-6-billion-modestly-beneficial-drug/5717690
16 Mandeep R. Mehra, Sapan S. Desai, et al., 29 mai 2020. Hydroxychloroquine ou chloroquine avec ou sans macrolide pour le traitement de la COVID-19 : une analyse de registre multinationale. https://www.thelancet.com/pdfs/journals/lancet/PIIS0140-6736(20)31180-6.pdf
17 Martin J. Vincent, Eric Bergeron, et al., 22 août 2005. La chloroquine est un puissant inhibiteur de l'infection et de la propagation du coronavirus du SRAS. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1232869/
Nos enfants sont les victimes Élève au lycée Valabre de Luynes-Gardannem, Aix-en-Provence, Sofia Benharira, 16 ans, est décédée le 21 septembre [2021] oui, 7 jours après avoir reçu le vaccin mortel Pfizer. Deux crises cardiaques, une thrombose. Qu'elle repose en paix.
* * *
« L'amie de sa fille, âgée de 13 ans, ne voulait pas se faire vacciner contre la COVID-19. Son cœur s'est arrêté. Elle est aux soins intensifs. Cela se passe ici en ce moment même à Halifax, en Nouvelle-Écosse, parce qu'elle voulait jouer au soccer.
Elle ne voulait pas se faire vacciner. Mais lorsque notre premier ministre a rendu obligatoire le vaccin pour les enfants qui pratiquent un sport. ….
« Je suis dégoûté par notre gouvernement. »
( Voix puissante d'une mère canadienne )
* * *
« Hier soir, nous avons eu des nouvelles de France d’un jeune homme de 22 ans décédé neuf heures après avoir été vacciné. Il voulait partir en vacances en Grèce. « Il voulait juste vivre, a dit son père. … c’était mon fils unique, et il est mort, tué par un vaccin de merde qui n’a jamais été validé ni correctement testé ».
Les médias grand public ont fourni leur propre interprétation en citant des « sources médicales faisant autorité ».
"Ce n'est pas le vaccin qui a provoqué la mort de Maxime Beltra . Il est décédé d'une réaction allergique, ont-ils précisé : "une probable allergie alimentaire grave, selon des sources médicales".
N'est-ce pas là une fausse information qui fait autorité , selon les propos tenus par les responsables de l'hôpital ? Aujourd'hui, nos pensées vont à Maxime Beltra et à sa famille.
***
« Si vous permettez que cela se produise [vaccin], je vous garantis qu’il y aura des décès évitables d’enfants en parfaite santé et des maladies graves chez dix fois plus d’entre eux. Et cela sans aucun bénéfice possible. Sachant ce que je sais grâce à mes 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet abus extraordinaire d’enfants innocents dont nous avons la charge ne peut être qualifié autrement que de meurtre. » — Dr Michael Yeadon , éminent scientifique, ancien vice-président de Pfizer
« Trois médecins de l’Ontario sont morts après que l’hôpital où ils travaillaient a commencé à administrer la quatrième dose de rappel à leur personnel. Est-ce une coïncidence ou sont-ils victimes de cette diabolique campagne de vaccination mondiale ? » — Mark Taliano , auteur, chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation
« Cette campagne de vaccination restera dans les mémoires comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine, … et sera même connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » — Christine Anderson, députée européenne, juillet 2022
Oui, c'est un vaccin mortel . Ce message doit être clair et net. Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent. Ce sont des crimes contre l'humanité, des crimes contre nos enfants.
Les autorités sanitaires reçoivent systématiquement pour instruction de classer les décès et les blessures liés aux vaccins contre la COVID-19 par catégories : « Les personnes vaccinées meurent de la COVID. » C’est un mensonge éhonté.
Introduction
Le vaccin a été lancé le 9 novembre 2020, à peine six mois après le confinement du 11 mars 2020. Ces deux mandats politiques interdépendants constituent les piliers stratégiques de la crise de la COVID :
Le confinement était un acte de guerre économique et sociale dirigé contre toute l’humanité. Il est largement démontré (depuis début 2021) que le vaccin à ARNm contre la COVID-19 est une substance toxique qui a entraîné une tendance à la hausse soutenue de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin. Des rapports évalués par des pairs confirment les causes des décès et des blessures liés aux vaccins, notamment les caillots sanguins, la thrombose, la myocardite et les problèmes de fertilité.
Les effets du vaccin sont également documentés par un rapport secret de Pfizer qui a été publié au titre de la liberté d’information (voir l’analyse ci-dessous).
Vidéo : Impact des vaccinations contre la COVID sur la mortalité (décembre 2020 – avril 2021, pays sélectionnés), cliquez ici pour regarder .
Les derniers chiffres officiels au moment de la rédaction du présent document (3 avril 2022) indiquent environ :
69 053 décès liés aux injections de COVID-19 et 10 997 126 blessures pour l'UE, les États-Unis et le Royaume-Uni combinés pour une population de 830 millions de personnes.
Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passeront par le processus fastidieux de déclaration des décès et des événements indésirables liés aux vaccins aux autorités sanitaires nationales.
De plus, les autorités sanitaires s’emploient activement à dissimuler les décès et les blessures résultant du « vaccin » COVID-19 « non approuvé » et « expérimental ».
D'après les données historiques (Soutien électronique à la santé publique – Système de déclaration des effets indésirables des vaccins (ESPH-VAERS) p. 6) :
« Les effets indésirables des médicaments et des vaccins sont fréquents, mais sous-déclarés. … moins de 0,3 % de tous les effets indésirables des médicaments et 1 à 13 % des effets indésirables graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés. (soulignement ajouté) 2
Il s’agit de statistiques officielles basées sur un processus formel d’enregistrement des décès et des blessures. Le nombre réel de décès et de blessures provoqués par le vaccin à ARNm est bien plus élevé.
Multipliez les chiffres par le paramètre pertinent pour obtenir les VRAIS nombres ; nous parlons de nombres très élevés.
Le « vaccin » à ARNm : un objectif caché ?
Le vaccin ne sauve pas de vies et ne permet pas de contenir la pandémie, car il n'y a pas de pandémie. Il s'agit d'une opération lucrative pour les grandes sociétés pharmaceutiques, qui génère des centaines de milliards de dollars.
De plus, il ne s'agit pas d'une injection unique. Plusieurs doses sont envisagées sur plusieurs années.
Ce vaccin est appliqué dans le monde entier et imposé par de puissants intérêts financiers. Aucun pays, à l’exception du Burundi, de la Tanzanie et d’Haïti, n’a eu le courage de refuser le vaccin à ARNm.
L'aluminium dans les vaccins, déclencheur de la maladie d'Alzheimer et de l'autisme
RépondreSupprimer04.01.2025
www.kla.tv/31623
Le professeur Christopher Exley est un biologiste très apprécié, le plus grand expert mondial en aluminium et membre de la Royal Society of Biology - une reconnaissance que peu de scientifiques atteignent. L'année dernière, il s'est vu retirer des fonds de recherche pour ses longues années de travail sur la toxicité de l'aluminium. Il a étudié l'influence de ce métal dans des maladies telles que la maladie d'Alzheimer et l'autisme, ainsi que son rôle d'adjuvant dans les vaccins. Comment en est-on arrivé là ?
Dans une interview accordée à "The Epoch Times" ainsi qu'à "The Looking Glass" de l'écrivaine Jackie Black, le professeur Exley a raconté qu'il avait passé sa vie à essayer de répondre à une question brûlante : Quel est le rôle de l'aluminium dans la vie ?
Tout a commencé dans les années 1980 lorsque Exley a étudié pourquoi les poissons mouraient dans les lacs et les rivières acidifiés et qu'il a compris qu'ils mouraient d'un empoisonnement à l'aluminium. L'aluminium, qui était auparavant emprisonné dans les roches et les argiles ou recyclé dans l'environnement par la silice, est devenu biodisponible par le processus d''acidification dû aux pluies acides' et est ainsi entré dans le cycle de vie biologique. Aujourd'hui, nous absorbons de l'aluminium via les aliments transformés, nous le buvons via l'eau, nous cuisinons dans des casseroles et des poêles en aluminium, car de nombreuses poêles sont aujourd'hui en aluminium anodisé. On le trouve dans les aliments pour bébés, les cosmétiques et comme ingrédient principal dans de nombreux vaccins.
Exley et son équipe effectuent des recherches depuis plus de 30 ans et ont rédigé plus de 200 travaux sur l'aluminium. En 2017, Exley a publié un article scientifique montrant un lien évident entre la toxicité de l'aluminium et la maladie d'Alzheimer. Quelques années plus tard, en 2020, le groupe d'Exley a publié son travail révolutionnaire sur la comparaison des niveaux d'aluminium dans le cerveau de personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, de sclérose en plaques et d'autisme dans la revue Scientific Reports du groupe Nature. Il s'est avéré que les cerveaux des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, d'autisme et de sclérose en plaques présentaient des taux élevés d'aluminium.
RépondreSupprimerAu moment de la publication de cet article, les recherches d'Exley s'étaient déjà orientées vers les adjuvants et les vaccins à base d'aluminium, un domaine de recherche qu'ils suivaient depuis de nombreuses années.
Dans une étude publiée sur l'aluminium dans les vaccins, Exley écrivait notamment :
"Les sels d'aluminium sont des adjuvants courants dans les vaccins administrés aux enfants. [...] Mais, par exemple, les pédiatres chargés d'administrer le schéma de vaccination aux enfants ne semblent pas être informés des propriétés des adjuvants aluminiques et de leur mode d'action dans les vaccins."
Car les taux d'autisme et de maladie d'Alzheimer continuent d'augmenter depuis des décennies. En 2021, les Centers for Disease Control and Prevention ont indiqué qu'aux États-Unis, selon les données de 2018, environ 1 enfant sur 44 âgé de huit ans est diagnostiqué avec un trouble du spectre autistique. Il s'agit d'une énorme augmentation par rapport à la première étude américaine connue sur l'autisme en 1970, qui avait constaté un taux inférieur à 1 sur 10 000. Le taux d'Alzheimer a augmenté de plus de 145 % entre 2000 et 2019.
Malgré l'augmentation de ces maladies, les recherches d'Exley sur la maladie d'Alzheimer et l'autisme n'ont suscité que le silence des grandes organisations caritatives qui se consacrent à ces maladies. Et l'université de Keele, pour laquelle il travaillait, semblait seulement le tolérer, sans promouvoir ses résultats ni publier de communiqués de presse.
Selon Exley, le lobby de l'aluminium passe largement inaperçu, contrairement à Big Pharma, et à Big Tech, mais il est probablement le plus puissant de tous. Exley a déclaré : "C'est un "grand frère" silencieux qui, bien qu'il s'exprime rarement sur la toxicité de l'aluminium chez l'homme, est toujours là pour soutenir les innombrables industries qui dépendent de son produit." Ainsi, les recherches importantes du professeur Exley n'ont pas été "appréciées", et au lieu de cela, l'université a retiré le financement de ses recherches en juillet 2021.
Exley a déclaré à ce sujet :
"Je pense que la pression s'est formée en dehors de l'université. Nous avons établi un lien entre l'aluminium et la maladie d'Alzheimer en disant à qui voulait l'entendre : "Vous n'avez pas besoin d'aluminium : Si vous n'avez pas d'aluminium dans votre cerveau, vous n'aurez pas la maladie d'Alzheimer dans une vie normale."
Mais Exley pense que c'est aussi la science que lui et son équipe ont publiée sur l'aluminium comme adjuvant dans les vaccins qui a conduit les administrateurs de l'Université de Keele à le faire taire.
En effet, AstraZeneca produit le vaccin COVID-19 sur le campus de Keele. La Fondation Bill & Melinda Gates, qui a fortement investi dans la recherche et la promotion des vaccins, est également, selon Exley, l'un des bailleurs de fonds de l'université.
RépondreSupprimerCe qui arrive au professeur Exley est un très bon exemple de la longue histoire de la censure contre la science dérangeante et de la diffamation contre ceux qui insistent pour approfondir de telles recherches. Interrogé sur la manière dont ce système défaillant pourrait être réparé, il a répondu :
"La science ne peut pas s'épanouir si le financement provient de l'industrie, du gouvernement et de grandes organisations caritatives, qui ont tous des intérêts personnels considérables et auxquels on ne peut pas faire confiance. [...]"
Exley est désormais à la retraite, bien qu'il affirme qu'il reprendrait ses recherches à tout moment dès que le financement serait assuré.
de ch.
Sources / Liens :
Interview avec le Professeurr Christopher Exley
https://www.theepochtimes.com/health/expert-on-aluminum-toxicity-forced-out-of-university_4886099.html?
https://www.thelookingglass.co.nz/how-a-university-its-major-funders-and-a-newspaper-killed-research-into-the-toxicity-of-aluminium-adjuvants-in-vaccines/
Aluminium
https://www.wir-leben-nachhaltig.at/aktuell/detailansicht/aluminium/
Site de Christopher Exley
https://www.aluminiumresearchgroup.com/
Études scientifiques sur l'aluminium
https://www.aluminiumresearchgroup.com/publications
https://www.aluminiumresearchgroup.com/history
Aluminium comme déclencheur principal de la maladie d'Alzheimer ?
https://content.iospress.com/articles/journal-of-alzheimers-disease-reports/adr170010
L'aluminium dans le cerveau des personnes atteintes d'autisme et de sclérose en plaques
https://www.nature.com/articles/s41598-020-64734-6
Aluminium dans les vaccins
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0946672X19304201?via%3Dihub
https://www.kla.tv/fr
(...) Car les taux d'autisme et de maladie d'Alzheimer continuent d'augmenter depuis des décennies. En 2021, les Centers for Disease Control and Prevention ont indiqué qu'aux États-Unis, selon les données de 2018, environ 1 enfant sur 44 âgé de huit ans est diagnostiqué avec un trouble du spectre autistique. Il s'agit d'une énorme augmentation par rapport à la première étude américaine connue sur l'autisme en 1970, qui avait constaté un taux inférieur à 1 sur 10 000. Le taux d'Alzheimer a augmenté de plus de 145 % entre 2000 et 2019. (...)
SupprimerDepuis... 1929 (!) l'aluminium est ajouté aux 'vaccins' !! (1929 !)
les escrologistes ont des idées : la Rolls (28l/100) est critair1,la 2ch interdite, chiens ,chats et même le coton dangereux pour la planète
RépondreSupprimerle 6 janvier 2025
par pgibertie
https://twitter.com/i/status/1875640664194478419
https://twitter.com/i/status/1875785299827290466
@JCPEREZCODEX
En Allemagne, si vous souhaitez accéder aux services d’euthanasie, vous devez au préalable avoir complété le cycle de vaccination anti-Covid.
- voir docs sur site :
https://pgibertie.com/2025/01/06/les-escrologistes-ont-des-idees-la-rolls-28l-100-est-critair1la-2ch-interdite-chiens-chats-et-meme-le-coton-dangereux-pour-la-planete/
Aucun test n’a été effectué sur la capacité de l’ARNm auto amplifié à être transmis au consommateur de viande de canard. La 3eme dose précède l’abattage de quelques jours
RépondreSupprimerle 5 janvier 2025
par pgibertie
La 3eme dose intervient peu de temps avant le gavage et l’abattage: les canards vivent en moyenne 11 à 15 semaines Le gavage dure une semaine , guère plus
Une instruction technique en cours de préparation au niveau de la Direction générale de l’alimentation (DGAL) va confirmer les mesures suivantes qui s’appliquent à compter d’aujourd’hui et jusqu’au 31/12/2024 :
Application obligatoire d’une 3ème dose sur les canards destinés à rester plus de 12 semaines (84 jours) en élevage et situés dans les zones à risque, à savoir Zone à risque de diffusion ZRD et/ou Zone réglementée protégée ZRP
Application volontaire d’une 3ème dose sur les canards autour des sites stratégiques (toutes espèces de volailles) de génétique et de reproduction
Application volontaire d’une 3ième dose pour les canards destinés à rester plus de 11 semaines en élevage en ZRD.
Les conditions de prise en charge de cette 3ème dose, pour les animaux mentionnés ci-dessus, jusqu’au 31 décembre 2024, sont les suivantes :
Par l’État : coûts d’achat des vaccins, de leur stockage et acheminement ainsi que les coûts de supervision de la vaccination par les vétérinaires
Par la filière : coût de l’application du vaccin
Le texte ci dessous est d’Hélène Banoun, repris par la MCCULLOUGH Foundation
Quel est le danger des vaccins ARNm pour le consommateur?
https://www.researchgate.net/publication/387723652_Vaccination_des_canards_contre_la_grippe_aviaire_en_France
https://t.co/WK9czYY7Cy
La France est le seul pays au monde à imposer la vaccination anti-grippe aviaire pour tous les canards d’élevage et les autorités en sont très fières.
Parmi les deux produits proposés, le CEVA à ARNm auto-amplifié est le premier produit de ce type injecté aux oiseaux en phase de commercialisation. Un autre ARNm auto-amplifié est commercialisé pour les porcs par MSD : le Sequivity.
L’USDA inclut un temps de sevrage obligatoire avant consommation de viande d’animal vacciné pour exclure toute contamination par consommation de viande : des tests déterminent au bout de combien de temps aucune trace du vaccin ne peut être identifiée dans une partie quelconque de l’animal.
Toujours aux USA, des projets de loi sont en cours pour obliger l’étiquetage détaillant les vaccins reçus par les animaux de boucherie . Il a été impossible de trouver les traces de telles 1précautions prises en France concernant la viande de canards vacciné
Lorsque les canards sont vaccinés avec le produit CEVA à ARNm auto-amplifiant il faut souligner qu’aucun test n’a été effectué sur la capacité de ce produit génique à être transmis au consommateur de viande canard.
L’ARNm vaccinal est encapsulé et donc protégé dans des nanoparticules lipidiques (LNPs) qui sont théoriquement capables de résister aux sucs gastriques. Donc si le canard a été vacciné à l’ARNm, on peut supposer que ce produit a diffusé dans tout le corps de l’animal (comme ce qui a été montré chez l’homme, la souris, etc,..).
RépondreSupprimerSi la viande est mal cuite (magret par exemple), l’ARNm peut être intact et toujours protégé dans les LNPs : le consommateur peut donc théoriquement être « vacciné » par cet ARNm destiné au canard. De plus on sait que l’ARNm vaccinal des produits géniques anti-COVID-19 Pfizer et Moderna peut être naturellement inclus dans des vésicules extra cellulaires naturelles ou exosomes par les cellules du vacciné; ces exosomes résistent aux sucs digestifs .
Cette éventualité théorique n’a pas été étudiée chez les 20canards puisqu’aucune étude de biodistribution ni de pharmacocinétique n’a été menée dans l’essai de 2022.
Pourtant on sait que des exosomes sont capables d’intégrer des répliquons d’ARNm et de les transmettre à d’autres cellules . Les militants écologistes et les organisations de 21consommateurs se préoccupent beaucoup des OGM végétaux dans l’alimentation mais pas des animaux transformés en OGM par la vaccination!
https://pgibertie.com/2025/01/05/aucun-test-na-ete-effectue-sur-la-capacite-de-larnm-auto-amplifie-a-etre-transmis-au-consommateur-de-viande-de-canard-la-3eme-dose-precede-labattage-de-quelques-jours/
La crise mondiale du coronavirus
RépondreSupprimerCoup d'État mondial contre l'humanité
par Michel Chossudovsky
Recherche mondiale, 2022
À propos de l'auteur
Michel Chossudovski est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.
Il a mené des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a écrit de nombreux articles sur les économies des pays en développement, en mettant l'accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également mené des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, Johns Hopkins International Journal of Health Services ( 1979 , 1983 )).
Il est l'auteur de 13 ouvrages, dont La mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial (2003), La « guerre contre le terrorisme » de l'Amérique (2005) et La mondialisation de la guerre, la longue guerre de l'Amérique contre l'humanité (2015).
Il contribue à l'Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de 20 langues. En 2014, il a reçu la Médaille d'or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d'agression de l'OTAN contre la Yougoslavie. Vous pouvez le contacter à l'adresse crgeditor@yahoo.com .
Avis
Il s'agit d'une ressource approfondie d'un grand intérêt si c'est la perspective plus large que vous souhaitez comprendre un peu mieux, l'auteur est très bien informé sur la géopolitique et cela se reflète dans la manière dont Covid est contextualisé , Dr. Mike Yeadon
Dans cette guerre contre l'humanité dans laquelle nous nous trouvons, dans cet assaut singulier, irrégulier et massif contre la liberté et la bonté des gens, le livre de Chossudovsky est un roc sur lequel soutenir notre combat. – Dr. Emanuel Garcia
En quinze chapitres concis et scientifiques, Michel retrace la fausse pandémie de Covid-19, provoquant comment un test PCR, produisant jusqu'à 97 % de faux positifs confirmés, combiné à une campagne de peur implacable 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. , a pu créer une « plandémie » mondiale chargée de panique ; cette plandémie n'aurait jamais été possible sans le tristement célèbre test de réaction en chaîne par polymérase modifiant l'ADN - qui, à ce jour, est imposée à une majorité de personnes innocentes qui n'ont aucune idée de ce qu'il se passer. Ses conclusions sont corroborées par des scientifiques de renom. -Pierre Koenig
Le professeur Chossudovsky révèle la vérité : « il n'existe pas de lien de cause à effet entre le virus et les variables économiques ». En d'autres termes, ce n'est pas le COVID-19, mais plutôt la mise en œuvre délibérée de mesures de confinement illogiques et scientifiquement infondées qui a provoqué l'arrêt de l'économie mondiale. – David Skripac
RépondreSupprimerLa lecture du livre de Chossudovsky nous offre une leçon complète sur la manière dont un coup d'État mondial appelé « The Great Reset » est en cours et qui, s'il n'est pas combattu et vaincu par les peuples épris de liberté du monde entier, aboutira à un avenir dystopique encore inimaginable. Transmettez ce cadeau gratuit du professeur Chossudovsky avant qu'il ne soit trop tard. Vous ne trouverez pas autant d'informations et d'analyses précieuses en un seul endroit. -Edward Curtin
仕組まれたコロナ危機 :
Commenté au Japon 🇯🇵 le 18 novembre 2022
« C'est un livre formidable que je souhaite que les gens de tout le Japon écoutent. Lorsque je lis ce livre, les différents événements expliqués dans l'ordre chronologique tombent tous en place et en contexte, et ils se rapprochent d'un sentiment de réalité. C'est terrifiant. Mon cœur s'est mis à battre et à souffrir au fur et à mesure de ma lecture. Nous devons déterminer soigneusement l'envers de la bonne volonté des personnes qui ont organisé la pandémie de COVID-19. Que pouvons-nous faire en tant que citoyen de terrain ? C'est une question difficile.
…. du produit Description du produitEn savoir plus Description du produit produitなのです.
Ce livre est dédié à ma compagnie de toujours Micheline Ladouceur , qui agit en solidarité avec l' avenir de toute l'humanité.
Remerciements
Je suis redevable à Jezile Torculas pour son soutien et ses conseils concernant l'édition et la production du livre. Mes remerciements vont à Tatuo Uwama qui a pris l'initiative de traduire le manuscrit en japonais. Je remercie également Teresa Balisacan pour son aide à la mise en page et à la conception de la couverture du livre.
Un grand merci à Felicity Arbuthnot, qui a été une source d'inspiration pendant de nombreuses années ; à ma fille Maya, qui m'a permis de comprendre et d'appréhender les impacts dévastateurs de la crise du COVID-19 sur la jeune génération ; à Ariel Noyola Rodríguez, mes remerciements pour ses productions vidéo ; à Michael Welch pour ses programmes de radio exceptionnels de Global Research.
Je suis également redevable au collectif d’auteurs et d’amis de Global Research qui, au cours des dernières années, ont contribué à une compréhension détaillée de la crise du coronavirus qui affecte la vie des gens dans le monde entier.
Mes remerciements vont à Peter Koenig, Manlio Dinucci, David Skripac, Dr Denis Rancourt, Dr Stephen Frost, F. William Engdahl, Christine Massey, Dr Rudolf Haensel, Edward Curtin, Richard Gale, Dr Gary Null, Colin Todhunter, Michael Whitney, Prof. Anthony J. Hall, Dr Pascal Sacré, Dr Reiner Fuellmich, Dr Paul Craig Roberts, Prof. Raul Villegas, Shane Quinn, Stephen Lendman, Mark Taliano, Dr Jacques Pauwels, Prof. Claudia von Werlhof, Caoimhghin Ó Croidheáin, Carla Stea, Bonnie Faulkner, Timothy A. Guzman, Robert Burrowes, Dr Gary G. Kohls, Dr Nicole Delépine, Richard Delgado, Emanuel Pastreich, Mathias Chang, Stephen Sefton, Dr Chandra Muzzafar, pour leurs écrits, leur soutien et leurs encouragements.
Je reste redevable au regretté Padre Miguel d'Escoto Brockmann de m'avoir permis d'acquérir une compréhension critique des contradictions qui règnent au sein du système des Nations Unies.
*
Table des matières
RépondreSupprimerPréface
Chapitre I
Introduction. La destruction de la société civile. La campagne de la peur
Chapitre II
La chronologie du coronavirus
Chapitre III
Qu'est-ce que le COVID-19, SARS-CoV-2 : comment le tester ? Comment le mesurer ?
Chapitre IV
Dépression économique artificielle
Chapitre V
L'enrichissement des super-riches. L'appropriation et la redistribution des richesses
Chapitre VI
Les impacts sur la santé mentale
Chapitre VII
La science corrompue : « Il n’existe pas de remède ». Suppression de l’hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace
Chapitre VIII
Le « vaccin » contre la COVID-19 de Big Pharma
Chapitre IX
La pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 : une répétition générale ?
Chapitre X
Liberté d’expression. Le mouvement de protestation est catégorisé comme « psychopathes antisociaux »
Chapitre XI
L'opération mondiale CoVax et le code de Nuremberg. Crimes contre l'humanité, génocide
Chapitre XII
« Coup d’État mondial » et « Great Reset ». Dette mondiale et « traitement de choc » néolibéral
Chapitre XIII
La « tyrannie numérique » et le code QR
Chapitre XIV
La fin de la pandémie de COVID-19 : l'eugénisme et le programme de dépopulation
Chapitre XV
La voie à suivre : construire un mouvement mondial contre la « tyrannie du coronavirus »
*
Préface
RépondreSupprimer« L’enfer est vide, et tous les démons sont ici. » — William Shakespeare , La Tempête, 1610
La crise du COVID-19 détruit la vie des gens. Ma responsabilité en tant qu'auteur est de révéler la vérité, de briser le flot de désinformation médiatique et de toucher le plus grand nombre possible de personnes dans le monde entier.
Nous sommes confrontés à un processus extrêmement complexe. Au cours des deux dernières années et demie, j’ai analysé presque quotidiennement la chronologie et l’évolution de la crise du COVID-19.
Dès le début de la pandémie, en janvier 2020, les populations du monde entier ont été amenées à croire et à accepter l’existence d’une épidémie dangereuse et en progression rapide. La désinformation médiatique a contribué à entretenir le récit de la COVID-19.
Au moment où nous écrivons ces lignes, des mouvements de protestation ont éclaté dans de nombreux pays. La planète entière est en proie à un chaos économique et social. Une crise alimentaire et agricole mondiale se développe, avec des famines qui éclatent dans toutes les grandes régions du monde (voir chapitre IV).
Dès le début, en janvier 2020, des mensonges et des contre-vérités scientifiques ont été utilisés pour soutenir la légitimité des mandats politiques liés au COVID-19, notamment le confinement, l’imposition du masque facial, la distanciation sociale et la suppression des droits humains fondamentaux.
Le processus de prise de décision est contrôlé par l’establishment financier. Une structure de « gouvernance mondiale » se met en place, qui sape la démocratie et les institutions de la société civile. Les mêmes instructions sont transmises simultanément à des politiciens corrompus dans un grand nombre de pays. Le système des Nations Unies est également complice de cette entreprise diabolique.
La pandémie a été annoncée le 11 mars 2020. Le même jour, des instructions de confinement ont été transmises à 193 États membres des Nations Unies, exigeant essentiellement le confinement de la main-d’œuvre et la « fermeture » du paysage économique et social comme moyen de « combattre le virus ».
Plus de 7 milliards de personnes dans le monde sont directement ou indirectement touchées par la crise du coronavirus et par les mandats destructeurs mis en œuvre par des gouvernements nationaux moralement dépravés.
Le vaccin à ARNm
RépondreSupprimerDepuis la fin de l’année 2020, les gens du monde entier ont été amenés à croire que les injections de vaccins contre la COVID-19 des grandes sociétés pharmaceutiques étaient la « solution ». Et qu’une « nouvelle normalité » serait rétablie une fois que l’ensemble de la population de la planète, soit près de 8 milliards d’habitants, aurait été entièrement vaccinée avec plusieurs doses.
Comment se fait-il qu’un vaccin contre le nouveau virus SARS-CoV-2 , dont le développement aurait pris des années dans des conditions normales, ait pu être lancé aussi rapidement au début du mois de novembre 2020 ? Le « vaccin » à ARNm annoncé par les grandes sociétés pharmaceutiques, Pfizer en tête, repose sur une technologie expérimentale d’édition génétique de l’ARNm qui a une incidence sur le génome humain.
Des tests standards en laboratoire sur des animaux ont-ils été effectués sur des souris ou des furets ?
Ou bien Pfizer a -t-il « directement utilisé des « cobayes » humains » ? Les tests sur les humains ont commencé fin juillet et début août 2020. 2 « Trois mois, c’est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années, c’est la norme . » 3
Copyright Large + JIPÉM, autorisation d'utilisation
Cette caricature de Large + JIPÉM explique notre situation difficile :
Souris n°1 : « Vas-tu te faire vacciner ? »
Souris n°2 : « Vous êtes fous, ils n'ont pas fini les tests sur les humains »
Le projet de vaccin contre la COVID-19 est motivé par le profit. Il est soutenu par des politiciens corrompus au service des intérêts de Big Pharma. Il s’agit de loin du plus grand programme de vaccination de l’histoire mondiale visant à injecter (en plusieurs doses) la totalité de la population de la planète Terre (7,9 milliards de personnes).
Les preuves largement documentées montrent que le vaccin à ARNm a entraîné une augmentation mondiale de la mortalité et de la morbidité.
Les rapports confirment que les vaccins contre la COVID-19 tuent nos enfants. Au Royaume-Uni, « les chiffres les plus élevés en termes de décès toutes causes confondues concernent les adolescents doublement vaccinés ». 4
Description et plan du livre
Le chapitre introductif se concentre sur la campagne de peur, la déstabilisation délibérée de la société civile et le rôle insidieux de la propagande médiatique.
Un examen détaillé de l’histoire de la crise de la COVID-19, examinant la chronologie des principaux événements, est présenté au chapitre II.
Le chapitre III se concentre sur la nature du virus SARS-CoV-2 ainsi que sur le test défectueux de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse ( RT-PCR) qui, dès le départ, a été mis en place par les gouvernements nationaux pour générer de « fausses données » en vue de justifier des mandats politiques excessifs et socialement répressifs.
RépondreSupprimerLes vastes conséquences économiques et sociales de cette crise, y compris le processus d’appauvrissement mondial et la redistribution des richesses en faveur des milliardaires super riches, sont examinées dans les chapitres IV et V. Le chaos économique a contribué à déclencher la crise de la dette mondiale la plus grave de l’histoire du monde.
Les effets dévastateurs des politiques de confinement sur la santé mentale, notamment l’augmentation des suicides et de la toxicomanie, sont examinés au chapitre VI.
Le chapitre VII examine la suppression de l’hydroxychloroquine (HCQ ), un médicament bon marché et efficace.
Le programme de vaccination des grandes sociétés pharmaceutiques a été envisagé plusieurs mois avant l'apparition présumée du nouveau coronavirus à Wuhan fin 2019. Le chapitre VIII passe en revue ce que l'on pourrait qualifier de « vaccin mortel ». La dernière partie du chapitre se concentre sur le projet d'identité numérique ID2020 et l'imposition du soi-disant passeport vaccinal.
