Somnifères et champs électromagnétiques Fil de discussion ouvert de septembre
UN MÉDECIN DU MIDWESTERN 01 SEPTEMBRE 2024
Je crois que l’un des plus gros problèmes de la médecine moderne est que les patients n’ont souvent pas la possibilité d’établir une véritable relation avec leur médecin et manquent donc souvent de la voix critique nécessaire à une relation thérapeutique médecin-patient. Pour cette raison, mon objectif ici a toujours été de pouvoir correspondre avec tous ceux qui m’ont contacté. Malheureusement, en raison du trafic que je reçois maintenant, il n’est pas possible de le faire. Pour cette raison, j’ai décidé que la meilleure solution était d’avoir un fil de discussion ouvert mensuel (où les gens pourraient poser toutes les questions qu’ils voulaient) et de le lier à un sujet sur lequel j’avais envie d’écrire mais qui ne méritait pas vraiment un article complet. Dans le fil de discussion ouvert de ce mois-ci, je discuterai d’une autre facette du casse-tête de l’insomnie : les appareils qui améliorent le sommeil et les stratégies pour un logement adapté au sommeil.
L’importance du sommeil
Je pense qu’à l’heure actuelle, l’un des éléments les plus importants pour la santé est d’avoir un sommeil réparateur, ce qui nécessite d’avoir un cycle de sommeil fonctionnel. Par exemple, comme je l’ai montré dans un article récent, certaines des fonctions essentielles du sommeil comprennent :
Maintenir la santé circulatoire et prévenir les crises cardiaques.
Assurer une bonne santé métabolique (par exemple, prévenir la faim, le diabète et la prise de poids).
Soutenir la fonction immunitaire (par exemple, réduire la sensibilité à la grippe).
Prévenir le cancer.
Éviter la fatigue, le brouillard cérébral et les accidents graves.
Vous garder éveillé et alerte.
Guérir et restaurer le cerveau (par exemple, réduire le risque d’Alzheimer).
Réguler la fonction hormonale et maintenir la fertilité (par exemple, le manque de sommeil diminue les niveaux de testostérone).
Gérer les traumatismes émotionnels (par exemple, le sommeil est généralement perturbé dans le TSPT, et le TSPT s’améliore souvent de manière significative une fois qu’un médicament est administré qui empêche le TSPT de perturber le sommeil).
Permettre un contrôle rationnel sur les impulsions.
Maintenir son sens de la réalité (par exemple, une privation prolongée de sommeil peut déclencher une psychose, et le sommeil est connu pour être perturbé chez les patients schizophrènes).
Faciliter la créativité (par exemple, de nombreuses découvertes révolutionnaires proviennent des rêves, Thomas Edison était bien connu pour utiliser les rêves pour concocter ses inventions, et lorsque les gens sont réveillés du sommeil paradoxal, ils démontrent souvent une capacité de résolution de problèmes abstraits radicalement améliorée).
Réduire la sensibilité à la douleur (alors que la privation de sommeil l'augmente).
Faciliter la rétention à long terme des souvenirs.
Plus important encore, plutôt que de considérer ces avantages comme abstraits, les gens remarquent immédiatement à quel point ils se sentent pires lorsqu'ils sont privés de sommeil ou qu'ils souffrent d'une maladie (par exemple, la fibromyalgie ou la fatigue chronique) qui les empêche d'avoir un sommeil réparateur.
La guerre contre le sommeil
Étant donné l’importance du sommeil pour la santé, il est remarquable que notre société s’en sorte si mal et que nos autorités sanitaires fassent si peu pour le soutenir. Je pense que cela est dû à de nombreux intérêts économiques différents qui s’opposent à la création des changements nécessaires à un sommeil sain. Par exemple :
• De nombreuses industries dépendent de l’utilisation par les consommateurs d’appareils électroniques lumineux la nuit (ce qui est terrible pour le cycle du sommeil).
• De nombreuses industries (par exemple, les hôpitaux) dépendent de travailleurs ayant des horaires anormaux (par exemple, travaillant périodiquement de nuit), ce qui perturbe fortement le cycle du sommeil et donc la santé (par exemple, l’OMS classe le travail posté comme un cancérigène humain probable puisque les recherches existantes montrent qu’il provoque une augmentation de 33 à 62 % du risque de cancer).
• L’industrie pharmaceutique (qui exerce désormais un contrôle important sur le gouvernement) compte sur le fait que les Américains souffrent d’autant de maladies chroniques que possible. Pour cette raison, les moyens sûrs et non brevetables de rester en bonne santé (par exemple, l’exposition régulière au soleil en extérieur) sont activement décriés par l’industrie médicale.
•L’insomnie est l’un des plus gros marchés de médicaments aux États-Unis (par exemple, en 2022, 65 milliards de dollars ont été dépensés en somnifères), de sorte que l’industrie profite du fait que l’insomnie est une maladie chronique qui a une réponse marginale aux médicaments existants, obligeant ainsi la population à devenir des consommateurs à vie de ces produits. Dans le cas des somnifères, c’est particulièrement regrettable car plutôt que de vous aider à dormir, la plupart d’entre eux fonctionnent comme des sédatifs qui bloquent le cycle du sommeil une fois que l’utilisateur est assommé. Pour cette raison, les somnifères ont de nombreux effets secondaires graves (par exemple, une grande étude a révélé que, selon le nombre de somnifères pris, ces pilules augmentaient le risque de décès de 3,6 à 5,4 fois), et malheureusement, de nombreuses autres données tout aussi inquiétantes sur ces médicaments existent.
J’ai récemment évoqué l’un des aspects les plus tragiques de toute cette histoire : le fait qu’un somnifère très efficace (qui a complètement transformé la vie des gens) a été enterré dans les années 1990 par la FDA en collusion avec les médias de masse (en utilisant un manuel qui était remarquablement similaire à ce que nous avons vu faire avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine pendant la COVID-19). Ces événements étaient si flagrants qu’ils ont inspiré le comédien Jimmy Dore à faire un segment sur la guerre de la FDA contre le sommeil.
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Environnements de sommeil
Le sommeil étant si essentiel pour la santé, comme beaucoup, je préconise de veiller à ce que l’environnement dans lequel vous dormez soit propice à un sommeil sain (car le processus de sommeil est très sensible aux stimuli externes car il est essentiel pour la survie de pouvoir se réveiller si un danger potentiel se trouve dans l’environnement). De nombreux principes pour assurer un environnement de sommeil sain sont regroupés sous le terme générique d’« hygiène du sommeil », une approche qui vise à cultiver un environnement de sommeil qui contient les signaux qui ordonnent au corps d’entrer dans le cycle du sommeil (par exemple, en évitant la lumière artificielle, en particulier la lumière bleue, en évitant que la pièce ne soit trop chaude, en évitant toute activité mentale avant l’heure du coucher et en se couchant systématiquement à la même heure).
Remarque : les principes de l’hygiène du sommeil sont abordés plus en détail ici.
Actuellement, je pense qu’un environnement de sommeil sain est si important que lorsqu’un patient devient un acheteur potentiel, je lui conseille souvent de donner la priorité à la qualité de son sommeil dans la maison qu’il envisage d’acheter, de faire une petite sieste dans le lit de la maison lorsqu’il la visite et, si possible (pendant la durée du contrat), de pouvoir dormir une nuit dans la maison. Cela s’explique en partie par le fait que je crois en son importance pour leur santé et en partie parce que je vois régulièrement des gens qui finissent par vendre leur maison parce qu’ils ne peuvent pas y dormir. De plus, alors que le marché immobilier devient de plus en plus compétitif, la « capacité de sommeil » d’une maison est rarement prise en compte et, par conséquent, si un acheteur la recherche, il peut généralement l’obtenir.
Remarque : un meilleur sommeil est un avantage majeur de la vie en zone rurale.
Champs électromagnétiques et environnements de sommeil
Lorsque la capacité de sommeil d’une maison est prise en compte, des éléments tels que le bruit environnant (par exemple, la circulation extérieure, les voisins, le trafic aérien), la qualité de l’air et la pollution lumineuse environnante sont souvent pris en compte.
Remarque : il y a eu récemment une transition des lampadaires orange (à vapeur de sodium) vers des lampadaires LED blancs brillants (car ils sont plus économes en énergie et donc « plus respectueux de l’environnement »). Je ne suis pas favorable à cette idée, car les nouveaux éclairages sont assez nocifs pour la faune, rendent beaucoup plus difficile l’observation des étoiles la nuit et rendent le sommeil beaucoup plus difficile (si elles sont près de votre fenêtre). De plus, les dangers sont suffisamment importants pour que l'AMA ait mis en garde contre les effets de ces nouvelles lampes sur la santé en 2016 (et ait rédigé un rapport détaillé sur leurs dangers).
Cependant, d'autres facteurs affectant le sommeil (par exemple, les produits chimiques toxiques qui se dégagent des gaz d'une maison neuve) sont rarement évoqués. Parmi ceux-ci, je trouve que la qualité d'une maison la plus systématiquement sous-estimée est sa qualité électrique.
Étant donné que de nombreux facteurs peuvent affecter la capacité de sommeil électrique d’une maison et que la réaction des individus varie considérablement d’une personne à l’autre, je conseille généralement aux patients de voir comment la maison fonctionne pour eux plutôt que d’essayer de donner des règles strictes à suivre (bien que des compteurs EMF de meilleure qualité qui peuvent détecter les micro-ondes à haute fréquence soient souvent utiles à cet égard).
Remarque : la plupart des sites où j’ai constaté que les patients ont eu les expériences les plus rajeunissantes (par exemple, en particulier les sources chaudes curatives) ont tendance à être situés dans des zones à faibles EMF. L’une des anecdotes les plus intéressantes que j’aie jamais entendues à ce sujet est venue de Dietrich Klinghardt (un médecin intégrateur bien connu qui met l’accent sur les dangers des EMF), qui a déclaré qu’il avait trouvé une vallée en Amérique du Sud qui était une zone morte EMF, et qu’il faisait souvent disparaître de graves maladies chroniques lorsque les patients y vivaient. Malheureusement, à mi-chemin de ce processus, une tour de téléphonie mobile a été placée dans la vallée et la zone est devenue inutilisable à cette fin, ce qui témoigne d’un problème plus large : les zones sans EMF deviennent de plus en plus difficiles à trouver.
En règle générale, lorsque j’examine les qualités électriques d’une maison, j’ai constaté que les éléments suivants peuvent avoir de l’importance.
• Si le câblage de la maison crée des poches concentrées d’électricité sale.
• La quantité de Wifi présente (par exemple, celle des voisins).
• La proximité de la maison par rapport aux tours de téléphonie mobile (et inversement, s’il y a des montagnes qui bloquent leur signal pour qu’il atteigne la maison). Remarque : ce site Web est la meilleure ressource que j’ai trouvée pour évaluer la proximité des tours de téléphonie mobile par rapport aux maisons, bien que j’aie rencontré des cas où des tours n’y étaient pas répertoriées.
• Si la maison se trouve sur le chemin d’une installation radar (par exemple, parce qu’elle est proche d’un aéroport).
• Si la maison se trouve sur une ligne de contrainte géopathique (par exemple, elle traverse une rivière souterraine). Remarque : j’ai également constaté que dans certains cas, l’inverse peut se produire et que la géologie sous-jacente peut faire en sorte qu’un endroit soit beaucoup plus propice au sommeil.
En retour, de nombreuses personnes trouvent que le fait de modifier les qualités électriques d’une maison peut améliorer considérablement leur sommeil. Par exemple, j’ai entendu plus de témoignages que je ne peux en compter de la part de personnes (plus sensibles à l’électricité) qui ont déclaré que le fait de couper les disjoncteurs de leur maison la nuit améliorait considérablement leur sommeil et j’ai également entendu de nombreuses personnes dire que le fait de couper le Wi-Fi de leur maison la nuit leur faisait faire des rêves beaucoup plus profonds et plus vivants.
Remarque : c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles de nombreuses personnes (dont moi-même) ont leur maison câblée avec des lignes Ethernet plutôt que d’utiliser le Wi-Fi.
Le lien entre les champs électromagnétiques et l’hygiène du sommeil est quant à lui quelque peu controversé, car il se situe en dehors du paradigme conventionnel et il n’existe pas encore de mécanisme clairement établi qui pourrait expliquer comment ils perturbent le sommeil. De ma propre exploration de ce sujet, j’ai découvert un article de 2019 qui a fourni un indice fascinant sur cette énigme.
Remarque : pour le contexte, l’hippocampe (la partie du cerveau responsable de l’apprentissage et du stockage des souvenirs à court terme dans les souvenirs à long terme, ce qui est également une fonction essentielle du sommeil) s’appuie sur une activité d’ondes périodiques lentes pour accomplir sa consolidation de la mémoire.
En bref, cet article a fourni les preuves permettant d’affirmer que :
• Les ondes périodiques lentes que l’hippocampe utilise pour encoder les souvenirs ne sont pas transmises physiquement (par exemple, par des jonctions synaptiques et des neurotransmetteurs) mais plutôt par des champs électriques couplés qui peuvent se propager d’eux-mêmes.
• Auparavant, on pensait que ces champs étaient trop faibles pour avoir de l’importance, mais les auteurs ont pu montrer que ces champs faibles pouvaient exercer un effet biologique.
• Les champs électriques que l’hippocampe utilise pour encoder les souvenirs sont sensibles aux champs électriques externes.
• De ce fait, un champ appliqué de l’extérieur pourrait soit renforcer soit annuler le champ généré par l’hippocampe.
Cela fournit à son tour un mécanisme pour expliquer pourquoi les champs électromagnétiques environnementaux pourraient affecter le processus de sommeil (en particulier le rêve).
Remarque : nous conseillons souvent aux patients de ne pas charger leur téléphone portable près de leur lit. Cela est dû en partie au fait que la lumière émise par le téléphone perturbe le sommeil, en partie aux champs électromagnétiques qu'il émet (et que le processus de charge émet) perturbent le sommeil, et au fait que le fait de recevoir continuellement des messages auxquels vous pensez ou auxquels vous répondez pendant la nuit nuit également au détriment du sommeil.
Après avoir publié cet article, j'ai reçu cet e-mail d'un lecteur que je voulais partager
Sensibilité aux champs électromagnétiques Les effets biologiques des champs électromagnétiques sont une autre question très controversée. En effet :
• La sensibilité à ces champs varie considérablement.
• De nombreuses industries dépendent des champs électromagnétiques pour fonctionner (et ont donc tout intérêt à ce qu'ils soient considérés comme totalement sûrs).
Remarque : les champs électromagnétiques ont des effets biologiques importants mais la recherche se heurte à de nombreux obstacles politiques. Il existe donc un ensemble important de preuves montrant que les champs électromagnétiques peuvent causer des dommages biologiques (par exemple, voir ce livre et ce livre pour les liens avec le cancer, les palpitations et l'infertilité masculine). Pourtant, la plupart des recherches les plus récentes proviennent de pays comme la Russie et parviennent donc rarement à la communauté scientifique occidentale.
D'après ma propre expérience, vous rencontrerez généralement des personnes qui appartiennent à l'une des catégories suivantes :
• Ils sont extrêmement sensibles aux champs électromagnétiques et doivent vivre dans des zones rurales isolées pour éviter des symptômes débilitants (par exemple, des migraines rapides qui conduisent à des convulsions). À moins de connaître directement des personnes comme celles-ci, il est souvent difficile de croire qu’elles existent, mais les personnes hypersensibles à l’électricité (EHS) sont très présentes.
• Ceux qui souffrent de maladies chroniques (en particulier de troubles des mastocytes) et qui se rendent compte progressivement que leur maladie s’aggrave considérablement lorsqu’ils sont exposés aux champs électromagnétiques.
• Ceux qui ressentent les champs électromagnétiques et peuvent dire qu’ils ne sont pas bons pour eux (parce que les champs sont inconfortables), mais qui ne sont généralement pas significativement affectés par eux. C’est par exemple mon cas.
• Ceux qui peuvent relier des symptômes mineurs à des expositions aux champs électromagnétiques (par exemple, un mal de tête dû à une utilisation prolongée du téléphone portable).
• Ceux qui, lorsque vous le leur faites remarquer, remarquent qu’ils se sentent plus détendus, calmes et lucides dans les zones à faibles champs électromagnétiques.
•Ceux qui n’ont aucune réaction perceptible aux champs électromagnétiques et ne peuvent pas comprendre pourquoi d’autres le font.
De même, je constate que certaines personnes ne peuvent pas dormir dans des logements à forts champs électromagnétiques, d’autres remarquent qu’elles ont un sommeil plus réparateur dans des logements à faibles champs électromagnétiques, et beaucoup d’autres n’ont aucun problème à être saturées par les champs électromagnétiques et la lumière extérieure pendant leur sommeil. Cela touche à l’un de mes principes clés en médecine : il faut reconnaître que différentes personnes peuvent avoir une réponse très différente aux mêmes stimuli, et vous ne pouvez pas généraliser l’expérience de quelqu’un à d’autres.
Remarque : les champs électromagnétiques les plus problématiques sont généralement ceux du spectre des micro-ondes, comme ceux émis par les téléphones portables, les radars et le Wi-Fi.
De temps en temps, je lis un fil de discussion sur les produits ou appareils que quelqu’un a achetés et qui ont le plus transformé sa vie. Ce que je trouve fascinant dans ces listes, c’est que la plupart des produits sont inévitablement destinés à améliorer le sommeil, ce qui montre à quel point le sommeil est important pour notre santé et à quel point il est négligé par la société moderne (un récent sondage Gallup a révélé que 57 % des Américains souhaitent dormir davantage, mais que seulement 42 % en ont suffisamment).
Remarque : des résultats comme celui de ce sondage et le fait que les Américains ont dépensé 65 milliards de dollars pour dormir en 2016 mettent en évidence un problème de longue date de notre système médical. Si le système médical fait un mauvais travail pour résoudre un problème, il reçoit généralement plus d’argent pour le résoudre, ce qui a inévitablement pour conséquence que l’industrie a tout intérêt à ne jamais résoudre le problème et à engloutir progressivement le budget national.
Dans la dernière partie de cet article (qui, comme mentionné ci-dessus, existe sous la forme d’un forum ouvert pour que vous puissiez poser toutes les questions qui ont surgi au cours du mois dernier), je partagerai les meilleurs produits d’aide au sommeil que j’ai rencontrés, notamment un qui résout un problème étonnamment difficile auquel certains couples sont confrontés lorsque l’un a besoin d’une température beaucoup plus élevée que l’autre pour dormir et un autre qui est souvent très utile pour les personnes neuro-atypiques (par exemple, à la suite d’une lésion cérébrale induite par un vaccin), ainsi que quelques-unes des approches les plus innovantes que j’ai vues pour concevoir une maison propice au sommeil. De même, je vous invite à partager les approches qui vous ont le plus aidé dans votre parcours vers un sommeil sain.
UNE NOUVELLE ÉTUDE RÉVÈLE L'ABSENCE D'IMMUNITÉ CONTRE LA GRIPPE AVIAIRE
PAR THE WELLNESS COMPANY
Selon Epoch Times, la grande majorité des Américains n'ont aucune immunité préexistante contre la grippe aviaire hautement pathogène :
Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont prélevé du sang auprès de 489 personnes et ont testé leur sang pour détecter des anticorps contre la clade 2.3.4.4b. A H5N1, une souche de la grippe aviaire qui circule actuellement aux États-Unis.
« Cette étude n'a révélé aucun anticorps neutralisant préexistant contre la clade 2.3.4.4b. A(H5N1) et moins de 1 % des personnes avaient des anticorps à faible liaison », a déclaré un porte-parole du CDC à Epoch Times dans un e-mail.
Les données indiquent que « l’immunité préexistante à ce virus est faible, voire inexistante, et que la plupart de la population serait susceptible d’être infectée par ce virus s’il commençait à infecter facilement les gens et à se propager d’une personne à l’autre », a déclaré le CDC.
Plus tôt cet été, le Dr Peter McCullough a fait le point sur la situation actuelle de la grippe aviaire et sur ce que nous pouvons faire pour nous y préparer.
Tout d’abord, le Dr McCullough affirme que la destruction massive du bétail afin d’« éradiquer » le virus est « futile » et ne servira qu’à restreindre notre approvisionnement alimentaire – et non à mettre fin à la propagation de la grippe aviaire.
Deuxièmement, McCullough estime qu’il est clair à ce stade que la propagation rapide de la grippe aviaire aux oiseaux et mammifères migrateurs est le résultat d’une recherche sur le passage en série par gain de fonction et d’une fuite en laboratoire. Une configuration qui ressemble étrangement à la façon dont le COVID-19 a été diffusé sur la planète.
Troisièmement, le Dr McCullough souligne à juste titre que la propagande alarmiste autour de la grippe aviaire est promue par les grandes sociétés pharmaceutiques afin de faciliter la vaccination massive des animaux et des humains, ce qui remplira les poches du complexe biopharmaceutique et de ses ONG de soutien.
Enfin, et surtout, le Dr McCullough exhorte à avoir des stratégies de prévention et de traitement précoces à portée de main, juste au cas où.
C'est là qu'intervient la Wellness Company. La trousse d'urgence en cas de contagion de la Wellness Company, conçue par le Dr McCullough et ses collègues, contient cinq médicaments sur ordonnance essentiels qui sauvent des vies - y compris le Tamiflu™ générique - que chaque Américain devrait avoir à portée de main :
Oseltamivir 75 mg (Tamiflu™ générique) - 10 comprimés Hydroxychloroquine 200 mg - 20 comprimés Ivermectine 12 mg - 25 comprimés Azithromycine (Z-Pak générique) 250 mg - 12 comprimés Budésonide 0,5 mg/2 ml - 5 flacons (plus nébuliseur inclus) 1 guide des médicaments rédigé par le conseil médical en chef pour une utilisation sûre. À propos du Tamiflu, le Dr McCullough a déclaré en avril 2024 :
« Par mesure de précaution, nous ajoutons le Tamiflu à la trousse de contagion. Le Tamiflu est un médicament sûr approuvé pour traiter la grippe de type A et les virus comme la grippe aviaire. Nous continuerons de surveiller de près cette situation et de faire d'autres recommandations si nécessaire. »
Vous avez déjà du Tylenol et du Nyquil sous la main – pourquoi pas des médicaments qui pourraient vous sauver la vie ?
Les kits d'urgence contre la contagion de The Wellness Company sont la référence absolue en matière de sécurité et de santé.
Ce kit est délivré uniquement sur ordonnance – vous ne le trouverez dans aucun magasin. Remplissez simplement un court questionnaire après l'achat et un médecin de confiance de Wellness Company confirmera votre admissibilité et vous délivrera votre kit de contagion sur ordonnance.
Ne vous faites jamais prendre sans ces médicaments essentiels dans votre armoire à pharmacie. Protégez-vous et votre famille avec le kit de contagion de The Wellness Company avant que la prochaine urgence ne survienne !
L'espoir n'est pas une stratégie. Prenez des mesures dès aujourd'hui pour assurer votre sécurité et celle de votre famille.
C'est le kit d'urgence parfait au prix parfait. Chaque maison devrait l'avoir pour avoir l'esprit tranquille. – Rebecca B.
C'est absolument génial ! J'encourage tout le monde à en acheter un en cas d'urgence ! – Melody H.
Tranquillité d’esprit. C’est une tranquillité d’esprit incroyable d’avoir ce kit en cas d’urgence et de pénurie. The Wellness Company a fait un excellent travail en me le faisant parvenir dans les délais et je suis reconnaissante de l’avoir. – Phyllis T.
Bien se rappeler des milliers d'oiseaux morts tombés du ciel et de la même espèce ! Idem pour les poissons morts de la même espèce.*Chaque être vivant à son rythme cardiaque personnel à l'espèce. Ces essais donnent un avant-goût de ce qui peut nous arriver grâce à HAARP.
Nicole Delépine docteur.nicoledelepine.fr lun., 02 sept. 2024 22:47 UTC
Le président du CIO ignore-t-il que les chromosomes déterminent le sexe ?
Lors d'une conférence récente sur la controverse de la participation d'Imane Khelifle dans l'épreuve féminine de boxe le président du CIO aurait déclaré qu'il n'existerait « aucun examen fiable pour affirmer le sexe d'un concurrent ».
Pour l'informer de l'état de la science nous lui rappelons quelques connaissances biologiques unanimement admises, texte que certains pourraient qualifier « le sexe pour les nuls »
Le sexe est une caractéristique génétique qu'on ne peut pas changer
Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l'embryon deux chromosomes sexuels la paire XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin).
Le caryotype dirige l'élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, et physiologiques des individus. A la naissance le sexe apparent est conforme au sexe génétique dans plus de 99,9% des cas. Dans une naissance sur 4500, l'aspect génital est anormal et rend difficile voire impossible de déterminer au premier coup d'œil le sexe réel de l'enfant. On parle alors de troubles du développement sexuel, de troubles de la différenciation sexuelle d'hermaphrodisme, d'ambiguïté sexuelle ou encore d'intersexualité. L'intersexuation rassemble ainsi une série de conditions médicales où il y a discordance entre le sexe génétique d'un enfant et l'apparence de ses organes génitaux dont les plus connues sont les personnes XY intersexuées, syndrome de Klinefelter XXY, syndrome de Turner X0, testicule féminisant,... [1] [2] [3].
À l'adolescence, chez les individus porteurs de chromosome Y, la sécrétion des hormones accentue les développements squelettiques et musculaires, conduisant à une taille et un poids moyen plus élevés d'environ 10 %[4] que celui des individus XX, une différence de force physique, l'élargissement des épaules, un développement plus important du cœur et de la capacité pulmonaire (lié à la taille).
Ces caractéristiques physiques plus développées chez les individus XY expliquent des performances sportives supérieures (de 10% à 25%) illustrées par la comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes. Lancer de javelot (94 m/72 m), 50 m nage libre (46/51 s), sprint de 100 m (9"58/10"49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec), lever de poids (488 kg/332KG), marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)...
