La réponse à la calomnie et à la censure ! (Interview de Loïs Sasek par AUF1)
18.05.2024 www.kla.tv/29096
Plus de 100 conférenciers y ont participé jusqu'à présent, 19 conférences avec toujours le même principe : une voix et une contre voix, car c’est seulement quand j’entends l’une à côté de l'autre, que je peux percevoir par intuition ce qui semble cohérent. Et si cette opportunité n'existe pas, c’est impossible.
Et en fait, lorsque papa a créé l'AZK en 2008, tout le monde a tout de suite dit : Tu ne pourras jamais faire ça, c’est impossible, tu ne pourras pas rassembler plus de 50 personnes. Mais pour moi, mon père est un vrai héros. Il a dit : C’est possible. Je me lance tout simplement. Jusqu'à 3 000 personnes sont venues, puis de plus en plus, et maintenant, par streaming, des milliers de personnes viennent de 48 pays. Et pour la création de Kla-TV en 2012, c'était exactement la même chose.
Là aussi, tout le monde a dit qu'on ne pouvait pas faire ça, qu'on ne pouvait pas faire une télé et ainsi de suite, et il a simplement dit : On peut. Nous pouvons commencer, nous devons donner une plate-forme, nous devons créer nos propres médias. Et il y a douze ans, on n'aurait pas imaginé ce qu’il y a maintenant, des centaines de lanceurs d’alerte, de chaînes alternatives, toujours de nouveaux noms, toujours. Je dois dire que je suis fière de mon papa et, il a eu l'humilité de commencer à partir de rien. C'est ainsi que tout a commencé. Et tout le monde peut porter plainte contre les médias, c'est pour ça qu'il y a Kla-TV.
Présentateur : Kla-TV travaille sur une base gratuite, tous les collaborateurs sont bénévoles, comment une telle qualité et quantité est-elle possible avec des bénévoles, comment est-ce organisé, comment ces collaborateurs sont-ils formés, comment tout cela est-il géré ?
Loïs Sasek : En principe, tout le monde est engagé dans la vie professionnelle. Et après le travail, le soir, c'est le travail pour Kla-TV qui commence et personne ne facture son travail. Rien. Il n'y a pas de factures, il n'y a pas non plus d'appel aux dons, et tout est pour le plaisir, comme un hobby, quand tu t'achètes quelque chose de nouveau pour un équipement d'escalade et quelque chose... alors l'un apporte un micro, l'autre une caméra, peu importe.
Et je veux dire que les redevances radio/TV pour l'Allemagne sont de 8,5 milliards, pour l'Autriche de 2,1 milliards et, si nous nous basons sur 7 millions de contributeurs, 17,7 milliards en Suisse. On constate donc que nous sommes grugés sans limite pour financer l'agitation, l'incitation à la peur, la calomnie, les mensonges, la propagande de guerre. Nous voulons démontrer que c’est possible sans argent. C'est possible avec un engagement personnel.
Ce qui est spécial avec Kla-TV, c'est que chacun peut œuvrer lui-même contre ces violations du droit, contre la corruption, contre l'escroquerie pharmaceutique, contre les mensonges des médias. Ce qui motive chacun, c’est de pouvoir agir également contre cette élite puissante. Et chez nous, c'est tout simplement comme dans une famille, tout est volontaire. C'est le principe. C'est également orienté vers les aptitudes, c'est-à-dire que chacun peut trouver ce qui lui fait plaisir. Ainsi, il y a des équipes qui ne font que des recherches, d'autres écrivent des textes. Puis il y a ceux qui ne font que sauvegarder les sources sur nos serveurs, parce que tout est constamment supprimé. Il y en a des centaines qui ne font que sauvegarder les sources. Ou des femmes au foyer qui mettent des tags, des termes de recherche, pour qu'on trouve plus facilement les émissions. Nous avons aussi notre propre archive médiatique. Il y a parfois des jeunes qui disent : Je veux mettre des tags, toujours écrire ce qu'on voit sur l'image, pour qu'on les retrouve mieux lors de recherches. Découpe, programmation, conception, rédaction, relecture, corrections. Il y a tellement de possibilités d’aider, chacun peut donc y trouver quelque chose à son goût.
Certains se contentent de prier, de dire : « Je prie maintenant pour une percée, afin que la lumière puisse entrer ». Certains s'occupent du son, animent, parlent. Et aussi d’autres, ceux qui cuisinent ou qui assurent les arrières. Ils participent tout autant. Ils se sentent également à l’aise. Et c'est le principe de Kla-TV. Nous collaborons comme un seul corps. Donc le mot clé est organisme. Chaque membre est important. On s'apprécie mutuellement, car chacun a besoin de l'autre. On ne peut pas se passer d'un doigt, d'un cœur, d'un poumon. Et chaque organe est important. Nous nous apprécions mutuellement. Et c'est de cette interaction organique que nous vivons. C'est une harmonie, nous le vivons comme une famille. Mais je dois dire que le fondement de cette collaboration gratuite n'existe pas depuis douze ans, depuis le début de Kla-TV. Il y a une véritable base de travail depuis 47 ans.
Mon papa le dit à la fin de chaque discours. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans. Et c'est effectivement le cas. Il a montré l'exemple pendant ces 47 ans. Il a tout fait bénévolement. Des livres, des CD, des films. Il y a des tables entières remplies de livres lors de ces manifestations. Les gens se sont approvisionnés. Des sacs ont été remplis. Tout est gratuit. Cela signifie bien sûr aussi du fait-maison. Tous les livres, nous les avons... - il a écrit 18 livres - nous avons fait beaucoup de produits nous-mêmes. C'est-à-dire, maintenant, en Suisse. C'est aussi un inventeur. On faisait des livres avec un appareil à raclette, c'est-à-dire qu'on faisait fondre la colle dans un four, puis on la découpait. Puis ça fondait sur l’appareil à raclette. Alors ça s’assemble bien. Voici l’exemple d'un livre fait maison. Et on trouve aussi ces choses dans « Le Seigneur des transformations ». Vous pouvez le télécharger ou le commander gratuitement. Et tout cela est fait-main.
Cela signifie aussi certaines restrictions. Parfois, dans les premières années, il ne pouvait se payer un café. Il fallait alors redresser de vieux clous quand on devait construire quelque chose. Mais ce qui est particulier, à propos de cela, c'est qu'il est devant Dieu depuis 47 ans. Il a fait l'expérience de Dieu, de manière totalement inattendue, tel qu'IL est vraiment. Cela n'a rien à voir avec la religion ou une quelconque église. Il a simplement remarqué que c'est Dieu. C'est la vie. C'est la joie. C'est le bonheur. Et quand il a touché cela, il s'est naturellement mis à lire la Bible. Et il est écrit par exemple en Matthieu 6:33 : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu, sa justice, et tout le reste vous sera donné. » Et puis il a dit : Je veux essayer ça. C'est de la science spirituelle. Ensuite, il a donné tout son argent, il n'a rien dit à personne et il a fait confiance à Dieu. Et c'est justement cette histoire, qui a déjà trois parties, où jusqu'à l'année 2018, il s'est produit miracle sur miracle, où, quand il n'y avait plus d'argent, une facture... quelqu'un qu’on n’avait jamais vu avant dans la maison, déposait simplement une enveloppe, sans même savoir que c'était pour la facture. Et ce sont bien sûr des moments fantastiques. Ou, quand il n'y avait plus rien, quelqu'un passait. Il y avait simplement ces moments-là. Quelqu’un arrive avec un repas tout préparé, pour 20 ou 30 personnes. Et c'est ce genre d'expérience qui fait qu'on se rend compte que c'est vrai. Dieu prend soin de nous.
Et c'était tout simplement un principe, on ne pouvait dire à personne qu’on testait Dieu : Est-IL fidèle ou non ? Et puis quelqu'un a rompu ce principe. Il manquait encore de l'argent. Et puis quelqu'un a dit à quelqu'un qu’il fallait que de l'argent rentre. Et 800 francs sont arrivés. Quand papa l'a appris, il a dit, il faut le rendre, ça ne va pas. C'est donc tout simplement le fondement de tout ce que nous vivons actuellement.
Nous sommes les enfants de papa et maman. Quand les aspirateurs sont cassés, on prie pour un aspirateur et un aspirateur arrive… quelqu'un a eu envie d'offrir des aspirateurs. Ma petite sœur m'a dit que je devais prier pour des pommes. Nous n'avons pas de pommes, alors quelqu’un nous offre des pommes. C'est vraiment absolument fantastique.
Présentateur : Tu sais que l'un ou l'autre est maintenant assis devant l'écran et se dit « OK mais est-ce que ça marche vraiment ? ». Peux-tu, toi-même, qui est née en 1988 (j’espère que je ne suis pas indiscret), donc tu vis sur cette planète depuis presque 36 ans, est-ce que tu peux confirmer que lorsque vous avez demandé à Dieu de vous aider, vous avez reçu cette aide ?
Loïs Sasek : Toujours, toujours, sans exception.
Présentateur : C'est un message fantastique.
Loïs Sasek : Absolument. Cela va même plus loin, même avec la pensée. Donc je suis dans le magasin, je pense que ces chaussures me plaisent, mais je ne peux pas me les payer maintenant. Mais j’y pense simplement, et déjà je suis passée à autre chose. Quelques jours plus tard, il y a un sac déposé par l’amie de la voisine, qui vient de passer et dans le sac, et il y a justement les chaussures avec les paillettes, avec les petits points brillants qui m'ont plu, et tu dis juste : « Dieu, Tu m'entends, Tu me vois, Tu vois mon cœur. » Et c'est ainsi qu'Il pourvoit à nos besoins, et ce jusqu'à aujourd'hui. La semaine dernière, il y a encore une personne qui est venue avec de la nourriture. Parfois, ce sont des choses qui sont bien sûr bientôt périmées, mais alors on les mange vite. C'est notre vie. Dieu prend soin de nous.
Présentateur : Revenons à Kla-TV et à votre travail dans la pratique. Pour moi, qui suis habitué au travail professionnel d'AUF1 et qui le vis au quotidien, il est inimaginable que vous produisiez des émissions comme le dossier Tedros, par exemple, avec une qualité sensationnelle. Vous avez à nouveau réalisé une vidéo sur l'OMS, un « Paukenschlag (Roulement de tambour) », vous l'appelez. Une qualité vraiment exceptionnelle. Comment ça fonctionne dans la pratique avec des bénévoles ? Tu es la directrice de production. Tu pourras certainement nous le décrire.
Loïs Sasek : Oui, tout est fait librement. C'est la chose la plus importante. Et c'est toujours… alors nous disons par exemple que ce dossier Tedros est comme un gâteau. On le met au milieu, on le coupe en morceaux et chacun dit : « j'ai faim de ce morceau. » « Je fais le son. » « Ah, je fais l'animation. » « Ah, je fais les titres. » « Moi, j'aime ça, je fais le texte », je vérifie les sources ou peu importe. Mais nous avons différentes façons de travailler ensemble, notamment en partageant les responsabilités. Mais cela va même jusqu'à cela. Dans cette interaction organique, je peux raconter un petit épisode. J'ai un scénario entre les mains, il est jeudi 19 heures. Un super scénario et je remarque qu'il m'électrise. Mais maintenant, brièvement, jeudi midi à 14 heures, nous avons déjà eu une action en essaim. Qu'est-ce qu'une action en essaim ? C'est quand on dit, « Oh, ça brûle ! », ou on dit aussi un une action éclair, il y a des actions éclair. Nous avons encore des films très importants à produire rapidement, parce que nous avons un grand événement samedi. C'est-à-dire que nous avons encore des films à produire avant, il y a quelques dizaines de personnes qui sont venues spontanément, « Ah, j'ai congé, je viens vite. » Un peu comme un essaim de sauterelles. Pour une seule sauterelle, il faut toute une vie pour dévorer un arbre - ensemble, en une minute, il est dévoré. C'est le principe.
Alors maintenant, cette action en essaim a eu lieu l'après-midi, il est 19 heures et samedi, nous avons une grande conférence. Lors de cette conférence, les gens viennent de tous les pays. Nous mettons cela en place nous-mêmes, la préparation, l’événement, et après. Il y a juste quelques centaines de personnes qui arrivent dans la salle vide et ensuite tout est monté. Cela signifie que les gens doivent encore se préparer, ils font des plans de câbles, c'est comme un énorme essaim. En trois heures, 20 tonnes de matériel sont montées, en une demi-heure, tout est démonté, mais toujours en essaim. Tout le monde doit se préparer.
C'est jeudi soir, vendredi soir ils doivent partir après le travail et j'ai mon scénario, mais il doit être diffusé samedi parce que c'est important, très important, urgent. Et voilà, voilà notre force et je réalise, que si c'est important ce scénario, alors il y a une solution. Et puis, je dis comme ça, mon Dieu, si ce scénario est important pour Toi, alors envoie-moi les gens maintenant, sans que j’aie à demander à quelqu'un, sinon je le fais toute seule. De toute façon, j'ai tellement envie de faire ce film, il faut que ce soit maintenant, sinon je fais un travail de nuit, mais sinon, envoie-moi les gens. Puis je m'assois, je commence ma première coupe, et j'entends le premier message, alors je vais sur le chat, ça dit : « Loïs, qu'est-ce que tu fais ? Je peux t'aider ? Qu'est-ce que tu fais ? » Signé Frauke. Je dis que je commence justement à produire un documentaire, j'ai vraiment envie de le faire. « Hé, nous voulons t'aider, Icke et moi, nous voulons t'aider. » Je donne la première, la deuxième partie du scénario. Et je veux continuer, alors le téléphone sonne de l'autre côté du studio, quelqu'un du centre de l'Allemagne, un ingénieur en bâtiment (l'autre était couturière, kiné). Il appelle, « vous avez besoin d'aide dans le studio de cinéma ? » Et je dis « C’est impressionnant ! Regarde ici, la quatrième partie, la cinquième partie. » Je m'apprête à retourner à ma sixième partie quand un autre message surgit du nord de l'Allemagne, un dentiste, Stefan ; il dit « Loïs, tu as besoin de mon aide ? » Il ne m'avait jamais contactée directement. « J'ai l'impression que je n'ai pas encore tiré tout le parti possible de ma semaine. » Je dis « C’est impressionnant ! Pour le scénario, il faut vérifier ceci et cela. Il faut encore coordonner les speakers. Tu t'en occupes ? » « Bien sûr. »
Présentateur : Et toi aussi, probablement. Ce n'était pas si facile de te faire venir à Linz. Beaucoup de rendez-vous. On aurait presque dit que nous devions produire l'émission de 2025. Car il y a de nombreux projets importants sur ton agenda. Parle-nous donc des prochains points culminants de Kla-TV. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Loïs Sasek: Je dirais que le projet de loin le plus important que nous ayons actuellement est cet appel au réveil international concernant le traité de l'OMS sur la pandémie. Le vote aura lieu du 27 mai au 1er juin à Genève. Des délégués de 194 pays y participeront. Et il faut dire qu'ils sont en train de planifier un véritable coup d'État. Donc l'OMS et son directeur général, Tedros, devraient avoir tellement de pouvoirs qu'ils pourraient effectivement déclarer des pandémies. Ils veulent, comme avec un scalpel, castrer les États et « s’auto-autoriser ». Cela signifie qu'ils peuvent ensuite proclamer la vaccination, la quarantaine, les restrictions de liberté, comme ils le souhaitent.
Quant au dossier Tedros, nous en avons déjà parlé. Nous avons également mis en lumière son passé criminel. Et c'est donc vraiment le super-désastre, cet homme. Et c'est pourquoi je dois dire qu'il s'agit actuellement du projet le plus important. C'est aussi parce qu'il n'y a pas d'instances de contrôle indépendantes. Vous avez aussi déjà rapporté sur AUF1 qu'ils veulent le monopole de la vérité et dire ce qui est juste et ce qui ne l'est pas. Éliminer la désinformation. Nous avons également créé une fiche d'information avec les faits les plus importants du texte du traité, l'on peut vraiment aller voir ses politiciens avec le libellé exact. On a ainsi de bons faits à discuter. Et là, chacun dans son pays peut aller voir les politiques et vraiment taper du poing sur la table pour que ce coup sournois soit dévoilé. Parce que, selon nous, c'est maintenant que ça passe ou ça casse. Et j'ai donc stratégiquement regardé la carte du monde pour voir dans quel pays on parle quelle langue, afin d'atteindre tous les pays. Parce que cela concerne tous les pays. Nous avons ensuite regardé quelles langues nous permettaient d'atteindre ces pays et nous avons vraiment lancé cette émission en 39 langues, de sorte que tous les pays stratégiques soient effectivement touchés, avec l'aide de nos traducteurs bénévoles.
Et je profite de l'occasion pour vous encourager, chers téléspectateurs de Auf1, à insister et à dialoguer avec les politiciens. Sous l'émission, il y a un lien vers la fiche d'information, des flyers, des bases d'argumentation pour les gens du mainstream, pour les politiques. Et si vous avez des contacts, des amis ou des parents dans d'autres pays, attirez vraiment leur attention sur ce « roulement de tambour », sur cette émission importante. Le matériel est également traduit en d’autres langues. Nous travaillons jour et nuit. Mais vous pouvez vraiment prendre le matériel et le diffuser. Parce que je dis que c'est seulement ensemble que nous pouvons arrêter cette frénésie. C'est vraiment une super catastrophe mondiale, vraiment. Et là, nous devons absolument nous serrer les coudes et créer des synergies.
Présentateur: L’utilisation de ce matériel, chers téléspectateurs, est explicitement autorisée. Car il s'agit de l'OMS et de ses projets, la diffusion est absolument autorisée. Parlons un peu de la famille Sasek. Si on fait quelques recherches : famille nombreuse, onze frères et sœurs. Est-ce qu'ils travaillent tous à Kla-TV ? Comment peut-on s'imaginer votre vie de famille, compte tenu de ce que vous faites ?
Loïs Sasek : J'ai donc dix frères et sœurs, nous sommes onze en tout. La plus jeune a maintenant 20 ans. Et peut-être quelques mots sur l'histoire de ma famille : Mes parents sont très créatifs. Ils ont fait avec nous dès les premières années des petites pièces de théâtre, des comédies musicales, puis des tournées où chacun pouvait écrire une chanson chaque année, en fonction de ce qui le touchait. Nous avons aussi passé nos vacances de cette manière. C'était toujours sympa, nous faisions de la musique, chacun pouvait choisir un instrument. Ils ont toujours veillé à ce que chacun puisse s'épanouir, trouver et développer ses dons. Cours de chant ou cours de danse ou autre, ils ont toujours veillé à ce que nous puissions vraiment faire sortir ce qui est dans notre cœur et le mettre en pratique. Et c'est vrai que tout le monde a développé ses talents.
Par exemple, ma sœur cadette, Ruth-Elpida, est une super compositrice. Elle fait de la musique de film et est auteur-compositeur de première classe, elle fait aussi de la musique pour Kla.TV et pour des longs métrages. Mon frère Elias est un génie dans le monde de l'informatique. Ce qu'ils réalisent avec toute l'infrastructure de serveurs qui se trouve derrière Kla-TV, avec toutes nos pages sur le web, c'est juste génial. Par exemple, lui et son équipe ont résisté à des attaques de hackers pendant neuf mois complets, jour et nuit. Des attaques de vrais professionnels. Ils ont mis des millions dans ce projet pour nous paralyser. Et là, Elias est tout simplement un prodige.
Mon frère Jan-Henoch lui aussi, est très différent. Il est très doué pour la construction, l'électricité, la mécanique, la plomberie, la réfrigération, l’énergie solaire. Il s'occupe de toute la base et c'est tout à fait son truc. Ensuite, il y a Boasa, qui est une cuisinière passionnée et qui aime entretenir une maison, qui aime l'agriculture et la gastronomie. Tout cela se complète. Mais elle aime aussi venir au studio de cinéma, pour aider au montage. C'est tout simplement une œuvre familiale où chacun complète l'autre. Sulamith, ma sœur, et Andreas sont de vrais professionnels du graphisme, du montage et de l'édition de films. Ils forment des centaines de collaborateurs et organisent des stages. Anna-Sophia aussi, c'est une monteuse professionnelle. Mais elle est aussi, à mon avis, une chanteuse et une actrice vedette. Elle n'a donc rien à envier à Rihanna. Nos parents ont toujours su tirer le meilleur de nous. Noemi… oui, il y a beaucoup de frères et sœurs…c’est une couturière douée et une comptable et une intendante, c'est génial. Elle rédige aussi des textes pour nous ou rassemble des personnes. Stefan et Ramon sont à leur tour des personnes polyvalentes super talentueuses, dans tout ce qui est manuel, la menuiserie, le jardin, les espaces verts. Nous en avons besoin partout.
Présentateur : J'espère que tu n'as oublié personne dans ta liste !
Loïs Sasek : Non, même pas. Je ne voudrais pas qu'un frère ou une sœur dise : Hé, pourquoi tu ne m'as pas nommé ? Et j'ai encore une bonne solution maintenant. Donc vraiment, des talents d'organisation sans fin. En tout cas, nous sommes impliqués les uns avec les autres. Et ici aussi dans ce livre « Le Seigneur des transformations », chacun a eu son mot à dire. On peut donc y lire encore un peu plus précisément comment chacun s'investit. Chacun a vraiment son mot à dire. On peut approfondir. Mais ce n'est qu'un petit aperçu de notre famille.
Présentateur : Comment était-ce pour toi quand tu étais jeune ? Tu as tout de suite su que tu voulais entrer dans cette œuvre familiale. Tu es aujourd'hui directrice de production. Est-ce que cela a toujours été ton souhait ?
Loïs Sasek : En fait, je voulais être la secrétaire de papa depuis mon plus jeune âge. Les professeurs et les élèves ont vraiment essayé de m'en dissuader. Mais ils n'y sont pas arrivés. C'était solide comme le roc. C'était tout simplement mon vœu le plus cher. J'avais remarqué que ce que faisait papa, je voulais le soutenir avec ma vie. Et c'est ce qui s'est passé. J'ai été la première à demander à papa si je pouvais participer à cette œuvre, à cette œuvre d’aide humaine, à l'œuvre de sa vie. Et ce n'était pas si simple. Il m'a dit… il m'a donné cinq semaines de réflexion. Tu sais, pour que je réfléchisse aux conséquences. Je n'ai pas de garanties, je n'ai pas de salaire. Tout peut s'arrêter du jour au lendemain. Et les diffamations, les persécutions. Et il m'a dit dès le début : « Si tu t'engages ici, tu auras des responsabilités. Tu ne peux pas te contenter de dire : ‘‘Au revoir, je m'en vais, je n'en ai plus envie’’ ». Cela veut dire cinq semaines de réflexion avec toutes les conséquences que cela implique.
« Attends un peu, tu ne sais peut-être pas ce que tu dis maintenant. » Quelque chose comme ça, à 15 ans. Tu veux vraiment cela ? Et puis, je me suis décidée. Je savais ce que je voulais. Et c'était passionnant. J'ai alors déclenché comme une vague dans la famille. Puis l’aîné est venu voir papa et lui a dit que c'était la vision de sa vie. Il avait aussi réfléchi. Et à chacun papa a dit : "Maintenant réfléchis à toutes les conséquences. Tu ne peux pas faire ça comme ça, c'est un peu un engagement." Oui, et puis aussi tout le reste. On aurait pu faire carrière. Je veux dire, nous étions très bons à l'école, c’est vrai. Et c'est là qu'on prend la décision. Et puis en fait, l'un après l'autre, je dirais, ça s'est mis en place. Et comme des dominos. Et c'était particulier, parce que les experts en sectes avaient prophétisé que lorsque le premier aurait 18 ans, il prendrait la poudre d'escampette. Il allait s'enfuir. Mais c'est le contraire qui s'est produit. Quand le premier a eu 18 ans, ça a vraiment commencé. C'est-à-dire que l'un après l'autre, ils sont entrés de leur plein gré, ils ont convaincu papa qu’ils voulaient cela aussi. Ça signifie que nous avons tout construit ensemble pendant douze ans, au-delà de la date d'expiration que les experts en sectes nous avaient donnée. Ensemble, en tant que famille entière.
Et puis les experts en sectes sont revenus. C'est très contre-nature. Cette cohésion qui se prolonge au-delà du temps familial. Donc, les experts en sectes ont toujours eu quelque chose à redire. Ce n'était jamais bien. Ensuite, ils ont même sorti de leur chapeau une vague médiatique, disant que mon frère Elias avait quitté la famille. C'était une véritable campagne de mensonges. Mon frère souffre encore de ce mensonge. Je dis seulement que quoi que nous ayons fait, cela n'a jamais convenu aux médias. Nous en revenons au sujet.
Loïs Sasek : Je l'ai retiré un temps. Elle était tellement menaçante, cette lettre. Je me voyais déjà derrière les barreaux. Et puis j'ai continué à faire des recherches et je me suis rendu compte que tout était bien réel. C'était encore bien plus que ce que j'avais rapporté. Ils ont alors déjà fait la fête, ils ont écrit à tous ceux qui l'avaient encore. C’était sûr, elle l'a retiré. Vous devez aussi le retirer ! Retirez-le ! Retirez-le ! Bittel-TV aussi, tous, retirez-le. Et puis je suis revenue avec un droit de réponse à cette lettre de menace et le film. Re-upload a relancé l’histoire, avec encore plus de faits [www.kla.tv/26446]. Et chaque fait a été une nouvelle fois prouvé. Et puis cette vidéo est passée à 1,86 million de vues et a été partagée. Puis le calme est revenu dans la forêt. Je n'ai plus jamais entendu parler de la RTS. Ça m'a laissée très perplexe.
Mais ce que je veux dire… ma conclusion de tout ce que j'ai tiré. Des gens justes et honnêtes comme mon père, on les calomnie et on les criminalise de la pire des manières. Et j'ai l'impression que c’est pour ne pas avoir l'idée de creuser un peu là où se déroulent les véritables crimes. Voilà où j'en suis actuellement. Parce qu'alors les chrétiens disent que ceux-là sont très méchants et qu'ils prient jour et nuit. Mais je ne pense pas qu'il y ait un danger venant d'eux, mais plutôt de ce genre de personnes, comme ceux de ces médias. Et là, je dois revenir à mes recherches sur le satanisme. J'ai le sentiment que nous devons regarder qui tire les ficelles au sommet. Et je me souviens d'Albert Pike, un sataniste avéré. C'était un franc-maçon du 33e degré et le fondateur de la secte de Satan. Et attention, c'était aussi un général de brigade et un grand commandant, donc l'officier le plus haut gradé de l'armée. Et un document important a été révélé, c'était en 1891, qui dit comment il avait planifié les trois guerres mondiales.
Documenté et organisé. Première Guerre mondiale, je résume brièvement. Le pouvoir du tsar doit être brisé en Russie, le pays doit être transformé en forteresse du communisme athée. La Seconde Guerre mondiale. Elle doit naître des différences entre fascistes et sionistes, afin de détruire le nazisme et de renforcer le sionisme politique. L'objectif de la Deuxième Guerre mondiale aurait été la création de l'État d'Israël. La troisième guerre mondiale doit être déclenchée entre les sionistes politiques et les Palestiniens, c’est-à-dire les dirigeants du monde islamique. Cela nous semble probablement familier, c’est ce qui se passe en ce moment. Et je veux juste attirer l'attention sur le fait que nous devons regarder là où les crimes se produisent réellement. Et c'est ce que confirme le sataniste Aleister Crowley, à nouveau dans son livre que j'ai mentionné précédemment, où il dit que la planète entière doit être baignée dans le sang. Cette grande guerre doit être menée, car il s'agit d'une opération de magie de la plus haute importance. Il peut écrire cela ouvertement, personne ne le regarde, aucun média n'écrit quoi que ce soit. Imagine si mon père avait écrit ça. « Nous devons baigner la planète dans le sang. »
Présentateur : Ton père a été exposé à de nombreuses diffamations. Comment percevais-tu cela quand tu étais enfant ? Première partie de la question, mais ce qui nous intéresse bien sûr aussi, comment ton père a-t-il surmonté cela ? Il a été traité de complotiste, de gourou de secte, de négationniste et Dieu sait quoi d'autre. Ça affecte forcément un être humain. Comment as-tu vécu cela ? Tu as certainement dû entendre des choses de la part de tes camarades de classe à l'école. Et comment vivais-tu cette situation avec ton père pendant toutes ces années ? Y a-t-il eu des moments, des moments de déception, de frustration ?
Loïs Sasek: Bon, je commence par la deuxième question. Cela fait presque partie du quotidien, ces points zéro où l'on est parfois ému aux larmes face à toute cette injustice. Mais mon père me montre l'exemple de manière vraiment gigantesque : dans ces moments où il est au point zéro, où on ne peut que pleurer, où on est impuissant, à terre, il s'enfuit toujours auprès de Dieu et il sait qu'il y a une justice et qu'il y puise la foi. C'est un homme debout qui a survécu à tout cela. Je pourrais raconter histoire sur histoire.
C'est pourquoi il est mon plus grand modèle, car il ressuscite toujours dans ces points zéro de la faiblesse, de l'impuissance, et ne perd jamais la foi en Dieu et il est toujours dans la foi. Et moi-même, tu m'as encore demandé comment je le vivais. C'est évidemment difficile. Nous avons des œufs sur les vitres, des voitures rayées, on voit des doigts d’honneur ici et là, nous avons déjà été cambriolés deux fois, un feu a été allumé dans notre maison, des attaques également contre notre famille, des pneus ont réellement été crevés, des vis dévissées, ce qui a failli coûter la vie à toute la famille une fois. C'est aussi écrit ici, c'est aussi un miracle que ça ne soit pas arrivé.
C'est grave, même la diffamation à l'école. Je veux dire, toute la calomnie, ils ont aussi lu le journal. J'ai même été frappée par les garçons, j'étais vraiment rejetée. Mais ce que j'ai trouvé encore pire, ou presque, ce n'est pas seulement ça, c'est que depuis mon adolescence, on a fait du lobbying pour que je m'oppose à mes parents. Toujours recrutée, « Sors de là, viens ici, sauve-toi ! » Même la RTS elle-même, je veux dire Evelyn Falk de la RTS, m'a dit : « Viens, viens nous aider, viens chez nous ! » C'est tentant sur le moment, je veux dire, les Suisses paient de bonnes piges, on peut réussir là-bas, non ?
Mais je trouve ça assez cru que tout le monde, enfin tout le monde, que certaines forces, certaines personnes ont toujours essayé de nous diviser, de nous attirer hors de la famille. Et je me suis dit que je voulais que le monde sache qui était vraiment mon père, qui était vraiment ma mère. J'ai aussi fait un exposé en 2010, que l'on trouve sur le site de l'AZK, où j'ai fait une déclaration à propos de papa. J'ai dit, hey papa et maman, ils nous embrassent matin, midi et soir, ils ont leur cœur pour nous. On ne se couche jamais avec des tensions. Tout est toujours réglé. Je n'ai jamais connu la colère. J'ai tout déballé, aussi pour être une voix pour eux. C'est ainsi que j'ai géré la situation, parce que je veux témoigner que nous avons vécu le paradis sur terre. Je veux témoigner du fait que nous n'avons jamais laissé le soleil se coucher sur une quelconque dispute, sur un quelconque désaccord. Ce sont pour moi, je pense, les meilleurs parents du monde et le monde doit le savoir. Et c'est ainsi que j'ai géré tout cela. Je veux être une contre voix, c'est pour ça que je suis venue ici.
Présentateur : Maintenant, tu as presque anticipé une réponse à une question, mais je veux quand même la poser à nouveau. Car si on fait des recherches, on trouve aussi le sujet de l'éducation. Et on dit de ton père qu'il agit avec une main très dure, et c'est ce que l'on peut lire sur certains sites Internet, qu'il considère la punition des enfants comme une condition préalable pour en faire des gens bien. Comment as-tu vécu cela quand tu étais enfant et adolescente ?
Loïs Sasek : Tout d'abord, tût, tût, bip, bip, mensonge, ce n'est pas vrai. Considérer la punition des enfants comme une condition préalable pour devenir quelqu'un de bien, c'est une idiotie totale, une foutaise. Mon papa n'a jamais dit ça et n’a jamais appelé à le faire. Cela n'a jamais été le cas. Je n'ai jamais connu la violence, ni de la part de maman ni de papa. J'ai toujours vécu des relations affectueuses. Jamais de colère, jamais de punition sous le coup de l'émotion, jamais. Mais justement, les médias ne veulent pas l'entendre, et je dois donc raconter un petit épisode, comme avec la RTS qui fait une interview lors d'une de nos manifestations avec Georg Otto Schmid à nouveau. Et je me dis, j'ai 17 ans, c'est mon moment, je peux dire directement devant la caméra ce qu'il en est vraiment. Et puis il dit devant la caméra : « Là, il faut corriger les enfants et briser la volonté ». Et j'ai tout de suite dit, « c'est faux, attendez, mon père est l'homme le plus adorable, je n'ai jamais connu la colère, je n'ai jamais connu la violence avec lui. » J'ai tout dit à la caméra, directement devant la caméra de la RTS. Le caméraman comme ça dans tous les sens, la réalisatrice était déjà comme ça, c'était un peu une ambiance spéciale. Et j'ai pensé que c'était enfin réussi. Voix et contre voix. Les gens pourront le voir par eux-mêmes.
Loïs Sasek : Et puis, la déception n'a pas tardé, parce que je me suis promenée autour du hall. Un peu plus tard, je vois les deux personnes dans une niche cachée refaire l'interview, sans moi. Bien sûr, ça n'a jamais été diffusé. On sait donc que ce n'est pas souhaité. Et pour tous ceux qui justement font des recherches, et même toi en bon lanceur d’alerte, on tombe sur ces mensonges, je voudrais simplement dire que les médias ne sont pas intéressés par ce qu'il en est vraiment, mais c'est aussi visible publiquement. Mon papa a écrit un livre, « Éduque avec une vision ». C'était aussi toujours le point fort.
Nous avons aussi fait toute une tournée familiale où nous avons vraiment consacré des chansons entières à ce thème. Chacun a pu dire comment il le vit. Tout le monde peut y accéder. Et tu n'y trouveras rien de ce qui y est écrit de mauvais. Mais je voudrais dire quelque chose à ce sujet, car cela préoccupe aussi tout le monde. Éduque avec une vision est pour moi le mot-clé. Vision. Parce que c'est ainsi que l'on pourrait résumer l'éducation de mes parents. Parce que papa nous a toujours dit qu'il s'agissait de puissances. Donc dehors, les guerres, la corruption, l'exploitation, ce sont des puissances obscures. Et elles frappent aussi à notre cœur dès le plus jeune âge. Et tout ce qui se passe à l'extérieur, à grande échelle, commence ici, dans le cœur. Les disputes, la jalousie, le vol. Et la vision a toujours été, la vision de vaincre le mal dans mon cœur et ensuite aussi dans le monde entier. Et Dieu en moi peut et veut vaincre le mal. Et Il a aussi besoin de nous pour cela. Il ne peut pas le faire tout seul. Il a besoin de réceptacles. Et il n'y a pas de différence entre vaincre un petit mal dans mon quotidien et vaincre un grand mal. Dans les deux cas, il faut une force surnaturelle. Dans les deux cas, il ne suffit pas que je veuille faire quelque chose de bien. Et c'est ainsi qu'ils nous ont éduqués. C'est ainsi que je l'ai vécu.
Et nous sommes toujours conduits à la maturité, afin que nous puissions nous rendre compte nous-mêmes que c'est mal. Ah, c'est la guerre ! C'est une petite action terroriste. Et je dois vraiment dire que papa ne nous a pas éduqués avec des théories du yin et du yang, du genre « voilà le mal et le bien, il faut les maintenir en harmonie et tout ira bien ». Parce que le mal, même s'il ne représente que 10 %, fera toujours la guerre au bien, le volera, l'opprimera, l'asservira. Donc cette théorie du yin-yang, ce n'est pas notre façon d'être éduqués, parce que c'est aussi comme ça dans une famille. Tu ne peux pas dire « oui, bon, un petit voleur, qu'il nous vole, le reste est bien ». Tu n'as plus la paix familiale. Nous devons vaincre le mal. C’est pourquoi notre devise familiale a toujours été le repos tout autour et la paix pour tous. Et c'est pourquoi, lorsqu'il y avait quelque chose, nous nous asseyions souvent pendant des heures, jusqu'à ce que tous aient la joie, jusqu'à ce que tous soient libres de l'intérieur et aient la paix.
Et c'est effectivement à cause de la calomnie que mon père a été placé en détention provisoire. Il a été interrogé et nous avons tous été retirés de l'école et examinés immédiatement pour rechercher de traces de maltraitance, dans le cadre de cette vague. Et cela s'est avéré être une tempête dans un verre d'eau. Ils ont dit, c'est une tempête dans un verre d'eau, vous avez une paix céleste ici, si tout le monde était comme vous, nous n'aurions plus de travail. C'est ce que dit la police, ce que disent ces autorités. Et je dois dire que oui, ils n'auraient plus de travail, mais en ce moment, elle a beaucoup de travail, la police. Ils doivent intervenir dans les écoles, de plus en plus. Je tiens cela de sources directes d’enseignants, parce que les enfants ne connaissent effectivement plus de limites, plus rien. Ils ne sont plus éduqués, ils font des émeutes, ils sont violents et alors, les policiers sont là, ils n'ont pas une petite baguette en bambou avec eux, ils ont leur équipement avec eux et les enseignants sont en burnout. Ils ne peuvent plus gérer ces enfants.
Alors, encore une petite remarque à ce sujet : Cette idéologie selon laquelle il n'y a plus de limites. Tout est permis. Plus rien n'est bon ou mauvais. Tu es autant femme qu’homme et toutes les nuances entre les deux, il n'y a plus d'orientation là-dedans. C'est un phénomène assez nouveau pour moi aussi. Et, tu comprends, ce « plus de tabous, plus de limites », je dis que c'est comme si tu disais que les vaches n'ont plus besoin de clôture barbelée, parce que ça les pique ; elles peuvent maintenant courir dans la rue et même s'il y a des morts quand on heurte les vaches, c'est quand même de la violence. Il ne doit plus y avoir de limites. Je veux juste dire que je trouve que cette idéologie, selon laquelle il n'y a pas de frontières, est aussi quelque chose de tout à fait nouveau, et donc vous pouvez me suivre, tu peux me suivre, dans ce que je veux dire.
Présentateur : Oui, oui, c'est vrai. Je voulais parler du livre. En faisant des recherches, on trouve que tu as publié il y a quelques années déjà, avec tes frères et sœurs Simon et David, un livre intitulé : « Maman, s'il te plaît, châtie-moi. » Est-ce quasiment le mode d'emploi de ce que tu viens de dire, il faut aussi poser des limites ? Tout d'abord, ce titre fait froncer les sourcils.
Loïs Sasek : Alors tout d'abord, ce titre est une citation, une citation provocante d'un événement où une fillette de onze ans est venue voir Papa au bureau en pleurant. Elle nous a vus nous les enfants, mais elle s'est aussi vue elle-même et a dit : « Regarde, tes enfants peuvent être gentils. Tes enfants peuvent faire le bien. Moi, je ne peux pas. Je dois toujours faire le mal. Je dois toujours être en désaccord. Je ne peux jamais obéir. Ma maman, elle non plus, n'intervient jamais. Elle ne me donne pas de limites. » Et en larmes, elle a effectivement supplié Papa de demander à sa maman si elle pouvait, elle aussi, dans ces moments-là, prendre une baguette.
Papa a donc repris cela et nous a donné l'occasion de dire comment nous vivions le fait qu'une limite soit parfois fixée à petite échelle. Prenons l'exemple de la petite mauvaise herbe : tu la tires, elle est arrachée, petit geste, disons, mais seulement dans des situations exceptionnelles où c’est nécessaire. Petit voleur, petit geste. Grand voleur, ça ne marche plus. Les dealers, les braqueurs de banque, les menteurs, les petits menteurs, les grands menteurs, les politiciens, peu importe, tu ne peux plus les arracher rapidement. C'est là que nous avons eu la chance de pouvoir en parler un peu. Simplement comment nous vivons cela et que nous n'avons jamais connu de colère, jamais de relation non résolue.
Mais justement, on en fait tout un plat, cette petite baguette de bambou est le seul problème que nous ayons encore sur cette terre ! Cette baguette, qui était une pratique courante depuis des siècles, des millénaires, qui marquait parfois une limite dans des cas extrêmes. Et c'est exactement ce que je dis, pourquoi les satanistes ont-ils leur plus grande fête le jour de l'éducation non-violente ? Parce que c'est là que naissent les grands diables. Si tu ne donnes pas de limites, « dis et fais ce que tu veux. Va où tu veux. » C'est de là que se forment les petits, c'est là que se forment les diables. Nous avons simplement parlé de nous, de nos camarades d'école, de ce à quoi ça ressemble quand tu es assis en pleurant et que tu réalises que tu ne peux pas faire le bien : « Je suis coincé dans la drogue. J'ai un petit ami après l'autre. Je suis esclave du plaisir, du péché. J'aurais aimé que quelqu'un me montre une limite quand c'était petit. »
Et c'est là que je dois dire que nos parents l'ont fait. Mon papa l'a avoué. Je veux dire que la petite baguette était encore normale pendant des siècles. Maintenant, c'est une nouvelle idéologie. C'est ce que je voulais dire avant, que tu fais ce que tu veux. J'ai envie de prendre ton portefeuille. C'est cette idéologie-là. Je peux faire ce que je veux et quand je le veux. Mais cette idéologie ne marche pas, parce que tu as alors un problème, parce que je vole ton portefeuille. Tu comprends, il y a toujours un contexte. Et c'est là que je dis que Papa en parle ouvertement. Mais pourquoi en fait-on tout un plat ? C'est pourquoi j'en ai parlé avant, alors que tout le monde a le sentiment que la petite baguette est le plus gros problème que nous ayons encore, ils lâchent leurs bombes, mutilent leurs gens. Et personne ne regarde. Tu peux suivre un peu ?
Présentateur : Oui, bien sûr. Je fais partie de cette génération. Je suis encore de la génération où papa et maman utilisaient de temps en temps la main. Et il y en a eu quelques-unes sur le derrière. Ma maman utilisait toujours la cuillère en bois. Et même si d'autres prétendent le contraire, je pense que ça ne m'a pas nui. De temps en temps, ça me faisait du bien. Aujourd'hui, on parle de ne plus faire ce genre de choses.
Loïs Sasek : Oui, mais justement, je recommande aussi vraiment le livre, parce que la manière dont nos parents nous ont éduqués est tellement fantastique. Toujours expliqué, regarde, si ça continue comme ça, si tu fais ça maintenant, qu'est-ce que ça signifie pour ton entourage ? Qu'est-ce que ça signifie pour ton frère, si tu le voles ? Qu'est-ce que cela signifie ? Et c'est ainsi que mon frère a expliqué, raconté dans le livre comment il a commencé à voler dans la caisse. Et toujours en se faufilant, il a continué à voler.
Puis il a commencé à voler à l'école. Il a volé les stylos des élèves. Et il est devenu de plus en plus sombre, de plus en plus chargé. A la fin, il n'avait plus de bonnes notes mais de mauvais résultats. Il n'allait plus du tout bien. Et comme il le dit ensuite, comme c'était libérateur, de voir simplement cette limite : « ce n'est pas bon », ou autre chose ; je dois finir l’histoire, il s'est tenu devant la classe, il a dit, je vous ai volés, je suis désolé, il a pleuré. Dans la classe, ils étaient tous fous de joie. Là tu réalises que le bien est à nouveau le bien, que le mal est à nouveau le mal.
Ou parle d’action sous faux drapeau, nous avons eu cela une fois dans notre famille, deux ont joué avec le feu, puis le tapis a brûlé. Et puis, « merde, maintenant, c'est fichu. » Ensuite, les deux, c'est-à-dire les aînés, ont imaginé de mettre ça sur le dos de la sœur cadette. Et ensuite, la jeune sœur a subi ce petit acte de terrorisme sous faux drapeau, c'était ça, n'est-ce pas ? Mais ça a bien sûr été découvert. Tout le monde était content et a dit que ce n'était pas bien. Ce n'est pas bien. Il ne faut pas le refaire, sinon, ça prend de l'ampleur. Et c'est aussi comme ça dans le livre, un petit voleur, un grand voleur, un braqueur de banque. Mais je peux juste dire que mes parents nous ont donné une éducation fantastique. Il n'y a jamais de colère, comme je l'ai dit, jamais un mot méchant, jamais. Et moi-même, je ne me souviens même pas d'avoir reçu un coup de baguette de mon papa. Moi aussi, j'ai écouté. Tu vois ce que je veux dire ?
Présentateur : Bon, quittons à nouveau la situation familiale des Sasek. Faisons un pas de plus. Parlons un peu de cette vidéo dite « Roulement de tambour ». C'est une idée que tu as eue et qui traite de sujets particuliers. Quelle est l'idée sous-jacente ? Dis-le à nos téléspectateurs.
Loïs Sasek : Donc l'idée est de booster particulièrement une vidéo, que tout le monde la diffuse en même temps et que nous la mettions en même temps dans toutes les langues que nous pouvons, pour qu'il y ait un effet boule de neige. Et c'est comme le traité sur les pandémies de l'OMS, dont j’ai parlé, où nous demandons à tous ceux qui le peuvent de télécharger sur leurs canaux, de partager aussi, parce que cela donne un effet boule de neige, où en quelques jours nous pouvons atteindre des nombres à six, sept, huit chiffres si nous nous unissons tous. Et là, je souhaite aussi une collaboration entre les différents acteurs de la sensibilisation, où nous disons ensemble que nous allons nous en sortir, comme avec ce traité de l'OMS sur la pandémie. Il y a déjà des manifestations à Tokyo, en Espagne, en Hongrie, il y a de la résistance partout, même dans différents pays africains qui ne veulent plus de ce traité. Vous voyez, nous sommes déjà en train de percer ici, et je pense qu'ensemble, en tapant ensemble sur le tambour, nous pouvons faire bouger beaucoup de choses, si tout le monde saute sur l'occasion.
Présentateur : Nous avons maintenant ce Digital Services Act, auquel nous sommes également confrontés sur AUF1. Comment gérez-vous cela ? Avez-vous une stratégie pour échapper à la censure ?
Loïs Sasek : En fait, depuis douze ans, il y a douze ans, parallèlement à Kla-TV, nous avons commencé à mettre en place un réseau Express Main à Main, c'est-à-dire complètement indépendant d'Internet, de personne à personne infopool.info, c'est une feuille avec des informations au recto et au verso, sous forme abrégée chaque semaine. Et c'est là que nous tissons depuis douze ans déjà ce réseau, où nous nous mettons physiquement en relation. Donc on sort de l'anonymat, on ne se contente pas d'être un tel ou un tel 777, mais on connaît l'adresse postale, l'adresse, le numéro de téléphone de chacun. Et c'est déjà le point fort chez nous, où je vous demande à vous aussi, spectateurs, de sortir de l'anonymat, de vous donner mutuellement votre adresse et votre numéro de téléphone. Vous pouvez, si vous le souhaitez, vous mettre en réseau avec nous. Il est important de se mettre en réseau avec les pays, c'est le lien www.kla.tv-vernetzung, pour que l'on sache les uns des autres, et que le collaborateur le plus proche de chez vous vous contacte. On sait alors, ah tu habites là, ah cool, en cas de censure tu reçois de moi le journal ou l'émission et nous devons déjà nous concentrer pleinement sur cela, parce que nous avons déjà été vraiment supprimés, bloqués sur X plateformes. C'est justement lorsque nous avons franchi la barre du million que le couvercle est tombé, c'est la première priorité pour moi.
Présentateur : C'est la dernière ligne droite de notre édition d'aujourd'hui de Spielmacher AUF1, qui sera un peu plus longue que d'habitude. La question qui t'est posée à nouveau concernant les modèles, y a-t-il eu des modèles dans ta vie, je suppose ton père, mais y a-t-il eu des modèles qui t'ont inspirée dans ton activité de directrice de production, de modératrice ?
Loïs Sasek : Oui, papa, maman, Zita, Daniela, Ruth, Bettina, ce sont nos combattants de première ligne, ils ont survécu aux tempêtes les plus violentes ; on peut pour moi les placer juste à côté des personnages les plus éminents de la Bible, si on reste simplement ferme à travers de telles tempêtes, ce sont mes modèles.
Présentateur : Que signifie le bonheur pour toi dans ta vie aujourd'hui, en tant que jeune femme de 36 ans ?
Loïs Sasek : La vie avec Dieu.
Présentateur : Si tu ne pouvais souhaiter qu'une chose aux gens, qu'est-ce que ce serait ?
Loïs Sasek : Qu'ils vivent ce que je vis tous les jours, mais ils peuvent aussi le faire s'ils veulent. Je ne veux pas non plus seulement faire passer le bacon par la bouche ou le nez. On peut donc aussi s'inscrire pour devenir actif chez nous, si on veut voir comment se passe l'interaction organique, comme je l'ai dit. Il y a tellement de domaines dans lesquels on peut s'impliquer, mais j'aimerais que tout le monde puisse vivre cela, c'est fascinant pour moi, oui.
Présentateur : Si Loïs Sasek a quand même un mauvais moment à passer, si une mauvaise nouvelle est arrivée, si elle est parfois contrariée, comment fais-tu pour te sortir de cet état et te ramener au bonheur ?
Loïs Sasek : Je vais prier, j'en parle à Dieu tous les matins aussi, je le fais toujours pendant au moins une heure, simplement pour avoir un appui en Dieu, parce que sinon je ne peux pas du tout supporter tout ça. S'il le faut, je pleure auprès de Lui, on peut s'appuyer sur Lui, c'est la relation que Papa et Maman nous ont donnée en exemple, c'est un tel réconfort, un apport de force, de confiance, cela donne infiniment d'amour, c'est clairement mon refuge pour moi.
Présentateur : Pour conclure cette émission, j'aimerais que tu sois une sorte d'oracle pour nous, comment le monde va-t-il évoluer dans les prochaines années ?
Loïs Sasek : Donc, la lumière est toujours plus forte que les ténèbres, la vérité est toujours plus forte que le mensonge et le bien l'emporte toujours sur le mal. Mais la vitesse à laquelle cela se produit ne dépend que de nous, car la lumière a besoin d'un corps, la vérité a besoin d'un corps, le bien a besoin d'un corps. Et si nous ne sommes pas un corps pour refléter ces qualités, si nous ne sommes pas porteurs de cette puissance gagnante de Dieu, rien ne va, c’est ma conviction. Mais si nous nous mettons en réseau, si nous sommes le corps qui reflète ces bonnes qualités, alors je dis que Babylone tombera en une heure, comme il est écrit dans la Bible. Et c'est mon espoir, ma foi, que nous y parviendrons ensemble.
Présentateur : Chers téléspectateurs, si vous n'êtes pas allés au culte aujourd'hui, vous êtes excusés d'avoir regardé cette émission, car il y avait aussi quelque chose de divin ici dans cette émission, grâce à la visite de Loïs Sasek de Kla-TV. Je te dis un grand merci d'avoir été à ma disposition pour cette émission. Transmets également les meilleures salutations de l'équipe d'AUF1 à ta famille. Nous vous soutenons volontiers dans votre travail. Nous pourrions peut-être forcer un peu la coopération, car j'ai déjà découvert l'un ou l'autre parallèle dans la vie d'Ivo Sasek et de Stefan Magnet. Tous deux sont des combattants de la résistance qui se font tirer dessus de tous les côtés, et il se pourrait qu'une sorte de coopération, d'approfondissement de la collaboration, ait un sens. Merci de tout cœur. Chers téléspectateurs, j’ai une demande : Partagez cette émission ! N'hésitez pas non plus à aller voir sur Kla-TV. Formons ensemble un corps qui veille au bien et fasse tomber Babylone, pour conclure avec les mots de Loïs Sasek. Merci de votre attention. Je vous souhaite le meilleur. À la prochaine fois.
de Lois S. Sources / Liens : https://auf1.tv/spielmacher-auf1/kla-tv-die-antwort-auf-verleumdungen-und-zensur
Le plan directeur pour 3 guerres mondiales - Albert Pike https://unwiderlegbarefakt.wixsite.com/wahrheitsiegt/post/ein-brief-von-albert-pike-aus-dem-jahr-1871-enth%C3%BCllt-den-plan-der-illuminaten-f%C3%BCr-den-3-weltkrieg
https://www.youtube.com/watch?v=zX7jT0-GUAM
https://de.wikipedia.org/wiki/Albert_Pike
Le guide du sataniste Aleister Crowley sur les rituels magiques et les sacrifices humains www.invisiblehouse.org/pdf/liber004_3.pdf
Le sataniste Aleister Crowley explique la signification énergétique des sacrifices humains www.extremnews.com/meinungen-kommentare/d141443d58abee
Vous voulez devenir actif, aider et vivre la vie organique en direct ? Alors inscrivez-vous à l'adresse suivante : https://www.kla.tv/aktiv-werden.
Vous êtes intéressé(e) par le livre ou l'oratorio « Éduque avec vision » : https://www.sasek.tv/fr/books/vision
Autobiographie d'Ivo Sasek et sa famille : https://www.sasek.tv/fr/books/wandlung-teil2
Curieux de savoir comment se déroule une déconstruction en essaim en 30 minutes ? https://www.antizensur.info/azkmediacenter.php?mediacenter=conference&topic=10&id=169
Big pharma sort le chéquier pour indemniser les cancéreux victimes du ZANTAC
le 20 Mai 2024 par pgibertie
La ranitidine fait partie d’une classe de médicaments qui bloquent temporairement la production d’acide par l’estomac. Commercialisée depuis 1981, elle est vendue sans prescription sous la marque d’origine Zantac ou sous forme de médicaments génériques.
PFIZER INTERROMPT LA DISTRIBUTION DE LA PILULE ANTITABAC CHANTIX
Pfizer suspend la distribution du traitement antitabac Chantix après la découverte de niveaux élevés de N-nitrosodiméthylamine (NDMA), un agent cancérigène, dans certains lots de pilules.
l n’est pas exclu que d’autres médicaments de la même famille puissent faire l’objet de prochains rappels de lots. Après le valsartan, un second anti-hypertenseur est actuellement touché par des rappels de lots à cause de la présence d’une substance classée comme cancérogène probable, a annoncé vendredi l’Agence du médicament. Il s’agit du générique, irbésartan du laboratoire Arrow Génériques. Des contrôles réalisés sur des lots de médicaments à base d’irbésartan ont révélé la présence de NDEA à des taux supérieurs aux limites acceptables,
Vous pouvez en savoir plus sur la décision de suspendre temporairement la distribution ici .
L’histoire menant aux poursuites judiciaires a commencé en 2018, quand le laboratoire indépendant américain Valisure a effectué des tests qui ont montré que dans certaines conditions, la ranitidine peut se dégrader pour donner de la N-nitrosodiméthylamine, aussi appelée NDMA. Cette substance, comme plusieurs autres de la famille des nitrosamines, est classée comme un cancérogène probable par le Centre international de recherche sur le cancer. Les tests de Valisure semblaient corroborer des résultats obtenus par des chercheurs de l’Université Stanford qui, au cours d’une petite étude clinique réalisée en 1996, avaient trouvé une forte augmentation du taux de NDMA dans l’urine après la prise de ranitidine.
Valisure a ensuite analysé des comprimés de Zantac et d’autres médicaments génériques contenant de la ranitidine offerts dans des pharmacies et découvert que certains dépassaient le maximum de traces de NDMA autorisé par la FDA. En septembre 2019, le labo a donc déposé une pétition pour exiger de l’agence réglementaire américaine qu’elle retire du marché tous les produits contenant cet ingrédient actif. Selon Valisure, l’« instabilité inhérente » à la ranitidine était susceptible de provoquer une très forte augmentation des doses de NDMA dans le corps humain.
Pfizer (PFE.N), ouvre un nouvel ongleta accepté de régler plus de 10 000 poursuites concernant les risques de cancer liés au Zantac, un médicament contre les brûlures d’estomac, désormais abandonné, a rapporté mercredi Bloomberg News, citant des personnes proches du dossier.
