- ENTREE de SECOURS -



vendredi 8 janvier 2021

Pr Christian Perronne

 AVEC ou SANS masque nous respirons toutes & tous 200 000 virus ou microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, des milliards depuis que vous vous êtes levé ce matin et des kilomètres de milliards depuis votre naissance et... VOUS N'ÊTES PAS MORT(E) !! C'est exactement ce qui se passe avec les coronas (qui existent depuis 10 000 ans) et dont le n°1 du mois de mars ou d'Avril 2020 est mort 3 semaines après mais, un vaccin est proposé aujourd'hui contre lui !! (alors que nous en sommes environ aujourd'hui au n°50 sur les 3300 existants !!).

Donc, le vaccin d'aujourd'hui NE CORRESPOND PAS au virus d'aujourd'hui, ni à ceux de demain !! et est donc inutile et dangereux.

Vous avez vu des zoos ? des cirques ? où les animaux sont emprisonnés à vie (de leur naissance à leur mort !), c'est ce qui attend 7 milliards de personnes qui recevront la nourriture à domicile contenant divers vaccins pour l'expérience 'Rigolons-Rigolons' offerte par les 'Criminels Réunis Interdit Mais Existants'.

Scoop: Le dessin du drapeau mondial est noir avec la figuration au milieu d'une tête de mort croisée de deux tibias colorés en blanc (qui ne porte pas de masque ! Ouf !).

http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/l-horrible-verite-qui-faisait-ricaner-au-moins-la-moitie-d-entre-vous-il-y-a-encore-quelques-mois.html

20 commentaires:

  1. ELECTRICITÉ : ATTENDEZ-VOUS À DES COUPURES VENDREDI 8 JANVIER 2021


    par PAOLO GAROSCIO
    08/01/2021


    L'éolien a représenté 6,3% de la production d'électricité en France en 2019.

    Vendredi 8 janvier 2021, ne vous étonnez pas si, d’un coup, vous n’avez plus d’électricité : ce n’est pas « normal », mais ce ne sera pas non plus un problème lié à votre réseau. RTE prévient que la situation, en France, sera extrêmement tendue et que, de fait, il est possible que des choix stratégiques soient à prendre. En cause : le froid, qui augmente la consommation, mais également le télétravail et les mesures sanitaires.
    Une production d’électricité à la limite de ce qui est nécessaire

    RTE prévient les Français : vendredi 8 janvier 2021, la situation sur le réseau électrique va être plus que tendue. C’est notamment à cause des températures qui ont chuté et qui sont désormais près de 4 degrés en dessous des normales de saison, que les ménages français vont surconsommer. Or, nombre de Français sont contraints de rester chez eux, à cause des mesures sanitaires, alors qu’en temps normal ils seraient au bureau ou dans les établissements scolaires. Résultat : ils vont chauffer leurs maisons plus que d’habitude.

    Ainsi, toujours selon RTE, si la production sera « suffisante, à 88.200 MW, pour couvrir tous les besoins », elle reste très proche du besoin en France, estimé à 88.000 MW. Les Français sont donc invités à faire quelques gestes simples pour réduire leur consommation, afin d’éviter que des coupures ne soient décidées.

    Lumières, chauffage… que pouvez-vous faire ?

    Comme le souligne le site monecowatt.fr, réalisé par RTE et l’ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), qui présente une carte de France de la tension sur le réseau, l’ensemble de l’Hexagone est en « rouge » : la tension sera maximale, et RTE prévoit que « dans les cas rares où tous les besoins en électricité ne pourraient pas être couverts, des coupures locales, maîtrisées et d'une durée maximale de 2h pourraient être organisées. »

    Pour éviter cette situation, d’autant plus problématique que nombre de Français travaillent depuis la maison et que, de fait, sans électricité ils ne peuvent pas faire fonctionner leurs ordinateurs, RTE conseille aux ménages de maîtriser leur consommation. Ça passe par des gestes simples : faire attention aux lumières allumées, baisser le chauffage si possible (et s’il est électrique), limiter certains activités énergivores.

    La situation n’est, toutefois, que temporaire : dès samedi 9 janvier 2021, la production d’électricité redeviendra suffisamment supérieure à la consommation pour écarter tout besoin de coupures.

    http://www.economiematin.fr/news-coupure-electricite-france-rte-consommation-production

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    Réponses
    1. Avec ce programme mortel appelé 'coronaplouc' et son objectif d'éliminer toutes les personnes dites malades (soit 7 milliards d'habitants piqués et passés au four 2 mn), arrive l'incidentielle boulette du "Qui va faire la soupe à midi ?" ou "Qui va me soigner si..." etc. Donc, s'il n'est gardé que quelques surdoués ils risquent de part la hauteur de leur QI de ne pas se laisser faire et même de prendre le contrôle de la bunkersplashboum ! Par contre si ne sont gardés que des cons... ils risquent de chier dans la soupe et de nous en faire bouffer pour nous soigner ! C'est là le problème de la Kommandantur 5ème colonne comme de la Deep State 0.0, faut savoir comment commencer. "Faisons le point avant de commencer au lieu d'attendre la fin de la phrase pour le mettre." Mais, si on termine au début... on est pas dans la merde !

      Bon, maintenant 'Pétite explikation': Non nous ne sommes pas trop nombreux sur Terre car elle pourrait en nourrir 10 fois plus ! Mais, est-ce bien de la nourriture qu'il s'agit ? Bien sûr que non ! Pas plus que du manque d'air, d'eau ou de terre ! Pour comprendre son ennemi il faut se mettre à sa place. Si sur une population de 1000 personnes il y a 1 surdoué, sur une population de 7 milliards... il y en aura beaucoup plus ! Et c'est çà qui dérange ! Il y avait déjà plus de 4 % de surdoués en l'an 2000 soit 280 millions de personnes ! Et 20 ans plus tard... 10 ? 15 % ?

