- ENTREE de SECOURS -



jeudi 14 janvier 2021

NWO



100 commentaires:

  1. DICTATURE SANGUINAIRE

    Psychopathie en action — Des mesures anti-Covid-19 renforcées en Grande-Bretagne (et bientôt chez vous) ou quand l'inacceptable devient tyrannie


    M.K. Scarlett
    Sott.net
    mer., 13 jan. 2021 15:57 UTC


    L'utilisation par les Pouvoirs en place de la culpabilisation, du conditionnement et du mensonge semble sans fin. Nous sommes entraînés dans les tréfonds d'une pseudo-réalité qui déploie des méthodes de plus en plus désespérées et brutales proportionnelles à son agonie. Cette dernière est évidente dès lors que l'on peut mesurer de façon tangible — et c'est désormais le cas — l'étendue de son inhumanité et la manière dont elle enfonce ouvertement ses griffes de façon répressive et totalitaire dans tout ce qui constitue ce qu'elle n'est pas : morale et bienveillante.

    Sous le prétexte fallacieux d'un système national de santé au bord de la rupture, le gouvernement envisagerait de mettre en place des règles plus strictes, notamment le port obligatoire du masque à l'extérieur, l'introduction de couvre-feux et l'interdiction de ce qu'on appelle les « bulles étendues », dans lesquelles les Britanniques sont autorisés à rencontrer une seule personne qui n'est pas issue de leur foyer.

    Mesures anti-Covid Grande-Bretagne

    Toutefois, et c'est peut-être le plus effrayant, les ministres ont débattu en privé de la nécessité d'empêcher les gens de se parler dans la rue et dans les supermarchés, voire qu'ils ne puissent pas quitter leur domicile plus d'une fois par semaine pour faire de l'exercice.

    S'adressant aux journalistes, le Monsieur vaccin britannique, Nadhim Zahawi (né irakien), a déclaré :
    « Nous sommes en train de revoir toutes les restrictions... Je m'inquiète du fait que les gens ne portent pas vraiment de masques dans les supermarchés et qu'ils ne suivent pas le parcours à sens unique fléché au sol, et qu'ils n'attendent pas à l'extérieur du supermarché lorsqu'il est bondé. Je suis inquiet de certaines des images que j'ai vues sur des interactions sociales dans les parcs. Si vous devez faire de l'exercice, vous ne pouvez sortir que pour faire de l'exercice. »

    Une source gouvernementale a également déclaré au Daily Telegraph que la règle actuelle permettant aux Britanniques de faire de l'exercice avec une (seule) personne qui n'est pas issue de son foyer est « utilisée comme excuse pour aller prendre un café dans le parc avec ses amis » et qu'elle sera donc probablement abandonnée.

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  2. La source a ajouté que le gouvernement envisage de « s'assurer que les populations ne puissent pas faire preuve de créativité pour interpréter les règles comme ça les arrange ».

    Le rapport suggère que l'application des règles sera encore renforcée, avec des amendes immédiates, qui pourraient passer de 200 à 500 livres sterling (220 à 550 euros).

    Ces révélations surviennent après un week-end où la police a été vue en train de sévir contre des personnes dans les rues de Grande-Bretagne, notamment par le biais d'une vidéo qui montrait la police en train d'arrêter des personnes qui marchaient, étaient assises sur des bancs et buvaient un café à l'extérieur.

    Après la diffusion de cette vidéo, la police a affirmé, sans aucune preuve, que l'événement avait été mis en scène par des « manifestants anti-confinement ».

    En outre, deux femmes ont été interrogées par la police et ont reçu une amende pour s'être promenées dans une zone à 8 km de leur domicile, bien que cela ne soit pas illégal selon les lois décrétées par le gouvernement britannique pour faire face au Covid-19. La police a déclaré aux femmes que les boissons chaudes qu'elles transportaient constituaient un « pique-nique ».

    Une vidéo a également été diffusée montrant des policiers eux-mêmes assis dans un restaurant en train de boire un café, la personne qui les filmait se demandant pourquoi ils ne respectaient pas les règles. Faites ce que je dis, pas ce que je fais.

    Lors d'un autre incident, un couple avec un bébé dans une poussette a été interrogé par la police du Covid dans le centre-ville de Birmingham, pour avoir simplement osé marcher dans la rue. Le rapport indique que les agents de soutien de la police ont ensuite interrogé les personnes qui étaient arrivées dans une pharmacie pour acheter sur ordonnance des médicaments.

    Pendant ce temps, en Écosse, une famille a été arrêtée après que la police soit entrée dans leur maison, suite à une dénonciation d'un voisin les ayant prévenu qu'il y avait « trop de monde à l'intérieur ». Ces personnes-là sont les plus dangereuses pour toutes les autres personnes encore normales dans un monde ponérisé.

    Une force de police locale a même tweeté avec colère qu'elle avait dû effectuer « deux rapports sur des boules de neige lancées » en violation flagrante des mesures de confinement. On croit rêver... La police avait, déjà la semaine dernière, adopté une nouvelle politique de confinement « stricte » visant à arrêter et à interroger toute personne présente dans la rue, et à leur infliger des amendes immédiates si elles sont dans l'incapacité de fournir une excuse raisonnable pour ne pas être chez elles.

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  3. La police a également déclaré qu'elle ciblerait spécifiquement les « manifestants anti-confinements et anti-vaccins », affirmant que « nous faisons face aujourd'hui à des groupes qui sont intrinsèquement contre les règles. ». La même police demande aussi à ce que ses pouvoirs soient étendus pour forcer l'entrée des domiciles des personnes soupçonnées d'avoir enfreint le confinement. Quand on devient un peu psychopathe soi-même, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ?

    Le gouvernement a été critiqué pour avoir mis en place un troisième confinement, dans lequel tout le monde est limité à se rassembler dans les parcs et à uniquement se rendre au supermarché. Les critiques disent que ces mesures poussent les Britanniques à se rassembler dans les mêmes espaces, plutôt que de leur permettre d'être naturellement dispersées. Notez que nous avons les mêmes en France...

    Des rapports ont été publiés le week-end dernier, selon lesquels les restrictions britanniques devaient rester en place jusqu'au 23 mars au moins. Pourtant, le gouvernement de la perfide Albion n'a donné aucun calendrier officiel pour la durée du confinement, ni aucune indication sur la date à laquelle les restrictions seront renforcées ou levées.

    Renforcées puis levées partiellement, renforcées à nouveau encore plus brutalement que la fois précédente, ad nauseam, soit deux pas en avant et un pas en arrière pendant encore des moi,s jusqu'à ce que la majorité des populations n'en puissent plus et soient prêtes à accepter une intolérable tyrannie (après avoir accepté depuis de nombreux mois ce qui est par nature injustifié), pour soi-disant revenir à un « avant » qui appartient au passé et jamais ne reviendra, quoiqu'il se produise au cours de l'année qui ne fait que commencer.

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  4. En France, l'annonce de nouvelles mesures imposées à notre pays, au nom d'une menace fallacieuse et invisible, sera faite par le Premier ministre Castex, demain... Et puisqu'il sera accompagné de Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education, de Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, de Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, d'Olivier Véran, ministre de la Santé, et de Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur, tout porte à croire que presque tout le monde sera astreint à un 3e confinement ou à un couvre-feu à 18h00 généralisé, et/ou, soyons fous, à une interdiction de sortir du vendredi soir au lundi matin, liste non exhaustive.

    Et, bien sûr, tout ceci n'a que pour but de ne pas engorger les hôpitaux. La rengaine est la même depuis neuf mois et comme cette période correspond à celle d'une grossesse, il faut bien accoucher de quelque chose ! Les femmes le savent, enfanter, c'est douloureux ; mais la douleur s'évanouit sous l'afflux du bonheur. Toutefois, ce qui résultera de ces annonces gouvernementales ne peut qu'être d'essence malfaisante. La morale de cette histoire c'est que la morale et la bienveillance ont déserté les esprits qui nous gouvernent... si tant est qu'ils en aient jamais eu.

    « en psychocratie, la vérité ne compte pas, à la limite elle n'existe pas, n'existe que ce que l'on fait croire aux gens ou, mieux encore, ce qu'on leur fait croire qu'ils croient. »
    ~ Vladimir Volkoff, Petite histoire de la désinformation

    https://fr.sott.net/article/36472-Psychopathie-en-action-Des-mesures-anti-Covid-19-renforcees-en-Grande-Bretagne-et-bientot-chez-vous-ou-quand-l-inacceptable-devient-tyrannie

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    1. (...) Toutefois, et c'est peut-être le plus effrayant, les ministres ont débattu en privé de la nécessité d'empêcher les gens de se parler dans la rue et dans les supermarchés, voire qu'ils ne puissent pas quitter leur domicile plus d'une fois par semaine pour faire de l'exercice. (...)

      Le trisomique nazi Nadhim Zahawi '37,2 le matin' !

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  5. Les mesures de confinement n'empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n'apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux


    Denis Rancourt
    Mondialistion.ca
    mer., 13 jan. 2021 06:19 UTC


    Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d'obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vaccins sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence.

    Le gouvernement a fait preuve d'imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

    Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique COVID-19

    Introduction - Pandémie iatrogène de panique

    Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu'en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient 1 2 :
    non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent
    pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire)
    Le contexte politico-sanitaire est également un contexte dans lequel il existe une histoire récente documentée de « paniques répétées de pandémie de santé » dans laquelle « les experts en maladies souhaitent attirer l'attention du public et faire pencher les décisions d'allocation de ressources en faveur de la maladie qui les intéresse ». 3. Bonneux et Van Damme, en 2011, l'ont exprimé ainsi 4 :

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  6. Les paniques répétées de pandémie de santé causées par un virus aviaire H5N1 et un nouveau virus de grippe humaine A (H1N1) font partie de la culture de la peur [réf.] Le pire des scénarios a remplacé l'évaluation équilibrée des risques. Le pire des scénarios est motivé par la conviction que le danger auquel nous sommes confrontés est tellement catastrophique que nous devons agir immédiatement. Plutôt que d'attendre des informations, nous avons besoin d'une frappe préventive. Mais si les ressources achètent des vies, le gaspillage des ressources gaspille des vies. Le stockage préventif d'antiviraux largement inutiles et les politiques irrationnelles de vaccination contre un virus H1N1 exceptionnellement bénin ont gaspillé plusieurs milliards d'euros et érodé la confiance du public dans les responsables de la santé. [réf.] La politique de lutte contre la pandémie n'a jamais été guidée par des preuves, mais par la crainte des pires scénarios.

    En outre, un important scandale de conflit d'intérêts concernant les recommandations de l'OMS en matière de pandémie de grippe a été exposé en détail en 2010, où les enquêteurs Cohen et Carter ont conclu :
    « Parmi les principaux scientifiques qui conseillent l'Organisation mondiale de la santé sur la planification d'une pandémie de grippe, certains ont fait un travail rémunéré pour les entreprises pharmaceutiques qui ont tout à gagner des conseils qu'ils ont rédigés. Ces conflits d'intérêts n'ont jamais été rendus publics par l'OMS ». 5
    En 2020, rien de tout cela n'avait d'importance. Nous sommes entrés dans un monde de propagande, avec des institutions captives. Le principe de précaution (le gouvernement doit prouver l'absence probable de dommages avant d'imposer des politiques dangereuses) a été renversé, et la charge de la preuve a été imposée à la science pour justifier a posteriori des mesures sans précédent, rapidement imposées en l'absence de science ou même en s'opposant à elle. Malheureusement, une grande partie ou la plupart de l'establishment scientifique s'est conformé au nouveau programme.

    Récemment, il y a eu à la fois des événements dramatiques (lancement du vaccin) et des communications scientifiques importantes, depuis que j'ai publié mes deux premiers articles scientifiques concernant la politique autour de la COVID-19, le 11 avril 2020 6 et le 3 août 2020 7, ainsi que des articles sur les préjudices mortels des réponses gouvernementales, déduits des données sur la mortalité toutes causes confondues, dépendantes du temps et de la juridiction 8 9.

    Mes deux premières analyses ont porté sur la science et la politique des masques 10 11. La présente mise à jour des développements récents porte à nouveau sur les masques, et comprend en outre des points clés sur les mesures de confinement et les vaccins.

    La rigueur des mesures n'a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19

    Deux grandes études récentes ont été menées à l'échelle mondiale.

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  7. Dans leur article du 21 juillet 2020 intitulé « Une analyse au niveau national mesurant l'impact des actions gouvernementales, de l'état de préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité de la COVID-19 et les résultats sanitaires associés » (50 pays), Chaudhry et al. ont indiqué 12 :
    La fermeture rapide des frontières, le confinement total et les tests à grande échelle n'ont pas été associés à la mortalité de la COVID-19 par million de personnes. (Résumé / Résultats)

    Lorsque la mortalité de la COVID-19 a été évaluée, les variables significativement associées à une augmentation du taux de mortalité par million étaient la prévalence de l'obésité dans la population et le PIB par habitant. En revanche, les variables qui étaient négativement associées à une augmentation de la mortalité de la COVID-19 étaient la réduction de la dispersion des revenus au sein de la nation, la prévalence du tabagisme et le nombre d'infirmières par million d'habitants. En effet, un plus grand nombre d'infirmières dans un système de soins de santé donné était associé à une réduction de la mortalité. Les taux de mortalité étaient également plus élevés dans les comtés dont la population était plus âgée [...]. Enfin, les mesures gouvernementales telles que la fermeture des frontières, le confinement total et un taux élevé de tests COVID-19 n'ont pas été associées à des réductions statistiquement significatives du nombre de cas critiques ou de la mortalité globale. (Section 3.4)

    Dans leur article du 19 novembre 2020 « Mortalité du fait de la COVID-19 : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d'adaptation limitées » (160 pays), De Larochelambert et al. ont trouvé 13 :
    Résultats : Des taux de mortalité plus élevés sont observés dans les zones de latitude [25/65°] et de longitude [-35/-125°]. Les critères nationaux les plus associés au taux de mortalité sont l'espérance de vie et son ralentissement, le contexte de santé publique (fardeau des maladies métaboliques et non transmissibles (MNT) par rapport à la prévalence des maladies infectieuses), l'économie (produit national de croissance, soutien financier) et l'environnement (température, indice ultra-violet). La rigueur des mesures mises en place pour lutter contre la pandémie, y compris le confinement, ne semble pas être liée au taux de mortalité.

    Conclusion : Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l'espérance de vie, avec des revenus et des taux de mortalité élevés, ont eu le plus lourd tribut à payer. Ce fardeau n'a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes. Des facteurs inhérents ont prédéterminé la mortalité de la Covid-19 : leur compréhension peut améliorer les stratégies de prévention en augmentant la résilience de la population grâce à une meilleure condition physique et une meilleure immunité. (Résumé)
    L'American Institute for Economic Research (AIER Staff) a passé en revue ces études et 22 autres études qui aboutissent à des conclusions similaires, dans son rapport du 19 décembre 2020 intitulé « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves » 14.

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  8. Par conséquent, dans l'ensemble, le nombre total de cas critiques et le nombre total de décès étaient associés à l'état de santé préexistant et à l'état sociétal de la population, et cela n'a pas été amélioré par les mesures gouvernementales visant à ralentir la transmission.

    Il est important de noter qu'en plus des études sur les associations avec la mortalité totale, la dépendance temporelle et la granularité (dépendance juridictionnelle) de la mortalité toutes causes confondues montrent que la déclaration de pandémie de l'OMS du 11 mars 2020 et la recommandation universelle de « préparer vos hôpitaux » ont été suivies d'un grand nombre de décès, probablement induits par les infections et le confinement strict des maisons de soins non ventilées pour les personnes malades et âgées 15 16.

    La pandémie iatrogène de propagande en terme de psychologie de masse et la sociologie autour de la COVID-19 de 2020 commencent à être étudiées par des méthodes quantitatives 17.

    La corruption de la science est mise à nue - Masques et PCR

    Un aspect positif de ce que l'on peut appeler la « pandémie de propagande » actuelle est que la corruption systémique généralisée de l'establishment scientifique est exposée, non seulement par des rétractations très médiatisées d'articles publiés dans des revues de premier plan, mais aussi par des éditoriaux critiques. Par exemple, le 13 novembre 2020, le rédacteur exécutif Kamran Abbasi l'a exprimé en termes très clairs dans les pages de l'éminent BMJ 18 :

    La science est supprimée pour des raisons politiques et financières. La Covid-19 a déclenché une corruption de l'État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. [réf] Les politiciens et l'industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d'urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.
    J'en donne trois exemples.

    Premièrement, le biais systémique est palpable dans une mini-saga récente sur les masques, publiée dans les pages du New England Journal of Medicine 19 2021.

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  9. Gandhi et Rutherford ont écrit un article intitulé « Perspective », publié le 29 octobre 2020 22. Les auteurs avancent l'idée extraordinaire que se masquer réduit la gravité de la maladie chez les personnes infectées. Ils commencent par l'affirmation propagandiste selon laquelle le masquage facial universel est « l'un des piliers de la lutte contre la pandémie de Covid-19 ». Ils poursuivent en avançant l'argument fantastique suivant : les masques peuvent réduire l'inoculum viral et donc provoquer des infections asymptomatiques dans lesquelles le sujet développe une immunité. Cela a alarmé les répondants car le mécanisme proposé est ce que l'on pourrait appeler « l'immunité acquise naturellement grâce aux masques ». Admettre tout type d'immunité naturelle, qui est une dure réalité de la biologie de l'évolution, est devenu sacrilège.

    Deux groupes de chercheurs ont publié des réfutations contre Gandhi et Rutherford, dans la même revue.

    Rasmussen et al. ont écrit 23 :
    Il n'y a pas suffisamment de preuves pour soutenir l'affirmation selon laquelle les masques réduisent la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 et la gravité de la Covid-19, et encore moins que leur utilisation peut induire une immunité protectrice. [...] La suggestion que les masques offrent une alternative à la vaccination sans preuve que les bénéfices l'emportent sur les grands risques encourage implicitement les comportements irresponsables.
    Brosseau et al. ont, pour leur part, réajusté diplomatiquement les vues exposées par Gandhi et Rutherford en ramenant les lecteurs à la science et à la réalité établies 24 :

    La réplication virale est liée à la dose, mais la gravité de la maladie ne l'est pas. L'épidémiologie indique que l'apparition de formes graves de Covid-19 est associée à des conditions préexistantes et à d'autres facteurs de risque, tels que l'âge, le sexe et la grossesse [réf].

    Bien qu'elle n'ait pas encore été démontrée dans des modèles expérimentaux, la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 est probablement similaire à celle du SRAS-CoV - environ 300 virions [réf]. Quelle que soit la gravité de la maladie, les gens présentent des charges virales élevées et un virus infectieux pendant au moins 8 jours après l'apparition des symptômes. La parole normale peut générer jusqu'à 3000 particules de 1 micron par minute dans l'air expiré, [ref] et chaque particule pourrait contenir plus de 250 virions, ce qui signifie qu'une seule minute de parole génère potentiellement plus de 750 000 virions. Les revêtements de visage en tissu ont une efficacité très variable en fonction de la capacité de filtrage et de l'ajustement. Le port d'un couvre-visage en tissu à proximité d'une personne infectée pendant plusieurs minutes peut ne pas empêcher la réception d'une dose infectieuse, qui, comme indiqué ci-dessus, n'est pas corrélée à une maladie moins grave.
    Les auteurs de l'article original n'ont pas été dissuadés et ont répondu :

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  10. « Plus de preuves s'accumulent pour supporter cette idée » et « il y a de plus en plus de preuves à la fois physiques et d'enquêtes épidémiologiques que les masques en tissu (s'ils sont portés correctement) réduisent à la fois la transmission et l'acquisition » 25

    L'examen de leurs sources montre que les auteurs ont une vision généreuse de ce qui peut constituer une « preuve » à l'appui. Voir également 26, concernant la tournure que prend l'« accumulation de preuves » dans le contexte politique des masques faciaux.

    Deuxièmement, un exemple étonnant, toujours à propos des masques, est fourni dans les pages de Nature Medicine. Ici, l'équipe de prévision de la COVID-19 de l'IHME, le 23 octobre 2020 (« étude de l'IHME »), a déclaré que le port universel de masque serait d'une grande utilité aux États-Unis 27 :

    L'utilisation du port universel de masque pourrait sauver 129 574 (entre 85 284 - 170 867) vies supplémentaires entre le 22 septembre 2020 et la fin février 2021, ou 95 814 (entre 60 731 - 133 077) vies supplémentaires en supposant une adoption moindre du port du masque (85%), par rapport au scénario de référence. (Résumé)
    Si les masques offrent un avantage aussi important, il est impossible de comprendre comment aucun des nombreux grands essais contrôlés randomisés (ECR) dont les résultats sont vérifiés, n'a détecté cet avantage. Il est impossible d'obtenir les résultats négatifs souvent répétés dans les études ECR de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire, si les prémisses et les conclusions de l'étude IHME sont correctes. L'étude de l'IHME a été réfutée avant même sa publication.

    L'étude de l'IHME est fatalement défectueuse sur au moins deux points :

    La méta-régression utilisée pour estimer (« suggérer », selon leurs termes) que le port universel du masque permet une réduction de 40% et plus de la transmission est sans valeur, et est le fruit d'un biais constructif ;
    Ils ont utilisé des données incorrectes pour évaluer la conformité du masquage de la population américaine pour la période concernée.

    Cette dernière faille fatale a été exposée par Magness, dans son rapport publié dans le Wall Street Journal, intitulé « Les arguments en faveur de l'obligation du port de masques reposent sur des données erronées » 28 :
    Malheureusement, les conclusions des modélisateurs de l'IHME contenaient une erreur que même un examen minimal aurait dû permettre de détecter. Le nombre prévu de vies sauvées et le cas implicite d'une obligation de port de masques sont basés sur une statistique erronée. En utilisant une enquête datant de plusieurs mois, les modélisateurs de l'IHME ont supposé à tort que le taux d'adoption de masques aux États-Unis ne s'élevait qu'à 49% à la fin du mois de septembre, et qu'il y avait donc une grande marge de manœuvre pour passer à une « adoption universelle », définie comme 95 %, ou à un taux plus plausible de 85%. Cependant, selon les résultats d'une enquête plus récente, le taux d'adoption de masques aux États-Unis tourne autour de 80 % depuis l'été.
    Magness ne fait aucune mention de la prémisse fictive de l'étude de l'IHME selon laquelle le port universel de masques réduit la transmission de 40 % et plus.

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  11. Troisièmement, dans l'un des plus grands scandales de l'épisode COVID-19, un test d'amplification en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) a été mis au point à la hâte, dans des circonstances douteuses, qui n'est ni un diagnostic de la présence de virus infectieux, ni spécifique du SRAS-CoV-2, et déployé par les États pour la confirmation de l'infection chez les individus symptomatiques, et pour les tests de masse de la population générale asymptomatique.

    Le dit test RT-PCR a été présenté ainsi par Corman et al. 29, et leur propre article indique :
    Nous avions pour objectif de développer et de déployer une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique sans disposer de matériel viral. [...]

    Dans toutes ces situations [toutes les applications passées de la RT-PCR pour « détecter les virus responsables des sécrétions respiratoires »], les isolats de virus étaient disponibles comme substrat principal pour établir et contrôler les tests et les performances des tests.

    Dans le cas présent du 2019-nCoV, les isolats de virus ou les échantillons provenant de patients infectés ne sont pas encore disponibles pour la communauté internationale de la santé publique. Nous faisons ici rapport sur l'établissement et la validation d'un flux de diagnostics pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV, conçu en l'absence d'isolats de virus disponibles ou d'échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l'étroite parenté génétique avec le CoV-SARS de 2003, et facilitées par l'utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. [...]

    Le présent rapport décrit la mise en place d'un processus de diagnostic pour la détection d'un virus émergent en l'absence de sources physiques d'acide nucléique génomique viral. La rapidité et l'efficacité de l'effort actuel de déploiement et d'évaluation ont été rendues possibles par les réseaux de recherche nationaux et européens mis en place en réponse aux crises sanitaires internationales de ces dernières années, ce qui démontre l'énorme capacité de réaction qui peut être dégagée par l'action coordonnée des laboratoires universitaires et publics [réf]. Cette capacité des laboratoires ne soutient pas seulement les interventions immédiates de santé publique, mais permet aux sites d'enrôler des patients lors de réponses rapides de recherche clinique.

    Un consortium international de scientifiques des sciences de la vie estime que l'article de Corman et al. présente des lacunes technologiques et méthodologiques fatales : Voir le rapport de Borger et al qui concluent, parmi plusieurs critiques, que 30 :

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  12. Il s'agit là de graves erreurs de conception, puisque le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments de virus. Le test ne peut pas être utilisé comme un diagnostic pour les virus du SRAS.

    En outre, l'absence du gène HE dans le CoV-1 et le CoV-2 du SRAS fait de ce gène le témoin négatif idéal pour exclure d'autres coronavirus. Le document de Corman-Drosten ne contient pas ce contrôle négatif, ni aucun autre contrôle négatif. Le test PCR du papier Corman-Drosten ne contient donc ni témoin positif unique ni témoin négatif permettant d'exclure la présence d'autres coronavirus. Il s'agit là d'un autre défaut de conception majeur qui classe le test comme inadapté au diagnostic.

    Nous constatons de graves conflits d'intérêts pour au moins quatre auteurs, outre le fait que deux des auteurs de l'article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d'Eurosurveillance. Un conflit d'intérêt a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol ; Marco Kaiser est chercheur senior au GenExpress et est conseiller scientifique de TIB-Molbiol), qui n'était pas déclaré dans la version originale (et qui manque toujours dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été « la première » à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit de Corman-Drosten, et selon leurs propres termes, ils ont distribué ces kits de test PCR avant même que la publication ne soit soumise à relecture [réf] ; de plus, Victor Corman & Christian Drosten ont omis de mentionner leur deuxième affiliation : le laboratoire de test commercial « Labor Berlin ». Tous deux sont responsables du diagnostic des virus dans ce laboratoire [réf.] et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.

    À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le CoV-2 du SRAS décrit dans le document de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des failles inhérentes qui rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile.

    Bon nombre des critiques de Borger et al ont déjà été prouvées par des vérifications détaillées en laboratoire, comme le remarquable article de Singanayagam et al 31, qui utilise la RT-PCR avec le gène cible RdRp, qui montre (en particulier leur figure 3 A) :

    L'importance du nombre de cycles de PCR (Ct), à la fois dans le compte rendu clinique et dans l'interprétation clinique
    Qu'à l'exception des cas d'hospitalisation extrême (qui n'ont pas été étudiés), tous les cas positifs détectés avec la RT-PCR plus de 10 jours après l'apparition des symptômes ou l'exposition correspondaient à des virus non infectieux (fragments de virus morts) (aucun virus n'a pu être cultivé dans des cultures cellulaires optimales)
    Qu'aucun délai n'a été observé pour la détection de ces virus non infectieux (fragments de virus morts), car ceux-ci ont été obtenus, avec une Ct=28-39, jusqu'à 60 jours après l'apparition des symptômes ou l'exposition.
    Qu'à moins de 10 jours, avec un Ct=18-40, près de la moitié des « positifs » étaient des virus non infectieux (fragments de virus morts)

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  13. Un seuil opérationnel de Ct=30, au-delà duquel les « positifs » ont moins de 40% de probabilité (<8% à Ct>35) de correspondre à un virus viable, indépendamment du temps relatif à l'apparition des symptômes ou à l'exposition (leur figure 2)

    De tels résultats concernant la fausse détection de virus présumés viables ont également été obtenus dans la grande étude plus récente de Jaafar et al. 32 qui ont utilisé l'amplification par RT-PCR du gène E que l'on pense être un peu moins spécifique du SRAS-CoV-2.

