Par Pr Christian Perronne et Marcel D.
Mondialisation.ca,
27 août 2024
« Avec le Passeport vaccinal mondial, bientôt, on ne pourra plus sortir chez soi, prendre le métro, voyager, travailler, aller au restaurant, avoir une vie sociale si on n’a pas reçu tous les vaccins.
Il faut vraiment que tous les Français, tous les Européens, tous les citoyens du monde soient extrêmement vigilants, se révoltent et refusent cette ignominie. »
Et encore une fois les pilotes « de façon soudaine et inattendue »
RépondreSupprimer28 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les vaccinations corona sont apparemment « efficaces » à long terme. Cependant, pas de la manière promise. Cela se voit notamment très clairement chez le groupe de pilotes professionnels presque entièrement vaccinés, dont la santé est également étroitement surveillée.
L' organisation Airliners for Humanity continue de signaler de nouveaux incidents avec des pilotes soudainement incapables de travailler et des décès dans le cockpit au travail. Quiconque effectue des vols plus longs aura remarqué que le personnel de bord est particulièrement différent de celui d'avant 2020. Des hôtesses de l'air qui ne parlent pas un mot d'allemand et ne parlent qu'un anglais approximatif peuvent être trouvées même chez l'ancien Suisse, connu pour bon service. Le personnel a été activement licencié ou a fui l’obligation de vaccination.
Les cas individuels ne font pas toujours la une des journaux ou des médias spécialisés, même pour les pilotes. Cependant, les rapports nous donnent une statistique sur l'augmentation massive des codes d'urgence transmis par radio. Le magazine aéronautique français « Piloter » a fait état dans son numéro 104 (mars/avril 2024) d'une utilisation croissante du code transpondeur 7700 dans l'aviation internationale. Ce code est émis en cas d'urgence. Il y a eu une augmentation de 272 % depuis 2022. Lors de la saison 2022/2023, il y a même eu une augmentation de 386 %.
Quelques cas individuels
Le 4 juin, le vol AM34 d'Aeromexiko reliant Monterrey à Madrid a dû faire escale à Mexico en raison de problèmes de santé du copilote. Le B787 a atterri à Madrid avec près de 9 heures de retard.
Le 12 juin, le capitaine est décédé lors d'un vol du Caire à Taif . Le copilote doit effectuer un atterrissage d'urgence de l'Airbus A 320 à Djeddah. Le vol NE130 de Nesma Airlines était opéré par Sky Vision, qui employait les pilotes. Des vidéos de l'annonce par haut-parleur du copilote informant les passagers du tragique incident circulent sur les réseaux sociaux.
Voici un cas d'Edelweiss, la filiale charter de Swiss, particulièrement radicale dans son insistance sur la vaccination. Le 22 juillet, l'équipage du vol WK5 reliant Tampa (Floride) à destination de Zurich signale une urgence médicale. Environ 90 minutes avant l'atterrissage à Zurich, l'un des trois pilotes est tombé en incapacité de travail.
Copilote d'EasyJet frappé d'incapacité. Le 27 juillet, il devient copilote du vol U2-2459 de Londres à Lisbonne. s'est évanoui. Le commandant de bord a fait atterrir l'Airbus A320 en toute sécurité à Lisbonne. Les secouristes attendaient déjà le copilote et l'ont emmené à l'hôpital.
Copilote de WIZZ AIR frappé d'incapacité : Le 19 août, le premier officier du vol W6-1451 de Varsovie à Larnaca est devenu frappé d'incapacité . L'incident s'est produit peu après le décollage de Varsovie lors de la montée. Le commandant de bord décide de rebrousser chemin vers Varsovie, où il pose l'A321 en toute sécurité 25 minutes plus tard. Un équipage de remplacement a effectué le vol vers Chypre avec plus de 4 heures de retard.
Le problème des personnes vaccinées malades est endémique, comme le montre ce X-Posting :
RépondreSupprimerComme le TKP le rapporte à maintes reprises, les préparations d'ARNm altèrent de manière significative et surtout permanente le système immunitaire. Les mécanismes sont bien connus ; les protéines Spike pénètrent dans les cellules et entravent la production d’enzymes vitales . Un autre problème concerne les anticorps IgG4, qui ont récemment été confirmés à nouveau chez les enfants un an après la deuxième dose . Ils régulent le système immunitaire lors d’infections et provoquent eux-mêmes des maladies plus graves.
https://tkp.at/2024/08/28/und-wieder-piloten-ploetzlich-und-unerwartet/
Projet européen « Vaccination au-delà du Covid-19 »
RépondreSupprimer28 août 2024
de Thomas Oysmüller
L’UE travaille intensément pour vacciner encore plus largement la population. Le projet de vaccination de l'UE « La vaccination européenne au-delà du Covid-19 » comprend non seulement la carte de vaccination numérique de l'UE pour chaque citoyen, mais également plusieurs autres « stratégies » et « outils » pour mettre en œuvre le plan.
Le certificat de vaccination européen sera déployé en septembre, c’est-à-dire dans quelques jours. Initialement seulement dans certains pays, dont l'Allemagne, à titre de projet pilote. Mais le projet est clair : dans les prochaines années, chaque citoyen devrait disposer d’une carte de vaccination européenne (ECV) numérique sur son smartphone, faisant partie de son identité numérique. Mais l’EVC n’est qu’une partie du projet global de l’UE.
Des notices d'emballage à la surveillance du Big Data
Lundi, l'avocate Cornelia Margot a publié une analyse complète du projet « European Vaccination Beyond Covid-19 » (EUVABECO) sur le site de l'association MWGFD. « Le certificat européen de vaccination, écrit Margot, n’est qu’un élément d’un projet global appelé EUVABECO (European Vaccination Beyond Covid-19) ».
Le projet comprend cinq sous-domaines, appelés « outils » et qui seront déployés au cours des prochaines années. D'abord à titre de test :
« Tous les pays ne testent pas tous les outils. Une fois ces phases pilotes terminées, les résultats seront évalués et mis à la disposition de tous les pays de l'UE. Le texte du site Internet suggère qu'il appartient ensuite à chaque État d'introduire l'un ou l'autre outil.
Cependant, l’objectif déclaré du projet EUVABECO est que les plans soient mis en œuvre dans tous les pays de l’UE afin « d’améliorer les efforts de vaccination ». La prétendue liberté de choix des États peut donc être considérée comme un discours de pure forme destiné à rassurer les citoyens.
Le projet EUVABECO peut donc être compris comme une stratégie de vaccination européenne actualisée après le Covid. L’objectif : faire parvenir le plus d’injections possible aux citoyens. Non seulement, mais aussi en lien avec le Covid. Il existe actuellement une analyse sur le thème de « la liaison des données pour optimiser les campagnes de vaccination ». Il s’agit de ce que l’on appelle le « dépistage de la motivation à la vaccination » – le projet le plus important avec le carnet de vaccination.
RépondreSupprimerMargot décrit les quatre autres outils en plus du carnet de vaccination numérique – dont TKP a déjà parlé ici et ici :
Commençons par le plus inoffensif. Un dépliant électronique destiné à garantir que les vaccins peuvent être envoyés et utilisés dans tous les pays.
Puis un outil de modélisation et de prévision pour accompagner les décisions publiques. Cet outil est basé sur le simulateur COVID-19 de l’Université de la Sarre (Projet CoSim). L’objectif est d’utiliser des simulations et des modélisations pour déterminer comment certaines mesures (confinements, fermetures d’écoles, etc.) pourraient affecter une grande variété d’évolutions d’infection présumées.
Le troisième outil s'appelle Clinical Decision System CDS et s'appuie sur des expériences déjà réalisées en France et au Luxembourg.
CDS désigne, de manière générale et indépendamment des vaccinations :
Les informations personnelles sur un patient (par exemple âge, maladies antérieures, médicaments, etc.) sont liées aux découvertes scientifiques actuelles. Des recommandations (procédure de diagnostic / thérapies adaptées, etc.) sont ensuite générées sous le contrôle de l'IA. En France, des travaux sont actuellement en cours pour intégrer les applications CDS dans le dossier électronique du patient.
EUVABECO concerne « uniquement » les informations sur les vaccinations recommandées ou obligatoires. Référence est faite à un modèle français (MesVaccins.net), qui est destiné à servir de base à la phase pilote. L'application MesVaccin est un croisement entre un certificat de vaccination et un dossier patient. Un fichier électronique que le citoyen crée lui-même et le remplit avec autant de données personnelles que possible. Y compris des informations sur ses conditions de vie et sa situation familiale.
RépondreSupprimerL'application indique ensuite le statut vaccinal respectif pour toutes les vaccinations possibles et si vous êtes à jour ou non. Il ne s’agit cependant pas d’un document de preuve comme un certificat de vaccination. Par exemple, dans le cas d’une vaccination, on trouve des commentaires tels que « manquant » ou « fait immédiatement » ou « à prévoir dans deux mois » ou « demander un avis médical individuel ».
Vous pouvez acheter cette application ou la laisser tranquille. Lorsque vous visitez le médecin, vous aurez la chance de recevoir des conseils - si le médecin utilise quelque chose comme celui-ci et le remplit avec les données du patient. Il serait concevable que les médecins et les hôpitaux rendent encore plus détaillés les questionnaires destinés aux patients, déjà familiers, afin d'obtenir encore plus d'informations. Quiconque dispose d’un dossier patient électronique devra s’attendre à moyen terme à l’apparition de « recommandations » correspondantes.
L'utilisation des données de santé par les caisses d'assurance maladie conformément à l'article 25b SGB V, nouvellement inclus dans le SGB V le 24 mars (qui peut faire l'objet d'une objection), pourrait également être une pièce du puzzle. Mais en fin de compte, vous pouvez ignorer tout cela en toute sécurité et même ne pas y participer. Et soyez vigilant et prudent lorsque vous consultez le médecin.
L’Allemagne ne testera que la « notice électronique » de ces trois projets. Mais les outils « vraiment dangereux » sont les deux autres. Précisément le certificat de vaccination et ce qu’on appelle le « dépistage de la motivation à la vaccination ».
RépondreSupprimerL’avocat dit à propos du certificat de vaccination :
D’une part, le danger est que l’Allemagne l’introduise de manière permanente une fois la phase pilote terminée. Et puis peut-être pas sur une base volontaire. En Autriche, il existe déjà un pass de vaccination électronique qui ne peut être refusé. Vous pouvez y vous « désinscrire » depuis le dossier électronique du patient, mais pas depuis le certificat électronique de vaccination.
Même s’il est ensuite introduit définitivement sur une base volontaire et que l’on peut s’y soustraire de jure, il risque de devenir un document de preuve et d’accès comme un certificat Covid. Même si ce n'est que temporaire. Covid aujourd'hui, MPox demain, grippe aviaire après-demain. Tout ce qui peut être contrôlé facilement et numériquement devra également l’être.
Et à terme, il saura susciter d’autres envies. Lien vers les documents d'identité. Lien vers le compte bancaire, vers l'empreinte écologique. Fait partie d'un système complet de scores de crédit social. Aujourd’hui, c’est encore une musique criarde du futur dont personne ne parle officiellement.
Margot décrit plus en détail l’outil « dépistage de la motivation à la vaccination » :
« Lier les données pour optimiser les campagnes de vaccination », voilà ce que dit EUVABECO, avec une erreur de virgule. Le modèle est un modèle qui a été développé en Belgique à l'époque de Corona : l' étude de couplage de données LINK-VACC, développée et utilisée par l'autorité sanitaire belge Sciensano.
Celle-ci avait essentiellement deux objectifs : la motivation à la vaccination (personnelle et en aucun cas anonyme) et une « étude observationnelle post-commercialisation » pseudonymisée.
Quoi qu'il en soit, les planificateurs d'EUVABECO sont tellement enthousiasmés par cet outil invasif qu'ils envisagent désormais de le tester dans quatre pays sélectionnés (voir EUVABECO Workflow), puis de l'utiliser si possible dans toute l'UE.
RépondreSupprimerLe deuxième objectif, l'évaluation statistique - efficacité de la vaccination, avancées vaccinales, effets secondaires - n'est pas si mauvais et mérite également d'être connu pour les critiques de la vaccination. Or, c’est précisément l’usage prévu qui semble le moins intéressant pour EUVABECO. Sur le site Web, sous Workflow, il est indiqué qu'il s'agit du dépistage de la motivation à la vaccination.
https://tkp.at/2024/08/28/eu-projekt-impfen-jenseits-covid-19/
Le casque d'acier de vaccination vous accueille tous les jours, ou : « Actualités » sur la vaccination C en provenance de Norvège
RépondreSupprimer27 août 2024
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
C'est à nouveau le moment - juste à temps pour la fin de l'été ou peu avant la rentrée scolaire, les "médias de premier plan et de qualité" publient à nouveau un grand nombre de rapports "Experts™" sur le thème de la thérapie génique corona. . Malheureusement, ce n'est pas « seulement » le cas dans les pays germanophones, mais aussi en Norvège, de modestes rapports contenant des déclarations d'un autre monde arrivent chaque été, comme l'Amen dans la prière. Dans la première partie d'aujourd'hui de cette "saga" en deux parties, certains "Experts™" norvégiens ont leur mot à dire et répondent à des questions telles que "Dois-je prendre une autre dose de thérapie génique corona cet automne ?" Alors poursuivez votre lecture si vous avez des questions absurdes et plus encore ? Des réponses d’un autre monde sur le sujet Recherchez « Corona Pandemic™ » en Scandinavie.
Il est particulièrement pénible d'aborder ce sujet car j'ai publié un article similaire il y a environ un an ( sur mon Substack en anglais ). Début novembre 2023, la chaîne de télévision publique norvégienne NRK a convoqué un « Groupe d'experts™ » pour fournir des « réponses » à la question brûlante de « savoir si je devrais obtenir un autre booster modRNA ».
Notons au passage, non sans désespoir, que Jan-Erik Wilthil, employé de NRK - le "journaliste" qui "fait" ce genre de "reportages" pour la radio d'État norvégienne - qualifie effectivement ce qu'il fait de "journalisme". En remarque, il a toujours un encadré « Comment vais-je ? » au bas de ses articles liés à Covid demandant aux lecteurs de donner leur avis (mais il n'a jamais pris la peine de répondre à mes e-mails, c'est pourquoi j'ai arrêté de lui envoyer des questions ou conseils).
Aujourd’hui, je vous présente donc une preuve supplémentaire des limites de l’humanité. Traduction, [peut-être commentaires] et soulignements de ma part, ainsi que les interprétations qui suivent à la fin.
Les experts répondent : les jeunes doivent-ils être vaccinés avec le vaccin corona ?
À quel point le COVID-19 est-il dangereux actuellement ? Et une autre injection est-elle vraiment nécessaire ? Lisez les réponses de nos experts.
Par Jan-Erik Wilthil, NRK , 22 août 2024 [ Source ]
Les vaccins seront-ils gratuits pour les jeunes et les personnes en bonne santé ? Pourquoi les jeunes ne sont-ils pas encouragés à se faire vacciner alors que le risque de maladie Long Covid est si élevé et augmente à chaque infection ?
