Dans cet épisode, le Dr Ana Maria Mihalcea s'entretient avec le Dr Young Mi Lee de Corée du Sud et le professeur Daniel Broudy du Japon au sujet de leur récente publication "Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructions in Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna : A Comprehensive Longitudinal Study" publié dans International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research (IJVTPR) .
Il s'agit d'une analyse scientifique de 54 flacons de "vaccin" COVID-19 (45 Pfizer, 7 Moderna, 1 AstraZeneca, 1 Novavax) confirmant la présence de "3 à 4 millions d'entités auto-assemblées par millilitre" des injections de COVID-19. Dans cet entretien, le Dr Lee fait part de son expérience et des résultats de ses recherches au cours des trois dernières années, qui ont permis de mettre en évidence la présence de nanotechnologies d'auto-assemblage dans les flacons.
Les incendies de véhicules électriques font la une des journaux du monde entier alors que les craintes grandissent concernant les risques liés aux batteries
RépondreSupprimer21/10/2024
Cassie B.
Les dangers des véhicules électriques ont suscité beaucoup d'attention indésirable à la suite des ouragans Helene et Milton, après que de nombreuses voitures ont pris feu - à la grande surprise de nombreux propriétaires qui n'étaient pas conscients des inconvénients de leurs véhicules « verts ».
Lorsque les véhicules électriques sont inondés par des problèmes tels que des ondes de tempête, ils peuvent s'enflammer spontanément. Le commissaire des incendies de l'État de Floride, Jimmy Patronis, a publié une déclaration concernant une série d'incendies qui ont été observés après l'atterrissage d'Helene. À cette époque, au moins 64 incendies de batteries au lithium avaient été enregistrés, dont 17 pour les véhicules électriques et le reste attribué aux voiturettes de golf, aux hoverboards et aux scooters. Dans un cas, un fauteuil roulant électrique a déclenché un incendie.
La compagnie d’assurance GEICO a mis en garde les assurés contre le risque d’incendie des véhicules électriques, tandis que Tesla a envoyé des notifications push aux propriétaires de ses véhicules les avertissant de les garder sur un terrain plus élevé.
Dans une interview avec le Miami Herald, Patronis a qualifié les batteries lithium-ion inondées de « bombes à retardement » qui peuvent causer plus de dégâts que les tempêtes qui ont provoqué les inondations.
Il a déclaré : « Je vous le garantis, le citoyen moyen ne se rend pas compte qu’il a une responsabilité dans sa maison avec les inondations d’eau salée. »
L’eau salée est capable de conduire l’électricité, et lorsqu’elle pénètre à l’intérieur des batteries lithium-ion scellées des véhicules électriques, elle peut provoquer un court-circuit, créer de la chaleur et potentiellement prendre feu.
Cependant, ce risque est toujours présent, même en l’absence d’inondation, en raison de la conception des batteries et de leur mode de fonctionnement. En stockant une quantité considérable d’énergie dans un espace très compact, elles sont très efficaces, mais les dommages peuvent être importants en cas de surchauffe, de dommages physiques ou de court-circuit, ce qui les fait s’enflammer et brûler de manière spectaculaire.
RépondreSupprimerPour compliquer encore les choses, ces incendies de batterie peuvent ne se produire que des heures, voire des semaines, après que le véhicule a été exposé à l'eau salée, ce qui rend essentiel de les déplacer hors des zones de surtension.
Les incendies de véhicules électriques peuvent être très difficiles à éteindre
Au moins 36 véhicules électriques ont pris feu à cause de l'ouragan Ian en 2022, certains des incendies se sont déclarés alors que les véhicules électriques étaient remorqués. Dans un cas, un camion de pompiers a utilisé toute son eau en seulement 10 minutes pour essayer d'éteindre un incendie de véhicule électrique dans le comté de Collier, ce qui les a obligés à faire fonctionner un tuyau d'incendie sur la voiture pendant une heure supplémentaire. La flamme a finalement été éteinte, mais elle s'est rallumée quelques heures plus tard, soulignant à quel point ce type d'incendie peut être compliqué à éteindre.
Ce week-end, quatre personnes sont mortes en France après qu'un véhicule électrique Tesla dans lequel elles se trouvaient a pris feu à l'extérieur de la ville de Niort. Le conducteur et trois passagers sont morts après que le véhicule a pris feu et a percuté des panneaux de signalisation à grande vitesse. Les autorités françaises ont ouvert une enquête sur l'incident, mais ce n'est pas la première fois que Tesla se retrouve sous le feu des projecteurs à ce sujet.
Cela devient particulièrement préoccupant en Chine, où les véhicules électriques sont désormais interdits d'utilisation des parkings souterrains. Le pays est un leader sur le marché des véhicules électriques, et l'industrie mondiale sera très attentive à la situation dans ce pays.
Alors qu'un incendie de véhicule traditionnel peut nécessiter entre 220 et 400 gallons d'eau pour être éteint, les véhicules électriques nécessitent souvent plus de 6 600 gallons pour être complètement éteints.
De plus, ces véhicules émettent des fumées hautement toxiques pendant leur combustion, notamment du monoxyde de carbone et du cyanure d'hydrogène, ce qui met en danger les personnes se trouvant à proximité de l'incendie.
Les sources de cet article incluent :
WattsUpWithThat.com
MiamiHerald.com
DailyMail.co.uk
https://www.naturalnews.com/2024-10-21-electric-vehicle-fires-battery-risks.html
Voter la fragilisation d’EDF c’est sceller la précarisation énergétique du pays
RépondreSupprimerAndré Pellen
22 octobre 2024
Fût-elle de salut public, plus aucune mutation gouvernementale ne semble en mesure d’affranchir Élysée-Matignon du surmoi partisan et idéologique désagrégeant la politique électro-énergétique française depuis plus de 20 ans. Pire, l’administration et l’empoisonnement déjà ancien du système de production national par l’energiewende (la transition énergétique allemande) n’ont jamais autant sévi de concert, manœuvrés de main de maître par l’UE, au nom d’une doctrine d’inspiration germanique.
Davantage ministres de ce dernier culte que ministres d’État, Michel Barnier et ses collaborateurs viennent de soumettre au Parlement l’avant-projet du régime post-Arenh que nous redoutions début septembre 2024 (1), auquel une EDF désormais organe d’État ne peut faire allégeance qu’au détriment de ses ambitions industrielles : vendre sa production électronucléaire à 70 euros le MWh, accepter une ponction fiscale de 50 % du surprofit découlant de tout dépassement de ce prix jusqu’à 78-80 euros le MWh et accepter une ponction fiscale de 90 % au-delà de 110 euros le MWh ; magnanime, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) prévoit de reconsidérer ces seuils tous les trois ans, afin de coller à la réalité des coûts.
Outre que la non-évocation de l’hypothèse d’un prix marché du MWh inférieur à 70 euros révèle la lucidité du pouvoir sur ce qui attend durablement les Français, outre que ces derniers ont de sérieuses raisons de douter de l’usage vertueux du produit de ce nouvel impôt, il y a lieu d’examiner de près et une bonne fois pour toutes la physionomie technico-économique de cet improbable marché prétendant avoir instauré en Europe la « concurrence libre et non faussée » des KWh dont les consommateurs attendent encore le bénéfice.
Considérons donc le mix de la production électrique UE de 2022, auquel les Européens doivent la genèse d’un prix marché du KWh se revendiquant irréprochable au point de prétendre n’avoir rien à envier à celle du prix marché d’une automobile ou d’un lave-vaisselle : électricité nucléaire 21,9 % ; gazière 19,6 % ; charbonnière 15,8 % ; pétrolière 1,7 % ; hydraulique 11,3 % ; biomassique 4,4 % ; éolienne 15,9 % ; solaire 7,6 % (2).
Commençons par pointer l’insolite singularité consistant à épargner la concurrence à des KWh éoliens et solaires sans conteste les plus chers de tous et, de surcroît, massivement subventionnées, soit 23,5 % de la totalité des KWh, qu’une vaste clientèle captive n’a d’autre choix que consommer à prix imposé. Excusez du peu ! L’occasion s’offre ici d’informer les Français que, par le biais de leurs factures et par celui de la fiscalité – de la TICFE en particulier –, ils vont avoir à payer l’éolien fixé sur fond marin à plus de 160 euros le MWh et l’éolien flottant à plus de 240 euros le MWh ; ceci sans compter les aides d’État à l’équipement dont ces deux technologies et le solaire vont bénéficier à hauteur de quelques 8 milliards d’euros en 2025, selon la CRE.
RépondreSupprimerL’exploitation de ces énergies réputées renouvelables et gratuites (!) se révèle-t-elle au moins prodigue de MWh ? Pour le savoir, il suffit de mettre en regard de la puissance installée des générateurs concernés l’énergie qu’elle a produite dans l’année. Fin 2022, la puissance éolienne totale installée dans les 27 États membres de l’UE était de 202,7 GW (3), celle du parc solaire de 263 GW (4).
Nous avons vu plus haut que l’éolien a produit 15,9 % de l’énergie électrique européenne en 2022, soit 15,9 % de 2641 TWh (2) ou 419919 GWh. Pour connaître la puissance éolienne moyenne en service tout au long de l’année en question, il suffit de diviser ce dernier chiffre par le nombre d’heures qu’elle contient, à savoir 8760, pour arriver à 47,93 GW. Un calcul analogue donne 22,91 GW pour le solaire.
Voilà donc deux productions électriques prioritaires obligeant constamment toutes les autres à s’effacer quoi qu’il leur en coûte, la première ne pouvant annuellement délivrer que 47,93 GW de ses 202,7 GW installés, trahissant ainsi un piètre rendement de 23,6 %, la seconde seulement 22,91 GW de ses 263 GW installés, en vertu d’un misérable rendement de 8,7 %.
Et ce n’est pas tout. Si l’on en croit RTE, la puissance totale installée du parc électrogène de l’UE – toutes filières confondues – serait de 1018 GW (5). Les 202,7 GW éoliens et les 263 solaires sont donc respectivement censés en représenter 20 % et 26 %. Où l’on touche du doigt la tragique méprise consistant à (faire) prendre les vessies de la puissance pour les lanternes de l’énergie. Tout comme une voiture de 400 chevaux compte davantage sur sa réserve d’essence que sur la puissance de son moteur pour parcourir une longue distance, l’éolienne compte davantage sur la présence de vent que sur sa puissance pour produire de l’électricité.
Pourtant, depuis des années, de l’Ademe aux Pouvoirs Publics, en passant par une certaine presse, par une certaine mouvance associative, par la CRE et même par RTE, on prend un soin partisan patent à entretenir au moins implicitement la tragique confusion entre puissance et énergie dans la conscience populaire. Pourquoi tragique ? Eu égard au fait qu’éolien et solaire occupent une place grandissante dans la composition du parc électrogène de l’UE et que leurs productions ne sont ni programmables, ni pilotables, l’annus horribilis électro-énergétique 2022 apporte à elle seule une réponse à la question se passant de commentaire.
RépondreSupprimerCette année-là, l’économie et la quiétude domestique des Français ont senti le vent du boulet ou plutôt celui de la rigueur de l’hiver 2022/2023 auquel une ou plusieurs coupures impromptues de courant auraient pu durement les livrer et livrer la machine économique ; ceci à cause de l’indisponibilité d’une part importante du parc électronucléaire français en réparation pour corrosions sous contrainte fortuites. Sans surprise, les puissances éolienne et solaire brillaient alors par leurs absences. Eussent-elles été présentes qu’elles se seraient quand même trouvées dans l’impossibilité de maintenir suffisamment la stabilité du système électrique national, sans la présence d’une production thermique classique significative, ainsi que l’explique l’article déjà mentionné au début (1).
Dès lors, comment ne pas voir que dynamiter les timides velléités de construction à marche forcée d’une capacité de production électronucléaire absolument prioritaire par le vote du prolongement de l’Arenh relève de la haute trahison des intérêts supérieurs de la Nation ? Des défaillances du parc actuel comme celle que nous venons d’évoquer vont se reproduire, c’est certain ; elles sont dans l’ordre des choses de la maintenance d’un outil industriel vieillissant. Pense-t-on sérieusement y pallier à terme, aux fréquences et aux durées requises, avec les outils éolien et solaire ? Il ne fait pas l’ombre d’un doute qu’on n’y palliera longtemps, pour ne pas dire toujours, à prix d’or qu’au moyen du gaz.