    Il est clair que le test RT-PCR utilisé dans le monde entier est en soi sans valeur. Il produit de grandes quantités de « positifs » qui ne correspondent à aucun virus infectieux viable, qu'il s'agisse du SRAS-CoV-2 ou d'un autre. On n'y remédie que partiellement si les laboratoires se limitent à des Ct<30, sans parler du grand potentiel d'autres mauvaises pratiques de laboratoire sur le terrain.

    Ajoutez à cela la malhonnêteté de la santé publique qui consiste à fabriquer une nouvelle définition de ce qui constitue un « cas ». Un « cas » est défini en médecine comme une infection active, symptomatique et diagnostiquée. Ce n'est plus le cas. Tout cas « positif » dans le « test » RT-PCR défectueux est désormais considéré comme un « cas ». La campagne massive de tests RT-PCR de la population générale asymptomatique, qui n'a aucune utilité clinique ou épidémiologique, alimente ainsi la propagande médiatique de la peur, avec des conséquences désastreuses : Tests RT-PCR non pertinent → signifie « cas »→ propagande → mesures arbitraires / plus grand mal → popularité des dirigeants 33

    La transmission ne se fait pas par contact

    Le 17 septembre 2020, une étude approfondie a été publiée par Meyerowitz et al 34 dans l'une des principales revues médicales du monde, Annals of Internal Medicine, qui a conclu ce qui aurait dû être évident dès le départ, même pour l'OMS : La transmission par contact des maladies respiratoires virales, y compris le SRAS-CoV-2, est hors sujet.

    Selon les termes de Meyerowitz et al :

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  14. Des preuves solides provenant de rapports de cas et de groupes de cas indiquent que la transmission respiratoire est dominante, la proximité et la ventilation étant les principaux déterminants du risque de transmission. Dans les quelques cas où un contact direct ou une transmission fomitive est présumé, la transmission respiratoire n'a pas été complètement exclue. L'infectiosité atteint son maximum environ un jour avant l'apparition des symptômes et diminue dans la semaine qui suit, et aucune transmission liée tardivement (après qu'un patient a eu des symptômes pendant environ une semaine) n'a été documentée. Le virus présente une dynamique de transmission hétérogène : La plupart des personnes ne transmettent pas le virus, tandis que certaines provoquent de nombreux cas secondaires dans des groupes de transmission appelés « super-dispersion ». (Résumé)

    [...] Il n'existe actuellement aucune preuve concluante de la transmission par fomite ou par contact direct du SRAS-CoV-2 chez l'homme.
    Cette conclusion a des implications de grande portée :

    Elle signifie que la « recherche des contacts » est une absurdité pour les maladies respiratoires virales. Il n'est donc pas étonnant que l'OMS ait recommandé en 2019 que la recherche des contacts soit « déconseillée en toutes circonstances » (voir ci-dessus). Pourquoi l'OMS a-t-elle rejeté la transmission par aérosol pour la COVID-19 ? C'est de l'anti-science arbitraire. 35
    Cela signifie que le lavage compulsif des mains et le nettoyage des surfaces sont des absurdités épidémiologiques, avec des conséquences négatives évidentes, comme les rappels massifs de désinfectants toxiques 36.

    Cela signifie que les gouvernements et l'OMS ont été négligents pendant plus d'une décennie en n'étudiant pas, en ne recommandant pas et en ne mettant pas en œuvre des politiques de ventilation axées sur la transmission pour l'environnement bâti. En fait, l'OMS a enterré son propre rapport d'experts sur le sujet de 2009, sous la rubrique « eau / assainissement / santé » sur son site web 37, et un article de synthèse exhaustif du domaine public a été publié en 2007 38.

    Cela signifie que le verrouillage des portes et des fenêtres des maisons de soins pour personnes âgées constitue le pire scénario possible pour prévenir les épidémies dans les maisons de soins 39 40.
    Li et al 41 ont conclu (leur étude a été citée plus de 600 fois) :

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  15. Dix des 40 études examinées ont été considérées comme concluantes en ce qui concerne l'association entre la ventilation des bâtiments et la transmission d'infections aéroportées. Il existe des preuves solides et suffisantes pour démontrer l'association entre la ventilation, les mouvements d'air dans les bâtiments et la transmission / propagation de maladies infectieuses telles que la rougeole, la tuberculose, la varicelle, la grippe, la variole et le SRAS. (Résumé)

    J'ai fait valoir que c'est précisément parce que la principale voie de transmission est constituée de fines particules d'aérosol que les masques ne peuvent pas réduire la transmission 42 43.

    Face à la preuve irréfutable que les masques ne réduisent pas le risque d'infection de leur porteur 44 45, l'OMS et le complexe de santé publique ont inventé le « masque magique à sens unique », qui empêche la transmission par le porteur, tout en ne le protégeant pas. Les médias ont été ravis de propager ce fantasme, contraire aux lois de la physique, concernant la circulation de l'air porteur d'aérosols par les voies de moindre impédance à travers et autour des masques faciaux. Ce fantasme est ce qu'on appelle le « contrôle à la source », que de nombreux scientifiques qualifiés ont également répété.

    En fait, même une stricte quarantaine de niveau militaire des jeunes adultes en bonne santé ne peut empêcher la transmission 46.

    Les infirmières le savent. En Ontario, deux décisions importantes de tribunaux administratifs, en 2015 et en 2018, avec de longues audiences d'experts de tous bords, ont conclu que les infirmières de plusieurs grands hôpitaux ne pouvaient pas être obligées de porter des masques, qu'elles soient vaccinées ou non, car cela ne protégerait pas les patients 47 :

    « Je pense qu'il y a maintenant un consensus qui se développe dans la communauté arbitrale selon lequel il ne fait aucun doute que ces politiques ne protègent pas vraiment les patients. L'arbitre a été assez ferme en décrivant les preuves apportées par l'hôpital comme insuffisantes, inadéquates et totalement non convaincantes », a dit Sharan Basran, avocate des infirmières.

    Le port du masque dans la population générale n'apporte aucun bénéfice détectable

    Depuis le 11 avril 2020, j'ai fait valoir en détail que les masques ne fonctionnent pas, et j'ai disséqué et exposé la fausse idée du contraire 48 49. À cette époque, il n'y avait pas encore eu d'étude de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire sur le port du masque dans la population générale.

    Le 18 novembre 2020, Bundgaard et al ont publié leur vaste essai contrôlé randomisé (ECR) sur des participants sélectionnés dans la population générale danoise. Selon leurs propres termes 50 :

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  16. Un total de 3030 participants ont été assignés au hasard à la recommandation de porter des masques, et 2994 ont été assignés au contrôle ; 4862 ont terminé l'étude. L'infection par le SRAS-CoV-2 s'est produite chez 42 participants à qui l'on avait recommandé de porter un masque (1,8%) et chez 53 participants du groupe témoin (2,1%). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95%, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ; P = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ; P = 0,33). L'imputation multiple tenant compte de la perte au suivi a donné des résultats similaires. Bien que la différence observée ne soit pas statistiquement significative, les IC de 95% sont compatibles d'une réduction de 46% jusqu'à une augmentation de 23% de l'infection. (Résumé / Résultats)

    [...] la recommandation de porter un masque chirurgical en dehors de la maison, entre autres, n'a pas réduit, à des niveaux conventionnels de signification statistique, l'incidence de l'infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à l'absence de recommandation de port de masque. [...] Les masques faciaux fournis aux participants étaient des masques chirurgicaux de haute qualité avec un taux de filtration de 98% [réf]. (Discussion)
    Pour être clair, « 95% d'IC sont compatibles avec une réduction de 46% jusqu'à une augmentation de 23% de l'infection » signifie que, dans les limites de l'incertitude, le port d'un masque pourrait avoir augmenté la probabilité d'être infecté de 23%. Telle est la nature de l'évaluation du risque relatif, lorsque l'impact comparatif sur le risque absolu est trop minime pour être détecté.

    Les auteurs semblent avoir été contraints par le processus d'« examen par les pairs » de souligner que leur étude n'a pas été conçue pour tester l'hypothèse que j'ai évoquée plus haut, à savoir le masque magique à sens unique : « ... et aucune évaluation de la capacité des masques à diminuer la transmission de maladies de leurs porteurs à d'autres personnes. »

    À ce stade, quelque quinze (15) ECR de niveau politique plus tard, avec des résultats vérifiés, il faut se demander ce qu'il faudrait pour que le complexe de santé publique abandonne son nouvel enthousiasme pour le port de masque forcé de la population générale, ou au moins pour financer la recherche sur les préjudices répartis et les coûts sociétaux de cette politique draconienne.

    Des études sur les préjudices quantifiables et potentiels du port de masque universel commencent à être publiées, tant dans des revues médicales régulières que dans des revues alternatives. Si le « principe de précaution » était plus qu'un simple effet de mode, de telles études auraient été nécessaires avant l'adoption de lois et d'obligations en matière de port de masque universel.

    Le 6 juillet 2020, par exemple, Fikenzer et al ont publié une étude rigoureuse sur l'effet physiologique des masques sur 12 hommes en bonne santé (âgés de 38 ± 6 ans). Ils ont conclu 51 :

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  17. Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur la capacité cardio-pulmonaire, ce qui entrave considérablement les activités physiques et professionnelles pénibles. De plus, les masques médicaux nuisent considérablement à la qualité de vie de leur porteur. Ces effets doivent être considérés par rapport aux effets protecteurs potentiels des masques faciaux sur les transmissions virales. Les données quantitatives de cette étude peuvent donc éclairer les recommandations médicales et les décideurs politiques.

    En novembre 2020, Borovoy et al. 52 ont publié une étude approfondie des connaissances biologiques et médicales qui leur permet de déduire un potentiel important de dommages significatifs liés au port de masque. Ils soulignent à juste titre le rôle connu mais sous-estimé des bactéries dans les pandémies virales, et passent également en revue les maladies respiratoires dues aux bactéries buccales.

    Les vaccins sont intrinsèquement dangereux

    Le 13 juillet 2020, Arvin et al. ont publié dans les pages de la revue scientifique de premier plan Nature un important rappel à la réalité sous la forme d'une vaste « Perspective » (revue). L'article, à lire attentivement, est un exposé détaillé sur l'ignorance de l'homme concernant l'interférence artificielle avec le système immunitaire humain. Tout étudiant en sciences devrait conclure que « surtout, nous ne savons rien ». Les auteurs l'affirment sous une forme enjolivée 53 :

    L'augmentation de la maladie dépendante des anticorps (ADE) est une préoccupation générale pour le développement de vaccins et de thérapies par anticorps car les mécanismes qui sous-tendent la protection par anticorps contre tout virus ont un potentiel théorique d'amplifier l'infection ou de déclencher une immunopathologie nocive. Cette possibilité doit être examinée attentivement à ce stade critique de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), qui est causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2).

    Nous passons ici en revue les observations relatives aux risques d'ADE de la maladie, et leurs implications potentielles pour l'infection par le SRAS-CoV-2. À l'heure actuelle, il n'existe pas de résultats cliniques, d'essais immunologiques ou de biomarqueurs connus qui permettent de différencier une infection virale grave d'une maladie à immunité renforcée, que ce soit par la mesure des anticorps, des cellules T ou des réponses intrinsèques de l'hôte. Les systèmes in vitro et les modèles animaux ne permettent pas de prédire le risque d'ADE de la maladie, en partie parce que les mécanismes de protection et les mécanismes potentiellement nuisibles médiés par les anticorps sont les mêmes et que la conception de modèles à base d'animaux dépend de la compréhension de la manière dont les réponses antivirales de l'hôte peuvent devenir nuisibles chez l'homme.

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  18. Les implications de notre manque de connaissances sont doubles. Premièrement, des études complètes sont nécessaires de toute urgence pour définir les corrélats cliniques de l'immunité protectrice contre le SRAS-CoV-2. Deuxièmement, étant donné qu'il est impossible de prévoir de manière fiable l'apparition de la maladie après une vaccination ou un traitement par anticorps - quel que soit le virus responsable - il sera essentiel de s'appuyer sur une analyse minutieuse de la sécurité chez l'homme à mesure que les interventions immunitaires contre la COVID-19 progressent. (Résumé)

    Compte tenu du déploiement qui a suivi, cela signifie que nous nous sommes lancés aveuglément dans une expérience à grande échelle sur des sujets humains, sans essais sur des animaux, sans transparence scientifique, sans possibilité de consentement éclairé, sous l'impulsion de sociétés pharmaceutiques qui ne veulent que le bien de l'humanité.

    Le 1er octobre 2020, Wehenkel 54 a publié un article dans lequel il a étudié 39 pays et a constaté une forte association entre le taux national de vaccination contre la grippe (IVR) des personnes âgées de 65 ans et plus et le nombre de décès dus à la COVID-19 par million d'habitants. Les résultats sont préliminaires mais peuvent constituer un exemple documenté de « renforcement de la maladie dépendant des anticorps (ADE) » impliquant la COVID-19. Tous les taux de décès par COVID-19 les plus élevés ont été enregistrés dans les pays où l'IVR est supérieure à 50 % (voir ses figures 1 et 3). Je sens une opportunité de financement de la recherche pour défaire cette découverte.

    Denis G. Rancourt est chercheur, Association des libertés civiles de l'Ontario

    L'auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19
    Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l'université d'Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d'université, j'ai développé de nouveaux cours et j'ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J'ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J'ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j'ai attiré d'importants fonds de recherche pendant deux décennies.

    J'ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J'ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

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  19. Mon facteur d'impact de l'indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

    Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

    En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d'aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d'aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l'air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j'ai enseigné la dynamique des fluides (l'air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j'ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).

    En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d'aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l'infection virale, et dans les mesures de protection. J'ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j'ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.

    En ce qui concerne les méthodes d'analyse statistique. L'analyse statistique des études scientifiques, y compris l'analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d'observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d'erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d'analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.

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  20. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l'épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d'évolution des maladies dans la population. J'ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J'ai des connaissances d'expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J'ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
    En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l'imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l'imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d'énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux...). J'ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j'ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J'ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

    https://fr.sott.net/article/36473-Les-mesures-de-confinement-n-empechent-pas-les-deces-la-transmission-ne-se-fait-pas-par-contact-les-masques-n-apportent-aucun-benefice-les-vaccins-sont-intrinsequement-dangereux

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  21. Quand personne ne regardait, les compléments alimentaires ont guéri le cancer et le Covid-19


    Par Bill Sardi
    14 janvier 2021


    L'hormone de la glande thymus augmente manifestement le nombre de lymphocytes T, réduit le nombre de décès de 272 % parmi les patients atteints de COVID-19 gravement malades sans effets secondaires; Pourrait également être un remède contre le cancer; Peut être imité avec des pilules de zinc

    Dans une étude étonnante dont le public n'a pas entendu parler, l'injection sous-cutanée (sous la peau) de seulement 1,6 milligramme d'une hormone du thymus (thymosine alpha-1) pendant sept jours chez des patients atteints de coronavirus COVID-19 sur un lit de mort sévère augmente considérablement la T -Cellule compte et réduit le taux de mortalité de 272 % (de 30 % à 11 %) sans effets secondaires.

    Cette étude étonnante, qui émane de Wuhan, en Chine, l'épicentre initial de la pandémie COVID-19, indique qu'un remède salvateur pour les infections sévères à coronavirus COVID-19 est à portée de main. Le rapport, publié dans la revue Clinical Infectious Diseases, est une étude historique en raison de son effet démontrable, même parmi les patients les plus gravement malades confrontés à une mort imminente.

    Dans une étude parallèle publiée dans la revue International Immunopharmacology, le traitement hormonal du thymus à court terme (5 jours ou plus) a considérablement réduit la survie à 28 jours, mais pas la mortalité à 60 jours, probablement parce que le traitement n'a pas été poursuivi.

    Ces derniers temps, il est devenu évident que les lymphocytes T (globules blancs produits dans le thymus) sont supérieurs aux anticorps pour assurer une immunité à long terme contre les maladies infectieuses. Les cellules à mémoire T activent non seulement les anticorps, mais sont également capables de «supprimer complètement la réplication virale ou d'éradiquer complètement le virus».

    L'hormone du thymus (thymosine-A1), une thérapie approuvée pour les maladies infectieuses et le cancer, est présentée comme «un espoir hors de la boîte dans la catastrophe du COVID-19».

    Pas pour la prévention

    Les injections de thymosine-A1 ne sont pas bénéfiques pour les patients en bonne santé dont le nombre de lymphocytes T. Ainsi, le traitement ne servira à prévenir aucune maladie infectieuse, y compris le COVID-19, mais exerce un effet salvateur démontrable chez les patients gravement malades. Des effets secondaires sont rapportés lors d'injections de thymosine-A1 chez des individus en bonne santé.

    Rien n'a été fait contre le déclin de l'hormone thymique lié à l'âge

    Le système immunitaire s'affaiblit avec l'âge et on ne fait pas grand-chose à ce sujet. L'épuisement de l'hormone du thymus est la principale raison de ce déclin de l'immunité lié à l'âge.

    Produite dans le thymus, la thymosine-A1 est un composant naturel et essentiel du système immunitaire humain. C'est ce sur quoi le corps humain s'appuie pour repousser les maladies infectieuses. Le retrait du thymus entraîne la mortalité des animaux de laboratoire.

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  22. Il y a plus de dix ans, un rapport dans Future Medicine affirmait que «les thérapies à base de thymosine ont le potentiel de traiter les deux causes de décès les plus répandues aux États-Unis - le cancer et les maladies cardiovasculaires.»

    Un rapport plus récent a «fortement recommandé» la thymosine-A1 chez les patients cancéreux subissant une chimiothérapie. La thymosine-A1 est également présentée comme un «amplificateur de vaccin». La thymosine-A1 peut également être ajoutée aux vaccins en tant qu'adjuvant.

    Thymosine-A1 et cancer

    La thymosine-A1 est un médicament déjà approuvé pour les maladies d'immunodéficience et a une application thérapeutique directe et même curative comme traitement anticancéreux via sa capacité à minimiser l'immunosuppression et à inhiber les facteurs de croissance du cancer (facteur de croissance endothélial vasculaire ou VEGF) et peut donc servent également à éviter la perte de vision due à la croissance de vaisseaux sanguins anormaux dans le centre visuel des yeux (dégénérescence maculaire).

    La thymosine-A1 a été utilisée avec succès pour traiter les patients atteints d'un cancer du poumon. Les recherches les plus récentes préconisent la thymosine A-1 pour le cancer du sein.

    À tout le moins, la thymosine A-1 pourrait être utilisée pour traiter les infections opportunistes chez les patients subissant une chimiothérapie anticancéreuse.

    Traîner les pieds dans la médecine moderne

    La thymosine A-1 a été isolée pour la première fois à la fin des années 1970. Étant donné que la glande thymus est le principal organe immunitaire, il n'y a pas d'explication adéquate pour le pied traînant dans la médecine moderne pour mettre en œuvre un traitement de thymosine élevant les lymphocytes T chez les patients immunodéprimés, préconisé en 1976 et même avant. Plus de quatre décennies se sont écoulées depuis que la thymosine-A1 a été isolée pour la première fois et les premières études «n'ont pas été en deçà des attentes».

    Thymosin-A1 est autorisé dans 37 pays pour le traitement de l'hépatite et comme adjuvant et stimulant immunitaire. Des milliers de patients ont été traités en toute sécurité et avec succès avec la thymosine-A1 (T-A1 «le profil de sécurité est excellent et est pratiquement dépourvu de toxicité», ce qui est plus que ce que l'on peut dire des vaccins).

    Ce remède «étonnant» a été éclipsé par des anticorps monoclonaux moins efficaces (remdesivir) qui sont approuvés pour le traitement du COVID-19.

    Thymosine-A1 par voie orale

    La thymosine-A1 par voie orale est absorbée par voie orale et est l'ingrédient le plus puissant de la poudre de thymus, présentant une activité biologique 10 à 10 000 fois supérieure à celle de l'extrait de thymus brut. La thymosine A1 pure chimiquement synthétique n'est pas abordable pour la plupart des gens. (Les extraits de glande de thymus ne doivent pas être pris par des adultes en bonne santé.)

    Booster indirect de thymosine: zinc

    L'oligo-élément zinc est considéré comme le gardien de la surveillance immunitaire, le mécanisme par lequel les globules blancs recherchent et détruisent les organismes anormaux (bactéries, virus, cellules tumorales).

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  23. Le moyen indirect de stimuler la thymosine-A1 est de compléter le régime alimentaire avec du zinc, car la thymosine-A1 est une chaîne de 28 acides aminés dépendante du zinc (peptide). La supplémentation en zinc augmente le nombre de lymphocytes T.

    La supplémentation en zinc augmente de 5 fois les niveaux d'hormone du thymus chez les personnes carencées en zinc.

    Il y a plus d'une décennie, la thymosine, la thymosine + le zinc et le zinc seuls étaient répertoriés comme ayant des effets positifs sur un système immunitaire affaibli.

    Une carence en zinc entraîne non seulement l'involution (rétrécissement) du thymus de la taille d'une noix à la taille d'un pois avec l'âge et altère la capacité du thymus à produire des hormones peptidiques (acides aminés) telles que la thymosine -A1.

    COVID-19 et zinc

    Une étude récente révèle que les patients atteints de COVID-19 ont des niveaux particulièrement faibles de zinc et de sélénium. Près de 20 % des survivants du COVID-19 ont de faibles niveaux de zinc / sélénium contre 50 % des non-survivants.

    Des niveaux adéquats de zinc / sélénium sont associés à une plus grande survie. Une carence en sélénium est également associée à la mortalité par COVID-19.

    Une étude révèle que 24 % des personnes âgées ne consomment pas suffisamment de zinc et 14 % ont de faibles taux sanguins de zinc et ont vraisemblablement de faibles taux d'hormone thymus.

    Thymosine-A1 et survie au cancer

    Les chercheurs appellent maintenant à une «réévaluation de la thymosine A1 pour le traitement du cancer».

    On a constaté que la thymosine-A1, le zinc et le zinc + la thymosine-A1 produisent des effets positifs similaires chez les patients cancéreux.

    Thymosine et mélanome

    Des rapports publiés font état de rémissions prolongées du cancer chez les patients supplémentés en zinc. Le plus remarquable est le rapport d'une survie de 57,8 mois (presque 5 ans) lorsque des patients atteints de mélanome métastatique (propagation) ont reçu de la thymosine-A1 + un anticorps monoclonal. La survie n'était que de 7,4 mois avec l'anticorps monoclonal seul.

    Supplémentation en zinc et cancer

    Une découverte inattendue a été l'utilisation d'ionophores de zinc (liants) qui entraînent plus de zinc à l'intérieur des cellules vivantes pour le traitement du paludisme, ce qui a entraîné une réduction de la mortalité par cancer.

    Le zinc réduit le développement de tumeurs cutanées chez les animaux de laboratoire.

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  24. Dans une étude humaine, parmi 196 patients recevant du zinc contre 71 qui n'ont pas reçu de zinc, la fonction hépatique s'est détériorée chez les patients qui n'ont pas reçu de zinc sur une période de 3 ans. L'incidence du cancer du foie était de 24,9 % chez les patients n'ayant pas reçu de zinc contre 9,5% chez les patients ayant reçu un supplément de zinc.

    Avez-vous déjà entendu parler d'un oncologue qui prescrit du zinc ?

    Si vous réfléchissez à ce que vous venez de lire sur la thymosine-1A et le zinc, vous réalisez peut-être qu'une percée majeure dans le cancer a eu lieu pendant la pandémie de COVID-19 qui n'a pas été signalée par les autorités sanitaires et les médias. Les soins personnels seront le seul moyen pour le public de profiter de cette percée.

    Pourquoi vacciner?

    La portée étroite actuelle de la médecine moderne, qui semble être uniquement axée sur la vaccination contre une infection à coronavirus signalée, qui tue 1 / 10e d'un pour cent de la population (379 000 décès parmi 325 000 000 d'Américains = 0,001 risque), et seulement 6% des ces décès impliquent le COVID-19 seul, les facteurs comorbides (maladies cardiaques, diabète, etc.) étant une cause plus probable de décès chez les Américains âgés fragiles. Cela suggère seulement 22 740 décès uniquement dus au COVID-19, soit seulement 7 décès sur 100 000. Cela signifie qu'il faudrait vacciner 14 285 personnes pour sauver une vie, une politique de sur-vaccination massive. 99% de la population américaine ne bénéficierait pas d'une vaccination de masse avec un vaccin à ARN COVID-19.

    Les vaccins actuels sont testés pour leur capacité à réduire de manière transitoire les symptômes de l'infection au COVID-19 et ne sont pas testés pour leur capacité à réduire les taux de mortalité, ce qui nécessite des études à long terme. Par conséquent, sur la base des preuves disponibles, il peut être conclu que la supplémentation en thymosine A1 et en zinc offre des preuves plus valables de thérapie vitale et de prévention du COVID-19 que la vaccination.

    Extraits de glande de thymus

    Des extraits de thymus d'origine animale (veaux) sont disponibles sous forme de compléments alimentaires. Deux sources seraient le thymulus de Nature’s Way et les peptides thymiques lyphoactivés de formules écologiques. (Encore une fois, à prendre uniquement en cas de maladie.)

    Suppléments de zinc

    Il existe de nombreuses formes de suppléments de zinc (acétate de zinc, citrate, gluconate, monométhionine, picolinate, oxyde, ce dernier étant moins résorbable). Le zinc carnosine (polaprezinc) est plus facile pour le tube digestif et est conseillé pour l'éradication de H. pylori, une bactérie responsable des ulcères gastriques. Une dose de 30 mg de zinc par jour est conseillée pour les adultes par le Dr Ananda Prasad, l'autorité régnante sur la nutriture au zinc. Les pastilles de zinc (de préférence avec des ionophores) sont recommandées dans le protocole de gestion des soins intensifs, à prendre 5 fois par jour, en particulier lorsque des symptômes d'essoufflement ou de perte d'odorat et de goût apparaissent (qui sont des signes de carence en zinc) ou en cas de rhume, grippe ou une infection à coronavirus se produit. Les pastilles de zinc sont considérées comme la chose la plus proche d'un remède contre le rhume.