Le chapitre IX rappelle les circonstances de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 , qui s’est révélée être une arnaque. Était-ce une « répétition générale » des événements à venir ?
Le chapitre X se concentre sur la dérogation à la liberté d’expression et sur les politiques autoritaires utilisées pour réprimer le mouvement de protestation et assurer la conformité sociale.
Le chapitre XI porte sur les crimes contre l’humanité et le Code de Nuremberg.
Le chapitre XII analyse la « Grande réinitialisation » proposée par le Forum économique mondial qui, si elle était adoptée, consisterait à établir un système de gouvernance mondiale , à supprimer l'État-providence et à imposer des mesures d'austérité massives à une population appauvrie. L'emblème officiel de la « Grande réinitialisation » du WEF est « Ne possédez rien, soyez heureux ».
Le chapitre XIII, intitulé Digital Tyranny, se concentre sur le projet mondial de code de vérification QR qui pose les bases de la création d’une banque de données numériques mondiale de près de 8 milliards de personnes. Peter Koenig décrit le code QR comme « un identifiant entièrement électronique – reliant tout à tout ce qui concerne chaque individu (dossiers médicaux, bancaires, personnels et privés, etc.) ».
Le chapitre XIV se concentre sur l'eugénisme et le programme de dépopulation
Le chapitre XV intitulé La voie à suivre : construire un mouvement mondial contre la tyrannie du coronavirus formule les contours d’un mouvement mondial qui remet en question avec force la légitimité des élites financières, de Big Pharma et al., ainsi que les structures corrompues de l’autorité politique au niveau national.
Un mot sur la méthodologie : notre objectif est de réfuter le « Grand Mensonge » à travers une analyse minutieuse consistant en :
un aperçu historique de la crise du COVID avec des données, des concepts et des définitions précis ;
RépondreSupprimercitations de documents officiels et de rapports évalués par des pairs, de nombreuses sources et références sont indiquées ;
analyse scientifique et examen détaillé des données, estimations et définitions « officielles » ; et
analyse des impacts des « lignes directrices » de l’OMS et des politiques gouvernementales sur les variables économiques, sociales et de santé publique.
Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer les gens du monde entier et de réfuter le récit officiel qui a été utilisé comme prétexte et justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers, suivi de l’imposition du « vaccin » « mortel » COVID-19.
Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes.
Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants dans le monde entier.
La vérité est un instrument puissant.
Michel Chossudovsky,
Recherche Globale, Montréal, août 2022
Notes de fin
1 F. William Engdahl, 15 novembre 2020. Ce qu'on ne dit pas sur le vaccin contre le coronavirus de Pfizer. Des « cobayes humains » ? https://www.globalresearch.ca/what-not-said-pfizer-coronavirus-vaccine/5729461
2 Ibid.
3 Ibid.
4 The Expose, 29 juillet 2022. Choquant : le gouvernement britannique admet que les enfants vaccinés contre la COVID-19 ont 4 423 % plus de risques de mourir de n'importe quelle cause et 13 633 % plus de risques de mourir de la COVID-19 que les enfants non vaccinés. https://www.globalresearch.ca/print-version-of-covid-book/5780283
*
RépondreSupprimerChapitre I
Introduction
La destruction de la société civile. La campagne de la peur
« Il est temps que tout le monde sorte de cette transe négative, de cette hystérie collective, car la famine, la pauvreté, le chômage de masse tueront et détruiront la vie de bien plus de personnes que le SARS-CoV-2 ! » — Dr Pascal Sacré 1
« Je vois des patients qui ont des éruptions cutanées au visage, des infections fongiques, des infections bactériennes. […] En février et mars [2020], on nous a dit de ne pas porter de masque. Qu’est-ce qui a changé ? La science n’a pas changé. La politique, oui. Il s’agit de conformité. Ce n’est pas une question de science… » — Dr James Meehan 2
« Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de retour en arrière. La folie l’emporte. Le monde est sens dessus dessous. » – Michel Chossudovsky
« Nous sommes confinés alors que le taux de mortalité par infection est inférieur à 0,2 %. » — Dr Richard Schabas 3
Nous nous trouvons à la croisée des chemins de l’une des crises les plus graves de l’histoire mondiale. Nous vivons l’histoire, mais notre compréhension de la séquence des événements depuis janvier 2020 est floue. Partout dans le monde, les citoyens ont été induits en erreur par leurs gouvernements et les médias quant aux causes et aux conséquences dévastatrices de la « pandémie » de COVID-19.
La vérité tacite est que le nouveau coronavirus fournit un prétexte et une justification aux puissants intérêts financiers et aux politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite, d’extrême pauvreté et de désespoir.
Voilà la réalité de ce qui se passe. C'est le résultat d'un processus décisionnel complexe.
Le « confinement de la planète » est une atteinte aux libertés civiles et au « droit à la vie ».
Des économies nationales entières sont en danger. Dans certains pays, la loi martiale a été décrétée.
Le petit et moyen capital est voué à disparaître. Le grand capital prévaut.
Une concentration massive de la richesse des entreprises est en cours.
C’est un « Nouvel Ordre Mondial » diabolique en train de se former.
Zones rouges, port du masque, distanciation sociale, fermeture des écoles, collèges et universités, plus de réunions de famille, plus de fêtes d’anniversaire, de musique, d’arts ; plus d’événements culturels, les événements sportifs sont suspendus, plus de mariages, « l’amour et la vie » sont purement et simplement interdits.
Et dans plusieurs pays, les réunions de famille de Noël et du Nouvel An (2021-2022) étaient illégales.
La fermeture de l’économie mondiale est présentée comme un moyen de combattre le virus. C’est ce qu’ils veulent nous faire croire. Si le public avait été informé que le COVID-19 est « similaire à la grippe saisonnière », la campagne de peur aurait été un échec.
La pandémie a été officiellement lancée par l'OMS le 11 mars 2020, entraînant le confinement et la fermeture des économies nationales de 190 pays (sur 193), États membres des Nations Unies. Les instructions sont venues d'en haut, de Wall Street, du Forum économique mondial (WEF), des fondations milliardaires.
La pandémie du 11 mars 2020 a été précédée par une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) de l’OMS le 30 janvier 2020, qui a été suivie en février 2020 par la déstabilisation des marchés financiers.
La vidéo ci-dessous a été initialement publiée par Vimeo il y a plus d'un an, avant le lancement du vaccin. Elle a été retirée le 5 mars 2022 en tant qu'acte de censure dirigé contre Global Research. Regardez-la ci-dessous ou cliquez ici.
- voir clip sur site -
Le 30 janvier, on comptait 83 « cas confirmés de COVID-19 » hors de Chine, sur une population totale de 6,4 milliards d’habitants. Dans les jours précédant la crise financière de février, on comptait 1 076 « cas confirmés de COVID-19 » hors de Chine (voir notre analyse au chapitre II).
RépondreSupprimerCe projet diabolique basé sur des estimations insuffisantes et erronées est décrit avec désinvolture par les médias d’entreprise comme une entreprise « humanitaire » ; la « communauté internationale » a la « responsabilité de protéger » (R2P).
Selon les mots de Diana Johnstone , c'est « le prétexte mondial » . Un « partenariat public-privé » non élu sous les auspices du Forum économique mondial (WEF) est venu au secours des 7,9 milliards d'habitants de la planète Terre. La fermeture des économies nationales de 193 États membres des Nations Unies est présentée comme un moyen de « tuer le virus ».
Cela paraît absurde. La fermeture de l’économie réelle de la planète Terre n’est pas la « solution », mais plutôt la « cause » d’un processus diabolique de déstabilisation et d’appauvrissement à l’échelle mondiale.
L’économie nationale combinée aux institutions politiques, sociales et culturelles constitue la base de la « reproduction de la vie réelle » : revenus, emploi, production, commerce, infrastructures et services sociaux.
Déstabiliser l’économie de la planète Terre ne peut constituer une « solution » pour combattre le virus. Mais c’est la « solution » imposée à laquelle ils veulent nous faire croire. Et c’est ce qu’ils font.
C'est la destruction de la vie des gens, c'est la déstabilisation de la société civile.
Les mensonges sont entretenus par une campagne massive de désinformation médiatique : des « alertes COVID » incessantes et répétitives, 24 heures sur 24 , 7 jours sur 7, depuis plus de deux ans et demi. Il s'agit d'un processus d'ingénierie sociale.
Ce qu’ils veulent, c’est augmenter les chiffres pour justifier le confinement. Les statistiques de décès dus au COVID sont « fabriquées » (voir chapitre III).
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Le COVID-19 est présenté comme le « virus tueur ».
RépondreSupprimerDétruire la société civile
Les gens sont effrayés et perplexes. « Pourquoi feraient-ils cela ? »
Des écoles vides, des aéroports vides, des épiceries en faillite.
En France, « des églises menacées de kalachnikovs en raison de l’épidémie de COVID-19 » (avril 2020). 4
L’ensemble de l’économie des services urbains est en crise. Les magasins, les bars et les restaurants sont acculés à la faillite. Les voyages internationaux et les vacances sont suspendus. Les rues sont vides. Dans plusieurs pays, les bars et les restaurants sont tenus de relever les noms et les coordonnées des personnes concernées afin de faciliter le traçage des contacts si nécessaire .
Confinement culturel
Parallèlement, à partir de mars 2020, la fermeture des économies nationales dans le monde entier s’est accompagnée d’ un confinement culturel touchant la musique et les événements artistiques. Les musées sont vides, plus d’opéras, plus de symphonies, les salles de concert sont fermées dans le monde entier. Des plateformes numériques dites « stay at home » ont été mises en place. Aux États-Unis, les musées ont annoncé leur fermeture le 12 mars 2020, à commencer par le Metropolitan Museum of Art de New York. En France, le Louvre, Versailles et la Tour Eiffel ont été fermés le 13 mars 2020, deux jours après le confinement.
La liberté d'expression est réprimée
Le récit du confinement est soutenu par la désinformation médiatique, la censure en ligne, l’ingénierie sociale et la campagne de peur.
Les médecins qui remettent en question le discours officiel sont menacés. Ils perdent leur emploi. Leur carrière est détruite. Ceux qui s’opposent au confinement gouvernemental sont qualifiés de « psychopathes antisociaux » .
Des « études » psychologiques évaluées par des pairs sont actuellement menées dans plusieurs pays à partir d’enquêtes par sondage. Acceptez le « gros mensonge » et vous serez catalogué comme une « bonne personne » dotée d’« empathie » et comprenant les sentiments des autres.
Exprimez des réserves concernant la distanciation sociale, le port du masque facial et le vaccin à ARNm, et vous serez étiqueté (selon « l’opinion scientifique ») comme un « psychopathe insensible et trompeur » (voir chapitre XI).
Dans les collèges et les universités, les enseignants sont contraints de se conformer et d’adhérer au discours officiel sur la COVID-19. Remettre en question la légitimité du confinement ou du vaccin dans les « salles de classe » en ligne peut conduire au licenciement.
De nombreux médecins et scientifiques qui se sont opposés au consensus sur le COVID ou au vaccin ont été arrêtés. En décembre 2020, « Jean-Bernard Fourtillan, professeur d’université à la retraite connu pour son opposition au vaccin contre le COVID-19, a été arrêté « par des agents des forces de l’ordre sous commandement militaire, et placé de force à l’isolement à l’hôpital psychiatrique d’Uzès ». Fourtillan est connu pour être un « critique de longue date des vaccins qui utilisent des adjuvants dangereux » ». 7
RépondreSupprimerGoogle, Facebook et Twitter : le marketing est un grand mensonge
Les avis de scientifiques de renom qui remettent en question le confinement, le port du masque ou la distanciation sociale sont « supprimés » par Google :
« YouTube n'autorise pas le contenu qui diffuse de fausses informations médicales qui contredisent les informations médicales de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ou des autorités sanitaires locales sur le COVID-19, y compris sur les méthodes de prévention, de traitement ou de diagnostic du COVID-19 , et les moyens de transmission du COVID-19. » (soulignement ajouté) 8
Ils appellent cela du « fact-checking », sans reconnaître que l’OMS et les autorités sanitaires nationales contredisent leurs propres données et concepts.
De même, Twitter a confirmé qu’il « supprimerait tous les messages suggérant qu’il existe des « impacts ou effets indésirables liés à la vaccination » »…
Twitter « effacera de la mémoire tous les messages qui « invoquent une conspiration délibérée » ou « véhiculent des récits nuisibles, faux ou trompeurs » sur les vaccins. »
11 mars 2020 : dépression économique artificielle. Coup d'État mondial ?
Déstabiliser d’un seul coup les économies nationales de 193 pays est un acte de « guerre économique ». Ce programme diabolique porte atteinte à la souveraineté des États-nations. Il appauvrit les populations du monde entier. Il conduit à une spirale de la dette mondiale libellée en dollars.
Les puissantes structures du capitalisme mondial, les grands capitaux, ainsi que leurs appareils de renseignement et militaires, en sont la force motrice. Grâce aux technologies numériques et de communication avancées, le confinement et la fermeture de l'économie mondiale sont sans précédent dans l'histoire du monde.
Cette intervention simultanée dans environ 193 pays porte atteinte à la démocratie. Elle porte atteinte à la souveraineté des États-nations du monde entier, sans qu’il soit nécessaire de recourir à une intervention militaire. Il s’agit d’une forme avancée de « guerre économique » qui éclipse d’autres formes de guerre, notamment les guerres conventionnelles (de type irakien) (voir chapitres IV et V).
Scénarios de « gouvernance mondiale ». Un gouvernement mondial à l’ère post-COVID ?
Le projet de confinement du 11 mars 2020 utilise des mensonges et des tromperies pour finalement imposer un régime totalitaire mondial, intitulé « Gouvernance mondiale » (par des fonctionnaires non élus). Selon les mots de David Rockefeller :
« … Le monde est désormais plus sophistiqué et prêt à évoluer vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés . » (cité par Aspen Times , 15 août 2011, c’est nous qui soulignons) 9
Le scénario de gouvernance mondiale impose un programme d’ingénierie sociale et de conformité économique :
RépondreSupprimerIl s’agit d’une extension du cadre politique néolibéral imposé aux pays en développement comme aux pays développés. Il consiste à abandonner « l’autodétermination nationale » et à construire un réseau mondial de régimes pro-américains contrôlés par une « souveraineté supranationale » (gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques (voir chapitre XIII).
Simulation de pandémies
Le « scénario de l’étape bloquée » de Rockefeller
La Fondation Rockefeller propose l’utilisation de la « planification de scénarios » comme moyen de mettre en œuvre la « gouvernance mondiale ».
Dans le rapport Rockefeller de 2010 intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international » , des scénarios de gouvernance mondiale et les mesures à prendre en cas de pandémie mondiale sont envisagés .
Plus précisément, le rapport envisageait (p. 18) la simulation d’un scénario Lock Step incluant une souche de grippe virulente mondiale.
« Le scénario Lock Step décrit « un monde de contrôle gouvernemental plus strict et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. » En « 2012 » (c'est-à-dire deux ans après la publication du rapport), [dans le cadre de la simulation] une souche de grippe « extrêmement virulente et mortelle » provenant d'oies sauvages met le monde à genoux, infectant 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois – « la majorité d'entre elles étant de jeunes adultes en bonne santé. » ( Helen Buyniski, février 2020) 12
Le rapport Rockefeller de 2010 a été publié immédiatement après la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 (voir chapitre IX).
La simulation de table Clade X
Le 15 mai 2018, une simulation sur table d’une pandémie intitulée Clade X a été réalisée sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security.
Clade X a été décrit par ses organisateurs comme un exercice de simulation d’une journée sur la pandémie dont le but était « d’illustrer les décisions stratégiques de haut niveau prises aux États-Unis et dans le monde… pour prévenir une pandémie » (soulignement ajouté). 13 Il était « joué par des individus éminents dans les domaines de la sécurité nationale ou de la réponse aux épidémies ».
Bill Gates avait une prescience
« Dans le cas des menaces biologiques, ce sentiment d’urgence fait défaut… Le monde doit se préparer aux pandémies de la même manière qu’il se prépare à la guerre. » (Bill Gates cité dans Business Insider , 17 avril 2018)
L'événement « 201 » d'octobre 2019
Clade X a été suivi par une autre simulation sur table intitulée Event 201 (également sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security ) .
L'événement 201 concernait une épidémie de coronavirus intitulée nCoV-2019. Il s'est tenu le 18 octobre 2019, moins de trois mois avant l'annonce par les autorités chinoises début janvier 2020 d'un nouveau coronavirus intitulé 2019-nCoV (rebaptisé par la suite SARS-CoV-2) :
« Déclaration sur le nCoV et notre exercice de pandémie
RépondreSupprimer24 janvier 2020 – En octobre 2019, le Centre de sécurité sanitaire de l’Université Johns Hopkins a organisé un exercice de simulation de pandémie appelé Event 201 avec des partenaires, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates. Récemment, le Centre de sécurité sanitaire a reçu des questions sur la capacité de cet exercice à prédire l’épidémie actuelle de nouveau coronavirus en Chine.
Pour être clair, le Centre pour la sécurité sanitaire et ses partenaires n’ont pas fait de prédiction lors de notre exercice de simulation. Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie de coronavirus fictive, mais nous avons explicitement indiqué qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. Au lieu de cela, l’exercice a servi à mettre en évidence les défis en matière de préparation et de réponse qui surviendraient probablement en cas de pandémie très grave. Nous ne prévoyons pas maintenant que l’épidémie de nCoV-2019 tuera 65 millions de personnes.
Bien que notre exercice sur table incluait un faux nouveau coronavirus, les données que nous avons utilisées pour modéliser l’impact potentiel de ce virus fictif ne sont pas similaires à celles du nCoV-2019. » (soulignement ajouté) 15
L’exercice de pandémie Event 201 du 18 octobre 2019 a également abordé la manière de gérer les médias sociaux et la soi-disant « désinformation ».
De nombreuses caractéristiques de l’« exercice de simulation » de 201 correspondaient en fait à ce qui s’est réellement passé lorsque le directeur général de l’OMS a lancé une urgence de santé publique mondiale le 30 janvier 2020.
Dans le scénario Event 201 , un effondrement de 15 % des marchés financiers avait été « simulé » . Il n’était pas « prédit » selon les organisateurs et sponsors de l’événement, parmi lesquels figuraient la Fondation Bill et Melinda Gates ainsi que le Forum économique mondial .
Il convient de noter que les sponsors de l’événement 201, dont le Forum économique mondial et la Fondation Gates, ont été activement impliqués dès le début dans la coordination (et le financement) des politiques liées au COVID-19, notamment le test RT-PCR, les procédures de confinement ainsi que le vaccin à ARNm. Les faits suggèrent que ces politiques avaient été planifiées et envisagées bien plus tôt.
Le scénario 201 joueurs
Parmi les 201 « acteurs » du scénario de simulation de l’Université Johns Hopkins figuraient des personnalités clés occupant des postes de conseil ou de direction dans un certain nombre d’organisations clés. Moins de trois mois plus tard, ces 201 « acteurs » ont commencé à s’impliquer activement dans la réponse politique à la pandémie de COVID-19.
« Les personnalités suivantes, issues du monde des affaires, du gouvernement et de la santé publique, ont été chargées de diriger la réponse politique à un scénario d’épidémie fictif dans le cadre de l’exercice sur table sur la pandémie Event 201. » 17
Certains des acteurs clés du scénario 201 ; de gauche à droite : Dr Gao Fu (par 中国新闻网, sous licence CC BY 3.0 ), Jane Halton (par l'OMS/Peter Williams) et Dr Stephen Redd (par le gouvernement américain, sous licence du domaine public )
Les entités directement ou indirectement « représentées » par les « acteurs » incluent l’OMS, Johns Hopkins, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI, Dr Timothy Grant Evans ), les services de renseignement américains, la Fondation Bill et Melinda Gates ( Dr Chris Elias ), la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI, présidente Jane Halton) , le Forum économique mondial (WEF), la Fondation des Nations Unies, les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC, Stephen Redd ), le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC, directeur Dr George Fu Gao ), les grandes sociétés pharmaceutiques ( Adrian Thomas ), la Banque mondiale et le secteur bancaire mondial, les compagnies aériennes et l’industrie hôtelière. Pour plus de détails, cliquez ici.
Il convient de noter que le directeur du CDC chinois, le Dr George Fu Gao, a joué un rôle central dans la supervision de l'épidémie de COVID-19 à Wuhan au début de 2020, en étroite collaboration avec la Fondation Bill et Melinda Gates, Johns Hopkins, etc. Le Dr Gao Fu est un diplômé d'Oxford qui a des liens avec les grandes sociétés pharmaceutiques. Il a également été pendant plusieurs années membre du Wellcome Trust.
RépondreSupprimerLe Dr Stephen Redd (CDC) a joué un rôle clé dans la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 de 2009 aux États-Unis, qui s’est avérée être une fausse campagne (voir chapitre IX).
Il convient également de noter que l’ OMS a initialement adopté un acronyme similaire (pour désigner le coronavirus) à celui de l’exercice Pandemic Event 201 de Johns Hopkins (nCoV-2019) . « … Le nouveau virus a été initialement nommé 2019-nCoV par [l’]OMS. » 18
« Le 11 février 2020, l’OMS a renommé la maladie en maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Le même jour, le groupe d’étude sur les coronavirus (CSG) du Comité international de taxonomie des virus a publié un manuscrit sur bioRxiv dans lequel il suggérait de désigner le 2019-nCoV comme coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2) sur la base d’une analyse phylogénétique des coronavirus apparentés. » ( Lancet ) 19
Le choix du nom SARS-CoV-2 est expliqué au chapitre III en relation avec le rapport dit Drosten.
Renseignement et « l’art de tromper »
La crise du COVID est un instrument sophistiqué des élites au pouvoir. Elle présente toutes les caractéristiques d’une opération de renseignement soigneusement planifiée utilisant « la tromperie et la contre-tromperie » . Leo Straus « considérait le renseignement comme un moyen pour les décideurs politiques d’atteindre et de justifier des objectifs politiques, et non de décrire les réalités du monde ». Et c’est précisément ce qu’ils font en relation avec le COVID-19. 20
« Le prétexte mondial »
Confirmé par d’éminents scientifiques ainsi que par les organismes officiels de santé publique, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), le COVID-19 est un problème de santé publique, mais ce n’est PAS un virus dangereux.
La crise du COVID-19 est une « urgence » de santé publique sous l’égide de l’OMS, qui sert de prétexte et de justification pour déclencher un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique. La tendance est à l’imposition d’un État totalitaire .
L’ingénierie sociale est mise en œuvre. Les gouvernements sont contraints de prolonger le confinement malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.
Il n’existe aucune base scientifique justifiant la mise en œuvre de la fermeture de l’économie mondiale comme moyen de résoudre une crise de santé publique. Les médias et les gouvernements sont impliqués dans la diffusion de fausses informations.
La campagne de peur n’a aucun fondement scientifique. Vos gouvernements mentent. En fait, ils se mentent à eux-mêmes.
Notes de fin
RépondreSupprimer1 Dr Pascal Sacré, 7 août 2020. COVID-19 : plus près de la vérité : tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160
2 John CA Manley, 6 octobre 2020. Un médecin prévient que « les pneumonies bactériennes sont en hausse » en raison du port du masque. https://www.globalresearch.ca/medical-doctor-warns-biotic-pneumonias-rise-mask-wearing/5725848
3 Dr Richard Schabas, 19 janvier 2021. Nous sommes confinés alors que le taux de mortalité par infection est inférieur à 0,2 % ? Dr Richard Schabas au premier ministre de l'Ontario, Doug Ford. https://www.globalresearch.ca/were-being-locked-down-infection-fatality-rate-less-than-0-2/5734799
4 Lucy Williamson, 22 avril 2020. Coronavirus : l'église menacée de kalachnikovs en raison de l'épidémie de Covid-19. https://www.bbc.com/news/av/world-europe-52389953
5 OMS, 9 septembre 2020. Suivi de la COVID-19 : recherche des contacts à l'ère numérique. https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/tracking-covid-19-contact-tracing-in-the-digital-age
6 Prof Michel Chossudovsky, 6 octobre 2020. Les vaccinés contre les non vaccinés : ceux qui refusent le vaccin et le récit « officiel » du Covid-19 sont classés comme des « psychopathes ». https://www.globalresearch.ca/collective-narcissism-and-the-dark-triad-those-who-protest-against-the-official-covid-19-narrative-are-categorized-as-psychopaths-is-it-a-witch-hunt/5722151
7 Jeanne Smits, 11 décembre 2020. Un professeur de pharmacie accompli jeté dans un hôpital psychiatrique après avoir remis en question le récit officiel du COVID. https://www.lifesitenews.com/news/accomplished-pharma-prof-thrown-in-psych-hospital-after-questioning-official-covid-narrative/
8 Aide YouTube, et politique relative à la désinformation médicale liée au COVID-19. https://support.google.com/youtube/answer/9891785?hl=fr
9 Will Kesler, 15 août 2011. Attention au Nouvel Ordre Mondial. https://www.aspentimes.com/news/beware-new-world-order/
10 Prof Michel Chossudovsky, 1er mai 2020. Le capitalisme mondial, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus. https://www.globalresearch.ca/global-capitalism-world-government-and-the-corona-crisis/5712312
11 La Fondation Rockefeller et le Global Business Network, mai 2010. Scénarios pour l'avenir de la technologie et du développement international. https://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf
RépondreSupprimer12 Helen Buyniski, 5 février 2020. VIDÉO : Le scénario de simulation « Lock Step » : « Une pandémie de type coronavirus qui devient un déclencheur de contrôles d'État policier ». https://www.globalresearch.ca/all-sectors-us-establishment-lock-step-deep-states-latest-bio-war/5702773
13 Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, sd EXERCICE CLADE X. https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/events/2018_clade_x_exercise/
14 Centre pour la sécurité sanitaire de l'université Johns Hopkins, sd Event 201. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/
15 Johns Hopkins Center for Health Security, 24 janvier 2020. Déclaration sur le nCov et notre exercice de pandémie. https://www.centerforhealthsecurity.org/news/center-news/2020/2020-01-24-Statement-of-Clarification-Event201.html
16 Prof Michel Chossudovsky, 1er mars 2020. Coronavirus COVID-19 : une fausse pandémie ? Qui est derrière elle ? Déstabilisation économique, sociale et géopolitique mondiale. https://www.globalresearch.ca/covid-19-coronavirus-a-fake-pandemic-whos-behind-it-global-economic-and-geopolitical-destabilization/5705063
17 Centre pour la sécurité sanitaire de l'université Johns Hopkins, nd Event 201 joueurs. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/players/
18 Shibo Jiang, Zhengli Shi et al., 19 février 2020. Un nom distinct est nécessaire pour le nouveau coronavirus. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30419-0/fulltext
19 Ibid.
20 Prof Michel Chossudovsky, 12 novembre 2020. La « pandémie » de Covid : détruire la vie des gens. Dépression économique artificielle. Un « coup d'État » mondial ? https://www.globalresearch.ca/the-second-wave-destroyer-peoples-lives-global-coup-detat/5728207
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RépondreSupprimerChapitre II
La chronologie du coronavirus
Ce chapitre fournit une chronologie et un historique détaillés de la crise du coronavirus à partir d’août 2019.
1er août 2019 : Glaxo-Smith-Kline (GSK) et Pfizer ont annoncé la création d'un partenariat d'entreprise dans le domaine des produits de santé grand public, notamment des vaccins.
19 septembre 2019 : Réunion de l' Alliance ID2020
L’Alliance ID2020 a tenu à New York son sommet intitulé « Rising to the Good ID Challenge ». L’accent a été mis sur la création d’un vaccin avec un passeport numérique intégré sous les auspices de GAVI (Alliance for Vaccine Identity). L’objectif affiché était la création d’une base de données numérique mondiale .
« L’identité numérique est en cours de définition et de mise en œuvre aujourd’hui , et nous reconnaissons l’importance d’une action rapide pour combler le fossé en matière d’identité », a déclaré Dakota Gruener , directeur exécutif d’ID2020 :
« La vaccination pouvant servir de plateforme à l’identité numérique, le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie . Le programme explorera et évaluera également plusieurs technologies biométriques de pointe pour les nourrissons afin d’offrir une identité numérique persistante dès la naissance…
« Nous mettons en œuvre une approche tournée vers l’avenir en matière d’identité numérique qui donne aux individus le contrôle de leurs propres informations personnelles, tout en continuant à développer les systèmes et programmes existants. » 2
18 octobre 2019 : Événement 201. Exercice de simulation de pandémie 201
Le coronavirus a été initialement nommé 2019-nCoV par l'OMS , le même nom (à l'exception du placement de la date) que celui adopté lors de l'exercice de simulation 201 du 18 octobre 2019 sous les auspices de la Johns Hopkins Bloomberg School of Health, Center for Heath Security (un événement sponsorisé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial). Événement 201 :
« En octobre 2019, le Centre de sécurité sanitaire de l’Université Johns Hopkins a organisé un exercice de simulation de pandémie appelé Event 201 avec des partenaires, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates. … Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie de coronavirus fictive, mais nous avons explicitement déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. (soulignement ajouté, voir chapitre I) . » 3
12 décembre 2019 : Commission municipale de la santé de Wuhan
Lorsque l'avis indique que cette date est la date d'apparition initiale la plus ancienne des 59 patients atteints d'une pneumonie virale inexpliquée. ( Chronologie et chronologie précoce ) 4
31 décembre 2019 : Premiers cas de pneumonie de cause inconnue détectés à Wuhan, province du Hubei et signalés à l'OMS. « Au total, 44 cas ont été signalés : 11 patients sont gravement malades, tandis que les 33 autres sont dans un état stable . » 5
1er janvier 2020 : les autorités sanitaires chinoises ont fermé le marché de gros de fruits de mer de Huanan à Wuhan après que des médias occidentaux ont rapporté que des animaux sauvages qui y étaient vendus pourraient être à l'origine du virus. Cette première évaluation a ensuite été réfutée par des scientifiques chinois.
7 janvier 2020 : Les autorités chinoises auraient « identifié un nouveau type de virus » qui (selon les rapports) aurait été isolé le 7 janvier 2020. Aucun détail spécifique n’a été fourni concernant le processus d’isolement du virus. Selon les rapports scientifiques, l’identité ainsi que le processus d’isolement du virus n’avaient pas été entrepris (pour plus de détails, voir le chapitre III). Le nombre de cas était extrêmement faible. « 44 cas de pneumonie alors que des acides nucléiques spécifiques du virus n’ont été trouvés que sur 15 patients ». Aucune preuve d’une épidémie en cours en Chine. 6
RépondreSupprimer11 janvier 2020 : La Commission municipale de la santé de Wuhan annonce le premier décès causé par le coronavirus.
22 janvier 2020 : OMS — Les membres du Comité d’urgence de l’OMS « ont exprimé des points de vue divergents sur la question de savoir si cet événement constitue ou non une USPI [urgence de santé publique de portée internationale] ». La réunion du Comité a été convoquée à nouveau le 23 janvier 2020, en même temps que les réunions du Forum économique mondial de Davos (du 21 au 24 janvier 2020). Le petit nombre de cas en Chine ne justifie pas une USPI. 7
La réunion du Comité d’urgence convoqué par le Directeur général de l’OMS en vertu du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) a exprimé des avis divergents sur la question de savoir si cet événement constituait ou non une USPI. À l’époque, l’avis était que l’événement ne constituait pas une USPI, mais les membres du Comité ont convenu de l’urgence de la situation et ont suggéré que le Comité se réunisse à nouveau dans quelques jours pour examiner la situation plus en détail. (OMS, Déclaration sur la réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV) ) 8
21-24 janvier 2020 : Consultations au Forum économique mondial, Davos, Suisse
Les consultations ont été organisées sous les auspices de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) pour le développement d'un programme de vaccination. La CEPI est un partenariat WEF-Gates. Avec le soutien de la CEPI, Moderna, basée à Seattle, fabriquera un vaccin à ARNm contre le 2019-nCoV :
« Le Centre de recherche sur les vaccins (VRC) de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), qui fait partie du NIH, a collaboré avec Moderna pour concevoir le vaccin. » 9
Les éléments de preuve suggèrent que le projet de vaccin contre le 2019-nCoV était déjà en cours en 2019 (voir chapitre VIII). Il a été officiellement annoncé à Davos, deux semaines après l’annonce du 7 janvier 2020 par les autorités chinoises, et à peine une semaine avant le lancement officiel de l’état d’urgence sanitaire mondiale de l’OMS, le 30 janvier 2020.
