La phrase prononcée par Clint Eastwood dans "Le bon, la brute ou le truand": "Le monde se divise en deux, il y a ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses !" est une vérité que tout le monde est a même de constater sitôt qu'il aura compris qu'il y a des écoles pour les riches (privées, privés de tout et formés pour être des éléments bien distincts mais toujours dans le suivi directeur) et puis, des écoles laïques où les enfants font 'ce qu'ils veulent' et puis qui sortent et se promènent en liberté n'importe où. Ceux-là, (ces 'derniers'), ils sont désignés comme esclaves, esclaves 'libres' d'aller où bon leur semble et d'entreprendre ce qu'ils auront 'choisi'. Pas une personne d'un côté ou de l'autre ne s'interpénètre. Les 'journalistes' fonctionnarisés qui font la une des médias ne doivent sortir de la ligne établie, du couloir, des oeillères et, si l'un franchit le pas de contester, de dire la vérité qu'il connaît et le démange, de se moquer de la monarchie, il sera effacé, éjecté, retrouvé mort 'suicidé' ou 'accidenté'.
La notoriété a un prix: celui du silence. Les ordres ou la mort. Les confidences y sont extrêmes et leurs particularités témoignent d'un 'ras-le-bol' d'une envie de changement. Nous savons tous depuis des lustres ce qu'est l'argent et qu'il se fabrique a toutes volées en planches à billets et que ni les billets, ni l'or n'ont de valeur malgré que son contraire soit entretenu. Ainsi, lorsque l'acteur Clint Eastwood énonce en cette phrase que seule son arme fait le choix, il réduit en cette occasion l'univers des rêves choyés d'être quelqu'un d'autre avec une fortune et celui de pouvoir réellement se défendre avec une arme à la main.
Effectivement, l'erreur commise par les révoltés du Bounty c'est d'avoir laissé la dictature vivante.
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