Appel au réveil international : L'OMS prépare un coup sournois dans 194 pays !
20.07.2024 www.kla.tv/28740
Tedros ne respecte pas les règles et n'est donc pas digne de confiance !
Vérification des faits 1 : La souveraineté des États membres
« Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, [...] doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties à l'accord. » (RSI, art. 42)
Jamais un homme ne doit obtenir un tel pouvoir sur le corps et la vie de milliards de personnes dans les 194 États membres de l'OMS !
Le « modèle commercial » de l'OMS
Des transactions financières gigantesques, à débourser par les contribuables, affluent vers des pays plus pauvres et finissent en fait dans les poches de « Big Pharma » et d'investisseurs privés.
C'est ici que l'on découvre avec quelle perfidie l'OMS et ses puissants profiteurs ont mis en place, dans l'ombre, un « coup d'État » dans 194 pays !
Lors de l'assemblée générale de l'OMS qui s'est tenu à Genève du 27 mai au 1er juin 2024, les délégués de 194 pays membres ce sont prononcé sur un nouveau traité sur les pandémies et une réforme fondamentale du Règlement sanitaire international (RSI) déjà en vigueur. Étant donné qu'ils doivent voter sur une extension importante des pouvoirs de l'OMS et de son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus, un débat houleux a déjà éclaté dans presque tous les pays plusieurs mois avant l'assemblée. Dans l'article 55 du RSI, Tedros s'engage à transmettre à tous les États membres le texte de chaque amendement proposé au moins quatre mois avant le vote.
Le mot anglais « shall » doit être traduit ici comme un ordre impératif. La communication est donc obligatoire, contraignante. Tedros aurait donc dû présenter un projet de texte final le 27 janvier 2024 afin de permettre un vote statutaire. Cela n'a pas été fait avant mars 2024, Tedros ne respecte pas les règles et n'est donc pas digne de confiance !
La recherche Kla.tv d'aujourd'hui, soutenue par des experts internationaux, ne peut donc qu'examiner à la loupe les projets actuels des deux documents qui font encore l'objet de discussions. Pour cette recherche, nous jetons un coup d'œil à l'Allemagne - l'un des 194 États membres :
Le jeudi 22 février 2024, une motion du groupe parlementaire CDU/CSU a été présentée au Bundestag allemand. Elle s'intitule : « Pour des négociations transparentes sur l'accord de l'OMS sur la pandémie - contre la désinformation et les théories du complot ».
La CDU/CSU est le plus grand groupe d'opposition et y a formulé différentes exigences concernant le contrat de pandémie de l'OMS. Ces exigences sont comparées ci-après, dans le cadre d’une vérification des faits, au texte des projets de contrats pour les deux accords. Cette vérification des faits met en lumière - quasiment noir sur blanc - ce que l'OMS négocie actuellement à huis clos :
Vérification de faits n°1 : La souveraineté des États membres
Exigence de la CDU/CSU : « En outre, il faut s'assurer que la mise en œuvre de l'accord se fasse en accord avec les politiques nationales de santé des États membres et que les droits de souveraineté nationaux soient pleinement préservés. »
Fait 1 : Le passage « en tenant compte des vues de l'État Partie concerné » est supprimé à l'article 10.4 du nouveau RSI !
Fait 2 : Le terme « non contraignant » est supprimé à plusieurs reprises dans l'article 1.1 du nouveau RSI !
Texte de l'actuel projet de l'OMS : « Les États Parties reconnaissent l'OMS comme autorité directrice et coordinatrice de l'action internationale en matière de santé publique en cas d'urgence de santé publique de portée internationale et s'engagent à suivre les recommandations de l'OMS dans leur action internationale en matière de santé publique. » (RSI, 13A-1)
Fait 3 : Par le nouvel article 13A-1, les 194 États membres s'engagent à suivre les recommandations de l'OMS ! Ces projets de traités dictatoriaux sont scandaleux et dévoilent les véritables intentions de l'OMS ! L'OMS n'est pas une organisation digne de confiance - même si, en raison de la pression internationale de plus en plus forte, elle devait encore édulcorer les projets à la dernière minute !
Analyse : Comme avec un scalpel, l'OMS « castre » les États membres ! En supprimant ou en ajoutant quelques mots, elle supprime leur souveraineté et s'habilite elle-même ! Les recommandations non contraignantes qui existaient jusqu'à présent deviennent ainsi des directives d'action obligatoires en droit international !
Vérification de faits n°2: La déclaration de l'état de pandémie
Demande de la CDU/CSU :
« Il n'est pas non plus précisé si le directeur général de l'OMS pourra à l'avenir déclarer des pandémies, alors qu'il ne peut actuellement que déclarer une « urgence de santé publique de portée internationale », soumise à des critères stricts. »
« En outre, l'accord doit notamment définir les critères qui permettent de déclarer une pandémie, [...] »
Texte de l'actuel projet de l'OMS :
Tedros peut justifier un état d'urgence sanitaire mondial avec, par exemple :
« une grippe humaine basée sur un nouveau sous-type » (RSI, ANNEXE2) ou « des infections dont la transmission interhumaine ne peut être exclue » (RSI, ANNEXE2) ou « même d'origine environnementale » : « Les Parties reconnaissent que des facteurs environnementaux, climatiques, socio-économiques et anthropiques augmentent le risque de pandémie [...] » (Accord sur la pandémie 4-5)
Fait 1 : Ni l'accord sur les pandémies ni le RSI ne fixent de normes claires et précises pour la déclaration d'une pandémie, qui pourraient mettre un terme à l'arbitraire.
« Le directeur général détermine également si une urgence sanitaire d'intérêt international constitue aussi une urgence pandémique. » (RSI, art. 12-5)
Fait 2 : Le directeur général Tedros peut même déclarer des pandémies à l'avenir selon le nouvel article 12, paragraphe 5 ou également paragraphe 1 du RSI !
Analyse : La modification du RSI et le traité sur les pandémies donnent carte blanche au secrétaire général pour déclarer une pandémie, qui n'est liée à aucun critère mesurable !
Vérification de faits n°3 : Les pouvoirs de l'OMS en cas de pandémie
Exigence de la CDU/CSU :
« L'OMS doit être rendue plus efficace grâce à un accord sur les pandémies, dans lequel ses pouvoirs sont clairement délimités et que le rôle central des États membres et les droits des citoyens sont bien entendu préservés. »
Texte de l'actuel projet de l'OMS :
« Lorsqu'il a été établi, conformément à l'article 12, qu'il existe une urgence de santé publique de portée internationale [...], le directeur général fait des recommandations temporaires. » (RSI, art. 15.1)
« Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, [...] doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties. » (RSI, art. 42)
Fait 1 : En déclarant une pandémie, le secrétaire général de l'OMS s'habilite lui-même. Il obtient ainsi des « pouvoirs d'urgence ». Il peut émettre des « recommandations temporaires » qui, selon l'article 42, DOIVENT être appliquées « immédiatement » par tous les États membres !
« Le directeur général institue un comité d'urgence, [...] Le directeur général choisit les membres du comité d'urgence [...] Le directeur général fixe la durée de la participation. » [...] (RSI, art. 48, 1+2)
Fait 2 : Il n'y a pas d'instances de contrôle supérieures et indépendantes, pas de séparation des pouvoirs !
« Les recommandations adressées par l'OMS aux États Parties dans le traitement des personnes peuvent inclure les conseils suivants :
vérifier la preuve d'une vaccination ou d'une autre prophylaxie ; exiger la vaccination ou une autre prophylaxie ; placer les personnes suspectes sous surveillance de la santé publique ; appliquer des mesures de quarantaine ou d'autres mesures sanitaires aux personnes suspectes ; si nécessaire, isoler et traiter les personnes concernées ; procéder au traçage des contacts des personnes suspectes ou affectées. » (RSI, art. 18.1)
Fait 3 : Ces « recommandations » de l'OMS, qui peuvent être exigées en vertu de l'article 13A-1 et de l'article 42 du RSI, peuvent totalement annihiler la liberté médicale et personnelle des personnes et ouvrent la voie à une surveillance sans faille des contacts !
Analyse :En cas de pandémie, les deux accords de l'OMS ne prévoient pas de délimitation claire des pouvoirs du directeur général Tedros !
Jamais un homme ne doit avoir un tel pouvoir sur la vie et l'intégrité physique de milliards de personnes dans les 194 pays membres de l'OMS !
Vérification de faits n°4 : Nécessité d'un large débat public Demande de la CDU/CSU :
« Les auteurs de la proposition soulignent la nécessité d'un large débat public sur les objectifs et le contenu d’un traité sur les pandémies, avec la participation des milieux scientifiques et économiques, de la société civile et des parlements. » Texte de l'actuel projet de l'OMS : « Au niveau mondial, l'OMS doit renforcer sa capacité à lutter contre la désinformation (NOUVEAU : RSI, art. 7e), dans le but de "contrecarrer et de combattre les informations fausses, trompeuses, erronées ou désinformatrices [...] » (Traité sur les pandémies. 18.1)
Fait 1 : Le « large débat public » demandé peut être empêché par l'OMS en réprimant la prétendue désinformation. La "lutte" contre la prétendue désinformation donne à l'OMS un prétexte pour étouffer les voix d'experts malvenues et pour censurer les voix critiques à l'égard de l'OMS sur les réseaux sociaux. Pour ce faire, l'OMS a déjà conclu d'innombrables contrats avec des réseaux sociaux tels que Google, Facebook ou Tiktok, dans le but d’utiliser seulement le « langage contrôlé » de l'OMS.
« a. Les décisions de l’Assemblée de la Santé à prendre sur des questions importantes sont acquises à la majorité des deux tiers des Etats Membres présents et votants. Ces questions comprennent : l'adoption de conventions ou d'accords [...] » « b. Les décisions sur d’autres questions, [...] sont prises à la simple majorité des États Membres présents et votants. » (Constitution de l'OMS, article 60) « Le délai [...] prévu pour le rejet ou la réserve d'un amendement au présent règlement intérieur est de dix mois. » (RSI, art. 59.1)
Fait 2 : Le traité sur les pandémies ne peut entrer en vigueur que si une majorité des deux tiers des délégués de l'Assemblée générale de l'OMS l’approuve. Ensuite, les 194 parlements des États membres doivent délibérer et approuver le traité sur les pandémies à la majorité. En revanche, les modifications importantes du RSI sont déjà considérées comme acceptées si une simple majorité des délégués les approuve. L'approbation par les parlements nationaux n'est pas nécessaire ici, selon l'article 55.3 du RSI. Seule une opposition explicite dans les dix mois suivant le vote est encore possible. À ce stade, la démocratie parlementaire des États membres est mise à mal. L'implication des parlements ou de la société civile, réclamée par la CDU/CSU, n'est pas prévue par l'OMS lors de la modification du RSI !
L'OMS ne doit jamais se voir accorder le « monopole de l'information et de la vérité » sur la prétendue désinformation, car c'est là que s'arrête le « débat public » revendiqué et donc notre démocratie ! La vérification des faits met en lumière que les plus graves « auto-autorisations de l'OMS » sont cachées dans les adaptations du RSI. C'est ce que critiquent également de nombreuses initiatives qui agissent contre l'extension du pouvoir de l'OMS. Il est donc évident que l'OMS et son directeur général Tedros souhaitent étendre massivement leurs pouvoirs en contournant la démocratie parlementaire.
Conclusion générale de la vérification des faits :
La CDU/CSU ou tous les partis démocratiques de tous les États membres ne pourront jamais approuver ce projet en raison de ces exigences non satisfaites ! La vérification des faits confirme que les inquiétudes des citoyens ne sont pas des théories complotistes. Étant donné que le texte des deux traités serait valable pour les 194 États membres de l'OMS, les résultats de cette vérification des faits fondée qui utilise l'exemple de l'Allemagne peuvent très bien être appliqués à tous les pays. Il existe toutefois d'autres aspects internationaux qui doivent être examinés de plus près : Les partisans de ces deux documents de l'OMS affirment qu'il s'agit exclusivement du bien-être et de la santé de tous les êtres humains. Mais en y regardant de plus près, on découvre un gigantesque modèle commercial : Le « modèle commercial » de l'OMS
L'OMS n'est financée qu'à hauteur de 20 % maximum par les contributions des États membres. Plus de 80 % des recettes de l'OMS proviennent de dons spécifiques de tiers. Bill Gates, en particulier, a soutenu l'OMS via sa fondation Bill & Melinda Gates ou son alliance de vaccination Gavi avec plus de 1,3 milliard de dollars (situation en mars 2024). Le fait que Gates ait empoché plusieurs centaines de millions de dollars de bénéfices pendant la période du Covid en achetant des actions BioNtech en août 2019 montre que ce n'est pas par pure philanthropie. C'est pourquoi, pour Gates, le soutien à l'OMS est certainement aussi un « modèle commercial », car selon lui, c'est en investissant dans les vaccins qu'on obtiendrait les meilleurs rendements !
Un autre aspect révélateur de ce « modèle commercial » apparaît dans le RSI à l'annexe 1 : "Les États Parties qui sont des pays développés doivent fournir une assistance financière et technologique aux États Parties qui sont des pays en développement pour garantir dans ces pays en développement des installations à la pointe de la technologie. (RSI, ANNEXE 1.1). Le fait que l'OMS souhaite augmenter son budget, qui passerait d'environ 3,5 milliards de dollars par an actuellement à au moins 31 milliards de dollars, et obtenir une enveloppe financière de 100 milliards de dollars de la part des nations les plus riches pour les situations d'urgence en cas de pandémie montre la nouvelle dimension du « modèle commercial de l'OMS » : Des transactions financières gigantesques, qui doivent être payées par les contribuables, affluent ainsi vers des pays plus pauvres et atterrissent finalement dans les poches de "Big Pharma" et d'investisseurs privés.
Le passé criminel du secrétaire général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros a utilisé l'organisation terroriste TPLF (Front de libération du peuple du Tigré) comme étrier pour son ascension politique jusqu'au poste de ministre des Affaires étrangères d'Éthiopie. Les rapports annuels officiels d’Amnesty International et de Human Rights Watch, des organisations de défense des droits de l'homme renommées, sur la période de gouvernement de Tedros entre 2005 et 2016 montrent que les plus graves violations des droits de l'homme ont été commises durant cette période, comme par exemple l'arrestation et l'exécution d'opposants, l'expulsion violente de tribus ethniques, les tortures les plus graves, etc. De plus amples révélations sur le passé criminel de Tedros sont dévoilées dans le documentaire « Le dossier Tedros ». Le fait que, lors des négociations sur l'adaptation du RSI, il ait même été question de supprimer la mention « dans le plein respect de la dignité, des droits de l'homme et des libertés fondamentales des personnes » de l'article 3.1 du RSI est un scandale ! Cela confirme que Tedros a perdu tout sens du respect des droits de l'homme en raison de son passé criminel.
La vérification des faits en Allemagne a mis en lumière un écart dramatique entre les exigences des politiciens et les textes des accords prévus. Le traité sur les pandémies semble n'être qu'un "écran de fumée" destiné à détourner l'attention des clauses anticonstitutionnelles subtilement cachées du RSI. C'est là qu'on découvre avec quelle perfidie l'OMS et ses puissants bénéficiaires ont fomenté en coulisses un "coup d'État" dans 194 pays ! Par ce procédé sournois, nos élus sont trompés, car on ne leur demande pas leur accord sur les clauses du RSI et ils sont ainsi privés de leurs voix ! C'est pourquoi nos élus, en grande partie inconscients, ont maintenant besoin de l'aide du peuple. Ils sont presque tous loin d'avoir pris conscience des dangers qui se cachent notamment dans les textes du RSI. Ce documentaire a pour but de vous aider à mettre en garde vos représentants dans votre pays contre ce détournement de la démocratie parlementaire.
Appel au réveil international à 194 nations !
Chers téléspectateurs,
La liberté des citoyens de 194 États membres est en grand danger ! C'est pourquoi nous lançons aujourd'hui un appel au réveil international dans de nombreuses langues.
Soyez actifs et éveillez VOUS-mêmes les responsables de votre pays, en particulier ceux qui représentent votre région et vous représentent donc personnellement au Parlement ! Informez-les du texte exact du traité. Nous mettons à votre disposition le texte de l'émission sur notre site original www.kla.tv, en dessous de cette émission. Vous y trouverez les textes exacts dont nous avons parlé dans cette émission. Attirez également l'attention de vos politiciens sur le passé criminel du directeur général Tedros !
Les médias publics ne parlent guère du danger sérieux que représentent ces traités sur les pandémies. Les informations critiques sur l'OMS sont censurées en masse sur les réseaux sociaux sous prétexte de prétendue « désinformation ». C'est pourquoi cette émission n'est pas seulement un appel au réveil, mais aussi un appel à la diffusion.
Ainsi, dans chacun des 194 pays membres, un incendie généralisé peut se déclencher et mettre bientôt à mal les plans de l'OMS. Diffusez donc ce cri d'alarme international dans le plus grand nombre de langues possible et même dans les pays lointains où vous connaissez des personnes !
Soutenez notre appel au réveil en transmettant MAINTENANT cette émission au plus grand nombre possible de vos amis et connaissances via le lien qui s'affiche ! Vous trouverez également ce documentaire bouleversant sur nos canaux sociaux pour le diffuser. Vous contribuerez ainsi activement à mettre fin à toute suppression d'informations vitales. Utilisez également WhatsApp à cet effet ! Postez notre appel au réveil sur les réseaux sociaux, comme par exemple Facebook ou tiktok !
Tous les hommes de ces 194 nations forment une grande famille humaine. La volonté commune de liberté de ces personnes l'emportera sur toute tentative d'oppression ! Merci pour votre contribution !
de svw, cm, dag Sources / Liens : Assemblée générale de l'OMS à Genève/Délégués https://jimdo-storage.global.ssl.fastly.net/file/e2aa5fbb-4cb6-4164-8fc5-3691fb96eb8d/240303 - Scholz - WHO (Online-Version).pdf https://www.ungeneva.org/en/blue-book/missions/member-states
Débats intenses sur l'extension des pouvoirs de l'OMS https://www.kettner-edelmetalle.de/news/wachsender-widerstand-gegen-who-pandemievertrag-expertenanhorung-im-eu-parlament-13-09-2023
Le dossier Tedros – Le chef de l'OMS va-t-il devenir l'homme le plus puissant du monde ? www.kla.tv/26779
Texte original pour le traité sur les pandémies (au 7 mars 2024) https://www.keionline.org/wp-content/uploads/INB_DRAFT_7March2024.pdf
Textes originaux pour les modifications du RSI (février 2024) https://web.archive.org/web/20240310112431/https://www.graduateinstitute.ch/sites/internet/files/2024-03/GHC_WGIHR7_Consolidated_Compilation%20of%20Bureau%20text%20proposals_9%20Feb%202024%20%40%2013.00%20CET.pdf
Compilation de propositions de modification du Règlement sanitaire international https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr1/WGIHR_Compilation-en.pdf
L'ancien directeur de la FDA accuse Merck de FRAUDE concernant les tests et la commercialisation du vaccin contre les oreillons
22/07/202 Ethan Huff
Le Dr David Kessler, qui a dirigé pendant un certain temps la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, a récemment publié un rapport qui dénonce Merck & Co. pour avoir dénaturé l'efficacité de son vaccin contre les oreillons et avoir commercialisé le médicament « frelaté » sans preuve. efficacité pour des millions d’enfants américains. Le rapport a été publié sous forme de deux documents distincts, celui-ci et celui-ci, et porte la mention « hautement confidentiel » et « à l'intention des avocats uniquement ».
Les plus de 800 pages contenues dans le rapport présentent l'opinion et l'analyse de Kessler sur l'histoire et la gravité des nombreuses violations des réglementations commises par Merck au fil des ans, à partir de la fin des années 1990.
Le problème est le fameux vaccin de Merck contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), également connu sous le nom de MMRII. Kessler révèle avec preuve qu'en 1998, un examen de l'étiquetage réglementaire a révélé que le composant anti-oreillons du MMRII n'avait pas maintenu sa puissance déclarée pendant sa durée de conservation, ce qui viole les réglementations établies par la FDA.
Merck aurait dû rappeler immédiatement le vaccin multivalent frelaté et non conforme, mais a plutôt passé des années à essayer de trouver des méthodes de test alternatives qui produiraient les résultats positifs souhaités par l'entreprise. C’est ce qu’on appelle la fraude, et c’est une caractéristique de la façon dont Merck a fonctionné en ce qui concerne le MMRII.
(Connexe : Saviez-vous que les oreillons se transmettent principalement par les enfants vaccinés ?)
La FDA était complice de la fraude MMRII de Merck
Selon Kessler, Merck savait depuis le début que ses propres données internes montraient que le MMRII était nettement moins efficace qu'on le prétendait. Pourtant, la société a essayé de modifier la vérité plutôt que de proposer une nouvelle formulation répondant à l’efficacité déclarée tout en respectant les directives de la FDA.
La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Utilisez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, basée sur la blockchain et non censurable sur Brighteon.io. Explorez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
Merck a réussi à trouver une solution temporaire au problème, consistant à augmenter la dose du virus présent dans le vaccin. La FDA savait que Merck faisait cela et l'autorisait même si la dose plus élevée n'avait jamais été testée dans des essais cliniques pour en vérifier la sécurité ou l'efficacité.
À aucun moment, ni Merck ni la FDA n'ont informé les destinataires, les fournisseurs ou les acheteurs du vaccin, y compris les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui ont acheté le médicament via son programme de vaccins pour enfants, que quelque chose avait changé dans la formulation du vaccin. , ou qu'il violait la conformité de la FDA.
Kessler a écrit dans son rapport que les actions de Merck sur cette question avaient une « importance pour la santé publique » dans la mesure où à partir de 2006 et au-delà, il y a eu une résurgence majeure des épidémies d'oreillons à travers les États-Unis, la plus importante s'étant produite en 2017 lorsque plus de 10 000 personnes à travers 46 Les États ont succombé à l’infection.
Comme c'est presque toujours le cas lors de telles épidémies, la grande majorité de ceux qui ont contracté les oreillons avaient déjà reçu la série d'injections recommandée de deux doses du vaccin ROR de Merck.
"À mon avis, en ce qui concerne les enfants vaccinés aux États-Unis avec des vaccins fabriqués entre 1998 et 2007, personne ne peut déterminer lesquels de ces enfants, aujourd'hui de jeunes adultes, ont été vaccinés à partir des lots de MMRII pour lesquels Merck n'avait pas des assurances adéquates quant à la puissance", déclare Kessler.
Le rapport de Kessler a été rendu public dans le cadre de l'étude de Krahling et al. contre Merck and Co. Inc, qui a vu des plaidoiries présentées devant la Cour d'appel du troisième circuit des États-Unis à Philadelphie le 9 juillet. Les anciens virologues de Merck, Stephen Krahling et Joan Wlochowski, ont obtenu le statut de lanceur d'alerte après s'être manifestés dans les années 2000 pour faire sauter le couvercle. sur la façon dont la haute direction de Merck a tenté de les amener à falsifier les données des tests de l'entreprise pour que la ruse perdure le plus longtemps possible.
