Groupe d'étude d'Afrique du Sud : Objection à la déclaration d'une urgence liée à la variole du singe
21 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le groupe d’étude médico-légal sur les blessures causées par les vaccins en Afrique du Sud (SAVIMS) ne soutient PAS la déclaration du CDC et de l’OMS d’une urgence de santé publique mondiale pour la variole du singe en Afrique. Dans un communiqué, le groupe s'oppose au programme de vaccination d'urgence proposé contre la variole du singe en Afrique.
Dans la déclaration, ils expriment leur profonde préoccupation face aux récentes annonces du directeur général du CDC, Jean Kaseya, le 13 août 2024, et du directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 14 août 2024. Il est important de répondre publiquement à ces annonces. Dans ses déclarations, le directeur général Jean Kaseya a déclaré à propos des vaccins contre la variole du singe : « Nous avons un plan clair pour obtenir plus de 10 millions de doses en Afrique, en commençant par 3 millions de doses en 2024. »
SAVIMS attire l'attention des institutions et autres organismes concernés sur les faits pertinents :
Il n’existe aucun vaccin obligatoire doté de preuves scientifiques documentées de niveau 1 pour la variole du singe. Les vaccins à virus vivants Jynneos et ACAM2000 actuellement recommandés par l'OMS sont a) destinés à la variole et donc expérimentaux pour la variole du singe ; b) des effets indésirables graves ont été signalés et c) ils contiennent des souches virales vivantes susceptibles de déclencher une résurgence du virus de la variole éradiqué.
L’utilisation possible de vaccins à ARNm : Il n’existe aucune preuve scientifique pour soutenir l’utilisation de vaccins à ARNm pour prévenir ou atténuer les maladies infectieuses. Les effets indésirables observés aux vaccins expérimentaux à ARNm dépassent de loin les avantages. Le consentement éclairé est une notion éthique inscrite dans la loi et pratiquée quotidiennement dans chaque établissement de santé. Trois critères de base sont requis pour le consentement clinique éclairé : Le patient doit être mature et correctement informé et ne doit pas être contraint. D’après les recherches actuelles, il n’est pas possible qu’un receveur de ces vaccins puisse donner un consentement éclairé légitime.
L'article d'Allan-Blitz et al, « Une déclaration de position sur la Mpox en tant que maladie sexuellement transmissible », conclut que la variole du singe est une maladie sexuellement transmissible. Les mesures préventives pour ce scénario devraient nécessiter et déclencher des initiatives appropriées de soins de santé cliniques et primaires et d’éducation ciblant le groupe à haut risque. Recommander des vaccins expérimentaux à la population générale n’est pas justifié.
Les statistiques et l'analyse des données sur la variole du singe collectées par l'OMS en République démocratique du Congo et dans d'autres pays africains nécessitent une étude plus approfondie et une vérification indépendante. Dans les zones où les statistiques les plus élevées ont été collectées, les critères des tests, les procédures de test, la sensibilité et la spécificité des dispositifs, les qualifications du personnel, les scénarios cliniques et la provocation des tests dans ces communautés spécifiques doivent être décrits. en détail. Quels tests ont été effectués pour dépister et exclure d’autres maladies, y compris les maladies transmissibles ?
Aucun rapport d'autopsie sur les décès liés à la variole du singe n'a été publié. L’absence d’autopsie formellement documentée, le manque d’informations sur la sensibilité et la spécificité des tests des appareils, ainsi que le manque d’informations sur les procédures utilisées pour valider l’échantillonnage des données diminuent et invalident encore davantage l’authenticité des statistiques. Déclaration du SAVIMS contre un programme de vaccination d'urgence contre la variole du singe en Afrique : Nous avons examiné la littérature et analysé les données sur la variole du singe et son étiopathogénie. D'après nos connaissances sur cette maladie :
Nous ne soutenons pas la déclaration d’une urgence de santé publique mondiale liée à la variole du singe par le CDC et l’OMS. Il a été prouvé que la variole du singe est avant tout une maladie spontanément résolutive. Cela ne justifie pas une intervention vaccinale. Sur la base des preuves scientifiques, nous nous opposons fermement à la distribution « d’urgence » de vaccins contre la variole réutilisés ou d’autres vaccins proposés contre la variole du singe aux populations africaines. Nous doutons de l’authenticité du nombre de décès liés à la variole du singe rapportés par le CDC en Afrique, à moins qu’il ne puisse être vérifié par autopsie. Nous avertissons le public des risques associés à la prise de tout vaccin, y compris le vaccin proposé contre la Mpox, dont l'efficacité et la sécurité n'ont pas été démontrées de manière fiable dans les essais cliniques de niveau 1. Rien ne justifie un vaccin dont les effets indésirables sont inconnus. Nous appelons le public à exercer son droit humain inhérent de refuser son consentement à des procédures médicales s’il se sent mal à l’aise. Nous sommes ouverts au dialogue et à la discussion avec le CDC Afrique sur les questions soulevées ci-dessus et sur toutes les questions liées à la santé et au bien-être de la population africaine.
Groupe d'étude médico-légal sur les blessures causées par les vaccins SAVIMS Afrique du Sud
Voici l'original de SAVIMS : Savims_Statement_On_Proposed_Emergency_Roll_Out_Of_Vaccine_Program_In_Africa_For_Monkeypox
Un autre message de Wolfgang Wodarg :
En cliquant sur le bouton ALT dans l'image, vous obtenez la description suivante de la maladie concernée :
Description des images 1) HSV 1 : virus de l'herpès simplex de type 1 (herpès froid) 2) HSV 2 : virus de l'herpès simplex de type 2 (herpès génital) 3) VZV : virus varicelle-zona (herpès zoster) 4) VZV : virus varicelle-zona (varicelle ) 5) MCV : virus Molluscum contagiosum 6) Pustules d'acné (par exemple acné au chlore) 7) Réactions cutanées allergiques avec cloques Les images proviennent du service de santé britannique, par exemple https://www.nhs.uk/conditions/genital -herpes/.
Nantes : morts aux urgences à cause des délais d’attente trop long
Scapin 21 août 2024
Quatre décès suspects aux urgences du CHU de Nantes. Les patients seraient morts à cause d’un délai de prise en charge trop lent. Quand on se rend aux urgences, il ne faut pas être trop pressé.
« L’infirmière a poussé un brancard et a bousculé un patient. Elle s’est excusée, mais le patient n’a pas répondu. Elle s’est rendu compte qu’il était déjà mort. »
Un nouvel épisode du système de santé « que le monde entier nous envie ». Et vous, vous payez combien chaque mois pour la Sécurité sociale ?
Le cirque des singes de l’OMS et « l’Alliance pour la biosécurité »
20 août 2024 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
« Mpox », l'épidémie anciennement connue sous le nom de « variole du singe », fait à nouveau le tour ces jours-ci dans les médias de premier plan et de qualité ainsi que parmi les bureaucrates de la santé dans (presque) tous les pays. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et une obscure « Alliance pour la biosécurité » ouvrent la voie, tirant les ficelles pour l’industrie pharmaceutique et ses acolytes au sein des pouvoirs publics et des organisations internationales, comme un exemple classique de « partenariat public-privé ».
Pourquoi un autre article sur « Mpox » ? Eh bien, il est facile de répondre à cette question - d'une part, puisque l'OMS est contradictoire sur la maladie et ses conséquences, et d'autre part, puisque l'« Alliance pour la biosécurité » basée à Washington, DC, en est une. des sociétés pharmaceutiques connues (par exemple : Pfizer) ainsi que des sociétés pharmaceutiques actuellement « en vogue » (Bavarian Nordic) tirent les ficelles en arrière-plan et jusqu'à présent, cela n'apparaît pratiquement pas, voire pas du tout, dans les rapports à ce sujet.
Tout d'abord, pour information : cet article représente une synthèse de deux articles pertinents parus en anglais sur mon Substack ( ici et ici ). J'ai traduit toutes les citations en langues étrangères et éventuellement. mis en évidence.
L’OMS sur « l’urgence sanitaire » actuelle La « fiche d’information » correspondante de l’OMS a été mise à jour pour la dernière fois le 18 avril 2023 (ici et ci-dessous, tous les accès ont été effectués le 20 août 2024). Les « Conseils publics pour se remettre de la Mpox (monkeypox) à la maison » ont été mis à jour pour la dernière fois le 2 septembre 2022 (!!), ainsi que les « Conseils pour se protéger et protéger les autres contre la Mpox (monkeypox) » fournis par l'OMS du même date. D'ailleurs, ces derniers sont les suivants :
Vous pouvez être infecté par Mpox par contact étroit avec une personne présentant des symptômes. Le contact étroit comprend le contact peau à peau (p. ex. toucher, rapports sexuels anaux ou vaginaux) , le contact face à face (p. ex. parler, chanter ou respirer), le contact bouche à peau (p. ex. sexe oral) , et bouche à bouche - Contact oral (par exemple baiser). Vous pouvez également être infecté par Mpox par le biais de literie, de serviettes, de surfaces ou d'objets contaminés.
Pour ceux qui ont tendance à être plus à risque, l'OMS propose également des « conseils publics aux hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes sur la prévention de la variole du singe (variole du singe) », également disponibles jusqu'au 22 septembre 2022 (!!!) datés :
Même si la Mpox peut toucher n’importe qui, la plupart des cas dans les pays nouvellement touchés surviennent actuellement chez des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Les personnes qui ont des relations sexuelles avec des partenaires multiples ou nouveaux sont les plus à risque . Cette épidémie est préoccupante, particulièrement pour les personnes touchées, leurs partenaires, leurs familles et leurs communautés. En savoir plus sur Mpox est la première étape pour vous protéger et protéger les autres. Connaissez votre risque pour réduire votre risque .
Encore plus étrange est le matériel d'information actuel ( sic ) de l' OMS , qui est daté du 12 août 2024 et comprend les rapports officiels au 30 juin 2024. Il y est écrit comme suit :
En juin 2024 (dernières données mensuelles complètes de surveillance de la maladie disponibles), un total de 934 nouveaux cas de Mpox confirmés en laboratoire et quatre décès ont été signalés à l'OMS dans 26 pays , démontrant la transmission continue de la Mpox dans le monde entier. Les régions de l'OMS les plus touchées, classées selon le nombre de cas confirmés en laboratoire, étaient la région Afrique (567 cas), la région Amériques (175 cas), la région Europe (100 cas), la région Pacifique occidental (81 cas) et la Région Asie du Sud-Est (11 cas). La région de la Méditerranée orientale n’a signalé aucun cas en juin 2024.
Pas plus tard qu'en mai 2024, « 646 nouveaux cas de Mpox confirmés en laboratoire et 15 décès provenant de 26 pays ont été signalés à l'OMS » ( source ). Cependant, il dit également ce qui suit :
L'OMS se félicite de l'annonce faite par l'autorité nationale de réglementation de la République démocratique du Congo d'accorder une autorisation d'utilisation d'urgence pour l'utilisation des vaccins mpox MVA-BN et LC16 , permettant au pays d'introduire et d'utiliser les vaccins mpox pour la réponse nationale à la crise. épidémie.
D'ailleurs, à la page 2 du rapport du 12 août 2024, est apportée la précision suivante, qui renforce à mon avis le scepticisme exprimé ici et ailleurs sur les intentions de l'OMS :
Du 1er janvier 2022 au 30 juin 2024, un total cumulé de 99 176 cas de Mpox confirmés en laboratoire, dont 208 décès , ont été signalés à l'OMS dans 116 pays/territoires (ci-après « pays ») dans les six régions de l'OMS (Tableau 1 ). Au total, 934 nouveaux cas ont été signalés en juin 2024, ce qui est comparable au nombre de nouveaux cas signalés en mai 2024, y compris certains cas signalés rétroactivement pour les mois précédents.
Et voilà : l'OMS mélange toutes les variantes de Mpox et mélange également les épidémies de 2022 et 2024. Soit dit en passant, il ne s'agit pas d'un « oubli », mais d'une procédure cohérente, comme le montre le tableau 1 mentionné - notez que Le nombre de « cas » en Afrique est négligeable en raison de ce mélange, car environ 91 % de tous les « cas » cumulés se produisent aux États-Unis et en Europe.
- voir cadre sur site -
A noter qu'au 30 juin 2024, la tendance est à la baisse au niveau mondial (-3%), avec 91% des « cas » venant d'Amérique et d'Europe. Pourtant, il n’y a qu’une seule région où ces « cas » ont augmenté entre mai et juin 2024 : l’Afrique.
Mais maintenant, nous devons utiliser le chapeau en aluminium, car il semble que ce cirque des singes ait pour but « d’aider » les pays africains à accéder aux « tests, à la surveillance et aux vaccins », qui sont tous fournis par de grandes sociétés occidentales comme Bavarian Nordic et leur du genre sont fournis.
L’« Alliance pour la biosécurité »
Dr. Robert Malone (je l'ai lu ici) a souligné que « l'urgence de santé publique » que l'OMS a déclarée en 2022 au motif de la « variole du singe » aurait expiré hier, le 19 août 2024. Ce serait le cas, mais l’amalgame des « épidémies » de 2022 et de cette année offre désormais l’opportunité d’entretenir l’illusion d’une « urgence sanitaire » ininterrompue et continue. L’enjeu est bien trop important pour l’OMS, ses donateurs d’un milliard de dollars – cela inclut à la fois les acteurs étatiques (par exemple l’Allemagne, l’UE) et les acteurs non étatiques (par exemple Bill Gates, sa fondation, etc.) – et les grandes sociétés pharmaceutiques.
Martina Binnig a récemment écrit un aperçu et une chronologie utiles à ce sujet dans Axis of Good , que je vous recommande de lire.
Personnellement, j'aime beaucoup la présentation de Mme Binnig, mais je pense qu'il manque une information pertinente :
Selon l'entrée Wikipédia de Meridian Medical Tech, toutes les sociétés pharmaceutiques mentionnées ci-dessus - Bavarian Nordic, Meridian Medical Tech (qui est affiliée au groupe Kindeva) - sont membres d'une autre organisation spéciale :
Meridian est membre de l' Alliance pour la biosécurité [7] , un groupe d'entreprises engagées dans la prévention et le traitement des maladies infectieuses graves, en particulier celles qui posent un problème de sécurité mondiale. [8]
Par exception, j'ai décidé de laisser les références ici pour garantir un maximum de transparence. Si vous souhaitez suivre le lien vers l’« Alliance pour la biosécurité » au nom orwellien , voici une liste de membres sur Wikipédia :
- voir cadre sur site -
En plus de Bavarian Nordic et Meridian Medical Tech (notez le suffixe « /Pfizer »), j’ai mis en avant Emergent BioSolutions, la tristement célèbre société qui a produit les vaccins dits vectoriels à base d’ADN pour Johnson & Johnson et AstraZeneca. Et a connu certains « problèmes de fabrication » (entraînant des blessures graves, voire des décès). À titre d'expérience de pensée, considérons la constellation suivante : si vous, en tant que petite et/ou moyenne entreprise, rencontrez ce type de problèmes majeurs - y compris la production de produits qui blessent et/ou tuent des personnes de manière permanente - vous le découvrirez bientôt. si votre entreprise en possède également, ce qu'on appelait protekcija (dans mon pays d'origine, on l'appelle, entre autres, « vitamine B »).
Bien sûr, la bien nommée « Alliance for BS » (mon terme) possède également son propre site Internet (qui est particulièrement génial) qui propose cette merveilleuse définition d'un nouveau type de fascisme pour le 21e siècle :
La biosécurité est étroitement liée à de nombreuses agences gouvernementales dans des processus souvent opaques. L’Alliance évolue dans ces domaines complexes au nom de tous ses membres – entreprises biopharmaceutiques et partenaires laboratoires et universitaires.
Le problème pourrait difficilement être mieux décrit avec ce réseau d’organisations internationales, de blocs supranationaux (par exemple l’UE), de juridictions nationales et d’acteurs du « secteur privé » ( sic ). Un voyou qui pense mal.
En outre, « l’Alliance pour le BS » a embauché un cabinet d’avocats international de premier plan, Squire Patton Boggs , comme « secrétariat ». Basé à Washington, DC, Squire Patton Boggs est, selon Wikipédia , « l'un des plus grands cabinets d'avocats au monde en termes de nombre total d'employés et de revenus bruts, le 12ème plus grand cabinet d'avocats du Royaume-Uni en termes de revenus et l'un des plus grands cabinets d'avocats au Royaume-Uni en termes de revenus. 12 plus grand, mesuré par le nombre de pays représentés ».
De plus, Squire Patton Boggs est « actuellement l’une des plus grandes sociétés de lobbying au monde », comme l’indique également la même entrée Wikipédia. En plus de l'industrie pharmaceutique, leurs clients comprennent apparemment également des personnalités connues comme... eh bien, je laisse Wikipédia s'en occuper :
L’entreprise a fait et continue de faire pression sur les Saoudiens après des spéculations selon lesquelles son client, le prince Mohammed ben Salmane, aurait ordonné l’assassinat d’un journaliste du Washington Post d’origine saoudienne nommé Jamal Khashoggi en 2018 pour avoir critiqué la monarchie absolue.
Il est intéressant de noter que John Boehner, ancien président de la Chambre des représentants, Trent Lott (ancien sénateur américain) et un grand nombre d'autres hommes politiques américains - notamment, je crois, un certain Ron Brown, aujourd'hui décédé, ancien secrétaire américain au Commerce et , selon Wikipédia, ancien président du Comité national démocrate - répertorié dans la section Personnes notables et anciens élèves.
Résumé et perspectives
En résumé, tous les acteurs impliqués dans l'escroquerie Mpox sont connectés via « l'Alliance pour la biosécurité », une organisation faîtière quelque peu douteuse basée à Washington, DC, dont le « secrétariat » ( sic ) est dirigé par l'un des principaux cabinets d'avocats et de lobbying, L'écuyer Patton Boggs, dont les clients comprennent les dirigeants les plus infâmes de la planète.
Et maintenant, l'OMS, le CEPI, GAVI et les autres organisations des Nations Unies - l'UNESCO (!!) est spécifiquement mentionnée - ainsi que l'UE, l'industrie pharmaceutique et pratiquement tous les autres acteurs industriels odieux disent une fois de plus : « Faites-nous confiance » et « Suivez-nous ». nous." Science™".
Le système britannique d’indemnisation des dommages causés par les vaccins exige que les personnes soient « handicapées à 60 % » pour recevoir une indemnisation pour leur blessure causée par le vaccin
20/08/2024 Lance D Johnson
Les personnes blessées par les vaccins COVID-19 méritent d’être correctement indemnisées pour les frais médicaux, la perte de vie et de moyens de subsistance et pour la douleur et la souffrance. Les familles qui ont perdu des êtres chers à cause du vaccin devraient pouvoir faire des réclamations pour décès injustifié. Cependant, lors du déploiement des vaccins COVID-19, les gouvernements du monde entier ont conclu des contrats avec les fabricants de vaccins, les exonérant de toute responsabilité lorsque leurs produits causent des dommages aux personnes !
Cela signifie que les gouvernements et les fabricants de vaccins savaient qu’il y aurait des blessures causées par les vaccins, mais ces entités ont conspiré pour garder ce fait connu secret. Les fabricants de vaccins et les organismes gouvernementaux ont faussement annoncé les vaccins comme étant « sûrs et efficaces » tout en refusant aux individus un consentement éclairé approprié, dans un processus élaboré de coercition et de tromperie.
Pour les États membres de l’UE, le vaccin AstraZeneca a été acheté en gros en août 2020, uniquement si les pays indemnisaient le fabricant pour les responsabilités. « Afin de compenser ces risques élevés pris par les fabricants, les accords d’achat anticipé prévoient que les États membres indemnisent le fabricant pour les responsabilités encourues dans certaines conditions... »
Le système britannique d’indemnisation des dommages causés par les vaccins ne compense que 2 % des réclamations Même avec ces contrats frauduleux en place, des milliers de personnes blessées par les vaccins ont intenté des poursuites auprès des systèmes d’indemnisation des dommages causés par les vaccins mis en place de longue date par leurs gouvernements. Ces systèmes ont été mis en place il y a des décennies pour indemniser les dommages causés par les vaccins traditionnels. Ces systèmes gérés par le gouvernement, bien que ne tenant pas directement les fabricants de vaccins responsables, permettent néanmoins de reconnaître et d’indemniser certains cas de dommages causés par les vaccins. Cependant, ces systèmes gérés par le gouvernement rejettent la grande majorité des réclamations.
Le système britannique d’indemnisation des dommages causés par les vaccins (VDPS) refuse d’indemniser 98 % des réclamations pour dommages causés par les vaccins parce que les personnes blessées par les vaccins ne sont « pas suffisamment handicapées ». Ce système a été mis en place en 1979 pour indemniser les préjudices causés par les vaccins traditionnels.
Selon une demande d’accès à l’information, près de 14 000 personnes en Grande-Bretagne ont demandé une indemnisation par l’intermédiaire du VDPS pour les handicaps causés par les vaccins COVID-19. Au Royaume-Uni, des personnes ont été contraintes de prendre le vaccin Oxford-AstraZeneca Covid-19, développé par l’Université d’Oxford et la société anglo-suédoise AstraZeneca. Les personnes ont été enfermées, discriminées et séparées de la société jusqu’à ce qu’elles se conforment aux mandats de vaccination et aux passeports vaccinaux mis en œuvre au Royaume-Uni.
Sur les près de 14 000 personnes qui ont initialement demandé une indemnisation, seules 175, soit 2 %, ont reçu une indemnisation. Pour aggraver les choses, cette indemnisation unique ne couvre souvent pas les frais médicaux de base, et encore moins la douleur et la souffrance infligées aux personnes. Le maigre paiement de 120 000 £ (155 300 $) ne tient pas compte de la perte de moyens de subsistance et ne prend pas en compte la perte de revenus. couvrir de manière adéquate les dommages à long terme causés à la santé, à la carrière et aux moyens de subsistance d’une personne.
De plus, le paiement unique est uniforme et ne tient pas compte des besoins médicaux uniques de chaque individu. Une personne qui souffre maintenant de caillots sanguins ou qui a eu une crise cardiaque après avoir pris le vaccin devrait avoir accès à un bassin d’indemnisation plus large qui couvre les préjudices graves et les coûts financiers élevés infligés par le vaccin.
Le gouvernement britannique se moque des handicapés blessés par les vaccins Selon la demande FOIA, les personnes demandant une indemnisation ont souffert d’accident vasculaire cérébral, de crise cardiaque, de caillots sanguins, d’inflammation de la moelle épinière, d’enflure excessive et de paralysie faciale. Au lieu d’indemniser correctement ces personnes, le gouvernement britannique a rejeté 98 % des demandes. Selon le rapport, des centaines de personnes ont été refusées parce qu’elles n’étaient « pas suffisamment handicapées ». Selon le VDPS, un demandeur doit être handicapé à au moins 60 % pour être admissible. Le VDPS est essentiellement conçu pour se moquer des victimes de blessures causées par les vaccins, en refusant d’indemniser les personnes handicapées.
Ce mépris insensible pour la vie et la dignité humaines est le fait d’un gouvernement britannique qui a imposé le vaccin AstraZeneca à sa population, malgré l’arrêt de la vaccination par l’Allemagne, l’Italie, la France et de nombreux autres pays européens dès mars 2021. Il convient de noter que, parmi les demandes d’indemnisation, 97 % des blessures ont été causées par le vaccin Astra-Zeneca, qui avait été imposé par le gouvernement. En mai 2021, AstraZeneca a admis que son vaccin provoquait des caillots sanguins et a retiré son produit dans le monde entier. Cependant, comme les fabricants de vaccins ne sont pas tenus directement responsables, ils sont autorisés à créer des vaccins de rappel pour les futurs variants du coronavirus, tout en affirmant que leurs nouvelles formules sont plus sûres et plus efficaces.
Dans ce système maudit, les mensonges et les souffrances ne feront que continuer, car les fabricants de vaccins continueront de nuire au public en toute impunité et les gouvernements refuseront d’indemniser adéquatement les victimes des dommages causés par les vaccins.
Le nouveau certificat de vaccination de l’UE comme menace pour les libertés fondamentales
21 août 2024 de Thomas Oysmüller
Sans vaccination, pas d'accès à vos transactions bancaires et pas de voyages gratuits : selon un avocat néerlandais, ce sont les options qu'ouvre le certificat de vaccination de l'UE.
L’UE s’efforce constamment d’introduire le certificat de vaccination numérique européen (EVC) . Les tests débuteront en septembre en Belgique, en Allemagne, en Grèce, en Lettonie et au Portugal . Ce n’est qu’une question de forme si l’identification numérique sera à un moment donné disponible dans l’ensemble de l’UE – cela est également garanti par la feuille de route vers l’identification numérique pour tous les citoyens de l’UE. Selon l’avocate néerlandaise Meike Terhorst, le passeport n’est pas seulement un moyen pour de futures vaccinations forcées, mais aussi pour la construction d’une société numérique globale de contrôle et de coercition.
Un instrument de grande envergure
Les vaccinations obligatoires ne seraient donc qu’un des points que la carte de vaccination numérique de l’UE vise à faciliter. Dans son entretien qu'elle a donné début août, Terhorst affirme également que l'EVC pourrait également devenir un instrument de « restriction de la souveraineté personnelle et nationale ». Ainsi, l’EVC – en combinaison avec l’identification numérique – irait bien au-delà des exigences en matière de vaccination.
L’EVC s’inscrit dans la mise en place de l’identité numérique. Non seulement les données de santé et de vaccination d'une personne y seront résumées, mais également les cartes d'identité personnelles et les données financières. Cela crée un lien entre les documents médicaux (y compris les vaccinations) et les données personnelles.
L'EVC s'inscrit dans la continuité du certificat de vaccination de l'UE, mais son fonctionnement est complètement différent :
« Ils travaillent là-dessus depuis des années. Et cela fonctionne parfaitement, et tout est connecté, comme l’infrastructure bancaire, les informations médicales personnelles, l’assurance – tout est connecté.
Selon Terhorst, cela viole la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, qui reprend les grands principes de la Déclaration de Nuremberg au chapitre 1, article 3 - "Droit à l'intégrité de la personne". Cela inclut le droit au « consentement libre et éclairé de la personne concernée » en ce qui concerne les actes médicaux et « l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties une source de gain financier ».
Même si l’on ne peut ou ne veut pas supposer que la liberté financière sera liée à l’avenir au statut vaccinal, le développement de l’identité numérique dans l’UE rendrait cela possible, du moins en théorie.
L’avocat voit également les projets de réforme de l’OMS dans ce contexte. Elle a également évoqué le nouveau plan néo-zélandais de prévention des pandémies, qui comprend également des vaccinations obligatoires. TKP en a fait état.
Le résumé de l'avocat :
« C’est un grand conglomérat qui dirige le monde, et c’est ce conglomérat qui veut un changement dans le système financier. Et le changement qu’ils souhaitent est de pouvoir décider du montant d’argent que vous avez sur votre propre compte bancaire en utilisant la CBDC, la monnaie numérique de la banque centrale.
Fondamentalement, et je pense qu’il est très important que tout le monde le comprenne, ce n’est pas une question de santé, c’est une question d’argent. Ils veulent faire de vous une sorte de laquais, quelqu'un qui n'a aucun droit réel.
La politique évolue de plus en plus vers un gouvernement ou un système politique dans lequel vous n’avez aucun droit, aucune propriété et aucun droit de dire non.»
Cliquez ici pour l'interview de l'avocat néerlandais.
Une étude confirme des lots particulièrement nocifs d'injections d'ARNm de Pfizer
21 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Nous savons depuis longtemps qu'il existe de sérieuses différences en termes d'effets secondaires nocifs et de décès dans les lots de production des seringues à ARNm de BioNTech/Pfizer. Vous pouvez découvrir les dangers d’un lot sur la page Quelle est la gravité de mon lot . Les différences ont été confirmées par des études, mais il reste difficile de savoir si la production ne peut pas être mieux gérée, si elle est bâclée ou intentionnelle.
En avril 2023, des chercheurs danois ont découvert trois groupes de lots de vaccins Pfizer-BioNTech contre le COVID-19 présentant des taux d'événements indésirables faibles, moyens et élevés ( rapport TKP ici ). En janvier 2023, TKP a rendu compte d'une analyse de Florian Schilling sur la manière dont les doses périmées sont utilisées. Des différences extrêmes en termes d’effets secondaires et de décès sont apparues entre les différents lots, ce qui ne serait pas possible avec une qualité homogène.
Comme indiqué, les effets secondaires et le lot ont également été enregistrés dans le système de déclaration en Australie. Les autorités ont procédé à des contrôles de qualité sur les lots. Il y avait de sérieuses différences dans la qualité et la quantité de l’ARN. Les mauvais lots présentaient des niveaux d'impuretés particulièrement élevés. Dans certains des mauvais lots, la durée de conservation a apparemment été délibérément et délibérément prolongée.