      L'argent est une religion, c-à-d qu'il faut y croire que que çà existe.
      La valeur est totalement corrompue. Rien ne coûte ce qu'il devrait et, depuis l’ère des esclaves, de la domesticité animale puis des machines, l'on devrait toutes et tous être riche, très riche. Or, ce qui se passe est que l'argent planche-à-billets puis claviers d'ordinateurs les 'valeurs' sont passées du papier qui ne représente rien à l'argent électrique qui n'en représente pas plus. Donc: la 'dette' n'EXISTE PAS ! Elle n'est là que pour appauvrir le Peuple dans une parabole de contes de fées.

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  2. Le Brexit crée un problème majeur pour les entreprises énergétiques britanniques


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 08 JAN 2021 - 17h00
    Rédigé par Leonard Hyman et William Tilles via OilPrice.com,


    Sur les marchés internationaux de l'électricité, les pays appartiennent à l'une des trois catégories suivantes:

    ceux qui répondent adéquatement à leurs besoins comme les États-Unis,
    ceux qui ont des réserves excédentaires comme le Canada
    et ceux en déficit.

    Le Royaume-Uni est en déficit d'environ 7% de ses besoins annuels. Les câbles sous-marins reliant le réseau britannique à des centrales nucléaires pour la plupart en France et aux Pays-Bas comblent ce déficit.

    Mais dans le cadre des négociations sur le Brexit conclues tout récemment, le gouvernement français a lié l’accès du Royaume-Uni à l’énergie électrique en vrac à l’accès à la pêche de l’Union européenne (UE) dans les eaux britanniques. Les droits de pêche et l'accès à l'électricité seront renégociés en même temps en 2026. Cela ne laisse pas beaucoup de temps pour garantir une alimentation en gros de remplacement au cas où les Européens couperaient le cordon.

    Le Royaume-Uni a essayé de développer des alternatives énergétiques, avec un accent énorme sur le nouveau nucléaire qui a produit relativement peu de mégawatts à des frais considérables. (En passant, nous pensons que lorsque l'histoire de cette période sera écrite, ces grandes installations de plus de 1000 mégawatts seront considérées principalement comme une distraction étrange), surtout si les petits réacteurs modulaires entrent en service commercial en masse.

    Mais que faire si vous êtes un planificateur au Royaume-Uni en ce qui concerne la future demande électrique? La demande électrique du Royaume-Uni a culminé il y a une dizaine d’années et a diminué dans un sens. Doit-on supposer que la tendance se poursuit? Si tel est le cas, il se peut que le besoin futur de dépendre principalement des alimentations électriques de gros françaises soit limité. Mais que se passe-t-il si la tendance de la demande électrique au Royaume-Uni s'inverse, par exemple si le secteur des transports migre vers les véhicules électriques à batterie tandis que les utilisateurs résidentiels et commerciaux adoptent la cuisson à induction et les pompes à chaleur?

    À l'heure actuelle, les Européens capturent environ la moitié des poissons dans les eaux britanniques. L'industrie britannique de la pêche les veut, point final. Par conséquent, le traité sur le Brexit contient une clause qui permet au Royaume-Uni de renégocier les droits de pêche dans ses eaux en 2026. Et lorsque l'accord de pêche expire, il en va de même pour les dispositions qui régissent les échanges d'électricité et de gaz naturel entre l'UE et le Royaume-Uni.

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  3. Nous pensons que la balance commerciale énergétique en faveur de l'UE se situe autour de 3 milliards de livres sterling pour le gaz naturel et de 1 à 2 milliards de livres pour l'électricité. Ces importations d'énergie moins chère font baisser les prix de l'énergie au Royaume-Uni et fournissent des réserves précieuses pour maintenir la fiabilité, à condition qu'elles soient à vendre. Une source financière a déclaré que la renégociation pourrait ajouter 2 milliards de livres aux factures d'électricité du Royaume-Uni à elle seule et que la réduction des importations pourrait affecter la fiabilité du réseau électrique.

    Le commerce total du poisson, en revanche, est évalué à environ 1 milliard de livres par an, dont la moitié est contrôlée par des ressortissants de l'UE. Ou comme l'a dit un journal, sur les revenus du grand magasin Harrods. Le gouvernement en 2026 interdira-t-il les flottes de pêche étrangères des eaux britanniques en sachant que l'UE pourrait imposer des restrictions énergétiques quatre fois ou plus la valeur du gain de pêche potentiel ? Et pire encore, mettre en danger la fiabilité du réseau ? Ou avons-nous tort ? Le gouvernement britannique ferait-il exactement cela pour un gain politique ?

    Les planificateurs énergétiques britanniques pensent peut-être vraiment que la demande d’électricité de leur pays continuera de baisser, ce qui rendra la connexion électrique de l’UE moins précieuse à l’avenir. Cela peut être une erreur.

    La planification et la construction de réseaux d'énergie nécessitent du temps et de l'argent, en particulier pour implanter et construire des installations de transport d'électricité et de gaz. Les aspects pêche vs énergie du Brexit ajoutent de l'incertitude aux perspectives à moyen terme.

    Si, entre-temps, les sociétés de réseau du Royaume-Uni se construisent de manière excessive pour compenser l’incertitude, les consommateurs devront payer davantage pour soutenir ce qui pourrait devenir des actifs inutiles. S'ils sous-construisent, ils pourraient exposer le pays à des périodes de prix de l'énergie importée plus élevés ou de fiabilité réduite. En théorie, l'un ou l'autre des résultats pourrait coûter plus cher au pays que l'avantage de recouvrer les droits de pêche. Et qu'en est-il des utilisateurs d'énergie qui essaient de planifier leurs extensions ? Vous voulez vous installer dans un endroit où les prix de l'énergie et la fiabilité dépendent des prises de poissons ?

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  4. Lier les prix de l'électricité aux droits de pêche semble insensé. Mais cela semble être le résultat naturel d'une longue saga de privatisations au Royaume-Uni., Qui, depuis l'époque du Premier ministre Thatcher, s'est engagé idéologiquement à privatiser une industrie nationale essentielle comme l'électricité tout en lui permettant d'être détenue (parfois par des étrangers). entités étatiques) et dont le siège est ailleurs. Il semble que pour Dame Thatcher, écraser les mineurs de charbon et autres syndicalistes était plus important que de maintenir l'autosuffisance énergétique.

