- ENTREE de SECOURS -



jeudi 16 mai 2024

Inquiétudes face à la montée de la myopie en France : il existerait des méthodes simples pour la contrer

 France-Soir

 le 15 mai 2024 - 11:54

 

Dans son émission sur France bleu Les conseils du Docteur Kierzek, l’urgentiste français aborde le sujet inquiétant de la myopie en abordant les solutions possibles en prévention pour freiner l’expansion. En seulement cinq ans, le nombre de myopes en France est passé du simple au double. Par ailleurs, les pronostics ne se font pas plus heureux, estimant que d’ici à 2050 la moitié de la population mondiale pourrait être atteinte de myopie.  

Détenteur d’une émission chaque matin sur France Bleu, le docteur explique pour son épisode du lundi 13 mai comment enrayer cet aspect de plus en plus récurrent. Confirmé par l’étude sur plus de 3 millions de personnes par la Société française d’ophtalmologie (SFO), ce serait 44% des Français qui seraient touchés par la myopie, touchant plus particulièrement les femmes que les hommes. Ainsi, une prise en charge rapide du phénomène pourrait permettre de freiner le phénomène et garantir une vision optimale selon Gérald Kierzek.  

Il existerait deux façons de souffrir de myopie. La première se déclare dans l’enfance et serait de cause génétique, tandis que la seconde interviendrait plus tardivement, parfois même à l’âge adulte, et se qualifie de « myopie comportementale ».  

Des dispositifs sont mis en place pour ralentir cette progression. Tout d’abord, les verres de freination, suivi du port de lentilles rigides la nuit, puis de lentilles freinatrices le jour ou encore de collyre à base d‘atropine sont autant de dispositifs plébiscités par le docteur. Ces solutions, certes invasives, représentent selon le spécialiste les moyens nécessaires à mettre en place pour garantir la bonne santé des yeux.  

Cependant, des comportements à adopter au quotidien peuvent aussi faire la différence en préventif. Penser à faire des pauses visuelles régulières en coupant toutes les 20 minutes pendant 20 secondes en est un premier aspect. De plus, s’exposer à la lumière naturelle permettrait de favoriser la sécrétion d’hormones, alors impliquées dans la croissance homogène du globe oculaire.  Les écrans sont régulièrement pointés comme participant du phénomène. Sa réduction aurait donc, elle aussi, son intérêt. 

https://www.francesoir.fr/societe-sante/inquietudes-face-la-montee-de-la-myopie-en-france-il-existerait-des-methodes-simples

114 commentaires:

  1. Plus de 35 000 vidéos supprimées en 2023 : YouTube dit “soutenir” les prochaines élections européennes et rappelle ses règles de modération


    France-Soir
    le 16 mai 2024 - 10:00


    Les élections européennes approchent à grands pas et dans leur sillage, le risque de censure de la part des GAFAM, sous pression des textes législatifs européens. YouTube, la filiale de Google de partage de vidéos, a annoncé le 09 mai dernier ses nouvelles “fonctionnalités” en prévision du scrutin européen. Outre les nouveaux boutons, dédiés à ses élections et leur déroulement, qui feront leur apparition, YouTube insiste sur ses règles de modération, dopées à l’intelligence artificielle (IA), pour détecter et supprimer les contenus soupçonnés de désinformation électorale. Ce “soutien” de YouTube intervient peu après l’annonce par Microsoft, un autre des GAFAM, d’un fonds pour former à la détection de contenus modifiés.

    Dans son communiqué, YouTube dévoile “un aperçu de ses efforts pour aider les citoyens d'Europe et d'ailleurs à trouver des actualités et des informations électorales utiles et faisant autorité”. La filiale de la firme Alphabet (ex-Google) a listé les nouvelles fonctionnalités qui apparaîtront sous peu sur son site et son application, en prévision de l’échéance électorale européenne.

    Plus de 35 000 vidéos supprimées dans l’UE en 2023

    YouTube évoque un panneau d'information pour orienter les spectateurs de l'UE vers les fonctionnalités “comment voter” et “comment s'inscrire pour voter”, des notices sur les candidats lors des recherches des utilisateurs ou encore, le jour J, les résultats en direct du vote. “Au cours des dernières semaines de la campagne, sur la page d'accueil de YouTube, nous afficherons des rappels indiquant où et comment voter”, lit-on encore.

    La plateforme de partage de vidéos insiste surtout sur les règles de modération. Dans son communiqué, “l’ingérence dans le processus démocratique”, dans toutes les langues aussi bien aux États-Unis qu’en Europe, est particulièrement citée. “Nos règles déterminent ce qui n'est pas autorisé sur YouTube et s'appliquent à tous les contenus, quels que soient la langue ou le point de vue politique (...) Par exemple, nous supprimons les contenus qui induisent les électeurs en erreur sur la manière de voter ou encouragent l'ingérence dans le processus démocratique”, lit-on.

    YouTube révèle alors avoir supprimé en 2023 plus de 35 000 vidéos mises en ligne depuis les États membres de l’UE, pour “violation de [ses] politiques en matière de désinformation”.

    “Notre équipe mondiale de modérateurs s'associe à la technologie d'apprentissage automatique (Intelligence artificielle, NDLR) pour appliquer ces politiques à grande échelle, 24h/24 et 7j/7”.

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  2. La plateforme rappelle que les “campagnes d’influence” ne sont pas autorisées et dit “travailler en étroite collaboration avec le Threat Analysis Group (TAG) de Google pour repérer ces types de campagnes et mettre fin à leurs chaînes (...) Grâce à TAG, nous partageons également des informations sur les menaces avec les forces de l'ordre, telles qu'EUROPOL.

    En attendant la promulgation de l’Artificial Intelligence Act, adopté par le Parlement européen en mars 2024 après un accord avec le Conseil en décembre 2023, l’IA, particulièrement les outils génératifs comme ChatGPT, suscite une vive inquiétude, notamment dans un contexte d’élections avec la diffusion de contenus trompeurs, à l’instar des deepfakes.

    En attendant, Breton fait le gendarme

    A ce propos, YouTube oblige désormais les créateurs de vidéos à préciser si leurs contenus sont générés par une IA, se permettant même de notifier comme “synthétique ou modifié” tout contenu qui n’a pas été indiqué comme tel par son créateur et “susceptible d’induire les téléspectateurs en erreur”. Censure en vue ?

    En attendant, YouTube comme les autres GAFAM, à l’image de Meta et ses réseaux sociaux Facebook ou encore Instagram, sont contraints par le Digital Service Act (DSA), en vigueur depuis août 2023, de réagir face aux contenus jugés “dangereux”, “illicites” ou propageant de la “désinformation”.

    Le 30 avril dernier, la Commission européenne a annoncé le lancement d'une procédure formelle d'infraction contre les plateformes dirigées par Mark Zuckerberg, pour des manquements au règlement sur les services numériques (DSA), à quelques semaines des élections européennes. L'exécutif européen estime que Meta n'en fait pas assez pour lutter contre la “désinformation en provenance de Russie et d'autres régimes malveillants”.

    Parmi les reproches faits à Meta figure sa non-conformité aux obligations du règlement en matière de lutte contre la diffusion de messages trompeurs, de publicités et de campagnes de désinformation. En outre, la prochaine mise hors service de CrowdTangle, un logiciel très utilisé par les journalistes et les chercheurs et considéré comme “essentiel” pour “repérer” et “analyser la désinformation”, passe mal auprès de la Commission.

    Si Microsoft n’est pas aussi sensiblement concernée par la lutte contre la désinformation, la firme fondée par Bill Gates prend les devants et lance avec OpenAI un fonds de 2 millions d’euros, appelé “Resilience Fund” visant à dispenser, par des ONG, des formations sur les contenus générés par l’IA en période électorale.

    Ça va bien se passer !

    https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/plus-de-35-000-videos-supprimes-en-2023-youtube-dit-soutenir-les-prochaines

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  3. Dr Astrid Stuckelberger
    @Stuckelberger

    BRICS, Russia, Japan, England & many more countries reject WHO Global Pandemic Accord which would transfer all power and authority to WHO DG/secretariat illegally! This would violate all national Constitutions, Human Rights + the UN Charter =>> SOVEREIGNTY IS NOT TRANSFERABLE‼️

    Les BRICS, la Russie, le Japon, l’Angleterre et bien d’autres pays rejettent l’accord mondial de l’OMS sur la pandémie, qui transférerait illégalement tout pouvoir et autorité au DG/secrétariat de l’OMS ! Cela violerait toutes les Constitutions nationales, Droits de l'Homme + Charte des Nations Unies = >> LA SOUVERAINETÉ N'EST PAS TRANSFÉRABLE ‼️

    https://twitter.com/Stuckelberger/status/1790873692315984147?cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D

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  4. Les toxines provoquent une insuffisance cardiaque et une cardiomyopathie


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    16 mai 2024


    Selon une étude1 publiée en 1999, les personnes souffrant d'insuffisance cardiaque sévère ont 12 000 fois plus d'antimoine dans leurs myocytes (les cellules du muscle cardiaque responsables de la contraction) que les témoins sains. Ils contiennent également 22 000 fois plus de mercure.

    Le mercure est un métal hautement toxique qui provoque un stress oxydatif, un affaiblissement du système de défense antioxydant, une inactivation des enzymes et une augmentation des dommages oxydatifs, qui contribuent tous à la détérioration de la fonction cardiaque.2 L'exposition à long terme à l'antimoine a également été associée à des problèmes cardiovasculaires. . L'antimoine a également une activité œstrogénique, qui est à l'origine de nombreuses maladies chroniques, notamment le cancer.

    Le stress oxydatif provoqué par les métaux lourds est l’une des principales façons par lesquelles ils détruisent votre fonction mitochondriale. Certains métaux lourds, notamment le mercure, le cadmium et le cuivre, interfèrent également directement avec la chaîne de transport d’électrons mitochondriaux3, entraînant une réduction de la production d’ATP, cruciale pour l’énergie cellulaire.

    L’interaction du mercure avec les enzymes et les membranes mitochondriales amplifie encore les dommages oxydatifs, altère la respiration cellulaire et peut déclencher la mort cellulaire.

    Des concentrations élevées de métaux lourds sont presque toujours présentes dans les cœurs défaillants

    Dans un article de novembre 20234, le Dr Thomas Levy, rédacteur en chef du Orthomolecular Medicine News Service, a souligné que le cœur est « le site de collecte préféré » de la plupart des métaux lourds et, à ce titre, la toxicité des métaux lourds est un contributeur courant à , et parfois la cause directe de l'insuffisance cardiaque.

    Diverses toxines, notamment les métaux lourds comme le plomb, le cuivre, le fer, le mercure, l’aluminium, le cadmium et autres, peuvent s’accumuler dans les tissus cardiaques, contribuant ainsi de manière significative à l’insuffisance cardiaque en endommageant directement les cellules du muscle cardiaque et en affectant leur fonction. Tel que rapporté par Levy :5

    « De nombreuses toxines différentes, y compris de nombreux métaux lourds, ont été soit liées à l’insuffisance cardiaque, soit clairement démontrées comme en étant la cause directe. De plus, une ou plusieurs de ces toxines sont presque toujours présentes en concentrations élevées dans le muscle cardiaque affecté. Une liste partielle de ces agents comprend les éléments suivants :

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  5. Plomb
    Cuivre
    Fer
    Mercure
    Aluminium
    Cobalt/Chrome
    Cadmium
    Or, argent
    Chimiothérapie
    Protéine de pointe COVID »

    Levy cite des études montrant comment chacun de ces agents toxiques endommage votre cœur et détériore la fonction cardiaque. Le plomb, par exemple, est lié à l’insuffisance cardiaque aiguë et à la myocardite ; toxicité du cuivre pour la cardiomyopathie hypertrophique ; du fer à l'insuffisance cardiaque congestive ; et le mercure à la cardiomyopathie dilatée idiopathique (IDCM).

    Reconnaître et traiter la toxicité des métaux lourds peut améliorer considérablement la fonction cardiaque, note Levy, ajoutant que la thérapie par chélation s'est révélée prometteuse pour inverser les lésions cardiaques liées à la toxicité.

    Le moyen le plus sûr de réduire votre fer

    Alors que Levy examine l'utilisation d'un chélateur du fer (déféroxamine) en cas de surcharge en fer grave, la phlébotomie de routine (don de sang) est une autre option, probablement plus sûre. Les effets secondaires de la déféroxamine comprennent, sans s’y limiter, des réactions allergiques, des problèmes respiratoires, des troubles de la vision, une perte auditive, des spasmes musculaires et des douleurs osseuses.6

    Pour ceux qui ont des taux de fer élevés, je recommande de donner du sang deux à quatre fois par an. Si perdre 10 % de votre sang en une seule séance est trop problématique, vous pouvez prélever du sang en plus petites quantités une fois par mois selon le calendrier indiqué ci-dessous. Si vous souffrez d'insuffisance cardiaque congestive ou de BPCO grave, vous devriez en discuter avec votre médecin, mais sinon, il s'agit d'une recommandation assez appropriée pour la plupart.

    - voir cadre sur site -

    Tel que rapporté par Levy :7

    « [Un] rapport de cas décrivait une femme de 27 ans souffrant d’une « insuffisance cardiaque sévère » qui s’était complètement normalisée grâce à un régime d’élimination du fer. Les patients atteints d'une cardiomyopathie sévère avec surcharge en fer ont une survie moyenne d'un an seulement lorsque la phlébotomie thérapeutique (don de sang) et la chélation du fer ne sont pas utilisées.

    Cette forme de cardiomyopathie commence par un remplissage restreint du cœur (dysfonctionnement diastolique), puis évolue vers une cardiomyopathie congestive. La cardiomyopathie par surcharge en fer survient le plus souvent chez les patients atteints d'hémochromatose héréditaire ou d'hémochromatose secondaire (comme dans le cas de la β-thalassémie et de l'anémie falciforme).

    Cependant, on peut toujours s’attendre à ce qu’un excès de fer inférieur à celui observé dans l’hémochromatose à part entière inflige sa propre toxicité dose-dépendante. La plupart des adultes ont déjà des niveaux excessifs de fer dans leur corps, comme en témoignent les niveaux élevés de ferritine qui restent considérés à tort comme normaux dans les plages de référence des laboratoires.

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  6. L’excès de fer dans le cœur est également un facteur prédisposant au développement d’une fibrillation auriculaire, une arythmie qui contribue elle-même à une morbidité et une mortalité accrues.

    Dans des études animales, il a été démontré que l’excès de fer cellulaire dans les cellules cardiaques augmente le stress oxydatif et altère la capacité de la chaîne de transport d’électrons mitochondriale (ETC) à produire de l’ATP. L’ATP étant la principale molécule fournissant de l’énergie dans l’organisme, toute diminution de sa production entraîne toujours une fonction cellulaire compromise et des maladies.

    Il convient de noter qu’il a été démontré que la supplémentation en resvératrol améliore considérablement la fonction cardiaque dans des modèles animaux de cardiomyopathie par surcharge en fer. Dans une autre étude animale8, la défériprone ou la N-acétylcystéine ont été efficaces pour diminuer la concentration cardiaque en fer.

    D'où vient l'antimoine ?

    Dans une correspondance personnelle avec moi, Levy a souligné que l'une des principales sources d'antimoine est le plastique contenant du PET, les bouteilles d'eau en plastique étant la principale source.

    « En comparaison, l’antimoine est plus toxique que l’arsenic », m’a-t-il expliqué. "Après avoir présenté cette information récemment, un vétéran dans le public m'a dit qu'ils laissaient d'énormes palettes d'eau en bouteille aux troupes au Moyen-Orient, et qu'il tombait malade à chaque fois qu'il buvait de l'eau, mais qu'il n'y avait pas d'autre source d'eau. . Bien entendu, la chaleur a accéléré la libération d’antimoine dans l’eau.

    Le chapitre 3 du rapport 2022 de Defend Our Health, « Problème de plastique : comment le polyester et le plastique PET peuvent être des matériaux dangereux, injustes et non durables », détaille comment l'antimoine présent dans le plastique menace notre santé, en particulier celle de nos enfants. Voici un petit extrait :9

    « L'antimoine (sous forme de trioxyde d'antimoine) est le catalyseur préféré pour accélérer la réaction chimique finale qui produit le plastique PET. De petites quantités d’antimoine peuvent continuellement s’échapper du PET lors de l’utilisation et de l’élimination des bouteilles en plastique, des emballages alimentaires et des vêtements en polyester, des produits pour enfants et d’autres textiles.

    L'antimoine est connu pour nuire à la santé depuis des décennies, sur la base d'études sur la santé des personnes exposées et des animaux de laboratoire… Les enfants sont exposés à de multiples sources d'antimoine provenant de son utilisation comme additif pour le plastique, y compris son utilisation courante avec des produits chimiques ignifuges, notamment dans le PET et polyester.

    En plus de l'exposition par les aliments et les boissons, l'antimoine peut être ingéré par la poussière domestique et par l'ingestion de jouets et de vêtements à base de polyester. Cette exposition globale à l’antimoine par les enfants semble dépasser la dose quotidienne maximale établie par l’État de Californie pour se protéger contre la toxicité chronique des organes.

    Il est important de noter que l’antimoine a également une activité œstrogénique et que l’on n’en veut pas trop. Le rapport « Problem Plastic » cite des recherches qui ont révélé une activité œstrogénique dans 7 des 9 bouteilles PET testées.

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  7. En plus d’être un cancérigène connu et un facteur d’obésité, l’œstrogène est également un inhibiteur métabolique qui ralentit la production d’énergie dans la cellule. Et, comme le souligne Levy dans la citation ci-dessus, toute diminution de la production d’énergie « entraîne toujours une fonction cellulaire compromise et des maladies ».

    Méfiez-vous des boissons dans des bouteilles en plastique

    En février 2022, Defend Our Health a testé la présence d’antimoine dans 20 boissons populaires. Toutes les boissons étaient mises en bouteille dans du plastique PET et toutes présentaient des niveaux d'antimoine détectables. Huit des 20 échantillons (40 %) avaient des concentrations d'antimoine qui dépassaient l'objectif de santé publique de la Californie pour l'eau potable de 1 partie par milliard (ppb), et 18 des échantillons (90 %) dépassaient la limite de 0,25 ppb recommandée par Defend Our Health. Selon le rapport « Problem Plastic »10 :

    « La concentration la plus élevée a été trouvée dans l’échantillon de jus de légumes Campbell’s V8, qui contenait 3,45 parties par milliard (ppb) d’antimoine, soit plus de trois fois l’objectif de santé publique de la Californie concernant l’antimoine dans l’eau potable.

    L'échantillon de soude présentant la concentration d'antimoine la plus élevée était le Coca Cola (emballé dans du PET 100 % recyclé) à 2,2 ppb. L’eau Perrier de Nestlé avait la concentration d’antimoine la plus élevée parmi les eaux en bouteille échantillonnées, à 1,58 ppb.

    Le plastique de 11 bouteilles présentait des concentrations d'antimoine comprises entre 216 et 321 parties par million (ppm). Ces concentrations se situent dans ou légèrement au-dessus de la plage précédemment documentée de 172 à 261 ppm dans les bouteilles PET connues pour utiliser un catalyseur à l'antimoine.

    Trois bouteilles testées présentaient des concentrations d'antimoine indétectables. Ces échantillons PET étaient des bouteilles Simply Lemonade, Mountain Dew et 7up. Les concentrations de titane dans ces échantillons PET se sont révélées six à sept fois plus élevées que dans les autres échantillons de bouteilles testés…

    Les niveaux d'aluminium étaient également élevés dans le plastique de deux de ces échantillons (Simply Lemonade et 7-up), ce qui suggère que ces bouteilles pourraient avoir été produites à l'aide d'un catalyseur à base de titane et/ou d'aluminium.

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  8. Nanoplastiques liés aux crises cardiaques et aux accidents vasculaires cérébraux

    Dans le même ordre d’idées, des recherches récentes11 ont également établi un lien entre les nanoplastiques et un risque accru de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. L'étude, publiée dans le New England Journal of Medicine, a analysé les tissus de 257 personnes subissant une endartériectomie carotidienne.

    Les plaques artérielles contenaient plusieurs types de nanoplastiques, notamment du polyéthylène, détecté chez 58,4 % des patients, et du chlorure de polyvinyle, présent chez 12,1 %.

    Il est inquiétant de constater que les personnes ayant des microplastiques ou des nanoplastiques dans les tissus de leur artère carotide courent un risque quatre fois plus élevé de souffrir d'un événement cardiovasculaire tel qu'une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral au cours des trois prochaines années, par rapport à celles qui n'en ont pas. Ils étaient également plus susceptibles de mourir, quelle qu’en soit la cause.

    L'augmentation de l'énergie cellulaire est un élément important du traitement de l'insuffisance cardiaque

    Le cœur et le cerveau consomment à eux deux près d’un tiers de l’énergie de votre corps. Le cerveau représente 2 % de votre poids corporel et consomme 20 % de votre énergie corporelle, tandis que votre cœur ne représente que 0,5 % de votre poids corporel (soit 75 % de moins que votre cerveau) mais consomme quand même 7 % à 8 % de l'énergie de votre corps. . Gramme par gramme, c'est 50% de plus que votre consommation cérébrale.

    Si vous ne parvenez pas à produire une énergie cellulaire adéquate, vous n’aurez tout simplement pas assez d’énergie pour permettre à votre cœur de pomper efficacement. C’est pourquoi il est si vital de mettre en œuvre les stratégies dont nous avons parlé précédemment dans d’autres articles pour améliorer la production d’énergie cellulaire.

    Voici les concepts clés qui doivent être intégrés pour améliorer toute l’énergie cellulaire, et certainement l’énergie produite pour le cœur. Ils tournent tous autour de l’amélioration de la fonction mitochondriale :

    • Réduire le LA autant que possible — Il s'agit du poison mitochondrial le plus important. Regardez ma vidéo complète expliquant pourquoi il en est ainsi et comment le faire.

    - voir clip sur site -

    • Réduire l'excès d'œstrogènes — Les œstrogènes, même bio-identiques, sont presque aussi dangereux que l'AL pour détruire la fonction mitochondriale. En plus d'éviter tous les suppléments d'œstrogènes et les plastiques, car ils sont de puissantes sources de xénoestrogènes, vous pouvez prendre de la progestérone transmuqueuse, et non par voie orale ou transdermique, car c'est un puissant bloqueur d'œstrogènes. Voir la section ci-dessous pour plus de détails.

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  9. • Assurez-vous que votre thyroïde fonctionne bien — La fonction thyroïdienne est absolument essentielle pour garantir un taux métabolique élevé et une production abondante d'ATP. Si vous envisagez de faire un test thyroïdien, il est important que votre TSH soit bien supprimée et inférieure à 0,5. Vous pouvez également confirmer en prenant votre température dès le matin et deux heures après les repas. Les basses températures indiquent une faible activité thyroïdienne.

    • Optimisez votre microbiome — C'est la clé, car non seulement 95 % des gens sont métaboliquement inflexibles, mais en raison de poisons mitochondriaux, leur microbiome est déséquilibré avec une prépondérance de bactéries pathogènes productrices d'endotoxines, qui sont un autre poison mitochondrial puissant. Nous examinerons prochainement les stratégies essentielles pour inverser cette situation omniprésente.

    Réduisez votre charge toxique grâce au don de sang et au sauna

    En plus de réduire le fer, le don de sang peut également réduire les niveaux de certains produits chimiques plastiques dans votre sang. La transpiration est un autre moyen efficace d’excréter les métaux lourds et les produits chimiques plastiques de vos tissus. Je recommande d'utiliser à cet effet un sauna proche infrarouge avec de faibles CEM, car les rayons proches infrarouges peuvent pénétrer beaucoup plus profondément dans votre corps que l'infrarouge lointain.

    Les autres avantages de l'utilisation du sauna comprennent une meilleure forme cardiovasculaire et une réduction de la mortalité toutes causes confondues, une baisse de la tension artérielle, une réduction du risque de démence, une amélioration de la santé mentale, une fonction immunitaire renforcée, une endurance sportive améliorée, une inflammation réduite, l'activation des cellules souches, une sensibilité améliorée à l'insuline et une réduction de hormones de stress.

    En règle générale, restez dans le sauna pendant 20 à 30 minutes, ou jusqu'à ce que vous atteigniez une fatigue subjective, signe que vous avez maximisé les bienfaits que vous allez en tirer. Il ne s’agit pas d’atteindre un point de souffrance – juste ce point où vous vous sentez légèrement anxieux et fatigué et où vous voulez sortir.

    Quant à la fréquence, les recherches ont toujours montré qu’elle dépend de la dose, donc plus vous le faites souvent, plus les bénéfices sont grands. L’idéal semble être environ quatre fois par semaine, car vous perdrez également des minéraux ainsi que des toxines. Vous devez donc réhydrater et reconstituer ces minéraux pour éviter les carences en minéraux. Pour plus de détails, y compris sur la façon de construire votre propre sauna proche infrarouge, voir « Thérapie sauna proche infrarouge – Une biohack clé pour la santé ».

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  10. La progestérone neutralise l'exposition aux xénoestrogènes provenant des plastiques

    Pour contrecarrer les dangers de l’exposition aux œstrogènes provenant des plastiques, vous pouvez utiliser de la progestérone, qui est un antagoniste naturel des œstrogènes. La progestérone est l’une des quatre hormones dont je pense que de nombreux adultes peuvent bénéficier. (Les trois autres sont l'hormone thyroïdienne T3, la DHEA et la prégnénolone.)

    En recommandation générale, je recommande de prendre 25 à 50 mg de progestérone bio-identique par jour, le soir une heure avant de se coucher, car elle peut également favoriser le sommeil. Pour une biodisponibilité optimale, la progestérone doit être mélangée à la vitamine E naturelle. La différence de biodisponibilité entre la prise orale de progestérone sans vitamine E et la prise avec de la vitamine E est de 45 minutes contre 48 heures.

    Une autre bonne raison de prendre de la progestérone avec de la vitamine E est qu’elle se lie aux globules rouges, ce qui permet à la progestérone d’être transportée dans tout votre corps et d’être distribuée là où elle est le plus nécessaire.

    Simply Progestérone de Health Natura est prémélangé avec de la vitamine E et de l'huile MCT. Vous pouvez également fabriquer le vôtre en dissolvant de la poudre de progestérone USP pure dans une capsule de vitamine E de haute qualité, puis en frottant le mélange sur vos gencives. Cinquante milligrammes de progestérone en poudre correspondent à environ 1/32 cuillère à café.

    N’utilisez pas de vitamine E synthétique (acétate d’alpha tocophérol – l’acétate indique qu’elle est synthétique). La vitamine E naturelle sera étiquetée « d alpha tocophérol ». Il s’agit de l’isomère D pur, que votre corps peut utiliser. Il existe également d'autres isomères de la vitamine E, et vous voulez le spectre complet des tocophérols et des tocotriénols, en particulier les types bêta, gamma et delta, dans l'isomère D efficace.

    Je ne recommande pas la progestérone transdermique, car votre peau exprime des niveaux élevés d’enzyme 5-alpha réductase, ce qui entraîne la conversion irréversible d’une partie importante de la progestérone que vous prenez principalement en allopregnanolone et ne peut pas être reconvertie en progestérone.

    La prévention des expositions toxiques est essentielle

    Bien entendu, la prévention – minimiser votre exposition aux métaux lourds et aux composés œstrogéniques tels que les microplastiques – doit vraiment être votre première ligne de défense.

    Même si cela semble assez simple, cela peut s’avérer délicat, pour la simple raison que ces toxines sont partout autour de nous, dans notre nourriture, notre eau, la poussière domestique, nos vêtements, nos articles ménagers et de soins personnels et même dans l’air que nous respirons. Cela dit, faire un effort concerté pour débarrasser votre foyer du plastique peut grandement contribuer à minimiser votre exposition et celle de vos enfants. Voici quelques suggestions pour commencer :

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  11. Filtrez l'eau du robinet et évitez l'eau en bouteille en plastique. Si vous devez acheter de l'eau en bouteille, optez pour des bouteilles en verre. Assurez-vous également que le filtre que vous utilisez pour purifier l’eau du robinet peut filtrer les microplastiques.

    Choisissez des aliments biologiques autant que possible.

    Optez pour des poissons à faible teneur en mercure comme l'anchois, le poisson-chat, le saumon sauvage d'Alaska, les sardines et le tilapia. Ces poissons sont classés dans la catégorie des « meilleurs choix » de consommation en raison de leurs niveaux de mercure plus faibles, ce qui en fait des options plus sûres pour tout le monde, y compris les femmes enceintes. et les enfants.12

    Évitez cependant tous les poissons d'élevage, car les poissons d'élevage ont tendance à être fortement contaminés. Évitez également les gros poissons carnivores tels que le marlin, le bar et le thon, y compris le thon en conserve, car ils ont tendance à contenir certaines des concentrations de mercure les plus élevées.

    Maintenir une ventilation adéquate pour réduire les polluants intérieurs.

    Faire bouillir l’eau du robinet dure – Si vous avez de l’eau du robinet dure, pensez à la faire bouillir avant de l’utiliser pour cuisiner ou boire, car l’eau dure emprisonne davantage de microplastiques. Des recherches récentes montrent que faire bouillir l’eau dure du robinet pendant cinq minutes élimine jusqu’à 90 % des microplastiques présents dans l’eau.13

    Utilisez des contenants réutilisables — Remplacez les bouteilles, gobelets et récipients en plastique à usage unique par des alternatives réutilisables fabriquées à partir de matériaux plus sûrs comme l'acier inoxydable ou le verre.

    Ne mettez jamais de plastiques au micro-ondes – La chaleur peut amener les plastiques à laisser pénétrer des produits chimiques dans les aliments. Utilisez des récipients en verre ou en céramique pour passer au micro-ondes.

    Évitez les planches à découper en plastique – Optez plutôt pour des planches à découper en bois ou en verre.

    Optez pour des fibres naturelles – Dans la mesure du possible, choisissez des vêtements et autres produits textiles fabriqués à partir de fibres naturelles comme le coton, la laine et le lin, car les tissus synthétiques tels que le polyester éliminent les microfibres et les xénoestrogènes.

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  12. Lavez les vêtements synthétiques moins fréquemment — Lorsque vous lavez des textiles synthétiques, utilisez un filtre en microfibre dans votre machine à laver pour retenir les fibres synthétiques et les empêcher de pénétrer dans le système d'eau.

    Optez pour des cosmétiques et des produits de soins personnels de qualité alimentaire – Certains cosmétiques, dentifrices et produits de soins personnels contiennent des microbilles ou d’autres particules de plastique. Recherchez des produits exempts de ces matériaux. Idéalement, optez pour des produits entièrement naturels et de qualité alimentaire.

    Assurer l’élimination ou le recyclage approprié des appareils électroniques et des piles.