Sur les 382 lots utilisés en Australie, 10 étaient particulièrement dangereux, dont 4 ont été prolongés. Les lots prolongés pouvaient être conservés pendant 31 jours après décongélation pour les vaccinations des plus de 12 ans et 70 jours complets pour les enfants de moins de 12 ans. Il y avait des instructions d'utilisation spéciales du gouvernement australien pour les lots utilisables les plus longs. Les instructions et les lots correspondants ont été envoyés aux foyers pour personnes handicapées. Nous le savions donc très bien. Plus d' informations à ce sujet ici .
Une nouvelle étude confirme les différences entre les lots
Une nouvelle étude menée par des chercheurs scandinaves vient de confirmer que Pfizer a distribué de dangereux « mauvais lots » de seringues à ARNm. L’étude a été commandée après qu’une étude danoise antérieure de 2023 ait rapporté que les receveurs d’injections d’ARNm de certains lots présentaient des taux très élevés d’effets secondaires et de mortalité.
La nouvelle étude de Vibeke Manniche et al intitulée « Reports of Batch-Dependent Suspected Adverse Events of the BNT162b2 mRNA COVID-19 Vaccine: Comparison of Results from Denmark and Sweden » 19 : Comparaison des résultats du Danemark et de Suède) visait à déterminer le cause de l’augmentation des événements indésirables graves et des décès au Danemark et en Suède.
L’équipe de recherche composée de quatre personnes a cherché à confirmer les résultats précédents de l’étude danoise de 2023 dans un ensemble de données indépendant en analysant les enregistrements accessibles au public des événements indésirables suspectés. Ces EIG ont été signalés aux autorités nationales du Danemark et de la Suède. Les deux pays disposent d'une base de données commune pour ces rapports, qui sert d'équivalent au système de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins ( VAERS ) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.
L'analyse des données suédoises a montré que les effets secondaires signalés étaient répartis sur des lots de vaccins présentant trois profils d'effets secondaires très différents. Cela montre qu’il y a eu une augmentation des effets secondaires dans les mêmes lots qu’au Danemark.
La nouvelle étude confirme également les différences entre les sexes visibles dans la base de données des effets secondaires de l'EMA, à savoir que la grande majorité (75 %) des effets secondaires signalés concernaient des femmes. L'un des auteurs de l'étude, le statisticien Max Schmeling, déclare :
« Il pourrait y avoir plusieurs raisons à cette différence observée entre les sexes. Mais quelle qu’en soit la raison, il s’agit d’un signal de sécurité sur lequel les autorités auraient dû enquêter.»
Le signal de sécurité dépendant du lot observé au Danemark et maintenant confirmé en Suède a montré que Pfizer a expédié des lots dangereux de ses injections BNT162b2 Covid.
La recherche a révélé qu'en Suède et au Danemark, la probabilité d'effets secondaires après les injections Covid de Pfizer dépendait en grande partie du lot de produit reçu par la personne. Cependant, les effets secondaires et les taux de mortalité sont restés élevés, ce qui suggère qu’une grande partie des doses distribuées provenaient de lots dangereux.
Les auteurs expliquent en outre :
« La confirmation actuelle par les données suédoises du signal de sécurité dépendant du lot rapporté par le Danemark conforte l'hypothèse selon laquelle les premiers lots commerciaux du vaccin BNT162b2 pourraient avoir différé des lots ultérieurs et que la surveillance de la qualité du produit et la pharmacovigilance au niveau des lots lors de l'introduction du le vaccin BNT162b2 pourrait avoir été sous-optimal.
Des différences aussi importantes dans les déclarations d’effets indésirables liées à des lots spécifiques d’un produit médical auraient normalement conduit à des examens de sécurité et à des rappels de produits. Cependant, ces signaux ont été ignorés par les autorités sanitaires.
L’avenir – Comment ils nous contrôleront tous. « L’État profond » se prépare-t-il à une autre « plandémie » ?
Par Peter Koenig Recherche mondiale, 20 août 2024
Tout ce qui concerne l'avenir n'est que spéculation.
Mais à ce stade, il convient de mentionner les rumeurs pour que le grand public ait une idée de ce que les analystes pensent que cela pourrait arriver.
Il ne fait aucun doute que « l’État profond » [les services secrets au nom des grands établissements financiers, informatiques et énergétiques] agit par l’intermédiaire du Forum économique mondial (WEF), de l’ONU et de l’OMS, ainsi que du Conseil européen (CE) non élu.
Aucune de ces entités n'a jamais été élue. Le WEF et l’organe politique de l’ONU dirigé par M. (marionnette) Guterres ont conclu un accord de coopération illégal en juin 2019 pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030.
L’ONU a depuis longtemps cessé d’être l’artisan de la paix et le médiateur de la paix pour lesquels elle avait été conçue .
Au lieu de cela, l’ État profond a mis à sa tête ses marionnettes qui se conforment pleinement à son « agenda » – et cet agenda n’est pas pour le bien du peuple, bien au contraire.
Il y a quelques jours, M. Tedros, directeur général de l'OMS – jamais élu librement, mais nommé grâce au pouvoir financier de la Fondation Bill Gates – a déclaré une urgence sanitaire mondiale.
Dans le jargon protocolaire de l'OMS, on l'appelle « Urgence de santé publique de portée internationale » (PHEIC) , en raison de la prétendue épidémie de Monkeypox, désormais appelée pour une étrange raison « non discriminatoire » « Mpox ».
Selon eux, l’épidémie s’est produite au Congo – un pays riche en terres rares, en or et bien d’autres minéraux précieux. Selon le directeur général de l'OMS, Tedros (9 août 2024)
« Depuis le début de cette année, la République démocratique du Congo connaît une grave épidémie de Mpox, avec plus de 14 000 cas signalés et 511 décès. Au cours du mois dernier, environ 50 cas confirmés et d’autres cas suspects ont été signalés dans quatre pays voisins de la RDC. »
Certains experts médicaux, pas encore informés, affirment qu'il s'agit d'une forme plus bénigne que la variole du singe d'origine. C’est moins que rien, comparé à l’infection annuelle par la grippe ; entre 40 et 60 millions par an rien qu’aux États-Unis.
Il est à noter que ces soi-disant « cas confirmés » au Congo sont le résultat du test de réaction en chaîne par polymérase appliqué au mpox (test PCR) qui ne détecte pas le virus.
Alors pourquoi la PHEIC ?
En premier lieu, pour effrayer les gens du monde entier ;
Deuxièmement , voir jusqu’où l’OMS peut aller pour imposer sa tyrannie parce que le soi-disant Traité sur la pandémie qui lui donnerait des pouvoirs dictatoriaux universels n’a pas été approuvé lors de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS) de mai 2024.
Ne vous inquiétez pas, ils n’abandonneront pas. De nombreuses activités allant dans le sens de la tyrannie de l'OMS sont prévues pour la prochaine Assemblée générale des Nations Unies (AG) ;
et troisièmement , avec la PHEIC en place, ils peuvent exiger des confinements, le port de masques, des mandats de vaccination – les mandats tueurs.
Il ne faut pas oublier que TOUS les vaccins, appelés « vaccins » par l’industrie pharmaceutique, sont basés aujourd’hui et à l’avenir sur la technologie de l’ARNm, dont nous savons après le covid qu’elle est désastreuse et qu’elle est une injection tueuse.
Elle sert, comme lors du procès covid, à décimer encore davantage la population mondiale. Les progrès dans les tentatives criminelles visant à réduire la population mondiale ne progressent pas assez vite, ils doivent donc inventer de plus en plus de plandémies, donc des mandats de vaxx – on dit qu’ils seront imposés par l’OTAN. L’OTAN veillera à ce que personne n’y échappe.
Où iraient-ils de toute façon ? Les 194 pays ont tous été cooptés, soumis à des pressions, soumis à du chantage et même menacés. Ce que signifie ce dernier, nous l'avons vu pendant le covid, lorsque plusieurs chefs d'État refusant le mandat covid, principalement en Afrique, sont décédés dans des circonstances inhabituelles,
Kary Mullis , l'inventeur de la technique de réaction en chaîne par polymérase (PCR) – le test qui a permis à la plandémie de prospérer – et qui a partagé le prix Nobel de chimie en 1993 avec Michael Smith.
Kary Mullis est décédé mystérieusement le 7 août 2019, quelques mois seulement avant que la pandémie de Covid-19 ne frappe le monde à minuit le 31 décembre 2019 – l’ouverture de l’Agenda 2030 ?
Le Dr Mullis a déclaré dès le début que la PCR ne détecte aucune maladie.
Malgré les preuves mondialement connues selon lesquelles le test PCR ne détecte aucune maladie, il est actuellement à nouveau utilisé pour déterminer la présence de Mpox chez l'homme.
Le franc-parler du Dr Mullis à propos du PCR, de ce qu'il fait et de ce qu'il ne fait pas, lui a peut-être coûté la vie.
Le regretté Dr Kary Mullis. Son héritage prévaudra.
- voir clip sur site -
Vidéo « C'est ainsi qu'ils nous contrôleront tous ! » Des plans pour la pandémie 2.0 émergent (Expurgé – vidéo de 19 min, 17 août 2024)
- voir clip sur site -
Malgré les preuves mondialement connues selon lesquelles le test PCR ne détecte aucune maladie, il est actuellement à nouveau utilisé pour déterminer la présence de Mpox chez l'homme.
Mpox au Congo. Pourquoi ? En période de confinement et sous la direction de l’OTAN, l’exploitation des terres rares et d’autres minéraux au Congo pourrait commencer immédiatement.
Bien sûr, pendant que nous spéculons, eux – Deep State & Co. – spéculent également. Leur pari est qu’une grande partie de la population suivra à nouveau. Pendant ce temps, nous, le peuple, jouons et espérons qu'un nombre suffisant de personnes, de médecins et d'institutions de santé, auront désormais vu la lumière et ne participeront plus une seconde fois à ce crime contre l'humanité.
Ils disposent donc d’une position de repli. Chaos, guerre civile – des ravages, commençant peut-être en Afrique, mais plus probablement dans l’un des pays occidentaux, aux États-Unis, en Europe – nous spéculons. Ou peut-être pas tellement. Le film « Civil War » a été réalisé en dehors d’Hollywood, à partir de 2022 à Atlanta et plus tard à Londres. En avril 2024, « Civil War » est sorti dans le monde entier. Sauf en Chine, il n’est sorti dans les salles de cinéma qu’en juin 2024.
Peut-on parler de planification prédictive de « guerre civile » ?
Il y a aussi cet obscur « module de formation » de la CIA – qui s’adresse aux médecins, avocats, hommes d’affaires, enseignants, dirigeants d’entreprise. Ces professionnels vont être recrutés comme croisés sociaux pour le groupe politique que la CIA promeut dans le but de renverser le gouvernement [américain].
- voir doc sur site -
La même chose ou une situation similaire pourrait bien sûr se produire en Europe. Elle est en bonne voie, par d’autres moyens, avec l’introduction des certificats numériques Vaxx. À partir de septembre 2024, le certificat numérique sera testé dans cinq pays sélectionnés de l’UE : la Lettonie, la Grèce, la Belgique, l’Allemagne et le Portugal.
Voyez ceci .
- voir doc sur site -
Vrai ou faux ?
Nous pouvons espérer qu’il s’agit là d’une pure campagne de peur et que cela n’arrivera pas parce que la résistance est trop forte.
Mais en regardant de plus près les pays « pilotes », vous verrez qu’ils ont tous des antécédents d’obéissance extrême, du Portugal à l’Allemagne, et tous les autres. Si les résultats de l’essai sont positifs, on peut s’attendre à ce que l’exercice soit étendu au reste de l’Europe et bientôt aux États-Unis et à ce que nous appelons encore « l’Occident global ».
La fausse plandémie Mpox serait idéale pour « tester » le cas, les mandats de vaxx forcés – et cela avec l’aide de l’OTAN, comme cela a été dit à plusieurs reprises.
L’OTAN est passée d’une force de défense occidentale en 1949 à l’un des agresseurs les plus ardents au monde – et maintenant en tant qu’exécutant des mandats vaxx – qui joue son rôle meurtrier en aidant au génocide de larges segments de la population mondiale, sinon par la guerre, du moins par les vaxx.
Ce serait une manière d’atteindre un contrôle total, sans utiliser dans un premier temps un système monétaire numérique. Le numérique progresse rapidement, mais la résistance grandit également.
La vaccination forcée contre un « virus » – probablement aucun virus – qui ne provoque même pas une maladie mortelle, mais est moins nocive que la grippe commune, signifie clairement que la vaccination est une condamnation à mort pour tous ceux qui la reçoivent ou sont forcés de la recevoir.
Cela s’inscrit dans l’objectif numéro un de la Grande Réinitialisation / Agenda 2030 des Nations Unies – LE DÉPOPULATION. Les bénéfices qui en résulteront pour l’industrie pharmaceutique sont bien entendu les bienvenus. Mais ils ne constituent PAS la priorité numéro un.
Le contrôle des certificats Vaxx de l’UE est plus efficace que l’argent entièrement numérique. Cela touche au cœur du problème, à savoir la vie et la mort.
www.globalresearch.ca/future-control-all-us- voir clip sur site -/5865731
(...) La vaccination forcée contre un « virus » – probablement aucun virus – qui ne provoque même pas une maladie mortelle, mais est moins nocive que la grippe commune, signifie clairement que la vaccination est une condamnation à mort pour tous ceux qui la reçoivent ou sont forcés de la recevoir. (...)
Un 'virus' est UNE POUSSIÈRE et non un microbe. Cette poussière et non-radioactive. Cette poussière ne se trouve PAS dans l'air (il y a au monde des milliers de laboratoires qui chaque jour examinent la qualité de l'air et ne l'ont trouvé !). Mais alors... où se trouve t-elle ? Devinez !
L’administration Biden prévoit une réglementation sur l’identification numérique
21 août 2024 de Thomas Oysmüller
Dans les derniers mètres de la Maison Blanche, l’administration Biden adopte un règlement sur l’identification numérique. Les Américains seront numérisés plus rapidement.
Alors que le public est préoccupé par la campagne électorale Trump-Harris, l’administration actuelle de la Maison Blanche continue de créer des faits. Il existe un projet de nouveau règlement (« décret ») destiné à accélérer l’introduction des cartes d’identité numériques. Les Américains devraient également obtenir une identification numérique – et rapidement.
Internet et argent
Certains États ont déjà commencé à introduire des permis de conduire numériques. En Autriche, ceux-ci sont également déjà disponibles via « ID Autriche ». L’ordre de l’administration Biden appelle toutes les autorités à accélérer ce processus et à introduire également d’autres types d’identification numérique.
Comme chacun le sait, l’identification numérique est un concept extrêmement controversé et critiqué. Cependant, tout discours plus large est bloqué. Au nom de la « numérisation inévitable », les cartes d’identité des personnes sont « numérisées » – de l’Inde à l’Union européenne et aux États-Unis. En fin de compte, toutes les informations privées sensibles des personnes finissent dans des bases de données centralisées contrôlées par le gouvernement. Et les gens obtiennent une application sur leur téléphone portable – au départ volontairement.
Les délégués à la protection des données de Reclaim the Net écrivent :
Cela soulève à son tour des questions de sécurité technique, mais aussi de protection des données et de risque de surveillance de masse dystopique. Les partisans, en revanche, aiment souligner la « commodité » que devrait apporter un tel passage des documents personnels physiques aux documents personnels numériques.
La centralisation des données - selon les opposants pour mieux les contrôler, même si elle les rend plus précaires - est un élément clé de ces systèmes, c'est pourquoi l'ordonnance de Biden parle d'exiger des autorités fédérales qu'elles s'engagent à "un système unique, à partir duquel le gouvernement gère système d’identité, Login.gov », indiquent les rapports.
Certains considèrent l’identification numérique comme une étape nécessaire vers l’introduction des monnaies numériques. D’autres s’attendent à ce que ces cartes d’identité soient utilisées pour enfin abolir l’anonymat en ligne. L’identité numérique est généralement combinée à la capture de données biométriques, ce qui signifie que davantage de données sont collectées sur la personne qu’auparavant.
Les délégués à la protection des données continuent d'écrire :
Alors que les États déploient leurs propres programmes (partiels) d’identification numérique, de plus en plus d’États cherchent des moyens d’introduire la vérification de l’âge en ligne et adoptent une législation pour ce faire.
Désormais, le problème semble résolu, et la seule question qui se pose à l’administration est de savoir quand Biden devrait signer l’ordonnance, rapportent les mêmes sources qui ont vu le texte. Un programme fédéral d’identification numérique contribuerait à cet effort visant à résoudre le « problème » de l’anonymat en ligne – et, ce faisant, changerait à jamais l’Internet tel que nous le connaissons.
La seule question maintenant est apparemment de savoir quand Biden devrait signer le règlement. Les gens semblent fermement convaincus qu’il doit être adopté avant un transfert de pouvoir (à Trump ou Harris).
La Russie étend ses exportations d'hydrocarbures vers la Chine et consolide sa position de premier fournisseur de pétrole du marché chinois
20/08/2024 Kevin Hughes
Le gouvernement russe a annoncé lundi 19 août que le pays allait étendre ses exportations d'hydrocarbures vers la Chine.
"La coopération stratégique dans le secteur de l'énergie s'approfondit. Le volume des exportations russes d'hydrocarbures vers la Chine augmente. La Russie est le premier fournisseur de pétrole du marché chinois et occupe également une position de leader dans l'exportation de charbon et de GNL [gaz naturel liquéfié]", a déclaré le Kremlin dans un communiqué.
La Russie a dépassé l'Arabie saoudite pour devenir le premier fournisseur de pétrole de la Chine l'année dernière, selon les dernières données douanières chinoises. Les deux pays augmentent systématiquement leurs approvisionnements en gaz naturel via le pipeline Power of Siberia dans l'Extrême-Orient russe.
L'Inde, troisième pays consommateur et importateur de pétrole au monde, a également acquis pour 2,8 milliards de dollars de pétrole brut de la Russie en juillet, deuxième après la Chine.
La Russie est devenue le plus grand fournisseur de pétrole brut de l'Inde, qui est transformé en carburants tels que l'essence et le diesel dans les raffineries, car le pétrole russe est devenu disponible à prix réduit après que l'Europe, les États-Unis et la plupart de leurs alliés occidentaux ont cessé d'acheter du pétrole à Moscou à la suite de l'opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine fin février 2022.
Les importations en provenance de Russie, qui représentaient moins d'un pour cent du total du pétrole importé par l'Inde avant le début du conflit ukrainien, représentent désormais près de 40 pour cent du total des achats de pétrole de l'Inde.
Le Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (CREA) a indiqué que la Chine a acheté 47 % des exportations de brut de la Russie, suivie de l'Inde (37 %), de l'Union européenne (7 %) et de la Turquie (6 %).
La Chine et l'Inde achètent également du charbon à la Russie. Le CREA a noté que, de décembre 2022 à fin juillet 2024, la Chine a acheté 45 % de toutes les exportations de charbon de la Russie, suivie de l'Inde à 18 %, de la Turquie et de la Corée du Sud à 10 % chacune et de Taïwan à 5 %.
La Chine est devenue le plus gros acheteur de combustibles fossiles russes
La Chine est devenue le plus gros acheteur de combustibles fossiles russes. En juillet, la Chine a représenté 43 % (6,87 milliards de dollars) des recettes d'exportation mensuelles de la Russie provenant des cinq principaux importateurs. Le pétrole brut a représenté 63 % (4,32 milliards de dollars) des importations chinoises en provenance de Russie.
En juillet, les volumes d'importation mondiaux de brut maritime de la Chine sont tombés à 40,2 millions de tonnes, le niveau le plus bas de la nation communiste depuis février 2023.
Les importations de brut maritime en provenance de Russie se sont élevées à 4,3 millions de tonnes, ce qui est également le niveau le plus bas depuis décembre 2022 et peut être lié à une diminution des marges de traitement des raffineries dans un contexte de faible demande de carburant.
Le rapport de la CREA a noté que l'Inde est le deuxième plus grand acheteur de combustibles fossiles russes en juillet. Près de 80 % de toutes les importations indiennes pour le mois étaient constituées de pétrole brut, principalement en provenance de Russie.
L'Inde, qui dépend à plus de 85 % des importations pour répondre à ses besoins en pétrole, a dépensé 11,4 milliards de dollars en juillet pour l'importation de 19,4 millions de tonnes de pétrole brut.
En juillet, la décote sur le pétrole brut russe de qualité Oural a augmenté de 9 % en glissement mensuel pour atteindre 16,76 dollars le baril par rapport au pétrole brut Brent. Les décotes sur les mélanges ESPO et Sokol sont restées relativement stables et modestes à 4,23 dollars le baril et 6,11 dollars le baril, respectivement.
Comme l'a rapporté la CREA, 36 % du pétrole brut russe transporté par mer et de ses produits en juillet ont été livrés par des pétroliers soumis au plafond du prix du pétrole. (Article connexe : Le plafonnement des prix des exportations de pétrole russe par l’Occident NE FONCTIONNE PAS.)
Suivez EnergySupply.news pour plus d’histoires sur les exportations d’énergie dans le monde.
Regardez la vidéo ci-dessous sur les exportations de pétrole russe à leur plus haut niveau depuis avril 2020.
Cette vidéo provient de la chaîne WorldViewTube sur Brighteon.com.
Autres histoires connexes :
Les exportations de pétrole russe augmentent malgré les sanctions occidentales et la réduction de la production de Moscou.
La Russie a presque entièrement contourné les sanctions occidentales sur les exportations de pétrole.
BLANCHIMENT DE PÉTROLE : L’Inde importe du pétrole russe à prix réduit, le raffine et le vend à l’Occident pour des profits énormes.
BYE-BYE PETRODOLLAR : 159 pays devraient désormais adopter le nouveau système de paiement des BRICS
20/08/2024 Ethan Huff
Dès octobre, le système de paiement international tant attendu des BRICS sera prêt à fonctionner, avec quelque 159 pays qui seraient en train d'abandonner le dollar américain comme monnaie de règlement officielle.
Depuis plusieurs années, la Russie et d'autres pays membres des BRICS travaillent sur une alternative au système de règlement international SWIFT contrôlé par l'Occident. La Russie a été bannie de SWIFT après son invasion de l'Ukraine, mais un nouveau système émerge désormais des BRICS qui menace de rendre SWIFT obsolète.
Si le nouveau système de paiement est un succès, il rendra également obsolètes les billets de la Réserve fédérale (FRN). Le monde ne sera plus l'otage du soi-disant pétrodollar, qui, selon les rapports, pourrait avoir des répercussions massives sur le marché mondial.
Les sanctions occidentales contre la Russie n'ont fait qu'accélérer la vitesse à laquelle la Russie développe ce nouveau système de paiement des BRICS. Sa conception favorisera les monnaies locales et les méthodes de règlement alternatives qui contournent entièrement le dollar américain.
Elvira Nabiullina, gouverneure de la banque centrale russe, a déclaré que 159 pays étaient prêts à adopter le nouveau système de paiement des BRICS une fois qu'il sera opérationnel. Il servira d'extension à la plate-forme russe SPFS (System for Transmitting Financial Messages) ainsi que « d'alternative à SWIFT ».
« Des infrastructures similaires existent dans certains autres pays », a commenté Nabiullina. « Nous menons des discussions sur l'interaction de telles plates-formes, mais ici, l'intérêt et la préparation technique de nos partenaires sont importants ».
(Article connexe : c'est à la fin de l'année dernière que la Russie a officiellement appelé tous les pays BRICS, y compris ceux qui venaient de rejoindre l'alliance, à dédollariser.)
Le nouveau système de paiement est le thème prioritaire du prochain sommet BRICS 2024 Viktoria Panova, la présidente du Conseil de la présidence russe des BRICS, a également déclaré que la question prioritaire du prochain sommet BRICS 2024 en octobre était le nouveau système de paiement BRICS.
"Des efforts actifs sont en cours pour créer un mécanisme de paiement financier qui faciliterait la coopération entre les pays BRICS, en préservant leurs échanges commerciaux et économiques souverains", a-t-elle déclaré.
"Cette question est en tête de l'ordre du jour car chaque membre du groupe la considère comme importante".
Une fois le système mis en service, il offrira un accès immédiat à tous les pays membres. Une fois établi, le système devrait également entraîner une expansion des échanges commerciaux de l'alliance.
En fonction de son bon fonctionnement, il existe également de fortes chances que davantage de pays souhaitent abandonner le dollar américain et se joindre à eux. Le temps nous dira à quelle vitesse le monde s'éloignera de la domination du dollar américain pour entrer dans une nouvelle ère de commerce mondial sans dollar.
Le sommet des BRICS de l'année dernière a marqué la première fois en plus de 20 ans que l'alliance s'est développée. Elle a commencé avec le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud et s'est depuis ajoutée aux Émirats arabes unis (EAU), à l'Égypte, à l'Iran et à l'Éthiopie.
Au cours des deux dernières années seulement, les BRICS ont progressé à pas de géant pour devenir un véritable concurrent dans la lutte contre l'hégémonie occidentale. Au lieu de voir la puissance occidentale dominer la planète, les BRICS visent à créer un système de gouvernance mondiale multipolaire, ce qui constitue le nouvel ordre mondial envisagé par la Russie.
Les BRICS ont de plus en plus fait de la crypto-monnaie leur priorité. La Russie, à la tête des BRICS, a récemment adopté une loi visant à légaliser l'utilisation de la crypto-monnaie pour les règlements commerciaux, ce qui incite les pays du monde à vouloir y adhérer.
La Serbie fait partie des pays qui souhaitent rejoindre les BRICS, avec le Nigeria, la Malaisie et la Thaïlande. Le sommet des BRICS de 2024 devrait être « un événement majeur pour la croissance continue du bloc », selon une source médiatique.
Ce n'est qu'une question de temps avant que le roi dollar ne soit réduit en miettes. Pour en savoir plus, consultez DollarDemise.com.
'Changement climatique', pesticides et The Conversation
21 Août 2024
Croisez des bases de données et vous aboutissez à : « Nos estimations privilégiées suggèrent que, toutes choses égales par ailleurs, les agriculteurs augmentent leur utilisation de pesticides de 7 % à 15 % en 2050 dans le cadre d'un scénario de changement climatique RCP4.5. » Et, bien sûr, à des préconisations politiques (devinez lesquelles...). L'os ? « toutes choses égales par ailleurs ». Les évolutions agronomiques, génétiques, technologiques, réglementaires, etc., certes peu prévisibles, sont zappées. On attend mieux de l'INRAE...
Dans un point de vue publié dans le Genetic Literacy Project, Jon Entine et Kevin Folta ont laissé entendre dès le titre que The Conversation – version en anglais – était « capturé par les idéologues de l'agro-écologie ». (Ce point de vue sera publié prochainement sur ce blog.)
The Conversation est sous-titré, en très petit comme si c'était une sorte d'aveu, « L’expertise universitaire, l’exigence journalistique ». Jon Entine et Kevin Folta notent :
« [...]Malheureusement, ses normes sont en train de se dégrader. Il y a de plus en plus d'exemples de militants qui détournent le site pour promouvoir des perspectives idéologiques qui vont à l'encontre du consensus scientifique.
[…]
Ce qui est déconcertant, en revanche, c'est lorsque les gardiens de la science – que The Conversation prétend être – abusent de la confiance du public en alimentant la bouillie de désinformation. »
Il est à craindre que les mêmes préoccupations ne s'appliquent à la version française.
Une recherche sur le site avec « pesticides » comme mot clé produit pas moins de 18 résultats pour les huit premiers mois de l'année. Certains ne portent qu'incidemment sur les produits de protection des plantes. D'autres, en revanche ont pris ces produits pour cible, pas seulement au sens d'objet de l'article, mais plutôt d'objet circulaire avec des anneaux.
Voici donc, publié le 21 juillet 2024, « Le changement climatique contribue à augmenter l’utilisation des pesticides en France » de trois chercheurs de l'INRAE en économie de l'environnement, Raja Chakir, Derya Keles et François Bareille.
Ces auteurs s'appuient sur leur propre article de recherche, « Weather Shocks and Pesticide Purchases » (chocs météorologiques et achats de pesticides), publié dans European Review of Agricultural Economics. Dit autrement, ils font leur propre service après-vente.
Le résumé de l'article scientifique
En voici le résumé :
« Cet article cherche à savoir si les agriculteurs adaptent leur utilisation de pesticides pour faire face aux 'chocs météorologiques'. En utilisant un ensemble de données unique et exhaustif détaillant tous les achats de matières actives par code postal en France entre 2014 et 2019, nous expliquons économétriquement les écarts d'achat de pesticides par les chocs météorologiques. Nous identifions des impacts météorologiques hétérogènes selon les types de pesticides, les saisons et les lieux. Étant donné que nos analyses suggèrent un stockage limité des pesticides d'une année sur l'autre et l'adaptation des agriculteurs à d'autres marges, nous interprétons nos estimations comme de véritables impacts météorologiques sur l'utilisation des pesticides. Nos estimations privilégiées suggèrent que, toutes choses égales par ailleurs, les agriculteurs augmentent leur utilisation de pesticides de 7 % à 15 % en 2050 dans le cadre d'un scénario de changement climatique RCP4.5. »
Sauf erreur, il n'y a pas eu de communiqué de presse de l'INRAE.
