Attention : guerre de l'information ! Reyno De Beer (Liberty Fighters) et Loïs Sasek (Kla.TV)
19.09.2024 www.kla.tv/30513
Toute personne en quête de vérité connaît cette situation : un lien ou un courrier contenant une révélation brûlante arrive. On se dit : Enfin quelqu'un a révélé ce que nous soupçonnions depuis longtemps !
Mais attention : Il y a une guerre de l'information qui fait rage ! Cela signifie que des informations fausses ou à moitié vraies sont mises en circulation de manière ciblée. Si celles-ci sont ensuite partagées des centaines de milliers de fois et qu'elles s'avèrent fausses, c'est du pain bénit pour les fact checkers autoproclamés et les médias mainstream. C'est pourquoi, à Kla.TV, nous vérifions depuis 2012 déjà si chaque source est bien fondée, crédible et correcte. Récemment encore, Loïs Sasek, directrice de Kla.TV, a transmis ce principe de la manière suivante lors d'une formation interne des collaborateurs.
Loïs Sasek, directrice de production de Kla.TV : « Il y a eu cette information fantastique selon laquelle un journaliste a pris par hasard une photo de Buckingham Palace où on voit un garçon s’échappant d'un abus rituel.
Mais vous devez toujours faire attention à ce qu'il y ait bien une source ou si c'est simplement une version non vérifiée. Dans ce cas, n'oubliez pas d'ajouter : « Veuillez vérifier » ou quelque chose comme ça - nous devons tout bonnement faire attention ! Parce qu'ici par exemple, on voulait délibérément nous faire avaler une fausse information - parce que pour cette photo avec le garçon, il nous a fallu deux ans, parce que nous ne savions absolument pas où était la source de cette affaire. Nous n'avons pas pu vérifier. Et puis il s'est avéré que c'était une photo truquée, un tournage de film, destiné à nous mener sur une fausse piste. Et là, malheureusement, beaucoup de journalistes d’investigation sont tombées dans le panneau. Et on peut à nouveau tourner tout le sujet en dérision : « Tout est faux, non ? » Vous comprenez ?
Et là, je dois dire que Kla.TV est vraiment bon en matière de vérification des sources. Beaucoup de journalistes d’investigation indépendants disent : « Oh cool, regarde ! » Et alors c'est très dangereux, on peut tout de suite les éliminer. Mais nous devons simplement continuer à veiller à ce que nous regardions vraiment toujours : Attends, ça a l'air fantastique, mais est-ce que c'est vraiment possible ? Tu sais ce que cela m'a coûté de ne pas publier cette image pendant deux ans, parce que je pensais : C'est une bombe ! Parce que j'ai des témoins de Buckingham Palace ! Mais quand tu as quelque chose comme ça, c'est du pain bénit. Et l'autre partie le sait. C'est une guerre, ne l'oublions pas ».
Cette situation nous pose un défi à l'échelle mondiale, la contribution suivante du formateur en investigation sud-africain Reyno De Beer de Liberty Fighters Network le démontre.
https://libertyfighters.org et https://t.me/libertyfightersnews
Il explique avec force la portée de cette guerre de l'information :
Par exemple, nous recevons quotidiennement des informations sur nos sites. Il y a des gens qui postent simplement quelque chose qui va dans le sens de notre pensée et de notre recherche, sans vérifier les faits.
Je ne suis pas en train de dire qu'il faut s'adresser à un vérificateur de faits. Bonté divine, les gars, vous avez traversé une période d'environ trois ans avec le confinement de la pandémie de COVID-19 et vous êtes devenus de bons chercheurs. C'est une très bonne chose qui est ressortie de cette période de confinement de la pandémie de COVID-19 que nous avons traversée. Elle a créé de nouveaux chercheurs, vous qui nous écoutez. Mais malheureusement, juste parce que quelque chose correspond à notre pensée et à notre objectif, les gens l'acceptent sans hésiter comme une vérité. Ils le diffusent ensuite par milliers sur les médias sociaux et autres plateformes, c’est accepté comme vérité. Mais c'est exactement comme cela que nos ennemis opèrent.
Ils créent quelque chose de totalement bidon et ils savent que nous sommes très crédules à ce moment-là, que nous l'acceptons comme une vérité et que nous allons la répandre ; et c’est pour que, quand elle sortira et au bon moment, lorsque les gens commenceront à faire référence à cette information fabriquée par nos ennemis, alors ils se montreront et ils prouveront que cela n'existe pas ou que ce n'est pas comme ça, ce que le narratif ou l'information dit, et ils ridiculiseront alors tous les membres de notre groupe d'activistes.
Ce n'est donc pas seulement vous qui êtes ridiculisé, c'est nous tous qui nous entendons dire que le « groupe » éveillé est une bande de complotistes avec des chapeaux d’aluminium. Parce qu'ils nous fournissent intentionnellement de fausses informations qui correspondent à nos idées et que nous n'allons pas les vérifier, nous n’allons pas voir si c'est vraiment la vérité.
Par exemple, Donald Trump, il y a encore des gens qui croient qu'il est le sauveur du monde, mais ils n'ont jamais fait de recherches sur ses antécédents. S'ils l'avaient fait, ils se seraient rendu compte qu'il est jésuite. Qu'est-ce que l'ordre des Jésuites ? C'est un ordre de personnes très influentes créé par l'Église catholique romaine pour l'aider à se débarrasser du protestantisme afin que tous les chrétiens appartiennent à une seule et même foi, le catholicisme.
Et avec ce type d'hommes politiques, je dis toujours que ce n'est pas ce qu'ils font et ce qu'ils disent en public qui est important. C'est ce qu'ils ne font pas qui me rend méfiant à leur égard. Par exemple, Donald Trump, alors qu'il était président des États-Unis d'Amérique, l'a été en pleine prétendue pandémie de COVID-19. Si nous pensons qu'il y a eu beaucoup d'irrégularités avec le COVID-19, il était en position de les dénoncer. Mais il a parlé de l'efficacité de l'Ivermectine, par exemple. Il confirmait ainsi l'existence d'un virus et d'une pandémie. Tout ce truc dont nous, en tant que groupe, nous disons que c’est probablement très suspect et qu’il se pourrait qu’il n’y ait ni virus ni pandémie.
Et si je répète que c'est à vous d'aller faire des recherches, ne vous contentez pas d'accepter ce que je dis. Même si pour tout ce que fait le Liberty Fighters Network, nous en donnons la preuve, la preuve réelle sur notre site web. Allez voir, allez chercher notre nom sur Google, allez voir, lisez les affaires judiciaires qui ont été publiées à notre sujet, pour que vous puissiez voir et expérimenter le travail que nous faisons.
Les gens transmettent donc ces informations. D'un côté, les gens disent, oh, oui, mais nous les transmettons parce que nous voulons vérifier si ce que cette personne dit va s'avérer être la vérité. Mais en réalité, vous alimentez ces informations. Vous l'alimentez en la transmettant sans la vérifier. Vous devriez au moins ajouter une note et dire que ce n'est pas vérifié, vérifiez s'il vous plaît.
Les gens sauront alors qu'il ne faut pas l'accepter comme une vérité. Ils doivent d'abord aller vérifier. Mais les gens ne le font pas. L’info est simplement transmise des milliers de fois à diverses personnes et ils croient que quelqu'un fait quelque chose pour lutter contre la corruption bancaire ou que cette organisation fait quelque chose. Ils se détendent donc et pensent qu'ils sont en train de faire quelque chose.
Malheureusement, cela arrive régulièrement. Ce que je dis aux gens, c'est que lorsqu'ils transmettent des informations, il faut d'abord qu'ils enquêtent eux-mêmes, qu'ils aillent sur Google, sur DuckDuck-Go ou sur tout autre moteur de recherche, et qu'ils les consultent. Allez-y et vérifiez s'il y a une raison suffisante de penser qu'il pourrait s'agir de la vérité. Allez vérifier qui vous l'a transmis. Y a-t-il un nom ? S'il n'y a pas de nom, ne le faites pas circuler. S'il n'y a pas de nom, s'il n'y a pas de date, s'il n'y a pas de site web, s'il n'y a pas de lieu, et que vous ne pouvez pas aller vérifier si cette personne existe réellement... Si une personne ne veut pas donner son nom en transmettant ce message, ignorez-la. Il y a une raison pour laquelle cette personne ne veut pas donner son nom. S'il s'agit d'un véritable activiste, il ou elle ne se souciera pas d'attacher son nom à cette information parce que son nom ou son nom est le sceau d'approbation de cette nouvelle. Allez vérifier. C'est très important, s'il vous plaît. Ne faites pas circuler quelque chose que vous ne pouvez pas confirmer vous-même.
Et si vous n'êtes pas sûr, que vous y avez longuement réfléchi et que vous pensez que cette information doit être partagée avec d'autres, indiquez « accusations non confirmées ». Ainsi, d'autres personnes pourront vérifier.
Méfiez-vous des agents et des espions qui vous transmettent délibérément et intentionnellement des informations qui ne nous aideront pas du tout. Il est essentiel que nous vérifiions ces choses dans notre quête de la vraie libération. Je vous invite à vérifier, à confirmer, et je ferai évidemment d'autres vidéos sur des sujets similaires. N'hésitez pas à liker cette vidéo, à la faire suivre à d'autres personnes ou à la partager si vous l'avez aimée. Cela nous aidera également avec l'algorithme de YouTube. Soyez prudents, que Dieu vous bénisse. Liberty Fighters Network.
La FDA met en garde contre un nouveau vaccin contre la variole du singe
20 septembre 2024 de Thomas Oysmüller
Le vaccin contre la variole (du singe) qui vient d'être approuvé aux États-Unis peut non seulement être mortel, mais aussi se propager à des personnes non vaccinées. La plus haute autorité pharmaceutique de Washington met en garde à ce sujet.
Le vaccin vivant contre la variole du singe (mPox) peut se multiplier et se propager. Sans vaccination. Le vaccin ACAM2000 contre la variole du singe a été approuvé fin août. Cela entraîne un certain nombre de risques pour la santé, même pour les personnes non vaccinées. Le vaccin a été approuvé en 2007 et est fabriqué par Emergent BioSolutions. L’entreprise est spécialisée dans les vaccins contre les menaces biochimiques de guerre.
Excrétion et effets secondaires
Dans la description du produit, la FDA est assez claire. La substance pourrait « faire plus de mal que de bien », indique-t-on. La vaccination a été approuvée pour les personnes considérées comme « à haut risque » d’infection par la variole du singe. Reste à savoir qui sont ces personnes. La description du produit met également en garde contre des effets secondaires importants : mort subite ou myocardite, par exemple.
Mais la liste des effets secondaires est bien plus longue : les effets secondaires du vaccin comprennent la myocardite, la péricardite, l'inflammation du cerveau ou de la moelle épinière, les éruptions cutanées, les fausses couches, les infections oculaires et la cécité, les réactions allergiques graves, etc. Et : La vaccination peut également être donné aux personnes non vaccinées. Vous pouvez trouver la description complète du produit ici.
Des médecins critiques tels que Karl Jablonowski, Ph.D. de Chlidrens Health Defense, mettent en garde avec véhémence contre l'utilisation immédiate du vaccin ACAM2000 : « Vous pouvez appeler ACAM2000 un « vaccin », mais son impact sur les États-Unis sera celui d'une « maladie ». » La substance est un « danger public ». et non une mesure de santé publique.
« Par exemple, selon la notice du médicament (voir tableau 3), le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a déterminé qu'environ 520 sur un million de receveurs d'ACAM2000 ont développé une myocardite ou une péricardite. Cela représente environ 1 sur 2 000. Cependant, ailleurs dans la notice, la FDA admet que le risque – sur la base d'études supplémentaires – est en réalité de 5,7 pour 1 000 vaccinations. Cela représente environ 1 personne sur 175. Si les 262 millions d’adultes aux États-Unis recevaient ce vaccin, on estime que 1 493 000 personnes développeraient une myopéricardite à effet secondaire grave.
Ceci est juste un effet secondaire possible. Les risques s’étendent jusqu’à la mort (ce qui est « extrêmement rare »). Également pour les « personnes non vaccinées », notamment lorsqu’elles sont en contact étroit avec des personnes vaccinées. Les États-Unis disposent actuellement de plus de 100 millions de doses de cette substance en stock. On soupçonne qu'ils souhaitent désormais les expédier en Afrique. À ce jour, ACAM2000 n’a pas été utilisé contre la variole du singe en Afrique.
En Allemagne, une loi a été modifiée en 2019 afin que les « vaccins » puissent également être transmis à d’autres personnes. C'est ce qu'on appelle le « délestage », dont le TKP a parlé en détail . Les changements juridiques rendent légalement valable la diffusion des vaccins. La situation juridique est probablement similaire aux États-Unis.
Les députés du Land du Tyrol du Sud demandent à Rome de suspendre la vaccination obligatoire des enfants
19 septembre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le député et avocat Dr. Renate Holzeisen soutient depuis un certain temps les parents du Tyrol du Sud qui souhaitent protéger leurs enfants des vaccinations obligatoires assez étendues. Un certain nombre de vaccins sont requis pour fréquenter la maternelle, ce qui peut affecter la santé des enfants. Dès l’âge de six ans, il existe des sanctions en cas de non-vaccination.
Au Tyrol du Sud, les vaccinations suivantes sont obligatoires dans les crèches et les jardins d'enfants : diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatite B, coqueluche, HIB Haemophilus influenza type B, rougeole, oreillons, rubéole et varicelle. À défaut , une amende sera imposée aux étudiants âgés de 6 à 16 ans.
Toutefois, les médicaments, notamment les médicaments pédiatriques, ne peuvent généralement être utilisés qu’après avoir prouvé leur sécurité et leur efficacité. La preuve de la sécurité et de l'efficacité ne peut être obtenue que dans le cadre d'études cliniques avec de véritables groupes témoins.
Dans la campagne « La transparence pour protéger nos enfants » , la « réponse » des sociétés médicales du Tyrol du Sud à la demande de divulgation des études cliniques avec de véritables groupes témoins pour les vaccinations obligatoires des enfants n'était qu'une référence à deux liens avec une documentation en langue anglaise. L'autorité compétente a simplement envoyé des liens vers le rapport d'évaluation de l'EMA du 5 mars 2013 sur le vaccin à six doses HEXYON et une « discussion scientifique » sur le quadruple vaccin ProQuad.
Après avoir commencé l’examen de ces deux documents, les « informés » ont constaté que ni l’efficacité ni la sécurité des vaccinations demandées par l’entreprise médicale n’avaient été confirmées par des études cliniques avec un véritable groupe témoin.
L’autorité européenne responsable brandit donc des vaccins pour nos enfants.
Malgré cette procédure clairement illégale de la part de la direction médicale du Tyrol du Sud, les vaccinations mentionnées ci-dessus sont toujours exigées pour les enfants. Hier Dr. Holzeisen a annoncé lors d'une conférence de presse qu'ils agiraient désormais en tant que représentants spéciaux des parents du Tyrol du Sud dont les enfants ont été exclus de l'école maternelle et en tant que membres du parlement du Land du Tyrol du Sud, et donc conformément à l'article 48/bis du décret présidentiel n° 670 du décret présidentiel n° 670. 31 août 1972 Représentation de la province autonome de Bolzano qui demande la suspension immédiate des vaccinations obligatoires des enfants. À cette fin, une demande urgente a été envoyée au ministre de la Santé Schillaci, à la présidente du gouvernement Giorgia Meloni et à la personne responsable du ministère de la Santé.
Voici la traduction allemande autorisée des textes de la conférence de presse d'hier et de la motion d'urgence :
DEMANDE EXPRESSE DE SUSPENSION IMMÉDIATE DE LA VACCINATION DES ENFANTS OBLIGATOIRES À ROME Ci - joint la demande urgente (en italien avec traduction en allemand) envoyée hier au ministre de la Santé Schillaci, à la présidente du gouvernement Giorgia Meloni et aux responsables du ministère de la Santé, de l'Agence italienne des médicaments (AIFA) et de l'Istituto Superiore della Sanità , auprès de laquelle j'agis en tant que représentant spécial des parents du Tyrol du Sud dont les enfants ont été exclus de l'école maternelle, et en tant que membre du Parlement de l'État du Tyrol du Sud, et donc conformément à l'article 48/bis du décret présidentiel n° 670 du 31 août, 1972, représentant la province autonome de Bolzano, exigeant la suspension immédiate des vaccinations obligatoires des enfants .
Sur la base des demandes de divulgation soumises par les parents du Tyrol du Sud à la société médicale du Tyrol du Sud, nous savons que le vaccin à six doses Hexyon de Sanofi Pasteur Europe et le quadruple vaccin Proquad de Merck Sharp & Dohme sont utilisés au Tyrol du Sud pour réaliser la vaccination des enfants. exigence.
Après avoir examiné la documentation institutionnelle officielle de l'approbation décidée de manière centralisée par la Commission européenne, nous avons constaté que ni la sécurité ni l'efficacité des multiples vaccins n'avaient été prouvées dans des études cliniques.
D’ailleurs, cela s’applique à tous les vaccins pédiatriques.
En outre, la décision d'approbation de la Commission européenne et les décisions de rachat correspondantes de l'AIFA stipulent expressément la nécessité d'une prescription médicale pour l'injection de ces substances.
Une prescription médicale ne peut jamais être remplacée par un plan national de vaccination politiquement décidé.
Il est évident qu'il ne peut y avoir de vaccination obligatoire avec des substances expérimentales de facto et que l' exclusion des enfants non vaccinés des jardins d'enfants et des petites garderies est discriminatoire et viole toute une série de principes constitutionnels .
Voir les détails, y compris un lien vers les documents d'approbation institutionnelle dans la demande urgente ci-jointe ici.
La seule solution acceptable est de suspendre immédiatement l’obligation de vacciner les enfants et d’admettre immédiatement les enfants exclus dans les jardins d’enfants et les petites crèches. Toute autre démarche reviendrait à insister sur des actions manifestement inconstitutionnelles (violation de la dignité humaine des enfants, du droit au travail, etc.).
Je suis convaincu que si les parents savaient ce que l'on injecte à leurs enfants, ils ne soumettraient probablement pas leurs enfants à cette roulette russe.
La demande de suspension immédiate que j'ai déposée hier aurait en fait dû être déposée par le Conseil de la santé du Tyrol du Sud et le gouverneur de l'État, compte tenu de la situation flagrante !
Demande urgente aux responsables gouvernementaux de suspendre l'obligation de vaccination pédiatrique 18/09/24
Dommages causés par le vaccin : « Cartel du silence »
19 septembre 2024 de Thomas Oysmüller
La politique se fait avec le nombre de victimes de la campagne de vaccination contre le Covid. Mais ce chiffre n’a rien à voir avec la réalité, mais sert plutôt les intérêts dominants.
Quelques centaines de blessures causées par les vaccins ont été reconnues en Autriche en raison de la campagne de vaccination, environ 500 en Allemagne : ces chiffres sont toujours cités par la propagande des médias politiques lorsqu'il est question de la prétendue « sécurité » des vaccins. Cependant, ces chiffres sont artificiellement bas et n’ont rien à voir avec la réalité. Une personne concernée parle d’un « cartel du silence ». En Allemagne, le BSW réclame un enregistrement plus systématique des dégâts.
Voici le reportage actuel du magazine Multipolar :
Selon les personnes concernées, les dommages causés par les vaccins contre le Covid-19 ne sont pas suffisamment documentés. Ina Berninger, dont il est cliniquement confirmé qu’elle souffre d’effets secondaires graves dus à un vaccin à base d’ARNm, parle à Multipolar d’un « cartel du silence ». "Beaucoup de gens le savent : les médecins, les directeurs de cliniques, les associations médicales, le ministère, les autorités sanitaires, la police et tout le monde passe cela sous le tapis. Aucune institution ne se reconnaît responsable, critique l'employé de l'université de Cologne." Conformément à l' article 6 de la loi sur la protection contre les infections, le médecin doit signaler immédiatement toute suspicion d'atteinte à la santé dépassant l'étendue habituelle d'une réaction vaccinale.
Cependant, le médecin responsable de l'hôpital universitaire d'Aix-la-Chapelle n'a pas signalé le cas à l'Institut Paul Ehrlich (PEI) responsable, explique Berninger. Même après la demande du patient et en coordination avec l'Association médicale de Rhénanie du Nord-Westphalie, le médecin a continué à refuser. En réponse à la demande de Multipolar, le service de presse de l'hôpital universitaire d'Aix-la-Chapelle a écrit que l'« impression » selon laquelle les cas suspects d'effets secondaires des vaccins Covid-19 n'étaient pas signalés était « fausse ». La clinique universitaire agit conformément aux dispositions légales et a coordonné son approche avec l'ordre des médecins. La clinique n'a pas souhaité commenter le cas spécifique de Berninger.
La personne concernée a déclaré à Multipolar qu’elle connaissait nommément au moins cinq autres victimes du vaccin dont les cas n’avaient pas été signalés à l’Île-du-Prince-Édouard par l’hôpital universitaire d’Aix-la-Chapelle. Le médecin Harald Matthes de la Charité de Berlin a expliqué en avril 2022 que le sous-enregistrement des blessures causées par la vaccination corona par l'Île-du-Prince-Édouard était d'environ 70 pour cent. La Charité s'est par la suite distanciée de lui.
Le Deutsche Ärzteblatt a rapporté en 2021 que le taux de déclaration en Autriche entre fin décembre 2020 et début juillet 2021 était de 3,7 cas pour 1 000 doses de vaccin et en Grande-Bretagne entre début décembre 2020 et mi-juillet 2021, il était de 3,79. En Allemagne, en revanche, le taux était nettement inférieur au cours de la période correspondante, avec seulement 1,4 cas signalés d'effets secondaires suspectés pour 1 000 doses de vaccin corona. Les raisons de cette situation sont inconnues, indique le rapport. En juin 2022, les victimes du vaccin ont envoyé une « lettre de feu » aux hommes politiques et aux principaux médias. Il affirme que de nombreux scientifiques et politiciens minimisent encore publiquement les dommages causés par le vaccin corona et nient ainsi les maladies les plus graves des patients.
Andrej Hunko, porte-parole de l'Alliance Sahra Wagenknecht (BSW) en matière de politique de santé, affirme qu'il existe une sous-déclaration massive des blessures liées aux vaccins contre le Covid-19. Le BSW est arrivé à cette conclusion après des discussions avec des personnes vaccinées, a-t-il expliqué en réponse à la demande de Multipolar. Un enregistrement systématique des effets secondaires à l'Île-du-Prince-Édouard est donc absolument nécessaire, tout comme le rétablissement des rapports de sécurité, désormais interrompus. "Nous demandons une révision complète de la politique en matière de pandémie et, en conséquence, une commission d'enquête parlementaire au Bundestag allemand. Une telle commission d'enquête aborderait également le manque de profil de sécurité des préparations corona à base d'ARNm et la sous-déclaration des cas." dommages causés par le vaccin, explique-t-il.
En outre, Hunko critique la « campagne agressive du gouvernement fédéral pour la soi-disant vaccination corona ». La campagne « était et est, à mon avis, irresponsable et anticonstitutionnelle ». Cela contredisait également fondamentalement la résolution n° 2361 du Conseil de l’Europe de janvier 2021.
Interrogé par Multipolar, Martin Sichert, porte-parole du groupe parlementaire AfD en matière de politique de santé, explique que les factions des partis établis au Bundestag n'ont « aucun intérêt à une clarification ». Cela se voit par exemple dans le rejet de l'audience publique demandée par l'AfD pour traiter de la surmortalité . Son parti a également soumis d'autres propositions au sujet des effets secondaires de la vaccination, qui ont été rejetées, indique Sichert. Une clarification de « cette époque terrible de la politique de santé allemande » est « nécessaire de toute urgence ».
Le dernier rapport de sécurité de l'Île-du-Prince-Édouard sur les vaccins contre la COVID-19 était daté du 31 mars 2023. En réponse à une demande de Multipolar, le bureau de presse de l'Île-du-Prince-Édouard a déclaré que des cas suspects ultérieurs de complications liées à la vaccination avaient été enregistrés dans la base de données des cas suspects de l'EMA dans toute l'UE. États membres. En réponse à la demande de Multipolar auprès du ministère fédéral de la Santé, il a déclaré que les rapports de sécurité réguliers étaient un « format spécial » développé en raison de la « situation pandémique particulière ». Il existe désormais « de nombreuses données » sur la sécurité des produits vaccinaux contre la COVID-19. L’Île-du-Prince-Édouard a donc cessé de préparer et de publier des rapports sur la sécurité des produits vaccinaux contre la COVID-19.
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 19 septembre 2024
L'aspirine, traditionnellement utilisée pour soulager la douleur, présente des propriétés anticancéreuses prometteuses. Des recherches récentes mettent en évidence son potentiel dans la prévention et le traitement du cancer, avec un analogue plus puissant, l'acide 2,6-dihydroxybenzoïque, qui se révèle encore plus prometteur
L'association de l'aspirine et de la vitamine C montre des résultats supérieurs en termes de réduction des tumeurs et de prolongation des temps de survie par rapport à l'un ou l'autre des composés seuls ou aux médicaments de chimiothérapie conventionnels, tout en étant plus doux pour les cellules saines
L'utilisation à long terme d'aspirine à faible dose (75 mg+ par jour pendant plusieurs années) peut réduire considérablement l'incidence et la mortalité du cancer colorectal, les bénéfices étant plus prononcés pour les cancers du côlon proximal et après plus de 20 ans d'utilisation.
Le potentiel de lutte contre le cancer de l'aspirine s'étend au-delà du cancer colorectal, se révélant prometteur dans la réduction des risques de cancer de l'œsophage, de l'estomac, du poumon, de la prostate et du sein, avec une incidence globale du cancer potentiellement réduite de 20 à 30 % après trois à cinq ans d'utilisation
Pour un bénéfice maximal, choisissez de l'aspirine à libération immédiate sans additifs. La dose optimale varie de 82 mg à 325 mg par jour, à prendre au cours des repas. Les tests génétiques peuvent aider à personnaliser l'utilisation de l'aspirine pour la prévention du cancer à l'avenir
- voir clip sur site -
L'aspirine est un élément essentiel des armoires à pharmacie du monde entier, principalement connue pour ses propriétés analgésiques et anti-inflammatoires. Cependant, des recherches récentes mettent en lumière un rôle potentiellement révolutionnaire de ce médicament courant : la prévention et le traitement du cancer .
Les propriétés anticancéreuses de l'aspirine ont été évoquées dans plusieurs études au fil des ans, mais cette fonction a été largement négligée au profit de médicaments plus récents et plus coûteux. Aujourd'hui, des expériences révolutionnaires réaffirment non seulement le potentiel de l'aspirine dans la lutte contre le cancer, mais révèlent également un analogue plus puissant qui pourrait révolutionner notre approche du traitement du cancer.
Cette fonction oubliée de l'aspirine, et de sa cousine encore plus puissante, pourrait offrir un nouvel espoir dans la lutte contre l'un des problèmes de santé les plus persistants de l'humanité. Explorons les développements passionnants qui poussent les chercheurs à porter un regard neuf sur ce médicament familier.
Aspirine et cancer : présentation de l'acide 2,6-dihydroxybenzoïque Dans mon entretien avec Georgi Dinkov, ci-dessus, il parle de ses expériences sur des souris utilisant une combinaison de vitamines B (B1, B3 et B7) et d’aspirine pour combattre une forme hautement mortelle de lymphome à cellules du manteau humain. Il a découvert que si les vitamines seules arrêtaient la croissance tumorale, l’ajout d’aspirine à une dose équivalente à celle de l’homme d’environ 1,5 gramme par jour entraînait une régression tumorale complète chez les trois sujets testés.
Fort du succès de l'aspirine, Dinkov a introduit un analogue plus puissant de l'aspirine, l'acide 2,6-dihydroxybenzoïque. Non seulement il est beaucoup plus puissant, mais il est aussi beaucoup plus lipophile, ce qui signifie qu'il a une plus grande affinité pour les lipides (graisses) que pour l'eau. Les composés lipophiles ont tendance à être plus facilement absorbés par les membranes cellulaires.
Dinkov explique la base théorique de l'utilisation de ce composé, qui repose sur la diminution du pH intracellulaire pour induire la mort des cellules cancéreuses : 3
« L’une des principales théories de Ray [Peat] était que… les cellules cancéreuses… [étaient] métaboliquement dysfonctionnelles, nous le savons tous, et généralement une telle cellule commet une apoptose. Mais pour que l’apoptose se produise, ce mécanisme est presque entièrement contrôlé par le pH intracellulaire. Et pour que l’apoptose se produise, il faut qu’elle se situe dans la plage acide.
Mais les cellules cancéreuses sont alcalines en raison de l'exportation d'ions lactate et hydrogène. Donc, si quelque chose peut faire baisser le pH intracellulaire, ces cellules cancéreuses, parce qu'elles sont dérangées, devraient en fait disparaître d'elles-mêmes.
L'une des suggestions de Peat à l'époque était : « Pourquoi ne pas utiliser l'acétazolamide ? » qui, en tant qu'inhibiteur de l'anhydrase carbonique, augmente le dioxyde de carbone. Le dioxyde de carbone est acide, ce qui devrait permettre aux cellules cancéreuses de déclencher l'apoptose.
Certaines études in vitro et in vivo ont montré que l'acétazolamide pouvait être efficace, mais qu'il ne guérissait pas vraiment les tumeurs. Il s'agissait d'une croissance plus lente, d'une régression partielle, mais cela prouvait que l'idée était sur la bonne voie.
Alors, je me suis dit : « Trouvons quelque chose de beaucoup plus acide que le dioxyde de carbone. » Et c’est cet acide 2,6-dihydroxybenzoïque, qui n’est qu’un groupe hydroxyle supplémentaire sur l’aspirine. L’acide salicylique, en fait, qui est l’acide 2-hydroxybenzoïque. Et puis cette chose est environ 10 fois plus puissante que l’aspirine.
Des études de suivi ont donné des résultats prometteurs, avec une régression des tumeurs après une semaine. Dinkov note que l’acide 2,6-dihydroxybenzoïque est « librement disponible. Pas de brevet, rien à ce sujet. Pas mal d’études à l’époque, mais c’est vraiment une molécule très générique… C’est aussi très bon marché. Moins cher que l’aspirine. » 4
Tout comme l’aspirine a été développée à partir d’une source naturelle (écorce de saule), d’autres composés naturels, notamment ceux dérivés des feuilles de la plante médicinale Lithraea molleoides, 5 présentent également des effets cytotoxiques, ce qui s’ajoute au nombre croissant de preuves selon lesquelles les composés dérivés de plantes peuvent avoir un potentiel anticancéreux important. Les composés isolés de Mangifera zeylanica, une espèce de manguier originaire du Sri Lanka, ont également des effets cytotoxiques et apoptotiques 6 .
L'association aspirine-vitamine C traite les tumeurs solides mieux que la chimiothérapie Si les recherches suggèrent que l’acide 2,6-dihydroxybenzoïque pourrait être un outil prometteur contre le cancer, l’aspirine est également très prometteuse. Votre corps pourrait en bénéficier encore plus lorsque l’aspirine est associée à de la vitamine C, qui a également des effets antitumoraux. Des études récentes ont montré que cette combinaison peut être plus efficace contre les cellules cancéreuses tout en restant plus douce pour les cellules saines par rapport aux médicaments de chimiothérapie conventionnels comme la doxorubicine .
