- ENTREE de SECOURS -



lundi 2 septembre 2024

Le fentanyl est responsable de 81 % des décès par overdose chez les moins de 24 ans

PAR TYLER DURDEN

LUNDI 02 SEPTEMBRE 2024 - 12:45


En 2022, on estime que 292 millions de personnes dans le monde consommaient des drogues illégales, dont 60 millions consommaient des opioïdes tels que la morphine, la codéine ou l'héroïne, selon le dernier rapport mondial sur les drogues des Nations Unies. Cela fait des opioïdes la deuxième classe de drogues illicites la plus utilisée, derrière le cannabis, qui compte environ 228 millions de consommateurs.

Si la consommation de cannabis est plus répandue et comporte un risque relativement faible de dépendance, elle n'entraîne pas de décès par overdose. On ne peut pas en dire autant de la classe des opioïdes, beaucoup plus puissante et dangereuse. Comme le soulignent les dernières données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), les opioïdes synthétiques comme le fentanyl sont devenus la principale cause du nombre croissant de décès par overdose de drogue.

Sur les près de 108 000 décès par overdose enregistrés en 2022, près de 74 000 étaient directement liés aux opioïdes synthétiques, le fentanyl étant le plus répandu. Le fentanyl serait 50 fois plus puissant que l'héroïne et est devenu un choix privilégié des fabricants de drogues illégales en raison de sa facilité de production et de son faible coût, contrairement aux opioïdes traditionnels qui dépendent de la culture de plantes. L'impact est encore plus grave chez les populations plus jeunes. Dans la tranche d'âge des 15 à 24 ans, 81 % des 6 696 décès par overdose en 2022 ont été attribués aux opioïdes synthétiques, les décès liés ayant quintuplé entre 2015 et 2022.

À l'échelle mondiale, la consommation d'opioïdes est restée relativement stable depuis 2019, le nombre de consommateurs déclarés ayant même légèrement diminué par rapport aux 62 millions de l'année précédant la pandémie de coronavirus. Selon les données de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), le taux de prévalence mondial de la consommation d'opioïdes était de 1,2 % en 2022. Cependant, certaines régions ont signalé des taux nettement plus élevés : 3,2 % au Proche et Moyen-Orient/Asie du Sud-Ouest, 2,7 % en Amérique du Nord et 2,0 % en Australie et en Nouvelle-Zélande.

Si la consommation de cannabis continue de dominer en termes de chiffres, la différence marquée dans les risques de surdose souligne l'urgence de s'attaquer à la crise actuelle des opioïdes, en particulier à la menace mortelle posée par les variantes synthétiques comme le fentanyl.

Comme le montre Statista :

https://www.zerohedge.com/medical/fentanyl-responsible-81-overdose-deaths-under-24

109 commentaires:

  1. Monkeypox : chiffres et réalité


    2 septembre 2024
    de Thomas Oysmüller


    Dans quelle mesure la variole du singe est-elle réellement répandue ? Une comparaison des chiffres avec la réalité révèle la nouvelle campagne MPox.

    L'OMS a ouvert un nouveau champ d'activité : la nouvelle mutation du Monkeypox. Mais un regard froid sur les chiffres montre rapidement à quel point l’annonce d’un « état d’urgence » est absurde. La réponse de l’OMS montre également clairement l’évolution de son rôle politique.

    L'ancien scientifique de l'OMS et conseiller en santé publique, David Bells, a discuté de tout cela dans un article qui mérite d'être lu. Voici quelques extraits de l’essai « MPox, Numbers and Reality », publié il y a quelques jours par le Brownstone Institute :

    Les mesures de santé publique sont plus efficaces lorsqu’elles sont fondées sur la réalité. Ceci est particulièrement important lorsque la réponse vise une « urgence » et implique le transfert de sommes importantes d’argent public. Lorsque nous réaffectons des ressources, des coûts surviennent parce que les fonds sont détournés d'un autre programme. Si la réponse est que de nombreux produits sont achetés auprès d’un fabricant, c’est également une victoire pour l’entreprise et ses investisseurs.

    Il y a donc ici trois exigences évidentes pour garantir de bonnes pratiques :

    Des informations précises sont nécessaires, et dans leur contexte.
    Ceux qui en bénéficient financièrement ne devraient pas jouer de rôle dans le processus décisionnel.
    L’organisation chargée de coordonner toute action doit agir de manière transparente et peser publiquement les coûts et les avantages.

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS), chargée par les pays de coordonner la santé publique internationale, vient de déclarer la Mpox (variole du singe) comme une urgence internationale. Il considère l’épidémie en République démocratique du Congo (RDC) et dans les pays voisins d’Afrique centrale comme une menace mondiale exigeant une réponse mondiale urgente. En déclarant l'état d'urgence, l'OMS a déclaré qu'il y avait eu 537 décès parmi les 15 600 cas suspects cette année. Lors de sa réunion d'urgence sur Mpox le 19 août, l'OMS a précisé ses chiffres :

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  2. ...au cours des six premiers mois de 2024, les 1 854 cas confirmés de Mpox signalés par les États parties de la Région africaine de l'OMS représentent 36 % (1 854/5 199) des cas observés dans le monde.

    L'OMS a réitéré qu'il y avait eu 15 000 cas « cliniquement compatibles » et environ 500 décès suspects. L'impact de ces 500 décès non confirmés, qui ne représentent que 1,5% des décès dus au paludisme en République démocratique du Congo sur la même période, a été évoqué dans un précédent article.

    Des journaux tels que The Lancet ont consciencieusement suivi la ligne « d'urgence » de l'OMS, même s'ils ont noté de manière intéressante que le taux de mortalité aurait pu être bien inférieur si des « soins adéquats » avaient été fournis. Le CDC en Afrique est du même avis : plus de 17 000 cas (2 863 confirmés) et 517 décès (présumés) de Mpox ont été signalés à travers le continent.

    La Mpox est endémique d’Afrique centrale et occidentale et se retrouve chez les écureuils, les rats et d’autres rongeurs. Bien que la maladie ait été détectée chez des singes dans un laboratoire danois en 1958 (d'où le terme impropre de « variole du singe »), elle existe probablement depuis des milliers d'années, provoquant des infections intermittentes chez les humains entre lesquels elle se transmet par contact physique étroit.

    […]
    Nous nous trouvons donc en 2024, à la fin d’une épidémie massivement axée sur le profit (et appauvrissante) appelée Covid-19, qui a permis le plus grand transfert de richesse du plus grand nombre vers quelques-uns dans l’histoire de l’humanité . L'annonce de l'OMS selon laquelle 5 000 (ou moins) cas suspects de Mpox constituent une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) lui permet d'accélérer l'accès aux vaccins grâce à son programme d'inscription sur la liste d'utilisation d'urgence (EUL), contournant ainsi la rigueur normale requise pour l'approbation. de ces médicaments.

    Au moins un fabricant de médicaments parle déjà d’une livraison de 10 millions de doses avant la fin de l’année. D’un point de vue commercial, les avantages économiques de cette approche sont bien prouvés. Il en va de même pour les dégâts dans des pays comme la République démocratique du Congo, dans la mesure où un tel programme de vaccination de masse nécessite le détournement de millions de dollars et de milliers d’agents de santé qui, autrement, seraient confrontés à des maladies bien plus lourdes de conséquences.

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  3. L'OMS est une grande organisation et, tandis que certains d'entre eux courent après l'argent, d'autres travaillent dur pour tenir le public informé avec précision (une mission essentielle de l'OMS, qui dispose d'un personnel dévoué). Comme une grande partie de ce que l’OMS a fait dans le passé, cette démarche est approfondie et louable. Certaines de ces informations sont résumées dans les graphiques suivants :

    - voir sur site -

    [...]
    Au cours des deux dernières années et demie, l’OMS a confirmé 223 décès dans le monde, dont seulement six en juillet 2024 (lorsque le directeur général de l’OMS a averti le monde d’une menace en croissance rapide). A noter que les 223 décès ne représentent que 0,2% des 102 997 cas confirmés. En Afrique, seuls 26 décès ont été confirmés en 2024 sur 3 562 cas (0,7%), répartis dans 5 pays (et 12 pays avec cas). Il s’agit de taux de mortalité comparables à ceux de la grippe et non à ceux d’Ebola.

    Étant donné que les cas graves sont plus susceptibles d’être testés que les cas bénins, le taux de mortalité pourrait être bien inférieur. Nous ne savons pas non plus (même si quelqu'un devrait nous le dire) quelles sont les caractéristiques des mourants. La plupart des Africains seraient des enfants, il est donc probable qu'ils souffrent de malnutrition ou soient immunodéprimés (par exemple à cause du VIH) et présentent des vulnérabilités qui pourraient être traitées.

    […]
    Dans ce contexte, il est important de noter quelques choses. Il est difficile de confirmer tous les cas dans les zones où les infrastructures et la sécurité sont médiocres. Les symptômes et les signes de la variole sont également souvent légers et se chevauchent avec d'autres maladies (par exemple la varicelle ou même la grippe), de sorte que de nombreux cas peuvent passer inaperçus . La notification des résultats peut également être retardée. Cependant, les 19 décès confirmés par Mpox en République démocratique du Congo, parmi les quelque 40 000 décès dus au paludisme dans ce pays cette année, représentent environ 1 cas sur 2 000. Peu importe comment vous le comptez, ce ne sera pas beaucoup plus significatif. Voilà à quoi ressemble la nouvelle urgence internationale dans les données réelles, ou si vous êtes la population de la RDC, qui est au point zéro de Mpox. Vous ne remarquerez probablement rien du tout.

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  4. Pourquoi l’OMS a-t-elle déclaré une urgence internationale ? Certains prétendent qu’il s’agit de mobiliser des ressources, ce qui est un peu ridicule. Premièrement, les adultes devraient être capables de discuter rationnellement d’une situation qui dure depuis deux ans et de décider de ce qui est nécessaire sans taper sur le tambour. Deuxièmement, une épidémie qui ne représente qu’une infime fraction des décès dus au paludisme (ou à la tuberculose ou au VIH), et bien moins que ceux qui meurent actuellement à la guerre, ne constitue peut-être pas une urgence internationale.

    […]
    Cependant, comme mentionné ci-dessus, ce qui est clair est que :

    Les données sur Mpox et d’autres priorités concurrentes doivent continuer à être présentées dans le contexte des coûts et des coûts d’opportunité de la riposte.
    Ceux qui bénéficient financièrement de la vaccination de millions de personnes ne doivent pas être inclus dans le processus de prise de décision (qu’il soit possible ou non de soutenir un transfert de ressources aussi important pour une charge de morbidité aussi faible).
    L’OMS doit continuer à agir de manière transparente, car le public a le droit absolu de savoir pour quoi il paie et quels dommages (et peut-être avantages) il peut en attendre.
    Le nombre de décès par Mpox augmentera à mesure que davantage de personnes seront infectées et peut-être aussi si certains cas suspects sont confirmés. Toutefois, nous sommes confrontés à un petit problème dans un domaine où il existe des problèmes bien plus importants. Cela représente un risque local faible et un risque mondial minime, selon toute définition raisonnable et rationnelle de santé publique, il ne s’agit pas d’une urgence mondiale.

    Le reste du monde peut réagir en envoyant des vaccins et de nombreux étrangers à soigner, en éloignant le personnel local de santé et de sécurité et en tuant presque certainement davantage de résidents de la RDC dans l’ensemble. Ou nous pouvons identifier un problème local, soutenir l’action locale lorsque les populations locales le demandent et nous concentrer, comme l’OMS l’a fait autrefois, sur la lutte contre les causes des maladies endémiques et des inégalités. Ce sont ces choses qui rendent la vie si difficile aux habitants de la RDC.

    https://tkp.at/2024/09/02/affenpocken-zahlen-und-wirklichkeit/

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  5. L’ivermectine et les cancers traités au PACLITAXEL: plus efficace et complémentaire . Ils attendent quoi ?


    le 31 août 2024
    par pgibertie


    Le PACLITAXEL est le traitement de référence pour

    Cancer bronchopulmonaire non à petites cellules
    Cancer de l’ovaire avancé
    Cancer de l’ovaire métastasique, traitement de 2e intention (du)
    Cancer du sein, traitement adjuvant (du)
    Cancer du sein localement avancé
    Cancer du sein métastatique
    Cancer du sein métastatique HER2 positif
    Sarcome de Kaposi associé au SIDA, traitement de 2e intention (du)

    - voir graph sur site -

    Plusieurs études prouvent l’efficacité et la complémentarité de l’ivermectine avec la molécule traditionnelle. Qu’attend BIG PHARMA ?

    NOUVEL ARTICLE : L’IVERMECTIN devrait être administré à TOUS les patients atteints d’un cancer du sein avancé – il surpasse le paclitaxel de chimiothérapie et tue les cellules souches cancéreuses !

    Une étude choc réalisée en 2017 par des chercheurs mexicains aurait dû changer la façon dont le cancer du sein est traité. Pour toujours.

    Dans l’article de 2017 « L’ivermectine comme inhibiteur des cellules souches cancéreuses », des chercheurs de Mexico City s’attaquent à une théorie selon laquelle l’ivermectine pourrait anéantir les cellules souches du cancer du sein. Depuis combien de temps sait-on que l’ivermectine peut être utilisée pour traiter le cancer ?

    Depuis 1996 ! Que sont les cellules souches cancéreuses ? « Bien que la plus grande charge cellulaire d’une tumeur soit formée par les cellules tumorales dites en vrac, une petite sous-population de cellules au sein de la tumeur a récemment été identifiée, qui présente un phénotype de cellules souches, en raison des similitudes avec ces cellules ont été appelées « cellules souches cancéreuses » (CSC) » « Cette population cellulaire a généralement la caractéristique de s’auto-renouveler de manière illimitée » et est responsable des métastases et des récidives.

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  6. En 2009, des chercheurs du MIT et de Harvard ont découvert qu’un antiparasitaire, la Salinomycine, pouvait réduire les cellules souches du cancer du sein de plus de 100 fois par rapport au paclitaxel (Taxol) de chimiothérapie et inhiber la croissance des tumeurs du sein.

    Les chercheurs mexicains de cette étude ont recherché la molécule la plus ressemblante à la Salinomycine et après avoir recherché 1623 composés, ils l’ont trouvée – c’était l’IVERMECTINE ! « L’ivermectine inhibe préférentiellement la viabilité des populations enrichies en cellules souches cancéreuses par rapport à la population cellulaire totale. Le schéma opposé a été observé avec le traitement au paclitaxel. »

    L’ivermectine a également diminué l’expression de trois « gènes souches » qui seraient fortement exprimés dans les cellules souches cancéreuses.

    CONCLUSION : « En conclusion, les résultats de la présente étude ont démontré que l’ivermectine ciblait préférentiellement la population de cellules souches dans les cellules cancéreuses du sein humaines MDA-MB-231 .

    L’ivermectine s’est avérée sûre, après le traitement de millions de patients atteints d’onchocercose et d’autres maladies parasitaires, ce qui en fait un candidat solide pour d’autres études examinant son utilisation potentielle comme médicament réutilisé pour le traitement du cancer. » Les implications sont stupéfiantes.

    1. L’ivermectine surpasse la chimiothérapie (paclitaxel)

    2. L’ivermectine détruit les cellules souches cancéreuses qui sont responsables de l’échec du traitement du cancer, des métastases et de la récidive du cancer du sein.

    3. L’ivermectine détruit les cellules souches cancéreuses à un rythme plus de 100 fois supérieur à celui de la chimiothérapie .

    4. L’ivermectine diminue également l’expression des « gènes souches » qui sont fortement exprimés dans les cellules souches cancéreuses. Conclusion : Chaque patiente atteinte d’un cancer du sein avancé devrait recevoir de l’ivermectine pour éliminer les cellules souches cancéreuses et réduire les risques d’échec du traitement, de métastases et de récidive. Alors pourquoi ne le font-ils pas ? Je pense que nous connaissons tous la réponse.

    - voir graph sur site -

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  7. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36139522/

    La pitavastatine et l’ivermectine améliorent l’efficacité du paclitaxel dans le traitement du carcinome séreux de haut grade chimiorésistant

    https://www.spandidos-publications.com/10.3892/mmr.2017.8231

    https://pgibertie.com/2024/08/31/livermectine-et-les-cancers-traites-au-paclitaxel-plus-efficace-et-complementaire-ils-attendent-quoi/

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  8. Bill Gates prévoit une nouvelle « contagion catastrophique »


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    02 septembre 2024


    Au fil du temps, il est devenu évident que la cabale mondialiste qui cherche à mettre en place un gouvernement mondial nous répète sans cesse ce qu'elle est sur le point de faire. Les simulations de pandémie sur table, par exemple, sont une sorte de répétition générale.

    En 2017, le Centre de sécurité sanitaire de l'Université Johns Hopkins a organisé une simulation de pandémie de coronavirus appelée scénario SPARS Pandemic 2025-2028. En octobre 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates, en collaboration avec l'Université Johns Hopkins et le Forum économique mondial, a organisé l'événement 201.

    Comme dans le scénario de pandémie SPARS, l’événement 201 impliquait une épidémie de coronavirus hautement infectieux, mais l’objectif principal (sinon unique) de l’exercice était de savoir comment contrôler l’information et maintenir la « désinformation » sous contrôle, et non comment découvrir et partager efficacement les remèdes.

    Le 23 octobre 2022, Gates, Johns Hopkins et l'Organisation mondiale de la santé ont organisé conjointement « un exercice de défi mondial » baptisé « Contagion catastrophique », impliquant un nouvel agent pathogène appelé « syndrome respiratoire à entérovirus épidémique sévère 2025 » (SEERS-25) , qui affecte principalement les enfants et les adolescents

    L'entérovirus D68 est généralement associé à des rhumes et à des maladies de type grippal chez les nourrissons, les enfants et les adolescents. Dans de rares cas, il est également connu pour provoquer une méningite virale et une myélite flasque aiguë, une affection neurologique entraînant une faiblesse musculaire et une perte de réflexes. Le virus modélisé dans la simulation de contagion catastrophique semble être quelque chose de similaire à l'entérovirus D68, mais pire

    *

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  9. Au fil du temps, il est devenu évident que la cabale mondialiste qui cherche à mettre en place un gouvernement mondial unique nous répète sans cesse ce qu'elle est sur le point de faire. Elle organise des répétitions générales sous forme d'exercices sur table et a révélé ses plans dans divers rapports et livres blancs au fil des ans.

    Je suis abonnée à la chaîne qui a publié la vidéo ci-dessus depuis un certain temps maintenant. Elle n'a que 10 000 abonnés mais propose un contenu vraiment incroyable. Je n'ai aucune idée de comment elle a pu obtenir cette vidéo car elle n'est pas largement diffusée. Ce qui est encore plus surprenant, c'est que sa chaîne n'est pas supprimée.

    Répétitions générales COVID

    Par exemple, en 2017, le Johns Hopkins Center of Health Security a organisé une simulation de pandémie de coronavirus appelée scénario SPARS Pandemic 2025-2028. 1 Il est important de noter que l’exercice a mis en évidence et souligné « les dilemmes de communication concernant les contre-mesures médicales qui pourraient vraisemblablement émerger » dans un scénario de pandémie.

    En octobre 2019, moins de trois mois avant l’épidémie de COVID-19, la Fondation Bill & Melinda Gates, en collaboration avec Johns Hopkins et le Forum économique mondial, a organisé l’événement 201 .

    Comme dans le scénario de pandémie SPARS, cet exercice impliquait une épidémie de coronavirus hautement infectieux, mais l’objectif principal (sinon unique) de l’exercice était de savoir comment contrôler l’information et maintenir la « désinformation » sous contrôle, et non comment découvrir et partager efficacement les remèdes.

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  10. La censure des médias sociaux a joué un rôle important dans le plan Event 201, et dans les événements du monde réel de 2020 à aujourd'hui, des informations précises sur le développement, la production et les blessures des vaccins ont en effet été efficacement supprimées dans le monde entier, grâce aux sociétés de médias sociaux et à la censure des points de vue opposés par Google.

    Nous savons maintenant que cette censure a été dirigée illégalement par des responsables du gouvernement américain, dont le Dr Anthony Fauci, qui a récemment été destitué 2 pour son rôle dans la censure en ligne des informations sur le COVID.

    Ces deux simulations, SPARS et Event 201, préfiguraient ce qui s'est finalement produit dans la vie réelle pendant le COVID, donc, lorsque Gates organise un autre exercice de pandémie, il vaut la peine de prêter attention aux détails.

    Exercice « Contagion catastrophique »

    Le 23 octobre 2022, Gates, Johns Hopkins et l’Organisation mondiale de la santé ont co-organisé « un exercice de défi mondial » baptisé « Contagion catastrophique », 3 , 4 impliquant un nouveau pathogène (et désormais fictif) appelé « syndrome respiratoire à entérovirus épidémique sévère 2025 » ou SEERS-25 en abrégé.

    L'entérovirus D68 5 est généralement associé à des rhumes et à des maladies pseudo-grippales chez les nourrissons, les enfants et les adolescents. Dans de rares cas, il est également connu pour provoquer une méningite virale et une myélite flasque aiguë, une affection neurologique entraînant une faiblesse musculaire et une perte de réflexes dans une ou plusieurs extrémités.

    Les entérovirus A71 et A6 sont connus pour provoquer la maladie mains-pieds-bouche, 6 tandis que le poliovirus, l'entérovirus prototypique, provoque la polio (poliomyélite), un type de paralysie potentiellement mortel qui touche principalement les enfants de moins de 5 ans. Ainsi, le virus qu'ils ont modélisé dans cette simulation semble être quelque chose de similaire à l'entérovirus D68, mais pire.

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  11. Former les dirigeants africains à adhérer au discours

    L’exercice de contagion catastrophique a notamment consisté à impliquer les dirigeants des pays africains et à les former à suivre le scénario. Parmi les participants figuraient dix ministres de la Santé et hauts responsables de la santé publique du Sénégal, du Rwanda, du Nigéria, de l’Angola, du Libéria, de Singapour, de l’Inde et de l’Allemagne, ainsi que Bill Gates lui-même.

    Les pays africains ont eu la chance de s’écarter plus souvent que d’autres du scénario prévu pendant la pandémie de COVID et n’ont pas suivi les traces des pays développés en matière de vaccination. En conséquence, les fabricants de vaccins sont désormais confrontés au problème de disposer d’un groupe témoin énorme, car le taux de vaccination contre la COVID sur le continent africain n’a atteint que 6 % .

    Sans surprise (pour ceux qui le savent), l’Afrique s’en sort bien mieux que les pays développés ayant des taux élevés de vaccination contre la COVID-19 en termes d’infections et de décès liés à la COVID-19 .

    Aujourd’hui, l’exercice Catastrophic Contagion prédit que SEERS-25 tuera 20 millions de personnes dans le monde, dont 15 millions d’enfants, et que de nombreux survivants de l’infection souffriront de paralysie et/ou de lésions cérébrales. En d’autres termes, le « signal » donné est que la prochaine pandémie ciblera probablement les enfants plutôt que les personnes âgées, comme ce fut le cas avec la COVID-19.

    Il s’agit d’une coïncidence intéressante, sachant que les taux de tout-petits et de jeunes enfants hospitalisés pour la grippe et le virus respiratoire syncytial (VRS) augmentent déjà en flèche.

    Les vaccins contre la COVID détruisent le système immunitaire des gens

    Par coïncidence, au cours de l’année écoulée, des chercheurs ont mis en garde contre le fait que les vaccins contre la COVID-19 pourraient déréguler et détruire le système immunitaire des personnes, les rendant ainsi vulnérables à toutes sortes d’infections. Selon une étude 9 publiée sur le serveur de prépublication medRxiv en mai 2021, le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer/BioNTech « reprogramme à la fois les réponses immunitaires adaptatives et innées, provoquant une diminution du système immunitaire ».

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  12. En août 2021, un groupe français d’experts en maladies infectieuses pédiatriques a également averti que la « dette immunitaire » causée par un manque d’exposition aux virus et bactéries courants pendant les confinements et les fermetures d’écoles liés au COVID pourrait prédisposer les enfants à souffrir davantage d’infections à l’avenir .

    Ils ont prédit que la diminution de l'exposition virale et bactérienne qui renforce le système immunitaire de votre enfant pourrait entraîner une recrudescence de diverses maladies infectieuses, dont la grippe et le VRS, ce que nous observons actuellement. Si un entérovirus modifié est ajouté à la liste, il n'est pas difficile de comprendre comment les parents pourraient être suffisamment effrayés pour commencer à faire vacciner leurs enfants, y compris les parents des pays africains.

    Pourquoi les pandémies artificielles vont continuer
    À ce stade, il est tout à fait clair que la « biosécurité » est le moyen choisi par la cabale mondialiste pour prendre le pouvoir sur le monde. L’OMS s’efforce de s’assurer le pouvoir exclusif de répondre à la pandémie à l’échelle mondiale grâce à son traité international sur la pandémie qui, s’il est mis en œuvre, éradiquera la souveraineté de tous les pays membres.

    En fin de compte, l’OMS a l’intention de dicter tous les soins de santé. Le 13 décembre 2022, l’OMS a annoncé que Sir Jeremy Farrar, directeur du Wellcome Trust – qui s’est entendu avec le Dr Anthony Fauci pour étouffer le récit de la fuite du laboratoire COVID – a été choisi comme nouveau scientifique en chef .

    Le traité de l’OMS sur la pandémie ouvre la voie à un régime totalitaire mondial, imposé par le pouvoir, à un gouvernement mondial unique. Mais pour obtenir ce pouvoir, il faudra davantage de pandémies. La COVID-19 à elle seule n’a pas suffi à convaincre tout le monde de mettre en place une unité centralisée de réponse à la pandémie, et ils le savaient probablement dès le début.

    Ainsi, la raison pour laquelle nous pouvons être sûrs qu’il y aura d’autres pandémies, qu’elles soient fabriquées uniquement par la peur et le battage médiatique ou par une véritable arme biologique créée à cette fin, c’est que le plan de prise de contrôle, alias The Great Reset , est basé sur le principe selon lequel nous avons besoin d’une surveillance de biosécurité mondiale et d’une réponse centralisée.