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  25. Addendum: La maladie de verrouillage est un phénomène répandu qui a commencé avec la mise en quarantaine obligatoire et le confinement des populations humaines dans leurs maisons. Il émane de la surconsommation d'alcool, de café, de thé et d'aliments sucrés pendant la pandémie, ainsi que de la dépendance à l'égard des pilules diurétiques, des antiacides et des antidiabétiques (metformine), qui interfèrent avec la vitamine B1, un élément essentiel. nutriment qui contrôle le système nerveux autonome (automatique) et produit des symptômes similaires à une infection virale (toux chronique, essoufflement, diarrhée / constipation, fièvre, ainsi que perte d'odorat et de goût, sans véritable infection virale. En savoir plus sur la serrure - maladie du bas ici.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/no_author/when-no-one-was-looking-dietary-supplements-cured-cancer-covid-19/

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  26. Nous sommes en guerre


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale
    14 janvier 2021
    Préface de Gary G. Kohls, MD


    «Nous, les gens ordinaires, sommes en guerre contre un système mondialiste élitiste de plus en plus autoritaire et tyrannique, dirigé par un petit groupe de multi-milliardaires, qui prévoyait - il y a déjà des décennies - de prendre le pouvoir sur le peuple, de le contrôler, de réduire à ce qu'une élite minuscule croit être un «nombre adéquat» pour habiter la Terre Mère - et pour numériser et robotiser le reste des survivants, comme une sorte de serfs. C'est une combinaison de "1984" de George Orwell et de "Brave New World" d'Aldous Huxley. - Peter Koenig

    Il est grand temps que chaque personne craintive, désespérée, en colère, meurtrière, déprimée et suicidaire dans le monde (qui représente les 99,9 % inférieurs) et qui est correctement préoccupée par l'avenir d'elle-même et de ses enfants, reconnaisse enfin que c'est la ultra-riche, sociopathe, supérieur de 0,001% qui tente à nouveau de prendre le contrôle TOTAL de tout. Leur plan ultime pour obtenir le contrôle a été appelé dans le passé le «Nouvel ordre mondial» (dans la crise actuelle de Covid, qui a été cooptée [et orchestrée?) Par le langage du Forum économique mondial, «The Great Reset». ).

    Il est temps pour chaque personne dans les 99% inférieurs de se réveiller aux réalités qui donnent à réfléchir si bien décrites ci-dessous par Peter Koenig, et de se rendre compte qu'il existe un ennemi commun auquel un front uni doit lutter activement. Libéraux et conservateurs; noirs et blancs; Chrétiens, juifs et musulmans; Républicains, Indépendants et Démocrates moyens; Fascistes, socialistes, communistes et antifascistes, américains et non américains; même les militants du KKK, Antifa et BLM ont une cause commune d'arrêter de se battre et de s'unir pour combattre ce que Koenig décrit avec précision comme les vrais ennemis.

    Veuillez lire et relire cet acte d'accusation puissant et transmettre les informations. (Et ne vous attendez pas à ce que les shillings inconscients du WEF dans les médias grand public et le gouvernement comprennent ce à quoi ils semblent avoir été aveugles tant qu'ils «faisaient bien».)

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  27. Nous sommes en guerre. Oui. Et je ne parle pas de l’Occident contre l’Est, de la Russie et de la Chine, ni du monde entier contre un virus corona invisible.

    Non. Nous, les gens ordinaires, sommes en guerre contre un système mondialiste élitiste de plus en plus autoritaire et tyrannique, régné par un petit groupe de multimilliardaires, qui prévoyait il y a déjà des décennies de prendre le pouvoir sur le peuple, de le contrôler, de le réduire. à ce qu'une élite minuscule croit être un «nombre adéquat» pour habiter la Terre Mère - et pour numériser et robotiser le reste des survivants, comme une sorte de serfs. C'est une combinaison de "1984" de George Orwell et de "Brave New World" d'Aldous Huxley.

    Bienvenue à l'ère des transhumains. Si nous le permettons.

    Vaccination

    C’est la raison pour laquelle la vaccination est nécessaire à la vitesse de la chaîne, pour nous injecter des substances transgéniques susceptibles de modifier notre ADN, de peur que nous ne nous réveillions, ou du moins qu’une masse critique ne devienne consciente - et change la dynamique. Parce que la dynamique n'est pas prévisible, surtout pas à long terme.

    La guerre est réelle et plus tôt nous nous en rendons tous compte, plus tôt ceux qui portent des masques et ceux qui se distancient socialement prennent conscience des situations dystopiques «anti-humaines» mondiales que nous avons permis à nos gouvernements de nous conférer, meilleures sont nos chances de reprendre. notre moi souverain.

    Aujourd'hui, nous sommes confrontés à des règles totalement illégales et oppressives, toutes imposées sous prétexte de «protection de la santé».

    La non-obéissance est passible d'énormes amendes; règles appliquées par l'armée et la police: port de masque, éloignement social, maintien dans le rayon autorisé de nos «maisons», mise en quarantaine, éloignement de nos amis et familles.

    En fait, le plus tôt, Nous, le Peuple, prendrons une vieille caractéristique oubliée du genre humain - la «solidarité» - et livrerons cette guerre avec notre solidarité, avec notre amour l'un pour l'autre, pour l'humanité, avec notre amour pour la VIE et notre L'amour pour la Terre Mère, plus tôt nous redeviendrons des êtres indépendants et sûrs d'eux-mêmes, un attribut que nous avons perdu progressivement au cours des dernières décennies, au plus tard depuis le début de l'assaut néolibéral des années 1980.

    Les droits de l'homme et les droits civils, tranche par tranche, ont été coupés sous de faux prétextes et de la propagande - la «sécurité» - au point que nous, noyés dans des dangers propagés de toutes sortes, avons supplié pour plus de sécurité et cédé volontiers davantage de nos libertés et les droits. Quelle tristesse.

    Maintenant, le salami a été coupé en tranches.

    On réalise soudain qu'il ne reste plus rien. Son irrécupérable.

    Nous avons permis que cela se produise sous nos yeux, car le réconfort et la propagande promis se trouvent par ces petits groupes d'élitistes - par les mondialistes, dans leur soif de pouvoir sans fin et de cupidité sans fin - et des augmentations sans fin de leurs richesses, de leurs milliards. - Les milliards d'une union monétaire sont-ils des «richesses»? - Sans aucun doute. Ils n'ont aucun amour. Aucune âme, aucun cœur, juste une pompe à sang mécanique qui les maintient en vie, si vous pouvez appeler cela une «vie».

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  28. Ces gens, les mondialistes, ils ont plongé si profondément dans leur dysfonctionnement moral, totalement dépourvu d'éthique, que leur temps est venu - soit d'être jugés au regard des normes internationales des droits de l'homme, des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité - comme cela a été fait par le Procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, ou disparaître, aveuglés par une nouvelle époque de Lumière.

    Alors que le nombre de personnes s'éveillant augmente, les puissances occidentales (PTB) deviennent de plus en plus nerveuses et n'épargnent aucun effort pour contraindre toutes sortes de personnes, para-gouvernementaux, personnel administratif, personnel médical, même des médecins indépendants à défendre et promouvoir le récit officiel.

    C'est tellement évident, quand on a connu ces gens en des temps «normaux», leurs opinions progressistes se sont soudainement tournées, de 180 degrés, vers le récit officiel, défendant les mensonges du gouvernement, les mensonges des «groupes de travail scientifiques» achetés qui «conseillent »Les gouvernements, et ainsi fournir aux gouvernements des alibis pour« resserrer les vis »un peu plus (remarques de Mme Merkel) autour du peuple, les personnes mêmes que les gouvernements devraient défendre et pour qui travailler; les mensonges et les messages trompeurs venant de «scientifiques» à qui on a peut-être promis «des échelles de carrière éternelles et sans fin», ou des vies dans un paradis caché?

    Que peuvent-ils obtenir de plus en essayant de renverser les opinions de leurs amis, pairs, patients sur la maladie d’horreur «covid-19»? - Peut-être quelque chose qui est aussi bon que la vie elle-même - et qui est fondamentalement gratuit pour les riches avares. Par exemple, un certificat vax sans avoir été vaxxé par les injections toxiques, peut-être par un placebo - leur ouvrant le monde du voyage et des activités agréables comme «avant».

    Au fait, est-ce que quelqu'un a remarqué qu'en cette saison grippale hivernale 2020/2021, la grippe a pratiquement disparu? - Pourquoi? - Il a été commodément plié en covid, pour engraisser et exagérer les statistiques de covid. C’est un must, dicté par les mondialistes, l’échelon supérieur «invisible», dont les noms peuvent ne pas être prononcés. Les gouvernements doivent se conformer à des «quotas covid» pour survivre au marteau des mondialistes.

    D'autres avantages spéciaux pour les défenseurs sélectionnés et complaisants du récit officiel, le placebo-vaxxed, peuvent inclure la dispense de la distanciation sociale, le port de masque, la mise en quarantaine - et qui sait, une lourde récompense monétaire. Rien ne serait surprenant, quand on voit comment cette minuscule cellule perverse se développe comme un cancer pour prendre le plein pouvoir du monde - y compris et surtout la Russie et la Chine, où la majeure partie des ressources naturelles du monde est enterrée, et où les technologies et les progrès dépassent de loin la cupidité-économie de l'Ouest. Ils ne réussiront pas.

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  29. Et si les péons ne se comportent pas ? - Perte d'emploi, retrait des licences médicales, menaces physiques contre les familles et les proches, etc.

    Les actions maléfiques des mondialistes et le trafic d'influence frappent un mur à l'Est, où ils sont confrontés à des gens éduqués et éveillés.

    Nous sommes en guerre. En effet. Le 99,999 % contre le 0,001 %.

    Leurs tactiques se divisent pour conquérir, accompagnées de cette dernière idée brillante - lancer un ennemi invisible, un virus, une plandémie et une campagne de peur pour opprimer et tyranniser le monde entier, les 193 pays membres de l'ONU.

    Les mots tristement célèbres, prononcés il y a déjà plus d'un demi-siècle par le protégé de Rockefeller, Henry Kissinger, me viennent à l'esprit:

    «Qui contrôle l'approvisionnement alimentaire contrôle les gens; qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers; qui contrôle l'argent peut contrôler le monde. »

    Vous trouverez ci-dessous quelques lignes et réflexions sur un article du 1er janvier 2021, RT Op-Ed par Helen Buyniski intitulé «Guerre civile, discrimination médicale, satellites espions et cyborgs! Comment 2021 pourrait nous faire aspirer à 2020 ». L'article peut nous indiquer ce qui pourrait se passer en 2021, auquel nous n'aspirons certainement pas:

    «Partout dans le monde, les gens sont impatients de dire adieu à 2020, année au cours de laquelle nos vies ont été bouleversées par des élites folles de pouvoir qui ont saisi la pandémie de Covid-19 comme une chance de devenir un État policier à part entière.

    Mais faites attention à ce que vous souhaitez…. le simple fait de mettre en place un nouveau calendrier ne fait rien pour remédier [à la répression et à la tyrannie croissantes], qui semblent certains d'atteindre un point de rupture.

    L'humanité a été poussée à l'extrême avec des règles arbitraires, une pauvreté forcée et un isolement obligatoire - il ne faudra qu'une étincelle ou deux pour que les choses explosent.

    Et ça continue -

    «Au fur et à mesure que les vaccins seront diffusés auprès du grand public, le fossé entre ceux qui obéissent aux règles et les dissidents ne fera que croître. Ceux qui refusent de recevoir le jab seront traités comme des parias, bannis de certains espaces publics et se diront que c'est leur faute, la vie n'est pas revenue à la normale, tout comme les soi-disant «anti-masques» l'ont été. "

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  30. Et des perspectives plus glorieuses

    «Quiconque n’est pas enthousiasmé par l’idée d’ingérer un composé expérimental dont les fabricants ont été indemnisés de tout procès sera considéré comme un ennemi de l’État, même séparé de ses enfants ou éloigné de son domicile en tant que risque pour la santé. Les voisins se rateront joyeusement pour l'équivalent d'une ration de chocolat supplémentaire, ce qui signifie que même les individus les plus servilement obéissants pourraient se retrouver dans des «camps de concentration» pour avoir dérangé la mauvaise personne.

    Oui, nous sommes en pleine guerre.

    Une guerre qui a déjà ravagé notre société, l'a divisée en familles et en amis.

    Si nous ne faisons pas attention, nous ne pouvons pas regarder nos enfants et petits-enfants dans les yeux, parce que nous savions, nous aurions dû savoir ce qui se passait et ce qui se passe, ce qui est fait, par une petite élite du pouvoir sombre - les mondialistes. Nous devons sortir de notre zone de confort et affronter l'ennemi avec un esprit de conscience éveillé et un cœur rempli d'amour - mais aussi avec une résistance farouche.

    Si nous ne parvenons pas à nous lever et à défendre nos droits, cette guerre se poursuit pour préparer les générations futures - pour s'abstenir de se rassembler avec d'autres personnes.

    Ils endoctrinent déjà nos enfants pour qu'ils se tiennent à l'écart des amis, des collègues de l'école, des pairs et qu'ils ne jouent pas en groupe les uns avec les autres - comme la nouvelle norme.

    La cupule autoproclamée - la crème de la culture de la civilisation - les maîtres du mal mondialistes, déjà compromis et continuent de le faire, les systèmes éducatifs du monde entier pour inculquer aux enfants et aux jeunes adultes que le port de masques est essentiel à la survie, et " la distanciation sociale »est la seule voie à suivre.

    Doit voir la vidéo

    Enfants de la grande réinitialisation

    Briser le tissu social. Vers une règle totalitaire

    Eux, les mondialistes, savent très bien qu'une fois qu'une civilisation a perdu sa cohésion naturelle - le tissu social est brisé, le tissu même qui maintient une civilisation ensemble et progresse dynamiquement, ils ont gagné la bataille. Peut-être pas la guerre, car la guerre durera tant qu'il y aura de la résistance. La «progression dynamique» - ou simplement la dynamique elle-même - est leur cauchemar, car la dynamique est ce qui fait vibrer la vie - la vie, les gens, les sociétés, des nations entières et des continents. Sans dynamique, la vie sur la planète resterait immobile.

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  31. Et c'est ce qu'ils veulent - un dictateur mondialiste, contrôlant une petite population de serfs ou d'esclaves robotisés, qui ne bougent que lorsqu'on leur dit, ne possèdent rien et reçoivent un revenu universel contrôlé par la blockchain numérique, qui, en fonction de leur comportement et de leur obéissance, ils peuvent utiliser pour acheter de la nourriture, du plaisir et du confort. Une fois que les esclaves sont inutiles ou incorrigibles, leurs cerveaux contrôlés électroniquement sont simplement désactivés - RIP.

    Cela peut s'avérer être la guerre la plus dévastatrice que l'humanité ait jamais menée.

    Puissions-nous, le peuple, voir à travers cette horrible imposture qui se joue déjà maintenant, dans la première année de l'Agenda 21/30 des Nations Unies;

    Et puissions-nous, le Peuple, les Communs, gagner cette guerre contre une élite assoiffée de pouvoir et ses administrateurs et «scientifiques» achetés à travers le monde - et restaurer une société souveraine, démasquée et socialement cohérente - dans la solidarité.

    Reprinted with permission from Global Research.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/no_author/784733-2/

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    Réponses
    1. (...) «Nous, les gens ordinaires, sommes en guerre contre un système mondialiste élitiste de plus en plus autoritaire et tyrannique, dirigé par un petit groupe de multi-milliardaires, qui prévoyait - il y a déjà des décennies - de prendre le pouvoir sur le peuple, de le contrôler, de réduire à ce qu'une élite minuscule croit être un «nombre adéquat» pour habiter la Terre Mère - et pour numériser et robotiser le reste des survivants, comme une sorte de serfs. C'est une combinaison de "1984" de George Orwell et de "Brave New World" d'Aldous Huxley. - Peter Koenig (...)

      Arrêtons-nous en premier sur cette phrase. 'dirigé par un petit groupe de multi-milliardaires'.
      En quoi ces personnes ont-elles de la valeur ? Elles ont de l'or ? Mais au fait, qui fixe le prix de l'or ? Elles ont des billets de mille ? Mais au fait, qui imprime les images de Mickeys ? Elles ont des billions sur leur compte en banque ? Mais au fait, qui a inventé ces chiffres sur un clavier d'ordinateur ?
      Compte tenu que ces personnes ne sont pas des géantes de 50 pieds d'hauteur et qu'elles n'ont pas un cerveau plus développé que le mien, en quoi me seraient-elles supérieures ?

      Elles ont les armes ! Les armes, c'est tout !

      Vous refusez de vous appauvrir en puisant dans vos économies: ils vous envoient l'huissier, la police, l'armée !

      Suffit juste de refuser.

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  32. Comment COVID a ouvert la voie au servage


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 13 JANV 2021-23: 25
    Rédigé par Rob Sutton via TheCritic.co.uk,


    The Road to Serfdom de Friedrich Hayek maintient une influence presque inégalée sur l’imagination politique des penseurs libéraux conservateurs et classiques. Publié en 1943, à la hauteur du consensus keynésien, il élabore une vision du monde jugée intolérable dans le cadre de l'économie académique.

    La thèse centrale de The Road to Serfdom est que la descente dans la tyrannie est la trajectoire ultime et inévitable d'une société dans laquelle la souveraineté de l'individu est subvertie par l'accumulation du pouvoir économique par l'État. La planification centrale conduit invariablement à l'autoritarisme. Hayek n'est pas timide en faisant ces affirmations.

    En étudiant les systèmes politiques apparemment disparates qui ont dominé l'Europe à la veille de la Seconde Guerre mondiale (communisme, fascisme, socialisme), Hayek a conclu qu'ils avaient chacun un objectif commun - le développement d'un État totalitaire. Malgré leurs objectifs sociaux et économiques contrastés, chacun nécessitait la consolidation centrale du pouvoir et la planification explicite d'une économie pour atteindre ces objectifs.

    En tant que tels, leurs saveurs politiques distinctes étaient en grande partie sans rapport avec leur destination finale. La position le long de l'axe politique était moins importante que la plupart des commentateurs ne l'avaient prédit. Le binaire Hayek était intéressé, plutôt que l'aile gauche contre l'aile droite, était de savoir si l'État utilise son autorité pour promouvoir la liberté individuelle ou pour la restreindre.

    Hayek a vu que les gouvernements de guerre de l'Allemagne nazie, de l'Italie fasciste et de la Russie communiste entraient tous dans cette dernière catégorie: ils sacrifiaient la liberté des individus pour donner à l'État le pouvoir d'atteindre ses propres objectifs. Ce faisant, leurs citoyens ont souffert de la même manière. La répression, la pauvreté et la mort sont la conséquence d'un gouvernement qui a pris en charge ces responsabilités auparavant assumées par des citoyens individuels.

    L’argument de Hayek a fait face à une lutte acharnée. Malgré son énorme popularité parmi les libéraux classiques et les décideurs politiques conservateurs, nous continuons à voir les machines politiques de la première moitié du XXe siècle à travers le prisme de leurs étiquettes auto-assignées, plutôt que sous le parapluie conséquentialiste de Hayek du collectivisme totalitaire.

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  33. Sa critique du socialisme n'est pas un argument gauche contre droite, mais une observation générale de la tendance des systèmes de gouvernement qui accumulent le pouvoir économique pour atteindre des objectifs sociaux à virer vers la répression. Les différentes étiquettes politiques ne sont que des positions différentes sur la route du servage, valorisant la planification économique centralisée par rapport à la liberté individuelle.

    En transcendant les étiquettes politiques traditionnelles et en regroupant les gouvernements en fonction de la manière dont ils exercent le formidable pouvoir de l'État, The Road to Serfdom gagne son attrait durable. Ses leçons sont un avertissement sévère pour quiconque croit qu'un gouvernement peut accumuler de vastes pouvoirs et les maintenir à des fins purement bénéfiques.

    La voie décrite par Hayek, dans laquelle les citoyens ayant droit à la liberté commerciale, à la propriété privée et à la primauté du droit pourraient finalement voir leur souveraineté individuelle devenir secondaire par rapport aux objectifs de l'État, est étonnamment bénigne dans son apparence superficielle. La transition n'est particulière à aucun moment, lieu ou position politique. Il n'y a pas de discontinuité ou de transition brusque de puissance. Le passage par lequel les individus se trouvent soumis se produit progressivement, et souvent dans des endroits où les commentateurs ne le croiraient pas possible.

    Pour Hayek, la liberté économique est aussi inséparable de la liberté individuelle. Lorsque la liberté économique de l'individu est remise à l'État, c'est une étape clé vers un gouvernement totalitaire. La liberté économique est une condition nécessaire de la liberté individuelle. La liberté individuelle ne peut pas exister longtemps sans liberté économique.

    Hayek observe que la transition du pouvoir des individus vers l'État est presque toujours volontaire, du moins au début. Les coups d'État militaires et les assassinats politiques se produisent généralement tard le long de la route, après que le pouvoir de l'État a déjà accumulé un pouvoir considérable, et sont plus un symptôme qu'une cause. Le plus important est le sacrifice constant et insidieux de la liberté économique effectué par les citoyens en échange de la sécurité. Les individus attendent de leur gouvernement qu'il remplisse un rôle de plus en plus grand dans la fonction économique de leur pays et en tant que tel dans leur vie, et ceux qui sont au gouvernement qui souhaitent le pouvoir sont trop heureux d'accepter.

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  34. Le transfert de pouvoir est trop lent pour déclencher l'alarme, mais il n'est jamais sans coût et, lorsqu'il se produit régulièrement, il permet à l'État d'acquérir progressivement des instruments d'une énorme influence sociale et économique. La nature de la société est telle qu'elle finit par devenir psychologiquement dépendante de l'État; à chaque nouveau problème, ses citoyens se tournent vers leurs planificateurs centraux dans l'attente d'une solution. L'expérience prime sur la responsabilité personnelle.

    Et au fur et à mesure que ce pouvoir s'accumule, au lieu des instruments des États au service de leurs citoyens, un changement commence à se produire. Les citoyens sont de plus en plus invités à servir les instruments de l'État, plutôt que l'inverse, souvent pour atteindre un objectif vague de bien-être général.

    Nous l'avons vu pendant la pandémie actuelle avec le slogan omniprésent «Protégez le NHS». Pourtant, peu d’entre eux ont osé se demander pourquoi on nous demande de sacrifier ces libertés durement acquises au nom d’une institution étatique. A ceux qui voudraient signaler l’égoïsme apparent d’un tel questionnement, Hayek note que les crises qui précipitent le passage du pouvoir de l’individu au collectif sont souvent motivées au départ par des conceptions du «bien public» dans lesquelles une réponse nationale unifiée est exigée. .

    Le NHS a été, bien entendu, fondé avec les intentions les plus nobles. Mais cela ne veut pas dire que nous ne devons pas nous demander pourquoi nous nous sommes maintenant retrouvés, plus de 70 ans après sa naissance, dans une situation où toutes les facettes de la vie publique ont été réorientées pour protéger un instrument de l'État, vers lequel les carrières politiques de nos planificateurs centraux sont intrinsèquement liés.

    Le chemin vers une société oppressive commence généralement par des mesures de protection adoptées avec de bonnes intentions, comme cela s'est produit avec Covid-19. Une première étape courante sur la route est l'urgence nationale. Cela peut être une guerre, une dépression économique, une impasse politique ou une pandémie. Les citoyens sont prêts à accepter qu'une restriction temporaire de la liberté individuelle soit nécessaire pour surmonter une crise nationale.

    Une asymétrie entre l’urgence que la crise initiale exigeait et la soif du public de protéger ses libertés personnelles est exploitée. On suppose que les libertés perdues seront rapidement récupérées. Cette asymétrie, prise lors de l'inondation, permet d'étouffer facilement les premiers sceptiques. Pourtant, le pouvoir reste centralisé même après la crise initiale. Des arguments selon lesquels «ce qui est bon en temps de guerre est bon en temps de paix» surgissent. Les personnes qui pourraient personnellement tirer profit de l'accumulation du pouvoir hésitent à rendre le contrôle à des citoyens qui y avaient auparavant renoncé de bonne foi. Une stratégie de sortie n'est pas à venir.

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  35. Ces difficultés sont exacerbées dans les pays «avancés». Les institutions de l'État en Grande-Bretagne ont atteint un tel point qu'il ne s'agit que d'un petit aspect de la vie publique qui ne soit pas réglementé par un contrôle ministériel. Une influence considérable est exercée sur les aspects de plus en plus haute résolution de la vie individuelle. Le gonflement des manifestes des partis à chaque élection en témoigne, et l'intrusion croissante de l'État dans nos vies le prépare pour un exécutif qui est prêt à exercer ce pouvoir sans retenue.

    Un État qui accepte volontiers la responsabilité des détails de la vie de ses citoyens les infantilisera inévitablement dans une certaine mesure. Et lorsque de nouvelles difficultés surgissent, les citoyens sont émotionnellement conditionnés à s'attendre à ce que l'État intervienne à nouveau. La sphère d’influence de l’individu est réduite à mesure que la sphère collectiviste du gouvernement s’élargit pour former un récit politique et moral de plus en plus complet.

    Plutôt que de faire face à la difficulté de construire un consensus politique pendant le Covid-19, nous avons plutôt vu la concentration des pouvoirs exécutifs hors de la portée du contrôle parlementaire. Les politiques mises en œuvre n'ont pas d'objectif clair («sauver des vies» est vague, inutile et, on l'espère, l'objectif par défaut naturel de la politique de toute façon) et aucune stratégie de sortie claire.

    La portée s'est étendue au-delà des mesures qui pourraient être considérées dans le domaine de la santé publique pour atteindre des prescriptions absurdement détaillées sur la façon dont nous devrions vivre. Où devons-nous aller au travail, quels types d'entreprises sont suffisamment importants pour continuer, avec qui nous devons socialiser et dans quelles heures, comment les institutions démocratiques peuvent se réunir, quelles causes peuvent être légitimement contestées.

    Ces objectifs vont clairement bien au-delà de ce qui pourrait raisonnablement être décrit comme relevant des limites de la santé publique. Et avec ce pouvoir accumulé, les gouvernements semblent mettre en place des restrictions pitoyablement détaillées alors qu'ils tentent de se substituer au bon sens: quelle voie aller dans un supermarché, quels produits sont jugés «essentiels» par les planificateurs du gouvernement, à quelle distance nous devons nous tenir, où grand-mère devrait s'asseoir à la table du dîner.

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  36. Les mesures déployées au nom d'une urgence de santé publique ne sont pas des mesures de santé publique. Ils sont, au contraire, une prescription sociale et économique globale sur la façon dont nous devons vivre et travailler, autorisée par un exécutif utilisant des mesures extraparlementaires qu'ils soutiennent que la complexité et la gravité de la situation ont nécessité.

    Tout système de planification centrale est nécessairement une mauvaise imitation de l'innombrable complexité capturée par une économie de marché libre. Les tentatives des comités centraux d'attribuer aux produits et services des valeurs qui ne peuvent être véritablement attribuées que par les citoyens introduisent une inefficacité. Mais Hayek ne préconise pas une économie de laissez-faire. Il fait valoir qu'il existe un devoir naturel de «planification» du gouvernement: uniformiser les règles du jeu pour ceux qui s'engagent dans le commerce et réduire les obstacles à l'entrée sur le marché. Ceci en opposition à une vision de «planification» qui utilise le contrôle économique pour atteindre des objectifs sociaux spécifiques.