Lors de tests en laboratoire, l’association aspirine-vitamine C a montré un fort effet cytotoxique sur les cellules cancéreuses du foie, mais s’est révélée beaucoup moins nocive pour les cellules pulmonaires normales. 8 Cette sélectivité est cruciale pour réduire les effets secondaires associés aux traitements contre le cancer. La synergie entre ces deux substances courantes semble renforcer leurs propriétés anticancéreuses individuelles, offrant une alternative plus sûre aux chimiothérapies agressives.
Le potentiel de l’aspirine et de la vitamine C ne se limite pas au laboratoire. Des études sur les animaux ont montré des résultats encourageants. Testée sur des rats atteints d’un cancer du foie induit chimiquement, cette thérapie combinée a donné des résultats remarquables. 9 Après 90 jours de traitement, le foie des rats traités présentait une amélioration significative, tant au niveau de l’apparence que de la fonction.
Il est important de noter que la plupart des tissus hépatiques semblaient normaux à l’examen microscopique. Cette thérapie combinée a surpassé la doxorubicine pour restaurer la santé du foie et réduire les marqueurs tumoraux.
L'aspirine agit en synergie avec la vitamine C
Dans une autre étude, la combinaison d’aspirine, également connue sous le nom d’acide acétylsalicylique (ASA), et de vitamine C, ou ascorbate (AS), a montré des résultats supérieurs dans la réduction des tumeurs par rapport à l’un ou l’autre composé seul. 10 Lorsque des souris atteintes de tumeurs solides ont été traitées avec la combinaison, leur volume tumoral a diminué de 46 %, contre 40 % avec l’AS seul et 36 % avec l’AS seul.
Cet effet synergique provient probablement de la combinaison des propriétés anti-inflammatoires de l'aspirine avec les puissantes capacités antioxydantes de la vitamine C. Les deux composés semblent travailler ensemble pour créer un environnement plus hostile aux cellules cancéreuses, empêchant leur croissance et leur prolifération.
En attaquant les tumeurs par plusieurs mécanismes simultanément, la combinaison aspirine-vitamine C peut surmonter certaines des adaptations que les cellules cancéreuses développent généralement pour échapper aux traitements à composé unique.
Au-delà de la réduction des tumeurs, la combinaison aspirine-vitamine C a considérablement prolongé la survie et a semblé améliorer la santé générale des souris porteuses de tumeurs. Les souris traitées avec cette combinaison ont survécu en moyenne 93,5 jours, contre seulement 54 jours pour les souris porteuses de tumeurs non traitées, soit une augmentation de 73 % de la durée de vie. 11
La combinaison a également surpassé chacun des composés pris séparément pour normaliser divers biomarqueurs des fonctions hépatique, rénale et cardiaque qui avaient été perturbés par le cancer. Notamment, la combinaison a pu augmenter les taux d'hémoglobine, atténuant potentiellement l'anémie souvent associée au cancer.
Ces améliorations de la fonction des organes et des paramètres sanguins suggèrent que le traitement à base d’aspirine et de vitamine C pourrait avoir de nombreux avantages pour la santé globale et la qualité de vie, au-delà de ses seuls effets antitumoraux.
L'un des mécanismes clés des effets de l'association aspirine-vitamine C semble être sa puissante modulation du stress oxydatif et de l'inflammation dans l'organisme. L'étude a révélé que les souris porteuses de tumeurs présentaient des niveaux significativement élevés de marqueurs du stress oxydatif comme le malondialdéhyde (MDA) et l'oxyde nitrique (NO), ainsi que des défenses antioxydantes épuisées.
Le traitement à l’aspirine et à la vitamine C a radicalement inversé ces déséquilibres, diminuant le MDA et le NO tout en augmentant la capacité antioxydante totale, l’activité du glutathion et de la catalase. En créant un environnement moins inflammatoire et moins oxydatif dans le corps, cette combinaison peut rendre plus difficile la prolifération et la propagation des cellules cancéreuses.
Ce rééquilibrage de l'état redox pourrait avoir des effets à grande échelle dans tout le corps, ce qui pourrait expliquer les améliorations observées dans de nombreux systèmes organiques. Les résultats de l'étude soulignent l'importance de s'attaquer à l'inflammation chronique et au stress oxydatif dans le cadre d'une approche globale du traitement et de la prévention du cancer.
Le rôle prometteur de l’aspirine dans la prévention du cancer colorectal
L’aspirine peut également réduire considérablement le risque de cancer colorectal (CCR), l’une des principales causes de décès par cancer dans le monde. Des études ont montré que la prise quotidienne d’au moins 75 milligrammes (mg) d’aspirine pendant plusieurs années peut réduire à la fois l’incidence et la mortalité du CCR .
Il est intéressant de noter que l’effet bénéfique semble être plus prononcé pour les cancers du côlon proximal, qui sont généralement plus difficiles à prévenir par des méthodes de dépistage standard comme la coloscopie ou la sigmoïdoscopie. L’utilisation à long terme d’aspirine, en particulier depuis plus de 20 ans, a été associée à une réduction remarquable de 35 % de l’incidence du CCR. 13
Ces résultats suggèrent que l’intégration d’aspirine à faible dose dans votre stratégie de santé à long terme pourrait offrir une protection significative contre cette forme courante de cancer.
Au-delà de ses effets préventifs, l’aspirine peut également améliorer les résultats chez les personnes déjà diagnostiquées d’un cancer colorectal. Des recherches indiquent que l’utilisation régulière d’aspirine après un diagnostic de cancer colorectal est liée à une réduction des risques de mortalité globale et spécifique au cancer colorectal. Cet avantage semble être particulièrement prononcé dans les tumeurs qui surexpriment la cyclooxygénase-2 (COX-2). 14 De plus, les effets protecteurs de l’aspirine ne se limitent pas au seul cancer colorectal.
Des études ont montré que l'utilisation à long terme de l'aspirine peut réduire de 20 % le risque de décès par cancer sur 20 ans, avec une réduction encore plus substantielle de 35 % des décès par cancer gastro-intestinal. 15 Ces résultats suggèrent que si vous présentez un risque accru de cancer ou si vous avez déjà reçu un diagnostic, l'utilisation de l'aspirine pourrait être un élément précieux de votre stratégie de traitement et de prévention.
Des études suggèrent que l’aspirine pourrait contribuer à ralentir la croissance tumorale, à réduire les métastases et même à améliorer l’efficacité d’autres traitements contre le cancer. 16 Cette approche à plusieurs volets fait de l’aspirine un agent particulièrement prometteur dans la lutte contre le cancer colorectal. Pour les personnes présentant un risque plus élevé de cancer colorectal, comme celles ayant des antécédents de néoplasie colorectale ou de prédisposition génétique, l’aspirine pourrait être encore plus prometteuse.
Une revue systématique des études portant sur des personnes atteintes de néoplasie colorectale antérieure a révélé une réduction non statistiquement significative des néoplasies avancées avec l’utilisation d’aspirine à faible dose. 17 De plus, pour les porteurs des gènes du syndrome de Lynch, l’ aspirine à forte dose pendant deux ans était associée à une diminution du risque de cancer colorectal.
Les personnes atteintes du syndrome de Lynch présentent un risque significativement plus élevé de développer un cancer colorectal au cours de leur vie. Le National Institute for Health and Care Excellence recommande aux patients diagnostiqués avec le syndrome de Lynch de commencer un traitement quotidien à l'aspirine pour réduire le risque de cancer colorectal .
Le potentiel de l’aspirine dans la lutte contre le cancer
Des analyses d’essais cardiovasculaires à long terme ont également révélé le pouvoir inattendu de l’aspirine dans la lutte contre le cancer sur plusieurs sites. 20 Des études montrent une réduction significative des décès par cancer de l’œsophage et de l’estomac chez les utilisateurs d’aspirine à long terme, et les données indiquent qu’elle peut également réduire le risque de cancer du poumon, de la prostate et du sein.
Le plus intéressant est peut-être la possibilité d’une réduction de 20 à 30 % de l’incidence globale du cancer après seulement trois à cinq ans d’utilisation quotidienne d’aspirine à faible dose. 21 De plus, les études montrent systématiquement que de faibles doses (de 75 à 100 mg par jour seulement) sont tout aussi efficaces que des doses plus élevées pour réduire le risque de cancer. 22
L’efficacité des traitements à faible dose met également en évidence un mécanisme d’action unique. Plutôt que d’affecter directement les tissus de votre corps, l’aspirine peut agir en inhibant les plaquettes, qui jouent un rôle crucial dans le développement précoce du cancer et dans les métastases ultérieures. 23 Si certains avantages de l’utilisation de l’aspirine peuvent apparaître en quelques années, d’autres réductions du risque de cancer apparaissent avec une utilisation à long terme.
Des études sur des participants ayant suivi des études pendant 20 ans ou plus ont montré que les effets protecteurs de l’aspirine contre les cancers gastro-intestinaux s’accentuent au fil du temps. Pour le cancer colorectal, des réductions significatives de l’incidence et de la mortalité ont été observées 10 à 20 ans après le début de la prise d’aspirine. 24 Cet effet durable suggère que l’aspirine pourrait modifier les processus fondamentaux du développement du cancer, offrant ainsi une protection durable contre cette maladie.
Le potentiel de l’aspirine comme médicament réutilisé pour le traitement du cancer est un autre domaine de recherche passionnant. 25 L’aspirine agit en inhibant les enzymes COX, en particulier COX-1 et COX-2. Ce mécanisme permet non seulement de prévenir les crises cardiaques, mais peut également combattre le cancer de multiples façons. En inhibant la COX-1, l’aspirine réduit l’agrégation plaquettaire autour des cellules tumorales, rendant ces cellules malignes plus visibles pour votre système immunitaire. 26 Cela pourrait aider à empêcher le cancer de se propager dans tout votre corps.
De plus, l’effet de l’aspirine sur la COX-2 peut avoir un impact direct sur la croissance tumorale. La COX-2 produit de la prostaglandine E2, qui stimule la croissance des cellules tumorales. En réduisant la production de prostaglandine E2, l’aspirine pourrait ralentir ou empêcher le développement de la tumeur .
L’avenir de l’aspirine dans la prévention du cancer pourrait résider dans la médecine personnalisée. Des recherches récentes ont identifié plusieurs marqueurs génétiques qui pourraient aider à prédire qui bénéficiera le plus du traitement à l’aspirine. Par exemple, certaines variations dans des gènes comme UGT1A6 et ALOX12 ont été associées à une efficacité accrue de l’aspirine dans la réduction du risque de cancer colorectal.
De plus, vos niveaux d’expression d’enzymes comme la 15-PGDH peuvent influencer votre réponse aux propriétés anticancéreuses de l’aspirine. 29 Ces connaissances génétiques ouvrent des possibilités intéressantes pour adapter l’utilisation de l’aspirine à votre profil génétique individuel. Dans les années à venir, les tests génétiques pourraient devenir un élément de routine pour déterminer si l’aspirine vous convient et à quelle dose.
Écorce de saule : un analgésique naturel éprouvé
Pour les personnes sensibles à l'aspirine, les compléments d'acide salicylique ou d'écorce de saule peuvent être des alternatives intéressantes à considérer. Lorsque vous consommez de l'aspirine, votre corps convertit l'acide acétylsalicylique en acide salicylique, qui est responsable des propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et antithrombotiques de l'aspirine. L'écorce de saule contient naturellement ce composé.
Cette plante médicinale ancestrale est porteuse de siècles de sagesse thérapeutique, offrant une alternative convaincante aux produits pharmaceutiques modernes. L'efficacité de l'écorce de saule découle de sa relation de longue date avec la physiologie humaine. Contrairement aux médicaments créés en laboratoire, les composés actifs de l'écorce de saule interagissent avec notre biochimie depuis des milliers d'années.
Cette coexistence prolongée a favorisé une compatibilité naturelle que de nombreux médicaments synthétiques ont du mal à atteindre.
La consommation constante, quoique minime, de ces composés par nos ancêtres au fil des générations a permis à notre corps de développer un moyen efficace de les traiter et de les utiliser. Cette adaptation évolutive souligne les avantages potentiels des remèdes naturels par rapport à leurs homologues synthétiques. De plus, les recherches suggèrent que certaines des propriétés thérapeutiques de l'écorce de saule sont dues à des effets synergétiques, 30 offrant des avantages allant au-delà de ceux de l'acide salicylique seul.
Le développement de l'aspirine par l'industrie pharmaceutique au XIXe siècle a marqué un changement important, passant d'une médecine basée sur la nature à une médecine dérivée de laboratoire. 31 Si cette transition a conduit à la création d'un produit brevetable, elle n'a pas nécessairement amélioré la matière première d'origine. En fait, la popularité durable de l'écorce de saule témoigne de la puissance des remèdes à base de plantes.
Pour ceux qui envisagent l'écorce de saule comme alternative à l'aspirine, en particulier les personnes sensibles à l'aspirine, il est important de comprendre le dosage approprié. Bien que l'écorce de saule et l'aspirine partagent des composés actifs similaires, leur métabolisme et leur biodisponibilité diffèrent, ce qui nécessite des stratégies de dosage distinctes.
Ainsi, alors que l’on estime souvent que 240 à 600 mg d’extrait d’écorce de saule (15 % de salicine) fournissent une dose de salicine à peu près équivalente à 325 mg d’aspirine, la quantité totale d’extrait d’écorce de saule nécessaire est généralement plus importante :
Pour obtenir les effets approximatifs de 81 mg d’aspirine, une dose de 400 mg à 800 mg d’extrait d’écorce de saule (standardisé à 15 % de salicine) est généralement nécessaire. Pour des effets similaires à 111 mg d’aspirine, une dose de 500 mg pour 1 gramme d’extrait d’écorce de saule (standardisé à 15 % de salicine) est généralement nécessaire. Conseils sur le dosage et la durée de l'aspirine Lors de la sélection de l'aspirine, choisissez des formules à libération immédiate plutôt que des versions à libération prolongée enrobées pour éviter les additifs inutiles. L'aspirine à libération immédiate est disponible sur Amazon. Examinez attentivement la liste des ingrédients inactifs ; idéalement, l'amidon de maïs devrait être le seul additif répertorié.
Après des recherches approfondies, j'ai identifié un produit répondant à ces spécifications. Le dosage approprié varie de 82 mg à 325 mg par jour, à prendre avec votre repas le plus important, en fonction de vos besoins individuels.
D'après mes recherches sur les bienfaits préventifs de l'aspirine, je prends personnellement 111 mg par jour en utilisant la poudre d'aspirine de qualité USP de 60 grammes de Health Natura , qui coûte moins de 20 $. Cette poudre d'aspirine USP pure à 99 % m'attire en raison de ses effets prométaboliques, antilipolytiques, anti-inflammatoires, anticortisoliques et anti-œstrogènes. Son profil de sécurité est bien établi.
En matière de prévention du cancer, le dosage et la durée de la prise d'aspirine semblent être des facteurs cruciaux. Il a été démontré que de faibles doses d'aspirine (75 à 300 mg/jour) sont aussi efficaces que des doses plus élevées pour réduire la mortalité liée au cancer colorectal, 32 ce qui suggère qu'il n'est pas nécessaire d'en prendre de grandes quantités pour en tirer les bénéfices potentiels. Cependant, la régularité et l'utilisation à long terme semblent être essentielles.
Des études indiquent que les bienfaits de l'aspirine augmentent avec la durée d'utilisation, les réductions les plus significatives du risque de cancer étant observées après cinq à sept ans et demi d'utilisation régulière. 33 À mesure que la recherche progresse, l'aspirine pourrait s'avérer être un nouvel outil puissant dans votre arsenal de prévention et de traitement du cancer, un outil qui se trouve dans votre armoire à pharmacie depuis toujours.
3, 4 Brighteon, Mercola, Exploration de l’impact de l’aspirine et de l’acide 2,6-dihydroxybenzoïque sur la croissance tumorale – Entretien avec Georgi Dinkov
5 Phytomédecine 10 janvier 2005
6 Biomédecine et Pharmacothérapie Mai 2017, Volume 89, Pages 194-200
17, 18, 19 Utilisation de l’aspirine pour prévenir les maladies cardiovasculaires et le cancer colorectal : une mise à jour des données probantes pour le groupe de travail des services de prévention des États-Unis […]
25, 26, 27 Eur J Med Rés. 2023 ; 28 : 345
30 Front. Microbiol., 08 novembre 2023, Sec. Virologie, Discussion
31 Bibliothèque nationale de médecine, L'histoire de l'aspirine
Des « messages de consensus » pour renforcer « l’autorité de la science »
20 septembre 2024 par DDr. Siguna Mueller
Passionnant! Les résultats de l’expérience de conformité Asch sont largement salués et appliqués pour changer l’opinion publique sur les questions scientifiques. Une étude parue dans une revue Nature et d’autres prônent les « messages consensuels » en tant qu’« autorité scientifique ». Une nouvelle étude publiée dans Nature Human Behaviour et détaillée dans Nature présente une nouvelle méthode pour amener les gens à changer d'avis sur un sujet controversé. L’intervention présentée comme un message de consensus scientifique est en réalité la célèbre expérience de conformité d’Asch déguisée.
Les chercheurs notent que leur intervention peut également accroître l'inquiétude, ce qui était l'un des objectifs de l'étude. Ils semblent déçus que leur traitement n’ait pas amené les gens à accepter volontairement certaines politiques publiques. Pour améliorer l’efficacité et la pérennité, ils proposent une approche proche du prosélytisme religieux. Le 6 septembre 2024, Nature a publié un article intitulé « Comment changer l'état d'esprit des gens à propos du changement climatique : ce que dit la science », qui fait référence à une publication récente dans Nature Human Behaviour . Le bref résumé est le suivant :
« Comment convaincre un climato-sceptique
« Les scientifiques s’accordent sur le fait que le changement climatique d’origine humaine est réel. Une étude menée dans 27 pays suggère que les gens sont plus susceptibles d’être d’accord lorsqu’on leur donne ce message de consensus. Et pour vraiment stimuler la réflexion des gens, il faudrait les interroger sur leurs propres expériences et les relier aux informations climatiques pertinentes au niveau local, explique le climatologue Matthew Goldberg.
Pour être clair. Nous vivons actuellement les pires conditions météorologiques extrêmes. Au moment de la rédaction de cet article, certaines régions d'Autriche sont inondées et ont été déclarées zones sinistrées. Tout est si différent que jamais. Pour moi, le changement climatique est une question complexe. Des questions cruciales doivent être posées : Qu'est-ce qui en est la cause ? Quelles sont les données ? Qui publie ces données ? Quels conflits d’intérêts potentiels existent parmi ceux qui dirigent l’histoire du climat d’origine humaine ? Qu’entend-on par « fabriqué par l’homme » ? Existe-t-il des lanceurs d’alerte et que disent-ils ? Y a-t-il des anomalies qui ne peuvent être expliquées par le récit officiel ?
Il y a beaucoup de questions. Je ne veux pas entrer dans les détails dans cet article. Lisez mes articles précédents ( ici et ici ) ou d'autres de TKP , CHD et autres pour avoir une idée de ce dont il s'agit.
Laissons le sujet de côté pour l'instant et concentrons-nous uniquement sur l'étude elle-même. Ci-dessous, je remplacerai le sujet abordé (changement climatique ou crise d'origine humaine, etc.) par "[xyz]" pour représenter ce que je suis. également préoccupé par . Il ne s'agit pas du sujet spécifique lui-même, mais de la conception générale de l'étude et de la manière dont elle a été menée et promue. C’est dans cet esprit que l’article de Nature commence par « Comment faire changer d’avis les gens à propos de [xyz] : ce que dit la science ». La réponse courte ? « Informer les gens sur le consensus parmi les scientifiques peut aider, selon l’étude. »
Au nom de la science
Je trouve ça assez effrayant. Depuis quand la tâche de la science est-elle de convaincre le public d’une « vérité » et même de « changer ses croyances » ? La science n'est-elle pas traditionnellement une recherche collective de la vérité, un peu comme les quatre aveugles essayant de comprendre l'éléphant aveugle ? Auparavant, les progrès étaient réalisés grâce à des efforts collectifs.
Ce n’est que ces dernières années que nous avons été bombardés de slogans tels que « consensus scientifique ». Quand j’entends quelque chose comme ça, je cours aussi vite que possible dans la direction opposée. Je pense que c'était le Dr. Ryan Cole, qui est le premier à être arrivé au point lorsqu'il a déclaré :
"Tous les scientifiques sont d'accord pour censurer ceux qui ne le sont pas."
S’il s’agit d’un accord, ce n’est pas de la science. Cela n’a jamais été le cas et ne le sera jamais. Nous le savons déjà. Le problème encore plus important est de savoir comment ce consensus inventé est utilisé. La nature continue (c'est moi qui souligne) :
« Dire aux gens que les scientifiques sont presque unanimement d’accord sur le fait que [xyz] peut les aider à orienter leur réflexion dans cette direction . »
Voilà, vous l'avez. L’objectif est de « pousser » les gens à n’accepter qu’un seul récit. Autrefois, cela s’appelait lavage de cerveau et propagande. Or ce « coup de coude » est présenté comme une responsabilité et une capacité inutilisée de la science :
« Le fait que certains… aient changé d’avis est un « témoignage de l’autorité culturelle universelle de la science ».
Eh bien, en réalité, cela n’a rien à voir avec « l’autorité de la science ». Il s'agit d'une manipulation psychologique bien connue.
« La manière dont vous transmettez les messages [xyz] est importante pour changer les mentalités, ont découvert les chercheurs… De nombreuses études ont montré qu'informer les gens du consensus scientifique sur les changements [xyz] peut changer leurs attitudes.
Je ne suis pas d'accord avec ça. Ce n’est pas quelque chose que les chercheurs découvrent actuellement. Quand on regarde comment « le message » a été transmis, on voit une vieille astuce psychologique.
L’« intervention » désormais appelée « médiation d’un consensus scientifique » est l’expérience de conformité d’Asch déguisée. Nature fournit un bref résumé de l'étude expérimentale menée par Geiger et ses co-auteurs, publiée dans Nature Human Behaviour.
« Ils ont partagé une enquête en ligne via les réseaux sociaux et des newsletters par courrier électronique, puis ont analysé 10 527 réponses de personnes dans 27 pays. Les personnes interrogées ont estimé la proportion de scientifiques de [xyz] qui, à leur avis, croient que [xyz] existe. Ils ont ensuite évalué leur degré de confiance dans leurs estimations et ont partagé leurs propres opinions. Ensuite, les chercheurs ont montré aux participants plusieurs faits, notamment le fait que 97 % des scientifiques de [xyz] croient que [xyz] est réel, puis les ont interrogés à nouveau.
Les points les plus importants sont :
Les chercheurs ont profité du désir d’adaptation des gens. Ils leur ont d'abord fait exprimer leur opinion/réponse à certaines questions provocatrices. Ils ont veillé à ce que les participants se sentent capables de représenter et de justifier leurs points de vue et leurs opinions. Mais ensuite, ils ont été confrontés à un message choquant : le consensus parmi les soi-disant experts était tel ou tel. Lorsque les participants ont été réinterrogés, ils ont répondu de manière conforme. Beaucoup ont mis à jour leurs opinions précédentes pour se conformer à la prétendue « norme ». Bien avant les « messages de consensus », les célèbres expériences de conformité d’Asch faisaient exactement la même chose. Le but de ces études révolutionnaires était de voir « si et comment les individus s'en remettent ou défient un groupe majoritaire et comment ces influences affectent leurs croyances et leurs opinions ». Ces expériences et celles qui y sont liées ont toutes montré la même chose : « un déplacement des préférences des sujets adultes vers l’opinion de la majorité ou des experts ». Les expériences et les résultats sont devenus la base de la psychologie moderne. Un bref résumé est le suivant :
« En 1951, le psychologue social Solomon Asch a développé cette expérience pour étudier dans quelle mesure la pression exercée par d'autres personnes peut influencer la perception. Dans l'ensemble, environ un tiers des sujets se trouvant dans cette situation étaient d'accord avec la majorité clairement fausse.
« Asch a montré à des étudiants répartis en groupes de 8 à 10 personnes des poutres comme celle de l'illustration. Il leur expliqua qu'il étudiait la perception visuelle et que leur tâche était de décider laquelle des barres de droite avait la même longueur que celle de gauche. Comme vous pouvez le constater, la tâche est simple et la bonne réponse est évidente. Asch a demandé aux étudiants de prononcer leurs réponses à voix haute. Il a répété le processus avec 18 séries de barres. Un seul élève par groupe était un véritable sujet. Tous les autres étaient des complices à qui il avait été demandé de donner deux réponses correctes, puis quelques réponses incorrectes lors des essais « par étapes » restants. Asch s'est assuré que le véritable sujet était l'avant-dernière personne de chaque groupe à annoncer sa réponse afin qu'il entende la plupart des réponses incorrectes des alliés avant de donner la sienne. Rejoindrait-il la foule ?
" À la surprise d'Asch, 37 des 50 sujets étaient d'accord au moins une fois avec les réponses " manifestement fausses " des autres membres du groupe, et 14 d'entre eux étaient d'accord dans plus de 6 des essais " par étapes ". Lorsque les autres membres du groupe donnaient à l'unanimité une réponse incorrecte, le sujet moyen était d'accord dans 4 des essais « par étapes ».
« Asch a été troublé par ces résultats : « La tendance au conformisme dans notre société est si forte que des jeunes raisonnablement intelligents et bien intentionnés sont prêts à qualifier les blancs de noirs. …
« Pourquoi la plupart des sujets se sont-ils adaptés si facilement ? Interrogés sur l'expérience, la plupart d'entre eux ont déclaré qu'ils ne croyaient pas vraiment à leurs réponses conformes, mais qu'ils avaient suivi le groupe par peur d'être ridiculisés ou jugés « bizarres ». Certains d’entre eux ont dit qu’ils croyaient vraiment que les réponses du groupe étaient correctes.
Les résultats inquiétaient Asch. Curieusement, cependant, ni l'article de Geiger dans Nature Human Behaviour ni le résumé de Nature ne mentionnent l'analogie de l'intervention avec l'expérience d'Asch.
Maintenant : Beyond Asch - l'objectif est de changer durablement la pensée, les croyances, les émotions et le comportement des gens. La volonté des gens de participer et de ne pas être laissés pour compte s’est pratiquement confirmée depuis les années de pandémie. Cela semble être un trait humain commun. Mais l’étude de Geiger et de ses collègues amène désormais les choses à un autre niveau.
Ils promeuvent ces « messages de consensus scientifique » comme une « intervention » efficace. Dans leur article, cela est présenté comme suit :
L’« écart entre le consensus scientifique réel et perçu… pourrait être réduit grâce à des interventions comportant des messages consensuels ». L'intervention est similaire à un traitement : le but n'est pas seulement de « communiquer » un sujet scientifique (comme le décrit le titre), mais de réellement changer les perceptions des gens. Le changement ne doit pas s’opérer uniquement à un niveau abstrait (pour changer les « idées fausses »). L’un des principaux objectifs était d’amener les gens à changer leurs croyances. De plus , les auteurs espéraient que l'intervention les amènerait à réfléchir davantage au sujet en question. Enfin, ils espéraient que l'intervention changerait l'idéologie des gens afin qu'ils soutiennent, par exemple, certaines « politiques publiques ». Contrairement à ce qu’on prétend, la recherche d’un consensus scientifique n’est pas un « outil efficace et non polarisant pour changer les perceptions erronées ». Geiger et ses collègues soulignent dans leur article
« Étant donné que les personnes de tous horizons idéologiques et de confiance continuent de mettre à jour leurs évaluations, la recherche d’un consensus représente un outil non polarisant qui est utile pour parvenir à un consensus sociétal sur [xyz] parmi divers publics. »
Cette affirmation n’est pas fondée et semble fausse pour les raisons suivantes :
L' énorme taux d'abandon au cours de l'étude : les participants ont été recrutés via la méthode boule de neige, les listes de diffusion, les médias sociaux et Prolific (au Canada et au Mexique uniquement). Cependant, alors que 21 462 personnes ont initialement cliqué sur le lien, seuls 11 702 participants ont terminé l’étude, et après d’autres exclusions de données (décrites en détail dans l’article), seuls 10 527 participants sont restés pour l’analyse. Qu'est-il arrivé au reste ? S’il s’agit d’un outil si peu polarisant, pourquoi y a-t-il un taux d’abandon si élevé ?
Les auteurs soulignent que la plupart ont abandonné après avoir lu le formulaire de consentement mais avant de se renseigner sur le sujet d'étude du changement climatique. Cependant, dans leur section de matériel, en décrivant la partie « consentement éclairé », ils mentionnent également que « tous les participants ont vu une brève description du changement climatique comme un sujet d'actualité ». Il n’est pas clair si cela s’est produit avant qu’ils ne soient informés que l’étude portait également sur ce sujet. Si tel était le cas, cela pourrait expliquer que certains pressentaient ce qui allait arriver et ne voulaient pas y participer. Si tel était le cas, cela affaiblirait la conclusion de l’auteur selon laquelle son « intervention » n’est pas polarisante.
Comment peut-on qualifier quelque chose de non polarisant alors qu’une partie importante des experts en la matière est ignorée ? L’« intervention » met en évidence le point sur lequel 97 % des experts en la matière sont d’accord. Et les 3% restants ? Ne voulez-vous pas savoir quelles sont leurs opinions et pourquoi ?
L’étude a également utilisé une deuxième intervention de messagerie basée sur le « consensus actualisé » selon lequel « 88 % des climatologues conviennent que le changement climatique est une crise ». Il est intéressant de noter que ce « traitement » s’est avéré « tout aussi efficace » que le premier, qui concluait seulement que « 97 % des climatologues conviennent qu’un changement climatique d’origine humaine se produit », mais « n’a produit aucun bénéfice supplémentaire ».
C’est à prévoir dans les expériences originales d’Asch. Ensuite, les chercheurs ont découvert qu'une fois que quelques-uns donnaient la bonne réponse, le charme était rompu et les sujets étaient plus susceptibles d'en croire leurs propres yeux et de dire la bonne réponse. Ici, les auteurs font le même point et soulignent que
« Étant donné que même des désaccords mineurs entre les scientifiques de l'environnement peuvent nuire à l'efficacité des messages 15 , 59 , 60 , le consensus scientifique testé (88 %) n'est peut-être pas assez élevé, et donc pas assez convaincant, pour soutenir la croyance dans le changement climatique comme une crise. , transformant encore davantage la préoccupation et le soutien à l’action publique.
Notez que même dans ce contexte, ils ne mentionnent pas la similitude avec les expériences d'Asch.
Si le « message de consensus » à lui seul ne fonctionne pas, recourez aux techniques d’évangélisation (c’est-à-dire la narration personnelle). Le souci des chercheurs est que le message consensuel n’entraîne pas toujours un changement de perspective durable. Mais ils ont une suggestion sur la manière de surmonter ce problème. Comme le décrit Nature,
« Pour un changement durable… le message doit être personnellement pertinent. »
Au premier abord, cela semble difficile à comprendre. Si vous ne croyez pas qu’un problème comme le changement climatique est réel, comment pouvez-vous capitaliser sur le fait qu’il est personnellement pertinent ? Dans ce cas, comment une telle « intervention » pourrait-elle changer les mentalités ?