Ces différences factuelles que chacun peut facilement vérifier démentent l'idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un construit social dont on pourrait changer selon notre volonté.
L'équité impose donc de séparer les porteurs de chromosome Y des femmes (XX) lors des compétitions sportives de haut niveau, comme on sépare les handicapés des autres aux Jeux olympiques et les concurrents selon l'âge ou le poids particulièrement dans les sports de contact ou de combat comme le MMA, le rugby, la boxe ou le judo...
La détermination du sexe par test chromosomique est indiscutable
Personne n'ose prétendre que les porteurs de chromosome Y sont des femmes. La détermination du sexe chromosomique par un simple frottis de la muqueuse buccale à l'aide d'un coton tige a été instaurée en 1968 pour vérifier si les athlètes sont bien biologiquement féminines (XX). Il a été remplacé en 1991 par le test PCR/SRY afin de ne plus se focaliser sur le deuxième X mais sur la présence du chromosome Y. Son utilisation systématique a malheureusement été supprimée lors des JO de Sydney en 2000 au profit du dosage de la testostérone dont les insuffisances ont permis les victoires en cascade des trans dans les compétitions féminines et les controverses actuelles.
Mais on peut faire semblant d'ignorer que le test chromosomique établit avec certitude le sexe !
Dans son délire idéologique de refus des caractéristiques sexuelles, le CIO avance comme preuve de féminité le diagnostic clinique à la naissance (très délicat en cas d'hermaphrodisme[5] [6]), la mention de la carte d'identité ou du passeport, la manière dont la famille a élevé l'enfant... ! Mais de chromosome pas question alors que l'association mondiale de boxe affirme que les boxeuses qu'elle avait exclues des compétitions féminines présentaient lors de deux examens la paire de chromosomes XY caractéristique du sexe masculin.
Combien de temps le refus des réalités biologiques du sexe durera-telle ?
Entre la réalité biologique (chromosomique) et l'idéologie il faut choisir équitablement.
A trop vouloir faire passer un prétendu bien commun inclusif au profit de revendications personnelles de toutes petites minorités, et nier les différences factuelles liées au sexe, le risque serait de faire disparaître les femmes du palmarès sportif de haut niveau.
Dans de nombreuses compétitions sportives de haut niveau des femmes de naissance ont refusé de concourir contre des candidats XY, et imposé aux fédérations internationales de réserver les compétitions féminines aux femmes. On peut penser qu'à l'avenir les boxeuses imposeront aux juges de respecter l'équité.
Dans cette controverse le CIO ne sort pas grandi et son président se ridiculise par l'affichage de sa prétendue ignorance. Nous lui répétons : le sexe est déterminé par la loterie chromosomique et sa détermination indiscutable ne nécessite qu'un prélèvement par écouvillon buccal ou un l'examen d'un bulbe de cheveu sans avoir besoin de le couper en quatre. Notes :
[1] Chau, P.‐L. et Herring, Jonathan, « Defining, Assigning and Designing Sex », International Journal of Law, Policy and the Family, vol. 16, no 3, 1er décembre 2002
[2] Carrie L. Hull et Anne Fausto‐Sterling, « Letter to the Editor », American Journal of Human Biology, vol. 15, no 1, 2003, p. 112-116
[3] Leonard Sax, « How common is lntersex? A response to Anne Fausto‐Sterling », Journal of Sex Research, vol. 39, no 3, août 2002, p. 174-178
[4]acalyn J. Robert- McComb, Reid L. Norman et Mimi Zumwalt, The Active Female: Health Issues Throughout the Lifespan, Springer Science & Business Media, 28 janvier 2014
[5] Witchel SF. Disorders of sex development. Best Pract Res Clin Obstet Gynaecol. 2018 Apr;48:90-102. doi: 10.1016/j.bpobgyn.2017.11.005. Epub 2017 Nov 22. PMID: 29503125; PMCID: PMC5866176.
[6] Peter A. Lee et al Global Disorders of Sex Development Update since 2006: Perceptions, Approach and Care Horm Res Paediatr (2016) 85 (3): 158-180. https://doi.org/10.1159/000442975
Pas de fatalité autour des carences en iode, le livre
aimsib.org lun., 02 sept. 2024 17:13 UTC
La rentrée n'est plus une menace, c'est devenu du réel. Le temps de s'alanguir est terminé, tout le monde a besoin de retrouver un niveau de forme optimal et surtout de ne pas tomber malade, que ce soit de pathologies vénielles ou catastrophiques. Le Dr Vincent Reliquet fomentait un livre de longue date, il voulait explorer les tréfonds désastreux des carences en iode, il l'a réalisé avec Alix Lefief-Delcourt (*). Il fallait un grand homéopathe très au fait de la cancérologie pour pouvoir disséquer ce livre afin de tenter d'en coincer l'auteur : le Dr Éric Ménat s'est prêté à l'exercice, les jeux de questions-réponses font depuis longtemps tout le support des belles controverses. Rangez vos claquettes devenues inutiles depuis la semaine dernière et bonne lecture.
les pouvoirs de l'iode
Dr Éric Menat
1 - Comment expliques-tu qu'il y ait autant de carences en iode actuellement dans la population ? Est-ce que ça pourrait être en lien avec des erreurs de dosages ou des critères de « normalité » à revoir ?
Dr Vincent Reliquet
Ta question a l'air de sous-entendre que les critères de normalité seraient trop élevés, ce qui expliquerait que nous soyons à un niveau facticement trop bas mais c'est exactement le contraire, je prétends depuis que j'ai terminé mon livre que les préconisations OMS ne nous proposent que de couvrir le centième de nos besoins, et nous ne les atteignons même pas ! Il faut cesser d'attendre une explosion de goitres ou de crétins au sens historique du mot pour réveiller nos élites à ce sujet, cancers, maladies infectieuses et dysimmunitaires, cardio-vasculaires, explosion de l'obésité, des dépressions, effondrement des QI, il y a vraiment le feu au lac et tout le monde s'en fiche !
2 - Les carences en iode peuvent-elles être expliquées par d'autres facteurs que la nutrition et lesquels ?
Dr Vincent Reliquet : La question est compliquée, je vais essayer d'apporter une réponse simple. Nous avons barre sur un élément fondamental du problème, ce sont bien nos carences abyssales d'apport en iode. Ensuite le problème posé par les perturbateurs endocriniens halogénés (chlorures, fluor et brome) demeure manifeste mais il ne sera résolu qu'aux échelles supra-nationales, on peut toujours rêver pour voir arriver une interdiction du fluor et du brome dans l'espace public. À nos niveaux individuels, nous devons nous appliquer à consommer des doses adéquates d'iode, on sait que cet élément peut reprendre sa place dans les molécules polluées par les halogénés et que ceux-ci peuvent être excrétés par voie urinaire. Pas d'iode, toujours plus de perturbateurs endocriniens à sa place dans les cellules.
3 - Tu parles des relations entre iode et développement cérébral de l'enfant et les chiffres semblent inquiétants. Peut-il y avoir un biais avec l'évolution du système éducatif qui peut aussi impacter le QI des enfants ?
Dr Vincent Reliquet : Cette histoire du recul du QI de nos enfants actuels par rapport à ceux de 1889 dans une Angleterre victorienne malnutrie, c'est une bombe (1). Elle frappe les esprits, évidemment elle ne permet absolument pas de désigner l'iode comme seul responsable de ce phénomène mais d'autres travaux australiens (2) ou encore de l'ALSPAC (3) ont permis de tirer ces conclusions. Pas assez d'iode pendant la grossesse et les lésions fœtales se fixeront définitivement par défaut des migrations neuronales (4), pas assez d'iode pendant l'enfance et les lésions continuent de s'aggraver, je veux surtout tirer la sonnette d'alarme en direction de cette immense population d'enfants soumise au biberon, déclarée intolérante au lait de vache et qui du coup n'a absolument plus accès à l'iode, pendant des mois voire des années...
4 - Est-ce qu'une supplémentation en iode devrait être systématique chez les enfants (elle l'est déjà chez les femmes enceintes en théorie) ?
Dr Vincent Reliquet : Il faut changer de paradigme, oublier cet effet Wolff-Chaikoff totalement imaginaire (c'est dur à croire, je l'explique dans ce livre) et ioder sérieusement toute la population, pense donc que dans les années 1950 les américains iodaient leurs pains et recevaient 150µg d'iode dans un seul toast, soit tout l'apport quotidien recommandé actuel ! Étaient-ils devenus tous phosphorescents ? Pas du tout, quand on leur a facticement expliqué que leurs sels d'iode étaient dangereux, ils l'ont remplacé par du bromure de potassium, interdit en Europe car cancérigène notoire, on délire... Donc pour te répondre, oui il faut édicter des apports minimums journaliers pour tous les âges mais sans les calculer avec les connaissances de 1950, aujourd'hui on sait que de très nombreux organes, peut-être même tous, sont authentiquement iodo-nécessitants, et pas seulement la thyroïde comme on le croyait alors.
5 - Quelle est, pour toi, la bonne supplémentation en iode pour un adulte ? Les AQR (5) actuels semblent bien bas par rapport aux carences constatées ?
Dr Vincent Reliquet : J'explique en fin d'ouvrage que mon statut de modeste médecin généraliste ne me permet pas de répondre à cette question, l'empirisme le plus absolu règne partout à ce sujet et la réponse doit se trouver comme pour le taux idéal de cholestérol sanguin : elle n'existe pas, car ici trop de paramètres rentrent dans l'équation : poids, sexe et cancers iodo-dépendants intercurrents, état infectieux, certainement. Mais imagine, probablement que le volume mammaire influe énormément et devrait être pris en compte dans le calcul des AQR car ce tissu se comporte comme un véritable piège à iode, comme à brome ou à fluor d'ailleurs, ce qui peut expliquer la fréquence déraisonnable des cancers du sein en présence de brome (6). Attention de plus à un point capital que j'ai abondamment souligné dans ce livre, certains tissus nécessitent de l'iode moléculaire, d'autres de l'iodate de potassium et la protection anticancéreuse semble essentiellement conférée par cet iode moléculaire I2, totalement absent de l'écrasante majorité des compléments alimentaires mis sur le marché à ce jour ! Inutile donc de se supplémenter avec un mauvais produit, de plus insuffisamment dosé, il n'y aura aucune chance que l'état de santé de nos populations s'améliore drastiquement dans ce cas.
6 - L'importance des carences en iode est connue depuis des décennies. Elle avait été pointée du doigt par l'Institut Français de Nutrition il y a plus de 20 ans. Comment expliques-tu que des recommandations claires sur la supplémentation en iode tardent à venir de la part des agences de santé, du ministère ou de l'académie de médecine ?
Dr Vincent Reliquet : Je l'explique par la trouille atavique qui saisit chaque expert de se retrouver en butte avec ce fameux effet Wolff-Chaikoff qui n'existe pas, mais qu'on leur a inculqué quand ils étaient jeunes et crédules, ça aussi j'en parle dans mon livre. L'iode 131 (radioactif) est toxique, les iodes organiques peuvent devenir toxiques aussi (amiodarone, produits de contrastes iodés, etc...) mais l'iode inorganique minéral alimentaire, l'iode 127, jamais. Et comme jamais n'existe pas, quand une fois on soupçonne une hyperthyroïdie de provenir d'une supplémentation alimentaire, ce fait demeure si rare qu'on en fait même un (très mauvais) article, qu'on le publie, et on décore même l'auteure pour son remarquable travail ! (7)
7 - Tu dis que l'iode contenu dans le sel marin ou le sel iodé « s'évapore » et que ces sels ne sont donc pas efficaces pour participer à l'apport quotidien. Pourtant, il semble que c'est l'ajout d'iode dans le sel qui a permis de faire reculer le crétinisme des Alpes. Comment expliques-tu ce paradoxe ?
Dr Vincent Reliquet : Je vois que la fin de l'interview approche alors tu cherches à me coincer avec tes questions vicieuses mais toujours intelligentes... Je vais te répondre sans détour : au XIXe siècle, la Santé Publique naissante avait compris que la fréquence des goitres et des crétins augmentait de manière parfaitement proportionnelle avec le niveau des carences en iode, donc par une politique adroite de microsupplémentation en iode, on a réussi à effacer les deux problèmes, mais ces deux problèmes-là seulement. En 1840 l'espérance de vie des Françaises culminait à 40 ans, un peu tôt pour voir apparaître la multiplication des cancers du sein qui frappent nos compatriotes aujourd'hui. Je l'explique dans mon livre, j'ai retrouvé le premier penseur qui a pondu ce dramatique taux d'apport idéal en iode à 150 µg/j : lui aussi ne se référait qu'à la peur de l'effet Wolf-Chaikoff et il convint que pour ces faibles apports on voyait juste disparaître les goitres mais sans réveiller le monstre WC. Ces apports sont des cache-misères propres à faire taire toute manifestation thyroïdienne liée à un manque en iode mais ouvrent la porte à toutes les pathologies iodo-carentielles extra-thyroïdiennes, qui du coup explosent.
La médecine moderne nous fait sempiternellement vivre sous l'ère de la misère physiologique, 150 µg d'iode par jour au lieu de 10 à 50 mg, 400 UI de D3 pour éloigner l'ostéomalacie quand certains en consomment 20 000 UI sans souci et effacent de nombreuses pathologies dysimmunitaires, 300 mg de vitamine C pour éviter le scorbut alors qu'avec 100 g/j en intraveineuse, on a largement documenté la guérison de certains cancers, de certaines maladies infectieuses, de certains empoisonnements... Personne ne s'occupe de notre statut en chrome, pas beaucoup plus de celui lié au sélénium, nous sommes tous carencés en magnésium et pourtant aucune campagne de supplémentation ne se fait jour. Médecine, population, réveillez-vous !
8 - Quels sont les risques démontrés pour la santé d'un excès de consommation d'iode ? Et à partir de quelle dose peut-on parler d'excès ?
Dr Vincent Reliquet : Je vois que tu ne désarmes pas, oh la belle estocade ! Va voir dans le Manuel Merck, « La source d'information médicale de confiance depuis 1899 » : tu y liras qu'une intoxication chronique peut subvenir au delà de 1,1 mg d'apport par jour (8). Fichtre, et combien d'iode demeure délivré par un comprimé de Cordarone® ? 75 mg, ou si tu préfères, 75 000 µg. Dans une ampoule de Lipiodol® qu'on utilisait en injectable pour ioder annuellement les populations les plus reculées du monde, il y a 480 mg donc 480 000 µg d'iode et tu sais quoi ? La palme revient au Ioméron® 350, une ampoule de 250 ml contient 87,5 g d'iode, ou 87 500 mg, si tu préfères : 87 500 000 µg d'iode mais attention, d'iode organique potentiellement dangereux et pourtant le produit est vendu en pharmacie. Je ne préconise même pas les grammes d'iode en supplémentation nutritionnelle, pourtant ces doses étaient traditionnellement utilisées dans le traitement de l'asthme et de l'hyperthyroïdie au début du siècle dernier.
Je préconise sereinement un apport équilibré en diiode (I2) et iodure de potassium, autour de la dizaine de milligrammes par jour en moyenne, parce que véritablement la littérature mondiale déborde de données favorables à de telles supplémentations. Le cancer du sein pourrait reculer par cette seule supplémentation, de même que la résistance humaine aux infections (des plus bénignes aux plus sévères), bon nombre de syndromes dépressifs et d'asthénies chroniques, d'infertilités, de dysménorrhées ou encore de trouble dyspondéraux, diabétiques, liés à l'arythmie cardiaque pourraient être balayés par une supplémentation optimale. Mais pour une majorité de confrères, la peur de l'effet WC les fige dans l'immobilisme.
Il reste à nos concitoyens ce livre pour se forger une opinion éclairée sur la question : mais chacun fait bien ce qu'il veut de sa vie !
(*) Dr Vincent Reliquet, Alix Lefief-Delcourt, « Les pouvoirs de l'iode« , Guy Trédaniel éditeur, 2024, 253 p. (1) M. A. Woodley, J. Nijenhuis, R. Murphy, "Were the Victorians cleverer than us? The decline in general intelligence estimated from a meta-analysis of the slowing of simple reaction time", Intelligence, Vol. 41, Issue 6. (2) K. L. Hynes, P. Otahal, I. Hay, J. R. Burgess, "Mild iodine deficiency during pregnancy is associated with reduced educational outcomes in the offspring: 9-year follow-up of the gestational iodine cohort", The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2013. (3) S. C. Bath, C. D. Steer, J. Golding, P. Emmett, M. P. Rayman, "Effect of inadequate iodine status in UK pregnant women on cognitive outcomes in their children: results from the Avon Longitudinal Study of Parents and Children (ALSPAC)", The Lancet, 2013. (4) E. Auso et al., "A moderate and transient deficiency of maternal thyroid function at the beginning of fetal neocorticogenesis alters neuronal migration", Endocrinology, 2004. (5) AQR : Apport Quotidien Recommandé (6) E. S. O'Leary et al., "Pesticide exposure and risk of breast cancer: a nested case-control study of residentially stable women living on Long Island", Environmental Research, 2004. (7) Lai J, Hunter-Orange J, Clemens KK. Hyperthyroïdie à la suite de l'ingestion de produits de santé naturels. Can Fam Physician. 2019 Sep;65(9):e386-e388. French. PMID: 31515324; PMCID: PMC6741801. (8) https://ods.od.nih.gov/factsheets/Iodine-HealthProfessional/
Les révélations brûlantes des « RKI-files » dévoilés en Allemagne sur le Covid-19
Etienne Fauchaire Epoch Times mer., 31 juil. 2024 14:58 UTC
En Allemagne, les « RKI-files », des documents fuités qui retracent les échanges entre l'Institut Robert-Koch (RKI) et le gouvernement fédéral au cours de la crise du Covid-19, ont été dévoilés dans leur intégralité par la journaliste Aya Velázquez, le 23 juillet.
Ils révèlent que « la plupart des mesures sanitaires ont été décrétées par des politiciens, parfois sans fondement scientifique, et parfois même contre l'avis des experts », confie à Epoch Times le professeur Stefan Homburg, associé à l'examen de ces fichiers.
Un pavé dans la mare. Le 18 mars dernier, Multipolar, un magazine allemand alors inconnu du grand public, obtenait après deux années de bataille judiciaire ce qu'il convient désormais d'appeler outre-Rhin « les RKI-files ». Les documents issus de ce premier volet contenaient les procès-verbaux des réunions entre la cellule de crise de l'Institut Robert-Koch, qui fait partie intégrante de la bureaucratie sanitaire allemande, et le gouvernement fédéral, de février 2020 à avril 2021. Des fichiers embarrassants tant pour la crédibilité que la légitimité de cet établissement de référence pour la santé publique. Il s'avère que le RKI « servait souvent de façade scientifique pour légitimer des décisions politiques », avait cinglé Wolfgang Kubicki, vice-président du Bundestag (FDP), dans les colonnes du magazine allemand Focus, suite à la révélation de ces communications internes.
Toutefois, près d'un tiers des 2500 pages rendues publiques contenaient... des passages censurés, suscitant des inquiétudes quant à une volonté de l'établissement fédéral de garder ses délibérations internes confidentielles. Une affaire qui avait conduit des responsables politiques à réclamer leur publication intégrale. « Tout devrait être mis sur la table », martelait alors Armin Laschet, membre de la CDU. L'ancien candidat à la chancellerie avait fustigé par ailleurs un échec de la presse à demander des comptes aux autorités : « Le fait que ces documents aient été publiés à la suite d'une plainte déposée par un site dont on dit qu'il propage des théories complotistes montre clairement qu'aucun média mainstream n'a essayé de se les procurer ».
Le 23 juillet, un rebondissement : l'ensemble des fichiers couvrant toute la période du Covid de février 2020 à juin 2023 a été divulguée, cette fois sans caviardage, provoquant des secousses politiques au pays de Goethe : « Les experts du Covid savaient que le gouvernement mentait - et ils sont restés silencieux ! », a titré le quotidien Bild pour l'occasion. À la manœuvre, Aya Velázquez, une journaliste indépendante, qui a déclaré avoir reçu ces « RKI-files », près de 4000 pages, d'un ancien employé de l'institut biomédical travaillé par « des raisons de conscience ». Accompagnée de Bastian Barucker, un autre journaliste indépendant, et de Stefan Homburg, ancien professeur d'économie à l'université de Göttingen, elle a tenu une conférence de presse mardi dernier à Berlin pour dévoiler leur contenu, disponible en cliquant sur ce lien.
L'institut Robert-Koch, un organisme scientifique subordonné au pouvoir politique
Première découverte issue de cette fuite : une partie des employés du centre épidémiologique se sont initialement montrés critiques de la politique sanitaire mise en œuvre par leur gouvernement. Toutefois, le climat interne toxique laissant peu de place à l'expression des opinions divergentes, ils auraient finalement plié, apprenant « comment les choses fonctionnent », a expliqué Aya Velázquez.
Cette réticence de certains employés de l'autorité sanitaire à se conformer à la ligne politique officielle transparait nettement dans un procès-verbal en date du 10 septembre 2021, à la page 6 : « L'autorité du ministre en matière d'instructions relatives aux documents techniques du RKI [...] est actuellement examinée juridiquement. À ce jour, la direction du RKI estime [toutefois] que les recommandations formulées par le RKI, en sa qualité d'autorité fédérale, sont complétées par une instruction ministérielle, qui doit être respectée, car le Bundestag supervise techniquement le RKI, lequel ne peut invoquer la liberté scientifique. L'indépendance scientifique du RKI par rapport à la politique est donc limitée ».
Pourtant, le 25 mars 2024, après la publication des premiers « RKI-files », Karl Lauterbach, ministre de la Santé allemand depuis décembre 2021, affirmait encore que cet organe du gouvernement fédéral en matière de biomédecine « a travaillé de manière indépendante, hors de toute influence politique »...
« Injonctions à la vaccination, confinements, fermeture des écoles... De 2020 à 2023, l'Allemagne a adopté une politique sanitaire similaire à celle de la France. Grâce aux "RKI-files", on apprend que ces mesures ont en réalité été décrétées par des politiciens, parfois sans fondement scientifique, et parfois même contre l'avis des experts », résume auprès d'Epoch Times le Pr Stefan Homburg, qui a épluché les procès-verbaux avec ses deux autres collègues. Et d'ajouter : « Initialement, l'institut Robert-Koch s'est opposé aux mesures trop lourdes, étant donné qu'ils avaient déjà élaboré dans les années précédentes un protocole préconisant, par exemple, l'isolement des seules personnes malades. Mais au bout du compte, ils ont progressivement succombé à la pression politique... »
Pour illustrer le fossé entre les opinions des experts et les choix politiques, le Pr Homburg s'est également appuyé durant la conférence de presse sur une entrée datant du 29 octobre 2021. Celle-ci révèle que l'ex-ministre de la Santé Jens Spahn avait recommandé un rappel vaccinal en population générale, même si cette mesure ne l'avait pas été par la Commission permanente de vaccination, rattachée à l'institut Robert-Koch.
Dans le même esprit, une entrée en date du 19 mai 2021 rapporte que « même si la vaccination des enfants n'est pas recommandée par la Commission permanente de vaccination, Jens Spahn prévoit quand même un programme de vaccination. »
La pandémie des non-vaccinés : « un mythe politique »
Autre révélation choc : le 5 novembre 2021, les « RKI files » montrent qu'en interne, les experts de l'organisme national de santé publique s'inscrivaient en faux par rapport aux déclarations de Jens Spahn, qui soutenait le 3 novembre : « Nous connaissons actuellement une pandémie essentiellement des non-vaccinés et elle est massive ». « Les médias parlent d'une pandémie de non-vaccinés. D'un point de vue technique, ce n'est pas correct. Toute la population y contribue. Faut-il aborder ce sujet dans la communication ? », peut-on lire dans le procès-verbal de l'autorité fédérale.
« Il était connu depuis longtemps que la "pandémie des non-vaccinés" était un mythe politique ne servant qu'à justifier les injonctions vaccinales. Grâce aux "RKI-files", nous savons désormais que l'institut savait lui aussi qu'il s'agissait d'un mythe, mais qu'il avait peur de s'exprimer contre la propagande vaccinale du ministre », réagit auprès d'Epoch Times le Pr Homburg, qui n'hésite pas à dénoncer une « tromperie délibérée ».
En effet, ce « mythe » a continué à prospérer, la mayonnaise commençant alors même à monter : « Ce que nous vivons actuellement, c'est une tyrannie des non-vaccinés », pestait le 13 novembre 2021 Frank Ulrich Montgomery, ancien président du Conseil national de l'Ordre des médecins allemands et dirigeant de l'Association médicale mondiale (WMA). Le 2 janvier 2022, le médecin allemand persistait et signait, revendiquant ce choix de mots dans une interview donnée au média suisse Blick : « À l'époque, personne n'osait encore dire que nous devions traiter différemment les non-vaccinés et les vaccinés. Aujourd'hui, c'est la norme. Je suis même un peu fier d'avoir été en quelque sorte précurseur de cette démarche. »
Pour le journal allemand Berliner Zeitung, l'enquête sur la crise du Covid-19 devra déterminer « pourquoi et par qui ce récit a été conçu et autant promu ». Et de poursuivre : « Car il ne s'agit pas d'une petite affaire. De cette hypothèse - désormais manifestement fausse - selon laquelle les non-vaccinés seraient le moteur de la pandémie, d'autres mesures telles que les règles de 2G et de 3G [forme qu'a pris le pass vaccinal allemand, ndlr] ont été adoptées ».
