- ENTREE de SECOURS -



mercredi 31 mars 2021

Le nucléaire n’est pas dommageable pour la santé

La Commission européenne a publié un rapport concluant que le nucléaire n’est pas plus dommageable pour la santé et l’environnement que d’autres sources d’énergie déjà incluses dans la liste.


31 MARS 2021 

Par Michel Gay.


Le rapport (384 pages en anglais) du « Joint Research Center » (JRC) de la Commission européenne publié en mars 2021 conclut que le nucléaire n’est pas plus dommageable pour la santé et l’environnement que d’autres sources d’énergie déjà incluses dans la liste (appelée « taxonomie ») permettant l’accès aux financements européens dans le cadre de la lutte contre le changement climatique.

Parmi ses nombreuses conclusions, et en dépit des affirmations d’associations antinucléaires clamant le contraire et agitant des épouvantails, le JRC indique :

« Les analyses n’ont révélé aucune preuve scientifique que l’énergie nucléaire est plus dommageable pour la santé humaine ou l’environnement que d’autres technologies de production d’électricité déjà incluses dans la taxonomie comme activités soutenant le changement climatique. »

LE NUCLÉAIRE : UN APPEL AUX (VRAIS) SCIENTIFIQUES

En tant que service scientifique de la Commission, doté d’une expertise technique dans les domaines de l’énergie et la technologie nucléaires, le JRC a été invité au cours de l’été 2020 à évaluer les avantages et les inconvénients du nucléaire afin de savoir s’il pouvait être inclus dans cette taxonomie dont il est exclu jusqu’à présent.

Le JRC a donc rédigé un rapport d’évaluation technique sur les aspects « Do no significant harm » (non significativement dommageable pour la santé) de l’énergie nucléaire, y compris ceux liés à la gestion à long terme des déchets radioactifs de haute activité et du combustible nucléaire usé.

Selon le JRC, l’impact du nucléaire sur la vie humaine, y compris les radiations, est similaire à l’impact de l’éolien en mer…

« Selon les études d’impact du cycle de vie […], l’impact total sur la santé humaine des émissions radiologiques et non radiologiques de la chaîne de l’énergie nucléaire est comparable à l’impact sur la santé humaine de la chaîne de production éolienne marine ».

Le JRC conclut également que le nucléaire actuel est beaucoup moins risqué pour la santé humaine en termes de morts par quantité d’électricité produite que les énergies fossiles, et qu’il est même comparable à l’éolien et à l’hydraulique.

« Les centrales nucléaires occidentales actuelles de deuxième génération ont un taux de mortalité de 10-7 décès / GWh). Cette valeur est beaucoup plus faible que celle caractérisant toute production d’électricité à base de combustibles fossiles et comparable à celle de l’hydroélectricité dans les pays de l’OCDE et de l’énergie éolienne ».

LE NUCLÉAIRE ET SES DÉCHETS

Les déchets nucléaires sont souvent mis en avant et diabolisés par les antinucléaires. Sous la pression des Allemands, les Verts sont même prêts à soutenir le gaz naturel par le biais des financements européens. En effet, des centrales électriques au gaz supplémentaires permettraient de sortir plus rapidement du charbon et, surtout, de compenser la variabilité des productions fatales de l’éolien et du solaire !

Le rapport rappelle aussi qu’une partie significative en volume des déchets radioactifs est en réalité très peu radioactive. Ils pourraient même être valorisés en définissant un seuil de libération en dessous duquel ils seraient manipulés comme des déchets normaux.

« Une partie importante des déchets radioactifs potentiels est en fait non radioactive ou très faiblement radioactive (provenant principalement des activités de démantèlement). Si le cadre juridique et réglementaire national l’autorise, les matériaux dont les niveaux de radioactivité sont inférieurs aux seuils d’autorisation peuvent être soustraits au contrôle réglementaire par le biais d’un processus d’autorisation, c’est-à-dire qu’ils ne sont plus considérés comme des déchets radioactifs et peuvent être réutilisés, recyclés ou encore gérés comme des déchets conventionnels. »

LE STOCKAGE DU… GAZ CARBONIQUE


Le rapport conclut qu’il existe un consensus scientifique sur le fait que le stockage géologique en profondeur pour les déchets nucléaires constitue une bonne solution.

« Pour les déchets radioactifs de haute activité et le combustible usé, il existe un large consensus parmi les communautés scientifiques, technologiques et réglementaires sur le fait que le stockage définitif dans des dépôts géologiques profonds est la solution la plus efficace et la plus sûre pour garantir l’absence de dommages significatifs à la vie humaine et à l’environnement pendant la période requise. »

Une comparaison intéressante est effectuée entre les stockages des déchets nucléaires et ceux des déchets du gaz (le gaz carbonique).

Il existe en effet des projets de capture et stockage géologique du gaz carbonique qui consistent à injecter ce gaz résiduel profondément dans le sous-sol après l’avoir capturé en sortie de cheminée.

« De même, la technologie de captage et de séquestration du carbone (CSC) repose sur l’élimination à long terme des déchets dans des installations géologiques. Elle a été incluse dans la taxonomie et a reçu une évaluation positive. Le groupe d’experts de la taxonomie considère donc que les défis liés à l’élimination sûre à long terme du gaz carbonique dans des installations géologiques, qui sont similaires aux défis posés par l’élimination des déchets radioactifs de haute activité, peuvent être gérés de manière adéquate. En termes de mise en œuvre pratique, il n’existe actuellement aucun stockage géologique opérationnel pour le dioxyde de carbone ou pour les déchets radioactifs. »

DANGER PERÇU ET RISQUE RÉEL

Toutefois, le nombre de morts n’est pas le seul critère pour évaluer le risque d’une technologie. Il faut aussi tenir compte d’autres inconvénients comme, notamment, les surfaces perdues et/ou les personnes déplacées (exemple des panneaux solaires et des barrages).

Cependant, le JRC constate que « … l’aversion pour les catastrophes et les risques peut être perçue différemment pour les événements nucléaires. »

Ce rapport du JRC constitue un travail sérieux qui, il faut l’espérer, sera exploité par les conseillers de nos gouvernants.

Il est surtout urgent qu’ils en tiennent compte après la gabegie dénoncée par la Cour des comptes de plus de 120 milliards d’euros déjà engagés en pure perte dans l’éolien et le photovoltaïque.

Le Haut-Commissaire au Plan, François Bayrou, vient de sonner l’alarme le 24 mars sur l’impasse dramatique du futur énergétique de la France qui entre dans « une impasse ».

(Une traduction en français de l’avant-propos de 14 pages de ce rapport en anglais est disponible ici.)

https://www.contrepoints.org/2021/03/31/394281-le-nucleaire-nest-pas-dommageable-pour-la-sante

mardi 30 mars 2021

Le gouvernement Legault à la dérive : La santé publique en péril

https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=oLnld7jOGVg&feature=youtu.be&fbclid=IwAR0w_qwLRyVDRGeha9rJhxpVRETw4TECUXy5qbJok1z5-aTjvxMRMLfT3Vg 

Nucléaire et « taxonomie » : Macron écrit à l’Union européenne

Étrangement, le financement du nucléaire dans le mix énergétique européen est actuellement écarté par la future « taxonomie » de l’Union européenne.


Par Michel Gay.

 30 MARS 2021 

 

Étrangement, le financement du nucléaire dans le mix énergétique européen est actuellement écarté par la future « taxonomie » de l’Union européenne.

Pour corriger cette anomalie, Emmanuel Macron et les Premiers ministres de six pays européens (Hongrie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Slovaquie et Slovénie) ont adressé une lettre commune à la Commission européenne (UE) le 19 mars 2021 pour rappeler le rôle de l’énergie nucléaire dans les efforts à accomplir pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

NUCLÉAIRE : UN APPEL URGENT

Cet appel intervient en pleine discussion à Bruxelles sur la future « taxonomie » européenne qui doit conditionner l’accès aux financements européens des énergies avantageuses pour la neutralité climatique visée en 2050.

Certains pays sont favorables à l’inclusion du nucléaire dans cette « taxonomie » permettant ainsi l’accès aux financements européens en raison de ses faibles émissions de CO2. Cette qualité est un avantage dans la lutte contre le réchauffement climatique pour succéder au gaz russe, au charbon allemand, et au pétrole.

D’autres pays y sont opposés, comme l’Allemagne qui rate sa transition énergétique, ainsi que l’Autriche.

Les sept signataires de haut niveau de cette lettre demandent ensemble à la Commission européenne :

d’assurer dans l’UE des règles équitables entre les différentes sources d’énergies décarbonées, dont le nucléaire,

de ne pas exclure le nucléaire des politiques climatiques et énergétiques,

et que « la politique énergétique et climatique de l’UE soutiennent toutes les voies vers la neutralité climatique, selon le principe de la neutralité technologique ».

Les signataires soulignent enfin que « toutes les technologies disponibles et futures à zéro et à faibles émissions doivent être traitées également dans toutes les politiques visant à atteindre la neutralité climatique d’ici 2050 ».

MANŒUVRES EN COULISSES ?


Il est stupéfiant que de sombres manœuvres de lobbies écologistes antinucléaires aient réussi à faire écarter des financements l’UE sur le principal moyen de produire de l’électricité décarbonée.