La réponse est choquante :
"Une stratégie majeure consiste à sortir du terrain des faits en partageant des histoires personnelles ... La prochaine étape consiste à écouter attentivement et à relier les expériences d'une personne aux informations locales [xyz]", explique Goldberg. …Cette stratégie est basée sur une étude historique ⁵ dans laquelle des recruteurs ont fait du porte-à-porte et ont eu des conversations de 10 minutes … »
Cela me rappelle beaucoup de groupes religieux qui font du porte-à-porte pour raconter des « histoires personnelles » et essayer de convertir les gens. Je ne veux pas juger ces groupes ici ! Je sais tout cela bien plus que ce que mes lecteurs voudraient savoir. Beaucoup, peut-être presque tous, de ces fanatiques religieux le font par conviction profonde. Mais qu’est-ce que le prosélytisme a à voir avec le fait de convaincre les gens d’un prétendu fait scientifique ?
Apparemment, on ne compte plus sur la science pour convaincre les gens des découvertes scientifiques. Encore une fois, nous constatons l’ utilisation d’un autre niveau qui exploite directement les émotions et la psychologie plutôt que d’enseigner une science claire et impartiale.
conclusion Ce que nous avons vu ces dernières années n’est pas seulement une tentative d’imposer un certain point de vue sur un seul sujet. Il ne s'agit pas de sujets précis , même si certains d'entre eux sont présentés comme exceptionnels. L'article de Geiger et ses collègues analyse le thème du changement climatique. Toutefois, votre article montre clairement que l’agenda est bien plus vaste.
Il s’agit de manipulations psychologiques qui utilisent des découvertes connues depuis longtemps de l’étude Asch, mais aussi celles qui ont alimenté le fanatisme religieux et les guerres. Les deux sont basés sur le désir de beaucoup d’appartenir – à un groupe d’individus, à une secte ou à la société en général.
Geiger et ses collègues cachent soigneusement le fait que c’est exactement ce dont ils profitent. L’objectif est clair et est soutenu par beaucoup d’autres. Il ne s’agit pas seulement de donner un point de vue sur un sujet controversé. L’objectif est d’atteindre les gens à un niveau beaucoup plus profond pour changer leurs croyances et leurs émotions. En particulier, l’un des objectifs déclarés de leur intervention est d’accroître l’inquiétude. Un autre objectif est d’amener les gens à changer de comportement et à soutenir certaines politiques publiques.
- voir cadre sur site -
Source de l'image : doi : https://doi.org/10.1038/d41586-024-02777-9 et https://age-of-the-sage.org/psychology/social/asch_conformity.html
Bien qu’une partie de cela soit effectuée au nom de l’utilisation de « normes » scientifiques, le véritable traitement commence par une expérience déguisée d’Asch. Si cela ne suffit pas, des démarches similaires à l’évangélisation religieuse sont recommandées.
L’innovation et le progrès scientifique n’ont été possibles que parce que quelques étrangers ont brisé la norme. D’aussi loin que je me souvienne, penser hors des normes a été présenté comme l’une des plus hautes qualités scientifiques. Quiconque a fait cela sait à quel point il est difficile de se lancer dans l’inconnu et d’essayer quelque chose de nouveau. La recherche de la vérité et de la sagesse a alimenté des générations d’inventeurs et de véritables scientifiques, les propulsant vers des eaux inexplorées. Loin des foules, dans la solitude de leur âme, les plus grands n'ont pas seulement laissé briller la lumière du génie en termes de découvertes. La sagesse a souvent appelé dans le désert, demandant de la sincérité, de l’honnêteté et du courage pour suivre la petite voix douce.
Au milieu de l’obscurité mondiale qui lave le cerveau et manipule psychologiquement les masses, la lumière d’une seule petite bougie suffit. Cela me donne de l'espoir. Beaucoup d’entre nous connaissent la voix silencieuse. Nous connaissons leur puissance et leur force. Nous ne pouvons pas nous empêcher de l'entendre, de le suivre et de gagner.**
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 20 SEPTEMBRE 2024 - 11:45
Aujourd'hui, les pays les plus peuplés et la forte croissance démographique sont le plus souvent associés à l'Asie. Mais comme le détaille Anna Fleck de Statista ci-dessous, selon les données des Nations Unies, au tournant du siècle, l'équilibre sera moins clair.
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Infographie : Les plus grands pays du monde en 2100 | Statista Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
En 2020, cinq des dix pays les plus peuplés du monde étaient situés en Asie - la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Pakistan et le Bangladesh - tandis que deux se trouvaient en Amérique latine, un en Afrique et un en Amérique du Nord.
En 2100, quatre pays africains figureront dans le top 10 mondial : le Nigeria, l'Éthiopie, la Tanzanie et la République démocratique du Congo.
Si certains pays asiatiques continueront de croître, ils le feront à un rythme plus lent et seront dépassés en termes de population par les pays africains qui affichent une croissance plus rapide. D’autres, comme la Chine et le Bangladesh, devraient en fait diminuer leur population d’ici 2100, principalement en raison d’un niveau de vie et d’éducation plus élevés qui ont déjà commencé à faire baisser les taux de natalité.
En 1950, quatre pays européens figuraient encore parmi les plus grands du monde. Ce nombre sera tombé à un en 2020 et à aucun en 2100.
Le nombre d’enfants nés dans le monde est déjà en baisse, mais à 2,3 enfants par femme, la population mondiale continue de croître.
Les chercheurs de l’ONU en matière de population ont constaté que si le taux de fécondité mondial continuait à baisser au rythme actuel, il atteindrait 1,9 enfant par femme en 2100, date à laquelle la population mondiale diminuerait en réalité.
La demande de véhicules électriques en Allemagne chute de 69 %
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 20 SEPTEMBRE 2024 - 10:15
L'Allemagne glisse vers une récession, le dernier indicateur étant au rouge vif. Selon l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), les nouvelles données d'août montrent que la demande de véhicules électriques s'est effondrée.
L'ACEA a signalé une chute de 69 % des livraisons de véhicules électriques en Allemagne le mois dernier, avec un peu plus de 27 000 unités. Dans toute la région, la baisse a été de 36 %. La baisse de la demande intervient après que l'Allemagne a réduit les incitations, rendant les véhicules électriques moins abordables pour la classe ouvrière.
Le visuel de Bloomberg sur l'effondrement des véhicules électriques en Allemagne le mois dernier fournit une réalité inquiétante pour l'espace des véhicules électriques et met en évidence les difficultés croissantes de la plus grande économie européenne.
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Source : Bloomberg
Sur tout le continent, les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 16,5 % par rapport à il y a un an.
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Source : Bloomberg
"Le déclin des véhicules électriques expose les constructeurs automobiles comme VW et Renault SA à de lourdes amendes, car les règles plus strictes de l'Union européenne sur les émissions des flottes devraient entrer en vigueur l'année prochaine", a noté Bloomberg.
L'ACEA a averti : "La tendance continue à la diminution de la part de marché des voitures électriques à batterie dans l'UE envoie un signal extrêmement inquiétant à l'industrie et aux décideurs politiques", ajoutant que les constructeurs automobiles de l'ensemble du bloc doivent "appeler les institutions de l'UE à proposer des mesures d'aide urgentes avant que de nouveaux objectifs de gaz carbonique ! pour les voitures et les camionnettes n'entrent en vigueur".
La chute des ventes de nouveaux véhicules électriques pourrait faire dérailler les délais zéro émission de l'UE dans les années à venir. Cela a également poussé Volkswagen à envisager de fermer des usines pour la première fois de son histoire.
En outre, le ralentissement des véhicules électriques dans l'UE survient alors que l'économie allemande est peut-être déjà en récession.
La Bundesbank a déclaré jeudi que « l'économie allemande navigue toujours dans des eaux agitées », ajoutant que le troisième trimestre a été un « début très faible » pour l'industrie manufacturière et la construction et que les dépenses des ménages ont été décevantes.
« Le Royaume-Uni a criminalisé la dissidence » : la transition de la Grande-Bretagne et de l’Occident vers la tyrannie. L’ancien ambassadeur britannique Craig Murray
Par Craig Murray et le Dr Paul Craig Roberts Recherche mondiale, 1 9 septembre 2024
Voici un résumé du discours (dans la vidéo ci-dessous) de l'ancien ambassadeur britannique Craig Murray décrivant la transition de la Grande-Bretagne et de l'Occident en général vers la tyrannie.
Le Royaume-Uni a criminalisé la dissidence.
Une nouvelle loi sur l’ordre public rend illégale la tenue d’un rassemblement ou d’une manifestation si cela « dérange » quelqu’un. Cela donne à l’État un pouvoir illimité pour réprimer toute manifestation.
Une nouvelle loi sur la sécurité nationale rend illégal l’acceptation de financements provenant d’un « État hostile » (il n’existe pas de définition de ce qui constitue un « État hostile »).
Une nouvelle loi sur la sécurité publique érige en infraction pénale la publication de « désinformation » (il n’existe pas de définition de « désinformation » : c’est le gouvernement qui décide).
Tout est une question de contrôle du récit. Les lobbies sionistes ont une grande influence sur les récits officiels dans tout l’Occident.
Les citoyens occidentaux ne sont pas autorisés à accuser Israël de génocide ; cela est de plus en plus assimilé au fait d’être « terroriste ».
Les pouvoirs antiterroristes sont utilisés pour empêcher toute critique à l’égard d’Israël.
Murray, ancien ambassadeur britannique, a été arrêté à l’aéroport en vertu de la « loi sur le terrorisme » pour avoir participé à une manifestation pro-palestinienne en Islande.
En vertu de la loi sur le terrorisme, si vous êtes arrêté dans un aéroport, vous n’avez pas le droit de garder le silence, ni le droit à un avocat, vous devez remettre tous vos appareils électroniques avec les mots de passe.
Si vous refusez de remettre vos appareils électroniques, vous risquez deux ans de prison.
Deux ans de prison pour avoir refusé de répondre à une question.
De nombreuses personnes sont détenues en vertu de la législation antiterroriste , dont un professeur parisien et plusieurs journalistes indépendants, qui ont tous été arrêtés comme Murray.
Les tentatives visant à lier les gens à la Russie sont constantes. Le FBI a arrêté un professeur américain qui avait parlé avec Murray lors d'une manifestation pro-palestinienne et s'est vu confisquer tous ses appareils électroniques.
Les répressions contre la liberté d’expression, la liberté de réunion et toute forme de dissidence se produisent de plus en plus fréquemment dans le monde occidental.
Alors que l’Occident proclame haut et fort l’importance de « la liberté et de la démocratie », il limite simultanément les libertés de ses propres peuples et s’oriente vers un totalitarisme complet.
Dr Paul Craig Roberts , 18 septembre 2024
Vidéo : Craig Murray, ancien ambassadeur britannique
Survivre à l’ONU, c’est quitter l’ONU. Sinon, les voies sont tracées vers un goulag numérique
Par le Dr Rima E. Laibow et Peter Koenig Recherche mondiale, 19 septembre 2024
Présentation de Peter Koenig Dr. Rima Laibow, co-fondatrice et directrice médicale de la Natural Solutions Foundation, lance un appel urgent à la population mondiale qui n'est peut-être pas consciente de ce que les Nations Unies réservent aux États-Unis, au peuple, lors de leur Assemblée générale en cours à New York.
Les 22 et 23 septembre sont consacrés à « débattre » de ce sujet auquel plusieurs gouvernements, dont le Canada, ont déjà donné leur aval. Il s’agit d’un projet de contrôle numérique sans frontières pour l’avenir. En d’autres termes, vers un goulag numérique – premier pas vers un ordre mondial unique.
Voir aussi ces deux articles récents sur le même sujet : celui-ci et celui-ci .
Comme le souligne à juste titre le Dr Laibow, il est important que ces informations parviennent au plus grand nombre possible de personnes et le plus rapidement possible. Le temps est un facteur essentiel.
Voici les différents liens, affichant le même message vidéo – au cas où l’un ou l’autre des liens aurait été censuré.
Vous trouverez ci-dessous la transcription du discours vidéo du Dr Rima Laibow.
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Survivre à l’ONU, c’est quitter l’ONU par Dr. Rima Laibow, Présentation au Forum de Chisinau, Moldavie 25-26 mai 2024 (12 septembre 2024)
- voir clip sur site -
Vous pouvez également regarder la vidéo ici , ici et ici .
Voir aussi ceci , Le Canada menacé – Arrêtez le projet de loi C-293 – Mesures d’urgence (4 septembre 2024)
Si ce projet de loi n’est pas bloqué, le Canada pourrait devenir l’un des premiers pays à adopter l’Agenda de l’ONU pour l’avenir du monde – Un goulag numérique
La transcription de la présentation du Dr Laibow est disponible ci-dessous.
Bonjour, je suis honoré et heureuse d'être parmi vous aujourd'hui au Forum de Chișinău. Il s'agit d'un projet très important qui apporte des informations, des options et une compréhension approfondie aux personnes du monde entier et je suis honoré d'être parmi les participants.
Je veux parler en tant que médecin.
Le corps politique est malade et est attaqué. Il existe une machine de mort qui a été construite lentement, soigneusement, magnifiquement, brillamment, avec des ressources infinies et la capacité de créer une propagande à un degré vraiment sans précédent, de sorte que l'angoisse de la tyrannie passe par un profond asservissement des villages, un asservissement si profond qu'il commence par l'approfondissement et se poursuit ensuite vers l'extérieur en prêchant l'espèce sous-humaine, et pas seulement la suppression. Ce processus est à l'œuvre depuis au moins 100 ans.
En tant que médecin, j'ai choisi de trouver la cause profonde de leurs symptômes et de résoudre la cause profonde du problème, puis de soulager les symptômes. Si les symptômes étaient mortels et accablants, je m'efforçais de les résoudre, mais mon objectif était de trouver la cause profonde du problème, de la résoudre et de laisser le problème se résoudre de lui-même. En 2004, après avoir été alerté par un patient du fait qu'une grande abattage (Depopulation21) était sur le point de commencer et que l'abattage devait concerner les mangeurs inutiles, et après avoir fait beaucoup de recherches pour découvrir ce que cela signifiait, j'ai réalisé que le patient avait tout à fait raison et que l'abattage des mangeurs inutiles avait été préparé depuis très longtemps. Ce que j'ai appris, c'est qu'avec la philanthropie des conservateurs, que nous aurions dû avoir puisque Rockefeller avait utilisé des sources à commencer par John D. Rockefeller Sr., le premier milliardaire et la personne la plus riche du monde à avoir vécu sur la planète.
Le visionnaire et véritable John D. Rockefeller Sr. était un grand scientifique de l'eugénisme, qui a éliminé les gens qui vivent sur cette planète. C'est une excellente idée et en fait, c'est John D. Rockefeller Jr. qui a introduit l'eugénisme, en créant l'Institut Kaiser Wilhelm pour étudier la science de l'eugénisme avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Environ 36, pardon, environ 36 scientifiques, même les ont fait venir aux États-Unis après le Second World Scholars Program.
En même temps, Rockefeller a créé la discipline de la santé publique pour prendre en charge les prises de décision des pays et de leurs unités subsidiaires jusqu'aux individus et a créé la structure que nous appelons aujourd'hui les Nations Unies avec ses organisations subsidiaires, l'Organisation mondiale de la santé, l'UNESCO et tous les autres éléments des Nations Unies, chacun d'eux étant habillé de lumière et de beauté et de propagande qui dit que cette machine de mort appelée les Nations Unies, qui est en réalité un country club de moins que rien non élus, est un club privé, rien de plus. Et l'Organisation mondiale de la santé, qui est une tyrannie mondiale naissante par le biais des questions médicales, est en fait un plan d'affaires pour prendre le contrôle des ressources à tous les niveaux, rien de plus. Et chacun des autres éléments est également habillé de gloire en matière d'éducation et de capture humanitaire, etc.
Et bien sûr, tout cela n'est que bêtise. Il s'agit de tyrannie. Il s'agit d'un système tyrannique qui est si profond et si complet qu'il est en substance l'apothéose de ce que tous les dictateurs du monde ont toujours espéré.
Ces tyrans ultra-riches, qui planifient depuis 140 ans, croient, comme Bill Gates, George Soros, Oprah Winfrey et les autres philanthropes prédateurs modernes, qu’ils ont le droit, en raison de leur richesse, de déterminer qui vit, qui meurt , dans quelles conditions et avec quelle constitution génétique ces gens vivent et meurent. Le piège prédateur est sur le point de se refermer. Malheureusement, la plus grande partie de l’attention accordée à cette menace géopolitique a été portée sur l’Organisation mondiale de la santé.
Il y a deux ans et demi, je pensais que nous avions le temps de procéder par étapes, que nous pourrions commencer par sortir de l’Organisation mondiale de la santé, puis profiter de notre succès pour sortir des Nations Unies. Il y a sept mois, cependant, j’ai réalisé que c’était une erreur politique, stratégique et tactique. Et d’ailleurs, en 2004, j’ai fermé mon cabinet de médecine pour créer avec mon mari, le major-général Albert N. Sebelbaum III, la Natural Solutions Foundation, afin de lutter contre la maladie du corps politique, qui était l’intention de mort provoquée par une machine de mort connue sous le nom d’ONU.
Et je vous invite, chaque fois que vous entendez l’expression ONU, à réfléchir à sa véritable signification, qui est celle de « moins que rien non élus ». Nous avons réalisé qu’il existait bel et bien un plan visant à réduire la population, à la diminuer génétiquement et de toutes les autres manières, à la comprimer dans des villages de transit, à lui retirer les droits de propriété, les droits parentaux, les droits de l’homme, le droit au consentement éclairé, les droits judiciaires, le concept d’âge du consentement, etc. Et nous avons décidé que nous devions contribuer à faire dérailler ce processus.
C'est là le but de la Natural Solutions Foundation. Mon mari, un brillant analyste stratégique, a été assassiné alors qu'il faisait ce travail, nous savons donc que nous sommes sur la bonne voie. Sinon, cela n'aurait aucun sens, n'est-ce pas ? L'essentiel est que si nous nous concentrons sur les Nations Unies, nous pouvons résoudre le problème, le problème sous-jacent.
Si, en revanche, nous nous concentrons uniquement sur l’Accord de préparation à la prévention des pandémies, sur les réglementations sanitaires internationales, même si nous devions sortir nos pays de ces organisations demain, même si nous devions annuler notre participation à l’Organisation mondiale de l’Holocauste, ce qui serait un nom pour cela, nous serions toujours confrontés à l’Agenda 2030. Nous serions toujours confrontés au goulag numérique. Nous serions toujours confrontés au Grand Reset.
Nous sommes toujours confrontés au programme C40, où vous ne possédez rien, où vous êtes heureux parce que vous êtes drogués, où votre activité biologique est capturée par l'agriculture piézoélectrique, et vous enrichissez le détenteur du brevet de votre structure génétique désormais transmutée grâce à votre existence biologique continue. C'est une sorte d'esclavage que nous n'avons jamais rencontré auparavant. L'esclavage génétique biochimique et la destruction d'une espèce entière qui a dominé la planète, pour le meilleur ou pour le pire, pendant très longtemps, jusqu'à ce que le philanthrope prédateur dise, eh bien, non, je crois que je peux être Dieu, et l'exprimer, comme le fait Yuval Harari, et décider de ce que vous serez, en commençant d'abord par les deux discriminateurs de vivant ou de mort, puis en passant ensuite au discriminateur de maître ou de sous-humain delta dans le sens du meilleur des mondes.
Ce document a été publié en 1932 par Algis Huxley, du mouvement Fabian Socialist, l'ancien nom des mondialistes, comme un plan directeur de la direction que nous allons prendre. Récemment, Klaus Schwab, aujourd'hui ancien président du Forum économique mondial, a déclaré que d'ici 2030, toute reproduction humaine se produirait en dehors du corps humain. C'est très proche du principe de base du meilleur des mondes, dans lequel tout le monde est créé synthétiquement et contrôlé de l'extérieur.
Après avoir vu les détails de la mise en œuvre de cette loi, je peux vous dire que nous perdons notre temps, mais l’Organisation mondiale de la santé s’oppose aux atrocités, et elles sont atroces, absolument, la santé mondiale est impensable. Nous devons en débattre. Il en va de même pour la pandémie, bien sûr.
Donc, tout ce que fait l'Organisation mondiale de la santé, y compris les urgences de santé publique de portée internationale, c'est atroce. Vous jouez le jeu de ce que le patient a été créé pour être, c'est-à-dire une tyrannie médicale mondiale, mais l'infection, le vrai cancer, ne se fait pas sur le derrière du monstre, le Michigan, aux Nations Unies. Maintenant, votre pays, pour penser à tout ce que les Nations Unies ont l'intention de faire à votre souveraineté, à votre pays, et à toute décision concernant votre vie quelle qu'elle soit, y compris votre vie, la vraie question est : votre pays peut-il quitter les Nations Unies ? Et c'est là que je vous apporte de bonnes nouvelles.
Tous les pays du monde sont victimes d'une tromperie, et cette tromperie consiste à croire qu'ils ont des obligations conventionnelles avec les Nations Unies et qu'en raison de ces obligations conventionnelles, ils doivent faire ce que les Nations Unies leur disent de faire, en matière de santé, d'aménagement du territoire, de migration, d'économie par l'intermédiaire de l'Organisation mondiale du commerce, de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international, etc. Tout cela n'est qu'un mensonge. C'est une tromperie, et voici pourquoi.
Si vous consultez la Conférence de Vienne sur le droit des traités, qui a abouti à deux conclusions principales en 1961 et en 1969, vous y trouverez une déclaration explicite selon laquelle les traités ne peuvent être conclus qu'entre États souverains, parties ou pays. Cela signifie que la Moldavie, par exemple, a prévu dans sa constitution qu'elle doit participer aux Nations Unies, et les États-Unis, dont la constitution prévoit que le président peut signer un traité avec l'avis et le consentement du Sénat. Aucun de ces pays, ni aucun autre pays au monde, n'a de relation contractuelle avec les Nations Unies.
Ils sont dans une relation de tromperie frauduleuse, car les Nations Unies sont un club privé, à la fois dans le sens où les vieux copains s'amusent et décident de ce qui va se passer ensuite, et dans le sens d'une association de pays. C'est tout ce que c'est. Ce n'est pas une nation souveraine.
Les États-Unis examinent actuellement un projet de loi au Congrès, à la Chambre des représentants et au Sénat, intitulé Disengaging Entirely from the United Nations Debacle Act of 2023, HR6645 et HR3428. Ces deux projets de loi, je vous demande pardon, qui constituent le Disengaging Entirely from the United Nations Debacle Act of 2023 doivent être adoptés à la Chambre des représentants et au Sénat avec une majorité suffisante, une super majorité, pour passer outre l'inévitable veto que celui qui occupera le fauteuil du Bureau ovale émettra. Une fois que les États-Unis auront quitté la machine à tuer des non-élus, toutes ses pièces et tous ses éléments, y compris l'Organisation mondiale de la santé, une fois que cela se sera produit, d'autres pays seront libres de le faire. Je prédis que les mondialistes laisseront cet organisme s'effondrer, et qu'ils reviendront avec quelque chose d'autre, en essayant une fois de plus.
Mais la destruction de l’agriculture cesse. La migration incontrôlée cesse. L’exigence d’une éducation sexuelle complète, qui garantisse que chaque enfant soit désorienté, traumatisé et détérioré dans sa capacité à progresser sur le plan du développement psychosexuel, cesse d’être une exigence.
En fait, il est d’une importance cruciale que les pays se libèrent de cette obligation non conventionnelle qu’ils n’ont jamais eue au départ. Si vous connaissez quelqu’un aux États-Unis, je vous invite à soutenir sa participation à Preventgenocide2030.org et à agir pour exiger que les membres de leur Congrès, qu’ils soient corrompus ou non, qu’ils soient intellectuellement en phase avec ce dont nous parlons ou non, n’aient vraiment aucune importance. Nous devons simplement les forcer à agir en notre nom.
Je vous exhorte à envoyer toute personne de votre connaissance ayant une résidence ou une adresse aux États-Unis pour prendre cette mesure sur le site Preventgenocide2030.org, puis je vous exhorte à forcer votre pays à sortir de cette machine de mort avant le 23 septembre de cette année, 2024. Pourquoi avant cette date ? Parce que ce jour-là, l’Assemblée générale des Nations Unies doit approuver le pacte pour l’avenir, qui indique clairement et de manière absolue que la tyrannie mondiale sera mise en œuvre et sera irréversible par la suite.
Il s’agit d’un message d’une grande urgence, et je vous remercie de m’offrir l’occasion de le transmettre.
N'hésitez pas à me contacter chez Dr. Rima à naturalsolutionsfoundation.com si je peux vous aider, et veuillez visiter https://preventgenocide2030.org/ pour en savoir plus et agir.
Merci.
* Le Dr Rima Laibow est le médecin de la Natural Solutions Foundation.
Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il est l'auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident à l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
La violence du développement : alimentation, dépendance et dépossession : résister au nouvel ordre mondial. Nouvelle version du livre de Colin Todhunter
Une version révisée (septembre 2024) du livre électronique en libre accès « Food Dependency and Dispossession: Resisting the New World Order » (2022) de Colin Todhunter est désormais disponible.
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 17 septembre 2024
Un tout nouveau chapitre final, « La violence du développement », conclut un livre qui présente une critique acerbe du système agricole industriel mondial et de ses partisans. Le livre s'attaque à la révolution verte et à son équivalent moderne (les organismes génétiquement modifiés), au remplacement des pratiques agricoles traditionnelles, à la réduction de la biodiversité, à la dépendance accrue des agriculteurs à l'égard des entreprises et aux effets dévastateurs d'un programme néolibéral qui est commodément présenté comme un programme de « développement ».
En examinant de manière critique le concept de « développement » et la manière dont il a été mis en œuvre à l'échelle mondiale, ce nouveau chapitre soutient que la dépendance et la dépossession demeurent des éléments essentiels du système économique mondial. Ceux qui sont sacrifiés sur l'autel du pillage dans les campagnes, dans les forêts ou dans les collines sont considérés comme le prix à payer pour le « progrès ».
Le chapitre présente le développement conventionnel comme fondé sur l'hégémonie occidentale, imposant certains idéaux au reste du monde, et cite la critique du théoricien du post-développement Arturo Escobar selon laquelle le développement est une approche descendante et ethnocentrique.
La violence du développement prend la forme d’une brutalité pure et simple et d’une hégémonie idéologique : un jeu de pouvoir visant à redéfinir qui nous sommes ou ce que nous devrions être, ce qui est acceptable et ce qui est inacceptable.
« Le développement était et continue d’être, en théorie et en pratique, une approche descendante, ethnocentrique et technocratique, qui traitait les peuples et les cultures comme des concepts abstraits, des chiffres statistiques à déplacer de haut en bas dans les graphiques du « progrès ».
En remettant en cause la notion de voie unilinéaire vers le développement, ce chapitre soutient que les résultats historiques ont souvent été façonnés par le hasard et les conflits plutôt que par un parcours prédéterminé. Si l’histoire nous enseigne une chose, c’est que l’humanité est arrivée à son point actuel à cause d’une multitude de luttes et de conflits, dont les résultats étaient souvent incertains. Il n’existe pas de voie unilinéaire vers le développement ni de norme fixe quant à ce qu’elle constitue.
En d’autres termes, nous sommes arrivés là où nous sommes autant par hasard que par choix. Et ce choix s’appuyait en grande partie sur le colonialisme et l’impérialisme. Le développement de la Grande-Bretagne doit beaucoup aux 45 000 milliards de dollars qui ont été aspirés à l’Inde, selon l’économiste Utsa Patnaik .
Et cette situation, au nom du « développement », se reproduit, comme l'a souligné l'éminente militante Aruna Rodrigues. En parlant du livre, elle a déclaré ce qui suit à propos des chapitres sur l'Inde :
« Colin Todhunter à son meilleur : c’est un récit d’horreur détaillé et explicite en cours de préparation pour l’Inde, un exposé sur ce qui est prévu, via les lois agricoles, pour transférer la souveraineté et la sécurité alimentaire de l’Inde aux grandes entreprises. Le moment viendra très bientôt (pas encore prévu, mais imminent, déjà en cours), où nous paierons les Cargill, Ambani, Bill Gates, Walmarts – en l’absence de stocks nationaux de réserve alimentaire (un changement de politique agricole en faveur des cultures commerciales, la fin des petits agriculteurs, mis de côté par l’agriculture contractuelle et les cultures OGM) – nous les paierons pour nous envoyer de la nourriture et financerons les emprunts sur les marchés internationaux pour le faire. »
La nouvelle conclusion préconise le rétablissement des liens de l'humanité avec la terre, en s'inspirant de la philosophie de Gandhi et de son concept de « mode de vie non interventionniste ». Elle place la justice et la souveraineté alimentaires dans le cadre d'une lutte plus vaste contre l'injustice sociale, économique et environnementale et la brutalité déguisée en « développement ».
Dans l’ensemble, ce nouveau chapitre conclusif fournit une critique complète du paradigme du développement mondial, en le reliant aux thèmes du livre que sont l’alimentation, la dépendance et la dépossession.
La version révisée de Alimentation, dépendance et dépossession : résister au nouvel ordre mondial peut être lue gratuitement sur Global Research .
Los Angeles lutte pour freiner les prises de contrôle effrontées et violentes dans les rues
Les lois faibles, la lenteur de la bureaucratie et les interventions déconnectées de la réalité ne font pas le poids face au spectacle alimenté par les réseaux sociaux, affirment les défenseurs de la sécurité et les forces de l'ordre.
Par Beige Luciano-Adams 19 septembre 2024
LOS ANGELES — Deux incendies, une devanture de magasin vandalisée, un bus Metro percutant trois voitures, des drones crachant des feux d'artifice sur des muscle cars gonflés à la dérive. Le week-end de la fête du Travail a été relativement calme dans le comté de Los Angeles, où les prises de contrôle illégales des rues continuent de terroriser les quartiers qui ont été récupérés comme attractions touristiques pour les conducteurs et les spectateurs en quête d’influence sur Internet.
Les « prises de contrôle » contemporaines – dans lesquelles les conducteurs réquisitionnent les intersections et effectuent des cascades dangereuses pour une foule de spectateurs – sont une sorte de successeur des cultures automobiles classiques californiennes, notamment les courses de dragsters, les croisières, les lowridings et les spectacles parallèles.
Mais propulsées par le spectacle frénétique et mimétique des médias sociaux, elles sont devenues un élément particulièrement dangereux du paysage.
Les agressions, les fusillades, les vols en flash mob et les blessures de piétons associées aux courses et prises de contrôle illégales sont en augmentation, selon les forces de l’ordre, qui affirment qu’elles sévissent avec une approche de tolérance zéro. Un groupe de travail multi-agences est dédié à la résolution du problème, et les autorités investissent dans des programmes éducatifs et de diversion, des technologies améliorées et des modifications de la rue aux intersections problématiques. Malgré tout cela, le problème semble de plus en plus dérangé.
« Ce que nous constatons, c’est une augmentation des comportements violents : pillages, voitures en feu. Récemment, nous avons eu deux enfants abattus et un assassiné lors d’une prise de contrôle, lors d’une pirouette », a déclaré Craig Valenzuela, commandant du groupe de la circulation du département de police de Los Angeles (LAPD), au conseil de surveillance du comté de Los Angeles lors d’une réunion du 30 juillet.
Il faisait référence à un incident survenu le 22 juillet au cours duquel deux jeunes de 15 ans impliqués dans une prise de contrôle ont été abattus après un vol présumé, dont un mortellement.