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  13. La biosécurité, quant à elle, justifie la création d’un passeport vaccinal international, que le G20 vient de signer , et ce passeport sera également votre identification numérique. Cette identification numérique sera alors liée à votre score de crédit social, à votre empreinte carbone personnelle, à vos dossiers médicaux, à vos dossiers scolaires, à vos dossiers professionnels, à votre présence sur les réseaux sociaux, à vos relevés d’achats, à vos comptes bancaires et à une monnaie numérique programmable de banque centrale (CBDC).

    Une fois que tous ces éléments seront entièrement connectés, vous serez dans une prison numérique, et la cabale dirigeante – qu’elle soit officiellement un gouvernement mondial à ce moment-là ou non – aura un contrôle total sur votre vie du berceau à la tombe.

    Le COVID est une opération de propagande mondiale

    - voir clip sur site -

    Dans la vidéo ci-dessus, 12 , 13 initialement publiée en août 2021, le professeur Piers Robinson, Ph.D., expert en communication, médias, politique mondiale et rôle de la propagande, a parlé à Asia Pacific Today de la propagande à l'ère du COVID.

    Comme l’a souligné Robinson, la COVID-19 est sans conteste l’opération de propagande la plus vaste et la plus sophistiquée de l’histoire. Des techniques psychologiques ont été largement utilisées en 2020 pour susciter la peur au sein de la population, tandis que d’autres stratégies de persuasion ont été employées pour amener les gens à soutenir et à défendre les mesures de lutte contre la COVID telles que le port du masque, l’isolement, la distanciation sociale, le confinement et l’obligation de se faire vacciner.

    En effet, c'est la propagande qui a permis la mise en œuvre de mesures draconiennes et non scientifiques contre le Covid-19. Sans la propagande et la censure simultanée des opinions opposées, peu de choses auraient été possibles.

    Comme l’a noté Robinson, alors que l’utilisation de la propagande d’État pouvait initialement être justifiée comme un moyen nécessaire pour atteindre un objectif de santé publique – protéger les personnes contre les maladies et les décès liés à la COVID-19 – il est rapidement devenu évident que ce n’était pas le cas, et que cela ne l’a probablement jamais été.

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  14. Un certain nombre d’organisations de la société civile actives dans les pays en développement, dont Médecins sans frontières, s’opposent à ce que des groupes dominés par l’Occident prennent des décisions de vie ou de mort pour les nations les plus pauvres.

    « Qu'est-ce qui permet à Bill Gates d'être qualifié pour donner des conseils et conseiller le gouvernement américain sur la manière dont il devrait investir les ressources considérables ? », a demandé Kate Elder, conseillère principale en politique de vaccination pour la campagne d'accès de Médecins sans frontières, écrit Politico .

    Un consortium égoïste gère notre réponse à la pandémie
    Le rapport spécial de Politico continue : 16

    « Aujourd'hui, les critiques soulèvent des questions importantes sur l'équité et l'efficacité de la réponse du groupe à la pandémie - et sur les graves limites de l'externalisation de la réponse à la pandémie à des groupes non élus et financés par des fonds privés. "Je pense que nous devrions être profondément préoccupés", a déclaré Lawrence Gostin, professeur à l'Université de Georgetown spécialisé dans le droit de la santé publique.

    « Pour le dire de manière très grossière, l’argent achète l’influence. Et c’est la pire forme d’influence. Non seulement parce que c’est de l’argent – ​​même si c’est important, car l’argent ne devrait pas dicter la politique – mais aussi parce que c’est un accès préférentiel, à huis clos. »

    Gostin a déclaré qu'un tel pouvoir, même s'il est propulsé par de bonnes intentions et de l'expertise, est « antidémocratique, car il est extraordinairement opaque et non transparent » et « laisse de côté les gens ordinaires, les communautés et la société civile »…

    [D]e nombreux spécialistes de la santé mondiale se demandent si les groupes sont capables de réaliser les analyses rigoureuses nécessaires pour construire un système de réponse mondial plus solide pour l’avenir.

    « Personne ne demande réellement de comptes à ces acteurs », a déclaré Sophie Harman, professeur de politique internationale à l’université Queen Mary de Londres. « Et ce sont eux qui façonnent réellement notre capacité à répondre aux pandémies »…

    Sans l’intervention des gouvernements pour prendre les devants en matière de préparation à une pandémie, les quatre organisations, ainsi que leurs partenaires de la communauté sanitaire mondiale, sont les seules entités en mesure de diriger la réponse mondiale à une épidémie dévastatrice – une fois de plus.

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  15. « Ils sont financés par leurs propres moyens et/ou par des fonds de dotation et des fondations. Mais lorsqu’ils s’immiscent dans les affaires multilatérales, qui les surveille ? », a déclaré un ancien haut responsable américain. « Je ne connais pas la réponse à cette question. C’est assez provocateur. »

    Réflexions finales

    En fin de compte, nous avons donc déjà un pseudo-gouvernement mondial, sous la forme des ONG de Bill Gates. Elles prennent des décisions en matière de santé qui devraient être laissées aux États et/ou aux nations individuelles, et elles prennent des décisions qui leur permettront de se remplir les poches, indépendamment de ce qui se passe en matière de santé publique.

    Ils coordonnent et synchronisent la communication sur la pandémie au cours de ces simulations d'exercices pratiques, puis, lorsque la situation réelle qui correspond aux attentes apparaît, le scénario préétabli est simplement joué mot pour mot.

    Les pays africains n'ont pas suivi le scénario pendant la pandémie de COVID-19, c'est pourquoi ils se concentrent sur les dirigeants africains dans la dernière simulation. Ils doivent se débarrasser du groupe de contrôle africain en les faisant participer à des injections massives et à tout le reste. Il s'agit essentiellement d'un effort de recrutement.

    Enfin, entre la déclaration du G20 visant à mettre en place un passeport vaccinal international sous l’égide de l’OMS et le traité de l’OMS sur la pandémie, tout est réuni pour prendre le contrôle de la prochaine pandémie et, ce faisant, consolider davantage les bases d’un gouvernement mondial unique.

    *

    Remarques

    1 Scénario de pandémie SPARS

    2 Transcription de la déposition d'Anthony Fauci, 23 novembre 2022

    3 Contagion catastrophique

    4 vidéos sur la contagion catastrophique

    5 Entérovirus D68 du CDC

    6 entérovirus du CDC

    7 Premier message 19 novembre 2021

    8 Yahoo News 19 novembre 2021

    9 medRxiv 6 mai 2021

    10 maladies infectieuses aujourd'hui août 2021 ; 51(5) : 418-423

    11 Twitter Helen Branswell 13 décembre 2022

    12 Asie-Pacifique aujourd'hui 4 août 2022

    13 Twitter Robert Malone 7 août 2022

    14, 15, 16 Politico 14 septembre 2022

    https://www.globalresearch.ca/bill-gates-plans-new-catastrophic-contagion/5802719

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  16. Le gouvernement britannique propose des cliniques de genre du NHS et des essais de bloqueurs de puberté sur les enfants. Signez la pétition « Les enfants ne sont pas des rats de laboratoire sur lesquels on peut faire des expériences »

    ces médicaments endommagent de manière permanente la santé d’un enfant.


    Par CitizenGO
    Recherche mondiale,
    02 septembre 2024


    Des milliers d’enfants seront soumis à des expériences avec des bloqueurs de puberté.

    Le NHS England a confirmé son intention d'ouvrir six nouvelles cliniques spécialisées dans le genre et de commencer des essais cliniques sur des enfants qui bloquent la puberté. Cet essai clinique alarmant sera lancé en janvier 2025 et verra des milliers d'enfants mutilés et soumis à des expériences dans le but de promouvoir un programme transgenre.

    Ces médicaments sont conçus pour interrompre et modifier les changements physiques de la puberté, affectant de manière permanente le développement de l'enfant et causant des dommages irréversibles. C'est totalement injustifiable et contraire à l'éthique. Le programme doit être immédiatement annulé !

    Il s’agit de la nouvelle vague de soins supposés « liés au genre » et elle est censée découvrir les « avantages et les inconvénients potentiels des hormones suppressives de la puberté pour les enfants et les jeunes ».

    Cependant, il est déjà bien connu et prouvé que :

    Ces médicaments nuisent de manière permanente à la santé de l’enfant.

    L'étude Cass, publiée en avril 2024, a démontré que ces médicaments ne devraient pas être distribués aux enfants pour des soins liés au genre. Elle a également révélé les effets dévastateurs de « soins transgenres » encore moins invasifs, comme la transition sociale. L'étude a révélé que ces interventions dans la vie d'un jeune causent des dommages à long terme à sa santé mentale et physique.

    Pourtant, le gouvernement travailliste s’efforce désormais de réintroduire les bloqueurs de puberté dans le système de santé. Au lieu de développer les cliniques spécialisées dans la prise en charge des femmes, le NHS devrait se concentrer sur les causes profondes de la dysphorie de genre, comme les problèmes de santé mentale, l’autisme et les problèmes familiaux. Ce programme n’est rien d’autre qu’une autre façon d’utiliser les enfants vulnérables comme des pions politiques.

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  17. Il suffit de regarder les cas tragiques de détransitionneurs qui ont été traités à la clinique Tavistock pour prouver qu’un enfant ne peut jamais comprendre ce à quoi il accepte ; il n’est pas capable de consentir à des bloqueurs de puberté. Dans tout autre contexte, ce type de traitement serait considéré comme une mutilation et serait illégal. Dans aucun autre domaine de la médecine, l’expérimentation sur des enfants à des fins de recherche n’est considérée comme acceptable. Pourtant, les militants pour l’égalité des sexes ont réussi d’une manière ou d’une autre à persuader nos dirigeants politiques qu’il s’agit là de soins médicaux.

    Le gouvernement est désormais prêt à utiliser des milliers d'enfants dans le cadre de cet essai clinique sur les inhibiteurs de la puberté. Ces essais permettront à des adolescents en bonne santé physique de recevoir des médicaments qui altéreront de manière permanente leur développement, perturberont leurs hormones et porteront atteinte à leur santé reproductive.

    En plus des conséquences physiques irréversibles, les drogues ont de graves répercussions sur la santé mentale.

    Une forme légale de mutilation infantile

    Les changements hormonaux dramatiques et les changements corporels anormaux provoquent de nombreux troubles psychologiques, qui peuvent être permanents.

    En réalité, nous sommes témoins ici d’ une forme légale de mutilation d’enfants. C’est absolument inacceptable. Nous avons l’obligation morale de défendre ces enfants et de les protéger puisque le NHS est prêt à abuser d’enfants aux frais du contribuable.

    Comment est-ce arrivé ?

    Sous la pression des militants pour les droits des trans, le gouvernement a décidé de rétablir ces politiques néfastes.

    Mais il y a une bonne nouvelle : si la pression publique peut permettre de mettre en place ces politiques, elle peut aussi garantir leur élimination.

    C'est pourquoi j'ai besoin de votre aide ! Seule la pression publique peut mettre un terme à cette situation. Nous avons le pouvoir d'apporter un changement positif.

    Si nous échouons, nous ne parviendrons pas à protéger les plus vulnérables de la société. Ces enfants ont besoin de notre plaidoyer contre ces abus médicaux.

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  18. Nous avons le devoir et l’obligation morale de préserver le bien-être et l’avenir de nos enfants, en évitant des dommages à vie et en préservant leur enfance.

    Notre impact peut empêcher ces procès et protéger des milliers d’enfants innocents.

    Envoyons un message fort au gouvernement.

    Signez notre pétition exhortant Keir Starmer et Wes Streeting à arrêter l'ouverture de nouvelles cliniques de genre et à annuler les essais cliniques de bloqueurs de puberté sur les enfants.

    Les enfants ne sont pas des rats de laboratoire sur lesquels le NHS peut mener des expériences.

    Texte de la pétition
    Arrêtez les cliniques de genre du NHS et les essais de bloqueurs de puberté sur les enfants

    Chers Keir Starmer et Wes Streeting,

    Je vous exhorte à annuler les projets d’ouverture de six nouvelles cliniques spécialisées dans les questions de genre pour les enfants et à mener des essais cliniques sur des bloqueurs de puberté chez les enfants.

    Les enfants ne sont pas des cobayes pour les expériences du NHS. Ces médicaments ont des effets graves et à long terme sur leur santé et leur bien-être.

    La revue Cass a déjà prouvé les dangers et les dommages causés par les bloqueurs de puberté chez les enfants.

    Les personnes qui ont subi des préjudices dans les cliniques de Tavistock ne suffisent-elles pas ? Devons-nous continuer à nuire à davantage d'enfants sous couvert de « prise en charge de l'égalité des sexes » ?

    Au lieu d’élargir les cliniques de genre, attaquez-vous aux causes profondes de la dysmorphie corporelle, comme les problèmes de santé mentale et les problèmes familiaux.

    N’utilisez pas les enfants comme des pions politiques.

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  19. Ce programme honteux met en danger la santé de milliers d'enfants. Il s'agit d'un gaspillage de l'argent du contribuable, surtout quand on sait que le NHS est déjà surchargé.

    Arrêtons la réintroduction des bloqueurs de puberté. Protégeons nos enfants de dommages irréversibles.

    Cordialement,

    Signez notre pétition exhortant Keir Starmer et Wes Streeting à arrêter l'ouverture de nouvelles cliniques de genre et à annuler les essais cliniques de bloqueurs de puberté sur les enfants.

    https://www.globalresearch.ca/nhs-gender-clinics-puberty-blocker/5866839

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  20. Neuf joueurs de football de lycée sont décédés subitement en août 2024

    Personne n’ose évoquer le statut du vaccin à ARNm contre la COVID-19 ou les dommages causés par le vaccin


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    02 septembre 2024


    5 août 2024 – Hopewell, Virginie – Le joueur de football américain Jayvion Taylor, âgé de 15 ans, s’est effondré pendant un entraînement de football le 5 août 2024 et est décédé subitement. « L’étudiant s’est effondré à environ 3 mètres d’un entraîneur. Deux entraîneurs se trouvaient à proximité et ont immédiatement pratiqué la réanimation cardiopulmonaire et appelé le 911… Un DEA a été utilisé. »

    - voir photo sur site -

    13 août 2024 – Palatka, FL – Robert James Gillon III, 15 ans, est décédé subitement à son domicile suite à un arrêt cardiaque présumé

    C'était un rassemblement de lycéens que personne ne voulait voir : un hommage à Robert Gillon, un adolescent de 15 ans de Floride décédé plus tôt ce mois-ci d'un possible arrêt cardiaque le lendemain matin de s'être plaint de douleurs thoraciques avant d'aller à l'entraînement de football.

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    13 août 2024 New Brockton, AL – Le joueur de football de 14 ans Semaj Wilkins a subi une urgence médicale au début de l'entraînement de football et est décédé le 13 août 2024.

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    14 août 2024 – Baltimore – Leslie Noble, 16 ans, joueur de football, s'est effondré et est décédé le 14 août après une urgence médicale sur le terrain de football de Reisterstown.

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    14 août 2024 – Houston, TX – Landon Payton, 14 ans, qui avait récemment effectué un examen physique pour jouer au football, s'est effondré dans le gymnase de l'école et est décédé subitement.

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  21. 16 août 2024 – Shawnee, KS – Ovet Gomez Regalado, 15 ans, a eu une urgence médicale après une séance de conditionnement hors saison mercredi et est décédé le vendredi 16 août 2024.

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    24 août 2024 – Selma, AL – Le quart-arrière vedette du lycée de l'Alabama, Caden Tellier, âgé de 16 ans, est décédé après avoir subi une blessure à la tête lors de son match de football du vendredi soir.

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    24 août 2024 – Hewett, Virginie-Occidentale – Le joueur de football de 13 ans Cohen Craddock est décédé après une collision lors d'un entraînement de football vendredi.

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    31 août 2024 – Columbia, SC – Le joueur de football du lycée Troy Moore est décédé subitement le 31 août 2024.

    - voir photo sur site -

    *

    Mon avis…

    9 joueurs de football de lycée sont décédés en août 2024.

    Devons-nous encore faire semblant d’être déconcertés ?

    Même si des milliers d'enfants sont morts après avoir reçu les vaccins à ARNm Pfizer ou Moderna contre la COVID-19 ? Vraiment ?

    Notez que dans le reportage, personne ne mentionne même la possibilité d’une lésion due au vaccin à ARNm contre la COVID-19 – qui est le principal suspect dans chacun de ces cas.

    Cela se produit encore en 2024 parce que les parents le permettent.

    Il n'y aura pas d'enquête.

    https://www.globalresearch.ca/high-school-football-players-died-suddenly/5866810

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  22. De nouvelles ambiguïtés sur la validité des modifications des contrats de l'OMS


    2 septembre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Tard dans la nuit du 1er juin 2024, une version des amendements au Règlement sanitaire international (RSI) présentés peu auparavant a été déclarée adoptée. Bien que cela ne soit pas conforme aux règles et que les représentants des pays présents aient été clairement ignorés, on prétend toujours que les changements ont été acceptés.

    Les États membres disposent toutefois encore d'un délai de 10 mois, voire de 12 mois pour la Slovaquie, l'Iran, la Nouvelle-Zélande et les Pays-Bas, pour annoncer leur rejet des changements sous la forme d'un opting out. Le délai commence à courir dès que le Directeur général de l'OMS annonce officiellement les changements.

    Apparemment, il ne l'a pas encore fait, comme l'a découvert l'ABF Suisse (Alliance d'action pour une Suisse libre). La recherche est rapportée et expliquée dans un communiqué de presse :

    En travaillant avec des responsables politiques cantonaux et nationaux, ABF Suisse a constaté qu'il existe une véritable « confusion quant aux délais » autour de l'opt-out de l'IGV. «Qu'il s'agisse en partie d'une désinformation ciblée ou de lacunes dans les connaissances des organismes spécialisés cantonaux ou nationaux sollicités, nous ne le savons tout simplement pas.»

    Ce qui a en tout cas contribué à cela, c’est qu’en 2022, dans le cadre de la 75e Assemblée mondiale de la santé, « un raccourcissement des délais a été décidé » (art. 59 RSI), ce que les quatre pays cités ci-dessus ont judicieusement rejeté.

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  23. Afin de clarifier cette question, l'AFB Suisse a déposé en juillet une demande officielle auprès de l'Office fédéral de la santé publique (OFS) « Quand doit-on faire l'opt-out à l'IGV ? »

    Cependant, un résultat très intéressant a été mis au jour, sur lequel l'AFB Suisse attire désormais l'attention car il a une importance mondiale et est peu ou peu connu. En effet, « pour calculer les délais, il faut savoir à quel moment le Directeur général a effectué la notification nécessaire ».

    L’ article du site Internet d’ABF Suisse indique :

    » Selon les informations du BAG en date du 29 août 2024, « cela n'a pas encore eu lieu ». C’est étonnant si l’on compare cela avec la pratique antérieure et rappelons l’agitation avec laquelle les modifications du RSI ont été adoptées le 1er juin 2024, vers 21h07, peu avant la fin de la 77ème Assemblée mondiale de la Santé. »

    Donc si les règles sont respectées, la période n’aurait pas encore commencé. Si les règles avaient été respectées, rien n'aurait été déclaré « décidé » lors de la dernière assemblée générale, car seules les propositions connues depuis 4 mois peuvent être votées. Et une acceptation lors du « consensus » du dernier jour à 21h07 n'est pas sans rappeler une association d'éleveurs de petits animaux où une faction veut imposer une interdiction sur les serpents ou autre chose et en discute jusqu'à ce que la majorité des opposants s'endorment ou partir.

    Mais ce qui est accepté et ce qui ne l’est pas change peu de toute façon. Cela a été démontré par les campagnes Corona depuis mars 2020, pour lesquelles il n’existait aucune preuve, mais beaucoup de connaissances contraires et d’expériences éprouvées. Ceci est également démontré par les affirmations sur la grippe aviaire et les massacres ordonnés d’animaux de ferme, le prétendu danger de la variole du singe ou la « vaccination » contre la polio d’un million d’enfants à Gaza.

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  24. Jusqu'à ce que le Directeur général notifie et publie, aucune objection n'est possible. Dès que l’OMS voudra utiliser les nouveaux pouvoirs, elle le fera parce que « nous en avons besoin maintenant ». Quel homme politique risquera de se rebeller contre cela ?

    https://tkp.at/2024/09/02/neue-unklarheiten-ueber-gueltigkeit-der-aenderungen-in-den-who-vertraegen/

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  25. La Planète des Cinglés (partie 1)


    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 31 août 2024 - 18:00


    Je vous en ai fait état dans mon édito précédent le mépris dans la peau, dixit Gabriel Attal « 232 sites de vaccination ont été ouverts » en France alors qu'aucun cas déclaré de variole du singe n'a été recensé… en France. S'ajoute à cela l'annonce faite par Vladimir Poutine que la Russie propose une aide humanitaire, l'asile diplomatique aux personnes qui fuient la dictature woke mondialiste.

    De nombreux lecteurs m’ayant fait part de leur étonnement aux aberrations de plus en plus nombreuses que l’on voit surgir dans le monde en général et dans notre pays en particulier, cela m’a donné l’idée d’illustrer cette situation, mais pas sur la Terre. Sur une autre planète. Une planète, elle aussi, peuplée d'humains, et où cette situation est allée beaucoup beaucoup plus loin, mais pas exactement dans la même direction. Cette planète est à des années-lumière de notre bonne vieille terre et toutes ressemblances avec des personnes ou des pays connus seraient fortuites.

    Commençons.

    La communauté humaine qui habite cette planète, elle aussi, est en proie à de nombreux virus et épidémies. Notamment depuis que les virus ont été consacrés de manière dématérialisée et que les habitants ont dû protéger leurs machines électroniques des petites bestioles virtuelles représentées par des lignes de codes. Certains sont tellement contagieux qu’ils font le tour de la planète en quelques heures, la transmission s’effectuant principalement par courrier, (électronique bien sûr), ou alors par le principe de connexion virtuelle à ce réseau multidimensionnel InterCourse. Après un virus sorti officieusement d’un laboratoire, dont le narratif officiel relayé par les médias sera celui d’une idylle entre une chauve-souris et un pangolin, les habitants se trouvent exposés à un nouveau virus, la variole du singe. Mais, elle est surtout l'objet de ce que les habitants ont appelé une dictature terrifiante et inextricable.

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  26. En effet, sur cette planète imaginaire, le mensonge a été consacré au rang de vérité en acceptant la copulation invasive de ce pangolin comme thèse officielle de ce virus. De plus, la novlangue a permis la capture de nombreux mots afin d’y donner le sens inverse, il était important pour la minorité au pouvoir de ne pas apeurer les habitants. Cela a donc permis l’asservissement d’une immense majorité au narratif contrôlé par une infime minorité d'entre eux. La majorité étant trop contente qu’une minorité puisse leur parler de croyance en « la science » et du fait que, la minorité au pouvoir agirait « quoiqu’il en coute » pour leur bien, avec leurs impôts et leurs consentements. En échange, ils durent accepter de laisser de côté les lois et droits durement acquis au cours des siècles.

    Ces humains-ci ont été « augmentés » par une espèce venue d'une autre planète, encore : « Davos. » Un programme informatique a été implanté dans leur cerveau et ce programme permet de contrôler l'esprit des humains qui eux n'ont pas été « augmentés ». En contrepartie de cela, ces humains augmentés ont perdu les repères que dame Nature leur avait conférés et leur appareil génital. Ce programme a permis de leur faire considérer que les rapports sexuels sont l'apanage d’une autre espèce, celle des animaux. Voilà pourquoi ces humains-ci traitent les autres humains comme du bétail. Un cheptel humain 100 % dédiés à satisfaire le besoin de domination sur tous les autres « genres », qui caractérise leurs maîtres.

    J'ai appelé cette planète imaginaire « Cheeta. » Pourquoi ?

    Parce que le singe qui joue la guenon « Cheeta » dans le film « Tarzan », avec Johnny Weissmuller, était en réalité un chimpanzé mâle. Il s'appelait « Jitts », comme on peut le voir la sur la photo ci-dessus :

    Cheeta

    En voyant cette photo, les médias patentés expliquèrent que Jits était en « trouple » avec Tarzan et Jane. Sur « Cheeta » la version officielle sur la nouvelle maladie est sans équivoque aucune : Tarzan serait le patient zéro. Pourtant, il y a eu débat, car certains ont d’abord cru que c’était la « Rencontre du troisième type » qui avait donné naissance à ce virus. C'est donc à l'occasion d'un contact avec ce chimpanzé, qu'il a contracté la variole du singe. Jane, elle, non. Comme sur « Cheeta », le sexe a été substitué par le « type » ou « genre » au choix. Tarzan a donc un humain de genre type comme conjoint ! Vous me suivez, car personnellement j’en perds mon latin.

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  27. Blague à part, voici quelle est la situation sur « Cheeta. »

    Au terme abouti d'un « Parce que c'est notre projet ! » local auquel tous les médias ont collaboré, les humains augmentés ont divisé la communauté humaine de « Cheeta » en deux camps, deux côtés qui, officiellement, sont radicalement opposés. C'est-à-dire que, tout d’abord incités puis manipulés mentalement qu'ils ont été à cet effet par les humains augmentés, les humains « normaux » sont persuadés que, pour de vrai, ces deux côtés sont adversaires et s'opposent véritablement. Alors qu'en réalité il s'agit des deux faces d'une seule et même pièce. Pièce de monnaie et pièce de théâtre. J'entends par là, d'une part, la somme pharaonique que cela coûte aux contribuables chaque année, et, d'autre part, la tartuferie politique qui leur est jouée par des comédiens. Chacun de ces acteurs interprète le rôle qui lui a été attribué par l'humain « augmenté » qui tire les ficelles en coulisses, depuis sa loge. Une loge où loge également celui qui a pensé tout cela, et qu'on appelle à ce titre « le Grand Architecte » en sa version française : Jackata Lee, un ancien moine Shaolin dont je vous reparlerai plus tard.

    D'un côté, « le progrès » imposé au peuple par les dirigeants, par la peur, a conduit à la dictature dont je vous ai fait état plus haut. Et, de l'autre côté, « l'obscurantisme » lui aussi imposé par la peur. À savoir la doctrine politique contraire, mais qui, pour ce qui est de placer les humains « normaux » sous la domination des humains « augmentés », conduit au même résultat. Je reviendrai là-dessus dans la seconde partie de cet édito.