L’étude sur le gain de fonction de la grippe aviaire alimente la mise au point d’un vaccin et les craintes d’une transmission à l’homme
Une nouvelle étude évaluée par des pairs et portant sur la pathogénicité et la transmissibilité du virus H5N1 de la grippe aviaire dérivé du bétail a ravivé les inquiétudes quant au potentiel du virus à déclencher une pandémie chez l’homme.
Par John-Michael Dumais Mondialisation.ca, 22 juillet 2024
Une nouvelle étude évaluée par des pairs et portant sur la pathogénicité et la transmissibilité du virus H5N1 de la grippe aviaire dérivé du bétail a ravivé les inquiétudes quant au potentiel du virus à déclencher une pandémie chez l’homme.
La recherche, menée par une équipe dirigée par Yoshihiro Kawaoka, DVM, Ph.D., de l’université du Wisconsin-Madison, a montré que le virus bovin H5N1 peut se propager de manière systémique chez les souris et les furets, se lier à des récepteurs de type humain et présenter une transmission limitée par gouttelettes respiratoires chez les furets.
M. Kawaoka participe depuis 1990 à la recherche sur le gain de fonction de la grippe aviaire, financée par l’ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci, et par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Il détient plusieurs brevets liés à la grippe aviaire, notamment pour la mise au point de vaccins.
Les experts qui ont parlé au Defender ont déclaré qu’ils craignaient que l’étude ne soit utilisée pour susciter une peur déraisonnable du passage du virus à l’homme, pour développer la recherche risquée sur le gain de fonction, pour pousser au développement irresponsable de vaccins contre la grippe aviaire et pour préparer le public à de nouvelles contre-mesures en cas de pandémie qui restreindront encore davantage les droits de l’homme.
L’étude, publiée le 8 juillet dans Nature, constitue la première analyse complète de la souche H5N1 qui infecte le bétail laitier aux États-Unis depuis le début de l’année 2024.
Bien que le virus n’ait pas encore démontré une transmission efficace de mammifère à mammifère, sa capacité à infecter et à se propager dans des modèles mammifères soulève des questions quant à son potentiel pandémique et à l’efficacité des stratégies d’endiguement actuelles.
Le virus bovin H5N1 possède donc des caractéristiques qui peuvent faciliter l’infection et la transmission chez les mammifères”, écrivent Kawaoka et ses collègues.
Cette découverte survient alors que les responsables de la santé publique sont aux prises avec un foyer persistant de H5N1 dans les troupeaux de vaches laitières et d’autres animaux aux États-Unis et que cinq travailleurs agricoles du Colorado auraient été testés positifs à la grippe aviaire le weekend dernier (tous présentant des symptômes bénins), ce qui porte à huit le nombre total d’infections chez l’homme aux États-Unis.
Principales conclusions de l’étude
L’étude a examiné la pathogénicité et la transmissibilité d’un virus H5N1 isolé à partir de lait de vache infecté au Nouveau-Mexique. Chez les souris, le virus se propage de manière systémique, y compris dans les glandes mammaires, après ingestion orale et infection intranasale.
Les furets infectés par le virus H5N1 bovin ont également présenté une propagation systémique à de multiples organes, y compris les glandes mammaires et les trayons. Cette découverte est conforme aux rapports faisant état de la présence du virus dans les glandes mammaires et les tissus musculaires des vaches infectées.
Le virus H5N1 bovin a notamment démontré sa capacité à se lier à des récepteurs cellulaires de type aviaire et de type humain. Cette double capacité de liaison est inhabituelle pour les virus H5N1 et pourrait faciliter l’infection des cellules humaines par le virus, en particulier dans les voies respiratoires supérieures.
Cependant, lors d’une expérience de transmission par gouttelettes respiratoires, les furets exposés au virus H5N1 bovin n’ont pas montré de signes de maladie clinique et aucun virus n’a été détecté dans leurs écouvillons nasaux. Seul un furet sur les quatre exposés a développé des anticorps contre le virus, ce qui suggère un potentiel limité de propagation par voie aérienne.
Une étude “utilisée pour attiser la peur”
Brian Hooker, directeur scientifique de Children’s Health Defense, a déclaré au Defender que l’étude de Kawaoka “est utilisée pour attiser la peur de voir le H5N1 devenir la dernière pandémie en date”.
M. Hooker a notamment noté que Rick Bright, ancien directeur de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), a “enflammé Twitter” (désormais X) avec des propos alarmistes sur la grippe aviaire.
Avant de quitter la BARDA en 2021, M. Bright a supervisé la recherche sur le gain de fonction pour le H5N1 et détient des brevets sur les vaccins contre la grippe aviaire, selon M. Hooker.
Jessica Rose, Ph.D, chercheuse en vaccins et spécialiste en biomathématiques, a fait une observation similaire, déclarant au Defender que l’étude fait partie d’une préparation intentionnelle à une nouvelle pandémie.
Mme Rose a affirmé que l’article, dont la publication a été acceptée 27 jours seulement après sa soumission initiale, s’inscrit dans “le même schéma de jeu [as] il y a quatre ans avec la “préparation à la pandémie” du SRAS-2″ de l’ événement 201.
Rose a attiré l’attention sur ce qui semble être le prochain événement 201 : le sommet international sur la grippe aviaire prévu pour le mois d’octobre à Washington, D.C. La brochure du sommet présente des sessions en petits groupes portant sur la “gestion des décès massifs”, les “stratégies de fonctionnement avec un taux d’absentéisme de 50 % ou plus”, l’”application efficace des mesures de quarantaine” et d’autres plans qui, selon Rose, ressembleront à la pandémie de COVID-19 “mais amplifiés par des stéroïdes”.
M. Hooker a confirmé que les dernières recherches de M. Kawaoka pouvaient être considérées comme un gain de fonction et que toute dissémination du virus H5N1 créé en laboratoire – intentionnelle ou non – pourrait entraîner une “catastrophe en matière de santé publique”.
“Kawaoka prétend avoir mis en place des mesures appropriées, mais il a déjà eu deux accidents de laboratoire qui auraient pu conduire à une dissémination dans la population”, a déclaré M. Hooker.
Hooker a déclaré que le fait de laisser entendre que le virus pouvait naturellement et facilement muter pour devenir très virulent et transmissible à l’homme pourrait donner un “laissez-passer” aux laboratoires désireux de mener des recherches sur le gain de fonction du virus, multipliant ainsi les dangers des fuites de laboratoire.
Il a également averti que les informations relatives à la séquence génétique du virus – en particulier la version transmise par les furets – “pourraient être utilisées à mauvais escient pour fabriquer des H5N1 “militarisés””.
Hooker et Rose ont tous deux mis en garde contre l’utilisation du prétexte d’une nouvelle pandémie pour promouvoir les vaccins.
La peur de la grippe aviaire est déjà utilisée pour recommander des vaccins H5N1 de qualité inférieure pour les travailleurs agricoles”, a déclaré M. Hooker. “Trois d’entre eux ont été approuvés par la FDA(Food and Drug Administration), mais les virus [vaccine-targeted] sont désespérément dépassés. Le motif de prise de bénéfices qui sous-tend cette démarche est insidieux”.
Imaginez un héros qui manifeste la dernière thérapie génique magique en se faisant passer pour un “vaccin” pour guérir tout le monde du jour au lendemain ! a déclaré Rose. “Et tout ce que vous avez à faire, c’est de renoncer à vos droits humains fondamentaux – vos droits de voyager, de vous réunir, de manger de la viande, de vous déplacer, de vous opposer, de protester, de vivre”.
La nouvelle théorie de Geert Vanden Bossche
Dans un article paru le 23 mai sur TrialSite News, le virologue Geert Vanden Bossche s’est penché sur les préoccupations scientifiques générales concernant la capacité du H5N1 à adapter ses protéines de surface pour mieux interagir avec les cellules de mammifères.
Cependant, il a proposé une théorie alternative liant la vaccination COVID-19 à la propagation du H5N1.
Vanden Bossche a suggéré que les populations humaines fortement vaccinées, agissant comme des réservoirs de variantes du SRAS-CoV-2 (SC-2), pourraient indirectement influencer le système immunitaire aviaire. Il a émis l’hypothèse que l’exposition des oiseaux au SC-2 d’origine humaine pouvait déclencher une forte réponse immunitaire chez les oiseaux, en activant notamment leslymphocytes T cytotoxiques (CTL), des cellules immunitaires qui tuent les cellules infectées par un virus.
“Je ne dispose pas de preuves concluantes, mais je n’exclus pas la possibilité que les populations humaines fortement vaccinées au C-19 … puissent être à l’origine d’une forte activation des CTL chez les oiseaux exposés au SC-2”, a écrit Vanden Bossche.
Selon la théorie de Vanden Bossche, le système immunitaire de l’oiseau ainsi activé pourrait réagir différemment en cas d’exposition au H5N1. Au lieu d’une réponse immunitaire typique qui limiterait la propagation du virus, le système immunitaire ainsi “stimulé” pourrait, par inadvertance, faciliter l’infection par le H5N1 et sa transmission.
Vanden Bossche a également proposé que cette interaction du système immunitaire permette au H5N1 d’infecter plus facilement les mammifères, y compris l’homme. Normalement, un virus doit subir une mutation importante pour passer d’une espèce à l’autre. Cependant, Vanden Bossche a suggéré que cette réponse immunitaire altérée pourrait permettre au H5N1 de se propager à travers différentes espèces sans nécessiter les mutations adaptatives habituelles.
M. Hooker a qualifié de “spéculatives” les théories de M. Vanden Bossche sur la physiologie des oiseaux, mais il a déclaré que “la vaccination par ARNm provoque spécifiquement une suppression de l’immunité innée qui rendrait les humains plus sensibles” à l’infection par les virus de la grippe aviaire.
M. Vanden Bossche a également proposé un résultat potentiel surprenant de cette interaction entre le H5N1 et le SARS-CoV-2, suggérant que la panzootie de grippe aviaire pourrait en fait accélérer la fin de ce qu’il appelle la “pandémie d’ échappement immunitaire du SARS-CoV-2″.
Selon sa théorie, la présence généralisée du H5N1 pourrait entraîner une activation accrue desréactions immunitaires croisées chez l’homme. Cette activité immunitaire accrue pourrait exercer une pression supplémentaire sur le SARS-CoV-2, le forçant potentiellement à évoluer d’une manière qui pourrait finalement conduire à son déclin.
“Une réduction accrue de la transmission du SC-2 dans les populations fortement vaccinées contre le C-19 accélérerait la fin de la pandémie d’échappement immunitaire du SC-2”, a écrit M. Vanden Bossche.
Il a également émis l’hypothèse que la fin de la pandémie de SRAS-CoV-2 pourrait, à son tour, entraîner une réduction de la transmission du virus H5N1 parmi les oiseaux, ce qui pourrait mettre fin à la panzootie de grippe aviaire.
Vanden Bossche déconseille vivement la vaccination contre la grippe aviaire et la grippe saisonnière. Selon lui, dans le contexte actuel de la grippe aviaire, la vaccination panzootique pourrait avoir des effets contre-productifs et accélérer ce qu’il appelle “la dynamique évolutive désastreuse de la pandémie d’échappement immunitaire SC-2”.
“Les personnes présentant un risque plus élevé de maladie grave due à la grippe saisonnière sont mieux servies par les médicaments antiviraux”, a suggéré Vanden Bossche.
Les bureaucrates massacrent des millions de poulets au milieu d’une fausse épidémie de « grippe aviaire »
22/07/2024 Ethan Huff
Le gouverneur du Colorado, Jared Polis, sème la peur en déclarant une « urgence désastreuse » en réponse aux informations faisant état de la propagation présumée de la grippe aviaire hautement pathogène dans le nord-est du comté de Weld.
Polis a « verbalement » déclaré le désastre après « une épidémie de grippe aviaire dans une installation commerciale de volailles dans le comté de Weld », lit-on dans un communiqué officiel du bureau de Polis du 8 juillet. Le communiqué ne nomme pas l'installation qui aurait été touchée par le H5N1.
La déclaration d'urgence en cas de catastrophe permet à Polis et à son régime d'utiliser leurs pouvoirs d'urgence pour « prendre toutes les mesures d'État nécessaires et appropriées pour contribuer aux efforts de réponse, de rétablissement et d'atténuation ».
Le ministère de l'Agriculture du Colorado (CDA) a confirmé que 1,78 million de poulets ont été « touchés » par la souche de la grippe aviaire, ce qui signifie bien sûr que les volailles destinées à la consommation humaine ont été abattues pour assurer la « sécurité » de tout le monde.
Le 3 juillet, la CDA a annoncé qu'un travailleur laitier du nord-est du Colorado aurait été infecté par le virus H5N1 après avoir été « exposé directement » à des bovins soi-disant malades du virus. Le seul symptôme du travailleur était une légère conjonctivite, également connue sous le nom d'« œil rose ».
"Il s'est rétabli", a indiqué l'agence dans un communiqué à propos du travailleur. "Ce cas concerne un employé d'une ferme laitière du nord-est du Colorado qui a été directement exposé à des bovins laitiers infectés par la grippe aviaire. Pour protéger la vie privée des patients, aucun détail supplémentaire n'est fourni."
(Connexe : Saviez-vous que la Fondation Bill & Melinda Gates a donné 9,5 millions de dollars à l'UW-Madison pour rendre la grippe aviaire H5N1 transmissible des animaux aux humains ?)
La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Parlez librement sans censure sur le nouveau Brighteon.io décentralisé et alimenté par la blockchain. Explorez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
Grippe aviaire : le nouveau COVID
Au début, il semblait que les pouvoirs en place (TPTB) allaient essayer de propager la variole du singe, également connue sous le nom de mpox, sous le nom de « pandémie » du nouveau coronavirus de Wuhan (COVID-19). Étant donné que la variole du singe est avant tout une maladie LGBT, il semble qu'ils soient plutôt passés au H5N1.
Le H5N1 ne s'est "pas adapté pour se propager d'une personne à l'autre", affirme encore l'établissement. Cependant, le H5N1 peut désormais se transmettre des animaux aux humains, c'est pourquoi (du moins c'est ce qu'ils disent) les bureaucrates du gouvernement abattent en toute hâte les animaux destinés à l'alimentation humaine, comme les poulets.
"À l'heure actuelle, la chose la plus importante à savoir est que les personnes qui sont régulièrement exposées à des animaux infectés courent un risque accru d'infection et doivent prendre des précautions lorsqu'elles sont en contact avec des animaux malades", a déclaré Rachel Herlihy, épidémiologiste de l'État du Colorado.
Déjà, nous entendons des appels aux personnes exposées aux animaux, c'est-à-dire les ouvriers agricoles, à mettre un masque, à porter des lunettes de protection et des gants, et à vivre dans la peur d'attraper le virus de la grippe aviaire provenant de leurs troupeaux.
Au cours du mois dernier, le Colorado a signalé qu'environ deux douzaines de troupeaux de volailles commerciales ont été touchés par le H5N1, alors qu'aucun cas n'a été signalé tout au long de l'année 2023. En 2022, huit troupeaux de volailles commerciales auraient été touchés par le H5N1.
Jusqu'à présent, en 2024, trois travailleurs laitiers de plusieurs États, dont le Texas et le Michigan, auraient été infectés par la grippe aviaire, après qu'un d'entre eux ait été infecté dans le Colorado en 2022. Deux des cas ont entraîné des yeux roses tandis que l'autre a vu un toux, gêne oculaire et « écoulement aqueux ».
Le Michigan, comme le Colorado, tente d'effrayer ses habitants à propos de la grippe aviaire. Un autre État laitier important, le Michigan, aurait vu 26 troupeaux touchés par le H5N1. Les autorités exhortent les exploitations agricoles à ne pas partager leurs équipements et à prendre également d'autres mesures d'atténuation, comme le port du masque, pour assurer la « sécurité » des travailleurs agricoles.
La Food and Drug Administration (FDA) profite de l'occasion pour vanter les mérites de la pasteurisation du lait, qui, selon l'agence fédérale, est « efficace pour inactiver [le virus] ».
"Dans chacune des neuf expériences (de pasteurisation) répétées, le virus a été complètement inactivé", a ajouté l'agence.
Cela ressemble à une autre « épidémie » fabriquée qui se transformera bientôt en une autre « pandémie » pour opprimer le monde. Pour en savoir plus, consultez Outbreak.news.
Tyrol du Sud : l'autorité doit prouver la sécurité et l'efficacité des vaccins pour enfants requis
22 juillet 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
De plus en plus de vaccins sont recommandés et parfois même obligatoires pour les enfants. Y compris plusieurs vaccins particulièrement nocifs. Ce qu'ils ont tous en commun, c'est qu'ils n'ont été testés que de manière incomplète, voire pas du tout, en termes d'efficacité et de sécurité. Le résultat est un nombre croissant de maladies et d’autisme chez les enfants.
L'avocat du Tyrol du Sud, Dr. Renate Holzeisen a lancé une campagne pour permettre aux parents d'obtenir des informations auprès des autorités sur la sécurité et l'efficacité de la vaccination. Au Tyrol du Sud, les vaccinations suivantes sont obligatoires dans les crèches et les crèches : diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatite B, coqueluche, HIB Haemophilus Influenzae type B, rougeole, oreillons, rubéole et varicelle. À défaut, une amende sera imposée aux étudiants âgés de 6 à 16 ans .
Toutefois , les médicaments, notamment les médicaments pédiatriques, ne peuvent généralement être utilisés qu'après avoir prouvé leur sécurité et leur efficacité. La preuve de la sécurité et de l'efficacité ne peut être obtenue que dans le cadre d'études cliniques avec de véritables groupes témoins.
Dans la phase 1 de la campagne « La transparence pour protéger nos enfants » , la « réponse » des sociétés médicales du Tyrol du Sud à la demande de divulgation des études cliniques avec de véritables groupes témoins pour les vaccinations obligatoires des enfants ne faisait référence qu'à deux liens avec de la documentation en langue anglaise. . L'autorité compétente a simplement envoyé des liens vers le rapport d'évaluation de l'EMA du 5 mars 2013 sur le vaccin à six doses HEXYON et une « discussion scientifique » sur le quadruple vaccin ProQuad.
Après avoir commencé l’examen de ces deux documents, les « informés » ont constaté que ni l’efficacité ni la sécurité des vaccinations demandées par l’entreprise médicale n’avaient été confirmées par des études cliniques avec un véritable groupe témoin.
L’autorité européenne responsable brandit donc des vaccins pour nos enfants.
Par ailleurs, il ressort des conditions d'autorisation de ces deux vaccins multiples, disponibles sur Internet, que leur utilisation ne peut être effectuée que sur la base d'une PRESCRIPTION MÉDICALE et que le fabricant et les utilisateurs doivent tenir compte des circonstances fixées. dans le PLAN DE GESTION DES RISQUES approuvé et assurer les garanties correspondantes. Quels que soient les effets qu’une vaccination pourrait avoir dans un cas spécifique, la vaccination devrait être forcée.
Pour la phase 2, l'avocat fournit désormais un nouveau modèle de lettre dans laquelle la demande est faite
au sens des articles 22 et suivants de la loi n° 241/1990, divulgation
la PRESCRIPTION MÉDICALE requise selon les conditions d'admission pour le(s) mineur(s) mentionné(s) ci-dessus des vaccinations des enfants, à laquelle le Service d'Hygiène et de Santé Publique, Département de Prévention Sanitaire de l'Entreprise Médicale du Tyrol du Sud avec une « simple demande » » fournit le(s) mineur(s) susmentionné(s)/n invité(s). la version originale (au moment de l'approbation du vaccin pour enfants) du PLAN DE GESTION DES RISQUES, ainsi que toutes les versions ultérieures modifiées au fil du temps, y compris la version actuelle, du plan de gestion des risques pour les vaccins pour enfants, que l'organisme médical du Tyrol du Sud l'entreprise a demandé à être injectée la version originale (au moment de l'approbation du vaccin pour enfants) du RAPPORT D'ÉVALUATION de l'EMA, ainsi que toutes les versions ultérieures du rapport d'évaluation qui ont été modifiées au fil du temps, y compris la version actuelle des vaccins pour enfants que l'organisme médical du Tyrol du Sud l'entreprise a demandé à être injectée, Vous trouverez plus d'informations à ce sujet sur cette page de Renate Holzeisen .
Dommages causés par la vaccination des bébés et des enfants
Dr. Karl Jablonowski et le Dr. Brian Hooker , comme indiqué ici , a décidé de faire quelque chose qu'aucune agence de santé américaine - avec ses milliards de dollars - n'a jamais fait ou ne fera : ils ont obtenu des données de l'État de Floride et ont découvert que chaque vaccin supplémentaire augmentait les problèmes respiratoires, développementaux et infectieux. les maladies chez les nourrissons ont augmenté « de façon exponentielle ».
« L’étude a révélé que davantage de vaccins entraînaient davantage de diagnostics dans les 30 jours suivant la vaccination. Un vaccin supplémentaire a entraîné en moyenne sept maladies supplémentaires, deux vaccins ont entraîné 15 maladies supplémentaires et trois vaccins ont entraîné 35 maladies supplémentaires.
En d’autres termes, plus un nourrisson est vacciné, plus il a de problèmes de santé.
Les vaccins souvent administrés aux enfants, comme le vaccin ROR ( rougeole, oreillons et rubéole ), sont extrêmement mal testés. Comme signalé trois vaccins ont été comparés chez 300 enfants pour la réponse clinique et la réponse en anticorps. Selon le résumé, les paramètres n'incluaient pas le taux de cas de rougeole ou de décès. La période de suivi n'était que de trois semaines. Toutes les approbations ultérieures ont été faites sans essai clinique, simplement par comparaison avec cette première étude.
L’entreprise médicale du Tyrol du Sud peut-elle même répondre correctement à la question ?
- voir doc sur site -
L'expert dit non !
Aucune des doses de vaccin recommandées par le CDC (et le Centre médical du Tyrol du Sud) pour l'injection systématique chez les enfants n'a été approuvée par la FDA, et donc aussi par l'autorité européenne EMA, sur la base d'une étude à long terme contrôlée par placebo.
Des médecins japonais confirment une maladie cardiaque rare après une injection de COVID
Par John-Michael Dumais Recherche mondiale, 23 juillet 2024
Une étude de cas réalisée au Japon a documenté le premier cas connu de cardiomyopathie inflammatoire dilatée (iDCM) prouvé par biopsie – une maladie dans laquelle le cœur devient hypertrophié et affaibli en raison d’une inflammation – après la vaccination contre le COVID-19.
Les médecins de l’hôpital Narita-Tomisato Tokushukai de Chiba, au Japon, ont utilisé une biopsie endomyocardique pour diagnostiquer une iDCM chez une femme de 78 ans qui a développé des problèmes cardiaques après avoir reçu sa troisième dose de vaccin contre le COVID-19 .