    Ces deux catégories de planification sont nécessairement exclusives. La planification ne peut pas être réalisée avec l'objectif d'une intervention sociale sans nécessairement fausser les marchés et produire des obstacles au libre-échange, quel qu'en soit le but. Les mesures radicales introduites pour réduire la transmission de Covid-19 le démontrent clairement: les petites entreprises ont terriblement souffert, tandis que des géants tels qu'Amazon ont consolidé leur emprise sur le marché.

    La Grande-Bretagne est généralement une nation de consensus politique. Depuis la Seconde Guerre mondiale, à l'exception de l'avènement du thatchérisme, il y a eu un transfert unidirectionnel et régulier du pouvoir des citoyens individuels aux mains du gouvernement. Étant si disposés à accepter les prescriptions du gouvernement pour réglementer les aspects les plus infimes de notre vie quotidienne, nous avons préparé le terrain pour un événement tel que la pandémie actuelle, précipitant un passage dramatique d'une société dans laquelle l'individu est souverain à une société en dont leurs besoins sont secondaires à ceux de l'État et de ses institutions.

    Le message ultime de Hayek est que, en ce qui concerne la relation entre l’État et ses sujets, rien n’est gratuit. Ce que le gouvernement nous donne exige nécessairement le sacrifice de la responsabilité individuelle. La sécurité n'est pas sans coût et la liberté ne peut être protégée qu'à un prix. Le seul système véritablement progressiste est celui qui respecte l'individualisme au-dessus du collectivisme.

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  37. Les vies que nous pourrions sauver en réduisant la transmission grâce à des verrouillages seront finalement payées sur toute la ligne. Soit par ces conditions que nous avons jugées secondaires par rapport à Covid-19, ces crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancers étant diagnostiqués et traités trop tardivement, soit par le coût d'opportunité innombrable de l'innovation étouffée dans une société dont le gouvernement a obtenu une plus grande dimension économique et sociale. contrôle depuis la Seconde Guerre mondiale. La liberté, durement acquise, se perd facilement.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/how-covid-paved-road-serfdom

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  38. «Nous pensons que nous allons vivre avec ce virus pour toujours», selon le PDG de Moderna


    14 janv. 2021, 15:51


    Le PDG du fabricant du vaccin Moderna contre le Covid-19 a averti que le nouveau coronavirus qui a paralysé les économies mondiales et submergé les hôpitaux sera présent «pour toujours». Comme le rapporte la télévision américaine CNBC, Stéphane Bancel, PDG du laboratoire pharmaceutique Moderna Therapeutics, a estimé le 13 janvier que «le Sars-CoV-2 [sigle scientifique du nouveau coronavirus] ne disparaîtra[it] pas».

    «Nous pensons que nous allons vivre avec ce virus pour toujours», a-t-il déclaré lors d'une table ronde lors de la conférence organisée par le géant financier JPMorgan sur les soins de santé. Lire aussi Covid-19 : le régulateur européen donne son feu vert pour le vaccin Moderna Et le chef d'entreprise de souligner que le monde de la santé serait dorénavant amené à surveiller en permanence les nouvelles variantes du virus afin que les scientifiques puissent produire des vaccins pour les combattre.

    Selon des responsables de la santé publique cités par CNBC, il y aurait en effet une forte probabilité que le Covid-19 devienne une maladie endémique, c'est-à-dire qui sévit constamment dans les sociétés touchées. Les niveaux de contamination devraient toutefois probablement être inférieurs à la situation actuelle selon ces mêmes responsables. Plusieurs pays dont la France ont démarré leur campagne de vaccination fin décembre. Simultanément, l'Agence fédérale russe biomédicale a affirmé l'avant-dernier jour de l'année avoir développé et breveté un médicament unique dans son genre contre le Covid-19 et dont les essais pré-cliniques ont démontré une efficacité à 99 %.

    https://francais.rt.com/international/82720-nous-pensons-que-nous-allons-vivre-virus-toujours-pdg-moderna

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    1. Primo, le 'corona' est une grippe présente depuis 10 000 ans. Pourquoi s'arrêterait-elle ?
      Deuxio, le 'corona Mars 2020' n'a duré que 3 semaines (et un vaccin un peu tard arrive !)
      Tertio, comme il ne peut exister de masque antivirus, ni de délai raccourcis (à moins de 3 semaines) pour les vaccins, effectivement, le 'corona' existera encore dans 10 000 ans.

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  39. "655 personnes ont une richesse de 4 billions (4 mille milliards) de dollars, mais 200 millions ne peuvent pas couvrir une dépense de 1 000 dollars"


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 13 JANV 2021 - 19:25
    Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


    La pandémie COVID a fait grandir le fossé entre les ultra-riches et le reste d'entre nous plus qu'il ne l'a jamais été. Grâce aux politiques hyperinflationnistes de la Réserve fédérale et de nos politiciens à Washington, les cours des actions ont atteint des sommets sans précédent ces derniers mois. Cela a poussé la richesse des ultra-riches à des sommets vertigineux, mais pour le reste du pays, 2020 a été un cauchemar absolu. Comme je l'ai mentionné précédemment, une enquête a révélé que 2020 était un «désastre financier personnel» pour 55% de tous les Américains. Plus de 110000 restaurants ont fermé définitivement l'année dernière, les Américains ont déposé plus de 70 millions de demandes de prestations de chômage, et des dizaines de millions risquent d'être expulsés en 2021. Mais même si nous sommes embourbés dans la pire récession économique depuis la Grande Dépression des années 1930, ceux qui sont tout en haut de la pyramide économique rient jusqu'à la banque.

    Plus tôt dans la journée, je suis tombé sur un tweet de Sven Heinrich qui a vraiment touché une corde sensible chez moi ...

    655 personnes ont 4 billions de dollars de richesse.

    200 millions ne peuvent pas couvrir une dépense de 1 000 dollars.

    Je n'ai certainement aucun problème à ce que les gens gagnent de la richesse en travaillant extrêmement dur et en faisant de la société une meilleure place dans le processus.

    Mais la plupart des gens tout en haut de la pyramide économique n'ont augmenté leur richesse qu'en 2020 parce que les pouvoirs qui ont décidé d'ouvrir les tuyaux à incendie et de leur faire pleuvoir des sommes d'argent obscènes.

    Ce n’est pas juste.

    En raison des politiques profondément imparfaites mises en œuvre en raison de la pandémie COVID, l'écart entre «les gains d'actifs financiers et la santé de l'économie» a été le plus important jamais enregistré l'année dernière ...

    Mais alors que les indices boursiers ont organisé un énorme rebond par rapport aux creux observés en mars lorsque la pandémie a frappé pour la première fois, l'écart entre les riches et les pauvres a prolongé une tendance déjà croissante à des proportions historiques.

    Un rapport de BofA Global Research publié vendredi note qu'une mesure du différentiel entre les gains d'actifs financiers et la santé de l'économie a atteint un record à 6,3X en 2020.

    Mes lecteurs réguliers sont probablement fatigués de m'entendre dire que le marché boursier est devenu complètement séparé de la réalité économique, et maintenant nous avons un chiffre précis qui confirme ce que je dis depuis le début.

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  40. Au moment où j'écris cet article, le Dow Jones se situe juste au-dessus de 31 000, et c'est tout à fait absurde.

    Si le Dow Jones tombait à 15 000, il serait toujours surévalué.

    Pendant ce temps, une toute nouvelle enquête a révélé que seulement 39% de tous les Américains «seraient en mesure de couvrir une dépense inattendue de 1 000 $»…

    Selon un nouveau rapport de Bankrate.com, 39 % seulement des Américains seraient en mesure de couvrir une dépense inattendue de 1 000 $.

    C'est en baisse par rapport à 2020, lorsque 41% des gens ont déclaré qu'ils pouvaient couvrir un coût de 1 000 $ avec leurs économies.

    Si seulement 39 % des Américains ont actuellement assez d'argent pour une dépense aussi imprévue, cela signifie que 61 % des Américains n'en ont pas.

    Selon Google, la population actuelle des États-Unis est de 328 millions, et 61 % de 328 millions représentent un peu plus de 200 millions.

    C'est donc de là que Sven Heinrich a obtenu ce chiffre.

    200 millions d’entre nous ont si peu d’argent que nous en grattons à peine de mois en mois.

    Et selon l’un des principaux dirigeants de Walmart, nombre de leurs clients ne s’attendent à «aucune sorte de reprise rapide»…

    La chef de la clientèle de Walmart, Janey Whiteside, a déclaré mardi que beaucoup de ses acheteurs ne s'attendent pas à ce que l'économie rebondisse rapidement après la pandémie de coronavirus.

    Près de la moitié des clients interrogés en novembre ont déclaré à Walmart qu'ils s'inquiétaient de la santé actuelle de l'économie, a-t-elle déclaré lors de la conférence virtuelle de la National Retail Federation. Elle a dit que 40% ont déclaré qu'ils ne s'attendaient pas à «un quelconque rétablissement rapide».

    Malheureusement, ceux qui sont pessimistes quant à la performance de l'économie américaine en 2021 ont raison.

    Ce sera une année très douloureuse.

    Bien sûr, ce ne sont pas seulement les consommateurs qui sont préoccupés par l’année à venir. L'optimisme des petites entreprises diminue également…

    Un indicateur populaire de la confiance des petites entreprises aux États-Unis a chuté à son plus bas niveau en sept mois en décembre alors que des mesures de verrouillage plus strictes et une augmentation du nombre de cas quotidiens ont réduit l'activité économique.

    L'indice d'optimisme des petites entreprises de la Fédération nationale des entreprises indépendantes a chuté de 5,5 points le mois dernier à 95,9, selon un communiqué de mardi. La lecture tombe sous la valeur moyenne de l'indice depuis 1978 de 98 et marque le niveau le plus bas depuis mai. Les économistes interrogés par Bloomberg s'attendaient à ce que la jauge baisse légèrement à 100,2.

    Les Américains ont généralement tendance à être assez optimistes quant à l'avenir, mais pour l'avenir, il n'y a aucune raison d'être optimiste quant à l'économie américaine en 2021.

    La pandémie COVID continue de s'aggraver, de nouveaux verrouillages ont été institués dans tout le pays, notre gouvernement fédéral est dans un état de chaos et il y aura inévitablement plus d'émeutes, de pillages et de troubles civils dans les mois à venir.

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  41. De plus, il y aura sans aucun doute des surprises supplémentaires inattendues que la plupart des gens n'anticipent pas.

    Avant de conclure cet article, il y a encore une chose que je voulais mentionner. Un programmeur à San Francisco nommé Stefan Thomas est l'heureux propriétaire de 7 002 Bitcoin, mais il ne peut pas accéder à sa fortune car il a oublié le mot de passe, et il ne lui reste que deux essais avant d'être verrouillé définitivement ...

    Prenez Stefan Thomas, un programmeur à San Francisco, qui a déclaré au New York Times qu'il avait 7 002 Bitcoin cachés - d'une valeur actuelle d'environ 236 millions de dollars, près d'un quart de milliard de dollars - mais qu'il n'a aucune idée de comment y accéder et ne peut que deviner deux autres mots de passe avant d'être verrouillé pour toujours.

    Même en mettant de côté les perspectives à long terme de la cryptographie, le message clé de ces histoires d'horreur est que prendre les finances numériques en main est un risque énorme si vous ne pouvez pas gérer vos mots de passe.

    Pouvez-vous imaginer ce que vous ressentiriez si cela vous arrivait ?

    Malheureusement, on pourrait affirmer que la même chose se passe essentiellement dans le pays dans son ensemble.

    L'Amérique a «oublié le mot de passe» de ce qui nous a jadis rendus si grands, et nous sommes à court de chances.

    Espérons que nous nous réveillons avant qu'il ne soit trop tard, car le temps ne joue pas en notre faveur à ce stade.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/655-people-have-4-trillion-wealth-200-million-cant-cover-1000-expense

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  42. EN 2020, LES HACKERS N'ONT PAS CHÔMÉ : 4 FOIS PLUS DE CYBERATTAQUES


    par PAOLO GAROSCIO
    13/01/2021


    Le ransomware WannaCry demandait 270 euros par ordinateur bloqué.

    Les spécialistes de la cybersécurité l’ont dit tout le long de l'année : les pirates ont fortement profité de la pandémie et du chaos qu’elle a entraîné dans le monde pour multiplier leurs attaques. Si la majorité étaient des campagnes de phishing ou des arnaques, même lorsqu’il s’agit de cyberattaques plus complexes, l’augmentation a été un record.

    200 interventions de l’Ansi en 2020

    Guillaume Poupard, directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) en charge de protéger les systèmes informatiques en France, n’y est pas allé par quatre chemins sur BFMTV lundi 11 janvier 2021. Il explique que ses équipes ont fait tout simplement quatre fois plus d’interventions en 2020 par rapport à l’année précédente. « Dans les victimes qui font appel à l’Anssi, avec qui on est en contact, un chiffre à la louche : 50 opérations en 2019, 200 en 2020, donc c’est fois 4 ».

    Le nombre d’interventions n’est toutefois pas égal au nombre de cyberattaques : l’Anssi n’est appelée que lorsque le problème ne peut être résolu ou qu’il y a un risque majeur pour la sécurité de la France, comme par exemple en cas d’attaque ciblant des entreprises travaillant dans le secteur de la défense.

    Les ransomwares ont toujours la cote auprès des pirates

    Si le particulier est généralement la cible de campagnes de phishing visant à lui voler ses données personnelles ou bancaires, les entreprises sont encore et toujours ciblées par les rançongiciels (ou ransomwares) : des logiciels malveillants qui bloquent les systèmes informatiques d’une entreprise. Une fois que les pirates ont le contrôle de ces systèmes, ils demandent une rançon pour les débloquer.

    Tous les spécialistes de la sécurité sont concordes pour dire que les entreprises ne doivent pas payer : rien ne leur prouve en effet la bonne fois des pirates concernant la libération des systèmes, ni le fait que les pirates n’ont pas également volé des données ou ont installé d’autres logiciels malveillants. Seuls des spécialistes de la cybersécurité peuvent résoudre le problème et identifier les risques à venir.

    Sur le devant de la scène depuis l’attaque mondiale du ransomware WannaCry en 2017, ces logiciels ne cessent d’être développés, ce qui nécessite une adaptation en continu de la part des services de sécurité informatique.

    http://www.economiematin.fr/news-cyberattaque-2020-augmentation-anssi-risque-france-monde

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    1. Votre compte en banque vidé ?
      Le banquier: Ce n'est pas nous ! Ce sont les hackers !
      Des transhumains meurtriers massacrent leurs familles !
      Rothschild/Rockefeller: C'est pas nous ! Ce sont des hackers !

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  43. ARNAQUE : DE PLUS EN PLUS DE SITES FRAUDULEUX EN VEULENT À VOTRE ÉPARGNE


    par PAOLO GAROSCIO
    14/01/2021


    Entre juillet 2017 et juin 2019, les Franaçis ont perdu 1 milliard d'euros à cause des sites frauduleux.

    Sur le plan de l’épargne, 2020 a été l’année de tous les records : les Français ont continué de travailler ou de recevoir les aides de l’État, plus de 30 milliards d’euros rien que pour le chômage partiel (et ça continue)… tout en ne pouvant pas dépenser. Vacances annulées, magasins et restaurants fermés, confinement… Ils ont donc déposé cet argent sur leurs comptes bancaires. Et les pirates ont tenté d’en profiter.

    Le nombre de sites frauduleux ciblant l’épargne explose

    Les chiffres de l’épargne des Français en 2020 sont éloquents : plus de 130 milliards d’euros, du jamais vu. Pas étonnant que les pirates informatiques aient vu dans cette somme gigantesque l’occasion de tenter de voler de l’argent aux ménages. Comment faire ? Simple : en créant des sites frauduleux ciblant, justement, cette épargne non utilisée. Ça va des arnaques pures et dures aux supercheries plus construites… mais l’objectif est le même.

    L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) dévoile mercredi 13 janvier 2021 les chiffres de son analyse sur les sites frauduleux : elle en a identifié 1.081. Ces sites, qui n’avaient bien évidemment pas l’aval des autorités compétentes, proposaient des crédits, des plans d’épargne, des assurances… Tout est bon pour voler de l’argent.

    Des sites qui usurpent l’identité des établissements fiables

    Avec plus d’un tiers (361) sites identifiés sur le seul dernier trimestre 2020, la tendance semble plutôt s’accélérer que ralentir… ce qui ne laisse présager rien de bon pour 2021. L’argent mis de côté est en effet toujours là, et les pirates seront sans doute tentés de s’y attaquer.

    Les internautes doivent, en outre, redoubler de vigilance : comme le souligne l’ACPR, de plus en plus de sites ne se privent pas d’usurper l’identité d’établissements bancaires ou de compagnies d’assurance, pour paraître plus légitimes. 40 % des plus de 1.000 sites identifiés en 2020 utilisait cette technique qui vise à faire baisser la garde de l’épargnant.

    http://www.economiematin.fr/news-epargne-arnaque-fraude-site-internet-danger

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  44. Une nation qui implose: tyrannie numérique, insurrection et loi martiale


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 JAN 2021 - 0:05
    Rédigé par John Whitehead et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,


    «En cette journée difficile, en cette période difficile pour les États-Unis, il est peut-être bon de se demander quel genre de nation nous sommes et dans quelle direction nous voulons aller. [V] ous pouvez être rempli d'amertume, de haine, et un désir de vengeance. Nous pouvons aller dans cette direction en tant que pays, dans une grande polarisation… rempli de haine les uns envers les autres. Ou nous pouvons faire un effort… pour comprendre et comprendre, et pour remplacer cette violence, cette tache d'effusion de sang qui s'est répandue sur notre terre, avec un effort pour comprendre avec compassion et amour… Ce dont nous avons besoin aux États-Unis, ce n'est pas la division ; ce dont nous avons besoin aux États-Unis, ce n’est pas la haine; ce dont nous avons besoin aux États-Unis, ce n’est pas la violence ou l’anarchie; mais amour et sagesse, compassion les uns envers les autres, et sentiment de justice envers ceux qui souffrent encore dans notre pays, qu'ils soient blancs ou noirs.

    - Robert F. Kennedy sur l'assassinat de Martin Luther King, Jr.

    Voilà à quoi nous sommes réduits: une foule violente. Une nation au bord de la loi martiale. Une population assignée à résidence. Un État techno-corporatif exerçant son pouvoir d'immobiliser d'énormes pans du pays. Et une Constitution en lambeaux.

    Nous implosons sur plusieurs fronts, tous à la fois.

    C'est ce qui se produit lorsque l'ego, la cupidité et le pouvoir sont autorisés à prendre le pas sur la liberté, l'égalité et la justice.

    Pour être clair, cependant: ce n’est pas une révolution.

    C'est une bombe à retardement.

    Il n'y a absolument aucune excuse pour les violences qui ont eu lieu au Capitole le 6 janvier 2021.

    Pourtant, quelle que soit la façon dont vous le regardez, les retombées de cette tentative de coup d'État pourraient aggraver cet état de fait inquiétant.

    Premièrement, vous avez le président, qui a été accusé d’incitation à une émeute et qui fait maintenant face à une deuxième mise en accusation et à un scandale qui pourraient définitivement gâcher son héritage. Alors que le processus de destitution lui-même est une bête politique, la question de savoir si le président Trump a incité ses partisans à l'émeute en est une qui fait débattre même les meilleurs experts juridiques. Pourtant, comme l'explique David Hudson Jr., spécialiste du premier amendement, pour que la rhétorique de Trump soit dépouillée de ses protections en matière de liberté d'expression, «l'orateur doit avoir l'intention et utiliser réellement des mots qui incitent les gens à prendre des mesures illégales. Le danger doit être imminent - pas dans un avenir indéfini. Et les mots doivent être prononcés dans une situation où la violence est susceptible de se produire. »

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  45. Au minimum, les actions et les paroles de Trump - inconvenantes et imprudentes, selon toutes les normes - au cours de sa présidence et le 6 janvier ont contribué à faire bouillir une casserole.

    Deuxièmement, il y avait les soi-disant «patriotes» qui sont descendus dans la rue parce que le geôlier de leur choix n’a pas été choisi pour frapper la tête pendant encore quatre ans. Ces manifestants «Stop the Steal» se sont peut-être trompés (ou ont été trompés) en leur faisant croire qu'ils défendaient la liberté lorsqu'ils ont pris d'assaut le Capitole. Cependant, tout ce qu'ils ont vraiment fait, c'est de donner au Deep State et à ses entreprises partenaires une chance de tirer le rideau et de révéler le peu de liberté dont nous disposons vraiment. Il n'y a rien qui puisse être dit pour justifier les actions de ceux qui, armés de tuyaux métalliques, d'irritants chimiques, de pistolets paralysants et d'autres types d'armes, ont agressé et frappé ceux qui se trouvaient sur leur passage.

    Il y a des limites à ce qui peut être fait au soi-disant nom de la liberté, et ce niveau de violence - peu importe qui l'exerce ou quelle sorte de politique ou de fanatisme les motive - franchit la ligne.

    Troisièmement, vous avez les géants de la technologie, qui ont infligé leur propre version de la justice sociale par le biais de la tyrannie numérique et de la censure des entreprises. Pourtant, il ne peut y avoir de liberté d'expression si les géants des médias sociaux peuvent museler qui ils veulent, quand ils le veulent, sous le prétexte qu'ils veulent en l'absence de véritable procédure régulière, examen ou appel. Comme l'a averti Edward Snowden, que cela soit justifié ou non, l'interdiction des médias sociaux imposée au président Trump a marqué un tournant dans la bataille pour le contrôle de la parole numérique. Et c'est exactement ce qui se passe lorsque les utilisateurs, y compris ceux qui n'ont aucun lien avec les émeutes du Capitole, commencent à subir des lock-out, des suspensions et même des suppressions de leurs comptes de médias sociaux.

    N'oubliez pas que le premier amendement est une vanne à vapeur. Cela permet aux gens d'exprimer pacifiquement leurs points de vue, d'évacuer les frustrations, les débats et les désaccords, et généralement de résoudre les problèmes d'auto-gouvernance. Sans ce mécanisme de sécurité en place, l'autocensure augmente, le mécontentement s'envenime, fomente des breuvages et la violence devient la réponse par défaut pour résoudre les différends, que ce soit avec le gouvernement ou entre eux. Au minimum, nous avons besoin de protections plus solides pour protéger l'expression numérique et d'un processus formalisé pour contester la censure numérique.

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  46. Malheureusement, la censure numérique n'est que le début. Une fois que vous commencez à utiliser les scores des médias sociaux associés au capitalisme de surveillance pour déterminer qui est assez digne de faire partie de la société, tout est permis. En Chine, qui parcourt cette route depuis des années maintenant, des millions d'individus et d'entreprises, inscrits sur la liste noire comme «indignes» sur la base des scores de crédit des réseaux sociaux qui les évaluent en fonction de leur qualité de «bons» citoyens, ont été interdits d'accès aux marchés financiers. , acheter un bien immobilier ou voyager en avion ou en train.

    Quatrièmement, vous avez la police, qui dépasse normalement les limites constitutionnelles les empêchant de subir la brutalité, la surveillance et d’autres excès. Seulement cette fois, malgré les renseignements indiquant que certains des émeutiers planifiaient le chaos, la police était en infériorité numérique et mal préparée pour faire face à l'incursion. Les enquêtes en cours suggèrent que certains policiers auraient même pu être de connivence avec les émeutiers.

    Certes, le manque de protocoles adoptés par la police du Capitole ressemble énormément à l'absence de protocoles à Charlottesville, en Virginie, en 2017, lorsque la police qui était censée faire respecter la loi et empêcher la violence n'a pas fait non plus. En fait, comme le rapporte le Washington Post, la police «semblait regarder les groupes se battre avec des bâtons et se matraquer avec des boucliers ... À un moment donné, la police a semblé battre en retraite puis regarder les passages à tabac avant de finalement intervenir pour mettre fin à la liberté. pour tous, faites des arrestations et soignez les blessés. Incroyablement, lorsque les premiers signes de violence ouverte ont éclaté, il a été rapporté que le chef de la police aurait ordonné à son personnel de «les laisser se battre, il sera plus facile de déclarer un rassemblement illégal».

    Une tendance se dessine si vous y prêtez suffisamment attention: au lieu de rétablir l’ordre, la police locale se retire. Sans faute, ce qui devrait être un exercice de désaccord pacifique devient laid dès que le pillage, le vandalisme, la violence, les tactiques d’intimidation et les émeutes sont introduits dans l’équation. Les tensions montent, la violence s'intensifie et les armées fédérales interviennent.

    Tout ce qui manquait le 6 janvier était une déclaration de loi martiale.

    Ce qui nous amène au cinquième point, la loi martiale. Étant donné que la nation a dansé en marge de la loi martiale à chaque crise nationale, il n'en faudra pas beaucoup plus pour pousser le pays à la limite d'une déclaration et d'un verrouillage militaire. Les grondements de manifestations armées dans les 50 capitales d’État et à Washington, DC, ne serviront qu’à aggraver les tensions, à doubler la réponse militaire du gouvernement et à allumer un match à un état des choses de la poudrière. Avec des dizaines de milliers de soldats de la Garde nationale et des forces de l'ordre fédérales mobilisées pour verrouiller Washington, DC, à la suite des émeutes du 6 janvier et avant l'inauguration du 20 janvier, cela pourrait être le plus grand show-of- militaire. force ces dernières années.

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  47. Alors, où allons-nous partir d'ici ?

    Que tous ces événements arrivent à un point critique autour de Martin Luther King Jr. Day est révélateur.

    Plus de 50 ans après l'assassinat de King, l'Amérique est devenue une bombe à retardement des troubles raciaux et de l'injustice, de la militarisation de la police, de la surveillance, de la corruption et de l'ineptie du gouvernement, du retour d'un état d'esprit de champ de bataille et de guerres sans fin à l'étranger, et d'une inégalité économique croissante entre les les nantis et les démunis

    Pour aggraver les choses, l'Amérique moderne a aggravé les maux du racisme, du matérialisme et du militarisme par l'ignorance, l'intolérance et la peur.

    La dureté, la cruauté, la méchanceté, l'immoralité, l'ignorance, la haine, l'intolérance et l'injustice sont devenues des caractéristiques de notre époque moderne, amplifiées par une chambre d'écho de tweets désagréables et de brutalité sanctionnée par le gouvernement.

    «Malgré les efforts déployés pour freiner les discours de haine, éradiquer l'intimidation et étendre la tolérance, une culture de méchanceté s'est métastasée dans laquelle la méchanceté est régulièrement récompensée et la décence et la courtoisie communes sont écartées», a observé Teddy Wayne dans un article du New York Times sur «La culture de méchanceté.

    Chaque fois que je lis un titre d'actualité ou que je passe à la télévision, que j'ouvre un e-mail ou que je jette un coup d'œil sur les réseaux sociaux, je tombe tête baissée sur des personnes dévorées par la politique partisane, les sniping, la haine toxique, la méchanceté et le matérialisme. Donald Trump est, à bien des égards, l'incarnation de cette culture de la méchanceté. Pourtant, comme le souligne Wayne, «Trump est moins un facilitateur en chef qu'un symptôme d'un environnement libre pour tous qui valorise la réduction des frottis ... Les médias sociaux ont normalisé la cruauté occasionnelle.