« Ce récit selon lequel les non-vaccinés sont responsables de la pandémie a persisté très longtemps en Allemagne, et certains y croient encore aujourd'hui. Suite à la publication des "RKI-files", cette croyance doit être réfutée. Il existe désormais un document hautement officiel à ce sujet, que tout le monde peut télécharger et lire, [...] dans lequel les autorités affirment clairement que cette pandémie des non-vaccinés n'a jamais eu lieu. » « Ils ont laissé les gens aller au carton »
Ces « RKI-files » mettent également en exergue un silence de l'établissement allemand sur les effets indésirables graves du vaccin anti-Covid fabriqué par le géant pharmaceutique britannique AstraZeneca. En témoigne une entrée datant du 19 mars 2021, a pointé le Pr Homburg durant la conférence de presse. Pourtant, quelques semaines plus tard, le 16 avril 2021, il était communiqué par voie de presse, en Allemagne, mais aussi à l'étranger, que l'ex-chancelière Angela Merkel et son successeur Olaf Scholz avaient reçu une première dose de ce vaccin. Le président de la République fédérale d'Allemagne, Frank-Walter Steinmeier, et le ministre de la Santé d'alors, Karl Lauterbach, ont été également vaccinés avec le même produit.
Pour le Pr Homburg,
« l'interprétation la plus logique est à chercher dans le fait que même parmi la population mal informée, la volonté de se faire vacciner était nulle. Comme les politiciens avaient signé d'énormes contrats d'approvisionnement, ils devaient craindre que des rapports soient publiés sur les stocks livrés et le gaspillage de l'argent des contribuables. Et ils ont donc laissé les gens aller au carton ». L'universitaire se montre particulièrement critique envers la ligne de conduite adoptée par Lothar Heinz Wieler, ancien président de l'Institut Robert-Koch durant la crise du Covid-19. À ses yeux, ce dernier, conscient que la communication et les directives du gouvernement allemand étaient scientifiquement incorrectes, aurait dû protester plutôt que de se murer dans un silence complice.
Le contenu des « RKI-files » pourraient également donner lieu à des procédures judiciaires contre l'institut Robert-Koch, mais aussi l'institut Paul-Ehrlich, agence responsable de la sécurité des vaccins en Allemagne.
Par exemple, en novembre 2021, la décision de rendre la vaccination anti-Covid obligatoire pour les soldats de l'armée allemande avait été contestée en justice. Une demande déboutée par le Tribunal administratif fédéral en juillet 2022. Pour appuyer son jugement, l'instance suprême s'était fondée sur les déclarations tenues par des experts issus des deux instituts.
Des faux témoignages, souligne le Pr Homburg à Epoch Times :
« Ils ont affirmé devant les tribunaux que les vaccins étaient très efficaces et nécessaires pour protéger la population tout en sachant qu'il n'y avait aucune protection contre la transmission, et donc aucun fondement pour rendre la vaccination obligatoire. Aussi, ils pourraient être attaqués en justice pour faux témoignages sur la base du contenu des procès-verbaux ». Confinements, vaccination, masques... : les autres enseignements des « RKI-files »
Ces fichiers révèlent également que l'institut Robert-Koch savait pertinemment que les confinements causeraient plus de dégâts que le virus lui-même, que le port du masque en extérieur était inutile, ou encore que la fermeture des écoles ne ralentirait pas la propagation du Covid-19.
S'agissant des confinements, l'établissement notait en décembre 2020 que le résultat à la suite de la mise en œuvre de confinements sur le continent africain a été « une hausse prévue de la mortalité infantile ». « Les conséquences des confinements sont parfois plus graves que le virus lui-même ».
Dans une autre procès-verbal daté du 31 octobre 2020, l'organisme d'État indiquait qu'il n'existe « aucune preuve » scientifique suggérant une utilité des masques FFP2 en dehors des milieux hospitaliers : « Cette information pourrait être transmise au grand public », ajoutait-il. Il ne l'a jamais fait, alors que le port du masque était devenu obligatoire dans l'espace public depuis avril 2020.
Une position réitérée le 15 janvier 2021 : « Les recommandations internationales ne soutiennent pas le port du masque FFP2 en population générale, ou le déconseillent explicitement », précisant par ailleurs que cette mesure peut présenter des « risques », comme la dermatose, une maladie de la peau. Bis repetita le 18 janvier 2021 :
« Il n'existe aucune base technique permettant de recommander les masques FFP2 à la population, donc ajoutez un avertissement sur les effets secondaires indésirables ». Par ailleurs, les experts de l'institut se sont opposés à une fermeture des écoles, sachant que cette mesure ne freinait pas la propagation du virus. Malgré ces avertissements, les écoles ont été fermées à plusieurs reprises, dès mars 2020. Par ailleurs, selon Bastian Barucker, l'établissement fédéral était conscient dès janvier 2020 que les enfants n'étaient pas à risque de développer une forme grave du Covid-19 et qu'ils ne participaient pas de façon significative à la chaine de transmission du virus. Pourtant, ils ont été contraints de porter un masque « pour protéger les autres » et de se vacciner, a-t-il rappelé.
Autre point soulevé dans les « RKI-files », à partir d'une entrée du 29 juillet 2020 : surnommé outre-Rhin le « Doktor Corona », Christian Drosten, virologue à l'hôpital de la Charité ayant bénéficié d'une importante couverture médiatique durant la crise du Covid-19, a rédigé une étude sur les dépistages et aurait pris la décision de ne pas la publier pour des raisons politiques. « M. Drosten a depuis décidé de ne pas publier l'article car les tests non ciblés ne sont pas jugés utiles dans le texte, ce qui contredit l'action du gouvernement », est-il écrit. De quoi pousser Aya Velasquez à dénoncer une « fraude scientifique ».
Par ailleurs, la journaliste, se basant sur les documents du RKI, a également fait savoir durant la conférence de presse que les rappels vaccinaux ne se fondaient pas sur une base scientifique, mais émanaient des politiques, ainsi que du laboratoire pharmaceutique Pfizer.
Autant d'éléments l'amenant à conclure que :
« les "RKI-files" démontrent que les mesures Covid ne se fondaient pas sur des considérations rationnelles et scientifiques, [...] mais étaient purement politiques. L'institut Robert-Koch, autorité soumise à des instructions ministérielles, leur donnait une prétendue légitimité scientifique ». Grâce à ces documents, « un examen honnête et sans compromis de la politique Covid mise en œuvre en Allemagne peut désormais commencer », s'est-elle enthousiasmée. Toutefois, Aya Velasquez a signalé qu'elle n'avait pas eu l'opportunité d'examiner les documents dans leur totalité, invitant alors journalistes et citoyens à participer à cette enquête pour révéler les incohérences entre décisions politiques et avis scientifiques.
Depuis 1750, qui marque la fin de l'avant-dernière période glaciaire mineure provoquée par le minimum de Maunder de l'activité solaire, les ajouts à la concentration atmosphérique de gaz carbonique provenant de sources d'émissions naturelles associées aux processus biologiques sont environ 4,5 fois supérieurs à la contribution des émissions provenant de la combustion de hydrocarbures (par exemple 22,9 ppm par an provenant de la nature, 5,2 ppm par an provenant de la combustion de combustibles fossiles). Au cours des 65 dernières années, ce ratio est tombé à 3,5
Un temps de séjour de seulement 4 ans pour toutes les molécules de gaz carbonique, quelle que soit leur origine, est cohérent avec la conclusion selon laquelle la nature est la principale cause des modifications des concentrations de gaz carbonique. Les émissions des combustibles fossiles ne jouent qu’un rôle mineur.
Les théories bien développées, dotées d'une base mathématique solide, sur les systèmes de réservoir et les échanges avec l'environnement fournissent des informations fondées sur le temps de séjour et les temps de réaction du gaz carbonique atmosphérique. L'atmosphère se comporte comme un réservoir linéaire par rapport au gaz carbonique, dont les échanges sont clairement dominés par les processus de la biosphère, les émissions humaines jouant un rôle mineur.
Les résultats sont cohérents avec les observations, contrairement aux résultats de modèles climatiques complexes, qui se révèlent incompatibles avec la réalité. Le temps de séjour moyen du gaz carbonique atmosphérique est d’environ quatre ans, et le temps de réaction moyen est inférieur, ce qui contredit les estimations courantes qui évaluent les temps à des centaines, des milliers d’années, voire plus.
L'étude résume ensuite les résultats comme suit, dans lequel j'inclus les références liées aux études antérieures et ultérieures :
Les données d’observation du gaz carbonique atmosphérique sont clairement incompatibles avec le récit climatique . Au contraire, ils le contredisent. À cet égard, la présente étude complète les études précédentes en ce sens que (a) la direction de causalité entre la température et le gaz carbonique atmosphérique est opposée à la direction généralement supposée [ 11 , 12 , 13 , 14 , 15 , 16 , 17 , 18 , 19 , 20 , 21 , 22 , 23 , 24 , 25 , 26 , 27 , 28 , 29 , 30 , 31 , 32 , 33 , 34 ], (b) les modèles climatiques déforment la direction de causalité qui émerge des données [ 11 ] , (c) il n'y a aucune preuve apparente d'une influence des émissions anthropiques de gaz carbonique sur l'effet de serre, qui est dominé par la vapeur d'eau et les nuages [ 64 ], et (d) il n'y a aucune preuve apparente d'un changement dans la synthèse isotopique de les sources et les puits de gaz carbonique atmosphérique , qui sont déterminés par les processus dans la biosphère [ 65 ].
En d’autres termes, les données observées sur le gaz carbonique contredisent le récit climatique selon lequel la combustion anthropique de combustibles fossiles est à l’origine des changements de concentration de gaz carbonique.
Le pétrole et le gaz ne sont pas des combustibles « fossiles » – étude
2 septembre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le pétrole brut et le gaz naturel sont généralement appelés combustibles « fossiles ». Il s'agit d'hydrocarbures créés à partir de restes de plantes ou d'autres matières organiques au cours de millions d'années. Cependant, cela n’explique pas les lacs de méthane sur des planètes comme Titan.
Dans l'expérience, des fractions gazeuses plus élevées et du pétrole peuvent être produits à partir du méthane sous haute pression et température, comme celles trouvées à l'intérieur de la Terre. C’est ce qu’affirme Thomas Gold, ancien professeur d’astronomie à l’Université Cornell. Il a expliqué que les puits de pétrole et les gisements de gaz sont rechargés avec du nouveau pétrole et du gaz par le bas. Il a affirmé que la plupart des nouveaux hydrocarbures naissent profondément dans la croûte et montent dans des pièges géologiques à différentes profondeurs pour des parties particulières de la croûte. Il s’agit de la théorie abiogénique de la production d’hydrocarbures, étayée par des données astronomiques et par des données de laboratoire simulant les conditions de la croûte profonde et du manteau supérieur.
Ces processus ont été reproduits expérimentalement en laboratoire. Les scientifiques dirigés par Vladimir G. Kutcherov de l'Institut royal suédois de technologie KTH ont prouvé expérimentalement que cette production d'hydrocarbures fonctionne lors de tests pratiques à des pressions élevées comprises entre 3 et 22 Gpa et à des températures allant jusqu'à 3 000 degrés. Les gaz contenant des hydrocarbures comportant jusqu'à 6 atomes de carbone sont créés en premier. Mais du pétrole avec des chaînes d’atomes de carbone plus longues se forme également. Il existe un certain nombre de publications sur ces expériences, comme celle-ci intitulée « Cycle profond des hydrocarbures » de juillet 2021, comme rapporté plus en détail ici .
Un résumé de ces processus a été récemment publié par MA Lur'e sous le titre « Genesis of Deep Abiogenic Hydrocarbon Systems » dans Chemistry and Technology of Fuels and Oil .
Un élément clé pour comprendre est que les processus chimiques sont souvent très complexes et nécessitent un certain nombre d’autres substances qui ne sont pas directement incluses dans la chaîne de processus elle-même. On pense même que les fluides profonds de la Terre, appelés fluides profonds, forment un système catalytique qui produit de grandes quantités de méthane dans les profondeurs de la Terre. À l'aide de soufre élémentaire, une polymérisation et la formation de diverses fractions pétrolières se produisent.
Les métaux tels que le vanadium jouent un rôle tout aussi important, permettant la production de pétrole à chaîne plus longue, c'est-à-dire plus visqueux.
Cette production de gaz naturel et de pétrole en profondeur dans la Terre peut également expliquer pourquoi les prévisions concernant le pic d’approvisionnement en pétrole étaient fausses. Le réapprovisionnement rapide des champs de pétrole nécessite des réservoirs secondaires plus profonds et sous pression qui se jettent dans les réservoirs primaires à mesure qu’ils s’épuisent. Récemment, de nombreux rapports ont fait état de gisements de pétrole et de gaz qui n'étaient pas épuisés comme prévu, mais contenaient plutôt des niveaux d'hydrocarbures plus élevés, ayant déjà produit plus que la quantité initialement estimée.
L’ article résume comme suit l’état des connaissances scientifiques sur la production purement chimique du gaz naturel et du pétrole brut :
« Les systèmes d'hydrocarbures profonds sont formés par la transformation de fluides profonds à haute température constitués de mélanges de divers composés volatils. Ces processus déterminent la composition en éléments et en groupes du pétrole brut et du gaz naturel. Selon les données disponibles, les fluides profonds sont des mélanges de méthane, d'hydrogène, d'eau, de gaz carbonique, de carbone, de sulfure d'hydrogène, de soufre élémentaire, de NO2 et de structures contenant des métaux. Le méthane, principal composant des fluides profonds, est produit en grande quantité à l'intérieur de la Terre. Puisque certains composants de ces mélanges ont une activité catalytique dans la polymérisation des hydrocarbures, on peut supposer que les fluides profonds représentent un système catalytique naturel. Le soufre élémentaire, présent dans les fluides profonds, possède des propriétés catalytiques et peut donc déclencher des processus de polymérisation. Cela conduit à la formation de structures d’hydrocarbures et d’organosulfures de haut poids moléculaire. Les métaux présents dans les fluides profonds, en particulier le vanadium utilisé comme catalyseur, déclenchent également la formation de complexes de haut poids moléculaire tels que les porphyrines. L’inclusion de soufre et de vanadium dans les pétroles bruts en fait les plus grands concentrateurs de ces éléments. La variabilité du rapport de ces éléments dans les fluides profonds et leur caractère redox influencent l'intensité des processus de polymérisation des hydrocarbures et la formation de composés organosoufrés et de complexes métalliques. Cela conduit à la formation soit de pétroles bruts avec des teneurs variables en soufre et en métaux, soit de systèmes de gaz naturel.
(...) Le pétrole brut et le gaz naturel sont généralement appelés combustibles « fossiles ». Il s'agit d'hydrocarbures créés à partir de restes de plantes ou d'autres matières organiques au cours de millions d'années. (...)
HAHAHAHAHAHA ! 'créés à partir de restes de plantes ou d'autres matières organiques' !! HAHAHAHAHAHA !
La science climatique se lance dans la sorcellerie à plein régime : votre steak fait tomber les ponts comme des jouets de Tinker-Toys
Par Jo Nova September 3rd, 2024
L’Occident moderne régresse vers la science occulte du 8e siècle
Aujourd’hui, le soi-disant « journal de référence » de la nation la plus puissante de la Terre dit en fait aux gens que le steak qu’ils mangent, la voiture qu’ils conduisent et le chauffage qu’ils utilisent pourraient faire s’effondrer les ponts « comme des jouets de Tinker-Toys ». Mais vous devrez relier les points vous-même, car ils ne le font jamais. Personne ne demande aux experts : combien de hamburgers au tofu faut-il pour sauver le pont de Brooklyn ? De combien de voyages en bus aurons-nous besoin pour sauver le Golden Gate ?
Les plus grands journalistes du monde ne posent jamais les questions évidentes. Ils laissent juste une traînée de miettes de pain : l’homme produit du gaz carbonique, le gaz carbonique provoque un temps effrayant et le temps effrayant mange les ponts. Alors les braves gens conduisent des véhicules électriques !
Chaque miette de pain ressemble à du pain, comme si c'était vrai, mais personne ne voit la miche entière et avant que vous ne vous en rendiez compte, tout le monde est perdu dans les bois, installant des panneaux solaires pour sauver leurs ponts.
Il y a deux jours, les miettes de pain disaient « les bonnes personnes se passent de climatisation ».
Le changement climatique peut faire tomber les ponts « comme des jouets de bricolage », disent les experts. New York Times
La situation est si mauvaise que le New York Times nous dit que par une journée d'été à 35 degrés, un pont de Manhattan est resté ouvert « pendant des heures ». (La tragédie). Une autre fois, un pont ferroviaire de l'Iowa a été emporté par les eaux et une partie de la chaussée s'est affaissée dans le Maine.
La vérité est que les ponts américains sont un miracle. Il y a, sérieusement, plus de 600 000 ponts à travers le pays et pourtant c'était toute la catastrophe qu'ils pouvaient trouver dans le paragraphe principal. Nous sommes censés croire que nous traversons une crise des ponts et que les chaleurs « extrêmes », les inondations et les « changements climatiques soudains » sont nouveaux et pires, et que nous en sommes la cause.
Ayez peur : « … maintenant, les chaleurs extrêmes et les inondations accrues liées au changement climatique accélèrent la désintégration des ponts du pays, disent les ingénieurs, ce qui les fait vieillir prématurément.
Le New York Times ne mentionne pas les chiffres importants, mais il dit qu’un quart des ponts aux États-Unis ont été construits avant 1960. Il est donc étonnant qu’il y ait 150 000 ponts qui ont plus de 60 ans. Le plus vieux a 327 ans. Ils essaient de faire croire que les vieux ponts n’ont pas été construits pour faire face au « changement climatique » moderne. Mais qui conçoit des ponts qui ne peuvent pas supporter un réchauffement d’un demi-degré ?
La dernière fois que quelqu’un est mort dans l’effondrement d’un pont aux États-Unis, ce n’était pas à cause du changement climatique mais parce qu’un navire l’a percuté.
La fois précédente, la passerelle qui s’était effondrée était encore en construction.
Les gens ne sont pas tués par le changement climatique, ils sont tués par l’incompétence.
Le professeur a été payé pour trouver une crise Et comme je ne cesse de le dire, « nous avons eu ce pour quoi nous avons payé » :
« Nous avons une crise des ponts qui est spécifiquement liée aux événements météorologiques extrêmes », a déclaré Paul Chinowsky, professeur de génie civil à l’Université du Colorado à Boulder, qui étudie les effets du changement climatique sur les infrastructures. « Ce ne sont pas des choses qui se produiraient dans des circonstances climatiques normales. Ce ne sont pas des choses que nous avons jamais vues à ce rythme. »
Donc, si le professeur Chinowsky découvrait que le « changement climatique » n’avait aucun effet du tout, il n’obtiendrait pas beaucoup de subvention l’année prochaine. Il est peu probable que son domaine soit en vedette lors des sessions d’urgence de l’ONU et il n’obtiendra probablement pas non plus un voyage de ski rémunéré pour rencontrer Harry et Megan à Davos. Sur un plan plus terre à terre, les meilleurs étudiants ne viendront pas frapper à sa porte. Même s'il est un type bien et un gagne-pain, toutes les routes du monde scientifique servent le gouvernement.
Le vrai problème dans cette histoire est que le financement unilatéral du gouvernement a tué la science, et les journalistes organisent une séance de spiritisme avec les cendres.
La calotte glaciaire du Groenland grandit lentement
3 septembre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
La couverture de glace au Groenland s'agrandit depuis un certain temps déjà, ce qui s'avère peu pratique pour les changements climatiques. De nouvelles études et expériences, ainsi que les ensembles de données du portail polaire danois, continuent de nous le démontrer.
L’Arctique et l’Antarctique se refroidissent depuis plusieurs années. Le Groenland connaît également une calotte glaciaire croissante, ce qui a conduit à des annulations de croisières dans les ports en juillet en raison de niveaux de glace excessifs. Les médias commerciaux ont rapporté que le navire de croisière MSC Poesia, qui effectue actuellement sa seule croisière de trois semaines au Groenland à l'été 2024, n'a pu faire escale que dans un seul port du Groenland comme prévu en raison de la situation des glaces dans le sud-ouest du Groenland. Plus d' informations à ce sujet ici .
Comme indiqué , en 2023, la couverture de glace du Groenland était également bien supérieure à la moyenne climatique à long terme (1981-2010) pendant la majeure partie de l'année (du 1er septembre 2022 au 31 août 2023). La calotte glaciaire du Groenland n’a pas coopéré avec le récit du général de l’ONU Antonio Guterres , même pendant les mois de fonte de « l’ébullition mondiale » de juillet et août .
Le Groenland résiste à ce discours depuis des décennies maintenant. Après une brève mais forte période de réchauffement de 1994 au début des années 2000, les températures annuelles moyennes à la surface des terres (LST) n’ont plus tendance depuis 2003 environ. Le Groenland s'est refroidi depuis 2012 ( Fang et al., 2023 ).
Selon le portail polaire danois , l'année qui vient de se terminer présente le même tableau que les années précédentes :
La calotte glaciaire du Groenland s’est donc développée tout à fait normalement au cours des 12 derniers mois, le bilan de masse en surface augmentant au rythme normal.
La carte illustre la hauteur à laquelle la calotte glaciaire a été ajoutée et retirée de la surface au cours de « l’année de bilan de masse » depuis le 1er septembre 2023 par rapport à la période 1981-2010. Ce bilan de masse en surface est toujours positif au cours d'une année, car toute la neige tombée ne s'écoule pas à nouveau de la calotte glaciaire.
Le bilan de masse en surface n'est pas le même que le bilan de masse total (c'est-à-dire le gain ou la perte total de la calotte glaciaire), qui comprend également la masse perdue lorsque les glaciers se détachent des icebergs, la fonte des langues glaciaires lorsqu'elles entrent en contact avec des températures chaudes. l'eau de mer, ainsi que Friction et autres effets au fond de la calotte glaciaire.
La courbe bleue montre la saison qui vient de se terminer, la courbe gris clair montre la saison précédente, tandis que la courbe rouge montre l'évolution correspondante pour la saison 2011/12, lorsque le niveau de fonte a atteint un niveau record.
La courbe gris foncé montre la moyenne pour la période 1981-2010.
La bande gris clair montre les différences d'une année à l'autre. Pour chaque jour calendaire, la bande montre la fourchette sur 30 ans (au cours de la période 1981-2010), mais en omettant les valeurs les plus basses et les plus élevées pour chaque jour.
Moins d'éruptions sous la glace des pôles ne signifient pas que la masse ferrique incandescente s'éteint mais reporte ses expressions aux niveaux équatoriaux.
« Attaque contre l’alimentation et les agriculteurs : comment riposter »
Événement en ligne de deux jours les 6 et 7 septembre 2024
Par Richard C. Cook Recherche mondiale, 03 septembre 2024
J'interviendrai en tant qu'intervenant lors du prochain symposium en ligne « Attaque contre l'alimentation et les agriculteurs et comment riposter », parrainé par le Dr Meryl Nass et son mouvement Door to Freedom .
Mon sujet est « La souveraineté alimentaire », en me concentrant sur l’expérience amérindienne contemporaine.
Door to Freedom promeut un mouvement populaire en faveur d'une meilleure alimentation. Cela signifie une alimentation de meilleure qualité à une époque où la tendance générale de la macroéconomie internationale est à une alimentation de moins bonne qualité .
Bien sûr, les entreprises qui contrôlent une grande partie de l’approvisionnement alimentaire ont toujours essayé de réduire les coûts et de maximiser les profits.
Mais aujourd’hui, la situation s’aggrave de plus en plus, au point de devenir catastrophique. En témoigne la chute vertigineuse de l’espérance de vie aux États-Unis, d’environ trois ans depuis 2019. Les États-Unis se classent désormais au 60e rang mondial en termes d’espérance de vie, derrière des pays comme l’Estonie et l’Arabie saoudite.
Une partie de ce déclin est due à la « pandémie » de COVID, mais un autre facteur est la maladie liée à une alimentation malsaine.
Il y a aussi un contexte macroéconomique.
Les États-Unis connaissent un déclin économique à long terme en raison de facteurs géopolitiques – la guerre par procuration contre la Russie en Ukraine, par exemple – qui a entraîné une réduction majeure de l’hégémonie du dollar au niveau international et une augmentation de la dette fédérale qui s’élève désormais à plus de 35 000 milliards de dollars.
Parallèlement, l'objectif général de l'économie américaine est de maintenir la croissance du marché boursier à un taux moyen de 3 à 5 %. Dans une économie où la croissance est essentiellement stagnante (c'est-à-dire que la seule valeur ajoutée provient de l'inflation), chaque entreprise doit réduire encore plus ses coûts. Cela signifie réduire les salaires par rapport au coût de la vie des travailleurs et réduire la qualité des produits, y compris celle des aliments.
La baisse de qualité des aliments se traduit par un passage massif aux « aliments ultra-transformés », une viande, des fruits et des légumes de moindre qualité dans les rayons des épiceries et une utilisation accrue de produits chimiques de synthèse comme substituts aux ingrédients nutritifs.
Pour s’en sortir, les grandes entreprises et les agences gouvernementales fédérales qui leur sont rattachées déclarent la guerre aux petits producteurs et aux fournisseurs d’aliments alternatifs, comme les vendeurs de lait cru.
'Tout marche comme sur des roulettes !' Les gens se font piquer ! Inoculer profond et en redemande ! Il y a les scientifiques qui ripostent mais arrive 'LIA' qui censure ou pas selon les programmes. Notez que les programmes sont comme les partis politique: tous pareils ! Et puis: Famine à venir. On approche du 'zéro agriculteur' ! Et puis: Virus à venir. On approche du 'zéro habitant'.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué... et faire financer des projets de recherche
- voir photos sur site -
Géo a publié un article assez plaisant (sauf...), « Une "rave party" souterraine se déroule juste sous nos pieds, dans les sols en bonne santé ».