RépondreSupprimerTelles étaient les questions de certains de nos lecteurs. NRK a donc réuni un groupe d’experts [sans ironie] pour répondre aux questions sur le Covid-19 et le vaccin [comme s’il n’existait qu’un seul vaccin de ce type]. Vous pouvez lire les réponses à la fin de l'article.
Risques pour la santé des personnes âgées
Dans quelques semaines, de nombreuses personnes âgées se verront proposer une autre dose du vaccin corona. L’année dernière, de nombreuses personnes à risque ne se sont pas fait vacciner malgré les recommandations de l’Institut de santé publique [une sage décision].
Le Covid-19 reste un risque grave pour la santé des personnes âgées et vulnérables.
Rien que l’année dernière, la maladie a coûté la vie à 1 546 Norvégiens, et des recherches récentes suggèrent que le Covid-19 est une maladie bien plus dangereuse que la grippe.
[C'est bien sûr un non-sens et rien de plus qu'une calomnie exemplaire, car la Norvège a inventé la catégorie des « décès liés au Covid » en 2023 afin de cacher la ou les causes probables du décès, car c'est ainsi que la santé publique détermine ce que c'est:
Les décès associés au Covid-19 sont définis comme les décès pour lesquels le Covid-19 est répertorié comme cause sous-jacente ou contributive sur le certificat de décès... auparavant, seuls les décès avec un test positif étaient inclus... désormais, les décès sans test positif sont également inclus .
J’en avais déjà parlé en détail à l’automne 2023 , mais il semble que cette petite information, certes inutile, ait depuis échappé à l’attention de notre intrépide « journaliste » Jan-Erik Wilthil].
[À ce stade, il y a un lien vers un autre article du « journaliste » Wilthil, paru le 21 août 2024 et dans lequel Jörn Klein, professeur de médecine à l'Université de Norvège du Sud-Est, a eu son mot à dire ; Le professeur Klein est, bien entendu, un fervent partisan des vaccinations (de toutes sortes) et affirme que « le Covid est bien plus dangereux que la grippe », ce qui est contredit à la fois par l’expérience du monde réel et par l’ évaluation inverse de l’Institut Robert Koch en Allemagne . De plus, l’article parle de la volonté considérablement réduite des personnes « âgées » et « à risque » de se faire vacciner contre le Covid, comme le montre ce graphique :
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
[Ce graphique montre le nombre de vaccinations modRNA par rapport au Covid-19 (sic) administrées à différents groupes d'âge de 2021 à 23 ; peut-être qu'il y a encore un peu d'espoir].
Dans le même temps, le virus évolue à un rythme rapide, avec l’émergence constante de nouveaux variants plus contagieux. Rien que cet été, un nouveau pic d'infections a été enregistré en Norvège [ce qui a provoqué un grand bâillement de la part des « Experts™ », mais bon, si le journal™ Wilthil le dit…].
Autrement dit, la pandémie est loin d’être terminée et de nombreuses questions restent sans réponse .
La zone de commentaires est maintenant fermée. Si vous n'avez pas eu le temps de poser votre propre question, vous pouvez quand même bénéficier des réponses ci-dessous [ nous verrons cela ].
Rencontrez notre panel d'experts
Les experts viennent d’horizons différents et ne sont pas nécessairement d’accord sur toutes les questions. Vous pouvez lire une brève description des experts ici :
Professeur Jörn Klein, professeur de microbiologie, d'épidémiologie et de contrôle des infections à l'Université de Norvège du Sud-Est ; Directeur de programme du seul programme de maîtrise norvégien en contrôle des infections ; Membre du Comité National de Contrôle des Infections.
RépondreSupprimerProfesseur Grundveig Grødeland, professeur d'immunologie à l'Université d'Oslo ; Directrice du Centre de recherche sur les pandémies et une seule santé (P1H) à l'Université d'Oslo [Le professeur Grødeland est, comme on pouvait s'y attendre, également un fervent défenseur de la vaccination, et elle fait partie de ceux qui ont développé et testent actuellement un " nouveau vaccin contre la grippe aviaire "] .
Professeur Anne Spurkland, immunologiste et professeur d'anatomie à l'Université d'Oslo ; Expert [ sic ] sur le fonctionnement du système immunitaire de l'organisme; Récipiendaire du Prix de diffusion du Conseil norvégien de la recherche en 2021 pour son travail pédagogique sur le système immunitaire [elle était déjà présente la dernière fois au « Expert Round™ », voir l'article lié ci-dessus].
Une sélection des questions les plus importantes, compilées par mes soins
Certaines questions ont été posées et les réponses (en quelque sorte) ont été fournies par ce groupe louable d'« Experts™ ». Au total, 39 questions ont été posées, dont 37 ont reçu une réponse. Ci-dessous, je me suis efforcé de vous fournir des traductions (et des commentaires sarcastiques) de ce que je considère comme les questions les plus perspicaces (idiotes), c'est-à-dire en dehors des absurdités jaillies dans le "post" ci-dessus.
Je pense que mon échange préféré est celui-ci sur les tests :
Jakob Rypdal : Peut-on compter sur les tests rapides pour détecter les nouveaux variants du Covid-19 ? Pouvez-vous vous fier à ces tests ?
Anne Spurkland *Expert : C'est une bonne question ! Si le test rapide donne un résultat positif (et que la ligne de contrôle est présente sur le test) , alors le test est positif [nous avons vu auparavant que la « Pandémie™ » déclarée par l'OMS est désormais gérée par des tautologies].
D’un autre côté, si le test est négatif, il est toujours possible que vous ayez une infection corona [voir, le test peut aussi n’avoir aucun sens ; est-ce le moment d'évoquer Karl Popper et Thomas Kuhn sur l'impossibilité de falsifiabilité des hypothèses ?]. L’échantillon doit être prélevé à la fois au fond de la gorge et au nez. Placez l'écouvillon au fond de votre gorge puis dans votre nez avant de le placer dans le tube à essai.
Si le test rapide est négatif mais que vous présentez des symptômes persistants, cela peut être une bonne idée de tester plusieurs jours de suite pour voir si vous avez toujours un test corona positif [il n'y a pas besoin de traiter, dit le bon" Professeur de base Recherche médicale »(c'est son titre de poste); De plus, c'est maintenant la troisième déclaration concernant le test que fait le professeur Spurkland : ce sont les symptômes qui comptent, pas le test positif ou négatif ; Je suppose que nous pouvons également choisir l'une des réponses ci-dessus].
RépondreSupprimerMais la question est aussi de savoir si les variantes du coronavirus sont tout aussi bien détectées par les tests rapides [oh, le professeur Spurkland a noté la question, tant mieux pour M. Rypdal, je suppose]. Je n'ai vu aucune critique directe des dernières variantes, mais les variantes précédentes ont été détectées par les tests rapides [oopsie, je me suis excité trop tôt ; Ainsi, le pauvre M. Rypdal n'a jamais obtenu de réponse, mais au moins nous avons vu le professeur Spurkland commettre une grave erreur intellectuelle et morale (même si on peut se demander si elle l'a remarqué)].
C'était très douloureux, n'est-ce pas ? Mais les choses ont rapidement empiré, bien pire, et nous passerons en revue trois autres questions et réponses ci-dessous. Si vous continuez à lire, vous pourriez toujours attraper le Corona, mais au moins vous verrez aussi avec quelle force le « Covid » attaque le cerveau des bureaucrates et des experts de la santé™.
Bente H. : Pourquoi le vaccin n'est-il pas recommandé à tous les groupes alors que l'on sait trop peu de choses sur le risque de dommages dus à des infections répétées ? [Tout ce que je peux dire, c'est : parlez pour vous-même ; J’ai été testé positif (quoi que cela signifie) pour « Covid » une fois et je n’ai même pas eu de rhume depuis 2019…] Le vaccin est connu pour réduire le risque de maladie Long Covid et on sait que l’effet du vaccin s’estompe . Une nouvelle dose est recommandée pour réduire le risque pour les groupes vulnérables, mais pas pour réduire le risque de Long Covid. Pourquoi n’y a-t-il aucune inquiétude concernant le Long Covid ?
Gunnveig Grødeland *Expert : Il existe une possibilité d'effets secondaires avec toutes les vaccinations, et le bénéfice attendu doit être mis en balance avec les effets secondaires possibles [oh, regardez, le professeur Grødeland est revenu à la réalité]. Ce que nous savons des vaccinations [ sic , si nécessaire, relisez la question de Bente sur "l'effet décroissant", c'est-à-dire, il s'agit de la signification du mot "immunisation"] et du Long Covid, c'est que jusqu'à 3 doses réduisent la probabilité d'obtenir malade à cause de ça [Long Covid, ndlr]. Nous ne savons pas si l’augmentation des doses fait une différence, et nous ne savons pas si la vaccination après l’infection fait une différence [oh, signes et prodiges, nous ne savons pas ; que savons-nous ?] Nous savons également que la probabilité de contracter le Long Covid est plus faible maintenant qu’avant [parce que… pratiquement tout le monde a eu l’« infection » contre laquelle les vaccins sont censés protéger, n’est-ce pas ? En parlant de raisonnement circulaire (sic), notez la phrase suivante]. Quand vous écrivez que l’ effet du vaccin s’estompe , ce n’est pas tout à fait vrai. C'est vrai pour les personnes de plus de 65 ans car le système immunitaire a alors une capacité moindre à réaliser de bonnes réactions de défense [c'est juste stupide d'avoir plus de 65 ans, dit-elle]. Pour les personnes en bonne santé de moins de 65 ans, on sait que la protection développée après la vaccination de base contre les maladies graves dure longtemps et que cette protection est maintenue même en cas d'infection par le virus [encore ces absurdités sur « l'immunité hybride », que le Étude menée au Qatar par Altarawhneh et al. (NEJM 2022, 387 :21-34, doi : 10.1056/NEJMoa2203965) a essentiellement réfuté ; voir aussi ici ]. Il n’est donc pas clair si les adultes en bonne santé de moins de 65 ans bénéficient d’une protection particulièrement accrue contre des doses multiples [et c’est parti : le professeur Grødeland est pro-vaxx jusqu’à ce que l’eau devienne trop chaude]. Je pense qu'il est tout à fait justifié que le Folkehelseinstituttet ne recommande pas de rappels de vaccination aux personnes en bonne santé de moins de 65 ans .
RépondreSupprimerNous avons donc vu que le deuxième « Expert™ » fonctionne tout aussi mal que le premier. Malheureusement, nous devons continuer à lire...
Cela a été douloureux à bien des égards, mais nous devons aller de l’avant.
RépondreSupprimerAmalie : Je suis une femme de 32 ans qui n'est pas vaccinée [bravo à toi d'avoir eu le courage de demander ; as-tu perdu la tête parce que tu fais toujours confiance à ces "Experts™" ?] , j'ai eu le Covid deux fois (peut-être plus ? Certainement mais très léger). Que me conseille le Folkehelseinstituttet (il n'y a rien sur leur site internet sur les personnes non vaccinées en dehors du groupe à risque) ?
Et que me conseillez-vous :) dois-je me faire vacciner maintenant ?
Anne Spurkland *Expert : Le but d'une vaccination est de préparer l'organisme à une éventuelle infection. Puisque vous n'avez pas encore été vacciné, mais que vous n'êtes pas préparé à affronter le coronavirus (et que vous avez contracté le Covid deux fois), il n'y a aucune raison de vous vacciner maintenant .
Vous faites partie du groupe à risque et avez moins de 65 ans. La vaccination n'est donc de toute façon pas recommandée pour le groupe auquel vous appartenez.
Ceci est clairement expliqué sur les pages de vaccination contre le coronavirus du Folkehelseinstituttet .
Cela clarifie à peu près cette question, n'est-ce pas ?
Je proposerai deux autres combinaisons questions-réponses de ce type, la suivante principalement parce qu'elle concerne les universités (américaines, mais aussi autres) qui imposent toujours (!!!) une autre injection contre le Covid, ce qui inquiète un jeune homme d'une vingtaine d'années :
Henrik F. : Je pars aux USA pour un séjour plus long et l'université [ sic ] me demande de me faire une troisième vaccination contre le Covid. Il existe plusieurs façons de refuser le vaccin, mais celle-ci me semble un peu dure. Sinon, je suis dans la vingtaine et en bonne santé. Recommanderiez-vous ou non la troisième vaccination ? Si oui, pourquoi (pas) ?
Gunnveig Grødeland *Expert : Je ne vois pas de bons arguments biologiques en faveur d'une troisième dose de vaccin, mais je serais probablement moi-même assez pragmatique pour penser qu'il est plus facile de prendre la troisième dose que d'essayer d'entrer à l'université pour discuter avec les USA :-) [Merci d'avoir précisé pour une fois qu'une troisième vaccination n'est ni nécessaire ni indiquée, mais que vous préféreriez vous faire vacciner « plutôt que d'essayer de discuter avec l'université » : la question et la réponse sont toutes deux c'est pour le moins idiot, surtout compte tenu de ce qui suit l'emoji mal placé.] L'argument contre la vaccination est que vous faites partie du groupe le plus susceptible de développer une péricardite ou une myocardite après la vaccination [êtes-vous sûr que c'est plus "pragmatique" de simplement retrousser votre manche ?] L'argument en faveur de la vaccination est que vous êtes protégé contre une maladie grave, mais vous êtes probablement déjà protégé après une primo-vaccination et une infection (que la plupart d'entre nous ont subie au moins quelques fois) [comme je l'ai dit, parlez pour vous-même ; J’ai « été testé » positif pour n’importe quoi une fois et c’était tout : l’immunité naturelle gagne à nouveau].
RépondreSupprimerQuant à la dernière question et réponse, vous verrez par vous-même (en supposant qu'au moins un de vos yeux fonctionne encore dans ce pays des aveugles et des stupides) :
Nina T. : Je me suis fait vacciner trois fois et j'ai été infectée trois fois depuis. De plus, j’ai maintenant Long Covid. Alors le vaccin ne m'affectera-t-il pas ? Et : dois-je (ne pas) prendre une autre dose maintenant ?
Gunnveig Grødeland *Expert : Les vaccins n'ont pas d'influence particulière sur le fait que vous soyez infecté ou non [c'est en fait vrai : ils ne préviennent ni l'infection ni la transmission]. En effet, il existe une différence entre la variante du virus sur laquelle le vaccin est basé et les variantes qui circulent dans la société [ce n’est pas vrai, d’autant plus que cela implique beaucoup de choses, par exemple, comment l’« ancienne » vaccination originale peut-elle encore protéger contre quoi ? circule maintenant ?]. L’argument le plus important en faveur de la vaccination est qu’elle offre une très bonne protection contre les maladies graves [apparemment, le professeur Grødeland n’a pas compris qu’il s’agissait d’une vaccination. Grødeland n'a apparemment pas compris ce que Nina T. a écrit : 3 vaccinations, 3 fois Covid-19 plus Long Covid : ces trois vaccinations ont accompli beaucoup], et c'est ce qu'elles font lorsqu'il y a différentes variantes. Si vous avez plus de 65 ans, je vous recommanderais certainement de prendre une autre dose [les effets secondaires peuvent inclure votre contribution particulière à la durabilité des plans de retraite de tous les autres]. Vous écrivez que vous avez le Long Covid, et nous savons que la probabilité de l’attraper est plus faible si vous avez reçu la primo-vaccination [mais Nina T. a également reçu une « vaccination de rappel »], et nous savons aussi que les virus qui circulent actuellement sont moins susceptible de provoquer le Long Covid que les variantes précédentes (par exemple Delta) [d'ailleurs, Nina T. a toujours le Long Covid : qu'en dites-vous , Prof. ?]. Cependant, nous ne savons pas si des doses supplémentaires au-delà de la vaccination de base ont un effet sur le Long Covid [évidemment pas, sinon Nina T. n'aurait pas le Long Covid, n'est-ce pas ?]
