Il y aura cette année près de 16 fois plus d'entreprises tuées en France qu'il n'y aura de morts sur la route !!!
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Pendant que les « grands communicants » des palais de la République vous interprètent le rôle de Shere Khan sur tous les tons et tentent de vous endormir avec le pseudo rebond de la croissance au deuxième trimestre (+ 0,5 %), la hausse des défaillances d'entreprises observée sur le début de l'année (+ 2,1 % au premier semestre) s'est plus que confirmée cet été (+ 4,4 %), se traduisant, entre autres, par la destruction de 174.000 emplois sur un an.
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Plus inquiétant encore que le nombre, c'est la quasi universalité des secteurs touchés qui est à la fois préoccupante et révélatrice d'un mal plus structurel que conjoncturel. Toutes les régions, sauf trois (Paca, Limousin et Basse-Normandie), sont touchées et la majorité des secteurs d'activité sont concernés, avec en particulier des niveaux de défaillances records dans l'hébergement restauration (+ 16,4 %), les services aux entreprises (+ 11,5 %), le commerce automobile (+ 10,2 %), le commerce de détail (+ 8 %) et les services aux particuliers (+ 7,4 %).
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Nous évoquions hier l'étude de Euler Hermesattendant une légère baisse (- 1 %) des défaillances pour 2014, restant toutefois à des niveaux historiquement très élevés, environ 61.800 défauts, avec les conséquences tant sur l'emploi que sur l'activité en général que cela génère.
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Il n'est pas certain que la réforme du statut d'auto entrepreneur, que les réformes fiscales sur le capital investi, que la taxe sur l'excédent brut d'exploitation, que l'encadrement politique et étatique de l'investissement, que l'augmentation du coût de la main d'oeuvre soient de bons moyens de pallier à cette mortalité.
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Est il étonnant, après cela, d'apprendre que tous les jours, des entrepreneurs français vont s'installer ailleurs ? (encore aujourd'hui dans le Figaro)
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Pendant que les « grands communicants » des palais de la République vous interprètent le rôle de Shere Khan sur tous les tons et tentent de vous endormir avec le pseudo rebond de la croissance au deuxième trimestre (+ 0,5 %), la hausse des défaillances d'entreprises observée sur le début de l'année (+ 2,1 % au premier semestre) s'est plus que confirmée cet été (+ 4,4 %), se traduisant, entre autres, par la destruction de 174.000 emplois sur un an.
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Plus inquiétant encore que le nombre, c'est la quasi universalité des secteurs touchés qui est à la fois préoccupante et révélatrice d'un mal plus structurel que conjoncturel. Toutes les régions, sauf trois (Paca, Limousin et Basse-Normandie), sont touchées et la majorité des secteurs d'activité sont concernés, avec en particulier des niveaux de défaillances records dans l'hébergement restauration (+ 16,4 %), les services aux entreprises (+ 11,5 %), le commerce automobile (+ 10,2 %), le commerce de détail (+ 8 %) et les services aux particuliers (+ 7,4 %).
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Nous évoquions hier l'étude de Euler Hermesattendant une légère baisse (- 1 %) des défaillances pour 2014, restant toutefois à des niveaux historiquement très élevés, environ 61.800 défauts, avec les conséquences tant sur l'emploi que sur l'activité en général que cela génère.
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Il n'est pas certain que la réforme du statut d'auto entrepreneur, que les réformes fiscales sur le capital investi, que la taxe sur l'excédent brut d'exploitation, que l'encadrement politique et étatique de l'investissement, que l'augmentation du coût de la main d'oeuvre soient de bons moyens de pallier à cette mortalité.
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Est il étonnant, après cela, d'apprendre que tous les jours, des entrepreneurs français vont s'installer ailleurs ? (encore aujourd'hui dans le Figaro)
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RépondreSupprimerY a déjà la tour Eiffel en Chine, pourquoi pas l'Elysée ?
La petite voiture Catch-22
RépondreSupprimerpar Eric
2 octobre 2013
Les petites voitures qui ne sont pas des coûts beaucoup à acheter - ou de conduire - sont de retour. La Mitsubishi Mirage 2014 que je viens de revoir, par exemple (voir ici ). Il est équipé d'un moteur trois cylindres minuscule mais extrêmement économe en carburant capable de retourner milieu des années 40 sur l'autoroute - et de hauts 30s autour de la ville. C'est presque aussi bon qu'un diesel (ou hybride). Le Mirage seulement coûte environ 13k $, autocollant, trop.
Mais il ya un hic.
A Catch-22, en fait.
Mitsubishi - comme tous les constructeurs automobiles - doit construire chaque voiture, il permet aux spécifications du gouvernement. Cela signifie que plusieurs sacs d'air - sept , dans le cas du Mirage '14. Certains sont nécessaires directement dans cette toute nouvelle voiture doit par la loi avoir au moins un conducteur et airbag passager du siège avant. D'autres sont tenus d'une manière indirecte, via des exigences de résistance aux chocs du gouvernement.
