Comment Barack Obama évite la prison

15.06.2012

Par Laurent Sellin

Un accord politique sera conclu pour sauver le Parti démocrate de l'effondrement total et de protéger le Parti républicain de révélations de complicité dans la plus grande fraude jamais perpétré sur le peuple américain.

Un nombre croissant d'Américains sont en train d'apprendre que Barack Obama, conformément à l'article II, section I, article 5 de la Constitution des États-Unis, est un président illégal. La loi exige d'un candidat à la présidence pour être un «citoyen de naissance», c'est-, une deuxième génération américaine, un citoyen américain, dont les parents étaient aussi des citoyens américains au moment de la naissance du candidat.

Le père d'Obama était un citoyen du Kenya et un sujet britannique au moment de sa naissance, ce qui fait de lui à jamais inadmissible à la présidence.

Pratiquement parlant, cette question n'est pas un problème pour Obama parce que le Parti républicain veut aussi violer la Constitution. Beaucoup de républicains sont agressivement préconisant la Floride sénateur Marco Rubio comme candidat vice-présidentiel de Mitt Romney. Rubio n'est pas admissible parce que, même si il est né aux États-Unis, ses parents étaient des citoyens cubains au moment de sa naissance.

Depuis 1975, les deux politiciens démocrates et républicains ont essayé en vain de modifier l'article II, section I, article 5 de la Constitution des États-Unis. L'élection d'Obama leur a permis de le faire, pas juridiquement, mais par le fait accompli. (...)

Il y a aussi des questions persistantes quant à l'authenticité du certificat de naissance d'Obama, d'inscription au Service sélectif et son utilisation d'un numéro de sécurité sociale ne lui a délivré, tous les crimes graves qui ont le potentiel pour longues peines de prison.

La loi, cependant, n'est pas un problème pour Obama parce que toute enquête sérieuse impliquerait un trop grand nombre de démocrates et les politiciens républicains. C'est pourquoi l'establishment politique et les médias sont a la suppression de tous les efforts pour découvrir la vérité sur l'histoire personnelle d'Obama parce qu'il exposerait leur propre corruption et l'hypocrisie.

Le plus grand danger pour Obama est le risque d'effondrement du Parti démocrate de l'échec des politiques conçues par son administration et de l'aile progressiste du Parti.

La faction Clinton et d'autres démocrates en dehors du cercle des partisans d'Obama craignent maintenant qu'il peut être conduit le Parti, non seulement à la défaite électorale certaine, mais à l'oubli politique. Ils travaillent activement dans les coulisses, sans doute avec la complicité des républicains, pour assurer la défaite d'Obama ou, peut-être, même tranquillement à l'obliger à sortir de la compétition présidentielle de 2012. Ils ont tous un intérêt direct dans le maintien de l'équilibre des pouvoirs du statu quo politique, qui une victoire d'Obama serait altérer de façon permanente.

Une victoire d'Obama serait, par exemple, jamais éliminer les démocrates de Clinton en tant que facteur politique et réduire à néant tous les arguments républicains économiques, qui représentent le cœur de la campagne Romney.

En général, cependant, la préoccupation des politiciens pour le bien-être du pays n'existe que dans le contexte de la puissance qu'ils exercent et la santé de leurs portefeuilles financiers et qui est l'essence de la menace Obama qu'ils perçoivent.

Beaucoup de choses peuvent se passer entre maintenant et Novembre pour déterminer si oui ou non le candidat démocrate Barack Obama et non-coalition républicaine va réussir. Est-ce que le procureur général Eric Holder être contraint à la démission ouvrant la voie à d'autres enquêtes ? Y aura-t fuites sélectives pour embarrasser Obama ? Est-ce que les financiers et les médias libéraux vont se retourner contre lui ? Obama va être privé de chantage ou promis au pardon ?

Le sort de M. Obama a déjà été déterminé, non par les électeurs, mais par éminences grises en utilisant des tactiques qui se dérouleront au cours des prochains mois.

Il y a une chose, cependant, cela est certain. Peu importe qui gagne en Novembre, les crimes présumés d'Obama ne seront jamais une enquête approfondie et son histoire personnelle ne seront jamais exposés soit par démocrate ou politiciens républicains. Leur implication dans une conspiration du silence est indéniable et leur protection d'Obama relève de la seule politique propre intérêt.

Barack Obama a été délivré un «sortir de prison sans" carte par un établissement politique corrompu et des médias malhonnêtes.

Laurent Sellin, Ph.D. est un colonel à la retraite avec 29 années de service dans la Réserve de l'armée américaine et un vétéran de l'Afghanistan et l'Irak. Le colonel Sellin est l'auteur de «L'Afghanistan et la culture de leadership militaire" . Il reçoit le courrier électronique au lawrence.sellin @ gmail.com

http://english.pravda.ru/opinion/columnists/15-06-2012/121397-barack_obama_prison-0/