C'est peut-être un signe...
Les auteurs ont décrit leur démarche sur The Conversation. En bref, c'est de la haute voltige sur tableur : croiser des données sur les achats de pesticides avec des données sur les températures et les précipitations, ainsi que les surfaces agricoles, et en déduire quel pourrait être le paysage en 2050, dans 26 ans.
La réaction panurgique : les pesticides, c'est mal !
Bien sûr, ils n'auront pas omis de peindre le diable sur la muraille dans The Conversation :
« Mais l’utilisation des pesticides est aujourd’hui mise en cause pour plusieurs raisons, notamment leurs impacts sur la biodiversité, sur la santé des agriculteurs, ou sur la santé des consommateurs. Leur efficacité est également mise en cause, avec des substances qui deviennent de moins en moins efficaces avec le temps. »
Les références ? Deux articles de The Conversation... dont un très spécifique sur la macrofaune de bananeraies martiniquaises désherbées au glyphosate qui semble attribuer à la molécule un effet du désherbage ; un article du Monde... qui fait l'article pour un « rapport », forcément « inquiétant », de Générations Futures ; et un article de Reporterre fondé sur un unique article scientifique traitant de recherches en Amérique du Nord – sur le seul glyphosate dans un contexte de culture d'OGM HT qui, rappelons-le, sont tricardes en Europe. Ajoutons pour ce dernier que les farmers ont été notoirement imprudents dans leur gestion du glyphosate et que la perte d'efficacité d'un produit phytosanitaire n'est pas forcément une malédiction intrinsèque de ce produit.
Comme référencement pour des allégations aussi lapidaires, on pouvait s'attendre à mieux.
Des résultats sans valeur
Mais allons au fond. De The Conversation :
« Les résultats issus de nos modèles statistiques montrent que les agriculteurs français répondent à des hausses de températures et de précipitations en augmentant leur usage de pesticides. Ainsi, toutes choses égales par ailleurs, l’utilisation des pesticides pourrait croître de 5 à 15 % en moyenne en France d’ici à 2050 sous l’effet du changement climatique, principalement via l’effet de la hausse des températures. Ces augmentations concerneraient principalement les fongicides et les herbicides et toucheraient surtout les pesticides les plus nocifs pour la santé et l’environnement. »
La première phrase est un gros bobard : les agriculteurs répondent à des problèmes de parasites, maladies et mauvaises herbes.
Ensuite, et surtout, c'est « toutes choses égales par ailleurs », une limitation qui figure aussi dans le résumé de leur article scientifique (mais celui-ci évoque une fourchette de 7 à 15 %).
Quelle valeur informative faut il attribuer à un tel pronostic qui zappe 26 années de progrès agronomiques, génétiques et technologiques (si nos Philippulus activistes, administratifs et politiques les permettent), d'évolutions socio-économiques et d'évolutions législatives et réglementaires ?
Les auteurs ont du reste bien fait de mettre un conditionnel.
Quelle valeur tirons nous aussi des euros qui ont été investis dans cette recherche ? À l'évidence, il y a un problème de gouvernance de la recherche à l'INRAE.
Des pronostics douteux
Les auteurs supputent que l'évolution concernerait principalement les fongicides et les herbicides – encore un conditionnel, non pas de prudence, mais d'ignorance et de doigt mouillé.
Mon doigt mouillé me suggère plutôt les insecticides...
L'augmentation des températures, des printemps plus précoces et des automnes plus tardifs, ainsi que la disparition des hivers froids pouvant décimer les populations hivernantes, sont propices à la faune ravageuse. Ajoutons aussi les ravageurs exotiques importés.
Pour les fongicides – toutes choses égales par ailleurs et sans égard pour les progrès en chantier ou à venir – cela dépendra(it) essentiellement des combinaisons température-précipitations.
Mais, comme déjà dit, ce sont des projections sans valeur informative.
Les évolutions « toucheraient surtout les pesticides les plus nocifs pour la santé et l’environnement » ?
Il n'y a pas la moindre preuve à l'appui de cette assertion. Au contraire, on peut penser que les gestionnaires des autorisations de mise en marché de substances phytosanitaires élimineront progressivement les molécules les plus préoccupantes (ainsi que celles qui auront fait l'objet d'intenses campagnes de dénigrement).
Mais cela permet de franchir un pas...
Bien sûr, cela débouche sur le prescriptif
Nos auteurs débouchent en effet sur le prescriptif :
« Nos résultats indiquent que le changement climatique entraînera une augmentation des usages de pesticides si rien ne change. Ils questionnent ainsi le rôle que pourraient jouer les décideurs publics pour endiguer ces évolutions. En effet, si changement il doit y avoir, celui-ci doit être porté par les décideurs, que ce soit en modifiant la réglementation (autorisation de mise sur le marché des substances actives), en modifiant les incitations (taxes sur les pesticides, ou subventions sur les pratiques économes en pesticides) ou en favorisant la recherche et le développement. »
Voilà une approche qui, en fait, n'est pas vraiment déconcertante : pour résoudre un problème, légiférons ou employons la voie administrative... L'écologie punitive... Pour des chercheurs de l'INRAE, la recherche et le développement ne sont que la deuxième option, et encore puisqu'il s'agit simplement de « favoriser » !
On marche sur la tête !
En bref, plus les pressions parasitaires seront grandes, plus le recours à des produits de protection des plantes sera nécessaire – toutes choses étant égales par ailleurs, hypothèse stupide mais nécessaire ici pour les besoins de la démonstration –, plus les décideurs devront se démener pour... restreindre l'usage de ces produits.
Quels effets sur la production agricole – d'aliments, de fibres, de matières premières, d'énergie ? Sur la sécurité alimentaire et la souveraineté ? Sur la viabilité et durabilité des exploitations agricoles ? Sur les importantes activités économiques de l'aval et donc le tissu social ? Sur notre balance commerciale ? Sur notre influence géostratégique ?
Les auteurs insistent :
« […] Alors que de nombreuses voix s’élèvent pour une accentuation de ces efforts [de réduction de l'usage des pesticides], nos résultats montrent que cette accentuation devra être d’autant plus appuyée que le changement climatique sera prononcé. »
(...) La première phrase est un gros bobard : les agriculteurs répondent à des problèmes de parasites, maladies et mauvaises herbes. (...)
Le rôle du paysan est de veiller aux cultures en les alimentant en eaux et en engrais et aussi en remèdes (préventifs) aux maladies et insectes.
Les surfaces cultivées ont -depuis des siècles - augmenter et, les surfaces défrichées (jusque là non-traitées) ont fait que le nombre de maladies et d'insectes ont été exponentiels. D'où l'intervention 'musclée' des médicaments - appelées 'pesticides ! (vendus en toutes pharmacies) - afin de contrer ces attaques qui rendent les cultures non-vivables.
Cela n'a 'presque rien à voir avec le temps qu'il fait' sinon que les pluies favorisent l'apparition d'attaquants. Rappel qu'aux Etats-Unis les températures hivernales sont passées à un -20°C ! (là où il faisait l'hiver à -10°C il est aujourd'hui à -30°C !!)
Petit rappel des latitudes:
Chicago Latitude: 41°83 Detroit 42°33 Montréal Latitude 45° Québec Latitude 46° 48' 44 N
Ce qui correspond à des latitudes approximatives (à qq km près) en France avec Avignon !
C'est-à-dire que (la Terre tourne) les climats Américains pourraient se déplacer ver l'Europe !
(New-York = Madrid (Espagne) et Miami = Nord de Dakar (Sénégal) !
Les éoliennes causent d’énormes dégâts environnementaux
21 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
L’énergie éolienne est présentée comme propre, bon marché et utile à la « protection du climat ». Cependant, les dommages qu’elle provoque sur l’environnement et sur la santé humaine et animale dépassent presque ceux de toutes les autres formes de production d’énergie électrique. Cela peut également provenir de documents provenant d'institutions renommées telles que l'Institut Fraunhofer. Sur le site de Bremerhaven, le Fraunhofer IWES propose toute la gamme d'essais mécaniques sur les structures des pales de rotor. L'infrastructure moderne est également conçue pour tester les pales de rotor d'une longueur supérieure à 100 mètres. Des éoliennes d'un diamètre de 160 à 175 mètres sont actuellement souvent installées, par exemple de la société Enercon, soit des longueurs de pales de rotor comprises entre 80 et 90 mètres, comme indiqué sur le site Internet .
Il est particulièrement important de vérifier la protection du bord d'attaque des pales du rotor. Celles-ci frappent tout ce qui peut être dans l'air comme les gouttes de pluie, les grêlons, la poussière saharienne, de plus en plus répandue ces derniers temps, mais aussi les insectes et les oiseaux. Si vous regardez les éoliennes, même par vent fort, elles se déplacent toujours calmement et majestueusement. Mais les apparences sont trompeuses.
Vitesse maximale au bout du rotor supérieure à 300 km/h
Une petite excursion dans les mathématiques nous montre que la pointe du rotor du modèle de 175 mètres d'Enercon parcourt un cercle d'une circonférence de 550 mètres. A 10 tours par minute, ce qui n'est toujours pas perçu comme particulièrement rapide, ce cercle est parcouru en 6 secondes chacun, ce qui donne une vitesse de 91,6 m/s ou 330 km/h. À 12 tours, la pointe du rotor tourne en rond à une vitesse de 110 m/s ou 396 km/h.
La variante d'un diamètre de 160 mètres, reconnaissable à la nacelle cuboïde et allongée aux bandes latérales rouges, qui a été installée très souvent, atteint encore 301 km/h en bout d'aile à 10 tours par minute, et au milieu de l'aile. lame il fait quand même 150 km/h. A cette vitesse, une goutte d’eau est aussi dure que du béton.
Fraunhofer IWES écrit à ce sujet dans sa brochure :
« Les extrémités des pales du rotor d’une éolienne atteignent une vitesse de plus de 300 km/h lorsqu’elles fonctionnent à pleine charge. À cette vitesse, les gouttes de pluie agissent comme du papier de verre sur la surface. Même de petits dommages provoquent une rugosité localisée de la surface, ce qui réduit le rendement et affecte la rentabilité et la durée de vie de l'ensemble du système.
Les éoliennes sont conçues pour des vitesses de vent assez élevées :
- voir cadre sur site -
Le tableau montre des vitesses de vent à l'arrêt de 72 à 122 km/h et des vitesses de survie de 180 à 252 km/h. Cela signifie que de telles vitesses peuvent être atteintes, comme le montrent les calculateurs d'énergie éolienne .
Dommages environnementaux avec contamination des sols par des microparticules toxiques Fraunhofer ignore le problème crucial. Chaque blessure du rotor libère des microparticules encore et encore et de plus en plus. La structure externe des pales du rotor est en plastique renforcé de fibres de verre (GRP) ou en plastique renforcé de fibres de carbone (CFRP). La rugosité confirmée par Fraunhofer continue de libérer ces microparticules toxiques et contamine ainsi le sol autour de l'éolienne. Dans un rapport que l'avocat Thomas Mock a présenté l'année dernière au parlement du Land de Basse-Saxe, la contamination est supposée dans un rayon de 1 000 mètres.
Les microparticules qui se détachent des pales du rotor sont des substances produites synthétiquement qui n'existent pas dans la nature. Ils se caractérisent par le fait qu'ils sont à la fois hydrofuges (hydrophobes), hydrofuges (lipophobes) et antisalissures. En raison de leur grande stabilité, les composés chimiques carbone/GRP/CFRP ne sont pratiquement pas détruits par les processus de dégradation courants dans l’environnement. Ils ne peuvent donc pas être éliminés des eaux usées par les processus de dégradation courants dans les stations d’épuration, qui reposent essentiellement sur l’utilisation de micro-organismes.
En d’autres termes : ils restent en permanence dans le sol ou les eaux souterraines afin qu’ils ne soient pas absorbés par les plantes et finissent ainsi dans l’alimentation des humains et des animaux.
Le carbone/GRP/CFK sont toxiques pour les humains et les animaux et sont soupçonnés d'être toxiques pour la reproduction et cancérigènes à fortes doses (y compris le bisphénol-A) et sont assimilés à l'amiante (UBA 2020).
Cette année, il y a eu une forte présence de sable saharien dans l'air en mars-avril et au début de l'été. Comme indiqué, certaines études accusent les parcs éoliens d’être responsables de l’augmentation significative de la présence de sable du Sahara. Dans tous les cas, on peut supposer que le sable présent dans l’air agit également comme du papier de verre, endommageant davantage les surfaces et provoquant ainsi un poison supplémentaire dans le sol.
Les affirmations sur la protection de l'environnement grâce aux éoliennes semblent carrément bizarres, comme le prétend ici le site Wien Energie :
- voir cadre sur site -
L'énergie éolienne n'est ni propre ni renouvelable, que le vent souffle ou non. Elle est nettement plus nocive pour l’environnement que les centrales électriques conventionnelles car elle ne contamine pas les terres agricoles à grande échelle. Non seulement ils représentent une menace énorme pour notre sécurité alimentaire, mais ils priveront probablement de nombreux agriculteurs d’une source de revenus dans un avenir pas trop lointain dès que leurs champs seront interdits d’exploitation pour cause de contamination, comme expliqué ici .
Les éoliennes ne produisent pas de gaz carbonique, mais cela accélère surtout la croissance des plantes et n'a jamais contribué au changement climatique au cours des dix mille dernières années. Mais les parcs éoliens eux-mêmes provoquent directement un réchauffement climatique régional de 0,72 degré par décennie, comme le révèlent une étude menée au Texas et une autre dans le Burgenland . Les éoliennes extraient l'énergie de l'atmosphère et modifient inévitablement le climat.
Présenter les éoliennes comme étant respectueuses de l’environnement est le plus grand canular parmi les nombreuses informations erronées sur le climat.
Bizarre : la peur de la désertification est remplacée par la panique quant à l’écologisation par davantage de gaz carbonique
21 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Outre la peur des virus, qu’ils proviennent des oiseaux, des singes ou des chauves-souris, la peur de tout ce qui touche au climat est également souvent répandue. Vous êtes totalement flexible. Plus de déserts – la peur, moins de déserts et plus de vert – aussi la peur. Compréhensible en « science du climat ».
Un article du Bulletin of the Atomic Scientists analyse le changement des objets de peur. Le passage du récit de trop de désert à pas assez de désert n’a commencé que récemment. Les données satellitaires montrant une couverture végétale croissante n’ont pas encore été correctement communiquées aux idéologues du climat. Dans certaines zones désertiques, il fait également plus chaud et plus sec. Le surpâturage et les mauvaises pratiques agricoles ont fait le reste.
Les physiciens atomiques écrivent :
« Les climatologues et les écologistes pensaient jusqu'à récemment que cette combinaison d'une sécheresse météorologique croissante et de la pression des activités humaines entraînerait un déclin de la végétation. Ils ont régulièrement mis en garde contre une désertification généralisée, que les responsables des Nations Unies ont qualifiée de « plus grand défi environnemental de notre époque ».
« La terre est en ébullition », comme aime à le dire l’ignorant secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres . Le TKP , en revanche, a fait état à plusieurs reprises du verdissement de la terre scientifiquement prouvé .
Les physiciens nucléaires analysent :
« Il fait de plus en plus chaud et sec dans le sud-est de l’Australie. Les sécheresses se prolongent et les températures dépassent régulièrement les 35 degrés Celsius (95 degrés F). Les feux de brousse sont monnaie courante. Mais d’une manière ou d’une autre, les forêts continuent de croître. L’un des écosystèmes les plus extrêmes et les plus volatiles de la planète défie la météorologie et devient plus vert.
Et l’Australie est loin d’être seule. Du Sahel africain aux Antilles arides, des déserts du nord de la Chine à l’Afrique australe, l’histoire est la même. « Dans la plupart des régions arides du monde, le verdissement se produit malgré une sécheresse croissante », explique Jason Evans, chercheur sur le cycle de l'eau au Centre de recherche sur le changement climatique de l'Université de Nouvelle-Galles du Sud à Sydney, en Australie.
Que se passe-t-il là-bas ? Les études les plus récentes concluent que la principale raison est l'augmentation de 50 % des concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis l'époque préindustrielle. Cette augmentation de gaz carbonique entraîne non seulement le changement climatique, mais accélère également la photosynthèse des plantes. Parce que les plantes peuvent utiliser plus efficacement l’eau rare, l’air riche en gaz carbonique favorise la croissance de la végétation, même dans certains des endroits les plus secs. "
Cependant, il n’est pas nécessaire d’être un physicien nucléaire pour le savoir. En tant que jardinier ou agriculteur, il suffit de gérer des serres. La fertilisation au gaz carbonique avec une concentration environ deux fois et demie supérieure à celle de l'atmosphère, soit 1 000 ppm plus/moins dans la serre , offre des conditions de croissance optimales et des rendements élevés.
Selon les connaissances scientifiques actuelles, la plage optimale pour les plantes de la région se situe entre 1 000 et 1 400 ppm (0,1 à 0,14 % en volume). Le graphique suivant montre la proportion de gaz carbonique dans l'atmosphère au cours des 160 derniers millions d'années.
- voir graph sur site -
Au fil du temps, une pénurie de gaz carbonique s’est développée. En dessous de 150 ppm, la vie végétale et donc nos vies s'arrêtent. À la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 12 000 ans, la Terre en était déjà proche, à environ 180 ppm. En raison du réchauffement qui a suivi, les océans ont à nouveau rejeté du gaz carbonique dans l'atmosphère et, heureusement, depuis le début de l'industrialisation, nous avons continué à nous efforcer de:
Pourquoi les plantes se sentent-elles mieux à des niveaux de gaz carbonique plus élevés ? Quels sont les avantages pour les agriculteurs ou les pépinières d'atteindre des niveaux de gaz carbonique plus élevés en introduisant du gaz carbonique dans leurs serres ?
Plus de gaz carbonique dans l’air signifie également plus d’humidité dans le sol. La principale cause de perte d’eau chez les plantes est la transpiration, au cours de laquelle les stomates ou les pores situés sous les feuilles s’ouvrent pour absorber le gaz carbonique. Avec plus de gaz carbonique, les stomates sont ouverts moins longtemps, les feuilles perdent moins d’eau et plus d’humidité reste dans le sol. L’absorption plus rapide de la quantité requise de gaz carbonique entraîne une croissance plus rapide, ainsi qu’une augmentation de la chaleur.
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Certains prétendent également que les plantes peuvent passer à l’oxygène lorsque les niveaux de gaz carbonique diminuent. Le problème est qu'ils sont en carbone. La réaction de photosynthèse est la suivante :
6 gaz carbonique + 6 H2O + ☀️ → C6H12O6 + 6 O2
Ainsi, 6 molécules de gaz carbonique et 6 molécules d’eau deviennent une molécule de sucre plus 6 molécules d’oxygène (O2) grâce à la photosynthèse avec la lumière du soleil. Cela crée ensuite de la cellulose, de l'écorce d'arbre, du bois, des feuilles, de l'huile d'olive, du germe de blé et de son huile, etc. En bref : la vie biologique.
Nous nous rapprochons donc actuellement dangereusement du minimum vital pour la vie sur Terre. Vous vous demandez où est passé le gaz carbonique ? Des millions d’années l’ont fait disparaître dans les profondeurs sous forme de charbon ou de pétrole. Les coraux, les huîtres et les moules en ont fait du calcaire et du calcaire (CaCO3). Dans la production de ciment, par exemple, lorsque vous bétonnez un socle de 60 tonnes pour une éolienne, celui-ci est à nouveau libéré par la réaction CaCO3 → CaO + gaz carbonioque.
Voici une courte vidéo du météorologue de longue date John Shewchuk, qui montre pourquoi plus de gaz carbonique est bon pour la vie sur Terre :
- voir clip sur site -
Image : NASA : La fertilisation au dioxyde de carbone rend la Terre plus verte, selon une étude
Les plantes poussent 80 % la nuit et seulement 20 % le jour. Le gaz carbonique est un gaz rare (0,041 % de notre atmosphère) et un gaz froid. Il est le gaz le plus lourd (1,8 gr/litre) et se situe au ras du sol. Il est responsable des gelées blanches. Il se détruit (n'existe plus) à une température supérieure à 30,9°C.
Des chercheurs indiens mettent au point un outil miniature d'édition du génome des plantes
21 Août 2024 ISAAA*
La technologie d'édition du génome a révolutionné l'agriculture, apportant des innovations prêtes à être commercialisées telles que le soja à haute teneur en acide oléique, les feuilles de moutarde à faible âcreté et les tomates à haute teneur en GABA. Le potentiel de cette technologie pour améliorer la durabilité de l'agriculture est immense.
Traditionnellement, la nucléase SpCas9, avec sa taille importante d'environ 1.350 acides aminés, a été l'outil le plus utilisé pour l'édition du génome. Toutefois, sa grande taille pose des problèmes importants, notamment pour l'acheminement efficace à l'intérieur des cellules, en particulier par le biais de vecteurs viraux. La réduction de la taille des nucléases d'édition du génome guidées par l'ARN est un objectif essentiel pour surmonter ces limitations. Des nucléases plus petites améliorent non seulement l'efficacité de l'administration, mais facilitent également la création de protéines de fusion, ce qui élargit le champ d'application de l'ingénierie du génome.
Dans une étude pionnière, des chercheurs de l'ICAR-National Rice Research Institute (NRRI), à Cuttack, ont mis au point un éditeur de génome végétal miniature dont la taille ne représente qu'un tiers de celle de la Cas9, largement utilisée. Cette nouvelle protéine d'édition du génome, dérivée de la protéine TnpB associée aux transposons de Deinococcus radiodurans, s'est avérée très efficace pour éditer de multiples gènes à la fois dans le riz, une monocotylédone, et dans Arabidopsis, une dicotylédone.
Comme Cas9, qui a besoin d'un motif adjacent au protospacer (PAM – protospacer adjacent motif) pour le ciblage, TnpB a besoin d'un motif associé au transposon (TAM – transposon-associated motif) adjacent à la séquence cible. TnpB peut cibler des régions uniques du génome que Cas9 ne peut pas cibler, ajoutant ainsi une nouvelle dimension aux capacités d'édition du génome.
L'étude, publiée dans le Plant Biotechnology Journal, présente la TnpB comme un outil hypercompact, polyvalent et prometteur pour l'ingénierie du génome des plantes, marquant ainsi une avancée significative dans ce domaine.
Lire l'article de recherche dans le Plant Biotechnology Journal. ______________
600 ans de corail aux Fidji montrent que l’océan était tout aussi chaud en 1400 après J.C.
Par Jo Nova August 21st, 2024
Pour une raison quelconque, nos indicateurs climatiques à long terme fonctionnent pendant des centaines d’années, mais semblent toujours cesser de fonctionner juste avant que la catastrophe provoquée par l’homme ne se produise. Il me semble que si un thermomètre corail-arbre-palourde-sédiment fonctionnait en 1393, il devrait fonctionner en 2020. Ce n’est pas comme si la Terre était à court d’arbres, de boue, de pollen ou de coraux.
Nous voici donc de nouveau, cette fois avec un nouveau corail fidjien qui fonctionne en continu pendant 627 ans de 1380 à 1997. Et les experts doivent coller « un enregistrement instrumental » sur les vingt dernières années pour trouver la catastrophe. Le noyau de corail unique montre que l’eau des Fidji était la même ou même légèrement plus chaude pendant la période chaude médiévale que dans les années 1990. En 600 ans d’existence de ce corail, il n’y a aucun signe que le dioxyde de carbone artificiel ait eu un quelconque effet sur les eaux autour des Fidji.
Les nouvelles données proviennent d’une carotte de corail forée en 1999, ce qui explique pourquoi elle s’arrête soudainement. Cela n’explique pas pourquoi la fin du monde est proche, mais les scientifiques inquiets ont attendu 25 ans pour évaluer la carotte de corail.
L’apocalypse est à nos portes, mais personne ne peut trouver un nouveau gros corail pour l’étudier en temps réel ?
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Coraux, Fidji, SST, MWP, LIA, Période chaude médiévale, Petit âge glaciaire
Étant donné que le Pacifique est très loin de l’Europe et de l’Antarctique, nous confirmons également, une fois de plus, que la Période chaude médiévale et le Petit âge glaciaire étaient des événements mondiaux. Une force réchauffait la Terre il y a plus de 600 ans et les experts ne savent pas ce que c’était. Puis la Terre s’est refroidie, et les experts ne savent pas non plus ce qui a provoqué ce phénomène, bien que le soleil ait été étrangement calme, mais nous ne sommes pas censés en parler. L’eau autour des îles Fidji a commencé à se réchauffer en 1800 après J.-C., bien avant que les humains n’inventent l’énergie au charbon ou les Ford modèle T.
Les experts nous disent qu’il s’agit d’un « écart significatif » par rapport à la variabilité naturelle, et de la température la plus chaude depuis 600 ans. Mais ce n’est que lorsqu’ils superposent des bouées océaniques et d’autres instruments que le « record » de température la plus chaude jamais enregistré apparaît comme par magie à la fin.
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Coraux, Fidji, SST, MWP, LIA, Période chaude médiévale, Petit âge glaciaire
Malgré le fait que les auteurs aient oublié d’indiquer les données des instruments dans la légende du graphique, la légende contient la mention en petits caractères « SST les plus récentes pour les Fidji provenant de l’ERSSTv5 (1998 à 2021) sont également indiquées en (E) (noir). » Ainsi, les seules données sur le pic « record » des coraux au cours des 20 dernières années proviennent des thermomètres (et des statistiques). Vous ne le sauriez pas ?
Donc, encore une fois, même si j’entends dire qu’il y a encore des coraux vivants autour des Fidji, la partie clé du graphique où se trouve le record de chaleur le plus élevé ne provient pas de ce corail.
Je demande depuis des années un proxy long pour montrer que nous sommes en crise. Un proxy solitaire qui évalue les températures en 2020 aussi bien qu’en 1703 ou 1492. Est-ce que quelqu’un en connaît un ?
Si les coraux et les palourdes fonctionnent aussi bien que les thermomètres, l’Australie, avec le plus grand récif vivant du monde, devrait sûrement avoir des centaines de vieux coraux que nous pourrions étudier ? Vous penseriez que si nos climatologues se souciaient du climat et disposaient de 440 millions de dollars à dépenser, ils auraient pu en trouver ? Mais peut-être doivent-ils les laisser dans des tiroirs pendant 20 ans pour avoir de la place pour ajouter les pics instrumentaux à la fin ?
Et voici de nombreux autres graphiques de l'article montrant que le CO2 n'a fait aucune différence sur le climat. A est le Pacifique Sud-Ouest. B est le détroit de Macassar, D est de Palmyre, E est le Pacifique central, F est les Galapagos, et aucun d'entre eux ne montre quoi que ce soit sur lequel nous devrions dépenser un billion de dollars.
Produit d'assimilation de données de Paleo Hydrodynamics (PHYDA)
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Coraux, Fidji, SST. Proxy.
Fig. 2. Enregistrement composite annuel Sr/Ca-SST des coraux des Fidji, simulations et reconstructions proxy du modèle WPWP, et gradient SST du SWCP.
Enregistrement composite annuel (gris clair) et moyenne mobile sur 15 ans (gris foncé) des coraux des Fidji comparé à (A) la SST simulée du Pacifique tropical sud-ouest (10° à 22°S, 150° à 180°E) basée sur la moyenne de 13 passages du CESM LME (rouge) et leur écart-type (rouge clair) ; (B) Reconstructions composites Mg/Ca de la SST du bassin chaud indo-pacifique du détroit de Makassar à partir de (25) (Newton, rose) et (26) (Oppo, violet) ; (C) SST moyennes mobiles annuelles et sur 15 ans reconstruites pour le Pacifique tropical sud-ouest à partir du PHYDA (orange) ; (D) SST moyenne mobile annuelle et sur 15 ans dérivée des données composites de coraux δ18O de Palmyra (60) ; (E) reconstruction de la SST moyenne mobile annuelle et sur 15 ans pour la région Niño 3.4 dans le Pacifique central à partir de (21) (PHYDA, jaune) et (56) (EG, vert) basée sur l'ERSSTv3 ; et (F) reconstruction de la SST des foraminifères Mg/Ca des Galapagos dans le Pacifique oriental (61) et SST déduites du Pacifique oriental à partir des diatomées épiphytes du lac El Junco, Galápagos (62). (G) Gradient SWCP moyen mobile annuel et sur 15 ans calculé comme la différence entre l'enregistrement composite de coraux des Fidji et les reconstructions de la SST Niño 3.4 à partir du PHYDA (jaune) et de l'EG (vert) et leur moyenne (noir). Les températures de surface de la mer (SST) sont présentées comme des anomalies par rapport à la période 1883-1996, sauf dans (B) où les valeurs sont relatives à la période commune aux trois relevés (1370-1840). Les périodes chaudes (froides) prolongées dans le composite des Fidji sont mises en évidence en rouge (bleu) sur la base de l'analyse des points de changement de la Fig. 1. L'analyse des points de changement pour le gradient moyen du SWCP (lignes rouge foncé) est également présentée dans (G).