L'annonce du vaccin WEF-Gates-CEPI précède l'urgence de santé publique de portée internationale (USPI) de l'OMS. Voir la vidéo WEF .
Les intérêts financiers dominants, les fondations milliardaires et les institutions financières internationales ont joué un rôle clé dans le lancement de l’USPPI de l’OMS.
La semaine précédant cette décision historique de l’OMS, l’USPPI a fait l’objet de « consultations » lors du Forum économique mondial (WEF) de Davos (21-24 janvier). Le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros, était présent à Davos. Ces consultations ont-elles contribué à influencer la décision historique de l’OMS du 30 janvier ?
RépondreSupprimerY a-t-il eu conflit d'intérêt au sens de l'OMS ? Le plus grand donateur de l'OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates qui, avec le WEF et la CEPI, avait déjà annoncé à Davos le développement d'un vaccin contre la COVID-19 avant le lancement historique du PHEIC le 30 janvier .
Le directeur général de l’OMS a bénéficié du soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de l’industrie pharmaceutique et du Forum économique mondial (FEM). Certains éléments portent à croire que la décision de l’ OMS de déclarer l’état d’urgence sanitaire mondiale a été prise en marge du FEM de Davos (du 21 au 24 janvier), en même temps que la réunion du Comité d’urgence du 22 janvier à Genève.
28 janvier 2020 : Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis ont confirmé (sans preuve concrète) que le nouveau coronavirus avait été isolé (voir chapitre III).
30 janvier 2020 : Urgence de santé publique de portée internationale (USPI) de l'OMS
La première phase de cette crise a été lancée par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’elle n’ait pas été officiellement qualifiée de « pandémie », elle a néanmoins contribué à alimenter la campagne de peur.
Dès le début, les estimations des « cas positifs confirmés » ont fait partie d’un « jeu de chiffres ».
Dans certains cas, les statistiques n’ont tout simplement pas été mentionnées et dans d’autres cas, les chiffres ont été gonflés de manière sélective dans le but de créer la panique.
Non mentionné par les médias, le nombre de « cas confirmés » basés sur des estimations erronées (RT-PCR) utilisées pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.
La population mondiale hors Chine est de l'ordre de 6,4 milliards d'habitants. Au 30 janvier 2020, hors Chine, on comptait :
« 83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. » (Voir OMS , 30 janvier 2020) 12
Le 29 janvier 2020, la veille du lancement de l’USPPI ( enregistré par l’OMS), il y a eu cinq cas aux États-Unis, trois au Canada, quatre en France et quatre en Allemagne. 13
Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le déclenchement d’une urgence de santé publique mondiale.
Ces faibles chiffres (non mentionnés par les médias) n’ont pas empêché le lancement d’une campagne de peur mondiale.
31 janvier 2020 : Décision du président Trump de suspendre les voyages aériens avec la Chine
RépondreSupprimerLe lendemain (31 janvier 2020), Trump a annoncé qu’il refuserait l’entrée aux États-Unis aux ressortissants chinois et étrangers « ayant voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cette décision a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien, les transports, les relations commerciales entre les États-Unis et la Chine ainsi que dans les transactions de fret et de transport maritime.
Alors que l’OMS « n’a recommandé aucune restriction de voyage ou de commerce », les cinq soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis ont été suffisants pour « justifier » la décision du président Trump du 31 janvier 2020 de suspendre les voyages aériens avec la Chine tout en précipitant une campagne de haine contre les Chinois d’origine ethnique dans tout le monde occidental.
Cette décision historique du 31 janvier a ouvert la voie à la perturbation du commerce international des matières premières ainsi qu'à l'imposition de restrictions mondiales sur le transport aérien. Elle a finalement contribué à la faillite de grandes compagnies aériennes.
Les « faux médias » ont immédiatement pris de l’ampleur. La Chine a été tenue pour responsable de la « propagation de l’infection » dans le monde entier.
Début février 2020 : l'acronyme du coronavirus a été modifié de nCoV-2019 (son nom lors de l'exercice de simulation de l'événement d'octobre 2011 de Johns Hopkins) à SARS-CoV-2. COVID-19 désigne la maladie déclenchée par le SARS-CoV-2.
20-21 février 2020 : Données mondiales sur le COVID-19 en dehors de la Chine. Le navire de croisière Diamond Princess
Alors que la Chine a signalé un total de 75 567 cas de COVID-19 (au 20 février), le nombre de cas confirmés hors de Chine était extrêmement faible et les statistiques basées, en grande partie, sur le test RT-PCR utilisé pour confirmer la « propagation mondiale du virus » étaient pour le moins discutables. De plus, sur les 75 567 cas en Chine, un grand pourcentage s’était rétabli. Et les chiffres de guérison n’ont pas été reconnus par les médias.
Le jour de la conférence de presse historique du Dr Tedros (20 février 2020), le nombre de cas confirmés enregistrés en dehors de la Chine était de 1 073, dont 621 passagers et membres d'équipage du navire de croisière Diamond Princess (bloqué dans les eaux territoriales japonaises).
D’un point de vue statistique, la décision de l’OMS évoquant une potentielle « propagation du virus dans le monde entier » n’avait pas de sens.
Le 20 février, 57,9 % des « cas confirmés » de COVID-19 dans le monde provenaient du Diamond Princess , ce qui n’est guère représentatif d’une « tendance statistique » mondiale. La version officielle est la suivante :
Un passager basé à Hong Kong qui avait débarqué du Diamond Princess à Hong Kong le 25 janvier a développé une pneumonie et a été testé positif au nouveau coronavirus le 30 janvier.
RépondreSupprimerIl aurait voyagé le 10 janvier à Shenzhen, en Chine continentale (à la frontière des nouveaux territoires de Hong Kong).
Le Diamond Princess est arrivé à Yokohama le 3 février. Une quarantaine a été imposée au croiseur, voir l'étude du NCBI . 14
De nombreux passagers sont tombés malades à cause du confinement sur le bateau.
Tous les passagers et l'équipage du Diamond Princess ont subi le test PCR.
Le nombre de cas confirmés est passé à 691 le 23 février. 15
A lire attentivement : Du point de vue de l'évaluation des tendances statistiques mondiales, les données ne concordent pas. Sans les données de Diamond Princess, les soi-disant cas confirmés dans le monde en dehors de la Chine au 20 février 2020 étaient de l'ordre de 452, sur une population de 6,4 milliards d'habitants.
Consultez le graphique de l'OMS ci-dessous. Le bleu indique les cas confirmés à bord du Diamond Princess (transport international arrivé à Yokohama le 3 février 2020), dont beaucoup étaient malades, confinés dans leur chambre pendant plus de deux semaines (quarantaine imposée par le Japon). Tous les passagers et membres d'équipage ont subi le test RT-PCR (qui ne détecte ni n'identifie le SARS-CoV-2).
Il va sans dire que ces prétendues données ont joué un rôle déterminant dans le lancement de la campagne de peur et l’effondrement des marchés financiers au cours du mois de février 2020 (voir chapitre IV).
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Source : OMS, février 2020
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Source : OMS, février 2020
20 février 2020 : Le directeur général de l'OMS informe que la pandémie de COVID-19 est imminente
Lors d'une conférence de presse le 20 février, jeudi après-midi (CET), lors d'un briefing à Genève, le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu'il était
« préoccupés par le fait que les chances de contenir l’épidémie de coronavirus se « réduisent » »…
« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. » 16
Il n'y a eu que 1 076 cas en dehors de la Chine (y compris le navire de croisière Diamond Princess)
RépondreSupprimerExtrait du discours d'ouverture du Directeur général de l'OMS, 20 février 2020 (Source : OMS )
Remarque : Le graphique de l’OMS ci-dessus, montrant les données du 20 février 2020, indique 1 073 cas ; cependant, la conférence de presse de l’OMS a indiqué 1 076 cas.
Ces déclarations « choc et effroi » ont contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.
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Image : Données de l'OMS enregistrées le 20 février 2020, au début de la crise financière provoquée par la COVID-19. (Source : OMS )
Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 (voir chapitre IV).
Hors Diamond Princess, l'OMS a recensé le 20 février un total de 452 cas dits « confirmés » dans le monde hors Chine, pour une population de 6,4 milliards d'habitants — 15 aux États-Unis, 8 au Canada, 9 au Royaume-Uni (voir tableau à droite). Ce sont ces chiffres qui justifient les avertissements du Dr Tedros, « la fenêtre se rétrécit » :
Un nombre plus important de cas hors de Chine a été enregistré en Corée du Sud (153 cas selon l'OMS) et en Italie (enregistrés par les autorités nationales).
La déclaration du Dr Tedros (fondée sur des concepts et des statistiques erronés) a préparé le terrain pour l’effondrement financier de février (voir chapitre IV).
24 février 2020 : Moderna Inc., soutenu par le CEPI, a annoncé que son vaccin expérimental à ARNm contre la COVID-19 , connu sous le nom d'ARNm-1273 , était prêt pour les tests sur l'homme.
28 février 2020 : Une campagne de vaccination de l'OMS a été annoncée par le Directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus : 18
« Plus de 20 vaccins sont en cours de développement dans le monde et plusieurs traitements sont en cours d’essais cliniques. Nous attendons les premiers résultats dans quelques semaines ».
Il convient de noter que la campagne de développement de vaccins a été lancée avant la décision de l'OMS de déclarer une urgence mondiale de santé publique. Elle a été annoncée pour la première fois lors de la réunion du Forum économique mondial de Davos (du 21 au 24 janvier) par la CEPI.
Début mars 2020 : Chine. Plus de 50 % des patients infectés se sont rétablis. Au total, 49 856 patients se sont rétablis du COVID-19 et ont pu quitter l'hôpital en Chine.
L’OMS a enregistré un total de 80 304 cas confirmés en Chine le 3 mars 2020. Cela signifie que le nombre total de « cas confirmés d’infection » en Chine s’élevait à 30 448. Autrement dit, 80 304 moins 49 856 = 30 448. Aucune preuve de pandémie en Chine.
RépondreSupprimerCes développements concernant la « reprise » n’ont pas été rapportés par les médias occidentaux.
5 mars 2020 : Le directeur général de l’OMS a confirmé qu’en dehors de la Chine, 2 055 cas avaient été signalés dans 33 pays . Environ 80 % de ces cas provenaient de trois pays (Corée du Sud, Iran et Italie).
7 mars 2020 : États-Unis. Le nombre de « cas confirmés » (infectés et guéris) aux États-Unis début mars était de l’ordre de 430, passant à environ 600 (8 mars). Une augmentation rapide des cas positifs au COVID a été enregistrée au cours du mois de mars.
Comparez ces chiffres à ceux relatifs au virus de la grippe B. Le CDC a estimé pour 2019-2020 (pour les États-Unis) « au moins 15 millions de cas de grippe virale… 140 000 hospitalisations et 8 200 décès ». ( The Hill ) 20
7 mars 2020 : Chine. Pas de pandémie en Chine. Le nombre de nouveaux cas signalés en Chine est tombé à deux chiffres. 99 cas ont été enregistrés le 7 mars . Tous les nouveaux cas en dehors de la province du Hubei ont été classés comme « infections importées » (en provenance de pays étrangers). La fiabilité des données reste à établir :
99 nouveaux cas confirmés, dont 74 dans la province du Hubei, … Les nouveaux cas comprennent 24 infections importées — 17 dans la province du Gansu, trois à Pékin, trois à Shanghai et une dans la province du Guangdong .
11 mars 2020 : Le confinement historique dû à la pandémie de COVID-19, « fermeture » d’ environ 190 économies nationales (chapitre IV)
Le directeur général de l’OMS avait déjà donné le ton lors de sa conférence de presse du 21 février . 22
« Le monde devrait faire davantage pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus. » L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».
L'OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où il y avait 118 000 cas confirmés et 4 291 décès dans le monde (y compris la Chine). ( 11 mars 2020, selon la conférence de presse ) 23 Que vous disent ces « statistiques » ?
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RépondreSupprimerLe nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d'habitants) était de l'ordre de 44 279 et de 1 440 décès ( chiffres enregistrés par l'OMS pour le 11 mars le 12 mars, voir tableau à droite). Ce sont ces chiffres qui ont servi à justifier le confinement et la fermeture d'environ 190 économies nationales.
(Le nombre de décès hors de Chine mentionné lors de la conférence de presse de Tedros était de 4 291).
Aux États-Unis, le 11 mars 2020, il y avait, selon Johns Hopkins, 1 335 « cas » et 29 décès (« présumés » plus confirmés par PCR).
Aucune preuve de pandémie le 11 mars 2020.
Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur a pris de l’ampleur. (Les impacts économiques et financiers sont examinés au chapitre IV)
16 mars 2020 : Le vaccin Moderna mRNA-1273 a été testé en plusieurs étapes auprès de 45 volontaires à Seattle, dans l'État de Washington. Le programme de vaccination a débuté début février :
« Nous ne savons pas si ce vaccin induira une réponse immunitaire, ni s'il sera sûr. C'est pourquoi nous menons un essai », a souligné Jackson. « Il n'en est pas au stade où il serait possible ou prudent de l'administrer à la population générale. » ( AP , 16 mars 2020)
18 mars 2020 : Confinement aux États-Unis
8 novembre 2020 : Lancement du « vaccin » à ARNm contre la COVID-19. (Chapitre VIII)
Mi-décembre à fin décembre 2020 : Mise en œuvre mondiale du programme de vaccin à ARNm.
Janvier 2021 (et après) : Tendance à la hausse des décès et des événements indésirables liés aux vaccins documentés par les données officielles ainsi que par le rapport confidentiel de Pfizer (voir chapitre VIII).
Mars 2021 : Scénario d'exercice fictif d'une pandémie mortelle de virus de la variole du singe
Une simulation sur table d'un « scénario d'exercice fictif impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe » a été présentée lors de la Conférence de Munich sur la sécurité de mars 2021. Elle a été parrainée par le programme « Renforcement des systèmes mondiaux de prévention et de réponse aux menaces biologiques à conséquences graves » de la Nuclear Threat Initiative (NTI) . (Voir chapitre XIII)
Deux des participants à l' événement Johns Hopkins du 20 octobre 2019, Simulation sur table d'un nouveau coronavirus, étaient présents : le Dr George Gao Fu, directeur du CDC chinois et le Dr Chris Elias , président de la division du développement mondial de la Fondation Gates .
RépondreSupprimerMai-juin 2021 : Le variant Delta et « une quatrième vague » sont annoncés.
Les prétendus dangers du variant Delta ont été utilisés pour accélérer le programme de vaccination ainsi que l’imposition du passeport vaccinal.
Août-septembre 2021 : l'imposition d'un passeport vaccinal dans plusieurs pays occidentaux
Octobre 2021 : Publication du rapport confidentiel de Pfizer en vertu de la loi sur la liberté d'information (FOI)
Ce rapport confirme les impacts (décès et événements indésirables) du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech (voir chapitre VIII).
Novembre 2021 : le variant Omicron aurait été détecté en Afrique du Sud. Cette campagne de peur a déclenché une nouvelle crise dans le transport aérien, ainsi que des perturbations dans le commerce des matières premières.
Novembre 2021-janvier 2022 : Distribution de milliards de kits de tests antigéniques et de tests à domicile COVID dans le monde entier, ce qui a contribué à doubler le nombre de soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » en six mois. Plus d'un milliard de tests à domicile et antigéniques aux États-Unis, 291 millions au Canada.
24 décembre 2021 : Le confinement de Noël à Omicron en raison du COVID-19
Pas de grandes réunions de Noël, confinement, fermeture partielle des bars et restaurants (qui entraîne davantage de faillites), annulation des événements sportifs et culturels. L’objectif implicite est d’isoler les êtres humains, d’ empêcher les gens de socialiser et de rencontrer leurs proches.
Janvier-février 2022 : confinements partiels. Pratiques discriminatoires à l'encontre des non-vaccinés
Dans de nombreux pays, les personnes non vaccinées ont été confinées chez elles, empêchées de voyager, licenciées de leur travail, empêchées d’aller à l’école ou à l’université. On les a accusées d’être des extrémistes et des psychopathes. Ces divisions sociales créent des conflits au sein des familles et des communautés locales, contribuant littéralement à perturber la vie sociale, avec des conséquences dévastatrices sur l’activité économique (voir chapitre XI).
Le convoi de la liberté du Canada 2022
Janvier-début février 2022 : Mouvement de protestation de masse au Canada contre l’obligation vaccinale.
Mars 2022 : Lancement du Traité de l'OMS sur la pandémie
En mars 2022, l’OMS a lancé un organe intergouvernemental de négociation (INB) avec pour mandat de créer « un traité sur la pandémie », c’est-à-dire une entité de gouvernance mondiale de la santé qui, si elle était adoptée, outrepasserait l’autorité des États membres de l’OMS (voir chapitre XIII).
RépondreSupprimerLa Chine impose à Shanghai un mandat de tolérance zéro face au COVID
A partir du 28 mars 2022 : Le mandat de tolérance zéro COVID a été imposé à Shanghai, ville portuaire de 26 millions d'habitants. Initialement à Shanghai puis étendu aux principales villes chinoises au cours des mois suivants (avril-juillet 2022) (voir chapitre IV).
13 mai 2022 : L'OMS annonce une épidémie de variole du singe
D'après l'OMS :
Depuis le 13 mai 2022 , des cas d’orthopoxvirose simienne ont été signalés à l’OMS par 12 États membres qui ne sont pas endémiques pour le virus de l’orthopoxvirose simienne, dans trois régions de l’OMS. Des enquêtes épidémiologiques sont en cours, … Au 21 mai, 92 cas confirmés en laboratoire et 28 cas suspects d’orthopoxvirose simienne faisant l’objet d’enquêtes en cours ont été signalés à l’OMS par 12 États membres » (voir chapitre XIII)
Juin-juillet 2022 : septième vague. Présumé « danger imminent » des sous-variantes BA-4 et BA-5 d’Omicron.
23 juillet 2022 : Urgence de santé publique de portée internationale (USPI) liée à la variole du singe
Le directeur général de l’OMS a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) concernant le virus de la variole du singe .
Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a pris cette décision unilatéralement contre un vote majoritaire du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) (RSI).
« Nous sommes confrontés à une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier par le biais de nouveaux modes de transmission… Bien que je [Tedros] déclare une urgence de santé publique de portée internationale, pour le moment, il s’agit d’une épidémie qui se concentre parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes, en particulier ceux qui ont de multiples partenaires sexuels . » 29 (Voir Chapitre XIII )
Notes de fin
RépondreSupprimer1 PYMNTS, 18 septembre 2019. Comment créer un réseau mondial d'identité numérique. https://www.pymnts.com/news/consumer-authentication/2019/how-to-build-a-global-digital-identity-network/
2 PYMNTS, 19 septembre 2019. L'Alliance ID2020 dévoile son programme d'identification numérique. https://www.pymnts.com/news/biometrics/2019/id2020-alliance-unveils-digital-id-program/
3 Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, sd Event 201. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/
4 Chiron Return, 30 septembre 2021. Chronologie et début de la « pandémie » de Covid-19, analyse PCR et séquençage. https://www.globalresearch.ca/early-chronology-covid-pcr-assay-sequencing/5757189
5 Ibid.
6 Ibid.
7 OMS, 23 janvier 2020. Déclaration sur la première réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/23-01-2020-statement-on-the-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding-the-outbreak-of-novel-coronavirus-(2019-ncov)
8 Ibid.
9 National Institutes of Health, 16 mars 2020. Début de l'essai clinique du NIH sur un vaccin expérimental contre la COVID-19. https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-clinical-trial-investigational-vaccine-covid-19-begins
10 OMS, 30 janvier 2020. Déclaration sur la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/30-01-2020-statement-on-the-second-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding-the-outbreak-of-novel-coronavirus-(2019-ncov)
11 CDC, 29 décembre 2020. Culture virale du SARS-CoV-2 au CDC. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/lab/grows-virus-cell-culture.html
12 OMS, 30 janvier 2020. Déclaration sur la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/30-01-2020-statement-on-the-second-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding-the-outbreak-of-novel-coronavirus-(2019-ncov)
13 OMS, 29 janvier 2020. Rapport de situation sur le nouveau coronavirus (2019-nCoV) – 9. https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200129-sitrep-9-ncov- v2.pdf?sfvrsn=e2c8915_2
14 Eisuke Nakazawa, Hiroyasu Ino et al., 24 mars 2020. Chronologie des cas de COVID-19 sur le navire de croisière Diamond Princess et considérations éthiques : un rapport du Japon. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7156812/
15 Ibid.
16 OMS, 20 février 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 le 20 février 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19-on-20-february-2020
17 WEF, 13 février 2020. Mise à jour : Coronavirus (COVID-19) | DAVOS 2020. https://www.weforum.org/videos/update-wuhan-coronavirus-covid-19-davos-2020
18 OMS, 28 février 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 - 28 février 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—28-february-2020
19 OMS, 5 mars 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 – 5 mars 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—5-march-2020
20 Joseph Guzman, 27 janvier 2020. Le coronavirus se propage, mais la grippe constitue une menace plus grande pour les Américains. https://thehill.com/changing-america/well-being/longevity/480089-coronavirus-sparks-panic-as-flu-poses-greater-threat-to
21 Xinhua, 7 mars 2020. Xinhua Headlines : Les nouveaux cas de COVID-19 en Chine chutent à deux chiffres depuis le 21 janvier. http://www.xinhuanet.com/english/2020-03/07/c_138853686.htm
RépondreSupprimer22 OMS, 21 février 2020. Conférence de presse sur la maladie à coronavirus (COVID-19). https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/transcripts/who-audio-emergencies-coronavirus-full-press-conference-21feb2020-final.pdf?sfvrsn=954f8ec7_2
23 OMS, 11 mars 2020. Remarques liminaires du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 – 11 mars 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—11-march-2020
24 OMS, 12 mars 2020. Rapport de situation sur la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) – 52. https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200312-sitrep-52-covid-19.pdf
25 The Associated Press, 16 mars 2020. Début des essais du vaccin contre la COVID-19, une première dose administrée à un patient volontaire. https://www.cbc.ca/news/health/coronavirus-vaccine-1.5499244
26 Prof. Michel Chossudovsky, 4 août 2022. Urgence sanitaire mondiale liée à la variole du singe (USPPI) : pour Bill Gates, c'est la « variole monétaire » : simulation d'une pandémie fictive de virus de la variole du singe en mars 2021, mise en service en mai 2022. https://www.globalresearch.ca/bill-gates-warns-smallpox-terror-attacks-urges-leaders-use-germ-games-prepare/5781195?utm_campaign=magnet&utm_source=article_page&utm_medium=related_articles
27 Prof. Michel Chossudovsky, 13 août 2022. Bombshell Document Dump on Pfizer Vaccine Data. https://www.globalresearch.ca/bombshell-document-dump-pfizer-vaccine-data/5763397
28 Prof. Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus grand mensonge de l'histoire du monde : il n'y a jamais eu de pandémie. La base de données est erronée. Les mandats liés à la Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates-including-the-vaccine-are-invalid/5772008
29 OMS, 23 juillet 2022. Déclaration du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion du Comité d'urgence du RSI concernant l'épidémie de variole du singe dans plusieurs pays - 23 juillet 2022. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-the-press-conference-following-IHR-emergency-committee-regarding-the-multi–country-outbreak-of-monkeypox–23-july-2022
*
Chapitre III
Qu'est-ce que le COVID-19, SARS-CoV-2 :
Comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ?
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. » — Dr Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce que l’on appelle des tests faussement positifs . » — Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients . » — Dr Pascal Sacré , médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste réputé en santé publique.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en requalifiant les patients atteints de cancer, les victimes d’accident vasculaire cérébral et toutes sortes de décès normaux comme étant dus au Covid, en fait pratiquement n’importe qui montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles, nous savons tous qu’ils ne valent rien, et pourtant des gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d’une radiographie pulmonaire. » — John O’Looney, directeur de pompes funèbres, Milton Keynes, Royaume-Uni
Introduction
Les mensonges des médias, associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue, ont entretenu l’image d’un virus mortel qui se propage inexorablement dans toutes les grandes régions du monde.
Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour la COVID-19.
Au moment de la rédaction du présent rapport, plus de 500 millions de personnes dans le monde ont été classées comme « cas confirmés de COVID-19 » (« cas cumulés »).
La prétendue pandémie aurait entraîné plus de 5,8 millions de décès liés au COVID-19.
Les deux séries de chiffres – morbidité et mortalité – sont invalides. Un appareil de dépistage du COVID hautement organisé (dont une partie est financée par des fondations milliardaires) a été mis en place dans le but d’augmenter le nombre de « cas confirmés de COVID-19 » , qui sont ensuite utilisés comme justification pour imposer le passeport « vaccinal » associé à l’abrogation des droits humains fondamentaux.
Dès le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure, confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies », étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides de la COVID-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application du « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020.
RépondreSupprimerIl n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » . Solidement reconnu par l’opinion scientifique et l’Organisation mondiale de la santé, le test RT-PCR utilisé pour « détecter » la propagation du virus (ainsi que de ses variants) est non seulement défectueux mais TOTALEMENT INVALIDE.
La campagne de peur est constamment alimentée par des déclarations politiques et la désinformation médiatique. Un examen plus approfondi des rapports officiels des autorités sanitaires nationales ainsi que des articles évalués par des pairs donne une image totalement différente.
Dans ce chapitre, nous nous concentrerons sur les questions suivantes :
1. Les caractéristiques du virus SARS-CoV-2 telles que décrites par l'OMS, le CDC et les rapports évalués par des pairs. Est-ce un virus dangereux ?
2. Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse ( RT-PCR) utilisé pour « détecter/identifier » le SRAS-CoV-2.
3. La fiabilité des estimations de mortalité et de morbidité relatives à la prétendue infection à la COVID-19.
Les caractéristiques du SARS-CoV-2
Mensonges par omission : les médias n’ont pas réussi à rassurer le grand public.
Vous trouverez ci-dessous la définition officielle de l'OMS du COVID-19 suivie de celle du CDC :
Les coronavirus sont une grande famille de virus qui peuvent provoquer des maladies chez les animaux ou les humains. Chez l'homme, plusieurs coronavirus sont connus pour provoquer des infections respiratoires allant du simple rhume à des maladies plus graves telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le coronavirus le plus récemment découvert est à l'origine de la maladie à coronavirus COVID-19.
« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. […] Ces symptômes sont généralement légers et apparaissent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des personnes (environ 80 %) se remettent de la maladie sans avoir besoin d’être hospitalisées. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. » 1
RépondreSupprimerSimilaire à la grippe selon le CDC
COVID-19 versus virus de la grippe A et B (et sous-types)
Rarement mentionné par les médias ou par les politiques : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que le COVID-19 est similaire à la grippe :
« La grippe et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causée par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SARS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus grippaux . Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre elles en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences clés entre les deux. » 2
Si le public avait été informé et rassuré sur le fait que la COVID est « similaire à la grippe », la campagne de peur aurait échoué.
Le confinement et la fermeture de l’économie nationale auraient été rejetés d’emblée.
Selon le Dr Wolfgang Wodarg , la pneumonie est « régulièrement causée ou accompagnée par des coronavirus ». 3
Les immunologistes confirment dans l’ensemble la définition du CDC. La COVID-19 présente des caractéristiques similaires à celles d’une grippe saisonnière associée à une pneumonie.
Selon Anthony Fauci (directeur du NIAID), H. Clifford Lane et Robert R. Redfield (directeur du CDC) dans le New England Journal of Medicine :
« … les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient finalement être plus proches de celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de mortalité d’environ 0,1 % ) ou d’une grippe pandémique (semblable à celles de 1957 et 1968) plutôt que d’une maladie similaire au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de mortalité de 9 à 10 % et de 36 %, respectivement. » 4
RépondreSupprimerComme c'est pratique : l'article ci-dessus a été publié pour la première fois dans le NEJM le 26 mars 2020, exactement dix jours après la déclaration de l'état d'urgence national par le président Trump le 16 mars 2020. Si ce texte faisant autorité, évalué par des pairs, avait été porté à l'attention du public américain, le mandat de confinement serait tombé à plat.
Fauci s'adresse à la presse de la Maison Blanche sur le COVID-19 en avril 2020, sous les yeux du président Donald Trump (à gauche) et du vice-président Mike Pence (à droite). (Par la Maison Blanche , sous licence du domaine public )
Le Dr Anthony Fauci se ment à lui-même. Dans ses déclarations publiques, il affirme que le COVID est « dix fois pire que la grippe saisonnière ». 5
Il réfute son rapport évalué par des pairs cité ci-dessus. Dès le début, Fauci a joué un rôle déterminant dans la campagne de peur et de panique menée à travers l'Amérique.
Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR)
La méthodologie biaisée appliquée sous les directives de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR ) , qui est systématiquement appliqué dans le monde entier depuis février 2020.
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.
Cette évaluation fondée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des deux ans et demi écoulés pour lancer et entretenir la campagne de peur.
Et les gens sont désormais amenés à croire que le « vaccin » contre la COVID-19 est la « solution ». Et que la « normalité » sera rétablie une fois que toute la population de la planète Terre aura été vaccinée.
RépondreSupprimerLe terme « confirmé » est une erreur de langage. Un « cas positif confirmé par RT-PCR » n’implique pas nécessairement un « cas confirmé de COVID-19 ».
Une RT-PCR positive n'est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu'un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l'état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. ( Dr Pascal Sacré ) 7
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs au test RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus routinier d’identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. » 8 (soulignement ajouté)
La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est défectueuse et invalide.
Faux positifs
Le débat précédent, au début de la crise, portait sur la question des « faux positifs ».
Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs . Selon le Dr Pascal Sacré :
« Aujourd’hui, alors que les autorités testent davantage de personnes, il est inévitable qu’il y ait davantage de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 va revenir, ni que l’épidémie se propage par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. » 9
Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe du doigt des erreurs dites « d’erreur » sans pour autant remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.
Le test PCR ne détecte pas l'identité du virus
RépondreSupprimerLe test RT-PCR ne permet pas d'identifier ni de détecter le virus. Le test PCR permet d'identifier des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent le rhume).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui se soumet au test est infectée par le SRAS-CoV-2.
Le schéma suivant résume le processus d’identification des cas positifs et négatifs. Il suffit de la présence de « matériel génétique viral » pour que le test soit classé comme « positif ». La procédure ne permet pas d’identifier ou d’isoler la COVID-19. Ce qui apparaît dans les tests sont des fragments du virus .
- voir graph sur site -
Source : Fonds du Commonwealth
Un test positif ne signifie pas que vous avez le virus et/ou que vous pourriez le transmettre.
Selon le Dr Kary Mullis , inventeur de la technique PCR,
« La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie du virus lui-même. »
Selon le célèbre immunologiste suisse Dr B. Stadler :
Ainsi, si nous effectuons un test PCR sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté , mais une petite partie fragmentée du génome viral. Le test est positif tant qu’il reste de minuscules fragments du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test PCR peut être positif, car la méthode PCR multiplie suffisamment une petite fraction du matériel génétique viral [pour être détectée].
Le Dr Pascal Sacré abonde dans le même sens : « Ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, et non le virus dans son ensemble. » 12
« Pour tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois à travers de nombreuses étapes complexes qui sont sujettes à des erreurs, des défauts de stérilité et des contaminations. »
Le test RT-PCR COVID-19 « personnalisé » de l'OMS
Deux questions importantes et liées.