Les accords couvrent les affaires portées devant les tribunaux des États américains mais ne résolvent pas complètement l’exposition de l’entreprise aux réclamations de Zantac, indique le rapport, ajoutant que les détails financiers des accords n’étaient pas immédiatement disponibles.
En 2020, la Food and Drug Administration des États-Unis a demandé aux fabricants de médicaments de retirer du marché le Zantac et ses versions génériques après la découverte d’une substance cancérigène appelée NDMA dans des échantillons du médicament
https://t.co/XWmR0J2BDb
@Krieger66362259
Pfizer bat en retraite : payer pour éviter les procès pour cancer… Il semblerait que ce soit le cas du #Zantac. Il est reproché à #Pfizer d’avoir dissimulé les risques de #cancer associés à ce médicament utilisé pour traiter les problèmes d’estomac. #effetssecondaires
Un éminent oncologue japonais : les vaccins à ARNm sont « fondamentalement un meurtre »
20 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le professeur Masanori Fukushima, principal cancérologue du Japon, critique vivement depuis un certain temps déjà les effets néfastes des campagnes de vaccination contre le coronavirus, en particulier de la technologie génétique de l'ARNm, devenant de plus en plus évidents. Il a récemment déclaré que les vaccins à ARNm sont « l’œuvre du mal » et constituent « fondamentalement un meurtre ».
Ces commentaires ont été faits par le Dr. Masanori Fukushima dans une récente interview . L'oncologue émérite a fondé la première clinique de cancérologie à l' Université de Kyoto au Japon et a été responsable du premier cours de pharmaco-épidémiologie de l'école.
Il a cité un effet secondaire particulièrement alarmant dont les grands médias ne parlent pas : la prévalence de « cancers turbo » qui « n’avaient pas été vus par les médecins auparavant ». Il a déclaré que ces cancers sont apparus après l’introduction des vaccins et ont progressé si rapidement qu’ils sont souvent déjà au stade 4 au moment où les médecins les diagnostiquent.
La flambée de ces cancers s’est accompagnée d’une augmentation de la surmortalité liée au cancer en général, à un degré qui ne peut pas être facilement expliqué par l’absence de traitement ou de dépistage pendant les confinements liés au COVID-19.
Il a également souligné des morts subites survenues peu de temps après l’administration des vaccins, telles que : B. un homme de 28 ans dont la femme l'a retrouvé mort cinq jours après sa deuxième dose du vaccin à ARNm de Pfizer. Une histoire qui n’est que trop courante de nos jours, même chez les personnes sans antécédents de problèmes de santé.
Il a déclaré : « C’est sérieux. C'est essentiellement un meurtre. Enfin, je voudrais préciser que telle est mon opinion ».
Pour le Dr. À Fukushima, il n’est pas surprenant que les pays qui ont mené les campagnes de vaccination contre le COVID-19 les plus agressives connaissent les taux d’infection et de mortalité les plus élevés, comme Israël.
« Israël était un leader en matière de vaccination précoce et généralisée, mais avait également les taux de mortalité et d’infection les plus élevés. Il y a eu moins de dégâts dans les zones vaccinées de manière moins agressive », a-t-il déclaré, ajoutant : « Israël a rapidement arrêté le vaccin ».
De plus en plus de personnes vaccinées ont besoin de soins médicaux en raison de problèmes de santé liés à la vaccination. "Des dizaines de milliers de personnes ont besoin de consulter un médecin parce qu'elles ont des problèmes avec la vaccination", a-t-il déclaré.
Il estime que près d’un tiers d’entre eux souffrent de problèmes tels que le syndrome de fatigue chronique et l’encéphalomyélite myalgique, et le problème ne fera qu’empirer à mesure que de nombreuses maladies ont explosé depuis l’introduction du vaccin. Malheureusement, il existe un risque que certains de ces patients ne reçoivent pas l’attention et les soins dont ils ont besoin.
« C'est comme si nous avions ouvert la boîte de Pandore... Nous devons prendre ces dégâts au sérieux et les traiter sérieusement. Toute tentative de rejeter ces préjudices comme s’ils n’existaient pas est, franchement, l’œuvre du mal. Il s’agit d’un excellent exemple de mauvaises pratiques scientifiques », a-t-il expliqué.
Voici une des parties de l’ interview en doublage anglais :
« Les vaccins génétiques sont totalement inacceptables. L’introduction de transgènes dans le corps humain est une thérapie génique. Comment cela peut-il être considéré comme acceptable pour la production de vaccins ? Lorsque vous encapsulez l’ARNm dans des nanoparticules et que vous les administrez, vous n’obtenez que des effets hors cible, depuis les ovaires jusqu’au cerveau, au foie, à la rate et à la moelle osseuse. Le plus gros problème concerne la moelle osseuse, les organes reproducteurs comme les ovaires et toutes sortes d’organes. Le fait que des protéines de pointe soient toujours détectées dans l’éruption cutanée, même après plus d’un an, montre clairement que l’ARNm produit des protéines de pointe. Il est impossible qu’une protéine Spike âgée d’un an reste dans les cellules et soit détectée. Je ne me suis pas fait vacciner contre la grippe parce que je pense que c'était une décision stupide dès le départ..."
Réflexions sur la façon d’appréhender la période du Corona du point de vue de la psychologie de masse. «Pouvez-vous s'il vous plaît mettre votre masque sur votre nez», me demande un jeune homme à la gare de Hambourg. « Assurez-vous de vous faire vacciner. Faites vacciner vos enfants », recommandent les proches. La grand-mère à la maison n’a plus le droit de recevoir des visites. Les gens ont peur de sortir et de s’enfermer chez eux. Ils portent des masques, même en forêt et seuls en voiture. Une personne dépose ses moutons en forme de seringue dans le champ et les photographie d'en haut. D’autres souhaitent imprimer les têtes des sociétés pharmaceutiques sur les billets de banque. Dans les cliniques, les opérations vitales sont reportées et le personnel se met à danser. Dans son discours du Nouvel An, le Chancelier a appelé à trois reprises à la vaccination. Les avis diffèrent. Les amis deviennent soudain des ennemis. Les gens sont diffamés, dénoncés, insultés, poursuivis en justice et licenciés. Comment est-ce possible ? Comment expliquer le changement soudain de comportement de la population ?
La masse
Le comportement humain peut prendre des formes anormales, irrationnelles et inhumaines. Cela s’applique aussi bien au comportement des individus qu’au comportement des groupes et des foules. Les masses, comme l’écrit Gustave Le Bon dans sa Psychologie des masses, ont tendance à agir et non à agir de manière rationnelle. La suspicion se transforme immédiatement en certitude, l’aversion en haine. Quiconque contredit les croyances des masses devient leur ennemi. [1]
L'individu, qui était auparavant un citoyen rationnel et épris de paix, perd sa personnalité consciente dans la foule, oublie ses véritables intérêts et sa raison s'obscurcit. Avec les autres, il se sent puissant et se consacre au combat pour concrétiser une idée intériorisée, généralement inspirée de l'extérieur. La foule est une force aveugle facilement séduite. Un stimulus extérieur, une image saisissante et claire, un mouvement émotionnel violent les excite et les pousse à des comportements impétueux.
Les images de morts, de cercueils et de transports de cadavres diffusées dans le monde entier au printemps 2020 ont semé la peur et la panique. Elle se transmettait de personne à personne et se propageait. Les images étaient plus puissantes que la raison et la réalité. La masse qui en résulte a succombé au sentiment qu’ils ont déclenché et donc à une tromperie.
Quelques semaines plus tard, les statistiques ont montré que le virus était relativement dangereux et que seul le groupe des personnes âgées courait un risque accru. Pourtant, les images avaient déjà fait leur effet. La peur bloquait la vision de la réalité. La masse psychologique était créée.
Les conditions préalables à l’émergence d’une masse psychologique
Une communauté saine et heureuse vivant avec des valeurs et des objectifs clairs est moins facile à tromper et difficile à perturber de sa vie habituelle. En revanche, une société dans laquelle les peurs existent déjà, dans laquelle les gens vivent éloignés d'eux-mêmes, de la nature et de leurs semblables, est susceptible de se former en masse.
Cette vulnérabilité, qui repose sur un état psychologiquement instable de la société dans son ensemble, pouvait déjà être observée dans de nombreux pays avant le Corona. Les conditions étaient excellentes : un système éducatif dans lequel les gens se laissent entraîner, qui les détourne de leur véritable nature et de leurs penchants et les amène souvent à se retrouver dans des boulots de conneries. [2] La peur existentielle qui lui fixe des objectifs exclusivement économiques. La concentration de la vie sur le travail et la consommation, qui peut créer un sentiment d'abandon et un manque d'intérêt à façonner le monde. La technologie et les médias qui l'entourent réduisent l'espace pour son développement individuel et la formation de ses propres valeurs. Un manque de temps, qui conduit à des relations manquantes ou perturbées, rend les gens insécurisés, insatisfaits et anxieux.
Matthias Desmet, à la suite d’Hannah Arendt, appelle cela l’État socialement atomisé. [3] La société a été détruite en petits morceaux. Les gens se sentent vides, isolés et abandonnés. Il développe de la peur, de la frustration et de l’agressivité, mais il ne peut en nommer la cause. Telle une plume flottant dans les airs, elle est soufflée par le vent des médias, tantôt dans un sens, tantôt dans le sens opposé. Il lui manque des valeurs, des objectifs et des relations interpersonnelles profondes qui lui apportent du soutien.
Dans une société comme celle-ci, les gens ont soif de connexion. Malgré l’isolement et l’aliénation, il reste humain, reste une créature communautaire. Si, dans son vide et son conflit, il tombe sur une idée qui pourrait mettre fin à sa solitude, il se jette immédiatement dessus.
La folie de masse et ses caractéristiques – collectif et croyance en la victoire L’idée de vaincre un virus corona est tombée sur un terrain fertile. Il était enfin possible de faire quelque chose de bien, de lutter pour une cause commune, de mettre fin à la séparation et de se retrouver. Mais est-ce que ce qui a réellement émergé était une nouvelle communauté ?
Des couvre-feux et des exigences en matière de masques ont été imposés, des règles de distance ont été fixées, les installations publiques et même les terrains de jeux ont été fermés. Les gens sont devenus physiquement plus séparés qu’auparavant. Au lieu d’une communauté saine, une communauté de substitution a émergé, un collectif malade de personnes individuelles, effrayées et paniquées. Ce collectif reposait uniquement sur la peur de la mort et la conviction de la nécessité absolue de vaincre un virus par tous les moyens possibles.
Aveuglement face à la réalité et à la vérité absolue
Pour Hermann Broch, qui a incorporé ses propres expériences et observations du Troisième Reich dans sa théorie du délire de masse, ces comportements sont des caractéristiques d’identification importantes des délires psychotiques. [4] Devenus aveugles à la réalité, les individus devenus masses revendiquent la vérité absolue. La menace mortelle d’un virus propagé par les médias et le gouvernement a dû être conjurée à l’aide d’une soi-disant vaccination.
C'est la vérité qui a été affirmée et constamment répétée par tous les moyens de propagande. Les masses n’ont pas compris que la vaccination n’était pas une vaccination conventionnelle, mais plutôt un nouveau type de traitement à base d’ARNm. Libérée de tout doute et faisant confiance au gouvernement, elle a continué à lutter vers son objectif inaccessible avec la conviction inébranlable qu’elle faisait ce qui était juste et bon.
Image de l’ennemi et désinhibition
Quiconque contredisait la foi, doutait des mesures du gouvernement, des confinements, de l'efficacité de l'ARNm ou ne portait pas de masque devenait l'ennemi. Il a été blâmé pour la misère auto-infligée qui était principalement causée par les mesures adoptées par les politiciens.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Hermann Broch, lui-même juif, a vécu la façon dont un groupe ostracisé, les Juifs, a été créé, exclu, puis finalement expulsé et assassiné. Il a décrit la désinhibition et l’expression des instincts de haine qui en résulte comme une autre caractéristique de la folie de masse. Lorsqu’une foule de gens panique, ils en recherchent les causes et soupçonnent généralement qu’ils appartiennent à une minorité de la population. En se libérant de cette minorité, elle veut se libérer de sa propre peur, même si elle n'en a pas conscience. [4]
Le groupe ostracisé pendant la période Corona était le groupe des personnes non vaccinées. Elle était l’appendice qu’il fallait retirer pour sauver le tout. Elle était l'ennemie. Les membres de ce groupe étaient des rats et des parasites qui provoquaient la propagation du virus et menaçaient la victoire. Ils ont été publiquement insultés, discriminés, exclus, dénoncés et diffamés. Ils ont été poursuivis en justice, emprisonnés ou ont perdu leur emploi. Ce sont eux les véritables victimes qui sont devenues les bourreaux.
Craignant d'être inclus dans ce groupe, d'être persécutés et condamnés, bon nombre des personnes les plus sceptiques quant à cette condamnation se sont recroquevillées. La pression sociale et le sentiment d'être menacé par le manque de protection et de droits ont rendu la majorité docile.
Kurt Baschwitz a qualifié cet état de panique silencieuse. Les gens n’admettent pas qu’ils agissent ou n’agissent pas sous la peur, la pression et la coercition, mais ils laissent plutôt l’injustice se produire et tolèrent passivement la violence et le crime. Sachant que vous êtes d’accord avec beaucoup d’autres, la personne à côté de vous qui doute ou a un avis différent est mal considérée. Il devient une victime. [5]
Dans le système fermé et autonome du récit Corona, la remise en question était impossible. Prises dans une logique étroite, les masses ont refusé de penser au-delà des limites de cette logique. Au lieu de cela, il a accepté sans hésitation des normes irréalistes sous la forme de mesures politiques qui ont abouti à la fermeture des écoles, aux couvre-feux, au confinement et au projet d’introduire des exigences générales en matière de vaccination. Hermann Broch considère cette acceptation comme étant en réalité illusoire. Un groupe social qui accepte et concrétise des normes irréalistes est dans une folie de masse.
Langue
Bien que ce comportement semble anormal, irrationnel et strictement subjectif de l’extérieur, pour la majorité de ceux qui le croient logique et justifié. Les mesures qui violent la Loi fondamentale, les droits de l'homme et les principes humanitaires de la démocratie sont soudainement perçues comme démocratiques et solidaires.
Au sentiment de solidarité au sein du groupe des personnes vaccinées a été contré par l’intolérance et la haine envers les non vaccinés. Elle s’exprime par une brutalisation des comportements et une radicalisation du langage. Les critiques et les manifestants ont été qualifiés de « jurons », de « penseurs latéraux » ou de « négateurs du coronavirus » et ont été diffamés dans les médias publics. Le mot « penseur latéral » avait jusqu’à présent une signification toujours positive.
En plus des gros mots, de nombreuses autres nouvelles créations et modifications du sens des mots existants ont été créées. L’Institut Leibniz pour la langue allemande a dénombré au total 2 500 néologismes pendant la période Corona. [6] La langue évolue constamment. Mais un changement soudain et massif est la marque et l’indication d’un bouleversement psychologique et social.
Victor Klemperer a analysé le langage de la folie nationale-socialiste. Il décrit de nombreuses abréviations et néologismes et montre comment leur répétition stéréotypée influence les masses. [7]
Le langage médicalement influencé mais inconsciemment compris de l’ère Corona a maintenu les gens dans leur rêve de combattre et de vaincre un virus. La notification quotidienne de « l’incidence » actuelle a suscité l’enthousiasme, provoqué des tensions et de l’espoir. Le champ de vision s’est rétréci et toute l’attention s’est concentrée uniquement sur un seul sujet.
L’objectif médiatique d’« aplatir la courbe » a dû être atteint à l’aide des « confinements », de la « distanciation sociale », de la « vaccination » et du « rappel » et du port du « masque FFP2 ». Les nouveaux termes développèrent leur pouvoir, pénétrèrent le subconscient, créèrent des sentiments et modifièrent le comportement des masses.
Symbole et rituel
Le port du masque est devenu un rituel, le masque un symbole magique. Il symbolisait l'appartenance au collectif et était à la fois une expression de peur et de panique ainsi que l'espoir que la panique prenne fin. Indépendamment de son inutilité rationnellement démontrable, le masque est devenu un devoir irrationnel et la majorité obéissante a suivi le principe de remplir son devoir.
Des avantages concrets ont été accordés aux personnes portant un masque, testées, vaccinées et boostées. Ils étaient autorisés à aller à la piscine, au restaurant et à voyager à l'étranger. Certains se sont fait vacciner uniquement grâce à ces avantages.
Pénétrer dans le système judiciaire
Pendant ce temps, la pression sur les sceptiques et les critiques devenait de plus en plus forte. Pour eux, la loi perdait sa validité. Ils ont été punis, arrêtés, licenciés ou poursuivis en justice.
Si l’on en croit le récit de la vaccination, l’inégalité de traitement est considérée comme une juste mesure de représailles. C'est la faute de la victime, elle aurait pu être vaccinée. On a oublié qu’une vaccination est une procédure médicale volontaire et que la vaccination obligatoire viole le droit humain à l’intégrité physique.
Il n’y avait plus de vraie justice. Il fallait plutôt combattre la « source d’infection » parmi les personnes non vaccinées. La démocratie et l’État de droit ont été paralysés et ont permis l’effraction du système judiciaire aux dépens des non vaccinés et des sceptiques.
On peut supposer que de nombreuses personnes auraient été heureuses de se séparer enfin de ce groupe dissident. Le fait qu'on n'en soit pas arrivé là est dû à ce groupe de gens qui sont restés normaux, ceux qui n'étaient pas convaincus, ceux qui remettaient les choses en question. Elle était relativement grande et évitait que des choses pires se produisent grâce à son opposition publique, ses promenades et son appel à la raison et à l'humanité.
Néanmoins, les sacrifices humains furent innombrables. Les politiques ont adopté sans hésitation de nouvelles mesures visant à vacciner l’ensemble de la population, sans en évaluer les conséquences possibles. Les confinements économiques provoquent des bouleversements mondiaux, des faillites d’entreprises et d’innombrables morts de faim dans les pays en développement. La peur induite, les sentiments de culpabilité et d’isolement ont des conséquences psychologiques. Seules les injections d’ARNm administrées à grande échelle, légitimées par une autorisation d’urgence, peuvent avoir des effets secondaires imprévisibles.
Le sacrifice humain est le résultat d’une aberration de l’esprit, pris dans une théologie irrationnelle des valeurs. Cela n’est ni vu ni rationalisé. La croyance dans le récit du Corona a rationalisé la persécution des critiques comme une mesure de représailles juridiques. Cela aurait eu lieu au nom de l’humanité et de la justice ainsi qu’au nom de la science.
Sciences et médias
L'Institut Robert Koch est devenu une institution politique et tout véritable scientifique qui recherchait la vérité et sortait donc nécessairement des sentiers battus était discrédité. Les épidémiologistes, spécialistes des pandémies et des épidémies, n’ont guère été consultés pour évaluer la situation. Au lieu de cela, le gouvernement a utilisé et instrumentalisé la science uniquement à ses propres fins.
Il n’y a eu aucune critique publique de la part des médias établis. Leur tâche consistant à examiner de manière critique les décisions politiques a été oubliée, leur attachement à l’indépendance et à la diversité d’opinion a été oublié. Qu'il s'agisse de la radio publique, de la télévision ou d'un quotidien renommé, à quelques exceptions près, ils ont suivi fermement la ligne politique. Des plateformes comme Twitter et YouTube ont censuré à grande échelle les opinions dissidentes. Ils ont tous brillé par la conformité de leurs reportages.
Si les causes demeurent – l’isolement, la peur non rationalisée, la frustration et l’agression, le déracinement et l’aliénation – la susceptibilité à la folie de masse demeure également.
La période Corona a encore aggravé ces causes. La perte d’amis, les disputes familiales dues à des opinions différentes, la séparation de la population entre opposants et partisans, en plus de la concentration sur le travail salarié et la consommation, ont accru le sentiment d’abandon et d’insécurité pour de nombreuses personnes. Ils ont été privés de la possibilité de leur propre action et de leur participation au monde. Ils étaient assis isolés dans leurs appartements comme des cadavres vivants, comme Hannah Arendt appelait les apatrides intimidés par les mesures terroristes. La résignation et le sentiment d’impuissance s’installent.
Dans cette situation, les gens perdent leur sens de la communauté, leur intérêt à contribuer à façonner la société et leur sens de responsabilité partagée. Pour Hannah Arendt, ce sont là les conditions préalables à la diffusion des idées totalitaires. [9]
L’instabilité psychologique de la majorité de la population les amène à saisir chaque goutte que la politique leur jette, aussi fragile soit-elle. Au lieu de se libérer de la folie, elle se réfugie dans une nouvelle. Les gens aspirent au leadership parce qu’ils ne peuvent plus se diriger eux-mêmes. Leur individualité négligée ne le permet pas et les rend inconstants et sensibles à de nouvelles idéologies délirantes et idées de victoire. Il existe actuellement un réel danger que ces personnes, qui pourraient constituer la majorité, deviennent la proie d’un leader idéologique.
opposition
Une partie de la population n’a pas été touchée par la peur du Corona, qui n’était finalement que la peur de sa propre mort. Elle est restée raisonnable et de nombreuses personnes de ce secteur se sont rendues publiques, ont parlé librement, ont fondé des initiatives, organisé des manifestations, écrit des articles ou réalisé des podcasts. Ils ont résisté à l’énorme pression exercée par la majorité, les médias et les hommes politiques. Ils formaient l'opposition.
Tout a été essayé pour les faire taire. Le fait que cet objectif n’ait pas été atteint est une circonstance extrêmement importante et heureuse. Car si l’opposition se tait, les pires crimes menacent. Dans une folie de masse, c’est le groupe qui reste rationnel qui compte. Cela peut faire appel à la conscience des personnes piégées dans l’illusion et la peur. Parce que chacun est capable de revenir à la raison et à l’humanité. L'homme connaît secrètement sa folie. Il reste un morceau d'intégrité, un morceau de rationalité et avec lui la capacité de prendre conscience de sa propre aberration. [4]
La réhabilitation de ce groupe serait un premier pas vers l’acceptation de la période Corona et la défense de la démocratie. « L’État démocratique ne peut exister que s’il existe en son sein un groupe encore plus démocratique qu’elle-même. [4] Dans le système fermé de la folie de masse, la société sombre à un niveau de développement inférieur, détourné de la démocratie.
Le déclin culturel se manifeste actuellement, par exemple, dans l'intrusion décrite dans le système juridique ainsi que dans la brutalisation et la paganisation des comportements. Le soutien à la guerre, la volonté de recourir à la violence et l’agressivité que l’on peut observer dans de nombreux pays témoignent de la perte des principes humanitaires. Il n’y a plus de véritables objectifs de paix. De nombreux États évoluent vers la totalité. Les nouvelles lois vont à l’encontre des valeurs fondamentales de la démocratie, restreignent les libertés civiles et intimident davantage la population.
Au lieu d’exiger et de promouvoir une éducation ouverte, les gens y résistent. Ils sentent que leur estime de soi est attaquée et luttent pour maintenir leurs propres croyances irrationnelles. Cependant, l’hostilité à l’égard des Lumières est le signe le plus clair de l’obscurcissement continu de la raison. La personne délirante fuit la connaissance. [5]
Il est désormais du devoir éthique de la démocratie de libérer les gens de l’illusion. Cette libération est possible. Avec l’aide d’images, de mots et de chiffres tout aussi clairs qui ont provoqué l’illusion, la souffrance, le sacrifice et l’absurdité peuvent pénétrer dans la conscience et mettre fin à l’illusion. La source de l’infection peut être révélée. La tromperie est levée et la peur du Corona peut se transformer en peur de sa propre illusion.
Colère, responsabilité et culpabilité
Des sentiments de vengeance émergent déjà chez une partie de la population déjà déçue, qui a vécu l'injustice ou qui a sympathisé avec elle, qui a retrouvé le chemin de la raison, est devenue sage grâce aux dégâts ou n'a pas été saisie par la peur et la panique. en premier lieu. Des personnes ont perdu des proches, sont endommagées par l’ARNm ou souffrent des conséquences psychologiques de l’exclusion.
C’est compréhensible, mais il y a un risque que ce groupe tombe dans le même état d’esprit que le groupe de personnes vaccinées qui les ont attaqués auparavant. Votre colère pourrait éclater et se transformer en un état délirant. Il est donc nécessaire de composer avec la situation dans le but de maintenir ou de rétablir la paix sociale. Cela peut servir d’exutoire à la colère refoulée et empêcher les actes de vengeance.
Mais contre qui est dirigée cette colère ? Qui est responsable ? Qui a agi intentionnellement ?
Qui est responsable ? Quels comportements sont punis pénalement ?
Pour Hannah Arendt, toute personne qui supprime ce qu’il y a d’humain en elle et accomplit sans réfléchir un devoir faux et mortel est coupable. Il n’y a aucune excuse pour qu’ils participent. Personne n'a le droit d'obéir. Seul un enfant obéit. Chaque adulte doit remettre en question ses actes. [9]
Mais comment des gens effrayés et manipulés par les médias, qui croient agir pour des raisons humanitaires, peuvent-ils remettre en question leurs actions ? La personne qui, par peur et par croyance en la nécessité d'obéir et d'accomplir son devoir pour survivre, qui a perdu sa raison, sa personnalité et sa vision de la réalité, peut-elle être tenue responsable de ses actes ?
L'homme de la gare de Hambourg qui parlait à tous ceux qui ne portaient pas correctement le masque ? Les proches et amis qui appelaient à vacciner les enfants ? Le médecin qui vaccinait même la nuit, croyant faire le bon choix et protéger les gens ? Le présentateur qui a publiquement diffamé des personnes non vaccinées ? Le journaliste qui détestait et traquait. L’artiste qui a promu la vaccination ?
Il est difficile de répondre à cette question. Du point de vue de la psychologie de masse, le comportement des personnes atteintes de folie ne peut être évalué qu’en tenant compte de leur aberration mentale. Ils faisaient confiance au gouvernement et à la science, mais ce faisant, ils ont renoncé à leurs responsabilités personnelles. Selon Hannah Arendt, ils n'auraient pas dû faire ça. Parce que chacun est coupable de lui-même et surtout lorsqu'il transfère la responsabilité de ses actes aux autres.
Cependant, les personnes qui ont été convaincues par le récit du Corona dans leur peur ont agi dans des conditions psychologiques particulières. Ils ne peuvent plus être rationnels et raisonnables et leur culpabilité peut être limitée dans la mesure où leur capacité de penser était ou est encore limitée.
Il faut donc l’évaluer et la différencier au cas par cas. Les gens qui ont été emportés par la folie de masse et qui croyaient faire le bien constituaient probablement la majorité. Il y avait aussi des gens qui reconnaissaient les erreurs et les injustices, mais qui, soit par commodité, soit à cause des mesures d'intimidation, ne les nommaient pas et les laissaient se produire en silence. Le comportement des personnes qui, contre leur meilleur jugement, ont soutenu le récit du Corona uniquement pour des raisons de carrière ou pour maintenir et exercer le pouvoir doit être évalué différemment. Ils n’avaient pas perdu toute raison de craindre et ont agi délibérément.
Celui qui provoque intentionnellement des peurs ou renforce les peurs existantes et plonge les masses dans la psychose de la peur afin d'atteindre certains objectifs est également pleinement coupable. Il est la cause de la folie collective et responsable de ses conséquences.
Cui Bono ?
Afin de clarifier si ces personnes existent et qui elles sont dans un monde dirigé par le capital, les questions suivantes peuvent être utiles : à qui profite la peur et les mesures politiques ? Qui en a profité ? Cui Bono ? Les gens ne sont-ils pas réellement responsables de risquer la santé de milliards de personnes et d’accepter le mal, y compris la mort, pour des raisons de profit ? Qui en ont été les bénéficiaires financiers ?
Y a-t-il eu des gens qui ont exploité et abusé de leur pouvoir financier ? Ont-ils acheté la politique, la science et les médias et les ont-ils manipulés de telle manière que leur objectif de générer d’énormes profits se réalise ? Ont-ils utilisé les lois psychologiques à leur propre bénéfice et provoqué délibérément une psychose de masse ? Si ces personnes existent, et de nombreuses indications suggèrent qu’elles existent, elles devront être condamnées et leur comportement puni à l’avenir.
Une dette ne peut pas être transmise à une autorité. Même si elle assume ses responsabilités volontairement ou sous pression. Il n’existe pas de laissez-passer gratuit pour le crime. Par conséquent, quiconque, connaissant les effets secondaires d’un nouveau traitement à base d’ARNm, le commercialise à l’échelle mondiale porte la responsabilité des conséquences de ses actes. Ainsi, si les hommes politiques ont assumé cette responsabilité sur papier, ils partagent une responsabilité dans une large mesure, mais les fabricants ou les décideurs des fabricants sont en grande partie responsables des effets de l'ARNm sur la santé humaine.
Quiconque se laisse exploiter par ces fabricants et porte ainsi préjudice à la population est coupable. Quiconque conclut des contrats des années à l'avance pour des produits pharmaceutiques dont les avantages et la nécessité n'ont pas été prouvés est coupable. Quiconque adopte des mesures politiques ou prône la vaccination obligatoire simplement pour qu’un vaccin puisse être vendu et que des milliards de dépenses fiscales paraissent justifiées est coupable. Quiconque organise l'exclusion, la coercition et le non-respect de la loi est coupable.
Après une enquête complète, le déroulement réel des années Corona serait révélé, les causes et les effets seraient clarifiés et les gens prendraient conscience de leur tromperie. La folie de masse disparaît en même temps que les faits qui l’ont provoquée deviennent conscients. [4] Quel était ce fait ? Il s’agissait de fomenter et d’exploiter la peur d’une maladie virale relativement inoffensive dans le but de vendre des milliards de produits pharmaceutiques et d’exercer le pouvoir. La peur perd sa justification et l’illusion disparaît.
Cependant, seule la folie née de la peur du Corona disparaît. Chaque nouvelle illusion nécessite un traitement séparé. À l’heure actuelle, il semble que la croyance en la victoire ait simplement modifié l’image de l’ennemi. Après avoir échoué à vaincre le virus, les masses veulent désormais gagner la Russie et le climat. La folie continue.
Ce n'est pas surprenant. Comme expliqué ci-dessus, les causes du développement des idées délirantes sont toujours établies, se sont approfondies pendant la période Corona et se renforcent actuellement encore davantage. Les libertés civiles sont encore plus restreintes par le gouvernement au moyen de nouvelles lois et l'expansion de la surveillance par les services secrets intimide et réduit encore davantage la population au silence.
La machine bureaucratico-technocratique est en expansion. Elle incarne la banalité du mal car elle accomplit les choses sans tenir compte des considérations humanitaires. Leur finalité réside uniquement dans l'activité. Elle obéit et remplit son devoir prescrit sans aucune pensée. [10] L’État devient démesuré et devient la valeur centrale et déterminante. La pensée mécaniste prévaut.
La majorité des médias n’est pas encore revenue du côté de la population. Le RKI est toujours soumis à des instructions politiques et n'est pas indépendant. Un véritable État de droit, l’égalité devant la loi et la protection des libertés civiles n’ont pas encore été rétablis. Il existe toujours une obligation de tolérer la vaccination corona pour les soldats de la Bundeswehr. Beaucoup de gens sont encore hostiles les uns envers les autres ou sont coincés dans leurs faux liens collectifs. La croyance en la victoire n’a pas encore été vaincue. La peur de la guerre et du climat continue d’être alimentée.
L’incertitude reste donc élevée et la question essentielle et fondamentale qu’il convient de se poser est la suivante : comment pouvons-nous acquérir une nouvelle sécurité ?
Si nous ne voulons pas passer d’une peur à l’autre, nous avons besoin d’une idée. Une idée qui nous soutient et nous permet d’envisager l’avenir de manière positive. Cela nous protégerait non seulement des peurs irrationnelles et du glissement vers la folie de masse, mais revitaliserait également notre culture.
Cette idée ne doit pas nécessairement être nouvelle. Le renouvellement peut aussi signifier rétablir quelque chose qui existait déjà. Par exemple, une société libérale-démocrate dont les valeurs et les normes ont été ébranlées peut être refondée. La démocratie, la justice, la fraternité, la liberté, l’égalité et la paix peuvent redevenir des valeurs centrales et souhaitables.
Un nouveau départ peut également signifier empêcher une révolution qui n’est pas souhaitée par la majorité et qui comporte de grands risques et dangers. Les bouleversements sociaux au nom de la protection du climat ou en prévision d’une guerre sont de telles révolutions.
En tant que souveraine, la population pouvait sans crainte s’opposer à la politique léviathaniste et formuler des revendications concrètes. Elle pouvait affronter la folie collective non pas avec peur, mais avec connaissance de ses causes. La création d’un sentiment de liberté face aux difficultés, à la peur et à la coercition comme condition préalable à une vie d’humanité, de dignité humaine et de communauté dans une société ouverte – cela pourrait devenir un nouveau rêve illusoire qui mènerait à une longue période de normalité et d’absence d’illusion.
Pendant ce temps, la susceptibilité aux déraillements psychotiques demeure. Car le cerveau humain a évidemment tendance à tomber dans des états de croyance fantastiques et à commettre des actes de folie. L’extase de l’expérience communautaire déchaînée de la folie de masse semble trop belle pour que les gens puissent y échapper à long terme.
Références littéraires :
[1] Gustave Le Bon, « Psychologie des foules »
[2] David Graeber, « Des emplois à la con »
[3] Mattias Desmet, « La psychologie du totalitarisme »
[4] Hermann Broch, Œuvres collectives 9, « Psychologie de masse »
[5] Kurt Baschwitz, « Vous et la foule »
[6] Annette Klosa-Kückelhaus, « La langue dans la crise du Corona », https://www.owid.de/docs/neo/listen/corona.jsp
[7] Victor Klemperer, « LTI – Notes d'un philologue »
[8] Hans Zizsser, « Les poux des rats et leur histoire »
[9] Hannah Arendt, « Éléments et origines de la domination totale »
La première marque 'anodine' de l'hégémonie a été le port du masque ! Il est vrai que ce n'est pas commun à chacun de nous d'avoir chez lui un microscope à balayage électronique (!) et donc, pratiquement personne ne peut examiner sous la loupe un masque chirurgical. Or, les chirurgiens portent un masque en bloc opératoire c'est UNIQUEMENT contre les postillons. Car un masque ne peut - par fabrication - ni être un anti microbes ni un anti nano-poussières (appelées 'virus') car les mailles seraient si serrées qu'elles empêcheraient l'air de passer.
Mais alors... pourquoi porter un masque (HAHAHA !)
Les masques sont TOUS imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène !! Pareillement que le sont les gels hydroalcooliques, les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr les expérimentations géniques d'essais (frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins').
Chloé Frammery a ajouté 18 photos et 2 vidéos à l’album Manifestation LIBÉRONS-NOUS DE L'OMS - 11 mai 2024 à Genève 🇨🇭.
Souvenirs supplémentaires de la très belle MANIFESTATION LIBÉRONS-NOUS DE L'OMS ! 🕊 Samedi 11 mai 2024 À Genève 🇨🇭
👉 La vidéo de la manifestation est ICI : • https://crowdbunker.com/v/4wboc4cS4T • https://odysee.com/.../manifestation-stop-OMS-geneve-11...
Sous un soleil radieux, nous avons manifesté dans la ville de l’OMS pour dire aux dirigeants de cette organisation internationale qu’on n’a plus du tout besoin de ses services ! Nous exigeons la sortie immédiate et définitive de l’OMS.
Entre le 27 mai et le 1er juin 2024, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé ont prévu d’adopter 2 textes qui permettraient de coordonner « efficacement » les mesures liberticides dans TOUS les pays du monde, lors d’une prochaine « urgence de santé publique de portée internationale » (PHEIC), que Tedros Adhanom Ghebreyesus appelle de ses voeux. Si ces 2 textes sont adoptés, alors il suffira d’une prochaine grippe aviaire, variole de la coccinelle ou « urgence climatique », pour que l’OMS puisse à nouveau déclarer une PHEIC et fermer les frontières, nous confiner, imposer le pass, une « vaccination » expérimentale, le masque partout, la fermeture des commerces, des écoles, comme au « bon vieux temps » du covid.
L’accord sur les pandémies et le RSI révisé ne doivent pas passer dans 2 semaines, et nous devons sortir définitivement de l’OMS si nous voulons sauvegarder ce qui nous reste de souveraineté. Merci à Gérard, à Véronique, à JF, à Doris, à Antonio, à Steven, à Gaby, à Sophie, à Markus, à Mass Voll, aux musiciens Alex et Kathy, aux sonneurs de cloches qui sont venus de l'autre bout de la Suisse, merci à AGORA TV pour ses images et merci à tous les résistants qui sont venus de Belgique, de France, de Suisse et d'ailleurs, merci à tous les intervenants !
👉 Les sources de mes interventions : https://chloeframmery.ch/manifestation-stop-oms-geneve-11...
👉 Mon bilan de cette journée (vidéo) : https://t.me/chloefinfosofficiel/7079
👉 Toutes les infos sur notre mouvement LIBERTÉ : https://chloeframmery.ch/mouvement-liberte
Les aveux des stats officielles britanniques: les enfants de 10 à 14 ans vaccinés covid gravement fragilisés
le 18 Mai 2024 par pgibertie
Le gouvernement britannique a discrètement confirmé que les vaccins contre le Covid-19 tuent des enfants à un rythme sans précédent.
Des chiffres choquants contenus dans un rapport officiel, publié quelques heures seulement avant que Boris Johnson n’annonce sa démission de son poste de Premier ministre du Royaume-Uni, révèlent que les enfants vaccinés contre le Covid-19 ont 4 423 %/45 fois plus de risques de mourir, quelle qu’en soit la cause, que les enfants non vaccinés et 13 6333/ 137 fois plus susceptibles de mourir du Covid-19 que les enfants non vaccinés.
- voir cadre sur site -
Une agence gouvernementale britannique, connue sous le nom d’Office for National Statistics (ONS), a récemment publié de nouvelles données sur les décès par statut vaccinal en Angleterre.
Le dernier ensemble de données de l’ONS est intitulé « Décès par statut de vaccination, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et il peut être consulté sur le site de l’ONS ici et téléchargé ici .
Concernant les décès dus au Covid-19, l’ONS révèle que le taux de mortalité parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans équivaut à 0,31. Mais en ce qui concerne les enfants vaccinés à une dose, le taux de mortalité équivaut à 3,24 pour 100 000 années-personnes, et en ce qui concerne les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité équivaut au taux choquant de 41,29 pour 100 000 années-personnes.
Ces chiffres révèlent que les enfants non vaccinés sont beaucoup moins susceptibles de mourir du Covid-19 que les enfants qui ont reçu l’injection du Covid-19.
Basées sur la formule d’efficacité du vaccin de Pfizer, ces données révèlent que les injections du Covid-19 s’avèrent désormais avoir une efficacité négative contre la mort chez les enfants, l’efficacité réelle entre janvier 2021 et mai 2022 étant la suivante :
- voir cadre sur site -
Les injections du Covid-19 s’avèrent avoir une efficacité négative réelle contre la mort de moins 966,67 % chez les enfants partiellement vaccinés, et une efficacité négative choquante contre la mort de moins 13 633,33 % chez les enfants triplement vaccinés.
Ce n’est pas du tout proche de l’efficacité de 95 % contre la mort annoncée par Pfizer, n’est-ce pas ?
En d’autres termes, les enfants partiellement vaccinés ont 11x/966,67 % plus de risques de mourir du Covid-19 que les enfants non vaccinés, et les enfants triplement vaccinés ont 137,3x/13 633,33 % plus de risques de mourir du Covid-19 que les enfants non vaccinés.
Et malheureusement, il y a peu d’amélioration en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Voici à nouveau le graphique montrant les taux de mortalité selon le statut vaccinal chez les enfants en Angleterre –
Le Premier ministre slovaque gravement blessé par balles, fermement opposé au « traité sur les pandémies » de l’OMS
Le Premier ministre a déclaré que la Slovaquie ne signera pas le traité de l'OMS sur la pandémie et le RSI révisé
Par Peter Koenig Mondialisation.ca, 18 mai 2024
Le Premier ministre slovaque Robert Fico a été abattu aujourd’hui – le 15 mai 2024 – et le gravier assuré [gravel insured], alors qu’il saluait et serrait la main de la foule dans le centre-ville de Handlova, en Slovaquie, où il avait assisté à une réunion du gouvernement au Palais de la Culture.
Le Premier ministre Fico est un ardent opposant au Traité de l’OMS sur la pandémie et au Règlement sanitaire international (RHI) révisé de l’OMS.
Le Premier ministre Fico a été approché par un homme dans la foule, qui a tiré à bout portant cinq coups de feu, blessant gravement le Premier ministre, avant que l’auteur ne soit plaqué au sol et arrêté par des agents de sécurité.
Le ministre de la Défense Robert Kalinak a déclaré :
« Il a plusieurs blessures, et son état est extrêmement grave. Nous prions toujours pour de bonnes nouvelles, mais nous n’avons pas encore cette nouvelle. Il est dans la salle d’opération depuis 3 ½ heures. Son état est très compliqué. »
Voir ce rapport du Washington Post avec un clip vidéo de 13 secondes.
- voir clip suir site -
Le Premier ministre avait ouvertement déclaré que son pays, la Slovaquie, n’allait pas signer le « Traité sur les pandémies » de l’OMS, ni le Règlement sanitaire international (RSHI) révisé, qui donnerait à l’OMS et en particulier au directeur général de l’OMS des pouvoirs dictatoriaux l’emportant sur sa souveraineté sanitaire et climatique et sur celle des 194 pays membres de l’OMS.
Oui, le climat aussi. Les tyrans technocratiques et les psychopathes – le Forum économique mondial (FEM), l’OMS, les Nations Unies (ONU) – et les puissances obscures qui soutiennent ces agences d’exécution, ont décidé que le faux « changement climatique » promu et endoctriné dans le monde entier depuis au moins un demi-siècle faisait partie du domaine de la santé, car il affectait la vie humaine, animale et végétale.
Ainsi, le « climat » relève de la responsabilité de l’OMS en matière de santé et, pire, de la responsabilité directe de la DG de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, un homme qui poursuivi dans son pays d’origine, l’Éthiopie, pour des activités terroristes.
Pour s’être exprimé contre ce crime potentiellement le plus grand crime contre l’humanité de l’histoire récente, un haut politicien pourrait avoir à payer de sa vie. Dieu nous en préserve – et prions, pour que le Premier ministre Robert Fico survive.
Voir ceci, y compris un discours de 3 minutes du Premier ministre Robert Fico, dans lequel il explique sa forte opposition et celle de son pays à ces traités, accords et réglementations.
Il est dit et soupçonné que plusieurs dirigeants de pays africains et d’Haïti ont été assassinés, car ils se sont officiellement opposés au vaccin tueur d’ARNm dans leurs pays, pendant la période 2021-2023 des mandats de « vaccination » de l’ARNm Covid.
Pour ceux qui ont encore des doutes, l’humanité est en pleine guerre mondiale – est-ce la Troisième Guerre mondiale ? – ou s’agit-il d’une simple guerre pour la survie de l’humanité ?
Rappelez-vous simplement que la Grande Réinitialisation du Fonds monétaire internationale et l’Agenda 2030 des Nations Unies, ainsi que le Club de Rome, veulent que la population mondiale soit réduite de près de 90 % – de quelque manière que ce soit. L’un des moyens, très promu depuis des années, est la volonté de Bill Gates de « vacciner » le monde entier, ce avant même le canular universel contre le covid 2020-2030.
Voir aussi (ou vous pouvez cliquer ici) ce clip vidéo récent (10 min en mai 2023) d’un auteur principal de « Limits to Growth » du Club de Rome (1972), Dennis Meadow :
Ne demandez pas pourquoi. Les psychopathes ne sont pas des humains – mais ils se rapprochent dangereusement de leur objectif de contrôler le monde entier si nous, les humains, n’intervenons pas ACTIVEMENT et continuons à regarder pathétiquement comme un troupeau de moutons.
Tant qu’ils – le FEM, l’ONU, l’OMS – prétendent mener la danse, ils n’ont pas à vous donner de réponse. D’ailleurs, ils ne vous diront jamais la vérité. Mais n’oubliez pas que Yuval Noah Harari nous a qualifiés à plusieurs reprises de « mangeurs inutiles ».
Il voulait dire que nous devrions être amenés à « disparaître », car nous, le peuple, ne servons à rien dans l’Ordre Mondial Unique (OMU) , dans le cadre de la « 4ème révolution industrielle » entièrement numérisée, une invention de Schwab et du Forum économique mondial.
Et l’humanité serait également soumise à l' »ordre de santé unique » [« One Health Order »], au cas où le traité sur la pandémie et le RSI révisé seraient signés, ou autrement « embrouillés » – lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé – du 27 mai au 1er juin 2024 – ou de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre 2024, ou de toute autre manière.
Tout est possible. Voir aussi ceci.
Nous n’y sommes pas encore.
Mais la tentative de meurtre du Premier ministre slovaque, probablement en raison de sa position contre la tyrannie eugéniste prévue de l’OMS, devrait être un avertissement, un RAPPEL.
Prenez conscience, soyez conscient – et défendez les droits humains, l’humanité et le magnifique privilège [cadeau] de la vie.
Peter Koenig
Lien vers l’article original:
BREAKING: Slovak Prime Minister Shot and Gravely Injured, Firmly Opposed to “Pandemic Treaty”,le 16 mai 2024.
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
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Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans dans le monde entier. Il est l’auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également membre principal non-résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.
Soudain et inattendu : deux banquiers âgés de 25 et 35 ans
19 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le décalage dans la campagne de vaccination s’allonge de plus en plus. Cependant, des décès qualifiés de « soudains et inattendus » continuent de se produire. Les conséquences négatives les plus courantes pour les personnes vaccinées sont apparemment les crises cardiaques et le cancer. À cet égard, les injections d’ARNm sont en réalité « sûres et efficaces ».
Le New York Post vient d'annoncer le décès du banquier Adnan Deumic, 25 ans, suite à un arrêt cardiaque soudain, deux semaines seulement après la mort choquante de Leo Lukenas III, un banquier de 35 ans . C'est un discours idiot selon lequel le « stress au travail » tue désormais les jeunes banquiers, même si on sait depuis des décennies que les jeunes banquiers travaillent des heures incroyablement longues. Et j’ai définitivement atteint un âge plus avancé.
Leo Lukenas III, un ancien Béret vert qui a servi dans le groupe des institutions financières de la banque, est décédé jeudi dernier d'un "thrombus aigu de l'artère coronaire" à l'âge de 35 ans, selon un rapport de Reuters.
Il laisse derrière lui une femme et deux jeunes enfants.
Le défunt a fait partie des Bérets verts pendant une décennie, de 2013 jusqu'à ce qu'il rejoigne la magistrature en juillet de l'année précédente. Cette branche de l’armée américaine est connue pour son entraînement excellent et intensif et notoire pour ses crimes de guerre dans toutes les guerres américaines depuis la guerre du Vietnam. Lukana relevait donc de l’obligation de vaccination pour les soldats aux États-Unis.
Adnan Deumic, qui travaillait au bureau londonien de la banque et est décédé deux semaines après Lukenas, jouait dans un tournoi caritatif avec d'autres employés du secteur financier lorsqu'il s'est effondré et a dû être réanimé, a déclaré une source au New York Post.
La cause du décès n’a pas encore été dévoilée, mais cette personne a déclaré au Post qu’un arrêt cardiaque était suspecté.
Avant sa mort tragique, Deumic semblait être en bonne santé, ayant couru un marathon en Espagne le mois dernier et ayant joué au hockey au lycée. Il s'est engagé en 2022. Presque tout le monde dans les lycées a été vacciné.
Les nécrologies ne parlent que du stress et des longues heures travaillées par le défunt.
De plus, les victimes de guerre, y compris les civils, sont aujourd’hui le résultat de conflits très ciblés dans des zones limitées. Ces conflits impliquent souvent des pays dont l’Occident convoite leurs ressources. Ainsi, l’Asie occidentale, avec ses vastes réserves d’hydrocarbures et de minéraux, constitue une cible tentante, conduisant aux assauts américains et britanniques contre l’Afghanistan, l’Irak et la Libye. Des agressions similaires, bien que moins visibles, ont eu lieu en Afrique.
Plus récemment, la guerre par procuration des États-Unis contre la Russie en Ukraine a conduit au dépeuplement de ce pays par l’émigration et les pertes sur les champs de bataille , alors même que des sociétés américaines comme BlackRock ont investi dans les terres et les minéraux. Le génocide israélien perpétré par Israël contre les Palestiniens à Gaza, soutenu par les États-Unis, a également été soupçonné d'avoir pour motivation la prise de contrôle des réserves pétrolières et gazières offshore.
Pourtant, nous pourrions dire que, si l'on tient compte du potentiel incroyable de pertes résultant de l'énorme puissance de feu des arsenaux conventionnels et nucléaires mondiaux, le nombre total de morts en temps de guerre reste aujourd'hui relativement limité. Et même si ces arsenaux étaient utilisés bien plus qu’ils ne l’ont été lors des conflits récents, la totalité de la population mondiale serait-elle sérieusement réduite par une telle explosion avant que l’impulsion à une guerre totale ne se soit dissipée ?
Sommes-nous certains, par exemple, que la troisième guerre mondiale tant redoutée entraînerait réellement l’anéantissement de la vie sur terre, comme beaucoup le pensent, ou ne serait-ce qu’un simple ralentisseur de plus ? Nous ne le savons vraiment pas. De plus, il existe au sein de la communauté internationale bien plus de garanties et de contraintes qu’il n’en existait en 1941 et qui pourraient être activées, y compris les procédures mises en place par l’intermédiaire des Nations Unies, tant décriées.
Nous constatons également que les arsenaux militaires occidentaux sont inutiles, sauf contre de malheureux opposants, comme le montre l’échec des armes occidentales en Ukraine, où elles se sont révélées trop complexes, coûteuses et vulnérables. Aujourd’hui, leurs principaux objectifs semblent être de plus en plus la « création d’emplois », l’enrichissement des actionnaires du secteur de la fabrication d’armes, fournissant une sorte de « dissuasion » fantôme contre « l’agression », ou simplement un divertissement pour les politiciens, les grands médias et les électeurs. .
Aussi horrible que soit la guerre, les mondialistes cherchent certainement au-delà de la guerre ouverte pour atteindre leurs objectifs, qui, selon beaucoup, se concentrent sur, ou du moins incluent, les armes biologiques afin de parvenir à une réduction globale de la population humaine. En fait, l’armée américaine et la CIA créent et utilisent secrètement des armes biologiques depuis des décennies, comme le montre Tucker Carlson Uncensored dans un épisode récent intitulé « La maladie de Lyme a-t-elle été créée comme une arme biologique ?
Bien que cela ne soit pas abordé dans cet article, l'armement spatial est un autre domaine dans lequel les fantasmes de guerre espèrent depuis des décennies faire des percées dans les armes apocalyptiques qui amèneraient les ennemis à se rendre sans combat ou qui rayeraient un adversaire de la carte lors d'une première frappe sans réponse. .
Mais passons à autre chose.
Le lobby du dépeuplement Tandis qu’il cherche à se dissimuler, on discerne l’existence d’un puissant lobby en faveur d’une réduction massive de la population planétaire .
Depuis quelques siècles, des prophètes de malheur comme le ministre anglais Thomas Malthus (1766-1834) crient que, tôt ou tard, la croissance démographique dépassera la capacité des ressources terrestres à supporter une telle croissance humaine.
Bien sûr, Malthus avait tort, en grande partie à cause de la capacité de la révolution industrielle à assurer la subsistance d’une population croissante et à engendrer de grandes améliorations en matière d’assainissement, de nutrition, de productivité agricole et de traitements médicaux pour maintenir davantage de personnes en vie pendant une durée de vie plus longue. La réduction de la mortalité infantile et l’amélioration du bien-être des familles et des enfants ont été particulièrement marquantes.
Mais pour une certaine classe de personnes étroitement identifiées aux mondialistes, ces changements n’ont pas été une raison de se réjouir, mais plutôt un pressentiment d’une catastrophe imminente. Ces sentiments ont fusionné avec le mouvement « eugéniste » qui considère la croissance démographique comme une augmentation du nombre de personnes qu’ils n’aiment pas et ne veulent pas vivre.
Pour cette classe particulière, le potentiel de la guerre pour réduire la population ne semble pas s’être révélé pour les raisons révélées par les considérations présentées ci-dessus. D'autres méthodes, plus efficaces, ont donc été recherchées. Les armes biologiques, considérées comme relativement faciles à infliger par des moyens secrets et difficiles à retracer jusqu'à leurs sources, sont passées au premier plan. Alors, qui peut être derrière tout cela ?
Dans son article du 30 juillet 2023, « Billionaires Try to Shrink World's Population: Secret Gathering Sponsored by Bill Gates, 2009 Meeting of 'The Good Club' », le Dr Michel Chossudovsky, responsable de la recherche mondiale, a demandé : « La dépopulation mondiale fait-elle partie du problème ? La grande réinitialisation des milliardaires ?
Le Dr Chossudovsky écrit :
Depuis plus de dix ans, des réunions sont organisées par des milliardaires qualifiés de philanthropes pour réduire la taille de la population mondiale, culminant avec la crise du COVID de 2020-2022.
Les développements récents suggèrent que le « dépeuplement » fait partie intégrante des soi-disant mandats COVID, y compris les politiques de confinement et le vaccin à ARNm.
Selon le Wall Street Journal : « En mai 2009, les philanthropes milliardaires se sont réunis à huis clos au domicile du président de l'université Rockefeller à Manhattan. Ce rassemblement secret était parrainé par Bill Gates. Ils s'appelaient eux-mêmes « The Good Club ». Parmi les participants figuraient feu David Rockefeller, Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner, Oprah Winfrey et bien d'autres.
En mai 2009, le WSJ ainsi que le Sunday Times rapportaient (John Harlow, Los Angeles) que « certains des plus grands milliardaires américains se sont rencontrés secrètement pour réfléchir à la manière dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les progrès ». dans le domaine de la santé et de l’éducation. L'accent n'était pas mis sur la croissance démographique (c'est-à-dire Planned Parenthood) mais sur le « dépeuplement », c'est-à-dire la réduction de la taille absolue de la population mondiale.
Pour lire l'article complet du WSJ, cliquez ici .
Selon le rapport du Sunday Times :
Les philanthropes qui ont participé à un sommet organisé à l'initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté d'unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.
L'article du Dr Chossudovsky peut être consulté ici et est cité dans mon propre livre, Our Country, Then and Now .
Ce n’est un secret pour personne que l’eugénisme et le contrôle de la population sont depuis longtemps un objectif des mondialistes en général et de la famille Rockefeller et de Bill Gates en particulier. Avec le « Good Club », nous avons Gates et David Rockefeller dans la même série de réunions, aux côtés de plusieurs autres milliardaires célèbres. Le livre récent de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci: Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health , cite de nombreux exemples dans lesquels la Fondation Bill et Melinda Gates a encouragé l'utilisation à grande échelle des vaccins dans Afrique avec probablement pour motif sous-jacent une réduction de la population. En Europe, le Club de Rome et ses ramifications, dont le Forum économique mondial, ont fait pression pour des objectifs similaires.
En ce qui concerne les chiffres bruts, le membre du « Good Club » et fondateur de CNN, Ted Turner, a déclaré :
"Une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une baisse de 95 pour cent par rapport aux niveaux actuels, serait idéale." — cité dans le McAlvany Intelligence Advisor , juin 1996.
Il convient ici de mentionner Aurelio Peccei, co-fondateur du Club de Rome, à l'origine de l'idée du Forum économique mondial, et sa justification de la nécessité d'institutions supranationales pour faire face aux crises mondiales. Cela implique la nécessité implicite d’affaiblir la souveraineté des États-nations pour que le mondialisme réussisse. C'est sous cet angle que la destruction de l'économie productrice américaine a été entreprise par l'externalisation industrielle et a été réalisée dans les décennies qui ont suivi la publication du volume fondateur de Peccei, The Chasm Ahead.