La propagande de Phys Org :
Le corail fidjien révèle un nouveau record de 627 ans du climat de l’océan Pacifique Une équipe internationale de climatologues a utilisé un record de 627 ans de corail des Fidji pour révéler des informations sans précédent sur les températures océaniques et la variabilité climatique dans l’océan Pacifique depuis 1370.
Ce n’est même pas formulé comme un lien ou une association, c’est si faible que c’est une « interaction » :
L’étude publiée dans Science Advances, co-écrite par le Dr Ariaan Purich de l’Université Monash et le professeur Matthew England et le Dr Rishav Goyal de l’UNSW, montre comment le changement climatique causé par l’homme interagit avec les modèles à long terme de variabilité climatique dans le Pacifique
Suivez le long et ténu chemin errant vers le blabla « d’origine humaine » :
Les nouveaux relevés coralliens montrent que la température locale de l’océan était chaude entre 1380 et 1553, comparable à la fin du 20e siècle et au début du 21e siècle. Cependant, lorsqu’on les combine avec d’autres relevés coralliens, le réchauffement observé dans tout le Pacifique depuis 1920, largement attribué aux émissions d’origine humaine, marque un écart significatif par rapport à la variabilité naturelle enregistrée au cours des siècles précédents.
Non. Les relevés coralliens ne montrent PAS cela :
Les relevés montrent également que la température actuelle de l’océan est la plus élevée depuis 653 ans.
Et il n’y a pas non plus d’implications pour des millions de personnes, si ce n’est que nous devrions cesser de gaspiller de l’argent immédiatement :
Les travaux fournissent de nouvelles perspectives pour comprendre comment les tendances climatiques conduisent à des changements dans les régimes météorologiques et à des événements météorologiques plus extrêmes qui auront des implications importantes pour des millions de personnes vivant dans la région indo-pacifique. osystèmes dans les nations insulaires vulnérables du Pacifique. »
La question de l’argent vient ensuite : le but de creuser un trou dans un corail vieux de 600 ans est de faire la publicité de l’industrie renouvelable et de justifier des erreurs de politique gouvernementale de plusieurs milliards de dollars. Que vient faire une ligne comme celle-ci dans un communiqué de presse sur une étude scientifique sur les coraux ?
L’étude fournit une motivation supplémentaire à la communauté internationale pour continuer à œuvrer pour limiter le réchauffement à 1,5 °C en développant des ressources énergétiques renouvelables à grande échelle, pour électrifier l’économie et éliminer progressivement le charbon et le gaz.
Les scientifiques financés par le gouvernement sont devenus des prostituées du Big Government. J’aimerais avoir tort. Mais nous savons tous qu’aucun professeur financé par le gouvernement ne pourrait oser critiquer cette étude.
Merci à tous les supporters qui m’aident à financer pour que je puisse le faire.
RÉFÉRENCE
Juan P. D’Olivo et al, Coral Sr/Ca-SST reconstruction from Fiji extend to ~1370 CE reveals insights into the Interdecadal Pacific Oscillation, Science Advances (2024). DOI : 10.1126/sciadv.ado5107
J. E. Tierney, N. J. Abram, K. J. Anchukaitis, M. N. Evans, C. Giry, K. H. Kilbourne, C. P. Saenger, H. C. Wu, J. Zinke, Températures de surface de la mer tropicale pour les quatre derniers siècles reconstruites à partir d'archives coralliennes. Paleoceanography 30, 226–252 (2015).
Enregistrements Oceans2K. (PS : lorsque Steve McIntyre a disséqué l'ensemble de données Oceans2K, il a découvert que de nombreux enregistrements d'alcénones qu'il contenait s'étaient mystérieusement refroidis au cours des cinquante dernières années.)
21 août 2024 par Assoc. Professeur Lorenzo Maria Pacini
Pour répondre à cette question, quelques mots suffisent, étant donné le thème de la retraite : le prochain théâtre de guerre, a déclaré Lorenzo Maria Pacini, Assoc. Professeur de Philosophie Politique et Géopolitique, UniDolomiti de Belluno.
Il y a quelques jours, une réunion secrète a eu lieu à Trieste, à laquelle ont participé diverses autorités : des membres de l'OTAN, des membres du Conseil atlantique, des membres du groupe de réflexion hongrois Danube, lié à Viktor Orbán, des membres de l'entourage de Donald Trump, des membres du gouvernement italien. Les forces armées et la police, les représentants de l'administration municipale et les représentants de la franc-maçonnerie locale. Vous ne trouverez cette information nulle part ailleurs. Le thème de la réunion était la militarisation du port de Trieste.
Quelle en est la raison ?
Le rôle stratégique de Trieste dans la doctrine Trimarium
Nous sommes en 1942 : un livre est publié aux États-Unis d’Amérique et deviendra la pierre angulaire de la recherche américaine en matière de stratégie maritime. Il s'intitulait La stratégie américaine dans la politique mondiale et a été rédigé par le géographe universitaire Nicholas John Spykman, l'un des pères de la géopolitique maritime et disciple intellectuel de Sir Halford Mackinder. Evidemment, l'ouvrage n'a pas été un succès auprès du grand public, alors qu'il est devenu une véritable bible de la stratégie de la « route maritime » pour tous les puissants thalassocrates et a introduit le concept Rimland que nous utilisons aujourd'hui en géopolitique.
Un petit chapitre du texte est consacré à un sujet particulier : la doctrine Trimarium, désormais mieux connue sous son nom modernisé, l'Initiative des Trois Mers (3SI ou TSI). C’est une stratégie qui deviendra la règle d’or pour maintenir la puissance américaine sur le continent européen. La 3SI, également connue sous le nom de Doctrine Baltique, Adriatique et Mer Noire, est désormais considérée comme une initiative stratégique à laquelle participent 13 États membres, à savoir l'Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la République tchèque, l'Estonie, la Hongrie, la Lituanie, la Lettonie, la Pologne et la Roumanie. , la Slovaquie et la Slovénie ainsi que deux États ajoutés de facto, à savoir la Moldavie et l'Ukraine. Ce projet a été officiellement lancé en 2015 par le président polonais Andrzej Duda et la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarovič, sous la coordination minutieuse du Département d'État américain.
Lorsque les Américains sont arrivés en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale, avec l'intention non seulement de prendre des vacances d'été mais aussi d'y rester et d'établir un pouvoir durable, ils ont dû trouver un moyen de garder le continent sous contrôle, et pas seulement militairement - ce qu'ils ont obtenu grâce à la un grand nombre de bases militaires américaines dans tous les pays européens - mais aussi financièrement, économiquement et politiquement. A cette époque, l’Europe était dans une phase de division entre l’Est et l’Ouest, entre influence atlantique et soviétique. L'Europe centrale, ou plus précisément l'Europe centrale , était le pivot géographique à partir duquel pouvait s'établir l'exercice de ce pouvoir. Il fallait trouver le moyen de contrôler le continent de manière stable et durable, un besoin qui s'est fait sentir à la fin de la Première Guerre mondiale et avec l'effondrement de l'empire des Habsbourg, véritable tampon géopolitique qui a amorti de nombreuses frictions et les revendications entre Russes, Ottomans et Allemands étaient devenues urgentes. La géographie politique qui s'était dessinée avec les 14 points du programme de Woodrow Wilson n'était pas suffisante pour garantir la gouvernabilité. Même Winston Churchill était conscient de la nécessité d’un bloc solide, impénétrable pour les puissances de l’Est.
Ainsi, par accord entre Churchill et le successeur de Franklin Delano Roosevelt, une solution géo-économique fut recherchée : avec l'aide de trois clubs fédéraux, le Club de Londres, le Club de Paris et le Club de Rome, la Charte d'Intermarium fut publiée en 1945, un document basé sur les théories de l'Américain Spykman et proposant l'unification de tous les peuples de la basse Adriatique (en particulier de la mer Égée) jusqu'aux mers du nord de l'Europe, convaincu que la stabilité dans la région était primordiale pour une paix durable partout. Europe.
Il a notamment fallu tenir à distance un certain nombre de ports d'une importance capitale, comme Hambourg en Allemagne et Constance en Roumanie, mais surtout le port de Trieste. Depuis lors, la doctrine Trimarium a été appliquée de manière cohérente et décisive à travers divers accords internationaux multilatéraux affectant les routes commerciales, les institutions bancaires, les fonds d'investissement et le secteur stratégique. Tout cela a été facilité par l’effondrement de l’URSS, qui a entraîné un affaiblissement significatif des unités politiques des pays impliqués au cœur de l’Europe de l’Est.
Si l’on y réfléchit, géographiquement parlant, le Trimarium forme une sorte de triangle à l’est, proche de la frontière avec la Fédération de Russie. C’est exactement ce que fait l’OTAN depuis 75 ans, en s’étendant vers l’est pour provoquer et attaquer la Russie. La pratique est conforme à la doctrine. En réalité, il s’agit d’un instrument de contrôle pour l’ensemble de la macrorégion des Balkans, qui fait l’objet de spéculations, d’opérations militaires et de problèmes politiques et sociaux constants, délibérément maîtrisés et instables.
Le nouveau nom de l'Initiative des Trois Mers ne change pas la géométrie stratégique de l'ancien Trimarium : les ports concernés ont été agrandis, et la présence militaire américaine a été mise en œuvre dans les zones d'intérêt, dont la plus importante et constamment sous l'attention américaine reste Trieste. est. Comment ça se fait?
Le port libre de Trieste et le territoire libre de Trieste
Peu de gens connaissent le statut juridique de Trieste, qui est effectivement unique et mérite une étude approfondie (que nous ne ferons pas dans cet article, peut-être plus tard). Après la Seconde Guerre mondiale, la région de Triestine a été déclarée espace libre, conçue comme une zone démilitarisée et neutre avec un gouvernement autonome pour assurer l'équilibre entre les puissances concurrentes et la coexistence entre les différents groupes ethniques. En 1947, le Traité de Paris est signé, instaurant la paix et divisant les sphères d'influence entre les pays vainqueurs et vaincus. La 16e résolution a créé le Territoire Libre de Trieste (Territorio Libero di Trieste – TLT). Le Mémorandum de Londres de 1954 transféra l'administration civile provisoire de la zone A à l'Italie et celle de la zone B à la Yougoslavie. Cependant, avec le Traité d'Osimo en 1975, l'Italie et la Yougoslavie ont établi une frontière entre des territoires qui ne leur appartenaient pas, violant ainsi l'autonomie du TLT et le Traité de Paris. Avec la désintégration de la Yougoslavie et la division ultérieure du pays en plusieurs États, le TLT a été divisé entre trois pays - l'Italie, la Slovénie et la Croatie - qui l'ont occupé illégalement, violant les traités antérieurs et déclenchant des différends, des différends politiques et juridiques, des scandales et des protestations. des déclencheurs qui perdurent encore aujourd’hui.
L'approche italienne est particulièrement intéressante. Trieste est sous occupation administrative et militaire, comme il peut y avoir des forces armées et policières de la République italienne... et sous occupation américaine, puisque l'Italie est une colonie des États-Unis sous occupation militaire, comme en témoignent les plus de 120 bases américaines réparties dans tout le pays. territoire. À Trieste en particulier, les Américains ont créé l'école de renseignement de l'ONU et un centre de contrôle spécial de la police, qui comprend également l'Eurogendfor, qui maintient non seulement la ville mais aussi les routes commerciales sous un contrôle militaire constant.
Le port de Trieste, destiné à être un port franc international, est le port par excellence qui donne accès à l'Europe centrale à la Méditerranée, ouverte sur l'Est et l'Afrique, avec un avantage de 73% sur les autres ports européens. Son emplacement est stratégique à tous égards. C’est pour cette raison que les Américains ont souhaité en prendre le contrôle afin de mettre en œuvre la doctrine Trimarium. Le contrôle de Trieste et de son port signifie le contrôle de l’Europe du Sud et de l’Est. De Trieste à la mer Baltique, une ligne droite se dessine qui définit un « rideau de fer » imaginaire mais aussi un corridor nord-sud en termes de gazoducs et de pétrole, de routes commerciales terrestres et d’administration militaire unique des territoires.
Tout cela viole la souveraineté du TLT et les accords internationaux par lesquels il a été créé, et constitue un double acte de violence.
Parallèlement, la Chine et la Russie sont également intervenues à Trieste, la première avec d'importants investissements fortement ralentis par la sortie de l'Italie de la Route de la Soie au printemps 2024, la seconde déjà présente depuis l'ère soviétique et maintenant, après des années d'investissements, par les sanctions européennes bloquées depuis 2022.
Revenons à la réunion secrète d'il y a quelques jours. Il s'agissait de la militarisation du port, qui est déjà de facto sous contrôle militaire mais qui serait complètement assiégé si l'Italie ouvrait la Via del Cotone, la route du coton. Il s’agit d’une route commerciale alternative à la Route de la Soie, mise en œuvre dans le cadre d’un partenariat entre les États-Unis, l’Inde, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Israël, la Jordanie et l’Union européenne. Il se compose de deux connexions, une connexion ferroviaire et une connexion portuaire, et est financé par des fonds du Programme mondial d'infrastructures et d'investissement créé par le G7 en 2002 et du Global Gateway de l'Union européenne. L’objectif est de concurrencer la Chine et, plus généralement, les partenariats eurasiens et les BRICS+, dont les pays européens sont exclus en raison de l’asservissement anglo-américain.
L'Italie participera à ce corridor économique entre l'Inde, le Moyen-Orient et l'Europe à travers le mémorandum sur le port de Trieste signé en septembre 2023.
Malheureusement, la situation géopolitique en Europe - sans parler de la situation économique, catastrophique pour tous les États du continent - n'est pas tout à fait favorable : le conflit russo-ukrainien dure plus longtemps que ne l'avait prévu l'OTAN et conduit à une grande instabilité au sein du Trimarium – auquel l’Ukraine a adhéré en 2023 sous prétexte de renforcer son indépendance militaire – ; La situation au Moyen-Orient est une catastrophe historique ; l'économie de guerre n'a pas favorisé le redressement des pays européens, au contraire, elle les a plongés les uns après les autres dans un long hiver d'inflation ; le soutien international a échoué avec l’émergence d’un monde multipolaire sous direction orientale, l’hégémonie américaine dans le monde s’effondre de jour en jour, accord après accord.
Alors que faire du Trimarium et de Trieste ?
La militarisation d’un port franc international apparaît comme une provocation bien réfléchie. En violation du droit international et en recourant à une force excessive, le bloc atlantique veut élever la voix contre la Russie et la Chine et tenter de limiter leurs intérêts dans les territoires occupés. Plus probablement encore, ils tentent de consolider le « rideau de fer » de la Méditerranée à la mer du Nord afin de gérer (ou presque) l’éventuel déplacement géographique du conflit russo-ukrainien.
Essayons d'imaginer le scénario suivant : l'Ukraine s'effondre, l'OTAN et son mandataire, l'Union européenne, contraints de mener une guerre suicidaire par procuration, n'abandonnent pas et acceptent d'étendre le conflit au cœur de l'Europe. Où iraient-ils se battre ? Si l’on adopte une approche conventionnelle du conflit, la Pologne et l’Allemagne à propos de la Hongrie seraient les zones les plus optimales. Cependant, aller jusqu'en Allemagne signifierait l'effondrement de la Deutsche Bank, qui traverse déjà une crise terrible et constitue la principale source de flux monétaires de la Banque centrale européenne, ce qui est inacceptable car cela porte atteinte au système politique de l'UE et à la L’euro en tant que monnaie imploserait, avec des conséquences catastrophiques pour un dollar déjà en difficulté. Nous devons donc repousser l’ennemi et le maintenir derrière une certaine frontière. De Trieste au nord, il est donc possible de créer un théâtre de guerre délimité et gérable en bouclant l'Europe centrale avec l'aide de la Moldavie et de la Roumanie, qui se caractérise depuis des décennies par une présence militaire dense de l'OTAN et, ces dernières années, par des exercices et des écoles de guerre en Pologne, en Hongrie, en Bulgarie et en Roumanie, qui préparent les soldats à l'affrontement avec la Russie, a été constamment élargi. Rappelons que la Croatie a réintroduit la conscription et que l'Italie le fera bientôt, ce qui est déjà discuté au Parlement depuis des mois.
Que se passe-t-il à Trieste ? Pour répondre à cette question, quelques mots suffisent compte tenu du thème de la retraite : le prochain théâtre de guerre.
Et ils ne viendront certainement pas nous demander la permission de le démarrer.
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 21 août 2024
Une question de notre époque est de savoir pourquoi les Européens tolèrent la racaille tyrannique de l’UE ?
Comme je l’ai déjà signalé, l’UE a dit à Elon Musk que c’était elle, et non lui, qui contrôlait le contenu de son interview sur X avec Donald Trump. L’UE est un organe directeur non élu. Pourtant, elle prétend être démocratique. Elle prétend défendre la démocratie en Ukraine, actuellement gouvernée, si l’on peut dire, par un président non élu. L’UE prétend protéger la démocratie européenne de la Russie, mais il n’y a pas de gouvernement démocratique en Europe. Pas un seul gouvernement européen, y compris le Royaume-Uni, ne représente la population qui constitue la base ethnique du pays. Dans chaque pays européen, le gouvernement se range du côté des envahisseurs immigrés contre la population autochtone.
Les populations européennes blanches ne peuvent pas protester contre la perte de leur pays, et encore moins s’organiser pour leur propre défense. Leurs faibles protestations sont officiellement considérées comme des discours de haine et des crimes haineux. Les dirigeants ou les organisateurs des manifestations sont arrêtés et les manifestants battus. Parfois, les envahisseurs immigrés se joignent à la police pour tabasser les manifestants blancs dont le pays est volé. Il est extraordinaire que la police blanche prenne le parti des envahisseurs immigrés contre les leurs. Cela montre que la nationalité ethnique en Europe est morte et disparue. La loyauté raciale n'existe que parmi les envahisseurs immigrés.
Nous avons récemment été témoins de cela, ou du moins ceux d'entre nous qui savent utiliser les médias alternatifs, en Grande-Bretagne, maintenant connue sous les lettres UK, parce qu'elle n'est plus grande. Quand je suis née, la Grande-Bretagne était encore une grande puissance, mais aujourd'hui elle ne peut même pas tenir tête aux envahisseurs immigrés et s'est prostituée devant eux, se soumettant même à un Premier ministre indien.
Le nouveau Premier ministre britannique, lui-même un Britannique blanc, s'est violemment prononcé contre son peuple natal et pour les envahisseurs immigrés, menaçant de toutes sortes de sanctions ceux qui s'opposeraient à l'occupation de leur pays par des cultures hostiles.
Si les Britanniques étaient capables de se battre pour leur pays et de pendre les excréments se faisant passer pour le Premier ministre au lampadaire le plus proche du 10 Downing Street, d’envahir tous les commissariats de police et de se réarmer, ils pourraient restaurer le contrôle britannique sur les Britanniques, mais la confiance britannique est tellement épuisée qu’ils n’en sont pas capables. Les Allemands, les Italiens, les Hollandais, les Belges, les Suédois, les Norvégiens non plus. Pourtant, l’UE dit à tous ces pays de se préparer à la guerre avec la Russie ! C’est extraordinaire, n’est-ce pas ? L’Europe est incapable de défendre ses propres frontières contre des hordes non armées, mais elle se prépare à la guerre avec la Russie !
Même les Irlandais se soumettent à leur invasion intentionnelle par des envahisseurs immigrés lâchés sur eux par « leur propre gouvernement ».
Je viens d’apprendre par une femme blanche en Irlande que son village ou sa petite ville s’est récemment réveillée un matin et a découvert que le gouvernement irlandais avait largué 200 jeunes envahisseurs immigrés en âge de servir dans son village. Elle a lu les rapports pour dire que, comme les nouveaux arrivants n'avaient pas de femmes avec eux, les femmes irlandaises étaient censées leur fournir un réconfort sexuel, donc s'il vous plaît, pas de plaintes pour viol.
Quelle blague que l'Europe. Avec 2 000 rednecks sud-américains, je pourrais conquérir toute l'Europe. Quelle ethnie européenne va se battre pour un gouvernement européen anti-blanc ?
Que pensent les imbéciles de ces gouvernements qu'il va leur arriver s'ils entrent en guerre avec la Russie ? Qui pense que toute l'Europe et l'Amérique ont une armée équivalente à la Wehrmacht allemande qui a envahi la Russie ? Les imbéciles qui parlent d'attaquer la Chine doivent tous être accros au crack.
Attaquez la Russie et mourez. Attaquez la Chine et mourez. Les États-Unis et l'OTAN sont incapables d'attaquer l'Iran à moins de se dépêcher car le système de défense aérienne russe S-400 est en train d'être installé en Iran. Aucun missile ni avion américain ou israélien n'est capable de le pénétrer.
L'absurdité règne sur le monde occidental. C’est vrai même pour les partisans de Trump MAGA, dont on pourrait espérer que la prise de conscience prévaudra. Ce n’est pas le cas.
J’ai déjà signalé que nous avons tout lieu de penser que l’élection de 2024 sera volée aux démocrates, tout comme les élections de 2020 et 2022. Les médias prostitués américains ont transformé Kamala d’une non-candidate sans aucun soutien en une candidate qui mène Trump, en particulier dans les États clés où les procédures électorales frauduleuses ont toutes été légalisées et, au moins dans certains d’entre eux, les contestations du vote ont été criminalisées.
Que disent les Républicains à propos des Démocrates des États bleus qui ont levé l’interdiction des boîtes de dépôt de votes aux coins des rues ? Que disent-ils à propos de l’intention des Démocrates de punir ceux, y compris les observateurs électoraux, qui dénoncent des fraudes ? Ils ne disent rien. Ils demandent seulement plus d’argent. Les collecteurs de fonds républicains disent que l’élection dépend de l’argent. En d’autres termes, les Républicains eux-mêmes admettent que si Kamala collecte plus d’argent, elle gagnera. Les collecteurs de fonds républicains contribuent donc au vol de l’élection par les Démocrates.
Donc, une fois de plus, les Républicains, des mauviettes incapables de se battre, se dirigent vers une élection volée.
Les Démocrates sont organisés. Ils ont une campagne fanatique, anti-blanche et anti-chrétienne, visant à transformer les États-Unis en une tour de Babel de Soddom et Gomorrhe.
L’agenda du Parti républicain est de garder le contrôle du parti des mains d’un étranger, comme Trump. Vous pouvez voir qui va gagner cette élection.
La racaille nazie dirige, gouverne, ordonne et tue les opposants à la pédocriminalité et à l'immigration meurtrières de mercenaires étrangers. L'Europe EST DANS la merde ! Couverte par la gauche, la droite, le centre et les extrêmes ! Valorisée par Télémerde, Radiocaca et journauxdexcréments.
Quand la loi protège les squatteurs face aux mauvais propriétaire
Johan Rivalland 22 août 2024
Une fois encore. Au pays où la propriété n’a pas toujours bonne presse, les initiatives des squatteurs ont tendance à faire force de loi.
Quelles libertés défend-on en France ? Pas besoin des débats philosophiques entre Proudhon et Marx pour trancher la question de la propriété, qui fait partie des attributs susceptibles d’appartenir aux libertés humaines fondamentales. On ne le sait que depuis trop longtemps, dans la France d’aujourd’hui, le vol, c’est la propriété (en référence à cet article de 2018 toujours d’actualité et que je vous invite à relire). Et rien n’y fait, aucune volonté politique ne semble disposée à changer les choses. C’est ainsi, et c’est tout. Vous n’avez pas qu’à être propriétaire, non mais !
Quand la loi inverse les droits élémentaires
Honte aux riches. Vous avez une piscine ? Vous êtes donc un riche. Et à ce titre, vous devez non seulement vous en sentir coupable, mais en prime vous avez des devoirs. Parmi ceux-ci celui de protéger les éventuels intrus « invités » qui ne manqueront pas de venir se rafraîchir dans votre bassin le cas échéant. Après tout, c’est normal, en été c’est connu, parfois il fait chaud. Il faut donc bien partager, faire preuve d’humanité à l’égard de son prochain, que diable ! Ne soyez pas égoïste.
Mais veillez à être prévoyant. Ou il vous en coûtera.
C’est ce qui est arrivé à ces propriétaires, à Toulouse. Rendez-vous compte : en 2022, un jeune homme a l’idée de s’introduire avec des amis dans une résidence voisine pour profiter de la piscine en l’absence des propriétaires. N’ayant pas estimé correctement la profondeur du bassin, il plonge, se brise les vertèbres, et devient… tétraplégique. Un terrible drame auquel on ne peut, bien sûr, que compatir.
Sauf que… l’histoire ne s’arrête pas là.
Une conception bien étrange de la liberté et de la propriété Aujourd’hui on apprend que le jeune homme, sans doute dûment conseillé, porte plainte contre les propriétaires. Pour négligence.
On imagine la surprise et le dépit de ces derniers, déjà certainement très secoués… Malgré leur défense et les quelques mesures de précaution qu’ils avaient pu prendre, cela ne suffisait peut-être pas, semble-t-il. Or, nul n’est censé ignorer la loi, n’est-ce pas ? Et les propriétaires ont des devoirs… y compris envers les éventuels squatteurs ! Qu’on se le tienne pour dit.
Ainsi, l’article 1244 du Code civil stipule qu’un propriétaire est responsable des dommages qui pourraient advenir, même à l’égard de personnes présentes illégalement sur les lieux. Aux propriétaires, donc, d’apporter la charge de la preuve que leur logement – ou ici leur piscine – était en bon état et respectait toutes les normes de sécurité.
Liberté, égalité, fraternité. Nous sommes en France, au pays des droits de l’Homme et du citoyen (et de la citoyenne). Si vous n’êtes pas d’accord, cela n’y change rien, c’est ainsi et c’est tout.
Bon, il ne s’agirait pas de se rendre malade avec cette histoire (il est vrai que cette information peut avoir de quoi donner la nausée). Une petite BD pour vous détendre ou méditer au bord de la piscine de votre choix ? Bonnes vacances.
1°) Les mots 'Liberté, égalité, fraternité' ne sont que des projets, des oibjectifs (voire des rêves) et non des réalités. Et, pour 'le pays des droits de l’Homme'... ! HAHAHAHA !: (et non de la Femme !) ni pensez pas en dictature !
C'est-à-dire que, 2°) le 'maître de balais' à Versailles qui est là depuis 30 ans à frotter les couloirs et salons peut, très bien, du jour au lendemain, dire qu'il squatte ! Nul ne peut l'expulser, ni lui couper l'eau ou l'électricité ! ni lui faire payer un quelconque loyer !
Groupe d'étude d'Afrique du Sud : Objection à la déclaration d'une urgence liée à la variole du singe
RépondreSupprimer21 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le groupe d’étude médico-légal sur les blessures causées par les vaccins en Afrique du Sud (SAVIMS) ne soutient PAS la déclaration du CDC et de l’OMS d’une urgence de santé publique mondiale pour la variole du singe en Afrique. Dans un communiqué, le groupe s'oppose au programme de vaccination d'urgence proposé contre la variole du singe en Afrique.
Dans la déclaration, ils expriment leur profonde préoccupation face aux récentes annonces du directeur général du CDC, Jean Kaseya, le 13 août 2024, et du directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 14 août 2024. Il est important de répondre publiquement à ces annonces. Dans ses déclarations, le directeur général Jean Kaseya a déclaré à propos des vaccins contre la variole du singe : « Nous avons un plan clair pour obtenir plus de 10 millions de doses en Afrique, en commençant par 3 millions de doses en 2024. »
SAVIMS attire l'attention des institutions et autres organismes concernés sur les faits pertinents :
Il n’existe aucun vaccin obligatoire doté de preuves scientifiques documentées de niveau 1 pour la variole du singe. Les vaccins à virus vivants Jynneos et ACAM2000 actuellement recommandés par l'OMS sont a) destinés à la variole et donc expérimentaux pour la variole du singe ; b) des effets indésirables graves ont été signalés et c) ils contiennent des souches virales vivantes susceptibles de déclencher une résurgence du virus de la variole éradiqué.
L’utilisation possible de vaccins à ARNm : Il n’existe aucune preuve scientifique pour soutenir l’utilisation de vaccins à ARNm pour prévenir ou atténuer les maladies infectieuses. Les effets indésirables observés aux vaccins expérimentaux à ARNm dépassent de loin les avantages.