    Ce pari politique et économique a porté ses fruits au cours des dernières décennies, dans le sens d'une diminution de l'utilisation et de la diminution de la force syndicale. Mais si la demande d'électricité au Royaume-Uni rebondit brusquement ou si des problèmes de fiabilité surgissent, les consommateurs britanniques peuvent se trouver vulnérables à une soudaine escalade des prix de gros de l'électricité en Europe. Et maintenant, ces prix peuvent avoir beaucoup à voir avec la demande de poisson.

    https://www.zerohedge.com/energy/brexit-creates-major-problem-uk-energy-companies

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  5. État d’urgence sanitaire prolongé d’un an: le gouvernement «drogué» aux «mesures liberticides» ?



    20:11 08.01.2021



    Un projet de loi visant à prolonger l’état d’urgence sanitaire sera déposé la semaine prochaine. La sortie de crise pourrait ainsi être repoussée au 31 décembre 2021. Le gouvernement chercherait-il un nouveau moyen légal de pérenniser l’état d’urgence sanitaire ? L’avocat Thibault Mercier fait part de ses inquiétudes.

    À peine révélé, il fait déjà polémique. Mercredi 13 janvier, le gouvernement présentera en Conseil des ministres un projet de loi visant à prolonger d’une année supplémentaire l’état d’urgence sanitaire.

    Devant initialement prendre fin le 16 février 2021, ce cadre législatif d’exception serait dans un premier temps maintenu dans sa forme actuelle jusqu’à l’été. Un régime transitoire prendrait alors la suite jusqu’au 31 décembre. Une prolongation inégalée depuis le début de l’épidémie du Covid-19 en France.

    L’information, divulguée par Libération, arrive dans un contexte d’exaspération et de crise sociale. Le 7 janvier, Jean Castex douchait les espoirs des restaurateurs, des propriétaires de bars et de salles de sport, le Premier ministre reportant une fois de plus leur réouverture. Alors qu’on leur avait fait miroiter la date du 20 janvier, leurs portes resteront closes jusqu’à la mi-février «a minima». Aucune date précise de sortie crise pour les professionnels du secteur et –plus largement– le reste du pays ne pointe donc à l’horizon. Désormais, la possibilité d’une fermeture de ces commerces jusqu’au 31 décembre n’est plus de l’ordre de la dystopie.

    Un gouvernement «drogué» à l’état d’urgence

    Instauré le 23 mars 2020, l’état d’urgence sanitaire a été prolongé à plusieurs reprises par l’Assemblée nationale: dernière en date, la loi du 14 novembre le proroge jusqu’au mois de février. Un cadre juridique qui a permis au pouvoir exécutif de prendre des mesures exceptionnelles afin d’endiguer la circulation du virus. Assignation à résidence, couvre-feux, interdiction d’ouverture de commerces, limitation et interdiction de la liberté de circulation… autant de restrictions des libertés individuelles que le gouvernement pourrait appliquer à sa guise une année encore.

    ​Une annonce «très grave», selon Me Thibault Mercier, avocat et cofondateur du Cercle Droit et Liberté. Elle révèlerait au grand jour un pouvoir exécutif «quasiment drogué» à l’état d’urgence sanitaire et ses «mesures liberticides».

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  6. «Cet état d’urgence permet au gouvernement de diriger par décrets et ordonnances, c’est-à-dire sans consultation démocratique, ajoute l’avocat au micro de Sputnik. Avec ce prolongement, il pourra continuer à mener le pays sans passer par la consultation du Parlement et du peuple.»

    Le Premier ministre justifie ces restrictions aux libertés par la gravité de la crise sanitaire qui frappe le pays. Le taux de contamination affleure les 20.000 cas par jour, et près de 67.000 morts sont aujourd’hui comptabilisés.

    Thibault Mercier estime quant à lui que le rôle de l’état d’urgence est de faire face à une situation qui «met en péril la survie de l’État ou du pays», ce qui n'est «plus du tout le cas» à ses yeux. Mieux vaudrait donc, selon notre interlocuteur, donner «plus de moyens aux hôpitaux» plutôt que «porter sans cesse atteinte aux libertés individuelles».

    Si le projet de loi était adopté, l’état d’urgence sanitaire passerait néanmoins la main à un régime transitoire du mois de juin jusqu’à la fin de l’année 2021. Un «état d’urgence sanitaire» qui ne dit pas son nom, selon Thibault Mercier. Dans un tel cadre, le Premier ministre disposerait toujours d’une marge de «manœuvre très large», notamment par la prise de décrets.

    Pérenniser l’exception, le vrai projet du gouvernement ?

    Bien sûr, l’accusation de profiter de la crise sanitaire pour poursuivre une «dérive autoritaire» n’est pas neuve. Elle a néanmoins pris une nouvelle ampleur au mois de décembre dernier, lorsque le projet de loi visant à instituer «un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires» a été présenté en procédure accélérée en Conseil des ministres.

    Pour stabiliser l’état d’urgence actuel, le gouvernement entendait instaurer un cadre législatif nouveau «dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés», afin de faire face aux «situations sanitaires exceptionnelles». Un «régime de crise sanitaire», calqué sur l’état d’urgence sanitaire actuel, mais auquel auraient été ajoutées toutes les mesures restrictives prises depuis le mois de mars. Le projet de loi prévoyait également de confier au Premier ministre la possibilité de «subordonner les déplacements de personnes» et «l'exercice de certaines activités» à la preuve de «l'administration d'un vaccin». La crainte de voir l’instauration d’un «passeport sanitaire» fut telle que le ministre de la Santé avait dû se rendre sur TF1 pour répondre à la polémique:

    «Ce texte n’a pas du tout vocation à envisager la vaccination obligatoire contre le coronavirus, avait voulu rassurer Olivier Véran. Le gouvernement ne le proposera pas devant le Parlement avant plusieurs mois, avant d’être sorti de la crise».