Considérations explicatives
RépondreSupprimerAussi douloureux que cela puisse paraître, en particulier pour les personnes concernées, les « experts™ » sont tous confrontés à de multiples conflits d’intérêts.
Imaginez le scénario suivant (fictif bien sûr) : un homme politique décide d'un investissement public, par exemple dans des autoroutes ou un parc éolien. Le mari ou le partenaire de l'homme politique fait un investissement surprise dans un entrepreneur particulier avant que la décision politique ne soit annoncée et en retire un « profit ». (Si certains Norvégiens lisent ce « scénario », je ne pense bien sûr pas à l’ancienne Première ministre Erna Solberg et à son mari… pour tous ceux qui ne viennent pas de Norvège, permettez-moi de dire ceci : Mme Solberg a été « évincée » au printemps. dans le cadre d'une enquête parlementaire "car son mari - avec qui elle affirme n'en avoir "jamais parlé" - a fait fortune en bourse, l'accusation absurde étant de "délit d'initié").
Nous n'accepterions pas cela dans le cas de politiciens, d'entrepreneurs, d'investisseurs ou, pour prendre un exemple approprié de l'enseignement supérieur, de professeurs qui transmettent à l'un ou l'autre étudiant les questions d'examen avant l'examen.
Pourquoi interrogeons-nous des « Experts™ » ayant des intérêts particuliers – comme le professeur Grødeland, développeur de vaccins – sur les avantages des vaccins ?
Pourquoi demandons-nous aux membres du National Infection Control Panel – comme le professeur Klein – leur avis sur les mesures de santé publique telles que les vaccinations de rappel ?
Je veux dire, nous n'interrogerions sûrement pas, disons, le secrétaire à la Défense sur les systèmes d'armes fournis par des fabricants de défense qui emploient également la fille du secrétaire à la Défense (pour utiliser, bien sûr, une comparaison hypothétique) ?
Si M. Wilthil était quelqu’un qui faisait ses devoirs, il saurait par exemple que l’Institut allemand Robert Koch a déclaré par écrit que « la grippe est plus dangereuse que le Covid » parce qu’elle « tue plus de gens ».
Alors pourquoi est-ce que je lis encore ces articles et vous les propose ? Principalement pour documenter la fraude (« conserver les reçus »), mais aussi parce que ces questions, aussi tristes et déchirantes soient-elles (et aussi peu judicieuses et intellectuellement malhonnêtes que soient les réponses), montrent aussi à quel point « les experts sont minutieux ». ™» a réussi à laver le cerveau de la population.
Il est intéressant de noter que les plus de 65 ans ont une vision plus claire de cette débâcle que leurs homologues plus jeunes lorsqu’on considère la vaccination des « personnes âgées » : la vaccination est passée de plus de 3 millions de vaccinations en 2021 à un peu plus d’un million par an en 2023. Je soupçonne que cela est dû au fait que les personnes âgées, en particulier celles des maisons de retraite, voient leurs concitoyens tomber malades et mourir peu de temps après la dernière vaccination.
RépondreSupprimerD’autant plus inquiétantes et révélatrices d’une dissonance cognitive considérable sont les questions posées par les jeunes, vaccinés et non vaccinés, qui démontrent également l’incapacité acquise, notamment des « jeunes », à faire la distinction entre glace et bêtises.
Alors si vous préférez la seconde solution à la première, allez-y, mais ne vous plaignez pas.
Malheureusement, puisque « les jeunes » sont « notre avenir », cela ne se terminera pas bien.
Soupir.
L' original en anglais peut être trouvé ici sur mon Substack – où vous pouvez également trouver plein d'« autres » choses . La traduction en allemand a été réalisée par l'auteur.
https://tkp.at/2024/08/27/taeglich-gruesst-der-impfstahlhelm-oder-neues-zu-c-impfung-aus-norwegen/
Covid-19 : Mark Zuckerberg révèle que l’administration Biden a fait pression sur Meta (Facebook) pour censurer des contenus
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 27 août 2024 - 22:51
Le vent tourne, et les langues se délient de plus en plus. Presque deux ans après les révélations des Twitter Files sur le rôle joué par le gouvernement américain et les agences de renseignement sur l’ancienne équipe de modération de la désormais plateforme X, le groupe Meta à travers Zuckerberg révèle, à son tour, les pressions exercées pour censurer le contenu des utilisateurs. Dans une lettre transmise à une commission parlementaire, le patron de la firme, Mark Zuckerberg de plus en plus sous pression, affirme que l’administration Biden et le FBI ont fait pression “pendant des mois” sur ses équipes pour censurer les contenus, “parfois de l’humour et de la satire”, liés à la pandémie de COVID-19 ou à l’affaire du laptop de Hunter Biden.
Dans sa lettre, diffusée lundi 26 août 2024, le patron de Meta, maison-mère de Facebook, Instagram, Thread et WhatsApp, mis à mal ces derniers temps, a profité de “l’opportunité” que lui offrait l’enquête d’une commission sur la modération de contenus sur les réseaux sociaux pour décrire, cette fois-ci sans fard, le comportement “inapproprié” du gouvernement, particulièrement l’administration Biden et la Maison Blanche, pendant la pandémie de COVID-19.
Des pressions “inappropriées” de l’administration Biden
“En 2021, des hauts responsables de l'administration Biden, y compris la Maison Blanche, ont exercé une pression continue sur nos équipes, et ce pendant des mois, pour censurer certains contenus liés au COVID-19, y compris de l'humour et de la satire”, a-t-il révélé. Mark Zuckerberg souligne que ces dirigeants “ont exprimé beaucoup de frustration concernant nos équipes lorsque nous n'avons pas été d'accord” pour que nous cédions à cette pression, qui était, selon ses termes, “inappropriée”. “Je regrette que nous n'ayons pas été plus fermes à ce sujet”, a-t-il déploré, reconnaissant avoir cédé.
“En fin de compte, c'était à nous de décider de supprimer ou non le contenu, et nous assumons nos décisions, y compris les changements liés au 'COVID-19' que nous avons apportés à notre modération sous l'effet de cette pression”, écrit-il aux représentants de la commission. Dans sa lettre, il fait part enfin de son regret d’avoir pris “certaines décisions que, avec le recul et de nouvelles informations, nous ne prendrions pas aujourd'hui”.
La pandémie de COVID n’était pas le seul sujet qui “fâchait” l’administration Biden ou les agences de renseignement, particulièrement le FBI, comme le démontraient déjà les Twitter Files. “Le FBI nous a avertis d'une possible opération de désinformation russe concernant la famille Biden et Burisma avant l'élection de 2020”, révèle-t-il encore. “Cet automne-là, lorsque nous avons vu un article du New York Post rapportant des allégations de corruption impliquant la famille de Joe Biden, alors candidat démocrate à la présidence, nous avons envoyé cet article aux vérificateurs de faits pour qu'il soit examiné et l'avons temporairement rétrogradé en attendant une réponse”, reconnaît Mark Zuckerberg.
RépondreSupprimerCet article a donné naissance à l’affaire du laptop Hunter Biden, le fils du président américain, déclenchant une controverse majeure, mettant en question l'intégrité de Joe Biden et soulevant des interrogations sur de potentiels conflits d'intérêts. Le milliardaire et fondateur de Facebook admet alors qu’il “est depuis apparu que ce reportage n'était pas de la désinformation russe, et rétrospectivement, nous n'aurions pas dû rétrograder cet article. Nous avons modifié nos politiques et nos processus pour que cela ne se reproduise plus, par exemple, nous ne rétrogradons plus temporairement des contenus aux États-Unis en attendant les résultats des vérifications”. Mais le mal est fait, sans qu’aucun retour en arrière ni démenti n’aient été effectués sur les réseaux.
Le vent tourne mais la Maison Blanche se défend, mais Zuckerberg serait “prêt à résister”
Il a ainsi affirmé que lui et son équipe étaient “prêts à résister” si de nouvelles pressions survenaient. “Comme je l'avais dit à nos équipes à l'époque, je suis convaincu que nous ne devrions pas compromettre nos normes de contenu en raison de pressions provenant d'une quelconque administration”. “Nos plateformes, rappelle-t-il au début de sa lettre, sont accessibles à tous. Nous promouvons la liberté d'expression et aidons les gens à se connecter de manière sûre et sécurisée”.
Cette lettre intervient à deux mois des présidentielles américaines du 05 novembre, qui opposeront le républicain Donald Trump, ancien président, à Kamala Harris, vice-présidente de Joe Biden et sa remplaçante dans cette course à la Maison Blanche après son retrait. A propos des élections, Mark Zuckerberg affirme que son “objectif est d'être “neutre” et de ne pas jouer un rôle d'une manière ou d'une autre - ou même de sembler jouer un rôle”.
RépondreSupprimerLa Maison Blanche a réagi à sa lettre, rétorquant que “sa position avait été claire et constante”. “Nous pensons que les groupes de la tech et les autres acteurs privés doivent prendre en compte les conséquences de leurs actions sur le peuple américain, tout en faisant des choix de manière indépendante sur l’information qu’ils diffusent”, a indiqué un porte-parole du gouvernement américain dans un court communiqué.
Les révélations de Zuckerberg viennent corroborer les informations dévoilées par Elon Musk peu après son rachat de Twitter fin 2022. Des documents liés à l’ancienne équipe de modération ont dévoilé les coulisses de celle-ci et de ses décisions, aussi bien sur l’affaire du laptop de Hunter Biden que sur la pandémie de Covid-19. Les “Twitter Files” ont aussi dévoilé les pratiques de Twitter, comme les filtres de visibilité, le shadow banning et la censure, le tout, sur pression du gouvernement et des agences de renseignement.
Il semblerait qu’au pays de 'l’oncle Sam', le quartet Trump, Kennedy, Musk, Carlson, déclenchent des remords.
https://www.francesoir.fr/politique-monde/covid-19-mark-zuckerberg-revele-que-l-administration-biden-fait-pression-sur-meta
L’amusante « étude » que les journalistes n’ont pas su lire 4635 jeunes patients hospitalisés pour myocardite , 20% moins d’un mois après l’injection . Ils parlent de bénéfice risque…
RépondreSupprimerle 27 août 2024
par pgibertie
Les journalistes ne savent pas lire et la bande d’Epiphare vient de publier des statistiques à partir de classements débiles. Vous pouvez avoir été vacciné, vous chopper la covid 15 jours après et une myocardite en plus , votre cas sera présenté comme celui d’un non vacciné victime de la covid qui n’ a pas compris le bénéfice du vaccin..
Combien de jeunes ont été frappés d’une myocardite après s’être fait injecter l’ARNm, alors que la covid ne représentait pas de danger?
Epi Phare produit des statistiques qu’il faut lire avec prudence et vous allez une fois de plus le constater
.https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2822933
Les individus ont été classés comme souffrant de myocardite post-vaccinale (dans les 7 jours suivant le vaccin à ARNm contre la COVID-19), de myocardite post-COVID-19 (dans les 30 jours suivant l’infection par le SRAS-CoV-2) ou de myocardite conventionnelle.
Les journalistes se gargarisent en évoquant une étude affirmant qu’une myocardite se déclarant 8 jours après la vaccination ne peut pas être due à la vaccination..……………….
Ecoutez la suite; les média parlent des non vaccinés qui auraient eu une myocardite après la covid et qui serait plus grave: faux! Il peut s’agir de VACCINES:
Les personnes admises à l’hôpital pour une myocardite dans les 30 jours suivant l’infection par le SRAS-CoV-2 et qui n’ont pas reçu de vaccination à ARNm dans les 7 jours précédents ont été classées comme ayant une myocardite post-COVID-19
Convenons en, le classement est idiot; les effets secondaires ne s’arrêtent pas sept jours après l’injection et considérer que ceux qui ont fait une myocardite une semaine après la vaccination ne sont pas victime du vaccin est stupide .
Sur les 4635 malades en dix huit mois, combien de victimes des vaccins? Bien plus que 12%
Le diable se cache dans les détails:
Ils sont 902 à avoir déclaré la maladie moins d’un mois après la vaccination contre 298 dans le mois qui a suivi l’infection à la covid
Myocardite moins dangereuse que la conventionnelle, disent les média. Au cours des 18 mois on compte 0,6% de décès et 14% de ré hospitalisations contre 19% de ré hospitalisation et 1,3% de décès pour les myocardites déclarées plus d’un mois après la vaccination
54 personnes sont décédées de myocardites, 4 vaccinés ou pas après l’avoir contractée après un covid. ,5 après l’avoir contracté dans le mois qui a suivi l’injection
RépondreSupprimer- voir doc sur site :
https://pgibertie.com/2024/08/27/lamusante-etude-que-les-journalistes-nont-pas-su-lire-4635-jeunes-patients-hospitalises-pour-myocardite-20-moins-dun-mois-apres-linjection-ils-parlent-de-benefice-risqu/
L'OMS lance une stratégie mondiale contre la variole du singe, qui comprend des vaccinations stratégiques
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 28 AOÛT 2024 - 09:30
Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) lance une stratégie mondiale pour stopper la transmission de la variole du singe, autrefois appelée variole du singe. Le plan, annoncé le 26 août, comprendra une campagne de « vaccination stratégique ».
L'agence de santé des Nations Unies, qui a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale il y a deux semaines, a déclaré que le plan durera six mois - de septembre 2024 à février 2025 - et recevra un financement de 135 millions de dollars.
Les efforts de « vaccination stratégique » cibleront les personnes les plus à risque, telles que « les contacts étroits des cas récents et les professionnels de santé, pour interrompre les chaînes de transmission », a déclaré l'agence.
Le plan de l'OMS se concentrera sur « la mise en œuvre de stratégies complètes de surveillance, de prévention, de préparation et de réponse ; l'avancement de la recherche et l'accès équitable aux contre-mesures médicales comme les tests de diagnostic et les vaccins ; la minimisation de la transmission de l'animal à l'homme ; et donner aux communautés les moyens de participer activement à la prévention et au contrôle des épidémies », selon un communiqué.
Les responsables affirment qu'une sous-variante du virus a suscité des inquiétudes à l'échelle mondiale car elle semble se propager plus facilement par contact étroit de routine.
Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré dans le communiqué du 26 août que l'épidémie de mpox, qui a débuté en République démocratique du Congo, « peut être contrôlée et peut être stoppée ».
« Cela nécessite un plan d'action complet et coordonné entre les agences internationales et les partenaires nationaux et locaux, la société civile, les chercheurs et les fabricants, et nos États membres », a-t-il déclaré.