RépondreSupprimerLe consentement éclairé est une notion éthique inscrite dans la loi et pratiquée quotidiennement dans chaque établissement de santé. Trois critères de base sont requis pour le consentement clinique éclairé : Le patient doit être mature et correctement informé et ne doit pas être contraint. D’après les recherches actuelles, il n’est pas possible qu’un receveur de ces vaccins puisse donner un consentement éclairé légitime.
L'article d'Allan-Blitz et al, « Une déclaration de position sur la Mpox en tant que maladie sexuellement transmissible », conclut que la variole du singe est une maladie sexuellement transmissible. Les mesures préventives pour ce scénario devraient nécessiter et déclencher des initiatives appropriées de soins de santé cliniques et primaires et d’éducation ciblant le groupe à haut risque. Recommander des vaccins expérimentaux à la population générale n’est pas justifié.
Les statistiques et l'analyse des données sur la variole du singe collectées par l'OMS en République démocratique du Congo et dans d'autres pays africains nécessitent une étude plus approfondie et une vérification indépendante. Dans les zones où les statistiques les plus élevées ont été collectées, les critères des tests, les procédures de test, la sensibilité et la spécificité des dispositifs, les qualifications du personnel, les scénarios cliniques et la provocation des tests dans ces communautés spécifiques doivent être décrits. en détail. Quels tests ont été effectués pour dépister et exclure d’autres maladies, y compris les maladies transmissibles ?
Aucun rapport d'autopsie sur les décès liés à la variole du singe n'a été publié. L’absence d’autopsie formellement documentée, le manque d’informations sur la sensibilité et la spécificité des tests des appareils, ainsi que le manque d’informations sur les procédures utilisées pour valider l’échantillonnage des données diminuent et invalident encore davantage l’authenticité des statistiques.
Déclaration du SAVIMS contre un programme de vaccination d'urgence contre la variole du singe en Afrique :
Nous avons examiné la littérature et analysé les données sur la variole du singe et son étiopathogénie. D'après nos connaissances sur cette maladie :
Nous ne soutenons pas la déclaration d’une urgence de santé publique mondiale liée à la variole du singe par le CDC et l’OMS.
RépondreSupprimerIl a été prouvé que la variole du singe est avant tout une maladie spontanément résolutive. Cela ne justifie pas une intervention vaccinale.
Sur la base des preuves scientifiques, nous nous opposons fermement à la distribution « d’urgence » de vaccins contre la variole réutilisés ou d’autres vaccins proposés contre la variole du singe aux populations africaines.
Nous doutons de l’authenticité du nombre de décès liés à la variole du singe rapportés par le CDC en Afrique, à moins qu’il ne puisse être vérifié par autopsie.
Nous avertissons le public des risques associés à la prise de tout vaccin, y compris le vaccin proposé contre la Mpox, dont l'efficacité et la sécurité n'ont pas été démontrées de manière fiable dans les essais cliniques de niveau 1. Rien ne justifie un vaccin dont les effets indésirables sont inconnus.
Nous appelons le public à exercer son droit humain inhérent de refuser son consentement à des procédures médicales s’il se sent mal à l’aise.
Nous sommes ouverts au dialogue et à la discussion avec le CDC Afrique sur les questions soulevées ci-dessus et sur toutes les questions liées à la santé et au bien-être de la population africaine.
Groupe d'étude médico-légal sur les blessures causées par les vaccins SAVIMS Afrique du Sud
Voici l'original de SAVIMS : Savims_Statement_On_Proposed_Emergency_Roll_Out_Of_Vaccine_Program_In_Africa_For_Monkeypox
Un autre message de Wolfgang Wodarg :
En cliquant sur le bouton ALT dans l'image, vous obtenez la description suivante de la maladie concernée :
Description des images
1) HSV 1 : virus de l'herpès simplex de type 1 (herpès froid)
2) HSV 2 : virus de l'herpès simplex de type 2 (herpès génital)
3) VZV : virus varicelle-zona (herpès zoster)
4) VZV : virus varicelle-zona (varicelle )
5) MCV : virus Molluscum contagiosum
6) Pustules d'acné (par exemple acné au chlore)
7) Réactions cutanées allergiques avec cloques Les images proviennent du service de santé britannique, par exemple https://www.nhs.uk/conditions/genital -herpes/.
https://tkp.at/2024/08/21/studiengruppe-aus-suedafrika-widerspruch-gegen-ausrufung-des-affenpocken-notstands/
Nantes : morts aux urgences à cause des délais d’attente trop long
RépondreSupprimerScapin
21 août 2024
Quatre décès suspects aux urgences du CHU de Nantes. Les patients seraient morts à cause d’un délai de prise en charge trop lent. Quand on se rend aux urgences, il ne faut pas être trop pressé.
« L’infirmière a poussé un brancard et a bousculé un patient. Elle s’est excusée, mais le patient n’a pas répondu. Elle s’est rendu compte qu’il était déjà mort. »
Un nouvel épisode du système de santé « que le monde entier nous envie ». Et vous, vous payez combien chaque mois pour la Sécurité sociale ?
https://www.contrepoints.org/2024/08/21/478443-nantes-morts-aux-urgences-a-cause-des-delais-dattente-trop-long
Le cirque des singes de l’OMS et « l’Alliance pour la biosécurité »
RépondreSupprimer20 août 2024
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
« Mpox », l'épidémie anciennement connue sous le nom de « variole du singe », fait à nouveau le tour ces jours-ci dans les médias de premier plan et de qualité ainsi que parmi les bureaucrates de la santé dans (presque) tous les pays. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et une obscure « Alliance pour la biosécurité » ouvrent la voie, tirant les ficelles pour l’industrie pharmaceutique et ses acolytes au sein des pouvoirs publics et des organisations internationales, comme un exemple classique de « partenariat public-privé ».
Pourquoi un autre article sur « Mpox » ? Eh bien, il est facile de répondre à cette question - d'une part, puisque l'OMS est contradictoire sur la maladie et ses conséquences, et d'autre part, puisque l'« Alliance pour la biosécurité » basée à Washington, DC, en est une. des sociétés pharmaceutiques connues (par exemple : Pfizer) ainsi que des sociétés pharmaceutiques actuellement « en vogue » (Bavarian Nordic) tirent les ficelles en arrière-plan et jusqu'à présent, cela n'apparaît pratiquement pas, voire pas du tout, dans les rapports à ce sujet.
Tout d'abord, pour information : cet article représente une synthèse de deux articles pertinents parus en anglais sur mon Substack ( ici et ici ). J'ai traduit toutes les citations en langues étrangères et éventuellement. mis en évidence.
L’OMS sur « l’urgence sanitaire » actuelle
La « fiche d’information » correspondante de l’OMS a été mise à jour pour la dernière fois le 18 avril 2023 (ici et ci-dessous, tous les accès ont été effectués le 20 août 2024). Les « Conseils publics pour se remettre de la Mpox (monkeypox) à la maison » ont été mis à jour pour la dernière fois le 2 septembre 2022 (!!), ainsi que les « Conseils pour se protéger et protéger les autres contre la Mpox (monkeypox) » fournis par l'OMS du même date. D'ailleurs, ces derniers sont les suivants :
Vous pouvez être infecté par Mpox par contact étroit avec une personne présentant des symptômes. Le contact étroit comprend le contact peau à peau (p. ex. toucher, rapports sexuels anaux ou vaginaux) , le contact face à face (p. ex. parler, chanter ou respirer), le contact bouche à peau (p. ex. sexe oral) , et bouche à bouche - Contact oral (par exemple baiser). Vous pouvez également être infecté par Mpox par le biais de literie, de serviettes, de surfaces ou d'objets contaminés.
Pour ceux qui ont tendance à être plus à risque, l'OMS propose également des « conseils publics aux hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes sur la prévention de la variole du singe (variole du singe) », également disponibles jusqu'au 22 septembre 2022 (!!!) datés :
RépondreSupprimerMême si la Mpox peut toucher n’importe qui, la plupart des cas dans les pays nouvellement touchés surviennent actuellement chez des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Les personnes qui ont des relations sexuelles avec des partenaires multiples ou nouveaux sont les plus à risque . Cette épidémie est préoccupante, particulièrement pour les personnes touchées, leurs partenaires, leurs familles et leurs communautés. En savoir plus sur Mpox est la première étape pour vous protéger et protéger les autres. Connaissez votre risque pour réduire votre risque .
Encore plus étrange est le matériel d'information actuel ( sic ) de l' OMS , qui est daté du 12 août 2024 et comprend les rapports officiels au 30 juin 2024. Il y est écrit comme suit :
En juin 2024 (dernières données mensuelles complètes de surveillance de la maladie disponibles), un total de 934 nouveaux cas de Mpox confirmés en laboratoire et quatre décès ont été signalés à l'OMS dans 26 pays , démontrant la transmission continue de la Mpox dans le monde entier. Les régions de l'OMS les plus touchées, classées selon le nombre de cas confirmés en laboratoire, étaient la région Afrique (567 cas), la région Amériques (175 cas), la région Europe (100 cas), la région Pacifique occidental (81 cas) et la Région Asie du Sud-Est (11 cas). La région de la Méditerranée orientale n’a signalé aucun cas en juin 2024.
Pas plus tard qu'en mai 2024, « 646 nouveaux cas de Mpox confirmés en laboratoire et 15 décès provenant de 26 pays ont été signalés à l'OMS » ( source ). Cependant, il dit également ce qui suit :
L'OMS se félicite de l'annonce faite par l'autorité nationale de réglementation de la République démocratique du Congo d'accorder une autorisation d'utilisation d'urgence pour l'utilisation des vaccins mpox MVA-BN et LC16 , permettant au pays d'introduire et d'utiliser les vaccins mpox pour la réponse nationale à la crise. épidémie.
D'ailleurs, à la page 2 du rapport du 12 août 2024, est apportée la précision suivante, qui renforce à mon avis le scepticisme exprimé ici et ailleurs sur les intentions de l'OMS :
Du 1er janvier 2022 au 30 juin 2024, un total cumulé de 99 176 cas de Mpox confirmés en laboratoire, dont 208 décès , ont été signalés à l'OMS dans 116 pays/territoires (ci-après « pays ») dans les six régions de l'OMS (Tableau 1 ). Au total, 934 nouveaux cas ont été signalés en juin 2024, ce qui est comparable au nombre de nouveaux cas signalés en mai 2024, y compris certains cas signalés rétroactivement pour les mois précédents.
Et voilà : l'OMS mélange toutes les variantes de Mpox et mélange également les épidémies de 2022 et 2024. Soit dit en passant, il ne s'agit pas d'un « oubli », mais d'une procédure cohérente, comme le montre le tableau 1 mentionné - notez que Le nombre de « cas » en Afrique est négligeable en raison de ce mélange, car environ 91 % de tous les « cas » cumulés se produisent aux États-Unis et en Europe.
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
A noter qu'au 30 juin 2024, la tendance est à la baisse au niveau mondial (-3%), avec 91% des « cas » venant d'Amérique et d'Europe. Pourtant, il n’y a qu’une seule région où ces « cas » ont augmenté entre mai et juin 2024 : l’Afrique.
Mais maintenant, nous devons utiliser le chapeau en aluminium, car il semble que ce cirque des singes ait pour but « d’aider » les pays africains à accéder aux « tests, à la surveillance et aux vaccins », qui sont tous fournis par de grandes sociétés occidentales comme Bavarian Nordic et leur du genre sont fournis.
L’« Alliance pour la biosécurité »
Dr. Robert Malone (je l'ai lu ici) a souligné que « l'urgence de santé publique » que l'OMS a déclarée en 2022 au motif de la « variole du singe » aurait expiré hier, le 19 août 2024. Ce serait le cas, mais l’amalgame des « épidémies » de 2022 et de cette année offre désormais l’opportunité d’entretenir l’illusion d’une « urgence sanitaire » ininterrompue et continue. L’enjeu est bien trop important pour l’OMS, ses donateurs d’un milliard de dollars – cela inclut à la fois les acteurs étatiques (par exemple l’Allemagne, l’UE) et les acteurs non étatiques (par exemple Bill Gates, sa fondation, etc.) – et les grandes sociétés pharmaceutiques.
Martina Binnig a récemment écrit un aperçu et une chronologie utiles à ce sujet dans Axis of Good , que je vous recommande de lire.
Personnellement, j'aime beaucoup la présentation de Mme Binnig, mais je pense qu'il manque une information pertinente :
Selon l'entrée Wikipédia de Meridian Medical Tech, toutes les sociétés pharmaceutiques mentionnées ci-dessus - Bavarian Nordic, Meridian Medical Tech (qui est affiliée au groupe Kindeva) - sont membres d'une autre organisation spéciale :
Meridian est membre de l' Alliance pour la biosécurité [7] , un groupe d'entreprises engagées dans la prévention et le traitement des maladies infectieuses graves, en particulier celles qui posent un problème de sécurité mondiale. [8]
Par exception, j'ai décidé de laisser les références ici pour garantir un maximum de transparence. Si vous souhaitez suivre le lien vers l’« Alliance pour la biosécurité » au nom orwellien , voici une liste de membres sur Wikipédia :
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En plus de Bavarian Nordic et Meridian Medical Tech (notez le suffixe « /Pfizer »), j’ai mis en avant Emergent BioSolutions, la tristement célèbre société qui a produit les vaccins dits vectoriels à base d’ADN pour Johnson & Johnson et AstraZeneca. Et a connu certains « problèmes de fabrication » (entraînant des blessures graves, voire des décès). À titre d'expérience de pensée, considérons la constellation suivante : si vous, en tant que petite et/ou moyenne entreprise, rencontrez ce type de problèmes majeurs - y compris la production de produits qui blessent et/ou tuent des personnes de manière permanente - vous le découvrirez bientôt. si votre entreprise en possède également, ce qu'on appelait protekcija (dans mon pays d'origine, on l'appelle, entre autres, « vitamine B »).
Bien sûr, la bien nommée « Alliance for BS » (mon terme) possède également son propre site Internet (qui est particulièrement génial) qui propose cette merveilleuse définition d'un nouveau type de fascisme pour le 21e siècle :
La biosécurité est étroitement liée à de nombreuses agences gouvernementales dans des processus souvent opaques. L’Alliance évolue dans ces domaines complexes au nom de tous ses membres – entreprises biopharmaceutiques et partenaires laboratoires et universitaires.
Le problème pourrait difficilement être mieux décrit avec ce réseau d’organisations internationales, de blocs supranationaux (par exemple l’UE), de juridictions nationales et d’acteurs du « secteur privé » ( sic ). Un voyou qui pense mal.
En outre, « l’Alliance pour le BS » a embauché un cabinet d’avocats international de premier plan, Squire Patton Boggs , comme « secrétariat ». Basé à Washington, DC, Squire Patton Boggs est, selon Wikipédia , « l'un des plus grands cabinets d'avocats au monde en termes de nombre total d'employés et de revenus bruts, le 12ème plus grand cabinet d'avocats du Royaume-Uni en termes de revenus et l'un des plus grands cabinets d'avocats au Royaume-Uni en termes de revenus. 12 plus grand, mesuré par le nombre de pays représentés ».
De plus, Squire Patton Boggs est « actuellement l’une des plus grandes sociétés de lobbying au monde », comme l’indique également la même entrée Wikipédia. En plus de l'industrie pharmaceutique, leurs clients comprennent apparemment également des personnalités connues comme... eh bien, je laisse Wikipédia s'en occuper :
L’entreprise a fait et continue de faire pression sur les Saoudiens après des spéculations selon lesquelles son client, le prince Mohammed ben Salmane, aurait ordonné l’assassinat d’un journaliste du Washington Post d’origine saoudienne nommé Jamal Khashoggi en 2018 pour avoir critiqué la monarchie absolue.
RépondreSupprimerIl est intéressant de noter que John Boehner, ancien président de la Chambre des représentants, Trent Lott (ancien sénateur américain) et un grand nombre d'autres hommes politiques américains - notamment, je crois, un certain Ron Brown, aujourd'hui décédé, ancien secrétaire américain au Commerce et , selon Wikipédia, ancien président du Comité national démocrate - répertorié dans la section Personnes notables et anciens élèves.
Résumé et perspectives
En résumé, tous les acteurs impliqués dans l'escroquerie Mpox sont connectés via « l'Alliance pour la biosécurité », une organisation faîtière quelque peu douteuse basée à Washington, DC, dont le « secrétariat » ( sic ) est dirigé par l'un des principaux cabinets d'avocats et de lobbying, L'écuyer Patton Boggs, dont les clients comprennent les dirigeants les plus infâmes de la planète.
Et maintenant, l'OMS, le CEPI, GAVI et les autres organisations des Nations Unies - l'UNESCO (!!) est spécifiquement mentionnée - ainsi que l'UE, l'industrie pharmaceutique et pratiquement tous les autres acteurs industriels odieux disent une fois de plus : « Faites-nous confiance » et « Suivez-nous ». nous." Science™".
Avertissement emptor.
https://tkp.at/2024/08/20/who-affenzirkus-und-die-alliance-for-biosecurity/
Le système britannique d’indemnisation des dommages causés par les vaccins exige que les personnes soient « handicapées à 60 % » pour recevoir une indemnisation pour leur blessure causée par le vaccin
RépondreSupprimer20/08/2024
Lance D Johnson
Les personnes blessées par les vaccins COVID-19 méritent d’être correctement indemnisées pour les frais médicaux, la perte de vie et de moyens de subsistance et pour la douleur et la souffrance. Les familles qui ont perdu des êtres chers à cause du vaccin devraient pouvoir faire des réclamations pour décès injustifié. Cependant, lors du déploiement des vaccins COVID-19, les gouvernements du monde entier ont conclu des contrats avec les fabricants de vaccins, les exonérant de toute responsabilité lorsque leurs produits causent des dommages aux personnes !
Cela signifie que les gouvernements et les fabricants de vaccins savaient qu’il y aurait des blessures causées par les vaccins, mais ces entités ont conspiré pour garder ce fait connu secret. Les fabricants de vaccins et les organismes gouvernementaux ont faussement annoncé les vaccins comme étant « sûrs et efficaces » tout en refusant aux individus un consentement éclairé approprié, dans un processus élaboré de coercition et de tromperie.
Pour les États membres de l’UE, le vaccin AstraZeneca a été acheté en gros en août 2020, uniquement si les pays indemnisaient le fabricant pour les responsabilités. « Afin de compenser ces risques élevés pris par les fabricants, les accords d’achat anticipé prévoient que les États membres indemnisent le fabricant pour les responsabilités encourues dans certaines conditions... »
Le système britannique d’indemnisation des dommages causés par les vaccins ne compense que 2 % des réclamations
RépondreSupprimerMême avec ces contrats frauduleux en place, des milliers de personnes blessées par les vaccins ont intenté des poursuites auprès des systèmes d’indemnisation des dommages causés par les vaccins mis en place de longue date par leurs gouvernements. Ces systèmes ont été mis en place il y a des décennies pour indemniser les dommages causés par les vaccins traditionnels. Ces systèmes gérés par le gouvernement, bien que ne tenant pas directement les fabricants de vaccins responsables, permettent néanmoins de reconnaître et d’indemniser certains cas de dommages causés par les vaccins. Cependant, ces systèmes gérés par le gouvernement rejettent la grande majorité des réclamations.
Le système britannique d’indemnisation des dommages causés par les vaccins (VDPS) refuse d’indemniser 98 % des réclamations pour dommages causés par les vaccins parce que les personnes blessées par les vaccins ne sont « pas suffisamment handicapées ». Ce système a été mis en place en 1979 pour indemniser les préjudices causés par les vaccins traditionnels.
Selon une demande d’accès à l’information, près de 14 000 personnes en Grande-Bretagne ont demandé une indemnisation par l’intermédiaire du VDPS pour les handicaps causés par les vaccins COVID-19. Au Royaume-Uni, des personnes ont été contraintes de prendre le vaccin Oxford-AstraZeneca Covid-19, développé par l’Université d’Oxford et la société anglo-suédoise AstraZeneca. Les personnes ont été enfermées, discriminées et séparées de la société jusqu’à ce qu’elles se conforment aux mandats de vaccination et aux passeports vaccinaux mis en œuvre au Royaume-Uni.
Sur les près de 14 000 personnes qui ont initialement demandé une indemnisation, seules 175, soit 2 %, ont reçu une indemnisation. Pour aggraver les choses, cette indemnisation unique ne couvre souvent pas les frais médicaux de base, et encore moins la douleur et la souffrance infligées aux personnes. Le maigre paiement de 120 000 £ (155 300 $) ne tient pas compte de la perte de moyens de subsistance et ne prend pas en compte la perte de revenus. couvrir de manière adéquate les dommages à long terme causés à la santé, à la carrière et aux moyens de subsistance d’une personne.
De plus, le paiement unique est uniforme et ne tient pas compte des besoins médicaux uniques de chaque individu. Une personne qui souffre maintenant de caillots sanguins ou qui a eu une crise cardiaque après avoir pris le vaccin devrait avoir accès à un bassin d’indemnisation plus large qui couvre les préjudices graves et les coûts financiers élevés infligés par le vaccin.
Le gouvernement britannique se moque des handicapés blessés par les vaccins
RépondreSupprimerSelon la demande FOIA, les personnes demandant une indemnisation ont souffert d’accident vasculaire cérébral, de crise cardiaque, de caillots sanguins, d’inflammation de la moelle épinière, d’enflure excessive et de paralysie faciale. Au lieu d’indemniser correctement ces personnes, le gouvernement britannique a rejeté 98 % des demandes. Selon le rapport, des centaines de personnes ont été refusées parce qu’elles n’étaient « pas suffisamment handicapées ». Selon le VDPS, un demandeur doit être handicapé à au moins 60 % pour être admissible. Le VDPS est essentiellement conçu pour se moquer des victimes de blessures causées par les vaccins, en refusant d’indemniser les personnes handicapées.
Ce mépris insensible pour la vie et la dignité humaines est le fait d’un gouvernement britannique qui a imposé le vaccin AstraZeneca à sa population, malgré l’arrêt de la vaccination par l’Allemagne, l’Italie, la France et de nombreux autres pays européens dès mars 2021. Il convient de noter que, parmi les demandes d’indemnisation, 97 % des blessures ont été causées par le vaccin Astra-Zeneca, qui avait été imposé par le gouvernement. En mai 2021, AstraZeneca a admis que son vaccin provoquait des caillots sanguins et a retiré son produit dans le monde entier. Cependant, comme les fabricants de vaccins ne sont pas tenus directement responsables, ils sont autorisés à créer des vaccins de rappel pour les futurs variants du coronavirus, tout en affirmant que leurs nouvelles formules sont plus sûres et plus efficaces.
Dans ce système maudit, les mensonges et les souffrances ne feront que continuer, car les fabricants de vaccins continueront de nuire au public en toute impunité et les gouvernements refuseront d’indemniser adéquatement les victimes des dommages causés par les vaccins.
Sources include:
RT.com
EC.Europa.eu
https://www.naturalnews.com/2024-08-20-uk-vaccine-damage-payment-scheme-requires-60percent-disabled.html
Le nouveau certificat de vaccination de l’UE comme menace pour les libertés fondamentales
RépondreSupprimer21 août 2024
de Thomas Oysmüller
Sans vaccination, pas d'accès à vos transactions bancaires et pas de voyages gratuits : selon un avocat néerlandais, ce sont les options qu'ouvre le certificat de vaccination de l'UE.
L’UE s’efforce constamment d’introduire le certificat de vaccination numérique européen (EVC) . Les tests débuteront en septembre en Belgique, en Allemagne, en Grèce, en Lettonie et au Portugal . Ce n’est qu’une question de forme si l’identification numérique sera à un moment donné disponible dans l’ensemble de l’UE – cela est également garanti par la feuille de route vers l’identification numérique pour tous les citoyens de l’UE. Selon l’avocate néerlandaise Meike Terhorst, le passeport n’est pas seulement un moyen pour de futures vaccinations forcées, mais aussi pour la construction d’une société numérique globale de contrôle et de coercition.
Un instrument de grande envergure
Les vaccinations obligatoires ne seraient donc qu’un des points que la carte de vaccination numérique de l’UE vise à faciliter. Dans son entretien qu'elle a donné début août, Terhorst affirme également que l'EVC pourrait également devenir un instrument de « restriction de la souveraineté personnelle et nationale ». Ainsi, l’EVC – en combinaison avec l’identification numérique – irait bien au-delà des exigences en matière de vaccination.
L’EVC s’inscrit dans la mise en place de l’identité numérique. Non seulement les données de santé et de vaccination d'une personne y seront résumées, mais également les cartes d'identité personnelles et les données financières. Cela crée un lien entre les documents médicaux (y compris les vaccinations) et les données personnelles.
L'EVC s'inscrit dans la continuité du certificat de vaccination de l'UE, mais son fonctionnement est complètement différent :
« Ils travaillent là-dessus depuis des années. Et cela fonctionne parfaitement, et tout est connecté, comme l’infrastructure bancaire, les informations médicales personnelles, l’assurance – tout est connecté.
Selon Terhorst, cela viole la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, qui reprend les grands principes de la Déclaration de Nuremberg au chapitre 1, article 3 - "Droit à l'intégrité de la personne". Cela inclut le droit au « consentement libre et éclairé de la personne concernée » en ce qui concerne les actes médicaux et « l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties une source de gain financier ».
RépondreSupprimerMême si l’on ne peut ou ne veut pas supposer que la liberté financière sera liée à l’avenir au statut vaccinal, le développement de l’identité numérique dans l’UE rendrait cela possible, du moins en théorie.
L’avocat voit également les projets de réforme de l’OMS dans ce contexte. Elle a également évoqué le nouveau plan néo-zélandais de prévention des pandémies, qui comprend également des vaccinations obligatoires. TKP en a fait état.
Le résumé de l'avocat :
« C’est un grand conglomérat qui dirige le monde, et c’est ce conglomérat qui veut un changement dans le système financier. Et le changement qu’ils souhaitent est de pouvoir décider du montant d’argent que vous avez sur votre propre compte bancaire en utilisant la CBDC, la monnaie numérique de la banque centrale.
Fondamentalement, et je pense qu’il est très important que tout le monde le comprenne, ce n’est pas une question de santé, c’est une question d’argent. Ils veulent faire de vous une sorte de laquais, quelqu'un qui n'a aucun droit réel.
La politique évolue de plus en plus vers un gouvernement ou un système politique dans lequel vous n’avez aucun droit, aucune propriété et aucun droit de dire non.»
Cliquez ici pour l'interview de l'avocat néerlandais.
https://tkp.at/2024/08/21/neuer-eu-impfausweis-als-bedrohung-von-grundfreiheiten/
Une étude confirme des lots particulièrement nocifs d'injections d'ARNm de Pfizer
RépondreSupprimer21 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Nous savons depuis longtemps qu'il existe de sérieuses différences en termes d'effets secondaires nocifs et de décès dans les lots de production des seringues à ARNm de BioNTech/Pfizer. Vous pouvez découvrir les dangers d’un lot sur la page Quelle est la gravité de mon lot . Les différences ont été confirmées par des études, mais il reste difficile de savoir si la production ne peut pas être mieux gérée, si elle est bâclée ou intentionnelle.
En avril 2023, des chercheurs danois ont découvert trois groupes de lots de vaccins Pfizer-BioNTech contre le COVID-19 présentant des taux d'événements indésirables faibles, moyens et élevés ( rapport TKP ici ). En janvier 2023, TKP a rendu compte d'une analyse de Florian Schilling sur la manière dont les doses périmées sont utilisées. Des différences extrêmes en termes d’effets secondaires et de décès sont apparues entre les différents lots, ce qui ne serait pas possible avec une qualité homogène.
Comme indiqué, les effets secondaires et le lot ont également été enregistrés dans le système de déclaration en Australie. Les autorités ont procédé à des contrôles de qualité sur les lots. Il y avait de sérieuses différences dans la qualité et la quantité de l’ARN. Les mauvais lots présentaient des niveaux d'impuretés particulièrement élevés. Dans certains des mauvais lots, la durée de conservation a apparemment été délibérément et délibérément prolongée.
Sur les 382 lots utilisés en Australie, 10 étaient particulièrement dangereux, dont 4 ont été prolongés. Les lots prolongés pouvaient être conservés pendant 31 jours après décongélation pour les vaccinations des plus de 12 ans et 70 jours complets pour les enfants de moins de 12 ans. Il y avait des instructions d'utilisation spéciales du gouvernement australien pour les lots utilisables les plus longs. Les instructions et les lots correspondants ont été envoyés aux foyers pour personnes handicapées. Nous le savions donc très bien. Plus d' informations à ce sujet ici .
RépondreSupprimerUne nouvelle étude confirme les différences entre les lots
Une nouvelle étude menée par des chercheurs scandinaves vient de confirmer que Pfizer a distribué de dangereux « mauvais lots » de seringues à ARNm. L’étude a été commandée après qu’une étude danoise antérieure de 2023 ait rapporté que les receveurs d’injections d’ARNm de certains lots présentaient des taux très élevés d’effets secondaires et de mortalité.
