De quoi s'agit-il ? Dans son arrêt définitif du 21 août 2023, le Tribunal administratif de Berne a statué, suite à une plainte, qu'il n'existait pas de base légale pour l’activation d'une antenne de téléphonie mobile 5G adaptative avec facteur de correction sans nouvelle demande de permis de construire et sans publication publique. Il a annulé la décision de l'instance précédente, qui indiquait que, pour les antennes 5G adaptatives, aucune demande de permis de construire ni aucune publication publique n'était obligatoire. L'instance précédente doit clarifier cette question en détail et la réévaluer. Avec ces antennes adaptatives dotées d’une puissance d'émission accrue, des expositions aux rayonnements jusqu’à trois fois plus élevées que ce qui est autorisé, pourraient se produire, et ce, de manière limitée dans le temps et dans l'espace. Il convient de vérifier où et dans quelle mesure l’exposition aux rayonnements se produit. Rien que dans le canton de Berne, 386 antennes ont été omises. Elles émettent donc des rayonnements d'une intensité inconnue sans aucune base légale. La lettre des organisations mentionnées indique :
"Comme vous pouvez le constater sur la liste, des antennes adaptatives ont été mises en service de manière illégale aussi dans votre commune, sans demande de permis de construire ni publication avec le facteur de correction."
Elles demandent aux communes, en tant qu'autorité compétente en matière de police du bâtiment, de veiller d'office au retour à la légalité des antennes exploitées illégalement. Si les communes ne donnent pas suite à cette demande, les organisations se réservent le droit de porter plainte au pénal pour abus d’autorité et pour favoritisme envers le secteur de la téléphonie mobile. Ces incidents soulèvent quelques questions. Dans le cas des antennes 5G, des failles dans les dispositions légales de l'État de droit suisse auraient-elles été exploitées pour contourner le droit d'opposition de la population concernée ? Les modifications techniques des stations émettrices ont-elles été effectuées sans permis de construire, avec la pensée "on verra bien si quelqu'un s'en aperçoit et s'y oppose" ? Le lobby de la téléphonie mobile, puissant sur le plan financier et influent, a-t-il obtenu l'accord des autorités pour le développement des antennes et l’activation de la 5G sans la clarification nécessaire des niveaux de rayonnement ? Ce schéma est-il systématique, puisqu'il ne s'agit apparemment pas d'un cas isolé ? Cette pratique ne devrait-elle pas faire l'objet d'une enquête et révélée dans toute la Suisse ?
Comme Kla.TV l'a déjà documenté dans de nombreuses émissions, le thème de la téléphonie mobile montre malheureusement une fois de plus à quel point les droits démocratiques du peuple sont trahis par les élites économiques et de pouvoir. Les bénéficiaires du lobby de la téléphonie mobile semblent être très conscients des effets négatifs et nocifs du rayonnement 5G, et empêchent toute possibilité de résistance de la part de la population. Même les représentants élus du peuple font souvent partie du réseau des cercles de pouvoir mondiaux et sont soumis à leurs diktats.
Prenons l'exemple des mesures prises pendant la pandémie du Covid. Sous le prétexte de la protection de la santé, l'humanité entière a dû apprendre comment le droit en vigueur a été abrogé, pour ainsi dire, du jour au lendemain. Et ceux qui invoquaient le droit à l'intégrité physique, à la liberté d'expression, à la liberté de réunion, à la liberté économique, garantis par la Constitution, étaient exclus, diffamés, discriminés, voire poursuivis en justice. Malgré la défaillance de la politique et des autorités, documentée par des preuves, et malgré des plaintes en suspens, la justice n'a rendu pratiquement aucun jugement. On parle aujourd'hui à juste titre de "faillite juridique". Reconnaissez-vous les fils rouges qui mènent jusqu’à la Grande Réinitialisation ? Apprenez-en plus sur l'état d'avancement de la dépossession totale et progressive des êtres humains et sur la manière dont elle est promue et poursuivie - souvent de manière cachée et avec des mots bienveillants. Regardez les émissions de Kla.TV sur cette thématique sur www.kla.tv/expropriation. En cas d'infraction à la loi lors de l'exploitation d'antennes de téléphonie mobile, le peuple a toujours la possibilité de se défendre et de s'élever contre cette violation. Ne restez pas silencieux en cas de violation du droit, mais élevez également votre voix
de mfg Sources / Liens : Communiqué de l'association WIR: https://www.vereinwir.ch/baupolizeiliche-anzeige-gegen-den-betrieb-von-mobilfunkanlagen-ohne-baubewilligung/
Liste des émetteurs illégaux dans le canton de Berne : https://www.vereinwir.ch/wp-content/uploads/2024/02/Excel-Liste-AUE-MF-Anlagen-im-Kanton-BE.xlsx
Lettre de l'Office de l'environnement et de l'énergie de Berne avec liste de pièces jointes : https://www.vereinwir.ch/wp-content/uploads/2024/02/Brief-und-Liste-von-AUE-mit-386-rechtswidrig-in-Betrieb-genommenen-MF-Anlagen-im-Kanton-BE1.pdf
Arrêt du Tribunal administratif du canton de Berne du 21 août 2023, n°100.2021.300U : https://www.vg-urteile.apps.be.ch/tribunapublikation/?dec=cd56707476c14d6aa8289a74ba5856fa&index=VG&locale=de
Médicaments courants pour le TDAH liés à un risque accru de glaucome
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 17 MAI 2024 - 09H30 Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Les médicaments couramment prescrits pour traiter le trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité (TDAH) sont associés à un risque accru de glaucome, selon une étude canadienne récente.
Le glaucome est une maladie oculaire évolutive qui entraîne une perte de vision. Le glaucome à angle fermé est un sous-type qui contre-indique les médicaments populaires contre le TDAH.
Le Dr Rami Darwich, résident en ophtalmologie et auteur principal de l’étude, a déclaré à Epoch Times que l’étude « n’établit pas de lien de causalité mais met plutôt en évidence un risque élevé de glaucome ».
Médicaments courants contre le TDAH
De nombreux médicaments populaires contre le TDAH sont des médicaments sympathomimétiques, ce qui signifie qu'ils activent le système nerveux sympathique pour aider les gens à se concentrer. Cependant, leurs effets en aval peuvent contribuer par inadvertance à une pression oculaire élevée.
Une pression oculaire élevée est un facteur de risque important de glaucome, bien que le Dr Darwich ajoute que certains glaucomes se sont développés même sans changements de pression significatifs au cours des dernières années.
Les médicaments courants contre le TDAH comprennent des stimulants sympathiques tels que le méthylphénidate et les amphétamines. Ce sont souvent des traitements de première intention pour les personnes atteintes de TDAH en raison de leur plus grande efficacité. Les psychostimulants sont efficaces pour environ 70 pour cent des patients atteints de TDAH.
Les médicaments non sympathomimétiques, tels que l’atomoxétine, augmentent les substances chimiques présentes dans le cerveau pour l’aider à fonctionner et à se concentrer. L'atomoxétine est généralement prescrite lorsque le patient ne répond pas aux médicaments de première intention.
Les auteurs de l'étude ont suivi 240 257 sujets nouvellement prescrits qui prenaient du méthylphénidate, des amphétamines, de l'atomoxétine ou une combinaison de ces médicaments pendant un an ou plus.
Les participants à l’étude ont ensuite été suivis et comparés à des personnes n’ayant pas pris de médicaments contre le TDAH afin de déterminer les risques de glaucome.
Les personnes prenant des amphétamines et de l'atomoxétine présentaient un risque plus élevé de glaucome à angle fermé (ACG), tandis que celles prenant du méthylphénidate présentaient un risque plus élevé de glaucome à angle ouvert (GAO).
Nos yeux sont constitués de fluides. En comparant les yeux d’une personne à un évier, le Dr Darwich a expliqué que l’ACG se produit lorsque « le tuyau de drainage de l’évier est obstrué, provoquant une accumulation soudaine d’eau (le liquide à l’intérieur de vos yeux). »
Avec OAG, « le tuyau de drainage est ouvert, mais c’est comme s’il était bouché ou étroit, donc l’eau (le liquide à l’intérieur de votre œil) s’écoule trop lentement », a-t-il déclaré.
On peut ressentir « des douleurs oculaires sévères, des maux de tête et une vision floue » avec l’ACG. « Vous pouvez avoir l’impression qu’une pression s’accumule dans vos yeux. »
L’OAG est plus chronique et ne présente pas de symptômes visibles au début. Au fil du temps, des taches aveugles peuvent apparaître en périphérie, qui peuvent alors progresser vers le centre de la vision. Cependant, une grande partie des dommages oculaires ont déjà été causés à ce stade.
Les auteurs ont également noté que l’atomoxétine et les amphétamines étaient faiblement liées au développement de l’OAG, bien qu’ils aient déclaré que la corrélation n’était pas statistiquement significative.
Comment les médicaments contre le TDAH contribuent au glaucome
Les auteurs ont été surpris que le méthylphénidate ne soit pas fortement lié à l'ACG, contre-indiqué par les psychostimulants qui activent le système nerveux.
En général, les médicaments sympathomimétiques tels que le méthylphénidate et les amphétamines ne sont pas recommandés aux personnes atteintes d'ACG connue ou suspectée.
Étant donné que ces médicaments activent le système nerveux sympathique – le système qui prépare le corps au combat ou à la fuite – les pupilles se dilatent, ce qui peut obstruer mécaniquement la voie naturelle de drainage de l’œil. Cette accumulation de liquide peut augmenter la pression oculaire et endommager les nerfs optiques, provoquant un glaucome et une perte de vision progressive.
L'OAG est plus courant que l'ACG, bien qu'il présente un risque plus faible de perte de vision et que son lien avec les médicaments contre le TDAH ne soit pas bien établi.
Le méthylphénidate, le médicament qui augmente le risque d'OAG, s'est également révélé toxique pour les cellules oculaires. Les trois médicaments étudiés sont également connus pour induire des réactions redox, qui peuvent entraîner des dommages oxydatifs, altérant potentiellement les nerfs optiques et affectant la santé oculaire.
Les personnes dont le corps ne métabolise pas correctement les médicaments contre le TDAH peuvent également courir un plus grand risque de glaucome lié aux médicaments.
"Compte tenu de la prévalence de l'utilisation de médicaments contre le TDAH (à des fins médicales et récréatives), d'autres études sont nécessaires pour confirmer nos résultats et étudier les associations entre l'utilisation de médicaments contre le TDAH et le glaucome", ont écrit les auteurs.
Réponse à la pandémie de COVID-19 : un appareil militaro-pharmaceutique Le sénateur a demandé : « Le Consortium MCM a-t-il géré Covid ?
Par Manifeste pour la Démocratie Recherche mondiale, 17 mai 2024
« Qui savait que nous avions un appareil pharmaceutique militaire reliant les États-Unis, l’Australie, le Canada et le Royaume-Uni… ?
Au milieu de l'année 2023, le sénateur australien Malcolm Roberts a posé cette question rhétorique à propos du consortium de quatre pays pour les contre-mesures médicales (ou « MCM » – à savoir les « vaccins ») dans le cadre du « Programme coopératif de défense CBR » dirigé par les États-Unis.
Malcolm Roberts a également demandé à savoir : « Est-ce que quelqu'un dans ce pays [Australie] a accepté les ordres de l'armée américaine de faire ou de ne pas faire quelque chose qui aurait pu interférer avec ce plan pharmaceutique militaire ?
Ce discours reste le tour d’horizon le plus important jamais réalisé par un parlementaire dans le monde concernant la réponse au Covid, avec plus de questions que de réponses.
Le discours du sénateur Roberts prononcé le 9 août 2023 était lié à notre article initial – « Le grand préréglage et le gâchis de la biodéfense » – qui couvrait les détails du partenariat de défense et de santé de quatre nations dirigé par les États-Unis et de son « Consortium MCM ». ».
Remarque : Nous sommes intéressés de savoir ce que l'ancien sénateur américain Joe Lieberman – coprésident de la « Commission bipartisane sur la biodéfense » des États-Unis – pense du discours du sénateur Malcolm Roberts !
La vidéo et la transcription du discours du sénateur sont ci-dessous.
Le Consortium des contre-mesures médicales a-t-il géré le COVID ?
- voir clip sur site -
Transcription et vidéo du sénateur Roberts, 9 août 2023 :
« Citation – « Le consortium cherche à développer des contre-mesures médicales pour aider à faire face… aux menaces chimiques et biologiques affectant les populations civiles et militaires et aux maladies infectieuses et pandémies émergentes » – fin de citation »
En tant que serviteur des nombreuses personnes différentes qui composent notre seule communauté du Queensland, je parle ce soir d'un aspect du COVID-19 que je n'ai jamais évoqué auparavant. Les informations désormais dans le domaine public indiquent que la réponse au COVID n'a pas été initiée par des intérêts commerciaux mais plutôt par l'intermédiaire d'une organisation appelée Medical Countermeasures Consortium à laquelle l'Australie a adhéré en 2012. Selon le site Web australien defence.gov.au, le Medical Countermeasures Consortium est un partenariat entre quatre nations impliquant les ministères de la Défense et de la Santé de l’Australie, du Canada, du Royaume-Uni et des États-Unis. «Le consortium cherche à développer des contre-mesures médicales pour lutter contre… les menaces chimiques et biologiques affectant les populations civiles et militaires ainsi que contre les maladies infectieuses et pandémies émergentes.» Les contre-mesures médicales comprennent les médicaments, les vaccins et les diagnostics. Qui savait que nous avions un appareil pharmaceutique militaire reliant les États-Unis, l’Australie, le Canada et le Royaume-Uni, en place depuis le gouvernement travailliste de Gillard – un AUKUS pour les pandémies ?
« L’unité de contre-mesures médicales du ministère de la Défense des États-Unis travaille dans le secteur des vaccins depuis de nombreuses années et blesse des gens depuis de nombreuses années – et s’en sort sans problème. » Le consortium maintient un système d'indemnisation pour les personnes blessées suite à la prise de contre-mesures. Des demandes d'indemnisation ont été acceptées pour le vaccin contre la grippe H1N1 de 2009, le vaccin contre l'anthrax et les vaccins contre la grippe. L’unité de contre-mesures médicales du ministère de la Défense des États-Unis travaille dans le secteur des vaccins depuis de nombreuses années et blesse des personnes depuis de nombreuses années – et s’en sort sans problème. Il n’est donc pas surprenant que le ministère américain de la Défense ait signé le premier contrat entre le gouvernement américain et Pfizer pour l’achat de vaccins d’une valeur de 11 milliards de dollars. Le président Trump a donné l’ordre au ministère de la Défense de commencer le développement d’un vaccin et lui a même donné un nom sympa : Operation Warp Speed.
« Il y a des portes à enfoncer, et cette fois ce ne seront pas les portes des Australiens ordinaires, coupables d’aucun crime… » Le président Trump a réagi, comme nous avons réagi ici, avec les meilleures intentions et les pires données. Des renseignements ont été utilisés alors que notre appareil de sécurité savait ou aurait dû savoir qu'ils étaient erronés. Les vidéos chinoises montrant des personnes tombant sans vie se sont avérées être des contrefaçons produites avec l’aide des services de renseignement chinois, et ils n’ont peut-être pas agi seuls. Ces vidéos n’auraient pas dû arriver jusqu’au processus décisionnel en Occident. Comment cela s’est-il produit – combien d’informations frauduleuses ont été offertes aux membres élus – est une question qui relève d’une commission royale. Les États-Unis ont déjà entamé de nombreuses audiences au Congrès et procès qui finiront par révéler la vérité. L’Australie doit jouer son rôle dans ce processus – notre rôle, car nous sommes véritablement tous dans le même bateau jusqu’au bout. Il y a des portes à défoncer, et cette fois ce ne seront pas les portes des Australiens ordinaires, coupables d’aucun crime , qui ont simplement dit la vérité sur les réseaux sociaux.
« La réponse des États-Unis au COVID a fait intervenir le Consortium des contre-mesures médicales dans le processus à un stade très, très précoce. » La réponse des États-Unis au COVID a fait intervenir le Consortium des contre-mesures médicales dans le processus à un stade très, très précoce. L'armée australienne a été impliquée très tôt, fournissant une assistance incluant le contrôle des foules, la quarantaine aux frontières, la recherche des contacts et le personnel médical – des choses pour lesquelles on pourrait s'attendre à ce que l'armée aide.
L’ancien Premier ministre et fonctionnaire débauché Scott Morrison a fermé le système COAG parce qu’il était ouvert et transparent – le COAG étant le Conseil des gouvernements australiens. Le COAG n’était pas qu’une simple réunion ; Le COAG était un secrétariat doté de comités, dont un comité de santé, assurant la liaison entre les conseils locaux, les gouvernements des États et fédéral. Bien qu’il ne s’agisse pas d’un instrument constitutionnel, cette structure du COAG était très bien placée pour administrer notre réponse au COVID. Pourquoi a-t-il été aboli et remplacé par un appareil pharmaceutique militaire ? J'espère que la commission royale posera cette question. À la place du COAG, M. Morrison a créé un Cabinet national secret, composé uniquement des premiers ministres des États et des ministres en chef des territoires. Quel était ce secret si important qu’un appareil qui fonctionnait bien comme le COAG devait être démoli et la vérité bâillonnée pendant 30 ans ?
M. Morrison a ensuite nommé un officier militaire en activité, le lieutenant-général Frewen, pour diriger le déploiement du vaccin en Australie, rebaptisé – attendez – Opération COVID Shield . Le Royaume-Uni a répondu au COVID en mars 2020 avec une opération militaire massive appelée Opération Rescript . Cela a transféré 23 000 militaires dans une nouvelle unité appelée opération de soutien COVID, sous les pouvoirs britanniques connue sous le nom d’aide militaire aux autorités civiles, MACA. Le commandement de cette importante force militaire restait aux mains des militaires. Et le Canada – qu’en est-il du Canada ? Le Canada a fait appel aux Forces armées canadiennes avec des « mesures sans précédent » — ce sont leurs mots, pas les miens — dans le cadre des opérations LASER et VECTOR.
« Il est clair que l'accord du Medical Countermeasures Consortium… a été conçu pour faire de la réponse à la pandémie une opération militaire, et non une opération de santé civile. […] L'Australie a vu des militaires avec leur matériel dans les rues… enfermer les gens chez eux. Tout cela a créé un climat de peur et d’intimidation qui a facilité l’acceptation de l’injection de COVID. » Il est clair que l’accord du Medical Countermeasures Consortium , que le gouvernement travailliste de Gillard a signé en 2012, a été conçu pour faire de la réponse à la pandémie une opération militaire et non une opération de santé civile. Cela aurait dû être clair en juillet 2021, lorsque le général Frewen a pris le micro en uniforme militaire complet. L'Australie a vu des points de contrôle militaires aux frontières, des militaires gardant les installations médicales, des militaires dans leurs équipements dans les rues de Sydney et de Melbourne enfermant les gens chez eux. Tout cela a créé un climat de peur et d’intimidation qui a facilité l’acceptation de l’injection du COVID. Était-ce le plan ? L’industrie pharmaceutique a-t-elle désormais enfilé des treillis ?
Nos autorités sanitaires civiles ont-elles défendu des principes médicaux établis, fondés sur le serment d'Hippocrate de ne prescrire que des traitements bénéfiques ? Non ils ne l'ont pas fait. Nous savons que notre Therapeutic Goods Administration, la TGA, n'a pas examiné les données des essais cliniques de stade II et III de Pfizer et s'est plutôt appuyée sur les documents de la FDA américaine. Nous savons que la FDA n’a pas examiné les données et a plutôt cru à la parole de Pfizer sur le déroulement des essais. La TGA le savait sûrement. Si c'est le cas, la TGA est complice. Si elle ne le savait pas, la TGA fait preuve d’une négligence désespérée ou délibérée. C'est un méfait.
"... Pfizer a donné au gouvernement américain le vaccin demandé par le gouvernement et a ainsi affirmé que Pfizer n'était pas responsable des événements indésirables." Pfizer a commis une fraude systémique au cours de ses essais cliniques, les dénonciateurs révélant que seuls des participants adultes en bonne santé avaient été recrutés pour un essai clinique de stade II/III d'un vaccin destiné aux malades et aux personnes âgées ; la durée de l'essai était nettement insuffisante pour capturer les effets secondaires à moyen et long terme comme la myocardite ; pour étouffer le nombre d'événements indésirables enregistrés parmi les vrais participants, de faux participants ont été créés qui n'ont enregistré aucun effet secondaire ; les patients ayant souffert d'effets secondaires graves ont été retirés de l'étude et n'ont jamais existé dans les documents ; et l’injection de COVID n’a pas été testée sur des femmes enceintes, et les femmes tombées enceintes ont été retirées de l’étude avant l’accouchement. L’injection de COVID était alors recommandée aux femmes enceintes. Comment un humain pourrait-il faire cela ? C'est inhumain, et ce sont des monstres qui l'ont fait. Pourquoi Pfizer a-t-il pensé pouvoir s’en tirer avec l’essai clinique le plus véreux de l’histoire ? Une réponse à cette question pourrait-elle être trouvée dans le témoignage d’un dirigeant de Pfizer devant le Congrès américain ? Ils ont fait remarquer que Pfizer avait donné au gouvernement américain le vaccin demandé par le gouvernement et ont donc affirmé que Pfizer n'était pas responsable des événements indésirables.
« … les vaccins peuvent être déployés, à un certain prix, bien sûr, car après tout, il s’agit des États-Unis, des entreprises, en proie à des prédateurs mondialistes parasites. » L'armée semble avoir été impliquée dans la dissimulation des origines du COVID[1]. Il est désormais clair que le COVID a été développé lors de recherches sur le gain de fonction menées à l'Institut chinois de virologie de Wuhan, en lien avec l'armée chinoise. Qui a financé cette recherche en Chine ? Les National Institutes of Health des États-Unis, sous Anthony Fauci. Le Canada et l'Australie ont participé à cette recherche. En 2020, le CSIRO a publié un communiqué de presse non seulement admettant ses recherches sur le gain de fonction, mais les défendant. J'en ai déjà parlé. Après une série d'évasions de laboratoires impliquant des agents pathogènes au siège des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) en Géorgie, le président Obama a suspendu en 2014 la recherche sur les gains de fonction. Anthony Fauci a ignoré l'ordre du président et a transféré les recherches à l'étranger, à Wuhan, en Chine.
La recherche sur les gains de fonction est une recherche de contre-mesures. C'est le même processus de recherche et de manipulation d'agents pathogènes pour produire un nouveau virus, un virus de Frankenstein. Une fois que le virus est suffisamment mortel, un vaccin est préparé, puis le tout est mis de côté au cas où un ennemi ou la nature déploierait ce virus. Une fois que le virus apparaît dans la population, les vaccins peuvent être déployés, à un certain prix, bien sûr, car après tout, il s’agit bien des États-Unis, ravagés par des prédateurs parasitaires mondialistes.
« Quelqu’un dans ce pays a-t-il accepté les ordres de l’armée américaine de faire ou de ne pas faire quelque chose qui aurait pu interférer avec ce plan pharmaceutique militaire ? […] Ce que nous avons vu, c’est une injection forcée de personnes… Peur, intimidation, chantage et menaces – une force inhumaine.
Dans les premiers stades du développement et de l’évasion du COVID, notre appareil de contre-mesures médicales a-t-il agi indépendamment du gouvernement ? C'est une question pour une commission royale. Quelqu’un dans ce pays a-t-il accepté les ordres de l’armée américaine de faire ou de ne pas faire quelque chose qui aurait pu interférer avec ce plan pharmaceutique militaire ? C'est une autre question pour une commission royale. Soyons clairs : l’Australie a une longue et enviable histoire d’utilisation de son armée pour aider lors de catastrophes civiles dans l’intérêt de tous. Si le besoin se fait à nouveau sentir, nous ne devrions pas hésiter à permettre à nos militaires d’apporter à nouveau leur aide. L’armée ne devrait pas être utilisée contre des civils respectueux de la loi ou contre des civils en bonne santé à des fins d’injections forcées afin de transférer des richesses aux grandes sociétés pharmaceutiques. Ce que nous avons vu, c'est l'injection forcée de personnes après avoir succombé à la menace de privation des moyens de subsistance de leur famille et de leur capacité à nourrir leurs enfants. La peur, l’intimidation, le chantage et les menaces de perte de revenus et de logement sont des éléments de force – une force inhumaine.
« [Covid] concernait le contrôle des personnes et le transfert de richesses par la tromperie – une tromperie qui est inhumaine, monstrueusement inhumaine. […] S’agissait-il d’une opération pharmaceutique militaire ou d’une opération de santé civile ?
J’ai répété à plusieurs reprises que la COVID-19 avait été gravement mal gérée, car il n’y avait jamais eu de problème de santé. Il s'agissait de contrôle des personnes et de transfert de richesses par la tromperie – une tromperie qui est inhumaine, monstrueusement inhumaine. Nous devons savoir si notre TGA, en proposant une contre-mesure vaccinale qui n’aurait pas été approuvée dans des circonstances normales, s’est inclinée devant des puissances supérieures. S’agissait-il d’une opération pharmaceutique militaire ou d’une opération de santé civile ? Ce sont des questions habituellement traitées dans une commission royale. Le gouvernement travailliste albanais a rompu sa promesse pré-électorale de créer une commission royale. S’il continue à ne pas tenir sa promesse, il se rendra complice du fait de cacher la vérité au peuple, une vérité qui se révèle lentement mais sans relâche et inévitablement. Appelez cette foutue commission royale maintenant.
Liens vers les vidéos et transcription du discours du sénateur Malcolm Roberts – 9 août 2023
Lien vers le site Web : https://www.malcolmrobertsqld.com.au/ Lien Twitter X : https://twitter.com/MRobertsQLD Lien Facebook https://www.facebook.com/malcolmrobertsonenation Lien Youtube : https://www.youtube.com/@MalcolmRobertsOneNation Les Australiens – parmi les « citoyens du monde » évoqués par le Pentagone le 5 mars 2020 – veulent des réponses à ces questions importantes concernant la réponse Covid soulevées par le sénateur Malcolm Roberts, notamment en référence au déploiement « d’urgence » de l’immunité obligatoire. contre-mesures médicales (MCM) – les soi-disant « vaccins ».
