USA : le Tennessee interdit la géo-ingénierie – et les médias occidentaux n'en disent rien
28.05.2024 | www.kla.tv/29197
L'État américain du Tennessee a adopté une nouvelle loi interdisant la géo-ingénierie et les activités de chemtrails dans l'État. Dès le 18 mars 2024, le Sénat a voté par 25 voix contre 6 en faveur du projet de loi \« Senate Bill No. 2691\ » (SB 2691), qui a également été approuvé par le Congrès le 1er avril 2024 par 70 voix contre 22. Ainsi, la loi restrictive, qui punit les infractions de 10 000 $ par jour, entrera en vigueur le 1er juillet 2024.
L'interdiction légale de la géo-ingénierie dans le Tennessee est une première étape importante et courageuse qui prouve que les « chemtrails » ne sont pas une théorie du complot. Car s'il n'y avait pas besoin d'agir, il n'y aurait pas non plus besoin de lois restrictives. En outre, l'exemple du Tennessee montre qu'il est tout à fait possible de faire quelque chose contre une puissance supérieure qui semble monstrueuse et inaccessible et qui manipule le temps sans scrupule comme elle le souhaite au-dessus de la tête des gens.
En tant que petit État américain, le Tennessee a une superficie de 109 151 km², soit 87 fois plus petite que la superficie totale des États-Unis, une longueur d'environ 640 km et une largeur d'à peine 160 km. Il est cependant limitrophe de huit États voisins. Si ces derniers suivaient l'exemple de leur courageux petit voisin, une zone d'interdiction des vols de chemtrails de la taille considérable de 1,2 million de km² serait déjà atteinte. Le Minnesota, la Pennsylvanie et d'autres États américains ont déjà mis en place des lois similaires à celles du Tennessee pour lutter contre la géo-ingénierie organisée par les États.
Au début de l'année 2023, le ministère mexicain de l'environnement, en accord avec le Conseil national des sciences et des technologies du pays, a annoncé l'interdiction de la dispersion de particules d'aérosols chimiques dans l'atmosphère après qu'une start-up américaine appelée \« Make Sunsets\ » (en français : « Faire des couchers de soleil ») a commencé ses essais de manipulation météorologique sans aucune autorisation, c'est-à-dire illégalement, sur la péninsule mexicaine de Basse Californie. Les projets d'occultation du soleil, qu'ils soient à grande échelle ou en cours de développement, sont désormais officiellement interdits au Mexique. L'objectif de la nouvelle politique est de « protéger les communautés et l'environnement ». Les nanoparticules toxiques des aérosols, telles que l'oxyde de soufre et d'aluminium, doivent désormais rester aux États-Unis, où elles devraient être éliminées de manière professionnelle et donc coûteuse par l'industrie de fabrication. Ne s'agit-il pas là d'un vaste crime écologique d'envergure internationale qui, au nom de la « protection du climat », manipule effectivement le climat et se débarrasse illégalement de tonnes de déchets industriels toxiques ? Et cette évolution intéressante ne serait-elle pas un sujet brûlant pour la politique européenne et les médias ?
Alors que dans l'hémisphère américain, le thème des « chemtrails » et de la « géo-ingénierie » est depuis longtemps thématisé dans l'opinion publique et déjà combattu par la loi, cela n'est guère le cas en Europe, en particulier en Allemagne. Ici, les médias du système, financés par la contrainte, sont manifestement habitués à reléguer davantage les informations et les thèmes indésirables dans le coin des complotistes, afin d'empêcher un débat public et une critique justifiée de certaines mesures. Dans le cas des chemtrails et de la géo-ingénierie, cela se fait presque comme un moulin à prières. Ainsi, t-online a écrit ce qui suit après la remarquable initiative du Tennessee : \« Un nouvel exemple de ce qui est possible aux Etats-Unis : l'Etat du Tennessee veut interdire les \« chemtrails\ ». Ce sera certainement un succès, car ils n'existent pas », affirme l'auteur de t-online Simone Rafael.
Même après les pluies torrentielles du 16 avril 2024 dans l'Etat désertique des Emirats arabes unis, nos médias du système ont nié tout lien avec des manipulations météorologiques mal gérées, et ce, bien que de telles pratiques aient été ouvertement reconnues par les Saoudiens et les Emirats eux-mêmes dans un premier temps. Entre-temps, il semble qu'à Dubaï également, la métropole économique et touristique massivement touchée par les fortes pluies, une censure de la presse par l'Etat ait été décrétée en toute hâte ; en effet le Centre national de météorologie a soudain démenti après coup les liens de cause à effet déclarés et ouvertement admis auparavant au groupe de médias américaine Bloomberg. Selon ce reportage, des avions ont été utilisés à sept reprises les 14 et 15 avril pour traiter les nuages au-dessus du désert avec de l'iodure d'argent. Suite à ce procédé, Dubaï a connu le 16 avril les plus fortes précipitations depuis le début des relevés météorologiques il y a 75 ans : avec environ 150 millimètres de pluie au mètre carré, il a plu en 24 heures plus que d'habitude pendant toute l'année. De nombreuses rues et le métro de la mégapole étaient sous l'eau, l'aéroport a également été inondé en raison des fortes pluies inhabituelles. Des inondations massives se sont également produites dans le pays voisin d'Oman, faisant des victimes – y compris des morts, dont de nombreux enfants.
Le climat de Dubaï est généralement très sec, comme en témoignent les données météorologiques pour la période 1991-2020, avec une moyenne annuelle de 79,2 mm de pluie (soit près de 80 litres au mètre carré). Fallait-il « aider » par une géo-ingénierie ciblée, Dubaï cette métropole « assoiffée », de plusieurs millions d'habitants, dont les besoins en eau potable et en eau d'usage augmentent rapidement ? Mais les acteurs de la mise en œuvre auraient-ils fait une erreur d'appréciation ?
Ce serait en fait la tâche d'une politique responsable et d'un véritable journalisme, qu'on ne trouve presque plus dans les médias dits de qualité, d'enquêter minutieusement sur ces anomalies. Au lieu de cela, les « chercheurs de faits », comme Wulf Rohwedder du Tagesschau.de, affirment que les manipulations météorologiques humaines, comme l’« ensemencement des nuages », n'ont joué aucun rôle à Dubaï. Il s'agirait là de rumeurs et d'une idéologie conspirationniste typique.
La question se pose de savoir si des journalistes comme Rohwedder ont auparavant vérifié eux-mêmes leurs déclarations de manière approfondie et effectué des recherches ou s'ils publient plutôt, conformément à leur mission, des affirmations dénuées de toute validité. Il s'agirait alors d'une tromperie délibérée du public et donc d'un délit.
Pour conclure, revenons à l'exemple actuel du Tennessee. Dans ce pays, après l'adoption réussie de la nouvelle loi, il s'agit maintenant de mettre en place des poursuites pénales efficaces qui sanctionnent les infractions de manière ciblée. C'est à la fois un défi et une chance, car cela peut aussi créer de nouveaux emplois !
Accompagnés d'une couverture médiatique vigilante par des médias libres, de plus en plus d'États suivront l'exemple du Tennessee et parviendront ainsi à une interdiction générale de la géo-ingénierie supranationale. Enfin, ce crime environnemental international doit faire l'objet d'une enquête juridique mondiale et d'une indemnisation par les pollueurs pour les pays et les populations concernés.
de ham. Sources / Liens : https://capitol.tn.gov//Bills/113/Fiscal/FM1875.pdf
Cette solution naturelle et sûre peut tuer efficacement les virus et les germes
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 29 MAI 2024 - 04H40 Rédigé par Yuhong Dong, MD, Ph.D. via The Epoch Times
Une solution naturelle peu coûteuse et facile à fabriquer peut produire un effet antiviral et antibactérien qui tue un large éventail de micro-organismes en quelques minutes.
Cette arme puissante est l’acide hypochloreux.
L'application est basée sur le pH
Si l’acide hypochloreux (HOCl) est produit naturellement par nos globules blancs et constitue un élément clé de notre système immunitaire inné, il peut également être fabriqué à partir d’eau salée électrolysée, un procédé inventé il y a plus d’un siècle en Russie.
L'eau électrolysée (EW), également appelée eau saline électrolysée ou eau oxydante électrolysée, peut être classée en différents types en fonction de sa valeur de pH, chacun ayant des applications uniques.
Parmi les différents types d’EW, l’eau salée électrolysée neutre (NEW) et l’eau électrolysée légèrement acide (SAEW) sont particulièrement intéressantes en raison de leur pH neutre ou quasi neutre. Ces types d’EW sont relativement sûrs à utiliser sur notre peau, nos muqueuses nasales et buccales et les tissus des plaies. Ils sont largement utilisés dans les industries alimentaire, agricole et médicale à des fins de désinfection et de nettoyage. Cela comprend le traitement de l’eau potable, des eaux usées, des aliments, des ustensiles et des surfaces dures.
L'acide hypochloreux est l'ingrédient actif clé du NEW et du SAEW, et le pH joue un rôle essentiel. Un pH supérieur à 7 produira plus d'hypochlorite (OCl⁻) dans la solution, tandis qu'un pH fortement acide produira du chlore toxique (Cl₂). La concentration d'acide hypochloreux est plus dominante lorsque le pH est proche du neutre ou légèrement acide.
Ming-Yih Chang, maître de conférences au département de biomécatronique de l'université de Yilan à Taiwan, a déclaré à Epoch Times dans un e-mail : « De nombreux facteurs ont un impact sur la quantité précise de HOCl. Par exemple, selon une revue critique réalisée en 2008, la répartition relative des principales espèces aqueuses de chlore est produite par le graphique ci-dessous où sont fournies la température et la concentration en chlorure.
Le pH a un impact sur la concentration de HOCl dans l'eau électrolysée lorsqu'elle est produite à 25 degrés Celsius et sur la concentration de chlorure de 0,005 M. (Illustré par Epoch Times)
Différent de l'eau de Javel
L'hypochlorite (OCl⁻), un ingrédient clé de l'eau de Javel liquide, est similaire à l'acide hypochloreux : les deux peuvent tuer les virus et les germes. Cependant, il s’agit de produits chimiques différents ayant des propriétés et des applications différentes.
OCl⁻ est un ion couramment associé aux sels de sodium et de calcium. Lorsque le pH est supérieur à 8, on parle souvent d’eau de Javel liquide. En tant qu'oxydant puissant, il peut provoquer de la corrosion, entraînant des brûlures cutanées ou des lésions oculaires, et peut être nocif lorsqu'il est inhalé.
HOCl est un acide faible et non irritant, beaucoup plus sûr que l'hypochlorite. Lorsqu’il est préparé correctement, il peut être utilisé largement et en toute sécurité pour de nombreuses applications cliniques dans plusieurs secteurs. En tant que désinfectant, HOCl est 80 à 200 fois plus efficace que l’eau de Javel, tout en étant non toxique pour les humains.
Efficace contre le COVID-19
HOCl a attiré l'attention pendant la pandémie de COVID-19. L’Environmental Protection Agency des États-Unis recommande désormais HOCl comme désinfectant sûr et efficace contre le COVID-19.
Un essai contrôlé randomisé, encore en prépublication et non encore évalué par des pairs, a été mené à Mexico auprès de 170 membres du personnel médical de première ligne pour étudier l'efficacité d'un type d'eau électrolysée neutre dans la réduction du risque de COVID-19. Tous les sujets de l’essai portaient un équipement de protection professionnel adéquat, comme l’exigent les protocoles de sécurité standard liés au COVID-19. Les participants ont été divisés à parts égales en un groupe témoin et un groupe prophylactique.
Les participants du groupe prophylactique ont suivi un protocole utilisant une NOUVELLE solution sous forme de spray nasal et de bain de bouche trois fois par jour pendant quatre semaines. Ce groupe a présenté une incidence considérablement réduite d'infections au COVID-19, avec seulement 1,2 pour cent d'infectés, contre 18,8 pour cent dans le groupe témoin.
Il convient de noter en particulier qu’aucune personne utilisant NEW n’a signalé d’effets secondaires, car la solution n’est pas irritante.
L’irritation cutanée est un problème particulier résultant des désinfectants pour les mains à base d’alcool utilisés quotidiennement dans les cabinets médicaux. Ceux-ci peuvent provoquer une dermatite des mains et endommager la barrière cutanée, compromettant ainsi la première ligne de défense. L'Organisation mondiale de la santé reconnaît qu'un défi majeur en matière d'hygiène des mains dans le cadre des soins de santé est la nécessité de soins plus sûrs.
Des scientifiques curieux ont effectué des tests sur HOCl pour déterminer ses avantages potentiels pour les patients atteints de COVID-19.
Un essai clinique a été mené auprès de 214 patients ambulatoires atteints du COVID-19 provenant de plusieurs hôpitaux. L'étude a porté sur 104 patients qui ont reçu uniquement les soins médicaux habituels. Les 110 patients restants ont reçu à la fois des soins médicaux habituels et des NEW par nébulisation et/ou administration intraveineuse.
Le NEW a été administré quatre fois par jour pendant 10 jours avec des augmentations de dose successives en utilisant une version diluée de solution saline électrolysée avec un pH neutre (6,0 à 7,5).
De plus, lorsque des symptômes de nausées, de vomissements et/ou de diarrhée du COVID‑19 apparaissaient, 30 millilitres de solution saline électrolysée orale étaient ajoutés quatre fois par jour aussi longtemps que duraient les symptômes gastro-intestinaux, et pendant deux jours supplémentaires après la disparition des symptômes.
Dans l’ensemble, le NOUVEAU traitement a réduit le risque d’hospitalisation de 89 % et le risque de décès de 96 %.
Les symptômes du patient se sont améliorés rapidement après 24 heures, notamment fatigue, maux de tête, maux de gorge, douleurs oculaires, myalgie, fièvre et saturation en oxygène. Les marqueurs inflammatoires ont également été réduits.
Le cinquième jour, le groupe ayant reçu le traitement NEW avait 18 fois plus de chances d’atteindre un état symptomatique acceptable que le groupe ayant reçu uniquement les soins médicaux habituels.
Une solution saline électrolysée a réduit les hospitalisations et amélioré les symptômes du COVID-19 (Illustré par Epoch Times)
La réponse dose-dépendante au traitement NEW suggère une relation causale.
Le pH de la solution NEW utilisée dans l'étude variait de 6,0 à 7,5, et la concentration d'espèces actives de chlore et d'oxygène utilisées dans ces expériences ne dépassait pas 20 parties par million (ppm).
Fonction antivirale
HOCl a démontré sa capacité à inactiver rapidement plusieurs virus, notamment le SRAS-CoV-2, l'hépatite B (VHB), le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le norovirus.
La concentration efficace de chlorure dans les études sur le VHB et le VIH était de 4,2 ppm, et celle du SRAS-CoV-2 variait de 66 à 109 ppm.
HOCl est naturellement produit par nos cellules immunitaires pour combattre les infections. Nos neutrophiles et nos globules blancs libèrent un mélange de produits chimiques, dont du HOCl, pour tuer les germes et les virus.
HOCl chargé de manière neutre pénètre facilement dans les parois cellulaires des agents pathogènes pour les tuer de l’intérieur. Cependant, l’eau de Javel est chargée négativement, ce qui rend assez difficile la pénétration des virus ou des germes. C’est l’un des avantages majeurs du HOCl par rapport à l’eau de Javel.
Huiwen Ji, titulaire d'un doctorat en chimie de l'Université de Princeton et professeur adjoint de science et d'ingénierie des matériaux à l'Université de l'Utah, a expliqué le mécanisme de désinfection du HOCl.
« Lorsque l’eau salée est électrolysée, l’énergie électrique externe est transférée à l’ion chlorure présent dans la solution. En conséquence, les anions chlorure sont oxydés en HOCl, le chlore étant désormais dans un état d’oxydation +1 relativement instable.
« Ainsi, HOCl est un agent oxydant qui a tendance à capter les électrons d’autres molécules. Ce processus peut rompre les liaisons chimiques dans les molécules cibles », a-t-elle déclaré.
Lorsque la structure de ces biomolécules est détruite, leurs protéines ne peuvent plus fonctionner. Sans protéines fonctionnant correctement, les virus et les germes ne peuvent pas survivre tout au long de leur cycle de vie.
HOCl peut également briser l'ADN ou l'ARN des virus et des germes, les rendant inoffensifs et incapables de se répliquer.
- voir schéma sur site -
Comment HOCl tue les virus et les germes (Illustré par Epoch Times)
En cas d'exposition à des virus comme le SRAS-CoV-2, le moment choisi pour utiliser un spray nasal HOCl est essentiel pour atténuer le risque d'infection.
En décembre 2022, des scientifiques de l’Université de Stanford ont identifié la cavité nasale comme le principal point d’entrée du virus COVID-19 et ont précisé le délai de prévention.
La surface de notre muqueuse nasale est recouverte d’une fine couche de cellules épithéliales étroitement liées qui forme une barrière complète. Au-dessus des cellules se trouve une clôture tridimensionnelle épaisse et élastique composée de mucine, une molécule collante qui peut piéger tous les débris de virus et de germes. De plus, des centaines d’appendices ressemblant à des spaghettis, appelés cils, se déplacent lentement comme une rivière pour éliminer toutes les substances nocives de la couche de mucus.
Les chercheurs ont découvert que le virus met au moins 24 heures pour pénétrer dans la couche superficielle de mucus avant de pouvoir pénétrer profondément dans les cellules. En conséquence, l’utilisation d’un spray nasal HOCl le plus rapidement possible au cours de cette fenêtre de 24 heures pourrait désinfecter efficacement les voies nasales et potentiellement empêcher le virus de développer une infection.
Large utilisation
HOCl a été largement utilisé dans plusieurs domaines, notamment dans le secteur des soins de santé.
Une étude publiée dans le Journal of Microbiology a révélé que le HOCl réduisait considérablement les bactéries présentes sur les brosses à dents. La concentration de HOCl a été estimée entre 1 ppm et 30 ppm.
HOCl est souvent utilisé pour traiter la blépharite (inflammation des paupières) en réduisant la charge bactérienne à la surface de la peau périoculaire. Vingt minutes après l'application d'une solution hygiénique saline contenant du HOCl à 100 ppm, une réduction supérieure à 99 % de la charge staphylococcique a été obtenue.
HOCl est un agent efficace pour le soin des plaies. Dans une étude comparative menée auprès de patients présentant des plaies ouvertes, l'acide hypochloreux utilisé dans une solution commerciale a réduit de manière significative le nombre de bactéries de 10 000 à 1 million de fois sans effet rebond dans le groupe comparatif de solution saline. Un échec de fermeture postopératoire s'est produit chez plus de 80 % des patients du groupe solution saline contre 25 % de ceux du groupe HOCl. L’infection est l’une des principales raisons de l’échec de la fermeture postopératoire.
Les micro-organismes peuvent se développer à la surface des biomatériaux, tels que les prothèses dentaires ou les équipements de dialyse. Ces micro-organismes liés à la surface, appelés biofilms, présentent des caractéristiques uniques en termes d'expression génétique et de taux de croissance.
HOCl est efficace pour nettoyer les surfaces d’implants dentaires contaminées par des biofilms. Comparé à deux autres substances désinfectantes – l’hypochlorite de sodium et la chlorhexidine – HOCl à 180 ppm réduit le lipopolysaccharide, une substance nocive produite par Porphyromonas gingivalis, une bactérie pathogène associée aux maladies parodontales. L’utilisation de HOCl dans la bouche n’a entraîné aucun effet indésirable.
La brumisation avec HOCl peut désinfecter de grands espaces tels que les cabinets médicaux et dentaires.
Des recherches récentes sur des souris ont montré que l'application topique de HOCl sur la peau peut prévenir le développement de tumeurs et d'inflammations causées par les rayons UV. Cette découverte suggère que HOCl pourrait potentiellement prévenir le cancer de la peau chez l’homme causé par l’exposition au soleil.
HOCl a également été utilisé pour désinfecter l’eau potable et l’eau douce récréative.
La pulvérisation de HOCl à raison de 100 à 200 ppm a réduit le virus de la grippe aviaire (grippe aviaire) à un niveau indétectable en cinq secondes, ce qui suggère que HOCl peut être utilisé dans une pulvérisation pour inactiver le virus au niveau de la ferme. Un problème émergent aux États-Unis est la menace hautement pathogène de la grippe aviaire. Le spray HOCl offre une solution viable pour aider à contrôler la propagation de cette maladie.
Fais le toi-même
Tout le monde peut fabriquer du HOCl à la maison. Vous aurez besoin d'un générateur de solution d'acide hypochloreux d'un litre, que vous pouvez facilement trouver en ligne pour environ 100 $.
Selon le type d'appareil utilisé, la concentration de HOCl générée sera généralement comprise entre 50 et 200 ppm, une concentration couramment utilisée pour les applications quotidiennes.
Mme Ji a dit : « Préparez une solution de NaCl à 0,9 % et diluez-la entre quelques et des dizaines de fois, puis mettez-la dans un électrolyseur. Du vinaigre blanc contenant de l'acide acétique (CH3COOH) peut être ajouté pour ajuster la valeur du pH afin de faciliter la formation de HOCl.
Selon Mme Ji : « Vous devez respecter les directives fournies par le fabricant de l'instrument car chaque machine fonctionne avec sa formule et ses paramètres uniques. En règle générale, le processus est simple et consiste à appuyer sur un bouton et à attendre quelques minutes pour que la réaction produise la quantité souhaitée de HOCl.
Par exemple, un protocole particulier dit d'ajouter 1 gramme de sel non iodé, 1 litre d'eau et une cuillère à café de vinaigre blanc au générateur d'acide hypochloreux de 1 litre, d'appuyer sur le bouton et d'attendre 8 minutes. Le 1 litre de HOCl sera prêt à être utilisé immédiatement.
Le vinaigre est essentiel pour ajuster le pH à la valeur appropriée afin de produire la bonne quantité de HOCl.
Les parties par million (ppm) indiquent la concentration d'une substance dans une solution. Ceci est calculé en divisant la masse ou le volume de la substance par la masse ou le volume total de la solution, puis en multipliant le résultat par 1 million.
L'utilisation du ppm est une unité de mesure plus pratique pour décrire la concentration de minuscules substances dans une solution. Vous pouvez convertir un ppm en pourcentage en le divisant par 10 000. Par exemple, 100 ppm de HOCl équivalent à 0,01 pour cent de HOCl. Si vous avez besoin d'aide pour le calcul, vous pouvez utiliser cet outil utile.
Lors du choix d'un appareil pour produire de l'eau électrolysée, M. Chang déclare : « Il existe de nombreux autres facteurs d'influence, tels que la qualité de l'électrode. Les meilleurs incluent le platine, l’iridium et le rhodium. La durée de l’électricité et l’intensité du courant peuvent également avoir un impact sur le résultat.
À une concentration de 200 ppm, HOCl s’est avéré décontaminer efficacement les surfaces inertes transportant le norovirus et d’autres virus entériques en une minute. À 20 ppm, il était toujours efficace pour désinfecter les virus en 10 minutes.
Une étude a montré que 200 ppm de chlore disponible peuvent inactiver 25 virus différents en seulement 10 minutes. De faibles concentrations, comme 25 ppm, peuvent tuer rapidement les mycoplasmes et les bactéries végétatives.
Suivant le protocole de toxicité aiguë par inhalation de quatre heures de l'Environmental Protection Agency des États-Unis, les rats ont inhalé un brouillard contenant 52 ppm de HOCl pendant quatre heures. Les chercheurs n’ont observé aucun effet indésirable sur le comportement ou l’apparence.
HOCl est généralement considéré comme sûr en raison de la faible concentration de chlorure dans la solution HOCl. Les concentrations couramment utilisées pour les soins de santé ou les soins de vie se situent entre 50 et 200 ppm pour la désinfection de la peau, 50 à 100 ppm pour les bains de bouche et 50 à 200 ppm pour le nettoyage des surfaces, avec des concentrations plus élevées pour le soin des plaies et les surfaces en contact avec les aliments.
N'oubliez pas que ces concentrations sont des lignes directrices approximatives et peuvent varier en fonction de l'application spécifique et des recommandations du fabricant. Suivez toujours attentivement les instructions et, en cas de doute, consultez un professionnel de la santé ou une autorité compétente pour obtenir des conseils spécifiques.
La toxicité potentielle à long terme d'une faible concentration de chlorure est encore incertaine et des études supplémentaires évaluant l'exposition chronique au HOCl sont nécessaires.
Concernant la sécurité du HOCl, Mme Ji a indiqué : « Lorsqu'il est utilisé dans la plage de concentration suggérée, le HOCl s'avère relativement sûr pour les applications domestiques. Une fois réagi avec des bactéries et des virus, HOCl revient à une forme de chlorure très stable, semblable aux autres sels électrolytiques du corps humain. Mais rappelez-vous que l’utilisation de HOCl à des concentrations supérieures à celles recommandées par le fabricant peut être très corrosive et que son mélange avec d’autres détergents ménagers peut entraîner des réactions secondaires dangereuses.
"Lorsqu'il est utilisé à la maison, veuillez toujours suivre les instructions précises et ne pas dépasser l'utilisation recommandée", a-t-elle ajouté.
Selon M. Chang, « un des effets secondaires est que [HOCl] peut corroder les métaux, comme ceux des étables à vaches et aux porcs, après une application prolongée de la solution HOCl à 140 heures. Mais 200 heures ne nuisent pas à la peau. De plus, une faible concentration de plusieurs dizaines de ppm est suffisante pour un usage domestique général.
HOCl est moins stable lorsqu'il est exposé aux rayons UV, à la lumière du soleil, à l'air ou à des températures plus élevées (supérieures à 25 degrés Celsius ou 77 degrés Fahrenheit). Par conséquent, les solutions HOCl doivent être hermétiquement scellées et conservées dans un endroit frais et sombre.
Il est important d’éviter de mélanger HOCl avec d’autres détergents ou solutions. Lorsque la valeur du pH change, HOCl peut se transformer en Cl₂ ou OCl⁻, qui sont soit toxiques, soit peuvent provoquer une irritation.
L'exposition directe au chlorure (sous forme de Cl₂ ou OCl⁻) à de faibles concentrations de 1 à 10 ppm peut provoquer une irritation de la peau et des yeux, et son inhalation peut irriter les voies respiratoires.
La durée de conservation de HOCl est relativement courte ; il est efficace jusqu'à deux semaines lorsqu'il est conservé correctement.
Faible coût, mais très efficace
Comment une simple solution générée par de l’eau salée peut-elle avoir des effets antiviraux et antibactériens aussi puissants et étendus ?
HOCl est très efficace, mais peu coûteux et facilement obtenu à partir de la nature, tout comme la lumière du soleil, l'air et l'eau, qui ont tous un impact profond sur nos vies.
Parce qu’il est à la fois respectueux de l’environnement et relativement sûr, HOCl constitue un excellent choix pour de nombreuses applications. De plus, son prix abordable le rend accessible aux applications à grande échelle.
L’industrie médicale a mis en œuvre de nombreuses méthodes de décontamination, souvent coûteuses, inefficaces et pouvant laisser des résidus chimiques, posant un risque pour la santé humaine.
Il existe de nombreux remèdes naturels sur Terre pour guérir ou prévenir des maladies dont les gens ne sont peut-être pas pleinement conscients.
L’ivermectine, dérivée d’un micro-organisme présent dans le sol, possède des propriétés antiparasitaires, antivirales et anti-inflammatoires remarquables et a aidé de nombreux patients à traiter efficacement le COVID-19.
Un autre exemple est l’interféron, que notre corps produit pour arrêter la réplication virale. L’industrie pharmaceutique a développé l’interféron pour traiter les hépatites B et C et le COVID-19.