La relation entre les Rockefeller et Peccei remonte au 11 avril 1964, lorsque Peccei a assisté à une réunion du groupe Bilderberger à Williamsburg, en Virginie, où il a rencontré David Rockefeller, alors président et président de la Chase Manhattan Bank. Rockefeller était également le superviseur du Council on Foreign Relations, le principal groupe de réflexion mondialiste américain.
J'ai entendu parler de cette rencontre entre Rockefeller et Peccei des décennies après les faits. Cela m'intéressait particulièrement, car j'y étais ! Pas lors de leur réunion, bien sûr, mais au Williamsburg Lodge où se tenait la conférence. J'étais à l'époque au club d'actualité du lycée local et nous avions été invités à écouter quelques discours. Au cours de ma vie et de ma carrière d’analyste gouvernemental, j’ai été témoin de nombreux événements d’importance historique. Pensez-y, je traînais aussi à proximité de ce qui aurait pu être l'élaboration de plans visant à détruire une grande partie de la race humaine !
Au milieu des années 1970, la promotion de la réduction de la population était la politique officielle du gouvernement américain. Tel que documenté par le site Web Human Life International (3 janvier 2024) :
Le Conseil de sécurité nationale des États-Unis est la plus haute instance décisionnelle en matière de politique étrangère des États-Unis. Le 10 décembre 1974, il finalise un document top-secret intitulé National Security Study Memorandum ou NSSM-200 , également appelé The Kissinger Report , puisque Henry Kissinger était secrétaire d'État au moment de sa rédaction.
Le sujet du NSSM-200 est « Les implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité et les intérêts des États-Unis à l’étranger ». Ce document, publié peu après la première grande conférence internationale sur la population à Bucarest, est le fruit d'une collaboration entre la Central Intelligence Agency (CIA), l'Agence américaine pour le développement international (USAID) et les départements d'État, de la Défense et de l'Agriculture.
NSSM-200 a été rendu public lors de sa déclassification et transféré aux Archives nationales des États-Unis en 1990.
Le rapport indiquait :
L’économie américaine aura besoin de quantités importantes et croissantes de minerais provenant de l’étranger, notamment des pays les moins développés. Cela donne aux États-Unis un intérêt accru pour la stabilité politique, économique et sociale des pays fournisseurs. Partout où une diminution des pressions démographiques grâce à une réduction des taux de natalité peut accroître les perspectives d’une telle stabilité, la politique démographique devient pertinente pour l’approvisionnement en ressources et pour les intérêts économiques des États-Unis.
Notez qu’Henry Kissinger était un associé à vie de l’empire financier Rockefeller et a même été considéré à un moment donné comme étant nommé coordinateur général de tous les investissements Rockefeller.
On peut également affirmer que les États-Unis tentent depuis des décennies d’imposer des limites à la souveraineté des États-nations et à la croissance démographique dans les pays moins développés par le biais du Fonds monétaire international, avec sa multitude de « conditionnalités » accompagnant ses politiques de prêt prédatrices. Celles-ci incluent la privatisation des services publics, la réduction des salaires des employés publics, la réduction des prestations sociales, la conversion de la production agricole de l'autosuffisance à l'exportation de produits de base, le vote « correct » à l'ONU, l'ouverture de leurs économies aux investissements occidentaux à un niveau élevé. taux d'intérêt, etc.
Les sanctions américaines ont également joué un rôle, par exemple les sanctions contre l'Irak au milieu des années 1990, dont la secrétaire d'État Madeleine Albright a admis qu'elles étaient la cause de la mort de 500 000 enfants irakiens. "Cela en valait la peine", a-t-elle déclaré à un journaliste télé. Les sanctions contre la Russie à la suite de la guerre en Ukraine ont sans aucun doute le même objectif dans le cadre d’une ponction de ressources contre la Russie similaire à celle menée par les États-Unis après la chute de l’Union soviétique dans les années 1990.
Aujourd’hui, cependant, on peut affirmer que les tactiques mondialistes de réduction de la population appliquées à des régions du monde moins développées et conflictuelles, mais souvent riches en ressources, sont intentionnellement retournées contre les propres populations des pays occidentaux et ne sont pas simplement les conséquences de multiples politiques. décisions prises sans agenda sous-jacent. Aux États-Unis, nous avons assisté à une augmentation rapide et radicale de la disparité de richesse entre riches et pauvres et à un affaiblissement du filet de sécurité sociale par des actions telles que la réduction des bons d’alimentation et des prestations Medicaid. Seul un aveugle ne pouvait pas savoir que ces mesures entraîneraient une augmentation de la pauvreté et de la mortalité parmi les secteurs à faible revenu.
En raison de l’inflation, provoquée au moins en partie par les profits des entreprises, la disponibilité du logement, de la nourriture, de l’éducation et des transports est de plus en plus hors de portée, le coût de la vie élevé favorisant la taille des familles. Les avortements à la demande en tant que mesure de contrôle des naissances font depuis longtemps partie du programme libéral, le suicide médicalement assisté devenant courant avec la distribution de morphine par les hospices. La promotion de l’agenda LGBT entraîne également une diminution du nombre d’enfants.
Mais une étape majeure dans l’assaut des pays développés contre l’humanité a peut-être été franchie avec la pandémie de COVID. Encore une fois, c’est Robert F. Kennedy Jr. qui a rassemblé des détails sur la manière dont les confinements sociétaux, les fermetures d’entreprises, la fermeture des écoles et la censure de la dissidence avaient été anticipés par deux décennies de formation et de planification discrètes. exercices, avec une forte participation militaire. L’un d’eux, « l’Événement 201 », a eu lieu juste avant le début de la pandémie de COVID à l’Université Johns Hopkins, parrainé par Bill Gates et le Forum économique mondial.
Dans son dernier livre, The Wuhan Cover-Up and the Terrifying Bioweapons Arm Race, RFK Jr. discute de la prolifération massive de laboratoires d'armes biologiques parrainés par les États-Unis dans le monde entier qui mènent des recherches sur la militarisation des virus sous le titre de « gain de fonction ». .» Ce n’est qu’au cours des deux dernières années que le « gain de fonction » est devenu une expression courante.
Il semble presque que les élites qui contrôlent la société occidentale aient décidé que la guerre ouverte ne suffisait pas pour atteindre leurs objectifs de dépopulation, et qu’il fallait donc rechercher une solution différente. Ce qu’ils semblent avoir mis en lumière, c’est l’inculcation délibérée de pandémies. Le COVID, y compris le « vax » mortel à ARNm, était peut-être leur essai à blanc.
Bien entendu, la COVID n’est pas la première atrocité médicale commise par les grandes sociétés pharmaceutiques, le gouvernement américain et la profession médicale. Une autre est l’épidémie d’autisme probablement provoquée par la prolifération des vaccinations infligées aux enfants. Selon le Dr Lewis Coleman de l’Institut géopolitique américain :
Nous n'avons jamais vu cela lorsque nous étions à l'école primaire, mais maintenant c'est une épidémie, sans parler de la myriade de dégâts causés par le Long COVID et d'autres effets de la « vaccination ». On frémit en pensant à quoi ressemblera la société dans 20 ans. Les enfants atteints de ces maladies peuvent détruire des familles et détourner l’attention des besoins d’enfants en bonne santé. Et cela ne compte pas toutes les fausses couches, les victimes du Long COVID et les morts subites dues aux injections d'ARNm, ni les innombrables patients paralysés par des maladies chroniques telles que la maladie de Parkinson, causées par la pollution de notre nourriture, de notre eau et de notre air.
Fichier:Bill Gates MSC 2017 Quote.png
Par Hildenbrand / MSC, sous licence CC BY-SA 3.0
Le programme mondial de dépopulation des mondialistes dépasse ses roues d’entraînement Entre-temps, les mondialistes ont pris des mesures dans les domaines économique et technologique pour préparer le terrain à un effondrement massif de la population mondiale . L’une de ces actions a été la peur disproportionnée du « changement climatique » et la prétendue conversion aux sources d’énergie renouvelables qui laisseraient les pays industriels avancés dépendants des panneaux solaires et des éoliennes. Le meilleur exemple est la destruction causée à l'économie allemande par le Parti Vert, qui a déjà réussi à fermer toutes les centrales nucléaires allemandes. Un autre point d’attaque a été la centralisation et la numérisation des monnaies. Un autre problème a été la promotion de l’intelligence artificielle dans les processus industriels, même si les mondialistes n’ont pas révélé qui achèterait tous les biens produits par une automatisation sans fin si le public consommateur avait « disparu ».
Une autre ruse consiste à centraliser la production alimentaire avec un nombre toujours plus réduit d’entreprises responsables de l’approvisionnement alimentaire. Cela a notamment consisté à évoquer des menaces pour l'approvisionnement alimentaire à travers ce qu'on pourrait appeler le « terrorisme biologique », comme l'hystérie croissante autour de la « grippe aviaire » avec des actions comme les menaces de la gouverneure du Michigan, Gretchen Witmer, d'une répression de type militaire qui pourrait entraîner davantage de violences. abattage massif déjà alarmant de volailles et de bovins. En fait, la « grippe aviaire » pourrait être la mystérieuse « maladie X » contre laquelle certains mettent désormais en garde.
Un article du 6 mai 2024 de Julian Rose dans l’ Activist Post intitulé « Madkind-v-Mankind – A Race Against Time » donne une description graphique de l’avenir que les contrôleurs ont envisagé :
« The Great Reset » est l'événement de réglage d'horloge le plus récent, bien nommé, initié par Madkind.
Il a fixé quelques dates clés dans son agenda pour le transfert de la vie organique vers un sosie robotique contrôlé numériquement, dans le but de rendre l’humanité obsolète.
Il trouve des repères utiles pour 2025/26, 2030 et 2045/50 permettant de réaliser des phases particulières de cette ambition.
Nous connaissons le plan d’action de Madkind car il est explicitement exposé dans l’Agenda 2030 des Nations Unies et dans la Quatrième révolution industrielle/Green New Deal du Forum économique mondial.
Sur le plan financier, pour commencer, une monnaie numérique de banque centrale dotée d'un programme de conformité au crédit social pour contrôler l'accès des individus à leurs comptes bancaires, est prévue pour environ 2026.
La stagnation économique mondiale et des périodes de famine humaine vont suivre.
D’ici 2030, le programme de Madkind stipule que le processus de numérisation et d’intelligence artificielle (IA) aura usurpé une grande partie de la capacité de réflexion émotionnelle et rationnelle de l’humanité ; avec des pouvoirs naturels de reproduction également stérilisés jusqu'à la soumission par la géo-ingénierie atmosphérique toujours croissante, la dénaturation de l'eau et des aliments, les fréquences électromagnétiques (CEM) et les programmes de vaccination militarisés.
À la même date, environ cinquante pour cent des aliments devraient être créés dans des laboratoires d’usine. Synthétique, génétiquement modifié et sans lien avec le sol.
Les insectes figurent en bonne place sur la liste des substituts protéiques, une fois que le lait, la viande et les œufs ont été retirés du menu parce qu'ils ont été identifiés comme complices de la folle invention de Madkind sur le réchauffement climatique.
La production d'énergie devrait être largement séparée des pratiques de combustion de combustibles fossiles d'ici la même date, remplacée par ce qu'elle considère comme des solutions « vertes » prenant le relais de ce qui reste de l'industrie productive.
D’ici 2045/50, Madkind se voit aux commandes avec sa politique dite « Net Zero » (pas de dioxyde de carbone) ayant encore réduit la biodiversité naturelle et les populations mondiales à une fraction des niveaux actuels, remplaçant l’humanité par la version cyborg IA transhumaine et un race esclave de l’humanité préservée pour des tâches subalternes inadaptées aux robots.
Il s’agit d’une liste purement superficielle et indicative – car il y a bien plus de folies en préparation que ce qui est mentionné ici. Et Madkind a un plan B, C et D si A ne se concrétise pas (à temps).
Pour mieux se le rappeler, il suffit de consulter la description de Mad Schwab de la quatrième révolution industrielle et la déclaration de Mad Harari « Nous ferons mieux que Dieu ».
La censure Nous ne sommes absolument pas censés communiquer entre nous à ce sujet. Depuis que le président Joe Biden a pris ses fonctions en 2021, le gouvernement américain s’est lancé dans une attaque majeure contre la liberté d’expression. Comme le rapporte le Brownstone Institute dans un article intitulé « Book Burning Goes Digital » :
En mars 2021, la Maison Blanche Biden a lancé une campagne de censure ouvertement inconstitutionnelle pour empêcher les Américains d’acheter des livres politiquement défavorables sur Amazon.
L'effort, mené par les censeurs de la Maison Blanche, dont Andy Slavitt et Rob Flaherty, a commencé le 2 mars 2021, lorsque Slavitt a envoyé un e-mail à Amazon exigeant de parler à un dirigeant des « niveaux élevés de propagande, de désinformation et de désinformation » du site.
Leurs discussions ultérieures restent inconnues, mais des courriels récemment publiés par le comité judiciaire de la Chambre révèlent que les censeurs ont atteint le résultat escompté. En une semaine, Amazon a adopté une politique d’interdiction fantôme.
Les responsables de l’entreprise ont écrit dans des courriels internes : « Cette demande est motivée par les critiques de l’administration Biden concernant les livres sensibles auxquels nous accordons une place importante et qui devraient être traités de toute urgence. » Ils ont en outre précisé que cette politique était « due aux critiques des partisans de Biden », ce qui signifie vraisemblablement Slavitt et Flaherty.
Nous pouvons généraliser en disant que le point central de l'attaque du gouvernement contre la liberté d'expression a été principalement des sujets liés au COVID, à la « pandémie », aux vaccins, etc. Brownstone poursuit :
À l’époque, la « désinformation sur les vaccins » était un terme utilisé pour désigner des vérités qui dérangent. Cinq mois après la campagne de censure d'Amazon, Twitter a banni Alex Berenson à la demande du gouvernement pour avoir souligné que les injections n'empêchaient pas l'infection ou la transmission. La sénatrice Elizabeth Warren (D-MA) a cité favorablement son interdiction de Twitter dans une lettre de septembre 2021 adressée à Amazon appelant à une censure accrue des livres.
Un processus similaire s'est produit chez Facebook. Mark Zuckerberg a écrit dans des courriels internes que la plateforme avait décidé d'interdire les allégations liées à la théorie des fuites en laboratoire en février 2021 après des « conversations tendues avec la nouvelle administration ». Nick Clegg, directeur de Facebook, a également écrit que la censure était due à « la pression de l’administration [Biden] et d’autres pour en faire plus ». Un autre e-mail interne de Facebook datant d’août 2021 indiquait que l’entreprise avait mis en œuvre de nouvelles politiques de « désinformation » « découlant des critiques continues de l’administration [Biden] à l’égard de notre approche ».
Non seulement l’appel du régime Biden à l’ interdiction de facto des livres conduit à la suppression de véritables informations concernant les confinements, les dommages causés par les vaccins et la théorie des fuites en laboratoire ; c'était également une violation flagrante du premier amendement.
Voir l'article original sur Brownstone.org.
Pour un examen plus détaillé de la suppression par le gouvernement et les médias d’informations sur la pandémie de COVID, voir le 8 mai 2024, Substack du Dr Robert Malone, fortement censuré , intitulé « Mise à jour sur les méfaits du vaccin à ARNm contre le COVID ». Le Dr Malone déclare :
Cela fait des années que j'attends ce moment. Le gouvernement fédéral américain commence enfin à reconnaître qu'il a forcé les citoyens (y compris le personnel militaire) de ce pays à accepter des produits injectables toxiques présentés comme des « vaccins », des produits qui contiennent ou provoquent la production par l'organisme des patients d'une toxine connue : le protéine de pointe du SRAS-CoV-2 conçue. Nous assistons désormais à un déploiement progressif de Hangouts limités, dans lesquels de hauts fonctionnaires fédéraux actuels et anciens commencent à reconnaître les décès et les préjudices imputables aux diverses utilisations d’urgence de produits « vaccins » autorisés contre la COVID-19.
Bien sûr, cela survient après des années de déni officiel fédéral, de dissimulation, de rétention de données, de marketing ouvert de produits médicaux sans licence (auprès des adultes ET des enfants), et d'une campagne massive de censure/diffamation/propagande qui a couvert pratiquement tous les médias grand public comme ainsi que les médias alternatifs. Pratiquement toutes les revues médicales évaluées par des pairs ont été cooptées et compromises, en particulier celles appartenant aux maisons d'édition partenaires du WEF, Elsevier et Springer/Nature… La récente révélation lors du témoignage public du Dr Peter Daszak aux États-Unis est pertinente à ce stade. Congrès que le Lancet (publié par Elsevier) et Nature (Springer) ont refusé de témoigner en réponse à des demandes spécifiques du Congrès.
C'est un fait que l'avalanche de censure concerne presque exclusivement la publication d'informations véridiques sur la « pandémie » de COVID ; rien n'a été attaqué par le gouvernement avec autant de véhémence sur aucun autre sujet .
Il s’ensuit que la promotion du faux discours sur le COVID pourrait être l’objectif primordial de l’administration Biden, même au-delà des questions de guerre et de paix, d’immigration illégale, de droits de l’homme ou de toute autre chose. On peut même supposer que l’ objectif principal de la présidence Biden est de préparer les États-Unis et l’humanité à un dépeuplement massif à l’échelle mondiale. Le véhicule semble désormais être le Traité sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé, qui sera soumis au vote lors de la prochaine réunion de l'Assemblée mondiale de la santé de l'OMS, du 27 mai au 1er juin 2024.
Traité de l'OMS sur la pandémie Fichier : Examen de la santé dans le monde - journal.pmed.0010003.g001.png
La santé publique dans la perception gouvernementale et non gouvernementale. (Par Giovanni Maki, Public Library of Science / Sous licence CC BY-SA 2.5)
L’OMS, une agence des Nations Unies, propose désormais en grande partie, par le biais de sa propre autorité supposée, un traité sur la pandémie qui a le potentiel de paralyser le monde dans des confinements beaucoup plus sévères que ceux qui ont eu lieu pendant la COVID, uniquement de sa propre initiative, afin qu’un Une « pandémie » pourrait avoir lieu. L’OMS – ou quels que soient ses « patrons » – pourra rendre obligatoire la vaccination et les « passeports vaccinaux » pour chaque être humain sur la planète tout en supprimant tout débat ou dissidence.
Les critiques soulignent – lorsqu’on leur permet de parler – qu’il n’existe absolument aucune preuve que les épidémies naturelles de maladies infectieuses soient proches du niveau qu’implique le programme totalitaire de répression sociétale que le traité mettrait en œuvre. Cela fait naître le soupçon que de telles épidémies ne pourraient être provoquées que par la libération délibérée de microbes générés par une R&D à « gain de fonction », similaire à ce qui a probablement été fait avec le COVID.
L’administration Biden a déclaré son intention d’être partie à l’accord de l’OMS, mais elle ne donnera pas au Sénat américain la possibilité de ratifier un tel traité comme le prévoit la Constitution américaine. Ils prétendent que le traité peut être mis en œuvre par décret de l’exécutif.
Le traité constitue une atteinte évidente à la souveraineté de toute nation qui choisit d’y participer et une menace au caractère sacré de la personnalité de chaque individu. Aux États-Unis, la Déclaration des droits serait pratiquement suspendue.
Pour mettre en œuvre les mandats de l'OMS, l'administration Biden a créé sa propre agence de niveau exécutif, le Bureau de la politique de préparation et de réponse aux pandémies (OPPRP). Approuvée par le Congrès en 2023, l'agence « dirige, coordonne et met en œuvre des actions liées à la préparation et à la réponse aux menaces biologiques et aux agents pathogènes connus et inconnus qui pourraient conduire à une pandémie ou à des perturbations importantes liées à la santé publique aux États-Unis. .» Un système bureaucratique appelé « One Health » est en construction comme mécanisme d’organisation.
Fondamentalement, One Health entend contrôler toutes les facettes de la vie : économie, eau, politiques publiques, risques sanitaires au travail, agriculture, commerce mondial, santé environnementale, écosystèmes, communications, changement climatique et accessoirement, pandémies et santé humaine. (« Patrick Wood explique comment One Health inclut tout et qu'il est déjà intégré dans nos agences nationales », Meryl's COVID Newsletter , 8 mai 2024)
« Connu et inconnu » ; « Cela pourrait conduire à une pandémie… » dit la charte de l'OPPRP. Une véritable pandémie n’est même pas nécessaire. Et personne ne dit comment les mandats approuvés par l’OPPRP, susceptibles de s’appliquer à des centaines de millions de personnes, seront appliqués au niveau des communautés et des individus. Mais comme avec le COVID, des activités telles que les réunions de famille, les achats ou les services religieux seraient sans aucun doute criminalisées, tandis que les écoles reviendraient au processus ruineux d’apprentissage de la cyber-instruction.
Pour en revenir à l’OMS, quels sont ses patrons qui joueront le rôle d’arbitre international de toute crise microbienne réelle ou possible ? La figure la plus puissante derrière le financement de l'OMS est le multimilliardaire américain Bill Gates, qui, comme indiqué ci-dessus, est aujourd'hui le membre le plus visible de la hiérarchie mondialiste déterminée à réduire la population humaine de la planète. Gates et ses associés du FEM seront-ils les décideurs ultimes ?
Comme indiqué précédemment, la COVID peut probablement être considérée comme un essai à sec pour les sanctions beaucoup plus sévères promises par le Traité sur la pandémie de l’OMS. Comment l’OMS s’est-elle comportée pendant la crise du COVID ? Nous pourrions peut-être en avoir un aperçu en examinant un procès récemment intenté à Genève, en Suisse, où se trouve le siège de l'OMS, par un groupe d'avocats internationaux par l'intermédiaire d'une organisation appelée Comité directeur du Conseil mondial de la santé.
Le procès est dirigé contre le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS. Parmi les allégations longues et détaillées contre Ghebreyesus figurent celles de « faussement informer les gouvernements du monde entier d’une soi-disant pandémie, amenant ainsi les gouvernements à déclarer des urgences médicales inexistantes » qui « ont été et font toujours partie intégrante d’une chaîne d’événements qui est entraînant des pertes massives de vies humaines, d’immenses dommages physiques, ainsi qu’une détresse psychologique et un traumatisme indicibles pour les habitants de cette planète.
Soit dit en passant, le Dr Ghebreyesus n’est pas médecin. Il est plutôt titulaire d'un doctorat en philosophie (PhD) en santé communautaire de l'Université de Nottingham, au Royaume-Uni. En fait, le Royaume-Uni a été fortement impliqué dans l’élaboration du traité de l’OMS, le Premier ministre britannique de l’époque, Boris Johnson, étant signataire de l’article proposant à l’origine le traité.
Le texte du procès du Comité directeur du Conseil mondial de la santé continue :
Ces actions semblent avoir conduit les gouvernements à déployer des organismes génétiquement modifiés (OGM) contre le SRAS-CoV-2 insuffisamment testés, faussement appelés « vaccins », qui sont également des thérapies géniques, à rendre obligatoires des protocoles de masquage non scientifiques, à mettre en œuvre des mesures de « distanciation sociale » inhumaines et anti-scientifiques, acheter et déployer des tests PCR inefficaces et frauduleux, utilisés ensuite pour créer de fausses « casémies » afin de justifier des « confinements » illégaux, des fermetures d’entreprises et des assignations à résidence.
Les plaignants demandent ce remède de la part du Dr Ghebreyesus :
Nous exigeons que, avec effet immédiat, vous cessiez de prendre d'autres mesures qui impliqueraient des communications fausses et frauduleuses aux gouvernements, provoquant ainsi ou entraînant de nouveaux cas du type de résultats catastrophiques décrits ci-dessus.
Le procès exige également une responsabilité personnelle de la part du Dr Ghebreyesus :
Nous vous informons également que le fait de ne pas cesser ou de s'abstenir de toute implication ou implication continue ou répétée dans les dommages ci-dessus engagera votre responsabilité à la fois en votre qualité personnelle et professionnelle. En tant qu'homme, vous ferez l'objet d'une enquête pour association de malfaiteurs. En tant que mandataire social, vous ferez l’objet d’une enquête pour négligence grave, faute grave dans l’exercice d’une fonction publique, fraude en entreprise et potentiellement même complicité d’homicide involontaire en entreprise.
Pour des informations complètes sur l'opposition du Conseil mondial de la santé à l'OMS et à ses plans et programmes, consultez leur site Web à l'adresse https://worldcouncilforhealth.org/ .
Demandez-vous alors si l’OMS doit se voir confier l’avenir de la race humaine ou si le traité de l’OMS est une prescription pour une extinction massive. Demandez-vous alors si l’humanité manque suffisamment de respect pour elle-même au point d’accepter cette parodie ?
Opposition à l'OMS Il existe une opposition croissante au Traité de l’OMS sur la pandémie, en particulier parmi les organisations et les individus qui mènent la prise de conscience générale de la société face aux horreurs infligées par les autorités gouvernementales mondiales en ce qui concerne la pandémie de COVID. Dans le même temps, le monde commence seulement à prendre conscience des dommages déjà infligés par les « vaccins » à ARNm administrés à des centaines de millions de personnes dans le monde.
La communication sur ces sujets vitaux continue d’être réprimée par l’administration Biden et d’autres gouvernements dans le monde. L’urgence de la nécessité de lutter contre l’imposition du Traité de l’OMS sur la pandémie a à peine pénétré la sphère politique.
Dans le même temps, la prise de conscience grandit. Aux États-Unis, l’État de Louisiane pourrait bientôt déclarer qu’il ne sera pas soumis aux mandats de l’ONU ou de l’OMS. Une législation similaire a été introduite en Oklahoma. 22 procureurs généraux d’État ont dit la même chose.
L’opposition a également été récemment exprimée dans une lettre adressée au président Biden par les 49 sénateurs américains de la Conférence sénatoriale républicaine. Tel que rapporté par Fox News (2 mai 2024) :
Le sénateur Ron Johnson, républicain du Wisconsin, a dirigé l'ensemble de la conférence du Sénat républicain en appelant le président Biden à rejeter les accords qui étendraient l'autorité de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en cas de pandémie mondiale.
« Nous vous exhortons fortement à ne adhérer à aucun traité, convention ou accord lié à la pandémie envisagé » lors de la 77e Assemblée mondiale de la santé, lit-on dans une lettre envoyée à Biden par Johnson et les 48 autres sénateurs républicains.
Les sénateurs républicains ont souligné qu’un tel accord serait considéré comme un traité, qui, selon eux, nécessite « l’accord des deux tiers du Sénat en vertu de l’article I, section 2 de la Constitution ».
Le sénateur Ron Johnson a dirigé tous les sénateurs républicains dans une lettre à Biden, l'appelant à ne pas soutenir les accords visant à étendre l'autorité de l'OMS.
L'Assemblée mondiale de la santé (AMS) aura lieu du 27 mai au 1er juin et des accords internationaux devraient être examinés.
La WHA est l'organe décisionnel de l'OMS, qui se réunit chaque année afin de définir ses objectifs et d'élaborer des politiques entre les 194 États membres.
Cependant, en raison du tollé croissant, la Grande-Bretagne, l'un des premiers partisans du traité, envisage désormais de voter contre le traité. Selon Reuters (9 mai 2024), « nous ne soutiendrons l'adoption de l'accord et ne l'accepterons au nom du Royaume-Uni que s'il est fermement dans l'intérêt national du Royaume-Uni et respecte la souveraineté nationale », a déclaré un porte-parole du ministère britannique de l'Éducation. Santé et protection sociale confirmées. Le gouvernement des Pays-Bas serait également opposé au traité.
Opposition populaire Parmi les personnes à la tête de l'opposition aux États-Unis et dans le monde se trouve le Dr Meryl Nass, un médecin du Maine dont le permis d'exercice de la médecine a été suspendu lorsqu'elle a prescrit des médicaments pour le traitement du COVID qui, bien que légaux, ont été mal vus par les autorités médicales comme non conformes aux les protocoles de traitement souvent mortels préférés par le gouvernement. Les médicaments en question étaient bien entendu l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. La sous-pile du Dr Nass peut être trouvée ici .
Le Dr Nass a recommandé une série de mesures que les gouvernements souverains doivent prendre pour lutter contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. Voir sa sous-pile ici intitulée « Que peuvent faire les législateurs pour empêcher l'Accord (Traité) sur la pandémie et les amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) d'aller de l'avant lors de la 77e réunion de l'Assemblée mondiale de la santé (AMS), qui aura lieu le 27 mai. au 1er juin 2024 ?
Conclusion Pour beaucoup, l'attitude mondialiste est pleinement visible dans le commentaire célèbre attribué au prince Philip de Grande-Bretagne par The Guardian en 2009, où il aurait déclaré : « Dans le cas où je me réincarne, j'aimerais revenir sous la forme d'un virus mortel. , pour contribuer à résoudre la surpopulation.
La DARPA est la Defense Advanced Research Projects Agency, l’un des principaux bailleurs de fonds du développement de vaccins. Consultez son site Web pour son article intitulé « Retirer les incertitudes du développement de vaccins : le programme AIM vise à exploiter les mécanismes immunitaires de l’hôte pour déterminer si les vaccins candidats fourniront une protection immunitaire de longue durée ».
Et l’armée américaine à laquelle appartient la DARPA est à 100 % sous contrôle mondialiste. Cela a été confirmé il y a longtemps par Henry Kissinger, qui a déclaré : « Les militaires sont des animaux stupides et stupides qui servent de pions pour la politique étrangère. »
Mais il ne s’agit pas uniquement de militaires. Les mondialistes nous voient tous de la même manière ; essentiellement comme un simple troupeau de bovins.
Comme je l'ai indiqué au début de cet article, la précipitation des événements dans l'actualité aujourd'hui en raison des innombrables conflits et crises, y compris les troubles associés à l'élection présidentielle américaine de 2024, a empêché la gravité des actions de l'OMS d'être pleinement exposée et apprécié, non seulement parmi les classes politiques des nations du monde, mais aussi auprès du public en général.
Dans le même temps, compte tenu de la prise de conscience croissante du public et des politiques, de plus en plus de rapports indiquent que la version actuelle du Traité de l’OMS sur la pandémie n’a aucune chance d’être approuvée lors de la prochaine réunion du 27 mai au 1er juin 2024. Cela ne signifie pas, bien sûr, qu'ils n'essaieront pas encore et encore, et encore… ou qu'une nouvelle maladie X, Y ou Z utilisant l'amélioration du gain de fonction ne sera pas publiée pour provoquer le urgence tant attendue. Le dernier clou dans le cercueil de l’humanité serait le prochain.
L'objectif des criminels au pouvoir est connu de tous: Application du Plan Dépopulation21. Il n'est pas besoin de sortir de 'grandes écoles' pour reconnaître ce fait indiscutable: plus il y a de monde plus il y a de personnes intelligentes. Toutes les inventions sur Terre ne viennent pas des dictateurs sanguinaires mais proviennent exclusivement du Peuple. C'est une guerre menée contre l'intelligence. L'Internet censuré. "Vous ne devez pas savoir ! Vous n'aurez RIEN et serez heureux !" HAHAHAHA !
Après 70 ans , dans le Nouveau Monde , tu ne sers à rien , il faut faire des économies
le 20 Mai 2024 par pgibertie
@philippejeanpr1
En réalité, il est quasiment toujours possible de mettre fin à ses jours tout seul (le suicide existe depuis toujours). Le but réel de la loi euthanasie n’est donc pas de permettre à des personnes de mettre fin à leurs jours mais de pousser des gens au suicide.
𝗙𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 : 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝗽𝘂𝘁𝗲́𝘀 𝗳𝗼𝗻𝘁 𝘀𝗮𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲-𝗳𝗼𝘂𝘀 𝗱𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗼𝗶 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗮𝗶𝗱𝗲 𝗮̀ 𝗺𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 Le «modèle français» de la fin de vie s’annonce encore plus permissif que prévu. En quelques jours, plusieurs «conditions strictes» proposées par le gouvernement pour limiter l’accès à l’aide à mourir ont sauté lors de l’examen du texte en Commission spéciale:
Introduction de l’aide à mourir dans le code de la Santé Publique.
Suppression du critère de pronostic vital engagé
Remplacement par le critère de « phase avancée ou terminale » de la maladie, encore plus large et flou
Porte ouverte au suicide assisté OU à l’euthanasie, au choix
Inscription de la demande d’euthanasie dans les directives anticipées – au cas où la personne ne serait plus conscient
Assouplissement du délai de réflexion de 48H
Création d’un délit d’entrave à l’aide à mourir «Notre désarroi et notre inquiétude sont immenses devant ce texte qui devient le plus permissif au monde et nous place dans la droite ligne du Canada, c’est-à-dire avec la possibilité d’un nombre d’euthanasies supérieur à 40.000 par an en France»
La récente campagne d’affichage de la mairie de Paris en faveur de l’euthanasie a suscité de vives réactions. Utilisant les ressources publiques de la ville de Paris , cette initiative soulève des questions fondamentales sur certaines valeurs éthiques diffusées ou plutôt imposées.
Cette tentative de normaliser et de banaliser une pratique en totale contradiction avec la foi et les valeurs morales d’un nombre significatif de personnes ,dont les chrétiens, pose le problème de la liberté individuelle sur une thématique fondamentale de notre société ; le rapport à la mort.
@clairefourcade3
Lire « Le Système totalitaire » d’Arendt est de circonstance. ET plus que jamais d’actualité.
Emmanuel Macron avait promis, lors de la campagne électorale de son second quinquennat en 2022, un texte sur la fin de vie qui irait plus loin que le dernier en date, la loi Claeys-Leonetti de 2016, qui avait introduit la possibilité, pour des personnes en fin de vie confrontées à des souffrances réfractaires, d’avoir recours à une « sédation profonde et continue jusqu’à la mort ».
L’exécutif redouble de précautions oratoires pour justifier son projet de loi légalisant l’euthanasie et le suicide assisté. À force d’être assénée, cette circonspection a fini par s’inscrire dans la conscience collective. Pourtant, une lecture attentive du projet de loi montre que cette prudence affichée est factice ; un effort minimal de législation comparée prouve au contraire que la loi française serait la plus permissive au monde – sans même envisager les inévitables évolutions à venir.
Dans son avis sur le projet de loi, le Conseil d’État a appelé le gouvernement à définir « de manière suffisamment claire et précise les actes entrant dans le champ de l’aide à mourir ». Sans récuser l’expression « aide à mourir », les Sages lèvent le voile sur sa réalité et appellent le gouvernement à préciser ses euphémismes. Ce texte « a pour objet principal de créer une “aide à mourir”, entendue comme la légalisation, sous certaines conditions, de l’assistance au suicide, et dans l’hypothèse où la personne n’est pas en mesure physiquement de s’administrer elle-même la substance létale de l’euthanasie ». La haute instance reconnaît en outre que le texte introduit « une double rupture par rapport à la législation en vigueur », en inscrivant la fin de vie « dans un horizon qui n’est plus celui de la mort imminente » et en autorisant « pour la première fois un acte ayant pour intention de donner la mort », remettant en cause plusieurs articles du code de la santé publique.
La procédure « collégiale », promise par le président de la République pour évaluer les demandes d’aide à mourir, interroge également. Dans le projet, il ne s’agit en fait que de l’avis d’un second médecin et d’un autre soignant. Le premier médecin sollicité par le patient endosserait seul la décision d’autoriser un suicide assisté ou une euthanasie. Ce point n’a pas été retoqué par le Conseil d’État, mais la haute juridiction a cependant jugé bon de préciser qu’il fallait s’assurer que les soignants appelés à se pencher sur ces demandes ne soient pas « membres de la famille » du patient et que le médecin chargé d’émettre un avis ait « accès au dossier médical » ou puisse « s’il le souhaite, demander à examiner la personne ».
« L’absence de procédure collégiale place le médecin dans une position de toute-puissance que l’on voudrait révolue. Nous, soignants, nous ne voulons pas avoir à décider qui doit vivre et qui peut mourir », interpelle Claire Fourcade, la présidente de la Société française de soins palliatifs (Sfap). Les critères d’accès au suicide assisté, bien que présentés comme « stricts » par Emmanuel Macron, apparaissent comme autant de faux-semblants aux soignants inquiets. « Partout où la mort provoquée a été légalisée, tous les garde-fous initiaux ont été peu à peu levés, commente Claire Fourcade. Les “conditions strictes” censées encadrer la mort provoquée ne sont donc que des conditions provisoires destinées à rassurer la population et les soignants. Mais nous n’en sommes pas dupes. »
Mais, pour Jean Leonetti, le projet du gouvernement acte bien une « double rupture » : avec la loi Claeys-Leonetti d’abord, mais aussi avec l’offre telle qu’elle est proposée aujourd’hui dans les structures de soins palliatifs. « La cohabitation de ces deux textes est faite pour donner l’apparence d’un équilibre, mais l’impression est fausse, puisque les maisons d’accompagnement annoncées ont vocation à se substituer aux soins palliatifs. Des maisons où l’on peut imaginer que l’aide active à mourir sera pratiquée », fait-il observer. Jean Leonetti est peu surpris de voir émerger certaines réactions « inquiètes » dans l’univers des soins palliatifs et « consternées » chez les juristes.
1°) Un retraité touche SA retraite de cotisant. 2°) C'est un consommateur comme les autres, et dépense l''argent' sorti de la planche-à-billets. 3°) Le plan futur est de s'en prendre aux nouveaux-nés qui 'coûtent cher' durant deux décennies sinon plus. 4°) Copié-collé de la machine opérationnelle à 100 % dès le premier jour.
L'ancien directeur du CDC déclare qu'il est grand temps d'admettre les « effets secondaires importants » des vaccins contre le COVID-19
PAR TYLER DURDEN LUNDI 20 MAI 2024 - 10H11 Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times
Le Dr Robert Redfield, ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), a déclaré jeudi que de nombreux responsables qui ont tenté d'avertir le public des problèmes potentiels liés aux vaccins contre le COVID-19 ont été contraints au silence et qu'il est grand temps d'admettre que il y avait des effets secondaires « importants » qui rendaient les gens malades.
Le Dr Redfield a fait ces remarques dans une interview accordée le 16 mai à Chris Cuomo sur NewsNation, au cours de laquelle il a déploré la perte de confiance du public dans les agences de santé publique en raison du manque de transparence autour des vaccins, qui, selon lui, « ont sauvé de nombreuses vies ». mais cela a également rendu certaines personnes « très malades ».
"Ceux d'entre nous qui ont essayé de suggérer que les vaccins pourraient avoir des effets secondaires importants... nous avons en quelque sorte été annulés parce que personne ne voulait parler du problème potentiel des vaccins, parce qu'ils avaient peur que cela provoque les gens ne veulent pas se faire vacciner », a déclaré le Dr Redfield.
Dans son rôle de chef du CDC, le Dr Redfield a participé à l'opération Warp Speed de l'administration Trump, un projet visant à accélérer le développement d'un vaccin contre le COVID-19 à un moment de la pandémie où l'on savait peu de choses sur le virus et où le déploiement rapide du vaccin était largement répandu. considérée comme la clé pour maîtriser l’épidémie et lever les confinements.
En septembre 2020, quelques mois avant l’administration des premiers vaccins contre la COVID-19 aux États-Unis, le Dr Redfield a témoigné devant le Sénat que la COVID-19 représentait « le défi de santé publique le plus important auquel notre nation soit confrontée depuis plus d’un siècle ». » et que l’opinion dominante parmi les scientifiques à l’époque était que le taux de mortalité global de la maladie se situait entre 0,4 et 0,6 pour cent aux États-Unis.
« Si vous regardez actuellement les individus de moins de 18 ans, c’est environ 0,01 pour cent, 19 pour dire 69 ans, c’est plutôt 0,3 pour cent. Et si vous avez plus de 70 ans, c’est environ 5 pour cent maintenant », avait-il déclaré à l’époque.
Bien qu'il existe une controverse persistante sur la gravité du COVID-19, une étude récente estime que le taux de létalité mondial était de 8,5 % en février 2020, mais avait plongé à 0,27 % en août 2022, ce qui signifie que la réduction du risque relatif estimée sur cette période était un un énorme 96,8 pour cent.
Dans son interview sur NewsNation, le Dr Redfield a déclaré que les vaccins développés dans le cadre de l’opération Warp Speed étaient « importants » et sauvaient « de nombreuses vies ». Cependant, malgré leurs avantages, les inconvénients des vaccins doivent faire l’objet d’un débat ouvert, a-t-il déclaré.
« Ils sont importants pour les personnes les plus vulnérables, celles de plus de 60, 65 ans. Ils ne sont vraiment pas si critiques pour ceux qui ont moins de 50 ans ou moins. Mais ces vaccins ont sauvé beaucoup de vies, mais ils ont aussi… nous devons être honnêtes, certaines personnes ont ressenti des effets secondaires importants à cause du vaccin », a-t-il déclaré.
« J’ai un certain nombre de personnes qui sont très malades et qui n’ont jamais eu le COVID, mais elles sont malades à cause du vaccin », a-t-il poursuivi. "Et nous devons simplement le reconnaître."
La gravité de la COVID-19 reste un sujet de débat, car il n'est pas clair si les décès ont été surestimés ou sous-estimés en raison de divers facteurs, tels que le manque de clarté quant au rôle des problèmes de santé sous-jacents dans les décès dans les cas où la COVID-19 était répertoriée comme principale cause de décès. cause ou sous-déclaration des infections asymptomatiques. Outre la question de savoir si les personnes sont décédées « à cause » du COVID-19 ou « avec » un test positif au SRAS-CoV-2, des questions ont également été soulevées sur le rôle de la pneumonie secondaire provoquée par la ventilation mécanique.
Quoi qu’il en soit, une étude de janvier 2023 indique que le taux mondial de mortalité dû au COVID-19 a chuté de façon spectaculaire au cours de la pandémie. Selon l'étude, le taux de mortalité dans le monde variait entre 1,7 et 39,0 pour cent entre février et mars 2020, mais est tombé en dessous de 0,3 pour cent entre juillet et août 2022.
Les chercheurs estiment que le risque de décès dû au COVID-19 a diminué de 96,8 % au cours de la pandémie.
Parallèlement à la baisse du nombre de décès dus au COVID-19, les effets secondaires des vaccins suscitent de plus en plus d’inquiétudes, étant donné qu’un nombre important de personnes vaccinées ont signalé diverses réactions indésirables.
Les événements indésirables du vaccin COVID-19 les plus courants sont ceux qui affectent le corps en général, la fièvre, la fatigue et l'inconfort général étant les trois principaux, selon le système américain de rapport des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS). Mais il y en a d'autres.
Par exemple, l’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) et l’inflammation de la muqueuse extérieure du cœur (péricardite) ont toutes deux été officiellement reconnues par le CDC comme un effet secondaire connu des vaccins à ARNm COVID-19 de Moderna et Pfizer.
Des troubles du système nerveux ont également été signalés, ces troubles étant les troisièmes plus fréquents dans les essais Pfizer, après les événements indésirables généraux et musculaires.
Des articles ont également établi un lien entre les vaccins contre la COVID-19 à base de protéines de pointe et des problèmes de peau, un bourdonnement sourd dans les oreilles appelé acouphène, des déficiences visuelles, la coagulation sanguine et même la mort. Un reportage récent du programme « American Thought Leaders » d’EpochTV indique que la probabilité de décès associé aux vaccins contre la COVID-19 (à proximité immédiate de l’injection plutôt que prouvée comme causée par celle-ci) était plus de 100 fois plus élevée que pour les vaccins contre la grippe.
On s’inquiète également d’une augmentation post-vaccination des décès et des invalidités.
Le CDC recommande toujours que les personnes de tous âges reçoivent un vaccin contre le COVID-19, affirmant que les effets secondaires potentiels ne l’emportent pas sur les méfaits potentiels de tomber malade avec le COVID-19.
Dans un avis publié fin avril, l’agence a de nouveau appelé les adultes âgés de 65 ans et plus à se procurer la dernière version des vaccins.
COVID-19 et Vax ont contribué à l'augmentation des maladies auto-immunes rares en 2021 : étude
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 19 MAI 2024 - 21H45 Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Les cas d’une maladie auto-immune rare ont augmenté entre 2020 et 2022 dans le Yorkshire, en Angleterre, avec un pic en 2021. L’infection au COVID-19 et ses vaccins ont peut-être contribué à cette augmentation, selon une étude récente publiée dans eBioMedicine de The Lancet.
La maladie – dermatomyosite positive à la protéine 5 associée à la différenciation du mélanome (anti-MDA5), ou dermatomyosite anti-MDA5 – est une maladie inflammatoire caractérisée par une faiblesse musculaire, des éruptions cutanées et une maladie pulmonaire à progression rapide.
La dermatomyosite anti-MDA5 est très rare.
En 2019, le Yorkshire, qui compte 3,6 millions d’habitants, a signalé deux personnes testées positives pour la maladie. En 2020, ils étaient neuf. Les cas ont culminé en 2021 avec 35 nouveaux cas. Ce nombre est ensuite tombé à 16 nouveaux cas en 2022.
Les nouveaux cas auto-immuns pourraient être dus aux interactions entre le virus de la COVID-19 et l’ARN du vaccin, a déclaré à Epoch Times l’auteur principal de l’étude, le Dr Dennis McGonagle, professeur clinicien de médecine à l’Université de Leeds.
Outre l’étude du Lancet, plusieurs études de cas ont documenté de nouveaux cas d’anti-MDA5 suite à une infection ou à une vaccination contre le COVID-19.
Qu'est-ce que la dermatomyosite anti-MDA5 La dermatomyosite anti-MDA5 est une maladie auto-immune dans laquelle l'organisme s'attaque lui-même. Cela peut souvent apparaître sans cause claire.
La dermatomyosite a tendance à affecter la peau, les muscles et les poumons. La dermatomyosite anti-MDA5 implique une maladie pulmonaire à évolution rapide, ce qui confère à la maladie un mauvais pronostic.
MDA5 est une protéine présente en dehors des muscles et des tissus, particulièrement présente dans les poumons. Par conséquent, lorsque le corps forme des anticorps anti-MDA5 pour attaquer le MDA5, il peut détériorer les organes et tissus associés.
MDA5 peut détecter et se lier à l’ARN étranger, y compris l’ARN du COVID-19. Lors de sa détection, il signale à d’autres cellules immunitaires de combattre l’envahisseur étranger ou de se faire vacciner.
"Nous pensons que... [cela se produit] parce que MDA5 est le récepteur ou le site d'accueil de l'ARN viral, et que cela déclenche d'une manière ou d'une autre la production d'anticorps contre celui-ci", a déclaré le Dr McGonagle.
Dans une infection au COVID-19, la liaison de MDA5 à l'ARN peut entraîner une trop grande activité de MDA5 en réponse, le Dr Pradipta Ghosh, directeur de l'Institut de médecine de réseau de l'Université de Californie à San Diego et autre auteur correspondant de l'étude, a déclaré à Epoch Times.
Il a été démontré que les patients atteints de COVID-19 présentaient une activité élevée du gène MDA5 dans leurs liquides pulmonaires, ce qui suggère en outre que le virus pourrait avoir déclenché de nouveaux cas de MDA5.
Outre les anti-MDA5, 15 autres autoanticorps peuvent contribuer à des maladies similaires liées à la dermatomyosite. Le rôle du MDA5 dans l’infection et la vaccination par le COVID-19 peut expliquer pourquoi, pendant la pandémie, seuls les cas de dermatomyosite anti-MDA5 ont augmenté, alors que les autres auto-anticorps impliqués dans la dermatomyosite n’ont pas augmenté.
Entre 2020 et 2022, les 60 nouveaux patients atteints de dermatomyosite anti-MDA5 dans le Yorkshire ont été évalués. Tous ont développé des symptômes.
Plus de 40 % ont développé une maladie pulmonaire interstitielle et ont eu un pronostic pire. La moitié était décédée au moment de la publication de l’étude.
Les auteurs ont noté que les cas d’anti-MDA5 pendant la pandémie se présentaient légèrement différemment des cas pré-pandémiques.
Par rapport à la période pré-pandémique, les cas d’anti-MDA5 signalés pendant la pandémie présentaient un taux de maladies pulmonaires et un taux de mortalité inférieurs, a déclaré le Dr Ghosh. La maladie a également touché les Blancs, par opposition aux Asiatiques, qui constituaient auparavant le groupe démographique le plus prédominant.
Les patients en période de pandémie ont tendance à signaler des affections cutanées telles que des éruptions cutanées, une diminution du flux sanguin vers les doigts, des douleurs musculaires, etc.
Augmentation fortuite Le pic des cas anti-MDA5 entre avril et juillet 2021 a coïncidé étroitement avec l’adoption par le Yorkshire des vaccins contre le COVID-19 et s’est produit à une période de « positivité communautaire plus élevée pour le SRAS-CoV-2 en 2021 », ont rapporté les auteurs. Les vaccinations ont commencé dans le Yorkshire en janvier 2021 et ont diminué en octobre.
Environ 90 pour cent de la population du Yorkshire était vaccinée et 49 des 60 cas avaient été documentés comme étant vaccinés contre le COVID-19.
En revanche, seulement 15 personnes sur 60 avaient eu une infection confirmée au COVID-19.
Alors que de nombreuses personnes ont été testées positives pour le COVID-19 à l’époque, les auteurs ont noté que les cas d’anti-MDA5 n’ont pas augmenté immédiatement après une augmentation des cas de COVID-19.
Autres rapports En plus des rapports du Yorkshire, d’autres études ont montré un lien entre la dermatomyosite anti-MDA5 et le COVID-19 et son vaccin.
Une étude de cas italienne publiée dans Frontiers in Immunology a rapporté le cas d’une femme âgée non vaccinée qui a développé une dermatomyosite anti-MDA5 un mois après son infection au COVID-19. Elle souffrait de douleurs articulaires et développait des éruptions cutanées et des lésions sur la poitrine, le visage et les mains.
Les auteurs ont fait valoir que MDA5, qui est impliqué dans l’activation de diverses cytokines, peut précipiter des réactions inflammatoires lorsqu’il est exposé au SRAS-CoV-2.
Un autre article publié dans SN Comprehensive Clinical Medicine a rapporté un cas de dermatomyosite anti-MDA5 survenu une semaine après la vaccination contre le COVID-19. Les chercheurs ont émis l’hypothèse que les anticorps dirigés contre les protéines de pointe du virus SARS-CoV-2 pourraient réagir de manière croisée avec des protéines humaines comme le MDA5.
Cependant, le Dr Ghosh a déclaré que même si la protéine Spike a été impliquée dans d’autres maladies auto-immunes, la maladie anti-MDA5 est causée par des anticorps contre MDA5 et non par Spike.
« Je crois que nous avons beaucoup de travail à faire avant de pouvoir commencer à comprendre pourquoi ou comment notre corps réagit à ce virus, ses particules, son ARN/protéine – même l’ARN codant pour ses composants clés que nous utilisons comme vaccin dans la pléthore de vaccins. de la manière dont cela le fait », a-t-elle expliqué.
L'ancien directeur du NIH confirme qu'il n'y a « aucune science » derrière les règles de distance de 6 pieds
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 18 MAI 2024 - 18H15
Le témoignage récemment publié de l'ancien directeur du NIH, le Dr Francis Collins, confirme qu'Anthony Fauci et Deborah Birx n'ont pas fondé la règle de distance sociale de six pieds à l'époque de la pandémie sur la science, mais ont plutôt inventé les choses au fur et à mesure.
Jeudi, le représentant Brad Wenstrup (R-OH), président du sous-comité spécial sur la pandémie de coronavirus, a publié une transcription de l'interview à huis clos de Collins en janvier, dans laquelle il a été interrogé sur une série de questions, y compris la fuite en laboratoire. théorie et la règle de distance sociale de six pieds.
"Nous avons demandé au Dr Fauci d'où venaient les six pieds et il a dit que cela venait juste d'apparaître, c'est la citation", a déclaré l'avocat majoritaire du comité au Dr Collins, selon la transcription. « Vous souvenez-vous des données scientifiques ou des preuves appuyant la distance de six pieds ? »
"Je ne le fais pas", a répondu Collins.
L'avocat a alors demandé : « Est-ce que je ne m'en souviens pas ou est-ce que je ne vois aucune preuve soutenant six pieds ?
Ce à quoi Collins a répondu : "Je n'ai vu aucune preuve, mais je ne suis pas sûr qu'on m'aurait montré des preuves à ce moment-là."
"Depuis, c'est un sujet extrêmement vaste. Avez-vous vu depuis lors des preuves soutenant six pieds?" L'avocat a répondu.
"Non", a déclaré Collins.
Comme le note également Epoch Times, les remarques du Dr Collins offrent une indication supplémentaire que les responsables émettant des lignes directrices au plus fort de la pandémie prenaient, au moins dans une certaine mesure, des décisions qui n’étaient pas explicitement étayées par des données scientifiques.
Divers responsables impliqués dans l’élaboration de la réponse américaine à la pandémie, dont le Dr Fauci, ont déclaré qu’ils prenaient des décisions de bonne foi sur la base des données disponibles à l’époque et qu’une fois que de nouvelles informations étaient apparues, ils avaient ajusté leurs recommandations en conséquence.
Focus sur la distance sociale
Alors que l'épidémie de COVID-19 se propageait en 2020, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié des directives décrivant la distance sociale, y compris le fait de rester à l'écart des lieux de rassemblement, d'éviter les rassemblements de masse et de maintenir une distance d'au moins six pieds avec les autres lorsque cela est possible. .
Les dernières directives du CDC sur la prévention des infections par les virus respiratoires (mises à jour le 4 avril 2024) comprennent une section sur la distance physique. Cela indique que mettre une distance physique entre soi et les autres peut contribuer à réduire le risque de propagation d’un virus respiratoire.
« Il n'existe pas de chiffre unique qui définit une distance « de sécurité », car la propagation des virus peut dépendre de nombreux facteurs », indique le guide, qui concorde avec des études comme celle de 2021 qui concluait que les six mesures universelles La règle de distance physique à pied n’est pas valide.
Cependant, les dernières directives du CDC pour les établissements de santé, mises à jour le 18 mars 2024, font plusieurs références à six pieds. Par exemple, il recommande que dans les établissements dentaires dotés d’espaces ouverts, une stratégie pour empêcher la propagation du COVID-19 consiste à garantir « au moins 6 pieds d’espace entre les fauteuils des patients ». Il définit également le « contact étroit » entre individus comme « le fait de se trouver à moins de 6 pieds pendant un total cumulé de 15 minutes ou plus sur une période de 24 heures avec une personne infectée par le SRAS-CoV-2 ».
Epoch Times a contacté le CDC pour lui demander de commenter les remarques du Dr Collins et de clarifier la base scientifique sur laquelle l'agence a intégré le chiffre de six pieds dans ses directives de prévention du COVID-19.
En mars, le CDC a également mis à jour ses directives à l’intention des personnes testées positives au COVID-19, leur indiquant qu’elles n’ont plus besoin de s’isoler pendant cinq jours.
Les directives mises à jour indiquaient que la menace du COVID-19 est devenue plus similaire à celle d’autres virus respiratoires, et donc plutôt que de fournir des directives supplémentaires spécifiques au virus, le CDC a opté pour une « approche unifiée et pratique ».
En justifiant son passage aux nouvelles directives, qui traitent essentiellement le COVID-19 comme n'importe quel autre virus respiratoire, le CDC a déclaré que de nombreuses personnes présentant des symptômes de virus respiratoire ne savent souvent pas quel agent pathogène est à l'origine de leurs symptômes, une approche unifiée est donc plus pratique. .
De nombreux médecins ont longtemps exhorté le CDC à abandonner la recommandation d'isolement de cinq jours, mais pas plus tard qu'à la mi-février, l'agence a continué à attendre avant d'effectuer ce changement, invoquant la nécessité de davantage de consultations.
Dans les lignes directrices mises à jour, le CDC a fait un clin d’œil aux « coûts personnels et sociétaux d’un isolement prolongé », y compris les congés de maladie payés limités.