Pour une très petite - et très léger - voiture comme le Mirage (qui pèse un peu plus de 1.800 livres) pour être considéré comme «sûr» que le gouvernement définit, une pléthore de coussins d'air est nécessaire. Sacs de choc latéral, pour les deux lignes - plus d'un sac gonflable de genoux pour le conducteur (voir spécifications techniques ici ).
Qu'est-ce qui se passe quand ils déploient ?
Gardez à l'esprit que le Mirage est une voiture avec un prix de la vignette, flambant neuf - environ 13.000 $. Deux ou trois ans, il aura une valeur comptable de la gamme 8000 $ ou plus. La plupart des experts d'assurance déclarer une voiture une perte totale - jeter, oublier sa fixation - lorsque les coûts de réparation sont estimés à plus de 50 pour cent de la valeur au détail de la voiture, avant l'accident. Donc, si la voiture valait environ 8,000 $ avant l'accident, il sera probablement "atteint" si le coût estimatif des réparations est dans les environs de 4000 $.
Il est très facile de passer de 4000 $ à la boutique du corps - avant même la prise en compte du coût de remplacement de l'airbag.
Beaucoup moins remplacer quatre ou cinq sacs d'air.
Et vous êtes plus susceptible de faire face à avoir à les remplacer.
Parce que une voiture comme le Mirage est petit et léger, un impact qui pourrait ne pas provoquer les sacs gonflables (ou moins d'entre eux) à déployer dans une voiture plus lourde plus - dans lequel il ya plus de métal pour absorber les forces d'impact - est plus susceptible d' déclencher un déploiement d'un coussin d'air ( plusieurs déploiements).
Certains diront que c'est une bonne chose, que les sacs gonflables "sauver des vies." C'est ça vaut le coût. Mais à moins que ce sont eux qui paient les factures, qui sont-ils à dicter ?
(suite en dessous:)
Ça ne devrait pas être le choix de l'acheteur ?
RépondreSupprimerJe voudrais savoir où l'air des gens sacs-à-pointe du fusil obtenir l'idée qu'il est autorisé à dépenser l'argent des autres. Que ce soit 1000 $ ou 100 $ par air bag, c'est pas de leurs affaires (et donc, aucune entreprise du gouvernement du) si votre voiture a ou n'a pas de sacs gonflables.
Ou ne devrait pas être.
Maintenant, j'ai été critiqué pour (prétendument) surestimer le coût add-on des sacs gonflables à la fabrication niveau. C'est taureau, mais laisser de côté pour l'instant.
Il n'ya pas de débat sur ??le coût de remplacement des sacs une fois qu'ils ont déployés. Plusieurs centaines de dollars pour le gêner, chacun - ainsi que le coût de la réparation (ou remplacer) les parties périphériques détruites lorsque le coussin gonflable déployé, comme le dashpad, panneaux de porte (sacs de choc latéral) et le volant. Remplacement de sièges du conducteur et airbags du passager avant et les pièces intérieures connexes ajoute généralement 1500 $ - 2000 $ pour le coût de réparation d'une voiture.
Voir où cela mène?
Si seulement le conducteur et le passager avant sacs de sécurité se déploient dans une voiture avec une valeur au détail de 8000 $, vous feriez mieux d'espérer la tôle (et la feuille plastique dommages) n'équivaut pas à plus d'environ 2000 $ ou plus. Parce que si c'est fait , les chances sont bonnes de la voiture - autrement récupérable et peut-être même encore entraîné comme c'est - sera déclarée perte totale. Au lieu de se réparer votre voiture, vous aurez un chèque qui ne sera pas remplacer la voiture. Un chèque qui est souvent plus proche à la plus faible "valeur marchande" les mafiosi d'assurance peuvent déterrer. Vous aurez souvent à les combattre pendant des semaines - des mois, parfois - d'obtenir un règlement juste, même approximativement.
Merci aux sacs d'air, vous allez être être les pots cassés.
Délibérée ou non, le fait est que les coussins d'air mandat équivaut à une forme d'obsolescence planifiée ciblant les petites voitures, à bas prix. Une façon de concevoir-pour garantir pratiquement ils vont être mis au rebut même après un accident relativement mineur et par ailleurs économiquement réparable. J'ai fait allusion à 8000 $ dans mon exemple ci-dessus, mais rappelez-vous que, après quatre ou cinq ans de nouveau, une voiture comme le Mirage ne sera probablement une valeur d'environ 6000 $. À ce moment, tout le déploiement du coussin d'air - même si c'est juste l'airbag du conducteur, rien de plus - va probablement pousser le devis de réparation sur les 50 pour cent de la valeur au détail de coupure et la voiture sera canette de bière fourrage.
Il y a probablement des millions de primes pour les voitures âgées là-bas dont la valeur comptable de la gamme 6000 $ ou plus - avec bombes à retardement dans leurs panneaux de porte, dashpads et volants. C'est quelque chose à prendre en considération lors de l'achat d'une petite, apparemment voiture bon marché.
Le gouvernement fait tout son possible pour faire posséder une voiture très chère proposition - si elle n'est pas à l'avant, puis vers le bas de la ligne.
Jetez-le dans les bois ?
http://ericpetersautos.com/2013/10/02/small-car-catch-22/