Pourtant, au Creusot le 8 décembre 2020, le Président Macron avait souligné le rôle central du nucléaire pour l’avenir de la France en précisant que « notre avenir énergétique et écologique passe par le nucléaire ».

https://www.contrepoints.org/2021/03/30/394193-nucleaire-et-taxonomie-macron-ecrit-a-lu

lundi 29 mars 2021

Louis Fouché, acte 3 : Arts militants


22 mars 2021

Louis Fouché, acte 1 "Santé et néolibéralisme" : https://youtu.be/TlB-JR_0UT0​​

Louis Fouché, acte 2 "Permaculture humaine" : https://youtu.be/-R78t9EU_lo​​

Louis Fouché, acte 3 "Arts militants" : https://youtu.be/164P2YsdKVs

https://www.youtube.com/watch?v=164P2YsdKVs 

Neutralité carbone en 2050 pour l’Europe : électricité et gaz à tous les étages…

L’Europe devrait doubler sa production d’électricité pour atteindre son objectif de neutralité carbone. Il faudrait donc multiplier par cinq la croissance moyenne des capacités de production installées depuis 30 ans.


Par Michel Gay.

 29 MARS 2021


Depuis 2018, l’Europe vise la neutralité carbone en 2050. Il lui reste moins de 30 ans pour augmenter la part de l’électricité d’environ 25 % à 50 % dans sa consommation énergétique finale.

Alors que le débat sur la décarbonation de l’économie de l’Europe s’intensifie à Bruxelles, un rapport du « Centre pour la régulation en Europe » (CERRE) se concentre sur le couplage entre les systèmes d’approvisionnement en électricité et en gaz pour « apporter une contribution au débat ». Il présente 40 recommandations réglementaires et politiques pour parvenir à une décarbonation profonde d’ici 2050.

Selon le CERRE, la réussite de cette ambition démesurée réside dans le couplage de l’électrification et du gaz dans les bâtiments, les transports, l’industrie…

RÉDUIRE LA CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE EN EUROPE

Électrifier le plus possible pour bénéficier des énergies décarbonées, notamment le nucléaire, n’est pas une surprise.

La nouveauté, selon le CERRE, serait de coupler à l’électricité une part de différents gaz (biogaz, méthane de synthèse et hydrogène) pour faciliter sa substitution aux énergies fossiles (charbon, pétrole et… gaz naturel). Ce dernier, appelé avantageusement gaz « naturel », restera le grand gagnant de la transition énergétique pour longtemps encore.

Toutefois, selon le CERRE, même en réduisant d’un tiers sa consommation énergétique totale entre 2020 et 2050, l’Europe devrait doubler sa production d’électricité pour atteindre son objectif de neutralité carbone. Il faudrait donc multiplier par cinq la croissance moyenne des capacités de production installées depuis 30 ans.

Son scénario impliquerait un effort conjoint des secteurs de l’électricité et du gaz pour réduire leurs émissions de gaz carbonique trois fois plus rapidement qu’actuellement.

Évidemment, cette électricité (qui servira aussi à fabriquer le gaz de synthèse) devra être le plus possible décarbonée, ce qui place le nucléaire en tête des moyens de productions avec seulement 6 g gaz carbonique/kWh, contre 15 g gaz carbonique/kWh pour l’éolien, et environ 55 g gaz carbonique/kWh pour le photovoltaïque.

La France, en avance sur les autres pays européens dans ce domaine, pratique déjà cette « nouveauté » depuis 40 ans avec une production d’électricité décarbonée à plus de 90 %, essentiellement grâce au nucléaire (70 %). La climatisation, le chauffage, et la mobilité électrique y figurent donc déjà parmi les moins carbonés en Europe.

Le président de la République Emmanuel Macron a ainsi demandé le 19 mars 2021, avec six autres Premiers ministres européens, que le nucléaire figure parmi les énergies décarbonées soutenues par l’Union européenne et qu’il ne soit pas pénalisé par rapport aux autres sources d’énergies décarbonées.

Cependant, étonnamment, le CERRE prévoit un mix composé de 81 % de renouvelables en Europe (ce qui imposerait le doublement du déploiement de cette filière pour atteindre 4000 TWh d’éolien en 2050 !), 12 % de nucléaire et 6 % de biomasse. Il propose en plus de recourir massivement à la biomasse passant de 23 TWh en 2018 à…1150 TWh en 2050, et à la séquestration du carbone (où donc ?).

LES ÉLUCUBRATIONS DU CERRE


Pour le CERRE, bien entendu, avec une telle proportion d’énergies renouvelables intermittentes (éolien et solaire), l’électricité devra aussi davantage circuler entre les zones de production et de consommation en augmentant les échanges de 208 % !

De plus, 2600 TWh seront consacrés à la production d’hydrogène et de gaz de synthèse. Pour comparaison, la production annuelle totale de la France est d’environ 500 TWh…

Et, si « pour des raisons administratives » (?), le déploiement d’énergies renouvelables était insuffisant en Europe, il serait compensé par une augmentation des échanges d’hydrogène, de méthane, et d’électricité entre pays européens grâce à un marché unique…

Toujours selon le CERRE, le secteur du bâtiment utiliserait davantage de pompes à chaleur hybrides (électricité – gaz) avec du biométhane, ou du méthane de synthèse (produit en combinant l’hydrogène avec le gaz carbonique), tandis que celui du transport verrait 80 % de sa flotte de véhicules convertie à l’électrique.

Le transport public par route serait électrifié à 84 % et les poids lourds fonctionneraient à l’hydrogène pour 64 %, au gaz pour 28 % et à l’électricité pour les 8 % restants.

Les voitures diesels utiliseraient aussi un combustible équivalent de synthèse… produit essentiellement avec de l’électricité !

FLEXIBILITÉ, FLEXIBILITÉ POUR UNE NEUTRALITÉ CARBONE

Dans le scénario du CERRE, la flexibilité dans la production d’électricité devient cruciale avec une telle proportion d’énergie renouvelable intermittente.

En corollaire, les échanges d’électricité entre pays devront donc croitre en tenant compte des lieux de production et de consommation. Il sera aussi nécessaire de construire des stockages d’électricité, de méthane de synthèse, et d’hydrogène vert  pour absorber les surproductions journalières et saisonnières d’électricité.

Les véhicules électriques sont envisagés comme moyen de stockage de l’électricité.

Pour le CERRE, l’objectif d’une production d’électricité neutre en carbone à l’horizon 2050, nécessite :

de construire un marché unique de l’électricité, du méthane, de l’hydrogène et du carbone,

d’accélérer le déploiement de l’énergie solaire et surtout éolienne à travers toute l’Europe,

de renforcer les interconnexions entre pays et les réseaux de distribution,

d’électrifier le chauffage, le transport, et la production des carburants de synthèse (méthane, hydrogène…).

Vaste programme… totalement irréaliste !


QUI PAIERA ET SUBIRA ?

Les consommateurs bien sûr !

Dans sa grande mansuétude, le CERRE suggère « dans un souci d’équité » de ne pas faire payer uniquement les consommateurs de gaz, mais d’intégrer financièrement les industries du gaz et de l’électricité !

Finalement, pour les chercheurs du CERRE qui font abstraction de tous les soucis financiers et techniques, qu’importent les contingences financières et matérielles : pour que l’Europe soit une pionnière de la transition énergétique mondiale, et atteigne zéro émission nette de gaz carboniqued’ici 2050, il suffit de distribuer l’électricité et le gaz à tous les étages de la société !

https://www.contrepoints.org/2021/03/29/394146-neutralite-carbone-en-2050-pour-leurope-electricite-et-gaz-a-tous-les-etages

samedi 27 mars 2021

Pas de surtension dans COVID deux semaines après la levée du mandat du masque au Texas 🇺🇸

 

PAR TYLER DURDEN

VENDREDI 26 MAR 2021 - 19:00

Rédigé par Meiling Lee via The Epoch Times,


Après deux semaines de levée de son mandat de masque et de permettre aux entreprises d'ouvrir à pleine capacité, le Texas ne voit pas de flambée de nouveaux cas de COVID-19.

Le gouverneur Greg Abbott, un républicain, a publié un décret (pdf) qui est entré en vigueur le 10 mars pour assouplir les restrictions relatives au COVID-19. Bien que le mandat de masque à l’échelle de l’État ait été levé, les entreprises individuelles étaient toujours en mesure de «limiter la capacité» ou d’imposer des mandats de masque à leur guise.

Mais à Austin (Capitale du Texas. 950 000 hab.) et dans le comté de Travis, les résidents de 10 ans ou plus doivent toujours porter un masque à l'extérieur de leur domicile après qu'un juge de district a refusé d'accorder au procureur général Ken Paxton une ordonnance restrictive qui aurait mis fin à un mandat de masque imposé par les responsables du comté de Travis et de la ville d'Austin. Le procès devrait avoir lieu le 26 mars.

Le Texas avait été témoin d'une tendance à la baisse des cas de COVID-19 et des hospitalisations avant l'annonce d'Abbott mettant fin aux restrictions.

Le COVID-19 est la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois).

Les services de santé du département d'État du Texas (DSHS) ont publié sur Twitter hier que le Texas a vu une diminution moyenne de sept jours du nombre quotidien de nouveaux cas, d'hospitalisations et de décès.

