- ENTREE de SECOURS -



vendredi 18 octobre 2024

Des soldats polonais se lèvent – Appel à tous ceux qui portent un uniforme !

 

113 commentaires:

  1. Des soldats polonais se lèvent – Appel à tous ceux qui portent un uniforme !


    17.10.2024
    www.kla.tv/30781


    Aleksander Siergiej a le grade de sergent-chef. Il a quitté l'armée polonaise en 2022, après 26 ans de services, parce que, selon lui, les droits et les libertés des soldats étaient violés de manière flagrante. Il a comparu devant une commission d'enquête parlementaire pour faire état de dysfonctionnements au sein de l'armée polonaise.

    Szymon Fijał est lieutenant dans l'armée polonaise et son dernier poste était celui de commandant d'une compagnie d'infanterie légère. Il a été libéré de l'armée en 2021, après 10 ans de services. Au cours de ses presque dix années de services, il a été décoré quatorze fois. Après avoir témoigné au Parlement polonais au sujet des violations de la loi et des persécutions contre des soldats, il a été calomnié et renvoyé de l'armée professionnelle. Il a été fouillé plusieurs fois et a comparu huit fois devant le tribunal pour défendre ses droits

    Qu'est-ce qui vous a poussé à devenir soldat professionnel dans l'armée polonaise ?

    Aleksander Siergiej : Le désir de servir la nation, de défendre des valeurs, de vivre l'aventure de la vie. Mon aventure a duré près de 26 ans.

    Szymon Fijał : Je voulais rencontrer des personnes fortes, déterminées et nobles avec lesquelles je me battrais pour le bien. Je voulais devenir moi-même une telle personne, j'ai donc décidé de devenir officier dans l'armée polonaise et j'ai réussi à obtenir le grade de lieutenant dans l'armée polonaise.

    Aujourd'hui, vous n'êtes plus dans l'armée. Pourquoi ?

    Aleksander Siergiej : Tout a commencé avec l'obligation de se faire vacciner dans l'armée. J'ai dû commencer à juger mes gens selon qu'ils étaient vaccinés ou non. Je n'aimais pas l'idée de maltraiter mes subordonnés simplement parce qu'ils ne voulaient pas se faire vacciner. C'était trop pour moi. Je voulais pouvoir me regarder dans le miroir avec dignité. Je suis passé dans une unité où la contrainte n'était pas aussi forte. Mais au bout d'un an, j'ai décidé de partir quand même. Je voulais faire plus pour les gens, être plus actif, et j'ai donc décidé de partir. Comme ça, du jour au lendemain. Maintenant, je dirige la rédaction d'un journal et je m'occupe des problèmes des soldats en service.

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  2. Szymon Fijał : Je prends au pied de la lettre le serment militaire que j'ai prêté. J'assume l'entière responsabilité de ce que je fais et des ordres que je donne. Pendant l'état d'épidémie déclaré en Pologne, j'étais le commandant d'une compagnie d'infanterie légère et j'avais près de 150 soldats sous mes ordres. Je suis intervenu publiquement devant le Parlement polonais pour défendre mes subordonnés contre l'obligation vaccinale illégale. Par la suite, mes supérieurs ont dit des contre-vérités lors de mon évaluation annuelle et m'ont classé si bas que le ministre de la Défense pouvait me licencier, ce qu'il a fait le 31 mars 2022. J’ai gagné le procès contre le ministre pour licenciement abusif devant le tribunal en 2023, mais le jugement n’est pas encore définitif. En outre, en 2022, j'ai été accusé d'avoir conservé des documents secrets, et j'ai également gagné cette affaire. Le procureur militaire a demandé ma rétrogradation et la restriction de ma liberté, mais le tribunal militaire m'a acquitté, car il n'y avait aucune preuve de délit. Le 26 septembre 2024, une nouvelle audience sur cette affaire a eu lieu devant le tribunal militaire de district de Varsovie.

    Quelques soldats, policiers, gardes-frontières ont fondé en octobre 20121 en Pologne l'association "Nous défendons l'uniforme pour les générations futures". Szymon Fijał et Aleksander Siergiej font également partie de cette association.

    Szymon Fijał: Les vaccinations dites anti Covid sont pratiquées dans les forces armées depuis début 2021. Il n'y avait pas d'ordre officiel de vaccination, ni de loi, car cela aurait été inconstitutionnel. Parallèlement, moi et d'autres commandants avons été contraints d'augmenter le taux de vaccination contre le Covid 19. Toutes ces mesures étaient illégales, mais malheureusement efficaces. Officiellement, moins de 60 % de la population polonaise est vaccinée avec au moins une dose. Nous estimons que ce taux était supérieur à 90 % dans l'armée polonaise. Avant la vaccination, chaque soldat signait - même si c'était souvent contre sa volonté - un consentement volontaire à l'acte médical. Cela signifie que personne n'est responsable des effets négatifs de ces vaccins. Des tragédies ont eu lieu, des soldats sont tombés malades et, dans des cas extrêmes, sont devenus infirmes ou sont morts. Et eux et leurs familles n'ont pas reçu d'aide supplémentaire de l'armée - car celle-ci estimait que le fait d'être vacciné n'avait rien à voir avec leur service dans l'armée, bien qu'en 2022 on ait dit aux soldats que tous ceux qui n'étaient pas vaccinés seraient licenciés. C'est pourquoi certains fonctionnaires en uniforme, qui ne recevaient aucune aide de leurs supérieurs et des politiciens, ont décidé de prendre les choses en main et, face aux actions illégales, de créer une association qui fonctionne légalement et de coopérer avec d'autres communautés en Pologne : des avocats, de vrais médecins, des enseignants et d'autres. Ensemble, nous avons mis un terme à l'obligation vaccinale en Pologne. Après des manifestations publiques et une audition publique, les parlementaires ont rejeté le projet de loi visant à introduire l'obligation vaccinale anti COVID !

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  3. Quelle est la taille de l'association et quels sont ses objectifs ?

    Aleksander Siergiej : Alors dans notre association, nous ne sommes peut-être pas nombreux. Nous sommes environ 300 en uniforme et ce sont des soldats, des gardes-frontières, des policiers, des pompiers et bien d'autres. Mais nous savons que d'autres hommes en uniforme nous regardent et comptent sur nous, mais ils ont peur de venir chez nous.

    Szymon Fijał : Notre objectif est que les soldats et les officiers en uniforme de tous les pays protègent leurs nations et leurs générations futures de compatriotes. Que les soldats ne soient que les garants de la souveraineté des nations et qu'ils ne soient pas utilisés par les autorités de manière illégale, contrairement à leur serment de loyauté envers la nation et contre leurs propres citoyens. Nous appelons et continuerons d'appeler à agir dans le respect de la loi et à défendre les droits de l'homme. Nous ne cédons pas à l'hystérie collective que les médias et les politiciens tentent de créer. Nous nous engageons pour l'ordre public.

    Une nouvelle loi autorise depuis peu les soldats polonais à utiliser des armes à feu. En même temps, cette loi dit aussi que l'armée peut être engagée dans des opérations à l'intérieur du pays, même en temps de paix. Qu'en pensez-vous ?

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  4. Szymon Fijał : Tout d'abord, le droit de faire usage des armes a toujours été un bon droit et ne doit pas être amélioré. Toute personne autorisée à porter des armes peut les utiliser pour la défense nécessaire, et les services en uniforme ont le droit de les utiliser pour défendre l'inviolabilité des frontières. Utiliser une arme à feu signifie tirer sur une autre personne avec des munitions perforantes. Malheureusement, ce droit a été violé par les supérieurs des soldats, qui ne leur ont même pas permis d'utiliser leurs armes pour effectuer des tirs de sommation. Il s'agit d'une violation du droit fondamental à la vie garanti par la Convention européenne des droits de l'homme. Toute personne dont la vie est menacée a le droit de se défendre. En Pologne, la loi est structurée de telle sorte qu'elle implique même un devoir de défense nécessaire - par souci du bien commun. Un des soldats en service à la frontière a été tué par des prétendus réfugiés avec une lance de fortune. Je pense que cette tragédie a été délibérément provoquée afin de trouver un prétexte pour modifier la loi et y introduire la possibilité d'utiliser des soldats pour des opérations militaires en temps de paix sur le territoire polonais. Les possibilités d'utilisation de l'armée polonaise par les autorités ont été élargies et le président de la République de Pologne peut désormais transférer ces nouveaux pouvoirs aux forces de l'OTAN stationnées en Pologne. Ainsi, il existe une nouvelle loi qui peut permettre aux troupes de l'OTAN de participer à des opérations en temps de paix lorsque la sécurité de l'État polonais est menacée, par exemple pour réprimer des troubles sur le territoire polonais. En 2023, le président polonais a accordé aux soldats des États-Unis, du Canada, d'Irlande du Nord et du Royaume-Uni le droit d'utiliser des armes à feu.

    Aleksander Siergiej : Je pourrais encore citer deux exemples de ce qui se passe actuellement à la frontière. On a dit à de nombreux soldats qu'ils devaient réfléchir avant d'utiliser leurs armes. On a annoncé la réintroduction d'une zone tampon de 200 mètres. Les soldats ne réagiront que si des personnes illégales se présentent dans cette zone. En cas d'urgence, il sera possible d'utiliser des moyens pour se défendre contre une attaque. Le principe de "proportionnalité" a été inventé. Cela signifie que si un soldat voit une personne franchir illégalement la frontière et constate qu'elle a par exemple un couteau sur elle, il ne peut pas utiliser son arme. Il peut alors utiliser sa baïonnette, car c'est pour cela qu'il a une baïonnette. C'est absurde ! Heureusement, de nombreux soldats n'ordonnent pas à leurs subordonnés de suivre ces bêtises. Autre cas : le tribunal de Bialystok a accepté la plainte d'un Afghan qui était tombé et s'était cassé le pied en escaladant une clôture. On a plâtré son pied dans un hôpital polonais et il a ensuite été rapatrié en Biélorussie. Lorsqu'il est parti pour Minsk, des militants polonais lui ont fait savoir qu'il pouvait intenter une action contre son retour à la frontière auprès du tribunal administratif. Le premier cas de ce type remonte à 2023, lorsque trois Afghans ont réclamé 240 000 zlotys. L'examen de la plainte traîne en longueur, car deux des "clandestins" ont quitté la Pologne et doivent être interrogés par les autorités d'un autre pays où ils se sont déjà installés. Nous défendons le pays et nous avons souvent des ennuis. Par contre, eux se battent pour obtenir une indemnisation.

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  5. Szymon Fijał : Les soldats et autres personnes en uniforme respectent la Constitution et servent leur nation, pas les intérêts du pouvoir en place. Nous n'accepterons pas que l'on porte atteinte à la souveraineté de notre pays et au droit à la vie de nos compatriotes. C'est notre engagement envers nos générations passées et futures.

    Aleksander Siergiej : Notre appel à tous les fonctionnaires en uniforme : La nation a besoin de vous pour protéger la loi. Les politiciens ont besoin de vous pour l'enfreindre. Rappelez-vous qui vous avez juré de servir ! Nous ne vous demandons pas de NE PAS suivre les ordres. Vous devez les suivre, mais seulement ceux qui sont en accord avec la loi.

    Szymon Fijał invite chaque spectateur à participer activement à ses audiences, que ce soit en tant que facteur social (parti), spectateur ou média :

    Moje rozprawy sadowe:
    Zapraszam do czynnego udziału w moich rozprawach sadowych jako czynnik społeczny (strona), publiczność lub media:

    1. Rozprawa o mundur! / Procès sur l’uniforme du soldat !
    24 .09. 2024 r. o godz. 10:15 sala VI w Sądzie Rejonowym Lublin-Zachód, Lublin, ul. Krakowskie Przedmieście 78
    Sygnatura akt: IV W 520/24
    IX LW 1152/24
    Referent: SSR Bożena Dzimira-Rzepkowska.

    2. Rozprawa apelacyjna po wyroku uniewinniającym! / Un procès den appel après acquitement !
    26.09. 2024 r. o godz. 11:30, sala nr I, w siedzibie Wojskowego Sądu Okręgowego w Warszawie, Warszawa , ul. Nowowiejska 28A
    Sygn. akt SA 35/24
    Skład Sądu: Przewodniczący i sprawozdawca: Sędzia WSO płk Robert Gmyz

    Szymon Fijał:
    www.youtube.com/@por.SzymonFijal

    Video EN (Englisch):
    https://youtu.be/x4-afJ73vls?si=LL5Fflz1BdVVgkdf

    https://youtu.be/TWL3-jMGwWg?si=IHf7LDNGdWVT37Vp

    Video D (Deutsch):
    https://youtu.be/hPVrOFiNC2I?si=SOQjMOQmljNYq32r

    Aleksander Siergiej:
    https://www.youtube.com/@chor.AlexSiergiej

    https://www.facebook.com/profile.php?id=100087102638287

    de ah./rw.
    Sources / Liens :
    Formation des soldats par la police
    https://podlaska.policja.gov.pl/pod/aktualnosci/96217,Policjanci-szkola-zolnierzy-Wojska-Polskiego.html

    Site web de l'association
    https://bronimymunduru.pl/

    La nouvelle loi en Pologne
    https://eli.gov.pl/api/acts/DU/2024/1248/text/T/D20241248L.pdf

    https://www.kla.tv/fr

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  6. Les caisses d'assurance maladie en tant qu'agences de recouvrement pour le secteur médical


    18 octobre 2024
    par Univ.-Doz.(Vienne) Dr. méd. Gerd Reuther


    L’assurance maladie obligatoire, saluée jusqu’à aujourd’hui comme une réussite sociale, n’a jamais été une bénédiction pour ceux qui y sont contraints. Le coût de services médicaux largement inutiles et souvent contre-productifs a toujours été supérieur à leur valeur réelle.

    Cependant, depuis 150 ans, l’obligation légale exempte les fournisseurs de produits et services médicaux de devoir faire face aux conditions du marché. Les médecins, pharmaciens et fabricants de produits pharmaceutiques bénéficient d'une garantie de prix fixe et n'ont pas à se soucier de la demande. Puisque les assurés doivent de toute façon payer, ils veulent au moins obtenir le plus de part possible du gâteau grâce aux prétendues bénédictions médicales.

    Les anciennes compagnies d'assurance maladie sont entrées plus tôt que les autres dans la novlangue d'Orwell. Il y a une génération, ils se sont transformés en « caisses d’assurance maladie ». Depuis, des établissements similaires sont en pseudo-concurrence les uns avec les autres, ne différant que par le remboursement de quelques soins inutiles. Le taux de cotisation est fixé par l'État et n'offre une marge d'action qu'avec la « cotisation complémentaire ». Il n’est pas nécessaire de fournir des incitations financières aux membres forcés. Si les dépenses liées à la médecine conventionnelle, qui deviennent de plus en plus chères et se multiplient chaque année, augmentent chaque année, les caisses d'assurance maladie exigent simplement une contribution plus élevée chaque année.

    Ce sont également les caisses d’assurance maladie qui font augmenter les coûts. Qui a promu et financé les « vaccinations Covid » ? Qui paie les nouveaux services aux citoyens sans se plaindre et sans exiger des contributions adéquates ? Qui paie pour l’abondance de produits pharmaceutiques inutiles et d’opérations chirurgicales inutiles sans exiger la preuve qu’ils peuvent améliorer la santé ? Au contraire, les assureurs alimentent la consommation de produits pharmaceutiques nocifs. Toute personne certifiée comme ayant un « taux de cholestérol élevé » après avoir abaissé les valeurs standard doit payer un lourd supplément auprès d’une assurance maladie privée ou prendre des médicaments hypocholestérolémiants nocifs pour la santé.

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  7. Les cotisations obligatoires ont désormais atteint un niveau qui menace l'existence de l'entreprise. À la retraite, lorsque l’astuce des cotisations patronales ne s’applique plus, tout le monde est agacé par les frais mensuels excessifs de participation au secteur médical. Quiconque atteint le plafond de cotisation pour la vieillesse grâce à ses pensions et autres revenus doit désormais verser plus de 1 000 euros par mois à sa caisse d'assurance maladie - qu'il en ait les moyens ou non. Pour 2025, la contribution dite supplémentaire en Allemagne augmentera encore à 2,5% ! Le remboursement des primes pour abstinence médicale est un programme minoritaire de quelques assureurs. Vous chercherez en vain des options permettant de renoncer aux absurdités médicales avec une réduction correspondante des cotisations.

    Au plus tard lorsque vous faites appel à un service médical, il apparaît que les caisses d'assurance maladie ne sont pas les fiduciaires des cotisations de leurs assurés. L'assuré n'est ni informé des prestations et des frais facturés, ni vérifié si ceux-ci ont effectivement eu lieu. Le Service Médical des Caisses d'Assurance Maladie (MDK) effectue uniquement des contrôles ponctuels dans les cliniques. Toutefois, si une facturation incorrecte survient au détriment de l’assuré, cela n’aura aucune conséquence. Le délit de fraude à l’assurance n’existe pas du tout dans la facturation des patients hospitalisés !

    Si les assurés prennent d'une manière ou d'une autre connaissance des prestations facturées et informent leur caisse d'assurance maladie d'un écart, cela confirme la collaboration de l'assureur avec le complexe médico-industriel. Les caisses d'assurance maladie hésitent à accepter des informations sur des mesures médicales facturées mais non fournies. Si les cliniques ou les médecins qui ont créé les fausses factures confirment que les informations sont correctes, le dossier est clos. Même lorsque les médecins et les patients signalent une facturation inappropriée, ils ne sont pas crus.

    Le paiement des réclamations aux prestataires médicaux est prioritaire sur la gestion de l'argent de l'assuré. L’argent déposé ne doit pas être dépensé de la manière la plus économique possible ; les caisses d’assurance maladie sont les pigeons du complexe médico-industriel qui veut vider les poches de tous les habitants. Des déficits qui explosent à intervalles réguliers sont nécessaires pour justifier de nouvelles augmentations des cotisations. La proportion des cotisations de l'assuré qui est effectivement consacrée aux mesures médicales et non à l'administration et aux bénéfices des prestataires de services n'est pas du tout déterminée.

    Les « fonds de santé » actuels font partie intégrante d’un système frauduleux qui propose de la « santé » à des taux supérieurs à l’inflation sans même l’avoir dans le portefeuille. C'était la seule façon pour le complexe médico-industriel de devenir le secteur économique le plus important du pays. Si les offres thérapeutiques, qui sont systématiquement inutiles et dont plus d’un tiers sont nocives, devaient répondre à la demande réelle de paiement direct, nous supporterions à peine 10 % des coûts actuels.

    https://tkp.at/2024/10/18/krankenkassen-als-inkassobueros-der-medizinindustrie/

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  8. Les fragments d'ADN résiduels sont également ignorés dans le vaccin contre le VPH Gardasil


    17 octobre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le vaccin contre le VPH contient des fragments d'ADN viral, mais les agences de réglementation telles que la FDA affirment que ceux-ci ne présentent aucun risque pour les receveurs. Ceci est similaire aux préparations d’ARNm de Moderna et Pfizer, dans lesquelles les impuretés de l’ADN étaient sept à 145 fois supérieures à la limite autorisée.

    Au cours des deux dernières années, les experts en génomique du cancer ont exprimé leurs inquiétudes quant à la présence de fragments d’ADN résiduels dans les vaccins à ARNm contre le Covid-19, affirmant qu’ils pourraient augmenter le risque de cancer. Cela reflète les préoccupations soulevées il y a plusieurs années concernant la sécurité du vaccin Gardasil contre le virus du papillome humain (VPH) fabriqué par Merck & Co.

    Le vaccin contre le VPH de Merck a connu d'énormes problèmes, des décès, des effets secondaires et des poursuites depuis son approbation en 2006. Les autorités ont prédit que l’utilisation généralisée du vaccin contre le VPH « éliminerait » le cancer du col de l’utérus d’ici 2030. Toutefois, les statistiques autrichiennes montrent que ce n’est pas le cas. En Autriche, on a observé une baisse des cas de cancer qui a pris fin avec le début de la vaccination ; le nombre de cas est resté inchangé depuis lors. Les cas se sont également déplacés des cohortes plus âgées vers les cohortes plus jeunes, ce qui peut difficilement être décrit comme un résultat souhaitable.

    En 2006, lorsque Gardasil a été approuvé pour la première fois, Merck a assuré à la FDA que le vaccin ne contenait pas d'ADN du VPH. Cependant, cela a été remis en question lorsque Lee a découvert l'ADN du VPH chez une personne qui n'avait jamais été exposée au virus HPV.

    Tout a commencé lorsqu'une jeune Torontoise de 13 ans a développé une polyarthrite rhumatoïde juvénile aiguë quelques jours après la troisième dose de Gardasil, comme le rapporte la journaliste Mary Anne Demasi . Une série de tests ont révélé que la jeune fille avait été testée positive pour l'ADN du VPH dans son sang par PCR.

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  9. Demasi continue :

    C’était un mystère pour ses médecins car elle était sexuellement naïve et n’avait jamais été exposée au virus.

    Ses parents se demandaient si l’ADN viral présent dans son sang pouvait provenir du vaccin Gardasil lui-même. Ils ont contacté un groupe de défense qui a organisé des échantillons du vaccin Gardasil pour les tester.

    En 2011, Sin Hang Lee, un pathologiste qui travaille dans le domaine de l'analyse de l'ADN depuis 30 ans, a fait la découverte surprenante de fragments d'ADN synthétique dans plusieurs flacons. Lee a reçu 13 flacons provenant de neuf pays différents et a découvert que chacun d'entre eux contenait des fragments d'ADN du VPH.

    « J'ai été choqué de découvrir des fragments d'ADN dans le vaccin contre le VPH, car l'ADN ne devrait pas s'y trouver », se souvient Lee.

    « L’ADN est utilisé pour fabriquer le vaccin, mais il doit être haché et éliminé pendant le processus de fabrication », explique-t-il.

    Lee, un expert internationalement reconnu en détection de gènes moléculaires, a soigneusement documenté ses conclusions dans un rapport soumis à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour examen.

    La FDA a enquêté.

    Le 23 septembre 2011, le Centre d'évaluation et de recherche biologique (CEBR) de la FDA a répondu qu'il avait examiné les préoccupations soulevées dans le rapport de Lee et déterminé que le vaccin Gardasil était « sûr et efficace ».

    Même si la FDA a reconnu que Lee avait trouvé des résidus d'ADN dans le vaccin, elle a déclaré que cela était "attendu" et "inévitable" pour les produits fabriqués à l'aide de la technologie recombinante.

    L’agence a également déclaré qu’elle restait convaincue que les résidus d’ADN « ne présentent pas de risque pour les vaccinés ».

    "La présence de résidus d'ADN ne constitue pas un facteur de sécurité selon la réglementation américaine et ne doit pas nécessairement être incluse dans l'étiquetage du Gardasil", a écrit la FDA.

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  10. Le mois suivant (21 octobre 2011), la FDA a discrètement mis à jour son site Web pour indiquer la présence de fragments d'ADN dans le vaccin et a assuré au public qu'il n'y avait « aucun risque pour la sécurité ».

    "C'était vraiment décevant", a déclaré Lee.

    "La FDA a affirmé que la présence de fragments d'ADN ne constituait pas un problème, sans fournir d'études démontrant qu'ils avaient été étudiés ou qu'ils étaient sans danger", a-t-il ajouté.

    L’Agence européenne des médicaments a également été informée du problème et sa réponse a été la même : « La présence de fragments d’ADN recombinant ne constitue pas un cas de contamination et n’est pas considérée comme présentant un risque pour les receveurs du vaccin. »

    L'année suivante, Sin Hang Lee publie ses résultats dans le Journal of Inorganic Biochemistry .

    En 2012, Lee a témoigné lors d'une enquête sur le décès de Jasmine Renata, une Néo-Zélandaise de 18 ans, décédée subitement dans son sommeil six mois après sa troisième vaccination par Gardasil.

    Des échantillons de tissus post-mortem ont été envoyés à Lee pour examen. Le sang et la rate étaient positifs pour l'ADN du VPH, ce qui, selon Lee, n'était pas le résultat d'une infection naturelle au VPH.

    "Il ne s'agit pas d'ADN HPV "naturel" et sa détection six mois après l'injection n'est pas normale", a-t-il déclaré lors de l'enquête, sans toutefois pouvoir dire avec certitude si le vaccin avait causé sa mort.

    Sur la base de l'analyse post mortem de Lee, nous savons que les fragments d'ADN du VPH contenus dans le vaccin Gardasil pénètrent dans le sang, le cerveau et la rate après injection dans le muscle deltoïde du bras.

    Mais quelles en sont les conséquences ?

    Jusqu’à présent, la seule chose qui semble être le cas, c’est que les autorités sanitaires continuent de promouvoir la vaccination contre le VPH. En Autriche, il a même été inclus comme obligatoire dans le pass de vaccination électronique obligatoire , ce qui suggère que la vaccination obligatoire pourrait être envisagée.

    https://tkp.at/2024/10/17/auch-im-hpv-impfstoff-gardasil-werden-rest-dna-fragmente-ignoriert/

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  11. Les États-Unis arrêtent le vaccin combiné contre la grippe Covid


    17 octobre 2024
    de Thomas Oysmüller

    La FDA a interrompu un essai clinique du vaccin Covid/grippe de Novavax. Le déclencheur était un cas de lésion nerveuse qui pourrait être liée au vaccin.

    Mauvaise journée pour le groupe pharmaceutique américain Novavax. La FDA a arrêté les tests cliniques du « vaccin combiné » contre le Covid et la grippe. En outre, le vaccin pur contre la grippe a également été arrêté pour des raisons de sécurité. Le titre s'est effondré de 25 pour cent d'un seul coup. Le vaccin Covid mis à jour de Novavax n’a reçu que récemment l’approbation en Europe.

    Selon la société, un rapport faisant état de lésions du nerf moteur chez l'un des participants à l'étude en dehors des États-Unis a conduit à l'action de la FDA. Le sujet du test a été vacciné avec le vaccin combiné en janvier 2023. C'est ce qui explique le géant pharmaceutique qui trébuche désormais en Bourse . Et il continue en expliquant que les données des précédentes études de Novavax sur le COVID-19 et la grippe n’ont montré aucune preuve de cela. Vous semblez un peu offensé.

    Le cas signalé de lésion nerveuse présente des symptômes de neuropathie motrice, qui affectent les cellules nerveuses qui contrôlent les muscles et les mouvements. L'affaire n'aurait été signalée qu'en septembre. Robert Walker, médecin-chef de Novavax, a déclaré : « Notre objectif est de résoudre ce problème rapidement et de démarrer notre étude de phase 3 dès que possible . Selon la société, nous sommes en étroite communication avec la FDA et espérons pouvoir. » de reprendre l'étude prochainement.

    En plus de ces vaccins, qui sont en phase d’approbation et de recherche, Novavax dispose sur le marché d’un vaccin Covid à base de protéines. La semaine dernière encore, le vaccin « mis à jour » a été approuvé par la Commission européenne suite à la recommandation de l'EMA . La substance devrait bientôt être disponible en Autriche. "Le ministère de la Santé est déjà en contact avec le fabricant afin de pouvoir proposer le vaccin adapté de Novavax en Autriche dès qu'il aura été approuvé par la Commission européenne", a indiqué un porte-parole du ministère. A cet effet, Novavax coopère également avec Sanofi.

    https://tkp.at/2024/10/17/usa-stoppen-kombinierten-covid-grippe-impfstoff/

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  12. La FDA a demandé au juge dans le procès d’Aaron Siri de retenir la publication des documents de Pfizer pendant soixante-quinze ans. Pourquoi une agence gouvernementale voudrait-elle cacher certains documents jusqu’à ce que la génération actuelle, celle qui est concernée par ce qui se trouve dans ces documents, soit morte et disparue ? Il ne peut y avoir de bonne réponse à cette question.

    Heureusement pour l’histoire, et heureusement pour des millions de personnes dont la vie a été sauvée par cette décision, le juge a refusé la demande de la FDA et a imposé la publication des documents, soit une tranche de 55 000 pages par mois.

    Lorsque j’ai entendu cela, j’ai été inquiet en tant que journaliste. Je savais qu’aucun journaliste n’avait la bande passante nécessaire pour parcourir le matériel de ce volume. J’ai également compris que pratiquement aucun journaliste n’avait la formation ou les compétences requises pour comprendre le langage multidimensionnel et techniquement hautement spécialisé des rapports. Pour comprendre les rapports, il fallait avoir une formation en immunologie, en statistiques, en biostatistiques, en pathologie, en oncologie, en médecine du sport, en obstétrique, en neurologie, en cardiologie, en pharmacologie, en biologie cellulaire, en chimie et dans de nombreuses autres spécialités. Pour comprendre ce qui se passait réellement dans les documents de Pfizer, il fallait non seulement des médecins et des scientifiques, mais aussi des personnes très bien informées sur les processus réglementaires du gouvernement et de l’industrie pharmaceutique ; des personnes qui comprenaient le processus d’approbation de la FDA ; des spécialistes de la fraude médicale ; et enfin, pour comprendre quels crimes étaient commis dans les documents, il fallait des avocats.