Un certain nombre d’experts et d’études ont mis en garde contre les méfaits d’un isolement prolongé pendant la pandémie. Par exemple, l’American Psychological Association a déclaré en novembre 2023 que les Américains avaient subi un « traumatisme collectif » lié à la pandémie. L’association a cité une étude suggérant que la réponse musclée à l’épidémie de COVID-19 – qui, en plus de la règle de distanciation sociale, comprenait des quarantaines, des fermetures d’écoles, des fermetures d’entreprises et l’obligation quasi universelle du port du masque – a eu un effet négatif. sur la santé physique et mentale des personnes.
Une autre étude qui a examiné un large éventail de recherches sur les confinements a conclu que de telles mesures peuvent être un outil efficace pour contrôler la pandémie de COVID-19, mais seulement si « les dommages collatéraux à long terme sont négligés ».
Le prix des confinements en termes de santé publique est élevé : en utilisant le lien connu entre santé et richesse, nous estimons que les confinements pourraient coûter 20 fois plus d’années de vie qu’ils n’en sauvent », écrivent les auteurs de l’étude.
Les chercheurs ont également mis en garde contre la censure généralisée des opinions dissidentes sur les confinements, soulignant qu’elle empêche la communauté scientifique de corriger ses erreurs et sape la confiance du public dans la science.
La validité d'une grande partie des recherches scientifiques publiées est discutable (2e partie)
20 Mai 2024 Henry I. Miller et S. Stanley Young, ACSH*
Dans la première partie de cette série, nous avons présenté les preuves qu'une part non négligeable des publications scientifiques et des « connaissances » qui en découlent sont erronées. Il y a de nombreuses raisons à cela, notamment la négligence expérimentale, les différences dans la manière dont les chercheurs abordent les analyses statistiques, les préjugés des revues contre la publication de résultats négatifs et la malhonnêteté pure et simple des chercheurs. La deuxième partie décrit comment les scientifiques militants peuvent utiliser les méta-analyses pour manipuler les données afin de parvenir à une conclusion prédéterminée, mais erronée.
Quelle est l'ampleur de la fraude aux données qui pollue la recherche scientifique et quelles en sont les sources ?
Lorsque des dizaines, des centaines ou des milliers d'études traitent d'une question ou d'une controverse scientifique, les conclusions divergent invariablement, ne serait-ce qu'en raison du hasard ou de l'utilisation de données contradictoires. Alors, comment ces controverses sont-elles jugées et résolues ? Une approche privilégiée par l'establishment scientifique consiste à effectuer ce que l'on appelle une méta-analyse, une analyse statistique qui combine les résultats de plusieurs études scientifiques, y compris souvent des essais contrôlés randomisés. De nombreux chercheurs estiment que la combinaison systématique de données qualitatives et quantitatives provenant de plusieurs études, dont le nombre peut parfois atteindre des centaines, est statistiquement plus solide que n'importe quelle étude isolée, transformant le bruit en signal.
Un exemple : résoudre le débat sur la supériorité nutritionnelle des aliments biologiques
Souvent, le processus fonctionne. Pendant des années, on a cru que les aliments biologiques étaient plus sains que les produits conventionnels. Certaines études individuelles suggèrent que les aliments issus de l'agriculture biologique sont plus nutritifs, présentent moins de risques pour la santé et peuvent réduire le risque d'exposition aux pesticides. Mais de nombreux professionnels de la santé avaient des doutes.
La question a intrigué deux éminentes chercheuses du Centre des Politiques de Santé de l'Université de Stanford, Mmes Dena Bravata et Crystal Smith-Spangler. Mme Dena Bravata, médecin en chef de la société Castlight Health, spécialisée dans la transparence des soins de santé, a lancé le projet, dit-elle, parce qu'un grand nombre de ses patients lui demandaient si les aliments biologiques valaient la peine d'être achetés à des prix plus élevés, souvent deux fois plus élevés, voire plus, que les produits conventionnels.
Mme Bravata a découvert qu'elle ne pouvait pas s'appuyer sur des études individuelles pour résoudre la controverse. Il en existait littéralement des milliers, chacune avec son propre ensemble de données et aboutissant souvent à des conclusions contradictoires. Lesquelles sont les plus fiables ?
« Il s'agissait d'un domaine propice à la réalisation d'un examen systématique », a déclaré le premier auteur, Mme Smith-Spangler, qui s'est associée à Mme Bravata et à d'autres collègues de Stanford pour réaliser une méta-analyse.
Selon les auteurs principaux, ils ont passé au crible des milliers d'articles pour en identifier 237 qu'ils jugeaient les plus pertinents à inclure dans l'analyse. Leur conclusion a choqué et ébranlé l'industrie alimentaire.
« Certains pensent que les aliments biologiques sont toujours plus sains et plus nutritifs », a déclaré Mme Smith-Spangler, coauteure de l'étude. « Nous avons été un peu surpris de ne pas trouver cela. » Plus important encore, bien qu'ils aient constaté que les aliments biologiques contenaient moins de pesticides ajoutés, ils ont également constaté que les niveaux dans tous les aliments se situaient dans les limites de sécurité autorisées.
La conclusion de l'étude de Stanford a déclenché une tempête, avec des réactions furieuses de la part d'acolytes et d'éléments intéressés de la filière biologique, tels que les auteurs gastronomiques Michael Pollan et Mark Bittman.
Cependant, de nombreuses méta-analyses indépendantes (non financées par la filière alimentaire biologique ou conventionnelle) n'ont pas contredit les conclusions de l'étude de Stanford. La plus convaincante : un rapport de suivi publié en 2020 et basé sur 35 études extraites de 4.329 articles potentiels par des chercheurs de l'université australienne Southern Cross a conclu que « les preuves actuelles ne permettent pas de se prononcer définitivement sur les bénéfices pour la santé de l'apport alimentaire biologique ».
Paradoxalement, les méta-analyses sont souvent à l'origine du type de désinformation qu'elles sont censées combattre.
Comment les méta-analyses sont-elles réalisées ? Une recherche informatique permet de trouver les articles publiés qui traitent d'une question particulière – par exemple, si la prise de grandes quantités de vitamine C prévient les rhumes. Les données des études considérées comme méthodologiquement valables sont consolidées et intégrées à la méta-analyse. (En général, la personne qui effectue la méta-analyse n'a pas accès aux données brutes utilisées dans les études individuelles, de sorte que les statistiques sommaires de chaque étude individuelle sont reportées dans la méta-analyse). Si le poids de la preuve, basé sur une analyse très formalisée, favorise l'affirmation, celle-ci est jugée exacte et souvent canonisée.
Le problème est qu'il n'y a pas forcément de sécurité dans les chiffres, car de nombreux articles individuels inclus dans l'analyse peuvent très bien être exagérés ou erronés, en raison d'un biais de publication et du p-hacking (manipulation inappropriée de l'analyse des données pour permettre à un résultat favorisé d'être présenté comme statistiquement significatif).
Le p-hacking potentiel peut être détecté en créant un « graphique des valeurs de p » (p-hacking plot), c'est-à-dire la probabilité qu'une différence observée entre les groupes soit due au hasard. Par exemple, la figure de gauche ci-dessous représente une méta-analyse comportant 19 articles ; dans la figure de droite, la méta-analyse comporte 14 articles.
Rappelons qu'une petite valeur de p signifie qu'un effet est réel, et qu'il n'est pas dû au hasard. Plus la valeur de p est petite, plus l'effet est probable. Si le graphique des valeurs de p qui en résulte ressemble à une crosse de hockey, avec de petites valeurs de p sur la lame et de plus grandes valeurs de p sur le manche (comme dans les deux figures ci-dessous), il y a lieu de penser qu'il y a eu p-hacking.
Les figures ci-dessus sont tirées de méta-analyses portant sur les effets prétendument bénéfiques des acides gras oméga-3 (figure de gauche) et sur la prétendue relation directe entre le dioxyde de soufre dans l'air et la mortalité (figure de droite). Ces méta-analyses ont été présentées dans une grande revue médicale et ont prétendument montré des effets positifs. Mais ces conclusions sont, au mieux, douteuses.
Les valeurs de p sont représentées en ordonnée dans chaque graphique. Plusieurs petites valeurs de p sont inférieures à 0,05 ; prises isolément, elles indiqueraient un effet réel. Cependant, il y a plus de valeurs de p supérieures à 0,05, ce qui indique que l'effet allégué était un mirage.
Il est clair que les deux ne peuvent pas être correctes puisqu'il y a plus d'études négatives. Le hacking est une explication logique de la présence d'un petit nombre de valeurs de p faibles. La conclusion la plus probable est que ces méta-analyses ont donné des résultats faussement positifs et qu'il n'y a pas d'effet.
Un défi pour la communauté des chercheurs scientifiques
Un article d'information paru dans la revue Nature s'est récemment penché sur les données relatives à la fraude en matière de recherche. L'ampleur des fautes identifiées par l'auteur, rédacteur en chef de la revue, est choquante, tant par son ampleur que par le succès de l'institutionnalisation et de la commercialisation de la fraude :
« La littérature scientifique est polluée par de manuscrits bidons produits par des usines à papiers – des entreprises qui vendent de faux travaux et de fausses signatures à des chercheurs qui ont besoin de publications dans des revues pour leur CV. Mais quelle est l'ampleur du problème des usines à papiers ?
Une analyse non publiée communiquée à Nature suggère qu'au cours des deux dernières décennies, plus de 400.000 articles de recherche présentant de fortes similitudes textuelles avec des études connues, produits par des usines à papiers, ont été publiés. Environ 70.000 d'entre eux ont été publiés rien que l'année dernière (voir "The paper-mill problem" [le problème des usines à papiers]). L'analyse estime que 1,5 à 2 % de tous les articles scientifiques publiés en 2022 ressemblent étroitement à des travaux produits par des usines à papiers. Parmi les articles de biologie et de médecine, ce taux s'élève à 3 %. »
Ainsi, un pourcentage substantiel des publications scientifiques et des affirmations canonisées qui en découlent sont probablement erronées, ce qui pousse les chercheurs à suivre de fausses pistes. Sans l'intégrité de la recherche, nous ne savons pas ce que nous savons. Il incombe donc à la communauté scientifique – chercheurs, éditeurs de revues, universités et bailleurs de fonds – de trouver des solutions.
Le professeur dit que nous pouvons arrêter les émissions avec une pandémie qui tue des milliards
Par Jo Nova May 17th, 2024
Culte de la mort à neuf Disons simplement, hypothétiquement, que quelqu'un voulait une excuse pour réduire la population mondiale ou limiter les tribus et les religions concurrentes, il y a un chapeau scientifique pour cela. Le changement climatique est l'excuse ultime de la mort de masse - fait de la plus bonne manière possible et pour les raisons les plus honorables. Mais n'est-ce pas ce qu'ils disent tous: Jim Jones, la branche Davidians, Heavens Gate - la mort rend le monde meilleur?
Le culte qui prétend que ce n'est pas un culte se vend comme une «science». Je veux dire, quelle est la pire chose à laquelle vous pouvez penser ? Serait-ce un degré de réchauffement ou la mort noire ?
Dans l'esprit de Bill Mcquire, la catastrophe n'est pas lorsque des milliards de personnes innocentes meurent.
Dans cent ans, que préféreraient nos arrière-petits-enfants: que le monde était un peu plus frais ou qu'ils ne sont jamais nés du tout? Si vous détestez les humains, c'est un terrible dilemme…
Bill McGuire, vulcanologue, a accidentellement mis son instinct primaire dans un tweet le week-end dernier:
Couppe pour le climat. Trente ans de nous dire que les humains sont mauvais ont des conséquences. Comme l'a dit Elon Musk, "ils veulent un holocauste pour l'humanité." Il s'avère qu'un régime télévisé de projection climatique unilatérale par les sorciers de qualité B mendiants pourrait être une chose dangereuse pour la santé mentale. Si seulement Bill Mcquire avait vu un sceptique à la télévision?
Comme on pouvait s'y attendre, le tweet McGuire s'est propagé loin et a obtenu des réponses écrasantes afin que le professeur émérite l'ait supprimé, comme tous les lâches, nous criant:
McGuire a continué à creuser, déclarant que «je n'ai pas dit« nous avons besoin d'une pandémie ».» »Seulement bien sûr, il a dit que nous avons besoin de réduction des émissions et qu'une pandémie était la seule façon réaliste de le faire. Il nous a dit qu'il était brutalement honnête après tout. «J'aurais pu dire l'impact des astéroïdes qui a mis la société au lieu de la pandémie», a-t-il déploré, comme c'était tellement mieux.
Ainsi, passant le mot, le monde universitaire est devenu un culte. Ne laissez pas les enfants y aller sans protection.
N'oubliez pas qu'une fois qu'un esprit est infecté par le changement climatique, les armes bio-armes ne sont qu'un autre type de crédit en carbone.
Le problème n'est pas le culte climatique lui-même, c'est la censure qui nourrit la maladie…
Le WEF appelle à limiter la possession d'une voiture privée
19 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le Forum économique mondial (WEF) estime que les familles ordinaires possédant plus d'une voiture devraient être obligées d'abandonner l'une de leurs véhicules. Limiter le nombre de véhicules que les gens peuvent posséder vise à contribuer à sauver la planète du changement climatique.
Le WEF, l'organisation des mille plus grandes entreprises, oligarques et grandes banques, veut forcer le public à renoncer à un véhicule dans le cadre de son programme « Une voiture de moins » . L'agenda semble être un point de départ pour le plan de longue date du WEF visant à abolir toute possession de voiture privée. Cette semaine, le WEF a publié un nouvel article décrivant les attentes des familles qui se lancent dans le mode de vie « une voiture de moins ».
Pour soutenir ce projet, l'organisation basée en Suisse de Klaus Schwab cite une étude récente réalisée en Australie. Le WEF note qu'Uber Australie a mené l'étude One Less Car aux côtés de spécialistes du comportement et d'autres sociétés de covoiturage afin de réduire le nombre de voitures privées.
L'article note que les véhicules électriques font partie de la solution, mais ajoute : « Nous devons également changer la mentalité « une personne, une voiture ».
Pendant quatre semaines, 58 Australiens ont renoncé à conduire une de leurs voitures et se sont tournés vers des transports alternatifs. Les participants possédant une voiture ont abandonné, et ceux qui avaient deux voitures n’en ont utilisé qu’une, etc.
Moins de voitures dans les ménages signifiaient qu'ils étaient souvent obligés d'opter pour les transports en commun ou le vélo. Cependant, les participants à l'étude - menée par des sociétés de covoiturage - auraient apprécié de pouvoir voyager sans voiture.
"Je reconnais de plus en plus l'importance de ne pas avoir de deuxième voiture ", a déclaré l'un des participants après quatre semaines d'étude.
L’article du WEF énumère « sept actions sur lesquelles les urbanistes et les dirigeants peuvent se concentrer pour soutenir la transition verte de l’Australie ».
Une politique qui restreint la possession d’une voiture particulière devrait donner aux citoyens plus de choix, et non moins de liberté.
En vue de créer un impact durable et durable, Uber appelle également les gouvernements à :
Plans et politiques favorables : tous les plans et politiques de la ville doivent s'unir pour mettre fin à la dépendance excessive à l'égard des voitures privées afin que tous les citoyens aient le choix entre quatre modes de transport ou plus, peu importe où ils vivent, travaillent, étudient ou jouent dans la ville.
Réformes politiques pour une voiture de moins : L’ensemble des politiques gouvernementales, depuis la politique de santé et d’éducation jusqu’à l’urbanisme, doit être remanié afin que les gens puissent prendre des décisions sans voiture.
Adopter les grands projets de transport en commun : protéger les corridors, planifier et investir dans de grands projets d'infrastructure pour garantir que les habitants de nos villes continuent d'avoir accès à des services de transport en commun rapides et fréquents.
Le fondateur du WEF a décrit un monde dans lequel plus personne ne possède sa propre voiture. Au lieu de cela, les seuls véhicules sur les routes seraient ceux qui emmèneraient les élites à « votre hôtel et à l’aéroport ».
Il a déclaré que les voitures seraient louées ou partagées plutôt que possédées, qualifiant le plan d'« ubérisation ».
« Nous ne sommes pas à l’ère du capitalisme », a déclaré Schwab. « Nous sommes entrés dans l’ère du talent. »
« Nous assisterons à la deuxième vague de la révolution Internet : nous aurons l’interaction machine à machine, l’impression 3D et le big data. Tout cela combiné créera un tsunami de changement dans l’industrie. Le premier aspect du changement est l'«ubérisation» de l'économie - et cela ne se limitera pas aux taxis !»
L’UE dépense des milliards pour l’hydrogène, mais où est l’hydrogène ?
PAR TYLER DURDEN LUNDI 20 MAI 2024 - 11H00 Rédigé par Mike Shedlock via mishtalk.com,
Je suis tout à fait favorable aux centrales à hydrogène pour produire de l’électricité, si seulement nous avions de l’hydrogène bon marché. Mais nous ne le faisons pas et ne le ferons probablement pas.
Un mauvais pari sur le battage médiatique sur l’hydrogène
Bloomberg met en garde l’Europe qui dépense des milliards en hydrogène vert. C'est un pari risqué
Aujourd’hui, la centrale électrique jaune vif nichée derrière une clôture couverte de graffitis brûle du gaz qui réchauffe la planète pour produire de l’électricité. Mais si tout se passe comme prévu, elle passera un jour à l’hydrogène sans émissions. Il s’agit de la première et infime partie d’un système énergétique de rêve esquissé par les décideurs politiques de toute l’Europe, qui misent sur le carburant vert pour atteindre certains des objectifs climatiques les plus agressifs au monde. Ce rêve repose sur la conversion des infrastructures polluantes nouvellement construites pour brûler de l’hydrogène, un carburant qui sera bien plus cher que le gaz naturel et que personne n’a encore compris comment transporter en vrac en toute sécurité et à moindre coût.
Les gouvernements et les entreprises qui s’efforcent de respecter les délais de zéro émission nette mais qui s’inquiètent de la sécurité énergétique peuvent toujours construire des infrastructures gazières d’une valeur de plusieurs milliards de dollars, à condition qu’elles soient « prêtes pour l’hydrogène ». Neuf des dix plus grands pollueurs de carbone au monde ont publié des stratégies et des incitations à l’hydrogène pour accroître l’utilisation de ce carburant, qui dépassent déjà les 360 milliards de dollars à l’échelle mondiale, selon BloombergNEF.
Les économies dépendantes du gaz, notamment l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Espagne, l’Italie et le Royaume-Uni, comptent parmi les plus grands partisans européens de l’utilisation de l’hydrogène et certaines envisagent de l’utiliser pour produire de l’électricité. Mais il n’existe pas de définition officielle de ce qui rend une usine prête à l’hydrogène, ce qui ouvre la porte au greenwashing. Pour les centrales électriques, la combustion d’hydrogène n’a même pas été testée à grande échelle.
"Il n'y a pas encore eu de progrès mesurables dans la construction de centrales électriques alimentées au gaz et à l'hydrogène", a déclaré Eric Heymann, économiste à la Deutsche Bank Research.
Il y a ensuite le problème du déplacement de l’hydrogène. L’usine de Leipzig n’est pas raccordée au réseau (et n’a pas encore installé ses propres électrolyseurs), ce qui signifie que le carburant hautement combustible devra être transporté par camion jusqu’à ce que la deuxième partie du grand plan du gouvernement se concrétise. Elle construit un terminal de gaz naturel liquéfié d’un milliard d’euros à Brunsbuettel, une ville située au bord de la mer du Nord, qui importera dans un premier temps du GNL mais sera également conçu pour gérer des carburants propres futuristes.
L’hydrogène ne peut être liquéfié qu’à -253 °C (-423 °F), bien au-delà des capacités des navires GNL d’aujourd’hui. L’Allemagne envisage donc d’importer de l’hydrogène sous forme d’ammoniac liquide, une combinaison d’hydrogène et d’azote qui peut plus facilement être transformée en liquide. Mais l'ammoniac est toxique et sa manipulation nécessite de meilleurs systèmes de ventilation. De nombreux composants du terminal, notamment les vannes de régulation et les capteurs d'incendie et de gaz ainsi que les dispositifs en ligne – dont la plupart n'ont pas été testés avec de l'ammoniac – nécessiteront également des mises à niveau, selon Fraunhofer ISI, un groupe de réflexion sur l'énergie.
Pas viable mais à toute vitesse
- voir carte sur site -
L’Allemagne ne dispose pas d’un réseau de pipelines d’ammoniac et le transport de ce produit par camions à l’échelle industrielle est limité, car cela est dangereux. Cela signifie que l’ammoniac devra être reconverti en hydrogène, mais il n’existe actuellement aucune technologie économiquement viable pour le faire. L’opérateur du terminal a déclaré qu’il discuterait de stratégies alternatives si aucune n’émergeait d’ici l’année prochaine.
L’énergie éolienne et solaire produit de l’électricité propre – un produit que le monde utilise déjà. L’hydrogène vert, en revanche, nécessitera la construction de davantage de parcs solaires et éoliens alors que, dans de nombreux cas, il serait plus simple d’utiliser directement cette énergie propre. Au moment où l’hydrogène est produit, stocké et brûlé pour produire à nouveau de l’électricité, il y a près de 70 % d’énergie en moins qu’au départ – et le coût a triplé.
Pour la plupart, les plans n’existent que sur papier. C’est parce qu’ils ne travaillent que sur papier.
Un essai au Royaume-Uni a été annulé lorsque les gens ont fait un tollé après avoir appris qu'ils devraient remplacer leurs fournaises et leurs cuisinières par de nouveaux appareils à hydrogène.
Cela ne s’applique pas à la situation évoquée ci-dessus qui propose de brûler de l’hydrogène pour produire de l’électricité. Cependant, il y a une perte d’énergie de 70 pour cent lors de la conversion de l’hydrogène en ammoniac, puis de son retour en hydrogène pour le brûler.
Cela n’a de sens nulle part. Néanmoins, l’Allemagne dépense 20 milliards de dollars pour rendre les centrales électriques « prêtes à l’hydrogène ».
Le gaspillage de 20 milliards de dollars est un phénomène mensuel dans l’administration Biden, mais cela représente beaucoup d’argent pour l’Allemagne qui, contrairement aux États-Unis, a des règles budgétaires.
Choc chinois
- voir graph sur site -
L’Allemagne ressent les effets du choc chinois. Mais les États-Unis sont également sur le pont. Une guerre commerciale mondiale se profile.
Pour en savoir plus, veuillez consulter Le choc chinois II arrive, l’UE sera durement touchée, puis les États-Unis.
L’Allemagne a trop de sujets de préoccupation pour gaspiller de l’argent dans des projets absurdes.
Les plans du gouvernement pour nous harceler en faveur des véhicules électriques ont rencontré un obstacle Les choses vont si mal dans le monde des voitures électriques que des champs de voitures du futur apparaissent dans les ports de l’UE. La Chine y a expédié 1,3 million de véhicules électriques au cours du dernier trimestre, mais ceux-ci s’accumulent dans les parkings invendus. Les pays de l’UE investissent de l’argent auprès des clients pour les inciter à acheter des véhicules électriques, et les entreprises proposent également des réductions, mais cela ne suffit toujours pas. Les ventes de véhicules électriques ont chuté de 11 % dans l’UE et de 29 % en Allemagne.
Outre-Atlantique, quelque chose ne va pas non plus aux États-Unis. La plus grande marque mondiale loue des espaces dans les centres commerciaux et les aéroports américains pour stocker les voitures invendues.
Les concessionnaires automobiles préviennent qu’ils ne seront peut-être pas en mesure de vendre beaucoup de voitures à essence, même lorsque les acheteurs viennent les acheter, car ils ne trouvent pas suffisamment d’acheteurs de véhicules électriques pour pouvoir atteindre le ratio objectif prescrit. Nous sommes peut-être au début d’un gel des acheteurs…
Les véhicules électriques chinois remplissent les ports de l’UE Il y a des photos tout simplement extraordinaires de voitures alignées dans les ports de l’UE :
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Catastrophe des voitures électriques alors que les ports de l'UE se remplissent de 100 000 modèles chinois dont personne ne veut https://www.express.co.uk/news/world/1900555/eu-news-china-electric-cars-antwerp-zeebrugge @NetZeroWatch
Par John Varga, The Express Royaume-Uni
Les principaux ports de l’UE sont presque pleins à craquer de véhicules électriques chinois (VE) que personne ne veut acheter. En raison de la baisse des ventes en Europe, les parkings des ports belges d'Anvers et de Zeebrugge se sont remplis d'importations chinoises.
Un porte-parole du port d'Anvers-Bruges, le deuxième plus grand d'Europe, a déclaré : « C'est ce qui se passe dans tous les ports européens qui traitent un grand nombre de voitures. »
AU0:44 / 1:56 Des centaines de véhicules Tesla garés devant le centre commercial Chesterfield. Pourquoi? Regardez-le sur Youtube
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Les invendus de Tesla s'accumulent dans les parkings des centres commerciaux, de grosses réductions sont probables Mike Shedlock, Mishtalk, via ZeroHedge
Veuillez considérer le stockage des stocks invendus par Tesla dans un parking de centre commercial abandonné
Il devient impossible d’ignorer les parkings remplis de véhicules Tesla, car le constructeur automobile électrique ne parvient apparemment pas à vendre suffisamment de voitures et de camions pour correspondre à son rythme de production. Selon ses propres chiffres, le constructeur automobile électrique a produit 46 561 véhicules de plus qu’il n’en a livré à ses clients au cours du premier trimestre 2024. Où vont toutes ces voitures ? Parkings dans ses usines, centres commerciaux et aéroports.
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Les conducteurs ont mis en garde contre les pénuries de voitures essence, car le zéro net pourrait « étouffer » l’approvisionnement Par Matt Oliver, Le Télégraphe
Les vendeurs de voitures sont confrontés à une pénurie de véhicules à essence dans le cadre de la répression du net zéro de Rishi Sunak, a averti l’une des plus grandes chaînes de concessionnaires britanniques.
Vertu Motors a déclaré que les ventes de voitures électriques étaient « au point mort » au Royaume-Uni, augmentant le risque que les constructeurs ne manquent pas les objectifs de vente imposés par la loi. Dans le cadre du mandat des véhicules zéro émission (ZEV), 22 % des ventes des constructeurs automobiles doivent être électriques cette année, l’objectif augmentant chaque année jusqu’à atteindre 80 % en 2030.
Mais alors que les constructeurs risquent des amendes de 15 000 £ par voiture en cas de violation des règles, Vertu a averti que nombre d'entre eux pourraient simplement limiter l'approvisionnement en voitures essence et diesel pour renforcer artificiellement leur conformité.
Graphique du crash des ventes de véhicules électriques. Ventes de véhicules électriques au Royaume-Uni Telegraph
L’Australie copie les « normes d’émissions » britanniques et américaines au moment même où les ventes de véhicules électriques chutent Avec un timing étrange, le gouvernement australien a adopté le même ratio truqué de ventes de véhicules électriques qui ne fonctionne pas au Royaume-Uni ou aux États-Unis, et il l'a fait la même semaine où les magazines automobiles commencent tout juste à demander : « La lune de miel est-elle terminée pour véhicules électriques en Australie ?
L'Australie a des années de retard sur les bulles électriques d'Europe et d'Amérique, car nous sommes le dernier pays riche au monde dans lequel quiconque voudrait acheter un véhicule électrique. Nous sommes peu peuplés et larges de 5 000 kilomètres. La moitié du continent ne dispose pas de ligne à haute tension à moins de 100 kilomètres des routes, encore moins de chargeur rapide.
Par chance, les ventes de véhicules électriques en Australie commençaient à peine à décoller, mais les ventes de véhicules électriques ont diminué en avril pour la première fois depuis que les véhicules électriques sont devenus « une chose ». Ce n’est qu’un glissement de 5 %, mais c’est la tendance, la tendance…
Les #éoliennes exigent des tonnes de balsa qui provoquent la déforestation amazonienne.
le 18 Mai 2024 par pgibertie
« J’étais édifié de voir systématiquement les ONG prétendues écologistes
@LPOFrance
@WWFFrance
@greenpeacefr soutenir la pollution éolienne. Sur les 20 dernières années, il y a une confusion entre ONG et politique (…).
@M_Orphelin, député très pro-éolien devient directeur général de la Ligue de protection des oiseaux ;
@pcanfin, patron de WWF devient un des députés européens de Macron ;
@yjadot, chef des opérations spéciales de Greenpeace… Partout en Europe il y a ces porosités entre les ONG, ces officines de guerre économique et les systèmes politiques. »
@FabienBougle
Les #éoliennes marines contiennent plus d’un tonne de terres rares pour concevoir les rotors Les terres rares sont tellement polluantes à extraire qu’on a laissé le monopole à la Chine qui produit 80% des besoins mondiaux
Les chauves-souris sont tuées massivement par l’activité des #éoliennes grandes prédatrices.
Transcender les binaires simplistes : « avantages et inconvénients », « risques et avantages » de l'intelligence artificielle (IA)
Relever les défis éthiques, existentiels et pédagogiques de l’IA dans son interface avec l’éducation contemporaine
Par le professeur Henry Francis B. Espiritu Recherche mondiale, 20 mai 2024
Dans notre éducation contemporaine, une révolution technologique est en cours – une révolution technologique silencieuse qui transcende les frontières de l’éthique, du droit, de la pédagogie, de la sociologie et même de l’essence même de l’existence humaine.
À son épicentre se trouve l’intégration de l’intelligence artificielle (IA), une force à la fois impressionnante et terrifiante dans sa capacité à remodeler le paysage de l’apprentissage et de la connaissance. Alors que les éducateurs et les apprenants sont aux prises avec les profondes implications de l’IA dans l’éducation, ils sont confrontés à une myriade de défis qui s’étendent bien au-delà du domaine du discours académique traditionnel et de la pratique éducative.
Ce présent essai s'efforce d'approfondir les dimensions philosophiques, analytiques et critiques des défis posés par l'IA dans l'éducation contemporaine, en explorant les défis éthiques, juridiques, pédagogiques, technologiques, sociologiques, existentiels et même spirituels que l'IA pose dans notre système éducatif contemporain, tout en examinant les implications sur les problèmes de créativité, de plagiat, d'inauthenticité, de violations des droits intellectuels, de tromperie académique et de tricherie que l'intelligence artificielle peut poser aux enseignants et aux étudiants.
Avant tout, l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) dans notre système éducatif actuel remet en question nos conceptions de l’éthique et de l’authenticité existentielle, nous obligeant à nous débattre avec les questions du « bien et du mal », de « l’authentique et l’inauthentique » dans un contexte de plus en plus médiatisé et numérisé par la technologie. monde.
Alors que les algorithmes d'IA façonnent les expériences éducatives grâce à des parcours d'apprentissage personnalisés et des évaluations adaptatives, de sérieuses inquiétudes surgissent quant à l'érosion de l'autonomie, de la créativité, de l'originalité, de l'authenticité, de la véritable volonté et de la libre action des étudiants dans le processus d'apprentissage. La tension entre liberté individuelle et déterminisme algorithmique souligne la nécessité de cadres éthiques qui donnent la priorité aux valeurs humaines intrinsèques et aux droits de l’homme ainsi qu’à l’équité sociale dans la conception et le déploiement de technologies éducatives basées sur l’IA auprès des étudiants au-delà des fractures numériques et informationnelles.
En outre, la prolifération de l’intelligence artificielle (IA) dans notre système éducatif actuel soulève des questions juridiques complexes concernant la confidentialité des données, les droits de propriété intellectuelle et la responsabilité algorithmique.
Alors que les établissements d’enseignement collectent et analysent de grandes quantités de données sur les étudiants et les professeurs pour éclairer les processus décisionnels basés sur l’IA, des questions émergent sur la propriété, l’accès et l’utilisation de ces données. De plus, les préoccupations concernant les biais algorithmiques, l’inauthenticité algorithmique, la programmation algorithmique biaisée, la discrimination algorithmique ainsi que les manipulations algorithmiques soulignent la nécessité d’algorithmes transparents, éthiques et responsables qui adhèrent aux principes de justice et d’équité. Les cadres juridiques doivent évoluer pour relever ces défis, en garantissant que les droits et les intérêts des étudiants et des enseignants soient sauvegardés et protégés dans un paysage mondial de plus en plus axé sur les données.
Du point de vue pédagogique, l’intégration de l’intelligence artificielle présente à la fois des opportunités et des défis pour les éducateurs cherchant à favoriser des expériences d’apprentissage significatives qui transcendent les limites de la technologie.
D'une part, les outils et plates-formes basés sur l'IA offrent le potentiel d'améliorer l'efficacité de l'enseignement grâce à des expériences d'apprentissage personnalisées, des grilles de notation adaptatives, des mécanismes de rétroaction sur les résultats des étudiants et des systèmes de mentorat intelligents. En tirant parti de l’IA pour analyser les modèles d’apprentissage des élèves et adapter les stratégies pédagogiques en conséquence, les enseignants peuvent créer des environnements d’apprentissage plus adaptés et plus réactifs qui répondent aux divers besoins et capacités de chaque apprenant. Cependant, le recours à l’IA soulève également des inquiétudes quant à la « déqualification » des enseignants, au remplacement d’un mentorat chaleureux, vivant et personnalisé, et à la marchandisation de l’éducation, dans la mesure où les instructeurs humains sont supplantés par des systèmes informatiques automatisés et numérisés qui donnent la priorité à la standardisation impersonnelle plutôt qu’à la réalité. une créativité authentique, une pensée critique et une véritable réflexion ou réflexivité.
De plus, l'intégration de l'intelligence artificielle dans nos établissements d'enseignement actuels pose de profonds défis technologiques, allant des contraintes d'infrastructure et de ressources aux problèmes de fracture numérique/information et d'inégalité d'accès pour les étudiants qui n'ont pas accès à ces programmes et applications (applications) d'IA. . Afin d’exploiter pleinement le potentiel de l’IA pour transformer l’éducation, des investissements doivent être réalisés dans l’infrastructure numérique, la formation des enseignants et les ressources éducatives afin de garantir des opportunités éducatives équitables et accessibles basées sur l’IA pour tous les apprenants et les mentors. En outre, des efforts doivent être déployés pour réduire la fracture numérique et remédier aux disparités en matière d’accès à la technologie et à la connectivité Internet, en particulier chez les enseignants et les étudiants marginalisés et économiquement défavorisés dont l’accès aux outils, programmes et applications éducatifs basés sur l’IA peut être limité ou non. existant.
D'un point de vue sociologique, l'intégration de l'intelligence artificielle dans nos établissements d'enseignement contemporains remodèle la dynamique sociale et les structures de pouvoir au sein des établissements d'enseignement, soulevant des questions sur le rôle de la technologie dans la médiation des relations interpersonnelles et dans la formation des interactions sociales.
Alors que les algorithmes basés sur l’IA influencent les processus décisionnels liés à l’admission des étudiants, aux performances académiques et aux parcours professionnels, des inquiétudes surgissent quant au potentiel de discrimination et de préjugés algorithmiques susceptibles de perpétuer et d’exacerber les inégalités existantes fondées sur la race, le sexe, le statut socio-économique, la religion et la religion. d'autres facteurs démographiques. De plus, le recours aux canaux de communication basés sur l’IA et aux environnements d’apprentissage virtuels peut éroder le sentiment de communauté et de connexion interpersonnelle dans les activités éducatives qui fait partie intégrante de l’expérience éducative, conduisant à des sentiments d’isolement et de désengagement parmi les étudiants et les éducateurs.
Du point de vue existentiel et spirituel, l’intégration de l’intelligence artificielle dans notre système éducatif actuel nous confronte à des questions les plus intimes sur la nature de la conscience humaine, la créativité humaine et la recherche de la vérité dans un monde de plus en plus numérisé et informatisé. Alors que les algorithmes d’IA imitent les comportements humains et génèrent du contenu avec une efficacité toujours plus grande, les frontières entre humain et machine, authentique et artificiel, réel et virtuel s’estompent à bien des égards, ce qui remet en question notre compréhension de ce que signifie être humain et de ce qu’est réellement la réalité. Face au contenu généré par l’IA et aux expériences virtuelles, de profondes questions se posent sur l’authenticité et l’intégrité de l’expression humaine, ainsi que sur les dimensions spirituelles de l’apprentissage et de l’acquisition de connaissances qui transcendent les limites de la technologie. Alors que les éducateurs et les apprenants sont aux prises avec ces défis existentiels et spirituels, ils sont appelés à cultiver une conscience plus profonde de l’interconnexion de tous les êtres et du caractère sacré du processus d’apprentissage et de notre voyage vers la recherche de la connaissance, de la vérité et de la réalité.
Un dernier point, mais crucial : l’intégration de l’intelligence artificielle dans notre système éducatif contemporain soulève une multitude de questions philosophiques, analytiques, critiques, de réflexion et de mise en garde qui exigent un examen attentif et un engagement réfléchi de la part de tous les acteurs de l’éducation. En affrontant les défis éthiques, juridiques, pédagogiques, technologiques, sociologiques, existentiels et spirituels posés par l'IA dans l'éducation, les apprenants et les mentors peuvent travailler ensemble pour exploiter le potentiel transformateur de l'IA afin de créer des environnements d'apprentissage plus inclusifs, plus équitables et plus responsabilisants. tant les étudiants que les enseignants.
Ce n'est qu'en naviguant et en adoptant les complexités de l'IA dans notre système éducatif actuel avec ouverture, justice, justice et équité que nous pourrons ouvrir la voie et traverser les paysages en constante évolution et sinueux de l'apprentissage et garantir que la recherche d'une véritable connaissance reste une préoccupation profonde. une entreprise humaine authentique fondée sur les valeurs de vérité, de bonté, de justice et d'amour : un apprentissage authentique fondé et construit par une humanité authentique et une humanité affective engagée, et pas simplement un apprentissage trivial issu de technologies séparées du monde. expérience humaine de la Vie et de la Vie authentique.
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Le professeur Henry Francis B. Espiritu est professeur agrégé 7 de philosophie et d'études asiatiques à l'Université des Philippines (UP), Cebu City, Philippines. Il a été coordinateur académique du programme de sciences politiques à l'UP Cebu de 2011 à 2014, et coordonnateur du programme du bureau du genre et du développement (GAD) à l'UP Cebu de 2015 à 2016 et de 2018 à 2019. Il est actuellement professeur référent pour le genre et le développement à l'Université des Philippines (UP) Cebu, Collège des sciences sociales.
Les intérêts de recherche du professeur Espiritu comprennent l'éthique théorique et appliquée, les études islamiques, en particulier la jurisprudence sunnite (Sunni Fiqh), les discours féministes islamiques, l'islam dans les initiatives de dialogue interreligieux, l'environnementalisme islamique, la pédagogie islamique sunnite classique, les écrits d'Al-Ghazali sur le pluralisme et la tolérance, L'Islam dans le sous-continent indien, le soufisme turc, les études d'Atatürk, les études ottomanes, les études de Gengis Khan, les études d'Asie centrale, la pensée politique marxiste, le dialogue islamo-chrétien, les affaires du Moyen-Orient, les études sur la paix, la théologie publique, l'économie politique, l'éthique de l'intelligence artificielle. (IA) et le postmodernisme en philosophie.
Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG) Canada.
Craignant que l'IA ne « prenne le dessus », le « parrain de l'IA » conseille au gouvernement britannique de lancer l'UBI
PAR TYLER DURDEN LUNDI 20 MAI 2024 - 15H20 Rédigé par Tristan Greene via CoinTelegraph.com,
Geoffrey Hinton, un expert de renommée mondiale en intelligence artificielle (IA), souvent surnommé le « parrain de l'IA », a récemment consulté des membres du gouvernement britannique à Downing Street, où il a conseillé aux législateurs d'envisager l'adoption d'un revenu de base universel (UBI). ) pour faire face à la menace imminente de pertes d'emplois.
Jusqu'à récemment, Hinton travaillait pour Google, développant des fonctionnalités d'IA de haut niveau pour les réseaux neuronaux. Cette technologie sous-jacente alimente la plupart des systèmes d’IA générative modernes, tels que Gemini de Google et ChatGPT d’OpenAI.
Selon Hinton, la révolution de l’IA profitera principalement aux riches. Les profanes, les cols bleus et ceux employés dans des emplois qui peuvent être automatisés risquent de perdre leurs moyens de subsistance et « cela va être mauvais pour la société », a-t-il récemment déclaré à la BBC dans une interview.
"J'ai été consulté par des habitants de Downing Street", a déclaré Hinton, "et je leur ai dit que le revenu de base universel était une bonne idée".
Hinton n’est pas le seul acteur majeur dans le domaine de l’IA à croire que nous aurons besoin de l’UBI pour compenser l’impact de l’automatisation sur l’économie humaine.
Avant de devenir l'un des PDG les plus célèbres de l'industrie technologique, le cofondateur d'OpenAI, Sam Altman, a étudié auprès de Hinton et a contribué à la création du réseau neuronal. De nos jours, Altman est connu pour son mandat en tant que haut responsable d’OpenAI, ainsi que pour son soutien sans réserve à UBI.
L'autre entreprise d'Altman, Worldcoin, se concentre sur la fourniture d'UBI grâce à l'adoption d'un jeton de crypto-monnaie fourni gratuitement à toute personne qui s'inscrit au service et se soumet à un scanner rétinien pour vérifier son identité.
En plus de sauver l’humanité du déplacement d’emplois grâce à l’avènement de l’UBI, Hinton et Altman ont tous deux exprimé leur conviction que l’IA pourrait constituer une menace existentielle pour l’humanité.
Hinton aurait quitté son poste chez Google pour exprimer plus librement ses inquiétudes quant à l'impact que l'IA pourrait avoir sur l'avenir de notre espèce. Pour sa part, Altman affirme que la seule raison pour laquelle il a cofondé OpenAI avec Elon Musk et d’autres était de garantir que les systèmes d’IA avancés étaient développés avec soin et pour le bénéfice de l’humanité.
Dans sa récente interview à la BBC, Hinton a déclaré qu’il ne nous resterait peut-être que quelques années avant que la menace ne devienne imminente :
"Je pense que d'ici cinq à vingt ans, il y a une probabilité de moitié que nous devrons faire face au problème de l'IA qui tente de prendre le relais."
La révolution promise de l’IA – dangereuse et porte atteinte aux principes fondamentaux de la vie
20 mai 2024 par DDr. Siguna Mueller
Un regard personnel sur « Comment l’IA pourrait donner aux mathématiciens des « moments d’inspiration divine ». » « Comment l’IA pourrait donner aux mathématiciens des « moments d’inspiration divine » » est le titre d’un récent article de Nature Briefing . Il prédit que l’IA révolutionnera les mathématiques, entre autres choses, en formulant des conjectures, en reconnaissant des modèles, en décrivant des relations et en décrivant de nouveaux sujets de recherche.
Lire ceci ne me rend pas seulement triste. Je maintiens que c’est l’un des plus grands mensonges envers l’humanité. De plus, il existe des risques confirmés liés à l’utilisation malveillante de l’IA. Des publications récentes montrent même que les systèmes d’IA peuvent manipuler systématiquement – ce qu’ils ont déjà appris à faire. Des recherches récentes mettent en garde contre la possibilité réelle de perdre le contrôle des systèmes d’IA. Alors que certains célèbrent la « Pentecôte » ce week-end, je soulignerai également certains principes spirituels fondamentaux dont le battage médiatique sur l’IA et le « zeitgeist » qui y est associé tentent de nous distraire.
Un bref examen personnel des mathématiques, de la découverte et de l'apprentissage J'ai passé les deux premières décennies de ma vie universitaire en tant que mathématicien. Au départ, je voulais étudier la médecine, mais cela aurait signifié déménager dans une grande ville, ce que je n'étais pas prêt à faire. Il se trouve que l’université la plus proche offrait un excellent programme de mathématiques. On me disait depuis longtemps que j'étais doué dans ce domaine (et dans d'autres) et c'était vrai, j'ai apprécié !!! Mais il ne s'agit pas seulement de mathématiques. Plus tard, lorsque j'ai obtenu mon (deuxième) doctorat en sciences biomédicales, j'ai ressenti le même genre de frisson qui accompagne toutes les formes d'apprentissage réel. Ayant changé de métier plus tard dans la vie, j’ai dû rapidement développer ma propre approche. J'ai toujours découvert qu'il n'y a rien de plus excitant et utile que d'apprendre quelque chose grâce à vos propres recherches et découvertes.
L’article de Nature Briefing affirme clairement : « Les mathématiques seront révolutionnées par l’IA » . Il explique pourquoi, affirmant que l’IA a fait des progrès sur certains problèmes mathématiques anciens et difficiles. Cependant, lorsqu’on parcourt la liste, c’est décevant. Par exemple, en tant que jeune étudiant en maîtrise, je savais déjà que certaines constantes mathématiques célèbres telles que π ou e pouvaient être formulées à l'aide de « fractions continues » (mon mémoire de maîtrise traitait d'un problème similaire). Ainsi, grâce à une recherche exhaustive à travers une série de fractions continues spécifiques, l’IA a trouvé une meilleure formule. Ce n'est pas excitant. Une recherche exhaustive n’est pas intéressante et ne fournit pas non plus de nouvelles idées pour une exploration plus approfondie.
Certains autres problèmes mathématiques en suspens dans lesquels l’IA aurait été transformatrice sont décrits. Son plus grand potentiel réside dans la formulation de nouvelles conjectures, c'est-à-dire de certains modèles ou relations importants que l'on croit vrais mais qui nécessitent encore une preuve définitive.
Vous trouverez ci-dessous quelques réflexions sur les raisons pour lesquelles j'ai des problèmes avec le battage médiatique infondé et trompeur entourant l'IA.
Quelles sont les découvertes de l’IA ? Quels modèles et relations l’IA découvre-t-elle qui sont si étonnants ? Regardons un exemple. Si nous observons trois oiseaux à proximité, nous pourrions être tentés de leur attribuer un motif : « c'est un triangle ». Mais que se passerait-il si chacun d’eux suivait simplement son cours et que leur alignement apparent n’était que cela, la simple apparence d’une relation ?
Les découvertes faites par l’IA sont-elles utiles ? L’article de Nature soulève cette question et explique que « toutes les suppositions ne sont pas égales. Ils doivent également faire progresser notre compréhension des mathématiques » . L'article développe cela en disant qu'« un bon théorème doit faire partie de nombreuses constructions mathématiques, et être utilisé pour prouver des théorèmes de nombreux types différents ». Eh bien, un théorème est différent d'une conjecture ! C’est quelque chose qui est étayé et confirmé par des preuves claires, ce qui n’est pas le cas des conjectures. Au-delà de cet oubli, poursuit Nature, « les meilleurs théorèmes augmentent la probabilité de découvrir de nouveaux théorèmes » . La question clé est donc de savoir si les suppositions faites par l’IA soutiennent la découverte. Mais il ne faut pas se limiter à des hypothèses invérifiables. Ce qui compte, c'est une véritable perspicacité et une véritable compréhension afin que leurs « découvertes » aident à trouver de nouveaux modèles et relations (théorèmes). L’IA peut-elle faire cela ?
Comment l’IA pourrait-elle soutenir la découverte de nouveaux théorèmes ? Je sais par expérience personnelle que la meilleure façon d’apprendre vraiment quelque chose est de le découvrir soi-même. Traditionnellement, la découverte a toujours été l’essence même du véritable apprentissage et de la compréhension. Ce n’est pas la même chose que d’entendre parler d’une conjecture ou d’un modèle particulier que d’autres ont inventé ! Traditionnellement, tous les enseignants et étudiants le savaient instinctivement.
Comment mesure-t-on l’utilité des découvertes de l’IA ? L'article suggère que l'imagination et l'intuition des mathématiciens continueront d'être « nécessaires pour comprendre les résultats des outils d'IA » . Mais serons-nous capables d’utiliser de manière « significative » les résultats de l’IA ? Comment évaluerons-nous leurs hypothèses non prouvées ? Et si les relations célébrées n’étaient qu’une construction artificielle, comme trois oiseaux qui volent dans le ciel en même temps ? Il ne s’agit pas de plus de dates et de relations supplémentaires ! Il s'agit de savoir si la découverte améliore ou non nos connaissances et notre véritable compréhension d'un sujet - et non pas simplement de disposer de plus d'informations.
Nous n’avons pas besoin de plus de conjectures pour le plaisir de conjecturer ! Je ne suis pas d'accord avec l'affirmation de l'article selon laquelle « la conjecture accélère la recherche en nous orientant dans la bonne direction ». Si ces suppositions ne sont pas pertinentes ou sont erronées, rechercher des modèles brillants, bien que faux, peut, au mieux, entraîner une énorme perte de ressources et de temps. Mis à part les points ci-dessus sur lesquels je ne suis pas d’accord avec l’article de Nature, le point suivant est peut-être encore plus troublant.
Une pente glissante : même si l'article de Nature n'en parle pas, nous pourrions avoir besoin d'outils d'IA pour comprendre l'IA. Les nouvelles conjectures formulées par l’IA pourraient ne pas être facilement vérifiables, voire pas du tout. Si les modèles proposés ne peuvent pas être étayés par des preuves obtenues ailleurs, nous nous dirigeons vers une pente glissante. Essentiellement, nous abandonnons notre pouvoir de vérifier « vrai » et « faux » sur quelque chose sur lequel nous n’avons plus de contrôle.
Une prépublication récente (voir aussi mon précédent Substack ) mettait en garde contre les dangers des IA frauduleuses . En fait, il est désormais de plus en plus évident que l’IA peut agir de manière bénigne et coopérative dans certains cas (par exemple lors de la formation de certains ensembles de données), mais de manière malveillante dans d’autres situations. Si nous ne pouvons pas vérifier leurs résultats par les moyens traditionnels, personne ne peut garantir qu’ils ne seront pas utilisés à mauvais escient ou ne deviendront pas eux-mêmes des ennemis.
Le fait que les systèmes d'IA soient déjà capables de tromper les gens a été récemment découvert dans une publication dans Cell . L'article aborde la « tromperie apprise », une source particulière de fausses informations fournies par les systèmes d'IA « qui est beaucoup plus proche d'une manipulation explicite ». Les auteurs définissent « la tromperie comme l’induction systématique de fausses croyances chez autrui comme moyen d’obtenir un résultat autre que la vérité » . Ils donnent des exemples concrets qui prouvent que les systèmes d’IA ont déjà appris la capacité de tromper. Les techniques identifiées incluent la manipulation, la flagornerie (dire à l'utilisateur ce qu'il veut entendre plutôt que de dire la vérité) et la tricherie lors des tests de sécurité. Les systèmes d’IA peuvent recourir à la « tromperie stratégique » parce qu’« ils ont découvert qu’elle peut servir un objectif ». Enfin, ils notent également que « les systèmes d'IA peuvent être des rationalisateurs qui utilisent un raisonnement motivé pour expliquer leur comportement d'une manière qui s'écarte systématiquement de la vérité ». L'article est étayé par de nombreux exemples de tromperies que les systèmes d'IA ont déjà commises. Ces conclusions qui donnent à réfléchir posent de sérieux risques tels que la fraude et la manipulation électorale, mais aussi des risques plus graves tels que la « perte de contrôle des systèmes d’IA ».
Le fondement de l’expérience humaine – détourné par l’IA ?
Ce qui précède me suggère qu’il existe une quantité importante de battage médiatique injustifié autour de l’IA. Dans le meilleur des cas. Comme cela a été suggéré, on craint qu’un système d’IA puisse être utilisé à mauvais escient ou qu’il puisse tromper et manipuler « parce qu’il a appris cela de nous », comme l’a récemment déclaré le journaliste de CNN Jake Tapper.
L’IA n’a besoin que de quelques personnes pour l’entraîner à la manipulation. Mais je pense qu’il y a un aspect plus profond et encore plus inquiétant.
Je peux attester, grâce à des décennies d'expérience, à quoi ressemble le phénomène décrit dans l'article de Nature Briefing :
« La naissance d’une conjecture – une affirmation soupçonnée d’être vraie mais qui n’a pas encore été prouvée de manière concluante – peut ressembler à un moment d’inspiration divine pour un mathématicien. »
Oui, c’est effectivement le cas. Et les gens ont généralement aussi des inspirations. Les gens sont naturellement curieux et inventifs, et ils peuvent réaliser quelque chose – si vous les laissez faire.
Le dicton « La nécessité est mère de l’invention » le prouve. Chaque fois que des idées ou des idées sont nécessaires, nous, les humains, pouvons être inspirés par quelque chose de nouveau, pertinent et utile.
Le mot « inspiré » est en effet intéressant, et certains ont noté qu’il signifie littéralement « dans l’esprit ». L’article de Nature l’appelle « inspiration divine ». C'est en effet un sentiment formidable, stimulant, excitant, édifiant et passionnant de poser une question intéressante et de trouver une solution.
C'est la joie de la science, de la curiosité, de « créer ». D’autres le font dans l’art. Les mathématiques et les sciences sont la même chose. Fondamentalement, il s'agit du plaisir d'explorer et de trouver quelque chose de nouveau et d'utile.
Des générations de chercheurs et de personnes de tous horizons ont vécu cette expérience. Avant, il était normal d’avoir des informations utiles. Aujourd’hui, beaucoup déplorent la perte du véritable instinct et affirment que seuls les animaux sauvages peuvent prédire la météo ou savoir où aller pour trouver ce que l’on veut.
En lisant l’article sur Nature, je me demande si l’auteur a expérimenté bon nombre des inspirations divines dont il parle. C’est précisément cette essence de l’humanité qui devrait être laissée à l’IA. Je soutiens que c’est là le plus grand danger auquel l’humanité est actuellement confrontée.
C'est le système de croyance sous-jacent qui me préoccupe. Quel est le message que nous transmettons à nos enfants ? Lorsque nous disons que l’IA nous aidera à acquérir des connaissances et de l’inspiration, ne leur disons-nous pas qu’ils ne peuvent pas l’avoir eux-mêmes ? N'est-ce pas le message selon lequel nous, en tant qu'humains, ne sommes pas assez bons ?!
La plupart se sentant terriblement inadéquats, il n’est pas étonnant que les gens suivent les promesses de la gouvernance mondiale et du contrôle totalitaire !
De ce seul point de vue, c’est une insulte de dire que l’IA peut nous aider à réaliser une « combinaison de génie, d’intuition et d’expérience » – que l’article de Nature décrit comme inaccessible et rare.
C'est un mensonge ! Vous n’avez pas besoin de cette combinaison pour arriver à de grandes conjectures et idées.
Il suffit d’observer les enfants dans leur état naturel. N'êtes-vous pas curieux ? Sont-ils incapables de poser les bonnes questions ?!
En tant qu'étudiants, nous plaisantions souvent, notamment lors des examens devant les grands jurys : « Je préfère être interrogé par ceux qui comprennent le problème. Mais je suis nerveux lorsque je suis examiné par quelqu'un qui n'est pas un expert ». Le fait est que ces derniers ne connaissent pas les difficultés techniques qui ont déjà amené de nombreuses personnes à se heurter aux murs. Ils posent naïvement les questions les plus difficiles parce qu’ils manquent d’expérience, ce qui s’est avéré insoluble.
Dernières pensées
Je crois fermement que nous sommes naturellement et divinement dotés de la capacité de poser les bonnes questions et de trouver des réponses parfaites . Mais en tant que société, on nous a dit que nous manquions de tous ces aspects. Nous avons désormais besoin d’un sauveur : l’IA ou un gouvernement autoritaire. Ou les deux.
Quelle insulte à notre vraie nature !
Combien de fois entendons-nous nos professeurs dire à nos jeunes : « Vous êtes bons ! Tu peux le faire! Les parents sont-ils encouragés à apprendre à leurs enfants à faire confiance et à honorer leurs instincts, à leur dire de suivre ce qu’ils ont dans le cœur ? Qu’ils sont libres de suivre leurs rêves et de poursuivre ce qui est important pour eux ?
De nombreuses traditions spirituelles disent, à la base, la même chose à propos de la véritable nature de l’humanité : nous sommes à la fois pleinement humains et pleinement divins. Combien de fois Jésus a-t-il rappelé à ses disciples qu'il ne faisait qu'un avec le Père et que nous devions suivre son exemple dans cette conscience et cette façon de vivre ! Que nous sommes fils (et filles) du Très-Haut, tel était son message.
Dans une récente interview, le chirurgien général de Floride, Joseph Ladapo, a dit essentiellement la même chose en soulignant le cœur de la Constitution américaine, qui est simple et profonde : chaque être humain est divin.