La constitution d’énormes provisions financières s’impose d’ores et déjà au pays pour enrayer sa descente aux enfers économique ; pas seulement dans le domaine énergétique. Les alimenter par les pistes suivantes témoignerait du retour inespéré de la lucidité dans la « conscience collective » : mettre un terme le plus rapidement possible aux aides publiques dont jouissent par dizaines de milliards d’euros éoliens terrestre et maritime, mettre un terme au corollaire consistant à financer pour quelque 200 milliards d’euros les extensions de réseaux électriques subséquentes, dissoudre sans délai les structures théodule et/ou contreproductives que sont l’Ademe, le CESE et la CRE, une liste non exhaustive qu’il y a lieu d’allonger sensiblement, en même temps que faire le ménage dans bien d’autres institutions (6)…
(1) https://www.contrepoints.org/2024/09/02/478681-reguler-le-prix-de-vente-de-lelectricite-sans-egard-a-son-prix-de-revient-et-a-la-marge-producteur
RépondreSupprimer(2) https://www.consilium.europa.eu/fr/infographics/how-is-eu-electricity-produced-and-sold/#:~:text=En%202022%2C%2039%2C4%20%25,charbon%3A%2015%2C8%20%25
(3) https://www.touteleurope.eu/environnement/l-energie-eolienne-en-europe/#:~:text=A%20la%20fin%20de%20l,contre%20177%20GW%20en%202020.
(4) https://www.lechodusolaire.fr/un-record-de-56-gw-de-nouvelles-installations-solaires-en-europe-en-2023/#:~:text=41%2C4%20GW%20de%20capacit%C3%A9s,1%20GW%20install%C3%A9s%20en%202021
(5) https://analysesetdonnees.rte-france.com/synthese-europe
(6) https://atlantico.fr/article/decryptage/crise-energetique-rte-cre-dnte-legislateur-captieux-les-artisans-de-notre-ruine-andre-pellen
https://www.contrepoints.org/2024/10/22/479623-voter-la-fragilisation-dedf-cest-sceller-la-precarisation-energetique-du-pays
L’impôt sur les moches
RépondreSupprimerJohan Rivalland
23 octobre 2024
A l’image de l’impôt sur les portes et fenêtres sous la Révolution, une nouvelle piste inédite pour le gouvernement actuel ?
On sait que le fisc n’est jamais à court de bonnes idées lorsqu’il s’agit de trouver de nouvelles sources de financement pour tenter de combler tant bien que mal une partie des déficits.
Dans le contexte actuel de déficits et d’endettement vertigineux, le gouvernement nouvellement aux affaires n’a donc d’autre préoccupation que de chercher activement des moyens de dégager de nouvelles recettes, sans toutefois donner le sentiment que nous entrerions dans une phase «d’ austérité ». Pour cela, toute idée est bonne à prendre.
Un impôt sur la laideur
C’est Jean-Marc Daniel qui en parle au cours de l’un des débats quotidiens avec Nicolas Doze sur BFM Business, suscitant l’incrédulité et le rire stupéfait de ses deux interlocuteurs : Après les « riches », les retraités, et les entreprises, ce sont maintenant de nouveau les célibataires qui intéressent les services fiscaux en tant que source privilégiée de recettes fiscales au service du financement de l’Etat. Ce qui n’a rien de très nouveau, mais renvoie à une anecdote très amusante.
Car déjà en 1914, alors que le projet de loi de Joseph Caillaux sur la création de l’impôt sur le revenu aboutissait enfin après une longue période de rejet, un livre paraissait, dans lequel l’auteur écrivait avec une certaine ironie qu’on est célibataire « parce qu’on est moche ». Ce qui permet alors de penser que, dans la mesure où les célibataires ont toujours davantage été taxés que les autres, alors il s’agit en quelque sorte d’un impôt sur la laideur. Ce qui a eu pour effet de ralentir ce que Jean-Marc Daniel appelle « la frénésie sado-fiscaliste de l’époque sur les célibataires ».
Au nom de l’égalité
Le texte actuel prétend « conforter l’égalité » devant l’imposition sur le revenu. C’est avec cette prétention, donc, qu’il s’agirait maintenant de renforcer une nouvelle fois la pression fiscale sur les célibataires (cherchez l’erreur). Or, remarque à juste titre Jean-Marc Daniel, le principe d’égalité supposerait que chacun paye à proportion de ce qu’il gagne, et non – comme le pratique l’impôt progressif – en fonction de ce qu’il gagne (point bien mis en évidence par Pascal Salin dans son ouvrage « L’arbitraire fiscal »). Rappelons d’ailleurs qu’actuellement seuls 44% des foyers fiscaux payent l’impôt sur le revenu (ce qui n’est pas sans susciter des questions de fond en matière électorale et donc de démocratie).
Or, comme nous y faisions référence en préambule de cet article, l’imagination de ceux qui cherchent où prélever l’impôt est toujours surprenante. A l’instar de l’impôt sur les portes et fenêtres sous la Révolution, Frédéric Bastiat avait imaginé sa célèbre pétition des marchands de chandelles, illustrant avec ironie l’absurdité et la perversité de certaines levées d’impôts (en l’occurrence ici à visée protectionniste).
RépondreSupprimerMais en matière d’imagination, il n’y a parfois qu’un pas entre fiction et réalité. Comme le révèle là encore l’exemple suivant.
Un impôt sur la beauté
On croirait avoir affaire à un concours entre humoristes. Alors : impôt sur la laideur ? impôt sur la beauté ?
C’est cette seconde option qui eut cette fois les faveurs de l’économiste nippon Takuro Morinaga, bien décidé en 2012 à trouver des solutions en matière de déclin démographique.
« Entre un beau gosse pauvre et un moche riche, lequel choisiriez-vous pour mari ? ». C’est en ces termes qu’il créa le buzz dans l’idée de taxer les beaux et diminuer, à l’inverse, l’impôt des moches. Non, vous ne rêvez pas. Un nouvel impôt progressif était alors susceptible d’émerger.
Questions : Qu’est-ce qui définit la beauté ? Qui peut être considéré comme beau ou comme moins beau ? Quels éléments permettent de mesurer la laideur ? (Attention, le concours de beauté de J.M Keynes est hors sujet).
Vous avez quatre heures.
https://www.contrepoints.org/2024/10/23/479618-limpot-sur-les-moches
Je pense qu'un impôt sur les cons serait plus approprié ! Parce que... IL Y EN A ! (et même un paquet !).
SupprimerA l'image de la connerie comme quoi le gaz carbonique serait un gaz réchauffiste parce que quand on est plusieurs en pièce fermée on commence à avoir chaud, j'oserai rectifier cette accablante infériorité intellectuelle en expliquant que si l'air de la pièce est à 18°C, l'air inspiré est donc à 18°C. Mais l'air expiré ne peut être à 18°C puisque nos corps sont à 37°C ! Donc, l'air expiré est à 37°C, d'où le réchauffement de la pièce. Ce qui ne peut présenter de présence de gaz carbonique car le dit gaz carbonique disparaît à 30,9°C, car c'est un gaz froid (responsable des gelées).
L'être humain détruit le gaz carbonique et ne peut donc être responsable de son élévation dans le pourcentage des gaz. C'est le magma, c'est notre masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds qui règle notre climat comme elle veut ! Elle est à l'origine de la présence de TOUS les gaz de notre atmosphère qui se recyclent immédiatement dès leur https://seppi.over-blog.com/2024/10/cancers-pediatriques-et-pesticides-autour-de-saint-rogatien-encore-un-exploit-du-journalisme-d-insinuation.htmlrencontre établie par les courants venteux.
Sans vouloir me lancer dans des explications scientifiques trop complexes je me limiterais à expliquer que la combustion d'un feu de bois ne présente pas tout le temps les mêmes émissions de gaz ! Donc, s'il y a de l'azote dans l'air (78 %) et de l'oxygène (21 %) ces volumes peuvent varier suivant le temps qui passe.
La Chine a oublié les Chinois
RépondreSupprimerYves Montenay
23 octobre 2024
La dictature chinoise a pour objectif la puissance. Mais les Chinois préféreraient peut-être que le développement du pays leur bénéficie.
En particulier, cette dictature fait un énorme effort financier en subventions et en financement de la recherche fondamentale pour son armée et la mise au point des technologies les plus modernes (c’est lié), ainsi que pour la conquête des marchés internationaux.
Une économie dirigée
Cette dictature utilise les moyens que lui donne une économie dirigée, dont la moitié de la production provient d’entreprises d’État et l’autre moitié d’un secteur privé qui doit obéir aux directives du parti transmises par ses cellules récemment réimplantées dans toutes les entreprises.
La production n’étant pas corrélée à la demande, on se réveille avec des surplus gigantesques : trop d’acier, trop de voitures électriques, trop de panneaux solaires… En effet, les erreurs d’une économie centralisée sont plus graves et durables que celles d’entrepreneurs privés qui seraient alors rapidement éliminés du marché.
Dans un premier temps, les Européens et les Américains importent ces surplus et bénéficient des prix cassés. Dans un deuxième temps, ils s’inquiètent pour leurs industries et imposent des droits de douane.
Alors où exporter ? Dans les pays du Sud : c’est la raison pour laquelle on flatte les Africains, notamment à l’occasion du dernier Forum sur la coopération Chine- Afrique (4-6septembre 2024) et en leur promettant des crédits… qui serviront à acheter ces surplus.
Tant mieux pour les Africains ! Mais pas pour les Chinois.
En effet toutes ces surcapacités proviennent d’investissements subventionnés. Les subventions sont financées par l’épargne des particuliers, leurs impôts, ou, ce qui revient à la longue au même, par la création monétaire, qui va affaiblir la monnaie et donc l’épargne …
Quel est le niveau de vie réel des Chinois ?
L’habitude des statisticiens est de l’évaluer en divisant la production du pays, le PIB, par le nombre d’habitants.
Or les productions chinoises ne sont pas forcément utiles, à commencer par la construction, dont la crise est la conséquence d’une autre fausse manœuvre de la dictature : l’obligation de l’enfant unique qui a réduit les besoins en logements. Et on pourrait probablement y ajouter une partie des équipements en TGV, en autoroutes… infrastructures coûteuses et sous utilisées, mais qui ont probablement fourni de de bonnes marges au capitalisme de connivence ».
RépondreSupprimerBref le PIB par personne (12 000 $ annuels) est une abstraction pour le Chinois de base, car il n’en bénéficie que d’une fraction : 50 à 55 % contre 85 % pour le Français moyen. Donc il n’a en revenu disponible que d’un 6e de la consommation d’un Français ou moins d’un 10ème de celle d’un Américain.
Or son épargne lui est d’autant plus nécessaire que de nombreuses professions ne servent que peu ou pas du tout de pensions de retraite et que les dépenses de santé sont très inégalement couvertes !
Pour les Chinois, le poids du régime n’est pas que financier
Au-delà de ces prélèvements sur leur épargne, les Chinois payent ce système en perdant leur liberté. C’était secondaire en période de famine mais maintenant les jeunes deviennent plus exigeants.
Le président a voulu imiter Mao en éditant un livre compilant ses déclarations en tant que président « La pensée de Xi Jinping sur le socialisme à la chinoise pour une nouvelle ère » : tout un programme !
Dans ce livre, le président Xi insiste notamment sur le rôle central et dirigeant du Parti communiste chinois, le développement économique et la réduction des inégalités sociales, l’autosuffisance technologique et l’innovation, la nécessité d’un État fort, notamment sur le plan militaire et pour se défendre des influences étrangères, l’environnement et, enfin, le rôle central de la Chine dans les affaires mondiales …
Ce livre a été intégré à la constitution du Parti communiste chinois en 2017, dans les programmes scolaires et même dans les bases de données des robots conversationnels (les ChatGPT chinois).
Ce dernier point est peut-être le plus important, car c’est un moyen indirect mais puissant de propagande politique, mais qui, en même temps, peut limiter l’efficacité de l’intelligence artificielle …
Un Occidental dirait un peu vite : tout ça ne peut pas durer et il y aura soit une révolte populaire, soit une révolution interne au PCC. Après tout, le régime est maintenant aussi vieux que celui de l’URSS à l’époque de Gorbatchev, Il a cédé à un mouvement populaire en levant le confinement, et une grande banderole « A bas le dictateur ! » est restée visible d’une autoroute un temps suffisamment long pour que les étrangers la remarquent.
RépondreSupprimerL’approche libérale avait anticipé le ralentissement chinois
Depuis une dizaine d’années, j’ai une analyse de la situation chinoise sur la Chine qui se distingue de celle des économistes financiers :
– en tant que démographe, en anticipant les conséquences économiques prévisibles de la catastrophe de l’obligation de l’enfant unique,
– en tant que libéral, économiquement, avec le constat du poids alarmant des entreprises d’État et l’élimination des capitalistes célèbres qui ont eu le tort de réussir, tels que Jack Ma, fondateur d’Alibaba.
– en tant que libéral, politiquement, car j’estime fondamentale à long terme la fécondité des échanges intellectuels, notamment scientifiques. Or ces échanges diminuent actuellement du fait de limitation du séjour des étrangers et de l’apprentissage de l’anglais.