    Un prolongement de l’état d’urgence sanitaire jusqu’à la fin de l’année pourrait bien remettre le feu aux poudres. D’aucuns pourraient y voir un moyen pour l’exécutif de renouveler son projet de pérennisation d’une situation exceptionnelle par d’autres voies.

    ​Le projet de loi devra néanmoins passer par la case Parlement. Ce qui devrait relever de la formalité, selon Thibault Mercier, la Chambre des députés étant devenue «une chambre d’enregistrement» du pouvoir exécutif. Et l’avocat de conclure avec pessimisme qu’il est peu probable que «la majorité parlementaire décide d’aller contre ce projet».

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  7. Un médecin de Miami décède après avoir reçu la première dose de vaccin Pfizer


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 08 JAN 2021 - 9:50



    Alors que les États-Unis voient 4K décès confirmés par COVID-19 en une seule journée, le CDC rapporte une autre réaction potentielle choquante aux nouveaux vaccins à ARNm-vecteur COVID-19: un médecin à Miami est décédé deux semaines après avoir reçu sa première dose de Pfizer -BioNTech jab.

    L'amour de ma vie, mon mari Gregory Michael MD un obstétricien qui avait son bureau au Mount Sinai Medical Center à ...

    Publié par Heidi Neckelmann le mardi 5 janvier 2021
    Heidi Neckelmann, la veuve du Dr Gregory Michael, a déclaré que son mari avait été vacciné le 18 décembre et était décédé 16 jours plus tard. Il avait 56 ans, selon Sputnik. Les patients reçoivent généralement une deuxième dose du vaccin 3 semaines après la première. Neckelmann a également partagé la nouvelle dans un message Facebook, cité ci-dessus.

    «Dans mon esprit, sa mort était à 100 % liée au vaccin. Il n'y a pas d'autre explication», a-t-elle déclaré. "Il était en très bonne santé. Il ne fumait pas, il buvait de l'alcool de temps en temps mais seulement en société. Il travaillait, nous avions des kayaks, c'était un pêcheur en haute mer", a-t-elle ajouté.

    De plus, le médecin a commencé à ressentir des symptômes inhabituels et, trois jours après la vaccination, de petites taches ont commencé à apparaître sur les pieds et les mains de Gregory Michael. En réponse, il s'est rendu aux urgences du mont Sinaï. Comme sa formule sanguine n'était pas dans les limites normales, il a été admis aux soins intensifs, a déclaré sa femme à Sputnik. Peu de temps après, il a subi un accident vasculaire cérébral et est décédé.

    Trois jours après la vaccination, de petites taches ont commencé à apparaître sur les pieds et les mains de Gregory Michael. En réponse, il s'est rendu aux urgences du mont Sinaï. Comme sa formule sanguine n'était pas dans les plages normales, il a été admis à l'unité de soins intensifs, selon Heidi Neckelmann. Malheureusement, peu de temps après, il a subi un accident vasculaire cérébral et est décédé.

    Selon Darren Caprara, directeur des opérations au bureau du médecin légiste de Miami-Dade, la mort de Gregory Michael est la première que le bureau du médecin légiste du comté a vu où un vaccin COVID-19 aurait pu jouer un rôle.

    Auparavant, Carlos Palestino, le beau-frère du médecin mexicain Karla Cecilia Perez, était paralysé des heures après avoir reçu le vaccin Pfizer / BioNTech COVID-19, selon des rapports.

    Il y a eu plusieurs rapports anecdotiques sur des patients décédant après avoir reçu le vaccin en Europe, aux États-Unis et ailleurs, dans les deux essais et pendant la phase d'urgence du déploiement.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/miami-doctor-dies-after-receiving-first-dose-pfizef

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  8. Les hôpitaux pour enfants aux prises avec une vague de maladie mentale


    VENDREDI 08 JAN 2021-20: 25
    Rédigé par Carmen Heredia Rodriguez via Kaiser Health News,


    Krissy Williams, 15 ans, avait déjà tenté de se suicider, mais jamais avec des pilules.

    L'adolescente a reçu un diagnostic de schizophrénie à l'âge de 9 ans. Les personnes atteintes de cette maladie mentale chronique perçoivent la réalité différemment et éprouvent souvent des hallucinations et des délires. Elle a appris à gérer ces symptômes grâce à une variété de services offerts à la maison et à l'école.

    Mais la pandémie a bouleversé ces bouées de sauvetage. Elle a perdu une grande partie du soutien offert à l'école. Elle a également perdu le contact régulier avec ses pairs. Sa mère a perdu l'accès aux soins de répit, ce qui lui a permis de faire une pause.

    Un jeudi d'octobre, l'isolement et la tristesse ont atteint leur paroxysme. Alors que la mère de Krissy, Patricia Williams, a appelé une ligne d’assistance en cas de crise mentale, elle a dit que Krissy se tenait sur le pont de leur maison dans le Maryland avec une bouteille d’analgésique dans une main et de l’eau dans l’autre.

    Avant que Patricia ne puisse réagir, Krissy plaça les pilules dans sa bouche et avala.

    Les efforts pour contenir la propagation du nouveau coronavirus aux États-Unis ont conduit à des changements radicaux dans la façon dont les enfants et les adolescents apprennent, jouent et socialisent. Des dizaines de millions d'étudiants fréquentent l'école grâce à une forme quelconque d'apprentissage à distance. De nombreuses activités parascolaires ont été annulées. Les terrains de jeux, zoos et autres espaces de loisirs ont fermé. Des enfants comme Krissy ont eu du mal à faire face et le bilan devient évident.

    Les chiffres du gouvernement montrent que la proportion d'enfants arrivés aux urgences avec des problèmes de santé mentale a augmenté de 24 % de la mi-mars à la mi-octobre, par rapport à la même période en 2019. Chez les préadolescents et les adolescents, elle a augmenté de 31 %. De façon anecdotique, certains hôpitaux ont déclaré qu'ils voyaient plus de cas de dépression grave et de pensées suicidaires chez les enfants, en particulier les tentatives de surdose.