La nouvelle étude de Vibeke Manniche et al intitulée « Reports of Batch-Dependent Suspected Adverse Events of the BNT162b2 mRNA COVID-19 Vaccine: Comparison of Results from Denmark and Sweden » 19 : Comparaison des résultats du Danemark et de Suède) visait à déterminer le cause de l’augmentation des événements indésirables graves et des décès au Danemark et en Suède.
L’équipe de recherche composée de quatre personnes a cherché à confirmer les résultats précédents de l’étude danoise de 2023 dans un ensemble de données indépendant en analysant les enregistrements accessibles au public des événements indésirables suspectés. Ces EIG ont été signalés aux autorités nationales du Danemark et de la Suède. Les deux pays disposent d'une base de données commune pour ces rapports, qui sert d'équivalent au système de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins ( VAERS ) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.
L'analyse des données suédoises a montré que les effets secondaires signalés étaient répartis sur des lots de vaccins présentant trois profils d'effets secondaires très différents. Cela montre qu’il y a eu une augmentation des effets secondaires dans les mêmes lots qu’au Danemark.
La nouvelle étude confirme également les différences entre les sexes visibles dans la base de données des effets secondaires de l'EMA, à savoir que la grande majorité (75 %) des effets secondaires signalés concernaient des femmes. L'un des auteurs de l'étude, le statisticien Max Schmeling, déclare :
RépondreSupprimer« Il pourrait y avoir plusieurs raisons à cette différence observée entre les sexes. Mais quelle qu’en soit la raison, il s’agit d’un signal de sécurité sur lequel les autorités auraient dû enquêter.»
Le signal de sécurité dépendant du lot observé au Danemark et maintenant confirmé en Suède a montré que Pfizer a expédié des lots dangereux de ses injections BNT162b2 Covid.
La recherche a révélé qu'en Suède et au Danemark, la probabilité d'effets secondaires après les injections Covid de Pfizer dépendait en grande partie du lot de produit reçu par la personne.
Cependant, les effets secondaires et les taux de mortalité sont restés élevés, ce qui suggère qu’une grande partie des doses distribuées provenaient de lots dangereux.
Les auteurs expliquent en outre :
« La confirmation actuelle par les données suédoises du signal de sécurité dépendant du lot rapporté par le Danemark conforte l'hypothèse selon laquelle les premiers lots commerciaux du vaccin BNT162b2 pourraient avoir différé des lots ultérieurs et que la surveillance de la qualité du produit et la pharmacovigilance au niveau des lots lors de l'introduction du le vaccin BNT162b2 pourrait avoir été sous-optimal.
Des différences aussi importantes dans les déclarations d’effets indésirables liées à des lots spécifiques d’un produit médical auraient normalement conduit à des examens de sécurité et à des rappels de produits.
Cependant, ces signaux ont été ignorés par les autorités sanitaires.
https://tkp.at/2024/08/21/studie-bestaetigt-besonders-schaedliche-chargen-der-mrna-spritzen-von-pfizer/
L’avenir – Comment ils nous contrôleront tous. « L’État profond » se prépare-t-il à une autre « plandémie » ?
RépondreSupprimerPar Peter Koenig
Recherche mondiale,
20 août 2024
Tout ce qui concerne l'avenir n'est que spéculation.
Mais à ce stade, il convient de mentionner les rumeurs pour que le grand public ait une idée de ce que les analystes pensent que cela pourrait arriver.
Il ne fait aucun doute que « l’État profond » [les services secrets au nom des grands établissements financiers, informatiques et énergétiques] agit par l’intermédiaire du Forum économique mondial (WEF), de l’ONU et de l’OMS, ainsi que du Conseil européen (CE) non élu.
Aucune de ces entités n'a jamais été élue. Le WEF et l’organe politique de l’ONU dirigé par M. (marionnette) Guterres ont conclu un accord de coopération illégal en juin 2019 pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030.
L’ONU a depuis longtemps cessé d’être l’artisan de la paix et le médiateur de la paix pour lesquels elle avait été conçue .
Au lieu de cela, l’ État profond a mis à sa tête ses marionnettes qui se conforment pleinement à son « agenda » – et cet agenda n’est pas pour le bien du peuple, bien au contraire.
Il y a quelques jours, M. Tedros, directeur général de l'OMS – jamais élu librement, mais nommé grâce au pouvoir financier de la Fondation Bill Gates – a déclaré une urgence sanitaire mondiale.
Dans le jargon protocolaire de l'OMS, on l'appelle « Urgence de santé publique de portée internationale » (PHEIC) , en raison de la prétendue épidémie de Monkeypox, désormais appelée pour une étrange raison « non discriminatoire » « Mpox ».
Selon eux, l’épidémie s’est produite au Congo – un pays riche en terres rares, en or et bien d’autres minéraux précieux. Selon le directeur général de l'OMS, Tedros (9 août 2024)
« Depuis le début de cette année, la République démocratique du Congo connaît une grave épidémie de Mpox, avec plus de 14 000 cas signalés et 511 décès. Au cours du mois dernier, environ 50 cas confirmés et d’autres cas suspects ont été signalés dans quatre pays voisins de la RDC. »
Certains experts médicaux, pas encore informés, affirment qu'il s'agit d'une forme plus bénigne que la variole du singe d'origine. C’est moins que rien, comparé à l’infection annuelle par la grippe ; entre 40 et 60 millions par an rien qu’aux États-Unis.
RépondreSupprimerIl est à noter que ces soi-disant « cas confirmés » au Congo sont le résultat du test de réaction en chaîne par polymérase appliqué au mpox (test PCR) qui ne détecte pas le virus.
Alors pourquoi la PHEIC ?
En premier lieu, pour effrayer les gens du monde entier ;
Deuxièmement , voir jusqu’où l’OMS peut aller pour imposer sa tyrannie parce que le soi-disant Traité sur la pandémie qui lui donnerait des pouvoirs dictatoriaux universels n’a pas été approuvé lors de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS) de mai 2024.
Ne vous inquiétez pas, ils n’abandonneront pas. De nombreuses activités allant dans le sens de la tyrannie de l'OMS sont prévues pour la prochaine Assemblée générale des Nations Unies (AG) ;
et troisièmement , avec la PHEIC en place, ils peuvent exiger des confinements, le port de masques, des mandats de vaccination – les mandats tueurs.
Il ne faut pas oublier que TOUS les vaccins, appelés « vaccins » par l’industrie pharmaceutique, sont basés aujourd’hui et à l’avenir sur la technologie de l’ARNm, dont nous savons après le covid qu’elle est désastreuse et qu’elle est une injection tueuse.
Elle sert, comme lors du procès covid, à décimer encore davantage la population mondiale. Les progrès dans les tentatives criminelles visant à réduire la population mondiale ne progressent pas assez vite, ils doivent donc inventer de plus en plus de plandémies, donc des mandats de vaxx – on dit qu’ils seront imposés par l’OTAN. L’OTAN veillera à ce que personne n’y échappe.
Où iraient-ils de toute façon ? Les 194 pays ont tous été cooptés, soumis à des pressions, soumis à du chantage et même menacés. Ce que signifie ce dernier, nous l'avons vu pendant le covid, lorsque plusieurs chefs d'État refusant le mandat covid, principalement en Afrique, sont décédés dans des circonstances inhabituelles,
Kary Mullis , l'inventeur de la technique de réaction en chaîne par polymérase (PCR) – le test qui a permis à la plandémie de prospérer – et qui a partagé le prix Nobel de chimie en 1993 avec Michael Smith.
RépondreSupprimerKary Mullis est décédé mystérieusement le 7 août 2019, quelques mois seulement avant que la pandémie de Covid-19 ne frappe le monde à minuit le 31 décembre 2019 – l’ouverture de l’Agenda 2030 ?
Le Dr Mullis a déclaré dès le début que la PCR ne détecte aucune maladie.
Malgré les preuves mondialement connues selon lesquelles le test PCR ne détecte aucune maladie, il est actuellement à nouveau utilisé pour déterminer la présence de Mpox chez l'homme.
Le franc-parler du Dr Mullis à propos du PCR, de ce qu'il fait et de ce qu'il ne fait pas, lui a peut-être coûté la vie.
Le regretté Dr Kary Mullis. Son héritage prévaudra.
- voir clip sur site -
Vidéo « C'est ainsi qu'ils nous contrôleront tous ! » Des plans pour la pandémie 2.0 émergent
(Expurgé – vidéo de 19 min, 17 août 2024)
- voir clip sur site -
Malgré les preuves mondialement connues selon lesquelles le test PCR ne détecte aucune maladie, il est actuellement à nouveau utilisé pour déterminer la présence de Mpox chez l'homme.
Mpox au Congo. Pourquoi ? En période de confinement et sous la direction de l’OTAN, l’exploitation des terres rares et d’autres minéraux au Congo pourrait commencer immédiatement.
Bien sûr, pendant que nous spéculons, eux – Deep State & Co. – spéculent également. Leur pari est qu’une grande partie de la population suivra à nouveau. Pendant ce temps, nous, le peuple, jouons et espérons qu'un nombre suffisant de personnes, de médecins et d'institutions de santé, auront désormais vu la lumière et ne participeront plus une seconde fois à ce crime contre l'humanité.
Ils disposent donc d’une position de repli. Chaos, guerre civile – des ravages, commençant peut-être en Afrique, mais plus probablement dans l’un des pays occidentaux, aux États-Unis, en Europe – nous spéculons. Ou peut-être pas tellement. Le film « Civil War » a été réalisé en dehors d’Hollywood, à partir de 2022 à Atlanta et plus tard à Londres. En avril 2024, « Civil War » est sorti dans le monde entier. Sauf en Chine, il n’est sorti dans les salles de cinéma qu’en juin 2024.
RépondreSupprimerPeut-on parler de planification prédictive de « guerre civile » ?
Il y a aussi cet obscur « module de formation » de la CIA – qui s’adresse aux médecins, avocats, hommes d’affaires, enseignants, dirigeants d’entreprise. Ces professionnels vont être recrutés comme croisés sociaux pour le groupe politique que la CIA promeut dans le but de renverser le gouvernement [américain].
- voir doc sur site -
La même chose ou une situation similaire pourrait bien sûr se produire en Europe. Elle est en bonne voie, par d’autres moyens, avec l’introduction des certificats numériques Vaxx. À partir de septembre 2024, le certificat numérique sera testé dans cinq pays sélectionnés de l’UE : la Lettonie, la Grèce, la Belgique, l’Allemagne et le Portugal.
Voyez ceci .
- voir doc sur site -
Vrai ou faux ?
Nous pouvons espérer qu’il s’agit là d’une pure campagne de peur et que cela n’arrivera pas parce que la résistance est trop forte.
Mais en regardant de plus près les pays « pilotes », vous verrez qu’ils ont tous des antécédents d’obéissance extrême, du Portugal à l’Allemagne, et tous les autres. Si les résultats de l’essai sont positifs, on peut s’attendre à ce que l’exercice soit étendu au reste de l’Europe et bientôt aux États-Unis et à ce que nous appelons encore « l’Occident global ».
La fausse plandémie Mpox serait idéale pour « tester » le cas, les mandats de vaxx forcés – et cela avec l’aide de l’OTAN, comme cela a été dit à plusieurs reprises.
L’OTAN est passée d’une force de défense occidentale en 1949 à l’un des agresseurs les plus ardents au monde – et maintenant en tant qu’exécutant des mandats vaxx – qui joue son rôle meurtrier en aidant au génocide de larges segments de la population mondiale, sinon par la guerre, du moins par les vaxx.
RépondreSupprimerCe serait une manière d’atteindre un contrôle total, sans utiliser dans un premier temps un système monétaire numérique. Le numérique progresse rapidement, mais la résistance grandit également.
La vaccination forcée contre un « virus » – probablement aucun virus – qui ne provoque même pas une maladie mortelle, mais est moins nocive que la grippe commune, signifie clairement que la vaccination est une condamnation à mort pour tous ceux qui la reçoivent ou sont forcés de la recevoir.
Cela s’inscrit dans l’objectif numéro un de la Grande Réinitialisation / Agenda 2030 des Nations Unies – LE DÉPOPULATION. Les bénéfices qui en résulteront pour l’industrie pharmaceutique sont bien entendu les bienvenus. Mais ils ne constituent PAS la priorité numéro un.
Le contrôle des certificats Vaxx de l’UE est plus efficace que l’argent entièrement numérique. Cela touche au cœur du problème, à savoir la vie et la mort.
www.globalresearch.ca/future-control-all-us- voir clip sur site -/5865731
(...) La vaccination forcée contre un « virus » – probablement aucun virus – qui ne provoque même pas une maladie mortelle, mais est moins nocive que la grippe commune, signifie clairement que la vaccination est une condamnation à mort pour tous ceux qui la reçoivent ou sont forcés de la recevoir. (...)
SupprimerUn 'virus' est UNE POUSSIÈRE et non un microbe. Cette poussière et non-radioactive. Cette poussière ne se trouve PAS dans l'air (il y a au monde des milliers de laboratoires qui chaque jour examinent la qualité de l'air et ne l'ont trouvé !).
Mais alors... où se trouve t-elle ?
Devinez !
L’administration Biden prévoit une réglementation sur l’identification numérique
RépondreSupprimer21 août 2024
de Thomas Oysmüller
Dans les derniers mètres de la Maison Blanche, l’administration Biden adopte un règlement sur l’identification numérique. Les Américains seront numérisés plus rapidement.
Alors que le public est préoccupé par la campagne électorale Trump-Harris, l’administration actuelle de la Maison Blanche continue de créer des faits. Il existe un projet de nouveau règlement (« décret ») destiné à accélérer l’introduction des cartes d’identité numériques. Les Américains devraient également obtenir une identification numérique – et rapidement.
Internet et argent
Certains États ont déjà commencé à introduire des permis de conduire numériques. En Autriche, ceux-ci sont également déjà disponibles via « ID Autriche ». L’ordre de l’administration Biden appelle toutes les autorités à accélérer ce processus et à introduire également d’autres types d’identification numérique.
Comme chacun le sait, l’identification numérique est un concept extrêmement controversé et critiqué. Cependant, tout discours plus large est bloqué. Au nom de la « numérisation inévitable », les cartes d’identité des personnes sont « numérisées » – de l’Inde à l’Union européenne et aux États-Unis. En fin de compte, toutes les informations privées sensibles des personnes finissent dans des bases de données centralisées contrôlées par le gouvernement. Et les gens obtiennent une application sur leur téléphone portable – au départ volontairement.
Les délégués à la protection des données de Reclaim the Net écrivent :
Cela soulève à son tour des questions de sécurité technique, mais aussi de protection des données et de risque de surveillance de masse dystopique. Les partisans, en revanche, aiment souligner la « commodité » que devrait apporter un tel passage des documents personnels physiques aux documents personnels numériques.
La centralisation des données - selon les opposants pour mieux les contrôler, même si elle les rend plus précaires - est un élément clé de ces systèmes, c'est pourquoi l'ordonnance de Biden parle d'exiger des autorités fédérales qu'elles s'engagent à "un système unique, à partir duquel le gouvernement gère système d’identité, Login.gov », indiquent les rapports.
Certains considèrent l’identification numérique comme une étape nécessaire vers l’introduction des monnaies numériques. D’autres s’attendent à ce que ces cartes d’identité soient utilisées pour enfin abolir l’anonymat en ligne. L’identité numérique est généralement combinée à la capture de données biométriques, ce qui signifie que davantage de données sont collectées sur la personne qu’auparavant.
RépondreSupprimerLes délégués à la protection des données continuent d'écrire :
Alors que les États déploient leurs propres programmes (partiels) d’identification numérique, de plus en plus d’États cherchent des moyens d’introduire la vérification de l’âge en ligne et adoptent une législation pour ce faire.
Désormais, le problème semble résolu, et la seule question qui se pose à l’administration est de savoir quand Biden devrait signer l’ordonnance, rapportent les mêmes sources qui ont vu le texte. Un programme fédéral d’identification numérique contribuerait à cet effort visant à résoudre le « problème » de l’anonymat en ligne – et, ce faisant, changerait à jamais l’Internet tel que nous le connaissons.
La seule question maintenant est apparemment de savoir quand Biden devrait signer le règlement. Les gens semblent fermement convaincus qu’il doit être adopté avant un transfert de pouvoir (à Trump ou Harris).
https://tkp.at/2024/08/21/biden-administration-plant-verordnung-zu-digitaler-id/
La Russie étend ses exportations d'hydrocarbures vers la Chine et consolide sa position de premier fournisseur de pétrole du marché chinois
RépondreSupprimer20/08/2024
Kevin Hughes
Le gouvernement russe a annoncé lundi 19 août que le pays allait étendre ses exportations d'hydrocarbures vers la Chine.
"La coopération stratégique dans le secteur de l'énergie s'approfondit. Le volume des exportations russes d'hydrocarbures vers la Chine augmente. La Russie est le premier fournisseur de pétrole du marché chinois et occupe également une position de leader dans l'exportation de charbon et de GNL [gaz naturel liquéfié]", a déclaré le Kremlin dans un communiqué.
La Russie a dépassé l'Arabie saoudite pour devenir le premier fournisseur de pétrole de la Chine l'année dernière, selon les dernières données douanières chinoises. Les deux pays augmentent systématiquement leurs approvisionnements en gaz naturel via le pipeline Power of Siberia dans l'Extrême-Orient russe.
L'Inde, troisième pays consommateur et importateur de pétrole au monde, a également acquis pour 2,8 milliards de dollars de pétrole brut de la Russie en juillet, deuxième après la Chine.
La Russie est devenue le plus grand fournisseur de pétrole brut de l'Inde, qui est transformé en carburants tels que l'essence et le diesel dans les raffineries, car le pétrole russe est devenu disponible à prix réduit après que l'Europe, les États-Unis et la plupart de leurs alliés occidentaux ont cessé d'acheter du pétrole à Moscou à la suite de l'opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine fin février 2022.
Les importations en provenance de Russie, qui représentaient moins d'un pour cent du total du pétrole importé par l'Inde avant le début du conflit ukrainien, représentent désormais près de 40 pour cent du total des achats de pétrole de l'Inde.
RépondreSupprimerLe Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (CREA) a indiqué que la Chine a acheté 47 % des exportations de brut de la Russie, suivie de l'Inde (37 %), de l'Union européenne (7 %) et de la Turquie (6 %).
La Chine et l'Inde achètent également du charbon à la Russie. Le CREA a noté que, de décembre 2022 à fin juillet 2024, la Chine a acheté 45 % de toutes les exportations de charbon de la Russie, suivie de l'Inde à 18 %, de la Turquie et de la Corée du Sud à 10 % chacune et de Taïwan à 5 %.
La Chine est devenue le plus gros acheteur de combustibles fossiles russes
La Chine est devenue le plus gros acheteur de combustibles fossiles russes. En juillet, la Chine a représenté 43 % (6,87 milliards de dollars) des recettes d'exportation mensuelles de la Russie provenant des cinq principaux importateurs. Le pétrole brut a représenté 63 % (4,32 milliards de dollars) des importations chinoises en provenance de Russie.
En juillet, les volumes d'importation mondiaux de brut maritime de la Chine sont tombés à 40,2 millions de tonnes, le niveau le plus bas de la nation communiste depuis février 2023.
Les importations de brut maritime en provenance de Russie se sont élevées à 4,3 millions de tonnes, ce qui est également le niveau le plus bas depuis décembre 2022 et peut être lié à une diminution des marges de traitement des raffineries dans un contexte de faible demande de carburant.
Le rapport de la CREA a noté que l'Inde est le deuxième plus grand acheteur de combustibles fossiles russes en juillet. Près de 80 % de toutes les importations indiennes pour le mois étaient constituées de pétrole brut, principalement en provenance de Russie.
L'Inde, qui dépend à plus de 85 % des importations pour répondre à ses besoins en pétrole, a dépensé 11,4 milliards de dollars en juillet pour l'importation de 19,4 millions de tonnes de pétrole brut.
En juillet, la décote sur le pétrole brut russe de qualité Oural a augmenté de 9 % en glissement mensuel pour atteindre 16,76 dollars le baril par rapport au pétrole brut Brent. Les décotes sur les mélanges ESPO et Sokol sont restées relativement stables et modestes à 4,23 dollars le baril et 6,11 dollars le baril, respectivement.
Comme l'a rapporté la CREA, 36 % du pétrole brut russe transporté par mer et de ses produits en juillet ont été livrés par des pétroliers soumis au plafond du prix du pétrole. (Article connexe : Le plafonnement des prix des exportations de pétrole russe par l’Occident NE FONCTIONNE PAS.)
RépondreSupprimerSuivez EnergySupply.news pour plus d’histoires sur les exportations d’énergie dans le monde.
Regardez la vidéo ci-dessous sur les exportations de pétrole russe à leur plus haut niveau depuis avril 2020.
Cette vidéo provient de la chaîne WorldViewTube sur Brighteon.com.
Autres histoires connexes :
Les exportations de pétrole russe augmentent malgré les sanctions occidentales et la réduction de la production de Moscou.
La Russie a presque entièrement contourné les sanctions occidentales sur les exportations de pétrole.
BLANCHIMENT DE PÉTROLE : L’Inde importe du pétrole russe à prix réduit, le raffine et le vend à l’Occident pour des profits énormes.
Les sources incluent :
SputnikGlobe.com
FirstPost.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-08-20-russia-expands-hydrocarbon-exports-to-china.html
BYE-BYE PETRODOLLAR : 159 pays devraient désormais adopter le nouveau système de paiement des BRICS
RépondreSupprimer20/08/2024
Ethan Huff
Dès octobre, le système de paiement international tant attendu des BRICS sera prêt à fonctionner, avec quelque 159 pays qui seraient en train d'abandonner le dollar américain comme monnaie de règlement officielle.
Depuis plusieurs années, la Russie et d'autres pays membres des BRICS travaillent sur une alternative au système de règlement international SWIFT contrôlé par l'Occident. La Russie a été bannie de SWIFT après son invasion de l'Ukraine, mais un nouveau système émerge désormais des BRICS qui menace de rendre SWIFT obsolète.
Si le nouveau système de paiement est un succès, il rendra également obsolètes les billets de la Réserve fédérale (FRN). Le monde ne sera plus l'otage du soi-disant pétrodollar, qui, selon les rapports, pourrait avoir des répercussions massives sur le marché mondial.
Les sanctions occidentales contre la Russie n'ont fait qu'accélérer la vitesse à laquelle la Russie développe ce nouveau système de paiement des BRICS. Sa conception favorisera les monnaies locales et les méthodes de règlement alternatives qui contournent entièrement le dollar américain.
Elvira Nabiullina, gouverneure de la banque centrale russe, a déclaré que 159 pays étaient prêts à adopter le nouveau système de paiement des BRICS une fois qu'il sera opérationnel. Il servira d'extension à la plate-forme russe SPFS (System for Transmitting Financial Messages) ainsi que « d'alternative à SWIFT ».
« Des infrastructures similaires existent dans certains autres pays », a commenté Nabiullina. « Nous menons des discussions sur l'interaction de telles plates-formes, mais ici, l'intérêt et la préparation technique de nos partenaires sont importants ».
(Article connexe : c'est à la fin de l'année dernière que la Russie a officiellement appelé tous les pays BRICS, y compris ceux qui venaient de rejoindre l'alliance, à dédollariser.)
Le nouveau système de paiement est le thème prioritaire du prochain sommet BRICS 2024
Viktoria Panova, la présidente du Conseil de la présidence russe des BRICS, a également déclaré que la question prioritaire du prochain sommet BRICS 2024 en octobre était le nouveau système de paiement BRICS.
"Des efforts actifs sont en cours pour créer un mécanisme de paiement financier qui faciliterait la coopération entre les pays BRICS, en préservant leurs échanges commerciaux et économiques souverains", a-t-elle déclaré.
"Cette question est en tête de l'ordre du jour car chaque membre du groupe la considère comme importante".
RépondreSupprimerUne fois le système mis en service, il offrira un accès immédiat à tous les pays membres. Une fois établi, le système devrait également entraîner une expansion des échanges commerciaux de l'alliance.
En fonction de son bon fonctionnement, il existe également de fortes chances que davantage de pays souhaitent abandonner le dollar américain et se joindre à eux. Le temps nous dira à quelle vitesse le monde s'éloignera de la domination du dollar américain pour entrer dans une nouvelle ère de commerce mondial sans dollar.
Le sommet des BRICS de l'année dernière a marqué la première fois en plus de 20 ans que l'alliance s'est développée. Elle a commencé avec le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud et s'est depuis ajoutée aux Émirats arabes unis (EAU), à l'Égypte, à l'Iran et à l'Éthiopie.
Au cours des deux dernières années seulement, les BRICS ont progressé à pas de géant pour devenir un véritable concurrent dans la lutte contre l'hégémonie occidentale. Au lieu de voir la puissance occidentale dominer la planète, les BRICS visent à créer un système de gouvernance mondiale multipolaire, ce qui constitue le nouvel ordre mondial envisagé par la Russie.
Les BRICS ont de plus en plus fait de la crypto-monnaie leur priorité. La Russie, à la tête des BRICS, a récemment adopté une loi visant à légaliser l'utilisation de la crypto-monnaie pour les règlements commerciaux, ce qui incite les pays du monde à vouloir y adhérer.
La Serbie fait partie des pays qui souhaitent rejoindre les BRICS, avec le Nigeria, la Malaisie et la Thaïlande. Le sommet des BRICS de 2024 devrait être « un événement majeur pour la croissance continue du bloc », selon une source médiatique.
Ce n'est qu'une question de temps avant que le roi dollar ne soit réduit en miettes. Pour en savoir plus, consultez DollarDemise.com.
Les sources de cet article incluent :
Watcher.guru (1)
NaturalNews.com
Watcher.guru (2)
https://www.naturalnews.com/2024-08-20-petrodollar-159-countries-adopt-brics-payment-system.html
'Changement climatique', pesticides et The Conversation
RépondreSupprimer21 Août 2024
Croisez des bases de données et vous aboutissez à : « Nos estimations privilégiées suggèrent que, toutes choses égales par ailleurs, les agriculteurs augmentent leur utilisation de pesticides de 7 % à 15 % en 2050 dans le cadre d'un scénario de changement climatique RCP4.5. » Et, bien sûr, à des préconisations politiques (devinez lesquelles...). L'os ? « toutes choses égales par ailleurs ». Les évolutions agronomiques, génétiques, technologiques, réglementaires, etc., certes peu prévisibles, sont zappées. On attend mieux de l'INRAE...
Dans un point de vue publié dans le Genetic Literacy Project, Jon Entine et Kevin Folta ont laissé entendre dès le titre que The Conversation – version en anglais – était « capturé par les idéologues de l'agro-écologie ». (Ce point de vue sera publié prochainement sur ce blog.)
The Conversation est sous-titré, en très petit comme si c'était une sorte d'aveu, « L’expertise universitaire, l’exigence journalistique ». Jon Entine et Kevin Folta notent :
« [...]Malheureusement, ses normes sont en train de se dégrader. Il y a de plus en plus d'exemples de militants qui détournent le site pour promouvoir des perspectives idéologiques qui vont à l'encontre du consensus scientifique.
[…]
Ce qui est déconcertant, en revanche, c'est lorsque les gardiens de la science – que The Conversation prétend être – abusent de la confiance du public en alimentant la bouillie de désinformation. »
Il est à craindre que les mêmes préoccupations ne s'appliquent à la version française.
'Changement climatique' et pesticides
Une recherche sur le site avec « pesticides » comme mot clé produit pas moins de 18 résultats pour les huit premiers mois de l'année. Certains ne portent qu'incidemment sur les produits de protection des plantes. D'autres, en revanche ont pris ces produits pour cible, pas seulement au sens d'objet de l'article, mais plutôt d'objet circulaire avec des anneaux.
RépondreSupprimerVoici donc, publié le 21 juillet 2024, « Le changement climatique contribue à augmenter l’utilisation des pesticides en France » de trois chercheurs de l'INRAE en économie de l'environnement, Raja Chakir, Derya Keles et François Bareille.
Ces auteurs s'appuient sur leur propre article de recherche, « Weather Shocks and Pesticide Purchases » (chocs météorologiques et achats de pesticides), publié dans European Review of Agricultural Economics. Dit autrement, ils font leur propre service après-vente.
Le résumé de l'article scientifique
En voici le résumé :
« Cet article cherche à savoir si les agriculteurs adaptent leur utilisation de pesticides pour faire face aux 'chocs météorologiques'. En utilisant un ensemble de données unique et exhaustif détaillant tous les achats de matières actives par code postal en France entre 2014 et 2019, nous expliquons économétriquement les écarts d'achat de pesticides par les chocs météorologiques. Nous identifions des impacts météorologiques hétérogènes selon les types de pesticides, les saisons et les lieux. Étant donné que nos analyses suggèrent un stockage limité des pesticides d'une année sur l'autre et l'adaptation des agriculteurs à d'autres marges, nous interprétons nos estimations comme de véritables impacts météorologiques sur l'utilisation des pesticides. Nos estimations privilégiées suggèrent que, toutes choses égales par ailleurs, les agriculteurs augmentent leur utilisation de pesticides de 7 % à 15 % en 2050 dans le cadre d'un scénario de changement climatique RCP4.5. »
Sauf erreur, il n'y a pas eu de communiqué de presse de l'INRAE.