Plus de cas confirmés hors d'Afrique
RépondreSupprimerLes Philippines ont confirmé deux autres infections au virus mpox de la variété Clade II plus bénigne, a déclaré son ministère de la Santé le 26 août, portant le nombre de cas actifs à trois.
« Nous continuons à observer une transmission locale du mpox Clade II ici aux Philippines, en particulier dans la métropole de Manille », a déclaré le secrétaire à la Santé Teodoro Herbosa dans un communiqué.
Il a ajouté que les nouveaux cas confirmés étaient un homme de 37 ans de la métropole de Manille qui avait une éruption cutanée sur le corps et a été amené dans un hôpital public et un homme de 32 ans de la capitale qui avait des lésions sur la peau.
Les Philippines ont annoncé la semaine dernière avoir détecté un cas de la variante plus légère du virus mpox chez un homme de 33 ans qui n'avait pas voyagé en dehors des Philippines.
Les Philippines ont enregistré 12 cas confirmés en laboratoire depuis juillet 2022. Au début du mois, l'Organisation mondiale de la santé a déclaré le mpox comme une urgence de santé publique mondiale, sa forme d'alerte la plus élevée, pour la deuxième fois en deux ans, en raison d'une épidémie en République démocratique du Congo qui s'est propagée aux pays voisins.
Depuis janvier 2023, la République démocratique du Congo a signalé plus de 27 000 cas suspects de mpox et plus de 1 300 décès.
La maladie entraîne des symptômes pseudo-grippaux et des lésions remplies de pus. Elle est généralement bénigne mais peut être mortelle. Les enfants, les femmes enceintes et les personnes dont le système immunitaire est affaibli, comme les personnes atteintes du VIH, présentent tous un risque plus élevé de complications.
D’autres pays en dehors du continent africain ont confirmé des cas de mpox ces derniers jours, notamment la Suède et la Thaïlande.
« Nous avons également eu confirmation cet après-midi que nous avons un cas en Suède du type le plus grave de mpox, celui appelé Clade I », a déclaré le ministre suédois des Affaires sociales et de la Santé publique, Jakob Forssmed, lors d’une conférence de presse à l’époque.
RépondreSupprimerPas de confinement
Plus tôt en août, un responsable de l’OMS a souligné que le mpox n’entraînerait pas de confinements ou de fermetures ni ne restreindrait d’autres activités.
« Allons-nous nous confiner dans la région européenne de l’OMS, c’est un autre COVID-19 ? La réponse est clairement : « non », a déclaré Hans Kluge, directeur régional de l’OMS pour l’Europe, quelques jours après la publication de la déclaration de l’OMS.
« Il y a deux ans, nous avons contrôlé le mpox en Europe grâce à l’engagement direct avec les communautés les plus touchées d’hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. »
Dans une mise à jour publiée à la même période, les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies ont déclaré que le mpox présentait actuellement un faible risque pour les États-Unis et qu'aucun cas de mpox Clade I n'avait été détecté dans le pays.
Reuters a contribué à ce rapport.
https://www.zerohedge.com/medical/who-launches-global-monkeypox-strategy-including-strategic-vaccinations
C'est fini les bonbons ! Un piqué = un mort. Mais rassurez-vous, les inoculés seront vite remplacés par des 'réfugiés climatiques' ! Ouf !
SupprimerLes 8 personnes les plus âgées du monde sont toutes des femmes
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 28 AOÛT 2024 - 12:55
L'homme le plus âgé du monde, John Alfred Tinniswood, fête aujourd'hui ses 112 ans dans sa maison de retraite de Merseyside, au Royaume-Uni.
Le supercentenaire attribue sa longue vie à la « chance » et dit qu'il ne suit aucun régime particulier, mais qu'il mange du fish and chips le vendredi.
Tinniswood, qui a vécu assez longtemps pour voir 24 premiers ministres britanniques en fonction, est devenu l'homme le plus âgé dont l'âge est validé dans le monde après le décès de Shi Ping, un Chinois de 112 ans, en juin.
Comme le montre Anna Fleck de Statista dans le graphique suivant, les huit personnes les plus âgées du monde sont toutes des femmes.
- voir graph sur site -
Infographie : Les personnes les plus âgées du monde | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La Japonaise Tomiko Itooka est en tête de liste, âgée de 116 ans et 95 jours.
Elle est rejointe par deux autres Japonaises, Okagi Hayashi (114 ans et 359 jours) et Hisako Shiroishi (114 ans et 99 jours).
Toutes les entrées ont été validées par le Gerontology Research Group.
Ces « supercentenaires » ont-elles des conseils pour vivre aussi longtemps ? Emma Morano, née en 1899 et décédée en 2017 à l'âge de 117 ans, était considérée comme la dernière personne vivante à avoir vécu trois siècles différents. L'Italienne aurait attribué sa longue vie au fait qu'elle avait quitté son mari en 1938 et qu'elle avait consommé deux œufs crus et un peu de viande hachée crue chaque jour.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/8-oldest-people-world-are-all-women
Le bananier a déjà été reconfiguré une fois. Il est à nouveau en difficulté.
RépondreSupprimer26 Août 2024
Tim Durham, AGDAILY*
Nous sous-estimons grandement les contributions des autres dans le melting-pot mondial. Il est clair que l'Amérique n'est pas la seule concernée. Après tout, J.K. Rowling (une Britannique) nous a apporté l'enchantement de Harry Potter, l'Australie est à jamais associée aux exploits de Steve Irwin et le Japon a généralisé le style des dessins animés.
Du côté de l'agriculture, la biologie se mêle à la culture, résultat de divers « échanges » de plantes cultivées entre l'Ancien et le Nouveau Monde. Prenons l'exemple de l'omniprésence des bananes. Il s'agit d'un phénomène mondial, d'une étude de cas inégalée en matière de diffusion culturelle.
La façon dont cette modeste culture s'est insinuée sans effort dans une variété de cultures – toutes avec leurs propres caractéristiques – est stupéfiante !
Voici un petit détail sur cette plante originaire d'Asie et d'Australie : c'est la plus grande herbe du monde (il n'y a pas un gramme de bois véritable dans son « tronc »). D'un point de vue botanique, le fruit est également une baie.
Nous nous réjouissons de l'utilisation de la banane en tant que garniture à la mode et fonctionnelle : une garniture sur les corn flakes du matin, ou trois boules de glace délimitées par deux plaques de chair jaune dans le sens de la longueur, c'est-à-dire l'emblématique banana split. Lorsqu'elles ont dépassé leur date de péremption, les bananes peuvent même être transformées en pain – ou peut-être que les smoothies ou les daquiris sont plus à votre goût.
Malgré la reconnaissance de son nom, la banane tant vantée est, ironiquement, dans le pétrin.
La grande majorité des bananes destinées à l'exportation sont d'une seule variété : la Cavendish. Elle présente un ensemble de caractéristiques intéressantes – sans graines, goût excellent, résistance à l'expédition – à l'exception d'une seule : sa vulnérabilité dévastatrice à la maladie de Panama, causée par le champignon Fusarium oxysporum f.sp. cubense (Foc). Plus précisément, la race tropicale 4 (TR4). Cette maladie bouche le système vasculaire de la plante, ce qui entraîne un noircissement et un colmatage caractéristiques des tiges lorsqu'on les coupe et qu'on les observe en coupe transversale.
Alors, quel est le problème ? Étalez le fruit dans le sens de la longueur et inspectez-le. Vous constaterez qu'il est dépourvu de graines, à l'exception de quelques minuscules graines avortées de la taille d'une graine de pavot. D'un point de vue marketing, c'est l'idéal. D'un point de vue générationnel, nous avons été conditionnés à ne pas associer « banane » et « pépins » dans le même souffle. Mais d'un point de vue biologique, c'est un talon d'Achille. Pas de graines, pas de reproduction sexuée. Un goulet d'étranglement génétique – une diversité génétique nulle. La multiplication végétative, asexuée, est le seul salut. Toutes les Cavendish sont des clones, et sont maudites avec la même susceptibilité.
RépondreSupprimerMais la Cavendish est techniquement la « version 2.0 ». Ce n'est pas la première fois que le bananier est voué à l'obsolescence. La version 1.0 (Gros Michel ou Big Mike) a déjà été reléguée dans les livres d'histoire il y a environ 60 ans. C'était dû à la même maladie, mais à une souche différente (TR1).
Les scientifiques sont donc retournés à la planche à dessin et ont développé la Cavendish.
Avez-vous déjà remarqué que le bonbon à la banane n'est qu'une pâle copie de la Cavendish ? Vos papilles gustatives ne sont pas dans un mauvais alignement. L'ingrédient actif du bonbon a été synthétisé à partir de la chimie de la Gros Michel. Cette approximation a résisté à l'épreuve du temps. Bien que la variété Gros Michel soit toujours cultivée à petite échelle, dans des poches isolées, elle est à jamais reléguée au statut de niche/curiosité. Il est intéressant de noter que la Gros Michel était encore mieux adaptée à l'expédition que la Cavendish.
Aujourd'hui, avec la Cavendish, nous assistons à une récurrence. Dans une course aux armements, la nature trouve toujours un moyen d'évoluer. Ce qui était à l'origine une souche à « rupture de résistance » s'est progressivement imposé dans la plupart des points chauds de la culture mondiale de la banane. Un certain nombre de facteurs exacerbent la tendance aux épidémies : l'uniformité génétique, la production à grande échelle, le commerce mondial, la durée de vie des champignons (plusieurs dizaines d'années) et l'absence de protecteurs efficaces ou leur accessibilité financière problématique. Ces facteurs ne peuvent généralement pas être maîtrisés sans déclencher une guerre commerciale ou compromettre la rentabilité.
En résumé, le champignon 4.0 remet en question la viabilité du bananier 2.0. Il a toujours une longueur d'avance. Quelle est donc la solution ? Faut-il un bananier 3.0 ? Ou un 2.5 pourrait-il faire l'affaire ?
RépondreSupprimerÀ mon avis, il n'est pas nécessaire de repartir de zéro. Le modèle existe, mais des ajustements progressifs sont nécessaires. Les nouvelles techniques de sélection, y compris l'édition de gènes et la biotechnologie, entrent en jeu.
On dit toujours que la résistance robuste est le point zéro de tout programme de gestion des maladies. Cela vaut pour les adeptes de l'agriculture biologique comme pour ceux de l'agriculture conventionnelle.
Si c'est le cas, pourquoi sommes-nous (encore) en train d'ergoter sur le terme « naturel » ? Le naturel est-il synonyme de fidélité ? Ceux qui dépendent de la banane comme aliment de base se soucient-ils de la manière dont la résistance est conçue/imposée si leur sécurité alimentaire et leurs moyens de subsistance sont en danger ?
Il est important de rappeler que les bananes sont riches en vitamines et nutriments (A, B6, C, potassium, phosphore et calcium) et en fibres. Elles auraient également des vertus médicinales, améliorant le taux de cholestérol et la tension artérielle. En outre, les composés semblables à la sérotonine contenus dans les racines et le magnésium contenu dans les fleurs ont manifestement des propriétés antidépressives. Il s'agit là d'une manne potentielle à explorer, à condition de mobiliser les ressources nécessaires et de renoncer aux cris incessants (et sans fondement) contre les « OGM ».
L'épissage d'un gène d'un bananier apparenté confère une résistance. Est-il suffisamment proche génétiquement pour apaiser les cyniques ? Une autre approche consiste à réduire au silence des gènes fongiques spécifiques (du côté de la plante) afin que la maladie ne puisse pas se développer. En gros, la plante se présente comme un hôte distant et incompatible. Aux Philippines, une banane génétiquement éditée, qui ne brunit pas, a récemment été approuvée par les autorités de réglementation. Il se trouve qu'elle présente également une résistance.
Pour une résistance maximale, pourquoi ne pas combiner toutes ces approches ? Tant que nous y sommes, améliorons le profil nutritionnel (nutraceutique). Il s'agit d'un produit final et non de résultats basés sur des processus. Au niveau national, il s'agit de convaincre les régulateurs de ne pas capituler devant les opposants les plus virulents (fixés sur le problème). Un encadrement, une présentation et des négociations appropriés doivent ensuite être diffusés au-delà des frontières pour permettre le libre-échange des innovations opportunes.
RépondreSupprimerJ'espère que cette éthique pourra favoriser la « version 2.5 » du bananier. Sinon, c'est le retour à la planche à dessin, comme l'exige la sélection naturelle.
Il y a une complication supplémentaire. Un autre champignon – un nouveau venu nommé Black Sigatoka – est en train de grimper dans la hiérarchie des maladies. Il est temps que des entreprises transnationales, de préférence du domaine public, réprimandent vigoureusement leurs détracteurs.
______________
* La famille de Tim Durham exploite Deer Run Farm, une ferme maraîchère à Long Island, dans l'État de New York. En tant que défenseur de l'agriculture, il oppose des faits sensés à la rhétorique enflammée. Tim est diplômé en médecine des plantes et professeur associé au Ferrum College en Virginie.
Source : The banana has been revamped once before. It's in trouble again (agdaily.com)
https://seppi.over-blog.com/2024/08/le-bananier-a-deja-ete-reconfigure-une-fois.il-est-a-nouveau-en-difficulte.html
Les bananiers se reproduisent par 'rejets'. Ce sont de tout petits plants qui sortent de terre à quelques centimètres du pied-mère. Ils sont alors séparés (à hauteur de 50 cm env.) de leur pied de naissance par un tranchoir à la verticale. Ces nouveaux plants de bananiers sont plantés à 1 m et grandissent pour donner des régimes de bananes suivant les pluies.
SupprimerLes régimes de bananes naissent grâce à la pluies (et non seulement à l'eau d'arrosage au pied). Le bananier qui monte présente un pointu, cette pointe développée va former un tuyau de 80 cm environ. (Ce tube s'ouvrira ensuite pour présenter une feuille qui à la naissance présente une pointu qui deviendra tube, etc). Si ce tuyau (ouvert pendant 24 h env.) reçoit de l'eau la fleur va être fécondée et donner un régime. Ces tubes s'établissent à 1 m, puis à 2 m, puis à 3 m. puis le dernier à 4 m. Si ce tube reçoit de l'eau à 1 m il donne régime, sinon il devra attendre d'avoir 2 m, puis 3 m. etc.
Souvent les rejets ne sont pas séparés du pied-mère, ils subissent le parapluie du pied-mère et ne peuvent donner de régime.
C'est pourquoi c'est en régions pluvieuses (et tropicales ou équatoriales) que sont cultivés les bananiers (voir: Nord de la Martinique qui est arrosé chaque jour et chaque nuit tandis qu'au Sud de Fort-de-France il n'y a que quelques bananiers qui poussent).
Un bananier pousse très vite (9 mois) jusqu'à 4 m suivant les variétés. Il existe aussi des bananiers-nains d'1,50 m. Les bananiers peuvent atteindre 7 m. de haut (jusqu'à 15 mètres chez Musa ingens). Le 'Musa' est le nom latin du mot bananier. Il a besoin de 20°C la nuit et de 30°C le jour. Il existe des bananiers rouge aux bananes rouge (!), des bananiers aux bananes bleues fluo ou verte (!). Les feuilles demeurent vertes.