    La demande accrue de soins de santé mentale intensifs qui a accompagné la pandémie a aggravé les problèmes qui ont longtemps tourmenté le système. Dans certains hôpitaux, le nombre d'enfants incapables d'obtenir immédiatement un lit dans l'unité psychiatrique a augmenté. D'autres ont réduit le nombre de lits ou des unités psychiatriques fermées pour réduire la propagation du covid-19.

    «Ce n'est qu'une question de temps avant qu'un tsunami n'atteigne le rivage de notre système de services, et il va être submergé par les besoins en santé mentale des enfants», a déclaré Jason Williams, psychologue et directeur des opérations de la Pediatric Mental Health. Institut de l'hôpital pour enfants du Colorado.

    "Je pense que nous commençons tout juste à voir la pointe de l'iceberg, pour être honnête avec vous."

    Avant le Covid, plus de 8 millions d’enfants âgés de 3 à 17 ans ont été diagnostiqués avec un problème de santé mentale ou comportementale, selon la plus récente enquête nationale sur la santé des enfants. Une enquête distincte des Centers for Disease Control and Prevention a révélé qu'un élève du secondaire sur trois en 2019 a déclaré se sentir constamment triste et désespéré - une augmentation de 40% par rapport à 2009.

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  9. La pandémie de coronavirus semble ajouter à ces difficultés. Une revue de 80 études a révélé que l'isolement forcé et la solitude chez les enfants étaient corrélés à un risque accru de dépression.

    «Nous sommes tous des êtres sociaux, mais ils sont [des adolescents] au stade de leur développement où leurs pairs sont leur réalité», a déclaré Terrie Andrews, psychologue et administratrice de la santé comportementale au Wolfson Children’s Hospital en Floride. «Leurs pairs sont leur mécanisme de base.»

    Les hôpitaux pour enfants de New York, du Colorado et du Missouri ont tous signalé une augmentation du nombre de patients qui ont pensé ou tenté de se suicider. Les cliniciens ont également mentionné des pics chez les enfants souffrant de dépression sévère et ceux atteints d'autisme qui passent à l'acte.

    Le nombre de tentatives de surdose chez les enfants a attiré l'attention des cliniciens de deux établissements. Andrews, de Wolfson Children’s, a déclaré que l’établissement distribuait des coffres-forts pour les armes et les médicaments au public - y compris aux parents qui venaient après que des enfants aient tenté de se suicider en utilisant des médicaments.

    L’hôpital national pour enfants de Washington, D.C., a également connu une hausse, a déclaré le Dr Colby Tyson, directeur associé de la psychiatrie hospitalière. Elle a vu la santé mentale des enfants se détériorer en raison d’une augmentation probable des conflits familiaux - souvent une conséquence du chaos causé par la pandémie. Sans école, sans relations avec des pairs ou sans emploi, les familles n’ont pas la possibilité de passer du temps loin les unes des autres et de se regrouper, ce qui peut ajouter du stress à une situation déjà tendue.

    «Cette pause est terminée», dit-elle.

    La demande accrue de services de santé mentale infantile causée par la pandémie a rendu plus difficile la recherche d'un lit dans une unité d'hospitalisation.

    Maintenant, certains hôpitaux déclarent fonctionner à pleine capacité et avoir plus d'enfants «internés» ou dormant dans les services d'urgence avant d'être admis à l'unité psychiatrique. Parmi eux, l’Institut de santé mentale pédiatrique de l’hôpital pour enfants du Colorado. Williams a déclaré que l'unité d'hospitalisation était pleine depuis mars. Certains enfants attendent maintenant près de deux jours pour un lit, contre huit à dix heures habituelles avant la pandémie.

    Le centre médical de l'hôpital pour enfants de Cincinnati, dans l'Ohio, fonctionne également à pleine capacité, ont déclaré des cliniciens, et a eu plusieurs jours au cours desquels l'unité était au-dessus de sa capacité et a placé les enfants au service d'urgence en attendant d'être admis. En Floride, a déclaré Andrews, jusqu'à 25 enfants ont été détenus sur les planchers chirurgicaux du Wolfson Children en attendant l'ouverture d'une place dans l'unité psychiatrique pour patients hospitalisés. Leur attente pourrait durer jusqu'à cinq jours, a-t-elle déclaré.

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  10. Plusieurs hôpitaux ont déclaré que la récession estivale habituelle des admissions en pédopsychiatrie était absente l'année dernière. «Nous n'avons jamais vu cela pendant la pandémie», a déclaré Andrews. «Nous sommes restés complètement occupés tout le temps.»

    Certains établissements ont décidé de réduire le nombre de lits disponibles pour maintenir la distance physique, ce qui restreint encore davantage l'offre. Le Children’s National de D.C. a coupé cinq lits de son unité pour maintenir une occupation simple dans chaque chambre, a déclaré le Dr Adelaide Robb, chef de la division psychiatrie et sciences du comportement.

    Les mesures prises pour freiner la propagation du covid ont également affecté la manière dont les enfants hospitalisés reçoivent des services de santé mentale. En plus des prestataires portant des équipements de protection, certains hôpitaux comme le mobilier des enfants de Cincinnati ont réaménagé et placé des signaux sur le sol pour rappeler de rester à 6 pieds l'un de l'autre. L'hôpital psychiatrique de l'UPMC Western à Pittsburgh et d'autres établissements encouragent les enfants à garder leurs masques en leur offrant des récompenses comme du temps informatique supplémentaire. Les patients du Children’s National mangent désormais dans leur chambre, un changement par rapport au moment où ils mangeaient ensemble.