En chapô :
« Les paysages sonores reflètent l'état de santé des écosystèmes : cela se vérifie aussi en milieu souterrain, a montré une équipe australienne spécialisée en éco-acoustique. »
Cela repose sur un article scientifique, « Sounds of the underground reflect soil biodiversity dynamics across a grassy woodland restoration chronosequence » (les bruits du sous-sol reflètent la dynamique de la biodiversité du sol dans une chronoséquence de restauration d'un bois herbacé) de Jake M. Robinson, Alex Taylor, Nicole Fickling, Xin Sun et Martin F. Breed, publié dans le Journal of Applied Ecology de la British Ecological Society.
En voici le résumé :
« 1. La restauration et le suivi de la biodiversité des sols n'ont jamais été aussi importants. L'éco-acoustique apparaît comme un outil prometteur pour détecter et surveiller la biodiversité des sols et s'est récemment révélée efficace dans le contexte d'une forêt tempérée. Cependant, il est nécessaire d'étudier l'efficacité de l'éco-acoustique des sols dans d'autres écosystèmes et biorégions.
2. Ici, nous avons appliqué des outils et des indices éco-acoustiques (Acoustic Complexity Index, Bioacoustic Index, Normalised Difference Soundscape Index) pour mesurer la biodiversité du sol dans une chronoséquence de restauration d'un bois herbacé australien, couvrant trois classes d'âge. Nous avons collecté n = 240 échantillons acoustiques de sol sur deux parcelles défrichées (défrichées en continu par une gestion active), deux parcelles boisées en cours de restauration (revégétalisées il y a 14-15 ans) et deux parcelles de végétation restante pendant 5 jours à Mount Bold, en Australie du Sud. Nous avons utilisé un dispositif d'échantillonnage souterrain et une chambre d'atténuation du son pour enregistrer les communautés d'invertébrés du sol, qui ont également été comptées manuellement.
3. Nous avons constaté que la complexité et la diversité acoustiques étaient significativement plus élevées dans les parcelles revégétalisées et restantes que dans les parcelles défrichées, à la fois in situ et dans les chambres d'atténuation sonore. La complexité et la diversité acoustiques sont également associées de manière significative à l'abondance et à la richesse des invertébrés du sol.
4. Synthèse et applications. Nos résultats confirment que l'éco-acoustique peut aider à surveiller la biodiversité du sol dans différents contextes de restauration forestière, y compris dans les forêts tempérées britanniques et les forêts herbacées australiennes. Cette technologie est prometteuse pour répondre au besoin mondial de méthodes efficaces de surveillance de la biodiversité des sols et pour protéger les écosystèmes les plus divers de notre planète. »
Je n'ai pas fait l'effort de mieux traduire « grassy woodland » – il s'agit d'une surface boisée avec une couverture herbacée – ni « remnant vegetation » – c'est a priori la végétation restée intacte.
Pour les « chambres d'atténuation », il est explique que, pour éviter les bruits parasites, on a prélevé des échantillons de sol avec une pelle et un récipient en plastique de trois litres – la précision est sans doute importante, et cela correspond peut-être au « dispositif d'échantillonnage souterrain » – et on a placé les échantillons dans une « chambre d'atténuation ».
Tout cela a l'air absolument passionnant...
Nous suggérerons cependant que pour analyser la vie du sol, celle des invertébrés susceptibles de produire une mélodie en sous-sol, le plus simple est encore... de faire une recherche visuelle.
Pour Géo, cet article a été l'occasion de divaguer un peu et de faire... de l'agribashing sans lien avec l'article scientifique de base.
Extrait (c'est nous qui graissons) :
« Pourtant, au sein des sols préservés, c'est presque cacophonique. Des bulles éclatent, des cliquetis retentissent… D'après une étude publiée par des chercheurs de l'université de Flinders en Australie et leur collègue de l'Académie chinoise des sciences (Journal of Applied Ecology, 15 août 2024), ce concert du vivant refléterait ainsi la bonne santé de l'écosystème souterrain.
En revanche, dans les champs cultivés en mode intensif, shootés aux pesticides plutôt qu'aux acides, ces substances licites semblent avoir fait taire les vers de terre, scarabées et autres fourmis, fêtards insouciants. Voici venu le temps du "Printemps silencieux" décrit par la lanceuse d'alerte Rachel Carson dès les années… 1960. »
En Allemagne, une exploitation agricole XXL absorbe un autre géant de l'agriculture – et s'étend sur 6.500 ha
3 Septembre 2024 Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
La surface agricole utile s'élevait déjà à 5.500 hectares avant la reprise de la coopérative agricole et s'étend désormais à 6.460 hectares (64 600 000 m² ou 64,6 km²).
L'entreprise agricole Ervema s'étend sur 5.500 hectares. Elle a désormais racheté la coopérative agricole « Drei Eichen » (trois chênes) de l'arrondissement de Saale-Orla. L'entreprise passe ainsi à 6.450 hectares. Et devient l'une des plus grandes entreprises agricoles de Thuringe.
Ma note : Et en France on rêve de « fermes familiales », voire veut les imposer.
La coopérative agricole « Drei Eichen » à Miesitz, dans le district de Saale-Orla, a été reprise par la société ERVEMA agrar. C'est la MDR Thüringen qui en a parlé en premier.
Ervema Agrar Gesellschaft Wöhlsdorf mbH est une société à responsabilité limitée dont le siège se trouve à Staitz, une partie de la commune rurale d'Auma-Weidatal dans le district de Greiz.
L'avenir exact de la coopérative agricole reprise ne sera toutefois décidé que dans les prochaines semaines, a-t-on appris.
La coopérative agricole « Drei Eichen » reprise a été fondée en 1991 après la chute du mur. Ses principaux axes de production sont la production laitière et la production marchande de céréales et d'oléagineux.
La coopérative dispose d'une surface agricole utile de 960 hectares, dont 882 hectares de terres arables. Elle emploie actuellement 22 personnes ainsi que deux apprentis.
Ervema : la taille de l'exploitation atteint désormais 6.460 hectares
La société Ervema Agrar Gesellschaft compte, selon ses propres dires, parmi les plus importants fournisseurs de Thuringe orientale – et manifestement parmi les plus grandes exploitations agricoles de la région.
La surface agricole utile était déjà de 5.500 hectares avant le rachat de la coopérative agricole et s'étend désormais sur 6.460 hectares.
La production agricole se répartit sur quatre régions. À Staitz, on pratique la production laitière et végétale. Sur des sites comme Auma, Dörtendorf, Niederböhmersdorf et Göhren, il y a un élevage et un engraissement de bovins.
Le site de Wöhlsdorf sert de base technique. Le site de Clodra abrite une exploitation laitière avec élevage de veaux. Il y a environ 6.000 bovins sur l'exploitation.
De nombreux rachats ont déjà eu lieu
L'ERVEMA agrar Gesellschaft Wöhlsdorf mbh a été fondée en 1990, avec 67 employés et une surface de 1.700 ha et 750 vaches laitières.
En 1993, la LPG Niederböhmersdorf a été reprise et la société Agrargesellschaft Staitz mbH « Weidatal » a été fondée. L'entreprise s'est agrandie de 950 ha et de 340 vaches.
En 2006, l'entreprise suivante a été avalée : la SSB Höhenölsen avec 1.150 ha de surface et 250 vaches. Puis, en 2017, la coopérative agricole « Holzland » Weißenborn e.G a été intégrée et, en 2022, la société Rüdersdorfer Agrar GmbH.
L'entreprise ERVEMA est actuellement dirigée par 3 managers (1 fondé de pouvoir, 2 directeurs). 26 associés participent à l'entreprise. L'entreprise dispose de 7 sites au total.
La société ERVEMA agrar est inscrite au registre du commerce sous la forme juridique d'une société à responsabilité limitée.
Par Jeff Thomas International Man 3 septembre 2024
« Imaginez une situation dans laquelle l’économie d’une nation est sur le point de connaître un effondrement économique de proportions épiques, mais reste sans cesse au bord du gouffre. Chaque jour, un effondrement est plus probable, mais le château de cartes économique reste dans un état d’animation suspendue. Certaines personnes deviennent de plus en plus nerveuses, tandis que d’autres deviennent plus complaisantes. Seuls quelques-uns choisissent de se préparer réellement à ce qui va arriver.
« Une situation impossible ? Oui. Mais nous serions bien avisés de reconnaître qu’elle ne pourrait pas se produire uniquement… dans la Quatrième Dimension. »
Pour ceux qui sont assez vieux pour se souvenir de La Quatrième Dimension, l’émission de télévision américaine décalée « et si », cette introduction d’épisode par l’animateur Rod Serling semblerait s’intégrer parfaitement au format de l’émission.
L’émission a été diffusée de 1959 à 1964, présentant des rebondissements quelque peu irréels dans le monde normal dans lequel nous vivons. Chaque épisode examinait la façon dont les gens réagiraient à la situation de l’épisode et se terminait généralement par une leçon de morale de M. Serling sur la nature de l’humanité.
Étrangement, l’épisode ci-dessus, aussi improbable qu’il ait pu paraître il y a à peine dix ans, se déroule dans la vie réelle.
Les actions grimpent en prix, tandis que les dividendes sont en baisse ou, pour certaines des entreprises à la croissance la plus rapide, inexistants. Les obligations sont un pari pire, mais une bulle obligataire de proportions épiques existe. Les gouvernements du monde entier se débarrassent de la dette américaine, alors que la Fed achète des milliards de dollars de dette chaque mois.
En effet, la dette croît aujourd’hui au moins deux fois plus vite que l’économie qui doit la payer.
L’assouplissement quantitatif a été inventé pour renflouer les banques en 2008, mais il continue à ce jour, bien après que le problème ait été prétendument résolu.
Les prestations sociales et de sécurité sociale sont à un niveau record, mais elles sont sous-financées au point de s’effondrer dans un avenir proche, indépendamment des autres catastrophes économiques imminentes.
Pendant ce temps, de multiples guerres inutiles sont menées au prix d’un coût faramineux pour une nation déjà insolvable, et d’autres pays sont menacés d’une éventuelle guerre s’ils ne « se comportent pas bien ».
Nous nous trouvons dans la situation extraordinaire d’être dans la plus longue période de boom de l’histoire, mais il n’y a pas de véritable boom, seulement l’illusion d’un boom.
À un tel moment, il serait prévisible que ceux qui sont inquiets se rueraient vers les métaux précieux, comme ils le font depuis des milliers d’années, chaque fois que la situation économique devient intenable. Pourtant, seule une infime partie de la population mondiale le fait.
Jamais dans l’histoire, les principales économies du monde n’ont été dans une bulle économique qui englobe pratiquement tout. Et pourtant, incroyablement, cette situation existe depuis plus d’une décennie. Techniquement, nous sommes en dépression depuis 2007 et pourtant la bulle qui aurait dû éclater à l’époque continue de grossir.
Est-ce que cela signifie que l’ère des krachs est révolue et que la bulle peut s’étendre indéfiniment sans éclater ?
Eh bien, non. La bulle éclatera très certainement et plus elle gonflera, plus la débâcle finale sera grave.
Nous sommes donc dans un état d’animation suspendue, en attendant que le choc se produise.
Certains des meilleurs économistes ont commencé à mettre en garde contre le krach à venir alors que ses causes commençaient à se dessiner il y a des décennies. Et presque tous ont prédit qu’il aurait déjà eu lieu, il y a au moins cinq ans.
Mais comment auraient-ils pu estimer une date possible pour un tel événement ? Les krachs économiques sont notoirement difficiles à déterminer quant au moment.
Eh bien, tous (et je dois m’inclure ici) ont supposé que les conditions seraient devenues si insoutenables économiquement à l’heure actuelle qu’un effondrement aurait sûrement été une quasi-certitude.
Et sur ce point, nous avions raison sur le plan conceptuel. Nous nous trompions en pensant que toute logique soutenait l’hypothèse selon laquelle, une fois les conditions atteintes, l’argent commencerait à sortir du système, ce qui entraînerait un krach.
Historiquement, c’est toujours ce qui se passe. Lorsqu’un krach est proche, l’argent intelligent sort. Pourtant, cette fois-ci, chaque fois que l’argent a quitté le système, il a été remplacé par une dette considérablement accrue, occultant le fait que l’argent intelligent a commencé à sortir.
Par conséquent, nous avons continué à avoir l’impression de vivre une période de boom – la plus longue période de boom de l’histoire. Malheureusement, la grande majorité des gens sont incapables de reconnaître la pléthore de signes indiquant que l’économie s’est effondrée.
De plus, des statistiques comme l’inflation et le chômage ont été falsifiées depuis l’administration Clinton, pour tromper la population en lui faisant croire qu’ils n’ont pas atteint des niveaux de dépression.
La cerise sur le gâteau a été que les médias – dont 80 % appartiennent aux mêmes six sociétés de l’État profond – délivrent un message quotidien selon lequel l’économie est en hausse et que le public devrait « acheter, acheter, acheter ! »
Sans surprise, ceux qui ont donné l’alerte précoce de la crise économique à venir se font régulièrement dire : « Vous criez au loup depuis des années. Le krach n’a pas eu lieu. Vous aviez tort. »
Et cette critique n’est pas injustifiée. Il ne fait aucun doute que le délai a été prolongé au-delà de toutes les attentes. Cependant, les fondamentaux restent les mêmes et, aujourd’hui, ils sont bien plus prononcés qu’ils ne l’étaient en 2007.
À l’époque, nous nous attendions à un petit krach, qui s’est effectivement produit, suivi de « l’œil du cyclone », une période calme de trois à cinq ans au cours de laquelle une fausse reprise aurait lieu.
Cet « œil » s’est avéré artificiellement élargi par les divers acteurs du Deep State, au détriment ultime de pratiquement tout le monde.
Le deuxième krach majeur – prédit avant 2007 et qui devait se produire plusieurs années après le krach mineur de 2007 – n’est pas seulement toujours imminent ; il est plus certain que jamais. Les fondamentaux restent les mêmes et atteindront leur conclusion logique.
Certes, cela a donné aux économistes qui suivent depuis des décennies la débâcle économique imminente la sensation d’être en suspens depuis plusieurs années.
Il n’est donc pas surprenant que la situation actuelle ressemble à un épisode de La Quatrième Dimension, avec la regrettable particularité qu’il ne s’agit pas d’une émission de télévision, mais d’une réalité artificiellement retardée.
La sidérante attaque de la presse subventionnée contre les publications scientifiques: elle ne se contente plus de les censurer , elle veut les remplacer
le 2 septembre 2024 par pgibertie
La technique était connue, soit inventer un pseudo consensus (le climat) soit ne retenir qu’une étude sur 100, la plus mauvaise et ne jamais parler de la rétractation . Ainsi la presse subventionnée ne parla jamais des centaines d’études qui valident l’ivermectine mais propagea les idioties de la call girl Anderson contre l’hydroxychloroquine. Puis silence quand l’étude fut rétractée.
- voir doc sur site -
Au début de l’année roulement de tambour sur une étude bidon attestant que 17000 personnes étaient mortes de l’HCQ. Le monde scientifique éclate de rire puis s’indigne, tout est grossier , pipoté
LA MÉTHODE DE L ÉTUDE
ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites
On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé
On le multiplie par le nombre de décés covid
ON ARRIVE A UN RÉSULTAT REPRIS PAR LES MEDIA
- voir doc sur site -
Devant tant de bêtise l’étude fut rétractée
La Revue a été informée des débats des lecteurs au sujet de cet article. La Revue a reçu un certain nombre de lettres à la rédaction et de correspondances de lecteurs.
Le plan, tel que publié dans une version antérieure de cette note de l’éditeur, était initialement de publier ces lettres à l’éditeur, après que les auteurs de l’article ci-dessus aient eu le droit de répondre et de soumettre une réponse (qui serait également publiée, après examen).
Après avoir évalué toutes les informations à ce stade, ainsi que l’étendue et la profondeur des critiques, le rédacteur en chef a pris la décision de changer d’approche et de traiter cette question par le biais du processus du Comité d’éthique des publications (COPE) pour les corrections du dossier scientifique :https://publicationethics.org/
Professeur Danyelle Townsend, rédactrice en chef, Biomédecine et Pharmacothérapie
@CorinneReverbel
- voir doc sur site -
La réaction de la presse subventionnée: la science c’est nous pas les revues scientifique Rien que le titre promet : « Rétraction d’une étude sur l’hydroxychloroquine : intimidations, réseaux pro-Raoult et « procès en hérésie » On sait que l’on ne va pas parler de la fraude scientifique qui a été reprise dans les médias dans le monde entier sans précaution aucune, ni des origines de cette étude. Avec
@beauantoine la désinformation commence dès le titre.
Les biais du sous-titre confirment : « Le retrait d’une étude estimant à 17 000 le nombre de victimes de l’hydroxychloroquine, utilisée à tort contre le Covid-19, suscite de vives inquiétudes chez les scientifiques. » Aucune précaution et on oriente sur le fait que ce retrait serait inquiétant plutôt que de chercher à comprendre pourquoi cette étude n’aurait pas dû être publiée !
Dites donc, la manipulation et les fakenews, c’est pas beau monsieur Beau
@beauantoine
Tout est déformé ou manipulé dans cet article de l’@LEXPRESS
, de la belle désinformation dans le domaine de la Santé Qu’en disent la@Miviludes_Gouv
, et le ministère@MinistereCC
qui surveillent les fakenews du domaine de la santé dans les médias ?
Parce que la vraie information est que
: 1-l’article a été rétracté par l’éditeur
2- cela a fait suite à plusieurs « letter of concern » ( critiques scientifiques sur le fond de l’article envoyées à l’éditeur )
3- l’éditeur a décidé qu’au vu « de l’étendue et de la profondeur de la critique » l’article devait être soumis au processus COPE (Comité d’éthique de la publication) 4- suite au processus COPE et aux 2 PROBLÈMES MAJEURS qui ont été mis à jour via COPE,
- voir doc sur site -
l’éditeur a décidé de rétracter l’étude Tout le reste n’est que manipulation https://sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X?via%3Dihub
La « République démocratique du Congo » est en réalité un État indépendant depuis 1961 et a fonctionné sous le nom de « Zaïre » de 1971 à 1997. En fait. Cependant, depuis la fin du régime colonial, le pays est exploité par les élites d’Europe occidentale. Sous la direction du roi belge Léopold II, le Congo est devenu un fournisseur de caoutchouc imbibé de sang.
Désormais, le Congo servira de laboratoire à ciel ouvert pour le « Mpox ». Les victimes prévisibles de l'isolement expérimental et des injections expérimentales de gènes doivent être à nouveau prises en charge par la population locale. Contrairement à l’époque coloniale, cette fois-ci, ce sont les contribuables de l’Union européenne qui paient la note.
Le peu d'autodétermination dont jouit le Congo est devenu évident quelques mois seulement après son indépendance officielle de la puissance coloniale belge, le 30 juin 1960. Six mois plus tard, le premier Premier ministre librement élu, Patrice Lumumba, était assassiné, probablement avec l'implication des services secrets occidentaux.
Depuis, le deuxième plus grand pays en superficie du continent africain avec ses 100 millions d’habitants n’a jamais connu de développement pacifique. Le pays est gouverné de manière autoritaire partout. Les hommes politiques meurent généralement prématurément et subitement. Seul le dictateur Joseph Mobutu est resté au pouvoir pendant 32 ans. Il y a plus de guerre que de paix. Le génocide contre les Hutu a également fait la une des journaux internationaux. Malgré de riches gisements de matières premières, le Congo est l’une des régions les plus pauvres du monde.
Cependant, le Congo a longtemps été un « État en faillite » avant d’être rétrogradé au rang de colonie belge en 1885. Tout a commencé avec les premiers contacts européens, lorsque les Portugais ont établi un comptoir commercial à l'embouchure du Congo à la recherche d'une route maritime vers le sous-continent indien. Le roi régnant Nkuwu a coopéré, a été baptisé João Ier en 1491 et a reçu une aide militaire en retour. Après sa mort, le chrétien Mwemba resta vassal du Portugal et du pape sous le nom de Dom Afonso I (?-1543) pendant encore 37 ans. Cependant, son espoir d’être reconnu comme un égal par les Européens ne s’est pas réalisé.
Dom Afonso I s'est rendu compte trop tard que, derrière le masque d'un christianisme soi-disant bienveillant, son pays était en train de dégénérer et de devenir le principal point de commerce des esclaves africains. En 1512, en échange de personnes, d'ivoire et de cuivre, les Portugais lui promirent l'établissement d'un système juridique, d'une armée, d'un engagement missionnaire et de l'instruction de la cour sur l'étiquette portugaise.
Les protestations d'Afonso contre l'hémorragie de son pays sont restées lettre morte. Après que trois courriers qu'il eut envoyés pour protester auprès du roi du Portugal et que le pape eut disparu sans laisser de trace entre Lisbonne et Rome, il expulsa les Portugais du pays en 1526. Mais à cette époque, le Congo avait perdu depuis longtemps sa souveraineté en raison de sa dépendance à l’égard du Portugal.
Afin de repousser une attaque du peuple Jaga, l'armée portugaise fut appelée à l'aide en 1569. Le Congo est devenu tributaire et a perdu son équivalence formelle en tant que royaume. La traite négrière s'est étendue et a dépeuplé des régions entières. La tentative d'invalider les traités conclus avec le Portugal en 1665 et de récupérer tous les territoires annexés échoua.
Une armée portugaise a vaincu l'armée congolaise, décapité le roi et divisé le pays en provinces individuelles. Le Royaume du Congo, alors dirigé par des marionnettes politiques, n’existait que sur le papier. Depuis lors, la traite négrière a pu s'étendre sans être dérangée et systématiquement par les Européens, les Afro-Arabes et certains peuples africains. Du début du XVIe siècle au milieu du XIXe siècle, environ cinq millions d'esclaves ont été expédiés depuis les côtes du Congo.
Telle était la situation lorsque le roi Léopold II convoqua une conférence géographique à Bruxelles en septembre 1876 pour explorer le Congo. Ils ont fait semblant de vouloir aider et ont fondé une Société internationale africaine (IAG) censée coordonner le travail humanitaire et scientifique. Cependant , dès 1879, la participation belge dans l'IAG a été remplacée par la Société Internationale du Congo (IKG), qui s'occupait exclusivement du développement économique du bassin du Congo . Les dirigeants locaux ont cédé contractuellement leurs territoires à l'IKG et ont permis la construction d'infrastructures pour le transport de marchandises. En 1885, le territoire de l'actuelle République démocratique du Congo fut attribué à l'IKG, dont l'unique propriétaire était désormais Léopold II. Cela signifiait que ce qu’on appelle l’État indépendant du Congo était la propriété privée d’une seule personne !
Il est à craindre que « Mpox » ne représente qu’un nouvel épisode dans le massacre des personnes qui y vivent. Déjà sous le règne colonial de Léopold II, environ la moitié des 25 millions d'habitants du Congo sont morts à cause du travail forcé, de l'esclavage, du meurtre et de la malnutrition. ii
La deuxième guerre du Congo, après la chute de Mobutu, a dépeuplé des régions entières du pays. Les projections supposent plus de trois millions de victimes indirectes de la guerre. Une troisième guerre au Congo a officiellement duré de 2007 à 2013. Depuis mars 2022, les combats ont repris entre les rebelles et les troupes régulières. Il y avait au moins six millions de personnes déplacées à l'intérieur du pays. La moitié de la population vit avec des réserves alimentaires insuffisantes. Le 19 mai 2024, une nouvelle tentative de coup d’État a eu lieu.
Dans un pays où règnent constamment des guerres et des difficultés, des maladies infectieuses épidémiques sont inévitables. En faire la base d’une urgence mondiale démontre les actions motivées par les intérêts de l’OMS. Ces liens et d'autres sont expliqués plus en détail dans le nouveau livre « La conquête de l'Ancien et du Nouveau Monde » (Engelsdorfer Verlag) . iii
Références
i Hochschild A : Le fantôme du roi Léopold. Mifflin ; Boston/New York 1998
ii Hochschild A : Le fantôme du roi Léopold. Mifflin ; Boston/New York 1998
iii https://www.engelsdorfer-verlag.de/geschichte/Die-Eroberung-der-Alten-und-Neuen-Welt::8244.html
Somnifères et champs électromagnétiques
RépondreSupprimerFil de discussion ouvert de septembre
UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
01 SEPTEMBRE 2024
Je crois que l’un des plus gros problèmes de la médecine moderne est que les patients n’ont souvent pas la possibilité d’établir une véritable relation avec leur médecin et manquent donc souvent de la voix critique nécessaire à une relation thérapeutique médecin-patient. Pour cette raison, mon objectif ici a toujours été de pouvoir correspondre avec tous ceux qui m’ont contacté. Malheureusement, en raison du trafic que je reçois maintenant, il n’est pas possible de le faire. Pour cette raison, j’ai décidé que la meilleure solution était d’avoir un fil de discussion ouvert mensuel (où les gens pourraient poser toutes les questions qu’ils voulaient) et de le lier à un sujet sur lequel j’avais envie d’écrire mais qui ne méritait pas vraiment un article complet. Dans le fil de discussion ouvert de ce mois-ci, je discuterai d’une autre facette du casse-tête de l’insomnie : les appareils qui améliorent le sommeil et les stratégies pour un logement adapté au sommeil.
L’importance du sommeil
Je pense qu’à l’heure actuelle, l’un des éléments les plus importants pour la santé est d’avoir un sommeil réparateur, ce qui nécessite d’avoir un cycle de sommeil fonctionnel. Par exemple, comme je l’ai montré dans un article récent, certaines des fonctions essentielles du sommeil comprennent :
Maintenir la santé circulatoire et prévenir les crises cardiaques.
Assurer une bonne santé métabolique (par exemple, prévenir la faim, le diabète et la prise de poids).
Soutenir la fonction immunitaire (par exemple, réduire la sensibilité à la grippe).
Prévenir le cancer.