La nature est une source abondante de guérison pour les humains, offrant généreusement de nombreux avantages sans frais. Il s’agit d’une source inépuisable de bienfaits encore inconnus, qui attendent d’être explorés par ceux qui souhaitent découvrir ses merveilles. Avec ses ressources abondantes, la nature nous offre des possibilités infinies pour améliorer notre santé et notre bien-être.
Utilisation du sang des receveurs du vaccin à ARNm contre la COVID : des chercheurs japonais appellent à une action urgente pour lutter contre la contamination massive des réserves de sang
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 28 mai 2024
Des chercheurs japonais mettent en garde contre les risques liés à l'utilisation du sang provenant des receveurs du vaccin à ARNm contre la COVID, soulignant les effets mortels potentiels et la nécessité d'une action urgente pour sécuriser l'approvisionnement mondial en sang.
Le sang contaminé par des structures de type prion provenant de la protéine Spike augmente le risque de provoquer des maladies neurodégénératives mortelles chez les receveurs. La transmission potentielle de protéines nocives par les exosomes (« excrétion ») et le risque de maladies auto-immunes dues au mécanisme et aux composants des vaccins comme les nanoparticules lipidiques (LNP) sont d'autres préoccupations majeures.
Les propositions pour gérer la collecte de sang comprennent des entretiens rigoureux avec les donneurs, des périodes d'exclusion et une série de tests pour garantir la sécurité des produits sanguins.
Les chercheurs préconisent des tests complets sur les personnes piquées et non piquées pour évaluer la sécurité des produits sanguins et suggèrent de jeter les produits sanguins contaminés par des protéines de pointe ou de l'ARNm modifié jusqu'à ce que des méthodes d'élimination efficaces aient été développées.
Ils appellent à suspendre tous les « vaccins » basés sur les gènes et à mener une évaluation rigoureuse des risques et des bénéfices à la lumière des graves problèmes de santé signalés. Ils exhortent également les pays et les organisations à prendre des mesures concrètes pour faire face et atténuer les risques déjà identifiés.
Dans une méta-analyse récente 1 , 2 publiée sur preprints.org, des chercheurs japonais mettent en garde contre les risques potentiellement mortels pour les patients qui reçoivent du sang de personnes ayant reçu des injections d'ARNm COVID et appellent à une action urgente pour garantir la sécurité de l'approvisionnement mondial en sang . Selon les auteurs : 3
« … de nombreux pays à travers le monde ont signalé que les vaccins dits génétiques, tels que ceux utilisant un ARNm modifié codant pour la protéine de pointe et des nanoparticules lipidiques comme système d'administration du médicament, ont entraîné une thrombose post-vaccination et des dommages cardiovasculaires ultérieurs, ainsi que une grande variété de maladies touchant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux…
[Sur la base de ces circonstances et du volume de preuves récemment apparues, nous attirons l'attention des professionnels de la santé sur les différents risques associés aux transfusions sanguines utilisant des produits sanguins dérivés de personnes ayant souffert d'une longue COVID et du vaccin génétique. receveurs, y compris ceux qui ont reçu des vaccins à ARNm, et nous faisons des propositions concernant des tests spécifiques, des méthodes de test et des réglementations pour faire face à ces risques.
Le sang provenant de donneurs piqués peut présenter un risque pour la santé neurologique Un risque particulier abordé dans cet article concerne les implications du sang contaminé par des structures de type prion trouvées dans la protéine de pointe. Les prions sont des protéines mal repliées qui peuvent provoquer des maladies neurodégénératives, telles que la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) chez l'homme, en induisant un mauvais repliement de protéines normales dans le cerveau.
Les maladies à prions se caractérisent par une longue période d’incubation, suivie d’une progression rapide et d’une mortalité élevée. La suggestion selon laquelle la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, en particulier celle de certaines variantes, pourrait contenir des domaines de type prion soulève des inquiétudes pour plusieurs raisons :
Risque de transmission — Si des protéines de pointe dotées de structures de type prion peuvent être transmises par transfusion sanguine, il pourrait y avoir un risque d'induire des maladies à prions chez les receveurs. Les maladies à prions sont notoirement difficiles à diagnostiquer précocement, incurables et mortelles, ce qui fait de toute transmission potentielle par les produits sanguins un problème de sécurité important.
Défis de détection et d’élimination — Les processus actuels de dépistage sanguin ne testent pas spécifiquement les prions, en partie parce que les maladies à prions sont rares et en partie à cause des défis techniques liés à la détection des prions à de faibles concentrations. Si des protéines de pointe dotées de propriétés semblables à celles du prion sont présentes dans le sang des personnes vaccinées contre le COVID, les protocoles de sécurité sanguine existants pourraient ne pas être adéquats pour prévenir la transmission. Problèmes de sécurité à long terme — Les maladies à prions ont de longues périodes de latence, ce qui signifie que les symptômes peuvent apparaître des années, voire des décennies, après l'exposition. Ce retard complique les efforts visant à retracer la source d’une infection jusqu’à une transfusion sanguine et à évaluer la sécurité des réserves de sang au fil du temps.
Impacts sur la gestion de l'approvisionnement en sang — Les inquiétudes concernant les risques potentiels associés aux structures de type prion dans les protéines de pointe pourraient conduire à des modifications des critères d'éligibilité des donneurs ou à la mise en œuvre de mesures de dépistage supplémentaires. Ces changements pourraient avoir un impact sur la disponibilité des produits sanguins, essentiels aux procédures médicales de routine.
Confiance du public — La sensibilisation du public à ces risques potentiels, même s'ils sont théoriques ou ont une très faible probabilité de se produire, pourrait avoir une incidence sur la volonté des individus de donner ou de recevoir des transfusions sanguines, réduisant ainsi les taux de don de sang et la confiance globale dans la sécurité du sang. transfusionnelle.
Les auteurs soulignent la nécessité de mener des études approfondies pour mieux comprendre les implications de ces structures de type prion dans la protéine de pointe, non seulement pour la sécurité des injections d'ARNm, mais également pour les implications plus larges pour les mesures de santé publique telles que les pratiques de transfusion sanguine.
Autres risques potentiels pour la santé liés au sang contaminé Le sang contaminé peut également présenter d’autres risques graves pour la santé, notamment :
Fonction immunitaire réduite chez les receveurs de sang — Il a été démontré que plus vous recevez de doses du vaccin COVID, plus vous risquez de souffrir d'infections futures, soit par le SRAS-CoV-2, soit par d'autres virus, en raison d'une amélioration dépendante des anticorps.
Les dons de sang provenant de personnes ayant reçu plusieurs doses d’injections d’ARNm peuvent ne pas conférer une immunité adéquate contre les infections courantes, ce qui entraîne des infections et des maladies subcliniques chez les receveurs.
Formation de caillots sanguins et d'agrégats amyloïdes — Si le système immunitaire d'un receveur de sang n'est pas assez fort pour neutraliser la protéine de pointe, des caillots sanguins et des agrégats amyloïdes peuvent également se former.
Inflammation chronique — Une exposition prolongée aux antigènes des injections de COVID-19 peut déclencher la génération d'anticorps IgG4, entraînant une inflammation chronique et un dysfonctionnement immunitaire.
Les anticorps IgG4 sont souvent associés à une exposition chronique à des antigènes, comme ceux observés dans les infections persistantes, certains cancers et une exposition prolongée à des allergènes. Les anticorps IgG4 sont également associés à une maladie unique connue sous le nom de maladie liée aux IgG4 (IgG4-RD), une maladie fibro-inflammatoire caractérisée par des gonflements ou des masses dans les organes affectés. 4
Transfusions sanguines et risque de maladies auto-immunes Les auteurs expriment également des inquiétudes quant au potentiel du sang contaminé à provoquer des maladies auto-immunes chez les receveurs. Des recherches récentes ont montré que la pseudouridylation de l'ARN, un processus dans lequel l'uracile est remplacé par de la méthylpseudouridine synthétique, peut provoquer un décalage de cadre , essentiellement un problème dans le décodage, qui peut déclencher la production de protéines aberrantes hors cible.
Les anticorps qui en résultent peuvent, à leur tour, déclencher des réactions immunitaires hors cible. En plus de cela, les nanoparticules lipidiques (LNP), un composant clé des injections contre le COVID, ont été identifiées comme hautement inflammatoires et possédant une activité adjuvante plus puissante que les adjuvants vaccinaux traditionnels, ce qui augmente encore le risque de réponse auto-immune. Comme indiqué dans l'article présenté : 5
« Des études récentes ont montré que la pseudouridylation de l’ARN peut entraîner un changement de cadre. Il n’est pas encore clair si une partie de l’ARNm pseudouridiné de la protéine de pointe est traduite en une autre protéine de fonction inconnue chez les vaccinés. Si ces protéines sont également pathogènes, des tests supplémentaires pour détecter ces protéines de changement de cadre pourraient être nécessaires à l'avenir.
Même si une protéine de changement de cadre n’est pas toxique, elle doit être étrangère à l’organisme et pourrait provoquer une maladie auto-immune. De plus, les LNP elles-mêmes sont des substances hautement inflammatoires… Il a été constaté que les LNP ont une activité adjuvante plus forte que les adjuvants utilisés dans les vaccins conventionnels, et cet aspect suscite également des inquiétudes concernant les maladies auto-immunes.
Ainsi, même si l’agent causal de la maladie auto-immune n’est pas clair, le grand nombre de cas signalés de maladie auto-immune suite à une vaccination génétique est extrêmement préoccupant.
Le mécanisme même des vaccins géniques, qui amène nos propres cellules à produire des antigènes pathogènes, comporte le risque d'induire des maladies auto-immunes, qui ne peuvent être complètement évitées même si la technologie de pseudouridylation de l'ARNm est utilisée.
Dans ce contexte, les personnes dont le test sanguin pour la protéine Spike est positif peuvent avoir besoin de passer des entretiens et des tests supplémentaires pour détecter les indicateurs de maladies auto-immunes, tels que les anticorps antinucléaires.
Alternativement, si la séquence d’acides aminés de la protéine résultant du changement de cadre est prévisible, ces protéines candidates pourraient être incluses dans le test initial par spectrométrie de masse. Dans tous les cas, il est particulièrement important de développer des tests et de mettre en place des dispositifs de soins médicaux en prévision de ces situations.
Propositions pour la gestion de la collecte de sang Les auteurs présentent plusieurs propositions spécifiques pour gérer la collecte de sang et les produits sanguins d’individus ayant reçu des « vaccins » génétiques. Compte tenu de la variété des anomalies liées au sang observées après l'injection, les chercheurs affirment que des mesures rigoureuses et prudentes dans les pratiques de manipulation et de transfusion sanguine sont désormais devenues une nécessité.
Un élément clé de la proposition consiste à mener des entretiens approfondis avec des donneurs de sang potentiels. Ces entretiens doivent couvrir leur statut vaccinal, le nombre de doses reçues, leurs antécédents d’infection au COVID-19 et tout symptôme qu’ils pourraient présenter et qui pourraient indiquer des conditions telles que le syndrome post-vaccinal (PVS), un long COVID ou d’autres complications.
Les chercheurs recommandent également des périodes d’ajournement pour le sang collecté auprès des receveurs du vaccin COVID – 48 heures pour les injections d’ARNm et six semaines pour les receveurs du vaccin ADN AstraZeneca. Une série de tests sont également proposés pour garantir la sécurité du sang collecté, notamment :
Les auteurs notent également que les politiques et procédures doivent être constamment révisées à mesure que de nouveaux risques et problèmes liés aux produits sanguins dérivés des receveurs d’ARNm et d’ADN sont identifiés.
Assurer la sécurité des produits sanguins actuels Le document passe également en revue les stratégies visant à garantir la sécurité des produits sanguins déjà collectés, en soulignant les défis complexes auxquels les institutions médicales, les organismes de réglementation et l’écosystème de la santé au sens large doivent faire face à la suite de l’utilisation généralisée des injections d’ARNm.
La principale préoccupation est le risque posé aux patients par l’utilisation de produits sanguins provenant de donneurs ayant reçu des injections génétiques sans confirmer la présence ou l’absence de protéines de pointe ou d’ARNm modifié. Pour garantir leur sécurité, des méthodes de quantification des contaminants potentiels doivent être développées et mises en œuvre dans les plus brefs délais.
Un autre problème critique à résoudre est le manque actuel de méthodes fiables pour éliminer les protéines de pointe ou l’ARNm modifié des produits sanguins. Les auteurs préviennent que, compte tenu de la persistance potentielle, de la faible solubilité, de la résistance à la chaleur et de la résistance aux radiations de ces composants, les méthodologies actuelles sont inadéquates pour ce travail. La seule solution, disent-ils, est d’éliminer tous les produits sanguins contenant ces contaminants jusqu’à ce que des techniques d’élimination efficaces soient mises en place.
Les chercheurs réclament des tests sanguins généralisés De plus, les chercheurs appellent à des tests généralisés sur les protéines piquées et non piquées pour évaluer la transmission potentielle des protéines de pointe par les exosomes (ce qu'on appelle l'excrétion).
Comme le notent les auteurs :
« … lorsque les exosomes collectés auprès de vaccinés ont été administrés à des souris qui n’avaient pas été vaccinées avec le vaccin génétique, la protéine Spike a été transmise.
Par conséquent, on ne peut nier que la protéine Spike et ses gènes modifiés peuvent être transmis par les exosomes. Pour cette raison, nous suggérons que des tests complets soient effectués dans un premier temps, quel que soit le statut vaccinal génétique, et qu’une étude de cohorte soit menée pour dresser rapidement un tableau complet…
De plus… on ne peut pas exclure que même ceux qui n’ont pas été vaccinés avec le vaccin génétique, mais qui ont eu un long COVID, puissent avoir des protéines de pointe résiduelles ou des microthrombus dérivés de la fibrine dans leur corps, il serait donc conseillé de procéder de la même manière. tests et suivi comme pour les vaccinés génétiques.
La présence ou l’absence et la quantité d’anticorps anti-nucléocapside ainsi que les isotypes d’anticorps peuvent être un ou plusieurs indicateurs permettant de distinguer si la vaccination génétique ou un long COVID en est la cause. Quoi qu’il en soit, ces études de cohorte devraient aider à établir des valeurs seuils pour les taux sanguins de protéine de pointe et d’autres substances afin de déterminer la sécurité des produits sanguins.
Faksova et coll. a mené une vaste étude de cohorte portant sur 99 millions de personnes à l’aide d’un réseau multinational Global Vaccine Data NetworkTM (GVDN®) et a découvert un risque significativement accru de myocardite, de péricardite, de syndrome de Guillain-Barré et de thrombose du sinus veineux cérébral chez les receveurs d’un vaccin génétique.
Assurer la traçabilité des produits sanguins et établir un cadre juridique et réglementaire rigoureux pour gérer la myriade de problèmes découlant de l’utilisation de produits sanguins dérivés de personnes vaccinées contre le COVID sont également primordiaux. Cela comprend la création de systèmes pour l’enregistrement de tous les donneurs potentiels, la garantie de la traçabilité des produits sanguins et la réalisation d’études sur les résultats des receveurs.
Appel à la pause : évaluer les risques et les avantages des vaccins génétiques pour un avenir plus sûr En conclusion, les auteurs soulignent que si nous continuons à utiliser des plateformes basées sur l’ARNm-LPN pour remplacer les vaccins conventionnels ou en créer de nouveaux, les risques pour notre approvisionnement en sang et en moelle osseuse seront encore accrus.
« L’impact de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dommages réels qu’ils provoquent sont inconnus à l’heure actuelle », écrivent-ils. 6
« Par conséquent, afin d'éviter ces risques et d'éviter une nouvelle expansion de la contamination sanguine et une complication de la situation, nous demandons vivement que la campagne de vaccination utilisant des vaccins génétiques soit suspendue et qu'une évaluation bénéfices-risques soit réalisée le plus tôt possible, dans les meilleurs délais. préconisés par Fraiman et al. 7 et Polykretis et al. 8
[L]es dommages à la santé causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations compétentes prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les résoudre.
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Manuel de manipulations journalistiques par la RTS contre le Dr Louis Fouché
le 28 mai 2024 - 18:00
Cécile Tran-Tien, journaliste à la RTS avec Sébastien Bourquin et Dimitri Zufferey ont publié un documentaire à charge contre Louis Fouché, qu’ils traitent d’ « antivax qui monte ». Dans ce debriefing, le Dr Louis Fouché apporte une réponse étayée à la charge de Cécile Tran-Tien et de la RTS qui enfreignent les règles les plus élémentaires de l’éthique journalistique –
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Louis Fouché, a répondu favorablement à une demande d’interview de la RTS, en souhaitant fournir des éléments détaillés sur son travail de médecin et de citoyen en tant que membre fondateur de Réinfocovid. Une lueur d’espoir lui traversait l’esprit quand il échangea par de nombreux emails et pièces justificatives avec Cécile Tran-Tien. En lieu et place d’un documentaire qui permettrait un débat ouvert sur la gestion de la crise covid, il s’est retrouvé avec un documentaire unilatéralement à charge. Seules six minutes du long entretien ont été extraites dans le but de lui faire porter des paroles ou des prises de positions qui ne sont pas les siennes.
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L’interview initial avec Cécile Tran-Tien dure 1h45, et elle a accepté que le Dr Fouché l’enregistre. En ce qui s’apparente à une méthode déloyale pour obtenir l’accord du Dr Fouché pour cette interview, elle a par la suite déclaré qu’elle ne voulait pas qu’il publie l’enregistrement complet de l’entretien ! Si elle a fait son travail de journaliste dans les règles de l’art, elle ne devrait pas avoir de problème à ce que cet entretien soit publié dans sa globalité.
Enfreignant la plupart des devoirs de la charte d’éthique des journalistes (dite charte Munich), Cécile Tran-Tien et la RTS se rendent coupable d’un documentaire qui contient de nombreuses fausses informations. Y compris sur France-Soir puisque cette dernière n’a pas été capable de vérifier les informations sur la date de rachat du journal, omettant aussi de mentionner que France-Soir est un média agrée ou que le Monde a été condamné pour concurrence déloyale par dénigrement.
Dans ce debriefing, Louis Fouché revient sur les points les plus marquants de cet entretien. Entretien qui semble avoir été commandé pour disqualifier, dénigrer, diffamer et surtout porter atteinte à l’image du Docteur : « ils affectent ma capacité à trouver du travail ». Le Dr Fouché annonce d’ores et déjà des suites juridiques. Cécile Tran-Tien semble familière avec ce genre d'usage, de méthodes déloyales, pour des activités qui s’apparentent plus à de l’activisme ou du propagandisme que du journalisme. Une personne proche de la RTS déclare que « Cécile Tran-Tien a reçu une commande, elle n’a fait qu’exécuter » avant de préciser « ce documentaire est une commande politique et un échange de services entre la RTS et l’administration ». Elle ajoute enfin à propos de Tran-tien « sa marge de manœuvre a été dictée par un agenda qui n’a rien à voir avec du journalisme ».
Cécile Tran-tien a déjà été du mauvais côté de la justice en portant une arme fabriquée avec une imprimante 3D – elle essaiera de se sortir de l’impasse judiciaire en indiquant ne pas avoir voulu « enfreindre la loi » mais « montrer les failles de sécurité ». Cependant, elle a omettra de prendre les précautions que l’on pourrait attendre dans une telle enquête journalistique, par exemple consigner avec un huissier ce qu’elle allait faire, afin de prouver sa bonne foi le cas échéant. Ces arrangements avec l’éthique journalistique et la loi montrent qu’elle confond vraisemblablement le travail de journaliste et celui des forces de l’ordre. Avec les autoproclamés fact-checkers, les méthodes déloyales semblent un lot quotidien, et c'est sans compter les accusations non étayées en tous genres qui vont du complotisme, à l’étiquette d’antivax, d’extrême droite, ou d’antisémitisme.
Contacté, Cécile Tran-Tien n’était pas disponible pour répondre.
Cécile Tran-Tien, journaliste à la RTS avec Sébastien Bourquin et Dimitri Zufferey envoient des tartes dans la gueule de Fouché qui les renvoie. HAHAHAHA !
AUCUN des quatre branquignoles ne parlera de l'analyse des flacons injectables faites par Astrid Stuckelberger et Carrie Madej !! AUCUN !
Statistiques horribles sur les caillots de sang après le 'vaccin'
Par Ben Armstrong Le nouvel américain 29 mai 2024
- voir clip sur site -
Ces caillots sanguins fibreux blancs n’existaient pas avant l’administration du vaccin. Ce seul fait est terrifiant. Regardez la vidéo pour beaucoup plus d'informations.
Sources vidéo :
AmericasVoice.news – UNE NOUVELLE ÉTUDE MET EN ÉVIDENCE LES DANGERS POSSIBLES DU VACCIN CONTRE LA COVID
MISE À JOUR SUR BEN : Veuillez CLIQUER ICI pour une mise à jour sur la situation de Ben.
Regardez tous les épisodes de The Ben Armstrong Show en visitant https://thenewamerican.com/video/armstrong/
Autorisation des vaccins, recommandations vaccinales, vaccination obligatoire : les données sont-elles suffisantes ?
29 mai 2024 par le Dr. Christine Né
Le 24 mai 2024, le septième colloque de presse des médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie eV (MWGFD) 1 a eu lieu près de Landshut. Cette fois, il ne s’agissait pas des dangers des vaccins à ARNm, mais plutôt des avantages et des risques des vaccins traditionnels. Dans leurs déclarations, six experts ont examiné le thème de la vaccination sous différents angles. L'événement, qui a été diffusé en direct et enregistré 2 , était dirigé par le Dr. méd. Ronald Weikl, gynécologue, médecin généraliste, naturopathe et vice-président du MWGFD de Passau.
De plus en plus de parents critiquent les vaccinations combinées et l’obligation de vacciner indirectement les enfants contre la rougeole (depuis mars 2020), d’autant plus que des affirmations telles que « sûre et efficace » concernant la vaccination contre le Covid-19 se sont révélées être un mythe. Ces parents ont besoin d’informations et de soutien pour prendre leur décision de vaccination. Dans ce contexte, le livre « Les tortues jusqu'en bas » est recommandé . Science et mythe de la vaccination .
Selon Ronald Weikl, il ne faut pas oublier que les enfants et les adultes en bonne santé sont vaccinés. Les faits sur les vaccinations sont généralement médiocres. Il n'y a pas d'études à long terme. Celles-ci sont souvent manipulées et caractérisées par des conflits d'intérêts. Le système de déclaration des blessures causées par les vaccins ne fonctionne pas non plus. L’immunité collective tant vantée n’est pas réalisable.
Les effets secondaires sont nombreux, comme les allergies, l'autisme, la susceptibilité aux infections. Le Japon est un modèle. La vaccination ROR 4 y a été interdite en 1993, la vaccination contre le VPH 5 a été retirée en 2013 et la loi sur la vaccination a été révisée en 1994. Les vaccins n’y sont pas obligatoires. Cela signifie que la mortalité infantile au Japon, pays critique à l’égard de la vaccination, est près de 3,5 fois inférieure à celle des États-Unis. Le vice-président du MWGFD a exigé : « Il ne doit jamais y avoir de vaccination obligatoire, quelle que soit la maladie. »
Après un message vidéo du président d'honneur et co-fondateur du MWGFD, le professeur Sucharit Bhakdi, qui a critiqué le fait que les vaccinations à ARNm étaient toujours recommandées, Univ. Doc. Gerd Reuther présente 6 contextes historiques de la vaccination. La vaccination contre le Covid-19 n’est pas le premier crime sanitaire en médecine. La vaccination contre la variole présente les parallèles suivants : coercition, punition, profits élevés, absence de preuves, dissimulation des dégâts, scénarios de peur, images de visages couverts de variole. Le désastre de la variole au XVIIIe siècle n’a eu lieu qu’après la vaccination. 7 La variole est apparue juste au moment de la Contre-Réforme.
Au début, il y aurait eu des lobbyistes de la vaccination comme Mary Wortley Montague 8 et des fanatiques de la vaccination comme Cotton Mather 9 . À l’époque, la vaccination était encore plus lucrative qu’aujourd’hui : les pensions à vie, les titres de noblesse et les salaires princiers allaient aux vaccinateurs, qui au départ « soignaient » principalement les nobles et les élites. « La vaccination contre la variole présentait le taux le plus élevé de maladies graves et mortelles liées au vaccin. Au moment où les vaccinations ont été interdites partout dans le premier tiers du 19e siècle, elles étaient peut-être devenues la cause de décès la plus fréquente au 18e siècle », a déclaré le Dr. Gerd Reuther. dix
Quand un vaccin est-il sûr ?
Hans UP Tolzin, journaliste médical et rédacteur du « impf-report » (depuis 2005) 11 s'est demandé quels vaccins étaient sûrs. La vaccination est un préjudice corporel car la peau serait blessée. Le consentement de la personne vaccinée est donc requis, car l'article 2 de la Loi fondamentale sur le droit à la vie et à l'intégrité physique s'applique à toute personne. 12 « Si un médecin vaccine sans consentement, il commet une infraction pénale. »
Comment les politiciens peuvent-ils parler d’un vaccin sûr ? Des documents officiels, comme la Pharmacopée européenne, parlent de « sécurité adéquate » des vaccins. 13 Qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Un décès dû à la vaccination pour 10 000 personnes vaccinées est-il considéré comme tolérable et sûr ? Combien de sacrifices voulez-vous faire pour le bien de l’ensemble ? Qu’en pensent les victimes de la vaccination ? Par exemple, à quel point une personne atteinte de rougeole est-elle dangereuse ? «Ces questions éthiques ne sont pas ouvertement débattues dans la société», déclare Hans UP Tolzin.
La sécurité des vaccins n’est pas clairement définie. Il n’y a aucun contrôle sur le nombre de victimes vaccinées qui restent dans les limites de tolérance. Les médecins ne pouvaient donc pas fournir suffisamment d’informations sur les vaccinations. Pourquoi les fabricants de vaccins du monde entier ont-ils refusé d’accepter toute responsabilité alors que leurs vaccins sont censés être « sûrs » ?
Lire le marc de café au 21ème siècle
Selon Andreas Diemer, médecin généraliste et naturopathe et physicien diplômé, il faut connaître le plus précisément possible les bénéfices et les inconvénients attendus d'un acte médical. "Cela est particulièrement vrai pour l'utilisation des vaccins, car le "patient" n'est pas du tout malade, mais il est généralement en bonne santé. Des études d'approbation sont donc obligatoires."
Cependant, les exigences minimales en matière d'exactitude scientifique ne sont généralement pas remplies dans les études d'approbation des médicaments. L'influence des constructeurs sur les études est trop grande et les résultats s'en trouvent embellis. Ce n’est qu’après qu’il apparaît que le médicament ou le vaccin en question n’aurait pas dû être approuvé.
Les autorités qui ont procédé à l’évaluation et à l’approbation des vaccins ont été soit incapables, soit souvent trop inactives pour le faire. Traverser des maladies peut aussi présenter des avantages. Cela pourrait réduire le risque de maladies telles que le cancer et le diabète. « Nous ne savons donc pas si le bénéfice d’une vaccination est supérieur au risque de cette vaccination car il n’existe pas de données fiables. »
Les enfants vaccinés sont-ils en meilleure santé ?
Prof.DDr. Harald Walach, le nouveau PDG du MWGFD, a examiné de plus près les données du « Children's Health Suryey » (KIGGS) 14 , une étude transversale commandée par l'Institut Robert Koch. Dans une analyse secondaire de ces données, il s’est penché sur la question de savoir si les enfants vaccinés étaient en meilleure santé.
16 662 enfants âgés de 1 à 17 ans ont été interrogés dans le cadre de l’étude, notamment sur leur statut vaccinal. 202 enfants n’étaient pas vaccinés. Un score de morbidité a été calculé à partir des diagnostics attribués par enfant. Des maladies telles que l'asthme, l'anémie, le diabète, etc. ont été enregistrées. Des données sociodémographiques et des variables liées à la santé, comme les allergies chez les parents, ont également été prises en compte.