    Au prétexte d'une MST, maladie sexuellement transmissible inconnue jusqu'alors, la propagande commune à tous les pays de ce côté politique-ci de « Cheeta », a développé une discrimination constante de tous ceux qui ne pratiquent pas l'abstinence. Une victimisation sans cesse accentuée, de sorte que « l'abstinençophobie » est arrivée à supplanter le chantage ancestral et principal, jusque-là, sur cette partie-ci de « Cheeta » : « l'antikiltisme. » À savoir l'incrimination, comme responsable de tous les maux de la société, d'un peuple raillé pour son avarice présumée, un défaut qu'on lui prête (à un taux avantageux), et dont la tenue rituelle est une jupe à carreaux multicolores.

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  28. Ce peuple a élu domicile un peu partout sur la planète, c'est vrai, « sans qu'on ait voté en ce sens », ajoutent ceux qui souffrent de cette déviance intellectuelle. Une déviance intellectuelle heureusement réprimée par la loi. Dans la plupart des pays de ce côté-ci de « Cheeta », l'antikiltisme n'est pas une opinion : c'est un délit.

    Puisque sur « Cheeta », hormis les humains augmentés, tout le monde pratique le sexe, enfants et vieillards compris, cette incrimination des non-abstinents par les abstinents, a accouché d'une réduction drastique des libertés publiques et privées, au préjudice, donc, des non-abstinents.

    Cette réduction drastique des libertés est intervenue au prétexte inventé, et ainsi fallacieux lui aussi, d'un autre virus. Un virus qui affectait absolument tout le monde, lui, et qui, soi-disant, était 100 fois plus dangereux, transmissible et létal que la MST originelle susdite.

    La planète des cinglés.

    Et, constatant qu'il aura suffi que, dans chaque contrée, la milice étatique et les tribunaux châtient ostensiblement la fange contestataire, pour que l'opposition populaire pourtant pleinement légitime, « elle » (j'explique pourquoi plus loin) cède entièrement, les dirigeants ont récidivé dans l'utilisation successive combinée de deux vecteurs politiques basiques, qui a fait ses preuves depuis l'Antiquité.

    Après une période de trois semaines de festivités artificielles plébéiennes, savamment orchestrée, reconnaissons-le, en application du principe éprouvé d'accaparement de tous les pouvoirs qu'est « Donnez du pain et des jeux au peuple et il ne se révoltera pas », le recours à la peur panique institutionnalisée (second vecteur politique) a permis l'acceptation, par la masse endormie soumise l'imposant à la minorité éclairée, de restrictions d'absolument toutes les libertés.

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  29. En plus d'être irréversibles (j'explique pourquoi aussi après), ces restrictions sont encore plus terribles que les précédentes. Tout particulièrement pour les foyers les plus pauvres, « la populace », mais pas que. Cette fois aussi, les classes moyennes en souffrent jusqu'à étouffement.

    Oui. Les éternelles vaches à lait ont rejoint « le troupeau » des crève-la-faim, ces contribuables qui, pressés fiscalement à l'extrême qu'ils sont désormais, sont à ce point totalement à sec aujourd'hui, que dorénavant les vaches à lait ne donnent plus que du lait en poudre.

    Comment les dirigeants de cette partie-ci de « Cheeta » ont pu faire accepter cette situation à ceux qui en souffrent ? C'est simple.

    D'abord, évidemment, en accentuant la censure, la mise au ban et la répression, et en les portant jusqu'à des sommets dans l'ignominie et dans l'horreur. Ces sommets de déshumanisation, dirais-je, sont proportionnels à la peur de perdre le pouvoir constatée chez ses tenanciers, à chaque fois qu'ils sentent que celui-ci leur échappe. Notamment quand le peuple sur lequel ils ont la mainmise, comprend que, ce qui est en train de laisser place sournoisement à l'exploitation nourricière des moutons par ces bergers cannibales, c'est l'extermination de ces animaux humains, qui donc soudainement cessent d'être bêtes. Prenant conscience que, du plan machiavélique « génocidaire » auquel ils assistent, ils sont le dindon de la farce. Le plat « de » résistance inéluctable de ce festin scélérat gargantuesque, si « la Résistance » ne s'organise pas.

    Ensuite, si ces restrictions ont pu être si terribles et sont devenues irréversibles, c'est parce qu'elles furent frauduleusement justifiées par un chaos économique. Une faillite avancée par les autorités comme intervenant « Et c'est donc par le plus grand des hasards... », alors qu'en réalité cette faillite résulte d'une politique menée depuis 40 ans, pour, à ce terme échu, pouvoir verrouiller la domination d'une infime partie des humains : les humains « augmentés », imposant leur volonté hégémonique aux autres humains. La caste illégitime de quelques privilégiés autoproclamés « les élites », parasites nuisibles au possible qui dirigent tout, possèdent tout et détruisent tout, au lourd préjudice « des gens qui ne sont rien », ces milliards d'individus réduits en esclavage, et forcés à se soumettre à ce que sur Terre, on appelle le crédit social « à la chinoise. »

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  30. Oui. Huit milliards d'humains qui ne possèdent plus rien et qui sont malheureux.

    De surcroît, le soi-disant « vaccin » contre cette seconde MST, cachait en réalité toute autre chose. Des nanoparticules programmées pour rendre les humains « normaux » génétiquement compatibles avec les humains « augmentés » ; c'est-à-dire afin que leurs maîtres puissent avoir à leur disposition, les organes nécessaires à ce qu'ils puissent prolonger indéfiniment leur existence décadente et vide de sens réel, via des multiples greffes, sans risque de souffrir d'un rejet. Et, par là étancher leur soif de pouvoir, elle aussi, infinie.

    Enfin, « Diviser pour mieux régner » étant carrément, lui, « LE » principe de base de tout dictateur, sur « Cheeta » ils l'ont utilisé à foison et dans tous les domaines. De plus sur « Cheeta » on a pu voir tour à tour des juges suprêmes imposer des mesures drastiques de réduction de la liberté d’expression, des entrepreneurs défendant la liberté d’expression attaqués ou mis en examen alors que les fonds de citoyens de certains États étaient envoyés pour alimenter la défense militaire d’un des pays les plus corrompus. Mais, tout cela fut vu et lu à la télévision et dans les médias subventionnés, mères et pères de toutes les vérités patentés.

    C'est ainsi que, durant chacune des deux pandémies bidons dont je vous ai fait état préalablement, les dirigeants de ce côté-ci de « Cheeta » ont pu faire s'opposer les anti et les pro-humains venus d'autres planètes, en lieu et place des opprimés, « cheetaiens » et « extracheetaesques » unis, s'insurgent contre la dictature des humains « augmentés ». Cette dictature subie par tous les humains « normaux », qu'ils soient pro ou anti-extracheetaesques. Cette dictature qui donc consiste en ceci : une poignée des tarés complets, tyrans de la pire espèce, imposent leur volonté démoniaque eugéniste, aux 99,99999% autres habitants du monde, protégés qu'ils sont, ces bergers cannibales, par des chiens de garde enragés. Une police surarmée et exagérément importante en nombre d'hommes, qui atteste cumulativement, d'une part, de la peur d'être renversés qu’habite les tyrans sanguinaires au moment critique d'une fin de régime, et, d'autre part, de la déliquescence qui frappe les membres de cette police à tous les niveaux (déontologie, éthique, morale, etc.), des policiers passés ainsi de « forces de l'ordre » à « forces du chaos. »

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  31. Et qu'en est-il concernant l'autre côté, celui qui, officiellement, est opposé à la dictature des humains « augmentés » ?

    Jusque-là, vous conviendrez que la situation décrite ferait un excellent narratif pour un film hollywoodien d’info fiction. Un terme approprié puisque les politiques de « Cheeta » ont consacré le mensonge au rang de vérité.

    Cependant, la réponse à la question, ci-dessus, demandant un espace aussi long que celui que j'ai consacré au premier de ces deux côtés, soufflons un peu et retrouvons-nous pour cela dans la seconde partie de cet édito.

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/la-planete-des-cingles-partie-1

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    1. En premier a été lancé 'le virus' (poussière TOTALEMENT INOFFENSIVE sauf la poussière radioactive, ce qui n'est là pas le cas). Oui mais cette poussière (appelée au début 'Corona' pour sa forme de couronne) était précisée agressive et... mortelle ! HOULALA ! HOULALA !

      Et là, remarquez bien, AUCUN 'docteur' ou 'chef de clinique' n'a crié à l'arnaque !! AUCUN ! Parce qu'une poussière (appelée 'virus') n'est PAS A CONFONDRE avec un microbe ! Un microbe est une bactérie vivante qui transporte une maladie. Ce qu'une poussière (qu'elle soit appelée 'virus' ou 'corona' ou 'cocovide19' ou 'charlie-bravo-omicron') ne peut pas faire. Mais, quand un diplômé de médecine reçoit beaucoup d'argent pour fermer sa gueule...

      Nous respirons toutes et tous 200 000 poussières (appelées 'virus') et microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis CE MATIN et, DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! Et, NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!

      Puis sont arrivés les 'vaccinodromes' avec ses bourreaux porteurs de seringues létales qui reçoivent 500 euros par jour !
      Pourquoi ce mot de 'bourreaux' est-il employé ? Parce que, dès leurs sorties de laboratoires, les flacons injectables ont été analysés !! Analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej avec des microscopes a balayage électronique. Et le résultat a été effrayant !! Et, leurs analyses ont été PUBLIÉES ! Et, c'est le monde entier qui en a pris connaissance.

      Chaque flacon (suivant les laboratoires) contenait et contient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !!: + des spikes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!

      Si avec çà t'es pas mort...

      C'était le Plan Dépopulation21 appliqué. Et, 'le pire' a été l'arrivée du mot 'asymptomatique' , c'est-à-dire se croire en bonne santé alors qu'on est malade !! Donc: 8 milliards de malades sur Terre ! Car les 'tests' sont impartiaux ! ils sont appelés 'tests RT-PCR', il s'agit d'un coton en bout d'écouvillon qui est enfoncé dans le nez jusqu'aux fosses nasales !!! (qu'il est en médecine interdit de toucher !). Ces cotons déposent en cavité nasale des nano-particules d'oxyde graphène qui jouent le rôle de relais entre les signaux reçus sur téléphone portable et le cerveau.

      Idem pour les gels hydroalcooliques qui contiennent aussi des nano-particules d'oxyde de graphène comme les masques 'appelés frauduleusement masque anti-virus' !! alors qu'il N'EXISTE PAS et NE PEUVENT EXISTER de masque 'anti-virus' (nano-poussière) ni de masque 'anti-microbe' car les mailles du tissus seraient si serrées qu'elles ne permettraient pas le passage de l'air !

      C'est l'escroquerie internationale à son comble !

      De plus: Il est STRICTEMENT INTERDIT de vacciner qui que ce soi durant une épidémie ou pandémie. IL DOIT OBLIGATOIREMENT être pratiqué une sérologie AVANT et APRÈS la piqûre.

      Maintenant, après la poussière qui s'évade d'un laboratoire (et qui viendrait d'un pangolin et/ou d'une chauve-souris) voici qu'arrive le nouveau sida du contact sexuel de l'homme avec le singe et qui... ferait du MONDE ENTIER un vaste bordel pédérastique où TOUTES les clientes et TOUS les clients (8 milliards) DEVRONT être piqués ! INOCULÉS PROFOND ! COMPRIS ?!

      Or, et ceci est TRÈS IMPORTANT, figurez-vous qu'il y a au monde des milliers de laboratoires qui - chaque jour - analysent la qualité de l'air et... et n'ont JAMAIS trouvé de 'cocovide19' ou de 'Charlie-Bravo-Omicron' dans l'air (poussières qui seraient susceptibles de... faire des petits !! d'avoir des frères et sœurs ! cousins-cousines et relations diverses et même le pouvoir de 'muter' !! ou de 'varier' !! La vraie pédale quoi !).

      Mais alors me diriez-vous... MAIS OU EST CETTE POUSSIÈRE INVISIBLE EXTRATERRESTRE si elle n'est pas dans l'air ? (très bonne question !). Cette nano-poussière (1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre, 1 milliardième de mètre), nano-particule de poison est... dans la seringue !
      Si t'es piqué tu l'as ! Si tu l'as t'es mort !

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  32. La planète des cinglés (partie 2) - Ah ah ! Affreuse variole du singe !


    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 01 septembre 2024 - 18:00


    Edito satirique. Ah ah ! Affreuse variole du singe !

    Qui se cache

    Mais revenons sur « Cheeta ». Cette planète très éloignée où les choses sont allées réellement plus loin dans la perte de repères, la capture des droits fondamentaux, la consécration du mensonge comme vérité contrôlée par les médias sous peine de procès en anti-tout. Les nantis y sont les « antis » libertés fondamentales. Concernant l'usage des pandémies inventées pour l’occasion (première partie), sachez qu'il a été procédé pareillement de l'autre côté, celui qui, officiellement, est opposé à la dictature des humains « augmentés. »

    Diable !

    Sur « Cheeta », le côté pro-dictature et le côté anti-dictature sont en réalité les deux faces d'une même pièce. Une entité unique collusoire qui fonctionne comme suit :

    La nature humaine est ainsi faite. Si les peuples comprennent qu'ils sont sous le joug d'une entité sans une alternative crédible et une échappatoire putative, ils se révoltent. Quitte à mourir en masse. À plus forte raison lorsque cette entité, minoritaire en nombre, mais dirigeante, est malveillante. Sachant cela, l'entité dirigeante qui sévit sur « Cheeta » a fait ceci pour maintenir les peuples sous son emprise, tout en évitant cette certitude, sinon, de révolte. Elle a divisé en deux blocs distincts la mainmise qu'elle exerce. Deux blocs qui donc, officiellement, s'opposent, et qui, pour donner le change auprès des peuples, se chamaillent sans cesse, et même guerroient épisodiquement sur des points « fondamentaux », mais qui, en réalité, sont pour eux de nulle importance. Des leurres sans aucune importance véritable, perpétuellement mis en lumière autant que faire se peut, afin que ceux qui sévissent dans l'ombre, puissent continuer à le faire en toute impunité. Et, qui plus est, en passant pour des « bienfaiteurs » auprès des peuples au sein duquel ils exécutent leurs basses besognes. Les peuples de l'un comme de l'autre de ces deux côtés étant tous similairement grugés par cette mascarade perfide. Tout est dans l’image et son contrôle afin de permettre de garder le pouvoir.

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  33. Sur « Cheeta » aussi, il y a des humains que, comme sur Terre, ceux qui servent le pouvoir en place appellent des « complotistes » ; à savoir des personnes qui font état de constats qui démontrent les la fausseté de la version officielle des faits, donnée par le Gouvernement et les médias de propagande instrumentalisant la science, et réduisant les droits fondamentaux avec moultes inversions accusatoires.

    Au nombre de ces faits que le pouvoir s'emploie ainsi à écarter de la connaissance collective, figure bien entendu l'ingénierie sociale. Des opérations psychologiques permanentes, à laquelle il est procédé, par les médias, l'école, la culture étatique et le divertissement de masse. Tout cela dans l'optique de cacher aux peuples cette entente despotique collusoire et les maintenir dans une perception que le pouvoir agit dans leur intérêt. Et, comme elle s'opère au niveau de la planète, il est un espoir vain d'espérer que les dirigeants de tel camp seront les sauveurs des peuples opprimés par l'autre camp, et inversement.

    Comme sur Terre, sur « Cheeta » les complotistes sont pareillement combattus sans relâche, raillés et diffamés par les politiciens et les médias, et durement punis par les organes de coercition étatiques. Mais sur « Cheeta », ceux-ci y ajoutent cela. Ils se montrent les zélés kapos de la cabale en marche avec l’un d’entre eux qui cherche à « emmerder » ceux qui n’auraient pas succombé à ses ordres établis sur des déclarations fallacieuses scientifiques. « La solution finale » décidée pour éliminer « les inutiles » ; termes employés par Jackata Lee.

    Cet ancien moine Shaolin qu'on appelle « Le Grand Architecte », est aussi le marionnettiste revendiqué des chefs d'État du pays que, sur « Cheeta », on appelle dorénavant « la Trance. » C'est en référence au fait que, pour humilier les humains « normaux », les humains « augmentés » ont fait voter une loi qui oblige tous les autres humains à accepter la théorie du « genre » (et à changer de « type » tous les cinq ans !). À savoir à chaque nouvelle élection présidentielle. Mais, c'est également en référence au fait que ce pays est dirigé par un dénommé M Anus El Makh Ron, qui, à chacune de ses prises de parole, est victime de diarrhées verbales.

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  34. Mais bon. Heureusement pour nous, sur Terre, nous n'en sommes pas là.

    Certes, l'injustice de la variole du singe est flagrante. Puisque, comme pour le sida, le Professeur Didier Raoult l'a rappelé récemment, l'occurrence inévitable de sa transmission est une relation intime de type coït rectal. Hautement fine et très veineuse est la muqueuse corporelle à cet endroit. Et, alors, il est aisé, pour ceux qui aspirent à finaliser l'instauration d'une dictature du type ou du genre accouplée à un crédit social, d'user à cet effet du biais tordu de la victimisation. Dirigeants actuels en tête.

    Si ! Le sida était « l'acte 1 » de ce que j'appelle « la dénormalisation » : l'écartement systématique institutionnalisé de la sphère publique, de ce tout qui est « la Nature », et par le truchement duquel les dirigeants, aidés par les médias, arrivent à enfermer la majorité dans un métaverse complètement à l'opposé du réel, et au bénéfice d'une minorité.

    La soi-disant révolution « Mai 68 » et la « libération sexuelle » qu'elle prônait n'étaient qu'un leurre. Une mystification posant les bases d'une évolution des mœurs cette fois dans la mauvaise direction où toutes les perversités s'affichent ouvertement, et revendiquent dès lors le caractère de norme.

    Pardi ! Le meilleur outil des dictateurs qui ont pour « Parce que c'est notre projet ! » une réduction éminemment substantielle des libertés de la population mondiale, y compris celle de vivre, est la dégénérescence sexuelle généralisée passant par la théorie du genre. (1)

    Et, s'il vous plaît, qu'on ne vienne pas céans affirmer qu'on affabule, lorsqu'on avance plausible, l'hypothèse que l’inoculation est l'arme de destruction massive utilisée par les dirigeants félons, pour diminuer la fertilité et ainsi la population sur Cheeta afin de réduire les émissions de gaz carbonique. Un gaz auquel on a déclaré la guerre alors qu’il ne représente qu’une partie infinitésimale de l’atmosphère. Mais sur Cheeta on s’est mis en tête de réduire à Zéro ces émissions ! C'est Gilles Bates, alias « le Grand Architecte des systèmes d’exploitation DOS(2) » menant à « l’inoculation pour tous » comme antivirus qui a avancé cette hypothèse, et expressément en tant que solution pour laquelle il convient d'opter.

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  35. Sur Terre, c’était en 2011. Ces propos, le patron de Microsoft les aurait tenus, lors d'une conférence TED dont le contenu a été en partie retranscrit dans ce journal anglais et qui a fait l’objet de nombreuses tentatives de réfutation dans les médias pour essayer de ne pas lui attribuer des propos sur la réduction de la population ! Voilà ce qu’il a dit en parlant du gaz carbonique et du fait qu’il faudrait ramener ses émissions à zéro : « Cette équation a quatre facteurs, un peu de multiplication. Donc, vous avez une chose sur la gauche, le gaz carbonique, que vous voulez ramener à zéro, et cela sera basé sur le nombre de personnes, les services que chaque personne utilise en moyenne, l'énergie, en moyenne, pour chaque service, et le gaz carbonique émis par unité d’énergie. Alors, regardons chacun d’entre eux, et voyons comment nous pouvons ramener cela à zéro. Il est probable que l’un de ces nombres devra se rapprocher de zéro. » « Tout d’abord, nous avons la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Cela représente environ neuf milliards. Maintenant, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé reproductive, Nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 pour cent peut-être. Mais là, on voit une augmentation d'environ 1,3. »

    En 2021, les fact checkers ont fait un exercice de sauvetage du soldat Gates, dont la fondation est contributrice à millions dans les médias, en tentant de justifier qu’il n’aurait pas tenu un tel propos. Mais, il a bien insinué qu’une réduction de la population était souhaitable afin de réduire les émissions de gaz carbonique, certaines de ces variables devant aller à 0. La réduction de la croissance de la population consiste donc à en contrôler le nombre et par définition à en diminuer la base effective. Et, il a bien parlé au travers de nouveaux vaccins ou soins de santé ou services de santé reproductive. Ce qui veut ainsi dire, le contrôle des naissances. Les intentions étaient là quoiqu’en disent les médias.

    Pour mémoire, si le « Make love not war » a été vulgarisé au possible par les médias américains, ce fut pour faire oublier le fiasco politique, économique et humain de la guerre du Vietnam.

    Donc, exactement comme le sida cachait bien une autre crise, la guerre du Golfe, la covid, lui, cachait la perte de pouvoir de l'Occident. Cette perte de pouvoir de l'Occident au bénéfice des BRICS, qui a précipité dans la guerre en Ukraine, ces deux camps soi-disant opposés, et qui prétendument se combattent.

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  36. Pourquoi ?

    Parce que la menace d'un conflit planétaire nucléaire est la meilleure façon de rétablir l'équilibre entre ces deux camps. Cet équilibre est nécessaire à ce que la farce politique des deux camps, officiellement « différents », continue d'être effective, et continue ainsi de maintenir le monde entier dans une forme de dictature globale et unique.

    La menace seulement, et non pas la guerre mondiale elle-même. Car si utilisation de l'arme atomique, il y a, c'est l'humanité toute entière qui sera anéantie : maîtres et esclaves.

    Concernant tant le sida que la variole du singe, pardonnez-moi de devoir le répéter, les comploteurs ne pouvaient pas répandre un virus trop contagieux, synonyme d'une transmission à eux potentielle. C'est donc une version édulcorée qui aurait été trafiquée en laboratoire. Or, atténué dans sa virulence qu'il est, le virus ne franchit que très difficilement les barrières naturelles corporelles fortes que sont la peau ou la muqueuse vaginale ; qui elle est épaisse et kératinisée, au contraire de la muqueuse rectale, qui elle est très fine et hypervascularisée. D’où l’efficacité des traitements médicamenteux administrés en suppositoires.

    Malheureusement pour nous, les cerveaux lavés par la propagande sont tout aussi perméables, eux, aux suppositoires politiques, culturels et sanitaires, en lesquels consistent les fausses informations inoculées par les médias.

    Dans ces trois domaines tout particulièrement, mais pas seulement.

    Quel que soit le sujet de ce traitement de choc délivré sans ordonnance, les médias sont le virus. Ceci semble vrai autant sur Cheeta que sur Terre. TF1, France-Télévision, BFMTV, Cnews, C8, Libé, Le Monde et Cie en sont l'illustration récurrente et pernicieuse.

    En témoigne la récente rétractation de l’étude des chercheurs de l’université de Lyon (Pradelle, Mainbourg, Lega et al.) promue dans tous les médias par Mathieu Molimard, un professeur de l’université de Bordeaux. Cette étude concluait faussement que 17 000 personnes auraient pu mourir de la prise d’hydroxychloroquine. L’Impertinent Media y a d’ailleurs consacré un excellent article en venant se rajouter aux quelques médias qui ont parlé de la rétractation de cette étude frauduleuse qui n'aura servi qu'à blanchir des fausses informations par médias mainstream interposés.

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  37. En effet, les conclusions de l’étude furent reprises par des médias quasiment partout dans le monde, avec le Pr Molimard qui avait tribune libre dans les médias francophones sans contradicteur. Ils ont donc contribué à la désinformation du public entre janvier et aout 2024, sans vérifier l’information lors de sa publication. Alors que de nombreuses lettres de préoccupations sur cette étude avait été envoyées à l’éditeur, Mathieu Molimard continuait à promouvoir une information qu’il ne pouvait ignorer comme étant contestable et contestée, pour ne pas dire fausse. La répétition de ces conclusions inexactes dans les médias entrainait donc la perception que ce traitement est toxique et contribue à la décrédibilisation des chercheurs de l’IHU méditerranée.
    Cependant, le plus affligeant est la propagande à laquelle se prêtent ces médias, en ne parlant pas de la rétractation de l'étude, alors que la charte de déontologie des journalistes dans son devoir numéro 6 les oblige à « rectifier toute information qui s’avère être inexacte ».

    Ce tweet l’explique.

    Alors qu'au Brésil, X a été interdit par décision de justice et son usage à travers un VPN est passible d'une amende de 8000 euros par jour, outre la désinformation, les épidémies qui tombent à pic, la censure juridico politique fait rage.
    Une censure qui semble à géométrie variable car hier encore, alors que X semblait désactivé, le parti PT (du président Lula faisait encore usage de X !

    De plus, on peut légitement s'interroger sur ce que révéleraient les TelergamFiles ou TelegramLeaks tellement l'arrestation et la remise en liberté conditionnelle de Pavel Durov interpelle (sous caution de 5 millions d'euros et obligation de ne pas quitter le territoire français).

    Parfois, je me demande si nous ne sommes pas sur la planète des cinglés. Et, vous ?

    1) j'avais déjà expliqué en substance cette stratégie marketing dans cet article « de l'expansion constante des catégories LGBTQIA2S qui défient l'hétérosexualité en tant que norme ». Néanmoins, c'était avec des termes différents et des exemples autres. C'est la raison pour laquelle j'ai jugé utile d'y pourvoir de nouveau aujourd'hui, de cette manière.

    2) DOS, Disk Operating System, étant le système d’exploitation des PC mis au point par Microsoft pour opérer l’accès au disque, support de la mémoire.

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/la-planete-des-cingles-partie-2

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  38. « L’État, c’est moi ! » contre « L’État est à nous ! » – Un appel aux tribunaux citoyens pour lutter contre l’injustice du Corona.


    1 septembre 2024
    par Dejan Lazić


    La question de savoir si l’État appartient au gouvernement ou aux citoyens revêt une importance centrale à une époque de tensions politiques et de divisions sociales croissantes. L’auteur a évoqué la nécessité de remédier à l’injustice du Corona par le biais de tribunaux citoyens.

    Mais cette exigence comporte des risques : elle pourrait être considérée comme une « délégitimation de l’État », qui diffamerait et criminaliserait rapidement les critiques. Les développements actuels montrent que les gouvernements occidentaux répriment de plus en plus toute forme de critique et s’assimilent à l’État, ce qui contredit leurs propres principes démocratiques fondamentaux. Ce faisant, ils se délégitiment eux-mêmes.