Éviter la fatigue, le brouillard cérébral et les accidents graves.
Vous garder éveillé et alerte.
Guérir et restaurer le cerveau (par exemple, réduire le risque d’Alzheimer).
Réguler la fonction hormonale et maintenir la fertilité (par exemple, le manque de sommeil diminue les niveaux de testostérone).
Gérer les traumatismes émotionnels (par exemple, le sommeil est généralement perturbé dans le TSPT, et le TSPT s’améliore souvent de manière significative une fois qu’un médicament est administré qui empêche le TSPT de perturber le sommeil).
RépondreSupprimerInterpréter les signaux émotionnels.
Permettre un contrôle rationnel sur les impulsions.
Maintenir son sens de la réalité (par exemple, une privation prolongée de sommeil peut déclencher une psychose, et le sommeil est connu pour être perturbé chez les patients schizophrènes).
Faciliter la créativité (par exemple, de nombreuses découvertes révolutionnaires proviennent des rêves, Thomas Edison était bien connu pour utiliser les rêves pour concocter ses inventions, et lorsque les gens sont réveillés du sommeil paradoxal, ils démontrent souvent une capacité de résolution de problèmes abstraits radicalement améliorée).
Réduire la sensibilité à la douleur (alors que la privation de sommeil l'augmente).
Faciliter la rétention à long terme des souvenirs.
Plus important encore, plutôt que de considérer ces avantages comme abstraits, les gens remarquent immédiatement à quel point ils se sentent pires lorsqu'ils sont privés de sommeil ou qu'ils souffrent d'une maladie (par exemple, la fibromyalgie ou la fatigue chronique) qui les empêche d'avoir un sommeil réparateur.
La guerre contre le sommeil
Étant donné l’importance du sommeil pour la santé, il est remarquable que notre société s’en sorte si mal et que nos autorités sanitaires fassent si peu pour le soutenir. Je pense que cela est dû à de nombreux intérêts économiques différents qui s’opposent à la création des changements nécessaires à un sommeil sain. Par exemple :
• De nombreuses industries dépendent de l’utilisation par les consommateurs d’appareils électroniques lumineux la nuit (ce qui est terrible pour le cycle du sommeil).
• De nombreuses industries (par exemple, les hôpitaux) dépendent de travailleurs ayant des horaires anormaux (par exemple, travaillant périodiquement de nuit), ce qui perturbe fortement le cycle du sommeil et donc la santé (par exemple, l’OMS classe le travail posté comme un cancérigène humain probable puisque les recherches existantes montrent qu’il provoque une augmentation de 33 à 62 % du risque de cancer).
• L’industrie pharmaceutique (qui exerce désormais un contrôle important sur le gouvernement) compte sur le fait que les Américains souffrent d’autant de maladies chroniques que possible. Pour cette raison, les moyens sûrs et non brevetables de rester en bonne santé (par exemple, l’exposition régulière au soleil en extérieur) sont activement décriés par l’industrie médicale.
•L’insomnie est l’un des plus gros marchés de médicaments aux États-Unis (par exemple, en 2022, 65 milliards de dollars ont été dépensés en somnifères), de sorte que l’industrie profite du fait que l’insomnie est une maladie chronique qui a une réponse marginale aux médicaments existants, obligeant ainsi la population à devenir des consommateurs à vie de ces produits. Dans le cas des somnifères, c’est particulièrement regrettable car plutôt que de vous aider à dormir, la plupart d’entre eux fonctionnent comme des sédatifs qui bloquent le cycle du sommeil une fois que l’utilisateur est assommé. Pour cette raison, les somnifères ont de nombreux effets secondaires graves (par exemple, une grande étude a révélé que, selon le nombre de somnifères pris, ces pilules augmentaient le risque de décès de 3,6 à 5,4 fois), et malheureusement, de nombreuses autres données tout aussi inquiétantes sur ces médicaments existent.
RépondreSupprimerJ’ai récemment évoqué l’un des aspects les plus tragiques de toute cette histoire : le fait qu’un somnifère très efficace (qui a complètement transformé la vie des gens) a été enterré dans les années 1990 par la FDA en collusion avec les médias de masse (en utilisant un manuel qui était remarquablement similaire à ce que nous avons vu faire avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine pendant la COVID-19). Ces événements étaient si flagrants qu’ils ont inspiré le comédien Jimmy Dore à faire un segment sur la guerre de la FDA contre le sommeil.
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Environnements de sommeil
Le sommeil étant si essentiel pour la santé, comme beaucoup, je préconise de veiller à ce que l’environnement dans lequel vous dormez soit propice à un sommeil sain (car le processus de sommeil est très sensible aux stimuli externes car il est essentiel pour la survie de pouvoir se réveiller si un danger potentiel se trouve dans l’environnement). De nombreux principes pour assurer un environnement de sommeil sain sont regroupés sous le terme générique d’« hygiène du sommeil », une approche qui vise à cultiver un environnement de sommeil qui contient les signaux qui ordonnent au corps d’entrer dans le cycle du sommeil (par exemple, en évitant la lumière artificielle, en particulier la lumière bleue, en évitant que la pièce ne soit trop chaude, en évitant toute activité mentale avant l’heure du coucher et en se couchant systématiquement à la même heure).
Remarque : les principes de l’hygiène du sommeil sont abordés plus en détail ici.
RépondreSupprimerActuellement, je pense qu’un environnement de sommeil sain est si important que lorsqu’un patient devient un acheteur potentiel, je lui conseille souvent de donner la priorité à la qualité de son sommeil dans la maison qu’il envisage d’acheter, de faire une petite sieste dans le lit de la maison lorsqu’il la visite et, si possible (pendant la durée du contrat), de pouvoir dormir une nuit dans la maison. Cela s’explique en partie par le fait que je crois en son importance pour leur santé et en partie parce que je vois régulièrement des gens qui finissent par vendre leur maison parce qu’ils ne peuvent pas y dormir. De plus, alors que le marché immobilier devient de plus en plus compétitif, la « capacité de sommeil » d’une maison est rarement prise en compte et, par conséquent, si un acheteur la recherche, il peut généralement l’obtenir.
Remarque : un meilleur sommeil est un avantage majeur de la vie en zone rurale.
Champs électromagnétiques et environnements de sommeil
Lorsque la capacité de sommeil d’une maison est prise en compte, des éléments tels que le bruit environnant (par exemple, la circulation extérieure, les voisins, le trafic aérien), la qualité de l’air et la pollution lumineuse environnante sont souvent pris en compte.
Remarque : il y a eu récemment une transition des lampadaires orange (à vapeur de sodium) vers des lampadaires LED blancs brillants (car ils sont plus économes en énergie et donc « plus respectueux de l’environnement »). Je ne suis pas favorable à cette idée, car les nouveaux éclairages sont assez nocifs pour la faune, rendent beaucoup plus difficile l’observation des étoiles la nuit et rendent le sommeil beaucoup plus difficile (si elles sont près de votre fenêtre). De plus, les dangers sont suffisamment importants pour que l'AMA ait mis en garde contre les effets de ces nouvelles lampes sur la santé en 2016 (et ait rédigé un rapport détaillé sur leurs dangers).
Cependant, d'autres facteurs affectant le sommeil (par exemple, les produits chimiques toxiques qui se dégagent des gaz d'une maison neuve) sont rarement évoqués. Parmi ceux-ci, je trouve que la qualité d'une maison la plus systématiquement sous-estimée est sa qualité électrique.
Étant donné que de nombreux facteurs peuvent affecter la capacité de sommeil électrique d’une maison et que la réaction des individus varie considérablement d’une personne à l’autre, je conseille généralement aux patients de voir comment la maison fonctionne pour eux plutôt que d’essayer de donner des règles strictes à suivre (bien que des compteurs EMF de meilleure qualité qui peuvent détecter les micro-ondes à haute fréquence soient souvent utiles à cet égard).
RépondreSupprimerRemarque : la plupart des sites où j’ai constaté que les patients ont eu les expériences les plus rajeunissantes (par exemple, en particulier les sources chaudes curatives) ont tendance à être situés dans des zones à faibles EMF. L’une des anecdotes les plus intéressantes que j’aie jamais entendues à ce sujet est venue de Dietrich Klinghardt (un médecin intégrateur bien connu qui met l’accent sur les dangers des EMF), qui a déclaré qu’il avait trouvé une vallée en Amérique du Sud qui était une zone morte EMF, et qu’il faisait souvent disparaître de graves maladies chroniques lorsque les patients y vivaient. Malheureusement, à mi-chemin de ce processus, une tour de téléphonie mobile a été placée dans la vallée et la zone est devenue inutilisable à cette fin, ce qui témoigne d’un problème plus large : les zones sans EMF deviennent de plus en plus difficiles à trouver.
En règle générale, lorsque j’examine les qualités électriques d’une maison, j’ai constaté que les éléments suivants peuvent avoir de l’importance.
• Si le câblage de la maison crée des poches concentrées d’électricité sale.
• La quantité de Wifi présente (par exemple, celle des voisins).
• La proximité de la maison par rapport aux tours de téléphonie mobile (et inversement, s’il y a des montagnes qui bloquent leur signal pour qu’il atteigne la maison).
Remarque : ce site Web est la meilleure ressource que j’ai trouvée pour évaluer la proximité des tours de téléphonie mobile par rapport aux maisons, bien que j’aie rencontré des cas où des tours n’y étaient pas répertoriées.
• Si la maison se trouve sur le chemin d’une installation radar (par exemple, parce qu’elle est proche d’un aéroport).
• Si la maison se trouve sur une ligne de contrainte géopathique (par exemple, elle traverse une rivière souterraine).
RépondreSupprimerRemarque : j’ai également constaté que dans certains cas, l’inverse peut se produire et que la géologie sous-jacente peut faire en sorte qu’un endroit soit beaucoup plus propice au sommeil.
En retour, de nombreuses personnes trouvent que le fait de modifier les qualités électriques d’une maison peut améliorer considérablement leur sommeil. Par exemple, j’ai entendu plus de témoignages que je ne peux en compter de la part de personnes (plus sensibles à l’électricité) qui ont déclaré que le fait de couper les disjoncteurs de leur maison la nuit améliorait considérablement leur sommeil et j’ai également entendu de nombreuses personnes dire que le fait de couper le Wi-Fi de leur maison la nuit leur faisait faire des rêves beaucoup plus profonds et plus vivants.
Remarque : c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles de nombreuses personnes (dont moi-même) ont leur maison câblée avec des lignes Ethernet plutôt que d’utiliser le Wi-Fi.
Le lien entre les champs électromagnétiques et l’hygiène du sommeil est quant à lui quelque peu controversé, car il se situe en dehors du paradigme conventionnel et il n’existe pas encore de mécanisme clairement établi qui pourrait expliquer comment ils perturbent le sommeil. De ma propre exploration de ce sujet, j’ai découvert un article de 2019 qui a fourni un indice fascinant sur cette énigme.
Remarque : pour le contexte, l’hippocampe (la partie du cerveau responsable de l’apprentissage et du stockage des souvenirs à court terme dans les souvenirs à long terme, ce qui est également une fonction essentielle du sommeil) s’appuie sur une activité d’ondes périodiques lentes pour accomplir sa consolidation de la mémoire.
En bref, cet article a fourni les preuves permettant d’affirmer que :
• Les ondes périodiques lentes que l’hippocampe utilise pour encoder les souvenirs ne sont pas transmises physiquement (par exemple, par des jonctions synaptiques et des neurotransmetteurs) mais plutôt par des champs électriques couplés qui peuvent se propager d’eux-mêmes.
• Auparavant, on pensait que ces champs étaient trop faibles pour avoir de l’importance, mais les auteurs ont pu montrer que ces champs faibles pouvaient exercer un effet biologique.
• Les champs électriques que l’hippocampe utilise pour encoder les souvenirs sont sensibles aux champs électriques externes.
• De ce fait, un champ appliqué de l’extérieur pourrait soit renforcer soit annuler le champ généré par l’hippocampe.
RépondreSupprimerCela fournit à son tour un mécanisme pour expliquer pourquoi les champs électromagnétiques environnementaux pourraient affecter le processus de sommeil (en particulier le rêve).
Remarque : nous conseillons souvent aux patients de ne pas charger leur téléphone portable près de leur lit. Cela est dû en partie au fait que la lumière émise par le téléphone perturbe le sommeil, en partie aux champs électromagnétiques qu'il émet (et que le processus de charge émet) perturbent le sommeil, et au fait que le fait de recevoir continuellement des messages auxquels vous pensez ou auxquels vous répondez pendant la nuit nuit également au détriment du sommeil.
Après avoir publié cet article, j'ai reçu cet e-mail d'un lecteur que je voulais partager
Sensibilité aux champs électromagnétiques
Les effets biologiques des champs électromagnétiques sont une autre question très controversée. En effet :
• La sensibilité à ces champs varie considérablement.
• De nombreuses industries dépendent des champs électromagnétiques pour fonctionner (et ont donc tout intérêt à ce qu'ils soient considérés comme totalement sûrs).
Remarque : les champs électromagnétiques ont des effets biologiques importants mais la recherche se heurte à de nombreux obstacles politiques. Il existe donc un ensemble important de preuves montrant que les champs électromagnétiques peuvent causer des dommages biologiques (par exemple, voir ce livre et ce livre pour les liens avec le cancer, les palpitations et l'infertilité masculine). Pourtant, la plupart des recherches les plus récentes proviennent de pays comme la Russie et parviennent donc rarement à la communauté scientifique occidentale.
D'après ma propre expérience, vous rencontrerez généralement des personnes qui appartiennent à l'une des catégories suivantes :
• Ils sont extrêmement sensibles aux champs électromagnétiques et doivent vivre dans des zones rurales isolées pour éviter des symptômes débilitants (par exemple, des migraines rapides qui conduisent à des convulsions). À moins de connaître directement des personnes comme celles-ci, il est souvent difficile de croire qu’elles existent, mais les personnes hypersensibles à l’électricité (EHS) sont très présentes.
RépondreSupprimer• Ceux qui souffrent de maladies chroniques (en particulier de troubles des mastocytes) et qui se rendent compte progressivement que leur maladie s’aggrave considérablement lorsqu’ils sont exposés aux champs électromagnétiques.
• Ceux qui ressentent les champs électromagnétiques et peuvent dire qu’ils ne sont pas bons pour eux (parce que les champs sont inconfortables), mais qui ne sont généralement pas significativement affectés par eux. C’est par exemple mon cas.
• Ceux qui peuvent relier des symptômes mineurs à des expositions aux champs électromagnétiques (par exemple, un mal de tête dû à une utilisation prolongée du téléphone portable).
• Ceux qui, lorsque vous le leur faites remarquer, remarquent qu’ils se sentent plus détendus, calmes et lucides dans les zones à faibles champs électromagnétiques.
•Ceux qui n’ont aucune réaction perceptible aux champs électromagnétiques et ne peuvent pas comprendre pourquoi d’autres le font.
De même, je constate que certaines personnes ne peuvent pas dormir dans des logements à forts champs électromagnétiques, d’autres remarquent qu’elles ont un sommeil plus réparateur dans des logements à faibles champs électromagnétiques, et beaucoup d’autres n’ont aucun problème à être saturées par les champs électromagnétiques et la lumière extérieure pendant leur sommeil. Cela touche à l’un de mes principes clés en médecine : il faut reconnaître que différentes personnes peuvent avoir une réponse très différente aux mêmes stimuli, et vous ne pouvez pas généraliser l’expérience de quelqu’un à d’autres.
Remarque : les champs électromagnétiques les plus problématiques sont généralement ceux du spectre des micro-ondes, comme ceux émis par les téléphones portables, les radars et le Wi-Fi.
Aides au sommeil
RépondreSupprimerDe temps en temps, je lis un fil de discussion sur les produits ou appareils que quelqu’un a achetés et qui ont le plus transformé sa vie. Ce que je trouve fascinant dans ces listes, c’est que la plupart des produits sont inévitablement destinés à améliorer le sommeil, ce qui montre à quel point le sommeil est important pour notre santé et à quel point il est négligé par la société moderne (un récent sondage Gallup a révélé que 57 % des Américains souhaitent dormir davantage, mais que seulement 42 % en ont suffisamment).
Remarque : des résultats comme celui de ce sondage et le fait que les Américains ont dépensé 65 milliards de dollars pour dormir en 2016 mettent en évidence un problème de longue date de notre système médical. Si le système médical fait un mauvais travail pour résoudre un problème, il reçoit généralement plus d’argent pour le résoudre, ce qui a inévitablement pour conséquence que l’industrie a tout intérêt à ne jamais résoudre le problème et à engloutir progressivement le budget national.
Dans la dernière partie de cet article (qui, comme mentionné ci-dessus, existe sous la forme d’un forum ouvert pour que vous puissiez poser toutes les questions qui ont surgi au cours du mois dernier), je partagerai les meilleurs produits d’aide au sommeil que j’ai rencontrés, notamment un qui résout un problème étonnamment difficile auquel certains couples sont confrontés lorsque l’un a besoin d’une température beaucoup plus élevée que l’autre pour dormir et un autre qui est souvent très utile pour les personnes neuro-atypiques (par exemple, à la suite d’une lésion cérébrale induite par un vaccin), ainsi que quelques-unes des approches les plus innovantes que j’ai vues pour concevoir une maison propice au sommeil. De même, je vous invite à partager les approches qui vous ont le plus aidé dans votre parcours vers un sommeil sain.
https://www.midwesterndoctor.com/p/sleeping-aids-and-electromagnetic
UNE NOUVELLE ÉTUDE RÉVÈLE L'ABSENCE D'IMMUNITÉ CONTRE LA GRIPPE AVIAIRE
RépondreSupprimerPAR THE WELLNESS COMPANY
Selon Epoch Times, la grande majorité des Américains n'ont aucune immunité préexistante contre la grippe aviaire hautement pathogène :
Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont prélevé du sang auprès de 489 personnes et ont testé leur sang pour détecter des anticorps contre la clade 2.3.4.4b. A H5N1, une souche de la grippe aviaire qui circule actuellement aux États-Unis.
« Cette étude n'a révélé aucun anticorps neutralisant préexistant contre la clade 2.3.4.4b. A(H5N1) et moins de 1 % des personnes avaient des anticorps à faible liaison », a déclaré un porte-parole du CDC à Epoch Times dans un e-mail.
Les données indiquent que « l’immunité préexistante à ce virus est faible, voire inexistante, et que la plupart de la population serait susceptible d’être infectée par ce virus s’il commençait à infecter facilement les gens et à se propager d’une personne à l’autre », a déclaré le CDC.
Plus tôt cet été, le Dr Peter McCullough a fait le point sur la situation actuelle de la grippe aviaire et sur ce que nous pouvons faire pour nous y préparer.
Tout d’abord, le Dr McCullough affirme que la destruction massive du bétail afin d’« éradiquer » le virus est « futile » et ne servira qu’à restreindre notre approvisionnement alimentaire – et non à mettre fin à la propagation de la grippe aviaire.
Deuxièmement, McCullough estime qu’il est clair à ce stade que la propagation rapide de la grippe aviaire aux oiseaux et mammifères migrateurs est le résultat d’une recherche sur le passage en série par gain de fonction et d’une fuite en laboratoire. Une configuration qui ressemble étrangement à la façon dont le COVID-19 a été diffusé sur la planète.
Troisièmement, le Dr McCullough souligne à juste titre que la propagande alarmiste autour de la grippe aviaire est promue par les grandes sociétés pharmaceutiques afin de faciliter la vaccination massive des animaux et des humains, ce qui remplira les poches du complexe biopharmaceutique et de ses ONG de soutien.
Enfin, et surtout, le Dr McCullough exhorte à avoir des stratégies de prévention et de traitement précoces à portée de main, juste au cas où.
Soyez préparé
RépondreSupprimerC'est là qu'intervient la Wellness Company. La trousse d'urgence en cas de contagion de la Wellness Company, conçue par le Dr McCullough et ses collègues, contient cinq médicaments sur ordonnance essentiels qui sauvent des vies - y compris le Tamiflu™ générique - que chaque Américain devrait avoir à portée de main :
Oseltamivir 75 mg (Tamiflu™ générique) - 10 comprimés
Hydroxychloroquine 200 mg - 20 comprimés
Ivermectine 12 mg - 25 comprimés
Azithromycine (Z-Pak générique) 250 mg - 12 comprimés
Budésonide 0,5 mg/2 ml - 5 flacons (plus nébuliseur inclus)
1 guide des médicaments rédigé par le conseil médical en chef pour une utilisation sûre.
À propos du Tamiflu, le Dr McCullough a déclaré en avril 2024 :
« Par mesure de précaution, nous ajoutons le Tamiflu à la trousse de contagion. Le Tamiflu est un médicament sûr approuvé pour traiter la grippe de type A et les virus comme la grippe aviaire. Nous continuerons de surveiller de près cette situation et de faire d'autres recommandations si nécessaire. »
Vous avez déjà du Tylenol et du Nyquil sous la main – pourquoi pas des médicaments qui pourraient vous sauver la vie ?
Les kits d'urgence contre la contagion de The Wellness Company sont la référence absolue en matière de sécurité et de santé.
Ce kit est délivré uniquement sur ordonnance – vous ne le trouverez dans aucun magasin. Remplissez simplement un court questionnaire après l'achat et un médecin de confiance de Wellness Company confirmera votre admissibilité et vous délivrera votre kit de contagion sur ordonnance.
Ne vous faites jamais prendre sans ces médicaments essentiels dans votre armoire à pharmacie. Protégez-vous et votre famille avec le kit de contagion de The Wellness Company avant que la prochaine urgence ne survienne !
L'espoir n'est pas une stratégie. Prenez des mesures dès aujourd'hui pour assurer votre sécurité et celle de votre famille.
C'est le kit d'urgence parfait au prix parfait. Chaque maison devrait l'avoir pour avoir l'esprit tranquille. – Rebecca B.
RépondreSupprimerC'est absolument génial ! J'encourage tout le monde à en acheter un en cas d'urgence ! – Melody H.
Tranquillité d’esprit. C’est une tranquillité d’esprit incroyable d’avoir ce kit en cas d’urgence et de pénurie. The Wellness Company a fait un excellent travail en me le faisant parvenir dans les délais et je suis reconnaissante de l’avoir. – Phyllis T.
https://www.zerohedge.com/sponsored-post/new-study-reveals-no-immunity-bird-flu
Bien se rappeler des milliers d'oiseaux morts tombés du ciel et de la même espèce ! Idem pour les poissons morts de la même espèce.*Chaque être vivant à son rythme cardiaque personnel à l'espèce. Ces essais donnent un avant-goût de ce qui peut nous arriver grâce à HAARP.
SupprimerLe CIO et « le sexe pour les nuls »
RépondreSupprimerNicole Delépine
docteur.nicoledelepine.fr
lun., 02 sept. 2024 22:47 UTC
Le président du CIO ignore-t-il que les chromosomes déterminent le sexe ?
Lors d'une conférence récente sur la controverse de la participation d'Imane Khelifle dans l'épreuve féminine de boxe le président du CIO aurait déclaré qu'il n'existerait « aucun examen fiable pour affirmer le sexe d'un concurrent ».
Pour l'informer de l'état de la science nous lui rappelons quelques connaissances biologiques unanimement admises, texte que certains pourraient qualifier « le sexe pour les nuls »
Le sexe est une caractéristique génétique qu'on ne peut pas changer
Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l'embryon deux chromosomes sexuels la paire XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin).
Le caryotype dirige l'élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, et physiologiques des individus. A la naissance le sexe apparent est conforme au sexe génétique dans plus de 99,9% des cas. Dans une naissance sur 4500, l'aspect génital est anormal et rend difficile voire impossible de déterminer au premier coup d'œil le sexe réel de l'enfant. On parle alors de troubles du développement sexuel, de troubles de la différenciation sexuelle d'hermaphrodisme, d'ambiguïté sexuelle ou encore d'intersexualité. L'intersexuation rassemble ainsi une série de conditions médicales où il y a discordance entre le sexe génétique d'un enfant et l'apparence de ses organes génitaux dont les plus connues sont les personnes XY intersexuées, syndrome de Klinefelter XXY, syndrome de Turner X0, testicule féminisant,... [1] [2] [3].
À l'adolescence, chez les individus porteurs de chromosome Y, la sécrétion des hormones accentue les développements squelettiques et musculaires, conduisant à une taille et un poids moyen plus élevés d'environ 10 %[4] que celui des individus XX, une différence de force physique, l'élargissement des épaules, un développement plus important du cœur et de la capacité pulmonaire (lié à la taille).
Ces caractéristiques physiques plus développées chez les individus XY expliquent des performances sportives supérieures (de 10% à 25%) illustrées par la comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes. Lancer de javelot (94 m/72 m), 50 m nage libre (46/51 s), sprint de 100 m (9"58/10"49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec), lever de poids (488 kg/332KG), marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)...
Ces différences factuelles que chacun peut facilement vérifier démentent l'idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un construit social dont on pourrait changer selon notre volonté.
RépondreSupprimerL'équité impose donc de séparer les porteurs de chromosome Y des femmes (XX) lors des compétitions sportives de haut niveau, comme on sépare les handicapés des autres aux Jeux olympiques et les concurrents selon l'âge ou le poids particulièrement dans les sports de contact ou de combat comme le MMA, le rugby, la boxe ou le judo...
La détermination du sexe par test chromosomique est indiscutable
Personne n'ose prétendre que les porteurs de chromosome Y sont des femmes. La détermination du sexe chromosomique par un simple frottis de la muqueuse buccale à l'aide d'un coton tige a été instaurée en 1968 pour vérifier si les athlètes sont bien biologiquement féminines (XX). Il a été remplacé en 1991 par le test PCR/SRY afin de ne plus se focaliser sur le deuxième X mais sur la présence du chromosome Y. Son utilisation systématique a malheureusement été supprimée lors des JO de Sydney en 2000 au profit du dosage de la testostérone dont les insuffisances ont permis les victoires en cascade des trans dans les compétitions féminines et les controverses actuelles.