Au moment de la publication du décret, le 2 mars, les nouveaux cas de COVID-19 dans l'État s'élevaient à 7 240 cas, avec une moyenne de 7 259 cas sur sept jours. Ce nombre est tombé à 5 350 cas le 10 mars lorsque le décret est entré en vigueur et que l'économie s'est complètement ouverte.

Deux semaines plus tard, le 24 mars, le nombre de nouveaux cas quotidiens s'élève à 3 827, avec une moyenne de 7 jours de 3 401 cas.

Abbott a inclus dans son ordonnance une disposition autorisant les juges de comté des 22 régions hospitalières de l'État à «utiliser des stratégies d'atténuation du COVID-19» si les hospitalisations dépassent 15 % de la «capacité des lits d'hôpital» pendant sept jours consécutifs.

«Les juges de comté ne peuvent pas imposer de peine de prison pour ne pas avoir suivi les ordonnances du COVID-19 et aucune sanction ne peut être imposée pour avoir omis de porter un masque facial. Si des restrictions sont imposées au niveau du comté, ces restrictions peuvent ne pas inclure la réduction de la capacité à moins de 50 % pour tout type d'entité », a-t-il ajouté.

Le retour en arrière du mandat du masque d'Abbott avait suscité les critiques de personnalités de haut niveau, notamment le gouverneur de Californie Gavin Newsom et le Dr Anthony Fauci, l'un des principaux conseillers du président Joe Biden.

«Nous comprenons que les gens ont besoin de revenir à la normale, et nous allons dans cette direction. Mais lorsque vous commencez à faire des choses comme mettre complètement de côté toutes les mesures de santé publique comme si vous éteigniez un interrupteur, c'est assez risqué », a déclaré Fauci lors d'une apparition sur CNN plus tôt ce mois-ci.

"Nous ne voulons pas voir une autre vague, et c'est une invitation quand vous faites cela."

Le Mississippi a également annoncé qu'il levait les restrictions liées au COVID-19 le 2 mars.

«À partir de demain, nous lèverons tous nos mandats de masque de comté et les entreprises pourront fonctionner à pleine capacité sans aucune règle imposée par l'État», a déclaré le gouverneur républicain Tate Reeves sur Twitter. «Nos hospitalisations et le nombre de cas ont chuté, et le vaccin est rapidement distribué. C'est le moment !

Au Mississippi, les nouveaux cas de COVID-19 ont également diminué régulièrement, mais pas autant qu'au Texas.

Il y avait 301 cas avec une moyenne de sept jours de 582 le 2 mars. Deux semaines plus tard, le Mississippi avait 387 nouveaux cas et une moyenne de sept jours de 289 cas.

Le nombre de morts dans l’État est nettement inférieur à celui du Texas, avec quatre décès le 24 mars et une moyenne de six décès sur sept jours.

Le Texas (28 995 000 hab) a enregistré 163 décès le même jour, avec une moyenne de 123 sur sept jours. C'est une baisse par rapport au 10 mars, qui a enregistré 202 décès et une moyenne de 190 décès sur sept jours. Le Texas compte environ dix fois la population du Mississippi (2 976 000 hab.).

Au moment de la publication, plus de six millions de résidents texans et 720 607 Mississippiens ont reçu au moins une dose du vaccin COVID-19.

https://www.zerohedge.com/covid-19/no-surge-covid-two-weeks-after-mask-mandate-lifted-texas

vendredi 26 mars 2021

Rejeter la théorie des germes de Rockefeller une fois pour toutes

Par Jon Rappoport

Le blog de Jon Rappoport

26 mars 2021


Remarque: dans un certain nombre d'articles, j'ai présenté des preuves convaincantes que les décès attribués au COVID-19 peuvent être expliqués sans référence à un virus. De plus, quels que soient les mérites des «traitements alternatifs», je ne vois aucune preuve convaincante que leur action ait quoi que ce soit à voir avec la «neutralisation d'un virus».

Toute la fraude COVID tragique, criminelle, meurtrière, stupide et farfelue est basée sur cent ans de médecine Rockefeller - une tyrannie pharmaceutique dans laquelle le titre durable est:

UNE MALADIE, UN GERME.

C’est la devise gravée sur la porte du cartel médical.

—Des milliers de maladies dites distinctes, chacune causée par un germe individuel.

«Tuez chaque germe avec un médicament toxique, prévenez chaque germe avec un vaccin toxique.»

En l'absence de ces cent ans de fausse science et de propagande, la promotion du COVID-19 se serait déroulée comme une mauvaise blague. Quelques rires aigres, puis rien, sauf des gens qui continuent leur vie.

La santé globale d'un être humain est liée à des facteurs sans aucun rapport avec «une maladie, un germe».

Comme je l'ai cité, par exemple, à la fin d'un article récent -

«Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants jusqu'à 15 ans montre que près de 90 % de la baisse totale de la mortalité entre 1860 et 1965 s'était produite avant l'introduction des antibiotiques et la vaccination généralisée. En partie, cette récession peut être attribuée à l'amélioration du logement et à une diminution de la virulence des micro-organismes, mais le facteur de loin le plus important était une résistance plus élevée de l'hôte en raison d'une meilleure nutrition. Ivan Illich, Medical Nemesis, Bantam Books, 1977

Et Robert F Kennedy, Jr.: «Après avoir étudié en profondeur un siècle de données enregistrées, les Centers for Disease Control and Prevention et les chercheurs de Johns Hopkins ont conclu:« Ainsi, les vaccinations ne tiennent pas compte des baisses impressionnantes de la mortalité due aux maladies infectieuses observées dans le premier moitié du XXe siècle ».

«De même, en 1977, les épidémiologistes de l'Université de Boston (et mari et femme) John et Sonja McKinlay ont publié leurs travaux fondamentaux dans le Millbank Memorial Fund Quarterly sur le rôle que les vaccins (et autres interventions médicales) ont joué dans la baisse massive de 74 % de la mortalité observée. au XXe siècle: «La contribution discutable des mesures médicales au déclin de la mortalité aux États-Unis au XXe siècle». »

«Dans cet article, qui était autrefois une lecture obligatoire dans les écoles de médecine américaines, les McKinlays ont souligné que 92,3 % de la baisse du taux de mortalité s'est produite entre 1900 et 1950, avant que la plupart des vaccins n'existent, et que toutes les mesures médicales, y compris les antibiotiques et les chirurgies,» semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis environ 1900 - ayant dans de nombreux cas été introduite plusieurs décennies après qu'un déclin marqué s'était déjà installé et n'ayant aucune influence détectable dans la plupart des cas ».

Le fonctionnement réel du système immunitaire (s'il s'agit d'un système) dépasse les hypothèses médicales actuelles.

«Les lymphocytes T, les lymphocytes B, les neutrophiles, les monocytes, les cellules tueuses naturelles, les protéines» sont soudés dans une histoire haletante sur une machine militaire qui attaque les envahisseurs de germes. Pousser tirer. Rechercher et détruire.

L'idée que CECI est ce qui crée la santé est absurde.


La vitalité positive est ce qui nous maintient en bonne santé.

Quelques facteurs de vitalité positive figurent sur la liste tyrannique COVID de ce qui devrait être écrasé: la survie financière; mélange ouvert d'amis et de membres de la famille; les gens qui regardent (démasqués) les gens; communication ouverte sans crainte de censure.

La nutrition et l'assainissement de base sont bien entendu des facteurs clés de vitalité.

Et puis nous avons le but dans la vie: où les gens déversent-ils leurs énergies créatrices ?

De toute évidence, l'absence de traitements médicaux nocifs est nécessaire pour que la vitalité s'épanouisse.

La suppression de la VIE, afin d'arrêter un prétendu germe, est la mort institutionnalisée.

La médecine moderne est exposée de façon sensationnelle dans une revue que j'ai mentionnée des dizaines de fois au cours des 10 dernières années: rédigée par le célèbre docteur en santé publique de Johns Hopkins, Barbara Starfield, elle s'intitule: «La santé aux États-Unis est-elle vraiment la meilleure au monde ? ? » Il a été publié dans le Journal of the American Medical Association le 26 juillet 2000.

Il a constaté que, chaque année aux États-Unis, le système médical tue 225 000 personnes.

Par décennie, le nombre de morts s'élèverait à 2,25 millions de personnes.

Vous ne trouverez pas cela dans les rapports du CDC.

En 2009, j'ai interviewé le Dr Starfield. Je lui ai demandé si le gouvernement fédéral avait entrepris un effort majeur pour remédier à la mort médicalement causée en Amérique, et si elle avait été sollicitée pour consulter le gouvernement dans un tel effort.

Elle a répondu non aux deux questions.

Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

https://www.lewrockwell.com/2021/03/jon-rappoport/rejecting-rockefeller-germ-theory-once-and-for-all/

COVID-19: Docteur Tall Schaller: pourquoi les masques sont inutiles et dangereux

https://www.facebook.com/771608286549141/videos/942277146254332

Clip de 13:39 chez Amelie Paul A VOIR ABSOLUMENT !