C'est peut-être un signe...
Les auteurs ont décrit leur démarche sur The Conversation. En bref, c'est de la haute voltige sur tableur : croiser des données sur les achats de pesticides avec des données sur les températures et les précipitations, ainsi que les surfaces agricoles, et en déduire quel pourrait être le paysage en 2050, dans 26 ans.
La réaction panurgique : les pesticides, c'est mal !
RépondreSupprimerBien sûr, ils n'auront pas omis de peindre le diable sur la muraille dans The Conversation :
« Mais l’utilisation des pesticides est aujourd’hui mise en cause pour plusieurs raisons, notamment leurs impacts sur la biodiversité, sur la santé des agriculteurs, ou sur la santé des consommateurs. Leur efficacité est également mise en cause, avec des substances qui deviennent de moins en moins efficaces avec le temps. »
Les références ? Deux articles de The Conversation... dont un très spécifique sur la macrofaune de bananeraies martiniquaises désherbées au glyphosate qui semble attribuer à la molécule un effet du désherbage ; un article du Monde... qui fait l'article pour un « rapport », forcément « inquiétant », de Générations Futures ; et un article de Reporterre fondé sur un unique article scientifique traitant de recherches en Amérique du Nord – sur le seul glyphosate dans un contexte de culture d'OGM HT qui, rappelons-le, sont tricardes en Europe. Ajoutons pour ce dernier que les farmers ont été notoirement imprudents dans leur gestion du glyphosate et que la perte d'efficacité d'un produit phytosanitaire n'est pas forcément une malédiction intrinsèque de ce produit.
Comme référencement pour des allégations aussi lapidaires, on pouvait s'attendre à mieux.
Des résultats sans valeur
Mais allons au fond. De The Conversation :
« Les résultats issus de nos modèles statistiques montrent que les agriculteurs français répondent à des hausses de températures et de précipitations en augmentant leur usage de pesticides. Ainsi, toutes choses égales par ailleurs, l’utilisation des pesticides pourrait croître de 5 à 15 % en moyenne en France d’ici à 2050 sous l’effet du changement climatique, principalement via l’effet de la hausse des températures. Ces augmentations concerneraient principalement les fongicides et les herbicides et toucheraient surtout les pesticides les plus nocifs pour la santé et l’environnement. »
La première phrase est un gros bobard : les agriculteurs répondent à des problèmes de parasites, maladies et mauvaises herbes.
Ensuite, et surtout, c'est « toutes choses égales par ailleurs », une limitation qui figure aussi dans le résumé de leur article scientifique (mais celui-ci évoque une fourchette de 7 à 15 %).
Quelle valeur informative faut il attribuer à un tel pronostic qui zappe 26 années de progrès agronomiques, génétiques et technologiques (si nos Philippulus activistes, administratifs et politiques les permettent), d'évolutions socio-économiques et d'évolutions législatives et réglementaires ?
Nulle !
RépondreSupprimerLes auteurs ont du reste bien fait de mettre un conditionnel.
Quelle valeur tirons nous aussi des euros qui ont été investis dans cette recherche ? À l'évidence, il y a un problème de gouvernance de la recherche à l'INRAE.
Des pronostics douteux
Les auteurs supputent que l'évolution concernerait principalement les fongicides et les herbicides – encore un conditionnel, non pas de prudence, mais d'ignorance et de doigt mouillé.
Mon doigt mouillé me suggère plutôt les insecticides...
L'augmentation des températures, des printemps plus précoces et des automnes plus tardifs, ainsi que la disparition des hivers froids pouvant décimer les populations hivernantes, sont propices à la faune ravageuse. Ajoutons aussi les ravageurs exotiques importés.
Pour les fongicides – toutes choses égales par ailleurs et sans égard pour les progrès en chantier ou à venir – cela dépendra(it) essentiellement des combinaisons température-précipitations.
Mais, comme déjà dit, ce sont des projections sans valeur informative.
Les évolutions « toucheraient surtout les pesticides les plus nocifs pour la santé et l’environnement » ?
Il n'y a pas la moindre preuve à l'appui de cette assertion. Au contraire, on peut penser que les gestionnaires des autorisations de mise en marché de substances phytosanitaires élimineront progressivement les molécules les plus préoccupantes (ainsi que celles qui auront fait l'objet d'intenses campagnes de dénigrement).
Mais cela permet de franchir un pas...
Bien sûr, cela débouche sur le prescriptif
Nos auteurs débouchent en effet sur le prescriptif :
« Nos résultats indiquent que le changement climatique entraînera une augmentation des usages de pesticides si rien ne change. Ils questionnent ainsi le rôle que pourraient jouer les décideurs publics pour endiguer ces évolutions. En effet, si changement il doit y avoir, celui-ci doit être porté par les décideurs, que ce soit en modifiant la réglementation (autorisation de mise sur le marché des substances actives), en modifiant les incitations (taxes sur les pesticides, ou subventions sur les pratiques économes en pesticides) ou en favorisant la recherche et le développement. »
RépondreSupprimerVoilà une approche qui, en fait, n'est pas vraiment déconcertante : pour résoudre un problème, légiférons ou employons la voie administrative... L'écologie punitive... Pour des chercheurs de l'INRAE, la recherche et le développement ne sont que la deuxième option, et encore puisqu'il s'agit simplement de « favoriser » !
On marche sur la tête !
En bref, plus les pressions parasitaires seront grandes, plus le recours à des produits de protection des plantes sera nécessaire – toutes choses étant égales par ailleurs, hypothèse stupide mais nécessaire ici pour les besoins de la démonstration –, plus les décideurs devront se démener pour... restreindre l'usage de ces produits.
Quels effets sur la production agricole – d'aliments, de fibres, de matières premières, d'énergie ? Sur la sécurité alimentaire et la souveraineté ? Sur la viabilité et durabilité des exploitations agricoles ? Sur les importantes activités économiques de l'aval et donc le tissu social ? Sur notre balance commerciale ? Sur notre influence géostratégique ?
Les auteurs insistent :
« […] Alors que de nombreuses voix s’élèvent pour une accentuation de ces efforts [de réduction de l'usage des pesticides], nos résultats montrent que cette accentuation devra être d’autant plus appuyée que le changement climatique sera prononcé. »
À l'INRAE on n'en a cure...
https://seppi.over-blog.com/2024/08/changement-climatique-pesticides-et-the-conversation.html
(...) La première phrase est un gros bobard : les agriculteurs répondent à des problèmes de parasites, maladies et mauvaises herbes. (...)
SupprimerLe rôle du paysan est de veiller aux cultures en les alimentant en eaux et en engrais et aussi en remèdes (préventifs) aux maladies et insectes.
Les surfaces cultivées ont -depuis des siècles - augmenter et, les surfaces défrichées (jusque là non-traitées) ont fait que le nombre de maladies et d'insectes ont été exponentiels. D'où l'intervention 'musclée' des médicaments - appelées 'pesticides ! (vendus en toutes pharmacies) - afin de contrer ces attaques qui rendent les cultures non-vivables.
Cela n'a 'presque rien à voir avec le temps qu'il fait' sinon que les pluies favorisent l'apparition d'attaquants. Rappel qu'aux Etats-Unis les températures hivernales sont passées à un -20°C ! (là où il faisait l'hiver à -10°C il est aujourd'hui à -30°C !!)
Petit rappel des latitudes:
Chicago Latitude: 41°83
Detroit 42°33
Montréal Latitude 45°
Québec Latitude 46° 48' 44 N
Ce qui correspond à des latitudes approximatives (à qq km près) en France avec Avignon !
C'est-à-dire que (la Terre tourne) les climats Américains pourraient se déplacer ver l'Europe !
(New-York = Madrid (Espagne) et
Miami = Nord de Dakar (Sénégal) !
Les éoliennes causent d’énormes dégâts environnementaux
RépondreSupprimer21 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
L’énergie éolienne est présentée comme propre, bon marché et utile à la « protection du climat ». Cependant, les dommages qu’elle provoque sur l’environnement et sur la santé humaine et animale dépassent presque ceux de toutes les autres formes de production d’énergie électrique. Cela peut également provenir de documents provenant d'institutions renommées telles que l'Institut Fraunhofer.
Sur le site de Bremerhaven, le Fraunhofer IWES propose toute la gamme d'essais mécaniques sur les structures des pales de rotor. L'infrastructure moderne est également conçue pour tester les pales de rotor d'une longueur supérieure à 100 mètres. Des éoliennes d'un diamètre de 160 à 175 mètres sont actuellement souvent installées, par exemple de la société Enercon, soit des longueurs de pales de rotor comprises entre 80 et 90 mètres, comme indiqué sur le site Internet .
Il est particulièrement important de vérifier la protection du bord d'attaque des pales du rotor. Celles-ci frappent tout ce qui peut être dans l'air comme les gouttes de pluie, les grêlons, la poussière saharienne, de plus en plus répandue ces derniers temps, mais aussi les insectes et les oiseaux. Si vous regardez les éoliennes, même par vent fort, elles se déplacent toujours calmement et majestueusement. Mais les apparences sont trompeuses.
Vitesse maximale au bout du rotor supérieure à 300 km/h
Une petite excursion dans les mathématiques nous montre que la pointe du rotor du modèle de 175 mètres d'Enercon parcourt un cercle d'une circonférence de 550 mètres. A 10 tours par minute, ce qui n'est toujours pas perçu comme particulièrement rapide, ce cercle est parcouru en 6 secondes chacun, ce qui donne une vitesse de 91,6 m/s ou 330 km/h. À 12 tours, la pointe du rotor tourne en rond à une vitesse de 110 m/s ou 396 km/h.
La variante d'un diamètre de 160 mètres, reconnaissable à la nacelle cuboïde et allongée aux bandes latérales rouges, qui a été installée très souvent, atteint encore 301 km/h en bout d'aile à 10 tours par minute, et au milieu de l'aile. lame il fait quand même 150 km/h. A cette vitesse, une goutte d’eau est aussi dure que du béton.
RépondreSupprimerFraunhofer IWES écrit à ce sujet dans sa brochure :
« Les extrémités des pales du rotor d’une éolienne atteignent une vitesse de plus de 300 km/h lorsqu’elles fonctionnent à pleine charge. À cette vitesse, les gouttes de pluie agissent comme du papier de verre sur la surface. Même de petits dommages provoquent une rugosité localisée de la surface, ce qui réduit le rendement et affecte la rentabilité et la durée de vie de l'ensemble du système.
Les éoliennes sont conçues pour des vitesses de vent assez élevées :
- voir cadre sur site -
Le tableau montre des vitesses de vent à l'arrêt de 72 à 122 km/h et des vitesses de survie de 180 à 252 km/h. Cela signifie que de telles vitesses peuvent être atteintes, comme le montrent les calculateurs d'énergie éolienne .
Dommages environnementaux avec contamination des sols par des microparticules toxiques
Fraunhofer ignore le problème crucial. Chaque blessure du rotor libère des microparticules encore et encore et de plus en plus. La structure externe des pales du rotor est en plastique renforcé de fibres de verre (GRP) ou en plastique renforcé de fibres de carbone (CFRP). La rugosité confirmée par Fraunhofer continue de libérer ces microparticules toxiques et contamine ainsi le sol autour de l'éolienne. Dans un rapport que l'avocat Thomas Mock a présenté l'année dernière au parlement du Land de Basse-Saxe, la contamination est supposée dans un rayon de 1 000 mètres.
Les microparticules qui se détachent des pales du rotor sont des substances produites synthétiquement qui n'existent pas dans la nature. Ils se caractérisent par le fait qu'ils sont à la fois hydrofuges (hydrophobes), hydrofuges (lipophobes) et antisalissures. En raison de leur grande stabilité, les composés chimiques carbone/GRP/CFRP ne sont pratiquement pas détruits par les processus de dégradation courants dans l’environnement. Ils ne peuvent donc pas être éliminés des eaux usées par les processus de dégradation courants dans les stations d’épuration, qui reposent essentiellement sur l’utilisation de micro-organismes.
En d’autres termes : ils restent en permanence dans le sol ou les eaux souterraines afin qu’ils ne soient pas absorbés par les plantes et finissent ainsi dans l’alimentation des humains et des animaux.
RépondreSupprimerLe carbone/GRP/CFK sont toxiques pour les humains et les animaux et sont soupçonnés d'être toxiques pour la reproduction et cancérigènes à fortes doses (y compris le bisphénol-A) et sont assimilés à l'amiante (UBA 2020).
Cette année, il y a eu une forte présence de sable saharien dans l'air en mars-avril et au début de l'été. Comme indiqué, certaines études accusent les parcs éoliens d’être responsables de l’augmentation significative de la présence de sable du Sahara. Dans tous les cas, on peut supposer que le sable présent dans l’air agit également comme du papier de verre, endommageant davantage les surfaces et provoquant ainsi un poison supplémentaire dans le sol.
Les affirmations sur la protection de l'environnement grâce aux éoliennes semblent carrément bizarres, comme le prétend ici le site Wien Energie :
- voir cadre sur site -
L'énergie éolienne n'est ni propre ni renouvelable, que le vent souffle ou non. Elle est nettement plus nocive pour l’environnement que les centrales électriques conventionnelles car elle ne contamine pas les terres agricoles à grande échelle. Non seulement ils représentent une menace énorme pour notre sécurité alimentaire, mais ils priveront probablement de nombreux agriculteurs d’une source de revenus dans un avenir pas trop lointain dès que leurs champs seront interdits d’exploitation pour cause de contamination, comme expliqué ici .
Les éoliennes ne produisent pas de gaz carbonique, mais cela accélère surtout la croissance des plantes et n'a jamais contribué au changement climatique au cours des dix mille dernières années. Mais les parcs éoliens eux-mêmes provoquent directement un réchauffement climatique régional de 0,72 degré par décennie, comme le révèlent une étude menée au Texas et une autre dans le Burgenland . Les éoliennes extraient l'énergie de l'atmosphère et modifient inévitablement le climat.
Présenter les éoliennes comme étant respectueuses de l’environnement est le plus grand canular parmi les nombreuses informations erronées sur le climat.
https://tkp.at/2024/08/21/so-verursachen-windraeder-massive-umweltschaeden/
Bizarre : la peur de la désertification est remplacée par la panique quant à l’écologisation par davantage de gaz carbonique
RépondreSupprimer21 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Outre la peur des virus, qu’ils proviennent des oiseaux, des singes ou des chauves-souris, la peur de tout ce qui touche au climat est également souvent répandue. Vous êtes totalement flexible. Plus de déserts – la peur, moins de déserts et plus de vert – aussi la peur. Compréhensible en « science du climat ».
Un article du Bulletin of the Atomic Scientists analyse le changement des objets de peur. Le passage du récit de trop de désert à pas assez de désert n’a commencé que récemment. Les données satellitaires montrant une couverture végétale croissante n’ont pas encore été correctement communiquées aux idéologues du climat. Dans certaines zones désertiques, il fait également plus chaud et plus sec. Le surpâturage et les mauvaises pratiques agricoles ont fait le reste.
Les physiciens atomiques écrivent :
« Les climatologues et les écologistes pensaient jusqu'à récemment que cette combinaison d'une sécheresse météorologique croissante et de la pression des activités humaines entraînerait un déclin de la végétation. Ils ont régulièrement mis en garde contre une désertification généralisée, que les responsables des Nations Unies ont qualifiée de « plus grand défi environnemental de notre époque ».
« La terre est en ébullition », comme aime à le dire l’ignorant secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres . Le TKP , en revanche, a fait état à plusieurs reprises du verdissement de la terre scientifiquement prouvé .
Les physiciens nucléaires analysent :
« Il fait de plus en plus chaud et sec dans le sud-est de l’Australie. Les sécheresses se prolongent et les températures dépassent régulièrement les 35 degrés Celsius (95 degrés F). Les feux de brousse sont monnaie courante. Mais d’une manière ou d’une autre, les forêts continuent de croître. L’un des écosystèmes les plus extrêmes et les plus volatiles de la planète défie la météorologie et devient plus vert.
Et l’Australie est loin d’être seule. Du Sahel africain aux Antilles arides, des déserts du nord de la Chine à l’Afrique australe, l’histoire est la même. « Dans la plupart des régions arides du monde, le verdissement se produit malgré une sécheresse croissante », explique Jason Evans, chercheur sur le cycle de l'eau au Centre de recherche sur le changement climatique de l'Université de Nouvelle-Galles du Sud à Sydney, en Australie.
RépondreSupprimerQue se passe-t-il là-bas ? Les études les plus récentes concluent que la principale raison est l'augmentation de 50 % des concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis l'époque préindustrielle. Cette augmentation de gaz carbonique entraîne non seulement le changement climatique, mais accélère également la photosynthèse des plantes. Parce que les plantes peuvent utiliser plus efficacement l’eau rare, l’air riche en gaz carbonique favorise la croissance de la végétation, même dans certains des endroits les plus secs. "
Cependant, il n’est pas nécessaire d’être un physicien nucléaire pour le savoir. En tant que jardinier ou agriculteur, il suffit de gérer des serres. La fertilisation au gaz carbonique avec une concentration environ deux fois et demie supérieure à celle de l'atmosphère, soit 1 000 ppm plus/moins dans la serre , offre des conditions de croissance optimales et des rendements élevés.
Selon les connaissances scientifiques actuelles, la plage optimale pour les plantes de la région se situe entre 1 000 et 1 400 ppm (0,1 à 0,14 % en volume). Le graphique suivant montre la proportion de gaz carbonique dans l'atmosphère au cours des 160 derniers millions d'années.
- voir graph sur site -
Au fil du temps, une pénurie de gaz carbonique s’est développée. En dessous de 150 ppm, la vie végétale et donc nos vies s'arrêtent. À la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 12 000 ans, la Terre en était déjà proche, à environ 180 ppm. En raison du réchauffement qui a suivi, les océans ont à nouveau rejeté du gaz carbonique dans l'atmosphère et, heureusement, depuis le début de l'industrialisation, nous avons continué à nous efforcer de:
Pourquoi les plantes se sentent-elles mieux à des niveaux de gaz carbonique plus élevés ? Quels sont les avantages pour les agriculteurs ou les pépinières d'atteindre des niveaux de gaz carbonique plus élevés en introduisant du gaz carbonique dans leurs serres ?
RépondreSupprimerPlus de gaz carbonique dans l’air signifie également plus d’humidité dans le sol. La principale cause de perte d’eau chez les plantes est la transpiration, au cours de laquelle les stomates ou les pores situés sous les feuilles s’ouvrent pour absorber le gaz carbonique. Avec plus de gaz carbonique, les stomates sont ouverts moins longtemps, les feuilles perdent moins d’eau et plus d’humidité reste dans le sol. L’absorption plus rapide de la quantité requise de gaz carbonique entraîne une croissance plus rapide, ainsi qu’une augmentation de la chaleur.
- voir schéma sur site -
Certains prétendent également que les plantes peuvent passer à l’oxygène lorsque les niveaux de gaz carbonique diminuent. Le problème est qu'ils sont en carbone. La réaction de photosynthèse est la suivante :
6 gaz carbonique + 6 H2O + ☀️ → C6H12O6 + 6 O2
Ainsi, 6 molécules de gaz carbonique et 6 molécules d’eau deviennent une molécule de sucre plus 6 molécules d’oxygène (O2) grâce à la photosynthèse avec la lumière du soleil. Cela crée ensuite de la cellulose, de l'écorce d'arbre, du bois, des feuilles, de l'huile d'olive, du germe de blé et de son huile, etc. En bref : la vie biologique.
Nous nous rapprochons donc actuellement dangereusement du minimum vital pour la vie sur Terre. Vous vous demandez où est passé le gaz carbonique ? Des millions d’années l’ont fait disparaître dans les profondeurs sous forme de charbon ou de pétrole. Les coraux, les huîtres et les moules en ont fait du calcaire et du calcaire (CaCO3). Dans la production de ciment, par exemple, lorsque vous bétonnez un socle de 60 tonnes pour une éolienne, celui-ci est à nouveau libéré par la réaction CaCO3 → CaO + gaz carbonioque.
Voici une courte vidéo du météorologue de longue date John Shewchuk, qui montre pourquoi plus de gaz carbonique est bon pour la vie sur Terre :
- voir clip sur site -
Image : NASA : La fertilisation au dioxyde de carbone rend la Terre plus verte, selon une étude
https://tkp.at/2024/08/21/skurril-angst-vor-wuestenbildung-wird-ersetzt-durch-panik-vor-begruenung-durch-mehr-co2/
Les plantes poussent 80 % la nuit et seulement 20 % le jour.
SupprimerLe gaz carbonique est un gaz rare (0,041 % de notre atmosphère) et un gaz froid.
Il est le gaz le plus lourd (1,8 gr/litre) et se situe au ras du sol. Il est responsable des gelées blanches. Il se détruit (n'existe plus) à une température supérieure à 30,9°C.
Des chercheurs indiens mettent au point un outil miniature d'édition du génome des plantes
RépondreSupprimer21 Août 2024
ISAAA*
La technologie d'édition du génome a révolutionné l'agriculture, apportant des innovations prêtes à être commercialisées telles que le soja à haute teneur en acide oléique, les feuilles de moutarde à faible âcreté et les tomates à haute teneur en GABA. Le potentiel de cette technologie pour améliorer la durabilité de l'agriculture est immense.
Traditionnellement, la nucléase SpCas9, avec sa taille importante d'environ 1.350 acides aminés, a été l'outil le plus utilisé pour l'édition du génome. Toutefois, sa grande taille pose des problèmes importants, notamment pour l'acheminement efficace à l'intérieur des cellules, en particulier par le biais de vecteurs viraux. La réduction de la taille des nucléases d'édition du génome guidées par l'ARN est un objectif essentiel pour surmonter ces limitations. Des nucléases plus petites améliorent non seulement l'efficacité de l'administration, mais facilitent également la création de protéines de fusion, ce qui élargit le champ d'application de l'ingénierie du génome.
Dans une étude pionnière, des chercheurs de l'ICAR-National Rice Research Institute (NRRI), à Cuttack, ont mis au point un éditeur de génome végétal miniature dont la taille ne représente qu'un tiers de celle de la Cas9, largement utilisée. Cette nouvelle protéine d'édition du génome, dérivée de la protéine TnpB associée aux transposons de Deinococcus radiodurans, s'est avérée très efficace pour éditer de multiples gènes à la fois dans le riz, une monocotylédone, et dans Arabidopsis, une dicotylédone.
Comme Cas9, qui a besoin d'un motif adjacent au protospacer (PAM – protospacer adjacent motif) pour le ciblage, TnpB a besoin d'un motif associé au transposon (TAM – transposon-associated motif) adjacent à la séquence cible. TnpB peut cibler des régions uniques du génome que Cas9 ne peut pas cibler, ajoutant ainsi une nouvelle dimension aux capacités d'édition du génome.
L'étude, publiée dans le Plant Biotechnology Journal, présente la TnpB comme un outil hypercompact, polyvalent et prometteur pour l'ingénierie du génome des plantes, marquant ainsi une avancée significative dans ce domaine.
Lire l'article de recherche dans le Plant Biotechnology Journal.
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* Source : Indian Researchers Develop a Miniature Plant Genome Editing Tool- Crop Biotech Update (July 31, 2024) | Crop Biotech Update - ISAAA.org
https://seppi.over-blog.com/2024/08/des-chercheurs-indiens-mettent-au-point-un-outil-miniature-d-edition-du-genome-des-plantes.html
600 ans de corail aux Fidji montrent que l’océan était tout aussi chaud en 1400 après J.C.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
August 21st, 2024
Pour une raison quelconque, nos indicateurs climatiques à long terme fonctionnent pendant des centaines d’années, mais semblent toujours cesser de fonctionner juste avant que la catastrophe provoquée par l’homme ne se produise. Il me semble que si un thermomètre corail-arbre-palourde-sédiment fonctionnait en 1393, il devrait fonctionner en 2020. Ce n’est pas comme si la Terre était à court d’arbres, de boue, de pollen ou de coraux.
Nous voici donc de nouveau, cette fois avec un nouveau corail fidjien qui fonctionne en continu pendant 627 ans de 1380 à 1997. Et les experts doivent coller « un enregistrement instrumental » sur les vingt dernières années pour trouver la catastrophe. Le noyau de corail unique montre que l’eau des Fidji était la même ou même légèrement plus chaude pendant la période chaude médiévale que dans les années 1990. En 600 ans d’existence de ce corail, il n’y a aucun signe que le dioxyde de carbone artificiel ait eu un quelconque effet sur les eaux autour des Fidji.
Les nouvelles données proviennent d’une carotte de corail forée en 1999, ce qui explique pourquoi elle s’arrête soudainement. Cela n’explique pas pourquoi la fin du monde est proche, mais les scientifiques inquiets ont attendu 25 ans pour évaluer la carotte de corail.
L’apocalypse est à nos portes, mais personne ne peut trouver un nouveau gros corail pour l’étudier en temps réel ?
- voir graph sur site -
Coraux, Fidji, SST, MWP, LIA, Période chaude médiévale, Petit âge glaciaire
Étant donné que le Pacifique est très loin de l’Europe et de l’Antarctique, nous confirmons également, une fois de plus, que la Période chaude médiévale et le Petit âge glaciaire étaient des événements mondiaux. Une force réchauffait la Terre il y a plus de 600 ans et les experts ne savent pas ce que c’était. Puis la Terre s’est refroidie, et les experts ne savent pas non plus ce qui a provoqué ce phénomène, bien que le soleil ait été étrangement calme, mais nous ne sommes pas censés en parler. L’eau autour des îles Fidji a commencé à se réchauffer en 1800 après J.-C., bien avant que les humains n’inventent l’énergie au charbon ou les Ford modèle T.
RépondreSupprimerLes experts nous disent qu’il s’agit d’un « écart significatif » par rapport à la variabilité naturelle, et de la température la plus chaude depuis 600 ans. Mais ce n’est que lorsqu’ils superposent des bouées océaniques et d’autres instruments que le « record » de température la plus chaude jamais enregistré apparaît comme par magie à la fin.
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Coraux, Fidji, SST, MWP, LIA, Période chaude médiévale, Petit âge glaciaire
Malgré le fait que les auteurs aient oublié d’indiquer les données des instruments dans la légende du graphique, la légende contient la mention en petits caractères « SST les plus récentes pour les Fidji provenant de l’ERSSTv5 (1998 à 2021) sont également indiquées en (E) (noir). » Ainsi, les seules données sur le pic « record » des coraux au cours des 20 dernières années proviennent des thermomètres (et des statistiques). Vous ne le sauriez pas ?
Donc, encore une fois, même si j’entends dire qu’il y a encore des coraux vivants autour des Fidji, la partie clé du graphique où se trouve le record de chaleur le plus élevé ne provient pas de ce corail.
Je demande depuis des années un proxy long pour montrer que nous sommes en crise. Un proxy solitaire qui évalue les températures en 2020 aussi bien qu’en 1703 ou 1492. Est-ce que quelqu’un en connaît un ?
Si les coraux et les palourdes fonctionnent aussi bien que les thermomètres, l’Australie, avec le plus grand récif vivant du monde, devrait sûrement avoir des centaines de vieux coraux que nous pourrions étudier ? Vous penseriez que si nos climatologues se souciaient du climat et disposaient de 440 millions de dollars à dépenser, ils auraient pu en trouver ? Mais peut-être doivent-ils les laisser dans des tiroirs pendant 20 ans pour avoir de la place pour ajouter les pics instrumentaux à la fin ?
Et voici de nombreux autres graphiques de l'article montrant que le CO2 n'a fait aucune différence sur le climat. A est le Pacifique Sud-Ouest. B est le détroit de Macassar, D est de Palmyre, E est le Pacifique central, F est les Galapagos, et aucun d'entre eux ne montre quoi que ce soit sur lequel nous devrions dépenser un billion de dollars.
Produit d'assimilation de données de Paleo Hydrodynamics (PHYDA)
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Coraux, Fidji, SST. Proxy.
Fig. 2. Enregistrement composite annuel Sr/Ca-SST des coraux des Fidji, simulations et reconstructions proxy du modèle WPWP, et gradient SST du SWCP.