    Malgré le besoin de distance, l'interaction sociale représente toujours une partie importante des soins de santé mentale pour les enfants, ont déclaré des cliniciens. Les établissements ont mis au point diverses façons de le faire en toute sécurité, notamment la création de modules plus petits pour la thérapie de groupe. Les enfants du Cincinnati Children peuvent jouer avec des jouets, mais uniquement avec ceux qui peuvent être essuyés par la suite. Pas de cartes ni de jeux de société, a déclaré le Dr Suzanne Sampang, directrice médicale clinique de la psychiatrie infantile et adolescente à l'hôpital.

    «Je pense que ce qui est différent dans le traitement psychiatrique, c'est que, en réalité, l'interaction est le traitement», a-t-elle dit, «tout autant qu'un médicament.»

    Les précautions supplémentaires de contrôle des infections posent des défis à l'établissement de connexions thérapeutiques. Les masques peuvent compliquer la capacité de lire le visage d’une personne. Les réunions en ligne rendent difficile l'établissement de la confiance entre un patient et un thérapeute.

    «Il y a quelque chose dans la vraie relation en personne que la meilleure technologie ne peut pas vous offrir», a déclaré Robb.

    Pour l'instant, Krissy s'appuie sur des plateformes virtuelles pour recevoir certains de ses services de santé mentale. Bien qu'elle ait été hospitalisée et souffre de lésions cérébrales dues à l'overdose, elle est maintenant chez elle et de bonne humeur. Elle aime la géométrie, danser sur TikTok et essayer de battre sa mère à Super Mario Bros.sur Wii. Mais être loin de ses amis, dit-elle, a été un ajustement difficile.

    «Quand on est habitué à quelque chose», dit-elle, «ce n’est pas facile de tout changer.»

    https://www.zerohedge.com/medical/childrens-hospitals-grapple-wave-mental-illness

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  11. Projet de loi A416 de l'Assemblée de l'État de New York: les camps de concentration COVID arrivent en Amérique ?


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 08 JAN 2021 - 17:05
    Rédigé par Brandon Smith via Al-Market.us,


    Il y a six mois, au milieu de la panique et du battage médiatique entourant l'épidémie de coronavirus, le gouvernement néo-zélandais a fait une annonce qui est passée essentiellement inaperçue par les médias grand public. C'était une décision politique dont le monde occidental tout entier aurait dû se battre, mais à l'époque, le public était encore en train de traiter le chaos pandémique. La Nouvelle-Zélande instituait ce qui équivalait à des prisons covid - des «installations de quarantaine» médicales où TOUT citoyen soupçonné d'être un transporteur covid pouvait être détenu sans procédure régulière aussi longtemps que le gouvernement le jugeait bon.

    Non seulement cela, mais ces camps de covid tomberaient sous la juridiction de l'armée. En d'autres termes, la réponse du covid de la Nouvelle-Zélande était tranquillement en train de passer à la loi martiale.

    Les mesures hyper-totalitaires ont été mises en œuvre face à seulement 22 décès de covid pour la nation entière à cette époque. Les médias ont applaudi la réponse néo-zélandaise ces dernières semaines, arguant que les politiques musclées d'aujourd'hui signifieront plus de liberté et une meilleure économie demain lorsque le nombre d'infections aura été réduit. Cependant, comme je l'ai mis en garde depuis le début de la pandémie, les verrouillages sont conçus pour durer éternellement.

    Nous pourrions avoir droit à des «réouvertures partielles» et de brefs moments de soulagement, mais les mandats de covid n'ont rien à voir avec la santé publique et tout à voir avec la soumission publique. Le virus n'est rien de plus qu'une crise utile à exploiter comme justification de la tyrannie.

    Actuellement, la Nouvelle-Zélande fait face à d'autres restrictions de voyage en raison de la découverte d'une «mutation covid» au Royaume-Uni. Le gouvernement a indiqué que tout signe de reprise de l'infection se heurterait à nouveau à des verrouillages rigoureux. Les citoyens qui pensent avoir traversé le précipice et sont au bord de la liberté se font arnaquer.

    Dans mon article «Le futur totalitaire que les mondialistes veulent pour le monde entier est révélé», publié en août, j'ai déclaré:

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  12. «Je crois que la raison pour laquelle l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont été ciblées avec ce niveau de restrictions en premier est parce qu'elles ont été presque entièrement désarmées et n'ont aucun moyen de se défendre contre les dépassements du gouvernement. Cela dit, je vois des signes que des mesures similaires seront également tentées aux États-Unis. Dans des États comme New York, il existe des programmes discrets pour mettre en place des points de contrôle covid arrêtant et vérifiant les véhicules entrant dans l'État. C'est là que commencent les restrictions plus lourdes. »

    Il semblerait que ma prédiction se réalise plus tôt que je ne le pensais. Le projet de loi A416 de l'Assemblée de l'État de New York a été dragué par des législateurs de gauche et son contenu est plutôt horrible. Pour résumer, A416 permet aux pouvoirs dictatoriaux du gouverneur de New York de détenir et d'emprisonner tout citoyen considéré comme une «menace pour la santé publique» lors de TOUTE épidémie virale. Ce pouvoir pourrait être interprété très largement, peut-être même pour inclure les personnes qui refusent de se faire vacciner contre le covid. Le projet de loi autorise également l'emprisonnement de personnes dans des «établissements médicaux» ou d'autres établissements; en d'autres termes, des camps de quarantaine.

    Le projet de loi a été introduit à l'origine en 2015 à l'époque de la peur de l'épidémie d'Ebola, mais il a été mis de côté lorsque cette crise particulière n'a pas eu lieu. La pandémie de coronavirus donne une nouvelle vie au projet de loi, et ce n'est pas du tout surprenant. Tout comme nous l'avons vu juste après le 11 septembre, chaque fois qu'une crise majeure gagne du terrain, le gouvernement cherche à accélérer les lois draconiennes que le public n'aurait jamais tolérées dans le passé; des lois qui ramassaient la poussière avant mais qui sont soudainement mises au premier plan aujourd'hui.