Notez la liste pré-Covid des « parties prenantes internationales du MCM » représentées sur le site Web australien du DMTC Defence – c'est-à-dire. Les agences américaines de défense et de santé, en collaboration avec l'OMS :
- voir schéma sur site -
Acteurs internationaux du MCM (2018) : agences de défense et de santé du gouvernement américain et OMS. Source : « Centre technologique des matériaux de défense » d'Australie – https://dmtc.com.au/ – 2018
Et notez le plan pré-Covid pour une « réponse médicale rapide » dirigée par l’armée américaine (et « dirigée par la santé ») avec des MCM accélérés (c’est-à-dire des tests et des « vaccins »)…
- voir schéma sur site -
« Partenariats de réponse rapide » pour les MCM accélérés supervisés par le DoD et le HHS des États-Unis (2019). Source : JPEO-CBRN Defense youtube – « Medical Rapid Response » – captures d’écran – juin 2019
*
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
Note
[1] Addendum : voir ci-dessous – (8)
… Après avoir approfondi cet aspect du contre-récit, nous sommes respectueusement en désaccord avec le sénateur sur la pertinence des « origines du Covid-19 »…
Les autorités médicales affirment que 90 % de la population souffre soudainement d'un mystérieux nouveau syndrome cardiaque qui ressemble à une lésion d'un organe SPIKE PROTEIN
16/05/2024 Ethan Huff
De nouvelles recherches bouleversent l’establishment médical avec des données montrant qu’un nombre incroyable de 90 pour cent de la population des États-Unis souffre désormais d’une maladie cardiaque qui, à bien des égards, ressemble à des dommages aux organes causés par les protéines de pointe causées par les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
En octobre dernier, l'American Heart Association (AHA) a publié un rapport sur la nature changeante des maladies cardiovasculaires (MCV), qui chevauchent les maladies rénales, le diabète de type 2 et l'obésité. Pour la première fois, l'AHA a défini le chevauchement de ces affections comme le syndrome cardiovasculaire-rein-métabolique (CKM).
Un adulte sur trois vivant aux États-Unis présente au moins trois facteurs de risque, et souvent plus, qui contribuent à la CKM. Tous les principaux organes du corps en sont affectés, y compris le cœur, le cerveau, les reins et le foie, les dommages les plus graves se produisant dans les vaisseaux sanguins, le muscle cardiaque et le système cardiovasculaire.
Tout ce qui contribue au syndrome CKM, qu’il s’agisse de protéines de pointe ou d’autres expositions toxiques, accélère le taux d’accumulation de graisse dans les artères, ce qui peut conduire à la formation de caillots. Cela a également un impact négatif sur les impulsions électriques dans le cœur. Les personnes les plus à risque de développer le syndrome CKM sont les personnes âgées en général, les hommes et les personnes noires.
(Connexe : Si vous recherchez une solution au problème de type COVID, consultez l'ivermectine, dont de nouvelles recherches montrent qu'elle peut aider à réduire considérablement le risque d'hospitalisation.)
Garde ton coeur Il existe différents stades du syndrome CKM que le corps médical utilise désormais pour évaluer sa gravité. Neuf Américains sur dix s'inscrivent au stade un ou plus, tandis que 15 % sont considérés comme souffrant du syndrome CKM « avancé ».
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
Bien que techniquement existant depuis 2011, le syndrome CKM est une maladie qui s’aggraverait avec le temps. De plus en plus de personnes en souffrent ces jours-ci, ce qui pourrait indiquer que les vaccins contre le COVID sont un facteur contributif majeur.
« Un taux de diagnostic de 90 % pour une maladie néonatale affectant simultanément plusieurs organes semble nécessiter une réflexion approfondie, délibérée et complète au sein de la communauté médicale – le genre de mobilisation radicale des ressources observée lors de l'opération Warp Speed – pour en découvrir les causes profondes, ce qui, dans d'autres contextes, comme la migration de masse, intéresse particulièrement les personnes comme l'entité Karamel-euh", écrit Ben Bartee pour Armageddon Prose.
"... À moins, bien sûr, que de véritables soins de santé ne soient pas l'objectif primordial du type de "soins de santé" institutionnalisés et corporatisés défendus par les autorités gouvernementales et l'industrie."
Bartee pense que les vaccins contre le COVID ne sont qu’un élément qui explique la montée en flèche des taux de maladie rénale chronique. Les autres incluent des éléments tels qu’un approvisionnement alimentaire toxique et de l’eau du robinet contaminée, deux phénomènes courants aux États-Unis.
Comme d’habitude, les industries chimiques et pharmaceutiques ne dépensent aucun dollar pour tenter de résoudre ce problème. La plupart des revues médicales refusent de s’attaquer à l’éléphant dans la pièce, ce qui n’est une bonne nouvelle que pour les dirigeants et les actionnaires de sociétés comme Pfizer et Merck.
"Mieux vaut prévenir que guérir est un anathème pour le modèle économique de l'industrie. Nous obtenons donc le paradigme inverse", déclare Bartee.
Dans les commentaires de l'article de Bartee, une personne a écrit que le syndrome CKD est probablement plus justement appelé syndrome de Pfizer ou syndrome de Moderna, en référence aux injections d'ARNm (ARNmod) COVID des deux géants pharmaceutiques.
"Personne ne fera plus jamais confiance aux "experts" mensongers ni aux assassins en blouse blanche et en blouse blanche", a ajouté un autre à la conversation.
"Ils sont TOUS complices des meurtres de masse de leurs compatriotes, femmes, enfants, même des enfants à naître. Ils sont TOUS complices de crimes contre l'humanité et seront inévitablement confrontés à la JUSTICE."
Les dernières nouvelles sur le cœur et comment le protéger peuvent être trouvées sur Heart.news.
Un célèbre oncologue japonais affirme que les vaccins contre le COVID-19 sont « essentiellement un meurtre »
17/05/2024 Cassie B.
Le meilleur médecin spécialisé en oncologie du Japon a récemment fait la une des journaux en admettant ouvertement ce que de nombreux médecins américains ont trop peur de dire à haute voix : les vaccins à ARNm contre le COVID-19 sont « l’œuvre du mal » et constituent ce qui est « essentiellement un meurtre ».
Les commentaires ont été faits par le Dr Masanori Fukushima dans une récente interview. L'oncologue décoré a créé la première clinique ambulatoire de cancérologie à l'université de Kyoto au Japon et a été responsable du premier cours de pharmaco-épidémiologie à l'école.
Il a cité un effet secondaire particulièrement alarmant dont les grands médias américains n’ont pas parlé : la prévalence de « cancers turbo » qui étaient « jusqu’alors invisibles par les médecins ». Il a déclaré que ces cancers ont commencé à apparaître après le déploiement des vaccins et ont progressé si rapidement qu’ils sont souvent au stade 4 au moment où les médecins les diagnostiquent.
Il a ajouté que l’augmentation de ces cancers s’est accompagnée d’une augmentation de la surmortalité due au cancer en général à un degré qui ne peut pas être expliqué simplement par des traitements ou des dépistages manqués pendant les confinements liés au COVID-19.
Il a également souligné des morts subites observées chez des personnes peu de temps après avoir reçu les vaccins, comme celle d'un homme de 28 ans dont la femme l'a retrouvé mort cinq jours après sa deuxième dose du vaccin à ARNm de Pfizer. C’est une histoire trop courante de nos jours, même chez les personnes sans antécédents de problèmes de santé.
Il a déclaré : « C’est sérieux. C’est essentiellement un meurtre. En fin de compte, je tiens à exprimer clairement que tel est mon point de vue.
Pour le Dr Fukushima, il n’est pas surprenant que les pays qui ont lancé les campagnes de vaccination contre le COVID-19 les plus agressives connaissent les taux d’infection et de décès les plus élevés, comme Israël.
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
« Israël a été le leader en matière de vaccination précoce et généralisée, mais a également enregistré les taux de mortalité et d’infection les plus élevés. Les zones vaccinées de manière moins agressive ont subi moins de dégâts », a-t-il déclaré, ajoutant qu’« Israël a rapidement arrêté la vaccination ».
Un nombre croissant de personnes vaccinées ont besoin de soins médicaux pour des problèmes de santé liés au vaccin. Il a déclaré que le gouvernement japonais a déjà documenté plus de 2 000 décès liés à l'injection, une estimation qu'il juge faible, ainsi que de nombreux autres qui ont besoin de soins médicaux pour de graves problèmes de santé liés à l'injection.
« Des dizaines de milliers de personnes doivent consulter un médecin en raison de problèmes liés au vaccin », a-t-il déclaré.
Il estime que près d’un tiers d’entre eux souffrent de problèmes tels que le syndrome de fatigue chronique et l’encéphalomyélite myalgique, et le problème ne fera qu’empirer car de nombreuses maladies ont augmenté depuis le déploiement du vaccin. Malheureusement, il est possible que certains de ces patients ne reçoivent pas l’attention et les soins dont ils ont besoin.
« C’est comme si nous avions ouvert la boîte de Pandore… Nous devons prendre ces dommages au sérieux et y remédier avec sérieux. Toute tentative visant à minimiser ces dommages comme s’ils n’avaient pas eu lieu est franchement l’œuvre du mal. Il s’agit d’un exemple typique de la mauvaise pratique de la science », a-t-il affirmé.
Le Dr Fukushima a également eu des mots durs à l’égard des grands médias et de leur incapacité à rendre compte des dangers des vaccins. Il a également dénoncé les médias pour avoir qualifié d’hérétiques les critiques anti-scientifiques des vaccins et a déclaré que ceux qui ont fait taire ces individus sont ceux qui vont à l’encontre de la science, ajoutant qu’ils s’apparentent davantage à la foi, à l’hystérie ou même à un comportement sectaire.
Il a ajouté : « Je suis désormais profondément préoccupé non seulement par une crise grave de la médecine mais aussi de la science et de la démocratie. »
Le café est lié à une réduction du risque de maladie de Parkinson
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 17 MAI 2024 - 04H30 Rédigé par George Citroner via The Epoch Times
Votre tasse de café du matin fait peut-être plus que simplement vous donner un regain d'énergie pour affronter la journée. De nouvelles preuves suggèrent que la caféine contenue dans votre boisson pourrait avoir un effet supplémentaire en réduisant votre risque de développer la maladie de Parkinson.
Les résultats suggèrent que la caféine pourrait réduire le risque de maladie de Parkinson de 40 %
Alors que des recherches antérieures mettaient en évidence les bienfaits de la caféine, tels qu’une augmentation de l’énergie et des performances cognitives améliorées, une étude récente publiée dans Neurology vient renforcer les preuves selon lesquelles la caféine peut aider à prévenir la maladie de Parkinson, un trouble du mouvement progressif.
La nouvelle étude a examiné la consommation de café et le risque futur de maladie de Parkinson chez 184 024 participants dans six pays européens.
Contrairement à des études antérieures, elle a quantifié les biomarqueurs de la caféine des années avant l’apparition de la maladie de Parkinson. Les chercheurs ont identifié 351 cas de maladie de Parkinson, comparés à des témoins selon l’âge, le sexe, le centre d’étude et le statut de jeûne lors de la collecte de sang.
Les résultats ont montré qu’une consommation plus élevée de caféine et la présence de métabolites clés comme la paraxanthine et la théophylline étaient liées à une réduction du risque de maladie de Parkinson.
Il a été démontré que la paraxanthine et la théophylline ont des effets antioxydants. On pense que le stress oxydatif joue un rôle dans la neurodégénérescence observée dans la maladie de Parkinson, de sorte que les composés ayant une activité antioxydante peuvent aider à protéger les neurones contre les dommages. De plus, la maladie de Parkinson entraîne la mort des neurones dopaminergiques. Certaines recherches suggèrent que la paraxanthine et la théophylline pourraient augmenter la signalisation des récepteurs dopaminergiques, ce qui pourrait compenser la perte neuronale.
Les effets neuroprotecteurs dépendaient de l’exposition, le groupe qui en consommait le plus présentait un risque de maladie de Parkinson réduit de près de 40 % par rapport aux non-buveurs de café.
Le « point idéal de consommation de café » est probablement de deux à quatre tasses par jour, a déclaré à Epoch Times le Dr Jack Wolfson, cardiologue certifié à Scottsdale, en Arizona, non associé à l’étude. Au-delà de ce montant, « il n’y a probablement pas beaucoup d’avantages », a-t-il ajouté.
Lien prometteur mais non prouvé
Les preuves scientifiques liant la consommation de café à une diminution du risque de développer la maladie de Parkinson sont assez solides, a déclaré à Epoch Times le Dr Hwai Ooi, neurologue au Weill Cornell Medicine à New York, qui n’était pas associé à l’étude. De nombreuses études réalisées au cours des 20 dernières années ont démontré une « association claire », a-t-elle déclaré.
Cependant, association n’implique pas causalité. Le mécanisme exact par lequel la caféine pourrait offrir une neuroprotection et réduire le risque de développement de la maladie de Parkinson reste inconnu, a ajouté le Dr Ooi.
En outre, les essais cliniques menés à ce jour pour déterminer si la caféine ou ses métabolites peuvent ralentir la progression de la maladie de Parkinson ou contribuer à améliorer ses symptômes n’ont pas montré de tels avantages, a-t-elle noté.
Bien que les preuves semblent prometteuses, le Dr Ooi estime que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre la relation entre la consommation de café et le risque de maladie de Parkinson. Cela inclut la détermination de la quantité et du type de café optimaux à consommer pour un maximum d’avantages.
N'abusez pas du café : expert
Le Dr Ooi a mis en garde contre une consommation excessive de café pour réduire le risque de maladie de Parkinson. "Comme pour presque tout ce que nous mettons dans notre corps, la modération est la clé", a-t-elle déclaré.
Une consommation excessive de caféine a été associée à une augmentation de l'anxiété, des problèmes de sommeil, des problèmes gastro-intestinaux tels que des brûlures d'estomac, une fréquence cardiaque et une tension artérielle élevées (particulièrement problématiques pour les personnes souffrant de maladies cardiaques ou d'hypertension), une diminution de la densité osseuse et d'éventuelles interactions médicamenteuses.
La consommation régulière de grandes quantités de café peut entraîner des symptômes de dépendance et de sevrage tels que des maux de tête, de la fatigue et de l'irritabilité lorsqu'on en réduit la consommation.
Le Dr Ooi a conseillé de consulter un professionnel de la santé pour toute préoccupation concernant la consommation de caféine.
Autres moyens de réduire le risque de maladie de Parkinson En plus de la consommation de café, les experts affirment qu’il existe d’autres facteurs et habitudes de vie qui pourraient jouer un rôle dans la réduction du risque de maladie de Parkinson.
Le plus important est l’exercice aérobique, « qui a clairement démontré ses effets neuroprotecteurs dans la maladie de Parkinson et peut ralentir la progression de la maladie », a déclaré le Dr Ooi. Les lignes directrices actuelles recommandent un minimum de 2,5 heures d’activité aérobie par semaine pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
D’autres facteurs liés à une santé cérébrale optimale et à un risque moindre de maladie de Parkinson comprennent le maintien d’une alimentation saine et équilibrée. Le Dr Wolfson recommande une alimentation riche en fruits de mer sauvages, notant qu’une consommation plus élevée est associée à un risque moindre.
Dormir suffisamment, gérer le stress grâce à des pratiques telles que la méditation de pleine conscience et rester socialement et mentalement actif sont d'autres changements de mode de vie modifiables qui peuvent être bénéfiques, a-t-il ajouté.
Déclaration conjointe Chine-Russie sur la coopération politique et économique
17 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
La visite de Vladimir Poutine à Xi Jinping a été précédée d'une série de visites mouvementées d'hommes politiques occidentaux à Pékin. Si l’on examine les déclarations conjointes de la Chine et de la Russie, les efforts semblent infructueux.
Le président chinois Xi Jinping a eu jeudi des entretiens à grande échelle avec le président russe Vladimir Poutine, en visite d'État en Chine, au Grand Palais du Peuple à Pékin. Les analystes des deux pays ont déclaré que cette visite renforcerait et promouvrait davantage les relations stratégiques bilatérales caractérisées par un niveau élevé de confiance mutuelle et de vastes intérêts communs.
Les deux États ont également publié une déclaration commune extraordinaire qui, une fois traduite en anglais, compte près de 8 000 mots. Il s’agit d’une déclaration de principes qui définira également de manière significative le cadre de la politique des BRICS+.
Un aperçu et une traduction viennent d’Arnnaud Bertrand :
- voir post sur site -
Voici les points qui m’ont particulièrement marqué.
CONSTRUIRE UN NOUVEL ORDRE MONDIAL
Selon le communiqué, le fait que « le statut et la force des grands pays et régions émergents du « Sud » augmentent continuellement » et que « la tendance vers la multipolarité du monde s'accélère » constitue un « facteur objectif ». Cela « accélère la redistribution du potentiel de développement, des ressources et des opportunités dans une direction favorable aux pays émergents et en développement et favorise la démocratisation des relations internationales ainsi que l’équité et la justice internationales ».
Ils soulignent que « les pays qui adhèrent à l’hégémonisme et à la politique de puissance s’opposent à cette tendance et tentent de remplacer et de saper l’ordre international fondé sur le droit international par un soi-disant « ordre fondé sur des règles ».
Sur la question de la sécurité, le communiqué indique : « Les deux parties estiment que le sort des peuples de tous les pays est lié et qu’aucun pays ne devrait rechercher sa propre sécurité aux dépens de celle des autres. Les deux parties expriment leur inquiétude face aux défis actuels en matière de sécurité internationale et régionale et notent que dans le contexte géopolitique actuel, il est nécessaire d'examiner la création d'un système de sécurité durable dans l'espace eurasien, basé sur le principe de sécurité égale et indivisible.
Il poursuit en affirmant que la Chine et la Russie « exploiteront pleinement le potentiel des relations bilatérales » pour « promouvoir la réalisation d'un monde multipolaire égal et ordonné et la démocratisation des relations internationales, et rassembler leurs forces pour construire un monde multipolaire juste et raisonnable ». monde ".
Quant à la vision de cet ordre mondial, ces 2 principes semblent être les fondamentaux : 1) Un ordre sans « néocolonialisme et hégémonisme » d'aucune sorte : « Tous les pays ont le droit de choisir leurs modèles de développement et leurs politiques, économiques et sociaux. systèmes sur la base de leurs conditions nationales et de la volonté du peuple, rejettent l'ingérence dans les affaires intérieures des pays souverains, sont contre les sanctions unilatérales et la « juridiction prolongée » sans fondement dans le droit international ni autorisation du Conseil de sécurité de l'ONU et rejettent les dessin de lignes idéologiques.
Les deux parties ont souligné que le néocolonialisme et l'hégémonisme sont complètement à l'opposé de la tendance de l'époque et ont appelé à un dialogue égalitaire, au développement de partenariats et à la promotion des échanges et de l'apprentissage mutuel entre les civilisations . ordre : « Les deux parties continueront à défendre résolument les acquis de la Seconde Guerre mondiale et l’ordre mondial d’après-guerre établi par la Charte des Nations Unies. »
Cette condamnation commence par le paragraphe souligné ci-dessus selon lequel « les pays qui adhèrent à l’hégémonisme et à la politique de puissance sont en contradiction avec [la tendance vers un ordre mondial multipolaire] », et la déclaration condamne également le fait que ces « pays » (c’est-à-dire principalement les États-Unis) ) « cherche à remplacer et à saper l'ordre international fondé sur le droit international par un soi-disant « ordre fondé sur des règles » ».
Ils écrivent également que « les deux parties appellent les pays et les organisations concernés à poursuivre des politiques de confrontation et à cesser de s'ingérer dans les affaires intérieures des autres pays, en sapant l'architecture de sécurité existante, en créant des « petites cours avec de hautes clôtures » entre les pays « pour provoquer des tensions régionales ». et préconisons une confrontation des camps.
Il poursuit : « Les deux parties s’opposent aux actions hégémoniques des États-Unis, qui cherchent à modifier l’équilibre des pouvoirs dans la région de l’Asie du Nord-Est en élargissant leur présence militaire et en formant des blocs militaires. Les États-Unis, avec leur mentalité de guerre froide et leur modèle de confrontation des camps, placent la sécurité d'un « petit groupe » au-dessus de la sécurité et de la stabilité régionales, mettant ainsi en danger la sécurité de tous les pays de la région. Les États-Unis devraient mettre un terme à de telles actions.»
En outre, la déclaration exprime « de sérieuses inquiétudes quant aux tentatives des États-Unis de saper la stabilité stratégique afin de maintenir leur supériorité militaire absolue, y compris la construction d'un système mondial de défense antimissile et le déploiement de systèmes de défense antimissile à travers le monde et dans l'espace ». , renforçant la capacité d'éliminer les actions militaires de l'ennemi avec des armes de précision non nucléaires et des « frappes de décapitation », élargissant les accords de « partage nucléaire » de l'OTAN en Europe et fournissant une « dissuasion étendue » à certains alliés, construisant des infrastructures dans la zone exempte d'armes nucléaires dans le Pacifique Sud, qui pourrait être utilisé pour soutenir les forces nucléaires américaines et britanniques, la coopération entre les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie dans le domaine des sous-marins nucléaires et la mise en œuvre de plans visant à déployer et à fournir des missiles terrestres à moyenne et courte portée aux alliés du Pacifique Sud. Asie-Pacifique et Europe. "
Le communiqué condamne également « la « politique de double confinement » non constructive et hostile des États-Unis à l'égard de la Chine et de la Russie : « les actions des États-Unis visant à mener des exercices conjoints avec leurs alliés visant prétendument la Chine et la Russie et les mesures visant à déployer des exercices terrestres. » Les frappes de missiles à grande portée dans la région Asie-Pacifique ont suscité de sérieuses inquiétudes des deux côtés. Les États-Unis affirment qu’ils poursuivront ces pratiques dans le but de déployer régulièrement des missiles dans le monde entier. Les deux parties condamnent fermement ces actions, qui sont extrêmement déstabilisatrices pour la région et constituent une menace directe pour la sécurité de la Chine et de la Russie, et renforceront la coordination et la coopération pour répondre à la « politique de double confinement » non constructive et hostile des États-Unis à l'égard de la Chine et de la Russie. .»
Concernant spécifiquement la région Asie-Pacifique, ils écrivent que « les deux parties rejettent la création de structures de groupe exclusives et fermées dans la région Asie-Pacifique, en particulier des alliances militaires qui ciblent un tiers. Les deux parties notent que la « stratégie indo-pacifique » américaine et les tentatives de l’OTAN de prendre des mesures destructrices dans la région Asie-Pacifique « ont un impact négatif sur la paix et la stabilité dans la région ».
Ils exigent également que les États-Unis s'abstiennent de toute activité militaire biologique qui menace la sécurité d'autres pays et régions », et ils s'opposent à l'utilisation de l'espace pour une confrontation armée et à la mise en œuvre de politiques et d'activités de sécurité visant à « obtenir une puissance militaire ». avantage et définir l’espace comme une « zone de combat » ».
Enfin, la déclaration condamne « les actions dissuasives des États-Unis et de leurs alliés militaires qui provoquent une confrontation avec la République populaire démocratique de Corée et exacerbent les tensions dans la péninsule coréenne, ce qui pourrait potentiellement conduire à un conflit armé » et appelle à « la Les États-Unis et l'OTAN, en tant que responsables de l'invasion et de l'occupation de l'Afghanistan qui durent depuis 20 ans, ne devraient pas chercher à déployer à nouveau des installations militaires en Afghanistan et dans ses environs, mais devraient assumer la responsabilité principale des difficultés économiques et existentielles actuelles de l'Afghanistan, qui constituent le principal coût de reconstruction s'emparent de l'Afghanistan et prennent toutes les mesures nécessaires pour libérer les avoirs nationaux afghans. "
ÉNORME EXPANSION DE LA COOPÉRATION ENTRE LA CHINE ET LA RUSSIE
La déclaration contient une longue liste – des dizaines et des dizaines de points – de domaines élargis de coopération entre les deux pays.
Voici quelques-uns des plus importants d’entre eux :
Coopération militaire : « [Les deux parties] approfondiront davantage la confiance mutuelle et la coopération dans le domaine militaire, élargiront la portée des activités de formation conjointes, organiseront régulièrement des patrouilles maritimes et aériennes conjointes, renforceront la coordination et la coopération dans les cadres bilatéraux et multilatéraux et amélioreront les capacités. et améliorer continuellement le niveau de réponse commune aux risques et aux défis. Augmentation du commerce, des investissements mutuels et du soutien mutuel pour le développement économique : « Élargissement continu du commerce bilatéral », « Amélioration continue du niveau de coopération en matière d'investissement entre les deux pays », « Développement conjoint des industries avancées, renforcement de la coopération technique et productive, y compris l'aviation civile. , la construction navale, l’industrie automobile, l’industrie des équipements, l’industrie électronique, l’industrie métallurgique, l’extraction du minerai de fer, l’industrie chimique et l’industrie forestière ».
Coopération énergétique : « Consolider la coopération énergétique stratégique et le développement de haut niveau entre la Chine et la Russie pour assurer la sécurité économique et énergétique des deux pays. Nous nous efforçons d'assurer la stabilité et la durabilité du marché international de l'énergie et de maintenir la stabilité et la résilience de l'industrie énergétique mondiale et de la chaîne d'approvisionnement. » Également sur l'énergie nucléaire : « Approfondir la coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire civile sur la base de l'expérience réussie et projets en cours, notamment la fusion thermonucléaire, les réacteurs à neutrons rapides et les cycles fermés du combustible nucléaire ».