Enregistrement composite annuel (gris clair) et moyenne mobile sur 15 ans (gris foncé) des coraux des Fidji comparé à (A) la SST simulée du Pacifique tropical sud-ouest (10° à 22°S, 150° à 180°E) basée sur la moyenne de 13 passages du CESM LME (rouge) et leur écart-type (rouge clair) ; (B) Reconstructions composites Mg/Ca de la SST du bassin chaud indo-pacifique du détroit de Makassar à partir de (25) (Newton, rose) et (26) (Oppo, violet) ; (C) SST moyennes mobiles annuelles et sur 15 ans reconstruites pour le Pacifique tropical sud-ouest à partir du PHYDA (orange) ; (D) SST moyenne mobile annuelle et sur 15 ans dérivée des données composites de coraux δ18O de Palmyra (60) ; (E) reconstruction de la SST moyenne mobile annuelle et sur 15 ans pour la région Niño 3.4 dans le Pacifique central à partir de (21) (PHYDA, jaune) et (56) (EG, vert) basée sur l'ERSSTv3 ; et (F) reconstruction de la SST des foraminifères Mg/Ca des Galapagos dans le Pacifique oriental (61) et SST déduites du Pacifique oriental à partir des diatomées épiphytes du lac El Junco, Galápagos (62). (G) Gradient SWCP moyen mobile annuel et sur 15 ans calculé comme la différence entre l'enregistrement composite de coraux des Fidji et les reconstructions de la SST Niño 3.4 à partir du PHYDA (jaune) et de l'EG (vert) et leur moyenne (noir). Les températures de surface de la mer (SST) sont présentées comme des anomalies par rapport à la période 1883-1996, sauf dans (B) où les valeurs sont relatives à la période commune aux trois relevés (1370-1840). Les périodes chaudes (froides) prolongées dans le composite des Fidji sont mises en évidence en rouge (bleu) sur la base de l'analyse des points de changement de la Fig. 1. L'analyse des points de changement pour le gradient moyen du SWCP (lignes rouge foncé) est également présentée dans (G).
La propagande de Phys Org :
Le corail fidjien révèle un nouveau record de 627 ans du climat de l’océan Pacifique
Une équipe internationale de climatologues a utilisé un record de 627 ans de corail des Fidji pour révéler des informations sans précédent sur les températures océaniques et la variabilité climatique dans l’océan Pacifique depuis 1370.
Ce n’est même pas formulé comme un lien ou une association, c’est si faible que c’est une « interaction » :
RépondreSupprimerL’étude publiée dans Science Advances, co-écrite par le Dr Ariaan Purich de l’Université Monash et le professeur Matthew England et le Dr Rishav Goyal de l’UNSW, montre comment le changement climatique causé par l’homme interagit avec les modèles à long terme de variabilité climatique dans le Pacifique
Suivez le long et ténu chemin errant vers le blabla « d’origine humaine » :
Les nouveaux relevés coralliens montrent que la température locale de l’océan était chaude entre 1380 et 1553, comparable à la fin du 20e siècle et au début du 21e siècle. Cependant, lorsqu’on les combine avec d’autres relevés coralliens, le réchauffement observé dans tout le Pacifique depuis 1920, largement attribué aux émissions d’origine humaine, marque un écart significatif par rapport à la variabilité naturelle enregistrée au cours des siècles précédents.
Non. Les relevés coralliens ne montrent PAS cela :
Les relevés montrent également que la température actuelle de l’océan est la plus élevée depuis 653 ans.
Et il n’y a pas non plus d’implications pour des millions de personnes, si ce n’est que nous devrions cesser de gaspiller de l’argent immédiatement :
Les travaux fournissent de nouvelles perspectives pour comprendre comment les tendances climatiques conduisent à des changements dans les régimes météorologiques et à des événements météorologiques plus extrêmes qui auront des implications importantes pour des millions de personnes vivant dans la région indo-pacifique. osystèmes dans les nations insulaires vulnérables du Pacifique. »
La question de l’argent vient ensuite : le but de creuser un trou dans un corail vieux de 600 ans est de faire la publicité de l’industrie renouvelable et de justifier des erreurs de politique gouvernementale de plusieurs milliards de dollars. Que vient faire une ligne comme celle-ci dans un communiqué de presse sur une étude scientifique sur les coraux ?
L’étude fournit une motivation supplémentaire à la communauté internationale pour continuer à œuvrer pour limiter le réchauffement à 1,5 °C en développant des ressources énergétiques renouvelables à grande échelle, pour électrifier l’économie et éliminer progressivement le charbon et le gaz.
Les scientifiques financés par le gouvernement sont devenus des prostituées du Big Government. J’aimerais avoir tort. Mais nous savons tous qu’aucun professeur financé par le gouvernement ne pourrait oser critiquer cette étude.
RépondreSupprimerMerci à tous les supporters qui m’aident à financer pour que je puisse le faire.
RÉFÉRENCE
Juan P. D’Olivo et al, Coral Sr/Ca-SST reconstruction from Fiji extend to ~1370 CE reveals insights into the Interdecadal Pacific Oscillation, Science Advances (2024). DOI : 10.1126/sciadv.ado5107
J. E. Tierney, N. J. Abram, K. J. Anchukaitis, M. N. Evans, C. Giry, K. H. Kilbourne, C. P. Saenger, H. C. Wu, J. Zinke, Températures de surface de la mer tropicale pour les quatre derniers siècles reconstruites à partir d'archives coralliennes. Paleoceanography 30, 226–252 (2015).
Enregistrements Oceans2K. (PS : lorsque Steve McIntyre a disséqué l'ensemble de données Oceans2K, il a découvert que de nombreux enregistrements d'alcénones qu'il contenait s'étaient mystérieusement refroidis au cours des cinquante dernières années.)
https://joannenova.com.au/2024/08/600-years-of-coral-at-fiji-shows-the-ocean-was-just-as-warm-in-1400ad/
Que se passe-t-il exactement à Trieste ?
RépondreSupprimer21 août 2024
par Assoc. Professeur Lorenzo Maria Pacini
Pour répondre à cette question, quelques mots suffisent, étant donné le thème de la retraite : le prochain théâtre de guerre, a déclaré Lorenzo Maria Pacini, Assoc. Professeur de Philosophie Politique et Géopolitique, UniDolomiti de Belluno.
Il y a quelques jours, une réunion secrète a eu lieu à Trieste, à laquelle ont participé diverses autorités : des membres de l'OTAN, des membres du Conseil atlantique, des membres du groupe de réflexion hongrois Danube, lié à Viktor Orbán, des membres de l'entourage de Donald Trump, des membres du gouvernement italien. Les forces armées et la police, les représentants de l'administration municipale et les représentants de la franc-maçonnerie locale. Vous ne trouverez cette information nulle part ailleurs. Le thème de la réunion était la militarisation du port de Trieste.
Quelle en est la raison ?
Le rôle stratégique de Trieste dans la doctrine Trimarium
Nous sommes en 1942 : un livre est publié aux États-Unis d’Amérique et deviendra la pierre angulaire de la recherche américaine en matière de stratégie maritime. Il s'intitulait La stratégie américaine dans la politique mondiale et a été rédigé par le géographe universitaire Nicholas John Spykman, l'un des pères de la géopolitique maritime et disciple intellectuel de Sir Halford Mackinder. Evidemment, l'ouvrage n'a pas été un succès auprès du grand public, alors qu'il est devenu une véritable bible de la stratégie de la « route maritime » pour tous les puissants thalassocrates et a introduit le concept Rimland que nous utilisons aujourd'hui en géopolitique.
Un petit chapitre du texte est consacré à un sujet particulier : la doctrine Trimarium, désormais mieux connue sous son nom modernisé, l'Initiative des Trois Mers (3SI ou TSI). C’est une stratégie qui deviendra la règle d’or pour maintenir la puissance américaine sur le continent européen. La 3SI, également connue sous le nom de Doctrine Baltique, Adriatique et Mer Noire, est désormais considérée comme une initiative stratégique à laquelle participent 13 États membres, à savoir l'Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la République tchèque, l'Estonie, la Hongrie, la Lituanie, la Lettonie, la Pologne et la Roumanie. , la Slovaquie et la Slovénie ainsi que deux États ajoutés de facto, à savoir la Moldavie et l'Ukraine. Ce projet a été officiellement lancé en 2015 par le président polonais Andrzej Duda et la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarovič, sous la coordination minutieuse du Département d'État américain.
Une coïncidence ? Certainement pas.
RépondreSupprimerLorsque les Américains sont arrivés en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale, avec l'intention non seulement de prendre des vacances d'été mais aussi d'y rester et d'établir un pouvoir durable, ils ont dû trouver un moyen de garder le continent sous contrôle, et pas seulement militairement - ce qu'ils ont obtenu grâce à la un grand nombre de bases militaires américaines dans tous les pays européens - mais aussi financièrement, économiquement et politiquement. A cette époque, l’Europe était dans une phase de division entre l’Est et l’Ouest, entre influence atlantique et soviétique. L'Europe centrale, ou plus précisément l'Europe centrale , était le pivot géographique à partir duquel pouvait s'établir l'exercice de ce pouvoir. Il fallait trouver le moyen de contrôler le continent de manière stable et durable, un besoin qui s'est fait sentir à la fin de la Première Guerre mondiale et avec l'effondrement de l'empire des Habsbourg, véritable tampon géopolitique qui a amorti de nombreuses frictions et les revendications entre Russes, Ottomans et Allemands étaient devenues urgentes. La géographie politique qui s'était dessinée avec les 14 points du programme de Woodrow Wilson n'était pas suffisante pour garantir la gouvernabilité. Même Winston Churchill était conscient de la nécessité d’un bloc solide, impénétrable pour les puissances de l’Est.
Ainsi, par accord entre Churchill et le successeur de Franklin Delano Roosevelt, une solution géo-économique fut recherchée : avec l'aide de trois clubs fédéraux, le Club de Londres, le Club de Paris et le Club de Rome, la Charte d'Intermarium fut publiée en 1945, un document basé sur les théories de l'Américain Spykman et proposant l'unification de tous les peuples de la basse Adriatique (en particulier de la mer Égée) jusqu'aux mers du nord de l'Europe, convaincu que la stabilité dans la région était primordiale pour une paix durable partout. Europe.
Il a notamment fallu tenir à distance un certain nombre de ports d'une importance capitale, comme Hambourg en Allemagne et Constance en Roumanie, mais surtout le port de Trieste. Depuis lors, la doctrine Trimarium a été appliquée de manière cohérente et décisive à travers divers accords internationaux multilatéraux affectant les routes commerciales, les institutions bancaires, les fonds d'investissement et le secteur stratégique. Tout cela a été facilité par l’effondrement de l’URSS, qui a entraîné un affaiblissement significatif des unités politiques des pays impliqués au cœur de l’Europe de l’Est.
Si l’on y réfléchit, géographiquement parlant, le Trimarium forme une sorte de triangle à l’est, proche de la frontière avec la Fédération de Russie. C’est exactement ce que fait l’OTAN depuis 75 ans, en s’étendant vers l’est pour provoquer et attaquer la Russie. La pratique est conforme à la doctrine. En réalité, il s’agit d’un instrument de contrôle pour l’ensemble de la macrorégion des Balkans, qui fait l’objet de spéculations, d’opérations militaires et de problèmes politiques et sociaux constants, délibérément maîtrisés et instables.
Le nouveau nom de l'Initiative des Trois Mers ne change pas la géométrie stratégique de l'ancien Trimarium : les ports concernés ont été agrandis, et la présence militaire américaine a été mise en œuvre dans les zones d'intérêt, dont la plus importante et constamment sous l'attention américaine reste Trieste. est. Comment ça se fait?
Le port libre de Trieste et le territoire libre de Trieste
RépondreSupprimerPeu de gens connaissent le statut juridique de Trieste, qui est effectivement unique et mérite une étude approfondie (que nous ne ferons pas dans cet article, peut-être plus tard). Après la Seconde Guerre mondiale, la région de Triestine a été déclarée espace libre, conçue comme une zone démilitarisée et neutre avec un gouvernement autonome pour assurer l'équilibre entre les puissances concurrentes et la coexistence entre les différents groupes ethniques. En 1947, le Traité de Paris est signé, instaurant la paix et divisant les sphères d'influence entre les pays vainqueurs et vaincus. La 16e résolution a créé le Territoire Libre de Trieste (Territorio Libero di Trieste – TLT). Le Mémorandum de Londres de 1954 transféra l'administration civile provisoire de la zone A à l'Italie et celle de la zone B à la Yougoslavie. Cependant, avec le Traité d'Osimo en 1975, l'Italie et la Yougoslavie ont établi une frontière entre des territoires qui ne leur appartenaient pas, violant ainsi l'autonomie du TLT et le Traité de Paris. Avec la désintégration de la Yougoslavie et la division ultérieure du pays en plusieurs États, le TLT a été divisé entre trois pays - l'Italie, la Slovénie et la Croatie - qui l'ont occupé illégalement, violant les traités antérieurs et déclenchant des différends, des différends politiques et juridiques, des scandales et des protestations. des déclencheurs qui perdurent encore aujourd’hui.
L'approche italienne est particulièrement intéressante. Trieste est sous occupation administrative et militaire, comme il peut y avoir des forces armées et policières de la République italienne... et sous occupation américaine, puisque l'Italie est une colonie des États-Unis sous occupation militaire, comme en témoignent les plus de 120 bases américaines réparties dans tout le pays. territoire. À Trieste en particulier, les Américains ont créé l'école de renseignement de l'ONU et un centre de contrôle spécial de la police, qui comprend également l'Eurogendfor, qui maintient non seulement la ville mais aussi les routes commerciales sous un contrôle militaire constant.
Le port de Trieste, destiné à être un port franc international, est le port par excellence qui donne accès à l'Europe centrale à la Méditerranée, ouverte sur l'Est et l'Afrique, avec un avantage de 73% sur les autres ports européens. Son emplacement est stratégique à tous égards. C’est pour cette raison que les Américains ont souhaité en prendre le contrôle afin de mettre en œuvre la doctrine Trimarium. Le contrôle de Trieste et de son port signifie le contrôle de l’Europe du Sud et de l’Est. De Trieste à la mer Baltique, une ligne droite se dessine qui définit un « rideau de fer » imaginaire mais aussi un corridor nord-sud en termes de gazoducs et de pétrole, de routes commerciales terrestres et d’administration militaire unique des territoires.
Tout cela viole la souveraineté du TLT et les accords internationaux par lesquels il a été créé, et constitue un double acte de violence.
Parallèlement, la Chine et la Russie sont également intervenues à Trieste, la première avec d'importants investissements fortement ralentis par la sortie de l'Italie de la Route de la Soie au printemps 2024, la seconde déjà présente depuis l'ère soviétique et maintenant, après des années d'investissements, par les sanctions européennes bloquées depuis 2022.
La route du coton traverse Trieste
RépondreSupprimerRevenons à la réunion secrète d'il y a quelques jours. Il s'agissait de la militarisation du port, qui est déjà de facto sous contrôle militaire mais qui serait complètement assiégé si l'Italie ouvrait la Via del Cotone, la route du coton. Il s’agit d’une route commerciale alternative à la Route de la Soie, mise en œuvre dans le cadre d’un partenariat entre les États-Unis, l’Inde, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Israël, la Jordanie et l’Union européenne. Il se compose de deux connexions, une connexion ferroviaire et une connexion portuaire, et est financé par des fonds du Programme mondial d'infrastructures et d'investissement créé par le G7 en 2002 et du Global Gateway de l'Union européenne. L’objectif est de concurrencer la Chine et, plus généralement, les partenariats eurasiens et les BRICS+, dont les pays européens sont exclus en raison de l’asservissement anglo-américain.
L'Italie participera à ce corridor économique entre l'Inde, le Moyen-Orient et l'Europe à travers le mémorandum sur le port de Trieste signé en septembre 2023.
Malheureusement, la situation géopolitique en Europe - sans parler de la situation économique, catastrophique pour tous les États du continent - n'est pas tout à fait favorable : le conflit russo-ukrainien dure plus longtemps que ne l'avait prévu l'OTAN et conduit à une grande instabilité au sein du Trimarium – auquel l’Ukraine a adhéré en 2023 sous prétexte de renforcer son indépendance militaire – ; La situation au Moyen-Orient est une catastrophe historique ; l'économie de guerre n'a pas favorisé le redressement des pays européens, au contraire, elle les a plongés les uns après les autres dans un long hiver d'inflation ; le soutien international a échoué avec l’émergence d’un monde multipolaire sous direction orientale, l’hégémonie américaine dans le monde s’effondre de jour en jour, accord après accord.
Alors que faire du Trimarium et de Trieste ?
La militarisation d’un port franc international apparaît comme une provocation bien réfléchie. En violation du droit international et en recourant à une force excessive, le bloc atlantique veut élever la voix contre la Russie et la Chine et tenter de limiter leurs intérêts dans les territoires occupés. Plus probablement encore, ils tentent de consolider le « rideau de fer » de la Méditerranée à la mer du Nord afin de gérer (ou presque) l’éventuel déplacement géographique du conflit russo-ukrainien.
Essayons d'imaginer le scénario suivant : l'Ukraine s'effondre, l'OTAN et son mandataire, l'Union européenne, contraints de mener une guerre suicidaire par procuration, n'abandonnent pas et acceptent d'étendre le conflit au cœur de l'Europe. Où iraient-ils se battre ? Si l’on adopte une approche conventionnelle du conflit, la Pologne et l’Allemagne à propos de la Hongrie seraient les zones les plus optimales. Cependant, aller jusqu'en Allemagne signifierait l'effondrement de la Deutsche Bank, qui traverse déjà une crise terrible et constitue la principale source de flux monétaires de la Banque centrale européenne, ce qui est inacceptable car cela porte atteinte au système politique de l'UE et à la L’euro en tant que monnaie imploserait, avec des conséquences catastrophiques pour un dollar déjà en difficulté. Nous devons donc repousser l’ennemi et le maintenir derrière une certaine frontière. De Trieste au nord, il est donc possible de créer un théâtre de guerre délimité et gérable en bouclant l'Europe centrale avec l'aide de la Moldavie et de la Roumanie, qui se caractérise depuis des décennies par une présence militaire dense de l'OTAN et, ces dernières années, par des exercices et des écoles de guerre en Pologne, en Hongrie, en Bulgarie et en Roumanie, qui préparent les soldats à l'affrontement avec la Russie, a été constamment élargi. Rappelons que la Croatie a réintroduit la conscription et que l'Italie le fera bientôt, ce qui est déjà discuté au Parlement depuis des mois.
RépondreSupprimerQue se passe-t-il à Trieste ? Pour répondre à cette question, quelques mots suffisent compte tenu du thème de la retraite : le prochain théâtre de guerre.
Et ils ne viendront certainement pas nous demander la permission de le démarrer.
https://tkp.at/2024/08/21/was-genau-passiert-in-triest/
L’UE et le Parti démocrate nazifiés
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
21 août 2024
Une question de notre époque est de savoir pourquoi les Européens tolèrent la racaille tyrannique de l’UE ?
Comme je l’ai déjà signalé, l’UE a dit à Elon Musk que c’était elle, et non lui, qui contrôlait le contenu de son interview sur X avec Donald Trump. L’UE est un organe directeur non élu. Pourtant, elle prétend être démocratique. Elle prétend défendre la démocratie en Ukraine, actuellement gouvernée, si l’on peut dire, par un président non élu. L’UE prétend protéger la démocratie européenne de la Russie, mais il n’y a pas de gouvernement démocratique en Europe. Pas un seul gouvernement européen, y compris le Royaume-Uni, ne représente la population qui constitue la base ethnique du pays. Dans chaque pays européen, le gouvernement se range du côté des envahisseurs immigrés contre la population autochtone.
Les populations européennes blanches ne peuvent pas protester contre la perte de leur pays, et encore moins s’organiser pour leur propre défense. Leurs faibles protestations sont officiellement considérées comme des discours de haine et des crimes haineux. Les dirigeants ou les organisateurs des manifestations sont arrêtés et les manifestants battus. Parfois, les envahisseurs immigrés se joignent à la police pour tabasser les manifestants blancs dont le pays est volé. Il est extraordinaire que la police blanche prenne le parti des envahisseurs immigrés contre les leurs. Cela montre que la nationalité ethnique en Europe est morte et disparue. La loyauté raciale n'existe que parmi les envahisseurs immigrés.
Nous avons récemment été témoins de cela, ou du moins ceux d'entre nous qui savent utiliser les médias alternatifs, en Grande-Bretagne, maintenant connue sous les lettres UK, parce qu'elle n'est plus grande. Quand je suis née, la Grande-Bretagne était encore une grande puissance, mais aujourd'hui elle ne peut même pas tenir tête aux envahisseurs immigrés et s'est prostituée devant eux, se soumettant même à un Premier ministre indien.
Le nouveau Premier ministre britannique, lui-même un Britannique blanc, s'est violemment prononcé contre son peuple natal et pour les envahisseurs immigrés, menaçant de toutes sortes de sanctions ceux qui s'opposeraient à l'occupation de leur pays par des cultures hostiles.
Si les Britanniques étaient capables de se battre pour leur pays et de pendre les excréments se faisant passer pour le Premier ministre au lampadaire le plus proche du 10 Downing Street, d’envahir tous les commissariats de police et de se réarmer, ils pourraient restaurer le contrôle britannique sur les Britanniques, mais la confiance britannique est tellement épuisée qu’ils n’en sont pas capables. Les Allemands, les Italiens, les Hollandais, les Belges, les Suédois, les Norvégiens non plus. Pourtant, l’UE dit à tous ces pays de se préparer à la guerre avec la Russie ! C’est extraordinaire, n’est-ce pas ? L’Europe est incapable de défendre ses propres frontières contre des hordes non armées, mais elle se prépare à la guerre avec la Russie !
RépondreSupprimerMême les Irlandais se soumettent à leur invasion intentionnelle par des envahisseurs immigrés lâchés sur eux par « leur propre gouvernement ».
Je viens d’apprendre par une femme blanche en Irlande que son village ou sa petite ville s’est récemment réveillée un matin et a découvert que le gouvernement irlandais avait largué 200 jeunes envahisseurs immigrés en âge de servir dans son village. Elle a lu les rapports pour dire que, comme les nouveaux arrivants n'avaient pas de femmes avec eux, les femmes irlandaises étaient censées leur fournir un réconfort sexuel, donc s'il vous plaît, pas de plaintes pour viol.
Quelle blague que l'Europe. Avec 2 000 rednecks sud-américains, je pourrais conquérir toute l'Europe. Quelle ethnie européenne va se battre pour un gouvernement européen anti-blanc ?
Que pensent les imbéciles de ces gouvernements qu'il va leur arriver s'ils entrent en guerre avec la Russie ? Qui pense que toute l'Europe et l'Amérique ont une armée équivalente à la Wehrmacht allemande qui a envahi la Russie ? Les imbéciles qui parlent d'attaquer la Chine doivent tous être accros au crack.
Attaquez la Russie et mourez. Attaquez la Chine et mourez. Les États-Unis et l'OTAN sont incapables d'attaquer l'Iran à moins de se dépêcher car le système de défense aérienne russe S-400 est en train d'être installé en Iran. Aucun missile ni avion américain ou israélien n'est capable de le pénétrer.
L'absurdité règne sur le monde occidental. C’est vrai même pour les partisans de Trump MAGA, dont on pourrait espérer que la prise de conscience prévaudra. Ce n’est pas le cas.
J’ai déjà signalé que nous avons tout lieu de penser que l’élection de 2024 sera volée aux démocrates, tout comme les élections de 2020 et 2022. Les médias prostitués américains ont transformé Kamala d’une non-candidate sans aucun soutien en une candidate qui mène Trump, en particulier dans les États clés où les procédures électorales frauduleuses ont toutes été légalisées et, au moins dans certains d’entre eux, les contestations du vote ont été criminalisées.
Que disent les Républicains à propos des Démocrates des États bleus qui ont levé l’interdiction des boîtes de dépôt de votes aux coins des rues ? Que disent-ils à propos de l’intention des Démocrates de punir ceux, y compris les observateurs électoraux, qui dénoncent des fraudes ? Ils ne disent rien. Ils demandent seulement plus d’argent. Les collecteurs de fonds républicains disent que l’élection dépend de l’argent. En d’autres termes, les Républicains eux-mêmes admettent que si Kamala collecte plus d’argent, elle gagnera. Les collecteurs de fonds républicains contribuent donc au vol de l’élection par les Démocrates.
RépondreSupprimerDonc, une fois de plus, les Républicains, des mauviettes incapables de se battre, se dirigent vers une élection volée.
Les Démocrates sont organisés. Ils ont une campagne fanatique, anti-blanche et anti-chrétienne, visant à transformer les États-Unis en une tour de Babel de Soddom et Gomorrhe.
L’agenda du Parti républicain est de garder le contrôle du parti des mains d’un étranger, comme Trump. Vous pouvez voir qui va gagner cette élection.
https://www.lewrockwell.com/2024/08/paul-craig-roberts/the-nazified-eu-and-democrat-party/
La racaille nazie dirige, gouverne, ordonne et tue les opposants à la pédocriminalité et à l'immigration meurtrières de mercenaires étrangers.
SupprimerL'Europe EST DANS la merde ! Couverte par la gauche, la droite, le centre et les extrêmes !
Valorisée par Télémerde, Radiocaca et journauxdexcréments.
Quand la loi protège les squatteurs face aux mauvais propriétaire
RépondreSupprimerJohan Rivalland
22 août 2024
Une fois encore. Au pays où la propriété n’a pas toujours bonne presse, les initiatives des squatteurs ont tendance à faire force de loi.
Quelles libertés défend-on en France ? Pas besoin des débats philosophiques entre Proudhon et Marx pour trancher la question de la propriété, qui fait partie des attributs susceptibles d’appartenir aux libertés humaines fondamentales. On ne le sait que depuis trop longtemps, dans la France d’aujourd’hui, le vol, c’est la propriété (en référence à cet article de 2018 toujours d’actualité et que je vous invite à relire). Et rien n’y fait, aucune volonté politique ne semble disposée à changer les choses. C’est ainsi, et c’est tout. Vous n’avez pas qu’à être propriétaire, non mais !
Quand la loi inverse les droits élémentaires
Honte aux riches. Vous avez une piscine ? Vous êtes donc un riche. Et à ce titre, vous devez non seulement vous en sentir coupable, mais en prime vous avez des devoirs. Parmi ceux-ci celui de protéger les éventuels intrus « invités » qui ne manqueront pas de venir se rafraîchir dans votre bassin le cas échéant. Après tout, c’est normal, en été c’est connu, parfois il fait chaud. Il faut donc bien partager, faire preuve d’humanité à l’égard de son prochain, que diable ! Ne soyez pas égoïste.
Mais veillez à être prévoyant. Ou il vous en coûtera.
C’est ce qui est arrivé à ces propriétaires, à Toulouse. Rendez-vous compte : en 2022, un jeune homme a l’idée de s’introduire avec des amis dans une résidence voisine pour profiter de la piscine en l’absence des propriétaires. N’ayant pas estimé correctement la profondeur du bassin, il plonge, se brise les vertèbres, et devient… tétraplégique. Un terrible drame auquel on ne peut, bien sûr, que compatir.
Sauf que… l’histoire ne s’arrête pas là.
Une conception bien étrange de la liberté et de la propriété
Aujourd’hui on apprend que le jeune homme, sans doute dûment conseillé, porte plainte contre les propriétaires. Pour négligence.
On imagine la surprise et le dépit de ces derniers, déjà certainement très secoués… Malgré leur défense et les quelques mesures de précaution qu’ils avaient pu prendre, cela ne suffisait peut-être pas, semble-t-il. Or, nul n’est censé ignorer la loi, n’est-ce pas ? Et les propriétaires ont des devoirs… y compris envers les éventuels squatteurs ! Qu’on se le tienne pour dit.
Ainsi, l’article 1244 du Code civil stipule qu’un propriétaire est responsable des dommages qui pourraient advenir, même à l’égard de personnes présentes illégalement sur les lieux. Aux propriétaires, donc, d’apporter la charge de la preuve que leur logement – ou ici leur piscine – était en bon état et respectait toutes les normes de sécurité.
Liberté, égalité, fraternité. Nous sommes en France, au pays des droits de l’Homme et du citoyen (et de la citoyenne). Si vous n’êtes pas d’accord, cela n’y change rien, c’est ainsi et c’est tout.
Bon, il ne s’agirait pas de se rendre malade avec cette histoire (il est vrai que cette information peut avoir de quoi donner la nausée). Une petite BD pour vous détendre ou méditer au bord de la piscine de votre choix ? Bonnes vacances.
https://www.contrepoints.org/2024/08/22/478462-quand-la-loi-protege-les-squatteurs-face-aux-mauvais-proprietaires
1°) Les mots 'Liberté, égalité, fraternité' ne sont que des projets, des oibjectifs (voire des rêves) et non des réalités. Et, pour 'le pays des droits de l’Homme'... ! HAHAHAHA !: (et non de la Femme !) ni pensez pas en dictature !
SupprimerC'est-à-dire que, 2°) le 'maître de balais' à Versailles qui est là depuis 30 ans à frotter les couloirs et salons peut, très bien, du jour au lendemain, dire qu'il squatte ! Nul ne peut l'expulser, ni lui couper l'eau ou l'électricité ! ni lui faire payer un quelconque loyer !