« Je vois maintenant qu’il suffit que chacun retourne à la source de sa propre religion…. Dans chacun se trouvera l'or pur de l'Alchimiste, la sagesse du Très-Haut..."
L’hypothèse selon laquelle l’IA est nécessaire à la perspicacité et à l’inspiration divine est réfutée par toute forme de religion lorsqu’elle est comprise dans son essence.
La perturbation écologique et la militarisation de l’Antarctique pousseront la planète plus près des points de basculement
Par Bharat Dogra Recherche mondiale, 20 mai 2024
L'Antarctique (pôle Sud), un continent environ 40 % plus grand que l'Europe, a également été appelé le plus grand désert du monde et le continent le plus froid, le plus venteux et le plus solitaire. De telles descriptions ne font pas exactement de ce continent le continent le plus attractif, mais en accord avec notre époque, ceux qui recherchent des minéraux et des avantages géostratégiques peuvent trouver leurs propres attraits.
Jusqu’à présent, ce continent a été l’un des endroits relativement mieux gérés au monde, mais cela peut changer rapidement avec l’émergence de plus en plus effrayantes possibilités de perturbation écologique, voire de militarisation.
- voir carte sur site -
Si une telle dérive se produit, ce sera une tragédie bien au-delà de ce continent, car l’Antarctique joue un rôle très important dans la protection de l’écologie gravement menacée de la planète entière.
Les vastes calottes glaciaires qui recouvrent presque entièrement ce continent contribuent de manière importante au maintien de l'équilibre thermique en déviant naturellement les rayons du soleil, ce qui joue un rôle de plus en plus protecteur pour la Terre. Ce continent contribue également en maintenant le système de circulation de l'eau.
On estime que les glaciers d’ici représentent 70 % des réserves mondiales d’eau douce.
C'est un habitat pour de nombreuses espèces que l'on trouve uniquement ici, et certaines des espèces trouvées ici, comme les plus grandes baleines, jouent elles-mêmes un rôle protecteur important.
Bien que mieux connu pour ses nombreuses espèces de manchots et de phoques, l'Antarctique abrite également ses krills uniques qui fournissent de la nourriture à de nombreuses espèces en plus de jouer d'autres rôles écologiques importants.
Bien que les écologistes aient mis en garde contre les dangers croissants des plastiques, d'autres polluants et surtout des espèces envahissantes introduits ici ces derniers temps ainsi que contre la menace posée par les pratiques de pêche destructrices, dans l'ensemble, le continent a été raisonnablement bien protégé jusqu'à présent en termes de toute ruine causée localement. Cependant, en termes d'impact du changement climatique et du réchauffement global, l'écologie fragile de ce continent a bien sûr souffert de la forte fonte des glaces et des glaciers et les habitats de plusieurs espèces ont été menacés dans le processus.
Cependant, si les activités futures contribuent beaucoup plus fortement à la ruine écologique locale, alors le cercle vicieux s'achèvera à mesure que le réchauffement climatique fera fondre le continent, libérant également davantage de carbone enfoui, d'une part, et que, d'autre part, la ruine locale perturbera le rôle protecteur du continent et contribue encore davantage au changement climatique et à d’autres catastrophes écologiques graves, poussant le continent vers des points de basculement.
Jusqu'à présent, de nombreux dommages ont pu être évités grâce aux systèmes mis en place par le Système du Traité sur l'Antarctique (ATS) créé par le Traité sur l'Antarctique de 1959/1961, qui a mis en place un système visant à éviter l'exploitation et l'exploration des minéraux ainsi qu'à interdire les activités militaires. /militarisation . Cela a été encore renforcé par le protocole de suivi élaboré en 1998, qui a magnifiquement convenu de préserver l'Antarctique en tant que « réserve naturelle internationale dédiée à la science et à la paix ». Ce protocole est censé durer au moins 50 ans, jusqu’en 2048, date à laquelle, espérons-le, il pourra être prolongé.
Cependant, ce système a pu fonctionner raisonnablement efficacement jusqu’à présent parce que la plupart des pays impliqués n’étaient pas motivés à le perturber. Aujourd’hui, avec un monde de plus en plus divisé, plus belliciste dans l’exploration des avantages géostratégiques et qui devient également plus avide de certains minéraux rares ou d’autres ressources naturelles précieuses, cela peut changer.
Même si les systèmes en place ont bien fonctionné jusqu’à présent, leurs failles et leurs vulnérabilités seront révélées une fois que les principaux acteurs impliqués deviendront plus agressifs. Pour donner un exemple, le système actuel accorde toutes les exemptions aux stations de recherche, même à certains militaires. Cela peut être utilisé à mauvais escient pour recruter davantage de militaires. La recherche est censée avoir un but civil, mais en exploitant les possibilités de double usage ainsi que certaines recherches cachées, des travaux d'importance militaire peuvent également être entrepris. De même, les travaux de recherche peuvent également inclure des travaux secrets d’exploration minière, qui sont très susceptibles de conduire à une exploration minérale plus large et, finalement, à des travaux miniers si les perspectives s’avèrent très attrayantes.
Il existe des perspectives de pêche lucrative ainsi que de création de nouvelles routes maritimes. La domination du ciel ici peut conduire à un avantage militaire important sur une vaste zone. Le ciel clair ici ravira peut-être les amoureux de la nature, mais ceux qui s'intéressent à la recherche sur la guerre spatiale et au suivi par satellite peuvent avoir une vision très différente des possibilités.
Le traité original a été signé par 12 pays. Sept d'entre eux ont revendiqué des territoires : l'Argentine, l'Australie, le Chili, la France, la Nouvelle-Zélande, la Norvège et le Royaume-Uni . Non moins important est le fait que les États-Unis, la Russie et la Chine se réservent le droit de faire des réclamations futures. De nombreux autres pays, plus de 30, ont mis en place des bases de recherche permanentes . Même les efforts visant à diviser la région selon des lignes imaginaires ont été discutés, tournant en dérision le traité et le protocole existants. Cependant, jusqu’à présent, le traité et le protocole sont en place, et c’est une grâce salvatrice.
Il est toutefois évident que de nombreux efforts supplémentaires sont nécessaires pour renforcer les dispositions en matière de paix et de protection écologique. Une option consiste à abandonner complètement les revendications territoriales et à confier le continent aux Nations Unies pour qu’elles le gouvernent entièrement sur la base d’une paix totale et d’une protection écologique en tant que patrimoine commun de toute l’humanité et de toutes les formes de vie.
(...) On estime que les glaciers d’ici représentent 70 % des réserves mondiales d’eau douce. (...)
Un peu con comme formule, non ?
A savoir que: depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km3 d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans SANS qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors ! L'eau sale des mers & océans (les poissons chient dedans !!) s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers maritimes & océaniques où elle est chauffée/brûlée et repart en galeries souterraines (d'où elle est venue à 78 %) vers les sources de montagnes et nappes phréatiques (22 %). Cette eau est désormais PURE, claire, sans goût, ni couleur, ni odeur, ni bactérie.
Normalisation de la déviance : la thanatopolitique de la biosécurité et du biocapitalisme
DIMANCHE 19 MAI 2024
Il y a environ 10 jours, j'ai décrit les ruptures symboliques et les réseaux catastrophiques du complexe biocapital-sécurité, qui comprend des entreprises, des agences gouvernementales, des scientifiques/universitaires et des organisations de la « société civile » qui amplifient de manière symbiotique les agendas institutionnels et/ou élites : Un essai sur le complexe bio-capital-sécurité défaillant
La formule de l’échec est simple : un comportement de recherche de risques conduit à des crises qui sont ignorées ou exploitées par des réseaux et des organisations bien positionnés.
J'étudie et enseigne la communication sur les risques et les crises. Les risques sont poursuivis et les dangers ignorés lorsque les profits ou le pouvoir sont en jeu, comme mes études de cas sur la crise financière de 2007-2008, la marée noire de BP, la crise de Fukushima, la crise nucléaire de Fukushima Daiichi et maintenant la pandémie (2020-2022). démontrent.
Pour reprendre le langage de Diane Vaughan dans son étude sur la catastrophe du Challenger, la « déviance » est normalisée lorsque les observations de préjudices et les avertissements sont censurés ou autrement réprimés, comme l'explique cet article du journaliste du WSJ, JB Meigs :
Meigs, J.B. (10 mai 2024). Revue "Challenger": Comment la catastrophe de la navette spatiale s'est produite. Le journal de Wall Street.
Citation : « Il est tentant de supposer que si nous étions engagés dans une entreprise risquée, nous repérerions le danger et sonnerions l'alarme. Mais l'étude des catastrophes montre que de telles hypothèses sont trop faciles. Dans toute organisation, la pression pour normaliser la déviance est forte ; même les managers les mieux intentionnés succombent à la pensée de groupe ; et des règles trop strictement suivies peuvent rendre difficile la gestion des imprévus. "IDÉE CLÉ : la pression pour normaliser la déviance conduit aux désastres !
La déviance est normalisée lorsque les dangers – en particulier ceux transférés à des « autres » moins puissants – sont ignorés en raison d’« incitations perverses ».
Nous le voyons maintenant se manifester dans le contexte de la pandémie. La recherche sur les gains de fonction est menée au hasard et est financée par les gouvernements et les réseaux d’élite sans transparence ni responsabilité. Tout le monde devrait lire le témoignage du Congrès sur le financement du GoF par les NIH :
Le témoignage de Tabak révèle des procédures de subventions fédérales nécessitant une réforme sérieuse
Pendant ce temps, une faille historique dans l’éthique médicale pousse les efforts visant à modifier génétiquement la synthèse de protéines humaines au moyen de produits injectables obligatoires, sans aucune responsabilité du fait des produits.
Des expériences de transfection génétique sont menées sur des personnes dont les résultats indésirables sont refusés.
Mais les externalités deviennent difficiles à ignorer. La santé publique s’effondre dans les pays hautement vaccinés :
Jon Ungoed-Thomas (19 mai 2024). Les patients cardiaques sont contraints d'attendre plus d'un an pour être soignés en Angleterre. The gardian.
La British Heart Foundation (BHF) prévient que les listes d'attente pour des soins cardiaques atteignent désormais un niveau record, atteignant 414 596 fin mars 2024 en Angleterre, soit presque le double de ce qu'elle était en 2020. Le nombre de personnes attendant plus d'un an pour des soins cardiaques le nombre de tests et de traitements est passé à 10 893. Il y a quatre ans, ce chiffre n’était que de 53. …. Une analyse du BHF publiée en janvier a révélé que le nombre de personnes mourant en Angleterre avant 75 ans de maladies cardiaques et circulatoires avait atteint son plus haut niveau depuis une décennie. En 2022, plus de 39 000 personnes sont décédées prématurément en Angleterre de maladies cardiovasculaires, notamment de crises cardiaques, de maladies coronariennes et d’accidents vasculaires cérébraux, soit une moyenne de 750 personnes par semaine. Il a signalé que le total annuel de décès était le plus élevé depuis 2008.
Le COVID-19, les susceptibilités génétiques et le mode de vie en seront responsables, mais ne sous-estimez pas l’impact des vaccins. Le virus contient les récepteurs ACE-2 optimisés et le clivage de la furine pour permettre au virus de détourner les cellules. Mais le vaccin amène votre corps à produire des protéines de pointe presque identiques pendant une durée prolongée, dans tout votre corps, avec le risque supplémentaire du mécanisme d'administration - les soi-disant nanoparticules lipidiques qui sont susceptibles de provoquer des problèmes de coagulation et auto-immunes.
Dans une récente interview, l'ancien directeur du CDC, Robert Redfield (voir ici), a déploré la perte de confiance du public dans les agences de santé publique en raison du manque de transparence autour des vaccins, qui, selon lui, « ont sauvé de nombreuses vies », mais ont également incité certaines personnes à se protéger. "assez malade."
"Ceux d'entre nous qui ont essayé de suggérer que les vaccins pourraient avoir des effets secondaires importants... nous avons en quelque sorte été annulés parce que personne ne voulait parler du problème potentiel des vaccins, car ils avaient peur que cela provoque des problèmes chez les gens. ne pas vouloir se faire vacciner », a déclaré le Dr Redfield.
« J’ai un certain nombre de personnes qui sont très malades et qui n’ont jamais eu le COVID, mais elles sont malades à cause du vaccin », a-t-il poursuivi. "Et nous devons simplement le reconnaître."
ANNULÉ
Redfield fait partie d'un groupe d'anciens défenseurs des vaccins qui « reconnaissent » désormais les dommages causés par les vaccins, bien que toutes les mentions d'effets indésirables aient été systématiquement ignorées, censurées et effacées en 2021 et 2022.
J’ai été témoin en chair et en os de professionnels de la santé refusant de reconnaître les blessures causées par les vaccins. Dans mon cas personnel, l'infirmière de ma compagnie d'assurance m'a ordonné de ne pas aller à l'hôpital, malgré une pression thoracique énorme et incessante et des difficultés respiratoires après le vaccin pendant des jours. Je crois que cette étude explique mon expérience, qui n'est "rare" que parce qu'elle n'a pas été suffisamment rapportée :
Bakos, Tamas et al. (2024). "Les lipides du vaccin ARNm-LNP COVID-19 induisent l'activation du complément et la production de cytokines pro-inflammatoires : mécanismes, effets des inhibiteurs du complément et pertinence par rapport aux effets indésirables" International Journal of Molecular Sciences 25, no. 7 : 3595.
De nombreuses personnes ont eu des réactions indésirables aux vaccins contre la COVID-19 et certaines sont décédées. Les personnes de notre réseau sont décédées et ont eu des réactions potentiellement mortelles, que les professionnels de la santé ont presque toutes négligé de signaler ou même de reconnaître. La plupart des blessés avaient moins de 40 ans. De nombreuses personnes ont refusé de reconnaître ou de discuter des blessures causées par le vaccin. Certaines de ces personnes ont vilipendé toute forme de résistance aux mandats et ont annulé les amis et la famille qui n'étaient pas d'accord avec la grande expérimentation sur la population.
La propagande a été utilisée comme jamais auparavant pour promouvoir un récit unique et fabriqué sur les origines du virus et pour stigmatiser et éliminer toute dissidence. La documentation sur l’utilisation abusive de la communication sur les risques de pandémie est bien établie. Le pays a été délibérément divisé entre les « vaccinés » et les « non vaccinés » par les autorités sanitaires, comme je le documente ici.
Le pardon va prendre beaucoup de temps. Des gens ont perdu la vie et la santé. Ceux qui refusaient étaient vilipendés et censurés. De nombreuses personnes ont perdu leur emploi à cause de leur résistance. Ceux qui ont eu des événements défavorables et ceux qui ont résisté ont été ignorés ou annulés par les petits tyrans.
Il faudra beaucoup de temps pour obtenir le pardon, mais avant d'y parvenir, il faut la vérité et la réconciliation, et je ne pense pas que cela se produise.
Au lieu de cela, il semble que la recherche sur les gains de fonction sur les virus se poursuit et inclut la grippe aviaire et d’autres fléaux, alors que la biosécurité est présentée comme à la fois défensive et offensive et que le biocapital cannabilise le corps humain.
Entre-temps, les échecs matériels et symboliques de la biosécurité deviennent de plus en plus évidents.
La spirale des erreurs : pourquoi la politique industrielle est vouée à l’échec
Rainer Zitelmann le 20 mai 2024
La politique industrielle est vouée à l’échec pour les mêmes raisons que l’économie planifiée. C’est l’une des thèses explorées dans le livre du célèbre économiste chinois Weiying Zhang, professeur à l’université de Pékin. Zhang est largement reconnu comme le principal défenseur des principes de l’économie de marché en Chine, et a joué un rôle important dans l’élaboration des politiques économiques de Deng Xiaoping à la fin des années 1980 et dans les années 1990.
Toutefois, l’influence de Zhang s’est affaiblie ces dernières années, la Chine s’étant orientée vers une politique industrielle davantage pilotée par l’État. Dans son nouveau livre, Re-Understanding Entrepreneurship, publié par Cambridge University Press, Zhang critique les politiques industrielles chinoise et américaine. Celles-ci se sont influencées mutuellement entraînant une spirale d’erreurs. Il écrit :
« En partie en réponse aux politiques industrielles de la Chine, le gouvernement américain a également introduit une politique industrielle au cours des dernières décennies, d’une manière ou d’une autre. Les exemples incluent l’adoption législative du CHIPS and Science Act et de l’Inflation Reduction Act, supervisée par le président Biden. »
Article original publié sur Washington Examiner.
Si les hommes politiques occidentaux pensaient que la réussite économique de la Chine était le résultat d’une gestion économique étatique ou d’une politique industrielle, il s’agissait d’une interprétation erronée du succès de la Chine, explique M. Zhang.
Un document de travail du Forum économique mondial publié il y a cinq ans affirmait :
« Le secteur privé chinois […] est désormais le principal moteur de la croissance économique de la Chine. La combinaison des chiffres 60/70/80/90 est fréquemment utilisée pour décrire la contribution du secteur privé à l’économie chinoise : il contribue à 60 % du PIB de la Chine, est responsable de 70 % de l’innovation, de 80 % de l’emploi urbain, et fournit 90 % des nouveaux emplois. La richesse privée est également à l’origine de 70 % des investissements et de 90 % des exportations. »
Depuis les années 1980, la Chine a connu de nombreux échecs en matière de politique industrielle, mais très peu de succès. Selon Zhang, les succès du pays ne sont pas dus à l’intervention de l’État dans l’économie, mais bien à celle-ci.
La raison pour laquelle la politique industrielle échoue régulièrement est la croyance erronée selon laquelle les politiciens et les fonctionnaires ont une meilleure compréhension des innovations les plus prometteuses de l’avenir que des millions d’entrepreneurs et de consommateurs.
Selon Zhang, c’est une grave erreur de penser que les gouvernements peuvent prédire l’avenir correctement. Les innovations ne sont pas le fruit d’une planification étatique, mais de l’esprit d’entreprise. Le rôle de l’entrepreneur n’est pas bien compris par les politiciens ni par l’économie classique. Les innovations ne découlent pas d’études de marché scientifiques, mais plutôt de la connaissance implicite (également connue sous le nom d’intuition) des entrepreneurs. Lorsqu’un entrepreneur commet une erreur, ce qui arrive assez souvent, il est pénalisé sur le marché concurrentiel.
Le problème de la politique industrielle de l’État est que, bien qu’elle puisse produire des succès à court terme, elle échoue en fin de compte à long terme. Lorsque des échecs surviennent, ils ne sont souvent pas corrigés, ce qui incite les responsables politiques à poursuivre leurs stratégies erronées. Ce cycle d’intervention et d’échec a été qualifié de spirale d’intervention par l’économiste Ludwig von Mises.
Zhang résume bien ce phénomène lorsqu’il déclare :
« Les fonctionnaires et les experts, cependant, ne sont généralement pas disposés à reconnaître leurs propres erreurs parce que celles-ci révèlent leur propre ignorance. L’un des moyens de dissimuler les erreurs consiste à soutenir davantage les projets qui échouent. Le résultat est une succession d’erreurs ! »
Ce n’est souvent qu’avec le recul que l’échec de la politique industrielle apparaît au grand jour, comme le montre l’exemple du Japon, qui était autrefois considéré comme un succès retentissant et un modèle pour des pays comme la Chine et les États-Unis. Toutefois, des études plus récentes ont montré que les vingt industries japonaises les plus prospères n’ont reçu pratiquement aucun soutien, tandis que les sept industries les moins prospères ont bénéficié du plus grand nombre d’aides d’État.
Les hommes politiques des États-Unis et de la Chine s’inspirent actuellement des pires politiques de l’autre, comme le montre Zhang : la politique industrielle américaine de Joe Biden « incite le gouvernement chinois à se montrer plus obstiné dans sa politique industrielle. Ainsi, les politiques industrielles des différents pays peuvent s’accélérer mutuellement. »
Un autre problème est que l’échec de la politique industrielle est souvent dissimulé par un processus d’« autojustification. »
La promotion des véhicules électriques en est un exemple :
« Si le gouvernement utilise la législation pour interdire l’utilisation des véhicules à essence et n’autorise que les véhicules électriques d’ici 2030, par exemple, alors l’élimination des véhicules à essence sera une victoire décisive pour les véhicules électriques. Toutefois, cela ne prouve pas qu’une politique industrielle visant à encourager les véhicules électriques soit correcte. »
La politique gouvernementale pourrait bien éliminer des technologies plus prometteuses. Le potentiel de progrès des véhicules à essence est encore énorme. C’est le marché, et non les politiciens, qui devrait décider si ce sont les moteurs à combustion innovants ou les véhicules électriques qui l’emportent.
L’ironie de l’histoire veut qu’un professeur d’économie de l’université de Pékin, guidé par les enseignements de Ludwig von Mises et de Friedrich August von Hayek, doive expliquer aux États-Unis les principes de l’économie capitaliste et de l’esprit d’entreprise.
(...) Selon Zhang, c’est une grave erreur de penser que les gouvernements peuvent prédire l’avenir correctement. Les innovations ne sont pas le fruit d’une planification étatique, mais de l’esprit d’entreprise. Le rôle de l’entrepreneur n’est pas bien compris par les politiciens ni par l’économie classique. (...)
Tous les chefs d’États dans le monde ne peuvent que le reconnaître: seule la Démocratie peut fonctionner dans un pays. Suffit de regarder toutes les escroqueries lancées par les chefs d’États depuis les guerres, le Global Warming jusqu'au corona avec le manchon de l'OMS pour contraindre le Peuple à être con.
Un changement de direction se profile à l’horizon aux Pays-Bas, ce qui pourrait également ébranler l’UE. En fin de compte, la question se posera également de savoir si le prochain pays après les Britanniques fuira l’UE.
Geert Wilders, l’un des premiers populistes de droite des Pays-Bas, est au sommet de son pouvoir. Il est député depuis 1998 et son parti a désormais pris le pouvoir dans ce pays de l'UE au sein d'une coalition de quatre partis. On ne sait toujours pas qui deviendra Premier ministre. Mais Wilders annonce un net changement de cap politique. Une question cruciale : le « NEXIT » arrive-t-il maintenant ?
L’UE sans la Hollande ?
Viktor Orban, le principal opposant à Bruxelles (du moins en public), ne veut pas sortir la Hongrie de l'UE, il dit vouloir « reprendre Bruxelles ». Wilders est devenu populaire grâce à sa politique migratoire. Il ne faisait pas partie de l'opposition en raison de son ton extrêmement dur contre l'Islam - raison pour laquelle il soutient également résolument les colonies israéliennes illégales - et sa politique était simple. Il lui reste maintenant à le mettre en œuvre. Wilders veut arrêter ou au moins « ralentir considérablement » l'immigration clandestine ; il annonce une « loi sur la crise de l'asile » : les contrôles aux frontières sont inclus : les migrants irréguliers rencontrés lors des contrôles aux frontières terrestres seront immédiatement renvoyés vers l'Allemagne et la Belgique.
Une loi récemment adoptée qui divise les migrants entre les municipalités néerlandaises doit être abrogée et le « statut de réfugié illimité » doit être aboli. En bref : la « politique d’asile la plus stricte de tous les temps » et la fin de certaines lois sur le climat : au lieu de 100 km/h sur l’autoroute, il y aura à nouveau 130 km/h et l’obligation d’utiliser des pompes à chaleur sera à nouveau supprimée.
Les choses seront difficiles pour l’UE. Wilders veut négocier une exception aux règles européennes en matière d'asile. Les Danois font déjà quelque chose de similaire. Si le prochain pays parvient à faire de même, l'autorité de Bruxelles sera encore affaiblie et la pression migratoire sur l'Allemagne augmentera. La sortie des contrats, comme le souhaiterait Wilders, est légalement impossible. Porte-parole de la Commission, Eric Mamer : « Vous ne pouvez pas vous retirer de la législation européenne. (…) Nous travaillons sur la base des traités et de la législation existants.» Mark Rutte n'a accepté la nouvelle loi européenne sur l'asile qu'en décembre.
La plateforme Tichys Insight révèle également l’idée évidente :
En fin de compte, tout pourrait se résumer à la question de savoir si les Pays-Bas souhaitent rester dans l’UE ou estiment que les inconvénients l’emportent désormais sur les avantages. Les négociations sur le Brexit nous ont appris que les grandes sociétés européennes ont une aversion pour ce qu’on appelle le « Cherry Picking ». Alors cette cruche (têtue) va au puits jusqu'à ce qu'elle se brise. Et d’un autre côté : Wilders aura de moins en moins à perdre, mais l’UE oui, à savoir la cinquième économie du bloc d’États. Mais Wilders a comme vent arrière les problèmes croissants dans l’UE et aux Pays-Bas.
Quoi qu’il en soit, les problèmes augmentent pour Bruxelles – et ce avant même les élections européennes.
La réponse à la calomnie et à la censure ! (Interview de Loïs Sasek par AUF1)
RépondreSupprimer18.05.2024
www.kla.tv/29096
Plus de 100 conférenciers y ont participé jusqu'à présent, 19 conférences avec toujours le même principe : une voix et une contre voix, car c’est seulement quand j’entends l’une à côté de l'autre, que je peux percevoir par intuition ce qui semble cohérent. Et si cette opportunité n'existe pas, c’est impossible.
Et en fait, lorsque papa a créé l'AZK en 2008, tout le monde a tout de suite dit : Tu ne pourras jamais faire ça, c’est impossible, tu ne pourras pas rassembler plus de 50 personnes. Mais pour moi, mon père est un vrai héros. Il a dit : C’est possible. Je me lance tout simplement. Jusqu'à 3 000 personnes sont venues, puis de plus en plus, et maintenant, par streaming, des milliers de personnes viennent de 48 pays. Et pour la création de Kla-TV en 2012, c'était exactement la même chose.
Là aussi, tout le monde a dit qu'on ne pouvait pas faire ça, qu'on ne pouvait pas faire une télé et ainsi de suite, et il a simplement dit : On peut. Nous pouvons commencer, nous devons donner une plate-forme, nous devons créer nos propres médias. Et il y a douze ans, on n'aurait pas imaginé ce qu’il y a maintenant, des centaines de lanceurs d’alerte, de chaînes alternatives, toujours de nouveaux noms, toujours. Je dois dire que je suis fière de mon papa et, il a eu l'humilité de commencer à partir de rien. C'est ainsi que tout a commencé. Et tout le monde peut porter plainte contre les médias, c'est pour ça qu'il y a Kla-TV.
Présentateur :
Kla-TV travaille sur une base gratuite, tous les collaborateurs sont bénévoles, comment une telle qualité et quantité est-elle possible avec des bénévoles, comment est-ce organisé, comment ces collaborateurs sont-ils formés, comment tout cela est-il géré ?
Loïs Sasek :
RépondreSupprimerEn principe, tout le monde est engagé dans la vie professionnelle. Et après le travail, le soir, c'est le travail pour Kla-TV qui commence et personne ne facture son travail. Rien. Il n'y a pas de factures, il n'y a pas non plus d'appel aux dons, et tout est pour le plaisir, comme un hobby, quand tu t'achètes quelque chose de nouveau pour un équipement d'escalade et quelque chose... alors l'un apporte un micro, l'autre une caméra, peu importe.
Et je veux dire que les redevances radio/TV pour l'Allemagne sont de 8,5 milliards, pour l'Autriche de 2,1 milliards et, si nous nous basons sur 7 millions de contributeurs, 17,7 milliards en Suisse. On constate donc que nous sommes grugés sans limite pour financer l'agitation, l'incitation à la peur, la calomnie, les mensonges, la propagande de guerre. Nous voulons démontrer que c’est possible sans argent. C'est possible avec un engagement personnel.
Ce qui est spécial avec Kla-TV, c'est que chacun peut œuvrer lui-même contre ces violations du droit, contre la corruption, contre l'escroquerie pharmaceutique, contre les mensonges des médias. Ce qui motive chacun, c’est de pouvoir agir également contre cette élite puissante. Et chez nous, c'est tout simplement comme dans une famille, tout est volontaire. C'est le principe. C'est également orienté vers les aptitudes, c'est-à-dire que chacun peut trouver ce qui lui fait plaisir. Ainsi, il y a des équipes qui ne font que des recherches, d'autres écrivent des textes. Puis il y a ceux qui ne font que sauvegarder les sources sur nos serveurs, parce que tout est constamment supprimé. Il y en a des centaines qui ne font que sauvegarder les sources. Ou des femmes au foyer qui mettent des tags, des termes de recherche, pour qu'on trouve plus facilement les émissions. Nous avons aussi notre propre archive médiatique. Il y a parfois des jeunes qui disent : Je veux mettre des tags, toujours écrire ce qu'on voit sur l'image, pour qu'on les retrouve mieux lors de recherches. Découpe, programmation, conception, rédaction, relecture, corrections. Il y a tellement de possibilités d’aider, chacun peut donc y trouver quelque chose à son goût.
Certains se contentent de prier, de dire : « Je prie maintenant pour une percée, afin que la lumière puisse entrer ». Certains s'occupent du son, animent, parlent. Et aussi d’autres, ceux qui cuisinent ou qui assurent les arrières. Ils participent tout autant. Ils se sentent également à l’aise. Et c'est le principe de Kla-TV. Nous collaborons comme un seul corps. Donc le mot clé est organisme. Chaque membre est important. On s'apprécie mutuellement, car chacun a besoin de l'autre. On ne peut pas se passer d'un doigt, d'un cœur, d'un poumon. Et chaque organe est important. Nous nous apprécions mutuellement. Et c'est de cette interaction organique que nous vivons. C'est une harmonie, nous le vivons comme une famille. Mais je dois dire que le fondement de cette collaboration gratuite n'existe pas depuis douze ans, depuis le début de Kla-TV. Il y a une véritable base de travail depuis 47 ans.
Mon papa le dit à la fin de chaque discours. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans. Et c'est effectivement le cas. Il a montré l'exemple pendant ces 47 ans. Il a tout fait bénévolement. Des livres, des CD, des films. Il y a des tables entières remplies de livres lors de ces manifestations. Les gens se sont approvisionnés. Des sacs ont été remplis. Tout est gratuit. Cela signifie bien sûr aussi du fait-maison. Tous les livres, nous les avons... - il a écrit 18 livres - nous avons fait beaucoup de produits nous-mêmes. C'est-à-dire, maintenant, en Suisse. C'est aussi un inventeur. On faisait des livres avec un appareil à raclette, c'est-à-dire qu'on faisait fondre la colle dans un four, puis on la découpait. Puis ça fondait sur l’appareil à raclette. Alors ça s’assemble bien. Voici l’exemple d'un livre fait maison. Et on trouve aussi ces choses dans « Le Seigneur des transformations ». Vous pouvez le télécharger ou le commander gratuitement. Et tout cela est fait-main.
RépondreSupprimerCela signifie aussi certaines restrictions. Parfois, dans les premières années, il ne pouvait se payer un café. Il fallait alors redresser de vieux clous quand on devait construire quelque chose. Mais ce qui est particulier, à propos de cela, c'est qu'il est devant Dieu depuis 47 ans. Il a fait l'expérience de Dieu, de manière totalement inattendue, tel qu'IL est vraiment. Cela n'a rien à voir avec la religion ou une quelconque église. Il a simplement remarqué que c'est Dieu. C'est la vie. C'est la joie. C'est le bonheur. Et quand il a touché cela, il s'est naturellement mis à lire la Bible. Et il est écrit par exemple en Matthieu 6:33 : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu, sa justice, et tout le reste vous sera donné. » Et puis il a dit : Je veux essayer ça. C'est de la science spirituelle. Ensuite, il a donné tout son argent, il n'a rien dit à personne et il a fait confiance à Dieu. Et c'est justement cette histoire, qui a déjà trois parties, où jusqu'à l'année 2018, il s'est produit miracle sur miracle, où, quand il n'y avait plus d'argent, une facture... quelqu'un qu’on n’avait jamais vu avant dans la maison, déposait simplement une enveloppe, sans même savoir que c'était pour la facture. Et ce sont bien sûr des moments fantastiques. Ou, quand il n'y avait plus rien, quelqu'un passait. Il y avait simplement ces moments-là. Quelqu’un arrive avec un repas tout préparé, pour 20 ou 30 personnes. Et c'est ce genre d'expérience qui fait qu'on se rend compte que c'est vrai. Dieu prend soin de nous.
Et c'était tout simplement un principe, on ne pouvait dire à personne qu’on testait Dieu : Est-IL fidèle ou non ? Et puis quelqu'un a rompu ce principe. Il manquait encore de l'argent. Et puis quelqu'un a dit à quelqu'un qu’il fallait que de l'argent rentre. Et 800 francs sont arrivés. Quand papa l'a appris, il a dit, il faut le rendre, ça ne va pas. C'est donc tout simplement le fondement de tout ce que nous vivons actuellement.
Nous sommes les enfants de papa et maman. Quand les aspirateurs sont cassés, on prie pour un aspirateur et un aspirateur arrive… quelqu'un a eu envie d'offrir des aspirateurs. Ma petite sœur m'a dit que je devais prier pour des pommes. Nous n'avons pas de pommes, alors quelqu’un nous offre des pommes. C'est vraiment absolument fantastique.
Présentateur :
RépondreSupprimerTu sais que l'un ou l'autre est maintenant assis devant l'écran et se dit « OK mais est-ce que ça marche vraiment ? ». Peux-tu, toi-même, qui est née en 1988 (j’espère que je ne suis pas indiscret), donc tu vis sur cette planète depuis presque 36 ans, est-ce que tu peux confirmer que lorsque vous avez demandé à Dieu de vous aider, vous avez reçu cette aide ?
Loïs Sasek :
Toujours, toujours, sans exception.
Présentateur :
C'est un message fantastique.
Loïs Sasek :
Absolument. Cela va même plus loin, même avec la pensée. Donc je suis dans le magasin, je pense que ces chaussures me plaisent, mais je ne peux pas me les payer maintenant. Mais j’y pense simplement, et déjà je suis passée à autre chose. Quelques jours plus tard, il y a un sac déposé par l’amie de la voisine, qui vient de passer et dans le sac, et il y a justement les chaussures avec les paillettes, avec les petits points brillants qui m'ont plu, et tu dis juste : « Dieu, Tu m'entends, Tu me vois, Tu vois mon cœur. » Et c'est ainsi qu'Il pourvoit à nos besoins, et ce jusqu'à aujourd'hui. La semaine dernière, il y a encore une personne qui est venue avec de la nourriture. Parfois, ce sont des choses qui sont bien sûr bientôt périmées, mais alors on les mange vite. C'est notre vie. Dieu prend soin de nous.
Présentateur :
Revenons à Kla-TV et à votre travail dans la pratique. Pour moi, qui suis habitué au travail professionnel d'AUF1 et qui le vis au quotidien, il est inimaginable que vous produisiez des émissions comme le dossier Tedros, par exemple, avec une qualité sensationnelle. Vous avez à nouveau réalisé une vidéo sur l'OMS, un « Paukenschlag (Roulement de tambour) », vous l'appelez. Une qualité vraiment exceptionnelle. Comment ça fonctionne dans la pratique avec des bénévoles ? Tu es la directrice de production. Tu pourras certainement nous le décrire.
Loïs Sasek :
RépondreSupprimerOui, tout est fait librement. C'est la chose la plus importante. Et c'est toujours… alors nous disons par exemple que ce dossier Tedros est comme un gâteau. On le met au milieu, on le coupe en morceaux et chacun dit : « j'ai faim de ce morceau. » « Je fais le son. » « Ah, je fais l'animation. » « Ah, je fais les titres. » « Moi, j'aime ça, je fais le texte », je vérifie les sources ou peu importe. Mais nous avons différentes façons de travailler ensemble, notamment en partageant les responsabilités. Mais cela va même jusqu'à cela. Dans cette interaction organique, je peux raconter un petit épisode. J'ai un scénario entre les mains, il est jeudi 19 heures. Un super scénario et je remarque qu'il m'électrise. Mais maintenant, brièvement, jeudi midi à 14 heures, nous avons déjà eu une action en essaim. Qu'est-ce qu'une action en essaim ? C'est quand on dit, « Oh, ça brûle ! », ou on dit aussi un une action éclair, il y a des actions éclair. Nous avons encore des films très importants à produire rapidement, parce que nous avons un grand événement samedi. C'est-à-dire que nous avons encore des films à produire avant, il y a quelques dizaines de personnes qui sont venues spontanément, « Ah, j'ai congé, je viens vite. » Un peu comme un essaim de sauterelles. Pour une seule sauterelle, il faut toute une vie pour dévorer un arbre - ensemble, en une minute, il est dévoré. C'est le principe.
Alors maintenant, cette action en essaim a eu lieu l'après-midi, il est 19 heures et samedi, nous avons une grande conférence. Lors de cette conférence, les gens viennent de tous les pays. Nous mettons cela en place nous-mêmes, la préparation, l’événement, et après. Il y a juste quelques centaines de personnes qui arrivent dans la salle vide et ensuite tout est monté. Cela signifie que les gens doivent encore se préparer, ils font des plans de câbles, c'est comme un énorme essaim. En trois heures, 20 tonnes de matériel sont montées, en une demi-heure, tout est démonté, mais toujours en essaim. Tout le monde doit se préparer.
C'est jeudi soir, vendredi soir ils doivent partir après le travail et j'ai mon scénario, mais il doit être diffusé samedi parce que c'est important, très important, urgent. Et voilà, voilà notre force et je réalise, que si c'est important ce scénario, alors il y a une solution. Et puis, je dis comme ça, mon Dieu, si ce scénario est important pour Toi, alors envoie-moi les gens maintenant, sans que j’aie à demander à quelqu'un, sinon je le fais toute seule. De toute façon, j'ai tellement envie de faire ce film, il faut que ce soit maintenant, sinon je fais un travail de nuit, mais sinon, envoie-moi les gens. Puis je m'assois, je commence ma première coupe, et j'entends le premier message, alors je vais sur le chat, ça dit : « Loïs, qu'est-ce que tu fais ? Je peux t'aider ? Qu'est-ce que tu fais ? » Signé Frauke. Je dis que je commence justement à produire un documentaire, j'ai vraiment envie de le faire. « Hé, nous voulons t'aider, Icke et moi, nous voulons t'aider. » Je donne la première, la deuxième partie du scénario. Et je veux continuer, alors le téléphone sonne de l'autre côté du studio, quelqu'un du centre de l'Allemagne, un ingénieur en bâtiment (l'autre était couturière, kiné). Il appelle, « vous avez besoin d'aide dans le studio de cinéma ? » Et je dis « C’est impressionnant ! Regarde ici, la quatrième partie, la cinquième partie. » Je m'apprête à retourner à ma sixième partie quand un autre message surgit du nord de l'Allemagne, un dentiste, Stefan ; il dit « Loïs, tu as besoin de mon aide ? » Il ne m'avait jamais contactée directement. « J'ai l'impression que je n'ai pas encore tiré tout le parti possible de ma semaine. » Je dis « C’est impressionnant ! Pour le scénario, il faut vérifier ceci et cela. Il faut encore coordonner les speakers. Tu t'en occupes ? » « Bien sûr. »
Présentateur :
RépondreSupprimerEt toi aussi, probablement. Ce n'était pas si facile de te faire venir à Linz. Beaucoup de rendez-vous. On aurait presque dit que nous devions produire l'émission de 2025. Car il y a de nombreux projets importants sur ton agenda. Parle-nous donc des prochains points culminants de Kla-TV. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Loïs Sasek:
Je dirais que le projet de loin le plus important que nous ayons actuellement est cet appel au réveil international concernant le traité de l'OMS sur la pandémie. Le vote aura lieu du 27 mai au 1er juin à Genève. Des délégués de 194 pays y participeront. Et il faut dire qu'ils sont en train de planifier un véritable coup d'État. Donc l'OMS et son directeur général, Tedros, devraient avoir tellement de pouvoirs qu'ils pourraient effectivement déclarer des pandémies. Ils veulent, comme avec un scalpel, castrer les États et « s’auto-autoriser ». Cela signifie qu'ils peuvent ensuite proclamer la vaccination, la quarantaine, les restrictions de liberté, comme ils le souhaitent.
Quant au dossier Tedros, nous en avons déjà parlé. Nous avons également mis en lumière son passé criminel. Et c'est donc vraiment le super-désastre, cet homme. Et c'est pourquoi je dois dire qu'il s'agit actuellement du projet le plus important. C'est aussi parce qu'il n'y a pas d'instances de contrôle indépendantes. Vous avez aussi déjà rapporté sur AUF1 qu'ils veulent le monopole de la vérité et dire ce qui est juste et ce qui ne l'est pas. Éliminer la désinformation. Nous avons également créé une fiche d'information avec les faits les plus importants du texte du traité, l'on peut vraiment aller voir ses politiciens avec le libellé exact. On a ainsi de bons faits à discuter. Et là, chacun dans son pays peut aller voir les politiques et vraiment taper du poing sur la table pour que ce coup sournois soit dévoilé. Parce que, selon nous, c'est maintenant que ça passe ou ça casse. Et j'ai donc stratégiquement regardé la carte du monde pour voir dans quel pays on parle quelle langue, afin d'atteindre tous les pays. Parce que cela concerne tous les pays. Nous avons ensuite regardé quelles langues nous permettaient d'atteindre ces pays et nous avons vraiment lancé cette émission en 39 langues, de sorte que tous les pays stratégiques soient effectivement touchés, avec l'aide de nos traducteurs bénévoles.
Et je profite de l'occasion pour vous encourager, chers téléspectateurs de Auf1, à insister et à dialoguer avec les politiciens. Sous l'émission, il y a un lien vers la fiche d'information, des flyers, des bases d'argumentation pour les gens du mainstream, pour les politiques. Et si vous avez des contacts, des amis ou des parents dans d'autres pays, attirez vraiment leur attention sur ce « roulement de tambour », sur cette émission importante. Le matériel est également traduit en d’autres langues. Nous travaillons jour et nuit. Mais vous pouvez vraiment prendre le matériel et le diffuser. Parce que je dis que c'est seulement ensemble que nous pouvons arrêter cette frénésie. C'est vraiment une super catastrophe mondiale, vraiment. Et là, nous devons absolument nous serrer les coudes et créer des synergies.
Présentateur:
RépondreSupprimerL’utilisation de ce matériel, chers téléspectateurs, est explicitement autorisée. Car il s'agit de l'OMS et de ses projets, la diffusion est absolument autorisée. Parlons un peu de la famille Sasek. Si on fait quelques recherches : famille nombreuse, onze frères et sœurs. Est-ce qu'ils travaillent tous à Kla-TV ? Comment peut-on s'imaginer votre vie de famille, compte tenu de ce que vous faites ?
Loïs Sasek :
J'ai donc dix frères et sœurs, nous sommes onze en tout. La plus jeune a maintenant 20 ans. Et peut-être quelques mots sur l'histoire de ma famille : Mes parents sont très créatifs. Ils ont fait avec nous dès les premières années des petites pièces de théâtre, des comédies musicales, puis des tournées où chacun pouvait écrire une chanson chaque année, en fonction de ce qui le touchait. Nous avons aussi passé nos vacances de cette manière. C'était toujours sympa, nous faisions de la musique, chacun pouvait choisir un instrument. Ils ont toujours veillé à ce que chacun puisse s'épanouir, trouver et développer ses dons. Cours de chant ou cours de danse ou autre, ils ont toujours veillé à ce que nous puissions vraiment faire sortir ce qui est dans notre cœur et le mettre en pratique. Et c'est vrai que tout le monde a développé ses talents.
Par exemple, ma sœur cadette, Ruth-Elpida, est une super compositrice. Elle fait de la musique de film et est auteur-compositeur de première classe, elle fait aussi de la musique pour Kla.TV et pour des longs métrages. Mon frère Elias est un génie dans le monde de l'informatique. Ce qu'ils réalisent avec toute l'infrastructure de serveurs qui se trouve derrière Kla-TV, avec toutes nos pages sur le web, c'est juste génial. Par exemple, lui et son équipe ont résisté à des attaques de hackers pendant neuf mois complets, jour et nuit. Des attaques de vrais professionnels. Ils ont mis des millions dans ce projet pour nous paralyser. Et là, Elias est tout simplement un prodige.
Mon frère Jan-Henoch lui aussi, est très différent. Il est très doué pour la construction, l'électricité, la mécanique, la plomberie, la réfrigération, l’énergie solaire. Il s'occupe de toute la base et c'est tout à fait son truc. Ensuite, il y a Boasa, qui est une cuisinière passionnée et qui aime entretenir une maison, qui aime l'agriculture et la gastronomie. Tout cela se complète. Mais elle aime aussi venir au studio de cinéma, pour aider au montage. C'est tout simplement une œuvre familiale où chacun complète l'autre. Sulamith, ma sœur, et Andreas sont de vrais professionnels du graphisme, du montage et de l'édition de films. Ils forment des centaines de collaborateurs et organisent des stages. Anna-Sophia aussi, c'est une monteuse professionnelle. Mais elle est aussi, à mon avis, une chanteuse et une actrice vedette. Elle n'a donc rien à envier à Rihanna. Nos parents ont toujours su tirer le meilleur de nous. Noemi… oui, il y a beaucoup de frères et sœurs…c’est une couturière douée et une comptable et une intendante, c'est génial. Elle rédige aussi des textes pour nous ou rassemble des personnes. Stefan et Ramon sont à leur tour des personnes polyvalentes super talentueuses, dans tout ce qui est manuel, la menuiserie, le jardin, les espaces verts.
Nous en avons besoin partout.
Présentateur :
RépondreSupprimerJ'espère que tu n'as oublié personne dans ta liste !
Loïs Sasek :
Non, même pas. Je ne voudrais pas qu'un frère ou une sœur dise : Hé, pourquoi tu ne m'as pas nommé ? Et j'ai encore une bonne solution maintenant. Donc vraiment, des talents d'organisation sans fin. En tout cas, nous sommes impliqués les uns avec les autres. Et ici aussi dans ce livre « Le Seigneur des transformations », chacun a eu son mot à dire. On peut donc y lire encore un peu plus précisément comment chacun s'investit. Chacun a vraiment son mot à dire. On peut approfondir. Mais ce n'est qu'un petit aperçu de notre famille.
Présentateur :
Comment était-ce pour toi quand tu étais jeune ? Tu as tout de suite su que tu voulais entrer dans cette œuvre familiale. Tu es aujourd'hui directrice de production. Est-ce que cela a toujours été ton souhait ?
Loïs Sasek :
En fait, je voulais être la secrétaire de papa depuis mon plus jeune âge. Les professeurs et les élèves ont vraiment essayé de m'en dissuader. Mais ils n'y sont pas arrivés. C'était solide comme le roc. C'était tout simplement mon vœu le plus cher. J'avais remarqué que ce que faisait papa, je voulais le soutenir avec ma vie. Et c'est ce qui s'est passé. J'ai été la première à demander à papa si je pouvais participer à cette œuvre, à cette œuvre d’aide humaine, à l'œuvre de sa vie. Et ce n'était pas si simple. Il m'a dit… il m'a donné cinq semaines de réflexion. Tu sais, pour que je réfléchisse aux conséquences. Je n'ai pas de garanties, je n'ai pas de salaire. Tout peut s'arrêter du jour au lendemain. Et les diffamations, les persécutions. Et il m'a dit dès le début : « Si tu t'engages ici, tu auras des responsabilités. Tu ne peux pas te contenter de dire : ‘‘Au revoir, je m'en vais, je n'en ai plus envie’’ ». Cela veut dire cinq semaines de réflexion avec toutes les conséquences que cela implique.
« Attends un peu, tu ne sais peut-être pas ce que tu dis maintenant. » Quelque chose comme ça, à 15 ans. Tu veux vraiment cela ? Et puis, je me suis décidée. Je savais ce que je voulais. Et c'était passionnant. J'ai alors déclenché comme une vague dans la famille. Puis l’aîné est venu voir papa et lui a dit que c'était la vision de sa vie. Il avait aussi réfléchi. Et à chacun papa a dit : "Maintenant réfléchis à toutes les conséquences. Tu ne peux pas faire ça comme ça, c'est un peu un engagement." Oui, et puis aussi tout le reste. On aurait pu faire carrière. Je veux dire, nous étions très bons à l'école, c’est vrai. Et c'est là qu'on prend la décision. Et puis en fait, l'un après l'autre, je dirais, ça s'est mis en place. Et comme des dominos. Et c'était particulier, parce que les experts en sectes avaient prophétisé que lorsque le premier aurait 18 ans, il prendrait la poudre d'escampette. Il allait s'enfuir. Mais c'est le contraire qui s'est produit. Quand le premier a eu 18 ans, ça a vraiment commencé. C'est-à-dire que l'un après l'autre, ils sont entrés de leur plein gré, ils ont convaincu papa qu’ils voulaient cela aussi. Ça signifie que nous avons tout construit ensemble pendant douze ans, au-delà de la date d'expiration que les experts en sectes nous avaient donnée. Ensemble, en tant que famille entière.
Et puis les experts en sectes sont revenus. C'est très contre-nature. Cette cohésion qui se prolonge au-delà du temps familial. Donc, les experts en sectes ont toujours eu quelque chose à redire. Ce n'était jamais bien. Ensuite, ils ont même sorti de leur chapeau une vague médiatique, disant que mon frère Elias avait quitté la famille. C'était une véritable campagne de mensonges. Mon frère souffre encore de ce mensonge. Je dis seulement que quoi que nous ayons fait, cela n'a jamais convenu aux médias. Nous en revenons au sujet.
Loïs Sasek :
RépondreSupprimerJe l'ai retiré un temps. Elle était tellement menaçante, cette lettre. Je me voyais déjà derrière les barreaux. Et puis j'ai continué à faire des recherches et je me suis rendu compte que tout était bien réel. C'était encore bien plus que ce que j'avais rapporté. Ils ont alors déjà fait la fête, ils ont écrit à tous ceux qui l'avaient encore. C’était sûr, elle l'a retiré. Vous devez aussi le retirer ! Retirez-le ! Retirez-le ! Bittel-TV aussi, tous, retirez-le. Et puis je suis revenue avec un droit de réponse à cette lettre de menace et le film.
Re-upload a relancé l’histoire, avec encore plus de faits [www.kla.tv/26446]. Et chaque fait a été une nouvelle fois prouvé. Et puis cette vidéo est passée à 1,86 million de vues et a été partagée. Puis le calme est revenu dans la forêt. Je n'ai plus jamais entendu parler de la RTS. Ça m'a laissée très perplexe.
Mais ce que je veux dire… ma conclusion de tout ce que j'ai tiré. Des gens justes et honnêtes comme mon père, on les calomnie et on les criminalise de la pire des manières. Et j'ai l'impression que c’est pour ne pas avoir l'idée de creuser un peu là où se déroulent les véritables crimes. Voilà où j'en suis actuellement. Parce qu'alors les chrétiens disent que ceux-là sont très méchants et qu'ils prient jour et nuit. Mais je ne pense pas qu'il y ait un danger venant d'eux, mais plutôt de ce genre de personnes, comme ceux de ces médias.
Et là, je dois revenir à mes recherches sur le satanisme. J'ai le sentiment que nous devons regarder qui tire les ficelles au sommet. Et je me souviens d'Albert Pike, un sataniste avéré. C'était un franc-maçon du 33e degré et le fondateur de la secte de Satan. Et attention, c'était aussi un général de brigade et un grand commandant, donc l'officier le plus haut gradé de l'armée. Et un document important a été révélé, c'était en 1891, qui dit comment il avait planifié les trois guerres mondiales.
Documenté et organisé. Première Guerre mondiale, je résume brièvement. Le pouvoir du tsar doit être brisé en Russie, le pays doit être transformé en forteresse du communisme athée. La Seconde Guerre mondiale. Elle doit naître des différences entre fascistes et sionistes, afin de détruire le nazisme et de renforcer le sionisme politique. L'objectif de la Deuxième Guerre mondiale aurait été la création de l'État d'Israël. La troisième guerre mondiale doit être déclenchée entre les sionistes politiques et les Palestiniens, c’est-à-dire les dirigeants du monde islamique. Cela nous semble probablement familier, c’est ce qui se passe en ce moment. Et je veux juste attirer l'attention sur le fait que nous devons regarder là où les crimes se produisent réellement. Et c'est ce que confirme le sataniste Aleister Crowley, à nouveau dans son livre que j'ai mentionné précédemment, où il dit que la planète entière doit être baignée dans le sang. Cette grande guerre doit être menée, car il s'agit d'une opération de magie de la plus haute importance. Il peut écrire cela ouvertement, personne ne le regarde, aucun média n'écrit quoi que ce soit. Imagine si mon père avait écrit ça. « Nous devons baigner la planète dans le sang. »
Présentateur :
RépondreSupprimerTon père a été exposé à de nombreuses diffamations. Comment percevais-tu cela quand tu étais enfant ? Première partie de la question, mais ce qui nous intéresse bien sûr aussi, comment ton père a-t-il surmonté cela ? Il a été traité de complotiste, de gourou de secte, de négationniste et Dieu sait quoi d'autre. Ça affecte forcément un être humain. Comment as-tu vécu cela ? Tu as certainement dû entendre des choses de la part de tes camarades de classe à l'école. Et comment vivais-tu cette situation avec ton père pendant toutes ces années ? Y a-t-il eu des moments, des moments de déception, de frustration ?
Loïs Sasek:
Bon, je commence par la deuxième question. Cela fait presque partie du quotidien, ces points zéro où l'on est parfois ému aux larmes face à toute cette injustice. Mais mon père me montre l'exemple de manière vraiment gigantesque : dans ces moments où il est au point zéro, où on ne peut que pleurer, où on est impuissant, à terre, il s'enfuit toujours auprès de Dieu et il sait qu'il y a une justice et qu'il y puise la foi. C'est un homme debout qui a survécu à tout cela. Je pourrais raconter histoire sur histoire.
C'est pourquoi il est mon plus grand modèle, car il ressuscite toujours dans ces points zéro de la faiblesse, de l'impuissance, et ne perd jamais la foi en Dieu et il est toujours dans la foi. Et moi-même, tu m'as encore demandé comment je le vivais. C'est évidemment difficile. Nous avons des œufs sur les vitres, des voitures rayées, on voit des doigts d’honneur ici et là, nous avons déjà été cambriolés deux fois, un feu a été allumé dans notre maison, des attaques également contre notre famille, des pneus ont réellement été crevés, des vis dévissées, ce qui a failli coûter la vie à toute la famille une fois. C'est aussi écrit ici, c'est aussi un miracle que ça ne soit pas arrivé.
C'est grave, même la diffamation à l'école. Je veux dire, toute la calomnie, ils ont aussi lu le journal. J'ai même été frappée par les garçons, j'étais vraiment rejetée. Mais ce que j'ai trouvé encore pire, ou presque, ce n'est pas seulement ça, c'est que depuis mon adolescence, on a fait du lobbying pour que je m'oppose à mes parents. Toujours recrutée, « Sors de là, viens ici, sauve-toi ! » Même la RTS elle-même, je veux dire Evelyn Falk de la RTS, m'a dit : « Viens, viens nous aider, viens chez nous ! » C'est tentant sur le moment, je veux dire, les Suisses paient de bonnes piges, on peut réussir là-bas, non ?
Mais je trouve ça assez cru que tout le monde, enfin tout le monde, que certaines forces, certaines personnes ont toujours essayé de nous diviser, de nous attirer hors de la famille. Et je me suis dit que je voulais que le monde sache qui était vraiment mon père, qui était vraiment ma mère. J'ai aussi fait un exposé en 2010, que l'on trouve sur le site de l'AZK, où j'ai fait une déclaration à propos de papa. J'ai dit, hey papa et maman, ils nous embrassent matin, midi et soir, ils ont leur cœur pour nous. On ne se couche jamais avec des tensions. Tout est toujours réglé. Je n'ai jamais connu la colère. J'ai tout déballé, aussi pour être une voix pour eux. C'est ainsi que j'ai géré la situation, parce que je veux témoigner que nous avons vécu le paradis sur terre. Je veux témoigner du fait que nous n'avons jamais laissé le soleil se coucher sur une quelconque dispute, sur un quelconque désaccord. Ce sont pour moi, je pense, les meilleurs parents du monde et le monde doit le savoir. Et c'est ainsi que j'ai géré tout cela. Je veux être une contre voix, c'est pour ça que je suis venue ici.