Le patient avait auparavant reçu deux doses du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech BNT162b2, suivies d'un rappel Moderna à ARNm -1273 .
Le cas, rapporté le 1er juillet dans un article en libre accès et évalué par des pairs dans la revue ESC Heart Failure , marque une avancée significative dans la compréhension des complications cardiaques potentielles liées aux vaccins contre la COVID-19 .
En utilisant l'analyse des tissus, les médecins ont pu établir un lien plus définitif entre la maladie cardiaque et la vaccination , en la distinguant des autres causes possibles.
« Bien que des réactions aussi graves restent extrêmement rares, ce cas démontre la valeur des techniques de diagnostic avancées pour identifier et comprendre les effets secondaires liés au vaccin », ont écrit les médecins.
La patiente a été traitée avec succès par un corticostéroïde , ce qui a amélioré son état de manière significative mais pas complète.
Ce résultat souligne l’importance d’une attention médicale rapide et d’un diagnostic précis pour tout symptôme inhabituel suivant la vaccination.
« Les cas graves peuvent être mortels s’ils ne sont pas traités », écrivent les médecins.
Le Dr Peter McCullough a accepté, déclarant au Defender que son article de janvier avec Jessica Rose, Ph.D. , et Nicolas Hulscher a montré que sur des milliers de cas de myocardite associée au vaccin , le taux de mortalité est de 2,9 %.
McCullough a déclaré que l'article japonais est important car il s'applique à l'insuffisance cardiaque survenant des mois, voire des années après la vaccination contre le COVID-19. Pour les patients présentant des symptômes similaires, les médecins devraient sérieusement envisager la possibilité que le vaccin COVID-19 ait pu causer les dégâts, a-t-il déclaré.
Brian Hooker, Ph.D., directeur scientifique de Children's Health Defense , a déclaré au Defender que l'étude de cas était « très solide ».
"Ils excluent une infection cardiaque ainsi qu'une myocardite chronique via l'auto-immunité afin de déduire un diagnostic de myocardite associée au vaccin", a déclaré Hooker.
Le patient était « en insuffisance cardiaque aiguë » La patiente, sans antécédents de maladie cardiaque, a ressenti des palpitations et un essoufflement le quatrième jour après avoir reçu sa troisième dose de vaccin contre la COVID-19. Ses symptômes se sont progressivement aggravés et elle a été admise à l'hôpital 11 jours après la vaccination.
« Au moment où elle a été admise dans notre hôpital, elle souffrait d’insuffisance cardiaque aiguë », ont expliqué les médecins.
Après examen, ils ont noté plusieurs signes inquiétants :
Rythme cardiaque rapide de 120 battements par minute. Veines du cou enflées et œdème des jambes. Bruits cardiaques anormaux, y compris un rythme de galop et un souffle cardiaque. Faibles niveaux d’oxygène dans le sang. Les tests diagnostiques ont indiqué un dysfonctionnement cardiaque. Un électrocardiogramme (ECG) a montré une fréquence cardiaque anormalement rapide avec des schémas de conduction électrique perturbés dans les côtés droit et gauche du cœur.
Des analyses de sang ont révélé des taux élevés de troponine I cardiaque et de peptide natriurétique cérébral , deux marqueurs du stress et des lésions myocardiques. Un ECG a démontré une fonction ventriculaire gauche sévèrement réduite, avec une fraction d'éjection de seulement 20 %.
Pour exclure une maladie coronarienne, l'équipe médicale a effectué un test aux rayons X appelé angiographie coronarienne , qui n'a révélé aucune obstruction significative.
La constellation de symptômes et de résultats de tests a conduit les médecins à diagnostiquer l’iDCM, potentiellement associé à la récente vaccination contre le COVID-19. Pour établir un diagnostic définitif, ils ont procédé à une biopsie endomyocardique.
Répondant à un tweet sur l'étude japonaise, Lori Petersen, blessée par le vaccin Pfizer, a posté jeudi ceci sur X (anciennement Twitter) :
Principales conclusions
La biopsie endomyocardique a fourni des informations cruciales sur l'état du patient. Au microscope, les médecins ont observé des signes d’inflammation dans le tissu cardiaque, confirmant le diagnostic d’iDCM. Ces signes comprenaient :
Cellules du muscle cardiaque hypertrophiées. Cicatrices entre les cellules. Amas de cellules inflammatoires, principalement des macrophages et des lymphocytes T, ou lymphocytes T. La biopsie a également révélé une augmentation des taux de ténascine-C , une protéine généralement élevée lors d'une inflammation cardiaque active. Cela suggérait que l’état du patient était à un stade actif et potentiellement traitable.
Une IRM cardiaque, une autre technique d'imagerie avancée, a montré des signes supplémentaires de lésions cardiaques. Elle a révélé une hypertrophie du ventricule gauche et un motif de cicatrices dans la paroi du muscle cardiaque, souvent observé dans les causes non infectieuses d'inflammation cardiaque.
"La biopsie nous a permis d'observer directement le processus inflammatoire dans le tissu cardiaque, offrant un niveau de certitude que nous n'avions pas eu dans les cas précédents de problèmes cardiaques suspectés liés au vaccin", ont écrit les médecins.
Ils ont souligné en quoi ce cas diffère des problèmes cardiaques liés au vaccin précédemment signalés.
« Les cas d’inflammation cardiaque les plus signalés après la vaccination contre le COVID-19 ont été des myocardites chez les jeunes hommes . Ce cas d’iDCM chez une patiente plus âgée élargit notre compréhension des complications cardiaques potentielles.
Les résultats détaillés ont permis aux médecins de distinguer ce cas des autres types de problèmes cardiaques et suggèrent fortement un lien avec la récente vaccination contre le COVID-19.
Les examens de suivi après six mois ont montré des « améliorations significatives » Après avoir confirmé le diagnostic d’iDCM par biopsie, les médecins ont lancé un plan de traitement ciblé impliquant la prednisolone , un corticostéroïde oral , pour réduire l’inflammation du cœur.
L’équipe médicale a également administré des médicaments standard contre l’insuffisance cardiaque, notamment :
Enalapril , pour aider à détendre les vaisseaux sanguins. Spironolactone , un diurétique qui possède également des propriétés anti-inflammatoires. Dapagliflozine , un médicament plus récent qui s'est révélé bénéfique en cas d'insuffisance cardiaque. L'état du patient s'est progressivement amélioré après le traitement. Après 16 jours d’hospitalisation, elle est sortie avec une dose réduite de prednisolone.
Des examens de suivi à six mois ont montré des améliorations significatives de la fonction cardiaque du patient. « L'échocardiogramme a révélé une amélioration spectaculaire de la capacité de pompage du cœur », ont écrit les médecins. "La fraction d'éjection ventriculaire gauche s'est améliorée de 20 % à 56 %, ce qui se situe dans la plage normale."
L'IRM cardiaque de suivi a confirmé l'inversion des anomalies antérieures, montrant une réduction de la taille du cœur et une amélioration de la fonction. De plus, une nouvelle biopsie a démontré une diminution marquée de l’inflammation dans le tissu cardiaque.
Le patient est resté stable sans récidive des symptômes au cours de la période de suivi d'un an.
L'évaluation de Hooker concernant le rétablissement du patient était plus modérée. "Cela ressemble plus à une myocardite chronique (cicatrices et hypertrophie du cœur) qu'à une myocardite aiguë où les chances de guérison complète sont d'environ 66 % en 2-3 mois."
Hooker a souligné que les cicatrices du cœur sont permanentes et que dans ce cas, la fraction d'éjection du cœur n'avait pas complètement récupéré lors du rendez-vous de suivi de six mois.
Vigilance et enquête sur les événements indésirables potentiels liés au vaccin sont nécessaires L’étude de cas fournit de nouvelles informations sur le spectre des complications cardiaques potentiellement liées aux vaccins contre la COVID-19. Les chercheurs ont souligné plusieurs points clés dans leur discussion.
La compréhension actuelle de la myocardite associée au vaccin contre la COVID-19 concerne principalement des cas chez de jeunes hommes, survenant souvent après la deuxième dose de vaccin.
Hooker a noté que les jeunes hommes présentent le risque le plus élevé de lésions cardiaques dues aux vaccins à ARNm.
Ces cas de myocardite montrent généralement une abondance de lymphocytes, un type de globules blancs, infiltrant le tissu cardiaque. Mais ce cas s'écarte du profil typique de myocardite associée au vaccin de plusieurs manières :
La patiente était une femme âgée. La complication est survenue après une troisième dose d’un autre vaccin contre la COVID-19. Le diagnostic était spécifiquement iDCM. Les résultats de la biopsie ont révélé un mélange de macrophages et de lymphocytes T dans le tissu cardiaque – des cellules du système immunitaire conçues pour débarrasser le corps des infections et des maladies – ainsi que des microthrombus cardiaques (minuscules caillots sanguins).
Cette tendance diffère des cas de myocardite associés au vaccin précédemment signalés et d’autres types d’inflammation cardiaque liée au vaccin. Cela souligne la complexité des réponses immunitaires aux vaccins, ont écrit les médecins.
Les chercheurs ont souligné l’importance d’envisager l’iDCM chez les patients présentant des symptômes d’insuffisance cardiaque après la vaccination contre le COVID-19, en particulier lorsque le tableau clinique ne correspond pas à une myocardite typique.
« Les cliniciens ne devraient pas hésiter à pratiquer une EMB [biopsie endomyocardique] sur des patients présentant le phénotype DCM [cardiomyopathie dilatée] après une vaccination contre le SRAS-CoV-2 », ont souligné les médecins.
McCullough a déclaré qu'il considérait que tous les vaccinés avaient potentiellement subi des lésions cardiaques. « Dans ma pratique clinique… j'adopte une approche à plusieurs niveaux avec les antécédents, les examens, l'ECG, les laboratoires et, dans certains cas, l'échocardiographie /IRM cardiaque. »
L'équipe japonaise a reconnu que même si des réactions aussi graves restent extrêmement rares, ce cas met en évidence la nécessité d'une vigilance continue et d'une enquête approfondie sur les événements indésirables potentiels liés au vaccin.
Non, l'Amérique n'a pas le taux d'obésité adulte le plus élevé au monde
PAR TYLER DURDEN LUNDI 22 JUILLET 2024 - 11H45
Entre 1990 et 2022, les taux d’obésité chez les adultes dans le monde ont plus que triplé, passant de 5 % à près de 16 % de la population adulte mondiale.
Dans l'infographie suivante, Pallavi Rao de Visual Capitalist cartographie et classe les pays ayant les taux d'obésité chez les adultes les plus élevés, mesurés grâce aux calculs de l'indice de masse corporelle (IMC).
- voir graph sur site -
Les données proviennent de l’Organisation mondiale de la santé et sont à jour jusqu’en 2022.
Classement : Les 15 pays ayant un problème d'obésité Les petits États insulaires du Pacifique affichent des taux d’obésité parmi les plus élevés au monde. Ils constatent également des taux élevés de maladies cardiovasculaires et de diabète.
Un changement de régime alimentaire au XXe siècle – s’appuyant sur des aliments transformés et importés – est généralement considéré comme la cause commune.
- voir liste sur site -
Remarque : Chiffres arrondis. Obésité adulte mesurée par un indice de masse corporelle de 30 kg/m2 ou plus.
L’Égypte, le Qatar et les États-Unis sont les seuls pays comptant plus d’un million d’habitants sur cette liste.
Les mauvaises habitudes alimentaires sont une fois de plus un facteur, avec quelques différences culturelles. En Égypte, la forte inflation alimentaire a poussé les habitants à se tourner vers des repas riches en calories et à bas prix. Pour lutter contre l'insécurité alimentaire, le gouvernement subventionne le pain, la farine de blé, le sucre et l'huile de cuisson, dont beaucoup sont des ingrédients liés à la prise de poids.
Au Qatar, pays avec l’un des PIB par habitant les plus élevés au monde, une prédisposition génétique à l’obésité et à un mode de vie sédentaire aggrave l’impact d’une alimentation riche.
Et aux États-Unis, des portions plus importantes sont l’une des nombreuses raisons invoquées pour expliquer l’obésité généralisée chez les adultes et les enfants. Par exemple, les Américains ont consommé 20 % de calories de plus en 2000 qu’en 1983. Ils consomment 195 livres de viande par an, contre 138 livres en 1953. Et leur consommation de céréales a augmenté de 45 % depuis 1970.
Il convient toutefois de noter que cet ensemble de données est basé sur les valeurs de l’IMC, qui ne tiennent pas pleinement compte des types de corps ayant une masse osseuse et musculaire plus importante.
Comprendre les tests de laboratoire pour une santé optimale
PAR TYLER DURDEN LUNDI 22 JUILLET 2024 - 10H15 Rédigé par Emma Tekstra via The Epoch Times
Une étude remet en question l'étiquette de « mauvais cholestérol » pour le LDL
Les tests de laboratoire annuels sont une bonne idée
Peut-être vous soumettez-vous déjà à des analyses de sang dans le cadre de votre contrôle annuel chez votre médecin. Si vous êtes généralement en bonne santé, ils peuvent vous dire que tout « semble normal », que vous vous plaigniez ou non de divers symptômes.
Si vous souffrez d’une maladie chronique, votre médecin vous demandera peut-être des tests plus réguliers et surveillera vos chiffres pour ajuster vos médicaments en conséquence. Ou peut-être avez-vous évité le médecin et n’avez-vous effectué aucun travail de laboratoire depuis un certain temps.
Les analyses de sang sont l’un des tests les moins invasifs et les moins coûteux que vous puissiez obtenir pour être proactif dans la gestion de votre santé. Les centres de test sont généralement faciles à trouver et à prendre rendez-vous. En quinze minutes, vous pouvez entrer et sortir, après avoir fait prélever quelques flacons de sang dans un cadre habituellement agréable, et repartir. Les résultats sont souvent disponibles en ligne environ une semaine plus tard.
Selon la Cleveland Clinic, « les analyses de sang sont un outil essentiel utilisé par les prestataires de soins de santé pour surveiller votre état de santé général ou diagnostiquer des problèmes de santé ». Mais vous n’avez pas besoin d’être suivi par un médecin pour subir des analyses de sang. Les entreprises axées sur le consommateur comme Grassroots Labs ou Function Health peuvent vous mettre fermement aux commandes.
Limites des plages normales
L’astuce consiste cependant à comprendre le contexte de tous ces chiffres et comment vos résultats se comparent à la « plage normale » citée. Ce n’est qu’alors que vous pourrez commencer à glaner des informations pertinentes pour optimiser votre santé.
Pour commencer, même si vous testez 100 biomarqueurs différents dans votre sang, cela ne fait qu’effleurer la surface de ce qui se passe à l’intérieur de votre corps infiniment complexe qui travaille constamment pour vous maintenir en équilibre et fonctionner correctement.
Une prise de sang mesure généralement un moment dans le temps et peut être influencée par ce que vous avez mangé la veille, combien vous avez fait d'exercice, si vous avez eu une dispute avec votre conjoint ou si vous avez bien dormi la nuit précédente. Vous êtes un particulier. Il n’existe pas de score parfait pour un élément testé.
Un article publié dans la revue Heliyon l'année dernière discute des avantages et des inconvénients des biomarqueurs qui incluent des tests d'autres fluides corporels et cellules tels que les cheveux (utiles pour tester la présence de métaux lourds) et les selles (utiles pour évaluer votre microbiome) et déclencher une alerte. certains cancers et autres conditions. L’un des inconvénients évidents cités dans la surveillance des biomarqueurs est la difficulté d’établir ce qui est « normal ».
Les valeurs de référence ou plages normales indiquées sur vos résultats de test sont généralement spécifiques au laboratoire et sont basées sur les résultats de test d'un sous-ensemble de la population étudiée. La plage couvre ensuite les résultats de 95 pour cent de cet échantillon de population jugé en bonne santé. Les 2,5 pour cent les plus bas et les 2,5 pour cent les plus élevés sont considérés comme des valeurs aberrantes, le reste étant considéré comme normal.
Le laboratoire peut ajuster sa gamme en fonction de données démographiques telles que les hommes/femmes et les groupes d'âge, mais cela simplifie considérablement tous les éléments qui affectent tout biomarqueur individuel pour un être humain donné.
Tests typiques que votre médecin peut prescrire
La plus grande utilité des analyses de sang est d’aider votre médecin à poser un diagnostic et à prendre des décisions en matière de traitement. L’industrie pharmaceutique s’appuie sur les tests de biomarqueurs pour prouver que son médicament fait mieux qu’un placebo ce qu’elle prétend faire.
La plupart des médicaments sont évalués en fonction de leur effet sur un biomarqueur plutôt que de leur impact sur la santé réelle. Mais tant que nous comprenons le contexte et les limites des tests, nous pouvons les utiliser à notre avantage et contribuer à éclairer nos interventions prioritaires.
Les tests les plus courants que votre médecin est susceptible de vous prescrire comprennent :
Marqueurs métaboliques : pour comprendre votre fonction rénale et hépatique, votre taux de sucre dans le sang, vos protéines et votre équilibre électrolytique, y compris votre état d'hydratation. Formule sanguine complète : examine vos globules rouges et blancs et vos plaquettes, ce qui peut indiquer une infection, une anémie ou des problèmes de coagulation sanguine.
Lipides : comprendront votre cholestérol LDL (lipoprotéine de basse densité) et HDL (lipoprotéine de haute densité), ainsi que vos triglycérides (un type de graisse stockée dans votre foie).
Fonction thyroïdienne, en particulier chez les femmes, en particulier vos taux de TSH (hormone spécifique de la thyroïde) indiquant une hypo ou une hyperthyroïdie potentielle qui peut affecter de nombreux aspects de votre santé, y compris l'infertilité.
Hémoglobine A1C, en particulier pour ceux qui ont un taux de glucose de base élevé ou qui sont en surpoids. Il mesure le pourcentage de vos cellules sanguines saturées en glucose et fournit une meilleure mesure de votre taux de glucose moyen au cours des 2 à 3 derniers mois.
PSA (antigène spécifique de la prostate) – hommes uniquement. Peut indiquer des problèmes de prostate, notamment un cancer, mais d'autres facteurs peuvent également affecter les niveaux de PSA.
Sans entrer dans les détails de chaque test et les lacunes de sa plage normale indiquée, il est important de faire vos propres recherches et d’envisager des tests supplémentaires si :
Vous êtes en dehors des limites normales et votre médecin vous propose un traitement pharmaceutique pour y remédier. Vous vous situez dans les limites normales mais souffrez de symptômes « inexpliqués ». Voici des exemples d’autres tests sanguins qui peuvent fournir un contexte et des conseils supplémentaires :
Marqueurs inflammatoires : la protéine C-réactive (hs-CRP, la version haute sensibilité) peut être utilisée comme mesure générale de l'inflammation et du risque de maladie cardiovasculaire et de dépression. L'homocystéine est un acide aminé qui a besoin de certaines vitamines B pour se décomposer. Des niveaux élevés peuvent indiquer une capacité réduite à se désintoxiquer et à fabriquer des neurotransmetteurs.
Détails de la thyroïde : au-delà du score TSH de base, des tests plus précis peuvent mesurer des éléments supplémentaires tels que la T4 libre, la T3 totale, la T3 libre et la T3 inversée pour obtenir une meilleure idée des performances de votre thyroïde.
Un panel complet d'hormones, comme le service de test DUTCH, qui signifie test d'urine séchée pour des hormones complètes, qui teste sur 24 heures pour obtenir une image plus précise. Détection du cancer, comme le test Galleri qui a été validé pour détecter les signes précoces de plus de 50 types de cancer.
Anticorps pathogènes, notamment la maladie de Lyme et les moisissures, à l'aide de tests spécialisés tels que ceux proposés par Realtime Laboratories et IGeneX. Nutriments essentiels, comme la vitamine D, le fer/ferritine, la B12, le folate (B9), le magnésium et les oméga-3.
Ces tests plus avancés ne sont peut-être pas couverts par votre régime d’assurance, mais constituent souvent un excellent investissement pour mieux comprendre vos problèmes de santé et comment les résoudre. Cela est particulièrement vrai si l’objectif est d’éviter les produits pharmaceutiques si souvent conçus pour traiter un biomarqueur plutôt que pour améliorer la santé globale.
Les tests de nutriments essentiels en particulier peuvent souvent fournir le chaînon manquant pour expliquer des symptômes mystérieux ou des « scores » inhabituels dans d’autres tests sanguins.
Comprendre les AJR en nutriments
Dans notre monde moderne caractérisé par des horaires excessifs, des aliments ultra-transformés, une technologie insidieuse et d’autres expositions à des toxines, une grande partie de nos maux sont dus à une carence nutritionnelle sous-jacente. Notre corps ne reçoit tout simplement pas suffisamment de nutriments pour faire fonctionner tous les nombreux systèmes complexes qui en dépendent.
Si nous prenons des produits pharmaceutiques, le risque de carences est plus élevé, car de nombreux produits pharmaceutiques sont connus pour éliminer les nutriments du corps.
Il est donc recommandé d’inclure des tests de niveaux de nutriments dans vos analyses de sang annuelles. Mais assurez-vous d’appliquer le même niveau de prudence dans leur interprétation et votre réponse pour trois raisons principales :
1. Les plages « normales » citées pour les tests de nutriments sont généralement beaucoup trop basses étant donné que la grande majorité de la population américaine est déficiente, et donc tout échantillon prélevé pour définir les plages. Une carence en certains nutriments peut ne pas se manifester immédiatement par des symptômes, de sorte que la population échantillonnée peut être considérée comme des sujets sains, mais en fait, leurs niveaux de nutriments ne sont pas optimaux.
Par exemple, la plupart des laboratoires indiquent une plage normale de taux sanguins de vitamine D comprise entre 30 et 150 nanogrammes par millilitre (ng/ml). Un médecin bien informé peut vous pousser à dépasser 50 ng/ml et à compléter jusqu'à ce niveau. Cependant, les recherches suggèrent désormais qu’un taux supérieur à 75 ng/ml est optimal.
2. Il est important de comprendre que les taux sanguins ne constituent pas toujours une bonne indication de l’absorption ou de la disponibilité par vos cellules. Le magnésium, par exemple, est stocké dans vos os et vos tissus et seule une petite quantité circule dans le sang. L’absorption d’un nutriment peut également en affecter un autre, de faibles niveaux de magnésium étant potentiellement responsables de faibles niveaux de potassium ou de calcium, ce qui souligne la nécessité d’examiner tous les résultats des tests de manière globale.
3. Un autre facteur à comprendre lors de la réponse aux résultats des analyses de nutriments concerne les suggestions d'apport journalier recommandé (AJR), plus souvent citées aux États-Unis sous le nom de besoins en valeur quotidienne (VQ) pour des nutriments individuels.