Promouvoir les monnaies et les infrastructures financières de chacun : « Augmenter la part de la monnaie nationale dans le commerce bilatéral, le financement et d'autres activités économiques. Améliorer l'infrastructure financière des deux pays, faciliter les canaux de règlement entre les entreprises des deux pays, renforcer la coopération en matière de réglementation bancaire et d'assurance en Chine et en Russie, promouvoir le développement sain des banques et des institutions d'assurance établies l'une dans l'autre, promouvoir les investissements dans les deux sens et l’émission d’obligations sur les marchés financiers de chaque autre pays selon les principes de l’économie de marché.
Coopération approfondie dans les domaines de l'éducation et des sciences : « Promouvoir l'expansion et l'amélioration de la qualité des programmes d'études mutuels à l'étranger, promouvoir l'enseignement du chinois en Russie et de la langue russe en Chine, encourager les établissements d'enseignement à élargir les échanges et la coopération dans la gestion des écoles, organiser des formations conjointes de haut niveau. -des talents et une recherche scientifique de qualité, en soutenant la coopération entre les universités dans le domaine de la recherche fondamentale, en soutenant les activités d'alliances d'universités et de collèges similaires et en approfondissant la coopération dans le domaine de l'enseignement professionnel et numérique.
Coopération dans les médias et formation de l'opinion publique : « Renforcer les échanges médiatiques entre les deux pays, promouvoir les visites mutuelles à différents niveaux, soutenir les dialogues pragmatiques et professionnels, mener activement une coopération substantielle de haute qualité, explorer en profondeur le potentiel de coopération des nouveaux pays. médias et nouvelles technologies dans le domaine des médias de masse, reportage objectif et complet sur les événements mondiaux importants et diffusion d’informations véridiques dans le domaine de l’opinion publique internationale.
Coopération au sein des institutions mondiales : « Approfondir la coopération bilatérale [au sein] de l'Assemblée générale des Nations Unies et du Conseil de sécurité », « Soutenir le rôle de l'Organisation mondiale de la santé », « Renforcer la coopération dans le cadre de l'OMC », « Coopération dans le cadre de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) », « Maintenir l'esprit BRICS, renforcer la voix du mécanisme BRICS dans les affaires internationales et à l'ordre du jour », etc.
Le niveau de coopération qu’ils décrivent est absolument époustouflant, les deux pays s’engageant pleinement l’un envers l’autre.
Cette déclaration est absolument extraordinaire et façonnera probablement le monde pour les décennies à venir. La Russie et la Chine ont désormais explicitement déclaré qu’elles travaillaient ensemble pour créer un nouveau « monde multipolaire égal et ordonné et pour la démocratisation des relations internationales » et mettre fin au comportement hégémonique des États-Unis. Arrêtez de faire semblant, ça va arriver.
Quant à l'Ukraine , cette partie de la déclaration peut être pertinente : « La Russie évalue positivement la position objective et juste de la Chine sur la question ukrainienne et partage l'opinion selon laquelle la crise doit être résolue sur la base du plein respect de la Charte des Nations Unies. »
Car « le plein respect de la Charte des Nations Unies » signifierait le respect de l’article 2 sur l’intégrité territoriale…
Apparemment, Xi et Poutine ont eu un « échange de vues approfondi sur la crise ukrainienne », Xi étant cité comme souhaitant une « solution politique rapide à la question ukrainienne », nous sommes donc susceptibles de voir des initiatives dans ce domaine.
La déclaration poursuit : « Les deux parties estiment que pour résoudre définitivement la crise ukrainienne, les causes de la crise doivent être éliminées, le principe de sécurité indivisible doit être respecté et les intérêts et préoccupations de sécurité appropriés de tous les pays doivent être pris en compte. compte."
Du point de vue de la Chine et de la Russie, les « causes profondes » sont bien entendu l’expansion de l’OTAN et la tentative de faire de l’Ukraine un rempart occidental contre la Russie. Cela signifie-t-il que si ces « causes profondes » sont « éliminées » (ce qui signifie probablement que l’Ukraine devient neutre), la Russie accepterait un retrait de ses troupes, c’est-à-dire un accord similaire à celui presque signé à Istanbul en mars 2022 ?
Le fait de dire 'construire un nouvel ordre mondial' n'implique pas forcément la présence d'un autre. Il peut s'agir de remodeler celui existant ou d'en créer un comme la CEE se dit être l''Europe' !! HAHAHAHA ! alors que la Russie comme la Suisse font partie du continent européen mais n'y seraient pas intégrés !:! HAHAHAHA !
On ne peut parler là de 'facéties' mais d'ignorance totale de la part de Bruxelles [je parle là du groupe d'étrangers qui l'a investit comme il en est de même pour le WEF à Davos en Suisse où se rassemblent tous les dictateurs-criminels du monde dans la seule Démocratie qui existe sur Terre !] . Maintenant parlons de cette union solide asiatique qui rassemble les cerveaux les plus pointus de la planète dans le plus grand marché de la Terre avec ses milliards de consommateurs. A savoir aussi qu'ils ne sont nullement impressionnés par les gestes inconsidérés et les tapages de pieds des trisomiques qui parlent chez eux de faire la guerre... à la Russie :!!! HAHAHAHAHAHA ! (les pays agresseurs seraient rasés en moins de une minute par des missiles ininterceptables !)
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8. * Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros ou 'google': sent zéro. https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux États-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
-------------
Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
RAPPORT : Les porte-avions américains peuvent être « détruits avec certitude » par seulement deux douzaines de missiles hypersoniques, que possèdent la Chine et la Russie
17/05/2024 Ethan Huff
Si elles le voulaient, la Chine et/ou la Russie pourraient facilement couler des porte-avions américains en utilisant seulement 24 missiles hypersoniques de fabrication chinoise, affirme un nouvel article publié dans le Journal of Test and Measurement Technology en langue chinoise.
Larguer ces bombes sur les porte-avions américains les plus puissants serait « catastrophique », selon une simulation de jeux de guerre menée par une équipe de planificateurs militaires chinois.
En simulant plus de 20 batailles intenses, l'équipe a créé des jeux vidéo dans lesquels les forces chinoises ont réussi à couler la flotte de porte-avions USS Gerald R. Ford à l'aide de deux douzaines de missiles anti-navires. Dans la simulation, des navires américains se sont approchés d'une île revendiquée par la Chine dans la mer de Chine méridionale après avoir été avertis à plusieurs reprises de reculer, ce qui a incité la partie chinoise à lancer une attaque de missiles dans le jeu.
La publication de ces résultats de simulation marque la première fois que des frappes hypersoniques simulées contre un groupe de transporteurs américains sont rendues publiques.
Outre l'USS Gerald R. Ford, la simulation a également ciblé d'autres navires de surface dotés d'une « résistance inégalée et d'une technologie de pointe », notamment le croiseur CG56 de classe Ticonderoga, le San Jacinto, ainsi que le missile guidé DDG-103 de classe Arleigh Burke Flight IIA. destructeur.
La Ford, mise en service en juillet 2017, est dotée d'un système de lancement électromagnétique pionnier et d'un système de radar et de guerre électronique de pointe. L'ensemble du groupe de porte-avions était également équipé d'armes de défense douce telles que des leurres, des lanceurs de paillettes et des fusées éclairantes conçues pour lutter contre les attaques de missiles.
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
"Ces technologies sophistiquées détectent les menaces entrantes tandis que plusieurs couches de blindages et de systèmes de protection sont conçues pour réduire l'impact des attaques de missiles et d'autres puissances de feu ennemies", explique un rapport chinois.
"Les croiseurs et destroyers du groupe d'attaque étaient également équipés d'armes avancées et de mesures défensives, notamment de systèmes radar capables de détecter les menaces entrantes tout en poursuivant simultanément plusieurs cibles, ont indiqué les chercheurs."
(Connexe : Les États-Unis menacent de voler des actifs russes pour l’Ukraine, ce qui entraînerait un effondrement total de l’économie américaine et du système financier occidental.)
La Chine pense pouvoir détruire la flotte de transporteurs américains « insubmersibles » Originaires d'une université du nord de la Chine, les chercheurs affirment que, sur la base de leur simulation, l'armée chinoise a réussi à couler chaque navire américain, entraînant ainsi une victoire totale.
Gardez à l’esprit qu’il s’agit du groupe de transporteurs américains soi-disant insubmersible, que les armes conventionnelles ne peuvent pas toucher. Les missiles hypersoniques chinois semblent cependant être une valeur sûre.
Dans la simulation, la Chine a lancé les armes depuis six sites différents dans diverses régions reculées de Chine, dont certaines aussi éloignées de la civilisation que le désert de Gobi. L'armée chinoise a fait preuve de « prouesses inhabituelles dans sa stratégie de lancement sophistiquée », qui comprenait une attaque complexe en trois vagues conçue pour tromper et vaincre les systèmes de défense américains.
Même si les résultats de la simulation sont encourageants pour le Parti communiste chinois (PCC), la Chine reconnaît qu’il ne s’agit pas de résultats réels. Seule une attaque réelle prouverait si le concept fonctionne ou non comme testé.
La simulation présentait certes également plusieurs contraintes, notamment le manque d’accès aux satellites espions stationnés dans l’espace, ainsi qu’un nombre global limité de missiles hypersoniques.
L'objectif général du jeu de guerre était d'être « indulgent avec l'ennemi et strict avec soi-même », a rapporté le South China Morning Post (SCMP).
A noter également que la Chine possède désormais un drone de reconnaissance supersonique WZ-8, ceci basé sur des images satellite obtenues par Defense News.
"La précision des données utilisées dans les simulations de jeux de guerre est essentielle à leur utilité dans l'évaluation de scénarios potentiels", a commenté un ingénieur de l'industrie de la défense aérospatiale basé à Pékin qui a parlé au SCMP sous couvert d'anonymat.
Les dernières nouvelles sur ce que fait la Chine peuvent être trouvées sur Communism.news.
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 17 MAI 2024 - 23H00 Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,
Alors, où cela nous mène-t-il ? Nous sommes seuls.
Ce mois-ci, j'ai décrit ce qui peut être résumé comme le déclin de la vie quotidienne : l'érosion des éléments fondamentaux de la vie quotidienne : le travail, les opportunités, la mobilité sociale, la sécurité et le bien-être, qui incluent la courtoisie, la convivialité et une approche fonctionnelle et compétente. ordre socio-politique.
En d’autres termes, la vie quotidienne comprend bien plus que les statistiques financières du produit intérieur brut (PIB), du marché boursier, de la richesse et des revenus. La vie quotidienne concerne fondamentalement les relations, l'action (c'est-à-dire le contrôle de sa vie et la propriété de son travail), la réalisation des objectifs de la vie (moyens de subsistance, famille, amis, communauté et croissance personnelle), le temps libre et les expériences de la vie quotidienne. les facteurs de stress et les joies.
Comme je l'ai exploré dans des articles récents, les éléments expérientiels de la vie quotidienne se sont dégradés au cours des 40 dernières années : la vie est plus difficile et moins sûre d'une manière qui n'est pas compensée par les progrès technologiques. En effet, les avancées technologiques les plus vantées (Internet et téléphones mobiles) ont alourdi le fardeau du travail parallèle et introduit de nouvelles voies de dépendance et de stress qui ont réduit le bien-être. Plutôt que d’être libres, ils incluent des structures de contrôle que nous devons encore comprendre, et encore moins limiter.
Pressée depuis des décennies, la classe ouvrière américaine est enfin au pied du mur
Perdu dans le vaste désert des médias sociaux
Hikikomori et Allongé à plat : quand « réussir » devient désespéré
Le retrait de la Rat Race devient mondial
La Dégradation de la vie quotidienne fait écho au titre de l'un des livres les plus importants que je recommande depuis longtemps, Les structures de la vie quotidienne, civilisation et capitalisme, XVe-XVIIIe siècle, tome 1 de Fernand Braudel. Le livre décrit comment les changements dans la structure économique ont conduit à des changements dans la vie quotidienne.
Les structures que je décris dans les cinq articles décrivent les structures économiques qui façonnent notre vie quotidienne et les structures politiques et sociales dans lesquelles nous vivons. Alors que je concentre mon attention sur la façon dont la mondialisation et la financiarisation ont vidé notre économie et accru la précarité du travail, dans un contexte plus large, nous pouvons identifier ces facteurs structurels de décadence :
1. L’équilibre entre le travail et le capital est penché en faveur du capital depuis 50 ans. Le pouvoir politique du travail et sa part dans l’économie ont diminué tandis que le pouvoir politique et économique du capital est devenu dominant. Cela a poussé les inégalités de revenus à des niveaux extrêmes qui déstabilisent l’économie et les ordres politico-sociaux.
Augmenter les sommes que les travailleurs peuvent emprunter pour se maintenir à flot ne fonctionnera que jusqu’à ce que le service de la dette consomme tout le revenu disponible, écrasant ainsi la consommation. Le résultat final est un défaut de paiement massif de la dette et l’effacement des « actifs » basés sur la dette détenus par les élites financières (les 10 % les plus riches).
Le travail devra rétablir l’équilibre avec le capital, sinon le système s’effondrera dans le désordre. L’histoire est plutôt définitive sur cette chaîne causale.
2. Le contrôle des processus et du récit a remplacé les résultats en tant que mécanismes opérationnels et objectifs du statu quo. Les illusions d'un « progrès » et d'une « prospérité » illimités ont généré un état d'esprit dans lequel les résultats n'ont plus d'importance, car le « progrès » et la « prospérité » sont des forces de la nature qui ne peuvent être arrêtées, nous pouvons donc nous prélasser dans le processus - en complétant formulaires et documents de conformité, soumettre des rapports à d'autres bureaux, tenir des réunions interminables pour discuter de nos « progrès » glacials, exiger davantage de processus, élever les gestionnaires qui excellent dans le processus - avec pour résultat net que les permis de construire qui étaient autrefois délivrés en quelques jours maintenant Cela prend des mois, la construction de ponts prend des décennies et l’incompétence règne en maître.
Pour masquer les résultats lamentables – échecs, retards, mauvaise qualité, erreurs – le contrôle narratif est déployé, étendu et récompensé. La classe managériale a été récompensée et avancée non pas pour avoir généré des résultats de haute qualité, dans les délais, dans les limites du budget, mais pour la gestion des processus et du contrôle narratif : tout va bien, et si ce n'est pas le cas, la faute est ailleurs.
Le résultat net de cette structure est que les compétents démissionnent par dégoût ou sont envoyés en Sibérie, tandis que les incompétents sont élevés aux plus hauts niveaux de gestion des entreprises et du secteur public.
3. La domination des monopoles et des cartels a fatalement faussé les marchés et la politique, sapant les fondements de la vie quotidienne. En éliminant la concurrence et en achetant la complicité politico-régulatrice, les monopoles et les cartels s'assurent des profits amples et stables, des profits qui sont augmentés par la compression de la main-d'œuvre et la réduction de la qualité et de la quantité des biens et services, au point que les services et les biens de qualité sont soit des produits de luxe disponibles. réservés à l’élite ou tout simplement indisponibles à tout prix, car les connaissances, les systèmes et les valeurs nécessaires à la production de biens et de services de haute qualité ont été irrévocablement perdus.
4. La domination des communications numériques dans la vie quotidienne a accru le travail fantôme non rémunéré que nous sommes obligés de faire et a injecté dans la vie quotidienne de nouvelles formes de contrôle narratif, d'hypnose numérique, de dépendance et de dérangement qui ne peuvent être inversées de manière significative autrement que de manière radicale. limiter notre exposition à la marée montante toxique.
Alors, où cela nous mène-t-il ? Nous sommes seuls. Le statu quo est incapable de remédier aux distorsions fatales générées par les structures économiques dominantes, et il est donc également incapable de nous « éviter » d’être assis au banquet des conséquences. C’est pourquoi la seule réponse rationnelle est de se concentrer sur l’augmentation de notre autonomie.
Plutôt que de se laisser captiver par les apologistes et les pom-pom girls proclamant que tout va bien, lancer un canot de sauvetage et mettre le cap vers la terre ferme est une stratégie avec des chances de succès bien plus élevées.
Le réseau électrique américain pourrait devenir peu fiable cet été, prévient l'organisme de surveillance
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 18 MAI 2024 - 04H20 Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times,
Certaines régions d'Amérique pourraient avoir du mal à répondre à la demande d'électricité pendant la saison estivale, les sources d'énergie renouvelables comme l'énergie éolienne et solaire posant un risque potentiel pour la fiabilité de l'approvisionnement en électricité, selon un rapport de la North American Electric Reliability Corporation (NERC).
Le rapport du NERC classe plusieurs régions du pays comme étant confrontées à un risque « élevé » de fiabilité de l’électricité en été pour la prochaine période de juin à septembre.
Un risque élevé signifie qu’il existe un « potentiel de réserves d’exploitation insuffisantes » lorsque la région est confrontée à des conditions de demande supérieures à la normale. Ces régions comprennent des parties de la Louisiane, du Texas, du Nouveau-Mexique, de l'Arizona, de la Californie, de l'Illinois et de l'Iowa. La détermination d’un risque élevé repose sur divers facteurs, notamment les faibles conditions potentielles d’énergie éolienne ou solaire qui pourraient entraîner une diminution de l’approvisionnement en électricité.
Le système d'alimentation en vrac (BPS) nord-américain est composé de six entités régionales : Midwest Reliability Organization (MRO), Northeast Power Coordinating Council (NPCC), ReliabilityFirst (RF), SERC Reliability Corporation (SERC), Texas Reliability Entity (Texas). RE), Western Electricity Coordinating Council (WECC) – avec un risque élevé à venir dans certaines régions.
Midcontinent Independent System Operator (MISO), qui gère le marché de la capacité électrique, opère dans 15 États américains, dont le Texas, l'Illinois, le Montana, l'Arkansas et le Kentucky. Le MISO devrait disposer de « ressources suffisantes » pour répondre à la demande de pointe estivale normale, indique le rapport du NERC.
Cependant, si MISO devait faire face à des conditions de demande de pointe supérieures à la normale à un moment où la production éolienne et solaire est inférieure aux prévisions, il pourrait être « difficile » pour l’organisme de transport de répondre à la demande.
« La performance des éoliennes pendant les périodes de forte demande est un facteur clé pour déterminer si l'approvisionnement en électricité du système est suffisant ou si une aide externe (non ferme) est nécessaire pour maintenir la fiabilité. »
L’interconnexion Texas RE ERCOT (Electric Reliability Council of Texas), qui gère environ 90 % de la charge électrique du Texas, est confrontée à des conditions d’urgence potentielles pendant les soirées d’été « lorsque la production solaire commence à diminuer ».
Dans certaines conditions du réseau, les transferts d’électricité du sud du Texas vers la région de San Antonio doivent être restreints, ce qui contribue à un « risque élevé » d’approvisionnement. De telles conditions de réseau se produisent lorsque « la demande est élevée et la production éolienne et solaire est faible dans des zones spécifiques, ce qui met à rude épreuve le système de transport ».
Dans les zones desservies par le WECC couvrant 14 États, dont la Californie et le Nouveau-Mexique, on estime que les défis en matière de fiabilité de l'électricité se situent dans des conditions de « demande supérieure à la normale et de faibles ressources ». Une telle situation se produit lorsque la production solaire est faible ou que les importations sont inférieures à la normale, indique le rapport.
Commentant le rapport du NERC, Michelle Bloodworth, PDG d'America's Power, un partenariat d'industries impliquées dans la production d'électricité à partir du charbon, a déclaré que l'évaluation révèle que le réseau électrique américain est « de plus en plus dépendant de sources d'électricité dépendantes des conditions météorologiques » comme l'énergie solaire et énergie éolienne.
Cela expose « un tiers du pays à un risque élevé de pannes d’électricité cet été », a-t-elle déclaré, ajoutant que ces risques ne feraient qu’augmenter en raison des réglementations imposées par l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA).
« Les mises hors service retardées des centrales à charbon jouent un rôle clé dans la fiabilité du réseau. Cependant, il ne s’agit que d’une solution temporaire, car les réglementations de l’EPA entraîneront davantage de retraits de charbon qui ne peuvent être retardés. Ces réglementations, en particulier la règle carbone récemment annoncée, augmentent le risque de pannes d'électricité », a déclaré Mme Bloodworth.
"Avec l'explosion de la demande en électricité, notre pays a besoin d'une stratégie pour garantir un approvisionnement électrique sain à long terme, qui ne dépend pas du soleil et du vent et qui n'est pas dicté par les réglementations de l'EPA."
L'EPA soutient les énergies renouvelables, notant qu'elles « ne produisent aucune émission de gaz à effet de serre » comme les combustibles fossiles et réduisent certains types de pollution atmosphérique. Les énergies renouvelables peuvent également réduire la « dépendance de l’Amérique aux carburants importés ».
Le mois dernier, l’EPA a annoncé 7 milliards de dollars de subventions dans le cadre du programme « Solar for All » pour réaliser des projets solaires résidentiels dans plus de 900 000 foyers à travers les États-Unis. Les bourses sont attribuées à 60 sélectionnés.
"Les personnes sélectionnées feront progresser les initiatives en matière d'énergie solaire à travers le pays, créant des centaines de milliers d'emplois bien rémunérés, économisant 8 milliards de dollars en coûts énergétiques pour les familles, fournissant un air plus pur et luttant contre le changement climatique", a déclaré l'administrateur de l'EPA, Michael S. Regan.
Nouvelle règle de l'EPA
Le rapport du NERC intervient alors que l'EPA a annoncé le 25 avril une série de règles finales visant à réduire la pollution provenant des centrales électriques alimentées aux combustibles fossiles.
Les nouvelles normes exigent que toutes les centrales au charbon qui ont l'intention de fonctionner à long terme ainsi que toutes les nouvelles centrales au gaz de base réduisent 90 pour cent de leur pollution par le carbone.
Les règles renforcent également la norme d'émissions des centrales à charbon pour les métaux toxiques de 67 pour cent et imposent une réduction de 70 pour cent de la norme d'émission pour le mercure provenant des sources existantes alimentées au lignite. En outre, les règles concernant le rejet des eaux usées dans les centrales à charbon et la gestion des cendres de charbon sont renforcées.
L’EPA affirme que les nouvelles normes respectent l’engagement de l’administration Biden à protéger la santé de toutes les communautés. L’agence a déclaré que les règles apporteraient « des centaines de milliards de dollars de bénéfices nets ».
« L’analyse d’impact de la réglementation prévoit une réduction globale de 1,38 milliard de tonnes de pollution par le carbone d’ici 2047, ce qui équivaut à empêcher les émissions annuelles de 328 millions de voitures à essence, ou à près d’une année entière d’émissions de l’ensemble du secteur américain de l’énergie électrique. Il prévoit également jusqu’à 370 milliards de dollars de bénéfices nets pour le climat et la santé publique au cours des deux prochaines décennies », a déclaré l’EPA.
L'agence estime également que les règles permettront d'éviter jusqu'à 1 200 décès prématurés, 1 900 cas d'apparition d'asthme, 360 000 cas de symptômes d'asthme et 57 000 journées de travail perdues rien qu'en 2035.
"En élaborant ces normes de manière claire, transparente et inclusive, l'EPA réduit la pollution tout en garantissant que les compagnies d'électricité peuvent faire des investissements intelligents et continuer à fournir une électricité fiable à tous les Américains", a déclaré M. Regan.
Les réglementations énergétiques ont été critiquées par Jim Matheson, PDG de la National Rural Electric Cooperative Association, une association professionnelle de coopératives électriques.
« La voie tracée par l’EPA est illégale, irréaliste et irréalisable », a-t-il déclaré. « Cela compromet la fiabilité électrique et entraîne de graves conséquences pour un réseau électrique déjà sous tension. Ce barrage de nouvelles règles de l’EPA ignore les défis actuels en matière de fiabilité électrique de notre pays et constitue une mauvaise approche à un moment critique pour l’avenir énergétique de notre pays.
La sénatrice Shelley Moore Capito (RW.Va.) a qualifié les règles de l’EPA de preuve que le président Biden a « doublé » son projet de fermer « l’épine dorsale du réseau électrique américain ».
« La demande d’électricité est appelée à monter en flèche grâce en partie au mandat de l’EPA en matière de véhicules électriques, et malheureusement, les Américains paient déjà des factures de services publics plus élevées sous le président Biden », a-t-elle déclaré.
« Malgré tout cela, l’administration a choisi de poursuivre son programme climatique irréaliste qui menace l’accès à une énergie fiable et abordable pour les ménages et les employeurs à travers le pays. »
Prévoir la transition aux USA : le recul d'El Niño et la montée en puissance de La Niña
17 Mai 2024 AGDAILY Reporters*
Les phénomènes météorologiques liés à El Niño s'estompent rapidement et devraient disparaître à la fin du printemps ou au début de l'été.
- voir carte sur site -
Les météorologues signalent que le réchauffement cyclique de l'eau dans l'est et le centre de l'océan Pacifique, près de l'équateur, est en train de s'estomper. Après le pic atteint fin novembre et en décembre, les températures de l'océan dans cette région sont tombées ces dernières semaines en dessous de l'anomalie de 1,5 degré Celsius généralement associée à un El Niño vigoureux.
Les phénomènes El Niño et La Niña résultent d'interactions entre la surface de l'océan et l'atmosphère dans le Pacifique tropical. Les fluctuations des températures océaniques peuvent influencer les conditions météorologiques sur de grandes distances, y compris dans les régions proches des États-Unis. Bien qu'il ne s'agisse pas du seul facteur déterminant des conditions météorologiques, le passage à La Niña peut avoir plusieurs conséquences notables.
Voici ce que vous pourriez observer :
Des étés plus chauds dans le centre et l'est des États-Unis ;
Une saison des ouragans plus active dans l'Atlantique ;
Des hivers plus chauds et plus secs dans le sud ;
Des hivers plus froids dans les plaines du Nord ;
Des hivers plus humides dans le nord-ouest du Pacifique.
Selon le Centre de Prévision Climatique de la National Oceanic and Atmospheric Administration, il y a plus de 60 % de chances que La Niña se développe d'ici l'été. Cette probabilité passe à 80 % à la fin de l'été et au début de l'automne.