Mais on peut faire semblant d'ignorer que le test chromosomique établit avec certitude le sexe !
Dans son délire idéologique de refus des caractéristiques sexuelles, le CIO avance comme preuve de féminité le diagnostic clinique à la naissance (très délicat en cas d'hermaphrodisme[5] [6]), la mention de la carte d'identité ou du passeport, la manière dont la famille a élevé l'enfant... ! Mais de chromosome pas question alors que l'association mondiale de boxe affirme que les boxeuses qu'elle avait exclues des compétitions féminines présentaient lors de deux examens la paire de chromosomes XY caractéristique du sexe masculin.
Combien de temps le refus des réalités biologiques du sexe durera-telle ?
Entre la réalité biologique (chromosomique) et l'idéologie il faut choisir équitablement.
A trop vouloir faire passer un prétendu bien commun inclusif au profit de revendications personnelles de toutes petites minorités, et nier les différences factuelles liées au sexe, le risque serait de faire disparaître les femmes du palmarès sportif de haut niveau.
Dans de nombreuses compétitions sportives de haut niveau des femmes de naissance ont refusé de concourir contre des candidats XY, et imposé aux fédérations internationales de réserver les compétitions féminines aux femmes. On peut penser qu'à l'avenir les boxeuses imposeront aux juges de respecter l'équité.
RépondreSupprimerDans cette controverse le CIO ne sort pas grandi et son président se ridiculise par l'affichage de sa prétendue ignorance. Nous lui répétons : le sexe est déterminé par la loterie chromosomique et sa détermination indiscutable ne nécessite qu'un prélèvement par écouvillon buccal ou un l'examen d'un bulbe de cheveu sans avoir besoin de le couper en quatre.
Notes :
[1] Chau, P.‐L. et Herring, Jonathan, « Defining, Assigning and Designing Sex », International Journal of Law, Policy and the Family, vol. 16, no 3, 1er décembre 2002
[2] Carrie L. Hull et Anne Fausto‐Sterling, « Letter to the Editor », American Journal of Human Biology, vol. 15, no 1, 2003, p. 112-116
[3] Leonard Sax, « How common is lntersex? A response to Anne Fausto‐Sterling », Journal of Sex Research, vol. 39, no 3, août 2002, p. 174-178
[4]acalyn J. Robert- McComb, Reid L. Norman et Mimi Zumwalt, The Active Female: Health Issues Throughout the Lifespan, Springer Science & Business Media, 28 janvier 2014
[5] Witchel SF. Disorders of sex development. Best Pract Res Clin Obstet Gynaecol. 2018 Apr;48:90-102. doi: 10.1016/j.bpobgyn.2017.11.005. Epub 2017 Nov 22. PMID: 29503125; PMCID: PMC5866176.
[6] Peter A. Lee et al Global Disorders of Sex Development Update since 2006: Perceptions, Approach and Care Horm Res Paediatr (2016) 85 (3): 158-180. https://doi.org/10.1159/000442975
https://fr.sott.net/article/43932-Le-CIO-et-le-sexe-pour-les-nuls
Pas de fatalité autour des carences en iode, le livre
RépondreSupprimeraimsib.org
lun., 02 sept. 2024 17:13 UTC
La rentrée n'est plus une menace, c'est devenu du réel. Le temps de s'alanguir est terminé, tout le monde a besoin de retrouver un niveau de forme optimal et surtout de ne pas tomber malade, que ce soit de pathologies vénielles ou catastrophiques. Le Dr Vincent Reliquet fomentait un livre de longue date, il voulait explorer les tréfonds désastreux des carences en iode, il l'a réalisé avec Alix Lefief-Delcourt (*). Il fallait un grand homéopathe très au fait de la cancérologie pour pouvoir disséquer ce livre afin de tenter d'en coincer l'auteur : le Dr Éric Ménat s'est prêté à l'exercice, les jeux de questions-réponses font depuis longtemps tout le support des belles controverses. Rangez vos claquettes devenues inutiles depuis la semaine dernière et bonne lecture.
les pouvoirs de l'iode
Dr Éric Menat
1 - Comment expliques-tu qu'il y ait autant de carences en iode actuellement dans la population ? Est-ce que ça pourrait être en lien avec des erreurs de dosages ou des critères de « normalité » à revoir ?
Dr Vincent Reliquet
Ta question a l'air de sous-entendre que les critères de normalité seraient trop élevés, ce qui expliquerait que nous soyons à un niveau facticement trop bas mais c'est exactement le contraire, je prétends depuis que j'ai terminé mon livre que les préconisations OMS ne nous proposent que de couvrir le centième de nos besoins, et nous ne les atteignons même pas ! Il faut cesser d'attendre une explosion de goitres ou de crétins au sens historique du mot pour réveiller nos élites à ce sujet, cancers, maladies infectieuses et dysimmunitaires, cardio-vasculaires, explosion de l'obésité, des dépressions, effondrement des QI, il y a vraiment le feu au lac et tout le monde s'en fiche !
2 - Les carences en iode peuvent-elles être expliquées par d'autres facteurs que la nutrition et lesquels ?
RépondreSupprimerDr Vincent Reliquet : La question est compliquée, je vais essayer d'apporter une réponse simple. Nous avons barre sur un élément fondamental du problème, ce sont bien nos carences abyssales d'apport en iode. Ensuite le problème posé par les perturbateurs endocriniens halogénés (chlorures, fluor et brome) demeure manifeste mais il ne sera résolu qu'aux échelles supra-nationales, on peut toujours rêver pour voir arriver une interdiction du fluor et du brome dans l'espace public. À nos niveaux individuels, nous devons nous appliquer à consommer des doses adéquates d'iode, on sait que cet élément peut reprendre sa place dans les molécules polluées par les halogénés et que ceux-ci peuvent être excrétés par voie urinaire. Pas d'iode, toujours plus de perturbateurs endocriniens à sa place dans les cellules.
3 - Tu parles des relations entre iode et développement cérébral de l'enfant et les chiffres semblent inquiétants. Peut-il y avoir un biais avec l'évolution du système éducatif qui peut aussi impacter le QI des enfants ?
Dr Vincent Reliquet : Cette histoire du recul du QI de nos enfants actuels par rapport à ceux de 1889 dans une Angleterre victorienne malnutrie, c'est une bombe (1). Elle frappe les esprits, évidemment elle ne permet absolument pas de désigner l'iode comme seul responsable de ce phénomène mais d'autres travaux australiens (2) ou encore de l'ALSPAC (3) ont permis de tirer ces conclusions. Pas assez d'iode pendant la grossesse et les lésions fœtales se fixeront définitivement par défaut des migrations neuronales (4), pas assez d'iode pendant l'enfance et les lésions continuent de s'aggraver, je veux surtout tirer la sonnette d'alarme en direction de cette immense population d'enfants soumise au biberon, déclarée intolérante au lait de vache et qui du coup n'a absolument plus accès à l'iode, pendant des mois voire des années...
4 - Est-ce qu'une supplémentation en iode devrait être systématique chez les enfants (elle l'est déjà chez les femmes enceintes en théorie) ?
Dr Vincent Reliquet : Il faut changer de paradigme, oublier cet effet Wolff-Chaikoff totalement imaginaire (c'est dur à croire, je l'explique dans ce livre) et ioder sérieusement toute la population, pense donc que dans les années 1950 les américains iodaient leurs pains et recevaient 150µg d'iode dans un seul toast, soit tout l'apport quotidien recommandé actuel ! Étaient-ils devenus tous phosphorescents ? Pas du tout, quand on leur a facticement expliqué que leurs sels d'iode étaient dangereux, ils l'ont remplacé par du bromure de potassium, interdit en Europe car cancérigène notoire, on délire... Donc pour te répondre, oui il faut édicter des apports minimums journaliers pour tous les âges mais sans les calculer avec les connaissances de 1950, aujourd'hui on sait que de très nombreux organes, peut-être même tous, sont authentiquement iodo-nécessitants, et pas seulement la thyroïde comme on le croyait alors.
5 - Quelle est, pour toi, la bonne supplémentation en iode pour un adulte ? Les AQR (5) actuels semblent bien bas par rapport aux carences constatées ?
RépondreSupprimerDr Vincent Reliquet : J'explique en fin d'ouvrage que mon statut de modeste médecin généraliste ne me permet pas de répondre à cette question, l'empirisme le plus absolu règne partout à ce sujet et la réponse doit se trouver comme pour le taux idéal de cholestérol sanguin : elle n'existe pas, car ici trop de paramètres rentrent dans l'équation : poids, sexe et cancers iodo-dépendants intercurrents, état infectieux, certainement. Mais imagine, probablement que le volume mammaire influe énormément et devrait être pris en compte dans le calcul des AQR car ce tissu se comporte comme un véritable piège à iode, comme à brome ou à fluor d'ailleurs, ce qui peut expliquer la fréquence déraisonnable des cancers du sein en présence de brome (6). Attention de plus à un point capital que j'ai abondamment souligné dans ce livre, certains tissus nécessitent de l'iode moléculaire, d'autres de l'iodate de potassium et la protection anticancéreuse semble essentiellement conférée par cet iode moléculaire I2, totalement absent de l'écrasante majorité des compléments alimentaires mis sur le marché à ce jour ! Inutile donc de se supplémenter avec un mauvais produit, de plus insuffisamment dosé, il n'y aura aucune chance que l'état de santé de nos populations s'améliore drastiquement dans ce cas.
6 - L'importance des carences en iode est connue depuis des décennies. Elle avait été pointée du doigt par l'Institut Français de Nutrition il y a plus de 20 ans. Comment expliques-tu que des recommandations claires sur la supplémentation en iode tardent à venir de la part des agences de santé, du ministère ou de l'académie de médecine ?
Dr Vincent Reliquet : Je l'explique par la trouille atavique qui saisit chaque expert de se retrouver en butte avec ce fameux effet Wolff-Chaikoff qui n'existe pas, mais qu'on leur a inculqué quand ils étaient jeunes et crédules, ça aussi j'en parle dans mon livre. L'iode 131 (radioactif) est toxique, les iodes organiques peuvent devenir toxiques aussi (amiodarone, produits de contrastes iodés, etc...) mais l'iode inorganique minéral alimentaire, l'iode 127, jamais. Et comme jamais n'existe pas, quand une fois on soupçonne une hyperthyroïdie de provenir d'une supplémentation alimentaire, ce fait demeure si rare qu'on en fait même un (très mauvais) article, qu'on le publie, et on décore même l'auteure pour son remarquable travail ! (7)
7 - Tu dis que l'iode contenu dans le sel marin ou le sel iodé « s'évapore » et que ces sels ne sont donc pas efficaces pour participer à l'apport quotidien. Pourtant, il semble que c'est l'ajout d'iode dans le sel qui a permis de faire reculer le crétinisme des Alpes. Comment expliques-tu ce paradoxe ?
RépondreSupprimerDr Vincent Reliquet : Je vois que la fin de l'interview approche alors tu cherches à me coincer avec tes questions vicieuses mais toujours intelligentes... Je vais te répondre sans détour : au XIXe siècle, la Santé Publique naissante avait compris que la fréquence des goitres et des crétins augmentait de manière parfaitement proportionnelle avec le niveau des carences en iode, donc par une politique adroite de microsupplémentation en iode, on a réussi à effacer les deux problèmes, mais ces deux problèmes-là seulement. En 1840 l'espérance de vie des Françaises culminait à 40 ans, un peu tôt pour voir apparaître la multiplication des cancers du sein qui frappent nos compatriotes aujourd'hui. Je l'explique dans mon livre, j'ai retrouvé le premier penseur qui a pondu ce dramatique taux d'apport idéal en iode à 150 µg/j : lui aussi ne se référait qu'à la peur de l'effet Wolf-Chaikoff et il convint que pour ces faibles apports on voyait juste disparaître les goitres mais sans réveiller le monstre WC. Ces apports sont des cache-misères propres à faire taire toute manifestation thyroïdienne liée à un manque en iode mais ouvrent la porte à toutes les pathologies iodo-carentielles extra-thyroïdiennes, qui du coup explosent.
La médecine moderne nous fait sempiternellement vivre sous l'ère de la misère physiologique, 150 µg d'iode par jour au lieu de 10 à 50 mg, 400 UI de D3 pour éloigner l'ostéomalacie quand certains en consomment 20 000 UI sans souci et effacent de nombreuses pathologies dysimmunitaires, 300 mg de vitamine C pour éviter le scorbut alors qu'avec 100 g/j en intraveineuse, on a largement documenté la guérison de certains cancers, de certaines maladies infectieuses, de certains empoisonnements... Personne ne s'occupe de notre statut en chrome, pas beaucoup plus de celui lié au sélénium, nous sommes tous carencés en magnésium et pourtant aucune campagne de supplémentation ne se fait jour. Médecine, population, réveillez-vous !
8 - Quels sont les risques démontrés pour la santé d'un excès de consommation d'iode ? Et à partir de quelle dose peut-on parler d'excès ?
RépondreSupprimerDr Vincent Reliquet : Je vois que tu ne désarmes pas, oh la belle estocade ! Va voir dans le Manuel Merck, « La source d'information médicale de confiance depuis 1899 » : tu y liras qu'une intoxication chronique peut subvenir au delà de 1,1 mg d'apport par jour (8). Fichtre, et combien d'iode demeure délivré par un comprimé de Cordarone® ? 75 mg, ou si tu préfères, 75 000 µg. Dans une ampoule de Lipiodol® qu'on utilisait en injectable pour ioder annuellement les populations les plus reculées du monde, il y a 480 mg donc 480 000 µg d'iode et tu sais quoi ? La palme revient au Ioméron® 350, une ampoule de 250 ml contient 87,5 g d'iode, ou 87 500 mg, si tu préfères : 87 500 000 µg d'iode mais attention, d'iode organique potentiellement dangereux et pourtant le produit est vendu en pharmacie. Je ne préconise même pas les grammes d'iode en supplémentation nutritionnelle, pourtant ces doses étaient traditionnellement utilisées dans le traitement de l'asthme et de l'hyperthyroïdie au début du siècle dernier.
Je préconise sereinement un apport équilibré en diiode (I2) et iodure de potassium, autour de la dizaine de milligrammes par jour en moyenne, parce que véritablement la littérature mondiale déborde de données favorables à de telles supplémentations. Le cancer du sein pourrait reculer par cette seule supplémentation, de même que la résistance humaine aux infections (des plus bénignes aux plus sévères), bon nombre de syndromes dépressifs et d'asthénies chroniques, d'infertilités, de dysménorrhées ou encore de trouble dyspondéraux, diabétiques, liés à l'arythmie cardiaque pourraient être balayés par une supplémentation optimale. Mais pour une majorité de confrères, la peur de l'effet WC les fige dans l'immobilisme.
Il reste à nos concitoyens ce livre pour se forger une opinion éclairée sur la question : mais chacun fait bien ce qu'il veut de sa vie !
Notes et sources :
RépondreSupprimer(*) Dr Vincent Reliquet, Alix Lefief-Delcourt, « Les pouvoirs de l'iode« , Guy Trédaniel éditeur, 2024, 253 p.
(1) M. A. Woodley, J. Nijenhuis, R. Murphy, "Were the Victorians cleverer than us? The decline in general intelligence estimated from a meta-analysis of the slowing of simple reaction time", Intelligence, Vol. 41, Issue 6.
(2) K. L. Hynes, P. Otahal, I. Hay, J. R. Burgess, "Mild iodine deficiency during pregnancy is associated with reduced educational outcomes in the offspring: 9-year follow-up of the gestational iodine cohort", The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2013.
(3) S. C. Bath, C. D. Steer, J. Golding, P. Emmett, M. P. Rayman, "Effect of inadequate iodine status in UK pregnant women on cognitive outcomes in their children: results from the Avon Longitudinal Study of Parents and Children (ALSPAC)", The Lancet, 2013.
(4) E. Auso et al., "A moderate and transient deficiency of maternal thyroid function at the beginning of fetal neocorticogenesis alters neuronal migration", Endocrinology, 2004.
(5) AQR : Apport Quotidien Recommandé
(6) E. S. O'Leary et al., "Pesticide exposure and risk of breast cancer: a nested case-control study of residentially stable women living on Long Island", Environmental Research, 2004.
(7) Lai J, Hunter-Orange J, Clemens KK. Hyperthyroïdie à la suite de l'ingestion de produits de santé naturels. Can Fam Physician. 2019 Sep;65(9):e386-e388. French. PMID: 31515324; PMCID: PMC6741801.
(8) https://ods.od.nih.gov/factsheets/Iodine-HealthProfessional/
https://fr.sott.net/article/43928-Pas-de-fatalite-autour-des-carences-en-iode-le-livre
Les révélations brûlantes des « RKI-files » dévoilés en Allemagne sur le Covid-19
RépondreSupprimerEtienne Fauchaire
Epoch Times
mer., 31 juil. 2024 14:58 UTC
En Allemagne, les « RKI-files », des documents fuités qui retracent les échanges entre l'Institut Robert-Koch (RKI) et le gouvernement fédéral au cours de la crise du Covid-19, ont été dévoilés dans leur intégralité par la journaliste Aya Velázquez, le 23 juillet.
Ils révèlent que « la plupart des mesures sanitaires ont été décrétées par des politiciens, parfois sans fondement scientifique, et parfois même contre l'avis des experts », confie à Epoch Times le professeur Stefan Homburg, associé à l'examen de ces fichiers.
Un pavé dans la mare. Le 18 mars dernier, Multipolar, un magazine allemand alors inconnu du grand public, obtenait après deux années de bataille judiciaire ce qu'il convient désormais d'appeler outre-Rhin « les RKI-files ». Les documents issus de ce premier volet contenaient les procès-verbaux des réunions entre la cellule de crise de l'Institut Robert-Koch, qui fait partie intégrante de la bureaucratie sanitaire allemande, et le gouvernement fédéral, de février 2020 à avril 2021. Des fichiers embarrassants tant pour la crédibilité que la légitimité de cet établissement de référence pour la santé publique. Il s'avère que le RKI « servait souvent de façade scientifique pour légitimer des décisions politiques », avait cinglé Wolfgang Kubicki, vice-président du Bundestag (FDP), dans les colonnes du magazine allemand Focus, suite à la révélation de ces communications internes.
Toutefois, près d'un tiers des 2500 pages rendues publiques contenaient... des passages censurés, suscitant des inquiétudes quant à une volonté de l'établissement fédéral de garder ses délibérations internes confidentielles. Une affaire qui avait conduit des responsables politiques à réclamer leur publication intégrale. « Tout devrait être mis sur la table », martelait alors Armin Laschet, membre de la CDU. L'ancien candidat à la chancellerie avait fustigé par ailleurs un échec de la presse à demander des comptes aux autorités :
« Le fait que ces documents aient été publiés à la suite d'une plainte déposée par un site dont on dit qu'il propage des théories complotistes montre clairement qu'aucun média mainstream n'a essayé de se les procurer ».
Le 23 juillet, un rebondissement : l'ensemble des fichiers couvrant toute la période du Covid de février 2020 à juin 2023 a été divulguée, cette fois sans caviardage, provoquant des secousses politiques au pays de Goethe : « Les experts du Covid savaient que le gouvernement mentait - et ils sont restés silencieux ! », a titré le quotidien Bild pour l'occasion. À la manœuvre, Aya Velázquez, une journaliste indépendante, qui a déclaré avoir reçu ces « RKI-files », près de 4000 pages, d'un ancien employé de l'institut biomédical travaillé par « des raisons de conscience ». Accompagnée de Bastian Barucker, un autre journaliste indépendant, et de Stefan Homburg, ancien professeur d'économie à l'université de Göttingen, elle a tenu une conférence de presse mardi dernier à Berlin pour dévoiler leur contenu, disponible en cliquant sur ce lien.
RépondreSupprimerL'institut Robert-Koch, un organisme scientifique subordonné au pouvoir politique
Première découverte issue de cette fuite : une partie des employés du centre épidémiologique se sont initialement montrés critiques de la politique sanitaire mise en œuvre par leur gouvernement. Toutefois, le climat interne toxique laissant peu de place à l'expression des opinions divergentes, ils auraient finalement plié, apprenant « comment les choses fonctionnent », a expliqué Aya Velázquez.
Cette réticence de certains employés de l'autorité sanitaire à se conformer à la ligne politique officielle transparait nettement dans un procès-verbal en date du 10 septembre 2021, à la page 6 :
« L'autorité du ministre en matière d'instructions relatives aux documents techniques du RKI [...] est actuellement examinée juridiquement. À ce jour, la direction du RKI estime [toutefois] que les recommandations formulées par le RKI, en sa qualité d'autorité fédérale, sont complétées par une instruction ministérielle, qui doit être respectée, car le Bundestag supervise techniquement le RKI, lequel ne peut invoquer la liberté scientifique. L'indépendance scientifique du RKI par rapport à la politique est donc limitée ».
Pourtant, le 25 mars 2024, après la publication des premiers « RKI-files », Karl Lauterbach, ministre de la Santé allemand depuis décembre 2021, affirmait encore que cet organe du gouvernement fédéral en matière de biomédecine « a travaillé de manière indépendante, hors de toute influence politique »...
« Injonctions à la vaccination, confinements, fermeture des écoles... De 2020 à 2023, l'Allemagne a adopté une politique sanitaire similaire à celle de la France. Grâce aux "RKI-files", on apprend que ces mesures ont en réalité été décrétées par des politiciens, parfois sans fondement scientifique, et parfois même contre l'avis des experts », résume auprès d'Epoch Times le Pr Stefan Homburg, qui a épluché les procès-verbaux avec ses deux autres collègues. Et d'ajouter :
« Initialement, l'institut Robert-Koch s'est opposé aux mesures trop lourdes, étant donné qu'ils avaient déjà élaboré dans les années précédentes un protocole préconisant, par exemple, l'isolement des seules personnes malades. Mais au bout du compte, ils ont progressivement succombé à la pression politique... »
Pour illustrer le fossé entre les opinions des experts et les choix politiques, le Pr Homburg s'est également appuyé durant la conférence de presse sur une entrée datant du 29 octobre 2021. Celle-ci révèle que l'ex-ministre de la Santé Jens Spahn avait recommandé un rappel vaccinal en population générale, même si cette mesure ne l'avait pas été par la Commission permanente de vaccination, rattachée à l'institut Robert-Koch.
RépondreSupprimerDans le même esprit, une entrée en date du 19 mai 2021 rapporte que « même si la vaccination des enfants n'est pas recommandée par la Commission permanente de vaccination, Jens Spahn prévoit quand même un programme de vaccination. »
La pandémie des non-vaccinés : « un mythe politique »
Autre révélation choc : le 5 novembre 2021, les « RKI files » montrent qu'en interne, les experts de l'organisme national de santé publique s'inscrivaient en faux par rapport aux déclarations de Jens Spahn, qui soutenait le 3 novembre : « Nous connaissons actuellement une pandémie essentiellement des non-vaccinés et elle est massive ». « Les médias parlent d'une pandémie de non-vaccinés. D'un point de vue technique, ce n'est pas correct. Toute la population y contribue. Faut-il aborder ce sujet dans la communication ? », peut-on lire dans le procès-verbal de l'autorité fédérale.
« Il était connu depuis longtemps que la "pandémie des non-vaccinés" était un mythe politique ne servant qu'à justifier les injonctions vaccinales. Grâce aux "RKI-files", nous savons désormais que l'institut savait lui aussi qu'il s'agissait d'un mythe, mais qu'il avait peur de s'exprimer contre la propagande vaccinale du ministre », réagit auprès d'Epoch Times le Pr Homburg, qui n'hésite pas à dénoncer une « tromperie délibérée ».
En effet, ce « mythe » a continué à prospérer, la mayonnaise commençant alors même à monter : « Ce que nous vivons actuellement, c'est une tyrannie des non-vaccinés », pestait le 13 novembre 2021 Frank Ulrich Montgomery, ancien président du Conseil national de l'Ordre des médecins allemands et dirigeant de l'Association médicale mondiale (WMA). Le 2 janvier 2022, le médecin allemand persistait et signait, revendiquant ce choix de mots dans une interview donnée au média suisse Blick : « À l'époque, personne n'osait encore dire que nous devions traiter différemment les non-vaccinés et les vaccinés. Aujourd'hui, c'est la norme. Je suis même un peu fier d'avoir été en quelque sorte précurseur de cette démarche. »
Pour le journal allemand Berliner Zeitung, l'enquête sur la crise du Covid-19 devra déterminer « pourquoi et par qui ce récit a été conçu et autant promu ». Et de poursuivre : « Car il ne s'agit pas d'une petite affaire. De cette hypothèse - désormais manifestement fausse - selon laquelle les non-vaccinés seraient le moteur de la pandémie, d'autres mesures telles que les règles de 2G et de 3G [forme qu'a pris le pass vaccinal allemand, ndlr] ont été adoptées ».
RépondreSupprimer« Ce récit selon lequel les non-vaccinés sont responsables de la pandémie a persisté très longtemps en Allemagne, et certains y croient encore aujourd'hui. Suite à la publication des "RKI-files", cette croyance doit être réfutée. Il existe désormais un document hautement officiel à ce sujet, que tout le monde peut télécharger et lire, [...] dans lequel les autorités affirment clairement que cette pandémie des non-vaccinés n'a jamais eu lieu. »
« Ils ont laissé les gens aller au carton »
Ces « RKI-files » mettent également en exergue un silence de l'établissement allemand sur les effets indésirables graves du vaccin anti-Covid fabriqué par le géant pharmaceutique britannique AstraZeneca. En témoigne une entrée datant du 19 mars 2021, a pointé le Pr Homburg durant la conférence de presse. Pourtant, quelques semaines plus tard, le 16 avril 2021, il était communiqué par voie de presse, en Allemagne, mais aussi à l'étranger, que l'ex-chancelière Angela Merkel et son successeur Olaf Scholz avaient reçu une première dose de ce vaccin. Le président de la République fédérale d'Allemagne, Frank-Walter Steinmeier, et le ministre de la Santé d'alors, Karl Lauterbach, ont été également vaccinés avec le même produit.
