Psychose de masse - Comment notre volonté est brisée (ExpressZeitung Nr. 43 –21 mai 2022)
21.05.2022 www.kla.tv/29105
La meilleure façon de manipuler et de contrôler les gens est de les plonger collectivement dans la peur. Aujourd'hui, l'évocation d'une menace de guerre mondiale ou d'une catastrophe climatique permet de plonger des peuples entiers dans une psychose de masse, voire dans un état de choc, et de les rendre ainsi incapables de toute volonté. Les lois les plus criminelles, allant jusqu'à la privation des droits, peuvent ensuite être imposées sans résistance à un peuple traumatisé par la peur, comme cela s'est déjà produit lors de la mise en scène de la pandémie de Covid.
Paralysée par la peur de l'apocalypse, la population avale alors au choix des instructions aussi absurdes que le port permanent de masques anti-poussière à l'époque - ou des lois absurdes sur le chauffage qui rendent un logement inabordable aujourd'hui. Le documentaire suivant, "Psychose de masse", qui explique ces stratégies de guerre psychologique sophistiquées contre l'humanité à l'aide de la pandémie de Covid, est aujourd'hui plus actuel que jamais !
Le terme générique de « psychose » fait référence à de graves troubles mentaux dans lesquels les personnes touchées perdent contact avec la réalité. Lorsque ces symptômes surviennent chez tout un groupe de personnes, on parle alors de « psychose de masse ». Pendant des siècles, des gens puissants ont créé et utilisé ce trouble anxieux lorsqu’ils voulaient introduire un système totalitaire, car ce n’est que sous le charme d’une illusion que les gens sont prêts à renoncer à leurs droits.
Aujourd’hui, la peur nécessaire à cela est surtout générée par les médias. Mais comment ces futurs tyrans peuvent-ils transformer l’esprit humain pour qu’il agisse contre ses propres intérêts ? La réponse nous est donnée par la psychologie, qui a inventé des termes tels que « lavage de cerveau », « contrôle mental » et, au plus haut degré, « menticide » – c’est-à-dire « tuer l'esprit ».
Les méthodes d'Ivan Pavlov : la clé d'un endoctrinement réussi. Ivan Petrovich Pavlov nous a donné la clé d'un endoctrinement réussi. Ivan Petrovich Pavlov était un médecin et physiologiste russe qui, grâce à ses expériences réussies de dressage de chiens, a pu démontrer que les schémas de pensées et de comportements des chiens et des humains peuvent être « reprogrammés ». Lorsqu’il a fait des expériences sur des chiens, il n'avait besoin que d'une cloche, de la nourriture pour chien, d'un chien et de temps. Le chien affamé bavait toujours quand il voyait la nourriture. Pavlov sonnait alors une cloche à chaque fois qu'il le nourrissait. Après de nombreuses répétitions, le chien était tellement conditionné – tellement reprogrammé – qu’il bavait rien qu’en entendant la cloche, sans même qu’il y ait de la nourriture.
Pavlov était convaincu que l’esprit humain pouvait être façonné de la même manière. Il considérait l’homme comme un animal, un peu plus développé, mais néanmoins fondamentalement un animal pouvant être conditionné par des stimuli – et cette vision de l’homme était aussi celle des dirigeants soviétiques de l’époque. C’est pour cette raison que Pavlov a reçu beaucoup de soutien après l’arrivée au pouvoir des Soviétiques et qu’il a dû poursuivre ses expériences sur les humains. En 1919, Vladimir Lénine a déclaré dans un dialogue avec Pavlov, je cite : « Je veux que les masses russes suivent un modèle de pensée et de réaction communiste. [...] L'homme peut être corrigé et rendu comme nous voulons qu'il soit. »
Le but ultime du système communiste était la transformation de la nature humaine, et les recherches de Pavlov ont fourni les fondements théoriques nécessaires pour atteindre cet objectif. Les méthodes de Pavlov étaient taillées sur mesure pour le centre de l’idéologie marxiste : la rééducation et le reconditionnement de l’homme. Normalement, un esprit clair se forge un bouclier contre une telle influence, mais à cause de la fatigue délibérément provoquée, de la faiblesse physique et du stress psychologique, l'esprit a été « brisé » lors des expériences, et la pensée logique a été désactivée. Les gens intelligents pourraient être endoctrinés – on pourrait même dire formés – tout comme les esprits simples.
Lavage de cerveau, contrôle de l’esprit et faux aveux
Il ne faut pas s’imaginer que le lavage de cerveau et les faux aveux qui en résultent fassent partie des périodes médiévales, comme lorsque la victime torturée, lors des chasses aux sorcières, avouait simplement tout pour que le tourment physique cesse. Il s'agit plutôt d'un rituel sophistiqué d'endoctrinement systématique, de coercition à la conversion et d'auto-accusation dans le but de détruire les attitudes et perceptions fondamentales de la personne vis-à-vis de la réalité et de les remplacer par de nouvelles. Le médecin et psychologue néerlandais Joost Meerloo a inventé le terme « menticide », qui signifie tuer l'esprit. On pourrait aussi dire : meurtre de l'esprit clair. Cependant, ce crime ancien contre l’esprit n’a été efficacement systématisé et affiné qu’au cours du XXe siècle. Les victimes de ce type de psycho-terrorisme ont finalement fait de faux aveux auxquels elles ont fini par croire, et ont avoué des crimes qu'elles n'avaient jamais commis. La vidéo suivante illustre dans quelle mesure cette psycho-terreur a été utilisée dans les camps d’internement ou testée sur des détenus.
Cette psycho-terreur a été utilisée ou expérimentée dans les camps de prisonniers :
Phase 1 : Premièrement, les victimes étaient épuisées, pas par une violence physique grave généralement, mais par la faim, le froid, l'isolement et la peur. Des masques respiratoires ont également été utilisés, par exemple dans le camp de détention de Guantanamo. Les interrogatoires constants et la privation de sommeil ont conduit à un épuisement extrême et à un désespoir total que les laveurs de cerveau voulaient atteindre. L’effondrement de la victime arrivait généralement subitement. Meerloo a écrit à propos de cette phase, je cite : « C’est comme si [la résistance obstinée] se transformait soudainement en soumission et en affirmation. [...] Désormais, en termes psychanalytiques, un super égo parasite vit dans la conscience de la personne, parlant de la même voix que son nouveau maître. Cet abandon soudain est un processus inconscient et purement émotionnel et peut même déclencher ce qu'on appelle le « syndrome de Stockholm », par lequel la victime d'un crime éprouve une certaine sympathie pour l'auteur du crime. Mais ce crime contre l’esprit humain ne s’arrête pas là.
Phase 2 : Après l’effondrement, les faux aveux étaient lus encore et encore et ainsi martelés dans le cerveau de la victime. Des arguments et justifications supplémentaires étaient également donnés afin que le récit paraisse aussi crédible que possible, même si tout cela n’était qu’un mensonge.
Phase 3 : L'accusé peut alors faire de faux aveux et incriminer d'autres personnes. Frank H. Schwable est un exemple parmi tant d’autres. C’était un militaire haut gradé du Corps des Marines des États-Unis tombé aux mains des communistes chinois pendant la guerre de Corée. Après de longs mois de captivité, il a avoué – avec beaucoup de détails – que les États-Unis commettaient des crimes de guerre biologiques en Corée. De retour aux États-Unis, il s'est défendu devant un tribunal militaire, et je cite : « Les mots étaient les miens, mais les pensées étaient les leurs ». Il est revenu sur son témoignage et a révélé les méthodes de lavage de cerveau dont il avait été victime. Cependant, les prisonniers n’avaient pas tous la même résilience mentale que Schwable. Environ un tiers des soldats américains qui ont été en captivité en Chine sont devenus des communistes convaincus.
Lavage de cerveau de toute une société
S’il est possible d'implanter systématiquement des pensées étrangères chez un individu, il est possible de faire un lavage de cerveau d'une société entière parce qu’une société est composée d’individus qui peuvent être manipulés avec le scepticisme, l’insécurité et la peur. Dans un article paru en 1969 dans le journal Die ZEIT, le psychologue tchèque Ivo Planava (né en 1934) décrit ainsi les différentes méthodes de dépersonnalisation systématique de l'individu et du collectif :
Selon lui, la population dans son ensemble sous l’emprise de régimes totalitaires devient indifférente à ce qui se passe. Ces individus apathiques ne sont plus capables de prendre des décisions conscientes et de lutter pour des objectifs qui vont au-delà du simple gagne-pain quotidien. Comme cela a été décrit, cette apathie peut survenir soit par un effondrement mental soudain, soit par un lent processus d’auto-sacrifice. Selon Ivo Planava, cette méthode progressive et à long terme d’épuisement de l’esprit est encore plus efficace et continue, surtout s’il y a des personnes manipulées de la même manière dans l’environnement de la personne. Le complexe de culpabilité – c’est-à-dire l’auto-accusation – et le jeu avec l’espoir sont tout aussi importants dans cette variante. On fait sans cesse espérer aux gens quelque chose qui ne se réalise pas par la suite, afin de les maintenir dans l’apathie et de les empêcher de se révolter.
La comparaison avec la politique actuelle du « Covid » attire vraiment l’attention à cet égard ! Ici aussi, le gouvernement travaille systématiquement avec des promesses de salut à partir du moment où les masses font ceci ou cela. Alors que dans le cas de la « rééducation » individuelle, les contacts avec le monde extérieur sont empêchés, dans le cas de groupes plus importants de personnes, la communication est contrôlée. Nous le vivons aujourd'hui à travers les médias, qui sont tous de mèche les uns avec les autres. Une propagande constante conduit à deux effets opposés : un groupe développe de l’apathie, c’est-à-dire devient indifférent, tandis que l’autre groupe – plus petit – développe une réaction de défi ainsi qu’un désir de découvrir la vérité derrière la propagande. Ce sont des conditions idéales pour diviser profondément une société auparavant pacifique – et c’est exactement ce qui se produit à nouveau aujourd’hui !
Diagramme de coercition et mesures « Covid »
Albert D. Biderman, spécialiste des sciences sociales de l'US Air Force, a décrit dans le dénommé « Diagramme de coercition » les méthodes de torture chinoises et coréennes avec lesquelles les prisonniers de guerre américains étaient systématiquement rééduqués. Selon Biderman, les trois éléments principaux sont : la dépendance, la faiblesse et la peur. Huit techniques différentes de « méthodes de torture faibles », étroitement liées les unes aux autres, transforment des personnes mentalement indépendantes en sujets obéissants dont un régime totalitaire a besoin. Examinons ces huit principes en détail et comparons-les avec les mesures Covid actuelles.
Méthode 1 : Isolement / monotonie forcée / privation sensorielle par l'isolement complet, voire groupé. Les prisonniers perdaient tout soutien social et ne pouvaient plus se défendre. Ils devaient constamment s'occuper seuls, bouger trop peu, avoir chaque jour la même routine ennuyeuse. Les confinements liés au Covid et les règles de distanciation ont le même effet. La culture, le sport et les traditions familiales sont gommés, et plus l'isolement dure longtemps, plus les conséquences sont dramatiques sur le corps et l'âme des personnes touchées. Les problèmes psychologiques ont considérablement augmenté pendant le confinement, surtout chez les enfants.
Méthode 2 : Monopoliser la perception. L’attention ne peut se concentrer que sur la détresse immédiate. Les autres stimuli qui pourraient en détourner l’attention sont bloqués. L'obscurité ou des lumières vives étaient utilisées sur les prisonniers, mais les sermons constants et la répétition fréquente de mensonges et de dogmes qui devaient être inculqués dans les esprits étaient tout aussi efficaces. Cela ne nous rappelle-t-il pas le flot médiatique constant d’un nombre infini de « cas » de Covid ? Et, bien sûr, des efforts croissants visant à censurer et à dissimuler au public toutes les voix dissidentes, quels que soient le rang et le respect des experts ?
Méthode 3 : Épuisement provoqué, affaiblissement. Bien sûr, à un moment donné, les gens se fatiguent. Les tortionnaires se relayaient, le prisonnier ne le pouvait pas. La faim, les maladies provoquées, le manque de sommeil et les longs interrogatoires ne sont que quelques-unes des méthodes utilisées pour provoquer délibérément le surmenage. Les parallèles avec le Covid : Après un an et demi de propagande, nombreux sont ceux qui ont capitulé et ont laissé le discours du gouvernement les submerger. Ils en ont tout simplement marre... et d'une manière ou d'une autre, vous pouvez même le comprendre ! Ils ont déjà atteint l'état d'apathie signalé par Ivo Planava.
Méthode 4 : Menaces. Les tortionnaires ont utilisé des menaces de mort, d'isolement et d'emprisonnement sans fin, ainsi que des menaces contre les familles des victimes pour semer la peur et le désespoir. Seule la panique artificiellement créée suite à l’infection par le coronavirus nous a fait accepter les mesures des politiques. Les enfants étaient persuadés qu’ils mettraient grand-mère et grand-père en danger s’ils leur rendaient visite et même les serraient dans leurs bras alors qu’en fait, il était déjà clair au printemps 2020 que le taux de mortalité dû au Covid était équivalent à celui d’une grippe saisonnière normale. Néanmoins, la couverture médiatique de guerre est restée inchangée. Un document de stratégie interne du ministère allemand de l’Intérieur révèle que ces craintes ont été délibérément créées et contrôlées.
Méthode 5 : Indulgence occasionnelle. Désormais, les bourreaux deviennent gentils… de temps en temps. Des gentillesses et des récompenses inattendues créent un lien émotionnel et garantissent le respect des règles du prisonnier. Elles suscitent l’espoir d’une amélioration de sa situation qui, bien que généralement inexistante, le confond et le démoralise. Cela aussi vous semble familier, n'est-ce pas ? Un confinement peut-être, un confinement peut-être que non, cette règle-ci, cette règle-là, et un soulagement en perspective. Encore quelques semaines et nous aurons réussi... Les espoirs que nous pourrions bientôt revenir à la normale renaissaient sans cesse. Cela fait partie de la stratégie psychologique !
Méthode 6 : Démonstration de « toute-puissance » et « d'omniscience ». On fait croire au prisonnier que toute résistance est vaine, qu’il est inférieur et qu’il le restera toujours. Parallèles avec le Covid : La violence policière utilisée contre les manifestants montre la supériorité physique du pouvoir gouvernemental. Même le rapporteur spécial officiel des Nations-Unies sur la torture, Nils Melzer, a mis en garde, et je cite : « Partout dans le monde, la brutalité policière s'intensifie et détruit la confiance du public, la paix sociale, la cohésion sociale et la démocratie. Les gouvernements doivent cesser de traiter leur propre peuple comme un ennemi ! »
Méthode 7 : Humiliations Le fait d'être complètement à la merci du geôlier détruit l'espoir du prisonnier que la résistance puisse apporter quelque chose. Ainsi le prisonnier est rabaissé au niveau d’un enfant ou d’un animal. Les tortionnaires y parviennent par des châtiments humiliants, un environnement pollué, des insultes et des railleries ou en refusant l'intimité du prisonnier. Les masques à eux seuls sont une pure humiliation ainsi que ces tests, que beaucoup trouvent extrêmement désagréables. La Chine est même allée jusqu’à effectuer des prélèvements anaux sur les citoyens japonais entrant dans le pays. Insulter ou se moquer des personnes qui ne se font pas vacciner est monnaie courante. Et quel est l'effet d'essayer d'inciter les gens à se faire vacciner en leur proposant une saucisse ou un hamburger : cela ne rappelle-t-il pas les chiens de Pavlov, qui bavaient lorsque la cloche sonnait pour les nourrir ?
Méthode 8 : Application d’exigences dérisoires. Les prisonniers devaient suivre des règles protocolaires stupides et inutiles. Cela les habituait à exécuter les ordres de leurs contrôleurs, aussi futiles soient-ils. Des mesures inutiles sont à l’ordre du jour depuis le début de la prétendue pandémie. Dans un aéroport par exemple, des distances minimales doivent être respectées lors de l'enregistrement, alors que les mêmes passagers seront assis à proximité dans l'avion quelques minutes plus tard. Je suis sûr que vous pouvez penser à de nombreux autres exemples, chers téléspectateurs ! L’intention des stratèges derrière tout cela est simple : nous ne sommes pas censés penser, ni rien remettre en question, mais plutôt apprendre à obéir. C’est une caractéristique typique d’une dictature ! La conclusion jusqu'à présent, c’est que selon toute vraisemblance, les 8 points de ce « diagramme de coercition » sont présents avec le Covid.
Comment introduire un pouvoir d’État totalitaire ?
La question est la suivante : comment peut-on amener un peuple habitué à la liberté et à la démocratie à renoncer à nouveau à ses droits fondamentaux ? Comment transformer des personnes libres en sujets d’un système totalitaire ? Malheureusement, cela a été fait à plusieurs reprises dans l’histoire, et aujourd’hui, cet effort est à nouveau en cours dans le monde entier. La psychose de masse délibérément provoquée que nous venons de décrire en est la clé.
Selon l’érudit religieux Arthur Versluis, le totalitarisme est « le phénomène moderne d’un pouvoir d’État totalement centralisé combiné à l’éradication des droits humains individuels ». La société est divisée en deux groupes : les dirigeants, qui sont élevés à un statut presque divin, et les masses qui deviennent des sujets dépendants de cette prétendue « élite ». Les deux vont à l’encontre de la nature humaine, car les dirigeants sont aussi des êtres humains faillibles, et transformer la population en sujets ne réussit que grâce à des délires qui ressemblent à des réactions de schizophrène. La première étape consiste toujours à semer la peur, ce qui est particulièrement efficace dans les vagues de terreur psychologique. Meerloo écrit à ce sujet, je cite : « Chaque vague de terreur [...] déploie son effet plus fortement que la précédente après un certain temps de répit, car les gens sont encore troublés par l'expérience précédente. Le moral diminue de plus en plus et l'impact psychologique de chaque nouvelle campagne de propagande devient plus fort ; il touche un public déjà ramolli. »
La propagande contribue en même temps à semer la confusion dans l’esprit des masses. La désinformation sur l’origine de la « menace » et la nature de la « crise » sont systématiquement répandues. À l’ère d’Internet, les informations sont ciblées, voire totalement bloquées, c’est-à-dire censurées au moyen d’algorithmes. Selon ce que l'utilisateur a déjà consulté sur Internet, des informations similaires lui sont à nouveau présentées. Différents groupes cibles peuvent ainsi développer une image complètement différente de la réalité. On peut voir ici les moyens utilisés pour y parvenir :
La technologie comme facteur de dépendance, l'isolement comme catalyseur. Puisque la propagande moderne se présente sous la forme de technologies attrayantes – smartphones, Internet, télévision, etc. – elle est consommée volontiers et largement. Beaucoup y sont accros et cela déploie pleinement la portée de cette propagande lorsque les gens sont limités dans leurs contacts sociaux. Tout le monde ne se laisse pas aveugler par la propagande, d’où la « distanciation sociale » pour éliminer le pouvoir correcteur de ceux qui ne se sont pas laissé influencer par le feu constant des fausses informations. Joost Meerloo écrit, je cite : « L’isolement et la répétition patiente des stimuli sont nécessaires pour apprivoiser les animaux sauvages. [...] Les totalitaires ont suivi cette règle. Ils savent qu’ils peuvent conditionner plus rapidement leurs victimes politiques si elles sont maintenues dans l’isolement. »
Lorsqu’une population est secouée suffisamment longtemps par des vagues psychologiques de terreur, elle devient désespérée et vulnérable. On aspire à un monde ordonné. À ce stade, les totalitaires proposent un tel monde – mais au prix de la liberté, au prix du contrôle de sa propre vie. Des personnes autrefois libres et indépendantes sont devenues des sujets soumis et obéissants !
Les victimes du régime totalitaire sont délibérément éduquées au mensonge. Car entendre constamment de faux messages, qui vont délibérément tous azimuts, perturbe la pensée logique au point que certaines personnes cessent de résister aux mensonges. La personne devient passive et intériorise le récit dans son ensemble. L’esprit libre part au profit de l’endoctrinement. Le langage est un élément important de cette propagande. Les mots perdent leur sens originel et cela aussi constitue une attaque frontale contre l'esprit.
L'humain est une créature d'habitudes.
Lentement, progressivement, mais sûrement, le citoyen s'habitue ainsi à un système malade. Il est facile de reconnaître des structures totalitaires dans des pays lointains ou rétrospectivement dans le passé. Quand on regarde la Corée du Nord, par exemple, tout le monde en Occident dit probablement : Quelle secte insensée ! Malheureusement, les débuts ne sont pas si faciles à discerner lorsqu’on est soi-même dans le vif du sujet, comme c’est le cas en ce moment ! On s'habitue aussi à l'obéissance et à l'obéissance à l'autorité ! Cela ne nous rappelle-t-il pas les temps sombres de notre pays ?
Entrée par la « raison », puis dérive vers la folie
La plupart des idéologies recrutent leurs adeptes avec des idées raisonnables, ou du moins, qui paraissent raisonnables. Exemple du Covid : L’idée d’une maladie infectieuse se propageant dans un monde globalisé correspond aux idées dominantes de la population, c’est pourquoi les mesures de protection sanitaires ont été initialement soutenues par la plupart des gens. Cependant, après un certain point de lavage de cerveau, il n’y a plus de logique. Bizarrement, c’est même le contraire qui se produit. Les contradictions consolident encore davantage le pouvoir d’une idéologie, comme le montre l’exemple des religions fondamentalistes. Le phénomène des « coûts irrécupérables » joue également un rôle majeur. « Coûts irrécupérables » signifie : on a déjà investi tellement de temps et d'énergie, voire d'argent dans un projet qu'il est difficile, voire impossible, de reconnaître ce projet comme une erreur.
Sommes-nous encore surpris lorsque les politiciens, une fois élus, agissent comme s’ils pensaient : « Qu’est-ce que j’ai à faire de mon blablabla d’hier ? » Les promesses non tenues sont un système, en politique en général et aussi avec le Covid. Pas de fin des mesures, pas d’immunité grâce à la vaccination, pas de fin du port du masque et obligations similaires pour les personnes vaccinées. Et pourtant, une grande partie de la population continue à faire confiance aux gouvernements et même aux médias. Ceci est un exemple du « syndrome de Stockholm » mentionné plus haut, qui signifie le glissement global de la population vers l’idéologie.
Peur de mettre fin aux mesures Covid.
Le succès de la propagande se voit déjà dans le fait que certains ne veulent plus retourner dans un monde sans mesures Covid. Ils ont déjà intériorisé l’idéologie à un tel point qu’ils ont développé ce qu’on appelle le « syndrome de la caverne », c’est-à-dire la peur de la normalité. Ces personnes font alors pression sur ceux qui pensent différemment, qui ne sont pas tombés dans le piège des mensonges et qui aspirent à nouveau à une vie normale. C’est exactement ce dont a besoin un régime qui devient totalitaire : une pression non seulement « d’en haut » – c’est-à-dire de la part du gouvernement et des médias – mais aussi « de côté » – c’est-à-dire de la part des êtres humains. Et maintenant, redonnons la parole à notre collègue :
Conclusion : Chers téléspectateurs, en regardant cette analyse du journal Express Zeitung, on ne peut s'empêcher de soupçonner une stratégie extrêmement réfléchie et perfide derrière toutes les lois et interdictions contradictoires et souvent carrément absurdes. De toute évidence, une guerre psychologique sophistiquée est menée contre l’humanité. Vu sous cet angle, toutes ces mesures ont du sens – du point de vue de leurs cerveaux ! Cette analyse est effrayante. Mais ce n’est qu’en affrontant ce problème désagréable et inconfortable que les contre-mesures appropriées pourront être prises. L’un des éléments importants est l’information. S'il vous plaît, diffusez cette émission pour que de plus en plus de gens comprennent le programme de lavage de cerveau en cours et puissent y mettre un terme. Dans les informations sources suivantes, vous trouverez également le lien vers le journal Express Zeitung par lequel vous pouvez commander l'édition originale pour la relire.
de mmm Sources / Liens : ExpressZeitung Nr. 43/44 d‘octobre 2021, titre: „Massenpsychose – Wenn der Wahnsinn zur „Neuen Normalität“ wird“ https://www.expresszeitung.com/
Albert Biderman – Diagramme des contraintes https://de.wikipedia.org/wiki/Bidermans_Diagramm_des_Zwanges
Document stratégique interne du ministère allemand de l'Intérieur : https://www.heise.de/forum/Telepolis/Kommentare/Die-Sorge-waechst-die-Sorglosigkeit-auch/BMI-Papier-Wie-wir-COVID-19-unter-Kontrolle-bekommen-Psychologie-der-Panik/posting-37267877/show/
(...) Sommes-nous encore surpris lorsque les politiciens, une fois élus, agissent comme s’ils pensaient : « Qu’est-ce que j’ai à faire de mon blablabla d’hier ? » Les promesses non tenues sont un système, en politique en général et aussi avec le Covid. (...)
A savoir et à reconnaître qu'AUCUN politicien n'a tenu compte des rapports scientifiques faits par les Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej des analyses des flacons injectables qui contenaient entre 95 et 99 % (40 000 milliards par dose !) de nano-particules d'oxyde de graphène qui n'ont PAS a être là même dans une expérimentation génique d'essais FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin' !
Un seul pays au monde connaît actuellement une vague de covid, vacc à 90 %,boosté à 80 % ET en plus il se paie un record de surmortalité post vaccc
le 22 Mai 2024 par pgibertie
Il était une fois un pays totalement protégé des premières vagues la covid…Le pays pratique alors la vaccination quasi obligatoire et tout explose…la surmortalité post vaccinale et les cas covid avec Omicron qui pour être gentil adore faire du mal aux injectés
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@felicittina
Au regard de la protection supposée de la forte vaccination ARNm à #Singapour, voici comment évolue la surmortalité, d’après les derniers chiffres officiels, vérifiables ici : https://tablebuilder.singstat.gov.sg/table/TS/M810121…
Politique zero Covid + large vax° + des cas qui ne déferlent qu’avec omicron.
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Singapour, face à une nouvelle vague SC2. « Le nombre estimé de cas de Covid-19 au cours de la semaine du 5 au 11 mai s’élevait à 25 900 cas, contre 13 700 cas la semaine précédente » a déclaré le ministère de la santé.
Le ministère de la Santé a déclaré que le nombre estimé de cas de Covid-19 au cours de la semaine du 5 au 11 mai s’élevait à 25 900 cas, contre 13 700 cas la semaine précédente. Le nombre moyen d’hospitalisations quotidiennes liées au Covid-19 est passé à environ 250 contre 181 la semaine précédente. Le nombre moyen de cas quotidiens en unité de soins intensifs (USI) est resté faible, à trois cas, contre deux cas la semaine précédente.
M. Ong a déclaré que si le nombre de cas de Covid-19 double une fois, Singapour aura 500 patients dans son système de santé, ce que Singapour peut gérer. Cependant, si le nombre de cas double une seconde fois, il y aura 1 000 patients, et « cela représentera une charge considérable pour le système hospitalier », a-t-il noté.
« Mille lits équivalent à un hôpital régional », a déclaré M. Ong. «Je pense donc que le système de santé doit se préparer à ce qui va arriver.»
« Le nombre moyen d’hospitalisations quotidiennes liées au Covid-19 est passé à environ 250 contre 181 la semaine précédente. » Et ces idiots d’appeler à de nouvelles injections anti-covid ! Car… ça protège des formes graves
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@felicittina
Pour ceux qui pensent que seuls les taux standardisés par âge sont probants, sachez que les résultats sont encore pires…
Vaccination contre le VPH – la combinaison du secteur pharmaceutique et de la médecine
22 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
La vaccination contre le VPH a été semée d’embûches et de controverses depuis le début. Compte tenu des effets secondaires et de l’utilité discutable, en particulier pour les garçons et les hommes, il faut évidemment certaines compétences en vente pour les proposer aux femmes ou aux hommes. C’est pourquoi il est évidemment nécessaire de former les médecins au bon argumentaire de vente.
Si les médecins écoutent ces événements, ils recevront « jusqu'à 4 points DFP sur votre compte » s'ils fournissent leur numéro de membre de l'association médicale, comme indiqué sur la page de la conférence sur medconnect . Des informations sur le programme de formation avancée diplômante de l'Association médicale autrichienne (ÖÄK) peuvent être trouvées ici . L'ensemble de l'événement a été sponsorisé par MSD, le fabricant du vaccin contre le VPH, et le logo MSD reste visible partout. L'Académie autrichienne de vaccination (ÖIA) et la Société autrichienne de médecine pédiatrique et adolescente (ÖGKJ) en seraient apparemment les organisatrices.
Le premier intervenant, Kenneth A. Alexander, passe sous silence sa déclaration de conflits d’intérêts, mais les expose au moins par écrit :
Il est étrange qu'une conférence donnée par un conférencier payé par Merck et Moderna fasse partie de la formation continue de l'association médicale. Mais c’est encore pire.
Concernant cette diapositive, Alexander explique qu'il faut se limiter à ces trois points : pas d'éducation, pas d'études scientifiques et surtout : ne jamais inciter les clients vaccinés à poser des questions !
Formation courte en vente sur la façon d'attirer les clients, de les féliciter et de les orienter dans la bonne direction.
Si nécessaire, nommez l’enfant à vacciner et répétez les trois points précédents.
Mais sur le plan juridique, la situation est telle que tout traitement médical constitue une atteinte à l'intégrité physique, qui ne reste impunie que s'il existe une information complète permettant un « consentement éclairé ». Je connais des cas de jugements de justice en dommages et intérêts pour douleurs et souffrances contre des médecins qui n'ont que partiellement rempli cette obligation.
Cependant, Alexander recommande de ne pas informer ou éduquer du tout, mais plutôt de travailler avec des annonces courtes et affirmatives. Cet extrait de la conférence avec transcription peut être écouté en annexe 1 ci-dessous.
Vient ensuite la conférence du Dr. Katja Fischer, membre du Comité national de vaccination et apparemment responsable de la vaccination contre le VPH au sein du département de vaccination du ministère de la Santé. On pourrait désormais s’attendre à ce qu’en tant qu’agent public, elle souligne les exigences juridiques et éthiques concernant le consentement éclairé. Mais non, elle souhaite d’abord souligner le message donné par l’intervenante précédente.
Elle est fière que l'Autriche ait été parmi les premiers pays à introduire une deuxième vaccination et désormais une troisième injection pour les personnes plus âgées. L’intégralité de la conférence se trouve également en annexe 2 ci-dessous.
Le troisième intervenant est le professeur Elmar Joura de MedUniVienna. Il est également fier de la première vaccination contre le VPH en Autriche en 2006 et d'avoir été un pionnier dans l'augmentation constante du nombre de seringues.
Il n’y a pas de diapositive distincte sur les conflits d’intérêts, mais il déclare brièvement : « J’ai mené des études de vaccination contre les TMS. »
Sa déclaration sur le test HPV chez les hommes est intéressante.
Il déclare : « Nous déconseillons fortement de tester les hommes, car ceux-ci ont une prévalence élevée du VPH de 30 à 50 pour cent et nous n’avons aucun algorithme sur la façon de traiter les hommes séropositifs au VPH. »
Apparemment, ils veulent éviter que les personnes vaccinées ne se demandent pourquoi elles ont reçu un vaccin qui ne pourrait pas prévenir une infection. Mais là est la question, car il n’y a aucun bénéfice apparent chez les hommes, mais des effets secondaires sont possibles.
La vaccination contre le VPH protège-t-elle ou nuit-elle
Le VPH est un virus passager, un virus qui va et vient. C'est pourquoi Joura déconseille fortement les tests, car ce ne sera pas bon si le virus est détecté chez des personnes vaccinées. Mais cela ne semble pas avoir d'importance de toute façon.
Cela tourne toujours autour du même concept commercial : créer la peur à l’aide d’un marqueur de substitution, puis déformer les statistiques et les études comme si le marqueur de substitution disait quelque chose et comme si l’intervention (coûteuse) allait faire quelque chose. Les astuces utilisées sont toujours les mêmes.
Même dans les informations destinées aux patients du Gardasil, l'efficacité est formulée avec le plus grand soin :
« GARDASIL est un vaccin (injection/seringue) utilisé comme adjuvant pour protéger contre les maladies suivantes causées par les types de virus du papillome humain (VPH) (6, 11, 16 et 18) »
Cependant, le potentialisateur de l'aluminium présente toujours un risque et, bien que rare, entraîne de graves effets secondaires.
De nouvelles études continuent d’émerger, comme celle du 16 février 2024 : Anti-NMDA Receptor Encephalitis, Human Papillomavirus et microARN. Cette recherche suggère que le vaccin contre le VPH pourrait déclencher une maladie cérébrale auto-immune rare qui provoque des symptômes psychiatriques ou neurologiques après la vaccination – et peut facilement être confondue avec une psychose à ses débuts. La presse autrichienne en a également parlé en 2007 :
Selon les intervenants de cet événement, il convient d'éviter toute information sur d'éventuels effets secondaires négatifs.
Deuxième fille en soins intensifs après la vaccination
OÖ Nachrichten 2008 : Un décès et sept maladies
OÖ Nachrichten : un jeune de 15 ans en soins intensifs après une vaccination contre le cancer
Le cancer du col de l'utérus a considérablement diminué au cours des dernières décennies. Pourquoi n'est-il pas si clair. Peut-être moins de cigarettes chez les femmes. Mais le déclin est clair et significatif. En Suède, l'incidence du cancer du col de l'utérus a également chuté massivement ces dernières années , avant l'introduction de la vaccination contre le VPH.
Le cancer du col de l'utérus survient principalement à un âge avancé et est généralement diagnostiqué chez les femmes de plus de 50 ans. C'est pourquoi il ne sert à rien de faire une étude comme celle de Joura, où sont examinées des femmes âgées de 17 à 30 ans. La question se pose de savoir quel biais entre en jeu lorsque, comme dans cette étude, seules les femmes bien avant la tranche d’âge typique sont examinées ? Cela peut être lu dans « L'âge moyen au moment du diagnostic de l'adénocarcinome et du carcinome épidermoïde » de Kristina Hellman .
Même les auteurs de l'étude sur la 2ème diapositive de Joura admettent seulement que la vaccination contre le VPH réduit de moitié le risque de cancer du col de l'utérus (sans aborder les problèmes et les biais évoqués) : « L'incidence cumulée chez les femmes non vaccinées a fortement augmenté pour atteindre 94 cas pour 100 000. » personnes avant l'âge de 30 ans, alors que l'incidence cumulée chez les femmes vaccinées était de 47 cas pour 100 000 personnes avant l' âge de 30 ans, alors que l'incidence cumulée chez les femmes vaccinées jusqu'à l'âge de 30 ans était de 47 cas pour 100 000 personnes.)
Il s’agit d’un résultat plus que faible et qui plaide contre la vaccination contre le VPH. Les auteurs de cette étude rapportent une autre analyse réalisée en Finlande, où l'énigme est résolue : avec la vaccination contre le VPH, le VPH est considérablement supprimé, mais cela n'a aucun effet sur la fréquence du cancer du col de l'utérus, car il est uniquement « associé » et non déterminé de manière causale. La conséquence logique est que peu ou pas de cancer du col de l’utérus associé au VPH, mais uniquement un cancer du col de l’utérus sans VPH. Mais cela n’est pas rapporté car les études ne portent que sur le cancer du col de l’utérus associé au VPH.
Annexe 1
05h44 : Ce ne sont en réalité que quelques étapes. Ce n'est pas si difficile. Nous soulignons que la vaccination contre le VPH fait partie de la pratique courante. Nous normalisons le processus.
Et avec la normalisation, nous essayons de convaincre les gens que c'est comme si on donnait à un bébé une injection de ROR. Nous vaccinons généralement les adolescents. C'est une routine. Deuxièmement, nous soulignons qu’il s’agit de prévention du cancer. Nous n'avons pas besoin de parler de sexualité ou d'adolescents.
Nous parlons du fait que vous et moi travaillons dans la prévention du cancer, puis nous encourageons les parents à le faire aujourd'hui. Et c’est là que résident les trois ingrédients d’une annonce réussie. Laisse moi te donner un exemple. Maman Emma aura bientôt douze ans. Et à l’âge de douze ans, nous faisons systématiquement vacciner tous nos garçons.
Et nous protégerons les filles contre le cancer lié au VPH. Nous donnons son vaccin à Emma aujourd'hui. Et puis on arrête. Et c’est là que les médecins ont des ennuis car ils ont tendance à en dire trop. Ils disent des choses comme : « Maman, tu as une question sur quelque chose ?
Mais non. Les recherches montrent que lorsque nous faisons cette annonce en trois étapes, environ 60 à 75 pour cent des parents américains, et je suppose que c'est la même chose pour les parents autrichiens, disent en dix à 15 secondes : Okay, vous avez réussi. Et je sais qu'en tant que pédiatre, je sais en tant que médecin généraliste, combien il y a à faire dans votre pratique, mais vous n'avez pas besoin de vous lancer dans une grande discussion ici. Emma a douze ans aujourd'hui. À l’âge de douze ans, nous donnons régulièrement à tous nos garçons et filles un vaccin pour prévenir le cancer.
Nous devrions faire vacciner Emma aujourd’hui. C'est fait, 10 secondes. Et les recherches montrent que cela fonctionne très, très bien. C'est pourquoi nous rappelons encore une fois que la vaccination contre le VPH est une vaccination systématique. Il s'agit de prévention du cancer et nous allons le faire aujourd'hui.
Désormais pour 60 à 70 % des personnes. C'est fait et c'est fait. » 8h10.
Annexe 2 (D’ailleurs, il se pourrait que ces vidéos plutôt révélatrices soient bientôt mises en « privées » et ne soient donc plus visibles.
Conférence de Kenneth A. Alexander, MD :
Conférence Dr. Katja Fischer, membre du Comité national de vaccination et apparemment responsable de la vaccination contre le VPH au ministère de la Santé :
Le conférencier est le professeur Elmar Joura de MedUniVienna
Mycotoxines : des dangers invisibles dans l'alimentation
22 Mai 2024 Mauro Proença, ACSH*
À un moment ou à un autre de votre vie, vous avez entendu des débats sur l'alimentation saine, qui mettent souvent l'accent sur les aliments biologiques, sans OGM, frais et peu transformés. Ces discussions sont souvent associées à des gourous de la santé qui prétendent détenir le secret de la longévité grâce à leur régime alimentaire. Cependant, cette focalisation peut occulter d'autres sujets importants liés à l'alimentation, tels que les contaminants.
Les mycotoxines
Les mycotoxines sont des métabolites, petites molécules, produites par des champignons filamenteux. Lorsque l'environnement est favorable (type de substrat, température et humidité), les mycotoxines peuvent se développer dans nos aliments.
On connaît plus de 400 composés considérés comme des mycotoxines.
Parmi les plus connus :
Les aflatoxines : Ces mycotoxines sont produites par des champignons comme Aspergillus flavus, et se développent dans les graines oléagineuses et les céréales comme l'arachide et le maïs. Une exposition prolongée et des doses élevées peuvent provoquer une immunodépression, un carcinome et une nécrose du foie chez l'homme et l'animal.
L'ochratoxine est présente dans des aliments tels que l'avoine, le café et le vin. Au moins une variante est considérée comme une néphrotoxine ayant des effets cancérigènes, tératogènes et immunosuppresseurs.
Toxine T2 : Cette mycotoxine affecte plusieurs céréales pendant la période hivernale et a été responsable de nombreux cas d'aleucie toxique alimentaire (ATA) chez les Soviétiques pendant la Seconde Guerre Mondiale. L'ATA provoque des vomissements, des diarrhées, une leucopénie (absence de globules blancs, aleukia), des hémorragies, des inflammations cutanées et parfois la mort.
La zéaralénone est communément présente dans le maïs, le blé, le seigle et l'orge. Beaucoup la classent parmi les mycoestrogènes en raison de sa similarité biologique avec les œstrogènes. Chez les animaux sensibles, tels que les bovins et les poulets, elle induit des effets œstrogéniques, notamment une hypertrophie de l'utérus et des mamelles et une infertilité.
Outre les nombreux effets sur la santé, les mycotoxines affectent également nos économies, en augmentant le coût des denrées alimentaires en raison de la nécessité de jeter les denrées alimentaires ou les aliments pour animaux contaminés, et en entraînant une perte de productivité et de qualité de vie pour les humains et les animaux
Bien qu'il soit difficile d'estimer avec précision le coût économique des mycotoxines, le Council for Agricultural Science and Technology (CAST), une organisation à but non lucratif, a souligné dans le rapport de sa task force de 2003 que les États-Unis sont confrontés à une perte économique potentielle d'environ 932 millions de dollars par an.
Une étude pilote évaluant l'exposition des enfants aux mycotoxines alimentaires dans la ville de Ribeirão Preto, au Brésil, a été récemment publiée dans Food Research International.
Les chercheurs ont recruté 67 volontaires (21 enfants d'âge préscolaire, 15 écoliers et 31 adolescents) sans antécédents de maladies chroniques au cours des deux années précédentes et qui fréquentaient un centre de santé communautaire local. Les volontaires ont collecté des échantillons d'aliments à leur domicile – 213 aliments crus ou non cuits, dont du riz, du blé, du maïs et des graines oléagineuses.
Les échantillons ont ensuite été testés [1] pour la présence et la quantification d'un certain nombre de mycotoxines. En outre, les participants ont été invités à remplir un questionnaire sur la fréquence des aliments et à effectuer un rappel alimentaire de 24 heures.
Les résultats sont les suivants :
Des mycotoxines ont été trouvées dans la plupart des échantillons, y compris ceux à base de maïs ou de blé et de riz.
Un tiers des aliments contenait au moins deux mycotoxines, ce qui suscite des inquiétudes pour la santé des enfants.
La quantité estimée de mycotoxines ingérées [2] a été calculée et s'est avérée généralement inférieure aux limites sanitaires établies. La seule exception pour les enfants et les adolescents concerne la consommation de produits à base de blé.
Les auteurs ont conclu que des mesures strictes tout au long de la chaîne alimentaire sont nécessaires au Brésil pour améliorer la sécurité alimentaire et réduire l'exposition des enfants aux mycotoxines alimentaires. Ces mesures comprennent un meilleur contrôle des cryptogammes avant et après la récolte, l'amélioration des conditions de stockage industriel et domestique, et la mise en œuvre d'une surveillance continue.
Les auteurs reconnaissent plusieurs limites à l'étude, notamment sa petite taille, qui rend la généralisation plus difficile. Et des imprécisions dans le rappel alimentaire de 24 heures qui pourraient avoir un impact sur l'estimation de l'exposition.
Nous pouvons protéger notre approvisionnement alimentaire à domicile grâce aux mesures suivantes :
Inspecter les céréales complètes, les fruits à coque et les fruits secs pour vérifier qu'ils ne sont pas décolorés ou moisis. Jeter tout article présentant ces caractéristiques.
Veiller à ce que les aliments soient stockés correctement, en évitant les insectes, l'humidité et les environnements pas trop chauds.
Ne pas conserver les aliments pendant de longues périodes.
Par ailleurs, un article publié dans Food Control souligne que les mesures cruciales pour prévenir l'exposition des consommateurs aux mycotoxines commencent sur le terrain. Ces mesures peuvent être classées en stratégies de pré-récolte et de post-récolte :
Stratégies avant la récolte :
Mise en œuvre de la sélection et de la rotation des cultures.
Adoption de méthodes d'irrigation appropriées.
Utilisation de la lutte chimique, biologique et contre les insectes.
Après la récolte :
Contrôle de la teneur en humidité et en eau.
Régulation de l'humidité relative et de la température pendant le stockage et le transport. Les cryptogames prolifèrent plus facilement dans les environnements chauds et humides. ____________
[1] La technique consiste à utiliser un chromatographe en phase liquide pour séparer les composants alimentaires dissous dans un liquide. Ensuite, ces composants sont placés dans un spectromètre qui permet l'identification structurelle et la quantification des composants.
[2] Estimation de la dose journalière : (concentration moyenne de mycotoxines dans l'aliment) x (consommation journalière) normalisée en fonction du poids corporel.
Sources : Exposure assessment of children to dietary mycotoxins: A pilot study conducted in Ribeirão Preto, São Paulo, Brazil (évaluation de l'exposition des enfants aux mycotoxines alimentaires : une étude pilote menée à Ribeirão Preto, São Paulo, Brésil). Food Research International. DOI : https://doi.org/10.1016/j.foodres.2024.114087
Mycotoxins: Risks in Plant, Animal and Human Systems (mycotoxines : risques dans les systèmes végétaux, animaux et humains). Rapport du groupe de travail n° 139.
Prevention and practical strategies to control mycotoxins in the wheat and maize chain (prévention et stratégies pratiques pour contrôler les mycotoxines dans la chaîne du blé et du maïs). Food Control. DOI : https://doi.org/10.1016/j.foodcont.2022.108855
* Mauro Proença est étudiant diplômé en nutrition à l'Université São Camilo de São Paulo, au Brésil.
Il écrit également pour « Questão de Ciência » (RQC), un magazine numérique « dédié à la défense de l'utilisation des preuves scientifiques dans le domaine public ».
Source : Mycotoxins: Invisible Dangers in Food | American Council on Science and Health (acsh.org)
Complot Pfizer : les enquêtes contre Leyen suspendues
22 mai 2024 de Thomas Oysmüller
L’enquête contre Leyen dans l’affaire Pfizer devrait être suspendue d’ici décembre.
En raison de l'accord de l'UE avec Pfizer sur les substances corona à ARNm, plusieurs États de l'UE, des députés européens et des centaines de citoyens se sont joints au procès contre Ursula von der Leyen. Le ministère public ouvre une enquête, mais celle-ci sera suspendue pour encore plusieurs mois.
Qui est responsable ?
Le Parquet européen (EPPO) a annoncé que l'audience devant un tribunal belge sur cette affaire a été reportée au 6 décembre. La question qui y est posée est de savoir si les poursuites judiciaires dans cette affaire relèvent de la police judiciaire belge ou des autorités européennes.
Le tribunal a reporté l'audience vendredi pour donner aux parties l'occasion de discuter des questions de compétence et de la levée de l'immunité de von der Leyen. Selon la plaignante, Leyen ne peut pas invoquer une immunité personnelle totale car elle n'a pas été élue à son poste. Elle n'est protégée contre les poursuites par « l'immunité fonctionnelle » que si elle a mené des actions dans le cadre de sa fonction définie de présidente de la Commission.
Comme le tribunal n’a pas rendu de décision la semaine dernière, plusieurs mois vont désormais s’écouler. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il sera clair s’il est réellement responsable de l’enquête. Cela signifie qu’il n’y aura pas d’autres développements autour du prétendu « complot Leyen-Pfizer » avant les élections européennes, dans un peu moins de deux semaines.
. Le député européen Martin Sonneborn du parti Die a déclaré au Berliner Zeitung : « Les élections européennes ont déjà été suffisamment délégitimées, dont le résultat, à savoir un nouveau mandat pour la présidente de la Commission von der Leyen, est déjà aussi certain que les résultats de les élections en Russie ou en Chine seront encore davantage délégitimées par cette décision. «Pourquoi faut-il un an et demi au Parquet européen, qui relève du commissaire à la Justice Didier Reynders et de la présidente de la Commission von der Leyen, pour que le stand de von der Leyen dans le bâtiment de la Commission soit perquisitionné et que son téléphone portable professionnel soit confisqué. afin d’inspecter le SMS Pfizer ?
Y a-t-il des virus ? – Médecins pour l’éthique COVID
22 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Un débat récurrent au cours des quatre dernières années porte sur la question de savoir si les virus existent ou si les maladies respiratoires ont d'autres causes. Les deux scientifiques et médecins Michael Palmer et Sucharit Bhakdi ont récemment publié un article sur cette question dans Doctors for Covid Ethics.
Ils notent d’abord qu’en relation avec la « pandémie » de COVID-19, beaucoup ont compris à quel point les autorités politiques et scientifiques ont systématiquement menti. Cela concerne l’origine de l’agent infectieux ainsi que la nécessité et la sécurité des contre-mesures prescrites telles que le confinement, les masques et les vaccins. Ici aussi, au TKP, l’existence du virus responsable du COVID-19 ou même des virus et germes pathogènes en général a été mise en doute ou rejetée à plusieurs reprises dans les commentaires. Palmer et Bhakdie tentent de corriger les choses
Quoi qu’il en soit, ils reconnaissent que le public a de nombreuses raisons de se méfier non seulement des hommes politiques, des fonctionnaires et des médias, mais aussi de la « communauté scientifique »…
Le virus SARS-CoV-2 a-t-il déjà été isolé ?
« Oui, il a été isolé – d’innombrables fois. Un aperçu de ces études a été fourni par Jefferson et al. donné. Une étude robuste corrélant l'isolement du virus, la PCR et les résultats cliniques chez une série de patients hospitalisés atteints du COVID-19 a été rapportée par Wölfel et al . publié. Il est également possible d’acheter des échantillons du virus purifié auprès de l’American Type Culture Collection. Bien que ceux-ci soient inactivés par la chaleur, ils devraient néanmoins permettre de confirmer l’identité du virus si l’on dispose de l’expérience et du matériel nécessaires.
La légende selon laquelle le SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé repose uniquement sur l’exigence stricte selon laquelle un tel isolement doit être effectué sans recourir à des cultures cellulaires. Comme déjà mentionné, il est très probable que les virologues en exercice ignoreront cette demande, ce dont on ne peut pas leur en vouloir.
Mais le COVID-19 n’est-il pas simplement une grippe sous une nouvelle forme ?
Il est en effet frappant de constater qu’à mesure que le nombre de cas de COVID-19 augmente, le nombre de cas de grippe diminue également fortement. Cela peut s'expliquer comme suit :
Les infections respiratoires sont souvent causées par plusieurs virus. Si les tests ne sont pas exhaustifs, les résultats seront faussés par les tests choisis.
L’hystérie entourant le COVID-19 a conduit les médecins à effectuer des tests de diagnostic de manière sélective pour le COVID-19 et à exclure d’autres agents pathogènes respiratoires.
Des critères extrêmement vagues ont été utilisés pour diagnostiquer les infections au COVID-19. Vous avez probablement entendu parler des problèmes répandus liés aux tests PCR faussement positifs.
Les mauvaises méthodes de laboratoire ont inévitablement conduit à de nombreux diagnostics erronés du COVID-19. Les patients ainsi diagnostiqués ne faisaient généralement pas l’objet de tests supplémentaires pour la grippe, ce qui entraînait une diminution du nombre de cas de grippe diagnostiqués. L’incapacité de tester les agents pathogènes bactériens a eu pour conséquence que les patients atteints de pneumonie bactérienne ne sont pas diagnostiqués et se voient refuser le traitement antibiotique nécessaire. Ce n’était qu’une des nombreuses formes de faute professionnelle médicale à l’ère du COVID-19 qui était à l’origine de la surmortalité [ Rancourt, DG et al. (2021) Nature du désastre de santé publique de l'ère COVID aux États-Unis, à partir de la mortalité toutes causes confondues et des données socio-géo-économiques et climatiques . Rancourt, D.G. et coll. (2022) Campagne de vaccination de masse pendant la période COVID et catastrophe de santé publique aux États-Unis. ResearchGateDOI : 10.13140/RG.2.2.12688.28164 ].
Même si nous avons toutes les raisons de nous méfier et d’accuser l’establishment médical et scientifique actuel, cela ne doit pas nous amener à ignorer les preuves scientifiques solides lorsqu’elles existent. La théorie des germes en général, ainsi que la virologie, sont très riches en preuves de ce type, malgré ses récentes distorsions et abus, qui doivent être reconnus et corrigés de toute urgence. Cependant, la solution ne réside pas dans un scepticisme radical qui confine au nihilisme. Au lieu de cela, nous devons redécouvrir et revigorer l’esprit de débat rigoureux mais impartial qui a autrefois fait la grandeur de la science médicale.
De : https://doctors4covidethics.org/do-viruses-exist/
Le mot 'virus' est un mot 'bateau' exprimé pour n'importe quoi !
Le virus de l'ordinateur, le virus de la chasse, de la pêche, du cinéma ou de la bonne bouffe, etc, etc.
Le nom de 'virus' a été donné à des nano-poussières (1 millième de millimètre). Or, jusqu'à présent, TOUTES les poussières ou nano-poussières étaient INOFFENSIVES (sauf les poussières radioactives, ce qui n'est pas là le cas).
Les maladies provenant uniquement de bactéries porteuses de maladies et donc appelées microbes.
Mais là, cette nano-poussière (appelée au départ 'corona', puis 'cocxovide19', 'Alpha', 'Tango', 'Charlie', 'Omicron', et-c !) n'a JAMAIS été dans l'air !! Il y a DES milliers de laboratoires dans le monde qui - chaque jour - examinent la 'qualité de l'air' et ne l'ont JAMAIS trouvé ! Çà alors !!
Mais alors... Où est-elle ? Devinez !
Cette nano-poussière (empoisonnée) est UNIQUEMENT en seringues ! Si t'es piqué tu l'as. Si tu l'as t'es mort !