Le test PCR ne permet pas d’identifier le virus comme indiqué ci-dessus. De plus, en janvier 2020, l’OMS ne disposait pas d’un échantillon isolé et purifié du nouveau virus 2019-nCoV.
Ce qui était envisagé en janvier 2020 était une « personnalisation » du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’ Institut de virologie de Berlin à l’hôpital de la Charité.
Le Dr Christian Drosten et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin ont mené une étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel » .
RépondreSupprimerLe titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est manifestement erroné. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus de 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cités ci-dessus).
De plus, l’étude publiée par Eurosurveillance reconnaît que l’OMS ne possédait pas d’isolat ni d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCoV :
[Alors que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées,… des isolats ou des échantillons de virus [du 2019-nCoV] provenant de patients infectés n’étaient pas disponibles… » 14
L’équipe de Drosten et al. a ensuite recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’isolat du virus 2019-nCoV , un SARS-CoV 2003 similaire soit utilisé comme « proxy » (point de référence) du nouveau virus :
« Les séquences du génome suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’ une espèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [ 3 , 4 ].
Nous rendons compte de la mise en place et de la validation d’un flux de travail diagnostique pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats viraux disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par la parenté génétique étroite avec le SARS-CoV de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. » ( Eurosurveillance, 23 janvier 2020, c’est nous qui soulignons). 15
Ce que suggère cette déclaration ambiguë, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de COVID-19 » (c’est-à-dire l’infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « la parenté génétique étroite avec le SRAS-CoV de 2003 ».
Cela signifie qu'un coronavirus détecté il y a 19 ans (SARS-CoV 2003) est utilisé pour « valider » l'identité d'un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei fin décembre 2019.
Les recommandations de l’étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates ) ont ensuite été transmises à l’OMS. Elles ont ensuite été approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.
L’OMS ne disposait pas de l’« isolat viral » nécessaire pour identifier le virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.
L'article de Drosten et al. relatif à l'utilisation du test RT-PCR dans le monde entier (sous les directives de l'OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 menée par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et al. internationaux.
RépondreSupprimerIl va de soi que si le test PCR utilise le virus SARS-CoV de 2003 comme « point de référence », il ne peut y avoir de cas « confirmés » de COVID-19 du nouveau virus 2019-nCoV (renommé par la suite SARS-CoV-2) ou de ses variantes.
L'identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ?
Bien que l’OMS ne possède pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valables et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 a été isolé à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé sur un patient malade » ? 16
Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu’un « nouveau type de virus » avait été « identifié » « similaire à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, pas de source gouvernementale chinoise originale). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :
Nous avons collecté et analysé de manière prospective des données sur des patients atteints d’une infection au 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de nouvelle génération.
Les données ont été obtenues à l'aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l'OMS et le Consortium international sur les infections respiratoires aiguës sévères et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. 17 (soulignement ajouté)
L'étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d'autres documents consultés ) suggère que les autorités sanitaires chinoises n'ont pas procédé à l'isolement/purification de l'échantillon d'un patient. L'utilisation de « l'infection au 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel » (comme cité dans leur étude) est une erreur de langage évidente, c'est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus. L'isolement du virus par les autorités chinoises n'est pas confirmé .
Accès à l'information concernant l'isolat du SRAS-CoV-2
Une enquête détaillée menée par Christine Massey intitulée Freedom of Information Requests: Health/Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-CoV-2 Isolation/Purification fournit des informations sur l’identité du virus. Les réponses à ces demandes émanant de 127 entités dans 25 pays confirment qu’il n’existe aucune trace d’isolement/purification du SARS-CoV-2 « ayant été effectué par quiconque, où que ce soit, jamais ». 19
Les cycles d’amplification à seuil. L’OMS admet que les résultats du « test » RT-PCR sont totalement invalides
Le test RT-PCR a été adopté par l'OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détection du virus SARS-CoV-2, suite aux recommandations du groupe de recherche de virologie de Berlin (cité ci-dessus).
Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Elle ne dit pas « nous avons fait une erreur ». La rétractation est soigneusement formulée (voir le document original de l’OMS ici ).
La question controversée concerne le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger et al. :
RépondreSupprimerLe nombre de cycles d'amplification [doit être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten ) 21
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES . C'est pourtant ce qu'elle a recommandé en janvier 2020, en consultation avec l'équipe de virologie de l'hôpital Charité de Berlin.
Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » répertoriés dans le monde au cours des deux dernières années et demie sont invalides.
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al., le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ». 22
Le Mea Culpa de l'OMS
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée de l’OMS.
« Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (soulignement ajouté)
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. » 23
« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides des « cas confirmés de COVID-19 ».
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au COVID d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test, « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… »
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
RépondreSupprimerCette recommandation est une formule de pure forme. Elle n'aura pas lieu. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, depuis début février 2020.
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 cycles ou plus. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu’elle est appliquée dans le monde entier a conduit au cours des deux ans et demi écoulés à la compilation d’estimations erronées et trompeuses de la COVID-19, qui, selon l’OMS (20 janvier 2021), sont basées sur une méthodologie non valide.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres officiels du COVID » (cas confirmés de COVID-19) n’ont aucune signification .
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie, ce qui signifie que les mesures de confinement et les mesures économiques qui ont entraîné une panique sociale, une pauvreté de masse et du chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification. Selon l’avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 %
…
3. Le nombre de cycles d’amplification (moins de 35 ; de préférence 25 à 30 cycles) ;
En cas de détection de virus, >35 cycles ne détecte que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire [revu en 2] ; si une personne est testée par PCR comme positive lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %, la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » (soulignement ajouté) (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al. Critique de l'étude Drosten ) 24
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » , il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Le mea culpa de l'OMS confirme que la procédure de test PCR COVID-19 telle qu'appliquée n'a aucun sens.
RépondreSupprimerLe CDC ordonne le retrait du test PCR
La rétractation historique de l'OMS est suivie six mois plus tard par un mea culpa du CDC. Le 21 juillet 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) appellent au retrait du test PCR comme méthode valide de détection et d'identification du SARS-CoV-2 :
« Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande adressée à la Food and Drug Administration (FDA ) des États-Unis pour une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) du panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) du CDC, le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SARS-CoV-2 uniquement. »
En prévision de ce changement, le CDC recommande aux laboratoires cliniques et aux sites de test qui ont utilisé le test RT-PCR 2019-nCoV du CDC de sélectionner et de commencer leur transition vers un autre test COVID-19 autorisé par la FDA.
Le CDC encourage les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui peut faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe. (soulignement ajouté) 25
Lisez attentivement : ce que cette directive du CDC admet tacitement, c’est que le test PCR ne fait pas efficacement la différence entre « le SARS-CoV-2 et les virus de la grippe » . Nous le savons depuis le début.
Depuis le 1er janvier 2022, le CDC a retiré son approbation du test RT-PCR aux États-Unis.
Si le test PCR n’est pas valide comme le suggèrent à la fois le CDC et l’OMS, plus de 574 millions de soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » (juillet 2022) ainsi que plus de 6,3 millions de décès présumés liés au COVID (juillet 2022) collectés et comptabilisés dans le monde entier depuis le début de la prétendue pandémie n’ont absolument aucun sens.
La falsification des certificats de décès
Dans la mesure où le test PCR n’est pas valide, il s’ensuit que les estimations des « cas confirmés de COVID-19 », y compris la détection des variants du SARS-CoV-2, sont totalement invalides. Cela signifie à son tour que la méthodologie relative à l’établissement des décès liés au COVID-19 dans le monde est également invalide.
Il convient de noter que dans un rapport de décembre 2020, le CDC a signalé que 94 % des décès attribués au COVID présentaient des « comorbidités » (c’est-à-dire des décès dus à d’autres causes). 26
Pour 6 % des décès, la COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès liés à des pathologies ou causes autres que la COVID-19, on comptait en moyenne 2,6 pathologies ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès liés à chaque pathologie ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupe d'âge.
RépondreSupprimer« Ils inscrivent COVID sur tous les certificats de décès », selon Michael Lanza, directeur de pompes funèbres à Staten Island, New York.
« Les directeurs de pompes funèbres doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, craignant que les chiffres soient « gonflés » » ( Project Veritas ) 27
De plus, si le CDC avait utilisé les critères de son Manuel des médecins légistes et des coroners sur l'enregistrement des décès et la déclaration des décès fœtaux, révision 2003 :
« … le nombre de décès dus à la COVID-19 aurait été inférieur d’environ 90,2 % » (voir H. Ealy, M. McEvoy et al. , 9 août 2020) 28
- voir graph sur site -
Décès aux États-Unis avec au moins une comorbidité. (Source : CDC via IPAK PHPI)
COVID-19 : la « cause sous-jacente du décès » et la clause « le plus souvent » du CDC
Bien que le CDC ait reconnu le problème des comorbidités, il a néanmoins émis des instructions totalement invalides concernant les certificats de décès.
À peine une semaine après le confinement historique du 11 mars 2020, des directives spécifiques ont été introduites par le CDC concernant les certificats de décès (et leur tabulation dans le National Vital Statistics System (NVSS)). 29
La COVID-19 sera -t -elle la cause sous-jacente du décès ? Ce concept est fondamental. 30
La cause sous-jacente du décès est définie par l’OMS comme
« la maladie ou la blessure qui a déclenché la série d’événements menant directement à la mort ».
Ce que les CDC ont recommandé en ce qui concerne le codage et la catégorisation statistiques, c’est que la COVID-19 devrait être la cause sous-jacente du décès « le plus souvent ».
Le CDC combine ces deux critères : « cause sous-jacente du décès » et « le plus souvent ».
La COVID-19 sera-t-elle la cause sous-jacente du décès ?
« La cause sous-jacente dépend de la nature et de l’endroit où les conditions sont signalées sur le certificat de décès. Cependant, les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès devraient aboutir à ce que la COVID-19 soit la cause sous-jacente le plus souvent. » 31
La directive ci-dessus est catégorique.
RépondreSupprimerLes concepts et justifications du CDC
Le certificateur n'est pas autorisé à signaler le coronavirus sans identifier une souche spécifique. Et les directives recommandent que COVID-19 soit toujours indiqué.
- voir graph sur site -
Le certificateur ne peut pas déroger aux critères du CDC. La COVID-19 est imposée. Lisez attentivement les critères du CDC . 32
Il n’y a aucune échappatoire.
Ces directives du CDC ont contribué à classer la COVID-19 comme la « cause de décès » enregistrée. Deux concepts fondamentaux prévalent tout au long de ces directives :
La « cause sous-jacente du décès »
La clause « Le plus souvent qu’autrement » qui falsifie la cause du décès
Et ces critères sont imposés malgré le fait que le test RT-PCR utilisé pour corroborer la « cause du décès » fournit des résultats trompeurs comme le reconnaissent l’OMS et le CDC.
En pratique, comme indiqué ci-dessus, « COVID-19 probable » ou « COVID-19 probable » sera considéré comme la « cause sous-jacente du décès » sans la réalisation d’un test PCR et sans réalisation d’autopsie.
Les critères établissant la cause « sous-jacente » du décès aux États-Unis sont basés sur la clause « le plus souvent qu’autrement » (voir ci-dessus) établie à l’échelle nationale par le CDC.
Canada : « Estimations » erronées de la cause du décès
Au Canada, les critères diffèrent d'une province à l'autre. La catégorisation des causes de décès dans la province canadienne du Québec a fait l'objet de manipulations grossières. 33
Selon une directive du ministère de la Santé du Québec (avril 2020) :
« Si la cause présumée du décès est la Covid-19 (avec ou sans test positif), une autopsie doit être évitée et le décès doit être attribué à la Covid-19 comme cause probable du décès. De plus, les décès dont la cause probable est la Covid-19 sont considérés comme naturels et ne sont pas soumis à un avis du coroner. » (souligné dans le document original) 34
La directive ne permet pas de comptabiliser les comorbidités. Appliquée le 16 avril 2020, cette directive a entraîné une forte augmentation immédiate du nombre de décès attribués à la COVID-19 :
RépondreSupprimer44,9 % du total des décès au Québec ont été attribués à la COVID-19 (semaine du 11 au 18 avril 2020) (voir tableau ci-dessous).
Selon La Presse de Montréal, « avril [2020] a été le mois le plus meurtrier » . Mais La Presse a-t-elle consulté les directives du ministère de la Santé ?
Voici les causes de décès (quotidiennes) pour le Québec correspondant à la semaine du 12 au 18 avril 2020 (immédiatement après la directive gouvernementale) mesurées selon les critères émis par le ministère de la Santé. 35 Il n'y a eu pratiquement aucun cas de COVID ni décès enregistrés en mars 2020.
Tableau ci-dessous : Causes de décès, moyenne quotidienne
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Source : Copyright La Presse
Ces chiffres sont-ils le résultat de la soi-disant pandémie mortelle ? Ou sont-ils le résultat des « directives » du ministère de la Santé basées sur des critères erronés ?
cas « présumé » lié à la COVID
« avec ou sans test positif »
cause « probable » du décès
« L’autopsie doit être évitée » dans le cas du COVID-19
« Les décès dont la cause probable est la COVID-19 sont considérés comme naturels et ne font pas l’objet d’un avis au coroner »
Selon M. Paul G. Brunet du Conseil pour la protection des malades (CPM) :
« … On s’est rendu compte à travers les dénonciations de certains médecins que les gens ne mouraient pas de la COVID, mais de déshydratation, de malnutrition, d’abandon , déplore M. Brunet. Alors, de quoi sont vraiment morts les milliers de personnes dans les CHSLD et les résidences privées ? » (cité dans La Presse)
Test, test, test : données non valides et « jeu des nombres »
RépondreSupprimerLes gens ont peur. On les encourage à faire le test PCR, ce qui augmente le nombre de faux positifs. Les gouvernements s’efforcent d’augmenter le nombre de tests PCR dans le but de gonfler les estimations des soi-disant « cas confirmés de COVID-19 ».
De plus, depuis fin 2021, plusieurs milliards de kits de tests antigéniques et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d'un milliard de kits de tests ont été distribués aux États-Unis.
Au Canada, qui compte 38,5 millions d’habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de dépistage antigénique de la COVID-19 à domicile. Cette décision a non seulement contribué à alimenter la campagne de peur, mais a également créé une situation de chaos social. Elle a contribué à faire grimper le nombre de soi-disant « cas confirmés ». 36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical du patient.
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Annexe au chapitre III
RépondreSupprimerTexte intégral de la directive de l'OMS du 20 janvier 2021 37
Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2
Type de produit : Technologies de test d'acide nucléique (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l'OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS à l'intention des utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d’utilisation (IFU) lors de l’interprétation des résultats des échantillons testés à l’aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.
Les recommandations de l'OMS concernant les tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2 indiquent qu'il est nécessaire d'interpréter avec prudence les résultats positifs faibles ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent tenir compte de tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Mesures à prendre par les utilisateurs de DIV :
Veuillez lire attentivement la notice d'utilisation dans son intégralité.
Contactez votre représentant local si un aspect du mode d’emploi ne vous paraît pas clair.
Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter toute modification du mode d'emploi.
Fournissez la valeur Ct dans le rapport au prestataire de soins de santé demandeur.
Remarques
RépondreSupprimer1. Tests de diagnostic du SRAS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.
2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : valeurs prédictives. BMJ. 1994 9 juillet ;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.
Notes de fin
1 OMS, 8 mars 2020. Déclaration aux médias : Connaître les risques liés à la COVID-19. https://www.who.int/indonesia/news/detail/08-03-2020-knowing-the-risk-for-covid-19
2 CDC, nd Similitudes et différences entre la grippe et la COVID-19. https://www.cdc.gov/flu/symptoms/flu-vs-covid19.htm#table
3 Prof Michel Chossudovsky, 5 avril 2020. Fausses données sur le coronavirus, campagne de peur. Propagation de l'infection à la COVID-19. https://www.globalresearch.ca/fake-coronavirus-data-fear-campaign-spread-of-the-covid-19-infection/5708643
4 Anthony Fauci, Clifford Lane et al., 26 mars 2020. Covid-19 — Naviguer dans l'inconnu. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2002387#
5 Ronald Bailey, 11 mars 2020. Le taux de mortalité dû au COVID-19 est « dix fois pire » que celui de la grippe saisonnière, selon le Dr Anthony Fauci. https://reason.com/2020/03/11/covid-19-mortality-rate-ten-times-worse-than-seasonal-flu-says-dr-anthony-fauci/
6 Ibid.
7 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper l’humanité tout entière. Utiliser un « test » pour confiner la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483
8 CDC, 21 juillet 2021. Panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) des CDC. https://www.fda.gov/media/134922/download
9 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper l’humanité tout entière. Utiliser un « test » pour confiner la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483
10 Joseph Hadaya, Max Schumm et al., 1er avril 2020. Tests individuels pour la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2764238
RépondreSupprimer11 Beda M Sadler, 2 juillet 2020. Coronavirus : pourquoi tout le monde avait tort. Ce n’est pas un « nouveau virus ». « Le conte de fées de l’absence d’immunité ». https://www.globalresearch.ca/coronavirus-why-everyone-wrong/5718049
12 Dr Pascal Sacre, 7 août 2020. COVID-19 : plus près de la vérité : tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160
13 Victor M Corman, Olfert Landt, et al., 23 janvier 2020. Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel. https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
14 Ibid.
15 Ibid.
16 Christine Massey, 4 août 2021. L’identité du virus : les institutions de santé et de science du monde entier « n’ont aucune trace » de l’isolement ou de la purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969
17 Chaolin Huang, Yeming Wang et al., 24 janvier 2020. Caractéristiques cliniques des patients infectés par le nouveau coronavirus 2019 à Wuhan, Chine. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7159299/
18 Fan Wu, Su Zhao, et al., 3 février 2020. Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine. https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
19 Christine Massey, 4 août 2021. L'identité du virus : les institutions de santé et de science du monde entier « n'ont aucune trace » d'isolement ou de purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969
20 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (TAN) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
21 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport de révision Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormandrostenreview.com/report/
22 Ibid.
23 OMS, 11 septembre 2020. Tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2. https://www.who.int/publications/i/item/diagnostic-testing-for-sars-cov-2
24 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport de révision Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormandrostenreview.com/report/
25 CDC, 21 juillet 2021. Alerte laboratoire : modifications apportées à la RT-PCR des CDC pour le test du SARS-CoV-2. https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html
26 CDC, 20 janvier 2022. Affections contribuant aux décès dus à la COVID-19, par État et par âge, données provisoires 2020-2021. https://data.cdc.gov/NCHS/Conditions-Contributing-to-COVID-19-Deaths-by-Stat/hk9y-quqm
27 Project Veritas, 30 avril 2020. BREAKING : Les directeurs de pompes funèbres de l'épicentre de la COVID-19 doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, craignent que les chiffres soient « gonflés ». https://www.projectveritas.com/news/breaking-funeral-directors-in-covid-19-epicenter-doubt-legitimacy-of-deaths/
28 H. Ealy, M. McEvoy et al., 24 juillet 2020. Covid-19 : politiques douteuses, règles manipulées de collecte et de communication des données. Est-il sécuritaire pour les élèves de retourner à l'école ? https://www.globalresearch.ca/covid-fatalities-wer-90-2-lower-how-would-you-feel-about-schools-reopening/5720264
29 Système national de statistiques de l'état civil, 24 mars 2020. Nouveau code CIM introduit pour les décès dus au COVID-19. https://www.cdc.gov/nchs/data/nvss/coronavirus/Alert-2-New-ICD-code-introduced-for-COVID-19-deaths.pdf?fbclid=IwAR2XckyC93jfKqvOue5EdPlNA8LlKKgz4vPZTU1whI4vXLSOADSjsL9XY-M
30 Ibid.
31 Ibid.
RépondreSupprimer32 Ibid.
33 Prof Michel Chossudovsky, 14 février 2021. Québec : Falsification des données de mortalité liées à la Covid-19. https://www.globalresearch.ca/quebec-falsification-of-mortality-data-pertaining-to-covid-19/5737290
34 Voir ceci : https://amol.ca/wp-content/uploads/2020/04/19_avril_20-AU-00603_LET_Opatrny-Codirecteurs_Orientations_ministerielle….pdf
35 Ibid.
36 Prof. Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus grand mensonge de l'histoire du monde : il n'y a jamais eu de pandémie. La base de données est erronée. Les mandats liés à la Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates-including-the-vaccine-are-invalid/5772008
37 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (TAN) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
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Chapitre IV
RépondreSupprimerDépression économique artificielle
Introduction
Économie 101. Le confinement du 11 mars 2020, appliqué simultanément dans 190 pays, a entraîné :
« Le confinement de la main-d’œuvre » couplé à
« La paralysie du travail ».
L’impact prévisible :
La crise économique la plus grave de l’ histoire mondiale.
La profession d'économiste
La profession économique qui se concentre sur le « mécanisme du marché » a ignoré avec désinvolture cette relation causale fondamentale.
Le consensus parmi les économistes politiques et les spécialistes des sciences sociales, tant néoclassiques que « progressistes », est que le « V le virus », à savoir le SARS-CoV-2, est responsable de la chute de l’activité économique.
Une position similaire a été adoptée par les organisations syndicales, dont l’AFL-CIO : le confinement de la main-d’œuvre était considéré comme un moyen de « protéger » les droits des travailleurs.
Lorsque les travailleurs sont confinés chez eux, empêchés de se rendre sur leur lieu de travail, « l’impact de bon sens » est évident : le confinement est propice au chaos économique et social mondial.
Selon les principaux économistes et analystes financiers, la crise économique a commencé début mars 2022, coïncidant avec le début de la guerre en Ukraine.
Cette position est erronée.
La crise économique et sociale actuelle qui affecte l’humanité dans le monde entier trouve ses racines en janvier 2020, suite aux réunions du Forum économique mondial de Davos et au lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) par l’OMS (30 janvier 2020).
Phases et conséquences distinctes
La déstabilisation artificielle de l’économie mondiale se déroule en plusieurs phases distinctes, qui sont examinées dans ce chapitre :
Fin janvier 2020 : l'administration Trump a annoncé (31 janvier 2020) que les États-Unis refuseraient l'entrée aux ressortissants étrangers « ayant voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours » . 1 La décision de Trump a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien et les transports, qui dure toujours. Les échanges commerciaux entre la Chine et les États-Unis ainsi que l'industrie du tourisme ont été perturbés.
20 février 2020 : L’avertissement du Dr Tedros, directeur général de l’OMS, selon lequel une pandémie était imminente a déclenché le krach financier le plus grave depuis 1929.
Le confinement du 11 mars 2020 a entraîné la « fermeture » d’environ 193 économies nationales , avec des conséquences économiques et sociales dévastatrices.
Novembre-décembre 2020 : Un confinement partiel ainsi que le lancement du vaccin contre la COVID-19
Novembre 2021-janvier 2022 : Le variant Omicron a été utilisé pour justifier un confinement partiel, le lancement du passeport vaccinal, l'application de mesures restrictives dirigées contre les non-vaccinés.
Avril-juillet 2022 : Application d'un mandat de confinement dans le cadre du mandat de tolérance zéro COVID de la Chine à Shanghai et dans les principales zones urbaines de Chine.
La perturbation des échanges commerciaux entre les États-Unis et la Chine
RépondreSupprimerLa décision de Trump du 31 janvier 2020 a été prise immédiatement après l’annonce de la décision du directeur général de l’OMS de déclencher une urgence de santé publique de portée internationale (USPI) (30 janvier 2020). À bien des égards, il s’agissait d’un acte de « guerre économique » contre la Chine.
Les répercussions sur les relations commerciales bilatérales entre les États-Unis et la Chine au début de la crise du coronavirus ont été dévastatrices : les importations américaines de matières premières en provenance de Chine ont diminué de 28,3 % au cours des trois premiers mois de la crise du coronavirus.
Suite au confinement du 11 mars 2020 et à la fermeture (partielle) de l’activité économique mondiale, la baisse des importations américaines en provenance de Chine en mars 2020 a été de l’ordre de 36,5 % (par rapport à mars 2019). 4 De plus, en raison de la crise financière profonde qui a débuté en février 2020, la valeur des projets d’investissement direct chinois (annoncés) aux États-Unis a chuté d’environ 90 % ( Financial Times ). 5
Les États-Unis disposent certes d'une économie de haute technologie avancée et diversifiée (tant dans le domaine civil que militaire), mais leur base industrielle est faible. L'économie américaine est tirée par les importations (résultant de délocalisations) et dépend fortement des importations de matières premières en provenance de la République populaire de Chine.
En outre, malgré la domination financière des États-Unis et la puissance du dollar, la structure de « l’économie réelle » américaine présente de graves défaillances, qui ont été aggravées par la crise du coronavirus.
Les facteurs politiques et géopolitiques ont également joué un rôle clé, notamment la campagne anti-chinoise lancée en février 2020 ainsi que les menaces de Washington, affirmant que la Chine était responsable de la « propagation du virus ».
Alors que l'économie américaine est entrée dans une crise profonde à partir du krach financier de février 2020 et du confinement de mars 2020, l'économie nationale chinoise s'est redressée. Les exportations chinoises ont augmenté de manière significative au cours de l'année 2021.
Les relations commerciales bilatérales entre les États-Unis et la Chine sont néanmoins en péril, marquées par une réduction significative des importations chinoises en provenance des États-Unis. Alors que les exportations chinoises vers les États-Unis ont augmenté en 2021, l'excédent commercial mensuel de la Chine avec les États-Unis a augmenté de 31,1 % ( Time , 14 janvier 2022).
En avril 2022, l'économie chinoise a connu un revirement spectaculaire, marqué par l'adoption d'un mandat de tolérance zéro face au COVID-19 ( avec des millions de personnes confinées chez elles), entraînant une fermeture partielle du secteur financier de Shanghai, couplée à une paralysie du commerce des matières premières dans le plus grand port du monde (voir l'analyse ci-dessous).
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Le krach financier du coronavirus de février 2020
Le commerce spéculatif et la fraude financière ont joué un rôle clé. Jeudi après-midi, 20 février, à Genève (heure CET), le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a tenu une conférence de presse. « Je suis préoccupé », a-t-il déclaré, « par le fait que la chance de contenir l’épidémie de coronavirus » se « réduit »…
« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. » 7
Ces déclarations « choc et effroi » ont contribué à déclencher la panique, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible : 1 076 cas pour une population de 6,4 milliards d’habitants (en excluant le Diamond Princess, on dénombrait 452 « cas confirmés » dans le monde) (voir chapitre II).
RépondreSupprimerLa déclaration du Dr Tedros (basée sur des concepts et des statistiques erronés) a préparé le terrain pour l’effondrement financier de février déclenché par des informations privilégiées, des connaissances préalables, des transactions sur produits dérivés, des ventes à découvert et une multitude d’opérations de fonds spéculatifs.
La COVID-19 a été étroitement identifiée comme le catalyseur de la crise financière.
Qui était derrière ce catalyseur ?
Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l’incertitude sur les marchés financiers ?
Le petit nombre de « cas confirmés de Covid-19 » hors de Chine (1 076) ne laisse en aucun cas présager d’une épidémie mondiale. Mais cela n’a pas empêché les marchés de s’effondrer.
Les marchés ont été manipulés. Quiconque avait eu connaissance à l’avance (« information privilégiée ») de la déclaration du directeur général de l’OMS du 20 février 2020 aurait pu en tirer des gains financiers considérables.
Y a-t-il eu un conflit d’intérêts (au sens de l’OMS ) ? 8 L’OMS est financée en partie par la Fondation Gates. Selon un rapport de CNBC de septembre 2019, « 60 % des actifs de Bill Gates sont investis en actions [y compris les actions et les fonds indiciels] ». 9
Le krach boursier initié le 20 février, appelé krach du coronavirus 2020 (du 20 février au 7 avril 2020), a été classé comme suit :
« la chute la plus rapide des marchés boursiers mondiaux de l’histoire financière et le krach le plus dévastateur depuis le krach de Wall Street de 1929. »
La cause du krach financier était (selon les « analystes ») le virus, à savoir la « propagation massive » de l’épidémie hors de Chine. Mais c’était un mensonge éhonté. Il n’y a eu que 1 076 cas dans le monde pour une population de 6,4 milliards d’habitants hors de Chine (voir chapitre III). La désinformation médiatique a joué un rôle clé dans la campagne de peur.
RépondreSupprimerDélit d'initié et fraude financière
La possibilité de fraude financière et de « délit d’initié » (qui est illégal) a été dissipée avec désinvolture par les analystes financiers et les médias.
Sans la main humaine, il n’y aurait pas de relation de cause à effet entre un virus microscopique et la gamme complexe de variables financières.
La campagne de peur du « virus mortel » associée aux « avertissements » opportuns du Dr Tedros concernant la nécessité de déclencher une pandémie mondiale ont servi de manière indélébile les intérêts des spéculateurs institutionnels et des fonds spéculatifs de Wall Street. La crise financière a entraîné un changement majeur dans la répartition des richesses monétaires (voir l’analyse au chapitre V).
Dans la semaine qui a suivi l’annonce de l’OMS du 20-21 février, le Dow Jones s’est effondré de 12 % ( CNBC , 28 février 2020). 10 Selon les analystes, la chute du DJIA est le résultat de la propagation mondiale du virus. Une déclaration absurde en contradiction avec le (petit) nombre d’estimations de positifs au COVID de l’OMS (1 076 hors Chine), dont la plupart se basaient sur le test PCR défectueux.
Le lundi 24 février, à la réouverture des marchés boursiers, le Dow Jones a subi une chute sans précédent imputable aux « dangers imminents » que « le COVID se propageait dans le monde entier, créant des incertitudes sur les marchés financiers ».
« Les actions ont chuté lundi (24 février) alors que le nombre de cas de coronavirus en dehors de la Chine a augmenté , attisant les craintes d'un ralentissement économique mondial prolongé dû à la propagation du virus. Le Dow Jones Industrial Average a clôturé en baisse de 1 031,61 points, soit 3,56 %, à 27 960,80 points. » (CNBC) (soulignement ajouté)
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Dow Jones Industrial Average décembre 2019 – mars 2020 (Source : Bloomberg Data )
Le 24 février, Trump a également demandé une aide d’urgence de 1,25 milliard de dollars.
Selon la BBC, les marchés boursiers mondiaux ont connu de fortes chutes « en raison des inquiétudes concernant l’impact économique du virus », suggérant que le virus était « la main invisible » responsable du déclin des marchés financiers.
RépondreSupprimerLa COVID-19 a été étroitement identifiée comme le catalyseur de la crise financière.
Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l’incertitude sur les marchés financiers, ainsi que des faillites et une redistribution massive des richesses monétaires ?
11 mars 2020 : La pandémie de COVID-19, le confinement et la fermeture de 190 économies nationales
Le 11 mars 2020, l’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de 44 279 et 1 440 décès (chiffres enregistrés pour le 11 mars par l’ OMS le 12 mars 2020).
La « science » derrière cette décision de confinement mondial était basée sur « un modèle mathématique » du Dr Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, comme moyen d’éviter les 600 000 décès « prévus » au Royaume-Uni.
Le « modèle » de Ferguson (qui frise le ridicule) a été utilisé par l'establishment financier comme justification pour déclencher le chaos économique et social dans le monde entier. Les efforts de Ferguson ont été généreusement financés par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur a pris de l’ampleur. Comme lors du krach des 20 et 21 février 2020, la déclaration du directeur général de l’OMS du 11 mars 2020 avait préparé le terrain.
Les marchés boursiers se sont effondrés dans le monde entier. Le lendemain matin, le Dow (DJIA) a chuté de 9,99 % (une baisse de 2 352,60 points pour clôturer à 21 200,62 points). Le jeudi noir, le 12 mars 2020, a été « le pire jour du Dow » depuis 1987. 12 Une fraude financière a été le déclencheur. Un transfert massif de richesses financières avait eu lieu en faveur des milliardaires américains (voir chapitre V).