Il convient de noter un peu l’histoire de la façon dont les AJR ont été développés il y a des décennies avant que nous comprenions l’interaction des différents nutriments et comment des facteurs tels que la santé de notre microbiome, l’âge, le poids et le mode de vie affectent grandement nos besoins personnels en nutriments.
L’objectif était de prévenir l’apparition de maladies spécifiques comme le scorbut, le béribéri, la pellagre et le rachitisme (respectivement carences à long terme en vitamines C, B1, B3 (niacine) et en vitamine D pour l’absorption du calcium). Ils n’étaient pas (et ne sont toujours pas) axés sur une santé optimale.
La Food and Drug Administration des États-Unis a repris la propriété des niveaux de DV pour aider les consommateurs à déterminer le niveau de divers nutriments dans une portion standard d'aliment par rapport à leurs besoins approximatifs. Vous trouverez probablement le pourcentage de DV désormais indiqué sur les flacons de suppléments. Cependant, vos besoins personnels peuvent être bien plus élevés.
En conclusion
Il peut sembler un peu difficile de synthétiser les avantages et les inconvénients des tests en laboratoire et de prendre une décision éclairée sur les tests à entreprendre et sur la manière d'interpréter les résultats. Comme pour tous les aspects de votre santé, il s’agit d’une décision très individuelle qui mérite de prendre le temps de rechercher certains détails plutôt que de céder la responsabilité au professionnel en blouse blanche. Les lignes directrices standardisées ne remplacent jamais une évaluation holistique éclairée.
8 conseils clés :
Des analyses de sang annuelles sont une bonne idée : malgré leurs inconvénients, l’analyse de votre sang peut fournir des informations importantes.
Vous n’avez pas besoin de passer par un médecin : plusieurs options de vente directe au consommateur sont désormais disponibles sans ordonnance d’un médecin.
Des tests non standard peuvent être utiles, en particulier s'ils sont symptomatiques. Envisagez des tests supplémentaires pour une meilleure compréhension, mais sachez que votre régime d'assurance peut ne pas les couvrir.
Les plages de référence ne sont pas toujours utiles : la physiologie individuelle est importante, tout comme l'adoption d'une vision globale de tous les tests et de leurs niveaux au fil du temps.
Concentrez-vous sur les symptômes et pas seulement sur les chiffres : le contexte est essentiel. Les chiffres ne sont qu'un ensemble de points de données. Les niveaux d’énergie, la digestion, la santé mentale et la douleur, par exemple, sont des indicateurs importants.
L'absorption et l'interaction de différents nutriments peuvent ne pas correspondre aux résultats des tests : surveillez les symptômes pour détecter toute indication de carence et adoptez une vision globale.
Un régime alimentaire complet est optimal pour remédier aux carences nutritionnelles et à d’autres résultats de tests préoccupants : faites de l’alimentation votre première ligne de défense en optant pour la densité nutritionnelle plutôt que la commodité.
Si une supplémentation est nécessaire, sélectionnez des marques de qualité : des combinaisons de nutriments provenant d'aliments entiers (non synthétiques) et une formulation qui optimise l'absorption sont essentielles.
Révélations sur la viande rouge : l'épidémiologie nutritionnelle à l'épreuve du gras
23 Juillet 2024 Chuck Dinerstein, ACSH*
L'épidémiologie nutritionnelle est connue pour produire des résultats sensationnels et contradictoires qui nous déroutent tous. Nous devons nous contenter d'études observationnelle qui peuvent être tordues d'innombrables façons pour obtenir des résultats différents. Un nouvel outil a été mis au point pour remédier à cette situation en testant tous les choix analytiques possibles et en montrant à quel point ces études peuvent être souples et peu fiables.
« L'épidémiologie nutritionnelle a longtemps été critiquée pour ses résultats sensationnels et contradictoires, ce qui a érodé la confiance dans cette discipline. Néanmoins, les études d'épidémiologie nutritionnelle continuent de jouer un rôle crucial dans l'élaboration des recommandations et des politiques alimentaires, d'où la nécessité de tirer des conclusions crédibles de ces études. »
Telles sont les conclusions d'une étude récente portant sur une nouvelle méthodologie permettant de tirer des « conclusions crédibles ». Le Dr Stanley Young, membre du comité des conseillers scientifiques de l'ACSH, a été l'un des premiers à dénoncer l'utilisation du p-hacking [la pêche aux p] et, plus particulièrement, l'impact d'une analyse de la viande rouge. Les études nutritionnelles utilisant des essais contrôlés randomisés plus crédibles sont difficiles à réaliser et manquent souvent de pertinence dans le monde réel. Par conséquent, les études observationnelles sont la monnaie courante. Cependant, comme l'ont souligné le Dr Young et de nombreux autres chercheurs, il existe de nombreuses façons de sélectionner et d'analyser un ensemble de données particulier, « chacun pouvant produire des résultats dont la direction, l'ampleur et la signification statistique varient ».
Étant donné que notre compréhension d'un phénomène aussi complexe que l'impact de la nutrition sur notre biologie est limitée et qu'il n'y a pas de consensus sur la meilleure approche analytique, le choix des modèles analytiques et des données pertinentes est très souple. Les études observationnelles dépendent fortement des choix des chercheurs. Bien que cela ne soit pas nécessairement vrai dans tous les cas, les deux côtés des questions nutritionnelles suggèrent que les croyances et les attentes des chercheurs influencent leur travail. Et même l'analyse de sensibilité visant à séparer le bon grain de l'ivraie est subjective.
L'incohérence des résultats, en particulier dans les études nutritionnelles, érode la confiance. Comment réduire le bruit et amplifier le signal ? Les chercheurs proposent une analyse des courbes de spécification
Analyse de la courbe de spécification – analyse du multivers
C'est un nom impressionnant pour une idée relativement simple. Dans l'analyse de la courbe de spécification (SCA – specification curve analysis), on commence par identifier les choix plausibles pour l'analyse. Cela inclut les modèles statistiques analytiques, les critères de sélection des participants, les variables et la manière dont elles sont décrites. Vous éliminez les combinaisons improbables et il vous reste, comme l'a souligné le Dr Young, un grand nombre de « spécifications analytiques »[1]. Vous testez ensuite l'ensemble des données par rapport à toutes les possibilités combinatoires, en générant une courbe de spécification qui visualise la distribution des résultats pour chaque possibilité combinatoire, ainsi que l'ampleur et la direction de leur impact.
Pour démontrer la technique SCA, les chercheurs se sont penchés sur une controverse nutritionnelle non résolue,
« L'effet de la viande rouge non transformée sur la mortalité toutes causes confondues – une question qui a donné lieu à des résultats incohérents dans la littérature et à des recommandations alimentaires contradictoires. »
S'appuyant sur une méta-analyse précédemment réalisée de « 15 publications faisant état de 24 études de cohortes », ils ont identifié de nombreux facteurs, notamment :
Types de modèles nutritionnels ajustés en fonction de l'énergie totale ou tenant compte de la densité nutritionnelle ;
Caractérisation de la consommation de viande rouge en tant que variable continue, par exemple 30 grammes, ou en tant que variable catégorisée, par exemple 30-60 grammes ;
Sous-groupes d'intérêt classés par sexe ou par âge ;
Si, comme le soulignent les chercheurs, il ne s'agit pas du dernier mot sur la viande rouge et notre santé, ces résultats démontrent clairement que « les conclusions des études épidémiologiques nutritionnelles peuvent dépendre des méthodes d'analyse ».
La présence d'une flexibilité analytique, que nous l'attribuions ou non à des conflits d'intérêts mal intentionnés, rend les études épidémiologiques nutritionnelles moins sûres. La SCA est un autre outil permettant de clarifier notre incertitude, mais d'une manière fractale, elle peut également être subjective. Les chercheurs ont déterminé les méthodologies et les variables qu'ils considéraient comme justifiables. Ils ont également sélectionné un ensemble de données spécifique parmi d'autres, et les données disponibles au sein de l'ensemble de données ont encore limité les variations possibles.
L'analyse des courbes de spécification offre un moyen prometteur de faire la part des choses. En testant rigoureusement tous les choix analytiques plausibles, l'analyse des courbes de spécification met en évidence à quel point les résultats peuvent dépendre des méthodes choisies. Bien que cette approche n'élimine pas la subjectivité ou le risque de biais, elle offre une vision plus transparente et plus complète des données. L'étude sur la viande rouge et la mortalité toutes causes confondues en est un excellent exemple, qui montre que nos conclusions peuvent varier de manière significative en fonction de la voie analytique empruntée [1]. ______________
[1] Comme le soulignent les chercheurs à titre d'exemple, « trois choix uniques pour cinq aspects de l'analyse donnent 243 spécifications analytiques uniques ».
Source : Grilling the data: application of specification curve analysis to red meat and all-cause mortality (passer les données à la moulinette : application de l'analyse des courbes de spécification à la viande rouge et à la mortalité toutes causes confondues), Journal of Clinical Epidemiology DOI : 10.1016/j.jclinepi.2024.111278
Le Dr Charles Dinerstein, M.D., MBA, FACS est directeur de la médecineà l'American Council on Science and Health (conseil américain pour la science et la santé). Il a plus de 25 ans d'expérience en tant que chirurgien vasculaire.
Source : Red Meat Revelations: Cutting Through the Fat of Nutritional Epidemiology | ACSH
L'analyse des éléments ingurgités par l'être vivant (humain, animal ou plante) constituent sa formation (l'être humain respire 200 000 nano-particules - appelées 'virus' ! - PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance). Tout dépend donc de la qualité des éléments consommés.
Même si rien n'est dit sur le quoi-faire dans l'article ci-dessus, il demeure 'prometteur' dans la mesure où l'analyse peut être révélatrice voire 'plausible' ou 'subjective' !
Une expérience effrayante” : Le Danemark veut taxer les émissions du bétail, les critiques disent que les petits agriculteurs sont la vraie cible
Alors que le Danemark s’apprête à devenir le premier pays au monde à taxer les agriculteurs pour les gaz à effet de serre émis par leur bétail, les critiques affirment que le véritable objectif est de consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire et de passer à une “alimentation pharmaceutique” contrôlée par les entreprises.
Par Michael Nevradakis Mondialisation.ca, 21 juillet 2024
Le Danemark est sur le point de devenir le premier pays au monde à taxer les agriculteurs pour les gaz à effet de serre émis par leur bétail, grâce à un accord conclu le 24 juin entre le gouvernement danois et les représentants de l’industrie agricole et des syndicats.
La taxe, qui vise spécifiquement les émissions de méthane des vaches, des porcs et des moutons, entrera en vigueur en 2030, sous réserve de l’approbation finale du Parlement danois, a rapporté l’Associated Press (AP).
À partir de 2030, les agriculteurs devront payer une taxe de 300 couronnes (environ 43 dollars) par tonne d’équivalent dioxyde de carbone. Ce montant passera à 750 couronnes (108 $) d’ici 2035. Après une déduction fiscale de 60 %, les montants respectifs seront de 120 couronnes (17,30 $) et 300 couronnes.
CNN, citant le “think tank vert” danois Concito, a rapporté que les vaches laitières danoises émettent en moyenne 5,6 tonnes (6,2 tonnes américaines) d’équivalent gaz carbonique par an. Il en résulterait une taxe de 672 couronnes par vache (96 dollars) en 2030 et de 1 680 couronnes (241 dollars) en 2035.
Les émissions respectives de toutes les vaches danoises s’élèvent en moyenne à 6,6 tonnes d’équivalent gaz carbonique par an, selon l’AP, qui rapporte que le gouvernement danois vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre du pays de 70 % par rapport aux niveaux de 1990 d’ici à 2030, citant le ministre de la fiscalité Jeppe Bruus.
Selon CNN, le produit de la taxe sera utilisé pour soutenir la transition écologique de l’industrie agricole au cours des deux premières années, y compris l’investissement de 40 milliards de couronnes (3,7 milliards de dollars) pour des mesures telles que la reforestation et l’établissement de zones humides.
Le Danemark est un important exportateur de viande de porc et de produits laitiers, selon CNN. L’agriculture est la plus grande source d’émissions de gaz à effet de serre du pays. L’AP rapporte qu’en juin 2022, le Danemark comptait près de 1,5 million de vaches.
La taxe encouragera les agriculteurs à rechercher des solutions pour réduire les émissions Les partisans de la taxe soulignent que le Danemark est le premier pays à adopter une telle politique, la qualifiant d’étape vers une plus grande durabilité environnementale.
“Nous ferons un grand pas vers la neutralité climatique en 2045”, a déclaré M. Bruus.
“Nous investissons des milliards dans la plus grande transformation du paysage danois de ces derniers temps”, a déclaré le ministre danois des affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, dans un communiqué cité par CNN. “Dans le même temps, nous serons le premier pays au monde à appliquer une taxe (sur le carbone) à l’agriculture.
Selon Torsten Hasforth, économiste en chef de Concito, “l’objectif de la taxe est d’inciter le secteur à chercher des solutions pour réduire les émissions”, rapporte CNN. M. Hasforth a fait remarquer que les agriculteurs pourraient, par exemple, modifier les aliments qu’ils utilisent, dans le cadre de leurs efforts de réduction des émissions.
La Société danoise pour la conservation de la nature a qualifié la taxe de “compromis historique”, dans des propos cités par l’AP. La présidente de l’organisation, Maria Reumert Gjerding, a déclaré : “Nous sommes parvenus à un compromis sur une taxe sur le gaz carbonique, qui jette les bases d’une industrie alimentaire restructurée, y compris de l’autre côté de l’horizon 2030”.
Ben Lilliston, directeur des stratégies rurales et du changement climatique à l’Institut pour l’agriculture et la politique commerciale, a déclaré à PBS NewsHour que les émissions de méthaneconstituaient “un énorme problème… un énorme défi”. Selon lui, si le méthane reste moins longtemps dans l’atmosphère que le gaz carbonique, il est “environ 80 fois plus puissant”.
“Si vous réduisez le méthane, vous pouvez obtenir des résultats à plus court terme et nous donner un peu plus de temps pour réduire les émissions de dioxyde de carbone”, a déclaré M. Lilliston.
La taxe carbone imposée aux agriculteurs est une “expérience effrayante”. La taxe carbone du Danemark a été adoptée malgré les récentes manifestations d’agriculteurs dans toute l’Europe, notamment à Bruxelles, capitale de facto de l’Union européenne (UE) et centre de décision politique de l’UE.
Les agriculteurs ont exprimé leurs griefs à l’égard des nouvelles réglementations environnementales et de la mainmise des entreprises sur l’agriculture européenne.
Ces dernières années, des États membres de l’UE tels que l’Irlande et les Pays-Bas ont également mis en œuvre des plans visant à limiter l’agriculture et à abattre le bétail, ce qui a donné lieu à des manifestations dans ces pays.
La Nouvelle-Zélande a prévu d’adopter une taxe sur le carbone, qui devrait entrer en vigueur en 2025. La taxe, adoptée par le précédent gouvernement de centre-gauche du pays, a été abrogée le mois dernier par la nouvelle coalition gouvernementale de centre-droit de la Nouvelle-Zélande, selon l’AP.
La nouvelle taxe danoise sur le carbone fait l’objet de critiques, certains experts estimant qu’elle constitue une charge supplémentaire pour le secteur agricole, en particulier pour les petits exploitants.
CNN a cité l’association danoise des agriculteurs Bæredygtigt Landbrug, qui a qualifié la nouvelle politique d’”expérience effrayante”.
Peder Tuborgh, PDG d’Arla Foods, la plus grande entreprise laitière d’Europe, a déclaré à CNN que la nouvelle taxe était “positive”, mais que les agriculteurs qui “font vraiment tout ce qu’ils peuvent pour réduire les émissions” devraient en être exemptés.
Dans des remarques partagées avec The Defender, Catherine Austin Fitts, fondatrice et présidente du Solari Report, a déclaré : “Les émissions sont une histoire de couverture pour réaliser les étapes du ‘Going Direct Reset‘ des banquiers centraux”.
Selon Fitts, l’objectif de cette “réinitialisation” est de “consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire, en passant à la “Pharma Food” contrôlée par les entreprises, et de déplacer la disponibilité de l’énergie de la population générale pour alimenter un réseau de contrôle électrique qui fournira l’IA[intelligence artificielle], la robotique, les cartes d’identité numériques et un système financier entièrement numérique“.
“Nous échangeons des aliments frais et la liberté contre des camps de concentration numériques et de la viande produite en laboratoire”, a déclaré Mme Fitts. À Wall Street, nous avions l’habitude d’appeler cela un “mauvais commerce”.
D’autres critiques ont déclaré au Défenseur que la nouvelle taxe du gouvernement danois a moins à voir avec la protection de l’environnement et la réduction des émissions qu’avec la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies et des objectifs d’entités mondiales telles que le G20 et le Forum économique mondial (FEM / WEF).
Meike Terhorst, avocate et activiste néerlandaise, a déclaré au Defender :
“Je pense que ces mesures n’ont rien à voir avec la durabilité, mais avec le pouvoir. Un groupe d’entreprises, les soi-disant mondialistes/banques/investisseurs, comme le WEF, travaillent ensemble avec des gouvernements, comme le G20, et ensemble ils peuvent forcer les petits agriculteurs à quitter leurs terres”.
Tim Hinchliffe, rédacteur en chef de The Sociable, estime que les petites exploitations agricoles seront les plus touchées par la nouvelle taxe.
Les petits agriculteurs seront les premiers à disparaître, et leurs terres seront très probablement utilisées pour abriter diverses initiatives dites “vertes”, telles que des laboratoires de fausse viande, des hectares de panneaux solaires et d’éoliennes à perte de vue, de nouveaux centres de données d’IA qui nécessitent des tonnes d’eau, d’énergie et de terres, et peut-être même des centrales nucléaires pour alimenter ces centres de données”, a-t-il déclaré.
De même, Terhorst a déclaré que l’objectif est de “fermer les petits agriculteurs dans le cadre de l’”Agenda 2030” – les ODD de l’ONU – ou du programme de prise de contrôle par les entreprises.”
Selon M. Terhorst, cet agenda vise à “garantir que les petits exploitants agricoles soient retirés de la terre et remplacés par une agriculture “numérique””, c’est-à-dire à “remplacer la viande et le lait par des aliments ou du lait à base d’insectes fabriqués en usine et par de la viande cultivée en laboratoire“.
Les critiques ont également remis en question les affirmations selon lesquelles des politiques telles que la taxation du carbone contribuent à promouvoir la “durabilité”.
“Lorsque les mondialistes non élus du WEF et de l’ONU parlent de durabilité, ils n’entendent pas par là l’autosuffisance de l’individu. Ce n’est pas du tout ce qu’ils veulent. Ils veulent s’assurer un contrôle, une influence et un pouvoir durables pour les décennies à venir”, a déclaré M. Hinchliffe :
“À mon avis, le véritable objectif est de prendre le contrôle de terres agricoles de premier choix et de taxer les agriculteurs pour qu’ils disparaissent. Lorsque les taxes deviennent trop élevées et que les agriculteurs ne peuvent plus suivre, des entités publiques et privées interviennent pour prendre le contrôle des terres.
“S’ils croyaient vraiment que les animaux de ferme flatulents étaient responsables du climat, ils n’auraient qu’à planter davantage d’arbres pour absorber le carbone, et leur crise imaginaire serait résolue, mais ils ne le font pas parce que ce qu’ils recherchent vraiment, c’est l’accaparement des terres, l’argent, et le contrôle total de nos systèmes alimentaires”.
Selon M. Hinchliffe, les organisations mondiales visent également à modifier les habitudes humaines, y compris la consommation de viande. Il a dit :
“Sur le plan nutritionnel, des groupes comme le WEF et l’ONU veulent que nous mangions moins de viande et plus d’insectes, ce qui ne fera que nous rendre plus faibles et plus dociles en tant qu’espèce au fil du temps.
“En cas d’épidémie ou de contamination, les citoyens du monde entier souffriront parce qu’il n’y aura pas d’alternative. Les agriculteurs locaux auront disparu à cause des taxes sur le carbone et de l’accaparement des terres.
“L’industrie de la viande biologique a été organisée et financée par les investisseurs et les banques qui font partie du WEF”, a déclaré M. Terhorst. “Si nous voulons devenir durables, nous devons limiter les pouvoirs des investisseurs et du WEF et soutenir les petits agriculteurs.
M. Hinchliffe a ajouté : “Si les taxes sur le carbone ne parviennent pas à étouffer complètement l’esprit humain, elles prévoient déjà de taxer à peu près tout le reste de la nature, y compris l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et le sol même sur lequel nous marchons”.
Appel au réveil international : L'OMS prépare un coup sournois dans 194 pays !
RépondreSupprimer20.07.2024
www.kla.tv/28740
Tedros ne respecte pas les règles et n'est donc pas digne de confiance !
Vérification des faits 1 : La souveraineté des États membres
« Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, [...] doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties à l'accord. » (RSI, art. 42)
Jamais un homme ne doit obtenir un tel pouvoir sur le corps et la vie de milliards de personnes dans les 194 États membres de l'OMS !
Le « modèle commercial » de l'OMS
Des transactions financières gigantesques, à débourser par les contribuables, affluent vers des pays plus pauvres et finissent en fait dans les poches de « Big Pharma » et d'investisseurs privés.
C'est ici que l'on découvre avec quelle perfidie l'OMS et ses puissants profiteurs ont mis en place, dans l'ombre, un « coup d'État » dans 194 pays !
Lors de l'assemblée générale de l'OMS qui s'est tenu à Genève du 27 mai au 1er juin 2024, les délégués de 194 pays membres ce sont prononcé sur un nouveau traité sur les pandémies et une réforme fondamentale du Règlement sanitaire international (RSI) déjà en vigueur. Étant donné qu'ils doivent voter sur une extension importante des pouvoirs de l'OMS et de son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus, un débat houleux a déjà éclaté dans presque tous les pays plusieurs mois avant l'assemblée. Dans l'article 55 du RSI, Tedros s'engage à transmettre à tous les États membres le texte de chaque amendement proposé au moins quatre mois avant le vote.
Le mot anglais « shall » doit être traduit ici comme un ordre impératif. La communication est donc obligatoire, contraignante. Tedros aurait donc dû présenter un projet de texte final le 27 janvier 2024 afin de permettre un vote statutaire. Cela n'a pas été fait avant mars 2024, Tedros ne respecte pas les règles et n'est donc pas digne de confiance !
La recherche Kla.tv d'aujourd'hui, soutenue par des experts internationaux, ne peut donc qu'examiner à la loupe les projets actuels des deux documents qui font encore l'objet de discussions. Pour cette recherche, nous jetons un coup d'œil à l'Allemagne - l'un des 194 États membres :
Le jeudi 22 février 2024, une motion du groupe parlementaire CDU/CSU a été présentée au Bundestag allemand. Elle s'intitule : « Pour des négociations transparentes sur l'accord de l'OMS sur la pandémie - contre la désinformation et les théories du complot ».