« C’est vraiment ce qui nous préoccupe : c’est le niveau de violence et nous essayons d’intervenir pour y mettre fin et assurer la sécurité de nos communautés. »
Lors de la réunion, d’autres agences et le personnel du comté ont présenté un rapport final sur les courses illégales et les prises de contrôle dans les zones non constituées en municipalités du comté, en préparation depuis près d’un an. Ils ont brossé un tableau plutôt sombre, reconnaissant l’ampleur et l’étendue du problème, et le fait que les mesures d’application de la loi existantes, ainsi que les efforts de sensibilisation des autorités – cherchant à influencer le comportement d’une sous-culture de jeunes anti-autorité – ne fonctionnent pas.
« La situation a atteint un niveau où nous devons vraiment consacrer toutes nos ressources et lutter contre cette épidémie qui fait des ravages dans nos communautés », a déclaré le shérif adjoint de Los Angeles, Myron Johnson, au conseil.
Les superviseurs ont finalement voté pour demander au personnel et au département du shérif de Los Angeles (LASD) de rendre compte du financement et d’un plan d’action dans les 60 jours.
Pour les défenseurs qui font pression depuis des années pour éviter les inévitables victimes des courses illégales et des prises de contrôle, cela semble être une longue attente.
« Malheureusement, je pense que cela a pris tout le monde par surprise », a déclaré Lili Trujillo Puckett, fondatrice de Street Racing Kills, en référence à la vague de prises de contrôle pendant la pandémie. Puckett a fondé son organisation après que sa fille de 16 ans, Valentina, a été tuée dans un accident de course de rue en 2014. Elle dirige désormais des programmes de déjudiciarisation pour les jeunes délinquants, ainsi que des campagnes législatives et éducatives.
« Il n’y avait pas de loi en place. J’ai commencé à demander des factures il y a longtemps, mais personne n’a vu que c’était un problème », a-t-elle déclaré à The Epoch Times.
Donald Galaz, fondateur de Project Street Legal, une organisation qui vise à fournir des lieux légaux pour les courses de rue, affirme que le problème a dépassé la capacité des forces de l'ordre à le maîtriser.
"C'est tout simplement hors de contrôle", a-t-il déclaré. "Aucun groupe de travail ne pourra jamais l'arrêter - il y a trop d'individus, ces enfants là-bas, ils continuent simplement à se déplacer d'un endroit à l'autre".
Galaz est membre de longue date de la Confrérie des coureurs de rue internationaux, un groupe qui a développé des voies légales pour les courses, ce qui, selon lui, l’a aidé à quitter la rue et à sortir des gangs dans sa jeunesse. Et même si l’on observe aujourd’hui un « niveau d’irrespect » et de chaos dans les prises de contrôle qui n’apparaissait pas dans les spectacles clandestins et les courses de dragsters des décennies précédentes, alors largement confinés aux zones industrielles et aux parkings, il affirme que les autorités pourraient encore réduire considérablement le problème en offrant aux enfants une alternative plus sûre.
« Je milite en faveur de cette cause depuis plus de 12 ans – faisons quelque chose. J’ai rencontré de nombreux membres du conseil municipal et maires qui ont promis d’aider », a-t-il déclaré. Galaz a déclaré qu’il avait organisé des permanences téléphoniques pour une campagne à la mairie, mais que cet effort s’était soldé par une longue série de « promesses non tenues » pour résoudre le problème.
« En attendant, des gens meurent. Le public est en danger. Des entreprises sont détruites. Des rues sont détruites », a-t-il déclaré. « Et puis, on voit tout le temps aux infos que des gens se font tuer, et pourtant les élus n’ont rien fait. »
Impact inégal
Les destructions ont tendance à être concentrées dans certaines zones, et souvent perpétrées par des personnes qui vivent ailleurs, disent les responsables de l’application de la loi. La ville de Compton est depuis longtemps un épicentre de la culture automobile du sud de la Californie, abritant des clubs de moto et de course, et une croisière du dimanche en lowrider qui continue à ce jour.
Mais ces dernières années, elle est également devenue un foyer pour les étrangers à la recherche de crédibilité dans la rue et de likes sur Instagram, une rampe de lancement pour les conducteurs qui veulent se faire un nom.
« Si vous voulez avoir de l’influence sur Internet, vous devez aller à Compton », a déclaré Galaz. « Ce n’est pas un secret. »
Lors d’une prise de contrôle de la ville le 28 juillet, la California Highway Patrol (CHP) a arrêté 63 spectateurs, émis 66 contraventions et mis en fourrière 28 véhicules, selon l’agence. Ces arrestations ne représentaient qu’environ 5 % des participants, et environ 80 % n’étaient pas des résidents du comté de Los Angeles.
Les données récentes du LASD montrent que la grande majorité des prises de contrôle au premier trimestre de cette année (219 sur 289) ont eu lieu dans le deuxième district de surveillance du comté, qui comprend le sud de Los Angeles et certaines parties de la région du port. La plupart d'entre elles se sont produites dans les villes de Compton et de Carson, qui ont enregistré respectivement 90 et 109 incidents. Il s'agit d'une augmentation par rapport au trimestre précédent, où il y a eu 173 prises de contrôle dans le district, sur un total de 234 incidents, dont 74 et 58 à Compton et Carson.
Pendant ce temps, les quatrième et premier districts, qui couvrent les parties sud-est et est du comté, ont enregistré 55 et 15 incidents au cours des premiers mois de 2024. Aucune prise de contrôle n'a été signalée dans le troisième district, qui comprend les villes de l'ouest de Los Angeles, ou dans le cinquième district, qui couvre la partie nord du comté.
« L'augmentation des prises de contrôle illégales des rues est profondément troublante », a déclaré la maire de Compton, Emma Sharif, au journal Epoch Times. « Cela va à l'encontre des valeurs de notre ville, vraiment. Ce problème a eu de graves répercussions sur notre communauté, affectant à la fois la sécurité et le bien-être des résidents. »
Compton et Carson n’ont pas leurs propres forces de police mais ont un contrat avec le département du shérif de Los Angeles, qui coordonne avec d’autres agences comme le CHP sur le contrôle du code de la route. Les responsables de la ville de Carson n’ont pas répondu à une demande de commentaires.
En examinant les données du LAPD pour la ville de Los Angeles, il semble que les courses de rue et les prises de contrôle ont atteint un pic en 2020, avec 912 incidents. Il y en a eu 319 en 2019, et les chiffres ont fluctué depuis, tombant à 482 l’année dernière. Cela montre une redistribution, pas une éradication, disent les observateurs.
« Ce n’est pas parce que le pic a eu lieu dans la ville de Los Angeles que le nombre a diminué dans tout le comté », a déclaré Damian Kevitt, directeur exécutif de l’association à but non lucratif Streets Are for Everyone, à The Epoch Times.
Selon lui, la police de Los Angeles est devenue plus agressive et la répression a déplacé le problème vers des communautés périphériques comme Compton et des zones non constituées en municipalités.
La police de Los Angeles, qui applique le code de la route dans le comté de Los Angeles, a répondu à 100 prises de contrôle de rue, a émis 2 000 contraventions, a arrêté 500 personnes pour conduite imprudente, conduite sous l’influence de l’alcool, spectateur et infractions liées aux armes, et a mis en fourrière plus de 400 véhicules dans des zones non constituées en municipalités du comté de Los Angeles l’année dernière.
« Les coureurs de rue se présentent, prennent le contrôle de la rue, passent 45 minutes sur place – ils savent combien de temps il faudra à la police pour faire leur travail, puis ils se rendent à l’endroit suivant », a déclaré Kevitt.
Les données du LASD et du LAPD montrent que les prises de contrôle ont augmenté au cours des premiers mois de 2024, tant dans le comté que dans la ville, mais le comté a connu une baisse globale de 15 % au deuxième trimestre par rapport au premier, passant de 289 à 245 incidents, ont déclaré les responsables du LASD au conseil lors de la réunion de juillet.
C'est toujours plus qu'au quatrième trimestre de l'année dernière, et Compton a une tendance à la hausse.
Dans son rapport du 12 juin en réponse à une directive du conseil municipal, le LAPD a souligné la capacité décroissante des forces de l'ordre et des premiers intervenants à intervenir lors des prises de contrôle, qui incluent souvent des centaines de spectateurs et d'innombrables véhicules. Les spectateurs utilisent des pointeurs laser pour aveugler les agents et les hélicoptères, lancent des feux d'artifice sur la police, percutent et encerclent intentionnellement des voitures et résistent à l'arrestation.
« Je pense qu'ils se sentent intouchables », a déclaré Galaz. « Et parce qu'il s'agit d'une unité de police avec deux agents qui se présente, ils sont d'emblée en infériorité numérique. FrançaisAlors maintenant, vous avez ces enfants qui bloquent les voitures, jettent des pierres et des bouteilles et tirent des feux d'artifice et font ce genre de choses à la police. ... Ils s'en fichent complètement. »
Les courses de rue ont toujours été anti-autoritaires, mais Galaz note que les coureurs étaient autrefois plus préoccupés par la démonstration de leurs compétences que par la provocation des forces de l'ordre.
« La dernière chose que nous voulions faire était d'attirer l'attention des forces de l'ordre alors que nous essayions de faire quelque chose, vous savez ? Mais on dirait qu'ils les narguent », a-t-il déclaré. « Je ne comprends pas la logique derrière le fait de vouloir faire ces choses et juste le degré de manque de respect. »
Les forces de l'ordre et les premiers intervenants sont déjà à bout de souffle en raison des déficits budgétaires, du manque de personnel et d'une crise des sans-abrisme qui les accable. Pour toutes les raisons mentionnées ci-dessus, les agences cherchent à externaliser certaines tâches de police vers la technologie.
« Nous n’allons plus au cœur de la prise de contrôle. C’est tout simplement trop dangereux pour nous », a déclaré Joe Zivi, commandant de la CHP South L.A., au conseil en juillet. « Il ne fait aucun doute que ces prises de contrôle sont plus effrontées, plus violentes. »
La CHP surveille déjà les points chauds avec des hélicoptères et des avions équipés de technologie infrarouge et d’enregistrement qui peuvent être utilisés pour les poursuites, et bientôt elle disposera de caméras haute puissance pour lire les plaques d’immatriculation en temps réel, qu’elle espère présenter aux juges pour obtenir des saisies de 30 jours, puis saisir les véhicules à une date ultérieure, a déclaré Zivi.
En attendant, le LASD espère étendre un programme pilote qui utilise des drones pour aider à la course et à l’application des lois sur les prises de contrôle, tandis que certaines villes lancent leurs propres programmes.
En mars, Carson a lancé une nouvelle politique sur les drones pour « améliorer les services municipaux » et en avril, elle a annoncé l’installation d’un système de surveillance « de pointe » de plusieurs millions de dollars dans toute la ville pour aider à « réduire les activités suspectes » et augmenter la récupération des véhicules volés dans le cadre du projet de caméra de reconnaissance de plaques d’immatriculation du LASD.
Mais certains remettent en question la logique d’investir dans des caméras de haute technologie pour photographier les plaques d’immatriculation alors que de nombreuses voitures impliquées sont volées – et que les conducteurs peuvent être partis depuis longtemps lorsque la police arrive.
Clash culturel Pour les générations plus âgées des scènes de course et de croisière, les prises de contrôle contemporaines et le chaos qui les accompagnent jettent une ombre sur la culture automobile.
Développé par les Américains d'origine mexicaine après la Seconde Guerre mondiale, le lowriding est un élément apprécié et reconnaissable de la mosaïque culturelle de la Californie du Sud, immortalisé dans des expositions d'art, des livres, des films, et aujourd'hui imité par des adolescents disposant de revenus disponibles dans des pays comme l'Arabie saoudite. L'année dernière, le gouverneur Gavin Newsom a signé un projet de loi légalisant le lowriding et le cruising, ou la conduite « basse et lente » pour mettre en valeur des voitures classiques modifiées, annulant ainsi les restrictions précédentes.
Lors de la réunion du conseil d'administration du 30 juillet, des intervenants publics de clubs de course et de lowrider sont venus rappeler au gouvernement que le cruising est légal et ne doit pas être mis dans le même panier que les prises de contrôle illégales.
« Les dirigeants des clubs automobiles sont déjà des organisations d'auto-surveillance et nous essayons de faire de notre mieux pour rendre nos rues sûres », a déclaré Art Limon, fondateur de la LA Lowrider Alliance, au conseil. « Nous sommes des conducteurs responsables qui respectent le code de la route. Nous ne soutenons pas les prises de contrôle illégales. »
D'autres intervenants ont demandé que le langage lié à la « croisière » soit supprimé du rapport et qu'une ligne claire soit tracée entre le lowriding légal et les prises de contrôle illégales. « L'art du lowriding et la culture du cruising ne devraient pas figurer dans le rapport ni faire partie d'une quelconque ordonnance relative aux spectacles parallèles illégaux », a déclaré l'un d'eux.
Lors d’une conférence de presse du 24 janvier annonçant l’arrestation de plusieurs mineurs impliqués dans plusieurs incidents différents, notamment le pillage d’une boulangerie au cours duquel les participants ont conduit une voiture devant un magasin à Compton, à la suite d’une prise de contrôle dans la rue, le shérif a adopté un ton plus dur.
« Nous allons vous avoir », a déclaré le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna, lors de la conférence. « Cela peut prendre quelques jours, vous pourriez devenir arrogant et penser : « Je vais commettre un autre crime. » Nous allons vous attraper. »
Après la série d’incidents violents, la Commission de la sécurité publique de Compton a recommandé des sanctions plus sévères, notamment des saisies de voitures pendant 30 jours, des amendes de 10 000 $ et des arrestations pour conduite imprudente.
« Nous en avons assez de l’anarchie, nous en avons assez des crimes qui s’ensuivent, et nous reconnaissons que ces personnes gagnent de l’argent grâce à ces prises de contrôle », a déclaré le commissaire à la sécurité publique Bishop Guillory au conseil municipal à l’époque.
La ville a modifié ses ordonnances pour augmenter les amendes pour spectateur de 1 000 $ à 2 000 $, que les autorités espèrent utiliser pour compenser les coûts d'intervention et de réparation.
"Cela pourrait fonctionner, car une amende de 2 000 $ peut être assez dommageable lorsqu'il s'agit de faire remorquer sa voiture et d'essayer de la sortir, en plus de devoir payer cette amende", a déclaré le maire Sharif.
Mais dans tout le comté de Los Angeles, il y a souvent une distance entre l'application de la loi et les poursuites.
Dans son rapport de juin, le LAPD a proposé un examen exhaustif des lois actuelles et a conclu qu’elles étaient terriblement inadéquates.
« Les recours juridiques actuels ont un effet dissuasif minimal et ne sont pas suffisants pour lutter efficacement contre ces crimes », a noté le rapport, soulignant les lois existantes qui ne poursuivent que les excès de vitesse et la conduite imprudente comme des délits mineurs avec une amende négligeable et un manque de sanctions supplémentaires.
Le fait que de telles infractions soient éligibles à une déjudiciarisation avant condamnation revient à « contourner complètement tout effet dissuasif significatif », déclare le LAPD.
Lorsque les forces de l’ordre transmettent de tels cas au procureur de district, un procureur adjoint examinera et choisira de porter plainte ou de renvoyer au programme de déjudiciarisation avant dépôt de plainte de Street Racing Kills.
« À l’heure actuelle, s’ils sont arrêtés et reçoivent une contravention, ils doivent suivre un cours avec moi », a déclaré Trujillo Puckett.
Mais en 2020, Gascón a émis une directive spéciale ordonnant aux députés de refuser ou de rejeter les accusations de délits, notamment la conduite avec un permis suspendu ou sans permis valide.
Les forces de l’ordre s’appuient sur le Code de la route de Californie pour faire respecter les interdictions de vitesse, de « complicité » dans une course de rue ou de conduite imprudente. Ces infractions peuvent être considérées comme des délits ou des infractions et ne déclenchent pas de restriction ou de suspension du permis de conduire. Un accusé accusé d’un délit peut être condamné à une peine maximale de 90 jours de prison, mais une telle peine est rarement, voire jamais, imposée.
« L’objectif de cette nouvelle politique est de réimaginer la sécurité publique et de servir au mieux les intérêts de la justice et du bien-être de la communauté », a écrit Gascón dans la note de 2020, précisant que les poursuites pour délits mineurs seront désormais régies par cette politique de réforme « axée sur les données ».
Sans lois « significatives » qui ont des conséquences, déclare le LAPD dans le rapport de juin, « les participants et les spectateurs s’engagent dans ces activités en sachant que les forces de l’ordre et le système judiciaire éviteront de punir leurs activités imprudentes et illégales ».
Le résultat, disent-ils, est une hostilité croissante envers les premiers intervenants et une culture générale de peur et d’intimidation dans les quartiers touchés.
En vertu de la loi de l’État qui entrera en vigueur en juillet prochain, les autorités peuvent suspendre les permis jusqu’à six mois pour excès de vitesse dans le cadre d’un spectacle ou d’une prise de contrôle de la rue.
Mais le LAPD conclut que les suspensions ont « un effet punitif et dissuasif minime », car le DMV délivre « d’innombrables » contraventions aux conducteurs sans permis, suspendus ou révoqués, « mais le problème persiste ».
Le LAPD identifie les codes du DMV qui autorisent la mise en fourrière pendant 30 jours, avec ou sans mandat, comme l’un des outils les plus efficaces pour contrecarrer les prises de contrôle, et l’ajout de technologies telles que des caméras à haute puissance vise à renforcer cette approche.
Mais la police n’est pas autorisée à saisir et à détruire les véhicules « nuisibles » engagés dans des concours illégaux et des excès de vitesse, car la ville a suspendu plusieurs dispositions en raison de « préoccupations constitutionnelles ».
Le LAPD a demandé au conseil municipal de reconsidérer plusieurs amendements au code, proposés pour la première fois en 2022 mais non mis en œuvre, et a exhorté le conseil à adopter une résolution pour renforcer les lois de l'État et déclarer les spectacles parallèles et les prises de contrôle des nuisances publiques.
Médias sociaux Les forces de l'ordre surveillent les comptes de médias sociaux populaires et le comté a identifié plusieurs influenceurs de premier plan en matière de prises de contrôle qui publient généralement une vingtaine de vidéos par mois, chacune recueillant souvent des dizaines de milliers de likes. Les hashtags populaires incluent #getbackorgetsmacked, et les vidéos abondent de spectateurs qui s'approchent trop près. D'autres montrent des voitures qui continuent de faire des donuts autour de la police qui s'est arrêtée au milieu d'une prise de contrôle, incendiant des véhicules ou effectuant des pyrotechnies de drones.
Pour tenter de contrer le phénomène, le groupe de travail multi-agences de courses de rue de Los Angeles maintient son propre compte Instagram depuis 2016, où il fait de son mieux pour troller les participants. Les photos de voitures saisies sur des camions à plateau, d’armes confisquées et d’incendies de véhicules comportent des avertissements tels que « je l’ai balancé et je l’ai perdu pendant 30 jours », « la voiture a été détruite, je suis allé en prison et j’ai dû marcher longtemps pour rentrer à la maison » et « les passagers ont aussi eu un petit quelque chose. Regarder est également illégal ». On ne sait pas si les gouvernements locaux chercheront ou non à faire pression sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles suppriment le contenu.
Lors de la réunion des superviseurs de juillet, la directrice générale du comté, Fesia Davenport, a reconnu qu’il s’agirait d’un problème de premier amendement et a déclaré : « Je ne suggère pas que nous supprimions ces publications Instagram, mais nous devons réagir de la même manière lorsque nous essayons de capter l’imagination de la population ».
La superviseure Holly Mitchell, cependant, a insisté pour une réponse plus forte.
« Lorsque je regarde les témoignages devant le Congrès, avec des gens qui tiennent les moteurs de médias sociaux responsables d’actions dangereuses, je ne vois pas pourquoi nous ne le ferions pas alors que nous pouvons relater et identifier les pertes de vies humaines – pas seulement les biens mais les décès résultant de ces actions », a déclaré Mitchell.
Le bureau de Mitchell n’a pas répondu à une demande du journal Epoch Times lui demandant de développer ses points de vue.
Le rapport de juillet du comté indique que « travailler avec les médias sociaux pour censurer les publications dépasse le cadre de ce rapport », car la suppression des publications sur les médias sociaux implique un discours protégé par le Premier Amendement, mais note que le conseiller juridique du comté abordera la question dans un rapport du conseil privilégié et confidentiel.
Solutions : « Cela mettrait un frein à tout cela »
Au-delà de l’expansion et du renforcement de l’application de la loi, le directeur du département du développement de la jeunesse du comté de Los Angeles, David Carroll, a déclaré que toute solution devra offrir des opportunités aux amateurs de sensations fortes. « On ne peut pas s’en sortir en arrêtant et en mettant une amende », a déclaré Carroll au conseil de surveillance en juillet, exprimant son inquiétude quant aux amendes de plusieurs milliers de dollars imposées aux spectateurs, qui pour un jeune « pourraient aussi bien s’élever à 1 million de dollars ».
Il a fait remarquer que les jeunes délinquants se rendent aux prises de contrôle parce que « c’est quelque chose à faire », un endroit où les gens recherchent une communauté, une reconnaissance et une admiration. « Et il y a une poussée d’adrénaline ».
Galaz soutient également qu’on ne peut pas forcer les gens à faire cela, et qu’il est mal d’appliquer les lois sans leur fournir un autre endroit où aller.
« Ils veulent voir quelque chose qui va les attirer. Les gens aiment la puissance. Les gens veulent voir des voitures tourner comme ça. »
Tous ces autodidactes qui peaufinent leurs voitures avec des ordinateurs portables, a déclaré Galaz, pourraient être la prochaine génération de mécaniciens, de techniciens de l’aviation et de vidéastes s’ils avaient les bons conseils.
Dans son rapport de juillet au conseil de surveillance, le LASD a déclaré que l’engagement avec les participants « a révélé un intérêt limité pour l’utilisation d’alternatives plus sûres » comme l’Irwindale Speedway ou plusieurs autres qui existent déjà dans la région.
Depuis sa première visite avec son père et son oncle lorsqu’il était enfant, Galaz a vu la piste de Terminal Island – entre les quartiers de Wilmington et de San Pedro – ouvrir et fermer près d’une douzaine de fois. La réouverture, a-t-il déclaré, comblerait le besoin d’un espace à proximité des points chauds de prise de contrôle comme Carson et Compton.
Mais certains doutent que la réouverture de la piste ait un impact sur ce qui est essentiellement une culture axée sur l’anarchie et le crime.
« Cette idée d’ouvrir la piste sur Terminal Island, les gens qui vont là-bas, ils ne voudront pas payer pour améliorer légalement leurs voitures pour y aller », a déclaré un résident de Compton lors de la réunion du conseil d’administration de juillet.
« Ils ne seront pas contents de rester assis dans les gradins, à regarder des donuts – non, ils veulent être aux intersections, c’est ça le frisson, enfreindre la loi, commettre ces crimes et se retrouver au milieu de l’intersection. »
Galaz n’est pas d’accord.
« Cela va faire une grosse différence. J’en suis très confiant – je le sais, parce que cela a fonctionné pour moi dans les années 90 », a-t-il déclaré, faisant référence à la réouverture du circuit de 1993 à 1995.
« Big Willie » Robinson, fondateur de la Brotherhood of Street Racers, a ouvert la piste dans les années 1970, avec l’aide de l’ancien maire Tom Bradley.
« Il n’y avait plus personne dans les rues pour faire la course. Tout le monde était sur la piste. Pourquoi faire la course dans la rue quand on peut aller à Terminal Island et faire la course là-bas ? Cela a fonctionné pour nous. »
Les réseaux sociaux, soutient-il, « se répandraient comme une traînée de poudre », et les coureurs connus attireraient les gens – une communauté intergénérationnelle unie par le besoin de vitesse et un amour profond du métier et du professionnalisme qui caractérisent la culture automobile.
« Big Willie avait l'habitude de dire : "tout le monde est infecté de 8 à 80 ans", a-t-il déclaré. « Je suis sûr que s'il y avait un endroit ouvert plus d'un jour par semaine, on éliminerait un bon nombre de ces individus des rues. »
Mais Galaz bat le tambour depuis plus d'une décennie, avec des résultats frustrants.
« Je me tiens au bord du précipice et je dis : « Hé mec, ne tombe pas dans le précipice. » Et ils s’en fichent, a-t-il dit. Je ne sais pas pourquoi les élus mettent autant de temps à agir. » Il évoque les rapports, les comités et les tables rondes sans fin.
Pour Trujillo Pucket, la solution réside dans une législation plus stricte, ainsi que dans des mesures de répression, d’éducation et de déjudiciarisation.
Au cours des dernières années, plusieurs projets de loi d’État visant les courses de rue et les OPA ont été adoptés, notamment la loi Ryan, qui étend la liste des crimes pouvant donner lieu à un homicide involontaire pour conduite dangereuse, les AB 3 et AB 2000 qui permettent aux tribunaux de suspendre les permis, et l’AB 645, qui prévoit l’installation de radars automatiques de contrôle de vitesse dans six villes pilotes, dont Los Angeles.
Les organisations de Trujillo Puckett et de Kevitt ont travaillé avec le sénateur Anthony Wiener sur le projet de loi SB 961, que la législature a adopté début septembre. Les premières versions auraient exigé l’installation de régulateurs de vitesse actifs, ou de dispositifs de limitation de vitesse, dans les nouvelles voitures. Mais après avoir rencontré une certaine opposition, les amendements ultérieurs ont atténué le libellé et ne nécessiteraient désormais que des régulateurs passifs, c’est-à-dire un système d’avertissement pour le conducteur.
Dans un courriel, Kevitt a qualifié le résultat de décevant, étant donné que l’excès de vitesse est la principale cause de « violence routière » – blessures graves et décès – aux États-Unis. Ceux qui ont examiné le projet de loi, a-t-il déclaré, « n’étaient pas prêts à donner la priorité au droit à la vie plutôt qu’au droit des gens à rouler à une vitesse excessive, nous avons donc dû édulcorer le projet de loi pour le rendre plus acceptable – un seul bip et un avertissement visuel lorsque l’on commence à rouler à 10 miles par heure au-dessus de la limite de vitesse ».
Il a comparé cet effort à l’obligation du port de la ceinture de sécurité au début des années 1970 et aux lois sur la conduite en état d’ivresse dans les années 1980 – une bataille entre les libertés individuelles et les restrictions qui sauvent des vies.
« Depuis, les ceintures de sécurité ont permis de sauver 500 000 vies, et la plupart des gens ne conduiraient jamais sans en porter une. Les conduites en état d’ivresse ont diminué et des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de vies ont été sauvées grâce à l’application des lois sur la conduite en état d’ivresse », a-t-il déclaré.
Un agriculteur contraint de vendre son exploitation à cause d'une antenne relais
France-Soir 19 septembre 2024 - 11:15
Les agriculteurs sont fortement exposés au soleil, ils passent, pour la majorité d'entre eux, 6 à 7 jours par semaine au travail dont de nombreuses heures à l'extérieur
Un agriculteur de l'Orne (Normandie) dénonce l'installation récente d’une antenne relais, qu'il juge responsable de la chute drastique d’œufs produits par ses poules pondeuse. Installée à 300 mètres seulement de son exploitation, cette antenne et ses ondes électromagnétiques le contraignent à mettre la clef sous la porte.
Implanté dans la vente d’œufs sur le territoire depuis 2016, l'homme est confronté depuis le début d’année 2023 à l’installation d’une antenne relais à proximité de son exploitation de poules pondeuses. Une localisation mortifère qui l’aurait contraint à tout revendre. L’exploitant témoigne en affirmant que sa « production a chuté de 15 000 à 800 œufs par jour ». « À la fin du mois de mars, les travaux étaient terminés et dès avril j’ai constaté une diminution de ma production », vient-il à préciser.
Tandis qu’il envisage d’abord une bronchite infectieuse, les symptômes apparaissent comme étant différents. Les cinq poulaillers sont vite « infectés ». Malgré l’intervention d’un vétérinaire, rien ne semble pouvoir être fait, le professionnel « ne trouve rien » qui pourrait expliquer le phénomène. C’est la venue d’un géobiologiste, au mois de juillet, qui va permettre de soulever un doute sur la présence de cette antenne. L’agriculteur décide alors de questionner le gestionnaire de l’antenne pour en avoir le cœur net.
« On m’a dit que l’antenne n’avait été mise en route qu’au cours du mois de juin, le 12 précisément. Mais, moi, je l’entendais bien avant ! Des essais ont été réalisés dès la fin mars. De source non officielle, je sais que ces antennes sont poussées au maximum avant, pour être testées », souligne-t-il encore auprès du Perche.
Pour trouver une solution, il prend le parti de contacter l’association nationale Animaux sous Tension. Malgré ce contact et la création d’un collectif dans le but d’interpeller les élus locaux, l’exploitation ne survit pas à ses pertes économiques et l’exploitant la revend entièrement en 2023. Bien que celui-ci ait contacté la députée de sa circonscription, le courrier envoyé au ministre de l’Agriculture ainsi qu’au Premier ministre sont restés lettres mortes. Curieusement, en revendant ses poules à un collègue localisé à quelque 15 km plus loin, celles-ci se seraient remises à pondre normalement. De quoi démontrer la bonne foi du professionnel.
Selon l’agriculteur, parmi les mesures nécessaires, l’imposition d’une distance de sécurité entre une antenne et un élevage devrait être mise en place, avec un minimum de 2 km. Alors même qu’il ne croit plus en une indemnisation pour les pertes subies, il espère cependant que son cas saura se faire entendre auprès de l’opinion publique pour que des solutions concrètes soient trouvées.
Attention : guerre de l'information ! Reyno De Beer (Liberty Fighters) et Loïs Sasek (Kla.TV)
RépondreSupprimer19.09.2024
www.kla.tv/30513
Toute personne en quête de vérité connaît cette situation : un lien ou un courrier contenant une révélation brûlante arrive. On se dit : Enfin quelqu'un a révélé ce que nous soupçonnions depuis longtemps !
Mais attention : Il y a une guerre de l'information qui fait rage ! Cela signifie que des informations fausses ou à moitié vraies sont mises en circulation de manière ciblée. Si celles-ci sont ensuite partagées des centaines de milliers de fois et qu'elles s'avèrent fausses, c'est du pain bénit pour les fact checkers autoproclamés et les médias mainstream. C'est pourquoi, à Kla.TV, nous vérifions depuis 2012 déjà si chaque source est bien fondée, crédible et correcte. Récemment encore, Loïs Sasek, directrice de Kla.TV, a transmis ce principe de la manière suivante lors d'une formation interne des collaborateurs.
Loïs Sasek, directrice de production de Kla.TV :
« Il y a eu cette information fantastique selon laquelle un journaliste a pris par hasard une photo de Buckingham Palace où on voit un garçon s’échappant d'un abus rituel.
Mais vous devez toujours faire attention à ce qu'il y ait bien une source ou si c'est simplement une version non vérifiée. Dans ce cas, n'oubliez pas d'ajouter : « Veuillez vérifier » ou quelque chose comme ça - nous devons tout bonnement faire attention !
Parce qu'ici par exemple, on voulait délibérément nous faire avaler une fausse information - parce que pour cette photo avec le garçon, il nous a fallu deux ans, parce que nous ne savions absolument pas où était la source de cette affaire. Nous n'avons pas pu vérifier. Et puis il s'est avéré que c'était une photo truquée, un tournage de film, destiné à nous mener sur une fausse piste. Et là, malheureusement, beaucoup de journalistes d’investigation sont tombées dans le panneau. Et on peut à nouveau tourner tout le sujet en dérision : « Tout est faux, non ? » Vous comprenez ?