Les gagnants de la pandémie luttent dans le monde post-pandémique
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 22 MAI 2024 - 12H55
Zoom Video Communications, la société devenue célèbre au début de la pandémie, a publié lundi ses résultats pour le premier trimestre de son exercice 2025, dépassant de peu les attentes des analystes mais décevant les investisseurs avec ses perspectives à court terme. Le bénéfice ajusté par action a augmenté de 16 pour cent sur un an, tandis que le chiffre d'affaires total et le chiffre d'affaires de l'entreprise ont augmenté respectivement de 3 et 5 pour cent. C’est loin des chiffres de croissance publiés par Zoom pendant la pandémie, lorsque l’entreprise a vu ses revenus se multiplier en quelques mois. La fin du travail à domicile et le retour au bureau qui s’ensuit, ainsi que la forte concurrence de Microsoft Teams, de Webex de Cisco et de Slack de Salesforce, ont ramené sur terre l’ancien champion de la pandémie.
Cependant, comme le note Felix Richter de Statista, Zoom n'est pas le seul gagnant de la pandémie qui lutte pour maintenir son élan dans le monde post-pandémique.
D’autres entreprises qui avaient explosé dans les circonstances particulières créées par le Covid-19 se sont également effondrées au cours des deux dernières années, alors que la vie normale revenait progressivement.
La société de fitness à domicile Peloton et la place de marché de bricolage Etsy, qui a profité d'un grand volume de ventes de masques sur sa plateforme pendant la pandémie, en sont deux exemples, aux côtés du fabricant de vaccins Moderna et DocuSign, une société qui permet aux entreprises de gérer les accords par voie électronique.
Comme le montre le graphique suivant, toutes ces sociétés ont vu le cours de leurs actions monter en flèche pendant la crise de Covid, mais elles ont toutes chuté d’au moins 70 % par rapport à leur valorisation maximale en cas de pandémie.
Infographie : La lutte des gagnants de la pandémie dans le monde post-pandémique | Statiste
1 000 $ investis dans les actions Moderna le 11 mars 2020, le jour où l’OMS a déclaré l’épidémie de Covid-19 une pandémie, se seraient appréciés à plus de 20 000 $ en août 2021 et vaudraient encore près de 6 000 $ aujourd’hui.
Les investisseurs qui ont acheté des actions de DocuSign, Zoom ou Peloton au début de la pandémie et les ont conservées jusqu'à présent souffrent cependant d'une grave gueule de bois liée à la pandémie, car les actions de ces sociétés valent désormais (nettement) moins qu'auparavant. Mars 2020.
Les deux tiers des bénéficiaires d'allocations de chômage en Allemagne sont des migrants, alors que le coût pour les contribuables monte en flèche de 122 % depuis 2010.
Dans plusieurs États allemands, dont la Hesse, le Bade-Wurtemberg et Hambourg, environ les trois quarts des demandeurs d'allocations sont des migrants de première ou de deuxième génération, ce qui suggère que l'immigration massive de travailleurs peu qualifiés ne constitue pas un avantage net pour la plus grande économie d'Europe.
21 MAI 2024 15:35 Thomas BROOKE
Près des deux tiers des résidents allemands bénéficiant d'allocations de chômage sont issus de l'immigration, révèlent de nouveaux chiffres de l'Agence fédérale pour l'emploi.
Les statistiques publiées par l'agence fédérale et citées par le journal Die Welt montrent que 63,1 pour cent des bénéficiaires du revenu du citoyen, ou « Bürgergeld », sont d'origine immigrée et que « la plupart n'ont pas de passeport allemand ». »
Le journal allemand explique que si les chiffres de l’emploi augmentent d’année en année, « parce que la République fédérale autorise depuis longtemps une immigration très élevée de personnes peu qualifiées, le nombre de migrants au chômage et bénéficiant de prestations sociales augmente également ».
Les chiffres définissent le « milieu migratoire » comme toute personne qui est elle-même ou dont les parents sont nés sans nationalité allemande, c’est-à-dire les migrants de première et de deuxième génération.
Sur les 3,93 millions de personnes éligibles à l’aide financée par les contribuables en décembre 2023, quelque 2,48 millions étaient classées comme étant issues de l’immigration, dont 1,83 million n’avaient pas la nationalité allemande.
Ce pourcentage varie considérablement selon les Länder. En Hesse, dans le Bade-Wurtemberg et à Hambourg, plus de sept bénéficiaires sur dix sont des migrants, soit respectivement 76,4 %, 74,1 % et 72,8 %.
Il existe une forte corrélation entre l’augmentation de la population migrante et le pourcentage des prestations sociales versées aux migrants, ce qui donne du poids à l’argument selon lequel l’immigration massive de travailleurs peu qualifiés ne constitue pas un avantage net pour la plus grande économie européenne.
En 2013, la proportion de la population allemande issue de l'immigration s'élevait à 20 pour cent, et 43 pour cent des bénéficiaires de prestations étaient des migrants. Aujourd'hui, 29 pour cent de la population allemande est née à l'étranger et 63 pour cent des allocations de chômage sont versées aux migrants.
En juillet de l'année dernière, la secrétaire d'État parlementaire au ministère fédéral du Travail et des Affaires sociales, Anette Kramme, a répondu à une demande du député d'Alternative pour l'Allemagne, René Springer, en révélant que le nombre de bénéficiaires allemands de prestations sociales avait diminué de moitié depuis 2010, tandis que le nombre de ressortissants étrangers recevant des paiements a doublé.
Le coût pour le contribuable est monté en flèche depuis 2010, avec une augmentation de 122 pour cent sur la facture de 6,9 milliards d'euros, pour atteindre aujourd'hui environ 15,4 milliards d'euros par an.
Springer avait déclaré à l’époque que l’Allemagne avait désespérément besoin de mettre en œuvre « une politique d’immigration restrictive qui empêche efficacement l’immigration dans nos systèmes sociaux. En revanche, le revenu citoyen introduit par le gouvernement fédéral agit comme un aimant à immigration.»
Un monde sans loi au bord de la guerre et des assassinats politiques. « Signes d’effondrement de la phase finale »
Par Joachim Hagopian Recherche mondiale, 22 mai 2024
Lundi 20 mai, alors que le procureur de la Cour pénale internationale ( CPI ) de l'ONU a émis des mandats d'arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ministre de la Défense Yoav Gallant ainsi que trois dirigeants du Hamas pour crimes de guerre, et le président Joe Biden a répété à nouveau : « Ce qui se passe est pas un génocide. Nous rejetons cela », insistant toujours sur le fait que l’Israël sioniste ne s’engage pas dans un génocide contre le peuple palestinien, nous vivons dans un monde de plus en plus dangereux. Cela survient quelques jours seulement après l'échec d'une tentative d'assassinat contre un dirigeant national de l'UE, puis la mort soudaine du président et du ministre des Affaires étrangères iraniens. Le rythme scandaleux actuel des événements mondiaux inquiétants est extrêmement inquiétant.
Le fait est que, chaque jour, nous nous réveillons face à des signes plus inquiétants d’effondrement de la phase finale, d’ une guerre mondiale imminente entre les plus grandes puissances nucléaires, d’assassinats politiques et, oui, d’un monde polarisé, apparemment incontrôlable, en croissance chaotique et exponentielle. instable et violent la semaine. Ce flux incessant d’incidents signifie une escalade de la déstabilisation mondiale, la démolition délibérée et contrôlée par les mondialistes de notre planète devenue folle. Rien de tout cela n’est dû au hasard ni au hasard. Cela reflète simplement l’effondrement systématique, par conception diabolique, de toute vie telle que nous la connaissons. Des présages destructeurs de bouleversements accélérés et de morts massives potentielles apparaissent désormais presque quotidiennement, à fortes doses choquantes.
Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, a failli être assassiné mercredi 15 mai dernier. Il n’est que l’un des deux dirigeants nationaux de l’UE amis de la Russie et opposés à l’aide militaire à l’Ukraine, et le seul dirigeant national vivant dans ce monde enquêtant sur Pfizer et les co-conspirateurs de pouvoir coupables de l’holocauste par balle mortelle du COVID, déterminé à les tenir publiquement responsables pénalement. .
Les trois dirigeants africains et le dernier dirigeant haïtien élu ont tous été assassinés il y a plusieurs années pour avoir pris avec véhémence des positions audacieuses contre le programme mondialiste visant à commettre un génocide humain avec son arme biologique, le poison non vaccinal des grandes sociétés pharmaceutiques. Bien sûr, ce n’est pas un hasard si l’Associated Press, l’un des plus grands médias contrôlés par les mondialistes, a affirmé, quelques heures après la fusillade de Fico, que « les autorités slovaques affirment qu’il [l’assassin raté] a agi seul dans une attaque politiquement motivée ». Comme sur des roulettes, chaque fois que les trompeurs intégrés de l’establishment prétendent être un « tireur solitaire », ils arrivent instantanément à leur conclusion habituelle en matière de dissimulation criminelle. Pourtant, les faits prouvent si souvent le contraire puisque la CIA et le Mossad sont notoirement coupables de nombreux assassinats et coups d’État politiques. JFK, RFK, Martin Luther King me viennent tous facilement à l’esprit.
Il y a à peine un mois et demi, l'article du Guardian de l'écrivain Simon Tisdall intitulé « Autrefois une relique de la guerre froide, les assassins politiques sont de retour avec le permis de tuer » commençait par :
Dans le monde de non-droit d'aujourd'hui, l'assassinat politique est la nouvelle industrie en croissance – et quiconque, célèbre ou non, est une victime potentielle. Les meurtres sanctionnés par le gouvernement se multiplient, la Russie, Israël, l’Iran et l’Inde étant en tête du peloton.
Tisdall faisait référence à l'assassinat par Israël, le jour du poisson d'avril, de généraux iraniens de haut rang dans le consulat iranien de Damas, en Syrie, qui constitue clairement une violation du droit international. Cela a à son tour conduit à une « revanche » modérée de l'Iran, le 13 avril, en lançant la plus grande attaque de drones et de missiles au monde, alors que Téhéran frappait pour la première fois des cibles militaires précises directement sur le sol israélien, frappant des postes d'espionnage et militaires dans le désert du Néguev, minimisant ainsi particulièrement les pertes civiles. envoyant le message clair que le système de défense aérienne d’Israël est en fait pénétrable, malgré les mensonges bravades sionistes vantant son infaillible « Dôme de fer ».
En quatre jours la semaine dernière, le monde a été témoin d'un assassinat, bien qu'il s'agisse d'une tentative manquée d'assassinat d'un rare dirigeant national de l'UE ami de la Russie, suivi à peine quatre jours plus tard par ce qui pourrait être un assassinat réussi d'un autre allié de la Russie, le président iranien et le diplomate iranien. ministre. Lundi 20 mai, tous les gros titres rapportaient que le président iranien Ebrahim Raïssi , 63 ans , son ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, 60 ans, et six autres hauts responsables iraniens, étaient décédés la veille, le dimanche 19 mai, dans des circonstances apparentes. accident d'hélicoptère dans la province de l'Azerbaïdjan oriental, au nord-ouest de l'Iran, près de la ville de Varzaqan. Parmi les autres personnes tuées figurent le gouverneur général de la province de l'Azerbaïdjan oriental, Malek Rahmati, et le représentant du guide suprême en Azerbaïdjan oriental, Mohammad Ali Ale-Hashem.
Malgré la technologie GPS instantanée d'aujourd'hui localisant un emplacement spécifique avec un enregistrement de boîte noire, un épais brouillard a rendu les efforts de recherche difficiles pour quarante équipes de secours pour localiser le lieu de l'accident, ce qui est suspect en soi. AP a déclaré que l'accident s'est produit "sur le flanc d'une montagne escarpée", à 19 kilomètres au sud de la frontière Iran-Azerbaïdjan.
Israël a immédiatement nié toute implication, et bien sûr, les conditions de vol dites difficiles au moment de l'accident permettent à Israël de nier automatiquement son « déni plausible ». Reuters a déclaré :
Un responsable israélien, qui a requis l'anonymat, a déclaré à Reuters qu'il n'était pas impliqué dans l'accident.
Le bilan d’Israël en matière de crédibilité en matière de vérité a été à plusieurs reprises atroce, surtout ces derniers temps. Peu de nations ou de personnes font confiance à Israël parce que ce pays possède l’une des pires réputations en matière de tromperie continue, un peu comme son menteur-voleur n°1 qui occupe illégalement la Maison Blanche et son régime traître de Washington DC.
Le gouvernement génocidaire israélien n’a pas divulgué sa réponse officielle à la mort des dirigeants iraniens. Pourtant, l'actuel ministre israélien du Patrimoine, Amichay Eliyahu , a réagi à la mort de Raisi en publiant une image d'un verre de vin sur X avec la légende « Cheers » en dessous. Avigdor Lieberman , ancien ministre de la Défense et chef du parti d’opposition de droite Yisrael Beiteinu, a déclaré à Ynet qu’Israël « ne versera pas une larme pour la mort du président iranien ».
Malgré le mauvais temps présumé, deux autres hélicoptères iraniens transportant apparemment des responsables de Téhéran de moindre importance sont tous deux rentrés sains et saufs à destination après avoir assisté à une cérémonie d'ouverture d'un projet de barrage conjoint avec le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev. Mais ce crash d’hélicoptère est-il vraiment un accident ou s’agit-il d’une autre attaque terroriste israélienne visant les principaux dirigeants de l’Iran, l’ennemi juré de l’Israël sioniste ?
Le guide suprême iranien Ali Khamenei a déclaré depuis 1989 cinq jours de deuil tout en plaçant le deuxième président de la République d'Iran, l'adjoint de Raisi, Mohammad Mokhber, comme président par intérim jusqu'à la tenue d'élections dans les 50 jours.
L’assassinat du dirigeant iranien Ebrahim Raisi ne serait certainement pas le premier coup politique meurtrier d’Israël et de ses alliés. L’essentiel est qu’au cours des cinq dernières années seulement, Israël et ses amis ont été directement responsables de nombreux assassinats ciblés contre les plus hauts dirigeants politiques et militaires iraniens.
C'est sous la présidence du premier ministre israélien Donald Trump, acheté et payé par Israël avec le premier argent , que son secrétaire d'État de l'époque, diplômé de West Point une décennie plus jeune et ancien directeur de la CIA, Mike Pompeo, a lancé le 3 janvier 2020 sa frappe de drone de la CIA. sur le plus haut responsable militaire iranien, le général Qasem Soleimani . Mike Pompeo est un autre menteur audacieux le lendemain de l'exécution de Soleimani, s'exprimant sur CNN comme une plume dans son chapeau, affirmant avec suffisance que le général iranien travaillait avec les terroristes du Moyen-Orient alors qu'en réalité Soleimani les éliminait, battant ainsi le soutien des États-Unis. des groupes terroristes mandataires comme ISIS en Syrie et en Irak.
La guerre américaine contre l’Irak, basée sur un autre mensonge américain audacieux selon lequel les armes de destruction massive de Saddam Hussein n’existaient pas, était encore une autre guerre impérialiste expansionniste de l’Empire américain, où encore une fois, les États-Unis, en tant que tyrans des mondialistes, étaient clairement du mauvais côté de l’histoire. Le général Soleimani a aidé l’Irak à finalement éliminer l’armée américaine en tant qu’occupant en Irak, provoquant une autre perte de guerre humiliante pour les États-Unis en 2011, éclipsée seulement près d’une décennie plus tard par la débâcle en Afghanistan.
Pendant des années, les États-Unis ont violé de manière flagrante les droits de souveraineté nationale de l’Irak, de la Syrie et de l’Afghanistan, en déployant des occupants militaires américains sur le terrain contre la volonté et les droits des gouvernements de Bagdad et de Damas, sans parler de celui de Kaboul. Ces nations savent que l’excuse donnée par les États-Unis jusqu’à ce jour pour justifier leur présence non désirée – éliminer les soi-disant vestiges des terroristes de l’État islamique de la région – est un mensonge absolu puisque ce sont à la fois les États-Unis et Israël qui en sont les principaux créateurs et depuis longtemps. Les partisans de leurs alliés terroristes aux États-Unis ont fabriqué une guerre contre le terrorisme qui a duré des décennies dans tout le Moyen-Orient. Avant l’EI, les États-Unis et Israël se sont associés aux monarchies des États du Golfe pour créer Al-Qaïda et Bush, allié de la famille Ben Laden, pour mener à bien le travail israélo-américain du 11 septembre, en commettant délibérément une trahison pour tuer 3 000 Américains afin de lancer leur plan pré-planifié. nouveau Pearl Harbor » pour éliminer sept nations en cinq ans. Tout cela est connu de l’histoire maintenant.
En tant que général le plus populaire d'Iran et deuxième dirigeant national le plus puissant derrière le guide suprême Ali Khamenei au moment de son assassinat en 2020, le général Soleimani était principalement responsable non seulement de l'affaiblissement réussi des talibans , mais aussi de l'éradication virtuelle de l'État créé, financé et entraîné par les États-Unis. Les terroristes de l'État islamique, devenus la plus grande organisation terroriste au monde, ainsi que d'autres groupes militants djihadistes soutenus par les États-Unis et opérant en Syrie et en Irak.
C'est fin décembre 2021 que le chef du renseignement militaire israélien, alors récemment retraité, le major-général Tamir Hayman , a admis qu'Israël avait aidé les États-Unis dans l'assassinat du général Soleimani, jubilant :
L’assassinat de Soleimani est une réussite, puisque notre principal ennemi, à mes yeux, ce sont les Iraniens. Deux assassinats significatifs et importants peuvent être notés au cours de mon mandat.
L’autre assassinat dont Hayman se vante illustre comment Israël utilise historiquement sa stratégie diviser pour régner pour contrôler à la fois les groupes palestiniens, le Hamas à Gaza et l’Autorité palestinienne (AP) en Cisjordanie. Le Hamas a été secrètement créé et financé par Netanyahu pour opposer le Hamas à l’AP, et tant que les groupes palestiniens se battent les uns contre les autres, restant faibles et plus faciles à contrôler, ils ont permis la politique de longue date de Netanyahu interdisant la solution à deux États . Dans cette affaire, le Hamas a accusé les agents des services de renseignement de l’Autorité palestinienne d’avoir informé l’armée israélienne de l’emplacement spécifique à Gaza du commandant du Jihad islamique palestinien Baha Abu al-Ata pour un autre assassinat par frappe aérienne israélienne en novembre 2019. Encore un autre coup dur israélien sous la ceinture. L' assassinat du principal scientifique nucléaire iranien, Mohsen Fakhrizadeh-Mahavadi, a été livré à l'Iran un an plus tard, le 27 novembre 2020.
Puis est survenu un autre assassinat mortel par frappe aérienne de l’État juif le jour de Noël 2023 dans une banlieue de Damas, ciblant encore un autre général iranien Sayyed Razi Mousavi , le conseiller principal du Corps des Gardiens de la révolution iraniens (CGRI) crédité de la coordination de l’alliance militaire entre la Syrie et l’Iran. Puis, un peu plus d'une semaine plus tard, le 3 janvier 2024, les États-Unis et Israël ont sans aucun doute coordonné leur allié mandataire au Moyen-Orient, ISIS, pour massacrer à nouveau de sang-froid 84 civils iraniens supplémentaires , simplement pour avoir honoré la perte de leur héroïque général populaire, assistant à la cérémonie de Soleimani. service commémoratif à l'occasion de son quatrième anniversaire de décès. Cet acte terroriste a été perpétré dans le but délibéré d’accroître les tensions au Moyen-Orient, en ciblant une fois de plus brutalement l’Iran comme victime.
L’agression israélienne contre l’Iran n’a jamais été contrée par des meurtres en représailles à Téhéran, bien que cela soit plus que justifié. Le mois dernier, à l'occasion de la fête musulmane de l'Aïd al-Fitr, Israël s'est livré à des assassinats plus ciblés des trois fils et quatre de ses petits-enfants du leader politique du Hamas, Ismail Haniyeh. Haniyeh a expliqué qu'Israël a intentionnellement ciblé sa famille dans le camp de réfugiés de Shati et qu'ils ont rendu visite à des proches pendant les vacances. Les assassinats ciblés constituent un mode de vie protégé, apparemment réservé aux seuls « élus » de l’État juif. Aucun autre État-nation n’est à même d’accumuler des crimes aussi odieux et prémédités avec une telle fréquence, même si les États-Unis seraient sans aucun doute en deuxième position.
Il n’a pas fallu longtemps pour que les spéculations s’emballent, désignant Israël comme le suspect le plus probable. Selon la vidéo de DCM Global publiée lundi 20 mai, des sources anonymes au sein du gouvernement de Téhéran affirment que le pilote d'hélicoptère qui a transporté Raïssi et son équipe à l'événement avec le président azéri Ilham Aliyev en Azerbaïdjan, près de la frontière iranienne, n'était pas le même pilote que les a ramenés en Iran pour son « atterrissage brutal » accidentel. La vidéo allègue en outre que le deuxième pilote était un agent du Mossad. Au moment où les équipes de recherche et de sauvetage sont arrivées sur les lieux présumés de l'accident, l'hélicoptère avait été complètement brûlé.
Les nombreuses spéculations sur la mort subite du président iranien, du ministre des Affaires étrangères et d'autres hauts responsables iraniens sont également alimentées par des informations selon lesquelles un avion C-130 de l'US Air Force est arrivé de manière suspecte en Azerbaïdjan à peu près au moment du départ de l'hélicoptère de Raïssi. Les conjectures tournent autour d'une possible guerre électronique qui aurait pu être utilisée pour bloquer l'avion du président, provoquer un dysfonctionnement et finalement provoquer l'accident. L'Iran affirme avoir acheté l'hélicoptère Bell 212 au début des années 2000 . Les États-Unis connaîtraient extrêmement bien leur avionique, ce qui pourrait rendre l’hélicoptère de Raïssi en Azerbaïdjan non fonctionnel. Pendant de nombreuses décennies, ce modèle d'hélicoptère Bell 212 a maintenu un excellent dossier de sécurité, contrairement aux avions Boeing de ces dernières années. Il est donc très inhabituel qu'elle soit impliquée dans un accident, et encore moins qu'il s'agisse d'un président national issu d'une grande puissance régionale.
Le moment de cet incident fatidique n'aurait pas pu survenir à un moment plus instable au cours de la montée croissante du conflit qui précède la Troisième Guerre mondiale. Alors que le guide suprême Khamenei, âgé de 85 ans, est sur le point de prendre sa retraite, le moment choisi ici semble encore une fois très suspect et troublant. Raïssi était considéré comme le principal candidat à la succession de Khamenei, tout comme il avait été président de 1981 à 1989 sous la direction de son prédécesseur vieillissant, le guide suprême Ruhollah Khomeini.
Alors qu'Israël joue un rôle de premier plan dans l'assassinat de nombreux dirigeants politiques, militaires et scientifiques iraniens, les assassinats ciblés systématiques d'Israël se poursuivent sans contrôle et sans conséquence depuis trois quarts de siècle. Si des preuves solides et concluantes confirmant qu’Israël a tué Raïssi apparaissent, ce dernier crime, le plus flagrant de tous, restera-t-il également impuni ? Si l’histoire continue de se répéter, elle se répétera. Mais nous vivons aujourd’hui une époque extraordinaire qui appelle des mesures extraordinaires et sans précédent. Et un changement radical est dans l’air. L’Iran, le monde musulman et même le monde entier sont au bord de la révolte contre l’ordre mondialiste du Vieux Monde devenu NOM. L’opposition croissante, au milieu d’une telle exposition publique de ces crimes contre l’humanité flagrants et non masqués, atteint un point de non-retour.
Il a souvent été rapporté que l’Iran et l’Azerbaïdjan entretenaient des relations tendues ces dernières années. Bien que l’Azerbaïdjan et l’Iran soient tous deux voisins musulmans chiites, cela n’a pas empêché les relations du dictateur azéri, riche en pétrole de la mer Caspienne, Ilham Aliyev, avec Israël de devenir de plus en plus cordiales et chaleureuses. Après tout, c’est l’État juif ashkénaze qui a fait toute la différence en fournissant à l’Azerbaïdjan les drones stratégiques qui lui ont permis pour la première fois de vaincre tactiquement les Arméniens sur le champ de bataille pour défendre leur dernière guerre du Haut-Karabakh qui a duré 45 jours fin 2020. Cette action a à son tour déclenché la « frappe éclair » de Bakou au Haut-Karabakh l'année dernière, éliminant pratiquement tous les 120 000 Arméniens restants déracinés de leur ancienne patrie légitime en tant que réfugiés de guerre fuyant pour se mettre en sécurité vers la République d'Arménie.
Cette relation symbiotique entre les « étranges camarades » Israël et l’Azerbaïdjan amène aujourd’hui Aliyev à soutenir publiquement la guerre d’Israël contre le Hamas.
Ainsi, le fait que le dirigeant iranien assiste à un événement politique en Azerbaïdjan avec un despote indigne de confiance et si proche du principal ennemi de l'Iran, le sioniste Israël, aurait pu être une erreur fatale. Et comme le ministre iranien des Affaires étrangères, Amir-Abdollahian, est probablement d'origine arménienne, cela rend automatiquement ce voyage malheureux d'autant plus suspect. Aliyev n’a pas caché son intention d’effacer les Arméniens de la surface de la terre, tout comme son compagnon de lit impie, la mafia Khazar, Benjamin Netanyahu, efface tous les Palestiniens de la surface de la terre. Ces deux dictateurs criminels de guerre, Bibi et Ilham, sont deux pois pourris issus de la même cosse pourrie.
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Joachim Hagopian est diplômé de West Point, ancien officier de l'armée et auteur de « Don't Let the Bastards Getcha Down » qui expose un système de leadership militaire américain défectueux basé sur le fait de gravir les échelons de l'ancienneté, éliminant invariablement les meilleurs et les plus brillants, laissant la médiocrité. et les partisans de l’ordre s’élevant au sommet en tant que généraux politiciens-bureaucrates désignés pour perdre chaque guerre américaine moderne par le dessein de l’élite. Après son service militaire, Joachim a obtenu une maîtrise en psychologie clinique et a travaillé comme thérapeute agréé dans le domaine de la santé mentale auprès de jeunes et d'adolescents maltraités pendant plus d'un quart de siècle. À Los Angeles, il s'est retrouvé aux prises avec les plus grands services de protection de l'enfance du pays, au sein d'un système américain de protection de l'enfance complètement brisé et corrompu.
Son expérience dans le système militaire et de protection de l'enfance l'a bien préparé en tant que chercheur et journaliste indépendant, exposant les méfaits des grandes sociétés pharmaceutiques et comment le système médical et psychiatrique contrôlé par Rockefeller inflige plus de mal que de bien, par exemple le canular de la pandémie et tue. génocide par balle. En tant que journaliste indépendant au cours de la dernière décennie, Joachim a écrit des centaines d'articles pour de nombreux sites d'information, notamment Global Research , lewrockwell.com et actuellement https//jameshfetzer.org , Inteldrop.org et https://thegovernmentrag.com . En tant qu'auteur publié d'une série de cinq volumes intitulée Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy & the Deep State , les livres et chapitres de Joachim sont des best-sellers d'Amazon dans les catégories de défense des enfants et de droits de l'homme. Sa série de livres sources AZ documente et expose entièrement le fléau mondial de la pédophilie et reste disponible gratuitement sur https://pedoempire.org/content s/ . Joachim anime également l'émission hebdomadaire Revolution Radio « Cabal Empire Exposed » le vendredi matin à 7 heures du matin (ID : revradio, mot de passe : rocks !).
Parallèlement aux démissions extraordinaires de Klaus Schwab et de Mélinda Gates, l'assassinat de 'personnes importantes' porte à réfléchir au pourquoi et à l'avenir.
Actualités du WEF : Klaus Schwab démissionne. La résistance n’est pas vaine.
Klaus Schwab quitte ses fonctions de président du WEF en 2025
Par le Dr Robert Malone Recherche mondiale, 22 mai 2024
Le leader et fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab , quitte son rôle exécutif et passe à un rôle de « président non exécutif » en 2025.
La vérité est que Borge Brende , président du Forum économique mondial, dirige déjà les opérations quotidiennes. M. Brende, un négociateur norvégien intelligent et sophistiqué avec une expérience éprouvée, est prêt à assumer un rôle encore plus important au sein de l'organisation. Son implication dans les réunions du Bilderberg, notamment au sein de leur comité directeur et dans divers rôles au sein des Nations Unies, notamment celui de président de la Commission du développement durable de l'ONU (2003-04), témoigne de sa capacité à renforcer son pouvoir et son influence. Il est le successeur naturel du titre de président exécutif de Klaus.
Schwab est un excellent personnage de dessin animé méchant avec son attitude germanique, autoritaire et autoritaire. Il apparaît comme une figure bidimensionnelle, animée par le corporatisme et le pouvoir, ce qui en fait une cible facile à haïr. Mais la vérité est qu’il coopère et contraint les dirigeants nationaux depuis des décennies.
- voir clip sur site -
Cliquez ici pour regarder la vidéo
Le Malone Institute a dressé une liste de tous les jeunes leaders diplômés du WEF et une liste de politiciens américains diplômés du programme de cinq ans pour jeunes leaders, que l'on peut trouver ici .
Sans Schwab à la barre, il sera plus difficile de tenir le WEF responsable de son programme corporatiste ; il s’agit d’une gouvernance d’entreprise des affaires mondiales motivée par sa mentalité mondialiste.
Je prédis que sous Brende, le WEF tentera d’acquérir plus de pouvoir et d’influence parmi les « puissances moyennes » (les petits États-nations), car la capacité d’une plus grande captation réglementaire au sein des superpuissances est déjà au maximum. Alors que les puissances moyennes aspirent à un rôle plus important sur la scène mondiale, elles constituent une cible facile pour les sociétés transnationales du WEF.
Le site Internet du WEF courtise déjà ces acteurs comme étant la prochaine vague de dirigeants mondiaux. Le site Internet du WEF déclare : « Les puissances moyennes et les groupements régionaux émergent comme des axes alternatifs dans le monde multipolaire d'aujourd'hui . » En alignant ces puissances moyennes sur le WEF, les corporatistes augmenteront leur richesse et leur pouvoir.
Certains des articles récents du WEF sur les « puissances moyennes » incluent :
- voir doc sur site -
En outre, je crois qu’à l’avenir, le WEF s’efforcera de minimiser les soirées opulentes des hommes de DAVOS, en optant plutôt pour des lieux plus exclusifs et privés. Où la presse n'est pas invitée, comme c'est le cas lors des réunions du Bilderberg. La direction du WEF sait qu’elle a un problème de relations publiques avec les partis populistes (centre-droit, libertaire et conservateur) à travers le monde et Brende agira rapidement pour tenter de résoudre ce problème. Cela nécessitera une refonte des relations publiques du programme politique phare de Klaus Schwab, que le WEF appelle le capitalisme des parties prenantes . Bien entendu, ce n’est qu’un autre mot pour désigner le corporatisme. Il y a ainsi une fusion des dirigeants mondiaux non élus et des sociétés transnationales afin que les plus grandes sociétés du monde aient accès à suffisamment de pouvoir pour gouverner le monde. Pour notre bien, bien sûr !
Le Forum économique mondial est un outil permettant aux multinationales du monde des affaires de gouverner le monde à travers un totalitarisme inversé . En effet, notre nation, ainsi que de nombreux autres États-nations, ont été bouleversés alors qu’ils étaient capturés par les intérêts des entreprises qui soutiennent des politiques autoritaires – d’où le « totalitarisme inversé ».
Nous voilà aujourd'hui. À bien des égards, le chef caché de cette structure gouvernementale corporatiste non élue est désormais la direction du Forum économique mondial. C’est ici que se réunissent les chefs d’entreprise, les politiciens et autres élites fortunées pour décider des décisions qui gouvernent le monde. Un syndicat regroupant les mille plus grandes entreprises du monde.
La résistance a commencé, et c’est ce qui rend le WEF si effrayé et si défensif. C'est pourquoi le WEF fera peau neuve dès que le règne de Schwab aura pris fin. Le WEF tentera de redevenir un acteur puissant en coulisses. La main à l’intérieur du gant. Il est de notre devoir d'empêcher que cela se produise.
C'est pourquoi le gouvernement, les intérêts des entreprises et les médias « grand public » considèrent que les plateformes de médias sociaux alternatives qu'ils ne peuvent pas contrôler sont si menaçantes. Ils savent que les médias sociaux et les partis populistes qui leur sont associés constituent une menace pour la structure corporatiste mondialiste qu’ils ont construite au fil des décennies. Ils craignent qu’il ne s’effondre.
À quoi sert la migration massive, pourquoi continue-t-elle à se produire et pourquoi personne ne l’arrêtera-t-elle ?
EUGYPPIUS 21 MAI 2024
Vous avez peut-être remarqué que la migration massive vers l’Occident constitue un énorme problème.
C’est très mauvais pour les Occidentaux autochtones, car cela promet de transformer nos sociétés complètement, de manière permanente et non pour le mieux. Curieusement, cette situation est également loin d’être formidable pour l’establishment politique de centre-gauche chargé de promouvoir l’immigration de masse, car elle a inspiré une vaste vague d’opposition populaire et a rempli d’un vent nouveau les voiles des partis de droite restreignant l’immigration. La migration massive est également néfaste pour les contribuables, pour la sécurité intérieure, pour l’État-providence, pour de nombreux autres aspects du programme libéral d’après-guerre et pour nos propres perspectives d’avenir. En bref, la migration massive est mauvaise pour presque tout le monde et pour tout.
Il y a une raison pour laquelle les nations ont des frontières, et c’est à peu près la même raison pour laquelle nous avons une peau et des membranes pour les cellules. Vous ne survivrez pas très longtemps si vous ne pouvez pas contrôler ce qui entre en vous.
Malgré le fait évident que la migration de masse est mauvaise, nos dirigeants s’accrochent au migrationnisme comme à une mort sinistre. Ayant le choix entre décourager les demandeurs d’asile et intimider, intimider et harceler les millions d’opposants à l’immigration parmi leurs propres citoyens, nos gouvernements choisissent généralement la dernière voie, même si c’est évidemment la pire des deux.
Il est également troublant de constater que les justifications officielles de la migration massive ont souvent une saveur effrayante et post-hoc. Cela ressemble beaucoup plus à des excuses inventées après l’ouverture des frontières, plutôt qu’à une quelconque raison pour laquelle une migration massive doit avoir lieu. Lorsque les migrationnistes ont vraiment commencé à devenir fous en 2015, par exemple, on nous a dit que la sécurité des frontières était tout simplement impossible dans le monde moderne et que les migrants infinis étaient une force de la nature à laquelle il faudrait faire face. Cela ne semblait pas correct, même à l’époque, et depuis la fermeture des frontières en raison de la pandémie, nous n’entendons plus beaucoup parler de l’inévitabilité, même si – et c’est très bizarre à écrire – il existe des preuves que de hautes personnalités politiques comme Angela Merkel y croyaient. à l'époque. Cela vaut la peine de réfléchir aux raisons pour lesquelles cela a pu être le cas.
A l'heure où plus de machines remplacent les êtres humains il est surprenant que des personnes étrangères soient payées pour envahir les USA et l'Europe de l'Ouest ! Notez qu'à l'heure (depuis toujours !!) de la planche-à-billets bientôt détrônée par l''argent' électrique, les sommes allouées à la bien-aisance des immigrés passe au dernier des derniers rangs de l'imagination et que si vous voulez 100000000000000000000000000000000000 de dollars, photocopiez cette ligne et vous l'avez !! Donc, petite remarque intéressante: Plus de 90 % de la population mondiale habite dans l'hémisphère Nord. Ajoutez-y x millions de personnes sans-papier et le compte y est presque.
Alors, réfléchissez. Guerre nucléaire ? Que nenni ! les particules radioactives serraient tentées de gagner l'hémisphère Sud grâce aux Jet-Streams et Golf-Streams ! Application 5G et 6G ? Cela ne ferait tomber que les inoculés porteurs de nano-particules d'oxyde de graphène (et chemtraillés ?) Débarquement cinématique d'extraterrestres en 3D holographique ? Fort probable pour vendre de nouvelles lessives !
Pendant cette période de chaos, nous vivons peut-être tous sans état de droit, et l'ampleur de cette situation peut dépendre de l'endroit où vous vivez - 5 choses que vous devez faire quand il n'y aura pas d'état de droit
parClark Barnes 20 mai 2024
Mentionnez une dystopie à la plupart des gens et ils penseront probablement à 1984, à la Police de la Pensée et à Big Brother. C’est compréhensible, car il y a des indices inquiétants dans notre propre société : des idées telles que l’absence de plateforme, les espaces sûrs et le genre erroné sont-elles vraiment si différentes de la mauvaise pensée et du crime de pensée ? – mais il existe un autre type de dystopie, beaucoup plus courant. Malheureusement, c'est tout aussi effrayant. (Regardez aussi cette vidéo : le COVID-19 revient en 2024 !)
Le mot dystopie lui-même désigne simplement une société désagréable ou effrayante. Cela peut signifier un État autoritaire brutal et hautement centralisé comme celui dirigé par le parti de Big Brother (Orwell l'a modelé sur l'Union soviétique sous Staline) – mais cela peut aussi signifier une société dans laquelle l'État de droit s'est effondré (WROL – sans le état de droit), et c'est beaucoup plus courant dans le monde aujourd'hui. Pour chaque Corée du Nord, il y a une demi-douzaine de sociétés effondrées comme la Somalie ou le Pakistan. Et s’il est difficile d’imposer un État à parti unique et d’organiser les choses au point d’avoir un contrôle absolu sur ce que les gens font et même pensent, il est facile pour une société de s’effondrer. Une catastrophe naturelle peut le faire – pensez à la Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina.
Bien sûr, cela n’a pas duré ; La Nouvelle-Orléans est une ville située dans un grand pays avancé et l’État de droit a été rapidement rétabli. Mais que se passerait-il si le gouvernement était plus faible ou si la société était moins stable au départ ? Et si ce n’était pas un seul événement qui provoquait l’effondrement, mais des années de négligence ? De nombreux pays sont à deux doigts de l’effondrement à une élection contestée ou à une crise économique – et il y a même des régions des États-Unis où l’État de droit est trop fragile pour être tenu pour acquis.
Je recommande vivement ce livre ! Voici juste un petit aperçu de ce que vous trouverez dans The Lost SuperFoods :
Le miracle alimentaire oublié de l'armée américaine et 126 superaliments que vous pouvez conserver sans réfrigération pendant des années
La vidéo ci-dessous va vous choquer car vous serez parmi les premiers à découvrir ce secret !
Tout d’abord : la rupture sociale S’il y a une chose qui peut à coup sûr réduire une société au chaos, plus ou moins instantanément, c’est bien l’absence soudaine de flics. Peu importe le type de société dans laquelle il s’agissait au départ. Par exemple, le Canada est réputé pour être pacifique et amical. Que s'est-il passé lorsque les flics sont sortis ? Rien de bon:
dystopie canadienne [blockquote style=”1″]« En tant que jeune adolescent dans le Canada fièrement paisible au cours des années romantiques des années 1960, j’étais un fervent partisan de l’anarchisme de Bakounine. J’ai ri de l’argument de mes parents selon lequel si le gouvernement déposait les armes, l’enfer se déchaînerait. Nos prédictions concurrentes ont été mises à l’épreuve à 8h00. le 17 octobre 1969, lorsque la police de Montréal se met en grève. Vers 11h20 la première banque a été braquée. À midi, la plupart des magasins du centre-ville étaient fermés à cause des pillages. Quelques heures plus tard, des chauffeurs de taxi ont incendié le garage d'un service de limousines qui leur faisait concurrence pour la clientèle de l'aéroport, un tireur d'élite sur le toit a tué un policier provincial, des émeutiers ont fait irruption dans plusieurs hôtels et restaurants et un médecin a tué un cambrioleur dans sa banlieue. maison. À la fin de la journée, six banques avaient été braquées, une centaine de magasins avaient été pillés, douze incendies avaient été allumés, quarante chargements de vitres de magasins avaient été brisés et trois millions de dollars de dégâts matériels avaient été infligés, avant que les autorités de la ville n'aient faire appel à l’armée et, bien sûr, à la gendarmerie pour rétablir l’ordre. »[/blockquote]
Malheureusement, les grèves de la police sont plus probables que jamais, notamment aux États-Unis. Les flics sont soumis à beaucoup de pression et les médias sont actuellement contre eux. Que se passe-t-il si un policier est impliqué dans une fusillade et que, sous la pression des médias et de militants d’extrême gauche comme BLM, le policier est arrêté ? Est-ce si difficile de croire que la police puisse s'en aller et s'en aller ? Et dès que les criminels se rendraient compte que les flics sont rentrés chez eux, l’enfer se déchaînerait.
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Lorsque l’État de droit aura disparu, portez une arme à feu partout, même si vous allez simplement aux toilettes. Si une foule enfonce la porte d’entrée, vous n’avez pas le temps d’aller récupérer l’arme de poing que vous avez laissée dans la cuisine, elle doit donc rester à votre ceinture. Si vous devez sortir, portez-le à tout moment – mais pas ouvertement. Cela vous désignera simplement comme une cible. Ayez une arme de poing dissimulée sur vous et une arme d'épaule cachée mais facilement accessible dans votre voiture – sous une veste sur le sol, cela fonctionne.
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#5 Respecter les règles
Même si l’état de droit s’est effondré, essayez de respecter les règles autant que possible. Cela pourrait vous rendre la vie beaucoup plus facile lorsque l’ordre sera rétabli. Si votre maison a été attaquée et que vous avez utilisé une force meurtrière pour la défendre, cela ne devrait pas vous causer beaucoup de problèmes – mais former un groupe et traquer les méchants pourrait être un peu plus difficile à expliquer.
Être prêt ! Comme la plupart des catastrophes, il est plus facile de survivre aux troubles civils si l’on y est prêt. Pour la plupart des préparateurs, cela ne devrait pas constituer un défi de taille. Soyez simplement prêt à vous rabattre sur vos propres ressources, gardez la tête baissée et attendez.
Alerte d'urgence FEMA ! Des situations terribles cachées révélées - Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir les détails les plus choquants !!!
Avec 1,03 million d’invasions de domicile chaque année rien qu’aux États-Unis, il n’y a aucune raison pour que vous ne disposiez pas d’un plan d’action prêt à être utilisé au cas où vous deviendriez l’une de ces malheureuses victimes.
Alors faites attention car cette vidéo va changer votre vie pour toujours pour le bien !
L’Allemagne et « l’Occident » : c’est de la brutalité
21 mai 2024 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
"Le monde est confronté au plus grand bouleversement depuis 1944", explique Folker Hellmeyer, économiste en chef de Netfonds, au Schwäbische Zeitung . Un homme d’affaires de premier plan (sic) « parle de l’intérieur » et « dit ce qui se passe ». Alors que les dissidents parmi les universitaires et journalistes allemands les plus courageux applaudissent ces « idées », même l’examen le plus superficiel de ce qui a été dit révèle un niveau étonnant d’ignorance et, oui, d’absurdité.
Vous pouvez retrouver l'intégralité de l'interview de Folker Hellmeyer dans la Schwäbische Zeitung ici ; Je vous recommande de lire l’intégralité du texte, car seuls des extraits sont cités ci-dessous. C’est moi qui souligne.
L’Allemagne sous Merkel et « le feu tricolore » En 2014, l'Allemagne était la pièce maîtresse de l'Europe en termes de développement économique et de positionnement structurel. Dix ans plus tard, nous sommes un cheval épuisé … Avec les impôts les plus élevés du monde, nous avons un régime fiscal qui entrave la performance, mais sinon nous ne sommes que des leaders en matière de bureaucratie. Nous avons négligé tout le reste... En raison de l'échec de la politique de la CDU sous la chancelière Angela Merkel et de l'actuelle coalition des feux tricolores, nous sommes désormais devenus un fardeau pour l'UE et l'économie mondiale...
Si nous restons sur la voie que nous avons choisie, alors tout est à gagner : l’État-providence, la transformation verte, la prospérité… et finalement aussi la démocratie… Nous enregistrons actuellement les sorties nettes de capitaux les plus élevées de l’histoire, et bien plus encore. et de plus en plus d'entreprises quittent BASF pour la Chine ou Miele et Bosch pour la Pologne.
Rien de tout cela ne semble particulièrement bon, mais les lignes directrices de Berlin restent les mêmes : nous pouvons le faire.
L’ignorance pratiquée à Berlin est l’expression de chambres d’écho dont les esprits critiques sont très délibérément tenus à l’écart. Les idées rouge-vert sont véhiculées dans les institutions depuis des décennies, entraînant un changement dans les axes de perception du public. Aujourd’hui, les positions conservatrices et libérales sont parfois présentées comme étant d’extrême droite . La suppression des autres opinions et le manque de pluralisme sont le mal fondamental, car ils font que la politique est idéologisée, l'égocentrisme et l'arrogance surgissent, et tout pragmatisme est perdu . Et puis les mauvaises décisions sont automatiquement prises.
M. Hellmeyer cite comme exemple la loi sur le chauffage, qu'il décrit ainsi :
Il en coûtera aux citoyens 1 500 milliards d’euros, soit environ 60 % de la dette nationale de l’Allemagne, rien que pour réduire les émissions de gaz carbonique de la Chine en un seul jour d’ici 2030 . C'est une folie totale. De nouvelles forêts pourraient être créées dans le monde entier pour 100 milliards d'euros. Cela aurait un impact beaucoup plus durable sur le climat, sans affecter la prospérité des citoyens.
C'est bien sûr de la folie - mais pas pour la raison évoquée, et cela se voit dans le fait que la Terre est devenue « plus verte » depuis un certain temps (en raison de l'augmentation du gaz carbonique), comme le montre de manière impressionnante la NASA :
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Le « plus grand bouleversement depuis 1944 »
Le monde est confronté au plus grand bouleversement depuis 1944, et ce bouleversement frappe particulièrement durement l’Allemagne. En 1944, les accords de Bretton Woods ont jeté les bases du cadre géopolitique de l’après-Seconde Guerre mondiale . Mais cette base, et surtout l'ancrage du dollar américain comme monnaie de réserve mondiale, est aujourd'hui plus que jamais menacée. L’Occident était puissant à l’époque, représentant 80 % de la production économique mondiale sur la base de la parité de pouvoir d’achat. Depuis, cette proportion est tombée à 30 %. En d’autres termes : les pays du Sud sont désormais responsables de plus de 70 % de la production économique mondiale. Dans le même temps, les pays du Sud connaissent une croissance deux fois plus rapide que les pays industrialisés. Que nous le voulions ou non, un changement dans l'axe du pouvoir est en train de se produire, un bouleversement massif qui s'exprime à plusieurs reprises dans des guerres par procuration - comme en Libye, en Syrie, à Gaza ou en Ukraine . Si les États-Unis et l’Europe ne renoncent pas à leur arrogance, le Sud global développera son propre organigramme, distinct de l’Occident.
Cela peut être vrai ou non, mais le fait est qu’un important fournisseur de services financiers dit maintenant à haute voix la partie discrète : que « l’ordre fondé sur des règles » est en réalité une question de pouvoir et de contrôle. Soyez surpris (ou pas) ; Il faudrait aussi penser un instant aux manifestants « occidentaux » contre les atrocités à Gaza : quel rôle jouent-ils ?
Le prochain épisode concerne les « BRICS+ », où M. Hellmeyer s'embarrasse à nouveau : « Il ne s'agira pas d'une coopération militaire ou politique, mais d'une association lâche destinée à former une alternative au modèle occidental : libre-échange sans leçons de morale, sans atteinte à la souveraineté nationale des États membres. » Toute hypothèse selon laquelle les grandes puissances telles que la Chine n’élaboreraient pas de « traités inégaux » au détriment des petits États peut être reléguée en toute sécurité au domaine de la propagande. Dans le meilleur des cas.
« Une politique à la manière des propriétaires fonciers »
L’Occident décide et les autres doivent s’y conformer. Des règles sont précisées que les pays occidentaux eux-mêmes ne respectent pas. Il s'agit par exemple des guerres d'agression des États-Unis, qui violent le droit international, ou du mépris des intérêts de sécurité russes , qui a déclenché la guerre en Ukraine, ou du blocus des postes de juges à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). par les États-Unis, qui dure depuis des années et qui porte atteinte à l'ordre économique mondial fondé sur le droit. Depuis lors, les États-Unis mènent une politique de sanctions sans aucune base légale .
Notons brièvement que ni les « intérêts de sécurité » ni le « droit d’exister » d’un État n’ont de fondement en droit international ; M. Hellmayer dit effectivement quelques choses utiles, mais soit il induit intentionnellement l'intervieweur en erreur, soit celui-ci ne comprend tout simplement pas ce qu'il dit.
L'Allemagne et l'Europe disposent toujours d'une énorme puissance économique . La dette nationale est acceptable, les données commerciales sont bonnes. Regardez les soi-disant champions cachés, les petites entreprises, souvent peu connues, qui sont des leaders mondiaux dans leur secteur. Il y en a environ 3 400 dans le monde, dont 1 600 viennent d’Allemagne . Cette structure est unique au monde et crée d’énormes avantages concurrentiels en termes d’efficacité de production. Mais cela nécessite des prix énergétiques compétitifs et une sécurité d'approvisionnement durable .
C’est peut-être tout, mais des « prix énergétiques compétitifs » et une « sécurité d’approvisionnement durable » ne seront pas possibles sans un accord avec la Russie. On peut aimer ou non, mais bannir la réalité du discours ne fait que conduire, pour paraphraser Robert Habeck, à se retrouver entouré de réalité. Les plus gros problèmes liés aux déclarations de M. Hellmeyer résident ailleurs.
La fin de « l’Europe » telle qu’elle existe actuellement est proche C’est ce qui est aujourd’hui considéré en Allemagne comme une « grande connaissance privilégiée ». Pleurez avec moi devant la fière démonstration de l'ignorance.
Bien que M. Hellmeyer dise quelques choses évidentes, il semble ignorer complètement quelques faits fondamentaux, notamment (mais sans s'y limiter) les suivants :
Le régime de Bretton Woods a duré jusqu’à l’été 1972, lorsque les États-Unis ont déclaré de facto la faillite nationale et sont passés d’un dollar convertible en or à un système de monnaie fiduciaire. Il s’agit soit d’une négligence grave de la part de « l’économiste en chef » du groupe de services financiers Netfonds (sic), soit d’une incroyable bêtise. Par souci d’exhaustivité, il convient d’ajouter que l’intervieweur ne l’a apparemment pas remarqué non plus.
Le système de monnaie fiduciaire est celui qui fonctionne depuis (maintenant) 52 ans, et je pense qu’il est très peu probable qu’il dure encore longtemps sous sa forme actuelle. Et pourquoi? En raison de l’augmentation rapide, soudaine et massive de la masse monétaire (par exemple + 40% aux USA ) partout en « Occident » depuis que l’OMS a déclaré ce qu’on appelle la « Pandémie™ ».
Soit dit en passant, cela signifie aussi autre chose qui, à mon avis, est encore plus problématique : tous les économistes, hommes politiques et « journalistes » – ainsi que pratiquement tous ceux de moins de 52 ans – ont grandi dans ce paradigme post-gold standard. Pour eux (nous), cette création apparemment sans fin de « monnaie » à partir de rien (fiat) est « normale ».
Mais le pire dans l'interview ci-dessus est le suivant : il existe peut-être encore environ 1 600 entreprises très innovantes en Allemagne, mais elles sont - comme tout le monde - sur le point d'être expropriées, tant en termes de propriété intellectuelle qu'en les conglomérats « internationaux » basés aux États-Unis ou à Londres utilisent des « dollars » (fiat) pour les acquérir. Il en va de même pour les biens physiques de chacun. Tout ce qui peut être déplacé est un dollar américain (virtuel).
En passant, les « dissidents » sur les réseaux sociaux allemands saluent les commentaires de M. Hellmeyer comme étant « profonds » et « importants ». Ils le sont, mais pas dans le sens du contenu, comme je le montre ici.
Notons au passage que ni la capitulation de la Wehrmacht en mai 1945, ni la fondation de la République fédérale d'Allemagne, ni la création des institutions « européennes » à partir de 1957 ne sont apparemment importantes.
Pour conclure ce commentaire, il suffit de regarder la postface du chef-d'œuvre de Milton Mayer Ils pensaient qu'ils étaient libres : les Allemands, 1933-45 . Publié à l'origine dans les années 1950, je cite ici les pages 339 à 40 de la nouvelle édition (Chicago UP, 2017 ; ma traduction et je souligne) :
Le mouvement de l'Union européenne est répandu en Allemagne comme ailleurs parmi les intellectuels non gouvernementaux et surtout parmi les jeunes, et là seulement . Dans un échantillon aléatoire de l'Université de Munich, 88 pour cent des étudiants étaient favorables à « l'unification de l'Europe » plutôt qu'à la « souveraineté allemande ». Mais « l’unification de l’Europe » signifie quelque chose de différent pour chacun : la paix pour les uns, la guerre pour les autres . Et c'est un idéal bien plus nébuleux et limité que la démocratie . Dans le contexte de la lutte mondiale, l'Union européenne signifie, premièrement, une union militaire de l'Europe non communiste, deuxièmement, une union économique (actuellement soutenue à la fois par les jeunes idéalistes et les vieux cartels) et enfin, s'il y a lieu, une union politique. syndicat . Et toute union qui diviserait l’Allemagne n’aurait lieu que sur le papier, voire pas du tout.