REVELATION SUR LE TEST PCR: FILAMENTS VIVANTS DE NANO-PARTICULES IMPLANTÉES DANS VOTRE CERVEAU ! POUR VOUS CONTRÔLER ! POUR VOUS RENDRE FOU !

https://www.facebook.com/OuvreTesYeuxx/videos/177598024175132

Film des filaments vivants ! à -9 mn (Dr Lorraine Day)
Les ordres donnés par la 5G "Levez-vous ! Allez tuer ! Jetez-vous par la fenêtre ! Écrasez le champignon et roulez à gauche !"

jeudi 25 mars 2021

NUCLÉAIRE : FERMER DES RÉACTEURS AVANT 2026 PRÉSENTE UN RISQUE DE BLACK-OUT

 par PAOLO GAROSCIO 

 25/03/2021

 

10,1% de la production d'électricité dans le monde est issue du nucléaire.

Depuis 2020 avec la fermeture de Fessenehim, et dans le cadre de son objectif de réduction de la part du nucléaire dans la production d’électricité française, part qui doit tomber, à terme, à 50%, le gouvernement s’est lancé dans un vaste plan de fermeture de réacteurs nucléaires. Mais RTE s’inquiète : si ce plan est mis à exécution trop vite, la France pourrait se retrouver avec une production électrique insuffisante.

RTE s’inquiète de la fermeture de deux réacteurs avant 2026

Le rapport du gestionnaire du réseau électrique français, RTE, publié le 24 mars 2021, dévoile une situation tendue pour al production électrique française dans les quelques années à venir. Et le gestionnaire s’inquiète de la volonté du gouvernement de fermer, en 2025-2026, deux nouveaux réacteurs après la fermeture de Fessenheim en 2020. Le gouvernement vise en effet à fermer près de 14 réacteurs nucléaires en France à l’horizon de 2035.

Or, explique RTE, c’est simple : si le gouvernement poursuit dans son plan de fermeture tel qu’il est prévu, la situation pourrait être critique. Sans les deux réacteurs en question, la sécurité de l’approvisionnement en électricité dans le pays, notamment lors des pics de consommation hivernaux, pourrait fortement être compromise. Comprenez : la France risque le black-out parce qu’elle n’aura pas produit assez d’électricité par rapport à sa consommation.

Et pas question de compter sur les voisins : les pics de consommation liés à des épisodes météorologiques, comme une forte baisse des températures, sont généralement partagés par les autres pays européens, soumis au même climat. La France ne pourra pas acheter l’énergie qui lui manque.

La faute aux travaux prévus sur le parc nucléaire… et aux retards de Flamanville

Attention : RTE ne dit pas que la France n’a pas assez de nucléaire pour produire suffisamment. En fait, ce risque que met en avant le gestionnaire est lié à un concours de circonstances… et est avant tout une mise en garde.

RTE souligne en effet que près de la moitié des réacteurs en service sur le territoire (21 sur 56) devront être arrêtés pour les visites de contrôle décennales avant 2025. Une visite obligatoire qui peut toutefois présenter des mauvaises surprises et prolonger de plusieurs mois le temps d’arrêt prévu.

Et si le gouvernement espère qu’enfin l’EPR de Flamanville entrera en service pour compenser l’arrêt des autres réacteurs, RTE n’y compte pas vraiment : « les incertitudes sur l’EPR de Flamanville concernent aussi bien le calendrier de mise de service que son niveau de disponibilité lors des premières années », peut-on lire sur le rapport. Il faut dire que la nouvelle centrale a déjà 9 ans de retard : elle devait être terminée pour 2012. RTE, pessimiste, ne s’attend pas à ce qu’elle sera totalement opérationnelle avant 2025, là où EDF table sur 2023.

« Le cumul de configurations défavorables ne peut être exclu, et il conduirait à un déficit de capacité » à l’horizon de 2025, juge, dans son rapport, RTE qui estime de fait qu’il faut réfléchir à retarder la déprogrammation des fermetures anticipées des réacteurs nucléaires.

http://www.economiematin.fr/news-nuclaire-reacteur-risque-fermeture-production-electricite

mercredi 24 mars 2021

AVERTISSEMENT A CEUX QUI TRAVERSERAIENT LA MANCHE POUR SE RENDRE AU TEXAS !

Covid : en Grande-Bretagne, une amende de £5k pour tentative de prendre des vacances à l'étranger


 le 23/03/2021 à 22:42 - Mise à jour à 23:12


COVID-19: En Grande-Bretagne, une amende de £5k (5800 e) pour tenter de prendre des vacances à l'étranger

En vertu des nouvelles lois sur les coronavirus qui devraient entrer en vigueur la semaine prochaine, toute tentative de vacances à l’étranger entraînera des amendes de 5000 £ (soit environ 5800€) pour les contrevenants.

La législation couvrant les restrictions Covid-19 comprend une interdiction de quitter le Royaume-Uni sans excuse raisonnable - avec une amende lourde pour ceux qui enfreignent la règle.

Les nouvelles règles signifieront également que les manifestations seront considérées comme une exception autorisée à l'interdiction des rassemblements de masse.

Les députés voteront ce jeudi 25 mars sur ces lois - officiellement intitulées Règlement sur la protection de la santé (coronavirus, restrictions) (étapes) (Angleterre) 2021.

Si elles sont approuvées, elles entreront en vigueur le lundi 29 mars prochain.

Serait-ce un avant-goût de ce qui attend les Français ?

Auteur(s): FranceSoir

https://www.francesoir.fr/politique-monde/covid-19-en-grande-bretagne-une-amende-de-ps5k-5800-e-pour-tenter-de-prendre-des

mardi 23 mars 2021

Stéphane et Isabelle répondent à vos questions

 Je répond aux questions du vaccins et des ADE dans ce vidéo avec isabelle.

1- L’effet ADE c’est comme si le vaccin au lieu de fabriquer des anticorps contre le virus , il fabriquerait des anticorps contre nous ? Une sorte de réaction auto immune ?? 

2- Le phénomène ade est il seulement pour le vaccin de la covid ou peu importe le vaccin ?

3- Toutes les vaccins font augmenter les anticorps chez les gens et risque d ade ? 

4- Ade c’est quand on vaccine quelqu’un qui a déjà attrapé le virus pour lequel on vaccine est ce bien ça 

5- Si tu n'avais pas le choix de te faire vacciner mais si tu avais le choix du vaccin, choisirais tu le vaccin à ARN ? Dans combien de temps (mois, années) considères tu qu'on aura assez de recul pour vérifier l'innocuité d'un vaccin ? 

6- On a toujours expliqué qu'en Virologie,les mutations d'un virus sont plus contagieuses mais moins létales,comment expliquer que les variants sont non seulement plus contagieux mais aussi plus virulents ?! 

7- Est ce que le vaccin est dangereux pour les gens ayant attrapé le covid 

8- Les gens vacciner sont ils contagieux si oui combien de temps 

9- Les gens seront ils les vecteurs des variantes ? 

10 - Comment arriver à se protéger contre ceux qui se font vaccinés ? 

11- Bonjour Monsieur Guay, je me demandais si vous alliez parler de ce sujet qui peut-être préoccupant: est-ce que les vaccinés peuvent devenir un danger pour les non-vaccinés et si oui comment s'en protéger ? 🙁 

12- Salut ,est-ce que la prise d'ivermectine, quercitine, vitamine D +zinc, diminue les risques ADE ? 

13- Pourquoi la vaccination si 3/4 ont des anticorps Est ce que les gouvernements cherchent à créer le covid21 

14- Si je comprends bien, va xxins ou non, il y aura des ADE. Parcontre, la va xxination de masse augmentera dramatiquement les cas catastrophes...? 

https://www.youtube.com/watch?v=LYpIMQmlNEM

dimanche 21 mars 2021

MERCY - John Rubinstein, Amber Kain, Sam Rockwell

https://www.youtube.com/watch?v=VyNbj1FB6bk 

Tous vaccinés ? - Le Film

Armel Joubert des Ouches

AC Prod via Mondialisation.ca

ven., 19 mar. 2021 19:50 UTC


Le «vaccin» à ARN messager contre la Covid-19...

Pour ou contre ?

Doit-on forcer les Français à se vacciner ?

Voici les questions que l'enquête Tous Vaccinés ? pose à des spécialistes dans leur domaine, donnant la parole de manière équitable aux « pour » et aux « contre », afin que chaque internaute puisse se forger un avis éclairé.

Réalisé par le journaliste et caméraman indépendant Armel Joubert des Ouches et produit par Annette Christol, « Tous Vaccinés ? » est un travail journalistique citoyen qui part sans postulat de départ et s'achève sans aucune consigne. En cela, leur démarche est à notre connaissance inédite. Aucune culpabilisation, zéro complotisme, pas d'infantilisation des Français : les faits, rien que les faits, au service de la vérité, forcément très complexe. « Tous Vaccinés ? » va gêner les partisans d'une vérité officielle comme ceux d'une vérité trop simple.

Florilège de personnalités interrogées :

Dr Laurent Alexandre, médecin, haut fonctionnaire, entrepreneur.

Dr Louis Fouché, médecin-anesthésiste.

Christophe Barbier, journaliste et éditorialiste.

Alexandra Henrion Caude, généticienne.

Serge Aumont, délégué FO chez Recipharm.

Maître Carlo Alberto Brusa, avocat.

Olivier Babeau, professeur, économiste et essayiste français.