    Dans cet article de Tpk, j'ai souligné la nécessité de traiter l'injustice des mesures Corona par l'intermédiaire de tribunaux citoyens. Cette idée est née de l’incapacité manifeste du pouvoir judiciaire et politique à reconnaître l’injustice en tant que telle et à demander des comptes aux responsables. Au lieu de cela, les victimes et les critiques sont condamnés et criminalisés. De nombreux lecteurs m’ont alors demandé ce que j’imaginais exactement comme de tels tribunaux citoyens. Dans le même temps, des critiques ont également été formulées : certains préviennent que la demande de tribunaux citoyens pourrait être qualifiée par les services secrets nationaux, appelés Bureau pour la protection de la Constitution, de « délégitimation de l'État ». La crainte est justifiée que de telles exigences puissent conduire à être diffamé en tant que droitier ou même en tant que citoyen du Reich.

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  39. Avant de faire des suggestions détaillées pour la conception de tribunaux citoyens dans un article ultérieur, il est important de souligner ces dangers réels. Il apparaît de plus en plus clairement que les critiques à l’encontre du gouvernement, même si elles se fondent sur les principes démocratiques et les droits fondamentaux, peuvent rapidement être présentées comme une menace. Cela soulève des questions fondamentales : jusqu’où l’État peut-il aller pour se protéger contre les critiques, et quand cette fonction protectrice devient-elle elle-même une menace pour la démocratie ? Les derniers développements montrent qu'il existe une dangereuse équation entre l'État et le gouvernement, qui porte atteinte aux droits défensifs des citoyens consacrés dans la Loi fondamentale.

    La dangereuse équation entre État et gouvernement

    La célèbre déclaration « L'État, c'est moi ! » est attribuée à Louis XIV, le Roi Soleil, et incarne la compréhension absolue du gouvernement dans lequel le monarque partage son pouvoir directement avec le l'état est égal. Cette idée d’un pouvoir indivis a finalement conduit à un système dans lequel toute critique était considérée comme une menace pour l’ordre étatique. À l’opposé de l’idéal de la Révolution française : « L’État est à nous ! » Le principe selon lequel l’État n’appartient pas à un gouvernement ou à une personne, mais à tous les citoyens était consacré. Cette conception révolutionnaire constitue la base des démocraties modernes, dans lesquelles le pouvoir vient du peuple et où les gouvernements ne sont légitimés que pour une période de temps limitée.

    Mais en Allemagne et dans de nombreuses autres démocraties existantes, nous assistons de plus en plus à un retour dangereux à une façon de penser plus proche du Roi Soleil que des idéaux de la Révolution française. Le gouvernement commence à s’identifier à l’État et à qualifier toute forme de critique de « délégitimation de l’État ». Cette équation sape les droits défensifs fondamentaux que la Loi fondamentale garantit à chaque citoyen – le droit de remettre en question, de critiquer et de demander des comptes au gouvernement.

    Le gouvernement est une institution temporaire légitimée par les élections et dont le pouvoir est limité par la constitution. Ce n’est pas l’État lui-même, mais une partie de celui-ci qui est élue par le peuple et qui peut être rejetée à tout moment. L’État, quant à lui, est l’ensemble de ses institutions et de ses citoyens, une construction permanente qui existe indépendamment du gouvernement concerné.

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  40. Lorsque le gouvernement commence à s’assimiler à l’État, il tente d’échapper à toute forme de critique en la présentant comme une attaque contre l’État. Cette équation est dangereuse et inconstitutionnelle car elle brouille la séparation nécessaire entre le gouvernement en tant que direction changeante et l’État en tant que structure permanente. Un gouvernement qui s’identifie à l’État a tendance à ignorer les contrôles constitutionnels. Les critiques du gouvernement sont rapidement déclarés ennemis de l’État afin de réprimer toute forme d’opposition et de délégitimer les critiques légitimes à l’égard des structures du pouvoir.

    Séparation des pouvoirs : idée et réalité

    La Loi fondamentale, qui constitue la Constitution de la République fédérale d'Allemagne, est plus qu'un simple document juridique.

    La Loi fondamentale doit être comprise comme un rempart contre la concentration du pouvoir et le risque d’abus de pouvoir de la part de l’État. Il postule une séparation claire entre les organes de l'État – législatif, exécutif et judiciaire – et veille à ce qu'ils se contrebalancent mutuellement. Ce principe de séparation des pouvoirs vise à empêcher le gouvernement de se placer au-dessus des lois.

    Mais en réalité, il n'existe pas de véritable séparation des pouvoirs en Allemagne . Le pouvoir judiciaire n'est pas indépendant car il est influencé par l'exécutif et donc indirectement par le gouvernement. Le pouvoir législatif n’est pas non plus totalement indépendant, dans la mesure où son travail est dominé par la majorité et la coalition gouvernementale qui lui est associée. En conséquence, il n’existe pas de contrôle et d’équilibre efficace des pouvoirs et le gouvernement est en mesure d’exercer son pouvoir sans contrôles et contrepoids suffisants. Cela contredit l’idée fondamentale de la Loi fondamentale, qui vise à empêcher la concentration du pouvoir et les abus. Au lieu de cela, il s’avère que le pouvoir du gouvernement s’étend de manière incontrôlable et que la prétendue séparation des pouvoirs est encore plus restreinte dans la pratique.

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  41. Le droit des citoyens à se défendre contre l'État

    Le rôle du citoyen est important : la Loi fondamentale garantit à chaque citoyen des droits défensifs fondamentaux qui servent à le protéger contre l'arbitraire de l'État. Il s'agit notamment du droit à la liberté d'expression (article 5), du droit à la liberté de réunion (article 8) et du droit à la liberté de la presse (également article 5). Ces droits ne sont pas de vaines promesses, mais des éléments centraux d’une démocratie dynamique qui donnent aux citoyens la possibilité de critiquer, de surveiller et, en cas de doute, de rejeter leur gouvernement.

    La Loi fondamentale constitue un bouclier protecteur pour les droits des citoyens contre l'agression et l'arbitraire de l'État. Cela garantit que le gouvernement peut être légitimé et contrôlé par le peuple à tout moment. Mais ces droits défensifs fondamentaux subissent une pression croissante lorsque le gouvernement tente de diffamer les critiques légitimes en les qualifiant de « délégitimation de l’État ». Le gouvernement s'assimile à l'État, bouleverse les droits défensifs des citoyens et utilise le pouvoir de l'État pour se protéger contre les dissidents. Ceci est clairement inconstitutionnel, car la Loi fondamentale ne prévoit pas le droit du gouvernement de se défendre contre les citoyens. Le gouvernement des feux tricolores agit donc de manière anticonstitutionnelle .

    « Délégitimation de l’État » : un terme combatif dangereux

    Ces dernières années, le terme « délégitimation de l’État » a trouvé un usage troublant. Il est utilisé pour qualifier toute critique du gouvernement de menace à l’ordre public. Ce terme est principalement utilisé par l'Office fédéral pour la protection de la Constitution et d'autres institutions étatiques pour stigmatiser un large éventail d'acteurs - des manifestants pacifiques aux journalistes d'investigation en passant par les opérateurs de plateformes comme Pavel Durov . Le ministère de l'Intérieur et des Sports de Rhénanie-Palatinat, par exemple, décrit que les soi-disant « délégitimateurs » utilisent les manifestations et les protestations pour inciter à s'opposer à « l'ordre fondamental libre et démocratique ». Mais cette représentation n’est pas seulement générale et indifférenciée, mais aussi une tentative claire de criminaliser toute forme d’opposition et de critique.

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  42. L'Office fédéral pour la protection de la Constitution considère la « délégitimation de l'État pertinent pour la protection de la Constitution » comme une menace croissante pour l'ordre démocratique fondamental. Mais la véritable menace vient d’un gouvernement qui qualifie largement les critiques d’antiétatiques et porte ainsi atteinte aux droits fondamentaux de ses citoyens. Si toute forme d’opposition est considérée comme une délégitimation, il n’y a plus de place pour un discours ouvert et démocratique.

    Le besoin de critique et de débat public

    La critique n’est pas une attaque contre l’État, mais l’expression d’une démocratie vivante. Un gouvernement qui non seulement tolère les critiques mais les considère comme un correctif nécessaire renforce la démocratie. Cependant, si toute forme de critique est diffamée comme une « délégitimation de l’État », cela affaiblit non seulement la confiance dans le gouvernement, mais aussi la démocratie elle-même. L’exigence de tribunaux citoyens pour traiter l’injustice du Corona n’est pas une « délégitimation de l’État ». l’État », mais plutôt une expression légitime du besoin de justice et de responsabilité.

    La véritable menace pour la Constitution ne vient pas de ceux qui élèvent la voix contre le gouvernement, mais de ceux qui cherchent à faire taire ces voix. Les services secrets nationaux « Verfassungsschutz » sont ainsi utilisés politiquement par le gouvernement pour étouffer les voix critiques.

    Défendre la démocratie commence par défendre les droits fondamentaux

    Si le gouvernement tente de dépasser la Loi fondamentale en diffamant les critiques et en contrôlant le discours public, la société doit alors défendre ses droits avec encore plus de détermination. La Loi fondamentale garantit à chaque citoyen le droit à la liberté d'expression, à la liberté de la presse et à la participation politique. Ces droits sont le fondement d’une démocratie et doivent être activement défendus.

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  43. Les citoyens manifestants, les journalistes et les critiques du gouvernement ne sont pas des ennemis de l’État, mais plutôt ses plus féroces gardiens. Ce sont eux qui veillent à ce que le gouvernement n’abuse pas de son pouvoir, à ce que la démocratie reste vivante et à ce que la société puisse se développer. Le véritable danger pour notre société ne vient pas de la critique du gouvernement, mais de la répression de cette critique.

    Tribunaux citoyens dans une société démocratique

    Les tribunaux citoyens pourraient jouer un rôle important dans une société démocratique en agissant comme une forme de contrôle de la société civile. Ils pourraient fournir une plateforme permettant de rétablir la confiance dans l’État de droit et de demander des comptes au gouvernement. Impliquer les citoyens dans les processus d’enquête sur les mauvaises conduites du gouvernement pourrait renforcer le sentiment de participation et de démocratie directe.

    Toutefois, ces tribunaux ne doivent pas être considérés comme une menace, mais comme un complément aux institutions démocratiques existantes qui visent à renforcer la démocratie par la transparence et la participation citoyenne. Il est important que de telles initiatives ne soient pas hâtivement rejetées comme antiétatiques, mais plutôt comme l’expression d’un discours démocratique dynamique qui protège et défend les droits fondamentaux des citoyens.

    Les tribunaux citoyens au-delà des calculs politiques

    Un autre aspect qui pourrait faire avancer le débat sur les tribunaux citoyens sont les élections régionales en Saxe et en Thuringe. Dans ces Länder, il est possible que l'Alliance Sahra Wagenknecht (BSW) et l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) obtiennent des majorités dans les parlements des Länder. Même si ces deux partis ne forment pas de coalition ou ne forment pas de gouvernement ensemble, ils pourraient néanmoins promouvoir activement la résolution de l'injustice du Corona au niveau de l'État grâce à leurs majorités au Parlement. Les deux partis ont clairement indiqué qu’ils considéraient la révision des mesures Corona comme une préoccupation centrale. Grâce à des lois nationales appropriées, ils pourraient soutenir la création de tribunaux citoyens pour garantir une enquête approfondie sur les décisions politiques prises pendant la pandémie et demander des comptes aux responsables.

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  44. Les calculs politiques devraient également passer au second plan en vue des prochaines élections fédérales. La nécessité d’un processus global et transparent est plus importante que les avantages politiques à court terme ou les divergences idéologiques. Cet examen vise à accroître la confiance des citoyens dans l'État de droit et à renforcer les processus démocratiques. Ce serait un signal fort adressé à l'ensemble de la République fédérale que la volonté de justice et de clarification des responsabilités prime sur les considérations partisanes. Une telle attitude renforcerait non seulement la crédibilité des parties impliquées, mais favoriserait également la cohésion sociale en démontrant qu'il existe une responsabilité partagée pour l'avenir du pays, quels que soient les partis.

    Il reste à voir comment le soi-disant « pare-feu » contre l’AfD, défendu avec véhémence par les autres partis et leur mise en scène de « la société civile contre la droite », affectera cette éventuelle coopération au sein des parlements des Länder. La pression exercée pour maintenir ce pare-feu pourrait limiter considérablement la possibilité de mettre en place de tels tribunaux citoyens et polariser davantage le paysage politique.

    *

    Dejan Lazić , économiste social et avocat d'affaires, professeur universitaire en droit constitutionnel et droit des migrations (2002-2022), PDG d'une société internationale de conseil juridique et commercial. Publications sur nachdenkseiten.de et norberthaering.de, entre autres.

    https://tkp.at/2024/09/01/der-staat-bin-ich-versus-der-staat-ist-unser-ein-plaedoyer-fuer-buergertribunale-zur-aufarbeitung-des-corona-unrechts/

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  45. L'IA de Google écoute les signes de maladie


    1 septembre 2024
    par DDr. Siguna Mueller


    Une IA entraînée à « écouter » les maladies – cela créera-t-il un nouveau système de surveillance qui pénalisera les gens si le système « trouve » quelque chose dans leur toux, leur nez qui coule, leurs éternuements ou leur haleine ? Quoi qu’il en soit, Google entraîne l’IA à « utiliser des signaux sonores pour prédire les premiers signes de maladie, ouvrant ainsi un monde de possibilités », a rapporté Bloomberg le 29 août 2024.

    Le nouvel objectif est d’entraîner l’IA à entendre quand quelqu’un est malade. Apparemment, l'IA peut apprendre à reconnaître comment les bruits corporels sont liés à la maladie, ce qui faciliterait la détection précoce des maladies, même sans symptômes visibles.

    - voir clip sur site -

    « Les sons corporels regorgent d’informations sur notre bien-être et contiennent des indices presque inaperçus qui peuvent aider à détecter, diagnostiquer et traiter les maladies. »

    Ok, le principe est que l’IA sera capable de donner un sens à ces indices presque imperceptibles . L’idée existait depuis un certain temps, mais le traitement de l’énorme quantité d’informations était tout simplement trop coûteux et difficile. Google et d’autres affirment désormais avoir apporté des améliorations significatives en utilisant des modèles d’apprentissage automatique « auto-supervisés » pour éliminer toutes ces données. La nouvelle promesse est la suivante : ce qui était auparavant invisible peut désormais être entendu - grâce à l'analyse de l'IA.

    Mais comment diable les « sons du corps » peuvent-ils aider à « gérer » une maladie ? Dans le meilleur des cas, on pourrait imaginer que les changements dans les modèles sonores indiquent si une mesure particulière est efficace ou non.

    Cependant, ce ne sont pas les sons corporels eux-mêmes qui peuvent faire cela. Mais ils peuvent être enregistrés pour autre chose, au-delà même de la promotion de certains médicaments et thérapies. Compte tenu de la censure mondiale et des tentatives des grandes industries pour lutter à tout prix contre la « désinformation », il n’est pas difficile d’imaginer comment cette technologie pourrait être utilisée à mauvais escient de manière horrible.

    Le plan vise-t-il à « dépister » et à « diagnostiquer » de manière à ce que les « individus à haut risque » (par exemple, ceux qui résistent à un récit approuvé et rejettent certaines « interventions ») médicales puissent être « pris en charge » ? Je n'en ai aucune preuve. Mais rien ne prouve non plus que diverses maladies infectieuses et autres maladies puissent être diagnostiquées avec précision par l’IA, même à partir de tests de laboratoire et d’échantillons cliniques. Au lieu de cela, vous vous retrouvez avec une sortie informatique qui pourrait être tout à fait arbitraire. L’expansion du « diagnostic » pour inclure le son de la voix humaine, sa toux, sa respiration, etc., repose sur des modèles informatiques et des interprétations de l’IA encore plus complexes. L'IA peut vous dire ce qu'elle veut !

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  46. "Le son de la toux est l'équivalent d'un échantillon de sang, sauf que cet échantillon sonore particulier est traité dans le cloud plutôt que dans un laboratoire."

    Cela pose un gros problème. Il est traité dans le cloud. La décision, également appelée « diagnostic », est prise sans échantillons physiques et repose uniquement sur des données numériques et une modélisation théorique . Ce type d’abstraction est troublant en soi car il n’y a aucun lien étroit avec une quelconque réalité physique ou biologique. Dans un monde idéal, nous aurions diverses analyses indépendantes sur ce sujet.

    Avec l’IA impliquée grâce à ses caractéristiques inhérentes de boîte noire, les choses sont encore plus opaques. Enfin, l’IA est utilisée en raison des « indices presque imperceptibles » qui ne peuvent plus être vérifiés par les humains. Bonne chance pour tester, analyser et surveiller de manière impartiale ! Par exemple, Salcit Technologies , basée à Hyderabad , qui travaille avec certains géants indiens de la technologie, se vante que son modèle d'IA qui analyse des échantillons de toux teste les maladies avec une précision de 94 %.

    Comment cela a-t-il été validé ? Pour quelles maladies ? Tout cela est-il accessible au public ou s'agit-il des propres estimations de l'entreprise ? Comme nous l’avons appris avec la pandémie de COVID-19, les données sur l’efficacité des médicaments issues des propres essais des grandes sociétés pharmaceutiques sont trop facilement diffusées par MSN, reprises comme des faits par les hauts responsables de la santé publique, et comme étant la vérité par les décideurs politiques considérés comme par excellence.

    Certes, l’article de Blomberg reconnaît certains « défis ».

    « Mais il y a des défis. Même si les nouvelles technologies enthousiasment les médecins locaux en ouvrant de nouvelles possibilités, il n’est pas facile de modifier la pratique clinique de routine . L'outil de dépistage doit d'abord être accepté .

    Le défi est donc que les médecins indépendants n’apprécient peut-être pas que l’IA pose un diagnostic qu’ils ne soutiennent pas. Le « défi » est de les amener à faire ce que l’IA leur dit !!!!!

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  47. Oubliez que les médecins ont suivi une formation approfondie, constatent l’impact sur de vraies personnes et ont accumulé des tonnes de connaissances qui les distinguent de tout algorithme ou machine ! Et oubliez la valeur des décennies d’expérience potentielles qu’apportent certains médecins, ou la valeur de l’instinct pur et fort que peut avoir le patient le plus jeune ou le plus pauvre ! Les professionnels de santé feraient mieux d’« accepter » que certaines données abstraites évaluées quelque part dans le cloud, sans explication tangible et probablement même sans symptôme, prennent le pas sur tout ce qu’ils savent !

    Quant au défi du « bruit de fond ». Je trouve choquant que le vrai problème ne soit pas mentionné. Les systèmes d’IA sont biaisés et sont connus pour « halluciner ». Ils font souvent des déclarations injustifiées et incorrectes et sont extrêmement difficiles à recycler. Certains systèmes d’apprentissage automatique étayent même leurs affirmations par des « arguments » alambiqués et interminables lorsqu’ils sont interrogés plus en détail. Il faut quelqu’un avec de réelles connaissances pour voir clair et reconnaître les conclusions erronées.

    Selon Bloomberg, un autre « défi » consiste à « garantir que les échantillons audio ne sont pas accompagnés d’une abondance de bruit de fond » et que « les utilisateurs ruraux peu familiers avec la technologie risquent de ne pas pouvoir enregistrer la toux avec l’application ». Mais il semble y avoir une « solution », comme le dit la phrase suivante : « Néanmoins, la technologie trouve des partisans, notamment le Partenariat StopTB, une organisation soutenue par les Nations Unies qui vise à mettre fin à la tuberculose d’ici 2030. »

    Certains peuvent se demander combien coûtera la mise en œuvre de ces technologies par rapport au coût de la fourniture d’eau potable et d’aliments sains aux habitants des zones à haut risque que la technologie est censée sauver.

    Au milieu de la campagne mondiale visant à vacciner et à droguer chaque créature vivante, le paragraphe suivant me fait serrer le cœur.

    « Ubenwa, basée à Montréal, a développé un modèle de base des pleurs des nourrissons et interprète les besoins et l'état de santé des nourrissons en analysant les biomarqueurs de leurs cris.

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  48. Je peux voir les énormes nouvelles opportunités commerciales ! Si ces pauvres bébés font des bruits étranges, alors il y aura probablement un médicament coûteux pour résoudre le problème indétectable (et peut-être inexistant) !

    Et d’autres travaillent sur des outils d’IA capables de détecter l’autisme sur la base de « oohs », « ahhs » et « gargouillis ».

    Et quel sera le résultat d’une telle « détection précoce » ? Classer les enfants comme autistes même s'ils ne le sont pas ?! Ou diagnostiquer des adultes souffrant de divers problèmes de santé mentale ? Plus j’y pense, plus il devient clair qu’il existe d’énormes possibilités d’abus de tout cela.

    La technologie pourrait scanner nos voix, notre toux ou même notre respiration à la recherche de « schémas nocifs » et, à son tour, provoquer la mise en quarantaine, l’emprisonnement et la coupure de populations jugées particulièrement « à risque ».

    La technologie peut « rouler sur un smartphone » et être utilisée dans des « zones géographiques sensibles ». Il est important que les bruits corporels puissent également être analysés à distance et à grande échelle !

    Ce qui se fait aujourd’hui au nom de la « détection précoce des maladies » pourrait être utilisé demain pour identifier les personnes considérées comme dangereuses ou inacceptables en raison de leurs opinions politiques, de santé publique ou autres. Les frontières semblent infinies. Dès que quelqu’un prétend que la « bioacoustique » de l’IA peut utiliser notre voix et d’autres signaux corporels pour découvrir qui est infecté par un agent pathogène dangereux, qui n’est pas suffisamment « vacciné », qui « ment », qui propage un « discours de haine », ou d'autres formes de diffusion de fausses informations, de désinformation ou de désinformation , un tel « diagnostic » pourrait être créé à moindre coût, traité dans le cloud et irréversible par des preuves du monde réel.

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  49. Si la santé individuelle et publique était réellement en jeu, il y aurait de bien meilleures chances de trouver une solution tangible : les gouvernements et les agences détournés par les industries qu’ils sont censés réglementer devraient faire le ménage.

    [ Note pfm : Google avance déjà dans l'intégration de l'IA dans son système d'exploitation Android. Android System Intelligence, Feedback, Google Assistant, Digital Wellbeing ne sont que quelques-uns des applications et mécanismes qui surveillent et influencent déjà les utilisateurs de smartphones.]

    https://tkp.at/2024/09/01/google-ki-lauscht-auf-krankheitsanzeichen/

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  50. Taxer les riches : l’éternelle rengaine socialiste


    Élodie Messéant
    2 septembre 2024


    La France serait l’un des pays qui persistent à rechigner à taxer les plus grandes fortunes. C’est la thèse d’un article publié par Mediapart il y a deux semaines. Un nombre non négligeable de pays occidentaux seraient prêts à mettre en œuvre une telle politique : Giorgia Meloni, présidente du Conseil italien ; Rachel Reeves, ministre des Finances britannique ; Kamala Harris, candidate démocrate aux élections présidentielles américaines. Au Brésil, le président Lula a poussé un projet de taxe sur les milliardaires dans l’agenda du G20, mais il n’a pas été acté par les ministres des Finances réunis. En Suisse, il est question d’une initiative des Jeunes socialistes dans une longue série de tentatives maintes fois balayées dans les urnes par la population. Faut-il espérer voir cette idée prospérer en France ?

    On est tous le riche de quelqu’un d’autre

    Tout d’abord, le concept de riche est intrinsèquement subjectif et pose plusieurs problèmes lorsqu’il est utilisé pour formuler des politiques publiques ou des jugements moraux. Celui qui est considéré comme un riche dans un pays peut être perçu différemment dans un autre.

    Prenons l’exemple le plus évident : une personne considérée comme riche dans un pays en voie de développement pourrait être classée comme appartenant à la classe moyenne dans un pays développé. Cela rend difficile l’établissement de critères objectifs pour déterminer qui est riche, super-riche ou ultra-riche » – on est tous le riche de quelqu’un d’autre d’une certaine manière – et donne un indice assez fort de l’arnaque conceptuelle.

    Par ailleurs, ce concept ne tient pas compte des différences individuelles : une personne avec un revenu élevé peut aussi avoir des dettes importantes, des obligations financières lourdes, ou la responsabilité de plusieurs entreprises qui impliquent beaucoup de sacrifices. Nous pouvons prendre le cas des entrepreneurs ou des investisseurs dont les revenus sont élevés, mais volatils, ou qui réinvestissent la majeure partie de leurs gains dans leurs entreprises. L’appréciation de la richesse dépend aussi du niveau général des prix : c’est pourquoi le seuil international de pauvreté est actualisé de manière périodique par la Banque mondiale.

    Si le concept de riche fonctionne aussi bien dans les discours les plus à gauche, c’est parce qu’il est suffisamment flou pour susciter de la révolte et créer un sentiment d’injustice, sans refléter toute la complexité de la réalité économique.

    Non, les richesses ne s’accumulent pas entre quelques mains
    L’auteur de l’article prétend que la taxation des plus riches devient pressante devant « le creusement historique des inégalités » et affirme que les richesses s’accumulent entre quelques mains en citant les conclusions d’Oxfam, Transparency International.

    C’est pourtant l’exact inverse qui se produit : l’extrême pauvreté a reculé de manière spectaculaire entre 1990 et 2019 dans le monde, ce qui traduit un enrichissement général de la population mondiale. Le ralentissement de cette tendance depuis 2020 s’explique par les deux chocs cumulés de la pandémie du covid et de la guerre en Ukraine.

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  51. Ensuite, la méthodologie et les résultats d’Oxfam sont très contestables : lorsqu’elle évoque les grandes fortunes mondiales, l’ONG fait une équivalence entre le patrimoine qui vient de la bourse et le patrimoine non boursier (composé du solde d’un compte en banque, d’argent liquide ou de biens immobiliers par exemple), alors que leur nature est complètement différente (une action à 100 euros n’équivaut pas à un billet de 100 euros). Or, les grandes fortunes se composent majoritairement d’actions d’entreprises, et non pas d’argent dans un compte en banque.

    On peut lire, un peu plus loin, que les riches seraient chaque année « de plus en plus riches, de plus en plus puissants ». Cette richesse n’est pourtant pas figée dans le marbre et dépend là aussi du cours des actions de leurs entreprises, qui peut être plus ou moins volatile. Preuve en est, l’identité des milliardaires varie fortement sur plusieurs années. Bernard Arnault, Elon Musk et Jeff Bezos n’ont pas toujours été en haut du classement ; leur fortune ne s’est pas créée du jour au lendemain. Dénoncer une prétendue oligarchie n’a donc pas beaucoup de sens.