Pour le Pr Homburg,
« l'interprétation la plus logique est à chercher dans le fait que même parmi la population mal informée, la volonté de se faire vacciner était nulle. Comme les politiciens avaient signé d'énormes contrats d'approvisionnement, ils devaient craindre que des rapports soient publiés sur les stocks livrés et le gaspillage de l'argent des contribuables. Et ils ont donc laissé les gens aller au carton ».
L'universitaire se montre particulièrement critique envers la ligne de conduite adoptée par Lothar Heinz Wieler, ancien président de l'Institut Robert-Koch durant la crise du Covid-19. À ses yeux, ce dernier, conscient que la communication et les directives du gouvernement allemand étaient scientifiquement incorrectes, aurait dû protester plutôt que de se murer dans un silence complice.
Des procédures judiciaires à venir ?
RépondreSupprimerLe contenu des « RKI-files » pourraient également donner lieu à des procédures judiciaires contre l'institut Robert-Koch, mais aussi l'institut Paul-Ehrlich, agence responsable de la sécurité des vaccins en Allemagne.
Par exemple, en novembre 2021, la décision de rendre la vaccination anti-Covid obligatoire pour les soldats de l'armée allemande avait été contestée en justice. Une demande déboutée par le Tribunal administratif fédéral en juillet 2022. Pour appuyer son jugement, l'instance suprême s'était fondée sur les déclarations tenues par des experts issus des deux instituts.
Des faux témoignages, souligne le Pr Homburg à Epoch Times :
« Ils ont affirmé devant les tribunaux que les vaccins étaient très efficaces et nécessaires pour protéger la population tout en sachant qu'il n'y avait aucune protection contre la transmission, et donc aucun fondement pour rendre la vaccination obligatoire. Aussi, ils pourraient être attaqués en justice pour faux témoignages sur la base du contenu des procès-verbaux ».
Confinements, vaccination, masques... : les autres enseignements des « RKI-files »
Ces fichiers révèlent également que l'institut Robert-Koch savait pertinemment que les confinements causeraient plus de dégâts que le virus lui-même, que le port du masque en extérieur était inutile, ou encore que la fermeture des écoles ne ralentirait pas la propagation du Covid-19.
S'agissant des confinements, l'établissement notait en décembre 2020 que le résultat à la suite de la mise en œuvre de confinements sur le continent africain a été « une hausse prévue de la mortalité infantile ». « Les conséquences des confinements sont parfois plus graves que le virus lui-même ».
Dans une autre procès-verbal daté du 31 octobre 2020, l'organisme d'État indiquait qu'il n'existe « aucune preuve » scientifique suggérant une utilité des masques FFP2 en dehors des milieux hospitaliers : « Cette information pourrait être transmise au grand public », ajoutait-il. Il ne l'a jamais fait, alors que le port du masque était devenu obligatoire dans l'espace public depuis avril 2020.
Une position réitérée le 15 janvier 2021 : « Les recommandations internationales ne soutiennent pas le port du masque FFP2 en population générale, ou le déconseillent explicitement », précisant par ailleurs que cette mesure peut présenter des « risques », comme la dermatose, une maladie de la peau. Bis repetita le 18 janvier 2021 :
« Il n'existe aucune base technique permettant de recommander les masques FFP2 à la population, donc ajoutez un avertissement sur les effets secondaires indésirables ».
RépondreSupprimerPar ailleurs, les experts de l'institut se sont opposés à une fermeture des écoles, sachant que cette mesure ne freinait pas la propagation du virus. Malgré ces avertissements, les écoles ont été fermées à plusieurs reprises, dès mars 2020. Par ailleurs, selon Bastian Barucker, l'établissement fédéral était conscient dès janvier 2020 que les enfants n'étaient pas à risque de développer une forme grave du Covid-19 et qu'ils ne participaient pas de façon significative à la chaine de transmission du virus. Pourtant, ils ont été contraints de porter un masque « pour protéger les autres » et de se vacciner, a-t-il rappelé.
Autre point soulevé dans les « RKI-files », à partir d'une entrée du 29 juillet 2020 : surnommé outre-Rhin le « Doktor Corona », Christian Drosten, virologue à l'hôpital de la Charité ayant bénéficié d'une importante couverture médiatique durant la crise du Covid-19, a rédigé une étude sur les dépistages et aurait pris la décision de ne pas la publier pour des raisons politiques. « M. Drosten a depuis décidé de ne pas publier l'article car les tests non ciblés ne sont pas jugés utiles dans le texte, ce qui contredit l'action du gouvernement », est-il écrit. De quoi pousser Aya Velasquez à dénoncer une « fraude scientifique ».
Par ailleurs, la journaliste, se basant sur les documents du RKI, a également fait savoir durant la conférence de presse que les rappels vaccinaux ne se fondaient pas sur une base scientifique, mais émanaient des politiques, ainsi que du laboratoire pharmaceutique Pfizer.
Autant d'éléments l'amenant à conclure que :
« les "RKI-files" démontrent que les mesures Covid ne se fondaient pas sur des considérations rationnelles et scientifiques, [...] mais étaient purement politiques. L'institut Robert-Koch, autorité soumise à des instructions ministérielles, leur donnait une prétendue légitimité scientifique ».
Grâce à ces documents, « un examen honnête et sans compromis de la politique Covid mise en œuvre en Allemagne peut désormais commencer », s'est-elle enthousiasmée. Toutefois, Aya Velasquez a signalé qu'elle n'avait pas eu l'opportunité d'examiner les documents dans leur totalité, invitant alors journalistes et citoyens à participer à cette enquête pour révéler les incohérences entre décisions politiques et avis scientifiques.
https://fr.sott.net/article/43843-Les-revelations-brulantes-des-RKI-files-devoiles-en-Allemagne-sur-le-Covid-19
Depuis 1750, qui marque la fin de l'avant-dernière période glaciaire mineure provoquée par le minimum de Maunder de l'activité solaire, les ajouts à la concentration atmosphérique de gaz carbonique provenant de sources d'émissions naturelles associées aux processus biologiques sont environ 4,5 fois supérieurs à la contribution des émissions provenant de la combustion de hydrocarbures (par exemple 22,9 ppm par an provenant de la nature, 5,2 ppm par an provenant de la combustion de combustibles fossiles). Au cours des 65 dernières années, ce ratio est tombé à 3,5
RépondreSupprimerUn temps de séjour de seulement 4 ans pour toutes les molécules de gaz carbonique, quelle que soit leur origine, est cohérent avec la conclusion selon laquelle la nature est la principale cause des modifications des concentrations de gaz carbonique. Les émissions des combustibles fossiles ne jouent qu’un rôle mineur.
Les théories bien développées, dotées d'une base mathématique solide, sur les systèmes de réservoir et les échanges avec l'environnement fournissent des informations fondées sur le temps de séjour et les temps de réaction du gaz carbonique atmosphérique. L'atmosphère se comporte comme un réservoir linéaire par rapport au gaz carbonique, dont les échanges sont clairement dominés par les processus de la biosphère, les émissions humaines jouant un rôle mineur.
Les résultats sont cohérents avec les observations, contrairement aux résultats de modèles climatiques complexes, qui se révèlent incompatibles avec la réalité. Le temps de séjour moyen du gaz carbonique atmosphérique est d’environ quatre ans, et le temps de réaction moyen est inférieur, ce qui contredit les estimations courantes qui évaluent les temps à des centaines, des milliers d’années, voire plus.
L'étude résume ensuite les résultats comme suit, dans lequel j'inclus les références liées aux études antérieures et ultérieures :
Les données d’observation du gaz carbonique atmosphérique sont clairement incompatibles avec le récit climatique . Au contraire, ils le contredisent. À cet égard, la présente étude complète les études précédentes en ce sens que (a) la direction de causalité entre la température et le gaz carbonique atmosphérique est opposée à la direction généralement supposée [ 11 , 12 , 13 , 14 , 15 , 16 , 17 , 18 , 19 , 20 , 21 , 22 , 23 , 24 , 25 , 26 , 27 , 28 , 29 , 30 , 31 , 32 , 33 , 34 ], (b) les modèles climatiques déforment la direction de causalité qui émerge des données [ 11 ] , (c) il n'y a aucune preuve apparente d'une influence des émissions anthropiques de gaz carbonique sur l'effet de serre, qui est dominé par la vapeur d'eau et les nuages [ 64 ], et (d) il n'y a aucune preuve apparente d'un changement dans la synthèse isotopique de les sources et les puits de gaz carbonique atmosphérique , qui sont déterminés par les processus dans la biosphère [ 65 ].
RépondreSupprimerEn d’autres termes, les données observées sur le gaz carbonique contredisent le récit climatique selon lequel la combustion anthropique de combustibles fossiles est à l’origine des changements de concentration de gaz carbonique.
https://tkp.at/2024/09/03/neue-wissenschaftliche-bestaetigung-menschengemachtes-co2-unbedeutend-fuer-klimawandel/
Le pétrole et le gaz ne sont pas des combustibles « fossiles » – étude
RépondreSupprimer2 septembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le pétrole brut et le gaz naturel sont généralement appelés combustibles « fossiles ». Il s'agit d'hydrocarbures créés à partir de restes de plantes ou d'autres matières organiques au cours de millions d'années. Cependant, cela n’explique pas les lacs de méthane sur des planètes comme Titan.
Dans l'expérience, des fractions gazeuses plus élevées et du pétrole peuvent être produits à partir du méthane sous haute pression et température, comme celles trouvées à l'intérieur de la Terre. C’est ce qu’affirme Thomas Gold, ancien professeur d’astronomie à l’Université Cornell. Il a expliqué que les puits de pétrole et les gisements de gaz sont rechargés avec du nouveau pétrole et du gaz par le bas. Il a affirmé que la plupart des nouveaux hydrocarbures naissent profondément dans la croûte et montent dans des pièges géologiques à différentes profondeurs pour des parties particulières de la croûte. Il s’agit de la théorie abiogénique de la production d’hydrocarbures, étayée par des données astronomiques et par des données de laboratoire simulant les conditions de la croûte profonde et du manteau supérieur.
Ces processus ont été reproduits expérimentalement en laboratoire. Les scientifiques dirigés par Vladimir G. Kutcherov de l'Institut royal suédois de technologie KTH ont prouvé expérimentalement que cette production d'hydrocarbures fonctionne lors de tests pratiques à des pressions élevées comprises entre 3 et 22 Gpa et à des températures allant jusqu'à 3 000 degrés. Les gaz contenant des hydrocarbures comportant jusqu'à 6 atomes de carbone sont créés en premier. Mais du pétrole avec des chaînes d’atomes de carbone plus longues se forme également. Il existe un certain nombre de publications sur ces expériences, comme celle-ci intitulée « Cycle profond des hydrocarbures » de juillet 2021, comme rapporté plus en détail ici .
Un résumé de ces processus a été récemment publié par MA Lur'e sous le titre « Genesis of Deep Abiogenic Hydrocarbon Systems » dans Chemistry and Technology of Fuels and Oil .
Un élément clé pour comprendre est que les processus chimiques sont souvent très complexes et nécessitent un certain nombre d’autres substances qui ne sont pas directement incluses dans la chaîne de processus elle-même. On pense même que les fluides profonds de la Terre, appelés fluides profonds, forment un système catalytique qui produit de grandes quantités de méthane dans les profondeurs de la Terre. À l'aide de soufre élémentaire, une polymérisation et la formation de diverses fractions pétrolières se produisent.
RépondreSupprimerLes métaux tels que le vanadium jouent un rôle tout aussi important, permettant la production de pétrole à chaîne plus longue, c'est-à-dire plus visqueux.
Cette production de gaz naturel et de pétrole en profondeur dans la Terre peut également expliquer pourquoi les prévisions concernant le pic d’approvisionnement en pétrole étaient fausses. Le réapprovisionnement rapide des champs de pétrole nécessite des réservoirs secondaires plus profonds et sous pression qui se jettent dans les réservoirs primaires à mesure qu’ils s’épuisent. Récemment, de nombreux rapports ont fait état de gisements de pétrole et de gaz qui n'étaient pas épuisés comme prévu, mais contenaient plutôt des niveaux d'hydrocarbures plus élevés, ayant déjà produit plus que la quantité initialement estimée.
L’ article résume comme suit l’état des connaissances scientifiques sur la production purement chimique du gaz naturel et du pétrole brut :
« Les systèmes d'hydrocarbures profonds sont formés par la transformation de fluides profonds à haute température constitués de mélanges de divers composés volatils. Ces processus déterminent la composition en éléments et en groupes du pétrole brut et du gaz naturel. Selon les données disponibles, les fluides profonds sont des mélanges de méthane, d'hydrogène, d'eau, de gaz carbonique, de carbone, de sulfure d'hydrogène, de soufre élémentaire, de NO2 et de structures contenant des métaux. Le méthane, principal composant des fluides profonds, est produit en grande quantité à l'intérieur de la Terre. Puisque certains composants de ces mélanges ont une activité catalytique dans la polymérisation des hydrocarbures, on peut supposer que les fluides profonds représentent un système catalytique naturel. Le soufre élémentaire, présent dans les fluides profonds, possède des propriétés catalytiques et peut donc déclencher des processus de polymérisation. Cela conduit à la formation de structures d’hydrocarbures et d’organosulfures de haut poids moléculaire. Les métaux présents dans les fluides profonds, en particulier le vanadium utilisé comme catalyseur, déclenchent également la formation de complexes de haut poids moléculaire tels que les porphyrines. L’inclusion de soufre et de vanadium dans les pétroles bruts en fait les plus grands concentrateurs de ces éléments. La variabilité du rapport de ces éléments dans les fluides profonds et leur caractère redox influencent l'intensité des processus de polymérisation des hydrocarbures et la formation de composés organosoufrés et de complexes métalliques. Cela conduit à la formation soit de pétroles bruts avec des teneurs variables en soufre et en métaux, soit de systèmes de gaz naturel.
A lire :
RépondreSupprimerThomas Gold : La biosphère des profondeurs chaudes et le mythe des énergies fossiles
https://tkp.at/2024/09/02/oel-und-gas-sind-keine-fossilen-brennstoffe-studie/
(...) Le pétrole brut et le gaz naturel sont généralement appelés combustibles « fossiles ». Il s'agit d'hydrocarbures créés à partir de restes de plantes ou d'autres matières organiques au cours de millions d'années. (...)
SupprimerHAHAHAHAHAHA ! 'créés à partir de restes de plantes ou d'autres matières organiques' !! HAHAHAHAHAHA !
La science climatique se lance dans la sorcellerie à plein régime : votre steak fait tomber les ponts comme des jouets de Tinker-Toys
RépondreSupprimerPar Jo Nova
September 3rd, 2024
L’Occident moderne régresse vers la science occulte du 8e siècle
Aujourd’hui, le soi-disant « journal de référence » de la nation la plus puissante de la Terre dit en fait aux gens que le steak qu’ils mangent, la voiture qu’ils conduisent et le chauffage qu’ils utilisent pourraient faire s’effondrer les ponts « comme des jouets de Tinker-Toys ». Mais vous devrez relier les points vous-même, car ils ne le font jamais. Personne ne demande aux experts : combien de hamburgers au tofu faut-il pour sauver le pont de Brooklyn ? De combien de voyages en bus aurons-nous besoin pour sauver le Golden Gate ?
Les plus grands journalistes du monde ne posent jamais les questions évidentes. Ils laissent juste une traînée de miettes de pain : l’homme produit du gaz carbonique, le gaz carbonique provoque un temps effrayant et le temps effrayant mange les ponts. Alors les braves gens conduisent des véhicules électriques !
Chaque miette de pain ressemble à du pain, comme si c'était vrai, mais personne ne voit la miche entière et avant que vous ne vous en rendiez compte, tout le monde est perdu dans les bois, installant des panneaux solaires pour sauver leurs ponts.
Il y a deux jours, les miettes de pain disaient « les bonnes personnes se passent de climatisation ».
Le changement climatique peut faire tomber les ponts « comme des jouets de bricolage », disent les experts. New York Times
La situation est si mauvaise que le New York Times nous dit que par une journée d'été à 35 degrés, un pont de Manhattan est resté ouvert « pendant des heures ». (La tragédie). Une autre fois, un pont ferroviaire de l'Iowa a été emporté par les eaux et une partie de la chaussée s'est affaissée dans le Maine.
RépondreSupprimerLa vérité est que les ponts américains sont un miracle. Il y a, sérieusement, plus de 600 000 ponts à travers le pays et pourtant c'était toute la catastrophe qu'ils pouvaient trouver dans le paragraphe principal. Nous sommes censés croire que nous traversons une crise des ponts et que les chaleurs « extrêmes », les inondations et les « changements climatiques soudains » sont nouveaux et pires, et que nous en sommes la cause.
Ayez peur :
« … maintenant, les chaleurs extrêmes et les inondations accrues liées au changement climatique accélèrent la désintégration des ponts du pays, disent les ingénieurs, ce qui les fait vieillir prématurément.
Le New York Times ne mentionne pas les chiffres importants, mais il dit qu’un quart des ponts aux États-Unis ont été construits avant 1960. Il est donc étonnant qu’il y ait 150 000 ponts qui ont plus de 60 ans. Le plus vieux a 327 ans. Ils essaient de faire croire que les vieux ponts n’ont pas été construits pour faire face au « changement climatique » moderne. Mais qui conçoit des ponts qui ne peuvent pas supporter un réchauffement d’un demi-degré ?
La dernière fois que quelqu’un est mort dans l’effondrement d’un pont aux États-Unis, ce n’était pas à cause du changement climatique mais parce qu’un navire l’a percuté.
La fois précédente, la passerelle qui s’était effondrée était encore en construction.
Les gens ne sont pas tués par le changement climatique, ils sont tués par l’incompétence.
Le professeur a été payé pour trouver une crise
Et comme je ne cesse de le dire, « nous avons eu ce pour quoi nous avons payé » :
« Nous avons une crise des ponts qui est spécifiquement liée aux événements météorologiques extrêmes », a déclaré Paul Chinowsky, professeur de génie civil à l’Université du Colorado à Boulder, qui étudie les effets du changement climatique sur les infrastructures. « Ce ne sont pas des choses qui se produiraient dans des circonstances climatiques normales. Ce ne sont pas des choses que nous avons jamais vues à ce rythme. »
RépondreSupprimerDonc, si le professeur Chinowsky découvrait que le « changement climatique » n’avait aucun effet du tout, il n’obtiendrait pas beaucoup de subvention l’année prochaine. Il est peu probable que son domaine soit en vedette lors des sessions d’urgence de l’ONU et il n’obtiendra probablement pas non plus un voyage de ski rémunéré pour rencontrer Harry et Megan à Davos. Sur un plan plus terre à terre, les meilleurs étudiants ne viendront pas frapper à sa porte. Même s'il est un type bien et un gagne-pain, toutes les routes du monde scientifique servent le gouvernement.
Le vrai problème dans cette histoire est que le financement unilatéral du gouvernement a tué la science, et les journalistes organisent une séance de spiritisme avec les cendres.
https://joannenova.com.au/2024/09/climate-science-goes-full-bore-witchcraft-your-beefsteak-makes-bridges-fall-like-tinker-toys/
La calotte glaciaire du Groenland grandit lentement
RépondreSupprimer3 septembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
La couverture de glace au Groenland s'agrandit depuis un certain temps déjà, ce qui s'avère peu pratique pour les changements climatiques. De nouvelles études et expériences, ainsi que les ensembles de données du portail polaire danois, continuent de nous le démontrer.
L’Arctique et l’Antarctique se refroidissent depuis plusieurs années. Le Groenland connaît également une calotte glaciaire croissante, ce qui a conduit à des annulations de croisières dans les ports en juillet en raison de niveaux de glace excessifs. Les médias commerciaux ont rapporté que le navire de croisière MSC Poesia, qui effectue actuellement sa seule croisière de trois semaines au Groenland à l'été 2024, n'a pu faire escale que dans un seul port du Groenland comme prévu en raison de la situation des glaces dans le sud-ouest du Groenland. Plus d' informations à ce sujet ici .
Comme indiqué , en 2023, la couverture de glace du Groenland était également bien supérieure à la moyenne climatique à long terme (1981-2010) pendant la majeure partie de l'année (du 1er septembre 2022 au 31 août 2023). La calotte glaciaire du Groenland n’a pas coopéré avec le récit du général de l’ONU Antonio Guterres , même pendant les mois de fonte de « l’ébullition mondiale » de juillet et août .
Le Groenland résiste à ce discours depuis des décennies maintenant. Après une brève mais forte période de réchauffement de 1994 au début des années 2000, les températures annuelles moyennes à la surface des terres (LST) n’ont plus tendance depuis 2003 environ. Le Groenland s'est refroidi depuis 2012 ( Fang et al., 2023 ).
Selon le portail polaire danois , l'année qui vient de se terminer présente le même tableau que les années précédentes :
- voir graph sur site -
La calotte glaciaire du Groenland s’est donc développée tout à fait normalement au cours des 12 derniers mois, le bilan de masse en surface augmentant au rythme normal.
RépondreSupprimerLa carte illustre la hauteur à laquelle la calotte glaciaire a été ajoutée et retirée de la surface au cours de « l’année de bilan de masse » depuis le 1er septembre 2023 par rapport à la période 1981-2010. Ce bilan de masse en surface est toujours positif au cours d'une année, car toute la neige tombée ne s'écoule pas à nouveau de la calotte glaciaire.
Le bilan de masse en surface n'est pas le même que le bilan de masse total (c'est-à-dire le gain ou la perte total de la calotte glaciaire), qui comprend également la masse perdue lorsque les glaciers se détachent des icebergs, la fonte des langues glaciaires lorsqu'elles entrent en contact avec des températures chaudes. l'eau de mer, ainsi que Friction et autres effets au fond de la calotte glaciaire.
La courbe bleue montre la saison qui vient de se terminer, la courbe gris clair montre la saison précédente, tandis que la courbe rouge montre l'évolution correspondante pour la saison 2011/12, lorsque le niveau de fonte a atteint un niveau record.
La courbe gris foncé montre la moyenne pour la période 1981-2010.
La bande gris clair montre les différences d'une année à l'autre. Pour chaque jour calendaire, la bande montre la fourchette sur 30 ans (au cours de la période 1981-2010), mais en omettant les valeurs les plus basses et les plus élevées pour chaque jour.
https://tkp.at/2024/09/03/groenland-eisschild-waechst-langsam/
Moins d'éruptions sous la glace des pôles ne signifient pas que la masse ferrique incandescente s'éteint mais reporte ses expressions aux niveaux équatoriaux.
Supprimer« Attaque contre l’alimentation et les agriculteurs : comment riposter »
RépondreSupprimerÉvénement en ligne de deux jours les 6 et 7 septembre 2024
Par Richard C. Cook
Recherche mondiale,
03 septembre 2024
J'interviendrai en tant qu'intervenant lors du prochain symposium en ligne « Attaque contre l'alimentation et les agriculteurs et comment riposter », parrainé par le Dr Meryl Nass et son mouvement Door to Freedom .
Mon sujet est « La souveraineté alimentaire », en me concentrant sur l’expérience amérindienne contemporaine.
Door to Freedom promeut un mouvement populaire en faveur d'une meilleure alimentation. Cela signifie une alimentation de meilleure qualité à une époque où la tendance générale de la macroéconomie internationale est à une alimentation de moins bonne qualité .
Bien sûr, les entreprises qui contrôlent une grande partie de l’approvisionnement alimentaire ont toujours essayé de réduire les coûts et de maximiser les profits.
Mais aujourd’hui, la situation s’aggrave de plus en plus, au point de devenir catastrophique. En témoigne la chute vertigineuse de l’espérance de vie aux États-Unis, d’environ trois ans depuis 2019. Les États-Unis se classent désormais au 60e rang mondial en termes d’espérance de vie, derrière des pays comme l’Estonie et l’Arabie saoudite.
Une partie de ce déclin est due à la « pandémie » de COVID, mais un autre facteur est la maladie liée à une alimentation malsaine.
Il y a aussi un contexte macroéconomique.
Les États-Unis connaissent un déclin économique à long terme en raison de facteurs géopolitiques – la guerre par procuration contre la Russie en Ukraine, par exemple – qui a entraîné une réduction majeure de l’hégémonie du dollar au niveau international et une augmentation de la dette fédérale qui s’élève désormais à plus de 35 000 milliards de dollars.
Parallèlement, l'objectif général de l'économie américaine est de maintenir la croissance du marché boursier à un taux moyen de 3 à 5 %. Dans une économie où la croissance est essentiellement stagnante (c'est-à-dire que la seule valeur ajoutée provient de l'inflation), chaque entreprise doit réduire encore plus ses coûts. Cela signifie réduire les salaires par rapport au coût de la vie des travailleurs et réduire la qualité des produits, y compris celle des aliments.
La baisse de qualité des aliments se traduit par un passage massif aux « aliments ultra-transformés », une viande, des fruits et des légumes de moindre qualité dans les rayons des épiceries et une utilisation accrue de produits chimiques de synthèse comme substituts aux ingrédients nutritifs.
Pour s’en sortir, les grandes entreprises et les agences gouvernementales fédérales qui leur sont rattachées déclarent la guerre aux petits producteurs et aux fournisseurs d’aliments alternatifs, comme les vendeurs de lait cru.
'Tout marche comme sur des roulettes !'
RépondreSupprimerLes gens se font piquer ! Inoculer profond et en redemande !