Pr Henri Joyeux, médecin, écrivain, professeur.

Jean Leonetti, député, ancien ministre.

Dr Eric Chabrière, biochimiste.

https://fr.sott.net/article/36749-Tous-vaccines-Le-Film 

vendredi 19 mars 2021

jeudi 18 mars 2021

Quels pays permettent aux travailleurs de rapporter le plus d'argent après impôts ?

PAR TYLER DURDEN

JEUDI 18 MAR 2021 - 04:15


Alors que les États-Unis se dirigent vers la réouverture tant attendue après le COVID, des millions d'Américains se sont interrogés sur l'avenir du travail et sur l'impact de l'année du travail à distance pour les cols blancs sur les schémas de migration à travers les États-Unis, et peut-être dans le monde. L'autre jour, le Wall Street Journal a publié un long article du week-end sur "Zoom Towns".

Dans l'article, le journaliste a cité des villes secondaires comme Miami, Austin, Charlotte, Nashville et Denver bénéficiant d'un avantage tarifaire sur des villes plus chères comme New York et San Francisco. Mais il a également indiqué des villes plus petites comme Gilbert, Arizona, Boulder, Colorado, Bentonville, Ark. Et Tulsa, Okla.

Mais que se passerait-il si on voyait aussi se développer les «Pays Zoom»?

Maintenant que le projet de loi de relance de 1,9 billion de dollars du président Biden a été adopté et que la première vague de "stimmies '' a atterri, l'administration prépare déjà le public à voir des impôts plus élevés lors de la première hausse des impôts fédéraux depuis 1993, qui serait considérée comme payante. Le programme du grand gouvernement de Biden.

Maintenant que la réouverture est proche, Bloomberg se demande à nouveau pourquoi les Wall Streeters ont migré des États à fiscalité élevée comme New York et la Californie vers des juridictions à faible fiscalité comme la Floride (même si Bloomberg vient de finir de dire à tout le monde que l'exode vers la Floride était sur le point de claquer en marche arrière).

Un résident de Floride qui gagne 695 250 $ par an peut garder 684 379 $, contre 416 199 $ pour un New-Yorkais et 434 589 $ pour un Californien.

Mais à l'ère de la 5G, les travailleurs à distance ne sont pas limités aux seuls États-Unis, du moins, en théorie: ils peuvent voyager où ils le souhaitent. Alors, quels pays sont les plus hospitaliers pour les travailleurs américains sur la base de l'impôt sur le revenu ? N'oubliez pas que les Américains sont parmi les seuls à devoir payer des impôts fédéraux sur leurs revenus, peu importe où ils les gagnent.

Les données comprenaient également des conclusions éclairantes sur la façon dont les taux d'imposition élevés affectent les revenus réels. Par exemple, les travailleurs britanniques bien payés gagnent en fait moins que leurs homologues en Allemagne ou en Espagne.

Le tableau ci-dessous présente les données de PriceWaterhouseCoopers:



Source: Bloomberg

Alors que des politiciens comme Elizabeth Warren et Alexandria Ocasio-Cortez poussent les impôts sur la fortune dans le cadre de leur programme pour l'État de New York et le gouvernement fédéral américain, ne pensez pas que les riches ne pèsent pas leurs options.

https://www.zerohedge.com/economics/which-countries-allow-workers-take-home-most-money-after-taxes

mercredi 17 mars 2021

Hold-Up+, la version augmentée du documentaire censuré

à 1h47 : Laboratoire chinois: 
 Zheng-Li-Shi (virologue) = 675 (zoonose),
Li-Meng Yan (MD, PhD) = 680 génie génétique ! fab. humaine !
- 1h50:15 (675-680) 

 - Hold-up version intégrale (16 nov. 2020)

lundi 8 mars 2021

2:48:05

https://huemaurice5.blogspot.com/2021/03/hold-up-version-integrale-16-nov-2020.html


- Film documentaire hold-up+

17 févr. 2021

2:52:58

https://www.youtube.com/watch?v=yHc5mAvfQp0&t=567s


Les Éditeurs

Sott.net

mar., 16 mar. 2021 11:37 UTC

Le documentaire est — pour le moment — visible depuis ce compte YouTube (depuis environ un mois). Nous conseillons toutefois à nos lectrices et lecteurs d'effectuer leur propre sauvegarde de la vidéo avant que la censure n'abatte à nouveau son couperet.

Selon Pierre Barnérias, la campagne contre son documentaire est « abjecte. » Et il pose la question : « Qui fabrique le mensonge ? Qui ? »

Il ajoute ce qui suit dans un entretien donné à FranceSoir en novembre dernier :

« L'épidémie et son traitement ont tout d'une intrigue dramatique. Cet événement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l'état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu'un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d'expression ou d'information.

L'issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l'humanisme ou l'épopée d'un renouveau. Gageons qu'elle débouche sur le renouveau. D'autres y voient une dimension biblique.

C'est donc une question de choix, d'élan instinctif, d'appel ce qui m'a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu'il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c'est ce qui se passe sous nos yeux. »

C'est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l'ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l'intituler « Coup d'Etat ».

https://fr.sott.net/article/36721-Hold-Up-la-version-augmentee-du-documentaire-censure

Cet expert en virologie et en vaccinologie adresse une alerte d'urgence à l'OMS

mardi 16 mars 2021


Des légions d'experts qui alertent sur une potentielle catastrophe sanitaire en cours émergent de partout dans le monde et je ne peux pas croire que ce sont tous des débiles !

"Fondamentalement, nous serons très bientôt confrontés à un virus super-infectieux qui résiste complètement à notre mécanisme de défense le plus précieux: le système immunitaire humain."

"Des mesures de prévention des infections généralisées et rigoureuses, combinées à des campagnes de vaccination de masse utilisant des vaccins inadéquats, mèneront sans aucun doute à une situation où la pandémie devient de plus en plus « hors de contrôle »."

"Il ne reste donc pas une seconde pour que les engrenages soient modifiés et pour remplacer les vaccins tueurs actuels par des vaccins vitaux."

"J’appelle l’OMS et toutes les parties prenantes concernées, quelle que soit leur conviction, à déclarer immédiatement des mesures telles que L’URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE LA PLUS IMPORTANTE DANS L’INTÉRÊT INTERNATIONAL."

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-risque-maintenant-dentrainer-une-catastrophe-mondiale-sans-egal

http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/03/cet-expert-en-virologie-et-en.html

mardi 16 mars 2021

Comment la manipulation des résultats des tests PCR permettent d'augmenter le nombre de « cas »

 M.K. Scarlett

Sott.net

lun., 15 mar. 2021 18:22 UTC


Voici le témoignage éclairant d'une infirmière avec preuves écran à l'appui qui nous donne un aperçu des moyens utilisés en vue d'augmenter de façon factice les « cas » soi-disant positifs au Sras-CoV-2.

Test PCR Covid-19

Imaginez, demain, une obligation d'isolement dans un camp sur la base d'une telle fraude... Écoutez bien le conseil qu'elle nous donne à la fin, au cas où vous soyez amené à devoir effectuer un test PCR (quel qu'il soit).

Pour rappel :

« les « seuils de cycle » (Ct) sont le niveau auquel le test d'amplification en chaîne par polymérase (PCR), largement utilisé, peut détecter un échantillon du virus Covid-19. Plus le nombre de cycles est élevé, plus la charge virale de l'échantillon est faible ; plus les cycles sont faibles, plus le virus était répandu dans l'échantillon initial. »

Ces cycles d'amplification successifs, peuvent aller, voire dépassent 40. Or, plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n'est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d'amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.

Rappelons aussi que c'est sur ces tests bidonnés que se fonde le gouvernement pour nous imposer des mesures liberticides et nous assigner à résidence. Alors répétons-le : médicalement (mais pas politiquement), les tests RT-PCR nasopharyngés sont plus que sujets à caution.


Rappelons encore que l'OMS admet que les tests RT-PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19.

Et que les tests antigéniques produisent encore plus de faux positifs que les tests RT-PCR. Le 17 décembre 2020, les autorités sanitaires françaises ont été alertées d'un nombre trop important de faux positifs concernant le test antigénique VivaDiag Test Rapide SARS-CoV-2 Ag, commercialisé par VivaDiag. La Direction Générale de la Santé a donc décidé la mise en quarantaine du produit dans les officines et tous les autres lieux distribuant le dispositif. Ce qui est détecté ne sert que la poursuite du récit mensonger d'une « pandémie » qui permet d'asservir les populations, victimes ignorantes d'un monstre tentaculaire.

- voir clip de 12:43 sur site:

https://fr.sott.net/article/36712-Comment-la-manipulation-des-resultats-des-tests-PCR-permettent-d-augmenter-le-nombre-de-cas

lundi 15 mars 2021

Des milliards de cigales vont déferler sur l’est des Etats-Unis

 Tous les 17 ans, ces insectes «périodiques» sortent en masse au grand air pour s’accoupler, pondre puis mourir. Leur temps est venu, ce sera à partir d’avril 2021.


Stephen Jaffe/AFP

15 mars 2021, 08:41


Bientôt vingt ans qu’elles sont tapies sous terre, à attendre le bon moment pour émerger. Ce n’est pas un film d’horreur ou une légende antique: des milliards de cigales vont bientôt envahir une partie des États-Unis, dont la capitale Washington.