    Sources and References

    1 J Am Coll Cardiol 1999 May;33(6):1578-83
    2 Front Pharmacol April 12, 2021; 12
    3 Scientific World Journal April 24, 2012; 136063
    4, 5, 7 Orthomolecular Medicine News Service November 3, 2023 (Archived)
    6 Drugs.com Deferoxamine
    8 Toxicology 427:152289
    9, 10 Defend Our Health, Problem Plastics July 2022
    11 New England Journal of Medicine March 6, 2024
    12 FDA Advice about Eating Fish
    13 ZeroHedge March 8, 2024

    https://www.lewrockwell.com/2024/05/joseph-mercola/toxins-cause-heart-failure-and-cardiomyopathy/

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  13. Chloé Frammery

    15 MAI 2024


    VOTATIONS DU 9 JUIN 2024 🇨🇭

    Positions du mouvement LIBERTÉ 🕊
    Les positions de LIBERTÉ apparaîtront pour la première fois de l'Histoire dans le livret de vote envoyé aux Suisses !

    Objets fédéraux

    1. Initiative max 10% du revenu pour l'assurance maladie : OUI
    2. Initiative frein au coût pour la santé : NON
    3. Initiative pour la Liberté et l'Intégrité physique : OUI
    4. Loi sur l'électricité à partir des éoliennes et solaire partout : NON
    Objets cantonaux (Genève)
    • Interdiction des symboles de haine : NON
    • Pour le vote des étrangers qui résident à Genève depuis plus de 8 ans : OUI
    • Loi sur l'accueil pré-scolaire : NON
    • Loi modifiant la loi sur la santé : NON

    •••••••••••••••••••••••••••

    LES TEXTES EN DÉTAIL

    • 4 objets fédéraux :
    1. Max 10% :
    https://www.fedlex.admin.ch/eli/fga/2023/2285/fr
    2. Frein aux coûts santé :
    https://www.fedlex.admin.ch/.../fedlex-data-admin-ch-eli...
    3. Pour la Liberté et l'Intégrité :
    https://www.fedlex.admin.ch/.../fedlex-data-admin-ch-eli...
    4. Électricité :
    https://www.fedlex.admin.ch/.../fedlex-data-admin-ch-eli...
    • 4 objets cantonaux (Genève) :
    - Symboles de haine :
    https://ge.ch/grandconseil/data/loisvotee/L13241.pdf
    - Vote des étrangers dans le canton :
    https://ge.ch/grandc.../grandconseil/data/texte/IN00189A.pdf
    - Loi sur l'accueil préscolaire :
    https://ge.ch/grandconseil/data/texte/PL13247.pdf
    - Loi modifiant la loi sur la santé :
    https://ge.ch/grandconseil/data/odj/020206/L12124.pdf

    On fera une petite vidéo en mai pour expliquer les 8 objets qui seront au vote le 9 juin 😉

    👉 La nouvelle page de mon site consacrée aux votations suisses :
    https://chloeframmery.ch/votations-suisses-2

    https://www.facebook.com/chloe.fra.9/posts/pfbid02XmrGJNTYTWfE6su1DyL9kpgP1UjTFAgmb54cRDJbDJhGV9Uh1cywGfNz6XW3bNAel?notif_id=1715852839017749&notif_t=creators_activity&ref=notif

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  14. Oncologue : l'ivermectine guérit le cancer même à un stade avancé


    16 mai 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L’ivermectine est un médicament connu depuis longtemps et doté d’un très large spectre d’action. Il peut être utilisé dans des rôles antiparasitaires, antiviraux et anti-cancérigènes. Depuis que les brevets ont expiré et qu'il peut être produit à très bas prix, l'industrie pharmaceutique a mené une énorme campagne de relations publiques contre ce produit au cours des quatre dernières années, contredisant les affirmations sur la nécessité de la campagne de vaccination. C'est la même chose en oncologie : les produits pharmaceutiques réalisent d'énormes profits grâce aux médicaments contre le cancer.

    Comme indiqué récemment , une étude montre que l'ivermectine, un médicament antiparasitaire, peut également guérir le cancer du poumon. Plus précisément, les chercheurs ont découvert que l’ivermectine tue les cellules cancéreuses du poumon in vitro (boîtes de Pétri) et in vivo (souris). Et cela fonctionne de plusieurs manières. Selon les chercheurs, l’ivermectine supprime le cancer du poumon d’au moins trois manières différentes, à savoir en empêchant la croissance, en favorisant la mort (« apoptose ») des cellules cancéreuses et en désintégrant les cellules endommagées (« autophagie »).

    Il existe également des preuves cliniques de l’efficacité de l’ivermectine. L'oncologue Dr. Kathleen Ruddy a révélé que le remède miracle avait sauvé la vie de patients en phase terminale. Ruddy a déclaré que le médicament avait été testé sur trois patients qui avaient épuisé tous les autres traitements contre le cancer. Elle a rapporté qu’après avoir pris de l’ivermectine, les patients se sont levés de leur lit de mort et n’avaient plus aucun cancer en moins d’un an.

    Dr. Kathleen Ruddy a constaté une guérison spectaculaire chez plusieurs patients atteints d'un cancer en phase terminale après avoir pris de l'ivermectine.

    Un patient se sentait très mal et puis quelque chose de remarquable s’est produit. Cet homme souffrait d'un cancer de la prostate de stade quatre et avait essayé tous les traitements conventionnels avant que les médecins ne lui disent qu'ils ne pouvaient plus rien faire.

    Puis il a commencé à prendre de l'ivermectine... En six mois, les lésions métastatiques ont commencé à disparaître, et en moins d'un an, "il était capable de danser quatre heures, trois soirs par semaine", selon le Dr. Rouge.

    Un scénario similaire s'est produit avec un autre homme nommé Eddie. Il était également en mauvais état.

    Eddie a reçu un diagnostic de deux tumeurs œsophagiennes inopérables que les chirurgiens ont refusé d'aborder. Il était fumeur, ne pouvait pas avaler et avait perdu 40 livres.

    « Au bout de quelques semaines, il semblait plus fort. Il pouvait avaler. Il avait pris six kilos. Sa voix allait mieux ", a rapporté le Dr. Rouge.

    Quelques semaines plus tard, le Dr. Ruddy à Eddie : « Tu dois passer un examen, devinez ce qui s'est passé ensuite ?

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  15. « Nous avons eu le scanner. Pas de tumeurs. Disparu. Disparu. Le problème, c'est qu'il avait vendu son bateau de pêche. C'était le plus gros problème. Il se sentait mieux. Sa tumeur avait disparu. Maintenant, il doit acheter un nouveau bateau de pêche... Je me suis dit : "Eh bien, c'est intéressant." "

    Il y a également eu un troisième cas, explique le Dr. Rouge. Un troisième patient souffrait d’un cancer grave du foie. Le patient a été opéré par un « brillant chirurgien du cancer », mais malheureusement le cancer s’est propagé après l’intervention.

    On ne pouvait rien faire de plus, alors elle a commencé à prendre de l’ivermectine. Après quelques semaines, une échographie a été réalisée et son « foie était propre », a déclaré Ruddy.

    À ce stade, Ruddy a déclaré qu'elle devait faire connaître le succès de ce médicament.

    «J'étais aussi étonné que quiconque que l'ivermectine soit un médicament anticancéreux potentiel », explique Ruddy. Elle a noté que les chances que les patients se rétablissent par hasard en prenant de l’ivermectine sont « nulles ».

    « C'est comme gagner à la loterie avec les trois premiers billets achetés », a-t-elle expliqué.

    Elle a constaté que les trois patients n’avaient pas été vaccinés contre le Covid.

    Après le Dr. Après que Ruddy ait observé plusieurs cas comme celui-ci, elle a lancé une étude observationnelle multicentrique. L'étude examine comment les médicaments nouvellement développés tels que l'ivermectine affectent les taux de survie au cancer.

    Pourquoi un médicament antiparasitaire comme l’ivermectine agirait-il sur le cancer ? S’agit-il de cas isolés ou du signe d’une avancée majeure ? Elle a pour mission de le découvrir.

    Ruddy a accusé le ministère américain de la Justice et la Food and Drug Administration (FDA) de supprimer l'utilisation de l'ivermectine et d'autres médicaments. Elle a qualifié les autorités fédérales d’« incompétentes ».

    https://tkp.at/2024/05/16/onkologin-ivermectin-heilt-krebs-sogar-im-spaetstadium/

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  16. Dommages au vaccin après avoir participé à une étude Covid : une femme poursuit Astra Zeneca


    15 mai 2024
    de Thomas Oysmüller


    Une femme a subi des dommages causés par son vaccin après avoir participé à l'étude d'Astra Zeneca sur le vaccin Covid - elle poursuit désormais l'entreprise en justice.

    Son vaccin contre le Covid, désormais retiré du marché mondial, poursuit désormais en justice le géant pharmaceutique Astra Zeneca aux États-Unis. Une mère de l'Utah poursuit la société britannique parce qu'elle ne fournit pas assez d'argent pour soigner les dommages causés par la vaccination. Elle est « définitivement handicapée » – les complications ont commencé quelques heures seulement après qu’on lui ait injecté la substance Astra « Vaxzevria ». Elle a participé à l’essai clinique qui a conduit à l’approbation.

    Dommages causés par le vaccin selon une étude

    La femme de 42 ans était en bonne santé lorsqu’elle a participé à l’essai clinique du vaccin de fabrication britannique en 2020. Mais la participation entraîne « une maladie neurologique grave », selon la plainte déposée lundi. "Je suis arrivée à la clinique en bonne santé et je suis repartie avec le début d'un cauchemar que je ne souhaiterais pas à mon pire ennemi ", a déclaré Brianne Dressen dans des documents judiciaires rapportés mercredi par le New York Post .

    Quelques heures seulement après avoir reçu l'injection du vaccin, l'ancien enseignant a développé des effets secondaires tels que des picotements dans le bras, une vision floue, des maux de tête, des bourdonnements d'oreilles et des vomissements, selon le dossier judiciaire. Certains des symptômes se sont aggravés et se sont propagés à ses jambes avant qu’elle ne découvre qu’elle souffrait de paresthésies – une maladie neurologique dans laquelle les nerfs deviennent irrités, selon le procès.

    Après avoir été hospitalisée à plusieurs reprises, a déclaré Dressen, les neurologues des National Institutes of Health lui ont diagnostiqué une « neuropathie post-vaccinale » en 2021.

    Dressen a déclaré qu'elle avait signé un formulaire de consentement avec le fabricant au début de l'étude indiquant qu'AstraZeneca « couvrirait les coûts du traitement médical des blessures liées à la recherche, à condition que les coûts soient raisonnables et que vous n'ayez pas causé la blessure vous-même », a-t-il déclaré dans le communiqué. procès. Cependant, Dressen a déclaré qu'AstraZeneca ne lui avait proposé qu'un paiement unique de 1 243,30 $.

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  17. Il s’agit d’une « infime fraction des factures médicales et des pertes de salaire ainsi que d’autres coûts financiers que Bri a engagés et continuera d’engager », accuse la femme blessée par le vaccin à la société pharmaceutique britannique. La mère de deux enfants accuse AstraZeneca d'avoir rompu son contrat en ne fournissant pas une compensation adéquate pour couvrir le coût des frais médicaux liés à ses effets secondaires, qui, selon elle, ont « monté en flèche » au cours des années qui ont suivi sa vaccination.

    Dresse est « toujours handicapée et n’est plus que l’ombre » d’elle-même. Elle ne peut plus faire son travail, même si certains symptômes se sont améliorés :

    «J'ai fait tout ce qu'ils m'ont demandé. J'ai rempli mes obligations envers eux. Ils ne se sont pas conformés. Quand ils avaient besoin de moi, j’étais là, j’ai coopéré. Quand j’en avais besoin, ils étaient introuvables.

    Astra Zeneca n'a pas commenté le procès.

    https://tkp.at/2024/05/15/impfschaden-nach-teilnahme-an-covid-studie-frau-klagt-astra-zeneca/

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  18. Traité pandémies de l’OMS et audience de U. von der Leyen  : Pr Christian Perronne réagit


    France-Soir
    le 16 mai 2024 - 13:19


    ENTRETIEN – A l’occasion de la journée de conférences organisée par le Conseil scientifique indépendant à Saintes, nous nous sommes entretenus avec le Pr Christian Perronne, infectiologue, sur les dangers du traité pandémies de l’OMS qui va être discuté dans les jours à venir. Nous l’avons également questionné sur l’audience du 17 mai dans l’affaire du SMSGate, dans laquelle Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, est accusée de prise illégale d’intérêts, de corruption et de destruction de documents publics. Rappelons que le professeur Perronne a été vice-président d’un groupe d’experts en politique vaccinale à l’Organisation mondiale de la Santé, et président de la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique en France.

    - voir clip sur site :

    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/traite-pandemies-de-l-oms-et-audience-de-u-von-der-leyen-pr-christian

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  19. Stoppons ENSEMBLE le traité de l’OMS sur les pandémies !


    14.05.2024
    www.kla.tv/29066


    Salut, c'est Klaus de Franconie...

    Nous ne devons pas nous laisser aveugler par les premiers succès, car par exemple le prétendu assouplissement des textes du traité de l'OMS était certainement une « concession tactique » ! Comme la résistance n'a cessé de croître, ils ont dû faire marche arrière ! Nous devons maintenant faire entendre nos voix d'autant plus fort que les véritables dangers sont loin d'être écartés ! Je voudrais citer cinq points concrets pour illustrer mon propos :

    1. Il ne faut pas voter à l'assemblée générale de l'OMS fin mai !

    Il y a un énorme va-et-vient avec les textes des traités. Les dernières versions n'ont été publiées que mi-avril. C'est beaucoup trop tard, car toute modification doit être annoncée au moins 4 mois avant le vote, selon les règles de l'OMS ! Le vote ne doit pas avoir lieu lors de l'assemblée générale de l'OMS du 27 mai au 1er juin 2024, mais doit être reporté ! L'OMS ne peut tout de même pas exiger le respect de ses règles si elle ne les respecte pas elle-même !

    2. L'OMS ne veut clarifier des éléments très importants du contrat qu'après le vote !

    Qui signerait un contrat dont le contenu ne doit être clarifié qu'après la signature ? L'OMS a laissé de nombreux points importants en suspens dans les textes du traité et ne veut les clarifier que d'ici mai 2026 ! Cela montre à quel point l'OMS agit de manière sournoise !

    3. Le secrétaire général a trop de pouvoir !

    Il peut par exemple désigner et révoquer lui-même l'organe chargé de le surveiller ! Les normes démocratiques minimales ne sont même pas respectées ! Il n'y a pas de séparation des pouvoirs, etc.

    4. Tedros a un passé hautement criminel !

    En tant que ministre des Affaires étrangères, Tedros a été coresponsable d'un génocide contre des groupes ethniques en Éthiopie. Regardez le « dossier Tedros ». Cet homme ne doit jamais avoir autant de pouvoir !

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  20. 5. Il ne s'agit pas de santé, mais de profit !

    C'est une hypocrisie de nous faire croire que ces contrats concernent le bien-être et la santé des gens ! Les acteurs non étatiques veulent gagner toujours plus d'influence grâce à des dons affectés à un but précis et enrichir toujours plus Big Pharma !

    Vous voyez, il y a encore beaucoup de choses à faire ! Il y a encore beaucoup à faire !
    D'où la grande question : à quoi ressemble la pratique ? Comment chacun peut-il apporter sa contribution ?

    Il n'y a qu'un seul moyen de stopper les plans de l'OMS pour nos pays respectifs :
    Cette voie passe par les représentants élus dans les parlements compétents ! Il n'y a pas d'autre voie !
    Nous vivons dans ce qu'on appelle une démocratie parlementaire. Les gens peuvent élire eux-mêmes leurs représentants au parlement ! C'est un grand privilège par rapport aux formes d'État autoritaires !
    Utilisons donc les possibilités que nous offre la loi et ne laissons pas la place à la résignation ! Imaginez un peu : Tous ceux qui s'opposent à ces projets décrochent leur téléphone, écrivent une lettre ou une carte postale, envoient un e-mail au député de leur région... Le sujet serait vite clos !
    Je suis convaincu que nous avons beaucoup plus d'influence que nous ne le pensons !
    En effet, les députés ne sont généralement pas au courant de ces accords. Ils dépendent de nous pour que nous les informions en particulier sur les dangers évoqués.
    Je pense même que la plupart d'entre eux sont très reconnaissants si nous pouvons leur fournir des informations utiles.
    Pour cela, nous avons préparé deux aides concrètes :

    1. la fiche d'information

    Elle est à la pointe de l'actualité et n'a été achevée qu'hier dans sa dernière version ! On y trouve les faits essentiels, et même le texte des derniers projets. C'est certainement très intéressant pour les politiques, si quelqu'un peut leur montrer noir sur blanc ce qui est réellement contenu dans les accords, ce qui est prévu. Une juriste a examiné cette fiche d'information.

    2. la carte postale

    Il existe pour chacun un moyen d'agir, par exemple en envoyant une carte postale aux députés. Il existe à cet effet de courts textes types. On y trouve un bref aspect du danger de ces accords, qui invite les députés à agir. Tout le monde peut s'impliquer sans trop d'efforts !
    La fiche d'information la plus récente et les modèles de cartes postales peuvent être facilement téléchargés sur la page kla.tv, en dessous de l'émission de réveil.
    J'espère que j'ai pu vous encourager à faire vos premiers pas sur l'eau. Nous pourrons alors découvrir l'énorme potentiel qui se cache en chacun de nous. Engagez-vous, car ensemble, nous pouvons faire bouger les choses !

    J'ai terminé !

    Klaus de Franconie

    de kaf.
    Sources / Liens :
    Proposal for the WHO Pandemic Agreement
    https://healthpolicy-watch.news/wp-content/uploads/2024/04/DRAFT_WHO-Pandemic-Agreement_16-April-2024.pdf

    Projet de traité de l'OMS sur les pandémies
    https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb9/A_inb9_3Rev1-en.pdf

    Groupe de travail sur les amendements au Règlement sanitaire international (2005) (WGIHR)
    https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr8/WGIHR8_Proposed_Bureau_text-en.pdf

    Appel au réveil international : L'OMS prépare un coup sournois dans 194 pays !
    www.kla.tv/28740

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  21. Concernant la vérité sur les risques avec ces produits à base d’ARNm codant pour la protéine Spike Chez les jeunes, le risque de myocardites/péricardites par vaccination Covid a été estimée par plusieurs études comme étant entre 0,03% et 0,05% https://link.springer.com/article/10.1007/s00431-022-04786-0… (janv 2023) https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2791253… (avril 2022) https://web.archive.org/web/20210701053757/https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/safety/adverse-events.html… (juin 2021 CDC) L’Agence Européenne du Médicament (EMA) admet que le risque est jusqu’à 0,01% , et indique « Certains cas ont nécessité un soin médical intensif et des cas d’issue fatale ont été observés. » https://ema.europa.eu/fr/documents/product-information/comirnaty-epar-product-information_fr.pdf… Et selon une étude prospective publiée sur le site de la Société Française de cardiologie en octobre 2022, le risque est jusqu’à 100 fois plus important. « Myocardial Inflammation/Myocarditis After COVID-19 mRNA Booster Vaccination » « Les résultats de l’étude retrouvent que 2,8 % de la population vaccinée présentait des lésions myocardiques, 3,7 % chez les femmes et 0,8 % chez les hommes […]L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles. » https://cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19… (l’étude a été mise en accès restreint mais accessible ici https://web.archive.org/web/20221023080201/https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19…) Et selon une autre étude publiée dans The Lancet, qui a suivi les malades à 90 jours : – 30% ont toujours mal – 46% souffrent d’anxiété ou dépression – 28% ne peuvent plus faire de sporthttps://thelancet.com/journals/lanchi/article/PIIS2352-4642(22)00244-9/fulltext#tbl2…

    Et une étude Israélienne sur une grande cohorte annonce qu’ il n’y a pas de risque de myocardites ni de péricardites avec le virus « L’infection post-COVID-19 n’était associée ni à une myocardite (aHR 1,08 ; IC à 95 % de 0,45 à 2,56) ou à une péricardite (aHR 0,53 ; IC à 95 % 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’incidence accrue ni de péricardite ni de myocardite chez les patients adultes se remettant d’une infection à COVID-19.«

    Conclusion : Il ne sera pas difficile de démontrer à un juge au vu des publications scientifiques publiées dans des revues scientifiques internationales de haut niveau que la balance / bénéfice risque de ces produits n’a jamais été favorable pour les personnes qui n’étaient pas à risque de Covid sévère, contrairement à ce qui était annoncé par les autorités sanitaires. Il n’y a pas besoin d’une formation très poussée en mathématiques pour le comprendre. Je doute d’ailleurs que les victimes ne poursuivent pas un jour les responsables en justice. Et là ce ne sont que les effets indésirables graves relatives aux myocardites /péricardites car déjà reconnus par les autorités sanitaires comme étant liés aux vaccins ARNm contre la Covid.

    - voir doc sur site :

    https://pgibertie.com/2024/05/15/meme-pas-hontevalletoux-sen-prend-a-lancienne-directrice-de-lars-dordogne-mais-les-statistiques-et-la-science-plaident-pour-elle/

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  22. Ces aveux qui viennent d’Amérique :dès 2018 Baric et Daszac travaillaient sur le vaccin covid ! Vous avez Lyme, vous êtes une victime collatérale de l’US army !


    le 15 Mai 2024
    par pgibertie


    En 2018, Ralph Baric et Peter Daszak parlaient du système de distribution de nanoparticules. Leur travail portait sur les glycoprotéines de pointe du SRAS-CoV2 qu’ils développaient dans le cadre d’une subvention DARPA. La même année, au WIV, un nouveau vaccin contre la grippe à large spectre est étudié grâce aux nanotechnologies.

    - voir doc sur site -

    Le Sars cov 2 est bien né de a folie humaine , mais il y a un autre aveu qui se profile sur la maladie de LYME

    Lyme est surnommée « la grande imitatrice » car ses symptômes ressemblent à ceux de nombreuses autres maladies. Elle peut affecter n’importe quel organe, y compris le cerveau et le système nerveux, les muscles et les articulations, ainsi que le cœur. http://lymedisease.org/lyme-basics/ly… …

    L’armée américaine a-t-elle participé à la propagation de la maladie de Lyme ? La Chambre des représentants des Etats-Unis a ordonné à l’inspecteur général du ministère de la défense américain d’examiner si le Pentagone avait mené entre 1950 et 1975 des expériences visant à utiliser des tiques et d’autres insectes comme armes biologiques.

    https://chrissmith.house.gov/news/documentsingle.aspx?DocumentID=409662

    Le représentant républicain du New Jersey Chris Smith avait déposé un amendement à la loi de défense nationale (National Defense Authorization Act), qui fixe le budget pour 2020. L’amendement de M. Smith et le projet de loi ont été adoptés par la Chambre des représentants, mais doivent encore passer au Sénat.

    Le Sénat a refusé d’accepter la disposition adoptée par la Chambre visant à ce que le Government Accountability Office, l’organe d’enquête du Congrès, examine si le Pentagone envisageait d’utiliser des tiques et d’autres infections infectées par la maladie de Lyme comme armes biologiques, et si elles étaient « relâchées à l’extérieur ». de tout laboratoire par accident ou par plan d’expérience.

    Principale maladie transmise par les tiques, celle de Lyme reste largement énigmatique. Identifiée dans les années 1970 aux Etats-Unis dans la ville de Lyme (Connecticut), elle est transmise à l’homme par une piqûre de tique Ixodes infectée par une bactérie appelée « Borrelia burgdorferi », de la famille des spirochètes.

    Pas moins de 900 espèces de tiques sont recensées dans le monde. Cet arthropode, principalement présent dans les zones dont le niveau d’humidité est d’au moins 80 %, notamment en forêt, se nourrit du sang de ses hôtes (oiseaux, chevreuils, bovins, chats, etc.). Selon les centres pour le contrôle et la prévention des maladies américains, plus de 300 000 personnes sont touchées par la maladie de Lyme chaque année aux Etats-Unis.

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  23. L’opération Mongoose (terme anglais désignant une mangouste), aussi appelée « The Cuban Project », est une opération de la Central Intelligence Agency (CIA) et du département de la Défense des États-Unis (DoD) ayant pour objectif le sabotage et la destitution du gouvernement cubain de Fidel Castro. Initiée par l’administration du président Dwight D. Eisenhower, l’opération est autorisée le 30 novembre 1961 par John F. Kennedy, après l’échec du débarquement de la Baie de cochons.

    L’arme nucléaire du pauvre : « Nous pouvons tuer 10 000 personnes pour 1,43 $ par VIE »

    @TuckerCarlson TIQUES, PUCES et MOUSTIQUES armés – une conversation avec un agent Black Ops de la CIA, révèle qu’en 1962, ils ont largué des tiques empoisonnées sur des travailleurs cubains du secteur de la canne à sucre.

    C’était l’opération MANGOUSTE. La maladie de Lyme est plus grave que ce que les services de santé publique laissent entendre, il ne s’agit pas seulement d’une éruption cutanée, mais d’une maladie hautement neurologique.

    Ils ont donc corrompu les incitations en médecine, non pas pour partager des informations sur une nouvelle maladie, mais plutôt pour l’enregistrer en tant que propriété intellectuelle afin qu’elle puisse être MONETISÉE.

    https://pgibertie.com/2024/05/15/ces-aveux-qui-viennent-damerique-des-2018-baric-et-daszac-travaillaient-sur-le-vaccin-covid-vous-avez-lyme-vous-etes-une-victime-collaterale-de-lus-army/

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  24. Peur et panique résultant de « cas confirmés » de Covid-19 totalement invalides, de données erronées sur la mortalité du SRAS-CoV-2, de falsifications de certificats de décès

    Qu’est-ce que le COVID-19, SARS-CoV-2 : comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ? Chapitre III du livre électronique, La crise mondiale du Corona : coup d'État mondial contre l'humanité


    Par le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    16 mai 2024


    Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.

    Le texte suivant constitue le chapitre III de :

    La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
    par Michel Chossudovsky

    ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 chapitres

    Prix ​​: 11,50 $Obtenez le vôtre GRATUITEMENT ! Cliquez ici pour télécharger . Cliquez ici pour lire en ligne .

    Faites défiler vers le bas pour plus de détails au bas de l'article

    « Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. – Le Dr Kary Mullis , (image de droite) lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

    « … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourrait être due à ce que l'on appelle des tests faussement positifs . » – Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

    « Cet usage abusif de la technique RT-PCR est appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de RT positifs. -Des tests PCR, et non sur un nombre réel de patients .» – Dr Pascal Sacré , médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste de santé publique réputé.

    « J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en réétiquetant les patients atteints de cancer, les victimes d’accidents vasculaires cérébraux et toutes sortes de décès réguliers normaux comme Covid, en fait pratiquement toute personne montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement erronées, des tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles dont nous savons tous qu'ils ne valent rien, et pourtant des personnes sont euthanasiées sur cette base et parfois uniquement sur la base d'une radiographie pulmonaire. – John O'Looney, directeur des funérailles, Milton Keynes, Royaume-Uni

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  25. Introduction

    Les mensonges des médias, associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue, ont entretenu l’image d’un virus tueur qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.

    Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour le COVID-19.

    Au moment de la rédaction de cet article, plus de 500 millions de personnes dans le monde ont été classées comme « cas confirmés de COVID-19 » (« cas cumulés »).

    La prétendue pandémie aurait entraîné plus de 5,8 millions de décès liés au COVID-19.

    Les deux séries de chiffres – morbidité et mortalité – sont invalides.

    Un appareil de tests COVID très organisé (dont une partie est financée par des fondations milliardaires) a été mis en place en vue d’augmenter le nombre de « cas confirmés de COVID-19 » , qui servent ensuite de justification pour imposer le « vaccin ». passeport couplé à l’abrogation des droits humains fondamentaux.

    Dès le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure soutenues et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies » étaient fondées sur des cas positifs RT-PCR erronés et invalides.

    Ces « estimations » COVID-19 invalides ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application de l’ARNm. vaccin » lancé en novembre 2020.

    Il n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » .

    Fermement reconnu tant par l’opinion scientifique que par l’Organisation Mondiale de la Santé, le test RT-PCR utilisé pour « détecter » la propagation du virus (ainsi que de ses variants) est non seulement imparfait mais TOTALEMENT INVALIDE.

    La campagne de peur est implacablement menée par des déclarations politiques et la désinformation médiatique. Un examen plus approfondi des rapports officiels des autorités sanitaires nationales ainsi que des articles évalués par des pairs donne une image totalement différente.

    Dans ce chapitre, nous nous concentrerons sur les problématiques suivantes :

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  26. 1. Les caractéristiques du virus SARS-CoV-2 telles que décrites par l'OMS, le CDC et des rapports évalués par des pairs. Est-ce un virus dangereux ?

    2. Le test de réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse ( RT-PCR) utilisé pour « détecter/identifier » le SRAS-CoV-2.

    3. La fiabilité des estimations de mortalité et de morbidité liées à l’infection présumée au COVID-19.

    Cliquez ici pour télécharger le livre électronique complet .

    Les caractéristiques du SRAS-CoV-2
    Mensonges par omission : les médias n’ont pas réussi à rassurer le grand public.

    Vous trouverez ci-dessous la définition officielle de l’OMS du COVID-19 suivie de celle du CDC :

    Les coronavirus constituent une grande famille de virus pouvant provoquer des maladies chez les animaux ou chez les humains. Chez l’homme, plusieurs coronavirus sont connus pour provoquer des infections respiratoires allant du rhume à des maladies plus graves telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le coronavirus découvert le plus récemment provoque la maladie à coronavirus COVID-19.

    « Les symptômes les plus courants du COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin d’être hospitalisés. Environ 1 personne sur 5 qui contracte le COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. 1

    Semblable à la grippe selon le CDC
    COVID-19 versus virus de la grippe (grippe) A et virus B (et sous-types)

    Rarement mentionné par les médias ou par les politiques : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que le COVID-19 est similaire à la grippe :

    « La grippe (Grippe) et le COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . Le COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SARS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus grippaux . Étant donné que certains symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour confirmer un diagnostic . La grippe et le COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. 2

    Si le public avait été informé et rassuré sur le fait que le COVID est « similaire à la grippe », la campagne de peur aurait échoué.

    Le confinement et la fermeture de l’économie nationale auraient été catégoriquement rejetés.

    Selon le Dr Wolfgang Wodarg , la pneumonie est « régulièrement provoquée ou accompagnée par des coronavirus ». 3

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  27. Les immunologistes confirment largement la définition du CDC. Le COVID-19 présente des caractéristiques similaires à celles d’une grippe saisonnière associée à une pneumonie.

    Selon Anthony Fauci (responsable du NIAID), H. Clifford Lane et Robert R. Redfield (responsable du CDC) dans le New England Journal of Medicine :

    « … les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient en fin de compte s’apparenter davantage à celles d’une grippe saisonnière grave (qui a un taux de létalité d’environ 0,1 % ) ou d’une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968) plutôt qu’à une grippe pandémique. maladie similaire au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10 % et 36 %, respectivement. 4

    Comme c’est pratique : l’article ci-dessus a été publié pour la première fois dans le NEJM le 26 mars 2020, exactement dix jours après la déclaration de l’état d’urgence nationale par le président Trump le 16 mars 2020. Si ce texte faisant autorité, évalué par des pairs, avait été porté à l’attention du Pour le public américain, le mandat de confinement aurait échoué.