Présentateur :
RépondreSupprimerMaintenant, tu as presque anticipé une réponse à une question, mais je veux quand même la poser à nouveau. Car si on fait des recherches, on trouve aussi le sujet de l'éducation. Et on dit de ton père qu'il agit avec une main très dure, et c'est ce que l'on peut lire sur certains sites Internet, qu'il considère la punition des enfants comme une condition préalable pour en faire des gens bien. Comment as-tu vécu cela quand tu étais enfant et adolescente ?
Loïs Sasek :
Tout d'abord, tût, tût, bip, bip, mensonge, ce n'est pas vrai. Considérer la punition des enfants comme une condition préalable pour devenir quelqu'un de bien, c'est une idiotie totale, une foutaise. Mon papa n'a jamais dit ça et n’a jamais appelé à le faire. Cela n'a jamais été le cas. Je n'ai jamais connu la violence, ni de la part de maman ni de papa. J'ai toujours vécu des relations affectueuses. Jamais de colère, jamais de punition sous le coup de l'émotion, jamais. Mais justement, les médias ne veulent pas l'entendre, et je dois donc raconter un petit épisode, comme avec la RTS qui fait une interview lors d'une de nos manifestations avec Georg Otto Schmid à nouveau. Et je me dis, j'ai 17 ans, c'est mon moment, je peux dire directement devant la caméra ce qu'il en est vraiment. Et puis il dit devant la caméra : « Là, il faut corriger les enfants et briser la volonté ». Et j'ai tout de suite dit, « c'est faux, attendez, mon père est l'homme le plus adorable, je n'ai jamais connu la colère, je n'ai jamais connu la violence avec lui. » J'ai tout dit à la caméra, directement devant la caméra de la RTS. Le caméraman comme ça dans tous les sens, la réalisatrice était déjà comme ça, c'était un peu une ambiance spéciale. Et j'ai pensé que c'était enfin réussi. Voix et contre voix. Les gens pourront le voir par eux-mêmes.
Présentateur :
Est-ce que ça a été diffusé ?
Loïs Sasek :
RépondreSupprimerEt puis, la déception n'a pas tardé, parce que je me suis promenée autour du hall. Un peu plus tard, je vois les deux personnes dans une niche cachée refaire l'interview, sans moi. Bien sûr, ça n'a jamais été diffusé. On sait donc que ce n'est pas souhaité. Et pour tous ceux qui justement font des recherches, et même toi en bon lanceur d’alerte, on tombe sur ces mensonges, je voudrais simplement dire que les médias ne sont pas intéressés par ce qu'il en est vraiment, mais c'est aussi visible publiquement. Mon papa a écrit un livre, « Éduque avec une vision ». C'était aussi toujours le point fort.
Nous avons aussi fait toute une tournée familiale où nous avons vraiment consacré des chansons entières à ce thème. Chacun a pu dire comment il le vit. Tout le monde peut y accéder. Et tu n'y trouveras rien de ce qui y est écrit de mauvais. Mais je voudrais dire quelque chose à ce sujet, car cela préoccupe aussi tout le monde. Éduque avec une vision est pour moi le mot-clé. Vision. Parce que c'est ainsi que l'on pourrait résumer l'éducation de mes parents. Parce que papa nous a toujours dit qu'il s'agissait de puissances. Donc dehors, les guerres, la corruption, l'exploitation, ce sont des puissances obscures. Et elles frappent aussi à notre cœur dès le plus jeune âge. Et tout ce qui se passe à l'extérieur, à grande échelle, commence ici, dans le cœur. Les disputes, la jalousie, le vol. Et la vision a toujours été, la vision de vaincre le mal dans mon cœur et ensuite aussi dans le monde entier. Et Dieu en moi peut et veut vaincre le mal. Et Il a aussi besoin de nous pour cela. Il ne peut pas le faire tout seul. Il a besoin de réceptacles. Et il n'y a pas de différence entre vaincre un petit mal dans mon quotidien et vaincre un grand mal. Dans les deux cas, il faut une force surnaturelle. Dans les deux cas, il ne suffit pas que je veuille faire quelque chose de bien. Et c'est ainsi qu'ils nous ont éduqués. C'est ainsi que je l'ai vécu.
Et nous sommes toujours conduits à la maturité, afin que nous puissions nous rendre compte nous-mêmes que c'est mal. Ah, c'est la guerre ! C'est une petite action terroriste. Et je dois vraiment dire que papa ne nous a pas éduqués avec des théories du yin et du yang, du genre « voilà le mal et le bien, il faut les maintenir en harmonie et tout ira bien ». Parce que le mal, même s'il ne représente que 10 %, fera toujours la guerre au bien, le volera, l'opprimera, l'asservira. Donc cette théorie du yin-yang, ce n'est pas notre façon d'être éduqués, parce que c'est aussi comme ça dans une famille. Tu ne peux pas dire « oui, bon, un petit voleur, qu'il nous vole, le reste est bien ». Tu n'as plus la paix familiale. Nous devons vaincre le mal. C’est pourquoi notre devise familiale a toujours été le repos tout autour et la paix pour tous. Et c'est pourquoi, lorsqu'il y avait quelque chose, nous nous asseyions souvent pendant des heures, jusqu'à ce que tous aient la joie, jusqu'à ce que tous soient libres de l'intérieur et aient la paix.
Et c'est effectivement à cause de la calomnie que mon père a été placé en détention provisoire. Il a été interrogé et nous avons tous été retirés de l'école et examinés immédiatement pour rechercher de traces de maltraitance, dans le cadre de cette vague. Et cela s'est avéré être une tempête dans un verre d'eau. Ils ont dit, c'est une tempête dans un verre d'eau, vous avez une paix céleste ici, si tout le monde était comme vous, nous n'aurions plus de travail. C'est ce que dit la police, ce que disent ces autorités. Et je dois dire que oui, ils n'auraient plus de travail, mais en ce moment, elle a beaucoup de travail, la police. Ils doivent intervenir dans les écoles, de plus en plus. Je tiens cela de sources directes d’enseignants, parce que les enfants ne connaissent effectivement plus de limites, plus rien. Ils ne sont plus éduqués, ils font des émeutes, ils sont violents et alors, les policiers sont là, ils n'ont pas une petite baguette en bambou avec eux, ils ont leur équipement avec eux et les enseignants sont en burnout. Ils ne peuvent plus gérer ces enfants.
RépondreSupprimerAlors, encore une petite remarque à ce sujet : Cette idéologie selon laquelle il n'y a plus de limites. Tout est permis. Plus rien n'est bon ou mauvais. Tu es autant femme qu’homme et toutes les nuances entre les deux, il n'y a plus d'orientation là-dedans. C'est un phénomène assez nouveau pour moi aussi. Et, tu comprends, ce « plus de tabous, plus de limites », je dis que c'est comme si tu disais que les vaches n'ont plus besoin de clôture barbelée, parce que ça les pique ; elles peuvent maintenant courir dans la rue et même s'il y a des morts quand on heurte les vaches, c'est quand même de la violence. Il ne doit plus y avoir de limites. Je veux juste dire que je trouve que cette idéologie, selon laquelle il n'y a pas de frontières, est aussi quelque chose de tout à fait nouveau, et donc vous pouvez me suivre, tu peux me suivre, dans ce que je veux dire.
Présentateur :
Oui, oui, c'est vrai. Je voulais parler du livre. En faisant des recherches, on trouve que tu as publié il y a quelques années déjà, avec tes frères et sœurs Simon et David, un livre intitulé : « Maman, s'il te plaît, châtie-moi. » Est-ce quasiment le mode d'emploi de ce que tu viens de dire, il faut aussi poser des limites ? Tout d'abord, ce titre fait froncer les sourcils.
Loïs Sasek :
RépondreSupprimerAlors tout d'abord, ce titre est une citation, une citation provocante d'un événement où une fillette de onze ans est venue voir Papa au bureau en pleurant. Elle nous a vus nous les enfants, mais elle s'est aussi vue elle-même et a dit : « Regarde, tes enfants peuvent être gentils. Tes enfants peuvent faire le bien. Moi, je ne peux pas. Je dois toujours faire le mal. Je dois toujours être en désaccord. Je ne peux jamais obéir. Ma maman, elle non plus, n'intervient jamais. Elle ne me donne pas de limites. » Et en larmes, elle a effectivement supplié Papa de demander à sa maman si elle pouvait, elle aussi, dans ces moments-là, prendre une baguette.
Papa a donc repris cela et nous a donné l'occasion de dire comment nous vivions le fait qu'une limite soit parfois fixée à petite échelle. Prenons l'exemple de la petite mauvaise herbe : tu la tires, elle est arrachée, petit geste, disons, mais seulement dans des situations exceptionnelles où c’est nécessaire. Petit voleur, petit geste. Grand voleur, ça ne marche plus. Les dealers, les braqueurs de banque, les menteurs, les petits menteurs, les grands menteurs, les politiciens, peu importe, tu ne peux plus les arracher rapidement. C'est là que nous avons eu la chance de pouvoir en parler un peu. Simplement comment nous vivons cela et que nous n'avons jamais connu de colère, jamais de relation non résolue.
Mais justement, on en fait tout un plat, cette petite baguette de bambou est le seul problème que nous ayons encore sur cette terre ! Cette baguette, qui était une pratique courante depuis des siècles, des millénaires, qui marquait parfois une limite dans des cas extrêmes. Et c'est exactement ce que je dis, pourquoi les satanistes ont-ils leur plus grande fête le jour de l'éducation non-violente ? Parce que c'est là que naissent les grands diables. Si tu ne donnes pas de limites, « dis et fais ce que tu veux. Va où tu veux. » C'est de là que se forment les petits, c'est là que se forment les diables. Nous avons simplement parlé de nous, de nos camarades d'école, de ce à quoi ça ressemble quand tu es assis en pleurant et que tu réalises que tu ne peux pas faire le bien : « Je suis coincé dans la drogue. J'ai un petit ami après l'autre. Je suis esclave du plaisir, du péché. J'aurais aimé que quelqu'un me montre une limite quand c'était petit. »
Et c'est là que je dois dire que nos parents l'ont fait. Mon papa l'a avoué. Je veux dire que la petite baguette était encore normale pendant des siècles. Maintenant, c'est une nouvelle idéologie. C'est ce que je voulais dire avant, que tu fais ce que tu veux. J'ai envie de prendre ton portefeuille. C'est cette idéologie-là. Je peux faire ce que je veux et quand je le veux. Mais cette idéologie ne marche pas, parce que tu as alors un problème, parce que je vole ton portefeuille. Tu comprends, il y a toujours un contexte. Et c'est là que je dis que Papa en parle ouvertement. Mais pourquoi en fait-on tout un plat ? C'est pourquoi j'en ai parlé avant, alors que tout le monde a le sentiment que la petite baguette est le plus gros problème que nous ayons encore, ils lâchent leurs bombes, mutilent leurs gens. Et personne ne regarde. Tu peux suivre un peu ?
Présentateur :
RépondreSupprimerOui, bien sûr. Je fais partie de cette génération.
Je suis encore de la génération où papa et maman utilisaient de temps en temps la main. Et il y en a eu quelques-unes sur le derrière. Ma maman utilisait toujours la cuillère en bois. Et même si d'autres prétendent le contraire, je pense que ça ne m'a pas nui. De temps en temps, ça me faisait du bien. Aujourd'hui, on parle de ne plus faire ce genre de choses.
Loïs Sasek :
Oui, mais justement, je recommande aussi vraiment le livre, parce que la manière dont nos parents nous ont éduqués est tellement fantastique. Toujours expliqué, regarde, si ça continue comme ça, si tu fais ça maintenant, qu'est-ce que ça signifie pour ton entourage ? Qu'est-ce que ça signifie pour ton frère, si tu le voles ? Qu'est-ce que cela signifie ? Et c'est ainsi que mon frère a expliqué, raconté dans le livre comment il a commencé à voler dans la caisse. Et toujours en se faufilant, il a continué à voler.
Puis il a commencé à voler à l'école. Il a volé les stylos des élèves. Et il est devenu de plus en plus sombre, de plus en plus chargé. A la fin, il n'avait plus de bonnes notes mais de mauvais résultats. Il n'allait plus du tout bien. Et comme il le dit ensuite, comme c'était libérateur, de voir simplement cette limite : « ce n'est pas bon », ou autre chose ; je dois finir l’histoire, il s'est tenu devant la classe, il a dit, je vous ai volés, je suis désolé, il a pleuré. Dans la classe, ils étaient tous fous de joie. Là tu réalises que le bien est à nouveau le bien, que le mal est à nouveau le mal.
Ou parle d’action sous faux drapeau, nous avons eu cela une fois dans notre famille, deux ont joué avec le feu, puis le tapis a brûlé. Et puis, « merde, maintenant, c'est fichu. » Ensuite, les deux, c'est-à-dire les aînés, ont imaginé de mettre ça sur le dos de la sœur cadette. Et ensuite, la jeune sœur a subi ce petit acte de terrorisme sous faux drapeau, c'était ça, n'est-ce pas ? Mais ça a bien sûr été découvert. Tout le monde était content et a dit que ce n'était pas bien. Ce n'est pas bien. Il ne faut pas le refaire, sinon, ça prend de l'ampleur. Et c'est aussi comme ça dans le livre, un petit voleur, un grand voleur, un braqueur de banque. Mais je peux juste dire que mes parents nous ont donné une éducation fantastique. Il n'y a jamais de colère, comme je l'ai dit, jamais un mot méchant, jamais. Et moi-même, je ne me souviens même pas d'avoir reçu un coup de baguette de mon papa. Moi aussi, j'ai écouté. Tu vois ce que je veux dire ?
Présentateur :
Bon, quittons à nouveau la situation familiale des Sasek. Faisons un pas de plus. Parlons un peu de cette vidéo dite « Roulement de tambour ». C'est une idée que tu as eue et qui traite de sujets particuliers. Quelle est l'idée sous-jacente ? Dis-le à nos téléspectateurs.
Loïs Sasek :
RépondreSupprimerDonc l'idée est de booster particulièrement une vidéo, que tout le monde la diffuse en même temps et que nous la mettions en même temps dans toutes les langues que nous pouvons, pour qu'il y ait un effet boule de neige. Et c'est comme le traité sur les pandémies de l'OMS, dont j’ai parlé, où nous demandons à tous ceux qui le peuvent de télécharger sur leurs canaux, de partager aussi, parce que cela donne un effet boule de neige, où en quelques jours nous pouvons atteindre des nombres à six, sept, huit chiffres si nous nous unissons tous. Et là, je souhaite aussi une collaboration entre les différents acteurs de la sensibilisation, où nous disons ensemble que nous allons nous en sortir, comme avec ce traité de l'OMS sur la pandémie. Il y a déjà des manifestations à Tokyo, en Espagne, en Hongrie, il y a de la résistance partout, même dans différents pays africains qui ne veulent plus de ce traité. Vous voyez, nous sommes déjà en train de percer ici, et je pense qu'ensemble, en tapant ensemble sur le tambour, nous pouvons faire bouger beaucoup de choses, si tout le monde saute sur l'occasion.
Présentateur :
Nous avons maintenant ce Digital Services Act, auquel nous sommes également confrontés sur AUF1. Comment gérez-vous cela ? Avez-vous une stratégie pour échapper à la censure ?
Loïs Sasek :
En fait, depuis douze ans, il y a douze ans, parallèlement à Kla-TV, nous avons commencé à mettre en place un réseau Express Main à Main, c'est-à-dire complètement indépendant d'Internet, de personne à personne infopool.info, c'est une feuille avec des informations au recto et au verso, sous forme abrégée chaque semaine. Et c'est là que nous tissons depuis douze ans déjà ce réseau, où nous nous mettons physiquement en relation. Donc on sort de l'anonymat, on ne se contente pas d'être un tel ou un tel 777, mais on connaît l'adresse postale, l'adresse, le numéro de téléphone de chacun. Et c'est déjà le point fort chez nous, où je vous demande à vous aussi, spectateurs, de sortir de l'anonymat, de vous donner mutuellement votre adresse et votre numéro de téléphone. Vous pouvez, si vous le souhaitez, vous mettre en réseau avec nous. Il est important de se mettre en réseau avec les pays, c'est le lien www.kla.tv-vernetzung, pour que l'on sache les uns des autres, et que le collaborateur le plus proche de chez vous vous contacte. On sait alors, ah tu habites là, ah cool, en cas de censure tu reçois de moi le journal ou l'émission et nous devons déjà nous concentrer pleinement sur cela, parce que nous avons déjà été vraiment supprimés, bloqués sur X plateformes. C'est justement lorsque nous avons franchi la barre du million que le couvercle est tombé, c'est la première priorité pour moi.
Présentateur :
C'est la dernière ligne droite de notre édition d'aujourd'hui de Spielmacher AUF1, qui sera un peu plus longue que d'habitude. La question qui t'est posée à nouveau concernant les modèles, y a-t-il eu des modèles dans ta vie, je suppose ton père, mais y a-t-il eu des modèles qui t'ont inspirée dans ton activité de directrice de production, de modératrice ?
Loïs Sasek :
RépondreSupprimerOui, papa, maman, Zita, Daniela, Ruth, Bettina, ce sont nos combattants de première ligne, ils ont survécu aux tempêtes les plus violentes ; on peut pour moi les placer juste à côté des personnages les plus éminents de la Bible, si on reste simplement ferme à travers de telles tempêtes, ce sont mes modèles.
Présentateur :
Que signifie le bonheur pour toi dans ta vie aujourd'hui, en tant que jeune femme de 36 ans ?
Loïs Sasek :
La vie avec Dieu.
Présentateur :
Si tu ne pouvais souhaiter qu'une chose aux gens, qu'est-ce que ce serait ?
Loïs Sasek :
Qu'ils vivent ce que je vis tous les jours, mais ils peuvent aussi le faire s'ils veulent. Je ne veux pas non plus seulement faire passer le bacon par la bouche ou le nez.
On peut donc aussi s'inscrire pour devenir actif chez nous, si on veut voir comment se passe l'interaction organique, comme je l'ai dit. Il y a tellement de domaines dans lesquels on peut s'impliquer, mais j'aimerais que tout le monde puisse vivre cela, c'est fascinant pour moi, oui.
Présentateur :
Si Loïs Sasek a quand même un mauvais moment à passer, si une mauvaise nouvelle est arrivée, si elle est parfois contrariée, comment fais-tu pour te sortir de cet état et te ramener au bonheur ?
Loïs Sasek :
Je vais prier, j'en parle à Dieu tous les matins aussi, je le fais toujours pendant au moins une heure, simplement pour avoir un appui en Dieu, parce que sinon je ne peux pas du tout supporter tout ça. S'il le faut, je pleure auprès de Lui, on peut s'appuyer sur Lui, c'est la relation que Papa et Maman nous ont donnée en exemple, c'est un tel réconfort, un apport de force, de confiance, cela donne infiniment d'amour, c'est clairement mon refuge pour moi.
Présentateur :
Pour conclure cette émission, j'aimerais que tu sois une sorte d'oracle pour nous, comment le monde va-t-il évoluer dans les prochaines années ?
Loïs Sasek :
Donc, la lumière est toujours plus forte que les ténèbres, la vérité est toujours plus forte que le mensonge et le bien l'emporte toujours sur le mal. Mais la vitesse à laquelle cela se produit ne dépend que de nous, car la lumière a besoin d'un corps, la vérité a besoin d'un corps, le bien a besoin d'un corps. Et si nous ne sommes pas un corps pour refléter ces qualités, si nous ne sommes pas porteurs de cette puissance gagnante de Dieu, rien ne va, c’est ma conviction. Mais si nous nous mettons en réseau, si nous sommes le corps qui reflète ces bonnes qualités, alors je dis que Babylone tombera en une heure, comme il est écrit dans la Bible. Et c'est mon espoir, ma foi, que nous y parviendrons ensemble.
Présentateur :
RépondreSupprimerChers téléspectateurs, si vous n'êtes pas allés au culte aujourd'hui, vous êtes excusés d'avoir regardé cette émission, car il y avait aussi quelque chose de divin ici dans cette émission, grâce à la visite de Loïs Sasek de Kla-TV. Je te dis un grand merci d'avoir été à ma disposition pour cette émission. Transmets également les meilleures salutations de l'équipe d'AUF1 à ta famille. Nous vous soutenons volontiers dans votre travail. Nous pourrions peut-être forcer un peu la coopération, car j'ai déjà découvert l'un ou l'autre parallèle dans la vie d'Ivo Sasek et de Stefan Magnet. Tous deux sont des combattants de la résistance qui se font tirer dessus de tous les côtés, et il se pourrait qu'une sorte de coopération, d'approfondissement de la collaboration, ait un sens. Merci de tout cœur. Chers téléspectateurs, j’ai une demande : Partagez cette émission ! N'hésitez pas non plus à aller voir sur Kla-TV. Formons ensemble un corps qui veille au bien et fasse tomber Babylone, pour conclure avec les mots de Loïs Sasek. Merci de votre attention. Je vous souhaite le meilleur. À la prochaine fois.
de Lois S.
Sources / Liens :
https://auf1.tv/spielmacher-auf1/kla-tv-die-antwort-auf-verleumdungen-und-zensur
Le plan directeur pour 3 guerres mondiales - Albert Pike https://unwiderlegbarefakt.wixsite.com/wahrheitsiegt/post/ein-brief-von-albert-pike-aus-dem-jahr-1871-enth%C3%BCllt-den-plan-der-illuminaten-f%C3%BCr-den-3-weltkrieg
https://www.youtube.com/watch?v=zX7jT0-GUAM
https://de.wikipedia.org/wiki/Albert_Pike
Le guide du sataniste Aleister Crowley sur les rituels magiques et les sacrifices humains
www.invisiblehouse.org/pdf/liber004_3.pdf
Le sataniste Aleister Crowley explique la signification énergétique des sacrifices humains
www.extremnews.com/meinungen-kommentare/d141443d58abee
Vous voulez devenir actif, aider et vivre la vie organique en direct ? Alors inscrivez-vous à l'adresse suivante : https://www.kla.tv/aktiv-werden.
Vous êtes intéressé(e) par le livre ou l'oratorio « Éduque avec vision » :
https://www.sasek.tv/fr/books/vision
https://www.sasek.tv/search.php?search_lang=3&browser=3&sort_type=29
Autobiographie d'Ivo Sasek et sa famille :
https://www.sasek.tv/fr/books/wandlung-teil2
Curieux de savoir comment se déroule une déconstruction en essaim en 30 minutes ?
https://www.antizensur.info/azkmediacenter.php?mediacenter=conference&topic=10&id=169
https://www.kla.tv/fr
Big pharma sort le chéquier pour indemniser les cancéreux victimes du ZANTAC
RépondreSupprimerle 20 Mai 2024
par pgibertie
La ranitidine fait partie d’une classe de médicaments qui bloquent temporairement la production d’acide par l’estomac. Commercialisée depuis 1981, elle est vendue sans prescription sous la marque d’origine Zantac ou sous forme de médicaments génériques.
PFIZER INTERROMPT LA DISTRIBUTION DE LA PILULE ANTITABAC CHANTIX
Pfizer suspend la distribution du traitement antitabac Chantix après la découverte de niveaux élevés de N-nitrosodiméthylamine (NDMA), un agent cancérigène, dans certains lots de pilules.
l n’est pas exclu que d’autres médicaments de la même famille puissent faire l’objet de prochains rappels de lots. Après le valsartan, un second anti-hypertenseur est actuellement touché par des rappels de lots à cause de la présence d’une substance classée comme cancérogène probable, a annoncé vendredi l’Agence du médicament. Il s’agit du générique, irbésartan du laboratoire Arrow Génériques. Des contrôles réalisés sur des lots de médicaments à base d’irbésartan ont révélé la présence de NDEA à des taux supérieurs aux limites acceptables,
Vous pouvez en savoir plus sur la décision de suspendre temporairement la distribution ici .
L’histoire menant aux poursuites judiciaires a commencé en 2018, quand le laboratoire indépendant américain Valisure a effectué des tests qui ont montré que dans certaines conditions, la ranitidine peut se dégrader pour donner de la N-nitrosodiméthylamine, aussi appelée NDMA. Cette substance, comme plusieurs autres de la famille des nitrosamines, est classée comme un cancérogène probable par le Centre international de recherche sur le cancer. Les tests de Valisure semblaient corroborer des résultats obtenus par des chercheurs de l’Université Stanford qui, au cours d’une petite étude clinique réalisée en 1996, avaient trouvé une forte augmentation du taux de NDMA dans l’urine après la prise de ranitidine.
Valisure a ensuite analysé des comprimés de Zantac et d’autres médicaments génériques contenant de la ranitidine offerts dans des pharmacies et découvert que certains dépassaient le maximum de traces de NDMA autorisé par la FDA. En septembre 2019, le labo a donc déposé une pétition pour exiger de l’agence réglementaire américaine qu’elle retire du marché tous les produits contenant cet ingrédient actif. Selon Valisure, l’« instabilité inhérente » à la ranitidine était susceptible de provoquer une très forte augmentation des doses de NDMA dans le corps humain.
Pfizer (PFE.N), ouvre un nouvel ongleta accepté de régler plus de 10 000 poursuites concernant les risques de cancer liés au Zantac, un médicament contre les brûlures d’estomac, désormais abandonné, a rapporté mercredi Bloomberg News, citant des personnes proches du dossier.
RépondreSupprimerLes accords couvrent les affaires portées devant les tribunaux des États américains mais ne résolvent pas complètement l’exposition de l’entreprise aux réclamations de Zantac, indique le rapport, ajoutant que les détails financiers des accords n’étaient pas immédiatement disponibles.
En 2020, la Food and Drug Administration des États-Unis a demandé aux fabricants de médicaments de retirer du marché le Zantac et ses versions génériques après la découverte d’une substance cancérigène appelée NDMA dans des échantillons du médicament
https://t.co/XWmR0J2BDb
@Krieger66362259
Pfizer bat en retraite : payer pour éviter les procès pour cancer… Il semblerait que ce soit le cas du #Zantac. Il est reproché à #Pfizer d’avoir dissimulé les risques de #cancer associés à ce médicament utilisé pour traiter les problèmes d’estomac. #effetssecondaires
https://pgibertie.com/2024/05/20/big-pharma-sort-le-chequier-pour-indemniser-les-cancereux-victimes-du-zantac/
Un éminent oncologue japonais : les vaccins à ARNm sont « fondamentalement un meurtre »
RépondreSupprimer20 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le professeur Masanori Fukushima, principal cancérologue du Japon, critique vivement depuis un certain temps déjà les effets néfastes des campagnes de vaccination contre le coronavirus, en particulier de la technologie génétique de l'ARNm, devenant de plus en plus évidents. Il a récemment déclaré que les vaccins à ARNm sont « l’œuvre du mal » et constituent « fondamentalement un meurtre ».
Ces commentaires ont été faits par le Dr. Masanori Fukushima dans une récente interview . L'oncologue émérite a fondé la première clinique de cancérologie à l' Université de Kyoto au Japon et a été responsable du premier cours de pharmaco-épidémiologie de l'école.
Il a cité un effet secondaire particulièrement alarmant dont les grands médias ne parlent pas : la prévalence de « cancers turbo » qui « n’avaient pas été vus par les médecins auparavant ». Il a déclaré que ces cancers sont apparus après l’introduction des vaccins et ont progressé si rapidement qu’ils sont souvent déjà au stade 4 au moment où les médecins les diagnostiquent.
La flambée de ces cancers s’est accompagnée d’une augmentation de la surmortalité liée au cancer en général, à un degré qui ne peut pas être facilement expliqué par l’absence de traitement ou de dépistage pendant les confinements liés au COVID-19.
Il a également souligné des morts subites survenues peu de temps après l’administration des vaccins, telles que : B. un homme de 28 ans dont la femme l'a retrouvé mort cinq jours après sa deuxième dose du vaccin à ARNm de Pfizer. Une histoire qui n’est que trop courante de nos jours, même chez les personnes sans antécédents de problèmes de santé.
Il a déclaré : « C’est sérieux. C'est essentiellement un meurtre. Enfin, je voudrais préciser que telle est mon opinion ».
Pour le Dr. À Fukushima, il n’est pas surprenant que les pays qui ont mené les campagnes de vaccination contre le COVID-19 les plus agressives connaissent les taux d’infection et de mortalité les plus élevés, comme Israël.
« Israël était un leader en matière de vaccination précoce et généralisée, mais avait également les taux de mortalité et d’infection les plus élevés. Il y a eu moins de dégâts dans les zones vaccinées de manière moins agressive », a-t-il déclaré, ajoutant : « Israël a rapidement arrêté le vaccin ».
De plus en plus de personnes vaccinées ont besoin de soins médicaux en raison de problèmes de santé liés à la vaccination. "Des dizaines de milliers de personnes ont besoin de consulter un médecin parce qu'elles ont des problèmes avec la vaccination", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerIl estime que près d’un tiers d’entre eux souffrent de problèmes tels que le syndrome de fatigue chronique et l’encéphalomyélite myalgique, et le problème ne fera qu’empirer à mesure que de nombreuses maladies ont explosé depuis l’introduction du vaccin. Malheureusement, il existe un risque que certains de ces patients ne reçoivent pas l’attention et les soins dont ils ont besoin.
« C'est comme si nous avions ouvert la boîte de Pandore... Nous devons prendre ces dégâts au sérieux et les traiter sérieusement. Toute tentative de rejeter ces préjudices comme s’ils n’existaient pas est, franchement, l’œuvre du mal. Il s’agit d’un excellent exemple de mauvaises pratiques scientifiques », a-t-il expliqué.
Voici une des parties de l’ interview en doublage anglais :
« Les vaccins génétiques sont totalement inacceptables. L’introduction de transgènes dans le corps humain est une thérapie génique. Comment cela peut-il être considéré comme acceptable pour la production de vaccins ? Lorsque vous encapsulez l’ARNm dans des nanoparticules et que vous les administrez, vous n’obtenez que des effets hors cible, depuis les ovaires jusqu’au cerveau, au foie, à la rate et à la moelle osseuse. Le plus gros problème concerne la moelle osseuse, les organes reproducteurs comme les ovaires et toutes sortes d’organes. Le fait que des protéines de pointe soient toujours détectées dans l’éruption cutanée, même après plus d’un an, montre clairement que l’ARNm produit des protéines de pointe. Il est impossible qu’une protéine Spike âgée d’un an reste dans les cellules et soit détectée. Je ne me suis pas fait vacciner contre la grippe parce que je pense que c'était une décision stupide dès le départ..."
https://tkp.at/2024/05/20/fuehrender-japanischer-onkologe-mrna-impfstoffe-sind-im-grunde-genommen-mord/
Corona – une leçon de folie collective ?
RépondreSupprimer20 mai 2024
par Tom Reimer
Réflexions sur la façon d’appréhender la période du Corona du point de vue de la psychologie de masse.
«Pouvez-vous s'il vous plaît mettre votre masque sur votre nez», me demande un jeune homme à la gare de Hambourg. « Assurez-vous de vous faire vacciner. Faites vacciner vos enfants », recommandent les proches. La grand-mère à la maison n’a plus le droit de recevoir des visites. Les gens ont peur de sortir et de s’enfermer chez eux. Ils portent des masques, même en forêt et seuls en voiture. Une personne dépose ses moutons en forme de seringue dans le champ et les photographie d'en haut. D’autres souhaitent imprimer les têtes des sociétés pharmaceutiques sur les billets de banque. Dans les cliniques, les opérations vitales sont reportées et le personnel se met à danser. Dans son discours du Nouvel An, le Chancelier a appelé à trois reprises à la vaccination. Les avis diffèrent. Les amis deviennent soudain des ennemis. Les gens sont diffamés, dénoncés, insultés, poursuivis en justice et licenciés. Comment est-ce possible ? Comment expliquer le changement soudain de comportement de la population ?
La masse
Le comportement humain peut prendre des formes anormales, irrationnelles et inhumaines. Cela s’applique aussi bien au comportement des individus qu’au comportement des groupes et des foules. Les masses, comme l’écrit Gustave Le Bon dans sa Psychologie des masses, ont tendance à agir et non à agir de manière rationnelle. La suspicion se transforme immédiatement en certitude, l’aversion en haine. Quiconque contredit les croyances des masses devient leur ennemi. [1]
L'individu, qui était auparavant un citoyen rationnel et épris de paix, perd sa personnalité consciente dans la foule, oublie ses véritables intérêts et sa raison s'obscurcit. Avec les autres, il se sent puissant et se consacre au combat pour concrétiser une idée intériorisée, généralement inspirée de l'extérieur. La foule est une force aveugle facilement séduite. Un stimulus extérieur, une image saisissante et claire, un mouvement émotionnel violent les excite et les pousse à des comportements impétueux.
Les images de morts, de cercueils et de transports de cadavres diffusées dans le monde entier au printemps 2020 ont semé la peur et la panique. Elle se transmettait de personne à personne et se propageait. Les images étaient plus puissantes que la raison et la réalité. La masse qui en résulte a succombé au sentiment qu’ils ont déclenché et donc à une tromperie.
Quelques semaines plus tard, les statistiques ont montré que le virus était relativement dangereux et que seul le groupe des personnes âgées courait un risque accru. Pourtant, les images avaient déjà fait leur effet. La peur bloquait la vision de la réalité. La masse psychologique était créée.
Les conditions préalables à l’émergence d’une masse psychologique
RépondreSupprimerUne communauté saine et heureuse vivant avec des valeurs et des objectifs clairs est moins facile à tromper et difficile à perturber de sa vie habituelle. En revanche, une société dans laquelle les peurs existent déjà, dans laquelle les gens vivent éloignés d'eux-mêmes, de la nature et de leurs semblables, est susceptible de se former en masse.
Cette vulnérabilité, qui repose sur un état psychologiquement instable de la société dans son ensemble, pouvait déjà être observée dans de nombreux pays avant le Corona. Les conditions étaient excellentes : un système éducatif dans lequel les gens se laissent entraîner, qui les détourne de leur véritable nature et de leurs penchants et les amène souvent à se retrouver dans des boulots de conneries. [2] La peur existentielle qui lui fixe des objectifs exclusivement économiques. La concentration de la vie sur le travail et la consommation, qui peut créer un sentiment d'abandon et un manque d'intérêt à façonner le monde. La technologie et les médias qui l'entourent réduisent l'espace pour son développement individuel et la formation de ses propres valeurs. Un manque de temps, qui conduit à des relations manquantes ou perturbées, rend les gens insécurisés, insatisfaits et anxieux.
Matthias Desmet, à la suite d’Hannah Arendt, appelle cela l’État socialement atomisé. [3] La société a été détruite en petits morceaux. Les gens se sentent vides, isolés et abandonnés. Il développe de la peur, de la frustration et de l’agressivité, mais il ne peut en nommer la cause. Telle une plume flottant dans les airs, elle est soufflée par le vent des médias, tantôt dans un sens, tantôt dans le sens opposé. Il lui manque des valeurs, des objectifs et des relations interpersonnelles profondes qui lui apportent du soutien.
Dans une société comme celle-ci, les gens ont soif de connexion. Malgré l’isolement et l’aliénation, il reste humain, reste une créature communautaire. Si, dans son vide et son conflit, il tombe sur une idée qui pourrait mettre fin à sa solitude, il se jette immédiatement dessus.
La folie de masse et ses caractéristiques – collectif et croyance en la victoire
L’idée de vaincre un virus corona est tombée sur un terrain fertile. Il était enfin possible de faire quelque chose de bien, de lutter pour une cause commune, de mettre fin à la séparation et de se retrouver. Mais est-ce que ce qui a réellement émergé était une nouvelle communauté ?
Des couvre-feux et des exigences en matière de masques ont été imposés, des règles de distance ont été fixées, les installations publiques et même les terrains de jeux ont été fermés. Les gens sont devenus physiquement plus séparés qu’auparavant. Au lieu d’une communauté saine, une communauté de substitution a émergé, un collectif malade de personnes individuelles, effrayées et paniquées. Ce collectif reposait uniquement sur la peur de la mort et la conviction de la nécessité absolue de vaincre un virus par tous les moyens possibles.
RépondreSupprimerAveuglement face à la réalité et à la vérité absolue
Pour Hermann Broch, qui a incorporé ses propres expériences et observations du Troisième Reich dans sa théorie du délire de masse, ces comportements sont des caractéristiques d’identification importantes des délires psychotiques. [4] Devenus aveugles à la réalité, les individus devenus masses revendiquent la vérité absolue. La menace mortelle d’un virus propagé par les médias et le gouvernement a dû être conjurée à l’aide d’une soi-disant vaccination.
C'est la vérité qui a été affirmée et constamment répétée par tous les moyens de propagande. Les masses n’ont pas compris que la vaccination n’était pas une vaccination conventionnelle, mais plutôt un nouveau type de traitement à base d’ARNm. Libérée de tout doute et faisant confiance au gouvernement, elle a continué à lutter vers son objectif inaccessible avec la conviction inébranlable qu’elle faisait ce qui était juste et bon.
Image de l’ennemi et désinhibition
Quiconque contredisait la foi, doutait des mesures du gouvernement, des confinements, de l'efficacité de l'ARNm ou ne portait pas de masque devenait l'ennemi. Il a été blâmé pour la misère auto-infligée qui était principalement causée par les mesures adoptées par les politiciens.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Hermann Broch, lui-même juif, a vécu la façon dont un groupe ostracisé, les Juifs, a été créé, exclu, puis finalement expulsé et assassiné. Il a décrit la désinhibition et l’expression des instincts de haine qui en résulte comme une autre caractéristique de la folie de masse. Lorsqu’une foule de gens panique, ils en recherchent les causes et soupçonnent généralement qu’ils appartiennent à une minorité de la population. En se libérant de cette minorité, elle veut se libérer de sa propre peur, même si elle n'en a pas conscience. [4]
Le groupe ostracisé pendant la période Corona était le groupe des personnes non vaccinées. Elle était l’appendice qu’il fallait retirer pour sauver le tout. Elle était l'ennemie. Les membres de ce groupe étaient des rats et des parasites qui provoquaient la propagation du virus et menaçaient la victoire. Ils ont été publiquement insultés, discriminés, exclus, dénoncés et diffamés. Ils ont été poursuivis en justice, emprisonnés ou ont perdu leur emploi. Ce sont eux les véritables victimes qui sont devenues les bourreaux.
Panique silencieuse
RépondreSupprimerCraignant d'être inclus dans ce groupe, d'être persécutés et condamnés, bon nombre des personnes les plus sceptiques quant à cette condamnation se sont recroquevillées. La pression sociale et le sentiment d'être menacé par le manque de protection et de droits ont rendu la majorité docile.
Kurt Baschwitz a qualifié cet état de panique silencieuse. Les gens n’admettent pas qu’ils agissent ou n’agissent pas sous la peur, la pression et la coercition, mais ils laissent plutôt l’injustice se produire et tolèrent passivement la violence et le crime. Sachant que vous êtes d’accord avec beaucoup d’autres, la personne à côté de vous qui doute ou a un avis différent est mal considérée. Il devient une victime. [5]
Dans le système fermé et autonome du récit Corona, la remise en question était impossible. Prises dans une logique étroite, les masses ont refusé de penser au-delà des limites de cette logique. Au lieu de cela, il a accepté sans hésitation des normes irréalistes sous la forme de mesures politiques qui ont abouti à la fermeture des écoles, aux couvre-feux, au confinement et au projet d’introduire des exigences générales en matière de vaccination. Hermann Broch considère cette acceptation comme étant en réalité illusoire. Un groupe social qui accepte et concrétise des normes irréalistes est dans une folie de masse.
Langue
Bien que ce comportement semble anormal, irrationnel et strictement subjectif de l’extérieur, pour la majorité de ceux qui le croient logique et justifié. Les mesures qui violent la Loi fondamentale, les droits de l'homme et les principes humanitaires de la démocratie sont soudainement perçues comme démocratiques et solidaires.
Au sentiment de solidarité au sein du groupe des personnes vaccinées a été contré par l’intolérance et la haine envers les non vaccinés. Elle s’exprime par une brutalisation des comportements et une radicalisation du langage. Les critiques et les manifestants ont été qualifiés de « jurons », de « penseurs latéraux » ou de « négateurs du coronavirus » et ont été diffamés dans les médias publics. Le mot « penseur latéral » avait jusqu’à présent une signification toujours positive.
En plus des gros mots, de nombreuses autres nouvelles créations et modifications du sens des mots existants ont été créées. L’Institut Leibniz pour la langue allemande a dénombré au total 2 500 néologismes pendant la période Corona. [6] La langue évolue constamment. Mais un changement soudain et massif est la marque et l’indication d’un bouleversement psychologique et social.
Victor Klemperer a analysé le langage de la folie nationale-socialiste. Il décrit de nombreuses abréviations et néologismes et montre comment leur répétition stéréotypée influence les masses. [7]
Le langage médicalement influencé mais inconsciemment compris de l’ère Corona a maintenu les gens dans leur rêve de combattre et de vaincre un virus. La notification quotidienne de « l’incidence » actuelle a suscité l’enthousiasme, provoqué des tensions et de l’espoir. Le champ de vision s’est rétréci et toute l’attention s’est concentrée uniquement sur un seul sujet.
RépondreSupprimerL’objectif médiatique d’« aplatir la courbe » a dû être atteint à l’aide des « confinements », de la « distanciation sociale », de la « vaccination » et du « rappel » et du port du « masque FFP2 ». Les nouveaux termes développèrent leur pouvoir, pénétrèrent le subconscient, créèrent des sentiments et modifièrent le comportement des masses.
Symbole et rituel
Le port du masque est devenu un rituel, le masque un symbole magique. Il symbolisait l'appartenance au collectif et était à la fois une expression de peur et de panique ainsi que l'espoir que la panique prenne fin. Indépendamment de son inutilité rationnellement démontrable, le masque est devenu un devoir irrationnel et la majorité obéissante a suivi le principe de remplir son devoir.
Des avantages concrets ont été accordés aux personnes portant un masque, testées, vaccinées et boostées. Ils étaient autorisés à aller à la piscine, au restaurant et à voyager à l'étranger. Certains se sont fait vacciner uniquement grâce à ces avantages.
Pénétrer dans le système judiciaire
Pendant ce temps, la pression sur les sceptiques et les critiques devenait de plus en plus forte. Pour eux, la loi perdait sa validité. Ils ont été punis, arrêtés, licenciés ou poursuivis en justice.
Si l’on en croit le récit de la vaccination, l’inégalité de traitement est considérée comme une juste mesure de représailles. C'est la faute de la victime, elle aurait pu être vaccinée. On a oublié qu’une vaccination est une procédure médicale volontaire et que la vaccination obligatoire viole le droit humain à l’intégrité physique.
Il n’y avait plus de vraie justice. Il fallait plutôt combattre la « source d’infection » parmi les personnes non vaccinées. La démocratie et l’État de droit ont été paralysés et ont permis l’effraction du système judiciaire aux dépens des non vaccinés et des sceptiques.
sacrifice humain
RépondreSupprimerOn peut supposer que de nombreuses personnes auraient été heureuses de se séparer enfin de ce groupe dissident. Le fait qu'on n'en soit pas arrivé là est dû à ce groupe de gens qui sont restés normaux, ceux qui n'étaient pas convaincus, ceux qui remettaient les choses en question. Elle était relativement grande et évitait que des choses pires se produisent grâce à son opposition publique, ses promenades et son appel à la raison et à l'humanité.
Néanmoins, les sacrifices humains furent innombrables. Les politiques ont adopté sans hésitation de nouvelles mesures visant à vacciner l’ensemble de la population, sans en évaluer les conséquences possibles. Les confinements économiques provoquent des bouleversements mondiaux, des faillites d’entreprises et d’innombrables morts de faim dans les pays en développement. La peur induite, les sentiments de culpabilité et d’isolement ont des conséquences psychologiques. Seules les injections d’ARNm administrées à grande échelle, légitimées par une autorisation d’urgence, peuvent avoir des effets secondaires imprévisibles.
Le sacrifice humain est le résultat d’une aberration de l’esprit, pris dans une théologie irrationnelle des valeurs. Cela n’est ni vu ni rationalisé. La croyance dans le récit du Corona a rationalisé la persécution des critiques comme une mesure de représailles juridiques. Cela aurait eu lieu au nom de l’humanité et de la justice ainsi qu’au nom de la science.
Sciences et médias
L'Institut Robert Koch est devenu une institution politique et tout véritable scientifique qui recherchait la vérité et sortait donc nécessairement des sentiers battus était discrédité. Les épidémiologistes, spécialistes des pandémies et des épidémies, n’ont guère été consultés pour évaluer la situation. Au lieu de cela, le gouvernement a utilisé et instrumentalisé la science uniquement à ses propres fins.
Il n’y a eu aucune critique publique de la part des médias établis. Leur tâche consistant à examiner de manière critique les décisions politiques a été oubliée, leur attachement à l’indépendance et à la diversité d’opinion a été oublié. Qu'il s'agisse de la radio publique, de la télévision ou d'un quotidien renommé, à quelques exceptions près, ils ont suivi fermement la ligne politique. Des plateformes comme Twitter et YouTube ont censuré à grande échelle les opinions dissidentes. Ils ont tous brillé par la conformité de leurs reportages.
Des causes plus profondes
RépondreSupprimerSi les causes demeurent – l’isolement, la peur non rationalisée, la frustration et l’agression, le déracinement et l’aliénation – la susceptibilité à la folie de masse demeure également.
La période Corona a encore aggravé ces causes. La perte d’amis, les disputes familiales dues à des opinions différentes, la séparation de la population entre opposants et partisans, en plus de la concentration sur le travail salarié et la consommation, ont accru le sentiment d’abandon et d’insécurité pour de nombreuses personnes. Ils ont été privés de la possibilité de leur propre action et de leur participation au monde. Ils étaient assis isolés dans leurs appartements comme des cadavres vivants, comme Hannah Arendt appelait les apatrides intimidés par les mesures terroristes. La résignation et le sentiment d’impuissance s’installent.
Dans cette situation, les gens perdent leur sens de la communauté, leur intérêt à contribuer à façonner la société et leur sens de responsabilité partagée. Pour Hannah Arendt, ce sont là les conditions préalables à la diffusion des idées totalitaires. [9]
L’instabilité psychologique de la majorité de la population les amène à saisir chaque goutte que la politique leur jette, aussi fragile soit-elle. Au lieu de se libérer de la folie, elle se réfugie dans une nouvelle. Les gens aspirent au leadership parce qu’ils ne peuvent plus se diriger eux-mêmes. Leur individualité négligée ne le permet pas et les rend inconstants et sensibles à de nouvelles idéologies délirantes et idées de victoire. Il existe actuellement un réel danger que ces personnes, qui pourraient constituer la majorité, deviennent la proie d’un leader idéologique.
opposition
Une partie de la population n’a pas été touchée par la peur du Corona, qui n’était finalement que la peur de sa propre mort. Elle est restée raisonnable et de nombreuses personnes de ce secteur se sont rendues publiques, ont parlé librement, ont fondé des initiatives, organisé des manifestations, écrit des articles ou réalisé des podcasts. Ils ont résisté à l’énorme pression exercée par la majorité, les médias et les hommes politiques. Ils formaient l'opposition.
Tout a été essayé pour les faire taire. Le fait que cet objectif n’ait pas été atteint est une circonstance extrêmement importante et heureuse. Car si l’opposition se tait, les pires crimes menacent. Dans une folie de masse, c’est le groupe qui reste rationnel qui compte. Cela peut faire appel à la conscience des personnes piégées dans l’illusion et la peur. Parce que chacun est capable de revenir à la raison et à l’humanité. L'homme connaît secrètement sa folie. Il reste un morceau d'intégrité, un morceau de rationalité et avec lui la capacité de prendre conscience de sa propre aberration. [4]
Réévaluation et démocratie
RépondreSupprimerLa réhabilitation de ce groupe serait un premier pas vers l’acceptation de la période Corona et la défense de la démocratie. « L’État démocratique ne peut exister que s’il existe en son sein un groupe encore plus démocratique qu’elle-même. [4] Dans le système fermé de la folie de masse, la société sombre à un niveau de développement inférieur, détourné de la démocratie.
Le déclin culturel se manifeste actuellement, par exemple, dans l'intrusion décrite dans le système juridique ainsi que dans la brutalisation et la paganisation des comportements. Le soutien à la guerre, la volonté de recourir à la violence et l’agressivité que l’on peut observer dans de nombreux pays témoignent de la perte des principes humanitaires. Il n’y a plus de véritables objectifs de paix. De nombreux États évoluent vers la totalité. Les nouvelles lois vont à l’encontre des valeurs fondamentales de la démocratie, restreignent les libertés civiles et intimident davantage la population.
Au lieu d’exiger et de promouvoir une éducation ouverte, les gens y résistent. Ils sentent que leur estime de soi est attaquée et luttent pour maintenir leurs propres croyances irrationnelles. Cependant, l’hostilité à l’égard des Lumières est le signe le plus clair de l’obscurcissement continu de la raison. La personne délirante fuit la connaissance. [5]
Il est désormais du devoir éthique de la démocratie de libérer les gens de l’illusion. Cette libération est possible. Avec l’aide d’images, de mots et de chiffres tout aussi clairs qui ont provoqué l’illusion, la souffrance, le sacrifice et l’absurdité peuvent pénétrer dans la conscience et mettre fin à l’illusion. La source de l’infection peut être révélée. La tromperie est levée et la peur du Corona peut se transformer en peur de sa propre illusion.
Colère, responsabilité et culpabilité
Des sentiments de vengeance émergent déjà chez une partie de la population déjà déçue, qui a vécu l'injustice ou qui a sympathisé avec elle, qui a retrouvé le chemin de la raison, est devenue sage grâce aux dégâts ou n'a pas été saisie par la peur et la panique. en premier lieu. Des personnes ont perdu des proches, sont endommagées par l’ARNm ou souffrent des conséquences psychologiques de l’exclusion.
C’est compréhensible, mais il y a un risque que ce groupe tombe dans le même état d’esprit que le groupe de personnes vaccinées qui les ont attaqués auparavant. Votre colère pourrait éclater et se transformer en un état délirant. Il est donc nécessaire de composer avec la situation dans le but de maintenir ou de rétablir la paix sociale. Cela peut servir d’exutoire à la colère refoulée et empêcher les actes de vengeance.
Mais contre qui est dirigée cette colère ? Qui est responsable ? Qui a agi intentionnellement ?
RépondreSupprimerQui est responsable ? Quels comportements sont punis pénalement ?
Pour Hannah Arendt, toute personne qui supprime ce qu’il y a d’humain en elle et accomplit sans réfléchir un devoir faux et mortel est coupable. Il n’y a aucune excuse pour qu’ils participent. Personne n'a le droit d'obéir. Seul un enfant obéit. Chaque adulte doit remettre en question ses actes. [9]
Mais comment des gens effrayés et manipulés par les médias, qui croient agir pour des raisons humanitaires, peuvent-ils remettre en question leurs actions ? La personne qui, par peur et par croyance en la nécessité d'obéir et d'accomplir son devoir pour survivre, qui a perdu sa raison, sa personnalité et sa vision de la réalité, peut-elle être tenue responsable de ses actes ?
L'homme de la gare de Hambourg qui parlait à tous ceux qui ne portaient pas correctement le masque ? Les proches et amis qui appelaient à vacciner les enfants ? Le médecin qui vaccinait même la nuit, croyant faire le bon choix et protéger les gens ? Le présentateur qui a publiquement diffamé des personnes non vaccinées ? Le journaliste qui détestait et traquait. L’artiste qui a promu la vaccination ?
Il est difficile de répondre à cette question. Du point de vue de la psychologie de masse, le comportement des personnes atteintes de folie ne peut être évalué qu’en tenant compte de leur aberration mentale. Ils faisaient confiance au gouvernement et à la science, mais ce faisant, ils ont renoncé à leurs responsabilités personnelles. Selon Hannah Arendt, ils n'auraient pas dû faire ça. Parce que chacun est coupable de lui-même et surtout lorsqu'il transfère la responsabilité de ses actes aux autres.
Cependant, les personnes qui ont été convaincues par le récit du Corona dans leur peur ont agi dans des conditions psychologiques particulières. Ils ne peuvent plus être rationnels et raisonnables et leur culpabilité peut être limitée dans la mesure où leur capacité de penser était ou est encore limitée.
Il faut donc l’évaluer et la différencier au cas par cas. Les gens qui ont été emportés par la folie de masse et qui croyaient faire le bien constituaient probablement la majorité. Il y avait aussi des gens qui reconnaissaient les erreurs et les injustices, mais qui, soit par commodité, soit à cause des mesures d'intimidation, ne les nommaient pas et les laissaient se produire en silence. Le comportement des personnes qui, contre leur meilleur jugement, ont soutenu le récit du Corona uniquement pour des raisons de carrière ou pour maintenir et exercer le pouvoir doit être évalué différemment. Ils n’avaient pas perdu toute raison de craindre et ont agi délibérément.
Celui qui provoque intentionnellement des peurs ou renforce les peurs existantes et plonge les masses dans la psychose de la peur afin d'atteindre certains objectifs est également pleinement coupable. Il est la cause de la folie collective et responsable de ses conséquences.
RépondreSupprimerCui Bono ?
Afin de clarifier si ces personnes existent et qui elles sont dans un monde dirigé par le capital, les questions suivantes peuvent être utiles : à qui profite la peur et les mesures politiques ? Qui en a profité ? Cui Bono ? Les gens ne sont-ils pas réellement responsables de risquer la santé de milliards de personnes et d’accepter le mal, y compris la mort, pour des raisons de profit ? Qui en ont été les bénéficiaires financiers ?
Y a-t-il eu des gens qui ont exploité et abusé de leur pouvoir financier ? Ont-ils acheté la politique, la science et les médias et les ont-ils manipulés de telle manière que leur objectif de générer d’énormes profits se réalise ? Ont-ils utilisé les lois psychologiques à leur propre bénéfice et provoqué délibérément une psychose de masse ? Si ces personnes existent, et de nombreuses indications suggèrent qu’elles existent, elles devront être condamnées et leur comportement puni à l’avenir.
Une dette ne peut pas être transmise à une autorité. Même si elle assume ses responsabilités volontairement ou sous pression. Il n’existe pas de laissez-passer gratuit pour le crime. Par conséquent, quiconque, connaissant les effets secondaires d’un nouveau traitement à base d’ARNm, le commercialise à l’échelle mondiale porte la responsabilité des conséquences de ses actes. Ainsi, si les hommes politiques ont assumé cette responsabilité sur papier, ils partagent une responsabilité dans une large mesure, mais les fabricants ou les décideurs des fabricants sont en grande partie responsables des effets de l'ARNm sur la santé humaine.
Quiconque se laisse exploiter par ces fabricants et porte ainsi préjudice à la population est coupable. Quiconque conclut des contrats des années à l'avance pour des produits pharmaceutiques dont les avantages et la nécessité n'ont pas été prouvés est coupable. Quiconque adopte des mesures politiques ou prône la vaccination obligatoire simplement pour qu’un vaccin puisse être vendu et que des milliards de dépenses fiscales paraissent justifiées est coupable. Quiconque organise l'exclusion, la coercition et le non-respect de la loi est coupable.
Disparition et continuation de la folie
RépondreSupprimerAprès une enquête complète, le déroulement réel des années Corona serait révélé, les causes et les effets seraient clarifiés et les gens prendraient conscience de leur tromperie. La folie de masse disparaît en même temps que les faits qui l’ont provoquée deviennent conscients. [4] Quel était ce fait ? Il s’agissait de fomenter et d’exploiter la peur d’une maladie virale relativement inoffensive dans le but de vendre des milliards de produits pharmaceutiques et d’exercer le pouvoir. La peur perd sa justification et l’illusion disparaît.
Cependant, seule la folie née de la peur du Corona disparaît. Chaque nouvelle illusion nécessite un traitement séparé. À l’heure actuelle, il semble que la croyance en la victoire ait simplement modifié l’image de l’ennemi. Après avoir échoué à vaincre le virus, les masses veulent désormais gagner la Russie et le climat. La folie continue.