Les consignes de confinement « Restez chez vous » ont été transmises à 193 États membres des Nations Unies. Les politiques sont les instruments de puissants intérêts financiers. Cette décision de grande envergure était-elle justifiée comme un moyen de lutter contre le virus ?
RépondreSupprimerCette décision s’appuie sur un modèle de confinement défectueux conçu par l’Imperial College de Londres.
Le « confinement de la main-d’œuvre » couplé à la paralysie du « lieu de travail » (activités productives, commerciales, etc.) conduit de manière indélébile à une profonde dépression économique mondiale.
Des secteurs entiers de l'économie mondiale ont été déstabilisés, ce qui est sans précédent dans l'histoire et s'est produit presque simultanément dans un grand nombre de pays. Les petites et moyennes entreprises ont été acculées à la faillite. Le chômage et la pauvreté sont endémiques.
Dans plusieurs pays en développement, des famines ont éclaté (voir analyse ci-dessous). Les conséquences sociales de ces mesures sont dévastatrices. Les conséquences sanitaires (mortalité et morbidité), y compris la déstabilisation du système de santé national (dans de nombreux pays), dépassent de loin celles attribuées au COVID-19.
Guerre économique
Les instructions sont venues d’en haut, de Wall Street, du Forum économique mondial et des fondations milliardaires. Ce projet diabolique est décrit avec désinvolture par les médias d’entreprise comme une initiative de santé publique « humanitaire ». La « communauté internationale » a une « responsabilité de protéger » (R2P). Un « partenariat public-privé » non élu sous les auspices du Forum économique mondial (WEF) est venu au secours des 7,9 milliards d’habitants de la planète Terre. La fermeture de l’économie mondiale a été présentée comme un moyen de « tuer le virus ».
Cela paraît absurde. La fermeture de l’économie réelle de la planète Terre n’est pas la « solution », mais plutôt la « cause » d’un processus de déstabilisation et d’appauvrissement mondial, qui a à son tour un impact sur les schémas de morbidité et de mortalité. À cet égard, il faut s’attaquer à la relation causale entre les variables économiques (par exemple le pouvoir d’achat, le chômage) et l’état de santé de la population.
RépondreSupprimerL’économie nationale combinée aux institutions politiques, sociales et culturelles constitue la base de la « reproduction de la vie réelle » : revenus, emploi, production, commerce, infrastructures et services sociaux.
Déstabiliser l’économie de la planète Terre ne peut constituer une « solution » pour combattre le virus. Mais c’est la « solution » imposée à laquelle ils veulent nous faire croire. Et c’est ce qu’ils font.
Le confinement et le processus de faillite artificielle
Il existe une relation importante entre « l’économie réelle » et le « Big Money », à savoir l’establishment financier.
Ce qui est en cours est un processus de concentration de la richesse, par lequel l’establishment financier (c’est-à-dire les créanciers de plusieurs milliards de dollars) est censé s’approprier les actifs réels des entreprises en faillite ainsi que les actifs de l’État.
L’« économie réelle » constitue le « paysage économique » de l’activité économique réelle : actifs productifs, agriculture, industrie, biens et services, commerce, investissement, emploi ainsi que les infrastructures sociales et culturelles, y compris les écoles, les hôpitaux, les universités, les musées, etc. L’économie réelle aux niveaux mondial et national est ciblée par le confinement et la fermeture de l’activité économique.
Les instructions de confinement transmises aux gouvernements nationaux ont favorisé la déstabilisation du « paysage économique national » de nombreux pays, constitué d’ une structure économique et sociale complexe .
Le confinement « restez chez vous » empêche les gens d’aller travailler. Du jour au lendemain, il crée un chômage de masse (dans le monde entier). A son tour, le confinement s’accompagne de la fermeture de secteurs entiers de l’économie nationale.
RépondreSupprimerLe confinement contribue immédiatement au désengagement des ressources humaines (travail) qui, à son tour, entraîne l’arrêt de l’activité productive.
Les canaux d’ approvisionnement et de distribution sont gelés, ce qui peut conduire à des pénuries de produits de base, et plusieurs centaines de millions de travailleurs dans le monde perdent leur emploi et leurs revenus.
Alors que les gouvernements nationaux ont mis en place divers « filets de sécurité sociale » pour les chômeurs, le paiement des salaires par l’employeur est perturbé, ce qui conduit à un effondrement mondial dramatique du pouvoir d’achat.
C'est une crise des paiements. Les salaires ne sont pas versés. Les ménages pauvres ne peuvent pas acheter de nourriture, payer leur loyer ou leur prêt hypothécaire mensuel. Les dettes personnelles et ménagères (y compris les dettes de carte de crédit) montent en flèche. C'est un processus cumulatif.
Cette mondialisation de la pauvreté entraîne une baisse de la demande des consommateurs, qui se répercute sur le système productif et conduit à une nouvelle série de faillites. Inévitablement, la structure du commerce international des matières premières s'en trouve également affectée.
L'endettement mondial
Les institutions financières de la Global Money sont les « créanciers » de l’économie réelle en crise. La fermeture de l’économie mondiale à partir de mars 2020 a déclenché un processus d’endettement mondial. Sans précédent dans l’histoire mondiale, une manne de plusieurs milliers de milliards de dollars de dettes libellées en dollars frappe simultanément les économies nationales de plus de 190 pays.
Les créanciers chercheront également à acquérir la propriété et/ou le contrôle de la « richesse publique », y compris les actifs sociaux et économiques de l’État, par le biais d’un projet d’endettement massif sous la surveillance des institutions créancières, dont le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement, etc.
Dans le cadre de ce que l’on appelle la « nouvelle normalité », le « Grand Reset » proposé par le Forum économique mondial (WEF), les créanciers (y compris les milliardaires) ont l’intention de racheter des secteurs importants de l’économie réelle ainsi que de prendre le contrôle d’entités en faillite (voir chapitre XIII).
Crise de l'économie mondiale. Les preuves
RépondreSupprimerDans les sections ci-dessous, nous passons brièvement en revue les impacts dramatiques de la fermeture de l’économie mondiale en nous concentrant sur les faillites, la pauvreté mondiale, le chômage, l’apparition de famines ainsi que l’effondrement du système éducatif.
La plupart des chiffres cités ci-dessous proviennent de l’ONU, de gouvernements et de sources connexes, qui ont tendance à sous-estimer la gravité de cette crise mondiale en cours, qui détruit littéralement la vie des gens.
L’endettement dans tous les secteurs de l’activité économique à l’échelle mondiale constitue la force motrice.
Ce qui est présenté ci-dessous n’est que la pointe de l’iceberg.
Faillites
La vague de faillites déclenchée par la fermeture de l'économie mondiale touche aussi bien les petites et moyennes entreprises (PME) que les grandes entreprises. Les faits confirment que les petites et moyennes entreprises sont littéralement anéanties.
Selon une enquête de 2020 du Centre du commerce international, citée par l’OCDE, portant sur les PME de 132 pays :
Deux tiers des micro et petites entreprises déclarent que la crise a fortement affecté leurs activités commerciales et un cinquième d'entre elles indiquent qu'elles risquent de fermer définitivement leurs portes dans les trois mois à venir. Sur la base de plusieurs enquêtes menées dans divers pays, McKinsey (2020) indique qu'entre 25 % et 36 % des petites entreprises pourraient fermer définitivement leurs portes en raison des perturbations survenues au cours des quatre premiers mois de la pandémie. ( Rapport de l'OCDE , souligné par nous) 14
Selon Bloomberg :
« Plus de la moitié des petites et moyennes entreprises européennes déclarent qu'elles risquent la faillite l'année prochaine si leurs revenus ne reprennent pas, ce qui souligne l'ampleur des dégâts causés par la crise du Covid-19.
Une entreprise sur cinq en Italie et en France prévoit de déposer le bilan dans les six mois à venir, selon une enquête réalisée par McKinsey & Co. en août auprès de plus de 2 200 PME des cinq plus grandes économies européennes .
Les enquêtes tendent à sous-estimer l’ampleur de la catastrophe en cours. Les chiffres sont bien plus élevés que ce qui est rapporté.
Aux États-Unis, la procédure de faillite est en cours. Selon un groupe d'universitaires dans une lettre adressée au Congrès :
« Nous prévoyons qu’une part importante des petites entreprises viables seront contraintes de fermer, ce qui entraînera des pertes économiques importantes et irréversibles. Les travailleurs perdront leur emploi même dans des entreprises par ailleurs viables. …
RépondreSupprimerUne série de défauts de paiement semble presque inévitable. À la fin du premier trimestre de cette année, les entreprises américaines avaient accumulé près de 10 500 milliards de dollars de dette, soit de loin le montant le plus élevé depuis que la Réserve fédérale de Saint-Louis a commencé à suivre ce chiffre à la fin de la Seconde Guerre mondiale. « Une explosion de la dette des entreprises », a déclaré M. Altman. » ( NYT , 16 juin 2020) 16
En ce qui concerne les petites entreprises aux États-Unis :
près de 90 % des petites entreprises ont subi un impact négatif fort (51 %) ou modéré (38 %) de la pandémie ; 45 % des entreprises ont connu des perturbations dans leurs chaînes d’approvisionnement ; 25 % des entreprises disposent de moins de 1 à 2 mois de réserves de trésorerie. » ( OCDE ) 17
Les résultats d’une enquête menée auprès de plus de 5 800 petites entreprises aux États-Unis :
… montre que 43 % des entreprises ayant répondu sont déjà temporairement fermées. En moyenne, les entreprises ont réduit leurs effectifs de 40 %. Les trois quarts des répondants indiquent qu’ils disposent de deux mois ou moins de réserves de liquidités. … (OCDE)
Dans une enquête de 2020 , 18
« La moitié des propriétaires de petites entreprises aux États-Unis pensent qu’ils pourraient bientôt être contraints de fermer définitivement. Même pendant la Grande Dépression des années 1930, nous n’avions jamais vu une situation pareille ». 19
Il convient de noter que depuis le confinement de mars 2020 (aux États-Unis et au Canada), les petites et moyennes entreprises ainsi que les grandes entreprises ont reçu de nombreuses aides et prêts dans le cadre de ce que l’on appelle des prêts d’urgence, ce qui a contribué à retarder le dépôt de bilan (aux États-Unis, voir les chapitres VII et XI). Dans le monde entier, le dépôt de bilan a été opportunément reporté à la suite de ce que la Banque mondiale a décrit comme des « milliers de milliards de dollars de soutien financier des gouvernements », généreusement financés par les créanciers du Big Money.
RépondreSupprimerLe chômage mondial
Une contraction massive de l’emploi est en cours à l’échelle mondiale. Dans un rapport d’août 2020, l’ Organisation internationale du travail (OIT) confirme que :
La crise de la COVID-19 a gravement perturbé les économies et les marchés du travail dans toutes les régions du monde, avec des pertes d’heures de travail estimées à près de 400 millions d’emplois à temps plein au deuxième trimestre 2020 , dont la plupart se situent dans les pays émergents et en développement (OIT, 2020a). …
Parmi les plus vulnérables figurent les 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle, soit la moitié de la main-d’œuvre mondiale, qui travaillent dans des secteurs connaissant d’importantes pertes d’emplois ou dont les revenus ont été gravement affectés par les confinements.
La crise de la COVID-19 touche de manière disproportionnée 1,25 milliard de travailleurs occupant des emplois à risque, en particulier dans les secteurs les plus touchés comme le commerce de détail, l’hébergement et la restauration et l’industrie manufacturière (OIT, 2020b). La plupart de ces travailleurs sont des travailleurs indépendants, occupant des emplois à faible revenu dans le secteur informel… Les jeunes, par exemple, subissent de multiples chocs, notamment des perturbations dans leur éducation et leur formation, leur emploi et leurs revenus, en plus d’une plus grande difficulté à trouver un emploi. 20
L’OIT n’explique en aucune façon les causes politiques du chômage de masse, résultant des mesures prises par les gouvernements nationaux, prétendument dans le but de résoudre la pandémie de COVID. De plus, l’OIT a tendance à sous-estimer à la fois les niveaux et l’augmentation spectaculaire du chômage.
Le chômage mondial devrait augmenter en 2022-2023
RépondreSupprimerLa pandémie est présentée comme la cause du chômage. Selon l' OIT :
Le chômage mondial devrait rester supérieur aux niveaux d’avant la pandémie de COVID-19 au moins jusqu’en 2023. Le niveau de chômage en 2022 est estimé à 207 millions, contre 186 millions en 2019. 21
L’OIT reconnaît que l’impact global sur l’emploi n’est pas révélé par les projections ci-dessus sur le chômage mondial, « parce que de nombreuses personnes ont quitté la population active ».
Ce qui est en jeu, c’est que de larges pans de la main-d’œuvre sont victimes de faillites ainsi que de mesures politiques discriminatoires qui les ont marginalisés du marché du travail.
Les gouvernements nationaux restent sous le contrôle des créanciers mondiaux. Pour l'après-Covid, on envisage la mise en œuvre de mesures d'austérité massives, notamment la suppression des allocations des travailleurs et des filets de sécurité sociale.
Le chômage aux États-Unis
Aux États-Unis, « plus de 30 millions de personnes, soit plus de 15 % de la population active, ont demandé des allocations chômage… » immédiatement après le confinement de mars 2020. ( CSM, 6 mai 2020 ) 22
Annoncé début décembre 2020, « plus de 10 millions d’Américains devraient perdre leurs allocations chômage le lendemain de Noël [2020] à moins que le Congrès n’agisse pour prolonger les principaux programmes liés à la pandémie – une perspective qui, pour l’instant, semble au mieux incertaine. » ( US News and World Report ) 23
Le bord du gouffre se profile à l’horizon alors que les cas de coronavirus se multiplient dans tout le pays et que les demandes d’allocations chômage augmentent, les États et les localités réimposant des restrictions liées au virus. Cette baisse devrait également se produire à l’expiration des protections pour les locataires, les emprunteurs de prêts étudiants et les propriétaires – une confluence d’événements potentiellement dévastatrice pour les particuliers, dont les économies ont été ravagées par la pandémie, et pour l’économie dans son ensemble, qui se remet progressivement de la récession induite par le coronavirus.
Selon la Century Foundation, lorsque les programmes expireront à la fin du mois de décembre [2020], environ 12 millions de personnes pourraient perdre leurs allocations de chômage. ( US News and World Report ) 24
Alors que l’économie américaine connaît le plus grave effondrement de l’histoire, avec plus d’un quart des Américains en âge de travailler au chômage, une calamité supplémentaire se profile :
RépondreSupprimerSelon les estimations du Bureau du recensement, 30 à 40 millions d’Américains risquent d’être expulsés en 2021-22 en raison du manque de revenus pour payer leur loyer ou leurs prêts hypothécaires.
Sans aide fédérale ou moratoire prolongé sur les loyers, une calamité aux proportions bibliques pourrait se produire dans les mois à venir. ( Stephen Lendman ) 25
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Le chômage dans l'Union européenne (UE)
« Le chômage dans l’ensemble de l’Union européenne devrait augmenter jusqu’à 9 % en 2020, à la suite de la pandémie de coronavirus et des mesures de confinement imposées par les gouvernements nationaux ». 26
Selon les chiffres officiels de l’UE :
La Grèce, l’Espagne et le Portugal ont de nouveau connu une forte hausse du chômage des jeunes depuis le début de la pandémie. La Grèce a vu son taux passer de 31,7 % en mars [2020] à 39,3 % en juin [2020], tandis que l’Espagne et le Portugal ont connu des augmentations similaires, de 33,9 % à 41,7 % et de 20,6 % à 27,4 % , respectivement.
Le chômage en Amérique latine
En Amérique latine, le taux de chômage moyen était estimé à 8,1 % à la fin de 2019. L’OIT estime qu’il pourrait augmenter de 4 à 5 points de pourcentage pour atteindre 41 millions de chômeurs .
En chiffres absolus, ces taux impliquent que le nombre de personnes qui recherchent un emploi mais ne sont pas embauchées est passé de 26 millions avant la pandémie à 41 millions en 2020 , comme l'ont annoncé les experts de l'OIT.
Ces estimations de l’OIT et de la Banque mondiale sont trompeuses. Selon la Banque interaméricaine de développement (BID) , l’augmentation du chômage dans la région latino-américaine a été de l’ordre de 24 millions en 2020, avec des pertes d’emplois de l’ordre de 3,6 millions en Colombie, 7 millions au Brésil et 7 millions au Mexique. 29
RépondreSupprimerMême ces chiffres tendent à sous-estimer l’augmentation spectaculaire du chômage. Et la situation a évolué en 2021-22, après les confinements partiels qui ont déclenché une nouvelle vague de faillites.
Selon une enquête menée par l'Instituto Nacional de Estadística y Geografía (INEGI), l'augmentation du chômage au Mexique a été de l'ordre de 12,5 millions en avril 2020, c'est-à-dire dans le mois qui a suivi le confinement et la fermeture de l'économie nationale du 11 mars 2020 .
L'apparition des famines
La pauvreté et la sous-alimentation chronique sont une condition préexistante.
Premièrement, il existe un processus historique à long terme de réforme des politiques macroéconomiques et de restructuration économique mondiale qui a contribué à la baisse du niveau de vie dans le monde entier, tant dans les pays en développement que dans les pays développés.
Deuxièmement, ces conditions historiques préexistantes de pauvreté de masse ont été exacerbées et aggravées par l’imposition du confinement lié au COVID.
Alors que de larges pans de la population mondiale vivaient déjà bien en dessous du seuil de pauvreté avant le confinement lié au COVID-19 de mars 2020 , les récentes hausses des prix des denrées alimentaires de base sont dévastatrices.
Selon le Programme alimentaire mondial (PAM), « 690 millions de personnes n’ont pas assez à manger tandis que 130 millions de personnes supplémentaires risquent d’être poussées au bord de la famine. » (Déclaration de novembre 2020)
Ces chiffres sont discutables. Ni la FAO ni le PAM n’ont réussi à aborder le rôle central du confinement et de la fermeture des économies nationales en tant que « mécanisme de choc » qui déclenche simultanément une pauvreté de masse et une déstabilisation de la production agricole dans les pays en développement comme dans les pays développés, dans toutes les grandes régions du monde.
RépondreSupprimerLa causalité sous-jacente n'est tout simplement pas abordée. L'analyse du climat et des conflits prime :
« Nous sommes témoins d’une catastrophe qui se déroule sous nos yeux. La famine, provoquée par les conflits et alimentée par les chocs climatiques et la pandémie de COVID-19, frappe à la porte de millions de familles. » (David Beasley, Directeur exécutif du PAM)
Le rapport de la FAO
Selon la FAO, des famines ont éclaté dans au moins 25 pays en développement . Cette étude est incomplète : la plupart des pays d'Asie et d'Amérique latine, d'Europe, du Moyen-Orient et d'Amérique du Nord ne sont pas concernés (voir la carte ci-dessous) :
« L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM) identifient 27 pays qui sont en première ligne face aux crises alimentaires imminentes provoquées par la COVID-19, alors que les effets domino de la pandémie aggravent les facteurs préexistants de la faim.
Aucune région du monde n’est à l’abri, de l’Afghanistan et du Bangladesh en Asie, à Haïti, au Venezuela et en Amérique centrale, à l’Irak, au Liban, au Soudan et à la Syrie au Moyen-Orient, au Burkina Faso, au Cameroun, au Libéria, au Mali, au Niger, au Nigéria, au Mozambique, à la Sierra Leone et au Zimbabwe en Afrique.
L’ analyse conjointe de la FAO et du PAM prévient que ces « pays sensibles » courent un risque élevé de voir leur sécurité alimentaire se détériorer considérablement dans les mois à venir – et dans certains cas, ils le constatent déjà –, avec notamment une augmentation du nombre de personnes plongées dans une situation de faim aiguë.
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Source : FAO, avril 2020
La pandémie de COVID-19 pourrait avoir des répercussions indirectes profondes et multiformes sur les sociétés et les économies, qui pourraient perdurer bien après la fin de l’urgence sanitaire. Ces répercussions pourraient aggraver les instabilités ou les crises existantes, ou en entraîner de nouvelles, avec des répercussions sur la sécurité alimentaire, la nutrition et les moyens de subsistance.
RépondreSupprimerAvec plus de deux milliards de personnes, soit 62 % de la population active mondiale, employées dans l’économie informelle selon les données de l’OIT, des millions de personnes sont confrontées à un risque croissant de faim. On estime que les revenus des travailleurs informels ont diminué de 82 %, l’Afrique et l’Amérique latine étant les pays où la baisse est la plus forte (OIT 2020). ( FAO , p. 6) 31
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Famine mondiale. Une faim aiguë dans 80 pays
Un rapport du Programme alimentaire mondial (PAM) de novembre 2021 pointe du doigt la famine mondiale et la « faim aiguë dans 80 pays » :
La faim dans le monde continue de progresser à un rythme alarmant : nos dernières estimations montrent que 282,7 millions de personnes dans 80 pays souffrent de niveaux extrêmes de faim aiguë. Cela représente une augmentation d’environ 110 % par rapport à 2019 (année où 135 millions de personnes dans 58 pays étaient classées comme étant en situation d’insécurité alimentaire aiguë).
Cette « estimation » de 287,7 millions de cas de faim aiguë frise le ridicule et les « fausses statistiques » . La pauvreté de masse est répandue dans le monde entier. Cette « estimation » se fonde sur le concept suivant, proposé par le Programme alimentaire mondial (un organisme de l’ONU) comme critère humanitaire et de compassion :
« Un repas par jour, le minimum vital – coûtant 0,43 USD par personne et par jour » ( PAM , p. 1)
Demandez à Bill Gates, qui rachète activement des fermes familiales en faillite : « Combien a coûté votre déjeuner ? »
Les récentes hausses des prix des denrées alimentaires contribuent de manière très concrète à « éliminer les pauvres » par le biais de « décès par famine ». Selon les mots d’ Henry Kissinger :
« Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations ; contrôlez la nourriture et vous contrôlerez les peuples. »
À cet égard, Kissinger avait laissé entendre, dans le cadre du « Mémorandum 200 de l'étude sur la sécurité nationale de 1974 : implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité américaine et les intérêts d'outre-mer », que la récurrence des famines pourrait constituer un instrument de facto de contrôle de la population. Cela fait partie du programme eugéniste du Forum économique mondial.
RépondreSupprimerFamine et désespoir en Inde
Les conséquences sociales et économiques du confinement du 11 mars 2020 en Inde ont été dévastatrices, déclenchant une vague de famine et de désespoir. « Des millions de personnes qui ont perdu leurs revenus sont désormais confrontées à une pauvreté et une faim accrues, dans un pays où, même avant la pandémie, 50 % des enfants souffraient de malnutrition ». 32
Fin novembre 2020, la plus grande grève générale de l'histoire du pays a été menée contre le gouvernement Modi, avec plus de 200 millions de travailleurs et d'agriculteurs. Selon le syndicat des enseignants des universités et collèges de Mumbai :
Cette grève est dirigée contre la crise sanitaire et économique dévastatrice déclenchée par le COVID-19 et le confinement imposé aux travailleurs du pays. Cette situation a été encore aggravée par une série de lois antipopulaires sur l'agriculture et le code du travail promulguées par le gouvernement central. Parallèlement à ces mesures, la politique nationale d'éducation (NEP) imposée à la nation pendant la pandémie causera un préjudice irréparable à l'équité et à l'accès à l'éducation .
Selon Left Voice :
« La pandémie s’est propagée des grandes villes comme Delhi, Bombay et d’autres centres urbains vers les zones rurales où les soins de santé publics sont rares ou inexistants. Le gouvernement Modi a géré la pandémie en donnant la priorité aux profits des grandes entreprises et à la protection des fortunes des milliardaires plutôt qu’à la protection de la vie et des moyens de subsistance des travailleurs. » 34
« Insécurité alimentaire » aux États-Unis
RépondreSupprimerLa sous-alimentation et ce que l’on appelle « l’insécurité alimentaire » ne se limitent pas aux pays en développement.
La terminologie n’est pas tout à fait la même. La « famine » qui est aujourd’hui une réalité aux États-Unis est rarement évoquée. Le confinement (le confinement de la main-d’œuvre) n’est pas non plus reconnu comme un mécanisme ayant déclenché ce que l’on appelle « l’insécurité alimentaire ».
Le ministère américain de l’Agriculture définit « l’insécurité alimentaire » comme « une condition économique et sociale au niveau des ménages caractérisée par un accès limité ou incertain à une alimentation adéquate ».
La « faim » est définie comme « un état physiologique individuel qui peut résulter de l’insécurité alimentaire ». Le terme « famine » apparaît dans le glossaire de l’USDA.
Selon des estimations récentes de Feeding America , un Américain sur sept, soit 45 millions de personnes en 2020, dont 15 millions d’enfants, a connu une « insécurité alimentaire » :
Avant le début de la pandémie, le taux global d’insécurité alimentaire avait atteint son point le plus bas depuis qu’il a commencé à être mesuré dans les années 1990, mais ces améliorations ont été bouleversées par la pandémie .
Selon Stephen Lendman :
« Environ un ménage américain sur quatre a connu l'insécurité alimentaire cette année [2020], soit plus de 27 % des ménages avec enfants.
Une étude de l’Institut de recherche sur les politiques de l’université Northwestern estime que près de 30 % des ménages avec enfants souffrent d’insécurité alimentaire. Les familles noires sont deux fois plus touchées par l’insécurité alimentaire que leurs homologues blanches. Les ménages latinos sont également touchés de manière disproportionnée. » 36
La « solution à la famine mondiale » des milliardaires ?
RépondreSupprimerDans une ironie amère, le Programme alimentaire mondial (PAM ) a annoncé que les philanthropes milliardaires (dont la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Rockefeller, et al.), qui se sont enrichis au cours de la crise du COVID-19, sont généreusement venus au secours de 42 millions de personnes touchées par la famine .
Il faut garder à l’esprit que ce processus d’appauvrissement mondial est la conséquence directe de l’enrichissement des milliardaires, invariablement réalisé grâce à de fausses données scientifiques et à des transactions frauduleuses (voir chapitre V).
Selon Oxfam , « pour chaque nouveau milliardaire créé pendant la pandémie… des millions de personnes ont été plongées dans l’extrême pauvreté ».
« Les milliardaires réunis à Davos ont vu leur fortune augmenter de façon indécente au cours des deux dernières années. La pandémie et maintenant la forte hausse des prix des denrées alimentaires et de l’énergie ont été une aubaine pour les plus riches, tandis que des millions de personnes sont confrontées à la faim et à la pauvreté alors que le coût de la vie s’envole. » ( Oxfam )
Éducation : les impacts sur nos enfants
Les fondements mêmes de la société civile sont menacés. L’UNICEF estime que 1,6 milliard d’enfants et d’adolescents ont été touchés par la fermeture des écoles dans le monde. 37
« Alors que la pandémie de COVID-19 s’est propagée à travers le monde, une majorité de pays ont annoncé la fermeture temporaire des écoles, affectant plus de 91 % des élèves dans le monde… Jamais auparavant autant d’enfants n’ont été privés d’école en même temps… »
Les collèges et les universités sont également paralysés. Les étudiants sont privés de leur droit à l’éducation. Si l’UNESCO confirme que plus d’un milliard d’apprenants sont concernés , elle n’offre aucune solution concrète ni critique. Le discours officiel sur le soi-disant « partenariat public/privé » imposé aux gouvernements nationaux a été adopté au pied de la lettre.
RépondreSupprimerDes fermetures d'écoles ont été décidées dans 132 pays. Voir le schéma ci-dessous (UNESCO, mai 2020).
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L'examen des conséquences économiques et sociales de ce phénomène révèle un processus complexe. De larges pans de la population mondiale ont été précipités dans la pauvreté et le désespoir. Les diverses agences des Nations Unies citées ci-dessus ont tendance à effleurer la surface de la question. Les causes sous-jacentes ne sont tout simplement pas traitées.
L'économie mondiale du tourisme et des voyages
Avant la crise du coronavirus, les voyages et le tourisme représentaient une part importante de l’économie mondiale : environ dix pour cent du PIB mondial avec une main-d’œuvre estimée à plus de 320 millions d’emplois dans le monde .
L'industrie du voyage et du tourisme, qui comprend les compagnies aériennes, les installations aéroportuaires, le transport terrestre, les hôtels, les centres de villégiature, les restaurants, les musées, les salles de concert, les parcs et une variété de services urbains, a été précipitée dans la faillite, entraînant un chômage de masse.
Les impacts économiques et sociaux sont dévastateurs, en particulier dans les pays qui ont une économie touristique importante (par exemple, l’Italie, la France, la Suisse, la Thaïlande, le Vietnam, le Mexique, Cuba, la République dominicaine, le Pérou et le Panama, entre autres).
La perte d’emplois dans le secteur du tourisme est estimée à environ 100 millions dans le monde (rapport de novembre 2020, voir également le rapport du FMI ).
RépondreSupprimerPertes d'emplois aux États-Unis
Selon le World Travel and Tourism Council (WTTC), « 9,2 millions d’emplois pourraient être perdus aux États-Unis… si les barrières aux voyages internationaux restent en place ». Le WTTC estime que plus de la moitié de tous les emplois soutenus par le secteur aux États-Unis en 2019 devraient être perdus. Entre 10,8 et 13,8 millions d’emplois dans le secteur du voyage et du tourisme « sont gravement menacés ». 41
Alors que les restrictions sur les voyages aériens, associées au confinement du 11 mars 2020, ont entraîné la disparition des petites compagnies aériennes régionales, au cours de la période 2020-2022, un grand nombre de compagnies aériennes nationales ont été précipitées dans une situation de faillite de fait, notamment Aero-Mexico, Avianca et South African Airlines, entre autres. Selon un rapport , « 43 compagnies aériennes commerciales ont fait faillite depuis janvier 2020 , … cessant ou suspendant complètement leurs opérations » en 2020. Il y a également eu une réaction négative sur la production d’avions civils. 42
La suspension par Trump des voyages aériens vers la Chine le 31 janvier 2020, en raison de cinq cas positifs confirmés de COVID-19 aux États-Unis, a joué un rôle clé dans la préparation de la crise du transport aérien et du tourisme, qui, au moment de la rédaction du présent document, est toujours en cours.
Le confinement a également mis à mal le plus grand projet d'infrastructure de transport en Europe, à savoir le tunnel souterrain reliant le Royaume-Uni à l'Europe continentale. L'Eurostar s'est retrouvé en situation de faillite de fait.
Toutes ces perturbations des voyages internationaux sont présentées à l'opinion publique comme un moyen de lutter contre ce virus mortel. C'est un gros mensonge.
Les chaînes hôtelières et les grandes compagnies aériennes en faillite seront très probablement « reprises » à des prix dérisoires par les multimilliardaires.
Le mandat de tolérance zéro face au COVID pour les JO de Shanghai 2022. La déstabilisation de l'économie d'exportation chinoise ?
RépondreSupprimerÀ partir de fin mars, début avril 2022, le gouvernement chinois a ordonné le confinement de Shanghai, une ville portuaire de 26 millions d'habitants.
Le confinement de la main-d'œuvre de Shanghai a été effectué dans le cadre d'un « mandat de tolérance zéro COVID » : « Au moins 38 000 travailleurs médicaux de toute la Chine ont été déployés pour aider Shanghai… dans la lutte contre le variant Omicron… » ( Global Times ) 43
De toute évidence, les autorités sanitaires chinoises ont approuvé sans sourciller le consensus Fauci-Gates sur le confinement fondé sur la « fausse science » . Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC) est dirigé par le Dr George Gao Fu, un collègue d'Anthony Fauci, et al. Anthony Fauci est le mentor du Dr Gao Fu.
Le décret de tolérance zéro de la Chine face au COVID-19 est un « copier-coller » du confinement du 11 mars 2020 (basé sur de « fausses données scientifiques ») parrainé par Anthony Fauci, Bill Gates et al. sous les auspices de l'OMS (en étroite consultation avec le Forum économique mondial). Le décret de tolérance zéro de la Chine face au COVID-19 repose sur une campagne de peur.