Les analyses ont montré que les enfants vaccinés ne sont pas en meilleure santé que les enfants non vaccinés. Au contraire : traverser certaines maladies infantiles semble être bénéfique pour la santé. Harald Walach ; « Ces données sont préliminaires car elles reposent sur une étude transversale. Il serait urgent que ces résultats soient approfondis dans le cadre d’études prospectives à trois bras 15. »
Vaccinations du point de vue de la gestion de la qualité
La gestion de la qualité et des risques, avec son consensus mondial dans les domaines économique et technologique, peut également examiner de près les vaccinations et ainsi ouvrir une « troisième voie » d'évaluation, selon le professeur Dr. Werner Bergholz, ancien professeur de génie électrique et expert en QM.
Le processus d'approbation en plusieurs étapes, qui dure environ 10 ans, est en principe adapté pour réduire les risques de cette procédure médicale. Il existe déjà des lacunes importantes dans la mise en œuvre, par ex. B. des sujets de test masculins principalement jeunes et en bonne santé sont recrutés ou aucune étude randomisée en double aveugle n'est réalisée. 16
Lorsqu’on examine les effets indésirables de la vaccination, on a tendance à minimiser les problèmes de santé liés dans le temps à la vaccination. Selon la norme ISO 31000 pour la gestion des risques, les additifs nocifs et les impuretés présents dans les vaccins - en particulier l'effet de ces additifs après des vaccinations fréquentes - ne seraient pas contrôlés pour détecter des risques croissants.
Vaccination obligatoire contre la rougeole (preuve) – péché et cas test
L'obligation de vaccination indirecte contre la rougeole est à la base de l'introduction de l'obligation de vaccination contre le Covid-19 dans la Bundeswehr et dans le système de santé, a déclaré le professeur Dr. méd. Paul Cullen, spécialiste en médecine de laboratoire et médecine interne, infectiologie, chimiste clinicien. En référence au risque d’encéphalite grave et de décès, la nécessité d’augmenter les taux de vaccination afin d’éradiquer la rougeole s’est propagée.
Afin de rendre l'exigence de vaccination contre la rougeole conforme à la Constitution, des documents juridiques de 1959 et 1874 auraient été utilisés. Intéressant : en 2021, 10 cas de rougeole au total ont été signalés à l'Institut Robert Koch, en 2022, il y en avait 15, dont six provenaient d'Afghanistan, trois étaient vaccinés.
Le vaccin contre la rougeole n'est disponible en Europe qu'en association avec les vaccins contre les oreillons et la rubéole. Cependant, le vaccin contre la rubéole contient des lignées cellulaires provenant d’une fille avortée, ce qui pose des problèmes à certains parents.
Un seul vaccin contre la rougeole n'existe qu'au Japon. Si vous ne respectez pas l'obligation de vaccination contre la rougeole, vous risquez une amende pouvant aller jusqu'à 2 500 euros. Les amendes augmentaient si l'enfant enfreignait la fréquentation scolaire obligatoire en raison d'un manque de preuves. Des peines de prison sont également possibles.
Mais : Le tribunal administratif bavarois a décidé le 21 septembre 2023 que cela crée une vaccination obligatoire et qu'une astreinte est donc illégale. On suppose que cette décision sera adoptée à l'échelle nationale.
Tenez compte de tous les faits lors de la vaccination contre le VPH Les virus du papillome humain (VPH) existent sous plus de 200 sous-types, explique le Dr. Ronald Weikl, spécialiste en gynécologie et obstétrique. Si les défenses de l’organisme sont affaiblies, elles pourraient être impliquées dans le développement de tumeurs bénignes ou malignes. La vaccination contre le VPH a été introduite en 2006 et promue de manière agressive. Trois vaccins différents sont approuvés en Europe.
Stiko recommande la vaccination en au moins deux doses pour les filles et les garçons âgés de 9 à 14 ans. L'OMS soutient la vaccination dans les programmes de vaccination des pays du monde entier.
L'OMS et la Commission européenne visent un taux de vaccination d'au moins 90 pour cent pour les filles de 15 ans et une augmentation significative pour les garçons d'ici 2030. Selon le RKI, le taux de vaccination contre le VPH en Allemagne est de 54 pour cent pour les filles et de 27 pour cent pour les garçons. Ronald Weikl : « Jusqu’à présent, cependant, aucune étude n’a montré que le vaccin contre le VPH prévient le cancer. »
Les vaccins contre le VPH, en revanche, présentent un taux élevé d’effets secondaires. Une étude danoise montre que la plupart des études rapportent moins de la moitié de ces effets secondaires enregistrés dans les données brutes. 17 Aucun véritable placebo n’a été utilisé dans les groupes témoins. Les études sont encombrées de conflits d’intérêts et les chiffres donnent à réfléchir.
Résumé de l'étude danoise : Il n'est pas clair si les avantages des vaccins contre le VPH l'emportent sur leurs risques. Effets secondaires fréquents de la vaccination : troubles graves du système nerveux tels que SEP ou troubles de la conscience, évanouissements, fatigue chronique, maladies auto-immunes, etc.
Dans les pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés, comme la Suède et la Norvège, on constate même une fréquence croissante de lésions précancéreuses. Ronald Weikl déclare : « La plupart des infections à HPV guérissent spontanément. » Chez les 5 à 10 % de femmes présentant une infection persistante, des modifications cellulaires peuvent survenir, mais celles-ci guérissent généralement aussi spontanément. La prévention avec un test PAP réduit également le risque de développer un cancer du col de l'utérus de plus de 90 pour cent. Les immunostimulants peuvent améliorer les valeurs anormales de PAP.
Les membres de la Société des médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie (MWGFD) travaillent sur une base bénévole, mais sont heureux de recevoir toute aide financière pour rémunérer leurs employés. L'association met à disposition des thérapeutes pour les dommages causés par les vaccins, recherche d'autres thérapeutes qui peuvent aider en cas de dommages causés par les vaccins, propose une formation continue aux thérapeutes, fournit des informations sur les groupes d'entraide, aide à élucider les décès après vaccination et gère un laboratoire de diagnostic. MWGFD propose également un bulletin d'information mensuel 18 et, plus récemment, un portail média. 19
informations d'identification
1 colloque de presse « Autorisation de la vaccination, recommandation de vaccination, vaccination obligatoire – les données sont-elles suffisantes ? » – MWGFD
2 Colloque de presse LIVE MWGFD – approbation du vaccin, recommandation de vaccination, vaccination obligatoire – les données sont-elles suffisantes ? (odysee.com)
3 « Un livre qui fait réfléchir, choque et ouvre les yeux » – Alschner.Klartext (alschner-klartext.de)
4 Vaccination ROR : à quelle fréquence, pour qui, quelle est la sécurité ? – NetDoktor.de
5 Vaccination contre le VPH : effets, effets secondaires – NetDoktor.de
9 Historique de vaccination oublié : les esclaves ont apporté les techniques de vaccination en Amérique du Nord · Dlf Nova (deutschlandfunknova.de)
Protégé de la mort pendant 10 250 ans (tkp.at )
11 Tolzin Verlag – rapport de vaccination (tolzin-verlag.com)
12 Art. 2 GG – dejure.org
13 BfArM – Pharmacopée
14 RKI – Étude sur la santé des enfants et des adolescents en Allemagne (KiGGS)
15 Étude prospective – DocCheck Flexikon
16 Étude en double aveugle – DocCheck Flexikon
17 Avantages et inconvénients des vaccins contre le virus du papillome humain (VPH) : revue systématique avec méta-analyses des données d'essais issues de rapports d'études cliniques – PubMed (nih.gov)
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Valeurs occidentales :une enquête sur l’euthanasie des vieux en Écosse pendant la crise covid
le 29 Mai 2024 par pgibertie
Après avoir pris connaissance des témoignages recueillis dans le cadre de la commission d’enquête écossaise sur la crise sanitaire de COVID-19, John Campbell, PH.D., a demandé une investigation systématique des protocoles de fin de vie administrés à des patients âgés qui n’en avaient peut-être pas besoin.
La commision d’enquête pour l’Ecosse sur la crise sanitaire COVID-19, qui est en cours, a donné lieu à des témoignages qui soulèvent des inquiétudes quant à l’administration superflue de protocoles de fin de vie à des patients atteints du COVID-19 dans des maisons de retraites, y compris l’utilisation de médicaments comme le midazolam et la morphine, lesquels auraient pu entraîner la mort de certains patients.
Dr Campbell a diffusé une vidéo, compilée par un chercheur indépendant, contenant des extraits de plusieurs témoignages de personnes dont des membres âgés de leur famille sont décédés alors qu’ils étaient soignés dans des maisons de retraite ou EHPADs.
Chaque personne a raconté que son proche s’était vu administrer un protocole de fin de vie alors qu’il/elle était encore actif/ve et seulement légèrement malade. Ils sont tous décédés par la suite.
Les témoins ont appris que leurs proches avaient reçu du midazolam, une benzodiazépine puissante, et souvent de la morphine. Dans leurs déclarations de témoins – disponibles en ligne – ils ont fait part de leur choc et de leur consternation face au traitement, à l’absence de consentement éclairé et à ce qu’ils considèrent comme un comportement frauduleux.
Dr Campbell, , a déclaré que l’association de midazolam et de morphine avait un effet dépressif sur le système respiratoire et pouvait être particulièrement dangereuse pour les personnes sous ventilation.
Cette association de médicamenteux « peut être tout à fait valable pour les personnes qui sont en train de mourir », en réduisant la douleur des patients atteints d’un cancer en phase terminale, par exemple. Cependant, « si elle est administrée à des personnes souffrant d’infections des voies respiratoires, à des personnes juste un peu souffrantes, il convient de surveiller cela de beaucoup plus près », a-t-il déclaré.
« La question est de savoir si c’était le cas dans ces situations. »
Dr Campbell a également fait part du témoignage d’un employé du groupe d’EHPADs « Independent Care Homes Scotland« , qui a rapporté que lorsque les patients ne répondaient pas aux antibiotiques, ils recevaient des protocoles « juste au cas où », qui, selon lui, sont les protocoles de fin de vie décrits dans les témoignages.
Dr Campbell estime que ces témoignages, pris dans leur ensemble, constituent le point de départ pour une « progression positive », car ils sont un élément clé pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné pendant la pandémie.
Il considère tout d’abord que toutes les transcriptions des témoignages, qui sont dans le domaine public et disponibles en ligne, devraient être téléchargées et analysées systématiquement par des chercheurs qualitatifs.
Ceux-ci pourront alors déterminer si le midazolam a été systématiquement administré trop tôt, s’il a été administré en combinaison avec de la morphine et si les témoignages soulèvent d’autres problèmes systématiques.
Il faudrait ensuite procéder à une analyse quantitative des dossiers des patients, en examinant les heures de décès, leur relation avec le moment où les médicaments ont été administrés et d’autres informations qui permettraient de confirmer ce qui a conduit au décès des patients.
Dr Campbell a également déclaré que ce type de recherche devrait être mené partout, car il a entendu des anecdotes similaires provenant d’autres pays, y compris l’Angleterre.
« L’Écosse est-elle unique ? je pense que la réponse à cette question est malheureusement non. »
Comment les États-Unis dominent et manipulent les négociations de l'OMS
29 mai 2024 de Thomas Oysmüller
Les États-Unis tentent de manipuler davantage les négociations de l’OMS dans leur propre direction en recourant à la ruse et à la tromperie. L’industrie pandémique en bénéficierait.
L'Assemblée mondiale de la santé, l'assemblée générale annuelle de l'agence spécialisée controversée de l'ONU, l'OMS, se réunit actuellement à Genève. Même si les critiques peuvent célébrer un petit succès parce que le soi-disant « contrat pandémique » a échoué pour l’instant, les choses se passent toujours sérieusement et l’industrie pandémique, de BigPharma à Bill Gates, ne dort pas. Les États-Unis continuent de travailler pour leurs propres intérêts et tentent de dominer l’OMS dans leur propre intérêt.
Surprise et évasion
Sur son blog, la journaliste Meryl Nass donne des exemples actuels de la manière dont les États-Unis déterminent l'Assemblée et la dirigent dans l'intérêt de leurs intérêts. Elle fait référence à une résolution que les États-Unis et une poignée de leurs partisans ont proposée ce mercredi à l'AMS pour adoption :
« Il est tellement rempli de références à d’autres documents (par numéro) qu’il est impossible de voir sur quoi les membres sont réellement censés s’engager. Et comme ce projet n'a été proposé qu'aujourd'hui (mais qu'il a sans doute été préparé en grande partie plus tôt), les Etats membres n'ont que peu de temps pour l'examiner attentivement, compte tenu de l'ordre du jour chargé de la semaine, avec des réunions qui durent 12 heures par jour.»
"C'est le but. Ce document a été écrit pour être impénétrable. Et le calendrier a été conçu pour épuiser tout le monde. » La résolution montre à quel point les petites nations sont déjà balayées. Il s’agit de changer le Règlement sanitaire international.
Évaluation de Nass : « Je pense que les avocats américains ont été trop intelligents lorsqu'ils ont rédigé la résolution ci-dessus. Quiconque le lit peut voir qu’il visait davantage à dissimuler qu’à éclairer. Je doute que ce document fasse beaucoup d’amis, et je doute qu’il aille très loin.
Le deuxième exemple est encore plus impressionnant : l’accent est à nouveau mis sur le RSI. Bien que le traité soit effectivement contraignant au regard du droit international, les États-Unis n’acceptent le nouveau traité que « sous réserve », comme cela est actuellement annoncé. Alors que c’est exactement ce qu’ils ne veulent pas des autres petites nations.
Meryl Nass dit :
Esquive n°1 : Le gouvernement américain s’est caché derrière la queue de ses États et a déclaré qu’en vertu de la Constitution américaine, les obligations américaines en matière de RSI pouvaient relever de la juridiction des États et non du gouvernement fédéral. Et dans ce cas, le gouvernement américain ne peut pas promettre qu’il s’y conformera. (
Évasion n°2 : Alors que les États-Unis insistent sur le fait que la Chine a manqué à son obligation d’informer le monde en temps opportun sur le COVID, le gouvernement américain voulait pouvoir contourner la même obligation du RSI de signaler rapidement les épidémies d’infection. Ainsi, si les reportages pouvaient nuire à l’armée américaine et à la sécurité nationale, les États-Unis ont refusé d’accepter l’exigence de reporting.
La troisième évasion concerne la question de savoir si le RSI crée des droits privés juridiquement exécutoires. Sur la base de la participation de sa délégation aux négociations du RSI, le gouvernement des États-Unis ne croit pas que le RSI ait été conçu pour créer des droits privés juridiquement exécutoires :
Les États-Unis estiment que les dispositions du Règlement ne créent pas de droits privés juridiquement exécutoires.
Si je comprends bien la troisième excuse, le gouvernement américain prétend que ce n’est pas parce que les États-Unis ont signé le traité IHR que cela a transféré des droits aux autres signataires. C’est pourquoi les États-Unis ne font pas l’objet d’un litige s’ils ne respectent pas les dispositions du traité telles qu’interprétées par les autres signataires.
Dernier recours : Parfois, les États-Unis mènent jusqu’au bout des négociations difficiles et refusent de signer à la dernière minute. Cela s'est produit lorsque la Conférence d'examen de la Convention sur les armes biologiques (BTWC) en 2001 pensait avoir finalement atteint un consensus sur les dispositions relatives aux inspections et aux sanctions en cas de non-respect du traité BTWC. Quand tout fut prêt, les États-Unis dirent soudainement « NYET » et les modifications du traité furent sabordées.
Je ne comprenais pas à l'époque pourquoi les États-Unis avaient fait cela, mais j'ai découvert plus tard que Cuba affirmait que les États-Unis avaient utilisé des armes biologiques contre Cuba après que les États-Unis aient adhéré à la Convention sur les armes biologiques.
En fin de compte, chaque pays devrait peut-être être aussi prudent que les États-Unis pour se protéger des dispositions potentiellement invasives ou nuisibles des traités qu’ils signent. Cela uniformiserait les règles du jeu et rendrait le processus de passation de marchés plus équitable pour tout le monde.
Grave revers pour les États-Unis et l’UE/OTAN en Géorgie : le gouvernement a adopté la loi sur la transparence. Désormais, les ONG occidentales doivent divulguer leurs finances.
La nouvelle loi géorgienne qui oblige les ONG à divulguer leurs finances ne semble pas si « controversée ». Le vote a été de 84 contre 4 en faveur de la nouvelle loi sur la transparence, après que le président ait brièvement retardé les projets du gouvernement. La Géorgie a ainsi fait un pas vers la défense de sa propre souveraineté. Les États-Unis et l’UE répondront par des sanctions.
Décision pour la souveraineté
Les soi-disant « groupes de la société civile » qui reçoivent plus de 20 pour cent de leur financement de l’étranger doivent désormais divulguer leur financement. Parce qu’il représente vraisemblablement « les intérêts d’une puissance étrangère ». Même l'opposition s'est abstenue lors du vote ; seuls quatre députés ont voté contre. Le parti au pouvoir affirme que la loi vise à repousser « l’influence de l’étranger » – par exemple lorsqu’il s’agit de « propagande LGBT ». Voici davantage d’informations sur l’influence directe de l’UE sur la Géorgie via les « ONG ».
Il y a certainement des voix qui souhaiteraient voir une telle loi également en Autriche ou en Allemagne, même si le nombre d'ONG financées par l'étranger est gérable par rapport à la Géorgie, mais elles existent toujours.
Auparavant, la présidente géorgienne Salomé Zurabichvili avait refusé de signer la loi, la qualifiant de « loi russe » qui « contredit notre constitution et toutes les normes européennes ». Cependant, leur veto a été annulé à la majorité simple au Parlement. Le président du Parlement, Shalva Papuashvili, va maintenant signer la loi, mais le président annonce un référendum sur la question de savoir s'il doit y avoir un « avenir européen » ou un « esclavage russe » pour la Géorgie. Les critiques du président la qualifient de « principal agent étranger » du pays.
"Nous devrions préparer un véritable référendum", a déclaré Zurabichvili. « Utilisez l’énergie que vous avez en vous pour collecter des signatures et me les apporter. Je signerai le référendum. » 200 000 signatures sont nécessaires.
Washington – et son protectorat appelé « UE » – riposteront également en même temps. La loi a provoqué une certaine panique en Occident. Et maintenant, cela entre réellement en vigueur. D'ailleurs, un utilisateur de Twitter déclare : "Il est étrange qu'une loi qui oblige les ONG à s'enregistrer comme agents étrangers si elles sont financées de l'étranger puisse provoquer autant de panique."
Eh bien, voici un régime de sanctions. Washington a déclaré qu'il imposerait des interdictions de voyager et d'autres sanctions aux hommes politiques « impliqués dans l'atteinte à la démocratie en Géorgie », et l'UE a déclaré que l'adoption de la loi torpillerait les espoirs de ce pays du Caucase du Sud d'adhérer à l'UE. Nous verrons dans les prochains jours à quoi ressembleront réellement les sanctions. Il existe déjà une forte volonté d'intervenir massivement contre le gouvernement démocratiquement élu de Géorgie. Récemment, le Premier ministre a même été menacé de terreur.
Réagissant à l'adoption du projet de loi, le plus haut diplomate de l'UE, Josep Borrell, a déclaré dans un communiqué que l'UE "regrette profondément" cette décision et prévient qu'elle viole les obligations de la Géorgie en vertu de son statut de candidat. Il a déclaré qu'une « attention politique insuffisante » avait été accordée à d'autres domaines clés où des réformes étaient nécessaires et que Bruxelles allait désormais réfléchir à sa réponse.
Le 11 septembre était-il un faux drapeau ? La « guerre juste » américaine contre les pays musulmans : « l’autodéfense » contre la « guerre civilisationnelle de l’islam contre l’Occident »
La politique étrangère américaine au lendemain du 11 septembre. « Guerre juste » contre les pays musulmans, « contre-terrorisme »
Par le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 28 mai 2024
Note de l'auteur et mise à jour Ma critique et mon analyse du concept de « guerre juste » ont été soulevées pour la première fois dans un article intitulé La « guerre juste » de l'Amérique contre l'Afghanistan : les droits des femmes « avant » et « après » les guerres destructrices de l'Amérique .
L'article suivant a été publié pour la première fois par Global Research le 22 décembre 2023.
La guerre au Moyen-Orient se dirige vers une escalade. La propagande de guerre en est la force motrice. Le consensus officiel sur le 11 septembre a créé un mandat antiterroriste intégré dans la politique étrangère américaine.
La « guerre mondiale contre le terrorisme » menée par l'Amérique n'est pas catégorisée comme un véritable « acte de guerre » au sein de certains segments du mouvement pacifiste.
En outre, la doctrine du 11 septembre accuse les pays musulmans de mener une « guerre civilisationnelle de l’Islam contre l’Occident » .
Michel Chossudovsky , 6 février 2024
* * *
Introduction. Le faux drapeau du 11 septembre et la guerre au Moyen-Orient de 2023 Cet article, qui se concentre sur le faux drapeau du 11 septembre, est de la plus haute importance pour notre compréhension du génocide israélo-américain en cours contre la Palestine ainsi que de la guerre hégémonique américaine plus large contre l’ensemble du Moyen-Orient.
Le 11 septembre 2001, l’Afghanistan a été identifié comme un « État soutenant le terrorisme » , sans la moindre preuve. Les attentats du 11 septembre ont été qualifiés d’ acte de guerre contre l’Amérique par une puissance étrangère anonyme.
Il s’agissait d’un « faux drapeau » qui consistait à reprocher à l’Afghanistan d’avoir attaqué l’Amérique. « Le droit à la légitime défense » a été mis en avant. L’agresseur des États-Unis et de l’OTAN a été présenté comme la victime.
11 septembre : un jalon historique dans la doctrine militaire américaine (2001- ) La prétendue « attaque contre l’Amérique » du 11 septembre a joué un rôle déterminant dans la justification de la mise en œuvre d’opérations dites « antiterroristes » (c’est-à-dire des guerres) contre TOUS les pays musulmans, qui s’étendent désormais sur une période de plus de 20 ans . (à partir de 2001).
Dans le contexte actuel (2023), le faux drapeau du 11 septembre a une incidence sur l’évolution de la « guerre humanitaire » entre les États-Unis, l’OTAN et Israël en 2023 contre la Palestine et la guerre au Moyen-Orient, qui repose sur le concept d’ « autodéfense » contre la Palestine. attaques terroristes présumées par des pays musulmans .
Que s'est-il passé le 11 septembre 2001 ? « Quelques heures après les attentats terroristes contre le World Trade Center et le Pentagone, l'administration Bush a conclu, sans preuves à l'appui, qu'« Oussama ben Laden et son organisation Al-Qaïda étaient les principaux suspects ».
Le directeur de la CIA, George Tenet, a déclaré que Ben Laden avait la capacité de planifier « plusieurs attaques avec peu ou pas d’avertissement ».
Image (à droite). George Tenet avec GW Bush et Dick Cheney
Le secrétaire d'État Colin Powell a qualifié ces attentats d'« acte de guerre » et le président Bush a confirmé dans un discours télévisé en soirée à la Nation qu'il « ne ferait aucune distinction entre les terroristes qui ont commis ces actes et ceux qui les abritent ».
L’ancien directeur de la CIA, James Woolsey, a pointé du doigt le « parrainage d’État », impliquant la complicité d’un ou plusieurs gouvernements étrangers. Selon les mots de l'ancien conseiller à la sécurité nationale, Lawrence Eagleburger , « je pense que nous montrerons, lorsque nous serons attaqués de la sorte, que nous sommes terribles dans notre force et dans nos représailles. »
Pendant ce temps, reprenant les déclarations officielles, le mantra des médias occidentaux avait approuvé le lancement d’« actions punitives » dirigées contre des cibles civiles au Moyen-Orient. Selon les mots de William Saffire dans le New York Times :
« Lorsque nous déterminons raisonnablement les bases et les camps de nos attaquants, nous devons les pulvériser – en minimisant mais en acceptant le risque de dommages collatéraux » – et agir ouvertement ou secrètement pour déstabiliser les hôtes nationaux du terrorisme. » (Michel Chossudovsky, Qui est Oussama ben Laden, septembre 12, 2001)
La « clause de défense collective » de l'OTAN et l'invasion de l'Afghanistan le 7 octobre 2001 Le 12 septembre 2001, moins de 24 heures après les attentats, lors d'une réunion du Conseil atlantique à Bruxelles, l'OTAN a invoqué pour la première fois de son histoire « l'article 5 du Traité de Washington – sa clause de défense collective » déclarant le 9/ 11 attentats contre le World Trade Center (WTC) et le Pentagone « constituent une attaque contre tous les membres de l’OTAN :
« La mort tragique de milliers d’Américains le 11 septembre, prétendument instrumentalisée par Al-Qaïda (avec le soutien d’une puissance étrangère anonyme) a été utilisée comme prétexte et justification pour lancer la première phase de la guerre au Moyen-Orient et en Asie centrale, qui consistait à dans les bombardements et l’occupation de l’Afghanistan. Michel Chossudovsky, Qui est Oussama ben Laden, 12 septembre 2001)
La décision du Conseil atlantique d’invoquer l’article V (officiellement confirmée fin septembre) a favorisé les bombardements et l’invasion de l’Afghanistan par les États-Unis et l’OTAN, qui ont débuté le 7 octobre 2001, quatre semaines après les événements tragiques du 11 septembre.
L’invasion de l’Afghanistan était sur la planche à dessin du Pentagone des mois avant le 11 septembre. Les attentats du 11 septembre ont servi de prétexte et de justification pour envahir et occuper l’Afghanistan.
En outre, les analystes militaires et les médias ont reçu pour instruction de ne pas révéler le fait que l’on ne prévoit pas une guerre sur un théâtre à grande échelle à des milliers de kilomètres en 25 jours. Impossible. (du 12 septembre au 7 octobre 2001)
La vérité interdite (connue et documentée) est qu’Oussama ben Laden était un « agent du renseignement » américain et que le gouvernement américain savait où il se trouvait précisément avant et immédiatement après le 11 septembre. » (Michel Chossudovsky, Plus de troupes en Afghanistan )
La guerre menée par les États-Unis contre l’Afghanistan se compose essentiellement de deux étapes interdépendantes.
La première étape qualifiée de guerre soviéto-afghane a débuté au plus fort de la guerre froide en 1979. Elle était une opération militaire et de renseignement soigneusement planifiée et dirigée par les États-Unis, qui consistait à recruter et à financer les « brigades islamiques » (Moudjahidines), dont Oussama. ben Laden.
La deuxième étape s'est déroulée avec l' invasion de l'Afghanistan par les États-Unis et l'OTAN le 7 octobre 2001, quatre semaines après le 11 septembre , suite à la décision du Conseil atlantique d'invoquer l'article 5 du Traité de Washington.
L’invasion criminelle de l’Afghanistan et le récit de la « guerre juste » L'invasion du 7 octobre 2001 a été qualifiée de « guerre juste » par le professeur Richard Falk , universitaire renommé, professeur de droit international et humanitaire à Princeton et militant anti-guerre.
La déclaration du professeur Richard Falk, membre du Council on Foreign Relations (CFR), formulée immédiatement après le 11 septembre et publiée quatre jours après le début de la campagne de bombardement entre les États-Unis et l'OTAN, visait à donner une légitimité à La guerre américaine contre l'Afghanistan :
« Depuis mon enfance, je n'ai jamais soutenu une guerre de tirs dans laquelle les États-Unis étaient impliqués, même si, rétrospectivement, je pense que la guerre de l'OTAN au Kosovo a donné des résultats bénéfiques. La guerre en Afghanistan contre le terrorisme apocalyptique est à mon sens la première guerre véritablement juste depuis la Seconde Guerre mondiale.