Et là, je dois dire que Kla.TV est vraiment bon en matière de vérification des sources. Beaucoup de journalistes d’investigation indépendants disent : « Oh cool, regarde ! » Et alors c'est très dangereux, on peut tout de suite les éliminer. Mais nous devons simplement continuer à veiller à ce que nous regardions vraiment toujours : Attends, ça a l'air fantastique, mais est-ce que c'est vraiment possible ?
Tu sais ce que cela m'a coûté de ne pas publier cette image pendant deux ans, parce que je pensais : C'est une bombe ! Parce que j'ai des témoins de Buckingham Palace ! Mais quand tu as quelque chose comme ça, c'est du pain bénit. Et l'autre partie le sait. C'est une guerre, ne l'oublions pas ».
Cette situation nous pose un défi à l'échelle mondiale, la contribution suivante du formateur en investigation sud-africain Reyno De Beer de Liberty Fighters Network le démontre.
https://libertyfighters.org et https://t.me/libertyfightersnews
Il explique avec force la portée de cette guerre de l'information :
Reyno De Beer de Liberty Fighters Network
Par exemple, nous recevons quotidiennement des informations sur nos sites. Il y a des gens qui postent simplement quelque chose qui va dans le sens de notre pensée et de notre recherche, sans vérifier les faits.
RépondreSupprimerJe ne suis pas en train de dire qu'il faut s'adresser à un vérificateur de faits. Bonté divine, les gars, vous avez traversé une période d'environ trois ans avec le confinement de la pandémie de COVID-19 et vous êtes devenus de bons chercheurs. C'est une très bonne chose qui est ressortie de cette période de confinement de la pandémie de COVID-19 que nous avons traversée. Elle a créé de nouveaux chercheurs, vous qui nous écoutez. Mais malheureusement, juste parce que quelque chose correspond à notre pensée et à notre objectif, les gens l'acceptent sans hésiter comme une vérité. Ils le diffusent ensuite par milliers sur les médias sociaux et autres plateformes, c’est accepté comme vérité. Mais c'est exactement comme cela que nos ennemis opèrent.
Ils créent quelque chose de totalement bidon et ils savent que nous sommes très crédules à ce moment-là, que nous l'acceptons comme une vérité et que nous allons la répandre ; et c’est pour que, quand elle sortira et au bon moment, lorsque les gens commenceront à faire référence à cette information fabriquée par nos ennemis, alors ils se montreront et ils prouveront que cela n'existe pas ou que ce n'est pas comme ça, ce que le narratif ou l'information dit, et ils ridiculiseront alors tous les membres de notre groupe d'activistes.
Ce n'est donc pas seulement vous qui êtes ridiculisé, c'est nous tous qui nous entendons dire que le « groupe » éveillé est une bande de complotistes avec des chapeaux d’aluminium. Parce qu'ils nous fournissent intentionnellement de fausses informations qui correspondent à nos idées et que nous n'allons pas les vérifier, nous n’allons pas voir si c'est vraiment la vérité.
Par exemple, Donald Trump, il y a encore des gens qui croient qu'il est le sauveur du monde, mais ils n'ont jamais fait de recherches sur ses antécédents. S'ils l'avaient fait, ils se seraient rendu compte qu'il est jésuite. Qu'est-ce que l'ordre des Jésuites ? C'est un ordre de personnes très influentes créé par l'Église catholique romaine pour l'aider à se débarrasser du protestantisme afin que tous les chrétiens appartiennent à une seule et même foi, le catholicisme.
Et avec ce type d'hommes politiques, je dis toujours que ce n'est pas ce qu'ils font et ce qu'ils disent en public qui est important. C'est ce qu'ils ne font pas qui me rend méfiant à leur égard. Par exemple, Donald Trump, alors qu'il était président des États-Unis d'Amérique, l'a été en pleine prétendue pandémie de COVID-19. Si nous pensons qu'il y a eu beaucoup d'irrégularités avec le COVID-19, il était en position de les dénoncer. Mais il a parlé de l'efficacité de l'Ivermectine, par exemple. Il confirmait ainsi l'existence d'un virus et d'une pandémie. Tout ce truc dont nous, en tant que groupe, nous disons que c’est probablement très suspect et qu’il se pourrait qu’il n’y ait ni virus ni pandémie.
Et si je répète que c'est à vous d'aller faire des recherches, ne vous contentez pas d'accepter ce que je dis. Même si pour tout ce que fait le Liberty Fighters Network, nous en donnons la preuve, la preuve réelle sur notre site web. Allez voir, allez chercher notre nom sur Google, allez voir, lisez les affaires judiciaires qui ont été publiées à notre sujet, pour que vous puissiez voir et expérimenter le travail que nous faisons.
RépondreSupprimerLes gens transmettent donc ces informations. D'un côté, les gens disent, oh, oui, mais nous les transmettons parce que nous voulons vérifier si ce que cette personne dit va s'avérer être la vérité. Mais en réalité, vous alimentez ces informations. Vous l'alimentez en la transmettant sans la vérifier. Vous devriez au moins ajouter une note et dire que ce n'est pas vérifié, vérifiez s'il vous plaît.
Les gens sauront alors qu'il ne faut pas l'accepter comme une vérité. Ils doivent d'abord aller vérifier. Mais les gens ne le font pas. L’info est simplement transmise des milliers de fois à diverses personnes et ils croient que quelqu'un fait quelque chose pour lutter contre la corruption bancaire ou que cette organisation fait quelque chose. Ils se détendent donc et pensent qu'ils sont en train de faire quelque chose.
Malheureusement, cela arrive régulièrement. Ce que je dis aux gens, c'est que lorsqu'ils transmettent des informations, il faut d'abord qu'ils enquêtent eux-mêmes, qu'ils aillent sur Google, sur DuckDuck-Go ou sur tout autre moteur de recherche, et qu'ils les consultent. Allez-y et vérifiez s'il y a une raison suffisante de penser qu'il pourrait s'agir de la vérité. Allez vérifier qui vous l'a transmis. Y a-t-il un nom ? S'il n'y a pas de nom, ne le faites pas circuler. S'il n'y a pas de nom, s'il n'y a pas de date, s'il n'y a pas de site web, s'il n'y a pas de lieu, et que vous ne pouvez pas aller vérifier si cette personne existe réellement... Si une personne ne veut pas donner son nom en transmettant ce message, ignorez-la. Il y a une raison pour laquelle cette personne ne veut pas donner son nom. S'il s'agit d'un véritable activiste, il ou elle ne se souciera pas d'attacher son nom à cette information parce que son nom ou son nom est le sceau d'approbation de cette nouvelle. Allez vérifier. C'est très important, s'il vous plaît. Ne faites pas circuler quelque chose que vous ne pouvez pas confirmer vous-même.
Et si vous n'êtes pas sûr, que vous y avez longuement réfléchi et que vous pensez que cette information doit être partagée avec d'autres, indiquez « accusations non confirmées ». Ainsi, d'autres personnes pourront vérifier.
Méfiez-vous des agents et des espions qui vous transmettent délibérément et intentionnellement des informations qui ne nous aideront pas du tout. Il est essentiel que nous vérifiions ces choses dans notre quête de la vraie libération. Je vous invite à vérifier, à confirmer, et je ferai évidemment d'autres vidéos sur des sujets similaires. N'hésitez pas à liker cette vidéo, à la faire suivre à d'autres personnes ou à la partager si vous l'avez aimée. Cela nous aidera également avec l'algorithme de YouTube. Soyez prudents, que Dieu vous bénisse. Liberty Fighters Network.
de sl./ts.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Journée de formation de Kla.TV (13.07.24)
Reyno De Beer de Liberty Fighters d’Afrique du Sud :
„The Age of Disinformation“
https://www.youtube.com/watch?v=fKZfz7bng88
https://www.kla.tv/fr
La FDA met en garde contre un nouveau vaccin contre la variole du singe
RépondreSupprimer20 septembre 2024
de Thomas Oysmüller
Le vaccin contre la variole (du singe) qui vient d'être approuvé aux États-Unis peut non seulement être mortel, mais aussi se propager à des personnes non vaccinées. La plus haute autorité pharmaceutique de Washington met en garde à ce sujet.
Le vaccin vivant contre la variole du singe (mPox) peut se multiplier et se propager. Sans vaccination. Le vaccin ACAM2000 contre la variole du singe a été approuvé fin août. Cela entraîne un certain nombre de risques pour la santé, même pour les personnes non vaccinées. Le vaccin a été approuvé en 2007 et est fabriqué par Emergent BioSolutions. L’entreprise est spécialisée dans les vaccins contre les menaces biochimiques de guerre.
Excrétion et effets secondaires
Dans la description du produit, la FDA est assez claire. La substance pourrait « faire plus de mal que de bien », indique-t-on. La vaccination a été approuvée pour les personnes considérées comme « à haut risque » d’infection par la variole du singe. Reste à savoir qui sont ces personnes. La description du produit met également en garde contre des effets secondaires importants : mort subite ou myocardite, par exemple.
Mais la liste des effets secondaires est bien plus longue : les effets secondaires du vaccin comprennent la myocardite, la péricardite, l'inflammation du cerveau ou de la moelle épinière, les éruptions cutanées, les fausses couches, les infections oculaires et la cécité, les réactions allergiques graves, etc. Et : La vaccination peut également être donné aux personnes non vaccinées. Vous pouvez trouver la description complète du produit ici.
Des médecins critiques tels que Karl Jablonowski, Ph.D. de Chlidrens Health Defense, mettent en garde avec véhémence contre l'utilisation immédiate du vaccin ACAM2000 : « Vous pouvez appeler ACAM2000 un « vaccin », mais son impact sur les États-Unis sera celui d'une « maladie ». » La substance est un « danger public ». et non une mesure de santé publique.
« Par exemple, selon la notice du médicament (voir tableau 3), le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a déterminé qu'environ 520 sur un million de receveurs d'ACAM2000 ont développé une myocardite ou une péricardite. Cela représente environ 1 sur 2 000. Cependant, ailleurs dans la notice, la FDA admet que le risque – sur la base d'études supplémentaires – est en réalité de 5,7 pour 1 000 vaccinations. Cela représente environ 1 personne sur 175. Si les 262 millions d’adultes aux États-Unis recevaient ce vaccin, on estime que 1 493 000 personnes développeraient une myopéricardite à effet secondaire grave.
Ceci est juste un effet secondaire possible. Les risques s’étendent jusqu’à la mort (ce qui est « extrêmement rare »). Également pour les « personnes non vaccinées », notamment lorsqu’elles sont en contact étroit avec des personnes vaccinées. Les États-Unis disposent actuellement de plus de 100 millions de doses de cette substance en stock. On soupçonne qu'ils souhaitent désormais les expédier en Afrique. À ce jour, ACAM2000 n’a pas été utilisé contre la variole du singe en Afrique.
En Allemagne, une loi a été modifiée en 2019 afin que les « vaccins » puissent également être transmis à d’autres personnes. C'est ce qu'on appelle le « délestage », dont le TKP a parlé en détail . Les changements juridiques rendent légalement valable la diffusion des vaccins. La situation juridique est probablement similaire aux États-Unis.
https://tkp.at/2024/09/20/fda-warnt-vor-neuem-affenpocken-impfstoff/
Les députés du Land du Tyrol du Sud demandent à Rome de suspendre la vaccination obligatoire des enfants
RépondreSupprimer19 septembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le député et avocat Dr. Renate Holzeisen soutient depuis un certain temps les parents du Tyrol du Sud qui souhaitent protéger leurs enfants des vaccinations obligatoires assez étendues. Un certain nombre de vaccins sont requis pour fréquenter la maternelle, ce qui peut affecter la santé des enfants. Dès l’âge de six ans, il existe des sanctions en cas de non-vaccination.
Au Tyrol du Sud, les vaccinations suivantes sont obligatoires dans les crèches et les jardins d'enfants : diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatite B, coqueluche, HIB Haemophilus influenza type B, rougeole, oreillons, rubéole et varicelle. À défaut , une amende sera imposée aux étudiants âgés de 6 à 16 ans.
Toutefois, les médicaments, notamment les médicaments pédiatriques, ne peuvent généralement être utilisés qu’après avoir prouvé leur sécurité et leur efficacité. La preuve de la sécurité et de l'efficacité ne peut être obtenue que dans le cadre d'études cliniques avec de véritables groupes témoins.
Dans la campagne « La transparence pour protéger nos enfants » , la « réponse » des sociétés médicales du Tyrol du Sud à la demande de divulgation des études cliniques avec de véritables groupes témoins pour les vaccinations obligatoires des enfants n'était qu'une référence à deux liens avec une documentation en langue anglaise. L'autorité compétente a simplement envoyé des liens vers le rapport d'évaluation de l'EMA du 5 mars 2013 sur le vaccin à six doses HEXYON et une « discussion scientifique » sur le quadruple vaccin ProQuad.
Après avoir commencé l’examen de ces deux documents, les « informés » ont constaté que ni l’efficacité ni la sécurité des vaccinations demandées par l’entreprise médicale n’avaient été confirmées par des études cliniques avec un véritable groupe témoin.
L’autorité européenne responsable brandit donc des vaccins pour nos enfants.
Malgré cette procédure clairement illégale de la part de la direction médicale du Tyrol du Sud, les vaccinations mentionnées ci-dessus sont toujours exigées pour les enfants. Hier Dr. Holzeisen a annoncé lors d'une conférence de presse qu'ils agiraient désormais en tant que représentants spéciaux des parents du Tyrol du Sud dont les enfants ont été exclus de l'école maternelle et en tant que membres du parlement du Land du Tyrol du Sud, et donc conformément à l'article 48/bis du décret présidentiel n° 670 du décret présidentiel n° 670. 31 août 1972 Représentation de la province autonome de Bolzano qui demande la suspension immédiate des vaccinations obligatoires des enfants. À cette fin, une demande urgente a été envoyée au ministre de la Santé Schillaci, à la présidente du gouvernement Giorgia Meloni et à la personne responsable du ministère de la Santé.
Voici la traduction allemande autorisée des textes de la conférence de presse d'hier et de la motion d'urgence :
RépondreSupprimerDEMANDE EXPRESSE DE SUSPENSION IMMÉDIATE DE LA VACCINATION DES ENFANTS OBLIGATOIRES À ROME
Ci - joint la demande urgente (en italien avec traduction en allemand) envoyée hier au ministre de la Santé Schillaci, à la présidente du gouvernement Giorgia Meloni et aux responsables du ministère de la Santé, de l'Agence italienne des médicaments (AIFA) et de l'Istituto Superiore della Sanità , auprès de laquelle j'agis en tant que représentant spécial des parents du Tyrol du Sud dont les enfants ont été exclus de l'école maternelle, et en tant que membre du Parlement de l'État du Tyrol du Sud, et donc conformément à l'article 48/bis du décret présidentiel n° 670 du 31 août, 1972, représentant la province autonome de Bolzano, exigeant la suspension immédiate des vaccinations obligatoires des enfants .
Sur la base des demandes de divulgation soumises par les parents du Tyrol du Sud à la société médicale du Tyrol du Sud, nous savons que le vaccin à six doses Hexyon de Sanofi Pasteur Europe et le quadruple vaccin Proquad de Merck Sharp & Dohme sont utilisés au Tyrol du Sud pour réaliser la vaccination des enfants. exigence.
Après avoir examiné la documentation institutionnelle officielle de l'approbation décidée de manière centralisée par la Commission européenne, nous avons constaté que ni la sécurité ni l'efficacité des multiples vaccins n'avaient été prouvées dans des études cliniques.
D’ailleurs, cela s’applique à tous les vaccins pédiatriques.
En outre, la décision d'approbation de la Commission européenne et les décisions de rachat correspondantes de l'AIFA stipulent expressément la nécessité d'une prescription médicale pour l'injection de ces substances.
Une prescription médicale ne peut jamais être remplacée par un plan national de vaccination politiquement décidé.
Il est évident qu'il ne peut y avoir de vaccination obligatoire avec des substances expérimentales de facto et que l' exclusion des enfants non vaccinés des jardins d'enfants et des petites garderies est discriminatoire et viole toute une série de principes constitutionnels .
RépondreSupprimerVoir les détails, y compris un lien vers les documents d'approbation institutionnelle dans la demande urgente ci-jointe ici.
La seule solution acceptable est de suspendre immédiatement l’obligation de vacciner les enfants et d’admettre immédiatement les enfants exclus dans les jardins d’enfants et les petites crèches. Toute autre démarche reviendrait à insister sur des actions manifestement inconstitutionnelles (violation de la dignité humaine des enfants, du droit au travail, etc.).
Je suis convaincu que si les parents savaient ce que l'on injecte à leurs enfants, ils ne soumettraient probablement pas leurs enfants à cette roulette russe.
La demande de suspension immédiate que j'ai déposée hier aurait en fait dû être déposée par le Conseil de la santé du Tyrol du Sud et le gouverneur de l'État, compte tenu de la situation flagrante !
Demande urgente aux responsables gouvernementaux de suspendre l'obligation de vaccination pédiatrique 18/09/24
Anonimizzata Istanza urgente sospensione obbligo vaccinale pédiatrique 18/09/2024
RA/Avv. RDA. Renate Holzeisen
Député du Land du Tyrol du Sud – Membro del Consiglio della Provincia Autonoma di Bolzano
Faction VITA – Gruppo Consiliare VITA
https://tkp.at/2024/09/19/suedtiroler-landtagsabgeordnete-fordert-von-rom-aussetzung-der-kinderimpfpflicht/
Dommages causés par le vaccin : « Cartel du silence »
RépondreSupprimer19 septembre 2024
de Thomas Oysmüller
La politique se fait avec le nombre de victimes de la campagne de vaccination contre le Covid. Mais ce chiffre n’a rien à voir avec la réalité, mais sert plutôt les intérêts dominants.
Quelques centaines de blessures causées par les vaccins ont été reconnues en Autriche en raison de la campagne de vaccination, environ 500 en Allemagne : ces chiffres sont toujours cités par la propagande des médias politiques lorsqu'il est question de la prétendue « sécurité » des vaccins. Cependant, ces chiffres sont artificiellement bas et n’ont rien à voir avec la réalité. Une personne concernée parle d’un « cartel du silence ». En Allemagne, le BSW réclame un enregistrement plus systématique des dégâts.
Voici le reportage actuel du magazine Multipolar :
Selon les personnes concernées, les dommages causés par les vaccins contre le Covid-19 ne sont pas suffisamment documentés. Ina Berninger, dont il est cliniquement confirmé qu’elle souffre d’effets secondaires graves dus à un vaccin à base d’ARNm, parle à Multipolar d’un « cartel du silence ». "Beaucoup de gens le savent : les médecins, les directeurs de cliniques, les associations médicales, le ministère, les autorités sanitaires, la police et tout le monde passe cela sous le tapis. Aucune institution ne se reconnaît responsable, critique l'employé de l'université de Cologne." Conformément à l' article 6 de la loi sur la protection contre les infections, le médecin doit signaler immédiatement toute suspicion d'atteinte à la santé dépassant l'étendue habituelle d'une réaction vaccinale.
Cependant, le médecin responsable de l'hôpital universitaire d'Aix-la-Chapelle n'a pas signalé le cas à l'Institut Paul Ehrlich (PEI) responsable, explique Berninger. Même après la demande du patient et en coordination avec l'Association médicale de Rhénanie du Nord-Westphalie, le médecin a continué à refuser. En réponse à la demande de Multipolar, le service de presse de l'hôpital universitaire d'Aix-la-Chapelle a écrit que l'« impression » selon laquelle les cas suspects d'effets secondaires des vaccins Covid-19 n'étaient pas signalés était « fausse ». La clinique universitaire agit conformément aux dispositions légales et a coordonné son approche avec l'ordre des médecins. La clinique n'a pas souhaité commenter le cas spécifique de Berninger.
La personne concernée a déclaré à Multipolar qu’elle connaissait nommément au moins cinq autres victimes du vaccin dont les cas n’avaient pas été signalés à l’Île-du-Prince-Édouard par l’hôpital universitaire d’Aix-la-Chapelle. Le médecin Harald Matthes de la Charité de Berlin a expliqué en avril 2022 que le sous-enregistrement des blessures causées par la vaccination corona par l'Île-du-Prince-Édouard était d'environ 70 pour cent. La Charité s'est par la suite distanciée de lui.
Le Deutsche Ärzteblatt a rapporté en 2021 que le taux de déclaration en Autriche entre fin décembre 2020 et début juillet 2021 était de 3,7 cas pour 1 000 doses de vaccin et en Grande-Bretagne entre début décembre 2020 et mi-juillet 2021, il était de 3,79. En Allemagne, en revanche, le taux était nettement inférieur au cours de la période correspondante, avec seulement 1,4 cas signalés d'effets secondaires suspectés pour 1 000 doses de vaccin corona. Les raisons de cette situation sont inconnues, indique le rapport. En juin 2022, les victimes du vaccin ont envoyé une « lettre de feu » aux hommes politiques et aux principaux médias. Il affirme que de nombreux scientifiques et politiciens minimisent encore publiquement les dommages causés par le vaccin corona et nient ainsi les maladies les plus graves des patients.
RépondreSupprimerAndrej Hunko, porte-parole de l'Alliance Sahra Wagenknecht (BSW) en matière de politique de santé, affirme qu'il existe une sous-déclaration massive des blessures liées aux vaccins contre le Covid-19. Le BSW est arrivé à cette conclusion après des discussions avec des personnes vaccinées, a-t-il expliqué en réponse à la demande de Multipolar. Un enregistrement systématique des effets secondaires à l'Île-du-Prince-Édouard est donc absolument nécessaire, tout comme le rétablissement des rapports de sécurité, désormais interrompus. "Nous demandons une révision complète de la politique en matière de pandémie et, en conséquence, une commission d'enquête parlementaire au Bundestag allemand. Une telle commission d'enquête aborderait également le manque de profil de sécurité des préparations corona à base d'ARNm et la sous-déclaration des cas." dommages causés par le vaccin, explique-t-il.
En outre, Hunko critique la « campagne agressive du gouvernement fédéral pour la soi-disant vaccination corona ». La campagne « était et est, à mon avis, irresponsable et anticonstitutionnelle ». Cela contredisait également fondamentalement la résolution n° 2361 du Conseil de l’Europe de janvier 2021.
Interrogé par Multipolar, Martin Sichert, porte-parole du groupe parlementaire AfD en matière de politique de santé, explique que les factions des partis établis au Bundestag n'ont « aucun intérêt à une clarification ». Cela se voit par exemple dans le rejet de l'audience publique demandée par l'AfD pour traiter de la surmortalité . Son parti a également soumis d'autres propositions au sujet des effets secondaires de la vaccination, qui ont été rejetées, indique Sichert. Une clarification de « cette époque terrible de la politique de santé allemande » est « nécessaire de toute urgence ».
Le dernier rapport de sécurité de l'Île-du-Prince-Édouard sur les vaccins contre la COVID-19 était daté du 31 mars 2023. En réponse à une demande de Multipolar, le bureau de presse de l'Île-du-Prince-Édouard a déclaré que des cas suspects ultérieurs de complications liées à la vaccination avaient été enregistrés dans la base de données des cas suspects de l'EMA dans toute l'UE. États membres. En réponse à la demande de Multipolar auprès du ministère fédéral de la Santé, il a déclaré que les rapports de sécurité réguliers étaient un « format spécial » développé en raison de la « situation pandémique particulière ». Il existe désormais « de nombreuses données » sur la sécurité des produits vaccinaux contre la COVID-19. L’Île-du-Prince-Édouard a donc cessé de préparer et de publier des rapports sur la sécurité des produits vaccinaux contre la COVID-19.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2024/09/19/impfschaeden-kartell-des-schweigens/
La fonction anticancéreuse oubliée de l'aspirine
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
19 septembre 2024
L'aspirine, traditionnellement utilisée pour soulager la douleur, présente des propriétés anticancéreuses prometteuses. Des recherches récentes mettent en évidence son potentiel dans la prévention et le traitement du cancer, avec un analogue plus puissant, l'acide 2,6-dihydroxybenzoïque, qui se révèle encore plus prometteur
L'association de l'aspirine et de la vitamine C montre des résultats supérieurs en termes de réduction des tumeurs et de prolongation des temps de survie par rapport à l'un ou l'autre des composés seuls ou aux médicaments de chimiothérapie conventionnels, tout en étant plus doux pour les cellules saines
L'utilisation à long terme d'aspirine à faible dose (75 mg+ par jour pendant plusieurs années) peut réduire considérablement l'incidence et la mortalité du cancer colorectal, les bénéfices étant plus prononcés pour les cancers du côlon proximal et après plus de 20 ans d'utilisation.
Le potentiel de lutte contre le cancer de l'aspirine s'étend au-delà du cancer colorectal, se révélant prometteur dans la réduction des risques de cancer de l'œsophage, de l'estomac, du poumon, de la prostate et du sein, avec une incidence globale du cancer potentiellement réduite de 20 à 30 % après trois à cinq ans d'utilisation
Pour un bénéfice maximal, choisissez de l'aspirine à libération immédiate sans additifs. La dose optimale varie de 82 mg à 325 mg par jour, à prendre au cours des repas. Les tests génétiques peuvent aider à personnaliser l'utilisation de l'aspirine pour la prévention du cancer à l'avenir
- voir clip sur site -
L'aspirine est un élément essentiel des armoires à pharmacie du monde entier, principalement connue pour ses propriétés analgésiques et anti-inflammatoires. Cependant, des recherches récentes mettent en lumière un rôle potentiellement révolutionnaire de ce médicament courant : la prévention et le traitement du cancer .
Les propriétés anticancéreuses de l'aspirine ont été évoquées dans plusieurs études au fil des ans, mais cette fonction a été largement négligée au profit de médicaments plus récents et plus coûteux. Aujourd'hui, des expériences révolutionnaires réaffirment non seulement le potentiel de l'aspirine dans la lutte contre le cancer, mais révèlent également un analogue plus puissant qui pourrait révolutionner notre approche du traitement du cancer.
Cette fonction oubliée de l'aspirine, et de sa cousine encore plus puissante, pourrait offrir un nouvel espoir dans la lutte contre l'un des problèmes de santé les plus persistants de l'humanité. Explorons les développements passionnants qui poussent les chercheurs à porter un regard neuf sur ce médicament familier.
Aspirine et cancer : présentation de l'acide 2,6-dihydroxybenzoïque
RépondreSupprimerDans mon entretien avec Georgi Dinkov, ci-dessus, il parle de ses expériences sur des souris utilisant une combinaison de vitamines B (B1, B3 et B7) et d’aspirine pour combattre une forme hautement mortelle de lymphome à cellules du manteau humain. Il a découvert que si les vitamines seules arrêtaient la croissance tumorale, l’ajout d’aspirine à une dose équivalente à celle de l’homme d’environ 1,5 gramme par jour entraînait une régression tumorale complète chez les trois sujets testés.
Fort du succès de l'aspirine, Dinkov a introduit un analogue plus puissant de l'aspirine, l'acide 2,6-dihydroxybenzoïque. Non seulement il est beaucoup plus puissant, mais il est aussi beaucoup plus lipophile, ce qui signifie qu'il a une plus grande affinité pour les lipides (graisses) que pour l'eau. Les composés lipophiles ont tendance à être plus facilement absorbés par les membranes cellulaires.
Dinkov explique la base théorique de l'utilisation de ce composé, qui repose sur la diminution du pH intracellulaire pour induire la mort des cellules cancéreuses : 3
« L’une des principales théories de Ray [Peat] était que… les cellules cancéreuses… [étaient] métaboliquement dysfonctionnelles, nous le savons tous, et généralement une telle cellule commet une apoptose. Mais pour que l’apoptose se produise, ce mécanisme est presque entièrement contrôlé par le pH intracellulaire. Et pour que l’apoptose se produise, il faut qu’elle se situe dans la plage acide.
Mais les cellules cancéreuses sont alcalines en raison de l'exportation d'ions lactate et hydrogène. Donc, si quelque chose peut faire baisser le pH intracellulaire, ces cellules cancéreuses, parce qu'elles sont dérangées, devraient en fait disparaître d'elles-mêmes.
L'une des suggestions de Peat à l'époque était : « Pourquoi ne pas utiliser l'acétazolamide ? » qui, en tant qu'inhibiteur de l'anhydrase carbonique, augmente le dioxyde de carbone. Le dioxyde de carbone est acide, ce qui devrait permettre aux cellules cancéreuses de déclencher l'apoptose.
Certaines études in vitro et in vivo ont montré que l'acétazolamide pouvait être efficace, mais qu'il ne guérissait pas vraiment les tumeurs. Il s'agissait d'une croissance plus lente, d'une régression partielle, mais cela prouvait que l'idée était sur la bonne voie.
Alors, je me suis dit : « Trouvons quelque chose de beaucoup plus acide que le dioxyde de carbone. » Et c’est cet acide 2,6-dihydroxybenzoïque, qui n’est qu’un groupe hydroxyle supplémentaire sur l’aspirine. L’acide salicylique, en fait, qui est l’acide 2-hydroxybenzoïque. Et puis cette chose est environ 10 fois plus puissante que l’aspirine.
Des études de suivi ont donné des résultats prometteurs, avec une régression des tumeurs après une semaine. Dinkov note que l’acide 2,6-dihydroxybenzoïque est « librement disponible. Pas de brevet, rien à ce sujet. Pas mal d’études à l’époque, mais c’est vraiment une molécule très générique… C’est aussi très bon marché. Moins cher que l’aspirine. » 4
Tout comme l’aspirine a été développée à partir d’une source naturelle (écorce de saule), d’autres composés naturels, notamment ceux dérivés des feuilles de la plante médicinale Lithraea molleoides, 5 présentent également des effets cytotoxiques, ce qui s’ajoute au nombre croissant de preuves selon lesquelles les composés dérivés de plantes peuvent avoir un potentiel anticancéreux important. Les composés isolés de Mangifera zeylanica, une espèce de manguier originaire du Sri Lanka, ont également des effets cytotoxiques et apoptotiques 6 .
RépondreSupprimerL'association aspirine-vitamine C traite les tumeurs solides mieux que la chimiothérapie
Si les recherches suggèrent que l’acide 2,6-dihydroxybenzoïque pourrait être un outil prometteur contre le cancer, l’aspirine est également très prometteuse. Votre corps pourrait en bénéficier encore plus lorsque l’aspirine est associée à de la vitamine C, qui a également des effets antitumoraux. Des études récentes ont montré que cette combinaison peut être plus efficace contre les cellules cancéreuses tout en restant plus douce pour les cellules saines par rapport aux médicaments de chimiothérapie conventionnels comme la doxorubicine .
Lors de tests en laboratoire, l’association aspirine-vitamine C a montré un fort effet cytotoxique sur les cellules cancéreuses du foie, mais s’est révélée beaucoup moins nocive pour les cellules pulmonaires normales. 8 Cette sélectivité est cruciale pour réduire les effets secondaires associés aux traitements contre le cancer. La synergie entre ces deux substances courantes semble renforcer leurs propriétés anticancéreuses individuelles, offrant une alternative plus sûre aux chimiothérapies agressives.
Le potentiel de l’aspirine et de la vitamine C ne se limite pas au laboratoire. Des études sur les animaux ont montré des résultats encourageants. Testée sur des rats atteints d’un cancer du foie induit chimiquement, cette thérapie combinée a donné des résultats remarquables. 9 Après 90 jours de traitement, le foie des rats traités présentait une amélioration significative, tant au niveau de l’apparence que de la fonction.