C’est cette double caractéristique de démographe et de libéral qui m’a fait diagnostiquer très tôt que le développement économique chinois était un rattrapage tout à fait normal et donc un phénomène transitoire, et que d’autres forces condamnaient à terme ce développement.
Ce constat est antérieur à celui des financiers, car les chiffres de ces derniers ne sont que les conséquences lointaines de processus non financiers antérieurs. Ce sont ces processus – la démographie et un relatif isolement intellectuel – qui me semblent peser sur l’avenir de la Chine.
En attendant, pour l’instant, ce sont des citoyens chinois qui souffrent de l’obsession de puissance de leurs dirigeants…
https://www.contrepoints.org/2024/10/23/479620-la-chine-a-oublie-les-chinois
C'est là que l'être intelligent (présent dans tous les pays) déclare qu'il est nécessaire et obligatoire d'avoir un régime démocratique pour remplacer les dictatures monarchiques, républicaine ou impériales.
SupprimerLe véritable objectif de la FEMA: supprimer les Américains et prévenir l'organisation civile
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jeudi 24 octobre 2024 - 05h25
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
La Federal Emergency Management Agency (FEMA) a été fondée le 1er avril 1979 sous l'administration Jimmy Carter au plus fort d'une crise de stagflation de près d'une décennie et de la crise pétrolière iranienne. En vertu de l'ordonnance 12127, son objectif déclaré était de centraliser tous les efforts liés aux catastrophes sous une seule entité de haut en bas. Plus précisément, la FEMA a mis fin à l'agence de défense civile la plus localisée, qui était axée sur les interventions d'urgence communautaires, et elle a fédéralisé toute coordination des catastrophes dans un seul système de haut en bas contrôlé par le bureau ovale.
La FEMA a finalement été placée sous la mesure du ministère de la Sécurité intérieure, créant encore plus de centralisation. La raison de la FEMA selon le gouvernement est d'aider les Américains pendant et après un événement de catastrophe au niveau national; Tout, des tremblements de terre aux ouragans en passant par les attaques terroristes.
Cela dit, il convient également de noter que la FEMA a été officiellement créée le jour du poisson d'avril.
Le véritable but de la FEMA a longtemps été obscurci, mais certaines vérités troublantes ont été exposées dans le passé. La déclassification d'un programme appelé REX 84 (lié à l'opération Garden Plot) a révélé que la FEMA travaillait directement avec le ministère de la Défense sur une stratégie hypothétique pour rassembler et détenir un grand nombre de civils considérés comme une «menace pour la sécurité nationale». En d'autres termes, la FEMA devait agir comme un outil pour aider à supprimer les troubles civils, il n'a pas nécessairement été conçu pour aider les Américains en cas de besoin.
RépondreSupprimerC'était probablement toujours l'intention de la fondation de la FEMA, mais George H.W. Bush et Oliver North sont cités comme les hommes qui ont vraiment militarisé la FEMA au début des années 1980. L’objectif d’établir un mécanisme pour contrôler la dissidence politique intérieure et suspendre les libertés constitutionnelles a été exposée peu de temps après la fondation de la FEMA. Oliver North a été visiblement enragé lorsque le sujet a été abordé lors d'une audience du Congrès pendant le scandale Iran / Contra.
Il convient de mentionner que les documents REX 84 ne répertorient pas la FEMA comme agence principale pour contrôler la réponse des perturbations civiles. C'est de là que les accusations de «théorie du complot» proviennent généralement de - la FEMA n'est pas la fin de l'agence en charge de verrouiller la rébellion américaine. En fait, le rôle de la FEMA est étrangement ambigu et n'est pas clairement défini. Tout ce qui est connu, c'est qu'ils sont en effet un élément de l'opération Garden Plot et ont participé à Rex Exercices.
Il est indéniable que le secret concernant les programmes de perturbation civile est pernicieux et suggère qu'il se passe bien plus que notre propre gouvernement ne se soucie de l'admettre. Découvrir l'intention réelle de la FEMA Tout ce que nous avons à faire est d'examiner comment ils se comportent.
La récente catastrophe de l'ouragan Helene et la gestion par la FEMA de la réponse à travers la côte est font échos les crimes de l'agence après l'ouragan Katrina à la Nouvelle-Orléans en 2005. Leur «aide» d'urgence est utilisée comme manteau pour masquer les efforts pour empêcher les communautés de s'entraider et Empêcher les fournitures financées par les civils à l'extérieur d'atteindre les résidents affectés dans le besoin.
Les résidents désespérés de Katrina ont été traités comme des prisonniers plutôt que des citoyens, la confiscation des armes à feu a eu lieu dans de nombreuses régions et certaines personnes ont été abattues pour avoir tenté de laisser les quartiers enfermés. (En tant que note latérale - c'est pourquoi vous ne devriez jamais laisser personne confisquer vos armes à feu, surtout si ces personnes sont envoyées par le gouvernement)
CNN a rapporté en 2008 que la FEMA avait confisqué au moins 85 millions de dollars en marchandises données et les empêchait d'atteindre les victimes de catastrophes de Katrina. Cela comprenait les vêtements, la litière, la nourriture et les fournitures médicales. Ils ont stocké ces matériaux pendant des années, puis ont donné les fournitures longtemps après la fin de Katrina. La FEMA a affirmé que les fournitures étaient «en excès de leurs besoins». Ce rapport et tous les articles connexes semblent désormais manquants dans les archives de CNN.
RépondreSupprimerNous avons juste été témoin d'une répétition de ce comportement de la FEMA et des agences affiliées dans leur supervision. Nous avons vu le SME local conseillé d'empêcher les civils d'aider leurs communautés. Les fournitures étaient autrefois bloquées, les personnes atteintes de drones ont été invitées à ne pas trouver de survivants, les personnes atteintes d'hélicoptères étaient menacées d'avoir aidé à sauver les survivants et peu d'aide a atteint des victimes d'Hélène pendant des semaines. StarLink d'Elon Musk a même été empêché de fournir des services Internet par satellite aux régions affectées jusqu'à ce que l'histoire devienne nationale et que le ministère des Transports soit contraint de résoudre le problème.
C'est à nouveau Katrina, et la FEMA semble toujours avoir des excuses.
Mais pourquoi? On pourrait penser qu'avec une élection à quelques semaines, Biden et Harris sauteraient sur l'occasion pour avoir l'air compétent et utile. Au lieu de cela, ils n'ont rien fait d'autres qui offrent un chèque de secours de 750 $ aux survivants (ce qui pourrait aider les gens à survivre pendant une semaine), puis a référé les gens à des programmes fédéraux qui prennent plusieurs mois à bénéficier.
Je soutiens que tout cela est délibéré. La FEMA et le gouvernement fédéral dans son ensemble utilisent toujours des protocoles de type Garden Operation Garden avec deux objectifs à l'esprit…
Premièrement, ils essaient de acclimater la population à l'idée que les civils ne peuvent pas s'aider eux-mêmes et qu'ils ne devraient rien faire. Ils le font en interférant constamment avec les efforts civils et en perturbant les dons. Si les civils travaillent seuls pour sauver les communautés américaines de la calamité, ils pourraient un jour réaliser qu’ils n’ont besoin de rien du gouvernement fédéral. L'établissement a besoin que les gens croient qu'ils ne peuvent pas survivre sans l'aide et la protection du gouvernement. Heureusement, au moins à la suite de Hélène, il semble que de nombreuses communautés travaillent seules pour réparer la situation.
Si les civils commencent à faire des choses pour eux-mêmes, la machine d'établissement devient obsolète.
Deuxièmement, je soupçonne que la FEMA teste les eaux pour voir avec combien ils peuvent s'en tirer. Katrina était un test bêta clair pour la loi martiale déguisée en réponse d'urgence. Katrina était une parcelle de jardin et REX-84 a réalisé. Ils veulent voir ce que les Américains vont supporter. Helene est une autre occasion pour ces agences d'appliquer un contrôle manifeste et de voir si les Américains se conformeront ou se rebelleront.
RépondreSupprimerSi la FEMA est vraiment sincère dans leurs efforts pour aider les Américains, ils n'agissent certainement pas comme ça. Les critiques entourant Hélène accélèrent et l'attitude indignée de la FEMA envers leurs propres échecs inacceptables. Ils devraient être punis pour avoir échoué dans leurs fonctions. Cela suppose qu'ils échouent réellement.
Peut-être considèrent-ils la tragédie de l'inaction gouvernementale entourant l'Hélène comme un succès ? Le point sous-jacent est que, lorsque la catastrophe se présente, il ne suffit pas de compter FEMA comme une source d'aide. C’est évident. Mais vous devrez également considérer la possibilité que l'agence travaille directement contre vous et vos voisins si vous essayez de vous aider.
https://www.zerohedge.com/political/femas-real-purpose-suppressing-americans-and-preventing-civilian-organization
Ursula von der Leyen prône le « pré-bunking » dans l'espace public pour « vacciner » les gens contre la « désinformation ».
RépondreSupprimerPar John Leake
Discours courageux
24 octobre 2024
La présidente de l'UE Ursula von der Leyen vient de rejoindre les rangs de l'ancien sénateur John Kerry et d'autres goules mondialistes en déclarant la guerre à la liberté d'expression en proclamant de manière perverse que les citoyens de l'UE doivent être « vaccinés contre la désinformation ».
Comme tous les censeurs de l'histoire, elle caractérise son programme de censure comme un moyen d'éliminer les informations et les idées erronées du discours public. En utilisant le mot « désinformation », elle sous-entend qu’elle et sa clique sont déjà les seuls détenteurs de la vérité sur tout, et que tous ceux qui ont et partagent des idées hétérodoxes sont nécessairement dans l’erreur.
Toute sa prémisse est FAUSSE pour les raisons suivantes :
1). La connaissance du monde évolue constamment grâce à des recherches, des discussions et une diffusion constantes. La connaissance n’est PAS une chose statique. C’est pourquoi les pays dotés de régimes de censure étouffants ont connu une stagnation intellectuelle, scientifique et artistique. Leurs dirigeants tentent de figer l’esprit humain dans son état à un moment donné de l’histoire.
2). AUCUN État, université ou comité ecclésiastique n’a jamais été en possession de la vérité complète sur quelque sujet que ce soit. Les orthodoxies officielles ont toujours été contestées par des penseurs hétérodoxes. En fait, pratiquement toutes les avancées majeures de la perspicacité humaine ont été réalisées par des penseurs hétérodoxes.
3). Comme l’a observé John Milton dans son pamphlet de 1644, Areopagitica, lutter contre l’erreur fait partie intégrante de l’apprentissage et de la découverte. Nous apprenons littéralement en faisant des erreurs et en les corrigeant. Si la liberté d’expression est supprimée dans le but d’empêcher la propagation de pensées erronées – ou de « vacciner contre elles » – il deviendra extrêmement difficile, voire impossible, pour les gens d’apprendre et de découvrir.
4). Sans une seule exception dans l’histoire, les personnes qui détiennent le pouvoir prônent toujours l’orthodoxie qui soutient et étend leur pouvoir et celui de leurs amis et partisans.
Ursula von der Leyen est la quintessence de ce principe. En tant que présidente de l’UE, elle a mené des négociations secrètes avec le PDG de Pfizer pour acheter 20 milliards d’euros de vaccins frauduleux et dangereux de Pfizer afin qu’ils puissent être administrés à tous les citoyens de l’Union européenne. Elle fait actuellement l’objet d’une enquête criminelle pour sa conduite dans cette affaire connue sous le nom de Pfizergate.
RépondreSupprimerIl faut un certain culot à un haut fonctionnaire, probablement coupable d’un crime majeur – un crime systématiquement et impitoyablement dissimulé – pour sermonner le public sur la nécessité de la censure. Le temps est venu pour les citoyens européens de se débarrasser d’Ursula von der Leyen et de sa clique de tyrans corrompus.
Il est vrai que de plus en plus d’éléments montrent que l’administration Biden exerce des pressions sur l’Allemagne – qui reste un État vassal des États-Unis – et sur l’UE pour qu’ils renforcent leur régime de censure. Je reviendrai sur cette étrange évolution dans un prochain article.
https://www.lewrockwell.com/2024/10/no_author/eu-president-likens-free-speech-to-infectious-disease/
Le Pentagone légalise discrètement l'utilisation de la FORCE MORTELLE par l'armée américaine contre des citoyens américains
RépondreSupprimer22/10/2024
Kevin Hughes
Le ministère de la Défense (DOD) a discrètement légalisé l'utilisation de l'armée américaine contre des citoyens américains en rééditant la directive 5240.01.