- voir graph sur site -
En quoi cela est-il important pour les agriculteurs ?
Trois épisodes consécutifs de La Niña ont pesé lourdement sur les exploitations agricoles et les ranchs à partir de 2020, car une année 2019 humide s'est transformée en une année 2020 très sèche. Au cours des trois dernières années de La Niña, les États-Unis ont connu 14 ouragans et tempêtes tropicales dont les dégâts se sont élevés à 252 milliards de dollars. Ces sécheresses généralisées se sont ensuite transformées en un temps plus humide dans les plaines et le sud cet hiver.
Si La Niña est historiquement liée à des phénomènes météorologiques plus dommageables et plus coûteux, elle n'est pas très appréciée par l'agriculture américaine. Selon le Département Américain de l'Agriculture, les rendements à l'hectare du maïs et du blé d'hiver ont généralement tendance à augmenter après les saisons de végétation marquées par El Niño, et à diminuer après les saisons de végétation marquées par La Niña.
Bien que chaque année soit différente, de même que chaque La Niña, la sécheresse et les périodes de sécheresse de 2020-2022, ainsi que les tendances historiques à des conditions plus sèches dans l'ensemble de la Corn Belt occidentale, pourraient se traduire par une année difficile pour les agriculteurs et les éleveurs. __________
* Source : Forecasting transition: El Niño’s retreat and the rise of La Niña (agdaily.com)
Le 'grand volcan sous-océanique' (au large du Pérou) est en éruptions constantes. Soit elles diminuent (La Niña) où notre planète froide reprend le dessus, soit elles s’accélèrent dans ses effusions qui réchauffent les courants océaniques et atmosphériques et s'appellent alors El Niño.
L'enquête de l'UE contre Facebook devrait faire progresser l'identification numérique
18 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
La loi sur les services numériques (DSA) est entrée en vigueur il y a environ un an. L’utilisation de l’identification numérique européenne pour la vérification de l’âge n’est qu’une des idées qui ont été développées pour la rendre obligatoire quelque part. Et les bureaucrates européens tentent de garantir que ces mesures controversées soient présentées comme étant parfaitement conformes aux plans initiaux du DSA visant à protéger les enfants.
Le règlement DSA a été critiqué par ses opposants comme une loi générale de censure en ligne qui se cache derrière de nobles déclarations selon lesquelles elle vise à protéger le bien-être des enfants, à lutter contre la désinformation, etc. La froide et dure réalité est que ceux qui sont au pouvoir, que ce soit dans l’UE, aux États-Unis ou ailleurs, ne peuvent tout simplement pas s’empêcher d’essayer de serrer (plus loin) les programmes ayant la plus grande portée et la plus grande influence avant une élection – de quelque manière que ce soit.
La Commission européenne, dont le président brigue à nouveau ce poste, a ouvert une enquête sur Meta car elle soupçonne que ses produits phares, Facebook et Instagram, « génèrent des comportements addictifs chez les enfants et nuisent à la santé mentale ».
Thierry Breton, le commissaire européen qui s'est fait un nom en tant que partisan de toutes sortes de restrictions du droit fondamental à la liberté d'expression pendant le mandat de la Commission européenne qui touche à sa fin, s'est encore exprimé ici :
«Nous engageons une procédure formelle contre Meta. "Nous ne sommes pas convaincus que l'entreprise ait fait suffisamment pour respecter ses obligations DSA et atténuer les risques d'impacts négatifs sur la santé physique et mentale des jeunes Européens sur ses plateformes Facebook et Instagram ", a déclaré Breton.
Et tandis que l’UE enquête sur « les effets addictifs potentiels des plateformes (…) tels qu’une image corporelle irréaliste », un sujet non potentiel mais très concret est également examiné : l’efficacité des outils de vérification de l’âge de Meta.
Les raisons de ces soupçons résident dans le DSA. Avec cette législation de censure, les grandes entreprises technologiques peuvent désormais être tenues responsables des préjudices en ligne, de la « désinformation » à la fraude lors des achats en passant par la mise en danger d'enfants.
Bien que la vérification de l'âge fasse progresser l'identification numérique et compromette la vie privée de chacun en ligne, Breton a assuré qu'il s'agissait d'un pur moment de « penser aux enfants », car la technologie requise pour atteindre un tel résultat - comme B. la présentation de copies de documents d'identité délivrés par le gouvernement - la nature de l'affaire est la suivante :
« Nous ne ménageons aucun effort pour protéger nos enfants », affirme Breton.
La recherche vise à faire la lumière sur les effets dits de « trou du lapin » que ces plateformes peuvent avoir en exposant les jeunes à des contenus potentiellement préjudiciables sur des apparences physiques irréalistes, entre autres. L'enquête vise également à déterminer le degré d'efficacité des procédures de validation de l'âge de Meta et de protection de la vie privée des enfants.
Le récit du « trou du lapin » qui suggère que les plateformes de médias sociaux comme Facebook et Instagram peuvent conduire les utilisateurs vers des contenus addictifs et potentiellement dangereux soulève des questions importantes, en particulier sur la façon dont Meta utilise des algorithmes pour contrôler ce que les gens voient, écrit Reclaim The Net.
Le dirigeant non élu de l’UE, Leyen, réclame depuis longtemps une carte d’identité numérique à l’échelle européenne « avec laquelle chaque citoyen peut tout faire n’importe où en Europe, du paiement des impôts à la location d’un vélo ».
La lutte contre Meta sert précisément à rendre progressivement obligatoire l’utilisation de l’identification numérique sur Internet. Le droit fondamental à une communication non observée est donc compromis. Et une fois que l'identification numérique sera liée à la nouvelle CBDC (programmable) de l'UE, vous ne pourrez plus louer de vélo ou participer à la société si les technocrates non élus en charge de l'UE décident que vous n'êtes pas assez obéissant. pour quelque raison que ce soit.
Peut-être n'avez-vous pas reçu toutes les injections nécessaires ? Peut-être avez-vous exprimé une « mauvaise » opinion sur les réseaux sociaux ? Ou peut-être avez-vous eu l’audace de critiquer le régime totalitaire de l’UE ?
Les stocks de remplacement des vaches laitières aux États-Unis s'effondrent à leur plus bas niveau depuis deux décennies
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 18 MAI 2024 - 00H40
La chaîne d’approvisionnement alimentaire du pays reste sous pression. Nous avons tiré la sonnette d’alarme sur la diminution de l’offre américaine de bovins de boucherie à son plus bas niveau depuis plus d’un demi-siècle.
Aujourd'hui, Bloomberg rapporte que les fermes laitières orientent leurs programmes de sélection vers des hybrides bœuf-laitier, capitalisant sur les faibles troupeaux de bœuf au milieu de la surabondance écrasante de lait de l'année dernière. Cependant, cela s'accompagne de risques croissants à mesure que le cheptel laitier du pays commence à se fissurer.
Les veaux hybrides sont produits par insémination artificielle d'une vache laitière avec le sperme d'un taureau de boucherie. Cela a créé un énorme avantage pour les producteurs laitiers en difficulté, frappés par la volatilité des prix du lait et une surabondance impitoyable ces dernières années. L’année dernière, les agriculteurs du Midwest ont été contraints de jeter des dizaines de milliers de gallons de lait dans les égouts.
"Les prix du lait fluctuent et les agriculteurs sont donc toujours à la recherche d'un moyen de compenser les coûts pour être aussi efficaces que possible", a déclaré Amy Penterman, propriétaire de Dutch Dairy, qui élève environ 70 % de son troupeau de 900 vaches laitières pour bœuf.
Penterman a expliqué que cette nouvelle source de revenus est « gratifiante car l'offre de bœuf a diminué au cours des dernières années. Nous sommes en mesure d'ajouter cette offre supplémentaire sur le marché afin de maintenir les coûts bas pour nos consommateurs ».
Les dernières données de l'USDA montrent que le cheptel de bovins de boucherie du pays a plongé à son plus bas niveau depuis 1951, principalement en raison des sécheresses persistantes dans le Midwest, de la hausse des coûts du diesel et des aliments pour animaux et des taux d'intérêt élevés. Les coûts plus élevés ont contraint les éleveurs à éliminer un nombre croissant de vaches de boucherie.
- voir graph sur site -
Mercredi, le PDG de Tyson Foods, Donnie King, a déclaré à l'auditoire de la conférence mondiale Farm to Market de BMO à Toronto qu'il ne savait toujours pas quand les éleveurs américains reconstitueraient de manière significative leurs troupeaux de bovins.
L’effondrement des stocks de vaches laitières de remplacement est l’un des problèmes majeurs des fermes laitières qui se tournent vers des hybrides viande-bœuf pour profiter de la flambée des prix de la viande.
Les données de l'USDA montrent déjà que le nombre de vaches de remplacement disponibles pour les troupeaux laitiers en janvier 2024 a plongé à un niveau jamais vu depuis 2004.
Lucas Fuess, de Rabobank, a averti que si les prix du lait devaient grimper, la faiblesse des stocks et la hausse des prix des vaches de remplacement pourraient entraîner une forte compression des marges des agriculteurs.
Nate Donnay, directeur de l'analyse du marché laitier chez StoneX Financial, a déclaré que le nombre de vaches laitières de remplacement est déjà « au niveau minimum » nécessaire pour maintenir le troupeau laitier.
"Dans dix ans, le cheptel bovin va probablement redevenir trop grand et les prix seront terribles et peut-être qu'ils ne voudront plus de ces animaux laitiers", a déclaré Donnay, ajoutant: "Mais pour les deux prochaines années, cette demande le nombre d'animaux laitiers dans le cheptel de boucherie va probablement rester fort. »
Encore un autre désastre pour la chaîne d’approvisionnement alimentaire du pays.
Pourquoi l’Inde et les pays du Sud devraient fermement rejeter la technologie des insectes génétiquement modifiés
Par Bharat Dogra Recherche mondiale, 1er mai 2024
Ces dernières années, la technologie des insectes modifiés, y compris les insectes génétiquement modifiés, en particulier les moustiques, ainsi que d'autres technologies connexes, ont été exposées dans plusieurs pays pour leurs impacts néfastes sur l'environnement et les populations ainsi que pour leurs implications encore plus sinistres en matière de guerre biologique.
En fait, dans le cas de certains projets impliquant une collaboration étrangère, l'Inde en a fait l'expérience très tôt. Par conséquent, la technologie des insectes génétiquement modifiés, en particulier des moustiques , qui est colportée par de puissants intérêts commerciaux ainsi que par des milliardaires et des organisations internationales, devrait être fermement rejetée par l'Inde. Bien que ceci soit écrit ici plus spécifiquement dans le contexte de l’Inde, une telle politique de rejet de cette technologie devrait être adoptée plus fermement par l’ensemble du Sud global, car les promoteurs de ces technologies à haut risque ont des contacts très puissants dans le Nord global, en particulier Aux États-Unis et en Grande-Bretagne, et sans une politique d’opposition ferme en place, certains pays du Sud pourraient se retrouver piégés dans cette situation. Les pays du Sud devraient également coopérer pour faire évoluer ensemble cette politique d'opposition, tout en étendant cette coopération pour trouver de meilleurs moyens de réduire les dommages causés par les maladies transmises par les moustiques sans tomber dans le piège des intérêts des grandes entreprises qui tentent d'utiliser ces maladies comme moyen d’en tirer d’énormes profits et/ou ou d’étendre leur contrôle sur le secteur de la santé.
Les autorités indiennes semblaient bien conscientes de cette responsabilité, du moins jusqu’à il y a quelque temps. Un rapport en première page du Business Line (20 août 2018) intitulé « Govt. peut écraser les moustiques GM (génétiquement modifiés) » et écrit par Rahul Wadke a déclaré :
« Le gouvernement est sur le point de refuser l’autorisation de procéder à des essais en plein champ visant à introduire des moustiques Aedes aegypti génétiquement modifiés (GM). La nouvelle technologie GM prétend contrôler la propagation des virus de la dengue, du chikungunya et du zika en Inde en utilisant des moustiques génétiquement modifiés pour perturber le cycle de vie des moustiques porteurs du virus. La société GBIT, basée à Mumbai, associée au géant des semences Mahyco et à la société britannique Oxitec, recherche les approbations réglementaires du ministère de la Biotechnologie et d'autres ministères pour introduire la technologie dans le pays. Des sources centrales de premier plan ont déclaré que les scientifiques du gouvernement étaient sceptiques quant à l'efficacité de la technologie. Ils s’inquiètent des conséquences inconnues et de l’impact probable sur l’environnement de la dissémination de moustiques génétiquement modifiés.
Cependant, lorsque le Département de biotechnologie a introduit des « Lignes directrices pour les insectes génétiquement modifiés » en 2023, celles-ci ne semblaient pas montrer une prise de conscience adéquate des risques élevés impliqués ainsi que de la littérature substantielle disponible à l'époque concernant ces risques. Celles-ci semblaient suivre les directives de l’OMS, ignorant le fait hautement regrettable qu’un milliardaire impliqué le plus étroitement dans la promotion de ces technologies à haut risque soit également devenu un collaborateur/financeur majeur de l’OMS. Il faudrait également reconsidérer la confiance que l'on peut accorder au Comité d'évaluation du génie génétique, compte tenu de ses antécédents. Il semble qu'une autorité et une expertise supplémentaires soient également nécessaires pour contrôler la forte influence des entreprises dans de telles questions ainsi que pour protéger les intérêts de sécurité nationale. . Il existe également d'autres problèmes et lacunes concernant ces lignes directrices, comme le souligne une étude récente publiée dans un journal réputé (voir « Les problèmes liés aux nouvelles lignes directrices indiennes sur les insectes génétiquement modifiés » par Sambhavi Naik, The Hindu, 2023).
En fait, des scientifiques et des militants environnementalistes de nombreuses régions du monde ont mis en garde contre cette technologie et le secret associé à sa promotion douteuse. Cette technologie a également été mise en cause dans le passé pour ses éventuelles implications en matière de guerre biologique.
Jusqu’à présent, de nombreux procès de ce type ont été organisés en secret dans plusieurs régions du monde. Les dangers sérieux associés à de tels essais ont été révélés à maintes reprises.
Le Dr Helen Wallace, directrice de GeneWatch UK, a écrit :
En Inde, de tels efforts ont été observés pour la première fois sous la forme du projet d'unité de contrôle génétique des moustiques dans les années 1970 et ce projet a été fortement critiqué dans les médias pour ses divers dangers et même ses implications en matière de guerre biologique. La Commission des comptes publics du Parlement indien a également soutenu cette critique dans son 167 e rapport. Les implications dangereuses du projet ont été exposées par C. Raghavan dans Mainstream (17 mai 1975) et par le brillant journaliste du PTI, le Dr KS Jayaraman. Cet écrivain a également beaucoup écrit sur cette question, notamment dans un article de couverture pour la section Sunday Magazine du principal journal The Times of India. Même si ce projet a causé de nombreux dégâts, la libération à grande échelle de moustiques dangereux dans la ville surpeuplée de Sonipat (Haryana) a pu être stoppée à la dernière minute.
Dans une récente étude complète de cette technologie intitulée Mosquito in the Ointment (voir Frontline – 16 février 2018), un scientifique indien de haut niveau, le Dr PKRajagopalan , ancien directeur du Centre de recherche sur la lutte anti-vectorielle, a exposé les nombreux problèmes et dangers de cette technologie. . Il a conclu après avoir examiné de nombreuses preuves provenant de diverses régions du monde, dont l'Inde,
« Il est évident que la libération de moustiques vecteurs génétiquement manipulés est non seulement inefficace, mais présente également un grand danger pour la société. »
Par conséquent, l'autorisation de tout nouvel essai de cette technologie dangereuse devrait être immédiatement arrêtée et cette technologie dangereuse et hautement suspecte devrait être abandonnée pour toujours au lieu d'être introduite encore et encore sous de nouveaux vêtements par des intérêts étrangers puissants et bornés et des milliardaires (plus leurs collaborateurs locaux) dont certains ont déjà fait beaucoup de dégâts très graves dans les secteurs des semences, de l'agriculture et de la santé.
Les risques élevés de l’IA et des armes robotiques
Par Bharat Dogra Recherche mondiale, 18 mai 2024
Les récentes expériences tragiques à Gaza ont confirmé les craintes des scientifiques qui mettaient en garde contre l’utilisation de l’IA et de la robotique dans les systèmes d’armes et dans la guerre. L’utilisation de l’IA dans les systèmes de ciblage était censée faciliter un ciblage plus précis et ainsi épargner des civils innocents – en utilisant le système Lavender pour cibler le personnel et le système Gospel pour cibler les bâtiments où les militants étaient censés se trouver. Cependant, cette technologie d’IA, utilisée à la hâte, a en réalité entraîné de nombreux meurtres aveugles de civils innocents.
Ce n’est pas le seul exemple récent d’utilisation à haut risque d’armes IA. Les avertissements très effrayants mais fondés sur des faits émis par des experts reconnus ont été suivis par des investissements croissants de la part des grandes puissances pour renforcer leurs préparatifs en vue de développer une large gamme d’armes robotisées.
Alors que certaines applications civiles des robots font également l'objet de critiques croissantes concernant les craintes d'un chômage à grande échelle susceptible d'être causé par ces robots dans plusieurs secteurs d'activité dans un monde déjà souffrant des effets négatifs d'une croissance sans emploi, les impacts négatifs de l'utilisation militaire des robots les robots sont probablement beaucoup plus dangereux. Pourtant, l’un des arguments avancés pour ne pas contrôler l’utilisation militaire d’armes robotisées (également appelées armes létales autonomes ou LAW) est que les travaux destinés à l’utilisation civile et militaire des robots, en particulier dans le contexte de la recherche scientifique et de l’innovation, peuvent être étroitement liés. Le message transmis est qu’à mesure que la recherche civile sur les robots progresse, il y aura des implications pour l’utilisation militaire des robots qui ne peuvent être ignorées par aucune grande puissance militaire.
Ainsi, d'un côté, il est affirmé que les progrès civils dans le domaine des robots, en réduisant les coûts et en offrant d'autres avantages limités indépendamment des coûts sociaux, conduiront inévitablement à la diffusion de la robotique dans les applications civiles et, d'un autre côté, il est affirmé que les possibilités militaires qui se présentent dans le contexte de ce développement technologique, seront également inévitablement utilisés par divers établissements militaires dans diverses régions du monde. Bien sûr, une fois que l’importance des robots pour l’armée deviendra de plus en plus claire, les établissements militaires investiront également beaucoup dans le développement purement militaire des robots. Ce stade a déjà été atteint dans le cas des principales puissances militaires du monde. Nous nous trouvons donc dans une situation où, malgré les avertissements croissants des experts concernant les armes robotisées, la tendance au développement d’armes robotisées de plus en plus destructrices semble désormais imparable. Aux États-Unis, plusieurs nouvelles start-up semblent s’inspirer de la volonté croissante du Pentagone d’investir dans les armes IA, et il est peu probable que d’autres puissances soient à la traîne.
Dès 2012-2013, dans le cadre des efforts du Comité international pour le contrôle des armements robotisés, pas moins de 270 experts en informatique, experts en IA et ingénieurs avaient appelé à l'interdiction du développement et du déploiement de systèmes d'armes qui prennent la décision de appliquer la force violente de manière autonome, sans aucun contrôle humain. Ils ont dit clairement que la décision concernant l’usage de la force violente ne devait pas être déléguée aux machines. Ces experts se sont interrogés sur la manière dont les appareils contrôlés par des algorithmes complexes interagiraient, avertissant que de telles interactions pourraient créer un comportement instable et imprévisible susceptible de déclencher ou d'aggraver des conflits ou de causer des dommages injustifiables et graves aux populations civiles.
En août 2017, pas moins de 116 spécialistes de 26 pays, dont certains des plus grands pionniers mondiaux de la robotique et de l'intelligence artificielle, ont appelé les Nations Unies à interdire le développement et l'utilisation de robots tueurs. Ils ont écrit,
« Une fois développées, les armes mortelles autonomes permettront de mener des conflits armés à une échelle plus grande que jamais, et parfois à des échelles plus rapides que ce que les humains peuvent comprendre. Il peut s’agir d’armes de terreur, d’armes que les despotes et les terroristes utilisent contre des populations innocentes, ou d’armes piratées pour se comporter de manière indésirable.
"Nous n'avons pas longtemps pour agir." Cette lettre prévenait. "Une fois la boîte de Pandore ouverte, il sera difficile de la fermer."
Ryan Gariepy, le fondateur de Clearpath Robotics, a déclaré :
"Contrairement à d'autres manifestations potentielles de l'IA qui restent encore du domaine de la science-fiction, les systèmes d'armes autonomes sont actuellement sur le point de se développer et ont un potentiel très réel de causer des dommages importants à des personnes innocentes ainsi qu'une instabilité mondiale."
The Economist (27 janvier 2017) a noté dans son rapport spécial intitulé « L'avenir de la guerre » :
« Au moins, le monde sait ce que signifie vivre à l’ombre des armes nucléaires. Des questions bien plus importantes se posent quant à la manière dont les progrès rapides de l’intelligence artificielle (IA) et de l’apprentissage profond affecteront la manière dont les guerres sont menées, et peut-être même la manière dont les gens perçoivent la guerre. La grande préoccupation est que ces technologies pourraient créer des systèmes d’armes autonomes capables de choisir de tuer des humains indépendamment de ceux qui les ont créés ou déployés.
Ce rapport spécial distingue trois types d'armes IA ou d'armes robotisées
(i) dans la boucle (avec un humain surveillant en permanence l'opération et restant en charge des décisions critiques,
(ii) en boucle (avec un humain supervisant des machines pouvant intervenir à tout moment de la mission) ou
(iii) hors de la boucle (la machine réalisant la mission sans aucune intervention humaine une fois lancée).
Les armes robotisées entièrement autonomes (troisième catégorie) sont évidemment les plus dangereuses.
Une lettre mettant en garde contre la course à venir à ces armes a été signée en 2015 par plus de 1 000 experts en IA. Une campagne internationale intitulée « Campagne pour arrêter les robots tueurs » est menée régulièrement dans ce sens et dans le cadre d'objectifs connexes. Elon Musk a déclaré que la compétition pour la supériorité de l’IA au niveau national était la « cause la plus probable de la Troisième Guerre mondiale ».
Stephen Hawking, Elon Musk et de nombreux autres experts ont déclaré dans une déclaration commune que, mal gérée, l’IA en tant qu’arme pourrait constituer une menace existentielle pour la race humaine.
Paul Scharre, expert en armes autonomes, a écrit que « collectivement, des essaims de systèmes robotiques ont le potentiel de provoquer des changements encore plus dramatiques et perturbateurs dans les opérations militaires ». Une possibilité qu'il mentionne est que de minuscules drones imprimés en 3D puissent être transformés en nuages intelligents qui peuvent imprégner un bâtiment ou être largués sur une vaste zone pour rechercher des forces ennemies cachées.
Dans mon roman Un jour en 2071, je visualise une situation dans laquelle des élites puissantes utilisent une force composée de très petits robots soldats pour réprimer une révolte des gens ordinaires.
Plusieurs pays progressent rapidement dans le domaine des armes robotisées. En 2014, le Pentagone a annoncé sa « Troisième stratégie de compensation », mettant un accent particulier sur la robotique, les systèmes autonomes et le « big data ». Cela est censé aider les États-Unis à maintenir leur supériorité militaire. En juillet 2017, la Chine a présenté son « Plan de développement de l’intelligence artificielle de nouvelle génération », qui accorde un rôle crucial à l’IA en tant que technologie transformatrice dans les domaines civil et militaire, en mettant l’accent sur la « fusion militaro-civil ».
La campagne intitulée Stop Killer Robots souhaite un traité international juridiquement contraignant interdisant les LOIS. Mais on peut se demander si cela peut être efficace sans la signature des grandes puissances militaires, et ces grandes puissances continuent d’investir massivement dans les armes robotisées. Certes, quels que soient les efforts déployés actuellement pour contrôler les armes robotisées, ils doivent se poursuivre et être renforcés, mais au-delà de cela, il est également important d'examiner très sérieusement pourquoi notre monde, tel qu'il est organisé actuellement, se révèle de plus en plus incapable de contrôler certaines des menaces les plus dangereuses.
Antennes 5G illégalement activées
RépondreSupprimer16.05.2024
www.kla.tv/29074
De quoi s'agit-il ?
Dans son arrêt définitif du 21 août 2023, le Tribunal administratif de Berne a statué, suite à une plainte, qu'il n'existait pas de base légale pour l’activation d'une antenne de téléphonie mobile 5G adaptative avec facteur de correction sans nouvelle demande de permis de construire et sans publication publique. Il a annulé la décision de l'instance précédente, qui indiquait que, pour les antennes 5G adaptatives, aucune demande de permis de construire ni aucune publication publique n'était obligatoire. L'instance précédente doit clarifier cette question en détail et la réévaluer. Avec ces antennes adaptatives dotées d’une puissance d'émission accrue, des expositions aux rayonnements jusqu’à trois fois plus élevées que ce qui est autorisé, pourraient se produire, et ce, de manière limitée dans le temps et dans l'espace. Il convient de vérifier où et dans quelle mesure l’exposition aux rayonnements se produit. Rien que dans le canton de Berne, 386 antennes ont été omises. Elles émettent donc des rayonnements d'une intensité inconnue sans aucune base légale.
La lettre des organisations mentionnées indique :
"Comme vous pouvez le constater sur la liste, des antennes adaptatives ont été mises en service de manière illégale aussi dans votre commune, sans demande de permis de construire ni publication avec le facteur de correction."
Elles demandent aux communes, en tant qu'autorité compétente en matière de police du bâtiment, de veiller d'office au retour à la légalité des antennes exploitées illégalement. Si les communes ne donnent pas suite à cette demande, les organisations se réservent le droit de porter plainte au pénal pour abus d’autorité et pour favoritisme envers le secteur de la téléphonie mobile.