Le phénomène est rare et spectaculaire. Tous les 17 ans, ces cigales «périodiques» sortent en masse au grand air pour s’accoupler, pondre… puis mourir.

«On aurait dit de la science-fiction», raconte Melanie Asher, qui habite aujourd’hui à Bethesda, dans la banlieue de Washington, et garde un souvenir très vif de l’invasion de 1987 – elle était alors enfant.

Sol couvert

«Le sol était couvert de cigales qui tombaient, raides mortes. C’était vraiment étrange, comme si ça venait d’un autre monde», ajoute-t-elle.

De Washington à l’est de l’Illinois

Cette année, les cigales sont attendues en mai, ou peut-être à partir d’avril selon les régions, dans certaines parties d’un vaste territoire s’étendant de Washington à l’est de l’État de l’Illinois, en passant par la Géorgie.

Melody Merin a assisté au dernier grand déferlement, en 2004. «Elles volaient tout simplement partout», explique cette résidente de Washington de 46 ans qui travaille dans la communication. En voiture, «elles venaient frapper le pare-brise, on ne pouvait pas conduire les fenêtres ouvertes», poursuit-elle.

À quoi s’attendre ?

A quoi d’autre s’attendre au quotidien, pendant les quelques semaines que durera l’événement? À des cigales qui viendront par exemple s’emmêler dans vos cheveux, racontent des habitants. Ou à vous habituer – ou pas – au crissement produit par vos chaussures quand elles écraseront les cadavres de «cicadas».

Peter Peart, lui, évoque surtout leur chant. «Une cacophonie», dit ce retraité de presque 67 ans qui habite le quartier de Columbia Heights, dans la capitale fédérale, et a vécu leur arrivée en 1987 -- «c’était intense» -- et 2004.

«On s’y habitue»

«C’est fort, ça n’arrête pas, c’est incessant», affirme-t-il. «Mais on s’y habitue, ça devient un bruit de fond», tempère-t-il, en se disant plutôt «amusé» par tout ce phénomène «incroyable» dont il a hâte, taquin, de voir l’effet sur les personnes ne l’ayant jamais expérimenté.

«C’est vraiment assez unique», explique John Cooley, qui enseigne au département d’écologie et biologie évolutionnaire à l’université du Connecticut à Hartford. Ces cigales, qui sont inoffensives, «ont tout simplement un cycle de vie de 17 ans».

Longue vie sous terre

Et voici comment se déroule leur existence, à la fois longue quand elles sont sous nos pieds, et éphémère une fois visibles.

«Dès que le sol atteint une certaine température, environ 62 degrés Fahrenheit (presque 17 degrés Celsius, ndlr) par une soirée qui pourrait être un peu humide, mais pas trop pluvieuse, les nymphes vont commencer à sortir de terre puis muer», dit le Dr Cooley.

Orgie géante

Ensuite, «elles vont traîner dans la végétation sans faire grand-chose pendant une semaine. Et puis elles vont adopter un comportement adulte». À savoir se lancer dans une orgie géante.

Car «c’est de cela qu’il s’agit», affirme le Dr Cooley: se reproduire. «Le bruit que vous allez entendre, c’est le mâle qui appelle pour attirer une réponse de la femelle. Une fois que mâle et femelle sont réunis, ils s’accouplent, la femelle pond» et peu après, «ils meurent».

Retour à la terre

«Les œufs vont éclore six à huit semaines plus tard, et le cycle tout entier va se répéter», poursuit-il. Les nymphes vont donc aller s’enterrer et passer les 17 années suivantes à se nourrir de sève prélevée sur des racines.

Il devrait bien y avoir «des milliards, voire des milliers de milliards» de cigales ce printemps, selon le Dr Cooley. Submerger ses prédateurs par le nombre, c’est même la stratégie de survie de cette espèce, explique-t-il.

Vite à satiété

Car si écureuils, oiseaux, ratons laveurs et chiens vont s’en repaître pendant des jours, ils arriveront à satiété sans que cela ne menace les innombrables cigales restantes.

En attendant, des habitants de la capitale américaine tentent de prendre avec philosophie le fait que l’invasion des «cicadas» se produira avec l’arrivée des beaux jours, qu’ils attendaient encore plus impatiemment que d’habitude après un an d’épidémie et de restrictions sanitaires.

Randonner ou pique-niquer au milieu des insectes pourrait en effet ne pas être très ragoûtant.

«C’est un peu cruel», dit Melody Merin en riant. «Un peu comme si quelqu’un avait un sens de l’humour très tordu, et jouait avec nos émotions !»

https://www.lematin.ch/story/des-milliards-de-cigales-vont-deferler-sur-lest-des-etats-unis-287053424841

samedi 13 mars 2021

Fukushima, dix ans déjà ! J'y étais : récit



Alain-Sam Fédérowski

France-soir

ven., 12 mar. 2021 23:01 UTC 


Vendredi 11 mars 2011, 7 heures du matin : le rédacteur en chef du service reportages de TF1 m'appelle pour me demander, sur un ton narquois, si j'ai toujours... mes bottes en caoutchouc.

Des gens prient à Sendai, dans le nord-est du Japon, le 11 mars 2021, date du 10e anniversaire de la catastrophe du tremblement de terre et du tsunami.

Je comprends immédiatement ce qu'il veut puisque quelques minutes auparavant, je viens d'entendre, sur une radio d'information en continu, qu'un violent séisme vient de secouer la côte Pacifique du Japon et qu'un tsunami est redouté.

Un quart d'heure avant l'appel de mon chef, à presque 10 000 kilomètres de là, le directeur de la centrale nucléaire de Fukushima- Daiichi est affreusement surpris par la puissance de ce tremblement de terre : le mobilier autour de lui et les faux plafonds tombent au sol, impossible pour lui de marcher.

Il vit la secousse la plus violente jamais enregistrée dans l'archipel nippon, d'une magnitude de 9,1 sur l'échelle de Richter (graduée de 1 à 12).

Le dirigeant ne se doute pas que 51 minutes plus tard, une vague de 12 à 15 mètres va se fracasser sur les murs d'enceinte de la centrale. Ces derniers, dimensionnés à 10 mètres, par l'opérateur d'électricité TEPCO, seront submergés et engendreront la catastrophe nucléaire la plus importante de l'Histoire, sans doute à égalité avec celle de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, en 1986.

Vers 12h30, nous embarquons pour Tokyo. 13 heures plus tard, le vol est détourné vers Osaka, car les pistes de l'aéroport de Tokyo ont souffert du séisme.

Impossible de louer un véhicule, nos permis de conduire internationaux n'étant pas traduits en japonais. Nos téléphones portables, bien que dotés d'un abonnement international, ne fonctionnent pas dans ce pays.

C'est alors que la chance nous sourit : un jeune Japonais, qui venait de séjourner deux ans en France, nous rejoint après avoir été contacté par l'Alliance française...

Nous traversons, de nuit, l'île de Honshu, du sud vers le nord. L'autoroute principale est fermée et réservée aux véhicules de secours, tant civils que militaires.

Après avoir parcouru 900 km, nous atteignons, au petit matin, Seindaï (non loin de l'épicentre du tremblement de terre), où nous effectuons notre premier reportage qui montre des habitants très disciplinés faisant la queue pour obtenir de l'eau en bouteille; la plupart des maisons et les bâtiments sont écroulés ou gravement fissurés.

Une impressionnante scène de guerre et de désolation s'offre à ma caméra...

Le lendemain, nous accédons au port de Soma. Devant nos yeux, un décor apocalyptique : des amas de matériaux en tous genres, maisons détruites, voitures, camions, arbres, rochers, bateaux... La vague géante avait pénétré jusqu'à 10 kilomètres à l'intérieur des terres. Selon certains observateurs, sa hauteur maximum aurait pu dépasser les 30 mètres (soit 11 étages d'un immeuble construit d'après les standards européens) et une moyenne de 15 mètres (7 étages) sur près de 600 k de côtes !

Le port de pêche de Soma est pratiquement rayé de la carte. Je revois les rescapés hagards qui errent dans la boue et la ferraille.

Imaginons des villes côtières françaises rebâties après la Seconde Guerre mondiale, comme Dunkerque, Calais ou Boulogne-sur-Mer, envahies par l'océan.

Le 14 mars, en fin de matinée, nous nous trouvons à quelques dizaines de km de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, dans un hôtel sommé de fermer. Le journaliste-rédacteur et l'interprète tentent d'obtenir des rendez-vous avec des responsables de la production électrique, tandis que l'ingénieur du son et moi interviewons la réceptionniste.

En tournant la tête, j'aperçois un panache de fumée blanche qui s'élève dans le ciel... bleu : le cœur du réacteur numéro 3 vient d'entrer en fusion, provoquant une explosion soufflant le toit de l'édifice. Simultanément, la télévision japonaise NHK annonce un nouveau séisme dans le Pacifique et une alerte majeure d'un probable tsunami. Nous quittons précipitamment les lieux pour rejoindre un point haut. Nous nous retrouvons sur un pont au-dessus d'un bras de mer avec des citoyens disciplinés, au sang-froid déroutant. Quelques minutes après, un grondement de plus en plus proche et menaçant laisse présager un déferlement dévastateur, mais, entravé par les montagnes de détritus, il termine fort heureusement sa course non loin de nous. Tout cela devant mon objectif...