    J'ai écrit un article pendant la peur d'Ebola il y a plusieurs années intitulé «Une épidémie d'Ebola serait avantageuse pour les mondialistes», dans lequel j'ai souligné qu'une pandémie pourrait être utilisée comme un événement de couverture parfait pour l'application de mesures de type loi martiale. J'étais particulièrement préoccupé par la possibilité que la résistance aux verrouillages de virus soit limitée et que cela donnerait au gouvernement une main libre pour commencer à arrêter les personnes soucieuses de la liberté qui résistent à l'application collectiviste. Ils pourraient même y parvenir sans trop de contrôle public.

    Heureusement, le taux de mortalité covid est de seulement 0,26 % à l'échelle nationale pour toute personne ne vivant pas dans une maison de retraite et la résistance aux verrouillages augmente chaque jour. Les Américains ne toléreront tout simplement plus longtemps les violations de leurs libertés civiles.

    Le projet de loi de New York est, à mon avis, un test décisif pour le reste du pays. L'establishment tentera d'abord de voir combien de résistance ils obtiennent dans un État de gauche dure, et s'ils peuvent faire adopter l'A416, ils essaieront ensuite de faire adopter des projets de loi similaires dans d'autres États contrôlés par les démocrates. Si nous avons une présidence Biden le mois prochain, attendez-vous à une version fédérale peu de temps après.

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  13. Je pense que le moment choisi pour la refonte du projet de loi n'est pas une coïncidence. Le fait qu'il soit maintenant poussé à nouveau à l'Assemblée de New York en même temps que le vaccin contre le covid rencontre tant de résistance suggère que l'objectif sera d'utiliser la menace des camps de covid comme un outil pour effrayer le public afin qu'il se conforme au vaccin à peine testé. Les sondages effectués au cours de 2020 indiquent qu'une majorité d'Américains se méfie de la sécurité des vaccins et qu'au moins 30% prévoient de le refuser catégoriquement.

    Avec les dangers potentiels d'une réponse auto-immune mortelle ou d'infertilité causée par le traitement expérimental, qui peut les blâmer ?

    Je soupçonne que si ces types de lois sont mis en place dans n'importe quel État et encore moins dans plusieurs États, il y aura une réaction violente. Les conservateurs continueront de déménager dans davantage de comtés et d'États libres tout en emportant leurs entreprises et l'argent des contribuables avec eux. Les États de gauche essaieront alors d'empêcher les gens de déménager, ou ils essaieront d'instituer des sanctions financières comme les législateurs de Californie ont essayé de le faire.

    Finalement, la mise en place de camps covid entraînera une réaction violente. C'est inévitable.

    Je dirais aux législateurs de gauche que c'est une voie qu'ils ne veulent pas emprunter, et les élites de l'establishment ne seraient pas à l'abri non plus de la colère que de nombreux Américains ressentiront face à des vaccinations forcées ou à l'emprisonnement pour un virus qui dépasse 99 % des cas. la population n'est pas affectée par. Il y a certaines lignes que nous ne leur permettrons pas de franchir, et c'est l'une d'entre elles.

    L'incrémentalisme d'un État collectiviste cède la place à une chute libre rapide. Comme je l'ai noté ces deux derniers mois, il semble que les élites soient pressées; cela suggère que la résistance du public est beaucoup plus importante qu'ils ne l'avaient prévu et qu'ils commencent à paniquer.

    Le projet de loi de New York n'est qu'un avant-goût de ce qui est à venir en termes de législation tyrannique. N'oublions pas que la prochaine étape sera celle des passeports médicaux pour tout, du voyage au cinéma en passant par les repas au restaurant. Pour obtenir un passeport médical, vous devrez vous soumettre à la vaccination et à la recherche des contacts (suivi via votre téléphone portable 24/7). Chaque fois qu'une nouvelle mutation covid est trouvée, préparez-vous à d'autres verrouillages et à de nouvelles vaccinations. Votre ancien passeport médical sera nul et tout recommencera.

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  14. Le cycle sera perpétuel, et c'est par conception. Les camps de concentration de Covid semblent être un concept de Je vous salue Marie destiné à terrifier la population. La mise en œuvre de telles mesures sera difficile, mais leur IDÉE peut être utilisée pour inciter le public à se conformer aux vaccins et à la recherche des contacts.

    L'idée que le gouvernement a la possibilité légale de vous mettre dans un sac noir à tout moment et de vous envoyer à un obscur verrouillage sans procédure régulière pourrait inspirer la peur ultime chez les citoyens. Pourquoi ne pas simplement accepter le jab et les applications de suivi sur votre téléphone pour que vous puissiez dormir la nuit, non?

    Mais cela ne s’arrête pas là. Tout comme les tribunaux britanniques de la «Star Chamber» avaient l'habitude de faire disparaître les voix dissidentes dans les jours qui ont précédé la Révolution américaine, la législation covid qui autorise l'emprisonnement unilatéral pourrait également être exploitée comme une arme contre TOUT LE MONDE pour quelque raison que ce soit. Tout ce que le gouvernement a à faire est de prétendre que vous avez un covid, même si vous avez été vacciné, et s'il vous considère comme un problème, vous vous retrouvez simplement un jour arraché.

    Cela dit, plus les mandats sont durs, plus les Américains se sentiront galvanisés en refusant de s'y conformer. Plus les élites se rebelleront, plus elles essaieront de se tourner vers la «loi» pour légitimer leur criminalité, mais cela ne les aidera pas à long terme. Tout cela est assez prévisible, c'est pourquoi la législation ne me préoccupe pas particulièrement. Je pense que même si elle passe, elle n'inspirera qu'une plus grande unification des personnes soucieuses de la liberté; cela aura l'effet contraire que les élites entendent.

    https://www.zerohedge.com/political/ny-state-assembly-bill-a416-covid-concentration-camps-america

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    1. La faute des présidents comme celle du Peuple Américain est de n'avoir JAMAIS demandé la Démocratie aux USA pour remplacer la république.
      En Démocratie le Peuple peut s'exprimer.
      En république (ou monarchie, empire) c'est: ferme ta gueule !