Ces incidents soulèvent quelques questions. Dans le cas des antennes 5G, des failles dans les dispositions légales de l'État de droit suisse auraient-elles été exploitées pour contourner le droit d'opposition de la population concernée ?
Les modifications techniques des stations émettrices ont-elles été effectuées sans permis de construire, avec la pensée "on verra bien si quelqu'un s'en aperçoit et s'y oppose" ?
Le lobby de la téléphonie mobile, puissant sur le plan financier et influent, a-t-il obtenu l'accord des autorités pour le développement des antennes et l’activation de la 5G sans la clarification nécessaire des niveaux de rayonnement ? Ce schéma est-il systématique, puisqu'il ne s'agit apparemment pas d'un cas isolé ? Cette pratique ne devrait-elle pas faire l'objet d'une enquête et révélée dans toute la Suisse ?
Comme Kla.TV l'a déjà documenté dans de nombreuses émissions, le thème de la téléphonie mobile montre malheureusement une fois de plus à quel point les droits démocratiques du peuple sont trahis par les élites économiques et de pouvoir. Les bénéficiaires du lobby de la téléphonie mobile semblent être très conscients des effets négatifs et nocifs du rayonnement 5G, et empêchent toute possibilité de résistance de la part de la population. Même les représentants élus du peuple font souvent partie du réseau des cercles de pouvoir mondiaux et sont soumis à leurs diktats.
RépondreSupprimerPrenons l'exemple des mesures prises pendant la pandémie du Covid. Sous le prétexte de la protection de la santé, l'humanité entière a dû apprendre comment le droit en vigueur a été abrogé, pour ainsi dire, du jour au lendemain. Et ceux qui invoquaient le droit à l'intégrité physique, à la liberté d'expression, à la liberté de réunion, à la liberté économique, garantis par la Constitution, étaient exclus, diffamés, discriminés, voire poursuivis en justice. Malgré la défaillance de la politique et des autorités, documentée par des preuves, et malgré des plaintes en suspens, la justice n'a rendu pratiquement aucun jugement. On parle aujourd'hui à juste titre de "faillite juridique".
Reconnaissez-vous les fils rouges qui mènent jusqu’à la Grande Réinitialisation ? Apprenez-en plus sur l'état d'avancement de la dépossession totale et progressive des êtres humains et sur la manière dont elle est promue et poursuivie - souvent de manière cachée et avec des mots bienveillants. Regardez les émissions de Kla.TV sur cette thématique sur www.kla.tv/expropriation.
En cas d'infraction à la loi lors de l'exploitation d'antennes de téléphonie mobile, le peuple a toujours la possibilité de se défendre et de s'élever contre cette violation. Ne restez pas silencieux en cas de violation du droit, mais élevez également votre voix
de mfg
RépondreSupprimerSources / Liens :
Communiqué de l'association WIR:
https://www.vereinwir.ch/baupolizeiliche-anzeige-gegen-den-betrieb-von-mobilfunkanlagen-ohne-baubewilligung/
Liste des émetteurs illégaux dans le canton de Berne : https://www.vereinwir.ch/wp-content/uploads/2024/02/Excel-Liste-AUE-MF-Anlagen-im-Kanton-BE.xlsx
Lettre de l'Office de l'environnement et de l'énergie de Berne avec liste de pièces jointes :
https://www.vereinwir.ch/wp-content/uploads/2024/02/Brief-und-Liste-von-AUE-mit-386-rechtswidrig-in-Betrieb-genommenen-MF-Anlagen-im-Kanton-BE1.pdf
Arrêt du Tribunal administratif du canton de Berne du 21 août 2023, n°100.2021.300U :
https://www.vg-urteile.apps.be.ch/tribunapublikation/?dec=cd56707476c14d6aa8289a74ba5856fa&index=VG&locale=de
Ticket:
SE-1212
https://www.kla.tv/fr
Médicaments courants pour le TDAH liés à un risque accru de glaucome
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 17 MAI 2024 - 09H30
Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Les médicaments couramment prescrits pour traiter le trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité (TDAH) sont associés à un risque accru de glaucome, selon une étude canadienne récente.
Le glaucome est une maladie oculaire évolutive qui entraîne une perte de vision. Le glaucome à angle fermé est un sous-type qui contre-indique les médicaments populaires contre le TDAH.
Le Dr Rami Darwich, résident en ophtalmologie et auteur principal de l’étude, a déclaré à Epoch Times que l’étude « n’établit pas de lien de causalité mais met plutôt en évidence un risque élevé de glaucome ».
Médicaments courants contre le TDAH
De nombreux médicaments populaires contre le TDAH sont des médicaments sympathomimétiques, ce qui signifie qu'ils activent le système nerveux sympathique pour aider les gens à se concentrer. Cependant, leurs effets en aval peuvent contribuer par inadvertance à une pression oculaire élevée.
Une pression oculaire élevée est un facteur de risque important de glaucome, bien que le Dr Darwich ajoute que certains glaucomes se sont développés même sans changements de pression significatifs au cours des dernières années.
Les médicaments courants contre le TDAH comprennent des stimulants sympathiques tels que le méthylphénidate et les amphétamines. Ce sont souvent des traitements de première intention pour les personnes atteintes de TDAH en raison de leur plus grande efficacité. Les psychostimulants sont efficaces pour environ 70 pour cent des patients atteints de TDAH.
Les médicaments non sympathomimétiques, tels que l’atomoxétine, augmentent les substances chimiques présentes dans le cerveau pour l’aider à fonctionner et à se concentrer. L'atomoxétine est généralement prescrite lorsque le patient ne répond pas aux médicaments de première intention.
Les auteurs de l'étude ont suivi 240 257 sujets nouvellement prescrits qui prenaient du méthylphénidate, des amphétamines, de l'atomoxétine ou une combinaison de ces médicaments pendant un an ou plus.
Les participants à l’étude ont ensuite été suivis et comparés à des personnes n’ayant pas pris de médicaments contre le TDAH afin de déterminer les risques de glaucome.
RépondreSupprimerLes personnes prenant des amphétamines et de l'atomoxétine présentaient un risque plus élevé de glaucome à angle fermé (ACG), tandis que celles prenant du méthylphénidate présentaient un risque plus élevé de glaucome à angle ouvert (GAO).
Nos yeux sont constitués de fluides. En comparant les yeux d’une personne à un évier, le Dr Darwich a expliqué que l’ACG se produit lorsque « le tuyau de drainage de l’évier est obstrué, provoquant une accumulation soudaine d’eau (le liquide à l’intérieur de vos yeux). »
Avec OAG, « le tuyau de drainage est ouvert, mais c’est comme s’il était bouché ou étroit, donc l’eau (le liquide à l’intérieur de votre œil) s’écoule trop lentement », a-t-il déclaré.
On peut ressentir « des douleurs oculaires sévères, des maux de tête et une vision floue » avec l’ACG. « Vous pouvez avoir l’impression qu’une pression s’accumule dans vos yeux. »
L’OAG est plus chronique et ne présente pas de symptômes visibles au début. Au fil du temps, des taches aveugles peuvent apparaître en périphérie, qui peuvent alors progresser vers le centre de la vision. Cependant, une grande partie des dommages oculaires ont déjà été causés à ce stade.
Les auteurs ont également noté que l’atomoxétine et les amphétamines étaient faiblement liées au développement de l’OAG, bien qu’ils aient déclaré que la corrélation n’était pas statistiquement significative.
Comment les médicaments contre le TDAH contribuent au glaucome
Les auteurs ont été surpris que le méthylphénidate ne soit pas fortement lié à l'ACG, contre-indiqué par les psychostimulants qui activent le système nerveux.
En général, les médicaments sympathomimétiques tels que le méthylphénidate et les amphétamines ne sont pas recommandés aux personnes atteintes d'ACG connue ou suspectée.
Étant donné que ces médicaments activent le système nerveux sympathique – le système qui prépare le corps au combat ou à la fuite – les pupilles se dilatent, ce qui peut obstruer mécaniquement la voie naturelle de drainage de l’œil. Cette accumulation de liquide peut augmenter la pression oculaire et endommager les nerfs optiques, provoquant un glaucome et une perte de vision progressive.
L'OAG est plus courant que l'ACG, bien qu'il présente un risque plus faible de perte de vision et que son lien avec les médicaments contre le TDAH ne soit pas bien établi.
RépondreSupprimerLe méthylphénidate, le médicament qui augmente le risque d'OAG, s'est également révélé toxique pour les cellules oculaires. Les trois médicaments étudiés sont également connus pour induire des réactions redox, qui peuvent entraîner des dommages oxydatifs, altérant potentiellement les nerfs optiques et affectant la santé oculaire.
Les personnes dont le corps ne métabolise pas correctement les médicaments contre le TDAH peuvent également courir un plus grand risque de glaucome lié aux médicaments.
"Compte tenu de la prévalence de l'utilisation de médicaments contre le TDAH (à des fins médicales et récréatives), d'autres études sont nécessaires pour confirmer nos résultats et étudier les associations entre l'utilisation de médicaments contre le TDAH et le glaucome", ont écrit les auteurs.
https://www.zerohedge.com/medical/common-medications-adhd-linked-increased-risk-glaucoma
Réponse à la pandémie de COVID-19 : un appareil militaro-pharmaceutique
RépondreSupprimerLe sénateur a demandé : « Le Consortium MCM a-t-il géré Covid ?
Par Manifeste pour la Démocratie
Recherche mondiale,
17 mai 2024
« Qui savait que nous avions un appareil pharmaceutique militaire reliant les États-Unis, l’Australie, le Canada et le Royaume-Uni… ?
Au milieu de l'année 2023, le sénateur australien Malcolm Roberts a posé cette question rhétorique à propos du consortium de quatre pays pour les contre-mesures médicales (ou « MCM » – à savoir les « vaccins ») dans le cadre du « Programme coopératif de défense CBR » dirigé par les États-Unis.
Malcolm Roberts a également demandé à savoir : « Est-ce que quelqu'un dans ce pays [Australie] a accepté les ordres de l'armée américaine de faire ou de ne pas faire quelque chose qui aurait pu interférer avec ce plan pharmaceutique militaire ?
Ce discours reste le tour d’horizon le plus important jamais réalisé par un parlementaire dans le monde concernant la réponse au Covid, avec plus de questions que de réponses.
Le discours du sénateur Roberts prononcé le 9 août 2023 était lié à notre article initial – « Le grand préréglage et le gâchis de la biodéfense » – qui couvrait les détails du partenariat de défense et de santé de quatre nations dirigé par les États-Unis et de son « Consortium MCM ». ».
Remarque : Nous sommes intéressés de savoir ce que l'ancien sénateur américain Joe Lieberman – coprésident de la « Commission bipartisane sur la biodéfense » des États-Unis – pense du discours du sénateur Malcolm Roberts !
La vidéo et la transcription du discours du sénateur sont ci-dessous.
Le Consortium des contre-mesures médicales a-t-il géré le COVID ?
- voir clip sur site -
Transcription et vidéo du sénateur Roberts, 9 août 2023 :
« Citation – « Le consortium cherche à développer des contre-mesures médicales pour aider à faire face… aux menaces chimiques et biologiques affectant les populations civiles et militaires et aux maladies infectieuses et pandémies émergentes » – fin de citation »
En tant que serviteur des nombreuses personnes différentes qui composent notre seule communauté du Queensland, je parle ce soir d'un aspect du COVID-19 que je n'ai jamais évoqué auparavant. Les informations désormais dans le domaine public indiquent que la réponse au COVID n'a pas été initiée par des intérêts commerciaux mais plutôt par l'intermédiaire d'une organisation appelée Medical Countermeasures Consortium à laquelle l'Australie a adhéré en 2012. Selon le site Web australien defence.gov.au, le Medical Countermeasures Consortium est un partenariat entre quatre nations impliquant les ministères de la Défense et de la Santé de l’Australie, du Canada, du Royaume-Uni et des États-Unis. «Le consortium cherche à développer des contre-mesures médicales pour lutter contre… les menaces chimiques et biologiques affectant les populations civiles et militaires ainsi que contre les maladies infectieuses et pandémies émergentes.» Les contre-mesures médicales comprennent les médicaments, les vaccins et les diagnostics. Qui savait que nous avions un appareil pharmaceutique militaire reliant les États-Unis, l’Australie, le Canada et le Royaume-Uni, en place depuis le gouvernement travailliste de Gillard – un AUKUS pour les pandémies ?
RépondreSupprimer« L’unité de contre-mesures médicales du ministère de la Défense des États-Unis travaille dans le secteur des vaccins depuis de nombreuses années et blesse des gens depuis de nombreuses années – et s’en sort sans problème. »
Le consortium maintient un système d'indemnisation pour les personnes blessées suite à la prise de contre-mesures. Des demandes d'indemnisation ont été acceptées pour le vaccin contre la grippe H1N1 de 2009, le vaccin contre l'anthrax et les vaccins contre la grippe. L’unité de contre-mesures médicales du ministère de la Défense des États-Unis travaille dans le secteur des vaccins depuis de nombreuses années et blesse des personnes depuis de nombreuses années – et s’en sort sans problème. Il n’est donc pas surprenant que le ministère américain de la Défense ait signé le premier contrat entre le gouvernement américain et Pfizer pour l’achat de vaccins d’une valeur de 11 milliards de dollars. Le président Trump a donné l’ordre au ministère de la Défense de commencer le développement d’un vaccin et lui a même donné un nom sympa : Operation Warp Speed.
« Il y a des portes à enfoncer, et cette fois ce ne seront pas les portes des Australiens ordinaires, coupables d’aucun crime… »
RépondreSupprimerLe président Trump a réagi, comme nous avons réagi ici, avec les meilleures intentions et les pires données. Des renseignements ont été utilisés alors que notre appareil de sécurité savait ou aurait dû savoir qu'ils étaient erronés. Les vidéos chinoises montrant des personnes tombant sans vie se sont avérées être des contrefaçons produites avec l’aide des services de renseignement chinois, et ils n’ont peut-être pas agi seuls. Ces vidéos n’auraient pas dû arriver jusqu’au processus décisionnel en Occident. Comment cela s’est-il produit – combien d’informations frauduleuses ont été offertes aux membres élus – est une question qui relève d’une commission royale. Les États-Unis ont déjà entamé de nombreuses audiences au Congrès et procès qui finiront par révéler la vérité. L’Australie doit jouer son rôle dans ce processus – notre rôle, car nous sommes véritablement tous dans le même bateau jusqu’au bout. Il y a des portes à défoncer, et cette fois ce ne seront pas les portes des Australiens ordinaires, coupables d’aucun crime , qui ont simplement dit la vérité sur les réseaux sociaux.
« La réponse des États-Unis au COVID a fait intervenir le Consortium des contre-mesures médicales dans le processus à un stade très, très précoce. »
La réponse des États-Unis au COVID a fait intervenir le Consortium des contre-mesures médicales dans le processus à un stade très, très précoce. L'armée australienne a été impliquée très tôt, fournissant une assistance incluant le contrôle des foules, la quarantaine aux frontières, la recherche des contacts et le personnel médical – des choses pour lesquelles on pourrait s'attendre à ce que l'armée aide.
L’ancien Premier ministre et fonctionnaire débauché Scott Morrison a fermé le système COAG parce qu’il était ouvert et transparent – le COAG étant le Conseil des gouvernements australiens. Le COAG n’était pas qu’une simple réunion ; Le COAG était un secrétariat doté de comités, dont un comité de santé, assurant la liaison entre les conseils locaux, les gouvernements des États et fédéral. Bien qu’il ne s’agisse pas d’un instrument constitutionnel, cette structure du COAG était très bien placée pour administrer notre réponse au COVID. Pourquoi a-t-il été aboli et remplacé par un appareil pharmaceutique militaire ? J'espère que la commission royale posera cette question. À la place du COAG, M. Morrison a créé un Cabinet national secret, composé uniquement des premiers ministres des États et des ministres en chef des territoires. Quel était ce secret si important qu’un appareil qui fonctionnait bien comme le COAG devait être démoli et la vérité bâillonnée pendant 30 ans ?
M. Morrison a ensuite nommé un officier militaire en activité, le lieutenant-général Frewen, pour diriger le déploiement du vaccin en Australie, rebaptisé – attendez – Opération COVID Shield . Le Royaume-Uni a répondu au COVID en mars 2020 avec une opération militaire massive appelée Opération Rescript . Cela a transféré 23 000 militaires dans une nouvelle unité appelée opération de soutien COVID, sous les pouvoirs britanniques connue sous le nom d’aide militaire aux autorités civiles, MACA. Le commandement de cette importante force militaire restait aux mains des militaires. Et le Canada – qu’en est-il du Canada ? Le Canada a fait appel aux Forces armées canadiennes avec des « mesures sans précédent » — ce sont leurs mots, pas les miens — dans le cadre des opérations LASER et VECTOR.
RépondreSupprimer« Il est clair que l'accord du Medical Countermeasures Consortium… a été conçu pour faire de la réponse à la pandémie une opération militaire, et non une opération de santé civile. […] L'Australie a vu des militaires avec leur matériel dans les rues… enfermer les gens chez eux. Tout cela a créé un climat de peur et d’intimidation qui a facilité l’acceptation de l’injection de COVID. »
Il est clair que l’accord du Medical Countermeasures Consortium , que le gouvernement travailliste de Gillard a signé en 2012, a été conçu pour faire de la réponse à la pandémie une opération militaire et non une opération de santé civile. Cela aurait dû être clair en juillet 2021, lorsque le général Frewen a pris le micro en uniforme militaire complet. L'Australie a vu des points de contrôle militaires aux frontières, des militaires gardant les installations médicales, des militaires dans leurs équipements dans les rues de Sydney et de Melbourne enfermant les gens chez eux. Tout cela a créé un climat de peur et d’intimidation qui a facilité l’acceptation de l’injection du COVID. Était-ce le plan ? L’industrie pharmaceutique a-t-elle désormais enfilé des treillis ?
Nos autorités sanitaires civiles ont-elles défendu des principes médicaux établis, fondés sur le serment d'Hippocrate de ne prescrire que des traitements bénéfiques ? Non ils ne l'ont pas fait. Nous savons que notre Therapeutic Goods Administration, la TGA, n'a pas examiné les données des essais cliniques de stade II et III de Pfizer et s'est plutôt appuyée sur les documents de la FDA américaine. Nous savons que la FDA n’a pas examiné les données et a plutôt cru à la parole de Pfizer sur le déroulement des essais. La TGA le savait sûrement. Si c'est le cas, la TGA est complice. Si elle ne le savait pas, la TGA fait preuve d’une négligence désespérée ou délibérée. C'est un méfait.
"... Pfizer a donné au gouvernement américain le vaccin demandé par le gouvernement et a ainsi affirmé que Pfizer n'était pas responsable des événements indésirables."
RépondreSupprimerPfizer a commis une fraude systémique au cours de ses essais cliniques, les dénonciateurs révélant que seuls des participants adultes en bonne santé avaient été recrutés pour un essai clinique de stade II/III d'un vaccin destiné aux malades et aux personnes âgées ; la durée de l'essai était nettement insuffisante pour capturer les effets secondaires à moyen et long terme comme la myocardite ; pour étouffer le nombre d'événements indésirables enregistrés parmi les vrais participants, de faux participants ont été créés qui n'ont enregistré aucun effet secondaire ; les patients ayant souffert d'effets secondaires graves ont été retirés de l'étude et n'ont jamais existé dans les documents ; et l’injection de COVID n’a pas été testée sur des femmes enceintes, et les femmes tombées enceintes ont été retirées de l’étude avant l’accouchement. L’injection de COVID était alors recommandée aux femmes enceintes. Comment un humain pourrait-il faire cela ? C'est inhumain, et ce sont des monstres qui l'ont fait. Pourquoi Pfizer a-t-il pensé pouvoir s’en tirer avec l’essai clinique le plus véreux de l’histoire ? Une réponse à cette question pourrait-elle être trouvée dans le témoignage d’un dirigeant de Pfizer devant le Congrès américain ? Ils ont fait remarquer que Pfizer avait donné au gouvernement américain le vaccin demandé par le gouvernement et ont donc affirmé que Pfizer n'était pas responsable des événements indésirables.
« … les vaccins peuvent être déployés, à un certain prix, bien sûr, car après tout, il s’agit des États-Unis, des entreprises, en proie à des prédateurs mondialistes parasites. »
L'armée semble avoir été impliquée dans la dissimulation des origines du COVID[1]. Il est désormais clair que le COVID a été développé lors de recherches sur le gain de fonction menées à l'Institut chinois de virologie de Wuhan, en lien avec l'armée chinoise. Qui a financé cette recherche en Chine ? Les National Institutes of Health des États-Unis, sous Anthony Fauci. Le Canada et l'Australie ont participé à cette recherche. En 2020, le CSIRO a publié un communiqué de presse non seulement admettant ses recherches sur le gain de fonction, mais les défendant. J'en ai déjà parlé. Après une série d'évasions de laboratoires impliquant des agents pathogènes au siège des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) en Géorgie, le président Obama a suspendu en 2014 la recherche sur les gains de fonction. Anthony Fauci a ignoré l'ordre du président et a transféré les recherches à l'étranger, à Wuhan, en Chine.
La recherche sur les gains de fonction est une recherche de contre-mesures. C'est le même processus de recherche et de manipulation d'agents pathogènes pour produire un nouveau virus, un virus de Frankenstein. Une fois que le virus est suffisamment mortel, un vaccin est préparé, puis le tout est mis de côté au cas où un ennemi ou la nature déploierait ce virus. Une fois que le virus apparaît dans la population, les vaccins peuvent être déployés, à un certain prix, bien sûr, car après tout, il s’agit bien des États-Unis, ravagés par des prédateurs parasitaires mondialistes.
« Quelqu’un dans ce pays a-t-il accepté les ordres de l’armée américaine de faire ou de ne pas faire quelque chose qui aurait pu interférer avec ce plan pharmaceutique militaire ? […] Ce que nous avons vu, c’est une injection forcée de personnes… Peur, intimidation, chantage et menaces – une force inhumaine.
RépondreSupprimerDans les premiers stades du développement et de l’évasion du COVID, notre appareil de contre-mesures médicales a-t-il agi indépendamment du gouvernement ? C'est une question pour une commission royale. Quelqu’un dans ce pays a-t-il accepté les ordres de l’armée américaine de faire ou de ne pas faire quelque chose qui aurait pu interférer avec ce plan pharmaceutique militaire ? C'est une autre question pour une commission royale. Soyons clairs : l’Australie a une longue et enviable histoire d’utilisation de son armée pour aider lors de catastrophes civiles dans l’intérêt de tous. Si le besoin se fait à nouveau sentir, nous ne devrions pas hésiter à permettre à nos militaires d’apporter à nouveau leur aide. L’armée ne devrait pas être utilisée contre des civils respectueux de la loi ou contre des civils en bonne santé à des fins d’injections forcées afin de transférer des richesses aux grandes sociétés pharmaceutiques. Ce que nous avons vu, c'est l'injection forcée de personnes après avoir succombé à la menace de privation des moyens de subsistance de leur famille et de leur capacité à nourrir leurs enfants. La peur, l’intimidation, le chantage et les menaces de perte de revenus et de logement sont des éléments de force – une force inhumaine.
« [Covid] concernait le contrôle des personnes et le transfert de richesses par la tromperie – une tromperie qui est inhumaine, monstrueusement inhumaine. […] S’agissait-il d’une opération pharmaceutique militaire ou d’une opération de santé civile ?
J’ai répété à plusieurs reprises que la COVID-19 avait été gravement mal gérée, car il n’y avait jamais eu de problème de santé. Il s'agissait de contrôle des personnes et de transfert de richesses par la tromperie – une tromperie qui est inhumaine, monstrueusement inhumaine. Nous devons savoir si notre TGA, en proposant une contre-mesure vaccinale qui n’aurait pas été approuvée dans des circonstances normales, s’est inclinée devant des puissances supérieures. S’agissait-il d’une opération pharmaceutique militaire ou d’une opération de santé civile ? Ce sont des questions habituellement traitées dans une commission royale. Le gouvernement travailliste albanais a rompu sa promesse pré-électorale de créer une commission royale. S’il continue à ne pas tenir sa promesse, il se rendra complice du fait de cacher la vérité au peuple, une vérité qui se révèle lentement mais sans relâche et inévitablement. Appelez cette foutue commission royale maintenant.
Liens vers les vidéos et transcription du discours du sénateur Malcolm Roberts – 9 août 2023
RépondreSupprimerLien vers le site Web : https://www.malcolmrobertsqld.com.au/
Lien Twitter X : https://twitter.com/MRobertsQLD
Lien Facebook https://www.facebook.com/malcolmrobertsonenation
Lien Youtube : https://www.youtube.com/@MalcolmRobertsOneNation
Les Australiens – parmi les « citoyens du monde » évoqués par le Pentagone le 5 mars 2020 – veulent des réponses à ces questions importantes concernant la réponse Covid soulevées par le sénateur Malcolm Roberts, notamment en référence au déploiement « d’urgence » de l’immunité obligatoire. contre-mesures médicales (MCM) – les soi-disant « vaccins ».