    Le Dr Anthony Fauci se ment à lui-même. Dans ses déclarations publiques, il affirme que le COVID est « dix fois pire que la grippe saisonnière ». 5

    Il réfute son rapport évalué par les pairs cité ci-dessus. Dès le début, Fauci a joué un rôle déterminant dans la conduite d’une campagne de peur et de panique à travers l’Amérique. 6

    Le test de réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR)
    La méthodologie biaisée appliquée sous la direction de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR ) , qui est régulièrement appliqué partout dans le monde depuis février 2020.

    Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.

    Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des deux dernières années et demie pour lancer et entretenir la campagne de peur.

    Et les gens sont désormais amenés à croire que le « vaccin » contre la COVID-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que l’ensemble de la population de la planète Terre aura été vaccinée.

    « Confirmé » est un terme inapproprié. Un « cas confirmé positif à la RT-PCR » n’implique pas un « cas confirmé de COVID-19 ».

    Une RT-PCR positive n’est pas synonyme de maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu'un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l'état de santé du patient pour en confirmer la valeur [fiabilité]. ( Dr Pascal Sacré ) 7

    La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à catégoriser tous les cas positifs à la RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus routinier d'identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :

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  28. « La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. Les performances de ce test n’ont pas été établies pour le suivi du traitement de l’infection au 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. 8 (c'est nous qui soulignons)

    La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est erronée et invalide.

    Faux positifs
    Le débat précédent, au début de la crise, s’est concentré sur la question des « faux positifs ».

    Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs . Selon le Dr Pascal Sacré :

    « Aujourd’hui, alors que les autorités testent davantage de personnes, il y aura forcément davantage de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 revient ou que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de gens qui se font tester, c'est tout. 9

    Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en question la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détecter la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.

    Le test PCR ne détecte pas l'identité du virus

    Le test RT-PCR ne permet pas d'identifier/détecter le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (dont les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent des rhumes).

    Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui entreprend le test est infectée par le SRAS-CoV-2.

    Le diagramme suivant résume le processus d’identification des cas positifs et négatifs. Il suffit de la présence de « matériel génétique viral » pour qu’il soit qualifié de « positif ». La procédure n’identifie ni n’isole le COVID-19. Ce qui apparaît dans les tests sont des fragments du virus. dix

    - voir schéma sur site -

    Source : Fonds du Commonwealth

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  29. Un test positif ne signifie pas que vous avez le virus et/ou que vous pourriez transmettre le virus.
    Selon le Dr Kary Mullis , inventeur de la technique PCR,

    "La PCR détecte un très petit segment de l'acide nucléique qui fait partie du virus lui-même."

    Selon le célèbre immunologiste suisse Dr B. Stadler :

    Donc si l’on fait un test PCR corona sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté , mais une petite partie brisée du génome viral. Le test revient positif tant qu’il reste de minuscules parties brisées du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut s'avérer positif, car la méthode PCR multiplie suffisamment même une infime fraction du matériel génétique viral [pour être détectée]. 11

    Le Dr Pascal Sacré est du même avis : « Ces tests détectent les particules virales, les séquences génétiques, et non le virus dans son ensemble. » 12

    « Pour tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois à travers de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des erreurs de stérilité et des contaminations. »

    Le « test » RT-PCR COVID-19 « personnalisé » de l’OMS
    Deux questions importantes et liées.

    Le test PCR n’identifie pas le virus comme indiqué ci-dessus. De plus, en janvier 2020, l’OMS ne possédait pas d’isolat ni d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCoV.

    Ce qui était envisagé en janvier 2020 était une « personnalisation » du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’ Institut de virologie de Berlin de l’hôpital de la Charité.

    Le Dr Christian Drosten et ses collègues de l'Institut de virologie de Berlin ont entrepris une étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel » . 13

    - voir doc sur site -

    Le titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est manifestement inapproprié. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cités ci-dessus).

    De plus, l’étude publiée par Eurosurveillance reconnaît que l’OMS ne possédait pas d’échantillon isolé et purifié du nouveau virus 2019-nCoV :

    [Alors que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées,… les isolats ou échantillons de virus [du 2019-nCoV] provenant de patients infectés n'étaient pas disponibles… » 14

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  30. Le Drosten et coll. L’équipe a ensuite recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’isolat du virus 2019-nCoV , un SRAS-CoV similaire de 2003 soit utilisé comme « proxy » (point de référence) du nouveau virus :

    « Les séquences du génome suggèrent la présence d'un virus étroitement lié aux membres d' une espèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l'agent de l'épidémie de SRAS chez l'homme en 2002/03 [ 3 , 4 ].

    Nous rendons compte de l'établissement et de la validation d'un flux de travail de diagnostic pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l'aide du test RT-PCR], conçu en l'absence d'isolats de virus disponibles ou d'échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par la parenté génétique étroite avec le SRAS-CoV de 2003 , et facilitées par l'utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. ( Eurosurveillance, 23 janvier 2020, italiques ajoutés). 15

    Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de COVID-19 » (c’est-à-dire l’infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « la parenté génétique étroite avec le SRAS-CoV de 2003 ». .»

    Cela signifie qu'un coronavirus détecté il y a 19 ans (SRAS-CoV 2003) est utilisé pour « valider » l'identité d'un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei fin décembre 2019.

    Les recommandations de l'étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates ) ont ensuite été transmises à l'OMS. Ils ont ensuite été approuvés par le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.

    L’OMS n’avait pas en sa possession « l’ isolat viral » nécessaire à l’identification du virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.

    Le Drosten et coll. Un article relatif à l'utilisation du test RT-PCR dans le monde (sous la direction de l'OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 menée par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et al.

    Il va de soi que si le test PCR utilise le virus SARS-CoV de 2003 comme « point de référence », il ne peut y avoir aucun cas « confirmé » de COVID-19 du nouveau virus 2019-nCoV (rebaptisé par la suite SARS-CoV-2). ) ou de ses variantes.

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  31. Cliquez ici pour télécharger le livre électronique complet .

    L’identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ?
    Même si l’OMS ne possédait pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valides et fiables que le nouveau coronavirus 2019 a été isolé à partir d’un « échantillon pur prélevé sur un patient malade » ? 16

    Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu’« un nouveau type de virus » avait été « identifié » « similaire à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, et non source gouvernementale chinoise originale). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :

    Nous avons collecté et analysé de manière prospective des données sur des patients présentant une infection à 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de nouvelle génération.

    Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international sur les infections respiratoires aiguës sévères et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. 17 (c'est nous qui soulignons)

    L'étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d'autres documents consultés ) suggère que les autorités sanitaires chinoises n'ont pas entrepris d'isolement/purification de l'échantillon d'un patient. Utiliser « une infection au 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel » (comme cité dans leur étude) est un abus de langage évident, c’est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus. L'isolement du virus par les autorités chinoises n'est pas confirmé. 18

    Liberté d'information concernant l'isolat du SRAS-CoV-2

    Un projet d’enquête détaillé de Christine Massey intitulé Freedom of Information Requests: Health/Science Institutions Worldwide « Have No Record » of SARS-COV-2 Isolation/Purification fournit des documents concernant l’identité du virus. Les réponses à ces demandes de 127 entités dans 25 pays confirment qu’il n’existe aucune trace d’isolement/purification du SRAS-CoV-2 « ayant été effectué par qui que ce soit, n’importe où et jamais ». 19

    Les cycles d’amplification de seuil. L’OMS admet que les résultats du « test » RT-PCR sont totalement invalides
    Le test RT-PCR a été adopté par l'OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détection du virus SARS-CoV-2, suite aux recommandations du groupe de recherche berlinois en virologie (cité ci-dessus).

    Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l'OMS se rétracte. Ils ne disent pas « nous avons fait une erreur ». La rétractation est soigneusement formulée (voir le document original de l'OMS ici ). 20

    La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger et al. :

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  32. Le nombre de cycles d'amplification [devrait être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, >35 cycles détectent uniquement les signaux qui ne sont pas en corrélation avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten ) 21

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES . C’est pourtant ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en concertation avec l’équipe de virologie de l’hôpital de la Charité à Berlin.

    Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les « cas confirmés de COVID-19 » compilées dans le monde entier au cours des deux dernières années et demie sont invalides.

    Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al., le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ». 22

    Le Mea Culpa de l'OMS
    Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS.

    « Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

    L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. 23 (c'est nous qui soulignons)

    Les « positifs invalides » sont le concept sous-jacent
    Il ne s’agit pas ici d’une question de « faibles positifs » ni de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations invalides des « cas confirmés de COVID-19 ».

    Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de COVID positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est invalide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire un test, « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… »

    L'OMS appelle à « refaire des tests » , ce qui revient à dire « on a merdé ».

    Cette recommandation est pro forma. Cela n'arrivera pas. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées depuis début février 2020.

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  33. Dès le départ, le test PCR a été systématiquement appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 cycles ou plus. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'elle est appliquée dans le monde entier a conduit, au cours des deux dernières années et demie, à la compilation d'estimations erronées et trompeuses du COVID-19, qui, selon l'OMS (20 janvier 2021), sont basées sur une méthodologie invalide.

    Et ce sont ces statistiques qui servent à mesurer la progression de ce qu’on appelle la « pandémie ». Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres COVID » officiels (cas confirmés de COVID-19) n’ont aucun sens .

    Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie, ce qui signifie que les mesures de confinement/économiques qui ont entraîné une panique sociale, une pauvreté de masse et un chômage (prétendument pour freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification. quoi que ce soit. Selon l'avis scientifique :

    « Si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité ce dit résultat est un faux positif soit 97%



    3. Le nombre de cycles d'amplification (moins de 35 ; de préférence 25-30 cycles) ;

    En cas de détection de virus, > 35 cycles détectent uniquement les signaux qui ne sont pas en corrélation avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire [examiné en 2] ; si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %, la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97% » (c'est nous qui soulignons) (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al. Critique de l'étude Drosten ) 24

    Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97 % » , il s'ensuit que l'utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».

    Le mea culpa de l'OMS confirme que la procédure de test PCR COVID-19 telle qu'appliquée n'a aucun sens.

    Le CDC ordonne le retrait du test PCR

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  34. La rétractation historique de l'OMS est suivie six mois plus tard d'un mea culpa de la part du CDC. Le 21 juillet 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) demandent le retrait du test PCR comme méthode valide de détection et d'identification du SRAS-CoV-2 :

    « Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande adressée à la Food and Drug Administration (FDA ) des États-Unis pour une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) du panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement.

    En préparation à ce changement, le CDC recommande aux laboratoires cliniques et aux sites de tests qui utilisent le test CDC 2019-nCoV RT-PCR de sélectionner et de commencer leur transition vers un autre test COVID-19 autorisé par la FDA.

    Le CDC encourage les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée pouvant faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe. (c'est nous qui soulignons) 25

    Lisez attentivement : ce que cette directive du CDC admet tacitement, c'est que le test PCR ne fait pas efficacement la différence entre « le SRAS-CoV-2 et les virus de la grippe » . Nous le savons depuis le début.

    Depuis le 1er janvier 2022, le CDC a retiré son approbation du test RT-PCR aux États-Unis.

    Si le test PCR n’est pas valide, comme le suggèrent à la fois le CDC et l’OMS, plus de 574 millions de « cas confirmés de COVID-19 » (juillet 2022) ainsi que plus de 6,3 millions de décès présumés liés au COVID (juillet 2022) Les informations recueillies et compilées dans le monde entier depuis le début de la prétendue pandémie n’ont absolument aucun sens.

    La falsification des actes de décès

    Dans la mesure où le test PCR est invalide, il s’ensuit que les estimations des « cas confirmés de COVID-19 », y compris la détection de variantes du SARS-CoV-2, sont totalement invalides. Cela signifie à son tour que la méthodologie relative à l’établissement des décès liés au COVID-19 dans le monde est également invalide.

    Il convient de noter que dans un rapport de décembre 2020, le CDC a signalé que 94 % des décès attribués au COVID ont des « comorbidités » (c'est-à-dire des décès dus à d'autres causes). 26

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  35. Pour six pour cent des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès avec des conditions ou des causes autres que la COVID-19, il y avait en moyenne 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès pour chaque condition ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupes d'âge.

    «Ils écrivent COVID sur tous les certificats de décès», selon Michael Lanza, directeur des pompes funèbres à Staten Island, New York.

    « Les directeurs de pompes funèbres doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie et craignent que les chiffres ne soient « gonflés » » ( Projet Veritas ) 27

    De plus, le CDC avait-il utilisé les critères de son Manuel des médecins légistes et des coroners sur l'enregistrement des décès et les rapports sur les décès fœtaux, révision 2003 :

    « … le nombre de décès dus au COVID-19 aurait été inférieur d'environ 90,2 % » (Voir H. Ealy, M. McEvoy et et al. , 9 août 2020) 28

    - voir doc sur site -

    Décès aux États-Unis avec au moins 1 comorbidité. (Source : CDC via IPAK PHPI )

    COVID-19 : la « cause sous-jacente du décès » et la clause « le plus souvent » du CDC
    Si le CDC a reconnu le problème des comorbidités, il a néanmoins édicté des instructions totalement invalides concernant les certificats de décès.

    À peine une semaine après le confinement historique du 11 mars 2020, des directives spécifiques ont été introduites par le CDC concernant les certificats de décès (et leur tabulation dans le Système national de statistiques de l'état civil (NVSS)). 29

    Le COVID-19 sera- t -il la cause sous-jacente du décès ? Cette notion est fondamentale. 30
    La cause sous-jacente du décès est définie par l'OMS comme

    « la maladie ou la blessure qui a déclenché une série d'événements menant directement à la mort ».

    Ce que le CDC a recommandé en ce qui concerne le codage statistique et la catégorisation, c’est que le COVID-19 devrait être la cause sous-jacente du décès « le plus souvent ».

    Le CDC combine ces deux critères : « cause sous-jacente du décès » et « le plus souvent ».

    Le COVID-19 sera-t-il la cause sous-jacente du décès ?

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  36. « La cause sous-jacente dépend de l’état et de l’endroit où les conditions sont signalées sur le certificat de décès. Cependant, les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès devraient faire en sorte que le COVID-19 soit la cause sous-jacente le plus souvent. 31

    La directive ci-dessus est catégorique.

    Les concepts et justifications du CDC

    Le certificateur n’est pas autorisé à signaler un coronavirus sans identifier une souche spécifique. Et les lignes directrices recommandent que le COVID-19 soit toujours indiqué.

    - voir doc sur site -

    Capture d'écran du système national de statistiques de l'état civil

    Le certificateur ne peut pas s'écarter des critères du CDC. Le COVID-19 est imposé. Lisez attentivement les critères du CDC . 32

    Il n’y a aucune faille.

    Ces directives du CDC ont contribué à classer le COVID-19 comme la « cause de décès » enregistrée. Deux concepts fondamentaux prévalent partout :

    La « cause sous-jacente du décès »
    La clause « le plus souvent » qui falsifie la cause du décès
    Et ces critères sont imposés alors même que le test RT-PCR utilisé pour corroborer la « cause du décès » donne des résultats trompeurs, comme le reconnaissent tant l’OMS que le CDC.

    En pratique, comme indiqué ci-dessus, le « COVID-19 probable » ou le « COVID-19 probable » sera considéré comme la « cause sous-jacente du décès » sans la réalisation d’un test PCR et sans procéder à une autopsie.

    Les critères établissant la cause « sous-jacente » du décès aux États-Unis sont basés sur la clause « le plus souvent » (voir ci-dessus) établie au niveau national par le CDC.

    Cliquez ici pour télécharger le livre électronique complet .

    Canada : des « estimations » erronées sur la cause du décès
    Au Canada, les critères diffèrent d'une province à l'autre. La catégorisation des causes de décès dans la province canadienne du Québec a fait l'objet d'une manipulation grossière. 33

    Selon une directive du ministère de la Santé du Québec (avril 2020) :

    « Si la cause présumée du décès est le Covid-19 (avec ou sans test positif) une autopsie doit être évitée et le décès doit être attribué au Covid-19 comme cause probable du décès . De plus, les décès dont la cause probable est le Covid-19 sont considérés comme naturels, et ne font pas l'objet d'un avis du coroner. » (souligné du document original) 34

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  37. La directive ne permet pas de compter les comorbidités. Appliquée le 16 avril 2020, cette directive a été propice à une forte augmentation immédiate du nombre de décès attribués à la COVID-19 :

    44,9 % du total des décès au Québec ont été attribués à la COVID-19 (semaine du 11 au 18 avril 2020) (voir tableau ci-dessous).

    Selon La Presse de Montréal, « avril [2020] a été le mois le plus meurtrier » . Mais La Presse a-t-elle consulté les directives du ministère de la Santé ?

    Vous trouverez ci-dessous les causes (quotidiennes) de décès pour le Québec correspondant à la semaine du 12 au 18 avril 2020 (suivant immédiatement la directive gouvernementale) mesurées selon les critères émis par le ministère de la Santé. 35 Il n’y a eu pratiquement aucun cas ni décès de COVID enregistré en mars 2020.

    Tableau ci-dessous : Causes de décès, moyenne quotidienne

    - voir doc sur site -

    Source : La Presse

    Ces chiffres sont-ils le résultat de la pandémie dite mortelle ? Ou sont-elles le résultat de « directives » du ministère de la Santé basées sur des critères erronés ?

    cas « présumé » lié au COVID
    "avec ou sans test positif"
    cause « probable » du décès
    « L’autopsie doit être évitée » dans le cas du COVID-19
    « Les décès dont la cause probable est la COVID-19 sont considérés comme naturels, et ne font pas l'objet d'un avis au coroner »
    Selon M. Paul G. Brunet du Conseil pour la Protection des Malades (CPM) :

    «… On s'est rendu compte à travers les dénonciations de certains médecins que les gens ne mouraient pas de la COVID, mais de déshydratation, de malnutrition, d'abandon , déplore M. Brunet. Alors, de quoi sont réellement morts ces milliers de personnes dans les CHSLD et les résidences privées ? (cité dans La Presse, traduit du français)

    Test, test, test : données invalides et « jeu des nombres »
    Les gens ont peur. Ils sont incités à faire le test PCR, ce qui augmente le nombre de faux positifs. Les gouvernements s’impliquent dans l’augmentation du nombre de tests PCR en vue de gonfler les estimations des « cas confirmés de COVID-19 ».

    De plus, à partir de fin 2021, plusieurs milliards de kits de tests d’antigènes et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d’un milliard de kits de tests ont été distribués aux États-Unis.

    Au Canada, qui compte 38,5 millions d’habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de test d’antigène COVID-19 à domicile. Cette décision a non seulement contribué à alimenter la campagne de peur, mais elle a également créé une situation de chaos social. Cela a contribué à faire augmenter le nombre de cas dits « confirmés ». 36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d'un diagnostic médical du patient.

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  38. Annexe au chapitre III
    Texte intégral de la directive de l'OMS du 20 janvier 2021 37

    - voir doc sur site -

    Capture d'écran de l'OMS

    Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2
    Type de produit : technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2

    Date : 13 janvier 2021

    Identifiant OMS : 2020/5, version 2

    Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.

    Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l’OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS destiné aux utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (IVD) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.

    Description du problème : L'OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d'utilisation (IFU) lors de l'interprétation des résultats des échantillons testés à l'aide de la méthodologie PCR.

    Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d'emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.

    Les directives de l'OMS Les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

    L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.

    La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent prendre en compte tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

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  39. Actions à entreprendre par les utilisateurs du DIV :

    Veuillez lire attentivement le mode d'emploi dans son intégralité.
    Contactez votre représentant local si un aspect du mode d'emploi n'est pas clair pour vous.
    Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter tout changement dans le mode d'emploi.
    Fournissez la valeur Ct dans le rapport au fournisseur de soins de santé demandeur.

    Remarques

    1. Tests de diagnostic pour le SRAS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la santé ; 2020, numéro de référence de l'OMS WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.

    2. Altman DG, Bland JM. Tests de diagnostic 2 : Valeurs prédictives. BMJ. 9 juillet 1994; 309 (6947): 102. est ce que je: 10.1136/bmj.309.6947.102.

    Remarques

    1 OMS, 8 mars 2020. Déclaration aux médias : Connaître les risques liés au COVID-19. https://www.who.int/indonesia/news/detail/08-03-2020-knowing-the-risk-for-covid-19

    2 CDC, et similitudes et différences entre la grippe et le COVID-19. https://www.cdc.gov/flu/symptoms/flu-vs-covid19.htm#table

    3 Prof Michel Chossudovsky, 5 avril 2020. Fausses données sur le coronavirus, campagne de peur. Propagation de l’infection COVID-19. https://www.globalresearch.ca/fake-coronavirus-data-fear-campaign-spread-of-the-covid-19-infection/5708643

    4 Anthony Fauci, Clifford Lane, et al., 26 mars 2020. Covid-19 — Naviguer dans l'inexploré. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2002387#

    5 Ronald Bailey, 11 mars 2020. Le taux de mortalité dû au COVID-19 est « dix fois pire » que celui de la grippe saisonnière, déclare le Dr Anthony Fauci. https://reason.com/2020/03/11/covid-19-mortality-rate-ten-times-worse-than-seasonal-flu-says-dr-anthony-fauci/

    6 Idem.

    7 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper l’humanité toute entière. Utiliser un « test » pour verrouiller la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483

    8 CDC, 21 juillet 2021. Panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV). https://www.fda.gov/media/134922/download

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  40. 9 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper l’humanité toute entière. Utiliser un « test » pour verrouiller la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483

    10 Joseph Hadaya, Max Schumm et al., 1er avril 2020. Tests individuels pour la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2764238

    11 Beda M Sadler, 2 juillet 2020. Coronavirus : pourquoi tout le monde avait tort. Ce n'est pas un « nouveau virus ». "Le conte de fées de l'absence d'immunité". https://www.globalresearch.ca/coronavirus-why-everyone-wrong/5718049

    12 Dr Pascal Sacre, 7 août 2020. COVID-19 : Plus près de la vérité : tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160

    13 Victor M Corman, Olfert Landt, et al., 23 janvier 2020. Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel. https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045

    14 Idem.

    15 Idem.

    16 Christine Massey, 4 août 2021. L'identité du virus : les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n'ont aucun dossier » sur l'isolement/purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969

    17 Chaolin Huang, Yeming Wang, et al., 24 janvier 2020. Caractéristiques cliniques des patients infectés par le nouveau coronavirus 2019 à Wuhan, Chine. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7159299/

    18 Fan Wu, Su Zhao et al., 3 février 2020. Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine. https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3

    19 Christine Massey, 4 août 2021. L'identité du virus : les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n'ont aucun dossier » sur l'isolement/purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969

    20 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

    21 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport de révision Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormandrostenreview.com/report/

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  41. 22 Idem.

    23 OMS, 11 septembre 2020. Tests de diagnostic du SRAS-CoV-2. https://www.who.int/publications/i/item/diagnostic-testing-for-sars-cov-2

    24 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport de révision Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormandrostenreview.com/report/

    25 CDC, 21 juillet 2021. Alerte laboratoire : modifications apportées à la RT-PCR du CDC pour les tests SARS-CoV-2. https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html

    26 CDC, 20 janvier 2022. Conditions contribuant aux décès dus au COVID-19, par État et âge, provisoire 2020-2021. https://data.cdc.gov/NCHS/Conditions-Contributing-to-COVID-19-Deaths-by-Stat/hk9y-quqm

    27 Project Veritas, 30 avril 2020. RUPTURE : Les directeurs de pompes funèbres dans l'épicentre du COVID-19 doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie et craignent que les chiffres soient « rembourrés ». https://www.projectveritas.com/news/breaking-funeral-directors-in-covid-19-epicenter-doubt-legitimacy-of-deaths/

    28 H. Ealy, M. McEvoy, et al., 24 juillet 2020. Covid-19 : politiques douteuses, règles manipulées de collecte et de reporting des données. Est-il sécuritaire pour les élèves de retourner à l’école ? https://www.globalresearch.ca/covid-fatalities-wer-90-2-lower-how-would-you-feel-about-schools-reopening/5720264

    29 Système national de statistiques de l’état civil, 24 mars 2020. Nouveau code CIM introduit pour les décès dus au COVID-19. https://www.cdc.gov/nchs/data/nvss/coronavirus/Alert-2-New-ICD-code-introduced-for-COVID-19-deaths.pdf?fbclid=IwAR2XckyC93jfKqvOue5EdPlNA8LlKKgz4vPZTU1whI4vXLSOADSjsL9XY-M

    30 Idem.

    31 Idem.

    32 Idem.

    33 Pr Michel Chossudovsky, 14 février 2021. Québec : Falsification des données de mortalité liées à la Covid-19. https://www.globalresearch.ca/quebec-falsification-of-mortality-data-pertaining-to-covid-19/5737290

    34 Voir ceci : https://amol.ca/wp-content/uploads/2020/04/19_avril_20-AU-00603_LET_Opatrny-Codirecteurs_Orientations_ministerielle….pdf

    35 Idem.

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  42. 36 Pr Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus grand mensonge de l’histoire du monde : il n’y a jamais eu de pandémie. La base de données est défectueuse. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates-inclure-le- les vaccins-sont-invalides/5772008

    37 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

    https://www.globalresearch.ca/what-covid-19-sars-cov-2-how-tested-how-measured-2/5820778

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  43. Attention, les mensonges les plus efficaces sont des demi-vérités ou sont semés dans un discours par ailleurs cohérent, comme des grains presque invisibles et imperceptibles.

    Le diable est toujours dans les détails.

    C’est ce qui est arrivé à presque toutes les déclarations officielles dénoncées ces quatre dernières années comme des vérités indiscutables par nos autorités « bienveillantes », affirmations ensuite démenties, rapidement ou tard, par les faits et par des analystes sérieux, indépendants et courageux face à l’extrême censure et les nombreuses intimidations auxquelles ils ont été soumis.

    Pour ma part, je vous renvoie aux nombreux articles rédigés entre avril 2020 et janvier 2023, sur ce site www.mondialisation.ca , abordant la quasi-totalité des sujets concernés, confinements, traitements précoces dont l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, technique de diagnostic RT-PCR, vaccins, masques et dérive totalitaire [2].

    Pour presque tout, les faits m’auront donné raison.

    Je suis loin d'être le seul.

    Je reviens seulement sur quelques points illustratifs.

    L'hydroxychloroquine, un traitement ancien et bien connu, aux effets secondaires marginaux si la pharmacologie et les posologies (doses) sont respectées et qui s'est révélé efficace dans le traitement précoce du COVID-19.

    Avec d'autres médecins, dans de nombreuses disciplines, de nombreux pays, je l'ai dit très tôt et les faits ont confirmé cette vérité pourtant offensée par les experts officiels, dont la prestigieuse revue médicale The Lancet, qui a retiré son article hostile et frauduleux 12 jours après sa publication. [3] créant le scandale appelé Lancetgate .

    Or, vous remarquerez, et c'est une habitude, que tous les médecins du monde, ceux du domaine appelés médecins généralistes ou médecins de famille, n'ont pas été prévenus de cette réhabilitation de l'hydroxychloroquine par ces mêmes médias de tous pays, unanimes et très bruyant lorsqu'il s'agissait de répandre un mensonge, discret voire silencieux lorsqu'il s'agissait de rétablir la vérité.

    On peut faire le même constat avec l'ivermectine [4].

    En tant que médecin, j’ai personnellement traité des centaines de personnes atteintes d’une infection respiratoire aiguë étiquetée COVID-19 en 2021 avec de l’ivermectine correctement dosée.

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  44. Ce traitement s'est révélé sûr et efficace, souvent dès le premier jour de traitement, y compris chez les personnes à risque et fragiles, très âgées, obèses, souffrant d'insuffisance cardiaque ou respiratoire chronique, évitant ainsi l'évolution vers des formes plus graves, réduisant la surcharge hospitalière et la période de contagiosité; avec un médicament peu coûteux et inoffensif, pouvant être prescrit aux femmes enceintes sans risque pour le fœtus, et connu depuis les années 1980, largement prescrit en Afrique notamment.

    Où sont les articles et documentaires relatant cette vérité, dans tous nos médias écrits ou parlés ?

    Avez-vous constaté une réhabilitation de ces traitements vraiment efficaces et sûrs (aux dosages préconisés) puisque les faits ont donné raison à tous ceux qui les préconisaient dès 2020 ou 2021 ?

    Moi non.

    Au contraire, les médecins, entre autres, qui ont soigné et parlé de leurs succès ont été (et sont toujours) menacés de radiation, de suspension, de poursuites et diffamés dans cette presse qui continue de mentir et de soutenir le vaccin dans son intégralité.

    Alors que les faits nous donnent raison. Et le soi-disant « vaccin » ?

    Sur la base des données actuelles et du déclin depuis 2021, en Angleterre, on sait depuis septembre 2023 que les personnes vaccinées contre le COVID-19 meurent plus que les personnes non vaccinées : Preuve supplémentaire : « l’argument de l’âge ajusté » a été écrasé par l’avalanche de données d’ARNm. Bien que cela écrasera heureusement les investissements dans l’ARNm, cela aura malheureusement également écrasé de nombreuses victimes en cours de route. (substack.com), comme l'analyse le statisticien français Pierre Chaillot, auteur d'un ouvrage remarquable, COVID-19, que révèlent les chiffres officiels , aux éditions l'Artilleur. Voici la vidéo où Pierre Chaillot analyse les statistiques anglaises : Révélation d'une nouvelle étude anglaise : on sait qui meurt le plus ! (youtube.com).

    Vraiment, je vous encourage, 4 ans après mon premier article, à tous les relire.

    D'une part, nous avons des traitements peu coûteux, efficaces d'autant plus qu'ils sont précoces, inoffensifs en cas d'utilisation selon les règles de prescription, des traitements qui ont fait leurs preuves (je peux l'attester personnellement),

    Et de l’autre, nous avons des injections d’un produit à la composition complète inconnue, frauduleusement appelé « vaccins », très cher mais très rentable pour les actionnaires des entreprises qui les fabriquent et tous ceux qu’ils ont corrompus, et que l’on connaît désormais. provoquer une surmortalité et une explosion d’effets secondaires dans les populations du monde entier (cancers, maladies auto-immunes, dégénérescence, accélération du vieillissement cellulaire…).

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  45. Mais nos autorités, la presse, les « experts » officiels continuent leur chemin sans sourciller, continuant de tirer sur d’honnêtes scientifiques et soignants, indépendants de tout lien financier avec le système mondialisé, et qui les contredisent en s’appuyant sur des faits.

    Pourquoi la grande majorité des gens continuent-ils à laisser cela se produire ? Et se laisser aller ? Parce que la clé de la porte de sortie est en eux.

    En chacun de nous.

    Il en va de notre survie.

    Maintenant, je vais donner plus de mon opinion personnelle, ma déduction.

    C'est seulement que, mon avis, même si le passé a montré que j'avais vu clair sur bien des sujets concernés, ne me croyez pas sur parole ou par amitié.