Il est possible que le soulagement des Allemands intéresse les Russes , qui après tout ont inventé la roulette russe. Dans l’état actuel des Allemands, les Russes en ont peur, et pour cause. « Il est désormais clair », déclarait le Times de Londres en 1954, « que ni la Russie ni l’Occident ne peuvent accepter l’unification allemande dans des conditions compatibles avec leurs intérêts nationaux . Le pilier de la défense occidentale – la coopération ouest-allemande – reste le noyau dur des craintes russes. Et la principale crainte de l’Occident – les armées russes au cœur de l’Europe – est, aux yeux de la Russie, la condition sine qua non de la sécurité soviétique. Dans la situation mondiale actuelle, ces deux craintes ne peuvent être considérées comme de la simple propagande.
« Nous » n’avons en effet rien appris, et l’entretien ci-dessus n’est qu’un exemple de ce genre d’ignorance. La « réunification » allemande en 1990 s’est produite à un moment de faiblesse russe et conformément aux intérêts « occidentaux ». Cela n’avait que peu ou rien à voir avec les souhaits, les espoirs et les rêves du peuple allemand.
Le spectre des accords germano-russes – un nouveau « Traité Rapallo » (1922), si l’on veut – continue de hanter les cercles transatlantiques. Je ne prétends pas que cette peur et cette aversion anglo-américaines envers « l’Europe », dirigée par « l’axe » Berlin-Moscou (ou Moscou-Berlin), explique tout ce que nous avons observé depuis mai 1945 ; Cependant, je dirais qu’il s’agit de l’un des cauchemars géostratégiques, sinon du véritable, de la City de Londres et de Wall Street. D’autres preuves, outre l’hypothèse de « l’île mondiale », sont fournies par le discours du PDG de Stratfor, George Friedman, en 2015 :
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Pourquoi ?
Eh bien, la Russie et l’Allemagne ont bien plus de points communs entre elles qu’avec la Chine ou « l’Occident » anglo-américain. L’Allemagne a probablement aussi davantage de points communs avec la France.
Si l’interview ci-dessus est « impressionnante », le soleil se couchera certainement prochainement sur l’Europe (continentale).
Quand Israël rate-t-il une occasion de justifier un génocide ? C'est leur sport national.
L'histoire de Biden aurait facilement pu être tirée du même manuel que l'histoire inventée par Bush à propos des Irakiens qui enlevaient les bébés des couveuses, mais je ne pense même pas qu'il s'agissait d'un mensonge stratégique. Je soupçonne Biden et son équipe de s'asseoir autour d'une table et de discuter des lignes de propagande possibles, mais Biden est tellement sénile qu'il oublie les faits, mais pas ce que lui-même est prêt à dire. Je suppose que ses managers ont collectivement fait la grimace lorsque cette phrase est sortie de sa bouche.
Je peux toujours me tromper, bien sûr. Je ne sais pas du tout si Biden s'est écarté du script ou s'il a lu cette phrase à partir d'un téléprompteur, et honnêtement, je ne sais pas ce qui serait le pire. Peut-être vaut-il mieux avoir un vieil homme confus et dément qu'un homme qui profère de tels mensonges extraits d'un méchant scénario.
Des commentateurs sur internet se sont moqués de la situation, en publiant de fausses vantardises de Biden sur sa présence lors de l'alunissage et autres, et j'ai vraiment l'impression que si vous disiez à Biden qu'il était à bord d'Apollo 11, il vous croirait.
Biden essaie de suivre ce que ses conseillers lui disent, mais son cerveau est trop endommagé pour assimiler la propagande. Il descend d'Air Force One avec l'air aussi hébété et confus que quelqu'un qui vient de s'échapper d'une maison de retraite. Et ses gestionnaires pensent que ce serait une bonne idée de laisser cet homme participer à des débats télévisés en juin ?
Comble de l'ironie, M. Trump a exigé que M. Biden subisse un test de dépistage de drogues avant les débats, l'accusant de "planer plus haut qu'un cerf-volant". La Maison-Blanche refuse de révéler quels médicaments Biden prend actuellement pour donner l'illusion que ses facultés mentales sont encore à peu près intactes.
Plus sérieusement, ce serait une idée fantastique de soumettre tous les hommes politiques à des tests de dépistage de drogues. Certains États américains exigent que les gens soient soumis à un test de dépistage de drogues pour bénéficier de l'aide sociale, alors pourquoi ne pas soumettre ces salopards à un tel test ? Ce serait un excellent moyen de nettoyer le Congrès en se débarrassant de tous ces hypocrites. Au lieu de se disputer sur le moindre des deux fléaux, nous pourrions tous les emprisonner avec les lois qu'ils n'avaient l'intention d'utiliser que contre les Noirs. Ça, ça serait de la vraie Sécurité nationale.
Les politiques étrangères de Biden ont mis tout le monde en danger, s'aliénant à la fois la gauche et la droite et tous ceux qui préfèrent ne pas être atomisés par les rayons gamma. Seuls les centristes purs et durs le soutiennent encore, mais honnêtement, je ne vois pas pourquoi, et eux non plus. 77 % des Américains pensent que M. Biden est trop vieux pour gouverner, dont 69 % de démocrates, mais ses défenseurs prétendent que c'est faire preuve de discrimination anti-âge que de s'opposer à ce qu'un patient atteint de démence ait le contrôle du bouton nucléaire.
À Morehouse, M. Biden a tenté de reconquérir les jeunes électeurs et a donc assoupli sa position sur un ou deux points au cours de son discours. Personne ne peut dire quelle était la part de stratégie et quelle était la part de confusion. Personne ne sait exactement quelle est la position de Biden, pas même Biden lui-même, mais on lui a décerné un doctorat honorifique pour une raison ou une autre. Comme il ne semblait pas être le plus brillant des cerveaux avant sa démence, je ne peux que supposer que c'était pour qu'il se sente mieux dans sa peau, ce qui n'est pas si mal.
Biden a applaudi lorsque Deangelo Fletcher a appelé à un cessez-le-feu immédiat, semblant oublier que son administration a opposé à plusieurs reprises son veto à tout cessez-le-feu, qu'il a autorisé sans raison, il y a quelques jours, la livraison de 700 millions de dollars de munitions pour des chars d'assaut et qu'il envoie des armes à Israël toutes les 36 heures. M. Biden a également accepté par erreur d'envoyer à Israël de nombreuses autres cargaisons d'armes au cours des prochains mois. Au moins, il a appelé au cessez-le-feu, ce qui prouve qu'il veut la paix.
M. Biden affirme qu'il travaille à une solution pour le Moyen-Orient, mais une solution qui n'implique pas l'arrêt des livraisons d'armes à Israël. Une solution où Israël bombarde Gaza et où les Palestiniens ne ripostent pas. Une solution où les Palestiniens se laissent tuer pacifiquement.
Dans un revirement inattendu, Joe Biden déclare désormais soutenir les "manifestations pacifiques et non violentes", alors que ses policiers répriment les manifestations pacifiques par la violence. M. Biden a déjà qualifié les manifestants de terroristes, si bien que ses propos semblent aussi authentiques que Melania envoyant une carte de la Saint-Valentin à son mari bien aimé.
Les soutiens de Joe Biden célèbrent le fait que le discours s'est déroulé sans perturbation, mais un manifestant a brandi un drapeau palestinien et d'autres lui ont tourné le dos. Des étudiants ont quitté les lieux, dégoûtés, mais les personnes assises dans le carré VIP ont scandé "encore quatre ans !". Les gens dotés d'une conscience sont peut-être en colère contre le président, mais au moins les VIP sont heureux, c'est déjà ça.
M. Biden a qualifié avec délicatesse le génocide de Gaza de "crise humanitaire", ce qui est à peu près aussi exact que de qualifier l'holocauste de "malheureux incident". J'ai beau critiquer Biden, il y a eu des moments où il a presque dit ce qu'il fallait, et c'est un demi-pas dans la bonne direction. Il reconnaît que la situation des Palestiniens est intenable, ce qui n'était pas le cas auparavant. "Que se passe-t-il à Gaza, quels sont les droits du peuple palestinien ?" a demandé M. Biden. Que l'homme qui ne faisait preuve d'aucun compromis adoucisse ses propos indique que les électeurs désabusés lui forcent la main. Ce qui prouve que ceux qui ont décidé que le génocide ne constitue pas un point de non-retour n'auraient pas dû soutenir inconditionnellement le plus sénile des deux fléaux. La pire chose que vous puissiez faire en tant qu'électeur est de ne pas utiliser votre influence pour exiger mieux. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous nous trouvons dans un tel pétrin.
Article original en anglais : Joe Biden reaches scary levels of dementia, Council Estate Media, le 20 mai 2024.
Guillaume Basquin Contre Littéraure mar., 21 mai 2024 07:33 UTC
Telle est la question posée par l'éditeur du livre (Guy Trédaniel) sur le bandeau rouge de couverture du nouvel essai d'Ariane Bilheran, Psychopathologie du totalitarisme. Au fond, pour qui a vécu la crise « Covid-19 » dans sa chair et son esprit, la réponse cingle à chaque page : nous avons coché toutes les cases du processus politique pervers que décrivait la grande philosophe allemande, naturalisée américaine, Hannah Arendt dans son maître-ouvrage Les origines du totalitarisme.
Ariane Bilheran est normalienne, philosophe, psychologue, clinicienne et docteur en psychopathologie. Elle a déjà écrit deux livres sur la crise de civilisation que fut le traitement politique du Covid-19 (2021 : Chroniques du totalitarisme et Le débat interdit (coécrit avec Vincent Pavan, mathématicien) ; mais ici, dans ce nouvel opus, elle élargit sa pensée à tout le spectre de la vie en commun, c'est-à-dire au politique même, selon l'étymologie grecque (pólis signifiant « cité », et politikos « l'organisation de la cité »).
Pourquoi cela ? Eh bien, nous sommes maintenant nombreux à l'avoir remarqué, il appert qu'il y a un mouvement « international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, planétaire dans ses aspirations politiques » (mots entièrement empruntés à Hannah Arendt) qui a comme « ambition la domination totale » de l'humanité ; et ce mouvement s'appelle le WEF (Forum économique mondial, se réunissant à Davos chaque hiver, depuis maintenant plus de 50 ans), lieu de lobbying forcené dans à peu près tous les domaines de la gouvernance occidentale et s'appuyant sur les désormais fameux cabinets de conseil (le plus célèbre d'entre eux étant McKinsey).
Le « totalitarisme partage avec le despotisme le monopole du pouvoir et son caractère arbitraire fondé sur la peur » ; toutefois il s'en distingue en visant, d'une part la « transformation totale de la société en une masse homogène et dépourvue d'initiative » (on se rappellera le fameux (fumeux) « On peut discuter de tout, sauf des chiffres » de Véran, ministre de la Santé), et d'autre part « l'extermination des groupes humains qui sont jugés entraver la réalisation de ce but » (appelés ces dernières années de noms d'oiseaux tels « complotistes », voire « antivax » ou encore « climato-sceptiques » ...).
En système totalitaire, « tout doit être subordonné à l'idéologie : la loi est transgressée de façon permanente pour servir les besoins de la cause idéologique ». On l'a vu durant la crise Covid où absolument plus aucun discours dissident et pourtant raisonnable n'était toléré... Il fallait éradiquer un virus (avec le succès qu'on a vu...), « quoiqu'il en coutât » (600 milliards...).
Mais il y a plus : ce qui distingue le système totalitaire de la tyrannie, c'est l'emprise totale qu'il prétend avoir sur les corps et les esprits ; sa singularité est « le règne sans partage sur les corps et la vie intime des sujets, le refus catégorique de toute forme d'opposition » et le « règne par la terreur ». Qu'on se rappelle seulement toutes les phrases assassines et autres vidéo-clips entendus et vus durant ce que l'on doit bien nommer la « Terreur sanitaire » : toutes cochèrent absolument toutes les cases de cette définition du totalitarisme empruntée à Hannah Arendt ; toutes eurent pour effet pratique de « changer radicalement tous les rapports sociaux ("distanciation 'sociale"), amicaux (plus d'embrassades, de poignées de main... ne parlons même pas du masque...) et même familiaux (pas de réunions à plus de six personnes — ce qu'aucun régime totalitaire du XXe siècle, pourtant pas banal en la matière, n'avait réussi à obtenir) ». C'est-à-dire que l'ensemble même de tout le corps social était devenu méconnaissable pour n'importe qui avait gardé un peu de distance critique ; nous avons vécu une époque radicalement (radical=racine) totalitaire, que cela plaise ou non.
Le totalitarisme est un système fonctionnant « comme un poison, qui se répand dans la population entière » : c'est un virus très contagieux, celui de la peur ; « méfiance et haine de l'autre » (le non-confiné, soignants et autres travailleurs considérés alors comme « essentiels », le non-masqué, puis le non-vacciné), « s'y propagent, avec des défenses narcissiques pour s'en protéger, notamment la conviction d'être "le bon citoyen" [qu'on se souvienne des selfies pris chez soi masqué par de nombreux internautes, sans parler des photos d'épaules dénudées parce que fraîchement injectées], "celui qui est pur", apte à sanctionner les "mauvais citoyens"[ceux qui ne respectaient pas le confinement, ou portaient mal le masque], les "impurs" [non-vax] ». Pour fonctionner, le totalitarisme doit imprégner l'entièreté du corps social, et obtenir la coopération active de tous, par la surveillance active de tous par tous. Voici comment Ariane Bilheran, en s'appuyant sur la pensée des plus pointus commentateurs des totalitarismes passés (ceux du vieux XXe siècle), à savoir les Hannah Arendt, Günther Anders, Viktor Klemperer et Arthur Koestler, caractérise les différentes phases (comme autant de vagues virales) de son déferlement :
1/ la Terreur (avec un T majuscule) qui « fige dans un temps présent sans passé ni futur », et désagrège le « continuum d'expérience » de la communauté en isolant les individus les uns des autres (avec le fameux confinement) ;
2/ la persécution et la mise au pas : « Tactiquement, le pouvoir totalitaire ne persécute pas tout le monde à la fois : il faut persécuter telle ou telle catégorie de population, de façon discrète, sauf lorsqu'il s'agit d'utiliser cette persécution comme une intimidation (faire un exemple) » ; ainsi en a-t-il été du traitement politique des « non-vaccinés » en France, qui furent qualifiés du sommet de l'État de sous-citoyens devant avoir moins de droits (sic) que les autres ;
3/ le contrôle total, en particulier par le virage total du système de l'information par le Pouvoir (que quiconque en doute aille se renseigner sur les « Twitter Files », où l'on apprend que c'est la CIA directement qui commanda secrètement la censure des informations « médicales » et scientifiques « non conformes à la doxa » sur l'ex-réseau Twitter), et la dé-crédibilisation des dissidents (opportunément qualifiés de « complotistes » pour clore tout débat).
Pour chacune de ces phases, l'important pour le Pouvoir est de désigner des boucs-émissaires, qu'on désigne comme « mauvais citoyens » à l'origine du mal de/dans la cité. C'est là qu'Ariane Bilheran - et ça fait mal - nous rappelle qu'à l'origine du confinement du ghetto de Varsovie, en 1940, comme « zone de contagion », fut justement une... épidémie de typhus, les juifs étant alors qualifiés d'être « impurs » et dangereux pour la communauté de l'époque. Inutile d'insister sur les lois d'exception qui suivirent...
L'expérience spirituelle en temps totalitaire
On le sait, la langue est fortement attaquée pendant tout phénomène totalitaire (Ariane Bilheran insiste beaucoup sur l'importance capitale du livre de témoignage de Viktor Klemperer L.T.I. (La langue du IIIe Reich) ; mais l'on peut aussi relire 1984 de George Orwell pour s'en convaincre facilement), les mots étant renversés de leur sens initial et jusqu'alors communément admis (que l'on pense seulement à l'oxymore que constitua l'expression « distanciation sociale », ou bien à la non moins aberrante expression, reprise par presque tous, « je me vaccine pour protéger les autres »). « La langue est à la fois symptôme et origine de la contagion délirante dans le phénomène totalitaire » : la tâche de l'écrivain et du penseur, est alors d'écrire, de témoigner, pour révéler le tout à la société, quand l'hystérie collective sera passée, et que ladite société sera en mesure d'écouter : « Remettre les mots à l'endroit est une entreprise de décontamination psychique de la novlangue qui a besoin d'une cure thermale. »
C'est alors que la philosophe de la Pesanteur et la Grâce, Simone Weil, est convoquée pour en appeler à la désobéissance civile quand nécessaire (car « une nourriture indispensable à l'âme humaine est la liberté). La liberté, au sens concret du mot, consiste dans une possibilité de choix. Il s'agit bien entendu, d'une possibilité réelle »), puis la figure tutélaire d'Antigone (venue donner une sépulture à son frère Polynice, fût-il devenu ennemi de la cité), et enfin, pour conclure, la figure traditionnelle de la charité, saint François d'Assise :
« Il est parti à la rencontre des lépreux, dans une dimension sacrificielle, au sens où ce qui était important était de faire prévaloir le lien humain sur la possible contamination. Il était essentiel de témoigner de l'amour entre des êtres humains, aux antipodes de la haine totalitaire et de la préservation de sa petite personne ». Amor omnia[1]...
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1. Paroles entendues, en guise de testament, dans la bouche de l'héroïne à la toute fin du chef-d'œuvre final du grand cinéaste danois Carl Theodor Dreyer, Gertrud.
Ce texte est d'abord paru dans la revue Liberté politique n°99 de mars 2024
Documentaire 2020 : Qui est Bill Gates ? Comment Bill Gates a monopolisé la santé mondiale
Par le rapport Corbett Recherche mondiale, 22 mai 2024
[Cette vidéo a été réalisée en mai 2020.]
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Transcription ci-dessous.
BILL GATES : Bonjour. Je suis Bill Gates, président de Microsoft. Dans cette vidéo, vous allez voir l'avenir.
SOURCE : Bonjour, je suis Bill Gates, président de Microsoft
Qui est Bill Gates ? Un développeur de logiciels ? Un homme d'affaires ? Un philanthrope ? Un expert mondial de la santé ?
Cette question, autrefois purement académique, devient une question très réelle pour ceux qui commencent à réaliser que la richesse inimaginable de Gates a été utilisée pour prendre le contrôle de tous les domaines de la santé publique, de la recherche médicale et du développement de vaccins. Et maintenant que nous sommes confrontés au problème même dont Gates parle depuis des années, nous découvrirons bientôt que ce développeur de logiciels sans formation médicale va exploiter cette richesse pour contrôler le sort de milliards de personnes.
PORTES : [. . .] parce que tant que nous n’aurons pas vacciné presque tout le monde dans le monde, nous ne reviendrons pas complètement à la normale.
SOURCE : Bill Gates sur la recherche d'un vaccin contre le COVID-19, l'économie et le retour à la « vie normale »
Bill Gates n’est pas un expert en santé publique. Il n’est ni médecin, ni épidémiologiste, ni chercheur en maladies infectieuses. Pourtant, il est devenu, d’une manière ou d’une autre, une figure centrale dans la vie de milliards de personnes, prétendant dicter les mesures médicales qui seront nécessaires pour que le monde « revienne à la normale ». La transformation de Bill Gates de pilier de l’informatique en tsar mondial de la santé est aussi remarquable qu’instructive, et elle nous en dit long sur la direction que nous prenons alors que le monde plonge dans une crise comme nous n’en avons jamais vu auparavant.
C'est l'histoire de la façon dont Bill Gates a monopolisé la santé mondiale.
Vous êtes à l'écoute du rapport Corbett .
Jusqu'à sa réinvention en tant que philanthrope au cours de la dernière décennie, voici ce à quoi beaucoup de gens pensaient lorsqu'ils pensaient à Bill Gates :
NARRATEUR : Dans l'affaire États-Unis contre Microsoft, le ministère américain de la Justice a soutenu que le géant du logiciel avait enfreint les lois antitrust en concurrençant déloyalement Netscape Communications sur le marché des navigateurs Internet, créant ainsi un monopole. La première préoccupation de Bill était que les poursuites pourraient potentiellement bloquer la sortie du dernier système d'exploitation de son entreprise, Windows 98.
SOURCE : Bill Gates défend Microsoft dans un procès pour monopole
GATES : Vous me demandez quand j'ai écrit cet e-mail ou sur quoi me demandez-vous ?
DAVID BOIES : Je vous parle de janvier 1996.
GATES : Ce mois-là ?
BOIES : Oui, monsieur.
GATES : Et qu'en est-il ?
BOIES : Quels navigateurs non Microsoft vous préoccupaient en janvier 96 ?
GATES : Je ne vois pas ce que vous voulez dire : « préoccupé ».
BOIES : Qu'est-ce qu'il y a dans le mot « concerné » que vous ne comprenez pas ?
GATES : Je ne suis pas sûr de ce que vous voulez dire par là.
STEVE JOBS : Nous allons travailler ensemble sur Microsoft Office, sur Internet Explorer, sur Java, et je pense que cela va conduire à une relation très saine. C'est donc une annonce globale aujourd'hui. Nous en sommes très, très heureux, nous sommes très, très excités. Et il se trouve que j'ai un invité spécial avec moi aujourd'hui via une liaison satellite descendante, et si nous pouvions le faire monter sur scène maintenant.
[BILL GATES APPARAIT, LA FOULE HUÉE]
SOURCE : Macworld Boston 1997 – L'accord Microsoft
DAN Plutôt : La police et les agents de sécurité en Belgique ont été pris au dépourvu aujourd'hui par une lâche attaque sournoise contre l'un des hommes les plus riches du monde. La cible était le président de Microsoft, Bill Gates, arrivant pour une réunion avec les dirigeants de la communauté. Regardez ce qui se passe lorsqu'une équipe de tueurs à gages le rencontre en premier avec une tarte au visage.
[PORTES FRAPPÉES AU VISAGE AVEC UNE TARTE]
PLUTÔT : Gates a été momentanément et naturellement secoué, mais il n’a pas été blessé. L'équipe de frappe s'est entassée avec deux autres tartes avant que l'une d'entre elles ne soit jetée au sol et arrêtée ; les autres, du moins pour le moment, se sont enfuis. Gates est entré, s’est essuyé le visage et n’a fait aucun commentaire. Il a ensuite poursuivi son rendez-vous prévu. Aucun mot sur le mobile de cette attaque.
SOURCE : Bill Gates, une tarte en face
Mais, autrefois vilipendé pour l’énorme richesse et le pouvoir monopolistique que lui conféraient son logiciel chargé de virus, Gates est désormais salué comme un visionnaire qui exploite cette richesse et ce pouvoir pour le plus grand bien de l’humanité.
KLAUS SCHWAB : Si au 22ème siècle on écrivait un livre sur l'entrepreneur du 21ème siècle [. . .] Je suis sûr que la personne qui viendra le plus à l'esprit de ces historiens est certainement Bill Gates. [applaudissements]
SOURCE : Assemblée annuelle de Davos 2008 – Bill Gates
ANDREW ROSS SORKIN : Je ne pense pas qu'il soit exagéré de dire que Bill Gates est singulièrement – je dirais – l'individu le plus important de notre génération. Je veux dire que.
SOURCE : Bill Gates parle de philanthropie, de Microsoft et d'impôts | DealBook
ELLEN DEGENERES : Notre prochain invité est l’un des hommes les plus riches et les plus généreux du monde. Veuillez accueillir Bill Gates.
SOURCE : Bill Gates sur la recherche d'un vaccin contre le COVID-19, l'économie et le retour à la « vie normale »
JUDY WOODRUFF : À l’heure où chacun cherche à comprendre l’ampleur de la pandémie et comment minimiser la menace, l’une des voix les mieux informées est celle de l’homme d’affaires et philanthrope Bill Gates.
SOURCE : Bill Gates explique où la pandémie de COVID-19 fera le plus de mal
Le processus par lequel s’est produite cette réinvention de l’image publique de Gates n’est pas mystérieux. C’est le même processus par lequel chaque milliardaire a ravivé son image publique depuis que John D. Rockefeller a engagé Ivy Ledbetter Lee pour le transformer du chef de l’hydre de la Standard Oil en un gentil vieil homme qui distribue des pièces de dix cents aux étrangers.
HOMME HORS CAMÉRA : Ne vous en donnez pas, M. Rockefeller ? S'il vous plaît, allez-y.
FEMME : Merci, monsieur.
L'HOMME : Merci beaucoup.
ROCKEFELLER : Merci pour le trajet !
HOMME : Je me considère comme étant plus que largement payé.
Plus précisément, John D. Rockefeller savait que pour gagner l’adoration du public, il devait apparaître pour lui donner ce qu’il voulait : de l’argent. Il a consacré des centaines de millions de dollars de sa vaste fortune monopolistique pétrolière à la création d’institutions qui, selon lui, étaient destinées au bien public. Le Conseil de l'Enseignement Général. L'Institut Rockefeller de recherche médicale. La Fondation Rockefeller.
De la même manière, Bill Gates a passé une grande partie des deux dernières décennies à se transformer du statut de magnat du logiciel à celui de bienfaiteur de l’humanité grâce à sa propre Fondation Bill & Melinda Gates. En fait, Gates a surpassé l'héritage de Rockefeller avec la Fondation Bill & Melinda Gates, qui a depuis longtemps éclipsé la Fondation Rockefeller en tant que plus grande fondation privée au monde, avec 46,8 milliards de dollars d'actifs dans ses livres qu'elle exerce dans ses domaines de programme déclarés de santé mondiale et le développement, la croissance mondiale et le plaidoyer politique mondial.
Et, comme Rockefeller, la transformation de Gates a été facilitée par une campagne de relations publiques bien financée. Finis les trucs théâtraux des pionniers des relations publiques : les cornets de glace omniprésents du mentor de Gates, Warren Buffett, sont le dernier résistant au vieux truc de Rockefeller qui distribue des dix sous. Non, Gates a transformé son image publique en celle d’un saint des temps modernes grâce à une tactique encore plus simple : acheter une bonne publicité.
La Fondation Bill & Melinda Gates dépense des dizaines de millions de dollars chaque année en partenariats médiatiques, en parrainant la couverture de ses domaines de programme à tous les niveaux. Gates finance le site Web Global Development du Guardian . "Gates finance la couverture santé mondiale de NPR" . Gates finance le site Web Our World in Data qui suit les dernières statistiques et recherches sur la pandémie de coronavirus. Gates finance la couverture par la BBC des questions mondiales de santé et de développement, à la fois par l'intermédiaire de son organisation BBC Media Action et de la BBC elle-même . Gates finance la couverture sanitaire mondiale sur ABC News .
Lorsque le NewsHour avec Jim Lehrer a reçu une subvention de 3,5 millions de dollars de la Fondation Gates pour créer une unité spéciale chargée de rendre compte des problèmes de santé mondiaux, le chef de la communication de NewsHour, Rob Flynn, a été interrogé sur le conflit d'intérêt potentiel qu'une telle unité aurait en rapportant sur les problèmes. dans lequel la Fondation Gates est elle-même impliquée. « À certains égards, je suppose qu'on pourrait dire qu'il n'y a pas beaucoup de choses que l'on pourrait toucher en matière de santé mondiale de nos jours qui n'auraient pas une sorte de tentacule Gates », a répondu Flynn. .
En effet, il serait presque impossible de trouver un domaine de la santé mondiale qui n’ait pas été touché par les tentacules de la Fondation Bill & Melinda Gates.
C’est Gates qui a parrainé la réunion qui a conduit à la création de Gavi, l’Alliance du Vaccin, un partenariat public-privé mondial réunissant des sponsors étatiques et de grandes sociétés pharmaceutiques, dont les objectifs spécifiques incluent la création de « marchés sains pour les vaccins et autres produits de vaccination ». .» En tant que partenaire fondateur de l'alliance, la Fondation Gates a fourni 750 millions de dollars de financement de démarrage et a ensuite engagé plus de 4,1 milliards de dollars en faveur du groupe.
Gates a fourni le capital de démarrage qui a permis de créer le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, un partenariat public-privé qui sert de véhicule de financement pour les programmes gouvernementaux de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
Lorsqu’un partenariat public-privé regroupant des gouvernements, des organismes de santé mondiaux et 13 grandes sociétés pharmaceutiques s’est réuni en 2012 « pour accélérer les progrès vers l’élimination ou le contrôle de 10 maladies tropicales négligées », la Fondation Gates a apporté un soutien de 363 millions de dollars .
Lorsque le Mécanisme de financement mondial pour les femmes, les enfants et les adolescents a été lancé en 2015 pour mobiliser des milliards de dollars de financement public et privé pour des programmes mondiaux de santé et de développement, la Fondation Bill & Melinda Gates était un partenaire fondateur avec une contribution de 275 millions de dollars .
Lorsque la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies a été lancée lors du Forum économique mondial de Davos en 2017 pour développer des vaccins contre les maladies infectieuses émergentes, il y avait la Fondation Gates avec une première injection de 100 millions de dollars .
Les exemples sont interminables. Les empreintes digitales de la Fondation Bill & Melinda Gates sont visibles dans toutes les grandes initiatives mondiales en matière de santé des deux dernières décennies. Et au-delà des partenariats mondiaux tape-à-l’œil d’un milliard de dollars, la Fondation est à l’origine de centaines de petites subventions spécifiques à des pays et à des régions – 10 millions de dollars pour lutter contre une infestation acridienne en Afrique de l’Est, ou 300 millions de dollars pour soutenir la recherche agricole en Afrique et en Asie – qui ajoutent jusqu'à des milliards de dollars d'engagements.
Il n’est donc pas surprenant que – bien au-delà des 250 millions de dollars promis par la Fondation Gates pour la « lutte » contre le coronavirus – chaque aspect de la pandémie actuelle de coronavirus implique des organisations, des groupes et des individus ayant des liens directs avec le financement de Gates.
Dès le début, l’Organisation mondiale de la santé a dirigé la réponse mondiale à la pandémie actuelle. Depuis sa surveillance initiale de l'épidémie à Wuhan et sa déclaration en janvier selon laquelle il n'y avait aucune preuve de transmission interhumaine jusqu'à ses points de presse en direct et ses conseils techniques sur la planification au niveau national et d'autres questions, l'OMS a été l'organisme définir les lignes directrices et les recommandations qui façonnent la réponse mondiale à cette épidémie.
Mais même l’Organisation mondiale de la santé elle-même dépend largement des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates. Le rapport le plus récent sur les donateurs de l'OMS montre que la Fondation Bill & Melinda Gates est le deuxième donateur de l'organisation derrière le gouvernement des États-Unis. La Fondation Gates, à elle seule, contribue davantage à l’organisme mondial de santé que l’Australie, le Canada, la France, l’Allemagne, la Russie et le Royaume-Uni réunis.
De plus, l'actuel directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, n'est en fait, comme Bill Gates lui-même, pas du tout médecin, mais l'ancien ministre controversé de la Santé de l'Éthiopie, accusé d' avoir dissimulé trois épidémies de choléra. dans le pays pendant son mandat. Avant de rejoindre l'OMS, il a été président du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, fondé par Gates, et a siégé au conseil d'administration de Gavi, fondé par Gates, de l'Alliance du vaccin et du partenariat Stop TB financé par Gates .
La série actuelle de confinements et d’ordonnances restrictives de séjour à domicile dans les pays occidentaux a été adoptée sur la base de modèles alarmants prédisant des millions de décès aux États-Unis et des centaines de milliers au Royaume-Uni.
HAYLEY MINOGUE : L'Imperial College de Londres a publié un rapport sur le COVID-19 et c'est là que la plupart de nos dirigeants américains obtiennent les informations sur lesquelles ils fondent leur prise de décision. Ces 2,2 millions de décès ne tiennent pas non plus compte des effets négatifs potentiels du débordement des systèmes de santé.
[. . .]
Le rapport nous présente différentes manières dont cela pourrait se produire en fonction de nos réponses. Si nous ne faisons rien pour contrôler ce virus, plus de 80 % de la population américaine serait infectée au cours de l’épidémie, avec 2,2 millions de décès dus au COVID-19.
SOURCE : Mesures extrêmes basées sur un article scientifique
BORIS JOHNSON : Dès ce soir, je dois donner au peuple britannique une instruction très simple : vous devez rester chez vous.
SOURCE : Boris Johnson annonce un verrouillage complet du Royaume-Uni au milieu de la crise des coronavirus
JUSTIN TRUDEAU : Assez, c'est assez. Rentrez chez vous et restez à la maison.
SOURCE : « Assez, c'est assez », Trudeau avec un message fort aux Canadiens
GAVIN NEWSOM : . . . un ordre à l'échelle de l'État pour que les gens restent chez eux
SOURCE : Le gouverneur de Californie Newsom émet une ordonnance « PLUS SÛR À LA MAISON » à l'échelle de l'État
Le travail de deux groupes de recherche a joué un rôle crucial dans la décision des gouvernements britannique et américain de mettre en œuvre des mesures de confinement à grande échelle et, par conséquent, dans la décision des gouvernements du monde entier. Le premier groupe, l’équipe de recherche sur le COVID-19 de l’Imperial College, a publié le 16 mars un rapport prédisant jusqu’à 500 000 décès au Royaume-Uni et 2,2 millions de décès aux États-Unis, à moins que des mesures gouvernementales strictes ne soient mises en place.
L’exécution au ralenti de Julian Assange se poursuit
La décision de la Haute Cour de Londres autorisant Julian Assange à faire appel de sa décision d’extradition le laisse croupir dans une santé précaire dans une prison de haute sécurité. C'est le but.
CHRIS HAIES 21 MAI 2024
De la poussière à la poussière - par M. Fish
La décision de la Haute Cour de Londres d’accorder à Julian Assange le droit de faire appel de l’ordonnance d’extradition vers les États-Unis pourrait s’avérer être une victoire à la Pyrrhus. Cela ne veut pas dire que Julian échappera à l’extradition. Cela ne signifie pas que le tribunal a statué, comme il se doit, qu’il s’agit d’un journaliste dont le seul « crime » a été de fournir au public des preuves de crimes de guerre et de mensonges du gouvernement américain. Cela ne signifie pas qu’il sera libéré de la prison de haute sécurité HMS Belmarsh où, comme Nils Melzer, le rapporteur spécial des Nations Unies sur la torture, après avoir rendu visite à Julian, a déclaré qu’il subissait une « exécution au ralenti ».
Cela ne veut pas dire que le journalisme est moins en péril. Les rédacteurs et éditeurs de cinq médias internationaux – le New York Times, le Guardian, Le Monde, El Pais et DER SPIEGEL – qui ont publié des articles basés sur des documents publiés par WikiLeaks, ont demandé instamment que les accusations américaines soient abandonnées et que Julian soit libéré. . Aucun de ces responsables des médias n’a été accusé d’espionnage. Il ne rejette pas le stratagème ridicule du gouvernement américain visant à extrader un citoyen australien dont la publication n'est pas basée aux États-Unis et à l'inculper en vertu de la loi sur l'espionnage. Il poursuit la longue farce dickensienne qui se moque des concepts les plus fondamentaux de procédure régulière.
Cette décision repose sur le fait que le gouvernement américain n’a pas offert suffisamment de garanties que Julian bénéficierait des mêmes protections du premier amendement que celles accordées à un citoyen américain s’il était jugé. La procédure d'appel constitue un obstacle juridique supplémentaire dans la persécution d'un journaliste qui devrait non seulement être libre, mais également célébré et honoré comme le plus courageux de notre génération.
Oui. Il peut faire appel. Mais cela signifie une autre année, peut-être plus, dans des conditions de prison difficiles alors que sa santé physique et psychologique se détériore. Il a passé plus de cinq ans à bord du HMS Belmarsh sans être inculpé. Il a passé sept ans à l'ambassade d'Équateur parce que les gouvernements britannique et suédois ont refusé de garantir qu'il ne serait pas extradé vers les États-Unis, même s'il a accepté de retourner en Suède pour contribuer à une enquête préliminaire qui a finalement été abandonnée.
Le lynchage judiciaire de Julian n’a jamais été une question de justice. La pléthore d’irrégularités juridiques, y compris l’enregistrement de ses réunions avec des avocats par la société de sécurité espagnole UC Global à l’ambassade au nom de la CIA, aurait dû à elle seule faire rejeter l’affaire du tribunal car elle éviscère le secret professionnel de l’avocat.
Les États-Unis ont inculpé Julian de 17 actes en vertu de la loi sur l'espionnage et d'un chef d'accusation d'utilisation abusive d'ordinateurs, pour un prétendu complot visant à prendre possession puis à publier des informations sur la défense nationale. S’il est reconnu coupable de toutes ces accusations, il risque 175 ans de prison aux États-Unis.
La demande d'extradition est basée sur la publication par WikiLeaks en 2010 des journaux de guerre en Irak et en Afghanistan – des centaines de milliers de documents classifiés, divulgués sur le site par Chelsea Manning, alors analyste du renseignement de l'armée, qui ont révélé de nombreux crimes de guerre américains, notamment des images vidéo de l'assassinat de deux journalistes de Reuters et de 10 autres civils non armés dans la vidéo du meurtre collatéral, la torture systématique des prisonniers irakiens, la dissimulation de milliers de morts civiles et le meurtre de près de 700 civils qui s'étaient approchés de trop près des points de contrôle américains.
En février, les avocats de Julian ont soumis neuf motifs distincts pour un éventuel appel.
Une audience de deux jours en mars, à laquelle j’ai assisté, était la dernière chance pour Julian de demander un appel de la décision d’extradition prise en 2022 par la ministre britannique de l’Intérieur de l’époque, Priti Patel, et de nombreuses décisions du juge de district Baraitser en 2021.
Les deux juges de la Haute Cour, Dame Victoria Sharp et le juge Jeremy Johnson, ont rejeté en mars la plupart des motifs d’appel de Julian. Il s’agit notamment de l’affirmation de ses avocats selon laquelle le traité d’extradition entre le Royaume-Uni et les États-Unis interdit l’extradition pour des délits politiques ; que la demande d'extradition a été présentée dans le but de le poursuivre en justice pour ses opinions politiques ; cette extradition équivaudrait à une application rétroactive de la loi – car il n’était pas prévisible qu’une loi sur l’espionnage vieille d’un siècle soit utilisée contre un éditeur étranger ; et qu'il ne bénéficierait pas d'un procès équitable dans le district oriental de Virginie. Les juges ont également refusé d’entendre de nouvelles preuves selon lesquelles la CIA avait comploté pour kidnapper et assassiner Julian, concluant – à la fois de manière perverse et incorrecte – que la CIA n’avait envisagé ces options que parce qu’elle pensait que Julian envisageait de fuir en Russie.
Mais les deux juges ont déterminé lundi qu'il était « discutable » qu'un tribunal américain puisse ne pas accorder à Julian la protection en vertu du premier amendement, violant ainsi ses droits à la liberté d'expression tels qu'ils sont consacrés par la Convention européenne des droits de l'homme.
En mars, les juges ont demandé aux États-Unis de fournir des assurances écrites selon lesquelles Julian serait protégé en vertu du Premier amendement et qu'il serait exempté d'un verdict de peine de mort. Les États-Unis ont assuré au tribunal que Julian ne serait pas soumis à la peine de mort, ce que les avocats de Julian ont finalement accepté. Mais le ministère de la Justice n’a pas été en mesure de garantir que Julian pourrait présenter une défense contre le Premier amendement devant un tribunal américain. Une telle décision est prise par un tribunal fédéral américain, ont expliqué leurs avocats.
Le procureur adjoint des États-Unis, Gordon Kromberg, qui poursuit Julian, a fait valoir que seuls les citoyens américains se voient garantir les droits du premier amendement devant les tribunaux américains. Kromberg a déclaré que ce que Julian avait publié n’était « pas dans l’intérêt public » et que les États-Unis ne demandaient pas son extradition pour des raisons politiques.
L’emprisonnement prolongé, que l’octroi de cet appel perpétue, est le problème. Les 12 années de détention de Julian – sept à l'ambassade d'Équateur à Londres et plus de cinq dans la prison de haute sécurité de Belmarsh – ont été accompagnées d'un manque de soleil et d'exercice, ainsi que de menaces, de pressions, d'isolement prolongé, d'anxiété et de pressions constantes. stresser. Le but est de le détruire.
Nous devons libérer Julian. Nous devons le garder hors des mains du gouvernement américain. Compte tenu de tout ce qu’il a fait pour nous, nous lui devons un combat acharné.
S’il n’y a pas de liberté d’expression pour Julian, il n’y aura pas de liberté d’expression pour nous.
La loi sur les « agents étrangers » - une leçon magistrale de l'hypocrisie atlantiste
Oleg Nesterenko Sott.net sam., 18 mai 2024 17:33 UTC
À la suite de l'adoption par le parlement de la Géorgie (pays du Caucase), le 1er mai dernier, de la loi sur les « agents étrangers », toute une avalanche de critiques, d'avertissements et de menaces directes et voilées s'est écroulée sur le gouvernement géorgien de la part des « défenseurs de la liberté, de la démocratie, de la libre parole et des droits de l'homme » composés de l'intégralité des pays du camp Occidental, les États-Unis d'Amérique en tête.
L'indignation du monde Occidental
Le « monde libre » s'est unanimement levé indigné face à l'obscurantisme et l'oppression de la liberté qui est en train d'être instaurée dans ce pays du Caucase, lequel, à l'instar de la Fédération de Russie, vient de mettre en place le contrôle légal des personnes morales et physiques financées/influencées par des sources étrangères dans le cadre de leur activité politique ou celle de la diffusion de l'information.
Le Département d'État américain en la personne de son porte-parole Matthew Miller a menacé la Géorgie en soulignant la qualité anti-démocratique de la loi nouvellement adoptée : « Les déclarations et les actions du gouvernement géorgien sont incompatibles avec les valeurs démocratiques qui sous-tendent l'adhésion à l'UE et à l'OTAN et compromettent ainsi la voie de la Géorgie vers l'intégration euro-atlantique ».
Auparavant, les représentants de la quasi-intégralité des pays occidentaux, l'un après l'autre, ont mis en garde le gouvernement géorgien contre son projet de loi sur les « agents étrangers », en le qualifiant d'être inspiré par le Kremlin et par la loi similaire existante en Russie et donc autoritaire et antidémocratique.
John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale des Etats-Unis, tire le signal d'alarme : « Nous sommes profondément préoccupés par cette législation, par les conséquences qu'elle pourrait avoir en termes d'étouffement de la dissidence et de la liberté d'expression ».
Par sa résolution du 25 avril 2025, le Parlement européen « condamne fermement la réintroduction du projet controversé de loi relative à la transparence des interférences étrangères, qui imposerait des restrictions à la société civile et aux médias indépendants et limiterait ainsi leur capacité à opérer librement...» et dénonce le fait que le gouvernement géorgien « s'inspire d'une loi russe similaire très controversée dite «loi sur les agents de l'étranger», qui stigmatise et discrimine délibérément les organisations et les militants de la société civile et qui est utilisée pour étouffer l'opposition à la guerre d'agression menée par la Russie contre l'Ukraine et réduire au silence toute voix dissidente subsistant dans le pays ».
Le ministère des Affaires Etrangères français a déclaré à son tour : « La France, à l'instar de l'Union européenne, réitère la vive inquiétude que soulève le projet de loi adopté [...] par le Parlement géorgien sur les agents de l'étranger. Cette initiative contribue à discréditer les ONG et les médias et porte un coup sévère à la démocratie géorgienne ».
Les « agents étrangers » - de quoi s'agit-il ?
En parlant de la loi « russe » sur les « agents étrangers », l'Occident collectif incriminant aujourd'hui la Géorgie, de quoi s'agit-il exactement ?
Il ne s'agit pas, en réalité, d'une seule loi, mais d'une série de mesures législatives introduites en Russie depuis le 20 juillet 2012 (loi n°121-FZ) et dont la dernière en date est celle du 14 juillet 2022 (loi n°255-FZ).
Comme mentionné plus haut, il s'agit de l'encadrement légal de l'activité des personnes morales et des personnes physiques financées/influencées par les personnes ou organismes étrangers dans le cadre de leur activité politique ou de diffusion de l'information sur le territoire de la Fédération de Russie.
Contrairement à des narratifs propagés par les représentants officiels des pays-adversaires de la Russie et des médias sous leur contrôle, ni la loi russe sur les « agents étrangers », ni celle de la Géorgie, adoptée à la majorité des députés du parlement du pays, ne limitent nullement les activités ou communications publiques de ceux qui tombent sous son coup, hormis les activités particulièrement sensibles, telles que, par exemple, l'accès au secret d'état ou la production de supports d'information adressés à des mineurs.
La loi ne fait que pointer et clairement afficher ceux qui sont considérés en tant qu'« agents étrangers » : les personnes menant une activité politique ; la collecte ciblée d'informations dans le domaine des activités militaires, militaro-techniques de la Fédération de Russie ; la diffusion de l'information destinée à un nombre illimité de personnes et/ou participant à la création de telle information (loi n°255-FZ, art.4., §1).
Par ailleurs, selon ladite loi, les activités politiques mentionnées dans le §1 de son art.4. ne comprennent pas les activités dans les domaines de la science, de la culture, des arts, de la santé, de la prévention et de la protection de la santé des citoyens, des services sociaux, du soutien social et de la protection des citoyens, de la protection de la vie humaine, de la famille, de la maternité, de la paternité et de l'enfance, des valeurs familiales traditionnelles, du soutien social des personnes handicapées, de la promotion d'un mode de vie sain, de la culture physique et du sport, de la protection du monde végétal et animal et des activités caritatives, si ces activités ne sont pas contraires aux intérêts nationaux de la Fédération de Russie, aux fondements de l'ordre juridique public de la Fédération de Russie et aux valeurs protégées par la Constitution de la Fédération de Russie.
Les journalistes étrangers dûment accrédités dans la Fédération de Russie ne sont pas soumis non plus à l'obligation de s'enregistrer au sein du registre des « agents étrangers ».
L'objectif de l'existence de cette base légale est d'informer les citoyens de la Fédération de Russie sur le fait que certaines personnes morales ou physiques qui peuvent les viser dans l'espace informationnel public sont directement dépendantes, y compris financièrement, de l'influence étrangère, voir se situent directement sous les ordres d'organismes étrangers et effectuent le rôle de leurs « porte-paroles » sur le territoire de Russie.
Un petit « oubli » dans les indignations occidentales
En mettant en lumière les « dérives anti-démocratiques » prétendument commises par la Russie et, ensuite, par la Géorgie via l'adaptation des lois sur les « agents étrangers », l'appareil de propagande occidentale a « oublié » de préciser qu'il ne parle que de l'arbre qui cache la forêt.
L'air de rien, les « défenseurs de la liberté » oublient de mentionner un détail : la loi russe et la loi géorgienne sur les « agents étrangers » n'est rien d'autre que l'adoption de la même loi déjà existante aux États-Unis. Et non seulement déjà existante, mais existante depuis 1938 (Foreign Agents Registration Act- FARA - loi pour l'enregistrement des Agents étrangers), aujourd'hui en vigueur sous sa rédaction de 1995.
Les actes normatifs régissant ce domaine des relations publiques ont été adoptés et appliqués dans plusieurs pays du monde, dont en Russie que très tardivement par rapport aux pionniers dans le domaine que sont les Américains. En dehors des États-Unis, les lois sur les « agents étrangers » et leurs équivalents existent belle et bien dans d'autres pays, notamment en Australie (Australia Foreign Influence Transparency Scheme Act Nr.63 de 2018 - FITSA) et en Israël.
La position de certains prétendus experts stipulant qu'il y a une grande différence au niveau des contraintes entre la version russe et la version américaine ou, par exemple, australienne au niveau de la législation sur les « agents étrangers » est parfaitement mensongère. Une étude de près des textes des bases légales respectives le confirme. Les normes de la législation américaine et australienne sont les plus similaires en termes de contenu avec les normes russes.
Par ailleurs, la rigueur de la loi américaine est bien plus prononcée par rapport à la version russe. Notamment, en ce qui concerne l'activité politique, cette notion est très vague dans le cadre de FARA, soit, l'appréciation de l'activité d'une personne morale/physique est tout à fait arbitraire. De son côté, la législation russe décrit très en détail et délimite clairement l'application de cette notion.
Côté répressif, la sanction maximale prévue aux Etats-Unis pour une activité irrégulière d'un « agent étranger » est de 10.000$ et de 10 ans de prison ferme. Du côté de la Russie, la sanction maximale est de 500.000 roubles (dans les 5.500$) et aucune (!) peine de prison n'est encourue (art. 19.34. de la loi N 195-FZ du Code sur les infractions administratives). L'activité des « agents étrangers » en Russie est régie exclusivement par le droit administratif ; celle menée aux Etats-Unis est également régie par le droit pénal.
En ce qui concerne le nombre de personnes physiques et morales soumis au statut d'« agent étranger » au Etats-Unis - il est incomparablement plus élevé qu'en Russie. Au mois de mai 2023, le nombre d'« agents étrangers » sur le sol américain était supérieur à 3.500 contre près de 400 en Russie. La surveillance et le contrôle par l'état américain s'est considérablement accru durant les dernières années : sur plus de 3.500 « agents », 1/3 a reçu ce statut qu'entre l'année 2016 et 2023.
Il est à souligner que jusqu'en 2017, en Russie, les médias financés par les sources étrangères ne tombaient guère sous la loi russe sur les « agents étrangers », même si leur activité était de nature foncièrement anti-gouvernementale. Ce n'est que le 25 novembre 2017 et qu'en réponse à l'exigence du ministère de la justice des États-Unis d'enregistrer les médias financés par la source russe « Russia Today » et « Sputnik » en tant qu'« agents étrangers » sur le sol américain que la loi introduisant le concept de « médias - agent étranger » a été adoptée, à son tour, en Russie (loi n°327-FZ).
Contrairement aux « oppresseurs de la liberté de parole » que sont les gouvernements russes et géorgiens respectivement, les gouvernements de l'UE - « défenseurs des droits démocratiques » ne faisaient pas dans la dentelle en perdant leur temps dans la classification des médias « pro-russes » parmi les « agents étrangers » - il les ont faits, tout simplement, interdire sur l'ensemble de leur territoire.
Une mesure aussi démocratiquement expéditive est tout à fait compréhensible : dans le cadre de la guerre en Ukraine, il était nécessaire de couper net et en urgence la possibilité de l'accès par le grand public européen formaté à des informations alternatives à celles propagées par les médias mainstream contrôlés par le pouvoir « atlantiste », aux risques de voir des soulèvements populaires révoltés par la vérité qu'ils pourraient y découvrir.
Il est également à souligner que depuis le début de l'année 2023, l'Union-Européenne elle-même est bien en train d'élaborer sa propre loi sur les « agents étrangers ». La loi obligerait les organisations non gouvernementales à divulguer des informations sur tout financement provenant de l'extérieur de l'UE. Les nouvelles règles seront très similaires à celles déjà en vigueur aux États-Unis, en Australie, en Russie et en Géorgie.
En ce qui concerne la France, la proposition de loi répressive (n°269) « visant à prévenir les ingérences étrangères en France » a déjà été adoptée en première lecture par l'Assemblée nationale, le 27 mars dernier. Nul doute sur le résultat positif de son examen qui aura lieu au Sénat, le 22 mai prochain. Le texte de la loi française prévoit la création d'un registre des représentants d'intérêts étrangers - personnes physiques/morales agissant pour le compte d'un « mandant étranger » dans le but, notamment, d'influencer la décision publique ou de mener des activités de communication. Les sanctions prévues en France pour une activité irrégulière d'un « agent étranger » sont bien plus répressives que celles connues en Russie : 45.000 euros d'amende et 3 ans de prison. Les peines prévues pour les personnes morales vont aller jusqu'à 225.000 euros.
De même, une loi similaire est en préparation en Estonie depuis le mois de mars 2018.
En mai 2019, le ministre britannique de l'intérieur, Sajid Javid, a déclaré qu'il était nécessaire d'introduire une pratique consistant à « enregistrer les agents étrangers », afin de réduire les « activités hostiles » menées contre le Royaume-Uni par un certain nombre d'États, dont la Russie, et ceci est en plus de la loi sur la sécurité nationale instaurant un registre relatif aux influences étrangères (Foreign Influence Registration Scheme - FIRS) déjà en vigueur depuis 2023.
Bien évidemment, si dans le cas de la Fédération de Russie et de la Géorgie l'adoption des lois du contrôle sur les « agents étrangers » n'est que l'outil de l'oppression de la liberté et le reflet de l'obscurantisme - dans le cas des États-Unis et de leurs vassaux il ne s'agira que du perfectionnement de la « défense de la démocratie ».