La CDU/CSU est le plus grand groupe d'opposition et y a formulé différentes exigences concernant le contrat de pandémie de l'OMS. Ces exigences sont comparées ci-après, dans le cadre d’une vérification des faits, au texte des projets de contrats pour les deux accords. Cette vérification des faits met en lumière - quasiment noir sur blanc - ce que l'OMS négocie actuellement à huis clos :
RépondreSupprimerVérification de faits n°1 : La souveraineté des États membres
Exigence de la CDU/CSU : « En outre, il faut s'assurer que la mise en œuvre de l'accord se fasse en accord avec les politiques nationales de santé des États membres et que les droits de souveraineté nationaux soient pleinement préservés. »
Fait 1 : Le passage « en tenant compte des vues de l'État Partie concerné » est supprimé à l'article 10.4 du nouveau RSI !
Fait 2 : Le terme « non contraignant » est supprimé à plusieurs reprises dans l'article 1.1 du nouveau RSI !
Texte de l'actuel projet de l'OMS : « Les États Parties reconnaissent l'OMS comme autorité directrice et coordinatrice de l'action internationale en matière de santé publique en cas d'urgence de santé publique de portée internationale et s'engagent à suivre les recommandations de l'OMS dans leur action internationale en matière de santé publique. » (RSI, 13A-1)
Fait 3 : Par le nouvel article 13A-1, les 194 États membres s'engagent à suivre les recommandations de l'OMS ! Ces projets de traités dictatoriaux sont scandaleux et dévoilent les véritables intentions de l'OMS ! L'OMS n'est pas une organisation digne de confiance - même si, en raison de la pression internationale de plus en plus forte, elle devait encore édulcorer les projets à la dernière minute !
Analyse : Comme avec un scalpel, l'OMS « castre » les États membres ! En supprimant ou en ajoutant quelques mots, elle supprime leur souveraineté et s'habilite elle-même ! Les recommandations non contraignantes qui existaient jusqu'à présent deviennent ainsi des directives d'action obligatoires en droit international !
Vérification de faits n°2: La déclaration de l'état de pandémie
RépondreSupprimerDemande de la CDU/CSU :
« Il n'est pas non plus précisé si le directeur général de l'OMS pourra à l'avenir déclarer des pandémies, alors qu'il ne peut actuellement que déclarer une « urgence de santé publique de portée internationale », soumise à des critères stricts. »
« En outre, l'accord doit notamment définir les critères qui permettent de déclarer une pandémie, [...] »
Texte de l'actuel projet de l'OMS :
Tedros peut justifier un état d'urgence sanitaire mondial avec, par exemple :
« une grippe humaine basée sur un nouveau sous-type » (RSI, ANNEXE2) ou
« des infections dont la transmission interhumaine ne peut être exclue » (RSI, ANNEXE2) ou « même d'origine environnementale » :
« Les Parties reconnaissent que des facteurs environnementaux, climatiques, socio-économiques et anthropiques augmentent le risque de pandémie [...] » (Accord sur la pandémie 4-5)
Fait 1 : Ni l'accord sur les pandémies ni le RSI ne fixent de normes claires et précises pour la déclaration d'une pandémie, qui pourraient mettre un terme à l'arbitraire.
« Le directeur général détermine également si une urgence sanitaire d'intérêt international constitue aussi une urgence pandémique. » (RSI, art. 12-5)
Fait 2 : Le directeur général Tedros peut même déclarer des pandémies à l'avenir selon le nouvel article 12, paragraphe 5 ou également paragraphe 1 du RSI !
Analyse : La modification du RSI et le traité sur les pandémies donnent carte blanche au secrétaire général pour déclarer une pandémie, qui n'est liée à aucun critère mesurable !
Vérification de faits n°3 : Les pouvoirs de l'OMS en cas de pandémie
Exigence de la CDU/CSU :
« L'OMS doit être rendue plus efficace grâce à un accord sur les pandémies, dans lequel ses pouvoirs sont clairement délimités et que le rôle central des États membres et les droits des citoyens sont bien entendu préservés. »
Texte de l'actuel projet de l'OMS :
« Lorsqu'il a été établi, conformément à l'article 12, qu'il existe une urgence de santé publique de portée internationale [...], le directeur général fait des recommandations temporaires. » (RSI, art. 15.1)
« Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, [...] doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties. » (RSI, art. 42)
RépondreSupprimerFait 1 : En déclarant une pandémie, le secrétaire général de l'OMS s'habilite lui-même. Il obtient ainsi des « pouvoirs d'urgence ». Il peut émettre des « recommandations temporaires » qui, selon l'article 42, DOIVENT être appliquées « immédiatement » par tous les États membres !
« Le directeur général institue un comité d'urgence, [...] Le directeur général choisit les membres du comité d'urgence [...] Le directeur général fixe la durée de la participation. » [...] (RSI, art. 48, 1+2)
Fait 2 : Il n'y a pas d'instances de contrôle supérieures et indépendantes, pas de séparation des pouvoirs !
« Les recommandations adressées par l'OMS aux États Parties dans le traitement des personnes peuvent inclure les conseils suivants :
vérifier la preuve d'une vaccination ou d'une autre prophylaxie ;
exiger la vaccination ou une autre prophylaxie ;
placer les personnes suspectes sous surveillance de la santé publique ;
appliquer des mesures de quarantaine ou d'autres mesures sanitaires aux personnes suspectes ;
si nécessaire, isoler et traiter les personnes concernées ;
procéder au traçage des contacts des personnes suspectes ou affectées. » (RSI, art. 18.1)
Fait 3 : Ces « recommandations » de l'OMS, qui peuvent être exigées en vertu de l'article 13A-1 et de l'article 42 du RSI, peuvent totalement annihiler la liberté médicale et personnelle des personnes et ouvrent la voie à une surveillance sans faille des contacts !
Analyse :En cas de pandémie, les deux accords de l'OMS ne prévoient pas de délimitation claire des pouvoirs du directeur général Tedros !
Jamais un homme ne doit avoir un tel pouvoir sur la vie et l'intégrité physique de milliards de personnes dans les 194 pays membres de l'OMS !
Vérification de faits n°4 : Nécessité d'un large débat public
Demande de la CDU/CSU :
« Les auteurs de la proposition soulignent la nécessité d'un large débat public sur les objectifs et le contenu d’un traité sur les pandémies, avec la participation des milieux scientifiques et économiques, de la société civile et des parlements. »
RépondreSupprimerTexte de l'actuel projet de l'OMS : « Au niveau mondial, l'OMS doit renforcer sa capacité à lutter contre la désinformation (NOUVEAU : RSI, art. 7e), dans le but de "contrecarrer et de combattre les informations fausses, trompeuses, erronées ou désinformatrices [...] » (Traité sur les pandémies. 18.1)
Fait 1 : Le « large débat public » demandé peut être empêché par l'OMS en réprimant la prétendue désinformation. La "lutte" contre la prétendue désinformation donne à l'OMS un prétexte pour étouffer les voix d'experts malvenues et pour censurer les voix critiques à l'égard de l'OMS sur les réseaux sociaux. Pour ce faire, l'OMS a déjà conclu d'innombrables contrats avec des réseaux sociaux tels que Google, Facebook ou Tiktok, dans le but d’utiliser seulement le « langage contrôlé » de l'OMS.
« a. Les décisions de l’Assemblée de la Santé à prendre sur des questions importantes sont acquises à la majorité des deux tiers des Etats Membres présents et votants. Ces questions comprennent : l'adoption de conventions ou d'accords [...] »
« b. Les décisions sur d’autres questions, [...] sont prises à la simple majorité des États Membres présents et votants. » (Constitution de l'OMS, article 60)
« Le délai [...] prévu pour le rejet ou la réserve d'un amendement au présent règlement intérieur est de dix mois. » (RSI, art. 59.1)
Fait 2 : Le traité sur les pandémies ne peut entrer en vigueur que si une majorité des deux tiers des délégués de l'Assemblée générale de l'OMS l’approuve. Ensuite, les 194 parlements des États membres doivent délibérer et approuver le traité sur les pandémies à la majorité. En revanche, les modifications importantes du RSI sont déjà considérées comme acceptées si une simple majorité des délégués les approuve. L'approbation par les parlements nationaux n'est pas nécessaire ici, selon l'article 55.3 du RSI. Seule une opposition explicite dans les dix mois suivant le vote est encore possible. À ce stade, la démocratie parlementaire des États membres est mise à mal. L'implication des parlements ou de la société civile, réclamée par la CDU/CSU, n'est pas prévue par l'OMS lors de la modification du RSI !
Analyse :
RépondreSupprimerL'OMS ne doit jamais se voir accorder le « monopole de l'information et de la vérité » sur la prétendue désinformation, car c'est là que s'arrête le « débat public » revendiqué et donc notre démocratie ! La vérification des faits met en lumière que les plus graves « auto-autorisations de l'OMS » sont cachées dans les adaptations du RSI. C'est ce que critiquent également de nombreuses initiatives qui agissent contre l'extension du pouvoir de l'OMS. Il est donc évident que l'OMS et son directeur général Tedros souhaitent étendre massivement leurs pouvoirs en contournant la démocratie parlementaire.
Conclusion générale de la vérification des faits :
La CDU/CSU ou tous les partis démocratiques de tous les États membres ne pourront jamais approuver ce projet en raison de ces exigences non satisfaites ! La vérification des faits confirme que les inquiétudes des citoyens ne sont pas des théories complotistes.
Étant donné que le texte des deux traités serait valable pour les 194 États membres de l'OMS, les résultats de cette vérification des faits fondée qui utilise l'exemple de l'Allemagne peuvent très bien être appliqués à tous les pays. Il existe toutefois d'autres aspects internationaux qui doivent être examinés de plus près :
Les partisans de ces deux documents de l'OMS affirment qu'il s'agit exclusivement du bien-être et de la santé de tous les êtres humains. Mais en y regardant de plus près, on découvre un gigantesque modèle commercial :
Le « modèle commercial » de l'OMS
L'OMS n'est financée qu'à hauteur de 20 % maximum par les contributions des États membres. Plus de 80 % des recettes de l'OMS proviennent de dons spécifiques de tiers. Bill Gates, en particulier, a soutenu l'OMS via sa fondation Bill & Melinda Gates ou son alliance de vaccination Gavi avec plus de 1,3 milliard de dollars (situation en mars 2024). Le fait que Gates ait empoché plusieurs centaines de millions de dollars de bénéfices pendant la période du Covid en achetant des actions BioNtech en août 2019 montre que ce n'est pas par pure philanthropie. C'est pourquoi, pour Gates, le soutien à l'OMS est certainement aussi un « modèle commercial », car selon lui, c'est en investissant dans les vaccins qu'on obtiendrait les meilleurs rendements !
Un autre aspect révélateur de ce « modèle commercial » apparaît dans le RSI à l'annexe 1 :
RépondreSupprimer"Les États Parties qui sont des pays développés doivent fournir une assistance financière et technologique aux États Parties qui sont des pays en développement pour garantir dans ces pays en développement des installations à la pointe de la technologie. (RSI, ANNEXE 1.1). Le fait que l'OMS souhaite augmenter son budget, qui passerait d'environ 3,5 milliards de dollars par an actuellement à au moins 31 milliards de dollars, et obtenir une enveloppe financière de 100 milliards de dollars de la part des nations les plus riches pour les situations d'urgence en cas de pandémie montre la nouvelle dimension du « modèle commercial de l'OMS » :
Des transactions financières gigantesques, qui doivent être payées par les contribuables, affluent ainsi vers des pays plus pauvres et atterrissent finalement dans les poches de "Big Pharma" et d'investisseurs privés.
Le passé criminel du secrétaire général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros a utilisé l'organisation terroriste TPLF (Front de libération du peuple du Tigré) comme étrier pour son ascension politique jusqu'au poste de ministre des Affaires étrangères d'Éthiopie. Les rapports annuels officiels d’Amnesty International et de Human Rights Watch, des organisations de défense des droits de l'homme renommées, sur la période de gouvernement de Tedros entre 2005 et 2016 montrent que les plus graves violations des droits de l'homme ont été commises durant cette période, comme par exemple l'arrestation et l'exécution d'opposants, l'expulsion violente de tribus ethniques, les tortures les plus graves, etc. De plus amples révélations sur le passé criminel de Tedros sont dévoilées dans le documentaire « Le dossier Tedros ». Le fait que, lors des négociations sur l'adaptation du RSI, il ait même été question de supprimer la mention « dans le plein respect de la dignité, des droits de l'homme et des libertés fondamentales des personnes » de l'article 3.1 du RSI est un scandale ! Cela confirme que Tedros a perdu tout sens du respect des droits de l'homme en raison de son passé criminel.
Résumé
RépondreSupprimerLa vérification des faits en Allemagne a mis en lumière un écart dramatique entre les exigences des politiciens et les textes des accords prévus. Le traité sur les pandémies semble n'être qu'un "écran de fumée" destiné à détourner l'attention des clauses anticonstitutionnelles subtilement cachées du RSI. C'est là qu'on découvre avec quelle perfidie l'OMS et ses puissants bénéficiaires ont fomenté en coulisses un "coup d'État" dans 194 pays ! Par ce procédé sournois, nos élus sont trompés, car on ne leur demande pas leur accord sur les clauses du RSI et ils sont ainsi privés de leurs voix ! C'est pourquoi nos élus, en grande partie inconscients, ont maintenant besoin de l'aide du peuple. Ils sont presque tous loin d'avoir pris conscience des dangers qui se cachent notamment dans les textes du RSI.
Ce documentaire a pour but de vous aider à mettre en garde vos représentants dans votre pays contre ce détournement de la démocratie parlementaire.
Appel au réveil international à 194 nations !
Chers téléspectateurs,
La liberté des citoyens de 194 États membres est en grand danger ! C'est pourquoi nous lançons aujourd'hui un appel au réveil international dans de nombreuses langues.
Soyez actifs et éveillez VOUS-mêmes les responsables de votre pays, en particulier ceux qui représentent votre région et vous représentent donc personnellement au Parlement ! Informez-les du texte exact du traité. Nous mettons à votre disposition le texte de l'émission sur notre site original www.kla.tv, en dessous de cette émission. Vous y trouverez les textes exacts dont nous avons parlé dans cette émission. Attirez également l'attention de vos politiciens sur le passé criminel du directeur général Tedros !
Les médias publics ne parlent guère du danger sérieux que représentent ces traités sur les pandémies. Les informations critiques sur l'OMS sont censurées en masse sur les réseaux sociaux sous prétexte de prétendue « désinformation ». C'est pourquoi cette émission n'est pas seulement un appel au réveil, mais aussi un appel à la diffusion.
Ainsi, dans chacun des 194 pays membres, un incendie généralisé peut se déclencher et mettre bientôt à mal les plans de l'OMS. Diffusez donc ce cri d'alarme international dans le plus grand nombre de langues possible et même dans les pays lointains où vous connaissez des personnes !
RépondreSupprimerSoutenez notre appel au réveil en transmettant MAINTENANT cette émission au plus grand nombre possible de vos amis et connaissances via le lien qui s'affiche ! Vous trouverez également ce documentaire bouleversant sur nos canaux sociaux pour le diffuser. Vous contribuerez ainsi activement à mettre fin à toute suppression d'informations vitales. Utilisez également WhatsApp à cet effet ! Postez notre appel au réveil sur les réseaux sociaux, comme par exemple Facebook ou tiktok !
Tous les hommes de ces 194 nations forment une grande famille humaine. La volonté commune de liberté de ces personnes l'emportera sur toute tentative d'oppression ! Merci pour votre contribution !
de svw, cm, dag
Sources / Liens :
Assemblée générale de l'OMS à Genève/Délégués
https://jimdo-storage.global.ssl.fastly.net/file/e2aa5fbb-4cb6-4164-8fc5-3691fb96eb8d/240303
- Scholz - WHO (Online-Version).pdf
https://www.ungeneva.org/en/blue-book/missions/member-states
Débats intenses sur l'extension des pouvoirs de l'OMS
https://www.kettner-edelmetalle.de/news/wachsender-widerstand-gegen-who-pandemievertrag-expertenanhorung-im-eu-parlament-13-09-2023
https://www.derstandard.de/story/3000000192533/der-who-pandemievertrag-schuert-lockdownaengste
Demande du groupe CDU/CSU au Bundestag allemand
https://dserver.bundestag.de/btd/20/097/2009737.pdf
La déclaration d'état de pandémie
www.kla.tv/28261
Nécessitéd'un large débatpublic
https://t.me/DieBlauenLichter/272
Conclusion générale du fact-checking
allemand
https://www.kas.de/de/interview/detail/-/content/hermann-groehe-im-interview
https://www.nzz.ch/wissenschaft/die-naechste-pandemie-ist-unausweichlich-ein-weltweiter-pandemievertrag-soll-kuenftig-das-schlimmste-verhindern-wie-viele-freiheiten-wollen-wir-dafuer-aufgeben-ld.1770313
anglais
https://www.thelancet.com/journals/langlo/article/PIIS2214-109X
(22)00254-6/fulltext
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736
(20)31417-3/fulltext
Le « modèle commercial » de l'OMS
RépondreSupprimerwww.kla.tv/28261
https://www.who.int/about/accountability/budget
https://www.bitchute.com/video/jelwAdc9Myjf/
https://theindependentpanel.org/wp-content/uploads/2021/05/COVID-19-Make-it-the-Last-Pandemic_final.pdf
Le dossier Tedros – Le chef de l'OMS va-t-il devenir l'homme le plus puissant du monde ?
www.kla.tv/26779
Texte original pour le traité sur les pandémies (au 7 mars 2024)
https://www.keionline.org/wp-content/uploads/INB_DRAFT_7March2024.pdf
Textes originaux pour les modifications du RSI (février 2024)
https://web.archive.org/web/20240310112431/https://www.graduateinstitute.ch/sites/internet/files/2024-03/GHC_WGIHR7_Consolidated_Compilation%20of%20Bureau%20text%20proposals_9%20Feb%202024%20%40%2013.00%20CET.pdf
Compilation de propositions de modification du Règlement sanitaire international
https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr1/WGIHR_Compilation-en.pdf
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=28740&date=2024-07-20
L'ancien directeur de la FDA accuse Merck de FRAUDE concernant les tests et la commercialisation du vaccin contre les oreillons
RépondreSupprimer22/07/202
Ethan Huff
Le Dr David Kessler, qui a dirigé pendant un certain temps la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, a récemment publié un rapport qui dénonce Merck & Co. pour avoir dénaturé l'efficacité de son vaccin contre les oreillons et avoir commercialisé le médicament « frelaté » sans preuve. efficacité pour des millions d’enfants américains.
Le rapport a été publié sous forme de deux documents distincts, celui-ci et celui-ci, et porte la mention « hautement confidentiel » et « à l'intention des avocats uniquement ».
Les plus de 800 pages contenues dans le rapport présentent l'opinion et l'analyse de Kessler sur l'histoire et la gravité des nombreuses violations des réglementations commises par Merck au fil des ans, à partir de la fin des années 1990.
Le problème est le fameux vaccin de Merck contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), également connu sous le nom de MMRII. Kessler révèle avec preuve qu'en 1998, un examen de l'étiquetage réglementaire a révélé que le composant anti-oreillons du MMRII n'avait pas maintenu sa puissance déclarée pendant sa durée de conservation, ce qui viole les réglementations établies par la FDA.
Merck aurait dû rappeler immédiatement le vaccin multivalent frelaté et non conforme, mais a plutôt passé des années à essayer de trouver des méthodes de test alternatives qui produiraient les résultats positifs souhaités par l'entreprise. C’est ce qu’on appelle la fraude, et c’est une caractéristique de la façon dont Merck a fonctionné en ce qui concerne le MMRII.
(Connexe : Saviez-vous que les oreillons se transmettent principalement par les enfants vaccinés ?)
La FDA était complice de la fraude MMRII de Merck
Selon Kessler, Merck savait depuis le début que ses propres données internes montraient que le MMRII était nettement moins efficace qu'on le prétendait. Pourtant, la société a essayé de modifier la vérité plutôt que de proposer une nouvelle formulation répondant à l’efficacité déclarée tout en respectant les directives de la FDA.
La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Utilisez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, basée sur la blockchain et non censurable sur Brighteon.io. Explorez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
RépondreSupprimerMerck a réussi à trouver une solution temporaire au problème, consistant à augmenter la dose du virus présent dans le vaccin. La FDA savait que Merck faisait cela et l'autorisait même si la dose plus élevée n'avait jamais été testée dans des essais cliniques pour en vérifier la sécurité ou l'efficacité.
À aucun moment, ni Merck ni la FDA n'ont informé les destinataires, les fournisseurs ou les acheteurs du vaccin, y compris les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui ont acheté le médicament via son programme de vaccins pour enfants, que quelque chose avait changé dans la formulation du vaccin. , ou qu'il violait la conformité de la FDA.
Kessler a écrit dans son rapport que les actions de Merck sur cette question avaient une « importance pour la santé publique » dans la mesure où à partir de 2006 et au-delà, il y a eu une résurgence majeure des épidémies d'oreillons à travers les États-Unis, la plus importante s'étant produite en 2017 lorsque plus de 10 000 personnes à travers 46 Les États ont succombé à l’infection.
Comme c'est presque toujours le cas lors de telles épidémies, la grande majorité de ceux qui ont contracté les oreillons avaient déjà reçu la série d'injections recommandée de deux doses du vaccin ROR de Merck.
"À mon avis, en ce qui concerne les enfants vaccinés aux États-Unis avec des vaccins fabriqués entre 1998 et 2007, personne ne peut déterminer lesquels de ces enfants, aujourd'hui de jeunes adultes, ont été vaccinés à partir des lots de MMRII pour lesquels Merck n'avait pas des assurances adéquates quant à la puissance", déclare Kessler.
Le rapport de Kessler a été rendu public dans le cadre de l'étude de Krahling et al. contre Merck and Co. Inc, qui a vu des plaidoiries présentées devant la Cour d'appel du troisième circuit des États-Unis à Philadelphie le 9 juillet. Les anciens virologues de Merck, Stephen Krahling et Joan Wlochowski, ont obtenu le statut de lanceur d'alerte après s'être manifestés dans les années 2000 pour faire sauter le couvercle. sur la façon dont la haute direction de Merck a tenté de les amener à falsifier les données des tests de l'entreprise pour que la ruse perdure le plus longtemps possible.
La corruption dans les entreprises est endémique aux États-Unis, y compris chez Merck. Pour en savoir plus, consultez Corruption.news.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
ChildrensHealthDefense.org
ChildrensHealthDefense.org
ChildrensHealthDefense.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-07-22-former-fda-head-merck-fraud-mumps-vaccine.html
L’étude sur le gain de fonction de la grippe aviaire alimente la mise au point d’un vaccin et les craintes d’une transmission à l’homme
RépondreSupprimerUne nouvelle étude évaluée par des pairs et portant sur la pathogénicité et la transmissibilité du virus H5N1 de la grippe aviaire dérivé du bétail a ravivé les inquiétudes quant au potentiel du virus à déclencher une pandémie chez l’homme.