    Vérifiez, vérifiez, lisez des articles, des livres, regardez les vidéos que je vous informe pour vous éclairer, et faites-vous votre propre opinion.

    Tout ce que je dis désormais peut encore évoluer.

    C’est la vraie science honnête, ne jamais se figer sur une position, une croyance qui deviendrait un dogme imbattable, indépendamment des faits contradictoires ou du douloureux besoin d’admettre avoir eu tort. Non, surtout pas.

    Tout en ayant le courage d'affirmer ce que l'on pense à un moment donné, que cela nous plaise ou non, même si cela nous attire des ennuis, une suspension, une annulation, un contrôle fiscal, ou pire encore.

    J'espère que tous les lecteurs de ce site auront donc compris qu'on nous a menti ; parfois de manière intelligente et subtile, le plus souvent de manière grossière et autoritaire, en utilisant les faiblesses humaines par la peur, le conformisme, l'égoïsme et la paresse.

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  46. Pourquoi ?

    Dépeupler une terre surpeuplée, par des moyens odieux, un génocide presque imperceptible, « doux », dont, si nous ne faisons rien, ne réagissons pas, nous sommes tous complices, par action ou par omission.

    Cela a commencé par l’abandon de personnes vulnérables et fragiles, de personnes âgées, isolées, mortes de déshydratation, de privation d’affection, d’amour et des soins les plus élémentaires sous prétexte de… les sauver !

    Cela s'est poursuivi en interdisant les traitements précoces sûrs et efficaces et en induisant une immense peur chez les gens, puisqu'on leur disait d'attendre que leur état empire, qu'en attendant cela, ils ne pouvaient rien faire (impuissance) sauf ingérer du paracétamol, toxique pour le seul élément qui pourrait encore les protéger, le glutathion.

    Je me souviendrai toujours de ce médecin âgé, abandonné à son sort, et qui pleurait lorsqu'il venait chez moi, simplement parce que je l'avais écouté et rassuré.

    Cela a été amplifié par le lancement de cette campagne mondiale pour injecter un produit toxique, inefficace et pourtant présenté comme sûr et efficace et dont on sait aujourd'hui, du moins sur la base des statistiques des pays qui veulent les publier, qu'il tue plus qu'il n'en économise.

    Alors que tout ou presque est interdit aux femmes enceintes, comme par magie, il était devenu acceptable de « violer » leur corps sacré immunodéprimé, mettant en danger l'être le plus vulnérable, totalement dépendant des autres pour sa survie, le fœtus humain.

    Combien de fausses couches, de mortinaissances, de malformations dans le monde aujourd'hui, en lien avec cette politique criminelle ?

    Cette vidéo, premier chapitre d'une série qui en compte trois, basée sur des recherches sérieuses et documentées (sources citées dans la vidéo), vous éclairera sur les enjeux et les dessous de cette tragédie.

    🧠Eugéniste 2.0 & Transhumaniste : leur guerre ouverte contre les peuples – 1/3 🗣️Alain Schollaert – CrowdBunker

    C'est sur la plateforme Crowdbunker, car sur YouTube, aussitôt publié, aussitôt censuré ce qui, indirectement, est un indice fort que cela dérange vraiment les menteurs, comme seule la vérité peut le faire.

    Les épisodes suivants seront publiés les 19 et 26 mai.

    Regardez, écoutez et tirez vos conclusions.

    C'est vital car nous voulons vous former dans un monde dont vous, ici, ne voulez pas, ni pour vous, ni surtout pour vos enfants.

    Dépeuplement.
    Il s'agit ici d'un cynisme cruel et révoltant car ceux qui décident de le faire le font dans leur bunker doré, bien abrités, s'étant proclamés rois du monde simplement parce qu'ils ont pillé ce monde, volé les richesses qui appartiennent à tous. l’humanité et fort de leurs dollars et de leurs euros, de leurs relations, de leurs « pouvoirs », ils décident qui va mourir ou vivre.

    Ils utilisent le mensonge avec brio et froideur, ils exploitent les failles du système démocratique et surtout, s’appuient sur nos faiblesses savamment excitées par tous les moyens à leur disposition, drogue, sport, musique, télévision, agitation, sexe…

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  47. * Je ne mets pas d'auteur car ce genre de phrase est attribué à l'un ou à l'autre, sans possibilité de le vérifier. C’est la phrase elle-même, universelle, qui est importante car elle résume toute la problématique actuelle.

    ** le canari dans la mine de charbon : Que signifie être un canari dans une mine de charbon ? – Spiegato

    Notes de fin : titre traduit en anglais, lien vers l'original français

    [1] COVID-19 – Vérifiez vos sources. Guerre contre… la corruption ? | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation

    [2] Dr Pascal Sacré | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation

    [3] La corruption de la science. Le scandale de l’étude sur l’hydroxychloroquine. Qui était derrière tout cela ? L'intention d'Anthony Fauci de bloquer le HCQ au nom des grandes sociétés pharmaceutiques | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation

    [4] COVID-19, un simple changement de méthode et c'est fini | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation

    [5] Lire l'auteure Claire Séverac, et son livre « la guerre contre les peuples » : Claire Séverac – La guerre secrète contre les peuples : Claire Séverac : Téléchargement gratuit, emprunt et streaming : Internet Archive . Cette courageuse militante a été assassinée des suites d'une mystérieuse maladie fulgurante en décembre 2016 ( La mort de Claire Séverac, une militante qui perturbait « l'establishment » – Santé et Bien-être – Sott.net )

    [6] C'est le début du procès de Reiner Fuellmich (youtube.com)

    *

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  48. Un mystérieux tout nouveau syndrome cardiaque affecterait 90 % de la population américaine

    Résumé de la propagande COVID : Les dernières mises à jour sur la « nouvelle normalité » – chronique des mensonges, des distorsions et des abus de la classe dirigeante.


    Par Ben Bartee
    Recherche mondiale,
    14 mai 2024


    Un tout nouveau syndrome cardiaque toucherait 90 % de la population américaine, affirme l'American Medical Association, sans aucune explication.

    Via American Heart Association , octobre 2023 (c'est nous qui soulignons) :

    « Les experts de la santé redéfinissent le risque , la prévention et la gestion des maladies cardiovasculaires (MCV), selon un nouvel avis présidentiel de l'American Heart Association publié aujourd'hui dans la revue phare de l'Association, Circulation.

    Divers aspects des maladies cardiovasculaires qui chevauchent les maladies rénales, le diabète de type 2 et l'obésité soutiennent la nouvelle approche. Pour la première fois, l'American Heart Association définit le chevauchement de ces affections comme le syndrome cardiovasculaire-rein-métabolique (CKM) . Les personnes souffrant ou présentant un risque de maladie cardiovasculaire peuvent souffrir du syndrome CKM…

    Selon la mise à jour statistique 2023 de l'American Heart Association, 1 adulte américain sur 3 présente au moins trois facteurs de risque contribuant aux maladies cardiovasculaires, aux troubles métaboliques et/ou aux maladies rénales. La CKM affecte presque tous les principaux organes du corps, notamment le cœur, le cerveau, les reins et le foie . Cependant, l’impact le plus important concerne le système cardiovasculaire, affectant les vaisseaux sanguins et la fonction du muscle cardiaque, le taux d’accumulation de graisse dans les artères, les impulsions électriques dans le cœur et bien plus encore.

    Bien que la désignation diagnostique CKM ne se soit matérialisée que l'automne dernier, selon des données récemment publiées par le Journal of the American Medical Association, 90 % des Américains pourraient en être atteints.

    Via Healthline

    « Une nouvelle étude a révélé qu'environ 90 % des Américains pourraient souffrir du syndrome cardiovasculaire-rein-métabolique (CKM) .

    Les risques sont plus grands chez les personnes âgées, les hommes et les individus noirs, selon le rapport publié mercredi dans JAMA.

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  49. L’American Heart Association (AHA) a introduit un nouveau système de stadification en 2023 – appelé syndrome CKM – pour mieux traiter et gérer les maladies cardiovasculaires, rénales et métaboliques, car elles sont profondément liées et nécessitent souvent une approche multidisciplinaire.

    Le syndrome CKM est un trouble systémique qui établit des liens entre les maladies cardiaques, les maladies rénales, le diabète et l'obésité.

    Via le Journal de l' American Medical Association (c'est nous qui soulignons) :

    « Près de 90 % des adultes américains répondaient aux critères du syndrome CKM (stade 1 ou supérieur) et 15 % répondaient aux critères des stades avancés, dont aucun ne s'est amélioré entre 2011 et 2020. L'absence de progrès, en partie, peut refléter une amélioration et une aggravation concomitantes. de différents facteurs de risque au fil du temps. Des différences substantielles entre les sous-groupes aux stades avancés ont été observées, les personnes plus âgées, les hommes et les adultes noirs étant exposés à un risque accru.

    Un taux de diagnostic de 90 % pour une maladie néonatale affectant simultanément plusieurs organes semblerait nécessiter une réflexion approfondie , délibérée et complète au sein de la communauté médicale - le genre de mobilisation radicale des ressources observée lors de l'opération Warp Speed ​​- pour en découvrir les causes profondes, qui dans d’autres contextes, comme la migration massive, les gens comme l’entité Karamel-euh sont exceptionnellement curieux.

    … À moins, bien sûr, que de véritables soins de santé ne soient pas l'objectif primordial du type de « soins de santé » institutionnalisés et corporatisés défendus par les autorités gouvernementales et l'industrie.

    Il n'est pas nécessaire d'avoir un diplôme en épidémiologie pour avoir l'impression que ce qui déclenche des crises fonctionnelles dans plusieurs organes à la fois chez 90 % d'une population est probablement quelque chose qui provient d'une source omniprésente dans l'environnement, comme l'approvisionnement alimentaire ou l'eau. ou le bout d’une seringue remplie d’une certaine thérapie génique expérimentale – ou les trois à la fois.

    Pourtant – et vous serez choqué d’apprendre cela – en parcourant toute la littérature sur la CMK publiée par les grands médias et les organisations médicales comme l’AMA, on constate un manque d’intérêt palpable pour poser des questions fondamentales.

    Ce qui les intéresse , et ce à quoi nous pouvons nous attendre, ce sont de nouveaux médicaments brevetés pour CMK, pour le plus grand plaisir des actionnaires de Pfizer et Merck.

    « Mieux vaut prévenir que guérir » est un anathème pour le modèle économique de l'industrie. Nous obtenons donc le paradigme inverse.

    https://www.globalresearch.ca/heart-syndrome-affects-90-us-population/5857170

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  50. Le DOJ tente de protéger Pfizer d’un procès pour dénonciation
    Comment se fait-il que plus de gens ne soient pas au courant de cette affaire ?


    Par Daniel Greer
    Recherche mondiale,
    14 mai 2024


    Un procès très médiatisé dans le domaine des soins de santé à Beaumont, au Texas, passe inaperçu, ce qui correspond exactement à la volonté du gouvernement fédéral et de Pfizer.

    Le ministère de la Justice a récemment fait valoir que le procès de dénonciation contre Pfizer, intenté par Brook Jackson , devrait être rejeté.

    Jackson, une vétéran de 20 ans dans l'administration d'essais cliniques employée par un fournisseur tiers (Ventavia Research Group), a travaillé sur les essais du vaccin COVID-19 de Pfizer en 2020. Alarmée par ce dont elle a été témoin, Jackson a fait part de ses inquiétudes à ses supérieurs, Pfizer, et la Food and Drug Administration (FDA) en septembre 2020.

    Elle a affirmé que le procès était mené, documenté et rapporté d'une manière qui violait la loi fédérale et était potentiellement dangereuse.

    Quelques heures après avoir contacté la FDA le 25 septembre 2020, Jackson a été licencié. Sa plainte scellée de dénonciation semblait au point mort, la FDA n'enquêtant pas sur ses allégations. Face à l'inaction, Jackson a intenté une action en justice.

    Alors que l'affaire progressait vers la découverte, le DOJ est intervenu, demandant au juge de classer l'affaire. Jackson soutient que le gouvernement n'a pas réussi à articuler un motif légitime de licenciement et n'a pas démontré pourquoi les fardeaux d'un litige continu l'emportent sur ses avantages.

    Il est inquiétant de constater qu'un ancien avocat de la FDA qui travaillait à l'agence lorsque la plainte de Jackson a été déposée a rejoint le DOJ et représente désormais le gouvernement dans sa tentative de mettre fin à la poursuite, soulevant des inquiétudes quant à la capture réglementaire et à l'utilisation du gouvernement pour protéger les entreprises. responsabilité.

    En 2021, le British Medical Journal a publié un article enquêtant sur les affirmations de Jackson et les a jugées crédibles. L'enquête du journal a conclu que le récit de Jackson était étayé par des documents et a soulevé de sérieuses questions sur l'intégrité des essais de vaccins de Pfizer et sur la surveillance de la FDA.

    D'autres anciens employés de Ventavia se sont portés garants de la plainte de Jackson, décrivant un environnement de travail « désordonné » et un manque de surveillance.

    Malgré les preuves et la corroboration, la FDA n'a pas inspecté Ventavia après la plainte de Jackson, et Pfizer n'a mentionné aucun problème chez Ventavia dans sa soumission à la FDA pour une autorisation d'utilisation d'urgence.

    Les conclusions du BMJ confèrent une crédibilité significative aux affirmations de Jackson et soulèvent de sérieuses questions sur l'intégrité des données des essais vaccinaux de Pfizer, l'adéquation de la surveillance réglementaire et, en fin de compte, l'autorisation d'utilisation d'urgence approuvée.

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  51. Si le tribunal accédait à la demande de révocation du DOJ, il pourrait envoyer un message effrayant aux lanceurs d'alerte potentiels et saper la confiance du public dans le processus d'approbation des vaccins. L'enquête du BMJ suggère que les préoccupations de Jackson méritent un examen approfondi, qui ne pourrait avoir lieu que si son procès allait de l'avant.

    De plus, la révélation selon laquelle un ancien responsable de la FDA impliqué dans l'approbation du vaccin travaille désormais pour le DOJ et plaide en faveur du rejet du procès après que la FDA semble avoir dénoncé Jackson à son employeur, ce qui a finalement conduit à son licenciement, soulève d'autres questions sur les conflits potentiels. d’intérêt et de capture réglementaire.

    Malgré son importance, l’affaire a reçu une couverture médiatique limitée. Le reportage sur l'employé de la FDA devenu garde du corps du DOJ Pfizer était un journaliste indépendant basé à Dallas, au Texas, Texas Lindsay.

    Dans le même ordre d’idées, AstraZeneca a retiré cette semaine son vaccin contre la COVID-19 du marché.

    https://www.globalresearch.ca/doj-protect-pfizer-whistleblower-lawsuit/5857162

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  52. Coup de théâtre : pris la main dans le sac, Pfizer accepte de payer 250 millions de dollars pour échapper à un procès


    By Cheikh Dieng
    -16 mai 2024

    Pfizer tente à tout prix d’échapper à un procès. Poursuivi en justice par plusieurs milliers de plaignants qui ont été atteints de cancer après avoir utilisé le médicament Zantac commercialisé par le laboratoire américain, Pfizer a finalement décidé de s’en sortir facilement en versant aux victimes une somme colossale.

    C’est du moins ce que nous a appris, ce 16 mai, l’agence de presse Reuters. En effet, d’après ce média qui cite le Financial Times, le laboratoire américain a accepté de verser 250 millions de dollars aux plaignants. A en croire la même source, cet accord a été conclu il y a une semaine dans un tribunal américain et a pour but d’atténuer les responsabilités pénales de Pfizer.

    https://lecourrier-du-soir.com/etats-unis-pris-la-main-dans-le-sac-pfizer-accepte-de-payer-250-millions-de-dollars-pour-echapper-a-un-proces/

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  53. Bill Gates veut bloquer le soleil


    Par Julien Rose
    Recherche mondiale,
    14 mai 2024


    Dès le début, les scientifiques, les politiciens et les principales figures de proue de la cabale de fausses convictions vertes ont parlé d’« envisager de mener des programmes de géo-ingénierie stratosphérique » pour bloquer la lumière du soleil et refroidir la planète.

    L’ironie de ces déclarations est qu’elles sont faites alors même que de telles activités sont menées quotidiennement – ​​à la vue de tous – et ce depuis au moins 25 ans.

    Puis Bill Gates, résolument dérangé, intervient pour ajouter une dimension supplémentaire d’atténuation du soleil aux chemtrails toxiques géo-ingéniés qui empêchent déjà le soleil vital de pénétrer dans tous les éléments de la vie qui en dépendent, notamment nous, les humains.

    Le prestigieux « magazine des millionnaires » de Forbes rapporte que l'intervention du milliardaire Gates consiste à financer des scientifiques de l'Université de Harvard pour établir ce que l'on appelle « l'expérience de perturbation contrôlée stratosphérique » (SCoPEx) afin d'examiner si une solution d'atténuation du soleil pourrait être obtenue en pulvérisant du carbonate de calcium (CaCo3). poussière dans l'atmosphère.

    Forbes tient simplement pour acquis que cette forme de falsification géophysique du climat est une réalité de la vie.

    Il ne fait aucun doute que les multimillionnaires ne veulent pas être indûment perturbés par les enquêtes visant à établir la vérité.

    Le carbonate de calcium, estiment les responsables de ce projet, agira comme un aérosol réfléchissant le soleil qui pourrait compenser les effets du réchauffement climatique. Tout cela vous semble très familier, n'est-ce pas ?

    Les premières expériences, rapporte Forbes, seraient réalisées près de Kiruna en Suède, à partir d'un ballon à haute altitude libérant du Ca Co3 dans l'atmosphère à la demande de la « Société spatiale suédoise » (notez « société »), les résultats étant mesurés par des instruments scientifiques. porté par le ballon.

    Une telle diablerie, pratiquée aujourd'hui par des déviants de l'humanité comme Gates, Schwab, Harari et les PDG des Nations Unies, de l'Organisation mondiale de la santé et du Forum économique mondial dans les domaines du Covid, du climat et de la biosphère, est en effet sombre.

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  54. Pas étonnant qu'ils aient peur du soleil !

    Il est si facile pour les gens de commencer à suivre des développements tels que cette expérience Ca Co3, tout en ignorant complètement le fait que le réchauffement climatique lui-même est une énorme arnaque et diversion. Une invention – n’ayant rien à voir avec la science empirique ou l’observation responsable basée sur le bon sens.

    Ainsi, on se retrouve avec une couche après l'autre de tromperies et d'obscurcissements délibérés promus à grands frais par les grands médias, obligeant les gens ordinaires à tourner en rond dans des cercles de plus en plus restreints, essayant de donner un sens à ce que disent les « experts » soi-disant omniscients. se déclarent être la dernière découverte sur la meilleure façon d'empoisonner les gens et la planète, de réduire la population mondiale et de s'établir comme des Transhumains immortels.

    Le CO2 est en réalité un gaz naturel absolument essentiel sans lequel la vie végétale mourrait ; et parce que les plantes transforment le CO2 en notre réserve d’oxygène, les humains le feraient aussi.

    C’est ce qui est codé sous le nom de « Net Zero » par nos oppresseurs fous. C'est leur « mot de passe » pour l'extinction mondiale.

    Mais ceux qui ne sont pas éveillés pensent que cela signifie « la fin du réchauffement climatique » et votent pour le régime du fascisme vert qui se spécialise dans la subversion de la réalité et dans sa déformation en son contraire.

    Ainsi, le processus pour arriver à cette très sombre impasse « Net Zero » (zéro carbone) est donné exactement à l’opposé de la réalité, en le revendiquant comme le point culminant réussi du « programme de sauvetage du Green New Deal/Agenda de développement durable 2030 ». '.

    C'est ça! Le double langage classique du démon bien entraîné.

    Tout comme le Covid, il s’agit d’un vaste exercice de blanchiment d’argent militaire et pharmaceutique. Bill Gates n’investit pas dans quelque chose qui ne produit pas de rendements très substantiels.

    Il comptera sur cette expérience SCoPEx sur le carbonate de calcium qui sera considérée comme « un succès » et partagera cette expérience et les produits associés, s'envolant dans l'espace – comme les satellites espions mondiaux Star Link d'Elon Musk.

    Cependant, David Keith, professeur de physique appliquée à l'Université Harvard, qui travaille sur ce programme, admet que personne ne sait ce qui se passera jusqu'à ce que CaCO3 soit libéré et étudie les résultats par la suite, selon Forbes.

    Il spécule même que la poussière libérée pourrait aider à réparer la couche d’ozone fracturée en réagissant avec des produits chimiques destructeurs d’ozone.

    Ne retenez pas votre souffle. Il y a toujours une tournure positive donnée à ces jeux scientifiques fous.

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  55. L'équipe à l'origine de ce projet prétend avoir découvert que les volcans (crachant des millions de tonnes de gaz carbonique non noté) produisent un nuage de cendres sulfuriques qui a été reconnu comme faisant baisser les températures sur Terre jusqu'à 1,5 % centigrades.

    Oui, donc si les « scientifiques » pouvaient seulement voir les choses de manière holistique, ils pourraient comprendre que Gaia (la Terre) est une planète vivante et respirante – et que lorsqu'une entité aussi sensible subit une surchauffe, elle déclenche quelques volcans dans diverses parties du monde. afin de s'auto-corriger vers l'équilibre souhaité.

    Cela dépasse de loin la compréhension de ceux qui sont enfermés dans de sévères monocultures mentales, considérées comme une condition pour être pris au sérieux dans les cercles universitaires.

    L’expérience atmosphérique par essais et erreurs ScoPEx se déroule comme si la biosphère était un laboratoire d’entreprise, isolé de tout effet secondaire ou réaction inattendue – sans qu’on demande à personne s’il acceptait d’être des rats de laboratoire et de recevoir ce qui pourrait se passer.

    Tout comme ce qu'on appelle « Covid », les OGM, les produits chimiques dans les aliments, les moustiques génétiquement modifiés, les injections d'ARNm, le fluorure dans l'eau potable, le rayonnement électromagnétique des téléphones portables, etc.

    « Disons-le là-bas, les garçons. Cela ne nous concerne pas, nous bénéficions d'une immunité juridique contre toute conséquence négative.»

    Bill Gates et sa confrérie maçonnique appartiennent au camp Madkind ; et c'est cette secte anti-vie qui se considère comme « au-dessus » du besoin d'essayer de comprendre les implications de ce qu'elle fait.

    Ainsi, la falsification des systèmes de survie fait partie du travail d’une bonne journée, une fois que l’on souscrit au programme de réduction de la population de la Quatrième Révolution Industrielle, du New Deal Vert et de la Grande Réinitialisation – et à l’émergence de la race transhumaine numérisée avec ADN modifié qui est envisagée pour suivre.

    Mais en bloquant le soleil, M. Gates. Est-ce vraiment votre dernier plan pour améliorer la qualité de vie de la race humaine ?

    Bien sûr. C'est le soleil qui rend la vie possible sur terre, il faut donc le rendre incapable d'accomplir correctement son devoir, sinon la race humaine pourrait survivre. Même Dieu maçonnique nous en préserve, prospérez !

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  56. Une entreprise de Bill Gates vise à pulvériser de la poussière dans l'atmosphère
    pour bloquer le soleil. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer?
    par Ariel Cohen

    Forbes, janvier 2021

    Le fondateur milliardaire de Microsoft, Bill Gates, soutient financièrement le développement d' une technologie d'atténuation du soleil qui pourrait potentiellement refléter la lumière du soleil hors de l'atmosphère terrestre, déclenchant ainsi un effet de refroidissement global. L'expérience de perturbation contrôlée stratosphérique ( SCoPEx ), lancée par des scientifiques de l'Université Harvard, vise à examiner cette solution en pulvérisant dans l'atmosphère de la poussière non toxique de carbonate de calcium (CaCO 3 ), un aérosol réfléchissant le soleil qui pourrait compenser les effets du réchauffement climatique.

    Les recherches généralisées sur l’efficacité de la géo-ingénierie solaire sont bloquées depuis des années en raison de la controverse. Les opposants estiment qu’une telle science comporte des risques imprévisibles, notamment des changements extrêmes dans les conditions météorologiques qui ne sont pas sans rappeler les tendances au réchauffement auxquelles nous assistons déjà. Les environnementalistes craignent également qu’un changement radical de stratégie d’atténuation ne soit considéré comme un feu vert pour continuer à émettre des gaz à effet de serre avec peu ou pas de changements dans les modes de consommation et de production actuels.

    SCoPEx fera un petit pas dans ses premières recherches en juin près de la ville de Kiruna, en Suède, où la Société spatiale suédoise a accepté de contribuer au lancement d'un ballon transportant du matériel scientifique à 20 km de hauteur. Le lancement ne libérera aucun aérosol stratosphérique. Il servira plutôt de test pour manœuvrer le ballon et examiner les systèmes de communication et opérationnels. En cas de succès, cela pourrait constituer une étape vers une deuxième étape expérimentale qui libérerait une petite quantité de poussière de CaCO 3 dans l'atmosphère.

    David Keith , professeur de physique appliquée et de politique publique à l'Université Harvard, reconnaît les « très nombreuses préoccupations réelles » de la géo-ingénierie. Il est vrai que personne ne sait ce qui se passera tant que le CaCO 3 ne sera pas libéré puis étudié. Keith et ses collègues scientifiques du SCoPEx ont publié un article en 2017 suggérant que la poussière pourrait en fait reconstituer la couche d'ozone en réagissant avec des molécules destructrices d'ozone. "Des recherches plus approfondies sur cette méthode et sur des méthodes similaires pourraient conduire à une réduction des risques et à une amélioration de l'efficacité des méthodes de géo-ingénierie solaire", écrivent les auteurs de l'article.

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  57. La quantité exacte de CaCO 3 nécessaire pour refroidir la planète est inconnue, et les scientifiques du SCoPEx ne peuvent pas non plus confirmer s'il s'agit du meilleur aérosol stratosphérique pour cette tâche. Les premières recherches suggèrent que la substance possède des « propriétés optiques presque idéales » qui lui permettraient d’absorber beaucoup moins de rayonnement que les aérosols sulfatés, provoquant ainsi beaucoup moins de réchauffement stratosphérique. C'est le but de l'expérience : une fois qu'une quantité expérimentale sûre de CaCO 3 est libérée, le ballon la traverse, échantillonnant les réactions atmosphériques et enregistrant la dynamique qui en résulte. Frank Keutsch, le chercheur principal du projet, ne sait pas quels pourraient être les résultats. L’ aérosol parfait ne perturberait pas du tout immédiatement la chimie stratosphérique : « La seule chose qu’il ferait serait de diffuser un maximum de lumière solaire et ainsi de refroidir la planète. »

    Cliquez ici pour lire l'article complet sur Forbes.

    https://www.globalresearch.ca/bill-gates-wants-block-off-sun/5857121

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    1. Non, désolé, la nano-technologie (1 millième de millimètre) ne BLOQUERA JAMAIS LE SOLEIL !

      Ces poussières microscopiques (non-visibles dès qu'elles se séparent des chemtrails) sont des nano-particules de graphène (les mêmes que celles injectées en expérimentations géniques d'essais sur des humains !!) qui aident les ondes diffusées par les 'HAARP' (13 stations dans le monde !) à compromettre la nature (agissent sur les récoltes) et les êtres humains qui en sont également porteurs.

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  58. « Chercheurs militants : une science sous influence de l’idéologie écologiste » d'Agriculture et Environnement


    16 Mai 2024
    Glané sur la toile 995



    « Chercheurs militants : une science sous influence de l’idéologie écologiste » est un petit – mais costaud – dossier d'Agriculture et Environnement de 28 pages de notre ami Gil Rivière-Wekstein.

    Téléchargez ici en pdf toutes les conneries du monde écologfiste:

    https://www.agriculture-environnement.fr/wp-content/uploads/pdf/dossier-science-militante.pdf

    Le sommaire :

    • Scientifiques en rébellion : quand l’idéologie décroissante est érigée en vérité scientifique

    • Des associations de scientifiques mobilisées pour une « science sans croissance »

    • Le cas de Laurence Huc, porte-parole de Scientifiques en rébellion

    • Le cas d’Emma Haziza, experte en eau... et en agribashing

    • Le cas de Christopher Portier, chercheur et lobbyiste antiglyphosate

    • L’Institut Ramazzini, main dans la main avec le lobby du bio

    C'est bien sûr, la qualité A & E. À ne pas rater !

    https://seppi.over-blog.com/2024/05/chercheurs-militants-une-science-sous-influence-de-l-ideologie-ecologiste-d-agriculture-et-environnement.html

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  59. L’énergie éolienne est plus nocive et plus coûteuse que l’énergie issue des hydrocarbures


    16 mai 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les parcs éoliens « détruisent tout. Ils sont terribles et constituent l’énergie la plus chère qui soit. Ils détruisent l'environnement. Ils tuent les oiseaux. Ils tuent les baleines », a déclaré le président Trump lors d’un rassemblement le 11 mai à Wildwood, dans le New Jersey. « Nous veillerons à ce que cela cesse dès le premier jour. Je vais le mettre dans un décret.

    Trump résume correctement la situation de l’énergie éolienne. Les inconvénients de l’énergie éolienne sont présentés scientifiquement dans une étude de Wallace Manheimer publiée dans le Journal of Sustainable Development en 2022.

    La construction de l'infrastructure nécessaire aux systèmes énergétiques alternatifs (par exemple l'énergie solaire, éolienne et géothermique) nécessite plus de quatre fois la quantité de matériaux (par exemple l'acier, le verre, le cuivre, le ciment/béton, l'aluminium, le fer, le plomb, le plastique et le silicium). que les systèmes énergétiques conventionnels (charbon, gaz naturel et énergie nucléaire). Par rapport aux centrales électriques au charbon ou au gaz, l’espace requis pour les systèmes d’énergie solaire et éolienne est respectivement environ 33 et 179 fois plus élevé. Ces coûts élevés de matériaux et de superficie augmentent les coûts énergétiques.

    Durant leur fonctionnement, les éoliennes et les éoliennes tuent les oiseaux, ces derniers étant également mortels pour les chauves-souris, et elles se sont révélées peu fiables.

    Des problèmes de fiabilité causés par une dépendance excessive à l’énergie éolienne et solaire se sont produits dans de nombreuses régions du monde. La Californie, par exemple, est passée à l’énergie solaire, fermant toutes ses centrales électriques au charbon et toutes ses centrales nucléaires sauf une, et a réduit au minimum l’utilisation des centrales électriques au gaz. En conséquence, des pannes de courant se sont produites dans l’État lors d’une vague de chaleur à l’été 2020.

    De même, le Texas a investi massivement dans l’énergie éolienne et solaire, mais a lamentablement échoué lors d’une tempête hivernale en février 2021. Les éoliennes gelées et les panneaux solaires recouverts de neige ont laissé de grandes parties du Texas sans électricité pendant de longues périodes, entraînant la mort de plus de 200 personnes et des milliards de dollars de pertes économiques. En juillet suivant, les centrales électriques au gaz naturel ont dû compenser la panne des systèmes d'énergie éolienne et solaire lors d'une canicule.