    Traquer les riches, ou comment encourager l’exil fiscal

    Ce que l’auteur omet de préciser, c’est qu’à la différence des moins aisés, les plus fortunés ont les moyens de déplacer leurs actifs à l’étranger pour échapper à des taux d’imposition confiscatoires, et que nous disposons déjà d’un certain nombre d’exemples, notamment dans la littérature scientifique.

    En France, la suppression de l’impôt sur la fortune (ISF) en 2018 et la mise en place d’un prélèvement forfaitaire unique de 30 % (flat tax) sur les revenus du capital ont justement permis d’inverser la tendance de l’exil fiscal. Le nombre de retours de foyers redevables de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) dépasse chaque année le nombre de départs depuis cette même date, selon les chiffres du Comité d’évaluation des réformes de la fiscalité du capital. On observait le phénomène inverse de 2011 à 2016.

    Des résultats similaires ont été constatés dans d’autres pays.

    En Espagne, le gouvernement fédéral a supprimé l’impôt sur la fortune dans toutes les régions entre 2008 et 2010, avant de le réintroduire début 2011 – sauf à Madrid. Cinq années après la réforme, le nombre de personnes fortunées à Madrid a augmenté de 10 % par rapport aux autres régions, tandis que les différences d’imposition, plus faibles, entre les autres régions n’ont pas eu d’incidence sur la mobilité. La migration et l’exil fiscal ont été les principales réactions à la réintroduction de l’impôt sur la fortune. Une autre étude a permis de conclure qu’une augmentation de 0,1 point de pourcentage du taux moyen de cet impôt a entraîné une réduction de 3,24 % de la richesse imposable sur quatre ans.

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  52. Politiques démagogiques

    Au-delà des observations sur l’exil fiscal, un gouvernement qui traque ses citoyens les plus fortunés en dit plus sur sa proportion à défendre des politiques démagogiques plutôt qu’à sa capacité à augmenter le niveau de richesse général au sein de sa population.

    Le réflexe marxiste d’opposer les milliardaires aux salariés, comme si les premiers s’enrichissaient au détriment des seconds, a peu d’ancrage dans la réalité quand on sait que la France fait partie des États les plus redistributifs de l’UE, avec un poids des prélèvements obligatoires à hauteur de 48 % du PIB, sans pour autant être capable d’améliorer le niveau de vie de ses citoyens. À l’inverse, des pays comme le Luxembourg, l’Allemagne et les Pays-Bas sont moins redistributifs, mais présentent un niveau de vie annuel moyen plus élevé, et ce n’est certainement pas grâce à des impôts sur les grandes fortunes qu’ils sont parvenus à ce résultat. La France ne manque pas d’interventionnisme ou de traque aux riches, mais de libertés et d’un ascenseur social qui fonctionne.

    https://www.contrepoints.org/2024/09/02/478687-taxer-les-riches-leternelle-rengaine-socialiste

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    1. Comme les fonctionnaires sont incapables, idiots et hors service, les chiffres leurs passent au-dessus de la tête. Si je prends l'exemple du paysan qui a un champs de salades (vendues aux supermarchés entre 1,50 et 2 euros/pièce !!), ce champs représenterait pour un con qui passe à la route grosso-modo 1 milliard d'euros ! Or, la salade n'est pas achetée au paysan à 1,50 € ou 2 € mais à 10 centimes/pièce ! De plus, malgré qu'un champs puisse rapporter il faut savoir que l'achat d'un tracteur n'est pas au prix d'une voiture ! (ni la consommation) ni les charrues, remorques, etc. Il y a aussi les frais d'arrosage (oui-oui ! le paysan paie l'eau gratuite qui sort des sources et va se perdre en mer ou océans !) pour arroser ses salades, plus les engrais + la main-d’œuvre pour semer et repiquer chaque plant de salade, + les frais de ramassage, d'emballages, de stockage et de transport jusqu'au supermarché en plus des taxes et des impôts pour avoir oser travailler au lieu d'être peinard au chômage comme les autres et aussi d'oser donner à manger à la population !

      Y a moins de paysans aujourd'hui sur Terre ? Devinez pourquoi !

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  53. Réguler le prix de vente de l’électricité sans égard à son prix de revient et à la marge producteur


    André Pellen
    2 septembre 2024


    C’est manifestement ce que cherche à faire une archéo-administration de l’économie n’hésitant pas à falsifier le concept d’équilibre offre-demande et à maquiller le coût exorbitant d’un appareil de production électrique devenu antiéconomique. Pour cette administration, l’accès au prix bas de l’électricité est avant tout un droit opposable par quiconque, auquel l’État est prioritairement tenu de répondre coûte que coûte, et non la conséquence heureuse de la pratique économique et industrielle rationnelle qu’il a le devoir de promouvoir. Non seulement notre gouvernement se prétend capable d’accomplir cette mission supérieure sans bafouer les exigences élémentaires de ladite pratique, mais il laisse cyniquement croire à la légitimité de la décorrélation entre prix de vente et prix de revient du KWh pour y parvenir.

    Quelle qu’en soit la forme, le principe ARENH doit survivre

    En novembre dernier, sourd aux prières du principal industriel détenant la compétence en la matière, le socialisme aux affaires a décidé de la « nouvelle régulation » du prix de l’électricité promettant aux Français une baisse de 10 à 15 %, dès février 2025, que la non moins socialiste opposition RN s’est empressée de porter à 30-40 %, en cas d’accession au pouvoir. L’inénarrable Commission de Régulation de l’Énergie (CRE), dont le député Jean-Philippe Tanguy demande à juste titre la suppression, proposait quant à elle de tordre le bras d’EDF en arrimant ladite régulation à un prix de référence de 60 euros le MWh, auquel, Dieu merci, le pouvoir n’a pas souscrit en s’en tenant aux 70 euros proposés par le PDG Luc Rémont.

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  54. Après huit mois de « test » d’un schéma réputé prendre la suite de l’inique ARENH, le gouvernement Attal se rend à l’évidence que le procédé n’a aucune chance de fonctionner et qu’il y a lieu de trouver autre chose pour baisser le prix de l’électricité à nos entreprises. L’option privilégiée consisterait à laisser EDF signer des contrats de long terme avec ses concurrents (!) et avec les entreprises, ce qu’elle pratique déjà avec un succès plus que mitigé pour la santé de l’opérateur historique. Car, si ce dernier est parvenu à décrocher quelque 1600 contrats au prix de référence d’environ 70 euros le MWh, c’est au prix de 60 euros garantis sur dix ans que des consommateurs intensifs comme Arcelor-Mittal-Dunkerque, ou GravitHy-Fos-sur-mer ont décroché la timbale.

    Conscient qu’EDF 2024 n’a pas les moyens d’investir dans de nouveaux réacteurs tout en baissant les prix du KWh, un Luc Rémont désormais placé sous la férule d’un État profond ne craignant plus d’agir à visage découvert devrait rechigner à donner dans des pièges commerciaux aussi grossiers. Car, dépossédée de ses politiques tarifaire et industrielle par un gouvernement sous influence, rien ne garantit à l’entreprise la capacité d’honorer des productions exagérément différées, ni celle d’échapper aux probables dédommagements prévus dans ces contrats léonins, en cas de défaillance.

    De toute façon, ces garanties ne sauraient être apportées par les contrats pour différence envisagées avec l’accord de la Commission européenne, semblables à ceux conclus avec le gouvernement britannique pour l’exploitation de la centrale EPR d’Hinkley Point. Certes, ils permettent de vendre l’électricité à un prix stable et régulièrement revu sur la base des coûts de production, mais tant que la falsification de ces derniers restera la prérogative du principal inspirateur de l’État profond, la CRE, non seulement la détermination de ce prix restera aux mains d’un gouvernement de percepteurs, mais la marge tolérée à l’entreprise EDF restera outrageusement mesurée.

    La supercherie d’une surcapacité de production conduisant à des prix négatifs du MWh
    Allez savoir pourquoi les hérauts de la régulation à tout crin ne prônent pas davantage de l’orienter vers ce qui déclenche le providentiel mécanisme marchand d’un contrôle des prix dont le consommateur ne profitera jamais ! Mi-juin 2024, par exemple, une France réputée produire trop d’électricité à certaines heures de faible demande, selon Bloomberg, a vu son mégawattheure électrique se négocier à – 5,76 euros sur le marché de gros, le prix négatif le plus bas atteint depuis quatre ans.

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  55. En spécialistes avisés, d’aucuns, chez les observateurs, se croient autorisés à en déduire que la production française d’électricité se porte bien, notamment du fait que la part des énergies renouvelables ne cesse d’y croître. De 14 % du total pour l’éolien et de 10 % pour le solaire, soit déjà 24 % en tout, cette puissance non pilotable de notre parc de production sera en effet passée à 34 % en 2028, 17 % pour l’éolien – dont 3 % offshore – et à 17 % pour le photovoltaïque.

    Nullement interrogée par la décision d’arrêter Golfech 2, Cruas 2 et Tricastin 1 sur la période, quand l’essentiel de KWh renouvelables seulement à leurs heures inondait de force le système électrique, la Bourse européenne de l’énergie va même jusqu’à pronostiquer une baisse de 28 % du prix de l’électricité française pour 2025. Français, soyez attentifs à vos factures de fin d’année, car, au 1er semestre de 2024, le nombre d’heures de vente de l’électricité à prix négatif a été de 233, contre 53 en 2023 !

    Et, de fait, le graphique ci-dessous élaboré par l’association Sauvons Le Climat dit mieux qu’un long discours combien la puissance de notre parc électronucléaire est contrainte de faire du yoyo quand il y a du vent et du soleil, jusqu’à devoir diminuer de moitié. Hélas, tôt ou tard, un tel régime de production imposé se révèlera intenable, ne serait-ce qu’à cause d’un coût de la maintenance nucléaire tendant à devenir prohibitif et, surtout, à cause de la génération d’un volume non moins prohibitif d’effluents liquides par ce suivi de charge outrancier.

    - voir graph sur site -

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  56. Dès 2019, le n°84 de la Lettre géopolitique de l’électricité alertait sur le bilan des conséquences néfastes d’un investissement public toujours plus abusif dans des parcs éolien et photovoltaïque dont la production dite fatale doit trouver à chaque instant son exutoire, quel qu’en soit le prix à payer par la collectivité. Or, c’est plus encore à n’importe quel prix que, le plus clair du temps, le système électrique doit s’accommoder de l’absence partielle ou totale de cette production largement putative. Non seulement une telle dérive n’a jamais cessé de s’aggraver mais, cinq ans plus tard, le loisir dont jouit une incurie généralisée de planifier à discrétion ses aberrations socio-économico-industrielles reste intact.

    On ne retiendra que les éléments suivants dudit bilan, à mettre en perspective du fait que, occupant 24 % de la puissance totale du parc, éolien et photovoltaïque pourtant prioritaires n’en produisent que 14 % des KWh :

    En 2017, 95 % des investissements énergétiques de l’Union européenne – soit 38,8 milliards de dollars sur 40,9 – bénéficiaient à un solaire et à un éolien qui, depuis, n’ont cessé d’en truster 96 % dans tous les programmes.
    Il apparaît une grave contradiction entre la baisse des coûts de production du solaire et de l’éolien et l’augmentation des factures d’électricité. Un périodique économique fort connu a pu écrire : si solaire et vent sont si bon marché, pourquoi fabriquent-ils une électricité si chère ?(Forbes-23/4/2018. « If solar and wind are so cheap, why are they making electricity so expensive? »). La réalité, aujourd’hui, est que les factures d’électricité sont lourdement grevées par les [considérables] aides aux renouvelables et que la baisse [relative] de leurs coûts de production n’a pas stoppé les hausses appliquées aux consommateurs. L’industrie allemande n’a résisté que grâce à des dégrèvements sur les taxes [finançant les] renouvelables de l’ordre de 2 à 3 milliards d’euros par an.

    La sanction technique pend au nez d’un système électrique européen impunément piloté par le boursicotage idéologique

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  57. Les Anglais le savent mieux que quiconque dont le gestionnaire du réseau, National Grid ESO, s’exclamait « It’s wind o’clock ! », le 9 août 2019, pour annoncer fièrement le record établi par la production éolienne dont venait de l’informer RenewableUK : 47,6 % de la production britannique ! Hélas, au même moment, la foudre provoquait une panne de routine sur le système national de transport d’électricité, dont le traitement aurait été sans conséquence sur tout système orthodoxe, ce que n’était manifestement pas celui-là. Tandis que l’incident initial était corrigé en 80 millisecondes, des ruptures en cascade s’ensuivirent sous l’action de protections fréquence et tension très susceptibles, conduisant de loin en loin au délestage de 1130 MW, une seconde après le coup de foudre. Résultat : plus d’un million de Britanniques pâtirent de cette perte de production, de même qu’aéroport, trains, distribution d’eau et hôpitaux dont celui d’Ipswich qui perdit ses générateurs de secours.
    L’Office gouvernemental britannique pour le marché de l’électricité et du gaz (Ofgem) expliqua ainsi les causes de cette panne géante :

    « L’inertie est une forme de réponse en fréquence qui est intrinsèquement fournie par une grande installation rotative, synchronisée avec le système.Lorsque la fréquence du système chute, ces générateurs ralentissent. Leur énergie de rotation stockée est automatiquement transférée au système électrique. L’inertie totale du système aide à contrecarrer les changements de fréquence du système. »

    Ajoutant :

    « Nous considérons que l’ESO devrait garantir une inertie du système suffisante pour gérer les variations de fréquence conformément à ses obligations, et éviter un effet domino de pertes de production distribuées ».

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  58. Ce que l’Ofgem appelle inertie des installations est la faible pente de la droite de statisme schématisée ci-dessous, constituée des points de fonctionnement – des couples fréquence-puissance – de toute machine tournante consommant une énergie stockée. Étranger aux énergies éolienne et photovoltaïque subies, le concept de statisme s’applique également à un ensemble de machines dont il caractérise le réglage dit primaire. Toute perturbation réseau donne ainsi lieu au déplacement linéaire automatique d’un point de fonctionnement individuel ou collectif se stabilisant rarement à 50 Hz. Doit alors intervenir le réglage secondaire dit fréquence-puissance consistant à fournir ou à retirer aux machines le différentiel de puissance ΔP les amenant à un point de fonctionnement à 50 Hz différent du précédent, par déplacement de la droite de statisme parallèlement à elle-même.

    - voir graph sur site -

    Ces réglages de la puissance active, auxquels l’éolien est inapte, sont indispensables au maintien de la stabilité d’un système électrique. Le réglage de la tension l’est tout autant, auquel l’éolien n’est pas plus apte, incapable de fournir ou d’absorber la puissance réactive requise. Aussi, lorsque ce dernier entre pour près de 50 % dans une production électroénergétique, imagine-t-on sans peine à quoi peut conduire une perturbation de la fréquenceet/ou de la tension du système, tout désordre affectant l’une laissant rarement l’autre indifférente.

    Comment permettre au pays d’accéder à une électricité réellement moins chère ?

    Tant que les Français n’admettront pas et ne feront pas valoir que la transition énergétique ne peut pas être celle qu’on leur vend à prix d’or depuis trop longtemps et que l’approvisionnement électrique du pays est avant tout une affaire nationale, leur électricité ne peut que rester chère, voire de plus en plus chère. Au demeurant, s’ils y étaient décidés, quel gouvernement et quel parlement réellement décisionnaires pourraient-ils saisir avant longtemps la salutaire prise de conscience, voire mettre efficacement en demeure de reconsidérer complètement la politique énergétique nationale ?!

    La socio-économie française erre désormais sur un bateau ivre dont l’équipage et les passagers commencent tout juste à réaliser qu’ils ont eux-même saboté la propulsion.

    https://www.contrepoints.org/2024/09/02/478681-reguler-le-prix-de-vente-de-lelectricite-sans-egard-a-son-prix-de-revient-et-a-la-marge-producteur

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  59. L’AFP franchit le mur du « çon » et la presse reprend :le changement climatique précipite les mariages forcés au Pakistan. A quand les éoliennes pour une circoncision écologique ?


    le 2 septembre 2024
    par pgibertie


    Le Monde, Géo, l’Opinion , ils ont tous repris l »ânerie signée AFP.

    Le changement climatique précipite les mariages d’adolescentes au Pakistan

    Est-ce aussi à cause du dérèglement climatique que 1.000 crimes d’honneur (recensés : il y en a sans doute bien plus selon Human Rights Commission of Pakistan), dont les victimes sont quasiment toutes des femmes, sont perpétrés dans ce pays ? Est-ce à cause de la mousson que, de Shahbaz Bhatti à Rimsha Masih, des chrétiens sont régulièrement assassinés ou, comme Asia Bibi, lynchés, calomniés, emprisonnés forcés de fuir clandestinement, que leurs églises sont incendiées, leurs maisons pillées, leurs filles violées, forcées d’épouser leur bourreau en même temps que de se convertir, ou a-t-on le droit d’y voir un élément culturel, religieux, civilisationnel ?

    Et quid (pour ne citer qu’elle) d’Afshi Rani ? Originaire du Pakistan, celle-ci a grandi en France. Un été, elle a pourtant été mariée de force à la faveur de vacances au pays, parce que ses manières trop libres faisaient honte à sa famille. À quel moment, exactement, dans cette histoire, intervient le dérèglement climatique ?

    https://www.bvoltaire.fr/mariages-forces-au-pakistan-la-justification-du-monde-ne-manque-pas-dair/

    En 2022, comme en 2010 le Pakistan a connu de sévères inondations pendant la mousson

    On découvre ainsi qu’il y a des mariages forcés, mais le témoignage va à l’encontre du titre, elles ne se sont pas mariées à cause des inondations mais les inondations ont ruiné leurs espoirs de vie meilleure

    La mousson qui menaçait les cultures se profilant, Shamila et Amina, 14 et 13 ans, se sont mariées. Une solution choisie par des dizaines de familles du sud du Pakistan, de plus en plus touché par le changement climatique.

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  60. « J’étais heureuse quand on m’a annoncé que j’allais me marier », raconte à l’AFP Shamila Ali dans son village de Khan Mohammad Mallah, coincé entre l’Indus et le Baloutchistan.

    En s’apprêtant pour la fête organisée pour son mariage et celui de sa sœur avec des hommes deux fois plus âgés qu’elles, elle pensait que sa « vie serait plus facile ». « Mais, finalement, je n’ai rien gagné. Et, avec les pluies, j’ai peur de tout perdre », se lamente-t-elle dans sa maison de terre battue construite après que les graves inondations de 2022 ont détruit toutes les habitations de son village.

    Il y a un problème de mariages forcés au Pakistan qui n’a rien à voir avec le changement climatique

    La Haute Cour du Lahore, dans la province du Penjab au Pakistan a rendu fin février une décision importante contre les conversions à l’islam et les mariages forcés de jeunes filles mineures. Une victoire pour les minorités religieuses et notamment, pour la communauté chrétienne.

    Une ordonnance provisoire rendue par la Haute Cour du Lahore le 28 février, contre les mariages de jeunes filles mineures a fait naître de l’espoir dans la communauté chrétienne du pays.

    « Cette ordonnance marque un tournant dans la lutte contre les mariages de mineures au Pakistan, en particulier dans les communautés chrétiennes et hindoues » s’est réjouie l’avocate chrétienne Sumera Shafique dans un entretien avec Morning Star News.

    Saisie par une plaignante musulmane Ramzana Bibi qui s’opposait au mariage forcé de sa nièce, encore mineure, la Haute Cour de Lahore a ordonné au gouvernement régional d’appliquer les lois interdisant le mariage des mineurs. La Haute Cour a également créé un comité de suivi de la mise en œuvre de ces mesures, et a demandé aux autorités locales l’annulation de tous les mariages de mineurs.

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  61. Au Pakistan, 6e pays dans le monde comptant le plus de mariages de jeunes filles de moins de 18 ans selon un rapport des Nations unies publié en 2020, la lutte contre les mariages forcés rejoint celle contre les conversions forcées des minorités religieuses, dont la minorité chrétienne. En effet, les jeunes filles chrétiennes sont régulièrement enlevées, converties à l’islam et mariées de force à leur ravisseur.

    Si la loi pakistanaise interdit les mariages de jeunes filles, dans les faits, la charia (ou loi islamique NDLR) qui l’autorise conserve une autorité très forte dans un pays à plus de 95% musulman. L’avocate Sumera Shafique, engagée dans la lutte contre le mariage forcé de jeunes filles, estime que la législation contre les mariages des jeunes filles reste décisive dans la lutte contre les conversions forcées.

    « Non seulement l’ordonnance renforce le cadre juridique contre les mariages forcés, mais elle marque aussi une évolution plus large vers des mesures plus vigilantes et plus proactives pour protéger les droits et le bien-être des jeunes filles dans toute la province. »

    Chaque année, près de 1 000 jeunes filles chrétiennes ou hindoues, de 12 à 25 ans en moyenne, sont mariées de force à des hommes musulmans, selon l’ONG Portes Ouvertes. Un phénomène notamment observé dans les provinces les plus rurales du Pakistan où l’accès à l’éducation et au travail est plus difficile.

    Le président de l’Église du Pakistan, l’évêque protestant Mgr Azad Marshall, s’est félicité de la décision de la Haute Cour de Lahore, espérant que la mesure fera annuler les mariages de mineurs existants et interdira les futures demandes de mariage impliquant des mineures. Il appelle également à l’interdiction des conversions forcées, souhaitant que la récente modification de la loi sur le mariage des chrétiens, fixé à 18 ans minimum, ouvrira la voie à une législation plus poussée en matière de protection des jeunes filles.

    Au Pakistan, les chrétiens qui représentent environ 1,6 % de la population, soit un peu plus de 3 millions de personnes, souffrent de nombreuses persécutions, notamment en raison des lois anti-blasphème souvent utilisée pour cibler les minorités religieuses. Le pays figure à la 7e place de l’Index Mondial de Persécution des Chrétiens 2024, établi par l’ONG Portes Ouvertes.

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  62. Il y a régulièrement des incidents climatiques mais les journalistes ne le savent pas.

    Les inondations en période de mousson sont fréquentes au Pakistan. Tous les 10 ou 20 ans, un de ces débordements climatique dépasse l’ampleur habituelle et se transforme en catastrophe naturelle. Ce fut en cas en juillet-août 2010, où l’on parla d’inondations du siècle. La vague d’eau s’est propagée le long du cours de l’Indus parcourant une distance de 2000 km, de la région du Khyber Pakhtunkhwa, au nord-ouest, jusqu’au delta dans le sud. Les eaux ont recouvert une superficie équivalente à celle de la Grande-Bretagne. Le bilan humain et matériel est particulièrement lourd. Le nombre des victimes directes est 1700 personnes, mais celui des victimes affectées par la crue se monte à 21 millions pour un pays qui compte 180 millions d’habitants. Les sans-abris sont environ 5 millions, dont une grande partie dans la province du Nord-Ouest. Sur le plan économique, l’effet le plus immédiat et le plus visible est la disparition des infrastructures ; routes et ponts sont emportés par les flots mais c’est l’activité agricole qui est anéantie. 14 % de la surface agricole a été dévastée et 200 000 animaux d’élevage ont été noyés. Le montant total des dégâts a été évalué à deux années de revenus du Pakistan. Pour la province du Nord-Ouest, la plus touchée, l’estimation varie de 300 à 800 millions d’euros.

    Selon les mots utilisés par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, la catastrophe qui a touché le Pakistan est comparable au Tsunami de décembre 2004, en Asie, ou au tremblement de terre d’Haïti en janvier 2010. Pourtant, malgré l’écho médiatique, les réactions de sympathie et la mobilisation internationale en faveur des sinistrés a été beaucoup plus longue à se mettre en place. Le secrétaire général de l’ONU a lancé un appel pour réunir un fond d’urgence de 460 millions de dollars. Les Etats-Unis, l’U.E., la Chine, l’Arabie Saoudite promettent une aide mais celle-ci arrive très lentement et une dizaine de jours plus tard, l’ONU doit renouveler son appel. Les habituels donateurs traînent des pieds pour deux raisons : la corruption des dirigeants politiques pakistanais fait craindre que l’argent et l’aide ne parviennent pas aux populations concernées et la présence de mouvements talibans et islamistes retient les donateurs occidentaux. La couverture médiatique a été moins importante que pour d’autres catastrophes similaires.

    https://pgibertie.com/2024/09/02/lafp-franchit-le-mur-du-con-et-la-presse-reprend-le-changement-climatique-precipite-les-mariages-forces-au-pakistan-a-quand-les-eoliennes-pour-une-circoncision-ecologique/

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  63. La liberté d'expression dans le collimateur. Une montée mondiale de la censure gouvernementale et du contrôle numérique


    Par le Dr James Lyons-Weiler
    Recherche mondiale,
    02 septembre 2024


    « Les individus – tous les individus – doivent se lever et continuer à exercer leur droit à la liberté d’expression et à déposséder ceux qui voudraient asservir tous nos esprits. »

    La liberté d’expression est confrontée à des défis sans précédent dans un monde de plus en plus numérique. Les gouvernements du monde entier redoublent d’efforts pour contrôler, réprimer ou interdire purement et simplement les discours qui contredisent leur discours ou menacent leur autorité. Les incidents récents au Brésil, en Allemagne, en France et au Royaume-Uni, ainsi que les pratiques de censure établies en Chine, en Russie, en Inde et en Turquie, révèlent une tendance inquiétante : la bataille pour la liberté d’expression s’intensifie et le monde numérique est la nouvelle ligne de front.