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« Les auteurs des attentats du 11 septembre ne peuvent pas être neutralisés de manière fiable par des moyens non-violents ou diplomatiques ; une réponse incluant une action militaire est essentielle pour diminuer la menace de répétition, pour infliger des sanctions et pour restaurer un sentiment de sécurité dans le pays et à l’étranger.
La vision politique extrémiste d’Oussama ben Laden, que l’on peut utilement qualifier de « terrorisme apocalyptique », place cette menace persistante bien en dehors de tout cadre de réconciliation potentielle ou même de négociation pour plusieurs raisons : son intention génocidaire est dirigée de manière générique contre les Américains et les juifs ;
son objectif proclamé est de mener une guerre civilisationnelle inconditionnelle – l’Islam contre l’Occident – sans faire de distinction entre cibles civiles et militaires ; il a démontré sa capacité et sa volonté d’infliger des dégâts massifs et traumatisants à notre pays ainsi qu’une ingéniosité tactique et sa capacité à mener à bien ses missions de destruction en s’appuyant sur le dévouement suicidaire de ses partisans. (Richard Falk, The Nation, Defining a Just War , 11 octobre 2001, 4 jours après l'invasion de l'Afghanistan, italiques ajoutés).
Notez l’accent mis sur :
« intention génocidaire contre les Américains et les Juifs »
dans le cadre d'une prétendue
« guerre civilisationnelle de l’Islam contre l’Occident » .
Palestine 2023 : n’est-ce pas « l’inverse » ? Ce à quoi nous assistons est « la guerre génocidaire de l’Occident contre les pays musulmans ». Le « terrorisme apocalyptique » d'Oussama ben Laden a fourni une justification à la « guerre mondiale contre le terrorisme » menée par les États-Unis , c'est-à-dire les nombreuses « guerres humanitaires » et « opérations antiterroristes » menées par les États-Unis après le 11 septembre contre les pays musulmans (avec le soutien des États-Unis). d'Israël) au cours des 22 dernières années, qui ont entraîné des millions de morts.
Une sainte croisade a été lancée contre le monde musulman d'environ 50 pays et un quart de la population mondiale.
À son tour, le « contre-terrorisme » a été utilisé au cours des vingt dernières années pour justifier l’établissement de bases militaires américaines en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud-Est.
L’objectif tacite de la « lutte contre le terrorisme » est de confisquer et de s’approprier les vastes réserves de pétrole et de gaz des pays musulmans.
« La guerre juste » Le professeur Richard Falk est un militant anti-guerre de longue date. Il est réputé pour son engagement en faveur des droits des Palestiniens et sa position courageuse contre le gouvernement israélien. En février 2001, le professeur Falk a été nommé par le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) pour siéger à la commission d'enquête relative aux territoires palestiniens occupés.
En mars 2008, le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies (UNHRC) a nommé le professeur Richard Falk comme rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés.
La déclaration du professeur Falk intitulée « Définir une guerre juste, ses fins et ses moyens » a été formulée huit mois après sa nomination au HCCR en février 2001 pour siéger à la Commission d'enquête sur la Palestine. Dans une interview de février 2001, Falk a soulevé la question de savoir si les Palestiniens ont un « droit à la résistance » :
« L’équipe [du HCCR] examinera deux questions majeures, a-t-il déclaré. « Il s'agit d'évaluer si les conditions d'occupation sont de nature à donner aux Palestiniens une sorte de droit de résistance », a déclaré Falk. « Et s’ils ont ce droit, alors quelles sont les limites de ce droit ?
« Nous devons poser des questions spécifiques, telles que : quels types d’armes ont été utilisées ? " il a dit. » Et comment interpréter et comprendre la vulnérabilité des enfants ? Par exemple, les Palestiniens affirment que l’armée israélienne a ciblé les enfants, et l’armée israélienne affirme que les Palestiniens ont utilisé les enfants comme boucliers humains. » ( Rapport de l'Université de Princeton , février 2001
Selon Falk – faisant référence au rôle d'Oussama ben Laden – le « terrorisme apocalyptique » est marqué par le comportement de
« une guerre civilisationnelle inconditionnelle de l’Islam contre l’Occident » .
Cette déclaration de Richard Falk constitue un malentendu sur ce qui s'est passé le 11 septembre. Le 11 septembre était un faux drapeau.
Je dois cependant souligner que dans ses récentes déclarations sur la Palestine, la critique du professeur Falk à l'égard du gouvernement Netanyahu va à l'encontre de sa position antérieure de « guerre juste » formulée immédiatement après le 11 septembre.
Les preuves présentées ci-dessous documentent le rôle présumé de Ben Laden dans les attentats du 11 septembre 2001, qui ont fourni le prétexte et la justification pour mener une guerre non seulement contre l'Afghanistan mais aussi contre de nombreux pays musulmans (au lendemain du 11 septembre), sous couvert d'anonymat. le manteau de la « guerre mondiale contre le terrorisme » menée par les États-Unis.
Il n’y avait aucune preuve que l’Afghanistan avait attaqué l’Amérique le 11 septembre Le gouvernement taliban, par la voie diplomatique, avait proposé à deux reprises (septembre et octobre 2001) d'entamer des négociations en vue de l'extradition d'Oussama ben Laden. Le président GW Bush a officiellement refusé de négocier avec le gouvernement afghan concernant l’offre des talibans « de livrer Ben Laden à Washington ».
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capture d'écran d'un reportage de la BBC, 21 décembre 2018.
Pourquoi George W. Bush était-il réticent à négocier l’extradition d’Oussama ben Laden ? La relation familiale Ben Laden-Bush ?
Que s'est-il passé le 10 septembre 2001 ? 1. Poppy GHW Bush Senior rencontre le frère d'Oussama Shafiq à l'hôtel Ritz Carlton le 10 septembre 2001 Un jour avant les attentats du 11 septembre, ainsi que le matin du 11 septembre, le père du président en exercice des États-Unis d'Amérique, George Herbert Walker Bush, rencontrait nul autre que Shafiq ben Laden , le frère du Le cerveau présumé du terrorisme, Oussama ben Laden . Cela semble absurde ?
Selon le Washington Post :
« Le fait que, lors de l'incendie du World Trade Center le 11 septembre 2001, la nouvelle ait interrompu une conférence d'affaires de Carlyle à l'hôtel Ritz-Carlton ici à laquelle participait un frère d'Oussama ben Laden [Shafiq ben Laden] n'a pas aidé. L'ancien président Bush [senior], un autre investisseur, était avec lui à la conférence la veille. (Greg Schneider, Associer les puissants aux riches, Washington Post, 16 mars 2003)
2. Oussama est hospitalisé à Rawalpindi, au Pakistan, le 10 septembre 2001. Confirmé par Dan Rather de CBS News, Oussama ben Laden avait été admis dans un hôpital militaire pakistanais à Rawalpindi le 10 septembre, heure locale, moins de 24 heures avant les attentats terroristes .
« Des sources des renseignements pakistanais ont déclaré à CBS News que Ben Laden avait été emmené dans cet hôpital militaire de Rawalpindi pour y subir une dialyse rénale.
Cette nuit-là, raconte cette travailleuse médicale qui souhaitait protéger son identité, ils ont déplacé tout le personnel régulier du service d'urologie et envoyé une équipe secrète pour les remplacer. Elle dit que c'était un traitement pour une personne très spéciale. (CBS, pour plus de détails, voir ceci )
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Ce rapport de CBS jette le doute sur le récit officiel selon lequel Oussama ben Laden était responsable de la coordination des attentats du 11 septembre. Il serait impossible pour Oussama ben Laden d’entrer inaperçu dans un hôpital militaire pakistanais. On savait où il se trouvait.
« Comment diable Ben Laden a-t-il pu coordonner les attaques depuis son lit d’hôpital dans un hôpital militaire pakistanais hautement gardé situé à Rawalpindi ?
Gardez à l’esprit que l’hôpital militaire combiné de Rawalpindi (sous l’administration de l’armée pakistanaise) « fournit exclusivement des soins spécialisés au personnel de l’armée et à sa famille immédiate ».
Oussama ben Laden doit avoir eu des relations dans l'armée ou les services de renseignement pakistanais pour être admis à l'hôpital. Selon le reportage de Dan Rather sur CBS, il a reçu « un traitement pour une personne très spéciale ».
Si le rapport CBS de Dan Rather est exact et qu'Oussama avait effectivement été admis à l'hôpital militaire pakistanais le 10 septembre 2001, grâce à l'allié de l'Amérique, il était selon toute vraisemblance encore hospitalisé à Rawalpindi le 11 septembre, lorsque les attentats ont eu lieu. s'est produit. ( Michel Chossudovsky , 10 septembre 2010)
L’ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld a affirmé à plusieurs reprises après le 11 septembre que l’on ne savait toujours pas où se trouvait Oussama ben Laden : « C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ».
La politique étrangère américaine au lendemain du 11 septembre. Quelle est la signification d’Al-Qaïda en arabe ? À la suite du 11 septembre, le concept de guerre juste est devenu ancré dans la politique étrangère américaine. Il s’agit d’un récit anti-musulman visant à s’en prendre aux prétendus « terroristes islamiques » d’Al-Qaïda qui (depuis le début des années 1980) sont régulièrement recrutés par les services de renseignement américains.
Quelle est la signification en arabe d’ Al-Qaïda ? القاعِدة
Selon le major Pierre-Henri Bunel , ancien agent du renseignement militaire français.
Il s'agit de « The Base » , à savoir la base de données informatique des moudjahidines islamiques (les « combattants de la liberté » de Reagan) recrutés par la CIA.
« Lorsque Oussama ben Laden était un agent américain en Afghanistan, l'Intranet d'Al-Qaida était un bon système de communication via des messages codés ou secrets.
La vérité est qu’il n’existe pas d’armée islamique ni de groupe terroriste appelé Al-Qaïda. Et tout officier du renseignement averti le sait.
Mais il existe une campagne de propagande visant à faire croire au public à la présence d'une entité identifiée représentant le « diable » dans le seul but de pousser le « téléspectateur » à accepter une direction internationale unifiée pour une guerre contre le terrorisme. Le pays derrière cette propagande, ce sont les États-Unis, et les lobbyistes de la guerre américaine contre le terrorisme ne cherchent qu’à gagner de l’argent. ( Major Pierre-Henri Bunel , Affaires mondiales, Delhi, italiques ajoutés)
La déclaration ci-dessus du major Bunel a été confirmée par feu le ministre britannique des Affaires étrangères Robin Cook (peu avant son décès) dans un article pointu du Guardian :
« Ben Laden est cependant le produit d’une erreur de calcul monumentale de la part des agences de sécurité occidentales . Tout au long des années 80, il a été armé par la CIA et financé par les Saoudiens pour mener le jihad contre l’occupation russe de l’Afghanistan.
Al-Qaïda, littéralement « la base de données », était à l’origine le fichier informatique de milliers de moudjahidines recrutés et entraînés avec l’aide de la CIA pour vaincre les Russes. (Robin Cook, The Guardian , 8 juillet 2005, voir aussi archives , italiques ajoutés)
Bien entendu, une grande partie de la responsabilité de cet échec incombe à la corruption et aux politiques répressives des gouvernements, en particulier au Moyen-Orient, en dehors de l’orbite de l’influence américaine . Il convient d’établir une distinction aussi convaincante que possible entre les orientations intrinsèquement souhaitables de la réforme de la politique étrangère et le retrait face au terrorisme.» (Richard Falk, Defining a Just War , The Nation, 11 octobre 2023, italiques ajoutés)
Avec. en ce qui concerne la citation ci-dessus, n’est-ce pas « l’inverse » ? De nombreux gouvernements « à l’intérieur » plutôt qu’ « à l’extérieur » de l’orbite d’influence américaine sont corrompus. Pourquoi? Parce que leurs dirigeants sont menacés, cooptés et/ou soudoyés par Washington.
En ce qui concerne le soi-disant « mouvement terroriste mondial » , voir la Directive de décision de sécurité nationale 166 (NSDD 166) (signée par le président Reagan) qui autorise de facto une aide militaire secrète accrue aux Moudjahidines.
Pour lire le texte intégral du NSDD 166, cliquez sur l'image ci-dessous .
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La promotion de « l’Islam radical » était une initiative délibérée de la CIA ( NSDD 166 ) qui, à la suite du 11 septembre, a servi de justification pour mener une « guerre mondiale contre le terrorisme (GWOT) au Moyen-Orient, en Asie centrale, en Asie du Sud-Est et en Asie du Sud-Est ». Afrique sub-saharienne.
Le nombre d' écoles religieuses (madrasas) parrainées par la CIA est passé de 2 500 en 1980 à plus de 39 000 . L’USAID a généreusement financé le processus d’endoctrinement religieux, en grande partie pour garantir la disparition des institutions laïques et l’effondrement de la société civile :
« Les États-Unis ont dépensé des millions de dollars pour fournir aux écoliers afghans des manuels remplis d’images violentes et d’enseignements islamiques militants….
Publiés dans les langues afghanes dominantes, le dari et le pachtoune, les manuels ont été élaborés au début des années 1980 grâce à une subvention de l'AID accordée à l'Université du Nebraska-Omaha et à son Centre d'études sur l'Afghanistan . L'agence a dépensé 51 millions de dollars pour les programmes éducatifs universitaires en Afghanistan de 1984 à 1994", ( Washington Post , 23 mars 2002).
« Avant » et « après » une « guerre humanitaire » menée par les États-Unis Extraits choisis de
La « guerre juste » américaine contre l'Afghanistan : les droits des femmes « avant » et « après » les guerres destructrices américaines .
je vous suggère d'accéder à l'article complet
Il faut comprendre que l' analyse « avant » et « après » s'applique aux nombreux pays musulmans qui ont été l'objet du programme de « guerre humanitaire » de l'Amérique, notamment l'Irak, la Syrie, la Libye, le Yémen, la Palestine, le Soudan, entre autres. été l’objet d’attentats à la bombe, d’invasions, d’opérations de « lutte contre le terrorisme » et de « changement de régime » entre les États-Unis et l’OTAN au lendemain du 11 septembre 2001.
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L’Afghanistan « avant »
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Université de Kaboul, années 1980
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Un cours mixte de biologie à l’Université de Kaboul
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Transports publics à Kaboul
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Femmes travaillant dans l’un des laboratoires du Vaccine Research Center
L’Afghanistan « après » Le sort des femmes et des enfants
Premièrement, si des ennemis étrangers voulaient s'en prendre aux États-Unis ils auraient ciblé la Statue de la Liberté et la Maison Blanche comme le Pentagone, mais... mais n'ont visé que des immeubles vides privés qui devaient être détruits car massivement amiantés.
Deuxièmement le 'coup' de la discussion téléphonique depuis un téléphone portable dans un avion avec une personne au sol était IMPOSSIBLE en 2001 car il n'existait pas encore de relais permettant cette prouesse.
Troisièmement, des avions se seraient écrasés si fort en foret qu'il n'existe que de la... poussière !!! HAHAHAHAHAHA ! Même s'il pouvait voler à 1 million de km/h un avion ne serait JAMAIS réduit en poussières !
Qu’attend Julian Assange après l’audience d’appel du 20 mai ?
Par Karen Sharpe Recherche mondiale, 29 mai 2024
Le 20 mai, les juges de la Haute Cour britannique, Dame Victoria Sharp et le juge Jeremy Johnson, ont statué que Julian Assange pouvait faire appel de son extradition vers les États-Unis, où il risque 175 ans de prison dans une prison supermax. pour intrusion informatique – essentiellement pour révéler des informations véridiques sur des crimes de guerre, pour exercer le journalisme.
À la suite de l'audience précédente de la Haute Cour de justice en février, les juges ont demandé aux États-Unis des assurances que s'il était extradé, Julian ne risquerait pas la peine de mort aux États-Unis et qu'il ne se verrait pas refuser son droit à la liberté en vertu du premier amendement. discours, et il ne serait pas non plus soumis à des préjugés concernant ce droit parce qu'il n'est pas citoyen américain. Les États-Unis ont fourni ce qu’ils considéraient comme des assurances, et celles-ci ont constitué la base de l’audience du 20 mai .
Les avocats de Julian ont accepté que l'assurance contre la peine de mort serait maintenue, mais se sont opposés avec véhémence aux assurances – en nom seulement – selon lesquelles Julian, le journaliste primé et fondateur et éditeur de WikiLeaks, pourrait bénéficier du droit à la liberté d'expression. La faible non-assurance indiquait simplement qu’aux États-Unis, Julian pouvait « chercher » la protection en vertu du Premier Amendement.
Il est hautement discutable qu’un tribunal fédéral – qui jugerait finalement Julian aux États-Unis – puisse être contraint d’accorder les droits du premier amendement à Julian précisément parce que la Cour suprême des États-Unis a déjà statué que les étrangers n’ont pas droit à ces protections. Même si les États-Unis acceptaient de donner des assurances complètes, ils resteraient hautement suspects : les États-Unis ont donné des assurances dans le passé qui, selon Amnesty International, entre autres, ne valent pas le papier sur lequel elles sont écrites.
Une fois sur le sol américain, Julian pourrait non seulement voir ces protections retirées ou modifiées, mais il pourrait également faire l'objet de nouvelles accusations, notamment liées aux publications de Vault 7, la plus grande publication jamais réalisée de documents confidentiels sur la CIA , qui révèlent les méthodes de surveillance et les méthodes de surveillance de l'agence. méfaits et a alimenté davantage la détermination de la CIA à se venger.
Le 20 mai, les juges avaient trois options : ils auraient pu accepter les assurances, auquel cas Julian aurait été immédiatement mis dans un avion militaire à destination des États-Unis (en fait, deux marshals américains étaient présents dans la salle d'audience ce jour-là, au cas où telle a été la décision), dont on n'aura plus jamais de nouvelles de lui ; ils auraient pu rejeter n'importe laquelle des assurances, auquel cas Julian se verrait accorder un appel ; ou ils auraient pu retarder toute décision à une date ultérieure.
Les juges ont convenu avec les avocats de Julian que le droit de Julian à la liberté d'expression n'était pas suffisamment garanti et, sur cette base, ont fait droit à l'appel. Les deux parties avaient jusqu'au 24 mai pour soumettre un calendrier et une procédure d'appel. La date pourrait alors être fixée des semaines ou des mois plus tard.
Mais cela ne signifierait pas nécessairement la fin des batailles juridiques de Julian : si lors de cette audience les juges votaient contre l'extradition, les États-Unis pourraient faire appel de cette décision devant la Cour suprême du Royaume-Uni, sans qu'une décision finale ne soit rendue avant plusieurs mois, voire plusieurs années. .
Manœuvres politiques
Alors que cette affaire se déroule dans une salle d’audience, elle n’a rien à voir avec la justice mais tout à voir avec la politique. Depuis le début, les Britanniques ont suivi les directives des États-Unis, et l’ancien président Trump et le président Biden souhaitent ardemment que Julian disparaisse pour toujours. Sous Trump, la CIA a comploté avec le MI5 britannique pour kidnapper et abattre Julian dans les rues de Londres alors qu'il se trouvait à l'ambassade d'Équateur où il avait obtenu l'asile politique.
Biden et les démocrates accusent les publications de WikiLeaks concernant leur atteinte à la nomination présidentielle de Bernie Sanders, entre autres choses, d'être responsables de la défaite d'Hillary Clinton aux élections de 2016 face à Trump, et certains ont même suggéré que Julian devrait être « bourdonné » pour cela.
Les révélations de WikiLeaks concernant les guerres en Irak et en Afghanistan, pour lesquelles Julian est apparemment accusé, ont été un énorme embarras tant pour les États-Unis que pour les Britanniques, car elles ont révélé les mensonges derrière ces guerres, la barbarie, la torture, la corruption, la véritable vérité. nombre de combattants et de civils tués.
Les 10 millions de documents contenant les révélations de WikiLeaks ont eu un impact énorme. Par exemple, ils ont contribué à gagner des procès, à mettre fin à la torture à Guantanamo, à renverser des gouvernements corrompus comme en Égypte, à mettre fin à des guerres, par exemple en Irak , aidés par la très inquiétante vidéo du meurtre collatéral montrant des soldats américains à Bagdad abattant joyeusement des civils depuis un avion. Hélicoptère Apache. Il n’est pas étonnant que cet éditeur qui représente une telle menace pour les puissants soit maintenu isolé, réduit au silence, derrière les barreaux.
Bien que les États-Unis tentent de faire valoir que Julian n'est pas un journaliste mais un instigateur irréprochable du vol d'informations classifiées dont la publication a entraîné la mort d'innocents, un nombre croissant de dirigeants et de politiciens ont compris que ce n'était pas du tout le cas et ont se sont prononcés en faveur de Julian. Et les médias qui ont précédemment publié et profité des révélations de WikiLeaks, puis menti sur Julian et l'ont calomnié, réalisent de plus en plus les répercussions qui pourraient s'abattre sur leurs têtes si Julian tombait, et ont donc également exprimé leur soutien.
L’OTAN est une cabale criminelle mondiale qui promeut la pédophilie et les programmes trans sous la menace de sanctions économiques et d’attentats cinétiques.
28/05/2024 Ethan Huff
Au cas où vous ne le sauriez pas, le seul but de l'existence de l'OTAN est de propager l'instabilité dans le monde entier via le complexe militaro-industriel – et c'est ce que dit le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, qui a dévoilé la vérité dans un récent tweet. Sur X, Stoltenberg a écrit que l’alliance s’engage à pousser la perversion LGBTQ et à repousser les limites de cette perversion à l’avenir. Si elle est anti-famille et anti-Dieu, alors l’OTAN a pour objectif de la promouvoir, a déclaré Stoltenberg.
Croyez-le ou non, il existe désormais une journée désignée appelée Journée internationale contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie qui, contrairement à ce que son nom suggère, vise en fait à propager ces perversions sur les prochaines générations tout en honorant tous les maux LGBTQ qui ont déjà existé. société infiltrée.
"L'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) s'est engagée à propager des valeurs dégénérées à l'étranger", a écrit Jose Nino pour Big League Politics à propos du tweet révélateur de Stoltenberg.
"Alors que la Russie semble réaliser des progrès majeurs contre les forces ukrainiennes soutenues par l'OTAN dans l'est de l'Ukraine, les dirigeants de l'OTAN se sont livrés à d'étranges signaux de vertu pour détourner l'attention de l'échec lamentable de cette guerre par procuration contre la Russie."
(Connexe : Comme prévu, l’Ukraine a décidé de rejoindre l’OTAN, ce qui signifie qu’une troisième guerre mondiale avec la Russie est imminente.)
Quand l'OTAN sera terminée, ce sera une belle journée Depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, l’OTAN – et Stoltenberg en particulier – est étrangement obsédée par tout ce qui touche aux LGBTQ. En regardant la photo du gars, ce n'est vraiment pas une surprise – faites très attention à ses yeux, qui sont une fenêtre sur l'âme (ou son absence).
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
"Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022, le secrétaire de l'OTAN, Jens Stoltenberg, s'est particulièrement exprimé sur les valeurs de l'OTAN et sur les raisons pour lesquelles il faut faire confiance à cette institution malgré son long historique de causes d'instabilité à l'étranger – de la Serbie jusqu'à la Libye. ", a encore écrit Nino.
Si vous pensez qu'il s'agit d'une conjecture, lisez vous-même le tweet de Stoltenberg et voyez ce que vous pensez que le message suivant transmet au monde :
"L'OTAN existe pour défendre 32 nations et le droit de nos peuples à vivre librement et en paix. À l'occasion de la Journée internationale contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie, et chaque jour : tous les amours sont égaux. Les personnes LGBTQ+ méritent respect et dignité, et je suis fier de m'appeler votre allié.
En d’autres termes, l’OTAN vise à pervertir le mot amour et à le transformer en toutes les formes de méchanceté imaginables, et plus encore. Et Stoltenberg est « fier », selon ses propres termes, de faire partie de ce monde dégoûtant de débauche et de mal.
Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, l’OTAN a travaillé fébrilement pour refaire le monde à l’image, comme le dit magnifiquement Nino, de « l’image de plus en plus dysfonctionnelle de l’Amérique ».
"Ses interventions dans les Balkans jusqu'en Libye n'ont apporté que du mal et de l'instabilité", a-t-il ajouté.
L’OTAN est en partenariat avec un ensemble d’organisations marxistes et marxistes culturelles à but non lucratif qui promeuvent des « valeurs », si on peut même les appeler ainsi, qui sont antithétiques à tout ce qui est bon et décent dans le monde.
"Pourquoi promeuvent-ils des idées si destructrices pour la société ?" demande Leo Hohmann sur son Substack. "Parce qu'ils savent qu'aucune nation ne peut survivre longtemps sans contraintes morales et sans une sorte de dévotion à une autorité supérieure à celle de l'homme charnel."
Nino l'a exprimé de manière encore plus graphique, mais aussi pertinente, en expliquant que toute nation qui s'associe à l'OTAN « attrape les MST du multiculturalisme, de la dégénérescence sexuelle et de la décadence sociétale ».
"Plus important encore", ajoute-t-il, "l'OTAN est une alliance militaire complexe avec une idéologie de croisade qui constitue une menace pour la paix mondiale".
Plus tôt l’OTAN sera supprimée, mieux ce sera. Apprenez-en davantage sur Collapse.news.
USA : le Tennessee interdit la géo-ingénierie – et les médias occidentaux n'en disent rien
RépondreSupprimer28.05.2024 |
www.kla.tv/29197
L'État américain du Tennessee a adopté une nouvelle loi interdisant la géo-ingénierie et les activités de chemtrails dans l'État. Dès le 18 mars 2024, le Sénat a voté par 25 voix contre 6 en faveur du projet de loi \« Senate Bill No. 2691\ » (SB 2691), qui a également été approuvé par le Congrès le 1er avril 2024 par 70 voix contre 22. Ainsi, la loi restrictive, qui punit les infractions de 10 000 $ par jour, entrera en vigueur le 1er juillet 2024.
L'interdiction légale de la géo-ingénierie dans le Tennessee est une première étape importante et courageuse qui prouve que les « chemtrails » ne sont pas une théorie du complot. Car s'il n'y avait pas besoin d'agir, il n'y aurait pas non plus besoin de lois restrictives. En outre, l'exemple du Tennessee montre qu'il est tout à fait possible de faire quelque chose contre une puissance supérieure qui semble monstrueuse et inaccessible et qui manipule le temps sans scrupule comme elle le souhaite au-dessus de la tête des gens.
En tant que petit État américain, le Tennessee a une superficie de 109 151 km², soit 87 fois plus petite que la superficie totale des États-Unis, une longueur d'environ 640 km et une largeur d'à peine 160 km. Il est cependant limitrophe de huit États voisins. Si ces derniers suivaient l'exemple de leur courageux petit voisin, une zone d'interdiction des vols de chemtrails de la taille considérable de 1,2 million de km² serait déjà atteinte. Le Minnesota, la Pennsylvanie et d'autres États américains ont déjà mis en place des lois similaires à celles du Tennessee pour lutter contre la géo-ingénierie organisée par les États.
Au début de l'année 2023, le ministère mexicain de l'environnement, en accord avec le Conseil national des sciences et des technologies du pays, a annoncé l'interdiction de la dispersion de particules d'aérosols chimiques dans l'atmosphère après qu'une start-up américaine appelée \« Make Sunsets\ » (en français : « Faire des couchers de soleil ») a commencé ses essais de manipulation météorologique sans aucune autorisation, c'est-à-dire illégalement, sur la péninsule mexicaine de Basse Californie. Les projets d'occultation du soleil, qu'ils soient à grande échelle ou en cours de développement, sont désormais officiellement interdits au Mexique. L'objectif de la nouvelle politique est de « protéger les communautés et l'environnement ». Les nanoparticules toxiques des aérosols, telles que l'oxyde de soufre et d'aluminium, doivent désormais rester aux États-Unis, où elles devraient être éliminées de manière professionnelle et donc coûteuse par l'industrie de fabrication. Ne s'agit-il pas là d'un vaste crime écologique d'envergure internationale qui, au nom de la « protection du climat », manipule effectivement le climat et se débarrasse illégalement de tonnes de déchets industriels toxiques ? Et cette évolution intéressante ne serait-elle pas un sujet brûlant pour la politique européenne et les médias ?