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  60. Au cours de l’hiver 2020-21, l’Allemagne a vécu une expérience similaire à celle du Texas lorsque l’énergie éolienne et solaire a été victime des effets du froid et de la neige. Depuis que le pays est passé à l’énergie éolienne et solaire vers 2000, le prix de l’électricité en Allemagne a plus que triplé.

    En bref, les systèmes d’énergie éolienne et solaire ne sont ni bon marché, ni fiables, ni respectueux de l’environnement.

    Puissance nominale par rapport à la puissance moyenne

    La première question est de savoir à quoi vous pouvez vous attendre en termes de fourniture d’énergie provenant des éoliennes. La plupart des rapports des amis de la transition énergétique verte indiquent les performances « nominales » des éoliennes et des éoliennes. Il s’agit de la puissance maximale que l’appareil produira lorsque les conditions seront idéales. Mais les conditions sont rarement réunies. Ce n’est pas la puissance nominale qui compte, mais la puissance moyenne.

    Une éolienne peut produire 2 mégawatts (MW) lorsque le vent souffle à la bonne vitesse dans la bonne direction, mais peut-être seulement 500 kilowatts (kW) en moyenne dans toutes les conditions. Dans la plupart des centrales électriques conventionnelles, qu’elles soient au charbon, au gaz ou nucléaires, la production moyenne est presque égale à la production de pointe.

    Que peut-on réaliser avec l’énergie éolienne ? Seulement 1 à 2 % environ de l’énergie solaire qui atteint la Terre est convertie en énergie éolienne. Si nous supposons généreusement 2 % et prenons en compte la limite de Betz [Betz] pour l'efficacité maximale de conversion de l'énergie éolienne en énergie mécanique de 60 %, nous supposons un rendement de 50 %. Un parc éolien d’une puissance moyenne de 1 GW couvrirait donc au moins 500 km2.

    Contrairement à une ferme solaire, ce terrain pourrait être utilisé à d’autres fins, mais pas à beaucoup. Il pourrait être utilisé comme pâturage, peut-être pour faire pousser des cultures qui ne nécessitent pas beaucoup d’intervention humaine, mais il ne convient pas à l’habitation humaine. Bien que cela soit également assez discutable, car les petits éclats provenant des pales contaminent le sol au fil du temps.

    Le bruit serait énorme et, en hiver, dans les régions froides du pays, de gros morceaux de glace pesant des centaines de kilogrammes tomberaient des aubes de la turbine, tuant toute personne touchée.

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  61. Selon Manheimer, le coût d'une turbine est généralement d'environ 2 $/watt de puissance nominale ou d'environ 8 $/watt de puissance moyenne. En supposant des turbines d'une puissance nominale de 4 MW mesurant environ 170 m de haut, une centrale électrique moyenne de 1 GW nécessite environ 1 000 turbines pour un coût d'environ 8 milliards de dollars. Cela ne prend pas en compte les coûts d’installation, qui ne sont pas non plus faibles. Et combien coûtent 500 km2 de terrain contigu en Europe ?

    Le besoin de réserve de puissance

    On parle d’une révolution dans la technologie des batteries pour fournir une alimentation de secours, mais cela semble tiré par les cheveux. La batterie lithium-ion de la voiture Tesla stocke environ 100 kilowattheures. Selon l'Agence fédérale des réseaux, environ 484 milliards de kWh d'électricité ont été consommés en Allemagne en 2022, ce qui correspond à une production moyenne d'environ 55 GW. Si tout passait à l'énergie solaire et éolienne - les "énergies renouvelables" - alors vous auriez besoin de 1,32 milliard de kWh de capacité de stockage par jour sans vent en hiver dans le brouillard (pas d'énergie solaire), soit environ 13,2 millions de batteries Tesla.

    Une batterie Tesla coûte actuellement environ 10,00 euros. Même pour un achat d'un million de dollars, les coûts ne seront probablement pas inférieurs à 5 000 euros. Nous parlons donc de coûts de plusieurs dizaines de milliards pour la capacité électrique de réserve. Nous avons eu de telles conditions météorologiques pendant plusieurs jours l'hiver dernier, il faudrait donc prendre des précautions pendant 5 à 7 jours, ce qui fait grimper les coûts à des centaines de milliards. Et comme les pompes à chaleur et le chauffage en général nécessitent une quantité d'électricité particulièrement importante en hiver, les coûts liés à la capacité de réserve s'élèvent même à plusieurs milliards d'euros.

    Les problèmes de sécurité

    Il existe également un problème de sécurité lié au stockage d'une grande quantité d'énergie chimique et électrique au même endroit, en particulier avec une batterie comme la batterie lithium-ion de Tesla, qui est connue pour présenter un risque d'incendie même lorsque la batterie ne fournit pas d'énergie.

    Le danger associé au stockage dans des batteries lithium-ion est unique. Les batteries sont connues pour présenter un risque d'incendie même lorsqu'elles ne fournissent pas d'énergie. Et ils ne peuvent être éteints qu’en éliminant complètement l’oxygène, ce qui est impossible avec les énormes parcs de batteries requis. Les mesures de protection contre l'incendie seraient donc extrêmement complexes et prendraient également énormément de place.

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  62. Le coût de l’énergie fournie

    On dit souvent que l’énergie solaire et éolienne devient moins chère, souvent beaucoup moins chère que l’électricité issue du charbon, du gaz, du pétrole ou de l’énergie nucléaire. Bien qu'il n'y ait pas de coûts de carburant, les coûts de matériaux et de main d'œuvre sont énormes par rapport aux coûts de l'énergie conventionnelle. À cela s’ajoutent les coûts énormes des systèmes de sauvegarde.

    Il existe donc d’énormes obstacles scientifiques, techniques, économiques et écologiques difficiles à surmonter en réalité [Sellenberger 2020, Mills 2019].

    Malgré toutes les affirmations selon lesquelles les énergies solaire et éolienne sont bon marché, la question se pose de savoir comment les coûts de l'électricité en Allemagne et en France se comparent. Cette question est simple et incontestable. L’objectif de la transition énergétique étant de réduire les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère, la question se pose de savoir dans quelle mesure l’Allemagne et la France s’en sortent. Cette question est également simple et incontestable.

    La figure 9 montre un graphique du prix du kilowattheure d'énergie électrique en Allemagne, en France et aux États-Unis en centimes d'euro de 1980 à 2020 environ [Subsidized Wind Power, Manheimer 2018 et autres sources].

    Le graphique montre également les émissions de gaz carbonique par habitant dans l'atmosphère en tonnes par an [Effets cumulatifs, Manheimer 2018 et autres sources].

    - voir graph sur site -

    Figure 9. Illustration du coût d'un kilowattheure d'énergie électrique en centimes d'euro en France, en Allemagne et aux USA (solide) et des émissions de gaz carbonique dans l'atmosphère en tonnes par habitant et par an

    Le graphique montre que la transition énergétique allemande a échoué sur les deux plans, du moins jusqu’à présent, après environ 20 ans. Cela n’a pas réduit le prix de l’électricité, mais l’a rendu beaucoup plus cher. Elle n’a pas réduit les émissions de gaz carbonique par habitant dans l’atmosphère en Allemagne par rapport à la France ou même aux États-Unis.

    La fin du cycle de vie

    Les coûts supplémentaires et les dommages environnementaux causés par l’énergie solaire et éolienne ont été à peine remarqués jusqu’à présent. La durée de vie des cellules solaires et des éoliennes n’est que d’environ 25 ans. Étant donné que la plupart des panneaux solaires et des éoliennes sont plus jeunes que cette période, nous n’avons qu’une idée du problème qui approche à grands pas.

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  63. Le problème des éoliennes est double. Étant donné que les pales du rotor sont en fibre de verre et ne durent qu'environ 10 ans, nous avons déjà acquis une vaste expérience dans ce domaine. Ces ailes sont énormes et leur transport et leur élimination coûtent très cher, mais une décharge est une option raisonnable si elle est suffisamment grande. Une fois enfouis, ils causent peu ou pas de dommages à l'environnement local. Il existe peu de décharges pouvant accueillir ces pales. L’un se trouve près de Casper, dans le Wyoming. L'image ci-dessus montre une photo d'une partie de cette décharge avec des fragments de pales d'éoliennes dans leur dernier lieu de repos. Le petit objet en haut à droite est un bulldozer conduit par un employé d'une décharge.

    La difficulté de se débarrasser des ailes est dérisoire en comparaison de celle des tours, qui durent environ 25 ans. Les entreprises doivent généralement couvrir les coûts du démantèlement au début. Selon Manheimer, le coût est de 100 000 dollars, ce qui semble incroyablement bon marché pour le démantèlement d'une tour en acier de 170 mètres de haut. En fait, le Washington Times estime qu'une meilleure estimation des coûts serait de 500 000 dollars.

    L’alternative serait simplement de s’en aller et de laisser à quelqu’un d’autre le soin de s’en occuper. Peut-être que les exploitants d’énergie éolienne pensent que le démantèlement adéquat des éoliennes vieillissantes n’est « pas leur affaire ». Ils sont trop occupés à sauver le monde.

    Compte tenu des énormes besoins en matière d'espace et de matériaux, les éoliennes et les éoliennes causent de graves dommages à l'environnement dans son ensemble dès leur création. Lorsqu’ils meurent, ils sont encore plus nuisibles. Ils constituent alors presque certainement une crise environnementale plus grave que toute autre source d’énergie.

    https://tkp.at/2024/05/16/windenergie-schaedlicher-und-teurer-als-energie-aus-kohlenwa

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  64. Politique et médias : réactions à la tentative d'assassinat de Fico


    16 mai 2024
    de Thomas Oysmüller


    Peu de réactions ont été rapportées à la tentative d'assassinat de Robert Fico - de la part des pays germanophones et du monde entier.

    Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, n'est pas encore tiré d'affaire, mais il a survécu aux premières heures qui ont suivi la fusillade et l'opération d'urgence a probablement été couronnée de succès. Mais son état reste critique. L’attaque a déclenché une onde de choc. TKP résume des réactions atypiques et moins fréquemment entendues.

    Campagne de haine

    Commençons par le miroir . Peu de temps après l'attaque, le journal a imputé la responsabilité à Fico lui-même. Le titre n'a pas tenu le coup et a ensuite été modifié - le mal était toujours fait - et le texte continue également de blâmer Fico pour l'attaque dont il a été victime.

    Le journaliste Norbert Häring écrit : « Même les règles les plus élémentaires de la décence humaine ne s’appliquent plus aux responsables des médias qui prennent de l’argent aux milliardaires américains lorsqu’il s’agit d’opposants à ces bienfaiteurs dans l’esprit de la Pax Americana. »

    La BBC a également frappé fort. Dans le reportage, Fico a été accusé d'être payé par le Kremlin. À plusieurs reprises dans la soirée, les gens ont failli justifier l'attaque parce que Fico s'est prononcé contre une aide militaire inconditionnelle à l'Ukraine.

    Peu après l’attaque, la BBC a également déclaré : « La Hongrie, la Slovaquie et l’Autriche s’opposent désormais à la ligne commune de l’UE en faveur de l’Ukraine. »

    Au Parlement allemand, le ministre de l'Économie, Robert Habeck, a immédiatement pris le relais. Il n’a pas utilisé l’attaque de manière particulièrement ambiguë pour créer un sentiment contre l’AfD. Son court discours a indigné beaucoup de monde - Habeck n'a pas mentionné le nom de Fico, qui est pourtant un opposant politique aux Verts :

    Le vice-Premier ministre serbe Aleksandar Vulin a présenté un rapport plus détaillé. Il a dit:

    « Nous saurons ce qui s'est réellement passé avec le temps, mais le fait est qu'il y a eu une incroyable campagne de haine contre Fico en Slovaquie et dans toute l'Europe. Nous découvrirons si la tentative d'assassinat est liée ou non, mais ce qui s'est passé est presque certainement le résultat de la campagne de haine et d'information contre M. Fico. C'est absolument certain. La raison de cette haine était la position politique de Fico... Vous savez, en Occident, différentes positions politiques sont punies, et de différentes manières. Parfois des sanctions vous sont imposées, parfois on vous tire dessus.»

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  65. Les médias serbes ont rapporté le soir de l'attaque que Viktor Orban et Aleksandar Vucic, les chefs de gouvernement de Hongrie et de Serbie, prévoyaient de se rendre prochainement à l'hôpital.

    Au Smer, le parti de Fico, les gens ont également commencé à réagir. "Je voudrais exprimer mon profond dégoût pour ce que vous avez fait ces dernières années, vous, les médias libéraux, l'opposition politique, la haine que vous avez répandue contre Robert Fico, la potence que vous avez construite pour lui", a déclaré Ľuboš Blaha. Vice-président du Parlement et vice-président du Smer. "Il se bat aujourd'hui pour sa vie à cause de votre haine", a-t-il ajouté.

    Bien entendu, tous les dirigeants de l’UE ont exprimé leur sympathie pour Fico et condamné la tentative d’assassinat. Mais l’attaque n’a pas choqué que l’Europe.

    Le président cubain a exprimé « au nom du peuple cubain et du gouvernement cubain, notre solidarité et nos vœux de prompt rétablissement ».

    Alors qu'il existe déjà de nombreuses spéculations sur le contexte de l'attaque - la police n'a pas encore fait de déclaration officielle - le portail T-Online est passé particulièrement loin par la fenêtre. Là-bas, les gens spéculent sans honte que la tentative d'assassinat aurait pu être orchestrée par Fico lui-même.

    L'ancien chef de la police slovaque a expliqué que l'appareil de sécurité avait échoué et a rappelé que Fico lui-même avait parlé il y a quelques semaines d'une éventuelle tentative d'assassinat et des menaces correspondantes : « Comment ces menaces ont-elles été traitées ?

    https://tkp.at/2024/05/16/politik-medien-reaktionen-zum-attentat-auf-fico/

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  66. Tentative d'assassinat contre Fico : le Premier ministre abattu


    15 mai 2024
    de Thomas Oysmüller


    Robert Fico a été touché par plusieurs tirs mercredi. Les médias locaux rapportent que son état est critique.

    Outre Viktor Orban, seul le Premier ministre slovaque Robert Fico soutient clairement une politique de paix envers la Russie et une politique nationale indépendante. Il s'exprime encore plus clairement que Viktor Orban contre le soutien à l'Ukraine - le TKP en a parlé ici. Mercredi, il a été victime d'un attentat terroriste.

    Coups de feu dans le ventre

    L'attaque a eu lieu dans la ville de Handlová. Le gouvernement s'y réunissait et alors que Fico quittait le centre communautaire, alors qu'il voulait saluer les gens, des coups de feu ont été tirés. L'agresseur a été arrêté par la police et, peu de temps après, un porte-parole du ministère de l'Intérieur a confirmé que le Premier ministre avait été victime d'une agression.

    On ne sait rien avec certitude sur l’état de l’homme politique critique à l’égard de l’OTAN et de l’UE. Un média slovaque a rapporté que Fico avait été frappé à plusieurs reprises et était tombé au sol. Un enregistrement vidéo semble montrer que le Premier ministre a été abattu par les tirs. Des informations ont été publiées sur les réseaux sociaux selon lesquelles Fico aurait été blessé à la région abdominale – cela n'a pas été confirmé. Fico a été transporté à l'hôpital par hélicoptère.

    Il y a également un manque d’informations fiables sur ce crime. L'auteur unique se serait caché dans la foule rassemblée devant le bâtiment. Il aurait alors tiré sur Fico trois à quatre fois depuis cette foule.

    La tentative de fuite de l'assassin a échoué et il a été rapidement arrêté par les forces de sécurité environnantes. L'assassin serait slovaque.

    Robert Fico peut être décrit comme l'homme politique social-démocrate le plus important d'Europe à l'heure actuelle - même si (ou précisément à cause de cela) le parti social-démocrate européen a exclu son parti SMER. Il y a quelques semaines, Fico a expliqué devant la caméra qu'il était concevable que quelqu'un tente de le tuer.

    Le TKP a rendu compte à plusieurs reprises et en détail de la politique de Fico et de son gouvernement :

    Robert Fico : La stratégie occidentale en Ukraine ne fonctionne tout simplement pas

    Le Premier ministre slovaque aborde le « complot Leyen-Pfizer »

    https://tkp.at/2024/05/15/attentat-auf-fico-premierminister-angeschossen/

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  67. Robert Fico 1er ministre slovaque anti guerre anti traité de l’Oms qui voulait en plus une enquête sur Pfizer ne mérite pas de vivre , un progressiste d’extrême centre l’ a abattu


    le 15 Mai 2024
    par pgibertie


    https://twitter.com/i/status/1790788812773196064

    Robert Fico se trouve actuellement entre la vie et la mort après avoir été visé par quatre coups de feu à l’issue d’une réunion du gouvernement slovaque. L’assaillant présumé, Jaraj Chintula, a été arrêté.

    Andrej Danko, le chef du Parti national slovaque, l’un des partis qui soutiennent Fico, a déclaré que la fusillade de Fico marquait le début d’une «guerre politique».

    Il a ajouté que leur rapport aux médias et les hommes politiques de l’ancien gouvernement va désormais changer. « Je veux dire à l’opposition de se taire et de respecter les résultats des élections» a déclaré Danko, ajoutant que le SNS soutient Robert Fico. La ministre de la Culture Martina Šimkovičová a déclaré que ce qui s’est passé aujourd’hui est le résultat du discours haineux de l’opposition. Les partis atlantistes de droite avaient dès le début adopté un ton au vitriol et personnel contre Fico, et aujourd’hui de grandes manifestations étaient prévues contre le gouvernement, qui ont maintenant été annulées.

    Pour rappel, la Slovaquie est le 1er pays de l’UE à auditer les politiques vaccinales de 2021-23.

    @hirt_benjamin

    Robert Fico, Premier ministre de Slovaquie. « Les droits humains des peuples ont été bafoués par les vaccins. L’OMS ne peut pas avoir plus de pouvoir que cela. » De nombreux pays dans le monde ont désormais suspendu leurs achats de vaccins. Dans ce contexte, les sociétés pharmaceutiques commencent à s’inquiéter pour leurs affaires. Selon lui, l’accord de l’OMS est un projet de sociétés pharmaceutiques cupides. Le traité sur les pandémies de l’OMS transfère l’autorité sanitaire des ministères de la santé des pays signataires à l’OMS en cas de pandémie. En conséquence, l’OMS disposera de pouvoirs de décision stricts, que les signataires devront respecter. Cela signifie que l’OMS pourra imposer l’achat de vaccins et de médicaments et administrer des vaccinations obligatoires. Le gouvernement slovaque ne signera pas le traité sur la pandémie et ne le ratifiera pas au Parlement. Ils rejettent sans équivoque ce traité.

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  68. Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, a été blessé à la poitrine et à l’abdomen lors d’une tentative d’assassinat. L’attentat contre Fico a eu lieu après une réunion gouvernementale hors site dans la ville de Gandlova, à 190 kilomètres de Bratislava. Le Premier ministre est transporté à l’hôpital par hélicoptère. Le tireur a été arrêté. Il s’agit très probablement d’une tentative d’intimidation de tous ceux qui s’opposent à la fourniture d’armes à l’Ukraine et à la poursuite de la guerre. Y aura-t-il une trace ukrainienne ? Très probablement, ils l’attribueront à un cas « psycho », affirmant que le tireur n’était pas sain d’esprit ou autre chose. Mais en réalité, les instigateurs sont déjà clairs. Découvrez à qui profite, comme on dit. Fico est mal à l’aise car il renforce la tendance à mettre fin à la guerre en Ukraine et refuse de fournir une aide militaire, ce qui en gêne beaucoup. Il interférait avec les personnages et les grandes entreprises qui profitaient de la guerre. »

    Le vice-président du Parlement slovaque, Luboš Blaha, a blâmé les députés de l’opposition lors de la réunion parlementaire en disant « C’est votre travail ».

    Le tireur du Premier ministre slovaque s’est avéré être un partisan de 71 ans du parti slovaque pro-ukrainien Slovaquie progressiste, l’écrivain Juraj Cintula.

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    Skype n’est plus pris en charge

    https://pgibertie.com/2024/05/15/robert-fico-1er-ministre-slovaque-anti-guerre-anti-traite-de-loms-qui-voulait-en-plus-une-enquete-sur-pfizer-ne-merite-pas-de-vivre-un-progressiste-dextreme-centre-l-a-abattu/

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  69. Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, abattu aujourd'hui lors d'une tentative d'assassinat après avoir rejeté le traité de l'OMS sur la pandémie


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    16 mai 2024


    Il a également récemment lancé des enquêtes sur :

    Corruption liée à la pandémie de COVID-19 et argent dépensé
    Blessures et décès liés au vaccin COVID-19
    21 000 décès supplémentaires
    Est-ce une menace pour les hommes politiques du monde entier de « laisser de côté les crimes liés à la pandémie de COVID-19 » ?

    Il a été abattu en plein jour par un militant de gauche fou.

    Je prie pour sa sécurité et son rétablissement !

    https://www.globalresearch.ca/slovakia-pm-fico-assassination-attempt-who-pandemic-treaty/5857370

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  70. Sur la lutte contre le réchauffement climatique : « Éradication de la population humaine »


    15 mai 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Un « climatologue » britannique a appelé à une « culture majeure de la population humaine » pour lutter contre le « réchauffement climatique ». Le professeur Bill McGuire affirme qu’il faudra une « pandémie avec un taux de mortalité très élevé » pour anéantir une grande partie de la race humaine.
    Selon McGuire, le dépeuplement massif est « le seul moyen réaliste » d '« éviter un effondrement climatique catastrophique ». McGuire, professeur de risques géophysiques et climatiques à l'University College de Londres (UCL), l'a suggéré dimanche dans un article sur X.

    « Si je suis tout à fait honnête, je vois que le seul moyen réaliste de réduire les émissions aussi rapidement que nécessaire pour éviter un effondrement climatique catastrophique est d’anéantir la population humaine par une pandémie avec un taux de mortalité très élevé. »

    Les réactions aux commentaires ne se sont pas fait attendre : les utilisateurs des réseaux sociaux se sont plaints du professeur.

    McGuire a répondu aux critiques et supprimé le message.

    Dans un article de suivi, McGuire a affirmé que les gens prenaient intentionnellement ses propos hors de leur contexte.

    Il a ensuite répondu aux commentaires colériques en fustigeant les gens à propos de ce qu'il avait dit. McGuire a tenté de prétendre qu'il parlait de l'économie et non de la mort, même s'il a spécifiquement appelé à « l'éradication de la population humaine à travers une pandémie avec un taux de mortalité très élevé ».

    Autres « dépeupleurs »

    En tant que PDG de BlackRock, le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, Fink gère désormais plus de 11 000 milliards de dollars d'actifs dans le monde. Lors du sommet du WEF à Riyad, Fink a assuré aux participants que le déclin démographique dans les pays du monde entier n'était pas un problème pour l'élite mondiale. Et en général, il y a trop de monde sur terre.

    De manière générale, le Forum économique mondial (FEM) promeut depuis longtemps son programme anti-dépopulation humaine avec un slogan inquiétant, affirmant que nous avons besoin de moins « d’âmes sur la planète » pour lutter contre le « changement climatique ». L'un des soi-disant « contributeurs à l'agenda » du WEF avait introduit le nouveau slogan de dépopulation tout en se plaignant que ceux qui ne sont pas d'accord faisaient obstacle à « sauver la planète ».

    Yogi Sadhguru, l'un des contributeurs à l'agenda du WEF , a appelé à la mise en œuvre d'un plan majeur de « décarbonisation » pour « réduire le nombre de pieds » sur Terre. Il a déclaré : « Vous m'avez posé une question brillante : 'Comment pouvez-vous réduire l'empreinte humaine ?' J'ai dit : 'Vous devez réduire le nombre de pieds.'"

    D’autres scientifiques britanniques expliquent comment le programme de dépopulation progresse. Lors d’ une conférence en 2014, le professeur Michael J Kelly a abordé l’ampleur du problème de la décarbonation, expliquant qu’il était sans précédent et techniquement irréalisable. Kelly a ensuite averti qu’une décarbonisation de 80 % d’ici 2050 serait impossible sans extinction massive.

    C'est peut-être ce que McGuire voulait dire à l'époque, lorsqu'il parlait d'économie .

    https://tkp.at/2024/05/15/zum-kampf-gegen-erderwaermung-ausmerzung-der-menschlichen-bevoelkerung/

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  71. Un vétéran vert fonde un nouveau parti


    15 mai 2024
    de Thomas Oysmüller


    La « Liste Madeleine Petrovic » veut arriver au Conseil national à l'automne.

    Dans les années 1990, Madeleine Petrovic était porte-parole fédérale des Verts – beaucoup de choses se sont passées depuis, notamment avec « son » parti. Et maintenant, la femme de 67 ans entre à nouveau sur le ring politique - en concurrence avec les Verts : avec la « Liste Madeleine Petrovic », elle et ses collègues, qui s'organisent depuis le régime Covid, veulent entrer au Conseil national. .

    Paix et droits fondamentaux

    Au départ, c'était l'association « Les Verts contre la vaccination obligatoire et la 2G » qui s'impliquait activement dans le mouvement citoyen contre la politique du Covid et Petrovic - qui était le porte-parole des Verts en Basse-Autriche jusqu'en 2015 - est rapidement devenu le visage de la société civile. groupe de défense des droits. Après que le régime Covid soit passé au second plan, le groupe a continué sous le nom d’« Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d’information » dans l’opposition extraparlementaire. Maintenant, la prochaine étape suit.

    Le parti se présentera officiellement vendredi lors d'une conférence de presse et une interview a été publiée mercredi dans le magazine Die Ganze Woche . Outre Petrovic, Nora Summer et Monika Henniger-Erber (également ex-Verts) apparaissent comme femmes de premier plan et porte-parole du parti. L'objectif clair est de quatre pour cent et l'entrée au Conseil national. La campagne électorale devrait également être financée par les cotisations des membres, de sorte que - contrairement à Sahra Wagenknecht en Allemagne - ils devraient pouvoir recruter des membres de manière assez active et rapide.

    En termes de contenu, comme le montre l’interview, ils veulent se positionner autour des thèmes de la politique de paix, de la neutralité, de la protection de l’environnement, des libertés civiles et de l’inflation et s’appuyer pour cela sur des « valeurs vertes originales ». Cependant, le contenu des Verts des années 1990 ne sera pas suffisant pour traiter de nombreux sujets politiquement explosifs d'aujourd'hui - des questions cruciales telles que la manière de traiter les politiques identitaires, les migrations et, surtout, la souveraineté nationale, devront être résolues de manière contemporaine. . Les années 1990 sont loin d’apporter de la clarté à ce sujet.

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  72. Ce que les électeurs autrichiens obtiendront certainement avec l'élection de Petrovic - à condition que la liste recueille suffisamment de déclarations de soutien - c'est une personnalité connue avec une expérience de la realpolitik. Doté d'un certain flair politique, il pourrait attirer de larges couches d'électeurs et s'imposer comme un parti populaire – au-delà de la « gauche » et de la « droite ». L’opportunité serait là, mais le chemin serait long.

    https://tkp.at/2024/05/15/gruenes-urgestein-gruendet-neue-partei/

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  73. Robert Fico, le 1er ministre slovaque, vient d’être grièvement blessé par balles. Il se battait pour arrêter la guerre en Ukraine , les atlantistes et Big Pharma le détestaient


    le 15 Mai 2024
    par pgibertie


    Pour rappel, la Slovaquie est le 1er pays de l’UE à auditer les politiques vaccinales de 2021-23.

    Robert Fico, Premier ministre de Slovaquie. « Les droits humains des peuples ont été bafoués par les vaccins. L’OMS ne peut pas avoir plus de pouvoir que cela. » De nombreux pays dans le monde ont désormais suspendu leurs achats de vaccins. Dans ce contexte, les sociétés pharmaceutiques commencent à s’inquiéter pour leurs affaires. Selon lui, l’accord de l’OMS est un projet de sociétés pharmaceutiques cupides. Le traité sur les pandémies de l’OMS transfère l’autorité sanitaire des ministères de la santé des pays signataires à l’OMS en cas de pandémie. En conséquence, l’OMS disposera de pouvoirs de décision stricts, que les signataires devront respecter. Cela signifie que l’OMS pourra imposer l’achat de vaccins et de médicaments et administrer des vaccinations obligatoires. Le gouvernement slovaque ne signera pas le traité sur la pandémie et ne le ratifiera pas au Parlement. Ils rejettent sans équivoque ce traité.

    Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, a été blessé à la poitrine et à l’abdomen lors d’une tentative d’assassinat. L’attentat contre Fico a eu lieu après une réunion gouvernementale hors site dans la ville de Gandlova, à 190 kilomètres de Bratislava. Le Premier ministre est transporté à l’hôpital par hélicoptère. Le tireur a été arrêté. Il s’agit très probablement d’une tentative d’intimidation de tous ceux qui s’opposent à la fourniture d’armes à l’Ukraine et à la poursuite de la guerre. Y aura-t-il une trace ukrainienne ? Très probablement, ils l’attribueront à un cas « psycho », affirmant que le tireur n’était pas sain d’esprit ou autre chose. Mais en réalité, les instigateurs sont déjà clairs. Découvrez à qui profite, comme on dit. Fico est mal à l’aise car il renforce la tendance à mettre fin à la guerre en Ukraine et refuse de fournir une aide militaire, ce qui en gêne beaucoup. Il interférait avec les personnages et les grandes entreprises qui profitaient de la guerre. »

    Le vice-président du Parlement slovaque, Luboš Blaha, a blâmé les députés de l’opposition lors de la réunion parlementaire en disant « C’est votre travail ».

    Le tireur du Premier ministre slovaque s’est avéré être un partisan de 71 ans du parti slovaque pro-ukrainien Slovaquie progressiste, l’écrivain Juraj Cintula.

    https://pgibertie.com/2024/05/15/robert-fico-le-1er-ministre-slovaque-vient-detre-grievement-blesse-par-balles-il-se-battait-pour-arreter-la-guerre-en-ukraine-et-les-atlantistes-le-detestaient/

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  74. Menace au menu : la financiarisation des terres agricoles et la guerre contre l’alimentation et l’agriculture


    Par Colin Todhunter
    Recherche mondiale,
    16 mai 2024


    Entre 2008 et 2022, les prix des terrains ont presque doublé dans le monde et triplé en Europe centrale et orientale. Au Royaume-Uni, un afflux d’investissements provenant des fonds de pension et du patrimoine privé a contribué au doublement des prix des terres agricoles entre 2010 et 2015. Les prix des terrains dans le cœur agricole américain de l’Iowa ont quadruplé entre 2002 et 2020.

    Les fonds d’investissement agricole ont été multipliés par dix entre 2005 et 2018 et incluent désormais régulièrement les terres agricoles comme classe d’actifs autonome, les investisseurs américains ayant doublé leurs participations dans les terres agricoles depuis 2020.

    Pendant ce temps, les négociants en matières premières agricoles spéculent sur les terres agricoles par le biais de leurs propres filiales de capital-investissement, tandis que de nouveaux produits financiers dérivés permettent aux spéculateurs d’acquérir des parcelles de terre et de les relouer à des agriculteurs en difficulté, entraînant une inflation forte et soutenue des prix des terres.