    Répressions récentes et excès de pouvoir du gouvernement
    En août 2024, plusieurs incidents alarmants ont souligné la vulnérabilité de la liberté d’expression :

    Le Brésil réprime l'utilisation des VPN

    Le gouvernement brésilien a récemment annoncé des sanctions sévères pour les personnes utilisant des réseaux privés virtuels (VPN) pour accéder à la plateforme de médias sociaux X (anciennement Twitter). Les utilisateurs pourraient être confrontés à des amendes pouvant aller jusqu'à 8 874 $ par jour pour avoir contourné les restrictions gouvernementales sur l'accès à Internet, criminalisant ainsi l'utilisation d'outils conçus pour protéger la confidentialité et l'accès numériques. Cette politique représente une escalade significative des efforts du gouvernement pour contrôler le paysage numérique et restreindre la dissidence en ligne. ( Brazil crackdown on X continues with up to $8.900 daily amend for VPN users (teslarati.com) ; Brazil Orders X Ban: Why Using A VPN Could Be An Expensive Mistake (slashgear.com) )

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  64. L'Allemagne impose des « normes » de liberté d'expression

    En Allemagne, les animateurs du podcast « Hoss et Hopf » risquent de lourdes amendes et une peine de prison pour avoir « mal genré » une personne transgenre. Cette affaire illustre une tendance croissante où l’application gouvernementale des normes sociales se conjugue avec des sanctions légales, ce qui suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression et aux limites du langage imposé par la loi. (Un tribunal allemand oblige les podcasteurs à supprimer un épisode où ils faisaient référence à un homme transgenre chauve en disant « Il/Lui » – Reduxx )

    Arrestation du fondateur de Telegram en France

    Les autorités françaises ont intensifié leur répression contre la liberté d'expression en ligne en arrêtant Pavel Durov, fondateur de Telegram, pour avoir refusé de censurer le contenu des utilisateurs. Bien que nous condamnions toute pornographie infantile ou son partage sur quelque plateforme que ce soit, Telegram est connu pour sa position ferme sur la protection de la vie privée et sa résistance à la censure, ce qui fait de l'arrestation de Durov un exemple significatif de la pression internationale exercée sur les plateformes numériques pour qu'elles s'alignent sur les exigences de censure du gouvernement.

    Arrestation pour désinformation au Royaume-Uni et proposition de loi

    Au Royaume-Uni, une femme de 55 ans a été arrêtée pour avoir partagé en ligne ce qui a été considéré comme de la « désinformation », une intervention directe de l’État pour contrôler le discours public. Parallèlement, le gouvernement britannique fait pression pour que la législation classe la misogynie comme une forme d’extrémisme, ce qui pourrait élargir le champ d’application de la liberté d’expression et criminaliser un large éventail d’expressions sous couvert de lutte contre les discours de haine et l’extrémisme. ( Le Royaume-Uni sombre dans des niveaux dystopiques de censure, Washington Examiner )

    La pression de l'UE sur les plateformes numériques

    Le commissaire européen Thierry Breton a récemment envoyé une lettre à Elon Musk exigeant le respect des lois européennes sur la censure sur X. Cette démarche reflète la position agressive de l'UE en matière de régulation du contenu numérique et soulève des questions sur l'avenir de la liberté d'expression dans l'Union européenne, un bloc qui se targue de ses valeurs démocratiques.

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  65. Chris Pavlovski , PDG de Rumble, a fui l'Europe en raison des menaces qu'il perçoit du gouvernement français. Rumble, qui se présente comme une alternative à des plateformes comme YouTube, a résisté aux pressions réglementaires visant à modérer le contenu, soulignant l'effet dissuasif que les menaces gouvernementales peuvent avoir sur les plateformes numériques.

    Collaboration entre Meta et le gouvernement américain

    Dans une récente révélation, le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a détaillé comment l'administration Biden-Harris et le FBI ont fait pression sur Meta pour censurer le contenu pendant la pandémie de COVID-19. Cette révélation, qui fait partie d'une enquête en cours menée par la commission judiciaire de la Chambre des représentants, suggère que le gouvernement américain pourrait avoir outrepassé ses pouvoirs en encourageant les plateformes à supprimer des informations. ( AP News )

    Contexte historique et tendances mondiales
    Ces événements récents s’inscrivent dans une tendance plus large et continue. Depuis 2020, on constate une augmentation notable des tentatives gouvernementales de contrôler le discours numérique en utilisant des méthodes directes et indirectes :

    Influence du gouvernement américain sur la modération du contenu des médias sociaux

    Pendant la pandémie de COVID-19, le gouvernement américain a été accusé d’exercer une pression excessive sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles gèrent les contenus qu’elles jugeaient erronés. Les critiques affirment que ces actions constituent une censure indirecte, obligeant les plateformes à s’aligner sur les directives gouvernementales sous la menace de mesures réglementaires ou d’autres répercussions. Des batailles juridiques en cours, telles que « Murthy v. Missouri », ont examiné ces pratiques, remettant en question les limites de l’influence du gouvernement sur les entreprises privées et la place publique numérique. ( SCOTUS Blog )

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  66. Contrôle strict des informations sur le COVID-19 par la Chine

    La Chine a exercé un contrôle strict sur les informations liées au COVID-19, réduisant au silence les lanceurs d’alerte et censurant les discussions en ligne qui remettent en cause le discours du gouvernement. Ces actions constituent un exemple clair de censure directe du gouvernement pour empêcher la dissidence et contrôler la perception du public.

    L'Inde utilise les coupures d'Internet pour contrôler la liberté d'expression

    L’Inde a souvent recours aux coupures d’Internet pour contrôler la circulation de l’information et étouffer la dissidence, en particulier dans des régions politiquement sensibles comme le Cachemire ou lors de manifestations de grande ampleur. Ces coupures sont un moyen brutal de couper l’accès à l’information et d’empêcher la communication entre les militants et les manifestants.

    La répression des médias indépendants en Russie

    Depuis 2020, la Russie a intensifié sa répression contre les médias indépendants, les qualifiant d’« agents étrangers » et imposant des réglementations restrictives destinées à réprimer les voix dissidentes. Cet environnement hostile a restreint l’espace de liberté d’expression et de journalisme indépendant.

    Lois de régulation des réseaux sociaux en Turquie

    La récente loi turque obligeant les réseaux sociaux à se conformer aux demandes de suppression de contenu et à nommer des représentants locaux illustre une autre méthode de contrôle gouvernemental sur la liberté d'expression numérique. Le non-respect de cette loi peut entraîner de lourdes sanctions, obligeant de fait les plateformes à se conformer aux réglementations imposées par l'État en matière de liberté d'expression.

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  67. Approches législatives dans les États membres de l'UE et des États-Unis

    Des lois comme la loi sur les services numériques de l'Union européenne et les réglementations sur la modération des contenus dans des États américains comme le Texas et la Floride reflètent une tendance croissante à la régulation directe des plateformes numériques par l'État. Ces lois ont suscité des inquiétudes quant à leur portée excessive et à la suppression de la liberté d'expression sous couvert de protection des utilisateurs contre les contenus préjudiciables.

    Conséquences pour les valeurs démocratiques et la liberté d’expression
    L’empiètement croissant du gouvernement sur la liberté d’expression a de profondes implications :

    Effet paralysant sur la liberté d’expression

    Les diverses tactiques employées, qui vont de la censure directe à des formes plus subtiles de coercition, créent un effet dissuasif. Les individus et les organisations s’autocensurent par crainte de répercussions juridiques ou autres. Cette autocensure étouffe l’innovation, le débat et l’échange d’idées, qui sont essentiels à une société démocratique dynamique. Les individus – tous les individus – doivent se lever et continuer à exercer leur droit à la liberté d’expression et à déposséder ceux qui voudraient asservir tous nos esprits.

    Érosion de la confiance dans les plateformes numériques

    À mesure que les gouvernements s’impliquent davantage dans la modération des contenus, la confiance dans les plateformes numériques en tant que lieux de discussion neutres s’érode. Lorsque les plateformes sont perçues comme étant trop proches des intérêts des gouvernements, leur crédibilité et l’authenticité de leur contenu sont remises en question.

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  68. Normalisation de l’autoritarisme numérique

    Alors que de plus en plus de pays adoptent des mesures strictes pour contrôler la liberté d’expression en ligne, le risque de voir l’autoritarisme numérique se banaliser est de plus en plus grand. Les outils et techniques développés pour contrôler la liberté d’expression dans un contexte donné pourraient facilement être adaptés ailleurs, ce qui conduirait à un environnement mondial où la liberté d’expression se fait de plus en plus rare.

    Stratégies et tactiques de la censure gouvernementale
    Censure directe par la législation

    Les gouvernements ont recours à des mécanismes juridiques directs, comme les amendes, les arrestations et les lois restrictives, pour contrôler la liberté d’expression. Ces mesures sont des exemples clairs de mesures de censure ouverte destinées à faire taire la dissidence et à contrôler le discours.

    Censure indirecte par la pression des entreprises

    Les gouvernements font souvent appel à des entreprises privées pour faire respecter les politiques de modération de contenu par le biais de menaces voilées ou de pressions réglementaires, créant ainsi un environnement dans lequel les entreprises sont obligées de se conformer aux exigences de l’État pour éviter des pénalités ou des sanctions.

    Contrôles numériques et réseau

    Des tactiques telles que les coupures d’Internet, les interdictions de VPN et la réglementation des plateformes de médias sociaux sont de plus en plus utilisées pour contrôler la parole numérique, démontrant jusqu’où les gouvernements sont prêts à aller pour maintenir le contrôle sur le discours en ligne.

    Manipulation des normes juridiques et sociales

    Les gouvernements manipulent également les cadres juridiques et les normes sociales, en recourant à des mesures telles que les sanctions pour « diffamation » afin de faire respecter les normes de liberté d’expression et d’élargir le champ d’application de la liberté d’expression réglementée. Cette pratique brouille encore davantage les frontières entre gouvernance juridique et ingérence de l’État.

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  69. Études de cas et analyses comparatives
    La comparaison des différentes stratégies gouvernementales dans différents pays révèle des similitudes et des différences dans leurs approches de la censure. En examinant ces méthodes côte à côte, l’article illustre la manière dont différents régimes, des démocraties aux États autoritaires, adoptent des tactiques de plus en plus agressives pour contrôler la liberté d’expression.

    Conclusion

    La multiplication des mesures gouvernementales visant à contrôler la liberté d’expression numérique est inquiétante et peut avoir des conséquences de grande ampleur. Des interdictions et arrestations directes aux formes plus subtiles de coercition et de manipulation, les gouvernements du monde entier trouvent de nouveaux moyens d’étouffer la dissidence et de contrôler le discours. Alors que ces pratiques continuent d’évoluer et de se propager, l’avenir de la liberté d’expression est en jeu. La communauté internationale doit rester vigilante, plaider en faveur de la transparence et de la responsabilité et préserver la liberté d’expression en tant que droit humain fondamental.

    La bataille pour la liberté d’expression n’est pas seulement une question juridique ou politique, mais un combat pour l’âme même de la démocratie. Les mesures prises aujourd’hui détermineront le paysage du débat public pour les générations à venir.

    https://www.globalresearch.ca/free-speech-global-surge-government-censorship-digital-control/5866814

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  70. La guerre contre la nourriture et la guerre contre l'humanité : les plateformes de contrôle et l'esprit incassable


    Par Colin Todhunter
    Recherche mondiale,
    1er septembre 2024


    Max Weber (1864-1920) était un éminent sociologue allemand qui a développé des théories influentes sur la rationalité et l'autorité. Il a examiné les différents types de rationalité qui sous-tendent les systèmes d'autorité. Il a soutenu que les sociétés occidentales modernes étaient fondées sur l'autorité légale et rationnelle et s'étaient éloignées des systèmes fondés sur l'autorité traditionnelle et l'autorité charismatique.

    L’autorité traditionnelle tire son pouvoir de coutumes et de traditions de longue date, tandis que l’autorité charismatique est basée sur les qualités personnelles exceptionnelles ou le charisme d’un leader.

    Selon Weber, l'autorité juridique et rationnelle qui caractérise la société capitaliste industrielle occidentale repose sur une rationalité instrumentale qui se concentre sur les moyens les plus efficaces pour atteindre des fins données. Ce type de rationalité se manifeste dans le pouvoir bureaucratique. Weber l'oppose à une autre forme de rationalité : la rationalité des valeurs, qui repose sur des croyances conscientes dans la valeur intrinsèque de certains comportements.

    Si Weber voyait les avantages de la rationalité instrumentale en termes d’efficacité accrue, il craignait que cela ne conduise à une « cage de fer » étouffante, fondée sur un ordre et un respect des règles (rationalité instrumentale) considérés comme une fin en soi. Le résultat serait la « nuit polaire d’obscurité glaciale » de l’humanité.

    Aujourd'hui, les changements technologiques se propagent à travers le monde et posent de nombreux défis. Le danger est de voir une élite se retrouver dans une cage de fer technologique qui utilise la technologie à des fins malveillantes.

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  71. Lewis Coyne de l'Université d'Exeter déclare :

    « Nous ne voulons pas – ou ne devrions pas – devenir une société dans laquelle les choses les plus importantes ne sont appréciées que pour leur valeur instrumentale. Le défi consiste donc à délimiter la rationalité instrumentale et les technologies qui l’incarnent en protégeant ce à quoi nous accordons une valeur intrinsèque , au-delà de la simple utilité. »

    Il ajoute que nous devons décider à quelles technologies nous sommes destinés, à quelles fins, et comment elles peuvent être gérées démocratiquement, en vue du type de société que nous souhaitons être.

    L'un des changements majeurs que nous avons observés ces dernières années est la domination croissante des services et plateformes basés sur le cloud. Dans le secteur de l'alimentation et de l'agriculture, nous assistons au déploiement de ces phénomènes liés à une agriculture techno-solutionniste « axée sur les données » ou « de précision », légitimée par des notions « humanitaires » d'« aide aux agriculteurs », de « sauvegarde de la planète » et de « nutrition du monde » face à une sorte de catastrophe malthusienne imminente.

    Un discours à la fois alarmiste et égocentrique, promu par ceux qui ont alimenté la dévastation écologique, la dépendance des entreprises, la dépossession des terres, l’insécurité alimentaire et l’endettement des agriculteurs en raison du régime alimentaire mondial qu’ils ont contribué à créer et dont ils ont tiré profit. Aujourd’hui, grâce à un système d’échange de crédits carbone très rentable mais imparfait et à un éco-modernisme axé sur la technologie et le greenwashing, ils vont sauver l’humanité d’elle-même.

    Le monde selon Bayer

    Dans le secteur agroalimentaire, nous assistons au déploiement d’approches agricoles axées sur les données ou de précision par des entreprises telles que Microsoft , Syngenta, Bayer et Amazon, centrées sur des services d’information sur les données basés sur le cloud . L’agriculture axée sur les données exploite les données pour que les géants de l’agroalimentaire et de la technologie puissent indiquer aux agriculteurs ce qu’ils doivent produire et en quelle quantité, ainsi que le type d’intrants exclusifs qu’ils doivent acheter et auprès de qui.

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  72. Les propriétaires de données (Microsoft, Amazon, Alphabet, etc.), les fournisseurs d’intrants (Bayer, Corteva, Syngenta, Cargill, etc.) et les entreprises de vente au détail (Amazon, Walmart, etc.) visent à s’assurer les sommets de l’économie agroalimentaire mondiale grâce à leurs plateformes monopolistiques.

    Mais à quoi ressemble ce modèle d’agriculture dans la pratique ?

    Prenons comme exemple la plateforme numérique Climate FieldView de Bayer. Elle collecte des données à partir de satellites et de capteurs dans les champs et sur les tracteurs, puis utilise des algorithmes pour conseiller les agriculteurs sur leurs pratiques agricoles : quand et quoi planter, quelle quantité de pesticides pulvériser, quelle quantité d'engrais appliquer, etc.

    Pour participer au programme carbone de Bayer , les agriculteurs doivent être inscrits à FieldView. Bayer utilise ensuite l'application FieldView pour enseigner aux agriculteurs la mise en œuvre de deux pratiques censées séquestrer le carbone dans les sols : le travail réduit du sol ou l'agriculture sans labour et la plantation de cultures de couverture.

    Grâce à l'application, l'entreprise surveille ces deux pratiques et estime la quantité de carbone séquestrée par les agriculteurs participants. Les agriculteurs sont ensuite censés être payés selon les calculs de Bayer, qui utilise ces informations pour réclamer des crédits carbone et les vendre sur les marchés du carbone.

    Bayer dispose également d'un programme aux États-Unis appelé ForGround . Les entreprises en amont peuvent utiliser la plateforme pour faire de la publicité et proposer des remises sur les équipements, les semences et autres intrants. 

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  73. Par exemple, inciter davantage d'agriculteurs à pratiquer le labourage réduit ou le semis direct présente un énorme avantage pour Bayer (vendu sous prétexte qu'il est « respectueux du climat »).  Le type de labourage réduit ou de semis direct promu par Bayer nécessite d'arroser les champs avec son herbicide RoundUp ( un glyphosate toxique ) et de planter des graines de soja ou de maïs hybride génétiquement modifié résistant au Roundup.

    Et qu'en est-il des cultures de couverture évoquées ci-dessus ? Bayer entend également tirer profit de la promotion des cultures de couverture. Il a pris une participation majoritaire dans une société de semences qui développe une culture de couverture génétiquement modifiée, appelée CoverCress . Les semences de CoverCress seront vendues aux agriculteurs inscrits à ForGround et la culture sera vendue comme biocarburant.

    Mais la principale cible de Bayer sont les entreprises agroalimentaires en aval, qui peuvent utiliser la plateforme pour revendiquer des réductions d'émissions dans leurs chaînes d'approvisionnement.

    Les sociétés agroalimentaires et les grandes entreprises technologiques développent conjointement des plateformes d’agriculture carbone pour influencer les agriculteurs sur leurs choix d’intrants et de pratiques agricoles (les grandes entreprises technologiques, comme Microsoft et IBM, sont d’importants acheteurs de crédits carbone).

    L'organisation à but non lucratif GRAIN affirme (voir l'article The corporate agenda behind carbon farming ) que Bayer exerce un contrôle croissant sur les agriculteurs de divers pays, dictant exactement comment ils cultivent et quels intrants ils utilisent grâce à son « Programme Carbone ».

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  74. GRAIN soutient que, pour les entreprises, l’agriculture du carbone consiste à accroître leur contrôle sur le système alimentaire et n’a certainement pas pour objectif de séquestrer du carbone .

    Les plateformes numériques sont destinées à être des guichets uniques pour les crédits carbone, les semences, les pesticides et les engrais ainsi que les conseils agronomiques, tous fournis par l'entreprise, qui bénéficie en plus du contrôle des données récoltées auprès des exploitations participantes.

    Yanis Varoufakis , ancien ministre des Finances de la Grèce, estime que nous assistons à un glissement du capitalisme vers le technoféodalisme. Il soutient que les géants de la technologie comme Apple, Meta et Amazon agissent comme des seigneurs féodaux des temps modernes. Les utilisateurs de plateformes numériques (comme les entreprises ou les agriculteurs) deviennent en quelque sorte des « serfs du cloud » et une « rente » (frais, données, etc.) leur est prélevée pour leur présence sur une plateforme.

    Dans le système féodal, c'est la rente foncière qui détermine le système. Dans le capitalisme, ce sont les profits qui déterminent le système. Varoufakis affirme que les marchés sont remplacés par des « fiefs numériques » algorithmiques.

    Bien que les plateformes numériques nécessitent une certaine forme de production capitaliste, comme les entreprises comme Amazon ont besoin des fabricants pour produire des biens pour leurs plateformes, le nouveau système représente un changement significatif dans la dynamique du pouvoir, favorisant ceux qui possèdent et contrôlent les plateformes.

    On peut débattre de la question de savoir si ce système relève du technoféodalisme, de l’hypercapitalisme ou d’autre chose. Mais nous devrions au moins être en mesure de nous mettre d’accord sur une chose : les changements que nous observons ont des répercussions profondes sur les économies et les populations, qui sont de plus en plus surveillées, car elles sont contraintes de passer leur vie en ligne.

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  75. Les entreprises elles-mêmes responsables des problèmes du système alimentaire actuel ne font qu’offrir davantage de la même chose, cette fois-ci emballée dans un emballage éco-moderniste, génétiquement modifié et faussement vert (voir l’article en ligne Du zéro net au glyphosate : le coup de force des entreprises agritech écoblanchies ).

    Les élus facilitent ce phénomène en plaçant les besoins des intérêts monopolistes mondiaux avant les libertés individuelles des citoyens ordinaires et les droits des travailleurs , ainsi que les besoins des producteurs, des entreprises et des marchés locaux indépendants.

    Par exemple, le gouvernement indien a récemment signé des protocoles d’accord avec Amazon, Bayer, Microsoft et Syngenta pour mettre en place une agriculture de précision basée sur les données. Une « agriculture mondiale unique » sous leur contrôle, basée sur des semences génétiquement modifiées, des produits créés en laboratoire qui ressemblent à de la nourriture et une agriculture sans agriculteurs, avec toute la chaîne agroalimentaire, du champ (ou du laboratoire) au commerce de détail, entre leurs mains.

    Cela fait partie d’une stratégie plus large visant à éloigner des centaines de millions de personnes de l’agriculture, à garantir la dépendance alimentaire de l’Inde vis-à-vis des sociétés étrangères et à éradiquer tout semblant de démocratie alimentaire (ou de souveraineté nationale).

    En réponse, une « lettre citoyenne » (juillet 2024) a été envoyée au gouvernement. Elle indiquait qu'il n'était pas clair ce que le Conseil indien de la recherche agricole (ICAR) apprendrait de Bayer que les scientifiques du secteur public bien payés de l'institution ne peuvent pas développer eux-mêmes. La lettre indique que les entités qui ont été responsables d'une crise économique et environnementale dans l'agriculture indienne sont associées à l'ICAR pour des soi-disant solutions alors que ces entités ne s'intéressent qu'à leurs profits et non à la durabilité (ou à toute autre nomenclature qu'elles utilisent).

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  76. La lettre soulève quelques préoccupations majeures. Où en est le débat démocratique sur les marchés des crédits carbone ? L’ICAR veille-t-elle à ce que les agriculteurs bénéficient des meilleurs conseils possibles, plutôt que de conseils biaisés qui favorisent le déploiement de produits exclusifs ? Existe-t-il un système permettant à l’ICAR de développer des programmes de recherche et d’éducation auprès des agriculteurs qu’elle est censée servir, au lieu d’être guidée par les caprices et les idées commerciales des grandes entreprises ?

    Les auteurs de la lettre soulignent que les copies des protocoles d’accord ne sont pas partagées de manière proactive dans le domaine public par l’ICAR. La lettre demande à l’ICAR de suspendre les protocoles d’accord signés, de partager tous les détails dans le domaine public et de s’abstenir de signer d’autres protocoles d’accord de ce type sans un débat public nécessaire.

    Valoriser l'humanité

    Les solutions qui permettraient de répondre aux défis auxquels l’humanité est confrontée sont ignorées par les décideurs politiques ou cyniquement attaquées par les lobbyistes des entreprises. Ces solutions impliquent des changements systémiques dans les systèmes agricoles, alimentaires et économiques, en mettant l’accent sur des modes de vie à faible consommation (d’énergie), la localisation et une agroécologie écologiquement durable.

    Comme le dit l’activiste John Wilson , ce changement repose sur des solutions créatives, un lien avec la nature et la terre, l’éducation des personnes, la transformation pacifique et la solidarité.

    C’est un sujet abordé dans un article récent intitulé De l’agrarisme au transhumanisme : la longue marche vers la dystopie, dans lequel il est avancé que le travail coopératif, la fraternité et notre lien spirituel de longue date avec la terre devraient façonner la manière dont nous devrions vivre en tant que société. Cela contraste fortement avec les valeurs et les impacts du capitalisme et de la technologie fondés sur la rationalité instrumentale et trop souvent alimentés par les flux de revenus et l’objectif de contrôler les populations.

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  77. Lorsque nous entendons parler de « connexion spirituelle », que faut-il entendre par « spirituel » ? Au sens large, ce terme peut être considéré comme un concept qui renvoie aux pensées, aux croyances et aux sentiments concernant le sens de la vie, plutôt qu’à la simple existence physique. Il s’agit d’un sentiment de connexion à quelque chose de plus grand que nous-mêmes. Quelque chose qui s’apparente au concept de rationalité des valeurs de Weber. Le spirituel, le divers et le local sont mis en contraste avec l’égoïsme de la société urbaine moderne, l’homogénéité croissante de la pensée et de la pratique et une rationalité instrumentale qui devient une fin en soi.

    Avoir un lien direct avec la nature/la terre est fondamental pour développer une appréciation d’un type d’« être » et une « compréhension » qui aboutit à une réalité dans laquelle il vaut la peine de vivre.

    Cependant, ce à quoi nous assistons est un programme basé sur un ensemble de valeurs différentes enracinées dans une soif de pouvoir et d’argent et dans l’assujettissement total des gens ordinaires, imposé sous la fausse promesse du solutionnisme technologique (transhumanisme, vaccins dans les aliments, lacets neuronaux pour détecter les humeurs implantés dans le crâne, monnaie numérique programmable, technologie de suivi et de traçabilité, etc.) et une notion lointaine d’une utopie technologique qui laisse les relations de pouvoir malveillantes intactes et incontestées.

    L’humanité va-t-elle vivre une « nuit polaire de ténèbres glaciales » sans fin ? Espérons que non. Cette vision est imposée d’en haut. Les gens ordinaires (qu’il s’agisse par exemple des agriculteurs indiens ou de ceux qui sont écrasés par les politiques d’austérité) se retrouvent à subir une guerre de classe menée contre eux par une élite ultra-riche.

    En 1941, Herbert Marcuse affirmait que la technologie pouvait être utilisée comme un instrument de contrôle et de domination. C’est précisément ce que veulent faire Bayer, la Fondation Gates, BlackRock et la Banque mondiale, qui tentent d’éradiquer la diversité authentique et d’imposer un modèle unique de pensée et de comportement.

    Une dernière réflexion, gracieuseté du militant des droits civiques Frederick Douglass, dans un discours de 1857 :

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  78. « Le pouvoir ne concède rien sans qu’on lui en fasse la demande. Il ne l’a jamais fait et ne le fera jamais. Cherchez à quoi un peuple est prêt à se soumettre en silence et vous découvrirez la mesure exacte de l’injustice et du tort qui lui seront imposés, et ceux-ci persisteront jusqu’à ce qu’on lui résiste par des mots ou des coups, ou les deux. Les limites des tyrans sont fixées par l’endurance de ceux qu’ils oppriment. »

    https://www.globalresearch.ca/war-food-war-humanity-control/5866768

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  79. L'agenda des entreprises derrière l'agriculture du carbone


    Par grain
    Recherche mondiale,
    02 septembre 2024


    Si vous vivez en Afrique et que vous avez entendu parler ou vécu un projet de « culture du carbone », il s’agit probablement d’un accaparement de terres pour une plantation d’arbres à grande échelle. Dans une grande partie du Sud, un nombre croissant d’entreprises s’approprient de vastes étendues de terres pour établir des plantations d’arbres et réclamer des crédits carbone qu’elles peuvent ensuite revendre sur les marchés internationaux du carbone. C’est le cas au Niger, où l’entreprise américaine African Agriculture Inc. a récemment acquis deux baux de 50 ans sur un total de deux millions d’hectares pour planter des pins afin d’obtenir des crédits carbone. Une expérience similaire se déroule en République du Congo, où le géant français de l’énergie Total plante 40 000 hectares d’acacias pour obtenir des crédits carbone, privant ainsi les communautés locales de leurs terres agricoles pour les 20 prochaines années.