Les dessous des cartes
La loi nouvellement adoptée par le parlement géorgien ne met guère en danger imminant les projets d'une grave déstabilisation politique de la région du Causasse que les « atlantistes » sont en train de réaliser depuis plusieurs décennies et, surtout, dans les dernières années - il en faut bien davantage pour contrer les initiatives du « monde libre » entreprises dans le « tiers monde ». Néanmoins, elle est considérée en tant qu'un bâton assez sérieux dans les roues des processus engagés par ce dernier. La pression sur le gouvernement géorgien ne va donc que s'accentuer et le pays doit s'attendre à de mauvaises surprises dans un avenir proche.
Pour le camp politico-militaire Occidental, l'intérêt primaire de la région du Caucase et des pays tels que la Géorgie ou l'Arménie ne réside que dans leurs situations géographiques frontalières vis-à-vis de la Russie. L'instauration dans cette zone de « l'anti-Russie », des régimes politiques, dont le principal vecteur serait la russophobie, à l'instar de leur réalisation sur le territoire de l'Ukraine, est l'objectif primaire des initiatives occidentales menées à la frontière sud de la Russie depuis la chute de l'URSS en 1991.
Les petits peuples du Caucase, quant à eux, n'intéressent pas davantage les pays « démocratiques » en action dans la région que ceux de l'Irak, de la Lybie ou de l'Ukraine dont ils ont déjà détruit l'avenir des générations à venir.
Avec la vive contestation face à l'adoption souveraine par la Géorgie de la loi sur les « agents étrangers », une fois de plus, les Etats-Unis d'Amérique en tête de l'armée de ses satellites n'ont fait que revendiquer leurs droits. Les droits appliqués selon la bonne vielle expression romaine : « Quod licet Iovi, non licet bovi » - ce qui est permis à Jupiter ne l'est pas aux vaches.
L'argent apolitique comme moyen de contrer les sanctions et de geler les dépôts
19 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Les États-Unis utilisent le dollar comme une arme depuis Bretton Wood en 1944 et pour financer leur énorme budget militaire, qui s'élevait récemment à 850 milliards de dollars en 2024, ainsi que la dette nationale de près de 35 000 milliards de dollars, qui augmente rapidement . Ils l’utilisent également pour maintenir d’autres pays à l’écart et imposer leur régime de sanctions croissant à davantage d’États. Cependant, en dehors des États-Unis, qui suivent l’Union européenne et l’Occident politique, la résistance à ce projet s’accroît et le travail visant à créer des alternatives s’intensifie.
La question est de savoir si les experts occidentaux en politique étrangère, dont les compétences intellectuelles et politiques ont atteint un niveau sans précédent en Autriche, en Allemagne et dans l’UE, comprennent ce qu’ils ont fait ? Après l'expansion des BRICS et la déclaration commune de la Chine et de la Russie suite à la visite que vient de terminer Vladimir Poutine à Xi Jinping à Pékin, il faut l'accepter.
La Chine a aidé Biden en termes de domination du dollar et a vendu des obligations du gouvernement américain pour au moins 53 milliards de dollars, ce qui ne représente de toute façon que 0,15 % (!) de la dette nationale américaine :
L'expert économique suisse Claudio Grass a déclaré :
« C’est une sage décision de se diversifier en s’éloignant du dollar. L’or a surperformé les obligations en dollars américains de 75 % depuis 2021.
En outre, le dollar est utilisé depuis des décennies comme une arme politique et pour confisquer arbitrairement des actifs sous la pression du gouvernement américain.
Il est évident que la civilisation occidentale est en train d’être détruite par son propre système politique corrompu et pourri. »
Alternatives au dollar
Les alternatives, notamment au système de paiement international SWIFT, utilisé abusivement comme une arme, sont de plus en plus nombreuses. L’un d’eux est UNIT, qui offre une forme d’argent apolitique qui n’est influencée par aucun agenda politique et garantit la stabilité et la neutralité.
L'écosystème UNIT affirme offrir aux gens du monde entier de l'argent apolitique qui peut être librement acheté et vendu ou utilisé comme monnaie pour les paiements via n'importe quel système de paiement et de compensation ouvert.
Le concept d'UNIT a déjà été discuté par le Groupe de travail sur les services financiers et les investissements mis en place par le Conseil des entreprises des BRICS+ et, selon Pepe Escobar , a de sérieuses chances de devenir la politique officielle des BRICS+ dès 2025.
Selon Alexey Subbotin, fondateur d'Arkhangelsk Capital Management et l'une des idées originales d'UNI, il s'agit d'un nouveau système de résolution de problèmes qui répond au problème géoéconomique central de ces temps troublés : une crise mondiale de confiance. Il le sait de première main : professionnel de la finance expérimenté avec une expérience dans la banque d'investissement, la gestion d'actifs et les affaires d'entreprise, Subbotin dirige le projet d'unité sous les auspices de l'IRIAS, une organisation intergouvernementale internationale fondée en 1976 conformément au Statut de l'ONU.
Contrairement au moteur de financement de l'armée américaine, Unit offre une solution fiable, rapide et économiquement efficace pour les paiements transfrontaliers. L'unité - transactionnelle - est une nouvelle forme de monnaie internationale qui peut être émise de manière décentralisée puis reconnue et réglementée au niveau national.
Il vise à offrir une solution unique aux goulots d'étranglement de l'infrastructure financière mondiale : il convient aussi bien aux transactions bancaires traditionnelles qu'aux dernières formes de banque numérique.
« L’unité peut également aider à surmonter les prix injustes dans le commerce des matières premières en établissant une nouvelle bourse commerciale eurasienne – juste et efficace – où les échanges et les règlements peuvent avoir lieu dans une nouvelle monnaie qui relie les flux commerciaux et les capitaux, ouvrant ainsi la voie à l’échange de capitaux. développement de nouveaux produits financiers pour les investissements directs étrangers.
Le résultat final, selon Escobar, est que pratiquement n'importe qui peut utiliser l'unité pour la comptabilité, la tarification, la facturation, les paiements, l'épargne et l'investissement.
Il n’est pas étonnant que les options institutionnelles soient très tentantes : l’unité peut être utilisée pour la comptabilité et la facturation pour les BRICS+, pour les paiements et la fixation des prix pour l’Union économique eurasienne (EAEU), ou comme monnaie de réserve pour l’Afrique subsaharienne.
«Et maintenant vient le coup d'éclat : l'Unit a déjà été soutenue par le Conseil économique des BRICS et est à l'ordre du jour de la réunion ministérielle cruciale en Russie le mois prochain, au cours de laquelle sera élaborée la feuille de route pour le sommet d'octobre à Kazan.
Cela signifie que l'unité a tous les prérequis pour figurer sur la table des BRICS+ comme un sujet sérieux et être finalement adoptée dès 2025...
Actuellement, la priorité des planificateurs de l'unité - que j'ai suivi pendant un an lors de plusieurs réunions approfondies à Moscou - est d'informer le public sur le nouveau système.
…
Ce qui nous attend pourrait être extrêmement excitant, dans la mesure où l’attrait de l’unité pourrait s’étendre d’Elon Musk à la Nouvelle Banque de Développement (NDB) des BRICS et, espérons-le, attirer un certain nombre d’acteurs clés. Après l’évaluation positive du ministre des Finances Anton Siluanov – qui reste en poste dans le nouveau gouvernement russe – il n’est pas déraisonnable d’imaginer Poutine et Xi en discuter face à face à Pékin cette semaine.»
Reste donc à voir si la Russie, la Chine et l’Inde parviendront à s’entendre sur l’unité comme système de paiement, qui deviendrait alors automatiquement celui des BRICS+. La conclusion la plus importante à l’heure actuelle est que l’unité doit être considérée comme une solution technique réalisable à ce qui est théoriquement insoluble : un système de paiement et d’échange mondialement reconnu et immunisé contre les pressions politiques.
Pouvons-nous garantir les droits de propriété sans l’État ?
Par George F. Smith 21 mai 2024
Vous pensez être le propriétaire légitime de votre résidence jusqu’à ce que, à votre retour de vacances, vous constatiez que des squatteurs ont pris le relais. Appeler la police et les faire enlever ? Vous devrez peut-être plutôt appeler un service privé comme Squatterhunters.com.
Les Américains ont depuis longtemps perdu leurs droits de propriété sur leurs revenus, le pouvoir d’achat de leur argent, leurs économies et leur vie. N’y a-t-il aucun moyen pour les gens de protéger ce qui leur appartient légitimement ?
Heureusement, l’expérience et la théorie le prouvent : l’étude classique de Terry L. Anderson et P. J. Hill, An American Experiment in Anarcho-Capitalism : The Not So Wild, Wild West et la théorie du chaos de Robert P. Murphy.
Grâce à Hollywood et à la littérature populaire, l’Ouest américain [1830-1900] est souvent décrit comme violent et anarchique. Tant que vous aviez une arme rapide et que vous étiez prêt à l'utiliser, vous pouviez tout faire. La raison : un gouvernement faible ou inexistant.
Cependant, dans leur recherche documentaire, Anderson et Hill ont trouvé de nombreuses preuves du contraire. Par exemple, W. Eugene Hollon a découvert que « la frontière occidentale était un endroit bien plus civilisé, plus paisible et plus sûr que la société américaine ne l’est aujourd’hui [au début des années 1970] ».
Un autre chercheur, écrivant au milieu des années 1930, a constaté que si l'on peut tirer une conclusion des statistiques récentes de la criminalité, ce serait que cette dernière frontière [l'Occident] n'a laissé aucun héritage significatif d'infractions contre la personne, par rapport à d'autres sections du monde. le pays.
Au début de l’Occident, les gens protégeaient leurs biens et vivaient avec des agences privées. Il est important de noter que ces agences comprenaient que la violence était une méthode coûteuse de résolution des différends et utilisaient généralement des méthodes de règlement moins coûteuses telles que l'arbitrage et les tribunaux. Il n’existait pas non plus d’idée universelle de justice commune à ces agences. Les gens avaient des idées différentes sur les règles selon lesquelles ils souhaitaient vivre et étaient prêts à payer. La concurrence entre les agences offrait un choix.
Anderson et Hill ont étudié quatre institutions du début de l’Occident qui se rapprochaient de l’anarcho-capitalisme (AnCap), dont les trains de wagons.
Trains de wagons
Les wagons de Conestoga roulant vers l’ouest à la recherche d’or constituent peut-être le meilleur exemple d’anarcho-capitalisme à la frontière américaine.
Conscients qu’ils allaient échapper à la loi, les pionniers « ont créé leur propre appareil législatif et d’application de la loi avant de se lancer ». Dans de nombreux cas, ils ont créé des constitutions similaires à la Constitution américaine. Une fois que les voyageurs n'étaient plus sous la juridiction du gouvernement fédéral, ils ont élu des agents chargés de faire respecter les règles énoncées dans le document.
Les constitutions prévoyaient également l'éligibilité au vote et les règles de décision en matière d'amendement, de bannissement d'individus du groupe et de dissolution de la société.
Ce qui a fait que cet arrangement a fonctionné, selon les auteurs, était un profond respect des droits de propriété. Pourtant, les droits de propriété étaient peu mentionnés dans leurs constitutions. L'inviolabilité des droits de propriété était si profondément enracinée que les pionniers recouraient rarement à la violence, même lorsque la famine était imminente.
Il est certain que la nature éphémère de ces communautés dynamiques les a rendues plus adaptables à l’anarcho-capitalisme. La demande de « biens publics » comme les routes ou les écoles ne s’est par exemple jamais manifestée, alors qu’ils ont dû se protéger des attaques indiennes sans dépendre de l’État. Pour la plupart, leurs arrangements ont fonctionné. Les gens ont acheté la protection et la justice, ont trouvé une concurrence entre les producteurs de règles, et le résultat a été une société ordonnée, contrairement à celle généralement associée à l'anarchie.
Les arguments de Murphy en faveur de l’anarcho-capitalisme
Dans Chaos Theory, Robert P. Murphy décrit comment les forces du marché fonctionneraient pour soutenir la production privée de la justice et de la défense – deux domaines traditionnellement reconnus comme étant la seule compétence de l’État. Murphy soutient que non seulement le marché serait en mesure de fournir ces services, mais qu’il le ferait de manière beaucoup plus efficace et équitable que le système actuel.
Nous examinerons ici quelques points clés qu’il avance à propos de la production de justice sur le marché libre.
Comme pour les pionniers occidentaux et le monde d’aujourd’hui, aucun ensemble de lois ou de règles n’est nécessaire pour lier tout le monde. Les gens concluraient des contrats volontaires qui énoncent les règles qu'ils acceptent de respecter. "Tous les aspects des relations sociales seraient "régulés" par des contrats volontaires."
Qui établit les règles ? Des experts juridiques privés, qui rédigeraient des lois en concurrence ouverte avec leurs rivaux. Le marché traite de la « justice » comme il le fait d’autres services. Comme le note Murphy,
« le marché » n’est qu’un raccourci pour désigner l’ensemble des interactions économiques d’individus agissant librement. Laisser le marché fixer des règles juridiques signifie en réalité que personne n’utilise la violence pour imposer sa propre vision à autrui.
Dans une société AnCap avancée, les compagnies d’assurance joueraient un rôle majeur. Les gens souscriraient, par exemple, à des polices d’assurance pour indemniser leurs victimes si jamais elles étaient reconnues coupables d’un crime. Comme c’est le cas actuellement, les compagnies d’assurance emploieraient des experts pour déterminer les risques liés à l’assurance d’une personne donnée. Si une personne était considérée comme présentant un risque trop élevé, elle pourrait être refusée, et ce serait une information que d'autres utiliseraient pour décider si et comment ils souhaitaient interagir avec elle.
Les critiques disent que cela pourrait fonctionner pour des personnes pacifiques et rationnelles, mais qu’en est-il des voleurs incorrigibles et des meurtriers à la hache ? Comment l’anarchie du marché les gérerait-elle ?
Murphy nous rappelle que « partout où quelqu’un se trouve dans une société purement libertaire, il se trouverait sur la propriété de quelqu’un ». Cela permet de recourir à la force contre les criminels sans violer leurs droits naturels.
Les gens qui soutiennent l’État parce qu’ils croient que le crime organisé prendrait le contrôle d’une société AnCap devraient considérer que nous vivons déjà sous « l’association criminelle la plus « organisée » de l’histoire de l’humanité ». Quels que soient les crimes commis par la mafia, ils ne sont rien – rien – comparés à la mort gratuite et à la destruction perpétrées par les États.
Nous devons également considérer que la foule tire sa force du gouvernement et non du libre marché.
Toutes les activités traditionnellement associées au crime organisé – jeux de hasard, prostitution, usurpation de prêts, trafic de drogue – sont interdites ou fortement réglementées par l’État. Dans l’anarchie du marché, de vrais professionnels chasseraient ces concurrents sans scrupules.
Application d'AnCap
Murphy discute de plusieurs applications de l’anarcho-capitalisme dans le monde d’aujourd’hui, dont l’autorisation médicale. Presque tout le monde croit que sans réglementation gouvernementale, nous serions tous à la merci des charlatans.
Les consommateurs ignorants s'adresseraient au chirurgien du cerveau qui leur proposerait le prix le plus bas et seraient massacrés sur la table d'opération.
Nous avons donc besoin de la main de fer du gouvernement pour restreindre l’accès à la profession médicale.
Mais ceci est une pure fiction. Étant donné que la demande de médicaments sûrs et efficaces est universelle, le marché réagirait en conséquence avec des organisations bénévoles qui n'accepteraient que des médecins qualifiés dans leurs rangs. Les compagnies d’assurance, elles aussi, n’assureraient que les médecins répondant à leurs normes, car elles risqueraient de perdre des millions dans des poursuites pour faute professionnelle.
Concernant la controverse en cours sur le contrôle des armes à feu, Murphy voit des arguments légitimes dans les deux côtés du débat :
Nous ne pouvons certainement pas faire confiance au gouvernement pour nous protéger une fois qu’il nous a désarmés. Mais d’un autre côté, je me sens un peu idiot de prétendre que les gens devraient pouvoir stocker des armes atomiques dans leur sous-sol.
Comment AnCap pourrait-il résoudre ce problème ? Disons que Joe Smith souhaite qu’une compagnie d’assurance accepte de verser 10 millions de dollars à la succession de toute personne que Smith tuerait. "La société sera très intéressée de savoir si Smith conserve des fusils à canon tronqué – sans parler des armes atomiques – dans son sous-sol." De cette manière, les armes véritablement dangereuses seraient réservées à ceux qui seraient prêts à payer le prix fort pour les posséder.
Y arriver à partir d'ici
La création d’une société AnCap dépend fortement de l’histoire de la région. Les anarchistes nord-coréens du marché, par exemple, pourraient devoir recourir à la violence pour mettre un terme à ce régime brutal, tandis qu’aux États-Unis, « une érosion progressive et ordonnée de l’État est une merveilleuse possibilité ».
La seule chose que toutes ces révolutions auraient en commun est l’engagement de l’écrasante majorité en faveur d’un respect total des droits de propriété.
Nous pouvons nous appuyer sur des notions intuitives de justice, tout comme les mineurs nouvellement arrivés en Californie ont respecté les revendications des premiers colons.
Pour prendre un exemple plus moderne, même les durs des quartiers défavorisés obéissent sans réfléchir aux « règles » lors d’un match de basket-ball, malgré l’absence d’arbitre.
Ceux qui défendent l’État comme étant nécessaire à la protection des droits de propriété devraient réviser leur histoire. Alors que Murphy termine,
Je demande au lecteur de résister à la tentation de rejeter mes idées comme étant « irréalisables », sans préciser au préalable dans quel sens le système juridique gouvernemental « fonctionne ».
* Voir « Mais les seigneurs de guerre ne prendraient-ils pas le relais ? » de Murphy
Il a déjà été loisible de démontrer que l’action des autorités européennes, et par capillarité, nationales et locales, est désormais de faciliter la transition vers une société d’immobilité en passant par une phase transitoire de démobilité.
Des individus contraints par autorisation dans leur pouvoir de déplacement est l’une des manifestations d’une société post-démocratique. Quel rapport avec les hypercars ? Celui de ne pouvoir profiter d’un bien dont l’usage de destination est dévoyé par les interdictions ou les autorisations ciblées, et de transformer volens nolens un objet circulant en un bien patrimonial statique et non mobile.
L’hypercar, paragon de la nouvelle démobilité
S’il est désormais acquis que chaque heureux détenteur d’une hypercar se doit de l’entreposer en un lieu sécurisé (ne serait-ce que par obligation assurantielle), il est désormais tout autant acquis qu’en seconde main, elle n’aura guère effectué plus d’une poignée de kilomètres, garantissant ainsi un prix de revente élevé. Ce qui devient dès lors contradictoire puisque moins un véhicule roulera, plus il augmentera sa valeur. Un véhicule qui n’aura pour seule et unique histoire que d’être resté stationnaire toute sa vie : lorsque le monde de l’hyper-richesse rejoint celui de l’hyper-écologisme.
Il suffit de feuilleter certaines revues spécialisées ou bien de compulser les pages d’ouvrages de collection pour découvrir des noms et des chiffres à faire tourner les têtes. Petit inventaire à la Prévert :
Et cette liste ne saurait être exhaustive au regard – toujours paradoxal – de l’inflation des modèles d’exception. De même que le prix est le plus souvent approximatif, puisqu’il ne comprend pas les options sur mesure qui peuvent faire conséquemment gonfler la note, de même que les taxes locales (douanières et/ou écologiques).
La vraie problématique n’est pas que des individus disposant de moyens financiers suffisants (souvent plus que largement) les autorisent à acquérir de tels biens, mais que sitôt leur livraison effectuée, ils rejoignent un garage d’où ils ne sortiront que pour se dégourdir très superficiellement les jantes.
Car si dans les années 1950 puis 1960, des propriétaires aisés pouvaient s’adonner à la conduite de ces engins sportifs, parfois avec une passion mortellement effrénée (comme le démontrent les destins tragiques de James Dean, Roger Nimier, Jean-René Huguenin ou Jayne Mansfield), ceux-ci filaient sur les routes ordinaires et ne sommeillaient pas dans un écrin fortifié et aseptisé.
Peut-on aujourd’hui s’imaginer que des Ferrari 250 GTO, des Porsche 911 Carrera RS, des Mercedes-Benz 190 SL ou encore des Maserati 3500 GT étaient employés de façon quotidienne par leur possesseur, et ce dans un rayon dépassant allègrement les « ghettos de riches » ? Impensable à ce jour, tant les restrictions légales sont pléthoriques, les polices d’assurance draconiennes et les ouvrages d’art sur les voies de circulation destructeurs. Sans omettre le cas des acheteurs de plus en plus incultes, n’ayant ni respect pour la marque ni même intérêt pour le monde automobile, et de ce fait focalisant leur intérêt d’achat par une démonstration ostentatoirement maladroite de leur fortune. Et pourtant, par leur passé, combien d’enfants, dans les villes et les campagnes, ont été émerveillés du passage d’une Ferrari, d’une Porsche, d’une Maserati ou d’une Aston Martin, déclenchant même parfois une vocation de pilote, de mécanicien, d’ingénieur ou d’entrepreneur ?
Mention spéciale à cette déviance avec la pourtant mécaniquement fabuleuse Lykan de chez l’émirati W Motors (dont la base de travail découle de la musculeuse RUF CTR3, ainsi que d’une étude de style de chez Studio Torino). Le prix de cette beauté ? 3,4 millions de dollars qui se justifient par… l’incrustation dans les phares de 440 diamants avec la possibilité d’insérer au sein de l’habitacle les pierres précieuses de son choix ! Seulement sept exemplaires au monde dont une unité acquise par… la police d’Abu Dhabi.
La problématique de fond est que plus les fortunes grandissent, plus elles s’entichent d’objets dont elles n’auront jamais l’usage plaisir et l’attachement sentimental. Des collectionneurs comme les regrettés Pierre Bardinon ou Michel Hommell en France ont œuvré afin que chaque pièce de leur collection soit en mesure de pouvoir circuler : il ne s’agissait pas seulement de les admirer statiquement, mais de les sentir vivre au contact de l’asphalte. Cette génération de collectionneurs est en passe de disparaître au profit d’une autre génération qui n’a que peu d’égard à la fois pour l’histoire de l’automobilité et aucune pour la liberté de circuler sur route (hélicoptères et jets palliant ce besoin).
L’automobile à ses extrêmes est devenue soit un objet anonyme de pure valorisation patrimoniale soit un « déplaçoir » anonyme. C’est la conséquence concomitante d’un raidissement légal fondé philosophiquement sur l’éleuthérophobie couplé à l’avènement d’une génération d’hyper-riches mais hyper-creux sans affect pour les biens possédés. Reste fort heureusement des personnalités qui tentent sur divers réseaux sociaux de sensibiliser les jeunes générations quant à cette vraie richesse qu’est la liberté, et notamment celle de circuler.
Pour terminer sur une note positive : une pensée pour l’émission « Vilebrequin » animée par Sylvain Lévy et Pierre Chabrier qui a énormément contribué à populariser les mécaniques nouvelles et anciennes auprès des plus jeunes. Et cela continue avec d’autres passionnés, chacun avec leur style, comme POA, GMK ou Thierry Vigneau Boiserie. Car une fois encore, thermique ou électrique, l’automobile doit rester au nom de la liberté modale une possibilité offerte à tous, selon ses moyens et ses envies.
La liberté de circuler, telle est la vraie richesse.
Sans oublier les Packards, les Oldsmobiles, les Cadillacs, LaSalles, Buicks, Lincolns, les Chevrolets, les Fords Thunderbirds (de Thelma & Louise), les Triumph et la DeLorean de 'Retour vers le futur' ! ÂÂâah que de beaux modèles au bon temps où ils savaient faire ! Dessiner et construire des modèles d'exception ! Regardez les parkings et les routes d'aujourd'hui: rien que des MERDES ! Des merdes les une derrière les autres ! Regardez les décorations des camions Américains ! Des pin-up, des ours, des lions, des acteurs de cinéma peints à l'aérographe puis vernis véhicule par dessus ! Superbe ! Extraordinaire ! 'Remplacés' aujourd'hui par des merdes d'adhésifs collés sur les carrosseries ! Aujourd'hui les ingénieurs ne savent plus rien faire ! DES CONS ! Ils ne suivent pas les demandes, les désirs du Peuple mais les ordres donnés par les dictateurs au pouvoir !
Construction d'un nouveau poulailler XXL en Allemagne : c'est ainsi que le vainqueur du CERES veut élever 120.000 poules pondeuses bio
22 Mai 2024 Martina Hungerkamp, AGRARHEUTE*
Outre les oies, M. Lorenz Eskildsen, lauréat du CERES Award, élève également des poules pondeuses bio. Il souhaite étendre l'élevage de poules pondeuses bio à l'avenir.
Le lauréat du CERES Award** Lorenz Eskildsen souhaite quadrupler sa production d'œufs bio en Saxe. Pour cela, il souhaite impliquer tout le monde dès le début, y compris les riverains.
Ma note : En France, un poulailler de 40.000 places est, quasi par définition, un « méga-poulailler » qui, bien sûr, ne saurait voir le jour. Selon les normes françaises du bio, un élevage de 120.000 poules nécessiterait au minimum 48 hectares de parcours.
M. Lorenz Eskildsen élève déjà 30.000 poules pondeuses bio à Süptitz près de Torgau (Saxe). Selon un reportage du MDR, l'éleveur de volailles CERES AWARD de l'année 2023 souhaite désormais construire de nouveaux poulaillers et élever au total 120.000 poules pondeuses bio sur ce site.
M. Lorenz Eskildsen est conscient que ce projet ne fait pas l'unanimité. C'est pourquoi, afin d'enthousiasmer le plus grand nombre de personnes possible pour son projet de construction et d'extension de l'exploitation, il fait par exemple participer les riverains dès le début.
Un aviculteur cherche le dialogue avant la construction d'un nouveau poulailler XXL
L'aviculteur souhaite éviter autant que possible les ennuis avec les voisins de son exploitation de poules pondeuses bio. « Nous vivons dans une communauté, nous sommes ici entre nous et si on veut faire quelque chose, nous devons emmener les gens avec nous », explique M. Lorenz Eskildsen à la chaîne de télévision MDR. C'est pourquoi il cherche le dialogue avant même d'avoir acheté le terrain nécessaire.
Il a également invité à une journée portes ouvertes. Une vingtaine d'habitants de Süptitz ont répondu à l'invitation et sont venus s'informer. Leurs plus grandes préoccupations sont le bruit éventuel et le fumier qui en résultera. Certains craignent en outre d'éventuelles épizooties ainsi que le défrichement de la forêt.
L'éleveur de poules pondeuses mise sur les évolutions techniques
M. Lorenz Eskildsen prend ces inquiétudes au sérieux. Il a déjà décidé de planifier les éventuels nouveaux poulaillers de poules pondeuses bio plus loin du village. Il mise en outre sur le progrès technique. Il est prêt à essayer de nouvelles technologies.
Mais de toute façon, rien n'est encore décidé. L'aviculteur n'a pas acheté les surfaces nécessaires à l'extension de son élevage de volailles, ni déposé de demande de permis de construire. _______________
* Martina Hungerkamp travaille chez AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média dans la rubrique élevage. Elle écrit principalement sur l'élevage d'animaux de rente, de préférence sur les porcs et la volaille.
** Le CERES Award est une distinction qui récompense les performances exceptionnelles des agriculteurs en Allemagne et dans les autres pays européens dans sept catégories. Ce prix offre une plate-forme très visible pour mettre en avant les compétences et les réalisations importantes des agriculteurs.
Source : XXL-Stallneubau: So will CERES-Sieger 120.000 Bio-Legehennen halten | agrarheute.com
La technologie est sur le point de devenir l’amie des matières premières et l’ennemi juré de la désinflation
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 22 MAI 2024 - 13H20 Rédigé par Simon Black, stratège macro de Bloomberg,
La demande croissante d’énergie et de matières premières provenant de nouvelles technologies telles que l’IA générative et les véhicules électriques sera probablement un vent favorable à long terme pour les matières premières et donc un obstacle au retour à un régime d’inflation faible et stable. Les valeurs énergétiques devraient surperformer.
La technologie a soif de pouvoir.
Au sens figuré, bon nombre des plus grandes entreprises qui président des monopoles en possèdent déjà une grande quantité. Mais littéralement, le besoin en énergie pour faire fonctionner les modèles d’IA et les centres de données augmente rapidement. L’AIE estime que la demande mondiale d’électricité provenant de l’IA, des centres de données traditionnels et des crypto-monnaies pourrait presque doubler dans son scénario de base et connaître une augmentation de près de 150 % dans son scénario haut d’ici 2026.
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Source : AIE
Cela exercera une pression considérable sur les réseaux électriques occidentaux, qui fonctionnent déjà presque à pleine capacité, et entraînera une augmentation de la demande de pétrole et de gaz.
Le problème est aggravé par l’engagement de nombreuses grandes entreprises technologiques à devenir sans carbone d’ici 2030 (plusieurs sont déjà neutres en carbone). Cela signifie qu’ils ont besoin d’une part croissante de leur énergie provenant de sources renouvelables, telles que l’énergie éolienne et solaire, ce qui exerce une pression sur les prix des matières premières telles que le cuivre et l’argent.
Les matières premières sont déjà en hausse cette année. L'indice Bloomberg Commodities est en hausse de près de 12 % depuis février, tandis que presque tous les principaux contrats à terme sur matières premières négociés en bourse ont augmenté au cours des trois derniers mois. Les matières premières non négociées en bourse ont également commencé à augmenter.
Nous pourrions bientôt être à l’aube d’une autre augmentation de l’inflation liée aux matières premières, similaire à celle de 2020/2021, si les hausses de prix se poursuivent.
Cela devrait également être bénéfique pour les valeurs énergétiques.
Les plus fortes hausses de l’IPC au cours des 80 dernières années, dans les années 1940, 1970 et 2020, ont vu le secteur des actions énergétiques dominer le marché.
Une meilleure efficacité en matière de production d’énergie et de consommation d’énergie pourrait atténuer une partie de la demande expansive attendue de la part des entreprises technologiques. Mais comme le montre la récente compression de l’offre sur le cuivre, les goulots d’étranglement constituent un risque permanent dans l’ensemble du complexe des matières premières.
Avec un IPC déjà élevé et des attentes de croissance des prix en hausse, il n’en faudrait pas beaucoup pour que le mal de tête inflationniste des banques centrales se transforme en migraine.
Visualiser les principales exportations des pays européens
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 22 MAI 2024 - 11H45
L’Union européenne (UE) exporte chaque année plus de 6 000 milliards de dollars de produits. Le bloc possède une économie diversifiée qui englobe les industries pétrolières et minérales, l’automobile, les vaccins et la technologie.
Sur cette carte, Bruno Venditti de Visual Capitalist présente les principales exportations des pays de l'Union européenne en 2022.
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Les données de la carte proviennent de l’Observatoire de la complexité économique.
Les voitures et le pétrole dominent les exportations de l’UE La Belgique, la Bulgarie, la Croatie, la Finlande, la Grèce, la Lituanie, la Suède et les Pays-Bas ont le gaz de pétrole ou le pétrole raffiné comme principal produit d'exportation.
Les Pays-Bas ont exporté pour 68,1 milliards de dollars de pétrole raffiné en 2022, se classant au troisième rang des plus grands exportateurs mondiaux. Le pays abrite la raffinerie BP Rotterdam, la plus grande raffinerie de pétrole d'Europe.
Pays Principales exportations (2022) Valeur (en milliards USD)
🇦🇹 Voitures autrichiennes 7,7 milliards de dollars 🇧🇪 Gaz de pétrole belge 54,7 milliards de dollars 🇧🇬 Pétrole raffiné en Bulgarie 3,5 milliards de dollars 🇭🇷 Pétrole raffiné en Croatie 1,5 milliard de dollars 🇨🇾 Navires de passagers et de marchandises chypriotes 1,3 milliard de dollars 🇨🇿 Voitures en République tchèque 25,5 milliards de dollars 🇩🇰 Danemark Médicaments emballés 15,9 milliards de dollars 🇪🇪 Estonie Électricité 1,1 milliard de dollars 🇫🇮 Pétrole raffiné de Finlande 6,9 milliards de dollars 🇫🇷 France Avions, hélicoptères et/ou engins spatiaux 26,6 milliards de dollars 🇩🇪 Voitures allemandes 149,0 milliards de dollars 🇬🇷 Pétrole raffiné en Grèce 16,4 milliards de dollars 🇭🇺 Voitures hongroises 12,3 milliards de dollars 🇮🇪 Irlande Vaccins 47,3 milliards de dollars 🇮🇹 Italie Médicaments emballés 34,4 milliards de dollars 🇱🇻 Bois scié de Lettonie 1,2 milliard de dollars 🇱🇹 Pétrole raffiné en Lituanie 5,5 milliards de dollars 🇱🇺 Le fer luxembourgeois bloque 1,6 milliard de dollars 🇲🇹 Circuits intégrés de Malte 1,1 milliard de dollars 🇳🇱 Pétrole raffiné aux Pays-Bas 68,1 milliards de dollars 🇵🇱 Pologne Voitures (pièces et accessoires) 15,3 milliards de dollars 🇵🇹 Voitures portugaises 4,4 milliards de dollars 🇷🇴 Voitures roumaines 6,7 milliards de dollars 🇸🇰 Voitures slovaques 26,9 milliards de dollars 🇸🇮 Slovénie Médicaments emballés 12,5 milliards de dollars 🇪🇸 Voitures espagnoles 33,6 milliards de dollars 🇸🇪 Pétrole raffiné en Suède 12,9 milliards de dollars
Outre le pétrole, les automobiles (et leurs pièces détachées) contribuent de manière significative à l’économie de l’UE. L'Autriche, la République tchèque, l'Allemagne, la Hongrie, le Portugal, la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie et l'Espagne comptent les produits automobiles parmi leurs principales exportations.
Avec des marques automobiles bien connues telles que Volkswagen, BMW, Mercedes-Benz, Audi et Porsche, l'Allemagne génère à elle seule environ 150 milliards de dollars par an grâce aux exportations automobiles.
D'autres produits contribuent à diversifier l'économie de l'UE. Les principales exportations de la France sont les avions, les hélicoptères et/ou les engins spatiaux, tandis que l’Italie et le Danemark excellent dans l’industrie des médicaments conditionnés. L'Irlande possède une industrie pharmaceutique importante, abritant de grandes entreprises telles que Pfizer, Johnson & Johnson, Merck et Novartis.
Le gouverneur de Californie intensifie la guerre contre l’essence, affectant les États voisins
PAR TYLER DURDEN MARDI 21 MAI 2024 - 20H25 Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,
Préparez-vous à payer 1 $ de plus par gallon en Californie, avec des prix plus élevés au Nevada et en Arizona également.
- voir carte sur site -
La guerre contre l’essence, un cadeau pour Trump
Le Wall Street Journal affirme que la guerre contre l’essence de Gavin Newsom est un cadeau pour Donald Trump.
Les prix en Californie sont les plus élevés du pays – 5,21 dollars le gallon en moyenne contre 3,59 dollars à l’échelle nationale – en raison de taxes élevées et de réglementations lourdes, telles que son programme de plafonnement et d’échange et sa norme sur les carburants à faible teneur en carbone. Voici le problème : les raffineries californiennes fournissent près de 90 % de l’essence du Nevada et la moitié de celle de l’Arizona.
M. Newsom intensifie sa guerre contre l’industrie. La Commission californienne de l’énergie prévoit d’imposer une taxe sur les « marges brutes » des raffineries, c’est-à-dire la différence entre les prix de gros de l’essence et du brut plus certains coûts réglementaires. La marge brute n’inclut notamment pas les coûts d’exploitation des raffineurs, qui incluent la rémunération des salariés.
M. Newsom confond bénéfices et marges brutes. Selon les données de la commission, les raffineurs ont perdu entre 10 et 38 cents sur chaque gallon produit d’octobre 2023 à février 2024, tandis que leurs marges brutes variaient entre 56 et 79 cents le gallon. En décembre, les raffineries californiennes ont perdu 31 cents le gallon tandis que l'État imposait 1,15 $ le gallon en taxes et frais réglementaires.
Les escrocs des prix à Sacramento veulent désormais pénaliser encore plus les conducteurs. M. Newsom pousse la commission à finaliser la taxe sur les raffineries au moment même où le California Air Resources Board, ou CARB, se prépare à resserrer sa norme sur les carburants à faible teneur en carbone et son plafond d'émissions de gaz à effet de serre. Ces réglementations ajoutent environ 54 cents au prix de chaque gallon d'essence. Les règles du CARB augmenteront le coût d’environ 88 cents le gallon en 2026 et de 1,01 $ d’ici 2031.
Le gouverneur du Nevada, Joe Lombardo, a envoyé la semaine dernière à M. Newsom une lettre exprimant sa crainte que la nouvelle taxe et la nouvelle réglementation « conduisent à des approvisionnements limités et à des coûts de carburant plus élevés pour les consommateurs de nos deux États ». La réponse de M. Newsom ? Une autre déviation. Il a accusé M. Lombardo de répéter les « arguments » des « grands donateurs du pétrole ».
L’Arizona et le Nevada évoluent de plus en plus dans la direction de M. Trump, alors que les Hispaniques de la classe ouvrière subissent le poids des politiques de l’administration Biden. Beaucoup ont émigré de Californie et, comme les émigrés américains des pays socialistes, ils ne veulent pas revivre la misère de leurs anciennes terres.
Essence Top Six (Gallon de 3,78 litres)
Californie : 5,21 $
Washington : 4,60 $
Oregon : 4,38 $
Nevada : 4,38 $
Alaska : 4,35 $
Arizona : 3,90 $
La Californie paie 1,62 $ de plus que la moyenne nationale et 0,61 $ de plus que Washington, le deuxième État le plus élevé.
Malgré la perte d’argent des raffineurs, Newsom demande de nouvelles taxes, ce qui suscite une plainte du Nevada.
Si j’étais raffineur, je quitterais cet enfer et laisserais la Californie se débrouiller seule.
L’UE dépense des milliards pour l’hydrogène
- voir carte sur site -
De l’autre côté de l’océan Atlantique, l’UE dépense des milliards pour l’hydrogène, mais où est l’hydrogène ?
Je suis tout à fait favorable aux centrales à hydrogène pour produire de l’électricité, si seulement nous avions de l’hydrogène bon marché. Mais nous ne le faisons pas et ne le ferons probablement pas.
Des images insensées montrent une tornade détruisant un parc éolien dans l’Iowa
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 22 MAI 2024 - 02H55
Des images choquantes de l'Iowa ce soir montrent plusieurs tornades faisant des ravages sur d'énormes éoliennes. Cela nous rappelle encore une fois que le vent n’est pas une source d’énergie fiable.
- voir doc sur site -
Voici la suite.
Scènes apocalyptiques entre Carbon et Greenfield, Iowa. Plusieurs éoliennes complètement déchiquetées, une en feu, des souches de poteaux électriques laissées sur place et des poteaux entiers disparus. Forte tornade forte. pic.twitter.com/POvHZf5QXL – Andrew Pritchard (@skydrama) 21 mai 2024
- voir doc sur site -
Il y a deux mois, une ferme solaire au Texas comportant des centaines d’acres de panneaux au sol a été détruite par une tempête de grêle.
- voir photos sur site -
Panneaux brisés par la grêle dans la ferme solaire du comté de Fort Bend, Texas (FOX26 et Houston KRIV via Fox News) Malgré les défis et les risques évidents, les gauchistes radicaux continuent d’injecter des milliards de dollars de l’argent des contribuables dans une énergie verte peu fiable.
...et un timing parfait ! "Twisters", une suite autonome du film "Twister" de 1996, devrait faire ses débuts cet été.
Une réussite agricole brésilienne qui protège la forêt
19 Mai 2024 Vicente Bissoni Neto, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Le Brésil compte plus d'arbres que n'importe quel autre pays, à l'exception de la Russie, mais lorsque nos immenses forêts font la une des journaux, c'est généralement à cause de la « déforestation ».
Mon pays et sa région amazonienne sont si vastes qu'il est presque impossible de savoir ce qui se passe réellement, même si le gouvernement tente de produire des données et que les médias publient des articles. Malgré cela, je me réjouis d'apprendre que dans mon pays, la déforestation a récemment atteint son niveau le plus bas depuis cinq ans.
Ce qui est absent de nombreux comptes rendus populaires, c'est l'ampleur des efforts déployés par les agriculteurs comme moi pour défendre les forêts brésiliennes et promouvoir la biodiversité. En réalité, alors que beaucoup pensent que nous faisons partie du problème, les agriculteurs sont en fait la clé de la solution.
Notre exploitation est une entreprise familiale multigénérationnelle qui existe depuis 48 ans dans l'État méridional du Mato Grosso, à la frontière du Paraguay. La région est une zone de transition qui mêle des forêts à une savane tropicale connue sous le nom de Cerrado. Nous avons la chance de bénéficier d'un sol riche et d'une incroyable diversité végétale et animale.
Nous cultivons du maïs et du soja et élevons du bétail sur des milliers d'hectares. Nous sommes également une entreprise de transport avec environ 300 camions et des ventes de gazole.
Chaque jour, nous nous efforçons de produire de manière durable autant de nourriture que possible à partir des champs que nous cultivons. Grâce à des technologies modernes telles que les OGM et une mécanisation précise, nous obtenons les meilleurs rendements de l'histoire de l'agriculture.
Il s'agit d'une réussite mondiale : les agriculteurs n'ont jamais été aussi productifs qu'aujourd'hui. Nous produisons plus de nourriture sur moins de terres que jamais auparavant. Rien n'est plus important pour la cause de la conservation que de continuer à s'améliorer.
Dans notre ferme, nous avons adopté le semis direct, qui maintient la fertilité du sol, le protège de l'érosion et renforce la biodiversité. Nous utilisons des outils de protection des cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les parasites et les maladies. Nous avons également mis en place une stratégie d'intégration des cultures et des pâturages qui permet à nos cultures et à notre bétail de travailler ensemble et de tirer le meilleur parti de la terre grâce à une intensification durable.
Nous commençons actuellement à mettre en place un programme de reboisement qui nous permettra d'émettre des crédits carbone sur le marché.
Chacun de ces choix rend les forêts brésiliennes plus sûres.
Malgré tout ce que nous faisons pour tirer le meilleur parti de nos terres tout en protégeant l'environnement, le Brésil pourrait faire mieux. Nous manquons encore de nombreuses infrastructures de base que les agriculteurs d'autres pays considèrent comme acquises. Un plus grand nombre de routes asphaltées réduirait notre consommation de carburant et les émissions qui y sont associées. L'expansion des réseaux 4G encouragerait l'utilisation des technologies les plus performantes et les plus récentes dans nos champs.
Ces objectifs dépassent les capacités d'une seule exploitation agricole. Il faut un effort collectif, mené par un gouvernement déterminé à agir.
Un autre type d'inaction menace également les forêts brésiliennes : l'inefficacité bureaucratique du gouvernement. L'obtention des autorisations pour les zones de préservation et les réserves légales peut prendre une décennie.
La première étape de cette épreuve compliquée est le dépôt d'une demande par un agriculteur. Vient ensuite une étude basée sur des images satellites et des visites de sites, suivie d'évaluations environnementales qui peuvent ordonner la préservation de 35 % ou de 80 % des terres. Vient ensuite une longue période de négociations portant sur les questions de déforestation, de reboisement et d'indemnisation.
D'ailleurs, tout cela se fait essentiellement sur papier. L'agence chargée de ces questions ne dispose pas encore d'un système informatique adéquat.
Le chaos qui en résulte crée de nombreuses occasions pour les exploitations illégales d'enfreindre la loi et contribue à la déforestation que le gouvernement dit vouloir stopper.
Ma propre exploitation agricole respecte la loi. Nous respectons les règles, même lorsque nous les trouvons frustrantes. Les personnes qui refusent de faire de même ne sont pas de vrais agriculteurs. Ce sont des criminels et ils doivent être traités comme tels. Il y a des criminels dans tous les domaines de la société, bien sûr, de l'industrie automobile aux banques en passant par le gouvernement lui-même.
Le Brésil abrite environ un huitième des forêts du monde. Je suis l'un des nombreux agriculteurs qui aimeraient que cela reste ainsi, et nous y parviendrons si le gouvernement et les médias nous traitent comme des partenaires plutôt que comme des ennemis.
Nous sommes prêts à collaborer. ___________
* Vicente Bissoni Neto
Vicente Bissoni Neto produit du soja et du maïs, gère un élevage de bovins, vend du gazole et possède une entreprise de transport par camions.
Source : A Brazilian Farm Success Story Protecting the Forest – Global Farmer Network
Grâce à l'arrachage des arbres improductifs et jugés inutiles par la population, d'immenses parcelles de terres nourricières sont désormais mises à disposition des 'bouches inutiles' selon d'autres. La déforestation contribue dans un sens à fabriquer moins de meubles et d'objets divers mais gagne cet actif de nourrir le monde. Cet autre sens est primordial à l'heure où le programme de 'Dépopulation21' est en marche.
'L'imagerie' pour les personnes non-instruites de la forêt qui nous fournirait l'oxygène de quoi vivre est passée aux derniers échelons des leçons de cours préparatoires car, il faudrait toute une forêt pour fournir assez d'oxygène à une seule personne. D'une part l'oxygène présent dans notre atmosphère est fourni par la combustion magmatique continuelle depuis des milliards d'années et, d'autre part l'oxygène vient du gaz carbonique absorbé par le phytoplancton présent à la surface des eaux qui transforme d'une part ce gaz en nano-particules de carbone (charbon) et, d'autre part transforme ce 'CO2' (C = carbone, O2 = oxygène) en 31 % de l'oxygène terrestre.
Une nouvelle plate-forme de criblage de gènes pour améliorer la résistance des plantes aux maladies
19 Mai 2024 ISAAA*
Des chercheurs de l'agence scientifique nationale australienne ont produit une plate-forme de criblage génétique pour aider à comprendre l'évolution de la virulence des agents pathogènes des plantes. Cette nouvelle méthode pourrait permettre de développer à l'avenir des cultures résistantes aux agents pathogènes.
La sélection de cultures résistantes aux maladies est essentielle pour stimuler la productivité agricole. Toutefois, ce processus est affecté par l'évolution rapide de la virulence des agents pathogènes. Pour résoudre ce problème, il est nécessaire de disposer d'une option de criblage à haut débit pour analyser et suivre l'évolution de la virulence des agents pathogènes.
Des scientifiques du CSIRO (Australie) ont mis au point une nouvelle plate-forme qui identifie les gènes de résistance (R) en interaction avec les gènes d'avirulence (Avr) dans les plantes. Cette plateforme peut être appliquée à de nombreux pathogènes végétaux. « Notre technologie de criblage avancée représente un saut technologique dans notre capacité à étudier les processus qui donnent aux plantes une résistance durable aux maladies, permettant de nouvelles stratégies génétiques pour sauvegarder la production agricole et la gestion des maladies en Australie et à l'étranger », a déclaré le Dr Peter Dodds, co-directeur du projet.
Pour plus d'informations, lisez l'article sur Nature Plants. ______________
Ma note : Voici le résumé (découpé) de « Pooled effector library screening in protoplasts rapidly identifies novel Avr genes » (le criblage d'une bibliothèque d'effecteurs regroupés dans des protoplastes permet d'identifier rapidement de nouveaux gènes Avr) de Taj Arndell, et. al. :
« La sélection des cultures pour une résistance durable aux maladies est un défi en raison de l'évolution rapide de la virulence des pathogènes.
Alors que les progrès dans le clonage et l'empilement des gènes de résistance (R) se sont accélérés ces dernières années, l'identification des gènes d'avirulence (Avr) correspondants dans de nombreux pathogènes est entravée par le manque d'options de criblage à haut débit.
Pour combler cette lacune technologique, nous avons mis au point une plate-forme de criblage de bibliothèques groupées dans des protoplastes de plantes afin de permettre l'identification rapide de paires R-Avr en interaction. Nous avons validé cette plate-forme en isolant des gènes Avr connus et nouveaux de la rouille noire du blé (Puccinia graminis f. sp. tritici) après avoir criblé une bibliothèque conçue d'effecteurs putatifs contre des gènes R individuels.
L'identification rapide des gènes Avr fournit des outils moléculaires permettant de comprendre et de suivre l'évolution de la virulence des pathogènes par le biais de la surveillance des génotypes, ce qui permettra d'optimiser les stratégies d'empilement et de déploiement des gènes R.
Cette plate-forme devrait être largement applicable à de nombreux pathogènes des cultures et pourrait potentiellement être adaptée au criblage de gènes impliqués dans d'autres caractères sélectionnables par protoplaste. »
Psychose de masse - Comment notre volonté est brisée (ExpressZeitung Nr. 43 –21 mai 2022)
RépondreSupprimer21.05.2022
www.kla.tv/29105
La meilleure façon de manipuler et de contrôler les gens est de les plonger collectivement dans la peur. Aujourd'hui, l'évocation d'une menace de guerre mondiale ou d'une catastrophe climatique permet de plonger des peuples entiers dans une psychose de masse, voire dans un état de choc, et de les rendre ainsi incapables de toute volonté. Les lois les plus criminelles, allant jusqu'à la privation des droits, peuvent ensuite être imposées sans résistance à un peuple traumatisé par la peur, comme cela s'est déjà produit lors de la mise en scène de la pandémie de Covid.
Paralysée par la peur de l'apocalypse, la population avale alors au choix des instructions aussi absurdes que le port permanent de masques anti-poussière à l'époque - ou des lois absurdes sur le chauffage qui rendent un logement inabordable aujourd'hui. Le documentaire suivant, "Psychose de masse", qui explique ces stratégies de guerre psychologique sophistiquées contre l'humanité à l'aide de la pandémie de Covid, est aujourd'hui plus actuel que jamais !
Le terme générique de « psychose » fait référence à de graves troubles mentaux dans lesquels les personnes touchées perdent contact avec la réalité. Lorsque ces symptômes surviennent chez tout un groupe de personnes, on parle alors de « psychose de masse ». Pendant des siècles, des gens puissants ont créé et utilisé ce trouble anxieux lorsqu’ils voulaient introduire un système totalitaire, car ce n’est que sous le charme d’une illusion que les gens sont prêts à renoncer à leurs droits.
Aujourd’hui, la peur nécessaire à cela est surtout générée par les médias.
Mais comment ces futurs tyrans peuvent-ils transformer l’esprit humain pour qu’il agisse contre ses propres intérêts ? La réponse nous est donnée par la psychologie, qui a inventé des termes tels que « lavage de cerveau », « contrôle mental » et, au plus haut degré, « menticide » – c’est-à-dire « tuer l'esprit ».
Les méthodes d'Ivan Pavlov : la clé d'un endoctrinement réussi.
RépondreSupprimerIvan Petrovich Pavlov nous a donné la clé d'un endoctrinement réussi. Ivan Petrovich Pavlov était un médecin et physiologiste russe qui, grâce à ses expériences réussies de dressage de chiens, a pu démontrer que les schémas de pensées et de comportements des chiens et des humains peuvent être « reprogrammés ». Lorsqu’il a fait des expériences sur des chiens, il n'avait besoin que d'une cloche, de la nourriture pour chien, d'un chien et de temps. Le chien affamé bavait toujours quand il voyait la nourriture. Pavlov sonnait alors une cloche à chaque fois qu'il le nourrissait. Après de nombreuses répétitions, le chien était tellement conditionné – tellement reprogrammé – qu’il bavait rien qu’en entendant la cloche, sans même qu’il y ait de la nourriture.
Pavlov était convaincu que l’esprit humain pouvait être façonné de la même manière. Il considérait l’homme comme un animal, un peu plus développé, mais néanmoins fondamentalement un animal pouvant être conditionné par des stimuli – et cette vision de l’homme était aussi celle des dirigeants soviétiques de l’époque. C’est pour cette raison que Pavlov a reçu beaucoup de soutien après l’arrivée au pouvoir des Soviétiques et qu’il a dû poursuivre ses expériences sur les humains.
En 1919, Vladimir Lénine a déclaré dans un dialogue avec Pavlov, je cite : « Je veux que les masses russes suivent un modèle de pensée et de réaction communiste. [...] L'homme peut être corrigé et rendu comme nous voulons qu'il soit. »
Le but ultime du système communiste était la transformation de la nature humaine, et les recherches de Pavlov ont fourni les fondements théoriques nécessaires pour atteindre cet objectif. Les méthodes de Pavlov étaient taillées sur mesure pour le centre de l’idéologie marxiste : la rééducation et le reconditionnement de l’homme. Normalement, un esprit clair se forge un bouclier contre une telle influence, mais à cause de la fatigue délibérément provoquée, de la faiblesse physique et du stress psychologique, l'esprit a été « brisé » lors des expériences, et la pensée logique a été désactivée. Les gens intelligents pourraient être endoctrinés – on pourrait même dire formés – tout comme les esprits simples.
Lavage de cerveau, contrôle de l’esprit et faux aveux
RépondreSupprimerIl ne faut pas s’imaginer que le lavage de cerveau et les faux aveux qui en résultent fassent partie des périodes médiévales, comme lorsque la victime torturée, lors des chasses aux sorcières, avouait simplement tout pour que le tourment physique cesse.