RépondreSupprimerAlors que dans l'hémisphère américain, le thème des « chemtrails » et de la « géo-ingénierie » est depuis longtemps thématisé dans l'opinion publique et déjà combattu par la loi, cela n'est guère le cas en Europe, en particulier en Allemagne. Ici, les médias du système, financés par la contrainte, sont manifestement habitués à reléguer davantage les informations et les thèmes indésirables dans le coin des complotistes, afin d'empêcher un débat public et une critique justifiée de certaines mesures. Dans le cas des chemtrails et de la géo-ingénierie, cela se fait presque comme un moulin à prières. Ainsi, t-online a écrit ce qui suit après la remarquable initiative du Tennessee :
\« Un nouvel exemple de ce qui est possible aux Etats-Unis : l'Etat du Tennessee veut interdire les \« chemtrails\ ». Ce sera certainement un succès, car ils n'existent pas », affirme l'auteur de t-online Simone Rafael.
Même après les pluies torrentielles du 16 avril 2024 dans l'Etat désertique des Emirats arabes unis, nos médias du système ont nié tout lien avec des manipulations météorologiques mal gérées, et ce, bien que de telles pratiques aient été ouvertement reconnues par les Saoudiens et les Emirats eux-mêmes dans un premier temps. Entre-temps, il semble qu'à Dubaï également, la métropole économique et touristique massivement touchée par les fortes pluies, une censure de la presse par l'Etat ait été décrétée en toute hâte ; en effet le Centre national de météorologie a soudain démenti après coup les liens de cause à effet déclarés et ouvertement admis auparavant au groupe de médias américaine Bloomberg. Selon ce reportage, des avions ont été utilisés à sept reprises les 14 et 15 avril pour traiter les nuages au-dessus du désert avec de l'iodure d'argent. Suite à ce procédé, Dubaï a connu le 16 avril les plus fortes précipitations depuis le début des relevés météorologiques il y a 75 ans : avec environ 150 millimètres de pluie au mètre carré, il a plu en 24 heures plus que d'habitude pendant toute l'année.
De nombreuses rues et le métro de la mégapole étaient sous l'eau, l'aéroport a également été inondé en raison des fortes pluies inhabituelles. Des inondations massives se sont également produites dans le pays voisin d'Oman, faisant des victimes – y compris des morts, dont de nombreux enfants.
Le climat de Dubaï est généralement très sec, comme en témoignent les données météorologiques pour la période 1991-2020, avec une moyenne annuelle de 79,2 mm de pluie (soit près de 80 litres au mètre carré).
RépondreSupprimerFallait-il « aider » par une géo-ingénierie ciblée, Dubaï cette métropole « assoiffée », de plusieurs millions d'habitants, dont les besoins en eau potable et en eau d'usage augmentent rapidement ? Mais les acteurs de la mise en œuvre auraient-ils fait une erreur d'appréciation ?
Ce serait en fait la tâche d'une politique responsable et d'un véritable journalisme, qu'on ne trouve presque plus dans les médias dits de qualité, d'enquêter minutieusement sur ces anomalies. Au lieu de cela, les « chercheurs de faits », comme Wulf Rohwedder du Tagesschau.de, affirment que les manipulations météorologiques humaines, comme l’« ensemencement des nuages », n'ont joué aucun rôle à Dubaï. Il s'agirait là de rumeurs et d'une idéologie conspirationniste typique.
La question se pose de savoir si des journalistes comme Rohwedder ont auparavant vérifié eux-mêmes leurs déclarations de manière approfondie et effectué des recherches ou s'ils publient plutôt, conformément à leur mission, des affirmations dénuées de toute validité. Il s'agirait alors d'une tromperie délibérée du public et donc d'un délit.
Pour conclure, revenons à l'exemple actuel du Tennessee. Dans ce pays, après l'adoption réussie de la nouvelle loi, il s'agit maintenant de mettre en place des poursuites pénales efficaces qui sanctionnent les infractions de manière ciblée. C'est à la fois un défi et une chance, car cela peut aussi créer de nouveaux emplois !
Accompagnés d'une couverture médiatique vigilante par des médias libres, de plus en plus d'États suivront l'exemple du Tennessee et parviendront ainsi à une interdiction générale de la géo-ingénierie supranationale. Enfin, ce crime environnemental international doit faire l'objet d'une enquête juridique mondiale et d'une indemnisation par les pollueurs pour les pays et les populations concernés.
de ham.
Sources / Liens :
https://capitol.tn.gov//Bills/113/Fiscal/FM1875.pdf
https://wapp.capitol.tn.gov/apps/BillInfo/default.aspx?BillNumber=SB2691&GA=113
https://www.washingtontimes.com/news/2024/apr/2/tennessee-lawmakers-
vote-to-ban-geo-engineering-wi/
https://www.geoengineeringwatch.org/climate-engineering-tennessee-senate-is-first-to-pass-bill-to-ban-geoengineering/
https://www.konjunktion.info/2024/03/geoengineering-us-bundesstaat-tennessee-verabschiedet-gesetzentwurf-gegen-chemtrails/
https://www.freie.bayern/umwelt-klima-natur/tennessee-verbietet-geoengineering-und-chemtrail-aktivitaeten-im-bundesstaat/
https://www.t-online.de/nachrichten/panorama/buntes-kurioses/id_100372080/usa-tennessee-will-jetzt-ein-gesetz-gegen-chemtrails-verabschieden.html
https://www.newstarget.com/2023-01-26-mexico-bans-chemtrails-geoengineering-block-sun-chemicals.html
RépondreSupprimerhttps://www.merkur.de/welt/dubai-manipulation-kuenstlicher-regen-cloud-seeding-klima-trockenheit-massnahme-wetter-90883846.html
https://www.tagesschau.de/faktenfinder/cloud-seeding-wettermanipulation-100.html
https://www.n-tv.de/Spezial/dubai/Wettermanipulation-in-Dubai-article22920842.html
https://t.me/bitteltv/26042
https://t.me/bitteltv/26040
https://www.wetterkontor.de/de/klima/klima2.asp?land=AE&stat=41194
https://www.youtube.com/watch?v=LFKH9Nbvj20
https://www.kla.tv/fr
Cette solution naturelle et sûre peut tuer efficacement les virus et les germes
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 29 MAI 2024 - 04H40
Rédigé par Yuhong Dong, MD, Ph.D. via The Epoch Times
Une solution naturelle peu coûteuse et facile à fabriquer peut produire un effet antiviral et antibactérien qui tue un large éventail de micro-organismes en quelques minutes.
Cette arme puissante est l’acide hypochloreux.
L'application est basée sur le pH
Si l’acide hypochloreux (HOCl) est produit naturellement par nos globules blancs et constitue un élément clé de notre système immunitaire inné, il peut également être fabriqué à partir d’eau salée électrolysée, un procédé inventé il y a plus d’un siècle en Russie.
L'eau électrolysée (EW), également appelée eau saline électrolysée ou eau oxydante électrolysée, peut être classée en différents types en fonction de sa valeur de pH, chacun ayant des applications uniques.
Parmi les différents types d’EW, l’eau salée électrolysée neutre (NEW) et l’eau électrolysée légèrement acide (SAEW) sont particulièrement intéressantes en raison de leur pH neutre ou quasi neutre. Ces types d’EW sont relativement sûrs à utiliser sur notre peau, nos muqueuses nasales et buccales et les tissus des plaies. Ils sont largement utilisés dans les industries alimentaire, agricole et médicale à des fins de désinfection et de nettoyage. Cela comprend le traitement de l’eau potable, des eaux usées, des aliments, des ustensiles et des surfaces dures.
L'acide hypochloreux est l'ingrédient actif clé du NEW et du SAEW, et le pH joue un rôle essentiel. Un pH supérieur à 7 produira plus d'hypochlorite (OCl⁻) dans la solution, tandis qu'un pH fortement acide produira du chlore toxique (Cl₂). La concentration d'acide hypochloreux est plus dominante lorsque le pH est proche du neutre ou légèrement acide.
Ming-Yih Chang, maître de conférences au département de biomécatronique de l'université de Yilan à Taiwan, a déclaré à Epoch Times dans un e-mail : « De nombreux facteurs ont un impact sur la quantité précise de HOCl. Par exemple, selon une revue critique réalisée en 2008, la répartition relative des principales espèces aqueuses de chlore est produite par le graphique ci-dessous où sont fournies la température et la concentration en chlorure.
- voir graph sur site -
Le pH a un impact sur la concentration de HOCl dans l'eau électrolysée lorsqu'elle est produite à 25 degrés Celsius et sur la concentration de chlorure de 0,005 M. (Illustré par Epoch Times)
RépondreSupprimerDifférent de l'eau de Javel
L'hypochlorite (OCl⁻), un ingrédient clé de l'eau de Javel liquide, est similaire à l'acide hypochloreux : les deux peuvent tuer les virus et les germes. Cependant, il s’agit de produits chimiques différents ayant des propriétés et des applications différentes.
OCl⁻ est un ion couramment associé aux sels de sodium et de calcium. Lorsque le pH est supérieur à 8, on parle souvent d’eau de Javel liquide. En tant qu'oxydant puissant, il peut provoquer de la corrosion, entraînant des brûlures cutanées ou des lésions oculaires, et peut être nocif lorsqu'il est inhalé.
HOCl est un acide faible et non irritant, beaucoup plus sûr que l'hypochlorite. Lorsqu’il est préparé correctement, il peut être utilisé largement et en toute sécurité pour de nombreuses applications cliniques dans plusieurs secteurs. En tant que désinfectant, HOCl est 80 à 200 fois plus efficace que l’eau de Javel, tout en étant non toxique pour les humains.
Efficace contre le COVID-19
HOCl a attiré l'attention pendant la pandémie de COVID-19. L’Environmental Protection Agency des États-Unis recommande désormais HOCl comme désinfectant sûr et efficace contre le COVID-19.
Un essai contrôlé randomisé, encore en prépublication et non encore évalué par des pairs, a été mené à Mexico auprès de 170 membres du personnel médical de première ligne pour étudier l'efficacité d'un type d'eau électrolysée neutre dans la réduction du risque de COVID-19. Tous les sujets de l’essai portaient un équipement de protection professionnel adéquat, comme l’exigent les protocoles de sécurité standard liés au COVID-19. Les participants ont été divisés à parts égales en un groupe témoin et un groupe prophylactique.
Les participants du groupe prophylactique ont suivi un protocole utilisant une NOUVELLE solution sous forme de spray nasal et de bain de bouche trois fois par jour pendant quatre semaines. Ce groupe a présenté une incidence considérablement réduite d'infections au COVID-19, avec seulement 1,2 pour cent d'infectés, contre 18,8 pour cent dans le groupe témoin.
RépondreSupprimerIl convient de noter en particulier qu’aucune personne utilisant NEW n’a signalé d’effets secondaires, car la solution n’est pas irritante.
L’irritation cutanée est un problème particulier résultant des désinfectants pour les mains à base d’alcool utilisés quotidiennement dans les cabinets médicaux. Ceux-ci peuvent provoquer une dermatite des mains et endommager la barrière cutanée, compromettant ainsi la première ligne de défense. L'Organisation mondiale de la santé reconnaît qu'un défi majeur en matière d'hygiène des mains dans le cadre des soins de santé est la nécessité de soins plus sûrs.
Des scientifiques curieux ont effectué des tests sur HOCl pour déterminer ses avantages potentiels pour les patients atteints de COVID-19.
Un essai clinique a été mené auprès de 214 patients ambulatoires atteints du COVID-19 provenant de plusieurs hôpitaux. L'étude a porté sur 104 patients qui ont reçu uniquement les soins médicaux habituels. Les 110 patients restants ont reçu à la fois des soins médicaux habituels et des NEW par nébulisation et/ou administration intraveineuse.
Le NEW a été administré quatre fois par jour pendant 10 jours avec des augmentations de dose successives en utilisant une version diluée de solution saline électrolysée avec un pH neutre (6,0 à 7,5).
De plus, lorsque des symptômes de nausées, de vomissements et/ou de diarrhée du COVID‑19 apparaissaient, 30 millilitres de solution saline électrolysée orale étaient ajoutés quatre fois par jour aussi longtemps que duraient les symptômes gastro-intestinaux, et pendant deux jours supplémentaires après la disparition des symptômes.
Dans l’ensemble, le NOUVEAU traitement a réduit le risque d’hospitalisation de 89 % et le risque de décès de 96 %.
Les symptômes du patient se sont améliorés rapidement après 24 heures, notamment fatigue, maux de tête, maux de gorge, douleurs oculaires, myalgie, fièvre et saturation en oxygène. Les marqueurs inflammatoires ont également été réduits.
Le cinquième jour, le groupe ayant reçu le traitement NEW avait 18 fois plus de chances d’atteindre un état symptomatique acceptable que le groupe ayant reçu uniquement les soins médicaux habituels.
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Une solution saline électrolysée a réduit les hospitalisations et amélioré les symptômes du COVID-19 (Illustré par Epoch Times)
RépondreSupprimerLa réponse dose-dépendante au traitement NEW suggère une relation causale.
Le pH de la solution NEW utilisée dans l'étude variait de 6,0 à 7,5, et la concentration d'espèces actives de chlore et d'oxygène utilisées dans ces expériences ne dépassait pas 20 parties par million (ppm).
Fonction antivirale
HOCl a démontré sa capacité à inactiver rapidement plusieurs virus, notamment le SRAS-CoV-2, l'hépatite B (VHB), le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le norovirus.
La concentration efficace de chlorure dans les études sur le VHB et le VIH était de 4,2 ppm, et celle du SRAS-CoV-2 variait de 66 à 109 ppm.
HOCl est naturellement produit par nos cellules immunitaires pour combattre les infections. Nos neutrophiles et nos globules blancs libèrent un mélange de produits chimiques, dont du HOCl, pour tuer les germes et les virus.
HOCl chargé de manière neutre pénètre facilement dans les parois cellulaires des agents pathogènes pour les tuer de l’intérieur. Cependant, l’eau de Javel est chargée négativement, ce qui rend assez difficile la pénétration des virus ou des germes. C’est l’un des avantages majeurs du HOCl par rapport à l’eau de Javel.
Huiwen Ji, titulaire d'un doctorat en chimie de l'Université de Princeton et professeur adjoint de science et d'ingénierie des matériaux à l'Université de l'Utah, a expliqué le mécanisme de désinfection du HOCl.
« Lorsque l’eau salée est électrolysée, l’énergie électrique externe est transférée à l’ion chlorure présent dans la solution. En conséquence, les anions chlorure sont oxydés en HOCl, le chlore étant désormais dans un état d’oxydation +1 relativement instable.
« Ainsi, HOCl est un agent oxydant qui a tendance à capter les électrons d’autres molécules. Ce processus peut rompre les liaisons chimiques dans les molécules cibles », a-t-elle déclaré.
Lorsque la structure de ces biomolécules est détruite, leurs protéines ne peuvent plus fonctionner. Sans protéines fonctionnant correctement, les virus et les germes ne peuvent pas survivre tout au long de leur cycle de vie.
HOCl peut également briser l'ADN ou l'ARN des virus et des germes, les rendant inoffensifs et incapables de se répliquer.
RépondreSupprimer- voir schéma sur site -
Comment HOCl tue les virus et les germes (Illustré par Epoch Times)
En cas d'exposition à des virus comme le SRAS-CoV-2, le moment choisi pour utiliser un spray nasal HOCl est essentiel pour atténuer le risque d'infection.
En décembre 2022, des scientifiques de l’Université de Stanford ont identifié la cavité nasale comme le principal point d’entrée du virus COVID-19 et ont précisé le délai de prévention.
La surface de notre muqueuse nasale est recouverte d’une fine couche de cellules épithéliales étroitement liées qui forme une barrière complète. Au-dessus des cellules se trouve une clôture tridimensionnelle épaisse et élastique composée de mucine, une molécule collante qui peut piéger tous les débris de virus et de germes. De plus, des centaines d’appendices ressemblant à des spaghettis, appelés cils, se déplacent lentement comme une rivière pour éliminer toutes les substances nocives de la couche de mucus.
Les chercheurs ont découvert que le virus met au moins 24 heures pour pénétrer dans la couche superficielle de mucus avant de pouvoir pénétrer profondément dans les cellules. En conséquence, l’utilisation d’un spray nasal HOCl le plus rapidement possible au cours de cette fenêtre de 24 heures pourrait désinfecter efficacement les voies nasales et potentiellement empêcher le virus de développer une infection.
Large utilisation
HOCl a été largement utilisé dans plusieurs domaines, notamment dans le secteur des soins de santé.
Une étude publiée dans le Journal of Microbiology a révélé que le HOCl réduisait considérablement les bactéries présentes sur les brosses à dents. La concentration de HOCl a été estimée entre 1 ppm et 30 ppm.
HOCl est souvent utilisé pour traiter la blépharite (inflammation des paupières) en réduisant la charge bactérienne à la surface de la peau périoculaire. Vingt minutes après l'application d'une solution hygiénique saline contenant du HOCl à 100 ppm, une réduction supérieure à 99 % de la charge staphylococcique a été obtenue.
HOCl est un agent efficace pour le soin des plaies. Dans une étude comparative menée auprès de patients présentant des plaies ouvertes, l'acide hypochloreux utilisé dans une solution commerciale a réduit de manière significative le nombre de bactéries de 10 000 à 1 million de fois sans effet rebond dans le groupe comparatif de solution saline. Un échec de fermeture postopératoire s'est produit chez plus de 80 % des patients du groupe solution saline contre 25 % de ceux du groupe HOCl. L’infection est l’une des principales raisons de l’échec de la fermeture postopératoire.
RépondreSupprimerLes micro-organismes peuvent se développer à la surface des biomatériaux, tels que les prothèses dentaires ou les équipements de dialyse. Ces micro-organismes liés à la surface, appelés biofilms, présentent des caractéristiques uniques en termes d'expression génétique et de taux de croissance.
HOCl est efficace pour nettoyer les surfaces d’implants dentaires contaminées par des biofilms. Comparé à deux autres substances désinfectantes – l’hypochlorite de sodium et la chlorhexidine – HOCl à 180 ppm réduit le lipopolysaccharide, une substance nocive produite par Porphyromonas gingivalis, une bactérie pathogène associée aux maladies parodontales. L’utilisation de HOCl dans la bouche n’a entraîné aucun effet indésirable.
La brumisation avec HOCl peut désinfecter de grands espaces tels que les cabinets médicaux et dentaires.
Des recherches récentes sur des souris ont montré que l'application topique de HOCl sur la peau peut prévenir le développement de tumeurs et d'inflammations causées par les rayons UV. Cette découverte suggère que HOCl pourrait potentiellement prévenir le cancer de la peau chez l’homme causé par l’exposition au soleil.
HOCl a également été utilisé pour désinfecter l’eau potable et l’eau douce récréative.
La pulvérisation de HOCl à raison de 100 à 200 ppm a réduit le virus de la grippe aviaire (grippe aviaire) à un niveau indétectable en cinq secondes, ce qui suggère que HOCl peut être utilisé dans une pulvérisation pour inactiver le virus au niveau de la ferme. Un problème émergent aux États-Unis est la menace hautement pathogène de la grippe aviaire. Le spray HOCl offre une solution viable pour aider à contrôler la propagation de cette maladie.
Fais le toi-même
Tout le monde peut fabriquer du HOCl à la maison. Vous aurez besoin d'un générateur de solution d'acide hypochloreux d'un litre, que vous pouvez facilement trouver en ligne pour environ 100 $.
Selon le type d'appareil utilisé, la concentration de HOCl générée sera généralement comprise entre 50 et 200 ppm, une concentration couramment utilisée pour les applications quotidiennes.
Mme Ji a dit : « Préparez une solution de NaCl à 0,9 % et diluez-la entre quelques et des dizaines de fois, puis mettez-la dans un électrolyseur. Du vinaigre blanc contenant de l'acide acétique (CH3COOH) peut être ajouté pour ajuster la valeur du pH afin de faciliter la formation de HOCl.
RépondreSupprimerSelon Mme Ji : « Vous devez respecter les directives fournies par le fabricant de l'instrument car chaque machine fonctionne avec sa formule et ses paramètres uniques. En règle générale, le processus est simple et consiste à appuyer sur un bouton et à attendre quelques minutes pour que la réaction produise la quantité souhaitée de HOCl.
Par exemple, un protocole particulier dit d'ajouter 1 gramme de sel non iodé, 1 litre d'eau et une cuillère à café de vinaigre blanc au générateur d'acide hypochloreux de 1 litre, d'appuyer sur le bouton et d'attendre 8 minutes. Le 1 litre de HOCl sera prêt à être utilisé immédiatement.
Le vinaigre est essentiel pour ajuster le pH à la valeur appropriée afin de produire la bonne quantité de HOCl.
Les parties par million (ppm) indiquent la concentration d'une substance dans une solution. Ceci est calculé en divisant la masse ou le volume de la substance par la masse ou le volume total de la solution, puis en multipliant le résultat par 1 million.
L'utilisation du ppm est une unité de mesure plus pratique pour décrire la concentration de minuscules substances dans une solution. Vous pouvez convertir un ppm en pourcentage en le divisant par 10 000. Par exemple, 100 ppm de HOCl équivalent à 0,01 pour cent de HOCl. Si vous avez besoin d'aide pour le calcul, vous pouvez utiliser cet outil utile.
Lors du choix d'un appareil pour produire de l'eau électrolysée, M. Chang déclare : « Il existe de nombreux autres facteurs d'influence, tels que la qualité de l'électrode. Les meilleurs incluent le platine, l’iridium et le rhodium. La durée de l’électricité et l’intensité du courant peuvent également avoir un impact sur le résultat.
À une concentration de 200 ppm, HOCl s’est avéré décontaminer efficacement les surfaces inertes transportant le norovirus et d’autres virus entériques en une minute. À 20 ppm, il était toujours efficace pour désinfecter les virus en 10 minutes.
Une étude a montré que 200 ppm de chlore disponible peuvent inactiver 25 virus différents en seulement 10 minutes. De faibles concentrations, comme 25 ppm, peuvent tuer rapidement les mycoplasmes et les bactéries végétatives.
Sécurité et limites
RépondreSupprimerSuivant le protocole de toxicité aiguë par inhalation de quatre heures de l'Environmental Protection Agency des États-Unis, les rats ont inhalé un brouillard contenant 52 ppm de HOCl pendant quatre heures. Les chercheurs n’ont observé aucun effet indésirable sur le comportement ou l’apparence.
HOCl est généralement considéré comme sûr en raison de la faible concentration de chlorure dans la solution HOCl. Les concentrations couramment utilisées pour les soins de santé ou les soins de vie se situent entre 50 et 200 ppm pour la désinfection de la peau, 50 à 100 ppm pour les bains de bouche et 50 à 200 ppm pour le nettoyage des surfaces, avec des concentrations plus élevées pour le soin des plaies et les surfaces en contact avec les aliments.
N'oubliez pas que ces concentrations sont des lignes directrices approximatives et peuvent varier en fonction de l'application spécifique et des recommandations du fabricant. Suivez toujours attentivement les instructions et, en cas de doute, consultez un professionnel de la santé ou une autorité compétente pour obtenir des conseils spécifiques.
La toxicité potentielle à long terme d'une faible concentration de chlorure est encore incertaine et des études supplémentaires évaluant l'exposition chronique au HOCl sont nécessaires.
Concernant la sécurité du HOCl, Mme Ji a indiqué : « Lorsqu'il est utilisé dans la plage de concentration suggérée, le HOCl s'avère relativement sûr pour les applications domestiques. Une fois réagi avec des bactéries et des virus, HOCl revient à une forme de chlorure très stable, semblable aux autres sels électrolytiques du corps humain. Mais rappelez-vous que l’utilisation de HOCl à des concentrations supérieures à celles recommandées par le fabricant peut être très corrosive et que son mélange avec d’autres détergents ménagers peut entraîner des réactions secondaires dangereuses.
"Lorsqu'il est utilisé à la maison, veuillez toujours suivre les instructions précises et ne pas dépasser l'utilisation recommandée", a-t-elle ajouté.
Selon M. Chang, « un des effets secondaires est que [HOCl] peut corroder les métaux, comme ceux des étables à vaches et aux porcs, après une application prolongée de la solution HOCl à 140 heures. Mais 200 heures ne nuisent pas à la peau. De plus, une faible concentration de plusieurs dizaines de ppm est suffisante pour un usage domestique général.
HOCl est moins stable lorsqu'il est exposé aux rayons UV, à la lumière du soleil, à l'air ou à des températures plus élevées (supérieures à 25 degrés Celsius ou 77 degrés Fahrenheit). Par conséquent, les solutions HOCl doivent être hermétiquement scellées et conservées dans un endroit frais et sombre.
Il est important d’éviter de mélanger HOCl avec d’autres détergents ou solutions. Lorsque la valeur du pH change, HOCl peut se transformer en Cl₂ ou OCl⁻, qui sont soit toxiques, soit peuvent provoquer une irritation.
RépondreSupprimerL'exposition directe au chlorure (sous forme de Cl₂ ou OCl⁻) à de faibles concentrations de 1 à 10 ppm peut provoquer une irritation de la peau et des yeux, et son inhalation peut irriter les voies respiratoires.
La durée de conservation de HOCl est relativement courte ; il est efficace jusqu'à deux semaines lorsqu'il est conservé correctement.
Faible coût, mais très efficace
Comment une simple solution générée par de l’eau salée peut-elle avoir des effets antiviraux et antibactériens aussi puissants et étendus ?
HOCl est très efficace, mais peu coûteux et facilement obtenu à partir de la nature, tout comme la lumière du soleil, l'air et l'eau, qui ont tous un impact profond sur nos vies.
Parce qu’il est à la fois respectueux de l’environnement et relativement sûr, HOCl constitue un excellent choix pour de nombreuses applications. De plus, son prix abordable le rend accessible aux applications à grande échelle.
L’industrie médicale a mis en œuvre de nombreuses méthodes de décontamination, souvent coûteuses, inefficaces et pouvant laisser des résidus chimiques, posant un risque pour la santé humaine.
Il existe de nombreux remèdes naturels sur Terre pour guérir ou prévenir des maladies dont les gens ne sont peut-être pas pleinement conscients.
L’ivermectine, dérivée d’un micro-organisme présent dans le sol, possède des propriétés antiparasitaires, antivirales et anti-inflammatoires remarquables et a aidé de nombreux patients à traiter efficacement le COVID-19.
Un autre exemple est l’interféron, que notre corps produit pour arrêter la réplication virale. L’industrie pharmaceutique a développé l’interféron pour traiter les hépatites B et C et le COVID-19.
La nature est une source abondante de guérison pour les humains, offrant généreusement de nombreux avantages sans frais. Il s’agit d’une source inépuisable de bienfaits encore inconnus, qui attendent d’être explorés par ceux qui souhaitent découvrir ses merveilles. Avec ses ressources abondantes, la nature nous offre des possibilités infinies pour améliorer notre santé et notre bien-être.
https://www.zerohedge.com/markets/natural-and-safe-solution-can-effectively-kill-viruses-and-germs
Utilisation du sang des receveurs du vaccin à ARNm contre la COVID : des chercheurs japonais appellent à une action urgente pour lutter contre la contamination massive des réserves de sang
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
28 mai 2024
Des chercheurs japonais mettent en garde contre les risques liés à l'utilisation du sang provenant des receveurs du vaccin à ARNm contre la COVID, soulignant les effets mortels potentiels et la nécessité d'une action urgente pour sécuriser l'approvisionnement mondial en sang.