    J’avais peur que sans personnes possédant toutes ces compétences pour lire les documents, leur volume et leur complexité les fassent disparaître dans « le trou de la mémoire ».

    C’est là qu’entre en scène Steve Bannon, ancien officier de marine, ancien banquier d’investissement chez Goldman Sachs, ancien conseiller du président Trump et actuel animateur du podcast politique le plus populaire d’Amérique et l’un des plus écoutés au monde, WarRoom.

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  13. Lui et moi venons d’extrémités opposées du spectre politique. J’ai été démocrate toute ma vie, conseiller de la campagne de réélection du président Bill Clinton et de la campagne présidentielle d’Al Gore. Lui, bien sûr, est un républicain convaincu devenu MAGA. J’avais été déplateformée en juin 2021, avant la publication des documents Pfizer, pour le crime d’avoir averti que des femmes signalaient une dysrégulation menstruelle après avoir reçu les injections d’ARNm. En tant qu’écrivaine de longue date sur les questions de santé sexuelle et reproductive des femmes, je savais qu’il s’agissait d’un signal de danger sérieux et que cet effet secondaire affecterait la fertilité. (Tout élève de huitième année devrait également être capable de prévoir cela.) Après avoir publié cet avertissement, j’ai été bannie de Twitter, Facebook, YouTube et d’autres plateformes. J’ai été attaquée dans le monde entier, tout à la fois, comme une « anti-vaccin » et une « théoricienne du complot » ; et ma vie d’auteure féministe à succès bien connue, au sein des médias traditionnels, a pris fin. Plus personne dans ce monde ne voulait me parler, publier mon travail ou me rappeler. Je n’étais plus une personne.

    (Il s’est avéré, après deux procès réussis en 2023 par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane, que c’était en fait la Maison Blanche, le CDC et les hauts dirigeants d’autres agences gouvernementales, dont le ministère de la Sécurité intérieure, qui ont illégalement fait pression sur Twitter et Facebook pour qu’ils suppriment ce tweet d’avertissement, qu’ils me ferment et qu’ils « alertent » ou « soyez à l’affût » de publications similaires. Cette suppression fait maintenant l’objet d’une décision de la Cour suprême en attente pour savoir si elle violait ou non le Premier Amendement.)

    Dans cette période sombre de ma vie, à ma grande surprise, j’ai reçu un SMS du producteur de Steve Bannon, qui m’a invité sur WarRoom. J’ai fait part de mes inquiétudes concernant la santé reproductive des femmes à la suite de l’injection d’ARNm, et à ma grande surprise, il s’est montré respectueux, réfléchi aux implications et a pris le problème très au sérieux. Je suis revenu à maintes reprises pour faire part à son public de cette inquiétude et d’autres qui émergeaient en relation avec les injections d’ARNm. J’ai été soulagé d’avoir une plateforme sur laquelle je pouvais partager ces avertissements urgents. En même temps, j’étais triste de voir que la gauche, qui était censée défendre le féminisme, ne semblait pas du tout se soucier des risques graves pour les femmes et les bébés à naître. Je reconnaissais l’ironie du fait qu’une personne que j’avais été amenée à prendre pour le diable incarné se souciait en réalité plus des femmes et des bébés que tous mes anciens collègues de droite, y compris les responsables de la santé féministe, qui avaient toujours parlé haut et fort du bien-être et des droits des femmes.

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  14. Pfizer a embauché 2 400 employés à temps plein pour aider à traiter « la forte augmentation des rapports d’événements indésirables » soumis à la base de données de sécurité mondiale de l’entreprise.

    Pfizer savait en avril 2021 que les injections endommageaient le cœur des jeunes.

    Pfizer savait le 28 février 2021, soit quatre-vingt-dix jours seulement après le déploiement public de son vaccin COVID, que son injection était liée à une myriade d’événements indésirables. Loin d’être des « frissons », de la « fièvre », de la « fatigue », comme le prétendaient les CDC et d’autres autorités, les effets secondaires réels étaient d’une gravité catastrophique.

    Ces effets secondaires comprenaient : la mort (que Pfizer répertorie comme un « événement indésirable grave »). En effet, plus de 1 233 décès au cours des trois premiers mois de mise à disposition du médicament au public.

    COVID-19 grave ; lésions hépatiques ; effets indésirables neurologiques ; paralysie faciale ; lésions rénales ; maladies auto-immunes ; engelures (une forme localisée de vascularite qui affecte les doigts et les orteils) ; syndrome de dysfonctionnement multiviscéral (lorsque plusieurs systèmes organiques tombent en panne en même temps) ; activation d'infections dormantes du zona ; lésions de la peau et des muqueuses ; problèmes respiratoires ; structure pulmonaire endommagée ; insuffisance respiratoire ; syndrome de détresse respiratoire aiguë (une lésion pulmonaire dans laquelle du liquide s'échappe des vaisseaux sanguins dans le tissu pulmonaire, provoquant une raideur qui rend la respiration plus difficile et entraîne une réduction des échanges d'oxygène et de dioxyde de carbone) ; et SRAS (ou SARS-CoV-1, qui n'avait pas été observé dans le monde depuis 2004, mais apparaît dans les documents de Pfizer comme un effet secondaire des injections).

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  15. Les bébés ont souffert et sont morts. Dans une section des documents, plus de 80 % des grossesses suivies ont abouti à une fausse couche ou à un avortement spontané. Dans une autre section des documents, deux nouveau-nés sont morts et Pfizer a décrit la cause du décès comme étant « l’exposition maternelle » au vaccin.

    Pfizer savait que les composants du vaccin étaient entrés dans le lait maternel des mères vaccinées et avaient empoisonné les bébés. Le lait maternel de quatre femmes est devenu « bleu-vert ». Pfizer a produit un tableau de bébés malades, rendus malades par l’allaitement de mères vaccinées, avec des symptômes allant de la fièvre à l’œdème (gonflement de la chair) en passant par l’urticaire et les vomissements. Un pauvre bébé a eu des convulsions et a été emmené aux urgences, où il est mort d’une défaillance multi-organique.

    Je vais maintenant vous présenter les trente-six rapports que vous trouverez dans ce livre. Voici quelques-uns des titres des rapports qui suivent :

    · Le 28 février 2021, Pfizer a publié un « examen cumulatif de la grossesse et de l’allaitement » montrant qu’après la vaccination des mères avec son vaccin :

    o Des événements indésirables sont survenus dans plus de 54 % des cas d’« exposition maternelle » au vaccin et comprenaient 53 rapports d’avortement spontané (51)/avortement (1)/avortement manqué (1) après la vaccination.

    o Des cas de travail et d’accouchement prématurés ont été signalés, ainsi que deux décès de nouveau-nés.

    o Certains nouveau-nés ont souffert de détresse respiratoire grave ou de « maladie » après exposition via le lait maternel.

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  16. · Des baisses « substantielles » du taux de natalité se sont produites dans treize pays : des pays d’Europe, ainsi que la Grande-Bretagne, l’Australie et Taïwan, dans les neuf mois suivant le déploiement public du vaccin.

    · Environ 70 % des événements indésirables liés au vaccin Pfizer surviennent chez les femmes.

    · La protéine Spike et l’inflammation étaient toujours présentes dans le tissu cardiaque un an après la réception du vaccin à ARNm contre la COVID.

    · Dans l'essai clinique de Pfizer, il y a eu plus de décès parmi les participants vaccinés que parmi les participants sous placebo. Cependant, Pfizer a soumis des données inexactes, montrant plus de décès dans le groupe placebo, à la FDA lors de sa demande d'autorisation d'utilisation d'urgence.

    · Les nourrissons et les enfants de moins de douze ans ont reçu le vaccin de Pfizer sept mois avant l'approbation d'un vaccin pédiatrique, ce qui a entraîné :

    o Un accident vasculaire cérébral.

    o Une paralysie faciale.

    o Une lésion ou une insuffisance rénale.

    · Le nombre de décès dus à des événements cardiovasculaires a été multiplié par plus de 3,7 chez les sujets vaccinés des essais cliniques par rapport aux sujets sous placebo.

    · Le vaccin que Pfizer a présenté au public était différent de la formulation utilisée sur la majorité des participants aux essais cliniques, et le public n'en a pas été informé.

    · Les analyses histopathologiques (la coloration des tissus pour montrer les états pathologiques) montrent des preuves claires d'une pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans plusieurs organes ; une érosion des vaisseaux sanguins, du cœur et des vaisseaux lymphatiques causée par la protéine Spike ; des amyloïdes dans plusieurs tissus ; des cancers inhabituels et agressifs ; et des formations atypiques de « caillots ».

    · Après la vaccination, les patients plus jeunes ont commencé à présenter des cancers ; les tumeurs étaient plus grosses et se développaient plus agressivement et plus rapidement que les cancers avant l’inoculation massive des populations ; l’apparition concomitante (l’apparition de plusieurs cancers en même temps) des cancers est devenue plus courante, une situation qui était généralement très inhabituelle avant le déploiement des vaccins à ARNm. La croissance des tumeurs bénignes s’est accélérée.

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  17. · Le 12 mars 2021, les chercheurs de Pfizer ont vacciné la quasi-totalité de la cohorte placebo (non vaccinée) de l’essai, bien que Pfizer se soit auparavant engagé à suivre les cohortes vaccinées et placebo pendant deux ans. Immédiatement après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, Pfizer a fait pression sur la FDA pour lui permettre de vacciner la cohorte non vaccinée pour des raisons « humanitaires ». La vaccination du groupe placebo a mis fin à la possibilité de poursuivre les études de sécurité au fil du temps.

    · Les cas d'auto-immunité signalés au Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) ont été multipliés par 24 entre 2020 et 2021, et les décès annuels liés à l'auto-immunité ont été multipliés par 37 au cours de la même période.

    · Dans les données et documents d'autorisation d'utilisation d'urgence de Pfizer d'octobre 2021 pour les enfants âgés de cinq à onze ans, les enquêteurs de Pfizer ont émis l'hypothèse par écrit que des dommages subcliniques se manifesteraient chez les patients à long terme, ce qui implique que des doses continues avec des dommages subcliniques se manifesteraient éventuellement sous forme de dommages cliniques.

    · Dans les essais cliniques, le vaccin à ARNm COVID-19 de Moderna a endommagé la reproduction des mammifères, entraînant une diminution de 22 % des grossesses, des malformations squelettiques et des problèmes d'allaitement.

    · Des centaines de cas possibles de maladie aggravée associée au vaccin (VAED) ont été recensés au cours des trois premiers mois de déploiement du vaccin à ARNm COVID de Pfizer. Les porte-parole de la santé publique ont minimisé leur gravité en les qualifiant de « cas de COVID révolutionnaires ».

    · Pfizer a dissimulé huit décès de personnes vaccinées survenus au cours de l'essai clinique afin de faire paraître ses résultats favorables à l'obtention de son EUA pour les plus de 16 ans.

    Les forces les plus puissantes du monde, notamment la Maison Blanche, les collaborateurs du président des États-Unis lui-même, le Dr Rochelle Walensky du CDC, le directeur de la FDA, le Dr Robert M Califf, le Dr Anthony Fauci, Twitter et Facebook, les médias traditionnels, dont le New York Times, la BBC, le Guardian et NPR, l'OfCom, l'agence britannique de régulation des médias, Des organisations professionnelles telles que l’American College of Obstetricians and Gynecology, l’Agence européenne des médicaments, l’équivalent européen de la FDA, et la Therapeutics Goods Administration, l’équivalent australien de la FDA, ont toutes cherché à supprimer les informations qu’Amy Kelly, les volontaires de recherche et moi-même avons apportées au monde à partir de 2022, et que vous êtes sur le point d’assimiler dans les pages suivantes.

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  18. Il est en effet difficile d’affronter ce matériel dans les rôles qu’Amy Kelly et moi jouons. Il ne fait aucun doute que pour les volontaires, la découverte de ces preuves criminelles est en effet douloureuse. Il peut être difficile de lire certains passages qui suivent. Comme je l’ai dit ailleurs, voir ces documents, c’est comme être parmi les soldats alliés qui ont ouvert les portes d’Auschwitz.

    Mais la vérité doit être dite.

    Entre autres raisons importantes de dire ces vérités, des personnes ont été blessées et tuées grâce à une nouvelle technologie qui n’avait jamais été utilisée auparavant en médecine. Ces pages contiennent des indices importants sur les mécanismes de ces blessures et fournissent donc de nombreux repères aux médecins et aux scientifiques de l’avenir, pour traiter les nombreuses blessures que ces nouvelles technologies d’ARNm, injectées dans le corps des gens, ont provoquées.

    Nous devons partager la vérité, car la vérité sauve et soutient ; et finalement, la vérité guérira.

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    Nous remercions Steve Bannon et sa merveilleuse équipe de WarRoom d'avoir été l'instigateur de ce projet et de nous avoir régulièrement invités à son émission afin que nous puissions dire au monde ce que les volontaires ont découvert.

    Nous remercions Skyhorse Publishing, l'éditeur Tony Lyons et notre éditeur Hector Carosso d'avoir pris la décision cruciale de publier ce matériel dans un livre qui sera disponible partout. Les livres comptent et cette publication fera la différence en faisant en sorte que les responsabilités soient établies et en donnant une histoire précise de cette série d'événements catastrophiques.

    Nous remercions les volontaires, 3 250 inconnus du monde entier qui se sont rassemblés dans l'amour de la vérité et de leurs semblables. Nous remercions nos deux cents avocats, qui nous ont aidés à obtenir les e-mails FOIA du CDC et nous ont aidés à comprendre les crimes que nous avons vus dans les pages suivantes.

    Beaucoup de nos bénévoles ont eux-mêmes souffert d’ostracisme, de perte d’emploi, de marginalisation et d’autres sanctions, en raison de leur engagement en faveur de la vraie science, de la vraie médecine et de leur volonté de faire connaître la vérité pour sauver leurs semblables et les générations à venir.

    ####

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  19. La bataille continue. Aucun des auteurs de ce crime massif contre l’humanité n’est en prison, ni même confronté à des accusations civiles ou pénales. Il y a au moins trois poursuites judiciaires contre Pfizer – deux de notre part et une de Brook Jackson – mais, à ce jour, aucune des poursuites n’a complètement prévalu. Le litige traîne en longueur.

    Néanmoins, néanmoins. Le message est passé.

    Amy Kelly et moi recevons des centaines de courriels de familles reconnaissantes, nous parlant de leurs bébés ou petits-enfants en bonne santé et nous remerciant d’avoir sauvé ces bébés, ou ces fils, filles et belles-filles, et nous savons que ce projet a sauvé de nombreuses vies ; peut-être des centaines de milliers de vies et peut-être des millions de personnes de blessures invalidantes. Steve Bannon, qui a tout déclenché, a sauvé des centaines de milliers de vies et a épargné à ses auditeurs et aux nôtres des millions de blessures. Dieu sait combien de bébés naîtront dans le futur, sains et saufs, grâce à notre travail collectif, ardu et ciblé.

    L'histoire de ce projet n'est pas terminée.

    Vos propres actions, après avoir lu ces rapports, font partie des répercussions continues de ce travail.

    À qui allez-vous le dire ?

    Comment allez-vous traiter l'information ?

    Que ferez-vous pour venger les crimes du passé ?

    Que ferez-vous pour sauver l'avenir ?

    Commandez les documents Pfizer : https://www.amazon.com/Pfizer-Papers-Pfizers-Against-Humanity/dp/1648210376/ref=sr_1_1?dib=eyJ2IjoiMSJ9.e7RkbZDkfIC9jodV0ku_oOJVGzmsG-cOocAeO8rk3Y57aKu9SVzY3-ibyAbTDp1GI

    https://naomiwolf.substack.com/p/the-pfizer-papers-prizers-crimes

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  20. L'histoire et la sécurité remarquables du DMSO
    Veuillez partager vos expériences avec le DMSO avec les lecteurs ici !


    UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
    13 OCTOBRE 2024


    Remarque : cet article a deux objectifs principaux. Tout d'abord, il s'agit d'une compilation de toutes les données existantes sur la sécurité et la toxicologie du DMSO pour toute personne envisageant de l'utiliser dans un cadre clinique. Deuxièmement, il est destiné à servir de lieu de collecte des expériences (souvent incroyables) des lecteurs avec le DMSO afin que les personnes qui envisagent d'utiliser le DMSO puissent avoir des témoignages à comparer à la richesse des données que je présente progressivement sur le DMSO.

    Mon expérience dans le domaine médical m'a amené à accepter que de nombreuses pratiques médicales sont adoptées pour des raisons politiques ou économiques plutôt que parce que les preuves existantes montrent qu'elles fonctionnent. Néanmoins, certains cas de ce genre me surprennent encore aujourd’hui, notamment la mise sur la liste noire du DMSO (diméthyl sulfoxyde) comme suit :

    • Ce produit chimique simple est incroyablement sûr et efficace et traite un large éventail de problèmes médicaux difficiles qui touchent des millions de personnes qui n’ont toujours pas de traitement efficace (en dehors du DMSO).

    • En raison de son efficacité, une fois découvert, il a pris d’assaut le pays, ce qui a conduit des millions de personnes à l’utiliser, la communauté scientifique l’a soutenu et a publié des milliers d’études sur le DMSO, de nombreuses sociétés pharmaceutiques ont fait de gros investissements pour le mettre sur le marché, des athlètes professionnels en ont fait la promotion, de nombreux gouverneurs, représentants du Congrès et sénateurs (en leur nom et au nom de leurs électeurs) ont fait pression sur la FDA pour lui donner une chance équitable pendant des décennies et les législatures des États l’ont légalisé indépendamment parce que le gouvernement fédéral ne le voulait pas.

    • De nombreux produits pharmaceutiques approuvés tirent parti des propriétés du DMSO pour fonctionner (par exemple, dans ces produits, le DMSO est souvent classé comme un « véhicule » inerte). De même, le DMSO est approuvé par la FDA pour une maladie (la cystite interstitielle) et est approuvé pour une grande variété d’utilisations vétérinaires (par exemple, les mêmes maladies qu’il traite chez les humains).

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  21. •Au cours des 40 dernières années, plus de 10 000 articles sur les implications biologiques et 30 000 articles sur la chimie du DMSO ont paru dans la littérature scientifique, dont une grande partie, comme je l’ai montré ici, est remarquablement convaincante et constitue un changement de paradigme dans le domaine des soins de santé.

    •Pourtant, malgré tout cela, le DMSO a été effectivement effacé de l’histoire. Il est désormais largement considéré comme une thérapie non prouvée et dangereuse, et même dans le domaine de la santé naturelle, la plupart des gens ne savent pas qu’il existe.

    À cause de tout cela, je me suis senti responsable d’utiliser cette plateforme pour faire connaître le DMSO, ce que j’ai commencé par présenter l’argumentaire solide selon lequel le DMSO est une thérapie incroyable pour :

    •Les troubles circulatoires comme la maladie de Reynaud et les varices. • Un large éventail de troubles neurologiques, notamment les accidents vasculaires cérébraux ischémiques et hémorragiques, et les lésions de la moelle épinière entraînant une paralysie ou une démence.
    • Permettre aux patients qui souffrent depuis des décennies de douleurs chroniques (de diverses causes) de reprendre leur vie en main.
    • Guérir un large éventail de blessures (par exemple, blessures sportives, impacts traumatiques) et de problèmes musculo-squelettiques chroniques (par exemple, problèmes de colonne vertébrale et d’épaule) et de plaies (par exemple, brûlures ou incisions chirurgicales).
    • Affections rhumatismales chroniques (par exemple, arthrite).
    • Troubles protéiques complexes (par exemple, amylose).
    • Syndrome de Down.

    À mon tour, j’ai reçu de nombreux rapports de lecteurs (que j’ai progressivement partagés ici) de lecteurs qui ont connu des avantages rapides qui ont changé leur vie grâce au DMSO, très similaires aux données que j’ai fournies, qui ont montré que le DMSO avait un taux de réussite de 80 à 90 % dans le traitement.

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  22. Pourtant, malgré tout cela, je n’ai encore effleuré que la pointe de l’iceberg de ce qui peut être fait avec le DMSO (par exemple, dans les prochains articles, je passerai également en revue comment le DMSO est également très utile pour une variété de maladies oculaires, auriculaires, dentaires, gastro-intestinales et auto-immunes telles que les acouphènes et la dégénérescence maculaire, en plus d’avoir une utilité remarquable dans le traitement du cancer, des infections difficiles et des troubles débilitants du collagène). En conséquence, j’ai également reçu de nombreuses questions de lecteurs qui ont découvert par inadvertance bon nombre de ces avantages lorsqu’ils ont utilisé le DMSO pour une affection douloureuse chronique.

    Par exemple, certains des rapports les plus récents que j’ai reçus incluent :

    Après les articles sur AMD, j’ai utilisé du DMSO sur une ecchymose aiguë et cela a complètement fait disparaître la douleur ET résolu le gonflement qui se développait. 🤯🤯🤯🤯. C’est à peine sensible aujourd’hui. Incroyable

    Cher MWD, vous avez tout à fait raison d’apprendre à vous soigner vous-même. Je ne voyage jamais sans DMSO, ivermectine et aspirine. Il y a deux nuits, au coucher, j'ai ressenti des douleurs thoraciques qui irradiaient entre mes omoplates. Étant au Nouveau-Mexique (Oh, Seigneur, ne me laissez pas mourir au Nouveau-Mexique), j'ai mis du DMSO le long de mes carotides sur mon cou et j'ai pris 2 aspirines. En une heure, la douleur avait disparu et j'ai dormi profondément. Cela a fait peur à mon pauvre mari.

    Après avoir lu ceci, j'ai acheté un pot de gel 70/30 et je l'ai appliqué sur les pieds de mon fils trois fois par jour. Il faisait du skateboard pieds nus et se frottait les orteils sous les pieds. Pas d'os cassés.

    En trois jours, il a dit qu'il ne ressentait aucune douleur ni gêne. Pour le type de blessure dont il s'agissait, cela semblait être le genre de chose qui prendrait des semaines à cesser de faire mal et à mettre fin à tout inconfort pour un jeune de seize ans !

    Excellente recherche - j'ai donné du DMSO à ma mère et cela a énormément aidé son arthrite.

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  23. Si nous prenons un peu de recul, il devrait être clair que le DMSO aurait dû être largement utilisé, mais au lieu de cela, quelque chose de très grave s’est produit avec le DMSO, ce qui a entraîné sa mise sur la liste noire. Cela est dû au fait que la FDA a continuellement redoublé d’efforts dans une croisade idéologique inébranlable contre le DMSO, qui, je crois, a finalement résulté du fait que la FDA ne voulait pas perdre son emprise sur la pratique de la médecine aux États-Unis (le potentiel thérapeutique du DMSO menaçant grandement la capacité de la FDA à contrôler la façon dont la médecine était pratiquée).

    En retour, je pense que ce qui s’est passé est une histoire cruciale à raconter car :

    • L’histoire entière du DMSO est un exemple remarquable de milliers de scientifiques et de médecins dévoués qui ont donné tout ce qu’ils pouvaient pour apporter cette innovation cruciale au public et ainsi mettre en évidence le potentiel incroyable de notre appareil scientifique pour résoudre les problèmes qui affligent l’humanité. En revanche, en raison des décennies de répression rigide de la science indépendante, nous nous sommes habitués à ce que la science soit incapable de résoudre nos problèmes fondamentaux – quelque chose qui doit changer de toute urgence.

    • La mauvaise conduite flagrante de la FDA avec le DMSO a préparé le terrain pour ce que l’agence continue de faire à ce jour, et contribue à expliquer pourquoi tant de traitements remarquables ont été cachés au public alors que des traitements dangereux et inefficaces lui sont continuellement imposés (par exemple, considérez ce qui s’est passé tout au long de la COVID-19).

    Le DMSO est-il sûr ?

    Tout au long de la guerre de la FDA contre le DMSO, la FDA a toujours invoqué deux raisons pour justifier sa conduite.

    • Qu’il n’existait aucune preuve de l’efficacité du DMSO, ce qui, comme je l’ai montré dans la première et la deuxième partie de cette série, était une affirmation absurde puisque les données de milliers et de milliers de patients ont montré que le DMSO fonctionnait bien mieux que les options thérapeutiques existantes.

    • Que le DMSO était un médicament incroyablement dangereux dont il était essentiel de protéger le public – ce que j’ai soutenu être un mensonge patent.

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  24. Remarque : ces mensonges s’étendent désormais bien au-delà de l’Amérique. Par exemple, cette publication de Santé Canada, en plus de caractériser le DMSO comme un solvant dangereux, contient de nombreuses affirmations manifestement fausses sur le DMSO et déclare qu’il n’existe aucune preuve de l’efficacité du DMSO, ce qui est extraordinaire compte tenu du nombre d’essais cliniques qui ont prouvé l’efficacité du DMSO et de la facilité avec laquelle bon nombre de ces études sont accessibles.

    En outre, au-delà de l’absurdité des points ci-dessus, les normes existantes au sein de la FDA sont que s’il existe des besoins médicaux non satisfaits ou s’il n’existe pas de remède viable pour une maladie grave, ces normes peuvent être assouplies (d’où l’approbation des vaccins COVID, ou plus récemment, pourquoi un médicament incroyablement dangereux et inefficace contre la maladie d’Alzheimer a été approuvé malgré le veto du comité externe de la FDA et sa démission en signe de protestation une fois que la FDA l’a outrepassé. Dans le cas du DMSO, cela est particulièrement pertinent car de nombreuses maladies que le DMSO s’est avéré efficace pour traiter (par exemple, le syndrome de Down, les lésions de la moelle épinière, la sclérodermie) sont des maladies graves qui sont restées incurables pendant des décennies.

    Tout cela soulève donc la question suivante : dans quelle mesure le DMSO est-il sûr ? Étant donné que ces données sont pertinentes à la fois pour comprendre la croisade de la FDA contre lui et pour toute personne envisageant de l’utiliser, j’ai fait de mon mieux pour compiler toutes ces données ici.

    La sécurité du DMSO

    Aucun médicament n’est totalement sûr. Cependant, je considère que le DMSO est l’un des médicaments les plus sûrs Je le sais pour plusieurs raisons essentielles.

    1. Il a fait l’objet d’un examen approfondi et d’une large gamme d’études toxicologiques (car la FDA cherchait désespérément une raison pour justifier son interdiction). Néanmoins, rien n’a été trouvé.

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  25. 2. Plutôt que d’être toxiques pour les cellules, les cellules peuvent tolérer de très fortes concentrations de DMSO et, dans de nombreux cas, le DMSO peut protéger les cellules de la mort ou sauver celles qui étaient en train de mourir. Tout cela est extraordinairement inhabituel.

    3. Un grand nombre d’études animales (sur au moins 11 espèces différentes, dont des poissons) ont montré l’absence de toxicité du DMSO.

    4. Les essais cliniques montrent systématiquement que le DMSO n’est pas toxique.

    5. Le DMSO ne s’accumule pas dans l’organisme, il n’a donc pas de toxicité cumulative.

    6. Des millions de personnes ont utilisé le DMSO, dont beaucoup l’ont utilisé pendant des années, voire des décennies (par exemple, en le prenant quotidiennement pendant plus de 50 ans). Pourtant, malgré cela (à l’exception de quelques accidents facilement évitables qui seront abordés ci-dessous), aucun problème grave n’est apparu.

    Pour mettre les choses en contexte, le DMSO a un profil de sécurité qui est d’un ordre de grandeur supérieur à celui des médicaments qui sont pris systématiquement sans que l’on se préoccupe de leur sécurité.

    Je vais maintenant tenter de résumer toutes les données pertinentes que j’ai trouvées sur la sécurité du DMSO. Certains de ces éléments peuvent sembler inquiétants, mais il faut les replacer dans le contexte où ils ont été découverts en utilisant de très fortes doses de cette substance, car une quantité immense de recherches a été consacrée à trouver toute façon possible dont le DMSO pourrait être toxique (ce qui est rarement fait pour la plupart des médicaments) et, par conséquent, une grande partie de ces informations ne s’applique pas à la façon dont la plupart d’entre vous utiliseront le DMSO.