Il s'agit plutôt d'un rituel sophistiqué d'endoctrinement systématique, de coercition à la conversion et d'auto-accusation dans le but de détruire les attitudes et perceptions fondamentales de la personne vis-à-vis de la réalité et de les remplacer par de nouvelles.
Le médecin et psychologue néerlandais Joost Meerloo a inventé le terme « menticide », qui signifie tuer l'esprit. On pourrait aussi dire : meurtre de l'esprit clair. Cependant, ce crime ancien contre l’esprit n’a été efficacement systématisé et affiné qu’au cours du XXe siècle. Les victimes de ce type de psycho-terrorisme ont finalement fait de faux aveux auxquels elles ont fini par croire, et ont avoué des crimes qu'elles n'avaient jamais commis.
La vidéo suivante illustre dans quelle mesure cette psycho-terreur a été utilisée dans les camps d’internement ou testée sur des détenus.
Cette psycho-terreur a été utilisée ou expérimentée dans les camps de prisonniers :
Phase 1 : Premièrement, les victimes étaient épuisées, pas par une violence physique grave généralement, mais par la faim, le froid, l'isolement et la peur. Des masques respiratoires ont également été utilisés, par exemple dans le camp de détention de Guantanamo. Les interrogatoires constants et la privation de sommeil ont conduit à un épuisement extrême et à un désespoir total que les laveurs de cerveau voulaient atteindre. L’effondrement de la victime arrivait généralement subitement.
Meerloo a écrit à propos de cette phase, je cite : « C’est comme si [la résistance obstinée] se transformait soudainement en soumission et en affirmation. [...] Désormais, en termes psychanalytiques, un super égo parasite vit dans la conscience de la personne, parlant de la même voix que son nouveau maître.
Cet abandon soudain est un processus inconscient et purement émotionnel et peut même déclencher ce qu'on appelle le « syndrome de Stockholm », par lequel la victime d'un crime éprouve une certaine sympathie pour l'auteur du crime. Mais ce crime contre l’esprit humain ne s’arrête pas là.
Phase 2 : Après l’effondrement, les faux aveux étaient lus encore et encore et ainsi martelés dans le cerveau de la victime. Des arguments et justifications supplémentaires étaient également donnés afin que le récit paraisse aussi crédible que possible, même si tout cela n’était qu’un mensonge.
Phase 3 : L'accusé peut alors faire de faux aveux et incriminer d'autres personnes. Frank H. Schwable est un exemple parmi tant d’autres. C’était un militaire haut gradé du Corps des Marines des États-Unis tombé aux mains des communistes chinois pendant la guerre de Corée. Après de longs mois de captivité, il a avoué – avec beaucoup de détails – que les États-Unis commettaient des crimes de guerre biologiques en Corée. De retour aux États-Unis, il s'est défendu devant un tribunal militaire, et je cite : « Les mots étaient les miens, mais les pensées étaient les leurs ». Il est revenu sur son témoignage et a révélé les méthodes de lavage de cerveau dont il avait été victime.
RépondreSupprimerCependant, les prisonniers n’avaient pas tous la même résilience mentale que Schwable. Environ un tiers des soldats américains qui ont été en captivité en Chine sont devenus des communistes convaincus.
Lavage de cerveau de toute une société
S’il est possible d'implanter systématiquement des pensées étrangères chez un individu, il est possible de faire un lavage de cerveau d'une société entière parce qu’une société est composée d’individus qui peuvent être manipulés avec le scepticisme, l’insécurité et la peur.
Dans un article paru en 1969 dans le journal Die ZEIT, le psychologue tchèque Ivo Planava (né en 1934) décrit ainsi les différentes méthodes de dépersonnalisation systématique de l'individu et du collectif :
Selon lui, la population dans son ensemble sous l’emprise de régimes totalitaires devient indifférente à ce qui se passe. Ces individus apathiques ne sont plus capables de prendre des décisions conscientes et de lutter pour des objectifs qui vont au-delà du simple gagne-pain quotidien. Comme cela a été décrit, cette apathie peut survenir soit par un effondrement mental soudain, soit par un lent processus d’auto-sacrifice.
Selon Ivo Planava, cette méthode progressive et à long terme d’épuisement de l’esprit est encore plus efficace et continue, surtout s’il y a des personnes manipulées de la même manière dans l’environnement de la personne. Le complexe de culpabilité – c’est-à-dire l’auto-accusation – et le jeu avec l’espoir sont tout aussi importants dans cette variante. On fait sans cesse espérer aux gens quelque chose qui ne se réalise pas par la suite, afin de les maintenir dans l’apathie et de les empêcher de se révolter.
La comparaison avec la politique actuelle du « Covid » attire vraiment l’attention à cet égard ! Ici aussi, le gouvernement travaille systématiquement avec des promesses de salut à partir du moment où les masses font ceci ou cela.
RépondreSupprimerAlors que dans le cas de la « rééducation » individuelle, les contacts avec le monde extérieur sont empêchés, dans le cas de groupes plus importants de personnes, la communication est contrôlée. Nous le vivons aujourd'hui à travers les médias, qui sont tous de mèche les uns avec les autres. Une propagande constante conduit à deux effets opposés : un groupe développe de l’apathie, c’est-à-dire devient indifférent, tandis que l’autre groupe – plus petit – développe une réaction de défi ainsi qu’un désir de découvrir la vérité derrière la propagande.
Ce sont des conditions idéales pour diviser profondément une société auparavant pacifique – et c’est exactement ce qui se produit à nouveau aujourd’hui !
Diagramme de coercition et mesures « Covid »
Albert D. Biderman, spécialiste des sciences sociales de l'US Air Force, a décrit dans le dénommé « Diagramme de coercition » les méthodes de torture chinoises et coréennes avec lesquelles les prisonniers de guerre américains étaient systématiquement rééduqués. Selon Biderman, les trois éléments principaux sont : la dépendance, la faiblesse et la peur. Huit techniques différentes de « méthodes de torture faibles », étroitement liées les unes aux autres, transforment des personnes mentalement indépendantes en sujets obéissants dont un régime totalitaire a besoin. Examinons ces huit principes en détail et comparons-les avec les mesures Covid actuelles.
Méthode 1 : Isolement / monotonie forcée / privation sensorielle par l'isolement complet, voire groupé. Les prisonniers perdaient tout soutien social et ne pouvaient plus se défendre. Ils devaient constamment s'occuper seuls, bouger trop peu, avoir chaque jour la même routine ennuyeuse.
Les confinements liés au Covid et les règles de distanciation ont le même effet. La culture, le sport et les traditions familiales sont gommés, et plus l'isolement dure longtemps, plus les conséquences sont dramatiques sur le corps et l'âme des personnes touchées. Les problèmes psychologiques ont considérablement augmenté pendant le confinement, surtout chez les enfants.
Méthode 2 : Monopoliser la perception. L’attention ne peut se concentrer que sur la détresse immédiate. Les autres stimuli qui pourraient en détourner l’attention sont bloqués. L'obscurité ou des lumières vives étaient utilisées sur les prisonniers, mais les sermons constants et la répétition fréquente de mensonges et de dogmes qui devaient être inculqués dans les esprits étaient tout aussi efficaces.
RépondreSupprimerCela ne nous rappelle-t-il pas le flot médiatique constant d’un nombre infini de « cas » de Covid ? Et, bien sûr, des efforts croissants visant à censurer et à dissimuler au public toutes les voix dissidentes, quels que soient le rang et le respect des experts ?
Méthode 3 : Épuisement provoqué, affaiblissement. Bien sûr, à un moment donné, les gens se fatiguent. Les tortionnaires se relayaient, le prisonnier ne le pouvait pas. La faim, les maladies provoquées, le manque de sommeil et les longs interrogatoires ne sont que quelques-unes des méthodes utilisées pour provoquer délibérément le surmenage.
Les parallèles avec le Covid : Après un an et demi de propagande, nombreux sont ceux qui ont capitulé et ont laissé le discours du gouvernement les submerger. Ils en ont tout simplement marre... et d'une manière ou d'une autre, vous pouvez même le comprendre ! Ils ont déjà atteint l'état d'apathie signalé par Ivo Planava.
Méthode 4 : Menaces. Les tortionnaires ont utilisé des menaces de mort, d'isolement et d'emprisonnement sans fin, ainsi que des menaces contre les familles des victimes pour semer la peur et le désespoir.
Seule la panique artificiellement créée suite à l’infection par le coronavirus nous a fait accepter les mesures des politiques. Les enfants étaient persuadés qu’ils mettraient grand-mère et grand-père en danger s’ils leur rendaient visite et même les serraient dans leurs bras alors qu’en fait, il était déjà clair au printemps 2020 que le taux de mortalité dû au Covid était équivalent à celui d’une grippe saisonnière normale.
Néanmoins, la couverture médiatique de guerre est restée inchangée. Un document de stratégie interne du ministère allemand de l’Intérieur révèle que ces craintes ont été délibérément créées et contrôlées.
Méthode 5 : Indulgence occasionnelle. Désormais, les bourreaux deviennent gentils… de temps en temps. Des gentillesses et des récompenses inattendues créent un lien émotionnel et garantissent le respect des règles du prisonnier. Elles suscitent l’espoir d’une amélioration de sa situation qui, bien que généralement inexistante, le confond et le démoralise.
RépondreSupprimerCela aussi vous semble familier, n'est-ce pas ? Un confinement peut-être, un confinement peut-être que non, cette règle-ci, cette règle-là, et un soulagement en perspective. Encore quelques semaines et nous aurons réussi... Les espoirs que nous pourrions bientôt revenir à la normale renaissaient sans cesse. Cela fait partie de la stratégie psychologique !
Méthode 6 : Démonstration de « toute-puissance » et « d'omniscience ».
On fait croire au prisonnier que toute résistance est vaine, qu’il est inférieur et qu’il le restera toujours.
Parallèles avec le Covid : La violence policière utilisée contre les manifestants montre la supériorité physique du pouvoir gouvernemental. Même le rapporteur spécial officiel des Nations-Unies sur la torture, Nils Melzer, a mis en garde, et je cite : « Partout dans le monde, la brutalité policière s'intensifie et détruit la confiance du public, la paix sociale, la cohésion sociale et la démocratie. Les gouvernements doivent cesser de traiter leur propre peuple comme un ennemi ! »
Méthode 7 : Humiliations
Le fait d'être complètement à la merci du geôlier détruit l'espoir du prisonnier que la résistance puisse apporter quelque chose. Ainsi le prisonnier est rabaissé au niveau d’un enfant ou d’un animal. Les tortionnaires y parviennent par des châtiments humiliants, un environnement pollué, des insultes et des railleries ou en refusant l'intimité du prisonnier.
Les masques à eux seuls sont une pure humiliation ainsi que ces tests, que beaucoup trouvent extrêmement désagréables.
La Chine est même allée jusqu’à effectuer des prélèvements anaux sur les citoyens japonais entrant dans le pays. Insulter ou se moquer des personnes qui ne se font pas vacciner est monnaie courante. Et quel est l'effet d'essayer d'inciter les gens à se faire vacciner en leur proposant une saucisse ou un hamburger : cela ne rappelle-t-il pas les chiens de Pavlov, qui bavaient lorsque la cloche sonnait pour les nourrir ?
Méthode 8 : Application d’exigences dérisoires.
RépondreSupprimerLes prisonniers devaient suivre des règles protocolaires stupides et inutiles. Cela les habituait à exécuter les ordres de leurs contrôleurs, aussi futiles soient-ils.
Des mesures inutiles sont à l’ordre du jour depuis le début de la prétendue pandémie. Dans un aéroport par exemple, des distances minimales doivent être respectées lors de l'enregistrement, alors que les mêmes passagers seront assis à proximité dans l'avion quelques minutes plus tard. Je suis sûr que vous pouvez penser à de nombreux autres exemples, chers téléspectateurs !
L’intention des stratèges derrière tout cela est simple : nous ne sommes pas censés penser, ni rien remettre en question, mais plutôt apprendre à obéir. C’est une caractéristique typique d’une dictature !
La conclusion jusqu'à présent, c’est que selon toute vraisemblance, les 8 points de ce « diagramme de coercition » sont présents avec le Covid.
Comment introduire un pouvoir d’État totalitaire ?
La question est la suivante : comment peut-on amener un peuple habitué à la liberté et à la démocratie à renoncer à nouveau à ses droits fondamentaux ? Comment transformer des personnes libres en sujets d’un système totalitaire ? Malheureusement, cela a été fait à plusieurs reprises dans l’histoire, et aujourd’hui, cet effort est à nouveau en cours dans le monde entier. La psychose de masse délibérément provoquée que nous venons de décrire en est la clé.
Selon l’érudit religieux Arthur Versluis, le totalitarisme est « le phénomène moderne d’un pouvoir d’État totalement centralisé combiné à l’éradication des droits humains individuels ». La société est divisée en deux groupes : les dirigeants, qui sont élevés à un statut presque divin, et les masses qui deviennent des sujets dépendants de cette prétendue « élite ». Les deux vont à l’encontre de la nature humaine, car les dirigeants sont aussi des êtres humains faillibles, et transformer la population en sujets ne réussit que grâce à des délires qui ressemblent à des réactions de schizophrène.
La première étape consiste toujours à semer la peur, ce qui est particulièrement efficace dans les vagues de terreur psychologique. Meerloo écrit à ce sujet, je cite : « Chaque vague de terreur [...] déploie son effet plus fortement que la précédente après un certain temps de répit, car les gens sont encore troublés par l'expérience précédente. Le moral diminue de plus en plus et l'impact psychologique de chaque nouvelle campagne de propagande devient plus fort ; il touche un public déjà ramolli. »
La propagande contribue en même temps à semer la confusion dans l’esprit des masses. La désinformation sur l’origine de la « menace » et la nature de la « crise » sont systématiquement répandues. À l’ère d’Internet, les informations sont ciblées, voire totalement bloquées, c’est-à-dire censurées au moyen d’algorithmes. Selon ce que l'utilisateur a déjà consulté sur Internet, des informations similaires lui sont à nouveau présentées. Différents groupes cibles peuvent ainsi développer une image complètement différente de la réalité. On peut voir ici les moyens utilisés pour y parvenir :
RépondreSupprimerLa technologie comme facteur de dépendance, l'isolement comme catalyseur.
Puisque la propagande moderne se présente sous la forme de technologies attrayantes – smartphones, Internet, télévision, etc. – elle est consommée volontiers et largement. Beaucoup y sont accros et cela déploie pleinement la portée de cette propagande lorsque les gens sont limités dans leurs contacts sociaux. Tout le monde ne se laisse pas aveugler par la propagande, d’où la « distanciation sociale » pour éliminer le pouvoir correcteur de ceux qui ne se sont pas laissé influencer par le feu constant des fausses informations. Joost Meerloo écrit, je cite : « L’isolement et la répétition patiente des stimuli sont nécessaires pour apprivoiser les animaux sauvages. [...] Les totalitaires ont suivi cette règle. Ils savent qu’ils peuvent conditionner plus rapidement leurs victimes politiques si elles sont maintenues dans l’isolement. »
Lorsqu’une population est secouée suffisamment longtemps par des vagues psychologiques de terreur, elle devient désespérée et vulnérable. On aspire à un monde ordonné. À ce stade, les totalitaires proposent un tel monde – mais au prix de la liberté, au prix du contrôle de sa propre vie. Des personnes autrefois libres et indépendantes sont devenues des sujets soumis et obéissants !
Mensonges et confusion : des outils nécessaires
RépondreSupprimerLes victimes du régime totalitaire sont délibérément éduquées au mensonge. Car entendre constamment de faux messages, qui vont délibérément tous azimuts, perturbe la pensée logique au point que certaines personnes cessent de résister aux mensonges. La personne devient passive et intériorise le récit dans son ensemble. L’esprit libre part au profit de l’endoctrinement.
Le langage est un élément important de cette propagande. Les mots perdent leur sens originel et cela aussi constitue une attaque frontale contre l'esprit.
L'humain est une créature d'habitudes.
Lentement, progressivement, mais sûrement, le citoyen s'habitue ainsi à un système malade. Il est facile de reconnaître des structures totalitaires dans des pays lointains ou rétrospectivement dans le passé. Quand on regarde la Corée du Nord, par exemple, tout le monde en Occident dit probablement : Quelle secte insensée ! Malheureusement, les débuts ne sont pas si faciles à discerner lorsqu’on est soi-même dans le vif du sujet, comme c’est le cas en ce moment ! On s'habitue aussi à l'obéissance et à l'obéissance à l'autorité ! Cela ne nous rappelle-t-il pas les temps sombres de notre pays ?
Entrée par la « raison », puis dérive vers la folie
La plupart des idéologies recrutent leurs adeptes avec des idées raisonnables, ou du moins, qui paraissent raisonnables. Exemple du Covid : L’idée d’une maladie infectieuse se propageant dans un monde globalisé correspond aux idées dominantes de la population, c’est pourquoi les mesures de protection sanitaires ont été initialement soutenues par la plupart des gens.
Cependant, après un certain point de lavage de cerveau, il n’y a plus de logique. Bizarrement, c’est même le contraire qui se produit. Les contradictions consolident encore davantage le pouvoir d’une idéologie, comme le montre l’exemple des religions fondamentalistes. Le phénomène des « coûts irrécupérables » joue également un rôle majeur. « Coûts irrécupérables » signifie : on a déjà investi tellement de temps et d'énergie, voire d'argent dans un projet qu'il est difficile, voire impossible, de reconnaître ce projet comme une erreur.
Les promesses non tenues sont un système.
RépondreSupprimerSommes-nous encore surpris lorsque les politiciens, une fois élus, agissent comme s’ils pensaient : « Qu’est-ce que j’ai à faire de mon blablabla d’hier ? » Les promesses non tenues sont un système, en politique en général et aussi avec le Covid. Pas de fin des mesures, pas d’immunité grâce à la vaccination, pas de fin du port du masque et obligations similaires pour les personnes vaccinées. Et pourtant, une grande partie de la population continue à faire confiance aux gouvernements et même aux médias. Ceci est un exemple du « syndrome de Stockholm » mentionné plus haut, qui signifie le glissement global de la population vers l’idéologie.
Peur de mettre fin aux mesures Covid.
Le succès de la propagande se voit déjà dans le fait que certains ne veulent plus retourner dans un monde sans mesures Covid. Ils ont déjà intériorisé l’idéologie à un tel point qu’ils ont développé ce qu’on appelle le « syndrome de la caverne », c’est-à-dire la peur de la normalité. Ces personnes font alors pression sur ceux qui pensent différemment, qui ne sont pas tombés dans le piège des mensonges et qui aspirent à nouveau à une vie normale. C’est exactement ce dont a besoin un régime qui devient totalitaire : une pression non seulement « d’en haut » – c’est-à-dire de la part du gouvernement et des médias – mais aussi « de côté » – c’est-à-dire de la part des êtres humains.
Et maintenant, redonnons la parole à notre collègue :
Conclusion : Chers téléspectateurs, en regardant cette analyse du journal Express Zeitung, on ne peut s'empêcher de soupçonner une stratégie extrêmement réfléchie et perfide derrière toutes les lois et interdictions contradictoires et souvent carrément absurdes. De toute évidence, une guerre psychologique sophistiquée est menée contre l’humanité. Vu sous cet angle, toutes ces mesures ont du sens – du point de vue de leurs cerveaux !
Cette analyse est effrayante. Mais ce n’est qu’en affrontant ce problème désagréable et inconfortable que les contre-mesures appropriées pourront être prises.
L’un des éléments importants est l’information. S'il vous plaît, diffusez cette émission pour que de plus en plus de gens comprennent le programme de lavage de cerveau en cours et puissent y mettre un terme. Dans les informations sources suivantes, vous trouverez également le lien vers le journal Express Zeitung par lequel vous pouvez commander l'édition originale pour la relire.
de mmm
RépondreSupprimerSources / Liens :
ExpressZeitung Nr. 43/44 d‘octobre 2021, titre: „Massenpsychose – Wenn der Wahnsinn zur „Neuen Normalität“ wird“
https://www.expresszeitung.com/
https://www.expresszeitung.com/doppelausgabe-43-44-massenpsychose/ez00043-44.print
Albert Biderman – Diagramme des contraintes
https://de.wikipedia.org/wiki/Bidermans_Diagramm_des_Zwanges
Document stratégique interne du ministère allemand de l'Intérieur :
https://www.heise.de/forum/Telepolis/Kommentare/Die-Sorge-waechst-die-Sorglosigkeit-auch/BMI-Papier-Wie-wir-COVID-19-unter-Kontrolle-bekommen-Psychologie-der-Panik/posting-37267877/show/
https://www.kla.tv/fr
(...) Sommes-nous encore surpris lorsque les politiciens, une fois élus, agissent comme s’ils pensaient : « Qu’est-ce que j’ai à faire de mon blablabla d’hier ? » Les promesses non tenues sont un système, en politique en général et aussi avec le Covid. (...)
SupprimerA savoir et à reconnaître qu'AUCUN politicien n'a tenu compte des rapports scientifiques faits par les Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej des analyses des flacons injectables qui contenaient entre 95 et 99 % (40 000 milliards par dose !) de nano-particules d'oxyde de graphène qui n'ont PAS a être là même dans une expérimentation génique d'essais FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin' !
Un seul pays au monde connaît actuellement une vague de covid, vacc à 90 %,boosté à 80 % ET en plus il se paie un record de surmortalité post vaccc
RépondreSupprimerle 22 Mai 2024
par pgibertie
Il était une fois un pays totalement protégé des premières vagues la covid…Le pays pratique alors la vaccination quasi obligatoire et tout explose…la surmortalité post vaccinale et les cas covid avec Omicron qui pour être gentil adore faire du mal aux injectés
- voir graph sur site -
@felicittina
Au regard de la protection supposée de la forte vaccination ARNm à #Singapour, voici comment évolue la surmortalité, d’après les derniers chiffres officiels, vérifiables ici : https://tablebuilder.singstat.gov.sg/table/TS/M810121…
Politique zero Covid + large vax° + des cas qui ne déferlent qu’avec omicron.
- voir graph sur site -
Singapour, face à une nouvelle vague SC2. « Le nombre estimé de cas de Covid-19 au cours de la semaine du 5 au 11 mai s’élevait à 25 900 cas, contre 13 700 cas la semaine précédente » a déclaré le ministère de la santé.
Le ministère de la Santé a déclaré que le nombre estimé de cas de Covid-19 au cours de la semaine du 5 au 11 mai s’élevait à 25 900 cas, contre 13 700 cas la semaine précédente. Le nombre moyen d’hospitalisations quotidiennes liées au Covid-19 est passé à environ 250 contre 181 la semaine précédente. Le nombre moyen de cas quotidiens en unité de soins intensifs (USI) est resté faible, à trois cas, contre deux cas la semaine précédente.
M. Ong a déclaré que si le nombre de cas de Covid-19 double une fois, Singapour aura 500 patients dans son système de santé, ce que Singapour peut gérer. Cependant, si le nombre de cas double une seconde fois, il y aura 1 000 patients, et « cela représentera une charge considérable pour le système hospitalier », a-t-il noté.
« Mille lits équivalent à un hôpital régional », a déclaré M. Ong. «Je pense donc que le système de santé doit se préparer à ce qui va arriver.»
RépondreSupprimer« Le nombre moyen d’hospitalisations quotidiennes liées au Covid-19 est passé à environ 250 contre 181 la semaine précédente. » Et ces idiots d’appeler à de nouvelles injections anti-covid ! Car… ça protège des formes graves
- voir graph sur site -
@felicittina
Pour ceux qui pensent que seuls les taux standardisés par âge sont probants, sachez que les résultats sont encore pires…
https://pgibertie.com/2024/05/22/un-seul-pays-au-monde-connait-actuellement-une-vague-de-covid-vacc-a-90booste-a-80-et-en-plus-il-se-paie-un-record-de-surmortalite-post-vaccc/
Vaccination contre le VPH – la combinaison du secteur pharmaceutique et de la médecine
RépondreSupprimer22 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
La vaccination contre le VPH a été semée d’embûches et de controverses depuis le début. Compte tenu des effets secondaires et de l’utilité discutable, en particulier pour les garçons et les hommes, il faut évidemment certaines compétences en vente pour les proposer aux femmes ou aux hommes. C’est pourquoi il est évidemment nécessaire de former les médecins au bon argumentaire de vente.
Si les médecins écoutent ces événements, ils recevront « jusqu'à 4 points DFP sur votre compte » s'ils fournissent leur numéro de membre de l'association médicale, comme indiqué sur la page de la conférence sur medconnect . Des informations sur le programme de formation avancée diplômante de l'Association médicale autrichienne (ÖÄK) peuvent être trouvées ici . L'ensemble de l'événement a été sponsorisé par MSD, le fabricant du vaccin contre le VPH, et le logo MSD reste visible partout. L'Académie autrichienne de vaccination (ÖIA) et la Société autrichienne de médecine pédiatrique et adolescente (ÖGKJ) en seraient apparemment les organisatrices.
Le premier intervenant, Kenneth A. Alexander, passe sous silence sa déclaration de conflits d’intérêts, mais les expose au moins par écrit :
Il est étrange qu'une conférence donnée par un conférencier payé par Merck et Moderna fasse partie de la formation continue de l'association médicale. Mais c’est encore pire.
Concernant cette diapositive, Alexander explique qu'il faut se limiter à ces trois points : pas d'éducation, pas d'études scientifiques et surtout : ne jamais inciter les clients vaccinés à poser des questions !
Formation courte en vente sur la façon d'attirer les clients, de les féliciter et de les orienter dans la bonne direction.
Si nécessaire, nommez l’enfant à vacciner et répétez les trois points précédents.
RépondreSupprimerMais sur le plan juridique, la situation est telle que tout traitement médical constitue une atteinte à l'intégrité physique, qui ne reste impunie que s'il existe une information complète permettant un « consentement éclairé ». Je connais des cas de jugements de justice en dommages et intérêts pour douleurs et souffrances contre des médecins qui n'ont que partiellement rempli cette obligation.
Cependant, Alexander recommande de ne pas informer ou éduquer du tout, mais plutôt de travailler avec des annonces courtes et affirmatives. Cet extrait de la conférence avec transcription peut être écouté en annexe 1 ci-dessous.
Vient ensuite la conférence du Dr. Katja Fischer, membre du Comité national de vaccination et apparemment responsable de la vaccination contre le VPH au sein du département de vaccination du ministère de la Santé. On pourrait désormais s’attendre à ce qu’en tant qu’agent public, elle souligne les exigences juridiques et éthiques concernant le consentement éclairé. Mais non, elle souhaite d’abord souligner le message donné par l’intervenante précédente.
Elle est fière que l'Autriche ait été parmi les premiers pays à introduire une deuxième vaccination et désormais une troisième injection pour les personnes plus âgées. L’intégralité de la conférence se trouve également en annexe 2 ci-dessous.
Le troisième intervenant est le professeur Elmar Joura de MedUniVienna. Il est également fier de la première vaccination contre le VPH en Autriche en 2006 et d'avoir été un pionnier dans l'augmentation constante du nombre de seringues.
Il n’y a pas de diapositive distincte sur les conflits d’intérêts, mais il déclare brièvement : « J’ai mené des études de vaccination contre les TMS. »
Sa déclaration sur le test HPV chez les hommes est intéressante.
Il déclare : « Nous déconseillons fortement de tester les hommes, car ceux-ci ont une prévalence élevée du VPH de 30 à 50 pour cent et nous n’avons aucun algorithme sur la façon de traiter les hommes séropositifs au VPH. »
Apparemment, ils veulent éviter que les personnes vaccinées ne se demandent pourquoi elles ont reçu un vaccin qui ne pourrait pas prévenir une infection. Mais là est la question, car il n’y a aucun bénéfice apparent chez les hommes, mais des effets secondaires sont possibles.
La vaccination contre le VPH protège-t-elle ou nuit-elle
RépondreSupprimerLe VPH est un virus passager, un virus qui va et vient. C'est pourquoi Joura déconseille fortement les tests, car ce ne sera pas bon si le virus est détecté chez des personnes vaccinées. Mais cela ne semble pas avoir d'importance de toute façon.
Cela tourne toujours autour du même concept commercial : créer la peur à l’aide d’un marqueur de substitution, puis déformer les statistiques et les études comme si le marqueur de substitution disait quelque chose et comme si l’intervention (coûteuse) allait faire quelque chose. Les astuces utilisées sont toujours les mêmes.
Même dans les informations destinées aux patients du Gardasil, l'efficacité est formulée avec le plus grand soin :
« GARDASIL est un vaccin (injection/seringue) utilisé comme adjuvant pour protéger contre les maladies suivantes causées par les types de virus du papillome humain (VPH) (6, 11, 16 et 18) »
Cependant, le potentialisateur de l'aluminium présente toujours un risque et, bien que rare, entraîne de graves effets secondaires.
De nouvelles études continuent d’émerger, comme celle du 16 février 2024 : Anti-NMDA Receptor Encephalitis, Human Papillomavirus et microARN. Cette recherche suggère que le vaccin contre le VPH pourrait déclencher une maladie cérébrale auto-immune rare qui provoque des symptômes psychiatriques ou neurologiques après la vaccination – et peut facilement être confondue avec une psychose à ses débuts. La presse autrichienne en a également parlé en 2007 :
Selon les intervenants de cet événement, il convient d'éviter toute information sur d'éventuels effets secondaires négatifs.
Deuxième fille en soins intensifs après la vaccination
OÖ Nachrichten 2008 : Un décès et sept maladies
OÖ Nachrichten : un jeune de 15 ans en soins intensifs après une vaccination contre le cancer
Le cancer du col de l'utérus a considérablement diminué au cours des dernières décennies. Pourquoi n'est-il pas si clair. Peut-être moins de cigarettes chez les femmes. Mais le déclin est clair et significatif. En Suède, l'incidence du cancer du col de l'utérus a également chuté massivement ces dernières années , avant l'introduction de la vaccination contre le VPH.
RépondreSupprimerLe cancer du col de l'utérus survient principalement à un âge avancé et est généralement diagnostiqué chez les femmes de plus de 50 ans. C'est pourquoi il ne sert à rien de faire une étude comme celle de Joura, où sont examinées des femmes âgées de 17 à 30 ans. La question se pose de savoir quel biais entre en jeu lorsque, comme dans cette étude, seules les femmes bien avant la tranche d’âge typique sont examinées ? Cela peut être lu dans « L'âge moyen au moment du diagnostic de l'adénocarcinome et du carcinome épidermoïde » de Kristina Hellman .
Même les auteurs de l'étude sur la 2ème diapositive de Joura admettent seulement que la vaccination contre le VPH réduit de moitié le risque de cancer du col de l'utérus (sans aborder les problèmes et les biais évoqués) : « L'incidence cumulée chez les femmes non vaccinées a fortement augmenté pour atteindre 94 cas pour 100 000. » personnes avant l'âge de 30 ans, alors que l'incidence cumulée chez les femmes vaccinées était de 47 cas pour 100 000 personnes avant l' âge de 30 ans, alors que l'incidence cumulée chez les femmes vaccinées jusqu'à l'âge de 30 ans était de 47 cas pour 100 000 personnes.)
Il s’agit d’un résultat plus que faible et qui plaide contre la vaccination contre le VPH. Les auteurs de cette étude rapportent une autre analyse réalisée en Finlande, où l'énigme est résolue : avec la vaccination contre le VPH, le VPH est considérablement supprimé, mais cela n'a aucun effet sur la fréquence du cancer du col de l'utérus, car il est uniquement « associé » et non déterminé de manière causale. La conséquence logique est que peu ou pas de cancer du col de l’utérus associé au VPH, mais uniquement un cancer du col de l’utérus sans VPH. Mais cela n’est pas rapporté car les études ne portent que sur le cancer du col de l’utérus associé au VPH.
Annexe 1
05h44 : Ce ne sont en réalité que quelques étapes. Ce n'est pas si difficile. Nous soulignons que la vaccination contre le VPH fait partie de la pratique courante. Nous normalisons le processus.
Et avec la normalisation, nous essayons de convaincre les gens que c'est comme si on donnait à un bébé une injection de ROR. Nous vaccinons généralement les adolescents. C'est une routine. Deuxièmement, nous soulignons qu’il s’agit de prévention du cancer. Nous n'avons pas besoin de parler de sexualité ou d'adolescents.
Nous parlons du fait que vous et moi travaillons dans la prévention du cancer, puis nous encourageons les parents à le faire aujourd'hui. Et c’est là que résident les trois ingrédients d’une annonce réussie. Laisse moi te donner un exemple. Maman Emma aura bientôt douze ans. Et à l’âge de douze ans, nous faisons systématiquement vacciner tous nos garçons.
RépondreSupprimerEt nous protégerons les filles contre le cancer lié au VPH. Nous donnons son vaccin à Emma aujourd'hui. Et puis on arrête. Et c’est là que les médecins ont des ennuis car ils ont tendance à en dire trop. Ils disent des choses comme : « Maman, tu as une question sur quelque chose ?
Mais non. Les recherches montrent que lorsque nous faisons cette annonce en trois étapes, environ 60 à 75 pour cent des parents américains, et je suppose que c'est la même chose pour les parents autrichiens, disent en dix à 15 secondes : Okay, vous avez réussi. Et je sais qu'en tant que pédiatre, je sais en tant que médecin généraliste, combien il y a à faire dans votre pratique, mais vous n'avez pas besoin de vous lancer dans une grande discussion ici. Emma a douze ans aujourd'hui. À l’âge de douze ans, nous donnons régulièrement à tous nos garçons et filles un vaccin pour prévenir le cancer.
Nous devrions faire vacciner Emma aujourd’hui. C'est fait, 10 secondes. Et les recherches montrent que cela fonctionne très, très bien. C'est pourquoi nous rappelons encore une fois que la vaccination contre le VPH est une vaccination systématique. Il s'agit de prévention du cancer et nous allons le faire aujourd'hui.
Désormais pour 60 à 70 % des personnes. C'est fait et c'est fait. » 8h10.
Annexe 2
(D’ailleurs, il se pourrait que ces vidéos plutôt révélatrices soient bientôt mises en « privées » et ne soient donc plus visibles.
Conférence de Kenneth A. Alexander, MD :
Conférence Dr. Katja Fischer, membre du Comité national de vaccination et apparemment responsable de la vaccination contre le VPH au ministère de la Santé :
Le conférencier est le professeur Elmar Joura de MedUniVienna
En savoir plus sur le VPH
RépondreSupprimerMerck à nouveau poursuivi en justice pour les dommages causés par le vaccin contre le VPH Gardasil
Le bus de la vaccination est à nouveau en marche : semaine européenne de vaccination contre le VPH, la rougeole et les préparations multiples
Étude : L’injection du VPH est liée à quatre maladies auto-immunes
La vaccination contre le VPH « sûre et efficace » ? Parallèles avec Covid et VIH/SIDA
Encore plus d’injections de VPH à prix fiscal – nouvelle campagne de vaccination verte
« Under the Skin » – Le film « interdit » sur la vaccination contre le VPH
https://tkp.at/2024/05/22/hpv-impfung-verquickung-pharma-geschaeft-mit-medizin/
Mycotoxines : des dangers invisibles dans l'alimentation
RépondreSupprimer22 Mai 2024
Mauro Proença, ACSH*
À un moment ou à un autre de votre vie, vous avez entendu des débats sur l'alimentation saine, qui mettent souvent l'accent sur les aliments biologiques, sans OGM, frais et peu transformés. Ces discussions sont souvent associées à des gourous de la santé qui prétendent détenir le secret de la longévité grâce à leur régime alimentaire. Cependant, cette focalisation peut occulter d'autres sujets importants liés à l'alimentation, tels que les contaminants.
Les mycotoxines
Les mycotoxines sont des métabolites, petites molécules, produites par des champignons filamenteux. Lorsque l'environnement est favorable (type de substrat, température et humidité), les mycotoxines peuvent se développer dans nos aliments.
On connaît plus de 400 composés considérés comme des mycotoxines.
Parmi les plus connus :
Les aflatoxines : Ces mycotoxines sont produites par des champignons comme Aspergillus flavus, et se développent dans les graines oléagineuses et les céréales comme l'arachide et le maïs. Une exposition prolongée et des doses élevées peuvent provoquer une immunodépression, un carcinome et une nécrose du foie chez l'homme et l'animal.
L'ochratoxine est présente dans des aliments tels que l'avoine, le café et le vin. Au moins une variante est considérée comme une néphrotoxine ayant des effets cancérigènes, tératogènes et immunosuppresseurs.
Toxine T2 : Cette mycotoxine affecte plusieurs céréales pendant la période hivernale et a été responsable de nombreux cas d'aleucie toxique alimentaire (ATA) chez les Soviétiques pendant la Seconde Guerre Mondiale. L'ATA provoque des vomissements, des diarrhées, une leucopénie (absence de globules blancs, aleukia), des hémorragies, des inflammations cutanées et parfois la mort.
La zéaralénone est communément présente dans le maïs, le blé, le seigle et l'orge. Beaucoup la classent parmi les mycoestrogènes en raison de sa similarité biologique avec les œstrogènes. Chez les animaux sensibles, tels que les bovins et les poulets, elle induit des effets œstrogéniques, notamment une hypertrophie de l'utérus et des mamelles et une infertilité.
Outre les nombreux effets sur la santé, les mycotoxines affectent également nos économies, en augmentant le coût des denrées alimentaires en raison de la nécessité de jeter les denrées alimentaires ou les aliments pour animaux contaminés, et en entraînant une perte de productivité et de qualité de vie pour les humains et les animaux
Bien qu'il soit difficile d'estimer avec précision le coût économique des mycotoxines, le Council for Agricultural Science and Technology (CAST), une organisation à but non lucratif, a souligné dans le rapport de sa task force de 2003 que les États-Unis sont confrontés à une perte économique potentielle d'environ 932 millions de dollars par an.
Ce qu'il y a dans nos aliments
RépondreSupprimerUne étude pilote évaluant l'exposition des enfants aux mycotoxines alimentaires dans la ville de Ribeirão Preto, au Brésil, a été récemment publiée dans Food Research International.
Les chercheurs ont recruté 67 volontaires (21 enfants d'âge préscolaire, 15 écoliers et 31 adolescents) sans antécédents de maladies chroniques au cours des deux années précédentes et qui fréquentaient un centre de santé communautaire local. Les volontaires ont collecté des échantillons d'aliments à leur domicile – 213 aliments crus ou non cuits, dont du riz, du blé, du maïs et des graines oléagineuses.
Les échantillons ont ensuite été testés [1] pour la présence et la quantification d'un certain nombre de mycotoxines. En outre, les participants ont été invités à remplir un questionnaire sur la fréquence des aliments et à effectuer un rappel alimentaire de 24 heures.
Les résultats sont les suivants :
Des mycotoxines ont été trouvées dans la plupart des échantillons, y compris ceux à base de maïs ou de blé et de riz.
Un tiers des aliments contenait au moins deux mycotoxines, ce qui suscite des inquiétudes pour la santé des enfants.
La quantité estimée de mycotoxines ingérées [2] a été calculée et s'est avérée généralement inférieure aux limites sanitaires établies. La seule exception pour les enfants et les adolescents concerne la consommation de produits à base de blé.
Les auteurs ont conclu que des mesures strictes tout au long de la chaîne alimentaire sont nécessaires au Brésil pour améliorer la sécurité alimentaire et réduire l'exposition des enfants aux mycotoxines alimentaires. Ces mesures comprennent un meilleur contrôle des cryptogammes avant et après la récolte, l'amélioration des conditions de stockage industriel et domestique, et la mise en œuvre d'une surveillance continue.
Les auteurs reconnaissent plusieurs limites à l'étude, notamment sa petite taille, qui rend la généralisation plus difficile. Et des imprécisions dans le rappel alimentaire de 24 heures qui pourraient avoir un impact sur l'estimation de l'exposition.
Comment réduire le risque
RépondreSupprimerNous pouvons protéger notre approvisionnement alimentaire à domicile grâce aux mesures suivantes :
Inspecter les céréales complètes, les fruits à coque et les fruits secs pour vérifier qu'ils ne sont pas décolorés ou moisis. Jeter tout article présentant ces caractéristiques.
Veiller à ce que les aliments soient stockés correctement, en évitant les insectes, l'humidité et les environnements pas trop chauds.
Ne pas conserver les aliments pendant de longues périodes.
Par ailleurs, un article publié dans Food Control souligne que les mesures cruciales pour prévenir l'exposition des consommateurs aux mycotoxines commencent sur le terrain. Ces mesures peuvent être classées en stratégies de pré-récolte et de post-récolte :
Stratégies avant la récolte :
Mise en œuvre de la sélection et de la rotation des cultures.
Adoption de méthodes d'irrigation appropriées.
Utilisation de la lutte chimique, biologique et contre les insectes.
Après la récolte :
Contrôle de la teneur en humidité et en eau.
Régulation de l'humidité relative et de la température pendant le stockage et le transport. Les cryptogames prolifèrent plus facilement dans les environnements chauds et humides.
____________
[1] La technique consiste à utiliser un chromatographe en phase liquide pour séparer les composants alimentaires dissous dans un liquide. Ensuite, ces composants sont placés dans un spectromètre qui permet l'identification structurelle et la quantification des composants.
[2] Estimation de la dose journalière : (concentration moyenne de mycotoxines dans l'aliment) x (consommation journalière) normalisée en fonction du poids corporel.
Sources : Exposure assessment of children to dietary mycotoxins: A pilot study conducted in Ribeirão Preto, São Paulo, Brazil (évaluation de l'exposition des enfants aux mycotoxines alimentaires : une étude pilote menée à Ribeirão Preto, São Paulo, Brésil). Food Research International. DOI : https://doi.org/10.1016/j.foodres.2024.114087
Mycotoxins: Risks in Plant, Animal and Human Systems (mycotoxines : risques dans les systèmes végétaux, animaux et humains). Rapport du groupe de travail n° 139.
Prevention and practical strategies to control mycotoxins in the wheat and maize chain (prévention et stratégies pratiques pour contrôler les mycotoxines dans la chaîne du blé et du maïs). Food Control. DOI : https://doi.org/10.1016/j.foodcont.2022.108855
* Mauro Proença est étudiant diplômé en nutrition à l'Université São Camilo de São Paulo, au Brésil.
Il écrit également pour « Questão de Ciência » (RQC), un magazine numérique « dédié à la défense de l'utilisation des preuves scientifiques dans le domaine public ».
Source : Mycotoxins: Invisible Dangers in Food | American Council on Science and Health (acsh.org)
https://seppi.over-blog.com/2024/05/mycotoxines-des-dangers-invisibles-dans-l-alimentation.html
Complot Pfizer : les enquêtes contre Leyen suspendues
RépondreSupprimer22 mai 2024
de Thomas Oysmüller
L’enquête contre Leyen dans l’affaire Pfizer devrait être suspendue d’ici décembre.
En raison de l'accord de l'UE avec Pfizer sur les substances corona à ARNm, plusieurs États de l'UE, des députés européens et des centaines de citoyens se sont joints au procès contre Ursula von der Leyen. Le ministère public ouvre une enquête, mais celle-ci sera suspendue pour encore plusieurs mois.
Qui est responsable ?
Le Parquet européen (EPPO) a annoncé que l'audience devant un tribunal belge sur cette affaire a été reportée au 6 décembre. La question qui y est posée est de savoir si les poursuites judiciaires dans cette affaire relèvent de la police judiciaire belge ou des autorités européennes.
Le tribunal a reporté l'audience vendredi pour donner aux parties l'occasion de discuter des questions de compétence et de la levée de l'immunité de von der Leyen. Selon la plaignante, Leyen ne peut pas invoquer une immunité personnelle totale car elle n'a pas été élue à son poste. Elle n'est protégée contre les poursuites par « l'immunité fonctionnelle » que si elle a mené des actions dans le cadre de sa fonction définie de présidente de la Commission.
Comme le tribunal n’a pas rendu de décision la semaine dernière, plusieurs mois vont désormais s’écouler. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il sera clair s’il est réellement responsable de l’enquête. Cela signifie qu’il n’y aura pas d’autres développements autour du prétendu « complot Leyen-Pfizer » avant les élections européennes, dans un peu moins de deux semaines.
. Le député européen Martin Sonneborn du parti Die a déclaré au Berliner Zeitung : « Les élections européennes ont déjà été suffisamment délégitimées, dont le résultat, à savoir un nouveau mandat pour la présidente de la Commission von der Leyen, est déjà aussi certain que les résultats de les élections en Russie ou en Chine seront encore davantage délégitimées par cette décision. «Pourquoi faut-il un an et demi au Parquet européen, qui relève du commissaire à la Justice Didier Reynders et de la présidente de la Commission von der Leyen, pour que le stand de von der Leyen dans le bâtiment de la Commission soit perquisitionné et que son téléphone portable professionnel soit confisqué. afin d’inspecter le SMS Pfizer ?
TKP a rapporté en détail l'affaire judiciaire :
RépondreSupprimerConspiration Pfizer : plusieurs États poursuivent Leyen en justice
Le Premier ministre slovaque aborde le « complot Leyen-Pfizer »
Pfizer Gate : Première enquête directe contre von der Leyen
La conspiration Leyen-Pfizer et le grand silence
https://tkp.at/2024/05/22/pfizer-verschwoerung-ermittlungen-gegen-leyen-ausgesetzt/
Y a-t-il des virus ? – Médecins pour l’éthique COVID
RépondreSupprimer22 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Un débat récurrent au cours des quatre dernières années porte sur la question de savoir si les virus existent ou si les maladies respiratoires ont d'autres causes. Les deux scientifiques et médecins Michael Palmer et Sucharit Bhakdi ont récemment publié un article sur cette question dans Doctors for Covid Ethics.
Ils notent d’abord qu’en relation avec la « pandémie » de COVID-19, beaucoup ont compris à quel point les autorités politiques et scientifiques ont systématiquement menti. Cela concerne l’origine de l’agent infectieux ainsi que la nécessité et la sécurité des contre-mesures prescrites telles que le confinement, les masques et les vaccins. Ici aussi, au TKP, l’existence du virus responsable du COVID-19 ou même des virus et germes pathogènes en général a été mise en doute ou rejetée à plusieurs reprises dans les commentaires. Palmer et Bhakdie tentent de corriger les choses
Quoi qu’il en soit, ils reconnaissent que le public a de nombreuses raisons de se méfier non seulement des hommes politiques, des fonctionnaires et des médias, mais aussi de la « communauté scientifique »…
Le virus SARS-CoV-2 a-t-il déjà été isolé ?
« Oui, il a été isolé – d’innombrables fois. Un aperçu de ces études a été fourni par Jefferson et al. donné. Une étude robuste corrélant l'isolement du virus, la PCR et les résultats cliniques chez une série de patients hospitalisés atteints du COVID-19 a été rapportée par Wölfel et al . publié. Il est également possible d’acheter des échantillons du virus purifié auprès de l’American Type Culture Collection. Bien que ceux-ci soient inactivés par la chaleur, ils devraient néanmoins permettre de confirmer l’identité du virus si l’on dispose de l’expérience et du matériel nécessaires.
La légende selon laquelle le SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé repose uniquement sur l’exigence stricte selon laquelle un tel isolement doit être effectué sans recourir à des cultures cellulaires. Comme déjà mentionné, il est très probable que les virologues en exercice ignoreront cette demande, ce dont on ne peut pas leur en vouloir.
RépondreSupprimerMais le COVID-19 n’est-il pas simplement une grippe sous une nouvelle forme ?
Il est en effet frappant de constater qu’à mesure que le nombre de cas de COVID-19 augmente, le nombre de cas de grippe diminue également fortement. Cela peut s'expliquer comme suit :
Les infections respiratoires sont souvent causées par plusieurs virus. Si les tests ne sont pas exhaustifs, les résultats seront faussés par les tests choisis.
L’hystérie entourant le COVID-19 a conduit les médecins à effectuer des tests de diagnostic de manière sélective pour le COVID-19 et à exclure d’autres agents pathogènes respiratoires.
Des critères extrêmement vagues ont été utilisés pour diagnostiquer les infections au COVID-19. Vous avez probablement entendu parler des problèmes répandus liés aux tests PCR faussement positifs.
Les mauvaises méthodes de laboratoire ont inévitablement conduit à de nombreux diagnostics erronés du COVID-19. Les patients ainsi diagnostiqués ne faisaient généralement pas l’objet de tests supplémentaires pour la grippe, ce qui entraînait une diminution du nombre de cas de grippe diagnostiqués. L’incapacité de tester les agents pathogènes bactériens a eu pour conséquence que les patients atteints de pneumonie bactérienne ne sont pas diagnostiqués et se voient refuser le traitement antibiotique nécessaire. Ce n’était qu’une des nombreuses formes de faute professionnelle médicale à l’ère du COVID-19 qui était à l’origine de la surmortalité [ Rancourt, DG et al. (2021) Nature du désastre de santé publique de l'ère COVID aux États-Unis, à partir de la mortalité toutes causes confondues et des données socio-géo-économiques et climatiques . Rancourt, D.G. et coll. (2022) Campagne de vaccination de masse pendant la période COVID et catastrophe de santé publique aux États-Unis. ResearchGateDOI : 10.13140/RG.2.2.12688.28164 ].
conclusion
RépondreSupprimerMême si nous avons toutes les raisons de nous méfier et d’accuser l’establishment médical et scientifique actuel, cela ne doit pas nous amener à ignorer les preuves scientifiques solides lorsqu’elles existent. La théorie des germes en général, ainsi que la virologie, sont très riches en preuves de ce type, malgré ses récentes distorsions et abus, qui doivent être reconnus et corrigés de toute urgence. Cependant, la solution ne réside pas dans un scepticisme radical qui confine au nihilisme. Au lieu de cela, nous devons redécouvrir et revigorer l’esprit de débat rigoureux mais impartial qui a autrefois fait la grandeur de la science médicale.
De : https://doctors4covidethics.org/do-viruses-exist/
https://tkp.at/2024/05/22/gibt-es-viren-aerzte-fuer-covid-ethik/
Le mot 'virus' est un mot 'bateau' exprimé pour n'importe quoi !
SupprimerLe virus de l'ordinateur, le virus de la chasse, de la pêche, du cinéma ou de la bonne bouffe, etc, etc.
Le nom de 'virus' a été donné à des nano-poussières (1 millième de millimètre).
Or, jusqu'à présent, TOUTES les poussières ou nano-poussières étaient INOFFENSIVES (sauf les poussières radioactives, ce qui n'est pas là le cas).
Les maladies provenant uniquement de bactéries porteuses de maladies et donc appelées microbes.
Mais là, cette nano-poussière (appelée au départ 'corona', puis 'cocxovide19', 'Alpha', 'Tango', 'Charlie', 'Omicron', et-c !) n'a JAMAIS été dans l'air !!
Il y a DES milliers de laboratoires dans le monde qui - chaque jour - examinent la 'qualité de l'air' et ne l'ont JAMAIS trouvé ! Çà alors !!
Mais alors... Où est-elle ? Devinez !
Cette nano-poussière (empoisonnée) est UNIQUEMENT en seringues !
Si t'es piqué tu l'as. Si tu l'as t'es mort !
Les gagnants de la pandémie luttent dans le monde post-pandémique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 22 MAI 2024 - 12H55
Zoom Video Communications, la société devenue célèbre au début de la pandémie, a publié lundi ses résultats pour le premier trimestre de son exercice 2025, dépassant de peu les attentes des analystes mais décevant les investisseurs avec ses perspectives à court terme. Le bénéfice ajusté par action a augmenté de 16 pour cent sur un an, tandis que le chiffre d'affaires total et le chiffre d'affaires de l'entreprise ont augmenté respectivement de 3 et 5 pour cent. C’est loin des chiffres de croissance publiés par Zoom pendant la pandémie, lorsque l’entreprise a vu ses revenus se multiplier en quelques mois. La fin du travail à domicile et le retour au bureau qui s’ensuit, ainsi que la forte concurrence de Microsoft Teams, de Webex de Cisco et de Slack de Salesforce, ont ramené sur terre l’ancien champion de la pandémie.
Cependant, comme le note Felix Richter de Statista, Zoom n'est pas le seul gagnant de la pandémie qui lutte pour maintenir son élan dans le monde post-pandémique.
D’autres entreprises qui avaient explosé dans les circonstances particulières créées par le Covid-19 se sont également effondrées au cours des deux dernières années, alors que la vie normale revenait progressivement.
La société de fitness à domicile Peloton et la place de marché de bricolage Etsy, qui a profité d'un grand volume de ventes de masques sur sa plateforme pendant la pandémie, en sont deux exemples, aux côtés du fabricant de vaccins Moderna et DocuSign, une société qui permet aux entreprises de gérer les accords par voie électronique.
Comme le montre le graphique suivant, toutes ces sociétés ont vu le cours de leurs actions monter en flèche pendant la crise de Covid, mais elles ont toutes chuté d’au moins 70 % par rapport à leur valorisation maximale en cas de pandémie.