L'ancien président Donald Trump a fait remarquer lors d'une récente interview téléphonique avec Fox News qu'il utilisait « la Garde nationale ou, si vraiment nécessaire, l'armée », mais il faisait référence à l'utilisation de moyens militaires en cas de troubles intérieurs accablants, ce qui est autorisé par la loi sur l'insurrection.
Lorsque Trump a été élu en 2016, des manifestations de fauteurs de troubles déments ont éclaté à travers l'Amérique. Et compte tenu de l'état actuel de la nation, ces manifestations violentes se produiront probablement à nouveau à grande échelle si Trump est élu, d'autant plus que la plupart des violences semblent provenir de la gauche politique.
Le candidat républicain à la présidence suggère probablement qu'il ne tolérera pas la violence.
Mais la directive 5240.01 est différente.
Elle a été utilisée à plusieurs reprises au cours de l'histoire. Elle a été utilisée plus récemment par le président Dwight Eisenhower lorsqu'il a déployé l'armée pour déségréguer de force un lycée de Little Rock, Arkansas, en 1957.
Le New York Times a rapporté que la loi Posse Comitatus, adoptée en 1878, rend illégal le recours à des forces militaires sur le sol américain. Cependant, la loi sur l'insurrection a préséance sur cette loi. (Article connexe : Dévoilement de l'emprise de l'armée sur le territoire national et ÉCHEC de la loi Posse Comitatus)
La directive mise à jour du DOD a militarisé l'armée américaine
RépondreSupprimerComme l'a rapporté Zero Hedge, la réautorisation de la directive 5240.01 permettrait à l'armée américaine d'utiliser la « force létale » contre la population civile en cas d'urgence de « sécurité nationale ».
GreenMedInfo a comparé les versions 2016 et 2024 de la directive et a découvert des changements inquiétants. Le média a rapporté qu'alors que l'Amérique se prépare à l'une des élections les plus controversées et les plus surveillées de son histoire, une mise à jour inquiétante de la directive 5240.01 du DOD a été discrètement mise en œuvre.
La directive, qui a été rééditée le 27 septembre, régit les activités de renseignement du Pentagone et comprend désormais des dispositions autorisant le recours à la force létale dans certaines circonstances pour aider les forces de l'ordre civiles.
Si la directive interdit les assassinats, elle ouvre la porte à des interventions meurtrières dans des situations de « sécurité nationale ».
Le rapport mentionne que si la version 2016 était principalement axée sur la collecte de renseignements et la sécurisation des libertés civiles des Américains, la version 2024 a élargi le rôle de l'armée, notamment pour aider les forces de l'ordre civiles.
Elle approuve également la force létale sous certaines conditions, « soulevant des questions sur son utilisation lors de troubles civils potentiels entourant l'élection ».
L'autorisation comporte quelques garde-fous, comme l'exigence de l'approbation du secrétaire à la Défense.
Et compte tenu du zèle dont ont fait preuve l'administration du président Joe Biden et de la vice-présidente Kamala Harris pour traquer même les contrevenants les plus mineurs qui étaient présents au Capitole le 6 janvier 2021, il est possible que si Harris l'emporte lors des prochaines élections, le Pentagone soit autorisé à utiliser la force physique mortelle contre les manifestants de Trump.
Le moment choisi pour cette réautorisation soulève plusieurs questions, notamment en raison des problèmes d'intégrité des élections, des menaces de troubles civils et de manipulation politique qui émergent à l'approche du jour du scrutin.
RépondreSupprimerSuivez NationalSecurity.news pour plus d'informations sur les questions de sécurité nationale en Amérique.
Regardez la vidéo ci-dessous sur la directive du Pentagone élargissant le rôle national de l'armée pour inclure le recours à la force létale.
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
Autres histoires connexes :
Directive 5240.01 du DoD : l'expansion furtive des pouvoirs du renseignement militaire dans des scénarios nationaux de vie ou de mort.
ESCOUADES D'EXÉCUTION : la mise à jour de la directive du DoD étend l'autorité militaire à l'utilisation de la force létale contre les citoyens américains.
Le ministère de la Défense détruit toutes les protections constitutionnelles restantes de la loi Posse Comitatus en prévision de la guerre civile 2.0 post-électorale.
Les sources incluent :
LawEnforcementToday.com
Brookings.edu [PDF]
MiamiHerald.com
NYTimes.com
ZeroHedge.com
GreenMedInfo.com
ESD.WHS.mil [PDF]
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-10-22-pentagon-legalizes-military-using-lethal-force-americans.html
CUBA : quand le « BLOCUS » sert d’excuse à la faillite communiste
RépondreSupprimerNathalie MP Meyer
24 octobre 2024
ll s’en faisait une telle joie ! Miguel Díaz-Canel, le glorieux « líder maximo » cubain qui a succédé aux frères Castro en 2018, devait se rendre à Kazan en Russie pour le sommet des BRICS, à l’invitation du non moins glorieux président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine. Une malencontreuse panne générale d’électricité affectant Cuba et ses 10 millions d’habitants, compliquée par la tempête tropicale Oscar depuis dimanche soir, l’oblige à y renoncer.
En dirigeant responsable et proche de son peuple, Díaz-Canel se devait de rester à Cuba tant que l’électricité n’aurait pas été rétablie partout. Mais quelle malchance, quand même ! Se voir accueilli aux côtés de titans de l’humanisme universel comme l’Iran et le Venezuela, et ce, par l’aimable volonté de la Russie qui s’emploie ainsi à contrer l’hégémonie destructrice des États-Unis et du dollar, ne peut signifier autre chose qu’une reconnaissance en bonne et due forme du prestige international dont jouit la révolution cubaine depuis plus de 65 ans !
Il faut dire que personne n’est mieux placé dans le monde que Cuba pour savoir ce que signifie « hégémonie américaine ». Cela tient en un seul mot, « bloqueo », c’est-à-dire ce blocus pernicieux que les États-Unis imposent à la petite île caribéenne depuis 1962. Blocus dont les dirigeants cubains viennent à nouveau de prendre prétexte pour expliquer l’effondrement total de leur réseau électrique. « Levez le blocus et il n’y aura plus de coupures d’électricité », s’est exclamé sur X (ex-Twitter) le ministre des Affaires étrangères Bruno Rodríguez, ajoutant : « De cette façon, le gouvernement américain pourrait aider le peuple cubain… s’il le voulait. » Sous-entendu, il ne le veut pas.
Une explication avancée à chaque crise – on se rappellera par exemple le traitement des grandes manifestations de juillet 2021, mais qui peine de plus en plus à convaincre. Il suffit de lire les commentaires sous le tweet du ministre pour s’en rendre compte. Certains mettent en avant la nécessité d’élections libres, d’autres font allusion aux hôtels de luxe qui fleurissent dans le pays malgré le terrible blocus et d’autres encore se demandent ce qu’est devenu le prêt de 1,2 milliard d’euros consenti par la Russie en 2015 dans le but spécifique de construire des centrales thermoélectriques.
RépondreSupprimerIl n’y a aucun blocus à Cuba !
En réalité, il n’y a pas de blocus à Cuba, un blocus signifiant qu’un pays est totalement empêché de commercer avec le reste du monde. Il y a un embargo américain qui fait que l’île peut commercer avec tous les pays qu’elle veut sauf avec les États-Unis et dans toutes les monnaies qu’elle veut sauf en dollars américains. C’est amusant : ne dirait-on pas la préfiguration de l’ordre mondial qu’aimerait instaurer la Russie ?
Toujours est-il que Cuba entretient bel et bien des relations commerciales avec de multiples pays : d’après les chiffres de notre Direction générale du Trésor, ses échanges avec le reste du monde se sont montés en 2022 à l’équivalent de 12 milliards de dollars (10 milliards d’importations et 2 milliards d’exportations), ses cinq premiers partenaires étant le Venezuela, la Chine, l’Espagne, le Canada et la Russie.
Et encore l’embargo s’est-il fortement allégé depuis le début des années 2000 puisque le commerce des aliments et des médicaments avec Cuba est maintenant autorisé. Il en résulte qu’aujourd’hui, ce que mangent les Cubains provient à 80 % des États-Unis. Un intéressant article du quotidien Libération nous indiquait que déjà en 2009, Cuba importait 84 % de ses denrées alimentaires et que les États-Unis étaient devenus le premier fournisseur de nourriture du pays.
Alors que les habitants sont privés d’électricité depuis 4 jours(*), ils déplorent aussi les pénuries de médicaments, la raréfaction des ressources en eau ainsi que la dégradation des aliments et l’impossibilité de communiquer, du fait de la non-alimentation électrique des réfrigérateurs et des téléphones. Les établissements d’enseignement et les commerces sont fermés et l’inquiétude monte quant à la capacité des hôpitaux, alimentés par groupes électrogènes, à tenir encore longtemps dans un contexte d’hygiène dégradée et de système sanitaire défaillant.
Ah, oui, la médecine cubaine… Délabrée est le mot, du moins pour les gens ordinaires. Rien à voir avec ce paradis de solidarité et de techniques de pointe que la légende castriste a forgé. En ce domaine comme dans tous les actes de leur vie quotidienne, les Cubains luttent pour leur survie. Du reste, s’agissant de la fourniture en électricité, cela fait des mois, des années, qu’ils doivent s’accommoder de coupures quotidiennes pouvant aller jusqu’à huit heures d’affilée.
RépondreSupprimerCuba soufre du « blocus interne », c’est-à-dire l’échec économique, social et bureaucratique
Après l’effondrement de l’URSS, le Venezuela théoriquement si riche de son pétrole avait pris le relai afin de subvenir aux besoins de la révolution socialiste castriste. Mais ce pays, empêtré de son côté dans sa révolution socialiste bolivarienne, n’est plus que l’ombre de lui-même. Ses livraisons d’hydrocarbures à Cuba ont considérablement chuté, ce qui explique une bonne partie des déboires actuels de l’île. En affectant tous les fonctionnements, le manque de combustible réduit inéluctablement la production et pèse en conséquence sur le développement humain.
L’autre partie, et pas des moindres, c’est ce que les Cubains eux-mêmes appellent le « blocus interne », c’est-à-dire l’échec économique, social et bureaucratique qui ponctue dramatiquement toutes les expériences de « socialisme réel » sans exception. La planification centralisée de tout, mise en œuvre par un pouvoir plus intéressé à faire durer l’illusion idéologique de la révolution que par le bien-être de ses citoyens, se traduit au fil du temps par des infrastructures vieillissantes, mal entretenues et perpétuellement en manque de pièces de rechange.
En cette année 2024, l’économie du pays s’enfonce dans la précarité. Le tourisme s’étiole, l’inflation s’incruste (30 % en 2023 selon des chiffres officiels contestés du fait de leur minoration), les pénuries de carburant sont de plus en plus fréquentes et le petit secteur privé ouvert en 2021 est soumis à de multiples contrôles qui l’empêchent de se développer. Lassées de se battre pour survivre, environ 450 000 personnes, soit 5 % de la population, ont quitté le pays en deux ans en direction des États-Unis.
Face à cette nouvelle crise absolue, les Cubains seraient bien tentés de protester comme ils l’ont fait en nombre en 2021. Quelques manifestations ont eu lieu à La Havane et l’on a entendu à nouveau le bruit des casseroles dans les quartiers populaires du pays. Mais dans le noir et en pleine tempête Oscar, c’est plus difficile. Dimanche, pour étouffer tout cela dans l’œuf, Miguel Díaz-Canel a endossé son uniforme militaire vert olive, mettant en garde quiconque envisagerait de trahir la révolution :
RépondreSupprimer« Quelques personnes, la plupart en état d’ébriété, ont tenté de troubler l’ordre public, appuyées par les opérateurs de la contre-révolution cubaine depuis l’étranger. La révolution ne tolérera jamais ce type de comportement, et tous seront poursuivis en conséquence avec la rigueur prévue par les lois révolutionnaires. »
Pour faire bonne mesure, Internet a été interrompu, non pas du fait de la panne électrique, mais volontairement, politiquement, pour empêcher la diffusion des vidéos des manifestations lorsque le courant est temporairement rétabli ici ou là.
En substance un régime bien sympathique, où l’on chercherait vainement la moindre trace de liberté ou de prospérité.
(*) L’électricité a été rétablie le 22 octobre 2024 pour 70 % des habitants du pays.
https://www.contrepoints.org/2024/10/24/479629-cuba-quand-le-blocus-sert-dexcuse-a-la-faillite-communiste
En fait Cuba est comme le Venezuela envahi de terroristes dont on sait d'où ils viennent et qui s'emploient quotidiennement a couper çà et là des fils électriques ou à faire sauter des transformateurs. C'est cette dictature étrangère qui détruit l'économie de ce pays de 1000 km de long.