Par John-Michael Dumais
Mondialisation.ca,
22 juillet 2024
Une nouvelle étude évaluée par des pairs et portant sur la pathogénicité et la transmissibilité du virus H5N1 de la grippe aviaire dérivé du bétail a ravivé les inquiétudes quant au potentiel du virus à déclencher une pandémie chez l’homme.
La recherche, menée par une équipe dirigée par Yoshihiro Kawaoka, DVM, Ph.D., de l’université du Wisconsin-Madison, a montré que le virus bovin H5N1 peut se propager de manière systémique chez les souris et les furets, se lier à des récepteurs de type humain et présenter une transmission limitée par gouttelettes respiratoires chez les furets.
M. Kawaoka participe depuis 1990 à la recherche sur le gain de fonction de la grippe aviaire, financée par l’ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci, et par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Il détient plusieurs brevets liés à la grippe aviaire, notamment pour la mise au point de vaccins.
Les experts qui ont parlé au Defender ont déclaré qu’ils craignaient que l’étude ne soit utilisée pour susciter une peur déraisonnable du passage du virus à l’homme, pour développer la recherche risquée sur le gain de fonction, pour pousser au développement irresponsable de vaccins contre la grippe aviaire et pour préparer le public à de nouvelles contre-mesures en cas de pandémie qui restreindront encore davantage les droits de l’homme.
L’étude, publiée le 8 juillet dans Nature, constitue la première analyse complète de la souche H5N1 qui infecte le bétail laitier aux États-Unis depuis le début de l’année 2024.
Bien que le virus n’ait pas encore démontré une transmission efficace de mammifère à mammifère, sa capacité à infecter et à se propager dans des modèles mammifères soulève des questions quant à son potentiel pandémique et à l’efficacité des stratégies d’endiguement actuelles.
Le virus bovin H5N1 possède donc des caractéristiques qui peuvent faciliter l’infection et la transmission chez les mammifères”, écrivent Kawaoka et ses collègues.
RépondreSupprimerCette découverte survient alors que les responsables de la santé publique sont aux prises avec un foyer persistant de H5N1 dans les troupeaux de vaches laitières et d’autres animaux aux États-Unis et que cinq travailleurs agricoles du Colorado auraient été testés positifs à la grippe aviaire le weekend dernier (tous présentant des symptômes bénins), ce qui porte à huit le nombre total d’infections chez l’homme aux États-Unis.
Principales conclusions de l’étude
L’étude a examiné la pathogénicité et la transmissibilité d’un virus H5N1 isolé à partir de lait de vache infecté au Nouveau-Mexique. Chez les souris, le virus se propage de manière systémique, y compris dans les glandes mammaires, après ingestion orale et infection intranasale.
Les furets infectés par le virus H5N1 bovin ont également présenté une propagation systémique à de multiples organes, y compris les glandes mammaires et les trayons. Cette découverte est conforme aux rapports faisant état de la présence du virus dans les glandes mammaires et les tissus musculaires des vaches infectées.
Le virus H5N1 bovin a notamment démontré sa capacité à se lier à des récepteurs cellulaires de type aviaire et de type humain. Cette double capacité de liaison est inhabituelle pour les virus H5N1 et pourrait faciliter l’infection des cellules humaines par le virus, en particulier dans les voies respiratoires supérieures.
Cependant, lors d’une expérience de transmission par gouttelettes respiratoires, les furets exposés au virus H5N1 bovin n’ont pas montré de signes de maladie clinique et aucun virus n’a été détecté dans leurs écouvillons nasaux. Seul un furet sur les quatre exposés a développé des anticorps contre le virus, ce qui suggère un potentiel limité de propagation par voie aérienne.
Une étude “utilisée pour attiser la peur”
Brian Hooker, directeur scientifique de Children’s Health Defense, a déclaré au Defender que l’étude de Kawaoka “est utilisée pour attiser la peur de voir le H5N1 devenir la dernière pandémie en date”.
M. Hooker a notamment noté que Rick Bright, ancien directeur de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), a “enflammé Twitter” (désormais X) avec des propos alarmistes sur la grippe aviaire.
RépondreSupprimerAvant de quitter la BARDA en 2021, M. Bright a supervisé la recherche sur le gain de fonction pour le H5N1 et détient des brevets sur les vaccins contre la grippe aviaire, selon M. Hooker.
Jessica Rose, Ph.D, chercheuse en vaccins et spécialiste en biomathématiques, a fait une observation similaire, déclarant au Defender que l’étude fait partie d’une préparation intentionnelle à une nouvelle pandémie.
Mme Rose a affirmé que l’article, dont la publication a été acceptée 27 jours seulement après sa soumission initiale, s’inscrit dans “le même schéma de jeu [as] il y a quatre ans avec la “préparation à la pandémie” du SRAS-2″ de l’ événement 201.
Rose a attiré l’attention sur ce qui semble être le prochain événement 201 : le sommet international sur la grippe aviaire prévu pour le mois d’octobre à Washington, D.C. La brochure du sommet présente des sessions en petits groupes portant sur la “gestion des décès massifs”, les “stratégies de fonctionnement avec un taux d’absentéisme de 50 % ou plus”, l’”application efficace des mesures de quarantaine” et d’autres plans qui, selon Rose, ressembleront à la pandémie de COVID-19 “mais amplifiés par des stéroïdes”.
M. Hooker a confirmé que les dernières recherches de M. Kawaoka pouvaient être considérées comme un gain de fonction et que toute dissémination du virus H5N1 créé en laboratoire – intentionnelle ou non – pourrait entraîner une “catastrophe en matière de santé publique”.
“Kawaoka prétend avoir mis en place des mesures appropriées, mais il a déjà eu deux accidents de laboratoire qui auraient pu conduire à une dissémination dans la population”, a déclaré M. Hooker.
Hooker a déclaré que le fait de laisser entendre que le virus pouvait naturellement et facilement muter pour devenir très virulent et transmissible à l’homme pourrait donner un “laissez-passer” aux laboratoires désireux de mener des recherches sur le gain de fonction du virus, multipliant ainsi les dangers des fuites de laboratoire.
Il a également averti que les informations relatives à la séquence génétique du virus – en particulier la version transmise par les furets – “pourraient être utilisées à mauvais escient pour fabriquer des H5N1 “militarisés””.
RépondreSupprimerHooker et Rose ont tous deux mis en garde contre l’utilisation du prétexte d’une nouvelle pandémie pour promouvoir les vaccins.
La peur de la grippe aviaire est déjà utilisée pour recommander des vaccins H5N1 de qualité inférieure pour les travailleurs agricoles”, a déclaré M. Hooker. “Trois d’entre eux ont été approuvés par la FDA(Food and Drug Administration), mais les virus [vaccine-targeted] sont désespérément dépassés. Le motif de prise de bénéfices qui sous-tend cette démarche est insidieux”.
Imaginez un héros qui manifeste la dernière thérapie génique magique en se faisant passer pour un “vaccin” pour guérir tout le monde du jour au lendemain ! a déclaré Rose. “Et tout ce que vous avez à faire, c’est de renoncer à vos droits humains fondamentaux – vos droits de voyager, de vous réunir, de manger de la viande, de vous déplacer, de vous opposer, de protester, de vivre”.
La nouvelle théorie de Geert Vanden Bossche
Dans un article paru le 23 mai sur TrialSite News, le virologue Geert Vanden Bossche s’est penché sur les préoccupations scientifiques générales concernant la capacité du H5N1 à adapter ses protéines de surface pour mieux interagir avec les cellules de mammifères.
Cependant, il a proposé une théorie alternative liant la vaccination COVID-19 à la propagation du H5N1.
Vanden Bossche a suggéré que les populations humaines fortement vaccinées, agissant comme des réservoirs de variantes du SRAS-CoV-2 (SC-2), pourraient indirectement influencer le système immunitaire aviaire. Il a émis l’hypothèse que l’exposition des oiseaux au SC-2 d’origine humaine pouvait déclencher une forte réponse immunitaire chez les oiseaux, en activant notamment leslymphocytes T cytotoxiques (CTL), des cellules immunitaires qui tuent les cellules infectées par un virus.
“Je ne dispose pas de preuves concluantes, mais je n’exclus pas la possibilité que les populations humaines fortement vaccinées au C-19 … puissent être à l’origine d’une forte activation des CTL chez les oiseaux exposés au SC-2”, a écrit Vanden Bossche.
Selon la théorie de Vanden Bossche, le système immunitaire de l’oiseau ainsi activé pourrait réagir différemment en cas d’exposition au H5N1. Au lieu d’une réponse immunitaire typique qui limiterait la propagation du virus, le système immunitaire ainsi “stimulé” pourrait, par inadvertance, faciliter l’infection par le H5N1 et sa transmission.
RépondreSupprimerVanden Bossche a également proposé que cette interaction du système immunitaire permette au H5N1 d’infecter plus facilement les mammifères, y compris l’homme. Normalement, un virus doit subir une mutation importante pour passer d’une espèce à l’autre. Cependant, Vanden Bossche a suggéré que cette réponse immunitaire altérée pourrait permettre au H5N1 de se propager à travers différentes espèces sans nécessiter les mutations adaptatives habituelles.
M. Hooker a qualifié de “spéculatives” les théories de M. Vanden Bossche sur la physiologie des oiseaux, mais il a déclaré que “la vaccination par ARNm provoque spécifiquement une suppression de l’immunité innée qui rendrait les humains plus sensibles” à l’infection par les virus de la grippe aviaire.
M. Vanden Bossche a également proposé un résultat potentiel surprenant de cette interaction entre le H5N1 et le SARS-CoV-2, suggérant que la panzootie de grippe aviaire pourrait en fait accélérer la fin de ce qu’il appelle la “pandémie d’ échappement immunitaire du SARS-CoV-2″.
Selon sa théorie, la présence généralisée du H5N1 pourrait entraîner une activation accrue desréactions immunitaires croisées chez l’homme. Cette activité immunitaire accrue pourrait exercer une pression supplémentaire sur le SARS-CoV-2, le forçant potentiellement à évoluer d’une manière qui pourrait finalement conduire à son déclin.
“Une réduction accrue de la transmission du SC-2 dans les populations fortement vaccinées contre le C-19 accélérerait la fin de la pandémie d’échappement immunitaire du SC-2”, a écrit M. Vanden Bossche.
Il a également émis l’hypothèse que la fin de la pandémie de SRAS-CoV-2 pourrait, à son tour, entraîner une réduction de la transmission du virus H5N1 parmi les oiseaux, ce qui pourrait mettre fin à la panzootie de grippe aviaire.
RépondreSupprimerVanden Bossche déconseille vivement la vaccination contre la grippe aviaire et la grippe saisonnière. Selon lui, dans le contexte actuel de la grippe aviaire, la vaccination panzootique pourrait avoir des effets contre-productifs et accélérer ce qu’il appelle “la dynamique évolutive désastreuse de la pandémie d’échappement immunitaire SC-2”.
“Les personnes présentant un risque plus élevé de maladie grave due à la grippe saisonnière sont mieux servies par les médicaments antiviraux”, a suggéré Vanden Bossche.
John-Michael Dumais
https://www.mondialisation.ca/letude-sur-le-gain-de-fonction-de-la-grippe-aviaire-alimente-la-mise-au-point-dun-vaccin-et-les-craintes-dune-transmission-a-lhomme/5690819?doing_wp_cron=1721734961.5448899269104003906250
Les bureaucrates massacrent des millions de poulets au milieu d’une fausse épidémie de « grippe aviaire »
RépondreSupprimer22/07/2024
Ethan Huff
Le gouverneur du Colorado, Jared Polis, sème la peur en déclarant une « urgence désastreuse » en réponse aux informations faisant état de la propagation présumée de la grippe aviaire hautement pathogène dans le nord-est du comté de Weld.
Polis a « verbalement » déclaré le désastre après « une épidémie de grippe aviaire dans une installation commerciale de volailles dans le comté de Weld », lit-on dans un communiqué officiel du bureau de Polis du 8 juillet. Le communiqué ne nomme pas l'installation qui aurait été touchée par le H5N1.
La déclaration d'urgence en cas de catastrophe permet à Polis et à son régime d'utiliser leurs pouvoirs d'urgence pour « prendre toutes les mesures d'État nécessaires et appropriées pour contribuer aux efforts de réponse, de rétablissement et d'atténuation ».
Le ministère de l'Agriculture du Colorado (CDA) a confirmé que 1,78 million de poulets ont été « touchés » par la souche de la grippe aviaire, ce qui signifie bien sûr que les volailles destinées à la consommation humaine ont été abattues pour assurer la « sécurité » de tout le monde.
Le 3 juillet, la CDA a annoncé qu'un travailleur laitier du nord-est du Colorado aurait été infecté par le virus H5N1 après avoir été « exposé directement » à des bovins soi-disant malades du virus. Le seul symptôme du travailleur était une légère conjonctivite, également connue sous le nom d'« œil rose ».
"Il s'est rétabli", a indiqué l'agence dans un communiqué à propos du travailleur. "Ce cas concerne un employé d'une ferme laitière du nord-est du Colorado qui a été directement exposé à des bovins laitiers infectés par la grippe aviaire. Pour protéger la vie privée des patients, aucun détail supplémentaire n'est fourni."
(Connexe : Saviez-vous que la Fondation Bill & Melinda Gates a donné 9,5 millions de dollars à l'UW-Madison pour rendre la grippe aviaire H5N1 transmissible des animaux aux humains ?)
RépondreSupprimerLa connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Parlez librement sans censure sur le nouveau Brighteon.io décentralisé et alimenté par la blockchain. Explorez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
Grippe aviaire : le nouveau COVID
Au début, il semblait que les pouvoirs en place (TPTB) allaient essayer de propager la variole du singe, également connue sous le nom de mpox, sous le nom de « pandémie » du nouveau coronavirus de Wuhan (COVID-19). Étant donné que la variole du singe est avant tout une maladie LGBT, il semble qu'ils soient plutôt passés au H5N1.
Le H5N1 ne s'est "pas adapté pour se propager d'une personne à l'autre", affirme encore l'établissement. Cependant, le H5N1 peut désormais se transmettre des animaux aux humains, c'est pourquoi (du moins c'est ce qu'ils disent) les bureaucrates du gouvernement abattent en toute hâte les animaux destinés à l'alimentation humaine, comme les poulets.
"À l'heure actuelle, la chose la plus importante à savoir est que les personnes qui sont régulièrement exposées à des animaux infectés courent un risque accru d'infection et doivent prendre des précautions lorsqu'elles sont en contact avec des animaux malades", a déclaré Rachel Herlihy, épidémiologiste de l'État du Colorado.
Déjà, nous entendons des appels aux personnes exposées aux animaux, c'est-à-dire les ouvriers agricoles, à mettre un masque, à porter des lunettes de protection et des gants, et à vivre dans la peur d'attraper le virus de la grippe aviaire provenant de leurs troupeaux.
RépondreSupprimerAu cours du mois dernier, le Colorado a signalé qu'environ deux douzaines de troupeaux de volailles commerciales ont été touchés par le H5N1, alors qu'aucun cas n'a été signalé tout au long de l'année 2023. En 2022, huit troupeaux de volailles commerciales auraient été touchés par le H5N1.
Jusqu'à présent, en 2024, trois travailleurs laitiers de plusieurs États, dont le Texas et le Michigan, auraient été infectés par la grippe aviaire, après qu'un d'entre eux ait été infecté dans le Colorado en 2022. Deux des cas ont entraîné des yeux roses tandis que l'autre a vu un toux, gêne oculaire et « écoulement aqueux ».
Le Michigan, comme le Colorado, tente d'effrayer ses habitants à propos de la grippe aviaire. Un autre État laitier important, le Michigan, aurait vu 26 troupeaux touchés par le H5N1. Les autorités exhortent les exploitations agricoles à ne pas partager leurs équipements et à prendre également d'autres mesures d'atténuation, comme le port du masque, pour assurer la « sécurité » des travailleurs agricoles.
La Food and Drug Administration (FDA) profite de l'occasion pour vanter les mérites de la pasteurisation du lait, qui, selon l'agence fédérale, est « efficace pour inactiver [le virus] ».
"Dans chacune des neuf expériences (de pasteurisation) répétées, le virus a été complètement inactivé", a ajouté l'agence.
Cela ressemble à une autre « épidémie » fabriquée qui se transformera bientôt en une autre « pandémie » pour opprimer le monde. Pour en savoir plus, consultez Outbreak.news.
Sources for this article include:
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-07-22-bureaucrats-slaughter-millions-chickens-bird-flu-fakedemic.html
Tyrol du Sud : l'autorité doit prouver la sécurité et l'efficacité des vaccins pour enfants requis
RépondreSupprimer22 juillet 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
De plus en plus de vaccins sont recommandés et parfois même obligatoires pour les enfants. Y compris plusieurs vaccins particulièrement nocifs. Ce qu'ils ont tous en commun, c'est qu'ils n'ont été testés que de manière incomplète, voire pas du tout, en termes d'efficacité et de sécurité. Le résultat est un nombre croissant de maladies et d’autisme chez les enfants.
L'avocat du Tyrol du Sud, Dr. Renate Holzeisen a lancé une campagne pour permettre aux parents d'obtenir des informations auprès des autorités sur la sécurité et l'efficacité de la vaccination. Au Tyrol du Sud, les vaccinations suivantes sont obligatoires dans les crèches et les crèches : diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatite B, coqueluche, HIB Haemophilus Influenzae type B, rougeole, oreillons, rubéole et varicelle. À défaut, une amende sera imposée aux étudiants âgés de 6 à 16 ans .
Toutefois , les médicaments, notamment les médicaments pédiatriques, ne peuvent généralement être utilisés qu'après avoir prouvé leur sécurité et leur efficacité. La preuve de la sécurité et de l'efficacité ne peut être obtenue que dans le cadre d'études cliniques avec de véritables groupes témoins.
Dans la phase 1 de la campagne « La transparence pour protéger nos enfants » , la « réponse » des sociétés médicales du Tyrol du Sud à la demande de divulgation des études cliniques avec de véritables groupes témoins pour les vaccinations obligatoires des enfants ne faisait référence qu'à deux liens avec de la documentation en langue anglaise. . L'autorité compétente a simplement envoyé des liens vers le rapport d'évaluation de l'EMA du 5 mars 2013 sur le vaccin à six doses HEXYON et une « discussion scientifique » sur le quadruple vaccin ProQuad.
Ces liens ont été simplement envoyés sans commentaire :
RépondreSupprimerhttps://urlsand.esvalabs.com/?u=http%3A%2F%2Fwww.ema.europa.eu%2Fen%2Fdocuments%2Fassessment-report%2Fhexyon-epar-public-assessment-report_en.pdf&e=ed7461d6&h=79d171cc&f =o&p=o
https://urlsand.esvalabs.com/?u=http%3A%2F%2Fwww.ema.europa.eu%2Fen%2Fdocuments%2Fscientific-discussion%2Fproquad-epar-scientific-discussion_en.pdf&e=ed7461d6&h=8f14dc62&f=y&p =oui
Après avoir commencé l’examen de ces deux documents, les « informés » ont constaté que ni l’efficacité ni la sécurité des vaccinations demandées par l’entreprise médicale n’avaient été confirmées par des études cliniques avec un véritable groupe témoin.
L’autorité européenne responsable brandit donc des vaccins pour nos enfants.
Par ailleurs, il ressort des conditions d'autorisation de ces deux vaccins multiples, disponibles sur Internet, que leur utilisation ne peut être effectuée que sur la base d'une PRESCRIPTION MÉDICALE et que le fabricant et les utilisateurs doivent tenir compte des circonstances fixées. dans le PLAN DE GESTION DES RISQUES approuvé et assurer les garanties correspondantes. Quels que soient les effets qu’une vaccination pourrait avoir dans un cas spécifique, la vaccination devrait être forcée.
Pour la phase 2, l'avocat fournit désormais un nouveau modèle de lettre dans laquelle la demande est faite
au sens des articles 22 et suivants de la loi n° 241/1990, divulgation
la PRESCRIPTION MÉDICALE requise selon les conditions d'admission pour le(s) mineur(s) mentionné(s) ci-dessus des vaccinations des enfants, à laquelle le Service d'Hygiène et de Santé Publique, Département de Prévention Sanitaire de l'Entreprise Médicale du Tyrol du Sud avec une « simple demande » » fournit le(s) mineur(s) susmentionné(s)/n invité(s).
la version originale (au moment de l'approbation du vaccin pour enfants) du PLAN DE GESTION DES RISQUES, ainsi que toutes les versions ultérieures modifiées au fil du temps, y compris la version actuelle, du plan de gestion des risques pour les vaccins pour enfants, que l'organisme médical du Tyrol du Sud l'entreprise a demandé à être injectée
la version originale (au moment de l'approbation du vaccin pour enfants) du RAPPORT D'ÉVALUATION de l'EMA, ainsi que toutes les versions ultérieures du rapport d'évaluation qui ont été modifiées au fil du temps, y compris la version actuelle des vaccins pour enfants que l'organisme médical du Tyrol du Sud l'entreprise a demandé à être injectée,
Vous trouverez plus d'informations à ce sujet sur cette page de Renate Holzeisen .
Dommages causés par la vaccination des bébés et des enfants
RépondreSupprimerDr. Karl Jablonowski et le Dr. Brian Hooker , comme indiqué ici , a décidé de faire quelque chose qu'aucune agence de santé américaine - avec ses milliards de dollars - n'a jamais fait ou ne fera : ils ont obtenu des données de l'État de Floride et ont découvert que chaque vaccin supplémentaire augmentait les problèmes respiratoires, développementaux et infectieux. les maladies chez les nourrissons ont augmenté « de façon exponentielle ».
« L’étude a révélé que davantage de vaccins entraînaient davantage de diagnostics dans les 30 jours suivant la vaccination. Un vaccin supplémentaire a entraîné en moyenne sept maladies supplémentaires, deux vaccins ont entraîné 15 maladies supplémentaires et trois vaccins ont entraîné 35 maladies supplémentaires.
En d’autres termes, plus un nourrisson est vacciné, plus il a de problèmes de santé.
Les vaccins souvent administrés aux enfants, comme le vaccin ROR ( rougeole, oreillons et rubéole ), sont extrêmement mal testés. Comme signalé trois vaccins ont été comparés chez 300 enfants pour la réponse clinique et la réponse en anticorps. Selon le résumé, les paramètres n'incluaient pas le taux de cas de rougeole ou de décès. La période de suivi n'était que de trois semaines. Toutes les approbations ultérieures ont été faites sans essai clinique, simplement par comparaison avec cette première étude.
L’entreprise médicale du Tyrol du Sud peut-elle même répondre correctement à la question ?
- voir doc sur site -
L'expert dit non !