    Qu'il s'agisse de ne pas être ami ou de bloquer quelqu'un sur Facebook, de tweeter des railleries et des barbes sur Twitter, ou simplement d'utiliser le cyberespace pour intimider quelqu'un ou colporter des ragots, nous sommes devenus des maîtres dans l'art de la méchanceté.

    Cette culture de la méchanceté a fini par caractériser de nombreux aspects des politiques gouvernementales et sociales du pays.

    «La méchanceté aujourd'hui est un état d'esprit», écrit le professeur Nicolaus Mills dans son livre The Triumph of Meanness, «le produit d'une culture de la méchanceté et de la cruauté qui a eu un impact énorme sur nous.

    Cette cruauté fortuite est rendue possible par une polarisation croissante au sein de la population qui met l'accent sur ce qui nous divise - race, religion, statut économique, sexualité, ascendance, politique, etc. - plutôt que sur ce qui nous unit: nous sommes tous humains.

    C'est ce que l'écrivaine Anna Quindlen appelle «la politique d'exclusion, ce que l'on pourrait penser comme le culte de l'altérité… Elle divise le pays aussi sûrement que la lignée Mason-Dixon le faisait autrefois. Et cela conduit à une politique et une politique sociale mesquines et punitives.

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  48. C'est plus que de la méchanceté, cependant.

    C'est l'état d'esprit psychopathe adopté par les architectes de l'État profond, et cela s'applique également que vous parliez des démocrates ou des républicains.

    Attention, car ce genre de psychopathologie peut se propager comme un virus parmi la population.

    Comme l'a conclu une étude universitaire sur la pathocratie, «[T] yranny ne s'épanouit pas parce que les auteurs sont impuissants et ignorants de leurs actions. Il s'épanouit parce qu'ils s'identifient activement à ceux qui promeuvent des actes vicieux comme étant vertueux.

    Les gens ne font pas simplement la queue pour saluer. C’est par son identification personnelle avec un dirigeant, un parti ou un ordre social donné qu’ils deviennent des agents du bien ou du mal. À cette fin, «nous le peuple» sommes devenus «nous l'État policier».

    En ne prenant pas activement position pour le bien, nous devenons des agents du mal. Ce n’est pas le responsable qui est le seul responsable du carnage. C’est la population qui se détourne de l’injustice, qui donne du pouvoir au régime totalitaire, qui accueille les éléments constitutifs de la tyrannie.

    Cette prise de conscience m'a frappé de plein fouet il y a quelques années. Je m'étais arrêté dans une librairie et j'ai été frappé par tous les livres sur Hitler, partout où je me suis tourné. Pourtant, s'il n'y avait pas eu Hitler, il y aurait toujours eu un régime nazi. Il y aurait encore eu des chambres à gaz et des camps de concentration et un Holocauste.

    Hitler n’était pas l’architecte de l’Holocauste. Il n'était que la figure de proue. Il en va de même pour l'État policier américain: s'il n'y avait eu ni Trump, ni Obama, ni Bush, il y aurait toujours eu un État policier. Il y aurait encore eu des fusillades policières et des prisons privées et des guerres sans fin et de la pathocratie gouvernementale.

    Pourquoi? Parce que «nous le peuple» avons ouvert la voie à cette tyrannie.

    En transformant Hitler en un super-méchant qui terrorisait à lui seul le monde - pas si différent de la façon dont Trump est souvent représenté - les historiens ont donné aux complices d'Hitler (le gouvernement allemand, les citoyens qui ont opté pour la sécurité et l'ordre plutôt que la liberté, les institutions religieuses qui ont échoué pour dénoncer le mal, les individus qui ont suivi les ordres même si cela signifiait une condamnation à mort pour leurs concitoyens) un laissez-passer gratuit.

    C'est ainsi que la tyrannie monte et que la liberté tombe.

    Aucun de nous qui reste silencieux et impassible face au mal, au racisme, au matérialisme extrême, à la méchanceté, à l’intolérance, à la cruauté, à l’injustice et à l’ignorance n’obtient un laissez-passer.

    Ceux d'entre nous qui suivent sans conteste des figures de proue, qui ferment les yeux sur l'injustice et tournent le dos au besoin, qui marchent au même pas avec les tyrans et les fanatiques, qui permettent à la politique de l'emporter sur les principes, qui cèdent à la méchanceté et à la cupidité, et qui échouent pour être indignés par les nombreux torts perpétrés parmi nous, ce sont ces individus qui doivent porter le blâme lorsque l'obscurité l'emporte.

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  49. "L'obscurité ne peut pas sortir de l'obscurité; seule la lumière peut le faire. La haine ne peut pas chasser la haine, seul l'amour peut le faire », a sermonné Martin Luther King Jr..

    L'obscurité gagne

    Ce n’est pas seulement sur la scène mondiale que nous devons nous inquiéter de la victoire

    L'obscurité gagne dans nos communautés. Il gagne dans nos maisons, nos quartiers, nos églises et synagogues et nos organes gouvernementaux. Il gagne dans le cœur des hommes et des femmes du monde entier qui embrassent la haine de l’amour. C’est la victoire dans chaque nouvelle génération qui est élevée pour ne prendre soin qu’elle-même, sans aucun sens du devoir moral ou civique de défendre la liberté.

    John F. Kennedy, tué par la balle d'un assassin cinq ans avant que King ne soit exécuté de la même manière, a évoqué une torche qui avait été «passée à une nouvelle génération d'Américains - née dans ce siècle, tempérée par la guerre, disciplinée par un dur et amer la paix, fière de notre héritage ancien - et ne voulant pas assister ou permettre la lente annulation de ces droits de l'homme auxquels cette nation a toujours été attachée et auxquels nous sommes attachés aujourd'hui chez nous et dans le monde.

    Une fois de plus, un flambeau est passé à une nouvelle génération, mais ce flambeau met le feu au monde, brûle les fondations mises en place par nos ancêtres et enflamme tous les sentiments les plus laids de nos cœurs.

    Ce feu n'est pas libérateur; il détruit.

    Nous enseignons à nos enfants toutes les mauvaises choses: nous leur apprenons à haïr, nous leur apprenons à adorer de fausses idoles (matérialisme, célébrité, technologie, politique), leur apprenons à privilégier les vaines poursuites et les idéaux superficiels à la gentillesse, à la bonté et à la profondeur.

    Nous sommes du mauvais côté de la révolution.

    «Si nous voulons passer du bon côté de la révolution mondiale», a déclaré King, «nous, en tant que nation, devons subir une révolution radicale des valeurs. Nous devons rapidement amorcer le passage d'une société axée sur les choses à une société axée sur la personne.

    La liberté exige la responsabilité.

    La liberté exige que nous arrêtions de penser en démocrates et républicains et que nous commencions à penser comme des êtres humains, ou du moins des Américains.

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  50. Martin Luther King Jr. a osé rêver d'un monde dans lequel tous les Américains «se verraient garantir les droits inaliénables de la vie, de la liberté et de la recherche du bonheur».

    Il n’a pas vécu pour voir ce rêve devenir réalité. Ce n’est toujours pas une réalité. Nous n’avons pas osé rêver ce rêve depuis si longtemps.

    Mais imaginez ...

    Imaginez ce que serait ce pays si les Américains mettaient de côté leurs différences et osaient se lever - unis - pour la liberté ...

    Imaginez ce que serait ce pays si les Américains mettaient de côté leurs différences et osaient s'exprimer - d'une seule voix - contre l'injustice ...

    Imaginez ce que serait ce pays si les Américains mettaient de côté leurs différences et osaient repousser - avec toute la force de nos nombres collectifs - contre les maux du despotisme gouvernemental.

    Comme je l’indique clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, la tyrannie n’aurait aucune chance.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/nation-imploding-digital-tyranny-insurrection-and-martial-law

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  51. La Californie est pire que vous ne le pensez


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 13 JANV 2021-22: 05
    Rédigé par William Anderson via The Mises Institute,


    Mon collègue du département de philosophie était de plus en plus en colère.

    Il essayait d'être poli, mais il était clair qu'il faisait rage à l'intérieur. Après quelques minutes, il eut un sourire très tendu et s'excusa.

    Notre conversation portait sur la Californie, ou pour être plus précis, la gouvernance californienne. Comme les lecteurs peuvent l'imaginer, il était optimiste sur la manière dont le Parti démocrate gouverne l'État, la Californie étant peut-être l'État le plus unipartite des États-Unis. Chaque élection à l'échelle de l'État est allée à un démocrate au cours de la dernière décennie, et les démocrates ont une supermajorité dans la législature de l'État, ce qui signifie qu'il n'y a pas d'opposition républicaine significative et ce que les démocrates veulent, ils obtiennent.

    Sans surprise, la gouvernance californienne est carrément progressiste. Les syndicats représentant les employés du gouvernement dirigent effectivement la législature et, par conséquent, les salaires, les avantages et les pensions de ces travailleurs pèsent de plus en plus sur les budgets de l'État. (Steven Greenhut, un journaliste libertaire basé en Californie a documenté la croissance insoutenable du gouvernement dans cet État pendant près de deux décennies.) Pourtant, l'État continue de marcher politiquement et économiquement dans la direction progressiste comme si les lois de l'économie n'avaient pas d'importance. .

    Pour la plupart, j'ai observé la Californie progressiste de loin, mais ma vie a pris une tournure différente il y a quelques années, et l'État est en train de devenir ma nouvelle maison. J'ai épousé une infirmière à la retraite de Sacramento en 2018 et, en raison de problèmes de santé avec sa fille adulte, elle a dû rester dans cette ville, ce qui ne figurait pas dans nos plans d'origine. Parce que notre campus a été fermé ou sévèrement restreint pendant le verrouillage du covid-19, j'ai passé la majeure partie de l'année écoulée à travailler depuis le domicile de ma femme.

    Vivre et travailler en Californie m'a offert l'opportunité d'observer de près le progressisme californien, et ce fut une expérience intéressante. Oui, l’État où je réside officiellement, le Maryland, est réputé pour un parti unique et progressiste, mais le progressisme de la Californie donne à la législature du Maryland une apparence presque rouge en comparaison et de manière surréaliste à certains égards.

    Par exemple, le législateur californien, dans sa sagesse progressiste, a effectivement décriminalisé le vol tant que les voleurs prennent moins de 950 dollars de marchandises, réduisant officiellement ce vol à un délit mais le rendant en fait légal, car les procureurs progressistes de Californie n'aiment pas être dérangés. par de petits criminels. En pratique, cela signifie que les biens de consommation sont beaucoup plus difficiles à trouver dans les magasins californiens que l'on pourrait en trouver ailleurs. Pour moi, la différence était assez révélatrice, car je suis récemment retourné au Maryland après avoir passé près de neuf mois à Sacramento.

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  52. Lorsque je vais au Walmart près de la maison de ma femme, je constate que de nombreuses choses qui sont ouvertement exposées dans le Maryland se trouvent derrière des caisses verrouillées en Californie. De plus, les lois du travail draconiennes de Californie signifient que Walmart a moins d'employés, donc si je souhaite acheter quelque chose que je pourrais facilement acheter dans le Maryland, je dois attendre longtemps et souvent je m'éloigne simplement parce que personne n'est disponible pour ouvrir la vitrine. Pourtant, même avec ces dispositions, les pertes de vol à l’étalage pour les détaillants californiens sont énormes, et les lois sur le vol à l’étalage de l’État ont encouragé les cercles organisés à la main.

    Mes collègues progressistes, comme mon ami professeur de philosophie, ne voient aucun problème avec de tels développements. Pour eux, les vrais voleurs sont les capitalistes, les détaillants comme Walmart qui refusent de payer des «salaires décents» à leurs employés et, selon le sénateur Bernie Sanders, les capitalistes «pillent» les Américains depuis des années. Ainsi, la vague de vols dans cet état est une évolution positive, selon les progressistes.

    Je peux continuer, mais il n'est pas difficile d'exposer le vaste éventail de péchés (économiques et autres) commis par les classes politiques californiennes, et je compare ce genre de punditry à balancer une chauve-souris dans une pièce pleine de pinatas - un tout simplement à ne pas manquer. Steven Greenhut dénonce les folies de la Californie depuis des années. Cependant, peut-être le meilleur commentaire récent que j'ai lu sur la mentalité progressiste qui régit l'État vient du blogueur Mike Solana, qui embrouille adroitement les politiciens progressistes du Golden State qui accusent maintenant l'industrie technologique d'avoir «extrait des richesses» de Californie, puis est parti pour les pâturages plus verts de paradis fiscaux comme le Texas et la Floride.

    La déchirure de Solana vaut la peine d'être lue si, pour aucune autre raison que celle-ci, il expose l'incertitude des politiciens et des experts progressistes, et on peut être assuré que les politiciens progressistes correspondront à la description des Bourbons par Tallyrand: «Ils n'avaient rien appris et n'avaient rien oublié. " Pourtant, Solana est également perplexe quant à la raison pour laquelle les politiciens de la région de la Baie qui échouent de manière spectaculaire remportent également des élections écrasantes:

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  53. Rien à San Francisco ne peut être mis sur une voie pour ralentir la correction jusqu'à ce qu'au moins six des onze sièges du conseil de district, ainsi que le maire, appartiennent à des dirigeants sains d'esprit, axés sur les objectifs, conscients des nombreux problèmes de notre ville et résolument concentrés sur leur résolution. . Ces politiciens devront également être extrêmement bien financés. C'est dire que nous avons besoin d'une classe politique, financée par une machine politique, dont aucune n'existe actuellement. Même si la classe et l'appareil de financement devaient émerger rapidement, et même si la nouvelle coalition politique gagnait une série d'élections miracles invaincues, il faudrait quatre ans pour s'emparer du pouvoir politique significatif des psychotiques résidents en charge, qui, selon les dernières élections, semblent être très populaires parmi près de quatre-vingt dix pour cent des électeurs (une curiosité pour un autre fil). Cela ne veut rien dire de la toxicité politique plus large de la région de la Baie, ni de la dynamique politique de l'État, qui sont sur le point d'exacerber chacun de nos problèmes. C'est une catastrophe politique sur plusieurs fronts.

    Pendant la pandémie de covid-19, que les politiciens californiens - et en particulier le gouverneur Gavin Newsom - ont mal géré de façon spectaculaire, les électeurs californiens ont massivement choisi le statu quo progressiste. Alors que les écrivains parlent sans cesse de la politique ahurissante de la Californie, les électeurs continuent d'envoyer les progressistes de gauche au pouvoir à tous les niveaux de gouvernement. Alors que certains pourraient croire que «l'éducation» est la clé de la soi-disant auto-gouvernance de la démocratie, les électeurs californiens choisissent clairement leurs candidats pour des raisons autres que la démonstration de sagesse au pouvoir. En effet, pourquoi les électeurs insistent-ils pour mettre le pire sur le dessus est peut-être la question la plus intrigante que l'on se pose sur la politique californienne.

    La sagesse typique dit que les électeurs «votent pour leur portefeuille», mais les progressistes que les électeurs à faible revenu choisissent massivement d'élire sont responsables du fait que la Californie a le taux de pauvreté le plus élevé du pays. En outre, malgré toute la rhétorique anti-richesse que les candidats progressistes de Californie ont craché, les électeurs très pauvres et très riches de Californie ont tendance à choisir et à soutenir les mêmes candidats, et le Parti démocrate est le parti de choix du grand nombre de milliardaires de l’État.

    Il y a peu ou rien que le gouvernement progressiste actuel de l'État a fait pour promouvoir la promotion de la vraie richesse en Californie, mais alors même que les autorités de l'État détruisent activement les opportunités économiques, les électeurs répondent en exigeant plus de la même chose. Cela semble être un mystère, mais peut-être pas. Laisse-moi expliquer.

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  54. Au cours des dernières années, les incendies de forêt ont ravagé d'énormes étendues de terres principalement publiques en Californie (et dans une grande partie de l'Ouest, bien que la Californie ait été la plus durement touchée). Il existe de nombreuses raisons aux incendies, la plus évidente étant que la majeure partie de la Californie reçoit peu de précipitations et de nombreux incendies se produisent en terrain montagneux, où il est difficile de les combattre. Mais il y a beaucoup plus, et la plus grande partie est liée à des politiques progressistes. Même le Pro Publica, financé par George Soros, reconnaît le rôle des pratiques de gestion des terres fondées sur la suppression des incendies dans l'aggravation des incendies:

    Le modèle est une forme de folie: nous continuons à supprimer les incendies avec zèle à travers les paysages de Californie où le feu présente peu de risques pour les personnes et les structures. En conséquence, les combustibles pour les terres sauvages continuent de s'accumuler. Dans le même temps, le climat devient plus chaud et plus sec. Puis, boum: l'inévitable. Le vent souffle sur une ligne électrique, ou la foudre frappe l'herbe sèche, et un brasier s'ensuit. Cette semaine, nous avons vu les deuxième et troisième plus grands incendies de l’histoire de la Californie. «La communauté des pompiers, les progressistes, sont presque dans un état de panique», a déclaré (Tim) Ingalsbee. Il n’existe qu’une seule solution, celle que nous connaissons mais que nous évitons encore. «Nous devons obtenir un bon feu au sol et réduire une partie de cette charge de carburant.»

    Pourtant, la religion progressiste qui définit le Parti démocrate en Californie ne peut pas admettre que les politiques de laisser la nature seule pourraient avoir quoi que ce soit à voir avec l'ampleur et l'intensité des incendies de forêt. Au lieu de cela, les pouvoirs en place ont décidé que le changement climatique - et uniquement le changement climatique - est responsable, et la façon de résoudre le problème est d'imposer des règles draconiennes qui rendent la vie difficile à la plupart des gens qui y vivent, en interdisant les nouveaux branchements résidentiels au gaz naturel. à ses tristement célèbres «régimes routiers» imposés pour décourager les gens de conduire des voitures. Malgré le fait que les politiciens californiens, comme le gouverneur Gavin Newsom, affirment que ces politiques réduiront considérablement les températures mondiales et rendront les incendies de forêt moins intenses, la réalité est tout à fait différente, car la Californie représente moins de 1% des soi-disant gaz à effet de serre en le monde.

    L’action la plus symbolique du gouvernement californien en matière d’arrogance progressiste est peut-être le développement continu du «train à grande vitesse», un projet ambitieux (à caractère caritatif) visant à construire un train à grande vitesse de San Francisco à Los Angeles. Sous l'impulsion du gouverneur de l'époque, Jerry Brown, les électeurs du Golden State ont accepté en 2008 d'autoriser une émission d'obligations pour commencer à financer ce que Brown prétendait exiger un maximum de 33 milliards de dollars. Le terrain montagneux de Californie a forcé des changements de conception et d'itinéraire, transformant le «rêve» de LA-SF en un train qui circulerait entre Bakersfield et Merced, deux villes de la vallée plate de Central Valley. Pour aggraver encore les choses, le service ferroviaire voyageurs via Amtrak existe déjà dans la vallée, et même si tout se passait comme prévu (hypothèse héroïque, pourrait-on ajouter), le train à grande vitesse ne gagnerait que quarante-cinq minutes de trajet depuis le itinéraire existant.

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  55. À mesure que la longueur proposée du train à grande vitesse devient plus courte, les coûts continuent de monter en flèche. L'estimation initiale de 33 milliards de dollars est maintenant passée à plus de 100 milliards de dollars - si le projet est même achevé. Pourtant, le projet continue de vivre. L'année dernière, j'ai parlé à un ancien collègue de ma femme qui soutient avec enthousiasme le projet ferroviaire. Quand je lui ai posé des questions sur le coût et sur le fait qu'il n'y a vraiment pas de demande pour ce service, sa réponse a été instructive: «Mais nous avons BESOIN de trains!» Peu importe que ce soit un gâchis qui éclipse presque tout ce que nous connaissons comme gaspillage gouvernemental; peu importe que les contribuables californiens soient obligés de financer un transfert de richesse massif vers des entrepreneurs politiquement liés, dans lequel il y a tous les coûts et aucun avantage. L'Etat «a besoin» de trains.

    Mon collègue de la faculté s'est également mis en colère contre mon panoramique du train à grande vitesse de Californie, et je me suis demandé pourquoi les progressistes sont si défensifs à propos de ce projet. Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un énorme gaspillage d’argent et que les coûts des voyageurs-milles sont bien supérieurs à tout ce qui existe dans les transports en commun, mais cela ne semble pas avoir d’importance. On pourrait penser que les progressistes du «bon gouvernement» verraient ici la déconnexion.

    Une explication possible vient de Murray Rothbard, qui a reconnu que les progressistes sont finalement en «guerre avec la nature». Alors que Rothbard écrivait sur l'égalitarisme, on peut néanmoins affirmer que les politiques progressistes visent à produire des résultats très différents de ce qui se passerait si les gens étaient libres de faire leurs propres choix, et en particulier des choix avec leur propre argent.

    En raison de l'essor de l'industrie technologique, la Californie a connu une augmentation de sa richesse qui est probablement sans précédent dans l'histoire de ce pays - et peut-être du monde. Sans surprise, les prélèvements fiscaux de l’État ont considérablement augmenté au cours des deux dernières décennies, le pourcentage des recettes fiscales augmentant considérablement à mesure que l’entrepreneuriat technologique a créé une nouvelle classe de milliardaires. Alors que l'on peut considérer ces nouveaux milliardaires comme une nouvelle classe de riches, à bien des égards, leurs perspectives (du moins une fois qu'ils sont devenus riches) reflètent souvent les perspectives de la vague d'entrepreneurs tels qu'Andrew Carnegie qui a développé de nouvelles technologies, les a l'utilisation, a créé de vastes quantités de richesse, puis a créé les fondations qui seraient en fin de compte régies par une philosophie du progressisme destructrice de richesse.

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  56. En partie, la richesse créée permet aux «visionnaires» financés par des fondations d'exiger que les ressources soient dirigées d'une manière différente de ce qui serait fait dans une économie de marché, avec «servir le peuple» et «faire une différence» comme mantras. Nous le voyons maintes et maintes fois en Californie, où des politiciens progressistes «visionnaires» gorgés d'impôts s'emparent de la richesse créée par l'entreprise privée afin de poursuivre leurs propres causes telles que l'environnementalisme.

    Bien entendu, comme nous l'avons déjà souligné, les politiques progressistes ont tendance à aggraver les problèmes d'origine. Non seulement les progressistes ont-ils rendu les incendies de forêt massifs plus probables, mais ils ont également été à l'origine de l'augmentation du sans-abrisme en Californie. À la fin des années 1970, le gouvernement de la ville de San Francisco a institué un contrôle des loyers. Sans surprise, des pénuries de logements ont suivi et le prix réel des logements a monté en flèche. Alors que les pénuries empiraient, les politiciens progressistes ont doublé les contrôles. Aujourd'hui, plus de cinq mille personnes vivent dans les rues de San Francisco, et le gouvernement, lié par ses propres idéaux progressistes, est incapable de faire autre chose que de distribuer de l'argent et de défendre sa politique. Et cela dans la ville qui compte le plus de milliardaires par habitant au monde.

    Il y a trois raisons pour lesquelles la gouvernance californienne ne changera pas alors même qu'elle se dirige vers une falaise budgétaire.

    Premièrement, et c'est le plus important, l'idéologie progressiste est insoluble et ne cède pas aux lois de l'économie. Les politiciens progressistes sont fêtés dans les médias grand public et dans les établissements d’enseignement de gauche de Californie, et les électeurs ne semblent pas vouloir d’alternative. (Après tout, la Californie «a besoin» de trains.)

    Les politiciens qui soulèvent des questions sur ce modèle de gouvernance peuvent s'attendre à être diabolisés dans les médias et devront faire face à de violentes manifestations s'ils se présentent dans des lieux publics - et en particulier sur les campus universitaires.

    La deuxième raison est que les électeurs californiens sont attirés par les démocrates progressistes, quelles que soient les catastrophes que ces politiciens pourraient infliger. Les électeurs hautement éduqués ne soutiennent pas les démocrates progressistes uniquement sur les questions économiques, mais aussi sur les questions sociales hautement controversées, et avec la «révolte des riches» de 2020 dominant la politique du Parti démocrate à l'heure actuelle, il est peu probable que cette vague actuelle de progressistes -les électeurs favorables changeront de direction.

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  57. Les démocrates ont également le vote des immigrants dans leurs poches arrières, et la Californie a vu une vague d'immigrants l'aider à en faire un État à parti unique. Pour l'instant, les chiffres sont tout simplement accablants, et nous pouvons nous attendre à ce que la Californie se déplace encore plus vers la gauche alors que ses problèmes de logement et de pauvreté s'aggravent et que les démocrates réussissent à convaincre les électeurs que le libre marché est la cause.

    La troisième raison pour laquelle les choses ne changeront pas en Californie est que le gouvernement progressiste crée ses propres ensembles de rentes de monopole qui sont distribués à des groupes d'intérêt politiquement liés. Dans le cas du Golden State, les syndicats des employés de l'État et des municipalités sont de loin l'entité politique la plus puissante et contrôlent de vastes blocs d'électeurs. Leur pouvoir a récemment été démontré par leur soutien aux verrouillages de la covid-19 dans l’État - au cours desquels les employés de l’État ont continué à toucher leur plein salaire alors même que les politiques de verrouillage ravageaient l’assiette fiscale de l’État.

    Faut-il douter du pouvoir des syndicats des employés du gouvernement de Californie, assistez au «succès» de ce que l’on appelait AB 5, la loi qui a failli tuer les industries du «concert» de l’État, mettant au chômage des milliers d’écrivains et de musiciens indépendants. Rédigé par l'AFL-CIO (Fédération américaine du travail et Congrès des organisations industrielles) comme un moyen de mettre fin aux services de covoiturage Uber et Lyft (et de protéger les travailleurs syndiqués des taxis et des transports publics), les retombées ont été si graves que même le législateur a dû annulez certaines restrictions. Les électeurs ont fait le reste en novembre dernier en repoussant la plupart des dispositions les plus lourdes de la loi. (On doute que les musiciens et les écrivains qui ont perdu leur emploi aient changé leur mode de vote progressiste lors des dernières élections. Telle est la persistance de l'idéologie progressiste.)

    Si l'on pense que peut-être la vague d'électeurs progressistes se «convertira» à une approche «d'esprit libre et de marchés libres» (la position «libertaire de gauche»), l'expérience de New York devrait être instructive. En 1975, l’économie était en récession, les entreprises fuyaient les taux d'imposition onéreux et le climat anti-business de la ville, et les autorités municipales vendaient frauduleusement des obligations de capital pour payer des obligations de capital émises antérieurement. (William E. Simon, le secrétaire américain au Trésor en 1975, a présenté l'ensemble du scénario dans son blockbuster A Time for Truth.)

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  58. Le problème de New York était évident - sauf dans l’esprit des progressistes. Là où la plupart d'entre nous comprendraient que le fait d'avoir des syndicats fuyant les budgets tout en supprimant les entreprises privées productives est une proposition perdante, les progressistes voient un complot capitaliste néfaste. Le fait que la ville de New York ait connu une renaissance relativement brève en grande partie à cause de la déréglementation de la banque et de la finance (qui a été lancée par le président Jimmy Carter) ne joue aucun rôle dans la pensée progressiste.