Il est important de noter que la plupart des tissus hépatiques semblaient normaux à l’examen microscopique. Cette thérapie combinée a surpassé la doxorubicine pour restaurer la santé du foie et réduire les marqueurs tumoraux.
L'aspirine agit en synergie avec la vitamine C
Dans une autre étude, la combinaison d’aspirine, également connue sous le nom d’acide acétylsalicylique (ASA), et de vitamine C, ou ascorbate (AS), a montré des résultats supérieurs dans la réduction des tumeurs par rapport à l’un ou l’autre composé seul. 10 Lorsque des souris atteintes de tumeurs solides ont été traitées avec la combinaison, leur volume tumoral a diminué de 46 %, contre 40 % avec l’AS seul et 36 % avec l’AS seul.
Cet effet synergique provient probablement de la combinaison des propriétés anti-inflammatoires de l'aspirine avec les puissantes capacités antioxydantes de la vitamine C. Les deux composés semblent travailler ensemble pour créer un environnement plus hostile aux cellules cancéreuses, empêchant leur croissance et leur prolifération.
RépondreSupprimerEn attaquant les tumeurs par plusieurs mécanismes simultanément, la combinaison aspirine-vitamine C peut surmonter certaines des adaptations que les cellules cancéreuses développent généralement pour échapper aux traitements à composé unique.
Au-delà de la réduction des tumeurs, la combinaison aspirine-vitamine C a considérablement prolongé la survie et a semblé améliorer la santé générale des souris porteuses de tumeurs. Les souris traitées avec cette combinaison ont survécu en moyenne 93,5 jours, contre seulement 54 jours pour les souris porteuses de tumeurs non traitées, soit une augmentation de 73 % de la durée de vie. 11
La combinaison a également surpassé chacun des composés pris séparément pour normaliser divers biomarqueurs des fonctions hépatique, rénale et cardiaque qui avaient été perturbés par le cancer. Notamment, la combinaison a pu augmenter les taux d'hémoglobine, atténuant potentiellement l'anémie souvent associée au cancer.
Ces améliorations de la fonction des organes et des paramètres sanguins suggèrent que le traitement à base d’aspirine et de vitamine C pourrait avoir de nombreux avantages pour la santé globale et la qualité de vie, au-delà de ses seuls effets antitumoraux.
L'un des mécanismes clés des effets de l'association aspirine-vitamine C semble être sa puissante modulation du stress oxydatif et de l'inflammation dans l'organisme. L'étude a révélé que les souris porteuses de tumeurs présentaient des niveaux significativement élevés de marqueurs du stress oxydatif comme le malondialdéhyde (MDA) et l'oxyde nitrique (NO), ainsi que des défenses antioxydantes épuisées.
Le traitement à l’aspirine et à la vitamine C a radicalement inversé ces déséquilibres, diminuant le MDA et le NO tout en augmentant la capacité antioxydante totale, l’activité du glutathion et de la catalase. En créant un environnement moins inflammatoire et moins oxydatif dans le corps, cette combinaison peut rendre plus difficile la prolifération et la propagation des cellules cancéreuses.
Ce rééquilibrage de l'état redox pourrait avoir des effets à grande échelle dans tout le corps, ce qui pourrait expliquer les améliorations observées dans de nombreux systèmes organiques. Les résultats de l'étude soulignent l'importance de s'attaquer à l'inflammation chronique et au stress oxydatif dans le cadre d'une approche globale du traitement et de la prévention du cancer.
Le rôle prometteur de l’aspirine dans la prévention du cancer colorectal
RépondreSupprimerL’aspirine peut également réduire considérablement le risque de cancer colorectal (CCR), l’une des principales causes de décès par cancer dans le monde. Des études ont montré que la prise quotidienne d’au moins 75 milligrammes (mg) d’aspirine pendant plusieurs années peut réduire à la fois l’incidence et la mortalité du CCR .
Il est intéressant de noter que l’effet bénéfique semble être plus prononcé pour les cancers du côlon proximal, qui sont généralement plus difficiles à prévenir par des méthodes de dépistage standard comme la coloscopie ou la sigmoïdoscopie. L’utilisation à long terme d’aspirine, en particulier depuis plus de 20 ans, a été associée à une réduction remarquable de 35 % de l’incidence du CCR. 13
Ces résultats suggèrent que l’intégration d’aspirine à faible dose dans votre stratégie de santé à long terme pourrait offrir une protection significative contre cette forme courante de cancer.
Au-delà de ses effets préventifs, l’aspirine peut également améliorer les résultats chez les personnes déjà diagnostiquées d’un cancer colorectal. Des recherches indiquent que l’utilisation régulière d’aspirine après un diagnostic de cancer colorectal est liée à une réduction des risques de mortalité globale et spécifique au cancer colorectal. Cet avantage semble être particulièrement prononcé dans les tumeurs qui surexpriment la cyclooxygénase-2 (COX-2). 14 De plus, les effets protecteurs de l’aspirine ne se limitent pas au seul cancer colorectal.
Des études ont montré que l'utilisation à long terme de l'aspirine peut réduire de 20 % le risque de décès par cancer sur 20 ans, avec une réduction encore plus substantielle de 35 % des décès par cancer gastro-intestinal. 15 Ces résultats suggèrent que si vous présentez un risque accru de cancer ou si vous avez déjà reçu un diagnostic, l'utilisation de l'aspirine pourrait être un élément précieux de votre stratégie de traitement et de prévention.
Des études suggèrent que l’aspirine pourrait contribuer à ralentir la croissance tumorale, à réduire les métastases et même à améliorer l’efficacité d’autres traitements contre le cancer. 16 Cette approche à plusieurs volets fait de l’aspirine un agent particulièrement prometteur dans la lutte contre le cancer colorectal. Pour les personnes présentant un risque plus élevé de cancer colorectal, comme celles ayant des antécédents de néoplasie colorectale ou de prédisposition génétique, l’aspirine pourrait être encore plus prometteuse.
Une revue systématique des études portant sur des personnes atteintes de néoplasie colorectale antérieure a révélé une réduction non statistiquement significative des néoplasies avancées avec l’utilisation d’aspirine à faible dose. 17 De plus, pour les porteurs des gènes du syndrome de Lynch, l’ aspirine à forte dose pendant deux ans était associée à une diminution du risque de cancer colorectal.
Les personnes atteintes du syndrome de Lynch présentent un risque significativement plus élevé de développer un cancer colorectal au cours de leur vie. Le National Institute for Health and Care Excellence recommande aux patients diagnostiqués avec le syndrome de Lynch de commencer un traitement quotidien à l'aspirine pour réduire le risque de cancer colorectal .
Le potentiel de l’aspirine dans la lutte contre le cancer
RépondreSupprimerDes analyses d’essais cardiovasculaires à long terme ont également révélé le pouvoir inattendu de l’aspirine dans la lutte contre le cancer sur plusieurs sites. 20 Des études montrent une réduction significative des décès par cancer de l’œsophage et de l’estomac chez les utilisateurs d’aspirine à long terme, et les données indiquent qu’elle peut également réduire le risque de cancer du poumon, de la prostate et du sein.
Le plus intéressant est peut-être la possibilité d’une réduction de 20 à 30 % de l’incidence globale du cancer après seulement trois à cinq ans d’utilisation quotidienne d’aspirine à faible dose. 21 De plus, les études montrent systématiquement que de faibles doses (de 75 à 100 mg par jour seulement) sont tout aussi efficaces que des doses plus élevées pour réduire le risque de cancer. 22
L’efficacité des traitements à faible dose met également en évidence un mécanisme d’action unique. Plutôt que d’affecter directement les tissus de votre corps, l’aspirine peut agir en inhibant les plaquettes, qui jouent un rôle crucial dans le développement précoce du cancer et dans les métastases ultérieures. 23 Si certains avantages de l’utilisation de l’aspirine peuvent apparaître en quelques années, d’autres réductions du risque de cancer apparaissent avec une utilisation à long terme.
Des études sur des participants ayant suivi des études pendant 20 ans ou plus ont montré que les effets protecteurs de l’aspirine contre les cancers gastro-intestinaux s’accentuent au fil du temps. Pour le cancer colorectal, des réductions significatives de l’incidence et de la mortalité ont été observées 10 à 20 ans après le début de la prise d’aspirine. 24 Cet effet durable suggère que l’aspirine pourrait modifier les processus fondamentaux du développement du cancer, offrant ainsi une protection durable contre cette maladie.
Le potentiel de l’aspirine comme médicament réutilisé pour le traitement du cancer est un autre domaine de recherche passionnant. 25 L’aspirine agit en inhibant les enzymes COX, en particulier COX-1 et COX-2. Ce mécanisme permet non seulement de prévenir les crises cardiaques, mais peut également combattre le cancer de multiples façons. En inhibant la COX-1, l’aspirine réduit l’agrégation plaquettaire autour des cellules tumorales, rendant ces cellules malignes plus visibles pour votre système immunitaire. 26 Cela pourrait aider à empêcher le cancer de se propager dans tout votre corps.
De plus, l’effet de l’aspirine sur la COX-2 peut avoir un impact direct sur la croissance tumorale. La COX-2 produit de la prostaglandine E2, qui stimule la croissance des cellules tumorales. En réduisant la production de prostaglandine E2, l’aspirine pourrait ralentir ou empêcher le développement de la tumeur .
RépondreSupprimerL’avenir de l’aspirine dans la prévention du cancer pourrait résider dans la médecine personnalisée. Des recherches récentes ont identifié plusieurs marqueurs génétiques qui pourraient aider à prédire qui bénéficiera le plus du traitement à l’aspirine. Par exemple, certaines variations dans des gènes comme UGT1A6 et ALOX12 ont été associées à une efficacité accrue de l’aspirine dans la réduction du risque de cancer colorectal.
De plus, vos niveaux d’expression d’enzymes comme la 15-PGDH peuvent influencer votre réponse aux propriétés anticancéreuses de l’aspirine. 29 Ces connaissances génétiques ouvrent des possibilités intéressantes pour adapter l’utilisation de l’aspirine à votre profil génétique individuel. Dans les années à venir, les tests génétiques pourraient devenir un élément de routine pour déterminer si l’aspirine vous convient et à quelle dose.
Écorce de saule : un analgésique naturel éprouvé
Pour les personnes sensibles à l'aspirine, les compléments d'acide salicylique ou d'écorce de saule peuvent être des alternatives intéressantes à considérer. Lorsque vous consommez de l'aspirine, votre corps convertit l'acide acétylsalicylique en acide salicylique, qui est responsable des propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et antithrombotiques de l'aspirine. L'écorce de saule contient naturellement ce composé.
Cette plante médicinale ancestrale est porteuse de siècles de sagesse thérapeutique, offrant une alternative convaincante aux produits pharmaceutiques modernes. L'efficacité de l'écorce de saule découle de sa relation de longue date avec la physiologie humaine. Contrairement aux médicaments créés en laboratoire, les composés actifs de l'écorce de saule interagissent avec notre biochimie depuis des milliers d'années.
Cette coexistence prolongée a favorisé une compatibilité naturelle que de nombreux médicaments synthétiques ont du mal à atteindre.
La consommation constante, quoique minime, de ces composés par nos ancêtres au fil des générations a permis à notre corps de développer un moyen efficace de les traiter et de les utiliser. Cette adaptation évolutive souligne les avantages potentiels des remèdes naturels par rapport à leurs homologues synthétiques. De plus, les recherches suggèrent que certaines des propriétés thérapeutiques de l'écorce de saule sont dues à des effets synergétiques, 30 offrant des avantages allant au-delà de ceux de l'acide salicylique seul.
Le développement de l'aspirine par l'industrie pharmaceutique au XIXe siècle a marqué un changement important, passant d'une médecine basée sur la nature à une médecine dérivée de laboratoire. 31 Si cette transition a conduit à la création d'un produit brevetable, elle n'a pas nécessairement amélioré la matière première d'origine. En fait, la popularité durable de l'écorce de saule témoigne de la puissance des remèdes à base de plantes.
Pour ceux qui envisagent l'écorce de saule comme alternative à l'aspirine, en particulier les personnes sensibles à l'aspirine, il est important de comprendre le dosage approprié. Bien que l'écorce de saule et l'aspirine partagent des composés actifs similaires, leur métabolisme et leur biodisponibilité diffèrent, ce qui nécessite des stratégies de dosage distinctes.
RépondreSupprimerAinsi, alors que l’on estime souvent que 240 à 600 mg d’extrait d’écorce de saule (15 % de salicine) fournissent une dose de salicine à peu près équivalente à 325 mg d’aspirine, la quantité totale d’extrait d’écorce de saule nécessaire est généralement plus importante :
Pour obtenir les effets approximatifs de 81 mg d’aspirine, une dose de 400 mg à 800 mg d’extrait d’écorce de saule (standardisé à 15 % de salicine) est généralement nécessaire.
Pour des effets similaires à 111 mg d’aspirine, une dose de 500 mg pour 1 gramme d’extrait d’écorce de saule (standardisé à 15 % de salicine) est généralement nécessaire.
Conseils sur le dosage et la durée de l'aspirine
Lors de la sélection de l'aspirine, choisissez des formules à libération immédiate plutôt que des versions à libération prolongée enrobées pour éviter les additifs inutiles. L'aspirine à libération immédiate est disponible sur Amazon. Examinez attentivement la liste des ingrédients inactifs ; idéalement, l'amidon de maïs devrait être le seul additif répertorié.
Après des recherches approfondies, j'ai identifié un produit répondant à ces spécifications. Le dosage approprié varie de 82 mg à 325 mg par jour, à prendre avec votre repas le plus important, en fonction de vos besoins individuels.
D'après mes recherches sur les bienfaits préventifs de l'aspirine, je prends personnellement 111 mg par jour en utilisant la poudre d'aspirine de qualité USP de 60 grammes de Health Natura , qui coûte moins de 20 $. Cette poudre d'aspirine USP pure à 99 % m'attire en raison de ses effets prométaboliques, antilipolytiques, anti-inflammatoires, anticortisoliques et anti-œstrogènes. Son profil de sécurité est bien établi.
En matière de prévention du cancer, le dosage et la durée de la prise d'aspirine semblent être des facteurs cruciaux. Il a été démontré que de faibles doses d'aspirine (75 à 300 mg/jour) sont aussi efficaces que des doses plus élevées pour réduire la mortalité liée au cancer colorectal, 32 ce qui suggère qu'il n'est pas nécessaire d'en prendre de grandes quantités pour en tirer les bénéfices potentiels. Cependant, la régularité et l'utilisation à long terme semblent être essentielles.
Des études indiquent que les bienfaits de l'aspirine augmentent avec la durée d'utilisation, les réductions les plus significatives du risque de cancer étant observées après cinq à sept ans et demi d'utilisation régulière. 33 À mesure que la recherche progresse, l'aspirine pourrait s'avérer être un nouvel outil puissant dans votre arsenal de prévention et de traitement du cancer, un outil qui se trouve dans votre armoire à pharmacie depuis toujours.
Remarques
RépondreSupprimer1 Drugs R D. 16 juillet 2024. doi: 10.1007/s40268-024-00479-1. En ligne avant impression
2, 20, 21, 22, 23, 24 Nature Reviews Clinical Oncology, 9(5), 259–267. doi: 10.1038/nrclinonc.2011.199
3, 4 Brighteon, Mercola, Exploration de l’impact de l’aspirine et de l’acide 2,6-dihydroxybenzoïque sur la croissance tumorale – Entretien avec Georgi Dinkov
5 Phytomédecine 10 janvier 2005
6 Biomédecine et Pharmacothérapie Mai 2017, Volume 89, Pages 194-200
7, 8, 9 BMC Cancer. 2023; 23: 175
10, 11 Médicaments RD (2024). doi: 10.1007/s40268-024-00479-1
12, 13, 14, 15, 32, 33 Cureus. 2024 févr. ; 16(2) : e54658
16, 28, 29 Int J Mol Sci. 2023 avr.; 24(8): 7597
17, 18, 19 Utilisation de l’aspirine pour prévenir les maladies cardiovasculaires et le cancer colorectal : une mise à jour des données probantes pour le groupe de travail des services de prévention des États-Unis […]
25, 26, 27 Eur J Med Rés. 2023 ; 28 : 345
30 Front. Microbiol., 08 novembre 2023, Sec. Virologie, Discussion
31 Bibliothèque nationale de médecine, L'histoire de l'aspirine
https://www.globalresearch.ca/aspirin-forgotten-anticancer-function/5868310
Des « messages de consensus » pour renforcer « l’autorité de la science »
RépondreSupprimer20 septembre 2024
par DDr. Siguna Mueller
Passionnant! Les résultats de l’expérience de conformité Asch sont largement salués et appliqués pour changer l’opinion publique sur les questions scientifiques. Une étude parue dans une revue Nature et d’autres prônent les « messages consensuels » en tant qu’« autorité scientifique ».
Une nouvelle étude publiée dans Nature Human Behaviour et détaillée dans Nature présente une nouvelle méthode pour amener les gens à changer d'avis sur un sujet controversé.
L’intervention présentée comme un message de consensus scientifique est en réalité la célèbre expérience de conformité d’Asch déguisée.
Les chercheurs notent que leur intervention peut également accroître l'inquiétude, ce qui était l'un des objectifs de l'étude.
Ils semblent déçus que leur traitement n’ait pas amené les gens à accepter volontairement certaines politiques publiques.
Pour améliorer l’efficacité et la pérennité, ils proposent une approche proche du prosélytisme religieux.
Le 6 septembre 2024, Nature a publié un article intitulé « Comment changer l'état d'esprit des gens à propos du changement climatique : ce que dit la science », qui fait référence à une publication récente dans Nature Human Behaviour . Le bref résumé est le suivant :
« Comment convaincre un climato-sceptique
« Les scientifiques s’accordent sur le fait que le changement climatique d’origine humaine est réel. Une étude menée dans 27 pays suggère que les gens sont plus susceptibles d’être d’accord lorsqu’on leur donne ce message de consensus. Et pour vraiment stimuler la réflexion des gens, il faudrait les interroger sur leurs propres expériences et les relier aux informations climatiques pertinentes au niveau local, explique le climatologue Matthew Goldberg.
Pour être clair. Nous vivons actuellement les pires conditions météorologiques extrêmes. Au moment de la rédaction de cet article, certaines régions d'Autriche sont inondées et ont été déclarées zones sinistrées. Tout est si différent que jamais. Pour moi, le changement climatique est une question complexe. Des questions cruciales doivent être posées : Qu'est-ce qui en est la cause ? Quelles sont les données ? Qui publie ces données ? Quels conflits d’intérêts potentiels existent parmi ceux qui dirigent l’histoire du climat d’origine humaine ? Qu’entend-on par « fabriqué par l’homme » ? Existe-t-il des lanceurs d’alerte et que disent-ils ? Y a-t-il des anomalies qui ne peuvent être expliquées par le récit officiel ?
Il y a beaucoup de questions. Je ne veux pas entrer dans les détails dans cet article. Lisez mes articles précédents ( ici et ici ) ou d'autres de TKP , CHD et autres pour avoir une idée de ce dont il s'agit.
RépondreSupprimerLaissons le sujet de côté pour l'instant et concentrons-nous uniquement sur l'étude elle-même. Ci-dessous, je remplacerai le sujet abordé (changement climatique ou crise d'origine humaine, etc.) par "[xyz]" pour représenter ce que je suis. également préoccupé par . Il ne s'agit pas du sujet spécifique lui-même, mais de la conception générale de l'étude et de la manière dont elle a été menée et promue.
C’est dans cet esprit que l’article de Nature commence par « Comment faire changer d’avis les gens à propos de [xyz] : ce que dit la science ». La réponse courte ? « Informer les gens sur le consensus parmi les scientifiques peut aider, selon l’étude. »
Au nom de la science
Je trouve ça assez effrayant. Depuis quand la tâche de la science est-elle de convaincre le public d’une « vérité » et même de « changer ses croyances » ? La science n'est-elle pas traditionnellement une recherche collective de la vérité, un peu comme les quatre aveugles essayant de comprendre l'éléphant aveugle ? Auparavant, les progrès étaient réalisés grâce à des efforts collectifs.
Ce n’est que ces dernières années que nous avons été bombardés de slogans tels que « consensus scientifique ». Quand j’entends quelque chose comme ça, je cours aussi vite que possible dans la direction opposée. Je pense que c'était le Dr. Ryan Cole, qui est le premier à être arrivé au point lorsqu'il a déclaré :
"Tous les scientifiques sont d'accord pour censurer ceux qui ne le sont pas."
S’il s’agit d’un accord, ce n’est pas de la science. Cela n’a jamais été le cas et ne le sera jamais. Nous le savons déjà. Le problème encore plus important est de savoir comment ce consensus inventé est utilisé. La nature continue (c'est moi qui souligne) :
« Dire aux gens que les scientifiques sont presque unanimement d’accord sur le fait que [xyz] peut les aider à orienter leur réflexion dans cette direction . »
Voilà, vous l'avez. L’objectif est de « pousser » les gens à n’accepter qu’un seul récit. Autrefois, cela s’appelait lavage de cerveau et propagande. Or ce « coup de coude » est présenté comme une responsabilité et une capacité inutilisée de la science :
« Le fait que certains… aient changé d’avis est un « témoignage de l’autorité culturelle universelle de la science ».
Eh bien, en réalité, cela n’a rien à voir avec « l’autorité de la science ». Il s'agit d'une manipulation psychologique bien connue.
« La manière dont vous transmettez les messages [xyz] est importante pour changer les mentalités, ont découvert les chercheurs… De nombreuses études ont montré qu'informer les gens du consensus scientifique sur les changements [xyz] peut changer leurs attitudes.
RépondreSupprimerJe ne suis pas d'accord avec ça. Ce n’est pas quelque chose que les chercheurs découvrent actuellement. Quand on regarde comment « le message » a été transmis, on voit une vieille astuce psychologique.
L’« intervention » désormais appelée « médiation d’un consensus scientifique » est l’expérience de conformité d’Asch déguisée.
Nature fournit un bref résumé de l'étude expérimentale menée par Geiger et ses co-auteurs, publiée dans Nature Human Behaviour.
« Ils ont partagé une enquête en ligne via les réseaux sociaux et des newsletters par courrier électronique, puis ont analysé 10 527 réponses de personnes dans 27 pays. Les personnes interrogées ont estimé la proportion de scientifiques de [xyz] qui, à leur avis, croient que [xyz] existe. Ils ont ensuite évalué leur degré de confiance dans leurs estimations et ont partagé leurs propres opinions. Ensuite, les chercheurs ont montré aux participants plusieurs faits, notamment le fait que 97 % des scientifiques de [xyz] croient que [xyz] est réel, puis les ont interrogés à nouveau.
Les points les plus importants sont :
Les chercheurs ont profité du désir d’adaptation des gens.
Ils leur ont d'abord fait exprimer leur opinion/réponse à certaines questions provocatrices.
Ils ont veillé à ce que les participants se sentent capables de représenter et de justifier leurs points de vue et leurs opinions.
Mais ensuite, ils ont été confrontés à un message choquant : le consensus parmi les soi-disant experts était tel ou tel.
Lorsque les participants ont été réinterrogés, ils ont répondu de manière conforme. Beaucoup ont mis à jour leurs opinions précédentes pour se conformer à la prétendue « norme ».
Bien avant les « messages de consensus », les célèbres expériences de conformité d’Asch faisaient exactement la même chose. Le but de ces études révolutionnaires était de voir « si et comment les individus s'en remettent ou défient un groupe majoritaire et comment ces influences affectent leurs croyances et leurs opinions ». Ces expériences et celles qui y sont liées ont toutes montré la même chose : « un déplacement des préférences des sujets adultes vers l’opinion de la majorité ou des experts ». Les expériences et les résultats sont devenus la base de la psychologie moderne. Un bref résumé est le suivant :
- voir cadre sur site -
Source : https://age-of-the-sage.org/psychology/social/asch_conformity.html
« En 1951, le psychologue social Solomon Asch a développé cette expérience pour étudier dans quelle mesure la pression exercée par d'autres personnes peut influencer la perception. Dans l'ensemble, environ un tiers des sujets se trouvant dans cette situation étaient d'accord avec la majorité clairement fausse.
« Asch a montré à des étudiants répartis en groupes de 8 à 10 personnes des poutres comme celle de l'illustration. Il leur expliqua qu'il étudiait la perception visuelle et que leur tâche était de décider laquelle des barres de droite avait la même longueur que celle de gauche. Comme vous pouvez le constater, la tâche est simple et la bonne réponse est évidente. Asch a demandé aux étudiants de prononcer leurs réponses à voix haute. Il a répété le processus avec 18 séries de barres. Un seul élève par groupe était un véritable sujet. Tous les autres étaient des complices à qui il avait été demandé de donner deux réponses correctes, puis quelques réponses incorrectes lors des essais « par étapes » restants. Asch s'est assuré que le véritable sujet était l'avant-dernière personne de chaque groupe à annoncer sa réponse afin qu'il entende la plupart des réponses incorrectes des alliés avant de donner la sienne. Rejoindrait-il la foule ?
RépondreSupprimer" À la surprise d'Asch, 37 des 50 sujets étaient d'accord au moins une fois avec les réponses " manifestement fausses " des autres membres du groupe, et 14 d'entre eux étaient d'accord dans plus de 6 des essais " par étapes ". Lorsque les autres membres du groupe donnaient à l'unanimité une réponse incorrecte, le sujet moyen était d'accord dans 4 des essais « par étapes ».
« Asch a été troublé par ces résultats : « La tendance au conformisme dans notre société est si forte que des jeunes raisonnablement intelligents et bien intentionnés sont prêts à qualifier les blancs de noirs. …
« Pourquoi la plupart des sujets se sont-ils adaptés si facilement ? Interrogés sur l'expérience, la plupart d'entre eux ont déclaré qu'ils ne croyaient pas vraiment à leurs réponses conformes, mais qu'ils avaient suivi le groupe par peur d'être ridiculisés ou jugés « bizarres ». Certains d’entre eux ont dit qu’ils croyaient vraiment que les réponses du groupe étaient correctes.
Les résultats inquiétaient Asch. Curieusement, cependant, ni l'article de Geiger dans Nature Human Behaviour ni le résumé de Nature ne mentionnent l'analogie de l'intervention avec l'expérience d'Asch.
Maintenant : Beyond Asch - l'objectif est de changer durablement la pensée, les croyances, les émotions et le comportement des gens.
La volonté des gens de participer et de ne pas être laissés pour compte s’est pratiquement confirmée depuis les années de pandémie. Cela semble être un trait humain commun. Mais l’étude de Geiger et de ses collègues amène désormais les choses à un autre niveau.
Ils promeuvent ces « messages de consensus scientifique » comme une « intervention » efficace. Dans leur article, cela est présenté comme suit :
RépondreSupprimerL’« écart entre le consensus scientifique réel et perçu… pourrait être réduit grâce à des interventions comportant des messages consensuels ».
L'intervention est similaire à un traitement : le but n'est pas seulement de « communiquer » un sujet scientifique (comme le décrit le titre), mais de réellement changer les perceptions des gens.
Le changement ne doit pas s’opérer uniquement à un niveau abstrait (pour changer les « idées fausses »). L’un des principaux objectifs était d’amener les gens à changer leurs croyances. De plus , les auteurs espéraient que l'intervention les amènerait à réfléchir davantage au sujet en question. Enfin, ils espéraient que l'intervention changerait l'idéologie des gens afin qu'ils soutiennent, par exemple, certaines « politiques publiques ».
Contrairement à ce qu’on prétend, la recherche d’un consensus scientifique n’est pas un « outil efficace et non polarisant pour changer les perceptions erronées ».
Geiger et ses collègues soulignent dans leur article
« Étant donné que les personnes de tous horizons idéologiques et de confiance continuent de mettre à jour leurs évaluations, la recherche d’un consensus représente un outil non polarisant qui est utile pour parvenir à un consensus sociétal sur [xyz] parmi divers publics. »
Cette affirmation n’est pas fondée et semble fausse pour les raisons suivantes :
L' énorme taux d'abandon au cours de l'étude : les participants ont été recrutés via la méthode boule de neige, les listes de diffusion, les médias sociaux et Prolific (au Canada et au Mexique uniquement). Cependant, alors que 21 462 personnes ont initialement cliqué sur le lien, seuls 11 702 participants ont terminé l’étude, et après d’autres exclusions de données (décrites en détail dans l’article), seuls 10 527 participants sont restés pour l’analyse. Qu'est-il arrivé au reste ? S’il s’agit d’un outil si peu polarisant, pourquoi y a-t-il un taux d’abandon si élevé ?
Les auteurs soulignent que la plupart ont abandonné après avoir lu le formulaire de consentement mais avant de se renseigner sur le sujet d'étude du changement climatique. Cependant, dans leur section de matériel, en décrivant la partie « consentement éclairé », ils mentionnent également que « tous les participants ont vu une brève description du changement climatique comme un sujet d'actualité ». Il n’est pas clair si cela s’est produit avant qu’ils ne soient informés que l’étude portait également sur ce sujet. Si tel était le cas, cela pourrait expliquer que certains pressentaient ce qui allait arriver et ne voulaient pas y participer. Si tel était le cas, cela affaiblirait la conclusion de l’auteur selon laquelle son « intervention » n’est pas polarisante.
Comment peut-on qualifier quelque chose de non polarisant alors qu’une partie importante des experts en la matière est ignorée ? L’« intervention » met en évidence le point sur lequel 97 % des experts en la matière sont d’accord. Et les 3% restants ? Ne voulez-vous pas savoir quelles sont leurs opinions et pourquoi ?
L’étude a également utilisé une deuxième intervention de messagerie basée sur le « consensus actualisé » selon lequel « 88 % des climatologues conviennent que le changement climatique est une crise ». Il est intéressant de noter que ce « traitement » s’est avéré « tout aussi efficace » que le premier, qui concluait seulement que « 97 % des climatologues conviennent qu’un changement climatique d’origine humaine se produit », mais « n’a produit aucun bénéfice supplémentaire ».
RépondreSupprimerC’est à prévoir dans les expériences originales d’Asch. Ensuite, les chercheurs ont découvert qu'une fois que quelques-uns donnaient la bonne réponse, le charme était rompu et les sujets étaient plus susceptibles d'en croire leurs propres yeux et de dire la bonne réponse. Ici, les auteurs font le même point et soulignent que
« Étant donné que même des désaccords mineurs entre les scientifiques de l'environnement peuvent nuire à l'efficacité des messages 15 , 59 , 60 , le consensus scientifique testé (88 %) n'est peut-être pas assez élevé, et donc pas assez convaincant, pour soutenir la croyance dans le changement climatique comme une crise. , transformant encore davantage la préoccupation et le soutien à l’action publique.
Notez que même dans ce contexte, ils ne mentionnent pas la similitude avec les expériences d'Asch.
Si le « message de consensus » à lui seul ne fonctionne pas, recourez aux techniques d’évangélisation (c’est-à-dire la narration personnelle).
Le souci des chercheurs est que le message consensuel n’entraîne pas toujours un changement de perspective durable. Mais ils ont une suggestion sur la manière de surmonter ce problème. Comme le décrit Nature,
« Pour un changement durable… le message doit être personnellement pertinent. »
Au premier abord, cela semble difficile à comprendre. Si vous ne croyez pas qu’un problème comme le changement climatique est réel, comment pouvez-vous capitaliser sur le fait qu’il est personnellement pertinent ? Dans ce cas, comment une telle « intervention » pourrait-elle changer les mentalités ?