Aucune des doses de vaccin recommandées par le CDC (et le Centre médical du Tyrol du Sud) pour l'injection systématique chez les enfants n'a été approuvée par la FDA, et donc aussi par l'autorité européenne EMA, sur la base d'une étude à long terme contrôlée par placebo.
Cela signifie que toute forme de vaccination obligatoire, directe ou indirecte, est illégale.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2024/07/22/suedtirol-behoerde-soll-sicherheit-und-wirksamkeit-der-vorgeschriebenen-kinder-impfstoffe-nachweisen/
Des médecins japonais confirment une maladie cardiaque rare après une injection de COVID
RépondreSupprimerPar John-Michael Dumais
Recherche mondiale,
23 juillet 2024
Une étude de cas réalisée au Japon a documenté le premier cas connu de cardiomyopathie inflammatoire dilatée (iDCM) prouvé par biopsie – une maladie dans laquelle le cœur devient hypertrophié et affaibli en raison d’une inflammation – après la vaccination contre le COVID-19.
Les médecins de l’hôpital Narita-Tomisato Tokushukai de Chiba, au Japon, ont utilisé une biopsie endomyocardique pour diagnostiquer une iDCM chez une femme de 78 ans qui a développé des problèmes cardiaques après avoir reçu sa troisième dose de vaccin contre le COVID-19 .
Le patient avait auparavant reçu deux doses du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech BNT162b2, suivies d'un rappel Moderna à ARNm -1273 .
Le cas, rapporté le 1er juillet dans un article en libre accès et évalué par des pairs dans la revue ESC Heart Failure , marque une avancée significative dans la compréhension des complications cardiaques potentielles liées aux vaccins contre la COVID-19 .
En utilisant l'analyse des tissus, les médecins ont pu établir un lien plus définitif entre la maladie cardiaque et la vaccination , en la distinguant des autres causes possibles.
« Bien que des réactions aussi graves restent extrêmement rares, ce cas démontre la valeur des techniques de diagnostic avancées pour identifier et comprendre les effets secondaires liés au vaccin », ont écrit les médecins.
La patiente a été traitée avec succès par un corticostéroïde , ce qui a amélioré son état de manière significative mais pas complète.
Ce résultat souligne l’importance d’une attention médicale rapide et d’un diagnostic précis pour tout symptôme inhabituel suivant la vaccination.
« Les cas graves peuvent être mortels s’ils ne sont pas traités », écrivent les médecins.
RépondreSupprimerLe Dr Peter McCullough a accepté, déclarant au Defender que son article de janvier avec Jessica Rose, Ph.D. , et Nicolas Hulscher a montré que sur des milliers de cas de myocardite associée au vaccin , le taux de mortalité est de 2,9 %.
McCullough a déclaré que l'article japonais est important car il s'applique à l'insuffisance cardiaque survenant des mois, voire des années après la vaccination contre le COVID-19. Pour les patients présentant des symptômes similaires, les médecins devraient sérieusement envisager la possibilité que le vaccin COVID-19 ait pu causer les dégâts, a-t-il déclaré.
Brian Hooker, Ph.D., directeur scientifique de Children's Health Defense , a déclaré au Defender que l'étude de cas était « très solide ».
"Ils excluent une infection cardiaque ainsi qu'une myocardite chronique via l'auto-immunité afin de déduire un diagnostic de myocardite associée au vaccin", a déclaré Hooker.
Le patient était « en insuffisance cardiaque aiguë »
La patiente, sans antécédents de maladie cardiaque, a ressenti des palpitations et un essoufflement le quatrième jour après avoir reçu sa troisième dose de vaccin contre la COVID-19. Ses symptômes se sont progressivement aggravés et elle a été admise à l'hôpital 11 jours après la vaccination.
« Au moment où elle a été admise dans notre hôpital, elle souffrait d’insuffisance cardiaque aiguë », ont expliqué les médecins.
Après examen, ils ont noté plusieurs signes inquiétants :
Rythme cardiaque rapide de 120 battements par minute.
RépondreSupprimerVeines du cou enflées et œdème des jambes.
Bruits cardiaques anormaux, y compris un rythme de galop et un souffle cardiaque.
Faibles niveaux d’oxygène dans le sang.
Les tests diagnostiques ont indiqué un dysfonctionnement cardiaque. Un électrocardiogramme (ECG) a montré une fréquence cardiaque anormalement rapide avec des schémas de conduction électrique perturbés dans les côtés droit et gauche du cœur.
Des analyses de sang ont révélé des taux élevés de troponine I cardiaque et de peptide natriurétique cérébral , deux marqueurs du stress et des lésions myocardiques. Un ECG a démontré une fonction ventriculaire gauche sévèrement réduite, avec une fraction d'éjection de seulement 20 %.
Pour exclure une maladie coronarienne, l'équipe médicale a effectué un test aux rayons X appelé angiographie coronarienne , qui n'a révélé aucune obstruction significative.
La constellation de symptômes et de résultats de tests a conduit les médecins à diagnostiquer l’iDCM, potentiellement associé à la récente vaccination contre le COVID-19. Pour établir un diagnostic définitif, ils ont procédé à une biopsie endomyocardique.
Répondant à un tweet sur l'étude japonaise, Lori Petersen, blessée par le vaccin Pfizer, a posté jeudi ceci sur X (anciennement Twitter) :
Principales conclusions
La biopsie endomyocardique a fourni des informations cruciales sur l'état du patient. Au microscope, les médecins ont observé des signes d’inflammation dans le tissu cardiaque, confirmant le diagnostic d’iDCM. Ces signes comprenaient :
Cellules du muscle cardiaque hypertrophiées.
RépondreSupprimerCicatrices entre les cellules.
Amas de cellules inflammatoires, principalement des macrophages et des lymphocytes T, ou lymphocytes T.
La biopsie a également révélé une augmentation des taux de ténascine-C , une protéine généralement élevée lors d'une inflammation cardiaque active. Cela suggérait que l’état du patient était à un stade actif et potentiellement traitable.
Une IRM cardiaque, une autre technique d'imagerie avancée, a montré des signes supplémentaires de lésions cardiaques. Elle a révélé une hypertrophie du ventricule gauche et un motif de cicatrices dans la paroi du muscle cardiaque, souvent observé dans les causes non infectieuses d'inflammation cardiaque.
"La biopsie nous a permis d'observer directement le processus inflammatoire dans le tissu cardiaque, offrant un niveau de certitude que nous n'avions pas eu dans les cas précédents de problèmes cardiaques suspectés liés au vaccin", ont écrit les médecins.
Ils ont souligné en quoi ce cas diffère des problèmes cardiaques liés au vaccin précédemment signalés.
« Les cas d’inflammation cardiaque les plus signalés après la vaccination contre le COVID-19 ont été des myocardites chez les jeunes hommes . Ce cas d’iDCM chez une patiente plus âgée élargit notre compréhension des complications cardiaques potentielles.
Les résultats détaillés ont permis aux médecins de distinguer ce cas des autres types de problèmes cardiaques et suggèrent fortement un lien avec la récente vaccination contre le COVID-19.
Les examens de suivi après six mois ont montré des « améliorations significatives »
RépondreSupprimerAprès avoir confirmé le diagnostic d’iDCM par biopsie, les médecins ont lancé un plan de traitement ciblé impliquant la prednisolone , un corticostéroïde oral , pour réduire l’inflammation du cœur.
L’équipe médicale a également administré des médicaments standard contre l’insuffisance cardiaque, notamment :
Enalapril , pour aider à détendre les vaisseaux sanguins.
Spironolactone , un diurétique qui possède également des propriétés anti-inflammatoires.
Dapagliflozine , un médicament plus récent qui s'est révélé bénéfique en cas d'insuffisance cardiaque.
L'état du patient s'est progressivement amélioré après le traitement. Après 16 jours d’hospitalisation, elle est sortie avec une dose réduite de prednisolone.
Des examens de suivi à six mois ont montré des améliorations significatives de la fonction cardiaque du patient. « L'échocardiogramme a révélé une amélioration spectaculaire de la capacité de pompage du cœur », ont écrit les médecins. "La fraction d'éjection ventriculaire gauche s'est améliorée de 20 % à 56 %, ce qui se situe dans la plage normale."
L'IRM cardiaque de suivi a confirmé l'inversion des anomalies antérieures, montrant une réduction de la taille du cœur et une amélioration de la fonction. De plus, une nouvelle biopsie a démontré une diminution marquée de l’inflammation dans le tissu cardiaque.
Le patient est resté stable sans récidive des symptômes au cours de la période de suivi d'un an.
L'évaluation de Hooker concernant le rétablissement du patient était plus modérée. "Cela ressemble plus à une myocardite chronique (cicatrices et hypertrophie du cœur) qu'à une myocardite aiguë où les chances de guérison complète sont d'environ 66 % en 2-3 mois."
Hooker a souligné que les cicatrices du cœur sont permanentes et que dans ce cas, la fraction d'éjection du cœur n'avait pas complètement récupéré lors du rendez-vous de suivi de six mois.
RépondreSupprimerVigilance et enquête sur les événements indésirables potentiels liés au vaccin sont nécessaires
L’étude de cas fournit de nouvelles informations sur le spectre des complications cardiaques potentiellement liées aux vaccins contre la COVID-19. Les chercheurs ont souligné plusieurs points clés dans leur discussion.
La compréhension actuelle de la myocardite associée au vaccin contre la COVID-19 concerne principalement des cas chez de jeunes hommes, survenant souvent après la deuxième dose de vaccin.
Hooker a noté que les jeunes hommes présentent le risque le plus élevé de lésions cardiaques dues aux vaccins à ARNm.
Ces cas de myocardite montrent généralement une abondance de lymphocytes, un type de globules blancs, infiltrant le tissu cardiaque. Mais ce cas s'écarte du profil typique de myocardite associée au vaccin de plusieurs manières :
La patiente était une femme âgée.
La complication est survenue après une troisième dose d’un autre vaccin contre la COVID-19.
Le diagnostic était spécifiquement iDCM.
Les résultats de la biopsie ont révélé un mélange de macrophages et de lymphocytes T dans le tissu cardiaque – des cellules du système immunitaire conçues pour débarrasser le corps des infections et des maladies – ainsi que des microthrombus cardiaques (minuscules caillots sanguins).
Cette tendance diffère des cas de myocardite associés au vaccin précédemment signalés et d’autres types d’inflammation cardiaque liée au vaccin. Cela souligne la complexité des réponses immunitaires aux vaccins, ont écrit les médecins.
Les chercheurs ont souligné l’importance d’envisager l’iDCM chez les patients présentant des symptômes d’insuffisance cardiaque après la vaccination contre le COVID-19, en particulier lorsque le tableau clinique ne correspond pas à une myocardite typique.
RépondreSupprimer« Les cliniciens ne devraient pas hésiter à pratiquer une EMB [biopsie endomyocardique] sur des patients présentant le phénotype DCM [cardiomyopathie dilatée] après une vaccination contre le SRAS-CoV-2 », ont souligné les médecins.
McCullough a déclaré qu'il considérait que tous les vaccinés avaient potentiellement subi des lésions cardiaques. « Dans ma pratique clinique… j'adopte une approche à plusieurs niveaux avec les antécédents, les examens, l'ECG, les laboratoires et, dans certains cas, l'échocardiographie /IRM cardiaque. »
L'équipe japonaise a reconnu que même si des réactions aussi graves restent extrêmement rares, ce cas met en évidence la nécessité d'une vigilance continue et d'une enquête approfondie sur les événements indésirables potentiels liés au vaccin.
https://www.globalresearch.ca/japanese-doctors-rare-heart-condition-covid-shot/5863333
Non, l'Amérique n'a pas le taux d'obésité adulte le plus élevé au monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 22 JUILLET 2024 - 11H45
Entre 1990 et 2022, les taux d’obésité chez les adultes dans le monde ont plus que triplé, passant de 5 % à près de 16 % de la population adulte mondiale.
Dans l'infographie suivante, Pallavi Rao de Visual Capitalist cartographie et classe les pays ayant les taux d'obésité chez les adultes les plus élevés, mesurés grâce aux calculs de l'indice de masse corporelle (IMC).
- voir graph sur site -
Les données proviennent de l’Organisation mondiale de la santé et sont à jour jusqu’en 2022.
Classement : Les 15 pays ayant un problème d'obésité
Les petits États insulaires du Pacifique affichent des taux d’obésité parmi les plus élevés au monde. Ils constatent également des taux élevés de maladies cardiovasculaires et de diabète.
Un changement de régime alimentaire au XXe siècle – s’appuyant sur des aliments transformés et importés – est généralement considéré comme la cause commune.
- voir liste sur site -
Remarque : Chiffres arrondis. Obésité adulte mesurée par un indice de masse corporelle de 30 kg/m2 ou plus.
L’Égypte, le Qatar et les États-Unis sont les seuls pays comptant plus d’un million d’habitants sur cette liste.
Les mauvaises habitudes alimentaires sont une fois de plus un facteur, avec quelques différences culturelles. En Égypte, la forte inflation alimentaire a poussé les habitants à se tourner vers des repas riches en calories et à bas prix. Pour lutter contre l'insécurité alimentaire, le gouvernement subventionne le pain, la farine de blé, le sucre et l'huile de cuisson, dont beaucoup sont des ingrédients liés à la prise de poids.
Au Qatar, pays avec l’un des PIB par habitant les plus élevés au monde, une prédisposition génétique à l’obésité et à un mode de vie sédentaire aggrave l’impact d’une alimentation riche.
Et aux États-Unis, des portions plus importantes sont l’une des nombreuses raisons invoquées pour expliquer l’obésité généralisée chez les adultes et les enfants. Par exemple, les Américains ont consommé 20 % de calories de plus en 2000 qu’en 1983. Ils consomment 195 livres de viande par an, contre 138 livres en 1953. Et leur consommation de céréales a augmenté de 45 % depuis 1970.
RépondreSupprimerIl convient toutefois de noter que cet ensemble de données est basé sur les valeurs de l’IMC, qui ne tiennent pas pleinement compte des types de corps ayant une masse osseuse et musculaire plus importante.
https://www.zerohedge.com/medical/no-america-does-not-have-worlds-highest-adult-obesity-rate
Comprendre les tests de laboratoire pour une santé optimale
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 22 JUILLET 2024 - 10H15
Rédigé par Emma Tekstra via The Epoch Times
Une étude remet en question l'étiquette de « mauvais cholestérol » pour le LDL
Les tests de laboratoire annuels sont une bonne idée
Peut-être vous soumettez-vous déjà à des analyses de sang dans le cadre de votre contrôle annuel chez votre médecin. Si vous êtes généralement en bonne santé, ils peuvent vous dire que tout « semble normal », que vous vous plaigniez ou non de divers symptômes.
Si vous souffrez d’une maladie chronique, votre médecin vous demandera peut-être des tests plus réguliers et surveillera vos chiffres pour ajuster vos médicaments en conséquence. Ou peut-être avez-vous évité le médecin et n’avez-vous effectué aucun travail de laboratoire depuis un certain temps.
Les analyses de sang sont l’un des tests les moins invasifs et les moins coûteux que vous puissiez obtenir pour être proactif dans la gestion de votre santé. Les centres de test sont généralement faciles à trouver et à prendre rendez-vous. En quinze minutes, vous pouvez entrer et sortir, après avoir fait prélever quelques flacons de sang dans un cadre habituellement agréable, et repartir. Les résultats sont souvent disponibles en ligne environ une semaine plus tard.
Selon la Cleveland Clinic, « les analyses de sang sont un outil essentiel utilisé par les prestataires de soins de santé pour surveiller votre état de santé général ou diagnostiquer des problèmes de santé ». Mais vous n’avez pas besoin d’être suivi par un médecin pour subir des analyses de sang. Les entreprises axées sur le consommateur comme Grassroots Labs ou Function Health peuvent vous mettre fermement aux commandes.
Limites des plages normales
L’astuce consiste cependant à comprendre le contexte de tous ces chiffres et comment vos résultats se comparent à la « plage normale » citée. Ce n’est qu’alors que vous pourrez commencer à glaner des informations pertinentes pour optimiser votre santé.
Pour commencer, même si vous testez 100 biomarqueurs différents dans votre sang, cela ne fait qu’effleurer la surface de ce qui se passe à l’intérieur de votre corps infiniment complexe qui travaille constamment pour vous maintenir en équilibre et fonctionner correctement.
RépondreSupprimerUne prise de sang mesure généralement un moment dans le temps et peut être influencée par ce que vous avez mangé la veille, combien vous avez fait d'exercice, si vous avez eu une dispute avec votre conjoint ou si vous avez bien dormi la nuit précédente. Vous êtes un particulier. Il n’existe pas de score parfait pour un élément testé.
Un article publié dans la revue Heliyon l'année dernière discute des avantages et des inconvénients des biomarqueurs qui incluent des tests d'autres fluides corporels et cellules tels que les cheveux (utiles pour tester la présence de métaux lourds) et les selles (utiles pour évaluer votre microbiome) et déclencher une alerte. certains cancers et autres conditions. L’un des inconvénients évidents cités dans la surveillance des biomarqueurs est la difficulté d’établir ce qui est « normal ».
Les valeurs de référence ou plages normales indiquées sur vos résultats de test sont généralement spécifiques au laboratoire et sont basées sur les résultats de test d'un sous-ensemble de la population étudiée. La plage couvre ensuite les résultats de 95 pour cent de cet échantillon de population jugé en bonne santé. Les 2,5 pour cent les plus bas et les 2,5 pour cent les plus élevés sont considérés comme des valeurs aberrantes, le reste étant considéré comme normal.
Le laboratoire peut ajuster sa gamme en fonction de données démographiques telles que les hommes/femmes et les groupes d'âge, mais cela simplifie considérablement tous les éléments qui affectent tout biomarqueur individuel pour un être humain donné.
Tests typiques que votre médecin peut prescrire
La plus grande utilité des analyses de sang est d’aider votre médecin à poser un diagnostic et à prendre des décisions en matière de traitement. L’industrie pharmaceutique s’appuie sur les tests de biomarqueurs pour prouver que son médicament fait mieux qu’un placebo ce qu’elle prétend faire.
La plupart des médicaments sont évalués en fonction de leur effet sur un biomarqueur plutôt que de leur impact sur la santé réelle. Mais tant que nous comprenons le contexte et les limites des tests, nous pouvons les utiliser à notre avantage et contribuer à éclairer nos interventions prioritaires.
RépondreSupprimerLes tests les plus courants que votre médecin est susceptible de vous prescrire comprennent :
Marqueurs métaboliques : pour comprendre votre fonction rénale et hépatique, votre taux de sucre dans le sang, vos protéines et votre équilibre électrolytique, y compris votre état d'hydratation.
Formule sanguine complète : examine vos globules rouges et blancs et vos plaquettes, ce qui peut indiquer une infection, une anémie ou des problèmes de coagulation sanguine.
Lipides : comprendront votre cholestérol LDL (lipoprotéine de basse densité) et HDL (lipoprotéine de haute densité), ainsi que vos triglycérides (un type de graisse stockée dans votre foie).
Fonction thyroïdienne, en particulier chez les femmes, en particulier vos taux de TSH (hormone spécifique de la thyroïde) indiquant une hypo ou une hyperthyroïdie potentielle qui peut affecter de nombreux aspects de votre santé, y compris l'infertilité.
Hémoglobine A1C, en particulier pour ceux qui ont un taux de glucose de base élevé ou qui sont en surpoids. Il mesure le pourcentage de vos cellules sanguines saturées en glucose et fournit une meilleure mesure de votre taux de glucose moyen au cours des 2 à 3 derniers mois.
PSA (antigène spécifique de la prostate) – hommes uniquement. Peut indiquer des problèmes de prostate, notamment un cancer, mais d'autres facteurs peuvent également affecter les niveaux de PSA.
RépondreSupprimerSans entrer dans les détails de chaque test et les lacunes de sa plage normale indiquée, il est important de faire vos propres recherches et d’envisager des tests supplémentaires si :
Vous êtes en dehors des limites normales et votre médecin vous propose un traitement pharmaceutique pour y remédier.
Vous vous situez dans les limites normales mais souffrez de symptômes « inexpliqués ».
Voici des exemples d’autres tests sanguins qui peuvent fournir un contexte et des conseils supplémentaires :
Marqueurs inflammatoires : la protéine C-réactive (hs-CRP, la version haute sensibilité) peut être utilisée comme mesure générale de l'inflammation et du risque de maladie cardiovasculaire et de dépression. L'homocystéine est un acide aminé qui a besoin de certaines vitamines B pour se décomposer. Des niveaux élevés peuvent indiquer une capacité réduite à se désintoxiquer et à fabriquer des neurotransmetteurs.
Détails de la thyroïde : au-delà du score TSH de base, des tests plus précis peuvent mesurer des éléments supplémentaires tels que la T4 libre, la T3 totale, la T3 libre et la T3 inversée pour obtenir une meilleure idée des performances de votre thyroïde.
Un panel complet d'hormones, comme le service de test DUTCH, qui signifie test d'urine séchée pour des hormones complètes, qui teste sur 24 heures pour obtenir une image plus précise.
Détection du cancer, comme le test Galleri qui a été validé pour détecter les signes précoces de plus de 50 types de cancer.
Anticorps pathogènes, notamment la maladie de Lyme et les moisissures, à l'aide de tests spécialisés tels que ceux proposés par Realtime Laboratories et IGeneX.
Nutriments essentiels, comme la vitamine D, le fer/ferritine, la B12, le folate (B9), le magnésium et les oméga-3.
Ces tests plus avancés ne sont peut-être pas couverts par votre régime d’assurance, mais constituent souvent un excellent investissement pour mieux comprendre vos problèmes de santé et comment les résoudre. Cela est particulièrement vrai si l’objectif est d’éviter les produits pharmaceutiques si souvent conçus pour traiter un biomarqueur plutôt que pour améliorer la santé globale.
RépondreSupprimerLes tests de nutriments essentiels en particulier peuvent souvent fournir le chaînon manquant pour expliquer des symptômes mystérieux ou des « scores » inhabituels dans d’autres tests sanguins.
Comprendre les AJR en nutriments
Dans notre monde moderne caractérisé par des horaires excessifs, des aliments ultra-transformés, une technologie insidieuse et d’autres expositions à des toxines, une grande partie de nos maux sont dus à une carence nutritionnelle sous-jacente. Notre corps ne reçoit tout simplement pas suffisamment de nutriments pour faire fonctionner tous les nombreux systèmes complexes qui en dépendent.
Si nous prenons des produits pharmaceutiques, le risque de carences est plus élevé, car de nombreux produits pharmaceutiques sont connus pour éliminer les nutriments du corps.