Notez la liste pré-Covid des « parties prenantes internationales du MCM » représentées sur le site Web australien du DMTC Defence – c'est-à-dire. Les agences américaines de défense et de santé, en collaboration avec l'OMS :
- voir schéma sur site -
Acteurs internationaux du MCM (2018) : agences de défense et de santé du gouvernement américain et OMS. Source : « Centre technologique des matériaux de défense » d'Australie – https://dmtc.com.au/ – 2018
Et notez le plan pré-Covid pour une « réponse médicale rapide » dirigée par l’armée américaine (et « dirigée par la santé ») avec des MCM accélérés (c’est-à-dire des tests et des « vaccins »)…
- voir schéma sur site -
« Partenariats de réponse rapide » pour les MCM accélérés supervisés par le DoD et le HHS des États-Unis (2019). Source : JPEO-CBRN Defense youtube – « Medical Rapid Response » – captures d’écran – juin 2019
*
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
Note
[1] Addendum : voir ci-dessous – (8)
… Après avoir approfondi cet aspect du contre-récit, nous sommes respectueusement en désaccord avec le sénateur sur la pertinence des « origines du Covid-19 »…
https://www.globalresearch.ca/covid-19-pandemic-military-pharmaceutical-apparatus/5857402
Les autorités médicales affirment que 90 % de la population souffre soudainement d'un mystérieux nouveau syndrome cardiaque qui ressemble à une lésion d'un organe SPIKE PROTEIN
RépondreSupprimer16/05/2024
Ethan Huff
De nouvelles recherches bouleversent l’establishment médical avec des données montrant qu’un nombre incroyable de 90 pour cent de la population des États-Unis souffre désormais d’une maladie cardiaque qui, à bien des égards, ressemble à des dommages aux organes causés par les protéines de pointe causées par les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
En octobre dernier, l'American Heart Association (AHA) a publié un rapport sur la nature changeante des maladies cardiovasculaires (MCV), qui chevauchent les maladies rénales, le diabète de type 2 et l'obésité. Pour la première fois, l'AHA a défini le chevauchement de ces affections comme le syndrome cardiovasculaire-rein-métabolique (CKM).
Un adulte sur trois vivant aux États-Unis présente au moins trois facteurs de risque, et souvent plus, qui contribuent à la CKM. Tous les principaux organes du corps en sont affectés, y compris le cœur, le cerveau, les reins et le foie, les dommages les plus graves se produisant dans les vaisseaux sanguins, le muscle cardiaque et le système cardiovasculaire.
Tout ce qui contribue au syndrome CKM, qu’il s’agisse de protéines de pointe ou d’autres expositions toxiques, accélère le taux d’accumulation de graisse dans les artères, ce qui peut conduire à la formation de caillots. Cela a également un impact négatif sur les impulsions électriques dans le cœur. Les personnes les plus à risque de développer le syndrome CKM sont les personnes âgées en général, les hommes et les personnes noires.
(Connexe : Si vous recherchez une solution au problème de type COVID, consultez l'ivermectine, dont de nouvelles recherches montrent qu'elle peut aider à réduire considérablement le risque d'hospitalisation.)
Garde ton coeur
Il existe différents stades du syndrome CKM que le corps médical utilise désormais pour évaluer sa gravité. Neuf Américains sur dix s'inscrivent au stade un ou plus, tandis que 15 % sont considérés comme souffrant du syndrome CKM « avancé ».
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
Bien que techniquement existant depuis 2011, le syndrome CKM est une maladie qui s’aggraverait avec le temps. De plus en plus de personnes en souffrent ces jours-ci, ce qui pourrait indiquer que les vaccins contre le COVID sont un facteur contributif majeur.
« Un taux de diagnostic de 90 % pour une maladie néonatale affectant simultanément plusieurs organes semble nécessiter une réflexion approfondie, délibérée et complète au sein de la communauté médicale – le genre de mobilisation radicale des ressources observée lors de l'opération Warp Speed – pour en découvrir les causes profondes, ce qui, dans d'autres contextes, comme la migration de masse, intéresse particulièrement les personnes comme l'entité Karamel-euh", écrit Ben Bartee pour Armageddon Prose.
"... À moins, bien sûr, que de véritables soins de santé ne soient pas l'objectif primordial du type de "soins de santé" institutionnalisés et corporatisés défendus par les autorités gouvernementales et l'industrie."
RépondreSupprimerBartee pense que les vaccins contre le COVID ne sont qu’un élément qui explique la montée en flèche des taux de maladie rénale chronique. Les autres incluent des éléments tels qu’un approvisionnement alimentaire toxique et de l’eau du robinet contaminée, deux phénomènes courants aux États-Unis.
Comme d’habitude, les industries chimiques et pharmaceutiques ne dépensent aucun dollar pour tenter de résoudre ce problème. La plupart des revues médicales refusent de s’attaquer à l’éléphant dans la pièce, ce qui n’est une bonne nouvelle que pour les dirigeants et les actionnaires de sociétés comme Pfizer et Merck.
"Mieux vaut prévenir que guérir est un anathème pour le modèle économique de l'industrie. Nous obtenons donc le paradigme inverse", déclare Bartee.
Dans les commentaires de l'article de Bartee, une personne a écrit que le syndrome CKD est probablement plus justement appelé syndrome de Pfizer ou syndrome de Moderna, en référence aux injections d'ARNm (ARNmod) COVID des deux géants pharmaceutiques.
"Personne ne fera plus jamais confiance aux "experts" mensongers ni aux assassins en blouse blanche et en blouse blanche", a ajouté un autre à la conversation.
"Ils sont TOUS complices des meurtres de masse de leurs compatriotes, femmes, enfants, même des enfants à naître. Ils sont TOUS complices de crimes contre l'humanité et seront inévitablement confrontés à la JUSTICE."
Les dernières nouvelles sur le cœur et comment le protéger peuvent être trouvées sur Heart.news.
Les sources de cet article incluent :
ArmageddonProse.substack.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-05-16-90percent-population-heart-syndrome-spike-protein-damage.html
Un célèbre oncologue japonais affirme que les vaccins contre le COVID-19 sont « essentiellement un meurtre »
RépondreSupprimer17/05/2024
Cassie B.
Le meilleur médecin spécialisé en oncologie du Japon a récemment fait la une des journaux en admettant ouvertement ce que de nombreux médecins américains ont trop peur de dire à haute voix : les vaccins à ARNm contre le COVID-19 sont « l’œuvre du mal » et constituent ce qui est « essentiellement un meurtre ».
Les commentaires ont été faits par le Dr Masanori Fukushima dans une récente interview. L'oncologue décoré a créé la première clinique ambulatoire de cancérologie à l'université de Kyoto au Japon et a été responsable du premier cours de pharmaco-épidémiologie à l'école.
Il a cité un effet secondaire particulièrement alarmant dont les grands médias américains n’ont pas parlé : la prévalence de « cancers turbo » qui étaient « jusqu’alors invisibles par les médecins ». Il a déclaré que ces cancers ont commencé à apparaître après le déploiement des vaccins et ont progressé si rapidement qu’ils sont souvent au stade 4 au moment où les médecins les diagnostiquent.
Il a ajouté que l’augmentation de ces cancers s’est accompagnée d’une augmentation de la surmortalité due au cancer en général à un degré qui ne peut pas être expliqué simplement par des traitements ou des dépistages manqués pendant les confinements liés au COVID-19.
Il a également souligné des morts subites observées chez des personnes peu de temps après avoir reçu les vaccins, comme celle d'un homme de 28 ans dont la femme l'a retrouvé mort cinq jours après sa deuxième dose du vaccin à ARNm de Pfizer. C’est une histoire trop courante de nos jours, même chez les personnes sans antécédents de problèmes de santé.
Il a déclaré : « C’est sérieux. C’est essentiellement un meurtre. En fin de compte, je tiens à exprimer clairement que tel est mon point de vue.
Pour le Dr Fukushima, il n’est pas surprenant que les pays qui ont lancé les campagnes de vaccination contre le COVID-19 les plus agressives connaissent les taux d’infection et de décès les plus élevés, comme Israël.
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
RépondreSupprimer« Israël a été le leader en matière de vaccination précoce et généralisée, mais a également enregistré les taux de mortalité et d’infection les plus élevés. Les zones vaccinées de manière moins agressive ont subi moins de dégâts », a-t-il déclaré, ajoutant qu’« Israël a rapidement arrêté la vaccination ».
Un nombre croissant de personnes vaccinées ont besoin de soins médicaux pour des problèmes de santé liés au vaccin.
Il a déclaré que le gouvernement japonais a déjà documenté plus de 2 000 décès liés à l'injection, une estimation qu'il juge faible, ainsi que de nombreux autres qui ont besoin de soins médicaux pour de graves problèmes de santé liés à l'injection.
« Des dizaines de milliers de personnes doivent consulter un médecin en raison de problèmes liés au vaccin », a-t-il déclaré.
Il estime que près d’un tiers d’entre eux souffrent de problèmes tels que le syndrome de fatigue chronique et l’encéphalomyélite myalgique, et le problème ne fera qu’empirer car de nombreuses maladies ont augmenté depuis le déploiement du vaccin. Malheureusement, il est possible que certains de ces patients ne reçoivent pas l’attention et les soins dont ils ont besoin.
« C’est comme si nous avions ouvert la boîte de Pandore… Nous devons prendre ces dommages au sérieux et y remédier avec sérieux. Toute tentative visant à minimiser ces dommages comme s’ils n’avaient pas eu lieu est franchement l’œuvre du mal. Il s’agit d’un exemple typique de la mauvaise pratique de la science », a-t-il affirmé.
Le Dr Fukushima a également eu des mots durs à l’égard des grands médias et de leur incapacité à rendre compte des dangers des vaccins. Il a également dénoncé les médias pour avoir qualifié d’hérétiques les critiques anti-scientifiques des vaccins et a déclaré que ceux qui ont fait taire ces individus sont ceux qui vont à l’encontre de la science, ajoutant qu’ils s’apparentent davantage à la foi, à l’hystérie ou même à un comportement sectaire.
RépondreSupprimerIl a ajouté : « Je suis désormais profondément préoccupé non seulement par une crise grave de la médecine mais aussi de la science et de la démocratie. »
Les sources de cet article incluent :
LifeSiteNews.com
FoxNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-05-17-top-japanese-oncologist-covid-vaccines-essentially-murder.html
Le café est lié à une réduction du risque de maladie de Parkinson
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 17 MAI 2024 - 04H30
Rédigé par George Citroner via The Epoch Times
Votre tasse de café du matin fait peut-être plus que simplement vous donner un regain d'énergie pour affronter la journée. De nouvelles preuves suggèrent que la caféine contenue dans votre boisson pourrait avoir un effet supplémentaire en réduisant votre risque de développer la maladie de Parkinson.
Les résultats suggèrent que la caféine pourrait réduire le risque de maladie de Parkinson de 40 %
Alors que des recherches antérieures mettaient en évidence les bienfaits de la caféine, tels qu’une augmentation de l’énergie et des performances cognitives améliorées, une étude récente publiée dans Neurology vient renforcer les preuves selon lesquelles la caféine peut aider à prévenir la maladie de Parkinson, un trouble du mouvement progressif.
La nouvelle étude a examiné la consommation de café et le risque futur de maladie de Parkinson chez 184 024 participants dans six pays européens.
Contrairement à des études antérieures, elle a quantifié les biomarqueurs de la caféine des années avant l’apparition de la maladie de Parkinson. Les chercheurs ont identifié 351 cas de maladie de Parkinson, comparés à des témoins selon l’âge, le sexe, le centre d’étude et le statut de jeûne lors de la collecte de sang.
Les résultats ont montré qu’une consommation plus élevée de caféine et la présence de métabolites clés comme la paraxanthine et la théophylline étaient liées à une réduction du risque de maladie de Parkinson.
Il a été démontré que la paraxanthine et la théophylline ont des effets antioxydants. On pense que le stress oxydatif joue un rôle dans la neurodégénérescence observée dans la maladie de Parkinson, de sorte que les composés ayant une activité antioxydante peuvent aider à protéger les neurones contre les dommages. De plus, la maladie de Parkinson entraîne la mort des neurones dopaminergiques. Certaines recherches suggèrent que la paraxanthine et la théophylline pourraient augmenter la signalisation des récepteurs dopaminergiques, ce qui pourrait compenser la perte neuronale.
Les effets neuroprotecteurs dépendaient de l’exposition, le groupe qui en consommait le plus présentait un risque de maladie de Parkinson réduit de près de 40 % par rapport aux non-buveurs de café.
Le « point idéal de consommation de café » est probablement de deux à quatre tasses par jour, a déclaré à Epoch Times le Dr Jack Wolfson, cardiologue certifié à Scottsdale, en Arizona, non associé à l’étude. Au-delà de ce montant, « il n’y a probablement pas beaucoup d’avantages », a-t-il ajouté.
RépondreSupprimerLien prometteur mais non prouvé
Les preuves scientifiques liant la consommation de café à une diminution du risque de développer la maladie de Parkinson sont assez solides, a déclaré à Epoch Times le Dr Hwai Ooi, neurologue au Weill Cornell Medicine à New York, qui n’était pas associé à l’étude. De nombreuses études réalisées au cours des 20 dernières années ont démontré une « association claire », a-t-elle déclaré.
Cependant, association n’implique pas causalité. Le mécanisme exact par lequel la caféine pourrait offrir une neuroprotection et réduire le risque de développement de la maladie de Parkinson reste inconnu, a ajouté le Dr Ooi.
En outre, les essais cliniques menés à ce jour pour déterminer si la caféine ou ses métabolites peuvent ralentir la progression de la maladie de Parkinson ou contribuer à améliorer ses symptômes n’ont pas montré de tels avantages, a-t-elle noté.
Bien que les preuves semblent prometteuses, le Dr Ooi estime que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre la relation entre la consommation de café et le risque de maladie de Parkinson. Cela inclut la détermination de la quantité et du type de café optimaux à consommer pour un maximum d’avantages.
N'abusez pas du café : expert
Le Dr Ooi a mis en garde contre une consommation excessive de café pour réduire le risque de maladie de Parkinson. "Comme pour presque tout ce que nous mettons dans notre corps, la modération est la clé", a-t-elle déclaré.
Une consommation excessive de caféine a été associée à une augmentation de l'anxiété, des problèmes de sommeil, des problèmes gastro-intestinaux tels que des brûlures d'estomac, une fréquence cardiaque et une tension artérielle élevées (particulièrement problématiques pour les personnes souffrant de maladies cardiaques ou d'hypertension), une diminution de la densité osseuse et d'éventuelles interactions médicamenteuses.
La consommation régulière de grandes quantités de café peut entraîner des symptômes de dépendance et de sevrage tels que des maux de tête, de la fatigue et de l'irritabilité lorsqu'on en réduit la consommation.
RépondreSupprimerLe Dr Ooi a conseillé de consulter un professionnel de la santé pour toute préoccupation concernant la consommation de caféine.
Autres moyens de réduire le risque de maladie de Parkinson
En plus de la consommation de café, les experts affirment qu’il existe d’autres facteurs et habitudes de vie qui pourraient jouer un rôle dans la réduction du risque de maladie de Parkinson.
Le plus important est l’exercice aérobique, « qui a clairement démontré ses effets neuroprotecteurs dans la maladie de Parkinson et peut ralentir la progression de la maladie », a déclaré le Dr Ooi. Les lignes directrices actuelles recommandent un minimum de 2,5 heures d’activité aérobie par semaine pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
D’autres facteurs liés à une santé cérébrale optimale et à un risque moindre de maladie de Parkinson comprennent le maintien d’une alimentation saine et équilibrée. Le Dr Wolfson recommande une alimentation riche en fruits de mer sauvages, notant qu’une consommation plus élevée est associée à un risque moindre.
Dormir suffisamment, gérer le stress grâce à des pratiques telles que la méditation de pleine conscience et rester socialement et mentalement actif sont d'autres changements de mode de vie modifiables qui peuvent être bénéfiques, a-t-il ajouté.
https://www.zerohedge.com/medical/coffee-linked-reduced-parkinsons-risk
Déclaration conjointe Chine-Russie sur la coopération politique et économique
RépondreSupprimer17 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
La visite de Vladimir Poutine à Xi Jinping a été précédée d'une série de visites mouvementées d'hommes politiques occidentaux à Pékin. Si l’on examine les déclarations conjointes de la Chine et de la Russie, les efforts semblent infructueux.
Le président chinois Xi Jinping a eu jeudi des entretiens à grande échelle avec le président russe Vladimir Poutine, en visite d'État en Chine, au Grand Palais du Peuple à Pékin. Les analystes des deux pays ont déclaré que cette visite renforcerait et promouvrait davantage les relations stratégiques bilatérales caractérisées par un niveau élevé de confiance mutuelle et de vastes intérêts communs.
Les deux États ont également publié une déclaration commune extraordinaire qui, une fois traduite en anglais, compte près de 8 000 mots. Il s’agit d’une déclaration de principes qui définira également de manière significative le cadre de la politique des BRICS+.
Un aperçu et une traduction viennent d’Arnnaud Bertrand :
- voir post sur site -
Voici les points qui m’ont particulièrement marqué.
CONSTRUIRE UN NOUVEL ORDRE MONDIAL
Selon le communiqué, le fait que « le statut et la force des grands pays et régions émergents du « Sud » augmentent continuellement » et que « la tendance vers la multipolarité du monde s'accélère » constitue un « facteur objectif ». Cela « accélère la redistribution du potentiel de développement, des ressources et des opportunités dans une direction favorable aux pays émergents et en développement et favorise la démocratisation des relations internationales ainsi que l’équité et la justice internationales ».
Ils soulignent que « les pays qui adhèrent à l’hégémonisme et à la politique de puissance s’opposent à cette tendance et tentent de remplacer et de saper l’ordre international fondé sur le droit international par un soi-disant « ordre fondé sur des règles ».
RépondreSupprimerSur la question de la sécurité, le communiqué indique : « Les deux parties estiment que le sort des peuples de tous les pays est lié et qu’aucun pays ne devrait rechercher sa propre sécurité aux dépens de celle des autres. Les deux parties expriment leur inquiétude face aux défis actuels en matière de sécurité internationale et régionale et notent que dans le contexte géopolitique actuel, il est nécessaire d'examiner la création d'un système de sécurité durable dans l'espace eurasien, basé sur le principe de sécurité égale et indivisible.
Il poursuit en affirmant que la Chine et la Russie « exploiteront pleinement le potentiel des relations bilatérales » pour « promouvoir la réalisation d'un monde multipolaire égal et ordonné et la démocratisation des relations internationales, et rassembler leurs forces pour construire un monde multipolaire juste et raisonnable ». monde ".
Quant à la vision de cet ordre mondial, ces 2 principes semblent être les fondamentaux :
1) Un ordre sans « néocolonialisme et hégémonisme » d'aucune sorte : « Tous les pays ont le droit de choisir leurs modèles de développement et leurs politiques, économiques et sociaux. systèmes sur la base de leurs conditions nationales et de la volonté du peuple, rejettent l'ingérence dans les affaires intérieures des pays souverains, sont contre les sanctions unilatérales et la « juridiction prolongée » sans fondement dans le droit international ni autorisation du Conseil de sécurité de l'ONU et rejettent les dessin de lignes idéologiques.
Les deux parties ont souligné que le néocolonialisme et l'hégémonisme sont complètement à l'opposé de la tendance de l'époque et ont appelé à un dialogue égalitaire, au développement de partenariats et à la promotion des échanges et de l'apprentissage mutuel entre les civilisations . ordre : « Les deux parties continueront à défendre résolument les acquis de la Seconde Guerre mondiale et l’ordre mondial d’après-guerre établi par la Charte des Nations Unies. »
CONDAMNATION EXTRÊMEMENT FORTE DES USA
RépondreSupprimerCette condamnation commence par le paragraphe souligné ci-dessus selon lequel « les pays qui adhèrent à l’hégémonisme et à la politique de puissance sont en contradiction avec [la tendance vers un ordre mondial multipolaire] », et la déclaration condamne également le fait que ces « pays » (c’est-à-dire principalement les États-Unis) ) « cherche à remplacer et à saper l'ordre international fondé sur le droit international par un soi-disant « ordre fondé sur des règles » ».
Ils écrivent également que « les deux parties appellent les pays et les organisations concernés à poursuivre des politiques de confrontation et à cesser de s'ingérer dans les affaires intérieures des autres pays, en sapant l'architecture de sécurité existante, en créant des « petites cours avec de hautes clôtures » entre les pays « pour provoquer des tensions régionales ». et préconisons une confrontation des camps.
Il poursuit : « Les deux parties s’opposent aux actions hégémoniques des États-Unis, qui cherchent à modifier l’équilibre des pouvoirs dans la région de l’Asie du Nord-Est en élargissant leur présence militaire et en formant des blocs militaires. Les États-Unis, avec leur mentalité de guerre froide et leur modèle de confrontation des camps, placent la sécurité d'un « petit groupe » au-dessus de la sécurité et de la stabilité régionales, mettant ainsi en danger la sécurité de tous les pays de la région. Les États-Unis devraient mettre un terme à de telles actions.»
En outre, la déclaration exprime « de sérieuses inquiétudes quant aux tentatives des États-Unis de saper la stabilité stratégique afin de maintenir leur supériorité militaire absolue, y compris la construction d'un système mondial de défense antimissile et le déploiement de systèmes de défense antimissile à travers le monde et dans l'espace ». , renforçant la capacité d'éliminer les actions militaires de l'ennemi avec des armes de précision non nucléaires et des « frappes de décapitation », élargissant les accords de « partage nucléaire » de l'OTAN en Europe et fournissant une « dissuasion étendue » à certains alliés, construisant des infrastructures dans la zone exempte d'armes nucléaires dans le Pacifique Sud, qui pourrait être utilisé pour soutenir les forces nucléaires américaines et britanniques, la coopération entre les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie dans le domaine des sous-marins nucléaires et la mise en œuvre de plans visant à déployer et à fournir des missiles terrestres à moyenne et courte portée aux alliés du Pacifique Sud. Asie-Pacifique et Europe. "
Le communiqué condamne également « la « politique de double confinement » non constructive et hostile des États-Unis à l'égard de la Chine et de la Russie : « les actions des États-Unis visant à mener des exercices conjoints avec leurs alliés visant prétendument la Chine et la Russie et les mesures visant à déployer des exercices terrestres. » Les frappes de missiles à grande portée dans la région Asie-Pacifique ont suscité de sérieuses inquiétudes des deux côtés. Les États-Unis affirment qu’ils poursuivront ces pratiques dans le but de déployer régulièrement des missiles dans le monde entier. Les deux parties condamnent fermement ces actions, qui sont extrêmement déstabilisatrices pour la région et constituent une menace directe pour la sécurité de la Chine et de la Russie, et renforceront la coordination et la coopération pour répondre à la « politique de double confinement » non constructive et hostile des États-Unis à l'égard de la Chine et de la Russie. .»
RépondreSupprimerConcernant spécifiquement la région Asie-Pacifique, ils écrivent que « les deux parties rejettent la création de structures de groupe exclusives et fermées dans la région Asie-Pacifique, en particulier des alliances militaires qui ciblent un tiers. Les deux parties notent que la « stratégie indo-pacifique » américaine et les tentatives de l’OTAN de prendre des mesures destructrices dans la région Asie-Pacifique « ont un impact négatif sur la paix et la stabilité dans la région ».
Ils exigent également que les États-Unis s'abstiennent de toute activité militaire biologique qui menace la sécurité d'autres pays et régions », et ils s'opposent à l'utilisation de l'espace pour une confrontation armée et à la mise en œuvre de politiques et d'activités de sécurité visant à « obtenir une puissance militaire ». avantage et définir l’espace comme une « zone de combat » ».
Enfin, la déclaration condamne « les actions dissuasives des États-Unis et de leurs alliés militaires qui provoquent une confrontation avec la République populaire démocratique de Corée et exacerbent les tensions dans la péninsule coréenne, ce qui pourrait potentiellement conduire à un conflit armé » et appelle à « la Les États-Unis et l'OTAN, en tant que responsables de l'invasion et de l'occupation de l'Afghanistan qui durent depuis 20 ans, ne devraient pas chercher à déployer à nouveau des installations militaires en Afghanistan et dans ses environs, mais devraient assumer la responsabilité principale des difficultés économiques et existentielles actuelles de l'Afghanistan, qui constituent le principal coût de reconstruction s'emparent de l'Afghanistan et prennent toutes les mesures nécessaires pour libérer les avoirs nationaux afghans. "
ÉNORME EXPANSION DE LA COOPÉRATION ENTRE LA CHINE ET LA RUSSIE
RépondreSupprimerLa déclaration contient une longue liste – des dizaines et des dizaines de points – de domaines élargis de coopération entre les deux pays.
Voici quelques-uns des plus importants d’entre eux :
Coopération militaire : « [Les deux parties] approfondiront davantage la confiance mutuelle et la coopération dans le domaine militaire, élargiront la portée des activités de formation conjointes, organiseront régulièrement des patrouilles maritimes et aériennes conjointes, renforceront la coordination et la coopération dans les cadres bilatéraux et multilatéraux et amélioreront les capacités. et améliorer continuellement le niveau de réponse commune aux risques et aux défis.
Augmentation du commerce, des investissements mutuels et du soutien mutuel pour le développement économique : « Élargissement continu du commerce bilatéral », « Amélioration continue du niveau de coopération en matière d'investissement entre les deux pays », « Développement conjoint des industries avancées, renforcement de la coopération technique et productive, y compris l'aviation civile. , la construction navale, l’industrie automobile, l’industrie des équipements, l’industrie électronique, l’industrie métallurgique, l’extraction du minerai de fer, l’industrie chimique et l’industrie forestière ».
Coopération énergétique : « Consolider la coopération énergétique stratégique et le développement de haut niveau entre la Chine et la Russie pour assurer la sécurité économique et énergétique des deux pays. Nous nous efforçons d'assurer la stabilité et la durabilité du marché international de l'énergie et de maintenir la stabilité et la résilience de l'industrie énergétique mondiale et de la chaîne d'approvisionnement. » Également sur l'énergie nucléaire : « Approfondir la coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire civile sur la base de l'expérience réussie et projets en cours, notamment la fusion thermonucléaire, les réacteurs à neutrons rapides et les cycles fermés du combustible nucléaire ».
Promouvoir les monnaies et les infrastructures financières de chacun : « Augmenter la part de la monnaie nationale dans le commerce bilatéral, le financement et d'autres activités économiques. Améliorer l'infrastructure financière des deux pays, faciliter les canaux de règlement entre les entreprises des deux pays, renforcer la coopération en matière de réglementation bancaire et d'assurance en Chine et en Russie, promouvoir le développement sain des banques et des institutions d'assurance établies l'une dans l'autre, promouvoir les investissements dans les deux sens et l’émission d’obligations sur les marchés financiers de chaque autre pays selon les principes de l’économie de marché.