Supprimer110 860 km², 11 millions d'habitants
Mais, comme les États-Unis sont eux-mêmes envahi de terroristes qui ne sont là que pour détruire l'économie et s'emparer de richesses, l'avenir de notre monde (Europe comprise) est terroriste à l'image de ses dirigeants dictateurs psychopathes qui ne pense qu'à tuer.
Car un pays grand comme Cuba a tout pour s'en sortir de lui-même.
L'OMS intensifie la lutte contre la liberté d'expression
RépondreSupprimer25 octobre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), organisation antidémocratique, dirigée par les entreprises et les oligarques, a de nouveau appelé les gouvernements à prendre des mesures urgentes contre la liberté d'expression de leurs citoyens. Tedros Adhanom Ghebreyesus souhaite que le public soit réduit au silence grâce à la censure afin de « prévenir la propagation de mensonges nuisibles ».
Permettre aux gens d’exprimer librement leurs opinions « stimulerait » la « propagation de la désinformation », a déclaré Ghebreyesus. Il a profité du sommet de l’Organisation des Nations Unies (ONU) de 2024 pour lancer une autre tirade contre « la désinformation et la désinformation ». Il a déclaré que l'OMS contrecarrait la prétendue menace en « collaborant » avec un certain nombre d'entreprises (sic) et d'autres partenaires.
Au fond, tout est dit, cela confirme la fusion d'entreprises avec une organisation quasi-gouvernementale définie par le droit international - ce qui, selon Benito Mussolini, peut aussi être qualifié de fascisme. La censure poussée par le complexe numérique et financier, le WEF, l’UE et l’OMS n’a pas pour but de protéger les enfants de la haine ou de la « désinformation », mais d’éliminer les contradictions avec leurs propres politiques et les intérêts lucratifs des entreprises « coopérantes ». Par exemple, en une minute, Facebook a censuré chaque publication concernant notre article sur la conférence donnée par le professeur Richard Lindzen, scientifique du MIT, lors d'un événement organisé par le groupe de réflexion hongrois MCC à Bruxelles. De toute évidence, il s’agit de protéger les politiques de l’UE, et non de concerner les enfants, la santé ou d’autres raisons prétextes.
RépondreSupprimerDans son discours, le chef de l'OMS a renouvelé ses appels à une censure plus stricte sur les réseaux sociaux. Il a réitéré les allégations selon lesquelles les médias sociaux « accélèrent la propagation de la désinformation ». Le chef de l'OMS affirme que l'expression en ligne d'opinions non conventionnelles a accru le scepticisme des gens à l'égard des vaccins et d'autres traitements médicaux.
Sans fournir de preuves, Ghebreyesus a affirmé que la liberté d’expression conduit à « la stigmatisation, la discrimination et même la violence » contre les agents de santé et les « groupes marginalisés ».
"Pendant la pandémie de COVID-19, les mensonges sur les masques, les vaccins et le confinement se sont propagés aussi rapidement que le virus lui-même et ont été presque aussi mortels", a affirmé Tedros. (Cependant, les erreurs de traitement médical constituent la troisième cause de décès - et ce depuis longtemps.)
« Les gens n’utiliseront pas de médicaments en qui ils n’ont pas confiance, ils ne verront pas de professionnels de la santé en qui ils n’ont pas confiance et ils ne suivront pas les conseils en lesquels ils n’ont pas confiance », a-t-il ajouté.
« Et lorsque la confiance se détériore, cela peut avoir des conséquences fatales. »
Mais c’est la première fois que l’OMS appelle à une plus grande censure.
Comme tous les censeurs de l’histoire, il décrit son programme de censure comme un moyen de bannir les informations et idées erronées du discours public. En utilisant le mot « désinformation », il laisse entendre que lui et sa clique sont déjà seuls en possession de la vérité sur tout , et que quiconque a et partage des idées hétérodoxes a nécessairement tort.
RépondreSupprimerToute sa prémisse est fausse pour les raisons suivantes :
1). La connaissance du monde évolue constamment grâce à des recherches, des discussions et une diffusion constantes. La connaissance n'est PAS quelque chose de statique. C’est pourquoi les pays dotés de régimes de censure oppressifs ont connu une stagnation intellectuelle, scientifique et artistique. Leurs dirigeants tentent de geler l’esprit humain dans l’état où il se trouve à ce moment de son histoire.
2). Aucun État, aucune université et aucun corps ecclésiastique n’a jamais possédé la vérité complète sur une question. Les orthodoxies officielles ont toujours été contestées par les penseurs hétérodoxes. En fait, pratiquement toutes les avancées majeures dans la connaissance humaine ont été réalisées par des penseurs hétérodoxes.
3). Comme John Milton l'a noté dans son pamphlet Areopagitica de 1644, la confrontation avec l'erreur est une partie essentielle de l'apprentissage et de la découverte. Nous apprenons littéralement en faisant des erreurs et en les corrigeant. Lorsque la liberté d’expression est supprimée dans le but d’empêcher – ou de « vacciner contre » – la propagation d’idées fausses, il devient alors extrêmement difficile, voire impossible, pour les gens d’apprendre et de découvrir.
4). Sans une seule exception dans l’histoire, ceux qui sont au pouvoir représentent toujours l’orthodoxie qui maintient et étend leur pouvoir et celui de leurs amis et partisans.
Censure de l'Irlande pour l'ensemble de l'UE
Le régulateur irlandais des médias Coimisiún na Meán (CNAM) a publié lundi des lignes directrices contraignantes en matière de censure pour les réseaux sociaux. Le « code de sécurité » en ligne ne s’applique pas uniquement aux contenus criminels. Cela interdit le téléchargement ou le partage de vidéos incluant la cyberintimidation, la promotion de l'automutilation, le suicide ou les troubles de l'alimentation, les abus sexuels sur des enfants, l'incitation à la haine ou à la violence, le terrorisme, le racisme et la xénophobie. Bien entendu, les autorités irlandaises définissent ce que cela signifie au nom du complexe financier numérique aux États-Unis.
"Le code introduit des obligations pour les plateformes de partage de vidéos afin de protéger les personnes, notamment les enfants, des vidéos nuisibles et des contenus associés", explique la CNAM . Les caractéristiques à cet égard sont « le sexe, la race, la couleur de la peau, l’origine ethnique ou sociale, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convictions, les opinions politiques ou autres, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, le handicap, l’âge et l’orientation sexuelle ». Les prestataires doivent également prévenir l’exposition à la pornographie ou à la « violence gratuite » et, à cette fin, introduire des mesures controversées de vérification de l’âge « si nécessaire » .
RépondreSupprimerTout cela signifie que vous ne pouvez utiliser Internet que si vous vous connectez avec une identification numérique. Il s’agit de l’un des projets les plus importants du WEF et du complexe numérique-financier. La Commission irlandaise est un bon agent d'exécution.
https://tkp.at/2024/10/25/who-verschaerft-kampf-gegen-freie-meinungsaeusserung/
RépondreSupprimerVisualisation du déficit de l'UE en minéraux critiques d'ici 2030
PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 OCTOBRE 2024 - 10:15
La loi sur les matières premières critiques de l'Union européenne définit plusieurs objectifs ambitieux pour améliorer la résilience de ses chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques.
Comme le détaille Bruno Venditti de Visual Capitalist ci-dessous, la loi comprend des objectifs non contraignants pour que l'UE construise une capacité minière suffisante pour que les mines du bloc puissent répondre à 10 % de sa demande en minéraux critiques.
En outre, la loi fixe un objectif de 40 % de la demande à satisfaire par la transformation au sein du bloc et de 25 % par le recyclage.
Plusieurs mois après l'adoption de la loi en mai 2024, ce graphique met en évidence l'ampleur du défi que l'UE entend relever. Ces données proviennent exclusivement de Benchmark Mineral Intelligence, en date de juillet 2024. Le graphique exclut le graphite synthétique.
- voir cadre sur site -
Assurer l’approvisionnement de l’Europe en matériaux critiques
À l’exception de l’extraction du nickel, aucun des minéraux de batteries considérés comme stratégiques par l’UE n’est en voie d’atteindre ces objectifs.
Le graphite, le principal composant minéral utilisé dans les batteries, est particulièrement préoccupant. L’UE ne dispose pas d’approvisionnement en minerai de manganèse ou en coke, le précurseur du graphite synthétique.
D’ici 2030, l’Union européenne devrait fournir localement 16 000 tonnes de graphite en paillettes, contre un objectif minier national de 45 000 tonnes.
- voir cadre sur site -
L’Union devrait produire 29 000 tonnes d’équivalent carbonate de lithium (LCE), contre un objectif de 46 000 tonnes.
En termes de traitement des minéraux, l’Union devrait traiter 25 % de ses besoins en lithium, 76 % de nickel, 51 % de cobalt, 36 % de manganèse et 20 % de graphite en paillettes.
L’UE ne devrait recycler que 22 % de ses besoins en lithium, 25 % de son nickel, 26 % de son cobalt et 14 % de son manganèse. Le graphite, quant à lui, n’est pas largement recyclé à l’échelle commerciale.
Si vous avez apprécié cet article, n’oubliez pas de consulter ce graphique, qui visualise l’approvisionnement total en cobalt des 10 principaux producteurs en 2030.
https://www.zerohedge.com/commodities/visualizing-eus-critical-minerals-gap-2030
C’est comme ça : les bureaucrates de la Banque mondiale ont perdu la trace des 24 à 41 milliards de dollars consacrés à la « lutte contre le changement climatique »
RépondreSupprimerExtrait du site Web de la Banque mondiale
La Banque mondiale – Qui sommes-nous ? Comme on dit, nous sommes « responsables envers nous-mêmes ».
Par Jo Nova
October 25th, 2024
La Banque mondiale est la plus grande multinationale de financement climatique de la planète, et la fin du monde est proche, les océans sont sur le point de bouillir, mais personne à la Banque mondiale ne peut expliquer où sont passés des milliards de dollars de fonds destinés à sauver la planète. C’est presque comme si personne là-bas ne se souciait du climat. En effet, si la Banque mondiale était un calmar parasite géant se nourrissant des contribuables occidentaux, cela ressemblerait à cela.
Un nouveau rapport d’Oxfam montre qu’au cours des six dernières années, 24 milliards de dollars (au moins) ont probablement disparu des bilans, mais cela pourrait représenter jusqu’à 41 milliards de dollars. En fait, la Banque mondiale avait prévu de dépenser beaucoup d’argent, mais personne n’a pris la peine de vérifier si cet argent avait été dépensé, si le budget avait explosé ou si cela n’avait jamais eu lieu et si l’équipe était partie surfer au Costa Rica. Imaginez si nous pouvions faire nos impôts de cette façon ? En effet, il est un peu exagéré de dire que l’argent « manquait hors bilan » car il n’y avait apparemment aucun bilan, pas pour les dépenses.
Oxfam ne peut que deviner les sommes manquantes car ils ont enquêté sur d’autres projets de la Banque mondiale et ont découvert que le coût final différait du coût prévu de 26 à 43 %. Ils ont donc utilisé ces chiffres pour arriver à une estimation du montant des millions manquants. C’est à ce point grave. Nous ne pouvons même pas dire combien il manque. Un initié a déclaré au New York Post : « Cela pourrait être deux ou dix fois plus ».
RépondreSupprimerLes entités supranationales irresponsables comme la Banque mondiale, l’ONU, sont certainement les grands attracteurs des profiteurs mondiaux. Comme un super aimant pour ceux qui aiment dépenser l’argent des autres :
Les bureaucrates de la Banque mondiale ont perdu la trace d’au moins 24 milliards de dollars de fonds destinés à la lutte contre le changement climatique : « Cela pourrait être deux ou dix fois plus »
Par James Franey, New York Post
Et si ce n’était pas de la maladresse – qui le saurait ?
Les bureaucrates maladroits de la Banque mondiale ont perdu la trace d’au moins 24 milliards de dollars de fonds destinés à la lutte contre le changement climatique, selon un rapport choc d’un groupe caritatif de gauche.
Une enquête menée par Oxfam a révélé de « mauvaises pratiques de tenue de registres » de la part du prêteur international basé à Washington, qui ont entraîné des fonds mal placés entre 24 et 41 milliards de dollars.
L’audit de l’agence a montré « un manque de traçabilité des dépenses » au cours des sept dernières années, en partie à cause d’une pratique comptable bizarre dans laquelle la banque comptabilise son financement climatique au moment de l’approbation d’un projet plutôt qu’au moment de l’achèvement du projet,…
Dans le rapport : Climate Finance Unchecked Oxfam a découvert qu’il était extrêmement difficile d’obtenir des réponses simples :
« Nous avons dû passer au crible des couches de rapports complexes et incomplets, et même là, les données étaient pleines de lacunes et d’incohérences. Le fait que ces informations soient si difficiles à accéder et à comprendre est alarmant – il ne devrait pas falloir une équipe de chercheurs professionnels pour comprendre comment des milliards de dollars destinés à l’action climatique sont dépensés.