    Contrairement à New York, la Californie n'a pas d'as économique dans sa poche. Même si une grande partie de l'industrie de la technologie a prospéré pendant les fermetures draconiennes de pandémie de l'État, le gouvernement de l'État (sans parler des villes et des comtés) est peut-être confronté à la pire crise financière de son histoire. Sans surprise, la réponse progressive est d'augmenter la rhétorique incendiaire envers les créateurs de richesse et d'exiger des impôts encore plus élevés et davantage de réglementations commerciales.

    Le progressisme est une philosophie utopique de la gouvernance qui ne trouvera ni ne créera jamais son utopie. Si les électeurs et les politiciens californiens ne comprennent pas la crise actuelle et comment elle est survenue, ils ne comprendront probablement jamais. Au lieu de cela, nous verrons la marche continue vers la perdition alors que les politiciens californiens refusent de reconnaître qu'ils tuent les oies pondant les œufs d'or.

    https://www.zerohedge.com/political/california-worse-you-think

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  59. Le discours de Trump est un discours protégé


    Par Andrew P. Napolitano
    14 janvier 2021


    L'ancien gouverneur du New Jersey, Chris Christie, a offert le week-end dernier sa compréhension du rôle présumé du président Donald Trump dans les émeutes du Capitole lorsqu'il a déclaré: «Si l'incitation à l'insurrection n'est pas irréprochable, je ne sais pas ce que c'est.»

    Il doit avoir abordé les implications politiques, éthiques, pratiques et émotionnelles des exhortations de Trump à la foule. Christie sait que la Constitution exige expressément que la Chambre des représentants ait la preuve que le président a commis un crime avant de pouvoir le mettre en accusation.

    Donald Trump a-t-il commis un crime en exhortant les foules le 6 janvier ? En un mot: non.

    Voici la trame de fond.

    Toute analyse des implications criminelles de la parole doit commencer par le langage clair du premier amendement qui se lit en partie: «Le Congrès ne fera aucune loi… restreignant la liberté d'expression.» James Madison, qui a rédigé la Déclaration des droits, a insisté sur le fait que l'article «le» précède le mot «liberté», comme dans «la liberté d'expression», afin de montrer clairement que ceux qui ont proposé et ratifié le premier amendement ont reconnu que la liberté d'expression a précédé l'existence du gouvernement.

    Pour les signataires de la Déclaration d'Indépendance et les ratifieurs de la Constitution et de la Déclaration des Droits, la liberté d'expression, avec d'autres libertés, est un droit naturel parce qu'elle vient de notre humanité, non du gouvernement.

    Je raconte cette brève histoire et je propose cette nuance philosophique car la liberté d'expression est censée être un rempart contre les poursuites pour discours. Thomas Jefferson a un jour soutenu que tant que l’orateur n’avait ni pris sa poche ni cassé les jambes, tous les mots de l’orateur étaient protégés. En d'autres termes, avant que quiconque puisse être poursuivi pour discours, le tribunal doit conclure que le discours n'a pas d'objet légitime et non violent et que les auditeurs n'ont pas le temps d'entendre un discours contraire.

    Telle était la compréhension de la liberté d'expression lors de la création de notre république.

    Malheureusement, cette compréhension a cédé la place à l'exercice d'un pouvoir brut animé par la peur de perdre le pouvoir lorsque le Congrès, en 1798, sous la présidence de John Adams, a promulgué les Alien and Sedition Acts. L’un de ces actes a érigé en crime le fait de prononcer un discours «faux, scandaleux ou malveillant» contre le gouvernement ou le président, ou de prononcer un discours en opposition aux efforts du gouvernement pour renforcer les défenses contre une guerre avec la France qui n’a jamais eu lieu.

    Il est difficile d'accepter que certains des mêmes êtres humains qui ont ratifié «le Congrès ne fera aucune loi… abrégeant la liberté d'expression» ont également promulgué des lois abrégeant le discours. Mais ils l'ont fait.

    Finalement, Jefferson a vaincu Adams à la présidence et les fédéralistes au Congrès ont abrogé la partie anti-discours de leurs propres actes, de peur que l'administration Jefferson ne l'ait disponible pour la répression contre eux. Cela n'était guère nécessaire car Jefferson a gracié ceux qui avaient été condamnés sous Adams pour avoir prononcé un discours en violation des actes.

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  60. Malheureusement, l’histoire de la liberté d’expression en Amérique n’est pas celle d’une patiente tolérance gouvernementale. C'est plutôt l'histoire du gouvernement qui a violé le premier amendement.

    Même à l'ère actuelle, le soi-disant Patriot Act de 2001 interdit au destinataire d'un mandat de perquisition non judiciaire (un mandat pour lequel un agent fédéral a autorisé un autre à rechercher des dossiers commerciaux ou financiers sous la garde d'un teneur de registres, comme un médecin, banque ou avocat, en violation du quatrième amendement) d'utiliser la parole pour informer quiconque de la réception du mandat.

    De temps en temps, la Cour suprême est entrée dans ce sombre tableau dans le but de définir jusqu'où on peut aller en prononçant des paroles que le gouvernement déteste ou craint. Son avancée moderne la plus significative est venue dans une opinion unanime en 1969, appelée Brandenburg v. Ohio. Dans cette affaire, Clarence Brandenburg, un dirigeant du KKK, a entrepris d'inciter à la violence contre les Juifs et les Noirs à Washington, D.C.

    Mais il l'a fait en encourageant la violence lors d'un rassemblement dans le comté de Hamilton, dans l'Ohio. Bien qu'il ait reconnu que la violence était son but, il a affirmé que ses paroles étaient un discours politique protégé. Il a été condamné en vertu d'une loi de l'Ohio qui interdisait l'incitation à la violence - même si la violence ne s'est jamais produite.

    La Cour suprême a annulé sa condamnation, estimant qu'elle violait le premier amendement. Le tribunal a statué que tout discours inoffensif est absolument protégé et que tout discours est inoffensif lorsqu'il est temps pour plus de discours de le réfuter - avant que le mal qu'il préconise ne se produise. Puisque Brandenburg a parlé dans l'Ohio et que la violence qu'il cherchait à fomenter devait avoir eu lieu à Washington, il était temps pour les têtes plus saines de prononcer un discours réfutant ses propos haineux.

    Revenons maintenant aux paroles du président le 6 janvier. Le président Trump a été accusé d’incitation à la violence en disant: «Préparez-vous à vous battre»; «Ça va être sauvage»; «Combattez pour Trump»; «Combattez beaucoup plus fort»; «Débarrassez-vous des congressistes faibles»; et, plus tard, «Nous vous aimons». Le discours du président s’est terminé à 12 h 45. et le Capitole a été repoussé pour la première fois à 14 h 15.

    L'essence de l'incitation criminelle est l'immédiateté. Le 6 janvier, parce qu'il y avait du temps pour plus de discours pour réfuter ce que le président a dit, ses paroles sont protégées. Il ne peut être poursuivi ni même poursuivi pour eux. S'il était mis en accusation pour avoir prononcé des paroles qui ne sont pas manifestement criminelles, le Congrès violerait la Constitution.

    J'écris ceci comme une analyse constitutionnelle, pas comme une analyse politique. Le premier amendement protège le discours que nous détestons et craignons. Il protège même le discours qui nuit. Le remède contre les discours nuisibles n'est pas la punition; c'est plus de la parole. Les tribunaux le savent. Le Congrès doit également le savoir.

    Reprinted with the author’s permission.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/andrew-p-napolitano/trumps-speech-is-protected-speech/

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  61. Pourquoi le ministère américain de la Justice veut-il aggraver la fracture de la population américaine ?


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    14 janvier 2021


    Les premières accusations portées contre les quelques personnes qui sont entrées dans le Capitole pendant le rassemblement de Trump étaient «d'entrer dans un bâtiment à accès restreint sans autorisation et d'avoir une conduite désordonnée à l'intérieur». Cette accusation n'entraîne pas une punition suffisante pour le genre d'exemple que l'establishment entend faire des partisans de Trump.

    Michael Sherwin, le procureur américain par intérim du district de Columbia, voit une chance pour ses 15 minutes de gloire. Il a annoncé lors d'une conférence de presse qu'il avait constitué une équipe d'avocats chargés de la sécurité nationale pour créer des accusations de sédition et de complot contre les «émeutiers de Trump qui ont pris d'assaut le Capitole».

    Notez qu'un langage excessif accompagne des frais excessifs. Que ceux qui sont entrés dans le Capitole aient été autorisés à entrer ou par effraction, il n'y a pas eu «d'assaut» et certainement pas de complot pour commettre une sédition. Sherwin dit qu'il «traite cela comme une importante opération internationale de contre-terrorisme ou de contre-espionnage».

    Même les vidéos diffusées sur des sites d'information anti-Trump, tels que The Hill, montrent les «insurrectionnels» du Capitole marchant paisiblement et restant dans la voie cordée. Comment se passe cette violente insurrection ? Il y a des vidéos qui font le tour des partisans de Trump en train de retenir un homme qui tente de casser une fenêtre dans le Capitole. Il est clair que les partisans de Trump considèrent la personne comme un membre d'Antifa.

    Dans toute manifestation, il y aura des cinglés et des provocateurs. Définir une manifestation pacifique par les actes de quelques-uns est malhonnête. Rappelez-vous, les presstituts ont appelé à plusieurs reprises les émeutes Antifa et Black Lives Matter qui ont pillé et incendié les quartiers d'affaires de Minneapolis, Chicago, Seattle, Portland, Atlanta et d'autres villes de «manifestations pacifiques». Lorsque les presstituts ont dû reconnaître qu'il y avait de la violence, ils l'ont imputée aux partisans de Trump ou aux suprémacistes blancs qui auraient infiltré les manifestations pacifiques.

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  62. L'infiltration semble être arrivée aux partisans de Trump au Capitole. Selon un rapport d'une personne présente au Capitole pour filmer l'événement qui a été envoyé au professeur Mark Crispin Miller de l'Université de New York, des agitateurs sont soudainement apparus avec des cornes de taureau et ont poussé les partisans de Trump à gravir les marches à l'arrière du Capitole. Les quelques rares qui sont entrés dans le Capitole sont apparemment entrés par l'avant. Certains rapports disent qu'ils ont été autorisés à entrer. Voici le récit du caméraman que j'ai rapporté le 7 janvier:

    «J'étais à Washington, DC aujourd'hui pour filmer le rassemblement Trump et les événements connexes. J'ai aussi parcouru votre message concernant la manifestation du Capitole ce soir. Peut-être que ce bref compte rendu vous aidera à évaluer ce que les autres disent de manière modeste.

    «J'étais également au Capitole avant que la foule n'apparaisse en train d'installer ma caméra sur un mur de pierre autour du périmètre de l'arrière du Capitole (l'arrière faisant face à l'avenue Constitution). Ensuite, j'ai attendu la fin du discours du président Trump et que les partisans marchent sur Constitution Avenue jusqu'au Capitole. J'étais situé à l'endroit précis où les supporters se sont précipités pour la première fois sur la pente vers l'arrière du Capitole après avoir écarté une section de la première barrière de périmètre du Capitole. Les partisans se sont rassemblés à peu près au centre de l'arrière de la capitale, mais un cercle a commencé à se développer autour du périmètre à mesure que la foule grossissait. Je n'avais aucune idée que la foule grandissante avait l'intention de précipiter le Capitole.

    "Après qu'une grande foule a émergé au périmètre, un homme peut-être dans la fin de la trentaine ou au début de la quarantaine s'est présenté, marchant rapidement à sa gauche puis à sa droite devant la foule, et a essentiellement commencé à lancer des insultes contre la foule, contestant leur sagesse politique. Il a excorié la foule de penser que leur présence serait prise au sérieux par les membres du congrès. (Difficile de dire qu'il avait tort à ce sujet, qui qu'il soit). Je ne me souviens pas de ses paroles précises, mais pendant une très courte période, il s'est engagé dans un échange de cris avec des partisans, et soudain les partisans ont écarté la première barrière et se sont précipités vers l'arrière du Capitole. D'autres sur le bord nord du périmètre ont emboîté le pas. Mais le premier rush était juste au centre de l'arrière du Capitole. J'ai suivi la ruée vers le bas des marches arrière du Capitole et j'ai recommencé à filmer du haut d'un mur de pierre d'enceinte intérieure.

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  63. «La police, semble-t-il, a été un peu surprise par la précipitation, ce qui a donné aux supporters l'occasion de gravir les marches. Un ou deux hommes ont même atteint les marches menant aux échafaudages du côté sud du Capitole avant que la police ne les arrête. À ce moment-là, cinq ou dix hommes avaient grimpé au sommet de la grande tour en acier faisant face au Capitole. Ensuite, la police a érigé et aligné derrière un nouveau périmètre de barrière au pied des marches du Capitole. La police en haut des marches du Capitole a visé des fusils sur la foule (peut-être des fusils à balles en caoutchouc, je ne pourrais pas le dire). La foule a commencé à se disputer avec la police et à se presser contre la nouvelle barrière. La police a pulvérisé de temps en temps des hommes qui se pressaient directement contre la barrière avec des gaz lacrymogènes, les faisant reculer. «Pendant ce temps, les hommes au sommet de la tour ont commencé à rallier la foule pour défier la nouvelle barrière (sur les cornes de taureau) en comblant les espaces entre la barrière et le mur de pierre que j'utilisais comme point de vue du tournage. Un autre homme a travaillé la foule avec une corne de taureau immédiatement devant moi et a également encouragé les supporters à grimper par-dessus le mur de pierre du périmètre intérieur (mon point de vue de tournage) et à créer un mur de pression sur la nouvelle barrière au bas des marches arrière du Capitole.

    «Après environ 30 minutes à une heure, je suis tombé au bas du mur de pierre pour recharger mon appareil photo lorsque soudainement la barrière a cédé et la police a tenté de la fortifier en lançant des gaz lacrymogènes dans la zone entre le mur de pierre et la barrière. J'ai moi-même été frappé par le gaz et j'ai lutté contre le mur de pierre pour respirer. Le gaz a plongé de nombreux membres de la foule dans la panique. Et j'ai failli être piétiné alors que je luttais pour soulever mon appareil photo et mon sac lourd par-dessus le mur après que deux femmes aient commencé à tirer désespérément sur le dos de mon manteau pour se relever et par-dessus le mur moyennement haut en retrait.

    «Après la cession de la deuxième barrière de périmètre, les hommes aux cornes de taureau ont commencé à travailler la foule très dur pour faire le plein de partisans de Trump les marches du Capitole et les échafaudages des deux côtés. À ce stade, l'un des appels, que les hommes avec des cornes de taureau répétaient de temps en temps pour encourager les gens à gravir les marches du Capitole, était «ce n'est pas un rassemblement; c'est la vraie chose. » Un autre appel fréquent était «c'est maintenant ou jamais». Après environ deux heures d'effort parsemé d'appels de corne de taureau de cette nature, tout l'arrière du Capitole était rempli de partisans de Trump et tout le visage du Capitole était couvert de brillantes petites et très grandes bannières Trump, de drapeaux américains et de divers autres types. de drapeaux et de bannières.

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  64. «Quelque temps après la ruée vers l'arrière du Capitole, les gens ont apparemment pu entrer dans le Capitole lui-même par l'avant. Mais je n'ai été témoin de rien au front ou à l'intérieur du Capitole.

    «Un partisan clairement de bonne foi de Trump qui était apparemment entré lui-même au Capitole disait aux autres avec émotion et colère (y compris des représentants de la presse, même un journaliste étranger) qu'il avait vu quelqu'un à l'intérieur du Capitole encourageant la violence qu'il soupçonnait fortement de ne pas être légitime. Partisan de Trump (apparemment sur la base du fait que l'homme n'a montré aucun signe de soutien de Trump sur ses vêtements). Je n'ai pas prêté autant d'attention à ses affirmations (par exemple l'affirmation précise de la violence encouragée) car, naturellement, je n'avais pas encore lu votre message et il ne m'était pas venu à l'esprit que des professionnels extérieurs pourraient jouer un rôle dans l'incitation à des violences particulières. agit pour discréditer l'événement.

    «J'ai entendu un partisan de Trump (qui a lui-même suivi la ruée vers le Capitole) dire à haute voix:« J'en ai amené beaucoup d'autres à ce rassemblement, mais nous n'avons pas signé pour cela »alors qu'il voyait les choses s'intensifier.

    «Pourtant, depuis mon siège, je dirais qu'un grand nombre de partisans très légitimes de Trump ont estimé qu'il était de leur devoir patriotique d'occuper le Capitole à la lumière de leur conviction inébranlable que (1) l'élection de 2020 était une fraude, (2) que la grande majorité des membres du congrès sont corrompus et compromis, et (3) que le pays est en proie à ce qu'ils considèrent comme une prise de contrôle «communiste» (bien que beaucoup utilisent l'expression «communisme» comme synonyme de «totalitarisme») . Ils sont également convaincus que le récit du virus est une fraude et une partie essentielle d'un effort pour saper la Constitution - en particulier la Déclaration des droits. Ils craignent bien que le pays et la conception même de toute culture de la liberté soient au bord d'un effondrement irréparable. Pour la plupart (sinon une très grande majorité), se précipiter au Capitole était un acte de partiotisme désespéré de onzième heure - même de l'ordre de la révolution qui a créé notre nation. Certains partisans de Trump ont chanté la bannière étoilée et d'autres chansons patriotiques alors que d'autres gravissaient les marches du Capitole. Ils ont également fait preuve d'un certain respect pour le Capitole lui-même. Je n'ai vu personne tenter de dégrader le Capitole simplement dans le seul but de le dégrader.

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  65. «La presse incontestablement compromise a qualifié cet événement d'émeute. Mais d'après ce que j'ai vu et entendu, ce serait en effet une simplification excessive grossière et intentionnellement trompeuse au mieux. Au moins du point de vue des supporters, si leur événement du Capitole était une émeute, le Boston Tea Party aussi. Il me semble également qu'une aide professionnelle (très consciente des sentiments profonds) pourrait être venue de quelque part pour s'assurer que la fête a lieu.

    C'était une émeute et violente et une insurrection, parce que c'est ce que l'establishment veut que ce soit. Exagérer ce qui s'est passé en fait une arme qui peut être utilisée contre Trump et ses partisans, comme le procureur américain par intérim Michael Sherwin a l'intention de le faire.

    Si Sherwin menait une véritable enquête, il trouverait probablement que le plan organisé qu'il recherche était un plan Antifa ou un plan d'un groupe de l'establishment visant à utiliser des provocateurs pour précipiter les participants au rassemblement dans une action qui discréditerait Trump et le rassemblement. Bien sûr, ce n'est rien que Sherwin veut trouver.

    Les pilleurs violents qui ont saccagé les villes américaines n'ont pas été tenus pour responsables. Pourtant, le ministère américain de la Justice a l'intention de faire passer les gens qui protestent contre ce qu'ils croient être une élection volée comme des «insurgés» avec un complot de sédition. Si Sherwin et l'établissement qu'il sert avaient un jugement, ils ne jetteraient pas d'essence sur un feu à moins qu'ils ne veuillent un plus gros feu. Il semble qu'un plus gros feu soit ce qu'ils veulent.

    Un incendie plus important aiderait le nouveau projet de loi sur le terrorisme intérieur qui criminalise la dissidence. En vertu de ce projet de loi, ceux qui contestent les explications de l'établissement pourraient se retrouver accusés de terrorisme. La loi est ce que les procureurs établissent. Ce qu'est le terrorisme devient un jugement subjectif et c'est tout ce que le procureur dit.

    Il n'y a pas eu d'insurrection le 6 janvier, ce qui est en quelque sorte déroutant. Si des dizaines de millions d'Américains croient que leur démocratie est menacée par une élection volée et que rien n'a été fait à ce sujet, qui serait surpris s'il y avait une insurrection ? Il me semble que tout le monde sauf l'establishment et ses serviteurs soutiendraient une telle insurrection.

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  66. Accuser les partisans de Trump pour quelque chose qui ne s'est pas produit, tout en ne facturant pas Antifa pour ce qui s'est passé, est le meilleur moyen de diviser la population. Pourquoi Michael Sherwin veut-il atteler la population américaine ?

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/paul-craig-roberts/why-does-the-us-department-of-justice-want-to-worsen-the-split-in-the-us-population/

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  67. Si l'agriculteur américain est là pour lutter contre la faim, pourquoi y a-t-il encore des gens qui ont faim aux États-Unis ?


    14 Janvier 2021
    par Seppi
    Jonathan Lawler, AGDAILY*


    Lorsque j'ai créé Brandywine Creek Farms – qui était centrée sur l'idée de transformer notre ferme à but lucratif en une organisation qui fournit des produits pour nourrir les personnes en situation d'insécurité alimentaire dans leur communauté – certains de mes amis agriculteurs pensaient que nous sous-entendions que les agriculteurs n'en faisaient pas assez et qu'il fallait produire plus de nourriture. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. Nous avons commencé nos efforts à but non lucratif de culture et de don de produits après avoir remarqué que les banques alimentaires avaient rarement des fruits et légumes frais. Bien que cela ait été vrai à l'époque, beaucoup de banques alimentaires ont compris le message et ont commencé à travailler dur pour inclure des produits frais dans leur planification d'achat de nourriture.

    Mais aujourd'hui encore, on me demande : « Pourquoi les agriculteurs ne produisent-ils pas assez de nourriture ? »

    Pour moi, c'est une question étrange et mal fondée. Comme si les agriculteurs ne faisaient pas leur part. Ma ferme a pour mission d'améliorer l'accès aux produits frais, et non de prendre le relais des autres agriculteurs. En tant que citoyen des États-Unis, j'ai la chance de vivre dans un pays où les agriculteurs produisent non seulement les aliments les plus sains et les plus sûrs de la planète, mais où ils les surproduisent en fait, de sorte qu'il y a toujours de l'abondance.

    La grande question est donc la suivante : si nous, en tant qu'agriculteurs, faisons notre part, pourquoi y a-t-il encore un problème alimentaire dans tant de régions ? Pourquoi y a-t-il des individus qui ont faim ?

    Il est indéniable que la faim et l'insécurité alimentaire sont de véritables problèmes aux États-Unis. Les municipalités de tout le pays commencent à se concentrer sur les déserts alimentaires en nommant des conseils et en accordant des incitations fiscales pour la création d'épiceries et de jardins urbains. Mais est-ce suffisant ? Le manque d'accès à la nourriture dans certaines régions est-il la cause de la faim ? Ce manque peut certainement expliquer certains problèmes d'insécurité alimentaire, mais certainement pas tous. (Un point que j'examinerai plus tard est la façon dont les déserts alimentaires ruraux sont souvent ignorés alors que les déserts alimentaires urbains semblent bénéficier de la plus grande attention et de la plus grande partie des ressources.)

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  68. Ainsi, lorsque nous créons une épicerie dans un désert alimentaire, la faim disparaît-elle ? Selon une étude publiée dans le Quarterly Journal of Economics, l'ouverture d'une épicerie dans un désert alimentaire n'a pas l'effet sur l'insécurité alimentaire que nous pensions – ou espérions tous – auparavant. La faim existe toujours.

    S'il y a une chose que mon travail dans le domaine de l'accès abordable à la nourriture et de la faim m'a apprise, c'est qu'il n'y a pas une seule solution qui soit un remède universel contre la faim. La pandémie de Covid-19 n'a fait qu'ajouter à la tâche d'un réseau caritatif déjà bien chargé de banques alimentaires. Les déserts alimentaires ne sont pas, et de loin, la seule cause de la faim. Aux États-Unis, avant la Covid, nous avions déjà une importante population qui dépendait des banques alimentaires et des soupes populaires, et c'est pourquoi nous avons vu les organisations caritatives de l'alimentation être mises à rude épreuve au plus fort de la pandémie. J'ai remarqué que de nombreuses banques alimentaires à travers le pays ont adopté l'idée de fournir de la nourriture sans poser de questions (certaines posent des conditions pour en recevoir). En apparence, cela semble être une merveilleuse idée pour préserver la dignité de ceux que la banque alimentaire sert, mais est-ce vraiment le cas ?

    Sommes-nous, en tant que société, intéressés par des aides de fortune ou voulons-nous de vraies solutions ?

    Nous devrions nous poser la question : pourquoi des individus ont-ils recours à des banques alimentaires? Est-ce lié à une perte d'emploi ? Oui. Les revenus sont-ils limités en raison de facteurs extérieurs ? Oui. Sont-ils incapables de conserver un emploi ? OUI.

    Beaucoup de mes clients appartiennent à cette dernière catégorie. Les deux premiers groupes sortent souvent du besoin d'assistance, mais pas le dernier. Tout en essayant désespérément de ne pas simplifier à l'excès une question complexe, je constate que l'aide alimentaire est souvent temporaire et déterminante pendant la transition d'un emploi à un chômage, puis à un nouvel emploi, ou en attendant que les revenus se stabilisent. La dernière catégorie, sans doute celle qui connaît la croissance la plus rapide, est devenue dépendante de l'aide alimentaire. Si une personne que nous servons devient un client de nos services en mai, nous ne voulons pas qu'elle utilise encore nos services en octobre sans que sa situation ne s'améliore – si elle les utilise encore, alors nous l'avons laissé tomber.

    C'est pourquoi nous posons des questions. C'est pourquoi nous nous associons à un vaste réseau de services qui peuvent répondre aux besoins que nous ne pouvons pas satisfaire. La nourriture est le besoin le plus fondamental que nous puissions satisfaire immédiatement, et nous pouvons remercier l'agriculteur américain pour cela. Pour ce qui est de les sortir du cercle vicieux de la pauvreté, cela incombe à de multiples individus et organisations qui utilisent une approche globale pour traiter la cause de la faim (perte d'emploi, toxicomanie, anciennement incarcéré, état de santé mentale non traité, etc.) ). Grâce à l'agriculteur américain, nous pouvons soulager le symptôme de la faim pendant que d'autres organisations administrent le remède. Pour les églises et les organisations caritatives, la nourriture doit être le pont vers les ressources, et non une béquille qui ne fait que maintenir l'existence.

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  69. Il est important d'attraper le plus grand nombre possible de personnes qui entrent dans le cercle vicieux de la pauvreté avant que la dépendance au système ne s'installe. Que le moteur soit une perte de revenus ou un problème de santé mentale, cela ne fait aucune différence ; une intervention précoce permet de sortir plus rapidement de l'engrenage. Si nous comprenons combien de personnes se trouvent au bord de ce cercle, nous nous rendrons compte qu'il suffit de très peu de choses pour les en sortir. Centraide [United Way] définit cette population comme la population A.L.I.C.E – un acronyme qui signifie Access Limited, Income Constrained, Employed (accès limité, revenus limités, emploi). Ils gagnent plus que le niveau fédéral de pauvreté, mais pour de nombreuses raisons, ils sont souvent à cantonnés à un salaire de pauvreté.

    Dans le cadre de mon travail, j'ai rencontré plusieurs de ces personnes et familles – les saisies, les expulsions, les licenciements et la réduction des heures de travail ont tous joué un rôle dans le point de basculement pour mes clients. Même les grossesses non planifiées peuvent pousser un individu ou une famille dans le besoin.