À la mi-juillet 2022, les autorités sanitaires chinoises ont annoncé que plusieurs grandes zones urbaines avaient reçu l'ordre de mettre en œuvre le mandat de tolérance zéro COVID comme moyen de lutter contre la « sous-variante hautement transmissible d'Omicron BA.5 » .
La main d'oeuvre a été confinée dans un grand nombre de villes industrielles, ce qui a conduit au chaos économique et social ainsi qu'à un déclin dramatique de l'activité économique. Selon Reuters :
La lignée BA.5 [sous-variante], qui se propage rapidement dans de nombreux autres pays, a été détectée dans des villes comme Xian dans la province du Shaanxi et Dalian dans la province du Liaoning, … Elle a été découverte pour la première fois en Chine le 13 mai chez un patient qui s'était rendu à Shanghai en avion depuis l'Ouganda, a indiqué le Centre chinois de prévention et de contrôle des maladies , sans qu'aucune infection locale ne soit liée au cas ce mois-là .
Ce « patient » d’Ouganda a-t-il fait le test PCR à son retour en Chine ? Les variants et sous-variants ne peuvent en aucun cas être détectés par le test PCR (le virus SARS-CoV-2 originel ne peut pas être détecté par le test PCR, voir chapitre III).
Un grand nombre de zones urbaines ont été fermées dans les principales régions de Chine. Le 11 juillet 2022, la Commission nationale de la santé de Chine a confirmé les données suivantes pour la Chine continentale 45 :
RépondreSupprimerun total de 352 nouvelles infections à la COVID transmises localement ont été enregistrées le 10 juillet,
46 nouveaux cas symptomatiques et
306 nouveaux cas asymptomatiques.
46 nouveaux cas symptomatiques sur une population de 1,45 milliard de personnes ne justifient pas la fermeture des principales zones urbaines chinoises.
Déstabilisation économique : Shanghai et l'économie mondiale
Les impacts de ces mesures mises en place par la Commission nationale de la santé chinoise et le CCDC chinois ont mis en péril les chaînes d’approvisionnement du pays .
La « tolérance zéro face au COVID » a contribué à déstabiliser le secteur financier de Shanghai ainsi que son économie d'exportation dynamique. Elle a également contribué à affaiblir les transports intérieurs et les lignes d'approvisionnement en matières premières.
Depuis la mi-avril 2022 (coïncidant avec le confinement de Shanghai), le yuan (CNY) a brusquement baissé par rapport au dollar américain (USD).
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Graphique du taux de change du yuan chinois au dollar américain (Source : Xe)
Le volume des échanges de matières premières entrant et sortant du port de Shanghai (et d’autres grandes villes portuaires) a diminué, ce qui a inévitablement une incidence sur la disponibilité des matières premières « Made in China » dans le monde entier.
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Produits fabriqués en Chine (Par ThiNguyen2021 , sous licence CC BY-SA 4.0)
Le « Made in China » est l’épine dorsale du commerce de détail qui soutient de manière indélébile la consommation des ménages dans pratiquement toutes les grandes catégories de produits , des vêtements aux chaussures, en passant par le matériel informatique, l’électronique, les téléphones portables, les téléviseurs, les jouets, les bijoux, les appareils électroménagers, l’alimentation, etc. Demandez au consommateur américain : la liste est longue.
Les importations en provenance de Chine représentent une activité lucrative de plusieurs milliards de dollars. Elles sont une source de profits et de richesses considérables pour les États-Unis, car les biens de consommation importés de Chine, pays à bas salaires, sont souvent vendus au détail à un prix plus de dix fois supérieur à leur prix d'usine.
Le commerce mondial des matières premières, tant au niveau du gros que du détail, est en crise. Les conséquences potentielles dans toutes les grandes régions du monde sont dévastatrices : pénuries mondiales de biens de consommation essentiels, conjuguées à des pressions inflationnistes.
RépondreSupprimerCes développements affectent également la souveraineté de la Chine en tant qu’État-nation à l’économie affaiblie, sans parler de son initiative « Ceinture et Route ».
Dans le contexte de la crise actuelle, notamment du « pivot vers l’Asie » de Washington, il existe de graves implications géopolitiques qui ont un impact direct sur la confrontation entre la Chine et les États-Unis.
Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, The Shanghai “COVID Zero Tolerance Mandate”. Une dépression artificielle de l'économie chinoise ?
L’industrie automobile à l’arrêt : une pénurie artificielle dans la production de semi-conducteurs ?
L'industrie automobile mondiale a connu une baisse de 15 % de sa production en 2020. Le déclin de 2021-22 est important, affectant principalement la production au Japon, en Corée du Sud et en Chine.
Ce déclin a été accentué par une pénurie de semi-conducteurs :
« Les constructeurs automobiles, qui dépendent de dizaines de puces pour construire un seul véhicule, ont été particulièrement touchés, contraints d’arrêter leurs chaînes de production dans le monde entier en attendant l’approvisionnement en puces. Cette débâcle devrait coûter à l’industrie automobile 450 milliards de dollars de ventes mondiales… En septembre 2021, Toyota a été contraint de réduire la production dans 14 usines au Japon en raison d’un manque de semi-conducteurs. Certaines de ces réductions se poursuivront en octobre en raison d’un manque de composants en provenance d’Asie du Sud-Est, a déclaré Toyota . » ( Washington Post , septembre 2021) 46
Les semi-conducteurs constituent un produit stratégique, utilisé dans de nombreux secteurs, notamment l’électronique, les appareils médicaux, les réseaux électroniques et de communication, etc.
Il existe des indices de possibles manipulations qui ont conduit à des pénuries artificielles de semi-conducteurs affectant un certain nombre de secteurs clés de l’économie mondiale.
Cela a des implications géopolitiques. Le plus grand producteur mondial de semi-conducteurs est la Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC).
« Perturbations de la chaîne d’approvisionnement » mondiale et relations de demande
RépondreSupprimerLes confinements décrétés à partir du 11 mars 2020 ont déclenché un processus de déstabilisation économique mondial qui affecte directement les relations entre « offre » et « demande » . Il s’agit de la crise économique la plus grave de l’histoire mondiale, touchant simultanément plus de 190 pays.
L’« offre » concerne la production de biens et de services, à savoir les activités de « l’économie réelle ».
La « demande » fait référence à la capacité des ménages, compte tenu de leur pouvoir d’achat, à acquérir des biens et des services essentiels.
Les relations entre l’offre et la demande sont toutes deux menacées.
Partout dans le monde, de larges secteurs de l’industrie, de l’agriculture et des services urbains sont à l’arrêt. Les mesures de confinement mises en place en mars 2020 ont provoqué des faillites et du chômage, qui ont à leur tour favorisé un processus de désengagement des ressources humaines (travail) et des actifs productifs du paysage économique.
Du côté de l’offre , on assiste à une contraction massive de la production et de la disponibilité des biens et services (matières premières). Des secteurs entiers de l’économie mondiale ne produisent plus , des pénuries de certaines matières premières et services sont apparues. À leur tour, les canaux de transport terrestres et maritimes (par exemple le commerce de conteneurs) sont perturbés depuis mars 2020.
Du côté de la demande , le chômage de masse et la pauvreté provoqués par les mesures de confinement ont contribué à un effondrement sans précédent du pouvoir d’achat (des familles et des ménages du monde entier), ce qui a entraîné à son tour l’effondrement de la demande de biens et de services. La pauvreté est endémique, de larges pans de la population mondiale n’ont pas d’argent pour acheter de la nourriture et des biens de consommation essentiels.
La contraction de la production (offre) couplée à l’effondrement du pouvoir d’achat (demande) conduit à une profonde dépression économique mondiale, accompagnée de pressions inflationnistes.
L'effondrement du pouvoir d'achat résultant du chômage de masse a conduit à une crise croissante de l'endettement personnel , qui se traduit notamment par l'incapacité à payer le loyer mensuel et les mensualités hypothécaires. Ce processus conduit finalement à la confiscation des biens immobiliers.
Aux États-Unis, 68 % des personnes en retard de paiement de leur loyer (chiffres de mai 2021) se sont retrouvées au chômage à cause du confinement.
Ces évolutions sont imputées de manière désinvolte aux « retombées économiques de la pandémie », sans analyser comment l’échec des politiques de confinement a contribué à déclencher le chaos économique et le chômage dans le monde entier.
RépondreSupprimerLa crise budgétaire de l'État-nation
Les activités du secteur public financées par l’État, notamment la santé, l’éducation, la culture, les sports et les arts, sont en danger. Pendant ce temps, aux États-Unis, l’administration Biden a favorisé une augmentation massive des dépenses liées à la défense et à la sécurité ainsi qu’à la biotechnologie, en accordant des aides généreuses aux grandes sociétés pharmaceutiques et au complexe militaro-industriel.
Depuis le début de la crise du coronavirus, la dette publique de chaque pays a grimpé en flèche, en grande partie à cause du chaos économique.
Les entreprises en faillite ne paient plus d’impôts. Les chômeurs (sans revenus) ne paient plus d’impôts. L’argent des impôts ne rentre plus dans les caisses de l’État.
L’augmentation du chômage et de la pauvreté à l’échelle mondiale, conjuguée aux faillites, a conduit à une crise budgétaire sans précédent.
À leur tour, les recettes publiques ont été réorientées vers le financement des aides aux entreprises.
L’appropriation privée des richesses a précipité une crise mondiale de la dette. Dans tous les pays, la dette publique a grimpé en flèche.
Mesures d’austérité massives, insolvabilité mondiale
Les gouvernements nationaux ont eu recours à des aides généreuses et à des filets de sécurité sociale pour faire respecter et accepter les mesures liées à la COVID-19 . Ces aides (y compris les prêts à 0 %) sont vouées à être supprimées et remplacées par les mesures d’austérité les plus drastiques de l’histoire du monde.
Une dette publique impayable de plusieurs milliers de milliards de dollars se développe à l’échelle mondiale , associée à un processus que l’on pourrait décrire comme « l’insolvabilité mondiale ».
Les créanciers de l’État sont « Big Money » et, en fin de compte, ce sont eux qui décident.
L’enrichissement de la classe des milliardaires a également contribué à la déstabilisation de l’État-nation (voir chapitre V).
RépondreSupprimerCe qui se déroule également, c’est la « privatisation de l’État-nation », avec notamment la disparition progressive de « l’État-providence » et de ses institutions publiques (éducation, santé, culture).
Notes de fin
1 Allison Aubrey, 31 janvier 2020. Trump déclare le coronavirus comme une urgence de santé publique et restreint les voyages en provenance de Chine. https://www.npr.org/sections/health-shots/2020/01/31/801686524/trump-declares-coronavirus-a-public-health-emergency-and-restricts-travel-from-c
2 The Economist, 17 février 2020. Le coronavirus propage le racisme contre et parmi les Chinois d'origine ethnique. https://www.economist.com/china/2020/02/17/the-coronavirus-spreads-racism-against-and-among-ethnic-chinese
3 Wallis Wang, 13 février 2020. La communauté chinoise de Grande-Bretagne confrontée au racisme face à l'épidémie de coronavirus. https://www.scmp.com/video/world/3050436/britains-chinese-community-faces-racism-over-coronavirus-outbreak
4 Prof Michel Chossudovsky, 5 novembre 2020. La pandémie de coronavirus et la guerre commerciale de Trump contre la Chine : la dépendance de l'Amérique au « Made in China ». Perturbation potentielle de l'économie américaine. https://www.globalresearch.ca/the-corona-pandemic-and-trumps-trade-war-against-china-americas-dependence-on-made-in-china-potential-disruption-of-the-us-economy/5713552
5 Financial Times, 11 mai 2020. Le découplage économique entre les États-Unis et la Chine s'accélère au premier trimestre 2020. https://www.ft.com/content/115fc14f-4a8a-45da-8688-c59605a5191a
6 Joe Mcdonald, 14 janvier 2022. L'excédent commercial de la Chine a atteint un record en 2021, les exportations ayant bondi de 30 % dans un contexte de demande pandémique. https://time.com/6139334/china-record-trade-surplus-2021/
7 OMS, 20 février 2020. Allocution d'ouverture du Directeur général de l'OMS lors de la conférence de presse sur la COVID-19 le 20 février 2020. https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19-on-20-february-2020
RépondreSupprimer8 OMS, nd Déclarations d'intérêts. https://www.who.int/about/ethics/declarations-of-interest
9 Maggie Fitzgerald, 17 septembre 2019. Plus de 60 % de la richesse de Bill Gates est investie en actions. https://www.cnbc.com/2019/09/17/bill-gates-gave-away-35-billion-this-year-but-net-worth-didnt-drop.html
10 Fred Imbert, Maggie Fitzgerald et al., 28 février 2020. Récapitulatif du marché boursier du vendredi : le Dow perd 3 500 points sur la semaine, clôture à des plus bas, la Fed promet son soutien. https://www.cnbc.com/2020/02/28/stock-market-live-updates-dow-loses-3200-points-and-counting-on-week-bond-yields-collapsing.html
11 OMS, 12 mars 2020. Rapport de situation sur la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) – 52. https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200312-sitrep-52-covid-19.pdf
12 Pipa Stevens, Maggie Fitzgerald, et al., 12 mars 2020. Bourse en direct jeudi : le Dow Jones chute de 2 300 points lors de sa pire journée depuis le lundi noir, marché baissier du S&P 500. https://www.cnbc.com/2020/03/12/stock-market-today-live.html
13 WEF, nd La Grande Réinitialisation. https://www.weforum.org/great-reset/
14 OCDE, 15 juillet 2020. Coronavirus (COVID-19) : Réponses des pouvoirs publics aux PME. https://www.oecd.org/coronavirus/policy-responses/coronavirus-covid-19-sme-policy-responses-04440101/
15 Voir ceci : https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-10-22/half-of-europe-s-smaller-businesses-risk-bankruptcy-within-year
16 Voir ceci : https://www.nytimes.com/2020/06/18/business/corporate-bankruptcy-coronavirus.html
17 OCDE, 15 juillet 2020. Coronavirus (COVID-19) : Réponses des pouvoirs publics aux PME. https://www.oecd.org/coronavirus/policy-responses/coronavirus-covid-19-sme-policy-responses-04440101/
18 Michael Snyder, 10 décembre 2020. 48 % des petites entreprises américaines craignent d’être bientôt obligées de « fermer définitivement ». https://www.globalresearch.ca/48-us-small-businesses-fear-forced-shut-down-permanently-soon/5732050
19 Chuck Casto, 25 novembre 2020. Alignable : 48 % des petites entreprises risquent de fermer au quatrième trimestre, selon un nouveau sondage. https://www.alignable.com/forum/alignable-48-of-small-businesses-risk-closing-for-good-new-poll
20 OIT, 23 septembre 2020. La COVID-19 entraîne des pertes massives de revenus du travail dans le monde entier. https://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_755875/lang–en/index.htm
RépondreSupprimer21 OIT, 17 janvier 2022. L'OIT abaisse ses prévisions de reprise du marché du travail pour 2022. https://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_834117/lang–en/index.htm
22 Ned Temko, 6 mai 2020. Pas d'emploi, alors quel avenir ? La moitié de la main-d'œuvre mondiale est à la limite du possible. https://www.csmonitor.com/World/2020/0506/No-jobs-so-what-future-Half-the-world-s-workforce-on-the-edge
23 Claire Hansen, 2 décembre 2020. Quelque 12 millions de personnes vont perdre leur aide au chômage après Noël, les mesures de relance étant encore incertaines. https://www.usnews.com/news/national-news/articles/2020-12-02/some-12-million-to-lose-unemployment-aid-after-christmas-with-stimulus-still-uncertain
24 Ibid.
25 Stephen Lendman, 2 décembre 2020. Des millions d'Américains sont susceptibles d'être expulsés. https://www.globalresearch.ca/millions-americans-vulnerable-eviction/5730985
26 Statista, janvier 2022. Taux de chômage dans certains pays européens en novembre 2021. https://www.statista.com/statistics/1115276/unemployment-in-europe-by-country/
27 James Poulter, 15 septembre 2020. L'Europe est confrontée à une crise du chômage des jeunes. https://www.vice.com/en/article/v7gknm/europe-is-facing-a-youth-unemployment-crisis
28 OIT, 1er juillet 2020. OIT : La forte hausse du chômage en Amérique latine et dans les Caraïbes laisse des millions de personnes sans revenus. https://www.ilo.org/caribbean/newsroom/WCMS_749692/lang–en/index.htm
29 Semana, 19 août 2020. Colombie, le troisième pays que plus d'emplois ont perdu en Amérique Latine. https://www.semana.com/empresas/confidencias-on-line/articulo/empleos-que-mas-se-perdieron-en-america-latina-segun-el-bid/296265/
30 Forbes, 3 juin 2020. Un exemple au Mexique gagne 25 % de la population : Heath. https://www.forbes.com.mx/economia-desempleo-mexico-casi-25-poblacion-heath/
RépondreSupprimer31 FAO et PAM, juillet 2020. Analyse des alertes précoces FAO-PAM sur les foyers d'insécurité alimentaire aiguë. https://www.fao.org/3/cb0258en/CB0258EN.pdf
32 Global Research News, 4 décembre 2020. Inde : la plus grande grève de l'histoire du monde : plus de 200 millions de travailleurs et d'agriculteurs protestent contre la pauvreté et le chômage déclenchés par le confinement lié au Covid. https://www.globalresearch.ca/india-largest-strike-in-world-history-over-200-million-workers-and-farmers-paralyze-india/5731395
33 Ibid.
34 Ibid.
35 Feeding America, mars 2021. L'impact du coronavirus sur l'insécurité alimentaire en 2020 et 2021. https://www.feedingamerica.org/sites/default/files/2021-03/National%20Projections%20Brief_3.9.2021_0.pdf
36 Stephen Lendman, 3 octobre 2020. La crise du Covid a déclenché un chômage de masse en Amérique : plus d'un million de demandes d'assurance-chômage aux États-Unis pendant 28 semaines consécutives. https://www.globalresearch.ca/over-one-million-ui-claims-us-28-straight-weeks/5725527
37 Jason Miks et John McIlwaine, 20 avril 2020. Assurer l'apprentissage des enfants du monde entier pendant la pandémie de COVID-19. https://www.unicef.org/coronavirus/assurer-l-apprentissage-des-enfants-du-monde-pendant-la-pandémie-de-covid-19
38 UNESCO, nd Éducation : de la perturbation à la reprise. https://fr.unesco.org/covid19/educationresponse
39 Adam Behsudi, décembre 2020. Les économies dépendantes du tourisme sont parmi celles qui ont le plus souffert de la pandémie. https://www.imf.org/external/pubs/ft/fandd/2020/12/impact-of-the-pandemic-on-tourism-behsudi.htm
40 Margaux MacDonald, Roberto Piazza et al., 2 septembre 2020. Un guide simple pour estimer l'impact de la COVID-19 sur les activités de voyage et d'accueil. Lien PDF
41 Conseil mondial du voyage et du tourisme, 11 novembre 2020. Les États-Unis pourraient perdre 9,2 millions d'emplois en 2020 en raison du COVID-19 et des restrictions de voyage, selon le WTTC. https://wttc.org/Portals/0/Documents/Press%20Releases/US-looks-set-to-lose-9-million-jobs-in-2020-due-to-COVID-19-and-travel-restrictions.pdf
42 Abigail Ng, 8 octobre 2020. Plus de 40 compagnies aériennes ont fait faillite jusqu'à présent cette année, et d'autres devraient suivre. https://www.cnbc.com/2020/10/08/over-40-airlines-have-failed-in-2020-so-far-and-more-are-set-to-come.html
43 Global Times, 4 avril 2022. Plus de 38 000 travailleurs médicaux déployés pour aider Shanghai dans la bataille d'Omicron, le nombre le plus élevé depuis Wuhan début 2020. https://www.globaltimes.cn/page/202204/1257497.shtml
44 Roxanne Liu et Ryan Woo, 11 juillet 2022. Mise à jour 3 - Shanghai prévoit davantage de tests COVID dans le contexte de nouvelles restrictions à travers la Chine. https://ca.news.yahoo.com/1-shanghai-braces-more-mass-040242739.html
45 Ibid.
46 Jeanne Whalen, 23 septembre 2021. La pénurie de semi-conducteurs qui a entravé la production mondiale s'aggrave. https://www.washingtonpost.com/us-policy/2021/09/23/chip-shortage-forecast-automakers/
47 Sarah Treuhaft, Michelle Huang, et al., 16 septembre 2021. La dette locative en Amérique : la stabilisation des locataires est essentielle à une reprise équitable. https://nationalequityatlas.org/rent-debt-in-america
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Chapitre V
RépondreSupprimerL'enrichissement des super riches
L'appropriation et la redistribution des richesses
On attribue à « V le virus » la responsabilité de la vague de faillites et de chômage. C’est un mensonge. Il n’existe aucun lien de cause à effet entre le virus et les variables économiques.
Il faut s'attaquer au processus de décision. Ce sont les puissants financiers et les milliardaires qui sont derrière ce projet qui ont contribué à la déstabilisation (mondiale) de l'économie réelle.
Depuis début février 2020, les super riches ont encaissé des milliards de dollars. En l’espace de quatre mois, coïncidant avec le confinement du 11 mars 2020, la richesse totale détenue par les milliardaires du monde entier est passée de 8 000 milliards de dollars à plus de 10 000 milliards de dollars.
La crise du coronavirus se caractérise par trois phases distinctes, chacune marquée par des changements majeurs dans la répartition de la richesse mondiale.
La crise financière qui a débuté le 20 février a entraîné une redistribution spectaculaire des richesses et de la propriété des actifs financiers. La connaissance préalable, les informations privilégiées et les opérations spéculatives ont joué un rôle essentiel. La déclaration du Dr Tedros de l'OMS du 20 février était-elle fondée sur une connaissance préalable et/ou des informations privilégiées ? (Voir chapitre IV)
Le 11 mars, les économies nationales de 190 États membres de l’ONU ont été mises à l’arrêt et ont été bloquées, provoquant des faillites d’entreprises et de PME dans le monde entier. L’événement du 11 mars a également marqué la chute des marchés boursiers du monde entier, à partir du jeudi noir, le 12 mars 2020 (voir chapitre IV).
La troisième étape de l’enrichissement des milliardaires concerne la mise en œuvre en 2021-2022 de « confinements partiels », de mandats politiques et de mesures restrictives qui ont contribué à déclencher une nouvelle vague de faillites et de chaos économique.
La redistribution des richesses en faveur de la classe des milliardaires est confirmée par une étude de l’IPS résultant de la fermeture de l’économie mondiale en mars 2020. 1
Au niveau mondial, les milliardaires ont été les grands gagnants pendant la pandémie de COVID-19.
Selon un rapport UBS 2020 , environ 2 189 milliardaires dans le monde ont une richesse estimée à 10,2 billions de dollars .
Il s’agit d’une augmentation estimée à 1,5 billion de dollars au cours de la pandémie de 2020, selon les données des milliardaires d’UBS et de Forbes de 2019.
Le rapport d’UBS pose la question : les milliardaires sont-ils des « innovateurs » ou des « perturbateurs » ?
Une fois la tempête passée, une nouvelle génération d'innovateurs milliardaires devrait jouer un rôle essentiel dans la réparation des dégâts. En s'appuyant sur le répertoire croissant de technologies émergentes, les innovateurs de demain numériseront, rafraîchiront et révolutionneront l'économie.
Ne nous faisons pas d’illusions, ces milliardaires corrompus sont des « appauvrisseurs ».
RépondreSupprimer« Armes financières de destruction massive » (AFDM)
Bien que le rapport d’UBS et de Forbes (cité ci-dessus) ne parvienne pas à expliquer comment la pandémie de COVID-19 a contribué à cette redistribution massive des richesses, ils confirment néanmoins que « la richesse collective des milliardaires a augmenté à son rythme le plus rapide au cours de la dernière décennie ». 3
En fait, il s’agit de la plus grande redistribution de la richesse mondiale de l’histoire. Elle repose sur un processus systématique d’appauvrissement à l’échelle mondiale. C’est un acte de guerre économique.
Les milliardaires n’ont pas seulement été les bénéficiaires de généreux « plans de relance gouvernementaux » (c’est-à-dire des aides), l’essentiel de leurs gains financiers depuis le début de la campagne de peur du COVID début février 2020 était le résultat de délits d’initiés, de transactions sur produits dérivés et de manipulations des marchés financiers et des marchés des matières premières.
Warren Buffett identifie à juste titre ces instruments spéculatifs (soutenus par des algorithmes sophistiqués) comme des « armes financières de destruction massive ».
Le 18 mars 2020 (coïncidant avec le confinement aux États-Unis), les milliardaires américains disposaient d’une richesse combinée de 2 947 milliards de dollars. Le 8 octobre 2020, leur richesse avait bondi à 3 800 milliards de dollars , soit une augmentation monétaire de 850 milliards de dollars, soit une augmentation de leur richesse combinée de l’ordre de plus de 28 % (voir l’étude IPS 4 ).
Cette estimation ne tient pas compte de l’augmentation de la richesse au cours de la période précédant le 18 mars 2020, marquée par une série de krachs boursiers.
Et à partir de fin 2020, la classe des milliardaires a été impliquée dans le maintien d’une deuxième vague de confinement impliquant la fermeture partielle de l’économie mondiale.
Le tableau ci-dessous identifie l’augmentation de la richesse personnelle des cinq milliardaires américains les plus riches (du 18 mars au 17 juin 2020). (Le tableau ne mentionne pas la richesse des milliardaires américains, qui a augmenté de 266 milliards de dollars supplémentaires de juin à octobre 2020).
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Source : Institut d'études politiques
Croissance de la richesse des milliardaires (mars 2020 – mars 2021) résultant de la mise en œuvre du confinement de mars 2020, Chuck Collins (dans une étude incisive publiée par Inequality.org ) estime la croissance de la richesse des milliardaires sur une année complète, sur la base des données Forbes compilées dans ce rapport par l'ATF et l'IPS. 6,7
Le 18 mars [2020] est utilisé comme le début officieux de la crise car à ce moment-là, la plupart des restrictions économiques fédérales et étatiques en réponse au virus étaient en place. Le 18 mars était également la date choisie par Forbes pour mesurer la richesse des milliardaires pour l'édition 2020 de son rapport annuel sur les milliardaires, qui a fourni une base de référence que l'ATF et l'IPS comparent périodiquement avec les données en temps réel du site Web de Forbes. PolitiFact a évalué favorablement cette méthodologie.
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Source : données Forbes analysées par Americans for Tax Fairness et l'Institute for Policy Studies
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Source : Institut d'études politiques
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Source : données Forbes analysées par Americans for Tax Fairness et l'Institute for Policy Studies
L'enrichissement des grandes sociétés pharmaceutiques
Le rapport Forbes souligne l'enrichissement des PDG des grands conglomérats pharmaceutiques occidentaux et chinois impliqués dans le vaccin COVID ainsi que dans la vente lucrative (dans le monde entier) de masques faciaux et de fournitures médicales.
Il s'agit notamment du PDG de Moderna, Stéphane Bancel , et du co-fondateur de BioNTech, Uğur Şahin .
Les grandes sociétés pharmaceutiques chinoises sont des partenaires à part entière de ce processus d'enrichissement. Parmi les PDG de plusieurs sociétés pharmaceutiques basées en Chine figurent CanSino Biologics de Tianjin, Inco, Contec Medical Systems de Shenzhen et Sansure Biotech, qui fabrique des tests COVID-19, ainsi que le conglomérat chinois de vaccins Sinovac.
Parmi les multimilliardaires de l'industrie pharmaceutique chinoise figure Li Jianquan , président du fabricant chinois de produits médicaux Winner Medical. Plusieurs des produits liés à la pandémie de COVID-19, notamment les masques faciaux, sont fabriqués par Winner Medical.
Li Jianquan a une valeur nette de 6,8 milliards de dollars (pour plus de détails, voir le rapport Forbes ). 10
Pour la liste complète des milliardaires en 2020-2021, consultez la liste Forbes .
La géopolitique de la richesse mondiale
RépondreSupprimerEn 2022, Forbes a signalé une redistribution de la richesse des milliardaires dans le monde au détriment de la Russie et de la Chine. 34 milliardaires de moins en Russie (par rapport à 2021) et « 87 milliardaires chinois de moins sur la liste » :
« L’Amérique reste en tête du classement mondial, avec 735 milliardaires valant 4,7 billions de dollars, dont Elon Musk, qui arrive en tête du classement des milliardaires mondiaux pour la première fois. La Chine (y compris Macao et Hong Kong) reste en deuxième position, avec 607 milliardaires valant 2,3 billions de dollars. »
Pour la liste complète des milliardaires mondiaux de 2022, consultez le classement des milliardaires en temps réel de Forbes .
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L'enrichissement des milliardaires et la disparition de l'exploitation agricole familiale
Le déclin continu de l’agriculture familiale a été exacerbé par les politiques de confinement.
Bill Gates utilise l’argent alloué pendant la crise financière pour étendre son contrôle sur les entreprises dans diverses activités économiques, « en achetant des actifs dévalués à des prix défiant toute concurrence », y compris l’acquisition de terres agricoles ( voir Robert F. Kennedy, Jr. sur le néo-féodalisme ).
Selon The Land Report (février 2021), Bill et Melinda Gates sont désormais les plus grands propriétaires agricoles des États-Unis, au détriment de l'agriculture familiale, qui au fil des années a été poussée à la faillite.
Le portefeuille de Gates comprend « 242 000 acres de terres agricoles américaines et près de 27 000 acres d’autres terres en Louisiane, en Arkansas, au Nebraska, en Arizona, en Floride, à Washington et dans 18 autres États » (voir l’analyse de Robert F. Kennedy, Jr.). 13
La carte ci-dessous indique que la famille Gates a perdu 268 984 acres de terres. Cela équivaut à l'expropriation de fait de milliers de fermes familiales sur une vaste zone des États-Unis.
Ce processus, mené par l’accumulation des dettes et des faillites, a commencé avant la pandémie et se poursuivra très probablement dans le cadre de ce que l’on appelle la « nouvelle normalité ».
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Ce graphique est basé sur un rapport de 2021 de The Land Report
RépondreSupprimerLa richesse des milliardaires n’est pas le résultat de la croissance économique
Cet enrichissement d’une minorité sociale ne repose pas sur la création de « nouvelles richesses » résultant d’une croissance économique réelle. Bien au contraire. Il est le résultat d’une dépression économique mondiale orchestrée.
Le processus d’ enrichissement des milliardaires se nourrit du chaos économique et social. Il s’appuie largement sur la « campagne de peur » et sur la déstabilisation mondiale des marchés financiers et de l’économie réelle.
Elle a contribué à déclencher un processus sans précédent de redistribution des revenus et des richesses , plongeant de larges pans de la population mondiale dans l’extrême pauvreté.
L’enrichissement milliardaire implique l’acquisition d’actifs économiques et financiers à des prix défiant toute concurrence, le rachat d’entreprises en faillite dans des secteurs majeurs de l’activité économique, la manipulation des marchés (obligations, actions, matières premières, devises, etc.) y compris l’utilisation d’instruments spéculatifs, le commerce de produits dérivés, impliquant une « connaissance préalable » et des « informations privilégiées » (voir chapitre IV).