La banane est le fruit le plus consommé au monde devant le riz, blé, maïs.
Il y a entre 1000 et 1500 variétés de bananiers dans le monde.
Le bananier Musa basjoo est le plus résistant au froid (jusqu'à -15°C !)
Le bananier ne donne qu'un seul régime.
J.D. Vance et le nouveau visage de la droite américaine
RépondreSupprimerThe Conversation
26 août 2024
Le sénateur de l’Ohio J.D Vance a été choisi comme colistier de Donald Trump. Portrait d’un homme politique qui se veut l’avenir du trumpisme.
Gabriel Solans, Université Paris Cité
Le choix de J.D. Vance en tant que colistier de Donald Trump à l’élection présidentielle a suscité une attaque en règle en provenance du camp démocrate à l’égard du sénateur de l’Ohio, surtout connu jusqu’ici pour son essai à succès Hillbilly Elegy, livre de mémoires publié en 2016 où il revient sur sa famille modeste rongée par les fléaux de l’Amérique rurale blanche des Appalaches. L’ouvrage, à la tonalité conservatrice (par exemple, il attribue l’essentiel de la responsabilité pour leur triste sort aux Hillbillies eux-mêmes, présentés comme peu enclins à avoir une véritable éthique du travail), est devenu un bestseller et a été adapté en film.
Bien qu’il n’apporte pas d’idées neuves et n’a que peu de productions écrites à son actif, Vance, 39 ans, devenu sénateur de l’Ohio en 2023, occupe une place de choix au sein des réseaux qui forment une nouvelle élite conservatrice au sein du Parti républicain et autour de celui-ci.
Steve Bannon – le fameux ancien conseiller de Trump considéré par certains comme son éminence grise, ex-patron du site de droite radicale Breitbart News et figure centrale de la « nouvelle droite » américaine, qui vient de commencer à purger une peine de prison ferme pour son rôle dans l’insurrection du 6 janvier 2021 – voit en Vance « the St. Paul to Trump’s Jesus », le converti zélé devenu un apôtre. Qui est le putatif futur vice-président des États-Unis et qu’est-ce que le post-libéralisme dont il se réclame ?
Une figure de proue des « nationaux-conservateurs »
S’il y a un élément évident, c’est que la nomination de J.D. Vance approfondit la rupture de Donald Trump avec l’establishment historique du Parti républicain pour forger de manière définitive un conservatisme de style plus populiste, anti-immigration et nativiste, critiquant la mondialisation et rompant avec les héritages néolibéral en économie et néo-conservateur en politique étrangère.
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RépondreSupprimerAvec l’alliance entre Trump et Vance, on assiste à la destruction du fusionnisme, synthèse idéologique et électorale entre libertariens économiques et conservateurs sociétaux née en 1955 avec la National Review de William Buckley et qui constituait la base du Parti républicain depuis lors.
Vance est considéré comme la figure de proue en politique du mouvement des NatCons, les « nationaux-conservateurs », créé par l’intellectuel israélo-américain Yoram Hazony après la parution de son essai de 2018 intitulé The virtue of nationalism, élu livre conservateur de l’année en 2019.
Ce courant organise chaque année une grande conférence rassemblant des intellectuels occidentaux intitulée NatCons (la première ayant eu lieu en 2019) et mise sur pied par l’Edmund Burke Foundation, think tank dirigé par Yoram Hazony. Il a pour particularité d’être très ouvert aux penseurs et acteurs politiques du Vieux continent, créant des échanges intellectuels transatlantiques entre nationaux-conservateurs européens et américains.
Les intellectuels et hommes politiques illibéraux d’Europe servent ainsi d’inspiration aux conservateurs étatsuniens pour repenser la démocratie libérale étatsunienne et créer un ordre « postlibéral », ce qui constitue une rupture majeure. Les nationaux-conservateurs sont très admiratifs de Viktor Orban. Lui-même, son conseiller Balazs Orban, mais aussi Tucker Carlson ou Giorgia Meloni furent des orateurs de marque de la conférence des Natcons. Le gouverneur de Floride Ron DeSantis, qui a déclaré la guerre au wokisme, fut la star de l’édition de septembre 2022 de ce rassemblement, qui allait se tenir en 2023 à Londres, accueillant notamment la très anti-immigration Suella Braverman, Home Secretary en 2022 et 2023.
Toutes ces personnalités font partie de cercles poursuivant la « révolution » de Trump dans le rapport au monde de la droite américaine, avec notamment le think tank Claremont Institute situé en Californie. La chercheuse Maya Kandel a étudié la façon dont cette galaxie cherche à « théoriser à rebours » le trumpisme, c’est-à-dire donner une forme idéologique intellectualisée aux instincts de Donald Trump.
À la dernière conférence des NatCons en date, en juillet 2024, peu avant la tentative d’assassinat qui allait viser Trump, l’un des orateurs stars a été le conseiller immigration de Trump durant sa présidence Stephen Miller. Lors de cette édition, J.D. Vance a clamé porter un nationalisme basé sur « la terre natale, pas sur des idées », assumant un tournant nativiste et « anti-cosmopolite ».
RépondreSupprimerVance, converti au catholicisme en 2019, est également proche des intellectuels catholiques de la post-liberal right (un terme pouvant être synonyme de droite illibérale), notamment de Patrick Deneen, avec qui il a partagé une conférence en 2023, et de Rod Dreher, (aujourd’hui immigré en Hongrie, séduit par Orban).
Patrick Deneen a publié un essai au titre explicite, Regime change, où il appelle à remplacer l’ensemble des élites libérales du pays. Comptant notamment dans ses rangs Adrien Vermeule, professeur de droit constitutionnel à Harvard, cette galaxie d’intellectuels catholiques considère l’Amérique en faillite, condamnée du fait même de la formation intellectuelle des Pères Fondateurs et de l’héritage des Lumières. Vermeule va jusqu’à souhaiter la mise en place d’une théocratie catholique.
Une politique étrangère « jacksonienne » anti-interventionniste
Mais c’est la politique étrangère qui aurait servi d’élément déclencheur à la conversion de J.D. Vance au trumpisme.
Début 2023, il a publié dans le Wall Street Journal un texte d’opinion en faveur de Trump, alors que Ron DeSantis semblait, à ce moment-là, mieux placé pour décrocher l’investiture républicaine. La principale raison de ce ralliement à l’ex-président était l’isolationnisme prôné par celui-ci.
Sur la politique étrangère, Vance est dans la droite ligne des « Natcons » ainsi que du Claremont Institute, formé par des dissidents des néo-conservateurs qui refusaient l’idéalisme wilsonien en politique étrangère.
La Chine est perçue par cette mouvance, adepte d’une perspective dite « réaliste » des relations internationales, comme le seul ennemi des États-Unis, car le seul pouvant le menacer directement. Pour Trump comme pour les NatCons, les États-Unis doivent porter leurs efforts vers l’Asie et, par conséquent, se désengager de l’Europe – une politique dans la lignée du « pivot vers l’Asie » initié par Barack Obama.
RépondreSupprimerCet ensemble idéologique peut être qualifié de « jacksonien » selon la typologie établie par Walter Russell Mead des quatre types de politique étrangère aux États-Unis. Ce terme renvoie à la politique conduite par le président Andrew Jackson (1829-1837) considéré comme un modèle par Donald Trump. Le jacksonisme serait moins un repli sur soi qu’une défense musclée des intérêts directs étatsuniens, sans idéalisme et uniquement sur la base d’enjeux de puissance.
Sénateur depuis 2022, Vance s’est distingué en étant le chef de file au Sénat des Républicains souhaitant réduire l’aide à l’Ukraine, exhortant les Européens à accroître leur propre engagement.
Début 2022, peu après le début de l’invasion, devant la Heritage Foundation, il déclarait ne pas se sentir concerné par ce qui pourrait advenir de l’Ukraine et qualifiait la Chine de seul « real enemy » des États-Unis. J.D. Vance est évidemment favorable à l’aide à Israël et a accusé Biden d’avoir ralenti la victoire sur le Hamas. Son isolationnisme ne semble pas s’appliquer à Israël, tant pour des raisons religieuses que parce que, selon lui, l’alliance avec l’État hébreu serait profitable à l’Amérique, notamment pour la coopération technologique.
Des liens avec la mouvance NRx ou « droite tech »
Le parcours de Vance nous éclaire aussi sur les réseaux de la mouvance NRx, ou « néo-réactionnaire », terme généralement traduit en français par « droite tech ».
Ce courant est apparu dans les années 2000 au sein d’une fraction des élites de la Silicon Valley convaincues par les écrits du blogueur Curtis Yarvin (ou Mencius Moldbug sous pseudonyme). Vance a cité son projet consistant à pousser le spoil system (système permettant à tout nouveau président de remplacer un certain nombre de postes dans l’administration) jusqu’aux employés d’échelon moyen, quitte à aller à l’encontre de la Cour suprême. Yarvin est en effet à l’origine de l’expression aux accents libertariens RAGE (« Retire All Government Employees »). Selon sa formule, « Cthulhu only swims left », le monstre tentaculaire de Lovecraft symbolisant l’excès d’État qui pour lui conduirait structurellement à une politique de gauche.
Elon Musk et Peter Thiel sont des soutiens de ce courant aux contours flous représenté par quelques auteurs. Ils ont en commun d’être très critiques de la démocratie libérale et de prôner un retour de l’ordre (parfois jusqu’à la monarchie), et parlent à l’occasion de différences biologiques entre groupes humains et d’inégalités naturelles. Pour eux, l’association historique entre la démocratie et le libéralisme économique est une erreur créatrice d’« entropie » (de désordre) et qui doit être corrigée pour que l’Occident soit sauvé. Toutefois, si pour les illibéraux classiques il faut refonder la démocratie en mettant au ban le libéralisme, pour la mouvance NRx il faut sauver le libéralisme de la démocratie par un régime autoritaire, ce qui semble paradoxal.
RépondreSupprimerComment ces deux visions peuvent-elles coexister ?
Curtis Yarvin considère que la démocratie n’a de sens que pour faire élire celui qui mettra fin à celle-ci et espère que Trump effectuera ce travail, ou à tout le moins rapprochera le pays de cet objectif. En attendant, les réseaux se soudent pour préparer l’alternance et le nouveau stade du Parti républicain. C’est le milliardaire Peter Thiel, un des grands mécènes (et essayiste) de cette mouvance, soutien aussi de Trump, qui finance les conférences Natcons ainsi que les campagnes électorales de plusieurs sénateurs trumpistes (dont J.D. Vance, à qui il donna 15 millions de dollars, ou encore Josh Hawley notamment). C’est un membre éminent de la « Mafia PayPal » où l’on retrouve également Elon Musk.
En 2016, Vance a rejoint sa société de capital-risque, Mithril Capital Management. Thiel a permis le rapprochement de Vance avec Trump, lui qui avait auparavant compté parmi les « Never Trump ».
La Heritage Foundation, think tank conservateur historique datant de l’ère Reagan, a publié un très long texte de 900 pages intitulé sobrement Project 2025 qui donne des indices sur ce qui est souhaité par tous ces groupes. Trop radical dans ses appels à un tournant autoritaire de l’exécutif américain, il a été désavoué par Donald Trump alors que les critiques commençaient à pleuvoir. J.D. Vance, lui, semble totalement s’y retrouver…
Gabriel Solans, Doctorant en civilisation américaine, Université Paris Cité
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
https://www.contrepoints.org/2024/08/26/478568-j-d-vance-et-le-nouveau-visage-de-la-droite-americaine
Qu'ils ou elles s'appellent Vance, Meloni, Biden, Trump, Tucker Carlson, Ron DeSantis ou autres du même bord, AUCUN n'a parlé depuis 4 années de la composition des flacons injectables 'contre' la poussière (appelée 'virus') nommée coronacocovide ! Çà alors !!
SupprimerNe sont ils ou elles pas au courant ? ÔH QUE SI ! Mais ils ou elles défendent les laboratoires exterminateurs dans le plan Dépopulation21 !
Limagrain, la diversité, clé de la réussite mondiale
RépondreSupprimer27 Août 2024
Régis Fournier*
Limagrain a parcouru un long chemin depuis ses débuts modestes en tant que coopérative d'agriculteurs en France il y a plus de 50 ans. À l'époque, la majeure partie de ses revenus provenait du marché intérieur. Aujourd'hui, 90 % des revenus de Limagrain Field Seeds proviennent de l'étranger et, bien que l'Europe reste notre plus grand marché, je suis heureux de dire que nous avons maintenant des filiales dans 40 pays et que nous vendons à des agriculteurs dans 80 pays.
Le fait d'être une entreprise mondiale signifie que nous pouvons tirer parti des aspects de l'activité qui peuvent – et doivent – être mondialisés si nous voulons être compétitifs. Plus notre empreinte internationale est importante, plus nous disposons de ressources pour investir dans la recherche et le développement nécessaires à la mise sur le marché de produits de qualité supérieure, dans le cadre de nos efforts constants pour aider les agriculteurs à obtenir les meilleures récoltes possibles.
Parallèlement, il est essentiel que nous restions proches des agriculteurs, où qu'ils se trouvent dans le monde. Ils sont notre ressource la plus importante. Travailler avec eux tous les jours nous permet de bénéficier de leur pragmatisme et d'apprendre les réalités de la culture dans leurs localités.
L'un des aspects les plus intéressants de notre métier est que nous avons l'occasion de travailler avec des agriculteurs de toutes tailles sur les six continents. Certains, dans des pays comme l'Ukraine ou le Brésil, exploitent des dizaines de milliers d'hectares, tandis que d'autres, en Inde par exemple, ou dans certains pays d'Afrique, cultivent un demi-hectare. Leurs objectifs sont souvent différents. Alors que certains agriculteurs cultivent dans le but de produire un produit commercial, d'autres le font pour nourrir leur famille.
C'est pour moi un honneur de pouvoir m'adresser à une telle diversité d'agriculteurs. C'est la raison pour laquelle il est essentiel pour Limagrain Field Seeds d'avoir des équipes sur le terrain qui s'assurent que nous offrons les bons produits aux bons agriculteurs et de la bonne manière. Sur chaque marché, nous avons des personnes qui travaillent avec les agriculteurs pour s'assurer qu'ils tirent le meilleur parti de nos semences. Un grand agriculteur du Midwest américain n'a pas les mêmes besoins qu'un petit agriculteur de Zambie et ne choisira pas les mêmes variétés. Nous devons constamment adapter nos conseils pour aider tous les types d'agriculteurs à tirer le meilleur parti de nos produits et nous y parvenons en comprenant leurs besoins. En retour, les agriculteurs locaux nous donnent des informations précieuses qui nous aident à optimiser notre programme de recherche pour répondre à ces besoins.
L'attention que nous portons aux agriculteurs nous incite à trouver des solutions innovantes grâce à la génétique et je suis convaincu que la diversité du matériel génétique que nous produisons est l'une des clés de notre succès à l'échelle mondiale. Notre présence mondiale nous permet d'accéder à du matériel génétique qui a été testé dans de nombreuses régions du monde et de tirer parti des synergies entre le matériel génétique que nous sélectionnons sur chaque marché.
RépondreSupprimerComme les agriculteurs de la plupart des régions produisent plusieurs cultures dans leurs rotations, il est essentiel que nous investissions nos ressources financières dans des programmes de sélection qui ciblent nos quatre grandes cultures stratégiques au niveau mondial (maïs, blé, tournesol et colza d'hiver) ainsi que des semences adaptées aux régions, notamment l'orge, le millet, les légumineuses à graines, le riz et le soja.
Savoir que Limagrain est né d'une coopérative d'agriculteurs qui se sont regroupés pour le bénéfice de tous est essentiel pour comprendre pourquoi nous continuons à les placer au centre de nos initiatives mondiales.
_____________
* Directeur général, Limagrain Field Seeds
Source : Diversity Key to Global Success - Seed World
https://seppi.over-blog.com/2024/08/limagrain-la-diversite-cle-de-la-reussite-mondiale.html
Qui est derrière l'arrestation du fondateur de Telegram, Pavel Durov
RépondreSupprimer27 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Pavel Durov a semé le trouble en refusant d'ouvrir Telegram aux services secrets, comme le fait Mark Zuckerberg avec ses différents produits. L'ordre d'arrestation de Durov pourrait donc provenir de Washington. Cependant, il n’est pas improbable qu’Israël soit également, voire principalement, derrière ce projet.
Mike Benz , ancien responsable du Département d'État, accuse le Département d'État américain de complicité dans l'arrestation du fondateur de Telegram Durov en France ; Il demande à la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis d'assigner à comparaître toute correspondance entre l'ambassade américaine à Paris, les procureurs et les représentants du gouvernement avant les arrestations. C'est ce qu'a rapporté la chaîne Telegram JFK TV .
Connexions avec Israël
Le journal israélien Haaretz établit un lien avec Israël . Il s’agit de grandes quantités de données extraites d’un ordinateur lié au ministère israélien de la Justice.
« Des liens ont été publiés sur Telegram permettant à quiconque de télécharger les fichiers manipulés. Cependant, ils ont rapidement disparu à nouveau. Une par une, les chaînes Telegram du pirate informatique ont été fermées, leurs utilisateurs supprimés et les publications contenant les liens de téléchargement supprimées.
Depuis le 7 octobre, Israël est également confronté à une vague de cyberattaques sans précédent, selon Haaretz : récits de responsables et de personnalités clés de l'appareil de sécurité israélien, de serveurs d'entreprises privées, d'entreprises militaires et de défense, de municipalités, d'hôpitaux et même de ministères gouvernementaux et d'installations clés. avec lesquels ils ont été ciblés, voire piratés avec succès, dans une série d'attaques apparemment sans fin, dont l'ampleur n'a pas encore été révélée...
Telegram s’est avéré être un défi majeur pour Israël depuis le début de la guerre. Alors que de nombreuses entreprises technologiques ont rationalisé les mécanismes permettant aux États de les atteindre, Telegram est considéré comme le moins coopératif de tous.
De plus, alors que de nombreuses plateformes de médias sociaux ont investi massivement dans la modération, permettant aux personnes et aux organisations de contribuer à surveiller le contenu – par exemple, en supprimant les contenus antisémites ou les publications incitant au terrorisme, ou même en supprimant les vidéos du massacre du 7 octobre – Telegram ne l'a pas fait. Les États et les utilisateurs disposent d’une seule adresse e-mail à laquelle ils peuvent envoyer leurs réclamations.
Telegram s'est avéré être une plate-forme clé pour la guerre de l'information du Hamas contre Israël au début de la guerre, à laquelle Israël n'a pas été en mesure de contrer correctement parce qu'il manquait à la fois de capacités de surveillance et de connaissance de la plate-forme.
RépondreSupprimerAlarmés par la vague de contenus pro-Hamas , qui comprenaient des vidéos de l'attaque elle-même ainsi qu'un flux constant de matériel de propagande, des professionnels israéliens de la haute technologie ont tenté de joindre le fondateur de Telegram, Pavel Durov, fin 2023.
Bien qu’ils aient réussi à contacter Durov, qui vit aux Émirats arabes unis, il n’a pas répondu aux demandes privées visant à améliorer la modération de la plateforme. Bien que certains sites directement liés à la branche militaire du Hamas aient ensuite été bloqués localement, l'initiative privée n'a pas eu de réel impact sur le fondateur de l'application.
Des sources expliquent que Google ou Meta bloqueront un site s'il s'avère qu'il est directement lié au Hamas, et qu'Amazon supprimera un site s'il contient du matériel terroriste. Sur Telegram, le contenu ne peut pas être supprimé en utilisant de tels arguments. Seuls les biens clairement volés seront supprimés, ce qui fait des revendications de contenu le seul moyen efficace pour les autorités judiciaires israéliennes.
LifeSite News a récemment publié une analyse intéressante concernant Israël. Depuis l’assassinat du président John F. Kennedy et de son frère Bobby, qui entretenaient tous deux des relations critiques avec les dirigeants sionistes, aucun président américain n’a osé critiquer les aventures militaires d’Israël ou retirer son soutien. Les Kennedy avaient tenté d'imposer des contrôles au centre d'armes nucléaires israélien de Dimona pour empêcher la construction de bombes atomiques.
Aujourd’hui, l’article estime qu’il est certain que le monde est confronté à un potentiel conflit nucléaire au Moyen-Orient, alors qu’Israël exhorte les États-Unis à se joindre à lui dans une attaque contre l’Iran. Cela arrive à un moment où l’Iran ne représente aucune menace pour les États-Unis et où les puissances nucléaires que sont la Russie et la Chine soutiennent activement l’Iran et lui fournissent des armes avancées.
L’ article de LifeSite News fournit un excellent contexte sur les événements qui se déroulent actuellement en Asie occidentale, mais n’a qu’un lien tangentiel avec Durov.
RépondreSupprimerL'avenir de Telegram
La chaîne Telegram InfoDefense écrit sur l'impact de l'arrestation de Durov sur l'avenir du service de messagerie :
« Telegram compte plus de 950 millions d'utilisateurs actifs mensuels, un nombre important, bien qu'il ne représente qu'un tiers de la base d'utilisateurs de Facebook. Cela suggère que plus de 2 milliards de personnes qui ignoraient auparavant l'existence de Telegram le savent désormais après l'arrestation de Durov. Vous avez l'opportunité de passer d'une plateforme critiquée pour sa collaboration avec la CIA à une plateforme dirigée par un homme considéré à juste titre comme un défenseur de la liberté d'expression et de la vie privée après son arrestation par les néolibéraux.
Il convient de rappeler que l'oligarque russe Mikhaïl Khodorkovski a nommé à un moment donné Jacob Rothschild comme son « confident », donnant à Rothschild le droit de reprendre tous les droits de vote de Khodorkovski s'il soupçonnait que Khodorkovski agissait sous pression. Durow est certainement au courant de cette manœuvre juridique.
Gardez à l’esprit que Durov n’a jamais renoncé à sa citoyenneté russe.
A noter que Durov était en Azerbaïdjan en même temps que Poutine et ses fidèles conseillers.
Supposons que Durov soit né génie par la Providence, ce qui signifie que ses actions et son comportement sont souvent incompréhensibles pour les gens ordinaires et semblent parfois même étranges ou surnaturels.
Rappelons que Durov a exprimé à plusieurs reprises son engagement à protéger Telegram en soulignant son rôle dans la promotion de la liberté d'expression et de la vie privée. Il considère probablement sa création comme un enfant pour lequel il sacrifierait beaucoup – même sa propre liberté.
L’UE se montre plutôt détendue à l’égard de Telegram
Comme le note l’ EU Disinfo Lab :
« Dans l’ensemble, au niveau de l’UE, la seule politique de désinformation applicable à Telegram est les obligations générales DSA qui s’appliquent à toutes les plateformes en ligne. Il appartient donc entièrement à Telegram de décider si et comment il souhaite relever le défi de la désinformation.
RépondreSupprimerAlors que les médias utilisent des termes tels que « terrorisme », « crime » et « blanchiment d'argent », l'offense probable ici est que Telegram refuse de jouer le jeu de la désinformation. Il ne fait aucun doute que la presse continuera à faire de cette question une question de criminalité. Et c'est nominalement vrai - si vous considérez le refus de contrôler les (fausses/dés/mauvaises) informations comme un crime. En réalité, nous assistons ici à la criminalisation de ce que quelqu’un d’autre définit comme de la désinformation.
https://tkp.at/2024/08/27/wer-hinter-der-verhaftung-von-telegram-gruender-pavel-durov-steckt/
Le pilori moderne – un « booster » pour informer
RépondreSupprimer27 août 2024
par Andrea Drescher
Grâce au Daily Mail, vous pouvez savoir en ligne qui, en Grande-Bretagne, a commis des crimes tels que des « émeutes lors de manifestations » ou encore des « publications incendiaires en ligne » ou qui a été reconnu coupable de tels crimes. Chacun peut utiliser un filtre pour sa propre ville pour rechercher qui a été en contact avec la justice à la suite des manifestations qui se sont intensifiées après le meurtre de trois enfants et quelles en ont été les conséquences.
Sur son site Internet, le Revolverblatt – du moins la présentation et le style me rappellent de tels médias – annonce en grosses lettres : « Visages des émeutiers : une galerie de photos démasque les voyous condamnés lors des violents troubles qui ont balayé le Royaume-Uni, dont un condamné à 47 ans. -un vieux qui a dit à un commerçant de 'retourner dans son propre pays '" - en anglais : "Les visages des émeutiers : une galerie d'images expose les voyous condamnés lors des violentes émeutes au Royaume-Uni, dont un homme de 47 ans qui a raconté un commerçant : « Retourne dans ton pays. »
L'auteur Oliver Price, qui se dit data journaliste, poursuit ensuite dans son article : « Des centaines de personnes ont été jugées ces deux dernières semaines à la suite des émeutes d'extrême droite qui ont secoué le Royaume-Uni. ... MailOnline a compilé les détails de certains des voyous condamnés, y compris leurs photos, les raisons de leur condamnation et la durée de leur peine. …
Certaines personnes ont également été condamnées à de lourdes peines pour incitation à la violence dans des publications en ligne contenant du contenu haineux. Pour rechercher ces personnes, filtrez l'emplacement par « En ligne ». "
Il constate presque avec regret. « Il n'est pas possible de nommer ou de photographier tous les condamnés. En raison de l'évolution rapide de la situation, certaines personnes peuvent ne pas figurer dans les données. "
Non pas que j’approuve les émeutes, mais le pilori en ligne va trop loin pour moi. Bien trop loin. Cela me rappelle des moments sombres des pires espèces.
Pilori du passé
La photo de gauche montre le pilori de la place du marché d'Ilmenau et porte la description suivante :
« La peine du fer à repasser était infligée en cas de vol de jardins et de champs, de biens volés, de blasphème, de calomnie ou, dans certains cas, de fornication. Le condamné devait généralement rester au pilori pendant une à deux heures. La punition était généralement exécutée le dimanche et les jours de marché afin d'avoir un effet particulièrement dissuasif. Cette punition déshonorante a été appliquée jusqu'à l'introduction de la loi pénale de 1839. "
RépondreSupprimerAu cours du Reich millénaire, il y avait un autre pilori - en particulier pour les soi-disant nuisibles publics.
Sur la page Stolpersteine Gelsenkirchen, vous découvrirez pourquoi des pierres d'achoppement ont été ou sont posées pour Elisabeth Makowiak ainsi que pour Chana et Josef Rosenberg. Vous pouvez y lire, entre autres choses : « Judah Rosenberg et Elisabeth Makowiak traversent en voiture le centre-ville de Gelsenkirchen - des milliers de « personnes et camarades du parti » accompagnent la marche au pilori. La photo de droite montre ce que cette marche au pilori signifiait pour les victimes.
Dans quelle mesure le pilori moderne est-il légitime ?
Il y a déjà eu plusieurs pilori en ligne en Allemagne, mais ceux-ci ont d'abord été vivement critiqués. Au moins en 2018.
Le Conseil culturel allemand a rapporté dans son communiqué du 4 décembre 2018 : « L’AfD a mis en ligne le pilori contre les enseignants qui les critiquaient. Le groupe d'artistes « Centre pour la beauté politique » (ZfP) met désormais en ligne un pilori en ligne sur soko-chemnitz.de pour identifier les manifestants lors d'une manifestation de droite à Chemnitz. "
Le même communiqué de presse contient la critique suivante : « Le directeur général du Conseil culturel allemand, Olaf Zimmermann, a déclaré : « Le pilori en ligne du Centre de beauté politique est une campagne artistique problématique qui ne contribue pas à l'illumination, mais ne fait que favoriser la la division dans notre société est à l’œuvre. Peu importe que le pilori soit réel ou faux et le but ne justifie certainement pas ce moyen. À quoi ressemblera notre société dans cinq ans si de telles campagnes au pilori continuent de devenir une pratique courante en ligne ? L’art est libre, mais il a une responsabilité.
À ma connaissance, cette action n’a eu aucune conséquence juridique pour le NDT.
En 2022, les choses étaient « un peu » différentes. Le site Internet « ich-habe-mitmachen.de » a été relayé sous des titres tels que : « Un site haineux met au pilori les partisans des mesures » : « Un pilori en ligne recueille des preuves de « crimes de civilisation » pendant la pandémie de corona – et publie des noms. et des citations de partisans des mesures. "
RépondreSupprimerL'éditeur du site Internet a été poursuivi, alléguant que la collection de citations avait créé une « liste d'ennemis ». Cependant, l'accusé a été acquitté de cette accusation en juin 2024 - malgré le titre incendiaire : " Les critiques de Corona devant le tribunal à cause de la " liste d'ennemis " : voici le verdict ", qui suggère le contraire.
L'avocat a notamment soutenu devant le tribunal : « Il devrait être légal de prononcer publiquement les mots - également cités par mon client - : 'Si les pilotes à haut risque en état de mort cérébrale sifflent à travers les aérosols, beaucoup d'autres seront attrapés !' (Udo Lindenberg), mais la critique ne devrait pas être autorisée ? L'ancien président fédéral Gauck est également autorisé à dire : « Les anti-vaccins sont fous », mais mon client n'a pas le droit de dire que ces déclarations ont insulté, diffamé et exclu d'autres personnes ? Cela frise l’inversion entre l’auteur et la victime et renverserait l’objectif de la loi. "
Puisqu’il s’agit d’une compilation de citations de personnalités disponibles gratuitement sur Internet, l’infraction de « liste d’ennemis » n’était probablement pas applicable. Vous pouvez vous renseigner sur les listes d'ennemis et l'affaire sur beck-aktuell : « L'infraction pénale § 126a StGB, qui n'a été introduite qu'en 2021, avait à l'esprit ce que l'on appelle les listes d'ennemis, qui sont pour la plupart distribuées de manière anonyme par des extrémistes sur Internet et encouragent plus ou moins les gens à rendre visite aux personnes nommées sur leur lieu de résidence et à commettre des crimes contre elles. Le site Internet ne convient donc pas pour mettre des personnes en danger. Selon le juge pénal, ces propos ne visent pas à mettre en danger les personnes citées, car celles-ci ne sont ni implicitement ni explicitement menacées sur le site. "
Le pilori en ligne du Daily Mail n'appelle pas non plus à la violence. Pas directement. Mais le choix de mots tels que « faiseur d’émeutes » ou « voyou » est définitivement incendiaire. Et le lieu de résidence des personnes concernées est connu. Vous pouvez trouver le reste dans l’annuaire téléphonique local. Nous ne saurons probablement jamais si cela entraînera des attaques.
De plus, je doute également de la légalité de l’approche du média. Dans l'UE, la divulgation de ces données personnelles ne serait pas autorisée grâce au règlement général sur la protection des données (RGPD) de l'UE. Depuis le Brexit du 31 janvier 2020 ou la période de transition fin 2020, le RGPD ne s'applique plus en Grande-Bretagne. Il existe une législation distincte sur la protection des données, basée sur le RGPD, également connu sous le nom de RGPD britannique (Règlement général sur la protection des données du Royaume-Uni). Il s’agit d’une version modifiée du RGPD de l’UE adaptée à la loi britannique.
RépondreSupprimerSans pouvoir vérifier le RGPD britannique en détail : je ne peux pas imaginer qu'il soit légitime en vertu d'une législation britannique sur la protection des données de publier l'âge, la résidence, les accusations et le jugement sous cette forme.
Qu’il soit légitime ou non, ce pilori en ligne est une chose : c’est la confirmation que la dénonciation est acceptable. "C'est dans le journal."
P.S. L’intention n’est pas de relier ici le Daily Mail, mais simplement de documenter la chasse à l’homme moderne avec une capture d’écran. Je ne veux plus donner de clics à ce document.
https://tkp.at/2024/08/27/der-moderne-pranger-booster-fuer-denunziantentum/
Ne faites pas du monde une poudrière qui peut être enflammée par une seule erreur, ou une seule allumette, pour déclencher la Troisième Guerre mondiale
RépondreSupprimerPar Bharat Dogra
Recherche mondiale,
26 août 2024
Il faut préciser d’emblée que, indépendamment de toute autre chose, si l’une des grandes puissances considère la domination mondiale comme un précepte central de sa politique, ce n’est qu’une question de temps avant que cela ne rapproche le monde d’une Troisième Guerre mondiale ou d’une troisième guerre mondiale. guerre nucléaire ou guerre impliquant d’autres armes de destruction massive. Peu importe qu’une politique aussi ruineuse soit adoptée par les États-Unis, la Chine, la Russie ou toute autre grande puissance émergente, le résultat sera le même.
Ces dernières années, la poursuite la plus obstinée et la plus irrationnelle d’une politique aussi destructrice a été observée aux États-Unis. Cette politique très dangereuse, souvent identifiée dans le but qu'aucune puissance étrangère ne soit autorisée à émerger ou à rester dans une position si forte qu'elle puisse menacer, maintenant ou à l'avenir, la suprématie et la domination mondiale des États-Unis, était initialement identifiée aux néo-conservateurs. , mais maintenant cela est devenu la politique de la plus grande partie de l’establishment américain, ou du moins de ces sections qui semblent prendre toutes les décisions dans la prise de décision. Dans le cadre de cette politique, on s'efforce constamment d'affaiblir ceux qui ont le potentiel de devenir des rivaux, en les saignant de diverses manières, en planifiant leur désintégration et en les divisant, en les isolant, en leur imposant des sanctions. , et surtout en leur faisant mener des guerres par procuration, et en assistant les combattants par procuration de diverses manières afin qu'ils puissent infliger le maximum de dégâts aux rivaux et rivaux potentiels.
Si les États-Unis sont aujourd’hui la première puissance mondiale, la Chine pourra elle aussi aspirer à cette position dans quelques années si sa puissance économique, technologique et militaire continue de croître à un rythme rapide. Même si elle continue de montrer des signes d’agression injustifiée, bien que contenue, à plusieurs niveaux, elle doit d’abord relever le défi posé par la puissance numéro un qui cherche à maintenir sa domination et, ce faisant, tente d’encercler la Chine de diverses manières.
La réalité la plus importante est que tant qu’une grande puissance ou une grande puissance émergente sera guidée par l’ambition de domination mondiale, le risque d’une escalade vers une guerre mondiale ou une guerre nucléaire demeurera énorme . Ainsi, à l’heure des armes de destruction massive, la quête de domination par une grande puissance constitue intrinsèquement un risque énorme pour toute vie sur terre.
Cependant, ce risque peut augmenter ou diminuer à différents moments en fonction de l'étendue de la responsabilité exercée par les dirigeants des grandes puissances. Ce qui est profondément inquiétant aujourd’hui, c’est que soit nous nous trouvons déjà au milieu de la situation à risque le plus élevé jamais vue, soit que nous semblons nous diriger rapidement vers une telle situation.
La situation antérieure la plus risquée est souvent considérée comme remontant à l'époque de la crise des missiles de Cuba en 1962. Cependant, la crise était gérée au plus haut niveau par deux dirigeants mondiaux, John Kennedy et Nikita Khrouchtchev, qui étaient des dirigeants très responsables et déterminés à à la paix (même si certains de leurs collaborateurs ne l'étaient pas).
Ils ont donc résolu la crise avant qu’elle ne dégénère en guerre nucléaire. Malheureusement, un tel leadership responsable fait de plus en plus défaut aujourd’hui dans ce pays – les États-Unis – qui s’est lancé dans une quête de domination très agressive, quelles qu’en soient les conséquences. Des millions de personnes ont déjà été tuées au cours de cette quête, dans des guerres et des guerres par procuration totalement évitables. En outre, certains dirigeants étroitement alliés des États-Unis, en particulier Netanyahu d’Israël et Zalensky d’Ukraine, se sont souvent comportés de manière non moins irresponsable tout en intensifiant les conflits avec leur vision et leurs objectifs très étroits.
RépondreSupprimerLa façon dont la guerre en Ukraine s'est transformée en une tragédie peut-être bien plus grave a été récemment décrite avec beaucoup de compétence dans un commentaire de Thomas Palley (23 août 2024) intitulé « Le moment d'Hiroshima en Ukraine se rapproche ». Thomas Palley est un économiste américain senior qui a été économiste en chef de la Commission américaine d'examen de l'économie et de la sécurité de la Chine. Il a écrit,
« Les conditions en Ukraine donnent de plus en plus à la Russie des raisons militaires et géopolitiques d’utiliser des armes nucléaires tactiques. Même si la Russie les utilisera, les États-Unis et l’OTAN sont impliqués dans le processus. Ils sont en proie à la folie néoconservatrice, qui néglige avec désinvolture les conséquences potentiellement catastrophiques et bloque toutes les voies de sortie.»
Les États-Unis et l’OTAN ont franchi une ligne rouge après l’autre en ce qui concerne la fourniture d’armes de plus en plus avancées à l’Ukraine, notamment des missiles anti-aériens, des missiles antichar, des fusées HIMARS à longue portée, des ATACM à plus longue portée et des avions à réaction F-16. De plus, Palley a noté
«Les États-Unis ont fourni des informations par satellite, tandis que des conseillers infiltrés ont contribué à des attaques de missiles à longue portée au plus profond de la Russie, notamment contre le pont de Kersch, les navires russes en mer, les chantiers navals de Crimée et de Novorossiysk, ainsi que le système de défense russe AWACS à haute altitude. , et une attaque contre le système de défense antimissile balistique de la Russie.
Palley affirme,
«De nombreux partisans des néo-conservateurs ont parlé avec désinvolture du 'bluff nucléaire de Poutine'. La réalité est que la menace de représailles nucléaires de la part des États-Unis est un bluff. Aucun homme politique ou général américain sensé ne risquerait une guerre thermonucléaire pour le bien de l’Ukraine.»
Quant aux possibilités d'un règlement rapide, Palley note :
« Le problème est que la paix ne peut pas être entendue. La démocratie imparfaite de l'Ukraine est suspendue, les extrémistes d'Azov sont aux commandes et tout Ukrainien qui s'oppose à la guerre risque la prison, voire pire.»
RépondreSupprimerDans le même temps, la pensée néo-conservatrice l’emporte sur les voix rationnelles qui prônent la paix aux États-Unis.
Comme si les choses n'étaient pas déjà assez graves auparavant, l'invasion de Koursk a encore accru les possibilités de ce qui ressemble de plus en plus à une confrontation de plus en plus large entre la Russie d'une part et les États-Unis/l'OTAN de l'autre, même si certains membres de l'OTAN ses membres hésitent à se joindre à une confrontation offensive contre la Russie.
En fait, les États-Unis ont constamment mené une politique hostile à l'égard de la Russie depuis le début du 21 e siècle, comme en témoigne l'expansion constante de l'OTAN vers l'est, la promotion de régimes hostiles dans les pays proches de la Russie, les équipant d' armes les plus susceptibles d'être utilisées contre la Russie, les tentatives de de changement de régime et de désintégration visant la Russie, aidant/incitant à un coup d'État en Ukraine, suivi d'un soutien constant aux forces (y compris les forces néonazies) hostiles à la Russie, sabotant les efforts visant à mettre fin à la guerre russo-ukrainienne à un stade précoce.
La question la plus préoccupante est depuis quelque temps déjà la question de savoir à quel stade cela peut conduire à une confrontation ouverte entre les États-Unis et l’OTAN.
Mais il ne s’agit là que d’un des deux théâtres de guerre qui peuvent aujourd’hui dégénérer en guerre mondiale. L’autre guerre de ce type est bien entendu celle du Moyen-Orient. Alors que presque chaque jour depuis le 7 octobre 2023 a été un jour de grande détresse, la deuxième grande crise, avec possibilité d'une énorme escalade (après la première de la première quinzaine d'avril qui a pu être contenue), a commencé à se développer les 30 et 31 juillet avec deux assassinats, et depuis lors, le monde est incertain quant au type de représailles qui viendront de l’Iran et du Hezbollah. Même après l’affrontement bien plus important entre Israël et le Hezbollah le 25 août, au moment où j’écris ces lignes, le 25 août, la menace de représailles de l’Iran demeure. L’affrontement plus important du 25 août entre le Hezbollah et Israël a également laissé des cicatrices qui ne guériront pas facilement ni rapidement.
Un endiguement temporaire de l'escalade de la crise a été obtenu grâce aux négociations en cours pour un cessez-le-feu à Gaza. Étant donné que M. Netanyahu ne souhaite pas vraiment la paix et que les partisans de la ligne dure sont désormais également à l’avant-garde du Hamas, les chances que les deux parties acceptent un cessez-le-feu permanent sont très minces. Si les pourparlers échouent, les représailles iraniennes probables pourraient aggraver encore la situation, mais il existe également d’autres possibilités d’escalade qu’il ne faut pas ignorer. Si des guerres entre Israël et l’Iran et/ou entre Israël et le Hezbollah éclatent, les États-Unis pourraient également être impliqués plus directement, tandis que la Russie pourrait fournir un soutien de haute technologie à l’Iran et que la Chine pourrait également fournir un certain type de soutien. Un autre théâtre d’affrontement possible entre grandes puissances apparaît ainsi, et les deux guerres peuvent également être liées d’une certaine manière.
RépondreSupprimerMême sans que les États-Unis ne soient impliqués, un Israël sous pression sous Netanyahu peut recourir à l’utilisation d’une ou plusieurs armes nucléaires tactiques. L’Iran peut être motivé de manière agressive pour accélérer considérablement sa quête du développement de ses propres armes nucléaires.
Ainsi, les possibilités d’utilisation réelle des armes nucléaires et d’une Troisième Guerre mondiale se développent comme jamais auparavant au cours des dernières décennies. Les Nations Unies n’ont pas été particulièrement actives pour empêcher cela, tandis que certains des dirigeants les plus puissants se sont comportés de manière très irrationnelle et imprudente. Il est donc extrêmement important de déployer tous les efforts possibles pour élever le niveau des efforts de paix bien au-delà des niveaux actuels.
La raison pour laquelle les efforts de paix ne parviennent généralement pas à empêcher de telles escalades dangereuses est qu'ils sont principalement considérés comme des opérations de lutte contre l'incendie, alors qu'il est nécessaire de poursuivre le travail de paix qui puisse fournir une base solide. une base solide pour que les efforts de paix l’emportent sur les bellicistes.
Par conséquent, une fois que nous aurons surmonté les dangers actuels, nous ne devrions pas retomber dans la complaisance et travailler très sincèrement et avec continuité pour renforcer les mouvements pacifistes et toutes les forces de paix partout dans le monde, et plus particulièrement dans les principales zones de conflit.
*
Bharat Dogra est responsable honoraire de la campagne pour sauver la Terre maintenant. Ses livres récents incluent Protecting Earth for children, Planet in Peril, A Day in 2071 et Man over Machine. Il contribue régulièrement à Global Research.
RépondreSupprimerScénario de la Troisième Guerre mondiale« Vers un scénario de Troisième Guerre mondiale : les dangers de la guerre nucléaire »
par Michel Chossudovsky
Disponible sur commande auprès de Global Research !
Numéro ISBN : 978-0-9737147-5-3
Année : 2012
Pages : 102
Édition PDF : 6,50 $ (envoyé directement sur votre compte de messagerie !)
Michel Chossudovsky est professeur d'économie à l'Université d'Ottawa et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), qui héberge le site Web www.globalresearch.ca , acclamé par la critique . Il contribue à l'Encyclopedia Britannica. Ses écrits ont été traduits dans plus de 20 langues.
Avis
« Ce livre est une ressource incontournable – un diagnostic systématique et richement documenté de la planification géostratégique extrêmement pathologique des guerres américaines depuis le 11 septembre contre les pays non nucléaires pour s'emparer de leurs champs de pétrole et de leurs ressources sous couvert de « liberté ». et la démocratie ».
– John McMurtry , professeur de philosophie, Université de Guelph
« Dans un monde où les guerres d’agression organisées, préventives ou, plus à la mode, « humanitaires », sont devenues la norme, ce livre stimulant pourrait être notre dernier signal d’alarme. »
-Denis Halliday , ancien secrétaire général adjoint des Nations Unies
Michel Chossudovsky dénonce la folie de notre machine de guerre privatisée. L’Iran est ciblé par des armes nucléaires dans le cadre d’un programme de guerre fondé sur des distorsions et des mensonges à des fins de profit privé. Les véritables objectifs sont le pétrole, l’hégémonie financière et le contrôle mondial. Le prix pourrait être un holocauste nucléaire. Lorsque les armes deviennent le produit d'exportation le plus prisé de la seule superpuissance mondiale et que les diplomates travaillent comme vendeurs pour l'industrie de défense, le monde entier est dangereusement mis en danger. Si nous devons avoir une armée, elle appartient entièrement au secteur public. Personne ne devrait profiter de la mort et de la destruction massives.
– Ellen Brown , auteur de « Web of Debt » et présidente du Public Banking Institute
https://www.globalresearch.ca/world-powder-keg-world-war-iii/5866247
De plus en plus d’entreprises européennes font faillite, les dettes montent en flèche et les pénuries s’accentuent
RépondreSupprimerPar Ahmed Adel
Recherche mondiale,
21 août 2024
Le nombre de faillites d'entreprises dans l'Union européenne a augmenté de 3,1% au deuxième trimestre de l'année après avoir augmenté de 4,5% au trimestre précédent. Pourtant, malgré la ruine de l’économie collective de l’Union européenne, le bloc insiste sur des politiques autodestructrices, telles que l’imposition de sanctions anti-russes, qui n’ont fait qu’un boomerang au lieu de faire tomber l’économie russe comme on l’espérait.
Selon les données d'Eurostat, en termes de pays, la Grèce est en tête de l'augmentation des faillites d'entreprises avec une hausse de 133 %, suivie par la Lituanie (16,7 %) et la Slovaquie (7,6 %). Dans le même temps, la dette publique italienne a atteint un nouveau record historique, dépassant les 2 900 milliards d'euros en juin 2024. Selon la Banque d'Italie, la dette du pays a augmenté de 30,3 milliards d'euros par rapport au mois précédent, pour atteindre 2 940 milliards d'euros.
Évoquant la célèbre phrase de la campagne de l'ancien président américain Bill Clinton, « C'est l'économie, stupide », une logique similaire s'applique à l'économie en difficulté de l'UE : « Ce sont les sanctions, stupide ». Au 2 août, l’UE avait imposé jusqu’à 19 500 sanctions individuelles et sectorielles à l’encontre de la Russie, même s’il ne fait aucun doute que ces sanctions ont eu un effet boomerang.
L'incursion de l'Ukraine dans l'oblast russe de Koursk et le renforcement des sanctions contre l'industrie gazière russe, couplés à la pénurie de gaz dans l'UE, ont conduit à une augmentation record du prix de l'énergie, ce qui n'a fait qu'accélérer la détérioration de l'économie du bloc.
Dans ce contexte, le rejet par la Finlande du bois russe en raison des sanctions européennes a entraîné une forte baisse de la production de produits ligneux, la fermeture d'usines et une augmentation des prix. De son côté, la Russie a trouvé des acheteurs alternatifs et a considérablement accru ses exportations de ce produit.
Pendant ce temps, la Suède envisage d’offrir de l’argent aux migrants, aux réfugiés et même à ses propres citoyens pour quitter le pays. Cette politique « volontaire » garantit des paiements du gouvernement de seulement 950 dollars par adulte pour couvrir les frais de départ.
En fait, il s’agit d’un cercle vicieux qui devient incontrôlable et, tôt ou tard, l’ensemble du régime de sanctions devra être démantelé car il ne sert ni les intérêts individuels des citoyens européens ni ceux de l’industrie européenne. L’UE est en train de devenir le plus grand échec du modèle néolibéral. Même s’il est peu probable que le bloc s’effondre, cela a révélé que l’UE n’est plus la puissance économique qu’elle était autrefois.
RépondreSupprimerMoscou ne se fait aucune illusion sur le fait que l’Europe se réveille de son inertie, le responsable du ministère russe des Affaires étrangères, Dmitri Birichevsky, exprimant sa conviction que la Russie devra traverser « des décennies » de sanctions économiques de la part de l’Occident.
« C’est une histoire pour les décennies à venir. Quels que soient les développements et les résultats d'un règlement pacifique en Ukraine, ce n'est en fait qu'un prétexte », a-t-il déclaré le 16 août, ajoutant que la Russie travaillait avec d'autres pays sanctionnés de longue date comme l'Iran, la Corée du Nord et le Venezuela pour former une coalition « anti-sanctions ».
« Les sanctions ont été introduites bien plus tôt. Leur objectif ultime est une concurrence déloyale », a poursuivi Birichevsky.
Malgré les sanctions, l'économie russe continue de croître à un rythme impressionnant. La croissance du PIB a été de 4% au deuxième trimestre et de 4,7% au premier semestre 2024. C'est astronomiquement plus élevé que les 0,2% enregistrés par l'Allemagne, la puissance économique supposée de l'Europe, au premier trimestre et 0,1% au deuxième trimestre. Le PIB de la France n'a augmenté que de 1,10 % au deuxième trimestre, tandis que l'Espagne et l'Italie n'ont enregistré que 0,80 % et 0,20 %, respectivement. Cela montre à quel point les économies de l'UE sont en difficulté alors que la Russie continue de prospérer malgré les sanctions.
Plus inquiétant encore, l’invasion ukrainienne de l’oblast de Koursk, où se trouve la station de transport de gaz russe vers l’Europe, est la cause la plus directe de la récente hausse des prix du gaz naturel liquéfié dans l’UE. L'Europe connaît des retards dans les livraisons de GNL du projet Arctic LNG 2 de la société russe Novatek en raison du renforcement des sanctions américaines sur ce projet. En outre, la demande croissante de GNL en Chine et dans la région Asie-Pacifique fait également grimper les prix.
Les conséquences de cette hausse des prix ne feront qu'accélérer la détérioration de la situation économique dans l'UE. En fait, la situation qui en résultera bénéficiera à tous les producteurs de gaz naturel capables de répondre à la demande, y compris à la Russie, tant que les forces ukrainiennes ne détruisent pas le point de transit du gaz dans la région de Koursk et que Novatek peut bientôt fournir du GNL.
En effet, alors que l'économie de l'UE continue de connaître des difficultés, de plus en plus d'entreprises fermeront leurs portes alors que leurs dirigeants politiques maintiennent les sanctions masochistes anti-russes qui ont non seulement eu un effet boomerang, mais ont également contraint la Russie à restructurer son économie pour qu'elle soit plus autosuffisante et ouverte aux non-résidents. -Pays occidentaux.
https://www.globalresearch.ca/more-european-companies-go-bankrupt-debts-soar-shortages-grow/5865870
Vidéo : La mondialisation de la guerre. La « longue guerre » américaine contre l'humanité. Révélez les mensonges. Affrontez les criminels de guerre. Michel Chossudovsky
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky et Jorge Zegarra
Recherche mondiale,
19 août 2024
Le monde se trouve à un carrefour dangereux. Les États-Unis et leurs alliés se sont lancés dans une aventure militaire qui menace l’avenir de l’humanité.
L’objectif ultime est la conquête du monde sous le couvert des « droits de l’homme » et de la « démocratie occidentale ».
Le projet hégémonique de l'Amérique après le 11 septembre est la « mondialisation de la guerre » par laquelle la machine militaire des États-Unis et de l'OTAN – couplée à des opérations secrètes de renseignement, des sanctions économiques et la poussée du « changement de régime » – est déployée dans toutes les grandes régions du monde. monde. La menace d’une guerre nucléaire préventive est également utilisée pour faire chanter les pays afin qu’ils se soumettent.
Cette « longue guerre contre l’humanité » est menée au plus fort de la plus grave crise économique de l’histoire moderne.
Elle est intimement liée à un processus de restructuration financière mondiale, qui a entraîné l’effondrement des économies nationales et l’appauvrissement de larges pans de la population mondiale.
Michel Chossudovsky – dans une interview vidéo du GRTV réalisée il y a plus de 10 ans – décrit avec clairvoyance les dangers d'une Troisième Guerre mondiale.
Le discours antiterroriste est faux. Il ne s’agit pas d’une guerre contre l’État islamique (EIIL).
Il s’agit d’une guerre de conquête soutenue par une vaste propagande médiatique.
Révélez les mensonges.
Nous devons désactiver l’appareil de propagande.
Affrontez les criminels de guerre occupant de hautes fonctions.
Vidéo : Michel Chossudovsky sur la mondialisation de la guerre
cliquez sur le coin inférieur droit pour accéder au plein écran (Global Research, mai 2014)
- voir clip sur site -
Réalisé et produit par Julie Vivier et Jorge Zegarra. GRTV2014
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La mondialisation de la guerre. La longue guerre américaine contre l'humanité
RépondreSupprimerLe monde se trouve à un carrefour dangereux. Les États-Unis et leurs alliés se sont lancés dans une aventure militaire qui menace l’avenir de l’humanité.
D’importantes opérations militaires et secrètes de renseignement sont entreprises simultanément au Moyen-Orient, en Europe de l’Est, en Afrique subsaharienne, en Asie centrale et en Extrême-Orient.
Le programme militaire américain combine à la fois des opérations théâtrales majeures et des actions secrètes visant à déstabiliser les États souverains.
La « menace communiste » de la guerre froide a été remplacée par la menace mondiale du « terrorisme islamique ».
Alors que la Russie et la Chine sont devenues des économies capitalistes de « libre marché », une première attaque nucléaire préventive est néanmoins envisagée.
Ironiquement, la Chine et la Russie ne sont plus considérées comme « une menace pour le capitalisme ». Bien au contraire.
Ce qui est en jeu, c’est la rivalité économique et financière entre puissances capitalistes concurrentes. L’alliance sino-russe au sein de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) constitue un « bloc capitaliste concurrent » qui sape l’hégémonie économique américaine.
En Asie, les États-Unis ont contribué, dans le cadre de leur « Pivot vers l’Asie », à encourager leurs alliés de la région Asie-Pacifique, notamment le Japon, l’Australie, la Corée du Sud, les Philippines et le Vietnam, à menacer et à isoler la Chine dans le cadre d’un processus « d’encerclement militaire » de la Chine. , qui a pris de l’ampleur à la fin des années 1990.
Pendant ce temps, la propagande de guerre est devenue de plus en plus omniprésente. La guerre est considérée comme une opération de rétablissement de la paix. Lorsque la guerre devient paix, le monde est bouleversé. La conceptualisation n’est plus possible. Un système social inquisitorial émerge. Le consensus est de faire la guerre. Les gens peuvent plus penser par eux-mêmes.
Ils acceptent l’autorité et la sagesse de l’ordre social établi.
La mondialisation de la guerre
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Prix catalogue : 24,95 $/ Offre spéciale : 15,00 $
Version papier actuellement indisponible. Actuellement, la version PDF est disponible à un prix réduit .
Éditeurs Global Research, Montréal 2015
AVIS :
«Le professeur Michel Chossudovsky est le plus réaliste de tous les commentateurs de politique étrangère. Il est un modèle d’intégrité en matière d’analyse, son livre fournit une évaluation honnête du danger extrême que le néoconservatisme hégémonique américain fait peser sur la vie sur terre.» Dr Paul Craig Roberts , ancien secrétaire adjoint au Trésor américain
« « La mondialisation de la guerre » comprend la guerre sur deux fronts : ceux des pays qui peuvent être « achetés » ou déstabilisés. Dans d’autres cas, l’insurrection, les émeutes et les guerres sont utilisées pour solliciter une intervention militaire américaine. Le livre de Michel Chossudovsky est une lecture incontournable pour quiconque préfère la paix et l'espoir à la guerre perpétuelle, à la mort, à la dislocation et au désespoir.» L'hon. Paul Hellyer, ancien ministre canadien de la Défense nationale
«Michel Chossudovsky décrit la mondialisation comme une arme hégémonique qui donne du pouvoir aux élites financières et asservit 99 pour cent de la population mondiale. « La mondialisation de la guerre » est de la dynamite diplomatique – et la mèche brûle rapidement. » Michael Carmichael , président du Mouvement Planétaire
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EXTRAIT DE LA PRÉFACE
RépondreSupprimerLa « mondialisation de la guerre » est un projet hégémonique. D’importantes opérations militaires et secrètes de renseignement sont entreprises simultanément au Moyen-Orient, en Europe de l’Est, en Afrique subsaharienne, en Asie centrale et en Extrême-Orient. Le programme militaire américain combine à la fois des opérations théâtrales majeures et des actions secrètes visant à déstabiliser les États souverains.
Dans le cadre d’un agenda militaire mondial, les actions entreprises par l’alliance militaire occidentale (États-Unis-OTAN-Israël) en Afghanistan, au Pakistan, en Palestine, en Ukraine, en Syrie et en Irak sont coordonnées aux plus hauts niveaux de la hiérarchie militaire. Nous n’avons pas affaire à des opérations militaires et de renseignement fragmentaires. L’attaque de juillet-août 2014 contre Gaza par les forces israéliennes a été entreprise en étroite consultation avec les États-Unis et l’OTAN. Les actions en Ukraine et leur timing ont coïncidé avec l’attaque contre Gaza.
À leur tour, les entreprises militaires sont étroitement coordonnées avec un processus de guerre économique qui consiste non seulement à imposer des sanctions à des pays souverains, mais aussi à des actes délibérés de déstabilisation des marchés financiers et monétaires, en vue de saper les économies nationales des ennemis.
Les États-Unis et leurs alliés se sont lancés dans une aventure militaire qui menace l’avenir de l’humanité. Au moment où nous mettons sous presse, les forces américaines et de l’OTAN ont été déployées en Europe de l’Est, y compris en Ukraine. L’intervention militaire américaine dans le cadre d’un mandat humanitaire se poursuit en Afrique subsaharienne. Les États-Unis et leurs alliés menacent la Chine dans le cadre du « Pivot vers l'Asie » du président Obama.
En retour, des manœuvres militaires sont menées aux portes de la Russie, ce qui pourrait potentiellement conduire à une escalade.
Les frappes aériennes américaines lancées en septembre 2014 contre l’Irak et la Syrie sous prétexte de s’en prendre à l’État islamique s’inscrivent dans un scénario d’escalade militaire s’étendant de l’Afrique du Nord et de la Méditerranée orientale jusqu’à l’Asie centrale et du Sud.
L’alliance militaire occidentale est dans un état de préparation avancé. Et la Russie aussi.
La Russie est présentée comme « l’agresseur ». Une confrontation militaire entre les États-Unis et l’OTAN avec la Russie est envisagée.
L’adoption d’une législation habilitante au Sénat américain dans le cadre de la « Loi sur la prévention de l’agression russe » (RAPA) a « mis les États-Unis sur la voie d’un conflit militaire direct avec la Russie en Ukraine ».
« Toute guerre entre les États-Unis et la Russie est susceptible de dégénérer rapidement en une guerre nucléaire, puisque ni les États-Unis ni la Russie ne seraient disposés à admettre leur défaite, qu’ils disposent tous deux de plusieurs milliers d’armes nucléaires prêtes à être utilisées instantanément et qu’ils s’appuient tous deux sur la doctrine militaire de la contre-force qui consiste à accomplir des tâches. leurs militaires, en cas de guerre, pour détruire de manière préventive les forces nucléaires de l’ennemi.
La loi russe sur la prévention de l’agression (RAPA) est le point culminant de plus de vingt ans de préparatifs de guerre entre les États-Unis et l’OTAN, qui consistent en l’encerclement militaire de la Russie et de la Chine :
« Depuis l’effondrement de l’Union soviétique en 1991, les États-Unis ont poursuivi sans relâche une stratégie d’encerclement de la Russie, tout comme ils l’ont fait avec d’autres ennemis perçus comme la Chine et l’Iran. Il a amené 12 pays d’Europe centrale, tous autrefois alliés de Moscou, à rejoindre l’alliance de l’OTAN. La puissance militaire américaine se trouve désormais directement aux frontières de la Russie.»
https://www.globalresearch.ca/the-globalization-of-war-americas-long-war-against-humanity/5426125