La réforme est au collectivisme ! La fin des petites entreprises est poussé comme étant une nécessité ! Le retour au kolkhoze. Demain, les petites épiceries de quartier, boulangeries et magasins 'trop petits', fermeront leur porte face aux grandes surfaces. Pareil en campagne où se projettent des lois de centralisation où l'on ne saura plus ce que l'on mange. Tel est déjà l'avenir proposé au Québec face aux exploitations de milliers d'hectares dépendantes du monopole des banques et des marchés. Donc, dans les jours qui viennent, ce ne sont que les gros packs familial de xx kilos qui seront proposés en grandes surfaces à l'abandon du marché de détail qui nécessiterait trop de manutention et compliquerait la gestion ! Donc: Un et quelques autres accompagnés de machines en vis-à-vis du monde grandissant de chômeurs qui n'auront plus de choix.
Déjà - aux États-Unis - a été voté une loi sur l'abandon... des jardins familiaux ! Interdiction de cultiver soi-même son carré de terre ! Comme il sera bientôt exigé aux mères d'êtres diplômées en restauration pour préparer les repas tandis qu'en supermarchés seront proposés des repas tout prêts (sous cellophane). C'est çà, et rien d'autre ! Fini la liberté de penser, de créer, de construire ou d'acheter selon ses désirs. Le troupeau sera parqué.
Ce qui se passe au Ghana (comme dans toute l'Afrique) est que les grosses industries de l'alimentation dominent le marché de l'exploitation et de la distribution et portent volontairement des millions de personnes a en être dépendantes avec chômage grandissant. Et, comme 'sans emploi' ne rime pas forcément avec 'allocation', la famine est à venir. Les semences interdites, les engrais hors de prix et l'eau détournée vers les piscines, parcs d'attraction et centrales électriques font que s'installe la misère aux portes des banksters. La dictature prend le pas sur la vie des humains. A la moindre revendication, ce sont les chars qui circulent de plus en plus dans les rues. Les chefs d'Etats (multi-milliardaires) s'arment et se protègent a grands frais d'impôts et taxes diverses. L'esclavage gagne du terrain jusqu'aux pays 'les plus avancés'. L'information y est contrôlée, les maladies répandues et les vaccins empoisonnés. Des fosses communes aux cercueils familiaux sont déjà en place. Le malheur envahit notre monde.
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