Le sang contaminé par des structures de type prion provenant de la protéine Spike augmente le risque de provoquer des maladies neurodégénératives mortelles chez les receveurs. La transmission potentielle de protéines nocives par les exosomes (« excrétion ») et le risque de maladies auto-immunes dues au mécanisme et aux composants des vaccins comme les nanoparticules lipidiques (LNP) sont d'autres préoccupations majeures.
Les propositions pour gérer la collecte de sang comprennent des entretiens rigoureux avec les donneurs, des périodes d'exclusion et une série de tests pour garantir la sécurité des produits sanguins.
Les chercheurs préconisent des tests complets sur les personnes piquées et non piquées pour évaluer la sécurité des produits sanguins et suggèrent de jeter les produits sanguins contaminés par des protéines de pointe ou de l'ARNm modifié jusqu'à ce que des méthodes d'élimination efficaces aient été développées.
Ils appellent à suspendre tous les « vaccins » basés sur les gènes et à mener une évaluation rigoureuse des risques et des bénéfices à la lumière des graves problèmes de santé signalés. Ils exhortent également les pays et les organisations à prendre des mesures concrètes pour faire face et atténuer les risques déjà identifiés.
*
Dans une méta-analyse récente 1 , 2 publiée sur preprints.org, des chercheurs japonais mettent en garde contre les risques potentiellement mortels pour les patients qui reçoivent du sang de personnes ayant reçu des injections d'ARNm COVID et appellent à une action urgente pour garantir la sécurité de l'approvisionnement mondial en sang . Selon les auteurs : 3
RépondreSupprimer« … de nombreux pays à travers le monde ont signalé que les vaccins dits génétiques, tels que ceux utilisant un ARNm modifié codant pour la protéine de pointe et des nanoparticules lipidiques comme système d'administration du médicament, ont entraîné une thrombose post-vaccination et des dommages cardiovasculaires ultérieurs, ainsi que une grande variété de maladies touchant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux…
[Sur la base de ces circonstances et du volume de preuves récemment apparues, nous attirons l'attention des professionnels de la santé sur les différents risques associés aux transfusions sanguines utilisant des produits sanguins dérivés de personnes ayant souffert d'une longue COVID et du vaccin génétique. receveurs, y compris ceux qui ont reçu des vaccins à ARNm, et nous faisons des propositions concernant des tests spécifiques, des méthodes de test et des réglementations pour faire face à ces risques.
Le sang provenant de donneurs piqués peut présenter un risque pour la santé neurologique
Un risque particulier abordé dans cet article concerne les implications du sang contaminé par des structures de type prion trouvées dans la protéine de pointe. Les prions sont des protéines mal repliées qui peuvent provoquer des maladies neurodégénératives, telles que la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) chez l'homme, en induisant un mauvais repliement de protéines normales dans le cerveau.
Les maladies à prions se caractérisent par une longue période d’incubation, suivie d’une progression rapide et d’une mortalité élevée. La suggestion selon laquelle la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, en particulier celle de certaines variantes, pourrait contenir des domaines de type prion soulève des inquiétudes pour plusieurs raisons :
Risque de transmission — Si des protéines de pointe dotées de structures de type prion peuvent être transmises par transfusion sanguine, il pourrait y avoir un risque d'induire des maladies à prions chez les receveurs. Les maladies à prions sont notoirement difficiles à diagnostiquer précocement, incurables et mortelles, ce qui fait de toute transmission potentielle par les produits sanguins un problème de sécurité important.
Défis de détection et d’élimination — Les processus actuels de dépistage sanguin ne testent pas spécifiquement les prions, en partie parce que les maladies à prions sont rares et en partie à cause des défis techniques liés à la détection des prions à de faibles concentrations. Si des protéines de pointe dotées de propriétés semblables à celles du prion sont présentes dans le sang des personnes vaccinées contre le COVID, les protocoles de sécurité sanguine existants pourraient ne pas être adéquats pour prévenir la transmission.
RépondreSupprimerProblèmes de sécurité à long terme — Les maladies à prions ont de longues périodes de latence, ce qui signifie que les symptômes peuvent apparaître des années, voire des décennies, après l'exposition. Ce retard complique les efforts visant à retracer la source d’une infection jusqu’à une transfusion sanguine et à évaluer la sécurité des réserves de sang au fil du temps.
Impacts sur la gestion de l'approvisionnement en sang — Les inquiétudes concernant les risques potentiels associés aux structures de type prion dans les protéines de pointe pourraient conduire à des modifications des critères d'éligibilité des donneurs ou à la mise en œuvre de mesures de dépistage supplémentaires. Ces changements pourraient avoir un impact sur la disponibilité des produits sanguins, essentiels aux procédures médicales de routine.
Confiance du public — La sensibilisation du public à ces risques potentiels, même s'ils sont théoriques ou ont une très faible probabilité de se produire, pourrait avoir une incidence sur la volonté des individus de donner ou de recevoir des transfusions sanguines, réduisant ainsi les taux de don de sang et la confiance globale dans la sécurité du sang. transfusionnelle.
Les auteurs soulignent la nécessité de mener des études approfondies pour mieux comprendre les implications de ces structures de type prion dans la protéine de pointe, non seulement pour la sécurité des injections d'ARNm, mais également pour les implications plus larges pour les mesures de santé publique telles que les pratiques de transfusion sanguine.
Autres risques potentiels pour la santé liés au sang contaminé
Le sang contaminé peut également présenter d’autres risques graves pour la santé, notamment :
Fonction immunitaire réduite chez les receveurs de sang — Il a été démontré que plus vous recevez de doses du vaccin COVID, plus vous risquez de souffrir d'infections futures, soit par le SRAS-CoV-2, soit par d'autres virus, en raison d'une amélioration dépendante des anticorps.
Les dons de sang provenant de personnes ayant reçu plusieurs doses d’injections d’ARNm peuvent ne pas conférer une immunité adéquate contre les infections courantes, ce qui entraîne des infections et des maladies subcliniques chez les receveurs.
Formation de caillots sanguins et d'agrégats amyloïdes — Si le système immunitaire d'un receveur de sang n'est pas assez fort pour neutraliser la protéine de pointe, des caillots sanguins et des agrégats amyloïdes peuvent également se former.
Inflammation chronique — Une exposition prolongée aux antigènes des injections de COVID-19 peut déclencher la génération d'anticorps IgG4, entraînant une inflammation chronique et un dysfonctionnement immunitaire.
RépondreSupprimerLes anticorps IgG4 sont souvent associés à une exposition chronique à des antigènes, comme ceux observés dans les infections persistantes, certains cancers et une exposition prolongée à des allergènes. Les anticorps IgG4 sont également associés à une maladie unique connue sous le nom de maladie liée aux IgG4 (IgG4-RD), une maladie fibro-inflammatoire caractérisée par des gonflements ou des masses dans les organes affectés. 4
Transfusions sanguines et risque de maladies auto-immunes
Les auteurs expriment également des inquiétudes quant au potentiel du sang contaminé à provoquer des maladies auto-immunes chez les receveurs. Des recherches récentes ont montré que la pseudouridylation de l'ARN, un processus dans lequel l'uracile est remplacé par de la méthylpseudouridine synthétique, peut provoquer un décalage de cadre , essentiellement un problème dans le décodage, qui peut déclencher la production de protéines aberrantes hors cible.
Les anticorps qui en résultent peuvent, à leur tour, déclencher des réactions immunitaires hors cible. En plus de cela, les nanoparticules lipidiques (LNP), un composant clé des injections contre le COVID, ont été identifiées comme hautement inflammatoires et possédant une activité adjuvante plus puissante que les adjuvants vaccinaux traditionnels, ce qui augmente encore le risque de réponse auto-immune. Comme indiqué dans l'article présenté : 5
« Des études récentes ont montré que la pseudouridylation de l’ARN peut entraîner un changement de cadre. Il n’est pas encore clair si une partie de l’ARNm pseudouridiné de la protéine de pointe est traduite en une autre protéine de fonction inconnue chez les vaccinés. Si ces protéines sont également pathogènes, des tests supplémentaires pour détecter ces protéines de changement de cadre pourraient être nécessaires à l'avenir.
Même si une protéine de changement de cadre n’est pas toxique, elle doit être étrangère à l’organisme et pourrait provoquer une maladie auto-immune. De plus, les LNP elles-mêmes sont des substances hautement inflammatoires… Il a été constaté que les LNP ont une activité adjuvante plus forte que les adjuvants utilisés dans les vaccins conventionnels, et cet aspect suscite également des inquiétudes concernant les maladies auto-immunes.
Ainsi, même si l’agent causal de la maladie auto-immune n’est pas clair, le grand nombre de cas signalés de maladie auto-immune suite à une vaccination génétique est extrêmement préoccupant.
Le mécanisme même des vaccins géniques, qui amène nos propres cellules à produire des antigènes pathogènes, comporte le risque d'induire des maladies auto-immunes, qui ne peuvent être complètement évitées même si la technologie de pseudouridylation de l'ARNm est utilisée.
RépondreSupprimerDans ce contexte, les personnes dont le test sanguin pour la protéine Spike est positif peuvent avoir besoin de passer des entretiens et des tests supplémentaires pour détecter les indicateurs de maladies auto-immunes, tels que les anticorps antinucléaires.
Alternativement, si la séquence d’acides aminés de la protéine résultant du changement de cadre est prévisible, ces protéines candidates pourraient être incluses dans le test initial par spectrométrie de masse. Dans tous les cas, il est particulièrement important de développer des tests et de mettre en place des dispositifs de soins médicaux en prévision de ces situations.
Propositions pour la gestion de la collecte de sang
Les auteurs présentent plusieurs propositions spécifiques pour gérer la collecte de sang et les produits sanguins d’individus ayant reçu des « vaccins » génétiques. Compte tenu de la variété des anomalies liées au sang observées après l'injection, les chercheurs affirment que des mesures rigoureuses et prudentes dans les pratiques de manipulation et de transfusion sanguine sont désormais devenues une nécessité.
Un élément clé de la proposition consiste à mener des entretiens approfondis avec des donneurs de sang potentiels. Ces entretiens doivent couvrir leur statut vaccinal, le nombre de doses reçues, leurs antécédents d’infection au COVID-19 et tout symptôme qu’ils pourraient présenter et qui pourraient indiquer des conditions telles que le syndrome post-vaccinal (PVS), un long COVID ou d’autres complications.
Les chercheurs recommandent également des périodes d’ajournement pour le sang collecté auprès des receveurs du vaccin COVID – 48 heures pour les injections d’ARNm et six semaines pour les receveurs du vaccin ADN AstraZeneca. Une série de tests sont également proposés pour garantir la sécurité du sang collecté, notamment :
Les auteurs notent également que les politiques et procédures doivent être constamment révisées à mesure que de nouveaux risques et problèmes liés aux produits sanguins dérivés des receveurs d’ARNm et d’ADN sont identifiés.
Assurer la sécurité des produits sanguins actuels
Le document passe également en revue les stratégies visant à garantir la sécurité des produits sanguins déjà collectés, en soulignant les défis complexes auxquels les institutions médicales, les organismes de réglementation et l’écosystème de la santé au sens large doivent faire face à la suite de l’utilisation généralisée des injections d’ARNm.
La principale préoccupation est le risque posé aux patients par l’utilisation de produits sanguins provenant de donneurs ayant reçu des injections génétiques sans confirmer la présence ou l’absence de protéines de pointe ou d’ARNm modifié. Pour garantir leur sécurité, des méthodes de quantification des contaminants potentiels doivent être développées et mises en œuvre dans les plus brefs délais.
RépondreSupprimerUn autre problème critique à résoudre est le manque actuel de méthodes fiables pour éliminer les protéines de pointe ou l’ARNm modifié des produits sanguins. Les auteurs préviennent que, compte tenu de la persistance potentielle, de la faible solubilité, de la résistance à la chaleur et de la résistance aux radiations de ces composants, les méthodologies actuelles sont inadéquates pour ce travail. La seule solution, disent-ils, est d’éliminer tous les produits sanguins contenant ces contaminants jusqu’à ce que des techniques d’élimination efficaces soient mises en place.
Les chercheurs réclament des tests sanguins généralisés
De plus, les chercheurs appellent à des tests généralisés sur les protéines piquées et non piquées pour évaluer la transmission potentielle des protéines de pointe par les exosomes (ce qu'on appelle l'excrétion).
Comme le notent les auteurs :
« … lorsque les exosomes collectés auprès de vaccinés ont été administrés à des souris qui n’avaient pas été vaccinées avec le vaccin génétique, la protéine Spike a été transmise.
Par conséquent, on ne peut nier que la protéine Spike et ses gènes modifiés peuvent être transmis par les exosomes. Pour cette raison, nous suggérons que des tests complets soient effectués dans un premier temps, quel que soit le statut vaccinal génétique, et qu’une étude de cohorte soit menée pour dresser rapidement un tableau complet…
De plus… on ne peut pas exclure que même ceux qui n’ont pas été vaccinés avec le vaccin génétique, mais qui ont eu un long COVID, puissent avoir des protéines de pointe résiduelles ou des microthrombus dérivés de la fibrine dans leur corps, il serait donc conseillé de procéder de la même manière. tests et suivi comme pour les vaccinés génétiques.
La présence ou l’absence et la quantité d’anticorps anti-nucléocapside ainsi que les isotypes d’anticorps peuvent être un ou plusieurs indicateurs permettant de distinguer si la vaccination génétique ou un long COVID en est la cause. Quoi qu’il en soit, ces études de cohorte devraient aider à établir des valeurs seuils pour les taux sanguins de protéine de pointe et d’autres substances afin de déterminer la sécurité des produits sanguins.
Faksova et coll. a mené une vaste étude de cohorte portant sur 99 millions de personnes à l’aide d’un réseau multinational Global Vaccine Data NetworkTM (GVDN®) et a découvert un risque significativement accru de myocardite, de péricardite, de syndrome de Guillain-Barré et de thrombose du sinus veineux cérébral chez les receveurs d’un vaccin génétique.
RépondreSupprimerAssurer la traçabilité des produits sanguins et établir un cadre juridique et réglementaire rigoureux pour gérer la myriade de problèmes découlant de l’utilisation de produits sanguins dérivés de personnes vaccinées contre le COVID sont également primordiaux. Cela comprend la création de systèmes pour l’enregistrement de tous les donneurs potentiels, la garantie de la traçabilité des produits sanguins et la réalisation d’études sur les résultats des receveurs.
Appel à la pause : évaluer les risques et les avantages des vaccins génétiques pour un avenir plus sûr
En conclusion, les auteurs soulignent que si nous continuons à utiliser des plateformes basées sur l’ARNm-LPN pour remplacer les vaccins conventionnels ou en créer de nouveaux, les risques pour notre approvisionnement en sang et en moelle osseuse seront encore accrus.
« L’impact de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dommages réels qu’ils provoquent sont inconnus à l’heure actuelle », écrivent-ils. 6
« Par conséquent, afin d'éviter ces risques et d'éviter une nouvelle expansion de la contamination sanguine et une complication de la situation, nous demandons vivement que la campagne de vaccination utilisant des vaccins génétiques soit suspendue et qu'une évaluation bénéfices-risques soit réalisée le plus tôt possible, dans les meilleurs délais. préconisés par Fraiman et al. 7 et Polykretis et al. 8
[L]es dommages à la santé causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations compétentes prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les résoudre.
*
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RépondreSupprimerRemarques
1, 3, 5, 6 Preprints.org 15 mars 2024
2 Sous-pile Jeff Dornik 22 mars 2024
4 Stat Pearls Maladie liée aux IgG4
7 Vaccin 2022 22 septembre;40(40):5798-5805
8 Auto-immunité 2023 décembre;56(1):2259123
https://www.globalresearch.ca/researchers-call-urgent-action-address-mass-contamination-blood-supply/5858209
Manuel de manipulations journalistiques par la RTS contre le Dr Louis Fouché
RépondreSupprimerle 28 mai 2024 - 18:00
Cécile Tran-Tien, journaliste à la RTS avec Sébastien Bourquin et Dimitri Zufferey ont publié un documentaire à charge contre Louis Fouché, qu’ils traitent d’ « antivax qui monte ». Dans ce debriefing, le Dr Louis Fouché apporte une réponse étayée à la charge de Cécile Tran-Tien et de la RTS qui enfreignent les règles les plus élémentaires de l’éthique journalistique –
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Louis Fouché, a répondu favorablement à une demande d’interview de la RTS, en souhaitant fournir des éléments détaillés sur son travail de médecin et de citoyen en tant que membre fondateur de Réinfocovid. Une lueur d’espoir lui traversait l’esprit quand il échangea par de nombreux emails et pièces justificatives avec Cécile Tran-Tien. En lieu et place d’un documentaire qui permettrait un débat ouvert sur la gestion de la crise covid, il s’est retrouvé avec un documentaire unilatéralement à charge. Seules six minutes du long entretien ont été extraites dans le but de lui faire porter des paroles ou des prises de positions qui ne sont pas les siennes.
- voir clip sur site -
L’interview initial avec Cécile Tran-Tien dure 1h45, et elle a accepté que le Dr Fouché l’enregistre. En ce qui s’apparente à une méthode déloyale pour obtenir l’accord du Dr Fouché pour cette interview, elle a par la suite déclaré qu’elle ne voulait pas qu’il publie l’enregistrement complet de l’entretien ! Si elle a fait son travail de journaliste dans les règles de l’art, elle ne devrait pas avoir de problème à ce que cet entretien soit publié dans sa globalité.
Enfreignant la plupart des devoirs de la charte d’éthique des journalistes (dite charte Munich), Cécile Tran-Tien et la RTS se rendent coupable d’un documentaire qui contient de nombreuses fausses informations. Y compris sur France-Soir puisque cette dernière n’a pas été capable de vérifier les informations sur la date de rachat du journal, omettant aussi de mentionner que France-Soir est un média agrée ou que le Monde a été condamné pour concurrence déloyale par dénigrement.
Dans ce debriefing, Louis Fouché revient sur les points les plus marquants de cet entretien. Entretien qui semble avoir été commandé pour disqualifier, dénigrer, diffamer et surtout porter atteinte à l’image du Docteur : « ils affectent ma capacité à trouver du travail ». Le Dr Fouché annonce d’ores et déjà des suites juridiques. Cécile Tran-Tien semble familière avec ce genre d'usage, de méthodes déloyales, pour des activités qui s’apparentent plus à de l’activisme ou du propagandisme que du journalisme. Une personne proche de la RTS déclare que « Cécile Tran-Tien a reçu une commande, elle n’a fait qu’exécuter » avant de préciser « ce documentaire est une commande politique et un échange de services entre la RTS et l’administration ». Elle ajoute enfin à propos de Tran-tien « sa marge de manœuvre a été dictée par un agenda qui n’a rien à voir avec du journalisme ».
RépondreSupprimerCécile Tran-tien a déjà été du mauvais côté de la justice en portant une arme fabriquée avec une imprimante 3D – elle essaiera de se sortir de l’impasse judiciaire en indiquant ne pas avoir voulu « enfreindre la loi » mais « montrer les failles de sécurité ». Cependant, elle a omettra de prendre les précautions que l’on pourrait attendre dans une telle enquête journalistique, par exemple consigner avec un huissier ce qu’elle allait faire, afin de prouver sa bonne foi le cas échéant. Ces arrangements avec l’éthique journalistique et la loi montrent qu’elle confond vraisemblablement le travail de journaliste et celui des forces de l’ordre. Avec les autoproclamés fact-checkers, les méthodes déloyales semblent un lot quotidien, et c'est sans compter les accusations non étayées en tous genres qui vont du complotisme, à l’étiquette d’antivax, d’extrême droite, ou d’antisémitisme.
Contacté, Cécile Tran-Tien n’était pas disponible pour répondre.
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/manuel-de-manipulations-journalistiques-par-la-rts-contre-le-dr-louis-fouche
Cécile Tran-Tien, journaliste à la RTS avec Sébastien Bourquin et Dimitri Zufferey envoient des tartes dans la gueule de Fouché qui les renvoie. HAHAHAHA !
SupprimerAUCUN des quatre branquignoles ne parlera de l'analyse des flacons injectables faites par Astrid Stuckelberger et Carrie Madej !! AUCUN !
Statistiques horribles sur les caillots de sang après le 'vaccin'
RépondreSupprimerPar Ben Armstrong
Le nouvel américain
29 mai 2024
- voir clip sur site -
Ces caillots sanguins fibreux blancs n’existaient pas avant l’administration du vaccin. Ce seul fait est terrifiant. Regardez la vidéo pour beaucoup plus d'informations.
Sources vidéo :
AmericasVoice.news – UNE NOUVELLE ÉTUDE MET EN ÉVIDENCE LES DANGERS POSSIBLES DU VACCIN CONTRE LA COVID
MISE À JOUR SUR BEN : Veuillez CLIQUER ICI pour une mise à jour sur la situation de Ben.
Regardez tous les épisodes de The Ben Armstrong Show en visitant https://thenewamerican.com/video/armstrong/
https://www.lewrockwell.com/2024/05/no_author/horrific-blood-clot-statistics-after-the-jab-2/
Autorisation des vaccins, recommandations vaccinales, vaccination obligatoire : les données sont-elles suffisantes ?
RépondreSupprimer29 mai 2024
par le Dr. Christine Né
Le 24 mai 2024, le septième colloque de presse des médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie eV (MWGFD) 1 a eu lieu près de Landshut. Cette fois, il ne s’agissait pas des dangers des vaccins à ARNm, mais plutôt des avantages et des risques des vaccins traditionnels. Dans leurs déclarations, six experts ont examiné le thème de la vaccination sous différents angles. L'événement, qui a été diffusé en direct et enregistré 2 , était dirigé par le Dr. méd. Ronald Weikl, gynécologue, médecin généraliste, naturopathe et vice-président du MWGFD de Passau.
De plus en plus de parents critiquent les vaccinations combinées et l’obligation de vacciner indirectement les enfants contre la rougeole (depuis mars 2020), d’autant plus que des affirmations telles que « sûre et efficace » concernant la vaccination contre le Covid-19 se sont révélées être un mythe. Ces parents ont besoin d’informations et de soutien pour prendre leur décision de vaccination. Dans ce contexte, le livre « Les tortues jusqu'en bas » est recommandé . Science et mythe de la vaccination .
Selon Ronald Weikl, il ne faut pas oublier que les enfants et les adultes en bonne santé sont vaccinés. Les faits sur les vaccinations sont généralement médiocres. Il n'y a pas d'études à long terme. Celles-ci sont souvent manipulées et caractérisées par des conflits d'intérêts. Le système de déclaration des blessures causées par les vaccins ne fonctionne pas non plus. L’immunité collective tant vantée n’est pas réalisable.
Les effets secondaires sont nombreux, comme les allergies, l'autisme, la susceptibilité aux infections. Le Japon est un modèle. La vaccination ROR 4 y a été interdite en 1993, la vaccination contre le VPH 5 a été retirée en 2013 et la loi sur la vaccination a été révisée en 1994. Les vaccins n’y sont pas obligatoires. Cela signifie que la mortalité infantile au Japon, pays critique à l’égard de la vaccination, est près de 3,5 fois inférieure à celle des États-Unis. Le vice-président du MWGFD a exigé : « Il ne doit jamais y avoir de vaccination obligatoire, quelle que soit la maladie. »
Ce n’est pas le premier crime de santé
RépondreSupprimerAprès un message vidéo du président d'honneur et co-fondateur du MWGFD, le professeur Sucharit Bhakdi, qui a critiqué le fait que les vaccinations à ARNm étaient toujours recommandées, Univ. Doc. Gerd Reuther présente 6 contextes historiques de la vaccination. La vaccination contre le Covid-19 n’est pas le premier crime sanitaire en médecine. La vaccination contre la variole présente les parallèles suivants : coercition, punition, profits élevés, absence de preuves, dissimulation des dégâts, scénarios de peur, images de visages couverts de variole. Le désastre de la variole au XVIIIe siècle n’a eu lieu qu’après la vaccination. 7 La variole est apparue juste au moment de la Contre-Réforme.
Au début, il y aurait eu des lobbyistes de la vaccination comme Mary Wortley Montague 8 et des fanatiques de la vaccination comme Cotton Mather 9 . À l’époque, la vaccination était encore plus lucrative qu’aujourd’hui : les pensions à vie, les titres de noblesse et les salaires princiers allaient aux vaccinateurs, qui au départ « soignaient » principalement les nobles et les élites. « La vaccination contre la variole présentait le taux le plus élevé de maladies graves et mortelles liées au vaccin. Au moment où les vaccinations ont été interdites partout dans le premier tiers du 19e siècle, elles étaient peut-être devenues la cause de décès la plus fréquente au 18e siècle », a déclaré le Dr. Gerd Reuther. dix
Quand un vaccin est-il sûr ?
Hans UP Tolzin, journaliste médical et rédacteur du « impf-report » (depuis 2005) 11 s'est demandé quels vaccins étaient sûrs. La vaccination est un préjudice corporel car la peau serait blessée. Le consentement de la personne vaccinée est donc requis, car l'article 2 de la Loi fondamentale sur le droit à la vie et à l'intégrité physique s'applique à toute personne. 12 « Si un médecin vaccine sans consentement, il commet une infraction pénale. »
Comment les politiciens peuvent-ils parler d’un vaccin sûr ? Des documents officiels, comme la Pharmacopée européenne, parlent de « sécurité adéquate » des vaccins. 13 Qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Un décès dû à la vaccination pour 10 000 personnes vaccinées est-il considéré comme tolérable et sûr ? Combien de sacrifices voulez-vous faire pour le bien de l’ensemble ? Qu’en pensent les victimes de la vaccination ? Par exemple, à quel point une personne atteinte de rougeole est-elle dangereuse ? «Ces questions éthiques ne sont pas ouvertement débattues dans la société», déclare Hans UP Tolzin.
La sécurité des vaccins n’est pas clairement définie. Il n’y a aucun contrôle sur le nombre de victimes vaccinées qui restent dans les limites de tolérance. Les médecins ne pouvaient donc pas fournir suffisamment d’informations sur les vaccinations. Pourquoi les fabricants de vaccins du monde entier ont-ils refusé d’accepter toute responsabilité alors que leurs vaccins sont censés être « sûrs » ?
RépondreSupprimerLire le marc de café au 21ème siècle
Selon Andreas Diemer, médecin généraliste et naturopathe et physicien diplômé, il faut connaître le plus précisément possible les bénéfices et les inconvénients attendus d'un acte médical. "Cela est particulièrement vrai pour l'utilisation des vaccins, car le "patient" n'est pas du tout malade, mais il est généralement en bonne santé. Des études d'approbation sont donc obligatoires."
Cependant, les exigences minimales en matière d'exactitude scientifique ne sont généralement pas remplies dans les études d'approbation des médicaments. L'influence des constructeurs sur les études est trop grande et les résultats s'en trouvent embellis. Ce n’est qu’après qu’il apparaît que le médicament ou le vaccin en question n’aurait pas dû être approuvé.
Les autorités qui ont procédé à l’évaluation et à l’approbation des vaccins ont été soit incapables, soit souvent trop inactives pour le faire. Traverser des maladies peut aussi présenter des avantages. Cela pourrait réduire le risque de maladies telles que le cancer et le diabète. « Nous ne savons donc pas si le bénéfice d’une vaccination est supérieur au risque de cette vaccination car il n’existe pas de données fiables. »
Les enfants vaccinés sont-ils en meilleure santé ?