Une rédactrice en chef nous envoie un message quelque peu surréaliste : "Quittez immédiatement cette zone car il y a une catastrophe nucléaire mais avant de partir, faites-nous un sujet pour le journal de 20 heures". Ce soir-là, nous logeons dans un des rares hôtels encore ouverts à Fukushima Préfecture, capitale de la province du même nom, établie à 125 kms au nord de la centrale. Des journalistes du monde entier quittent l'hôtel et la région. Des confrères de la télévision russe équipés de combinaisons et d'appareils de mesure de type compteur Geiger testent notre véhicule et nous indiquent que la radioactivité des roues est dix fois supérieure aux normes acceptables pour l'Homme. Nous regagnons Sendaï : plus d'hébergement, plus de restaurant, distributeurs de billets hors d'usage, carburant réservé aux secours...

J'avais acheté des chips au poisson et du coca en quantité, quelques jours auparavant. L'équipe m'avait alors demandé pourquoi une telle quantité...? Les événements m'avaient hélas donné raison...

Une nuit de cauchemar nous attend sur la route entre Sendaï et Yamagata, car en-dehors des répliques sismiques qui faisaient ressembler notre break à une nacelle de fête foraine, la neige s'invitait au bal. 12 heures de galère pour franchir un col sans pneus neige. Après une longue journée de patience à l'aéroport de Yamagata, nous embarquons pour Osaka, puis quelques jours plus tard, atterrissage à Roissy-Charles de Gaulle où la totalité de nos effets personnels et notre matériel de tournage sont pris en charge par une société spécialisée dans la décontamination.

La semaine suivante, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) nous soumet à un examen médical afin de déterminer le taux de radiation auquel nous avons été exposés.

J'ai eu l'opportunité de revenir dans la province de Fukushima, six mois après la catastrophe avec une autre équipe et là, dans le port de Soma, le reportage que nous devions effectuer m'a particulièrement bouleversé : la plupart des sinistrés étaient relogés dans des cités préfabriquées, parfaitement alignées, d'une propreté exemplaire. La discipline, l'organisation et la capacité de résilience des Japonais sont exceptionnelles pour se relever d'un tel malheur le tremblement de terre et le tsunami ont fait , et près de 140 000 réfugiés.

Alain-Sam Fédérowski est journaliste - grand Reporter/caméraman

Auteur(s): Alain-Sam Fédérowski journaliste pour FranceSoir

https://fr.sott.net/article/36688-Fukushima-dix-ans-deja-J-y-etais-recit

jeudi 11 mars 2021

Renommer la grippe ? Les autorités sanitaires britanniques ne découvrent pas un seul cas de grippe à ce jour en 2021

Mercredi 10 mars 2021 

par: Ramon Tomey


(Natural News) Les autorités sanitaires du Royaume-Uni n'ont trouvé aucun cas de grippe deux mois après 2021. Les analyses de laboratoire n'ont confirmé qu'un seul cas au cours de la dernière semaine de décembre, ce qui a conduit à des allégations selon lesquelles de possibles cas de grippe auraient pu être regroupés dans le nombre de cas de COVID-19. Mais les responsables de la santé au Royaume-Uni ont nié qu'il s'agissait d'une source de préoccupation, car cela prouvait seulement que les mesures visant à freiner le COVID-19 réduisaient également la transmission de la grippe.

The Independent a rapporté le 25 février que les taux d'infection grippale étaient à des niveaux historiquement bas, les responsables de la santé publique n'ayant trouvé aucun cas de grippe au Royaume-Uni au cours des sept dernières semaines. Sur les plus de 685000 échantillons d'écouvillons analysés par les scientifiques de Public Health England (PHE) depuis la première semaine de janvier 2021, aucun n'a été testé positif pour la grippe au moment de la rédaction. L’organisme de santé publique du Royaume-Uni traite et examine chaque semaine des milliers d’échantillons sur écouvillon pour déterminer la prévalence de certaines maladies respiratoires dans la population.

PHE a attribué ce faible nombre de cas de grippe à des protocoles de santé publique pour le coronavirus de Wuhan et à une augmentation des vaccinations contre la grippe. Le Dr Vanessa Saliba, responsable de la grippe PHE, a également cité une réduction des voyages internationaux et des «changements de comportement» - comme le port de masques et le lavage fréquent des mains - pour les cas de grippe inférieure.

Saliba a en outre commenté le rôle des vaccins antigrippaux dans la réduction des infections: «Le programme de vaccination de cette saison est en passe d'être le plus réussi de tous les temps, avec les plus hauts niveaux de vaccination enregistrés pour ces 65 ans et plus, deux et trois ans. les personnes âgées et les travailleurs de la santé. »

La professeure de recherche opérationnelle Christina Page de l'University College London a suggéré de maintenir en place des mesures pour freiner la propagation du coronavirus. Elle a ajouté que cela pourrait «réduire à peu près zéro le nombre de décès dus à la grippe». Page a également fait remarquer qu'il «vaut la peine d'encourager les gens à porter des masques» dans les transports en commun et dans d'autres environnements très fréquentés chaque hiver, lorsque le virus de la grippe est répandu.


Selon un rapport de la BBC, les chiffres publiés en avril 2020 par le Bureau des statistiques nationales du Royaume-Uni montraient trois fois plus de décès dus à la grippe et à la pneumonie que le COVID-19. «Le nombre de décès dus à la grippe et à la pneumonie - à plus de 32 000 - est trois fois plus élevé que le nombre total de décès dus aux coronavirus», indique l'article.

Il n'y a pas de cas de grippe car ils ont été regroupés dans le nombre de cas de COVID-19

Le Royaume-Uni et les États-Unis ont vu les cas de grippe devenir peu ou presque inexistants au début de la pandémie.

Le mois dernier, l'épidémiologiste Knut Wittkowski a affirmé que «la grippe avait été renommée COVID-19 pour la plupart». L'ancien chef du département de biostatistique, d'épidémiologie et de conception de la recherche de l'Université Rockefeller a fait valoir que de nombreuses infections grippales étaient incorrectement étiquetées comme celles causées par le coronavirus de Wuhan.

Wittkowski a déclaré à Just The News: «Il peut y avoir un certain nombre de cas de grippe inclus dans la catégorie« présumé COVID-19 »de personnes qui présentent… des symptômes, mais qui ne sont pas testés pour l'ARN du SRAS.» Il a noté que les symptômes de la grippe peuvent être confondus avec ceux du COVID-19. L'épidémiologiste a en outre expliqué que ces mêmes patients «peuvent également avoir de l'ARN du SRAS dans le nez tout en étant infectés par la grippe», des tests ultérieurs confirmant qu'il s'agit d'une infection au COVID-19. (En relation: le CDC admet que les faux positifs sont inclus «par erreur» dans les données officielles sur les coronavirus.)

Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le taux cumulatif de tests positifs pour la grippe de fin septembre 2020 à la deuxième semaine de décembre 2020 ne s'élevait qu'à 0,2 %. Les chiffres de la même période en 2019 ont montré une hausse de 8,7 %. Les dénombrements hebdomadaires reflétaient également des chiffres extrêmement bas. La première semaine de janvier 2021 a signalé un taux de test de la grippe de 0,1% par rapport au taux de 22 % signalé au cours de la première semaine de janvier 2020.

Cette fausse déclaration des statistiques sur le COVID-19 et la grippe a plongé l'organisme de santé publique dans l'eau chaude. Sur la base d'une nouvelle étude publiée dans Science, Public Health Policy and The Law, le CDC semble avoir violé plusieurs lois fédérales en gonflant artificiellement le nombre de décès par COVID-19. Le document affirmait que les méthodes du CDC pour rassembler et classer les données «[ont] un impact significatif sur le nombre de décès publiés en raison du COVID-19».


Le groupe de surveillance All Concerned Citizens a déclaré dans une déclaration au National File que le CDC «avait illégalement adopté de nouvelles règles pour la collecte et la notification des données» pour les cas de COVID-19. La décision de l'agence a entraîné une augmentation de 1 600% du nombre de décès enregistrés par COVID-19. Le chien de garde a poursuivi: «La recherche [document] affirme que le CDC a délibérément compromis l'exactitude et l'intégrité de toutes les données sur les cas et les décès de COVID-19 dès le début de cette crise afin de gonfler frauduleusement les cas et les décès [chiffres].

Bien qu'il soit tenu de maintenir une conformité totale avec les lois fédérales même en cas d'urgence, le CDC n'a pas facilité la surveillance fédérale obligatoire et les commentaires scientifiques publics. En raison de cette lacune, All Concerned Citizens a déclaré qu'une pétition officielle avait été envoyée au ministère américain de la Justice à ce sujet. Le groupe a ajouté que tous les avocats américains avaient également demandé une enquête immédiate du grand jury. (Connexes: le chef du CDC admet que les hôpitaux ont une «incitation perverse» à gonfler les décès dus aux coronavirus.)

Visitez DisInfo.news pour en savoir plus sur la façon dont les décès dus à la grippe sont signalés à tort comme étant causés par le COVID-19.