Notes de fin
1 Chuck Collins, 8 octobre 2020. La richesse des milliardaires américains a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars. https://ips-dc.org/us-billionaire-wealth-up-850-billion/
2 UBS, 2020. Surfer sur la tempête : les turbulences du marché accélèrent les fortunes divergentes. https://www.ubs.com/content/dam/static/noindex/wealth-management/ubs-billionaires-report-2020-spread.pdf
3 Ollie A. Williams, 6 octobre 2020. La fortune des milliardaires atteint 10 000 milliards de dollars pour la première fois grâce aux mesures de relance du gouvernement : UBS. https://www.forbes.com/sites/oliverwilliams1/2020/10/06/billionaire-wealth-hits-10-trillion-for-first-time-ever-thanks-to-government-stimulous/?sh=49cd0e6549ba
4 Chuck Collins, 8 octobre 2020. La richesse des milliardaires américains a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars. https://ips-dc.org/us-billionaire-wealth-up-850-billion/
5 Prof Michel Chossudovsky, 7 novembre 2020. La feuille de route de la Covid-19 : vers le chaos économique mondial et la destruction de la société. https://www.globalresearch.ca/the-covid-19-roadmap-towards-economic-chaos-and-societal-destruction/5725602
RépondreSupprimer6 Chuck Collins, 23 mars 2021. Qui sont les 10 plus grands profiteurs de la pandémie ? https://inequality.org/great-divide/10-biggest-pandemic-profiteers/
7 Americans for Tax Fairness et IPS, 18 mars 2021. Données sur les milliardaires. https://docs.google.com/spreadsheets/d/15n35QH3mq7jxxLmOnrcn2LGtMSssi-x1aCU9_2V9YVM/edit#gid=1259834744
8 Nusaiba Mizan, 12 octobre 2020. Biden affirme que les milliardaires ont gagné 800 milliards de dollars, mais une étude examine la croissance depuis que le marché a atteint son point bas. https://www.politifact.com/factchecks/2020/oct/12/joe-biden/biden-says-billionaires-gained-800-billion-study-l/
9 Giacomo Tognini, 6 avril 2021. Rencontrez les 40 nouveaux milliardaires qui se sont enrichis en combattant le Covid-19. https://www.forbes.com/sites/giacomotognini/2021/04/06/meet-the-40-new-billionaires-who-got-rich-fighting-covid-19/?sh=278895b117e5
10 Ibid.
11 Voir ceci : https://www.forbes.com/billionaires/
12 Robert F. Kennedy Jr., 4 février 2021. Bill Gates et le néo-féodalisme : un regard plus approfondi sur le projet de loi Farmer. https://www.globalresearch.ca/bill-gates-neo-feudalism-closer-look-farmer-bill/5736504
13 Ibid.
*
Chapitre VI
RépondreSupprimerLes impacts sur la santé mentale
« Si nous ne nous opposons pas dès maintenant à cette folie du confinement, nous sommes complices du meurtre de l’âme de nos enfants ! Pourtant, la majorité des parents et des éducateurs des jardins d’enfants et des écoles… acceptent en silence que des gouvernements corrompus poussent leurs enfants à la folie, voire au suicide, et étranglent ainsi notre avenir à tous. » – Rudolf Haensel, septembre 2021
« Le sourire est une expression faciale qui existe depuis l’aube de l’humanité. C’est une caractéristique inhérente à l’être humain. Couplé à la distanciation sociale obligatoire, le masque Covid cache notre visage et nous empêche d’exprimer nos sentiments lorsque nous rencontrons et interagissons avec nos semblables. Ces obligations créent une aura de désespoir social. Le sourire et le rire réduisent le stress, encouragent le dialogue, l’échange, la solidarité, la résolution des conflits. Le sourire constitue également un moyen de faire face à la campagne de peur du Covid-19 . » – Michel Chossudovsky , mai 2022
« Nous avons constaté un autre coût, notamment dans les lycées. Nous constatons malheureusement aujourd’hui un nombre de suicides bien plus élevé que de décès dus au COVID. Nous constatons un nombre de décès par overdose bien plus élevé », – Dr Robert Redfield , ancien directeur du CDC, 14 juillet 2020
Introduction
Distanciation physique, Corona, Covid-19
La situation de santé mentale de plusieurs milliards de personnes dans le monde due au coronavirus est le résultat de
l’ingénierie sociale incluant le confinement, l’isolement, la distanciation sociale et le masque,
la campagne de peur incessante menée 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements,
la montée du chômage, de la pauvreté de masse et du désespoir déclenchée par la déstabilisation mondiale des économies nationales.
Image : Licence Pixabay / Aucune attribution requise
Les psychiatres ont évoqué les « impacts négatifs » sur la santé mentale liés aux facteurs mentionnés ci-dessus. Confirmés par des rapports évalués par des pairs, les confinements ont également favorisé le déclenchement de dépressions, d’incertitudes et d’anxiété.
« On craint que la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19) ait un impact négatif sur la santé mentale de la population générale par le biais d’une série de mécanismes suggérés : la peur, l’incertitude et l’anxiété ; la distanciation sociale/l’isolement ; la solitude ; et les répercussions économiques. » 1
L’image globale des impacts de la crise du coronavirus sur la santé mentale n’est pas encore complètement établie. Notre analyse se concentrera sur les questions suivantes pour lesquelles des données sont disponibles :
RépondreSupprimerl’augmentation spectaculaire des suicides dans le monde entier dans les pays où le confinement a été imposé,
l’augmentation de la mortalité attribuable aux surdoses de drogues (cocaïne, opioïdes),
l’augmentation de l’alcoolisme résultant d’une hausse de la consommation d’alcool.
Hausse mondiale des suicides
L’OMS n’a pas rendu compte des décès par suicide depuis le début de la pandémie. De même, au moment de la rédaction du présent rapport, les statistiques sur les suicides aux États-Unis pour 2021-22 ne sont pas disponibles. Notre analyse repose en grande partie sur des rapports d’études de cas.
Suicides aux États-Unis
En 2019, les suicides étaient la dixième cause de décès aux États-Unis, 47 511 Américains se sont suicidés . 2 Le nombre estimé de tentatives de suicide en 2019 était de l'ordre de 1,38 million . 3
Les preuves sont rares.
Un rapport évalué par des pairs et parrainé par le CDC (Mark É. Czeisler, Rashon I. Lane, Emiko Petrosky, et al.) confirme que la perte d’emploi et de pouvoir d’achat au lendemain immédiat du confinement de mars 2020 a joué un rôle clé, en particulier parmi les groupes sociaux « vulnérables » et à faible revenu, dans le déclenchement d’une vague de dépression et d’anxiété, qui a abouti à ce qu’ils décrivent comme des « idées suicidaires » (penser à différentes façons de mourir). 4
Les auteurs confirment que :
Les symptômes des troubles anxieux et des troubles dépressifs ont considérablement augmenté aux États-Unis au cours de la période avril-juin 2020 par rapport à la même période en 2019 ( 1 , 2 ). ….
Le pourcentage de répondants ayant déclaré avoir sérieusement envisagé le suicide dans les 30 jours précédant la fin de l’enquête (10,7 %) était significativement plus élevé parmi les répondants âgés de 18 à 24 ans (25,5 %), les groupes ethniques/raciaux minoritaires (répondants hispaniques [18,6 %], répondants noirs non hispaniques [noirs] [15,1 %]), les aidants naturels non rémunérés autodéclarés pour adultes (30,7 %) et les travailleurs essentiels (21,7 %) .
Une autre étude confirme que « la distanciation sociale/l'isolement et la solitude » résultant des politiques de confinement sont des facteurs qui peuvent avoir contribué au suicide :
« Les conséquences secondaires de la distanciation sociale peuvent augmenter le risque de suicide », ont noté les chercheurs dans un article du 10 avril 2020 publié par l’American Medical Association. 6
RépondreSupprimer« Il est important de prendre en compte les changements dans une variété de facteurs de risque économiques, psychosociaux et liés à la santé. » (Voir FEE )
Essentiellement, les chercheurs ont averti que l’isolement forcé pourrait s’avérer être « une tempête parfaite » pour le suicide . (soulignement ajouté) 7
La question centrale — qui n’est pas abordée par les rapports évalués par les pairs — est de savoir comment la perte d’emploi et de pouvoir d’achat provoquée par le confinement, associée au confinement, conduit à la dépression et au désespoir .
L'anxiété et la dépression résultant du chômage et de la perte de revenus sont un phénomène mondial, sans précédent dans l'histoire du monde. On observe des tendances similaires dans chaque pays. Les pays en développement à faible revenu comme l'Inde connaissent une situation de désespoir total qui touche de larges pans de la population.
Suicides en Inde
Le confinement en Inde a entraîné une hausse des suicides, conséquence de « graves difficultés… alors que des moyens de subsistance entiers ont été détruits, dans un contexte de crise de l’emploi qui s’aggrave ». 9
« Il n’est donc pas surprenant que le spectre du suicide ait fait son apparition, avec une augmentation du nombre de cas de personnes qui, sans prévoir de changement de fortune à l’horizon, se donnent la mort. »
Le Brookings Institute a également abordé le rôle de la crise du coronavirus dans le déclenchement des suicides en Inde :
Des données anecdotiques concernant l’Inde suggèrent une augmentation des suicides en milieu rural. L’Inde a instauré l’un des confinements les plus stricts au monde dans un contexte de taux de pauvreté élevés. … Les confinements ont entraîné l’entrée de millions d’Indiens supplémentaires dans la pauvreté et ont exacerbé l’un des taux de suicide les plus élevés au monde . On estime que le nombre de suicides supplémentaires se chiffre à plusieurs milliers.
Suicides au Japon
RépondreSupprimerAlors que le nombre total de suicides avait diminué de manière constante au cours des dernières années, 2020 a marqué la première fois au cours de la dernière décennie que le nombre de suicides augmentait à nouveau . ( Statista ) 11
- voir graph sur site -
Notez la hausse des taux de suicide immédiatement après le confinement (Source : Ministère de la Santé, de la Protection sociale et du Travail/Graphique : Jason Kwok et Natalie Croker, CNN)
Cette tendance soudaine à la hausse a été déclenchée par les mesures de confinement liées au COVID-19. En 2020, environ 21 000 personnes se sont suicidées au Japon , 12
« Le nombre de suicides au Japon est bien plus élevé, sans doute exacerbé par les répercussions économiques et sociales de la pandémie, que par la maladie COVID-19 elle-même. […] Les statistiques provisoires de l’Agence nationale de police montrent que les suicides ont bondi à 2 153 rien qu’en octobre [2020], marquant le quatrième mois consécutif d’augmentation. » Rapport CBS de novembre 2020 (soulignement ajouté) 13
Le rapport ci-dessus confirme que les suicides parmi les femmes au Japon ont augmenté de façon spectaculaire à la suite du confinement de mars 2020. En octobre 2020 (par rapport à octobre de l'année précédente), les suicides féminins ont augmenté de 83 % (par rapport aux suicides masculins qui ont augmenté de 22 % sur la même période).
Suicides parmi les écoliers japonais
Un rapport de 2021 du ministère japonais de l'Éducation confirme que le suicide parmi les écoliers japonais a atteint un niveau record au cours de l'année scolaire 2020.
« Le Japon a enregistré 415 suicides parmi les écoliers âgés de 6 à 18 ans au cours de l’année scolaire 2020, soit le nombre le plus élevé depuis le début des relevés en 1974… Ce chiffre est 31 % supérieur à celui de l’année scolaire précédente, au cours de laquelle 317 écoliers étaient décédés. » 15
Le rapport du ministère de l’Éducation suggère que « la pandémie a provoqué des changements dans l’environnement scolaire et familial et a eu un impact sur le comportement des enfants »
Décès dus à une surdose de drogue
Les principales catégories de médicaments opioïdes (CDC) sont les suivantes :
héroïne illégale
RépondreSupprimeropioïdes synthétiques tels que le fentanyl
les soi-disant « analgésiques », notamment l’oxycodone (OxyContin®), l’hydrocodone (Vicodin®)
codéine
morphine
etc.
Les médicaments énumérés ci-dessus sont « chimiquement liés et interagissent avec les récepteurs opioïdes des cellules nerveuses du corps et du cerveau » (CDC).
Enregistrée en 2020, la crise du coronavirus a contribué à une augmentation significative des ventes d'opioïdes et de cocaïne aux États-Unis.
D'après le CDC:
Les opioïdes synthétiques (classés par le CDC comme étant principalement du fentanyl fabriqué illicitement) semblent être le principal facteur de l’augmentation des décès par overdose, avec une augmentation de 38,4 % sur la période de 12 mois précédant juin 2019 par rapport à la période de 12 mois précédant mai 2020. …
Les décès par overdose impliquant de la cocaïne ont également augmenté de 26,5 % . … Les décès par overdose impliquant des psychostimulants, comme la méthamphétamine [produite par GSM], ont augmenté de 34,8 %. Le nombre de décès impliquant des psychostimulants dépasse désormais le nombre de décès liés à la cocaïne. 16 ( Rapport du CDC de décembre 2020) (soulignement ajouté)
Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont signalé en décembre 2020 que la pandémie pourrait avoir contribué à « une augmentation des surdoses mortelles de drogue ». Bien que les données soient incomplètes, le rapport des CDC confirme une augmentation considérable du nombre de décès attribuables à une surdose de drogue (liée à la consommation de cocaïne et d’opioïdes) :
Selon les Centers for Disease Control and Prevention , les overdoses de drogue ont été à l'origine de plus de 81 000 décès entre juin 2019 et mai 2020 , soit une augmentation de 18 % par rapport à la période de 12 mois précédente . Ces décès ont augmenté de 20 % ou plus dans 25 États et dans le District de Columbia, selon le rapport. 17 ( Rapport PBS )
Le graphique du CDC basé sur les valeurs prédites et rapportées (c'est-à-dire les nombres) de décès attribués aux surdoses de drogue révèle que le nombre mensuel a commencé à s'accélérer en février 2020. 18
- voir graph sur site -
En avril 2020, 2 146 personnes sont mortes d'une overdose d'opioïdes, suivies de 3 388 décès en mai 2020, marquant les plus fortes augmentations mensuelles depuis 2015, lorsque le gouvernement fédéral a commencé à collecter ces données. 17 ( Cité dans le rapport de PBS )
Le graphique suivant présente les données mensuelles aux États-Unis. Au cours des mois précédant la crise du coronavirus (de juillet 2019 à janvier 2020), le nombre mensuel de décès par overdose de drogue était nettement inférieur à 1 000.
La hausse des prix a commencé en février (coïncidant avec la crise financière). Après le confinement de la mi-mars, les décès par overdose ont explosé.
RépondreSupprimerEn mai 2020, le nombre de décès par overdose a dépassé les 3 000, soit plus de trois fois plus que le nombre de décès par overdose enregistrés avant la crise du coronavirus. Aux États-Unis, le nombre mensuel de décès par overdose de drogue enregistrés en 2020 a plus que triplé .
- voir graph sur site -
Graphique basé sur les données du CDC citées ci-dessus. Source : PBS
Des données plus récentes du CDC confirment que l’augmentation des décès attribuables aux surdoses de drogue continue d’augmenter :
De 71 130 décès en 2019 (fin décembre 2019) à 92 478 en 2020 (fin décembre 2020), soit une augmentation de 21 348 décès au cours de l'année 2020 par rapport à 2019. 19
Cette tendance à la hausse s’est poursuivie au cours de l’année 2021.
Au cours de la période de douze mois se terminant en juin 2021, le nombre de décès par surdose de drogue enregistrés a atteint près de 100 000 décès (fin juin 2021 : 98 022).
Décès liés aux opioïdes au Canada
La tendance observée au Canada est conforme à celle observée aux États-Unis. Une augmentation spectaculaire des décès liés aux opioïdes a été enregistrée en Ontario après le confinement d’urgence du 17 mars 2020, qui s’est accompagné d’une baisse du chômage suite à la fermeture de l’activité économique :
Le nombre de décès liés aux opioïdes a augmenté rapidement dans les semaines qui ont suivi la déclaration de l’état d’urgence en Ontario le 17 mars 2020. Dans l’ensemble, il y a eu une augmentation de 38,2 % des décès liés aux opioïdes au cours des 15 premières semaines de la pandémie de COVID-19 (695 décès; moyenne de 46 décès par semaine) par rapport aux 15 semaines immédiatement précédentes (503 décès; moyenne de 34 décès par semaine).
Il convient de noter qu’au cours de la pandémie, le fentanyl (opioïde pharmaceutique) a été responsable de 87 % des décès liés aux opioïdes (87,2 % [N = 538 sur 617]) par rapport à la cohorte pré-pandémique (79,2 % [N = 399 sur 504]).
- voir graph sur site -
Source : Santé publique Ontario
Le graphique suivant donne une image claire de l’augmentation spectaculaire des visites aux urgences pour surdose d’opioïdes à Ottawa de janvier 2020 à décembre 2020.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Source : Santé publique Ontario
La production et le commerce des opioïdes
Selon des sources de l'ONU, l'Afghanistan produit actuellement 94 % de l'opium mondial , qui est transformé en héroïne, en morphine et en opioïdes pharmaceutiques. Le commerce de l'héroïne est protégé . 23 La présence militaire américaine en Afghanistan joue un rôle clé. Il s'agit d'une opération de plusieurs milliards de dollars impliquant à la fois les cartels de la drogue (héroïne illégale) et (indirectement) Big Pharma, qui est impliquée dans la vente et la distribution d'opioïdes pharmaceutiques . 24
Plusieurs grandes sociétés pharmaceutiques impliquées dans la commercialisation du vaccin COVID-19, dont Pfizer et Johnson & Johnson, sont également impliquées dans la vente très rentable (et légale) d'opioïdes pharmaceutiques, qui, au cours de la crise du coronavirus (2020-2021), sont devenus l'une des principales sources de surdoses de médicaments.
Les grandes entreprises pharmaceutiques corrompues
Partout aux États-Unis, des collectivités locales ont pris position contre les géants pharmaceutiques en ce qui concerne les opioïdes. En 2019-20, un accord de plusieurs milliards de dollars sur les opioïdes a été conclu avec Purdue Pharma au nom de milliers de villes et de comtés américains.
« En octobre [2020], Purdue, le fabricant de l’Oxycontin, a admis avoir permis la fourniture de médicaments « sans but médical légitime », en versant des pots-de-vin illégaux à des médecins et à d’autres personnes pour prescrire ces médicaments, entre autres accusations. Il a accepté de payer 8,3 milliards de dollars. » ( BBC, 4 février 2021) 25
Au plus fort de la crise du coronavirus (novembre 2020) :
RépondreSupprimer« Quatre grands distributeurs pharmaceutiques (Johnson & Johnson, McKesson, Cardinal Health, Amerisource Bergen) impliqués dans la production (J&J) et la distribution d’ opioïdes sur ordonnance « ont conclu un accord provisoire de plusieurs milliards de dollars avec les comtés et les villes qui les ont poursuivis en dommages et intérêts ». 26
L’accord a été qualifié d’« épidémie d’opioïdes ». Quel est son rapport avec la crise du coronavirus ? Ironie du sort : Johnson & Johnson, qui fait l’objet d’un recours collectif contre les opioïdes sur ordonnance, est également un important distributeur du vaccin contre la COVID-19.
Ces mêmes distributeurs de Big Pharma ont bénéficié de la hausse des ventes d’opioïdes résultant du confinement, ce qui a contribué à une augmentation significative des décès par surdose de drogue au cours de la période 2020-2021 (voir graphiques ci-dessus).
Ironie du sort, la hausse des overdoses de médicaments a entraîné une augmentation des profits des grandes sociétés pharmaceutiques.
Alors que les grandes sociétés pharmaceutiques font l’objet d’un procès civil de plusieurs milliards de dollars pour distribution frauduleuse d’opioïdes sur ordonnance, plusieurs de ces sociétés corrompues sont désormais impliquées dans la promotion de l’initiative vaccinale contre la COVID-19. Selon Bloomberg, « plus de 400 000 Américains sont morts au cours des deux dernières décennies d’une overdose [de médicaments] ». 27
Et depuis le début de la crise du coronavirus en février 2020, les décès mensuels dus à une surdose de drogue ont plus que triplé (voir graphique ci-dessus).
Alcoolisme
RépondreSupprimerLa toxicomanie et l’alcoolisme sont souvent liés.
« La consommation de drogue et d’alcool a augmenté avec le Covid , tout comme le nombre de suicides . Les lignes d’assistance téléphonique sont saturées et certaines statistiques – les ventes d’alcool en ligne ont augmenté de plus de 200 % aux États-Unis – dressent un tableau sombre. »
« La toxicomanie monte en flèche », affirme Cindi Brand , thérapeute en toxicomanie , qui a déjà travaillé au CAMH.
La pandémie a augmenté toutes les formes d’anxiété et de stress, même… La distanciation sociale signifie que les personnes souffrant de problèmes de dépendance « ne peuvent pas obtenir l’aide dont elles ont besoin en ce moment », dit-elle. (soulignement ajouté) 28
Augmentation des ventes d'alcool
La tendance à la hausse de l’alcoolisme pendant la crise du coronavirus aux États-Unis est confirmée par une augmentation significative des ventes d’alcool . Selon une étude de Nielsen , les ordres de confinement de mars 2020 ont entraîné « une augmentation de 54 % des ventes nationales d’alcool pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à l’année précédente ; les ventes en ligne ont augmenté de 262 % par rapport à 2019 ». 29
Une étude d'échantillon de la RAND Corporation menée avec le soutien du National Institute of Alcohol Abuse and Alcoholism (NIAAA) a consisté à comparer les habitudes de consommation d'alcool des adultes en 2019 avec celles prévalant pendant la crise du coronavirus (2020) :
« Les adultes américains ont fortement augmenté leur consommation d’alcool pendant le confinement déclenché par la pandémie de coronavirus, les femmes augmentant leurs épisodes de forte consommation d’alcool (quatre boissons ou plus en quelques heures) de 41 %.
…
Une enquête nationale a révélé que la fréquence globale de la consommation d’alcool a augmenté de 14 % chez les adultes de plus de 30 ans, par rapport à la même période l’année dernière. L’augmentation a été de 19 % chez tous les adultes âgés de 30 à 59 ans, de 17 % chez les femmes et de 10 % chez les adultes blancs non hispaniques. » ( Rand Corporation ) 30
Bien que l’étude de la Rand Corporation sur les habitudes de consommation d’alcool révèle une augmentation de la consommation d’alcool, les résultats doivent être interprétés avec prudence. L’augmentation enregistrée des ventes réelles d’alcool (54 %) est nettement supérieure à l’augmentation estimée de la consommation, basée sur l’enquête par sondage de la Rand. Parallèlement, cependant, pendant le confinement, la consommation d’alcool a principalement eu lieu à domicile, plutôt que dans les bars et restaurants (fermés).
RépondreSupprimerSelon Michael Pollard , auteur principal de l’étude de la RAND, « la dépression et l’anxiété augmentent, et la consommation d’alcool est souvent un moyen de faire face à ces sentiments ». 32
*
Notes de fin
1 Stefania Chiappini, Amira Guirguis et al., 29 juillet 2020. COVID-19 : l'impact caché sur la santé mentale et la toxicomanie. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7403495/
2 Fondation américaine pour la prévention du suicide, nd Statistiques sur le suicide. https://afsp.org/suicide-statistics/
3 Institut national de la santé mentale, nd Suicide. https://www.nimh.nih.gov/health/statistics/suicide#part_154969
4 Mark É. Czeisler, Rashon I. Lane et al., 14 août 2020. Santé mentale, toxicomanie et idées suicidaires pendant la pandémie de COVID-19 — États-Unis, 24-30 juin 2020. https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/69/wr/mm6932a1.htm
5 Ibid.
6 Mark A. Reger, Ian H. Stanley, et al., 10 avril 2020. Mortalité par suicide et maladie à coronavirus 2019 : une tempête parfaite ? https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/fullarticle/2764584?guestAccessKey=c40eefb2-c634-47ed-b3c3-f00b005e3cf2&utm_
7 Jon Miltimore, 24 novembre 2020. Selon un rapport, le suicide a fait plus de morts en octobre qu'en 10 mois de COVID-19 au Japon. https://fee.org/articles/suicide-claimed-more-lives-in-october-than-10-months-of-covid-19-in-japan-report-shows/
8 Mark A. Reger, Ian H. Stanley, et al., 10 avril 2020. Mortalité par suicide et maladie à coronavirus 2019 : une tempête parfaite ? https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/fullarticle/2764584?guestAccessKey=c40eefb2-c634-47ed-b3c3-f00b005e3cf2&utm_
9 Times Now Digital, 14 septembre 2020. Au milieu de l'épidémie de COVID-19, l'épidémie de suicide en Inde reste sans réponse - ces graphiques montrent comment. https://www.timesnownews.com/india/article/amid-covid-19-outbreak-indias-suicide-epidemic-remains-unaddressed-these-graphs-show-how/652188
10 Carol Graham, 17 novembre 2020. Les coûts humains de la pandémie : est-il temps de donner la priorité au bien-être ? https://www.brookings.edu/research/the-human-costs-of-the-pandemic-is-it-time-to-prioritize-well-being/
RépondreSupprimer11 Statista, mars 2021. Nombre total de suicides commis au Japon de 2011 à 2020. https://www.statista.com/statistics/622065/japan-suicide-number/
12 L. Kettenhofen, 30 novembre 2021. Suicide au Japon – statistiques et faits. https://www.statista.com/topics/5259/suicide-in-japan/
13 Lucy Craft, 13 novembre 2020. Le suicide a fait plus de morts au Japon en octobre que pendant 10 mois de COVID. https://www.cbsnews.com/news/japan-suicide-coronavirus-more-japanese-suicides-in-october-than-total-covid-deaths/
14 Ibid.
15 Emiko Jozuka, 14 octobre 2021. Le nombre de suicides d'enfants au Japon atteint un niveau record. https://edition.cnn.com/2021/10/14/asia/suicide-children-japan-intl-hnk/index.html
16 CDC, 17 décembre 2020. Accélération des décès par overdose pendant la COVID-19. https://www.cdc.gov/media/releases/2020/p1218-overdose-deaths-covid-19.html
17 Laura Santhanam, 28 décembre 2020. Qu'est-ce qui se cache derrière la hausse historique des décès par overdose de drogue dans le cadre de la COVID-19 ? https://www.pbs.org/newshour/health/whats-behind-the-historic-spike-in-drug-overdose-deaths-under-covid-19
18 CDC, 12 janvier 2022. Décomptes provisoires des décès par surdose de drogue. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/drug-overdose-data.htm#data-tables
19 Ibid.
20 Deidre McPhillips, 17 novembre 2021. Pour la première fois, les décès par overdose de drogue dépassent les 100 000 par an, en raison du fentanyl, selon les données du CDC. https://edition.cnn.com/2021/11/17/health/drug-overdose-deaths-record-high/index.html
21 Ontario Drug Policy Research Network, Bureau du coroner en chef de l'Ontario/Service de médecine légale de l'Ontario, et al., novembre 2020. Preliminary Patterns in Circumstances Surrounding Opioid-Related Deaths in Ontario during the COVID-19 Pandemic. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/o/2020/opioid-mortality-covid-surveillance-report.pdf?la=fr
22 Ibid.
23 Prof Michel Chossudovsky, 14 juin 2005. Le butin de guerre : le commerce multimilliardaire de l'héroïne en Afghanistan. https://www.globalresearch.ca/the-spoils-of-war-afghanistan-s-multibillion-dollar-heroin-trade/91
24 MarketWatch, 13 janvier 2022. Taille du marché des médicaments opioïdes, part de marché 2022 Analyse mondiale couvrant l'impact du COVID-19 | Informations détaillées sur les tendances à venir, le taux de croissance et les prévisions futures jusqu'en 2025. https://www.marketwatch.com/press-release/opioids-drugs-market-size-share-2022-global-analysis-covers-covid-19-impact-detailed-insights-on-upcoming-trends-growth-rate-and-future-forecast-to-2025-2022-01-13
RépondreSupprimer25 BBC, 4 février 2021. McKinsey conclut un accord de règlement de 573 millions de dollars sur les opioïdes aux États-Unis. https://www.bbc.com/news/business-55939224
26 KHN Morning Briefing, 6 novembre 2020. 4 sociétés pharmaceutiques acceptent un règlement de 26 milliards de dollars sur les opioïdes. https://khn.org/morning-breakout/4-drug-companies-agree-to-26-billion-opioid-settlement/
27 Jef Feeley, 4 février 2021. McKinsey versera 573 millions de dollars pour régler les réclamations liées aux opioïdes aux États-Unis. https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-02-04/mckinsey-said-to-agree-to-550-million-opioid-claim-settlement-kkq6xumb
28 Liz Braun, 1er octobre 2020. La consommation de drogue et d'alcool augmente pendant la COVID. https://torontosun.com/news/local-news/drug-and-alcohol-use-rising-during-covid
29 NielsenIQ, 7 mai 2020. Rééquilibrer « l'effet COVID-19 » sur les ventes d'alcool. https://nielseniq.com/global/en/insights/analysis/2020/rebalancing-the-covid-19-effect-on-alcohol-sales/
30 RAND, 29 septembre 2020. La consommation d'alcool augmente fortement pendant la pandémie ; la consommation excessive d'alcool chez les femmes augmente de 41 %. https://www.rand.org/news/press/2020/09/29.html
31 Sasha Pezenik, 30 septembre 2020. La consommation d'alcool augmente fortement pendant la pandémie, en particulier chez les femmes. https://abcnews.go.com/US/alcohol-consumption-rising-sharply-pandemic-women/story?id=73302479
32 Ibid.
*
Chapitre VII
RépondreSupprimerLa science corrompue : « Il n’existe pas de remède »
Suppression de l'hydroxychloroquine (HCQ),
Un médicament bon marché et efficace
La lutte contre l’hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace pour le traitement de la COVID-19, fait rage . La campagne contre l’HCQ s’est faite au moyen de déclarations politiques calomnieuses, de diffamations médiatiques, sans parler d’une « évaluation » officielle, revue par des pairs et publiée le 22 mai par The Lancet, qui s’appuyait sur de faux chiffres et de faux essais.
L'étude aurait été basée sur l'analyse des données de 96 032 patients hospitalisés pour COVID-19 entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020 dans 671 hôpitaux du monde entier. La base de données avait été fabriquée. L'objectif était de tuer le traitement à l'hydroxychloroquine ( HCQ) pour le compte de Big Pharma.
Alors que l’article de The Lancet a été rétracté, les médias ont accusé avec désinvolture « une petite entreprise américaine » nommée Surgisphere, dont l’un des employés était « un auteur de science-fiction et un mannequin de contenu pour adultes », d’avoir diffusé des « données erronées » (The Guardian) . Cette société basée à Chicago a été accusée d’avoir induit en erreur l’OMS et les gouvernements nationaux, les incitant à interdire l’HCQ. Aucun de ces tests n’a réellement eu lieu.
- voir graph sur site -
Capture d'écran de The Lancet
Bien que la faute ait été imputée à Surgisphere, la vérité tacite (que ni la communauté scientifique ni les médias n'ont reconnue) est que l'étude a été coordonnée par le professeur de Harvard Mandeep Mehra sous les auspices du Brigham and Women's Hospital (BWH), qui est un partenaire de la Harvard Medical School.
Lorsque l'escroquerie a été révélée, le Dr Mandeep Mehra , titulaire de la chaire de médecine distinguée Harvey au Brigham and Women's Hospital, s'est excusé :
« J’ai toujours mené mes recherches dans le respect des normes éthiques et professionnelles les plus strictes. Cependant, nous ne pouvons jamais oublier la responsabilité qui nous incombe en tant que chercheurs de veiller scrupuleusement à nous appuyer sur des sources de données qui respectent nos normes élevées.
« Il est désormais clair pour moi que dans mon espoir de contribuer à cette recherche à un moment où les besoins étaient grands, je n’ai pas fait assez pour m’assurer que la source de données était appropriée à cet usage. Pour cela, et pour toutes les perturbations – directes et indirectes – je suis sincèrement désolé. »
Mandeep R. Mehra, MD, MSC ( déclaration officielle sur le site Web de BWH) 1
RépondreSupprimerMais ce message « sincèrement désolé » n’était que la pointe de l’iceberg. Pourquoi ?
Les études respectivement sur le remdesivir de Gilead Sciences et sur l'hydroxychloroquine (HCQ) ont été menées simultanément par le Brigham and Women's Hospital (BWH).
Alors que le rapport de The Lancet (22 mai 2020) coordonné par le Dr Mandeep Mehra avait pour but de « tuer » la légitimité de l’HCQ comme remède contre la COVID-19, une autre étude importante (connexe) était menée (simultanément) au BWH concernant le remdesivir pour le compte de Gilead Sciences, Inc.