RépondreSupprimerCoopération approfondie dans les domaines de l'éducation et des sciences : « Promouvoir l'expansion et l'amélioration de la qualité des programmes d'études mutuels à l'étranger, promouvoir l'enseignement du chinois en Russie et de la langue russe en Chine, encourager les établissements d'enseignement à élargir les échanges et la coopération dans la gestion des écoles, organiser des formations conjointes de haut niveau. -des talents et une recherche scientifique de qualité, en soutenant la coopération entre les universités dans le domaine de la recherche fondamentale, en soutenant les activités d'alliances d'universités et de collèges similaires et en approfondissant la coopération dans le domaine de l'enseignement professionnel et numérique.
Coopération dans les médias et formation de l'opinion publique : « Renforcer les échanges médiatiques entre les deux pays, promouvoir les visites mutuelles à différents niveaux, soutenir les dialogues pragmatiques et professionnels, mener activement une coopération substantielle de haute qualité, explorer en profondeur le potentiel de coopération des nouveaux pays. médias et nouvelles technologies dans le domaine des médias de masse, reportage objectif et complet sur les événements mondiaux importants et diffusion d’informations véridiques dans le domaine de l’opinion publique internationale.
Coopération au sein des institutions mondiales : « Approfondir la coopération bilatérale [au sein] de l'Assemblée générale des Nations Unies et du Conseil de sécurité », « Soutenir le rôle de l'Organisation mondiale de la santé », « Renforcer la coopération dans le cadre de l'OMC », « Coopération dans le cadre de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) », « Maintenir l'esprit BRICS, renforcer la voix du mécanisme BRICS dans les affaires internationales et à l'ordre du jour », etc.
RépondreSupprimerLe niveau de coopération qu’ils décrivent est absolument époustouflant, les deux pays s’engageant pleinement l’un envers l’autre.
Cette déclaration est absolument extraordinaire et façonnera probablement le monde pour les décennies à venir. La Russie et la Chine ont désormais explicitement déclaré qu’elles travaillaient ensemble pour créer un nouveau « monde multipolaire égal et ordonné et pour la démocratisation des relations internationales » et mettre fin au comportement hégémonique des États-Unis. Arrêtez de faire semblant, ça va arriver.
Quant à l'Ukraine , cette partie de la déclaration peut être pertinente : « La Russie évalue positivement la position objective et juste de la Chine sur la question ukrainienne et partage l'opinion selon laquelle la crise doit être résolue sur la base du plein respect de la Charte des Nations Unies. »
Car « le plein respect de la Charte des Nations Unies » signifierait le respect de l’article 2 sur l’intégrité territoriale…
Apparemment, Xi et Poutine ont eu un « échange de vues approfondi sur la crise ukrainienne », Xi étant cité comme souhaitant une « solution politique rapide à la question ukrainienne », nous sommes donc susceptibles de voir des initiatives dans ce domaine.
La déclaration poursuit : « Les deux parties estiment que pour résoudre définitivement la crise ukrainienne, les causes de la crise doivent être éliminées, le principe de sécurité indivisible doit être respecté et les intérêts et préoccupations de sécurité appropriés de tous les pays doivent être pris en compte. compte."
RépondreSupprimerDu point de vue de la Chine et de la Russie, les « causes profondes » sont bien entendu l’expansion de l’OTAN et la tentative de faire de l’Ukraine un rempart occidental contre la Russie. Cela signifie-t-il que si ces « causes profondes » sont « éliminées » (ce qui signifie probablement que l’Ukraine devient neutre), la Russie accepterait un retrait de ses troupes, c’est-à-dire un accord similaire à celui presque signé à Istanbul en mars 2022 ?
https://tkp.at/2024/05/17/gemeinsame-erklaerung-von-china-und-russland-ueber-politische-und-wirtschaftliche-kooperation/
Le fait de dire 'construire un nouvel ordre mondial' n'implique pas forcément la présence d'un autre. Il peut s'agir de remodeler celui existant ou d'en créer un comme la CEE se dit être l''Europe' !! HAHAHAHA ! alors que la Russie comme la Suisse font partie du continent européen mais n'y seraient pas intégrés !:! HAHAHAHA !
SupprimerOn ne peut parler là de 'facéties' mais d'ignorance totale de la part de Bruxelles [je parle là du groupe d'étrangers qui l'a investit comme il en est de même pour le WEF à Davos en Suisse où se rassemblent tous les dictateurs-criminels du monde dans la seule Démocratie qui existe sur Terre !] .
Maintenant parlons de cette union solide asiatique qui rassemble les cerveaux les plus pointus de la planète dans le plus grand marché de la Terre avec ses milliards de consommateurs.
A savoir aussi qu'ils ne sont nullement impressionnés par les gestes inconsidérés et les tapages de pieds des trisomiques qui parlent chez eux de faire la guerre... à la Russie :!!! HAHAHAHAHAHA ! (les pays agresseurs seraient rasés en moins de une minute par des missiles ininterceptables !)
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8.
* Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros ou 'google': sent zéro.
https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux États-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
-------------
Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
dimanche 8 novembre 2015
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/11/secretaire-la-defense-suggere-poutine.html
RAPPORT : Les porte-avions américains peuvent être « détruits avec certitude » par seulement deux douzaines de missiles hypersoniques, que possèdent la Chine et la Russie
RépondreSupprimer17/05/2024
Ethan Huff
Si elles le voulaient, la Chine et/ou la Russie pourraient facilement couler des porte-avions américains en utilisant seulement 24 missiles hypersoniques de fabrication chinoise, affirme un nouvel article publié dans le Journal of Test and Measurement Technology en langue chinoise.
Larguer ces bombes sur les porte-avions américains les plus puissants serait « catastrophique », selon une simulation de jeux de guerre menée par une équipe de planificateurs militaires chinois.
En simulant plus de 20 batailles intenses, l'équipe a créé des jeux vidéo dans lesquels les forces chinoises ont réussi à couler la flotte de porte-avions USS Gerald R. Ford à l'aide de deux douzaines de missiles anti-navires. Dans la simulation, des navires américains se sont approchés d'une île revendiquée par la Chine dans la mer de Chine méridionale après avoir été avertis à plusieurs reprises de reculer, ce qui a incité la partie chinoise à lancer une attaque de missiles dans le jeu.
La publication de ces résultats de simulation marque la première fois que des frappes hypersoniques simulées contre un groupe de transporteurs américains sont rendues publiques.
Outre l'USS Gerald R. Ford, la simulation a également ciblé d'autres navires de surface dotés d'une « résistance inégalée et d'une technologie de pointe », notamment le croiseur CG56 de classe Ticonderoga, le San Jacinto, ainsi que le missile guidé DDG-103 de classe Arleigh Burke Flight IIA. destructeur.
La Ford, mise en service en juillet 2017, est dotée d'un système de lancement électromagnétique pionnier et d'un système de radar et de guerre électronique de pointe. L'ensemble du groupe de porte-avions était également équipé d'armes de défense douce telles que des leurres, des lanceurs de paillettes et des fusées éclairantes conçues pour lutter contre les attaques de missiles.
Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Explorez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, peer-to-peer et non censurable Brighteon.io ici. Découvrez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Chaque achat sur HealthRangerStore.com contribue à financer nos efforts pour créer et partager davantage d'outils pour doter l'humanité de connaissances et d'abondance.
"Ces technologies sophistiquées détectent les menaces entrantes tandis que plusieurs couches de blindages et de systèmes de protection sont conçues pour réduire l'impact des attaques de missiles et d'autres puissances de feu ennemies", explique un rapport chinois.
RépondreSupprimer"Les croiseurs et destroyers du groupe d'attaque étaient également équipés d'armes avancées et de mesures défensives, notamment de systèmes radar capables de détecter les menaces entrantes tout en poursuivant simultanément plusieurs cibles, ont indiqué les chercheurs."
(Connexe : Les États-Unis menacent de voler des actifs russes pour l’Ukraine, ce qui entraînerait un effondrement total de l’économie américaine et du système financier occidental.)
La Chine pense pouvoir détruire la flotte de transporteurs américains « insubmersibles »
Originaires d'une université du nord de la Chine, les chercheurs affirment que, sur la base de leur simulation, l'armée chinoise a réussi à couler chaque navire américain, entraînant ainsi une victoire totale.
Gardez à l’esprit qu’il s’agit du groupe de transporteurs américains soi-disant insubmersible, que les armes conventionnelles ne peuvent pas toucher. Les missiles hypersoniques chinois semblent cependant être une valeur sûre.
Dans la simulation, la Chine a lancé les armes depuis six sites différents dans diverses régions reculées de Chine, dont certaines aussi éloignées de la civilisation que le désert de Gobi. L'armée chinoise a fait preuve de « prouesses inhabituelles dans sa stratégie de lancement sophistiquée », qui comprenait une attaque complexe en trois vagues conçue pour tromper et vaincre les systèmes de défense américains.
Même si les résultats de la simulation sont encourageants pour le Parti communiste chinois (PCC), la Chine reconnaît qu’il ne s’agit pas de résultats réels. Seule une attaque réelle prouverait si le concept fonctionne ou non comme testé.
La simulation présentait certes également plusieurs contraintes, notamment le manque d’accès aux satellites espions stationnés dans l’espace, ainsi qu’un nombre global limité de missiles hypersoniques.
L'objectif général du jeu de guerre était d'être « indulgent avec l'ennemi et strict avec soi-même », a rapporté le South China Morning Post (SCMP).
RépondreSupprimerA noter également que la Chine possède désormais un drone de reconnaissance supersonique WZ-8, ceci basé sur des images satellite obtenues par Defense News.
"La précision des données utilisées dans les simulations de jeux de guerre est essentielle à leur utilité dans l'évaluation de scénarios potentiels", a commenté un ingénieur de l'industrie de la défense aérospatiale basé à Pékin qui a parlé au SCMP sous couvert d'anonymat.
Les dernières nouvelles sur ce que fait la Chine peuvent être trouvées sur Communism.news.
Les sources de cet article incluent :
GreatGameIndia.com
SCMP.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-05-17-us-aircraft-carriers-destroyed-hypersonic-missiles-china.html
La décadence de la vie quotidienne
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 17 MAI 2024 - 23H00
Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,
Alors, où cela nous mène-t-il ? Nous sommes seuls.
Ce mois-ci, j'ai décrit ce qui peut être résumé comme le déclin de la vie quotidienne : l'érosion des éléments fondamentaux de la vie quotidienne : le travail, les opportunités, la mobilité sociale, la sécurité et le bien-être, qui incluent la courtoisie, la convivialité et une approche fonctionnelle et compétente. ordre socio-politique.
En d’autres termes, la vie quotidienne comprend bien plus que les statistiques financières du produit intérieur brut (PIB), du marché boursier, de la richesse et des revenus. La vie quotidienne concerne fondamentalement les relations, l'action (c'est-à-dire le contrôle de sa vie et la propriété de son travail), la réalisation des objectifs de la vie (moyens de subsistance, famille, amis, communauté et croissance personnelle), le temps libre et les expériences de la vie quotidienne. les facteurs de stress et les joies.
Comme je l'ai exploré dans des articles récents, les éléments expérientiels de la vie quotidienne se sont dégradés au cours des 40 dernières années : la vie est plus difficile et moins sûre d'une manière qui n'est pas compensée par les progrès technologiques. En effet, les avancées technologiques les plus vantées (Internet et téléphones mobiles) ont alourdi le fardeau du travail parallèle et introduit de nouvelles voies de dépendance et de stress qui ont réduit le bien-être. Plutôt que d’être libres, ils incluent des structures de contrôle que nous devons encore comprendre, et encore moins limiter.
Voici mes récents messages :
RépondreSupprimerPrécaire : un malheur loin de l’insolvabilité
Pressée depuis des décennies, la classe ouvrière américaine est enfin au pied du mur
Perdu dans le vaste désert des médias sociaux
Hikikomori et Allongé à plat : quand « réussir » devient désespéré
Le retrait de la Rat Race devient mondial
La Dégradation de la vie quotidienne fait écho au titre de l'un des livres les plus importants que je recommande depuis longtemps, Les structures de la vie quotidienne, civilisation et capitalisme, XVe-XVIIIe siècle, tome 1 de Fernand Braudel. Le livre décrit comment les changements dans la structure économique ont conduit à des changements dans la vie quotidienne.
Les structures que je décris dans les cinq articles décrivent les structures économiques qui façonnent notre vie quotidienne et les structures politiques et sociales dans lesquelles nous vivons. Alors que je concentre mon attention sur la façon dont la mondialisation et la financiarisation ont vidé notre économie et accru la précarité du travail, dans un contexte plus large, nous pouvons identifier ces facteurs structurels de décadence :
1. L’équilibre entre le travail et le capital est penché en faveur du capital depuis 50 ans. Le pouvoir politique du travail et sa part dans l’économie ont diminué tandis que le pouvoir politique et économique du capital est devenu dominant. Cela a poussé les inégalités de revenus à des niveaux extrêmes qui déstabilisent l’économie et les ordres politico-sociaux.
Augmenter les sommes que les travailleurs peuvent emprunter pour se maintenir à flot ne fonctionnera que jusqu’à ce que le service de la dette consomme tout le revenu disponible, écrasant ainsi la consommation. Le résultat final est un défaut de paiement massif de la dette et l’effacement des « actifs » basés sur la dette détenus par les élites financières (les 10 % les plus riches).
Le travail devra rétablir l’équilibre avec le capital, sinon le système s’effondrera dans le désordre. L’histoire est plutôt définitive sur cette chaîne causale.
2. Le contrôle des processus et du récit a remplacé les résultats en tant que mécanismes opérationnels et objectifs du statu quo. Les illusions d'un « progrès » et d'une « prospérité » illimités ont généré un état d'esprit dans lequel les résultats n'ont plus d'importance, car le « progrès » et la « prospérité » sont des forces de la nature qui ne peuvent être arrêtées, nous pouvons donc nous prélasser dans le processus - en complétant formulaires et documents de conformité, soumettre des rapports à d'autres bureaux, tenir des réunions interminables pour discuter de nos « progrès » glacials, exiger davantage de processus, élever les gestionnaires qui excellent dans le processus - avec pour résultat net que les permis de construire qui étaient autrefois délivrés en quelques jours maintenant Cela prend des mois, la construction de ponts prend des décennies et l’incompétence règne en maître.
RépondreSupprimerPour masquer les résultats lamentables – échecs, retards, mauvaise qualité, erreurs – le contrôle narratif est déployé, étendu et récompensé. La classe managériale a été récompensée et avancée non pas pour avoir généré des résultats de haute qualité, dans les délais, dans les limites du budget, mais pour la gestion des processus et du contrôle narratif : tout va bien, et si ce n'est pas le cas, la faute est ailleurs.
Le résultat net de cette structure est que les compétents démissionnent par dégoût ou sont envoyés en Sibérie, tandis que les incompétents sont élevés aux plus hauts niveaux de gestion des entreprises et du secteur public.
3. La domination des monopoles et des cartels a fatalement faussé les marchés et la politique, sapant les fondements de la vie quotidienne. En éliminant la concurrence et en achetant la complicité politico-régulatrice, les monopoles et les cartels s'assurent des profits amples et stables, des profits qui sont augmentés par la compression de la main-d'œuvre et la réduction de la qualité et de la quantité des biens et services, au point que les services et les biens de qualité sont soit des produits de luxe disponibles. réservés à l’élite ou tout simplement indisponibles à tout prix, car les connaissances, les systèmes et les valeurs nécessaires à la production de biens et de services de haute qualité ont été irrévocablement perdus.
4. La domination des communications numériques dans la vie quotidienne a accru le travail fantôme non rémunéré que nous sommes obligés de faire et a injecté dans la vie quotidienne de nouvelles formes de contrôle narratif, d'hypnose numérique, de dépendance et de dérangement qui ne peuvent être inversées de manière significative autrement que de manière radicale. limiter notre exposition à la marée montante toxique.
RépondreSupprimerAlors, où cela nous mène-t-il ? Nous sommes seuls. Le statu quo est incapable de remédier aux distorsions fatales générées par les structures économiques dominantes, et il est donc également incapable de nous « éviter » d’être assis au banquet des conséquences. C’est pourquoi la seule réponse rationnelle est de se concentrer sur l’augmentation de notre autonomie.
Plutôt que de se laisser captiver par les apologistes et les pom-pom girls proclamant que tout va bien, lancer un canot de sauvetage et mettre le cap vers la terre ferme est une stratégie avec des chances de succès bien plus élevées.
https://www.zerohedge.com/markets/decay-everyday-life
Le réseau électrique américain pourrait devenir peu fiable cet été, prévient l'organisme de surveillance
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 18 MAI 2024 - 04H20
Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times,
Certaines régions d'Amérique pourraient avoir du mal à répondre à la demande d'électricité pendant la saison estivale, les sources d'énergie renouvelables comme l'énergie éolienne et solaire posant un risque potentiel pour la fiabilité de l'approvisionnement en électricité, selon un rapport de la North American Electric Reliability Corporation (NERC).
Le rapport du NERC classe plusieurs régions du pays comme étant confrontées à un risque « élevé » de fiabilité de l’électricité en été pour la prochaine période de juin à septembre.
Un risque élevé signifie qu’il existe un « potentiel de réserves d’exploitation insuffisantes » lorsque la région est confrontée à des conditions de demande supérieures à la normale. Ces régions comprennent des parties de la Louisiane, du Texas, du Nouveau-Mexique, de l'Arizona, de la Californie, de l'Illinois et de l'Iowa. La détermination d’un risque élevé repose sur divers facteurs, notamment les faibles conditions potentielles d’énergie éolienne ou solaire qui pourraient entraîner une diminution de l’approvisionnement en électricité.
Le système d'alimentation en vrac (BPS) nord-américain est composé de six entités régionales : Midwest Reliability Organization (MRO), Northeast Power Coordinating Council (NPCC), ReliabilityFirst (RF), SERC Reliability Corporation (SERC), Texas Reliability Entity (Texas). RE), Western Electricity Coordinating Council (WECC) – avec un risque élevé à venir dans certaines régions.
Midcontinent Independent System Operator (MISO), qui gère le marché de la capacité électrique, opère dans 15 États américains, dont le Texas, l'Illinois, le Montana, l'Arkansas et le Kentucky. Le MISO devrait disposer de « ressources suffisantes » pour répondre à la demande de pointe estivale normale, indique le rapport du NERC.
Cependant, si MISO devait faire face à des conditions de demande de pointe supérieures à la normale à un moment où la production éolienne et solaire est inférieure aux prévisions, il pourrait être « difficile » pour l’organisme de transport de répondre à la demande.
RépondreSupprimer« La performance des éoliennes pendant les périodes de forte demande est un facteur clé pour déterminer si l'approvisionnement en électricité du système est suffisant ou si une aide externe (non ferme) est nécessaire pour maintenir la fiabilité. »
L’interconnexion Texas RE ERCOT (Electric Reliability Council of Texas), qui gère environ 90 % de la charge électrique du Texas, est confrontée à des conditions d’urgence potentielles pendant les soirées d’été « lorsque la production solaire commence à diminuer ».
Dans certaines conditions du réseau, les transferts d’électricité du sud du Texas vers la région de San Antonio doivent être restreints, ce qui contribue à un « risque élevé » d’approvisionnement. De telles conditions de réseau se produisent lorsque « la demande est élevée et la production éolienne et solaire est faible dans des zones spécifiques, ce qui met à rude épreuve le système de transport ».
Dans les zones desservies par le WECC couvrant 14 États, dont la Californie et le Nouveau-Mexique, on estime que les défis en matière de fiabilité de l'électricité se situent dans des conditions de « demande supérieure à la normale et de faibles ressources ». Une telle situation se produit lorsque la production solaire est faible ou que les importations sont inférieures à la normale, indique le rapport.
Commentant le rapport du NERC, Michelle Bloodworth, PDG d'America's Power, un partenariat d'industries impliquées dans la production d'électricité à partir du charbon, a déclaré que l'évaluation révèle que le réseau électrique américain est « de plus en plus dépendant de sources d'électricité dépendantes des conditions météorologiques » comme l'énergie solaire et énergie éolienne.
Cela expose « un tiers du pays à un risque élevé de pannes d’électricité cet été », a-t-elle déclaré, ajoutant que ces risques ne feraient qu’augmenter en raison des réglementations imposées par l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA).
« Les mises hors service retardées des centrales à charbon jouent un rôle clé dans la fiabilité du réseau. Cependant, il ne s’agit que d’une solution temporaire, car les réglementations de l’EPA entraîneront davantage de retraits de charbon qui ne peuvent être retardés. Ces réglementations, en particulier la règle carbone récemment annoncée, augmentent le risque de pannes d'électricité », a déclaré Mme Bloodworth.
RépondreSupprimer"Avec l'explosion de la demande en électricité, notre pays a besoin d'une stratégie pour garantir un approvisionnement électrique sain à long terme, qui ne dépend pas du soleil et du vent et qui n'est pas dicté par les réglementations de l'EPA."
L'EPA soutient les énergies renouvelables, notant qu'elles « ne produisent aucune émission de gaz à effet de serre » comme les combustibles fossiles et réduisent certains types de pollution atmosphérique. Les énergies renouvelables peuvent également réduire la « dépendance de l’Amérique aux carburants importés ».
Le mois dernier, l’EPA a annoncé 7 milliards de dollars de subventions dans le cadre du programme « Solar for All » pour réaliser des projets solaires résidentiels dans plus de 900 000 foyers à travers les États-Unis. Les bourses sont attribuées à 60 sélectionnés.
"Les personnes sélectionnées feront progresser les initiatives en matière d'énergie solaire à travers le pays, créant des centaines de milliers d'emplois bien rémunérés, économisant 8 milliards de dollars en coûts énergétiques pour les familles, fournissant un air plus pur et luttant contre le changement climatique", a déclaré l'administrateur de l'EPA, Michael S. Regan.
Nouvelle règle de l'EPA
Le rapport du NERC intervient alors que l'EPA a annoncé le 25 avril une série de règles finales visant à réduire la pollution provenant des centrales électriques alimentées aux combustibles fossiles.
Les nouvelles normes exigent que toutes les centrales au charbon qui ont l'intention de fonctionner à long terme ainsi que toutes les nouvelles centrales au gaz de base réduisent 90 pour cent de leur pollution par le carbone.
Les règles renforcent également la norme d'émissions des centrales à charbon pour les métaux toxiques de 67 pour cent et imposent une réduction de 70 pour cent de la norme d'émission pour le mercure provenant des sources existantes alimentées au lignite. En outre, les règles concernant le rejet des eaux usées dans les centrales à charbon et la gestion des cendres de charbon sont renforcées.
RépondreSupprimerL’EPA affirme que les nouvelles normes respectent l’engagement de l’administration Biden à protéger la santé de toutes les communautés. L’agence a déclaré que les règles apporteraient « des centaines de milliards de dollars de bénéfices nets ».
« L’analyse d’impact de la réglementation prévoit une réduction globale de 1,38 milliard de tonnes de pollution par le carbone d’ici 2047, ce qui équivaut à empêcher les émissions annuelles de 328 millions de voitures à essence, ou à près d’une année entière d’émissions de l’ensemble du secteur américain de l’énergie électrique. Il prévoit également jusqu’à 370 milliards de dollars de bénéfices nets pour le climat et la santé publique au cours des deux prochaines décennies », a déclaré l’EPA.
L'agence estime également que les règles permettront d'éviter jusqu'à 1 200 décès prématurés, 1 900 cas d'apparition d'asthme, 360 000 cas de symptômes d'asthme et 57 000 journées de travail perdues rien qu'en 2035.
"En élaborant ces normes de manière claire, transparente et inclusive, l'EPA réduit la pollution tout en garantissant que les compagnies d'électricité peuvent faire des investissements intelligents et continuer à fournir une électricité fiable à tous les Américains", a déclaré M. Regan.
Les réglementations énergétiques ont été critiquées par Jim Matheson, PDG de la National Rural Electric Cooperative Association, une association professionnelle de coopératives électriques.
« La voie tracée par l’EPA est illégale, irréaliste et irréalisable », a-t-il déclaré. « Cela compromet la fiabilité électrique et entraîne de graves conséquences pour un réseau électrique déjà sous tension. Ce barrage de nouvelles règles de l’EPA ignore les défis actuels en matière de fiabilité électrique de notre pays et constitue une mauvaise approche à un moment critique pour l’avenir énergétique de notre pays.
RépondreSupprimerLa sénatrice Shelley Moore Capito (RW.Va.) a qualifié les règles de l’EPA de preuve que le président Biden a « doublé » son projet de fermer « l’épine dorsale du réseau électrique américain ».
« La demande d’électricité est appelée à monter en flèche grâce en partie au mandat de l’EPA en matière de véhicules électriques, et malheureusement, les Américains paient déjà des factures de services publics plus élevées sous le président Biden », a-t-elle déclaré.
« Malgré tout cela, l’administration a choisi de poursuivre son programme climatique irréaliste qui menace l’accès à une énergie fiable et abordable pour les ménages et les employeurs à travers le pays. »
https://www.zerohedge.com/technology/us-power-grid-may-become-unreliable-summer-watchdog-warns
Prévoir la transition aux USA : le recul d'El Niño et la montée en puissance de La Niña
RépondreSupprimer17 Mai 2024
AGDAILY Reporters*
Les phénomènes météorologiques liés à El Niño s'estompent rapidement et devraient disparaître à la fin du printemps ou au début de l'été.
- voir carte sur site -
Les météorologues signalent que le réchauffement cyclique de l'eau dans l'est et le centre de l'océan Pacifique, près de l'équateur, est en train de s'estomper. Après le pic atteint fin novembre et en décembre, les températures de l'océan dans cette région sont tombées ces dernières semaines en dessous de l'anomalie de 1,5 degré Celsius généralement associée à un El Niño vigoureux.