Tout cela pourrait être réglé en cinq minutes. Il suffirait que nos gouvernements disent « Plus d’argent pour la Banque mondiale tant qu’elle n’aura pas réglé le problème des rapports », et la Banque mondiale remplirait immédiatement ses déclarations d’impôts. Mais les chances que cela se produise sont comparables à celles d’un astéroïde – à moins que Donald Trump ne remporte les élections américaines (au-dessus de la marge de tricherie). Les simples hommes politiques qui posent des questions difficiles risquent non seulement de perdre leur carrière post-politique avec l’ONU-WEF-Banque mondiale-FMI-FAO-OMS-AIEA-ou l’OCDE, mais ils pourraient aussi ressentir la force d’un rapport de la Banque mondiale expliquant à leurs citoyens comment ils ont mal géré leur propre économie, et qui veut ça ?
RépondreSupprimerLes sommes d’argent sont ahurissantes
Extrait du site Web de la Banque mondiale
Encore de l’agitprop sur le site Web de la Banque mondiale. Qui sommes-nous (pas).
Les rédacteurs d’Oxfam, que Dieu les bénisse, sont légèrement déconcertés. Alors que le monde est dans une situation désespérée (comme ils le voient), ils ne comprennent pas pourquoi la Banque mondiale ne traite pas chaque dollar comme un diamant.
… les sommes nécessaires sont énormes et en augmentation : selon le rapport 2023 de l’ONU sur l’écart d’adaptation, le montant nécessaire pour
le seul financement de l’adaptation se situe entre 215 et 387 milliards de dollars par an.
Le potentiel est énorme. Si la Banque mondiale obtenait ce qu’elle demandait et dépensait 90 % de ses fonds de manière honnête, il resterait encore 30 milliards de dollars pour organiser des fêtes. Mais si personne ne suit ces dépenses, pourquoi ne pas voir les choses en grand ?
« C’est le Far West de la finance », a déclaré Mark Joven, sous-secrétaire du ministère des Finances des Philippines, qui représente le pays aux négociations sur le climat de l’ONU. « En fait, tout ce qu’on appelle le financement climatique est un financement climatique. »
« On ne peut pas vraiment suivre l’argent, le suivre, ni suivre son impact », a déclaré Romain Weikmans, chercheur principal spécialisé dans le financement climatique à l’Institut finlandais des affaires internationales.
– « Les pays riches disent qu’ils dépensent des milliards pour lutter contre le changement climatique. Une partie de l’argent va à des endroits étranges. » Reuters.
Le Big Government nourrit le Bigger Government
RépondreSupprimerLe blob mondialiste n’est pas seulement la terre promise des escrocs politiques. En pratique, plus ils peuvent siphonner du peuple vers le blob – plus ils se font d’amis parmi les blob-blingati internationaux, et plus ils ont de chances de se voir offrir le prochain grand emploi de blob.
Les bureaucrates nationaux de niveau moyen se tournent certainement vers le pays du lait et du miel, où l’argent des contribuables échappe à l’horizon des audits et des élections. C’est seulement là que les parasites peuvent faire ce qu’ils veulent avec l’argent des autres.
Download Oxfam’s new report “Climate Finance Unchecked.”
https://joannenova.com.au/2024/10/just-like-that-world-bank-bureaucrats-lost-track-of-24-to-41-billion-fighting-climate-change/
Nous serions sur le point dès demain (et pourquoi pas aujourd'hui ?) à pêcher en mer des poissons déjà cuits ! voire déjà panés avec ou sans citron selon les courants maritimes !
SupprimerCela prête à rire mais cela est déjà vrai chez les 'banques mondiales de l'entourloupe' !
Les Pays-Bas, plus gros utilisateurs de pesticides par hectare en Europe
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 24 octobre 2024 - 17:00
Si l'on condamne souvent l'Espagne ou l'Italie quand on pense pesticides, ce sont en réalité les Pays-Bas et leurs champs de tulipes qui détiennent le record du plus gros utilisateur de pesticides par hectare en Europe. Ce classement surprenant montre que les plus gros producteurs agricoles ne sont pas toujours ceux qui mettent le plus de pression à leur terre.
Les chiffres ne mentent pas : contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les plus gros producteurs agricoles qui exercent la plus grande pression chimique sur leurs terres, mais des nations comme les Pays-Bas (10,9 kg/ha), Chypre (9,22 kg/ha) ou encore Malte (8,09 kg/ha). Le contraste est frappant avec des pays nordiques comme la Suède (0,73 kg/ha), qui se distingue par sa gestion exemplaire. Ces disparités montrent que l’agriculture intensive n’est pas nécessairement liée à la taille des exploitations, mais aux choix politiques et économiques.
Derrière les tulipes et les serres high-tech des Pays-Bas, se cache une intensité démesurée qui souligne une obsession pour des rendements élevés dans un espace géographique limité.
La France, elle, reste dans la moyenne européenne avec 3,7 kg/ha, loin derrière les Pays-Bas. Ce qui permet de relativiser quant aux résultats mitigés du plan Écophyto lancé en 2008 : l’usage des pesticides reste un problème non résolu, mais on avance. Ceci étant dit, il existe des disparités importantes entre les régions françaises. Autrement dit, l'Europe a encore du pain sur planche pour effectivement verdir sa production.
https://www.francesoir.fr/societe-environnement/les-pays-bas-plus-gros-utilisateurs-de-pesticides-par-hectare-en-europe
Chaque région du monde a sa particularité, son climat, son mode de vie comme sa prolifération d'insectes ! Et donc, les pays les plus touchés (pour pas dire ravagés) emploient donc plus de médicaments que d'autres afin que les plantes soient et demeurent en bonne santé.
SupprimerIl n'y a pas de mal à se défendre contre des bestioles face aux pays pauvres qui refusent les traitements préventifs et curatifs et qui s'appellent bio ! HAHAHAHA !
Donc: félicitations aux pays qui ne proposent que des produits de qualité exempts de maladies ou d'insectes.
« Ce que je produis a besoin d'un endroit où aller »
RépondreSupprimer25 Octobre 2024
Tim Burrack, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Ce que je produis a besoin d'un endroit où aller.
En tant qu'agriculteur de l'Iowa, je dépends des marchés nationaux et étrangers pour mon maïs et mon soja - et je suis toujours à l'affût des dirigeants politiques qui veulent élargir nos opportunités.
Aujourd'hui, ils se font rares, comme le montre clairement l'élection présidentielle américaine.
L'administration de l'un des candidats présente le pire bilan commercial de tous les temps. L'autre candidat a augmenté les droits de douane dans le passé et promet de les augmenter encore plus à l'avenir.
Il semble que mes produits n'aient nulle part où aller.
Quelqu'un veut-il aider les agriculteurs américains ? Nous en aurions bien besoin à un moment où l'agriculture semble se diriger vers une récession économique.
La vice-présidente Kamala Harris n'a pas de plan. Il est vrai qu'elle est devenue candidate officielle à la présidence de manière soudaine et récente, après le retrait du président Joe Biden. Peut-être développera-t-elle un programme positif et commencera-t-elle à en parler.
Nous devrions lui donner une chance.
Pourtant, il y a peu de chances qu'elle y parvienne. Elle est partenaire de l'administration Biden et de ses échecs, à commencer par la frénésie de dépenses fédérales qui a propulsé l'inflation rapide qui a fait grimper le coût de tout, du carburant et des engrais dont les agriculteurs ont besoin à la nourriture que les consommateurs achètent dans les épiceries.
En quatre ans, cette administration n'a pas fait grand-chose pour améliorer la capacité des Américains à exporter ce qu'ils construisent et produisent. L'équipe Biden-Harris est en passe de devenir la première administration depuis l'avènement de l'Organisation Mondiale du Commerce en 1995 à ne pas négocier un seul nouvel accord commercial entre les États-Unis et un autre pays.
Il ne s'agit pas simplement du scepticisme traditionnel du parti démocrate à l'égard du libre-échange. Les précédents présidents démocrates, Bill Clinton et Barack Obama, ont conclu des accords avec le Canada, le Mexique, le Panama et la Corée du Sud. Ils se sont engagés dans la diplomatie avec les dirigeants étrangers, puis dans des négociations avec le Congrès. Leur travail acharné a été récompensé par des résultats qui ont stimulé les exportations américaines.
RépondreSupprimerEn revanche, le programme commercial de M. Biden et de Mme Harris n'a rien donné.
C'est leur bilan, et c'est sur ce bilan que Mme Harris doit maintenant se présenter. Alors qu'elle quitte sa gauche politique et tente de faire campagne au centre de l'échiquier politique, elle pourrait promettre de poursuivre les pactes commerciaux avec les pays du Pacifique, l'Union Européenne et le Royaume-Uni.
Les agriculteurs comme moi attendront, observeront et garderont l'esprit ouvert.
De nombreux agriculteurs ont soutenu le président Trump lors des élections précédentes et pourraient le soutenir à nouveau lors de celle-ci. Nous avons apprécié ses efforts en matière de déréglementation, de réforme fiscale et de sécurité aux frontières.
Pourtant, je suis effrayé par le programme commercial de celui qui s'est autoproclamé « l'homme des tarifs » [droits de douane].
Ses politiques protectionnistes en tant que président ont coûté 80 milliards de dollars aux Américains, selon une nouvelle analyse de la Tax Foundation, qui ajoute que ce fardeau équivaut à « l'une des plus importantes augmentations d'impôts depuis des décennies ».
Bien que le président Trump ait modernisé notre pacte commercial nord-américain, sa guerre commerciale avec la Chine a incité ce pays à se détourner du soja et du maïs américains, transférant ses activités à mes concurrents brésiliens.
Et maintenant, il menace d'imposer des droits de douane de 10 % sur toutes les importations. Selon un rapport de l'Institut Peterson, cela équivaut à une augmentation d'impôt de 1.700 dollars pour chaque ménage américain.
Pour les agriculteurs, c'est peut-être pire, car c'est nous qui souffrirons le plus des guerres commerciales qui s'ensuivront, comme l'histoire l'a montré, lorsque nos partenaires commerciaux riposteront en imposant leurs propres droits de douane sur les produits que nous cultivons pour l'exportation.
RépondreSupprimerLe moment est également mal choisi. Tous les agriculteurs se préparent déjà à quelques mauvaises années, car les coûts des intrants continuent d'augmenter et les prix des produits de base de chuter.
Les fabricants d'équipements agricoles tels que John Deere et Firestone ont supprimé des milliers d'emplois dans l'Iowa et les États voisins cette année.
Le colistier du président Trump, le sénateur de l'Ohio J.D. Vance, a promis dans son discours à la convention républicaine de « reconstruire les usines » et a déclaré que cette élection concernait « l'ouvrier du Wisconsin qui fabrique des choses de ses mains et qui est fier du savoir-faire américain ».
C'est un beau sentiment, mais on ne peut pas légiférer contre les lois de l'économie. Ces usines n'auront rien à fabriquer si les agriculteurs ne peuvent pas se payer de nouveaux tracteurs et pneus parce qu'ils ont perdu leurs marchés d'exportation à cause de mauvaises décisions prises à Washington.
Tout revient à la simple vérité de l'agriculteur : ce que je produis a besoin d'un endroit où aller.
*
* Tim Burrack
RépondreSupprimerTim produit du maïs, du maïs semence, du soja et produit du porc. Il s'est très impliqué dans l'amélioration des écluses du Mississippi et s'est rendu au Brésil pour étudier les changements apportés aux infrastructures fluviales, ferroviaires et routières. Tim est membre bénévole du conseil d'administration du Réseau Mondial d'Agriculteurs (Global Farmer Network).
Source : No Place to Go – Global Farmer Network
Ma note : Le titre d'origine, « No Place to Go » – pas d'endroit où aller –, est bien pessimiste.
https://seppi.over-blog.com/2024/10/ce-que-je-produis-a-besoin-d-un-endroit-ou-aller.html
Le côté effrayant de la chose est que demain un enfant qui naît subira des 'droits de douane' !! Après tout on ne sait d'où il virent exactement puisque la mère n'a pu le faire toute seule !!:
SupprimerC'est exactement ce qui se présente chez les fruits & légumes et céréales !! Qui en est le père ???!
CRISPR améliore la résistance du soja au virus de la mosaïque du soja
RépondreSupprimer22 Octobre 2024
ISAAA*
Des experts de l'Université Agricole de Nanjing et des partenaires ont utilisé CRISPR pour développer des graines de soja présentant une résistance accrue au virus de la mosaïque du soja (SMV – soybean mosaic virus). Leur étude, publiée dans The Crop Journal, contribue aux efforts de recherche en cours pour gérer les maladies virales du soja.