Il y a les scientifiques qui ripostent mais arrive 'LIA' qui censure ou pas selon les programmes. Notez que les programmes sont comme les partis politique: tous pareils !
Et puis: Famine à venir. On approche du 'zéro agriculteur' !
Et puis: Virus à venir. On approche du 'zéro habitant'.
Rave party en sous-sol
RépondreSupprimer3 Septembre 2024
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué... et faire financer des projets de recherche
- voir photos sur site -
Géo a publié un article assez plaisant (sauf...), « Une "rave party" souterraine se déroule juste sous nos pieds, dans les sols en bonne santé ».
En chapô :
« Les paysages sonores reflètent l'état de santé des écosystèmes : cela se vérifie aussi en milieu souterrain, a montré une équipe australienne spécialisée en éco-acoustique. »
Cela repose sur un article scientifique, « Sounds of the underground reflect soil biodiversity dynamics across a grassy woodland restoration chronosequence » (les bruits du sous-sol reflètent la dynamique de la biodiversité du sol dans une chronoséquence de restauration d'un bois herbacé) de Jake M. Robinson, Alex Taylor, Nicole Fickling, Xin Sun et Martin F. Breed, publié dans le Journal of Applied Ecology de la British Ecological Society.
En voici le résumé :
« 1. La restauration et le suivi de la biodiversité des sols n'ont jamais été aussi importants. L'éco-acoustique apparaît comme un outil prometteur pour détecter et surveiller la biodiversité des sols et s'est récemment révélée efficace dans le contexte d'une forêt tempérée. Cependant, il est nécessaire d'étudier l'efficacité de l'éco-acoustique des sols dans d'autres écosystèmes et biorégions.
2. Ici, nous avons appliqué des outils et des indices éco-acoustiques (Acoustic Complexity Index, Bioacoustic Index, Normalised Difference Soundscape Index) pour mesurer la biodiversité du sol dans une chronoséquence de restauration d'un bois herbacé australien, couvrant trois classes d'âge. Nous avons collecté n = 240 échantillons acoustiques de sol sur deux parcelles défrichées (défrichées en continu par une gestion active), deux parcelles boisées en cours de restauration (revégétalisées il y a 14-15 ans) et deux parcelles de végétation restante pendant 5 jours à Mount Bold, en Australie du Sud. Nous avons utilisé un dispositif d'échantillonnage souterrain et une chambre d'atténuation du son pour enregistrer les communautés d'invertébrés du sol, qui ont également été comptées manuellement.
3. Nous avons constaté que la complexité et la diversité acoustiques étaient significativement plus élevées dans les parcelles revégétalisées et restantes que dans les parcelles défrichées, à la fois in situ et dans les chambres d'atténuation sonore. La complexité et la diversité acoustiques sont également associées de manière significative à l'abondance et à la richesse des invertébrés du sol.
RépondreSupprimer4. Synthèse et applications. Nos résultats confirment que l'éco-acoustique peut aider à surveiller la biodiversité du sol dans différents contextes de restauration forestière, y compris dans les forêts tempérées britanniques et les forêts herbacées australiennes. Cette technologie est prometteuse pour répondre au besoin mondial de méthodes efficaces de surveillance de la biodiversité des sols et pour protéger les écosystèmes les plus divers de notre planète. »
Je n'ai pas fait l'effort de mieux traduire « grassy woodland » – il s'agit d'une surface boisée avec une couverture herbacée – ni « remnant vegetation » – c'est a priori la végétation restée intacte.
Pour les « chambres d'atténuation », il est explique que, pour éviter les bruits parasites, on a prélevé des échantillons de sol avec une pelle et un récipient en plastique de trois litres – la précision est sans doute importante, et cela correspond peut-être au « dispositif d'échantillonnage souterrain » – et on a placé les échantillons dans une « chambre d'atténuation ».
Tout cela a l'air absolument passionnant...
Nous suggérerons cependant que pour analyser la vie du sol, celle des invertébrés susceptibles de produire une mélodie en sous-sol, le plus simple est encore... de faire une recherche visuelle.
Pour Géo, cet article a été l'occasion de divaguer un peu et de faire... de l'agribashing sans lien avec l'article scientifique de base.
Extrait (c'est nous qui graissons) :
« Pourtant, au sein des sols préservés, c'est presque cacophonique. Des bulles éclatent, des cliquetis retentissent… D'après une étude publiée par des chercheurs de l'université de Flinders en Australie et leur collègue de l'Académie chinoise des sciences (Journal of Applied Ecology, 15 août 2024), ce concert du vivant refléterait ainsi la bonne santé de l'écosystème souterrain.
En revanche, dans les champs cultivés en mode intensif, shootés aux pesticides plutôt qu'aux acides, ces substances licites semblent avoir fait taire les vers de terre, scarabées et autres fourmis, fêtards insouciants. Voici venu le temps du "Printemps silencieux" décrit par la lanceuse d'alerte Rachel Carson dès les années… 1960. »
RépondreSupprimerhttps://seppi.over-blog.com/2024/09/rave-party-en-sous-sol.html
En Allemagne, une exploitation agricole XXL absorbe un autre géant de l'agriculture – et s'étend sur 6.500 ha
RépondreSupprimer3 Septembre 2024
Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
La surface agricole utile s'élevait déjà à 5.500 hectares avant la reprise de la coopérative agricole et s'étend désormais à 6.460 hectares (64 600 000 m² ou 64,6 km²).
L'entreprise agricole Ervema s'étend sur 5.500 hectares. Elle a désormais racheté la coopérative agricole « Drei Eichen » (trois chênes) de l'arrondissement de Saale-Orla. L'entreprise passe ainsi à 6.450 hectares. Et devient l'une des plus grandes entreprises agricoles de Thuringe.
Ma note : Et en France on rêve de « fermes familiales », voire veut les imposer.
La coopérative agricole « Drei Eichen » à Miesitz, dans le district de Saale-Orla, a été reprise par la société ERVEMA agrar. C'est la MDR Thüringen qui en a parlé en premier.
Ervema Agrar Gesellschaft Wöhlsdorf mbH est une société à responsabilité limitée dont le siège se trouve à Staitz, une partie de la commune rurale d'Auma-Weidatal dans le district de Greiz.
L'avenir exact de la coopérative agricole reprise ne sera toutefois décidé que dans les prochaines semaines, a-t-on appris.
La coopérative agricole « Drei Eichen » reprise a été fondée en 1991 après la chute du mur. Ses principaux axes de production sont la production laitière et la production marchande de céréales et d'oléagineux.
La coopérative dispose d'une surface agricole utile de 960 hectares, dont 882 hectares de terres arables. Elle emploie actuellement 22 personnes ainsi que deux apprentis.
Ervema : la taille de l'exploitation atteint désormais 6.460 hectares
La société Ervema Agrar Gesellschaft compte, selon ses propres dires, parmi les plus importants fournisseurs de Thuringe orientale – et manifestement parmi les plus grandes exploitations agricoles de la région.
La surface agricole utile était déjà de 5.500 hectares avant le rachat de la coopérative agricole et s'étend désormais sur 6.460 hectares.
La production agricole se répartit sur quatre régions. À Staitz, on pratique la production laitière et végétale. Sur des sites comme Auma, Dörtendorf, Niederböhmersdorf et Göhren, il y a un élevage et un engraissement de bovins.
RépondreSupprimerLe site de Wöhlsdorf sert de base technique. Le site de Clodra abrite une exploitation laitière avec élevage de veaux. Il y a environ 6.000 bovins sur l'exploitation.
De nombreux rachats ont déjà eu lieu
L'ERVEMA agrar Gesellschaft Wöhlsdorf mbh a été fondée en 1990, avec 67 employés et une surface de 1.700 ha et 750 vaches laitières.
En 1993, la LPG Niederböhmersdorf a été reprise et la société Agrargesellschaft Staitz mbH « Weidatal » a été fondée. L'entreprise s'est agrandie de 950 ha et de 340 vaches.
En 2006, l'entreprise suivante a été avalée : la SSB Höhenölsen avec 1.150 ha de surface et 250 vaches. Puis, en 2017, la coopérative agricole « Holzland » Weißenborn e.G a été intégrée et, en 2022, la société Rüdersdorfer Agrar GmbH.
L'entreprise ERVEMA est actuellement dirigée par 3 managers (1 fondé de pouvoir, 2 directeurs). 26 associés participent à l'entreprise. L'entreprise dispose de 7 sites au total.
La société ERVEMA agrar est inscrite au registre du commerce sous la forme juridique d'une société à responsabilité limitée.
Avec du matériel de MDR Thüringen, ERVEMA.
https://seppi.over-blog.com/2024/09/en-allemagne-une-exploitation-agricole-xxl-absorbe-un-autre-geant-de-l-agriculture-et-s-etend-sur-6.500-ha.html
La Quatrième Dimension
RépondreSupprimerPar Jeff Thomas
International Man
3 septembre 2024
« Imaginez une situation dans laquelle l’économie d’une nation est sur le point de connaître un effondrement économique de proportions épiques, mais reste sans cesse au bord du gouffre. Chaque jour, un effondrement est plus probable, mais le château de cartes économique reste dans un état d’animation suspendue. Certaines personnes deviennent de plus en plus nerveuses, tandis que d’autres deviennent plus complaisantes. Seuls quelques-uns choisissent de se préparer réellement à ce qui va arriver.
« Une situation impossible ? Oui. Mais nous serions bien avisés de reconnaître qu’elle ne pourrait pas se produire uniquement… dans la Quatrième Dimension. »
Pour ceux qui sont assez vieux pour se souvenir de La Quatrième Dimension, l’émission de télévision américaine décalée « et si », cette introduction d’épisode par l’animateur Rod Serling semblerait s’intégrer parfaitement au format de l’émission.
L’émission a été diffusée de 1959 à 1964, présentant des rebondissements quelque peu irréels dans le monde normal dans lequel nous vivons. Chaque épisode examinait la façon dont les gens réagiraient à la situation de l’épisode et se terminait généralement par une leçon de morale de M. Serling sur la nature de l’humanité.
Étrangement, l’épisode ci-dessus, aussi improbable qu’il ait pu paraître il y a à peine dix ans, se déroule dans la vie réelle.
Les actions grimpent en prix, tandis que les dividendes sont en baisse ou, pour certaines des entreprises à la croissance la plus rapide, inexistants. Les obligations sont un pari pire, mais une bulle obligataire de proportions épiques existe. Les gouvernements du monde entier se débarrassent de la dette américaine, alors que la Fed achète des milliards de dollars de dette chaque mois.
En effet, la dette croît aujourd’hui au moins deux fois plus vite que l’économie qui doit la payer.
RépondreSupprimerL’assouplissement quantitatif a été inventé pour renflouer les banques en 2008, mais il continue à ce jour, bien après que le problème ait été prétendument résolu.
Les prestations sociales et de sécurité sociale sont à un niveau record, mais elles sont sous-financées au point de s’effondrer dans un avenir proche, indépendamment des autres catastrophes économiques imminentes.
Pendant ce temps, de multiples guerres inutiles sont menées au prix d’un coût faramineux pour une nation déjà insolvable, et d’autres pays sont menacés d’une éventuelle guerre s’ils ne « se comportent pas bien ».
Nous nous trouvons dans la situation extraordinaire d’être dans la plus longue période de boom de l’histoire, mais il n’y a pas de véritable boom, seulement l’illusion d’un boom.
À un tel moment, il serait prévisible que ceux qui sont inquiets se rueraient vers les métaux précieux, comme ils le font depuis des milliers d’années, chaque fois que la situation économique devient intenable. Pourtant, seule une infime partie de la population mondiale le fait.
Jamais dans l’histoire, les principales économies du monde n’ont été dans une bulle économique qui englobe pratiquement tout. Et pourtant, incroyablement, cette situation existe depuis plus d’une décennie. Techniquement, nous sommes en dépression depuis 2007 et pourtant la bulle qui aurait dû éclater à l’époque continue de grossir.
Est-ce que cela signifie que l’ère des krachs est révolue et que la bulle peut s’étendre indéfiniment sans éclater ?
Eh bien, non. La bulle éclatera très certainement et plus elle gonflera, plus la débâcle finale sera grave.
Nous sommes donc dans un état d’animation suspendue, en attendant que le choc se produise.
Certains des meilleurs économistes ont commencé à mettre en garde contre le krach à venir alors que ses causes commençaient à se dessiner il y a des décennies. Et presque tous ont prédit qu’il aurait déjà eu lieu, il y a au moins cinq ans.
Mais comment auraient-ils pu estimer une date possible pour un tel événement ? Les krachs économiques sont notoirement difficiles à déterminer quant au moment.
Eh bien, tous (et je dois m’inclure ici) ont supposé que les conditions seraient devenues si insoutenables économiquement à l’heure actuelle qu’un effondrement aurait sûrement été une quasi-certitude.
RépondreSupprimerEt sur ce point, nous avions raison sur le plan conceptuel. Nous nous trompions en pensant que toute logique soutenait l’hypothèse selon laquelle, une fois les conditions atteintes, l’argent commencerait à sortir du système, ce qui entraînerait un krach.
Historiquement, c’est toujours ce qui se passe. Lorsqu’un krach est proche, l’argent intelligent sort. Pourtant, cette fois-ci, chaque fois que l’argent a quitté le système, il a été remplacé par une dette considérablement accrue, occultant le fait que l’argent intelligent a commencé à sortir.
Par conséquent, nous avons continué à avoir l’impression de vivre une période de boom – la plus longue période de boom de l’histoire. Malheureusement, la grande majorité des gens sont incapables de reconnaître la pléthore de signes indiquant que l’économie s’est effondrée.
De plus, des statistiques comme l’inflation et le chômage ont été falsifiées depuis l’administration Clinton, pour tromper la population en lui faisant croire qu’ils n’ont pas atteint des niveaux de dépression.
La cerise sur le gâteau a été que les médias – dont 80 % appartiennent aux mêmes six sociétés de l’État profond – délivrent un message quotidien selon lequel l’économie est en hausse et que le public devrait « acheter, acheter, acheter ! »
Sans surprise, ceux qui ont donné l’alerte précoce de la crise économique à venir se font régulièrement dire : « Vous criez au loup depuis des années. Le krach n’a pas eu lieu. Vous aviez tort. »
Et cette critique n’est pas injustifiée. Il ne fait aucun doute que le délai a été prolongé au-delà de toutes les attentes. Cependant, les fondamentaux restent les mêmes et, aujourd’hui, ils sont bien plus prononcés qu’ils ne l’étaient en 2007.
À l’époque, nous nous attendions à un petit krach, qui s’est effectivement produit, suivi de « l’œil du cyclone », une période calme de trois à cinq ans au cours de laquelle une fausse reprise aurait lieu.
Cet « œil » s’est avéré artificiellement élargi par les divers acteurs du Deep State, au détriment ultime de pratiquement tout le monde.
RépondreSupprimerLe deuxième krach majeur – prédit avant 2007 et qui devait se produire plusieurs années après le krach mineur de 2007 – n’est pas seulement toujours imminent ; il est plus certain que jamais. Les fondamentaux restent les mêmes et atteindront leur conclusion logique.
Certes, cela a donné aux économistes qui suivent depuis des décennies la débâcle économique imminente la sensation d’être en suspens depuis plusieurs années.
Il n’est donc pas surprenant que la situation actuelle ressemble à un épisode de La Quatrième Dimension, avec la regrettable particularité qu’il ne s’agit pas d’une émission de télévision, mais d’une réalité artificiellement retardée.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2024/09/no_author/the-twilight-zone-2/
La sidérante attaque de la presse subventionnée contre les publications scientifiques: elle ne se contente plus de les censurer , elle veut les remplacer
RépondreSupprimerle 2 septembre 2024
par pgibertie
La technique était connue, soit inventer un pseudo consensus (le climat) soit ne retenir qu’une étude sur 100, la plus mauvaise et ne jamais parler de la rétractation . Ainsi la presse subventionnée ne parla jamais des centaines d’études qui valident l’ivermectine mais propagea les idioties de la call girl Anderson contre l’hydroxychloroquine. Puis silence quand l’étude fut rétractée.
- voir doc sur site -
Au début de l’année roulement de tambour sur une étude bidon attestant que 17000 personnes étaient mortes de l’HCQ. Le monde scientifique éclate de rire puis s’indigne, tout est grossier , pipoté
LA MÉTHODE DE L ÉTUDE
ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites
On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé
On le multiplie par le nombre de décés covid
ON ARRIVE A UN RÉSULTAT REPRIS PAR LES MEDIA
- voir doc sur site -
Devant tant de bêtise l’étude fut rétractée
La Revue a été informée des débats des lecteurs au sujet de cet article. La Revue a reçu un certain nombre de lettres à la rédaction et de correspondances de lecteurs.
Le plan, tel que publié dans une version antérieure de cette note de l’éditeur, était initialement de publier ces lettres à l’éditeur, après que les auteurs de l’article ci-dessus aient eu le droit de répondre et de soumettre une réponse (qui serait également publiée, après examen).
Après avoir évalué toutes les informations à ce stade, ainsi que l’étendue et la profondeur des critiques, le rédacteur en chef a pris la décision de changer d’approche et de traiter cette question par le biais du processus du Comité d’éthique des publications (COPE) pour les corrections du dossier scientifique :https://publicationethics.org/
Professeur Danyelle Townsend, rédactrice en chef, Biomédecine et Pharmacothérapie
RépondreSupprimer@CorinneReverbel
- voir doc sur site -
La réaction de la presse subventionnée: la science c’est nous pas les revues scientifique
Rien que le titre promet : « Rétraction d’une étude sur l’hydroxychloroquine : intimidations, réseaux pro-Raoult et « procès en hérésie » On sait que l’on ne va pas parler de la fraude scientifique qui a été reprise dans les médias dans le monde entier sans précaution aucune, ni des origines de cette étude. Avec
@beauantoine la désinformation commence dès le titre.
Les biais du sous-titre confirment : « Le retrait d’une étude estimant à 17 000 le nombre de victimes de l’hydroxychloroquine, utilisée à tort contre le Covid-19, suscite de vives inquiétudes chez les scientifiques. » Aucune précaution et on oriente sur le fait que ce retrait serait inquiétant plutôt que de chercher à comprendre pourquoi cette étude n’aurait pas dû être publiée !
Dites donc, la manipulation et les fakenews, c’est pas beau monsieur Beau
@beauantoine
Tout est déformé ou manipulé dans cet article de l’@LEXPRESS
, de la belle désinformation dans le domaine de la Santé Qu’en disent la@Miviludes_Gouv
, et le ministère@MinistereCC
qui surveillent les fakenews du domaine de la santé dans les médias ?
Parce que la vraie information est que
: 1-l’article a été rétracté par l’éditeur
2- cela a fait suite à plusieurs « letter of concern » ( critiques scientifiques sur le fond de l’article envoyées à l’éditeur )
3- l’éditeur a décidé qu’au vu « de l’étendue et de la profondeur de la critique » l’article devait être soumis au processus COPE (Comité d’éthique de la publication) 4- suite au processus COPE et aux 2 PROBLÈMES MAJEURS qui ont été mis à jour via COPE,
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
l’éditeur a décidé de rétracter l’étude Tout le reste n’est que manipulation https://sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X?via%3Dihub
https://pgibertie.com/2024/09/02/la-siderante-attaque-de-la-presse-subventionnee-contre-les-publications-scientifiques-elle-ne-se-contente-plus-de-les-censurer-elle-veut-les-remplacer/
Colonie du Congo
RépondreSupprimer2 septembre 2024
par Gerd et Renate Reuther
La « République démocratique du Congo » est en réalité un État indépendant depuis 1961 et a fonctionné sous le nom de « Zaïre » de 1971 à 1997. En fait. Cependant, depuis la fin du régime colonial, le pays est exploité par les élites d’Europe occidentale. Sous la direction du roi belge Léopold II, le Congo est devenu un fournisseur de caoutchouc imbibé de sang.
Désormais, le Congo servira de laboratoire à ciel ouvert pour le « Mpox ». Les victimes prévisibles de l'isolement expérimental et des injections expérimentales de gènes doivent être à nouveau prises en charge par la population locale. Contrairement à l’époque coloniale, cette fois-ci, ce sont les contribuables de l’Union européenne qui paient la note.
Le peu d'autodétermination dont jouit le Congo est devenu évident quelques mois seulement après son indépendance officielle de la puissance coloniale belge, le 30 juin 1960. Six mois plus tard, le premier Premier ministre librement élu, Patrice Lumumba, était assassiné, probablement avec l'implication des services secrets occidentaux.
Depuis, le deuxième plus grand pays en superficie du continent africain avec ses 100 millions d’habitants n’a jamais connu de développement pacifique. Le pays est gouverné de manière autoritaire partout. Les hommes politiques meurent généralement prématurément et subitement. Seul le dictateur Joseph Mobutu est resté au pouvoir pendant 32 ans. Il y a plus de guerre que de paix. Le génocide contre les Hutu a également fait la une des journaux internationaux. Malgré de riches gisements de matières premières, le Congo est l’une des régions les plus pauvres du monde.
Cependant, le Congo a longtemps été un « État en faillite » avant d’être rétrogradé au rang de colonie belge en 1885. Tout a commencé avec les premiers contacts européens, lorsque les Portugais ont établi un comptoir commercial à l'embouchure du Congo à la recherche d'une route maritime vers le sous-continent indien. Le roi régnant Nkuwu a coopéré, a été baptisé João Ier en 1491 et a reçu une aide militaire en retour. Après sa mort, le chrétien Mwemba resta vassal du Portugal et du pape sous le nom de Dom Afonso I (?-1543) pendant encore 37 ans. Cependant, son espoir d’être reconnu comme un égal par les Européens ne s’est pas réalisé.
Dom Afonso I s'est rendu compte trop tard que, derrière le masque d'un christianisme soi-disant bienveillant, son pays était en train de dégénérer et de devenir le principal point de commerce des esclaves africains. En 1512, en échange de personnes, d'ivoire et de cuivre, les Portugais lui promirent l'établissement d'un système juridique, d'une armée, d'un engagement missionnaire et de l'instruction de la cour sur l'étiquette portugaise.
Les protestations d'Afonso contre l'hémorragie de son pays sont restées lettre morte. Après que trois courriers qu'il eut envoyés pour protester auprès du roi du Portugal et que le pape eut disparu sans laisser de trace entre Lisbonne et Rome, il expulsa les Portugais du pays en 1526. Mais à cette époque, le Congo avait perdu depuis longtemps sa souveraineté en raison de sa dépendance à l’égard du Portugal.
Afin de repousser une attaque du peuple Jaga, l'armée portugaise fut appelée à l'aide en 1569. Le Congo est devenu tributaire et a perdu son équivalence formelle en tant que royaume. La traite négrière s'est étendue et a dépeuplé des régions entières. La tentative d'invalider les traités conclus avec le Portugal en 1665 et de récupérer tous les territoires annexés échoua.
RépondreSupprimerUne armée portugaise a vaincu l'armée congolaise, décapité le roi et divisé le pays en provinces individuelles. Le Royaume du Congo, alors dirigé par des marionnettes politiques, n’existait que sur le papier. Depuis lors, la traite négrière a pu s'étendre sans être dérangée et systématiquement par les Européens, les Afro-Arabes et certains peuples africains. Du début du XVIe siècle au milieu du XIXe siècle, environ cinq millions d'esclaves ont été expédiés depuis les côtes du Congo.
Telle était la situation lorsque le roi Léopold II convoqua une conférence géographique à Bruxelles en septembre 1876 pour explorer le Congo. Ils ont fait semblant de vouloir aider et ont fondé une Société internationale africaine (IAG) censée coordonner le travail humanitaire et scientifique. Cependant , dès 1879, la participation belge dans l'IAG a été remplacée par la Société Internationale du Congo (IKG), qui s'occupait exclusivement du développement économique du bassin du Congo . Les dirigeants locaux ont cédé contractuellement leurs territoires à l'IKG et ont permis la construction d'infrastructures pour le transport de marchandises. En 1885, le territoire de l'actuelle République démocratique du Congo fut attribué à l'IKG, dont l'unique propriétaire était désormais Léopold II. Cela signifiait que ce qu’on appelle l’État indépendant du Congo était la propriété privée d’une seule personne !
Il est à craindre que « Mpox » ne représente qu’un nouvel épisode dans le massacre des personnes qui y vivent. Déjà sous le règne colonial de Léopold II, environ la moitié des 25 millions d'habitants du Congo sont morts à cause du travail forcé, de l'esclavage, du meurtre et de la malnutrition. ii
La deuxième guerre du Congo, après la chute de Mobutu, a dépeuplé des régions entières du pays. Les projections supposent plus de trois millions de victimes indirectes de la guerre. Une troisième guerre au Congo a officiellement duré de 2007 à 2013. Depuis mars 2022, les combats ont repris entre les rebelles et les troupes régulières. Il y avait au moins six millions de personnes déplacées à l'intérieur du pays. La moitié de la population vit avec des réserves alimentaires insuffisantes. Le 19 mai 2024, une nouvelle tentative de coup d’État a eu lieu.
Dans un pays où règnent constamment des guerres et des difficultés, des maladies infectieuses épidémiques sont inévitables. En faire la base d’une urgence mondiale démontre les actions motivées par les intérêts de l’OMS. Ces liens et d'autres sont expliqués plus en détail dans le nouveau livre « La conquête de l'Ancien et du Nouveau Monde » (Engelsdorfer Verlag) . iii
Références
i Hochschild A : Le fantôme du roi Léopold. Mifflin ; Boston/New York 1998
ii Hochschild A : Le fantôme du roi Léopold. Mifflin ; Boston/New York 1998
iii https://www.engelsdorfer-verlag.de/geschichte/Die-Eroberung-der-Alten-und-Neuen-Welt::8244.html
https://tkp.at/2024/09/02/kolonie-kongo/