    Mais dans les pays où l’agriculture industrielle domine, comme les États-Unis, le Brésil ou l’Australie, l’agriculture carbone consiste à modifier des pratiques bien ancrées pour prétendre que le carbone est séquestré dans le sol et vendre ensuite des crédits carbone. Cette forme d’agriculture carbone commence également à être imposée aux petits agriculteurs dans différentes régions du Sud, comme en Inde.

    Un programme promu par le géant mondial des semences et des pesticides Bayer fournit un bon exemple de la manière dont cette voie bien établie vers « l’agriculture du carbone » est utilisée pour faire avancer les programmes des sociétés agroalimentaires.

    Il y a une dizaine d'années, Monsanto, célèbre fabricant de pesticides et de semences, a fait une acquisition controversée d'une société d'agriculture numérique appelée Climate Corporation. Grâce à cette acquisition, elle a développé l'une des premières grandes plateformes d'agriculture numérique , qui s'appelle désormais Climate FieldView.

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  80. FieldView est essentiellement une application qui collecte des données à partir de satellites et de capteurs dans les champs agricoles et de capteurs sur les tracteurs, puis utilise des algorithmes pour conseiller les agriculteurs sur leurs pratiques agricoles : quand et quoi planter, quelle quantité de pesticide pulvériser, quelle quantité d'engrais appliquer, etc. L'entreprise affirme que FieldView est déjà utilisé dans des fermes couvrant plus de 24 millions d'hectares aux États-Unis, au Canada, au Brésil, en Argentine et en Europe.

    En 2020, Bayer (qui a acquis Monsanto en 2016) a lancé son programme carbone aux États-Unis. En Europe, il s'appelle Carbon Initiative et au Brésil, Carbon+.

    Pour participer au programme carbone de Bayer , les agriculteurs doivent s’inscrire sur la plateforme d’agriculture numérique FieldView de Bayer. Bayer utilise ensuite l’application FieldView pour enseigner aux agriculteurs la mise en œuvre de deux pratiques censées séquestrer le carbone dans les sols : 1) le travail réduit du sol ou l’agriculture sans labour et 2) la plantation de cultures de couverture. Grâce à l’application, l’entreprise surveille la mise en œuvre de ces deux pratiques et estime la quantité de carbone séquestrée par les agriculteurs participants. Les agriculteurs sont ensuite censés être payés selon les calculs de Bayer et Bayer utilise ces informations pour réclamer des crédits carbone et les vendre sur les marchés du carbone.

    En août dernier, Bayer a lancé un nouveau programme aux États-Unis, appelé ForGround . La principale différence avec son programme carbone est que les entreprises peuvent également s'inscrire à ForGround, et pas seulement les agriculteurs. Les entreprises en amont peuvent utiliser la plateforme pour faire de la publicité et offrir des remises sur les équipements de labourage , les semences fourragères et d'autres intrants. Mais la principale cible de Bayer est les entreprises agroalimentaires en aval, qui peuvent utiliser la plateforme pour revendiquer des réductions d'émissions de Scope 3 dans leurs chaînes d'approvisionnement.

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  81. Le géant de la volaille Purdue Farms a été la première entreprise de ce type à annoncer une collaboration avec ForGround de Bayer en septembre 2022. Dans le cadre de cette collaboration, les agriculteurs qui fournissent des céréales fourragères à Purdue seront inscrits à ForGround afin que Purdue puisse suivre leur empreinte carbone et commercialiser son poulet hautement polluant comme « durable ». Bien que cela ne soit pas précisé par les entreprises, un autre avantage pour Purdue sera l'accès à des informations détaillées sur ses fournisseurs agricoles et qu'elle pourra utiliser pour maximiser ses profits.

    On ne sait pas si les agriculteurs y gagneront quelque chose. Le communiqué de presse conjoint indique seulement que les agriculteurs « pourraient être rémunérés pour avoir suivi leur empreinte carbone ». En revanche, les agriculteurs pourraient être pénalisés s’ils ne s’inscrivent pas. Ceux qui ne s’inscrivent pas pourraient se retrouver dans l’impossibilité de vendre du soja et du maïs à Purdue, ou être moins payés par Purdue pour leurs récoltes.

    Bayer est le grand gagnant de cette opération. Il contrôle de plus en plus les agriculteurs, leur dicte exactement comment ils cultivent et quels intrants ils utilisent. Inciter davantage d’agriculteurs à pratiquer le labourage réduit ou le semis direct présente un énorme avantage pour Bayer. Le type de labourage réduit ou le semis direct promu par Bayer nécessite d’arroser les champs avec des tonnes de son herbicide RoundUp (glyphosate) et de planter des graines de son soja génétiquement modifié résistant au Roundup ou de son maïs hybride.

    Bayer compte également tirer profit de la promotion des cultures de couverture. Le mois même où il a lancé ForGround, il a pris une participation majoritaire dans une société semencière qui développe une culture de couverture génétiquement modifiée, appelée CoverCress . Les semences de CoverCress seront vendues aux agriculteurs inscrits à ForGround et la culture sera vendue comme biocarburant.

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  82. L’évolution des programmes de Bayer montre que, pour les entreprises, l’agriculture de carbone consiste à accroître leur contrôle sur le système alimentaire. Il ne s’agit certainement pas de séquestrer du carbone . Le programme de Bayer a une visée à court terme, car il ne nécessite qu’une garantie de séquestration de 10 ans. Il présente également un très faible niveau de vérifiabilité, car les contrôles seront principalement effectués à distance, au moyen d’estimations basées sur des données collectées par l’application FieldView, et non d’analyses régulières du sol. Il ne s’agit pas non plus de générer une nouvelle source de revenus pour les agriculteurs. Comme nous pouvons le constater avec le passage à ForGround, tous les bénéfices iront à Bayer et à d’autres entreprises.

    https://www.globalresearch.ca/corporate-agenda-carbon-farming/5866771

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  83. Faites confiance à la science ! Croyez-vous à la science ?


    31 août 2024
    par le Dr. Gabriele Feyerer


    Comme dans tous les domaines de la vie, l’honnêteté et la véracité sont attendues, notamment en science. Chaque mouton noir ici nuit à la réputation de la communauté. Toutefois, la fraude dans la recherche n’est pas moins courante que dans d’autres domaines. Aujourd’hui, c’est au moins aussi courant, même si le Corona s’est avéré être un « booster ».

    Pourquoi faut-il constamment nous dire de « croire » en la science aujourd’hui ? Une contradiction flagrante dans les termes, car comme nous le savons tous, croire signifie ne rien savoir. Quiconque sait quelque chose et ne peut pas se présenter comme un « expert » devrait, en termes simples, « se taire ».

    Aujourd’hui, l’éthos scientifique est exposé à des dangers constants, qui augmentent avec les conditions complexes de la science moderne et nécessitent donc une analyse critique. Prof. Dr. Franz M. Wuketits , a étudié zoologiste, paléontologue et philosophe des sciences, alors à l'Institut de philosophie de l'Université de Vienne, dans une contribution à la 126e réunion du

    Société des naturalistes et médecins allemands e. V. à Dresde. Le thème de l’événement était « Défi humain – Énergie, nutrition, santé ». Malheureusement, le professeur Wuketits est décédé en 2018 et n’a donc pas eu à subir les (mauvais) développements actuels de la morale et de l’éthique. Il aurait probablement eu beaucoup à dire à ce sujet.

    Les déclarations du professeur Wuketits étaient très profondes et sont aujourd'hui plus explosives que jamais. Selon lui, la science, en particulier les sciences naturelles, se voit confier de plus en plus de tâches qui étaient auparavant étrangères à ses protagonistes. Il a écrit à ce sujet :

    « L’autonomie intellectuelle et morale de la science (l’éthos scientifique) – alors que nous pensions que des conditions telles que celles du Troisième Reich ou de l’Union soviétique avaient été surmontées – risque d’être à nouveau minée par la politique, qui offre également une expertise scientifique lorsqu’elle ne semble pas opportun, facile à écarter. Le même danger vient de l’économie, avec laquelle la science a conclu une alliance contre nature. Les clients, par exemple dans l’industrie pharmaceutique, lient les scientifiques à eux-mêmes par des « contrats de confinement » et attendent dès le départ certains résultats qui, s’ils ne sont pas obtenus, doivent être manipulés ou ne peuvent pas être publiés ( rapport de conférence GDNÄ – ndlr ). .: Hans-Peter Zenner et al., p. 270.)

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  84. Indépendamment de cela, selon Wuketits, il y a le problème du flot toujours croissant d'informations, même si, vingt ans (!) auparavant, le théoricien et auteur viennois Erhard Oeser avait parlé plus clairement de « canaux peu profonds », de « cloaques de la raison ». » ou « théories jetables ». Également en écrivant : « Dans le passé… des cerveaux forts reposaient sur des machines faibles ; Aujourd’hui, les cerveaux faibles sont attachés à des appareils puissants. Même si cette phrase n’implique pas un rejet des « technologies modernes d’observation et d’expérimentation », elle signifie néanmoins la prédominance croissante de la raison instrumentale au détriment de la raison créatrice. Il est aujourd'hui important d'utiliser ces moyens pour obtenir à tout prix des résultats adéquats, qui - indépendamment de leur pertinence objective - seront ensuite renforcés par les médias. Cela laisse la porte ouverte au « charlatan ». Il en résulte finalement « une forme de cannibalisme intellectuel qui se rapproche nécessairement du plagiat », estime Wuketits.

    Quelle anticipation presque prophétique des développements actuels ! La créativité n’est aujourd’hui requise que lorsqu’il s’agit de falsifier des données ou de concocter des sérums de vaccination génétiquement manipulés, semble-t-il.

    Perte de continuité historique sous la pression économique

    Un autre problème, selon le professeur Wuketits, est la perte de continuité historique, qui a été un facteur dans l'image que la science a d'elle-même jusqu'aux temps modernes. Mais cela se réduirait désormais à une « conscience actuelle », une connaissance banale de « l’état actuel de la recherche ». Les chercheurs ne lisent presque plus la littérature plus ancienne, même si cela ne peut signifier que quelques années. Il vaudrait mieux réinventer la roue et soi-disant générer de nouvelles informations, car on ne sait plus rien des anciennes et même les revues scientifiques d'aujourd'hui (c'était en 2010 !) ont de plus en plus besoin de rapports sensationnels pour pouvoir survivre dans la compétition. de la « forêt de feuilles ». À y regarder de plus près, ces « nouvelles » informations n’offrent souvent que peu d’informations.

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  85. La pression économique devient de plus en plus forte avec les appels à une efficacité accrue, à une assurance qualité et à une internationalisation, que la science suit désormais volontiers.

    Évaluation, classement et facteur d'impact sont des termes bien connus, mais derrière eux se cache quelque chose d'extrêmement dangereux, à savoir la tendance à réguler les performances de la recherche, ce qui ne signifie rien d'autre que la suppression de la créativité.

    Cela normalise et transforme le concept de science lui-même. Ni les autres cultures scientifiques ne sont prises en compte ici, ni la question du contenu même des réalisations scientifiques. Les évaluations sont effectuées selon des critères fixes et relativement arbitraires, comme le soulignait Konrad Paul Liessmann dans son livre de 2006 « Theory of Uneducation ». Les erreurs de la société scientifique ».

    Wuketits à ce sujet :

    « Cela peut paraître paradoxal, mais la régulation et la standardisation de la science favorisent ce que nous voulons éviter à tout prix : la tromperie, la fraude et l’escroquerie. Enfin, les instituts scientifiques sont évalués sur la base de leurs équipements, ce qui coûte de l'argent. (…) Les projets doivent être soumis de la manière la plus personnalisée possible - il est préférable que la candidature du projet contienne des résultats qui n'ont pas encore été atteints (et qui ne peuvent peut-être pas l'être du tout)." (Rapport de la conférence GDNÄ - Ed. : Hans- Peter Zenner et coll., p. 271)

    Et s’interroge-t-on encore sur Pfizer ou sur le « subjonctif scientifique » devenu monnaie courante dans la « nouvelle » médecine génétique que personne d’autre ne veut tolérer ?

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  86. On pourrait résumer la situation en disant que la science d’aujourd’hui ne serait plus possible autrement que de manière souveraine et standardisée, car elle a depuis longtemps été détournée par les possibilités offertes par le génie génétique et l’IA, ainsi que par des intérêts de lobby sans fin. La science empirique « comme avant » ne fonctionne plus ; les gens essaient simplement de prouver que tout ce que les apprentis sorciers font sans qu’on le leur demande ne peut être que bon et juste. Cela nécessite également qu’on nous ordonne de « croire » cette science, car ses « découvertes » ne sont plus rationnellement compréhensibles pour le sens commun (sans parler du bon sens). Non seulement les virus sont en train de muter, mais la « science » en particulier se transforme en une nouvelle religion d’État occidentale, qui veut désormais nous recruter de force et sans pitié avec l’aide de l’OMS, de l’ONU, etc. – « à tout prix ».

    Une industrie frauduleuse lucrative ?

    Comme les États-Unis aiment toujours servir de « modèle », ils ne se laissent évidemment pas enlever, même en cas de fraude scientifique. Comme le Wall Street Journal l'a rapporté en mai de cette année, l' éditeur scientifique américain Wiley a fait l'objet de critiques extrêmes. Il a dû retirer plus de 11 300 articles scientifiques (ceux-ci ont même été évalués par des pairs !) et retirer du marché 19 de ses revues associées, dont « Disease Markers », « BioMed Research International » et « Computational Intelligence an Neuroscience ». La raison en est un marché noir visiblement florissant de plusieurs millions de dollars, avec de fausses données scientifiques, de faux auteurs et des résultats de recherche corrompus. Des articles qui ne sont pas censés être des études médicales, notamment des études sur la « résistance aux médicaments chez les nouveau-nés atteints de pneumonie » ou sur « la valeur des examens IRM dans le diagnostic précoce d’une maladie hépatique ».

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  87. Alors c’est ainsi que vous générez de la « science » ? Ceux que vous devriez « croire » ?

    L'affaire a également mis en lumière un autre aspect de la crise générale de confiance dans la science : la vente lucrative de diplômes universitaires et d'essais « anti-plagiat » aux étudiants par les universités et les institutions scientifiques. Plus la qualité souhaitée est élevée, plus ce « service » est cher. Parce que les carrières universitaires sont déterminées par ces titres évalués par des pairs, la publication dans des revues renommées ouvre la porte à des emplois lucratifs ou à des promotions dans le milieu professionnel. Bien entendu, les réseaux de contrefaçon ont également leurs « relations » dans les rédactions de divers journaux et magazines afin d'assurer des reportages et des publications agréables. Une enquête menée par le blog Retrection Watch aurait révélé plus de 30 cas de rédacteurs en chef ayant reçu des pots-de-vin allant jusqu'à 20 000 dollars. Certains éditeurs universitaires allemands confirment ouvertement que les employés se voient régulièrement proposer de l’argent pour accepter des manuscrits, et l’organisation britannique à but non lucratif UKRIO a annoncé en février 2024 qu’un éditeur anonyme avait dû licencier 300 (!) éditeurs en raison d’un comportement manipulateur.

    (Source : www.abc.net.au/news/ et www.raum-und-zeit.com )

    À la fin de sa contribution, le professeur Wuketits souligne qu'une entreprise scientifique sous la forme illustrée favorise non seulement la fraude, les mensonges et la tromperie, mais favorise également la prospérité de ces individus désagréables que l'on connaît dans tous les domaines de la société : les envieux et des informateurs (ce que nous avons probablement assez vu avec Corona et que nous continuerons de voir à l'avenir). Des gens qui veulent surtout faire une « carrière » en ne faisant guère plus qu’essayer de prouver que d’autres ont commis des actes répréhensibles ou ont des opinions « erronées ». La première chose qui vient spontanément à l’esprit, ce sont divers « correcteurs » rémunérés de prétendues fausses nouvelles qui revendiquent une vérité exclusive et qui se voient offrir une plateforme par des forums Internet obéissants, des formats de télévision et des « médias d’attitude ». Cette situation explique également pourquoi l'homéopathie, qui connaît tant de succès dans la pratique, doit toujours être ignorée par de tels systèmes, aussi efficace soit-elle.

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  88. De plus, il y a ceux qui veulent simplement « être quelqu’un » pendant une courte période (voire plus longtemps) et obtenir leur solution financière. Chacun peut déterminer lui-même combien ils sont (à nouveau) dans la politique et les médias, parmi les soi-disant experts, chercheurs ou médecins, parfois même parmi leurs propres parents et voisins amis, et à quelle vitesse leur nombre augmente. Nous ne parviendrons guère à arrêter ces évolutions, mais rester silencieux à leur sujet n’est certainement pas une option.

    Matériel source (sélection) :
    Ben-David J. : Croissance scientifique. Essais sur l'organisation sociale et l'éthos de la science. Presses de l'Université de Californie, Berkeley, Los Angeles, Oxford 1991

    Engelhardt, v. D : Conscience historique dans les sciences naturelles, des Lumières au positivisme. Alber, Fribourg-Munich 1997

    Liessmann, KP : Théorie de la non-éducation. Les erreurs de la société de la connaissance. Zolnay, Vienne 2006

    Oeser, E. : L'aventure de la raison collective. Evolution et involution de la science. Parey, Berlin-Hambourg 1988

    Wuketits, Prof. Franz : Camoufler, tromper, tromper – la fraude scientifique d’hier et d’aujourd’hui. Dans : Zenner Hans-Peter et al. (éd.) : Le défi humain. Énergie, nutrition, santé. Négociations de la Société des naturalistes et médecins allemands e. V. GDNÄ. 126e réunion du 17 au 21 septembre 2010 à Dresde, pp. 263-275

    https://tkp.at/2024/08/31/trust-in-science-der-wissenschaft-glauben/

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  89. Les remodelages constants dans la filière agricole épuisent ses acteurs


    le 02 septembre 2024 - 09:13


    De nouvelles négociations annoncées dans le secteur agricole espèrent permettre un rebond suite à la crise et les manifestations traversées cette année. Cependant, les industriels de l’agroalimentaire ont du mal à partager ce nouvel espoir et restent sceptiques. Afin d’offrir une nouvelle voie à l’économie agricole, la Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FNSEA) soumet au gouvernement ce jeudi 29 août son projet de loi, « entreprendre en agriculture ».

    Au cours d’une Rencontre des entrepreneurs de France (REF), le président du Groupement Les Mousquetaires, Thierry Cotillard, a affiché la possibilité d’une entente avec Arnaud Rousseau, le directeur de la FNSEA. Ceci serait l’occasion d’envisager de prochaines négociations commerciales et proposer une nouvelle loi, Egalim IV. La loi Egalim III, adoptée en mars 2023, permettait notamment de « rééquilibrer les relations commerciales entre les fournisseurs de l’agroalimentaire et la grande distribution ».

    L’objectif de ce nouveau calendrier serait de permettre une première date limite aux négociations où les industriels vont pouvoir fixer leur prix avec les producteurs. Une première étape qui offre ensuite l’opportunité d’échanger sur ces nouveaux prix avec la grande distribution.

    De quoi soulever inévitablement la question de la bonne rémunération des agriculteurs. Tous types de productions confondues, l’Insee établit la moyenne du revenu mensuel d’un exploitant à 1 860 euros en 2021. Outre les rémunérations, le secteur est reconnu pour les pressions et l’état d’esprit qu’il suscite. Dans son rapport « charges et produits 2024 », la mutualité sociale agricole (MSA) relève qu’en 2020, « les consommants de soins du régime agricole de 15 à 64 ans ont un risque de mortalité par suicide supérieur de 30,9 % à celui des assurés tous régimes ».

    Alors, à tout le moins, une chose est certaine. Ces négociations doivent déboucher sur une prise en compte de la parole des agriculteurs, dans la tourmente depuis trop longtemps. Espérons que ces espoirs ne soient pas vains.

    Un acteur de la filière témoigne : « Cette année, certains industriels ont discuté un prix avec les distributeurs avant même d'en parler avec les agriculteurs… Ils ont outrepassé Egalim. Cela ne peut pas se passer comme cela ».

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  90. En contrepartie, le patron de la Fédération des Entreprises et Entrepreneurs de France (FEEF), Léonard Prunier, s’exclame que « c’est impossible, ces histoires de contrats en amont ! Pour une PME, cela veut dire 400 à 500 contrats à signer, dans chaque entreprise! ». Encore et toujours, la contrainte des lourdeurs administratives entache le secteur et provoque le besoin de raccourcis. Et ces raccourcis, ce sont les agriculteurs qui en pâtissent.

    Pourtant, cette lourdeur administrative est à l’origine, avec l’inflation, de la colère des agriculteurs lors des manifestations de ce début d’année. Sans répondre à ces exigences, les lois portant l’étendard de la protection des agriculteurs deviennent leur goulot d’étranglement.

    https://www.francesoir.fr/politique-france/les-remodelages-constants-dans-la-filiere-agricole-epuisent-ses-acteurs

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  91. Les semences de riz génétiquement améliorées pour résister aux insectes qui ont été volées par Greenpeace étaient en route de l'Institut Fédéral Suisse de Technologie de Zurich vers l'Institut International de Recherche sur le Riz aux Philippines. Les semences modifiées devaient être testées pour confirmer qu'elles pousseraient et produiraient des rendements élevés avec beaucoup moins d'applications de pesticides chimiques.

    Greenpeace a ignoré le large consensus scientifique de longue date sur la sécurité des plantes génétiquement modifiées, qui résulte de milliers d'expériences d'évaluation des risques et d'une vaste expérience du monde réel. Rien qu'aux États-Unis, plus de 90 % du maïs, du soja et de la betterave à sucre sont génétiquement modifiés et, après des décennies de consommation de milliers de milliards de portions d'aliments issus de plantes génétiquement modifiées dans le monde entier, aucun problème de santé ou d'environnement n'a été documenté.

    L'opposition de Greenpeace est fondée sur la pseudo-science et l'idéologie

    L'opposition de Greenpeace repose sur de fausses représentations scientifiques. Elle affirme depuis longtemps que les plantes génétiquement modifiées sont intrinsèquement dangereuses et imprévisibles parce que le processus utilise des gènes « étrangers » – obtenus à partir d'une bactérie inoffensive d'une autre espèce – pour faciliter la modification.

    Représentation du maïs transgénique par Greenpeace

    Lorsque les scientifiques ont trouvé un moyen de modifier les semences sans utiliser de gènes hétérologues (non natifs) – un processus connu sous le nom d'édition de gènes, dont CRISPR, introduit en 2013, est l'exemple le plus marquant – Greenpeace a changé de cap. Elle affirme désormais que tout le génie génétique est dangereux car il transforme la production alimentaire en une « expérience de génie génétique aux résultats inconnus et potentiellement irrévocables ». Selon son récent manifeste, CRISPR « exacerbera les effets négatifs de l'agriculture industrielle sur la nature » – une affirmation absurde et insoutenable. (L'auteur du récent manifeste de Greenpeace et le chef de son unité scientifique ? Un étudiant en philosophie à l'université.)

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  92. En 2016, plus de 150 lauréats du prix Nobel ont envoyé une lettre ouverte à Greenpeace, à l'ONU et à d'autres organismes, citant le potentiel du Riz Doré pour améliorer la santé des pauvres et l'importance générale des plantes génétiquement modifiées pour améliorer le rendement des cultures, renforcer les moyens de subsistance des agriculteurs et réduire l'impact sur l'environnement grâce à une moindre utilisation d'intrants chimiques.

    Progressivement, l'impasse a fini par se débloquer. En 2021, les Philippines sont devenues le premier pays à autoriser officiellement la culture commerciale du Riz Doré. La culture s'est ensuite arrêtée en avril de cette année, lorsqu'un tribunal a fait droit à une requête de Greenpeace visant à bloquer la commercialisation du Riz Doré dans ce pays. Cette décision de justice a eu des répercussions dans le monde entier. Les scientifiques de pays souffrant d'insécurité alimentaire, tels que l'Inde et le Bangladesh, craignent que la voie vers l'autorisation commerciale d'importantes plantes génétiquement modifiées dans leur propre pays ne soit plus difficile que jamais depuis ce dernier revers. Les conséquences seront ressenties de la manière la plus aiguë par les pauvres, ce qui pourrait entraîner 100.000 nouveaux décès d'enfants chaque année.

    Les dangers de la « science de précaution »

    La décision du mois d'avril de révoquer cette approbation était basée sur le « principe de précaution », un principe douteux et souvent utilisé comme outil ou arme. Il n'existe pas de définition généralement acceptée de ce « principe », mais dans sa formulation la plus courante, les gouvernements devraient mettre en œuvre des mesures réglementaires pour prévenir ou restreindre les actions qui soulèvent des risques, même conjecturaux, d'atteinte à la santé humaine ou à l'environnement, même si les preuves scientifiques de l'importance potentielle de ces dangers sont incomplètes. Il ne dit rien sur la quantité de preuves nécessaires pour prouver un résultat négatif, c'est-à-dire l'absence de risque.

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  93. Le recours au principe de précaution est parfois présenté comme « se mettre du côté de la sécurité » ou un « mieux vaut prévenir que guérir », l'idée étant que l'absence de réglementation suffisante des activités à risque pourrait entraîner de graves dommages pour la santé humaine ou l'environnement, et que la « surréglementation » n'entraîne que peu ou pas de dommages. En brandissant ce faux « principe », les groupes de défense de l'environnement ont obtenu des gouvernements, au cours des dernières décennies, qu'ils s'attaquent aux industries chimique, alimentaire, agricole, nucléaire et autres.