Le Dr Francisco Marty , spécialiste des maladies infectieuses et professeur associé à la Harvard Medical School, s'est vu confier la coordination des essais cliniques du médicament antiviral remdesivir dans le cadre du contrat de Brigham avec Gilead Sciences, Inc. 2 :
« Le Brigham and Women's Hospital a commencé à recruter des patients pour deux essais cliniques sur le médicament antiviral de Gilead, le remdesivir. Le Brigham est l'un des nombreux sites d'essais cliniques pour une étude initiée par Gilead sur le médicament chez 600 participants atteints d'une maladie à coronavirus modérée (COVID-19) et une étude initiée par Gilead sur 400 participants atteints d'une forme grave de COVID-19.
… Si les résultats sont prometteurs, cela pourrait conduire à une approbation par la FDA, et s’ils ne le sont pas, cela nous donne des informations cruciales dans la lutte contre le COVID-19 et nous permet de passer à d’autres thérapies. »
Bien que le Dr Mandeep Mehra n'ait pas été directement impliqué dans l'étude Gilead Remdesivir BWH sous la supervision de son collègue Dr Francisco Marty, il a néanmoins eu des contacts avec Gilead Sciences, Inc :
« Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat sur le Covid-19 » ( France Soir , 23 mai 2020) 3
Quel était le but de son étude (ratée) ? De saper la légitimité de l’hydroxychloroquine ?
Selon France Soir, dans un rapport publié après la rétractation de The Lancet :
Les réponses souvent évasives du Dr Mandeep R. Mehra , … professeur à la Harvard Medical School, n’ont pas suscité la confiance, alimentant plutôt le doute sur l’intégrité de cette étude rétrospective et de ses résultats . ( France Soir , 5 juin 2020) 4
RépondreSupprimerLe Dr Mandeep Mehra était-il en conflit d'intérêts ? (C'est à BWH et à la Harvard Medical School de décider)
Qui étaient les principaux acteurs ?
Le Dr Anthony Fauci , présenté comme « le plus grand expert américain en maladies infectieuses », a joué un rôle clé dans le dénigrement du remède à base d'HCQ, approuvé des années plus tôt par le CDC, ainsi que dans la légitimation du remdesivir de Gilead.
Le Dr Fauci est à la tête de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis l'administration Reagan. Il est connu pour être le porte-parole de Big Pharma.
Le Dr Fauci a lancé le remdesivir fin juin (voir détails ci-dessous). Selon lui, le remdesivir est le « médicament miracle contre le coronavirus » développé par Gilead Sciences, Inc. Il s'agit d'une aubaine de 1,6 milliard de dollars.
- voir graph sur site -
Gilead Sciences, Inc. : Histoire
Gilead Sciences, Inc est une société biopharmaceutique de plusieurs milliards de dollars qui est aujourd'hui impliquée dans le développement et la commercialisation du remdesivir. Gilead a une longue histoire. Elle bénéficie du soutien de grands conglomérats d'investissement, notamment Vanguard Group et Capital Research & Management Co, entre autres. Elle a développé des liens avec le gouvernement américain.
En 1999, Gilead Sciences, Inc. a développé le Tamiflu (utilisé comme traitement contre la grippe saisonnière et la grippe aviaire). À l'époque, Gilead Sciences, Inc. était dirigée par Donald Rumsfeld (1997-2001), qui a ensuite rejoint l'administration de George W. Bush en tant que secrétaire à la Défense (2001-2006). Rumsfeld était responsable de la coordination des guerres illégales et criminelles en Afghanistan (2001) et en Irak (2003).
Rumsfeld a maintenu ses liens avec Gilead Sciences, Inc tout au long de son mandat de secrétaire à la Défense (2001-2006). Selon CNN Money (2005) : « La perspective d’une épidémie de grippe aviaire… était une très bonne nouvelle pour le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld [qui possédait toujours des actions Gilead] et d’autres investisseurs politiquement connectés à Gilead Sciences. » 5
RépondreSupprimerAnthony Fauci est à la tête du NIAID depuis 1984, utilisant sa position comme « intermédiaire » entre le gouvernement américain et les grandes sociétés pharmaceutiques. Pendant le mandat de Rumsfeld en tant que secrétaire à la Défense, le budget alloué au bioterrorisme a considérablement augmenté, impliquant des contrats avec les grandes sociétés pharmaceutiques, dont Gilead Sciences, Inc. Anthony Fauci considérait que l’argent alloué au bioterrorisme au début de l’année 2002 :
« accélérer notre compréhension de la biologie et de la pathogénèse des microbes qui peuvent être utilisés dans les attaques, ainsi que de la biologie des hôtes des microbes, c'est-à-dire les êtres humains et leur système immunitaire. L'un des résultats devrait être des vaccins plus efficaces et moins toxiques. » ( Washington Post , 7 février 2022) 6
En 2008, le Dr Anthony Fauci a reçu la Médaille présidentielle de la liberté des mains du président George W. Bush « pour ses efforts déterminés et agressifs visant à aider les autres à vivre plus longtemps et en meilleure santé ». 7
Projet Remdesivir 2020 de Gilead Sciences, Inc.
Nous nous concentrerons sur les documents (et événements) clés.
Chronologie (février-juin 2020)
21 février 2020 : Communiqué initial relatif à l'essai NIH-NIAID sur le placebo du remdesivir
10 avril : L'étude de Gilead Sciences, Inc publiée dans le NEJM sur « l'utilisation compassionnelle du Remdesivir »
29 avril : Le NIH a publié une étude sur le remdesivir (rapport publié le 22 mai dans le NEJM)
RépondreSupprimer22 mai : L'étude BWH-Harvard sur l'hydroxychloroquine coordonnée par le Dr Mandeep Mehra publiée dans The Lancet
22 mai : Remdesivir pour le traitement de la COVID-19 — Rapport préliminaire , National Institute of Allergy and Infectious Diseases, National Institutes of Health, New England Journal of Medicine (NEJM)
5 juin : Le (faux) rapport du Lancet (22 mai) sur l'HCQ est rétracté
29 juin : annonce de Fauci. Accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences, Inc. pour le remdesivir
10 avril 2020 : L'étude de Gilead Sciences, Inc publiée dans le NEJM sur « l'utilisation compassionnelle du Remdesivir »
Un rapport sponsorisé par Gilead a été publié dans le New England Journal of Medicine dans un article intitulé « Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe COVID-19 » (Utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de COVID-19 grave) . Il a été co-écrit par une liste impressionnante de 56 médecins et scientifiques éminents, dont beaucoup ont bénéficié d’honoraires de consultation de Gilead Sciences, Inc.
Gilead Sciences, Inc. a financé l’étude qui incluait plusieurs membres du personnel comme co-auteurs.
« Les tests ont porté sur un total de 61 patients [qui] ont reçu au moins une dose de remdesivir au plus tard le 7 mars 2020 ; 8 de ces patients ont été exclus en raison d’informations manquantes après la référence (7 patients) et d’une date de début de traitement par remdesivir erronée (1 patient)… Sur les 53 patients restants inclus dans cette analyse, 40 (75 %) ont reçu la cure complète de 10 jours de remdesivir, 10 (19 %) ont reçu 5 à 9 jours de traitement et 3 (6 %) moins de 5 jours de traitement. » ( NEJM , 10 avril 2020) 8
L'article du NEJM indique que « Gilead Sciences, Inc. a commencé à accepter les demandes des cliniciens pour une utilisation compassionnelle du remdesivir le 25 janvier 2020. »
De qui, d'où ? Selon l'OMS (30 janvier 2020), il y a eu 86 cas dans 18 pays hors Chine dont 5 aux États-Unis, 5 en France et 3 au Canada.
RépondreSupprimerPlusieurs médecins et scientifiques de renom ont émis des doutes sur l’étude sur l’usage compassionnel du remdesivir menée par Gilead, en insistant sur la petite taille de l’essai. Ironiquement, le nombre de patients participant à l’essai est inférieur au nombre de co-auteurs : « 53 patients » contre « 56 co-auteurs ».
Ci-dessous, nous fournissons des extraits de déclarations scientifiques sur le projet Gilead NEJM ( Science Media Centre) publiées immédiatement après la publication de l'article NEJM 9 :
« L'usage compassionnel est plus justement décrit comme l'utilisation d'une thérapie non autorisée pour traiter un patient parce qu'il n'existe aucun autre traitement disponible . Les recherches basées sur ce type d'utilisation doivent être traitées avec une extrême prudence car il n'y a pas de groupe témoin ni de randomisation, qui sont quelques-unes des caractéristiques des bonnes pratiques dans les essais cliniques. » ( Professeur Duncan Richard , Thérapeutique clinique, Université d'Oxford)
« Il est essentiel de ne pas surinterpréter cette étude. Plus important encore, il est impossible de connaître les résultats pour ce groupe relativement restreint de patients s’ils n’avaient pas reçu de remdesivir. » ( Dr Stephen Griffin , professeur associé, École de médecine, Université de Leeds)
« La recherche est intéressante mais ne prouve rien à ce stade : les données proviennent d'une petite étude non contrôlée. » ( Simon Maxwell, professeur de pharmacologie clinique et de prescription, Université d'Édimbourg)
« Les données de cette étude sont quasiment impossibles à interpréter. Il est très surprenant, voire même contraire à l’éthique, que le New England Journal of Medicine les ait publiées. Il aurait été plus approprié de publier les données sur le site Internet de la société pharmaceutique qui a parrainé et rédigé l’étude. Gilead a au moins clairement fait savoir que cela n’a pas été fait de la manière dont un article scientifique de haute qualité serait rédigé. » ( Professeur Stephen Evans, professeur de pharmacoépidémiologie, London School of Hygiene & Tropical Medicine)
« Il est très difficile de tirer des conclusions utiles d’études non contrôlées comme celle-ci, en particulier dans le cas d’une nouvelle maladie pour laquelle nous ne savons pas vraiment à quoi nous attendre et dont les résultats varient considérablement d’un endroit à l’autre et au fil du temps. Il faut vraiment s’interroger sur l’éthique de ne pas procéder à une randomisation – cette étude représente avant tout une occasion manquée. » ( Prof. Adam Finn, professeur de pédiatrie, Université de Bristol)
RépondreSupprimerPour consulter le document complet du Centre Science Média relatif aux expertises, cliquez ici .
29 avril 2020 : L'étude des National Institutes of Health (NIH) sur le Remdesivir
Le 29 avril, suite à la publication de l'étude de Gilead Sciences, Inc dans le NEJM le 10 avril, un communiqué de presse des National Institutes of Health (NIH) sur le remdesivir a été publié. Le document complet a été publié le 22 mai par le NEJM sous le titre : Remdesivir pour le traitement de la COVID-19 — Rapport préliminaire (NEJM).
L’étude a été lancée le 21 février 2020. Le titre du communiqué de presse du 29 avril était : « Des données évaluées par des pairs montrent que le remdesivir pour le COVID-19 améliore le temps de guérison. »
Il s'agit d'un rapport financé par le gouvernement qui comprend des données préliminaires issues d'un essai randomisé portant sur 1 063 patients hospitalisés. Les résultats de l'essai intitulé Adaptive COVID-19 Treatment Trial (ACTT) sont préliminaires, menés sous la direction du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du Dr Fauci :
Un comité indépendant de surveillance des données et de la sécurité (DSMB) supervisant l'essai s'est réuni le 27 avril pour examiner les données et a partagé son analyse intermédiaire avec l'équipe de l'étude. Sur la base de leur examen des données, ils ont noté que le remdesivir était meilleur que le placebo du point de vue du critère d'évaluation principal, le temps de récupération, une mesure souvent utilisée dans les essais sur la grippe. La récupération dans cette étude a été définie comme un état suffisamment bon pour une sortie de l'hôpital ou un retour à un niveau d'activité normal.
Les résultats préliminaires indiquent que les patients ayant reçu du remdesivir ont eu un temps de récupération 31 % plus rapide que ceux ayant reçu un placebo (p<0,001). Plus précisément, le temps médian de récupération était de 11 jours pour les patients traités par remdesivir contre 15 jours pour ceux ayant reçu un placebo. Les résultats ont également suggéré un avantage en termes de survie, avec un taux de mortalité de 8,0 % pour le groupe recevant du remdesivir contre 11,6 % pour le groupe placebo (p=0,059). 10
Dans le rapport précédent du NIH du 21 février 2020 (publié au début de l'étude), la méthodologie était décrite comme suit :
RépondreSupprimer… Un essai clinique randomisé et contrôlé visant à évaluer l’innocuité et l’efficacité de l’antiviral expérimental remdesivir chez les adultes hospitalisés diagnostiqués avec la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) …
Les chiffres. Où ? Quand ?
Le rapport du 21 février confirme que le premier participant à l’essai est « un Américain rapatrié après avoir été mis en quarantaine sur le navire de croisière Diamond Princess » qui a accosté à Yokohama (eaux territoriales japonaises) (voir chapitre II). « Treize personnes rapatriées par le département d’État américain du navire de croisière Diamond Princess » ont été sélectionnées comme patients pour l’essai placebo.
Ironiquement, au début de l’étude, 58,7 % des « cas confirmés » dans le monde (542 cas sur 924) (en dehors de la Chine) se trouvaient à bord du navire de croisière Diamond Princess à partir duquel les patients initiaux du placebo de l’essai ont été sélectionnés.
Où et quand : Le test dans les 68 sites sélectionnés ? Cela a eu lieu plus tard car au 19 février (données de l'OMS), les États-Unis n'avaient enregistré que 15 cas positifs (voir tableau ci-dessous).
« Au total, 68 sites ont finalement rejoint l’étude – 47 aux États-Unis et 21 dans des pays d’Europe et d’Asie. » (soulignement ajouté)
Dans le rapport final du NEJM du 22 mai intitulé Remdesivir pour le traitement du COVID-19 — Rapport préliminaire :
L'essai a été mené sur 60 sites et 13 sous-sites aux États-Unis (45 sites), au Danemark (8), au Royaume-Uni (5), en Grèce (4), en Allemagne (3), en Corée (2), au Mexique (2), en Espagne (2), au Japon (1) et à Singapour (1). Les patients éligibles ont été assignés au hasard selon un rapport 1:1 pour recevoir soit du remdesivir, soit un placebo. La randomisation a été stratifiée selon le site d'étude et la gravité de la maladie au moment de l'inscription .
Le Washington Post a salué l'annonce d'Anthony Fauci (29 avril) 12 :
RépondreSupprimer« Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci, … ne constituent pas une solution miracle ou un remède… Mais en l’ absence de traitement approuvé pour le Covid-19, a déclaré [Lie] Fauci, ce traitement deviendra la norme de soins pour les patients hospitalisés…
« Les données montrent que le remdesivir a un effet clair, significatif et positif sur la réduction du temps de guérison », a déclaré Fauci.
« Le premier essai clinique rigoureux du gouvernement sur le médicament expérimental remdesivir comme traitement contre le coronavirus a donné des résultats mitigés à la communauté médicale mercredi - mais a rallié les marchés boursiers et suscité l'espoir qu'une arme précoce pour aider certains patients était à portée de main.
Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a dirigé l'essai contrôlé par placebo, ont révélé que le médicament accélérait la guérison des patients hospitalisés mais n'avait qu'un effet marginal sur le taux de mortalité.
… Les remarques de Fauci ont renforcé les spéculations selon lesquelles la Food and Drug Administration demanderait une autorisation d’utilisation d’urgence qui permettrait aux médecins de prescrire le médicament.
En plus des essais cliniques, le remdesivir a été administré à plus de 1 000 patients dans le cadre d'un usage compassionnel. [Se réfère également à l'étude de Gilead publiée le 10 avril dans le NEJM]
L'étude, portant sur [plus de] 1 000 patients sur 68 sites aux États-Unis et dans le monde [??], offre la première preuve [??] issue d'une grande étude clinique [??] randomisée [??] de l'efficacité du remdesivir contre la COVID-19.
L’étude du NIH sur le placebo a fourni des « résultats préliminaires ». Bien que l’essai sur le placebo ait été « randomisé », la sélection globale des patients sur les 68 sites n’a pas été entièrement randomisée. Voir le rapport complet. 13
22 mai 2020 : Le rapport controversé (rétracté) du Lancet sur l'hydroxychloroquine (HCQ)
RépondreSupprimerIl convient de noter que le rapport complet du NIH-NIAID intitulé Remdesivir pour le traitement du COVID-19 – Rapport préliminaire a été publié le 22 mai 2020 dans le NEJM, le même jour que le rapport controversé du Lancet sur l'hydroxychloroquine.
Immédiatement après sa publication, les médias se sont déchaînés, diffamant le remède à base d’HCQ, tout en applaudissant le rapport du NIH-NIAID sur le remdesivir publié le même jour.
Le remdesivir, seul médicament autorisé pour traiter la COVID-19,a accéléré le temps de guérison des patients atteints de la maladie,… « C’est un médicament très sûr et efficace », a déclaré Eric Topol, fondateur et directeur du Scripps Research Translational Institute. « Nous disposons désormais d’un premier médicament efficace contre la Covid-19, ce qui constitue une avancée majeure et sera complété par d’autres médicaments [et combinaisons de médicaments] ».14
Lorsque l’article de Bingham-Harvard paru dans le Lancet sur l’HCQ a été rétracté le 5 juin, il était trop tard, il n’a reçu qu’une couverture médiatique minime. Malgré cette rétractation, le traitement à base d’HCQ « avait été tué ».
29 juin 2020 : feu vert de Fauci. Le contrat de 1,6 milliard de dollars pour le remdesivir avec Gilead Sciences, Inc.
Le Dr Anthony Fauci a donné son « feu vert » à Gilead Sciences, Inc. le 29 juin 2020.
Le rapport semi-officiel du gouvernement américain parrainé par le NIH-NIAID (22 mai) intitulé Remdesivir for the Treatment of COVID-19 — Preliminary Report (NEJM) a été utilisé pour justifier un accord majeur avec Gilead Sciences, Inc. (Un rapport final a été publié le 5 novembre 2020)
Le rapport a été largement financé par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, et par les National Institutes of Health (NIH).
Le 29 juin, sur la base des conclusions du rapport NIH-NIAID publié dans le NEJM, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé au nom de l'administration Trump un accord visant à garantir d'importantes réserves de médicament remdesivir auprès de Gilead Sciences, Inc. pour le traitement du COVID-19 dans les hôpitaux et cliniques privés américains.
L'étude précédente de Gilead, basée sur des résultats d'analyses peu nombreux et publiée dans le NEJM (10 avril) sur 53 cas (et 56 co-auteurs), n'a pas été mise en avant. Les résultats de cette étude ont été remis en question par plusieurs médecins et scientifiques de renom.
Qui pourra s’offrir le remdesivir ? 500 000 doses de remdesivir sont envisagées à 3 200 dollars par patient, soit 1,6 milliard de dollars (voir l’ étude d’Elizabeth Woodworth ).
Le médicament a également été approuvé pour la commercialisation dans l’Union européenne sous le nom de marque Veklury.
RépondreSupprimerSi ce contrat est mis en œuvre comme prévu, il représente pour Gilead Sciences, Inc. et les hôpitaux et cliniques privés américains bénéficiaires une somme d’argent colossale.
Selon le secrétaire d'État à la Santé et aux Services Sociaux de l'administration Trump, Alex Azar (29 juin 2020) :
« Dans la mesure du possible, nous voulons nous assurer que tout patient américain qui a besoin de remdesivir puisse l’obtenir [à 3 200 dollars]. L’administration Trump fait tout ce qui est en son pouvoir pour en savoir plus sur les thérapies vitales contre le COVID-19 et garantir l’accès à ces options pour le peuple américain. »
Remdesivir versus hydroxychloroquine (HCQ)
Un timing précis :
L’étude du Lancet (publiée le 22 mai 2020 et rétractée par la suite) avait pour but de saper la légitimité de l’hydroxychloroquine comme traitement efficace contre la COVID-19, en vue de maintenir l’accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences, Inc. le 29 juin. La légitimité de cet accord reposait sur l’étude NIH-NIAID du 22 mai dans le NEJM qui était considérée comme « préliminaire ».
Ce que le Dr Fauci n’a pas reconnu, c’est que la chloroquine avait été « étudiée » et testée il y a 15 ans par le CDC comme médicament destiné à être utilisé contre les infections à coronavirus. Et que l’hydroxychloroquine a été utilisée en 2020 dans le traitement du COVID-19 dans plusieurs pays.
Selon le Virology Journal (2005), « la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS ». 17 Elle a été utilisée lors de l’épidémie de SRAS-1 en 2002. Elle a reçu l’approbation du CDC.
L'HCQ n'est pas seulement efficace, elle est « peu coûteuse » par rapport au remdesivir, soit environ « 3 120 dollars pour un patient américain avec une assurance privée ».
Remarques finales
RépondreSupprimerL'étude sur le remdesivir de Gilead Sciences, Inc. (plus de 50 auteurs) a été publiée dans le New England Journal of Medicine le 10 avril 2020.
Il a été suivi par le rapport préliminaire du NIH-NIAID sur le remdesivir pour le traitement de la COVID-19, publié le 22 mai 2020 dans le NEJM. Et le même jour, le 22 mai, le rapport sur l'hydroxychloroquine coordonné par le Dr Mehra de BWH-Harvard a été publié par le Lancet (qui a ensuite été rétracté).
La Harvard Medical School et le BWH sont responsables de l’hébergement et du financement du rapport du Lancet sur l’HCQ coordonné par le Dr Mandeep Mehra.
Y a-t-il un conflit d'intérêts ? BWH a participé simultanément à une étude sur le remdesivir dans le cadre d'un contrat avec Gilead Sciences, Inc.
Bien que le rapport du Lancet coordonné par le Dr Mehra de Harvard ait été rétracté, il a néanmoins servi les intérêts de Gilead Sciences, Inc.
Il est important qu'une évaluation scientifique et médicale indépendante soit entreprise, respectivement de l'étude évaluée par des pairs du Gilead Sciences, Inc. New England Journal of Medicine (NEMJ) (10 avril 2020) ainsi que de l'étude NIH-NIAID également publiée dans le NEJM (22 mai 2020).
Notes de fin
1 Brigham and Women's Hospital, 22 mai 2020. Aucune amélioration du taux de mortalité chez les patients atteints de COVID-19 ayant reçu de l'hydroxychloroquine. https://www.brighamandwomens.org/about-bwh/newsroom/press-releases-detail?id=3592
2 Brigham and Women's Hospital, 30 mars 2020. Deux essais cliniques sur le remdesivir en cours au Brigham and Women's Hospital. https://www.brighamhealthonamission.org/2020/03/26/two-remdesivir-clinical-trials-underway-at-brigham-and-womens-hospital/
3 Xavier Azalbert & Eric Gyssler, 5 juin 2020. De coïncidences en coïncidences, la connexion de Boston sert-elle le Remdesivir ? https://www.francesoir.fr/politique-monde/coincidences-coincidences-boston-connexion-serves-remdesivir
4 Ibid.
5 Nelson D. Schwartz, 31 octobre 2005. La participation croissante de Rumsfeld dans Tamiflu Le secrétaire à la Défense, ancien président du détenteur des droits de traitement contre la grippe, voit la valeur du portefeuille augmenter. https://money.cnn.com/2005/10/31/news/newsmakers/fortune_rumsfeld/
RépondreSupprimer6 George F. Will, 7 février 2002. Guerre et santé. https://www.washingtonpost.com/archive/opinions/2002/02/07/war-and-health/c1e5dfb2-c373-45ef-87d1-eb89f0db557c/
7 Bibliothèque George W Bush, 30 mars 2020. https://twitter.com/gwblibrary/status/1244601539227942914?lang=fr
8 Jonathan Grein, Norio Ohmagari, et al, 11 juin 2020. Utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de formes graves de la Covid-19. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007016#article_references
9 Prof. Stephen Evans & Prof. Adam Finn, 11 avril 2020. Réaction d'experts à une étude sur l'utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de COVID-19 grave. https://www.sciencemediacentre.org/expert-reaction-to-a-study-about-compassionate-use-of-remdesivir-for-patients-with-severe-covid-19/
10 National Institute of Allergy and Infectious Diseases, 25 février 2020. Début de l'essai clinique du NIH sur le remdesivir pour traiter la COVID-19. https://www.niaid.nih.gov/news-events/nih-clinical-trial-remdesivir-treat-covid-19-begins
11 John H. Beigel, Kay M. Tomashek et al., 5 novembre 2020. Remdesivir pour le traitement du Covid-19 — Rapport final. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007764?query=recirc_mostViewed_railB_article
12 Laurie Mcginley et Christopher Rowland, 29 avril 2020. Le remdesivir de Gilead améliore le temps de récupération des patients atteints de coronavirus dans un essai du NIH. https://www.seattletimes.com/nation-world/gileads-remdesivir-improves-recovery-time-of-coronavirus-patients-in-nih-trial/
13 Ibid.
14 Matthew Herper, 22 mai 2020. Une étude sur le Covid-19 détaille les avantages du traitement au remdesivir, ainsi que ses limites. https://www.statnews.com/2020/05/22/covid-19-study-details-benefits-of-treatment-with-remdesivir-and-also-its-limitations/
15 Elizabeth Woodworth, 27 août 2020. Remdesivir pour le Covid-19 : 1,6 milliard de dollars pour un médicament « modérément bénéfique » ? https://www.globalresearch.ca/remdesivir-covid-19-1-6-billion-modestly-beneficial-drug/5717690
RépondreSupprimer16 Mandeep R. Mehra, Sapan S. Desai, et al., 29 mai 2020. Hydroxychloroquine ou chloroquine avec ou sans macrolide pour le traitement de la COVID-19 : une analyse de registre multinationale. https://www.thelancet.com/pdfs/journals/lancet/PIIS0140-6736(20)31180-6.pdf
17 Martin J. Vincent, Eric Bergeron, et al., 22 août 2005. La chloroquine est un puissant inhibiteur de l'infection et de la propagation du coronavirus du SRAS. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1232869/
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RépondreSupprimerChapitre VIII
Le « vaccin » contre la COVID-19 de Big Pharma
Nos enfants sont les victimes
Élève au lycée Valabre de Luynes-Gardannem, Aix-en-Provence, Sofia Benharira, 16 ans, est décédée le 21 septembre [2021] oui, 7 jours après avoir reçu le vaccin mortel Pfizer. Deux crises cardiaques, une thrombose. Qu'elle repose en paix.
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« L'amie de sa fille, âgée de 13 ans, ne voulait pas se faire vacciner contre la COVID-19. Son cœur s'est arrêté. Elle est aux soins intensifs. Cela se passe ici en ce moment même à Halifax, en Nouvelle-Écosse, parce qu'elle voulait jouer au soccer.
Elle ne voulait pas se faire vacciner. Mais lorsque notre premier ministre a rendu obligatoire le vaccin pour les enfants qui pratiquent un sport. ….
« Je suis dégoûté par notre gouvernement. »
( Voix puissante d'une mère canadienne )
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« Hier soir, nous avons eu des nouvelles de France d’un jeune homme de 22 ans décédé neuf heures après avoir été vacciné. Il voulait partir en vacances en Grèce. « Il voulait juste vivre, a dit son père. … c’était mon fils unique, et il est mort, tué par un vaccin de merde qui n’a jamais été validé ni correctement testé ».
Les médias grand public ont fourni leur propre interprétation en citant des « sources médicales faisant autorité ».
"Ce n'est pas le vaccin qui a provoqué la mort de Maxime Beltra . Il est décédé d'une réaction allergique, ont-ils précisé : "une probable allergie alimentaire grave, selon des sources médicales".
N'est-ce pas là une fausse information qui fait autorité , selon les propos tenus par les responsables de l'hôpital ? Aujourd'hui, nos pensées vont à Maxime Beltra et à sa famille.
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« Si vous permettez que cela se produise [vaccin], je vous garantis qu’il y aura des décès évitables d’enfants en parfaite santé et des maladies graves chez dix fois plus d’entre eux. Et cela sans aucun bénéfice possible. Sachant ce que je sais grâce à mes 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet abus extraordinaire d’enfants innocents dont nous avons la charge ne peut être qualifié autrement que de meurtre. » — Dr Michael Yeadon , éminent scientifique, ancien vice-président de Pfizer
« Trois médecins de l’Ontario sont morts après que l’hôpital où ils travaillaient a commencé à administrer la quatrième dose de rappel à leur personnel. Est-ce une coïncidence ou sont-ils victimes de cette diabolique campagne de vaccination mondiale ? » — Mark Taliano , auteur, chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation
« Cette campagne de vaccination restera dans les mémoires comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine, … et sera même connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » — Christine Anderson, députée européenne, juillet 2022
RépondreSupprimerOui, c'est un vaccin mortel . Ce message doit être clair et net. Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent. Ce sont des crimes contre l'humanité, des crimes contre nos enfants.
Les autorités sanitaires reçoivent systématiquement pour instruction de classer les décès et les blessures liés aux vaccins contre la COVID-19 par catégories : « Les personnes vaccinées meurent de la COVID. » C’est un mensonge éhonté.
Introduction
Le vaccin a été lancé le 9 novembre 2020, à peine six mois après le confinement du 11 mars 2020. Ces deux mandats politiques interdépendants constituent les piliers stratégiques de la crise de la COVID :
Le confinement était un acte de guerre économique et sociale dirigé contre toute l’humanité.
Il est largement démontré (depuis début 2021) que le vaccin à ARNm contre la COVID-19 est une substance toxique qui a entraîné une tendance à la hausse soutenue de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin.
Des rapports évalués par des pairs confirment les causes des décès et des blessures liés aux vaccins, notamment les caillots sanguins, la thrombose, la myocardite et les problèmes de fertilité.
Les effets du vaccin sont également documentés par un rapport secret de Pfizer qui a été publié au titre de la liberté d’information (voir l’analyse ci-dessous).
Vidéo : Impact des vaccinations contre la COVID sur la mortalité (décembre 2020 – avril 2021, pays sélectionnés), cliquez ici pour regarder .
Les derniers chiffres officiels au moment de la rédaction du présent document (3 avril 2022) indiquent environ :
RépondreSupprimer69 053 décès liés aux injections de COVID-19 et 10 997 126 blessures pour l'UE, les États-Unis et le Royaume-Uni combinés pour une population de 830 millions de personnes.
Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passeront par le processus fastidieux de déclaration des décès et des événements indésirables liés aux vaccins aux autorités sanitaires nationales.
De plus, les autorités sanitaires s’emploient activement à dissimuler les décès et les blessures résultant du « vaccin » COVID-19 « non approuvé » et « expérimental ».
D'après les données historiques (Soutien électronique à la santé publique – Système de déclaration des effets indésirables des vaccins (ESPH-VAERS) p. 6) :
« Les effets indésirables des médicaments et des vaccins sont fréquents, mais sous-déclarés. … moins de 0,3 % de tous les effets indésirables des médicaments et 1 à 13 % des effets indésirables graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés. (soulignement ajouté) 2
Il s’agit de statistiques officielles basées sur un processus formel d’enregistrement des décès et des blessures. Le nombre réel de décès et de blessures provoqués par le vaccin à ARNm est bien plus élevé.
Multipliez les chiffres par le paramètre pertinent pour obtenir les VRAIS nombres ; nous parlons de nombres très élevés.
Le « vaccin » à ARNm : un objectif caché ?
Le vaccin ne sauve pas de vies et ne permet pas de contenir la pandémie, car il n'y a pas de pandémie. Il s'agit d'une opération lucrative pour les grandes sociétés pharmaceutiques, qui génère des centaines de milliards de dollars.
De plus, il ne s'agit pas d'une injection unique. Plusieurs doses sont envisagées sur plusieurs années.
Ce vaccin est appliqué dans le monde entier et imposé par de puissants intérêts financiers. Aucun pays, à l’exception du Burundi, de la Tanzanie et d’Haïti, n’a eu le courage de refuser le vaccin à ARNm.
La suite du Chapitre VIII sur:
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