    Remarque : bien que ce soit un peu long, j’ai pensé qu’il était important de partager toutes les données toxicologiques que j’ai pu trouver afin de ne pas filtrer par inadvertance des informations potentiellement utiles et de créer une référence biaisée ou trompeuse.

    Dose létale médiane (DL50)

    L’une des méthodes les plus couramment utilisées pour déterminer la toxicité d’une substance consiste à déterminer la dose nécessaire pour tuer 50 % des animaux exposés (ce qui conduit à d’innombrables morts animales tragiques et, à mes yeux, inutiles chaque année). Cette valeur est nécessaire en partie parce que chaque médicament possède à la fois une dose toxique et une dose efficace, et l'objectif est de trouver un médicament entre les deux qui puisse être prescrit aux patients.

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  26. En revanche, lorsque l'indice thérapeutique est plus étroit, le médicament est plus difficile à utiliser sans effets secondaires et est souvent administré dans des conditions plus contrôlées (par exemple, dans un centre de perfusion intraveineuse), ce qui réduit le risque qu'une personne reçoive accidentellement une dose toxique. À l'inverse, les médicaments ayant un indice thérapeutique large nécessitent moins de surveillance lors de leur administration.

    - voir graph sur site -

    Remarque : l’un des principaux problèmes de la pratique médicale actuelle est que (pour rendre les médicaments facilement commercialisables) des doses standardisées sont toujours utilisées. Cela a pour conséquence que de nombreux patients reçoivent des doses inappropriées (par exemple, trop élevées), et mes collègues et moi-même pensons donc que l’un des arts oubliés les plus importants de la médecine est de savoir comment choisir une dose appropriée (un sujet que j’ai abordé plus en détail ici).

    Comme il y avait tant de controverses autour du DMSO, une immense quantité de données DL50 a été obtenue qui a montré que le DMSO est beaucoup moins toxique qu’une variété de substances couramment utilisées.

    Remarque : lorsque des doses toxiques proches de la DL50 du DMSO étaient utilisées chez les animaux, des lésions tissulaires se produisaient également (par exemple, irritation veineuse, vasoconstriction et nécrose après application intraveineuse, lésion gélatineuse hémorragique et œdémateuse au site d’injections musculaires ou sous-cutanées, ou lésions hépatiques), dont on pensait qu’elles étaient en grande partie dues à des lésions osmotiques des tissus créées par les concentrations élevées de DMSO. Cependant, si les animaux survivaient, ces lésions disparaissaient généralement en une semaine.

    Remarque : des données similaires ont été trouvées chez de nombreuses autres espèces (par exemple, les singes ont une DL50 IV de 4 g/kg). La seule exception concerne les lapins, qui ont une DL50 inférieure avec le DMSO, ce qui aurait été dû aux effets antimicrobiens du DMSO modifiant leur flore intestinale. De plus, lorsque des chiens recevaient 3 g/kg de DMSO par voie topique (plutôt que par voie IV), le seul effet secondaire observé était l’odeur classique du DMSO.
    En bref, pour atteindre la DL50 du DMSO, il faudrait en boire environ deux litres en une heure, ce qui représente plus de DMSO que ce que les utilisateurs quotidiens de DMSO ingèrent sur deux mois.

    - voir cadre sur site -

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  27. À titre de comparaison, de nombreuses substances couramment utilisées sont 10 à 100 fois plus toxiques que le DMSO :

    - voir cadre sur site -

    Remarque : les DL50 sont généralement écrites en mg/kg plutôt qu’en g/kg en raison de leur toxicité plus élevée. De plus, il existe une certaine variation dans les DL50 des substances énumérées ci-dessus (c’est pourquoi j’ai tenté de présenter une fourchette approximative).

    De plus, aucune des études sur la DL50 citées précédemment n’a évalué les applications topiques du DMSO. En effet, une limite est atteinte quant à la quantité de DMSO pouvant être absorbée par la peau, et cette quantité est bien inférieure à la DL50 (par exemple, dans un article précédent, j’ai cité des cas de personnes qui allaient perdre un membre ou un doigt qui a ensuite été trempé dans du DMSO et le seul effet secondaire qu’elles ont ressenti a été la récupération complète du tissu).

    Chez la souris, la DL50 du DMSO topique a été estimée à 50 g/kg, car les souris ont survécu à une immersion jusqu'au cou dans jusqu'à 60 % de DMSO, tandis que les rats ont survécu à une immersion dans jusqu'à 80 % de DMSO, ou jusqu'à 60 % de DMSO trois fois par semaine pendant 26 semaines, les séances d'immersion durant souvent 24 heures.

    Remarque : les principaux changements observés chez les rats immergés à plusieurs reprises étaient des points ulcéreux sur le ventre et le dos, des changements oculaires (opacification du cristallin et myopie) et de légers changements dans le sang et le foie, tous réversibles. À l'inverse, lorsque 100 % de DMSO était appliqué sur tout leur corps chaque jour, aucun effet indésirable ne s'est produit (ce qui démontre une fois de plus que la dose toxique était assez élevée).

    Chez l’homme, il n’est pas pratique (ni éthique) de plonger les sujets dans des cuves de DMSO toute la journée, mais on a tenté de s’en approcher le plus possible (les sujets ont été recouverts à plusieurs reprises de gel de DMSO afin de pouvoir recevoir 1 g/kg de DMSO par jour, soit une dose 3 à 30 fois supérieure à celle généralement utilisée par les patients), puis surveillés pendant 90 jours. Malgré cette dose extraordinairement élevée reçue chaque jour, aucune toxicité n’a été observée (alors qu’avec pratiquement n’importe quel autre médicament sur le marché, de graves problèmes surviendraient en cas d’administration répétée d’une dose aussi élevée)

    Remarque : chez les singes, la DL50 du DMSO topique a été établie à plus de 11 g/kg, tandis que la DL50 orale a été établie à plus de 4 g/kg.

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  28. En plus des études sur la DL50, diverses autres études de sécurité ont également été réalisées sur des animaux qui ont également révélé (grâce à une batterie de tests complets) que le DMSO avait une toxicité négligeable. Pour des raisons de longueur et parce que je ne pense pas que beaucoup d’entre vous souhaitent entendre parler de toutes les autres études animales grotesques qui ont été réalisées pour apaiser la FDA, je ne les énumère ni ne les résume ici. Cependant, pour les chercheurs intéressés, les deux meilleures ressources que j’ai trouvées sur la toxicologie du DMSO sont ce manuel sur la pharmacologie du DMSO (qui contient une longue discussion sur les données toxicologiques existantes et peut être lu sur les archives Internet ici) et ce livre bien référencé de 2019 qui a été écrit par deux des principaux pionniers du DMSO.

    Étant donné que j’ai lu environ 100 études qui ont fait état d’un profil d’effets secondaires similaire (le DMSO était sans danger et provoquait généralement les mêmes réactions à des taux comparables), plutôt que de les énumérer chacune d’entre elles, je vais simplement partager les informations les plus pertinentes.

    Remarque : l’un des résumés les plus détaillés des données toxicologiques animales du DMSO se trouve ici.

    Effets secondaires courants

    Deux effets secondaires sont fréquemment observés avec l'utilisation du DMSO, qui diminuent souvent avec les applications successives de DMSO :

    • Une irritation temporaire (et parfois inconfortable) de la peau lorsque le DMSO est administré par voie topique, qui disparaît généralement en 10 minutes (et au plus 20 minutes) et dont la sensation varie considérablement (par exemple, certains le trouvent agréable, d'autres le trouvent extrêmement désagréable). En général, cette irritation peut être atténuée en lavant immédiatement le produit à l'eau, et il est généralement conseillé d'éviter d'irriter davantage la peau en grattant la zone irritée.

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  29. Des études montrent que cette irritation touche 50 à 85 % des utilisateurs (en particulier les personnes blondes ou rousses et à la peau claire ou celles déjà sujettes aux réactions cutanées), et est plus fréquente à des concentrations plus élevées ou lorsque des gels (plutôt que du DMSO liquide) sont utilisés. C’est pourquoi il est généralement conseillé de ne pas utiliser plus de 70 % de DMSO par voie topique (en dehors des situations d’urgence comme un accident vasculaire cérébral), bien que de nombreux patients (par exemple, les lecteurs ici présents) tolèrent 100 % de DMSO sans problème. Chez environ 15 % des patients, cette réaction est « marquée », chez 3,5 % des patients, elle suffit pour que les patients arrêtent d’utiliser le DMSO (ces réactions disparaissant dans les 10 jours suivant l’arrêt du DMSO et la disparition étant accélérée par l’hydrocortisone topique), et chez 0,1 % des patients, la réaction est suffisamment grave pour nécessiter la suspension du traitement. De plus, chez certains patients, des applications répétées sur la même zone peuvent provoquer un assèchement et une desquamation de cette peau (qui guérira avec le temps mais répond également à l’aloe vera). Enfin, lorsque le DMSO est ingéré par voie orale, une concentration beaucoup plus faible doit être utilisée pour éviter d’irriter le tube digestif.
    Remarque : si certaines personnes apprécient le goût du DMSO oral, la plupart préfèrent le mélanger à autre chose pour masquer sa saveur.

    •Lorsque le DMSO est métabolisé, si le corps est incapable de l'oxyder complètement (par exemple, en raison d'un stress réducteur), une partie est réduite en sulfure de diméthyle, qui est à son tour excrété par la peau et les poumons (et donc par la respiration), ce qui conduit un nombre important d'utilisateurs de DMSO (mais pas tous) à développer une odeur caractéristique d'ail ou de palourde qui dure généralement quelques heures, mais qui peut dans certains cas durer jusqu'à 72 heures. En raison de cet effet secondaire, les utilisateurs de DMSO qui en souffrent structurent généralement leur vie sociale et le moment où ils prennent du DMSO de manière à ce que l'odeur ne se produise pas à des moments inopportuns (par exemple, lorsqu'ils souhaitent avoir une intimité physique avec leur conjoint).
    Remarque : cette odeur augmente avec des doses plus importantes de DMSO.

    À l'exception d'un mal de tête, chaque réaction négative au DMSO signalée par un lecteur ici était soit cette odeur, soit une irritation cutanée.

    Effets secondaires graves

    Le danger le plus important du DMSO est la réaction allergique (par exemple, des éruptions cutanées généralisées). Comparé à la plupart des médicaments, cet effet est assez rare (les estimations vont de 1 patient sur 1000 à 1 patient sur 2000) et heureusement, il n’a pas été prouvé qu’il conduisait à des réactions allergiques graves pouvant être mortelles (par exemple, dans un échantillon de 2000 patients, 2 patients ont éprouvé des difficultés respiratoires mineures qui se sont rapidement résorbées avec le traitement). Néanmoins, il est généralement conseillé de vérifier l’absence de réaction allergique au DMSO (dont le processus est décrit ici) avant de commencer une utilisation topique importante du DMSO ou une utilisation interne de celui-ci.

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  30. Remarque : il n’a pas été démontré que le DMSO créait des tendances allergiques (par exemple, il n’a pas créé de sensibilité aux pollens présents dans l’environnement) – ce qui est par exemple l’un des principaux problèmes de certains vaccins pour enfants.

    L’autre effet important du DMSO est qu’avant de sécher, il entraîne les produits chimiques (mais pas les bactéries) présents sur la peau où il est appliqué sur le corps. Les incidents de cette nature sont extrêmement rares et se produisent généralement lorsque quelqu’un se trouvait à proximité d’un pesticide (qui était sur sa peau et l’a rendu malade), mais j’ai également entendu parler de quelques cas plus graves comme celui-ci :

    Mon père nous a parlé d’un événement indésirable lié à l’utilisation du DMSO au cours de sa carrière professionnelle : les techniciens de laboratoire utilisaient généreusement les excellentes caractéristiques de solvant du DMSO pour nettoyer la verrerie. L’un des techniciens était un gros fumeur et a plongé une main dans le DMSO. Presque immédiatement, il a eu une réaction grave et a été transporté d’urgence à l’hôpital où il a failli mourir. On a découvert qu’il souffrait d’une grave intoxication à la nicotine… le DMSO a transmis les taches de nicotine de ses doigts directement dans sa circulation sanguine.

    Remarque : j’ai lu quelques rapports de personnes qui ne réagissaient généralement pas au DMSO et qui ont eu des réactions importantes au DMSO lorsqu’il a été appliqué sur des parties du corps (par exemple, les cheveux) où d’autres composés étaient présents. Pour cette raison, il est généralement judicieux de toujours nettoyer une zone avant d’y appliquer du DMSO, d’attendre que le DMSO sèche (ce qui prend environ 20 minutes) avant de laisser quoi que ce soit (par exemple, des vêtements synthétiques) entrer en contact avec la peau et d’utiliser de l’eau propre (par exemple, purifiée) pour diluer le DMSO.

    Cela dit, les décès dus au DMSO sont incroyablement rares et, malgré des millions de personnes qui l’utilisent, seuls trois décès y ont été associés.

    Le premier cas (en 1965) concernait une Irlandaise qui avait suivi un traitement antibiotique et un anxiolytique et qui avait continué à utiliser du DMSO malgré une réaction allergique à ce médicament, puis était décédée d’une réaction anaphylactique. On n’a jamais déterminé si le DMSO était l’agent responsable de son décès.

    Le deuxième cas concernait le DMSO oral et a été rapporté lors de cette conférence (mais je n’ai pas pu trouver d’informations supplémentaires sur cette « surdose » au-delà de ce qui était mentionné dans le rapport FAERS 13555640).

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  31. Le dernier cas est un mystère médical toujours non résolu : une femme atteinte d’un cancer du col de l’utérus en phase terminale (qui prenait également du DMSO), s’est présentée aux urgences, est décédée peu de temps après (d’un cancer du col de l’utérus) mais a simultanément rendu malades de nombreux travailleurs autour d’elle (par exemple, 3 se sont évanouis autour d’elle, 5 ont dû être hospitalisés, dont 1 est restée aux soins intensifs pendant 2 semaines). Une théorie avancée était que l'oxygène médical et les chocs électriques qu'elle avait reçus avaient provoqué la conversion du DMSO en sulfate de diméthyle, une théorie avec laquelle de nombreux chimistes étaient alors en désaccord (ce qui en faisait un mystère non résolu). Je crois personnellement que cette théorie est impossible car elle était tachycarde au début (alors qu'une surdose de DMSO ralentit le rythme cardiaque) et parce que le métabolite du DMSO qui est expiré (le sulfure de diméthyle) et donc ce qui aurait été en contact avec l'oxygène médical, contrairement au DMSO, ne peut pas réagir pour devenir du sulfate de diméthyle. Au contraire, si le DMSO était en cause, je pense qu'il est beaucoup plus probable qu'un contaminant était présent dans le DMSO qu'elle a acheté à la quincaillerie.

    En comparaison, beaucoup plus de décès peuvent être liés de manière concluante à presque tous les autres produits pharmaceutiques sur le marché.

    Effets secondaires modérés

    Le DMSO réduit souvent la toxicité d'un autre produit pharmaceutique (par exemple, il rend la chimiothérapie moins dommageable pour le reste du corps), mais dans certains cas, il peut au contraire augmenter la toxicité ou la force du produit pharmaceutique. Au moment où les recherches ont été menées sur ce sujet, il a été démontré que ce phénomène se produisait avec l’alcool et les barbituriques en raison de l’altération de leur métabolisme et des effets parasympathiques du DMSO, mais il se produit probablement aussi avec d’autres médicaments (par exemple, les benzodiazépines). Cependant, à ma connaissance, aucun autre effet potentialisateur n’a été observé.

    De plus, une étude évaluant l’effet du DMSO sur le phénomène de Shwartzman (nécrose tissulaire qui se produit après l’introduction répétée d’une toxine dans l’organisme) a injecté une toxine bactérienne (LPS) sous la peau, puis a suivi avec une injection intraveineuse de LPS. Si le DMSO était appliqué localement après la première injection, la réaction aux points d’injection était renforcée après la deuxième injection de LPS, alors que si le DMSO était appliqué localement après la deuxième injection (lorsque le phénomène de Shwartzman grave se produisait), le DMSO empêchait la réaction, mais si le DMSO IV était administré après la première injection, aucun changement ne se produisait, mais lorsque le DMSO IV était administré après le LPS IV, les 6 lapins mouraient dans les 2 heures.

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  32. C’est l’un des seuls exemples que j’ai rencontrés où le DMSO rendait quelque chose significativement plus dangereux (l’autre étant que si le tétrachlorure de carbone était administré à des rats avec une sonde d’alimentation, l’injection de DMSO dans l’abdomen le rendait plus toxique), mais étant donné le nombre de médicaments avec lesquels le DMSO pourrait interagir, il est tout à fait possible que d’autres interactions existent (par exemple, le DMSO rend à la fois les antibiotiques et la chimiothérapie plus efficaces et rend simultanément la chimiothérapie moins toxique).

    J’ai reçu de nombreuses questions sur l’existence d’une interaction nocive entre le DMSO et les anticoagulants comme Eloquis (entraînant des saignements excessifs) ou les prothèses métalliques (entraînant la fuite de leurs composants dans le corps). Je vois de nombreuses raisons pour lesquelles le DMSO pourrait être nocif, bénéfique ou sans conséquence dans chaque cas et, à ma connaissance, aucune interaction nocive n’a été signalée dans aucun de ces cas. Malheureusement, comme aucun de ces problèmes n’a été étudié de manière approfondie (sauf lorsque le DMSO est mélangé à des cellules souches), je ne peux pas affirmer avec certitude qu’il n’y a pas d’interaction.

    Remarque : bien que le DMSO ait une forte activité antiplaquettaire (détaillée ici), j’ai trouvé quelques articles qui mentionnaient que même si le DMSO empêchait la formation de caillots dangereux, il n’affectait pas la coagulabilité sanguine des sujets. L’article le plus détaillé que j’ai trouvé pour évaluer cette question a révélé que le DMSO avait la courbe en U typique d’un agent de restauration du potentiel zêta, ce qui signifie qu’à de très faibles doses, il provoquait la gélification du sang, à la plupart des doses, il le dispersait et à des doses élevées (ce qui ne se produirait pas lors d’une thérapie médicale au DMSO), il agglutinait le sang, tout en ayant également une courbe en U du temps de recalcification – tout cela a conduit les auteurs à conclure que le DMSO a probablement un effet sans conséquence sur la coagulation sanguine, sauf peut-être lorsqu’il atteignait de faibles niveaux lors de son élimination du corps (où, en pratique, il n’a pas été démontré qu’il provoquait réellement la coagulation).

    Simultanément, aux endroits où je m’attendais à voir les autres réactions médicamenteuses répertoriées, elles ne l’étaient pas. Par exemple, cela faisait partie d’une note que Merck a envoyée à ses chercheurs cliniques le 8 septembre 1965, résumant leurs expériences avec environ 4 000 patients qui avaient reçu du DMSO une fois par jour ou une fois par jour pendant 18 mois dans une liste assez représentative des effets secondaires observés aujourd’hui :

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  33. Environ 85 % des patients présentent une réaction typique de type histaminique au site d’application, généralement des démangeaisons et des brûlures légères et transitoires et un peu d’érythème. Cela n’est pas considéré comme une véritable réaction indésirable au médicament, mais comme un effet secondaire typique. Une fine vésiculation, occasionnellement au site d’application, est également généralement transitoire. Après une administration prolongée, un assèchement, des rides légères et parfois une desquamation de la peau ne sont pas rares. Ce n’est pas pire qu’après un léger coup de soleil.

    Quelques cas de dermatite généralisée se sont produits. Il s’agit généralement d’une réaction papulo-érythémateuse de type histaminique survenant à des endroits éloignés de la zone d’application. Il est rare que cette dermatite généralisée soit aussi grave. Le médicament doit être arrêté si une dermatite généralisée se développe.

    Des réactions d'hypersensibilité graves ou potentiellement graves peuvent survenir dans de rares cas. Une réaction mortelle a été signalée chez un patient qui a continué à prendre le médicament après l'apparition de signes d'hypersensibilité extrême.

    Un œdème laryngé de degré léger a également été signalé chez un patient.

    D'autres réactions inhabituelles ont inclus une hypotension chez quelques patients.

    Des cas de paresthésies légères ont été notés. La réévaluation de la plupart de ces cas a montré qu'il s'agissait de patients ayant une forte charge émotionnelle. L'élimination de ce type de patient des études cliniques a considérablement réduit ce type de réaction.

    Certains patients ont noté un effet tranquillisant ou sédatif. Dans la plupart des cas, cet effet n'était pas suffisamment grave pour justifier une inquiétude.

    La sédation peut se produire davantage chez les patients âgés atteints d'artériosclérose cérébrale. Chez les sujets plus jeunes, elle se produit plus souvent avant les repas. Elle peut se produire après la première application et, si elle est observée, le patient doit être mis en garde contre la conduite ou les activités qui pourraient lui nuire ou nuire à autrui. Certains patients ont noté une potentialisation apparente des sédatifs tels que les barbituriques ou l'alcool. Ces résultats n'ont pas été observés en laboratoire.

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  34. Remarque : cet effet dépendant de la concentration du DMSO IV a conduit à diverses recherches pour déterminer la dose optimale qui ne pose aucun de ces problèmes. Lorsque nous utilisons le DMSO intraveineux dans la pratique, nous utilisons une concentration assez faible et n’avons pas rencontré de problème de surcharge hydrique ou d’hypernatrémie (ce qui, je pense, est dû au fait que nous utilisons une dose totale de DMSO beaucoup plus faible). De même, les médecins qui utilisent des concentrations plus élevées de DMSO IV évalueront la numération sanguine d’un patient tout au long du traitement pour s’assurer qu’ils ne provoquent pas d’anémie hémolytique.

    Dans l’étude de sécurité la plus complète menée sur le DMSO (menée en coopération avec la FDA de 1967 à 1968), parmi 400 prisonniers volontaires, les volontaires les plus sains (c’est-à-dire sans pathologies préexistantes) ont été sélectionnés pour être soit les 33 témoins, soit les 78 qui ont reçu du gel DMSO à 80 % administré à une dose 3 à 30 fois supérieure à la dose normale (en les déshabillant et en recouvrant tout leur corps de DMSO) chaque jour pendant 14 ou 90 jours, tous étant ensuite surveillés quotidiennement par une grande équipe de médecins (par exemple, de nombreux spécialistes). En plus des examens physiques réguliers, les analyses sanguines, les yeux, l’EEG, la moelle osseuse, l’ECG et le liquide céphalo-rachidien du sujet ont été systématiquement évalués.

    Parmi ce grand volume de données, la seule anomalie détectée était un changement transitoire occasionnel des analyses sanguines, mais à l’exception d’une augmentation transitoire (probablement induite par l’histamine) des éosinophiles au cours des premières semaines (qui s’est produite chez 23 [51 %] des 45 sujets traités au DMSO) et 8 (31 %) des témoins, aucun de ces changements ne semblait être lié au DMSO.

    Les effets secondaires les plus courants étaient de loin une irritation cutanée ou une odeur d’ail. De plus, les effets secondaires suivants ont été signalés chez les 65 sujets qui ont utilisé du DMSO (à une dose incroyablement élevée) pendant 90 jours :

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  35. * De nombreux maux de tête signalés sont survenus après des ponctions lombaires diagnostiques (ce qui est un effet secondaire courant de cette procédure, en particulier compte tenu des grosses aiguilles utilisées à l’époque). De plus, je pense que la sédation (somnolence) était probablement due à l’augmentation de l’activité parasympathique par le DMSO.

    Remarque : de nombreux prisonniers participant à l’étude ont également signalé une amélioration de leurs douleurs chroniques existantes. De plus, la plupart des sujets qui ont quitté l’étude (qui avait globalement un faible taux d’abandon) l’ont fait parce qu’ils ont été transférés dans une autre prison, parce qu’ils voulaient être mieux payés pour participer, parce qu’ils n’aimaient pas l’odeur ou parce qu’ils n’aimaient pas l’irritation cutanée (bien que beaucoup de ceux qui ressentaient ces symptômes aient continué).

    Une grande méta-analyse a tenté de calculer les risques du DMSO. Bien que ses résultats soient généralement conformes à ce que j’ai décrit (c’est-à-dire que les nausées sont un effet secondaire courant du DMSO IV), de nombreuses études que j’ai examinées n’y ont pas été incluses et, bien que cette revue ait compté quelques études portant uniquement sur le DMSO, elle était principalement composée d’études dans lesquelles le DMSO était utilisé en conjonction avec autre chose (le plus souvent des cellules souches, suivies du diclofénac topique que le DMSO a utilisé pour introduire dans le système, suivi de l’Onyx, un polymère utilisé pour réparer les artères rompues sous anesthésie et qui représente donc une situation à risque beaucoup plus élevé que lorsque le DMSO IV est généralement utilisé). De ce fait, les risques d’effets indésirables que l’étude a montrés, bien que faibles, étaient significativement plus élevés que ceux que j’ai observés dans les études individuelles sur le DMSO que j’ai examinées (par exemple, cette étude, cette étude, cette étude et cette étude sur le DMSO IV ont toutes signalé qu’il n’y avait « aucun effet secondaire » ou « aucun effet secondaire significatif » de la thérapie). De même, je pense que ce mélange d’agents contenant du DMSO explique pourquoi les tailles d’échantillon variaient pour chaque symptôme signalé.

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  36. Remarque : les deux cas d’asystolie (arrêt cardiaque) se sont produits lorsque le DMSO devait réparer des vaisseaux sanguins rompus. Pour citer l’étude : « une bradycardie a été observée dans 4 cas, avec une brève asystolie chez 2 de ces patients lors de l’administration transartérielle et transveineuse d’Onyx au niveau du sinus caverneux et de l’orbite [qui s’est inversée avec l’arrêt de l’injection et de l’atropine, un médicament qui inverse l’activité parasympathique]. « D’après nos observations, une instabilité hémodynamique a été démontrée lors de l’injection d’Onyx dans les vaisseaux qui se trouvaient à proximité du nerf trijumeau ou de ses branches, en particulier dans le compartiment à faible débit/faible volume et peut représenter un effet direct du diméthylsulfoxyde/Onyx sur le nerf trijumeau, entraînant une réponse vagale du réflexe trigéminocardiaque. »

    De plus, j’ai également trouvé quelques autres rapports d’Onyx (ou de cellules souches combinées au DMSO) provoquant un arrêt cardiaque, mais je ne pense pas que ces cas soient applicables à l’administration intraveineuse normale de DMSO, à l’exception d’un ralentissement mineur du cœur (qui résulte probablement de l’augmentation de l’activité parasympathique par le DMSO), rien de comparable à ces incidents n’a jamais été signalé avec le seul DMSO intraveineux.

    De même, pour citer un autre article de synthèse qui a examiné les effets de la perfusion de cellules souches conservées au DMSO :

    Une revue rétrospective de la littérature publiée a identifié plusieurs centaines d’effets indésirables (par exemple, nausées, frissons, arythmies cardiaques, symptômes neurologiques et arrêt respiratoire) associés à la transplantation de cellules souches cryoconservées avec du diméthylsulfoxyde. Les occurrences de ces effets sont généralement considérées comme courantes, car la majorité des réactions sont transitoires, tandis que quelques patients peuvent nécessiter un traitement clinique.

    Remarque : cet article a également constaté que ces réactions étaient proportionnelles à ce qui était perfusé, à la vitesse de la perfusion et à la quantité totale perfusée (comme celui-ci), tandis qu'une autre revue a noté que ces réactions pouvaient être atténuées en mélangeant une solution saline ou de l'albumine à la perfusion et qu'un autre essai a constaté que les nausées et les vomissements pouvaient être soulagés en suçant des sucettes à l'orange. Lorsque du DMSO IV (sans les autres additifs) est administré en pratique, des nausées sont parfois signalées et, de même, la réduction du débit de perfusion de solutions plus fortes peut réduire l'inconfort. Les connaissances acquises grâce à l'utilisation du DMSO IV avec des cellules souches peuvent donc être utiles pour l'utilisation du DMSO IV seul.

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  37. FAERS

    Le FAERS est utilisé par la FDA pour suivre les réactions indésirables aux médicaments et, comme le VAERS, ne reçoit qu'une petite fraction des réactions survenues (les estimations varient de 1 à 10 %) et généralement des milliers de réactions et de décès (voire des dizaines de milliers) lui ont été signalés pour de nombreux médicaments couramment utilisés. Depuis 1980, 214 réactions au diméthylsulfoxyde (dont 21 décès) ont été signalées.