Le SMV est un virus qui menace gravement le rendement et la qualité de la production de graines du soja. Il s'agit du virus le plus répandu dans les régions de culture du soja, entraînant une réduction des rendements en grains pouvant atteindre 15 à 35 % dans les conditions naturelles du champ. Le développement d'une variété de soja génétiquement modifiée est donc devenu une priorité pour améliorer la productivité.
L'étude a utilisé plusieurs systèmes antiviraux CRISPR-CasRx pour conférer une résistance au SMV. L'étude a révélé que la stratégie CRISPR-CasRx(+) présentait le plus haut niveau de résistance au SMV. 39,02 % des plantes T1 sont hautement résistantes (HR) et 35,77 % sont résistantes (R), tandis que seulement 6,50 % sont sensibles (S) au SMV. Les résultats ont montré que l'accumulation de SMV était significativement réduite ou même indétectable dans les plantes HR et R. Ces résultats offrent de nouvelles perspectives pour améliorer le soja résistant au SMV.
Pour plus d'informations, lire l'article de The Crop Journal.
*
* Source : CRISPR Improves Resistance of Soybeans to Soybean Mosaic Virus- Crop Biotech Update (August 28, 2024) | Gene Editing Supplement - ISAAA.org
Ma note : Voici le résumé (découpé) de « CRISPR/CasRx-mediated resistance to Soybean mosaic virus in soybean » (résistance au virus de la mosaïque du soja médiée par CRISPR/CasRx dans le soja) de Le Gao et al. :
« Le virus de la mosaïque du soja (SMV), un virus à ARN, est le virus pathogène le plus courant et le plus destructeur dans les champs de soja.
Le système immunitaire CRISPR/Cas récemment développé a fourni une nouvelle stratégie pour améliorer la résistance des plantes aux virus ; par conséquent, cette étude visait à créer une résistance au SMV dans le soja à l'aide de ce système.
Plus précisément, de multiples ARNsg ont été conçus pour cibler les brins positifs et/ou négatifs du gène HC-Pro du SMV. Ensuite, les vecteurs CRISPR/CasRx correspondants ont été construits et transformés dans le soja.
Après inoculation avec le SMV, 39,02 %, 35,77 % et 18,70 % des plantes T1 ont été confirmées comme hautement résistantes (HR), résistantes (R) et légèrement résistantes (MR) au SMV, respectivement, alors que seulement 6,50 % ont été identifiées comme sensibles (S).
RépondreSupprimerEn outre, la qRT-PCR et la DAS-ELISA ont montré que, tant à 15 qu'à 30 jours après l'inoculation (dpi), l'accumulation du SMV a diminué de manière significative ou était même indétectable dans les plantes HR et R, suivies par les plantes MR et S. En outre, le niveau d'expression du gène CasRx a varié dans presque toutes les plantes T1 avec différents niveaux de résistance, à la fois à 15 et à 30 jours après l'inoculation.
En outre, lorsque la résistance au SMV a été évaluée dans la génération T2, les résultats étaient similaires à ceux enregistrés pour la génération T1.
Ces résultats donnent un nouvel aperçu de l'application du système CRISPR/CasRx pour l'amélioration du soja et offrent une stratégie alternative prometteuse pour la sélection de la résistance au stress biotique qui contribuera au développement d'un germoplasme de soja immunisé contre le SMV afin d'accélérer les progrès vers une plus grande productivité des cultures de soja. »
https://seppi.over-blog.com/2024/10/crispr-ameliore-la-resistance-du-soja-au-virus-de-la-mosaique-du-soja.html
Petite erreur typographique il ne s'agit pas de 'virus' (c'est-à-dire poussière) mais d'un microbe particulier qui s'attaque au soja. Cette bactérie ravageuse est comme toutes autres combattue lors de traitements adéquats et non avec des 'vaccins anti-poussières' !! HAHAHA !
SupprimerConseil européen « agriculture » : les prestations environnementales doivent à l'avenir être rémunérées pour les agriculteurs
RépondreSupprimer24 Octobre 2024
Josef Koch, Bayrisches landwirtschafltiches Wochenblatt, dans AGRARHEUTE*
Les agriculteurs devraient à l'avenir pouvoir gagner de l'argent grâce aux prestations environnementales.
Les ministres européens de l'Agriculture définissent les points clés de la prochaine réforme agricole de l'UE en 2027.
Ma note : Mais j'ai l'impression qu'ils oublient que le but premier de la politique agricole est d'assurer la sécurité et la souveraineté alimentaire des Européens.
Le commissaire européen désigné à l'Agriculture, Christophe Hansen, n'est pas encore en fonction et ne peut pas encore présenter sa future stratégie agricole. Mais les ministres européens de l'Agriculture ont déjà posé les premiers jalons de leur vision de la future politique agricole européenne.
Un principe important : les fonds publics ne doivent être alloués que pour des prestations publiques. Ce principe fait également partie du dialogue stratégique auquel ont participé de nombreuses associations agricoles et environnementales.
Il y est toutefois stipulé que les prestations environnementales doivent également être rémunérées pour les agriculteurs et ne doivent pas seulement représenter une compensation des coûts comme c'est le cas actuellement. Le ministre fédéral de l'Agriculture, Cem Özdemir, a souligné que des « améliorations importantes » avaient pu être obtenues lors des négociations, comme la rémunération des prestations des agriculteurs en faveur de l'environnement. Sous la pression de M. Özdemir, l'agriculture biologique aurait également été intégrée dans les conclusions du Conseil.
Les agriculteurs doivent gagner de l'argent grâce à l'environnement
De l'avis de M. Özdemir, les conclusions de la présidence hongroise envoient un signal fort en faveur d'une politique agricole européenne durable et tournée vers l'avenir.
« Il est bon et juste que nous nous engagions à ce que nos agriculteurs puissent à l'avenir gagner encore mieux leur vie en fournissant des prestations souhaitées par la société pour la biodiversité, l'environnement et le climat. Nous aidons ainsi les exploitations à fonctionner de manière durable et à préparer l'avenir », a-t-il déclaré avec conviction.
Les négociations sur les « conclusions de la Présidence » concernant l'avenir de la politique agricole commune (PAC) après 2027 se sont avérées difficiles lors de la réunion de Luxembourg. L'unanimité recherchée dans un premier temps, et donc l'adoption de conclusions communes, s'est heurtée à l'opposition de la Roumanie, de sorte que le compromis n'a été présenté officiellement que ce mercredi (23 octobre 2024). Selon les informations, l'alignement des aides directes de l'UE sur un niveau uniforme n'irait pas été assez loin selon Bucarest.
RépondreSupprimerLe ministre de l'Agriculture Özdemir approuve les conclusions de la PAC malgré ses réserves
Selon les participants, l'Allemagne a également hésité à donner son accord. Le ministère fédéral de l'Agriculture a fait savoir par la suite qu'il avait soutenu les résultats « dans le sens d'une solution de compromis ». Berlin a cependant insisté sur une déclaration inscrite au procès-verbal.
La pierre d'achoppement était avant tout le prochain cadre financier pluriannuel (CFP). Dans la déclaration au procès-verbal, le gouvernement fédéral insiste sur le fait que les déclarations relatives au CFP ne doivent pas être considérées comme des décisions préalables pour la prochaine période de financement.
Le cadre financier pluriannuel est la pierre d'achoppement
Le ministre fédéral de l'Agriculture, Cem Özdemir, a précisé que « les agriculteurs savent qu'on sème avant de récolter ». La discussion sur la structure du cadre financier pluriannuel a été menée au mauvais endroit. Il faut plutôt se demander ce que la PAC doit produire à l'avenir. Selon le ministre vert de l'Agriculture, la discussion sur la structure du cadre financier pluriannuel doit être menée séparément des réflexions sur la PAC après 2027.
C'est d'ailleurs la principale raison pour laquelle les discussions sur les conclusions ont été relativement longues. Selon les informations, le président hongrois du Conseil, István Nagy, aurait insisté pour que des déclarations soient faites sur le budget agricole.
En ce qui concerne le financement, les conclusions stipulent notamment que la PAC doit rester un instrument politique commun d'importance stratégique. Elles demandent notamment que la PAC dispose de ressources et d'instruments dédiés et appropriés pour atteindre efficacement ses nombreux objectifs. Il n'est pas question d'un alignement à 100 % des paiements directs, mais d'une « répartition équitable des aides de la PAC, en particulier des paiements directs » et d'une « solution appropriée ».
Ne pas utiliser les fonds agricoles contre des violations de la loi
RépondreSupprimerLa présidence insiste également sur la nécessité d'un premier et d'un deuxième pilier forts. Elle souligne que la PAC est adaptée à la répartition des fonds agricoles en fonction des politiques. Il est demandé à plusieurs reprises que la PAC soit maintenue en tant que domaine politique « séparé et indépendant ». Cela doit manifestement être compris comme une réaction aux projets internes de la Commission. Ils prévoient de fusionner le budget agricole de l'UE et le Fonds de Cohésion de l'UE. Lors de la conférence de presse finale, il est toutefois apparu clairement que le ministre hongrois de l'Agriculture, István Nagy, ainsi que le commissaire européen à l'Agriculture, Janusz Wojciechowski, interprétaient également les conclusions de manière différente.
M. Wojciechowski a précisé que les paiements de la PAC ne devaient pas être conditionnés au respect de l'État de droit. Les aides aux agriculteurs ne doivent être menacées « en aucun cas ». M. Nagy a clairement approuvé cette position en précisant que de telles mesures mettraient en péril l'approvisionnement en denrées alimentaires.
L'arrière-plan de ces interventions est le mécanisme dit de l'État de droit. Grâce à cet instrument, la Commission Européenne peut retenir des fonds européens en cas de violation de certains principes de l'État de droit. Mais cela n'a encore jamais été le cas pour les fonds de la PAC. Cette situation a déjà été vivement critiquée par les responsables du contrôle budgétaire de l'UE.
Discussions sur les adaptations climatiques
Par ailleurs, les ministres européens de l'Agriculture ne sont toujours pas d'accord sur la manière dont la PAC doit s'adapter aux conséquences du changement climatique. Le Portugal plaide pour un soutien financier direct aux agriculteurs, pour la promotion d'instruments d'atténuation des risques, y compris la réassurance, ainsi que pour la création d'investissements et d'innovations et de mesures d'adaptation au changement climatique. Pour ce faire, une plus grande flexibilité pour les États membres et une augmentation de la réserve agricole de l'UE sont nécessaires.
M. Özdemir : les agriculteurs sont responsables de la préparation aux crises
Pour M. Özdemir, les agriculteurs sont responsables de la prévention des crises et de la gestion des risques. Les problèmes qui concernent le marché doivent être abordés au niveau européen. En revanche, les États membres de l'UE devraient à l'avenir réagir davantage aux crises liées aux conditions météorologiques. La France estime que les aides directes d'urgence ne sont qu'une solution de dernier recours. Il faudrait par exemple commencer par utiliser des assurances contre les pertes de récolte. Le Danemark, quant à lui, estime que des solutions à long terme, telles que de meilleures incitations pour des mesures innovantes et de nouvelles technologies, sont préférables.
Avec du matériel de AgE
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* Source : Umweltleistungen sollen sich für Landwirte künftig lohnen | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2024/10/conseil-europeen-agriculture-les-prestations-environnementales-doivent-a-l-avenir-etre-remunerees-pour-les-agriculteurs.html
Supprimer(...) Les ministres européens de l'Agriculture définissent les points clés de la prochaine réforme agricole de l'UE en 2027. (...)
Les ministres européens de l'Agriculture QUI NE SONT PAS DES AGRICULTEURS !! définissent les points clés de la prochaine réforme agricole de l'UE en 2027.
Dans la guerre de l’État profond, les fusées spatiales doivent montrer qu’elles ne font pas de mal aux requins
RépondreSupprimerPar Jo Nova
October 21st, 2024
Il existe un million de moyens inutiles pour la machine de l’État profond de ligoter ses adversaires.
Elon Musk s’amuse à partager ses histoires d’enchevêtrement bureaucratique, alors que des fonctionnaires mesquins exigent qu’il protège les requins, les baleines et les phoques à chaque lancement.
Les bureaucrates ne font même plus semblant de servir le peuple, ils se servent eux-mêmes
Les Lords de la Californian Coastal Commission ont admis qu’ils interdisaient les lancements supplémentaires de Space X depuis la base spatiale de Vandenberg parce qu’ils n’aiment pas les tweets d’Elon. Et ils l’ont même dit à haute voix. C’est tellement du tiers-monde.
La commissaire Gretchen Newsom a apparemment une théorie selon laquelle l’arrêt des lancements de fusées protégerait les habitants de Californie d’entendre des opinions qu’elle ne veut pas qu’ils entendent. Elle s’est nommée décideuse de votre vote.