Prof.DDr. Harald Walach, le nouveau PDG du MWGFD, a examiné de plus près les données du « Children's Health Suryey » (KIGGS) 14 , une étude transversale commandée par l'Institut Robert Koch. Dans une analyse secondaire de ces données, il s’est penché sur la question de savoir si les enfants vaccinés étaient en meilleure santé.
16 662 enfants âgés de 1 à 17 ans ont été interrogés dans le cadre de l’étude, notamment sur leur statut vaccinal. 202 enfants n’étaient pas vaccinés. Un score de morbidité a été calculé à partir des diagnostics attribués par enfant. Des maladies telles que l'asthme, l'anémie, le diabète, etc. ont été enregistrées. Des données sociodémographiques et des variables liées à la santé, comme les allergies chez les parents, ont également été prises en compte.
Les analyses ont montré que les enfants vaccinés ne sont pas en meilleure santé que les enfants non vaccinés. Au contraire : traverser certaines maladies infantiles semble être bénéfique pour la santé. Harald Walach ; « Ces données sont préliminaires car elles reposent sur une étude transversale. Il serait urgent que ces résultats soient approfondis dans le cadre d’études prospectives à trois bras 15. »
RépondreSupprimerVaccinations du point de vue de la gestion de la qualité
La gestion de la qualité et des risques, avec son consensus mondial dans les domaines économique et technologique, peut également examiner de près les vaccinations et ainsi ouvrir une « troisième voie » d'évaluation, selon le professeur Dr. Werner Bergholz, ancien professeur de génie électrique et expert en QM.
Le processus d'approbation en plusieurs étapes, qui dure environ 10 ans, est en principe adapté pour réduire les risques de cette procédure médicale. Il existe déjà des lacunes importantes dans la mise en œuvre, par ex. B. des sujets de test masculins principalement jeunes et en bonne santé sont recrutés ou aucune étude randomisée en double aveugle n'est réalisée. 16
Lorsqu’on examine les effets indésirables de la vaccination, on a tendance à minimiser les problèmes de santé liés dans le temps à la vaccination. Selon la norme ISO 31000 pour la gestion des risques, les additifs nocifs et les impuretés présents dans les vaccins - en particulier l'effet de ces additifs après des vaccinations fréquentes - ne seraient pas contrôlés pour détecter des risques croissants.
Vaccination obligatoire contre la rougeole (preuve) – péché et cas test
L'obligation de vaccination indirecte contre la rougeole est à la base de l'introduction de l'obligation de vaccination contre le Covid-19 dans la Bundeswehr et dans le système de santé, a déclaré le professeur Dr. méd. Paul Cullen, spécialiste en médecine de laboratoire et médecine interne, infectiologie, chimiste clinicien. En référence au risque d’encéphalite grave et de décès, la nécessité d’augmenter les taux de vaccination afin d’éradiquer la rougeole s’est propagée.
Afin de rendre l'exigence de vaccination contre la rougeole conforme à la Constitution, des documents juridiques de 1959 et 1874 auraient été utilisés. Intéressant : en 2021, 10 cas de rougeole au total ont été signalés à l'Institut Robert Koch, en 2022, il y en avait 15, dont six provenaient d'Afghanistan, trois étaient vaccinés.
Le vaccin contre la rougeole n'est disponible en Europe qu'en association avec les vaccins contre les oreillons et la rubéole. Cependant, le vaccin contre la rubéole contient des lignées cellulaires provenant d’une fille avortée, ce qui pose des problèmes à certains parents.
Un seul vaccin contre la rougeole n'existe qu'au Japon. Si vous ne respectez pas l'obligation de vaccination contre la rougeole, vous risquez une amende pouvant aller jusqu'à 2 500 euros. Les amendes augmentaient si l'enfant enfreignait la fréquentation scolaire obligatoire en raison d'un manque de preuves. Des peines de prison sont également possibles.
RépondreSupprimerMais : Le tribunal administratif bavarois a décidé le 21 septembre 2023 que cela crée une vaccination obligatoire et qu'une astreinte est donc illégale. On suppose que cette décision sera adoptée à l'échelle nationale.
Tenez compte de tous les faits lors de la vaccination contre le VPH
Les virus du papillome humain (VPH) existent sous plus de 200 sous-types, explique le Dr. Ronald Weikl, spécialiste en gynécologie et obstétrique. Si les défenses de l’organisme sont affaiblies, elles pourraient être impliquées dans le développement de tumeurs bénignes ou malignes. La vaccination contre le VPH a été introduite en 2006 et promue de manière agressive. Trois vaccins différents sont approuvés en Europe.
Stiko recommande la vaccination en au moins deux doses pour les filles et les garçons âgés de 9 à 14 ans. L'OMS soutient la vaccination dans les programmes de vaccination des pays du monde entier.
L'OMS et la Commission européenne visent un taux de vaccination d'au moins 90 pour cent pour les filles de 15 ans et une augmentation significative pour les garçons d'ici 2030. Selon le RKI, le taux de vaccination contre le VPH en Allemagne est de 54 pour cent pour les filles et de 27 pour cent pour les garçons. Ronald Weikl : « Jusqu’à présent, cependant, aucune étude n’a montré que le vaccin contre le VPH prévient le cancer. »
Les vaccins contre le VPH, en revanche, présentent un taux élevé d’effets secondaires. Une étude danoise montre que la plupart des études rapportent moins de la moitié de ces effets secondaires enregistrés dans les données brutes. 17 Aucun véritable placebo n’a été utilisé dans les groupes témoins. Les études sont encombrées de conflits d’intérêts et les chiffres donnent à réfléchir.
Résumé de l'étude danoise : Il n'est pas clair si les avantages des vaccins contre le VPH l'emportent sur leurs risques. Effets secondaires fréquents de la vaccination : troubles graves du système nerveux tels que SEP ou troubles de la conscience, évanouissements, fatigue chronique, maladies auto-immunes, etc.
Dans les pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés, comme la Suède et la Norvège, on constate même une fréquence croissante de lésions précancéreuses. Ronald Weikl déclare : « La plupart des infections à HPV guérissent spontanément. » Chez les 5 à 10 % de femmes présentant une infection persistante, des modifications cellulaires peuvent survenir, mais celles-ci guérissent généralement aussi spontanément. La prévention avec un test PAP réduit également le risque de développer un cancer du col de l'utérus de plus de 90 pour cent. Les immunostimulants peuvent améliorer les valeurs anormales de PAP.
RépondreSupprimerLes membres de la Société des médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie (MWGFD) travaillent sur une base bénévole, mais sont heureux de recevoir toute aide financière pour rémunérer leurs employés. L'association met à disposition des thérapeutes pour les dommages causés par les vaccins, recherche d'autres thérapeutes qui peuvent aider en cas de dommages causés par les vaccins, propose une formation continue aux thérapeutes, fournit des informations sur les groupes d'entraide, aide à élucider les décès après vaccination et gère un laboratoire de diagnostic. MWGFD propose également un bulletin d'information mensuel 18 et, plus récemment, un portail média. 19
informations d'identification
1 colloque de presse « Autorisation de la vaccination, recommandation de vaccination, vaccination obligatoire – les données sont-elles suffisantes ? » – MWGFD
2 Colloque de presse LIVE MWGFD – approbation du vaccin, recommandation de vaccination, vaccination obligatoire – les données sont-elles suffisantes ? (odysee.com)
3 « Un livre qui fait réfléchir, choque et ouvre les yeux » – Alschner.Klartext (alschner-klartext.de)
4 Vaccination ROR : à quelle fréquence, pour qui, quelle est la sécurité ? – NetDoktor.de
5 Vaccination contre le VPH : effets, effets secondaires – NetDoktor.de
6 'Le patient trahi' de 'Gerd Reuther' - Livre - '978-3-7423-1034-7'
Protégé de la mort pendant 7 250 ans (tkp.at )
8 Lady Mary Wortley Montagu : Comment la pionnière de la vaccination a combattu la variole – DER SPIEGEL
9 Historique de vaccination oublié : les esclaves ont apporté les techniques de vaccination en Amérique du Nord · Dlf Nova (deutschlandfunknova.de)
RépondreSupprimerProtégé de la mort pendant 10 250 ans (tkp.at )
11 Tolzin Verlag – rapport de vaccination (tolzin-verlag.com)
12 Art. 2 GG – dejure.org
13 BfArM – Pharmacopée
14 RKI – Étude sur la santé des enfants et des adolescents en Allemagne (KiGGS)
15 Étude prospective – DocCheck Flexikon
16 Étude en double aveugle – DocCheck Flexikon
17 Avantages et inconvénients des vaccins contre le virus du papillome humain (VPH) : revue systématique avec méta-analyses des données d'essais issues de rapports d'études cliniques – PubMed (nih.gov)
18 Inscription à la newsletter – MWGFD
19 Mentions légales ••• Portail des nouveaux médias (neue-medien-portal.de)
https://tkp.at/2024/05/29/impfstoffzulassung-impfempfehlung-impfpflicht-reichen-die-daten/
Valeurs occidentales :une enquête sur l’euthanasie des vieux en Écosse pendant la crise covid
RépondreSupprimerle 29 Mai 2024
par pgibertie
Après avoir pris connaissance des témoignages recueillis dans le cadre de la commission d’enquête écossaise sur la crise sanitaire de COVID-19, John Campbell, PH.D., a demandé une investigation systématique des protocoles de fin de vie administrés à des patients âgés qui n’en avaient peut-être pas besoin.
La commision d’enquête pour l’Ecosse sur la crise sanitaire COVID-19, qui est en cours, a donné lieu à des témoignages qui soulèvent des inquiétudes quant à l’administration superflue de protocoles de fin de vie à des patients atteints du COVID-19 dans des maisons de retraites, y compris l’utilisation de médicaments comme le midazolam et la morphine, lesquels auraient pu entraîner la mort de certains patients.
Dr Campbell a diffusé une vidéo, compilée par un chercheur indépendant, contenant des extraits de plusieurs témoignages de personnes dont des membres âgés de leur famille sont décédés alors qu’ils étaient soignés dans des maisons de retraite ou EHPADs.
Chaque personne a raconté que son proche s’était vu administrer un protocole de fin de vie alors qu’il/elle était encore actif/ve et seulement légèrement malade. Ils sont tous décédés par la suite.
Les témoins ont appris que leurs proches avaient reçu du midazolam, une benzodiazépine puissante, et souvent de la morphine. Dans leurs déclarations de témoins – disponibles en ligne – ils ont fait part de leur choc et de leur consternation face au traitement, à l’absence de consentement éclairé et à ce qu’ils considèrent comme un comportement frauduleux.
Dr Campbell, , a déclaré que l’association de midazolam et de morphine avait un effet dépressif sur le système respiratoire et pouvait être particulièrement dangereuse pour les personnes sous ventilation.
Cette association de médicamenteux « peut être tout à fait valable pour les personnes qui sont en train de mourir », en réduisant la douleur des patients atteints d’un cancer en phase terminale, par exemple. Cependant, « si elle est administrée à des personnes souffrant d’infections des voies respiratoires, à des personnes juste un peu souffrantes, il convient de surveiller cela de beaucoup plus près », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimer« La question est de savoir si c’était le cas dans ces situations. »
Dr Campbell a également fait part du témoignage d’un employé du groupe d’EHPADs « Independent Care Homes Scotland« , qui a rapporté que lorsque les patients ne répondaient pas aux antibiotiques, ils recevaient des protocoles « juste au cas où », qui, selon lui, sont les protocoles de fin de vie décrits dans les témoignages.
Dr Campbell estime que ces témoignages, pris dans leur ensemble, constituent le point de départ pour une « progression positive », car ils sont un élément clé pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné pendant la pandémie.
Il considère tout d’abord que toutes les transcriptions des témoignages, qui sont dans le domaine public et disponibles en ligne, devraient être téléchargées et analysées systématiquement par des chercheurs qualitatifs.
Ceux-ci pourront alors déterminer si le midazolam a été systématiquement administré trop tôt, s’il a été administré en combinaison avec de la morphine et si les témoignages soulèvent d’autres problèmes systématiques.
Il faudrait ensuite procéder à une analyse quantitative des dossiers des patients, en examinant les heures de décès, leur relation avec le moment où les médicaments ont été administrés et d’autres informations qui permettraient de confirmer ce qui a conduit au décès des patients.
Dr Campbell a également déclaré que ce type de recherche devrait être mené partout, car il a entendu des anecdotes similaires provenant d’autres pays, y compris l’Angleterre.
« L’Écosse est-elle unique ? je pense que la réponse à cette question est malheureusement non. »
https://pgibertie.com/2024/05/29/valeurs-occidentales-une-enquete-sur-leuthanasie-des-vieux-en-ecosse-pendant-la-crise-covid/
Comment les États-Unis dominent et manipulent les négociations de l'OMS
RépondreSupprimer29 mai 2024
de Thomas Oysmüller
Les États-Unis tentent de manipuler davantage les négociations de l’OMS dans leur propre direction en recourant à la ruse et à la tromperie. L’industrie pandémique en bénéficierait.
L'Assemblée mondiale de la santé, l'assemblée générale annuelle de l'agence spécialisée controversée de l'ONU, l'OMS, se réunit actuellement à Genève. Même si les critiques peuvent célébrer un petit succès parce que le soi-disant « contrat pandémique » a échoué pour l’instant, les choses se passent toujours sérieusement et l’industrie pandémique, de BigPharma à Bill Gates, ne dort pas. Les États-Unis continuent de travailler pour leurs propres intérêts et tentent de dominer l’OMS dans leur propre intérêt.
Surprise et évasion
Sur son blog, la journaliste Meryl Nass donne des exemples actuels de la manière dont les États-Unis déterminent l'Assemblée et la dirigent dans l'intérêt de leurs intérêts. Elle fait référence à une résolution que les États-Unis et une poignée de leurs partisans ont proposée ce mercredi à l'AMS pour adoption :
« Il est tellement rempli de références à d’autres documents (par numéro) qu’il est impossible de voir sur quoi les membres sont réellement censés s’engager. Et comme ce projet n'a été proposé qu'aujourd'hui (mais qu'il a sans doute été préparé en grande partie plus tôt), les Etats membres n'ont que peu de temps pour l'examiner attentivement, compte tenu de l'ordre du jour chargé de la semaine, avec des réunions qui durent 12 heures par jour.»
"C'est le but. Ce document a été écrit pour être impénétrable. Et le calendrier a été conçu pour épuiser tout le monde. » La résolution montre à quel point les petites nations sont déjà balayées. Il s’agit de changer le Règlement sanitaire international.
Voici un petit aperçu du document :
- voir doc sur site -
Évaluation de Nass : « Je pense que les avocats américains ont été trop intelligents lorsqu'ils ont rédigé la résolution ci-dessus. Quiconque le lit peut voir qu’il visait davantage à dissimuler qu’à éclairer. Je doute que ce document fasse beaucoup d’amis, et je doute qu’il aille très loin.
RépondreSupprimerLe deuxième exemple est encore plus impressionnant : l’accent est à nouveau mis sur le RSI. Bien que le traité soit effectivement contraignant au regard du droit international, les États-Unis n’acceptent le nouveau traité que « sous réserve », comme cela est actuellement annoncé. Alors que c’est exactement ce qu’ils ne veulent pas des autres petites nations.
Meryl Nass dit :
Esquive n°1 : Le gouvernement américain s’est caché derrière la queue de ses États et a déclaré qu’en vertu de la Constitution américaine, les obligations américaines en matière de RSI pouvaient relever de la juridiction des États et non du gouvernement fédéral. Et dans ce cas, le gouvernement américain ne peut pas promettre qu’il s’y conformera. (
Évasion n°2 : Alors que les États-Unis insistent sur le fait que la Chine a manqué à son obligation d’informer le monde en temps opportun sur le COVID, le gouvernement américain voulait pouvoir contourner la même obligation du RSI de signaler rapidement les épidémies d’infection. Ainsi, si les reportages pouvaient nuire à l’armée américaine et à la sécurité nationale, les États-Unis ont refusé d’accepter l’exigence de reporting.
La troisième évasion concerne la question de savoir si le RSI crée des droits privés juridiquement exécutoires. Sur la base de la participation de sa délégation aux négociations du RSI, le gouvernement des États-Unis ne croit pas que le RSI ait été conçu pour créer des droits privés juridiquement exécutoires :
Les États-Unis estiment que les dispositions du Règlement ne créent pas de droits privés juridiquement exécutoires.
Si je comprends bien la troisième excuse, le gouvernement américain prétend que ce n’est pas parce que les États-Unis ont signé le traité IHR que cela a transféré des droits aux autres signataires. C’est pourquoi les États-Unis ne font pas l’objet d’un litige s’ils ne respectent pas les dispositions du traité telles qu’interprétées par les autres signataires.
Dernier recours : Parfois, les États-Unis mènent jusqu’au bout des négociations difficiles et refusent de signer à la dernière minute. Cela s'est produit lorsque la Conférence d'examen de la Convention sur les armes biologiques (BTWC) en 2001 pensait avoir finalement atteint un consensus sur les dispositions relatives aux inspections et aux sanctions en cas de non-respect du traité BTWC. Quand tout fut prêt, les États-Unis dirent soudainement « NYET » et les modifications du traité furent sabordées.
RépondreSupprimerJe ne comprenais pas à l'époque pourquoi les États-Unis avaient fait cela, mais j'ai découvert plus tard que Cuba affirmait que les États-Unis avaient utilisé des armes biologiques contre Cuba après que les États-Unis aient adhéré à la Convention sur les armes biologiques.
En fin de compte, chaque pays devrait peut-être être aussi prudent que les États-Unis pour se protéger des dispositions potentiellement invasives ou nuisibles des traités qu’ils signent. Cela uniformiserait les règles du jeu et rendrait le processus de passation de marchés plus équitable pour tout le monde.
https://tkp.at/2024/05/29/wie-die-usa-die-who-verhandlungen-dominieren-und-manipulieren/
La Géorgie a adopté une loi sur la transparence
RépondreSupprimer29 mai 2024
de Thomas Oysmüller
Grave revers pour les États-Unis et l’UE/OTAN en Géorgie : le gouvernement a adopté la loi sur la transparence. Désormais, les ONG occidentales doivent divulguer leurs finances.
La nouvelle loi géorgienne qui oblige les ONG à divulguer leurs finances ne semble pas si « controversée ». Le vote a été de 84 contre 4 en faveur de la nouvelle loi sur la transparence, après que le président ait brièvement retardé les projets du gouvernement. La Géorgie a ainsi fait un pas vers la défense de sa propre souveraineté. Les États-Unis et l’UE répondront par des sanctions.
Décision pour la souveraineté
Les soi-disant « groupes de la société civile » qui reçoivent plus de 20 pour cent de leur financement de l’étranger doivent désormais divulguer leur financement. Parce qu’il représente vraisemblablement « les intérêts d’une puissance étrangère ». Même l'opposition s'est abstenue lors du vote ; seuls quatre députés ont voté contre. Le parti au pouvoir affirme que la loi vise à repousser « l’influence de l’étranger » – par exemple lorsqu’il s’agit de « propagande LGBT ». Voici davantage d’informations sur l’influence directe de l’UE sur la Géorgie via les « ONG ».
Il y a certainement des voix qui souhaiteraient voir une telle loi également en Autriche ou en Allemagne, même si le nombre d'ONG financées par l'étranger est gérable par rapport à la Géorgie, mais elles existent toujours.
Auparavant, la présidente géorgienne Salomé Zurabichvili avait refusé de signer la loi, la qualifiant de « loi russe » qui « contredit notre constitution et toutes les normes européennes ». Cependant, leur veto a été annulé à la majorité simple au Parlement. Le président du Parlement, Shalva Papuashvili, va maintenant signer la loi, mais le président annonce un référendum sur la question de savoir s'il doit y avoir un « avenir européen » ou un « esclavage russe » pour la Géorgie. Les critiques du président la qualifient de « principal agent étranger » du pays.
"Nous devrions préparer un véritable référendum", a déclaré Zurabichvili. « Utilisez l’énergie que vous avez en vous pour collecter des signatures et me les apporter. Je signerai le référendum. » 200 000 signatures sont nécessaires.
Washington – et son protectorat appelé « UE » – riposteront également en même temps. La loi a provoqué une certaine panique en Occident. Et maintenant, cela entre réellement en vigueur. D'ailleurs, un utilisateur de Twitter déclare : "Il est étrange qu'une loi qui oblige les ONG à s'enregistrer comme agents étrangers si elles sont financées de l'étranger puisse provoquer autant de panique."
Eh bien, voici un régime de sanctions. Washington a déclaré qu'il imposerait des interdictions de voyager et d'autres sanctions aux hommes politiques « impliqués dans l'atteinte à la démocratie en Géorgie », et l'UE a déclaré que l'adoption de la loi torpillerait les espoirs de ce pays du Caucase du Sud d'adhérer à l'UE. Nous verrons dans les prochains jours à quoi ressembleront réellement les sanctions. Il existe déjà une forte volonté d'intervenir massivement contre le gouvernement démocratiquement élu de Géorgie. Récemment, le Premier ministre a même été menacé de terreur.
Réagissant à l'adoption du projet de loi, le plus haut diplomate de l'UE, Josep Borrell, a déclaré dans un communiqué que l'UE "regrette profondément" cette décision et prévient qu'elle viole les obligations de la Géorgie en vertu de son statut de candidat. Il a déclaré qu'une « attention politique insuffisante » avait été accordée à d'autres domaines clés où des réformes étaient nécessaires et que Bruxelles allait désormais réfléchir à sa réponse.
https://tkp.at/2024/05/29/georgien-hat-transparenzgesetz-verabschiedet/
Le 11 septembre était-il un faux drapeau ? La « guerre juste » américaine contre les pays musulmans : « l’autodéfense » contre la « guerre civilisationnelle de l’islam contre l’Occident »
RépondreSupprimerLa politique étrangère américaine au lendemain du 11 septembre. « Guerre juste » contre les pays musulmans, « contre-terrorisme »
Par le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
28 mai 2024
Note de l'auteur et mise à jour
Ma critique et mon analyse du concept de « guerre juste » ont été soulevées pour la première fois dans un article intitulé La « guerre juste » de l'Amérique contre l'Afghanistan : les droits des femmes « avant » et « après » les guerres destructrices de l'Amérique .
L'article suivant a été publié pour la première fois par Global Research le 22 décembre 2023.
La guerre au Moyen-Orient se dirige vers une escalade. La propagande de guerre en est la force motrice. Le consensus officiel sur le 11 septembre a créé un mandat antiterroriste intégré dans la politique étrangère américaine.
La « guerre mondiale contre le terrorisme » menée par l'Amérique n'est pas catégorisée comme un véritable « acte de guerre » au sein de certains segments du mouvement pacifiste.
En outre, la doctrine du 11 septembre accuse les pays musulmans de mener une « guerre civilisationnelle de l’Islam contre l’Occident » .
Michel Chossudovsky , 6 février 2024
* * *
Introduction. Le faux drapeau du 11 septembre et la guerre au Moyen-Orient de 2023
Cet article, qui se concentre sur le faux drapeau du 11 septembre, est de la plus haute importance pour notre compréhension du génocide israélo-américain en cours contre la Palestine ainsi que de la guerre hégémonique américaine plus large contre l’ensemble du Moyen-Orient.
Le 11 septembre 2001, l’Afghanistan a été identifié comme un « État soutenant le terrorisme » , sans la moindre preuve. Les attentats du 11 septembre ont été qualifiés d’ acte de guerre contre l’Amérique par une puissance étrangère anonyme.
Il s’agissait d’un « faux drapeau » qui consistait à reprocher à l’Afghanistan d’avoir attaqué l’Amérique. « Le droit à la légitime défense » a été mis en avant. L’agresseur des États-Unis et de l’OTAN a été présenté comme la victime.
11 septembre : un jalon historique dans la doctrine militaire américaine (2001- )
RépondreSupprimerLa prétendue « attaque contre l’Amérique » du 11 septembre a joué un rôle déterminant dans la justification de la mise en œuvre d’opérations dites « antiterroristes » (c’est-à-dire des guerres) contre TOUS les pays musulmans, qui s’étendent désormais sur une période de plus de 20 ans . (à partir de 2001).
Dans le contexte actuel (2023), le faux drapeau du 11 septembre a une incidence sur l’évolution de la « guerre humanitaire » entre les États-Unis, l’OTAN et Israël en 2023 contre la Palestine et la guerre au Moyen-Orient, qui repose sur le concept d’ « autodéfense » contre la Palestine. attaques terroristes présumées par des pays musulmans .
Que s'est-il passé le 11 septembre 2001 ?
« Quelques heures après les attentats terroristes contre le World Trade Center et le Pentagone, l'administration Bush a conclu, sans preuves à l'appui, qu'« Oussama ben Laden et son organisation Al-Qaïda étaient les principaux suspects ».
Le directeur de la CIA, George Tenet, a déclaré que Ben Laden avait la capacité de planifier « plusieurs attaques avec peu ou pas d’avertissement ».
Image (à droite). George Tenet avec GW Bush et Dick Cheney
Le secrétaire d'État Colin Powell a qualifié ces attentats d'« acte de guerre » et le président Bush a confirmé dans un discours télévisé en soirée à la Nation qu'il « ne ferait aucune distinction entre les terroristes qui ont commis ces actes et ceux qui les abritent ».
L’ancien directeur de la CIA, James Woolsey, a pointé du doigt le « parrainage d’État », impliquant la complicité d’un ou plusieurs gouvernements étrangers. Selon les mots de l'ancien conseiller à la sécurité nationale, Lawrence Eagleburger , « je pense que nous montrerons, lorsque nous serons attaqués de la sorte, que nous sommes terribles dans notre force et dans nos représailles. »
Pendant ce temps, reprenant les déclarations officielles, le mantra des médias occidentaux avait approuvé le lancement d’« actions punitives » dirigées contre des cibles civiles au Moyen-Orient. Selon les mots de William Saffire dans le New York Times :
« Lorsque nous déterminons raisonnablement les bases et les camps de nos attaquants, nous devons les pulvériser – en minimisant mais en acceptant le risque de dommages collatéraux » – et agir ouvertement ou secrètement pour déstabiliser les hôtes nationaux du terrorisme. » (Michel Chossudovsky, Qui est Oussama ben Laden, septembre 12, 2001)
La « clause de défense collective » de l'OTAN et l'invasion de l'Afghanistan le 7 octobre 2001
RépondreSupprimerLe 12 septembre 2001, moins de 24 heures après les attentats, lors d'une réunion du Conseil atlantique à Bruxelles, l'OTAN a invoqué pour la première fois de son histoire « l'article 5 du Traité de Washington – sa clause de défense collective » déclarant le 9/ 11 attentats contre le World Trade Center (WTC) et le Pentagone « constituent une attaque contre tous les membres de l’OTAN :
« La mort tragique de milliers d’Américains le 11 septembre, prétendument instrumentalisée par Al-Qaïda (avec le soutien d’une puissance étrangère anonyme) a été utilisée comme prétexte et justification pour lancer la première phase de la guerre au Moyen-Orient et en Asie centrale, qui consistait à dans les bombardements et l’occupation de l’Afghanistan. Michel Chossudovsky, Qui est Oussama ben Laden, 12 septembre 2001)
La décision du Conseil atlantique d’invoquer l’article V (officiellement confirmée fin septembre) a favorisé les bombardements et l’invasion de l’Afghanistan par les États-Unis et l’OTAN, qui ont débuté le 7 octobre 2001, quatre semaines après les événements tragiques du 11 septembre.
L’invasion de l’Afghanistan était sur la planche à dessin du Pentagone des mois avant le 11 septembre. Les attentats du 11 septembre ont servi de prétexte et de justification pour envahir et occuper l’Afghanistan.