    Les « accaparements verts » imposés par le haut représentent désormais 20 % des transactions foncières à grande échelle. Les promesses du gouvernement en matière d’élimination du carbone d’origine terrestre totalisent à elles seules près de 1,2 milliard d’hectares, soit l’équivalent de la totalité des terres cultivées mondiales. Les marchés de compensation carbone devraient quadrupler au cours des sept prochaines années.

    Telles sont quelques-unes des conclusions publiées dans le nouveau rapport « Land Squeeze » du Groupe international d'experts sur les systèmes alimentaires durables (IPES), un groupe de réflexion à but non lucratif dont le siège est à Bruxelles.

    Le rapport indique que les terres agricoles sont de plus en plus transformées en actifs financiers au détriment des petites et moyennes exploitations agricoles. L'épidémie de COVID-19 et le conflit en Ukraine ont contribué à promouvoir le discours de panique visant à « nourrir le monde », incitant l'agro-industrie et les investisseurs à sécuriser des terres pour la production de produits d'exportation et exhortant les gouvernements à déréglementer les marchés fonciers et à adopter des politiques favorables aux investisseurs.

    Cependant, malgré la flambée des prix alimentaires, selon l' IPES, en 2022 , il y avait suffisamment de nourriture et aucun risque de pénurie alimentaire mondiale. Malgré les discours égoïstes défendus par les grands investisseurs agricoles et fonciers, il n’y a pas eu de pénurie alimentaire. La hausse des prix était due à la spéculation sur les produits alimentaires, aux profits des entreprises et à une forte dépendance à l'égard des importations alimentaires.

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  75. Dans le même temps, les marchés de compensation du carbone et de la biodiversité facilitent des transactions foncières massives, attirant les principaux pollueurs sur les marchés fonciers. L'IPES note que Shell a mis de côté plus de 450 millions de dollars pour des projets de compensation. Les terres sont également utilisées pour la production de biocarburants et d'énergie verte, notamment pour des projets d'« hydrogène vert » gourmands en eau qui présentent des risques pour la production alimentaire locale.

    En outre, des terres agricoles indispensables sont réaffectées aux industries extractives et aux méga-développements. Par exemple, l’urbanisation et le développement de méga-infrastructures en Asie et en Afrique revendiquent des terres agricoles de premier ordre.

    Selon le rapport de l'IPES, entre 2000 et 2030, jusqu'à 3,3 millions d'hectares de terres agricoles mondiales auront été engloutis par l'expansion des mégalopoles. Environ 80 % des pertes de terres dues à l’urbanisation se produisent en Asie et en Afrique. En Inde , on estime que 1,5 million d'hectares ont été perdus à cause de la croissance urbaine entre 1955 et 1985, et 800 000 hectares supplémentaires entre 1985 et 2000, avec des pertes constantes jusqu'à ce jour.

    Dans un article de décembre 2016 sur l'expansion des terres urbaines , il était prévu que d'ici 2030, à l'échelle mondiale, les zones urbaines auront triplé en taille, s'étendant aux terres cultivées. Environ 60 % des terres cultivées dans le monde se trouvent à la périphérie des villes et ces terres sont en moyenne deux fois plus productives que celles du reste du monde.

    Cela signifie qu’à mesure que les villes s’agrandissent, des millions de petits agriculteurs sont déplacés. Ces agriculteurs produisent la majorité de la nourriture dans les pays en développement et jouent un rôle clé dans la sécurité alimentaire mondiale. À leur place, nous assistons au regroupement des terres en fermes à grande échelle et à la propagation de l’agriculture industrielle et de tout ce que cela entraîne, notamment une alimentation et des régimes alimentaires médiocres, la maladie, la dévastation de l’environnement et la destruction des communautés rurales.

    Les fonds ont tendance à investir sur une période comprise entre 10 et 15 ans et peuvent laisser une trace de dévastation environnementale et sociale à long terme et servir à saper la sécurité alimentaire locale et régionale. Les retours sur investissements l’emportent sur toute notion d’alimentation saine, de sécurité alimentaire ou de besoin humain.

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  76. L'IPES note qu'à l'échelle mondiale, seulement 1 % des plus grandes exploitations agricoles contrôlent désormais 70 % des terres agricoles de la planète. Il s’agit généralement d’exploitations à échelle industrielle, à forte consommation d’intrants, qui, selon l’IPES, mettent à rude épreuve les ressources, dégradent rapidement les terres agricoles et évince encore davantage les petits exploitants. De plus, les géants de l’agroalimentaire poursuivent des pratiques monopolistiques qui font augmenter les coûts pour les agriculteurs. Ces dynamiques créent une précarité économique systématique pour les agriculteurs, les forçant de fait à « devenir grands ou à s'en sortir ».

    Ajoutez à cela la dégradation des terres, dont une grande partie est imputable aux pratiques agricoles modernes à forte intensité chimique, et nous avons la recette d’une insécurité alimentaire mondiale. En Inde, plus de 70 % des terres arables sont affectées par une ou plusieurs formes de dégradation des terres.

    Considérez également que le gouvernement indien a sanctionné 50 parcs solaires, couvrant un million d'hectares dans sept États. Plus de 74 % de l’énergie solaire se trouve sur des terres agricoles (67 %) ou ayant une valeur écosystémique naturelle (7 %), ce qui entraîne des conflits potentiels en matière de sécurité alimentaire et de biodiversité. Le rapport de l'IPES note que depuis 2017, il y a eu plus de 15 cas de conflits en Inde liés à ces projets.

    Nettie Wiebe, de l'IPES, déclare :

    « Imaginez essayer de démarrer une ferme alors que 70 % des terres agricoles sont déjà contrôlées par seulement 1 % des plus grandes exploitations – et que les prix des terres ont augmenté pendant 20 années consécutives, comme en Amérique du Nord. C'est la dure réalité à laquelle les jeunes agriculteurs sont confrontés aujourd'hui. De plus en plus, les terres agricoles appartiennent non pas aux agriculteurs, mais à des spéculateurs, des fonds de pension et de grandes entreprises agroalimentaires qui cherchent à en tirer profit. Les prix des terres ont grimpé à un point tel qu'il devient impossible de vivre de l'agriculture. Nous atteignons un point critique : les petites et moyennes exploitations agricoles sont tout simplement évincées. »

    Susan Chomba, également de l'IPES, affirme que la flambée des prix des terres et l'accaparement des terres entraînent une « compression des terres » sans précédent, accélérant les inégalités et menaçant la production alimentaire. De plus, la ruée vers des projets carbone douteux , des projets de plantation d’arbres, des carburants propres et des achats spéculatifs déplacent non seulement les petits agriculteurs mais aussi les peuples autochtones.

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  77. De vastes étendues de terres agricoles sont acquises par les gouvernements et les entreprises pour ces « gains verts », malgré peu de preuves de bénéfices climatiques. Cette question touche particulièrement l’Amérique latine et l’Afrique subsaharienne. L'IPES note que quelque 25 millions d'hectares de terres ont été réservés à des projets carbone par une seule entreprise de « création d'actifs environnementaux », « Blue Carbon », basée aux Émirats arabes unis, dans le cadre d'accords avec les gouvernements du Kenya, du Zimbabwe, de la Tanzanie, de la Zambie et du Libéria. .

    Selon l'IPES, la « compression des terres » conduit à des révoltes d'agriculteurs, à l'exode rural, à la pauvreté rurale et à l'insécurité alimentaire. Alors que les prix mondiaux des terres agricoles ont doublé en 15 ans, les agriculteurs, les paysans et les peuples autochtones perdent leurs terres (ou sont contraints de les réduire), tandis que les jeunes agriculteurs sont confrontés à d'importants obstacles pour accéder aux terres agricoles.

    L’IPES appelle à des mesures pour mettre fin aux accaparements verts, éliminer les investissements spéculatifs des marchés fonciers et établir une gouvernance intégrée pour les systèmes fonciers, environnementaux et alimentaires afin de garantir une transition juste. Il appelle également à soutenir la propriété collective des exploitations agricoles et des financements innovants permettant aux agriculteurs d'accéder à la terre et souhaite un nouvel accord pour les agriculteurs et les zones rurales, qui inclut une nouvelle génération de réformes foncières et agraires.

    L’accumulation de capital basée sur la financiarisation des terres agricoles s’est accélérée après la crise financière de 2008. Cependant, la financiarisation de l’économie en général remonte aux années 1970 et 1980, lorsque l’on a assisté à un ralentissement de la croissance économique basée sur la production industrielle. La réponse a été de compenser par le capitalisme financier et l’intermédiation financière.

    Le professeur John Bellamy Foster, écrivant en 2010 , peu après la crise de 2008, déclare :

    « Faute de débouchés dans la production, le capital s’est réfugié dans la spéculation sur le financement par emprunt (une gamme ahurissante d’options, de contrats à terme, de produits dérivés, de swaps, etc.). »

    L’agenda néolibéral était l’expression politique de la réponse du capital à la stagnation et impliquait quatre mécanismes : le pillage et le pillage des budgets publics, l’expansion du crédit aux consommateurs et aux gouvernements pour soutenir les dépenses et la consommation, la spéculation financière frénétique et le militarisme.

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  78. Le moteur de l’accumulation du capital via la production ne tournant plus à plein régime, le soutien d’urgence de l’expansion financière a pris le relais. Foster note que nous avons assisté dans de nombreuses économies occidentales à une évolution de la formation de capital réel, qui augmente la production économique globale, vers une appréciation des actifs financiers, qui augmente les revendications de richesse mais pas la production.

    Les terres agricoles sont en train de passer d’une ressource soutenant la production alimentaire et la stabilité rurale à un actif financier et un produit spéculatif. Une classe d’actifs dans laquelle les investisseurs fortunés peuvent garer leur capital pour profiter davantage de la hausse des prix des actifs. Le programme vert zéro net doit également être vu dans ce contexte : lorsque le capital peine à réaliser des profits suffisants, la richesse productive (le capital) s’accumule et se déprécie ; Pour éviter la crise, une croissance constante et de nouvelles opportunités d’investissement sont nécessaires.

    Le rapport de l'IPES note que près de 45 % de tous les investissements dans les terres agricoles en 2018, d'une valeur d'environ 15 milliards de dollars, provenaient de fonds de pension et de compagnies d'assurance. Basés sur les cotisations des travailleurs, les investissements des fonds de pension dans les terres agricoles favorisent la spéculation foncière, l'agriculture industrielle et les intérêts des grandes entreprises agroalimentaires au détriment des petits exploitants agricoles. L’avenir des travailleurs est lié aux fonds de pension, qui soutiennent la croissance et le pouvoir de la finance mondiale et la dégradation des autres travailleurs (dans ce cas, les cultivateurs).

    Sofía Monsalve Suárez, de l'IPES, déclare :

    « Il est temps que les décideurs cessent de se soustraire à leurs responsabilités et commencent à s'attaquer au déclin rural. La financiarisation et la libéralisation des marchés fonciers ruinent les moyens de subsistance et menacent le droit à l’alimentation. Au lieu d'ouvrir les vannes aux capitaux spéculatifs, les gouvernements doivent prendre des mesures concrètes pour mettre un terme aux fausses « accaparements verts » et investir dans le développement rural, l'agriculture durable et la conservation menée par les communautés.»

    Malheureusement, les gens ordinaires ne peuvent pas compter sur les « décideurs » et les gouvernements pour opérer de tels changements. Les gens ordinaires eux-mêmes ont toujours dû lutter pour le changement et l’amélioration de leur vie. Des groupes du monde entier ripostent, et le rapport de l’IPES fournit quelques exemples inspirants de leurs réalisations.

    Les lecteurs peuvent lire le rapport de l'IPES ici .

    https://www.globalresearch.ca/financialisation-farmland-war-food-farming/5857340

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  79. Flamanville 3 ou pas, l’ère des menaces de black-out est déjà programmée


    André Pellen
    le 15 mai 2024


    De palinodies en atermoiements, un pouvoir comme jamais incompétent et ce qu’il reste du flamboyant opérateur historique d’autrefois n’en finissent pas de se demander comment et avec quels moyens reproduire avec succès un plan Messmer à échelle réduite.

    La vérité est que, sans un spectaculaire ressaisissement de notre politique électro-énergétique, la fin de l’histoire du Dassault de l’électricité française menace bel et bien d’avoir sonné. Amputée voilà 24 ans de son organe de pilotage industriel en charge des maîtrises d’œuvre et d’ouvrage au titre d’expert pluridisciplinaire, financièrement exsangue et privée des riches écosystèmes industriels, d’ingénierie et d’expertise des années 1970-80, une EDF gravement à la peine sur ses rares chantiers ne peut même plus compter sur les R&D d’antan pour honorer un contrat signé dans l’urgence, sur un coin de table politique.

    Ses dirigeants et sa tutelle savent pourtant pertinemment que le contrat qu’elle a historiquement signé avec le pays devrait être scientifiquement et technologiquement davantage pluridimensionnel et bien plus ambitieux que celui, misérable, dicté par une loi NOME, un ARENH et une LTECV autorisés à se payer sur la bête.

    Dès lors, les Français peuvent être assurés que, dans le meilleur des cas, la taille opérationnelle de leur parc électronucléaire sera toujours celle d’aujourd’hui dans une quinzaine d’années, au 1,6 GW près de Flamanville 3. Or, ils ne mesurent pas combien le salutaire prolongement de vie de la machine existante aura forcément un prix non connu d’avance en indisponibilités programmées et fortuites plus ou moins pénalisantes, la standardisation de ses éléments entraînant l’indisponibilité de tous quand un seul défaille. Le spectre du presque blackout national provoqué par les « corrosions sous contrainte » ne peut donc que se manifester de façon croissante à leurs mémoires.

    Caractériser l’inéluctable dérive de notre système électrique

    Aux termes de la révision plus ou moins anticipée de la PPE (Programmation Pluriannuelle d’Énergie) en vigueur, la place occupée dans notre parc électrogène par les moyens de production les moins pilotables est réputée devoir croître sensiblement, en même temps qu’un niveau d’appel de puissance appelé à exploser et à s’uniformiser dans le temps.

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  80. De 14 % du total pour l’éolien et de 10 % pour le solaire, soit déjà 24 % en tout, la puissance non pilotable de notre parc sera passée à 34 % en 2028, 17 % pour l’éolien – dont 3 % offshore – et à 17 % pour le photovoltaïque.

    En 2023, un thermique à flamme (THF) essentiellement gazier et frappé d’une prohibition dont les années à venir montreront qu’elle est intenable n’a produit que 7 % de l’électricité nationale. Avec le nucléaire, cette production est pourtant la seule totalement pilotable. Ainsi, réalise-t-on que nos pouvoirs publics suspendent toujours davantage la stabilité du système électrique, et donc la sécurité de notre approvisionnement aux caprices de la météo et à l’arbitraire du cours commercial du gaz en découlant ; certes pilotable, la production hydraulique notamment de chute n’en dépend pas moins de la météo.

    Non seulement engager quasi irréversiblement l’économie du pays dans une telle impasse énergétique est proprement suicidaire, quand appels de puissance diurne et nocturne sont appelés à se rejoindre sous la poussée des appétits de la numérisation technologique de notre condition, des datas, de la mobilité électrique et de la climatisation (3), mais entretenir l’imposture d’une sécurité-solidarité électro énergétique européenne relève de la prévarication institutionnelle. Car, à l’image de la politique électro énergétique allemande caractérisée ci-après, celles de tous les pays de l’UE sont peu ou prou engagées dans la fuite en avant vers une transition en renouvables dont la principale propriété est d’œuvrer à la sous-capacité de la production communautaire.

    En 2023, un éolien représentant 28 % de la puissance totale installée et un solaire en représentant 26 %, soit 54 % de production non pilotable en tout, n’ont couvert outre-Rhin que 39 % de la consommation nationale, l’essentiel de la consommation restante ayant été couvert par un charbon réputé en drastique décroissance au profit de bouchées doubles en renouvelables ; ça promet !

    Vivre le black-out, attendre fiévreusement le black-start et constater les dégâts

    Spécialistes et experts du sujet sont depuis longtemps formels : au-delà de 30 % de puissance de production non pilotable en service, l’instabilité de tout système électrique est telle que la menace de son ingouvernabilité conduisant au blackout devient très grande, ce qui a été vérifié en exploitation.

    Après un blackout, la France compte sur ses centrales hydroélectriques encore opérationnelles et sur ses unités nucléaires ayant réussi « l’îlotage » – la séparation du réseau, sans arrêt de la tranche continuant de débiter sur ses seuls auxiliaires – pour reconstituer le système électrique.

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  81. Pour ce faire, le gestionnaire du réseau de transport (GRT) commence par ramener la tension du réseau sur le jeu de barres de secours des tranches « îlotées », avant de faire débiter par chacune d’elles une puissance croissante sur « l’antenne » qui lui est dédiée, un tronçon de réseau autonome en production et en consommation. Parallèlement, les postes de transformation alimentant les différentes sections de ce dernier sont remis en service un à un par le distributeur, pour écouler au fur et à mesure une puissance de plus en plus disponible.

    Par ailleurs, les dispatchers s’emploient à ligner chacune des centrales hydroélectriques encore opérationnelles sur une seule des tranches nucléaires arrêtées après échec de l’îlotage, opération délicate car le renvoi de la tension sur les bobinages de transformateurs à vide peut faire craindre les phénomènes de ferro-résonnance que des essais périodiques visent à prévenir. Chaque centrale hydroélectrique est ensuite tenue de fournir l’importante puissance nécessaire au démarrage en charge et en court-circuit des moteurs des pompes primaires et des moteurs des pompes de circulation de sa tranche nucléaire. Les auxiliaires de cette dernière devront encore être alimentés quelque temps de l’extérieur, pour une puissance allant de 35 à 50 MW selon le palier concerné, avant de rendre sa totale autonomie à l’unité de production. Il faut ainsi plusieurs heures pour pouvoir recoupler cette dernière au réseau.

    À chaque recouplage, une nouvelle antenne de consommation à puissance croissante est alimentée conformément à ce qui vient d’être décrit. Au final, l’opération la plus délicate consiste à coupler entre elles les antennes ainsi reconstituées et n’ayant aucune chance d’être en phase, afin de remailler le réseau national. Avec l’appui de possibles importations, il faut compter 24 heures au moins pour reconstruire ce dernier dans sa totalité.

    Or, outre que l’indigente capacité de production du système électrique européen rend cet appui très improbable, outre qu’un blackout français aurait au contraire toutes les chances de prendre en défaut la fragile stabilité de ce système – le faisant s’écrouler comme un château de cartes –, on frémit à l’idée que la composition de notre parc pourrait un jour tendre vers les 100 % renouvelables à dominante éoliennes ! Dans une telle situation, non seulement la spécificité non pilotable de ce parc génèrerait des délestages et des blackout à répétition, mais, après chacun d’eux, imagine-t-on un instant la reconstruction du réseau national au moyen de la reconstitution d’une « antenne » par éolienne synchrone ? Selon l’ADEME, elles seraient 50 000 à devoir se rendre solidaires et solidaires de l’ensemble d’un parc photovoltaïque totalement désemparé, à la fréquence rigoureuse de 50 Hz ; éolien et photovoltaïque étant par ailleurs notoirement incapables de gérer la tension commune d’un système électrique national !

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  82. Loin d’être improbable, ce scénario à faire froid dans le dos dont on devine sans peine qu’il pourrait laisser plusieurs jours sans courant des territoires entiers, ne semble pas émouvoir le landerneau de nos acteurs économiques. Il y a pourtant gros à parier que, le moment venu, ceux-ci n’hésiteront pas à impétrer sans vergogne le secours de l’État, c’est-à-dire celui du contribuable et du consommateur domestique, comme c’est depuis longtemps le cas en Allemagne.

    Un « je ne savais pas » de moins en moins recevable en situation de fait accompli

    La description de ce dont il vient d’être question et qui pend individuellement et collectivement au nez de tout citoyen et de tout électeur peut être largement recoupée. Synthétisées ou non, ses versions complétées ou enrichies et leurs corollaires abondent dont la grande accessibilité et le caractère socialement prégnant des contenus ne permettent plus de pardonner qu’on les ignore, à défaut de ne pas y réagir. En ira-t-il de ça comme il en est allé des innombrables mises en garde contre un marché frelaté du KWh électrique confisqué par l’UE et plombé par l’extravagante transition énergétique que les Allemands sont parvenus à imposer à tous les membres de cette dernière ?

    On rappelle que, en 2013, Peter Altmeier, le ministre allemand de l’Environnement annonçait que l’Energiewende à base d’éolien et de photovoltaïque coûterait 1000 milliards d’euros d’ici à 2030, que, selon Siemens il faudrait y ajouter de 400 à 700 milliards d’euros pour la refonte nécessaire du réseau électrique. On rappelle également que la subvention de ce qui se révèle être chez nous le même désastre économique et industriel a déjà coûté quelque 200 milliards d’euros à l’État français, une somme que l’on s’apprête à abonder de 200 à 300 milliards supplémentaires pour la raison évoquée par Siemens.

    En définitive, qui peut sérieusement croire que la mascarade commerciale quotidiennement interprétée par l’UE est de nature à prévenir tout blackout, prétendant faire émerger des cours du MWh on ne peut plus légitimes, on ne peut plus optimisés et pouvant aller jusqu’à être négatifs – tant l’offre suscitée par le « marché libre et non faussé des KWh » peut se révéler durablement généreuse ! – sans que, bizarrement, les tarifs exorbitants pratiqués à la consommation n’en soient le moins du monde affectés ?

    https://www.contrepoints.org/2024/05/15/474535-flamanville-3-ou-pas-lere-des-menaces-de-black-out-est-deja-programmee

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  83. La réindustrialisation est malheureusement un leurre même si Macron annonce fièrement la création de …5 emplois dans les frites


    le 14 Mai 2024
    par pgibertie


    - voir doc sur site -

    Le directeur général de McCain a profité du déplacement du président Emmanuel Macron ce lundi dans son usine de Matougues, dans la Marne, pour annoncer un investissement de 25 millions d’euros pour le site marnais. D’ici 2028, 5 emplois vont être créés dans l’usine.

    Hélas la part de l’industrie dans le Pib après s’être effondrée au début des années 2000 sur fond de 35h et de délocalisation, stagne désespérément, elle a même perdu un demi point sous Macron

    La #France participe au petit groupe des nations les moins industrialisées de l’union européenne, avec la Grèce, Chypre, Malte et le Luxembourg! #industrie

    https://donnees.banquemondiale.org/indicator/NV.IND.TOTL.ZS?end=2021&start=2021&view=map

    Selon la définition de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), « les activités économiques qui combinent des facteurs de production (installations, approvisionnements, travail, savoir) pour produire des biens matériels destinés au marché » relèvent de l’industrie.

    Celle-ci est composée de deux secteurs : l’industrie manufacturière (transformation des biens, réparation, installation d’équipements), domaine le plus important, et l’industrie extractive (extraction de produits minéraux). L’industrie manufacturière regroupe notamment l’industrie alimentaire, de l’habillement, le travail du bois, la métallurgie, l’industrie automobile ou encore la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques.

    L’industrie représente 12 % du PIB en France, dont 9% pour l’industrie manufacturière.

    De son côté, l’évolution des emplois dans l’industrie manufacturière reste probablement le marqueur le plus parlant de la désindustrialisation. En effet, la part d’emplois industriels représentait 37,4 % en 1982, contre 13,3 % en 2020. Si certains territoires ont réussi à compenser la destruction d’emplois par de nouvelles activités ou une automatisation de leur production, d’autres se sont retrouvés durablement dans une situation de crise économique.

    - voir doc sur site -

    @CH_Gallois

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  84. L’autosatisfecit autour de #ChooseFrance est très gênant et relève avant tout de la communication politique macroniste. On peut se demander si un Investissement direct étranger (IDE) est toujours une bonne chose. Cela peut poser un problème de souveraineté pour certains secteurs.

    Par ailleurs, le gouvernement ne communique que sur le classement EY et nous explique que la France est pour la 5e année de suite le premier pays européen bénéficiaire des IDE.

    En réalité, ce classement EY est très contestable puisqu’il ne se base que sur le nombre de projets alors que le montant et le potentiel des investissements sont bien plus représentatifs de l’attractivité que le nombre. Quand on prend les montants investis, depuis 2017, la France n’a jamais été une seule année en tête des IDE en Europe. Sur la période 2017-2022, elle n’est même que 5e.

    Comme d’habitude, la Macronie devrait travailler plus et communiquer moins.

    - voir doc sur site -

    https://pgibertie.com/2024/05/14/la-reindustrialisation-est-malheureusement-un-leurre-meme-si-macron-annonce-fierement-la-creation-de-5-emplois-dans-les-frites/

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  85. La création de l’idée d’État – don Luigi Sturzo

    Depuis Machiavel et Luther, l’État n’a cessé de s’acheminer vers la divinisation.


    le 31 août 2011
    Contrepoints


    Contrepoints vous propose un texte de réflexion, repris de nos archives. L’auteur en est Luigi Sturzo (1871-1959). Il fut un prêtre catholique et un des fondateurs du Parti Populaire (1919) en Italie. Il s’intéresse ici à l’évolution de l’idée d’État.

    L’idée d’État appartient à l’histoire moderne. Au Moyen Âge on ne parlait pas d’État, mais de royaumes et de rois, d’empires et d’empereurs, de seigneurs et de vassaux, de villes et de républiques. Si on voulait spécifier la nature du pouvoir, on disait pouvoir séculier, pour le distinguer du pouvoir spirituel ou l’y opposer. Les peuples étaient nommés nations ; les classes, corporations ou guildes ; le mode de vie sociale était appelé communauté ou université. Chaque groupe social avait sa vie, ses libertés, ses privilèges et ses immunités ; l’ensemble social avait son mouvement comme un monde vivant de monades, dans une sorte d’harmonie préétablie à la Leibniz, ou, certes, l’harmonie était préétablie, mais n’était pas toujours effectivement établie.

    La base juridique de ce monde médiéval était contractuelle, de caractère privé et personnel. Même les rapports entre le peuple ou la nation et le roi ou l’empereur étaient connus comme un contrat ayant pour objet le lien mutuel de fidélité et de loyauté ; le roi était tenu de respecter les lois communes et les privilèges des particuliers et des groupements ; et ceux-ci devaient fidélité et appui à la personne du roi.

    L’Etat et la communauté

    L’idée de l’État considéré comme entité de droit public, placé au-dessus de la communauté, n’existait pas à cette époque. Il faut arriver à la Renaissance et passer par la Réforme et la Contre-Réforme pour que l’idée d’État se dessine et s’impose aux habitudes mentales et qu’on puisse en tenir compte comme d’une réalité effective.

    En Angleterre, où le sens du concret l’emporte sur les habitudes de la pensée abstraite et où, mieux qu’ ailleurs, on entretient les vestiges du passé, on parle beaucoup moins de l’État et bien plus de la Couronne, du Parlement ou, plus couramment, de la « Maison des Communes » ou de la « Maison des Seigneurs », de l’Empire et du « Commonwealth », comme si subsistait encore là un peu de l’âme du Moyen Âge. C’est seulement lorsqu’on parle de « Church and State » que le mot « État » revient couramment ; mais l’expression de « Church and State » est tout à fait moderne ; au Moyen Âge on parlait plutôt de royaume et sacerdoce, ou de papauté et empire, de pouvoir séculier et pouvoir spirituel.

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  86. Ainsi que tous les mots créés par la carence de ce qu’ils expriment, le mot « État » prit naissance en Italie pour exprimer l’idée de « stabilité », au moment précis de la Renaissance ou dans les petites principautés, duchés et marquisats existants, ou même pseudo-républiques (à l’exception de Venise), ce qui faisait défaut c’était justement la stabilité du pouvoir, la certitude des frontières et la sécurité de l’indépendance. Mais comme on parle de lucus a non lucendo [note : cela indique une contradiction étymologique], on parle alors d’« État » en Italie.

    Tout était à faire, alors que les vieilles républiques tombaient, les peuples s’agitaient, les Espagnols et les Français faisaient la guerre en Lombardie, à Rome, à Naples et en Sicile. L’idée de pouvoir-force, soit contre l’Église très puissante, soit contre les voisins jaloux ou les étrangers envahisseurs, soit contre les sujets rebelles, s’imposa comme le seul moyen susceptible d’assurer la stabilité, aussi bien à l’État qu’à son chef, particulièrement si celui-ci était un usurpateur, ce qui était fréquent.

    La personnification de l’État dans le prince représenta la première manifestation de l’idée d’État et trouva son théoricien en Machiavel.

    Celui-ci inventa, en politique, la « vérité effective » [verità effettuale], appelée plus tard « raison d’État », de même que, au siècle dernier, on inventa le mot « realpolitik » ou politique réaliste. La chose signifiée est identique. La fin cherchée par le dominateur est la règle à laquelle sont subordonnées les fins particulières des sujets. Les moyens n’ont pas beaucoup d’importance ; mieux s’ils sont honnêtes ; s’ils ne le sont pas, pourvu qu’ils soient utiles, ils ne sont pas à exclure. La religion est utile pour imposer une contrainte aux peuples ; la morale aussi, en vue du bien-être général ; mais au-dessus de la morale et de la religion il y a la politique, entendue au sens d’art de dominer, de demeurer fort et d’étendre sa puissance. Machiavel ne prend pas plaisir au crime, mais si le crime donne le succès, Machiavel en admire les effets.

    Hier comme aujourd’hui, beaucoup sont d’accord avec Machiavel, mais ils se gardent de l’avouer ; au contraire, ils prennent soin de masquer leur attitude immorale sous les voiles, (souvent transparents) de la fatalité historique, du moindre mal, de l’avantage national, et même de l’utilité religieuse. Machiavel ne déguisa pas sa pensée derrière ces voiles hypocrites, et il érigea en théorie le triomphe de l’utile, conçu comme exigence prépondérante de l’État.

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  87. De Machiavel à Luther

    De Machiavel à Luther, le saut est a peine sensible. Luther plaça tous les pouvoirs, même ecclésiastiques, dans les mains du prince, qui demeura ainsi exempt de freins et de contrôles de la part de l’Église comme de celle du peuple. Machiavel avait subordonné les fins de la religion aux fins de l’État, personnifié par le prince. Luther fit davantage : en vertu de la théorie du self arbitre, il détacha la morale de la foi, et il abandonna la morale tout entière et l’organisation religieuse aux mains de l’autorité séculière. Les princes allemands furent ravis de réunir tous les pouvoirs dans leurs mains, d’autant plus que les pouvoirs ecclésiastiques étaient alors très étendus et très profitables du point de vue fiscal. Tous les princes réformés en firent autant. Les autres, les princes restés fidèles à Rome, tout en respectant (jusqu’à un certain point) l’autorité du pape, s’attribuèrent de telles libertés en matière de droit ecclésiastique et de régime fiscal qu’en somme ils ne firent que rivaliser avec les princes dissidents. C’était l’esprit du temps.