    De ces réactions, 101 étaient dues au DMSO. En revanche, 113 étaient dues au DMSO associé à autre chose, dont huit cas d'Onyx déclenchant le réflexe cardiaque trijumeau ou l'asystolie (avec de nombreux rapports de cas publiés joints aux rapports FAERS) ainsi que quelques cas de greffes de cellules souches provoquant des problèmes importants et 3 réactions allergiques qui pourraient avoir été liées au DMSO. Sur les 101 cas où le DMSO a été attribué comme cause, 27 impliquaient un autre médicament qui aurait pu ou non être responsable de la réaction, et d'après ce qui s'est passé dans ces 101 réactions, je soupçonne que des médicaments non répertoriés ont également joué un rôle dans d'autres cas.

    Dans ceux où le DMSO était le coupable apparent, 10 décès sont survenus, mais très peu d'informations ont été fournies pour chaque cas. Parmi eux, 1 mentionnait également une réaction anaphylactique, 4 « hémolyse et hématurie », 1 « occlusion de l’artère coronaire », 1 « réaction au site d’injection », 1 « hypernatrémie », 1 « gangrène ; septicémie » et 1 (qui a également été publié lors de cette conférence) énumérait diverses conditions.

    Les 94 cas non mortels restants comprenaient 19 réactions cutanées (dont 4 caractérisées comme « dermatite bulleuse » et 1 comme urticaire), 16 erreurs d’administration de produits inoffensives (par exemple, administré pendant la grossesse, médicament inefficace ou exposition accidentelle au produit), 12 problèmes gastro-intestinaux (par exemple, vomissements), 8 problèmes oculaires qui ne semblaient pas être des effets indésirables (4 yeux paresseux, 3 cataractes et 1 « trouble oculaire »), 7 réactions anaphylactiques, 7 « douleurs » (par exemple, dues à l’introduction de DMSO dans la vessie), 7 autres cas où la vessie ou le vagin ont réagi au DMSO (par exemple, douleur ou irritation), 6 fièvres, 6 maux de tête, 5 cas de faiblesse ou de malaise, 4 changements de goût (par exemple, perte de goût), 4 essoufflements, 3 autres problèmes oculaires, 3 avec œdème facial, 3 avec nausées, 3 qui ne semblaient pas être liés à DMSO (par exemple, un événement non évaluable, une variété de conditions chroniques non liées au DMSO ou une rupture de suture), 3 avec des étourdissements, 2 avec des odeurs d'haleine (et un qui avait aussi un changement d'odeur), 2 avec des convulsions, 2 avec une tachycardie, 1 avec une hématurie, 1 avec un TTP, 1 encéphalite « non grave », 1 « trouble respiratoire », 1 gêne thoracique, 1 prurit avec bilirubine élevée, 1 cas d'hypotension artérielle et 1 cas d'évanouissement, 1 avec confusion, 1 avec des frissons, 1 avec des bouffées vasomotrices et 1 avec des douleurs musculaires.

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  38. La plupart de ces effets étaient cohérents avec ce qui a été attribué au DMSO, certains d'entre eux n'étaient probablement pas liés au DMSO, et dans l'ensemble, compte tenu de leur rareté, ils suggèrent collectivement que le DMSO a une très faible toxicité.

    Remarque : j'ai fait de mon mieux pour représenter avec précision les données FAERS (car il faut beaucoup de temps pour les parcourir), mais il peut y avoir des erreurs mineures (par exemple, certains des chiffres ci-dessus étant décalés de 1 ou 2).

    Toxicité des lentilles

    De loin, l'effet secondaire le plus notoire du DMSO était qu'il aurait modifié l'indice de réfraction des yeux (ce que corrigent les lunettes) en diminuant la réluctance normale du cortex du cristallin, ce qui fait que la zone centrale normale du cristallin agit comme une lentille biconvexe.

    Cette controverse est née du fait que l'on a observé que les chiens développaient ce changement myope après avoir reçu 5 g/kg de DMSO (environ cinquante fois la dose humaine) pendant 9 semaines, les changements prenant généralement 5 à 10 semaines pour apparaître ou plus longtemps lorsqu'une dose plus faible était utilisée. Cet effet dose-dépendant a ensuite été confirmé comme se produisant également dans les 90 jours chez les porcs recevant 2,7-4,5 g/kg de DMSO à 90 % deux fois par jour, chez les lapins recevant 1 g/kg de DMSO par jour pendant 12 semaines (mais pas lorsqu'ils recevaient 0,1-0,5 g/kg) et que les lapins et les chiens y étaient plus sensibles que les porcs. Ces changements se sont progressivement aggravés au cours des 6 mois de traitement au DMSO et se sont progressivement inversés une fois le DMSO arrêté (ce qui prend plus de temps à s'inverser chez les chiens).

    Remarque : ces changements du cristallin ne semblent pas affecter la capacité des animaux à percevoir et à naviguer dans leur environnement et, lorsque les yeux sont disséqués, ils sont attribués à la réduction des protéines solubles dans les yeux.

    Lors de tests sur des singes, 3 g/kg d'une solution de DMSO à 40 % pendant 9 jours n'ont entraîné aucun changement du cristallin (ni aucun autre changement pathologique) au cours des 120 jours suivants. De même, une dose de 11 g/kg pendant 6 mois n'a pas entraîné de modifications du cristallin, pas plus qu'une dose cutanée de 11 g/kg ou une dose orale de 5 g/kg administrée pendant 1 an, ce qui suggère que les primates ont une résistance significativement plus grande à cet effet du DMSO.

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  39. Remarque : en plus de ne pas montrer de modifications du cristallin, ces études ont également montré une absence totale de toxicité du DMSO pour les singes.

    Chez l’homme, aucun changement du cristallin n’a jamais été observé (en revanche, de nombreux patients, comme ceux atteints de dégénérescence maculaire, signalent une amélioration de la vue grâce au DMSO). Par exemple, en plus de l’étude en prison (qui a été conçue pour répondre définitivement à cette question), Stanley Jacob a fait examiner régulièrement la vue à 32 patients ayant reçu en moyenne 30 g de DMSO pendant 3 à 19 mois. La seule exception potentielle à cette règle était une étude portant sur 44 patients atteints de sclérodermie (une maladie qui provoque fréquemment des changements au niveau des yeux) qui ont reçu du DMSO à raison de 3 g/kg pendant 23 jours. En raison des difficultés d’examen régulier des yeux de ces patients (tant avant que pendant l’étude), aucun test adéquat n’a été effectué qui aurait pu prouver de manière définitive que les changements oculaires qu’ils présentaient étaient le résultat de la sclérodermie plutôt que du DMSO (bien que les changements oculaires survenus différaient des changements réfractifs observés chez les chiens, les porcs et les lapins).

    Remarque : après l’interdiction des essais en 1965, de nombreuses sociétés pharmaceutiques ont continué à recueillir des rapports de cas sur des patients utilisant du DMSO (Merck a recueilli environ 17 000 cas, Syntex 7 000 cas et E. R. Squibb and Sons 3 000). Aucune toxicité n’a été détectée par aucune de ces sociétés, y compris des changements dans les yeux lorsque le DMSO a été administré à 11 g/kg par voie cutanée et 5 g/kg par voie orale par jour pendant un an. De plus, en 1971, un comité de l’Académie nationale des sciences a soumis un rapport à la FDA qui indiquait que le DMSO avait un « niveau de toxicité relativement faible », à l’exception des effets oculaires inexpliqués chez certains animaux.

    Tératogénicité et génotoxicité

    Un aspect clé des tests de sécurité d’un nouveau médicament est d’évaluer s’il peut provoquer un cancer ou des malformations congénitales (ce dont les vaccins à ARNm ont été exemptés et dont nous souffrons tous aujourd’hui, car la protéine Spike est hautement cancérigène).

    Dans le cas du DMSO, il a été déterminé que chez certains animaux, l'injection directe de concentrations élevées de DMSO à proximité d'embryons en développement pouvait provoquer des malformations congénitales, mais ces effets n'ont pas été observés à des doses plus faibles, ni lorsque le DMSO était pris par voie orale, et n'ont pas été observés chez toutes les espèces animales. Plus précisément :

    • Une étude de 1967 a injecté des embryons de poulet (âgés de 72 ou 96 heures) avec des doses toxiques de DMSO et a constaté qu'à l'approche de la DL50, des malformations survenaient fréquemment chez les poussins qui survivaient (par exemple, 25,9 % des embryons survivants qui avaient reçu une dose toxique de DMSO à 96 heures ont ensuite développé des malformations).

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  40. Remarque : une étude de 2021 a également révélé que l'injection d'une concentration trop élevée de DMSO pouvait provoquer des malformations congénitales ou tuer des embryons de poulet (alors qu'à des doses plus faibles, aucun effet n'a été constaté).

    Comme les expériences précédentes avec des doses plus faibles de DMSO n'avaient pas montré de malformations congénitales chez les mammifères, des souris, des rats et deux espèces de lapins ont ensuite reçu 50 % de DMSO (par voie orale ou par injection abdominale chez les animaux) du 6e au 12e jour de gestation, puis ont été disséqués quelques jours avant la mise bas prévue.

    • Chez les souris, aucun changement n'a été observé dans le taux d'avortements et aucune malformation congénitale n'a résulté de l'administration orale de DMSO, mais lorsque le DMSO a été injecté dans l'abdomen, 7 % des souris ont développé des malformations congénitales (comparé à un taux typique de 0,226 %)

    • Chez les rats, on a constaté que l’injection de DMSO augmentait le taux d’avortements et réduisait le poids à la naissance des rats vivants de 15,4 % (dosé à 8 g/kg) à 28,5 % (dosé à 10 g/kg), et 1,5 % développaient des malformations congénitales (comparé à 0,2 % des témoins).

    • Chez les lapins, cependant, aucun effet n’a été observé avec le DMSO par voie orale ou par injection.

    • Une autre étude a révélé que les injections intrapéritonéales de DMSO (à 5,5 g/kg) chez des hamsters gravides pouvaient provoquer des malformations du développement de leurs embryons. De même, une autre étude sur les hamsters a révélé que l’injection intrapéritonéale de 0,5 ml de DMSO chez des hamsters au huitième jour de gestation provoquait divers degrés d’exencéphalie et d’encéphalie (changements cérébraux).

    • De plus, Stanley Jacob a rapporté :

    Dans une étude [que je n’ai pas pu localiser], des embryons à huit cellules ont été trempés dans du DMSO et réimplantés. Tous se sont développés normalement. En effet, le DMSO est, à tous égards, l’une des substances les moins toxiques pour l’embryon en pharmacologie.

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  41. Il est couramment utilisé comme solvant lorsque les scientifiques étudient les effets mutagènes d’autres médicaments. Les effets non mutagènes du DMSO ont été confirmés par un scientifique nommé Bruce Ames, dont le test est la norme par laquelle la FDA elle-même mesure la mutagénicité.

    Tout cela suggère à son tour que le DMSO tel qu’il est généralement utilisé n’est pas tératogène (par exemple, il n’est jamais injecté dans le ventre), mais comme il n’a jamais été formellement testé, la communauté du DMSO a toujours conseillé de l’éviter pendant la grossesse car elle ne pouvait pas garantir que le risque était nul. Cela dit, dans la littérature scientifique, aucun cas de toxicité pour la progéniture d’animaux soumis à des applications cutanées de DMSO n’a jamais été signalé.

    Remarque : de nombreux produits pharmaceutiques couramment utilisés peuvent provoquer des malformations congénitales. Par exemple, comme je l’ai montré ici, les antidépresseurs ISRS (souvent prescrits aux mères pendant la grossesse) doublent le risque d’accouchement prématuré, augmentent le risque de communication interstitielle (qui nécessite une intervention chirurgicale pour la réparer) de 0,5 % à 0,9 % (ou à 2,1 % si plusieurs ISRS sont pris) et augmentent le risque d’hypertension pulmonaire persistante (qui survient dans 1 à 2 naissances sur 1 000) de 2,5 à 6,1 fois (voir cette étude, cette étude et cette étude). En revanche, je ne connais pas un seul cas où le DMSO aurait été à l’origine d’une malformation congénitale humaine.

    Enfin, comme nous l’avons vu dans la première partie de cette série, plutôt que d’endommager l’ADN, le DMSO tend à le protéger des dommages (voir par exemple cette étude, cette étude et cette étude). De plus, comme je le discuterai plus tard dans cette série, il a également été démontré que le DMSO traite le cancer en faisant en sorte que les cellules cancéreuses deviennent des cellules normales ou en ralentissant leur croissance, et en augmentant considérablement la capacité d’une variété d’agents à tuer les cellules cancéreuses (tout en protégeant simultanément les cellules normales des dommages). À l’heure actuelle, je n’ai rencontré aucune étude montrant que le DMSO endommage l’ADN dans les cellules normales.

    Remarque : il a également été démontré à plusieurs reprises que le DMSO n’a aucune activité cancérigène.

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  42. De plus, de nombreux effets remarquables du DMSO proviennent de sa capacité à stabiliser les protéines (discutée plus en détail dans la première partie de cette série) et à dissoudre les protéines anormales (par exemple, les amyloïdes), ce qui explique probablement pourquoi il peut guérir une variété de maladies incurables (par exemple, génétiques). De plus, diverses études utilisant une technologie plus récente ont été menées qui montrent qu’il modifie subtilement la fonction et la configuration des protéines dans les cellules (par exemple, voir cette étude et cette étude). Cela a conduit les auteurs de cette recherche plus récente à déclarer que l’hypothèse de longue date selon laquelle le DMSO est « inerte » n’est peut-être pas correcte, et à supposer que certains des changements créés par le DMSO peuvent être problématiques ou déstabiliser les protéines – une hypothèse qui, je crois, est née du fait que ces auteurs n’étaient pas au courant de la littérature montrant que le DMSO stabilise plutôt les protéines.

    Autres problèmes potentiels

    Je voudrais conclure cette section en révélant tous les autres problèmes potentiels liés au DMSO que j’ai rencontrés au fil des ans :

    • Trois des effets caractéristiques du DMSO (une amélioration rapide des symptômes d’un patient, une odeur d’ail et une irritation fréquente de la peau) rendent extrêmement difficile la conduite d’essais en aveugle lorsque les patients ne savent pas s’ils ont ou non reçu du DMSO. C’est ce qui a finalement créé le plus gros problème pour le DMSO.

    • Les patients sensibles ou ceux qui souffrent d’une congestion hépatique peuvent subir une réaction de Herxheimer au DMSO (par exemple, de la fatigue ou des maux de tête) qui dure au plus 12 à 24 heures en raison du fait que le DMSO accélère le processus de détoxification (par exemple, un lecteur sensible a partagé que 8 à 12 heures après avoir utilisé du DMSO, il souffrait d’un mal de tête modéré) — un processus qui, je le soupçonne, est partiellement médié par une libération d’histamine. Au sein de la communauté du DMSO, on pense que ces réactions peuvent être atténuées en utilisant une dose plus faible de DMSO ou en facilitant le processus de détoxification (par exemple, en se reposant, en jeûnant et en buvant de l’eau osmosée inverse) et qu’elles diminueront souvent avec le temps, à mesure que le corps se détoxifie.

    Remarque : les personnes qui réagissent à d’autres composés soufrés ne réagissent généralement pas au DMSO ou au MSM.

    •Cliniquement, les cellules souches ou les exosomes du sang de cordon ombilical congelés sans DMSO ont tendance à mieux fonctionner que ceux congelés avec du DMSO (bien que ceux conservés avec du DMSO fonctionnent toujours).

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  43. •Bien que le DMSO ne soit généralement pas toxique et que la plupart des surfaces du corps puissent tolérer des concentrations appropriées (par exemple, les yeux et les oreilles), une étude a révélé que des lapins qui ont inhalé 25 à 50 ml/h de DMSO pendant une heure chaque jour pendant 8 semaines ont développé des changements pathologiques dans le foie et les poumons. Bien que cette dose soit élevée, la nébulisation du DMSO a néanmoins été déconseillée et il existe très peu d'informations sur la sécurité de cette méthode.
    Remarque : cela ressemble un peu à la façon dont l'ozone peut être nocif pour les poumons. Ainsi, bien qu'il existe de nombreuses voies d'administration différentes pour l'ozonothérapie médicale, l'inhalation n'est jamais pratiquée.

    • Le DMSO est inflammable et peut provoquer des réactions de décomposition explosives lorsqu'il est mélangé à certains produits chimiques. Il est peu probable que cela se produise lors d'une utilisation à domicile (surtout si vous ne l'exposez pas à une flamme nue), mais il a provoqué de nombreux accidents industriels et de laboratoire.

    • Lorsque le DMSO est administré par voie intraveineuse (surtout à des concentrations plus élevées), il peut dissoudre partiellement les plastiques qui ne sont pas résistants au DMSO. Pour cette raison, il est important que les matériaux appropriés entrent en contact avec lui.

    • L’un des remèdes contre le cancer oubliés que l’AMA a effacé de la surface de la Terre était les catalyseurs de Koch. Les personnes qui me les ont donnés m’ont dit que de faibles doses de solvants pouvaient les inactiver (par exemple, un patient qui en prend ne devrait jamais faire le plein d’essence) et que le DMSO pouvait également les inactiver. Étant donné la difficulté d’obtenir les catalyseurs et la limitation de mes réserves, j’ai toujours veillé à ce que quiconque les utilisait n’utilise pas également du DMSO.

    • Le DMSO peut être fabriqué à partir de pulpe de bois ou d’une source pétrolière. J’ai vu des preuves suggérant que les gens ont une réponse thérapeutique différente selon la source qu’ils utilisent, mais pas suffisamment pour être certain que l’une soit préférable à l’autre. Pour cette raison, si l’un d’entre vous a la possibilité d’essayer plus d’une des marques que je recommande et que vous remarquez des effets différents à partir des mêmes concentrations, veuillez les partager avec moi.

    • Bien que je n'aie rencontré aucun problème majeur chez les personnes prenant du DMSO de qualité non médicale (par exemple, du DMSO acheté en quincaillerie), il existe de nombreuses raisons théoriques pour lesquelles c'est une mauvaise idée. Pour cette raison, je recommande vivement d'acheter l'une des marques de haute pureté largement disponibles que les gens utilisent depuis des années sans problème.

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  44. Remarque : l’une des choses que je considère comme particulièrement tragiques avec le DMSO est le nombre de tests cruels et totalement inutiles sur les animaux qui ont été effectués pour réfuter la conviction inébranlable de la FDA selon laquelle le DMSO était dangereux. Par exemple, pour citer Stanley Jacob : « Le DMSO a été responsable de la mort inutile de plus d’animaux de laboratoire que tout autre médicament dans l’histoire de la médecine. » Pourtant, malgré tous ces décès (qui résultaient de doses massives d’ordre de grandeur supérieures à ce que n’importe quel humain pourrait jamais prendre), puisqu’ils ont démontré l’incroyable sécurité du DMSO et n’ont donc pas montré ce que la FDA voulait, ils ont été ignorés – une situation qui n’est pas si différente de la façon dont la FDA et le CDC ont catégoriquement refusé de prendre en compte le tsunami de preuves selon lesquelles les vaccins COVID sont incroyablement dangereux et répondent à tous les critères possibles pour un retrait d’urgence du marché.

    Dans la seconde moitié de cet article et le contexte que ces données toxicologiques fournissent, je vais relater toute l’histoire exacte de ce que la FDA a fait au DMSO (avant de passer à son incroyable utilité pour une variété d’autres conditions difficiles). En attendant, je vous demande, si vous avez des histoires tirées de vos expériences avec le DMSO, de les partager dans les commentaires ici.

    The Forgotten Side of Medicine est une publication soutenue par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux articles et soutenir mon travail, veuillez envisager de devenir un abonné gratuit ou payant.

    Enfin, pour ceux qui souhaitent des ressources supplémentaires sur le DMSO, en plus des témoignages de lecteurs que l'on peut trouver dans cet article et cet article et de nombreux commentaires dans ce fil Twitter et ce fil Twitter, les deux parties précédentes de cette série peuvent être lues ici :

    - voir cadres sur site -

    Le DMSO pourrait sauver des millions de personnes de lésions cérébrales et médullaires
    16 SEPTEMBRE

    https://www.midwesterndoctor.com/p/the-remarkable-history-and-safety

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  45. Le Japon en plein essor


    Le rapport Corbett
    18 octobre 2024


    Le sommet international sur la crise s’est tenu à Tokyo la semaine dernière pour mettre en garde contre les nouveaux vaccins à ARNm auto-amplifiants « réplicon » qui sont sur le point d’être déchaînés comme une troisième bombe atomique sur la population japonaise. James Corbett était là pour couvrir les débats, documenter les discours, participer à un rassemblement massif au cœur de Tokyo contre cette nouvelle intervention médicale dangereuse et donner des leçons aux membres en exercice de la Diète japonaise sur sa souveraineté corporelle.

    - voir clip (Rumble) sur site -

    https://www.lewrockwell.com/2024/10/no_author/japan-rising/

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  46. Vidéo : La crise du sommet international de Tokyo : nommer les noms et relier les points dans l'agenda mondialiste. Dr Meryl Nass et James Corbett


    Par le Dr Meryl Nass et James Corbett
    Recherche mondiale,
    18 octobre 2024


    Alors, vous voulez que quelqu’un donne des noms, cite des documents et expose les faits sur la prise de pouvoir mondialiste qui dure depuis des décennies ?

    Alors vous êtes au bon endroit !

    - voir clip sur site -

    Rejoignez James pour l'édition de cette semaine du Corbett Report où il décompose la présentation du Dr Meryl Nass au Sommet international de crise à Tokyo et fournit un contexte et des lectures complémentaires sur le groupe d'élitistes qui tentent de prendre le contrôle de la planète et de ses ressources.

    https://www.globalresearch.ca/video-naming-names-connecting-dots-globalist-agenda/5870424

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  47. Les CDC confessent : aucune base scientifique pour le récit du « HPV »… Pas de virus, pas de contagion, pas de génome… juste des tests bidons
    Dans l'attente de la confession de la FDA à ce sujet


    Par Christine Massey
    Recherche mondiale, 17 octobre 2024


    29 août 2024 :

    Les « experts » des Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies et de l’ Agence pour le registre des substances toxiques et des maladies ont été officiellement mis au défi, par le biais d’une ordonnance d’accès à l’information ( pages 1/2 ), de fournir ou de citer toute étude en leur possession, sous leur garde ou sous leur contrôle, rédigée par n’importe qui, n’importe où, n’importe quand :

    1. qui prouvent/fournissent des preuves scientifiques de l'existence de tout prétendu « HPV » alias « virus du papillome humain » (en montrant simplement que les prétendues particules existent et provoquent la maladie/les symptômes qu'elles sont censées provoquer… les institutions n'ont même pas été mises au défi de démontrer que les particules détournent les cellules et se répliquent), ou

    2. qui décrivent même quelqu’un trouvant et purifiant des particules prétendument « HPV » directement à partir du liquide/tissu/excrément corporel de soi-disant « hôtes », ou

    3. dans lequel le prétendu « génome » du prétendu « HPV » a été retrouvé intact dans le liquide corporel, le tissu ou les excréments de tout « hôte » supposément infecté (par opposition à un modèle fabriqué in silico, c’est-à-dire un modèle informatique), ou

    4. qui démontrent scientifiquement la contagion de la maladie / des symptômes qui sont prétendument causés par le prétendu « VPH ».

    J'ai inclus un rappel selon lequel les preuves scientifiques nécessitent l'utilisation de la méthode scientifique pour tester des hypothèses falsifiables au moyen d'expériences contrôlées valides, rigoureuses et répétables.

    Et comme d'habitude, j'ai demandé que si des documents correspondant à ma demande étaient détenus par les institutions mais étaient déjà accessibles au public, des citations me soient fournies.

    16 octobre 2024 :

    Roger Andoh, agissant en tant que responsable de la FOIA au sein du bureau du directeur de l'exploitation, a répondu ( pages 7, 8 , n° 24-01612-FOIA) :

    « Une recherche dans nos archives n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, les experts en la matière n’ont pas pu trouver de documents correspondant aux documents décrits dans votre demande telle qu’elle est rédigée. »

    - voir doc sur site -

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  48. Et maintenant, nous attendons la même confession de la FDA en réponse à l'ordonnance FOIA n° 2024-7649, dont Sarah Kolter, agissant en tant que directrice, a accusé réception le 30 août 2024.

    Notez que Sarah a déjà officiellement avoué que la FDA ne dispose d’aucun dossier de ce type pour le « virus de la variole du singe » imaginaire (FDA FOIA 2024-7353 ) ou le « virus de la grippe aviaire » imaginaire (FDA FOIA 2024-6486 ) et qu’elle n’a pas non plus été en mesure d’en citer pour le « SARS-COV-2 » imaginaire (FDA FOIA 2024-7837 )…

    … parce que la virologie a toujours été une pseudoscience , qu’aucun virus n’a jamais été démontré comme existant, que la contagion est une mythologie de « santé publique » et que des centaines de réponses antérieures à la Loi sur l’accès à l’information (FOI) provenant de 40 pays différents sur des dizaines de prétendus « virus » n’ont également fourni aucune preuve scientifique valable (voir plus bas pour plus de liens).

    - voir doc sur site -

    Remarque : cette newsletter a également été envoyée à l'équipe de vérification des faits de Reuters et à environ 200 personnes qui travaillent pour « l'État », les médias grand public, etc. au Canada, sur l'île de Man, en Angleterre et aux États-Unis, afin qu'elles ne puissent pas prétendre plus tard qu'elles ne savaient pas.

    Lectures/visionnages recommandés :

    Concernant le « VPH », voir :

    viroLIEgy.com pour des articles démantelant le mythe

    HPV, tests inutiles et injections toxiques du Dr Sam Bailey

    Le documentaire de Joan Shenton, Sacrificial Virgins: The Dangers of the HPV Vaccine (Vierges sacrificielles : les dangers du vaccin contre le VPH) L'article d'Amandha Vollmer, HPV – Le virus qui n'était pas : comment se fait-il que le vaccin Gardasil soit toujours sur le marché ?

    La chaîne de causalité – Mike Stone, virologie

    Les preuves scientifiques absolument nécessaires sont requises.

    J’ai été très honoré d’avoir récemment une conversation enregistrée avec mes amis, les docteurs Sam et Mark Bailey, en Nouvelle-Zélande. Mike Stone les décrit avec justesse comme « le duo dynamique » et ils ont aidé beaucoup de gens à garder les pieds sur terre et à garder la raison au cours de ces dernières années !

    Christine Massey : « Ne faites pas confiance à la santé publique. » – Dr Sam et Mark Bailey

    Le Dr Sam White sur la mafia médicale – Dr Sam Bailey

    Démystifier le démystificateur ! – Dawn Lester

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  49. Personnellement, je n'ai pas encore regardé celui-ci, mais je l'attends avec impatience : Un regard sur le projet génome humain – Dr. Tom Cowan

    Les confessions et preuves officielles confirment que la virologie est une pseudoscience

    Les réponses à la demande d'accès à l'information révèlent que les institutions de santé et de sciences du monde entier (225 et plus !) n'ont aucune trace d'isolement ou de purification du SARS-COV-2 (le prétendu virus convide) , où que ce soit et à tout moment : https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/

    Fichier Excel répertoriant 225 institutions : https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2024/09/Institution-list-for-website.xlsx

    Réponses à la demande d’accès à l’information concernant d’autres « virus » imaginaires (VIH, grippe aviaire, VPH, grippe, rougeole, etc., etc., etc.) :
    https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-have-no-record-of-any-virus-having-been-isolated-purified-virology-isnt-a-science/

    Les demandes d’accès à l’information concernent les cellules « infectées de manière factice » (c’est-à-dire les contrôles non valides) et les « génomes viraux » fabriqués de manière secrète et non scientifique : https://www.fluoridefreepeel.ca/do-virologists-perform-valid-control-experiments-is-virology-a-science/

    Plus de 3000 pages de FOI sur les « virus » dans 8 compilations PDF, et mes déclarations notariées sur la nature antiscientifique de la virologie : https://tinyurl.com/IsolationFOIs

    Réponses à la question de la liberté d'information concernant la contagion : https://www.fluoridefreepeel.ca/freedom-of-information-responses-re-contagion/

    Les institutions de santé et de science disposent-elles d'études prouvant que les bactéries PROVOQUENT des maladies ? https://www.fluoridefreepeel.ca/do-health-authorities-have-studies-proving-that-bacteria-cause-disease-lets-find-out-via-freedom-of-information/

    Parce que « ils » (le VIH, le virus de la grippe, le VPH, le virus de la rougeole, etc., etc., etc.) n’ont jamais été démontrés comme existant, n’existent clairement pas et la virologie n’est pas une science.

    https://www.globalresearch.ca/cdc-confesses-no-scientific-basis-hpv-narrative/5870398

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  50. Le gouvernement britannique veut légaliser la « mort assistée ». Voici ce qui va se passer


    Kit Knightly
    Nouveau Monde
    mer., 16 oct. 2024 18:12 UTC


    Le Parlement du Royaume-Uni s'apprête à voter sur un nouveau projet de loi visant à légaliser l'aide à mourir pour les personnes atteintes d'une maladie en phase terminale.