Les phénomènes El Niño et La Niña résultent d'interactions entre la surface de l'océan et l'atmosphère dans le Pacifique tropical. Les fluctuations des températures océaniques peuvent influencer les conditions météorologiques sur de grandes distances, y compris dans les régions proches des États-Unis. Bien qu'il ne s'agisse pas du seul facteur déterminant des conditions météorologiques, le passage à La Niña peut avoir plusieurs conséquences notables.
Voici ce que vous pourriez observer :
Des étés plus chauds dans le centre et l'est des États-Unis ;
Une saison des ouragans plus active dans l'Atlantique ;
Des hivers plus chauds et plus secs dans le sud ;
Des hivers plus froids dans les plaines du Nord ;
Des hivers plus humides dans le nord-ouest du Pacifique.
Selon le Centre de Prévision Climatique de la National Oceanic and Atmospheric Administration, il y a plus de 60 % de chances que La Niña se développe d'ici l'été. Cette probabilité passe à 80 % à la fin de l'été et au début de l'automne.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
En quoi cela est-il important pour les agriculteurs ?
Trois épisodes consécutifs de La Niña ont pesé lourdement sur les exploitations agricoles et les ranchs à partir de 2020, car une année 2019 humide s'est transformée en une année 2020 très sèche. Au cours des trois dernières années de La Niña, les États-Unis ont connu 14 ouragans et tempêtes tropicales dont les dégâts se sont élevés à 252 milliards de dollars. Ces sécheresses généralisées se sont ensuite transformées en un temps plus humide dans les plaines et le sud cet hiver.
Si La Niña est historiquement liée à des phénomènes météorologiques plus dommageables et plus coûteux, elle n'est pas très appréciée par l'agriculture américaine. Selon le Département Américain de l'Agriculture, les rendements à l'hectare du maïs et du blé d'hiver ont généralement tendance à augmenter après les saisons de végétation marquées par El Niño, et à diminuer après les saisons de végétation marquées par La Niña.
Bien que chaque année soit différente, de même que chaque La Niña, la sécheresse et les périodes de sécheresse de 2020-2022, ainsi que les tendances historiques à des conditions plus sèches dans l'ensemble de la Corn Belt occidentale, pourraient se traduire par une année difficile pour les agriculteurs et les éleveurs.
__________
* Source : Forecasting transition: El Niño’s retreat and the rise of La Niña (agdaily.com)
https://seppi.over-blog.com/2024/05/prevoir-la-transition-aux-usa-le-recul-d-el-nino-et-la-montee-en-puissance-de-la-nina.html
Le 'grand volcan sous-océanique' (au large du Pérou) est en éruptions constantes. Soit elles diminuent (La Niña) où notre planète froide reprend le dessus, soit elles s’accélèrent dans ses effusions qui réchauffent les courants océaniques et atmosphériques et s'appellent alors El Niño.
SupprimerL'enquête de l'UE contre Facebook devrait faire progresser l'identification numérique
RépondreSupprimer18 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
La loi sur les services numériques (DSA) est entrée en vigueur il y a environ un an. L’utilisation de l’identification numérique européenne pour la vérification de l’âge n’est qu’une des idées qui ont été développées pour la rendre obligatoire quelque part. Et les bureaucrates européens tentent de garantir que ces mesures controversées soient présentées comme étant parfaitement conformes aux plans initiaux du DSA visant à protéger les enfants.
Le règlement DSA a été critiqué par ses opposants comme une loi générale de censure en ligne qui se cache derrière de nobles déclarations selon lesquelles elle vise à protéger le bien-être des enfants, à lutter contre la désinformation, etc. La froide et dure réalité est que ceux qui sont au pouvoir, que ce soit dans l’UE, aux États-Unis ou ailleurs, ne peuvent tout simplement pas s’empêcher d’essayer de serrer (plus loin) les programmes ayant la plus grande portée et la plus grande influence avant une élection – de quelque manière que ce soit.
La Commission européenne, dont le président brigue à nouveau ce poste, a ouvert une enquête sur Meta car elle soupçonne que ses produits phares, Facebook et Instagram, « génèrent des comportements addictifs chez les enfants et nuisent à la santé mentale ».
Thierry Breton, le commissaire européen qui s'est fait un nom en tant que partisan de toutes sortes de restrictions du droit fondamental à la liberté d'expression pendant le mandat de la Commission européenne qui touche à sa fin, s'est encore exprimé ici :
RépondreSupprimer«Nous engageons une procédure formelle contre Meta. "Nous ne sommes pas convaincus que l'entreprise ait fait suffisamment pour respecter ses obligations DSA et atténuer les risques d'impacts négatifs sur la santé physique et mentale des jeunes Européens sur ses plateformes Facebook et Instagram ", a déclaré Breton.
Et tandis que l’UE enquête sur « les effets addictifs potentiels des plateformes (…) tels qu’une image corporelle irréaliste », un sujet non potentiel mais très concret est également examiné : l’efficacité des outils de vérification de l’âge de Meta.
Les raisons de ces soupçons résident dans le DSA. Avec cette législation de censure, les grandes entreprises technologiques peuvent désormais être tenues responsables des préjudices en ligne, de la « désinformation » à la fraude lors des achats en passant par la mise en danger d'enfants.
Bien que la vérification de l'âge fasse progresser l'identification numérique et compromette la vie privée de chacun en ligne, Breton a assuré qu'il s'agissait d'un pur moment de « penser aux enfants », car la technologie requise pour atteindre un tel résultat - comme B. la présentation de copies de documents d'identité délivrés par le gouvernement - la nature de l'affaire est la suivante :
« Nous ne ménageons aucun effort pour protéger nos enfants », affirme Breton.
La recherche vise à faire la lumière sur les effets dits de « trou du lapin » que ces plateformes peuvent avoir en exposant les jeunes à des contenus potentiellement préjudiciables sur des apparences physiques irréalistes, entre autres. L'enquête vise également à déterminer le degré d'efficacité des procédures de validation de l'âge de Meta et de protection de la vie privée des enfants.
Le récit du « trou du lapin » qui suggère que les plateformes de médias sociaux comme Facebook et Instagram peuvent conduire les utilisateurs vers des contenus addictifs et potentiellement dangereux soulève des questions importantes, en particulier sur la façon dont Meta utilise des algorithmes pour contrôler ce que les gens voient, écrit Reclaim The Net.
RépondreSupprimerLe dirigeant non élu de l’UE, Leyen, réclame depuis longtemps une carte d’identité numérique à l’échelle européenne « avec laquelle chaque citoyen peut tout faire n’importe où en Europe, du paiement des impôts à la location d’un vélo ».
La lutte contre Meta sert précisément à rendre progressivement obligatoire l’utilisation de l’identification numérique sur Internet. Le droit fondamental à une communication non observée est donc compromis. Et une fois que l'identification numérique sera liée à la nouvelle CBDC (programmable) de l'UE, vous ne pourrez plus louer de vélo ou participer à la société si les technocrates non élus en charge de l'UE décident que vous n'êtes pas assez obéissant. pour quelque raison que ce soit.
Peut-être n'avez-vous pas reçu toutes les injections nécessaires ? Peut-être avez-vous exprimé une « mauvaise » opinion sur les réseaux sociaux ? Ou peut-être avez-vous eu l’audace de critiquer le régime totalitaire de l’UE ?
https://tkp.at/2024/05/18/eu-untersuchung-gegen-facebook-soll-digitale-id-vorantreiben/
Les stocks de remplacement des vaches laitières aux États-Unis s'effondrent à leur plus bas niveau depuis deux décennies
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 18 MAI 2024 - 00H40
La chaîne d’approvisionnement alimentaire du pays reste sous pression. Nous avons tiré la sonnette d’alarme sur la diminution de l’offre américaine de bovins de boucherie à son plus bas niveau depuis plus d’un demi-siècle.
Aujourd'hui, Bloomberg rapporte que les fermes laitières orientent leurs programmes de sélection vers des hybrides bœuf-laitier, capitalisant sur les faibles troupeaux de bœuf au milieu de la surabondance écrasante de lait de l'année dernière. Cependant, cela s'accompagne de risques croissants à mesure que le cheptel laitier du pays commence à se fissurer.
Les veaux hybrides sont produits par insémination artificielle d'une vache laitière avec le sperme d'un taureau de boucherie. Cela a créé un énorme avantage pour les producteurs laitiers en difficulté, frappés par la volatilité des prix du lait et une surabondance impitoyable ces dernières années. L’année dernière, les agriculteurs du Midwest ont été contraints de jeter des dizaines de milliers de gallons de lait dans les égouts.
"Les prix du lait fluctuent et les agriculteurs sont donc toujours à la recherche d'un moyen de compenser les coûts pour être aussi efficaces que possible", a déclaré Amy Penterman, propriétaire de Dutch Dairy, qui élève environ 70 % de son troupeau de 900 vaches laitières pour bœuf.
Penterman a expliqué que cette nouvelle source de revenus est « gratifiante car l'offre de bœuf a diminué au cours des dernières années. Nous sommes en mesure d'ajouter cette offre supplémentaire sur le marché afin de maintenir les coûts bas pour nos consommateurs ».
Les dernières données de l'USDA montrent que le cheptel de bovins de boucherie du pays a plongé à son plus bas niveau depuis 1951, principalement en raison des sécheresses persistantes dans le Midwest, de la hausse des coûts du diesel et des aliments pour animaux et des taux d'intérêt élevés. Les coûts plus élevés ont contraint les éleveurs à éliminer un nombre croissant de vaches de boucherie.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Mercredi, le PDG de Tyson Foods, Donnie King, a déclaré à l'auditoire de la conférence mondiale Farm to Market de BMO à Toronto qu'il ne savait toujours pas quand les éleveurs américains reconstitueraient de manière significative leurs troupeaux de bovins.
L’effondrement des stocks de vaches laitières de remplacement est l’un des problèmes majeurs des fermes laitières qui se tournent vers des hybrides viande-bœuf pour profiter de la flambée des prix de la viande.
Les données de l'USDA montrent déjà que le nombre de vaches de remplacement disponibles pour les troupeaux laitiers en janvier 2024 a plongé à un niveau jamais vu depuis 2004.
Lucas Fuess, de Rabobank, a averti que si les prix du lait devaient grimper, la faiblesse des stocks et la hausse des prix des vaches de remplacement pourraient entraîner une forte compression des marges des agriculteurs.
Nate Donnay, directeur de l'analyse du marché laitier chez StoneX Financial, a déclaré que le nombre de vaches laitières de remplacement est déjà « au niveau minimum » nécessaire pour maintenir le troupeau laitier.
"Dans dix ans, le cheptel bovin va probablement redevenir trop grand et les prix seront terribles et peut-être qu'ils ne voudront plus de ces animaux laitiers", a déclaré Donnay, ajoutant: "Mais pour les deux prochaines années, cette demande le nombre d'animaux laitiers dans le cheptel de boucherie va probablement rester fort. »
Encore un autre désastre pour la chaîne d’approvisionnement alimentaire du pays.
https://www.zerohedge.com/commodities/americas-dairy-cow-replacement-inventory-collapses-two-decade-low
Pourquoi l’Inde et les pays du Sud devraient fermement rejeter la technologie des insectes génétiquement modifiés
RépondreSupprimerPar Bharat Dogra
Recherche mondiale,
1er mai 2024
Ces dernières années, la technologie des insectes modifiés, y compris les insectes génétiquement modifiés, en particulier les moustiques, ainsi que d'autres technologies connexes, ont été exposées dans plusieurs pays pour leurs impacts néfastes sur l'environnement et les populations ainsi que pour leurs implications encore plus sinistres en matière de guerre biologique.
En fait, dans le cas de certains projets impliquant une collaboration étrangère, l'Inde en a fait l'expérience très tôt. Par conséquent, la technologie des insectes génétiquement modifiés, en particulier des moustiques , qui est colportée par de puissants intérêts commerciaux ainsi que par des milliardaires et des organisations internationales, devrait être fermement rejetée par l'Inde. Bien que ceci soit écrit ici plus spécifiquement dans le contexte de l’Inde, une telle politique de rejet de cette technologie devrait être adoptée plus fermement par l’ensemble du Sud global, car les promoteurs de ces technologies à haut risque ont des contacts très puissants dans le Nord global, en particulier Aux États-Unis et en Grande-Bretagne, et sans une politique d’opposition ferme en place, certains pays du Sud pourraient se retrouver piégés dans cette situation. Les pays du Sud devraient également coopérer pour faire évoluer ensemble cette politique d'opposition, tout en étendant cette coopération pour trouver de meilleurs moyens de réduire les dommages causés par les maladies transmises par les moustiques sans tomber dans le piège des intérêts des grandes entreprises qui tentent d'utiliser ces maladies comme moyen d’en tirer d’énormes profits et/ou ou d’étendre leur contrôle sur le secteur de la santé.
Les autorités indiennes semblaient bien conscientes de cette responsabilité, du moins jusqu’à il y a quelque temps. Un rapport en première page du Business Line (20 août 2018) intitulé « Govt. peut écraser les moustiques GM (génétiquement modifiés) » et écrit par Rahul Wadke a déclaré :
« Le gouvernement est sur le point de refuser l’autorisation de procéder à des essais en plein champ visant à introduire des moustiques Aedes aegypti génétiquement modifiés (GM). La nouvelle technologie GM prétend contrôler la propagation des virus de la dengue, du chikungunya et du zika en Inde en utilisant des moustiques génétiquement modifiés pour perturber le cycle de vie des moustiques porteurs du virus. La société GBIT, basée à Mumbai, associée au géant des semences Mahyco et à la société britannique Oxitec, recherche les approbations réglementaires du ministère de la Biotechnologie et d'autres ministères pour introduire la technologie dans le pays. Des sources centrales de premier plan ont déclaré que les scientifiques du gouvernement étaient sceptiques quant à l'efficacité de la technologie. Ils s’inquiètent des conséquences inconnues et de l’impact probable sur l’environnement de la dissémination de moustiques génétiquement modifiés.
RépondreSupprimerCependant, lorsque le Département de biotechnologie a introduit des « Lignes directrices pour les insectes génétiquement modifiés » en 2023, celles-ci ne semblaient pas montrer une prise de conscience adéquate des risques élevés impliqués ainsi que de la littérature substantielle disponible à l'époque concernant ces risques. Celles-ci semblaient suivre les directives de l’OMS, ignorant le fait hautement regrettable qu’un milliardaire impliqué le plus étroitement dans la promotion de ces technologies à haut risque soit également devenu un collaborateur/financeur majeur de l’OMS. Il faudrait également reconsidérer la confiance que l'on peut accorder au Comité d'évaluation du génie génétique, compte tenu de ses antécédents. Il semble qu'une autorité et une expertise supplémentaires soient également nécessaires pour contrôler la forte influence des entreprises dans de telles questions ainsi que pour protéger les intérêts de sécurité nationale. . Il existe également d'autres problèmes et lacunes concernant ces lignes directrices, comme le souligne une étude récente publiée dans un journal réputé (voir « Les problèmes liés aux nouvelles lignes directrices indiennes sur les insectes génétiquement modifiés » par Sambhavi Naik, The Hindu, 2023).
En fait, des scientifiques et des militants environnementalistes de nombreuses régions du monde ont mis en garde contre cette technologie et le secret associé à sa promotion douteuse. Cette technologie a également été mise en cause dans le passé pour ses éventuelles implications en matière de guerre biologique.
Jusqu’à présent, de nombreux procès de ce type ont été organisés en secret dans plusieurs régions du monde. Les dangers sérieux associés à de tels essais ont été révélés à maintes reprises.
Le Dr Helen Wallace, directrice de GeneWatch UK, a écrit :
En Inde, de tels efforts ont été observés pour la première fois sous la forme du projet d'unité de contrôle génétique des moustiques dans les années 1970 et ce projet a été fortement critiqué dans les médias pour ses divers dangers et même ses implications en matière de guerre biologique. La Commission des comptes publics du Parlement indien a également soutenu cette critique dans son 167 e rapport. Les implications dangereuses du projet ont été exposées par C. Raghavan dans Mainstream (17 mai 1975) et par le brillant journaliste du PTI, le Dr KS Jayaraman. Cet écrivain a également beaucoup écrit sur cette question, notamment dans un article de couverture pour la section Sunday Magazine du principal journal The Times of India. Même si ce projet a causé de nombreux dégâts, la libération à grande échelle de moustiques dangereux dans la ville surpeuplée de Sonipat (Haryana) a pu être stoppée à la dernière minute.
RépondreSupprimerDans une récente étude complète de cette technologie intitulée Mosquito in the Ointment (voir Frontline – 16 février 2018), un scientifique indien de haut niveau, le Dr PKRajagopalan , ancien directeur du Centre de recherche sur la lutte anti-vectorielle, a exposé les nombreux problèmes et dangers de cette technologie. . Il a conclu après avoir examiné de nombreuses preuves provenant de diverses régions du monde, dont l'Inde,
« Il est évident que la libération de moustiques vecteurs génétiquement manipulés est non seulement inefficace, mais présente également un grand danger pour la société. »
Par conséquent, l'autorisation de tout nouvel essai de cette technologie dangereuse devrait être immédiatement arrêtée et cette technologie dangereuse et hautement suspecte devrait être abandonnée pour toujours au lieu d'être introduite encore et encore sous de nouveaux vêtements par des intérêts étrangers puissants et bornés et des milliardaires (plus leurs collaborateurs locaux) dont certains ont déjà fait beaucoup de dégâts très graves dans les secteurs des semences, de l'agriculture et de la santé.
https://www.globalresearch.ca/india-global-south-reject-genetically-modified-insects/5856111
Les risques élevés de l’IA et des armes robotiques
RépondreSupprimerPar Bharat Dogra
Recherche mondiale,
18 mai 2024
Les récentes expériences tragiques à Gaza ont confirmé les craintes des scientifiques qui mettaient en garde contre l’utilisation de l’IA et de la robotique dans les systèmes d’armes et dans la guerre. L’utilisation de l’IA dans les systèmes de ciblage était censée faciliter un ciblage plus précis et ainsi épargner des civils innocents – en utilisant le système Lavender pour cibler le personnel et le système Gospel pour cibler les bâtiments où les militants étaient censés se trouver. Cependant, cette technologie d’IA, utilisée à la hâte, a en réalité entraîné de nombreux meurtres aveugles de civils innocents.
Ce n’est pas le seul exemple récent d’utilisation à haut risque d’armes IA. Les avertissements très effrayants mais fondés sur des faits émis par des experts reconnus ont été suivis par des investissements croissants de la part des grandes puissances pour renforcer leurs préparatifs en vue de développer une large gamme d’armes robotisées.
Alors que certaines applications civiles des robots font également l'objet de critiques croissantes concernant les craintes d'un chômage à grande échelle susceptible d'être causé par ces robots dans plusieurs secteurs d'activité dans un monde déjà souffrant des effets négatifs d'une croissance sans emploi, les impacts négatifs de l'utilisation militaire des robots les robots sont probablement beaucoup plus dangereux. Pourtant, l’un des arguments avancés pour ne pas contrôler l’utilisation militaire d’armes robotisées (également appelées armes létales autonomes ou LAW) est que les travaux destinés à l’utilisation civile et militaire des robots, en particulier dans le contexte de la recherche scientifique et de l’innovation, peuvent être étroitement liés. Le message transmis est qu’à mesure que la recherche civile sur les robots progresse, il y aura des implications pour l’utilisation militaire des robots qui ne peuvent être ignorées par aucune grande puissance militaire.
Ainsi, d'un côté, il est affirmé que les progrès civils dans le domaine des robots, en réduisant les coûts et en offrant d'autres avantages limités indépendamment des coûts sociaux, conduiront inévitablement à la diffusion de la robotique dans les applications civiles et, d'un autre côté, il est affirmé que les possibilités militaires qui se présentent dans le contexte de ce développement technologique, seront également inévitablement utilisés par divers établissements militaires dans diverses régions du monde. Bien sûr, une fois que l’importance des robots pour l’armée deviendra de plus en plus claire, les établissements militaires investiront également beaucoup dans le développement purement militaire des robots. Ce stade a déjà été atteint dans le cas des principales puissances militaires du monde. Nous nous trouvons donc dans une situation où, malgré les avertissements croissants des experts concernant les armes robotisées, la tendance au développement d’armes robotisées de plus en plus destructrices semble désormais imparable. Aux États-Unis, plusieurs nouvelles start-up semblent s’inspirer de la volonté croissante du Pentagone d’investir dans les armes IA, et il est peu probable que d’autres puissances soient à la traîne.
RépondreSupprimerDès 2012-2013, dans le cadre des efforts du Comité international pour le contrôle des armements robotisés, pas moins de 270 experts en informatique, experts en IA et ingénieurs avaient appelé à l'interdiction du développement et du déploiement de systèmes d'armes qui prennent la décision de appliquer la force violente de manière autonome, sans aucun contrôle humain. Ils ont dit clairement que la décision concernant l’usage de la force violente ne devait pas être déléguée aux machines. Ces experts se sont interrogés sur la manière dont les appareils contrôlés par des algorithmes complexes interagiraient, avertissant que de telles interactions pourraient créer un comportement instable et imprévisible susceptible de déclencher ou d'aggraver des conflits ou de causer des dommages injustifiables et graves aux populations civiles.
En août 2017, pas moins de 116 spécialistes de 26 pays, dont certains des plus grands pionniers mondiaux de la robotique et de l'intelligence artificielle, ont appelé les Nations Unies à interdire le développement et l'utilisation de robots tueurs. Ils ont écrit,
« Une fois développées, les armes mortelles autonomes permettront de mener des conflits armés à une échelle plus grande que jamais, et parfois à des échelles plus rapides que ce que les humains peuvent comprendre. Il peut s’agir d’armes de terreur, d’armes que les despotes et les terroristes utilisent contre des populations innocentes, ou d’armes piratées pour se comporter de manière indésirable.
RépondreSupprimer"Nous n'avons pas longtemps pour agir." Cette lettre prévenait. "Une fois la boîte de Pandore ouverte, il sera difficile de la fermer."
Ryan Gariepy, le fondateur de Clearpath Robotics, a déclaré :
"Contrairement à d'autres manifestations potentielles de l'IA qui restent encore du domaine de la science-fiction, les systèmes d'armes autonomes sont actuellement sur le point de se développer et ont un potentiel très réel de causer des dommages importants à des personnes innocentes ainsi qu'une instabilité mondiale."
The Economist (27 janvier 2017) a noté dans son rapport spécial intitulé « L'avenir de la guerre » :
« Au moins, le monde sait ce que signifie vivre à l’ombre des armes nucléaires. Des questions bien plus importantes se posent quant à la manière dont les progrès rapides de l’intelligence artificielle (IA) et de l’apprentissage profond affecteront la manière dont les guerres sont menées, et peut-être même la manière dont les gens perçoivent la guerre. La grande préoccupation est que ces technologies pourraient créer des systèmes d’armes autonomes capables de choisir de tuer des humains indépendamment de ceux qui les ont créés ou déployés.
Ce rapport spécial distingue trois types d'armes IA ou d'armes robotisées
RépondreSupprimer(i) dans la boucle (avec un humain surveillant en permanence l'opération et restant en charge des décisions critiques,
(ii) en boucle (avec un humain supervisant des machines pouvant intervenir à tout moment de la mission) ou
(iii) hors de la boucle (la machine réalisant la mission sans aucune intervention humaine une fois lancée).
Les armes robotisées entièrement autonomes (troisième catégorie) sont évidemment les plus dangereuses.
Une lettre mettant en garde contre la course à venir à ces armes a été signée en 2015 par plus de 1 000 experts en IA. Une campagne internationale intitulée « Campagne pour arrêter les robots tueurs » est menée régulièrement dans ce sens et dans le cadre d'objectifs connexes. Elon Musk a déclaré que la compétition pour la supériorité de l’IA au niveau national était la « cause la plus probable de la Troisième Guerre mondiale ».
Stephen Hawking, Elon Musk et de nombreux autres experts ont déclaré dans une déclaration commune que, mal gérée, l’IA en tant qu’arme pourrait constituer une menace existentielle pour la race humaine.
RépondreSupprimerPaul Scharre, expert en armes autonomes, a écrit que « collectivement, des essaims de systèmes robotiques ont le potentiel de provoquer des changements encore plus dramatiques et perturbateurs dans les opérations militaires ». Une possibilité qu'il mentionne est que de minuscules drones imprimés en 3D puissent être transformés en nuages intelligents qui peuvent imprégner un bâtiment ou être largués sur une vaste zone pour rechercher des forces ennemies cachées.
Dans mon roman Un jour en 2071, je visualise une situation dans laquelle des élites puissantes utilisent une force composée de très petits robots soldats pour réprimer une révolte des gens ordinaires.
Plusieurs pays progressent rapidement dans le domaine des armes robotisées. En 2014, le Pentagone a annoncé sa « Troisième stratégie de compensation », mettant un accent particulier sur la robotique, les systèmes autonomes et le « big data ». Cela est censé aider les États-Unis à maintenir leur supériorité militaire. En juillet 2017, la Chine a présenté son « Plan de développement de l’intelligence artificielle de nouvelle génération », qui accorde un rôle crucial à l’IA en tant que technologie transformatrice dans les domaines civil et militaire, en mettant l’accent sur la « fusion militaro-civil ».
La campagne intitulée Stop Killer Robots souhaite un traité international juridiquement contraignant interdisant les LOIS. Mais on peut se demander si cela peut être efficace sans la signature des grandes puissances militaires, et ces grandes puissances continuent d’investir massivement dans les armes robotisées. Certes, quels que soient les efforts déployés actuellement pour contrôler les armes robotisées, ils doivent se poursuivre et être renforcés, mais au-delà de cela, il est également important d'examiner très sérieusement pourquoi notre monde, tel qu'il est organisé actuellement, se révèle de plus en plus incapable de contrôler certaines des menaces les plus dangereuses.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/risks-ai-weapons-continue-increase/5857437