    L'idée de fournir de la nourriture sans poser de questions ou sans les qualifications nécessaires semble assez noble, et je comprends parfaitement le concept sous-jacent, mais donneriez-vous 10 dollars à un alcoolique sans rien dire ? Et si vous lui donniez 10 dollars en lui proposant de le conduire aux Alcooliques Anonymes, de le faire suivre par un parrain qui est là pour le dissuader de faire une rechute ?

    Je ne compare en aucun cas une personne qui a traversé une période difficile à une personne qui souffre d'une dépendance, qui est une maladie en soi. Je parle des nombreuses personnes qui dépendent de la nourriture et des dons pour subvenir à leurs besoins quotidiens en raison d'un manque de soins de santé mentale ou d'une éducation insuffisante, voire inexistante, y compris en matière financière. Les personnes qui ne participent pas au marché du travail, non pas parce qu'elles sont paresseuses, mais parce qu'elles ont été mises à l'écart par la société et ont besoin de l'aide d'une personne ou d'une organisation pour trouver les ressources nécessaires, jusqu'à ce qu'elles puissent marcher par elles-mêmes. Nous devons briser ce cycle de dépendance, dont la faim et l'insécurité alimentaire sont un symptôme, en traitant le mal qui est le cercle vicieux de la pauvreté.

    Si vous lisez ceci et supposez que je vous demande d'arrêter de donner de la nourriture à ceux qui en ont besoin, alors vous avez mal compris. Trop d'enfants se trouvent dans des situations sur lesquelles ils n'ont aucun contrôle pour que l'on soit aussi insensibles. Trop de gens n'ont pas de filet de sécurité. Retirer de la nourriture gratuite n'est pas non plus la solution. Utiliser l'aide alimentaire comme point de départ d'une relation qui permet aux individus et aux familles de sortir du cercle vicieux de la pauvreté, c'est tout l'intérêt. Les agriculteurs américains font leur part, et ce depuis des années. Donner à quelqu'un un carton de nourriture pourrait «répondre » à ses besoins immédiats et faire que vous vous sentiez mieux, mais là encore, il s'agit d'une aide sous forme de cautère sur une jambe de bois.

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  70. S'attaquer au problème de la faim par un approvisionnement continu de nourriture « gratuite » tout en ignorant la cause première garantira une chose : il y aura toujours une population toujours croissante de personnes souffrant de la faim. Les agriculteurs ont déjà résolu le problème de la faim. Maintenant, il faut que d'autres professions se joignent à nous et offrent leurs services en première ligne et fassent la même offre et les mêmes sacrifices que l'agriculteur américain. C'est la seule façon de réduire considérablement le symptôme de la faim dans ce pays.

    _____________

    * Jonathan Lawler dirige les Brandywine Creek Farms dans l'Indiana et est un défenseur de la lutte contre la faim et de l'agriculture. Il travaille sur une émission de télévision intitulée Punk Rock Farmer qui sera diffusée au printemps. Sa devise est FARM OR DIE (cultiver ou mourir).


    Source : If U.S. farmers address hunger, why are hungry people around ? | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2021/01/si-l-agriculteur-americain-est-la-pour-lutter-contre-la-faim-pourquoi-y-a-t-il-encore-des-gens-qui-ont-faim-aux-etats-unis.html

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    1. Primo aujourd'hui, les agriculteurs sont obligés de produire plus qu'il n'en faut à cause des maladies et insectes ravageurs répandus par les criminels écologistes qui font tout pour protéger les insectes nuisibles. Mais, dans ce qui reste, il y a la perte qui ne rentre pas dans les 'formats-types' demandés par la dictature (exemple: fruits trop petits ou trop gros. Qualité identique aux autres). Puis interviennent les aléas climatiques, trop de pluie, froid qui empêche le développement, grêle, etc). Puis interviennent les impossibilités de ramassage dues à l'incompétence des ouvriers ! Puis, interviennent les non-achat des distributeurs qui ont trouvé moins cher ailleurs !

      Secundo, les agriculteurs ont vu juste, l'emploi de serres se développe et permet d'oublier les saisons et de pouvoir semer, planter, récolter toute l'année. C'est aussi ce qui s'appelle l'autonomie.

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  71. Point de vue : Parlons du méthane et du bétail


    13 Janvier 2021
    par Seppi
    Jack DeWitt*


    Le méthane. Le principal composant du gaz naturel. Un atome de carbone et quatre atomes d'hydrogène (CH4). Je sais que vous en avez assez d'entendre à quel point il est mauvais comparé au gaz carbonique en tant que gaz à 'effet de serre', et que le bétail en est l'une des principales sources. Je sais, j'ai écrit sur le 'réchauffement climatique' et la prétendue contribution de l'agriculture à ce phénomène à plusieurs reprises dans un passé récent, mais l'accent va être mis sur ce point avec le nouveau gouvernement Biden, et il convient donc de clarifier et de répéter certains points.

    Tout d'abord, l'herbe et les céréales consommées par le bétail éliminent le gaz carbonique de l'air. Dans le rumen, les méthanogènes se nourrissent du produit de la fermentation des plantes que la vache a mangées et libèrent une partie du carbone consommé par la vache sous forme de méthane. Le méthane libéré dans l'atmosphère lors des « pets de vache » se décomposera en gaz carbonique. C'est un cycle qui se poursuit depuis que les ruminants ont occupé leur niche sur Terre, de sorte que la quantité de méthane dans l'atmosphère provenant des ruminants (bovins pour l'alimentation, bovins de trait, moutons, chèvres, bisons, cerfs, élans, antilopes, etc.) n'a pas beaucoup changé depuis des milliers d'années.

    Ensuite, l'impact du méthane du bétail aux États-Unis diminue grâce aux gains d'efficacité de la production de viande bovine et de lait, selon les données du Département américain de l'Agriculture. En 1970, 12,5 millions de vaches laitières ont produit 53 millions de kilos de lait. En 2019, 9,3 millions de vaches ont produit 99 millions de kilos, soit 86 % de lait en plus pour 26 % de vaches en moins. Depuis 2000, la production de lait par vache a augmenté de 28 % et l'industrie laitière produit aujourd'hui 30 % de lait en plus avec un nombre légèrement plus élevé de vaches. Le nombre de bovins de boucherie a diminué de 6 % depuis 1970, mais la production de viande de ces bovins a augmenté de 25 %, en partie en raison du poids plus important à l'abattage, rendu possible par l'élevage d'animaux qui ont un taux de croissance plus élevé et une meilleure efficacité alimentaire. Ces tendances en matière d'efficacité vont se poursuivre. Attendez-vous à des percées dans le domaine des additifs alimentaires qui augmenteront l'efficacité de l'alimentation en supprimant la production de CH4 par les méthanogènes dans le rumen.

    L'énergie non utilisée par les méthanogènes serait alors disponible pour la croissance des animaux ou la production de lait.

    Attendez-vous à ce que les militants fassent pression sur l'administration Biden pour qu'elle démantèle les grandes étables laitières et d'embouche, et qu'elle mette plus de bétail au pâturage. Le président Eisenhower a dit un jour : « Il est facile de produire quand votre charrue est un crayon et que vous êtes à 1 000 kilomètres du champ de maïs ». Les activistes et les bureaucrates qui préconisent de mettre plus de bétail au pâturage pour réduire les émissions de 'gaz à effet de serre' sont trop éloignés des champs de maïs. Les bovins au pâturage émettent plus de méthane pour plusieurs raisons :

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  72. L'alimentation du bétail avec des céréales supprime les méthanogènes dans le rumen. L'engraissement du bétail à l'herbe ne fait qu'augmenter la quantité de nourriture à fermenter dans le rumen et l'émission de méthane par unité de gain de poids.

    Il faut plus de temps pour atteindre le poids d'abattage, il y a donc plus de jours pour roter.

    Les militants affirment que le fait de laisser du fumier sur les pâturages réduit les émissions, mais c'est le contraire qui se produit. Le fumier frais contient généralement environ 6 kg d'azote par tonne. Sur un pâturage, les bouses perdent de 40 à 60 % de l'azote présent et l'émettront dans l'atmosphère. Rassemblées quotidiennement et placées dans une lagune couverte peut réduire les pertes à 15 pour cent. Le méthane produit dans la lagune peut ensuite être brûlé pour produire de l'électricité pour une ferme laitière ou un parc d'engraissement.

    Et pourquoi le méthane serait-il si mauvais ? Comparé au gaz carbonique, c'est un gaz minuscule dans l'atmosphère (413 parties par milion contre 1,7 ppm, ou 0,041 % contre 0,00017 % pour le gaz carbonique). Les climatologues affirment que son potentiel de réchauffement est environ 80 fois supérieur à celui du gaz carbonique sur une période de 20 ans. La réponse est dans les trous infrarouges qu'il bouche. La vapeur d'eau est de loin la molécule d'absorption de chaleur la plus abondante dans l'atmosphère, et pour nous, c'est une bonne chose. Sans quelque chose pour retenir la chaleur du soleil, la terre serait très froide, comme l'est Mars aujourd'hui. D'un autre côté, si une partie de la chaleur ne s'échappait pas dans l'espace, la Terre pourrait être trop chaude pour la vie, comme Vénus.

    Lorsque les ondes lumineuses visibles du soleil frappent la Terre, une partie est renvoyée dans l'espace par des surfaces blanches comme la neige, la glace ou les nuages. La majeure partie est absorbée par le sol, les roches, la végétation, etc. Ces objets restituent l'énergie sous forme d'ondes de chaleur infrarouge, que nous pouvons sentir mais pas voir. Ces ondes sont plus longues que les ondes lumineuses et sont plus facilement piégées par la vapeur d'eau, le gaz carbonique, le méthane et d'autres gaz. Ces gaz réémettent la chaleur dans toutes les directions, certains rayons s'échappant dans l'espace et d'autres rebondissant sur la Terre.

    Un problème survient lorsqu'une trop grande partie de l'infrarouge est renvoyée vers la Terre. La vapeur d'eau n'absorbe pas toutes les longueurs d'onde dans l'infrarouge. (La longueur des ondes infrarouges varie d'un milliardième de mètre à un millième de mètre). Certaines ondes peuvent donc retourner sans encombre dans l'espace. C'est là que les gaz à effet de serre entrent en jeu : ils bouchent les trous que la vapeur d'eau laisse ouverts. Le gaz carbonique bouche une grande partie des mêmes trous que la vapeur d'eau, mais aussi des trous que la vapeur d'eau ne bouche pas. Le méthane ne bouche les trous ni du gaz carbonique ni de la vapeur d'eau, ce qui le rend particulièrement efficace en tant que gaz à 'effet de serre'.

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  73. Au niveau mondial, le bétail n'est pas la principale source de méthane et, comme je l'ai dit au début, le méthane provenant du bétail commence sous forme de gaz carbonique dans l'atmosphère et finit par être recyclé en gaz carbonique atmosphérique. La source la plus importante est l'industrie du pétrole, du gaz naturel et du charbon (19 %). Les ruminants seraient responsables de 16 % des émissions. Le traitement des eaux usées et les déchets animaux contribuent chacun pour 5 %. La culture du riz est responsable de 12 % des émissions, car les méthanogènes se comportent bien dans les sols gorgés d'eau où les niveaux d'oxygène sont réduits. Les décharges et la combustion de la biomasse représentent 14 % des émissions. Les termites émettent 4 %, et les zones humides et autres sources naturelles, 25 %.

    Si le nouveau gouvernement veut payer les agriculteurs pour qu'ils stockent du carbone, je pense que ce serait bien. Et j'espère qu'ils se rendront compte que les données de l'Agence Américaine de Protection de l'Environnement attribuent 9 % des émissions de 'gaz à effet de serre' (GES) des États-Unis à l'agriculture, et attribuent à l'agriculture et à la sylviculture le mérite de compenser 11 % des émissions de GES des États-Unis, en absorbant le gaz carbonique dans la matière organique du sol et les tissus végétaux. Un résultat net positif de 2 % pour l'agriculture et la sylviculture.

    ____________

    * Jack DeWitt est un agriculteur-agronome dont l'expérience agricole s'étend sur plusieurs décennies, depuis la fin de la traction hippomobile jusqu'à l'âge du GPS et de l'agriculture de précision. Dans son livre « World Food Unlimited », il raconte tout cela et prédit comment nous pouvons avoir un monde futur avec une nourriture abondante. La version originale de cet article a été publiée par Agri-Times Northwest.

    Source : Perspective: Let's talk about methane and cattle | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2021/01/point-de-vue-parlons-du-methane-et-du-betail.html

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    1. N'oublions pas que TOUS LES GAZ SE RECYCLENT IMMEDIATEMENT depuis des millions d'années et que la vie serait impossible sans ce recyclage perpétuel. Le plus grand (des milliards de fois) émetteur de gaz est bien sûr notre magma. Sans cette masse ferrique incandescente présente au centre de notre planète il n'y aurait pas d'oxygène dans les mers & océans ni sur terre.

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  74. Le porc « GalSafe » est le type de science que le secteur alimentaire doit adopter


    12 Janvier 2021
    par Sepp
    Amanda Zaluckyj, AGDAILY*


    Je me souviens de la première fois où j'ai entendu parler de l'allergie à la viande de mammifère, ou de ce qu'on appelle parfois l'allergie alpha-gal. J'étais assis dans un restaurant d'Indianapolis avec Ryan Tipps, mon rédacteur en chef d'AGDAILY. J'ai commandé le fameux hamburger du restaurant. Ryan a évité la viande rouge et a posé à la serveuse des questions bizarres et précises. Il m'a ensuite parlé de la morsure de tique qui a changé son alimentation et sa vie.

    L'allergie à la viande de mammifère est en fait une allergie au sucre alpha-gal que l'on trouve souvent dans la viande rouge. Les symptômes diffèrent, mais les personnes qui en souffrent ont généralement une réaction quelques heures après avoir consommé le sucre. Et bien que les personnes allergiques soient peu nombreuses, de nouveaux cas continuent d'apparaître. C'est parce qu'elle peut être transmise par la morsure de la tique Amblyomma americanum.

    Pouvez-vous imaginer ? Après avoir passé du temps à l'extérieur, vous rentrez à la maison et vous trouvez une tique qui s'est accrochée à vous et vous ne pouvez plus manger de bacon. Non, merci.

    Il pourrait y avoir un certain soulagement pour des gens comme Ryan. La Food and Drug Administration américaine a approuvé les porcs GalSafe pour la consommation humaine et à des fins médicales. Ces porcs ont subi une modification génomique intentionnelle (MGA) pour éliminer le sucre alpha-gal. Ainsi, l'animal, sa viande et ses organes devraient être sans danger pour les personnes allergiques.

    La MGA est en fait un ensemble de technologies réglementées par la FDA. Elle permet aux scientifiques d'apporter des modifications très précises à l'ADN de l'animal en ajoutant, substituant ou supprimant intentionnellement des séquences de gènes spécifiques. Ces techniques sont encore plus spécifiques que le génie génétique. Vous avez probablement entendu parler de CRISPR – des nucléases associées aux clustered regulatory interspersed short palindromic repeat, courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées – qui est d'un autre type.

    Ce qui est vraiment cool, c'est que la FDA a autorisé ces porcs à la fois pour la consommation humaine et pour des usages médicaux. L'espoir est d'utiliser les porcs modifiés pour créer des médicaments qui sont exempts de sucre alpha-gal. Et cela pourrait aider pour les transplantations d'organes entre animaux et humains. Le sucre est généralement considéré comme la raison pour laquelle certaines transplantations ne fonctionnent pas. Les porcs GalSafe pourraient donc apporter la solution. (Fait amusant : la société qui se cache derrière les porcs GalSafe est Revivicor Inc., une spin-off de PPL Therapeutics, la société célèbre pour avoir cloné la brebis Dolly dans les années 1990).

    Le risque pour les personnes souffrant d'allergies alimentaires frappe tout près de chez moi. Mon frère a découvert à la fin de la vingtaine qu'il était allergique au gluten. Ma belle-sœur fait un vaillant effort pour modifier les recettes de ses plats afin qu'il puisse les manger. Mais parfois, il n'y a tout simplement pas de produit de substitution comparable. Mais il a de la chance. Pour certaines personnes, manger accidentellement des aliments contenant des allergènes peut être une erreur fatale.

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  75. J'avoue que j'aime entendre parler de ces choses. Ces progrès scientifiques peuvent apporter des réponses pratiques à certains des problèmes les plus urgents de l'humanité. Et bien que peu de gens souffrent d'allergie à la viande de mammifère, tout le monde risque d'avoir besoin d'une transplantation d'organe. Ces porcs pourraient faire la différence entre la vie et la mort.

    J'espère donc que les progrès se poursuivront. Il est important de disposer d'un cadre réglementaire solide pour superviser et encadrer ces projets. Mais il doit être équitable et ne peut pas entraver l'innovation. Et nous devons partager ces avancées de manière à ce que le public consommateur puisse les comprendre et leur faire confiance. C'est ainsi que nous aurons plus d'histoires comme celles-ci à partager.

    Et, au fait, j'ai hâte de demander à Ryan ce que ça fait de manger du bacon après si longtemps !

    _____________


    * Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.

    Source : https://www.agdaily.com/livestock/galsafe-pigs-science-food-sector-needs-to-embrace/

    https://seppi.over-blog.com/2021/01/le-porc-galsafe-est-le-type-de-science-que-le-secteur-alimentaire-doit-adopter.html

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    1. (...) La MGA est en fait un ensemble de technologies réglementées par la FDA. Elle permet aux scientifiques d'apporter des modifications très précises à l'ADN de l'animal en ajoutant, substituant ou supprimant intentionnellement des séquences de gènes spécifiques. Ces techniques sont encore plus spécifiques que le génie génétique. Vous avez probablement entendu parler de CRISPR – des nucléases associées aux clustered regulatory interspersed short palindromic repeat, courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées – qui est d'un autre type. (...)

      D'où le 'copié-collé' des tranhumanistes cités par Catherine Austin Fiits dont zéro de ces dictateurs-eugénique en connaissent la véritable définition pour transformer l'être humain en robots conductibles (grâce aux implants nano-technologiques contenus dans les faux vaccins et inoculés lors des 'séances de vaccination' avec puce RFID incorporée dans la seringue.

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  76. « Le XXIe siècle, le siècle de l'amélioration des plantes »


    14 Janvier 2021
    par Seppi


    (Source

    Mes pérégrinations m'ont amené à un article scientifique de 2012 qui garde toute sa pertinence : « The twenty-first century, the century of plant breeding » (le XXIe siècle, le siècle de l'amélioration des plantes) de Peter Stamp et Richard Visser – texte complet).

    En voici le résumé (nous découpons) :

    Pour atteindre la sécurité alimentaire mondiale d'ici 2050, la production primaire doit presque être doublée, au moins à 80 % en augmentant la production par unité de terre.

    Le défi de l'amélioration des plantes est énorme. Il est nécessaire de convaincre le public de ce défi, un public qui doit déjà faire face aux préoccupations liées au 'changement climatique' (saisons), à la rareté des bonnes terres arables, aux exigences imposées aux terres en ce qui concerne la production de biomasse, à la rareté de l'eau et du phosphore ainsi qu'à l'augmentation de la consommation de viande.

    En ce qui concerne l'amélioration des plantes, les préoccupations portent sur le très petit nombre de cultures principales et le faible taux de progrès de la sélection dans les céréales autogames.

    La société et les hommes politiques peuvent facilement se détourner de la nécessité absolue d'investir dans la recherche fondamentale en matière d'amélioration des plantes et dans les applications de l'amélioration des plantes lorsque tant de préoccupations environnementales sont mises en avant.

    Une approche holistique de ces problèmes est essentielle. L'accent est mis ici à la fois sur les obstacles à surmonter et sur les possibilités d'assurer la sécurité alimentaire mondiale en produisant un excellent matériel génétique d'ici 2050. Cela peut être réalisé grâce aux nouvelles technologies et à la génomique ainsi qu'au développement continu de méthodes d'amélioration des plantes plus traditionnelles.

    Ce n'est pas de la science extra-galactique, mais ce sont des principes bons à rappeler.

    https://seppi.over-blog.com/2021/01/le-xxie-siecle-le-siecle-de-l-amelioration-des-plantes.html

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    1. Heureusement, les agriculteurs ne comptent pas sur les bureaucrates-attardés-mentaux des ministères !
      Depuis des décennies et voyant les saisons se refroidir au fil des ans, les agriculteurs du monde entier ont érigé des serres. Ces lieux clos aux intempéries permettent d'une part de travailler à l'abri toute l'année et d'y récolter donc toute l'année.
      Les serres à légumes d'hiver (salades, choux, céleris, etc) sont peu à peu (très gros retards face aux chinois et japonais) étagés en serres ce qui permet de multiplier les surfaces au sol par 8 ou 10 ou parfois plus !

      Découvertes :
      http://forum.latelierpaysan.org/viewtopic.php?t=4346&p=6374

      'Dernièrement' sont arrivées les serres doublées de plastiques (200 µ) afin de lutter contre le refroidissement climatique actuel. L'espace (de 10 cm env.) entre les deux plastiques permet à l'air de circuler en haut et sur les 4 côtés afin de stopper ou de réduire les baisses de températures en serres froides.
      Il s'agit là d'une copie-conforme à l'invention au début du 20è siècle des briques creuses en terre cuite puis des parpaings alvéolés qui permettent une isolation parfaire des maisons à l'inverse des bâtiments en pierres de taille (châteaux-forts aux murs de 3 m d'épaisseur ! Hahaha ! où les habitants se gelaient les c*uilles tous les hivers !).

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  77. Nouvelles du Japon : les petits secrets de la Chuo Line enfin dévoilés


    le 14 janvier 2021


    La Chuo Line est une ligne de chemin de fer partant de la station de Tokyo Central et supposée à sa création de relier Tokyo à Nagoya par l’intérieur (424 km). Elle fut mise en chantier dès 1889 et fut électrifiée dans sa partie urbaine dès 1904, cependant il fallut attendre 1973 pour que la totalité de la ligne Tokyo-Nagoya soit complètement électrifiée. Si cette ligne est presque rectiligne dans la plaine où se trouve l’immense conurbation de Tokyo, au delà de la ville de Hachioji le relief devient montagneux et cette ligne serpente au milieu des forêts. Les conducteurs des trains poursuivant leur route en direction de Nagoya étaient parfois avertis à Hachioji du danger que représentait l’impossibilité de freiner correctement dans les courbes en raison d’une invasion des rails par des centaines de milliers de millepattes au-delà de la station de Tatsuno à 220 kilomètres à l’ouest de Tokyo. Ce qui excita la curiosité des employés de la JR East (la compagnie de chemins de fer dont dépend la Chuo Line) était que ces alertes n’étaient pas communes tous les étés mais qu’il existait une périodicité de 8 ans sur certaines sections de la voie mais cette périodicité de 8 ans était décalée sur d’autres sections. Cette énigme occupa l’attention de certains entomologistes dès les années 1920.

    Ce n’est que vers les années 1970 que le Docteur Keiko Niijima de l’administration nationale des forêts basé à Hachioji, une des villes situées à l’ouest de Tokyo sur la Chuo Line à 47 kilomètres de Tokyo Central en bordure des premiers reliefs montagneux, s’intéressa à ces curieuses explosions massives de millepattes sur les voies de la Chuo Line. Les archives incroyablement détaillées (à la japonaise !) relatant les minutieuses observations du Docteur Niijima, aujourd’hui retraité et vivant paisiblement à Suginami (arrondissement de la ville de Tokyo, situé à l’ouest du centre-ville et desservi par 4 stations de la Chuo Line), ont été étudiées et exploitées par les Docteurs Momoka Nii et Jin Yoshimura des Universités de Shizuoka et de Tokyo, campus de Hachioji, pour tenter de trouver une explication satisfaisante de la présence périodique, très exactement de 8 ans pour un site particulier, de ces centaines de milliers de millepattes qui ont toujours préoccupé les conducteurs de train de la Chuo Line dans la partie montagneuse au delà de la ville de Hachioji.

    - voir photos sur site -

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  78. Il s’agit de l’espèce de petits millepattes Parafontaria laminata armigera dont le cycle larvaire complexe dure huit années. Les deux auteurs cités ont concentré leurs études près du Mont Yatsu et d’autres sites alentour où les essence forestières sont principalement des hêtres. L’état larvaire de ces petits arthropodes dans le sol à des profondeurs variant entre 10 et 30 centimètres dure huit ans avec donc huit stades (instar) successifs :

    Et lors de l’émergence massive des adultes non seulement ce phénomène peut présenter un danger pour les trains mais également pour les automobilistes puisqu’il s’agit de centaines de milliers d’individus qui vont se livrer aux joies de la reproduction en groupe, les femelles déposant leurs œufs, entre 400 et 1000, à la fin de ces festivités sexuelles pour ensuite mourir. Le cycle de vie de 8 ans de ces millepattes est remarquable par sa régularité et ce sont les seuls insectes ayant un cycle larvaire aussi long avec certaines cigales dont le cycle larvaire, selon les espèces, varie entre 3, 7 et 17 ans.

    - voir carte sur site :

    Source et illustrations : https://doi.org/10.1098/rsos.201399

    Lien : https://en.wikipedia.org/wiki/Chūō_Main_Line

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/14/nouvelles-du-japon-les-petits-secrets-de-la-chuo-line-enfin-devoiles/

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  79. Gab, en plein essor, a des copies de tous les tweets de Trump


    January 14th, 2021


    Le grand regroupement des médias sociaux mondiaux ne fait que commencer.

    Gab Logo Au cours des quatre derniers jours, 1,7 million de nouveaux utilisateurs se sont inscrits sur Gab - un site alternatif à Twitter. La surtension est si forte que le site est submergé sous la charge. Gab met à jour tous les serveurs pour faire face à la croissance. (Le PDG demande de la patience).

    Gab a déjà été expulsé à la fois des grands magasins Ap et d'Amazon aussi, en 2018. Pour éviter que cela ne se reproduise, ils ont acheté et mis en place leurs propres serveurs privés. (Internet est vraiment du matériel, après tout).

    Ils n'ont pas seulement configuré leurs propres serveurs, ils ont même créé leur propre navigateur Web (appelé Dissenter). Ils ont également construit une plateforme vidéo (Gab.TV.) et un service de messagerie cryptée par e-mail (Chat.Gab.) J'utilise Dissenter depuis des mois. Je l'aime. Il y a des rumeurs selon lesquelles ils travaillent également sur un téléphone Gab.

    Rien ne fera plus mal à Google, Amazon et Twitter que de perdre la moitié de leur base.

    Ce fut une guerre de quatre ans pour le PDG, Andrew Torba.
    Regardez la diffamation que ce chrétien franc de 30 ans a dû endurer:

    En raison des principes de liberté d'expression de Torba, Gab et Andrew n'ont pas été mis sur pied et ont été interdits par plus de 25 fournisseurs de services au fil des ans, y compris des App Stores, plusieurs processeurs de paiement et des fournisseurs d'hébergement.

    Torba lui-même est personnellement banni des banques en ligne, des échanges de crypto-monnaie et de Twitter depuis de nombreuses années maintenant. Sa famille est également sur liste noire par VISA.

    Andrew Torba a également été confronté à de nombreuses menaces de violence, de doxxing, de harcèlement criminel et plus encore pour son combat pour défendre la liberté d'expression en ligne pour tous.