    Le projet de loi, proposé par le député travailliste Kim Leadbeater, n'a pas encore été publié dans son intégralité. Selon la BBC :
    « Les détails n'ont pas été finalisés, mais le projet de loi devrait être similaire à une proposition de la Chambre des Lords, qui permettrait aux adultes en phase terminale ayant six mois ou moins à vivre d'obtenir une aide médicale pour mettre fin à leur vie. »
    Il s'agit là de l'aboutissement d'une campagne menée depuis des années par les politiques, les médias et l'industrie du divertissement pour normaliser l'euthanasie dans l'esprit du public britannique.

    Pendant ce temps, on nous a dit que l'aide à mourir était bonne pour les gens, bonne pour le NHS 1 et bonne pour l'environnement.

    Le projet de loi devrait être officiellement présenté le 16 octobre, le premier débat devant avoir lieu plus tard dans l'année, ce qui signifie que le vote aura probablement lieu au début de l'année 2025.

    Je serais stupéfait qu'il ne soit pas adopté.

    Voici mes prévisions pour la suite :

    - La première année, il s'agira simplement d'une option, dont on n'entendra pas beaucoup parler, sauf dans des articles titrant par exemple « L'aide à mourir a épargné à mon parent/partenaire/enfant des années de souffrance ».

    - Au bout d'un an ou deux, un rapport sera publié, faisant état d'un succès grâce à une évaluation statistique inventée et torturée, telle que « l'aide à la mort augmente les scores de bien-être des patients dans les hôpitaux du NHS étudiés ».

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  51. - Un autre rapport suivra, affirmant que les listes d'attente se sont améliorées en raison de la diminution de la surpopulation dans les services de soins palliatifs. On pourra même prétendre qu'elle a réduit l'empreinte carbone du NHS.

    - Des articles d'opinion paraîtront avec des titres tels que « L'histoire d'une réussite en matière d'aide à la mort fait taire les théoriciens de la conspiration ».

    - L'âge minimum pour bénéficier de l'aide à la mort sera progressivement abaissé. La liste des maladies et des affections pour lesquelles l'aide à mourir est une « alternative thérapeutique recommandée » s'allongera.

    - Les maladies non mortelles seront finalement incluses, puis les maladies psychologiques également. Puis les handicaps physiques et mentaux.

    - Puis viendra une « urgence » — fausse, évidemment — et le NHS s'en sortira brillamment grâce aux ressources « libérées » par les programmes d'euthanasie.

    - Viendront ensuite les éditoriaux. « L'aide à mourir est bénéfique pour les patients et a sauvé le NHS pendant [une fausse pandémie], il est temps de la rendre obligatoire ».

    - Un député d'arrière-ban présentera un projet de loi obligeant toute personne diagnostiquée avec une maladie mortelle à être inscrite sur une liste d'aide à mourir.

    - Le projet de loi échouera et la majorité de la presse s'y opposera, mais le gouvernement publiera des réglementations de compromis « de bon sens » où l'aide à la mort est la règle par défaut, mais où les patients peuvent s'y soustraire s'ils le souhaitent.

    - L'aide à mourir ne sera jamais obligatoire. Mais il sera de plus en plus difficile de s'y soustraire. Si vous choisissez de participer et que vous essayez ensuite de changer d'avis, on dira que vous êtes mentalement inapte.

    - Les patients qui ne veulent pas signer de DNR 2 ou opter pour des soins de fin de vie seront qualifiés d'« égoïstes » et d'« irresponsables ». Des études prétendront qu'ils pèsent sur les ressources du NHS.

    - À terme, le refus de participer à ces soins entraînera des pénalités sur les pensions de retraite et la facturation des soins de santé, ce qui empêchera de nombreuses personnes âgées de se permettre de rester en vie.

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  52. - Ensuite, on mettra en place des panels de patients « mentalement inaptes » dont la mort assistée sera recommandée par des « tribunaux de la miséricorde ».

    ... et pendant tout ce temps, l'establishment prétendra qu'il y a liberté de choix et qu'il n'y a pas de pente glissante.
    [NDLR Quelques pays, dont le Canada, ont déjà légalisé l'euthanasie
    et sont plus ou moins avancés dans l'évolution envisagée ici par Kit Knightly]
    1 Service de Santé du Royaume-Uni — NDT

    2 NDT « DNR — Do Not Ressurect » : littéralement « Ne pas ressusciter » (ne pas ranimer).

    https://fr.sott.net/article/44054-Le-gouvernement-britannique-veut-legaliser-la-mort-assistee-Voici-ce-qui-va-se-passer

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  53. Changement climatique : les glaces dans l'Arctique augmentent depuis 2007


    17 octobre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le changement climatique est toujours et partout. On l'observe mieux sur les couvertures de glace aux pôles du Groenland et dans les montagnes, par exemple dans les Alpes. Toutefois, il ne faut tirer des conclusions qu’en examinant des périodes plus longues.

    TKP a récemment signalé que la route arctique avait dû être fermée à la navigation plusieurs semaines plus tôt que d'habitude, le 10 octobre. Les passages étroits se ferment désormais assez rapidement comme le montre l'animation ci-dessous. Au début de l'été, le navire de croisière Poesia n'a pas pu faire escale dans certains ports en raison de l'état des glaces. Dans le passage du Nord-Ouest, l'augmentation de la glace de mer a raccourci les saisons de navigation de 14 semaines . Lors du voyage de recherche du Polarstern de l'Institut Wegener à l'été 2023, à la surprise générale, la glace était plus épaisse et plus ferme que les années précédentes.

    Ces animations montrent la croissance des glaces sur la route arctique russe. Tout d’abord, la période du 26 septembre au 6 octobre :

    - voir carte sur site -

    Voici l'activité des glaces de la semaine dernière dans la NSR depuis la mer des Tchouktches à l'est (côté gauche) et menaçante dans la mer des Laptev (à droite).

    Désormais, les deux goulots d’étranglement sont bloqués neuf jours plus tard. La mer des Tchouktches (à gauche) bloque l'accès à la mer de Béring. La mer de Laptev (à droite) bloque le trafic vers les mers européennes de Barents et de Kara.

    Comme je l’ai dit, ce sont des instantanés de l’automne 2024.

    Développement à long terme des glaces dans l’Arctique
    Même si la couverture de glace augmente lentement, les craintes d'une disparition des glaces dans le nord se font à nouveau sentir chaque fois que la glace recule en été. La plupart du temps, c'est aussi de la propagande avec des ours polaires sur une banquise.

    En fait, le développement des glaces arctiques n’est pas alarmant par rapport aux normes historiques. Dans Science Matters, l’ensemble de données populaire de la NOAA, dérivé de capteurs satellites passifs à micro-ondes, a été utilisé pour montrer l’évolution des glaces depuis 1981. On sous-estime parfois les étendues de glace, mais tout le monde y fait référence et c'est complet de 1981 à nos jours. Voici les chiffres de la NOAA (agence gouvernementale américaine National Oceanic and Atmospheric Administration ) en millions de kilomètres carrés :

    - voir carte sur site -

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  54. On dit souvent que seuls les plus hauts de mars et les plus bas de septembre sont significatifs, les autres mois ne représentant qu'une période de transition entre les deux mois. Le diagramme ci-dessus montre l’étendue moyenne des glaces, calculée sur les deux mois de mars et septembre. Les données proviennent du Sea Ice Index (SII).

    Pour encore plus de clarté et de simplicité, voici le tableau.

    NOAA NH Étendue moyenne annuelle des glaces (en millions de km2). Indice de glace de mer v3.0 ( ici )

    - voir graph sur site -

    Comme le montre le tableau, l'étendue des glaces n'a diminué que légèrement au cours des 16 premières années, suivie par un déclin spectaculaire sur 10 ans, neuf fois plus important qu'auparavant. Cela a été suivi par le plateau actuel de 17 ans avec une légère augmentation comparable à la perte initiale.

    Toute cette effervescence concerne cette période intermédiaire, et nous savons ce qui l’a provoquée. Une grande partie de la glace pérenne a été emportée par le détroit de Fram, laissant une glace plus jeune qui a fondu plus facilement. L'impact de cet événement naturel a culminé en 2007.

    Kwok et coll. dites ce qui suit à propos de la variabilité de l’écoulement des glaces dans le détroit de Fram :

    Le flux surfacique hivernal moyen au cours de la période record de 18 ans (1978-1996) est de 670 000 km2, soit 7 % de la superficie de l'océan Arctique. Le débit de surface hivernal varie d'un minimum de 450 000 km2 en 1984 à un maximum de 906 000 km2 en 1995. Le débit volumique hivernal moyen au cours des hivers d'octobre 1990 à mai 1995 est de 1 745 km3 et varie d'un minimum de 1 375 km3 par an en 1990. jusqu'à un pic de 2 791 km3 en 1994.

    La légère augmentation de la couverture de glace depuis 2007 est souvent décrite comme insignifiante et il est trop tôt pour tirer des conclusions quant à savoir si la glace arctique se rétablit ou si 2007 constitue un véritable tournant. Les mêmes personnes n’ont pas tardé à considérer la période de déclin après 1996 comme la preuve d’une « spirale de la mort ».

    C’est ce qui se produit lorsque l’on associe le mot changement climatique à l’orientation du développement « plus chaud ». Cependant, il est fort probable que nous nous dirigerons bientôt vers un climat « plus froid ». Cela suggère non seulement le refroidissement aux pôles, mais également les cycles solaires déterminés et calculés par les astrophysiciens . Et bien sûr les données du service de prévision météorologique spatiale de la NOAA .

    https://tkp.at/2024/10/17/klimawandel-eis-in-der-arktis-nimmt-zu-seit-2007/

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  55. La nature n’aime pas les escrologistes , regardez ce qu’elle fait de leurs installations ;Floride, Texas, Nebraska


    le 14 octobre 2024
    par pgibertie


    - voir photo sur site -

    C’est malin de mettre des panneaux solaires dans des zones où il y a 3 ouragans par an depuis toujours

    What Hurricane Milton did to a Duke Energy solar farm in Florida. https://t.co/3JJuQPHo2d pic.twitter.com/w2QV5WA9l7
    — Steve Milloy (@JunkScience) October 13, 2024

    📹 Aux USA, la grêle a détruit une « ferme » solaire

    Des milliers de panneaux solaires ont été endommagés par Gorilla Hail au Texas. Les médias locaux ont rapporté que les grêlons avaient la taille d'une balle de baseball.

    Les résidents craignent que les dommages causés aux… pic.twitter.com/4D2IHUwNlc
    — Brainless Partisans 🏴‍☠️☢️☣️🪆 (@BPartisans) March 27, 2024

    Nebraska, États-Unis : une simple tempête de grêle a réduit en quelques minutes un parc solaire de plusieurs millions de dollars, composé de 14 000 panneaux solaires, en un amas de débris toxiques, démontrant une fois de plus la nature coûteuse et inutile du concept « Net Zero » pic.twitter.com/PWeUUXMQQ3
    — Aliénor d’Aubigné ⚜️☦️ (@AlienorAubigne) November 26, 2023

    https://pgibertie.com/2024/10/14/la-nature-naime-pas-les-escrologistes-regardez-ce-quelle-fait-de-leurs-installations-floride-texas-nebraska/

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  56. C'est une urgence ! Les plantes vertes se multiplient à une vitesse alarmante en Antarctique


    Par Jo Nova
    October 17th, 2024


    Leçon n°457 sur comment mentir à la science
    Classez cette leçon dans le Déclin et la chute de la science des Lumières. Nature, autrefois connue comme la revue scientifique estimée, réalise désormais tout ce qu'un magazine de vente de l'industrie des tabloïds pouvait espérer. Ils ont tiré un désastre d'un changement minuscule dans un court enregistrement et d'une bonne nouvelle. N'oublions pas que pendant les 100 000 dernières années, la plupart des humains auraient été heureux qu'un peu de l'Antarctique soit devenu vert.

    « Luxuriant » ? Les seules personnes qui appellent cela luxuriant sont les pingouins :

    Croyez-le ou non, ce paysage luxuriant est l'Antarctique

    Pour apprécier le niveau d'exagération nue de la ceinture noire qui se produit ici, considérez l'hyperbole d'ouverture :

    Une région de l'Antarctique qui se réchauffe rapidement devient plus verte à une vitesse choquante. Les images satellite de la région révèlent que la surface couverte par les plantes a augmenté de près de 14 fois en 35 ans – une tendance qui va entraîner un changement rapide des écosystèmes de l’Antarctique.

    « C’est le début d’une transformation spectaculaire », déclare Olly Bartlett, spécialiste de la télédétection à l’Université de Hertfordshire à Hatfield, au Royaume-Uni, et auteur de l’étude1, publiée aujourd’hui dans Nature Geoscience, qui présente ces résultats.

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  57. Tout ce choc et ce drame proviennent d’une zone de « moins d’un kilomètre carré » qui s’étend jusqu’à « près de 12 kilomètres carrés ». Ces chiffres « nous ont choqués », disent l’équipe de relations publiques, je veux dire les scientifiques, qui continuent dans leur meilleure imitation de tante de l’agonie : « C’est simplement ce rythme de changement dans une zone extrêmement isolée et extrêmement vulnérable qui déclenche l’alarme. » Sanglots, sanglots, et bouhou aussi. C’est une péninsule solitaire. Pourrons-nous lui trouver un ami ?

    Tout cela montre le délabrement pathétique de la science occidentale. Il s’agit de 12 kilomètres carrés de terres habitables supplémentaires sur un continent qui compte 14 millions de kilomètres carrés de glace. L’horrible affliction de la toundra inattendue couvre désormais 0,00009 % de l’Antarctique.

    La situation pourrait empirer, les mousses pourraient faire… du sol :

    Cette recherche est « vraiment importante », déclare Jasmine Lee, scientifique en conservation au British Antarctic Survey à Cambridge, au Royaume-Uni. D’autres études2,3 ont trouvé des preuves que la végétation de la péninsule change en réponse au changement climatique, « mais c’est la première étude qui adopte une approche à grande échelle pour examiner l’ensemble de la région », dit-elle.

    Des visites précédentes dans la péninsule ont conduit les auteurs à penser que la majeure partie de la végétation est constituée de mousse. À mesure que les mousses se propagent dans des paysages auparavant recouverts de glace, elles vont constituer une couche de sol, offrant un habitat à d’autres formes de vie végétale, explique Roland. « Il existe ici un énorme potentiel pour voir une nouvelle augmentation du nombre d’espèces non indigènes, potentiellement invasives », dit-il.

    C'est bien sûr dû au changement climatique :

    Les chercheurs désignent le changement climatique comme étant le moteur du changement climatique du paysage du blanc au vert. Les températures sur la péninsule ont augmenté de près de 3 °C depuis 1950, ce qui est une augmentation bien plus importante que celle observée dans la plupart des régions de la planète.

    Personne ne mentionne les 91 volcans qu'ils ont découverts il y a sept ans et qui se trouvent dans les zones les plus chaudes de l'Antarctique. Nous sommes assis sur une boule de lave, et il y a un bord de plaque crustale en dessous. Mais en réalité, il est plus probable que le réchauffement soit causé par votre Ford Fiesta et ces brochettes de bœuf...

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  58. Les volcans antarctiques ne peuvent pas faire fondre la glace, n'est-ce pas ?
    https://joannenova.com.au/2014/10/west-antarctica-more-evidence-it-was-the-volcanoes-that-melted-the-ice/

    Vite, que quelqu'un construise un parc éolien pour tuer cette mousse sauvage !

    https://joannenova.com.au/2024/10/polar-emergency-green-plants-spreading-at-alarming-rate-in-antarctica-quick-build-a-wind-farm/

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    1. (...) Personne ne mentionne les 91 volcans qu'ils ont découverts il y a sept ans et qui se trouvent dans les zones les plus chaudes de l'Antarctique. Nous sommes assis sur une boule de lave, et il y a un bord de plaque crustale en dessous. Mais en réalité, il est plus probable que le réchauffement soit causé par votre Ford Fiesta et ces brochettes de bœuf... (...)

      Effectivement ce ne sont pas les pôles qui se rapprochent du soleil mais les effusions souterraines d'x volcans (appelées 'sources chaudes') qui réchauffent les glaces.

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  59. L'écologiste Paul Watson demande l'asile politique à la France


    le 17 octobre 2024 - 09:15


    Détenu au Groenland depuis trois mois et sous le coup d'une demande d'extradition du Japon pour une affaire remontant à 14 ans, le militant écologiste Paul Watson a demandé "l'asile politique" à la France, a annoncé mercredi Sea Shepherd France.

    Cette demande a été formulée dans une lettre au chef de l'Etat français "il y a quelques jours", a déclaré lors d'une conférence de presse à Paris Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, fervent soutien du militant écologiste de 73 ans.

    Paul Watson "a écrit une lettre en prison qui s'adresse à Emmanuel Macron", "et que j'ai fait passer au président où Paul demande l'asile politique à La France", a déclaré Mme Essemlali lors de cette conférence de presse où soutiens et avocats de Paul Watson ont sonné la charge contre les apoursuites et la procédure d'extradition dont il fait l'objet.

    Opposant farouche à la chasse à la baleine, l'Américano-canadien de 73 ans, fondateur de Sea Shepherd et de la fondation en faveur des océans qui porte son nom, avait été arrêté alors qu'il était en route avec son navire, le John Paul DeJoria, pour intercepter un nouveau navire-usine baleinier nippon.

    Le Japon, qui réclame son extradition, a relancé une demande émise en 2012 via une notice rouge d'Interpol. Il l'accuse d'être co-responsable de dommages et blessures à bord d'un navire baleinier nippon deux ans plus tôt dans le cadre d'une campagne menée par Sea Shepherd.

    Dans sa lettre au président français, publiée par Sea Shepherd France sur les réseaux sociaux, Paul Watson, établi en France, affirme que le Japon le "persécute" pour un motif "politique et non judiciaire".

    Il cite Jules Verne, le commandant Cousteau, et salue les "solides efforts de conservation" de la France, qui dispose du deuxième espace maritime mondial (après les Etats-Unis).

    Qualifiant d'"honneur" le fait que Paul Watson demande l'asile politique, Olivier Faure, premier secrétaire du PS a estimé qu'"Emmanuel Macron (devait) l'accepter".

    "Oui, la France doit donner l’asile politique à Paul Watson dont le seul crime est de se mobiliser pour défendre le vivant", a aussi réagi Manuel Bompard, coordinateur des Insoumis.

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  60. - "Prétexte" -

    Lors de la conférence de presse, l'un des membres de l'équipe de défense de Paul Watson, l'avocat français François Zimeray, a estimé en visioconférence que les accusations portées contre Paul Watson n'étaient "que des prétextes" car il a "dénoncé le caractère illégal" de la pêche à la baleine japonaise et "fait perdre" aux Japonais "la face aux yeux du monde".

    Le militant "n'aura jamais de procès équitable" s'il est extradé, a accusé l'avocat, partageant sa conviction que "s'il est incarcéré au Japon, il n'en sortira pas vivant".

    L'équipe de défense de Paul Watson envisage en outre de poursuivre l'Etat du Danemark dont dépend la procédure groenlandaise, a ajouté un autre de ses avocats, Jean Tamalet, dénonçant la "situation de déni total des droits humains les plus élémentaires" du militant.

    Un ancien compagnon de route du militant, Peter Bethune, qui avait été condamné à deux ans de prison avec sursis après avoir plaidé coupable à contrecoeur dans cette affaire où son bateau avait été quasi détruit dans une collision avec un baleinier, a lui jugé que ce serait "une erreur judiciaire totale d'extrader Paul Watson".

    En début de mois, la justice groenlandaise a prolongé jusqu'au 23 octobre sa détention.

    "La police du Groenland a récemment envoyé, suite à son enquête sur l'affaire, un avis au procureur général, qui va lui aussi donner un avis. Une fois que le ministère de la Justice (l')aura reçu (...), il prendra une décision dans cette affaire", a indiqué mercredi le ministère danois de la Justice à l’AFP.

    Les autorités japonaises se sont très peu exprimées sur l'affaire. En septembre, Hideki Tokoro, président de l'entreprise baleinière Kyodo Senpaku, avait déclaré à l'AFP que Paul Watson devait être jugé au Japon en raison des "actions terroristes" de son organisation.

    Dans les années 2000 puis 2010, Sea Shepherd a joué au chat et à la souris dans l'Antarctique avec des navires japonais qui pêchaient des centaines de baleines chaque année.

    Le Japon est, avec la Norvège et l'Islande, l'un des trois derniers pays au monde à pratiquer la chasse commerciale à la baleine.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/l-ecologiste-paul-watson-demande-l-asile-politique-la-france

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    1. Un écolo demande l'asile (psychiatrique ?) à la France !!

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  61. Le maximum solaire du cycle Schwabe de 11 ans a été atteint


    18 octobre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La NASA et l'agence américaine NOAA ( National Oceanic and Atmospheric Administration ) ont annoncé mardi que le soleil avait atteint son activité maximale au cours du cycle de Schwabe 25. Désormais, le nombre de taches solaires devient de plus en plus petit jusqu'à ce qu'elles n'apparaissent plus. Le cycle se termine dès que les pôles nord et sud ont changé.

    Dans l’image ci-dessus fournie par la NASA/SDO, les différences entre le minimum et le maximum solaires sont visibles. Les images de lumière visible du Solar Dynamics Observatory de la NASA montrent l'apparition du Soleil au minimum solaire (à gauche, décembre 2019) et au maximum solaire (à droite, août 2024). Pendant le minimum solaire, le soleil est souvent impeccable. Les taches solaires sont associées à l'activité solaire et sont utilisées pour suivre la progression du cycle solaire.

    Ce cycle solaire est le cycle naturel du soleil lorsqu'il passe d'une activité faible à une activité élevée. Environ tous les 11 ans, au sommet du cycle solaire, les pôles magnétiques du Soleil s'inversent et le Soleil passe d'actif et orageux à lent. Outre ce cycle de Schwabe de 11 ans, il existe un certain nombre d'autres cycles allant jusqu'à 2 600 ans. Le cycle au cours duquel le Soleil tourne autour du centre de masse du système solaire sur une orbite en forme d'épitrochoïde dure environ 179 ans .

    Durant la partie la plus active du cycle, appelée maximum solaire, le Soleil peut déclencher de puissantes explosions de lumière, d'énergie et de rayonnement qui créent ce que l'on appelle la météorologie spatiale. La météorologie spatiale peut affecter les satellites et les astronautes dans l’espace, mais également les systèmes de communication – tels que la radio et le GPS – et les réseaux électriques sur Terre. Lorsque le Soleil est particulièrement actif, les événements météorologiques spatiaux se produisent plus fréquemment. L’activité solaire, comme la tempête de mai 2024, a entraîné une visibilité accrue des aurores et des impacts sur les satellites et les infrastructures au cours des derniers mois.

    Le maximum solaire est associé à une température moyenne plus élevée sur Terre (et sur les autres planètes). La raison en est l’augmentation du rayonnement provoquée par les explosions de lumière, d’énergie et de rayonnement.

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  62. Une autre raison est le vent solaire. À mesure qu’ils s’affaiblissent, les rayons cosmiques à haute énergie peuvent pénétrer davantage dans la Terre. Cela conduit à une formation accrue de nuages ​​et l'albédo plus fort de la Terre permet à moins de rayonnement solaire d'atteindre la surface de la Terre, ce qui conduit bien sûr également à un refroidissement.

    Voici une courte vidéo, également de la NASA/SDO, montrant les différentes activités au minimum et au maximum du soleil :

    - voir clip sur site -

    Des images de l'Observatoire de la dynamique solaire de la NASA montrent à quoi ressemble le Soleil au minimum solaire (à gauche, décembre 2019) et au maximum solaire (à droite, mai 2024). Ces images sont prises dans la gamme de 171 longueurs d'onde de la lumière ultraviolette extrême, montrant les régions actives du Soleil qui sont plus courantes pendant le maximum solaire. L’image ci-dessus, en revanche, montre la lumière visible.

    https://tkp.at/2024/10/18/solares-maximum-im-11-jaehrigen-schwabe-zyklus-ist-erreicht/

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  63. Google et Amazon abandonnent le réseau électrique national, ignorent les énergies renouvelables et achètent leurs propres centrales nucléaires


    Par Jo Nova
    October 18th, 2024


    Bientôt, chaque milliardaire de la technologie aura sa propre centrale nucléaire
    Il y a deux semaines, c'était Microsoft qui relançait la centrale nucléaire de Three Mile Island. Aujourd'hui, Google achète sept petits réacteurs modulaires et Amazon dépense 500 millions de dollars pour une partie d'une société d'énergie nucléaire.

    Tant pis pour les déplorables qui se retrouvent coincés avec le coûteux réseau électrique spaghetti éolien-solaire-batterie qui leur est imposé par les diplômés en arts du Parlement. Un centre de données d'IA a besoin de la même chose qu'une ville humaine : des gigawatts bon marché, 24 heures sur 24. Les hommes qui ont de l'argent et qui sont fanatiques des chiffres ont tous décidé que la réponse la moins chère et fiable pour faire fonctionner leurs villes de centres de données d'IA, tout en prétendant régler le climat, est l'énergie nucléaire. (Le charbon, bien sûr, est moins cher, c'est pourquoi la Chine en consomme autant, mais c'est contraire à la religion).

    Les masses populaires n’auront évidemment pas le choix de s’abonner à n’importe quel générateur. Seuls les ultra-riches ont cette chance.

    Chacun de ces géants de la technologie aurait pu investir cet argent dans des parcs éoliens et des jardins de panneaux solaires, avec des hectares de batteries et des dizaines de milliers de kilomètres de tours à haute tension, des centrales hydroélectriques à pompage et des volants d’inertie à condensateur synchrone. Mais aucun d’entre eux ne veut plus y investir ses propres milliards, malgré la manne de points de crédit social et les droits de vantardise que cela apporterait.

    Depuis vingt ans, ces mêmes personnes nous poussent à la vente des énergies renouvelables, maintenant du jour au lendemain, sans même un « pardon », ils ont tous tourné la page, nous laissant avec la boîte de conserve de réseaux nationaux décrépits qui ne peuvent pas faire ce pour quoi ils ont été conçus.

    Google construira sept petits réacteurs nucléaires, le premier d’ici 2030… Notre Premier ministre et le CSIRO doivent se sentir désemparés. Ils ont déclaré que le nucléaire était l’option la plus coûteuse et ont déclaré que l’Australie ne pourrait même pas en construire un avant 2040.

    Google signe un accord avec une start-up pour construire de petits réacteurs nucléaires pour alimenter l’IA
    Aljazeera

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  64. Google a signé un accord historique pour utiliser l’électricité produite par de petits réacteurs nucléaires pour alimenter ses efforts d’intelligence artificielle (IA).

    En vertu de l’accord avec la start-up Kairos Power annoncé lundi, le géant technologique basé en Californie soutiendra la construction de sept petits réacteurs nucléaires capables de générer 500 mégawatts d’électricité. Le premier réacteur devrait être mis en service d’ici 2030, et d’autres suivront dans les années à venir.

    « Le réseau a besoin de nouvelles sources d’électricité pour soutenir les technologies d’IA qui alimentent des avancées scientifiques majeures, améliorent les services pour les entreprises et les clients et stimulent la compétitivité nationale et la croissance économique », a déclaré Michael Terrell, directeur principal de l’énergie et du climat chez Google, dans un article de blog.

    Deux jours plus tard, Amazon aussi.

    Amazon suit Google en choisissant l’option nucléaire pour alimenter ses centres de données
    EuroNews

    Amazon investit dans la société américaine X-energy pour utiliser des réacteurs nucléaires pour alimenter ses centres de données.

    Amazon et X-energy visent à avoir plus de 5 gigawatts d’électricité générée par SMR opérationnels d’ici 2039.

    Les réacteurs sont actuellement en cours de développement, aucun n’alimente actuellement le réseau électrique américain.

    Les grands investisseurs peuvent contribuer à changer cela, et ces annonces pourraient être le « point d’inflexion » qui rendrait vraiment possible le développement de cette technologie, a déclaré Huff.