    Les risques potentiels doivent, bien entendu, être pris en considération avant d'entreprendre toute nouvelle activité ou d'introduire tout nouveau produit, qu'il s'agisse de l'implantation d'une centrale électrique ou de l'introduction d'un nouveau médicament dans la pratique médicale. Cependant, le principe de précaution se concentre uniquement sur la possibilité que des technologies présentent des risques uniques, extrêmes ou ingérables, même après que des essais considérables ont déjà été effectués.

    Ce qui manque à l'abaque de la précaution, c'est la reconnaissance du fait que même lorsque les technologies introduisent de nouveaux risques, nombre d'entre elles confèrent des avantages nets bien supérieurs, c'est-à-dire que leur utilisation réduit de nombreux autres dangers, souvent bien plus graves. Les transfusions sanguines, les greffes d'organes et les airbags automobiles en sont des exemples, qui offrent tous d'immenses avantages pour un risque minime.

    Comme à son habitude, Greenpeace a induit le tribunal en erreur en présentant des préoccupations de précaution non étayées par des faits au sujet du Riz Doré. Les scientifiques ont défendu cette céréale salvatrice, mais en tant qu'universitaires indépendants – aucune entreprise n'a été impliquée dans le financement ou le développement du Riz Doré – ils ne disposaient pas des ressources de lobbying et de l'exposition publique de Greenpeace.

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  94. La récente décision de justice rendue aux Philippines est un double coup dur pour les populations les plus pauvres du monde, qui n'ont pas de pouvoir politique et ne peuvent pas se défendre contre les élucubrations mensongères de Greenpeace. Cette décision a eu des répercussions au Bangladesh, en Inde et dans d'autres pays souffrant d'insécurité alimentaire. Ces pays considéraient sérieusement le Riz Doré comme une prochaine étape pour améliorer leurs programmes alimentaires et agricoles, mais ils risquent maintenant de subir un contrecoup similaire à celui qui s'est produit aux Philippines.

    Le « succès » cynique de Greenpeace montre à quel point les systèmes de réglementation des technologies du génie génétique sont fragiles et ténus, et à quel point ils peuvent être facilement attaqués et corrompus. La diabolisation des plantes génétiquement modifiées se poursuit, et ce sont les plus pauvres des pauvres qui en souffrent le plus.
    ______________

    Kathleen L. Hefferon est professeur de microbiologie à l'Université de Cornell. Retrouvez Kathleen sur X @Khefferon.

    Henry I. Miller, médecin et biologiste moléculaire, est le Glenn Swogger distinguished fellow de l'American Council on Science and Health (consel américain pour la science et la santé). Il a été le directeur fondateur du Bureau des Biotechnologies de la FDA. Retrouvez Henry sur X @HenryIMiller.

    Source : Greenpeace's Cruel War on Genetically Engineered Crops Grinds On | American Council on Science and Health (acsh.org)

    Ma note : Le 15 août 2024, un ciur d'appel a maintenu l'essentiel de l'arrêt du 17 avril, en particulier concernant le Riz Doré et l'aubergine Bt.

    Les turpitudes de Greenpeace et de ses alliés n'exonèrent pas les juges de leur responsabilité (ou irresponsabilité) dans une mise en œuvre de règles de droit relevant fondamentalement du « principe de précaution » qui ne laisse aucune chance aux nouvelles technologies et aux innovations en exigeant un niveau de preuve de l'absence de risque matériellement et juridiquement inatteignable.

    https://seppi.over-blog.com/2024/09/la-guerre-cruelle-de-greenpeace-contre-les-plantes-genetiquement-modifiees-se-poursuit.html

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  95. Questions sans réponse sur le 11 septembre : le mystérieux petit-déjeuner du 11 septembre 2001 au Capitole


    Par le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    31 août 2024


    Commémoration des événements tragiques du 11 septembre. Il y a 22 ans

    Nous portons à l'attention de nos lecteurs l'article de Michel Chossudovsky publié en 2002 concernant le rôle du sénateur Bob Graham et du représentant Porter Goss , présidents de l'enquête conjointe sur le 11 septembre du Sénat et de la Chambre des représentants.

    Un mystérieux petit-déjeuner organisé par le sénateur Bob Graham et le représentant Porter Goss a eu lieu avec le chef des services de renseignement pakistanais le matin du 11 septembre.

    Note de l'auteur

    Alors que l'enquête conjointe (sous la direction de Bob Graham et de Porter Goss) avait recueilli des montagnes de documents de renseignements, par omission prudente, les nombreux rapports de presse et de renseignements dans le domaine public (médias grand public, médias alternatifs, etc.), qui confirment que des membres clés de l'administration Bush étaient impliqués dans des actes de camouflage politique, ont été soigneusement retirés des audiences de l'enquête conjointe.

    Rétrospectivement, la mission de Porter Goss et Bob Graham au Pakistan fin août 2001 (qui a été documentée dans mes écrits précédents) faisait partie de la préparation de la campagne de propagande, en vue de soutenir le récit officiel, à savoir « Al- Qaïda était derrière le complot pour faire tomber les tours du WTC, les musulmans l’ont fait », etc., ce qui soutient essentiellement le récit officiel du 11 septembre.

    Le texte suivant, publié par Global Research en 2002, fournit des détails sur le petit-déjeuner organisé par le sénateur Bob Graham et le représentant Porter Goss le matin du 11 septembre.

    Michel Chossudovsky , 5 septembre 2023

    * * *

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  96. Le mystérieux petit-déjeuner du 11 septembre 2001 au Capitole
    par Michel Chossudovsky
    Était-ce un « échec des services de renseignement » de dérouler le tapis rouge au « présumé financier » derrière les terroristes du 11 septembre, ou était-ce simplement une « routine » ?

    Le matin du 11 septembre, le chef des services secrets pakistanais, le général Mahmoud Ahmad, le « financier » présumé des pirates de l’air du 11 septembre, participait à un petit-déjeuner de travail au Capitole organisé par le sénateur Bob Graham et le représentant Porter Goss, présidents des commissions du renseignement du Sénat et de la Chambre des représentants :

    « Lorsque la nouvelle [des attaques contre le World Trade Center] est tombée, les deux législateurs de Floride qui dirigent les commissions du renseignement de la Chambre et du Sénat prenaient leur petit-déjeuner avec le chef des services de renseignement pakistanais. Le représentant Porter Goss, républicain de Sanibel, le sénateur Bob Graham et d’autres membres de la commission du renseignement de la Chambre parlaient de questions de terrorisme avec le responsable pakistanais lorsqu’un membre du personnel de Goss a remis une note à Goss, qui l’a remise à Graham. « Nous parlions de terrorisme, en particulier de terrorisme généré par l’Afghanistan », a déclaré Graham.

    (…)

    Mahmoud Ahmad, directeur général des services de renseignement pakistanais, s'est montré « très empathique et sympathique envers le peuple des États-Unis », a déclaré M. Graham. ( NYT)

    * * *

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  97. Fin août 2001, à peine deux semaines avant le 11 septembre, le sénateur Bob Graham, le représentant Porter Goss et le sénateur Jon Kyl étaient à Islamabad pour des consultations. Des réunions ont eu lieu avec le président Musharraf et avec des responsables de l'armée et des services de renseignements pakistanais, notamment le chef de l'Inter Services Intelligence (ISI) pakistanais, le général Mahmoud Ahmad. (image de droite) Un rapport de l'AFP confirme que la délégation du Congrès américain a également rencontré l'ambassadeur afghan au Pakistan, Abdul Salam Zaeef. Lors de cette réunion, à peine mentionnée par les médias américains,

    « Zaeef a assuré à la délégation américaine [au nom du gouvernement afghan] que les talibans ne permettraient jamais à Ben Laden d’utiliser l’Afghanistan pour lancer des attaques contre les États-Unis ou tout autre pays. » (AFP, 28 août 2001)

    Notez le déroulement de ces réunions. Bob Graham et Porter Goss étaient à Islamabad fin août 2001.

    Les rencontres avec le président Musharraf et l’ambassadeur afghan ont eu lieu le 27 août 2001.
    La mission était toujours à Islamabad le 30 août,
    Le général Mahmoud Ahmad est arrivé à Washington pour une visite officielle de consultations quelques jours plus tard à peine (4 septembre).
    Lors de sa visite à Washington, le général Mahmoud a rencontré son homologue, le directeur de la CIA, George Tenet, et de hauts responsables de l’administration Bush.2
    « Réunion de suivi » du 11 septembre au Capitole

    Le matin du 11 septembre, les trois parlementaires Bob Graham, Porter Goss et Jon Kyl (qui faisaient partie de la délégation du Congrès au Pakistan) prenaient leur petit-déjeuner au Capitole avec le général Ahmad , le « financier » présumé des pirates de l'air du 11 septembre. Étaient également présents à cette réunion l'ambassadrice du Pakistan aux États-Unis, Maleeha Lodhi, et plusieurs membres des commissions du renseignement du Sénat et de la Chambre des représentants.

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  98. Cette réunion a été décrite par un article de presse comme une « réunion de suivi » de celle qui s’est tenue au Pakistan fin août. « Le 30 août, le président de la commission du renseignement du Sénat, le sénateur Bob Graham (démocrate de Floride) « était en mission pour en savoir plus sur le terrorisme ». (…) Le 11 septembre, Graham était de retour à Washington pour « une réunion de suivi avec » le chef de l’agence de renseignement pakistanaise Mahmud Ahmed et le président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants Porter Goss (républicain de Floride) » 3 (The Hotline, 1er octobre 2002) :

    « Lorsque la nouvelle [des attaques contre le World Trade Center] est tombée, les deux législateurs de Floride qui dirigent les commissions du renseignement de la Chambre et du Sénat prenaient leur petit-déjeuner avec le chef des services de renseignement pakistanais. Le représentant Porter Goss, républicain de Sanibel, le sénateur Bob Graham et d’autres membres de la commission du renseignement de la Chambre parlaient de questions de terrorisme avec le responsable pakistanais lorsqu’un membre du personnel de Goss a remis une note à Goss, qui l’a remise à Graham. « Nous parlions de terrorisme, en particulier de terrorisme généré par l’Afghanistan », a déclaré Graham.

    (…)

    Mahmood Ahmed, directeur général des services de renseignement pakistanais, s'est montré « très empathique et sympathique envers le peuple américain », a déclaré M. Graham.

    Goss n’a pas pu être joint mardi [11 septembre]. Il a été emmené avec une grande partie des dirigeants de la Chambre dans un « lieu sûr » dont le nom n’a pas été dévoilé. Graham, quant à lui, a participé à des briefings en fin d’après-midi avec de hauts responsables de la CIA et du FBI.

    Tout en minimisant l'importance du petit-déjeuner du 11 septembre, le Miami Herald (16 septembre 2001) confirme que le général Ahmad a également rencontré le secrétaire d'État Colin Powell au lendemain des attentats du 11 septembre :

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  99. « Graham a déclaré que le responsable des services de renseignements pakistanais qu'il a rencontré, un général de haut rang du gouvernement, a été contraint de rester toute la semaine à Washington en raison de l'arrêt du trafic aérien. Il était bloqué ici, et je pense que cela a donné au secrétaire d'État Powell et à d'autres membres de l'administration une chance de vraiment parler avec lui », a déclaré Graham.

    Une fois de plus, l’importance politique de la relation personnelle entre le général Mahmoud (le prétendu « homme d’affaires » du 11 septembre) et le secrétaire d’État Colin Powell est balayée avec désinvolture. Selon le Miami Herald, la rencontre de haut niveau entre les deux hommes n’avait pas été planifiée à l’avance. Elle a eu lieu sur un coup de tête en raison de l’arrêt du trafic aérien, qui a empêché le général Mahmoud de rentrer chez lui à Islamabad sur un vol commercial, alors que selon toute probabilité le général et sa délégation voyageaient sur un avion affrété par le gouvernement. À l’exception de la presse floridienne (et de Salon.com, 14 septembre 2001), pas un mot n’a été mentionné dans la couverture médiatique américaine du 11 septembre au sujet de ce mystérieux petit-déjeuner.

    « Une cape mais pas de poignard »

    Huit mois plus tard, le 18 mai 2002, deux jours après que le titre « BUSH LE SAVAIT » ait fait la une des tabloïds, le Washington Post a publié un article sur Porter Goss intitulé : « Une cape mais pas un poignard ; un ex-espion dit qu’il cherche des solutions, pas des boucs émissaires pour le 11 septembre ».

    En se concentrant sur sa carrière d’agent de la CIA, l’article a largement servi à souligner l’intégrité et l’engagement de Porter Goss dans la « guerre contre le terrorisme ». Pourtant, dans un paragraphe isolé, l’article fait état du mystérieux petit-déjeuner du 11 septembre avec le chef de l’ISI, Mahmoud Ahmad, tout en confirmant que « Ahmad dirigeait une agence d’espionnage notoirement proche d’Oussama ben Laden et des talibans » :

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  100. « La principale question à laquelle Goss doit maintenant faire face, alors qu’il participe à l’enquête conjointe de la Chambre des représentants et du Sénat sur les attentats du 11 septembre, est de savoir pourquoi personne dans la vaste bureaucratie du renseignement – ​​13 agences dépensant des milliards de dollars – n’a prêté attention à l’ennemi qui se trouve parmi nous. Jusqu’à ce qu’il soit trop tard. »

    Goss affirme qu'il cherche des solutions, pas des boucs émissaires. « Beaucoup d'absurdités », qualifie-t-il de scandale le tollé suscité cette semaine par un briefing de la CIA qui a alerté le président Bush, cinq semaines avant le 11 septembre, que les associés d'Oussama ben Laden pourraient planifier des détournements d'avion.

    « Rien de tout cela n’est nouveau, mais tout cela fait partie des accusations contre les autres », a déclaré Goss hier, dans une rare démonstration de dépit. « C’est de la folie. » [Cette déclaration provient de l’homme qui prenait le petit déjeuner avec le prétendu « homme d’affaires » derrière les attentats du 11 septembre, le matin du 11 septembre]

    (…) Goss a refusé à plusieurs reprises de blâmer une « défaillance des services de renseignement » pour les attentats terroristes. En tant que vétéran de dix ans de la branche des opérations clandestines de la CIA, Goss préfère louer le « bon travail » de l’agence.

    (…)

    Le matin du 11 septembre, Goss et Graham prenaient le petit déjeuner avec un général pakistanais du nom de Mahmud Ahmed, le futur chef des services de renseignements pakistanais. Ahmed dirigeait une agence d'espionnage notoirement proche d'Oussama ben Laden et des talibans. 6 (Washington Post, 18 mai 2002)

    « Mettre deux et deux ensemble »

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  101. Alors que le Washington Post s’attarde sur les liens « notoirement étroits » entre le général Ahmad et Oussama ben Laden, il oublie de s’attarder sur la question la plus importante : que faisaient le représentant Porter Goss, le sénateur Bob Graham et d’autres membres des commissions du renseignement du Sénat et de la Chambre des représentants avec le présumé « homme d’affaires » du 11 septembre au petit-déjeuner le matin du 11 septembre ? En d’autres termes, le rapport du Washington Post ne va pas plus loin en posant la vraie question : ce mystérieux petit-déjeuner était-il le fruit d’une « défaillance politique », d’une défaillance des services de renseignement ou de quelque chose de bien plus grave ? Comment se fait-il que les mêmes individus (Goss et Graham) qui avaient développé une relation personnelle avec le général Ahmad aient été chargés, dans le cadre de l’enquête conjointe de la commission, de « révéler la vérité sur le 11 septembre » (voir p. 1).

    Les médias banalisent le petit-déjeuner de travail, le présentent comme un simple fait divers et ne parviennent pas à « faire le lien ». Ils ne reconnaissent pas non plus le fait, largement documenté, que « l’homme d’affaires » derrière les pirates de l’air avait été chargé par le gouvernement pakistanais de discuter des termes précis de la « collaboration » du Pakistan dans la « guerre contre le terrorisme » lors de réunions tenues à huis clos au département d’État les 12 et 13 septembre. 11 7 (Voir Michel Chossudovsky, op cit)

    Pistolet fumant

    Lorsque la question de la « prescience » a fait surface le 16 mai 2002, « le président Porter Goss a déclaré qu’une enquête du Congrès n’avait jusqu’à présent trouvé aucune preuve irréfutable justifiant une nouvelle enquête ». 8 Cette déclaration met en évidence une « dissimulation » évidente. La preuve irréfutable était là, dans le décor luxueux du petit-déjeuner du Congrès sur Capitol Hill, le matin du 11 septembre.

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  102. Remarques

    1 Agence France Presse (AFP), 28 août 2001.

    2. Michel Chossudovsky, La tromperie politique, Le chaînon manquant derrière le 11 septembre, Global Outlook, n° 2, 2002, voir aussi http://www.globalresearch.ca/articles/CHO206A.html ; voir aussi Michel Chossudovsky, Dissimulation ou complicité de l'administration Bush ? Le rôle des services de renseignements militaires pakistanais (ISI) dans les attentats du 11 septembre, novembre 2001, http://www.globalresearch.ca/articles/CHO111A.html

    3. La Hotline, 1er octobre 2002.

    4 Stuart News Company Press Journal, Vero Beach, FL, 12 septembre 2001.

    5 Miami Herald, 16 septembre 2001.

    6. Washington Post, 18 mai 2002.

    7. Michel Chossudovsky, op. cit.

    8. Bulletin de la Maison Blanche, 17 mai 2002.

    https://www.globalresearch.ca/mysterious-september-11-2001-breakfast-meeting-on-capitol-hill/5544262

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    1. Le Top du Top a été que des 'avions' en aluminium (sauf les réacteurs et train d'atterrissage qui sont en acier) aient pu pénétrer en des tours bardées de poutrelles verticales d'acier de 80 cm et les aient coupé comme des allumettes ! Çà, faut le faire ! La science est sur le cul ! comme tous les avionneurs et pilotes de ligne du monde entier !
      Sans parler des virages a 90° a 600 km/h (comme dans les jeux vidéos).

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  103. La montée du conformisme mondial


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 02 SEPTEMBRE 2024 - 15:40
    Rédigé par Bruce Davidson via The Brownstone Institute,


    Lors d'une cérémonie officielle pour les professeurs partant à la retraite dans mon université, chaque retraité a eu l'occasion de prononcer un bref discours. Dans mon propre discours, j'ai mentionné que mes dernières années ont coïncidé avec la panique du Covid. Bien plus que la maladie elle-même, ce qui m'a choqué, c'est l'esprit de masse mondial qui a surgi du jour au lendemain.

    Partout dans le monde, les gens ont soudainement été soumis à une propagande et à des pressions généralisées pour se conformer aux mêmes politiques du Covid. En revanche, une université devrait être un lieu pour protéger et encourager la pensée individuelle, ai-je soutenu.

    Outre le phénomène du Covid, j'ai souvent observé ces dernières années la tendance des idées nouvelles à se propager rapidement dans le monde et à devenir rapidement une orthodoxie établie qui exclut le débat et la critique. Cela équivaut à une sorte de conformisme mondial toxique.

    Le « conformisme toxique » peut être défini comme une incitation agressive à se conformer à un comportement mauvais et/ou nuisible afin de rester en règle avec les autres. En réponse au Covid, la mise en œuvre universelle et rapide d’un conformisme toxique est peut-être unique dans l’histoire.

    Il n’y a rien de mal au conformisme en soi, tant qu’il représente l’adhésion aux attentes raisonnables d’une société saine. Par exemple, le respect des normes de politesse a un grand mérite dans la plupart des circonstances, comme peut le comprendre quiconque participe à une société civile, comme celle du Japon. Seuls les immatures et les inadaptés croient que défier les normes raisonnables de comportement est toujours louable.

    Cependant, le type de conformisme que nous observons actuellement à l’échelle internationale n’est ni organique ni raisonnable. Il est imposé par décret par ceux qui ont du pouvoir et de l’influence, malgré les doutes et les objections de beaucoup. Il n’est pas le produit d’un développement social sain et d’une acceptation rationnelle et volontaire.

    De nos jours, un grand problème pour les Japonais – ainsi que pour les citoyens d’autres nations – n’est pas le respect de leur propre société et de leur propre culture ; c’est le respect obligatoire de puissantes organisations internationales comme l’ONU et le WEF. Comme leurs objectifs sont souvent insensés et déraisonnables, se conformer à leurs attentes cause souvent de grands dommages.

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  104. Chaque fois que j’entends parler d’une nouvelle idée qui se répand rapidement dans les médias et les cercles culturels occidentaux – par exemple, « les gens devraient manger des insectes » – je sais que dans quelques semaines ou quelques mois, j’entendrai la même idée dans les médias japonais et ailleurs. Les reportages sur les fermes d’insectes, les recettes pour préparer des repas à base d’insectes et la propagande expliquant que les insectes ne sont pas répulsifs mais plutôt savoureux et nutritifs seront bientôt partout. En fait, c’est exactement ce qui se passe en ce moment.

    Obéissants, la plupart des Japonais penseront et feront ce qu’on leur dit, ou du moins accepteront la sagesse et la vertu supérieures de manger des insectes, même s’ils ne se sentent pas personnellement enclins à adopter un régime à base d’insectes.

    Quelques années plus tard (ou même plus tôt), l’évangile de la consommation d’insectes sera probablement également répandu dans le monde religieux, en particulier parmi les experts universitaires et les dirigeants des méga-églises/para-églises. Ils parcourront la Bible et l’histoire de l’Église à la loupe, à la recherche de textes et de traditions qui soutiennent la consommation d’insectes. Comme il se nourrissait de sauterelles et de miel (Marc 1:6), même Jean-Baptiste se retrouvera dans le train en marche (nous reviendrons sur ce phénomène plus tard).

    Le rythme du conformisme mondial a été amplifié de manière incommensurable par le pouvoir des médias sociaux et d’Internet. Par conséquent, les organismes internationaux comme le WEF et l’ONU, ainsi que les gouvernements nationaux, sont très soucieux de contrôler la communication en ligne. Comme l’a dit le penseur français Jacques Ellul, « la propagande doit être totale » ou elle échoue dans son objectif de rendre les gens « psychologiquement unifiés ».

    Bien avant Internet, Ellul a analysé les puissantes influences modernes qui tendent à créer un esprit de masse dans ses livres Propagande et La Société technologique. Au lieu de lire sérieusement, qui développe la pensée rationnelle, les gens de nos jours sont souvent influencés par des images visuelles chargées d’émotion (mais souvent trompeuses) et des slogans verbaux tirés des films et de la télévision. Les innovations technologiques les plus récentes ont rendu les observations et les avertissements d’Ellul encore plus pertinents.


    En grande partie grâce aux médias sociaux, il est devenu « cool » aux yeux de beaucoup de gens d’être un conformiste mondial. Pendant la manie des injections expérimentales de Covid, beaucoup ont posté « J’ai reçu mon vaccin Covid 19 » sur Facebook, même sur leur photo de profil.

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  105. De même, des mots à la mode venus de l’étranger comme diversité et durabilité ont été rapidement adoptés dans les milieux d’affaires et éducatifs au Japon, même si de nombreux anglophones ont trouvé ces termes vagues et irrationnels. En ce qui concerne le mouvement de la « durabilité », un consultant d’un groupe de réflexion japonais m’a récemment fait remarquer à propos de ses associés du monde des affaires : « Ces gens croient vraiment que mettre des badges ODD sur leurs costumes est une bonne chose.

    De même, des mots à la mode venus de l’étranger comme diversité et durabilité ont rapidement été adoptés dans les milieux d’affaires et éducatifs au Japon, même si de nombreux anglophones ont trouvé ces termes vagues et irrationnels. En ce qui concerne l’engouement pour la « durabilité », un consultant japonais d’un think tank m’a récemment fait remarquer à propos de ses associés du monde des affaires : « Ces gens croient vraiment que mettre des badges ODD sur leurs costumes est une chose tellement cool à faire – je trouve ça embarrassant. »

    L’adoption japonaise du terme « diversité » à l’étranger semble particulièrement étrange au vu de la société manifestement monoculturelle du Japon. En réalité, l’uniformité a souvent été leur force, pour le meilleur ou pour le pire. De plus, une fixation sur la diversité a été un prétexte pour discriminer les Japonais et les autres Asiatiques lors des admissions dans les universités américaines.

    Dans d’autres endroits inattendus, on rencontre des exemples frappants du nouveau conformisme mondial, comme le monde religieux traditionnel. Comme le révèle Meghan Basham dans son livre Shepherds for Sale, le nouveau mondialisme a même conquis de nombreuses élites chrétiennes évangéliques. Bien que l’apôtre Paul ait exhorté dans l’une de ses lettres à « ne pas se conformer au monde présent » (Romains 12:2), de nombreux dirigeants évangéliques s’alignent désormais avec empressement sur diverses causes mondialistes.

    Par exemple, l’auteur à succès et chef de méga-église Rick Warren se vante de ses liens avec le WEF et l’ONU. L’une des motivations de ces dirigeants a été d’obtenir des financements d’institutions mondialistes laïques et de riches influenceurs, tels que George Soros et la Fondation Rockefeller.

    De même, en collaboration avec le CDC et le NIH, le Billy Graham Center du Wheaton College a créé le site Web « Coronavirus and the Church » pour promouvoir les injections de Covid 19 et d’autres politiques gouvernementales contre le Covid. Franklin Graham a notamment déclaré que Jésus se ferait vacciner contre le Covid.

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  106. À mon avis, de telles déclarations de personnalités et d’organisations religieuses de premier plan sont non seulement ignorantes et stupides, mais aussi abusives. Personne n’a l’obligation morale de se faire injecter des substances expérimentales. Sans surprise, certains esprits ont tourné en dérision des déclarations comme celles de Graham avec des mèmes « Jésus éveillé » le représentant insistant pour que ses disciples portent des masques et se fassent vacciner contre le Covid.

    Cependant, s’opposer au conformisme mondial ne signifie pas se réfugier dans une attitude de suspicion et d’hostilité envers tout ce qui est étranger, nouveau ou inconnu. Même sans la pression des puissants pour satisfaire les désirs des élites internationales, les différents peuples du monde s’influencent souvent mutuellement par les attraits et les réalisations de leurs sociétés respectives.

    Par exemple, les séries coréennes et les anime japonais ont désormais une multitude de fans dans le monde entier. En outre, les pratiques médicales innovantes et bénéfiques en Occident ont fini par être adoptées par de nombreux médecins coréens et japonais. Cependant, le conformisme mondial agressif de nos jours propage souvent des pratiques et des idées néfastes dans le monde entier.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/rise-global-conformism

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