    L’expérience de presque un siècle de machiavélisme, d’une part, et de césaro-papisme reformé et même non réformé d’autre part, fit naître le besoin de donner à ces tendances un cadre théorique, auquel ne pouvaient satisfaire ni l’empirisme de Machiavel ni le self arbitre de Luther.

    La théorie de la « souveraineté » fit son apparition systématique avec les Six Livres de La République de Jean Bodin (1577). Pour lui, la souveraineté est « la puissance absolue et perpétuelle d’une république » ; quelque chose qui a une existence propre et qui donne sa base à l’État. C’est le pouvoir d’imposer la loi sans en subir les obligations, contrairement a ce qu’on croyait au Moyen Âge, à savoir que la loi était supérieure à la puissance, et que ses préceptes obligeaient aussi bien les souverains que les peuples.

    Il ne faut pas croire que la doctrine de la souveraineté (qu’on la nomme ainsi ou autrement) n’ait pas tenté légistes et canonistes du Moyen Âge, et que rois et empereurs, avant Machiavel et Luther, ne se soient crus au-dessus de la loi. Qu’une théorie se répande et s’adapte aux conditions historiques et à l’atmosphère du temps, c’est une chose ; mais qu’elle devienne l’interprétation acceptée par la majorité et la base de la vie sociale, c’en est une autre.

    À l’époque moderne, la théorie de la souveraineté se généralisa, bien que monarcomaques et calvinistes, dominicains et jésuites, partant de différents points de vue, l’eussent combattue à son apparition. Mais, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, tout le monde s’en rapprocha plus ou moins. Revêtue de caractère divin, la souveraineté devint le droit divin des rois. Bossuet, comme théologien, en exprime la théorie dans la forme gallicane : les théologiens protestants et anglicans le soutiennent dans son double absolutisme, civil et religieux ; Rome s’oppose aux uns et aux autres pour sauvegarder les droits de l’Église, se faisant ainsi, implicitement, gardienne des droits du peuple, alors que presque tous les avaient oubliés.

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  88. Le jusnaturalisme

    C’est alors que survint le « jusnaturalisme ». Il édifiait la société sur la nature abstraite, plutôt que sur Dieu. D’ailleurs, une certaine tendance vers le naturalisme panthéiste existait déjà. L’absolutisme des rois se laïcisait, pour ainsi dire. Le droit divin, répudié par la doctrine catholique, ne trouvait pas d’expressions adéquates dans la culture naturaliste. Le « jusnaturalisme » arriva à temps pour le transformer. Les hommes qui vivaient à l’Âge présocial, presque animal, n’étaient pas capables de former une société et de se donner une loi. Aussi déléguèrent-ils leur souveraineté à un chef (ou bien celui-ci se la fit déléguer de vive force) d’une façon totale et irrévocable. De cette manière, la souveraineté absolue des monarques est sauve, bien qu’elle émane de la souveraineté du peuple. C’est Hobbes qui fait autorité.

    Mais l’autre courant « jusnaturaliste », partant de l’idée de la nature humaine présociale bonne et heureuse, ne découvrait dans cette cession totale et irrévocable de la souveraineté populaire ni raisons essentielles ni avantages politiques. Au contraire, il voyait là, de la part des monarques, une usurpation des droits souverains du peuple qui, d’après Rousseau, sont inaliénables et indivisibles. Entre les deux, un courant moyen se forma, celui de la souveraineté absolue du peuple, qui devait être déléguée à des représentants révocables ou rééligibles par périodes déterminées.

    Ce n’était pas le type de gouvernement qui constituait l’originalité. Que le pouvoir puisse être dans les mains d’un seul (monarchie) ou de quelques personnes (oligarchie) ou du peuple (démocratie), on le savait bien dans l’Antiquité et au Moyen Âge. Ce qui donnait l’idée exacte de la nouvelle conception politique, c’était surtout l’« illimitation » du pouvoir : une souveraineté n’ayant d’autres limites qu’elle-même.

    La souveraineté monarchique de droit divin trouvait ses limites dans le rapport personnel entre le monarque et Dieu ; si le monarque, se croyant presque un dieu, renversait ce rapport, personne ne pouvait empêcher cette transposition, qui pour lui n’était guère difficile.

    La souveraineté de droit naturel devait trouver ses limites dans la loi naturelle ; mais, étant donné que le roi était le seul interprète de cette loi, le peuple (d’où l’on faisait descendre la souveraineté en vertu d’un acte unique et irrévocable) ne disposait d’aucun moyen pour rappeler le souverain à une interprétation moins arbitraire.

    La souveraineté populaire, telle qu’elle était conçue par Rousseau, n’avait pas de limites en dehors de la volonté collective, qui faisait loi par elle-même. Que celle-ci se résolût en loi de la majorité ou en loi des représentants ou délégués, d’après les différentes formes pratiques adoptées dans l’organisation de la démocratie, cela n’enlevait rien au caractère absolu d’une souveraineté sans autres limites que la volonté collective.

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  89. La question de la souveraineté

    Comme dans toute conception de gouvernement fondé sur la souveraineté, latebat anguis in herba [note : citation pris de Virgil : le serpent se cachait dans l’herbe] : souveraineté de droit divin d’après la conception de Bossuet ou souveraineté de droit naturel d’après Hobbes, ou souveraineté populaire d’après Rousseau, toutes dans leur « illimitation » supposaient, favorisaient et consolidaient l’entité extrapersonnelle, objective et dominatrice : l’État.

    En disant cela, nous ne nous attaquons pas à l’idée d’État. Pour concevoir et exprimer les choses collectives, nous avons besoin de les transformer en idées formelles et abstraites, quitte à revenir aux choses concrètes et à les reconnaître, au moyen de ces idées, dans leur réalité et leur unité effective. Mais, tandis que les idées de communauté, université, res publica, royaume, maintiennent la prévalence de l’idée de « société », c’est-à-dire : association de plusieurs personnes dans un dessein commun (de même, Église, Ecclesia : assemblée, réunion, ayant à l’origine la signification de société), l’idée d’État échappe à la conception de société et s’attache plutôt à la conception, objective, de réalité stable, souveraine et puissante ; c’est pourquoi on parla de souveraineté, et même de puissance.

    Peu à peu, l’État devint un principe et une fin : l’origine de tous les droits et la fin de toute l’activité publique. La raison d’État eut la signification suivante : subordonner tout à la grandeur de l’État. Les efforts de Botero pour « catholiciser » la raison d’État ne servirent qu’à projeter de l’ombre sur le catholicisme ; comme si en acceptant la raison d’État catholique, on avait voulu justifier pour des fins religieuses les moyens politiques, mondains, utilitaires et, au fond, immoraux, que les souverains catholiques avaient coutume d’employer.

    Tout le monde s’appliqua à concevoir l’État comme une réalité au-dessus des Hommes, et la souveraineté comme une volonté supérieure atteignant les buts de l’État. Lorsque Louis XIV dit : « L’État, c’est moi », il n’eut pas l’intention de se placer au-dessus de l’État, mais de résumer en sa personne la somme des intérêts de l’État, et de les faire connaître par sa volonté. C’est pourquoi, avec raison, H. Laski écrivait dans le Daily Herald, à l’occasion du 450e anniversaire de la naissance de Luther, que, sans Luther, Louis XIV n’aurait pas été possible.

    L’idée d’État ne peut pas être la dernière en définitive, elle évoque encore une autre réalité substantielle qui la complète. Au temps du droit divin, l’idée de Dieu subsistait derrière l’État, et cette idée impliquait – au moins indirectement – celle de peuple. Le clergé s’efforçait de mettre en évidence tantôt l’une, tantôt l’autre idée, mais il n’y parvenait pas toujours, ainsi qu’il arriva au clergé gallican et joséphiste.

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  90. L’Encyclopédie mit derrière l’État les idées de nature et d’humanité : idées d’ailleurs généreuses, la nature et l’humanité étant créatures de Dieu. Cependant, détachées de Dieu, ces idées demeuraient abstraites et dépourvues de toute consistance réelle.

    Dans la recherche d’un point de repère, trois idéologies se développèrent et orientèrent la politique du XIXe siècle jusqu’à nos jours.

    La première est celle de Hegel : l’État n’est que la manifestation de l’Esprit, sa plus parfaite manifestation ; l’État est en lui-même éthique-droit-puissance. Une sorte d’incarnation divine, où l’idée de puissance s’identifie avec l’idée de Dieu.

    L’État et Dieu

    Mais quel était alors, en Allemagne, l’État qui aurait sérieusement pu se dire « créature de l’esprit absolu du monde et volonté de puissance » ?

    À l’exception de la Prusse, tous les autres États et petites principautés pouvaient être tenus comme des manifestations de la médiocrité de leurs tyranneaux et des intrigues et bavardages de leurs cours. Il fallut que les guerres napoléoniennes survinssent pour dégager en Allemagne l’esprit national dont Fichte se fit le philosophe et le prophète. D’après lui, c’est dans la nation seulement que l’éternel se manifeste ; sa grandeur est une grandeur morale qui aspire au règne de l’esprit. L’État-nation, en tant que développement de toute la culture d’un peuple, est pour Fichte l’« autoreprésentation de Dieu ».

    Avec Fichte nous ne perdons pas la ligne de l’idéologie de Hegel, mais nous la trouvons transférée de l’État à la nation. Lorsque Bismarck effectua l’unité germanique, la Belgique avait recouvré sa personnalité, l’Italie, peu après, avait accompli son unité, les peuples balkaniques gagnaient peu à peu leur indépendance. Le principe de nationalité, celui d’indépendance et celui d’unité venaient de donner ainsi sa base politique à l’idée de nation-puissance-culture, dont l’État était l’instrument juridico-militaire.

    Plus encore que par la voie théorique, la France développa pratiquement l’idée de nation, en opposition à l’« humanitarisme » de L’Encyclopédie, par son tiers état ou bourgeoisie, par la conscription militaire et les guerres napoléoniennes, par la démocratie et les secousses réactionnaires bonapartistes et cléricales. Elle ne renonça jamais à l’idée d’État, parce que État et nation coïncidaient ; et derrière l’État, suivant les circonstances, elle plaça tantôt le peuple, tantôt la nation. Mais peuple et nation n’avaient pas besoin d’un mythe pour se soutenir, l’idée de patrie était en eux très ancienne et un sentiment stable la vivifiait. Il fallut le nationalisme maurrassien pour parvenir à la limite d’un mysticisme positiviste.

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  91. L’Angleterre ne perdit jamais le bon sens pragmatique, même lorsque ses philosophes lui apportaient le verbe de Hegel et les exaltations de Fichte. Théoriquement et souvent pratiquement, l’utilitarisme mêlé à un moralisme qui n’était pas seulement extérieur y prévalait. Sur les mers, le drapeau britannique et, dans les colonies, la couronne suffisaient. Chez soi, chacun se sentait libre et maître, sans s’appuyer sur l’État, sans qu’il fût nécessaire de se forger le mythe de la nation-divinité. La nation était encore plus vivante dans son histoire et dans son empire que dans sa théorie.

    Cependant que s’accentuait l’affirmation de l’idée nationale, un autre courant se développait partout, niant État et nation et mettant à leur place la classe : le courant socialiste, élevé au rang d’une théorie par Karl Marx. Cette théorie prônait l’avènement de la classe prolétaire qui, par l’établissement d’une économie collectiviste, détruirait l’État bourgeois et la nation militariste. Le matérialisme historique remplaça le processus historique de l’idée hégélienne ; la lutte de classe remplaça le dynamisme national ; l’économie-travail organisée remplaça l’État-puissance. Le mouvement socialiste-marxiste brisa l’unité des sentiments nationaux et prépara dans chaque nation le terrain à l’internationalisme.

    La vision allemande

    Voilà donc trois Allemands – Hegel, Fichte, Marx – qui synthétisent l’effort européen du XIXe siècle en vue de donner une signification, un contenu, une finalité absolue et presque divine à l’État, à la nation, à la classe.

    Au cours du XIXe siècle, deux systèmes se développèrent concernant la conception de l’État national : le système libéral et le système autoritaire. Le premier fut conservateur ou démocratique ; le second, absolutiste ou paternaliste. Évidemment, ces qualifications indiquant les différentes nuances ne doivent pas être prises au pied de la lettre : loin de fixer des types absolus, elles ne servent qu’à désigner des tendances prédominantes.

    Ce qui nous intéresse pour notre enquête, c’est le fait que derrière la devise de la démocratie à la française, aussi bien que derrière l’autoritarisme de Bismarck ou de Guillaume, se trouve toujours l’État national. L’Empire austro-hongrois était le seul qui, par l’effet des nationalités dissemblables et divergentes qui le composaient, ne pouvait être tenu pour un véritable État national, et il couvait dans son sein le germe de sa désagrégation.

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  92. Sous toutes les latitudes, les caractéristiques de l’État national furent le centralisme toujours croissant, le militarisme fondé sur la conscription et les armées permanentes, l’école d’État en tant que moyen de créer un conformisme national (une unité morale nationale). Pour la France, ces caractères furent un héritage de la Révolution, de l’Empire napoléonien ; pour l’Allemagne, un héritage de la Prusse et de Frédéric ; pour l’Italie, un moyen de défense de la récente unification politique et l’imitation de la France ; pour l’Espagne, une tentative pour vaincre le particularisme dynastique et autonomiste et, d’autre part, l’influence de l’Église ; pour l’Autriche, une exigence de la Maison de Habsbourg et de la prédominance dans l’État des élites allemandes et magyares. Les autres pays européens vivaient dans la même ambiance, même s’ils n’avaient pas de besoins semblables.

    L’économie libérale et l’internationalisme ouvrier auraient dû développer bien plus vigoureusement le sens cosmopolite, en opposition au nationalisme. La facilité du commerce, la communauté scientifique, la diffusion de la presse et l’ organisation du travail ne manquèrent pas de donner une impulsion à cette tendance. Le libre-échange marqua une phase vite dépassée par les protections douanières, d’abord timides, ensuite très larges, à l’avantage de ce que l’on appelle économie nationale. La presse périodique perdit bientôt son caractère libre et individuel, pour devenir une entreprise plus ou moins capitaliste, ou bien pour se lier aux entreprises industrielles. L’Internationale ouvrière fut toujours minée par le particularisme local, à l’exception de la partie extrémiste et pseudo-anarchiste qui manqua d’hommes et de moyens. Et si les différents socialismes niaient l’État, en tant que bourgeois, ils n’auraient pourtant pas rejeté un État national, pourvu qu’il fût prolétaire.

    Face au christianisme

    L’Église, bien qu’elle ne dissimulât alors pas ses préférences pour les États autoritaires, du point de vue religieux ne manqua pas de lutter contre la centralisation politique, qui apportait implicitement des limitations à son autorité et à sa mission ; contre la conscription obligatoire et la course aux armements, qui créaient un danger de guerre ; surtout contre l’école d’État, qui se présentait comme un monopole redoutable, et comme un moyen de déchristianisation du peuple au nom de l’État. L’Église redoubla l’intensité de sa lutte contre le libéralisme, pour des raisons théoriques et en vue de positions pratiques qu’elle devait défendre ; mais la lutte essentielle fut surtout la lutte contre l’État national, dans laquelle elle fut vaincue.

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  93. La Grande Guerre fut l’épreuve par le feu des conceptions politiques et des systèmes du XIXe siècle. Des empires tombèrent, des formes de gouvernement furent changées, mais malgré tous les bouleversements de la guerre et de l’après-guerre les facteurs essentiels de l’État national ont survécu : centralisation, militarisme, écoles d’État et tarifs douaniers. L’Allemagne de Weimar avait réduit son armée au minimum consenti par les traités, mais le militarisme resta intact et se développa même clandestinement, jusqu’au moment où il apparut en pleine lumière. De la Baltique aux Balkans, la folie militariste s’est emparée de tout le monde, et même là où il n’existe pas d’armées régulières on ne voit que remuement d’escouades armées, évolutions de jeunesses militarisées, turbulence de milices politiques noires et rouges et bleues et jaunes et vertes.

    Les États de récente création, pour vaincre leur faiblesse constitutive, imitèrent la centralisation des grands États, lesquels d’ailleurs à leur tour n’ont cessé de créer de nouveaux ministères, de multiplier leurs départements administratifs et d’augmenter leurs bureaucraties centrales, ainsi que les frais de leurs budgets. Plus encore que dans l’avant-guerre, l’école est devenue un objet de conquête politique. Les tarifs douaniers ont été élevés à des niveaux insensés ; jusqu’à l’Angleterre qui, bonne dernière, a fait sombrer, à son tour, le libre-échange.

    En somme, quelles qu’en aient été les circonstances particulières, en seize années, de 1917 à 1933, l’Europe a connu, parmi tant d’autres pénibles expériences, une Russie bolcheviste, une Italie fasciste et une Allemagne nazie : trois grands États totalitaires de caractère différent, mais tous les trois à type national et fondés sur la centralisation administrative et politique, sur le militarisme, sur la monopolisation de l’enseignement et sur l’économie fermée.

    Quelles différences et quelles ressemblances substantielles y a-t-il entre ces États totalitaires et les États nationaux encore existants ? Si nous nous référons aux quatre facteurs essentiels communs, il nous est possible d’en déterminer les différences :

    a) La centralisation administrative dans l’État totalitaire est poussée à l’extrême : suppression de toute autonomie municipale et provinciale et de n’importe quel autre organisme public ou semi-public, œuvres de bienfaisance, associations de culture, universités.

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  94. La centralisation, dans l’État totalitaire, envahit le terrain politique qu’on se dispute dans les États nationalistes encore existants sous le signe de la démocratie. Le pouvoir exécutif est devenu, en droit et en fait, la suprême synthèse de tous les pouvoirs, même de ceux qui appartiennent au chef de l’État (en Russie et en Allemagne, le chef de l’État et le chef du gouvernement sont la même personne). L’indépendance des corps législatifs et judiciaires a complètement disparu ; et finalement le gouvernement lui-même se trouve rapetissé à un organisme subordonné au chef, devenu dictateur sous les dénominations brillantes de Duce, maréchal ou Führer. Ils détiennent les ressorts d’une police politique fonctionnant en liaison avec une organisation très puissante d’espionnage, allant bien plus loin que tout ce que Napoléon lui-même avait inventé. Le Guépéou russe et la Ovra italienne sont d’ailleurs assez connus par leur terrible réputation ; dernièrement est née la Gestapo allemande. Pour mettre en action le mécanisme du pouvoir central absolu, illimité et personnel, il fallait nécessairement supprimer toute liberté politique, civile et organisatrice, individuelle et collective, de groupements et de partis. Moyen adapté : le parti unique (le rapprochement de ces deux mots a quelque chose d’illogique), une faction armée dominante, communiste, fasciste ou nationale-socialiste. Tous les autres partis supprimés, tous les mouvements indépendants réprimés, tous les adversaires exilés. On supprime : les classes aristocratiques et bourgeoises en Russie ; les partis d’opposition en Italie ; jusqu’aux races différentes en Allemagne, où le mariage avec un juif devient un crime politique, et où une souche entachée par un seul ancêtre juif est cause d’incapacité civile pour le descendant. Tout une catégorie de citoyens sans droits, une classe d’ilotes, est en train de se constituer. La violence de la lutte pousse à l’institution de tribunaux d’exception, de camps de concentration, de zones d’internement ; les prisons regorgent, il y a des centaines de milliers d’exilés ; les déportés ne se comptent plus ; innombrables sont ceux qu’on a tués arbitrairement, ceux dont on ignore ce qu’ils sont devenus. Et il ne s’agit pas là de mesures exceptionnelles prises pendant la crise révolutionnaire. L’État totalitaire n’admet pas qu’il puisse avoir des opposants. Depuis vingt ans, les Soviets ne font que fusiller ou condamner aux travaux forcés ou encore déporter en Sibérie ; de même, l’Italie continue encore aujourd’hui à faire fonctionner le tribunal suprême pour la défense de l’État et l’institution du bannissement. L’Allemagne est arrivée bonne dernière et son nettoyage du 30 juin 1934 fut un épisode typique des méthodes terroristes des dictatures modernes pour se maintenir à tout prix au pouvoir contre les amis et les ennemis.

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  95. L’administration

    En résumé, la centralisation administrative et politique dans les États totalitaires, par une exigence vitale inéluctable, se trouve nécessairement liée à la suppression de toutes les autonomies, des libertés civiles et politiques et de l’habeas corpus, aux systèmes les plus perfectionnés de police et d’espionnage, aux répressions violentes et sanglantes, à l’élimination de l’adversaire et du dissident, à l’intolérance de tout désaccord et à l’imposition extérieure et intérieure du conformisme politique.

    b) Tout cela sera possible, si le pouvoir dictatorial a la haute main sur l’armée et sur la flotte et s’il parvient à militariser le pays. Même les États qu’on dit démocratiques sont militarisés, dans ce sens qu’ils ont la conscription militaire, de fortes armées et des flottes puissantes. Mais ils l’ont d’une façon normale, puisqu’il s’agit uniquement de corps techniques n’ayant aucun rapport avec la politique, demeurant étrangers aux partis et collaborant avec n’importe quel cabinet en ce qui concerne les intérêts de la défense nationale. Le passé offre bien des cas où des chefs d’armée manifestèrent des tendances politiques ; le mouvement boulangiste et l’affaire Dreyfus en France et les pronunciamientos en Espagne sont bien connus. Mais cela demeurait dans le cadre du libre jeu de forces politico-sociales en opposition.

    Dans les États totalitaires, la position est différente. Le parti est militarisé ; il se place au-dessus de l’armée, ou bien l’armée s’allie au pouvoir, et les deux forces s’associent ou fusionnent. La jeunesse est militarisée au double point de vue moral et disciplinaire ; la vie collective est conçue comme une vie militaire ; des ambitions de « revanche » ou de domination, des luttes intérieures et extérieures, des guerres civiles agitent tout l’ensemble social. En Italie, à l’âge de 6 ans on est inscrit parmi les « fils de la Louve » et ensuite successivement parmi les « Balilla », les « Jeunes Italiens », les « Miliciens » et ainsi de suite jusqu’à l’âge de 54 ans. Le parti est une milice ; les instituteurs et les professeurs ont leurs grades militaires et leurs uniformes militaires. L’enseignement des armes se poursuit pendant toute la vie ; l’arme homicide est pour l’homme une compagne habituelle ; les parades militaires, les exercices militaires prennent une bonne partie de l’activité des jeunes et des adultes. L’Allemagne aujourd’hui est armée jusqu’aux dents ; non seulement pour proclamer sa parité en droit et en fait avec les autres nations, mais par l’effet d’une exaltation mystique et morbide de la force et du destin de la race nordique teutonique. Tout Allemand est un soldat.

    La Russie assimile la tâche de défendre l’État à celle de défendre la révolution et l’idéologie bolcheviste et de la propager dans le monde. Le communisme est parole de salut pour les Russes, de même que le fascisme pour les Italiens et le national-socialisme pour les Allemands ; parole de salut à donner au monde par la propagande et par la force, de même que Mahomet, par la parole et le cimeterre, soumit les peuples à son nouvel Évangile.

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  96. c) Pour y arriver, il faut un enseignement d’État rigoureusement monopolisé. Le monopole de l’enseignement a été pendant plus d’un siècle et il est toujours la besogne la plus importante pour un État national. Napoléon fut le premier à organiser – de l’université à l’enseignement primaire – l’école pour l’État, c’est-à-dire l’école ayant l’État comme but immédiat. Toutefois on a presque toujours essayé de concilier le monopole de l’enseignement avec la liberté de pensée, même en matière politique. D’une façon générale, la lutte (soit ouverte, soit voilée) fut menée particulièrement contre l’Église ; et l’Église lutta pour la liberté scolaire la plus grande possible.

    L’État totalitaire par sa nature même, on le conçoit, est amené à dépasser les limites observées jusqu’à lui. Tout le monde doit avoir foi en l’État nouveau et apprendre à l’aimer. Pas une idée opposée, pas une voix dissidente. De l’école primaire à l’université, il ne suffit pas de pratiquer un conformisme sentimental ; il faut la soumission intellectuelle et morale complète, l’ enthousiasme confiant, l’ardeur mystique d’une religion. Le communisme, ou le fascisme, ou le nazisme, est et doit être une religion.

    Pour créer cet état d’âme, l’école seule ne suffit pas. Il faut lui adjoindre des moyens complémentaires : le livre officiel, le journal étatisé et standardisé, le cinéma, la radio, le sport, les associations scolaires, les prix, le tout étant non seulement contrôlé, mais orienté vers une fin : le culte de l’État totalitaire, sous le signe soit de la nation, soit de la race, soit de la classe. Afin de gagner le consentement unanime, de stimuler cet esprit collectif d’exaltation, toute la vie sociale est continuellement mobilisée pour des parades, des fêtes, des cortèges, des plébiscites, des exercices sportifs, qui frappent l’imagination, l’esprit, le sentiment de la population.

    Le culte de l’État

    Le culte de l’État ou de la classe ou de la race serait trop générique ; il faut l’Homme, le héros, le demi-dieu. Lénine a aujourd’hui un imposant mausolée et, pour les Russes, il est devenu un Mahomet laïque. Mussolini et Hitler, encore vivants, sont protégés par une nuée de policiers et de gardes du corps. Ils agissent et parlent de manière à frapper les sens et l’imagination des foules ; leurs personnes sont sacrées ; leurs paroles sont comme des paroles de prophètes. Hitler passe entre deux haies compactes de gardes qui marchent à une assez grande distance de lui, de sorte que lui seul émerge au milieu d’eux ; et il prend un visage rêveur avec les yeux levés vers le ciel, il a les mains ouvertes et tendues en avant, tel un rédempteur. Mussolini a inventé un rite presque magique ; invoqué par la foule pendant un temps plus ou moins long : « Duce ! Duce ! Duce ! », puis par des voix de plus en plus pressantes, puissantes, jusqu’au paroxysme, et devenant ensuite de nouveau murmurantes, pour s’élever encore progressivement jusqu’à de frémissants appels : « Duce ! Duce ! Duce !... », il se montre finalement à la foule, dans une salve d’applaudissements.

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  97. d) Tout cela exige, d’une part, une dépense énorme, une finance de luxe et, d’autre part, contraint à un régime économique de plus en plus rigoureusement contrôlé. De même que toutes les énergies morales doivent converger à l’édification de la puissance de l’État, de même aussi toutes les forces économiques. Les États démocratiques ont adopté un système moyen : aider les industries nationales grâce à la protection de tarifs douaniers, d’une part ; donner toute liberté à l’initiative privée, d’autre part.

    L’État totalitaire asservit à ses fins le capital privé (comme en Allemagne) ou bien l’associe solidairement pour arriver à maintenir un certain équilibre politique entre les classes (comme en Italie), ou encore l’État devient lui-même capitaliste (comme en Russie). L’État totalitaire ne laisse jamais la liberté économique ni aux capitalistes ni aux travailleurs. Les syndicats libres des uns ou des autres ne sont pas admis. Il n’y a que des syndicats et corporations d’État, dépourvus de toute liberté de mouvements, contrôlés et organisés, sur tout le territoire, par l’État et pour l’État. D’où découle une ébauche d’économie dirigée, constituant la première phase vers l’autarcie d’une transformation radicale dans le système économique.

    La question de savoir lequel de ces deux systèmes, l’économie dirigée ou le système fermé, est le plus avantageux se présente comme un problème intimement lié à chaque régime d’État en particulier, et ne peut donc être résolu abstraitement. Le bolchevisme s’est présenté en même temps comme régime communiste, au point de vue économique, et totalitaire, au point de vue politique. Le fascisme a procédé par degrés et par la voie des expériences, aussi bien en politique qu’en économie dirigée par l’État, affublée d’un corporatisme jusqu’ici apparent et verbal. L’Allemagne en pleine crise financière et criblée de dettes a instauré, en même temps, le régime totalitaire et le socialisme d’État.

    Ces aspects de l’État totalitaire nous amènent à toucher deux problèmes d’un intérêt primordial pour notre civilisation :

    - le premier est celui de la liberté, considérée non seulement comme un ensemble de droits politiques et comme une participation du citoyen à la vie de son pays, mais surtout comme autonomie de la personne, comme sécurité de son propre droit, comme garantie de l’activité de chaque personne, soit temporelle, soit spirituelle. Les États totalitaires suppriment la liberté politique et diminuent la liberté personnelle, par l’ingérence de l’État dans les attitudes de la pensée, dans le domaine de la morale et de la religion ;

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  98. - ce fait implique le problème très grave de la suprématie du spirituel sur le temporel, des fins éthiques sur les buts politiques et, pour nous, chrétiens, celui des fins de la religion, du surnaturel, sur les buts naturels de l’État. La solution de ce problème fut donnée en 1926 par Pie XI, développée ensuite dans l’Encyclique Non abbiamo bisogno du 29 juin 1931 et enfin dans l’Encyclique Mit brennender Sorge (contre les persécutions en Allemagne, 14 mars 1937), enfin à propos de l’État totalitaire fasciste, lorsque dans un consistoire public, il dit que « la fin de l’homme ce n’est pas l’État, mais que l’homme est la fin de l’État ». (parmi les propositions erronées, que la « Congrégation des séminaires et universités » a signalées, dans la lettre du 13 avril 1938, la VIII est la suivante : chaque homme n’existe que par l’État et pour l’État. Tout ce qu’il possède de droit dérive uniquement d’une concession de l’État.)

    Que les rapports entre l’Église et l’État soient légalement réglés, ainsi qu’il en va en Italie depuis le 11 février 1929 jusqu’à ce jour ; ou bien qu’ils soient pleins de trouble et de lutte, comme en Allemagne malgré le concordat de 1933 ; ou encore tout à fait abolis, comme en Russie ; tout cela appartient à la phénoménologie historico-politique commencée il y a dix-neuf siècles avec l’arrivée de Jésus-Christ et le massacre des Innocents. À part cela, l’incompatibilité entre le christianisme et l’État totalitaire est déjà manifeste, si l’on se réfère aux postulats historiques de la conception de l’État, qui a toujours penché vers un monisme social-politique au détriment de la personne humaine et des raisons de l’esprit ; mais cette incompatibilité est encore plus évidente dans les prémisses logiques du « totalitarisme », qui se traduisent pratiquement par l’exaltation mystique d’un principe surhumain : le caractère d’absolu donné à la classe, à la nation ou à la race.

    Un tel état de choses nous conduit au bouleversement de la civilisation chrétienne, parce qu’il enlève aux rapports de justice (selon une saine conception du droit privé et public, intérieur et international) le fondement de la morale naturelle et pose, à sa place, le principe de la morale intrinsèque de l’État ou « éthicité » de l’État. Les individus, d’après cette idéologie, ne sont plus considérés ni comme citoyens ni comme sujets, mais seulement comme membres du troupeau, comme unités d’une collectivité de fer, dont les actes moraux s’intègrent dans les fins de l’État. La personne se perd, absorbée dans la pancollectivité, désignée par les noms symboliques de nation, de classe ou de race.