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  15. La Californie veut maintenant taxer les personnes qui vivent dans d'autres États, aussi


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 08 JAN 2021 - 17:45
    Rédigé par Gary Galles via The Mises Institute,


    Le gouvernement californien est devenu tristement célèbre pour avoir abusé de ses citoyens, des impôts élevés aux réglementations lourdes en passant par les impositions arbitraires de covid. Mais on remarque moins comment il essaie également d'abuser d'autres Américains.

    Comme indiqué dans un éditorial du 28 décembre du Los Angeles Times, le California Department of Tax and Fee Administration (CDTFA), qui supervise le recouvrement des taxes de vente et d'utilisation, tente d'imposer rétroactivement des taxes de vente aux détaillants hors de l'État dès 2012. .

    Avant la décision de la Cour suprême du Dakota du Sud contre Wayfair en 2018, les États avaient le pouvoir d'obliger les entreprises ayant une présence physique à leurs frontières à collecter et à verser des taxes sur les ventes dans l'État, même si les produits concernés venaient de l'extérieur de l'État. Mais ils ne pouvaient pas forcer les entreprises sans présence physique dans l'État à le faire. Ensuite, le Dakota du Sud c. Wayfair a donné aux États le pouvoir d'exiger que les entreprises sans présence physique dans leur État paient également des taxes sur les ventes à l'intérieur de leurs frontières si elles ont un lien économique suffisant (volume d'affaires, essentiellement) avec l'État. La Californie a adopté une telle loi en 2019. Étant donné que ces vendeurs n'étaient alors confrontés qu'à la loi, en toute justice, ces taxes ne devraient s'appliquer qu'après.

    Mais le CDTFA a affirmé que les détaillants hors de l'État qui ont vendu et expédié via Amazon Fulfillment Services (AFS) doivent désormais rembourser les taxes de vente à partir de la première date à laquelle leurs produits ont été stockés dans un entrepôt d'Amazon en Californie, même en 2012, lorsque Amazon a d'abord été tenue de payer les taxes de l'État de Californie sur ses ventes directes à partir d'emplacements hors de l'État vers l'État.

    La menace de la fiscalité rétroactive

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  16. Dans une lettre adressée au gouverneur Gavin Newsom il y a plus d'un an et demi, Fiona Ma, trésorière de l'État de Californie, a qualifié les actions de la CDTFA de «illégales, inconstitutionnelles et irréalisables» et lui a demandé d'arrêter la taxation rétroactive et prospective sur les ventes de cette petite , les entreprises hors de l'État ne sont «pas légalement responsables en vertu de la loi californienne». Mais une telle action n'a toujours pas été prise, ce qui a obligé la Guilde des marchands en ligne à lancer une contestation judiciaire en octobre.

    Alors que ceux qui sont si enclins peuvent approfondir les arguments juridiques et les précédents, je tiens à souligner que la fiscalité rétroactive, ou ex post facto, est non seulement manifestement injuste, mais viole l'interdiction constitutionnelle à la fois étatique et fédérale de l'adoption de lois ex post facto. .

    L'arbitraire et l'iniquité des modifications rétroactives des règles sont manifestes.

    Dans quelle mesure un sport serait-il juste ou divertissant si les arbitres pouvaient changer les règles après coup (par exemple, ajouter arbitrairement du temps au chronomètre tard dans un match de football ou annuler un but marqué au hockey par une équipe qui a retiré son gardien de but)? Qui irait à Las Vegas si les gains étaient sujets à des changements arbitraires après l'arrêt de la roulette? Dans quelle mesure le marché du travail fonctionnerait-il si les employeurs pouvaient réduire rétroactivement le salaire que vous avez gagné l'année dernière?

    De tels changements rétroactifs auraient également été odieux pour les fondateurs américains.

    Dans l'article 1 de la Constitution, l'article 9 interdisait les lois fédérales ex post facto et l'article 10 les interdisait dans les États (bien que la Cour suprême ait décidé il y a longtemps de ne pas appliquer cette interdiction aux impôts). La clause de commerce signifie également, comme le juge Kennedy l'a noté dans son opinion majoritaire dans South Dakota v. Wayfair, que les états «ne peuvent pas imposer de charges indues au commerce interétatique».

    Dans Federalist no. 44, James Madison décrit les lois ex post facto comme «contraires aux premiers principes du pacte social et à tout principe de bonne législation», avec pour conséquence que «toutes sont interdites par l'esprit et la portée de ces chartes fondamentales».

    Madison a utilisé un raisonnement similaire à l'appui de l'interdiction faite aux États d'émettre leur propre argent à l'article 1, section 8: «Des modifications rétrospectives de sa valeur pourraient être apportées, et ainsi les citoyens d'autres États seraient lésés.» Ce même argument sous-tend également l’imposition par la Constitution d’un code national uniforme de la faillite.

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  17. Appliquée à la fiscalité ex post facto, la «ponction de la taxe de vente» de la Californie va également à l'encontre du Federalist no. dix:

    La répartition des impôts… semble exiger l'impartialité la plus exacte; Pourtant, il n'y a peut-être pas d'acte législatif dans lequel une plus grande chance et une plus grande tentation sont données… de fouler aux pieds les règles de la justice. Chaque shilling qu'ils surchargent [un groupe avec] est un shilling économisé dans leurs propres poches.

    Il est malheureux que la Californie n'essaie pas seulement d'abuser des vendeurs hors de l'État, mais essaie de le faire rétroactivement. Cela va au-delà même des abus qu'il impose à ses propres citoyens, au mépris de l'équité et de principes constitutionnels clairs. Et lorsque le trésorier de l’État présente publiquement cette affaire au gouverneur sans effet, cela en dit long sur la façon dont le gouvernement californien est préoccupé par le «bien-être général» du peuple par opposition à ses propres intérêts.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/california-now-wants-tax-people-who-live-other-states-too

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    1. Alors que la planche-à-billets ou clavier d'ordinateur permet aux 'dirigeants' d'émettre des sommes qui n'existent pas avec des millions de zéros, l'objectif unique est de ruiner tout être qui ose encore avoir 1 dollar en poche.

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