La réponse est choquante :
"Une stratégie majeure consiste à sortir du terrain des faits en partageant des histoires personnelles ... La prochaine étape consiste à écouter attentivement et à relier les expériences d'une personne aux informations locales [xyz]", explique Goldberg. …Cette stratégie est basée sur une étude historique ⁵ dans laquelle des recruteurs ont fait du porte-à-porte et ont eu des conversations de 10 minutes … »
Cela me rappelle beaucoup de groupes religieux qui font du porte-à-porte pour raconter des « histoires personnelles » et essayer de convertir les gens. Je ne veux pas juger ces groupes ici ! Je sais tout cela bien plus que ce que mes lecteurs voudraient savoir. Beaucoup, peut-être presque tous, de ces fanatiques religieux le font par conviction profonde. Mais qu’est-ce que le prosélytisme a à voir avec le fait de convaincre les gens d’un prétendu fait scientifique ?
RépondreSupprimerApparemment, on ne compte plus sur la science pour convaincre les gens des découvertes scientifiques. Encore une fois, nous constatons l’ utilisation d’un autre niveau qui exploite directement les émotions et la psychologie plutôt que d’enseigner une science claire et impartiale.
conclusion
Ce que nous avons vu ces dernières années n’est pas seulement une tentative d’imposer un certain point de vue sur un seul sujet. Il ne s'agit pas de sujets précis , même si certains d'entre eux sont présentés comme exceptionnels. L'article de Geiger et ses collègues analyse le thème du changement climatique. Toutefois, votre article montre clairement que l’agenda est bien plus vaste.
Il s’agit de manipulations psychologiques qui utilisent des découvertes connues depuis longtemps de l’étude Asch, mais aussi celles qui ont alimenté le fanatisme religieux et les guerres. Les deux sont basés sur le désir de beaucoup d’appartenir – à un groupe d’individus, à une secte ou à la société en général.
Geiger et ses collègues cachent soigneusement le fait que c’est exactement ce dont ils profitent. L’objectif est clair et est soutenu par beaucoup d’autres. Il ne s’agit pas seulement de donner un point de vue sur un sujet controversé. L’objectif est d’atteindre les gens à un niveau beaucoup plus profond pour changer leurs croyances et leurs émotions. En particulier, l’un des objectifs déclarés de leur intervention est d’accroître l’inquiétude. Un autre objectif est d’amener les gens à changer de comportement et à soutenir certaines politiques publiques.
- voir cadre sur site -
Source de l'image : doi : https://doi.org/10.1038/d41586-024-02777-9 et https://age-of-the-sage.org/psychology/social/asch_conformity.html
Bien qu’une partie de cela soit effectuée au nom de l’utilisation de « normes » scientifiques, le véritable traitement commence par une expérience déguisée d’Asch. Si cela ne suffit pas, des démarches similaires à l’évangélisation religieuse sont recommandées.
L’innovation et le progrès scientifique n’ont été possibles que parce que quelques étrangers ont brisé la norme. D’aussi loin que je me souvienne, penser hors des normes a été présenté comme l’une des plus hautes qualités scientifiques. Quiconque a fait cela sait à quel point il est difficile de se lancer dans l’inconnu et d’essayer quelque chose de nouveau. La recherche de la vérité et de la sagesse a alimenté des générations d’inventeurs et de véritables scientifiques, les propulsant vers des eaux inexplorées. Loin des foules, dans la solitude de leur âme, les plus grands n'ont pas seulement laissé briller la lumière du génie en termes de découvertes. La sagesse a souvent appelé dans le désert, demandant de la sincérité, de l’honnêteté et du courage pour suivre la petite voix douce.
RépondreSupprimerAu milieu de l’obscurité mondiale qui lave le cerveau et manipule psychologiquement les masses, la lumière d’une seule petite bougie suffit. Cela me donne de l'espoir. Beaucoup d’entre nous connaissent la voix silencieuse. Nous connaissons leur puissance et leur force. Nous ne pouvons pas nous empêcher de l'entendre, de le suivre et de gagner.**
https://tkp.at/2024/09/20/konsens-messaging-zur-staerkung-der-autoritaet-der-wissenschaft/
Les plus grands pays du monde en 2100
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 SEPTEMBRE 2024 - 11:45
Aujourd'hui, les pays les plus peuplés et la forte croissance démographique sont le plus souvent associés à l'Asie. Mais comme le détaille Anna Fleck de Statista ci-dessous, selon les données des Nations Unies, au tournant du siècle, l'équilibre sera moins clair.
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Infographie : Les plus grands pays du monde en 2100 | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
En 2020, cinq des dix pays les plus peuplés du monde étaient situés en Asie - la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Pakistan et le Bangladesh - tandis que deux se trouvaient en Amérique latine, un en Afrique et un en Amérique du Nord.
En 2100, quatre pays africains figureront dans le top 10 mondial : le Nigeria, l'Éthiopie, la Tanzanie et la République démocratique du Congo.
Si certains pays asiatiques continueront de croître, ils le feront à un rythme plus lent et seront dépassés en termes de population par les pays africains qui affichent une croissance plus rapide. D’autres, comme la Chine et le Bangladesh, devraient en fait diminuer leur population d’ici 2100, principalement en raison d’un niveau de vie et d’éducation plus élevés qui ont déjà commencé à faire baisser les taux de natalité.
En 1950, quatre pays européens figuraient encore parmi les plus grands du monde. Ce nombre sera tombé à un en 2020 et à aucun en 2100.
Le nombre d’enfants nés dans le monde est déjà en baisse, mais à 2,3 enfants par femme, la population mondiale continue de croître.
Les chercheurs de l’ONU en matière de population ont constaté que si le taux de fécondité mondial continuait à baisser au rythme actuel, il atteindrait 1,9 enfant par femme en 2100, date à laquelle la population mondiale diminuerait en réalité.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/biggest-countries-world-2100
La demande de véhicules électriques en Allemagne chute de 69 %
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 SEPTEMBRE 2024 - 10:15
L'Allemagne glisse vers une récession, le dernier indicateur étant au rouge vif. Selon l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), les nouvelles données d'août montrent que la demande de véhicules électriques s'est effondrée.
L'ACEA a signalé une chute de 69 % des livraisons de véhicules électriques en Allemagne le mois dernier, avec un peu plus de 27 000 unités. Dans toute la région, la baisse a été de 36 %. La baisse de la demande intervient après que l'Allemagne a réduit les incitations, rendant les véhicules électriques moins abordables pour la classe ouvrière.
Le visuel de Bloomberg sur l'effondrement des véhicules électriques en Allemagne le mois dernier fournit une réalité inquiétante pour l'espace des véhicules électriques et met en évidence les difficultés croissantes de la plus grande économie européenne.
- voir graph sur site -
Source : Bloomberg
Sur tout le continent, les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 16,5 % par rapport à il y a un an.
- voir graph sur site -
Source : Bloomberg
"Le déclin des véhicules électriques expose les constructeurs automobiles comme VW et Renault SA à de lourdes amendes, car les règles plus strictes de l'Union européenne sur les émissions des flottes devraient entrer en vigueur l'année prochaine", a noté Bloomberg.
L'ACEA a averti : "La tendance continue à la diminution de la part de marché des voitures électriques à batterie dans l'UE envoie un signal extrêmement inquiétant à l'industrie et aux décideurs politiques", ajoutant que les constructeurs automobiles de l'ensemble du bloc doivent "appeler les institutions de l'UE à proposer des mesures d'aide urgentes avant que de nouveaux objectifs de gaz carbonique ! pour les voitures et les camionnettes n'entrent en vigueur".
La chute des ventes de nouveaux véhicules électriques pourrait faire dérailler les délais zéro émission de l'UE dans les années à venir. Cela a également poussé Volkswagen à envisager de fermer des usines pour la première fois de son histoire.
En outre, le ralentissement des véhicules électriques dans l'UE survient alors que l'économie allemande est peut-être déjà en récession.
La Bundesbank a déclaré jeudi que « l'économie allemande navigue toujours dans des eaux agitées », ajoutant que le troisième trimestre a été un « début très faible » pour l'industrie manufacturière et la construction et que les dépenses des ménages ont été décevantes.
https://www.zerohedge.com/markets/ev-demand-germany-crashes-69
« Le Royaume-Uni a criminalisé la dissidence » : la transition de la Grande-Bretagne et de l’Occident vers la tyrannie. L’ancien ambassadeur britannique Craig Murray
RépondreSupprimerPar Craig Murray et le Dr Paul Craig Roberts
Recherche mondiale, 1
9 septembre 2024
Voici un résumé du discours (dans la vidéo ci-dessous) de l'ancien ambassadeur britannique Craig Murray décrivant la transition de la Grande-Bretagne et de l'Occident en général vers la tyrannie.
Le Royaume-Uni a criminalisé la dissidence.
Une nouvelle loi sur l’ordre public rend illégale la tenue d’un rassemblement ou d’une manifestation si cela « dérange » quelqu’un. Cela donne à l’État un pouvoir illimité pour réprimer toute manifestation.
Une nouvelle loi sur la sécurité nationale rend illégal l’acceptation de financements provenant d’un « État hostile » (il n’existe pas de définition de ce qui constitue un « État hostile »).
Une nouvelle loi sur la sécurité publique érige en infraction pénale la publication de « désinformation » (il n’existe pas de définition de « désinformation » : c’est le gouvernement qui décide).
Tout est une question de contrôle du récit. Les lobbies sionistes ont une grande influence sur les récits officiels dans tout l’Occident.
Les citoyens occidentaux ne sont pas autorisés à accuser Israël de génocide ; cela est de plus en plus assimilé au fait d’être « terroriste ».
Les pouvoirs antiterroristes sont utilisés pour empêcher toute critique à l’égard d’Israël.
Murray, ancien ambassadeur britannique, a été arrêté à l’aéroport en vertu de la « loi sur le terrorisme » pour avoir participé à une manifestation pro-palestinienne en Islande.
En vertu de la loi sur le terrorisme, si vous êtes arrêté dans un aéroport, vous n’avez pas le droit de garder le silence, ni le droit à un avocat, vous devez remettre tous vos appareils électroniques avec les mots de passe.
Si vous refusez de remettre vos appareils électroniques, vous risquez deux ans de prison.
Deux ans de prison pour avoir refusé de répondre à une question.
De nombreuses personnes sont détenues en vertu de la législation antiterroriste , dont un professeur parisien et plusieurs journalistes indépendants, qui ont tous été arrêtés comme Murray.
Les tentatives visant à lier les gens à la Russie sont constantes. Le FBI a arrêté un professeur américain qui avait parlé avec Murray lors d'une manifestation pro-palestinienne et s'est vu confisquer tous ses appareils électroniques.
RépondreSupprimerLes répressions contre la liberté d’expression, la liberté de réunion et toute forme de dissidence se produisent de plus en plus fréquemment dans le monde occidental.
Alors que l’Occident proclame haut et fort l’importance de « la liberté et de la démocratie », il limite simultanément les libertés de ses propres peuples et s’oriente vers un totalitarisme complet.
Dr Paul Craig Roberts , 18 septembre 2024
Vidéo : Craig Murray, ancien ambassadeur britannique
- voir clip sur site :
https://www.globalresearch.ca/craig-murry-transition-britain-west-tyranny/5868297
Survivre à l’ONU, c’est quitter l’ONU. Sinon, les voies sont tracées vers un goulag numérique
RépondreSupprimerPar le Dr Rima E. Laibow et Peter Koenig
Recherche mondiale,
19 septembre 2024
Présentation de Peter Koenig
Dr. Rima Laibow, co-fondatrice et directrice médicale de la Natural Solutions Foundation, lance un appel urgent à la population mondiale qui n'est peut-être pas consciente de ce que les Nations Unies réservent aux États-Unis, au peuple, lors de leur Assemblée générale en cours à New York.
Les 22 et 23 septembre sont consacrés à « débattre » de ce sujet auquel plusieurs gouvernements, dont le Canada, ont déjà donné leur aval. Il s’agit d’un projet de contrôle numérique sans frontières pour l’avenir. En d’autres termes, vers un goulag numérique – premier pas vers un ordre mondial unique.
Voir aussi ces deux articles récents sur le même sujet : celui-ci et celui-ci .
Comme le souligne à juste titre le Dr Laibow, il est important que ces informations parviennent au plus grand nombre possible de personnes et le plus rapidement possible. Le temps est un facteur essentiel.
Voici les différents liens, affichant le même message vidéo – au cas où l’un ou l’autre des liens aurait été censuré.
Vous trouverez ci-dessous la transcription du discours vidéo du Dr Rima Laibow.
***
Survivre à l’ONU, c’est quitter l’ONU
par Dr. Rima Laibow, Présentation au Forum de Chisinau, Moldavie 25-26 mai 2024 (12 septembre 2024)
- voir clip sur site -
Vous pouvez également regarder la vidéo ici , ici et ici .
Voir aussi ceci , Le Canada menacé – Arrêtez le projet de loi C-293 – Mesures d’urgence (4 septembre 2024)
Si ce projet de loi n’est pas bloqué, le Canada pourrait devenir l’un des premiers pays à adopter l’Agenda de l’ONU pour l’avenir du monde – Un goulag numérique
La transcription de la présentation du Dr Laibow est disponible ci-dessous.
*
Bonjour, je suis honoré et heureuse d'être parmi vous aujourd'hui au Forum de Chișinău. Il s'agit d'un projet très important qui apporte des informations, des options et une compréhension approfondie aux personnes du monde entier et je suis honoré d'être parmi les participants.
RépondreSupprimerJe veux parler en tant que médecin.
Le corps politique est malade et est attaqué. Il existe une machine de mort qui a été construite lentement, soigneusement, magnifiquement, brillamment, avec des ressources infinies et la capacité de créer une propagande à un degré vraiment sans précédent, de sorte que l'angoisse de la tyrannie passe par un profond asservissement des villages, un asservissement si profond qu'il commence par l'approfondissement et se poursuit ensuite vers l'extérieur en prêchant l'espèce sous-humaine, et pas seulement la suppression. Ce processus est à l'œuvre depuis au moins 100 ans.
En tant que médecin, j'ai choisi de trouver la cause profonde de leurs symptômes et de résoudre la cause profonde du problème, puis de soulager les symptômes. Si les symptômes étaient mortels et accablants, je m'efforçais de les résoudre, mais mon objectif était de trouver la cause profonde du problème, de la résoudre et de laisser le problème se résoudre de lui-même. En 2004, après avoir été alerté par un patient du fait qu'une grande abattage (Depopulation21) était sur le point de commencer et que l'abattage devait concerner les mangeurs inutiles, et après avoir fait beaucoup de recherches pour découvrir ce que cela signifiait, j'ai réalisé que le patient avait tout à fait raison et que l'abattage des mangeurs inutiles avait été préparé depuis très longtemps. Ce que j'ai appris, c'est qu'avec la philanthropie des conservateurs, que nous aurions dû avoir puisque Rockefeller avait utilisé des sources à commencer par John D. Rockefeller Sr., le premier milliardaire et la personne la plus riche du monde à avoir vécu sur la planète.
Le visionnaire et véritable John D. Rockefeller Sr. était un grand scientifique de l'eugénisme, qui a éliminé les gens qui vivent sur cette planète. C'est une excellente idée et en fait, c'est John D. Rockefeller Jr. qui a introduit l'eugénisme, en créant l'Institut Kaiser Wilhelm pour étudier la science de l'eugénisme avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Environ 36, pardon, environ 36 scientifiques, même les ont fait venir aux États-Unis après le Second World Scholars Program.
En même temps, Rockefeller a créé la discipline de la santé publique pour prendre en charge les prises de décision des pays et de leurs unités subsidiaires jusqu'aux individus et a créé la structure que nous appelons aujourd'hui les Nations Unies avec ses organisations subsidiaires, l'Organisation mondiale de la santé, l'UNESCO et tous les autres éléments des Nations Unies, chacun d'eux étant habillé de lumière et de beauté et de propagande qui dit que cette machine de mort appelée les Nations Unies, qui est en réalité un country club de moins que rien non élus, est un club privé, rien de plus. Et l'Organisation mondiale de la santé, qui est une tyrannie mondiale naissante par le biais des questions médicales, est en fait un plan d'affaires pour prendre le contrôle des ressources à tous les niveaux, rien de plus. Et chacun des autres éléments est également habillé de gloire en matière d'éducation et de capture humanitaire, etc.
Et bien sûr, tout cela n'est que bêtise. Il s'agit de tyrannie. Il s'agit d'un système tyrannique qui est si profond et si complet qu'il est en substance l'apothéose de ce que tous les dictateurs du monde ont toujours espéré.
RépondreSupprimerCes tyrans ultra-riches, qui planifient depuis 140 ans, croient, comme Bill Gates, George Soros, Oprah Winfrey et les autres philanthropes prédateurs modernes, qu’ils ont le droit, en raison de leur richesse, de déterminer qui vit, qui meurt , dans quelles conditions et avec quelle constitution génétique ces gens vivent et meurent. Le piège prédateur est sur le point de se refermer. Malheureusement, la plus grande partie de l’attention accordée à cette menace géopolitique a été portée sur l’Organisation mondiale de la santé.
Il y a deux ans et demi, je pensais que nous avions le temps de procéder par étapes, que nous pourrions commencer par sortir de l’Organisation mondiale de la santé, puis profiter de notre succès pour sortir des Nations Unies. Il y a sept mois, cependant, j’ai réalisé que c’était une erreur politique, stratégique et tactique. Et d’ailleurs, en 2004, j’ai fermé mon cabinet de médecine pour créer avec mon mari, le major-général Albert N. Sebelbaum III, la Natural Solutions Foundation, afin de lutter contre la maladie du corps politique, qui était l’intention de mort provoquée par une machine de mort connue sous le nom d’ONU.
Et je vous invite, chaque fois que vous entendez l’expression ONU, à réfléchir à sa véritable signification, qui est celle de « moins que rien non élus ». Nous avons réalisé qu’il existait bel et bien un plan visant à réduire la population, à la diminuer génétiquement et de toutes les autres manières, à la comprimer dans des villages de transit, à lui retirer les droits de propriété, les droits parentaux, les droits de l’homme, le droit au consentement éclairé, les droits judiciaires, le concept d’âge du consentement, etc. Et nous avons décidé que nous devions contribuer à faire dérailler ce processus.
C'est là le but de la Natural Solutions Foundation. Mon mari, un brillant analyste stratégique, a été assassiné alors qu'il faisait ce travail, nous savons donc que nous sommes sur la bonne voie. Sinon, cela n'aurait aucun sens, n'est-ce pas ? L'essentiel est que si nous nous concentrons sur les Nations Unies, nous pouvons résoudre le problème, le problème sous-jacent.
Si, en revanche, nous nous concentrons uniquement sur l’Accord de préparation à la prévention des pandémies, sur les réglementations sanitaires internationales, même si nous devions sortir nos pays de ces organisations demain, même si nous devions annuler notre participation à l’Organisation mondiale de l’Holocauste, ce qui serait un nom pour cela, nous serions toujours confrontés à l’Agenda 2030. Nous serions toujours confrontés au goulag numérique. Nous serions toujours confrontés au Grand Reset.
Nous sommes toujours confrontés au programme C40, où vous ne possédez rien, où vous êtes heureux parce que vous êtes drogués, où votre activité biologique est capturée par l'agriculture piézoélectrique, et vous enrichissez le détenteur du brevet de votre structure génétique désormais transmutée grâce à votre existence biologique continue. C'est une sorte d'esclavage que nous n'avons jamais rencontré auparavant. L'esclavage génétique biochimique et la destruction d'une espèce entière qui a dominé la planète, pour le meilleur ou pour le pire, pendant très longtemps, jusqu'à ce que le philanthrope prédateur dise, eh bien, non, je crois que je peux être Dieu, et l'exprimer, comme le fait Yuval Harari, et décider de ce que vous serez, en commençant d'abord par les deux discriminateurs de vivant ou de mort, puis en passant ensuite au discriminateur de maître ou de sous-humain delta dans le sens du meilleur des mondes.
RépondreSupprimerCe document a été publié en 1932 par Algis Huxley, du mouvement Fabian Socialist, l'ancien nom des mondialistes, comme un plan directeur de la direction que nous allons prendre. Récemment, Klaus Schwab, aujourd'hui ancien président du Forum économique mondial, a déclaré que d'ici 2030, toute reproduction humaine se produirait en dehors du corps humain. C'est très proche du principe de base du meilleur des mondes, dans lequel tout le monde est créé synthétiquement et contrôlé de l'extérieur.
Après avoir vu les détails de la mise en œuvre de cette loi, je peux vous dire que nous perdons notre temps, mais l’Organisation mondiale de la santé s’oppose aux atrocités, et elles sont atroces, absolument, la santé mondiale est impensable. Nous devons en débattre. Il en va de même pour la pandémie, bien sûr.
Donc, tout ce que fait l'Organisation mondiale de la santé, y compris les urgences de santé publique de portée internationale, c'est atroce. Vous jouez le jeu de ce que le patient a été créé pour être, c'est-à-dire une tyrannie médicale mondiale, mais l'infection, le vrai cancer, ne se fait pas sur le derrière du monstre, le Michigan, aux Nations Unies. Maintenant, votre pays, pour penser à tout ce que les Nations Unies ont l'intention de faire à votre souveraineté, à votre pays, et à toute décision concernant votre vie quelle qu'elle soit, y compris votre vie, la vraie question est : votre pays peut-il quitter les Nations Unies ? Et c'est là que je vous apporte de bonnes nouvelles.
Tous les pays du monde sont victimes d'une tromperie, et cette tromperie consiste à croire qu'ils ont des obligations conventionnelles avec les Nations Unies et qu'en raison de ces obligations conventionnelles, ils doivent faire ce que les Nations Unies leur disent de faire, en matière de santé, d'aménagement du territoire, de migration, d'économie par l'intermédiaire de l'Organisation mondiale du commerce, de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international, etc. Tout cela n'est qu'un mensonge. C'est une tromperie, et voici pourquoi.
RépondreSupprimerSi vous consultez la Conférence de Vienne sur le droit des traités, qui a abouti à deux conclusions principales en 1961 et en 1969, vous y trouverez une déclaration explicite selon laquelle les traités ne peuvent être conclus qu'entre États souverains, parties ou pays. Cela signifie que la Moldavie, par exemple, a prévu dans sa constitution qu'elle doit participer aux Nations Unies, et les États-Unis, dont la constitution prévoit que le président peut signer un traité avec l'avis et le consentement du Sénat. Aucun de ces pays, ni aucun autre pays au monde, n'a de relation contractuelle avec les Nations Unies.
Ils sont dans une relation de tromperie frauduleuse, car les Nations Unies sont un club privé, à la fois dans le sens où les vieux copains s'amusent et décident de ce qui va se passer ensuite, et dans le sens d'une association de pays. C'est tout ce que c'est. Ce n'est pas une nation souveraine.
Les États-Unis examinent actuellement un projet de loi au Congrès, à la Chambre des représentants et au Sénat, intitulé Disengaging Entirely from the United Nations Debacle Act of 2023, HR6645 et HR3428. Ces deux projets de loi, je vous demande pardon, qui constituent le Disengaging Entirely from the United Nations Debacle Act of 2023 doivent être adoptés à la Chambre des représentants et au Sénat avec une majorité suffisante, une super majorité, pour passer outre l'inévitable veto que celui qui occupera le fauteuil du Bureau ovale émettra. Une fois que les États-Unis auront quitté la machine à tuer des non-élus, toutes ses pièces et tous ses éléments, y compris l'Organisation mondiale de la santé, une fois que cela se sera produit, d'autres pays seront libres de le faire. Je prédis que les mondialistes laisseront cet organisme s'effondrer, et qu'ils reviendront avec quelque chose d'autre, en essayant une fois de plus.
Mais la destruction de l’agriculture cesse. La migration incontrôlée cesse. L’exigence d’une éducation sexuelle complète, qui garantisse que chaque enfant soit désorienté, traumatisé et détérioré dans sa capacité à progresser sur le plan du développement psychosexuel, cesse d’être une exigence.
RépondreSupprimerEn fait, il est d’une importance cruciale que les pays se libèrent de cette obligation non conventionnelle qu’ils n’ont jamais eue au départ. Si vous connaissez quelqu’un aux États-Unis, je vous invite à soutenir sa participation à Preventgenocide2030.org et à agir pour exiger que les membres de leur Congrès, qu’ils soient corrompus ou non, qu’ils soient intellectuellement en phase avec ce dont nous parlons ou non, n’aient vraiment aucune importance. Nous devons simplement les forcer à agir en notre nom.
Je vous exhorte à envoyer toute personne de votre connaissance ayant une résidence ou une adresse aux États-Unis pour prendre cette mesure sur le site Preventgenocide2030.org, puis je vous exhorte à forcer votre pays à sortir de cette machine de mort avant le 23 septembre de cette année, 2024. Pourquoi avant cette date ? Parce que ce jour-là, l’Assemblée générale des Nations Unies doit approuver le pacte pour l’avenir, qui indique clairement et de manière absolue que la tyrannie mondiale sera mise en œuvre et sera irréversible par la suite.
Il s’agit d’un message d’une grande urgence, et je vous remercie de m’offrir l’occasion de le transmettre.
N'hésitez pas à me contacter chez Dr. Rima à naturalsolutionsfoundation.com si je peux vous aider, et veuillez visiter https://preventgenocide2030.org/ pour en savoir plus et agir.
Merci.
*
Le Dr Rima Laibow est le médecin de la Natural Solutions Foundation.
Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il est l'auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident à l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
https://www.globalresearch.ca/surviving-un-exiting-un/5868267
La violence du développement : alimentation, dépendance et dépossession : résister au nouvel ordre mondial. Nouvelle version du livre de Colin Todhunter
RépondreSupprimerUne version révisée (septembre 2024) du livre électronique en libre accès « Food Dependency and Dispossession: Resisting the New World Order » (2022) de Colin Todhunter est désormais disponible.
Par Colin Todhunter
Recherche mondiale,
17 septembre 2024
Un tout nouveau chapitre final, « La violence du développement », conclut un livre qui présente une critique acerbe du système agricole industriel mondial et de ses partisans. Le livre s'attaque à la révolution verte et à son équivalent moderne (les organismes génétiquement modifiés), au remplacement des pratiques agricoles traditionnelles, à la réduction de la biodiversité, à la dépendance accrue des agriculteurs à l'égard des entreprises et aux effets dévastateurs d'un programme néolibéral qui est commodément présenté comme un programme de « développement ».
En examinant de manière critique le concept de « développement » et la manière dont il a été mis en œuvre à l'échelle mondiale, ce nouveau chapitre soutient que la dépendance et la dépossession demeurent des éléments essentiels du système économique mondial. Ceux qui sont sacrifiés sur l'autel du pillage dans les campagnes, dans les forêts ou dans les collines sont considérés comme le prix à payer pour le « progrès ».
Le chapitre présente le développement conventionnel comme fondé sur l'hégémonie occidentale, imposant certains idéaux au reste du monde, et cite la critique du théoricien du post-développement Arturo Escobar selon laquelle le développement est une approche descendante et ethnocentrique.
La violence du développement prend la forme d’une brutalité pure et simple et d’une hégémonie idéologique : un jeu de pouvoir visant à redéfinir qui nous sommes ou ce que nous devrions être, ce qui est acceptable et ce qui est inacceptable.
Comme le note Escobar :
RépondreSupprimer« Le développement était et continue d’être, en théorie et en pratique, une approche descendante, ethnocentrique et technocratique, qui traitait les peuples et les cultures comme des concepts abstraits, des chiffres statistiques à déplacer de haut en bas dans les graphiques du « progrès ».
En remettant en cause la notion de voie unilinéaire vers le développement, ce chapitre soutient que les résultats historiques ont souvent été façonnés par le hasard et les conflits plutôt que par un parcours prédéterminé. Si l’histoire nous enseigne une chose, c’est que l’humanité est arrivée à son point actuel à cause d’une multitude de luttes et de conflits, dont les résultats étaient souvent incertains. Il n’existe pas de voie unilinéaire vers le développement ni de norme fixe quant à ce qu’elle constitue.
En d’autres termes, nous sommes arrivés là où nous sommes autant par hasard que par choix. Et ce choix s’appuyait en grande partie sur le colonialisme et l’impérialisme. Le développement de la Grande-Bretagne doit beaucoup aux 45 000 milliards de dollars qui ont été aspirés à l’Inde, selon l’économiste Utsa Patnaik .
Et cette situation, au nom du « développement », se reproduit, comme l'a souligné l'éminente militante Aruna Rodrigues. En parlant du livre, elle a déclaré ce qui suit à propos des chapitres sur l'Inde :
« Colin Todhunter à son meilleur : c’est un récit d’horreur détaillé et explicite en cours de préparation pour l’Inde, un exposé sur ce qui est prévu, via les lois agricoles, pour transférer la souveraineté et la sécurité alimentaire de l’Inde aux grandes entreprises. Le moment viendra très bientôt (pas encore prévu, mais imminent, déjà en cours), où nous paierons les Cargill, Ambani, Bill Gates, Walmarts – en l’absence de stocks nationaux de réserve alimentaire (un changement de politique agricole en faveur des cultures commerciales, la fin des petits agriculteurs, mis de côté par l’agriculture contractuelle et les cultures OGM) – nous les paierons pour nous envoyer de la nourriture et financerons les emprunts sur les marchés internationaux pour le faire. »
Et cela s’appelle le « développement ».
RépondreSupprimerLa nouvelle conclusion préconise le rétablissement des liens de l'humanité avec la terre, en s'inspirant de la philosophie de Gandhi et de son concept de « mode de vie non interventionniste ». Elle place la justice et la souveraineté alimentaires dans le cadre d'une lutte plus vaste contre l'injustice sociale, économique et environnementale et la brutalité déguisée en « développement ».
Dans l’ensemble, ce nouveau chapitre conclusif fournit une critique complète du paradigme du développement mondial, en le reliant aux thèmes du livre que sont l’alimentation, la dépendance et la dépossession.
La version révisée de Alimentation, dépendance et dépossession : résister au nouvel ordre mondial peut être lue gratuitement sur Global Research .
https://www.globalresearch.ca/violence-development-new-version-food-dependency-dispossession/5868129
Los Angeles lutte pour freiner les prises de contrôle effrontées et violentes dans les rues
RépondreSupprimerLes lois faibles, la lenteur de la bureaucratie et les interventions déconnectées de la réalité ne font pas le poids face au spectacle alimenté par les réseaux sociaux, affirment les défenseurs de la sécurité et les forces de l'ordre.
Par Beige Luciano-Adams
19 septembre 2024
LOS ANGELES — Deux incendies, une devanture de magasin vandalisée, un bus Metro percutant trois voitures, des drones crachant des feux d'artifice sur des muscle cars gonflés à la dérive. Le week-end de la fête du Travail a été relativement calme dans le comté de Los Angeles, où les prises de contrôle illégales des rues continuent de terroriser les quartiers qui ont été récupérés comme attractions touristiques pour les conducteurs et les spectateurs en quête d’influence sur Internet.
Les « prises de contrôle » contemporaines – dans lesquelles les conducteurs réquisitionnent les intersections et effectuent des cascades dangereuses pour une foule de spectateurs – sont une sorte de successeur des cultures automobiles classiques californiennes, notamment les courses de dragsters, les croisières, les lowridings et les spectacles parallèles.