    Sentez la chaleur. Il y a quelques semaines à peine, ces mêmes milliardaires s’extasiaient sur les énergies renouvelables, déclassant et censurant les sceptiques… maintenant, ils font exactement ce que nous avons toujours dit.

    https://joannenova.com.au/2024/10/google-amazon-give-up-on-national-grid-ignore-renewables-and-buy-their-own-nuclear-plants/

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  65. Conduire une voiture électrique ne signifie pas toujours défendre l'environnement


    le 16 octobre 2024 - 11:25


    La nouvelle petite voiture électrique de Renault, la "K-ZE", qui sera fabriquée et commercialisée dans un premier temps en Chine à partir de 2019

    Une étude finlandaise révèle que les conducteurs de voitures électriques, souvent chantres de la défense de l'environnement, polluent davantage que ceux des véhicules thermiques. Et pour cause ! Ce sont aussi les plus aisés, et l'achat d'une voiture électrique ne compense pas leur mode de vie consommateur.

    Que de la gueule ? Manifestement, conduire une Zoé dans Paris et parler d'environnement sur les terrasses de café ne suffit pas à convaincre tout le monde.

    Une étude de l’université de Turku, publiée dans la revue PLOS Climate et relayée par Phys.org, révèle que derrière l’image vertueuse de la voiture électrique, se cache un mode de vie consumériste. Les conducteurs de ces véhicules parcourent plus de kilomètres, consomment plus d’électricité, et voyagent davantage, ce qui annule les bénéfices environnementaux attendus et mis en exergue initiallement.

    Une analyse qui va peut-être évoluer, notamment parce que la barrière financière, frein à l’acquisition de ces véhicules, s'est réduite. "Le coût élevé reste un obstacle majeur", précisent les chercheurs, avant d’ajouter que les incitations financières norvégiennes ont déjà montré leur efficacité pour augmenter l’adoption de ces modèles. En 2023, environ une voiture sur cinq était électrique en France. Le marché est toujours en légère augmentation, mais tend à stagner, parce qu'il n'y a pas que le prix qui entre en jeu dans la réflexion. Souvent, c'est aussi une question de goûts, de valeurs, de cohérence.

    Ainsi, ces résultats soulèvent une question cruciale : au-delà des solutions techniques, la réponse aux défis environnementaux ne réside-t-elle pas dans un changement plus profond des modes de vie ? Peut-être avons-nous besoin d'être plus cohérents, parce que les voitures électriques ne suffisent pas à compenser des habitudes toujours plus gourmandes en énergie.

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/conduire-une-voiture-electrique-ne-signifie-pas-toujours-defendre-l

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  66. Un rapport sénatorial déplore l'"opacité" autour de l'affaire des eaux minérales traitées


    le 16 octobre 2024 - 18:14


    Dix mois après de premières révélations sur le recours par Nestlé à des traitements interdits sur ses eaux en bouteille, un rapport sénatorial juge les pouvoirs publics comme les industriels responsables de l'"opacité" qui entoure l'affaire.

    En avril, le Sénat avait annoncé le lancement d'une mission parlementaire "flash", confiée à Antoinette Guhl, sénatrice écologiste de Paris.

    "La rapporteure déplore le manque de transparence de certains acteurs privés comme publics auquel s'est heurtée la mission et, surtout, la lenteur de la mise en conformité de l'industriel en l'absence de mesures plus volontaristes de l'État", peut-on lire dans une synthèse du rapport, adopté mercredi par la commission des Affaires économiques de la chambre haute.

    Le groupe socialiste au Sénat a indiqué dans la foulée qu'il allait créer une commission d'enquête "pour faire toute la lumière sur le scandale des eaux embouteillées".

    En janvier, précédent des informations de presse, Nestlé Waters, filiale du géant suisse de l'agroalimentaire, avait reconnu avoir eu recours à des systèmes de désinfection interdits pour maintenir la "sécurité alimentaire" de ses eaux minérales.

    En France, Nestlé est propriétaire des marques Vittel, Contrex et Hépar, puisées et embouteillées dans les Vosges, et Perrier dans le Gard.

    "La rapporteure déplore que des suites correctives n'aient pas été prises à l'égard des sites concernés dès les aveux de NW en 2021", indique le rapport.

    Le gouvernement avait été avisé par Nestlé en 2021 de son recours à des traitements litigieux. Sans rendre l'affaire publique, il a par la suite assoupli la réglementation, permettant aux industriels d'utiliser des microfiltres avec un seuil de filtration inférieur à 0,8 micron.

    Dans une déclaration transmise à l'AFP, Foodwatch estime que le rapport "confirme la lourde responsabilité des ministres dans cette affaire (...)".

    "Ils auraient dû informer et sanctionner Nestlé et ne l'ont pas fait", déplore l'ONG de défense des consommateurs, qui a déposé plusieurs plaintes dans ce dossier.

    https://www.francesoir.fr/societe-justice/un-rapport-senatorial-deplore-l-opacite-autour-de-l-affaire-des-eaux-minerales

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  67. Au Rwanda, la longue marche vers la transformation locale des ressources minières


    Fleury Venance Agou-Heguendony
    17 octobre 2024


    Sous le ciel gris de Kigali, à l’entrée du LuNa Smelter, un bourdonnement mécanique se fait entendre. Dans cet immense hangar, des ouvriers supervisent les machines qui transforment la cassitérite extraite des collines rwandaises en étain pur. Le bruit sourd des fours et le cliquetis des convoyeurs tranchent avec le calme extérieur. « Ici, nous faisons bien plus que simplement extraire le minerai », explique un responsable d’usine, la voix à peine audible au milieu du vacarme. « Nous ajoutons de la valeur, nous produisons du métal prêt à être utilisé dans l’industrie mondiale. »

    Le LuNa Smelter, situé en périphérie de Kigali, incarne l’une des grandes ambitions du Rwanda : transformer localement ses minerais pour capter une part plus importante de la chaîne de valeur. Bien que l’usine soit capable de produire jusqu’à 360 tonnes d’étain par mois, elle ne fonctionne actuellement qu’à 30 % de sa capacité. « Le défi est l’approvisionnement », ajoute le responsable. « Nous négocions déjà avec des pays voisins pour sécuriser davantage de matière première, notamment la cassitérite. »

    Ce n’est qu’une des nombreuses infrastructures qui jalonnent la montée en puissance de l’industrie minière rwandaise. Non loin de là, la Gasabo Gold Refinery, rebaptisée Aldango Ltd en 2019, raffine de l’or à 99,99 % de pureté. Chaque jour, des ouvriers sont à la tâche dans cette unité aux fours, où des lingots sortent, prêts à rejoindre les marchés internationaux. « Nous produisons de l’or raffiné de haute qualité, mais le volume que nous traitons reste inférieur à nos capacités », confie un ingénieur de la raffinerie.

    Le Rwanda qui se rêve en futur hub africain de l’industrie minière pourrait ainsi devenir une alternative pour les producteurs d’or africains comme le Mali, le Ghana ou la Tanzanie, obligés actuellement d’envoyer leurs lingots en Suisse ou en Afrique du Sud.

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  68. Des efforts incitatifs pour la transformation

    Ces initiatives illustrent les efforts du pays des mille collines pour industrialiser son secteur minier. Depuis les années 2000, le pays s’efforce de passer d’une exploitation artisanale de ses ressources à une véritable industrialisation. Le gouvernement a mis en place un cadre fiscal incitatif en 2018, offrant des avantages aux investisseurs qui participent à la transformation des minerais. « Nous ne voulons plus simplement être des extracteurs. Le vrai développement passe par la transformation sur place », explique Donat Nsengumuremyi, Directeur de la division de l’extraction minière et de l’inspection à l’Office rwandais des mines, du pétrole et du gaz (RMB).

    Il faut aussi compter sur la création, en 2008, du Rwanda Development Board (RDB), l’agence en charge de promouvoir les investissements dans le pays. Directement rattachée à la présidence, elle a joué un rôle clé dans l’élaboration d’un cadre réglementaire attractif pour dynamiser le secteur minier. Depuis 2018, les investisseurs bénéficient d’une exonération d’impôts sur les revenus des sociétés pour une durée allant jusqu’à sept ans, à condition d’investir au moins 50 millions de dollars. De plus, les entreprises impliquées dans des projets d’exportation de minéraux transformés profitent d’un taux d’imposition réduit à 15 %.

    « Nous avons récemment révisé notre cadre réglementaire, y compris le code et la politique minière, pour rendre les entreprises plus compétitives et faciliter leur conformité aux exigences réglementaires », explique Francis Gatare, PDG du RMB.

    Ces réformes s’inscrivent dans le cadre de la Stratégie nationale de transformation, dont la version 2 annoncée début septembre 2024, vise à porter les revenus des exportations de minerais à 2,2 milliards de dollars d’ici 2029, contre 1,1 milliard de dollars générés en 2023. Ce montant représentait une progression de 43 % par rapport à 2022, faisant du secteur minier le plus grand contributeur aux 3,5 milliards de dollars générés par les exportations rwandaises cette même année. Cependant, seulement 30 à 40 % des gisements minéraux du Rwanda sont actuellement exploités.

    La diversification enclenchée

    Si l’étain, le tantale et le tungstène restent les pierres angulaires de l’industrie minière rwandaise, le gouvernement cherche également à diversifier ses sources de revenus. En janvier 2024, un accord a été signé avec Rio Tinto pour l’exploration du lithium, un métal essentiel à la fabrication des batteries pour véhicules électriques. Ce projet, situé dans le nord-est du pays, à Gicumbi et Nyagatare, pourrait permettre au Rwanda de se positionner comme un fournisseur clé dans la chaîne mondiale des énergies renouvelables.

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  69. Le coltan, composé de tantale et de niobium, est également au centre des préoccupations du gouvernement. Aujourd’hui, ces minerais sont souvent exportés sous forme brute. À Bugesera, une nouvelle raffinerie de coltan, conçue pour séparer le tantale du niobium, est en construction. Une fois opérationnelle, elle devrait permettre au Rwanda de capter une valeur ajoutée supplémentaire en transformant ces minerais sur place avant de les exporter. Mais ce projet, comme d’autres, se heurte à des obstacles de taille, notamment des défis liés à l’approvisionnement en matières premières et au financement.

    Les défis de la transformation locale

    Les petites entreprises minières manquent souvent de financement pour moderniser leurs équipements, et les infrastructures de transformation ne fonctionnent pas encore à plein régime. Le LuNa Smelter, par exemple, bien que capable de traiter 360 tonnes de cassitérite par mois, n’en reçoit actuellement qu’environ 100 à 120 tonnes.

    En outre, les zones rurales continuent de dépendre de méthodes artisanales d’exploitation minière. « L’accès aux financements et la modernisation des équipements sont cruciaux pour que nous puissions augmenter notre productivité », souligne Nsengumuremyi. Des initiatives comme la formation des mineurs ou le développement de programmes de microcrédit sont en cours, mais elles ne suffisent pas encore à transformer radicalement le secteur.

    Cependant, la lutte contre la contrebande et la traçabilité des minerais a connu un virage important. Depuis 2011, le Rwanda a mis en place des réglementations garantissant que 100 % des minerais extraits soient traçables depuis leur extraction jusqu’à leur exportation. Une initiative réussie, couronnée par la certification « exempte de conflits » du LuNa Smelter par la Responsible Minerals Initiative en février dernier.

    Le Rwanda se développe de manière accélérée ces dernières années et il constitue l’un des pays africains les plus dynamiques. Néanmoins, la situation des libertés, tant sur le plan politique que sur le plan économique et social, doit encore s’améliorer de manière significative.

    https://www.contrepoints.org/2024/10/17/479587-au-rwanda-la-longue-marche-vers-la-transformation-locale-des-ressources-minieres

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  70. Crise économique : Vague de faillites pour les PME-ETI françaises


    le 17 octobre 2024 - 09:50


    Cette année, alors que les faillites explosent, ce sont les PME et ETI qui s’effondrent les premières. Le "retour à la normale" qui était promis pour le post-Covid est en train de s'envoler, car les conditions économiques asphyxiantes d'aujourd'hui ne laissent que peu de chances à ces entreprises et menacent l'emploi de quelque 250 000 personnes. À tel point que les acteurs de la restructuration peinent à voir le bout du tunnel, et craignent une crise aussi importante que celle des subprimes de 2009.

    Derrière des chiffres alarmants, c'est le cœur même de l'économie locale qui vacille. Des entreprises autrefois florissantes, comme Valeo ou SPI, sont aujourd'hui sur le fil du rasoir. "On voit des structures de plus en plus importantes qui ne peuvent plus faire face", constate Christian Bagnaud, président du tribunal de commerce du Mans. En 2024, le nombre de défaillances a bondi de 24 % par rapport à 2019, atteignant des niveaux comparables à la crise de 2009, selon les chiffres de BPCE. Une situation révélatrice d’une économie en décomposition silencieuse, loin du simple "retour à la normale" post-Covid.

    Les PME-ETI, autrefois considérées comme plus résilientes que les très petites entreprises, s'effondrent sous le poids des dettes accumulées pendant la pandémie et les crises successives. La France déplore "57 % d’augmentation des défaillances pour les PME-ETI contre 19 % pour les TPE", rappelle Alain Tourdjman, directeur des études chez BPCE. Comme l'explique Les Echos, ce retour à la réalité est rendu particulièrement difficile par la fin des aides publiques, une demande des ménages en berne et la hausse des charges fiscales.

    Sans surprise, l'emploi fait grise mine. "250 000 emplois sont menacés cette année, soit 43 % de plus qu'en 2019", ajoute Tourdjman. Derrière ces chiffres, ce sont des vies et des territoires entiers qui vacillent, particulièrement dans des régions comme l'Aquitaine, mais aussi l'Île-de-France. D'autres régions, comme les Hauts-de-France, résistent mieux. Si les prévisions de BPCE se réalisent, 2025 pourrait prolonger cette hémorragie avec une "marée haute" de défaillances, menaçant toujours plus l'emploi. Reste à voir ce que le nouveau gouvernement nous réserve pour redresser la barre.

    https://www.francesoir.fr/societe-economie/crise-economique-vague-de-faillites-pour-les-pme-eti-francaises

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    1. Avec l'impossibilité/l'interdiction pour l'employeur de choisir ses employés dans les milliers de 'réfugiés climatiques' devant la porte qui ne savent ni lire ni écrire... ajoutée à la 'taxe carbone' !! parce que l'être humain respire du gaz carbonique et le détruit dans ses poumons à 37°C, il ne peut donc l'expirer, additionnée de ses factures électrique arrivées des éoliennes et panneaux solaires !! et, et, et, etc !

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  71. Bill Gates milite en faveur de la monnaie numérique mondiale et de l’eID


    18 octobre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le cofondateur de Microsoft, Bill Gates, exhorte les gouvernements à adopter le nouveau système mondial de monnaie numérique et d'identification réclamé par le Forum économique mondial (WEF). Gates et sa fondation doublent leur soutien à l'infrastructure publique numérique (DPI).

    DPI prend en charge à la fois les identifications numériques et les paiements et est soutenu par le WEF, l'UE et l'ONU. Gates exhorte désormais les gouvernements du monde entier à adopter le DPI alors que les organisations mondialistes prévoient de faire passer les paiements et les cartes d'identité vers un système entièrement numérique à l'échelle mondiale.

    Le milliardaire a exposé ses idées pour le DPI mondial dans un nouveau billet de blog . Les deux phrases résument le mieux le point de vue de Gates :

    J'ai pu constater par moi-même comment le DPI révolutionne la façon dont des nations entières subviennent aux besoins de leur population, répondent aux crises et développent leur économie. Et à la Fondation Gates, nous considérons cela comme un élément important de nos efforts pour sauver des vies et lutter contre la pauvreté dans les pays pauvres.

    Ce que j’aime le plus, c’est son affirmation selon laquelle ses efforts « sauveront des vies et combattront la pauvreté ». Gates a acheté des actions BioNTech pour 55 millions en septembre 2019 et les a revendues six fois plus en novembre 2021. C'est presque comme si Gates savait que Covid-19 arrivait, et il savait également que les vaccins n'avaient jamais été destinés à empêcher la transmission, mais qu'ils avaient tué des dizaines de millions de personnes et provoqué des effets secondaires durables chez des centaines.

    Aujourd’hui, l’oligarque tente une fois de plus de se présenter comme un visionnaire. Gates a félicité plusieurs « pays en développement » du tiers monde pour avoir testé le DPI sur leurs citoyens. Il a révélé que le système avait déjà été testé en Inde , au Kenya , au Brésil et au Togo « pour le reste du monde ».

    Les mondialistes font pression pour que l’IPD soit largement déployée dans le monde entier d’ici 2030 , apparemment pour lutter contre le « changement climatique ».

    L’une des principales critiques formulées à l’encontre des cartes d’identité et des paiements numériques est qu’elles entraîneront une surveillance numérique « accrue » par le gouvernement, privant ainsi les citoyens de leur pouvoir. Beaucoup ont également exprimé leurs inquiétudes quant à l’adoption précipitée de cette technologie.

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  72. Cependant, Gates ne partage pas ces préoccupations et s’engage fermement à présenter le DPI au grand public. Selon Gates, les citoyens ne devraient pas avoir peur de la surveillance gouvernementale car un DPI « correctement conçu » « améliorera » en réalité la vie privée.

    Il affirme que le DPI contient des « garanties » sur lesquelles il n’a pas donné de détails.

    Gates discute également des avantages de la plateforme modulaire d'identité open source (MOSIP). MOSIP est un outil mondial d'identification numérique soutenu par la Fondation Gates.

    Cependant, MOSIP est un autre point de discorde concernant la confidentialité. Cependant, le MOSIP était l'un des acteurs clés du Sommet mondial DPI 2024, qui s'est récemment tenu en Égypte.

    Outre les responsables du MOSIP, la Banque mondiale, l'agence de développement des Nations Unies, le PNUD, et le mondialiste Tony Blair Institute ont également participé à l'événement. L'événement a fourni une nouvelle opportunité à ces organisations de plaider en faveur de l'adoption mondiale de l'IPD d'ici 2030. De plus, les organisations se sont engagées à œuvrer pour accélérer ce processus.

    Le MOSIP a présenté sa plateforme d'identité lors du sommet. Dans le même temps, elle a souligné que l’objectif de l’identité numérique et des paiements est d’améliorer l’accessibilité de l’identification, « en particulier pour les pays en développement ».

    La plateforme est déjà utilisée en Éthiopie, au Maroc et au Sri Lanka. Parallèlement, la Banque mondiale a annoncé qu'elle lancerait bientôt son propre programme mondial d'infrastructure publique numérique (DPI).

    https://tkp.at/2024/10/18/bill-gates-draengt-auf-globales-digitales-geld-und-eid/

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  73. l’UE est l’ancien modèle soviétique présenté sous un habit occidental.


    le 17 octobre 2024
    par pgibertie

    » De la même manière que l’URSS, « union inaltérable de républiques libres » comme le proclamait l’hymne soviétique, fut créée jadis pour apporter le bonheur à l’humanité, une nouvelle Union hégémonique tente de voir le jour sur le continent européen.

    Comme son prédécesseur soviétique, elle affiche de vertueux principes de liberté, de progrès, de droits de l’homme. Et comme son prédécesseur soviétique, elle emploie les mêmes arguments spécieux pour assurer sa pérennité et discréditer toute critique. «

    Preuves à l’appui, cet ouvrage décapant nous explique comment, sous l’influence des idées et des dirigeants socialistes, la CEE s’est transformée, d’une simple union économique, en un nouveau monstre bureaucratique construit selon les mêmes principes qui ont fondé l’URSS.


    Vladimir Bukovsky à propos de l’Union européenne : « J’ai vécu votre avenir et cela n’a pas fonctionné. »

    Vladimir Konstantinovitch Boukovski ou Boukovsky (en russe : Владимир Константинович Буковский), né le 30 décembre 1942 à Belebeï et mort le 27 octobre 2019 à Cambridge (Royaume-Uni)1, est un écrivain, défenseur des droits de l’homme et ancien dissident soviétique naturalisé britannique qui a passé douze ans de sa vie emprisonné (camp Perm-36, prison, hôpital psychiatrique).

    Il est le premier à dénoncer l’utilisation de l’emprisonnement psychiatrique contre les prisonniers politiques en URSS. En 1976, il est échangé contre le dirigeant communiste chilien Luis Corvalán.

    « Il me semble incompréhensible que, après l’enterrement d’un monstre, l’Union Soviétique, un autre monstre tout aussi remarquable, l’Union Européenne, soit en train de se construire.

    Qu’est-ce que l’Union Européenne exactement ? Peut-être qu’en examinant la Russie Soviétique, nous pourrions obtenir une réponse.

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  74. L’Union Soviétique était gouvernée par 15 hommes non élus, qui se désignaient mutuellement et ne rendaient compte à personne.

    L’Union Européenne est gouvernée par 20 hommes qui se nomment eux-mêmes, se rencontrent en secret et ne répondent à personne, et que nous ne pouvons pas destituer. On pourrait dire que l’UE a un parlement élu. Eh bien, l’Union Soviétique avait aussi son parlement, le Soviet Suprême. La même étiquette s’applique au Soviet Suprême, et le temps de parole est limité, chaque eurodéputé ayant environ une minute.

    Dans l’UE, il y a des centaines de milliers de bureaucrates avec des salaires énormes, ainsi que de nombreux serviteurs, des primes et des privilèges, une immunité à vie contre toute forme de persécution, étant simplement déplacés d’un poste à un autre, peu importe ce qu’ils ont fait ou n’ont pas réussi à faire. N’est-ce pas exactement ce que faisait le régime soviétique ?

    L’Union Soviétique a été créée par la force et souvent par occupation militaire. L’Union Européenne n’a pas été créée par la force militaire, mais certainement par la force et les abus économiques. Pour continuer à exister, l’Union Soviétique s’est constamment étendue.

    Au moment où elle a cessé de s’étendre, elle a commencé à s’effondrer. Et je soupçonne que cela est également vrai pour l’Union Européenne. On nous a dit que le but de l’Union Soviétique était de créer une nouvelle entité historique, le peuple soviétique, et que nous devions oublier notre nationalité, nos traditions ethniques, nos coutumes.

    Les mêmes choses semblent être vraies pour l’Union Européenne. Ils ne veulent pas que vous soyez britanniques ou français, ils veulent que vous soyez tous une nouvelle entité historique, des Européens, que vous réprimiez tous vos sentiments nationaux et que vous viviez comme une communauté multinationale.

    Après 73 ans, le même système dans l’Union Soviétique a abouti à plus de conflits ethniques que n’importe où ailleurs dans le monde. Dans l’Union Soviétique, l’un des principaux objectifs était la destruction de l’État-nation.

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  75. Et c’est exactement ce que nous observons dans l’Union Européenne aujourd’hui. Bruxelles veut absorber les États-nations afin que ces nations cessent d’exister.

    La corruption était omniprésente dans le système soviétique, du sommet à la base, et c’est aussi le cas dans l’UE. La même activité de corruption endémique qui imprégnait l’ensemble de l’Union Soviétique existe dans l’UE. Ceux qui s’y opposent ou qui la dénoncent sont réduits au silence ou punis. Cela n’a pas changé.

    Dans l’Union Soviétique, nous avions le Goulag. Je crois que nous avons un Goulag dans l’Union Européenne aussi. Un Goulag intellectuel connu sous le nom de correction politique. Lorsque quelqu’un essaie de dire ce qu’il pense, sur des questions de race ou de sexe, ou si ses idées diffèrent de celles approuvées, il sera ostracisé. C’est le début du Goulag, le début de la perte de votre liberté ! Dans l’Union Soviétique, on nous disait que nous avions besoin d’un État fédéral pour éviter la guerre. Dans l’Union Européenne, on vous dit exactement la même chose.

    En résumé, la même idéologie, l’UE est l’ancien modèle soviétique présenté sous un habit occidental.

    https://pgibertie.com/2024/10/17/lue-est-lancien-modele-sovietique-presente-sous-un-habit-occidental/

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  76. Seuls les idiots, à ce stade, font encore confiance aux principaux médias d’information américains.


    Par Eric Zuesse
    Eric’s Substack
    17 octobre 2024


    Avant l’invasion honteuse, illégale, destructrice et maléfique de l’Irak par les États-Unis le 20 mars 2003, tous les principaux médias américains ont diffusé sans discernement les mensonges de la Maison Blanche contre l’Irak et Saddam Hussein, aucune de ces organisations de propagande n’a rapporté les vérités cruciales clairement établies mais non rendues publiques. Après que la fausseté des allégations de la Maison Blanche soit devenue non crédible, même pour la plupart du public américain fortement trompé, l’excuse du gouvernement américain est devenue que tout cela était dû à des « échecs du renseignement » (et les « historiens » américains et alliés continuent à ce jour à diffuser ce mensonge), mais ce n’était là rien de plus qu’un mensonge flagrant. Tout cela est parfaitement documenté ICI. (C’est mon article sur l’affaire irakienne, qui renvoie à toutes ses preuves.) Depuis lors, je sais avec certitude que je vis sous une dictature – même l’affirmation selon laquelle l’Amérique est une démocratie n’est plus vraie (si elle l’a jamais été) – et que ce gouvernement viole régulièrement la Constitution américaine, en toute impunité.

    Depuis lors, j’ai observé à maintes reprises la même chose sur de nombreux autres sujets. Tous ces mensonges ont atteint leur paroxysme avec les canulars barbares des gouvernements américain et alliés selon lesquels l’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février 2022 était une « agression » et « non provoquée », au lieu d’avoir été une invasion imposée à la Russie par les États-Unis et leurs alliés – imposée à la Russie, qui ne faisait que ce qu’elle DEVAIT faire pour protéger sa propre sécurité nationale contre l’empire américain (jusque-là) en constante expansion, voire cancéreux. Tout cela est entièrement documenté ICI.

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  77. Le dernier épisode majeur de ce canular antirusse est raconté et décrit avec véracité dans la vidéo suivante, une discussion de 20 minutes qui inclut Alexander Mercouris, l’un des plus grands journalistes d’investigation, et dont je suis les nombreuses vidéos depuis des années, je n’ai jamais trouvé de fausses allégations – ce qui est un record absolument extraordinaire :

    « Woodward ‘WAR’, Biden a regardé en bas la menace nucléaire de Poutine »

    14 octobre 2024 (également disponible sur YouTube mais avec des publicités interrompues)

    Je pourrais également ajouter ici que si vous pensez que Mercouris lit à partir d’un téléprompteur, car PERSONNE ne peut avoir une mémoire totale AUSSI grande et avoir à la fois des cartes et des chronologies, et pas seulement des événements, à portée de main et logiquement interconnectés dans sa tête, de manière à pouvoir dire le jour même d’un événement historique, ce qui s’est passé et pourquoi, c’est ainsi qu’il est : il n’a pas besoin de regarder des notes ou un script préparé pour pouvoir pour faire ce qu'il fait. C'est un grand historien, et pas SEULEMENT un grand journaliste d'investigation. C'est un authentique phénomène - qu'aucun des médias américains et alliés ne voudrait jamais embaucher (parce qu'il est trop honnête, trop compétent et trop perspicace pour qu'aucun d'entre eux ne veuille l'embaucher).

    Le 14 octobre, l’un des principaux journaux de la colonie américaine du Royaume-Uni, l’Independent, titrait aussi ennuyeux que possible un certain nombre d’articles d’actualités supposément mineurs sur la guerre en Ukraine : « Dernières nouvelles Ukraine-Russie : le Kremlin accuse l’OTAN d’attiser les tensions nucléaires lors d’un exercice avec 2 000 soldats lancés », y compris un article de presse majeur et en réalité inquiétant, selon lequel Friedrich Merz, qui est largement pressenti pour être le prochain dirigeant de l’Allemagne (et l’Allemagne est la plus grande colonie américaine, avec 231 bases militaires américaines), avait critiqué l’actuel dirigeant allemand Olaf Scholz, pour NE PAS avoir transgressé la ligne rouge déclarée par la Russie selon laquelle si une nation de l’OTAN permet à l’Ukraine d’utiliser les missiles donnés par cette nation afin de frapper suffisamment profondément en Russie pour menacer de décapiter le commandement central de la Russie au Kremlin, alors la Russie n’attendra pas mais détruira rapidement non seulement l’Ukraine mais cette nation et tous ceux (comme l’Amérique) qui lui ont permis d’accorder cette permission à l’Ukraine. Merz a déclaré qu’il « fournirait [à l’Ukraine] des missiles Taurus. Ensuite, ce sera au président russe Vladimir Poutine de décider jusqu’où il veut intensifier cette guerre », selon N-TV (une chaîne regardée par seulement 1 % du public allemand). En d’autres termes : tout comme aux États-Unis, la gagnante attendue de la Maison Blanche, Kamala Harris, n’est pas connue du peuple américain pour vouloir forcer la Russie à déclencher la troisième guerre mondiale, il en va de même dans la plus grande colonie du régime américain.