Infographie : La lutte des gagnants de la pandémie dans le monde post-pandémique | Statiste
- voir graph sur site -
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
1 000 $ investis dans les actions Moderna le 11 mars 2020, le jour où l’OMS a déclaré l’épidémie de Covid-19 une pandémie, se seraient appréciés à plus de 20 000 $ en août 2021 et vaudraient encore près de 6 000 $ aujourd’hui.
RépondreSupprimerLes investisseurs qui ont acheté des actions de DocuSign, Zoom ou Peloton au début de la pandémie et les ont conservées jusqu'à présent souffrent cependant d'une grave gueule de bois liée à la pandémie, car les actions de ces sociétés valent désormais (nettement) moins qu'auparavant. Mars 2020.
https://www.zerohedge.com/markets/pandemic-winners-struggle-post-pandemic-world
Les deux tiers des bénéficiaires d'allocations de chômage en Allemagne sont des migrants, alors que le coût pour les contribuables monte en flèche de 122 % depuis 2010.
RépondreSupprimerDans plusieurs États allemands, dont la Hesse, le Bade-Wurtemberg et Hambourg, environ les trois quarts des demandeurs d'allocations sont des migrants de première ou de deuxième génération, ce qui suggère que l'immigration massive de travailleurs peu qualifiés ne constitue pas un avantage net pour la plus grande économie d'Europe.
21 MAI 2024 15:35
Thomas BROOKE
Près des deux tiers des résidents allemands bénéficiant d'allocations de chômage sont issus de l'immigration, révèlent de nouveaux chiffres de l'Agence fédérale pour l'emploi.
Les statistiques publiées par l'agence fédérale et citées par le journal Die Welt montrent que 63,1 pour cent des bénéficiaires du revenu du citoyen, ou « Bürgergeld », sont d'origine immigrée et que « la plupart n'ont pas de passeport allemand ». »
Le journal allemand explique que si les chiffres de l’emploi augmentent d’année en année, « parce que la République fédérale autorise depuis longtemps une immigration très élevée de personnes peu qualifiées, le nombre de migrants au chômage et bénéficiant de prestations sociales augmente également ».
Les chiffres définissent le « milieu migratoire » comme toute personne qui est elle-même ou dont les parents sont nés sans nationalité allemande, c’est-à-dire les migrants de première et de deuxième génération.
Sur les 3,93 millions de personnes éligibles à l’aide financée par les contribuables en décembre 2023, quelque 2,48 millions étaient classées comme étant issues de l’immigration, dont 1,83 million n’avaient pas la nationalité allemande.
Ce pourcentage varie considérablement selon les Länder. En Hesse, dans le Bade-Wurtemberg et à Hambourg, plus de sept bénéficiaires sur dix sont des migrants, soit respectivement 76,4 %, 74,1 % et 72,8 %.
Il existe une forte corrélation entre l’augmentation de la population migrante et le pourcentage des prestations sociales versées aux migrants, ce qui donne du poids à l’argument selon lequel l’immigration massive de travailleurs peu qualifiés ne constitue pas un avantage net pour la plus grande économie européenne.
RépondreSupprimerEn 2013, la proportion de la population allemande issue de l'immigration s'élevait à 20 pour cent, et 43 pour cent des bénéficiaires de prestations étaient des migrants. Aujourd'hui, 29 pour cent de la population allemande est née à l'étranger et 63 pour cent des allocations de chômage sont versées aux migrants.
En juillet de l'année dernière, la secrétaire d'État parlementaire au ministère fédéral du Travail et des Affaires sociales, Anette Kramme, a répondu à une demande du député d'Alternative pour l'Allemagne, René Springer, en révélant que le nombre de bénéficiaires allemands de prestations sociales avait diminué de moitié depuis 2010, tandis que le nombre de ressortissants étrangers recevant des paiements a doublé.
Le coût pour le contribuable est monté en flèche depuis 2010, avec une augmentation de 122 pour cent sur la facture de 6,9 milliards d'euros, pour atteindre aujourd'hui environ 15,4 milliards d'euros par an.
Springer avait déclaré à l’époque que l’Allemagne avait désespérément besoin de mettre en œuvre « une politique d’immigration restrictive qui empêche efficacement l’immigration dans nos systèmes sociaux. En revanche, le revenu citoyen introduit par le gouvernement fédéral agit comme un aimant à immigration.»
https://rmx.news/article/two-thirds-of-unemployment-benefit-recipients-in-germany-are-migrants-as-cost-to-taxpayer-skyrockets-by-122-since-2010/
Un monde sans loi au bord de la guerre et des assassinats politiques. « Signes d’effondrement de la phase finale »
RépondreSupprimerPar Joachim Hagopian
Recherche mondiale,
22 mai 2024
Lundi 20 mai, alors que le procureur de la Cour pénale internationale ( CPI ) de l'ONU a émis des mandats d'arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ministre de la Défense Yoav Gallant ainsi que trois dirigeants du Hamas pour crimes de guerre, et le président Joe Biden a répété à nouveau : « Ce qui se passe est pas un génocide. Nous rejetons cela », insistant toujours sur le fait que l’Israël sioniste ne s’engage pas dans un génocide contre le peuple palestinien, nous vivons dans un monde de plus en plus dangereux. Cela survient quelques jours seulement après l'échec d'une tentative d'assassinat contre un dirigeant national de l'UE, puis la mort soudaine du président et du ministre des Affaires étrangères iraniens. Le rythme scandaleux actuel des événements mondiaux inquiétants est extrêmement inquiétant.
Le fait est que, chaque jour, nous nous réveillons face à des signes plus inquiétants d’effondrement de la phase finale, d’ une guerre mondiale imminente entre les plus grandes puissances nucléaires, d’assassinats politiques et, oui, d’un monde polarisé, apparemment incontrôlable, en croissance chaotique et exponentielle. instable et violent la semaine. Ce flux incessant d’incidents signifie une escalade de la déstabilisation mondiale, la démolition délibérée et contrôlée par les mondialistes de notre planète devenue folle. Rien de tout cela n’est dû au hasard ni au hasard. Cela reflète simplement l’effondrement systématique, par conception diabolique, de toute vie telle que nous la connaissons. Des présages destructeurs de bouleversements accélérés et de morts massives potentielles apparaissent désormais presque quotidiennement, à fortes doses choquantes.
Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, a failli être assassiné mercredi 15 mai dernier. Il n’est que l’un des deux dirigeants nationaux de l’UE amis de la Russie et opposés à l’aide militaire à l’Ukraine, et le seul dirigeant national vivant dans ce monde enquêtant sur Pfizer et les co-conspirateurs de pouvoir coupables de l’holocauste par balle mortelle du COVID, déterminé à les tenir publiquement responsables pénalement. .
RépondreSupprimerLes trois dirigeants africains et le dernier dirigeant haïtien élu ont tous été assassinés il y a plusieurs années pour avoir pris avec véhémence des positions audacieuses contre le programme mondialiste visant à commettre un génocide humain avec son arme biologique, le poison non vaccinal des grandes sociétés pharmaceutiques. Bien sûr, ce n’est pas un hasard si l’Associated Press, l’un des plus grands médias contrôlés par les mondialistes, a affirmé, quelques heures après la fusillade de Fico, que « les autorités slovaques affirment qu’il [l’assassin raté] a agi seul dans une attaque politiquement motivée ». Comme sur des roulettes, chaque fois que les trompeurs intégrés de l’establishment prétendent être un « tireur solitaire », ils arrivent instantanément à leur conclusion habituelle en matière de dissimulation criminelle. Pourtant, les faits prouvent si souvent le contraire puisque la CIA et le Mossad sont notoirement coupables de nombreux assassinats et coups d’État politiques. JFK, RFK, Martin Luther King me viennent tous facilement à l’esprit.
Il y a à peine un mois et demi, l'article du Guardian de l'écrivain Simon Tisdall intitulé « Autrefois une relique de la guerre froide, les assassins politiques sont de retour avec le permis de tuer » commençait par :
Dans le monde de non-droit d'aujourd'hui, l'assassinat politique est la nouvelle industrie en croissance – et quiconque, célèbre ou non, est une victime potentielle. Les meurtres sanctionnés par le gouvernement se multiplient, la Russie, Israël, l’Iran et l’Inde étant en tête du peloton.
Tisdall faisait référence à l'assassinat par Israël, le jour du poisson d'avril, de généraux iraniens de haut rang dans le consulat iranien de Damas, en Syrie, qui constitue clairement une violation du droit international. Cela a à son tour conduit à une « revanche » modérée de l'Iran, le 13 avril, en lançant la plus grande attaque de drones et de missiles au monde, alors que Téhéran frappait pour la première fois des cibles militaires précises directement sur le sol israélien, frappant des postes d'espionnage et militaires dans le désert du Néguev, minimisant ainsi particulièrement les pertes civiles. envoyant le message clair que le système de défense aérienne d’Israël est en fait pénétrable, malgré les mensonges bravades sionistes vantant son infaillible « Dôme de fer ».
RépondreSupprimerEn quatre jours la semaine dernière, le monde a été témoin d'un assassinat, bien qu'il s'agisse d'une tentative manquée d'assassinat d'un rare dirigeant national de l'UE ami de la Russie, suivi à peine quatre jours plus tard par ce qui pourrait être un assassinat réussi d'un autre allié de la Russie, le président iranien et le diplomate iranien. ministre. Lundi 20 mai, tous les gros titres rapportaient que le président iranien Ebrahim Raïssi , 63 ans , son ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, 60 ans, et six autres hauts responsables iraniens, étaient décédés la veille, le dimanche 19 mai, dans des circonstances apparentes. accident d'hélicoptère dans la province de l'Azerbaïdjan oriental, au nord-ouest de l'Iran, près de la ville de Varzaqan. Parmi les autres personnes tuées figurent le gouverneur général de la province de l'Azerbaïdjan oriental, Malek Rahmati, et le représentant du guide suprême en Azerbaïdjan oriental, Mohammad Ali Ale-Hashem.
Malgré la technologie GPS instantanée d'aujourd'hui localisant un emplacement spécifique avec un enregistrement de boîte noire, un épais brouillard a rendu les efforts de recherche difficiles pour quarante équipes de secours pour localiser le lieu de l'accident, ce qui est suspect en soi. AP a déclaré que l'accident s'est produit "sur le flanc d'une montagne escarpée", à 19 kilomètres au sud de la frontière Iran-Azerbaïdjan.
Israël a immédiatement nié toute implication, et bien sûr, les conditions de vol dites difficiles au moment de l'accident permettent à Israël de nier automatiquement son « déni plausible ». Reuters a déclaré :
Un responsable israélien, qui a requis l'anonymat, a déclaré à Reuters qu'il n'était pas impliqué dans l'accident.
RépondreSupprimerLe bilan d’Israël en matière de crédibilité en matière de vérité a été à plusieurs reprises atroce, surtout ces derniers temps. Peu de nations ou de personnes font confiance à Israël parce que ce pays possède l’une des pires réputations en matière de tromperie continue, un peu comme son menteur-voleur n°1 qui occupe illégalement la Maison Blanche et son régime traître de Washington DC.
Le gouvernement génocidaire israélien n’a pas divulgué sa réponse officielle à la mort des dirigeants iraniens. Pourtant, l'actuel ministre israélien du Patrimoine, Amichay Eliyahu , a réagi à la mort de Raisi en publiant une image d'un verre de vin sur X avec la légende « Cheers » en dessous. Avigdor Lieberman , ancien ministre de la Défense et chef du parti d’opposition de droite Yisrael Beiteinu, a déclaré à Ynet qu’Israël « ne versera pas une larme pour la mort du président iranien ».
https://x.com/Eliyahu_a/status/1792411988347490615
Malgré le mauvais temps présumé, deux autres hélicoptères iraniens transportant apparemment des responsables de Téhéran de moindre importance sont tous deux rentrés sains et saufs à destination après avoir assisté à une cérémonie d'ouverture d'un projet de barrage conjoint avec le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev. Mais ce crash d’hélicoptère est-il vraiment un accident ou s’agit-il d’une autre attaque terroriste israélienne visant les principaux dirigeants de l’Iran, l’ennemi juré de l’Israël sioniste ?
Le guide suprême iranien Ali Khamenei a déclaré depuis 1989 cinq jours de deuil tout en plaçant le deuxième président de la République d'Iran, l'adjoint de Raisi, Mohammad Mokhber, comme président par intérim jusqu'à la tenue d'élections dans les 50 jours.
L’assassinat du dirigeant iranien Ebrahim Raisi ne serait certainement pas le premier coup politique meurtrier d’Israël et de ses alliés. L’essentiel est qu’au cours des cinq dernières années seulement, Israël et ses amis ont été directement responsables de nombreux assassinats ciblés contre les plus hauts dirigeants politiques et militaires iraniens.
C'est sous la présidence du premier ministre israélien Donald Trump, acheté et payé par Israël avec le premier argent , que son secrétaire d'État de l'époque, diplômé de West Point une décennie plus jeune et ancien directeur de la CIA, Mike Pompeo, a lancé le 3 janvier 2020 sa frappe de drone de la CIA. sur le plus haut responsable militaire iranien, le général Qasem Soleimani . Mike Pompeo est un autre menteur audacieux le lendemain de l'exécution de Soleimani, s'exprimant sur CNN comme une plume dans son chapeau, affirmant avec suffisance que le général iranien travaillait avec les terroristes du Moyen-Orient alors qu'en réalité Soleimani les éliminait, battant ainsi le soutien des États-Unis. des groupes terroristes mandataires comme ISIS en Syrie et en Irak.
RépondreSupprimerLa guerre américaine contre l’Irak, basée sur un autre mensonge américain audacieux selon lequel les armes de destruction massive de Saddam Hussein n’existaient pas, était encore une autre guerre impérialiste expansionniste de l’Empire américain, où encore une fois, les États-Unis, en tant que tyrans des mondialistes, étaient clairement du mauvais côté de l’histoire. Le général Soleimani a aidé l’Irak à finalement éliminer l’armée américaine en tant qu’occupant en Irak, provoquant une autre perte de guerre humiliante pour les États-Unis en 2011, éclipsée seulement près d’une décennie plus tard par la débâcle en Afghanistan.
Pendant des années, les États-Unis ont violé de manière flagrante les droits de souveraineté nationale de l’Irak, de la Syrie et de l’Afghanistan, en déployant des occupants militaires américains sur le terrain contre la volonté et les droits des gouvernements de Bagdad et de Damas, sans parler de celui de Kaboul. Ces nations savent que l’excuse donnée par les États-Unis jusqu’à ce jour pour justifier leur présence non désirée – éliminer les soi-disant vestiges des terroristes de l’État islamique de la région – est un mensonge absolu puisque ce sont à la fois les États-Unis et Israël qui en sont les principaux créateurs et depuis longtemps. Les partisans de leurs alliés terroristes aux États-Unis ont fabriqué une guerre contre le terrorisme qui a duré des décennies dans tout le Moyen-Orient. Avant l’EI, les États-Unis et Israël se sont associés aux monarchies des États du Golfe pour créer Al-Qaïda et Bush, allié de la famille Ben Laden, pour mener à bien le travail israélo-américain du 11 septembre, en commettant délibérément une trahison pour tuer 3 000 Américains afin de lancer leur plan pré-planifié. nouveau Pearl Harbor » pour éliminer sept nations en cinq ans. Tout cela est connu de l’histoire maintenant.
En tant que général le plus populaire d'Iran et deuxième dirigeant national le plus puissant derrière le guide suprême Ali Khamenei au moment de son assassinat en 2020, le général Soleimani était principalement responsable non seulement de l'affaiblissement réussi des talibans , mais aussi de l'éradication virtuelle de l'État créé, financé et entraîné par les États-Unis. Les terroristes de l'État islamique, devenus la plus grande organisation terroriste au monde, ainsi que d'autres groupes militants djihadistes soutenus par les États-Unis et opérant en Syrie et en Irak.
RépondreSupprimerC'est fin décembre 2021 que le chef du renseignement militaire israélien, alors récemment retraité, le major-général Tamir Hayman , a admis qu'Israël avait aidé les États-Unis dans l'assassinat du général Soleimani, jubilant :
L’assassinat de Soleimani est une réussite, puisque notre principal ennemi, à mes yeux, ce sont les Iraniens. Deux assassinats significatifs et importants peuvent être notés au cours de mon mandat.
L’autre assassinat dont Hayman se vante illustre comment Israël utilise historiquement sa stratégie diviser pour régner pour contrôler à la fois les groupes palestiniens, le Hamas à Gaza et l’Autorité palestinienne (AP) en Cisjordanie. Le Hamas a été secrètement créé et financé par Netanyahu pour opposer le Hamas à l’AP, et tant que les groupes palestiniens se battent les uns contre les autres, restant faibles et plus faciles à contrôler, ils ont permis la politique de longue date de Netanyahu interdisant la solution à deux États . Dans cette affaire, le Hamas a accusé les agents des services de renseignement de l’Autorité palestinienne d’avoir informé l’armée israélienne de l’emplacement spécifique à Gaza du commandant du Jihad islamique palestinien Baha Abu al-Ata pour un autre assassinat par frappe aérienne israélienne en novembre 2019. Encore un autre coup dur israélien sous la ceinture. L' assassinat du principal scientifique nucléaire iranien, Mohsen Fakhrizadeh-Mahavadi, a été livré à l'Iran un an plus tard, le 27 novembre 2020.
Puis est survenu un autre assassinat mortel par frappe aérienne de l’État juif le jour de Noël 2023 dans une banlieue de Damas, ciblant encore un autre général iranien Sayyed Razi Mousavi , le conseiller principal du Corps des Gardiens de la révolution iraniens (CGRI) crédité de la coordination de l’alliance militaire entre la Syrie et l’Iran. Puis, un peu plus d'une semaine plus tard, le 3 janvier 2024, les États-Unis et Israël ont sans aucun doute coordonné leur allié mandataire au Moyen-Orient, ISIS, pour massacrer à nouveau de sang-froid 84 civils iraniens supplémentaires , simplement pour avoir honoré la perte de leur héroïque général populaire, assistant à la cérémonie de Soleimani. service commémoratif à l'occasion de son quatrième anniversaire de décès. Cet acte terroriste a été perpétré dans le but délibéré d’accroître les tensions au Moyen-Orient, en ciblant une fois de plus brutalement l’Iran comme victime.
RépondreSupprimerL’agression israélienne contre l’Iran n’a jamais été contrée par des meurtres en représailles à Téhéran, bien que cela soit plus que justifié. Le mois dernier, à l'occasion de la fête musulmane de l'Aïd al-Fitr, Israël s'est livré à des assassinats plus ciblés des trois fils et quatre de ses petits-enfants du leader politique du Hamas, Ismail Haniyeh. Haniyeh a expliqué qu'Israël a intentionnellement ciblé sa famille dans le camp de réfugiés de Shati et qu'ils ont rendu visite à des proches pendant les vacances. Les assassinats ciblés constituent un mode de vie protégé, apparemment réservé aux seuls « élus » de l’État juif. Aucun autre État-nation n’est à même d’accumuler des crimes aussi odieux et prémédités avec une telle fréquence, même si les États-Unis seraient sans aucun doute en deuxième position.
Il n’a pas fallu longtemps pour que les spéculations s’emballent, désignant Israël comme le suspect le plus probable. Selon la vidéo de DCM Global publiée lundi 20 mai, des sources anonymes au sein du gouvernement de Téhéran affirment que le pilote d'hélicoptère qui a transporté Raïssi et son équipe à l'événement avec le président azéri Ilham Aliyev en Azerbaïdjan, près de la frontière iranienne, n'était pas le même pilote que les a ramenés en Iran pour son « atterrissage brutal » accidentel. La vidéo allègue en outre que le deuxième pilote était un agent du Mossad. Au moment où les équipes de recherche et de sauvetage sont arrivées sur les lieux présumés de l'accident, l'hélicoptère avait été complètement brûlé.
Les nombreuses spéculations sur la mort subite du président iranien, du ministre des Affaires étrangères et d'autres hauts responsables iraniens sont également alimentées par des informations selon lesquelles un avion C-130 de l'US Air Force est arrivé de manière suspecte en Azerbaïdjan à peu près au moment du départ de l'hélicoptère de Raïssi. Les conjectures tournent autour d'une possible guerre électronique qui aurait pu être utilisée pour bloquer l'avion du président, provoquer un dysfonctionnement et finalement provoquer l'accident. L'Iran affirme avoir acheté l'hélicoptère Bell 212 au début des années 2000 . Les États-Unis connaîtraient extrêmement bien leur avionique, ce qui pourrait rendre l’hélicoptère de Raïssi en Azerbaïdjan non fonctionnel. Pendant de nombreuses décennies, ce modèle d'hélicoptère Bell 212 a maintenu un excellent dossier de sécurité, contrairement aux avions Boeing de ces dernières années. Il est donc très inhabituel qu'elle soit impliquée dans un accident, et encore moins qu'il s'agisse d'un président national issu d'une grande puissance régionale.
RépondreSupprimerLe moment de cet incident fatidique n'aurait pas pu survenir à un moment plus instable au cours de la montée croissante du conflit qui précède la Troisième Guerre mondiale. Alors que le guide suprême Khamenei, âgé de 85 ans, est sur le point de prendre sa retraite, le moment choisi ici semble encore une fois très suspect et troublant. Raïssi était considéré comme le principal candidat à la succession de Khamenei, tout comme il avait été président de 1981 à 1989 sous la direction de son prédécesseur vieillissant, le guide suprême Ruhollah Khomeini.
Alors qu'Israël joue un rôle de premier plan dans l'assassinat de nombreux dirigeants politiques, militaires et scientifiques iraniens, les assassinats ciblés systématiques d'Israël se poursuivent sans contrôle et sans conséquence depuis trois quarts de siècle. Si des preuves solides et concluantes confirmant qu’Israël a tué Raïssi apparaissent, ce dernier crime, le plus flagrant de tous, restera-t-il également impuni ? Si l’histoire continue de se répéter, elle se répétera. Mais nous vivons aujourd’hui une époque extraordinaire qui appelle des mesures extraordinaires et sans précédent. Et un changement radical est dans l’air. L’Iran, le monde musulman et même le monde entier sont au bord de la révolte contre l’ordre mondialiste du Vieux Monde devenu NOM. L’opposition croissante, au milieu d’une telle exposition publique de ces crimes contre l’humanité flagrants et non masqués, atteint un point de non-retour.
Il a souvent été rapporté que l’Iran et l’Azerbaïdjan entretenaient des relations tendues ces dernières années. Bien que l’Azerbaïdjan et l’Iran soient tous deux voisins musulmans chiites, cela n’a pas empêché les relations du dictateur azéri, riche en pétrole de la mer Caspienne, Ilham Aliyev, avec Israël de devenir de plus en plus cordiales et chaleureuses. Après tout, c’est l’État juif ashkénaze qui a fait toute la différence en fournissant à l’Azerbaïdjan les drones stratégiques qui lui ont permis pour la première fois de vaincre tactiquement les Arméniens sur le champ de bataille pour défendre leur dernière guerre du Haut-Karabakh qui a duré 45 jours fin 2020. Cette action a à son tour déclenché la « frappe éclair » de Bakou au Haut-Karabakh l'année dernière, éliminant pratiquement tous les 120 000 Arméniens restants déracinés de leur ancienne patrie légitime en tant que réfugiés de guerre fuyant pour se mettre en sécurité vers la République d'Arménie.
RépondreSupprimerCette relation symbiotique entre les « étranges camarades » Israël et l’Azerbaïdjan amène aujourd’hui Aliyev à soutenir publiquement la guerre d’Israël contre le Hamas.
Ainsi, le fait que le dirigeant iranien assiste à un événement politique en Azerbaïdjan avec un despote indigne de confiance et si proche du principal ennemi de l'Iran, le sioniste Israël, aurait pu être une erreur fatale. Et comme le ministre iranien des Affaires étrangères, Amir-Abdollahian, est probablement d'origine arménienne, cela rend automatiquement ce voyage malheureux d'autant plus suspect. Aliyev n’a pas caché son intention d’effacer les Arméniens de la surface de la terre, tout comme son compagnon de lit impie, la mafia Khazar, Benjamin Netanyahu, efface tous les Palestiniens de la surface de la terre. Ces deux dictateurs criminels de guerre, Bibi et Ilham, sont deux pois pourris issus de la même cosse pourrie.
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RépondreSupprimerJoachim Hagopian est diplômé de West Point, ancien officier de l'armée et auteur de « Don't Let the Bastards Getcha Down » qui expose un système de leadership militaire américain défectueux basé sur le fait de gravir les échelons de l'ancienneté, éliminant invariablement les meilleurs et les plus brillants, laissant la médiocrité. et les partisans de l’ordre s’élevant au sommet en tant que généraux politiciens-bureaucrates désignés pour perdre chaque guerre américaine moderne par le dessein de l’élite. Après son service militaire, Joachim a obtenu une maîtrise en psychologie clinique et a travaillé comme thérapeute agréé dans le domaine de la santé mentale auprès de jeunes et d'adolescents maltraités pendant plus d'un quart de siècle. À Los Angeles, il s'est retrouvé aux prises avec les plus grands services de protection de l'enfance du pays, au sein d'un système américain de protection de l'enfance complètement brisé et corrompu.
Son expérience dans le système militaire et de protection de l'enfance l'a bien préparé en tant que chercheur et journaliste indépendant, exposant les méfaits des grandes sociétés pharmaceutiques et comment le système médical et psychiatrique contrôlé par Rockefeller inflige plus de mal que de bien, par exemple le canular de la pandémie et tue. génocide par balle. En tant que journaliste indépendant au cours de la dernière décennie, Joachim a écrit des centaines d'articles pour de nombreux sites d'information, notamment Global Research , lewrockwell.com et actuellement https//jameshfetzer.org , Inteldrop.org et https://thegovernmentrag.com . En tant qu'auteur publié d'une série de cinq volumes intitulée Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy & the Deep State , les livres et chapitres de Joachim sont des best-sellers d'Amazon dans les catégories de défense des enfants et de droits de l'homme. Sa série de livres sources AZ documente et expose entièrement le fléau mondial de la pédophilie et reste disponible gratuitement sur https://pedoempire.org/content s/ . Joachim anime également l'émission hebdomadaire Revolution Radio « Cabal Empire Exposed » le vendredi matin à 7 heures du matin (ID : revradio, mot de passe : rocks !).
https://www.globalresearch.ca/lawless-world-war-political-assassinations/5857846
Parallèlement aux démissions extraordinaires de Klaus Schwab et de Mélinda Gates, l'assassinat de 'personnes importantes' porte à réfléchir au pourquoi et à l'avenir.
SupprimerActualités du WEF : Klaus Schwab démissionne. La résistance n’est pas vaine.
RépondreSupprimerKlaus Schwab quitte ses fonctions de président du WEF en 2025
Par le Dr Robert Malone
Recherche mondiale,
22 mai 2024
Le leader et fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab , quitte son rôle exécutif et passe à un rôle de « président non exécutif » en 2025.
La vérité est que Borge Brende , président du Forum économique mondial, dirige déjà les opérations quotidiennes. M. Brende, un négociateur norvégien intelligent et sophistiqué avec une expérience éprouvée, est prêt à assumer un rôle encore plus important au sein de l'organisation. Son implication dans les réunions du Bilderberg, notamment au sein de leur comité directeur et dans divers rôles au sein des Nations Unies, notamment celui de président de la Commission du développement durable de l'ONU (2003-04), témoigne de sa capacité à renforcer son pouvoir et son influence. Il est le successeur naturel du titre de président exécutif de Klaus.
Schwab est un excellent personnage de dessin animé méchant avec son attitude germanique, autoritaire et autoritaire. Il apparaît comme une figure bidimensionnelle, animée par le corporatisme et le pouvoir, ce qui en fait une cible facile à haïr. Mais la vérité est qu’il coopère et contraint les dirigeants nationaux depuis des décennies.
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Le Malone Institute a dressé une liste de tous les jeunes leaders diplômés du WEF et une liste de politiciens américains diplômés du programme de cinq ans pour jeunes leaders, que l'on peut trouver ici .
Sans Schwab à la barre, il sera plus difficile de tenir le WEF responsable de son programme corporatiste ; il s’agit d’une gouvernance d’entreprise des affaires mondiales motivée par sa mentalité mondialiste.
Je prédis que sous Brende, le WEF tentera d’acquérir plus de pouvoir et d’influence parmi les « puissances moyennes » (les petits États-nations), car la capacité d’une plus grande captation réglementaire au sein des superpuissances est déjà au maximum. Alors que les puissances moyennes aspirent à un rôle plus important sur la scène mondiale, elles constituent une cible facile pour les sociétés transnationales du WEF.
RépondreSupprimerLe site Internet du WEF courtise déjà ces acteurs comme étant la prochaine vague de dirigeants mondiaux. Le site Internet du WEF déclare : « Les puissances moyennes et les groupements régionaux émergent comme des axes alternatifs dans le monde multipolaire d'aujourd'hui . » En alignant ces puissances moyennes sur le WEF, les corporatistes augmenteront leur richesse et leur pouvoir.
Certains des articles récents du WEF sur les « puissances moyennes » incluent :
- voir doc sur site -
En outre, je crois qu’à l’avenir, le WEF s’efforcera de minimiser les soirées opulentes des hommes de DAVOS, en optant plutôt pour des lieux plus exclusifs et privés. Où la presse n'est pas invitée, comme c'est le cas lors des réunions du Bilderberg. La direction du WEF sait qu’elle a un problème de relations publiques avec les partis populistes (centre-droit, libertaire et conservateur) à travers le monde et Brende agira rapidement pour tenter de résoudre ce problème. Cela nécessitera une refonte des relations publiques du programme politique phare de Klaus Schwab, que le WEF appelle le capitalisme des parties prenantes . Bien entendu, ce n’est qu’un autre mot pour désigner le corporatisme. Il y a ainsi une fusion des dirigeants mondiaux non élus et des sociétés transnationales afin que les plus grandes sociétés du monde aient accès à suffisamment de pouvoir pour gouverner le monde. Pour notre bien, bien sûr !
Le Forum économique mondial est un outil permettant aux multinationales du monde des affaires de gouverner le monde à travers un totalitarisme inversé . En effet, notre nation, ainsi que de nombreux autres États-nations, ont été bouleversés alors qu’ils étaient capturés par les intérêts des entreprises qui soutiennent des politiques autoritaires – d’où le « totalitarisme inversé ».
Nous voilà aujourd'hui. À bien des égards, le chef caché de cette structure gouvernementale corporatiste non élue est désormais la direction du Forum économique mondial. C’est ici que se réunissent les chefs d’entreprise, les politiciens et autres élites fortunées pour décider des décisions qui gouvernent le monde. Un syndicat regroupant les mille plus grandes entreprises du monde.
RépondreSupprimerLa résistance a commencé, et c’est ce qui rend le WEF si effrayé et si défensif. C'est pourquoi le WEF fera peau neuve dès que le règne de Schwab aura pris fin. Le WEF tentera de redevenir un acteur puissant en coulisses. La main à l’intérieur du gant. Il est de notre devoir d'empêcher que cela se produise.
C'est pourquoi le gouvernement, les intérêts des entreprises et les médias « grand public » considèrent que les plateformes de médias sociaux alternatives qu'ils ne peuvent pas contrôler sont si menaçantes. Ils savent que les médias sociaux et les partis populistes qui leur sont associés constituent une menace pour la structure corporatiste mondialiste qu’ils ont construite au fil des décennies. Ils craignent qu’il ne s’effondre.
La résistance n’est pas vaine.
https://www.globalresearch.ca/wef-klaus-schwab-resigning/5857835
À quoi sert la migration massive, pourquoi continue-t-elle à se produire et pourquoi personne ne l’arrêtera-t-elle ?
RépondreSupprimerEUGYPPIUS
21 MAI 2024
Vous avez peut-être remarqué que la migration massive vers l’Occident constitue un énorme problème.
C’est très mauvais pour les Occidentaux autochtones, car cela promet de transformer nos sociétés complètement, de manière permanente et non pour le mieux. Curieusement, cette situation est également loin d’être formidable pour l’establishment politique de centre-gauche chargé de promouvoir l’immigration de masse, car elle a inspiré une vaste vague d’opposition populaire et a rempli d’un vent nouveau les voiles des partis de droite restreignant l’immigration. La migration massive est également néfaste pour les contribuables, pour la sécurité intérieure, pour l’État-providence, pour de nombreux autres aspects du programme libéral d’après-guerre et pour nos propres perspectives d’avenir. En bref, la migration massive est mauvaise pour presque tout le monde et pour tout.
Il y a une raison pour laquelle les nations ont des frontières, et c’est à peu près la même raison pour laquelle nous avons une peau et des membranes pour les cellules. Vous ne survivrez pas très longtemps si vous ne pouvez pas contrôler ce qui entre en vous.
Malgré le fait évident que la migration de masse est mauvaise, nos dirigeants s’accrochent au migrationnisme comme à une mort sinistre. Ayant le choix entre décourager les demandeurs d’asile et intimider, intimider et harceler les millions d’opposants à l’immigration parmi leurs propres citoyens, nos gouvernements choisissent généralement la dernière voie, même si c’est évidemment la pire des deux.
Il est également troublant de constater que les justifications officielles de la migration massive ont souvent une saveur effrayante et post-hoc. Cela ressemble beaucoup plus à des excuses inventées après l’ouverture des frontières, plutôt qu’à une quelconque raison pour laquelle une migration massive doit avoir lieu. Lorsque les migrationnistes ont vraiment commencé à devenir fous en 2015, par exemple, on nous a dit que la sécurité des frontières était tout simplement impossible dans le monde moderne et que les migrants infinis étaient une force de la nature à laquelle il faudrait faire face. Cela ne semblait pas correct, même à l’époque, et depuis la fermeture des frontières en raison de la pandémie, nous n’entendons plus beaucoup parler de l’inévitabilité, même si – et c’est très bizarre à écrire – il existe des preuves que de hautes personnalités politiques comme Angela Merkel y croyaient. à l'époque. Cela vaut la peine de réfléchir aux raisons pour lesquelles cela a pu être le cas.
A l'heure où plus de machines remplacent les êtres humains il est surprenant que des personnes étrangères soient payées pour envahir les USA et l'Europe de l'Ouest !
RépondreSupprimerNotez qu'à l'heure (depuis toujours !!) de la planche-à-billets bientôt détrônée par l''argent' électrique, les sommes allouées à la bien-aisance des immigrés passe au dernier des derniers rangs de l'imagination et que si vous voulez 100000000000000000000000000000000000 de dollars, photocopiez cette ligne et vous l'avez !!
Donc, petite remarque intéressante: Plus de 90 % de la population mondiale habite dans l'hémisphère Nord. Ajoutez-y x millions de personnes sans-papier et le compte y est presque.
Alors, réfléchissez. Guerre nucléaire ? Que nenni ! les particules radioactives serraient tentées de gagner l'hémisphère Sud grâce aux Jet-Streams et Golf-Streams !
Application 5G et 6G ? Cela ne ferait tomber que les inoculés porteurs de nano-particules d'oxyde de graphène (et chemtraillés ?)
Débarquement cinématique d'extraterrestres en 3D holographique ? Fort probable pour vendre de nouvelles lessives !
Pendant cette période de chaos, nous vivons peut-être tous sans état de droit, et l'ampleur de cette situation peut dépendre de l'endroit où vous vivez - 5 choses que vous devez faire quand il n'y aura pas d'état de droit
RépondreSupprimerparClark Barnes
20 mai 2024
Mentionnez une dystopie à la plupart des gens et ils penseront probablement à 1984, à la Police de la Pensée et à Big Brother. C’est compréhensible, car il y a des indices inquiétants dans notre propre société : des idées telles que l’absence de plateforme, les espaces sûrs et le genre erroné sont-elles vraiment si différentes de la mauvaise pensée et du crime de pensée ? – mais il existe un autre type de dystopie, beaucoup plus courant. Malheureusement, c'est tout aussi effrayant. (Regardez aussi cette vidéo : le COVID-19 revient en 2024 !)
Le mot dystopie lui-même désigne simplement une société désagréable ou effrayante. Cela peut signifier un État autoritaire brutal et hautement centralisé comme celui dirigé par le parti de Big Brother (Orwell l'a modelé sur l'Union soviétique sous Staline) – mais cela peut aussi signifier une société dans laquelle l'État de droit s'est effondré (WROL – sans le état de droit), et c'est beaucoup plus courant dans le monde aujourd'hui. Pour chaque Corée du Nord, il y a une demi-douzaine de sociétés effondrées comme la Somalie ou le Pakistan. Et s’il est difficile d’imposer un État à parti unique et d’organiser les choses au point d’avoir un contrôle absolu sur ce que les gens font et même pensent, il est facile pour une société de s’effondrer. Une catastrophe naturelle peut le faire – pensez à la Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina.
Bien sûr, cela n’a pas duré ; La Nouvelle-Orléans est une ville située dans un grand pays avancé et l’État de droit a été rapidement rétabli. Mais que se passerait-il si le gouvernement était plus faible ou si la société était moins stable au départ ? Et si ce n’était pas un seul événement qui provoquait l’effondrement, mais des années de négligence ? De nombreux pays sont à deux doigts de l’effondrement à une élection contestée ou à une crise économique – et il y a même des régions des États-Unis où l’État de droit est trop fragile pour être tenu pour acquis.
Je recommande vivement ce livre ! Voici juste un petit aperçu de ce que vous trouverez dans The Lost SuperFoods :
Le miracle alimentaire oublié de l'armée américaine et 126 superaliments que vous pouvez conserver sans réfrigération pendant des années
La vidéo ci-dessous va vous choquer car vous serez parmi les premiers à découvrir ce secret !
- voir clip sur site -
Tout d’abord : la rupture sociale
RépondreSupprimerS’il y a une chose qui peut à coup sûr réduire une société au chaos, plus ou moins instantanément, c’est bien l’absence soudaine de flics. Peu importe le type de société dans laquelle il s’agissait au départ. Par exemple, le Canada est réputé pour être pacifique et amical. Que s'est-il passé lorsque les flics sont sortis ? Rien de bon:
dystopie canadienne
[blockquote style=”1″]« En tant que jeune adolescent dans le Canada fièrement paisible au cours des années romantiques des années 1960, j’étais un fervent partisan de l’anarchisme de Bakounine. J’ai ri de l’argument de mes parents selon lequel si le gouvernement déposait les armes, l’enfer se déchaînerait. Nos prédictions concurrentes ont été mises à l’épreuve à 8h00. le 17 octobre 1969, lorsque la police de Montréal se met en grève. Vers 11h20 la première banque a été braquée. À midi, la plupart des magasins du centre-ville étaient fermés à cause des pillages. Quelques heures plus tard, des chauffeurs de taxi ont incendié le garage d'un service de limousines qui leur faisait concurrence pour la clientèle de l'aéroport, un tireur d'élite sur le toit a tué un policier provincial, des émeutiers ont fait irruption dans plusieurs hôtels et restaurants et un médecin a tué un cambrioleur dans sa banlieue. maison. À la fin de la journée, six banques avaient été braquées, une centaine de magasins avaient été pillés, douze incendies avaient été allumés, quarante chargements de vitres de magasins avaient été brisés et trois millions de dollars de dégâts matériels avaient été infligés, avant que les autorités de la ville n'aient faire appel à l’armée et, bien sûr, à la gendarmerie pour rétablir l’ordre. »[/blockquote]
Malheureusement, les grèves de la police sont plus probables que jamais, notamment aux États-Unis. Les flics sont soumis à beaucoup de pression et les médias sont actuellement contre eux. Que se passe-t-il si un policier est impliqué dans une fusillade et que, sous la pression des médias et de militants d’extrême gauche comme BLM, le policier est arrêté ? Est-ce si difficile de croire que la police puisse s'en aller et s'en aller ? Et dès que les criminels se rendraient compte que les flics sont rentrés chez eux, l’enfer se déchaînerait.
Regardez également cette vidéo – Final Collapse Review – Elon Musk TERRIFIE les dirigeants de l’Église (preuve à l’intérieur)
#4 Portez une arme à feu à tout moment
RépondreSupprimerLorsque l’État de droit aura disparu, portez une arme à feu partout, même si vous allez simplement aux toilettes. Si une foule enfonce la porte d’entrée, vous n’avez pas le temps d’aller récupérer l’arme de poing que vous avez laissée dans la cuisine, elle doit donc rester à votre ceinture. Si vous devez sortir, portez-le à tout moment – mais pas ouvertement. Cela vous désignera simplement comme une cible. Ayez une arme de poing dissimulée sur vous et une arme d'épaule cachée mais facilement accessible dans votre voiture – sous une veste sur le sol, cela fonctionne.
Regardez également cette vidéo – Cela pourrait déclencher la Troisième Guerre mondiale, camarade Patriot
#5 Respecter les règles
Même si l’état de droit s’est effondré, essayez de respecter les règles autant que possible. Cela pourrait vous rendre la vie beaucoup plus facile lorsque l’ordre sera rétabli. Si votre maison a été attaquée et que vous avez utilisé une force meurtrière pour la défendre, cela ne devrait pas vous causer beaucoup de problèmes – mais former un groupe et traquer les méchants pourrait être un peu plus difficile à expliquer.
Être prêt !
Comme la plupart des catastrophes, il est plus facile de survivre aux troubles civils si l’on y est prêt. Pour la plupart des préparateurs, cela ne devrait pas constituer un défi de taille. Soyez simplement prêt à vous rabattre sur vos propres ressources, gardez la tête baissée et attendez.
Alerte d'urgence FEMA ! Des situations terribles cachées révélées - Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir les détails les plus choquants !!!
Avec 1,03 million d’invasions de domicile chaque année rien qu’aux États-Unis, il n’y a aucune raison pour que vous ne disposiez pas d’un plan d’action prêt à être utilisé au cas où vous deviendriez l’une de ces malheureuses victimes.
Alors faites attention car cette vidéo va changer votre vie pour toujours pour le bien !
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https://earlking56.family.blog/2024/05/20/during-this-time-of-chaos-all-of-us-may-be-living-without-rule-of-law-the-extent-of-which-may-depend-on-where-you-live-5-things-you-need-to-do-when-therell-be-no-rule-of-law/
L’Allemagne et « l’Occident » : c’est de la brutalité
RépondreSupprimer21 mai 2024
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
"Le monde est confronté au plus grand bouleversement depuis 1944", explique Folker Hellmeyer, économiste en chef de Netfonds, au Schwäbische Zeitung . Un homme d’affaires de premier plan (sic) « parle de l’intérieur » et « dit ce qui se passe ». Alors que les dissidents parmi les universitaires et journalistes allemands les plus courageux applaudissent ces « idées », même l’examen le plus superficiel de ce qui a été dit révèle un niveau étonnant d’ignorance et, oui, d’absurdité.
Vous pouvez retrouver l'intégralité de l'interview de Folker Hellmeyer dans la Schwäbische Zeitung ici ; Je vous recommande de lire l’intégralité du texte, car seuls des extraits sont cités ci-dessous. C’est moi qui souligne.
L’Allemagne sous Merkel et « le feu tricolore »
En 2014, l'Allemagne était la pièce maîtresse de l'Europe en termes de développement économique et de positionnement structurel. Dix ans plus tard, nous sommes un cheval épuisé … Avec les impôts les plus élevés du monde, nous avons un régime fiscal qui entrave la performance, mais sinon nous ne sommes que des leaders en matière de bureaucratie. Nous avons négligé tout le reste... En raison de l'échec de la politique de la CDU sous la chancelière Angela Merkel et de l'actuelle coalition des feux tricolores, nous sommes désormais devenus un fardeau pour l'UE et l'économie mondiale...
Si nous restons sur la voie que nous avons choisie, alors tout est à gagner : l’État-providence, la transformation verte, la prospérité… et finalement aussi la démocratie… Nous enregistrons actuellement les sorties nettes de capitaux les plus élevées de l’histoire, et bien plus encore. et de plus en plus d'entreprises quittent BASF pour la Chine ou Miele et Bosch pour la Pologne.
Rien de tout cela ne semble particulièrement bon, mais les lignes directrices de Berlin restent les mêmes : nous pouvons le faire.
L’ignorance pratiquée à Berlin est l’expression de chambres d’écho dont les esprits critiques sont très délibérément tenus à l’écart. Les idées rouge-vert sont véhiculées dans les institutions depuis des décennies, entraînant un changement dans les axes de perception du public. Aujourd’hui, les positions conservatrices et libérales sont parfois présentées comme étant d’extrême droite . La suppression des autres opinions et le manque de pluralisme sont le mal fondamental, car ils font que la politique est idéologisée, l'égocentrisme et l'arrogance surgissent, et tout pragmatisme est perdu . Et puis les mauvaises décisions sont automatiquement prises.
RépondreSupprimerM. Hellmeyer cite comme exemple la loi sur le chauffage, qu'il décrit ainsi :
Il en coûtera aux citoyens 1 500 milliards d’euros, soit environ 60 % de la dette nationale de l’Allemagne, rien que pour réduire les émissions de gaz carbonique de la Chine en un seul jour d’ici 2030 . C'est une folie totale. De nouvelles forêts pourraient être créées dans le monde entier pour 100 milliards d'euros. Cela aurait un impact beaucoup plus durable sur le climat, sans affecter la prospérité des citoyens.
C'est bien sûr de la folie - mais pas pour la raison évoquée, et cela se voit dans le fait que la Terre est devenue « plus verte » depuis un certain temps (en raison de l'augmentation du gaz carbonique), comme le montre de manière impressionnante la NASA :
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Le « plus grand bouleversement depuis 1944 »
Le monde est confronté au plus grand bouleversement depuis 1944, et ce bouleversement frappe particulièrement durement l’Allemagne. En 1944, les accords de Bretton Woods ont jeté les bases du cadre géopolitique de l’après-Seconde Guerre mondiale . Mais cette base, et surtout l'ancrage du dollar américain comme monnaie de réserve mondiale, est aujourd'hui plus que jamais menacée. L’Occident était puissant à l’époque, représentant 80 % de la production économique mondiale sur la base de la parité de pouvoir d’achat. Depuis, cette proportion est tombée à 30 %. En d’autres termes : les pays du Sud sont désormais responsables de plus de 70 % de la production économique mondiale. Dans le même temps, les pays du Sud connaissent une croissance deux fois plus rapide que les pays industrialisés. Que nous le voulions ou non, un changement dans l'axe du pouvoir est en train de se produire, un bouleversement massif qui s'exprime à plusieurs reprises dans des guerres par procuration - comme en Libye, en Syrie, à Gaza ou en Ukraine . Si les États-Unis et l’Europe ne renoncent pas à leur arrogance, le Sud global développera son propre organigramme, distinct de l’Occident.
Cela peut être vrai ou non, mais le fait est qu’un important fournisseur de services financiers dit maintenant à haute voix la partie discrète : que « l’ordre fondé sur des règles » est en réalité une question de pouvoir et de contrôle. Soyez surpris (ou pas) ; Il faudrait aussi penser un instant aux manifestants « occidentaux » contre les atrocités à Gaza : quel rôle jouent-ils ?
RépondreSupprimerLe prochain épisode concerne les « BRICS+ », où M. Hellmeyer s'embarrasse à nouveau : « Il ne s'agira pas d'une coopération militaire ou politique, mais d'une association lâche destinée à former une alternative au modèle occidental : libre-échange sans leçons de morale, sans atteinte à la souveraineté nationale des États membres. » Toute hypothèse selon laquelle les grandes puissances telles que la Chine n’élaboreraient pas de « traités inégaux » au détriment des petits États peut être reléguée en toute sécurité au domaine de la propagande. Dans le meilleur des cas.
« Une politique à la manière des propriétaires fonciers »
L’Occident décide et les autres doivent s’y conformer. Des règles sont précisées que les pays occidentaux eux-mêmes ne respectent pas. Il s'agit par exemple des guerres d'agression des États-Unis, qui violent le droit international, ou du mépris des intérêts de sécurité russes , qui a déclenché la guerre en Ukraine, ou du blocus des postes de juges à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). par les États-Unis, qui dure depuis des années et qui porte atteinte à l'ordre économique mondial fondé sur le droit. Depuis lors, les États-Unis mènent une politique de sanctions sans aucune base légale .
Notons brièvement que ni les « intérêts de sécurité » ni le « droit d’exister » d’un État n’ont de fondement en droit international ; M. Hellmayer dit effectivement quelques choses utiles, mais soit il induit intentionnellement l'intervieweur en erreur, soit celui-ci ne comprend tout simplement pas ce qu'il dit.
L'Allemagne et l'Europe disposent toujours d'une énorme puissance économique . La dette nationale est acceptable, les données commerciales sont bonnes. Regardez les soi-disant champions cachés, les petites entreprises, souvent peu connues, qui sont des leaders mondiaux dans leur secteur. Il y en a environ 3 400 dans le monde, dont 1 600 viennent d’Allemagne . Cette structure est unique au monde et crée d’énormes avantages concurrentiels en termes d’efficacité de production. Mais cela nécessite des prix énergétiques compétitifs et une sécurité d'approvisionnement durable .
C’est peut-être tout, mais des « prix énergétiques compétitifs » et une « sécurité d’approvisionnement durable » ne seront pas possibles sans un accord avec la Russie. On peut aimer ou non, mais bannir la réalité du discours ne fait que conduire, pour paraphraser Robert Habeck, à se retrouver entouré de réalité. Les plus gros problèmes liés aux déclarations de M. Hellmeyer résident ailleurs.
RépondreSupprimerLa fin de « l’Europe » telle qu’elle existe actuellement est proche
C’est ce qui est aujourd’hui considéré en Allemagne comme une « grande connaissance privilégiée ». Pleurez avec moi devant la fière démonstration de l'ignorance.
Bien que M. Hellmeyer dise quelques choses évidentes, il semble ignorer complètement quelques faits fondamentaux, notamment (mais sans s'y limiter) les suivants :
Le régime de Bretton Woods a duré jusqu’à l’été 1972, lorsque les États-Unis ont déclaré de facto la faillite nationale et sont passés d’un dollar convertible en or à un système de monnaie fiduciaire. Il s’agit soit d’une négligence grave de la part de « l’économiste en chef » du groupe de services financiers Netfonds (sic), soit d’une incroyable bêtise. Par souci d’exhaustivité, il convient d’ajouter que l’intervieweur ne l’a apparemment pas remarqué non plus.
Le système de monnaie fiduciaire est celui qui fonctionne depuis (maintenant) 52 ans, et je pense qu’il est très peu probable qu’il dure encore longtemps sous sa forme actuelle. Et pourquoi? En raison de l’augmentation rapide, soudaine et massive de la masse monétaire (par exemple + 40% aux USA ) partout en « Occident » depuis que l’OMS a déclaré ce qu’on appelle la « Pandémie™ ».
Soit dit en passant, cela signifie aussi autre chose qui, à mon avis, est encore plus problématique : tous les économistes, hommes politiques et « journalistes » – ainsi que pratiquement tous ceux de moins de 52 ans – ont grandi dans ce paradigme post-gold standard. Pour eux (nous), cette création apparemment sans fin de « monnaie » à partir de rien (fiat) est « normale ».
Mais le pire dans l'interview ci-dessus est le suivant : il existe peut-être encore environ 1 600 entreprises très innovantes en Allemagne, mais elles sont - comme tout le monde - sur le point d'être expropriées, tant en termes de propriété intellectuelle qu'en les conglomérats « internationaux » basés aux États-Unis ou à Londres utilisent des « dollars » (fiat) pour les acquérir. Il en va de même pour les biens physiques de chacun. Tout ce qui peut être déplacé est un dollar américain (virtuel).
En passant, les « dissidents » sur les réseaux sociaux allemands saluent les commentaires de M. Hellmeyer comme étant « profonds » et « importants ». Ils le sont, mais pas dans le sens du contenu, comme je le montre ici.
RépondreSupprimerNotons au passage que ni la capitulation de la Wehrmacht en mai 1945, ni la fondation de la République fédérale d'Allemagne, ni la création des institutions « européennes » à partir de 1957 ne sont apparemment importantes.
Pour conclure ce commentaire, il suffit de regarder la postface du chef-d'œuvre de Milton Mayer Ils pensaient qu'ils étaient libres : les Allemands, 1933-45 . Publié à l'origine dans les années 1950, je cite ici les pages 339 à 40 de la nouvelle édition (Chicago UP, 2017 ; ma traduction et je souligne) :
Le mouvement de l'Union européenne est répandu en Allemagne comme ailleurs parmi les intellectuels non gouvernementaux et surtout parmi les jeunes, et là seulement . Dans un échantillon aléatoire de l'Université de Munich, 88 pour cent des étudiants étaient favorables à « l'unification de l'Europe » plutôt qu'à la « souveraineté allemande ». Mais « l’unification de l’Europe » signifie quelque chose de différent pour chacun : la paix pour les uns, la guerre pour les autres . Et c'est un idéal bien plus nébuleux et limité que la démocratie . Dans le contexte de la lutte mondiale, l'Union européenne signifie, premièrement, une union militaire de l'Europe non communiste, deuxièmement, une union économique (actuellement soutenue à la fois par les jeunes idéalistes et les vieux cartels) et enfin, s'il y a lieu, une union politique. syndicat . Et toute union qui diviserait l’Allemagne n’aurait lieu que sur le papier, voire pas du tout.