Mais propulsées par le spectacle frénétique et mimétique des médias sociaux, elles sont devenues un élément particulièrement dangereux du paysage.
Les agressions, les fusillades, les vols en flash mob et les blessures de piétons associées aux courses et prises de contrôle illégales sont en augmentation, selon les forces de l’ordre, qui affirment qu’elles sévissent avec une approche de tolérance zéro. Un groupe de travail multi-agences est dédié à la résolution du problème, et les autorités investissent dans des programmes éducatifs et de diversion, des technologies améliorées et des modifications de la rue aux intersections problématiques.
Malgré tout cela, le problème semble de plus en plus dérangé.
« Ce que nous constatons, c’est une augmentation des comportements violents : pillages, voitures en feu. Récemment, nous avons eu deux enfants abattus et un assassiné lors d’une prise de contrôle, lors d’une pirouette », a déclaré Craig Valenzuela, commandant du groupe de la circulation du département de police de Los Angeles (LAPD), au conseil de surveillance du comté de Los Angeles lors d’une réunion du 30 juillet.
Il faisait référence à un incident survenu le 22 juillet au cours duquel deux jeunes de 15 ans impliqués dans une prise de contrôle ont été abattus après un vol présumé, dont un mortellement.
« C’est vraiment ce qui nous préoccupe : c’est le niveau de violence et nous essayons d’intervenir pour y mettre fin et assurer la sécurité de nos communautés. »
Lors de la réunion, d’autres agences et le personnel du comté ont présenté un rapport final sur les courses illégales et les prises de contrôle dans les zones non constituées en municipalités du comté, en préparation depuis près d’un an.
Ils ont brossé un tableau plutôt sombre, reconnaissant l’ampleur et l’étendue du problème, et le fait que les mesures d’application de la loi existantes, ainsi que les efforts de sensibilisation des autorités – cherchant à influencer le comportement d’une sous-culture de jeunes anti-autorité – ne fonctionnent pas.
« La situation a atteint un niveau où nous devons vraiment consacrer toutes nos ressources et lutter contre cette épidémie qui fait des ravages dans nos communautés », a déclaré le shérif adjoint de Los Angeles, Myron Johnson, au conseil.
RépondreSupprimerLes superviseurs ont finalement voté pour demander au personnel et au département du shérif de Los Angeles (LASD) de rendre compte du financement et d’un plan d’action dans les 60 jours.
Pour les défenseurs qui font pression depuis des années pour éviter les inévitables victimes des courses illégales et des prises de contrôle, cela semble être une longue attente.
« Malheureusement, je pense que cela a pris tout le monde par surprise », a déclaré Lili Trujillo Puckett, fondatrice de Street Racing Kills, en référence à la vague de prises de contrôle pendant la pandémie.
Puckett a fondé son organisation après que sa fille de 16 ans, Valentina, a été tuée dans un accident de course de rue en 2014. Elle dirige désormais des programmes de déjudiciarisation pour les jeunes délinquants, ainsi que des campagnes législatives et éducatives.
« Il n’y avait pas de loi en place. J’ai commencé à demander des factures il y a longtemps, mais personne n’a vu que c’était un problème », a-t-elle déclaré à The Epoch Times.
Donald Galaz, fondateur de Project Street Legal, une organisation qui vise à fournir des lieux légaux pour les courses de rue, affirme que le problème a dépassé la capacité des forces de l'ordre à le maîtriser.
"C'est tout simplement hors de contrôle", a-t-il déclaré. "Aucun groupe de travail ne pourra jamais l'arrêter - il y a trop d'individus, ces enfants là-bas, ils continuent simplement à se déplacer d'un endroit à l'autre".
Galaz est membre de longue date de la Confrérie des coureurs de rue internationaux, un groupe qui a développé des voies légales pour les courses, ce qui, selon lui, l’a aidé à quitter la rue et à sortir des gangs dans sa jeunesse. Et même si l’on observe aujourd’hui un « niveau d’irrespect » et de chaos dans les prises de contrôle qui n’apparaissait pas dans les spectacles clandestins et les courses de dragsters des décennies précédentes, alors largement confinés aux zones industrielles et aux parkings, il affirme que les autorités pourraient encore réduire considérablement le problème en offrant aux enfants une alternative plus sûre.
« Je milite en faveur de cette cause depuis plus de 12 ans – faisons quelque chose. J’ai rencontré de nombreux membres du conseil municipal et maires qui ont promis d’aider », a-t-il déclaré. Galaz a déclaré qu’il avait organisé des permanences téléphoniques pour une campagne à la mairie, mais que cet effort s’était soldé par une longue série de « promesses non tenues » pour résoudre le problème.
RépondreSupprimer« En attendant, des gens meurent. Le public est en danger. Des entreprises sont détruites. Des rues sont détruites », a-t-il déclaré. « Et puis, on voit tout le temps aux infos que des gens se font tuer, et pourtant les élus n’ont rien fait. »
Impact inégal
Les destructions ont tendance à être concentrées dans certaines zones, et souvent perpétrées par des personnes qui vivent ailleurs, disent les responsables de l’application de la loi.
La ville de Compton est depuis longtemps un épicentre de la culture automobile du sud de la Californie, abritant des clubs de moto et de course, et une croisière du dimanche en lowrider qui continue à ce jour.
Mais ces dernières années, elle est également devenue un foyer pour les étrangers à la recherche de crédibilité dans la rue et de likes sur Instagram, une rampe de lancement pour les conducteurs qui veulent se faire un nom.
« Si vous voulez avoir de l’influence sur Internet, vous devez aller à Compton », a déclaré Galaz. « Ce n’est pas un secret. »
Lors d’une prise de contrôle de la ville le 28 juillet, la California Highway Patrol (CHP) a arrêté 63 spectateurs, émis 66 contraventions et mis en fourrière 28 véhicules, selon l’agence. Ces arrestations ne représentaient qu’environ 5 % des participants, et environ 80 % n’étaient pas des résidents du comté de Los Angeles.
Les données récentes du LASD montrent que la grande majorité des prises de contrôle au premier trimestre de cette année (219 sur 289) ont eu lieu dans le deuxième district de surveillance du comté, qui comprend le sud de Los Angeles et certaines parties de la région du port. La plupart d'entre elles se sont produites dans les villes de Compton et de Carson, qui ont enregistré respectivement 90 et 109 incidents. Il s'agit d'une augmentation par rapport au trimestre précédent, où il y a eu 173 prises de contrôle dans le district, sur un total de 234 incidents, dont 74 et 58 à Compton et Carson.
Pendant ce temps, les quatrième et premier districts, qui couvrent les parties sud-est et est du comté, ont enregistré 55 et 15 incidents au cours des premiers mois de 2024. Aucune prise de contrôle n'a été signalée dans le troisième district, qui comprend les villes de l'ouest de Los Angeles, ou dans le cinquième district, qui couvre la partie nord du comté.
RépondreSupprimer« L'augmentation des prises de contrôle illégales des rues est profondément troublante », a déclaré la maire de Compton, Emma Sharif, au journal Epoch Times. « Cela va à l'encontre des valeurs de notre ville, vraiment. Ce problème a eu de graves répercussions sur notre communauté, affectant à la fois la sécurité et le bien-être des résidents. »
Compton et Carson n’ont pas leurs propres forces de police mais ont un contrat avec le département du shérif de Los Angeles, qui coordonne avec d’autres agences comme le CHP sur le contrôle du code de la route. Les responsables de la ville de Carson n’ont pas répondu à une demande de commentaires.
En examinant les données du LAPD pour la ville de Los Angeles, il semble que les courses de rue et les prises de contrôle ont atteint un pic en 2020, avec 912 incidents. Il y en a eu 319 en 2019, et les chiffres ont fluctué depuis, tombant à 482 l’année dernière.
Cela montre une redistribution, pas une éradication, disent les observateurs.
« Ce n’est pas parce que le pic a eu lieu dans la ville de Los Angeles que le nombre a diminué dans tout le comté », a déclaré Damian Kevitt, directeur exécutif de l’association à but non lucratif Streets Are for Everyone, à The Epoch Times.
Selon lui, la police de Los Angeles est devenue plus agressive et la répression a déplacé le problème vers des communautés périphériques comme Compton et des zones non constituées en municipalités.
La police de Los Angeles, qui applique le code de la route dans le comté de Los Angeles, a répondu à 100 prises de contrôle de rue, a émis 2 000 contraventions, a arrêté 500 personnes pour conduite imprudente, conduite sous l’influence de l’alcool, spectateur et infractions liées aux armes, et a mis en fourrière plus de 400 véhicules dans des zones non constituées en municipalités du comté de Los Angeles l’année dernière.
« Les coureurs de rue se présentent, prennent le contrôle de la rue, passent 45 minutes sur place – ils savent combien de temps il faudra à la police pour faire leur travail, puis ils se rendent à l’endroit suivant », a déclaré Kevitt.
Les données du LASD et du LAPD montrent que les prises de contrôle ont augmenté au cours des premiers mois de 2024, tant dans le comté que dans la ville, mais le comté a connu une baisse globale de 15 % au deuxième trimestre par rapport au premier, passant de 289 à 245 incidents, ont déclaré les responsables du LASD au conseil lors de la réunion de juillet.
C'est toujours plus qu'au quatrième trimestre de l'année dernière, et Compton a une tendance à la hausse.
« Plus effronté, plus violent »
RépondreSupprimerDans son rapport du 12 juin en réponse à une directive du conseil municipal, le LAPD a souligné la capacité décroissante des forces de l'ordre et des premiers intervenants à intervenir lors des prises de contrôle, qui incluent souvent des centaines de spectateurs et d'innombrables véhicules.
Les spectateurs utilisent des pointeurs laser pour aveugler les agents et les hélicoptères, lancent des feux d'artifice sur la police, percutent et encerclent intentionnellement des voitures et résistent à l'arrestation.
« Je pense qu'ils se sentent intouchables », a déclaré Galaz. « Et parce qu'il s'agit d'une unité de police avec deux agents qui se présente, ils sont d'emblée en infériorité numérique. FrançaisAlors maintenant, vous avez ces enfants qui bloquent les voitures, jettent des pierres et des bouteilles et tirent des feux d'artifice et font ce genre de choses à la police. ... Ils s'en fichent complètement. »
Les courses de rue ont toujours été anti-autoritaires, mais Galaz note que les coureurs étaient autrefois plus préoccupés par la démonstration de leurs compétences que par la provocation des forces de l'ordre.
« La dernière chose que nous voulions faire était d'attirer l'attention des forces de l'ordre alors que nous essayions de faire quelque chose, vous savez ? Mais on dirait qu'ils les narguent », a-t-il déclaré. « Je ne comprends pas la logique derrière le fait de vouloir faire ces choses et juste le degré de manque de respect. »
Les forces de l'ordre et les premiers intervenants sont déjà à bout de souffle en raison des déficits budgétaires, du manque de personnel et d'une crise des sans-abrisme qui les accable. Pour toutes les raisons mentionnées ci-dessus, les agences cherchent à externaliser certaines tâches de police vers la technologie.
« Nous n’allons plus au cœur de la prise de contrôle. C’est tout simplement trop dangereux pour nous », a déclaré Joe Zivi, commandant de la CHP South L.A., au conseil en juillet. « Il ne fait aucun doute que ces prises de contrôle sont plus effrontées, plus violentes. »
La CHP surveille déjà les points chauds avec des hélicoptères et des avions équipés de technologie infrarouge et d’enregistrement qui peuvent être utilisés pour les poursuites, et bientôt elle disposera de caméras haute puissance pour lire les plaques d’immatriculation en temps réel, qu’elle espère présenter aux juges pour obtenir des saisies de 30 jours, puis saisir les véhicules à une date ultérieure, a déclaré Zivi.
En attendant, le LASD espère étendre un programme pilote qui utilise des drones pour aider à la course et à l’application des lois sur les prises de contrôle, tandis que certaines villes lancent leurs propres programmes.
RépondreSupprimerEn mars, Carson a lancé une nouvelle politique sur les drones pour « améliorer les services municipaux » et en avril, elle a annoncé l’installation d’un système de surveillance « de pointe » de plusieurs millions de dollars dans toute la ville pour aider à « réduire les activités suspectes » et augmenter la récupération des véhicules volés dans le cadre du projet de caméra de reconnaissance de plaques d’immatriculation du LASD.
Mais certains remettent en question la logique d’investir dans des caméras de haute technologie pour photographier les plaques d’immatriculation alors que de nombreuses voitures impliquées sont volées – et que les conducteurs peuvent être partis depuis longtemps lorsque la police arrive.
Clash culturel
Pour les générations plus âgées des scènes de course et de croisière, les prises de contrôle contemporaines et le chaos qui les accompagnent jettent une ombre sur la culture automobile.
Développé par les Américains d'origine mexicaine après la Seconde Guerre mondiale, le lowriding est un élément apprécié et reconnaissable de la mosaïque culturelle de la Californie du Sud, immortalisé dans des expositions d'art, des livres, des films, et aujourd'hui imité par des adolescents disposant de revenus disponibles dans des pays comme l'Arabie saoudite.
L'année dernière, le gouverneur Gavin Newsom a signé un projet de loi légalisant le lowriding et le cruising, ou la conduite « basse et lente » pour mettre en valeur des voitures classiques modifiées, annulant ainsi les restrictions précédentes.
Lors de la réunion du conseil d'administration du 30 juillet, des intervenants publics de clubs de course et de lowrider sont venus rappeler au gouvernement que le cruising est légal et ne doit pas être mis dans le même panier que les prises de contrôle illégales.
« Les dirigeants des clubs automobiles sont déjà des organisations d'auto-surveillance et nous essayons de faire de notre mieux pour rendre nos rues sûres », a déclaré Art Limon, fondateur de la LA Lowrider Alliance, au conseil. « Nous sommes des conducteurs responsables qui respectent le code de la route. Nous ne soutenons pas les prises de contrôle illégales. »
D'autres intervenants ont demandé que le langage lié à la « croisière » soit supprimé du rapport et qu'une ligne claire soit tracée entre le lowriding légal et les prises de contrôle illégales. « L'art du lowriding et la culture du cruising ne devraient pas figurer dans le rapport ni faire partie d'une quelconque ordonnance relative aux spectacles parallèles illégaux », a déclaré l'un d'eux.
Lors d’une conférence de presse du 24 janvier annonçant l’arrestation de plusieurs mineurs impliqués dans plusieurs incidents différents, notamment le pillage d’une boulangerie au cours duquel les participants ont conduit une voiture devant un magasin à Compton, à la suite d’une prise de contrôle dans la rue, le shérif a adopté un ton plus dur.
RépondreSupprimer« Nous allons vous avoir », a déclaré le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna, lors de la conférence. « Cela peut prendre quelques jours, vous pourriez devenir arrogant et penser : « Je vais commettre un autre crime. » Nous allons vous attraper. »
Après la série d’incidents violents, la Commission de la sécurité publique de Compton a recommandé des sanctions plus sévères, notamment des saisies de voitures pendant 30 jours, des amendes de 10 000 $ et des arrestations pour conduite imprudente.
« Nous en avons assez de l’anarchie, nous en avons assez des crimes qui s’ensuivent, et nous reconnaissons que ces personnes gagnent de l’argent grâce à ces prises de contrôle », a déclaré le commissaire à la sécurité publique Bishop Guillory au conseil municipal à l’époque.
La ville a modifié ses ordonnances pour augmenter les amendes pour spectateur de 1 000 $ à 2 000 $, que les autorités espèrent utiliser pour compenser les coûts d'intervention et de réparation.
"Cela pourrait fonctionner, car une amende de 2 000 $ peut être assez dommageable lorsqu'il s'agit de faire remorquer sa voiture et d'essayer de la sortir, en plus de devoir payer cette amende", a déclaré le maire Sharif.
Mais dans tout le comté de Los Angeles, il y a souvent une distance entre l'application de la loi et les poursuites.
RépondreSupprimerDans son rapport de juin, le LAPD a proposé un examen exhaustif des lois actuelles et a conclu qu’elles étaient terriblement inadéquates.
« Les recours juridiques actuels ont un effet dissuasif minimal et ne sont pas suffisants pour lutter efficacement contre ces crimes », a noté le rapport, soulignant les lois existantes qui ne poursuivent que les excès de vitesse et la conduite imprudente comme des délits mineurs avec une amende négligeable et un manque de sanctions supplémentaires.
Le fait que de telles infractions soient éligibles à une déjudiciarisation avant condamnation revient à « contourner complètement tout effet dissuasif significatif », déclare le LAPD.
Lorsque les forces de l’ordre transmettent de tels cas au procureur de district, un procureur adjoint examinera et choisira de porter plainte ou de renvoyer au programme de déjudiciarisation avant dépôt de plainte de Street Racing Kills.
« À l’heure actuelle, s’ils sont arrêtés et reçoivent une contravention, ils doivent suivre un cours avec moi », a déclaré Trujillo Puckett.
Mais en 2020, Gascón a émis une directive spéciale ordonnant aux députés de refuser ou de rejeter les accusations de délits, notamment la conduite avec un permis suspendu ou sans permis valide.
Les forces de l’ordre s’appuient sur le Code de la route de Californie pour faire respecter les interdictions de vitesse, de « complicité » dans une course de rue ou de conduite imprudente. Ces infractions peuvent être considérées comme des délits ou des infractions et ne déclenchent pas de restriction ou de suspension du permis de conduire. Un accusé accusé d’un délit peut être condamné à une peine maximale de 90 jours de prison, mais une telle peine est rarement, voire jamais, imposée.
« L’objectif de cette nouvelle politique est de réimaginer la sécurité publique et de servir au mieux les intérêts de la justice et du bien-être de la communauté », a écrit Gascón dans la note de 2020, précisant que les poursuites pour délits mineurs seront désormais régies par cette politique de réforme « axée sur les données ».
RépondreSupprimerSans lois « significatives » qui ont des conséquences, déclare le LAPD dans le rapport de juin, « les participants et les spectateurs s’engagent dans ces activités en sachant que les forces de l’ordre et le système judiciaire éviteront de punir leurs activités imprudentes et illégales ».
Le résultat, disent-ils, est une hostilité croissante envers les premiers intervenants et une culture générale de peur et d’intimidation dans les quartiers touchés.
En vertu de la loi de l’État qui entrera en vigueur en juillet prochain, les autorités peuvent suspendre les permis jusqu’à six mois pour excès de vitesse dans le cadre d’un spectacle ou d’une prise de contrôle de la rue.
Mais le LAPD conclut que les suspensions ont « un effet punitif et dissuasif minime », car le DMV délivre « d’innombrables » contraventions aux conducteurs sans permis, suspendus ou révoqués, « mais le problème persiste ».
Le LAPD identifie les codes du DMV qui autorisent la mise en fourrière pendant 30 jours, avec ou sans mandat, comme l’un des outils les plus efficaces pour contrecarrer les prises de contrôle, et l’ajout de technologies telles que des caméras à haute puissance vise à renforcer cette approche.
Mais la police n’est pas autorisée à saisir et à détruire les véhicules « nuisibles » engagés dans des concours illégaux et des excès de vitesse, car la ville a suspendu plusieurs dispositions en raison de « préoccupations constitutionnelles ».
Le LAPD a demandé au conseil municipal de reconsidérer plusieurs amendements au code, proposés pour la première fois en 2022 mais non mis en œuvre, et a exhorté le conseil à adopter une résolution pour renforcer les lois de l'État et déclarer les spectacles parallèles et les prises de contrôle des nuisances publiques.
Médias sociaux
Les forces de l'ordre surveillent les comptes de médias sociaux populaires et le comté a identifié plusieurs influenceurs de premier plan en matière de prises de contrôle qui publient généralement une vingtaine de vidéos par mois, chacune recueillant souvent des dizaines de milliers de likes.
Les hashtags populaires incluent #getbackorgetsmacked, et les vidéos abondent de spectateurs qui s'approchent trop près. D'autres montrent des voitures qui continuent de faire des donuts autour de la police qui s'est arrêtée au milieu d'une prise de contrôle, incendiant des véhicules ou effectuant des pyrotechnies de drones.
Pour tenter de contrer le phénomène, le groupe de travail multi-agences de courses de rue de Los Angeles maintient son propre compte Instagram depuis 2016, où il fait de son mieux pour troller les participants. Les photos de voitures saisies sur des camions à plateau, d’armes confisquées et d’incendies de véhicules comportent des avertissements tels que « je l’ai balancé et je l’ai perdu pendant 30 jours », « la voiture a été détruite, je suis allé en prison et j’ai dû marcher longtemps pour rentrer à la maison » et « les passagers ont aussi eu un petit quelque chose. Regarder est également illégal ».
RépondreSupprimerOn ne sait pas si les gouvernements locaux chercheront ou non à faire pression sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles suppriment le contenu.
Lors de la réunion des superviseurs de juillet, la directrice générale du comté, Fesia Davenport, a reconnu qu’il s’agirait d’un problème de premier amendement et a déclaré : « Je ne suggère pas que nous supprimions ces publications Instagram, mais nous devons réagir de la même manière lorsque nous essayons de capter l’imagination de la population ».
La superviseure Holly Mitchell, cependant, a insisté pour une réponse plus forte.
« Lorsque je regarde les témoignages devant le Congrès, avec des gens qui tiennent les moteurs de médias sociaux responsables d’actions dangereuses, je ne vois pas pourquoi nous ne le ferions pas alors que nous pouvons relater et identifier les pertes de vies humaines – pas seulement les biens mais les décès résultant de ces actions », a déclaré Mitchell.
Le bureau de Mitchell n’a pas répondu à une demande du journal Epoch Times lui demandant de développer ses points de vue.
Le rapport de juillet du comté indique que « travailler avec les médias sociaux pour censurer les publications dépasse le cadre de ce rapport », car la suppression des publications sur les médias sociaux implique un discours protégé par le Premier Amendement, mais note que le conseiller juridique du comté abordera la question dans un rapport du conseil privilégié et confidentiel.
Solutions : « Cela mettrait un frein à tout cela »
RépondreSupprimerAu-delà de l’expansion et du renforcement de l’application de la loi, le directeur du département du développement de la jeunesse du comté de Los Angeles, David Carroll, a déclaré que toute solution devra offrir des opportunités aux amateurs de sensations fortes.
« On ne peut pas s’en sortir en arrêtant et en mettant une amende », a déclaré Carroll au conseil de surveillance en juillet, exprimant son inquiétude quant aux amendes de plusieurs milliers de dollars imposées aux spectateurs, qui pour un jeune « pourraient aussi bien s’élever à 1 million de dollars ».
Il a fait remarquer que les jeunes délinquants se rendent aux prises de contrôle parce que « c’est quelque chose à faire », un endroit où les gens recherchent une communauté, une reconnaissance et une admiration. « Et il y a une poussée d’adrénaline ».
Galaz soutient également qu’on ne peut pas forcer les gens à faire cela, et qu’il est mal d’appliquer les lois sans leur fournir un autre endroit où aller.
« Ils veulent voir quelque chose qui va les attirer. Les gens aiment la puissance. Les gens veulent voir des voitures tourner comme ça. »
Tous ces autodidactes qui peaufinent leurs voitures avec des ordinateurs portables, a déclaré Galaz, pourraient être la prochaine génération de mécaniciens, de techniciens de l’aviation et de vidéastes s’ils avaient les bons conseils.
Dans son rapport de juillet au conseil de surveillance, le LASD a déclaré que l’engagement avec les participants « a révélé un intérêt limité pour l’utilisation d’alternatives plus sûres » comme l’Irwindale Speedway ou plusieurs autres qui existent déjà dans la région.
Depuis sa première visite avec son père et son oncle lorsqu’il était enfant, Galaz a vu la piste de Terminal Island – entre les quartiers de Wilmington et de San Pedro – ouvrir et fermer près d’une douzaine de fois. La réouverture, a-t-il déclaré, comblerait le besoin d’un espace à proximité des points chauds de prise de contrôle comme Carson et Compton.
Mais certains doutent que la réouverture de la piste ait un impact sur ce qui est essentiellement une culture axée sur l’anarchie et le crime.
« Cette idée d’ouvrir la piste sur Terminal Island, les gens qui vont là-bas, ils ne voudront pas payer pour améliorer légalement leurs voitures pour y aller », a déclaré un résident de Compton lors de la réunion du conseil d’administration de juillet.
« Ils ne seront pas contents de rester assis dans les gradins, à regarder des donuts – non, ils veulent être aux intersections, c’est ça le frisson, enfreindre la loi, commettre ces crimes et se retrouver au milieu de l’intersection. »
RépondreSupprimerGalaz n’est pas d’accord.
« Cela va faire une grosse différence. J’en suis très confiant – je le sais, parce que cela a fonctionné pour moi dans les années 90 », a-t-il déclaré, faisant référence à la réouverture du circuit de 1993 à 1995.
« Big Willie » Robinson, fondateur de la Brotherhood of Street Racers, a ouvert la piste dans les années 1970, avec l’aide de l’ancien maire Tom Bradley.
« Il n’y avait plus personne dans les rues pour faire la course. Tout le monde était sur la piste. Pourquoi faire la course dans la rue quand on peut aller à Terminal Island et faire la course là-bas ? Cela a fonctionné pour nous. »
Les réseaux sociaux, soutient-il, « se répandraient comme une traînée de poudre », et les coureurs connus attireraient les gens – une communauté intergénérationnelle unie par le besoin de vitesse et un amour profond du métier et du professionnalisme qui caractérisent la culture automobile.
« Big Willie avait l'habitude de dire : "tout le monde est infecté de 8 à 80 ans", a-t-il déclaré. « Je suis sûr que s'il y avait un endroit ouvert plus d'un jour par semaine, on éliminerait un bon nombre de ces individus des rues. »
Mais Galaz bat le tambour depuis plus d'une décennie, avec des résultats frustrants.
« Je me tiens au bord du précipice et je dis : « Hé mec, ne tombe pas dans le précipice. » Et ils s’en fichent, a-t-il dit. Je ne sais pas pourquoi les élus mettent autant de temps à agir. » Il évoque les rapports, les comités et les tables rondes sans fin.
Pour Trujillo Pucket, la solution réside dans une législation plus stricte, ainsi que dans des mesures de répression, d’éducation et de déjudiciarisation.
Au cours des dernières années, plusieurs projets de loi d’État visant les courses de rue et les OPA ont été adoptés, notamment la loi Ryan, qui étend la liste des crimes pouvant donner lieu à un homicide involontaire pour conduite dangereuse, les AB 3 et AB 2000 qui permettent aux tribunaux de suspendre les permis, et l’AB 645, qui prévoit l’installation de radars automatiques de contrôle de vitesse dans six villes pilotes, dont Los Angeles.
Les organisations de Trujillo Puckett et de Kevitt ont travaillé avec le sénateur Anthony Wiener sur le projet de loi SB 961, que la législature a adopté début septembre. Les premières versions auraient exigé l’installation de régulateurs de vitesse actifs, ou de dispositifs de limitation de vitesse, dans les nouvelles voitures. Mais après avoir rencontré une certaine opposition, les amendements ultérieurs ont atténué le libellé et ne nécessiteraient désormais que des régulateurs passifs, c’est-à-dire un système d’avertissement pour le conducteur.
Dans un courriel, Kevitt a qualifié le résultat de décevant, étant donné que l’excès de vitesse est la principale cause de « violence routière » – blessures graves et décès – aux États-Unis.
RépondreSupprimerCeux qui ont examiné le projet de loi, a-t-il déclaré, « n’étaient pas prêts à donner la priorité au droit à la vie plutôt qu’au droit des gens à rouler à une vitesse excessive, nous avons donc dû édulcorer le projet de loi pour le rendre plus acceptable – un seul bip et un avertissement visuel lorsque l’on commence à rouler à 10 miles par heure au-dessus de la limite de vitesse ».
Il a comparé cet effort à l’obligation du port de la ceinture de sécurité au début des années 1970 et aux lois sur la conduite en état d’ivresse dans les années 1980 – une bataille entre les libertés individuelles et les restrictions qui sauvent des vies.
« Depuis, les ceintures de sécurité ont permis de sauver 500 000 vies, et la plupart des gens ne conduiraient jamais sans en porter une. Les conduites en état d’ivresse ont diminué et des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de vies ont été sauvées grâce à l’application des lois sur la conduite en état d’ivresse », a-t-il déclaré.
https://www.theepochtimes.com/article/los-angeles-struggles-to-curb-brazen-and-violent-street-takeovers-5720805?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Un agriculteur contraint de vendre son exploitation à cause d'une antenne relais
RépondreSupprimerFrance-Soir
19 septembre 2024 - 11:15
Les agriculteurs sont fortement exposés au soleil, ils passent, pour la majorité d'entre eux, 6 à 7 jours par semaine au travail dont de nombreuses heures à l'extérieur
Un agriculteur de l'Orne (Normandie) dénonce l'installation récente d’une antenne relais, qu'il juge responsable de la chute drastique d’œufs produits par ses poules pondeuse. Installée à 300 mètres seulement de son exploitation, cette antenne et ses ondes électromagnétiques le contraignent à mettre la clef sous la porte.
Implanté dans la vente d’œufs sur le territoire depuis 2016, l'homme est confronté depuis le début d’année 2023 à l’installation d’une antenne relais à proximité de son exploitation de poules pondeuses. Une localisation mortifère qui l’aurait contraint à tout revendre. L’exploitant témoigne en affirmant que sa « production a chuté de 15 000 à 800 œufs par jour ». « À la fin du mois de mars, les travaux étaient terminés et dès avril j’ai constaté une diminution de ma production », vient-il à préciser.
Tandis qu’il envisage d’abord une bronchite infectieuse, les symptômes apparaissent comme étant différents. Les cinq poulaillers sont vite « infectés ». Malgré l’intervention d’un vétérinaire, rien ne semble pouvoir être fait, le professionnel « ne trouve rien » qui pourrait expliquer le phénomène. C’est la venue d’un géobiologiste, au mois de juillet, qui va permettre de soulever un doute sur la présence de cette antenne. L’agriculteur décide alors de questionner le gestionnaire de l’antenne pour en avoir le cœur net.
« On m’a dit que l’antenne n’avait été mise en route qu’au cours du mois de juin, le 12 précisément. Mais, moi, je l’entendais bien avant ! Des essais ont été réalisés dès la fin mars. De source non officielle, je sais que ces antennes sont poussées au maximum avant, pour être testées », souligne-t-il encore auprès du Perche.
RépondreSupprimerPour trouver une solution, il prend le parti de contacter l’association nationale Animaux sous Tension. Malgré ce contact et la création d’un collectif dans le but d’interpeller les élus locaux, l’exploitation ne survit pas à ses pertes économiques et l’exploitant la revend entièrement en 2023. Bien que celui-ci ait contacté la députée de sa circonscription, le courrier envoyé au ministre de l’Agriculture ainsi qu’au Premier ministre sont restés lettres mortes. Curieusement, en revendant ses poules à un collègue localisé à quelque 15 km plus loin, celles-ci se seraient remises à pondre normalement. De quoi démontrer la bonne foi du professionnel.
Selon l’agriculteur, parmi les mesures nécessaires, l’imposition d’une distance de sécurité entre une antenne et un élevage devrait être mise en place, avec un minimum de 2 km. Alors même qu’il ne croit plus en une indemnisation pour les pertes subies, il espère cependant que son cas saura se faire entendre auprès de l’opinion publique pour que des solutions concrètes soient trouvées.
https://www.francesoir.fr/societe-emploi/un-agriculteur-contraint-de-vendre-son-exploitation-cause-d-une-antenne-relais
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