Sources include:

NewsPunch.com

Independent.co.uk

Summit.news

BBC.com

JustTheNews.com

HealthImpactNews.com [PDF]

NationalFile.com

https://www.naturalnews.com/2021-03-10-uk-authorities-find-no-influenza-cases-2021.html

mercredi 10 mars 2021

Alexandra Henrion Caude: Actualités tests PCR et nouveau test

le 23 février 2021

Dans cette courte video, un très bref survol de l'actualité sur les tests dans le monde et en France.

14 décembre 2020: l'OMS reconnait ce que nous dénoncions depuis des mois. "L'OMS a reçu de nombreux feedbacks d'un RISQUE ÉLEVÉ DE FAUX POSITIFS (SARS-Cov2 détecté) (...)

Les soignants sont encouragés à prendre en considération les RÉSULTATS DES TESTS AVEC LES SIGNES CLINIQUES ET LES SYMPTÔMES, le statut confirmé des cas contacts etc..". Ce lien mis en ligne par l'OMS a été supprimé depuis, mais heureusement archivé.

https://web.archive.org/web/202012150...​

13 janvier 2021: l'OMS reconnait que "la plupart des tests PCR sont indiqués COMME UNE AIDE au diagnostic". Sous-entendu, ces tests ne peuvent pas être considérés comme un diagnostic.

https://www.who.int/news/item/20-01-2...​

Lien Huffington Post: https://www.huffingtonpost.fr/entry/a...​

Lien BFM TV: https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-...​

Lien Haute Autorité de Santé: https://www.has-sante.fr/upload/docs/...​

Les enfants et toute personne supportant mal l'invasion des tests PCR doivent être au courant de cette autre possibilité du test salivaire, et de sa validité. Ils peuvent apporter l'information imprimée aux laboratoires et médecins qui ne sont pas toujours au courant.

https://reinfocovid.fr/articles_video/alexandra-henrion-caude-actualites-tests-pcr-et-nouveau-test/

Voir aussi: 

Messieurs les censeurs, bonsoir 

https://www.youtube.com/watch?v=nObVW59A5cc

https://reinfocovid.fr

lundi 8 mars 2021

Le CDC est sur le point d'être annulé par Google et Facebook pour l'hérésie COVID


 PAR TYLER DURDEN

LUNDI 08 MAR 2021 - 16:45

Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,


Vendredi après-midi, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis (toujours appelés CDC, même s'ils ont ajouté un «P») ont publié un rapport hérétique sur le port de masque et le COVID-19.

Le rapport, rédigé par au moins une douzaine de médecins, de chercheurs en doctorat et, bizarrement, d'une poignée d'avocats, a examiné comment les mandats de masque à travers les États-Unis affectaient les cas de COVID et les taux de mortalité.

Vous pensez avec toute la propagande médiatique sur l'efficacité des masques… et toute la signalisation de la vertu, avec des politiciens et des journalistes apparaissant à la télévision en direct portant des masques… que les données prouveraient de manière incontestable et écrasante que les masques ont sauvé le monde.



Mais ce n’est pas ce que dit le rapport.

Selon l’analyse du CDC, entre le 1er mars et le 31 décembre de l’année dernière, des mandats masques à l’échelle de l’État étaient en vigueur dans 2 313 des 3 142 comtés des États-Unis.

Et, en examinant les données comté par comté, le CDC conclut que les mandats de masque étaient associés à une diminution moyenne de 1,32 % des taux de croissance des cas de COVID-19 et des décès au cours des 100 premiers jours après la mise en œuvre de la politique de masque.

Attends quoi ? Seulement 1,32 % ?

Vous avez bien lu, ils n'ont pas égaré la décimale: selon l'agence gouvernementale fédérale chargée de gérer la pandémie COVID-1984, la différence entre les mandats de masque et pas de mandat de masque n'est littéralement qu'une différence de 1,32 %.

Et gardez à l’esprit, il est tout à fait possible que le chiffre réel soit encore plus bas, compte tenu de toutes les statistiques COVID discutables.

Par exemple, le CDC rapporte que les cas de grippe aux États-Unis ont chuté à presque zéro au cours de la saison grippale 2020-2021, contre 56 MILLIONS l'année précédente.

C'est incroyable qu'ils s'attendent à ce que quiconque prenne ces données au sérieux.

Sommes-nous censés croire honnêtement que la grippe a été éradiquée ?




Ou est-il possible que, peut-être juste peut-être, au moins certains cas de grippe aient été diagnostiqués à tort comme COVID ?

Si tel est le cas, l’impact réel des masques sur les taux de croissance des COVID est potentiellement bien inférieur à 1,32 %.

Même le CDC semble comprendre cela, car à la fin de son rapport, ils concluent avec inspiration en déclarant que les mandats masques «ont le potentiel de ralentir la propagation du COVID-19. . . » [le gras est à moi, évidemment]

Ah bon? "Potentiel" ? C’est HÉRÉSIE! Et une contradiction évidente avec les directives de l'OMS. On se demande si Google et Facebook se préparent à censurer ce rapport, étant donné qu'ils se sont autoproclamés ministère de la Vérité.

Franchement, il est assez incroyable que les données soient trop faibles pour que le CDC puisse affirmer clairement les avantages des mandats de masque.

(même si j'ai dit qu'il y avait quelques avocats qui ont co-écrit cet article ... et utiliser un langage non contraignant comme «potentiel» sonne certainement comme un langage typique d'avocat de belette.)

Maintenant, ne vous méprenez pas sur l’intérêt de cette lettre. Je ne suis pas ici pour dénigrer les masques ou dire qu’ils ne fonctionnent pas, ni pour faire une diatribe anti-masque.

Le fait est que je suis pro-data. Et pro-raison.

Les politiques de santé publique ont des conséquences. Il y a toujours des coûts et il y a (espérons-le) des avantages.

Le CDC vient de publier une analyse officielle des bénéfices, quantifiée précisément à 1,32%.

Quels sont les coûts de leurs décisions? Eh bien, il y a aussi beaucoup de données à ce sujet.

Par exemple, une étude récente publiée plus tôt ce mois-ci dans la principale revue scientifique Nature montre que les Américains qui portent des masques sont plus susceptibles de se livrer à des activités plus risquées, comme, vous savez, quitter la maison.

L'étude conclut que les mandats de masque «conduisent à un comportement de compensation du risque» et que les porteurs de masque «passent en moyenne 11 à 24 minutes de moins à la maison et augmentent le nombre de visites dans certains lieux commerciaux, notamment les restaurants, qui sont des lieux à haut risque.»


D'autres conséquences sont plus sombres.

Il y a eu plusieurs études qui font état de l'augmentation alarmante des problèmes de santé mentale graves, y compris un pic de suicide chez les jeunes, à la suite de diverses politiques de santé publique, y compris les mandats de masque et les verrouillages.

Par exemple, une autre étude publiée dans Nature début janvier a rapporté qu'à la fin de 2020, les taux de suicide chez les enfants au Japon ont bondi de 49 %.

Et le Service de lutte contre les toxicomanies et la santé mentale (SAMHSA) du gouvernement américain a signalé une augmentation incroyable de 890 % du volume d'appels à sa hotline nationale pour le suicide en avril dernier.

Ensuite, il y a les conséquences économiques à prendre en compte: les mandats masqués stimulent-ils l'économie en donnant aux gens plus de confiance pour sortir et dépenser? Ou les mandats de masques obligent-ils plus de personnes à rester à la maison pour éviter les tracas et, par conséquent, réduire l'activité économique ?

Il n’y a toujours pas d’analyse concluante sur le sujet. Mais vous pensez que les décideurs voudraient le savoir.

On pourrait penser qu’ils examineraient toutes les données, tous les avantages et inconvénients, les conséquences économiques, les conséquences sur la santé publique, etc., et prendraient une décision éclairée et rationnelle.

Mais cela ne semble plus se produire.

Il ne peut y avoir de discours rationnel sur le sujet. Vous n'êtes pas autorisé à poser des questions ou à exprimer une dissidence intellectuelle, sinon vous serez dénoncé comme un théoricien du complot.

Vous avez un travail: obéir. Il ne s’agit même plus de «faire confiance à la science», comme on nous a dit de le faire maintes et maintes fois pendant la pandémie. Parce que maintenant, la science nous dit que les mandats masques «ont le potentiel» de réduire les taux de croissance de Covid de seulement 1,32 %.


Non pas que vous l’entendrez dans les médias.

Il y a eu en fait une bonne couverture au cours du week-end sur le nouveau rapport du CDC.

Le titre du Washington Post disait: «Après les restrictions de levée des États, le CDC affirme que les mandats de masque peuvent réduire les décès».

Le New York Times a rapporté que «le port de masques, selon l'étude [CDC], était lié à moins d'infections par le coronavirus et les décès de Covid-19.»

NBC a qualifié le rapport de «preuve solide que les mandats de masque peuvent ralentir la propagation du coronavirus. . . »

Mais très peu de la couverture médiatique a pris la peine de mentionner les données réelles, c'est-à-dire la réduction marginale de 1,32 % des taux de croissance.

Tout comme les données sur la grippe du CDC, il est incroyable que les médias s’attendent à être pris au sérieux ou qu’ils se font passer pour une source d’information objective et impartiale.

https://www.zerohedge.com/political/cdc-about-be-canceled-google-facebook-covid-heresy