Il est possible que le soulagement des Allemands intéresse les Russes , qui après tout ont inventé la roulette russe. Dans l’état actuel des Allemands, les Russes en ont peur, et pour cause. « Il est désormais clair », déclarait le Times de Londres en 1954, « que ni la Russie ni l’Occident ne peuvent accepter l’unification allemande dans des conditions compatibles avec leurs intérêts nationaux . Le pilier de la défense occidentale – la coopération ouest-allemande – reste le noyau dur des craintes russes. Et la principale crainte de l’Occident – les armées russes au cœur de l’Europe – est, aux yeux de la Russie, la condition sine qua non de la sécurité soviétique. Dans la situation mondiale actuelle, ces deux craintes ne peuvent être considérées comme de la simple propagande.
« Nous » n’avons en effet rien appris, et l’entretien ci-dessus n’est qu’un exemple de ce genre d’ignorance. La « réunification » allemande en 1990 s’est produite à un moment de faiblesse russe et conformément aux intérêts « occidentaux ». Cela n’avait que peu ou rien à voir avec les souhaits, les espoirs et les rêves du peuple allemand.
RépondreSupprimerLe spectre des accords germano-russes – un nouveau « Traité Rapallo » (1922), si l’on veut – continue de hanter les cercles transatlantiques. Je ne prétends pas que cette peur et cette aversion anglo-américaines envers « l’Europe », dirigée par « l’axe » Berlin-Moscou (ou Moscou-Berlin), explique tout ce que nous avons observé depuis mai 1945 ; Cependant, je dirais qu’il s’agit de l’un des cauchemars géostratégiques, sinon du véritable, de la City de Londres et de Wall Street. D’autres preuves, outre l’hypothèse de « l’île mondiale », sont fournies par le discours du PDG de Stratfor, George Friedman, en 2015 :
- voir clip sur site -
Pourquoi ?
Eh bien, la Russie et l’Allemagne ont bien plus de points communs entre elles qu’avec la Chine ou « l’Occident » anglo-américain. L’Allemagne a probablement aussi davantage de points communs avec la France.
Si l’interview ci-dessus est « impressionnante », le soleil se couchera certainement prochainement sur l’Europe (continentale).
https://tkp.at/2024/05/21/deutschland-und-der-westen-das-ist-brutalitaet/
Remarquez bien qu'à chaque fois qu'un dictateur prend la parole il n'y a AUCUN droit de réponse de par le public (trié sur 'le volet') !!
SupprimerQuand Israël rate-t-il une occasion de justifier un génocide ? C'est leur sport national.
RépondreSupprimerL'histoire de Biden aurait facilement pu être tirée du même manuel que l'histoire inventée par Bush à propos des Irakiens qui enlevaient les bébés des couveuses, mais je ne pense même pas qu'il s'agissait d'un mensonge stratégique. Je soupçonne Biden et son équipe de s'asseoir autour d'une table et de discuter des lignes de propagande possibles, mais Biden est tellement sénile qu'il oublie les faits, mais pas ce que lui-même est prêt à dire. Je suppose que ses managers ont collectivement fait la grimace lorsque cette phrase est sortie de sa bouche.
Je peux toujours me tromper, bien sûr. Je ne sais pas du tout si Biden s'est écarté du script ou s'il a lu cette phrase à partir d'un téléprompteur, et honnêtement, je ne sais pas ce qui serait le pire. Peut-être vaut-il mieux avoir un vieil homme confus et dément qu'un homme qui profère de tels mensonges extraits d'un méchant scénario.
Des commentateurs sur internet se sont moqués de la situation, en publiant de fausses vantardises de Biden sur sa présence lors de l'alunissage et autres, et j'ai vraiment l'impression que si vous disiez à Biden qu'il était à bord d'Apollo 11, il vous croirait.
Biden essaie de suivre ce que ses conseillers lui disent, mais son cerveau est trop endommagé pour assimiler la propagande. Il descend d'Air Force One avec l'air aussi hébété et confus que quelqu'un qui vient de s'échapper d'une maison de retraite. Et ses gestionnaires pensent que ce serait une bonne idée de laisser cet homme participer à des débats télévisés en juin ?
Comble de l'ironie, M. Trump a exigé que M. Biden subisse un test de dépistage de drogues avant les débats, l'accusant de "planer plus haut qu'un cerf-volant". La Maison-Blanche refuse de révéler quels médicaments Biden prend actuellement pour donner l'illusion que ses facultés mentales sont encore à peu près intactes.
Plus sérieusement, ce serait une idée fantastique de soumettre tous les hommes politiques à des tests de dépistage de drogues. Certains États américains exigent que les gens soient soumis à un test de dépistage de drogues pour bénéficier de l'aide sociale, alors pourquoi ne pas soumettre ces salopards à un tel test ? Ce serait un excellent moyen de nettoyer le Congrès en se débarrassant de tous ces hypocrites. Au lieu de se disputer sur le moindre des deux fléaux, nous pourrions tous les emprisonner avec les lois qu'ils n'avaient l'intention d'utiliser que contre les Noirs. Ça, ça serait de la vraie Sécurité nationale.
RépondreSupprimerLes politiques étrangères de Biden ont mis tout le monde en danger, s'aliénant à la fois la gauche et la droite et tous ceux qui préfèrent ne pas être atomisés par les rayons gamma. Seuls les centristes purs et durs le soutiennent encore, mais honnêtement, je ne vois pas pourquoi, et eux non plus. 77 % des Américains pensent que M. Biden est trop vieux pour gouverner, dont 69 % de démocrates, mais ses défenseurs prétendent que c'est faire preuve de discrimination anti-âge que de s'opposer à ce qu'un patient atteint de démence ait le contrôle du bouton nucléaire.
À Morehouse, M. Biden a tenté de reconquérir les jeunes électeurs et a donc assoupli sa position sur un ou deux points au cours de son discours. Personne ne peut dire quelle était la part de stratégie et quelle était la part de confusion. Personne ne sait exactement quelle est la position de Biden, pas même Biden lui-même, mais on lui a décerné un doctorat honorifique pour une raison ou une autre. Comme il ne semblait pas être le plus brillant des cerveaux avant sa démence, je ne peux que supposer que c'était pour qu'il se sente mieux dans sa peau, ce qui n'est pas si mal.
Biden a applaudi lorsque Deangelo Fletcher a appelé à un cessez-le-feu immédiat, semblant oublier que son administration a opposé à plusieurs reprises son veto à tout cessez-le-feu, qu'il a autorisé sans raison, il y a quelques jours, la livraison de 700 millions de dollars de munitions pour des chars d'assaut et qu'il envoie des armes à Israël toutes les 36 heures. M. Biden a également accepté par erreur d'envoyer à Israël de nombreuses autres cargaisons d'armes au cours des prochains mois. Au moins, il a appelé au cessez-le-feu, ce qui prouve qu'il veut la paix.
M. Biden affirme qu'il travaille à une solution pour le Moyen-Orient, mais une solution qui n'implique pas l'arrêt des livraisons d'armes à Israël. Une solution où Israël bombarde Gaza et où les Palestiniens ne ripostent pas. Une solution où les Palestiniens se laissent tuer pacifiquement.
RépondreSupprimerDans un revirement inattendu, Joe Biden déclare désormais soutenir les "manifestations pacifiques et non violentes", alors que ses policiers répriment les manifestations pacifiques par la violence. M. Biden a déjà qualifié les manifestants de terroristes, si bien que ses propos semblent aussi authentiques que Melania envoyant une carte de la Saint-Valentin à son mari bien aimé.
Les soutiens de Joe Biden célèbrent le fait que le discours s'est déroulé sans perturbation, mais un manifestant a brandi un drapeau palestinien et d'autres lui ont tourné le dos. Des étudiants ont quitté les lieux, dégoûtés, mais les personnes assises dans le carré VIP ont scandé "encore quatre ans !". Les gens dotés d'une conscience sont peut-être en colère contre le président, mais au moins les VIP sont heureux, c'est déjà ça.
M. Biden a qualifié avec délicatesse le génocide de Gaza de "crise humanitaire", ce qui est à peu près aussi exact que de qualifier l'holocauste de "malheureux incident". J'ai beau critiquer Biden, il y a eu des moments où il a presque dit ce qu'il fallait, et c'est un demi-pas dans la bonne direction. Il reconnaît que la situation des Palestiniens est intenable, ce qui n'était pas le cas auparavant.
"Que se passe-t-il à Gaza, quels sont les droits du peuple palestinien ?" a demandé M. Biden.
Que l'homme qui ne faisait preuve d'aucun compromis adoucisse ses propos indique que les électeurs désabusés lui forcent la main. Ce qui prouve que ceux qui ont décidé que le génocide ne constitue pas un point de non-retour n'auraient pas dû soutenir inconditionnellement le plus sénile des deux fléaux. La pire chose que vous puissiez faire en tant qu'électeur est de ne pas utiliser votre influence pour exiger mieux. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous nous trouvons dans un tel pétrin.
Article original en anglais : Joe Biden reaches scary levels of dementia, Council Estate Media, le 20 mai 2024.
Traduction : Spirit of Free Speech
https://fr.sott.net/article/43602-Joe-Biden-atteint-un-niveau-alarmant-de-demence
Sommes-nous dans une dérive totalitaire ?
RépondreSupprimerGuillaume Basquin
Contre Littéraure
mar., 21 mai 2024 07:33 UTC
Telle est la question posée par l'éditeur du livre (Guy Trédaniel) sur le bandeau rouge de couverture du nouvel essai d'Ariane Bilheran, Psychopathologie du totalitarisme. Au fond, pour qui a vécu la crise « Covid-19 » dans sa chair et son esprit, la réponse cingle à chaque page : nous avons coché toutes les cases du processus politique pervers que décrivait la grande philosophe allemande, naturalisée américaine, Hannah Arendt dans son maître-ouvrage Les origines du totalitarisme.
Ariane Bilheran est normalienne, philosophe, psychologue, clinicienne et docteur en psychopathologie. Elle a déjà écrit deux livres sur la crise de civilisation que fut le traitement politique du Covid-19 (2021 : Chroniques du totalitarisme et Le débat interdit (coécrit avec Vincent Pavan, mathématicien) ; mais ici, dans ce nouvel opus, elle élargit sa pensée à tout le spectre de la vie en commun, c'est-à-dire au politique même, selon l'étymologie grecque (pólis signifiant « cité », et politikos « l'organisation de la cité »).
Pourquoi cela ? Eh bien, nous sommes maintenant nombreux à l'avoir remarqué, il appert qu'il y a un mouvement « international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, planétaire dans ses aspirations politiques » (mots entièrement empruntés à Hannah Arendt) qui a comme « ambition la domination totale » de l'humanité ; et ce mouvement s'appelle le WEF (Forum économique mondial, se réunissant à Davos chaque hiver, depuis maintenant plus de 50 ans), lieu de lobbying forcené dans à peu près tous les domaines de la gouvernance occidentale et s'appuyant sur les désormais fameux cabinets de conseil (le plus célèbre d'entre eux étant McKinsey).
Le « totalitarisme partage avec le despotisme le monopole du pouvoir et son caractère arbitraire fondé sur la peur » ; toutefois il s'en distingue en visant, d'une part la « transformation totale de la société en une masse homogène et dépourvue d'initiative » (on se rappellera le fameux (fumeux) « On peut discuter de tout, sauf des chiffres » de Véran, ministre de la Santé), et d'autre part « l'extermination des groupes humains qui sont jugés entraver la réalisation de ce but » (appelés ces dernières années de noms d'oiseaux tels « complotistes », voire « antivax » ou encore « climato-sceptiques » ...).
RépondreSupprimerEn système totalitaire, « tout doit être subordonné à l'idéologie : la loi est transgressée de façon permanente pour servir les besoins de la cause idéologique ».
On l'a vu durant la crise Covid où absolument plus aucun discours dissident et pourtant raisonnable n'était toléré... Il fallait éradiquer un virus (avec le succès qu'on a vu...), « quoiqu'il en coutât » (600 milliards...).
Mais il y a plus : ce qui distingue le système totalitaire de la tyrannie, c'est l'emprise totale qu'il prétend avoir sur les corps et les esprits ; sa singularité est « le règne sans partage sur les corps et la vie intime des sujets, le refus catégorique de toute forme d'opposition » et le « règne par la terreur ».
Qu'on se rappelle seulement toutes les phrases assassines et autres vidéo-clips entendus et vus durant ce que l'on doit bien nommer la « Terreur sanitaire » : toutes cochèrent absolument toutes les cases de cette définition du totalitarisme empruntée à Hannah Arendt ; toutes eurent pour effet pratique de « changer radicalement tous les rapports sociaux ("distanciation 'sociale"), amicaux (plus d'embrassades, de poignées de main... ne parlons même pas du masque...) et même familiaux (pas de réunions à plus de six personnes — ce qu'aucun régime totalitaire du XXe siècle, pourtant pas banal en la matière, n'avait réussi à obtenir) ». C'est-à-dire que l'ensemble même de tout le corps social était devenu méconnaissable pour n'importe qui avait gardé un peu de distance critique ; nous avons vécu une époque radicalement (radical=racine) totalitaire, que cela plaise ou non.
Le déferlement totalitaire et ses phases
RépondreSupprimerLe totalitarisme est un système fonctionnant « comme un poison, qui se répand dans la population entière » : c'est un virus très contagieux, celui de la peur ; « méfiance et haine de l'autre » (le non-confiné, soignants et autres travailleurs considérés alors comme « essentiels », le non-masqué, puis le non-vacciné), « s'y propagent, avec des défenses narcissiques pour s'en protéger, notamment la conviction d'être "le bon citoyen" [qu'on se souvienne des selfies pris chez soi masqué par de nombreux internautes, sans parler des photos d'épaules dénudées parce que fraîchement injectées], "celui qui est pur", apte à sanctionner les "mauvais citoyens"[ceux qui ne respectaient pas le confinement, ou portaient mal le masque], les "impurs" [non-vax] ».
Pour fonctionner, le totalitarisme doit imprégner l'entièreté du corps social, et obtenir la coopération active de tous, par la surveillance active de tous par tous.
Voici comment Ariane Bilheran, en s'appuyant sur la pensée des plus pointus commentateurs des totalitarismes passés (ceux du vieux XXe siècle), à savoir les Hannah Arendt, Günther Anders, Viktor Klemperer et Arthur Koestler, caractérise les différentes phases (comme autant de vagues virales) de son déferlement :
1/ la Terreur (avec un T majuscule) qui « fige dans un temps présent sans passé ni futur », et désagrège le « continuum d'expérience » de la communauté en isolant les individus les uns des autres (avec le fameux confinement) ;
2/ la persécution et la mise au pas : « Tactiquement, le pouvoir totalitaire ne persécute pas tout le monde à la fois : il faut persécuter telle ou telle catégorie de population, de façon discrète, sauf lorsqu'il s'agit d'utiliser cette persécution comme une intimidation (faire un exemple) » ; ainsi en a-t-il été du traitement politique des « non-vaccinés » en France, qui furent qualifiés du sommet de l'État de sous-citoyens devant avoir moins de droits (sic) que les autres ;
3/ le contrôle total, en particulier par le virage total du système de l'information par le Pouvoir (que quiconque en doute aille se renseigner sur les « Twitter Files », où l'on apprend que c'est la CIA directement qui commanda secrètement la censure des informations « médicales » et scientifiques « non conformes à la doxa » sur l'ex-réseau Twitter), et la dé-crédibilisation des dissidents (opportunément qualifiés de « complotistes » pour clore tout débat).
RépondreSupprimerPour chacune de ces phases, l'important pour le Pouvoir est de désigner des boucs-émissaires, qu'on désigne comme « mauvais citoyens » à l'origine du mal de/dans la cité. C'est là qu'Ariane Bilheran - et ça fait mal - nous rappelle qu'à l'origine du confinement du ghetto de Varsovie, en 1940, comme « zone de contagion », fut justement une... épidémie de typhus, les juifs étant alors qualifiés d'être « impurs » et dangereux pour la communauté de l'époque. Inutile d'insister sur les lois d'exception qui suivirent...
L'expérience spirituelle en temps totalitaire
On le sait, la langue est fortement attaquée pendant tout phénomène totalitaire (Ariane Bilheran insiste beaucoup sur l'importance capitale du livre de témoignage de Viktor Klemperer L.T.I. (La langue du IIIe Reich) ; mais l'on peut aussi relire 1984 de George Orwell pour s'en convaincre facilement), les mots étant renversés de leur sens initial et jusqu'alors communément admis (que l'on pense seulement à l'oxymore que constitua l'expression « distanciation sociale », ou bien à la non moins aberrante expression, reprise par presque tous, « je me vaccine pour protéger les autres »). « La langue est à la fois symptôme et origine de la contagion délirante dans le phénomène totalitaire » : la tâche de l'écrivain et du penseur, est alors d'écrire, de témoigner, pour révéler le tout à la société, quand l'hystérie collective sera passée, et que ladite société sera en mesure d'écouter : « Remettre les mots à l'endroit est une entreprise de décontamination psychique de la novlangue qui a besoin d'une cure thermale. »
C'est alors que la philosophe de la Pesanteur et la Grâce, Simone Weil, est convoquée pour en appeler à la désobéissance civile quand nécessaire (car « une nourriture indispensable à l'âme humaine est la liberté). La liberté, au sens concret du mot, consiste dans une possibilité de choix. Il s'agit bien entendu, d'une possibilité réelle »), puis la figure tutélaire d'Antigone (venue donner une sépulture à son frère Polynice, fût-il devenu ennemi de la cité), et enfin, pour conclure, la figure traditionnelle de la charité, saint François d'Assise :
RépondreSupprimer« Il est parti à la rencontre des lépreux, dans une dimension sacrificielle, au sens où ce qui était important était de faire prévaloir le lien humain sur la possible contamination. Il était essentiel de témoigner de l'amour entre des êtres humains, aux antipodes de la haine totalitaire et de la préservation de sa petite personne ». Amor omnia[1]...
- voir clip sur site -
___________
1. Paroles entendues, en guise de testament, dans la bouche de l'héroïne à la toute fin du chef-d'œuvre final du grand cinéaste danois Carl Theodor Dreyer, Gertrud.
Ce texte est d'abord paru dans la revue Liberté politique n°99 de mars 2024
https://fr.sott.net/article/43603-Sommes-nous-dans-une-derive-totalitaire
Documentaire 2020 : Qui est Bill Gates ? Comment Bill Gates a monopolisé la santé mondiale
RépondreSupprimerPar le rapport Corbett
Recherche mondiale,
22 mai 2024
[Cette vidéo a été réalisée en mai 2020.]
- voir clip sur site -
Transcription ci-dessous.
BILL GATES : Bonjour. Je suis Bill Gates, président de Microsoft. Dans cette vidéo, vous allez voir l'avenir.
SOURCE : Bonjour, je suis Bill Gates, président de Microsoft
Qui est Bill Gates ? Un développeur de logiciels ? Un homme d'affaires ? Un philanthrope ? Un expert mondial de la santé ?
Cette question, autrefois purement académique, devient une question très réelle pour ceux qui commencent à réaliser que la richesse inimaginable de Gates a été utilisée pour prendre le contrôle de tous les domaines de la santé publique, de la recherche médicale et du développement de vaccins. Et maintenant que nous sommes confrontés au problème même dont Gates parle depuis des années, nous découvrirons bientôt que ce développeur de logiciels sans formation médicale va exploiter cette richesse pour contrôler le sort de milliards de personnes.
PORTES : [. . .] parce que tant que nous n’aurons pas vacciné presque tout le monde dans le monde, nous ne reviendrons pas complètement à la normale.
SOURCE : Bill Gates sur la recherche d'un vaccin contre le COVID-19, l'économie et le retour à la « vie normale »
Bill Gates n’est pas un expert en santé publique. Il n’est ni médecin, ni épidémiologiste, ni chercheur en maladies infectieuses. Pourtant, il est devenu, d’une manière ou d’une autre, une figure centrale dans la vie de milliards de personnes, prétendant dicter les mesures médicales qui seront nécessaires pour que le monde « revienne à la normale ». La transformation de Bill Gates de pilier de l’informatique en tsar mondial de la santé est aussi remarquable qu’instructive, et elle nous en dit long sur la direction que nous prenons alors que le monde plonge dans une crise comme nous n’en avons jamais vu auparavant.
RépondreSupprimerC'est l'histoire de la façon dont Bill Gates a monopolisé la santé mondiale.
Vous êtes à l'écoute du rapport Corbett .
Jusqu'à sa réinvention en tant que philanthrope au cours de la dernière décennie, voici ce à quoi beaucoup de gens pensaient lorsqu'ils pensaient à Bill Gates :
NARRATEUR : Dans l'affaire États-Unis contre Microsoft, le ministère américain de la Justice a soutenu que le géant du logiciel avait enfreint les lois antitrust en concurrençant déloyalement Netscape Communications sur le marché des navigateurs Internet, créant ainsi un monopole. La première préoccupation de Bill était que les poursuites pourraient potentiellement bloquer la sortie du dernier système d'exploitation de son entreprise, Windows 98.
SOURCE : Bill Gates défend Microsoft dans un procès pour monopole
GATES : Vous me demandez quand j'ai écrit cet e-mail ou sur quoi me demandez-vous ?
DAVID BOIES : Je vous parle de janvier 1996.
GATES : Ce mois-là ?
BOIES : Oui, monsieur.
GATES : Et qu'en est-il ?
BOIES : Quels navigateurs non Microsoft vous préoccupaient en janvier 96 ?
GATES : Je ne vois pas ce que vous voulez dire : « préoccupé ».
BOIES : Qu'est-ce qu'il y a dans le mot « concerné » que vous ne comprenez pas ?
GATES : Je ne suis pas sûr de ce que vous voulez dire par là.
SOURCE : Déposition de Bill Gates
STEVE JOBS : Nous allons travailler ensemble sur Microsoft Office, sur Internet Explorer, sur Java, et je pense que cela va conduire à une relation très saine. C'est donc une annonce globale aujourd'hui. Nous en sommes très, très heureux, nous sommes très, très excités. Et il se trouve que j'ai un invité spécial avec moi aujourd'hui via une liaison satellite descendante, et si nous pouvions le faire monter sur scène maintenant.
RépondreSupprimer[BILL GATES APPARAIT, LA FOULE HUÉE]
SOURCE : Macworld Boston 1997 – L'accord Microsoft
DAN Plutôt : La police et les agents de sécurité en Belgique ont été pris au dépourvu aujourd'hui par une lâche attaque sournoise contre l'un des hommes les plus riches du monde. La cible était le président de Microsoft, Bill Gates, arrivant pour une réunion avec les dirigeants de la communauté. Regardez ce qui se passe lorsqu'une équipe de tueurs à gages le rencontre en premier avec une tarte au visage.
[PORTES FRAPPÉES AU VISAGE AVEC UNE TARTE]
PLUTÔT : Gates a été momentanément et naturellement secoué, mais il n’a pas été blessé. L'équipe de frappe s'est entassée avec deux autres tartes avant que l'une d'entre elles ne soit jetée au sol et arrêtée ; les autres, du moins pour le moment, se sont enfuis. Gates est entré, s’est essuyé le visage et n’a fait aucun commentaire. Il a ensuite poursuivi son rendez-vous prévu. Aucun mot sur le mobile de cette attaque.
SOURCE : Bill Gates, une tarte en face
Mais, autrefois vilipendé pour l’énorme richesse et le pouvoir monopolistique que lui conféraient son logiciel chargé de virus, Gates est désormais salué comme un visionnaire qui exploite cette richesse et ce pouvoir pour le plus grand bien de l’humanité.
KLAUS SCHWAB : Si au 22ème siècle on écrivait un livre sur l'entrepreneur du 21ème siècle [. . .] Je suis sûr que la personne qui viendra le plus à l'esprit de ces historiens est certainement Bill Gates. [applaudissements]
SOURCE : Assemblée annuelle de Davos 2008 – Bill Gates
ANDREW ROSS SORKIN : Je ne pense pas qu'il soit exagéré de dire que Bill Gates est singulièrement – je dirais – l'individu le plus important de notre génération. Je veux dire que.
RépondreSupprimerSOURCE : Bill Gates parle de philanthropie, de Microsoft et d'impôts | DealBook
ELLEN DEGENERES : Notre prochain invité est l’un des hommes les plus riches et les plus généreux du monde. Veuillez accueillir Bill Gates.
SOURCE : Bill Gates sur la recherche d'un vaccin contre le COVID-19, l'économie et le retour à la « vie normale »
JUDY WOODRUFF : À l’heure où chacun cherche à comprendre l’ampleur de la pandémie et comment minimiser la menace, l’une des voix les mieux informées est celle de l’homme d’affaires et philanthrope Bill Gates.
SOURCE : Bill Gates explique où la pandémie de COVID-19 fera le plus de mal
Le processus par lequel s’est produite cette réinvention de l’image publique de Gates n’est pas mystérieux. C’est le même processus par lequel chaque milliardaire a ravivé son image publique depuis que John D. Rockefeller a engagé Ivy Ledbetter Lee pour le transformer du chef de l’hydre de la Standard Oil en un gentil vieil homme qui distribue des pièces de dix cents aux étrangers.
HOMME HORS CAMÉRA : Ne vous en donnez pas, M. Rockefeller ? S'il vous plaît, allez-y.
FEMME : Merci, monsieur.
L'HOMME : Merci beaucoup.
ROCKEFELLER : Merci pour le trajet !
HOMME : Je me considère comme étant plus que largement payé.
ROCKEFELLER : Soyez bénis ! Sois béni ! Sois béni !
SOURCE : John D. Rockefeller – Huile standard
Plus précisément, John D. Rockefeller savait que pour gagner l’adoration du public, il devait apparaître pour lui donner ce qu’il voulait : de l’argent. Il a consacré des centaines de millions de dollars de sa vaste fortune monopolistique pétrolière à la création d’institutions qui, selon lui, étaient destinées au bien public. Le Conseil de l'Enseignement Général. L'Institut Rockefeller de recherche médicale. La Fondation Rockefeller.
RépondreSupprimerDe la même manière, Bill Gates a passé une grande partie des deux dernières décennies à se transformer du statut de magnat du logiciel à celui de bienfaiteur de l’humanité grâce à sa propre Fondation Bill & Melinda Gates. En fait, Gates a surpassé l'héritage de Rockefeller avec la Fondation Bill & Melinda Gates, qui a depuis longtemps éclipsé la Fondation Rockefeller en tant que plus grande fondation privée au monde, avec 46,8 milliards de dollars d'actifs dans ses livres qu'elle exerce dans ses domaines de programme déclarés de santé mondiale et le développement, la croissance mondiale et le plaidoyer politique mondial.
Et, comme Rockefeller, la transformation de Gates a été facilitée par une campagne de relations publiques bien financée. Finis les trucs théâtraux des pionniers des relations publiques : les cornets de glace omniprésents du mentor de Gates, Warren Buffett, sont le dernier résistant au vieux truc de Rockefeller qui distribue des dix sous. Non, Gates a transformé son image publique en celle d’un saint des temps modernes grâce à une tactique encore plus simple : acheter une bonne publicité.
La Fondation Bill & Melinda Gates dépense des dizaines de millions de dollars chaque année en partenariats médiatiques, en parrainant la couverture de ses domaines de programme à tous les niveaux. Gates finance le site Web Global Development du Guardian . "Gates finance la couverture santé mondiale de NPR" . Gates finance le site Web Our World in Data qui suit les dernières statistiques et recherches sur la pandémie de coronavirus. Gates finance la couverture par la BBC des questions mondiales de santé et de développement, à la fois par l'intermédiaire de son organisation BBC Media Action et de la BBC elle-même . Gates finance la couverture sanitaire mondiale sur ABC News .
Lorsque le NewsHour avec Jim Lehrer a reçu une subvention de 3,5 millions de dollars de la Fondation Gates pour créer une unité spéciale chargée de rendre compte des problèmes de santé mondiaux, le chef de la communication de NewsHour, Rob Flynn, a été interrogé sur le conflit d'intérêt potentiel qu'une telle unité aurait en rapportant sur les problèmes. dans lequel la Fondation Gates est elle-même impliquée. « À certains égards, je suppose qu'on pourrait dire qu'il n'y a pas beaucoup de choses que l'on pourrait toucher en matière de santé mondiale de nos jours qui n'auraient pas une sorte de tentacule Gates », a répondu Flynn. .
En effet, il serait presque impossible de trouver un domaine de la santé mondiale qui n’ait pas été touché par les tentacules de la Fondation Bill & Melinda Gates.
RépondreSupprimerC’est Gates qui a parrainé la réunion qui a conduit à la création de Gavi, l’Alliance du Vaccin, un partenariat public-privé mondial réunissant des sponsors étatiques et de grandes sociétés pharmaceutiques, dont les objectifs spécifiques incluent la création de « marchés sains pour les vaccins et autres produits de vaccination ». .» En tant que partenaire fondateur de l'alliance, la Fondation Gates a fourni 750 millions de dollars de financement de démarrage et a ensuite engagé plus de 4,1 milliards de dollars en faveur du groupe.
Gates a fourni le capital de démarrage qui a permis de créer le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, un partenariat public-privé qui sert de véhicule de financement pour les programmes gouvernementaux de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
Lorsqu’un partenariat public-privé regroupant des gouvernements, des organismes de santé mondiaux et 13 grandes sociétés pharmaceutiques s’est réuni en 2012 « pour accélérer les progrès vers l’élimination ou le contrôle de 10 maladies tropicales négligées », la Fondation Gates a apporté un soutien de 363 millions de dollars .
Lorsque le Mécanisme de financement mondial pour les femmes, les enfants et les adolescents a été lancé en 2015 pour mobiliser des milliards de dollars de financement public et privé pour des programmes mondiaux de santé et de développement, la Fondation Bill & Melinda Gates était un partenaire fondateur avec une contribution de 275 millions de dollars .
Lorsque la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies a été lancée lors du Forum économique mondial de Davos en 2017 pour développer des vaccins contre les maladies infectieuses émergentes, il y avait la Fondation Gates avec une première injection de 100 millions de dollars .
Les exemples sont interminables. Les empreintes digitales de la Fondation Bill & Melinda Gates sont visibles dans toutes les grandes initiatives mondiales en matière de santé des deux dernières décennies. Et au-delà des partenariats mondiaux tape-à-l’œil d’un milliard de dollars, la Fondation est à l’origine de centaines de petites subventions spécifiques à des pays et à des régions – 10 millions de dollars pour lutter contre une infestation acridienne en Afrique de l’Est, ou 300 millions de dollars pour soutenir la recherche agricole en Afrique et en Asie – qui ajoutent jusqu'à des milliards de dollars d'engagements.
RépondreSupprimerIl n’est donc pas surprenant que – bien au-delà des 250 millions de dollars promis par la Fondation Gates pour la « lutte » contre le coronavirus – chaque aspect de la pandémie actuelle de coronavirus implique des organisations, des groupes et des individus ayant des liens directs avec le financement de Gates.
Dès le début, l’Organisation mondiale de la santé a dirigé la réponse mondiale à la pandémie actuelle. Depuis sa surveillance initiale de l'épidémie à Wuhan et sa déclaration en janvier selon laquelle il n'y avait aucune preuve de transmission interhumaine jusqu'à ses points de presse en direct et ses conseils techniques sur la planification au niveau national et d'autres questions, l'OMS a été l'organisme définir les lignes directrices et les recommandations qui façonnent la réponse mondiale à cette épidémie.
Mais même l’Organisation mondiale de la santé elle-même dépend largement des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates. Le rapport le plus récent sur les donateurs de l'OMS montre que la Fondation Bill & Melinda Gates est le deuxième donateur de l'organisation derrière le gouvernement des États-Unis. La Fondation Gates, à elle seule, contribue davantage à l’organisme mondial de santé que l’Australie, le Canada, la France, l’Allemagne, la Russie et le Royaume-Uni réunis.
De plus, l'actuel directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, n'est en fait, comme Bill Gates lui-même, pas du tout médecin, mais l'ancien ministre controversé de la Santé de l'Éthiopie, accusé d' avoir dissimulé trois épidémies de choléra. dans le pays pendant son mandat. Avant de rejoindre l'OMS, il a été président du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, fondé par Gates, et a siégé au conseil d'administration de Gavi, fondé par Gates, de l'Alliance du vaccin et du partenariat Stop TB financé par Gates .
La série actuelle de confinements et d’ordonnances restrictives de séjour à domicile dans les pays occidentaux a été adoptée sur la base de modèles alarmants prédisant des millions de décès aux États-Unis et des centaines de milliers au Royaume-Uni.
RépondreSupprimerHAYLEY MINOGUE : L'Imperial College de Londres a publié un rapport sur le COVID-19 et c'est là que la plupart de nos dirigeants américains obtiennent les informations sur lesquelles ils fondent leur prise de décision. Ces 2,2 millions de décès ne tiennent pas non plus compte des effets négatifs potentiels du débordement des systèmes de santé.
[. . .]
Le rapport nous présente différentes manières dont cela pourrait se produire en fonction de nos réponses. Si nous ne faisons rien pour contrôler ce virus, plus de 80 % de la population américaine serait infectée au cours de l’épidémie, avec 2,2 millions de décès dus au COVID-19.
SOURCE : Mesures extrêmes basées sur un article scientifique
BORIS JOHNSON : Dès ce soir, je dois donner au peuple britannique une instruction très simple : vous devez rester chez vous.
SOURCE : Boris Johnson annonce un verrouillage complet du Royaume-Uni au milieu de la crise des coronavirus
JUSTIN TRUDEAU : Assez, c'est assez. Rentrez chez vous et restez à la maison.
SOURCE : « Assez, c'est assez », Trudeau avec un message fort aux Canadiens
GAVIN NEWSOM : . . . un ordre à l'échelle de l'État pour que les gens restent chez eux
SOURCE : Le gouverneur de Californie Newsom émet une ordonnance « PLUS SÛR À LA MAISON » à l'échelle de l'État
Le travail de deux groupes de recherche a joué un rôle crucial dans la décision des gouvernements britannique et américain de mettre en œuvre des mesures de confinement à grande échelle et, par conséquent, dans la décision des gouvernements du monde entier. Le premier groupe, l’équipe de recherche sur le COVID-19 de l’Imperial College, a publié le 16 mars un rapport prédisant jusqu’à 500 000 décès au Royaume-Uni et 2,2 millions de décès aux États-Unis, à moins que des mesures gouvernementales strictes ne soient mises en place.
RépondreSupprimerCliquez ici pour lire la transcription complète.
https://www.globalresearch.ca/full-documentary-bill-gates/5857856
L’exécution au ralenti de Julian Assange se poursuit
RépondreSupprimerLa décision de la Haute Cour de Londres autorisant Julian Assange à faire appel de sa décision d’extradition le laisse croupir dans une santé précaire dans une prison de haute sécurité. C'est le but.
CHRIS HAIES
21 MAI 2024
De la poussière à la poussière - par M. Fish
La décision de la Haute Cour de Londres d’accorder à Julian Assange le droit de faire appel de l’ordonnance d’extradition vers les États-Unis pourrait s’avérer être une victoire à la Pyrrhus. Cela ne veut pas dire que Julian échappera à l’extradition. Cela ne signifie pas que le tribunal a statué, comme il se doit, qu’il s’agit d’un journaliste dont le seul « crime » a été de fournir au public des preuves de crimes de guerre et de mensonges du gouvernement américain. Cela ne signifie pas qu’il sera libéré de la prison de haute sécurité HMS Belmarsh où, comme Nils Melzer, le rapporteur spécial des Nations Unies sur la torture, après avoir rendu visite à Julian, a déclaré qu’il subissait une « exécution au ralenti ».
Cela ne veut pas dire que le journalisme est moins en péril. Les rédacteurs et éditeurs de cinq médias internationaux – le New York Times, le Guardian, Le Monde, El Pais et DER SPIEGEL – qui ont publié des articles basés sur des documents publiés par WikiLeaks, ont demandé instamment que les accusations américaines soient abandonnées et que Julian soit libéré. . Aucun de ces responsables des médias n’a été accusé d’espionnage. Il ne rejette pas le stratagème ridicule du gouvernement américain visant à extrader un citoyen australien dont la publication n'est pas basée aux États-Unis et à l'inculper en vertu de la loi sur l'espionnage. Il poursuit la longue farce dickensienne qui se moque des concepts les plus fondamentaux de procédure régulière.
Cette décision repose sur le fait que le gouvernement américain n’a pas offert suffisamment de garanties que Julian bénéficierait des mêmes protections du premier amendement que celles accordées à un citoyen américain s’il était jugé. La procédure d'appel constitue un obstacle juridique supplémentaire dans la persécution d'un journaliste qui devrait non seulement être libre, mais également célébré et honoré comme le plus courageux de notre génération.
Oui. Il peut faire appel. Mais cela signifie une autre année, peut-être plus, dans des conditions de prison difficiles alors que sa santé physique et psychologique se détériore. Il a passé plus de cinq ans à bord du HMS Belmarsh sans être inculpé. Il a passé sept ans à l'ambassade d'Équateur parce que les gouvernements britannique et suédois ont refusé de garantir qu'il ne serait pas extradé vers les États-Unis, même s'il a accepté de retourner en Suède pour contribuer à une enquête préliminaire qui a finalement été abandonnée.
RépondreSupprimerLe lynchage judiciaire de Julian n’a jamais été une question de justice. La pléthore d’irrégularités juridiques, y compris l’enregistrement de ses réunions avec des avocats par la société de sécurité espagnole UC Global à l’ambassade au nom de la CIA, aurait dû à elle seule faire rejeter l’affaire du tribunal car elle éviscère le secret professionnel de l’avocat.
Les États-Unis ont inculpé Julian de 17 actes en vertu de la loi sur l'espionnage et d'un chef d'accusation d'utilisation abusive d'ordinateurs, pour un prétendu complot visant à prendre possession puis à publier des informations sur la défense nationale. S’il est reconnu coupable de toutes ces accusations, il risque 175 ans de prison aux États-Unis.
La demande d'extradition est basée sur la publication par WikiLeaks en 2010 des journaux de guerre en Irak et en Afghanistan – des centaines de milliers de documents classifiés, divulgués sur le site par Chelsea Manning, alors analyste du renseignement de l'armée, qui ont révélé de nombreux crimes de guerre américains, notamment des images vidéo de l'assassinat de deux journalistes de Reuters et de 10 autres civils non armés dans la vidéo du meurtre collatéral, la torture systématique des prisonniers irakiens, la dissimulation de milliers de morts civiles et le meurtre de près de 700 civils qui s'étaient approchés de trop près des points de contrôle américains.
En février, les avocats de Julian ont soumis neuf motifs distincts pour un éventuel appel.
Une audience de deux jours en mars, à laquelle j’ai assisté, était la dernière chance pour Julian de demander un appel de la décision d’extradition prise en 2022 par la ministre britannique de l’Intérieur de l’époque, Priti Patel, et de nombreuses décisions du juge de district Baraitser en 2021.
Les deux juges de la Haute Cour, Dame Victoria Sharp et le juge Jeremy Johnson, ont rejeté en mars la plupart des motifs d’appel de Julian. Il s’agit notamment de l’affirmation de ses avocats selon laquelle le traité d’extradition entre le Royaume-Uni et les États-Unis interdit l’extradition pour des délits politiques ; que la demande d'extradition a été présentée dans le but de le poursuivre en justice pour ses opinions politiques ; cette extradition équivaudrait à une application rétroactive de la loi – car il n’était pas prévisible qu’une loi sur l’espionnage vieille d’un siècle soit utilisée contre un éditeur étranger ; et qu'il ne bénéficierait pas d'un procès équitable dans le district oriental de Virginie. Les juges ont également refusé d’entendre de nouvelles preuves selon lesquelles la CIA avait comploté pour kidnapper et assassiner Julian, concluant – à la fois de manière perverse et incorrecte – que la CIA n’avait envisagé ces options que parce qu’elle pensait que Julian envisageait de fuir en Russie.
RépondreSupprimerMais les deux juges ont déterminé lundi qu'il était « discutable » qu'un tribunal américain puisse ne pas accorder à Julian la protection en vertu du premier amendement, violant ainsi ses droits à la liberté d'expression tels qu'ils sont consacrés par la Convention européenne des droits de l'homme.
En mars, les juges ont demandé aux États-Unis de fournir des assurances écrites selon lesquelles Julian serait protégé en vertu du Premier amendement et qu'il serait exempté d'un verdict de peine de mort. Les États-Unis ont assuré au tribunal que Julian ne serait pas soumis à la peine de mort, ce que les avocats de Julian ont finalement accepté. Mais le ministère de la Justice n’a pas été en mesure de garantir que Julian pourrait présenter une défense contre le Premier amendement devant un tribunal américain. Une telle décision est prise par un tribunal fédéral américain, ont expliqué leurs avocats.
Le procureur adjoint des États-Unis, Gordon Kromberg, qui poursuit Julian, a fait valoir que seuls les citoyens américains se voient garantir les droits du premier amendement devant les tribunaux américains. Kromberg a déclaré que ce que Julian avait publié n’était « pas dans l’intérêt public » et que les États-Unis ne demandaient pas son extradition pour des raisons politiques.
L’emprisonnement prolongé, que l’octroi de cet appel perpétue, est le problème. Les 12 années de détention de Julian – sept à l'ambassade d'Équateur à Londres et plus de cinq dans la prison de haute sécurité de Belmarsh – ont été accompagnées d'un manque de soleil et d'exercice, ainsi que de menaces, de pressions, d'isolement prolongé, d'anxiété et de pressions constantes. stresser. Le but est de le détruire.
RépondreSupprimerNous devons libérer Julian. Nous devons le garder hors des mains du gouvernement américain. Compte tenu de tout ce qu’il a fait pour nous, nous lui devons un combat acharné.
S’il n’y a pas de liberté d’expression pour Julian, il n’y aura pas de liberté d’expression pour nous.
https://chrishedges.substack.com/p/the-slow-motion-execution-of-julian?utm_source=post-email-title&publication_id=778851&post_id=144823146&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email
La loi sur les « agents étrangers » - une leçon magistrale de l'hypocrisie atlantiste
RépondreSupprimerOleg Nesterenko
Sott.net
sam., 18 mai 2024 17:33 UTC
À la suite de l'adoption par le parlement de la Géorgie (pays du Caucase), le 1er mai dernier, de la loi sur les « agents étrangers », toute une avalanche de critiques, d'avertissements et de menaces directes et voilées s'est écroulée sur le gouvernement géorgien de la part des « défenseurs de la liberté, de la démocratie, de la libre parole et des droits de l'homme » composés de l'intégralité des pays du camp Occidental, les États-Unis d'Amérique en tête.
L'indignation du monde Occidental
Le « monde libre » s'est unanimement levé indigné face à l'obscurantisme et l'oppression de la liberté qui est en train d'être instaurée dans ce pays du Caucase, lequel, à l'instar de la Fédération de Russie, vient de mettre en place le contrôle légal des personnes morales et physiques financées/influencées par des sources étrangères dans le cadre de leur activité politique ou celle de la diffusion de l'information.
Le Département d'État américain en la personne de son porte-parole Matthew Miller a menacé la Géorgie en soulignant la qualité anti-démocratique de la loi nouvellement adoptée :
« Les déclarations et les actions du gouvernement géorgien sont incompatibles avec les valeurs démocratiques qui sous-tendent l'adhésion à l'UE et à l'OTAN et compromettent ainsi la voie de la Géorgie vers l'intégration euro-atlantique ».
Auparavant, les représentants de la quasi-intégralité des pays occidentaux, l'un après l'autre, ont mis en garde le gouvernement géorgien contre son projet de loi sur les « agents étrangers », en le qualifiant d'être inspiré par le Kremlin et par la loi similaire existante en Russie et donc autoritaire et antidémocratique.
John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale des Etats-Unis, tire le signal d'alarme : « Nous sommes profondément préoccupés par cette législation, par les conséquences qu'elle pourrait avoir en termes d'étouffement de la dissidence et de la liberté d'expression ».
Par sa résolution du 25 avril 2025, le Parlement européen « condamne fermement la réintroduction du projet controversé de loi relative à la transparence des interférences étrangères, qui imposerait des restrictions à la société civile et aux médias indépendants et limiterait ainsi leur capacité à opérer librement...» et dénonce le fait que le gouvernement géorgien « s'inspire d'une loi russe similaire très controversée dite «loi sur les agents de l'étranger», qui stigmatise et discrimine délibérément les organisations et les militants de la société civile et qui est utilisée pour étouffer l'opposition à la guerre d'agression menée par la Russie contre l'Ukraine et réduire au silence toute voix dissidente subsistant dans le pays ».
RépondreSupprimerLe ministère des Affaires Etrangères français a déclaré à son tour : « La France, à l'instar de l'Union européenne, réitère la vive inquiétude que soulève le projet de loi adopté [...] par le Parlement géorgien sur les agents de l'étranger. Cette initiative contribue à discréditer les ONG et les médias et porte un coup sévère à la démocratie géorgienne ».
Les « agents étrangers » - de quoi s'agit-il ?
En parlant de la loi « russe » sur les « agents étrangers », l'Occident collectif incriminant aujourd'hui la Géorgie, de quoi s'agit-il exactement ?
Il ne s'agit pas, en réalité, d'une seule loi, mais d'une série de mesures législatives introduites en Russie depuis le 20 juillet 2012 (loi n°121-FZ) et dont la dernière en date est celle du 14 juillet 2022 (loi n°255-FZ).
Comme mentionné plus haut, il s'agit de l'encadrement légal de l'activité des personnes morales et des personnes physiques financées/influencées par les personnes ou organismes étrangers dans le cadre de leur activité politique ou de diffusion de l'information sur le territoire de la Fédération de Russie.
Contrairement à des narratifs propagés par les représentants officiels des pays-adversaires de la Russie et des médias sous leur contrôle, ni la loi russe sur les « agents étrangers », ni celle de la Géorgie, adoptée à la majorité des députés du parlement du pays, ne limitent nullement les activités ou communications publiques de ceux qui tombent sous son coup, hormis les activités particulièrement sensibles, telles que, par exemple, l'accès au secret d'état ou la production de supports d'information adressés à des mineurs.
La loi ne fait que pointer et clairement afficher ceux qui sont considérés en tant qu'« agents étrangers » : les personnes menant une activité politique ; la collecte ciblée d'informations dans le domaine des activités militaires, militaro-techniques de la Fédération de Russie ; la diffusion de l'information destinée à un nombre illimité de personnes et/ou participant à la création de telle information (loi n°255-FZ, art.4., §1).
RépondreSupprimerPar ailleurs, selon ladite loi, les activités politiques mentionnées dans le §1 de son art.4. ne comprennent pas les activités dans les domaines de la science, de la culture, des arts, de la santé, de la prévention et de la protection de la santé des citoyens, des services sociaux, du soutien social et de la protection des citoyens, de la protection de la vie humaine, de la famille, de la maternité, de la paternité et de l'enfance, des valeurs familiales traditionnelles, du soutien social des personnes handicapées, de la promotion d'un mode de vie sain, de la culture physique et du sport, de la protection du monde végétal et animal et des activités caritatives, si ces activités ne sont pas contraires aux intérêts nationaux de la Fédération de Russie, aux fondements de l'ordre juridique public de la Fédération de Russie et aux valeurs protégées par la Constitution de la Fédération de Russie.
Les journalistes étrangers dûment accrédités dans la Fédération de Russie ne sont pas soumis non plus à l'obligation de s'enregistrer au sein du registre des « agents étrangers ».
L'objectif de l'existence de cette base légale est d'informer les citoyens de la Fédération de Russie sur le fait que certaines personnes morales ou physiques qui peuvent les viser dans l'espace informationnel public sont directement dépendantes, y compris financièrement, de l'influence étrangère, voir se situent directement sous les ordres d'organismes étrangers et effectuent le rôle de leurs « porte-paroles » sur le territoire de Russie.
Un petit « oubli » dans les indignations occidentales
En mettant en lumière les « dérives anti-démocratiques » prétendument commises par la Russie et, ensuite, par la Géorgie via l'adaptation des lois sur les « agents étrangers », l'appareil de propagande occidentale a « oublié » de préciser qu'il ne parle que de l'arbre qui cache la forêt.
L'air de rien, les « défenseurs de la liberté » oublient de mentionner un détail : la loi russe et la loi géorgienne sur les « agents étrangers » n'est rien d'autre que l'adoption de la même loi déjà existante aux États-Unis. Et non seulement déjà existante, mais existante depuis 1938 (Foreign Agents Registration Act- FARA - loi pour l'enregistrement des Agents étrangers), aujourd'hui en vigueur sous sa rédaction de 1995.
Les actes normatifs régissant ce domaine des relations publiques ont été adoptés et appliqués dans plusieurs pays du monde, dont en Russie que très tardivement par rapport aux pionniers dans le domaine que sont les Américains. En dehors des États-Unis, les lois sur les « agents étrangers » et leurs équivalents existent belle et bien dans d'autres pays, notamment en Australie (Australia Foreign Influence Transparency Scheme Act Nr.63 de 2018 - FITSA) et en Israël.
RépondreSupprimerLa position de certains prétendus experts stipulant qu'il y a une grande différence au niveau des contraintes entre la version russe et la version américaine ou, par exemple, australienne au niveau de la législation sur les « agents étrangers » est parfaitement mensongère. Une étude de près des textes des bases légales respectives le confirme. Les normes de la législation américaine et australienne sont les plus similaires en termes de contenu avec les normes russes.
Par ailleurs, la rigueur de la loi américaine est bien plus prononcée par rapport à la version russe. Notamment, en ce qui concerne l'activité politique, cette notion est très vague dans le cadre de FARA, soit, l'appréciation de l'activité d'une personne morale/physique est tout à fait arbitraire. De son côté, la législation russe décrit très en détail et délimite clairement l'application de cette notion.
Côté répressif, la sanction maximale prévue aux Etats-Unis pour une activité irrégulière d'un « agent étranger » est de 10.000$ et de 10 ans de prison ferme. Du côté de la Russie, la sanction maximale est de 500.000 roubles (dans les 5.500$) et aucune (!) peine de prison n'est encourue (art. 19.34. de la loi N 195-FZ du Code sur les infractions administratives). L'activité des « agents étrangers » en Russie est régie exclusivement par le droit administratif ; celle menée aux Etats-Unis est également régie par le droit pénal.
En ce qui concerne le nombre de personnes physiques et morales soumis au statut d'« agent étranger » au Etats-Unis - il est incomparablement plus élevé qu'en Russie. Au mois de mai 2023, le nombre d'« agents étrangers » sur le sol américain était supérieur à 3.500 contre près de 400 en Russie. La surveillance et le contrôle par l'état américain s'est considérablement accru durant les dernières années : sur plus de 3.500 « agents », 1/3 a reçu ce statut qu'entre l'année 2016 et 2023.
Il est à souligner que jusqu'en 2017, en Russie, les médias financés par les sources étrangères ne tombaient guère sous la loi russe sur les « agents étrangers », même si leur activité était de nature foncièrement anti-gouvernementale. Ce n'est que le 25 novembre 2017 et qu'en réponse à l'exigence du ministère de la justice des États-Unis d'enregistrer les médias financés par la source russe « Russia Today » et « Sputnik » en tant qu'« agents étrangers » sur le sol américain que la loi introduisant le concept de « médias - agent étranger » a été adoptée, à son tour, en Russie (loi n°327-FZ).
Contrairement aux « oppresseurs de la liberté de parole » que sont les gouvernements russes et géorgiens respectivement, les gouvernements de l'UE - « défenseurs des droits démocratiques » ne faisaient pas dans la dentelle en perdant leur temps dans la classification des médias « pro-russes » parmi les « agents étrangers » - il les ont faits, tout simplement, interdire sur l'ensemble de leur territoire.
RépondreSupprimerUne mesure aussi démocratiquement expéditive est tout à fait compréhensible : dans le cadre de la guerre en Ukraine, il était nécessaire de couper net et en urgence la possibilité de l'accès par le grand public européen formaté à des informations alternatives à celles propagées par les médias mainstream contrôlés par le pouvoir « atlantiste », aux risques de voir des soulèvements populaires révoltés par la vérité qu'ils pourraient y découvrir.
Il est également à souligner que depuis le début de l'année 2023, l'Union-Européenne elle-même est bien en train d'élaborer sa propre loi sur les « agents étrangers ». La loi obligerait les organisations non gouvernementales à divulguer des informations sur tout financement provenant de l'extérieur de l'UE. Les nouvelles règles seront très similaires à celles déjà en vigueur aux États-Unis, en Australie, en Russie et en Géorgie.
En ce qui concerne la France, la proposition de loi répressive (n°269) « visant à prévenir les ingérences étrangères en France » a déjà été adoptée en première lecture par l'Assemblée nationale, le 27 mars dernier. Nul doute sur le résultat positif de son examen qui aura lieu au Sénat, le 22 mai prochain. Le texte de la loi française prévoit la création d'un registre des représentants d'intérêts étrangers - personnes physiques/morales agissant pour le compte d'un « mandant étranger » dans le but, notamment, d'influencer la décision publique ou de mener des activités de communication. Les sanctions prévues en France pour une activité irrégulière d'un « agent étranger » sont bien plus répressives que celles connues en Russie : 45.000 euros d'amende et 3 ans de prison. Les peines prévues pour les personnes morales vont aller jusqu'à 225.000 euros.