Il est donc recommandé d’inclure des tests de niveaux de nutriments dans vos analyses de sang annuelles. Mais assurez-vous d’appliquer le même niveau de prudence dans leur interprétation et votre réponse pour trois raisons principales :
1. Les plages « normales » citées pour les tests de nutriments sont généralement beaucoup trop basses étant donné que la grande majorité de la population américaine est déficiente, et donc tout échantillon prélevé pour définir les plages. Une carence en certains nutriments peut ne pas se manifester immédiatement par des symptômes, de sorte que la population échantillonnée peut être considérée comme des sujets sains, mais en fait, leurs niveaux de nutriments ne sont pas optimaux.
RépondreSupprimerPar exemple, la plupart des laboratoires indiquent une plage normale de taux sanguins de vitamine D comprise entre 30 et 150 nanogrammes par millilitre (ng/ml). Un médecin bien informé peut vous pousser à dépasser 50 ng/ml et à compléter jusqu'à ce niveau. Cependant, les recherches suggèrent désormais qu’un taux supérieur à 75 ng/ml est optimal.
2. Il est important de comprendre que les taux sanguins ne constituent pas toujours une bonne indication de l’absorption ou de la disponibilité par vos cellules. Le magnésium, par exemple, est stocké dans vos os et vos tissus et seule une petite quantité circule dans le sang. L’absorption d’un nutriment peut également en affecter un autre, de faibles niveaux de magnésium étant potentiellement responsables de faibles niveaux de potassium ou de calcium, ce qui souligne la nécessité d’examiner tous les résultats des tests de manière globale.
3. Un autre facteur à comprendre lors de la réponse aux résultats des analyses de nutriments concerne les suggestions d'apport journalier recommandé (AJR), plus souvent citées aux États-Unis sous le nom de besoins en valeur quotidienne (VQ) pour des nutriments individuels.
Il convient de noter un peu l’histoire de la façon dont les AJR ont été développés il y a des décennies avant que nous comprenions l’interaction des différents nutriments et comment des facteurs tels que la santé de notre microbiome, l’âge, le poids et le mode de vie affectent grandement nos besoins personnels en nutriments.
L’objectif était de prévenir l’apparition de maladies spécifiques comme le scorbut, le béribéri, la pellagre et le rachitisme (respectivement carences à long terme en vitamines C, B1, B3 (niacine) et en vitamine D pour l’absorption du calcium). Ils n’étaient pas (et ne sont toujours pas) axés sur une santé optimale.
RépondreSupprimerLa Food and Drug Administration des États-Unis a repris la propriété des niveaux de DV pour aider les consommateurs à déterminer le niveau de divers nutriments dans une portion standard d'aliment par rapport à leurs besoins approximatifs. Vous trouverez probablement le pourcentage de DV désormais indiqué sur les flacons de suppléments. Cependant, vos besoins personnels peuvent être bien plus élevés.
En conclusion
Il peut sembler un peu difficile de synthétiser les avantages et les inconvénients des tests en laboratoire et de prendre une décision éclairée sur les tests à entreprendre et sur la manière d'interpréter les résultats. Comme pour tous les aspects de votre santé, il s’agit d’une décision très individuelle qui mérite de prendre le temps de rechercher certains détails plutôt que de céder la responsabilité au professionnel en blouse blanche. Les lignes directrices standardisées ne remplacent jamais une évaluation holistique éclairée.
8 conseils clés :
Des analyses de sang annuelles sont une bonne idée : malgré leurs inconvénients, l’analyse de votre sang peut fournir des informations importantes.
Vous n’avez pas besoin de passer par un médecin : plusieurs options de vente directe au consommateur sont désormais disponibles sans ordonnance d’un médecin.
Des tests non standard peuvent être utiles, en particulier s'ils sont symptomatiques. Envisagez des tests supplémentaires pour une meilleure compréhension, mais sachez que votre régime d'assurance peut ne pas les couvrir.
Les plages de référence ne sont pas toujours utiles : la physiologie individuelle est importante, tout comme l'adoption d'une vision globale de tous les tests et de leurs niveaux au fil du temps.
Concentrez-vous sur les symptômes et pas seulement sur les chiffres : le contexte est essentiel. Les chiffres ne sont qu'un ensemble de points de données. Les niveaux d’énergie, la digestion, la santé mentale et la douleur, par exemple, sont des indicateurs importants.
L'absorption et l'interaction de différents nutriments peuvent ne pas correspondre aux résultats des tests : surveillez les symptômes pour détecter toute indication de carence et adoptez une vision globale.
RépondreSupprimerUn régime alimentaire complet est optimal pour remédier aux carences nutritionnelles et à d’autres résultats de tests préoccupants : faites de l’alimentation votre première ligne de défense en optant pour la densité nutritionnelle plutôt que la commodité.
Si une supplémentation est nécessaire, sélectionnez des marques de qualité : des combinaisons de nutriments provenant d'aliments entiers (non synthétiques) et une formulation qui optimise l'absorption sont essentielles.
https://www.zerohedge.com/medical/understanding-lab-tests-optimal-health
Révélations sur la viande rouge : l'épidémiologie nutritionnelle à l'épreuve du gras
RépondreSupprimer23 Juillet 2024
Chuck Dinerstein, ACSH*
L'épidémiologie nutritionnelle est connue pour produire des résultats sensationnels et contradictoires qui nous déroutent tous. Nous devons nous contenter d'études observationnelle qui peuvent être tordues d'innombrables façons pour obtenir des résultats différents. Un nouvel outil a été mis au point pour remédier à cette situation en testant tous les choix analytiques possibles et en montrant à quel point ces études peuvent être souples et peu fiables.
« L'épidémiologie nutritionnelle a longtemps été critiquée pour ses résultats sensationnels et contradictoires, ce qui a érodé la confiance dans cette discipline. Néanmoins, les études d'épidémiologie nutritionnelle continuent de jouer un rôle crucial dans l'élaboration des recommandations et des politiques alimentaires, d'où la nécessité de tirer des conclusions crédibles de ces études. »
Telles sont les conclusions d'une étude récente portant sur une nouvelle méthodologie permettant de tirer des « conclusions crédibles ». Le Dr Stanley Young, membre du comité des conseillers scientifiques de l'ACSH, a été l'un des premiers à dénoncer l'utilisation du p-hacking [la pêche aux p] et, plus particulièrement, l'impact d'une analyse de la viande rouge. Les études nutritionnelles utilisant des essais contrôlés randomisés plus crédibles sont difficiles à réaliser et manquent souvent de pertinence dans le monde réel. Par conséquent, les études observationnelles sont la monnaie courante. Cependant, comme l'ont souligné le Dr Young et de nombreux autres chercheurs, il existe de nombreuses façons de sélectionner et d'analyser un ensemble de données particulier, « chacun pouvant produire des résultats dont la direction, l'ampleur et la signification statistique varient ».
Étant donné que notre compréhension d'un phénomène aussi complexe que l'impact de la nutrition sur notre biologie est limitée et qu'il n'y a pas de consensus sur la meilleure approche analytique, le choix des modèles analytiques et des données pertinentes est très souple. Les études observationnelles dépendent fortement des choix des chercheurs. Bien que cela ne soit pas nécessairement vrai dans tous les cas, les deux côtés des questions nutritionnelles suggèrent que les croyances et les attentes des chercheurs influencent leur travail. Et même l'analyse de sensibilité visant à séparer le bon grain de l'ivraie est subjective.
L'incohérence des résultats, en particulier dans les études nutritionnelles, érode la confiance. Comment réduire le bruit et amplifier le signal ? Les chercheurs proposent une analyse des courbes de spécification
RépondreSupprimerAnalyse de la courbe de spécification – analyse du multivers
C'est un nom impressionnant pour une idée relativement simple. Dans l'analyse de la courbe de spécification (SCA – specification curve analysis), on commence par identifier les choix plausibles pour l'analyse. Cela inclut les modèles statistiques analytiques, les critères de sélection des participants, les variables et la manière dont elles sont décrites. Vous éliminez les combinaisons improbables et il vous reste, comme l'a souligné le Dr Young, un grand nombre de « spécifications analytiques »[1]. Vous testez ensuite l'ensemble des données par rapport à toutes les possibilités combinatoires, en générant une courbe de spécification qui visualise la distribution des résultats pour chaque possibilité combinatoire, ainsi que l'ampleur et la direction de leur impact.
Pour démontrer la technique SCA, les chercheurs se sont penchés sur une controverse nutritionnelle non résolue,
« L'effet de la viande rouge non transformée sur la mortalité toutes causes confondues – une question qui a donné lieu à des résultats incohérents dans la littérature et à des recommandations alimentaires contradictoires. »
S'appuyant sur une méta-analyse précédemment réalisée de « 15 publications faisant état de 24 études de cohortes », ils ont identifié de nombreux facteurs, notamment :
Types de modèles nutritionnels ajustés en fonction de l'énergie totale ou tenant compte de la densité nutritionnelle ;
Caractérisation de la consommation de viande rouge en tant que variable continue, par exemple 30 grammes, ou en tant que variable catégorisée, par exemple 30-60 grammes ;
Sous-groupes d'intérêt classés par sexe ou par âge ;
Si, comme le soulignent les chercheurs, il ne s'agit pas du dernier mot sur la viande rouge et notre santé, ces résultats démontrent clairement que « les conclusions des études épidémiologiques nutritionnelles peuvent dépendre des méthodes d'analyse ».
RépondreSupprimerLa présence d'une flexibilité analytique, que nous l'attribuions ou non à des conflits d'intérêts mal intentionnés, rend les études épidémiologiques nutritionnelles moins sûres. La SCA est un autre outil permettant de clarifier notre incertitude, mais d'une manière fractale, elle peut également être subjective. Les chercheurs ont déterminé les méthodologies et les variables qu'ils considéraient comme justifiables. Ils ont également sélectionné un ensemble de données spécifique parmi d'autres, et les données disponibles au sein de l'ensemble de données ont encore limité les variations possibles.
L'analyse des courbes de spécification offre un moyen prometteur de faire la part des choses. En testant rigoureusement tous les choix analytiques plausibles, l'analyse des courbes de spécification met en évidence à quel point les résultats peuvent dépendre des méthodes choisies. Bien que cette approche n'élimine pas la subjectivité ou le risque de biais, elle offre une vision plus transparente et plus complète des données. L'étude sur la viande rouge et la mortalité toutes causes confondues en est un excellent exemple, qui montre que nos conclusions peuvent varier de manière significative en fonction de la voie analytique empruntée [1].
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[1] Comme le soulignent les chercheurs à titre d'exemple, « trois choix uniques pour cinq aspects de l'analyse donnent 243 spécifications analytiques uniques ».
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Source : Grilling the data: application of specification curve analysis to red meat and all-cause mortality (passer les données à la moulinette : application de l'analyse des courbes de spécification à la viande rouge et à la mortalité toutes causes confondues), Journal of Clinical Epidemiology DOI : 10.1016/j.jclinepi.2024.111278
RépondreSupprimerLe Dr Charles Dinerstein, M.D., MBA, FACS est directeur de la médecineà l'American Council on Science and Health (conseil américain pour la science et la santé). Il a plus de 25 ans d'expérience en tant que chirurgien vasculaire.
Source : Red Meat Revelations: Cutting Through the Fat of Nutritional Epidemiology | ACSH
https://seppi.over-blog.com/2024/07/revelations-sur-la-viande-rouge-l-epidemiologie-nutritionnelle-a-l-epreuve-du-gras.html
L'analyse des éléments ingurgités par l'être vivant (humain, animal ou plante) constituent sa formation (l'être humain respire 200 000 nano-particules - appelées 'virus' ! - PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance).
SupprimerTout dépend donc de la qualité des éléments consommés.
Même si rien n'est dit sur le quoi-faire dans l'article ci-dessus, il demeure 'prometteur' dans la mesure où l'analyse peut être révélatrice voire 'plausible' ou 'subjective' !
Une expérience effrayante” : Le Danemark veut taxer les émissions du bétail, les critiques disent que les petits agriculteurs sont la vraie cible
RépondreSupprimerAlors que le Danemark s’apprête à devenir le premier pays au monde à taxer les agriculteurs pour les gaz à effet de serre émis par leur bétail, les critiques affirment que le véritable objectif est de consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire et de passer à une “alimentation pharmaceutique” contrôlée par les entreprises.
Par Michael Nevradakis
Mondialisation.ca,
21 juillet 2024
Le Danemark est sur le point de devenir le premier pays au monde à taxer les agriculteurs pour les gaz à effet de serre émis par leur bétail, grâce à un accord conclu le 24 juin entre le gouvernement danois et les représentants de l’industrie agricole et des syndicats.
La taxe, qui vise spécifiquement les émissions de méthane des vaches, des porcs et des moutons, entrera en vigueur en 2030, sous réserve de l’approbation finale du Parlement danois, a rapporté l’Associated Press (AP).
À partir de 2030, les agriculteurs devront payer une taxe de 300 couronnes (environ 43 dollars) par tonne d’équivalent dioxyde de carbone. Ce montant passera à 750 couronnes (108 $) d’ici 2035. Après une déduction fiscale de 60 %, les montants respectifs seront de 120 couronnes (17,30 $) et 300 couronnes.
CNN, citant le “think tank vert” danois Concito, a rapporté que les vaches laitières danoises émettent en moyenne 5,6 tonnes (6,2 tonnes américaines) d’équivalent gaz carbonique par an. Il en résulterait une taxe de 672 couronnes par vache (96 dollars) en 2030 et de 1 680 couronnes (241 dollars) en 2035.
Les émissions respectives de toutes les vaches danoises s’élèvent en moyenne à 6,6 tonnes d’équivalent gaz carbonique par an, selon l’AP, qui rapporte que le gouvernement danois vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre du pays de 70 % par rapport aux niveaux de 1990 d’ici à 2030, citant le ministre de la fiscalité Jeppe Bruus.
Selon CNN, le produit de la taxe sera utilisé pour soutenir la transition écologique de l’industrie agricole au cours des deux premières années, y compris l’investissement de 40 milliards de couronnes (3,7 milliards de dollars) pour des mesures telles que la reforestation et l’établissement de zones humides.
Après deux ans, la taxe sera “réévaluée”.
RépondreSupprimerLe Danemark est un important exportateur de viande de porc et de produits laitiers, selon CNN. L’agriculture est la plus grande source d’émissions de gaz à effet de serre du pays. L’AP rapporte qu’en juin 2022, le Danemark comptait près de 1,5 million de vaches.
La taxe encouragera les agriculteurs à rechercher des solutions pour réduire les émissions
Les partisans de la taxe soulignent que le Danemark est le premier pays à adopter une telle politique, la qualifiant d’étape vers une plus grande durabilité environnementale.
“Nous ferons un grand pas vers la neutralité climatique en 2045”, a déclaré M. Bruus.
“Nous investissons des milliards dans la plus grande transformation du paysage danois de ces derniers temps”, a déclaré le ministre danois des affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, dans un communiqué cité par CNN. “Dans le même temps, nous serons le premier pays au monde à appliquer une taxe (sur le carbone) à l’agriculture.
Selon Torsten Hasforth, économiste en chef de Concito, “l’objectif de la taxe est d’inciter le secteur à chercher des solutions pour réduire les émissions”, rapporte CNN. M. Hasforth a fait remarquer que les agriculteurs pourraient, par exemple, modifier les aliments qu’ils utilisent, dans le cadre de leurs efforts de réduction des émissions.
La Société danoise pour la conservation de la nature a qualifié la taxe de “compromis historique”, dans des propos cités par l’AP. La présidente de l’organisation, Maria Reumert Gjerding, a déclaré : “Nous sommes parvenus à un compromis sur une taxe sur le gaz carbonique, qui jette les bases d’une industrie alimentaire restructurée, y compris de l’autre côté de l’horizon 2030”.
Ben Lilliston, directeur des stratégies rurales et du changement climatique à l’Institut pour l’agriculture et la politique commerciale, a déclaré à PBS NewsHour que les émissions de méthaneconstituaient “un énorme problème… un énorme défi”. Selon lui, si le méthane reste moins longtemps dans l’atmosphère que le gaz carbonique, il est “environ 80 fois plus puissant”.
“Si vous réduisez le méthane, vous pouvez obtenir des résultats à plus court terme et nous donner un peu plus de temps pour réduire les émissions de dioxyde de carbone”, a déclaré M. Lilliston.
La taxe carbone imposée aux agriculteurs est une “expérience effrayante”.
La taxe carbone du Danemark a été adoptée malgré les récentes manifestations d’agriculteurs dans toute l’Europe, notamment à Bruxelles, capitale de facto de l’Union européenne (UE) et centre de décision politique de l’UE.
Les agriculteurs ont exprimé leurs griefs à l’égard des nouvelles réglementations environnementales et de la mainmise des entreprises sur l’agriculture européenne.
Ces dernières années, des États membres de l’UE tels que l’Irlande et les Pays-Bas ont également mis en œuvre des plans visant à limiter l’agriculture et à abattre le bétail, ce qui a donné lieu à des manifestations dans ces pays.
La Nouvelle-Zélande a prévu d’adopter une taxe sur le carbone, qui devrait entrer en vigueur en 2025. La taxe, adoptée par le précédent gouvernement de centre-gauche du pays, a été abrogée le mois dernier par la nouvelle coalition gouvernementale de centre-droit de la Nouvelle-Zélande, selon l’AP.
RépondreSupprimerLa nouvelle taxe danoise sur le carbone fait l’objet de critiques, certains experts estimant qu’elle constitue une charge supplémentaire pour le secteur agricole, en particulier pour les petits exploitants.
CNN a cité l’association danoise des agriculteurs Bæredygtigt Landbrug, qui a qualifié la nouvelle politique d’”expérience effrayante”.
Peder Tuborgh, PDG d’Arla Foods, la plus grande entreprise laitière d’Europe, a déclaré à CNN que la nouvelle taxe était “positive”, mais que les agriculteurs qui “font vraiment tout ce qu’ils peuvent pour réduire les émissions” devraient en être exemptés.
Dans des remarques partagées avec The Defender, Catherine Austin Fitts, fondatrice et présidente du Solari Report, a déclaré : “Les émissions sont une histoire de couverture pour réaliser les étapes du ‘Going Direct Reset‘ des banquiers centraux”.
Selon Fitts, l’objectif de cette “réinitialisation” est de “consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire, en passant à la “Pharma Food” contrôlée par les entreprises, et de déplacer la disponibilité de l’énergie de la population générale pour alimenter un réseau de contrôle électrique qui fournira l’IA[intelligence artificielle], la robotique, les cartes d’identité numériques et un système financier entièrement numérique“.
“Nous échangeons des aliments frais et la liberté contre des camps de concentration numériques et de la viande produite en laboratoire”, a déclaré Mme Fitts. À Wall Street, nous avions l’habitude d’appeler cela un “mauvais commerce”.
D’autres critiques ont déclaré au Défenseur que la nouvelle taxe du gouvernement danois a moins à voir avec la protection de l’environnement et la réduction des émissions qu’avec la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies et des objectifs d’entités mondiales telles que le G20 et le Forum économique mondial (FEM / WEF).
RépondreSupprimerMeike Terhorst, avocate et activiste néerlandaise, a déclaré au Defender :
“Je pense que ces mesures n’ont rien à voir avec la durabilité, mais avec le pouvoir. Un groupe d’entreprises, les soi-disant mondialistes/banques/investisseurs, comme le WEF, travaillent ensemble avec des gouvernements, comme le G20, et ensemble ils peuvent forcer les petits agriculteurs à quitter leurs terres”.
Tim Hinchliffe, rédacteur en chef de The Sociable, estime que les petites exploitations agricoles seront les plus touchées par la nouvelle taxe.
Les petits agriculteurs seront les premiers à disparaître, et leurs terres seront très probablement utilisées pour abriter diverses initiatives dites “vertes”, telles que des laboratoires de fausse viande, des hectares de panneaux solaires et d’éoliennes à perte de vue, de nouveaux centres de données d’IA qui nécessitent des tonnes d’eau, d’énergie et de terres, et peut-être même des centrales nucléaires pour alimenter ces centres de données”, a-t-il déclaré.
De même, Terhorst a déclaré que l’objectif est de “fermer les petits agriculteurs dans le cadre de l’”Agenda 2030” – les ODD de l’ONU – ou du programme de prise de contrôle par les entreprises.”
Selon M. Terhorst, cet agenda vise à “garantir que les petits exploitants agricoles soient retirés de la terre et remplacés par une agriculture “numérique””, c’est-à-dire à “remplacer la viande et le lait par des aliments ou du lait à base d’insectes fabriqués en usine et par de la viande cultivée en laboratoire“.
Les critiques ont également remis en question les affirmations selon lesquelles des politiques telles que la taxation du carbone contribuent à promouvoir la “durabilité”.
“Lorsque les mondialistes non élus du WEF et de l’ONU parlent de durabilité, ils n’entendent pas par là l’autosuffisance de l’individu. Ce n’est pas du tout ce qu’ils veulent. Ils veulent s’assurer un contrôle, une influence et un pouvoir durables pour les décennies à venir”, a déclaré M. Hinchliffe :
“À mon avis, le véritable objectif est de prendre le contrôle de terres agricoles de premier choix et de taxer les agriculteurs pour qu’ils disparaissent. Lorsque les taxes deviennent trop élevées et que les agriculteurs ne peuvent plus suivre, des entités publiques et privées interviennent pour prendre le contrôle des terres.
“S’ils croyaient vraiment que les animaux de ferme flatulents étaient responsables du climat, ils n’auraient qu’à planter davantage d’arbres pour absorber le carbone, et leur crise imaginaire serait résolue, mais ils ne le font pas parce que ce qu’ils recherchent vraiment, c’est l’accaparement des terres, l’argent, et le contrôle total de nos systèmes alimentaires”.
Selon M. Hinchliffe, les organisations mondiales visent également à modifier les habitudes humaines, y compris la consommation de viande. Il a dit :
“Sur le plan nutritionnel, des groupes comme le WEF et l’ONU veulent que nous mangions moins de viande et plus d’insectes, ce qui ne fera que nous rendre plus faibles et plus dociles en tant qu’espèce au fil du temps.
RépondreSupprimer“En cas d’épidémie ou de contamination, les citoyens du monde entier souffriront parce qu’il n’y aura pas d’alternative. Les agriculteurs locaux auront disparu à cause des taxes sur le carbone et de l’accaparement des terres.
“L’industrie de la viande biologique a été organisée et financée par les investisseurs et les banques qui font partie du WEF”, a déclaré M. Terhorst. “Si nous voulons devenir durables, nous devons limiter les pouvoirs des investisseurs et du WEF et soutenir les petits agriculteurs.
M. Hinchliffe a ajouté : “Si les taxes sur le carbone ne parviennent pas à étouffer complètement l’esprit humain, elles prévoient déjà de taxer à peu près tout le reste de la nature, y compris l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et le sol même sur lequel nous marchons”.
https://www.mondialisation.ca/une-experience-effrayante-le-danemark-veut-taxer-les-emissions-du-betail-les-critiques-disent-que-les-petits-agriculteurs-sont-la-vraie-cible/5690814?doing_wp_cron=1721736069.2241220474243164062500