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  78. Cette fois, ce n’est pas seulement l’Irak, etc., que le régime américain veut conquérir, mais la Russie elle-même. Et la Russie a déjà clairement fait savoir qu’elle ne permettrait pas que cela se produise. La Russie ne joue pas au « poulet » avec l’Amérique, et elle ne joue pas non plus au chat et à la souris avec elle. Contrairement au régime américain, elle n’a aucun intérêt à conquérir le monde entier, mais elle a non seulement un intérêt, mais une détermination, à rester un pays souverain et indépendant sur son propre territoire, même s’il doit conquérir une colonie que les États-Unis ont saisie (en 2014), afin de se protéger du régime américain. C’est un fait dont presque personne dans l’empire américain ne parle.

    PS : Si vous aimez cet article, envoyez-le par e-mail à tous vos amis ou faites-le savoir aux autres. Aucun des médias d’information américains et alliés ne le publiera probablement (ni ne fera de lien vers lui, car cela pourrait également leur nuire avec Google ou autre). Je ne demande pas d’argent, mais je demande à mes lecteurs de diffuser mes articles partout, car je me spécialise dans la documentation de ce que l’État profond cache constamment. C’est en fait le samizdat d’aujourd’hui.

    Reprinted with the author’s permission.

    https://www.lewrockwell.com/2024/10/no_author/only-idiots-at-this-stage-still-trust-any-mainstream-american-news-media/

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  79. En ce qui concerne les rapports sur le règlement de censure européen DSA, l'Allemagne est le champion de la censure


    17 octobre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Au fond, on peut supposer que ceux qui ont besoin d’être censurés sont ceux qui ont quelque chose à cacher. C’est pourquoi des organisations mondialistes telles que l’UE, l’OMS, l’ONU, le WEF et autres appellent à davantage de restrictions à la liberté d’expression.

    Récemment, des lecteurs du TKP ont rapporté que Facebook avait supprimé en une minute la publication de notre article sur la conférence du professeur émérite du MIT Richard Lindzen, donnée au groupe de réflexion hongrois MCC à Bruxelles. Pour le complexe financier numérique – composé de grandes banques, de gestionnaires d’actifs, d’ONG milliardaires, de Google, Facebook, Amazon, Microsoft, Oracle, Apple, etc. – il est important que les causes du changement climatique ne soient pas présentées de manière scientifiquement correcte. Tout ce qui expose le prétendu gaz carbonique d’origine humaine pour ce qu’il est, à savoir un non-sens, doit être massivement combattu et supprimé. Il est intéressant de voir comment le pouvoir de l’État et le pouvoir des entreprises coopèrent et fusionnent très étroitement. C’est aussi ainsi que sont financés les « fact checkers » comme Correctiv. Benito Mussolini a qualifié cette fusion de fascisme.

    Mais revenons à la loi sur les services numériques (DSA) et aux rapports allemands. X, la soi-disant « plateforme pour la liberté d’expression », fournit aux gouvernements des États membres de l’UE des informations sur les utilisateurs de la plateforme non seulement en ce qui concerne les expressions « illégales » – et la législation nationale des pays de l’UE couvre désormais de nombreux « délits d’expression » – mais aussi avec des déclarations juridiques considérées comme « préjudiciables ». C’est là la véritable innovation du règlement européen sur les services numériques (DSA) : il crée une obligation pour les plateformes de prendre des mesures sous forme de « modération des contenus » non seulement contre les contenus illégaux, mais aussi contre les contenus prétendument « nuisibles » comme la « désinformation ». ».

    Sans surprise, au cours de la période couverte par le dernier « rapport de transparence » de X à l'UE sur ses efforts de « modération de contenu », près de 90 % des demandes d'informations sur les créateurs de contenus prétendument « illégaux ou préjudiciables » n'étaient adressées qu'à un seul pays : Allemagne:

    - voir cadre sur site -

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  80. Celui d'Elon Musk Ces mesures peuvent inclure la suppression ou le géoblocage (« retenue ») du contenu. Cependant, comme le montrent clairement les « options d’application » liées dans le rapport , elles peuvent également inclure diverses formes de « filtrage de la visibilité » ou de limitation de l’engagement. Selon le rapport, des mesures ont été prises contre 226 350 entrées au cours de la période considérée, les mesures en question étant qualifiées de « suppression » ou de « retenue » dans seulement moins de la moitié des cas.

    Ce filtrage de visibilité est appliqué avec succès au compte X de TKP . Bien que notre compte soit actuellement suivi par 8 135 X utilisateurs, nos publications ne reçoivent généralement que 150 à 500 contacts. Vous pouvez certainement voir nos publications sur GETTR et Telegram .

    Ici aussi, l'Allemagne arrive en tête du classement, ayant soumis à X 42 % de tous les signalements de « déclarations illégales ou préjudiciables » et près de 50 % des signalements des États membres. L’Allemagne a soumis presque deux fois plus de rapports que n’importe quel autre État membre – la France arrive loin derrière – et plus de dix fois plus de rapports que l’Italie de taille comparable. La Commission européenne a soumis environ 15 % des rapports.

    - voir cadre sur site -

    Il convient également de noter que l'Allemagne a déposé de loin le plus grand nombre de rapports sur des contenus ayant un « impact négatif sur le discours public ou sur les élections », une autre catégorie de discours qui, bien que non illégale en soi, est illégale en vertu du régime DSA. nuisibles » suffisamment pour devoir être supprimés. Ainsi, même si le contenu n’est pas illégal en soi, il serait illégal pour les plateformes de ne pas le supprimer en vertu du DSA. Cette ambiguïté est au cœur du régime de censure des DSA. L'Allemagne a soumis bien plus de la moitié de tous ces rapports et plus de 60 % des rapports des États membres. Cela montre comment le DSA devient un moyen d’influencer les élections dans l’intérêt de ceux qui sont au pouvoir. Surtout quand ceux-ci bénéficient de peu de soutien de la part des électeurs, comme c’est le cas du gouvernement des feux tricolores.

    Notons enfin, au moins en passant, que l’écrasante majorité de ces signalements et des « actions coercitives » associées concernent sans aucun doute des contenus en langue anglaise. Cela ressort clairement du fait que près de 90 % de « l’équipe de modération de contenu » de X est composée d’anglophones. La « langue principale » de 1 535 des 1 726 membres de l’équipe est l’anglais, comme le montre le tableau ci-dessous.

    - voir cadre sur site -

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  81. Mais pourquoi l’Allemagne ou l’UE devraient-elles être responsables du contenu en langue anglaise ? Bien entendu, les Allemands ne sont généralement pas de langue maternelle anglaise et seulement 1,5 % de l’ensemble de la population de l’UE a l’anglais comme langue maternelle.

    Deux choses ressortent clairement du « rapport de transparence » de X. Premièrement, la « plateforme de liberté d’expression » d’Elon Musk est tout sauf cela et consacre en fait d’énormes ressources, tant sous la forme de censeurs humains « formés » que de programmation, pour se conformer au régime de censure de l’UE. D’un autre côté, l’Allemagne est le maître incontesté de la censure en ligne au sein de l’UE – et donc sans aucun doute dans le monde entier.

    Un article d'hier dans Uncut News est également informatif . Il est rapporté que la chaîne d'information non coupée est de plus en plus censurée et est soumise à un shadowban sur Telegram et X. Si les utilisateurs recherchent la chaîne, ils ne pourront plus la trouver à moins qu'ils ne soient déjà membres. Le site internet n’apparaît plus dans les résultats de recherche sur Google, « ce qui nous rend quasiment invisibles. De plus, nos publications Telegram ne sont plus lisibles sur des sites Web externes, ce qui limite encore davantage notre portée. Nous touchons uniquement les nouveaux membres par le biais de recommandations directes ou en partageant nos publications. "

    Les suppressions et les blocages sont en partie dus à l'intervention du gouvernement, soit par le biais d'une législation de censure locale, soit par le biais du DSA de l'UE. Cependant, les shadow bans, le filtrage de la visibilité, l’utilisation de robots et autres mesures similaires sont des actions volontaires des entreprises numériques. Ainsi, le pouvoir de l’État et le pouvoir des entreprises s’unissent.

    https://tkp.at/2024/10/17/bei-meldungen-zu-eu-zensurverordnung-dsa-ist-deutschland-zensurchampion/

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  82. La désinformation : l'outil favori des démocrates et leur diffamation
    Les démocrates ont mené les plus grandes campagnes de désinformation de l'histoire américaine.


    JOHN LEAKE
    17 OCT. 2024


    Depuis l'élection de 2016, d'éminents démocrates tels que Hillary Clinton, Joe Biden, Kamala Harris et John Kerry déplorent de plus en plus ce qu'ils qualifient de prolifération dangereuse de « mésinformation » et de « désinformation » dans l'espace public.

    Le mot « mésinformation » est généralement défini comme une information erronée ou partiellement erronée résultant d'une erreur humaine involontaire.

    Le dictionnaire d'étymologie en ligne définit la « désinformation » comme suit :

    La diffusion d'informations délibérément fausses, en particulier « lorsqu’il est fourni par un gouvernement ou son agent à une puissance étrangère ou aux médias, dans l’intention d’influencer les politiques ou les opinions de ceux qui le reçoivent » [OED], 1955, du russe dezinformatsiya (1949), qui proviendrait du français désinformation, mais le mot français n’est pas aussi ancien que le russe.

    Le transfuge Ion Mihai Pacepa, ancien haut fonctionnaire de la police secrète roumaine, a affirmé que Joseph Staline avait inventé le terme, lui donnant un nom à consonance française pour prétendre qu’il avait une origine occidentale.

    Après la victoire de Trump à l’élection présidentielle de 2016, Hillary Clinton et le DNC ont lancé ce qui a peut-être été la plus grande campagne de désinformation de l’histoire américaine en affirmant que Donald Trump avait collaboré avec le président russe Vladimir Poutine pour manipuler l’électorat américain afin qu’il vote pour Trump.

    Bien que Clinton, le DNC, le cabinet d’avocats Perkins Coie et la société de « recherche sur l’opposition » Fusion GPS n’aient jamais produit aucune preuve de cette prétendue collusion, ils ont réussi à semant la peur, la division et la distraction depuis près de quatre ans.

    Une autre campagne de désinformation notable que nous documentons méticuleusement dans notre livre Le courage de faire face au COVID-19 : prévenir l’hospitalisation et la mort tout en combattant le complexe biopharmaceutique a été la campagne visant à supprimer les modalités de traitement précoce du COVID-19 telles que l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, les corticostéroïdes, les anticoagulants et les rinçages nasaux.

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  83. La suppression du traitement précoce – qui a probablement entraîné la mort inutile de centaines de milliers de personnes – a été réalisée afin de promouvoir la solution vaccinale monolithique à la pandémie.

    Afin de préparer le public à recevoir une nouvelle injection de thérapie génique développée à la hâte, le complexe biopharmaceutique a conditionné le peuple américain à croire que la solution vaccinale annoncée était la seule façon de revenir à la normale, comme l’a explicitement proclamé Bill Gates le 5 avril 2020 (voir sa déclaration dans la vidéo suivante).

    Aujourd’hui, à l’approche de l’élection présidentielle de 2024, les démocrates et leurs amis des médias grand public se lancent dans une nouvelle campagne de désinformation massive, qui consiste à accuser quiconque les critique, eux et leur politique, de « propager de la désinformation ».

    Bien que cela puisse paraître étrange et paradoxal, ce type de projection psychologique est fréquemment utilisé par les psychopathes afin de dérouter et de manipuler leurs victimes.

    https://petermcculloughmd.substack.com/p/disinformation-the-democrats-favorite?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=150354568&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=1fkpmf&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  84. Le plus beau mot du dictionnaire


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 16 OCTOBRE 2024 - 18:30
    Par Michael Every de Rabobank


    Donald Trump s'est entretenu hier pendant une heure avec le rédacteur en chef de Bloomberg, John Micklethwait. La conversation était principalement centrée sur l'économie, et Trump a joué les gros titres en décrivant le « tarif douanier » comme « le plus beau mot du dictionnaire ». Le commentaire de Trump est venu en réponse à une question sur l'impact de ses politiques sur la dette fédérale à la lumière de l'analyse du Congressional Budget Office, un organisme non partisan, qui a affirmé qu'une deuxième présidence Trump augmenterait la dette de 7,5 billions de dollars, tandis que le programme de Kamala Harris ajouterait 3,5 billions de dollars.

    Sous Trump Mk II, « nous allons construire un mur et le Mexique va le payer » est devenu « nous allons construire un mur tarifaire et tous les autres vont le payer ». Trump a repris la courbe de Laffer en suggérant qu’il était le seul candidat à avoir un plan de croissance et qu’une croissance plus forte, combinée aux tarifs douaniers, suffirait à financer des réductions d’impôts radicales alors que les entreprises cherchent à relocaliser leur production à l’intérieur des États-Unis.

    Q. Les politiques que vous proposez ruineraient l’économie et conduiraient à une augmentation de l’inhalation de fumée et à une dette de 7,5 billions de dollars. Même le WSJ conservateur le dit.

    Trump : « Que sait le Wall Street Journal ? Ils se sont trompés sur tout. Vous aussi. » pic.twitter.com/UPHb2LObaS
    — Republicans against Trump (@RpsAgainstTrump) October 15, 2024

    Pour illustrer son propos sur la beauté des tarifs douaniers, Trump a raconté une conversation qu’il a eue avec un dirigeant de l’industrie automobile au cours de laquelle il a affirmé que les projets d’usines automobiles à grande échelle au Mexique avaient été abandonnés une fois qu’il était devenu clair que Trump était en lice et compétitif dans la course à la Maison Blanche. « Si je dirige ce pays, je vais imposer un tarif de 100, 200, 1 000 %. Ils ne vendront pas une seule voiture aux États-Unis. » Le peso mexicain a rapidement chuté après ses commentaires.

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  85. L’Europe a également été critiquée, Trump se plaignant que les Européens traitent l’Amérique « très mal ». Il a souligné le peu de Chevrolet et de Ford vendues en Allemagne, alors que des « millions » de Volkswagen, BMW et Mercedes Benz sont présentes sur les routes américaines. Trump a affirmé que des tarifs douaniers élevés forceraient les constructeurs automobiles européens à délocaliser leur production aux États-Unis, ce qui semble opportun étant donné que l’Empire Manufacturing Survey a chuté de manière inattendue à -11,9 hier, contre +11,5 en septembre.

    Il ne fait aucun doute que le spectre d’une désindustrialisation forcée (nouvelle) due aux politiques commerciales mercantilistes fera froid dans le dos des industriels européens. Surtout à la lumière de l’annonce hier selon laquelle l’action du géant technologique néerlandais ASML a connu la plus forte baisse en un jour depuis 26 ans, après avoir manqué de près de 50 % les estimations de ventes au troisième trimestre. La forte chute d’ASML s’est répercutée sur les prix des fabricants de puces électroniques américains, aidant le S&P500 à terminer la journée en baisse de 0,75 % tandis que le NASDAQ a chuté de 1 %.

    Alors que l’ancien président Trump parlait des tarifs douaniers avec Bloomberg, la vice-présidente Harris a accordé une longue interview radio à Charlamagne Tha God. Les sondages suggèrent que la campagne de Harris a perdu du terrain ces derniers jours, en particulier auprès des électeurs masculins, et le modèle de prédiction des résultats des élections de Nate Silver voit désormais la course à égalité à 50-50. Les marchés des paris ont commencé à prendre en compte l’élan de Trump un peu plus tôt, et indiquent maintenant que Trump est le plus susceptible d’être le prochain président.

    L’interview de Harris avec Charlamagne Tha God était probablement destinée à cibler l’importante tranche démographique masculine afro-américaine et a abordé des questions telles que le soutien de Harris à la légalisation de la marijuana récréative, le fait que Donald Trump soit ou non un fasciste (Harris dit qu’il l’est) et, de manière sensationnelle, le concept de paiements de réparation pour les Afro-Américains à propos duquel Harris dit « qu’il faut l’étudier. Cela ne fait aucun doute. » Vraisemblablement, le coût des paiements de réparation n’est pas pris en compte dans l’estimation de 3,5 billions de dollars du CBO de l’impact des politiques de Harris sur la dette nationale.

    Kamala dit qu’elle est ouverte aux réparations financées par les contribuables pour l’esclavage. Chaque interview qu’elle fait est un désastre. pic.twitter.com/kq51kHSlK2
    — Clay Travis (@ClayTravis) 15 octobre 2024

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  86. A l'approche de la date des élections du 5 novembre, la courbe des bons du Trésor a atténué la raideur qui avait été caractéristique de septembre, les rendements à long terme ayant bondi après la baisse des taux de 50 pb de la Fed. L'aplatissement récent est principalement dû à la hausse des rendements à court terme, l'exubérance concernant les baisses de taux potentielles s'étant heurtée à des chiffres de l'emploi et de l'IPC plus élevés que prévu au cours des deux dernières semaines. Les rendements ont terminé en baisse sur toute la ligne hier, le segment à court terme continuant de surperformer.

    La présidente de la Fed de San Francisco, Mary Daly, a profité des chiffres positifs de la Fed pour annoncer que la Fed pourrait renoncer à une baisse de taux lors de l’une des deux réunions restantes de l’année. Cela contraste avec les indications claires de Jerome Powell lors de la conférence NABE de fin septembre, où il a suggéré que la Fed allait probablement réduire de 25 points de base à chaque réunion. Trump n’est toujours pas impressionné par la maîtrise de la politique monétaire du président de la Fed, déclarant à Bloomberg que « c’est le plus beau travail du gouvernement. Vous vous présentez au bureau une fois par mois et vous dites « tirons à pile ou face » et tout le monde parle de vous comme si vous étiez un Dieu ».

    Alors que les paris sur le rythme des baisses aux États-Unis sont réduits, l’impulsion de l’inflation semble s’atténuer rapidement presque partout ailleurs. L’IPC de septembre en France a été révisé à la baisse d’un point pour atteindre 1,4 % en glissement annuel, l’IPC canadien de septembre a été inférieur de deux points aux attentes pour s’établir à 1,6 % en glissement annuel (augmentant les chances d’une baisse de 50 pb de la part de la BOC la semaine prochaine) et l’IPC néo-zélandais du troisième trimestre a également été légèrement plus faible que prévu, ramenant le taux annuel global à seulement 2,2 %.

    Lorsqu’on lui a demandé si les chiffres faibles de l’IPC pourraient inciter la RBNZ à réduire ses taux de 75 pb en novembre, la gouverneure adjointe Karen Silk a soigneusement évité de répondre à la question.

    « Tarifs » est peut-être le plus beau mot du dictionnaire, mais sur les marchés financiers, les plus beaux mots restent « baisse des taux » !

    https://www.zerohedge.com/economics/most-beautiful-word-dictionary

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  87. Zembla, une émission de télévision néerlandaise et l'interminable glyphystérie


    18 Octobre 2024


    Comment un documentaire d'actualité néerlandais a enfreint toutes les règles de la décence
    David Zaruk, the Firebreak*

    Lundi dernier [30 septembre 2024], les téléspectateurs néerlandais ont pu se divertir avec un documentaire intitulé « Glyphosate, the PR Machine » (glyphosate, la machine à relations publiques). Ce documentaire avait pour but de montrer que le monde entier a été dupé par les experts en relations publiques de Monsanto. Peu importe que Monsanto n'existe plus depuis huit ans, que la plupart des affirmations soient sans fondement ou que le tournage, la musique et le ton soient destinés à vous tromper et à vous empêcher d'effectuer des analyses claires et critiques. L'objectif de ce journalisme de choc était de vous mettre en colère, de vous faire perdre confiance dans l'industrie et les gouvernements et d'exiger des changements.

    L'émission, qui ressemblait davantage à un lobotomentaire militant, a été produite par Ton van der Ham pour Zembla et diffusée sur la chaîne néerlandaise Vara (qui fait partie du réseau de radiodiffusion publique Nederlandse Publieke Omroep – NPO) le 30 septembre 2024.

    La fabrique du doute

    Tout a commencé avec Naomi Oreskes qui affirme, avec son sourire suffisant et chafouin : « Ce n'est pas si difficile de trouver des scientifiques pour faire votre sale boulot ». C'est ce que dit une professeure d'histoire des sciences qui a fait le sale boulot pour des cabinets d'avocats comme Sher Edling et a été payée pour leurs procès contre l'industrie des combustibles fossiles.

    Le beau jardin de Naomi

    L'émission s'est fortement appuyée sur le point de vue de Jennifer Moore, une avocate qui poursuit Monsanto. Elle a tenté d'en faire un combat de David contre Goliath, avec l'argument que deux femmes, luttent, seules, sans cesse, contre « 40 avocats de Monsanto dans une salle d'audience ». Vraiment ? J'aimerais bien voir une photo et savoir quel genre de juge permettrait à autant de loups de se relayer à la barre. Van der Ham n'a pas donné suite à cette affirmation scandaleuse, mais lui a accordé une confiance aveugle puisque, enfin voyons... c'est du sensationnel.

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  88. La conclusion de Moore, selon laquelle « e règlement de 11 milliards de dollars par Bayer est une preuve suffisante qu'ils savaient que leur produit était dangereux », est naïve et surprenante pour quelqu'un qui est censé être une avocate de haut niveau bien formée ; van der Ham n'a pas abordé l'assaut incessant des avocats américains avides de gains de la responsabilité civile qui payent des scientifiques du CIRC et des ONG pour fabriquer le récit que « le glyphosate est un agent cancérigène ». Où est passé le règlement de 11 milliards de dollars ? Il n'est pas allé aux plaignants. van der Ham aurait dû regarder de plus près les énormes diamants sur les doigts de Jennifer Moore.

    Oreskes met en avant son thème de Merchants of Doubt (2010) pour montrer comment l'industrie du tabac a semé le doute sur la science des risques du tabagisme. Mais ce qu'elle et quelques autres personnes issues des sciences molles tentent de faire, c'est de semer le doute sur la position scientifique largement répandue selon laquelle le glyphosate n'est pas cancérigène. Le doute est le produit d'Oreskes et elle le pousse à fond.

    L'ancien directeur du programme des monographies du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), Kurt Straif, a qualifié l'attaque de Monsanto de plus longue attaque jamais menée contre le CIRC – « plus que la consommation de tabac ou de viande... ». Ce qu'il n'a pas révélé, c'est que ce sont lui et son agence qui ont attaqué agressivement tous ceux qui osaient remettre en question les méthodes ou les conclusions du CIRC. Il a prétendu être intimidé par les avocats de Monsanto qui voulaient obtenir des documents internes du CIRC, mais c'est le CIRC qui a ordonné à tous les scientifiques du groupe de la monographie 112 (qui incluait le glyphosate) de refuser de coopérer à toute demande de ce type ou à toute demande au titre de la loi sur la liberté de l'information (FOIA). En d'autres termes, Kurt Straif a refusé d'être transparent.

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  89. Le Gary Ruskin Show

    L'attention des journalistes s'est ensuite portée sur Gary Ruskin, fondateur de l'association US Right to Know et militant de longue date contre les OGM. Son premier commentaire a été une avalanche de mensonges et d'affirmations infondées. Non seulement Monsanto savait que le glyphosate était cancérigène, affirme-t-il avec assurance, mais il provoque également des maladies du foie, est un perturbateur endocrinien « et d'autres choses ». Des preuves, s'il vous plaît !

    Van der Ham a laissé Ruskin raconter comment Monsanto a obtenu d'un scientifique qu'il écrive pour eux. Il n'a pas demandé à Ruskin combien d'universitaires il avait lui-même financés pour qu'ils écrivent des articles pour US Right to Know (ironiquement sur la façon dont Coca-Cola utilise des universitaires pour publier des articles favorables). Il a reçu 300.000 dollars de la Fondation Arnold pour tenter de dénigrer Coca-Cola dans des revues à comité de lecture. Qu'a dit Oreskes ? Ah oui : « Ce n'est pas si difficile de trouver des scientifiques pour faire votre sale boulot ».

    Pendant une grande partie du lobotomentaire, Ruskin a écrit son propre scénario et Ton van der Ham a été complice de sa mise en œuvre. Il a dit que le travail de Reuters était du journalisme bâclé (sans donner de détails) ou que le Genetic Literacy Project était un site extrêmement influent pour l'industrie (sans se pencher sur ses finances ou ses effectifs). Quelqu'un n'aurait-il pas dû mentionner que l'un des articles de Kate Kelland qu'ils ont attaqué avait remporté un prix mondial de journalisme scientifique ?

    Les propos du militant anti-industrie n'ont fait l'objet d'aucun examen approfondi ; aucune recherche n'a été effectuée sur l'argent russe qui se cache derrière US Right to Know ou sur ce qu'il pense réellement des vaccins. La plupart des financements de Gary sont cachés derrière des fonds affectés de donateurs non transparents ; je suppose donc que nous n'avons pas le droit de savoir.

    Est-ce le meilleur de ce que les médias néerlandais puissent trouver pour un tel programme d'information ?

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  90. Zélotes cosmopolites

    Le portrait que fait van der Ham d'un agriculteur californien utilisant du glyphosate est honteux. Une musique sinistre encadrait une courte image d'eau s'écoulant d'une buse de pulvérisation à la fin d'un traitement, comme pour laisser entendre qu'elle s'écoulait négligemment. L'agriculteur avait un accent local prononcé qui, pour l'élite néerlandaise sophistiquée (c'est-à-dire les verts urbains), se traduisait par « pas très malin ». Le pauvre agriculteur pensait sincèrement qu'il était utile et instructif, alors qu'il n'a fait que participer à la stratégie de dénigrement de Ton van der Ham. Dans une autre prise de vue par drone, ils ont montré un tracteur avec un pulvérisateur près d'une route de campagne, alors qu'une voiture passait par là.

    Il y a eu un moment insidieux dans le lobotomentaire de Zembla, lorsque des étudiants de l'Université de Leiden ont reçu des extraits d'auditions de commissions néerlandaises sur le glyphosate, extraits que l'on a cyniquement catégorisés comme un exercice de propagande. Non seulement le système éducatif néerlandais est devenu un endoctrinement, mais il semble qu'il n'ait que faire de la pensée critique. En mettant en avant certains arguments bien exprimés par l'agriculteur néerlandais Michiel van Andel, ces étudiants innocents ont suivi l'exemple de leur professeur et ont allègrement rejeté son raisonnement en arguant que les commentaires de van Andel sur le glyphosate ont un classement Twitter (X) élevé. Une musique plus sinistre en arrière-plan encadrait le rabaissement de ce que pensent des agriculteurs. J'aimerais bien inventer tout ça.

    Oreskes affirme ensuite, de manière incroyable, que l'industrie recrute des agriculteurs pour leur faire croire qu'ils ont besoin de pesticides. Mais où est la preuve de ce recrutement ? Cela fait plus de dix ans que je dis que les agriculteurs doivent se lever et se battre pour pouvoir continuer à exercer leur métier, car l'industrie ne les protège pas. L'industrie agit constamment contre les intérêts des agriculteurs. Enfin, cette année, ils se sont levés, seuls, et les gens les ont écoutés, à juste titre.

    Une fanatique cosmopolite comme Naomi Oreskes n'a absolument aucune idée de l'origine de sa nourriture.

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  91. Un scientifique emmené à l'abattoir

    En ce qui concerne la science du glyphosate, l'attention s'est portée sur un scientifique âgé et insignifiant, Kenny Crump, qui n'intervient que très peu dans la littérature. Son nom a été communiqué au journaliste par Oreskes parce qu'il avait également publié sur d'autres sujets, du diesel à l'amiante, mais ils se sont concentrés sur un article sans grand intérêt comme s'il signifiait quelque chose. Ce qu'ils ont fait, c'est mettre devant la caméra une vieille caricature d'homme sans méfiance, puis le malmener jusqu'à ce qu'il bégaie et tremble (en amplifiant le son à un moment donné pour capter le cliquetis de la glace dans son verre). Van der Ham a utilisé des mots comme « sûr » et « certain » en sachant qu'aucun scientifique respectable ne pourrait utiliser de tels absolus fondés sur l'émotion à propos de quelque substance que ce soit. Il s'agit là d'un journalisme de goujat, d'une manipulation et d'un harcèlement honteux.

    van der Ham a en quelque sorte ignoré les 2.400 documents que l'EFSA avait examinés pour conclure, sur 180.000 pages, que le glyphosate n'était pas cancérigène. Lorsque, dans un moment d'intense satisfaction, il a évoqué le fait que Crump avait témoigné contre rémunération il y a plusieurs décennies dans une affaire d'amiante, van der Ham a négligé de mentionner le nombre de scientifiques du CIRC ayant participé à la monographie sur le glyphosate qui ont été payés par des avocats spécialisés dans la responsabilité civile (au moins 500 dollars de l'heure) pour témoigner contre Monsanto. Quel hypocrite sans cœur !