Ce n'est pas surprenant. Comme expliqué ci-dessus, les causes du développement des idées délirantes sont toujours établies, se sont approfondies pendant la période Corona et se renforcent actuellement encore davantage. Les libertés civiles sont encore plus restreintes par le gouvernement au moyen de nouvelles lois et l'expansion de la surveillance par les services secrets intimide et réduit encore davantage la population au silence.
La machine bureaucratico-technocratique est en expansion. Elle incarne la banalité du mal car elle accomplit les choses sans tenir compte des considérations humanitaires. Leur finalité réside uniquement dans l'activité. Elle obéit et remplit son devoir prescrit sans aucune pensée. [10] L’État devient démesuré et devient la valeur centrale et déterminante. La pensée mécaniste prévaut.
La majorité des médias n’est pas encore revenue du côté de la population. Le RKI est toujours soumis à des instructions politiques et n'est pas indépendant. Un véritable État de droit, l’égalité devant la loi et la protection des libertés civiles n’ont pas encore été rétablis. Il existe toujours une obligation de tolérer la vaccination corona pour les soldats de la Bundeswehr. Beaucoup de gens sont encore hostiles les uns envers les autres ou sont coincés dans leurs faux liens collectifs. La croyance en la victoire n’a pas encore été vaincue. La peur de la guerre et du climat continue d’être alimentée.
L’incertitude reste donc élevée et la question essentielle et fondamentale qu’il convient de se poser est la suivante : comment pouvons-nous acquérir une nouvelle sécurité ?
RépondreSupprimerrénovation
Si nous ne voulons pas passer d’une peur à l’autre, nous avons besoin d’une idée. Une idée qui nous soutient et nous permet d’envisager l’avenir de manière positive. Cela nous protégerait non seulement des peurs irrationnelles et du glissement vers la folie de masse, mais revitaliserait également notre culture.
Cette idée ne doit pas nécessairement être nouvelle. Le renouvellement peut aussi signifier rétablir quelque chose qui existait déjà. Par exemple, une société libérale-démocrate dont les valeurs et les normes ont été ébranlées peut être refondée. La démocratie, la justice, la fraternité, la liberté, l’égalité et la paix peuvent redevenir des valeurs centrales et souhaitables.
Un nouveau départ peut également signifier empêcher une révolution qui n’est pas souhaitée par la majorité et qui comporte de grands risques et dangers. Les bouleversements sociaux au nom de la protection du climat ou en prévision d’une guerre sont de telles révolutions.
En tant que souveraine, la population pouvait sans crainte s’opposer à la politique léviathaniste et formuler des revendications concrètes. Elle pouvait affronter la folie collective non pas avec peur, mais avec connaissance de ses causes. La création d’un sentiment de liberté face aux difficultés, à la peur et à la coercition comme condition préalable à une vie d’humanité, de dignité humaine et de communauté dans une société ouverte – cela pourrait devenir un nouveau rêve illusoire qui mènerait à une longue période de normalité et d’absence d’illusion.
Pendant ce temps, la susceptibilité aux déraillements psychotiques demeure. Car le cerveau humain a évidemment tendance à tomber dans des états de croyance fantastiques et à commettre des actes de folie. L’extase de l’expérience communautaire déchaînée de la folie de masse semble trop belle pour que les gens puissent y échapper à long terme.
Références littéraires :
[1] Gustave Le Bon, « Psychologie des foules »
[2] David Graeber, « Des emplois à la con »
[3] Mattias Desmet, « La psychologie du totalitarisme »
[4] Hermann Broch, Œuvres collectives 9, « Psychologie de masse »
[5] Kurt Baschwitz, « Vous et la foule »
[6] Annette Klosa-Kückelhaus, « La langue dans la crise du Corona », https://www.owid.de/docs/neo/listen/corona.jsp
[7] Victor Klemperer, « LTI – Notes d'un philologue »
[8] Hans Zizsser, « Les poux des rats et leur histoire »
[9] Hannah Arendt, « Éléments et origines de la domination totale »
https://tkp.at/2024/05/20/corona-lehrstueck-eines-massenwahns/
SupprimerLa première marque 'anodine' de l'hégémonie a été le port du masque ! Il est vrai que ce n'est pas commun à chacun de nous d'avoir chez lui un microscope à balayage électronique (!) et donc, pratiquement personne ne peut examiner sous la loupe un masque chirurgical. Or, les chirurgiens portent un masque en bloc opératoire c'est UNIQUEMENT contre les postillons. Car un masque ne peut - par fabrication - ni être un anti microbes ni un anti nano-poussières (appelées 'virus') car les mailles seraient si serrées qu'elles empêcheraient l'air de passer.
Mais alors... pourquoi porter un masque (HAHAHA !)
Les masques sont TOUS imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène !! Pareillement que le sont les gels hydroalcooliques, les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr les expérimentations géniques d'essais (frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins').
Çà y est ? vous y êtes ?
Chloé Frammery a ajouté 18 photos et 2 vidéos à l’album Manifestation LIBÉRONS-NOUS DE L'OMS - 11 mai 2024 à Genève 🇨🇭.
RépondreSupprimerSouvenirs supplémentaires de la très belle
MANIFESTATION LIBÉRONS-NOUS DE L'OMS ! 🕊
Samedi 11 mai 2024
À Genève 🇨🇭
👉 La vidéo de la manifestation est ICI :
• https://crowdbunker.com/v/4wboc4cS4T
• https://odysee.com/.../manifestation-stop-OMS-geneve-11...
Sous un soleil radieux, nous avons manifesté dans la ville de l’OMS pour dire aux dirigeants de cette organisation internationale qu’on n’a plus du tout besoin de ses services !
Nous exigeons la sortie immédiate et définitive de l’OMS.
Entre le 27 mai et le 1er juin 2024, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé ont prévu d’adopter 2 textes qui permettraient de coordonner « efficacement » les mesures liberticides dans TOUS les pays du monde, lors d’une prochaine « urgence de santé publique de portée internationale » (PHEIC), que Tedros Adhanom Ghebreyesus appelle de ses voeux. Si ces 2 textes sont adoptés, alors il suffira d’une prochaine grippe aviaire, variole de la coccinelle ou « urgence climatique », pour que l’OMS puisse à nouveau déclarer une PHEIC et fermer les frontières, nous confiner, imposer le pass, une « vaccination » expérimentale, le masque partout, la fermeture des commerces, des écoles, comme au « bon vieux temps » du covid.
L’accord sur les pandémies et le RSI révisé ne doivent pas passer dans 2 semaines, et nous devons sortir définitivement de l’OMS si nous voulons sauvegarder ce qui nous reste de souveraineté.
Merci à Gérard, à Véronique, à JF, à Doris, à Antonio, à Steven, à Gaby, à Sophie, à Markus, à Mass Voll, aux musiciens Alex et Kathy, aux sonneurs de cloches qui sont venus de l'autre bout de la Suisse, merci à AGORA TV pour ses images et merci à tous les résistants qui sont venus de Belgique, de France, de Suisse et d'ailleurs, merci à tous les intervenants !
👉 Les sources de mes interventions :
https://chloeframmery.ch/manifestation-stop-oms-geneve-11...
👉 Mon bilan de cette journée (vidéo) :
https://t.me/chloefinfosofficiel/7079
👉 Toutes les infos sur notre mouvement LIBERTÉ :
https://chloeframmery.ch/mouvement-liberte
https://www.facebook.com/chloe.fra.9/posts/pfbid08oGgXae7HTuGXR8hWLS2A5MS9ZVN6tHEi1UFHYRpvWZdCTZfAkxqhmseSF1hcU79l?notif_id=1716112035303635¬if_t=creators_activity&ref=notif
Les aveux des stats officielles britanniques: les enfants de 10 à 14 ans vaccinés covid gravement fragilisés
RépondreSupprimerle 18 Mai 2024
par pgibertie
Le gouvernement britannique a discrètement confirmé que les vaccins contre le Covid-19 tuent des enfants à un rythme sans précédent.
Des chiffres choquants contenus dans un rapport officiel, publié quelques heures seulement avant que Boris Johnson n’annonce sa démission de son poste de Premier ministre du Royaume-Uni, révèlent que les enfants vaccinés contre le Covid-19 ont 4 423 %/45 fois plus de risques de mourir, quelle qu’en soit la cause, que les enfants non vaccinés et 13 6333/ 137 fois plus susceptibles de mourir du Covid-19 que les enfants non vaccinés.
- voir cadre sur site -
Une agence gouvernementale britannique, connue sous le nom d’Office for National Statistics (ONS), a récemment publié de nouvelles données sur les décès par statut vaccinal en Angleterre.
Le dernier ensemble de données de l’ONS est intitulé « Décès par statut de vaccination, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et il peut être consulté sur le site de l’ONS ici et téléchargé ici .
Concernant les décès dus au Covid-19, l’ONS révèle que le taux de mortalité parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans équivaut à 0,31. Mais en ce qui concerne les enfants vaccinés à une dose, le taux de mortalité équivaut à 3,24 pour 100 000 années-personnes, et en ce qui concerne les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité équivaut au taux choquant de 41,29 pour 100 000 années-personnes.
Ces chiffres révèlent que les enfants non vaccinés sont beaucoup moins susceptibles de mourir du Covid-19 que les enfants qui ont reçu l’injection du Covid-19.
Basées sur la formule d’efficacité du vaccin de Pfizer, ces données révèlent que les injections du Covid-19 s’avèrent désormais avoir une efficacité négative contre la mort chez les enfants, l’efficacité réelle entre janvier 2021 et mai 2022 étant la suivante :
- voir cadre sur site -
Les injections du Covid-19 s’avèrent avoir une efficacité négative réelle contre la mort de moins 966,67 % chez les enfants partiellement vaccinés, et une efficacité négative choquante contre la mort de moins 13 633,33 % chez les enfants triplement vaccinés.
Ce n’est pas du tout proche de l’efficacité de 95 % contre la mort annoncée par Pfizer, n’est-ce pas ?
En d’autres termes, les enfants partiellement vaccinés ont 11x/966,67 % plus de risques de mourir du Covid-19 que les enfants non vaccinés, et les enfants triplement vaccinés ont 137,3x/13 633,33 % plus de risques de mourir du Covid-19 que les enfants non vaccinés.
Et malheureusement, il y a peu d’amélioration en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Voici à nouveau le graphique montrant les taux de mortalité selon le statut vaccinal chez les enfants en Angleterre –
https://pgibertie.com/2024/05/18/les-aveux-des-stats-officielles-britanniques-les-enfants-de-10-a-14-ans-vaccines-covid-gravement-fragilises/
Le Premier ministre slovaque gravement blessé par balles, fermement opposé au « traité sur les pandémies » de l’OMS
RépondreSupprimerLe Premier ministre a déclaré que la Slovaquie ne signera pas le traité de l'OMS sur la pandémie et le RSI révisé
Par Peter Koenig
Mondialisation.ca,
18 mai 2024
Le Premier ministre slovaque Robert Fico a été abattu aujourd’hui – le 15 mai 2024 – et le gravier assuré [gravel insured], alors qu’il saluait et serrait la main de la foule dans le centre-ville de Handlova, en Slovaquie, où il avait assisté à une réunion du gouvernement au Palais de la Culture.
Le Premier ministre Fico est un ardent opposant au Traité de l’OMS sur la pandémie et au Règlement sanitaire international (RHI) révisé de l’OMS.
Le Premier ministre Fico a été approché par un homme dans la foule, qui a tiré à bout portant cinq coups de feu, blessant gravement le Premier ministre, avant que l’auteur ne soit plaqué au sol et arrêté par des agents de sécurité.
Le ministre de la Défense Robert Kalinak a déclaré :
« Il a plusieurs blessures, et son état est extrêmement grave. Nous prions toujours pour de bonnes nouvelles, mais nous n’avons pas encore cette nouvelle. Il est dans la salle d’opération depuis 3 ½ heures. Son état est très compliqué. »
Voir ce rapport du Washington Post avec un clip vidéo de 13 secondes.
- voir clip suir site -
Le Premier ministre avait ouvertement déclaré que son pays, la Slovaquie, n’allait pas signer le « Traité sur les pandémies » de l’OMS, ni le Règlement sanitaire international (RSHI) révisé, qui donnerait à l’OMS et en particulier au directeur général de l’OMS des pouvoirs dictatoriaux l’emportant sur sa souveraineté sanitaire et climatique et sur celle des 194 pays membres de l’OMS.
Oui, le climat aussi. Les tyrans technocratiques et les psychopathes – le Forum économique mondial (FEM), l’OMS, les Nations Unies (ONU) – et les puissances obscures qui soutiennent ces agences d’exécution, ont décidé que le faux « changement climatique » promu et endoctriné dans le monde entier depuis au moins un demi-siècle faisait partie du domaine de la santé, car il affectait la vie humaine, animale et végétale.
Ainsi, le « climat » relève de la responsabilité de l’OMS en matière de santé et, pire, de la responsabilité directe de la DG de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, un homme qui poursuivi dans son pays d’origine, l’Éthiopie, pour des activités terroristes.
RépondreSupprimerPour s’être exprimé contre ce crime potentiellement le plus grand crime contre l’humanité de l’histoire récente, un haut politicien pourrait avoir à payer de sa vie. Dieu nous en préserve – et prions, pour que le Premier ministre Robert Fico survive.
Voir ceci, y compris un discours de 3 minutes du Premier ministre Robert Fico, dans lequel il explique sa forte opposition et celle de son pays à ces traités, accords et réglementations.
Il est dit et soupçonné que plusieurs dirigeants de pays africains et d’Haïti ont été assassinés, car ils se sont officiellement opposés au vaccin tueur d’ARNm dans leurs pays, pendant la période 2021-2023 des mandats de « vaccination » de l’ARNm Covid.
Pour ceux qui ont encore des doutes, l’humanité est en pleine guerre mondiale – est-ce la Troisième Guerre mondiale ? – ou s’agit-il d’une simple guerre pour la survie de l’humanité ?
Rappelez-vous simplement que la Grande Réinitialisation du Fonds monétaire internationale et l’Agenda 2030 des Nations Unies, ainsi que le Club de Rome, veulent que la population mondiale soit réduite de près de 90 % – de quelque manière que ce soit. L’un des moyens, très promu depuis des années, est la volonté de Bill Gates de « vacciner » le monde entier, ce avant même le canular universel contre le covid 2020-2030.
Voir aussi (ou vous pouvez cliquer ici) ce clip vidéo récent (10 min en mai 2023) d’un auteur principal de « Limits to Growth » du Club de Rome (1972), Dennis Meadow :
Ne demandez pas pourquoi. Les psychopathes ne sont pas des humains – mais ils se rapprochent dangereusement de leur objectif de contrôler le monde entier si nous, les humains, n’intervenons pas ACTIVEMENT et continuons à regarder pathétiquement comme un troupeau de moutons.
Tant qu’ils – le FEM, l’ONU, l’OMS – prétendent mener la danse, ils n’ont pas à vous donner de réponse. D’ailleurs, ils ne vous diront jamais la vérité. Mais n’oubliez pas que Yuval Noah Harari nous a qualifiés à plusieurs reprises de « mangeurs inutiles ».
Il voulait dire que nous devrions être amenés à « disparaître », car nous, le peuple, ne servons à rien dans l’Ordre Mondial Unique (OMU) , dans le cadre de la « 4ème révolution industrielle » entièrement numérisée, une invention de Schwab et du Forum économique mondial.
Et l’humanité serait également soumise à l' »ordre de santé unique » [« One Health Order »], au cas où le traité sur la pandémie et le RSI révisé seraient signés, ou autrement « embrouillés » – lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé – du 27 mai au 1er juin 2024 – ou de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre 2024, ou de toute autre manière.
RépondreSupprimerTout est possible. Voir aussi ceci.
Nous n’y sommes pas encore.
Mais la tentative de meurtre du Premier ministre slovaque, probablement en raison de sa position contre la tyrannie eugéniste prévue de l’OMS, devrait être un avertissement, un RAPPEL.
Prenez conscience, soyez conscient – et défendez les droits humains, l’humanité et le magnifique privilège [cadeau] de la vie.
Peter Koenig
Lien vers l’article original:
BREAKING: Slovak Prime Minister Shot and Gravely Injured, Firmly Opposed to “Pandemic Treaty”,le 16 mai 2024.
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
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Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans dans le monde entier. Il est l’auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également membre principal non-résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.
La source originale de cet article est globalresearch.ca
Copyright © Peter Koenig, globalresearch.ca, 2024
https://www.mondialisation.ca/le-premier-ministre-slovaque-abattu-et-gravement-blesse-fermement-oppose-au-traite-pandemique/5689122?doing_wp_cron=1716113887.9875540733337402343750
Soudain et inattendu : deux banquiers âgés de 25 et 35 ans
RépondreSupprimer19 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le décalage dans la campagne de vaccination s’allonge de plus en plus. Cependant, des décès qualifiés de « soudains et inattendus » continuent de se produire. Les conséquences négatives les plus courantes pour les personnes vaccinées sont apparemment les crises cardiaques et le cancer. À cet égard, les injections d’ARNm sont en réalité « sûres et efficaces ».
Le New York Post vient d'annoncer le décès du banquier Adnan Deumic, 25 ans, suite à un arrêt cardiaque soudain, deux semaines seulement après la mort choquante de Leo Lukenas III, un banquier de 35 ans . C'est un discours idiot selon lequel le « stress au travail » tue désormais les jeunes banquiers, même si on sait depuis des décennies que les jeunes banquiers travaillent des heures incroyablement longues. Et j’ai définitivement atteint un âge plus avancé.
Leo Lukenas III, un ancien Béret vert qui a servi dans le groupe des institutions financières de la banque, est décédé jeudi dernier d'un "thrombus aigu de l'artère coronaire" à l'âge de 35 ans, selon un rapport de Reuters.
Il laisse derrière lui une femme et deux jeunes enfants.
Le défunt a fait partie des Bérets verts pendant une décennie, de 2013 jusqu'à ce qu'il rejoigne la magistrature en juillet de l'année précédente. Cette branche de l’armée américaine est connue pour son entraînement excellent et intensif et notoire pour ses crimes de guerre dans toutes les guerres américaines depuis la guerre du Vietnam. Lukana relevait donc de l’obligation de vaccination pour les soldats aux États-Unis.
Adnan Deumic, qui travaillait au bureau londonien de la banque et est décédé deux semaines après Lukenas, jouait dans un tournoi caritatif avec d'autres employés du secteur financier lorsqu'il s'est effondré et a dû être réanimé, a déclaré une source au New York Post.
La cause du décès n’a pas encore été dévoilée, mais cette personne a déclaré au Post qu’un arrêt cardiaque était suspecté.
RépondreSupprimerAvant sa mort tragique, Deumic semblait être en bonne santé, ayant couru un marathon en Espagne le mois dernier et ayant joué au hockey au lycée. Il s'est engagé en 2022. Presque tout le monde dans les lycées a été vacciné.
Les nécrologies ne parlent que du stress et des longues heures travaillées par le défunt.
https://tkp.at/2024/05/19/ploetzlich-und-unerwartet-zwei-banker-im-alter-von-25-und-35-jahren/
De plus, les victimes de guerre, y compris les civils, sont aujourd’hui le résultat de conflits très ciblés dans des zones limitées. Ces conflits impliquent souvent des pays dont l’Occident convoite leurs ressources. Ainsi, l’Asie occidentale, avec ses vastes réserves d’hydrocarbures et de minéraux, constitue une cible tentante, conduisant aux assauts américains et britanniques contre l’Afghanistan, l’Irak et la Libye. Des agressions similaires, bien que moins visibles, ont eu lieu en Afrique.
RépondreSupprimerPlus récemment, la guerre par procuration des États-Unis contre la Russie en Ukraine a conduit au dépeuplement de ce pays par l’émigration et les pertes sur les champs de bataille , alors même que des sociétés américaines comme BlackRock ont investi dans les terres et les minéraux. Le génocide israélien perpétré par Israël contre les Palestiniens à Gaza, soutenu par les États-Unis, a également été soupçonné d'avoir pour motivation la prise de contrôle des réserves pétrolières et gazières offshore.
Pourtant, nous pourrions dire que, si l'on tient compte du potentiel incroyable de pertes résultant de l'énorme puissance de feu des arsenaux conventionnels et nucléaires mondiaux, le nombre total de morts en temps de guerre reste aujourd'hui relativement limité. Et même si ces arsenaux étaient utilisés bien plus qu’ils ne l’ont été lors des conflits récents, la totalité de la population mondiale serait-elle sérieusement réduite par une telle explosion avant que l’impulsion à une guerre totale ne se soit dissipée ?
Sommes-nous certains, par exemple, que la troisième guerre mondiale tant redoutée entraînerait réellement l’anéantissement de la vie sur terre, comme beaucoup le pensent, ou ne serait-ce qu’un simple ralentisseur de plus ? Nous ne le savons vraiment pas. De plus, il existe au sein de la communauté internationale bien plus de garanties et de contraintes qu’il n’en existait en 1941 et qui pourraient être activées, y compris les procédures mises en place par l’intermédiaire des Nations Unies, tant décriées.
Nous constatons également que les arsenaux militaires occidentaux sont inutiles, sauf contre de malheureux opposants, comme le montre l’échec des armes occidentales en Ukraine, où elles se sont révélées trop complexes, coûteuses et vulnérables. Aujourd’hui, leurs principaux objectifs semblent être de plus en plus la « création d’emplois », l’enrichissement des actionnaires du secteur de la fabrication d’armes, fournissant une sorte de « dissuasion » fantôme contre « l’agression », ou simplement un divertissement pour les politiciens, les grands médias et les électeurs. .
Aussi horrible que soit la guerre, les mondialistes cherchent certainement au-delà de la guerre ouverte pour atteindre leurs objectifs, qui, selon beaucoup, se concentrent sur, ou du moins incluent, les armes biologiques afin de parvenir à une réduction globale de la population humaine. En fait, l’armée américaine et la CIA créent et utilisent secrètement des armes biologiques depuis des décennies, comme le montre Tucker Carlson Uncensored dans un épisode récent intitulé « La maladie de Lyme a-t-elle été créée comme une arme biologique ?
RépondreSupprimerBien que cela ne soit pas abordé dans cet article, l'armement spatial est un autre domaine dans lequel les fantasmes de guerre espèrent depuis des décennies faire des percées dans les armes apocalyptiques qui amèneraient les ennemis à se rendre sans combat ou qui rayeraient un adversaire de la carte lors d'une première frappe sans réponse. .
Mais passons à autre chose.
Le lobby du dépeuplement
Tandis qu’il cherche à se dissimuler, on discerne l’existence d’un puissant lobby en faveur d’une réduction massive de la population planétaire .
Depuis quelques siècles, des prophètes de malheur comme le ministre anglais Thomas Malthus (1766-1834) crient que, tôt ou tard, la croissance démographique dépassera la capacité des ressources terrestres à supporter une telle croissance humaine.
Bien sûr, Malthus avait tort, en grande partie à cause de la capacité de la révolution industrielle à assurer la subsistance d’une population croissante et à engendrer de grandes améliorations en matière d’assainissement, de nutrition, de productivité agricole et de traitements médicaux pour maintenir davantage de personnes en vie pendant une durée de vie plus longue. La réduction de la mortalité infantile et l’amélioration du bien-être des familles et des enfants ont été particulièrement marquantes.
Mais pour une certaine classe de personnes étroitement identifiées aux mondialistes, ces changements n’ont pas été une raison de se réjouir, mais plutôt un pressentiment d’une catastrophe imminente. Ces sentiments ont fusionné avec le mouvement « eugéniste » qui considère la croissance démographique comme une augmentation du nombre de personnes qu’ils n’aiment pas et ne veulent pas vivre.
Pour cette classe particulière, le potentiel de la guerre pour réduire la population ne semble pas s’être révélé pour les raisons révélées par les considérations présentées ci-dessus. D'autres méthodes, plus efficaces, ont donc été recherchées. Les armes biologiques, considérées comme relativement faciles à infliger par des moyens secrets et difficiles à retracer jusqu'à leurs sources, sont passées au premier plan. Alors, qui peut être derrière tout cela ?
Dans son article du 30 juillet 2023, « Billionaires Try to Shrink World's Population: Secret Gathering Sponsored by Bill Gates, 2009 Meeting of 'The Good Club' », le Dr Michel Chossudovsky, responsable de la recherche mondiale, a demandé : « La dépopulation mondiale fait-elle partie du problème ? La grande réinitialisation des milliardaires ?
RépondreSupprimerLe Dr Chossudovsky écrit :
Depuis plus de dix ans, des réunions sont organisées par des milliardaires qualifiés de philanthropes pour réduire la taille de la population mondiale, culminant avec la crise du COVID de 2020-2022.
Les développements récents suggèrent que le « dépeuplement » fait partie intégrante des soi-disant mandats COVID, y compris les politiques de confinement et le vaccin à ARNm.
Selon le Wall Street Journal : « En mai 2009, les philanthropes milliardaires se sont réunis à huis clos au domicile du président de l'université Rockefeller à Manhattan. Ce rassemblement secret était parrainé par Bill Gates. Ils s'appelaient eux-mêmes « The Good Club ». Parmi les participants figuraient feu David Rockefeller, Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner, Oprah Winfrey et bien d'autres.
En mai 2009, le WSJ ainsi que le Sunday Times rapportaient (John Harlow, Los Angeles) que « certains des plus grands milliardaires américains se sont rencontrés secrètement pour réfléchir à la manière dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les progrès ». dans le domaine de la santé et de l’éducation. L'accent n'était pas mis sur la croissance démographique (c'est-à-dire Planned Parenthood) mais sur le « dépeuplement », c'est-à-dire la réduction de la taille absolue de la population mondiale.
Pour lire l'article complet du WSJ, cliquez ici .
Selon le rapport du Sunday Times :
Les philanthropes qui ont participé à un sommet organisé à l'initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté d'unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.
L'article du Dr Chossudovsky peut être consulté ici et est cité dans mon propre livre, Our Country, Then and Now .
Ce n’est un secret pour personne que l’eugénisme et le contrôle de la population sont depuis longtemps un objectif des mondialistes en général et de la famille Rockefeller et de Bill Gates en particulier. Avec le « Good Club », nous avons Gates et David Rockefeller dans la même série de réunions, aux côtés de plusieurs autres milliardaires célèbres. Le livre récent de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci: Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health , cite de nombreux exemples dans lesquels la Fondation Bill et Melinda Gates a encouragé l'utilisation à grande échelle des vaccins dans Afrique avec probablement pour motif sous-jacent une réduction de la population. En Europe, le Club de Rome et ses ramifications, dont le Forum économique mondial, ont fait pression pour des objectifs similaires.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les chiffres bruts, le membre du « Good Club » et fondateur de CNN, Ted Turner, a déclaré :
"Une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une baisse de 95 pour cent par rapport aux niveaux actuels, serait idéale." — cité dans le McAlvany Intelligence Advisor , juin 1996.
Il convient ici de mentionner Aurelio Peccei, co-fondateur du Club de Rome, à l'origine de l'idée du Forum économique mondial, et sa justification de la nécessité d'institutions supranationales pour faire face aux crises mondiales. Cela implique la nécessité implicite d’affaiblir la souveraineté des États-nations pour que le mondialisme réussisse. C'est sous cet angle que la destruction de l'économie productrice américaine a été entreprise par l'externalisation industrielle et a été réalisée dans les décennies qui ont suivi la publication du volume fondateur de Peccei, The Chasm Ahead.
La relation entre les Rockefeller et Peccei remonte au 11 avril 1964, lorsque Peccei a assisté à une réunion du groupe Bilderberger à Williamsburg, en Virginie, où il a rencontré David Rockefeller, alors président et président de la Chase Manhattan Bank. Rockefeller était également le superviseur du Council on Foreign Relations, le principal groupe de réflexion mondialiste américain.
J'ai entendu parler de cette rencontre entre Rockefeller et Peccei des décennies après les faits. Cela m'intéressait particulièrement, car j'y étais ! Pas lors de leur réunion, bien sûr, mais au Williamsburg Lodge où se tenait la conférence. J'étais à l'époque au club d'actualité du lycée local et nous avions été invités à écouter quelques discours. Au cours de ma vie et de ma carrière d’analyste gouvernemental, j’ai été témoin de nombreux événements d’importance historique. Pensez-y, je traînais aussi à proximité de ce qui aurait pu être l'élaboration de plans visant à détruire une grande partie de la race humaine !
Au milieu des années 1970, la promotion de la réduction de la population était la politique officielle du gouvernement américain. Tel que documenté par le site Web Human Life International (3 janvier 2024) :
RépondreSupprimerLe Conseil de sécurité nationale des États-Unis est la plus haute instance décisionnelle en matière de politique étrangère des États-Unis. Le 10 décembre 1974, il finalise un document top-secret intitulé National Security Study Memorandum ou NSSM-200 , également appelé The Kissinger Report , puisque Henry Kissinger était secrétaire d'État au moment de sa rédaction.
Le sujet du NSSM-200 est « Les implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité et les intérêts des États-Unis à l’étranger ». Ce document, publié peu après la première grande conférence internationale sur la population à Bucarest, est le fruit d'une collaboration entre la Central Intelligence Agency (CIA), l'Agence américaine pour le développement international (USAID) et les départements d'État, de la Défense et de l'Agriculture.
NSSM-200 a été rendu public lors de sa déclassification et transféré aux Archives nationales des États-Unis en 1990.
Le rapport indiquait :
L’économie américaine aura besoin de quantités importantes et croissantes de minerais provenant de l’étranger, notamment des pays les moins développés. Cela donne aux États-Unis un intérêt accru pour la stabilité politique, économique et sociale des pays fournisseurs. Partout où une diminution des pressions démographiques grâce à une réduction des taux de natalité peut accroître les perspectives d’une telle stabilité, la politique démographique devient pertinente pour l’approvisionnement en ressources et pour les intérêts économiques des États-Unis.
Notez qu’Henry Kissinger était un associé à vie de l’empire financier Rockefeller et a même été considéré à un moment donné comme étant nommé coordinateur général de tous les investissements Rockefeller.
On peut également affirmer que les États-Unis tentent depuis des décennies d’imposer des limites à la souveraineté des États-nations et à la croissance démographique dans les pays moins développés par le biais du Fonds monétaire international, avec sa multitude de « conditionnalités » accompagnant ses politiques de prêt prédatrices. Celles-ci incluent la privatisation des services publics, la réduction des salaires des employés publics, la réduction des prestations sociales, la conversion de la production agricole de l'autosuffisance à l'exportation de produits de base, le vote « correct » à l'ONU, l'ouverture de leurs économies aux investissements occidentaux à un niveau élevé. taux d'intérêt, etc.
Les sanctions américaines ont également joué un rôle, par exemple les sanctions contre l'Irak au milieu des années 1990, dont la secrétaire d'État Madeleine Albright a admis qu'elles étaient la cause de la mort de 500 000 enfants irakiens. "Cela en valait la peine", a-t-elle déclaré à un journaliste télé. Les sanctions contre la Russie à la suite de la guerre en Ukraine ont sans aucun doute le même objectif dans le cadre d’une ponction de ressources contre la Russie similaire à celle menée par les États-Unis après la chute de l’Union soviétique dans les années 1990.
RépondreSupprimerAujourd’hui, cependant, on peut affirmer que les tactiques mondialistes de réduction de la population appliquées à des régions du monde moins développées et conflictuelles, mais souvent riches en ressources, sont intentionnellement retournées contre les propres populations des pays occidentaux et ne sont pas simplement les conséquences de multiples politiques. décisions prises sans agenda sous-jacent. Aux États-Unis, nous avons assisté à une augmentation rapide et radicale de la disparité de richesse entre riches et pauvres et à un affaiblissement du filet de sécurité sociale par des actions telles que la réduction des bons d’alimentation et des prestations Medicaid. Seul un aveugle ne pouvait pas savoir que ces mesures entraîneraient une augmentation de la pauvreté et de la mortalité parmi les secteurs à faible revenu.
En raison de l’inflation, provoquée au moins en partie par les profits des entreprises, la disponibilité du logement, de la nourriture, de l’éducation et des transports est de plus en plus hors de portée, le coût de la vie élevé favorisant la taille des familles. Les avortements à la demande en tant que mesure de contrôle des naissances font depuis longtemps partie du programme libéral, le suicide médicalement assisté devenant courant avec la distribution de morphine par les hospices. La promotion de l’agenda LGBT entraîne également une diminution du nombre d’enfants.
Mais une étape majeure dans l’assaut des pays développés contre l’humanité a peut-être été franchie avec la pandémie de COVID. Encore une fois, c’est Robert F. Kennedy Jr. qui a rassemblé des détails sur la manière dont les confinements sociétaux, les fermetures d’entreprises, la fermeture des écoles et la censure de la dissidence avaient été anticipés par deux décennies de formation et de planification discrètes. exercices, avec une forte participation militaire. L’un d’eux, « l’Événement 201 », a eu lieu juste avant le début de la pandémie de COVID à l’Université Johns Hopkins, parrainé par Bill Gates et le Forum économique mondial.
Dans son dernier livre, The Wuhan Cover-Up and the Terrifying Bioweapons Arm Race, RFK Jr. discute de la prolifération massive de laboratoires d'armes biologiques parrainés par les États-Unis dans le monde entier qui mènent des recherches sur la militarisation des virus sous le titre de « gain de fonction ». .» Ce n’est qu’au cours des deux dernières années que le « gain de fonction » est devenu une expression courante.
Il semble presque que les élites qui contrôlent la société occidentale aient décidé que la guerre ouverte ne suffisait pas pour atteindre leurs objectifs de dépopulation, et qu’il fallait donc rechercher une solution différente. Ce qu’ils semblent avoir mis en lumière, c’est l’inculcation délibérée de pandémies. Le COVID, y compris le « vax » mortel à ARNm, était peut-être leur essai à blanc.
RépondreSupprimerBien entendu, la COVID n’est pas la première atrocité médicale commise par les grandes sociétés pharmaceutiques, le gouvernement américain et la profession médicale. Une autre est l’épidémie d’autisme probablement provoquée par la prolifération des vaccinations infligées aux enfants. Selon le Dr Lewis Coleman de l’Institut géopolitique américain :
Nous n'avons jamais vu cela lorsque nous étions à l'école primaire, mais maintenant c'est une épidémie, sans parler de la myriade de dégâts causés par le Long COVID et d'autres effets de la « vaccination ». On frémit en pensant à quoi ressemblera la société dans 20 ans. Les enfants atteints de ces maladies peuvent détruire des familles et détourner l’attention des besoins d’enfants en bonne santé. Et cela ne compte pas toutes les fausses couches, les victimes du Long COVID et les morts subites dues aux injections d'ARNm, ni les innombrables patients paralysés par des maladies chroniques telles que la maladie de Parkinson, causées par la pollution de notre nourriture, de notre eau et de notre air.
Fichier:Bill Gates MSC 2017 Quote.png
Par Hildenbrand / MSC, sous licence CC BY-SA 3.0
Le programme mondial de dépopulation des mondialistes dépasse ses roues d’entraînement
Entre-temps, les mondialistes ont pris des mesures dans les domaines économique et technologique pour préparer le terrain à un effondrement massif de la population mondiale . L’une de ces actions a été la peur disproportionnée du « changement climatique » et la prétendue conversion aux sources d’énergie renouvelables qui laisseraient les pays industriels avancés dépendants des panneaux solaires et des éoliennes. Le meilleur exemple est la destruction causée à l'économie allemande par le Parti Vert, qui a déjà réussi à fermer toutes les centrales nucléaires allemandes. Un autre point d’attaque a été la centralisation et la numérisation des monnaies. Un autre problème a été la promotion de l’intelligence artificielle dans les processus industriels, même si les mondialistes n’ont pas révélé qui achèterait tous les biens produits par une automatisation sans fin si le public consommateur avait « disparu ».
Une autre ruse consiste à centraliser la production alimentaire avec un nombre toujours plus réduit d’entreprises responsables de l’approvisionnement alimentaire. Cela a notamment consisté à évoquer des menaces pour l'approvisionnement alimentaire à travers ce qu'on pourrait appeler le « terrorisme biologique », comme l'hystérie croissante autour de la « grippe aviaire » avec des actions comme les menaces de la gouverneure du Michigan, Gretchen Witmer, d'une répression de type militaire qui pourrait entraîner davantage de violences. abattage massif déjà alarmant de volailles et de bovins. En fait, la « grippe aviaire » pourrait être la mystérieuse « maladie X » contre laquelle certains mettent désormais en garde.
RépondreSupprimerUn article du 6 mai 2024 de Julian Rose dans l’ Activist Post intitulé « Madkind-v-Mankind – A Race Against Time » donne une description graphique de l’avenir que les contrôleurs ont envisagé :
« The Great Reset » est l'événement de réglage d'horloge le plus récent, bien nommé, initié par Madkind.
Il a fixé quelques dates clés dans son agenda pour le transfert de la vie organique vers un sosie robotique contrôlé numériquement, dans le but de rendre l’humanité obsolète.
Il trouve des repères utiles pour 2025/26, 2030 et 2045/50 permettant de réaliser des phases particulières de cette ambition.
Nous connaissons le plan d’action de Madkind car il est explicitement exposé dans l’Agenda 2030 des Nations Unies et dans la Quatrième révolution industrielle/Green New Deal du Forum économique mondial.
Sur le plan financier, pour commencer, une monnaie numérique de banque centrale dotée d'un programme de conformité au crédit social pour contrôler l'accès des individus à leurs comptes bancaires, est prévue pour environ 2026.
La stagnation économique mondiale et des périodes de famine humaine vont suivre.
D’ici 2030, le programme de Madkind stipule que le processus de numérisation et d’intelligence artificielle (IA) aura usurpé une grande partie de la capacité de réflexion émotionnelle et rationnelle de l’humanité ; avec des pouvoirs naturels de reproduction également stérilisés jusqu'à la soumission par la géo-ingénierie atmosphérique toujours croissante, la dénaturation de l'eau et des aliments, les fréquences électromagnétiques (CEM) et les programmes de vaccination militarisés.
À la même date, environ cinquante pour cent des aliments devraient être créés dans des laboratoires d’usine. Synthétique, génétiquement modifié et sans lien avec le sol.
Les insectes figurent en bonne place sur la liste des substituts protéiques, une fois que le lait, la viande et les œufs ont été retirés du menu parce qu'ils ont été identifiés comme complices de la folle invention de Madkind sur le réchauffement climatique.
La production d'énergie devrait être largement séparée des pratiques de combustion de combustibles fossiles d'ici la même date, remplacée par ce qu'elle considère comme des solutions « vertes » prenant le relais de ce qui reste de l'industrie productive.
RépondreSupprimerD’ici 2045/50, Madkind se voit aux commandes avec sa politique dite « Net Zero » (pas de dioxyde de carbone) ayant encore réduit la biodiversité naturelle et les populations mondiales à une fraction des niveaux actuels, remplaçant l’humanité par la version cyborg IA transhumaine et un race esclave de l’humanité préservée pour des tâches subalternes inadaptées aux robots.
Il s’agit d’une liste purement superficielle et indicative – car il y a bien plus de folies en préparation que ce qui est mentionné ici. Et Madkind a un plan B, C et D si A ne se concrétise pas (à temps).
Pour mieux se le rappeler, il suffit de consulter la description de Mad Schwab de la quatrième révolution industrielle et la déclaration de Mad Harari « Nous ferons mieux que Dieu ».
La censure
Nous ne sommes absolument pas censés communiquer entre nous à ce sujet. Depuis que le président Joe Biden a pris ses fonctions en 2021, le gouvernement américain s’est lancé dans une attaque majeure contre la liberté d’expression. Comme le rapporte le Brownstone Institute dans un article intitulé « Book Burning Goes Digital » :
En mars 2021, la Maison Blanche Biden a lancé une campagne de censure ouvertement inconstitutionnelle pour empêcher les Américains d’acheter des livres politiquement défavorables sur Amazon.
L'effort, mené par les censeurs de la Maison Blanche, dont Andy Slavitt et Rob Flaherty, a commencé le 2 mars 2021, lorsque Slavitt a envoyé un e-mail à Amazon exigeant de parler à un dirigeant des « niveaux élevés de propagande, de désinformation et de désinformation » du site.
Leurs discussions ultérieures restent inconnues, mais des courriels récemment publiés par le comité judiciaire de la Chambre révèlent que les censeurs ont atteint le résultat escompté. En une semaine, Amazon a adopté une politique d’interdiction fantôme.
Les responsables de l’entreprise ont écrit dans des courriels internes : « Cette demande est motivée par les critiques de l’administration Biden concernant les livres sensibles auxquels nous accordons une place importante et qui devraient être traités de toute urgence. » Ils ont en outre précisé que cette politique était « due aux critiques des partisans de Biden », ce qui signifie vraisemblablement Slavitt et Flaherty.
Nous pouvons généraliser en disant que le point central de l'attaque du gouvernement contre la liberté d'expression a été principalement des sujets liés au COVID, à la « pandémie », aux vaccins, etc. Brownstone poursuit :
RépondreSupprimerÀ l’époque, la « désinformation sur les vaccins » était un terme utilisé pour désigner des vérités qui dérangent. Cinq mois après la campagne de censure d'Amazon, Twitter a banni Alex Berenson à la demande du gouvernement pour avoir souligné que les injections n'empêchaient pas l'infection ou la transmission. La sénatrice Elizabeth Warren (D-MA) a cité favorablement son interdiction de Twitter dans une lettre de septembre 2021 adressée à Amazon appelant à une censure accrue des livres.
Un processus similaire s'est produit chez Facebook. Mark Zuckerberg a écrit dans des courriels internes que la plateforme avait décidé d'interdire les allégations liées à la théorie des fuites en laboratoire en février 2021 après des « conversations tendues avec la nouvelle administration ». Nick Clegg, directeur de Facebook, a également écrit que la censure était due à « la pression de l’administration [Biden] et d’autres pour en faire plus ». Un autre e-mail interne de Facebook datant d’août 2021 indiquait que l’entreprise avait mis en œuvre de nouvelles politiques de « désinformation » « découlant des critiques continues de l’administration [Biden] à l’égard de notre approche ».
Non seulement l’appel du régime Biden à l’ interdiction de facto des livres conduit à la suppression de véritables informations concernant les confinements, les dommages causés par les vaccins et la théorie des fuites en laboratoire ; c'était également une violation flagrante du premier amendement.
Voir l'article original sur Brownstone.org.
Pour un examen plus détaillé de la suppression par le gouvernement et les médias d’informations sur la pandémie de COVID, voir le 8 mai 2024, Substack du Dr Robert Malone, fortement censuré , intitulé « Mise à jour sur les méfaits du vaccin à ARNm contre le COVID ». Le Dr Malone déclare :
Cela fait des années que j'attends ce moment. Le gouvernement fédéral américain commence enfin à reconnaître qu'il a forcé les citoyens (y compris le personnel militaire) de ce pays à accepter des produits injectables toxiques présentés comme des « vaccins », des produits qui contiennent ou provoquent la production par l'organisme des patients d'une toxine connue : le protéine de pointe du SRAS-CoV-2 conçue. Nous assistons désormais à un déploiement progressif de Hangouts limités, dans lesquels de hauts fonctionnaires fédéraux actuels et anciens commencent à reconnaître les décès et les préjudices imputables aux diverses utilisations d’urgence de produits « vaccins » autorisés contre la COVID-19.
Bien sûr, cela survient après des années de déni officiel fédéral, de dissimulation, de rétention de données, de marketing ouvert de produits médicaux sans licence (auprès des adultes ET des enfants), et d'une campagne massive de censure/diffamation/propagande qui a couvert pratiquement tous les médias grand public comme ainsi que les médias alternatifs. Pratiquement toutes les revues médicales évaluées par des pairs ont été cooptées et compromises, en particulier celles appartenant aux maisons d'édition partenaires du WEF, Elsevier et Springer/Nature… La récente révélation lors du témoignage public du Dr Peter Daszak aux États-Unis est pertinente à ce stade. Congrès que le Lancet (publié par Elsevier) et Nature (Springer) ont refusé de témoigner en réponse à des demandes spécifiques du Congrès.
RépondreSupprimerC'est un fait que l'avalanche de censure concerne presque exclusivement la publication d'informations véridiques sur la « pandémie » de COVID ; rien n'a été attaqué par le gouvernement avec autant de véhémence sur aucun autre sujet .
Il s’ensuit que la promotion du faux discours sur le COVID pourrait être l’objectif primordial de l’administration Biden, même au-delà des questions de guerre et de paix, d’immigration illégale, de droits de l’homme ou de toute autre chose. On peut même supposer que l’ objectif principal de la présidence Biden est de préparer les États-Unis et l’humanité à un dépeuplement massif à l’échelle mondiale. Le véhicule semble désormais être le Traité sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé, qui sera soumis au vote lors de la prochaine réunion de l'Assemblée mondiale de la santé de l'OMS, du 27 mai au 1er juin 2024.
Traité de l'OMS sur la pandémie
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La santé publique dans la perception gouvernementale et non gouvernementale. (Par Giovanni Maki, Public Library of Science / Sous licence CC BY-SA 2.5)
L’OMS, une agence des Nations Unies, propose désormais en grande partie, par le biais de sa propre autorité supposée, un traité sur la pandémie qui a le potentiel de paralyser le monde dans des confinements beaucoup plus sévères que ceux qui ont eu lieu pendant la COVID, uniquement de sa propre initiative, afin qu’un Une « pandémie » pourrait avoir lieu. L’OMS – ou quels que soient ses « patrons » – pourra rendre obligatoire la vaccination et les « passeports vaccinaux » pour chaque être humain sur la planète tout en supprimant tout débat ou dissidence.
Les critiques soulignent – lorsqu’on leur permet de parler – qu’il n’existe absolument aucune preuve que les épidémies naturelles de maladies infectieuses soient proches du niveau qu’implique le programme totalitaire de répression sociétale que le traité mettrait en œuvre. Cela fait naître le soupçon que de telles épidémies ne pourraient être provoquées que par la libération délibérée de microbes générés par une R&D à « gain de fonction », similaire à ce qui a probablement été fait avec le COVID.
L’administration Biden a déclaré son intention d’être partie à l’accord de l’OMS, mais elle ne donnera pas au Sénat américain la possibilité de ratifier un tel traité comme le prévoit la Constitution américaine. Ils prétendent que le traité peut être mis en œuvre par décret de l’exécutif.
RépondreSupprimerLe traité constitue une atteinte évidente à la souveraineté de toute nation qui choisit d’y participer et une menace au caractère sacré de la personnalité de chaque individu. Aux États-Unis, la Déclaration des droits serait pratiquement suspendue.
Pour mettre en œuvre les mandats de l'OMS, l'administration Biden a créé sa propre agence de niveau exécutif, le Bureau de la politique de préparation et de réponse aux pandémies (OPPRP). Approuvée par le Congrès en 2023, l'agence « dirige, coordonne et met en œuvre des actions liées à la préparation et à la réponse aux menaces biologiques et aux agents pathogènes connus et inconnus qui pourraient conduire à une pandémie ou à des perturbations importantes liées à la santé publique aux États-Unis. .» Un système bureaucratique appelé « One Health » est en construction comme mécanisme d’organisation.
Fondamentalement, One Health entend contrôler toutes les facettes de la vie : économie, eau, politiques publiques, risques sanitaires au travail, agriculture, commerce mondial, santé environnementale, écosystèmes, communications, changement climatique et accessoirement, pandémies et santé humaine. (« Patrick Wood explique comment One Health inclut tout et qu'il est déjà intégré dans nos agences nationales », Meryl's COVID Newsletter , 8 mai 2024)
« Connu et inconnu » ; « Cela pourrait conduire à une pandémie… » dit la charte de l'OPPRP. Une véritable pandémie n’est même pas nécessaire. Et personne ne dit comment les mandats approuvés par l’OPPRP, susceptibles de s’appliquer à des centaines de millions de personnes, seront appliqués au niveau des communautés et des individus. Mais comme avec le COVID, des activités telles que les réunions de famille, les achats ou les services religieux seraient sans aucun doute criminalisées, tandis que les écoles reviendraient au processus ruineux d’apprentissage de la cyber-instruction.
Pour en revenir à l’OMS, quels sont ses patrons qui joueront le rôle d’arbitre international de toute crise microbienne réelle ou possible ? La figure la plus puissante derrière le financement de l'OMS est le multimilliardaire américain Bill Gates, qui, comme indiqué ci-dessus, est aujourd'hui le membre le plus visible de la hiérarchie mondialiste déterminée à réduire la population humaine de la planète. Gates et ses associés du FEM seront-ils les décideurs ultimes ?
Comme indiqué précédemment, la COVID peut probablement être considérée comme un essai à sec pour les sanctions beaucoup plus sévères promises par le Traité sur la pandémie de l’OMS. Comment l’OMS s’est-elle comportée pendant la crise du COVID ? Nous pourrions peut-être en avoir un aperçu en examinant un procès récemment intenté à Genève, en Suisse, où se trouve le siège de l'OMS, par un groupe d'avocats internationaux par l'intermédiaire d'une organisation appelée Comité directeur du Conseil mondial de la santé.
RépondreSupprimerLe procès est dirigé contre le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS. Parmi les allégations longues et détaillées contre Ghebreyesus figurent celles de « faussement informer les gouvernements du monde entier d’une soi-disant pandémie, amenant ainsi les gouvernements à déclarer des urgences médicales inexistantes » qui « ont été et font toujours partie intégrante d’une chaîne d’événements qui est entraînant des pertes massives de vies humaines, d’immenses dommages physiques, ainsi qu’une détresse psychologique et un traumatisme indicibles pour les habitants de cette planète.
Soit dit en passant, le Dr Ghebreyesus n’est pas médecin. Il est plutôt titulaire d'un doctorat en philosophie (PhD) en santé communautaire de l'Université de Nottingham, au Royaume-Uni. En fait, le Royaume-Uni a été fortement impliqué dans l’élaboration du traité de l’OMS, le Premier ministre britannique de l’époque, Boris Johnson, étant signataire de l’article proposant à l’origine le traité.
Le texte du procès du Comité directeur du Conseil mondial de la santé continue :
Ces actions semblent avoir conduit les gouvernements à déployer des organismes génétiquement modifiés (OGM) contre le SRAS-CoV-2 insuffisamment testés, faussement appelés « vaccins », qui sont également des thérapies géniques, à rendre obligatoires des protocoles de masquage non scientifiques, à mettre en œuvre des mesures de « distanciation sociale » inhumaines et anti-scientifiques, acheter et déployer des tests PCR inefficaces et frauduleux, utilisés ensuite pour créer de fausses « casémies » afin de justifier des « confinements » illégaux, des fermetures d’entreprises et des assignations à résidence.
Les plaignants demandent ce remède de la part du Dr Ghebreyesus :
Nous exigeons que, avec effet immédiat, vous cessiez de prendre d'autres mesures qui impliqueraient des communications fausses et frauduleuses aux gouvernements, provoquant ainsi ou entraînant de nouveaux cas du type de résultats catastrophiques décrits ci-dessus.
Le procès exige également une responsabilité personnelle de la part du Dr Ghebreyesus :
RépondreSupprimerNous vous informons également que le fait de ne pas cesser ou de s'abstenir de toute implication ou implication continue ou répétée dans les dommages ci-dessus engagera votre responsabilité à la fois en votre qualité personnelle et professionnelle. En tant qu'homme, vous ferez l'objet d'une enquête pour association de malfaiteurs. En tant que mandataire social, vous ferez l’objet d’une enquête pour négligence grave, faute grave dans l’exercice d’une fonction publique, fraude en entreprise et potentiellement même complicité d’homicide involontaire en entreprise.
Pour des informations complètes sur l'opposition du Conseil mondial de la santé à l'OMS et à ses plans et programmes, consultez leur site Web à l'adresse https://worldcouncilforhealth.org/ .
Demandez-vous alors si l’OMS doit se voir confier l’avenir de la race humaine ou si le traité de l’OMS est une prescription pour une extinction massive. Demandez-vous alors si l’humanité manque suffisamment de respect pour elle-même au point d’accepter cette parodie ?
Opposition à l'OMS
Il existe une opposition croissante au Traité de l’OMS sur la pandémie, en particulier parmi les organisations et les individus qui mènent la prise de conscience générale de la société face aux horreurs infligées par les autorités gouvernementales mondiales en ce qui concerne la pandémie de COVID. Dans le même temps, le monde commence seulement à prendre conscience des dommages déjà infligés par les « vaccins » à ARNm administrés à des centaines de millions de personnes dans le monde.
La communication sur ces sujets vitaux continue d’être réprimée par l’administration Biden et d’autres gouvernements dans le monde. L’urgence de la nécessité de lutter contre l’imposition du Traité de l’OMS sur la pandémie a à peine pénétré la sphère politique.
Dans le même temps, la prise de conscience grandit. Aux États-Unis, l’État de Louisiane pourrait bientôt déclarer qu’il ne sera pas soumis aux mandats de l’ONU ou de l’OMS. Une législation similaire a été introduite en Oklahoma. 22 procureurs généraux d’État ont dit la même chose.
L’opposition a également été récemment exprimée dans une lettre adressée au président Biden par les 49 sénateurs américains de la Conférence sénatoriale républicaine. Tel que rapporté par Fox News (2 mai 2024) :
Le sénateur Ron Johnson, républicain du Wisconsin, a dirigé l'ensemble de la conférence du Sénat républicain en appelant le président Biden à rejeter les accords qui étendraient l'autorité de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en cas de pandémie mondiale.
RépondreSupprimer« Nous vous exhortons fortement à ne adhérer à aucun traité, convention ou accord lié à la pandémie envisagé » lors de la 77e Assemblée mondiale de la santé, lit-on dans une lettre envoyée à Biden par Johnson et les 48 autres sénateurs républicains.
Les sénateurs républicains ont souligné qu’un tel accord serait considéré comme un traité, qui, selon eux, nécessite « l’accord des deux tiers du Sénat en vertu de l’article I, section 2 de la Constitution ».
Le sénateur Ron Johnson a dirigé tous les sénateurs républicains dans une lettre à Biden, l'appelant à ne pas soutenir les accords visant à étendre l'autorité de l'OMS.
L'Assemblée mondiale de la santé (AMS) aura lieu du 27 mai au 1er juin et des accords internationaux devraient être examinés.
La WHA est l'organe décisionnel de l'OMS, qui se réunit chaque année afin de définir ses objectifs et d'élaborer des politiques entre les 194 États membres.
Cependant, en raison du tollé croissant, la Grande-Bretagne, l'un des premiers partisans du traité, envisage désormais de voter contre le traité. Selon Reuters (9 mai 2024), « nous ne soutiendrons l'adoption de l'accord et ne l'accepterons au nom du Royaume-Uni que s'il est fermement dans l'intérêt national du Royaume-Uni et respecte la souveraineté nationale », a déclaré un porte-parole du ministère britannique de l'Éducation. Santé et protection sociale confirmées. Le gouvernement des Pays-Bas serait également opposé au traité.
Opposition populaire
Parmi les personnes à la tête de l'opposition aux États-Unis et dans le monde se trouve le Dr Meryl Nass, un médecin du Maine dont le permis d'exercice de la médecine a été suspendu lorsqu'elle a prescrit des médicaments pour le traitement du COVID qui, bien que légaux, ont été mal vus par les autorités médicales comme non conformes aux les protocoles de traitement souvent mortels préférés par le gouvernement. Les médicaments en question étaient bien entendu l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. La sous-pile du Dr Nass peut être trouvée ici .
Le Dr Nass a recommandé une série de mesures que les gouvernements souverains doivent prendre pour lutter contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. Voir sa sous-pile ici intitulée « Que peuvent faire les législateurs pour empêcher l'Accord (Traité) sur la pandémie et les amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) d'aller de l'avant lors de la 77e réunion de l'Assemblée mondiale de la santé (AMS), qui aura lieu le 27 mai. au 1er juin 2024 ?