De même, une loi similaire est en préparation en Estonie depuis le mois de mars 2018.
En mai 2019, le ministre britannique de l'intérieur, Sajid Javid, a déclaré qu'il était nécessaire d'introduire une pratique consistant à « enregistrer les agents étrangers », afin de réduire les « activités hostiles » menées contre le Royaume-Uni par un certain nombre d'États, dont la Russie, et ceci est en plus de la loi sur la sécurité nationale instaurant un registre relatif aux influences étrangères (Foreign Influence Registration Scheme - FIRS) déjà en vigueur depuis 2023.
RépondreSupprimerBien évidemment, si dans le cas de la Fédération de Russie et de la Géorgie l'adoption des lois du contrôle sur les « agents étrangers » n'est que l'outil de l'oppression de la liberté et le reflet de l'obscurantisme - dans le cas des États-Unis et de leurs vassaux il ne s'agira que du perfectionnement de la « défense de la démocratie ».
Les dessous des cartes
La loi nouvellement adoptée par le parlement géorgien ne met guère en danger imminant les projets d'une grave déstabilisation politique de la région du Causasse que les « atlantistes » sont en train de réaliser depuis plusieurs décennies et, surtout, dans les dernières années - il en faut bien davantage pour contrer les initiatives du « monde libre » entreprises dans le « tiers monde ». Néanmoins, elle est considérée en tant qu'un bâton assez sérieux dans les roues des processus engagés par ce dernier. La pression sur le gouvernement géorgien ne va donc que s'accentuer et le pays doit s'attendre à de mauvaises surprises dans un avenir proche.
Pour le camp politico-militaire Occidental, l'intérêt primaire de la région du Caucase et des pays tels que la Géorgie ou l'Arménie ne réside que dans leurs situations géographiques frontalières vis-à-vis de la Russie. L'instauration dans cette zone de « l'anti-Russie », des régimes politiques, dont le principal vecteur serait la russophobie, à l'instar de leur réalisation sur le territoire de l'Ukraine, est l'objectif primaire des initiatives occidentales menées à la frontière sud de la Russie depuis la chute de l'URSS en 1991.
Les petits peuples du Caucase, quant à eux, n'intéressent pas davantage les pays « démocratiques » en action dans la région que ceux de l'Irak, de la Lybie ou de l'Ukraine dont ils ont déjà détruit l'avenir des générations à venir.
Avec la vive contestation face à l'adoption souveraine par la Géorgie de la loi sur les « agents étrangers », une fois de plus, les Etats-Unis d'Amérique en tête de l'armée de ses satellites n'ont fait que revendiquer leurs droits. Les droits appliqués selon la bonne vielle expression romaine : « Quod licet Iovi, non licet bovi » - ce qui est permis à Jupiter ne l'est pas aux vaches.
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/43598-La-loi-sur-les-agents-etrangers-une-lecon-magistrale-de-l-hypocrisie-atlantiste
L'argent apolitique comme moyen de contrer les sanctions et de geler les dépôts
RépondreSupprimer19 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les États-Unis utilisent le dollar comme une arme depuis Bretton Wood en 1944 et pour financer leur énorme budget militaire, qui s'élevait récemment à 850 milliards de dollars en 2024, ainsi que la dette nationale de près de 35 000 milliards de dollars, qui augmente rapidement . Ils l’utilisent également pour maintenir d’autres pays à l’écart et imposer leur régime de sanctions croissant à davantage d’États. Cependant, en dehors des États-Unis, qui suivent l’Union européenne et l’Occident politique, la résistance à ce projet s’accroît et le travail visant à créer des alternatives s’intensifie.
La question est de savoir si les experts occidentaux en politique étrangère, dont les compétences intellectuelles et politiques ont atteint un niveau sans précédent en Autriche, en Allemagne et dans l’UE, comprennent ce qu’ils ont fait ? Après l'expansion des BRICS et la déclaration commune de la Chine et de la Russie suite à la visite que vient de terminer Vladimir Poutine à Xi Jinping à Pékin, il faut l'accepter.
La Chine a aidé Biden en termes de domination du dollar et a vendu des obligations du gouvernement américain pour au moins 53 milliards de dollars, ce qui ne représente de toute façon que 0,15 % (!) de la dette nationale américaine :
L'expert économique suisse Claudio Grass a déclaré :
« C’est une sage décision de se diversifier en s’éloignant du dollar. L’or a surperformé les obligations en dollars américains de 75 % depuis 2021.
En outre, le dollar est utilisé depuis des décennies comme une arme politique et pour confisquer arbitrairement des actifs sous la pression du gouvernement américain.
Il est évident que la civilisation occidentale est en train d’être détruite par son propre système politique corrompu et pourri. »
Alternatives au dollar
Les alternatives, notamment au système de paiement international SWIFT, utilisé abusivement comme une arme, sont de plus en plus nombreuses. L’un d’eux est UNIT, qui offre une forme d’argent apolitique qui n’est influencée par aucun agenda politique et garantit la stabilité et la neutralité.
L'écosystème UNIT affirme offrir aux gens du monde entier de l'argent apolitique qui peut être librement acheté et vendu ou utilisé comme monnaie pour les paiements via n'importe quel système de paiement et de compensation ouvert.
Le concept d'UNIT a déjà été discuté par le Groupe de travail sur les services financiers et les investissements mis en place par le Conseil des entreprises des BRICS+ et, selon Pepe Escobar , a de sérieuses chances de devenir la politique officielle des BRICS+ dès 2025.
RépondreSupprimerSelon Alexey Subbotin, fondateur d'Arkhangelsk Capital Management et l'une des idées originales d'UNI, il s'agit d'un nouveau système de résolution de problèmes qui répond au problème géoéconomique central de ces temps troublés : une crise mondiale de confiance. Il le sait de première main : professionnel de la finance expérimenté avec une expérience dans la banque d'investissement, la gestion d'actifs et les affaires d'entreprise, Subbotin dirige le projet d'unité sous les auspices de l'IRIAS, une organisation intergouvernementale internationale fondée en 1976 conformément au Statut de l'ONU.
Contrairement au moteur de financement de l'armée américaine, Unit offre une solution fiable, rapide et économiquement efficace pour les paiements transfrontaliers. L'unité - transactionnelle - est une nouvelle forme de monnaie internationale qui peut être émise de manière décentralisée puis reconnue et réglementée au niveau national.
Il vise à offrir une solution unique aux goulots d'étranglement de l'infrastructure financière mondiale : il convient aussi bien aux transactions bancaires traditionnelles qu'aux dernières formes de banque numérique.
« L’unité peut également aider à surmonter les prix injustes dans le commerce des matières premières en établissant une nouvelle bourse commerciale eurasienne – juste et efficace – où les échanges et les règlements peuvent avoir lieu dans une nouvelle monnaie qui relie les flux commerciaux et les capitaux, ouvrant ainsi la voie à l’échange de capitaux. développement de nouveaux produits financiers pour les investissements directs étrangers.
Le résultat final, selon Escobar, est que pratiquement n'importe qui peut utiliser l'unité pour la comptabilité, la tarification, la facturation, les paiements, l'épargne et l'investissement.
Il n’est pas étonnant que les options institutionnelles soient très tentantes : l’unité peut être utilisée pour la comptabilité et la facturation pour les BRICS+, pour les paiements et la fixation des prix pour l’Union économique eurasienne (EAEU), ou comme monnaie de réserve pour l’Afrique subsaharienne.
«Et maintenant vient le coup d'éclat : l'Unit a déjà été soutenue par le Conseil économique des BRICS et est à l'ordre du jour de la réunion ministérielle cruciale en Russie le mois prochain, au cours de laquelle sera élaborée la feuille de route pour le sommet d'octobre à Kazan.
RépondreSupprimerCela signifie que l'unité a tous les prérequis pour figurer sur la table des BRICS+ comme un sujet sérieux et être finalement adoptée dès 2025...
Actuellement, la priorité des planificateurs de l'unité - que j'ai suivi pendant un an lors de plusieurs réunions approfondies à Moscou - est d'informer le public sur le nouveau système.
…
Ce qui nous attend pourrait être extrêmement excitant, dans la mesure où l’attrait de l’unité pourrait s’étendre d’Elon Musk à la Nouvelle Banque de Développement (NDB) des BRICS et, espérons-le, attirer un certain nombre d’acteurs clés. Après l’évaluation positive du ministre des Finances Anton Siluanov – qui reste en poste dans le nouveau gouvernement russe – il n’est pas déraisonnable d’imaginer Poutine et Xi en discuter face à face à Pékin cette semaine.»
Reste donc à voir si la Russie, la Chine et l’Inde parviendront à s’entendre sur l’unité comme système de paiement, qui deviendrait alors automatiquement celui des BRICS+. La conclusion la plus importante à l’heure actuelle est que l’unité doit être considérée comme une solution technique réalisable à ce qui est théoriquement insoluble : un système de paiement et d’échange mondialement reconnu et immunisé contre les pressions politiques.
https://tkp.at/2024/05/19/unpolitisches-geld-als-mittel-gegen-sanktionen-und-einfrieren-von-einlagen/
Pouvons-nous garantir les droits de propriété sans l’État ?
RépondreSupprimerPar George F. Smith
21 mai 2024
Vous pensez être le propriétaire légitime de votre résidence jusqu’à ce que, à votre retour de vacances, vous constatiez que des squatteurs ont pris le relais. Appeler la police et les faire enlever ? Vous devrez peut-être plutôt appeler un service privé comme Squatterhunters.com.
Les Américains ont depuis longtemps perdu leurs droits de propriété sur leurs revenus, le pouvoir d’achat de leur argent, leurs économies et leur vie. N’y a-t-il aucun moyen pour les gens de protéger ce qui leur appartient légitimement ?
Heureusement, l’expérience et la théorie le prouvent : l’étude classique de Terry L. Anderson et P. J. Hill, An American Experiment in Anarcho-Capitalism : The Not So Wild, Wild West et la théorie du chaos de Robert P. Murphy.
Grâce à Hollywood et à la littérature populaire, l’Ouest américain [1830-1900] est souvent décrit comme violent et anarchique. Tant que vous aviez une arme rapide et que vous étiez prêt à l'utiliser, vous pouviez tout faire. La raison : un gouvernement faible ou inexistant.
Cependant, dans leur recherche documentaire, Anderson et Hill ont trouvé de nombreuses preuves du contraire. Par exemple, W. Eugene Hollon a découvert que « la frontière occidentale était un endroit bien plus civilisé, plus paisible et plus sûr que la société américaine ne l’est aujourd’hui [au début des années 1970] ».
Un autre chercheur, écrivant au milieu des années 1930, a constaté que si l'on peut tirer une conclusion des statistiques récentes de la criminalité, ce serait que cette dernière frontière [l'Occident] n'a laissé aucun héritage significatif d'infractions contre la personne, par rapport à d'autres sections du monde. le pays.
Au début de l’Occident, les gens protégeaient leurs biens et vivaient avec des agences privées. Il est important de noter que ces agences comprenaient que la violence était une méthode coûteuse de résolution des différends et utilisaient généralement des méthodes de règlement moins coûteuses telles que l'arbitrage et les tribunaux. Il n’existait pas non plus d’idée universelle de justice commune à ces agences. Les gens avaient des idées différentes sur les règles selon lesquelles ils souhaitaient vivre et étaient prêts à payer. La concurrence entre les agences offrait un choix.
Anderson et Hill ont étudié quatre institutions du début de l’Occident qui se rapprochaient de l’anarcho-capitalisme (AnCap), dont les trains de wagons.
RépondreSupprimerTrains de wagons
Les wagons de Conestoga roulant vers l’ouest à la recherche d’or constituent peut-être le meilleur exemple d’anarcho-capitalisme à la frontière américaine.
Conscients qu’ils allaient échapper à la loi, les pionniers « ont créé leur propre appareil législatif et d’application de la loi avant de se lancer ». Dans de nombreux cas, ils ont créé des constitutions similaires à la Constitution américaine. Une fois que les voyageurs n'étaient plus sous la juridiction du gouvernement fédéral, ils ont élu des agents chargés de faire respecter les règles énoncées dans le document.
Les constitutions prévoyaient également l'éligibilité au vote et les règles de décision en matière d'amendement, de bannissement d'individus du groupe et de dissolution de la société.
Ce qui a fait que cet arrangement a fonctionné, selon les auteurs, était un profond respect des droits de propriété. Pourtant, les droits de propriété étaient peu mentionnés dans leurs constitutions. L'inviolabilité des droits de propriété était si profondément enracinée que les pionniers recouraient rarement à la violence, même lorsque la famine était imminente.
Il est certain que la nature éphémère de ces communautés dynamiques les a rendues plus adaptables à l’anarcho-capitalisme. La demande de « biens publics » comme les routes ou les écoles ne s’est par exemple jamais manifestée, alors qu’ils ont dû se protéger des attaques indiennes sans dépendre de l’État. Pour la plupart, leurs arrangements ont fonctionné. Les gens ont acheté la protection et la justice, ont trouvé une concurrence entre les producteurs de règles, et le résultat a été une société ordonnée, contrairement à celle généralement associée à l'anarchie.
Les arguments de Murphy en faveur de l’anarcho-capitalisme
Dans Chaos Theory, Robert P. Murphy décrit comment les forces du marché fonctionneraient pour soutenir la production privée de la justice et de la défense – deux domaines traditionnellement reconnus comme étant la seule compétence de l’État. Murphy soutient que non seulement le marché serait en mesure de fournir ces services, mais qu’il le ferait de manière beaucoup plus efficace et équitable que le système actuel.
Nous examinerons ici quelques points clés qu’il avance à propos de la production de justice sur le marché libre.
RépondreSupprimerComme pour les pionniers occidentaux et le monde d’aujourd’hui, aucun ensemble de lois ou de règles n’est nécessaire pour lier tout le monde. Les gens concluraient des contrats volontaires qui énoncent les règles qu'ils acceptent de respecter. "Tous les aspects des relations sociales seraient "régulés" par des contrats volontaires."
Qui établit les règles ? Des experts juridiques privés, qui rédigeraient des lois en concurrence ouverte avec leurs rivaux. Le marché traite de la « justice » comme il le fait d’autres services. Comme le note Murphy,
« le marché » n’est qu’un raccourci pour désigner l’ensemble des interactions économiques d’individus agissant librement. Laisser le marché fixer des règles juridiques signifie en réalité que personne n’utilise la violence pour imposer sa propre vision à autrui.
Dans une société AnCap avancée, les compagnies d’assurance joueraient un rôle majeur. Les gens souscriraient, par exemple, à des polices d’assurance pour indemniser leurs victimes si jamais elles étaient reconnues coupables d’un crime. Comme c’est le cas actuellement, les compagnies d’assurance emploieraient des experts pour déterminer les risques liés à l’assurance d’une personne donnée. Si une personne était considérée comme présentant un risque trop élevé, elle pourrait être refusée, et ce serait une information que d'autres utiliseraient pour décider si et comment ils souhaitaient interagir avec elle.
Les critiques disent que cela pourrait fonctionner pour des personnes pacifiques et rationnelles, mais qu’en est-il des voleurs incorrigibles et des meurtriers à la hache ? Comment l’anarchie du marché les gérerait-elle ?
Murphy nous rappelle que « partout où quelqu’un se trouve dans une société purement libertaire, il se trouverait sur la propriété de quelqu’un ». Cela permet de recourir à la force contre les criminels sans violer leurs droits naturels.
La mafia va-t-elle prendre le dessus ? *
Les gens qui soutiennent l’État parce qu’ils croient que le crime organisé prendrait le contrôle d’une société AnCap devraient considérer que nous vivons déjà sous « l’association criminelle la plus « organisée » de l’histoire de l’humanité ». Quels que soient les crimes commis par la mafia, ils ne sont rien – rien – comparés à la mort gratuite et à la destruction perpétrées par les États.
RépondreSupprimerNous devons également considérer que la foule tire sa force du gouvernement et non du libre marché.
Toutes les activités traditionnellement associées au crime organisé – jeux de hasard, prostitution, usurpation de prêts, trafic de drogue – sont interdites ou fortement réglementées par l’État. Dans l’anarchie du marché, de vrais professionnels chasseraient ces concurrents sans scrupules.
Application d'AnCap
Murphy discute de plusieurs applications de l’anarcho-capitalisme dans le monde d’aujourd’hui, dont l’autorisation médicale. Presque tout le monde croit que sans réglementation gouvernementale, nous serions tous à la merci des charlatans.
Les consommateurs ignorants s'adresseraient au chirurgien du cerveau qui leur proposerait le prix le plus bas et seraient massacrés sur la table d'opération.
Nous avons donc besoin de la main de fer du gouvernement pour restreindre l’accès à la profession médicale.
Mais ceci est une pure fiction. Étant donné que la demande de médicaments sûrs et efficaces est universelle, le marché réagirait en conséquence avec des organisations bénévoles qui n'accepteraient que des médecins qualifiés dans leurs rangs. Les compagnies d’assurance, elles aussi, n’assureraient que les médecins répondant à leurs normes, car elles risqueraient de perdre des millions dans des poursuites pour faute professionnelle.
Concernant la controverse en cours sur le contrôle des armes à feu, Murphy voit des arguments légitimes dans les deux côtés du débat :
Nous ne pouvons certainement pas faire confiance au gouvernement pour nous protéger une fois qu’il nous a désarmés. Mais d’un autre côté, je me sens un peu idiot de prétendre que les gens devraient pouvoir stocker des armes atomiques dans leur sous-sol.
RépondreSupprimerComment AnCap pourrait-il résoudre ce problème ? Disons que Joe Smith souhaite qu’une compagnie d’assurance accepte de verser 10 millions de dollars à la succession de toute personne que Smith tuerait. "La société sera très intéressée de savoir si Smith conserve des fusils à canon tronqué – sans parler des armes atomiques – dans son sous-sol." De cette manière, les armes véritablement dangereuses seraient réservées à ceux qui seraient prêts à payer le prix fort pour les posséder.
Y arriver à partir d'ici
La création d’une société AnCap dépend fortement de l’histoire de la région. Les anarchistes nord-coréens du marché, par exemple, pourraient devoir recourir à la violence pour mettre un terme à ce régime brutal, tandis qu’aux États-Unis, « une érosion progressive et ordonnée de l’État est une merveilleuse possibilité ».
La seule chose que toutes ces révolutions auraient en commun est l’engagement de l’écrasante majorité en faveur d’un respect total des droits de propriété.
Nous pouvons nous appuyer sur des notions intuitives de justice, tout comme les mineurs nouvellement arrivés en Californie ont respecté les revendications des premiers colons.
Pour prendre un exemple plus moderne, même les durs des quartiers défavorisés obéissent sans réfléchir aux « règles » lors d’un match de basket-ball, malgré l’absence d’arbitre.
Conclusion
RépondreSupprimerCeux qui défendent l’État comme étant nécessaire à la protection des droits de propriété devraient réviser leur histoire. Alors que Murphy termine,
Je demande au lecteur de résister à la tentation de rejeter mes idées comme étant « irréalisables », sans préciser au préalable dans quel sens le système juridique gouvernemental « fonctionne ».
* Voir « Mais les seigneurs de guerre ne prendraient-ils pas le relais ? » de Murphy
https://www.lewrockwell.com/2024/05/george-f-smith/can-we-secure-property-rights-without-the-state/
Le paradoxe des hypercars
RépondreSupprimerYannick Harrel
le 22 mai 2024
Il a déjà été loisible de démontrer que l’action des autorités européennes, et par capillarité, nationales et locales, est désormais de faciliter la transition vers une société d’immobilité en passant par une phase transitoire de démobilité.
Des individus contraints par autorisation dans leur pouvoir de déplacement est l’une des manifestations d’une société post-démocratique. Quel rapport avec les hypercars ? Celui de ne pouvoir profiter d’un bien dont l’usage de destination est dévoyé par les interdictions ou les autorisations ciblées, et de transformer volens nolens un objet circulant en un bien patrimonial statique et non mobile.
L’hypercar, paragon de la nouvelle démobilité
S’il est désormais acquis que chaque heureux détenteur d’une hypercar se doit de l’entreposer en un lieu sécurisé (ne serait-ce que par obligation assurantielle), il est désormais tout autant acquis qu’en seconde main, elle n’aura guère effectué plus d’une poignée de kilomètres, garantissant ainsi un prix de revente élevé. Ce qui devient dès lors contradictoire puisque moins un véhicule roulera, plus il augmentera sa valeur. Un véhicule qui n’aura pour seule et unique histoire que d’être resté stationnaire toute sa vie : lorsque le monde de l’hyper-richesse rejoint celui de l’hyper-écologisme.
Il suffit de feuilleter certaines revues spécialisées ou bien de compulser les pages d’ouvrages de collection pour découvrir des noms et des chiffres à faire tourner les têtes. Petit inventaire à la Prévert :
Bugatti Veyron Super Sport, 48 exemplaires, 1 100 000 euros
Aston Martin One 77, 77 exemplaires, 1 200 000 euros
Lamborghini Veneno, 12 exemplaires, 3 000 000 euros
Ferrari LaFerrari, 499 exemplaires, 1 000 000 euros
Apollo Intenza Emozione, 10 exemplaires, 2 300 000 euros
Mercedes AMG One, 275 exemplaires, 2 270 000 euros
Italdesign Zerouno, 10 exemplaires, 1 500 000 euros
Ferrari Daytona SP3, 599 exemplaires, 2 000 000 euros
Pagani Huayra R, 30 exemplaires, 2 600 000 euros
Bugatti Chiron Noire, 20 exemplaires, 3 000 000 euros
Bugatti Chiron La Voiture Noire, 1 exemplaire, 15 000 000 euros
Et cette liste ne saurait être exhaustive au regard – toujours paradoxal – de l’inflation des modèles d’exception. De même que le prix est le plus souvent approximatif, puisqu’il ne comprend pas les options sur mesure qui peuvent faire conséquemment gonfler la note, de même que les taxes locales (douanières et/ou écologiques).
La vraie problématique n’est pas que des individus disposant de moyens financiers suffisants (souvent plus que largement) les autorisent à acquérir de tels biens, mais que sitôt leur livraison effectuée, ils rejoignent un garage d’où ils ne sortiront que pour se dégourdir très superficiellement les jantes.
Car si dans les années 1950 puis 1960, des propriétaires aisés pouvaient s’adonner à la conduite de ces engins sportifs, parfois avec une passion mortellement effrénée (comme le démontrent les destins tragiques de James Dean, Roger Nimier, Jean-René Huguenin ou Jayne Mansfield), ceux-ci filaient sur les routes ordinaires et ne sommeillaient pas dans un écrin fortifié et aseptisé.
RépondreSupprimerPeut-on aujourd’hui s’imaginer que des Ferrari 250 GTO, des Porsche 911 Carrera RS, des Mercedes-Benz 190 SL ou encore des Maserati 3500 GT étaient employés de façon quotidienne par leur possesseur, et ce dans un rayon dépassant allègrement les « ghettos de riches » ? Impensable à ce jour, tant les restrictions légales sont pléthoriques, les polices d’assurance draconiennes et les ouvrages d’art sur les voies de circulation destructeurs. Sans omettre le cas des acheteurs de plus en plus incultes, n’ayant ni respect pour la marque ni même intérêt pour le monde automobile, et de ce fait focalisant leur intérêt d’achat par une démonstration ostentatoirement maladroite de leur fortune. Et pourtant, par leur passé, combien d’enfants, dans les villes et les campagnes, ont été émerveillés du passage d’une Ferrari, d’une Porsche, d’une Maserati ou d’une Aston Martin, déclenchant même parfois une vocation de pilote, de mécanicien, d’ingénieur ou d’entrepreneur ?
Mention spéciale à cette déviance avec la pourtant mécaniquement fabuleuse Lykan de chez l’émirati W Motors (dont la base de travail découle de la musculeuse RUF CTR3, ainsi que d’une étude de style de chez Studio Torino). Le prix de cette beauté ? 3,4 millions de dollars qui se justifient par… l’incrustation dans les phares de 440 diamants avec la possibilité d’insérer au sein de l’habitacle les pierres précieuses de son choix ! Seulement sept exemplaires au monde dont une unité acquise par… la police d’Abu Dhabi.
La liberté de circuler : la vraie richesse
La problématique de fond est que plus les fortunes grandissent, plus elles s’entichent d’objets dont elles n’auront jamais l’usage plaisir et l’attachement sentimental. Des collectionneurs comme les regrettés Pierre Bardinon ou Michel Hommell en France ont œuvré afin que chaque pièce de leur collection soit en mesure de pouvoir circuler : il ne s’agissait pas seulement de les admirer statiquement, mais de les sentir vivre au contact de l’asphalte. Cette génération de collectionneurs est en passe de disparaître au profit d’une autre génération qui n’a que peu d’égard à la fois pour l’histoire de l’automobilité et aucune pour la liberté de circuler sur route (hélicoptères et jets palliant ce besoin).
RépondreSupprimerL’automobile à ses extrêmes est devenue soit un objet anonyme de pure valorisation patrimoniale soit un « déplaçoir » anonyme. C’est la conséquence concomitante d’un raidissement légal fondé philosophiquement sur l’éleuthérophobie couplé à l’avènement d’une génération d’hyper-riches mais hyper-creux sans affect pour les biens possédés. Reste fort heureusement des personnalités qui tentent sur divers réseaux sociaux de sensibiliser les jeunes générations quant à cette vraie richesse qu’est la liberté, et notamment celle de circuler.
Pour terminer sur une note positive : une pensée pour l’émission « Vilebrequin » animée par Sylvain Lévy et Pierre Chabrier qui a énormément contribué à populariser les mécaniques nouvelles et anciennes auprès des plus jeunes. Et cela continue avec d’autres passionnés, chacun avec leur style, comme POA, GMK ou Thierry Vigneau Boiserie. Car une fois encore, thermique ou électrique, l’automobile doit rester au nom de la liberté modale une possibilité offerte à tous, selon ses moyens et ses envies.
La liberté de circuler, telle est la vraie richesse.
https://www.contrepoints.org/2024/05/22/474658-le-paradoxe-des-hypercars
Sans oublier les Packards, les Oldsmobiles, les Cadillacs, LaSalles, Buicks, Lincolns, les Chevrolets, les Fords Thunderbirds (de Thelma & Louise), les Triumph et la DeLorean de 'Retour vers le futur' ! ÂÂâah que de beaux modèles au bon temps où ils savaient faire ! Dessiner et construire des modèles d'exception ! Regardez les parkings et les routes d'aujourd'hui: rien que des MERDES ! Des merdes les une derrière les autres !
SupprimerRegardez les décorations des camions Américains ! Des pin-up, des ours, des lions, des acteurs de cinéma peints à l'aérographe puis vernis véhicule par dessus ! Superbe ! Extraordinaire ! 'Remplacés' aujourd'hui par des merdes d'adhésifs collés sur les carrosseries !
Aujourd'hui les ingénieurs ne savent plus rien faire ! DES CONS ! Ils ne suivent pas les demandes, les désirs du Peuple mais les ordres donnés par les dictateurs au pouvoir !
Construction d'un nouveau poulailler XXL en Allemagne : c'est ainsi que le vainqueur du CERES veut élever 120.000 poules pondeuses bio
RépondreSupprimer22 Mai 2024
Martina Hungerkamp, AGRARHEUTE*
Outre les oies, M. Lorenz Eskildsen, lauréat du CERES Award, élève également des poules pondeuses bio. Il souhaite étendre l'élevage de poules pondeuses bio à l'avenir.
Le lauréat du CERES Award** Lorenz Eskildsen souhaite quadrupler sa production d'œufs bio en Saxe. Pour cela, il souhaite impliquer tout le monde dès le début, y compris les riverains.
Ma note : En France, un poulailler de 40.000 places est, quasi par définition, un « méga-poulailler » qui, bien sûr, ne saurait voir le jour. Selon les normes françaises du bio, un élevage de 120.000 poules nécessiterait au minimum 48 hectares de parcours.
M. Lorenz Eskildsen élève déjà 30.000 poules pondeuses bio à Süptitz près de Torgau (Saxe). Selon un reportage du MDR, l'éleveur de volailles CERES AWARD de l'année 2023 souhaite désormais construire de nouveaux poulaillers et élever au total 120.000 poules pondeuses bio sur ce site.
M. Lorenz Eskildsen est conscient que ce projet ne fait pas l'unanimité. C'est pourquoi, afin d'enthousiasmer le plus grand nombre de personnes possible pour son projet de construction et d'extension de l'exploitation, il fait par exemple participer les riverains dès le début.
Un aviculteur cherche le dialogue avant la construction d'un nouveau poulailler XXL
L'aviculteur souhaite éviter autant que possible les ennuis avec les voisins de son exploitation de poules pondeuses bio. « Nous vivons dans une communauté, nous sommes ici entre nous et si on veut faire quelque chose, nous devons emmener les gens avec nous », explique M. Lorenz Eskildsen à la chaîne de télévision MDR. C'est pourquoi il cherche le dialogue avant même d'avoir acheté le terrain nécessaire.
Il a également invité à une journée portes ouvertes. Une vingtaine d'habitants de Süptitz ont répondu à l'invitation et sont venus s'informer. Leurs plus grandes préoccupations sont le bruit éventuel et le fumier qui en résultera. Certains craignent en outre d'éventuelles épizooties ainsi que le défrichement de la forêt.
L'éleveur de poules pondeuses mise sur les évolutions techniques
M. Lorenz Eskildsen prend ces inquiétudes au sérieux. Il a déjà décidé de planifier les éventuels nouveaux poulaillers de poules pondeuses bio plus loin du village. Il mise en outre sur le progrès technique. Il est prêt à essayer de nouvelles technologies.
Mais de toute façon, rien n'est encore décidé. L'aviculteur n'a pas acheté les surfaces nécessaires à l'extension de son élevage de volailles, ni déposé de demande de permis de construire.
RépondreSupprimer_______________
* Martina Hungerkamp travaille chez AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média dans la rubrique élevage. Elle écrit principalement sur l'élevage d'animaux de rente, de préférence sur les porcs et la volaille.
** Le CERES Award est une distinction qui récompense les performances exceptionnelles des agriculteurs en Allemagne et dans les autres pays européens dans sept catégories. Ce prix offre une plate-forme très visible pour mettre en avant les compétences et les réalisations importantes des agriculteurs.
Source : XXL-Stallneubau: So will CERES-Sieger 120.000 Bio-Legehennen halten | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2024/05/construction-d-un-nouveau-poulailler-xxl-en-allemagne-c-est-ainsi-que-le-vainqueur-du-ceres-veut-elever-120.000-poules-pondeuses-bio.html
48 ha = 480 000 m² pour 120 000 poules = 4 m² par poule.
SupprimerReste à savoir si c'est sur béton ou sur l'herbe.
Les poules marchent. Elles parcourent plus de 1 ha (10 000 m²) par jour.
La technologie est sur le point de devenir l’amie des matières premières et l’ennemi juré de la désinflation
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 22 MAI 2024 - 13H20
Rédigé par Simon Black, stratège macro de Bloomberg,
La demande croissante d’énergie et de matières premières provenant de nouvelles technologies telles que l’IA générative et les véhicules électriques sera probablement un vent favorable à long terme pour les matières premières et donc un obstacle au retour à un régime d’inflation faible et stable. Les valeurs énergétiques devraient surperformer.
La technologie a soif de pouvoir.
Au sens figuré, bon nombre des plus grandes entreprises qui président des monopoles en possèdent déjà une grande quantité. Mais littéralement, le besoin en énergie pour faire fonctionner les modèles d’IA et les centres de données augmente rapidement. L’AIE estime que la demande mondiale d’électricité provenant de l’IA, des centres de données traditionnels et des crypto-monnaies pourrait presque doubler dans son scénario de base et connaître une augmentation de près de 150 % dans son scénario haut d’ici 2026.
- voir graph sur site -
Source : AIE
Cela exercera une pression considérable sur les réseaux électriques occidentaux, qui fonctionnent déjà presque à pleine capacité, et entraînera une augmentation de la demande de pétrole et de gaz.
Le problème est aggravé par l’engagement de nombreuses grandes entreprises technologiques à devenir sans carbone d’ici 2030 (plusieurs sont déjà neutres en carbone). Cela signifie qu’ils ont besoin d’une part croissante de leur énergie provenant de sources renouvelables, telles que l’énergie éolienne et solaire, ce qui exerce une pression sur les prix des matières premières telles que le cuivre et l’argent.
Les matières premières sont déjà en hausse cette année. L'indice Bloomberg Commodities est en hausse de près de 12 % depuis février, tandis que presque tous les principaux contrats à terme sur matières premières négociés en bourse ont augmenté au cours des trois derniers mois. Les matières premières non négociées en bourse ont également commencé à augmenter.
Nous pourrions bientôt être à l’aube d’une autre augmentation de l’inflation liée aux matières premières, similaire à celle de 2020/2021, si les hausses de prix se poursuivent.
Cela devrait également être bénéfique pour les valeurs énergétiques.
RépondreSupprimerLes plus fortes hausses de l’IPC au cours des 80 dernières années, dans les années 1940, 1970 et 2020, ont vu le secteur des actions énergétiques dominer le marché.
Une meilleure efficacité en matière de production d’énergie et de consommation d’énergie pourrait atténuer une partie de la demande expansive attendue de la part des entreprises technologiques. Mais comme le montre la récente compression de l’offre sur le cuivre, les goulots d’étranglement constituent un risque permanent dans l’ensemble du complexe des matières premières.
Avec un IPC déjà élevé et des attentes de croissance des prix en hausse, il n’en faudrait pas beaucoup pour que le mal de tête inflationniste des banques centrales se transforme en migraine.
https://www.zerohedge.com/markets/tech-poised-be-commoditys-friend-and-disinflations-nemesis
Visualiser les principales exportations des pays européens
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 22 MAI 2024 - 11H45
L’Union européenne (UE) exporte chaque année plus de 6 000 milliards de dollars de produits. Le bloc possède une économie diversifiée qui englobe les industries pétrolières et minérales, l’automobile, les vaccins et la technologie.
Sur cette carte, Bruno Venditti de Visual Capitalist présente les principales exportations des pays de l'Union européenne en 2022.
- voir carte sur site -
Les données de la carte proviennent de l’Observatoire de la complexité économique.
Les voitures et le pétrole dominent les exportations de l’UE
La Belgique, la Bulgarie, la Croatie, la Finlande, la Grèce, la Lituanie, la Suède et les Pays-Bas ont le gaz de pétrole ou le pétrole raffiné comme principal produit d'exportation.
Les Pays-Bas ont exporté pour 68,1 milliards de dollars de pétrole raffiné en 2022, se classant au troisième rang des plus grands exportateurs mondiaux. Le pays abrite la raffinerie BP Rotterdam, la plus grande raffinerie de pétrole d'Europe.
Pays Principales exportations (2022) Valeur (en milliards USD)
🇦🇹 Voitures autrichiennes 7,7 milliards de dollars
🇧🇪 Gaz de pétrole belge 54,7 milliards de dollars
🇧🇬 Pétrole raffiné en Bulgarie 3,5 milliards de dollars
🇭🇷 Pétrole raffiné en Croatie 1,5 milliard de dollars
🇨🇾 Navires de passagers et de marchandises chypriotes 1,3 milliard de dollars
🇨🇿 Voitures en République tchèque 25,5 milliards de dollars
🇩🇰 Danemark Médicaments emballés 15,9 milliards de dollars
🇪🇪 Estonie Électricité 1,1 milliard de dollars
🇫🇮 Pétrole raffiné de Finlande 6,9 milliards de dollars
🇫🇷 France Avions, hélicoptères et/ou engins spatiaux 26,6 milliards de dollars
🇩🇪 Voitures allemandes 149,0 milliards de dollars
🇬🇷 Pétrole raffiné en Grèce 16,4 milliards de dollars
🇭🇺 Voitures hongroises 12,3 milliards de dollars
🇮🇪 Irlande Vaccins 47,3 milliards de dollars
🇮🇹 Italie Médicaments emballés 34,4 milliards de dollars
🇱🇻 Bois scié de Lettonie 1,2 milliard de dollars
🇱🇹 Pétrole raffiné en Lituanie 5,5 milliards de dollars
🇱🇺 Le fer luxembourgeois bloque 1,6 milliard de dollars
🇲🇹 Circuits intégrés de Malte 1,1 milliard de dollars
🇳🇱 Pétrole raffiné aux Pays-Bas 68,1 milliards de dollars
🇵🇱 Pologne Voitures (pièces et accessoires) 15,3 milliards de dollars
🇵🇹 Voitures portugaises 4,4 milliards de dollars
🇷🇴 Voitures roumaines 6,7 milliards de dollars
🇸🇰 Voitures slovaques 26,9 milliards de dollars
🇸🇮 Slovénie Médicaments emballés 12,5 milliards de dollars
🇪🇸 Voitures espagnoles 33,6 milliards de dollars
🇸🇪 Pétrole raffiné en Suède 12,9 milliards de dollars
Outre le pétrole, les automobiles (et leurs pièces détachées) contribuent de manière significative à l’économie de l’UE. L'Autriche, la République tchèque, l'Allemagne, la Hongrie, le Portugal, la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie et l'Espagne comptent les produits automobiles parmi leurs principales exportations.
RépondreSupprimerAvec des marques automobiles bien connues telles que Volkswagen, BMW, Mercedes-Benz, Audi et Porsche, l'Allemagne génère à elle seule environ 150 milliards de dollars par an grâce aux exportations automobiles.
D'autres produits contribuent à diversifier l'économie de l'UE. Les principales exportations de la France sont les avions, les hélicoptères et/ou les engins spatiaux, tandis que l’Italie et le Danemark excellent dans l’industrie des médicaments conditionnés. L'Irlande possède une industrie pharmaceutique importante, abritant de grandes entreprises telles que Pfizer, Johnson & Johnson, Merck et Novartis.
https://www.zerohedge.com/economics/vitalik-buterin-stresses-ai-risks-amid-openai-leadership-upheaval
Le gouverneur de Californie intensifie la guerre contre l’essence, affectant les États voisins
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 21 MAI 2024 - 20H25
Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,
Préparez-vous à payer 1 $ de plus par gallon en Californie, avec des prix plus élevés au Nevada et en Arizona également.
- voir carte sur site -
La guerre contre l’essence, un cadeau pour Trump
Le Wall Street Journal affirme que la guerre contre l’essence de Gavin Newsom est un cadeau pour Donald Trump.
Les prix en Californie sont les plus élevés du pays – 5,21 dollars le gallon en moyenne contre 3,59 dollars à l’échelle nationale – en raison de taxes élevées et de réglementations lourdes, telles que son programme de plafonnement et d’échange et sa norme sur les carburants à faible teneur en carbone. Voici le problème : les raffineries californiennes fournissent près de 90 % de l’essence du Nevada et la moitié de celle de l’Arizona.
M. Newsom intensifie sa guerre contre l’industrie. La Commission californienne de l’énergie prévoit d’imposer une taxe sur les « marges brutes » des raffineries, c’est-à-dire la différence entre les prix de gros de l’essence et du brut plus certains coûts réglementaires. La marge brute n’inclut notamment pas les coûts d’exploitation des raffineurs, qui incluent la rémunération des salariés.
M. Newsom confond bénéfices et marges brutes. Selon les données de la commission, les raffineurs ont perdu entre 10 et 38 cents sur chaque gallon produit d’octobre 2023 à février 2024, tandis que leurs marges brutes variaient entre 56 et 79 cents le gallon. En décembre, les raffineries californiennes ont perdu 31 cents le gallon tandis que l'État imposait 1,15 $ le gallon en taxes et frais réglementaires.
Les escrocs des prix à Sacramento veulent désormais pénaliser encore plus les conducteurs. M. Newsom pousse la commission à finaliser la taxe sur les raffineries au moment même où le California Air Resources Board, ou CARB, se prépare à resserrer sa norme sur les carburants à faible teneur en carbone et son plafond d'émissions de gaz à effet de serre. Ces réglementations ajoutent environ 54 cents au prix de chaque gallon d'essence. Les règles du CARB augmenteront le coût d’environ 88 cents le gallon en 2026 et de 1,01 $ d’ici 2031.
Le gouverneur du Nevada, Joe Lombardo, a envoyé la semaine dernière à M. Newsom une lettre exprimant sa crainte que la nouvelle taxe et la nouvelle réglementation « conduisent à des approvisionnements limités et à des coûts de carburant plus élevés pour les consommateurs de nos deux États ». La réponse de M. Newsom ? Une autre déviation. Il a accusé M. Lombardo de répéter les « arguments » des « grands donateurs du pétrole ».
RépondreSupprimerL’Arizona et le Nevada évoluent de plus en plus dans la direction de M. Trump, alors que les Hispaniques de la classe ouvrière subissent le poids des politiques de l’administration Biden. Beaucoup ont émigré de Californie et, comme les émigrés américains des pays socialistes, ils ne veulent pas revivre la misère de leurs anciennes terres.
Essence Top Six (Gallon de 3,78 litres)
Californie : 5,21 $
Washington : 4,60 $
Oregon : 4,38 $
Nevada : 4,38 $
Alaska : 4,35 $
Arizona : 3,90 $
La Californie paie 1,62 $ de plus que la moyenne nationale et 0,61 $ de plus que Washington, le deuxième État le plus élevé.
Malgré la perte d’argent des raffineurs, Newsom demande de nouvelles taxes, ce qui suscite une plainte du Nevada.
Si j’étais raffineur, je quitterais cet enfer et laisserais la Californie se débrouiller seule.
L’UE dépense des milliards pour l’hydrogène
- voir carte sur site -
De l’autre côté de l’océan Atlantique, l’UE dépense des milliards pour l’hydrogène, mais où est l’hydrogène ?
Je suis tout à fait favorable aux centrales à hydrogène pour produire de l’électricité, si seulement nous avions de l’hydrogène bon marché. Mais nous ne le faisons pas et ne le ferons probablement pas.
https://www.zerohedge.com/energy/california-governor-escalates-war-gasoline-impacting-neighboring-states
Des images insensées montrent une tornade détruisant un parc éolien dans l’Iowa
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 22 MAI 2024 - 02H55
Des images choquantes de l'Iowa ce soir montrent plusieurs tornades faisant des ravages sur d'énormes éoliennes. Cela nous rappelle encore une fois que le vent n’est pas une source d’énergie fiable.
- voir doc sur site -
Voici la suite.
Scènes apocalyptiques entre Carbon et Greenfield, Iowa. Plusieurs éoliennes complètement déchiquetées, une en feu, des souches de poteaux électriques laissées sur place et des poteaux entiers disparus. Forte tornade forte. pic.twitter.com/POvHZf5QXL
– Andrew Pritchard (@skydrama) 21 mai 2024
- voir doc sur site -
Il y a deux mois, une ferme solaire au Texas comportant des centaines d’acres de panneaux au sol a été détruite par une tempête de grêle.
- voir photos sur site -
Panneaux brisés par la grêle dans la ferme solaire du comté de Fort Bend, Texas (FOX26 et Houston KRIV via Fox News)
Malgré les défis et les risques évidents, les gauchistes radicaux continuent d’injecter des milliards de dollars de l’argent des contribuables dans une énergie verte peu fiable.
...et un timing parfait ! "Twisters", une suite autonome du film "Twister" de 1996, devrait faire ses débuts cet été.
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/weather/insane-footage-shows-tornado-destroying-wind-farm-iowa
Une réussite agricole brésilienne qui protège la forêt
RépondreSupprimer19 Mai 2024
Vicente Bissoni Neto, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Le Brésil compte plus d'arbres que n'importe quel autre pays, à l'exception de la Russie, mais lorsque nos immenses forêts font la une des journaux, c'est généralement à cause de la « déforestation ».
Mon pays et sa région amazonienne sont si vastes qu'il est presque impossible de savoir ce qui se passe réellement, même si le gouvernement tente de produire des données et que les médias publient des articles. Malgré cela, je me réjouis d'apprendre que dans mon pays, la déforestation a récemment atteint son niveau le plus bas depuis cinq ans.
Ce qui est absent de nombreux comptes rendus populaires, c'est l'ampleur des efforts déployés par les agriculteurs comme moi pour défendre les forêts brésiliennes et promouvoir la biodiversité. En réalité, alors que beaucoup pensent que nous faisons partie du problème, les agriculteurs sont en fait la clé de la solution.
Notre exploitation est une entreprise familiale multigénérationnelle qui existe depuis 48 ans dans l'État méridional du Mato Grosso, à la frontière du Paraguay. La région est une zone de transition qui mêle des forêts à une savane tropicale connue sous le nom de Cerrado. Nous avons la chance de bénéficier d'un sol riche et d'une incroyable diversité végétale et animale.
Nous cultivons du maïs et du soja et élevons du bétail sur des milliers d'hectares. Nous sommes également une entreprise de transport avec environ 300 camions et des ventes de gazole.
Chaque jour, nous nous efforçons de produire de manière durable autant de nourriture que possible à partir des champs que nous cultivons. Grâce à des technologies modernes telles que les OGM et une mécanisation précise, nous obtenons les meilleurs rendements de l'histoire de l'agriculture.
Il s'agit d'une réussite mondiale : les agriculteurs n'ont jamais été aussi productifs qu'aujourd'hui. Nous produisons plus de nourriture sur moins de terres que jamais auparavant. Rien n'est plus important pour la cause de la conservation que de continuer à s'améliorer.
Dans notre ferme, nous avons adopté le semis direct, qui maintient la fertilité du sol, le protège de l'érosion et renforce la biodiversité. Nous utilisons des outils de protection des cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les parasites et les maladies. Nous avons également mis en place une stratégie d'intégration des cultures et des pâturages qui permet à nos cultures et à notre bétail de travailler ensemble et de tirer le meilleur parti de la terre grâce à une intensification durable.
Nous commençons actuellement à mettre en place un programme de reboisement qui nous permettra d'émettre des crédits carbone sur le marché.
Chacun de ces choix rend les forêts brésiliennes plus sûres.
Malgré tout ce que nous faisons pour tirer le meilleur parti de nos terres tout en protégeant l'environnement, le Brésil pourrait faire mieux. Nous manquons encore de nombreuses infrastructures de base que les agriculteurs d'autres pays considèrent comme acquises. Un plus grand nombre de routes asphaltées réduirait notre consommation de carburant et les émissions qui y sont associées. L'expansion des réseaux 4G encouragerait l'utilisation des technologies les plus performantes et les plus récentes dans nos champs.
Ces objectifs dépassent les capacités d'une seule exploitation agricole. Il faut un effort collectif, mené par un gouvernement déterminé à agir.
RépondreSupprimerUn autre type d'inaction menace également les forêts brésiliennes : l'inefficacité bureaucratique du gouvernement. L'obtention des autorisations pour les zones de préservation et les réserves légales peut prendre une décennie.
La première étape de cette épreuve compliquée est le dépôt d'une demande par un agriculteur. Vient ensuite une étude basée sur des images satellites et des visites de sites, suivie d'évaluations environnementales qui peuvent ordonner la préservation de 35 % ou de 80 % des terres. Vient ensuite une longue période de négociations portant sur les questions de déforestation, de reboisement et d'indemnisation.
D'ailleurs, tout cela se fait essentiellement sur papier. L'agence chargée de ces questions ne dispose pas encore d'un système informatique adéquat.
Le chaos qui en résulte crée de nombreuses occasions pour les exploitations illégales d'enfreindre la loi et contribue à la déforestation que le gouvernement dit vouloir stopper.
Ma propre exploitation agricole respecte la loi. Nous respectons les règles, même lorsque nous les trouvons frustrantes. Les personnes qui refusent de faire de même ne sont pas de vrais agriculteurs. Ce sont des criminels et ils doivent être traités comme tels. Il y a des criminels dans tous les domaines de la société, bien sûr, de l'industrie automobile aux banques en passant par le gouvernement lui-même.
Le Brésil abrite environ un huitième des forêts du monde. Je suis l'un des nombreux agriculteurs qui aimeraient que cela reste ainsi, et nous y parviendrons si le gouvernement et les médias nous traitent comme des partenaires plutôt que comme des ennemis.
Nous sommes prêts à collaborer.
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* Vicente Bissoni Neto
Vicente Bissoni Neto produit du soja et du maïs, gère un élevage de bovins, vend du gazole et possède une entreprise de transport par camions.
Source : A Brazilian Farm Success Story Protecting the Forest – Global Farmer Network
https://seppi.over-blog.com/2024/05/une-reussite-agricole-bresilienne-qui-protege-la-foret.html
Grâce à l'arrachage des arbres improductifs et jugés inutiles par la population, d'immenses parcelles de terres nourricières sont désormais mises à disposition des 'bouches inutiles' selon d'autres. La déforestation contribue dans un sens à fabriquer moins de meubles et d'objets divers mais gagne cet actif de nourrir le monde. Cet autre sens est primordial à l'heure où le programme de 'Dépopulation21' est en marche.
Supprimer'L'imagerie' pour les personnes non-instruites de la forêt qui nous fournirait l'oxygène de quoi vivre est passée aux derniers échelons des leçons de cours préparatoires car, il faudrait toute une forêt pour fournir assez d'oxygène à une seule personne.
D'une part l'oxygène présent dans notre atmosphère est fourni par la combustion magmatique continuelle depuis des milliards d'années et, d'autre part l'oxygène vient du gaz carbonique absorbé par le phytoplancton présent à la surface des eaux qui transforme d'une part ce gaz en nano-particules de carbone (charbon) et, d'autre part transforme ce 'CO2' (C = carbone, O2 = oxygène) en 31 % de l'oxygène terrestre.
Une nouvelle plate-forme de criblage de gènes pour améliorer la résistance des plantes aux maladies
RépondreSupprimer19 Mai 2024
ISAAA*
Des chercheurs de l'agence scientifique nationale australienne ont produit une plate-forme de criblage génétique pour aider à comprendre l'évolution de la virulence des agents pathogènes des plantes. Cette nouvelle méthode pourrait permettre de développer à l'avenir des cultures résistantes aux agents pathogènes.
La sélection de cultures résistantes aux maladies est essentielle pour stimuler la productivité agricole. Toutefois, ce processus est affecté par l'évolution rapide de la virulence des agents pathogènes. Pour résoudre ce problème, il est nécessaire de disposer d'une option de criblage à haut débit pour analyser et suivre l'évolution de la virulence des agents pathogènes.
Des scientifiques du CSIRO (Australie) ont mis au point une nouvelle plate-forme qui identifie les gènes de résistance (R) en interaction avec les gènes d'avirulence (Avr) dans les plantes. Cette plateforme peut être appliquée à de nombreux pathogènes végétaux. « Notre technologie de criblage avancée représente un saut technologique dans notre capacité à étudier les processus qui donnent aux plantes une résistance durable aux maladies, permettant de nouvelles stratégies génétiques pour sauvegarder la production agricole et la gestion des maladies en Australie et à l'étranger », a déclaré le Dr Peter Dodds, co-directeur du projet.
Pour plus d'informations, lisez l'article sur Nature Plants.
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* Novel Gene-Screening Platform to Enhance Disease Resistance in Plants- Crop Biotech Update (February 28, 2024) | Crop Biotech Update - ISAAA.org
Ma note : Voici le résumé (découpé) de « Pooled effector library screening in protoplasts rapidly identifies novel Avr genes » (le criblage d'une bibliothèque d'effecteurs regroupés dans des protoplastes permet d'identifier rapidement de nouveaux gènes Avr) de Taj Arndell, et. al. :
« La sélection des cultures pour une résistance durable aux maladies est un défi en raison de l'évolution rapide de la virulence des pathogènes.
Alors que les progrès dans le clonage et l'empilement des gènes de résistance (R) se sont accélérés ces dernières années, l'identification des gènes d'avirulence (Avr) correspondants dans de nombreux pathogènes est entravée par le manque d'options de criblage à haut débit.
Pour combler cette lacune technologique, nous avons mis au point une plate-forme de criblage de bibliothèques groupées dans des protoplastes de plantes afin de permettre l'identification rapide de paires R-Avr en interaction. Nous avons validé cette plate-forme en isolant des gènes Avr connus et nouveaux de la rouille noire du blé (Puccinia graminis f. sp. tritici) après avoir criblé une bibliothèque conçue d'effecteurs putatifs contre des gènes R individuels.
L'identification rapide des gènes Avr fournit des outils moléculaires permettant de comprendre et de suivre l'évolution de la virulence des pathogènes par le biais de la surveillance des génotypes, ce qui permettra d'optimiser les stratégies d'empilement et de déploiement des gènes R.
Cette plate-forme devrait être largement applicable à de nombreux pathogènes des cultures et pourrait potentiellement être adaptée au criblage de gènes impliqués dans d'autres caractères sélectionnables par protoplaste. »
https://seppi.over-blog.com/2024/05/une-nouvelle-plate-forme-de-criblage-de-genes-pour-ameliorer-la-resistance-des-plantes-aux-maladies.html
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