En outre, les analystes militaires et les médias ont reçu pour instruction de ne pas révéler le fait que l’on ne prévoit pas une guerre sur un théâtre à grande échelle à des milliers de kilomètres en 25 jours. Impossible. (du 12 septembre au 7 octobre 2001)
La vérité interdite (connue et documentée) est qu’Oussama ben Laden était un « agent du renseignement » américain et que le gouvernement américain savait où il se trouvait précisément avant et immédiatement après le 11 septembre. » (Michel Chossudovsky, Plus de troupes en Afghanistan )
La guerre menée par les États-Unis contre l’Afghanistan se compose essentiellement de deux étapes interdépendantes.
La première étape qualifiée de guerre soviéto-afghane a débuté au plus fort de la guerre froide en 1979. Elle était une opération militaire et de renseignement soigneusement planifiée et dirigée par les États-Unis, qui consistait à recruter et à financer les « brigades islamiques » (Moudjahidines), dont Oussama. ben Laden.
RépondreSupprimerLa deuxième étape s'est déroulée avec l' invasion de l'Afghanistan par les États-Unis et l'OTAN le 7 octobre 2001, quatre semaines après le 11 septembre , suite à la décision du Conseil atlantique d'invoquer l'article 5 du Traité de Washington.
L’invasion criminelle de l’Afghanistan et le récit de la « guerre juste »
L'invasion du 7 octobre 2001 a été qualifiée de « guerre juste » par le professeur Richard Falk , universitaire renommé, professeur de droit international et humanitaire à Princeton et militant anti-guerre.
La déclaration du professeur Richard Falk, membre du Council on Foreign Relations (CFR), formulée immédiatement après le 11 septembre et publiée quatre jours après le début de la campagne de bombardement entre les États-Unis et l'OTAN, visait à donner une légitimité à La guerre américaine contre l'Afghanistan :
« Depuis mon enfance, je n'ai jamais soutenu une guerre de tirs dans laquelle les États-Unis étaient impliqués, même si, rétrospectivement, je pense que la guerre de l'OTAN au Kosovo a donné des résultats bénéfiques. La guerre en Afghanistan contre le terrorisme apocalyptique est à mon sens la première guerre véritablement juste depuis la Seconde Guerre mondiale.
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« Les auteurs des attentats du 11 septembre ne peuvent pas être neutralisés de manière fiable par des moyens non-violents ou diplomatiques ; une réponse incluant une action militaire est essentielle pour diminuer la menace de répétition, pour infliger des sanctions et pour restaurer un sentiment de sécurité dans le pays et à l’étranger.
La vision politique extrémiste d’Oussama ben Laden, que l’on peut utilement qualifier de « terrorisme apocalyptique », place cette menace persistante bien en dehors de tout cadre de réconciliation potentielle ou même de négociation pour plusieurs raisons : son intention génocidaire est dirigée de manière générique contre les Américains et les juifs ;
son objectif proclamé est de mener une guerre civilisationnelle inconditionnelle – l’Islam contre l’Occident – sans faire de distinction entre cibles civiles et militaires ; il a démontré sa capacité et sa volonté d’infliger des dégâts massifs et traumatisants à notre pays ainsi qu’une ingéniosité tactique et sa capacité à mener à bien ses missions de destruction en s’appuyant sur le dévouement suicidaire de ses partisans. (Richard Falk, The Nation, Defining a Just War , 11 octobre 2001, 4 jours après l'invasion de l'Afghanistan, italiques ajoutés).
RépondreSupprimerNotez l’accent mis sur :
« intention génocidaire contre les Américains et les Juifs »
dans le cadre d'une prétendue
« guerre civilisationnelle de l’Islam contre l’Occident » .
Palestine 2023 : n’est-ce pas « l’inverse » ? Ce à quoi nous assistons est « la guerre génocidaire de l’Occident contre les pays musulmans ».
Le « terrorisme apocalyptique » d'Oussama ben Laden a fourni une justification à la « guerre mondiale contre le terrorisme » menée par les États-Unis , c'est-à-dire les nombreuses « guerres humanitaires » et « opérations antiterroristes » menées par les États-Unis après le 11 septembre contre les pays musulmans (avec le soutien des États-Unis). d'Israël) au cours des 22 dernières années, qui ont entraîné des millions de morts.
Une sainte croisade a été lancée contre le monde musulman d'environ 50 pays et un quart de la population mondiale.
À son tour, le « contre-terrorisme » a été utilisé au cours des vingt dernières années pour justifier l’établissement de bases militaires américaines en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud-Est.
L’objectif tacite de la « lutte contre le terrorisme » est de confisquer et de s’approprier les vastes réserves de pétrole et de gaz des pays musulmans.
« La guerre juste »
Le professeur Richard Falk est un militant anti-guerre de longue date. Il est réputé pour son engagement en faveur des droits des Palestiniens et sa position courageuse contre le gouvernement israélien. En février 2001, le professeur Falk a été nommé par le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) pour siéger à la commission d'enquête relative aux territoires palestiniens occupés.
En mars 2008, le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies (UNHRC) a nommé le professeur Richard Falk comme rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés.
RépondreSupprimerLa déclaration du professeur Falk intitulée « Définir une guerre juste, ses fins et ses moyens » a été formulée huit mois après sa nomination au HCCR en février 2001 pour siéger à la Commission d'enquête sur la Palestine. Dans une interview de février 2001, Falk a soulevé la question de savoir si les Palestiniens ont un « droit à la résistance » :
« L’équipe [du HCCR] examinera deux questions majeures, a-t-il déclaré. « Il s'agit d'évaluer si les conditions d'occupation sont de nature à donner aux Palestiniens une sorte de droit de résistance », a déclaré Falk. « Et s’ils ont ce droit, alors quelles sont les limites de ce droit ?
« Nous devons poser des questions spécifiques, telles que : quels types d’armes ont été utilisées ? " il a dit. » Et comment interpréter et comprendre la vulnérabilité des enfants ? Par exemple, les Palestiniens affirment que l’armée israélienne a ciblé les enfants, et l’armée israélienne affirme que les Palestiniens ont utilisé les enfants comme boucliers humains. » ( Rapport de l'Université de Princeton , février 2001
Selon Falk – faisant référence au rôle d'Oussama ben Laden – le « terrorisme apocalyptique » est marqué par le comportement de
« une guerre civilisationnelle inconditionnelle de l’Islam contre l’Occident » .
Cette déclaration de Richard Falk constitue un malentendu sur ce qui s'est passé le 11 septembre. Le 11 septembre était un faux drapeau.
Je dois cependant souligner que dans ses récentes déclarations sur la Palestine, la critique du professeur Falk à l'égard du gouvernement Netanyahu va à l'encontre de sa position antérieure de « guerre juste » formulée immédiatement après le 11 septembre.
Les preuves présentées ci-dessous documentent le rôle présumé de Ben Laden dans les attentats du 11 septembre 2001, qui ont fourni le prétexte et la justification pour mener une guerre non seulement contre l'Afghanistan mais aussi contre de nombreux pays musulmans (au lendemain du 11 septembre), sous couvert d'anonymat. le manteau de la « guerre mondiale contre le terrorisme » menée par les États-Unis.
Il n’y avait aucune preuve que l’Afghanistan avait attaqué l’Amérique le 11 septembre
RépondreSupprimerLe gouvernement taliban, par la voie diplomatique, avait proposé à deux reprises (septembre et octobre 2001) d'entamer des négociations en vue de l'extradition d'Oussama ben Laden. Le président GW Bush a officiellement refusé de négocier avec le gouvernement afghan concernant l’offre des talibans « de livrer Ben Laden à Washington ».
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capture d'écran d'un reportage de la BBC, 21 décembre 2018.
Pourquoi George W. Bush était-il réticent à négocier l’extradition d’Oussama ben Laden ? La relation familiale Ben Laden-Bush ?
Que s'est-il passé le 10 septembre 2001 ?
1. Poppy GHW Bush Senior rencontre le frère d'Oussama Shafiq à l'hôtel Ritz Carlton le 10 septembre 2001
Un jour avant les attentats du 11 septembre, ainsi que le matin du 11 septembre, le père du président en exercice des États-Unis d'Amérique, George Herbert Walker Bush, rencontrait nul autre que Shafiq ben Laden , le frère du Le cerveau présumé du terrorisme, Oussama ben Laden . Cela semble absurde ?
Selon le Washington Post :
« Le fait que, lors de l'incendie du World Trade Center le 11 septembre 2001, la nouvelle ait interrompu une conférence d'affaires de Carlyle à l'hôtel Ritz-Carlton ici à laquelle participait un frère d'Oussama ben Laden [Shafiq ben Laden] n'a pas aidé. L'ancien président Bush [senior], un autre investisseur, était avec lui à la conférence la veille. (Greg Schneider, Associer les puissants aux riches, Washington Post, 16 mars 2003)
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2. Oussama est hospitalisé à Rawalpindi, au Pakistan, le 10 septembre 2001.
RépondreSupprimerConfirmé par Dan Rather de CBS News, Oussama ben Laden avait été admis dans un hôpital militaire pakistanais à Rawalpindi le 10 septembre, heure locale, moins de 24 heures avant les attentats terroristes .
« Des sources des renseignements pakistanais ont déclaré à CBS News que Ben Laden avait été emmené dans cet hôpital militaire de Rawalpindi pour y subir une dialyse rénale.
Cette nuit-là, raconte cette travailleuse médicale qui souhaitait protéger son identité, ils ont déplacé tout le personnel régulier du service d'urologie et envoyé une équipe secrète pour les remplacer. Elle dit que c'était un traitement pour une personne très spéciale. (CBS, pour plus de détails, voir ceci )
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Ce rapport de CBS jette le doute sur le récit officiel selon lequel Oussama ben Laden était responsable de la coordination des attentats du 11 septembre. Il serait impossible pour Oussama ben Laden d’entrer inaperçu dans un hôpital militaire pakistanais. On savait où il se trouvait.
« Comment diable Ben Laden a-t-il pu coordonner les attaques depuis son lit d’hôpital dans un hôpital militaire pakistanais hautement gardé situé à Rawalpindi ?
Gardez à l’esprit que l’hôpital militaire combiné de Rawalpindi (sous l’administration de l’armée pakistanaise) « fournit exclusivement des soins spécialisés au personnel de l’armée et à sa famille immédiate ».
Oussama ben Laden doit avoir eu des relations dans l'armée ou les services de renseignement pakistanais pour être admis à l'hôpital. Selon le reportage de Dan Rather sur CBS, il a reçu « un traitement pour une personne très spéciale ».
Si le rapport CBS de Dan Rather est exact et qu'Oussama avait effectivement été admis à l'hôpital militaire pakistanais le 10 septembre 2001, grâce à l'allié de l'Amérique, il était selon toute vraisemblance encore hospitalisé à Rawalpindi le 11 septembre, lorsque les attentats ont eu lieu. s'est produit. ( Michel Chossudovsky , 10 septembre 2010)
L’ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld a affirmé à plusieurs reprises après le 11 septembre que l’on ne savait toujours pas où se trouvait Oussama ben Laden : « C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ».
La politique étrangère américaine au lendemain du 11 septembre. Quelle est la signification d’Al-Qaïda en arabe ?
À la suite du 11 septembre, le concept de guerre juste est devenu ancré dans la politique étrangère américaine. Il s’agit d’un récit anti-musulman visant à s’en prendre aux prétendus « terroristes islamiques » d’Al-Qaïda qui (depuis le début des années 1980) sont régulièrement recrutés par les services de renseignement américains.
Quelle est la signification en arabe d’ Al-Qaïda ? القاعِدة
RépondreSupprimerSelon le major Pierre-Henri Bunel , ancien agent du renseignement militaire français.
Il s'agit de « The Base » , à savoir la base de données informatique des moudjahidines islamiques (les « combattants de la liberté » de Reagan) recrutés par la CIA.
« Lorsque Oussama ben Laden était un agent américain en Afghanistan, l'Intranet d'Al-Qaida était un bon système de communication via des messages codés ou secrets.
La vérité est qu’il n’existe pas d’armée islamique ni de groupe terroriste appelé Al-Qaïda. Et tout officier du renseignement averti le sait.
Mais il existe une campagne de propagande visant à faire croire au public à la présence d'une entité identifiée représentant le « diable » dans le seul but de pousser le « téléspectateur » à accepter une direction internationale unifiée pour une guerre contre le terrorisme. Le pays derrière cette propagande, ce sont les États-Unis, et les lobbyistes de la guerre américaine contre le terrorisme ne cherchent qu’à gagner de l’argent. ( Major Pierre-Henri Bunel , Affaires mondiales, Delhi, italiques ajoutés)
La déclaration ci-dessus du major Bunel a été confirmée par feu le ministre britannique des Affaires étrangères Robin Cook (peu avant son décès) dans un article pointu du Guardian :
« Ben Laden est cependant le produit d’une erreur de calcul monumentale de la part des agences de sécurité occidentales . Tout au long des années 80, il a été armé par la CIA et financé par les Saoudiens pour mener le jihad contre l’occupation russe de l’Afghanistan.
Al-Qaïda, littéralement « la base de données », était à l’origine le fichier informatique de milliers de moudjahidines recrutés et entraînés avec l’aide de la CIA pour vaincre les Russes. (Robin Cook, The Guardian , 8 juillet 2005, voir aussi archives , italiques ajoutés)
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Bien entendu, une grande partie de la responsabilité de cet échec incombe à la corruption et aux politiques répressives des gouvernements, en particulier au Moyen-Orient, en dehors de l’orbite de l’influence américaine . Il convient d’établir une distinction aussi convaincante que possible entre les orientations intrinsèquement souhaitables de la réforme de la politique étrangère et le retrait face au terrorisme.» (Richard Falk, Defining a Just War , The Nation, 11 octobre 2023, italiques ajoutés)
RépondreSupprimerAvec. en ce qui concerne la citation ci-dessus, n’est-ce pas « l’inverse » ? De nombreux gouvernements « à l’intérieur » plutôt qu’ « à l’extérieur » de l’orbite d’influence américaine sont corrompus. Pourquoi? Parce que leurs dirigeants sont menacés, cooptés et/ou soudoyés par Washington.
En ce qui concerne le soi-disant « mouvement terroriste mondial » , voir la Directive de décision de sécurité nationale 166 (NSDD 166) (signée par le président Reagan) qui autorise de facto une aide militaire secrète accrue aux Moudjahidines.
Pour lire le texte intégral du NSDD 166, cliquez sur l'image ci-dessous .
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La promotion de « l’Islam radical » était une initiative délibérée de la CIA ( NSDD 166 ) qui, à la suite du 11 septembre, a servi de justification pour mener une « guerre mondiale contre le terrorisme (GWOT) au Moyen-Orient, en Asie centrale, en Asie du Sud-Est et en Asie du Sud-Est ». Afrique sub-saharienne.
Le nombre d' écoles religieuses (madrasas) parrainées par la CIA est passé de 2 500 en 1980 à plus de 39 000 . L’USAID a généreusement financé le processus d’endoctrinement religieux, en grande partie pour garantir la disparition des institutions laïques et l’effondrement de la société civile :
« Les États-Unis ont dépensé des millions de dollars pour fournir aux écoliers afghans des manuels remplis d’images violentes et d’enseignements islamiques militants….
Publiés dans les langues afghanes dominantes, le dari et le pachtoune, les manuels ont été élaborés au début des années 1980 grâce à une subvention de l'AID accordée à l'Université du Nebraska-Omaha et à son Centre d'études sur l'Afghanistan . L'agence a dépensé 51 millions de dollars pour les programmes éducatifs universitaires en Afghanistan de 1984 à 1994", ( Washington Post , 23 mars 2002).
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« Avant » et « après » une « guerre humanitaire » menée par les États-Unis
RépondreSupprimerExtraits choisis de
La « guerre juste » américaine contre l'Afghanistan : les droits des femmes « avant » et « après » les guerres destructrices américaines .
je vous suggère d'accéder à l'article complet
Il faut comprendre que l' analyse « avant » et « après » s'applique aux nombreux pays musulmans qui ont été l'objet du programme de « guerre humanitaire » de l'Amérique, notamment l'Irak, la Syrie, la Libye, le Yémen, la Palestine, le Soudan, entre autres. été l’objet d’attentats à la bombe, d’invasions, d’opérations de « lutte contre le terrorisme » et de « changement de régime » entre les États-Unis et l’OTAN au lendemain du 11 septembre 2001.
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L’Afghanistan « avant »
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Université de Kaboul, années 1980
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Un cours mixte de biologie à l’Université de Kaboul
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Transports publics à Kaboul
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Femmes travaillant dans l’un des laboratoires du Vaccine Research Center
L’Afghanistan « après »
Le sort des femmes et des enfants
https://www.globalresearch.ca/was-911-a-false-flag-americas-just-war-against-muslim-countries-self-defense-against-the-civilizational-war-of-islam-against-the-west/5843516
Premièrement, si des ennemis étrangers voulaient s'en prendre aux États-Unis ils auraient ciblé la Statue de la Liberté et la Maison Blanche comme le Pentagone, mais... mais n'ont visé que des immeubles vides privés qui devaient être détruits car massivement amiantés.
SupprimerDeuxièmement le 'coup' de la discussion téléphonique depuis un téléphone portable dans un avion avec une personne au sol était IMPOSSIBLE en 2001 car il n'existait pas encore de relais permettant cette prouesse.
Troisièmement, des avions se seraient écrasés si fort en foret qu'il n'existe que de la... poussière !!! HAHAHAHAHAHA !
Même s'il pouvait voler à 1 million de km/h un avion ne serait JAMAIS réduit en poussières !
Qu’attend Julian Assange après l’audience d’appel du 20 mai ?
RépondreSupprimerPar Karen Sharpe
Recherche mondiale,
29 mai 2024
Le 20 mai, les juges de la Haute Cour britannique, Dame Victoria Sharp et le juge Jeremy Johnson, ont statué que Julian Assange pouvait faire appel de son extradition vers les États-Unis, où il risque 175 ans de prison dans une prison supermax. pour intrusion informatique – essentiellement pour révéler des informations véridiques sur des crimes de guerre, pour exercer le journalisme.
À la suite de l'audience précédente de la Haute Cour de justice en février, les juges ont demandé aux États-Unis des assurances que s'il était extradé, Julian ne risquerait pas la peine de mort aux États-Unis et qu'il ne se verrait pas refuser son droit à la liberté en vertu du premier amendement. discours, et il ne serait pas non plus soumis à des préjugés concernant ce droit parce qu'il n'est pas citoyen américain. Les États-Unis ont fourni ce qu’ils considéraient comme des assurances, et celles-ci ont constitué la base de l’audience du 20 mai .
Les avocats de Julian ont accepté que l'assurance contre la peine de mort serait maintenue, mais se sont opposés avec véhémence aux assurances – en nom seulement – selon lesquelles Julian, le journaliste primé et fondateur et éditeur de WikiLeaks, pourrait bénéficier du droit à la liberté d'expression. La faible non-assurance indiquait simplement qu’aux États-Unis, Julian pouvait « chercher » la protection en vertu du Premier Amendement.
Il est hautement discutable qu’un tribunal fédéral – qui jugerait finalement Julian aux États-Unis – puisse être contraint d’accorder les droits du premier amendement à Julian précisément parce que la Cour suprême des États-Unis a déjà statué que les étrangers n’ont pas droit à ces protections. Même si les États-Unis acceptaient de donner des assurances complètes, ils resteraient hautement suspects : les États-Unis ont donné des assurances dans le passé qui, selon Amnesty International, entre autres, ne valent pas le papier sur lequel elles sont écrites.
Une fois sur le sol américain, Julian pourrait non seulement voir ces protections retirées ou modifiées, mais il pourrait également faire l'objet de nouvelles accusations, notamment liées aux publications de Vault 7, la plus grande publication jamais réalisée de documents confidentiels sur la CIA , qui révèlent les méthodes de surveillance et les méthodes de surveillance de l'agence. méfaits et a alimenté davantage la détermination de la CIA à se venger.
RépondreSupprimerLe 20 mai, les juges avaient trois options : ils auraient pu accepter les assurances, auquel cas Julian aurait été immédiatement mis dans un avion militaire à destination des États-Unis (en fait, deux marshals américains étaient présents dans la salle d'audience ce jour-là, au cas où telle a été la décision), dont on n'aura plus jamais de nouvelles de lui ; ils auraient pu rejeter n'importe laquelle des assurances, auquel cas Julian se verrait accorder un appel ; ou ils auraient pu retarder toute décision à une date ultérieure.
Les juges ont convenu avec les avocats de Julian que le droit de Julian à la liberté d'expression n'était pas suffisamment garanti et, sur cette base, ont fait droit à l'appel. Les deux parties avaient jusqu'au 24 mai pour soumettre un calendrier et une procédure d'appel. La date pourrait alors être fixée des semaines ou des mois plus tard.
Mais cela ne signifierait pas nécessairement la fin des batailles juridiques de Julian : si lors de cette audience les juges votaient contre l'extradition, les États-Unis pourraient faire appel de cette décision devant la Cour suprême du Royaume-Uni, sans qu'une décision finale ne soit rendue avant plusieurs mois, voire plusieurs années. .
Manœuvres politiques
Alors que cette affaire se déroule dans une salle d’audience, elle n’a rien à voir avec la justice mais tout à voir avec la politique. Depuis le début, les Britanniques ont suivi les directives des États-Unis, et l’ancien président Trump et le président Biden souhaitent ardemment que Julian disparaisse pour toujours. Sous Trump, la CIA a comploté avec le MI5 britannique pour kidnapper et abattre Julian dans les rues de Londres alors qu'il se trouvait à l'ambassade d'Équateur où il avait obtenu l'asile politique.
Biden et les démocrates accusent les publications de WikiLeaks concernant leur atteinte à la nomination présidentielle de Bernie Sanders, entre autres choses, d'être responsables de la défaite d'Hillary Clinton aux élections de 2016 face à Trump, et certains ont même suggéré que Julian devrait être « bourdonné » pour cela.
RépondreSupprimerLes révélations de WikiLeaks concernant les guerres en Irak et en Afghanistan, pour lesquelles Julian est apparemment accusé, ont été un énorme embarras tant pour les États-Unis que pour les Britanniques, car elles ont révélé les mensonges derrière ces guerres, la barbarie, la torture, la corruption, la véritable vérité. nombre de combattants et de civils tués.
Les 10 millions de documents contenant les révélations de WikiLeaks ont eu un impact énorme. Par exemple, ils ont contribué à gagner des procès, à mettre fin à la torture à Guantanamo, à renverser des gouvernements corrompus comme en Égypte, à mettre fin à des guerres, par exemple en Irak , aidés par la très inquiétante vidéo du meurtre collatéral montrant des soldats américains à Bagdad abattant joyeusement des civils depuis un avion. Hélicoptère Apache. Il n’est pas étonnant que cet éditeur qui représente une telle menace pour les puissants soit maintenu isolé, réduit au silence, derrière les barreaux.
Bien que les États-Unis tentent de faire valoir que Julian n'est pas un journaliste mais un instigateur irréprochable du vol d'informations classifiées dont la publication a entraîné la mort d'innocents, un nombre croissant de dirigeants et de politiciens ont compris que ce n'était pas du tout le cas et ont se sont prononcés en faveur de Julian. Et les médias qui ont précédemment publié et profité des révélations de WikiLeaks, puis menti sur Julian et l'ont calomnié, réalisent de plus en plus les répercussions qui pourraient s'abattre sur leurs têtes si Julian tombait, et ont donc également exprimé leur soutien.
L’OTAN est une cabale criminelle mondiale qui promeut la pédophilie et les programmes trans sous la menace de sanctions économiques et d’attentats cinétiques.
RépondreSupprimer28/05/2024
Ethan Huff
Au cas où vous ne le sauriez pas, le seul but de l'existence de l'OTAN est de propager l'instabilité dans le monde entier via le complexe militaro-industriel – et c'est ce que dit le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, qui a dévoilé la vérité dans un récent tweet.
Sur X, Stoltenberg a écrit que l’alliance s’engage à pousser la perversion LGBTQ et à repousser les limites de cette perversion à l’avenir. Si elle est anti-famille et anti-Dieu, alors l’OTAN a pour objectif de la promouvoir, a déclaré Stoltenberg.
Croyez-le ou non, il existe désormais une journée désignée appelée Journée internationale contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie qui, contrairement à ce que son nom suggère, vise en fait à propager ces perversions sur les prochaines générations tout en honorant tous les maux LGBTQ qui ont déjà existé. société infiltrée.
"L'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) s'est engagée à propager des valeurs dégénérées à l'étranger", a écrit Jose Nino pour Big League Politics à propos du tweet révélateur de Stoltenberg.
"Alors que la Russie semble réaliser des progrès majeurs contre les forces ukrainiennes soutenues par l'OTAN dans l'est de l'Ukraine, les dirigeants de l'OTAN se sont livrés à d'étranges signaux de vertu pour détourner l'attention de l'échec lamentable de cette guerre par procuration contre la Russie."
(Connexe : Comme prévu, l’Ukraine a décidé de rejoindre l’OTAN, ce qui signifie qu’une troisième guerre mondiale avec la Russie est imminente.)
Quand l'OTAN sera terminée, ce sera une belle journée
Depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, l’OTAN – et Stoltenberg en particulier – est étrangement obsédée par tout ce qui touche aux LGBTQ. En regardant la photo du gars, ce n'est vraiment pas une surprise – faites très attention à ses yeux, qui sont une fenêtre sur l'âme (ou son absence).
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
RépondreSupprimer"Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022, le secrétaire de l'OTAN, Jens Stoltenberg, s'est particulièrement exprimé sur les valeurs de l'OTAN et sur les raisons pour lesquelles il faut faire confiance à cette institution malgré son long historique de causes d'instabilité à l'étranger – de la Serbie jusqu'à la Libye. ", a encore écrit Nino.
Si vous pensez qu'il s'agit d'une conjecture, lisez vous-même le tweet de Stoltenberg et voyez ce que vous pensez que le message suivant transmet au monde :
"L'OTAN existe pour défendre 32 nations et le droit de nos peuples à vivre librement et en paix. À l'occasion de la Journée internationale contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie, et chaque jour : tous les amours sont égaux. Les personnes LGBTQ+ méritent respect et dignité, et je suis fier de m'appeler votre allié.
En d’autres termes, l’OTAN vise à pervertir le mot amour et à le transformer en toutes les formes de méchanceté imaginables, et plus encore. Et Stoltenberg est « fier », selon ses propres termes, de faire partie de ce monde dégoûtant de débauche et de mal.
Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, l’OTAN a travaillé fébrilement pour refaire le monde à l’image, comme le dit magnifiquement Nino, de « l’image de plus en plus dysfonctionnelle de l’Amérique ».
"Ses interventions dans les Balkans jusqu'en Libye n'ont apporté que du mal et de l'instabilité", a-t-il ajouté.
L’OTAN est en partenariat avec un ensemble d’organisations marxistes et marxistes culturelles à but non lucratif qui promeuvent des « valeurs », si on peut même les appeler ainsi, qui sont antithétiques à tout ce qui est bon et décent dans le monde.
"Pourquoi promeuvent-ils des idées si destructrices pour la société ?" demande Leo Hohmann sur son Substack. "Parce qu'ils savent qu'aucune nation ne peut survivre longtemps sans contraintes morales et sans une sorte de dévotion à une autorité supérieure à celle de l'homme charnel."
Nino l'a exprimé de manière encore plus graphique, mais aussi pertinente, en expliquant que toute nation qui s'associe à l'OTAN « attrape les MST du multiculturalisme, de la dégénérescence sexuelle et de la décadence sociétale ».
RépondreSupprimer"Plus important encore", ajoute-t-il, "l'OTAN est une alliance militaire complexe avec une idéologie de croisade qui constitue une menace pour la paix mondiale".
Plus tôt l’OTAN sera supprimée, mieux ce sera. Apprenez-en davantage sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
LeoHohmann.substack.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-05-28-nato-global-criminal-cabal-pushing-pedophilia-trans.html
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