« En ce moment, Elon Musk se promène dans le pays, débitant et tweetant des mensonges politiques et attaquant la FEMA tout en affirmant vouloir aider les victimes de l’ouragan en leur offrant un accès gratuit à Internet via Starlink », a déclaré Newsom, qui n’a aucun lien avec le gouverneur Gavin Newsom.
Newsom a affirmé que Musk nourrissait un programme anti-californien, affirmant que le PDG avait bénéficié de milliards de dollars de subventions de l’État tout en menaçant de délocaliser ses entreprises au Texas en raison de « croyances sectaires contre les garanties et les protections de la Californie sur notre communauté transgenre ». — Wall Street Journal
En d’autres termes, ce n’était qu’une forme d’extorsion. Elle espérait pouvoir exploiter son rôle public pour forcer Musk à soutenir les politiciens et les causes qu’elle préférait personnellement. Malheureusement pour elle, Musk les poursuit tous en justice. Il affirme avoir le droit à la liberté d’expression…
RépondreSupprimerA ce stade, bien qu’il soit l’homme le plus riche du monde, Elon Musk sait que les gens qui contrôlent l’armée, les espions et le budget de six mille milliards de dollars pourraient tout lui enlever en un clin d’œil. C’est pourquoi il est à fond avec Trump, et si quelques millions de dollars ici ou là peuvent changer le résultat, ce n’est rien.
Dans sa dernière riposte contre la Machine, Musk veut que les gens des États clés signent une pétition pour protéger les premier et deuxième amendements. Dans le monde dans lequel nous pensions vivre, il aurait dépensé des millions dans les médias grand public pour faire de la publicité. Puisque les médias sont l’ennemi, pour attirer l’attention, il a décidé de choisir chaque jour une personne chanceuse qui a signé la pétition et de lui donner un million de dollars à la place. Les fans de Kamala crient au scandale, comme s’il « achetait des votes », mais puisque la pétition soutient les premier et deuxième amendements, les démocrates peuvent aussi signer la pétition, et (en théorie) les démocrates soutiennent la Constitution. Oui ? Et si les Démocrates ne le font pas, ce serait le moment idéal pour les électeurs américains de le découvrir.
C’est tellement mieux que de nourrir la Machine.
https://joannenova.com.au/2024/10/in-deep-state-warfare-space-rockets-need-to-show-they-dont-hurt-sharks/
Le mystère des mille baleines et dauphins morts
RépondreSupprimerPar Jo Nova
October 24th, 2024
Pour une raison inconnue, plus d’un millier de baleines, dauphins et marsouins sont morts chaque année le long des côtes britanniques au cours des huit dernières années. C’est environ deux fois plus que dans les 25 années précédentes. De quoi s’agit-il ?
Quoi qu’il en soit, ce ne sont pas des parcs éoliens. Greenpeace le dit :
« Il n’existe aucune preuve reliant l’éolien offshore à la mort de baleines. L’hystérie fabriquée est le résultat de fausses nouvelles promues par les politiciens, les grandes compagnies pétrolières et leurs complices pour sauver l’industrie pétrolière et gazière »
Greenpeace Australie affirme que les parcs éoliens sauvent les baleines :
… « construire des éoliennes offshore est bien plus bénéfique pour la faune marine que les combustibles fossiles ».
Et pourtant, il y a des milliers de cétacés morts.
Andrew Montford de NetZeroWatch a comparé les dauphins, baleines et marsouins échoués sur les plages à l’essor d’une nouvelle machine marine industrielle :
- voir graph sur site -
Les échouages de cétacés au Royaume-Uni comparés à la capacité éolienne offshore.
Il n’y a aucune preuve, disent Greenpeace, ressemblant exactement à Philip Morris.
Nous ne savons pas avec certitude ce qui cause la mort de tant de baleines et de dauphins, mais Greenpeace ne veut même pas le savoir. La seule chose que nous savons, c’est que Greenpeace est une façade écolo-imposteuse lâche et contrefaite pour le blob mondialiste. Comme l’a dit Matt Ridley, qu’est-il arrivé au principe de précaution ?
Jason Endfield suit le carnage :
Les dernières données britanniques révèlent 5 000 baleines, dauphins et marsouins MORTS en seulement 5 ans
Le rapport annuel 2023 du Royaume-Uni à Ascobans* révèle un niveau effroyable de mortalité de cétacés dans les mers britanniques, et intervient dans le sillage d’une augmentation record de la mortalité des baleines, des dauphins et des marsouins ces dernières années. Cette statistique choquante devrait servir de signal d’alarme à ceux qui envisagent d’industrialiser davantage nos mers…
Les chercheurs savent depuis au moins 2013 que les engins de battage assourdissent en permanence les marsouins, les laissant vraisemblablement mourir d’une mort misérable, errant aveuglément dans des mers sombres ou troubles. Où étaient tous les professeurs de sciences marines, payés par le public pour savoir ces choses, et où était la BBC ?
RépondreSupprimerIls sont tous restés silencieux pendant dix ans jusqu’à ce que quelqu’un invente et teste des « rideaux de bulles » pour protéger les marsouins, et ils ont alors pu dire « n’est-ce pas intelligent » ?
Faites passer le message : il y a cinquante ans, les écologistes auraient fait un scandale à propos d’un millier de baleines et de dauphins morts. Aujourd’hui, ils participent à la dissimulation. Ils n’incriminent même pas le changement climatique et le réchauffement de 0,001 degré. Ils ne veulent pas attirer l’attention sur la graisse sur la plage au cas où les gens commenceraient à poser des questions difficiles.
Greenpeace, WWF, UNEP, ce sont tous de faux écologistes.
h/t Willie Soon.
https://joannenova.com.au/2024/10/the-mystery-of-a-thousand-dead-whales-and-dolphins/
Les océans « en ébullition » se refroidissent
RépondreSupprimer24 octobre 2024
de Thomas Oysmüller
Les scientifiques qui suivent la théorie orthodoxe du climat se retrouvent une fois de plus confrontés à une énigme. Ils ne parviennent pas à trouver la cause du refroidissement des océans. Si le « changement climatique » parvient à ses fins, il faudra qu’ils se réchauffent.
La hausse de la température de la mer : Un scénario menaçant depuis des décennies qui vise à maintenir l’opinion publique dans une inquiétude apocalyptique. Les taxes sur le gaz carbonique sont alors la solution politique. Mais même les climatologues doivent admettre que les avertissements apocalyptiques concernant l’ébullition des océans étaient probablement prématurés. Les données actuelles montrent clairement que les océans du monde se refroidissent.
La science étonne
Jusqu’à ce que les politiciens en prennent conscience, nous devrons probablement payer des taxes climatiques et respecter les réglementations climatiques pendant encore de nombreuses années. Néanmoins : des scientifiques de la National Oceanic and Atmospheric Administration ( NOAA ) des États-Unis ont découvert qu'au début de l'année 2024, de février à mars, s'était produit l'« événement chaud » atlantique le plus puissant depuis 1982, avec des températures supérieures à 30 degrés Celsius ou 86 degrés Fahrenheit.
Mais : depuis lors, de juin à aujourd’hui, l’Atlantique a fait un demi-tour rapide, passant d’une chaleur anormale à une baisse rapide des températures, comme on n’en a jamais vu auparavant.
Un magazine américain a commenté : « La tendance soudaine au refroidissement déconcerte les scientifiques. » « Jamais auparavant l’Atlantique équatorial oriental n’a connu une transition aussi rapide d’un événement extrême à un autre », a déclaré Franz Tuchen, écrivant pour la NOAA.
Une fois de plus, le modèle des climatologues n'a pas réussi à correspondre à la réalité, puisque les prévisions de la NOAA prévoyaient que la période chaude de l'océan durerait tout l'été.
RépondreSupprimerDe plus, le refroidissement spectaculaire ne se limite pas à l’Atlantique. Les données de l' Institut sur le changement climatique de l'Université du Maine montrent que les températures mondiales des océans diminuent également entre l'extrême nord et le sud. Les océans de la planète sont actuellement 0,2 degrés Celsius plus froids qu'en 2023.
Le magazine Maine Wire dit :
Les nouvelles données de température de la NOAA pourraient ébranler la rhétorique alarmiste des écologistes sur la menace urgente que représente le réchauffement des mers pour la vie océanique et la pêche commerciale.
Pendant des années, les militants climatiques du Maine et du monde entier ont utilisé la hausse des températures des océans pour justifier des programmes gouvernementaux drastiques et coûteux tels que : B. d'importantes subventions pour les systèmes énergétiques inefficaces, des réglementations sur les véhicules électriques coûteux et d'autres mesures restrictives qui pèsent sur les contribuables et les entreprises.
Ces militants devront désormais faire face à un changement rapide et sans précédent vers un climat plus frais.
Cependant, contrairement aux océans « en ébullition » dont on nous parle dans les gros titres, on entend peu parler des océans refroidis.
Le refroidissement des mers est représenté graphiquement ici. Directement de l'Institut pour le « Changement Climatique » :
https://tkp.at/2024/10/24/die-kochenden-ozeane-kuehlen-ab/
Lorsqu'il y a une baisse de la combustion de la masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds, les sources chaudes (appelées aussi 'mini-volcans') ne réchauffent plus comme avant les courants marins. Les lames de fonds qui ressortent aux côtes (d'azur ou bretonnes) n'apportent plus autant de chaleur que de coutumes.
SupprimerL'Université Brown va étudier les effets du changement climatique sur les personnes âgées - avec une subvention fédérale de 3,8 millions de dollars - Étudiera les « effets du changement climatique » sur les « populations vieillissantes »
RépondreSupprimerLa subvention de 3,8 millions de dollars du National Institute of Aging « permettra aux chercheurs de Brown d'étudier les effets négatifs du changement climatique sur la santé et de développer des solutions pratiques qui favorisent un vieillissement sain », selon l'annonce.
Par Marc Morano
25 octobre 2024
Par Matt Lamb
La subvention du National Institute of Aging « permettra aux chercheurs de Brown d'étudier les effets négatifs du changement climatique sur la santé et de développer des solutions pratiques qui favorisent un vieillissement sain », selon l'école
Les contribuables américains débourseront des millions de dollars pour que l'Université Brown puisse créer un centre dédié à l'étude des effets du changement climatique sur les personnes âgées.
« L'objectif du centre est de construire des stratégies adaptatives qui améliorent la résilience des populations vieillissantes, au niveau local et national, aux effets du changement climatique », a déclaré le professeur Allan Just dans un communiqué de presse de l'université de la Rhode Island Ivy League.
La subvention de 3,8 millions de dollars du National Institute of Aging « permettra aux chercheurs de Brown d’étudier les effets négatifs du changement climatique sur la santé et de développer des solutions pratiques qui favorisent un vieillissement sain », selon l’annonce.
« Le nouveau centre Climate, Health and Aging Innovation and Research Solutions for Communities s’appuiera sur les connaissances acquises dans diverses disciplines de Brown, de la santé publique aux sciences de l’environnement et de la Terre, en passant par les études démographiques », a annoncé l’université.
C’est la dernière façon dont les professionnels de la santé veulent lier le changement climatique à la médecine. Par exemple, certains étudiants en médecine et médecins souhaitent que le changement climatique fasse partie du programme d’études des écoles de médecine, comme l’a déjà rapporté The College Fix.
Le Dr Lisa DelBuono a déclaré à The Fix qu’« il est essentiel que les écoles professionnelles éduquent leurs étudiants sur le changement climatique et les aident à reconnaître les impacts lorsqu’ils se présentent au bureau, à la clinique ou aux urgences ».
L’université Harvard, homologue de Brown dans la Ivy League, va plus loin que la formation de médecins pour traiter les patients qui pourraient être lésés par le réchauffement climatique – elle veut des « guérisseurs planétaires ».
« L’idée est de passer d’une compréhension de la santé planétaire à la formation de guérisseurs planétaires », a déclaré précédemment le professeur Christopher Golden au Crimson, à propos d’une nouvelle spécialisation.
« Le racisme structurel et la politique économique internationale ont exacerbé la crise climatique, les communautés de couleur, les communautés pauvres et les pays du Sud étant touchés de manière disproportionnée », indique le site Web de la Chan School of Public Health. « Vous serez équipés pour utiliser la recherche, le leadership, le plaidoyer et la politique pour mettre en œuvre des solutions qui servent mieux ces populations. »
https://www.climatedepot.com/2024/10/25/brown-u-to-study-climate-change-effect-on-old-people-with-federal-grant-of-3-8-million-will-study-effects-of-climate-change-on-aging-populations/
Comment prendre les vieux pour des cons ?
SupprimerSuffit de parler des millions de morts qu'il y a chaque jour entre des températures matinales de 10°C et des températures relevées à midi à 25°C !
HAHAHAHA !: