Action «AntiControl !» – Nous vous aidons à échapper à la surveillance de l'intelligence artificielle !
07.08.2024 www.kla.tv/30007
Michael Ballweg était invité à la 20e AZK – dans une conversation avec l'informaticien Elias Sasek sur le thème "La liberté numérique à l'heure de la surveillance omniprésente de l'IA" - Cet entretien explosif, qui propose des solutions pratiques, sera prochainement en ligne.
Vous pouvez déjà maintenant devenir actif ! Le samedi 10 août 2024, l'équipe AZK germanophone proposera près de chez vous des ateliers gratuits pour vous aider à protéger efficacement vos ordinateurs contre la surveillance de l'intelligence artificielle ! Vous êtes intéressé ? Alors inscrivez-vous dès aujourd'hui sur www.anti-zensur.info/workshop - nous vous mettrons en contact avec le groupe AZK le plus proche de chez vous.
[Extrait de la 20e AZK]
Durant cette journée, nous nous consacrerons à ce sujet. Vous pouvez venir, vous pouvez venir avec vos ordinateurs, avec vos ordinateurs portables et nous vous offrons la possibilité de passer en revue ces paramètres avec vous, de répondre à vos questions. Je suis sûr que chacun d'entre vous peut profiter de ce grand travail que nous avons fait, et ainsi faire des changements sur son ordi.
Aujourd'hui, c'est un jour historique, et à cette occasion il y aura un cadeau d'anniversaire. Et ce cadeau d'anniversaire est une réponse à la question : Que peut faire chacun maintenant directement ? Que peut faire chacun d'entre nous ? Michael et moi avons parlé tout à l'heure de ces objectifs à long terme. Tout cela prend beaucoup de temps. Mais qu'est-ce que chacun peut faire maintenant, en quittant cette conférence ? C'est la grande question qui nous préoccupe toujours. On peut parler de beaucoup de choses, mais quelle est la prochaine étape ? Qu’est-il nécessaire de faire ? Qu'est-ce que chaque individu peut faire pour échapper à cette pieuvre qu'est l'intelligence artificielle ? Je voudrais encore une fois répéter très brièvement : La pieuvre de l'intelligence artificielle se répand partout. Elle veut accéder à nos données. Je ne citerai que trois faits qui confirment à quel point elle est déjà avancée.
Fin 2023, Microsoft a révisé son contrat de service et s'octroie désormais les pleins droits sur tes données. Je ne peux pas entrer trop dans les détails, les avocats sont en train d’étudier les textes. Jusqu'où ça va, et jusqu'où ça ne va pas ? Je ne vais pas entrer dans les détails, mais Microsoft a les droits sur tes données. Tous ceux qui ont un système d'exploitation Windows. Le lanceur d'alerte Edward Snowden écrit à propos des derniers outils de surveillance d'Apple : « Apple vient de déclarer la guerre à votre vie privée. » Michael l'a expliqué : sur les téléphones portables - les images sont soudain noircies. Meta, Facebook, WhatsApp, ils veulent tous utiliser les données pour entraîner l’intelligence artificielle. La tendance est d’entraîner l'intelligence artificielle, prendre les données. La question est maintenant : Que peut faire chaque individu pour minimiser son risque de surveillance ? C'est la question que je me pose et c'est là que j'interviens. C'est comme un principe dans la vie, nous l'avons appris de notre père dès notre plus jeune âge.
Il nous a toujours enseigné qu’il faut d'abord enlever les grosses pierres. Et ensuite, les étapes suivantes suivront. Je me suis demandé quel était le gros caillou qui nous concernait tous et qui nous permettait de dire que nous pouvions faire ce pas pour contrer la folie de l'entraînement de l'intelligence artificielle. Et je dis que cette grande pierre, elle est très claire pour moi. Nous devons supprimer les "clouds" de Microsoft, Apple et des grands acteurs - nous devons couper nos systèmes d'exploitation de ces "clouds". C'est la première étape que je vois très clairement. Passer à Linux et ainsi de suite, c'est ce à quoi nous aspirons tous. C'est un processus que nous poursuivons. C'est ça la première étape. Et c'est de ça qu'il s'agit maintenant, je sais qu'il y a beaucoup plus, mais c'est ce pas qu'il s'agit de faire maintenant et c'est ça notre cadeau d'anniversaire pour vous. Je vais encore dire très brièvement les conséquences si aujourd'hui votre ordinateur est connecté aux clouds. Quelle ampleur cela prend-il dès aujourd'hui? C'est que l'omniscience de l'intelligence artificielle peut décider.
Tu as écrit un texte, un discours de haine, et soudain tu ne peux plus te connecter à ton ordinateur. Ce n'est pas un scénario futuriste. C'est déjà le cas aujourd'hui, lorsque nous sommes connectés à l'ordinateur, au cloud, les gens ne peuvent plus se connecter. Vous recevez alors simplement un message. Vous connaissez tous ces petits visages de bonhomme sur YouTube - plus disponible. Ou quelque chose dans ce genre. Et puis tu es devant ton ordinateur, tu n'as plus de données, tu n'as plus rien, tu es déconnecté. La nouvelle « action AZK », que nous allons vous présenter, va exactement dans ce sens. Nous voulons enlever les grosses pierres sur le chemin, nous voulons donner des indications sur la manière d'enlever les grosses pierres de cette connexion à l'intelligence artificielle, même si le passage à de nouveaux systèmes n'est pas encore possible tout de suite.
Et comme tout ce que nous faisons, ce cours est entièrement gratuit pour vous, il ne coûte rien, c'est un service d'amour de notre part, faites-en absolument usage. Si vous faites ce travail ailleurs dans un autre atelier, vous aurez vite fait de perdre des centaines d'euros. Mais ici, nous voulons vous prendre par la main comme un service d'amour, et continuer à travailler à la mise en réseau. Nous vous attendons avec impatience !
Inscrivez-vous dès aujourd'hui : www.anti-zensur.info/workshop en cliquant en haut à droite de la page sur « français » L'atelier est gratuit
L’OMS envisage de déclarer une « urgence de santé publique internationale » en raison du « nouveau mutant » de la variole du singe en Afrique. Tedros veut lancer la machinerie pandémique. Politiquement, cela pourrait être utilisé dans l’intérêt des États-Unis.
La variole du singe (Mpox) est de retour. Du moins en Afrique. Des « consultations » sont actuellement en cours à l’OMS qui s’attend déjà à déclarer une « urgence sanitaire internationale ». C’est ainsi qu’il faut interpréter les propos tenus dimanche par le général Tedros de l’OMS. Quelques jours auparavant, les médias occidentaux avaient créé une ambiance. D'autres soupçonnent un contexte politique : un coup d'État anti-occidental pourrait être imminent au Kenya, le pays le plus important pour les États-Unis en Afrique de l'Est. Organiser une pandémie serait utile.
Soudain, panique
Il y a une dizaine de jours, le Kenya a confirmé sa première infection par la variole du singe . Il s’agirait d’un voyageur qui souhaitait voyager de l’Ouganda au Rwanda. Le virus est endémique dans certaines régions d'Afrique. Mais cela n’empêche pas l’OMS de vouloir à nouveau traquer un virus. Le chef de l’OMS, Tedros, a écrit : « Les gouvernements locaux et leurs partenaires renforcent les mesures visant à interrompre la transmission des maladies. Mais davantage de ressources et de soutien sont nécessaires pour une réponse globale. »
Le magazine Bloomberg est encore plus paniqué. Il est dit lundi :
Les pays d’Afrique centrale s’efforcent de contenir une épidémie multinationale d’une souche mutante de Mpox qui a tué près de 500 personnes rien qu’en République démocratique du Congo depuis janvier.
En 2024, le virus à propagation rapide aurait infecté plus de 12 300 personnes en République démocratique du Congo, où il a été signalé pour la première fois il y a moins d’un an. Des cas récents en Côte d’Ivoire, au Kenya et dans au moins trois autres pays africains ont suscité des inquiétudes quant à une contagion explosive se propageant le long des routes et autoroutes nouvellement construites reliant les zones minières isolées aux villes et aux camps abritant des centaines de milliers de Congolais déchirés par le conflit.
TKP avait déjà rendu compte de ce nouveau mutant en avril. Cette nouvelle panique s’appuie sur des « recherches » menées par des scientifiques occidentaux qui avaient déjà appelé à des « mesures de confinement » rapides en avril. L'OMS était encore silencieuse à l'époque, mais c'est désormais le plus haut niveau qui a pris le relais.
La situation politique n'est pas seulement instable au Kenya, elle est également en ébullition dans la région du Congo. Le Premier ministre kenyan Ruto est considéré comme un « allié » particulièrement proche des États-Unis. Il a encore le peuple en partie derrière lui. Lors des récentes manifestations, au moins 50 manifestants ont été tués par les forces du régime. Les manifestants exigent que le Kenya défie les ordres du FMI, de la Banque mondiale, de la Grande-Bretagne et des États-Unis. L’appel à la démission de Ruto n’a pas disparu. Un état d’urgence serait parfait. « Science » a déjà pris le relais – par exemple ici dans le magazine Science . Les « influenceurs » réclament déjà des injections pour l’Afrique – contrairement à l’époque avec le Covid-19, disent-ils.
Tedros est également cité dans l’article de Science :
« Ce virus peut et doit être contenu grâce à des mesures de santé publique accrues, notamment la surveillance, l’engagement communautaire, le traitement et le ciblage des vaccins sur les personnes les plus à risque d’infection. Compte tenu de l’expansion de l’épidémie, il est urgent d’intensifier davantage les mesures de Mpox en cours dans les pays touchés », indique son communiqué.
Une urgence de santé publique internationale est la classification la plus stricte d'une épidémie de maladie par l'OMS. Une telle déclaration a été faite pour le COVID-19 au début de la pandémie en 2020.
L'image « 550d Monkey » de @Doug88888 est sous licence CC BY-NC-SA 2.0 .
La FDA n'a aucune preuve de l'existence de la grippe aviaire
7 août 2024 de Thomas Oysmüller
Bien que la FDA sache que la grippe aviaire est « hautement contagieuse » et ait approuvé les tests PCR, elle ne peut pas fournir de preuves scientifiques de l’existence du virus.
En utilisant la loi américaine sur la liberté d'information, la militante des droits civiques et journaliste Christine Massey Fois a exhumé des faits auprès de la FDA. La Food and Drug Administration (FDA) est subordonnée au ministère américain de la Santé et surveille les aliments et les médicaments. Aujourd’hui, la FDA a dû admettre qu’elle ne dispose d’aucune preuve scientifique pour étayer l’existence du « virus de la grippe aviaire ». Elle a néanmoins autorisé le test PCR.
Aucune trace de virus
Par ailleurs, les informations de Sarah Kotler, directrice du Département de la liberté d'information, prouvent ce qui suit :
Il n’existe aucun document décrivant la pureté des particules censées être des « virus de la grippe aviaire » provenant directement des fluides/tissus/excréments corporels des soi-disant « hôtes ».
Il n'existe aucun document indiquant que le prétendu « génome » d'un prétendu « virus de la grippe aviaire » a été trouvé intact dans les liquides/tissus/fèces corporels d'un « hôte » (et n'a pas été produit in silico, c'est-à-dire à l'aide d'un modèle informatique).
Il n’existe aucun document scientifiquement étayant l’infection par la maladie/les symptômes provoqués par les « virus de la grippe aviaire ».
Car ce sont précisément ces dossiers qui étaient demandés. Cependant, la FDA n’a pas répondu avec la documentation pertinente. Le document de la FDA en vertu de la Freedom of Information Act peut être consulté ici. La FDA dit littéralement à la page 12 (souligné par TKP) :
La FDA n’est pas responsable de la réglementation ou du traitement des virus. La FDA est chargée de protéger la santé publique en garantissant la sécurité, l'efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques, des dispositifs médicaux et des dispositifs médicaux, ainsi que la sécurité de l'approvisionnement alimentaire, des cosmétiques et des produits qui émettent. radiation . Nous n’avons donc aucun document pour nous aider. Si vous êtes intéressé, nous avons déjà publié des informations sur l'approvisionnement en lait (Mises à jour sur la grippe aviaire hautement pathogène (HPAI) | FDA) et publié le processus d'approbation des kits de test de grippe aviaire.
Fois avait exigé tous les documents et études pouvant prouver scientifiquement la grippe aviaire. Cependant, la FDA ne dispose pas de documentation correspondante. Néanmoins, la FDA peut publier des « mises à jour » sur la grippe aviaire « hautement contagieuse ». Pas mal. La FDA peut également approuver les kits de test. Cependant, on ne sait pas exactement ce qui est testé. Le point de vue de Foi : " Apparemment, la logique n'est pas le truc de Sarah. "
Le TKP a déjà évoqué à plusieurs reprises le manque de preuves scientifiques concernant la grippe aviaire et le rôle crucial des tests PCR. Par exemple ici : « 25 ans de vaccin contre la grippe aviaire – et le virus n’arrive pas. » "
La FDA devait désormais admettre qu’elle ne savait pas grand-chose – ou en fait rien – du virus.
Les vaccins à ARNm ne se dégradent PAS facilement et créent finalement des anticorps IgG et IgM contre les nanoparticules lipidiques
08/07/2024 Lance D Johnson
Une étude préliminaire du 27 juillet apporte de nouvelles informations sur l'échec du vaccin SPIKEVAX COVID-19 de Moderna. L'étude montre que les composants ARNm et nanoparticules lipidiques du vaccin peuvent persister dans la circulation sanguine jusqu'à 28 jours après la vaccination et générer des anticorps IgG et IgM contre les nanoparticules lipidiques, ce qui fausse l'efficacité du vaccin et provoque des événements indésirables potentiels. Cette révélation a suscité des appels aux agences gouvernementales et aux développeurs de vaccins pour qu’ils expliquent le manque d’études pharmacocinétiques complètes.
La pharmacocinétique est l’étude de la façon dont le corps traite une substance au fil du temps, y compris son absorption, sa distribution, son métabolisme et son excrétion. L’industrie des vaccins et les régulateurs gouvernementaux avaient précédemment indiqué que les composants ARNm du vaccin se dégraderaient rapidement dans le muscle deltoïde après l’injection. Ce processus ne peut être garanti et a des implications sur les effets indésirables à long terme et les dommages au système immunitaire de dizaines de millions de personnes.
Les ingrédients du vaccin persistent 28 jours après l’injection, forçant les cellules immunitaires à résister aux nanoparticules lipidiques telles que le polyéthylène glycol L’étude a suivi les composants du vaccin de Moderna chez 19 personnes sur une période de 28 jours. L’étude a trouvé des particules lipidiques ionisables spécifiques (SM-102) dans les échantillons de sang dans les quatre heures suivant l’injection. Le niveau de ces composants a atteint un pic entre un et deux jours après l’injection. Chez la plupart des personnes vaccinées, l’ARNm a été détecté 14 à 28 jours après l’injection. Les nanoparticules lipidiques sont parfois restées intactes et ont continué à recirculer dans la circulation sanguine au même rythme de décomposition que l'ARNm. Cela a contribué à une augmentation des anticorps contre le polyéthylène glycol (PEG), un composant des nanoparticules lipidiques. Cela signifie que le vaccin entraîne les cellules immunitaires à attaquer le PEG, ce qui entraîne des déficits immunitaires contre les virus et bactéries infectieux réels.
Les chercheurs ont mesuré une augmentation de 1,4 fois des anticorps immunoglobulines G (IgG) et de 4,6 fois des anticorps IgM, ce qui ne constitue pas une réponse immunitaire appropriée. Cette mesure a indiqué que les cellules immunitaires répondent au système d'administration du vaccin et ne transmettent pas l'immunité à un quelconque agent pathogène. Cette étude s'appuie sur des recherches antérieures menées en 2023 qui ont montré que les composants du vaccin à ARNm circulaient dans le sang jusqu'à 28 jours après l'injection. De même, une étude japonaise de biodistribution a révélé que les particules pénétraient dans le cerveau.
Des études antérieures mettent également en garde contre la programmation des cellules immunitaires pour attaquer le PEG, et ses implications dévastatrices pour les problèmes allergiques et auto-immuns lorsque le PEG est injecté une fois de plus à l'avenir. L’étude s’est concentrée uniquement sur des échantillons de sang sans explorer d’autres tissus et systèmes organiques. Il est essentiel de comprendre que la simple présence d’ARNm et de nanoparticules lipidiques dans le sang pourrait entraîner d’autres problèmes dans le corps et dans les systèmes organiques. Comment ces particules étrangères interfèrent-elles avec les processus hormonaux et la circulation sanguine ? Comment le corps peut-il lancer une attaque auto-immune contre ces particules étrangères, entraînant des caillots sanguins ou des réactions allergiques ?
Le niveau de nanoparticules persistantes dans le sang d’un patient peut dépendre de la façon dont le vaccin est administré dans le bras Le niveau d’ARNm et de nanoparticules dans le sang peut être déterminé par une mauvaise administration du vaccin dans le bras. Si le vaccin est correctement administré par voie intramusculaire, environ 0,1 % des composants peuvent s’infiltrer dans le sang et se déplacer dans tout le corps. Cependant, chez certains patients, le vaccin est injecté directement dans le sang, ce qui entraîne une concentration plus élevée d’ARNm non résolu et de nanoparticules lipidiques circulant dans le sang pendant des jours ou des semaines après l’injection. « C’est une question de chiffres », a déclaré Michael Palmer, membre de Doctors for COVID Ethics. « Il semble tout à fait possible que ce malheureux groupe de patients soit celui qui souffre d’effets secondaires graves. »
Le Dr McCullough et d’autres témoins experts exigent des réponses et des comptes rendus sur la question. McCullough a déclaré que les études pharmacocinétiques et pharmacodynamiques « auraient dû être réalisées en 2020 dans le cadre de l’opération Warp Speed ».
L’absence d’études pharmacocinétiques approfondies sur les vaccins COVID-19 – en particulier compte tenu de leur développement et de leur déploiement rapides – représente un échec flagrant de la surveillance. Les agences gouvernementales et les développeurs de vaccins ont la responsabilité fondamentale de mener ces études pour garantir non seulement l’efficacité mais aussi la sécurité. Au lieu de cela, ils ont opté pour des « substituts »
Des scientifiques sud-coréens découvrent comment utiliser des nanoparticules pour contrôler les émotions et l'appétit via un champ magnétique externe
08/07/2024 Belle Carter
Les scientifiques « sponsorisés » par les mondialistes sont tellement obsédés par le contrôle de l'esprit qu'ils ont mené une étude où un aimant à distance serait capable de manipuler le cerveau – même l'appétit – sans aucune procédure invasive.
Les chercheurs de l'Institut des sciences fondamentales de Corée du Sud (IBS) en sont aux tout premiers stades de développement d'un matériel qui utilise des nanoparticules pour contrôler l'esprit des souris. Il s'agit d'une télécommande cérébrale qui, selon eux, est « à longue portée » et « à grand volume » et qui commute grâce à des champs magnétiques.
Selon les « experts scientifiques », la technologie baptisée Nano-MIND (Magnetogenetic Interface for NeuroDynamics) a permis aux chercheurs de contrôler à distance les émotions et l'appétit des souris et pourrait être utilisée pour traiter des troubles neurologiques comme la dépression. Ils ont testé cette « innovation » en induisant des instincts « maternels » chez leurs sujets femelles. Dans un autre test, les chercheurs ont exposé un groupe de souris de laboratoire à des champs magnétiques conçus pour réduire l'appétit, ce qui a entraîné une perte de poids de 10 %, soit environ 4,3 grammes.
Les scientifiques ont manipulé un réseau complexe de plus de 100 milliards de neurones en faisant tourner magnétiquement un minuscule actionneur pour tirer ou pousser des nanoparticules implantées dans le cerveau des souris. Selon les études, ce réseau est crucial pour comprendre la cognition, l'émotion et le comportement social.
« Il s'agit de la première technologie au monde permettant de contrôler librement des régions spécifiques du cerveau à l'aide de champs magnétiques », a déclaré le Dr Cheon Jinwoo, directeur du Centre IBS de Corée du Sud, qui a contribué à lancer ce nouvel effort. « Nous espérons qu'elle sera largement utilisée dans la recherche pour comprendre les fonctions cérébrales, les réseaux neuronaux artificiels sophistiqués, les technologies d'interface cerveau-ordinateur bidirectionnelle et les nouveaux traitements des troubles neurologiques. »
De nombreuses expériences de « contrôle mental » sur des animaux ont été menées au fil des ans, a rapporté le Sun, « mais c'est la première qui n'a pas impliqué de chirurgie invasive et de systèmes externes volumineux, ce qui a permis aux souris de se déplacer librement. »
Dans un éditorial accompagnant l'étude en question publié dans Nature Nanotechnology, le Dr Felix Leroy, scientifique principal de l'Instituto de Neurociencias d'Espagne, a déclaré que le concept d'utilisation de champs magnétiques pour manipuler les systèmes biologiques était bien établi. « Il a été appliqué dans divers domaines », a-t-il noté, « comme dans l'imagerie par résonance magnétique [IRM], la stimulation magnétique transcrânienne et l'hyperthermie magnétique pour le traitement du cancer. »
Il a toutefois mis en garde contre une précipitation dans les tests sur l'homme. « D'autres études sont nécessaires pour évaluer les effets cumulatifs potentiels, notamment la neuroadaptation ou la neurotoxicité », a conseillé Leroy.
Une nanoparticule est une petite particule dont la taille varie entre 1 et 100 nanomètres, qui est indétectable par l'œil humain et même plus petite que les longueurs d'onde de la lumière visible qui sont comprises entre 400 et 700 nanomètres. Un microscope électronique spécial ou un microscope avec des lasers est nécessaire pour les observer. Les études impliquant des nanoparticules sont des branches de la nanotechnologie sur lesquelles s'appuie notamment le personnage fictif de Marvel Tony Stark, alias Iron Man.
Des scientifiques coréens et américains créent un implant cérébral qui pourrait être contrôlé à l'aide d'un smartphone Dans un effort distinct de la Corée du Sud et des États-Unis, soutenu par des subventions de la National Research Foundation of Korea, des National Institutes of Health, du National Institute on Drug Abuse et de la Mallinckrodt Professorship, une autre innovation a été testée pour contrôler le cerveau. Un implant neuronal souple, capable d'administrer plusieurs médicaments et lumières colorées, a été découvert pour manipuler les circuits neuronaux à l'aide d'un smartphone.
Dans l'étude publiée dans Nature Biomedical Engineering, les chercheurs ont déclaré que le minuscule implant est le premier dispositif neuronal sans fil capable d'accélérer les efforts pour découvrir les maladies cérébrales, telles que la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer, la toxicomanie, la dépression et la douleur.
"Le dispositif neuronal sans fil permet une neuromodulation chimique et optique chronique qui n'a jamais été réalisée auparavant", a déclaré l'auteur principal Raza Qazi, chercheur à l'Institut coréen avancé des sciences et technologies (KAIST) et à l'Université du Colorado à Boulder.
Michael Bruchas, co-auteur de l'étude et professeur d'anesthésiologie, de médecine de la douleur et de pharmacologie à la faculté de médecine de l'université de Washington, a déclaré que cette technologie leur permettait de mieux décortiquer les circuits neuronaux à la base du comportement « et la manière dont des neuromodulateurs spécifiques du cerveau ajustent le comportement de diverses manières », a-t-il déclaré. « Nous sommes également impatients d'utiliser l'appareil pour des études pharmacologiques complexes, qui pourraient nous aider à développer de nouvelles thérapies contre la douleur, la toxicomanie et les troubles émotionnels. »
L'appareil utilise des cartouches de médicaments remplaçables de type Lego et un puissant Bluetooth à faible consommation d'énergie pour administrer des médicaments et de la lumière à des neurones spécifiques d'intérêt.
Selon les scientifiques, cette technologie éclipse considérablement les méthodes de neurosciences conventionnelles, qui impliquent généralement des tubes métalliques rigides et des fibres optiques. Bien que certains efforts aient permis de remédier à la réponse tissulaire indésirable en incorporant des sondes souples et des plates-formes sans fil, les solutions précédentes étaient limitées par leur incapacité à administrer des médicaments pendant de longues périodes ainsi que par leurs configurations de contrôle volumineuses et complexes.
Contrôlé par une interface utilisateur simple sur un smartphone, l'appareil peut créer une combinaison spécifique ou un séquençage précis de lumière et d'administration de médicaments dans n'importe quel animal cible implanté sans avoir besoin d'être à l'intérieur du laboratoire. Avec cet appareil, les chercheurs pourraient facilement mettre en place des études animales entièrement automatisées où le comportement d'un animal pourrait affecter positivement ou négativement le comportement d'autres animaux par le déclenchement conditionnel de la lumière et/ou de l'administration de médicaments.
"Ce dispositif révolutionnaire est le fruit d'une conception électronique avancée et d'une puissante ingénierie à l'échelle micro et nanométrique", a déclaré Jae-Woong Jeong, professeur de génie électrique au KAIST. "Nous souhaitons développer davantage cette technologie pour fabriquer un implant cérébral destiné à des applications cliniques." (Article connexe : Neuralink reçoit l'approbation de la FDA pour implanter une puce cérébrale chez un deuxième patient.)
FutureScienceNews.com has more stories similar to this.
Comme l'a longuement explicationné (il y a qq années) la scientifique Dr Astrid Stuckelberger à propos des nano particules d'oxyde de graphène (40 000 milliards par dose !), elles servent de station-relais entre le téléphone portable (même éteint) et le cerveau. De sorte que, suivant la longueur d'onde reçue ces nano partyicules d'oxyde de graphène peuvent se mettre en rang (!) et créer un long fil (appelé morgelon) ou se mettre en boule et créer un caillot (mort). Mais encore interférer, modifier les idées comportementales des inoculé(e)s profond !
Ces nano particules (1 millième de millimètre, un millionième de centimètre, un milliardième de mètre), peuvent aussi être chemtraillées et absorbées par tous les êtres vivants (humains, animaux et plantes). Les tests ont démontré que des races d'oiseaux comme de poissons pouvaient être contrôlés et détruits à distances car chacun d'eux à un système cardiaque différent.
Nota que les plantes sont consommées par les humains et les animaux.
Cour suprême du Vermont : les parents NE PEUVENT PAS POURSUIVRE une école pour avoir injecté un vaccin COVID-19 à un enfant de 6 ans sans son consentement
08/07/2024 Ava Grace
La Cour suprême du Vermont (VTSC) a statué que les parents d'un garçon de six ans ne peuvent pas poursuivre une école après que l'enfant a été illégalement injecté avec un vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Dans sa décision du 26 juillet, la plus haute cour de l'État de Green Mountain a rejeté la plainte déposée par les parents de L.P., six ans, contre le Windham Southeast School District (WSESD). En effet, les fonctionnaires de l'État, y compris les fonctionnaires du système scolaire public, sont protégés de toute responsabilité en vertu de la loi sur la préparation du public et la préparation aux situations d'urgence (PREP) de 2005.
La loi PREP signée par l'ancien président George W. Bush garantit que certaines « personnes couvertes » sont à l'abri des réclamations liées de manière causale à l'utilisation d'une « contre-mesure couverte » lors d'une urgence de santé publique. Un vaccin est considéré comme une contre-mesure couverte en vertu de cette loi.
« Pour éviter un rejet pour des raisons d'immunité, les plaignants auraient dû présenter des allégations bien argumentées montrant que (1) au moins un défendeur n'était pas une personne couverte, (2) une certaine conduite d'un défendeur n'était pas liée de manière causale à l'administration d'une contre-mesure couverte, (3) la substance injectée dans L.P. n'était pas une contre-mesure couverte, ou (4) il n'y avait aucune déclaration de loi PREP en vigueur au moment où L.P. a été injecté », peut-on lire dans la décision. (En lien avec : la loi PREP adoptée en 2020 a été conçue pour protéger tout le monde SAUF les personnes blessées par les vaccins.)
Selon FOX 26, L.P. a reçu une injection du vaccin COVID-19 lors de la clinique de novembre 2021 organisée par le WSESD et le ministère de la Santé du Vermont. Le père de L.P. a déclaré aux responsables de l'école quelques jours avant la clinique que son fils ne devait pas être vacciné. Malgré la reconnaissance de la directive par l'école, l'enfant de six ans a reçu une dose du vaccin à ARNm de Pfizer contre la COVID-19 après avoir reçu par erreur l'étiquette d'un enfant ne faisant l'objet d'aucune restriction de ce type.
Les responsables de l'école se sont excusés auprès des parents de l'enfant Ce n'est que plus tard que les responsables de l'école ont finalement réalisé l'erreur et ont appelé les parents de L.P. pour s'excuser. Mais cela n'a pas réussi à apaiser les parents du garçon, qui ont ensuite retiré leur enfant de l'école WSESD.
"Heureusement, nous n'avons connaissance d'aucun préjudice causé à l'élève à cause de cette erreur", a déclaré le surintendant du WSESD, Mark Speno, dans une lettre d'excuses de 2021. "Nous prenons très au sérieux nos responsabilités envers les élèves et les familles, et nous respectons le droit des parents à prendre des décisions en matière de soins de santé pour leurs enfants".
Les parents de L.P. ont finalement poursuivi le district scolaire en justice, mais la Haute Cour a statué en faveur des défendeurs, citant la loi PREP. La décision du VTSC confirme une décision antérieure d'un tribunal supérieur de l'État en janvier de l'année dernière, a rapporté LifeSiteNews.
« Au début de l'épidémie de COVID-19 de 2020, l'administration Trump a invoqué la loi pour déclarer le virus « urgence de santé publique », a déclaré le média pro-vie. « De nombreuses preuves identifient des risques importants pour les vaccins COVID-19, qui ont été développés et examinés en une fraction du temps que prennent habituellement les vaccins dans le cadre de l'initiative Operation Warp Speed de l'ancien président Donald Trump. »
Même les Centers for Disease Control and Prevention soulignent les blessures causées par les injections COVID-19. Les chercheurs de l'agence de santé publique ont reconnu un « taux de vérification élevé » de la myocardite (inflammation du muscle cardiaque) dans le Vaccine Adverse Event Reporting System après la vaccination avec des injections d'ARNm COVID-19. Cela a conduit les chercheurs à conclure que « la sous-déclaration est plus probable » que la surdéclaration.
Regardez ce clip sur la surmortalité des enfants en Amérique et le système de santé.
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
Autres histoires connexes : Un jeune homme souffre d'un mois d'affaiblissement et de décès après avoir pris le vaccin COVID-19 de Pfizer.
Les CDC et Facebook se sont entendus pour CENSURER les FAQ sur la sécurité des vaccins COVID-19, révèlent des courriels.
Le Kansas accuse légalement Pfizer d'avoir induit le public en erreur au sujet de son soi-disant « vaccin COVID-19 ».
Les dernières fuites de courriels montrent que Big Tech et Biden se sont entendus sur les récits COVID, notamment avec les CDC et Twitter (maintenant X).
Les tribunaux ont créé un précédent pour la VACCINATION FORCÉE massive de tous les enfants.
Les personnes qui ont RÉSISTÉ à la tyrannie médicale GAGNENT désormais des procès pour exemption religieuse
08/07/2024 Belle Carter
Deux tribunaux ont récemment statué en faveur des plaignants qui n'ont pas obtenu satisfaction sur leurs demandes d'exemption religieuse concernant les exigences en matière de vaccination, s'ajoutant à une série de victoires récentes sur les mandats de vaccination dangereux.
Depuis mai, au moins 10 cours d'appel ont rendu des décisions en faveur des employés qui ont poursuivi leurs employeurs pour des actions ou des politiques d'exemption religieuse ou morale liées au coronavirus de Wuhan (COVID-19). (En lien : Le Connecticut affirme que les exemptions religieuses aux vaccinations obligatoires des enfants constituent en quelque sorte une menace pour la santé publique.)
En avril 2022, Rachel Spivack a poursuivi son ancien patron, le procureur du district de Philadelphie Larry Krasner, pour avoir violé ses droits au titre du Premier amendement et la loi sur la protection de la liberté religieuse du Commonwealth de Pennsylvanie. Le bureau de Krasner a émis une obligation de vaccination pour tous les employés admissibles en août 2021, environ un mois avant que Spivack, une employée non syndiquée, ne commence à y travailler.
Spivack a demandé une exemption religieuse basée sur ses croyances juives orthodoxes, en soumettant une lettre de son rabbin et en fournissant une explication détaillée de ses croyances religieuses, mais Krasner a ignoré sa demande d'exemption de vaccin COVID-19 tout en autorisant d'autres types d'exemptions.
Selon le bureau du procureur, ils ont changé de politique entre août 2021 et janvier 2022, décidant de refuser catégoriquement toutes les exemptions religieuses sans évaluation individuelle. Cependant, sa politique a autorisé une exemption médicale pour un employé et des exemptions pour les employés syndiqués dont les conditions d'emploi sont régies par leurs contrats syndicaux avec la ville plutôt qu'avec son bureau. Spivack a quand même tenté de collaborer avec le bureau pour trouver des moyens de conserver son emploi sans se faire vacciner, en proposant de porter un masque et de se faire tester chaque semaine, mais le bureau a refusé et a mis fin à son emploi le 8 avril 2022.
Elle a poursuivi Krasner et la ville plus tard dans le mois. Le tribunal de district qui a entendu l'affaire en premier a accordé la requête de Krasner pour un jugement sommaire, affirmant qu'il n'y avait aucune preuve que sa décision était basée sur l'intolérance religieuse. Mais le 29 juillet, la cour d'appel du 3e circuit a annulé la décision et renvoyé l'affaire pour un procès.
Un jury raisonnable pourrait conclure que les commentaires de Krasner « témoignent d'une hostilité envers la religion qui porte atteinte » à la neutralité des politiques de son bureau, ou il pourrait également parvenir à la conclusion opposée, selon la décision. Par conséquent, « aucune des parties n'a droit à un jugement sommaire sur la neutralité » et l'affaire devrait être entendue par un jury.
« Nous sommes reconnaissants que la Cour d'appel ait reconnu que ces questions importantes méritent d'être prises en considération par un jury », a déclaré Lea Patterson, qui représentait Spivack devant le tribunal, dans un communiqué de presse. « Aucun Américain ne devrait perdre son emploi pour avoir vécu selon ses convictions religieuses sincères. »
La Cour suprême du Connecticut se prononce en faveur des exemptions religieuses Pendant ce temps, la Cour suprême du Connecticut a renvoyé une affaire contestant la politique d'exemption religieuse des vaccins scolaires du Connecticut à la Cour supérieure pour un examen plus approfondi par rapport à la loi sur la liberté religieuse et la restauration de l'État.
En 2021, les parents Keira Spillane et Anna Kehle ont poursuivi le gouverneur, les chefs des départements de l'éducation et de la santé publique de l'État, ainsi qu'une école et un conseil scolaire locaux, arguant que la politique violait leurs droits et ceux de leurs enfants à exercer librement leur religion, à une protection égale des lois et à une éducation publique gratuite.
Elle a poursuivi Krasner et la ville plus tard dans le mois. Le tribunal de district qui a entendu l'affaire en premier a accordé la requête de Krasner pour un jugement sommaire, affirmant qu'il n'y avait aucune preuve que sa décision était basée sur l'intolérance religieuse. Mais le 29 juillet, la cour d'appel du 3e circuit a annulé la décision et renvoyé l'affaire pour un procès.
Un jury raisonnable pourrait conclure que les commentaires de Krasner « témoignent d'une hostilité envers la religion qui porte atteinte » à la neutralité des politiques de son bureau, ou il pourrait également parvenir à la conclusion opposée, selon la décision. Par conséquent, « aucune des parties n'a droit à un jugement sommaire sur la neutralité » et l'affaire devrait être entendue par un jury.
« Nous sommes reconnaissants que la Cour d'appel ait reconnu que ces questions importantes méritent d'être prises en considération par un jury », a déclaré Lea Patterson, qui représentait Spivack devant le tribunal, dans un communiqué de presse. « Aucun Américain ne devrait perdre son emploi pour avoir vécu selon ses convictions religieuses sincères. »
La Cour suprême du Connecticut se prononce en faveur des exemptions religieuses Pendant ce temps, la Cour suprême du Connecticut a renvoyé une affaire contestant la politique d'exemption religieuse des vaccins scolaires du Connecticut à la Cour supérieure pour un examen plus approfondi par rapport à la loi sur la liberté religieuse et la restauration de l'État.
En 2021, les parents Keira Spillane et Anna Kehle ont poursuivi le gouverneur, les chefs des départements de l'éducation et de la santé publique de l'État, ainsi qu'une école et un conseil scolaire locaux, arguant que la politique violait leurs droits et ceux de leurs enfants à exercer librement leur religion, à une protection égale des lois et à une éducation publique gratuite.
Les défendeurs ont fait appel devant la Cour suprême du Connecticut, qui a annulé une partie de la décision du tribunal inférieur, rejetant cinq des six chefs d'accusation contre les plaignants et autorisant l'école à se retirer. Le mandat de vaccination reste en vigueur. Cependant, il a renvoyé l'affaire à la Cour supérieure pour examiner les réclamations des plaignants.
"Cette décision est une victoire pour nos plaignants et une victoire pour la liberté religieuse dans le Connecticut et nous sommes impatients de faire avancer notre requête en injonction afin que nous puissions ramener ces enfants privés de leurs droits à l'école en attendant notre procès", a déclaré Brian Marks, professeur de droit et de santé publique à la faculté des sciences de la santé de l'université de New Haven.
Visitez MedicalTyranny.com pour plus d'informations sur les mandats de santé publique tels que les exigences en matière de vaccins.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle des récentes décisions en faveur des poursuites pour exemption religieuse.
Cette vidéo provient de la chaîne Loki Luck III sur Brighteon.com.
This video is from the Loki Luck III channel on Brighteon.com.
More related stories:
Drag queen CEO of United Airlines accused of mocking employees who applied for religious exemptions from COVID-19 vaccine mandate.
Report finds U.S. military violated rules in handling COVID-19 vaccine mandate exemption requests.
In affront to God, Pope Francis condemns “antivaxxers,” says NOT taking the covid vaccine is an act of suicide… refuses to condemn transhumanism mRNA vaccine tech.
Les vaccins ARNm covid détruisent durablement la flore intestinale en particulier la bifidobacteria avec des risques de maladies inflammatoires et neurologiques
le 8 août 2024 par pgibertie
L’action principale du bifidobacterium est relative aux fonctions digestives. Une supplémentation va permettre d’apporter ces bonnes bactéries à l’organisme et ainsi équilibrer le microbiote intestinal. En équilibrant la population de cette flore, cela va permettre de renforcer la paroi intestinale qui peut être altérée ce qui mène à une hyperperméabilité intestinale. Cette hyperperméabilité peut être à l’origine d’une mauvaise assimilation des nutriments et d’un passage dans le sang de composés toxiques ce qui peut engendrer une inflammation locale puis globale de l’organisme.
Le microbiote intestinal interagit avec le système immunitaire ce qui permet de réguler la production de cellules immunitaires et réagir en cas d’inflammation dans l’organisme. De même, dans le cadre d’un traitement médical, une bonne concentration en bifidobacterium va permettre de soutenir les cellules immunitaires qui peuvent être altérées ou surchargées.
Les vaccins à ARN messager contre le SARS-CoV-2 sont largement distribués, mais leur effet sur le microbiome intestinal humain, en particulier à long terme jusqu’à un an, est inconnu. Le microbiome intestinal humain est un déterminant essentiel de la santé humaine. Le déclin du genre Bifidobacteria est associé aux maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, à l’obésité, aux troubles neurologiques, à l’infection à C. difficile et à la COVID-19 sévère.
Nous avons enregistré longitudinalement l’abondance relative du genre
Bifidobacteria chez 4 sujets avant de recevoir le vaccin à ARNm (Pfizer ou Moderna), environ un mois après le vaccin et 6 à 9 mois plus tard. Des vaccins supplémentaires contre le SRAS-CoV-2 ont été administrés pendant cette période, pour un total de 2 à 3 doses. Les échantillons ont été prélevés aux moments mentionnés. Il n’y a eu aucun changement de régime alimentaire ni de nouveau médicament pendant toute la période et les sujets ont été invités à suivre le même régime pendant les 6 mois. Des méthodes de séquençage métagénomique de nouvelle génération ont été appliquées aux échantillons obtenus à partir de la collecte de matières fécales. L’ADN a été extrait et la bibliothèque préparée, enrichie et séquencée sur un système Illumina Nextseq 550. L’abondance relative des bifidobactéries a diminué après 1 mois chez 3 des 4 sujets à : 38 %, 258 %, 49 % et 90 % des niveaux pré-vaccinaux. Après 6 à 9 mois, l’abondance relative de toutes les bifidobactéries a diminué à : 15 %, 0 %, 35 % et 60 % des niveaux pré-vaccinaux.
Il s’agit de la première étude à démontrer une diminution de l’abondance relative des bactéries du genre
Bifidobacteria 6 à 9 mois après la vaccination contre le SARS-CoV-2. Tous les sujets sont tombés en dessous d’une abondance relative de 1 %. Bien qu’il s’agisse d’un petit échantillon, ces résultats peuvent suggérer un mécanisme potentiel de complications post-vaccinales ; cependant, aucun sujet de l’étude n’a présenté de complications significatives. La dysbiose intestinale post-vaccination à ARNm contre le SARS-CoV-2 pourrait potentiellement être une indication future de restauration des Bifidobacteria par voie orale ou directement par transplantation fécale.
Des études montrent les dangers et le manque de bénéfices du vaccin contre le VPH
8 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Il est toujours étonnant de constater à quel point les vaccins se comportent négativement dans les études et en termes d’effets secondaires documentés, alors qu’ils sont toujours massivement promus, voire prescrits, par les autorités censées protéger notre santé. Les principaux exemples actuels en sont les préparations Corona modRNA et le vaccin HPV, réputé efficace contre le cancer du col de l'utérus.
TKP a récemment présenté ici les données de Statistics Austria . Ils montrent que deux choses se sont produites depuis l'introduction de la vaccination contre le VPH en Autriche :
Premièrement, les diagnostics de cancer ont diminué de manière significative jusqu'en 2007, mais plus depuis l'introduction de la vaccination. Deuxièmement, l’incidence de la maladie s’est considérablement déplacée vers les femmes et les filles plus jeunes depuis le début de la vaccination.
Si l’on considère la situation de l’étude, c’est exactement ce à quoi on peut s’attendre. En 2017, Manuel Martinez-Lavin et al. ont publié une évaluation des événements indésirables graves décrits dans des essais randomisés pré-commercialisation et des séries de cas post-commercialisation. Le titre de l'étude : « Événements indésirables graves après la vaccination contre le VPH : une revue critique des essais randomisés et des séries de cas post-commercialisation ».
Les auteurs ont constaté que dans « la plupart des essais randomisés sur le vaccin contre le VPH, aucun placebo inerte n’a été utilisé dans le groupe témoin ».
Il s’agit d’une astuce souvent utilisée dans les études pharmaceutiques pour dissimuler les dommages causés par les principes actifs. Les deux groupes y sont exposés et seule la différence dans l’occurrence des dommages est rapportée.
Mais même cela n’a apparemment pas aidé : « Dans deux des plus grandes études randomisées, des événements indésirables significativement plus graves ont été constatés dans le groupe testé avec le vaccin contre le VPH. »
Les auteurs de la première étude : "Par rapport aux 2871 femmes ayant reçu un placebo d'aluminium, il y a eu plus de décès au suivi dans le groupe de 2881 femmes ayant reçu une injection du vaccin bivalent contre le VPH (14 contre 3, p = 0,012)."
Le groupe placebo n’a pas reçu d’agent inerte, mais plutôt de l’aluminium nocif connu. Néanmoins, la vaccination a entraîné davantage de décès. Il est incroyable que quelqu'un ose encore recommander un tel produit médical.
Mais passons à la deuxième étude : « Par rapport aux 7 078 filles qui ont reçu le vaccin anti-VPH 4-valent, 7 071 filles qui ont reçu la dose 9-valente ont présenté des événements indésirables systémiques plus graves (3,3 contre 2,6 %, p = 0,01). »
Gardasil-9 est la préparation actuellement vaccinée à grande échelle. Le ministère autrichien de la Santé recommande même que les femmes ayant reçu le produit 4-valent soient revaccinées avec le produit 9-valent.
Les auteurs résument :
« Les études précliniques, les séries de cas post-commercialisation et la base de données mondiale des effets indésirables des médicaments (VigiBase) décrivent des groupes de symptômes similaires après la vaccination contre le VPH. Dans deux des plus grands essais randomisés sur le vaccin contre le VPH, des événements indésirables plus graves sont survenus dans le groupe vacciné contre le VPH testé. Le vaccin neuf fois supérieur contre le VPH présente un rapport inquiétant « nombre nécessaire pour vacciner/nombre nécessaire pour nuire ». Les études précliniques et les séries de cas post-commercialisation décrivent des symptômes similaires après la vaccination contre le VPH.
Cela explique bien les données de Statistics Austria.
Une campagne internationale financée en grande partie par la Fondation Bill & Melinda Gates pour vacciner des dizaines de millions de jeunes filles avec le médicament contre le VPH suscite de vives critiques. car le vaccin causera bien plus de mal que de bien.
Affirmant que l’initiative permettra d’éviter « plus de 1,4 million de décès futurs », l’alliance vaccinale Gavi a annoncé qu’elle distribuerait plus de 600 millions de dollars pour atteindre son objectif de 86 millions de filles à vacciner dans les pays à revenu faible ou intermédiaire d’ici 2025.
« La diffusion de ce vaccin sur des millions de filles et de jeunes femmes entraînera une mortalité massive que ces pays n’ont pas et n’ont pas besoin. Le nombre de SAR sera de 65 000 par million de femmes vaccinées, et le bénéfice net prétendu du vaccin n’existe tout simplement pas – Lyons-Weiler, directeur de l’Institut des connaissances pures et appliquées.
La vaccination contre le VPH a déjà donné lieu à de nombreux procès en raison des dégâts causés. Voici un rapport intitulé « Le vaccin contre le VPH provoque le cancer du col de l’utérus chez une jeune femme, procès ». »
Mais c'est loin d'être tout. Voici une courte sélection d’autres études publiées :
La pancréatite après vaccination contre le virus du papillome humain n'est pas un phénomène nouveau :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27421720
Une étude cas-témoins de vaccins quadrivalents contre le virus du papillome humain associés à des événements indésirables auto-immuns :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25535199
Des douleurs neuropathiques chroniques, de la fatigue et un dysfonctionnement autonome peuvent survenir après la vaccination contre le VPH :
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26354426
61 % des femmes ont subi un événement indésirable après avoir reçu la première dose du vaccin contre le VPH :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23801230
L’essentiel est que les campagnes de vaccination contre le VPH pourraient avoir un effet similaire aux campagnes transgenres menées par le CIO , le gouvernement bavarois , l’UE et les autres élites mondialistes.
Voici 2 films recommandés sur les effets secondaires :
L’énergie solaire en moyenne deux fois plus chère que le charbon – étude
7 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis le Green Deal de l’UE et la mise en place de bourses commerciales pour l’électricité et le gaz selon les dogmes néolibéraux, les coûts de l’énergie dans l’UE ont énormément augmenté. L’abandon prévu des hydrocarbures dans l’UE (et uniquement dans l’UE) entraînera de nouvelles augmentations énormes des prix.
Un nouveau document de 2024 déclare : « Les coûts de l’électricité photovoltaïque liés au système en Chine sont actuellement plus élevés que le prix de l’électricité produite au charbon désulfuré dans les provinces. » L' étude de Shijia Chong et al, publiée dans ScienceDirect, est intitulée « Comptabilité analytique et évaluation de la compétitivité économique de la production d'énergie photovoltaïque en Chine —— basée sur le coût actualisé de l'électricité du système. » basée sur les coûts de production d'électricité dépendant du système).
L’affirmation courante est que l’énergie solaire et éolienne est moins chère. C’est tout sauf la vérité. Parce que cela n'est vrai que lorsque le soleil brille et que le vent souffle, sinon cela coûte beaucoup plus cher. Surtout si vous incluez correctement les coûts du système pour l'équilibrage et l'intégration du réseau.
Et comme le soleil ne brille pas toujours et que le vent ne souffle pas toujours, il faut évidemment tenir compte des coûts du système pour compenser le manque de fiabilité de l'énergie solaire et éolienne.
Les auteurs écrivent : « Avec la croissance continue de la production photovoltaïque dans le système électrique, les coûts du photovoltaïque ont également chuté rapidement. Le coût actualisé de l’électricité (LCOE) est couramment utilisé pour la comptabilité des coûts énergétiques, tandis que négliger la composition spécifique des coûts du photovoltaïque conduit à un scénario trop optimiste. En intégrant les coûts du réseau et les coûts d'équilibrage dans le cadre LCOE conventionnel, un modèle LCOE système (S-LCOE) a été créé pour évaluer plus précisément la faisabilité économique de la production photovoltaïque. Les résultats montrent que le S-LCOE du photovoltaïque dans toutes les provinces de Chine est actuellement supérieur au prix local de l’électricité au charbon désulfuré (DCEP).
Mais ces coûts ne suffisent pas pour calculer la rentabilité et le véritable prix client final. Les coûts de l’intégration du réseau, des capacités de réserve et du stockage tampon doivent être inclus dans les coûts du système. Une image complètement différente apparaît alors.
« Ainsi, en intégrant les coûts d'intégration dans le calcul LCOE conventionnel, cette étude a créé un cadre plus complet, le modèle System LCOE (S-LCOE), qui vise à réévaluer la faisabilité économique de la technologie photovoltaïque et en même temps à éviter les excès d'optimisme. scénarios de coûts [11]. "En outre, la répartition spatio-temporelle de l'évolution des coûts du photovoltaïque en Chine a été analysée plus en détail pour révéler les différences régionales en termes de compétitivité économique et d'abordabilité de la technologie photovoltaïque."
Et voici le résultat:
- voir graph sur site -
Nous constatons que les coûts de l’électricité photovoltaïque dans les provinces chinoises sont en moyenne environ deux fois plus élevés que les coûts de l’électricité issue du charbon désulfuré.
Le problème est que les coûts augmentent à mesure qu’ils se généralisent. Si la part photovoltaïque est faible, les fluctuations liées à la météo peuvent être absorbées par les infrastructures et les producteurs d'énergie existants. Plus la part du photovoltaïque augmente, plus il faut investir dans les infrastructures, la sauvegarde et le stockage tampon.
Ce qui n’a pas encore été enregistré ici, c’est un basculement vers l’électricité chez les consommateurs comme les pompes à chaleur, le chauffage électrique ou les voitures électriques. Il y a ensuite d'autres dépenses, par exemple pour les réseaux de distribution. Et se pose la question de la faisabilité, à laquelle on a jusqu’ici répondu par la négative.
De plus, les effets climatiques de l’expansion du photovoltaïque ne sont pas clairs. Des études antérieures suggèrent même qu'un réchauffement climatique se produit, comme indiqué ici et ici . Cependant, l’augmentation du gaz carbonique qui assure une croissance plus rapide des plantes et donc une verdure et une sécurité alimentaire manque alors.
La politique énergétique allemande mène à la désindustrialisation
8 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
La politique énergétique allemande constitue de plus en plus un risque de localisation pour les entreprises. De plus en plus de personnes envisagent d’arrêter leur production et de la délocaliser à l’étranger. Une enquête récente de l'Association allemande des chambres de commerce et d'industrie (DIHK) auprès d'environ 3 300 entreprises membres confirme cette tendance. Cela est dû aux politiques de désindustrialisation de la Commission européenne et du gouvernement allemand.
Le « Baromètre de la transition énergétique » de cette année montre également à quel point la perte de confiance dans le gouvernement au pouvoir est dramatique. «La confiance de l'économie allemande dans la politique énergétique a été gravement ébranlée», déclare Achim Dercks, directeur adjoint de la DIHK, résumant les résultats de l'enquête. "Alors que de nombreuses entreprises ont également vu des opportunités dans la transition énergétique pour leur propre activité dans les années précédant 2023, elles estiment désormais que les risques l'emportent clairement sur les risques."
L'Allemagne est célèbre pour son industrie lourde, mais une grande partie de ce secteur a besoin d'une énergie bon marché pour rester compétitive sur le marché mondial, notamment la production d'acier, de véhicules et de produits chimiques. Ce sont également les entreprises les plus susceptibles d'envisager des délocalisations ou des réductions de production, selon le journal allemand Welt .
Les données montrent que 45 % de toutes les entreprises ayant des coûts d'électricité élevés « planifient ou mettent en œuvre » des mesures de réduction ou de délocalisation – soit 7 % de plus que l'année dernière. Dans l'enquête, les coûts de l'électricité sont considérés comme « élevés » s'ils représentent plus de 14 % des ventes.
Les géants industriels allemands sont les plus enclins à se délocaliser en raison de leur présence internationale déjà forte et de leur assise financière suffisante. Parmi les entreprises industrielles de plus de 500 salariés, 51 % envisagent déjà des réductions de production ou des délocalisations, contre 43 % l'année dernière.
Le gouvernement allemand tente de contrecarrer ces tendances et a récemment publié un plan pour une « initiative de croissance ».
Mais Dercks ne le pense pas : "Les solutions durables aux problèmes d'approvisionnement en énergie et de prix de l'énergie sont complètement ignorées. Le vice-président de la DIHK prévient que la situation pourrait encore empirer."
« Quiconque n’a pas cela en tête finira par connaître la désindustrialisation de notre pays », a-t-il prévenu.
Des exemples montrent le crash Il existe de nombreux exemples qui illustrent une politique apparemment délibérément erronée.
L’expansion de l’éolien et du photovoltaïque modifie considérablement le système électrique. Le ministre de l'Économie, Robert Habeck, prévoit des réformes globales pour relever ce défi. Mais ces réformes sont parfois bizarres. L'électricité éolienne et solaire dépend de la météo et de l'heure de la journée et l'approvisionnement varie donc considérablement tout au long de la journée. L’idée est une nouvelle « conception du marché de l’électricité » dans laquelle la demande devrait réagir de manière flexible à l’offre.
Dans un communiqué de presse de l'Agence fédérale des réseaux, on peut lire ceci :
« Les anciennes réductions sur les frais de réseau ne répondent plus aux exigences d'un système électrique caractérisé par une forte proportion de production d'électricité renouvelable. À l’avenir, nous souhaitons encourager particulièrement un comportement de consommation respectueux du système dans l’industrie. L’industrie et le commerce devraient payer des frais de réseau réduits s’ils consomment davantage d’électricité dans des situations où l’approvisionnement en électricité est élevé. À l’inverse, ils bénéficient également d’une réduction des frais de réseau s’ils consomment moins d’électricité en période de pénurie d’électricité.
Les auteurs de ce plan n’ont apparemment jamais vu l’intérieur d’une seule usine de leur vie. Surtout pas une grande, une de celles avec un système d'équipes qui fonctionne 24 heures sur 24, comme une usine chimique ou une aciérie. Pas même une de ces aciéries électriques tant désirées, qui ne reçoit alors que de l’électricité « verte ».
Pour l’industrie manufacturière, cela signifie des coûts énergétiques totalement incalculables à long terme. Dans la plupart des industries, la production ne peut pas simplement être régulée à la hausse ou à la baisse en fonction du prix de l’électricité. Vous ne pouvez pas renvoyer vos employés chez eux si l'électricité est trop chère.
Personne ne devrait donc s'étonner que quiconque le peut quitte précipitamment l'Allemagne et mène ses affaires là où les hommes politiques disposent de plus de deux cellules cérébrales fonctionnelles.
Des nouvelles telles que l'annonce du chômage partiel chez Daimler Truck, la suppression de 1 400 emplois chez Infineon en Allemagne et la délocalisation de 1 400 autres vers d'autres pays, la faillite imminente de la chaîne de mode Esprit, de VW ID.Buzz, du bus électrique en tant que vendeur lent, l'effondrement de la demande de véhicules électriques. Les voitures ont chuté de 47 % et l'industrie solaire de 50 % ne sont plus particulièrement surprenantes.
Le portail américain Bloomberg a récemment déclaré que « l’Allemagne devient le lest de l’Europe ». L’Allemagne est le pays qui met le plus d’empressement à mettre en œuvre les directives de Bruxelles, qui suivent à nouveau le rythme de Washington. Les élites américaines veulent maintenir la concurrence de l’Europe au minimum, mais il semble que cette destruction massive de l’économie va trop loin, même pour les Américains. L’Allemagne est dans une situation de lest à cet égard, car elle a rompu la plupart de ses liens avec l’énergie bon marché en provenance de Russie et entraîne désormais dans sa chute d’autres pays européens.
Fondation Heinrich Böll de Berlin, Allemagne , CC BY-SA 2.0 , via Wikimedia Commons
Devenir propre sur l'énergie propre : c'est une sale affaire
PAR TYLER DURDEN JEUDI 08 AOÛT 2024 - 02:55 Rédigé par Kristen Walker via RealClearEnergy,
À moins que vous n'ayez vécu dans une grotte, vous êtes probablement au courant de l'énorme effort de transition vers l'énergie verte. L'objectif est de remplacer le charbon et le gaz naturel par l'éolien et le solaire ; le véhicule électrique (VE) remplacera supposément les moteurs à combustion interne. Les directives viennent de la plus haute instance du pays ; l'administration actuelle a fait de l'énergie verte une grande partie de son programme.
On nous dit que ces technologies sont propres et sauveront la planète du changement climatique. Cependant, ces formes d'énergie alternatives prônées sont criblées de leurs propres problèmes.
Derrière les panneaux solaires, les éoliennes et les batteries des véhicules électriques se cachent de sales secrets qui sont balayés sous le tapis et ignorés par les passionnés du climat. Les combustibles fossiles sont constamment examinés à la loupe et condamnés comme des pollueurs destructeurs et malfaisants. L’énergie verte est généralement mise sur un piédestal. Cependant, l’énergie verte n’est pas aussi parfaite et merveilleuse qu’on veut nous le faire croire. Pourtant, nous accordons beaucoup de confiance à ces sources d’énergie, sans tenir compte de leurs ramifications.
L’American Consumer Institute vient de publier un rapport détaillant de nombreux impacts environnementaux associés aux formes d’énergie dites vertes qui sont fortement promues. Le cycle de vie de ces trois formes d’énergie – l’éolienne, le panneau solaire et la batterie des véhicules électriques – implique des conséquences environnementales importantes qui ne doivent pas être négligées et doivent faire partie du débat lors de la mise en œuvre des politiques énergétiques.
L’un des plus gros problèmes liés à ces formes d’énergie est l’extraction et les processus de fabrication de divers minéraux essentiels qui sont nécessaires aux éoliennes, aux panneaux solaires et aux batteries des véhicules électriques. De nombreux pays sous-développés, où les minéraux sont abondants, sont en danger. Les opérations et les procédures non seulement envahissent les terres, mais contaminent également les sols et les sources d’eau environnants. Dans le pire des cas, ce travail est accompli par le travail d’esclave.
Diverses toxines et autres gaz à effet de serre sont libérés dans l’atmosphère, affectant potentiellement les travailleurs et même les communautés voisines. Le paysage est terni et divers habitats d’animaux se rétrécissent et/ou subissent un stress. L’énorme quantité de terres occupées par l’éolien et le solaire pourrait ne jamais être récupérable.
La Chine domine les chaînes d’approvisionnement en énergie verte, mais ses normes environnementales sont inférieures à la moyenne. Les émissions de gaz carbonique associées aux raffineries en Chine sont 1,5 fois supérieures à celles de l’UE ou des États-Unis.
Ces trois sources d’énergie créent également un énorme problème de déchets. Étant donné que tout type de recyclage est très limité à grande échelle, plus de 90 % des pales d’éoliennes, des panneaux solaires et des batteries de véhicules électriques finissent dans des décharges. D’ici 2050, on prévoit que les pales d’éoliennes usagées dépasseront les 43 millions de tonnes de déchets dans le monde. Les déchets solaires devraient être proches de 80 millions de tonnes. Et comme les États-Unis prévoient 33 millions de véhicules électriques sur les routes d’ici 2030, cela représente beaucoup de batteries qui finiront dans des décharges.
Ironiquement, les mêmes personnes qui veulent faire payer les clients pour chaque sac en plastique qu’ils utilisent dans les supermarchés, par crainte que les plastiques à usage unique finissent dans les décharges, ne semblent pas avoir de problème avec les machines potentiellement toxiques qui remplissent cet espace à la place.
Dans notre penchant à essayer de résoudre une crise, nous en créons d’autres.
Certains des impacts et des dangers environnementaux posés par l’énergie verte sont bien plus préjudiciables que les combustibles fossiles, et pourtant ces derniers sont souvent ignorés. De tels risques associés aux technologies vertes devraient en fait être un argument contre la poursuite vigoureuse de ces dernières.
Chaque source d’énergie, y compris les combustibles fossiles, devrait être considérée comme faisant partie d’une stratégie globale visant à fournir l’énergie nécessaire pour alimenter les foyers, les entreprises et l’économie américaine dans son ensemble. Toutes ces sources d’énergie s’accompagnent d’un certain degré de préoccupations environnementales, et chacune devrait être pesée et mesurée – avec les coûts, la logistique, la fiabilité et les facteurs géopolitiques – lors de l’élaboration des politiques publiques. Au lieu d’essayer d’éliminer complètement les combustibles fossiles, il faudrait établir un mix énergétique robuste et sain ; Nous avons besoin d’une approche équilibrée qui ne génère pas de problèmes supplémentaires.
Il est grand temps de faire la lumière sur ce que l’on appelle l’énergie propre. Les conséquences réelles et les effets néfastes de cette énergie exigent des discussions plus honnêtes et une ligne de conduite réfléchie.
Kristen Walker est analyste politique pour l’American Consumer Institute, une organisation à but non lucratif d’éducation et de recherche. Pour plus d’informations sur l’Institut, visitez www.theamericanconsumer.org ou suivez-nous sur Twitter @ConsumerPal
Alerte sécheresse : voici la liste des communes soumises à des restrictions d’eau
En raison de fortes chaleurs et du manque de précipitations, près d’une centaine des 153 communes du département du Var ont été placées en alerte sécheresse et sont désormais soumises à des restrictions d’eau. L’arrêté préfectoral a été publié mercredi 7 août 2024.
le 8 août 2024 à 11h30
En Europe, la température du mois de juillet 2024 était supérieure de 1,49 °C à la moyenne de 1991-2020.
Dans le Var, la sécheresse atteint un niveau critique : 98 communes ont été placées, mercredi 7 août 2024, en alerte jaune par arrêté préfectoral. Les zones concernées incluent Argens, Artuby-Jabron, Gapeau et la partie varoise du bassin versant de l’Huveaune amont. Les restrictions sont strictes pour préserver les ressources en eau. L’arrosage des pelouses, des jardins ou encore des potagers y sont désormais interdit entre 9h et 19h pour les particuliers et entre 8h et 20h pour les terrains sportifs (golf, football, etc.).
Le lavage des voitures à domicile et le remplissage des piscines privées sont quant à eux interdits, peu importe l'heure de la journée. Dans les communes affectées, les fontaines à circuit ouvert sont arrêtées et l’arrosage des espaces verts est limité. Les agriculteurs et viticulteurs s'inquiètent déjà de l'impact que ces restrictions pourraient avoir sur leurs récoltes.
55 communes placées en vigilance
En parallèle, la préfecture du Var a placé 55 autres communes du Var en vigilance sécheresse (niveau gris, soit le premier niveau d'alerte qui sont au nombre de 4). Bien que ces zones ne soient pas soumises à des restrictions obligatoires, les autorités encouragent les habitants à adopter des comportements économes en eau, en témoigne la publication sur X (ex-Twitter) de la préfecture avec le message suivant : « Avec le manque de pluie et la chaleur, les cours d'eau souffrent ! Économisons l'eau ! ». Les habitants concernés sont donc fortement invités à limiter l’arrosage des jardins et à restreindre le remplissage de leurs piscines.
Les efforts pour économiser l'eau portent leurs fruits. « Entre 2023 et 2024, on a fait 20 % d'économies d'eau », indique Sébastien Bourlin, maire de Pourrières, auprès de nos confrères de BFMTV. À titre de rappel, le mois de juillet 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré de l'histoire.
Alors que DES millions de km3 d'eau se déversent continuellement (24/24 h) dans les mers et les océans depuis les fleuves et rivières... il y aurait... la sécheresse !!! HAHAHAHAHA !
Surmonter la grave pénurie d’eau : une vision marocaine
Par le Dr Yossef Ben-Meir Recherche mondiale, 7 août 2024
Les six années consécutives de sécheresse au Maroc ont été atroces. L'impact sur le prix des produits alimentaires de base, comme la viande et l'huile d'olive, a été frappant. Ces dernières années, le début de la saison des pluies a été imprévisible, ce qui fait qu'il est difficile de savoir quand planter, s'il pleuvra ou si nous sommes dans une nouvelle tendance à laquelle nous devons nous adapter.
Dans le même temps, l’ingéniosité humaine et les cadres nationaux marocains de durabilité peuvent réduire le lourd fardeau de la sécheresse. Le Maroc est prêt à mener à bien cette lutte, et la manière dont il y parviendra peut ouvrir la voie pour aider d’autres pays à surmonter leur propre grave pénurie d’eau.
Tous les cadres nationaux essentiels sont en place pour encourager les populations au niveau local à s’adapter et à faire preuve de résilience. En fait, la gravité de la sécheresse nécessitant une adaptation pourrait rendre plus opérationnels les chartes, politiques et programmes déjà établis au Maroc pour la participation de la population à la gestion des ressources naturelles. En effet, les communautés locales appliquant la combinaison marocaine de développement durable et de procédures démocratiques participatives pour faire face à la crise de l'eau pourraient atteindre de manière significative leur objectif national d'établir des administrations décentralisées. Après tout, plus les partenaires infranationaux (privés-publics) travaillent ensemble pour mettre en œuvre des initiatives identifiées par la communauté, plus les systèmes de gestion décentralisés prennent une forme pratique.
Les investissements nationaux du Maroc dans le dessalement et d'autres projets à grande échelle qui augmentent et dispersent stratégiquement son approvisionnement en eau pour l'équilibre régional sont, par rapport aux normes mondiales établies, exceptionnels. Ces investissements incarnent également la justification rationnelle de la voie de décentralisation du Maroc, permettant au niveau national d'aider ses régions les moins favorisées. À cet égard, sous la direction de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc est en bonne voie d'atteindre ses objectifs dans une situation incroyablement difficile en intégrant ces initiatives aux énergies renouvelables et à l'urgence reconnue au niveau national.
Cependant, la gestion communautaire des opportunités locales et des infrastructures d’eau nouvelles ou restaurées reste difficile à atteindre, et la mobilisation rurale généralisée et cruciale n’est pas catalysée dans la mesure nécessaire pour un plus grand succès.
Un processus de développement durable qui aboutit à des systèmes d'eau identifiés et mis en œuvre localement faisant progresser la conservation tout en permettant une production plus élevée – ce qui est en fait l'approche du Maroc – ressemble à ceci : dans les zones rurales où la pénurie d'eau est la plus grave, les femmes et les hommes se rassemblent dans des endroits différents ( comme cela se fait traditionnellement) pour examiner, en tant qu'individus et en tant que groupe, leurs difficultés rencontrées dans la vie liées aux relations sociales, aux perspectives de travail et d'argent, ainsi qu'à la santé, à l'éducation et aux opportunités de subsistance.
En examinant d'abord de manière introspective leurs obstacles intérieurs, leurs forces et les processus de découverte qui déterminent leur avenir et les projets qu'ils souhaitent avant tout, cette expérience dans les zones rurales conduit généralement les individus aux problèmes de l'eau potable et de l'irrigation combinés à l'approvisionnement durable en eau. Une approche de planification participative reposant sur la propre détermination par la communauté de ses objectifs de développement et de ses plans d'action et sur son engagement envers le maintien et la durabilité à long terme de ses projets est le principal facteur de durabilité.
Au Maroc, ce processus ne se retrouve pas seulement dans la charte municipale nationale, qui exige que des plans à long et à court terme soient élaborés par les membres des conseils locaux aux côtés des résidents de la juridiction, mais constitue également le principe central du bras de financement du gouvernement marocain. l'Initiative nationale pour le développement humain ( INHD ) du gouvernement . En outre, l'aspect de l'administration décentralisée du développement est inscrit dans la Constitution nationale, et le rôle moteur des femmes est codifié dans le code de la famille en évolution progressive ( Modouwana).
Cette sécheresse incessante, qui elle aussi passera, exige que nous, au Maroc, ajoutions le niveau d'investissement maximal possible aux stratégies marocaines déjà établies en matière de durabilité communautaire. Cela signifie que nous devons former des milliers de vulgarisateurs agricoles et de gardiens des forêts du pays, des milliers d'étudiants universitaires et d'enseignants d'écoles rurales, des milliers de membres des conseils municipaux et de la société civile, ainsi que des dirigeants communautaires et religieux, aux méthodes permettant de faciliter le dialogue participatif interactif. et des activités pour l'autonomisation des groupes personnels et la planification des initiatives prioritaires locales. Cela est particulièrement vrai pour les initiatives qui impliquent le confinement de l'eau et la maximisation de l'utilité, y compris non seulement des bassins, des tours, des tuyaux et des systèmes de goutte-à-goutte, mais aussi la construction de centaines de milliers de terrasses et la plantation de centaines de millions de variétés d'arbres endémiques qui capteront l'eau. l'eau, permettent un écoulement plus progressif, sans perdre la précieuse eau du Maroc au ruissellement (oui, les arbres conservent l'eau !).
Le financement des associations communautaires locales et des coopératives pour toutes les questions concernant la gestion locale de l’eau et son utilité efficace ne devrait pas être géré uniquement par le ministère de l’Agriculture, mais priorisé par les budgets de tous les ministères lorsque cela est possible et plus particulièrement par l’INHD. Étant donné que les infrastructures d'eau sont de loin le projet prioritaire au niveau local, l'INHD devrait réduire son exigence de financement de 25 pour cent auprès des bénéficiaires communautaires et co-créer des propositions de projets avec des groupes locaux (puisque les taux d'analphabétisme en milieu rural sont une préoccupation nationale), rendant le financement de l'NIHD accessible. à ceux qui le cherchent.
Essentiellement, la combinaison des cadres publics marocains pour faire progresser le développement durable, tous intégrant la participation et la gestion de la population, nécessite des facilitateurs pour catalyser et aider la conception et la mise en œuvre des infrastructures et des projets liés à l'eau. Les acquisitions nécessaires à leur réalisation seraient rendues possibles par l'accompagnement et la réforme des mécanismes de financement du Maroc.
De cette manière, le Maroc, à travers des projets d'approvisionnement en eau décentralisés et menés par les communautés, face à une terrible sécheresse, consolidera et étendra puissamment son modèle et, ce faisant, inspirera d'autres pays sur la façon dont la participation de la population peut être l'élément déterminant qui transforme une situation dévastatrice en celui qui est rendu meilleur sur le plan transformationnel pour le temps à venir.
Les grandes banques mettent en danger la sécurité alimentaire avec les exigences ESG et climatiques pour l’agriculture
6 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Les protestations des agriculteurs dans de nombreux pays européens démontrent clairement que les politiques de l'UE et d'autres organisations mondiales non élues restreignent de plus en plus et rendent la production d'aliments sains plus coûteuse. Dans le même temps, la viande de laboratoire et d’autres aliments artificiels sont alimentés par l’argent des impôts. Les banques commencent également à s’impliquer.
Dans le passé, il a été rapporté à maintes reprises que les banques calculaient l'empreinte carbone de leurs clients sur leurs relevés de compte. Exemples ici , ici et ici . Cela peut être ignoré, mais cela crée des conditions dangereuses qui permettent aux banques de contrôler dans un premier temps les prêts, puis d’introduire ensuite un système de crédit social autoritaire et fasciste, y compris des restrictions sur l’usage que vous pouvez encore faire de votre propre argent.
Un article du CFACT de février montre jusqu’où les banques semblent prêtes à aller. Les revers apparents de l'investissement ESG (environnemental, social et de gouvernance) n'ont pas empêché un groupe d'institutions financières de poursuivre des politiques qui sont fondamentalement en contradiction avec la capacité des agriculteurs à produire des aliments, a déclaré une coalition de responsables agricoles dans un communiqué daté du 29 janvier. à six grandes banques.
Les banques – Bank of America, Citigroup, Goldman Sachs, JP Morgan Chase, Morgan Stanley et Wells Fargo – font partie de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA), soutenue par les Nations Unies. Les responsables de l’agriculture de 11 États américains et un ministre de l’Agriculture ont averti dans leur lettre que « nous sommes sérieusement préoccupés par les engagements pris par votre banque dans le cadre de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA) et par leur impact potentiel sur le secteur agricole ; notamment en termes de disponibilité alimentaire et d’augmentation des prix pour les consommateurs, d’accès au crédit pour nos agriculteurs et producteurs de produits agricoles, et de conséquences économiques négatives globales.
"En raison de l'impact potentiel sur l'agriculture, nous demandons des informations supplémentaires sur les engagements environnementaux apparemment troublants de vos banques qui ciblent nos agriculteurs, éleveurs et producteurs agricoles, ayant de graves conséquences pour les consommateurs et compromettant la sécurité de notre approvisionnement alimentaire", ont écrit des responsables de l'État. « Nous avons appris que vous avez rejoint la NZBA et que vous vous êtes engagé à faire passer toutes les émissions de gaz à effet de serre opérationnelles et attribuables de votre portefeuille de prêts à zéro d'ici le milieu du siècle ou avant. Pour atteindre cet objectif, les banques NZBA doivent exiger de leurs clients qu’ils mesurent et divulguent les émissions de gaz à effet de serre dans des secteurs spécifiques, notamment l’agriculture.
« La mise en œuvre de ces engagements aurait de graves conséquences pour les agriculteurs américains – notamment une réduction de moitié de la consommation américaine de bœuf et de bétail, le passage à des équipements agricoles électriques inefficaces et l’abandon des engrais azotés nécessaires au développement de l’agriculture américaine », ont écrit les responsables. Nous sommes profondément préoccupés par le fait que vos banques aient donné au Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) le pouvoir d’« examiner » et de « surveiller » les objectifs climatiques de vos banques pour vérifier leur « conformité » avec les critères de l’ONU, en particulier compte tenu du rôle de premier plan du PNUE dans l’adoption de la loi. interdiction désastreuse des engrais au Sri Lanka. D’après les documents que vous avez signés, il ressort que la plupart d’entre vous fixeront des objectifs d’émissions agricoles en 2024 ou avant. Compte tenu de ce délai, nous vous demandons des informations et des documents concernant vos obligations ».
« Atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre dans l’agriculture nécessite une refonte complète des infrastructures agricoles – l’un des objectifs de la NZBA », poursuit la lettre. « Cela aurait un impact catastrophique sur nos agriculteurs. Les feuilles de route proposées pour un objectif zéro net décrivent des changements spectaculaires, peu pratiques et coûteux dans l'agriculture et l'élevage américains, tels que le passage aux machines et équipements électriques, l'installation de panneaux solaires et d'éoliennes sur site, le passage aux engrais organiques, la modification des systèmes d'irrigation des rizières et réduire de moitié la consommation de viande de ruminants aux États-Unis, ce qui coûterait des millions d’emplois dans le secteur de l’élevage.
« Pour aggraver les choses, ces changements augmenteront les coûts alimentaires et réduiront la production alimentaire à un moment où la demande alimentaire mondiale devrait augmenter considérablement. La « prime environnementale » pour les engrais à faible émission d'ammoniac devrait à elle seule augmenter les coûts des engrais jusqu'à 60 % et les prix des denrées alimentaires jusqu'à 26 %, même si l'on en croit les partisans du zéro net comme le Forum économique mondial", a-t-il déclaré. a déclaré l'association.
« En tant que membres de la NZBA », poursuit la lettre, « vous vous engagez à fixer des objectifs de zéro émission nette pour votre entreprise sur la base des « Lignes directrices pour la définition d'objectifs pour les banques » de l'Initiative financière du PNUE (UNEP FI). En outre, vous avez accepté que vos objectifs climatiques soient examinés par le PNUE en vous engageant à les publier chaque année et à les mettre à la disposition de l'UNEP FI pour examen afin de garantir leur conformité avec les critères de la Course vers zéro des Nations Unies. Surveiller les nations et démontrer que des mesures sont prises. . Le PNUE évalue ensuite si vous faites des « progrès » vers les objectifs d'émissions exigés par la NZBA.
Un tel système serait un désastre non seulement pour les agriculteurs américains, mais aussi pour les agriculteurs du monde entier. Les six banques se révèlent être les membres fondateurs du cartel climatique mondial, travaillant main dans la main avec une agence internationale irresponsable et non élue sur un plan visant à supprimer la production alimentaire mondiale.
Les responsables agricoles des États de l'Alabama, de la Floride, de la Géorgie, de l'Iowa, du Kentucky, de la Louisiane, du Mississippi, de la Caroline du Nord, du Dakota du Nord, de la Caroline du Sud, du Texas et de la Virginie occidentale, contrairement aux directeurs des grandes banques et aux bureaucrates de l'ONU, connaissent bien les difficultés agricoles. Il en va de même pour les bureaucrates bruxellois qui disent aux agriculteurs du Cap Nord, de la Sicile et de la Crète quand planter, fertiliser et récolter.
Cet agriculteur fait un excellent travail en expliquant ce que sont le gaz carbonique et l'agriculture. Il expose les mensonges de l’hystérie climatique et de l’UE avec les faits :
La « transition alimentaire » est une guerre contre l’alimentation, les agriculteurs et le monde entier
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 4 août 2024
Cet article commence par une courte vidéo basée sur un entretien avec la chercheuse Sandi Adams, qui décrit les projets agricoles dans le comté rural de Somerset, dans le sud-ouest de l'Angleterre et au Royaume-Uni en général. C'est un clip important parce que ce qu'elle décrit semble faire partie d'un programme plus large des Nations Unies transmis par une élite non élue et extrêmement riche, irresponsable.
Cette élite pense qu’elle peut faire un meilleur travail que la nature en modifiant l’essence de la nourriture et le noyau génétique de l’approvisionnement alimentaire (via la biologie synthétique et le génie génétique).
Le plan implique également de retirer les agriculteurs des terres (fermes sans agriculteurs pilotées par l’IA) et de remplir une grande partie des campagnes de parcs éoliens et de panneaux solaires. Même si le système alimentaire présente des problèmes qui doivent être résolus, ce programme malavisé est une recette pour une insécurité alimentaire pour laquelle personne n’a voté.
- voir clip sur site -
Partout dans le monde, des Pays-Bas à l’Inde, les agriculteurs protestent. Les manifestations peuvent sembler avoir peu de points communs. Mais ils le font. Les agriculteurs ont de plus en plus de mal à gagner leur vie, que ce soit, par exemple, à cause des politiques commerciales néolibérales qui conduisent à l’importation de produits qui compromettent la production nationale et font baisser les prix, au retrait du soutien de l’État ou à la mise en œuvre de politiques de zéro émission nette. qui fixent des objectifs irréalistes.
Le fil conducteur est que, d’une manière ou d’une autre, l’agriculture est délibérément rendue impossible ou financièrement non viable. L’objectif est de chasser la plupart des agriculteurs de leurs terres et d’imposer un programme qui, de par sa nature même, semble susceptible de produire des pénuries et de compromettre la sécurité alimentaire.
Un programme mondial d'« une agriculture mondiale » est promu par des organismes comme la Fondation Gates et le Forum économique mondial. Cela implique une vision de l'alimentation et de l'agriculture qui voit des entreprises telles que Bayer, Corteva, Syngenta et Cargill travailler avec Microsoft, Google et les géants de la grande technologie pour faciliter les fermes sans agriculteurs pilotées par l'IA, la « nourriture » conçue en laboratoire et la vente au détail dominée par des entreprises comme celles-là. d'Amazon et de Walmart. Un cartel de propriétaires de données, de fournisseurs d’intrants propriétaires et de plateformes de commerce électronique aux sommets de l’économie.
Ce programme est le fruit d’un complexe numérique-corporatif-financier qui veut transformer et contrôler tous les aspects de la vie et du comportement humain. Ce complexe fait partie d'une élite mondiale autoritaire qui a la capacité de coordonner son agenda à l'échelle mondiale via les Nations Unies, le Forum économique mondial, l'Organisation mondiale du commerce, la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et d'autres organisations supranationales, y compris des groupes de réflexion influents. et fondations (Gates, Rockefeller, etc.).
Son programme en matière d’alimentation et d’agriculture est appelé par euphémisme « transition alimentaire ». Les grandes fondations agro-industrielles et « philanthropiques » se positionnent comme les sauveurs de l'humanité en raison de leurs projets tant promus visant à « nourrir le monde » avec une agriculture « de précision » de haute technologie, une agriculture « pilotée par les données » et une agriculture « verte ». zéro) de production – avec la « durabilité » comme mantra.
Le récit de « l’urgence climatique », un commentaire qui a été soigneusement construit et promu (voir le travail du journaliste d’investigation Cory Morningstar ), et l’idéologie du zéro net liée à l’agriculture et au commerce du carbone font partie intégrante de cette « transition alimentaire ».
La « transition alimentaire » implique d'enfermer les agriculteurs (au moins ceux qui resteront dans l'agriculture) dans une agriculture contrôlée par les entreprises qui extrait des richesses et répond aux besoins du marché des entreprises mondiales, des systèmes de Ponzi d'échange de carbone et des investisseurs institutionnels et des spéculateurs sans aucun lien. aux agriculteurs qui considèrent l’agriculture, les produits alimentaires et les terres agricoles comme de simples actifs financiers. Ces agriculteurs seront réduits à des agents corporatifs à but lucratif qui assumeront tous les risques.
Cette commercialisation prédatrice de la campagne utilise des prémisses erronées et un alarmisme climatique pour légitimer le déploiement de technologies censées nous délivrer tous de la dégradation climatique et de la catastrophe malthusienne.
Dans la société en général, nous constatons également que la remise en question des récits officiels est découragée, censurée et marginalisée. Nous l’avons vu avec les politiques et la « science » qui ont été utilisées pour légitimer les actions de l’État liées au COVID. Une élite riche finance de plus en plus la science, détermine ce qui doit être étudié, comment cela doit être étudié, comment les résultats sont diffusés et comment la technologie produite doit être utilisée.
Cette élite a le pouvoir de mettre fin à un véritable débat et de diffamer et de censurer ceux qui remettent en question le discours dominant. L’idée dominante est que les problèmes auxquels l’humanité est confrontée doivent tous être résolus grâce à l’innovation technique déterminée par les ploutocrates et le pouvoir centralisé.
Cet état d’esprit hautain (ou cette arrogance pure et simple) conduit et est symptomatique d’un autoritarisme qui cherche à imposer une gamme de technologies à l’humanité sans aucun contrôle démocratique. Cela inclut les vaccins autotransmis, le génie génétique des plantes et des humains, les aliments synthétiques, la géo-ingénierie et le transhumanisme.
Ce que nous voyons est un paradigme éco-moderniste erroné qui concentre le pouvoir et privilégie l’expertise techno-scientifique (une forme d’exception technocratique). Dans le même temps, les relations de pouvoir historiques (souvent enracinées dans l’agriculture et le colonialisme) et leurs héritages au sein et entre les sociétés du monde entier sont commodément ignorés et dépolitisés. La technologie n’est pas la panacée contre les effets destructeurs de la pauvreté, des inégalités, de la dépossession, de l’impérialisme ou de l’exploitation de classe.
En ce qui concerne les technologies et les politiques mises en œuvre dans le secteur agricole, ces phénomènes seront renforcés et encore plus ancrés – et cela inclut la maladie et la mauvaise santé, qui ont nettement augmenté en raison de l'alimentation moderne que nous consommons et des produits agrochimiques et des pratiques déjà utilisées par les entreprises qui prônent la « transition alimentaire ». Cependant, cela ouvre alors d’autres opportunités technologiques rentables dans le secteur des sciences de la vie pour des investisseurs comme BlackRock qui investissent à la fois dans l’agriculture et les produits pharmaceutiques.
Mais dans une économie néolibérale privatisée qui a souvent facilité l’ascension des membres de l’élite riche et contrôlante, il est raisonnable de supposer que ses membres possèdent certaines hypothèses sur la façon dont le monde fonctionne et devraient continuer à fonctionner : un monde basé sur la déréglementation avec une surveillance limitée. et l’hégémonie du capital privé et un monde dirigé par des particuliers comme Bill Gates qui pensent qu’ils savent mieux faire.
Qu’il s’agisse, par exemple, du brevetage des formes de vie, du commerce du carbone, de la dépendance croissante du marché (des entreprises) ou des investissements fonciers, leurs politiques éco-modernes servent de couverture pour générer et accumuler davantage de richesses et pour consolider leur contrôle.
Il n’est donc pas surprenant que des gens puissants qui méprisent les principes démocratiques (et, par voie de conséquence, les gens ordinaires) croient qu’ils ont le droit divin de saper la sécurité alimentaire, de mettre fin aux débats, de s’enrichir davantage grâce à leurs technologies et politiques et jouer avec l’avenir de l’humanité.
Pour plus d'informations sur les questions abordées ci-dessus, vous pouvez accéder aux deux livres électroniques gratuits de l'auteur sur le système alimentaire ici et ici .
*
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
L'auteur renommé Colin Todhunter est spécialisé dans le développement, l'alimentation et l'agriculture. Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).
Le sinistre programme du système alimentaire des Rockefeller – ils l’ont créé et veulent maintenant le détruire
Par F. William Engdahl Recherche mondiale, 5 août 2024
Cet article incisif a été publié pour la première fois par Global Research au plus fort de la crise du Covid-19, le 24 octobre 2021.
* *
Aucun groupe n’a fait plus que la Fondation Rockefeller pour nuire à notre agriculture mondiale et à la qualité de nos aliments. Ils ont commencé au début des années 1950, après la guerre, à financer deux professeurs de la Harvard Business School pour développer une intégration verticale qu’ils ont baptisée « Agribusiness ». L'agriculteur est devenu le moins important.
Ils ont ensuite créé la Révolution verte frauduleuse au Mexique et en Inde dans les années 1960 , puis l’Alliance pro-OGM pour une révolution verte en Afrique depuis 2006 .
L’argent de la Fondation Rockefeller a littéralement créé les désastreuses plantes OGM génétiquement modifiées avec leurs pesticides toxiques à base de glyphosate.
Aujourd’hui encore, la fondation est engagée dans un changement politique majeur en matière d’alimentation et d’agriculture mondiale et ce n’est pas bon.
Dans son dernier rapport, True Cost of Food: Measurement What Matters to Transform the US Food System , la Fondation Rockefeller est profondément engagée dans un effort coordonné visant à changer radicalement la façon dont nous produisons la nourriture et dont nous calculons son véritable coût.
Ils affirment que cela fait partie d’un consensus mondial, par l’intermédiaire de l’ONU, pour créer une agriculture « durable » dans le contexte de la crise actuelle du COVID. Loin d’être un changement positif, il vise à changer radicalement notre accès à une alimentation saine et nos choix alimentaires. La fondation, qui vient de publier son deuxième rapport sur l’alimentation en deux ans, s’associe au Forum économique mondial de Davos et aux grandes entreprises agroalimentaires pour mener cette initiative. Leur nouveau slogan est « True Cost of Food ».
Le vrai coût ?
Rajiv Shah , président de la Fondation écrit :
« Nous avons passé l'année dernière à travailler avec des experts et des défenseurs de tous les domaines pour mesurer l'impact du système alimentaire américain. Le résultat est le premier ensemble de mesures à l’échelle des États-Unis qui peuvent nous aider à mesurer avec plus de précision le coût de nos aliments. Grâce à cette nouvelle analyse, les gouvernements, les défenseurs, les producteurs alimentaires et les individus sont mieux équipés pour transformer notre système alimentaire pour qu'il soit plus nourrissant, régénérateur et équitable… »
C’est ici que les mots doivent être regardés de plus près. Ces gars sont des experts en PNL. En fait, cela donne l’impression que la même Fondation Rockefeller, responsable de notre chaîne alimentaire industrialisée et mondialisée et de la destruction que ce processus a provoquée non seulement sur la ferme familiale mais aussi sur la qualité de notre agriculture et de notre alimentation mondiales, blâme désormais leur création pour d’énormes conséquences. coûts externes de notre alimentation. Cependant, ils écrivent comme si c’était la faute de l’agriculteur familial cupide et non des entreprises agroalimentaires.
« Ce rapport est un signal d’alarme. Le système alimentaire américain tel qu’il existe affecte négativement notre environnement, notre santé et notre société. L'étude Rockefeller de Shah déclare : « La configuration actuelle du système alimentaire américain a conduit à des impacts coûteux sur la santé des personnes, de la société et de la planète. Le réchauffement climatique, la réduction de la biodiversité, la pollution de l’eau et de l’air, le gaspillage alimentaire et l’incidence élevée des maladies liées à l’alimentation sont les principales conséquences involontaires du système de production actuel . » C'est inquiétant.
L'étude ajoute,
« Le fardeau de ces coûts est supporté de manière disproportionnée par les communautés marginalisées et mal desservies, souvent des communautés de couleur, dont beaucoup constituent l’ épine dorsale en tant qu’agriculteurs, pêcheurs, éleveurs et travailleurs du secteur alimentaire. »
En s’appuyant sur un groupe néerlandais, True Price Foundation, le rapport calcule que le « véritable coût » du système alimentaire américain n’est pas les 1 100 milliards de dollars que les Américains dépensent chaque année en alimentation, mais plutôt au moins 3 200 milliards de dollars par an en prenant en compte son impact sur la santé. la santé des personnes, les moyens de subsistance et l’environnement. Cet énorme coût supplémentaire est calculé principalement à partir des effets sur la santé, notamment le cancer et le diabète, et des effets environnementaux tels que les émissions de gaz carbonique de ce qu’ils appellent une agriculture « non durable ». La True Cost Foundation est composée de trois membres du conseil d'administration, dont Herman Mulder, ancien banquier d'ABN Amro, l'une des principales banques agroalimentaires au monde ; Charles Evers, ancien contrôleur d'entreprise et directeur financier d'Unilever NV (1981-2002), l'un des principaux géants mondiaux de l'agroalimentaire ; et Jasper de Jong , associé chez Allen & Overy, l'un des plus grands cabinets d'avocats au monde basé à Londres. C’est l’équipe qui est à l’origine de la tarification d’abstractions telles qu’une tonne de gaz carbonique et d’autres coûts pour le rapport Rockefeller. Le seul point est que le gaz carbonique est un composant essentiel et inoffensif de toute vie et n’est pas une cause d’augmentation de la température mondiale.
Il convient également de noter à propos du rapport Rockefeller, True Cost of Food, que les contributeurs comprenaient des professeurs de faculté de droit, des économistes universitaires, le Fonds mondial pour la nature (WWF) et la True Cost Foundation. Aucune organisation paysanne n’a été incluse.
Le rapport calcule que les principaux coûts « cachés » de la production alimentaire américaine proviennent de l’impact négatif de l’agriculture sur la santé et sur l’environnement : « Les coûts non comptabilisés les plus importants proviennent des impacts négatifs sur la santé humaine, de l’aggravation de la dégradation de l’environnement et de la perte de biodiversité. » Ils ont mis un numéro sur tout ça.
Par exemple, les impacts environnementaux directs, notamment les émissions de 'gaz à effet de serre' (GES), la consommation d’eau et l’érosion des sols, coûtent selon eux 350 milliards de dollars par an ; et l’impact sur la biodiversité résultant de l’utilisation des terres et de la pollution du sol, de l’eau et de l’air coûterait, selon eux, à l’économie américaine 455 milliards de dollars. Ils calculent ensuite les coûts sanitaires du système alimentaire américain. Ici, le rapport inclut les coûts pour l'économie de l'obésité, des maladies cardiovasculaires qui sont la principale cause de décès dans le monde, du cancer, du diabète et d'autres maladies non transmissibles. Cela ajouterait soi-disant 1 000 milliards de dollars supplémentaires à nos « vrais » coûts alimentaires. En additionnant les deux effets, comme indiqué, cela ajoute quelque 1,8 billion de dollars aux coûts externes estimés de 2,2 dollars pour la nourriture . Prétendre que le coût en dollars de ces maladies dans le système de santé américain truqué est la seule faute de l’agriculture, c’est ignorer les coûts de santé gonflés depuis l’entrée en vigueur de l’assurance Obamacare. À propos, Rockefeller a également créé le système médical moderne avec son rapport Flexner et la Fondation Carnegie en 1910. Mais c'est une autre histoire.
Il ne fait aucun doute que l’industrie agroalimentaire a industrialisé la production alimentaire aux États-Unis depuis les années 1950 et a transformé l’exploitation familiale autrefois productive en un appendice corporatif d’un système de fermes industrielles, de monopoles sur les semences OGM et les produits agrochimiques comme Monsanto-Bayer et DuPontDow (Corteva), d’énormes monopoles. des opérations d'abattage comme celles de Tyson et Smithfield Foods, et des détaillants comme Walmart ou Whole Foods . Mais le rapport suggère que les agriculteurs familiaux traditionnels sont à blâmer. Il s’agit de préparer le terrain pour une grande réinitialisation de l’agriculture qui sera encore plus néfaste à mesure que le reste du bœuf nourri en parcours sera remplacé par du bœuf végétal OGM cultivé en laboratoire et des produits similaires. L'USDA a récemment écrit que « les principales sources de gaz à effet de serre dans l'agriculture sont la production d'engrais à base d'azote ; la combustion de combustibles fossiles tels que le charbon, l'essence, le diesel et le gaz naturel ; et la gestion des déchets. La fermentation entérique du bétail, ou la fermentation qui a lieu dans le système digestif des ruminants, entraîne des émissions de méthane (Méthane (CH4) 1,745 ppm soit 0,0000017 %) .
Le message est que la production alimentaire américaine actuelle est à blâmer et que des changements radicaux et coûteux sont nécessaires de toute urgence. La difficulté de lire le rapport est que le langage est délibérément vague et trompeur. Par exemple, l’un des éléments les plus dommageables de l’agriculture américaine depuis les années 1990 a été l’introduction massive de cultures OGM, en particulier le soja, le maïs et le coton, ainsi que le Roundup hautement cancérigène de Monsanto-Bayer et du glyphosate. Le rapport Rockefeller omet leur rôle direct dans la création et la promotion de Monsanto et des OGM pendant des décennies, sachant que cela était destructeur. La politique de la Fondation Rockefeller est d'introduire des cultures génétiquement modifiées, OGM.2, et de détruire l'agriculture américaine actuelle au profit d'alternatives brevetées et coûteuses, en prétendant qu'elle est trop coûteuse et qu'elle n'est ni « durable » ni « inclusive ». Le deuxième producteur mondial de produits alimentaires, l’UE, sera leur prochaine cible.
Cet agenda n’est pas surprenant si l’on considère le parcours des acteurs clés de la Fondation Rockefeller. Le président Rajiv Shah est issu de la Fondation Bill & Melinda Gates, où il était directeur du développement agricole. À la Fondation Gates, Shah a travaillé avec la Fondation Rockefeller pour créer l'Alliance pour une révolution verte en Afrique. Il est intimement lié au Forum économique mondial (WEF) de Davos du gourou de la Grande Réinitialisation, Klaus Schwab, où Shah a récemment co-présidé le Conseil de l’avenir mondial du WEF sur le nouvel agenda pour la croissance et la reprise économiques. Il y écrit que « les gouvernements doivent activement façonner les marchés vers une croissance verte et inclusive ».
L'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) est un projet qui a tenté d'imposer des semences OGM et des pesticides associés à un coût énorme aux petits agriculteurs africains les plus pauvres. Cela a été un désastre agricole pour les agriculteurs africains . Le modèle AGRA joue un rôle clé dans la compréhension du programme tacite de la Fondation Rockefeller et de ses alliés tels que le WEF et la Fondation Gates. La personne responsable sous Shah à Rockefeller du programme agricole est Roy Steiner, vice-président principal de la fondation pour l'Initiative alimentaire. Steiner était avec Shah à la Fondation Gates et a travaillé avec Shah pour créer l'AGRA pro-OGM en Afrique.
Le rôle profond de Shah et Steiner dans l’AGRA et son programme OGM donne une très bonne idée de la façon dont Rockefeller & Co. planifient la transformation radicale de l’agriculture américaine, et ce n’est pas bon. Le rapport indique que cela réduira les émissions de gaz carbonique et de méthane et introduira des alternatives à base de plantes. Bill Gates a cofinancé le démarrage d’une entreprise d’imitation de viande, Impossible Foods, utilisant de la fausse viande cultivée en laboratoire et l’édition génétique. Il insiste sur le fait que le bœuf synthétique est une stratégie nécessaire pour lutter contre le changement climatique et déclare que les Américains et les autres pays occidentaux doivent passer à un régime alimentaire composé à 100 % de bœuf synthétique. Plus de vaches, plus d’émissions de gaz …
Davos, Rockefeller et le Sommet mondial de l'alimentation des Nations Unies
L’agenda agricole de l’influente Fondation Rockefeller, l’agenda du WEF de Davos et de l’ONU convergent tous vers la Grande Réinitialisation et l’Agenda 2030 de l’ONU pour une « agriculture durable ». Le 23 septembre 2021, à New York, l'ONU a accueilli le Sommet sur les systèmes alimentaires 2021. La présidente du sommet était Agnes Kalibata, Envoyée spéciale du Secrétaire général de l'ONU au Sommet sur les systèmes alimentaires 2021. Sa sélection a été farouchement contestée par des dizaines d'ONG, sur la base du fait qu'elle est présidente de l'AGRA Gates-Rockefeller en Afrique. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a annoncé que le sommet s'inscrivait dans le cadre de la Décennie d'action pour atteindre les objectifs durables de l'Agenda 2030. Olivier De Schutter, ancien rapporteur spécial de l'ONU sur le droit à l'alimentation, a déclaré que le Sommet alimentaire était le résultat d'« accords à huis clos » lors du Forum économique mondial de Davos.
En juin 2019, à l'ONU, le président du WEF, Klaus Schwab, et Guterres, de l'ONU, ont signé un partenariat formel « pour accélérer la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le développement durable ». Un an plus tard, en pleine pandémie de covid, Klaus Schwab a annoncé le lancement de la Grande Réinitialisation technocratique avec Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU ; et Kristalina Georgieva du Fonds monétaire international. Davos, l’ONU et la Fondation Rockefeller sont tous sur le même programme et ce n’est pas bon pour la santé et l’alimentation futures de l’humanité. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot ; c'est la vraie conspiration.
*
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur les boutons de partage ci-dessus ou ci-dessous. Suivez-nous sur Instagram, @crg_globalresearch. Transférez cet article à vos listes de diffusion. Crosspost sur votre site de blog, forums Internet. etc.
F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est titulaire d'un diplôme en politique de l'Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook » où cet article a été initialement publié.
Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.
Action «AntiControl !» – Nous vous aidons à échapper à la surveillance de l'intelligence artificielle !
RépondreSupprimer07.08.2024
www.kla.tv/30007
Michael Ballweg était invité à la 20e AZK – dans une conversation avec l'informaticien Elias Sasek sur le thème "La liberté numérique à l'heure de la surveillance omniprésente de l'IA" - Cet entretien explosif, qui propose des solutions pratiques, sera prochainement en ligne.
Vous pouvez déjà maintenant devenir actif ! Le samedi 10 août 2024, l'équipe AZK germanophone proposera près de chez vous des ateliers gratuits pour vous aider à protéger efficacement vos ordinateurs contre la surveillance de l'intelligence artificielle ! Vous êtes intéressé ? Alors inscrivez-vous dès aujourd'hui sur www.anti-zensur.info/workshop - nous vous mettrons en contact avec le groupe AZK le plus proche de chez vous.
[Extrait de la 20e AZK]
Durant cette journée, nous nous consacrerons à ce sujet. Vous pouvez venir, vous pouvez venir avec vos ordinateurs, avec vos ordinateurs portables et nous vous offrons la possibilité de passer en revue ces paramètres avec vous, de répondre à vos questions. Je suis sûr que chacun d'entre vous peut profiter de ce grand travail que nous avons fait, et ainsi faire des changements sur son ordi.
Aujourd'hui, c'est un jour historique, et à cette occasion il y aura un cadeau d'anniversaire. Et ce cadeau d'anniversaire est une réponse à la question : Que peut faire chacun maintenant directement ? Que peut faire chacun d'entre nous ? Michael et moi avons parlé tout à l'heure de ces objectifs à long terme. Tout cela prend beaucoup de temps. Mais qu'est-ce que chacun peut faire maintenant, en quittant cette conférence ? C'est la grande question qui nous préoccupe toujours. On peut parler de beaucoup de choses, mais quelle est la prochaine étape ? Qu’est-il nécessaire de faire ? Qu'est-ce que chaque individu peut faire pour échapper à cette pieuvre qu'est l'intelligence artificielle ? Je voudrais encore une fois répéter très brièvement : La pieuvre de l'intelligence artificielle se répand partout. Elle veut accéder à nos données. Je ne citerai que trois faits qui confirment à quel point elle est déjà avancée.
Fin 2023, Microsoft a révisé son contrat de service et s'octroie désormais les pleins droits sur tes données. Je ne peux pas entrer trop dans les détails, les avocats sont en train d’étudier les textes. Jusqu'où ça va, et jusqu'où ça ne va pas ? Je ne vais pas entrer dans les détails, mais Microsoft a les droits sur tes données. Tous ceux qui ont un système d'exploitation Windows. Le lanceur d'alerte Edward Snowden écrit à propos des derniers outils de surveillance d'Apple : « Apple vient de déclarer la guerre à votre vie privée. » Michael l'a expliqué : sur les téléphones portables - les images sont soudain noircies. Meta, Facebook, WhatsApp, ils veulent tous utiliser les données pour entraîner l’intelligence artificielle. La tendance est d’entraîner l'intelligence artificielle, prendre les données. La question est maintenant : Que peut faire chaque individu pour minimiser son risque de surveillance ? C'est la question que je me pose et c'est là que j'interviens. C'est comme un principe dans la vie, nous l'avons appris de notre père dès notre plus jeune âge.
RépondreSupprimerIl nous a toujours enseigné qu’il faut d'abord enlever les grosses pierres. Et ensuite, les étapes suivantes suivront. Je me suis demandé quel était le gros caillou qui nous concernait tous et qui nous permettait de dire que nous pouvions faire ce pas pour contrer la folie de l'entraînement de l'intelligence artificielle. Et je dis que cette grande pierre, elle est très claire pour moi. Nous devons supprimer les "clouds" de Microsoft, Apple et des grands acteurs - nous devons couper nos systèmes d'exploitation de ces "clouds". C'est la première étape que je vois très clairement. Passer à Linux et ainsi de suite, c'est ce à quoi nous aspirons tous. C'est un processus que nous poursuivons. C'est ça la première étape. Et c'est de ça qu'il s'agit maintenant, je sais qu'il y a beaucoup plus, mais c'est ce pas qu'il s'agit de faire maintenant et c'est ça notre cadeau d'anniversaire pour vous. Je vais encore dire très brièvement les conséquences si aujourd'hui votre ordinateur est connecté aux clouds. Quelle ampleur cela prend-il dès aujourd'hui? C'est que l'omniscience de l'intelligence artificielle peut décider.
Tu as écrit un texte, un discours de haine, et soudain tu ne peux plus te connecter à ton ordinateur. Ce n'est pas un scénario futuriste. C'est déjà le cas aujourd'hui, lorsque nous sommes connectés à l'ordinateur, au cloud, les gens ne peuvent plus se connecter. Vous recevez alors simplement un message. Vous connaissez tous ces petits visages de bonhomme sur YouTube - plus disponible. Ou quelque chose dans ce genre. Et puis tu es devant ton ordinateur, tu n'as plus de données, tu n'as plus rien, tu es déconnecté. La nouvelle « action AZK », que nous allons vous présenter, va exactement dans ce sens. Nous voulons enlever les grosses pierres sur le chemin, nous voulons donner des indications sur la manière d'enlever les grosses pierres de cette connexion à l'intelligence artificielle, même si le passage à de nouveaux systèmes n'est pas encore possible tout de suite.
Et comme tout ce que nous faisons, ce cours est entièrement gratuit pour vous, il ne coûte rien, c'est un service d'amour de notre part, faites-en absolument usage. Si vous faites ce travail ailleurs dans un autre atelier, vous aurez vite fait de perdre des centaines d'euros. Mais ici, nous voulons vous prendre par la main comme un service d'amour, et continuer à travailler à la mise en réseau. Nous vous attendons avec impatience !
RépondreSupprimerInscrivez-vous dès aujourd'hui :
www.anti-zensur.info/workshop en cliquant en haut à droite de la page sur « français »
L'atelier est gratuit
https://www.kla.tv/fr
Monkeypox : l’OMS prévoit une urgence en Afrique
RépondreSupprimer7 août 2024
de Thomas Oysmüller
L’OMS envisage de déclarer une « urgence de santé publique internationale » en raison du « nouveau mutant » de la variole du singe en Afrique. Tedros veut lancer la machinerie pandémique. Politiquement, cela pourrait être utilisé dans l’intérêt des États-Unis.
La variole du singe (Mpox) est de retour. Du moins en Afrique. Des « consultations » sont actuellement en cours à l’OMS qui s’attend déjà à déclarer une « urgence sanitaire internationale ». C’est ainsi qu’il faut interpréter les propos tenus dimanche par le général Tedros de l’OMS. Quelques jours auparavant, les médias occidentaux avaient créé une ambiance. D'autres soupçonnent un contexte politique : un coup d'État anti-occidental pourrait être imminent au Kenya, le pays le plus important pour les États-Unis en Afrique de l'Est. Organiser une pandémie serait utile.
Soudain, panique
Il y a une dizaine de jours, le Kenya a confirmé sa première infection par la variole du singe . Il s’agirait d’un voyageur qui souhaitait voyager de l’Ouganda au Rwanda. Le virus est endémique dans certaines régions d'Afrique. Mais cela n’empêche pas l’OMS de vouloir à nouveau traquer un virus. Le chef de l’OMS, Tedros, a écrit : « Les gouvernements locaux et leurs partenaires renforcent les mesures visant à interrompre la transmission des maladies. Mais davantage de ressources et de soutien sont nécessaires pour une réponse globale. »
Le magazine Bloomberg est encore plus paniqué. Il est dit lundi :
Les pays d’Afrique centrale s’efforcent de contenir une épidémie multinationale d’une souche mutante de Mpox qui a tué près de 500 personnes rien qu’en République démocratique du Congo depuis janvier.
En 2024, le virus à propagation rapide aurait infecté plus de 12 300 personnes en République démocratique du Congo, où il a été signalé pour la première fois il y a moins d’un an. Des cas récents en Côte d’Ivoire, au Kenya et dans au moins trois autres pays africains ont suscité des inquiétudes quant à une contagion explosive se propageant le long des routes et autoroutes nouvellement construites reliant les zones minières isolées aux villes et aux camps abritant des centaines de milliers de Congolais déchirés par le conflit.
RépondreSupprimerTKP avait déjà rendu compte de ce nouveau mutant en avril. Cette nouvelle panique s’appuie sur des « recherches » menées par des scientifiques occidentaux qui avaient déjà appelé à des « mesures de confinement » rapides en avril. L'OMS était encore silencieuse à l'époque, mais c'est désormais le plus haut niveau qui a pris le relais.
La situation politique n'est pas seulement instable au Kenya, elle est également en ébullition dans la région du Congo. Le Premier ministre kenyan Ruto est considéré comme un « allié » particulièrement proche des États-Unis. Il a encore le peuple en partie derrière lui. Lors des récentes manifestations, au moins 50 manifestants ont été tués par les forces du régime. Les manifestants exigent que le Kenya défie les ordres du FMI, de la Banque mondiale, de la Grande-Bretagne et des États-Unis. L’appel à la démission de Ruto n’a pas disparu. Un état d’urgence serait parfait. « Science » a déjà pris le relais – par exemple ici dans le magazine Science . Les « influenceurs » réclament déjà des injections pour l’Afrique – contrairement à l’époque avec le Covid-19, disent-ils.
Tedros est également cité dans l’article de Science :
« Ce virus peut et doit être contenu grâce à des mesures de santé publique accrues, notamment la surveillance, l’engagement communautaire, le traitement et le ciblage des vaccins sur les personnes les plus à risque d’infection. Compte tenu de l’expansion de l’épidémie, il est urgent d’intensifier davantage les mesures de Mpox en cours dans les pays touchés », indique son communiqué.
Une urgence de santé publique internationale est la classification la plus stricte d'une épidémie de maladie par l'OMS. Une telle déclaration a été faite pour le COVID-19 au début de la pandémie en 2020.
RépondreSupprimerL'image « 550d Monkey » de @Doug88888 est sous licence CC BY-NC-SA 2.0 .
https://tkp.at/2024/08/07/affenpocken-who-plant-notstand-in-afrika/
La FDA n'a aucune preuve de l'existence de la grippe aviaire
RépondreSupprimer7 août 2024
de Thomas Oysmüller
Bien que la FDA sache que la grippe aviaire est « hautement contagieuse » et ait approuvé les tests PCR, elle ne peut pas fournir de preuves scientifiques de l’existence du virus.
En utilisant la loi américaine sur la liberté d'information, la militante des droits civiques et journaliste Christine Massey Fois a exhumé des faits auprès de la FDA. La Food and Drug Administration (FDA) est subordonnée au ministère américain de la Santé et surveille les aliments et les médicaments. Aujourd’hui, la FDA a dû admettre qu’elle ne dispose d’aucune preuve scientifique pour étayer l’existence du « virus de la grippe aviaire ». Elle a néanmoins autorisé le test PCR.
Aucune trace de virus
Par ailleurs, les informations de Sarah Kotler, directrice du Département de la liberté d'information, prouvent ce qui suit :
Il n’existe aucun document décrivant la pureté des particules censées être des « virus de la grippe aviaire » provenant directement des fluides/tissus/excréments corporels des soi-disant « hôtes ».
Il n'existe aucun document indiquant que le prétendu « génome » d'un prétendu « virus de la grippe aviaire » a été trouvé intact dans les liquides/tissus/fèces corporels d'un « hôte » (et n'a pas été produit in silico, c'est-à-dire à l'aide d'un modèle informatique).
Il n’existe aucun document scientifiquement étayant l’infection par la maladie/les symptômes provoqués par les « virus de la grippe aviaire ».
Car ce sont précisément ces dossiers qui étaient demandés. Cependant, la FDA n’a pas répondu avec la documentation pertinente. Le document de la FDA en vertu de la Freedom of Information Act peut être consulté ici. La FDA dit littéralement à la page 12 (souligné par TKP) :
La FDA n’est pas responsable de la réglementation ou du traitement des virus. La FDA est chargée de protéger la santé publique en garantissant la sécurité, l'efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques, des dispositifs médicaux et des dispositifs médicaux, ainsi que la sécurité de l'approvisionnement alimentaire, des cosmétiques et des produits qui émettent. radiation . Nous n’avons donc aucun document pour nous aider. Si vous êtes intéressé, nous avons déjà publié des informations sur l'approvisionnement en lait (Mises à jour sur la grippe aviaire hautement pathogène (HPAI) | FDA) et publié le processus d'approbation des kits de test de grippe aviaire.
Fois avait exigé tous les documents et études pouvant prouver scientifiquement la grippe aviaire. Cependant, la FDA ne dispose pas de documentation correspondante. Néanmoins, la FDA peut publier des « mises à jour » sur la grippe aviaire « hautement contagieuse ». Pas mal. La FDA peut également approuver les kits de test. Cependant, on ne sait pas exactement ce qui est testé. Le point de vue de Foi : " Apparemment, la logique n'est pas le truc de Sarah. "
RépondreSupprimerLe TKP a déjà évoqué à plusieurs reprises le manque de preuves scientifiques concernant la grippe aviaire et le rôle crucial des tests PCR. Par exemple ici : « 25 ans de vaccin contre la grippe aviaire – et le virus n’arrive pas. » "
La FDA devait désormais admettre qu’elle ne savait pas grand-chose – ou en fait rien – du virus.
https://tkp.at/2024/08/07/fda-hat-keinen-beweis-fuer-existenz-der-vogelgrippe/
Les vaccins à ARNm ne se dégradent PAS facilement et créent finalement des anticorps IgG et IgM contre les nanoparticules lipidiques
RépondreSupprimer08/07/2024
Lance D Johnson
Une étude préliminaire du 27 juillet apporte de nouvelles informations sur l'échec du vaccin SPIKEVAX COVID-19 de Moderna. L'étude montre que les composants ARNm et nanoparticules lipidiques du vaccin peuvent persister dans la circulation sanguine jusqu'à 28 jours après la vaccination et générer des anticorps IgG et IgM contre les nanoparticules lipidiques, ce qui fausse l'efficacité du vaccin et provoque des événements indésirables potentiels. Cette révélation a suscité des appels aux agences gouvernementales et aux développeurs de vaccins pour qu’ils expliquent le manque d’études pharmacocinétiques complètes.
La pharmacocinétique est l’étude de la façon dont le corps traite une substance au fil du temps, y compris son absorption, sa distribution, son métabolisme et son excrétion. L’industrie des vaccins et les régulateurs gouvernementaux avaient précédemment indiqué que les composants ARNm du vaccin se dégraderaient rapidement dans le muscle deltoïde après l’injection. Ce processus ne peut être garanti et a des implications sur les effets indésirables à long terme et les dommages au système immunitaire de dizaines de millions de personnes.
Les ingrédients du vaccin persistent 28 jours après l’injection, forçant les cellules immunitaires à résister aux nanoparticules lipidiques telles que le polyéthylène glycol
L’étude a suivi les composants du vaccin de Moderna chez 19 personnes sur une période de 28 jours. L’étude a trouvé des particules lipidiques ionisables spécifiques (SM-102) dans les échantillons de sang dans les quatre heures suivant l’injection. Le niveau de ces composants a atteint un pic entre un et deux jours après l’injection. Chez la plupart des personnes vaccinées, l’ARNm a été détecté 14 à 28 jours après l’injection. Les nanoparticules lipidiques sont parfois restées intactes et ont continué à recirculer dans la circulation sanguine au même rythme de décomposition que l'ARNm. Cela a contribué à une augmentation des anticorps contre le polyéthylène glycol (PEG), un composant des nanoparticules lipidiques. Cela signifie que le vaccin entraîne les cellules immunitaires à attaquer le PEG, ce qui entraîne des déficits immunitaires contre les virus et bactéries infectieux réels.
Les chercheurs ont mesuré une augmentation de 1,4 fois des anticorps immunoglobulines G (IgG) et de 4,6 fois des anticorps IgM, ce qui ne constitue pas une réponse immunitaire appropriée. Cette mesure a indiqué que les cellules immunitaires répondent au système d'administration du vaccin et ne transmettent pas l'immunité à un quelconque agent pathogène. Cette étude s'appuie sur des recherches antérieures menées en 2023 qui ont montré que les composants du vaccin à ARNm circulaient dans le sang jusqu'à 28 jours après l'injection. De même, une étude japonaise de biodistribution a révélé que les particules pénétraient dans le cerveau.
RépondreSupprimerDes études antérieures mettent également en garde contre la programmation des cellules immunitaires pour attaquer le PEG, et ses implications dévastatrices pour les problèmes allergiques et auto-immuns lorsque le PEG est injecté une fois de plus à l'avenir. L’étude s’est concentrée uniquement sur des échantillons de sang sans explorer d’autres tissus et systèmes organiques. Il est essentiel de comprendre que la simple présence d’ARNm et de nanoparticules lipidiques dans le sang pourrait entraîner d’autres problèmes dans le corps et dans les systèmes organiques. Comment ces particules étrangères interfèrent-elles avec les processus hormonaux et la circulation sanguine ? Comment le corps peut-il lancer une attaque auto-immune contre ces particules étrangères, entraînant des caillots sanguins ou des réactions allergiques ?
Le niveau de nanoparticules persistantes dans le sang d’un patient peut dépendre de la façon dont le vaccin est administré dans le bras
Le niveau d’ARNm et de nanoparticules dans le sang peut être déterminé par une mauvaise administration du vaccin dans le bras. Si le vaccin est correctement administré par voie intramusculaire, environ 0,1 % des composants peuvent s’infiltrer dans le sang et se déplacer dans tout le corps. Cependant, chez certains patients, le vaccin est injecté directement dans le sang, ce qui entraîne une concentration plus élevée d’ARNm non résolu et de nanoparticules lipidiques circulant dans le sang pendant des jours ou des semaines après l’injection. « C’est une question de chiffres », a déclaré Michael Palmer, membre de Doctors for COVID Ethics. « Il semble tout à fait possible que ce malheureux groupe de patients soit celui qui souffre d’effets secondaires graves. »
Le Dr McCullough et d’autres témoins experts exigent des réponses et des comptes rendus sur la question. McCullough a déclaré que les études pharmacocinétiques et pharmacodynamiques « auraient dû être réalisées en 2020 dans le cadre de l’opération Warp Speed ».
RépondreSupprimerL’absence d’études pharmacocinétiques approfondies sur les vaccins COVID-19 – en particulier compte tenu de leur développement et de leur déploiement rapides – représente un échec flagrant de la surveillance. Les agences gouvernementales et les développeurs de vaccins ont la responsabilité fondamentale de mener ces études pour garantir non seulement l’efficacité mais aussi la sécurité. Au lieu de cela, ils ont opté pour des « substituts »
https://www.naturalnews.com/2024-08-07-mrna-vaccines-dont-degrade-create-igg-antibodies.html
Des scientifiques sud-coréens découvrent comment utiliser des nanoparticules pour contrôler les émotions et l'appétit via un champ magnétique externe
RépondreSupprimer08/07/2024
Belle Carter
Les scientifiques « sponsorisés » par les mondialistes sont tellement obsédés par le contrôle de l'esprit qu'ils ont mené une étude où un aimant à distance serait capable de manipuler le cerveau – même l'appétit – sans aucune procédure invasive.
Les chercheurs de l'Institut des sciences fondamentales de Corée du Sud (IBS) en sont aux tout premiers stades de développement d'un matériel qui utilise des nanoparticules pour contrôler l'esprit des souris. Il s'agit d'une télécommande cérébrale qui, selon eux, est « à longue portée » et « à grand volume » et qui commute grâce à des champs magnétiques.
Selon les « experts scientifiques », la technologie baptisée Nano-MIND (Magnetogenetic Interface for NeuroDynamics) a permis aux chercheurs de contrôler à distance les émotions et l'appétit des souris et pourrait être utilisée pour traiter des troubles neurologiques comme la dépression. Ils ont testé cette « innovation » en induisant des instincts « maternels » chez leurs sujets femelles. Dans un autre test, les chercheurs ont exposé un groupe de souris de laboratoire à des champs magnétiques conçus pour réduire l'appétit, ce qui a entraîné une perte de poids de 10 %, soit environ 4,3 grammes.
Les scientifiques ont manipulé un réseau complexe de plus de 100 milliards de neurones en faisant tourner magnétiquement un minuscule actionneur pour tirer ou pousser des nanoparticules implantées dans le cerveau des souris. Selon les études, ce réseau est crucial pour comprendre la cognition, l'émotion et le comportement social.
« Il s'agit de la première technologie au monde permettant de contrôler librement des régions spécifiques du cerveau à l'aide de champs magnétiques », a déclaré le Dr Cheon Jinwoo, directeur du Centre IBS de Corée du Sud, qui a contribué à lancer ce nouvel effort. « Nous espérons qu'elle sera largement utilisée dans la recherche pour comprendre les fonctions cérébrales, les réseaux neuronaux artificiels sophistiqués, les technologies d'interface cerveau-ordinateur bidirectionnelle et les nouveaux traitements des troubles neurologiques. »
De nombreuses expériences de « contrôle mental » sur des animaux ont été menées au fil des ans, a rapporté le Sun, « mais c'est la première qui n'a pas impliqué de chirurgie invasive et de systèmes externes volumineux, ce qui a permis aux souris de se déplacer librement. »
RépondreSupprimerDans un éditorial accompagnant l'étude en question publié dans Nature Nanotechnology, le Dr Felix Leroy, scientifique principal de l'Instituto de Neurociencias d'Espagne, a déclaré que le concept d'utilisation de champs magnétiques pour manipuler les systèmes biologiques était bien établi. « Il a été appliqué dans divers domaines », a-t-il noté, « comme dans l'imagerie par résonance magnétique [IRM], la stimulation magnétique transcrânienne et l'hyperthermie magnétique pour le traitement du cancer. »
Il a toutefois mis en garde contre une précipitation dans les tests sur l'homme. « D'autres études sont nécessaires pour évaluer les effets cumulatifs potentiels, notamment la neuroadaptation ou la neurotoxicité », a conseillé Leroy.
Une nanoparticule est une petite particule dont la taille varie entre 1 et 100 nanomètres, qui est indétectable par l'œil humain et même plus petite que les longueurs d'onde de la lumière visible qui sont comprises entre 400 et 700 nanomètres. Un microscope électronique spécial ou un microscope avec des lasers est nécessaire pour les observer. Les études impliquant des nanoparticules sont des branches de la nanotechnologie sur lesquelles s'appuie notamment le personnage fictif de Marvel Tony Stark, alias Iron Man.
Des scientifiques coréens et américains créent un implant cérébral qui pourrait être contrôlé à l'aide d'un smartphone
Dans un effort distinct de la Corée du Sud et des États-Unis, soutenu par des subventions de la National Research Foundation of Korea, des National Institutes of Health, du National Institute on Drug Abuse et de la Mallinckrodt Professorship, une autre innovation a été testée pour contrôler le cerveau. Un implant neuronal souple, capable d'administrer plusieurs médicaments et lumières colorées, a été découvert pour manipuler les circuits neuronaux à l'aide d'un smartphone.
Dans l'étude publiée dans Nature Biomedical Engineering, les chercheurs ont déclaré que le minuscule implant est le premier dispositif neuronal sans fil capable d'accélérer les efforts pour découvrir les maladies cérébrales, telles que la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer, la toxicomanie, la dépression et la douleur.
RépondreSupprimer"Le dispositif neuronal sans fil permet une neuromodulation chimique et optique chronique qui n'a jamais été réalisée auparavant", a déclaré l'auteur principal Raza Qazi, chercheur à l'Institut coréen avancé des sciences et technologies (KAIST) et à l'Université du Colorado à Boulder.
Michael Bruchas, co-auteur de l'étude et professeur d'anesthésiologie, de médecine de la douleur et de pharmacologie à la faculté de médecine de l'université de Washington, a déclaré que cette technologie leur permettait de mieux décortiquer les circuits neuronaux à la base du comportement « et la manière dont des neuromodulateurs spécifiques du cerveau ajustent le comportement de diverses manières », a-t-il déclaré. « Nous sommes également impatients d'utiliser l'appareil pour des études pharmacologiques complexes, qui pourraient nous aider à développer de nouvelles thérapies contre la douleur, la toxicomanie et les troubles émotionnels. »
L'appareil utilise des cartouches de médicaments remplaçables de type Lego et un puissant Bluetooth à faible consommation d'énergie pour administrer des médicaments et de la lumière à des neurones spécifiques d'intérêt.
Selon les scientifiques, cette technologie éclipse considérablement les méthodes de neurosciences conventionnelles, qui impliquent généralement des tubes métalliques rigides et des fibres optiques. Bien que certains efforts aient permis de remédier à la réponse tissulaire indésirable en incorporant des sondes souples et des plates-formes sans fil, les solutions précédentes étaient limitées par leur incapacité à administrer des médicaments pendant de longues périodes ainsi que par leurs configurations de contrôle volumineuses et complexes.
Contrôlé par une interface utilisateur simple sur un smartphone, l'appareil peut créer une combinaison spécifique ou un séquençage précis de lumière et d'administration de médicaments dans n'importe quel animal cible implanté sans avoir besoin d'être à l'intérieur du laboratoire. Avec cet appareil, les chercheurs pourraient facilement mettre en place des études animales entièrement automatisées où le comportement d'un animal pourrait affecter positivement ou négativement le comportement d'autres animaux par le déclenchement conditionnel de la lumière et/ou de l'administration de médicaments.
RépondreSupprimer"Ce dispositif révolutionnaire est le fruit d'une conception électronique avancée et d'une puissante ingénierie à l'échelle micro et nanométrique", a déclaré Jae-Woong Jeong, professeur de génie électrique au KAIST. "Nous souhaitons développer davantage cette technologie pour fabriquer un implant cérébral destiné à des applications cliniques." (Article connexe : Neuralink reçoit l'approbation de la FDA pour implanter une puce cérébrale chez un deuxième patient.)
FutureScienceNews.com has more stories similar to this.
Sources for this article include:
TheSun.co.uk
Nature.com
DailyMail.co.uk
NewsRoom.UW.edu
https://www.naturalnews.com/2024-08-07-scientists-discover-use-of-nanoparticles-to-control-emotions.html
Comme l'a longuement explicationné (il y a qq années) la scientifique Dr Astrid Stuckelberger à propos des nano particules d'oxyde de graphène (40 000 milliards par dose !), elles servent de station-relais entre le téléphone portable (même éteint) et le cerveau. De sorte que, suivant la longueur d'onde reçue ces nano partyicules d'oxyde de graphène peuvent se mettre en rang (!) et créer un long fil (appelé morgelon) ou se mettre en boule et créer un caillot (mort).
SupprimerMais encore interférer, modifier les idées comportementales des inoculé(e)s profond !
Ces nano particules (1 millième de millimètre, un millionième de centimètre, un milliardième de mètre), peuvent aussi être chemtraillées et absorbées par tous les êtres vivants (humains, animaux et plantes). Les tests ont démontré que des races d'oiseaux comme de poissons pouvaient être contrôlés et détruits à distances car chacun d'eux à un système cardiaque différent.
Nota que les plantes sont consommées par les humains et les animaux.
Cour suprême du Vermont : les parents NE PEUVENT PAS POURSUIVRE une école pour avoir injecté un vaccin COVID-19 à un enfant de 6 ans sans son consentement
RépondreSupprimer08/07/2024
Ava Grace
La Cour suprême du Vermont (VTSC) a statué que les parents d'un garçon de six ans ne peuvent pas poursuivre une école après que l'enfant a été illégalement injecté avec un vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Dans sa décision du 26 juillet, la plus haute cour de l'État de Green Mountain a rejeté la plainte déposée par les parents de L.P., six ans, contre le Windham Southeast School District (WSESD). En effet, les fonctionnaires de l'État, y compris les fonctionnaires du système scolaire public, sont protégés de toute responsabilité en vertu de la loi sur la préparation du public et la préparation aux situations d'urgence (PREP) de 2005.
La loi PREP signée par l'ancien président George W. Bush garantit que certaines « personnes couvertes » sont à l'abri des réclamations liées de manière causale à l'utilisation d'une « contre-mesure couverte » lors d'une urgence de santé publique. Un vaccin est considéré comme une contre-mesure couverte en vertu de cette loi.
« Pour éviter un rejet pour des raisons d'immunité, les plaignants auraient dû présenter des allégations bien argumentées montrant que (1) au moins un défendeur n'était pas une personne couverte, (2) une certaine conduite d'un défendeur n'était pas liée de manière causale à l'administration d'une contre-mesure couverte, (3) la substance injectée dans L.P. n'était pas une contre-mesure couverte, ou (4) il n'y avait aucune déclaration de loi PREP en vigueur au moment où L.P. a été injecté », peut-on lire dans la décision. (En lien avec : la loi PREP adoptée en 2020 a été conçue pour protéger tout le monde SAUF les personnes blessées par les vaccins.)
Selon FOX 26, L.P. a reçu une injection du vaccin COVID-19 lors de la clinique de novembre 2021 organisée par le WSESD et le ministère de la Santé du Vermont. Le père de L.P. a déclaré aux responsables de l'école quelques jours avant la clinique que son fils ne devait pas être vacciné. Malgré la reconnaissance de la directive par l'école, l'enfant de six ans a reçu une dose du vaccin à ARNm de Pfizer contre la COVID-19 après avoir reçu par erreur l'étiquette d'un enfant ne faisant l'objet d'aucune restriction de ce type.
RépondreSupprimerLes responsables de l'école se sont excusés auprès des parents de l'enfant
Ce n'est que plus tard que les responsables de l'école ont finalement réalisé l'erreur et ont appelé les parents de L.P. pour s'excuser. Mais cela n'a pas réussi à apaiser les parents du garçon, qui ont ensuite retiré leur enfant de l'école WSESD.
"Heureusement, nous n'avons connaissance d'aucun préjudice causé à l'élève à cause de cette erreur", a déclaré le surintendant du WSESD, Mark Speno, dans une lettre d'excuses de 2021. "Nous prenons très au sérieux nos responsabilités envers les élèves et les familles, et nous respectons le droit des parents à prendre des décisions en matière de soins de santé pour leurs enfants".
Les parents de L.P. ont finalement poursuivi le district scolaire en justice, mais la Haute Cour a statué en faveur des défendeurs, citant la loi PREP. La décision du VTSC confirme une décision antérieure d'un tribunal supérieur de l'État en janvier de l'année dernière, a rapporté LifeSiteNews.
« Au début de l'épidémie de COVID-19 de 2020, l'administration Trump a invoqué la loi pour déclarer le virus « urgence de santé publique », a déclaré le média pro-vie. « De nombreuses preuves identifient des risques importants pour les vaccins COVID-19, qui ont été développés et examinés en une fraction du temps que prennent habituellement les vaccins dans le cadre de l'initiative Operation Warp Speed de l'ancien président Donald Trump. »
Même les Centers for Disease Control and Prevention soulignent les blessures causées par les injections COVID-19. Les chercheurs de l'agence de santé publique ont reconnu un « taux de vérification élevé » de la myocardite (inflammation du muscle cardiaque) dans le Vaccine Adverse Event Reporting System après la vaccination avec des injections d'ARNm COVID-19. Cela a conduit les chercheurs à conclure que « la sous-déclaration est plus probable » que la surdéclaration.
RépondreSupprimerRegardez ce clip sur la surmortalité des enfants en Amérique et le système de santé.
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
Autres histoires connexes :
Un jeune homme souffre d'un mois d'affaiblissement et de décès après avoir pris le vaccin COVID-19 de Pfizer.
Les CDC et Facebook se sont entendus pour CENSURER les FAQ sur la sécurité des vaccins COVID-19, révèlent des courriels.
Le Kansas accuse légalement Pfizer d'avoir induit le public en erreur au sujet de son soi-disant « vaccin COVID-19 ».
Les dernières fuites de courriels montrent que Big Tech et Biden se sont entendus sur les récits COVID, notamment avec les CDC et Twitter (maintenant X).
Les tribunaux ont créé un précédent pour la VACCINATION FORCÉE massive de tous les enfants.
Les sources incluent :
LifeSiteNews.com
KMPH.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-08-07-vtsc-school-immune-lawsuit-vaccinating-child-covid.html
Les personnes qui ont RÉSISTÉ à la tyrannie médicale GAGNENT désormais des procès pour exemption religieuse
RépondreSupprimer08/07/2024
Belle Carter
Deux tribunaux ont récemment statué en faveur des plaignants qui n'ont pas obtenu satisfaction sur leurs demandes d'exemption religieuse concernant les exigences en matière de vaccination, s'ajoutant à une série de victoires récentes sur les mandats de vaccination dangereux.
Depuis mai, au moins 10 cours d'appel ont rendu des décisions en faveur des employés qui ont poursuivi leurs employeurs pour des actions ou des politiques d'exemption religieuse ou morale liées au coronavirus de Wuhan (COVID-19). (En lien : Le Connecticut affirme que les exemptions religieuses aux vaccinations obligatoires des enfants constituent en quelque sorte une menace pour la santé publique.)
En avril 2022, Rachel Spivack a poursuivi son ancien patron, le procureur du district de Philadelphie Larry Krasner, pour avoir violé ses droits au titre du Premier amendement et la loi sur la protection de la liberté religieuse du Commonwealth de Pennsylvanie. Le bureau de Krasner a émis une obligation de vaccination pour tous les employés admissibles en août 2021, environ un mois avant que Spivack, une employée non syndiquée, ne commence à y travailler.
Spivack a demandé une exemption religieuse basée sur ses croyances juives orthodoxes, en soumettant une lettre de son rabbin et en fournissant une explication détaillée de ses croyances religieuses, mais Krasner a ignoré sa demande d'exemption de vaccin COVID-19 tout en autorisant d'autres types d'exemptions.
Selon le bureau du procureur, ils ont changé de politique entre août 2021 et janvier 2022, décidant de refuser catégoriquement toutes les exemptions religieuses sans évaluation individuelle. Cependant, sa politique a autorisé une exemption médicale pour un employé et des exemptions pour les employés syndiqués dont les conditions d'emploi sont régies par leurs contrats syndicaux avec la ville plutôt qu'avec son bureau. Spivack a quand même tenté de collaborer avec le bureau pour trouver des moyens de conserver son emploi sans se faire vacciner, en proposant de porter un masque et de se faire tester chaque semaine, mais le bureau a refusé et a mis fin à son emploi le 8 avril 2022.
Elle a poursuivi Krasner et la ville plus tard dans le mois. Le tribunal de district qui a entendu l'affaire en premier a accordé la requête de Krasner pour un jugement sommaire, affirmant qu'il n'y avait aucune preuve que sa décision était basée sur l'intolérance religieuse. Mais le 29 juillet, la cour d'appel du 3e circuit a annulé la décision et renvoyé l'affaire pour un procès.
RépondreSupprimerUn jury raisonnable pourrait conclure que les commentaires de Krasner « témoignent d'une hostilité envers la religion qui porte atteinte » à la neutralité des politiques de son bureau, ou il pourrait également parvenir à la conclusion opposée, selon la décision. Par conséquent, « aucune des parties n'a droit à un jugement sommaire sur la neutralité » et l'affaire devrait être entendue par un jury.
« Nous sommes reconnaissants que la Cour d'appel ait reconnu que ces questions importantes méritent d'être prises en considération par un jury », a déclaré Lea Patterson, qui représentait Spivack devant le tribunal, dans un communiqué de presse. « Aucun Américain ne devrait perdre son emploi pour avoir vécu selon ses convictions religieuses sincères. »
La Cour suprême du Connecticut se prononce en faveur des exemptions religieuses
Pendant ce temps, la Cour suprême du Connecticut a renvoyé une affaire contestant la politique d'exemption religieuse des vaccins scolaires du Connecticut à la Cour supérieure pour un examen plus approfondi par rapport à la loi sur la liberté religieuse et la restauration de l'État.
En 2021, les parents Keira Spillane et Anna Kehle ont poursuivi le gouverneur, les chefs des départements de l'éducation et de la santé publique de l'État, ainsi qu'une école et un conseil scolaire locaux, arguant que la politique violait leurs droits et ceux de leurs enfants à exercer librement leur religion, à une protection égale des lois et à une éducation publique gratuite.
Elle a poursuivi Krasner et la ville plus tard dans le mois. Le tribunal de district qui a entendu l'affaire en premier a accordé la requête de Krasner pour un jugement sommaire, affirmant qu'il n'y avait aucune preuve que sa décision était basée sur l'intolérance religieuse. Mais le 29 juillet, la cour d'appel du 3e circuit a annulé la décision et renvoyé l'affaire pour un procès.
RépondreSupprimerUn jury raisonnable pourrait conclure que les commentaires de Krasner « témoignent d'une hostilité envers la religion qui porte atteinte » à la neutralité des politiques de son bureau, ou il pourrait également parvenir à la conclusion opposée, selon la décision. Par conséquent, « aucune des parties n'a droit à un jugement sommaire sur la neutralité » et l'affaire devrait être entendue par un jury.
« Nous sommes reconnaissants que la Cour d'appel ait reconnu que ces questions importantes méritent d'être prises en considération par un jury », a déclaré Lea Patterson, qui représentait Spivack devant le tribunal, dans un communiqué de presse. « Aucun Américain ne devrait perdre son emploi pour avoir vécu selon ses convictions religieuses sincères. »
La Cour suprême du Connecticut se prononce en faveur des exemptions religieuses
Pendant ce temps, la Cour suprême du Connecticut a renvoyé une affaire contestant la politique d'exemption religieuse des vaccins scolaires du Connecticut à la Cour supérieure pour un examen plus approfondi par rapport à la loi sur la liberté religieuse et la restauration de l'État.
En 2021, les parents Keira Spillane et Anna Kehle ont poursuivi le gouverneur, les chefs des départements de l'éducation et de la santé publique de l'État, ainsi qu'une école et un conseil scolaire locaux, arguant que la politique violait leurs droits et ceux de leurs enfants à exercer librement leur religion, à une protection égale des lois et à une éducation publique gratuite.
Les défendeurs ont fait appel devant la Cour suprême du Connecticut, qui a annulé une partie de la décision du tribunal inférieur, rejetant cinq des six chefs d'accusation contre les plaignants et autorisant l'école à se retirer. Le mandat de vaccination reste en vigueur. Cependant, il a renvoyé l'affaire à la Cour supérieure pour examiner les réclamations des plaignants.
RépondreSupprimer"Cette décision est une victoire pour nos plaignants et une victoire pour la liberté religieuse dans le Connecticut et nous sommes impatients de faire avancer notre requête en injonction afin que nous puissions ramener ces enfants privés de leurs droits à l'école en attendant notre procès", a déclaré Brian Marks, professeur de droit et de santé publique à la faculté des sciences de la santé de l'université de New Haven.
Visitez MedicalTyranny.com pour plus d'informations sur les mandats de santé publique tels que les exigences en matière de vaccins.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle des récentes décisions en faveur des poursuites pour exemption religieuse.
Cette vidéo provient de la chaîne Loki Luck III sur Brighteon.com.
This video is from the Loki Luck III channel on Brighteon.com.
More related stories:
Drag queen CEO of United Airlines accused of mocking employees who applied for religious exemptions from COVID-19 vaccine mandate.
Report finds U.S. military violated rules in handling COVID-19 vaccine mandate exemption requests.
In affront to God, Pope Francis condemns “antivaxxers,” says NOT taking the covid vaccine is an act of suicide… refuses to condemn transhumanism mRNA vaccine tech.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org 1
ChildrensHealthDefense.org 2
WTNH.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-08-07-people-resisted-medical-tyranny-now-winning-lawsuits.html
Les vaccins ARNm covid détruisent durablement la flore intestinale en particulier la bifidobacteria avec des risques de maladies inflammatoires et neurologiques
RépondreSupprimerle 8 août 2024
par pgibertie
L’action principale du bifidobacterium est relative aux fonctions digestives. Une supplémentation va permettre d’apporter ces bonnes bactéries à l’organisme et ainsi équilibrer le microbiote intestinal. En équilibrant la population de cette flore, cela va permettre de renforcer la paroi intestinale qui peut être altérée ce qui mène à une hyperperméabilité intestinale. Cette hyperperméabilité peut être à l’origine d’une mauvaise assimilation des nutriments et d’un passage dans le sang de composés toxiques ce qui peut engendrer une inflammation locale puis globale de l’organisme.
Le microbiote intestinal interagit avec le système immunitaire ce qui permet de réguler la production de cellules immunitaires et réagir en cas d’inflammation dans l’organisme. De même, dans le cadre d’un traitement médical, une bonne concentration en bifidobacterium va permettre de soutenir les cellules immunitaires qui peuvent être altérées ou surchargées.
Les vaccins à ARN messager contre le SARS-CoV-2 sont largement distribués, mais leur effet sur le microbiome intestinal humain, en particulier à long terme jusqu’à un an, est inconnu. Le microbiome intestinal humain est un déterminant essentiel de la santé humaine. Le déclin du genre
Bifidobacteria est associé aux maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, à l’obésité, aux troubles neurologiques, à l’infection à C. difficile et à la COVID-19 sévère.
Nous avons enregistré longitudinalement l’abondance relative du genre
Bifidobacteria chez 4 sujets avant de recevoir le vaccin à ARNm (Pfizer ou Moderna), environ un mois après le vaccin et 6 à 9 mois plus tard. Des vaccins supplémentaires contre le SRAS-CoV-2 ont été administrés pendant cette période, pour un total de 2 à 3 doses. Les échantillons ont été prélevés aux moments mentionnés. Il n’y a eu aucun changement de régime alimentaire ni de nouveau médicament pendant toute la période et les sujets ont été invités à suivre le même régime pendant les 6 mois. Des méthodes de séquençage métagénomique de nouvelle génération ont été appliquées aux échantillons obtenus à partir de la collecte de matières fécales. L’ADN a été extrait et la bibliothèque préparée, enrichie et séquencée sur un système Illumina Nextseq 550. L’abondance relative des
bifidobactéries a diminué après 1 mois chez 3 des 4 sujets à : 38 %, 258 %, 49 % et 90 % des niveaux pré-vaccinaux. Après 6 à 9 mois, l’abondance relative de toutes
les bifidobactéries a diminué à : 15 %, 0 %, 35 % et 60 % des niveaux pré-vaccinaux.
- voir schéma sur site -
Il s’agit de la première étude à démontrer une diminution de l’abondance relative des bactéries du genre
RépondreSupprimerBifidobacteria 6 à 9 mois après la vaccination contre le SARS-CoV-2. Tous les sujets sont tombés en dessous d’une abondance relative de 1 %. Bien qu’il s’agisse d’un petit échantillon, ces résultats peuvent suggérer un mécanisme potentiel de complications post-vaccinales ; cependant, aucun sujet de l’étude n’a présenté de complications significatives. La dysbiose intestinale post-vaccination à ARNm contre le SARS-CoV-2 pourrait potentiellement être une indication future de restauration des
Bifidobacteria par voie orale ou directement par transplantation fécale.
https://journals.lww.com/ajg/fulltext/2022/10002/s2099_persistent_damage_to_the_gut_microbiome.2099.aspx
https://www.gutmicrobiotaforhealth.com/fr/quel-est-le-role-des-bifidobacteries-dans-limplantation-dun-microbiome-intestinal-et-dun-systeme-immunitaire-sains-chez-les-nourrissons/
- voir schéma sur site :
https://pgibertie.com/2024/08/08/les-vaccins-arnm-covid-detruisent-durablement-la-flore-intestinale-en-particulier-la-bifidobacteria-avec-des-risques-de-maladies-inflammatoires-et-neurologiques/
Des études montrent les dangers et le manque de bénéfices du vaccin contre le VPH
RépondreSupprimer8 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Il est toujours étonnant de constater à quel point les vaccins se comportent négativement dans les études et en termes d’effets secondaires documentés, alors qu’ils sont toujours massivement promus, voire prescrits, par les autorités censées protéger notre santé. Les principaux exemples actuels en sont les préparations Corona modRNA et le vaccin HPV, réputé efficace contre le cancer du col de l'utérus.
TKP a récemment présenté ici les données de Statistics Austria . Ils montrent que deux choses se sont produites depuis l'introduction de la vaccination contre le VPH en Autriche :
Premièrement, les diagnostics de cancer ont diminué de manière significative jusqu'en 2007, mais plus depuis l'introduction de la vaccination.
Deuxièmement, l’incidence de la maladie s’est considérablement déplacée vers les femmes et les filles plus jeunes depuis le début de la vaccination.
Si l’on considère la situation de l’étude, c’est exactement ce à quoi on peut s’attendre. En 2017, Manuel Martinez-Lavin et al. ont publié une évaluation des événements indésirables graves décrits dans des essais randomisés pré-commercialisation et des séries de cas post-commercialisation. Le titre de l'étude : « Événements indésirables graves après la vaccination contre le VPH : une revue critique des essais randomisés et des séries de cas post-commercialisation ».
Les auteurs ont constaté que dans « la plupart des essais randomisés sur le vaccin contre le VPH, aucun placebo inerte n’a été utilisé dans le groupe témoin ».
Il s’agit d’une astuce souvent utilisée dans les études pharmaceutiques pour dissimuler les dommages causés par les principes actifs. Les deux groupes y sont exposés et seule la différence dans l’occurrence des dommages est rapportée.
Mais même cela n’a apparemment pas aidé : « Dans deux des plus grandes études randomisées, des événements indésirables significativement plus graves ont été constatés dans le groupe testé avec le vaccin contre le VPH. »
RépondreSupprimerLes auteurs de la première étude : "Par rapport aux 2871 femmes ayant reçu un placebo d'aluminium, il y a eu plus de décès au suivi dans le groupe de 2881 femmes ayant reçu une injection du vaccin bivalent contre le VPH (14 contre 3, p = 0,012)."
Le groupe placebo n’a pas reçu d’agent inerte, mais plutôt de l’aluminium nocif connu. Néanmoins, la vaccination a entraîné davantage de décès. Il est incroyable que quelqu'un ose encore recommander un tel produit médical.
Mais passons à la deuxième étude : « Par rapport aux 7 078 filles qui ont reçu le vaccin anti-VPH 4-valent, 7 071 filles qui ont reçu la dose 9-valente ont présenté des événements indésirables systémiques plus graves (3,3 contre 2,6 %, p = 0,01). »
Gardasil-9 est la préparation actuellement vaccinée à grande échelle. Le ministère autrichien de la Santé recommande même que les femmes ayant reçu le produit 4-valent soient revaccinées avec le produit 9-valent.
Les auteurs résument :
« Les études précliniques, les séries de cas post-commercialisation et la base de données mondiale des effets indésirables des médicaments (VigiBase) décrivent des groupes de symptômes similaires après la vaccination contre le VPH. Dans deux des plus grands essais randomisés sur le vaccin contre le VPH, des événements indésirables plus graves sont survenus dans le groupe vacciné contre le VPH testé. Le vaccin neuf fois supérieur contre le VPH présente un rapport inquiétant « nombre nécessaire pour vacciner/nombre nécessaire pour nuire ». Les études précliniques et les séries de cas post-commercialisation décrivent des symptômes similaires après la vaccination contre le VPH.
Cela explique bien les données de Statistics Austria.
RépondreSupprimerUne campagne internationale financée en grande partie par la Fondation Bill & Melinda Gates pour vacciner des dizaines de millions de jeunes filles avec le médicament contre le VPH suscite de vives critiques. car le vaccin causera bien plus de mal que de bien.
Affirmant que l’initiative permettra d’éviter « plus de 1,4 million de décès futurs », l’alliance vaccinale Gavi a annoncé qu’elle distribuerait plus de 600 millions de dollars pour atteindre son objectif de 86 millions de filles à vacciner dans les pays à revenu faible ou intermédiaire d’ici 2025.
« La diffusion de ce vaccin sur des millions de filles et de jeunes femmes entraînera une mortalité massive que ces pays n’ont pas et n’ont pas besoin. Le nombre de SAR sera de 65 000 par million de femmes vaccinées, et le bénéfice net prétendu du vaccin n’existe tout simplement pas
– Lyons-Weiler, directeur de l’Institut des connaissances pures et appliquées.
La vaccination contre le VPH a déjà donné lieu à de nombreux procès en raison des dégâts causés. Voici un rapport intitulé « Le vaccin contre le VPH provoque le cancer du col de l’utérus chez une jeune femme, procès ». »
Mais c'est loin d'être tout. Voici une courte sélection d’autres études publiées :
La pancréatite après vaccination contre le virus du papillome humain n'est pas un phénomène nouveau :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27421720
Une étude cas-témoins de vaccins quadrivalents contre le virus du papillome humain associés à des événements indésirables auto-immuns :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25535199
Des douleurs neuropathiques chroniques, de la fatigue et un dysfonctionnement autonome peuvent survenir après la vaccination contre le VPH :
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26354426
61 % des femmes ont subi un événement indésirable après avoir reçu la première dose du vaccin contre le VPH :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23801230
L’essentiel est que les campagnes de vaccination contre le VPH pourraient avoir un effet similaire aux campagnes transgenres menées par le CIO , le gouvernement bavarois , l’UE et les autres élites mondialistes.
Voici 2 films recommandés sur les effets secondaires :
https://unterdiehaut.online/
https://www.sacrificialvirgins.org/
https://tkp.at/2024/08/08/studien-zeigen-gefaehrlichkeit-und-fehlenden-nutzen-des-hpv-impfstoffs/
L’énergie solaire en moyenne deux fois plus chère que le charbon – étude
RépondreSupprimer7 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis le Green Deal de l’UE et la mise en place de bourses commerciales pour l’électricité et le gaz selon les dogmes néolibéraux, les coûts de l’énergie dans l’UE ont énormément augmenté. L’abandon prévu des hydrocarbures dans l’UE (et uniquement dans l’UE) entraînera de nouvelles augmentations énormes des prix.
Un nouveau document de 2024 déclare : « Les coûts de l’électricité photovoltaïque liés au système en Chine sont actuellement plus élevés que le prix de l’électricité produite au charbon désulfuré dans les provinces. » L' étude de Shijia Chong et al, publiée dans ScienceDirect, est intitulée « Comptabilité analytique et évaluation de la compétitivité économique de la production d'énergie photovoltaïque en Chine —— basée sur le coût actualisé de l'électricité du système. » basée sur les coûts de production d'électricité dépendant du système).
L’affirmation courante est que l’énergie solaire et éolienne est moins chère. C’est tout sauf la vérité. Parce que cela n'est vrai que lorsque le soleil brille et que le vent souffle, sinon cela coûte beaucoup plus cher. Surtout si vous incluez correctement les coûts du système pour l'équilibrage et l'intégration du réseau.
Et comme le soleil ne brille pas toujours et que le vent ne souffle pas toujours, il faut évidemment tenir compte des coûts du système pour compenser le manque de fiabilité de l'énergie solaire et éolienne.
Les auteurs écrivent : « Avec la croissance continue de la production photovoltaïque dans le système électrique, les coûts du photovoltaïque ont également chuté rapidement. Le coût actualisé de l’électricité (LCOE) est couramment utilisé pour la comptabilité des coûts énergétiques, tandis que négliger la composition spécifique des coûts du photovoltaïque conduit à un scénario trop optimiste. En intégrant les coûts du réseau et les coûts d'équilibrage dans le cadre LCOE conventionnel, un modèle LCOE système (S-LCOE) a été créé pour évaluer plus précisément la faisabilité économique de la production photovoltaïque. Les résultats montrent que le S-LCOE du photovoltaïque dans toutes les provinces de Chine est actuellement supérieur au prix local de l’électricité au charbon désulfuré (DCEP).
Mais ces coûts ne suffisent pas pour calculer la rentabilité et le véritable prix client final. Les coûts de l’intégration du réseau, des capacités de réserve et du stockage tampon doivent être inclus dans les coûts du système. Une image complètement différente apparaît alors.
RépondreSupprimer« Ainsi, en intégrant les coûts d'intégration dans le calcul LCOE conventionnel, cette étude a créé un cadre plus complet, le modèle System LCOE (S-LCOE), qui vise à réévaluer la faisabilité économique de la technologie photovoltaïque et en même temps à éviter les excès d'optimisme. scénarios de coûts [11]. "En outre, la répartition spatio-temporelle de l'évolution des coûts du photovoltaïque en Chine a été analysée plus en détail pour révéler les différences régionales en termes de compétitivité économique et d'abordabilité de la technologie photovoltaïque."
Et voici le résultat:
- voir graph sur site -
Nous constatons que les coûts de l’électricité photovoltaïque dans les provinces chinoises sont en moyenne environ deux fois plus élevés que les coûts de l’électricité issue du charbon désulfuré.
Le problème est que les coûts augmentent à mesure qu’ils se généralisent. Si la part photovoltaïque est faible, les fluctuations liées à la météo peuvent être absorbées par les infrastructures et les producteurs d'énergie existants. Plus la part du photovoltaïque augmente, plus il faut investir dans les infrastructures, la sauvegarde et le stockage tampon.
Ce qui n’a pas encore été enregistré ici, c’est un basculement vers l’électricité chez les consommateurs comme les pompes à chaleur, le chauffage électrique ou les voitures électriques. Il y a ensuite d'autres dépenses, par exemple pour les réseaux de distribution. Et se pose la question de la faisabilité, à laquelle on a jusqu’ici répondu par la négative.
De plus, les effets climatiques de l’expansion du photovoltaïque ne sont pas clairs. Des études antérieures suggèrent même qu'un réchauffement climatique se produit, comme indiqué ici et ici . Cependant, l’augmentation du gaz carbonique qui assure une croissance plus rapide des plantes et donc une verdure et une sécurité alimentaire manque alors.
https://tkp.at/2024/08/07/solarenergie-im-durchschnitt-doppelt-so-teurer-wie-kohle-studie/
La politique énergétique allemande mène à la désindustrialisation
RépondreSupprimer8 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
La politique énergétique allemande constitue de plus en plus un risque de localisation pour les entreprises. De plus en plus de personnes envisagent d’arrêter leur production et de la délocaliser à l’étranger. Une enquête récente de l'Association allemande des chambres de commerce et d'industrie (DIHK) auprès d'environ 3 300 entreprises membres confirme cette tendance. Cela est dû aux politiques de désindustrialisation de la Commission européenne et du gouvernement allemand.
Le « Baromètre de la transition énergétique » de cette année montre également à quel point la perte de confiance dans le gouvernement au pouvoir est dramatique. «La confiance de l'économie allemande dans la politique énergétique a été gravement ébranlée», déclare Achim Dercks, directeur adjoint de la DIHK, résumant les résultats de l'enquête. "Alors que de nombreuses entreprises ont également vu des opportunités dans la transition énergétique pour leur propre activité dans les années précédant 2023, elles estiment désormais que les risques l'emportent clairement sur les risques."
L'Allemagne est célèbre pour son industrie lourde, mais une grande partie de ce secteur a besoin d'une énergie bon marché pour rester compétitive sur le marché mondial, notamment la production d'acier, de véhicules et de produits chimiques. Ce sont également les entreprises les plus susceptibles d'envisager des délocalisations ou des réductions de production, selon le journal allemand Welt .
Les données montrent que 45 % de toutes les entreprises ayant des coûts d'électricité élevés « planifient ou mettent en œuvre » des mesures de réduction ou de délocalisation – soit 7 % de plus que l'année dernière. Dans l'enquête, les coûts de l'électricité sont considérés comme « élevés » s'ils représentent plus de 14 % des ventes.
Les géants industriels allemands sont les plus enclins à se délocaliser en raison de leur présence internationale déjà forte et de leur assise financière suffisante. Parmi les entreprises industrielles de plus de 500 salariés, 51 % envisagent déjà des réductions de production ou des délocalisations, contre 43 % l'année dernière.
RépondreSupprimerLe gouvernement allemand tente de contrecarrer ces tendances et a récemment publié un plan pour une « initiative de croissance ».
Mais Dercks ne le pense pas : "Les solutions durables aux problèmes d'approvisionnement en énergie et de prix de l'énergie sont complètement ignorées. Le vice-président de la DIHK prévient que la situation pourrait encore empirer."
« Quiconque n’a pas cela en tête finira par connaître la désindustrialisation de notre pays », a-t-il prévenu.
Des exemples montrent le crash
Il existe de nombreux exemples qui illustrent une politique apparemment délibérément erronée.
L’expansion de l’éolien et du photovoltaïque modifie considérablement le système électrique. Le ministre de l'Économie, Robert Habeck, prévoit des réformes globales pour relever ce défi. Mais ces réformes sont parfois bizarres. L'électricité éolienne et solaire dépend de la météo et de l'heure de la journée et l'approvisionnement varie donc considérablement tout au long de la journée. L’idée est une nouvelle « conception du marché de l’électricité » dans laquelle la demande devrait réagir de manière flexible à l’offre.
Dans un communiqué de presse de l'Agence fédérale des réseaux, on peut lire ceci :
« Les anciennes réductions sur les frais de réseau ne répondent plus aux exigences d'un système électrique caractérisé par une forte proportion de production d'électricité renouvelable. À l’avenir, nous souhaitons encourager particulièrement un comportement de consommation respectueux du système dans l’industrie. L’industrie et le commerce devraient payer des frais de réseau réduits s’ils consomment davantage d’électricité dans des situations où l’approvisionnement en électricité est élevé. À l’inverse, ils bénéficient également d’une réduction des frais de réseau s’ils consomment moins d’électricité en période de pénurie d’électricité.
Les auteurs de ce plan n’ont apparemment jamais vu l’intérieur d’une seule usine de leur vie. Surtout pas une grande, une de celles avec un système d'équipes qui fonctionne 24 heures sur 24, comme une usine chimique ou une aciérie. Pas même une de ces aciéries électriques tant désirées, qui ne reçoit alors que de l’électricité « verte ».
RépondreSupprimerPour l’industrie manufacturière, cela signifie des coûts énergétiques totalement incalculables à long terme. Dans la plupart des industries, la production ne peut pas simplement être régulée à la hausse ou à la baisse en fonction du prix de l’électricité. Vous ne pouvez pas renvoyer vos employés chez eux si l'électricité est trop chère.
Personne ne devrait donc s'étonner que quiconque le peut quitte précipitamment l'Allemagne et mène ses affaires là où les hommes politiques disposent de plus de deux cellules cérébrales fonctionnelles.
Des nouvelles telles que l'annonce du chômage partiel chez Daimler Truck, la suppression de 1 400 emplois chez Infineon en Allemagne et la délocalisation de 1 400 autres vers d'autres pays, la faillite imminente de la chaîne de mode Esprit, de VW ID.Buzz, du bus électrique en tant que vendeur lent, l'effondrement de la demande de véhicules électriques. Les voitures ont chuté de 47 % et l'industrie solaire de 50 % ne sont plus particulièrement surprenantes.
Le portail américain Bloomberg a récemment déclaré que « l’Allemagne devient le lest de l’Europe ». L’Allemagne est le pays qui met le plus d’empressement à mettre en œuvre les directives de Bruxelles, qui suivent à nouveau le rythme de Washington. Les élites américaines veulent maintenir la concurrence de l’Europe au minimum, mais il semble que cette destruction massive de l’économie va trop loin, même pour les Américains. L’Allemagne est dans une situation de lest à cet égard, car elle a rompu la plupart de ses liens avec l’énergie bon marché en provenance de Russie et entraîne désormais dans sa chute d’autres pays européens.
Fondation Heinrich Böll de Berlin, Allemagne , CC BY-SA 2.0 , via Wikimedia Commons
https://tkp.at/2024/08/08/deutschlands-energiepolitik-fuehrt-zur-deindustrialiserung/
Devenir propre sur l'énergie propre : c'est une sale affaire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 08 AOÛT 2024 - 02:55
Rédigé par Kristen Walker via RealClearEnergy,
À moins que vous n'ayez vécu dans une grotte, vous êtes probablement au courant de l'énorme effort de transition vers l'énergie verte. L'objectif est de remplacer le charbon et le gaz naturel par l'éolien et le solaire ; le véhicule électrique (VE) remplacera supposément les moteurs à combustion interne. Les directives viennent de la plus haute instance du pays ; l'administration actuelle a fait de l'énergie verte une grande partie de son programme.
On nous dit que ces technologies sont propres et sauveront la planète du changement climatique. Cependant, ces formes d'énergie alternatives prônées sont criblées de leurs propres problèmes.
Derrière les panneaux solaires, les éoliennes et les batteries des véhicules électriques se cachent de sales secrets qui sont balayés sous le tapis et ignorés par les passionnés du climat. Les combustibles fossiles sont constamment examinés à la loupe et condamnés comme des pollueurs destructeurs et malfaisants. L’énergie verte est généralement mise sur un piédestal. Cependant, l’énergie verte n’est pas aussi parfaite et merveilleuse qu’on veut nous le faire croire. Pourtant, nous accordons beaucoup de confiance à ces sources d’énergie, sans tenir compte de leurs ramifications.
L’American Consumer Institute vient de publier un rapport détaillant de nombreux impacts environnementaux associés aux formes d’énergie dites vertes qui sont fortement promues. Le cycle de vie de ces trois formes d’énergie – l’éolienne, le panneau solaire et la batterie des véhicules électriques – implique des conséquences environnementales importantes qui ne doivent pas être négligées et doivent faire partie du débat lors de la mise en œuvre des politiques énergétiques.
L’un des plus gros problèmes liés à ces formes d’énergie est l’extraction et les processus de fabrication de divers minéraux essentiels qui sont nécessaires aux éoliennes, aux panneaux solaires et aux batteries des véhicules électriques. De nombreux pays sous-développés, où les minéraux sont abondants, sont en danger. Les opérations et les procédures non seulement envahissent les terres, mais contaminent également les sols et les sources d’eau environnants. Dans le pire des cas, ce travail est accompli par le travail d’esclave.
RépondreSupprimerDiverses toxines et autres gaz à effet de serre sont libérés dans l’atmosphère, affectant potentiellement les travailleurs et même les communautés voisines. Le paysage est terni et divers habitats d’animaux se rétrécissent et/ou subissent un stress. L’énorme quantité de terres occupées par l’éolien et le solaire pourrait ne jamais être récupérable.
La Chine domine les chaînes d’approvisionnement en énergie verte, mais ses normes environnementales sont inférieures à la moyenne. Les émissions de gaz carbonique associées aux raffineries en Chine sont 1,5 fois supérieures à celles de l’UE ou des États-Unis.
Ces trois sources d’énergie créent également un énorme problème de déchets. Étant donné que tout type de recyclage est très limité à grande échelle, plus de 90 % des pales d’éoliennes, des panneaux solaires et des batteries de véhicules électriques finissent dans des décharges. D’ici 2050, on prévoit que les pales d’éoliennes usagées dépasseront les 43 millions de tonnes de déchets dans le monde. Les déchets solaires devraient être proches de 80 millions de tonnes. Et comme les États-Unis prévoient 33 millions de véhicules électriques sur les routes d’ici 2030, cela représente beaucoup de batteries qui finiront dans des décharges.
Ironiquement, les mêmes personnes qui veulent faire payer les clients pour chaque sac en plastique qu’ils utilisent dans les supermarchés, par crainte que les plastiques à usage unique finissent dans les décharges, ne semblent pas avoir de problème avec les machines potentiellement toxiques qui remplissent cet espace à la place.
Dans notre penchant à essayer de résoudre une crise, nous en créons d’autres.
RépondreSupprimerCertains des impacts et des dangers environnementaux posés par l’énergie verte sont bien plus préjudiciables que les combustibles fossiles, et pourtant ces derniers sont souvent ignorés. De tels risques associés aux technologies vertes devraient en fait être un argument contre la poursuite vigoureuse de ces dernières.
Chaque source d’énergie, y compris les combustibles fossiles, devrait être considérée comme faisant partie d’une stratégie globale visant à fournir l’énergie nécessaire pour alimenter les foyers, les entreprises et l’économie américaine dans son ensemble. Toutes ces sources d’énergie s’accompagnent d’un certain degré de préoccupations environnementales, et chacune devrait être pesée et mesurée – avec les coûts, la logistique, la fiabilité et les facteurs géopolitiques – lors de l’élaboration des politiques publiques. Au lieu d’essayer d’éliminer complètement les combustibles fossiles, il faudrait établir un mix énergétique robuste et sain ; Nous avons besoin d’une approche équilibrée qui ne génère pas de problèmes supplémentaires.
Il est grand temps de faire la lumière sur ce que l’on appelle l’énergie propre. Les conséquences réelles et les effets néfastes de cette énergie exigent des discussions plus honnêtes et une ligne de conduite réfléchie.
Kristen Walker est analyste politique pour l’American Consumer Institute, une organisation à but non lucratif d’éducation et de recherche. Pour plus d’informations sur l’Institut, visitez www.theamericanconsumer.org ou suivez-nous sur Twitter @ConsumerPal
https://www.zerohedge.com/energy/coming-clean-clean-energy-its-dirty-business
Alerte sécheresse : voici la liste des communes soumises à des restrictions d’eau
RépondreSupprimerEn raison de fortes chaleurs et du manque de précipitations, près d’une centaine des 153 communes du département du Var ont été placées en alerte sécheresse et sont désormais soumises à des restrictions d’eau. L’arrêté préfectoral a été publié mercredi 7 août 2024.
le 8 août 2024 à 11h30
En Europe, la température du mois de juillet 2024 était supérieure de 1,49 °C à la moyenne de 1991-2020.
Dans le Var, la sécheresse atteint un niveau critique : 98 communes ont été placées, mercredi 7 août 2024, en alerte jaune par arrêté préfectoral. Les zones concernées incluent Argens, Artuby-Jabron, Gapeau et la partie varoise du bassin versant de l’Huveaune amont. Les restrictions sont strictes pour préserver les ressources en eau. L’arrosage des pelouses, des jardins ou encore des potagers y sont désormais interdit entre 9h et 19h pour les particuliers et entre 8h et 20h pour les terrains sportifs (golf, football, etc.).
Le lavage des voitures à domicile et le remplissage des piscines privées sont quant à eux interdits, peu importe l'heure de la journée. Dans les communes affectées, les fontaines à circuit ouvert sont arrêtées et l’arrosage des espaces verts est limité. Les agriculteurs et viticulteurs s'inquiètent déjà de l'impact que ces restrictions pourraient avoir sur leurs récoltes.
55 communes placées en vigilance
En parallèle, la préfecture du Var a placé 55 autres communes du Var en vigilance sécheresse (niveau gris, soit le premier niveau d'alerte qui sont au nombre de 4). Bien que ces zones ne soient pas soumises à des restrictions obligatoires, les autorités encouragent les habitants à adopter des comportements économes en eau, en témoigne la publication sur X (ex-Twitter) de la préfecture avec le message suivant : « Avec le manque de pluie et la chaleur, les cours d'eau souffrent ! Économisons l'eau ! ». Les habitants concernés sont donc fortement invités à limiter l’arrosage des jardins et à restreindre le remplissage de leurs piscines.
Les efforts pour économiser l'eau portent leurs fruits. « Entre 2023 et 2024, on a fait 20 % d'économies d'eau », indique Sébastien Bourlin, maire de Pourrières, auprès de nos confrères de BFMTV. À titre de rappel, le mois de juillet 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré de l'histoire.
Alors que DES millions de km3 d'eau se déversent continuellement (24/24 h) dans les mers et les océans depuis les fleuves et rivières... il y aurait... la sécheresse !!! HAHAHAHAHA !
SupprimerSurmonter la grave pénurie d’eau : une vision marocaine
RépondreSupprimerPar le Dr Yossef Ben-Meir
Recherche mondiale,
7 août 2024
Les six années consécutives de sécheresse au Maroc ont été atroces. L'impact sur le prix des produits alimentaires de base, comme la viande et l'huile d'olive, a été frappant. Ces dernières années, le début de la saison des pluies a été imprévisible, ce qui fait qu'il est difficile de savoir quand planter, s'il pleuvra ou si nous sommes dans une nouvelle tendance à laquelle nous devons nous adapter.
Dans le même temps, l’ingéniosité humaine et les cadres nationaux marocains de durabilité peuvent réduire le lourd fardeau de la sécheresse. Le Maroc est prêt à mener à bien cette lutte, et la manière dont il y parviendra peut ouvrir la voie pour aider d’autres pays à surmonter leur propre grave pénurie d’eau.
Tous les cadres nationaux essentiels sont en place pour encourager les populations au niveau local à s’adapter et à faire preuve de résilience. En fait, la gravité de la sécheresse nécessitant une adaptation pourrait rendre plus opérationnels les chartes, politiques et programmes déjà établis au Maroc pour la participation de la population à la gestion des ressources naturelles. En effet, les communautés locales appliquant la combinaison marocaine de développement durable et de procédures démocratiques participatives pour faire face à la crise de l'eau pourraient atteindre de manière significative leur objectif national d'établir des administrations décentralisées. Après tout, plus les partenaires infranationaux (privés-publics) travaillent ensemble pour mettre en œuvre des initiatives identifiées par la communauté, plus les systèmes de gestion décentralisés prennent une forme pratique.
Les investissements nationaux du Maroc dans le dessalement et d'autres projets à grande échelle qui augmentent et dispersent stratégiquement son approvisionnement en eau pour l'équilibre régional sont, par rapport aux normes mondiales établies, exceptionnels. Ces investissements incarnent également la justification rationnelle de la voie de décentralisation du Maroc, permettant au niveau national d'aider ses régions les moins favorisées. À cet égard, sous la direction de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc est en bonne voie d'atteindre ses objectifs dans une situation incroyablement difficile en intégrant ces initiatives aux énergies renouvelables et à l'urgence reconnue au niveau national.
RépondreSupprimerCependant, la gestion communautaire des opportunités locales et des infrastructures d’eau nouvelles ou restaurées reste difficile à atteindre, et la mobilisation rurale généralisée et cruciale n’est pas catalysée dans la mesure nécessaire pour un plus grand succès.
Un processus de développement durable qui aboutit à des systèmes d'eau identifiés et mis en œuvre localement faisant progresser la conservation tout en permettant une production plus élevée – ce qui est en fait l'approche du Maroc – ressemble à ceci : dans les zones rurales où la pénurie d'eau est la plus grave, les femmes et les hommes se rassemblent dans des endroits différents ( comme cela se fait traditionnellement) pour examiner, en tant qu'individus et en tant que groupe, leurs difficultés rencontrées dans la vie liées aux relations sociales, aux perspectives de travail et d'argent, ainsi qu'à la santé, à l'éducation et aux opportunités de subsistance.
En examinant d'abord de manière introspective leurs obstacles intérieurs, leurs forces et les processus de découverte qui déterminent leur avenir et les projets qu'ils souhaitent avant tout, cette expérience dans les zones rurales conduit généralement les individus aux problèmes de l'eau potable et de l'irrigation combinés à l'approvisionnement durable en eau. Une approche de planification participative reposant sur la propre détermination par la communauté de ses objectifs de développement et de ses plans d'action et sur son engagement envers le maintien et la durabilité à long terme de ses projets est le principal facteur de durabilité.
Au Maroc, ce processus ne se retrouve pas seulement dans la charte municipale nationale, qui exige que des plans à long et à court terme soient élaborés par les membres des conseils locaux aux côtés des résidents de la juridiction, mais constitue également le principe central du bras de financement du gouvernement marocain. l'Initiative nationale pour le développement humain ( INHD ) du gouvernement . En outre, l'aspect de l'administration décentralisée du développement est inscrit dans la Constitution nationale, et le rôle moteur des femmes est codifié dans le code de la famille en évolution progressive ( Modouwana).
RépondreSupprimerCette sécheresse incessante, qui elle aussi passera, exige que nous, au Maroc, ajoutions le niveau d'investissement maximal possible aux stratégies marocaines déjà établies en matière de durabilité communautaire. Cela signifie que nous devons former des milliers de vulgarisateurs agricoles et de gardiens des forêts du pays, des milliers d'étudiants universitaires et d'enseignants d'écoles rurales, des milliers de membres des conseils municipaux et de la société civile, ainsi que des dirigeants communautaires et religieux, aux méthodes permettant de faciliter le dialogue participatif interactif. et des activités pour l'autonomisation des groupes personnels et la planification des initiatives prioritaires locales. Cela est particulièrement vrai pour les initiatives qui impliquent le confinement de l'eau et la maximisation de l'utilité, y compris non seulement des bassins, des tours, des tuyaux et des systèmes de goutte-à-goutte, mais aussi la construction de centaines de milliers de terrasses et la plantation de centaines de millions de variétés d'arbres endémiques qui capteront l'eau. l'eau, permettent un écoulement plus progressif, sans perdre la précieuse eau du Maroc au ruissellement (oui, les arbres conservent l'eau !).
Le financement des associations communautaires locales et des coopératives pour toutes les questions concernant la gestion locale de l’eau et son utilité efficace ne devrait pas être géré uniquement par le ministère de l’Agriculture, mais priorisé par les budgets de tous les ministères lorsque cela est possible et plus particulièrement par l’INHD. Étant donné que les infrastructures d'eau sont de loin le projet prioritaire au niveau local, l'INHD devrait réduire son exigence de financement de 25 pour cent auprès des bénéficiaires communautaires et co-créer des propositions de projets avec des groupes locaux (puisque les taux d'analphabétisme en milieu rural sont une préoccupation nationale), rendant le financement de l'NIHD accessible. à ceux qui le cherchent.
RépondreSupprimerEssentiellement, la combinaison des cadres publics marocains pour faire progresser le développement durable, tous intégrant la participation et la gestion de la population, nécessite des facilitateurs pour catalyser et aider la conception et la mise en œuvre des infrastructures et des projets liés à l'eau. Les acquisitions nécessaires à leur réalisation seraient rendues possibles par l'accompagnement et la réforme des mécanismes de financement du Maroc.
De cette manière, le Maroc, à travers des projets d'approvisionnement en eau décentralisés et menés par les communautés, face à une terrible sécheresse, consolidera et étendra puissamment son modèle et, ce faisant, inspirera d'autres pays sur la façon dont la participation de la population peut être l'élément déterminant qui transforme une situation dévastatrice en celui qui est rendu meilleur sur le plan transformationnel pour le temps à venir.
https://www.globalresearch.ca/overcoming-severe-water-scarcity-moroccan/5864645
Les grandes banques mettent en danger la sécurité alimentaire avec les exigences ESG et climatiques pour l’agriculture
RépondreSupprimer6 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les protestations des agriculteurs dans de nombreux pays européens démontrent clairement que les politiques de l'UE et d'autres organisations mondiales non élues restreignent de plus en plus et rendent la production d'aliments sains plus coûteuse. Dans le même temps, la viande de laboratoire et d’autres aliments artificiels sont alimentés par l’argent des impôts. Les banques commencent également à s’impliquer.
Dans le passé, il a été rapporté à maintes reprises que les banques calculaient l'empreinte carbone de leurs clients sur leurs relevés de compte. Exemples ici , ici et ici . Cela peut être ignoré, mais cela crée des conditions dangereuses qui permettent aux banques de contrôler dans un premier temps les prêts, puis d’introduire ensuite un système de crédit social autoritaire et fasciste, y compris des restrictions sur l’usage que vous pouvez encore faire de votre propre argent.
Un article du CFACT de février montre jusqu’où les banques semblent prêtes à aller. Les revers apparents de l'investissement ESG (environnemental, social et de gouvernance) n'ont pas empêché un groupe d'institutions financières de poursuivre des politiques qui sont fondamentalement en contradiction avec la capacité des agriculteurs à produire des aliments, a déclaré une coalition de responsables agricoles dans un communiqué daté du 29 janvier. à six grandes banques.
Les banques – Bank of America, Citigroup, Goldman Sachs, JP Morgan Chase, Morgan Stanley et Wells Fargo – font partie de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA), soutenue par les Nations Unies. Les responsables de l’agriculture de 11 États américains et un ministre de l’Agriculture ont averti dans leur lettre que « nous sommes sérieusement préoccupés par les engagements pris par votre banque dans le cadre de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA) et par leur impact potentiel sur le secteur agricole ; notamment en termes de disponibilité alimentaire et d’augmentation des prix pour les consommateurs, d’accès au crédit pour nos agriculteurs et producteurs de produits agricoles, et de conséquences économiques négatives globales.
RépondreSupprimer"En raison de l'impact potentiel sur l'agriculture, nous demandons des informations supplémentaires sur les engagements environnementaux apparemment troublants de vos banques qui ciblent nos agriculteurs, éleveurs et producteurs agricoles, ayant de graves conséquences pour les consommateurs et compromettant la sécurité de notre approvisionnement alimentaire", ont écrit des responsables de l'État. « Nous avons appris que vous avez rejoint la NZBA et que vous vous êtes engagé à faire passer toutes les émissions de gaz à effet de serre opérationnelles et attribuables de votre portefeuille de prêts à zéro d'ici le milieu du siècle ou avant. Pour atteindre cet objectif, les banques NZBA doivent exiger de leurs clients qu’ils mesurent et divulguent les émissions de gaz à effet de serre dans des secteurs spécifiques, notamment l’agriculture.
« La mise en œuvre de ces engagements aurait de graves conséquences pour les agriculteurs américains – notamment une réduction de moitié de la consommation américaine de bœuf et de bétail, le passage à des équipements agricoles électriques inefficaces et l’abandon des engrais azotés nécessaires au développement de l’agriculture américaine », ont écrit les responsables. Nous sommes profondément préoccupés par le fait que vos banques aient donné au Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) le pouvoir d’« examiner » et de « surveiller » les objectifs climatiques de vos banques pour vérifier leur « conformité » avec les critères de l’ONU, en particulier compte tenu du rôle de premier plan du PNUE dans l’adoption de la loi. interdiction désastreuse des engrais au Sri Lanka. D’après les documents que vous avez signés, il ressort que la plupart d’entre vous fixeront des objectifs d’émissions agricoles en 2024 ou avant. Compte tenu de ce délai, nous vous demandons des informations et des documents concernant vos obligations ».
Les dangers du net zéro
RépondreSupprimer« Atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre dans l’agriculture nécessite une refonte complète des infrastructures agricoles – l’un des objectifs de la NZBA », poursuit la lettre. « Cela aurait un impact catastrophique sur nos agriculteurs. Les feuilles de route proposées pour un objectif zéro net décrivent des changements spectaculaires, peu pratiques et coûteux dans l'agriculture et l'élevage américains, tels que le passage aux machines et équipements électriques, l'installation de panneaux solaires et d'éoliennes sur site, le passage aux engrais organiques, la modification des systèmes d'irrigation des rizières et réduire de moitié la consommation de viande de ruminants aux États-Unis, ce qui coûterait des millions d’emplois dans le secteur de l’élevage.
« Pour aggraver les choses, ces changements augmenteront les coûts alimentaires et réduiront la production alimentaire à un moment où la demande alimentaire mondiale devrait augmenter considérablement. La « prime environnementale » pour les engrais à faible émission d'ammoniac devrait à elle seule augmenter les coûts des engrais jusqu'à 60 % et les prix des denrées alimentaires jusqu'à 26 %, même si l'on en croit les partisans du zéro net comme le Forum économique mondial", a-t-il déclaré. a déclaré l'association.
« En tant que membres de la NZBA », poursuit la lettre, « vous vous engagez à fixer des objectifs de zéro émission nette pour votre entreprise sur la base des « Lignes directrices pour la définition d'objectifs pour les banques » de l'Initiative financière du PNUE (UNEP FI). En outre, vous avez accepté que vos objectifs climatiques soient examinés par le PNUE en vous engageant à les publier chaque année et à les mettre à la disposition de l'UNEP FI pour examen afin de garantir leur conformité avec les critères de la Course vers zéro des Nations Unies. Surveiller les nations et démontrer que des mesures sont prises. . Le PNUE évalue ensuite si vous faites des « progrès » vers les objectifs d'émissions exigés par la NZBA.
Un tel système serait un désastre non seulement pour les agriculteurs américains, mais aussi pour les agriculteurs du monde entier. Les six banques se révèlent être les membres fondateurs du cartel climatique mondial, travaillant main dans la main avec une agence internationale irresponsable et non élue sur un plan visant à supprimer la production alimentaire mondiale.
RépondreSupprimerLes responsables agricoles des États de l'Alabama, de la Floride, de la Géorgie, de l'Iowa, du Kentucky, de la Louisiane, du Mississippi, de la Caroline du Nord, du Dakota du Nord, de la Caroline du Sud, du Texas et de la Virginie occidentale, contrairement aux directeurs des grandes banques et aux bureaucrates de l'ONU, connaissent bien les difficultés agricoles. Il en va de même pour les bureaucrates bruxellois qui disent aux agriculteurs du Cap Nord, de la Sicile et de la Crète quand planter, fertiliser et récolter.
Cet agriculteur fait un excellent travail en expliquant ce que sont le gaz carbonique et l'agriculture. Il expose les mensonges de l’hystérie climatique et de l’UE avec les faits :
https://tkp.at/2024/08/06/grossbanken-gefaehrden-ernaehrungssicherheit-mit-esg-und-klima-auflagen-fuer-landwirtschaft/
La « transition alimentaire » est une guerre contre l’alimentation, les agriculteurs et le monde entier
RépondreSupprimerPar Colin Todhunter
Recherche mondiale,
4 août 2024
Cet article commence par une courte vidéo basée sur un entretien avec la chercheuse Sandi Adams, qui décrit les projets agricoles dans le comté rural de Somerset, dans le sud-ouest de l'Angleterre et au Royaume-Uni en général. C'est un clip important parce que ce qu'elle décrit semble faire partie d'un programme plus large des Nations Unies transmis par une élite non élue et extrêmement riche, irresponsable.
Cette élite pense qu’elle peut faire un meilleur travail que la nature en modifiant l’essence de la nourriture et le noyau génétique de l’approvisionnement alimentaire (via la biologie synthétique et le génie génétique).
Le plan implique également de retirer les agriculteurs des terres (fermes sans agriculteurs pilotées par l’IA) et de remplir une grande partie des campagnes de parcs éoliens et de panneaux solaires. Même si le système alimentaire présente des problèmes qui doivent être résolus, ce programme malavisé est une recette pour une insécurité alimentaire pour laquelle personne n’a voté.
- voir clip sur site -
Partout dans le monde, des Pays-Bas à l’Inde, les agriculteurs protestent. Les manifestations peuvent sembler avoir peu de points communs. Mais ils le font. Les agriculteurs ont de plus en plus de mal à gagner leur vie, que ce soit, par exemple, à cause des politiques commerciales néolibérales qui conduisent à l’importation de produits qui compromettent la production nationale et font baisser les prix, au retrait du soutien de l’État ou à la mise en œuvre de politiques de zéro émission nette. qui fixent des objectifs irréalistes.
Le fil conducteur est que, d’une manière ou d’une autre, l’agriculture est délibérément rendue impossible ou financièrement non viable. L’objectif est de chasser la plupart des agriculteurs de leurs terres et d’imposer un programme qui, de par sa nature même, semble susceptible de produire des pénuries et de compromettre la sécurité alimentaire.
RépondreSupprimerUn programme mondial d'« une agriculture mondiale » est promu par des organismes comme la Fondation Gates et le Forum économique mondial. Cela implique une vision de l'alimentation et de l'agriculture qui voit des entreprises telles que Bayer, Corteva, Syngenta et Cargill travailler avec Microsoft, Google et les géants de la grande technologie pour faciliter les fermes sans agriculteurs pilotées par l'IA, la « nourriture » conçue en laboratoire et la vente au détail dominée par des entreprises comme celles-là. d'Amazon et de Walmart. Un cartel de propriétaires de données, de fournisseurs d’intrants propriétaires et de plateformes de commerce électronique aux sommets de l’économie.
Ce programme est le fruit d’un complexe numérique-corporatif-financier qui veut transformer et contrôler tous les aspects de la vie et du comportement humain. Ce complexe fait partie d'une élite mondiale autoritaire qui a la capacité de coordonner son agenda à l'échelle mondiale via les Nations Unies, le Forum économique mondial, l'Organisation mondiale du commerce, la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et d'autres organisations supranationales, y compris des groupes de réflexion influents. et fondations (Gates, Rockefeller, etc.).
Son programme en matière d’alimentation et d’agriculture est appelé par euphémisme « transition alimentaire ». Les grandes fondations agro-industrielles et « philanthropiques » se positionnent comme les sauveurs de l'humanité en raison de leurs projets tant promus visant à « nourrir le monde » avec une agriculture « de précision » de haute technologie, une agriculture « pilotée par les données » et une agriculture « verte ». zéro) de production – avec la « durabilité » comme mantra.
Le récit de « l’urgence climatique », un commentaire qui a été soigneusement construit et promu (voir le travail du journaliste d’investigation Cory Morningstar ), et l’idéologie du zéro net liée à l’agriculture et au commerce du carbone font partie intégrante de cette « transition alimentaire ».
RépondreSupprimerLa « transition alimentaire » implique d'enfermer les agriculteurs (au moins ceux qui resteront dans l'agriculture) dans une agriculture contrôlée par les entreprises qui extrait des richesses et répond aux besoins du marché des entreprises mondiales, des systèmes de Ponzi d'échange de carbone et des investisseurs institutionnels et des spéculateurs sans aucun lien. aux agriculteurs qui considèrent l’agriculture, les produits alimentaires et les terres agricoles comme de simples actifs financiers. Ces agriculteurs seront réduits à des agents corporatifs à but lucratif qui assumeront tous les risques.
Cette commercialisation prédatrice de la campagne utilise des prémisses erronées et un alarmisme climatique pour légitimer le déploiement de technologies censées nous délivrer tous de la dégradation climatique et de la catastrophe malthusienne.
Dans la société en général, nous constatons également que la remise en question des récits officiels est découragée, censurée et marginalisée. Nous l’avons vu avec les politiques et la « science » qui ont été utilisées pour légitimer les actions de l’État liées au COVID. Une élite riche finance de plus en plus la science, détermine ce qui doit être étudié, comment cela doit être étudié, comment les résultats sont diffusés et comment la technologie produite doit être utilisée.
Cette élite a le pouvoir de mettre fin à un véritable débat et de diffamer et de censurer ceux qui remettent en question le discours dominant. L’idée dominante est que les problèmes auxquels l’humanité est confrontée doivent tous être résolus grâce à l’innovation technique déterminée par les ploutocrates et le pouvoir centralisé.
Cet état d’esprit hautain (ou cette arrogance pure et simple) conduit et est symptomatique d’un autoritarisme qui cherche à imposer une gamme de technologies à l’humanité sans aucun contrôle démocratique. Cela inclut les vaccins autotransmis, le génie génétique des plantes et des humains, les aliments synthétiques, la géo-ingénierie et le transhumanisme.
Ce que nous voyons est un paradigme éco-moderniste erroné qui concentre le pouvoir et privilégie l’expertise techno-scientifique (une forme d’exception technocratique). Dans le même temps, les relations de pouvoir historiques (souvent enracinées dans l’agriculture et le colonialisme) et leurs héritages au sein et entre les sociétés du monde entier sont commodément ignorés et dépolitisés. La technologie n’est pas la panacée contre les effets destructeurs de la pauvreté, des inégalités, de la dépossession, de l’impérialisme ou de l’exploitation de classe.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les technologies et les politiques mises en œuvre dans le secteur agricole, ces phénomènes seront renforcés et encore plus ancrés – et cela inclut la maladie et la mauvaise santé, qui ont nettement augmenté en raison de l'alimentation moderne que nous consommons et des produits agrochimiques et des pratiques déjà utilisées par les entreprises qui prônent la « transition alimentaire ». Cependant, cela ouvre alors d’autres opportunités technologiques rentables dans le secteur des sciences de la vie pour des investisseurs comme BlackRock qui investissent à la fois dans l’agriculture et les produits pharmaceutiques.
Mais dans une économie néolibérale privatisée qui a souvent facilité l’ascension des membres de l’élite riche et contrôlante, il est raisonnable de supposer que ses membres possèdent certaines hypothèses sur la façon dont le monde fonctionne et devraient continuer à fonctionner : un monde basé sur la déréglementation avec une surveillance limitée. et l’hégémonie du capital privé et un monde dirigé par des particuliers comme Bill Gates qui pensent qu’ils savent mieux faire.
Qu’il s’agisse, par exemple, du brevetage des formes de vie, du commerce du carbone, de la dépendance croissante du marché (des entreprises) ou des investissements fonciers, leurs politiques éco-modernes servent de couverture pour générer et accumuler davantage de richesses et pour consolider leur contrôle.
Il n’est donc pas surprenant que des gens puissants qui méprisent les principes démocratiques (et, par voie de conséquence, les gens ordinaires) croient qu’ils ont le droit divin de saper la sécurité alimentaire, de mettre fin aux débats, de s’enrichir davantage grâce à leurs technologies et politiques et jouer avec l’avenir de l’humanité.
RépondreSupprimerPour plus d'informations sur les questions abordées ci-dessus, vous pouvez accéder aux deux livres électroniques gratuits de l'auteur sur le système alimentaire ici et ici .
*
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
L'auteur renommé Colin Todhunter est spécialisé dans le développement, l'alimentation et l'agriculture. Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).
https://www.globalresearch.ca/food-transition-war-food-farmers-public/5851230
Le sinistre programme du système alimentaire des Rockefeller – ils l’ont créé et veulent maintenant le détruire
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
Recherche mondiale,
5 août 2024
Cet article incisif a été publié pour la première fois par Global Research au plus fort de la crise du Covid-19, le 24 octobre 2021.
* *
Aucun groupe n’a fait plus que la Fondation Rockefeller pour nuire à notre agriculture mondiale et à la qualité de nos aliments. Ils ont commencé au début des années 1950, après la guerre, à financer deux professeurs de la Harvard Business School pour développer une intégration verticale qu’ils ont baptisée « Agribusiness ». L'agriculteur est devenu le moins important.
Ils ont ensuite créé la Révolution verte frauduleuse au Mexique et en Inde dans les années 1960 , puis l’Alliance pro-OGM pour une révolution verte en Afrique depuis 2006 .
L’argent de la Fondation Rockefeller a littéralement créé les désastreuses plantes OGM génétiquement modifiées avec leurs pesticides toxiques à base de glyphosate.
Aujourd’hui encore, la fondation est engagée dans un changement politique majeur en matière d’alimentation et d’agriculture mondiale et ce n’est pas bon.
Dans son dernier rapport, True Cost of Food: Measurement What Matters to Transform the US Food System , la Fondation Rockefeller est profondément engagée dans un effort coordonné visant à changer radicalement la façon dont nous produisons la nourriture et dont nous calculons son véritable coût.
Ils affirment que cela fait partie d’un consensus mondial, par l’intermédiaire de l’ONU, pour créer une agriculture « durable » dans le contexte de la crise actuelle du COVID. Loin d’être un changement positif, il vise à changer radicalement notre accès à une alimentation saine et nos choix alimentaires. La fondation, qui vient de publier son deuxième rapport sur l’alimentation en deux ans, s’associe au Forum économique mondial de Davos et aux grandes entreprises agroalimentaires pour mener cette initiative. Leur nouveau slogan est « True Cost of Food ».
RépondreSupprimerLe vrai coût ?
Rajiv Shah , président de la Fondation écrit :
« Nous avons passé l'année dernière à travailler avec des experts et des défenseurs de tous les domaines pour mesurer l'impact du système alimentaire américain. Le résultat est le premier ensemble de mesures à l’échelle des États-Unis qui peuvent nous aider à mesurer avec plus de précision le coût de nos aliments. Grâce à cette nouvelle analyse, les gouvernements, les défenseurs, les producteurs alimentaires et les individus sont mieux équipés pour transformer notre système alimentaire pour qu'il soit plus nourrissant, régénérateur et équitable… »
C’est ici que les mots doivent être regardés de plus près. Ces gars sont des experts en PNL. En fait, cela donne l’impression que la même Fondation Rockefeller, responsable de notre chaîne alimentaire industrialisée et mondialisée et de la destruction que ce processus a provoquée non seulement sur la ferme familiale mais aussi sur la qualité de notre agriculture et de notre alimentation mondiales, blâme désormais leur création pour d’énormes conséquences. coûts externes de notre alimentation. Cependant, ils écrivent comme si c’était la faute de l’agriculteur familial cupide et non des entreprises agroalimentaires.
Shah déclare,
RépondreSupprimer« Ce rapport est un signal d’alarme. Le système alimentaire américain tel qu’il existe affecte négativement notre environnement, notre santé et notre société. L'étude Rockefeller de Shah déclare : « La configuration actuelle du système alimentaire américain a conduit à des impacts coûteux sur la santé des personnes, de la société et de la planète. Le réchauffement climatique, la réduction de la biodiversité, la pollution de l’eau et de l’air, le gaspillage alimentaire et l’incidence élevée des maladies liées à l’alimentation sont les principales conséquences involontaires du système de production actuel . » C'est inquiétant.
L'étude ajoute,
« Le fardeau de ces coûts est supporté de manière disproportionnée par les communautés marginalisées et mal desservies, souvent des communautés de couleur, dont beaucoup constituent l’ épine dorsale en tant qu’agriculteurs, pêcheurs, éleveurs et travailleurs du secteur alimentaire. »
En s’appuyant sur un groupe néerlandais, True Price Foundation, le rapport calcule que le « véritable coût » du système alimentaire américain n’est pas les 1 100 milliards de dollars que les Américains dépensent chaque année en alimentation, mais plutôt au moins 3 200 milliards de dollars par an en prenant en compte son impact sur la santé. la santé des personnes, les moyens de subsistance et l’environnement. Cet énorme coût supplémentaire est calculé principalement à partir des effets sur la santé, notamment le cancer et le diabète, et des effets environnementaux tels que les émissions de gaz carbonique de ce qu’ils appellent une agriculture « non durable ». La True Cost Foundation est composée de trois membres du conseil d'administration, dont Herman Mulder, ancien banquier d'ABN Amro, l'une des principales banques agroalimentaires au monde ; Charles Evers, ancien contrôleur d'entreprise et directeur financier d'Unilever NV (1981-2002), l'un des principaux géants mondiaux de l'agroalimentaire ; et Jasper de Jong , associé chez Allen & Overy, l'un des plus grands cabinets d'avocats au monde basé à Londres. C’est l’équipe qui est à l’origine de la tarification d’abstractions telles qu’une tonne de gaz carbonique et d’autres coûts pour le rapport Rockefeller. Le seul point est que le gaz carbonique est un composant essentiel et inoffensif de toute vie et n’est pas une cause d’augmentation de la température mondiale.
Il convient également de noter à propos du rapport Rockefeller, True Cost of Food, que les contributeurs comprenaient des professeurs de faculté de droit, des économistes universitaires, le Fonds mondial pour la nature (WWF) et la True Cost Foundation. Aucune organisation paysanne n’a été incluse.
RépondreSupprimerLe rapport calcule que les principaux coûts « cachés » de la production alimentaire américaine proviennent de l’impact négatif de l’agriculture sur la santé et sur l’environnement : « Les coûts non comptabilisés les plus importants proviennent des impacts négatifs sur la santé humaine, de l’aggravation de la dégradation de l’environnement et de la perte de biodiversité. » Ils ont mis un numéro sur tout ça.
Par exemple, les impacts environnementaux directs, notamment les émissions de 'gaz à effet de serre' (GES), la consommation d’eau et l’érosion des sols, coûtent selon eux 350 milliards de dollars par an ; et l’impact sur la biodiversité résultant de l’utilisation des terres et de la pollution du sol, de l’eau et de l’air coûterait, selon eux, à l’économie américaine 455 milliards de dollars. Ils calculent ensuite les coûts sanitaires du système alimentaire américain. Ici, le rapport inclut les coûts pour l'économie de l'obésité, des maladies cardiovasculaires qui sont la principale cause de décès dans le monde, du cancer, du diabète et d'autres maladies non transmissibles. Cela ajouterait soi-disant 1 000 milliards de dollars supplémentaires à nos « vrais » coûts alimentaires. En additionnant les deux effets, comme indiqué, cela ajoute quelque 1,8 billion de dollars aux coûts externes estimés de 2,2 dollars pour la nourriture . Prétendre que le coût en dollars de ces maladies dans le système de santé américain truqué est la seule faute de l’agriculture, c’est ignorer les coûts de santé gonflés depuis l’entrée en vigueur de l’assurance Obamacare. À propos, Rockefeller a également créé le système médical moderne avec son rapport Flexner et la Fondation Carnegie en 1910. Mais c'est une autre histoire.
Il ne fait aucun doute que l’industrie agroalimentaire a industrialisé la production alimentaire aux États-Unis depuis les années 1950 et a transformé l’exploitation familiale autrefois productive en un appendice corporatif d’un système de fermes industrielles, de monopoles sur les semences OGM et les produits agrochimiques comme Monsanto-Bayer et DuPontDow (Corteva), d’énormes monopoles. des opérations d'abattage comme celles de Tyson et Smithfield Foods, et des détaillants comme Walmart ou Whole Foods . Mais le rapport suggère que les agriculteurs familiaux traditionnels sont à blâmer. Il s’agit de préparer le terrain pour une grande réinitialisation de l’agriculture qui sera encore plus néfaste à mesure que le reste du bœuf nourri en parcours sera remplacé par du bœuf végétal OGM cultivé en laboratoire et des produits similaires. L'USDA a récemment écrit que « les principales sources de gaz à effet de serre dans l'agriculture sont la production d'engrais à base d'azote ; la combustion de combustibles fossiles tels que le charbon, l'essence, le diesel et le gaz naturel ; et la gestion des déchets. La fermentation entérique du bétail, ou la fermentation qui a lieu dans le système digestif des ruminants, entraîne des émissions de méthane (Méthane (CH4) 1,745 ppm soit 0,0000017 %) .
RépondreSupprimerLe message est que la production alimentaire américaine actuelle est à blâmer et que des changements radicaux et coûteux sont nécessaires de toute urgence. La difficulté de lire le rapport est que le langage est délibérément vague et trompeur. Par exemple, l’un des éléments les plus dommageables de l’agriculture américaine depuis les années 1990 a été l’introduction massive de cultures OGM, en particulier le soja, le maïs et le coton, ainsi que le Roundup hautement cancérigène de Monsanto-Bayer et du glyphosate. Le rapport Rockefeller omet leur rôle direct dans la création et la promotion de Monsanto et des OGM pendant des décennies, sachant que cela était destructeur. La politique de la Fondation Rockefeller est d'introduire des cultures génétiquement modifiées, OGM.2, et de détruire l'agriculture américaine actuelle au profit d'alternatives brevetées et coûteuses, en prétendant qu'elle est trop coûteuse et qu'elle n'est ni « durable » ni « inclusive ». Le deuxième producteur mondial de produits alimentaires, l’UE, sera leur prochaine cible.
AGRA, Portes et Davos
RépondreSupprimerCet agenda n’est pas surprenant si l’on considère le parcours des acteurs clés de la Fondation Rockefeller. Le président Rajiv Shah est issu de la Fondation Bill & Melinda Gates, où il était directeur du développement agricole. À la Fondation Gates, Shah a travaillé avec la Fondation Rockefeller pour créer l'Alliance pour une révolution verte en Afrique. Il est intimement lié au Forum économique mondial (WEF) de Davos du gourou de la Grande Réinitialisation, Klaus Schwab, où Shah a récemment co-présidé le Conseil de l’avenir mondial du WEF sur le nouvel agenda pour la croissance et la reprise économiques. Il y écrit que « les gouvernements doivent activement façonner les marchés vers une croissance verte et inclusive ».
L'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) est un projet qui a tenté d'imposer des semences OGM et des pesticides associés à un coût énorme aux petits agriculteurs africains les plus pauvres. Cela a été un désastre agricole pour les agriculteurs africains . Le modèle AGRA joue un rôle clé dans la compréhension du programme tacite de la Fondation Rockefeller et de ses alliés tels que le WEF et la Fondation Gates. La personne responsable sous Shah à Rockefeller du programme agricole est Roy Steiner, vice-président principal de la fondation pour l'Initiative alimentaire. Steiner était avec Shah à la Fondation Gates et a travaillé avec Shah pour créer l'AGRA pro-OGM en Afrique.
Le rôle profond de Shah et Steiner dans l’AGRA et son programme OGM donne une très bonne idée de la façon dont Rockefeller & Co. planifient la transformation radicale de l’agriculture américaine, et ce n’est pas bon. Le rapport indique que cela réduira les émissions de gaz carbonique et de méthane et introduira des alternatives à base de plantes. Bill Gates a cofinancé le démarrage d’une entreprise d’imitation de viande, Impossible Foods, utilisant de la fausse viande cultivée en laboratoire et l’édition génétique. Il insiste sur le fait que le bœuf synthétique est une stratégie nécessaire pour lutter contre le changement climatique et déclare que les Américains et les autres pays occidentaux doivent passer à un régime alimentaire composé à 100 % de bœuf synthétique. Plus de vaches, plus d’émissions de gaz …
Davos, Rockefeller et le Sommet mondial de l'alimentation des Nations Unies
RépondreSupprimerL’agenda agricole de l’influente Fondation Rockefeller, l’agenda du WEF de Davos et de l’ONU convergent tous vers la Grande Réinitialisation et l’Agenda 2030 de l’ONU pour une « agriculture durable ». Le 23 septembre 2021, à New York, l'ONU a accueilli le Sommet sur les systèmes alimentaires 2021. La présidente du sommet était Agnes Kalibata, Envoyée spéciale du Secrétaire général de l'ONU au Sommet sur les systèmes alimentaires 2021. Sa sélection a été farouchement contestée par des dizaines d'ONG, sur la base du fait qu'elle est présidente de l'AGRA Gates-Rockefeller en Afrique. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a annoncé que le sommet s'inscrivait dans le cadre de la Décennie d'action pour atteindre les objectifs durables de l'Agenda 2030. Olivier De Schutter, ancien rapporteur spécial de l'ONU sur le droit à l'alimentation, a déclaré que le Sommet alimentaire était le résultat d'« accords à huis clos » lors du Forum économique mondial de Davos.
En juin 2019, à l'ONU, le président du WEF, Klaus Schwab, et Guterres, de l'ONU, ont signé un partenariat formel « pour accélérer la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le développement durable ». Un an plus tard, en pleine pandémie de covid, Klaus Schwab a annoncé le lancement de la Grande Réinitialisation technocratique avec Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU ; et Kristalina Georgieva du Fonds monétaire international. Davos, l’ONU et la Fondation Rockefeller sont tous sur le même programme et ce n’est pas bon pour la santé et l’alimentation futures de l’humanité. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot ; c'est la vraie conspiration.
*
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur les boutons de partage ci-dessus ou ci-dessous. Suivez-nous sur Instagram, @crg_globalresearch. Transférez cet article à vos listes de diffusion. Crosspost sur votre site de blog, forums Internet. etc.
F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est titulaire d'un diplôme en politique de l'Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook » où cet article a été initialement publié.
RépondreSupprimerIl est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.
https://www.globalresearch.ca/sinister-rockefeller-food-system-agenda-created-want-destroy/5759372