    Toute morale comporte l’exigence d’une religion ; la morale subjective nous donne la divinisation de l’individu ; la morale naturiste peut arriver jusqu’à la divinisation du « totem » et au culte magique ; la morale d’État engendre la divinisation de l’État et des idées qui, dans l’État, se sont presque « hypostasiées », telles que la race, la nation ou la classe ; seule la morale chrétienne nous fait participants de la divinité du Christ.

    Depuis Machiavel et Luther, l’État n’a cessé de s’acheminer vers la divinisation. Aujourd’hui, l’État totalitaire est la forme la plus claire et la plus explicite de l’État panthéiste.

    https://www.contrepoints.org/2011/08/31/43328-letat-totalitaire

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    1. 'L'idée de l’État' n'existe pas et n'a jamais existé. Elle s'est construite dans le cerveau de malades allant jusqu'à déclarer "L’État c'est moi !" (Louis 14).

      Dans le monde il y a tous les gens qui peuvent diriger une épicerie mais, plus beaucoup diriger un supermarché (dirigés lui même et eux-mêmes par les acheteurs pour les centrales d'achats). Mais là encore il y a à dire, comme il n'y a pas 'une' IA mais 'des', il y a des acheteurs pour centrales d'achats où chacun est spécialisé dans un ou deux produits pointus.
      C'est pourquoi TOUS les ministères échouent, car TOUS les ministres sortent... de la même école de cons ! Et, comme ils n'ont jamais connu le compagnonnage à faire le tour de France pour apprendre un métier en s'arrêtant dans chaque région, visitant chaque village pour y recueillir les idées de chacun, ils sont lamentables, orgueilleux, attardés et se congratulent.
      Ils ne savent même pas ce que veut dire le mot 'Démocratie' !!

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  99. La hausse incessante des impôts, des réglementations et de l’inflation


    Par Doug Casey
    Homme international
    16 mai 2024


    International Man : Presque tous les gouvernements du monde s’efforcent d’augmenter les impôts et les réglementations imposées à leurs citoyens tout en s’engageant dans le même temps dans une dévalorisation toujours croissante de leur monnaie.

    Que pensez-vous de cette tendance et où va-t-elle ?

    Doug Casey : Des impôts plus élevés, davantage d’impression monétaire et davantage de réglementations sont des tendances de longue date. Le chat est sorti du sac avec la Révolution française et le triomphe des Jacobins, qui voulaient collectiviser la société française. Ils ont presque réussi. Peu d’années plus tard, Karl Marx écrivait Le Manifeste du Parti communiste et Das Capital, laissant libre cours à un autre mème sauvage dans la société. L’idée selon laquelle l’État était une bonne chose et devait se développer est désormais partout présente.

    Au tournant du XXe siècle, il y a environ 120 ans, les gouvernements du monde entier ont créé des banques centrales et l’impôt sur le revenu. Ils ont commencé modestement, mais sont devenus des géants, finançant l’aide sociale et la guerre. Les deux choses sont hautement destructrices. Au XIXe siècle, il n’y avait pas d’aide sociale et très peu de guerres, car les guerres coûtent cher. Les gouvernements ont eu du mal à extraire des revenus suffisants de leurs populations pour financer les combats.

    Comme toutes les créatures vivantes, la première directive de l’État est de survivre et de croître. Mais l'État est unique. L’État, comme le disait Mao, sort du canon d’un fusil. Puisqu’il est basé sur la coercition, il est tout à fait naturel qu’une certaine forme de socialisme soit son moyen privilégié pour organiser la société. L’inflation monétaire, les impôts sur le revenu et la dette ont permis aux gouvernements de devenir complètement incontrôlables. Le pronostic n'est pas bon.

    International Man : Il semble y avoir un effort coordonné pour augmenter les impôts sur les plus-values.

    Par exemple, le Canada vient d'annoncer une augmentation de l'impôt sur les gains en capital de 50 % à 67 %. Le président Biden a proposé d’augmenter l’impôt américain sur les plus-values à 44,6 % et d’ajouter un impôt sur les plus-values latentes.

    Qu'est-ce qui se passe ici ?

    Doug Casey : Les « pouvoirs en place » veulent en réalité détruire la classe moyenne. Ce n’est pas quelque chose qu’ils diraient, mais il est évident que l’élite préférerait une société avec un petit nombre d’entre eux soutenus par un nombre suffisant de plèbes mais sans classe moyenne gênante. Ils n’aiment pas devoir côtoyer des masses de hoi polloi lorsqu’ils visitent la place Saint-Marc à Venise ou le Macchu Pichu au Pérou. Ils veulent juste assez de personnel de service pour en faire une expérience agréable. Ils considèrent la classe moyenne comme un ennemi et un risque. Ils sont d’accord avec Lénine, qui a déclaré que la classe moyenne devait être coincée entre le fardeau des impôts et de l’inflation.

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  100. Ces deux augmentations d’impôts que vous avez mentionnées laissent présager d’autres augmentations à venir. Cela est garanti par la faillite des gouvernements partout dans le monde ; ils veulent et ont besoin de plus de revenus pour maintenir le statu quo.

    Pendant ce temps, les institutions – fondations, retraites, ONG, etc. – fonctionnent en franchise d’impôt ; la plupart des impôts ne les affectent pas directement. Cela convient très bien à l’élite, car elle contrôle les institutions, et celles-ci détiennent de plus en plus la plupart des actifs de la classe moyenne. La classe moyenne et la plèbe ne possèdent pas vraiment les actifs qu’elles possèdent dans les institutions, sauf en théorie. Ils sont tenus à distance de leur argent, qui n’est que des chiffres éphémères sur un ordinateur. Ils ne contrôlent certainement pas le vote des entreprises pour nommer des administrateurs, qui à leur tour embauchent des dirigeants. Au fur et à mesure que les choses évoluent, de plus en plus d’institutions puissantes sont contrôlées par des types BlackRock. L’élite adore parler de démocratie, mais ce n’est qu’un écran de fumée.

    Le WEF ne plaisantait pas lorsqu’il promouvait le concept selon lequel « Vous ne posséderez rien et serez heureux ». Eh bien, au moins, l’élite sera contente.

    International Man : Si le gouvernement peut émettre de nouvelles dettes et imprimer de la monnaie par milliers de milliards, pourquoi se donne-t-il même la peine d’imposer des impôts aux particuliers ?

    Est-ce un mécanisme de contrôle, un rituel d’humiliation ou autre chose ?

    Doug Casey : Cela représente le triomphe de la théorie monétaire moderne ou MMT. La plupart des gens ne comprennent pas bien ce qu’est le MMT. Mais, en bref, c’est l’idée selon laquelle, en termes de politique, le gouvernement devrait créer autant de monnaie qu’il en a besoin pour tout ce qu’il veut et l’injecter dans la société en faveur de projets privilégiés.

    Pour contrecarrer les effets inflationnistes des énormes sommes d’argent injectées dans la société, des taxes spécialement ciblées seront imposées. Les taxes aspireront les devises inflationnistes de la société tout en augmentant les revenus du gouvernement et, ce qui est très important, en détournant les capitaux de choses qui ne leur plaisent pas.

    Le MMT reprend l’idée essentielle du keynésianisme – selon laquelle les responsables gouvernementaux avisés devraient manipuler l’économie – et la met sous stéroïdes. Injecter de l’argent directement dans les choses qu’ils veulent via des contrats d’entreprise et simultanément retirer des impôts aux personnes et aux choses qu’ils n’aiment pas est la forme ultime de contrôle. C’est véritablement dangereux et maléfique, et cela est mis en œuvre aujourd’hui. L’élite des entreprises l’apprécie car elle en bénéficiera très directement. C’est le parfait partenariat privé-public, la fusion des entreprises avec l’État. Le rêve de Mussolini devenu réalité en Amérique.

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  101. Je vous exhorte à écouter Jared Bernstein, qui est le chef du Conseil des conseillers économiques du président, alors qu’il tente d’expliquer le MMT. C'est un bouffon absolu et complet. C'est une preuve supplémentaire que ce sont des fous qui dirigent l'asile. Ce ne sont même pas des fous intelligents. Ils sont stupides, incompétents et involontairement hilarants. Écouter Bernstein, c’est comme écouter un sketch vintage du Saturday Night Live.

    International Man : Comment les individus peuvent-ils se protéger des gouvernements en faillite qui cherchent à les renverser ?

    Doug Casey : Les choses empirent partout dans le monde, à une seule exception près : l'Argentine.

    Avec environ 50 % du pays réduit à la pauvreté après plusieurs décennies de socialisme et de fascisme, les électeurs étaient enfin prêts à écouter Javier Milei il y a six mois. Le nouveau président est un anarcho-capitaliste déclaré et sincère. Malgré le sabotage actif de la part des suspects habituels – les syndicats, les médias, les employés du gouvernement et le monde universitaire – il est en train de redresser l’Argentine. Je crois qu’il réussira parce qu’il a la réalité et la moralité de son côté.

    Mais partout ailleurs dans le monde, ou disons partout ailleurs dans le monde occidental – notamment en Europe, aux États-Unis et au Canada – les migrants du tiers monde sont utilisés comme un moyen de donner plus de pouvoir aux élites. Leur vote sera dirigé vers l’élite, qui les encourage à immigrer en leur offrant un assortiment de prestations sociales. Ils formeront automatiquement une classe plébéienne, payée par l’ancienne classe moyenne.

    En outre, les gouvernements du monde entier s’orientent vers ce qu’ils appellent « l’harmonisation fiscale », ce qui est un euphémisme signifiant que les taux d’imposition seront similaires dans tous les pays. Vous pouvez essayer de vous présenter, mais vous ne pourrez pas vous cacher, car tous les gouvernements seront également prédateurs.

    Du côté positif, l’Argentine devrait être un bon refuge pour le prochain cycle électoral environ, car elle prospère sous Milei et ses idées. Et, en éternel optimiste que je suis, peut-être que d’autres pays au plus bas suivront l’exemple de l’Argentine, ne serait-ce que par désespoir. Alors peut-être que tout n’est pas sombre dans le monde.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2024/05/doug-casey/the-relentless-rise-of-taxes-regulations-and-inflation/

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    1. Les 'gouvernements explosent les impôts'. La réalité est que plus il y a de monde sur Terre moins la fraction des impôts est importante. Mais... c'est le contraire qui se passe ! Plus les gens sont intelligents, plus il y a de machines inventées et donc plus il y a de produits pour tous présentés à la population. Le coût est donc en baisse car les machines ne se font pas payer !
      Mais, la fraction insignifiante des dictateurs au pouvoir veut encore dicter sa loi et défaire à tout jamais le progrès inhérent, éternel et naturel chez chaque être humain.
      Son illusion de pouvoir s'appelle 'la monnaie'.
      Depuis (presque) toujours elle existe sous forme d'or, d'argent, puis de cuivre ou d'aluminium et des fameux 'billets de banques' !

      Leurs solutions est de tirer, d'imprimer des papier-culs ((Images de Mickey' où figurent dessus la tête coupée des anciens dictateurs) et d'en 'offrir' aux personnels travailleurs appelé tantôt 'sujets' ou 'gens' ou encore plus réellement des esclaves.

      Ce côté 'dominatif' n'a (presque) jamais été remis en question même par des 'technocrates' ou 'financiers' ou encore les 'économistes' de ce monde. Et pour cause ! Ils sont du même côté que les criminels armés qui dominent !

      Qu'est-ce que c'est que 'l'inflation' ?

      L'inflation est le prix en hausse des produits abondant aux stocks mais très rares en rayons du commerce. Il suffit donc de propager dans les merdias que le sucre, l'huile ou le pétrole abiotique vont manquer ! Et là, les consommateurs dépensent des sommes folles pour engranger et pour survivre aux prochaines attaques extraterrestres ou venues de poussières (appelées 'virus' HAHAHA !) qui ravageraient la planète entière !
      HOULALA !

      (regardez ci-dessous: (...) la vie des 90 % des ménages américains les plus pauvres est devenue bien plus précaire au cours des 40 dernières années, malgré la hausse du PIB et de la « richesse » telle que mesurée. dans une capitale fantôme. (...)

      malgré la hausse du PIB !!!

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  102. Précaire : un malheur loin de l’insolvabilité


    14 mai 2024
    Charles Hugh Smith


    En conséquence, un pourcentage important de ménages considérés comme appartenant à la classe moyenne sont à un malheur de l’insolvabilité.

    Nous pouvons résumer les changements survenus dans notre économie au cours des deux dernières générations en un seul mot : précarité, car la vie des 90 % des ménages américains les plus pauvres est devenue bien plus précaire au cours des 40 dernières années, malgré la hausse du PIB et de la « richesse » telle que mesurée. dans une capitale fantôme.

    Cette réalité est exprimée dans le mot-valise précariat, combinant prolétariat (quelqu'un dont les moyens de subsistance proviennent de son travail) et précaire : en dehors de l'emploi public, le travail est devenu bien plus précaire. Alors qu'il y a 40 ans il était encore courant de travailler pour une entreprise pendant une grande partie ou la majeure partie de sa carrière et de bénéficier d'une pension du secteur privé, les pensions du secteur privé ont désormais disparu, remplacées par des fonds 401K autogérés, et le travail dans le secteur privé est caractérisé par une série de changements non seulement d’emploi mais aussi de carrière.

    La source de revenus d'une personne peut se tarir et disparaître presque du jour au lendemain, et pour combler le vide, beaucoup se tournent vers le travail à la demande sans prestations qui impose au travailleur des impôts sur le travail indépendant (15,3 % de tous les revenus, comme le disent les « travailleurs indépendants »). " Le travailleur à la demande doit payer à la fois les parts de l'employé et de l'employeur des charges sociales de la sécurité sociale et de l'assurance-maladie).

    Il ne s’agit bien sûr pas d’un véritable travail indépendant, car un véritable travail indépendant signifie que le propriétaire-travailleur peut espérer tirer la pleine valeur de son travail ; en revanche, une grande partie de la valeur du travail à la demande est récupérée par les plateformes d’entreprise (Uber et al.). Le travailleur à la demande est un esclave salarié précaire, et non un travailleur indépendant propriétaire de sa propre main-d’œuvre et de sa propre entreprise.

    Il y a quarante ans, les ménages bénéficiant d’une assurance maladie et poussés à la faillite à cause de leurs factures médicales étaient inconnus. Maintenant, c'est monnaie courante. Nous sommes obligés de nous demander : que signifie exactement « assurance » si notre part des factures médicales est si lourde que nous sommes contraints à l’insolvabilité ?

    Ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres de la précarité croissante de la vie en Amérique. Besoin de soins dentaires ? « L'assurance » ne couvre que l'essentiel ; le reste nécessite des économies, un héritage, une marge de crédit ou un revenu des 10 % les plus élevés.

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  103. En parlant de revenus, même un revenu professionnel substantiel ne va pas si loin de nos jours. Considérez ce qu’une famille typique dépense pour ce que nous considérons comme un droit de naissance de la classe moyenne : manger au restaurant, aller au cinéma, etc.

    - voir doc sur site -

    Ce budget d’un ménage gagnant un revenu de 1 % le plus élevé (2 % dans les États à revenu élevé) de 500 000 $ est intéressant à plusieurs titres. Ceux qui vivent dans des États à moindre coût peuvent considérer cela comme gonflé au-delà de toute croyance, tandis que ceux qui vivent à New York, Los Angeles, San Francisco et al. le considéreront comme tout à fait réaliste : oui, les taxes foncières sont de 20 000 $, la garde d'enfants « d'enrichissement » coûte 42 000 $, et ainsi de suite.

    Ce qui n'est pas réaliste, c'est 5 000 $ pour l'entretien de la maison et 18 000 $ pour trois vacances par an. Compte tenu de l'âge des maisons américaines (40 ans en moyenne), de la mauvaise qualité d'une partie importante des constructions récentes et de la montée en flèche du coût de la main d'œuvre, 5 000 $ ne permettent pas d'acheter grand-chose en termes d'entretien. Une estimation plus réaliste pour à peu près tout ce qui est sérieux est de 20 000 $, et 50 000 $ est remarquablement courant pour des transformations de cuisine, même modestes. Les 18 000 $ de dons de bienfaisance pourraient être absorbés par un nouveau toit.

    Quant aux vacances, à moins qu'il ne s'agisse d'un très court voyage, d'un séjour en camping ou d'un voyage vers une destination à faible coût, 6 000 $ par vacances n'est peut-être pas réaliste.

    - voir doc sur site -

    Le but de cet exercice est d'examiner les réserves nécessaires pour survivre à un malheur grave, comme la perte de son emploi ou une crise médicale. Il y a deux générations, les coûts étaient inférieurs et les ménages disposaient généralement de suffisamment d’épargne ou de crédit pour couvrir les dépenses d’urgence ou survivre à une période de chômage. Avec des coûts désormais prohibitifs, de modestes économies ne suffisent plus.

    En conséquence, un pourcentage important de ménages considérés comme appartenant à la classe moyenne sont à un malheur de l’insolvabilité. La concentration des revenus et de la richesse dans les 10 % les plus riches n’est pas seulement une abstraction statistique ; dans le monde réel, cela signifie que les marges de sécurité des 90 % les plus pauvres se sont amenuisées tandis que celles des 10 % les plus riches ont augmenté : pour la famille détenant des centaines de milliers de dollars sur des comptes 401 000 et assise sur 1 million de dollars de valeur nette de sa propriété, un montant de 25 000 $ Les factures médicales ou de réparations domiciliaires sont un inconvénient et non une poussée vers l'insolvabilité.

    - voir graph sur site -

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  104. Cette précarité s’étend également aux petites entreprises. Les coûts ont grimpé en flèche et les marges de sécurité se sont amenuisées. Un grand nombre de petites entreprises sont à un malheur de la fermeture ou de l'insolvabilité.

    Alors que la vague de précarité monte, les défenseurs et les partisans du statu quo prédisent joyeusement des « années folles » de prospérité généralisée. Le correspondant David E. a transmis ce dessin qui reflète parfaitement l’air du temps actuel :

    - voir dessin sur site -

    Nouveau podcast : CHS sur Leafbox (1h20) - communauté authentique, passage au gris, Doom Loops et plus encore.

    https://www.oftwominds.com/blogmay24/precarious5-24.html

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  105. Les pères de la Réserve Mondiale de Semences nommés lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation 2024


    16 Mai 2024
    World Food Prize Foundation*


    Geoffrey Hawtin, OBE, du Royaume-Uni et du Canada, et Cary Fowler, des États-Unis, se partageront le prix de 500.000 dollars pour leur travail de préservation du patrimoine mondial des semences.

    Deux scientifiques qui ont joué un rôle déterminant dans la création d'une chambre forte pour sauvegarder les semences de cultures du monde entier afin de protéger la sécurité alimentaire mondiale ont été nommés lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation 2024.

    Geoffrey Hawtin, OBE, directeur fondateur et membre du conseil d'administration du Fonds Fiduciaire Mondial pour la Diversité des Cultures (Global Crop Diversity Trust), et Cary Fowler, actuellement envoyé spécial des États-Unis pour la sécurité alimentaire mondiale, ont été choisis par le comité de sélection des lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation pour leur contribution de longue date à la conservation des semences et à la biodiversité des cultures.

    Les deux hommes ont joué un rôle clé dans la création de la Réserve Mondiale de Svalbard, qui contient aujourd'hui 1,25 million d'échantillons de semences de plus de 6.000 espèces végétales dans une installation souterraine située au-delà du cercle polaire arctique. Ce dépôt, souvent appelé « chambre forte du Jugement dernier », a ouvert ses portes en 2008 et constitue la dernière ligne de défense contre les menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire mondiale, notamment les pandémies et les catastrophes climatiques.

    L'annonce a été faite lors d'une cérémonie organisée au Département d'État Américain et présidée par le secrétaire d'État Antony Blinken. Paul Schickler, président du conseil d'administration de la Fondation du Prix Mondial de l'Alimentation, et Mashal Husain, directrice générale, ont prononcé des allocutions. L'ambassadeur Terry Branstad, président de la Fondation, a annoncé les noms des lauréats.

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  106. « Le Prix Mondial de l'Alimentation est décerné à des personnes en reconnaissance de leurs réalisations dans la lutte contre la faim et l'insécurité alimentaire, l'un des problèmes les plus urgents de notre époque », a déclaré le secrétaire d'État Blinken. « Les lauréats de cette année, le Dr Geoffrey Hawtin et le Dr Cary Fowler du Département d'État, ont apporté des contributions extraordinaires à cette cause. Ils ont accompli un travail essentiel pour faire progresser la biodiversité des cultures au niveau mondial et conserver plus de 6.000 variétés [mma note : espèces] de cultures et de plantes culturellement importantes, ce qui a eu un impact direct sur la lutte contre la faim dans le monde. C'est la vingtième année que le Département d'État joue un rôle dans cette annonce et nous sommes honorés de pouvoir soutenir la reconnaissance par la Fondation du Prix Mondial de l'Alimentation du travail des Dr Fowler et Hawtin. »

    Fowler et Hawtin ont également joué un rôle essentiel dans l'élaboration du Traité International sur les Ressources Phytogénétiques pour l'Alimentation et l'Agriculture, ou traité sur les plantes, qui a été adopté en 2001 pour faciliter le mouvement mondial des ressources phytogénétiques. En codifiant les accords internationaux et les mécanismes de partage des semences, le traité a jeté les bases de la Réserve de Svalbard.

    La Réserve est une idée de M. Fowler, qui a écrit au ministère norvégien des affaires étrangères pour lui demander d'envisager la création d'une telle installation alors qu'il travaillait au GCRAI, la plus grande organisation de recherche agricole au monde financée par des fonds publics. Il a ensuite été invité à présider un comité chargé d'évaluer la faisabilité d'un tel projet et a été le premier président du Conseil Consultatif International de la Réserve.

    « Les nombreuses contributions de M. Fowler à la sécurité alimentaire sont véritablement mondiales et entrepreneuriales en termes d'échelle, de portée et de conception – elles changent la vie des gens. L'un de ses nombreux héritages, la Réserve Mondiale de Semences à Svalbard en Norvège, profitera aux générations à venir et son nom restera gravé dans les mémoires », a déclaré Anne Beathe Kristiansen Tvinnereim, ministre norvégienne du Développement International et de la Coopération Nordique.

    M. Hawtin a quant à lui été membre de l'équipe d'étude initiale, qui a évalué la viabilité de la Réserve Mondiale de Semences du Svalbard et en a établi les spécifications techniques. En 2004, M. Hawtin a créé le Fonds Fiduciaire Mondial pour la Diversité des Cultures, qui finance aujourd'hui la réserve aux côtés du ministère norvégien de l'Agriculture et de l'Alimentation et du Centre Nordique de Ressources Génétiques (NordGen).

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  107. « Aujourd'hui, en tant que membre de son conseil d'administration, il est en première ligne pour façonner l'avenir de cette organisation internationale et son rôle dans la transformation de nos systèmes agroalimentaires », a déclaré Stefan Schmitz, directeur exécutif du Fonds Fiduciaire Mondial pour la Diversité des Cultures. « La Réserve Mondiale de Semences de Svalbard n'est pas seulement l'icône, mais aussi l'épine dorsale d'un réseau mondial de banques de gènes en pleine expansion. Les Dr Hawtin et Fowler ont joué un rôle déterminant en veillant à ce que toutes ces banques de gènes, véritables trésors de ressources phytogénétiques, disposent d'une sauvegarde ultime dans la réserve de Svalbard, et ont également ouvert la voie à l'utilisation de la diversité des cultures de ces banques de gènes par les chercheurs, les sélectionneurs de plantes et les agriculteurs. »

    Les banques de gènes, y compris la réserve de Svalbard, sont des ressources cruciales pour les phytotechniciens, qui sélectionnent et développent des variétés améliorées des cultures vivrières les plus importantes au monde. Le matériel conservé dans les banques de gènes contient des caractères bénéfiques susceptibles d'améliorer la résistance des cultures au climat, aux maladies, à la valeur nutritionnelle et à la salinité, ce qui est de plus en plus important dans le contexte du changement climatique.

    « Si la création d'une réserve mondiale de semences peut sembler logique aujourd'hui, les gens m'ont dit à l'époque que l'idée était folle », a déclaré M. Fowler, qui a commencé sa carrière en 1978 en tant que directeur de programme au National Sharecroppers Fund en Caroline du Nord. « Depuis, nous avons réussi à collecter et à préserver la diversité de toutes les grandes cultures, y compris, par exemple, 150.000 types de blé aujourd'hui stockés. Mais nous avons besoin de plus de collections, en particulier de cultures indigènes de régions telles que l'Afrique, car la diversité de ces cultures rustiques est la matière première pour les améliorations issues de la sélection végétale. J'espère que le Prix Mondial de l'Alimentation incitera à investir dans ce type de recherche et de développement transformationnels qui seront nécessaires pour assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 10 milliards de personnes d'ici à 2050. »

    M. Hawtin a passé une grande partie du début de sa carrière et risqué sa vie à collecter, préserver et protéger des espèces de légumineuses telles que les pois chiches et les féveroles d'Afghanistan, d'Éthiopie, du Liban, de Jordanie, de Syrie et de Turquie. Ces collections ont permis de constituer la banque de gènes gérée par le Centre International de Recherche Agricole dans les Zones Arides (ICARDA). Lorsque la guerre civile a éclaté en 1975, il a été chargé de déplacer des collections de matériel génétique végétal à six reprises, sur une route minée et sous le feu des armes, du Liban vers la Syrie.

    M. Hawtin, ancien directeur général de l'Institut International des Ressources Phytogénétiques (IPGRI), qui fait aujourd'hui partie de l'alliance de Bioversity International et du CIAT, a déclaré : « La diversité génétique des plantes cultivées et des espèces apparentées est aussi importante pour la biodiversité que pour la sécurité alimentaire, et une grande partie de cette diversité est aussi menacée que les pandas et les rhinocéros. En recevant cet honneur, j'aimerais lancer un appel aux armes pour un financement urgent et durable des plus de 1.700 banques de gènes dans le monde qui travaillent sans relâche pour s'assurer que le matériel dont les agriculteurs et les sélectionneurs de plantes ont besoin est conservé et reste disponible. Le travail des banques de gènes de plantes cultivées est à la base de notre capacité à nourrir le monde aujourd'hui et le restera à l'avenir.

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  108. Les efforts déployés par les lauréats pour protéger la sécurité alimentaire grâce à la conservation des semences ont déjà été mis à contribution. Le tout premier retrait de la réserve de Svalbard a eu lieu en 2015 à la suite de la guerre civile syrienne, qui a entraîné la perte de la banque de gènes de l'ICARDA. Les retraits ont été utilisés pour repeupler les collections conservées au Maroc et au Liban, et comprenaient des graines de légumineuses qui avaient été collectées pour la première fois par le Dr Hawtin et son équipe des décennies auparavant.

    « Hawtin et Fowler ont pris conscience de l'immense valeur et de l'héritage de nos ressources phytogénétiques et ont consacré leur vie professionnelle à leur sauvegarde afin d'assurer l'avenir de l'alimentation et de l'agriculture pour les cent prochaines années et plus », a déclaré Gebisa Ejeta, président du Comité de sélection des lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation. « En choisissant ces deux visionnaires, le Comité de sélection a reconnu l'importance de cette réflexion et de cette planification à long terme pour faire face au changement climatique et à d'autres menaces existentielles, ainsi que pour l'exemple qu'elles donnent et la sagesse qu'elles transmettent à chacun d'entre nous sur la façon dont nous pouvons collectivement mobiliser l'utilisation équitable du reste de nos dotations mondiales pour assurer la sécurité alimentaire pour tous. »
    _____________

    * Source : Fathers of the Global Seed Vault Named 2024 World Food Prize Laureates

    https://seppi.over-blog.com/2024/05/les-peres-de-la-reserve-mondiale-de-semences-nommes-laureats-du-prix-mondial-de-l-alimentation-2024.html

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  109. Loi sur l'identité numérique adoptée en Australie


    16 mai 2024
    de Thomas Oysmüller


    Une nouvelle loi sur l'identification numérique a été adoptée en Australie. Les critiques considèrent que cela ouvre la voie à la nécessité de rendre l’eID obligatoire à l’avenir.

    Feu vert pour étendre l’identité numérique en Australie. La chambre basse a approuvé le projet de loi par 87 voix contre 56 jeudi soir. Il n’y a pas eu de débat majeur à ce sujet – nous avons suivi le scénario d’autres pays. Et le caractère volontaire pourrait bientôt prendre fin.

    Volontaire – pas volontaire ?

    Le débat parlementaire s'est déroulé dans une petite salle habituellement peu observée par la presse. Pour certains, c'est une raison de soupçonner que c'est la raison pour laquelle le débat a été introduit dans cette salle - c'est ce que rapporte la critique australienne Rebekah Barnett sur son blog. Les partis progressistes – Travaillistes (78 voix), Verts et Indépendants – ont voté pour la loi.

    Selon le gouvernement, la loi « améliorera un cadre élargi pour l’identité numérique ». Il s'agit de l'accès aux services de l'État et des autorités, de la vérification de l'identité et des systèmes d'accréditation des prestataires de services. Actuellement, 10,5 millions d’Australiens possèdent déjà une identification numérique, appelée « myGovID ». Toutes sortes de « pressions douces » sont utilisées pour encourager les Australiens à numériser leur identité. TKP a rapporté comment les familles sont littéralement soudoyées par le versement de primes.

    Ce « volontariat » perdurera-t-il ? Bien que la loi souligne que la création et l'utilisation de l'identité numérique sont volontaires, plusieurs exceptions sont énumérées. C’est pourquoi certains craignent que la loi ne donne l’impulsion nécessaire pour rendre l’eID obligatoire à l’avenir. C’est ainsi que les députés libertaires voient les choses.

    Le journaliste australien Barnett :

    Compte tenu de la duplicité du gouvernement australien sur le système « volontaire » de vaccination obligatoire contre le Covid, qui est devenu une condition de travail, de voyage et de participation à la société, des craintes sont soulevées quant au caractère volontaire du système d'identification numérique, non sans fondement.

    Le ministre des Finances Gallagher a déclaré que le cadre d'identification numérique du gouvernement australien protégerait contre les violations de données, qui constituent un risque omniprésent dans l'environnement numérique.

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  110. Hier, il a été rapporté que plus d'un million de documents d'identité australiens avaient été exposés chez un fournisseur de services informatiques par des personnes ayant assisté à des événements du ClubsNSW. L'une des plus grandes violations de données de l'histoire de l'Australie s'est produite en 2022, lorsque les données d'Optus ont été soit piratées, soit divulguées, affectant jusqu'à 10 millions d'Australiens.

    Les bases de données du gouvernement australien sont également vulnérables aux violations de données. Un tableau publié dans le cadre d'une demande d'accès à l'information répertorie 257 violations de données dans des ministères et agences du gouvernement fédéral au cours des quatre dernières années, dont certaines ont été cachées au public. La plupart (160) étaient dues à une erreur humaine, 70 autres à des attaques malveillantes ou criminelles et certaines à des pannes du système.

    https://tkp.at/2024/05/16/gesetz-zur-digitalen-identitaet-in-australien-durchgebracht/

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  111. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉE ! (120 - 1 = 119)

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