    Pathétique et partial

    À la fin de cet affreux Ersatz de journalisme, je me suis demandé ce qui manquait à ce qui aurait pu être une analyse objective :

    Une véritable recherche crédible aurait été la bienvenue.

    Aucun scientifique des agences gouvernementales d'évaluation des risques n'a expliqué pourquoi elles n'acceptaient pas la science militante qui sous-tend l'évaluation des risques du CIRC.

    Il n'y a pas eu de critiques du business américain du droit de la responsabilité civile expliquant comment il a investi massivement dans la fabrication de cette campagne en suivant le La Jolla Playbook de Naomi Oreskes.

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  92. Aucune mention n'a été faite de la façon dont le CIRC a commis plus de 30 transgressions des normes scientifiques et des pratiques éthiques dans la seule monographie du glyphosate.

    J'aurais aimé que les écoles de journalisme utilisent ce programme particulier comme étude de cas pour enseigner aux étudiants ce qu'il ne faut pas faire. Mais on n'enseigne plus guère le journalisme dans les universités. Nous n'avons plus que des activistes qui cherchent à obtenir de plus grands microphones et qui se font passer pour des journalistes. Il semble que Zembla n'ait même pas de rédacteur en chef sérieux.

    Le doute est le produit de Ton van der Ham, et il l'a produit de manière spectaculaire.

    ________________

    * Source : Zembla and the Never-Ending Glyphysteria Show (thefirebreak.org)

    https://seppi.over-blog.com/2024/10/zembla-une-emission-de-television-neerlandaise-et-l-interminable-glyphysterie.html

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  93. Pour Paul Leroy-Beaulieu, le collectivisme est une erreur intellectuelle


    Marius-Joseph Marchetti
    29 août 2024


    Le collectivisme tel que défini par Schäffle

    Le collectivisme, tel que défini par Albert Schäffle, repose sur l’idée de la propriété collective des moyens de production, en opposition à la propriété privée.

    Dans ce système, les biens-fonds, les ateliers, les machines et tout l’outillage nécessaire à la production seraient détenus collectivement par la société, plutôt que par des individus ou des entreprises privées. La concurrence capitaliste, avec ses dynamiques de marché, serait remplacée par une organisation sociale du travail centralisée, où la production serait planifiée et dirigée par des entités publiques ou corporatives.

    Schäffle tente de distinguer le collectivisme du communisme, en soulignant que le collectivisme n’abolit pas entièrement la richesse individuelle. Si la propriété privée des moyens de production est supprimée, celle des moyens de consommation est, en revanche, respectée. De plus, le collectivisme propose une forme de répartition des produits basée non seulement sur la quantité, mais aussi sur la valeur du travail fourni par chacun, ce qui introduit une différenciation qui n’existe pas dans le communisme pur.

    Cependant, cette vision pose plusieurs problèmes.

    La suppression de la propriété privée des moyens de production et l’introduction d’une planification centralisée risquent de détruire l’initiative individuelle, un moteur essentiel du progrès économique. De plus, en supprimant la monnaie et en la remplaçant par des bons de travail, le collectivisme réduit la flexibilité de l’économie, compliquant ainsi l’échange et l’accumulation de richesses. Bien que Schäffle tente de préserver certaines formes d’épargne individuelle, il la réduit à une forme primitive et non reproductive, empêchant ainsi toute véritable accumulation de capital. Il se dit également et à maintes reprises soucieux de maintenir la liberté qui existe dans le système libéral, mais il ne propose, finalement, jamais que des « peut-être » comme garantie.

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  94. « Le bon côté de l’économie libérale, la liberté individuelle, le libre choix de son domicile, la liberté industrielle pourraient peut-être se conserver, tandis qu’il serait mis fin au manque actuel d’organisation unitaire du travail. » Schäffle, La Quintessence du socialisme.

    Et Leroy-Beaulieu de répondre :

    « Ainsi, l’on n’est pas assuré de sauvegarder la liberté de domicile ; à ceux qui en estiment le prix, on ne peut répondre que par un peut-être, et c’est à moins de quarante pages de distance que Schæffle, après l’éloge de la liberté individuelle, émet ce doute désespérant. En fait, comme on le verra plus loin, le collectivisme supprime nécessairement la liberté du domicile comme toutes les autres libertés. »

    Enfin, la méthode proposée pour la transition vers ce système, qui passe par l’expropriation progressive des détenteurs de capitaux avec des indemnisations étalées sur plusieurs décennies, soulève des questions sur la viabilité économique et sociale d’un tel processus. En cherchant à établir une nouvelle forme de société basée sur la propriété collective, le collectivisme selon Schäffle pourrait engendrer une bureaucratisation excessive, une inefficacité économique, et une perte de dynamisme social, compromettant ainsi les libertés individuelles et la prospérité économique à long terme. De plus, le système des bons du travail, la distinction arbitraire entre biens de consommation et biens de production (le fameux exemple de l’aiguille qui change de catégorie selon son usage), rien n’empêche, finalement, les inégalités de réapparaître.

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  95. L’évolution inéluctable vers la propriété privée

    Leroy-Beaulieu consacre une part significative de son analyse à la défense de la propriété privée, qu’il considère comme une institution fondamentale pour le développement économique et social. Contrairement à certaines théories qui attribuent la création de la propriété à des pratiques d’esclavage ou à des formes anciennes de servitude, Leroy-Beaulieu soutient que la propriété privée est plutôt le produit d’un processus historique évolutif où les individus ont eu l’opportunité de développer leur capital grâce à l’échange libre et au travail

    L’humanité semble suivre une trajectoire inévitable depuis le communisme primitif vers des formes de propriété privée plus individualisées. Selon Paul Leroy-Beaulieu, l’évolution de la propriété est marquée par une transition progressive depuis la communauté vers l’individualisme. Au début, la terre est cultivée en communauté, mais progressivement, les sociétés introduisent des systèmes de partage plus individuels. Les lots de terre sont attribués pour des périodes plus longues et, finalement, on assiste à la création de la propriété perpétuelle.

    Leroy-Beaulieu explique que ce changement ne relève pas d’un hasard mais d’un besoin fonctionnel et d’une réponse aux exigences croissantes d’efficacité agricole.

    « Peu à peu une partie de la terre, au lieu d’être simplement dépouillée périodiquement de ses productions spontanées, est mise en culture régulière… D’abord la terre est cultivée en communauté. Plus tard, on s’élève à un plus haut degré de responsabilité personnelle, on sort de cette confusion, on divise le sol et l’on alloue à chacun ou aux principaux un lot chaque année ; on fait ensuite un pas de plus vers la propriété perpétuelle. »

    Cette évolution, souligne-t-il, reflète un progrès vers une meilleure exploitation des ressources et un ajustement aux réalités économiques et sociales de chaque époque.

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  96. Selon lui, le passage de la propriété collective à la propriété privée est une réponse aux besoins croissants d’efficacité et de responsabilité personnelle. Cette évolution n’est pas seulement une question de préférences culturelles mais une nécessité dictée par le développement économique et social. Paul Leroy-Beaulieu le montre, en se basant sur les travaux de son frère Anatole sur le mir russe ou la Java (et d’autres encore, comme Laveleye), les modes de propriété collective sont le plus souvent inefficaces et injustes, au pire, et pour le mieux, ils sont médiocres. Et ce d’autant plus que la densité de la population augmente, accroissant la nécessité du changement du mode de gestion.

    Maximilien Lassalle propose une théorie différente en suggérant que l’esclavage est à la base de la formation de la propriété privée. Selon lui, l’origine de la propriété, du capital et de la division du travail remonte à l’esclavage. Il affirme que l’esclavage était omniprésent dans les premières sociétés, où les vaincus ou les endettés devenaient des esclaves. Cependant, Leroy-Beaulieu conteste cette explication en soulignant que l’esclavage n’est pas nécessaire pour comprendre la formation du capital. Il argumente que la propriété privée et le capital peuvent émerger d’autres formes de relations de travail plus librement définies, telles que le louage de services.

    Cette perspective de Lassalle ne modifie pas la tendance générale observée par Leroy-Beaulieu : celle d’une transition inéluctable vers des formes de propriété privée plus structurées et individuelles. En effet, le passage de la propriété collective à la propriété privée est perçu comme une nécessité fonctionnelle pour une meilleure exploitation des ressources et une gestion plus efficace, indépendamment de l’histoire spécifique des formes d’exploitation comme l’esclavage.

    https://www.contrepoints.org/2024/08/29/478614-le-collectivisme-de-paul-leroy-beaulieu-une-erreur-intellectuelle

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    1. Le 'collectivisme' est un mot qui se limite à la famille ou - dans l'ancien temps - à un village où les gens se prêtaient les outils.https://www.contrepoints.org/2024/08/29/478614-le-collectivisme-de-paul-leroy-beaulieu-une-erreur-intellectuelle
      De nos jours... ÔH PITAING !:! Quand tu vois ton quartier, ton putain de quartier et ce qu'il est devenu...

      Quand on parle de 'parti communiste', d'URSS', ont est dégoûté, oui mais dégoûté par qui ? par les russes ou par le chef de l’État ? Car c'est là qu'est toute la différence !! Combien y a t-il (ou 'y avait-il') de communiste sous Staline, Khrouchtchev, Brejnev, Tchernenko ? 1 ? 2 ? ou 3 ?
      Car ce n'est pas parce que le chef de l’État est un gros con de la pédale que le Peuple l'est aussi !

      C'est pareil dans TOUS les pays !

      Par contre ce que l'on peut retenir du 'collectivisme' c'est le dialogue, l'échange d'idées, de procédés sauf s'il y a ministre à la table !! (voir TOUS LES JOURS sur Internet le nombre d'articles censurés !! Des imaginations interdites d'avoir et de partager !!).

      L'argent interdit ? Vive le travail au noir !

      Le slogan de la dictature ? "Vous n'aurez RIEN et serez heureux !"
      Vous ne serez même pas propriétaire de vous-mêmes !

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  97. Les grands distributeurs en Martinique, "boucs émissaires" ou "profiteurs" de la vie chère ?


    le 18 octobre 2024 - 10:00


    Il ne reste plus rien du Carrefour Market de Rivière-Salée, une commune populaire de Martinique, île des Antilles où la grande distribution fait figure d'épouvantail, en plein mouvement social contre la vie chère: l'alimentation y coûte 40% de plus qu'en métropole.

    Il y a d'abord l'odeur de brûlé, qui stagne une semaine après l'incendie. Puis, en s'engouffrant dans l'obscurité, à travers le métal fou enchevêtré, des rayons carbonisés, un toit éventré, un magma grisâtre qui semble avoir absorbé ce qui a échappé au pillage.

    Ces dernières semaines, les supermarchés et hypermarchés font partie des cibles favorites d'une mobilisation marquée par de fulgurantes flambées de violences.

    La grande distribution fait le dos rond. Elle s'active plutôt en coulisses, à l'instar de l'accord trouvé mercredi avec l'Etat au prix de concessions qui vont la pousser à réduire ses marges pour appliquer une baisse de 20% à la caisse, en moyenne.

    Sébastien Daire a décidé de briser l'omerta, pour ne plus être vu comme le "diable" local. Le patron de huit Carrefour Market sur l'île a vu deux d'entre eux partir en fumée la semaine dernière, dont celui de Rivière-Salée, dans la nuit du 10 au 11 octobre. Résultat: 15 millions d'euros de dégâts, "sans les pertes d'exploitation", un bâtiment "bon à raser" et une cinquantaine d'employés au chômage pour ce seul magasin.

    - Réduire les marges -

    "La vie chère est un vrai sujet, personne ne le nie. Maintenant il faut attaquer les vraies causes et pas se trouver un bouc émissaire", s'étrangle le dirigeant, pataugeant dans un rayon d'alcools forts.

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  98. "Nous on est en bout de chaîne, le dernier endroit où la personne sort sa carte bleue, son porte-monnaie", analyse jeudi auprès de l'AFP Sébastien Daire, pour qui le surcoût de l'alimentaire en Martinique s'explique essentiellement par le transport des marchandises.

    C'est ce qu'il a plaidé mercredi, comme le reste de la grande distribution, lors du dernier volet de négociations qui a permis d'aboutir à un accord, signé entre l'Etat, la Collectivité territoriale de Martinique et les acteurs locaux, distributeurs et grossistes notamment.

    C'est l'"accumulation" d'"efforts collectifs" contenus dans cet accord devant entrer en application en janvier 2025 qui permettra de faire baisser les prix sur 54 familles de produits les plus courants (pâtes, beurre, lait...), a vanté le préfet de Martinique.

    La grande distribution, en particulier, a pris une série d'engagements, à commencer par le fait de "répercuter intégralement les économies de coûts générées" par l'accord.

    Aux termes du document, les enseignes devront aussi "réduire les marges (...) à travers un gel des taux de marge".

    - "Asphyxiés" -

    "Il y a un effort historique qui a été demandé aux distributeurs" alors qu'"on est l'opérateur qui a le moins de marge de manoeuvre dans toute la chaîne" d'approvisionnement, s'inquiète Sébastien Daire, franchisé dont l'activité est "en danger".

    "On va être asphyxiés. Un distributeur, quand ça tourne bien, il a 1% de résultat par rapport à son chiffre d'affaires", explique celui qui se dit "condamné à perdre de l'argent" en raison du coût "structurel" du transport vers l'île, où une "bouteille a triplé de prix à son arrivée sur le sol martiniquais, avant même qu'on ait fait de la marge".

    Autant d'arguments qui n'ont pas ému le président de la Collectivité territoriale de Martinique, Serge Letchimy, qui a ouvert le dernier volet de négociations par une diatribe contre la "profitation sur l'alimentaire" parmi les acteurs locaux, agaçant visiblement les distributeurs, dont aucun à l'exception de M. Daire n'a répondu aux sollicitations de l'AFP.

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  99. Le collectif à l'origine du mouvement de contestation, le RPPRAC, doute pour sa part de la sincérité du secteur dans sa promesse de répercuter les prix.

    "Comment on s'assure que ça va vraiment baisser ? Il n'y aucune garantie", a souligné Gwladys Roger, une des leaders du mouvement, qui n'a pas signé l'accord en partie pour cette raison.

    D'après le texte, des vérifications semestrielles sont prévues par l'Etat pour contrôler les "prix et (les) marges".

    Il faudra attendre plusieurs semestres avant que les magasins de Sébastien Daire rouvrent. Dans celui en désolation de Rivière-Salée, une seule chose est restée intacte, comme étonnée de n'être même pas couverte de poussière: le terminal de paiement, à la caisse.

    https://www.francesoir.fr/societe-economie/les-grands-distributeurs-en-martinique-boucs-emissaires-ou-profiteurs-de-la-vie

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    1. En premier lieu on retiendra que le transport maritime coûte 50 centimes d'euros par tonne pour 1000 km soit moins qu'une paille.
      Or, même si pour le pétrole son prix en Irak n'a pas changé depuis Saddam Hussein et demeure à 15 centimes d'euros les 200 litres d'essence (0,5 cts de franc/litre), à quel prix arrive t-il au port d'accueil ?

      Alors, sont-ce les supermarchés ou les transporteurs qui s'en mettent plein les poches ?
      Disons plutôt les centrales d'achats. Il en naît de nouvelles chaque jour et donc de nouveaux produits moins cher aux nouveaux discounters. Mais, très vite, l'origine des produits est dévoilée, persécutée, corrompue, bref, prête à mettre la clé sous la porte si elle continue ses fabrications. C'est ainsi que les nouveaux discounters n'ont même pas le temps de s'appeler 'anciens discounters' ! Pchitt ! Ils disparaissent !
      On appela çà la mafia.

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  100. « Déforestation importée » : la bien-pensance et la connerie


    19 Octobre 2024


    La Commission Européenne propose de reporter l'entrée en vigueur de son règlement « déforestation ». Sa suppression serait plus appropriée.

    Le 2 octobre 2024 (date sur la toile), le Monde avait publié « Sous pression, Bruxelles propose de retarder l’entrée en vigueur du texte luttant contre la déforestation importée », avec en chapô :

    « La Commission européenne souhaite repousser d’un an l’application de ce règlement, censé entrer en vigueur le 30 décembre. Cette mesure phare du pacte vert européen est critiquée par de nombreux Etats et acteurs industriels pour sa complexité. »

    « Touchez pas à notre joujou ! »

    Cela a le mérite de la concision et de l'objectivité. Mais l'article commence par les récriminations de deux « ONG », dont Greenpeace :

    « Ursula von der Leyen condamne les forêts à une nouvelle année de destruction. »

    Comme si la forêt allait être sauvée d'un coup de baguette magique, par le Règlement (UE) 2023/1115 du Parlement Européen et du Conseil du 31 mai 2023 relatif à la mise à disposition sur le marché de l’Union et à l’exportation à partir de l’Union de certains produits de base et produits associés à la déforestation et à la dégradation des forêts, et abrogeant le règlement (UE) n° 995/2010 (RDUE). Mais Greenpeace peut tout se permettre, surtout le plus extravagant, quand on fait dans l'activisme... oups ! le plaidoyer.

    Petite incidente : 38 articles et... 80 considérants et, parmi les articles, des perles telles que : « Sous réserve de ce qui est prévu à l’article 37, paragraphe 3, le présent règlement ne s’applique pas aux produits en cause énumérés à l’annexe I qui ont été produits avant la date indiquée à l’article 38, paragraphe 1. » (Article premier, alinéa 2)

    La députée européenne Marie Toussaint y est aussi allée de son couplet sur X (ex-Twitter), notamment :

    « 841 536 ! C'est le nombre de terrains de foot de forêts qui seront détruits dans l'année si nous ne faisons rien. »

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  101. Il y a de quoi rire ! Un résultat à six (6) chiffres significatifs, alors que ni le numérateur (surface déforestée) ni le dénominateur (surface d'un terrain de football) ne sont connus avec précision. En fait, elle est partie d'une déforestation de l'équivalent de 10 terrains de football à la minute et des 16 % mentionnés ci-dessous. Ces gens prétendent définir notre avenir en Europe et gouverner en France...

    Une levée de boucliers

    Le Monde a expliqué :

    « Adopté en 2023 et censé entrer en vigueur le 30 décembre, ce règlement vise à interdire l’importation et l’exportation d’une série de produits (cacao, café, soja, huile de palme, bois, caoutchouc, viande bovine, cuir…) issus de la déforestation. Il s’appuie sur un système de traçabilité : afin de commercialiser un bien sur le marché européen, les entreprises devront être capables de garantir que celui-ci n’est pas associé à une parcelle déboisée après le 31 décembre 2020, grâce à l’utilisation de données de géolocalisation et de photos satellitaires. L’Union européenne est à l’origine d’environ 16 % de la déforestation liée au commerce mondial. »

    En bref, sont montés au créneau : des États exportateurs tels que l’Argentine, la Bolivie, le Brésil, la Côte d’Ivoire, les Etats-Unis d'Amérique, l’Indonésie ; des filières économiques, dont celles de l’agroalimentaire, de l’élevage, du commerce ou du bois ; et des capitales européennes, dont Berlin et Vienne.

    Les pays européens ne sont pas en reste. Dans « L’Europe sacrifie les forêts sur l’autel du poulet frit (entre autres) », le Nouvel Obs écrit :

    « Les pays européens eux-mêmes ont trouvé à redire. Les Scandinaves par exemple, grands producteurs de bois qui pratiquent encore la coupe rase et se seraient vus empêchés de vendre leurs troncs dans l’UE, ainsi que de les exporter. Ou la Pologne et l’Allemagne, respectivement premier et deuxième producteurs de volailles sur le Vieux Continent – des bêtes nourries pour au moins un quart de leur portion en soja, avant d’être transformées en blancs de poulets et en nuggets. Les industriels du café comme Lavazza sont entrés dans la danse, critiquant des règles trop complexes. Et enfin les agriculteurs, inquiets d’un texte jugé inflationniste tant en matière de prix que de paperasse.[...] »

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  102. Mais, pour l'auteure du Nouvel Obs,

    « [...] Et ce petit monde a gagné. »

    Voilà une vision du monde réel qui ne porte pas très loin... peut-être même pas au-delà de son ordinateur, de son petit confort et de ses grandes convictions personnelles.

    Une usine à gaz...

    Il ne faut pourtant pas avoir fait Sciences Po pour comprendre le problème. Ou, peut-être, faut-il l'avoir fait pour ne pas comprendre...

    Notre ministère chargé de l'écologie a produit un résumé de ce merveilleux nouveau système conçu pour sauver la planète... et plomber nos économies. Une usine à gaz dans son principe ainsi que dans sa gestion :

    « Les opérateurs et commerçants exercent une diligence raisonnée avant d’importer, d’exporter ou de vendre sur le marché domestique les produits listés à l’annexe 1 du RDUE. Ils réalisent une déclaration de diligence raisonnée dans le système d’information européen dédié avant chaque mise sur le marché. Ils transmettent à leurs clients les informations relatives à la diligence raisonnée ainsi que le numéro de déclaration de diligence raisonnée correspondant aux produits vendus. L’ensemble des informations doit être conservé pendant 5 ans par les acteurs économiques. »

    Prenons un importateur de soja pour l'alimentation animale. Il devra, sans doute de concert avec les acteurs de la filière locale, de la ferme au port d'embarquement sur l'Atlantique, s'assurer que « son » soja n'est pas issu d'une déforestation intervenue après le 30 (pas le 31) décembre 2020. Il faudra une géolocalisation de toutes les parcelles où ce soja aura été produit, et le lot entier sera déclassé – interdit d'importation – s'il y a une seule parcelle déforestée. Cela implique une séparation des filières « soja destiné à l'Union Européenne »-« soja destiné au reste du monde ».

    Et voici, du texte du règlement européen (article 9.d) :

    « […] pour les produits en cause qui contiennent des bovins ou ont été fabriqués à partir de bovins, et pour de tels produits en cause qui ont été nourris avec des produits en cause, la géolocalisation renvoie à tous les établissements dans lesquels les bovins ont été gardés; pour tous les autres produits en cause figurant à l’annexe I, la géolocalisation renvoie aux parcelles. »

    Les opérateurs doivent aussi procéder à une évaluation des risques. Et cela comprend des éléments relatifs aux peuples autochtones. Ainsi, ils doivent s'assurer, le cas échéant, qu'il y a eu une consultation et une coopération de bonne foi avec ces peuples et qu'il n'y a pas :

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  103. « […] de revendications dûment motivées de populations autochtones fondées sur des informations objectives et vérifiables concernant l’utilisation ou la propriété de la zone utilisée aux fins de la production du produit de base en cause ». (Article 10.2.e))

    ...et une machine à perdre

    Tout cela implique aussi des coûts supplémentaires pour les « opérateurs » (metteurs en marché et exportateurs) ainsi que les commerçants... donc une compétitivité péjorée des filières, de production animale dans notre exemple du soja, sur le marché européen et le cas échéant international.

    Bravo les bien-pensants !

    Bien sûr, un tel système ne se conçoit pas sans une administration européenne et des administrations nationales – en France, en principe, sous l'égide des ministères chargés de l'environnement et de l'agriculture. Rassurez-vous... cela augmente le PIB (ironie).

    Bien sûr (bis), un tel système ne se conçoit pas non plus sans des contrôles – ce qui implique aussi une charge supplémentaire pour les opérateurs : chez 1 %, 3 % et 9 % d'entre eux selon que les produits viennent de pays ou parties de pays à risque faible, « standard » ou élevé.

    Bien sûr (ter), un tel système ne se conçoit pas sans « mesures correctives en cas de non-conformité » (article 24) – qui peuvent aller jusqu'à l'interdiction de la mise sur le marché ou l'obligation de rappeler le produit – ni sanctions (article 25) – qui doivent être « effectives, proportionnées et dissuasives » et comprendre la confiscation des produits ou des revenus tirés des produits.

    Et la forêt dans tout ça ?

    Et penseriez-vous que notre merveilleux tir dans le pied contribuera à la lutte contre la déforestation ?

    Les fameux 16 % de contribution de l'Union Européenne à la déforestation, c'est sans doute du pipeau. Le chiffre vient apparemment du WWF qui a la certification écologique dans son portefeuille d'activités (notamment la certification FSC pour les produits de la forêt). S'il faut trouver des responsables au-delà des pays producteurs, il faut les chercher chez les pays importateurs qui augmentent leurs importations, pas chez ceux dont les besoins sont stables, voire en baisse.

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  104. Enfonçons le clou : exclure du marché européen le soja qui serait produit sur des parcelles déjà aniennement déforestées (mais après le 30 décembre 2020) ne contribuera aucunement à la lutte contre la déforestation. Et les besoins européens étant grosso modo stables, les pays producteurs n'ont pas besoin de déforester (davantage) pour nous approvisionner.

    Et qu'arrivera-t-il quand le système – dont les infrastructures d'administration et de contrôle ne sont apparemment toujours pas en place – sera, d'aventure, opérationnel ?

    La bien-pensante et crétine Union Européenne importera du soja à la virginité environnementale (raisonnablement) garantie... et le soja qui serait issu d'une déforestation – réglementée ou sauvage – prendra d'autres destinations.

    Bravo les bien-pensants !

    https://seppi.over-blog.com/2024/10/deforestation-importee-la-bien-pensance-et-la-connerie.html

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    1. Le bois (importé) c'est fini !
      Siiiii vous voulez des meubles en bois: semez des graines ! Quand elles seront des arbres: coupez-les et faites vos meubles ! Compris ?!

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  105. L'ingénierie du phytobiome du riz pourrait conduire à une plus grande sécurité alimentaire, selon des scientifiques de l'IRRI et de l'UC Davis


    19 Octobre 2024
    IRRI*


    Des scientifiques de l'Institut International de Recherche sur le Riz (IRRI) et de l'Université de Californie à Davis ont récemment publié un article novateur qui décrit une voie innovante pour l'exploration et la manipulation du phytobiome du riz afin de contribuer à la résilience et à la productivité du riz, ce qui, à son tour, pourrait contribuer à sécuriser l'approvisionnement alimentaire mondial face au changement climatique.

    Le phytobiome du riz comprend divers organismes tels que des bactéries, des champignons et des insectes qui interagissent avec la plante de riz. Ces interactions peuvent influencer la santé de la plante, sa tolérance au stress et l'acquisition des nutriments. Les facteurs environnementaux tels que les conditions du sol et le climat affectent également le phytobiome du riz. Une meilleure compréhension de cette dynamique peut conduire à des pratiques et des stratégies agricoles innovantes.

    L'article intitulé « Exploring and exploiting the rice phytobiome to tackle climate change challenges » (explorer et exploiter le phytobiome du riz pour relever les défis du changement climatique) a été publié dans Plant Communications le 3 septembre 2024. Il présente le changement climatique comme une menace importante pour la production de riz, car il affecte les agroécosystèmes en modifiant les conditions environnementales et les communautés microbiennes qui soutiennent la croissance des plantes. En utilisant des approches nouvelles, basées sur les données et au niveau des systèmes, le phytobiome du riz peut être reprogrammé avec précision pour lutter contre les menaces du changement climatique grâce au développement d'analyses prescriptives et prédictives pour les systèmes d'agriculture de précision du riz de la prochaine génération.

    « Des recherches récentes soulignent l'importance des mécanismes de signalisation au sein du phytobiome du riz », explique le Dr Jauhar Ali, chercheur principal à l'IRRI et l'un des auteurs de l'article. « Les hormones végétales telles que l'acide salicylique, l'acide jasmonique et l'éthylène régulent les réponses de défense de la plante, tandis que les exsudats racinaires et les métabolites secondaires influencent les communautés microbiennes dans le sol. Ces interactions sont essentielles pour aider les plants de riz à faire face aux stress tels que la sécheresse, les ravageurs et les maladies. En manipulant ces voies de signalisation et ces communautés microbiennes, nous pouvons améliorer la capacité des plants de riz à prospérer dans des conditions environnementales difficiles ».

    L'article souligne l'importance d'une approche holistique et systémique pour manipuler le phytobiome afin de garantir des avantages durables et de minimiser les perturbations de l'écosystème. Les progrès récents de la biologie synthétique et de l'ingénierie du microbiome permettent de manipuler ces communautés microbiennes. Les techniques d'apprentissage automatique et d'apprentissage profond permettent également de traiter et d'analyser des ensembles de données vastes et complexes.

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  106. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119)

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  107. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 2 = 118)

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