    Vous voulez voir TOUS les tweets de Donald Trumps?
    Le PDG Andrew Torba a eu l'esprit de sauvegarder l'intégralité du compte Twitter de President’s Trumps avant sa suppression.

    Le PDG de Gab réussit l'impossible pour Trump… INCROYABLE!

    «Le PDG de Gab a complètement soutenu Pres. Le compte Twitter de Trump avant sa suppression et le recréé sur Gab! Ce qui est encore plus impressionnant, c'est qu'il l'a fait alors que le trafic augmentait de 700% et était attaqué..https: //t.co/F3olVzPpYy
    - Liberty Times & Politics 🗣 #FreeSpeech (@ dmills3710) 13 janvier 2021

    Jusqu'à présent, le président Trump n'a pas ajouté de nouveaux tweets sur le compte miroir de Gab: @realdonaldtrump. (Ce qui est très lent à charger).

    Il est possible de lire tous les tweets des présidents sans avertissements ni suppressions. Ne pas être traité comme un bébé pourrait le faire ?!

    https://joannenova.com.au/2021/01/gab-surging-has-copies-of-all-trumps-tweets/

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  80. Les syndicats d'enseignants échouent en science


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 JAN 2021-14: 25
    Rédigé par John Stossel, éditorial via Townhall.com,


    L'école de votre enfant est-elle ouverte maintenant ?

    Probablement pas - parce que les syndicats d'enseignants disent que la réouverture «mettrait leur santé et leur sécurité en danger».

    Ils maintiennent les écoles fermées en faisant du lobbying et en protestant.

    «Si je meurs après avoir attrapé le COVID-19 après avoir été forcé de retourner dans les écoles du comté de Pinellas, vous pouvez déposer mon cadavre ici ! crie un manifestant dans ma nouvelle vidéo.

    Mais les écoles diffusent rarement le COVID-19.

    Des études sur des dizaines de milliers de personnes n'ont trouvé "aucune relation cohérente entre la scolarisation en personne de la maternelle à la 12e année et la propagation du coronavirus".

    Même le Dr Anthony Fauci, chef du groupe de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche, a encouragé les écoles à rouvrir, en disant "fermer les bars et garder les écoles ouvertes".

    Lindsey Burke, chercheuse en éducation à la Heritage Foundation, souligne que des études menées dans 191 pays ne trouvent "aucun lien cohérent entre la réouverture des écoles et l'augmentation des taux de transmission du COVID".

    Elle dit que les écoles ne sont pas des hotspots COVID-19.

    «Mais c'est logique qu'ils le soient», je repousse. "Les enfants sont regroupés."

    «Les taux de positivité dans les écoles sont généralement inférieurs à ceux de la communauté au sens large», dit-elle.

    Les écoles fermées nuisent le plus aux élèves à faible revenu parce qu'elles ont moins d'alternatives d'apprentissage. Les privilégiés contournent les restrictions syndicales.

    Presque toutes les écoles publiques de Californie sont fermées, mais le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, envoie ses enfants dans une école privée qui est restée ouverte.

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  81. "Choix pour moi, mais pas pour toi!" ironise Burke.

    Les enfants bloqués à l'école souffrent plus que des pertes scolaires, ajoute-t-elle.

    «Les enfants sont des animaux sociaux. Leur incapacité à interagir en personne, à voir leurs amis, à voir leurs professeurs a vraiment un impact».

    Ce n'est pas une raison suffisante pour ouvrir des écoles, disent les syndicats. Dans ma vidéo, un enseignant de San Antonio soutient:

    "Nous comprenons que l'apprentissage en personne est plus efficace que l'enseignement en ligne, mais ce n'est pas la question. La question est de savoir ce qui est le plus sûr."

    «Mais ce n'est vraiment pas au cœur des raisons pour lesquelles les syndicats essaient de garder les écoles fermées», dit Burke. "C'est vraiment une question de politique."

    Absolument. Les revendications syndicales incluent toutes sortes de choses sans rapport avec la sécurité des enseignants. Le syndicat de Los Angeles réclame: la suppression du financement de la police, un moratoire sur les écoles à charte, des impôts plus élevés pour les riches et «Medicare for All».

    "L'Oregon Education Association ... a déclaré qu'elle souhaitait que l'État cesse tout transfert vers des écoles à charte virtuelles", déclare Burke.

    "Il n'y a clairement aucun problème de santé dans un environnement virtuel."

    Il est révélateur que les écoles gérées par le gouvernement se battent pour rester fermées, tandis que la plupart des entreprises - écoles privées, restaurants, salons de coiffure, gymnases, etc., se battent pour être autorisées à ouvrir.

    Pourquoi donc ? Burke souligne que les écoles publiques "reçoivent un financement indépendamment du fait qu'elles rouvrent ou non".

    Ainsi, les travailleurs syndiqués sont payés même lorsqu'ils ne travaillent pas. Ne pas travailler semble être un grand objectif du syndicat.

    À un moment donné, les enseignants de Los Angeles ont même obtenu un contrat disant qu'ils ne sont "tenus de dispenser un enseignement ... que quatre heures par jour" et qu'ils "ne seront pas tenus d'enseigner des cours en utilisant la vidéoconférence en direct".

    Bon non-travail si vous pouvez l'obtenir.

    Pourtant, les syndicats d'enseignants continuent de gagner. Ils gagneront plus maintenant que les démocrates contrôlent le gouvernement fédéral. Le dernier programme de relance du Congrès interdit l'utilisation de tout fonds pour élargir le choix de l'école: pas de «bons, programmes de crédit d'impôt pour frais de scolarité, comptes d'épargne-études, programmes de bourses ou programmes d'aide aux frais de scolarité».

    Ainsi, les étudiants perdent. Les parents perdent. Les contribuables perdent. L'Amérique perd.

    Les syndicats gagnent.

    Nous avons demandé à 21 syndicats d'enseignants de répondre aux critiques de cette chronique. Personne ne le ferait.

    Leur comportement révèle leur véritable intérêt: le pouvoir et l'argent. Les étudiants arrivent en troisième.

    https://www.zerohedge.com/political/teachers-unions-fail-science

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    1. Comment naît une épidémie ? Comme toutes les maladies un microbe ou virus se promène.

      Comment tuer les gens ? Les obliger à demeurer enfermés chez eux pendant toute la journée et tous les jours. Si, une personne est malade elle contaminera forcément les autres personnes dans la pièce, car, que faire lorsque l'on est emprisonné chez soi ? On s'assied à table et on joue aux cartes ou, ou s'assied tous au canapé pour regarder un film à la télé.

      Comment faire pour en finir avec l'épidémie ? Ne plus en parler ! Il y a en France 4 ou 5 morts du corona tous les jours, si vous n'en parlez pas, ils n'existent pas. Or, c'est exactement le contraire qui se passe ! Cent fois par jours ils rabâchent le nombre de cas (de personnes qui toussent !) pour affoler la population ! Les idiots sont terrorisés ! Ils rejoignent au plus vite la gestapo en dénonçant le voisin qui ne porte pas de masque !

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  82. Un membre du Congrès de la DEM attrape un COVID après avoir reçu une deuxième dose de vaccin


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 JAN 2021-11: 35


    Il s'avère que les républicains ne sont pas les seuls politiciens capables de contracter le COVID.

    Offrant le dernier rappel que le vaccin COVID-19 n'est pas efficace à 100 % pour empêcher les gens de contracter le virus, le représentant démocrate Adriano Espaillat de New York a annoncé qu'il avait été testé positif même après avoir reçu la deuxième dose d'un vaccin. Il s'isole maintenant chez lui.

    "J'ai reçu la deuxième dose du vaccin # COVID19 la semaine dernière et je comprends que les effets prennent du temps", a déclaré Espaillat sur Twitter jeudi, sans identifier le vaccin qu'il a reçu. "J'ai continué à être testé régulièrement, à porter mon masque et à suivre les directives recommandées."

    Malgré tous ces avertissements concernant un hiver long et sombre, les hospitalisations liées au COVID pourraient avoir diminué au cours du mois dernier.

    La nouvelle intervient alors que le PDG Moderna, le fabricant de l'un des vaccins à ARNm COVID, a averti mercredi que le coronavirus existera "pour toujours" - malgré tout ce que l'on parle du vaccin qui ramène un sentiment de normalité dans le monde.

    Et le PDG de Moderna, Stephane Bancel, n'est pas le seul expert officiel et en maladies infectieuses à avoir discuté de la forte probabilité que le COVID-19 devienne une maladie endémique, ce qui signifie qu'il deviendra présent dans les communautés à tout moment, bien que probablement à des niveaux beaucoup plus bas. est maintenant.

    "Nous allons vivre avec ce virus, nous pensons, pour toujours", a-t-il déclaré lors d'une table ronde à la conférence JPMorgan Healthcare.

    Alors que les chercheurs de l'Ohio découvrent de nouvelles souches mutantes qui ont probablement évolué aux États-Unis, l'efficacité à long terme des vaccins et la capacité du virus à s'adapter et à devenir plus transmissible, voire plus mortel, ne sont toujours pas bien comprises.

    Même si les États-Unis accélèrent le processus de distribution des vaccins, il faudra encore des mois pour vacciner l'ensemble de la population.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/dem-congressman-catches-covid-after-receiving-2nd-dose-vaccine

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    1. HAHAHA LE CON ! Il ne savait pas que le vaccin qu'il s'est fait inoculé correspondait à un virus de Mars2020 (qui n'a vécu que 3 semaines !) HAHAHA !

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  83. Ce qu'ils ont dit à propos des verrouillages avant 2020


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 JAN 2021-13: 11
    Rédigé par Amelia Janaskie via l'American Institute for Economic Research,


    En 2020, les croyances sur la façon de gérer un nouveau virus ont considérablement changé.

    Avant la pandémie de Covid-19, les principales entités d'épidémiologie et de santé publique doutaient - voire rejetaient - l'efficacité des verrouillages et des quarantaines de masse parce qu'elles étaient considérées comme inefficaces.

    Tout cela a changé en mars 2020, lorsque le sentiment a basculé en faveur des mesures de verrouillage.

    Pourtant, il existe un vaste corpus de preuves expliquant leur position initiale et pourquoi ces mandats ne fonctionnent pas.

    Fauci a déclaré que fermer le pays ne fonctionnait pas. (24 janvier 2020)
    Au début de 2020, Fauci s'est entretenu avec des journalistes en disant: «C'est quelque chose que je ne pense pas que nous puissions faire aux États-Unis, je ne peux pas imaginer fermer New York ou Los Angeles, mais le jugement de la part des Chinois les autorités sanitaires, c'est que, étant donné que cela se répand dans toutes les provinces… c'est à leur avis que c'est quelque chose qui va en fait aider à le contenir. Que ce soit le cas ou non est vraiment discutable, car historiquement, lorsque vous fermez les choses, cela n'a pas d'effet majeur. "

    Le rapport de l'Organisation mondiale de la santé discute des INP et des raisons pour lesquelles la quarantaine est inefficace. (2019)
    Dans un tableau, l'OMS énumère ses recommandations d'IPN en fonction du niveau de gravité. La mise en quarantaine des personnes exposées est classée comme «non recommandée en aucune circonstance». Le rapport explique que «la mise en quarantaine à domicile des individus exposés pour réduire la transmission n'est pas recommandée car il n'y a pas de justification évidente à cette mesure et il y aurait des difficultés considérables à la mettre en œuvre.

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  84. L'OMS reconnaît que la distanciation sociale n'a pas arrêté ou réduit considérablement la transmission pendant la pandémie de grippe de 1918. (2006)
    Les auteurs de l'OMS concluent finalement que les INP, y compris la mise en quarantaine, nécessitent des méthodes meilleures et plus ciblées pour les rendre plus efficaces et moins «contraignants». «Les personnes malades», affirment les auteurs, «devraient rester chez elles lorsqu'elles deviennent symptomatiques pour la première fois, mais l'isolement forcé et la mise en quarantaine sont inefficaces et peu pratiques.» Résumant les rapports de la pandémie de grippe de 1918, l'OMS cite Lomé (Togo occupé par les Britanniques) et Edmonton (Canada) comme des lieux où «l'isolement et la quarantaine ont été institués; les réunions publiques ont été interdites; les écoles, les églises, les collèges, les théâtres et autres lieux de rassemblement publics ont été fermés. » Pourtant, malgré des mesures supplémentaires (Lomé a interrompu la circulation et Edmonton a restreint les heures d'ouverture) dans les deux cas, «les mesures de distanciation sociale n'ont pas interrompu ou semblé réduire considérablement la transmission». Un rapport complet des États-Unis sur la pandémie de 1918 a également conclu que les fermetures «[n'étaient] pas manifestement efficaces dans les zones urbaines, mais pourraient être efficaces dans les petites villes et les districts ruraux, où les contacts de groupe sont moins nombreux».

    Une étude publiée dans le Bulletin of Mathematical Biology concernant la pandémie de grippe de 1918 au Canada a également conclu que les quarantaines ne fonctionnent pas. (2003)
    L'étude a simulé différents niveaux de voyage et a révélé que les limites de voyage pouvaient être efficaces, mais «qu'une politique d'introduction de la quarantaine le plus tôt possible ne conduisait pas toujours à la plus grande réduction des cas de maladie». Les auteurs concluent que «les mesures de quarantaine limitant les déplacements intercommunautaires ne sont probablement jamais efficaces à 100 %, et les résultats de la simulation suggèrent qu'une telle situation pourrait en fait aggraver les choses, en particulier en l'absence d'efforts importants pour isoler les individus infectieux du reste de la population. »

    L'auteur populaire et professeur adjoint de Tulane John M. Barry, un fervent opposant à la déclaration de Great Barrington, a fait valoir que les quarantaines ne fonctionnent pas dans le cas de la grippe espagnole. (2009)
    Il y a plus de dix ans, Barry a constaté que les mises en quarantaine n'avaient toujours pas abouti: «Cet auteur soutient la plupart des IPN proposés, à l'exception de la mise en quarantaine, qui, selon les preuves historiques, est inefficace, et peut-être la fermeture de l'école, en attendant l'analyse des événements récents. Et à la place, encourage les mesures couramment vantées, telles que rester à la maison en cas de malaise (et s'isoler des membres de la famille en le faisant), se laver fréquemment les mains et porter un masque si vous êtes malade. Sur ce dernier point, il met en garde contre les personnes en bonne santé portant des masques, notant: «Les preuves de l'épidémie de SRAS suggèrent que la plupart des travailleurs de la santé se sont infectés tout en retirant l'équipement de protection.

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  85. Le directeur du Centre for Global Health Studies de Seton Hall a déclaré que les restrictions de voyage n’avaient pas retardé la transmission du SRAS. (2009)
    Yanzhong Huang reconnaît que «les restrictions de voyage et les mesures de quarantaine ont des avantages limités pour arrêter la propagation de la maladie […] affectant les voyages et le commerce, dissuadant le type même de transparence et d'ouverture essentiels pour une réponse mondiale aux flambées épidémiques». Ces mesures sapent en fin de compte la capacité de surveillance d'un pays car «les personnes qui présentent des symptômes peuvent choisir de fuir les autorités de santé publique par crainte de mise en quarantaine ou de stigmatisation [et de gaspiller] des ressources sanitaires limitées […] Laurie Garrett du Council on Foreign Relations [noté] d'ici juillet des signes de fatigue et d'épuisement des ressources s'étaient déjà manifestés dans la plupart des pays du monde.

    Une étude de l’université de Wake Forest fait état d’une «fatigue d’autoprotection» dans une épidémie simulée. (2013)
    Study utilise un jeu multijoueur en ligne pour simuler la propagation d'une maladie infectieuse à travers une population composée de joueurs. Les auteurs constatent que «la volonté des gens d’adopter un comportement sûr augmente ou diminue avec le temps, selon la gravité de l’épidémie […] au fil du temps; lorsque la prévalence est faible, un effet de «fatigue d’autoprotection» s'installe dans lequel les individus sont moins disposés à adopter un comportement sûr au fil du temps. " Ils disent que cela «rappelle la fatigue du préservatif - le déclin de l'utilisation du préservatif comme mesure préventive - dans le contexte de la prévention du VIH / SIDA.»

    Dans la revue Biosecurity and Bioterrorism, les épidémiologistes de Johns Hopkins rejettent catégoriquement les quarantaines. (2006)
    Dans un article intitulé «Mesures d'atténuation des maladies dans le contrôle de la grippe pandémique», les épidémiologistes du JHU notent les problèmes de verrouillage: «Comme le montre l'expérience, il n'y a aucune raison de recommander la mise en quarantaine de groupes ou d'individus. Les problèmes liés à la mise en œuvre de telles mesures sont énormes, et les effets secondaires de l'absentéisme et de la perturbation de la communauté ainsi que les conséquences négatives possibles, telles que la perte de confiance du public dans le gouvernement et la stigmatisation des personnes et des groupes mis en quarantaine, sont susceptibles d'être considérables. Leur remarque de conclusion a souligné que «l'expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d'autres événements indésirables réagissent le mieux et avec le moins d'anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé».

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  86. Dans une revue de premier plan, American Journal of Epidemiology, les auteurs expliquent les conditions dans lesquelles la quarantaine serait efficace, ce qui ne correspond pas aux caractéristiques de Covid-19. (2006)
    Plus précisément, ils notent que les quarantaines ne seront efficaces que lorsque: (1) l'isolement n'est pas possible; et (2) la propagation asymptomatique est significative et chronométrée de manière étroite (ce qui n'est pas le cas pour Covid). Ils concluent que «le nombre d'infections évitées grâce à l'utilisation de la quarantaine devrait être très faible à condition que l'isolement soit efficace». Et si l'isolement est inefficace? Ensuite, cela ne sera bénéfique que «lorsqu'il y a une transmission asymptomatique significative et si la période asymptomatique n'est ni très longue ni très courte». Mais si la quarantaine de masse était utilisée, elle «entraînerait des coûts sociaux, psychologiques et économiques importants sans aboutir à la détection de nombreuses personnes infectées».

    Dans l'Epidemiology Journal, les professeurs de Harvard et Yale, Marc Lipsitch et Ted Cohen, affirment que retarder l'infection peut aggraver la situation des personnes âgées. (2008)
    Ils expliquent comment retarder le risque d'infection peut fonctionner de manière contre-intuitive lorsque l'agent pathogène est plus mortel pour les populations plus âgées. Ils disent: «Réduire le risque que chaque membre d'une communauté soit exposé à un agent pathogène a pour effet de faire augmenter l'âge moyen auquel les infections se produisent. Pour les agents pathogènes qui causent une plus grande morbidité à des âges plus avancés, les interventions qui réduisent mais n'éliminent pas l'exposition peuvent paradoxalement augmenter le nombre de cas de maladie grave en déplaçant le fardeau de l'infection vers les personnes âgées. Sur la base de cette analyse, le Covid-19, qui nuit de manière disproportionnée aux personnes âgées plus qu'aux jeunes, est mieux géré en permettant à la communauté d'être exposée, que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination.

    Une équipe d'universitaires de Johns Hopkins affirme que les quarantaines ne fonctionnent pas mais sont poursuivies pour des raisons politiques. (Septembre 2019)
    Dans le rapport, ils expliquent en quoi la quarantaine est plus politique que liée à la santé publique: «En cas d'urgence, il faut s'attendre à ce que la mise en œuvre de certains NPI, tels que les restrictions de voyage et la quarantaine, soit poursuivie à des fins sociales ou politiques par les dirigeants politiques. , plutôt que poursuivi en raison de preuves de santé publique. » Plus tard, ils expliquent l'inefficacité de la quarantaine: «Dans le contexte d'un pathogène respiratoire à fort impact, la quarantaine peut être le NPI le moins susceptible d'être efficace pour contrôler la propagation en raison d'une transmissibilité élevée.»

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  87. En mars 2020, Michael Osterholm - maintenant conseiller de Biden pour Covid-19 - a également fait valoir que les verrouillages ne sont pas un «remède» à la pandémie, énumérant les multiples coûts d'un verrouillage. Pourtant, l'article du New York Times d'Osterholm en août révèle un point de vue contrasté, affirmant que «nous avons abandonné nos efforts de verrouillage pour contrôler la transmission du virus bien avant que le virus ne soit sous contrôle» en ouvrant «trop rapidement». Osterholm et (Neel) Kashkari font la promotion d'un refuge sur place obligatoire «pour tout le monde sauf les travailleurs vraiment essentiels».

    Toujours en mars 2020, ces conclusions des travaux répertoriés et de nombreux autres ont abouti à une lettre ouverte adressée au vice-président Mike Pence, signée par 800 médecins spécialistes de nombreuses universités à travers le pays, qui soulignaient: «Quarantaine obligatoire, verrouillages régionaux et interdictions de voyager […] Sont difficiles à mettre en œuvre, peuvent saper la confiance du public, avoir des coûts sociétaux importants et, surtout, affecter de manière disproportionnée les segments les plus vulnérables de nos communautés.

    Alors que le consensus des experts concernant l'inefficacité de la quarantaine de masse des années précédentes a été récemment remis en question, des preuves significatives actuelles démontrent en permanence que la quarantaine de masse est à la fois inefficace pour prévenir la propagation de la maladie et nocive pour les individus. Apprendre la mauvaise leçon - en supposant que les quarantaines de masse sont à la fois bonnes et efficaces - crée un dangereux précédent pour les futures pandémies.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/what-they-said-about-lockdowns-2020

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    1. (...) L'OMS reconnaît que la distanciation sociale n'a pas arrêté ou réduit considérablement la transmission pendant la pandémie de grippe de 1918. (2006) (...)

      A part la peste ou le choléra cette nano-grippette n'est pas plus infectieuse qu'une autre, mais, comme la personne qui l'a doit rester chez elle et contaminer ses proches par les heures et les heures enfermés ensemble, le nombre de personnes infectées augmente ! Çà alors !!

      Ce que je dis là TOUS LES MÉDECINS ET MINISTRES LE SAVAIENT ! C'est pourquoi cette nano-grippette de rien du tout est passée au stade de mini-grippette (malgré que tous les morts du cancer, diabète, suicide, accidents soient étiquettés 'corona' et brûlés vite-fait pour éviter qu'une autopsie soit faite !

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  88. Le co-fondateur de The Intercept Fires qui a publiquement discuté du gagnant de la réalité "F * ck-Up''


    Photo de Tyler Durden
    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 JAN 2021 - 19:00


    Laura Poitras, co-fondatrice de The Intercept, a été licenciée de la publication il y a deux semaines dans ce qu'elle dit être une rétribution pour avoir discuté publiquement de la mauvaise gestion d'une fuite par l'ancien officier du renseignement de la NSA, Reality Winner.

    Le licenciement, décrit dans une lettre ouverte jeudi, est intervenu après que Poitras eut partagé ses frustrations avec le New York Times concernant la mauvaise gestion de l'affaire Winner par The Intercept, leur disant que First Look (la société mère de The Intercept) s'était livrée à "une dissimulation et une trahison des valeurs fondamentales "et que le manque de responsabilité sur ce qui s'est passé" a favorisé une culture d'impunité et met en danger les sources futures ".

    Winner, 28 ans, a envoyé des renseignements classifiés top secret à The Intercept le 9 mai 2017. Trois semaines plus tard, le point de vente a contacté une «agence gouvernementale» pour les informer des documents et a donné au FBI / NSA des informations qui ont ensuite été utilisées pour l'identifier facilement.

    Un radical détestant Trump qui voulait «brûler Donald Trump au sol», Winner rêvait de voyager en Afghanistan où elle prêterait allégeance aux talibans. Les renseignements qu'elle a divulgués suggèrent que la Russie a piraté l'élection américaine de 2016 en accédant aux listes électorales aux États-Unis à l'aide d'une opération de phishing. The Intercept a ensuite publié un rapport le 5 juin 2017 `` confirmant '' que la Russie avait piraté l'élection, et quelques heures plus tard, le FBI a arrêté Winner.

    Poitras, lauréate de la bourse MacArthur "génie" 2012 qui est passée de The Intercept à l'organisation sœur Field of Vision, "s'est fait connaître pour son travail lauréat du Pulitzer 2013 avec Glenn Greenwald, mettant en lumière les révélations à succès du lanceur d'alerte de la National Security Agency Edward Snowden "selon le Washington Post, qui a ajouté qu'elle a toujours eu un problème avec la façon dont les choses se sont déroulées et le manque de responsabilité.

    "First Look Media et The Intercept ont été fondés sur la dénonciation d'Edward Snowden et le journalisme d'investigation que Glenn Greenwald et moi avons tous risqué nos vies pour porter au public, exposant les programmes illégaux de surveillance de masse mondiale de l'Agence de sécurité nationale", a écrit Poitras dans son ouverture de jeudi. lettre.

    La décision de First Look Media de me licencier après avoir soulevé des préoccupations concernant la protection des sources et la responsabilité - plutôt que de rétrograder ou de demander la démission de toute personne responsable de la faute professionnelle, de la dissimulation et des représailles journalistiques - témoigne des priorités du rédacteur en chef de The Intercept. -La chef Betsy Reed et le PDG de First Look Media, Michael Bloom.

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  89. Les journalistes font des erreurs, parfois avec des conséquences graves. Ce qui est alarmant dans cette affaire, c'est la multitude d'erreurs, le mépris flagrant de la protection des sources et la mauvaise gestion d'un examen interne qui s'est terminé par une dissimulation. Il va sans dire que personne ne devrait participer à une enquête sur lui-même, mais c'est ce qui s'est passé à The Intercept. La rédactrice en chef Betsy Reed, qui a supervisé le reportage sur la fuite de Winner dans la NSA, a joué un rôle actif dans les coulisses de l'enquête, a affecté du personnel qui lui rendait directement compte pour recueillir des faits et, lorsque les faits indiquaient des échecs éditoriaux , Reed a retiré le membre du personnel de l'enquête. -Laura Poitras

    Comme l'explique l'ancien co-fondateur Glenn Greenwald, qui a quitté The Intercept en octobre, Laura et lui ont passé des mois à exiger un compte rendu sur ce qui s'était passé avec la `` baise '' de Reality Winner.

    First Look aurait mené deux examens internes de l'affaire Reality Winner, dont aucun n'a été rendu public. Cependant, dans une déclaration de 2017, Betsy Reed de The Intercept a conclu que «nos pratiques n'étaient pas conformes aux normes auxquelles nous nous attachons pour minimiser les risques d'exposition à la source lors de la manipulation de matériaux fournis de manière anonyme».

    Reed dit que l'affirmation de Poitras selon laquelle aucune responsabilité n'est imputable est erronée, notant qu '<< il y a eu deux examens distincts, qui étaient complets et menés par des avocats chargés de rester indépendants et impartiaux. Ils ont tous deux conclu que les erreurs que nous avons commises dans notre traitement de l'affaire. reflétait des faiblesses institutionnelles, dont j'ai pris la responsabilité en tant que rédacteur en chef. "

    Cela dit, aucune personne impliquée dans la controverse Winner n'a été licenciée ou rétrogradée pour avoir brûlé sa source.

    https://www.zerohedge.com/political/intercept-fires-co-founder-who-publicly-discussed-reality-winner-fck

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