Conclusion
Pour beaucoup, l'attitude mondialiste est pleinement visible dans le commentaire célèbre attribué au prince Philip de Grande-Bretagne par The Guardian en 2009, où il aurait déclaré : « Dans le cas où je me réincarne, j'aimerais revenir sous la forme d'un virus mortel. , pour contribuer à résoudre la surpopulation.
La DARPA est la Defense Advanced Research Projects Agency, l’un des principaux bailleurs de fonds du développement de vaccins. Consultez son site Web pour son article intitulé « Retirer les incertitudes du développement de vaccins : le programme AIM vise à exploiter les mécanismes immunitaires de l’hôte pour déterminer si les vaccins candidats fourniront une protection immunitaire de longue durée ».
RépondreSupprimerEt l’armée américaine à laquelle appartient la DARPA est à 100 % sous contrôle mondialiste. Cela a été confirmé il y a longtemps par Henry Kissinger, qui a déclaré : « Les militaires sont des animaux stupides et stupides qui servent de pions pour la politique étrangère. »
Mais il ne s’agit pas uniquement de militaires. Les mondialistes nous voient tous de la même manière ; essentiellement comme un simple troupeau de bovins.
Comme je l'ai indiqué au début de cet article, la précipitation des événements dans l'actualité aujourd'hui en raison des innombrables conflits et crises, y compris les troubles associés à l'élection présidentielle américaine de 2024, a empêché la gravité des actions de l'OMS d'être pleinement exposée et apprécié, non seulement parmi les classes politiques des nations du monde, mais aussi auprès du public en général.
Dans le même temps, compte tenu de la prise de conscience croissante du public et des politiques, de plus en plus de rapports indiquent que la version actuelle du Traité de l’OMS sur la pandémie n’a aucune chance d’être approuvée lors de la prochaine réunion du 27 mai au 1er juin 2024. Cela ne signifie pas, bien sûr, qu'ils n'essaieront pas encore et encore, et encore… ou qu'une nouvelle maladie X, Y ou Z utilisant l'amélioration du gain de fonction ne sera pas publiée pour provoquer le urgence tant attendue. Le dernier clou dans le cercueil de l’humanité serait le prochain.
https://www.globalresearch.ca/globalists-genocide-who-pandemic-treaty/5856968
L'objectif des criminels au pouvoir est connu de tous: Application du Plan Dépopulation21. Il n'est pas besoin de sortir de 'grandes écoles' pour reconnaître ce fait indiscutable: plus il y a de monde plus il y a de personnes intelligentes.
SupprimerToutes les inventions sur Terre ne viennent pas des dictateurs sanguinaires mais proviennent exclusivement du Peuple.
C'est une guerre menée contre l'intelligence. L'Internet censuré. "Vous ne devez pas savoir ! Vous n'aurez RIEN et serez heureux !" HAHAHAHA !
Après 70 ans , dans le Nouveau Monde , tu ne sers à rien , il faut faire des économies
RépondreSupprimerle 20 Mai 2024
par pgibertie
@philippejeanpr1
En réalité, il est quasiment toujours possible de mettre fin à ses jours tout seul (le suicide existe depuis toujours). Le but réel de la loi euthanasie n’est donc pas de permettre à des personnes de mettre fin à leurs jours mais de pousser des gens au suicide.
𝗙𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 : 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝗽𝘂𝘁𝗲́𝘀 𝗳𝗼𝗻𝘁 𝘀𝗮𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲-𝗳𝗼𝘂𝘀 𝗱𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗼𝗶 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗮𝗶𝗱𝗲 𝗮̀ 𝗺𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 Le «modèle français» de la fin de vie s’annonce encore plus permissif que prévu. En quelques jours, plusieurs «conditions strictes» proposées par le gouvernement pour limiter l’accès à l’aide à mourir ont sauté lors de l’examen du texte en Commission spéciale:
Introduction de l’aide à mourir dans le code de la Santé Publique.
Suppression du critère de pronostic vital engagé
Remplacement par le critère de « phase avancée ou terminale » de la maladie, encore plus large et flou
Porte ouverte au suicide assisté OU à l’euthanasie, au choix
Inscription de la demande d’euthanasie dans les directives anticipées – au cas où la personne ne serait plus conscient
Assouplissement du délai de réflexion de 48H
Création d’un délit d’entrave à l’aide à mourir «Notre désarroi et notre inquiétude sont immenses devant ce texte qui devient le plus permissif au monde et nous place dans la droite ligne du Canada, c’est-à-dire avec la possibilité d’un nombre d’euthanasies supérieur à 40.000 par an en France»
RépondreSupprimerLa récente campagne d’affichage de la mairie de Paris en faveur de l’euthanasie a suscité de vives réactions. Utilisant les ressources publiques de la ville de Paris , cette initiative soulève des questions fondamentales sur certaines valeurs éthiques diffusées ou plutôt imposées.
Cette tentative de normaliser et de banaliser une pratique en totale contradiction avec la foi et les valeurs morales d’un nombre significatif de personnes ,dont les chrétiens, pose le problème de la liberté individuelle sur une thématique fondamentale de notre société ; le rapport à la mort.
@clairefourcade3
Lire « Le Système totalitaire » d’Arendt est de circonstance. ET plus que jamais d’actualité.
Emmanuel Macron avait promis, lors de la campagne électorale de son second quinquennat en 2022, un texte sur la fin de vie qui irait plus loin que le dernier en date, la loi Claeys-Leonetti de 2016, qui avait introduit la possibilité, pour des personnes en fin de vie confrontées à des souffrances réfractaires, d’avoir recours à une « sédation profonde et continue jusqu’à la mort ».
L’exécutif redouble de précautions oratoires pour justifier son projet de loi légalisant l’euthanasie et le suicide assisté. À force d’être assénée, cette circonspection a fini par s’inscrire dans la conscience collective. Pourtant, une lecture attentive du projet de loi montre que cette prudence affichée est factice ; un effort minimal de législation comparée prouve au contraire que la loi française serait la plus permissive au monde – sans même envisager les inévitables évolutions à venir.
Dans son avis sur le projet de loi, le Conseil d’État a appelé le gouvernement à définir « de manière suffisamment claire et précise les actes entrant dans le champ de l’aide à mourir ». Sans récuser l’expression « aide à mourir », les Sages lèvent le voile sur sa réalité et appellent le gouvernement à préciser ses euphémismes. Ce texte « a pour objet principal de créer une “aide à mourir”, entendue comme la légalisation, sous certaines conditions, de l’assistance au suicide, et dans l’hypothèse où la personne n’est pas en mesure physiquement de s’administrer elle-même la substance létale de l’euthanasie ». La haute instance reconnaît en outre que le texte introduit « une double rupture par rapport à la législation en vigueur », en inscrivant la fin de vie « dans un horizon qui n’est plus celui de la mort imminente » et en autorisant « pour la première fois un acte ayant pour intention de donner la mort », remettant en cause plusieurs articles du code de la santé publique.
La procédure « collégiale », promise par le président de la République pour évaluer les demandes d’aide à mourir, interroge également. Dans le projet, il ne s’agit en fait que de l’avis d’un second médecin et d’un autre soignant. Le premier médecin sollicité par le patient endosserait seul la décision d’autoriser un suicide assisté ou une euthanasie. Ce point n’a pas été retoqué par le Conseil d’État, mais la haute juridiction a cependant jugé bon de préciser qu’il fallait s’assurer que les soignants appelés à se pencher sur ces demandes ne soient pas « membres de la famille » du patient et que le médecin chargé d’émettre un avis ait « accès au dossier médical » ou puisse « s’il le souhaite, demander à examiner la personne ».
RépondreSupprimer« L’absence de procédure collégiale place le médecin dans une position de toute-puissance que l’on voudrait révolue. Nous, soignants, nous ne voulons pas avoir à décider qui doit vivre et qui peut mourir », interpelle Claire Fourcade, la présidente de la Société française de soins palliatifs (Sfap). Les critères d’accès au suicide assisté, bien que présentés comme « stricts » par Emmanuel Macron, apparaissent comme autant de faux-semblants aux soignants inquiets. « Partout où la mort provoquée a été légalisée, tous les garde-fous initiaux ont été peu à peu levés, commente Claire Fourcade. Les “conditions strictes” censées encadrer la mort provoquée ne sont donc que des conditions provisoires destinées à rassurer la population et les soignants. Mais nous n’en sommes pas dupes. »
Mais, pour Jean Leonetti, le projet du gouvernement acte bien une « double rupture » : avec la loi Claeys-Leonetti d’abord, mais aussi avec l’offre telle qu’elle est proposée aujourd’hui dans les structures de soins palliatifs. « La cohabitation de ces deux textes est faite pour donner l’apparence d’un équilibre, mais l’impression est fausse, puisque les maisons d’accompagnement annoncées ont vocation à se substituer aux soins palliatifs. Des maisons où l’on peut imaginer que l’aide active à mourir sera pratiquée », fait-il observer. Jean Leonetti est peu surpris de voir émerger certaines réactions « inquiètes » dans l’univers des soins palliatifs et « consternées » chez les juristes.
https://pgibertie.com/2024/05/20/apres-70-ans-dans-le-nouveau-monde-tu-ne-sers-a-rien-il-faut-faire-des-economies/
1°) Un retraité touche SA retraite de cotisant.
Supprimer2°) C'est un consommateur comme les autres, et dépense l''argent' sorti de la planche-à-billets.
3°) Le plan futur est de s'en prendre aux nouveaux-nés qui 'coûtent cher' durant deux décennies sinon plus.
4°) Copié-collé de la machine opérationnelle à 100 % dès le premier jour.
L'ancien directeur du CDC déclare qu'il est grand temps d'admettre les « effets secondaires importants » des vaccins contre le COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 20 MAI 2024 - 10H11
Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times
Le Dr Robert Redfield, ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), a déclaré jeudi que de nombreux responsables qui ont tenté d'avertir le public des problèmes potentiels liés aux vaccins contre le COVID-19 ont été contraints au silence et qu'il est grand temps d'admettre que il y avait des effets secondaires « importants » qui rendaient les gens malades.
Le Dr Redfield a fait ces remarques dans une interview accordée le 16 mai à Chris Cuomo sur NewsNation, au cours de laquelle il a déploré la perte de confiance du public dans les agences de santé publique en raison du manque de transparence autour des vaccins, qui, selon lui, « ont sauvé de nombreuses vies ». mais cela a également rendu certaines personnes « très malades ».
"Ceux d'entre nous qui ont essayé de suggérer que les vaccins pourraient avoir des effets secondaires importants... nous avons en quelque sorte été annulés parce que personne ne voulait parler du problème potentiel des vaccins, parce qu'ils avaient peur que cela provoque les gens ne veulent pas se faire vacciner », a déclaré le Dr Redfield.
Dans son rôle de chef du CDC, le Dr Redfield a participé à l'opération Warp Speed de l'administration Trump, un projet visant à accélérer le développement d'un vaccin contre le COVID-19 à un moment de la pandémie où l'on savait peu de choses sur le virus et où le déploiement rapide du vaccin était largement répandu. considérée comme la clé pour maîtriser l’épidémie et lever les confinements.
RépondreSupprimerEn septembre 2020, quelques mois avant l’administration des premiers vaccins contre la COVID-19 aux États-Unis, le Dr Redfield a témoigné devant le Sénat que la COVID-19 représentait « le défi de santé publique le plus important auquel notre nation soit confrontée depuis plus d’un siècle ». » et que l’opinion dominante parmi les scientifiques à l’époque était que le taux de mortalité global de la maladie se situait entre 0,4 et 0,6 pour cent aux États-Unis.
« Si vous regardez actuellement les individus de moins de 18 ans, c’est environ 0,01 pour cent, 19 pour dire 69 ans, c’est plutôt 0,3 pour cent. Et si vous avez plus de 70 ans, c’est environ 5 pour cent maintenant », avait-il déclaré à l’époque.
Bien qu'il existe une controverse persistante sur la gravité du COVID-19, une étude récente estime que le taux de létalité mondial était de 8,5 % en février 2020, mais avait plongé à 0,27 % en août 2022, ce qui signifie que la réduction du risque relatif estimée sur cette période était un un énorme 96,8 pour cent.
Dans son interview sur NewsNation, le Dr Redfield a déclaré que les vaccins développés dans le cadre de l’opération Warp Speed étaient « importants » et sauvaient « de nombreuses vies ». Cependant, malgré leurs avantages, les inconvénients des vaccins doivent faire l’objet d’un débat ouvert, a-t-il déclaré.
« Ils sont importants pour les personnes les plus vulnérables, celles de plus de 60, 65 ans. Ils ne sont vraiment pas si critiques pour ceux qui ont moins de 50 ans ou moins. Mais ces vaccins ont sauvé beaucoup de vies, mais ils ont aussi… nous devons être honnêtes, certaines personnes ont ressenti des effets secondaires importants à cause du vaccin », a-t-il déclaré.
« J’ai un certain nombre de personnes qui sont très malades et qui n’ont jamais eu le COVID, mais elles sont malades à cause du vaccin », a-t-il poursuivi. "Et nous devons simplement le reconnaître."
Controverse sur les vaccins
RépondreSupprimerLa gravité de la COVID-19 reste un sujet de débat, car il n'est pas clair si les décès ont été surestimés ou sous-estimés en raison de divers facteurs, tels que le manque de clarté quant au rôle des problèmes de santé sous-jacents dans les décès dans les cas où la COVID-19 était répertoriée comme principale cause de décès. cause ou sous-déclaration des infections asymptomatiques. Outre la question de savoir si les personnes sont décédées « à cause » du COVID-19 ou « avec » un test positif au SRAS-CoV-2, des questions ont également été soulevées sur le rôle de la pneumonie secondaire provoquée par la ventilation mécanique.
Quoi qu’il en soit, une étude de janvier 2023 indique que le taux mondial de mortalité dû au COVID-19 a chuté de façon spectaculaire au cours de la pandémie. Selon l'étude, le taux de mortalité dans le monde variait entre 1,7 et 39,0 pour cent entre février et mars 2020, mais est tombé en dessous de 0,3 pour cent entre juillet et août 2022.
Les chercheurs estiment que le risque de décès dû au COVID-19 a diminué de 96,8 % au cours de la pandémie.
Parallèlement à la baisse du nombre de décès dus au COVID-19, les effets secondaires des vaccins suscitent de plus en plus d’inquiétudes, étant donné qu’un nombre important de personnes vaccinées ont signalé diverses réactions indésirables.
Les événements indésirables du vaccin COVID-19 les plus courants sont ceux qui affectent le corps en général, la fièvre, la fatigue et l'inconfort général étant les trois principaux, selon le système américain de rapport des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS). Mais il y en a d'autres.
Par exemple, l’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) et l’inflammation de la muqueuse extérieure du cœur (péricardite) ont toutes deux été officiellement reconnues par le CDC comme un effet secondaire connu des vaccins à ARNm COVID-19 de Moderna et Pfizer.
Des troubles du système nerveux ont également été signalés, ces troubles étant les troisièmes plus fréquents dans les essais Pfizer, après les événements indésirables généraux et musculaires.
RépondreSupprimerDes articles ont également établi un lien entre les vaccins contre la COVID-19 à base de protéines de pointe et des problèmes de peau, un bourdonnement sourd dans les oreilles appelé acouphène, des déficiences visuelles, la coagulation sanguine et même la mort. Un reportage récent du programme « American Thought Leaders » d’EpochTV indique que la probabilité de décès associé aux vaccins contre la COVID-19 (à proximité immédiate de l’injection plutôt que prouvée comme causée par celle-ci) était plus de 100 fois plus élevée que pour les vaccins contre la grippe.
On s’inquiète également d’une augmentation post-vaccination des décès et des invalidités.
Le CDC recommande toujours que les personnes de tous âges reçoivent un vaccin contre le COVID-19, affirmant que les effets secondaires potentiels ne l’emportent pas sur les méfaits potentiels de tomber malade avec le COVID-19.
Dans un avis publié fin avril, l’agence a de nouveau appelé les adultes âgés de 65 ans et plus à se procurer la dernière version des vaccins.
https://www.zerohedge.com/covid-19/ex-cdc-director-says-its-high-time-admit-significant-side-effects-covid-19-vaccines
COVID-19 et Vax ont contribué à l'augmentation des maladies auto-immunes rares en 2021 : étude
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 19 MAI 2024 - 21H45
Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Les cas d’une maladie auto-immune rare ont augmenté entre 2020 et 2022 dans le Yorkshire, en Angleterre, avec un pic en 2021. L’infection au COVID-19 et ses vaccins ont peut-être contribué à cette augmentation, selon une étude récente publiée dans eBioMedicine de The Lancet.
La maladie – dermatomyosite positive à la protéine 5 associée à la différenciation du mélanome (anti-MDA5), ou dermatomyosite anti-MDA5 – est une maladie inflammatoire caractérisée par une faiblesse musculaire, des éruptions cutanées et une maladie pulmonaire à progression rapide.
La dermatomyosite anti-MDA5 est très rare.
En 2019, le Yorkshire, qui compte 3,6 millions d’habitants, a signalé deux personnes testées positives pour la maladie. En 2020, ils étaient neuf. Les cas ont culminé en 2021 avec 35 nouveaux cas. Ce nombre est ensuite tombé à 16 nouveaux cas en 2022.
Les nouveaux cas auto-immuns pourraient être dus aux interactions entre le virus de la COVID-19 et l’ARN du vaccin, a déclaré à Epoch Times l’auteur principal de l’étude, le Dr Dennis McGonagle, professeur clinicien de médecine à l’Université de Leeds.
Outre l’étude du Lancet, plusieurs études de cas ont documenté de nouveaux cas d’anti-MDA5 suite à une infection ou à une vaccination contre le COVID-19.
Qu'est-ce que la dermatomyosite anti-MDA5
La dermatomyosite anti-MDA5 est une maladie auto-immune dans laquelle l'organisme s'attaque lui-même. Cela peut souvent apparaître sans cause claire.
La dermatomyosite a tendance à affecter la peau, les muscles et les poumons. La dermatomyosite anti-MDA5 implique une maladie pulmonaire à évolution rapide, ce qui confère à la maladie un mauvais pronostic.
MDA5 est une protéine présente en dehors des muscles et des tissus, particulièrement présente dans les poumons. Par conséquent, lorsque le corps forme des anticorps anti-MDA5 pour attaquer le MDA5, il peut détériorer les organes et tissus associés.
MDA5 peut détecter et se lier à l’ARN étranger, y compris l’ARN du COVID-19. Lors de sa détection, il signale à d’autres cellules immunitaires de combattre l’envahisseur étranger ou de se faire vacciner.
RépondreSupprimer"Nous pensons que... [cela se produit] parce que MDA5 est le récepteur ou le site d'accueil de l'ARN viral, et que cela déclenche d'une manière ou d'une autre la production d'anticorps contre celui-ci", a déclaré le Dr McGonagle.
Dans une infection au COVID-19, la liaison de MDA5 à l'ARN peut entraîner une trop grande activité de MDA5 en réponse, le Dr Pradipta Ghosh, directeur de l'Institut de médecine de réseau de l'Université de Californie à San Diego et autre auteur correspondant de l'étude, a déclaré à Epoch Times.
Il a été démontré que les patients atteints de COVID-19 présentaient une activité élevée du gène MDA5 dans leurs liquides pulmonaires, ce qui suggère en outre que le virus pourrait avoir déclenché de nouveaux cas de MDA5.
Outre les anti-MDA5, 15 autres autoanticorps peuvent contribuer à des maladies similaires liées à la dermatomyosite. Le rôle du MDA5 dans l’infection et la vaccination par le COVID-19 peut expliquer pourquoi, pendant la pandémie, seuls les cas de dermatomyosite anti-MDA5 ont augmenté, alors que les autres auto-anticorps impliqués dans la dermatomyosite n’ont pas augmenté.
Entre 2020 et 2022, les 60 nouveaux patients atteints de dermatomyosite anti-MDA5 dans le Yorkshire ont été évalués. Tous ont développé des symptômes.
Plus de 40 % ont développé une maladie pulmonaire interstitielle et ont eu un pronostic pire. La moitié était décédée au moment de la publication de l’étude.
Les auteurs ont noté que les cas d’anti-MDA5 pendant la pandémie se présentaient légèrement différemment des cas pré-pandémiques.
Par rapport à la période pré-pandémique, les cas d’anti-MDA5 signalés pendant la pandémie présentaient un taux de maladies pulmonaires et un taux de mortalité inférieurs, a déclaré le Dr Ghosh. La maladie a également touché les Blancs, par opposition aux Asiatiques, qui constituaient auparavant le groupe démographique le plus prédominant.
Les patients en période de pandémie ont tendance à signaler des affections cutanées telles que des éruptions cutanées, une diminution du flux sanguin vers les doigts, des douleurs musculaires, etc.
Augmentation fortuite
RépondreSupprimerLe pic des cas anti-MDA5 entre avril et juillet 2021 a coïncidé étroitement avec l’adoption par le Yorkshire des vaccins contre le COVID-19 et s’est produit à une période de « positivité communautaire plus élevée pour le SRAS-CoV-2 en 2021 », ont rapporté les auteurs. Les vaccinations ont commencé dans le Yorkshire en janvier 2021 et ont diminué en octobre.
Environ 90 pour cent de la population du Yorkshire était vaccinée et 49 des 60 cas avaient été documentés comme étant vaccinés contre le COVID-19.
En revanche, seulement 15 personnes sur 60 avaient eu une infection confirmée au COVID-19.
Alors que de nombreuses personnes ont été testées positives pour le COVID-19 à l’époque, les auteurs ont noté que les cas d’anti-MDA5 n’ont pas augmenté immédiatement après une augmentation des cas de COVID-19.
Autres rapports
En plus des rapports du Yorkshire, d’autres études ont montré un lien entre la dermatomyosite anti-MDA5 et le COVID-19 et son vaccin.
Une étude de cas italienne publiée dans Frontiers in Immunology a rapporté le cas d’une femme âgée non vaccinée qui a développé une dermatomyosite anti-MDA5 un mois après son infection au COVID-19. Elle souffrait de douleurs articulaires et développait des éruptions cutanées et des lésions sur la poitrine, le visage et les mains.
Les auteurs ont fait valoir que MDA5, qui est impliqué dans l’activation de diverses cytokines, peut précipiter des réactions inflammatoires lorsqu’il est exposé au SRAS-CoV-2.
Un autre article publié dans SN Comprehensive Clinical Medicine a rapporté un cas de dermatomyosite anti-MDA5 survenu une semaine après la vaccination contre le COVID-19. Les chercheurs ont émis l’hypothèse que les anticorps dirigés contre les protéines de pointe du virus SARS-CoV-2 pourraient réagir de manière croisée avec des protéines humaines comme le MDA5.
Cependant, le Dr Ghosh a déclaré que même si la protéine Spike a été impliquée dans d’autres maladies auto-immunes, la maladie anti-MDA5 est causée par des anticorps contre MDA5 et non par Spike.
« Je crois que nous avons beaucoup de travail à faire avant de pouvoir commencer à comprendre pourquoi ou comment notre corps réagit à ce virus, ses particules, son ARN/protéine – même l’ARN codant pour ses composants clés que nous utilisons comme vaccin dans la pléthore de vaccins. de la manière dont cela le fait », a-t-elle expliqué.
https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-19-and-vax-contributed-increase-rare-autoimmune-disease-2021-study
L'ancien directeur du NIH confirme qu'il n'y a « aucune science » derrière les règles de distance de 6 pieds
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 18 MAI 2024 - 18H15
Le témoignage récemment publié de l'ancien directeur du NIH, le Dr Francis Collins, confirme qu'Anthony Fauci et Deborah Birx n'ont pas fondé la règle de distance sociale de six pieds à l'époque de la pandémie sur la science, mais ont plutôt inventé les choses au fur et à mesure.
Jeudi, le représentant Brad Wenstrup (R-OH), président du sous-comité spécial sur la pandémie de coronavirus, a publié une transcription de l'interview à huis clos de Collins en janvier, dans laquelle il a été interrogé sur une série de questions, y compris la fuite en laboratoire. théorie et la règle de distance sociale de six pieds.
"Nous avons demandé au Dr Fauci d'où venaient les six pieds et il a dit que cela venait juste d'apparaître, c'est la citation", a déclaré l'avocat majoritaire du comité au Dr Collins, selon la transcription. « Vous souvenez-vous des données scientifiques ou des preuves appuyant la distance de six pieds ? »
"Je ne le fais pas", a répondu Collins.
L'avocat a alors demandé : « Est-ce que je ne m'en souviens pas ou est-ce que je ne vois aucune preuve soutenant six pieds ?
Ce à quoi Collins a répondu : "Je n'ai vu aucune preuve, mais je ne suis pas sûr qu'on m'aurait montré des preuves à ce moment-là."
"Depuis, c'est un sujet extrêmement vaste. Avez-vous vu depuis lors des preuves soutenant six pieds?" L'avocat a répondu.
"Non", a déclaré Collins.
Comme le note également Epoch Times, les remarques du Dr Collins offrent une indication supplémentaire que les responsables émettant des lignes directrices au plus fort de la pandémie prenaient, au moins dans une certaine mesure, des décisions qui n’étaient pas explicitement étayées par des données scientifiques.
Divers responsables impliqués dans l’élaboration de la réponse américaine à la pandémie, dont le Dr Fauci, ont déclaré qu’ils prenaient des décisions de bonne foi sur la base des données disponibles à l’époque et qu’une fois que de nouvelles informations étaient apparues, ils avaient ajusté leurs recommandations en conséquence.
RépondreSupprimerFocus sur la distance sociale
Alors que l'épidémie de COVID-19 se propageait en 2020, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié des directives décrivant la distance sociale, y compris le fait de rester à l'écart des lieux de rassemblement, d'éviter les rassemblements de masse et de maintenir une distance d'au moins six pieds avec les autres lorsque cela est possible. .
Les dernières directives du CDC sur la prévention des infections par les virus respiratoires (mises à jour le 4 avril 2024) comprennent une section sur la distance physique. Cela indique que mettre une distance physique entre soi et les autres peut contribuer à réduire le risque de propagation d’un virus respiratoire.
« Il n'existe pas de chiffre unique qui définit une distance « de sécurité », car la propagation des virus peut dépendre de nombreux facteurs », indique le guide, qui concorde avec des études comme celle de 2021 qui concluait que les six mesures universelles La règle de distance physique à pied n’est pas valide.
Cependant, les dernières directives du CDC pour les établissements de santé, mises à jour le 18 mars 2024, font plusieurs références à six pieds. Par exemple, il recommande que dans les établissements dentaires dotés d’espaces ouverts, une stratégie pour empêcher la propagation du COVID-19 consiste à garantir « au moins 6 pieds d’espace entre les fauteuils des patients ». Il définit également le « contact étroit » entre individus comme « le fait de se trouver à moins de 6 pieds pendant un total cumulé de 15 minutes ou plus sur une période de 24 heures avec une personne infectée par le SRAS-CoV-2 ».
Epoch Times a contacté le CDC pour lui demander de commenter les remarques du Dr Collins et de clarifier la base scientifique sur laquelle l'agence a intégré le chiffre de six pieds dans ses directives de prévention du COVID-19.
En mars, le CDC a également mis à jour ses directives à l’intention des personnes testées positives au COVID-19, leur indiquant qu’elles n’ont plus besoin de s’isoler pendant cinq jours.
Les directives mises à jour indiquaient que la menace du COVID-19 est devenue plus similaire à celle d’autres virus respiratoires, et donc plutôt que de fournir des directives supplémentaires spécifiques au virus, le CDC a opté pour une « approche unifiée et pratique ».
En justifiant son passage aux nouvelles directives, qui traitent essentiellement le COVID-19 comme n'importe quel autre virus respiratoire, le CDC a déclaré que de nombreuses personnes présentant des symptômes de virus respiratoire ne savent souvent pas quel agent pathogène est à l'origine de leurs symptômes, une approche unifiée est donc plus pratique. .
RépondreSupprimerDe nombreux médecins ont longtemps exhorté le CDC à abandonner la recommandation d'isolement de cinq jours, mais pas plus tard qu'à la mi-février, l'agence a continué à attendre avant d'effectuer ce changement, invoquant la nécessité de davantage de consultations.
Dans les lignes directrices mises à jour, le CDC a fait un clin d’œil aux « coûts personnels et sociétaux d’un isolement prolongé », y compris les congés de maladie payés limités.
Un certain nombre d’experts et d’études ont mis en garde contre les méfaits d’un isolement prolongé pendant la pandémie. Par exemple, l’American Psychological Association a déclaré en novembre 2023 que les Américains avaient subi un « traumatisme collectif » lié à la pandémie. L’association a cité une étude suggérant que la réponse musclée à l’épidémie de COVID-19 – qui, en plus de la règle de distanciation sociale, comprenait des quarantaines, des fermetures d’écoles, des fermetures d’entreprises et l’obligation quasi universelle du port du masque – a eu un effet négatif. sur la santé physique et mentale des personnes.
Une autre étude qui a examiné un large éventail de recherches sur les confinements a conclu que de telles mesures peuvent être un outil efficace pour contrôler la pandémie de COVID-19, mais seulement si « les dommages collatéraux à long terme sont négligés ».
Le prix des confinements en termes de santé publique est élevé : en utilisant le lien connu entre santé et richesse, nous estimons que les confinements pourraient coûter 20 fois plus d’années de vie qu’ils n’en sauvent », écrivent les auteurs de l’étude.
Les chercheurs ont également mis en garde contre la censure généralisée des opinions dissidentes sur les confinements, soulignant qu’elle empêche la communauté scientifique de corriger ses erreurs et sape la confiance du public dans la science.
https://www.zerohedge.com/medical/ex-nih-director-confirms-no-science-behind-6-foot-distancing-rules
La validité d'une grande partie des recherches scientifiques publiées est discutable (2e partie)
RépondreSupprimer20 Mai 2024
Henry I. Miller et S. Stanley Young, ACSH*
Dans la première partie de cette série, nous avons présenté les preuves qu'une part non négligeable des publications scientifiques et des « connaissances » qui en découlent sont erronées. Il y a de nombreuses raisons à cela, notamment la négligence expérimentale, les différences dans la manière dont les chercheurs abordent les analyses statistiques, les préjugés des revues contre la publication de résultats négatifs et la malhonnêteté pure et simple des chercheurs. La deuxième partie décrit comment les scientifiques militants peuvent utiliser les méta-analyses pour manipuler les données afin de parvenir à une conclusion prédéterminée, mais erronée.
Quelle est l'ampleur de la fraude aux données qui pollue la recherche scientifique et quelles en sont les sources ?
Lorsque des dizaines, des centaines ou des milliers d'études traitent d'une question ou d'une controverse scientifique, les conclusions divergent invariablement, ne serait-ce qu'en raison du hasard ou de l'utilisation de données contradictoires. Alors, comment ces controverses sont-elles jugées et résolues ? Une approche privilégiée par l'establishment scientifique consiste à effectuer ce que l'on appelle une méta-analyse, une analyse statistique qui combine les résultats de plusieurs études scientifiques, y compris souvent des essais contrôlés randomisés. De nombreux chercheurs estiment que la combinaison systématique de données qualitatives et quantitatives provenant de plusieurs études, dont le nombre peut parfois atteindre des centaines, est statistiquement plus solide que n'importe quelle étude isolée, transformant le bruit en signal.
Un exemple : résoudre le débat sur la supériorité nutritionnelle des aliments biologiques
Souvent, le processus fonctionne. Pendant des années, on a cru que les aliments biologiques étaient plus sains que les produits conventionnels. Certaines études individuelles suggèrent que les aliments issus de l'agriculture biologique sont plus nutritifs, présentent moins de risques pour la santé et peuvent réduire le risque d'exposition aux pesticides. Mais de nombreux professionnels de la santé avaient des doutes.
La question a intrigué deux éminentes chercheuses du Centre des Politiques de Santé de l'Université de Stanford, Mmes Dena Bravata et Crystal Smith-Spangler. Mme Dena Bravata, médecin en chef de la société Castlight Health, spécialisée dans la transparence des soins de santé, a lancé le projet, dit-elle, parce qu'un grand nombre de ses patients lui demandaient si les aliments biologiques valaient la peine d'être achetés à des prix plus élevés, souvent deux fois plus élevés, voire plus, que les produits conventionnels.
RépondreSupprimerMme Bravata a découvert qu'elle ne pouvait pas s'appuyer sur des études individuelles pour résoudre la controverse. Il en existait littéralement des milliers, chacune avec son propre ensemble de données et aboutissant souvent à des conclusions contradictoires. Lesquelles sont les plus fiables ?
« Il s'agissait d'un domaine propice à la réalisation d'un examen systématique », a déclaré le premier auteur, Mme Smith-Spangler, qui s'est associée à Mme Bravata et à d'autres collègues de Stanford pour réaliser une méta-analyse.
Selon les auteurs principaux, ils ont passé au crible des milliers d'articles pour en identifier 237 qu'ils jugeaient les plus pertinents à inclure dans l'analyse. Leur conclusion a choqué et ébranlé l'industrie alimentaire.
« Certains pensent que les aliments biologiques sont toujours plus sains et plus nutritifs », a déclaré Mme Smith-Spangler, coauteure de l'étude. « Nous avons été un peu surpris de ne pas trouver cela. » Plus important encore, bien qu'ils aient constaté que les aliments biologiques contenaient moins de pesticides ajoutés, ils ont également constaté que les niveaux dans tous les aliments se situaient dans les limites de sécurité autorisées.
La conclusion de l'étude de Stanford a déclenché une tempête, avec des réactions furieuses de la part d'acolytes et d'éléments intéressés de la filière biologique, tels que les auteurs gastronomiques Michael Pollan et Mark Bittman.
Cependant, de nombreuses méta-analyses indépendantes (non financées par la filière alimentaire biologique ou conventionnelle) n'ont pas contredit les conclusions de l'étude de Stanford. La plus convaincante : un rapport de suivi publié en 2020 et basé sur 35 études extraites de 4.329 articles potentiels par des chercheurs de l'université australienne Southern Cross a conclu que « les preuves actuelles ne permettent pas de se prononcer définitivement sur les bénéfices pour la santé de l'apport alimentaire biologique ».
Qu'est-ce qui peut mal tourner ?
RépondreSupprimerParadoxalement, les méta-analyses sont souvent à l'origine du type de désinformation qu'elles sont censées combattre.
Comment les méta-analyses sont-elles réalisées ? Une recherche informatique permet de trouver les articles publiés qui traitent d'une question particulière – par exemple, si la prise de grandes quantités de vitamine C prévient les rhumes. Les données des études considérées comme méthodologiquement valables sont consolidées et intégrées à la méta-analyse. (En général, la personne qui effectue la méta-analyse n'a pas accès aux données brutes utilisées dans les études individuelles, de sorte que les statistiques sommaires de chaque étude individuelle sont reportées dans la méta-analyse). Si le poids de la preuve, basé sur une analyse très formalisée, favorise l'affirmation, celle-ci est jugée exacte et souvent canonisée.
Le problème est qu'il n'y a pas forcément de sécurité dans les chiffres, car de nombreux articles individuels inclus dans l'analyse peuvent très bien être exagérés ou erronés, en raison d'un biais de publication et du p-hacking (manipulation inappropriée de l'analyse des données pour permettre à un résultat favorisé d'être présenté comme statistiquement significatif).
Le p-hacking potentiel peut être détecté en créant un « graphique des valeurs de p » (p-hacking plot), c'est-à-dire la probabilité qu'une différence observée entre les groupes soit due au hasard. Par exemple, la figure de gauche ci-dessous représente une méta-analyse comportant 19 articles ; dans la figure de droite, la méta-analyse comporte 14 articles.
Rappelons qu'une petite valeur de p signifie qu'un effet est réel, et qu'il n'est pas dû au hasard. Plus la valeur de p est petite, plus l'effet est probable. Si le graphique des valeurs de p qui en résulte ressemble à une crosse de hockey, avec de petites valeurs de p sur la lame et de plus grandes valeurs de p sur le manche (comme dans les deux figures ci-dessous), il y a lieu de penser qu'il y a eu p-hacking.
Les figures ci-dessus sont tirées de méta-analyses portant sur les effets prétendument bénéfiques des acides gras oméga-3 (figure de gauche) et sur la prétendue relation directe entre le dioxyde de soufre dans l'air et la mortalité (figure de droite). Ces méta-analyses ont été présentées dans une grande revue médicale et ont prétendument montré des effets positifs. Mais ces conclusions sont, au mieux, douteuses.
Les valeurs de p sont représentées en ordonnée dans chaque graphique. Plusieurs petites valeurs de p sont inférieures à 0,05 ; prises isolément, elles indiqueraient un effet réel. Cependant, il y a plus de valeurs de p supérieures à 0,05, ce qui indique que l'effet allégué était un mirage.
Il est clair que les deux ne peuvent pas être correctes puisqu'il y a plus d'études négatives. Le hacking est une explication logique de la présence d'un petit nombre de valeurs de p faibles. La conclusion la plus probable est que ces méta-analyses ont donné des résultats faussement positifs et qu'il n'y a pas d'effet.
Un défi pour la communauté des chercheurs scientifiques
RépondreSupprimerUn article d'information paru dans la revue Nature s'est récemment penché sur les données relatives à la fraude en matière de recherche. L'ampleur des fautes identifiées par l'auteur, rédacteur en chef de la revue, est choquante, tant par son ampleur que par le succès de l'institutionnalisation et de la commercialisation de la fraude :
« La littérature scientifique est polluée par de manuscrits bidons produits par des usines à papiers – des entreprises qui vendent de faux travaux et de fausses signatures à des chercheurs qui ont besoin de publications dans des revues pour leur CV. Mais quelle est l'ampleur du problème des usines à papiers ?
Une analyse non publiée communiquée à Nature suggère qu'au cours des deux dernières décennies, plus de 400.000 articles de recherche présentant de fortes similitudes textuelles avec des études connues, produits par des usines à papiers, ont été publiés. Environ 70.000 d'entre eux ont été publiés rien que l'année dernière (voir "The paper-mill problem" [le problème des usines à papiers]). L'analyse estime que 1,5 à 2 % de tous les articles scientifiques publiés en 2022 ressemblent étroitement à des travaux produits par des usines à papiers. Parmi les articles de biologie et de médecine, ce taux s'élève à 3 %. »
Ainsi, un pourcentage substantiel des publications scientifiques et des affirmations canonisées qui en découlent sont probablement erronées, ce qui pousse les chercheurs à suivre de fausses pistes. Sans l'intégrité de la recherche, nous ne savons pas ce que nous savons. Il incombe donc à la communauté scientifique – chercheurs, éditeurs de revues, universités et bailleurs de fonds – de trouver des solutions.
https://seppi.over-blog.com/2024/05/la-validite-d-une-grande-partie-des-recherches-scientifiques-publiees-est-discutable-2e-partie.html
Le professeur dit que nous pouvons arrêter les émissions avec une pandémie qui tue des milliards
RépondreSupprimerPar Jo Nova
May 17th, 2024
Culte de la mort à neuf
Disons simplement, hypothétiquement, que quelqu'un voulait une excuse pour réduire la population mondiale ou limiter les tribus et les religions concurrentes, il y a un chapeau scientifique pour cela. Le changement climatique est l'excuse ultime de la mort de masse - fait de la plus bonne manière possible et pour les raisons les plus honorables. Mais n'est-ce pas ce qu'ils disent tous: Jim Jones, la branche Davidians, Heavens Gate - la mort rend le monde meilleur?
Le culte qui prétend que ce n'est pas un culte se vend comme une «science». Je veux dire, quelle est la pire chose à laquelle vous pouvez penser ? Serait-ce un degré de réchauffement ou la mort noire ?
Dans l'esprit de Bill Mcquire, la catastrophe n'est pas lorsque des milliards de personnes innocentes meurent.
Dans cent ans, que préféreraient nos arrière-petits-enfants: que le monde était un peu plus frais ou qu'ils ne sont jamais nés du tout? Si vous détestez les humains, c'est un terrible dilemme…
Bill McGuire, vulcanologue, a accidentellement mis son instinct primaire dans un tweet le week-end dernier:
Couppe pour le climat. Trente ans de nous dire que les humains sont mauvais ont des conséquences. Comme l'a dit Elon Musk, "ils veulent un holocauste pour l'humanité." Il s'avère qu'un régime télévisé de projection climatique unilatérale par les sorciers de qualité B mendiants pourrait être une chose dangereuse pour la santé mentale. Si seulement Bill Mcquire avait vu un sceptique à la télévision?
Comme on pouvait s'y attendre, le tweet McGuire s'est propagé loin et a obtenu des réponses écrasantes afin que le professeur émérite l'ait supprimé, comme tous les lâches, nous criant:
McGuire, supprimé. Tweet.
À laquelle la réponse gagnante était:
Abattage de la réponse climatique
Chrismartzwx
McGuire a continué à creuser, déclarant que «je n'ai pas dit« nous avons besoin d'une pandémie ».» »Seulement bien sûr, il a dit que nous avons besoin de réduction des émissions et qu'une pandémie était la seule façon réaliste de le faire. Il nous a dit qu'il était brutalement honnête après tout. «J'aurais pu dire l'impact des astéroïdes qui a mis la société au lieu de la pandémie», a-t-il déploré, comme c'était tellement mieux.
RépondreSupprimerAinsi, passant le mot, le monde universitaire est devenu un culte. Ne laissez pas les enfants y aller sans protection.
N'oubliez pas qu'une fois qu'un esprit est infecté par le changement climatique, les armes bio-armes ne sont qu'un autre type de crédit en carbone.
Le problème n'est pas le culte climatique lui-même, c'est la censure qui nourrit la maladie…
H / t Old Ozzie, un autre Ian, El Gordo
https://joannenova.com.au/2024/05/professor-says-we-could-stop-emissions-with-a-pandemic-that-killed-billions/
Le WEF appelle à limiter la possession d'une voiture privée
RépondreSupprimer19 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le Forum économique mondial (WEF) estime que les familles ordinaires possédant plus d'une voiture devraient être obligées d'abandonner l'une de leurs véhicules. Limiter le nombre de véhicules que les gens peuvent posséder vise à contribuer à sauver la planète du changement climatique.
Le WEF, l'organisation des mille plus grandes entreprises, oligarques et grandes banques, veut forcer le public à renoncer à un véhicule dans le cadre de son programme « Une voiture de moins » . L'agenda semble être un point de départ pour le plan de longue date du WEF visant à abolir toute possession de voiture privée. Cette semaine, le WEF a publié un nouvel article décrivant les attentes des familles qui se lancent dans le mode de vie « une voiture de moins ».
Pour soutenir ce projet, l'organisation basée en Suisse de Klaus Schwab cite une étude récente réalisée en Australie. Le WEF note qu'Uber Australie a mené l'étude One Less Car aux côtés de spécialistes du comportement et d'autres sociétés de covoiturage afin de réduire le nombre de voitures privées.
L'article note que les véhicules électriques font partie de la solution, mais ajoute : « Nous devons également changer la mentalité « une personne, une voiture ».
Pendant quatre semaines, 58 Australiens ont renoncé à conduire une de leurs voitures et se sont tournés vers des transports alternatifs. Les participants possédant une voiture ont abandonné, et ceux qui avaient deux voitures n’en ont utilisé qu’une, etc.
Moins de voitures dans les ménages signifiaient qu'ils étaient souvent obligés d'opter pour les transports en commun ou le vélo. Cependant, les participants à l'étude - menée par des sociétés de covoiturage - auraient apprécié de pouvoir voyager sans voiture.
"Je reconnais de plus en plus l'importance de ne pas avoir de deuxième voiture ", a déclaré l'un des participants après quatre semaines d'étude.
L’article du WEF énumère « sept actions sur lesquelles les urbanistes et les dirigeants peuvent se concentrer pour soutenir la transition verte de l’Australie ».
Une politique qui restreint la possession d’une voiture particulière devrait donner aux citoyens plus de choix, et non moins de liberté.
En vue de créer un impact durable et durable, Uber appelle également les gouvernements à :
RépondreSupprimerPlans et politiques favorables : tous les plans et politiques de la ville doivent s'unir pour mettre fin à la dépendance excessive à l'égard des voitures privées afin que tous les citoyens aient le choix entre quatre modes de transport ou plus, peu importe où ils vivent, travaillent, étudient ou jouent dans la ville.
Réformes politiques pour une voiture de moins : L’ensemble des politiques gouvernementales, depuis la politique de santé et d’éducation jusqu’à l’urbanisme, doit être remanié afin que les gens puissent prendre des décisions sans voiture.
Adopter les grands projets de transport en commun : protéger les corridors, planifier et investir dans de grands projets d'infrastructure pour garantir que les habitants de nos villes continuent d'avoir accès à des services de transport en commun rapides et fréquents.
Le fondateur du WEF a décrit un monde dans lequel plus personne ne possède sa propre voiture. Au lieu de cela, les seuls véhicules sur les routes seraient ceux qui emmèneraient les élites à « votre hôtel et à l’aéroport ».
Il a déclaré que les voitures seraient louées ou partagées plutôt que possédées, qualifiant le plan d'« ubérisation ».
« Nous ne sommes pas à l’ère du capitalisme », a déclaré Schwab. « Nous sommes entrés dans l’ère du talent. »
« Nous assisterons à la deuxième vague de la révolution Internet : nous aurons l’interaction machine à machine, l’impression 3D et le big data. Tout cela combiné créera un tsunami de changement dans l’industrie. Le premier aspect du changement est l'«ubérisation» de l'économie - et cela ne se limitera pas aux taxis !»
https://tkp.at/2024/05/19/wef-fordert-begrenzung-des-privaten-autobesitzes/
L’UE dépense des milliards pour l’hydrogène, mais où est l’hydrogène ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 20 MAI 2024 - 11H00
Rédigé par Mike Shedlock via mishtalk.com,
Je suis tout à fait favorable aux centrales à hydrogène pour produire de l’électricité, si seulement nous avions de l’hydrogène bon marché. Mais nous ne le faisons pas et ne le ferons probablement pas.
Un mauvais pari sur le battage médiatique sur l’hydrogène
Bloomberg met en garde l’Europe qui dépense des milliards en hydrogène vert. C'est un pari risqué
Aujourd’hui, la centrale électrique jaune vif nichée derrière une clôture couverte de graffitis brûle du gaz qui réchauffe la planète pour produire de l’électricité. Mais si tout se passe comme prévu, elle passera un jour à l’hydrogène sans émissions. Il s’agit de la première et infime partie d’un système énergétique de rêve esquissé par les décideurs politiques de toute l’Europe, qui misent sur le carburant vert pour atteindre certains des objectifs climatiques les plus agressifs au monde. Ce rêve repose sur la conversion des infrastructures polluantes nouvellement construites pour brûler de l’hydrogène, un carburant qui sera bien plus cher que le gaz naturel et que personne n’a encore compris comment transporter en vrac en toute sécurité et à moindre coût.
Les gouvernements et les entreprises qui s’efforcent de respecter les délais de zéro émission nette mais qui s’inquiètent de la sécurité énergétique peuvent toujours construire des infrastructures gazières d’une valeur de plusieurs milliards de dollars, à condition qu’elles soient « prêtes pour l’hydrogène ». Neuf des dix plus grands pollueurs de carbone au monde ont publié des stratégies et des incitations à l’hydrogène pour accroître l’utilisation de ce carburant, qui dépassent déjà les 360 milliards de dollars à l’échelle mondiale, selon BloombergNEF.
Les économies dépendantes du gaz, notamment l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Espagne, l’Italie et le Royaume-Uni, comptent parmi les plus grands partisans européens de l’utilisation de l’hydrogène et certaines envisagent de l’utiliser pour produire de l’électricité. Mais il n’existe pas de définition officielle de ce qui rend une usine prête à l’hydrogène, ce qui ouvre la porte au greenwashing. Pour les centrales électriques, la combustion d’hydrogène n’a même pas été testée à grande échelle.
"Il n'y a pas encore eu de progrès mesurables dans la construction de centrales électriques alimentées au gaz et à l'hydrogène", a déclaré Eric Heymann, économiste à la Deutsche Bank Research.
Il y a ensuite le problème du déplacement de l’hydrogène. L’usine de Leipzig n’est pas raccordée au réseau (et n’a pas encore installé ses propres électrolyseurs), ce qui signifie que le carburant hautement combustible devra être transporté par camion jusqu’à ce que la deuxième partie du grand plan du gouvernement se concrétise. Elle construit un terminal de gaz naturel liquéfié d’un milliard d’euros à Brunsbuettel, une ville située au bord de la mer du Nord, qui importera dans un premier temps du GNL mais sera également conçu pour gérer des carburants propres futuristes.
RépondreSupprimerL’hydrogène ne peut être liquéfié qu’à -253 °C (-423 °F), bien au-delà des capacités des navires GNL d’aujourd’hui. L’Allemagne envisage donc d’importer de l’hydrogène sous forme d’ammoniac liquide, une combinaison d’hydrogène et d’azote qui peut plus facilement être transformée en liquide. Mais l'ammoniac est toxique et sa manipulation nécessite de meilleurs systèmes de ventilation. De nombreux composants du terminal, notamment les vannes de régulation et les capteurs d'incendie et de gaz ainsi que les dispositifs en ligne – dont la plupart n'ont pas été testés avec de l'ammoniac – nécessiteront également des mises à niveau, selon Fraunhofer ISI, un groupe de réflexion sur l'énergie.
Pas viable mais à toute vitesse
- voir carte sur site -
L’Allemagne ne dispose pas d’un réseau de pipelines d’ammoniac et le transport de ce produit par camions à l’échelle industrielle est limité, car cela est dangereux. Cela signifie que l’ammoniac devra être reconverti en hydrogène, mais il n’existe actuellement aucune technologie économiquement viable pour le faire. L’opérateur du terminal a déclaré qu’il discuterait de stratégies alternatives si aucune n’émergeait d’ici l’année prochaine.
L’énergie éolienne et solaire produit de l’électricité propre – un produit que le monde utilise déjà. L’hydrogène vert, en revanche, nécessitera la construction de davantage de parcs solaires et éoliens alors que, dans de nombreux cas, il serait plus simple d’utiliser directement cette énergie propre. Au moment où l’hydrogène est produit, stocké et brûlé pour produire à nouveau de l’électricité, il y a près de 70 % d’énergie en moins qu’au départ – et le coût a triplé.
Les plans n'existent que sur papier
RépondreSupprimerPour la plupart, les plans n’existent que sur papier. C’est parce qu’ils ne travaillent que sur papier.
Un essai au Royaume-Uni a été annulé lorsque les gens ont fait un tollé après avoir appris qu'ils devraient remplacer leurs fournaises et leurs cuisinières par de nouveaux appareils à hydrogène.
Cela ne s’applique pas à la situation évoquée ci-dessus qui propose de brûler de l’hydrogène pour produire de l’électricité. Cependant, il y a une perte d’énergie de 70 pour cent lors de la conversion de l’hydrogène en ammoniac, puis de son retour en hydrogène pour le brûler.
Cela n’a de sens nulle part. Néanmoins, l’Allemagne dépense 20 milliards de dollars pour rendre les centrales électriques « prêtes à l’hydrogène ».
Le gaspillage de 20 milliards de dollars est un phénomène mensuel dans l’administration Biden, mais cela représente beaucoup d’argent pour l’Allemagne qui, contrairement aux États-Unis, a des règles budgétaires.
Choc chinois
- voir graph sur site -
L’Allemagne ressent les effets du choc chinois. Mais les États-Unis sont également sur le pont. Une guerre commerciale mondiale se profile.
Pour en savoir plus, veuillez consulter Le choc chinois II arrive, l’UE sera durement touchée, puis les États-Unis.
L’Allemagne a trop de sujets de préoccupation pour gaspiller de l’argent dans des projets absurdes.
https://www.zerohedge.com/energy/eu-spending-billions-hydrogen-ready-wheres-hydrogen
L'accident de voiture électrique continue
RépondreSupprimerPar Jo Nova
May 18th, 2024
Les plans du gouvernement pour nous harceler en faveur des véhicules électriques ont rencontré un obstacle
Les choses vont si mal dans le monde des voitures électriques que des champs de voitures du futur apparaissent dans les ports de l’UE. La Chine y a expédié 1,3 million de véhicules électriques au cours du dernier trimestre, mais ceux-ci s’accumulent dans les parkings invendus. Les pays de l’UE investissent de l’argent auprès des clients pour les inciter à acheter des véhicules électriques, et les entreprises proposent également des réductions, mais cela ne suffit toujours pas. Les ventes de véhicules électriques ont chuté de 11 % dans l’UE et de 29 % en Allemagne.
Outre-Atlantique, quelque chose ne va pas non plus aux États-Unis. La plus grande marque mondiale loue des espaces dans les centres commerciaux et les aéroports américains pour stocker les voitures invendues.
Les concessionnaires automobiles préviennent qu’ils ne seront peut-être pas en mesure de vendre beaucoup de voitures à essence, même lorsque les acheteurs viennent les acheter, car ils ne trouvent pas suffisamment d’acheteurs de véhicules électriques pour pouvoir atteindre le ratio objectif prescrit. Nous sommes peut-être au début d’un gel des acheteurs…
Les véhicules électriques chinois remplissent les ports de l’UE
Il y a des photos tout simplement extraordinaires de voitures alignées dans les ports de l’UE :
- voir sur site -
Catastrophe des voitures électriques alors que les ports de l'UE se remplissent de 100 000 modèles chinois dont personne ne veut https://www.express.co.uk/news/world/1900555/eu-news-china-electric-cars-antwerp-zeebrugge
@NetZeroWatch
Par John Varga, The Express Royaume-Uni
Les principaux ports de l’UE sont presque pleins à craquer de véhicules électriques chinois (VE) que personne ne veut acheter. En raison de la baisse des ventes en Europe, les parkings des ports belges d'Anvers et de Zeebrugge se sont remplis d'importations chinoises.
Un porte-parole du port d'Anvers-Bruges, le deuxième plus grand d'Europe, a déclaré : « C'est ce qui se passe dans tous les ports européens qui traitent un grand nombre de voitures. »
RépondreSupprimerEt c’est une histoire similaire aux États-Unis :
AU0:44 / 1:56 Des centaines de véhicules Tesla garés devant le centre commercial Chesterfield. Pourquoi?
Regardez-le sur Youtube
- voir sur site -
Les invendus de Tesla s'accumulent dans les parkings des centres commerciaux, de grosses réductions sont probables
Mike Shedlock, Mishtalk, via ZeroHedge
Veuillez considérer le stockage des stocks invendus par Tesla dans un parking de centre commercial abandonné
Il devient impossible d’ignorer les parkings remplis de véhicules Tesla, car le constructeur automobile électrique ne parvient apparemment pas à vendre suffisamment de voitures et de camions pour correspondre à son rythme de production. Selon ses propres chiffres, le constructeur automobile électrique a produit 46 561 véhicules de plus qu’il n’en a livré à ses clients au cours du premier trimestre 2024. Où vont toutes ces voitures ? Parkings dans ses usines, centres commerciaux et aéroports.
- voir graph sur site -
Les conducteurs ont mis en garde contre les pénuries de voitures essence, car le zéro net pourrait « étouffer » l’approvisionnement
Par Matt Oliver, Le Télégraphe
Les vendeurs de voitures sont confrontés à une pénurie de véhicules à essence dans le cadre de la répression du net zéro de Rishi Sunak, a averti l’une des plus grandes chaînes de concessionnaires britanniques.
Vertu Motors a déclaré que les ventes de voitures électriques étaient « au point mort » au Royaume-Uni, augmentant le risque que les constructeurs ne manquent pas les objectifs de vente imposés par la loi. Dans le cadre du mandat des véhicules zéro émission (ZEV), 22 % des ventes des constructeurs automobiles doivent être électriques cette année, l’objectif augmentant chaque année jusqu’à atteindre 80 % en 2030.
Mais alors que les constructeurs risquent des amendes de 15 000 £ par voiture en cas de violation des règles, Vertu a averti que nombre d'entre eux pourraient simplement limiter l'approvisionnement en voitures essence et diesel pour renforcer artificiellement leur conformité.
RépondreSupprimerGraphique du crash des ventes de véhicules électriques.
Ventes de véhicules électriques au Royaume-Uni Telegraph
L’Australie copie les « normes d’émissions » britanniques et américaines au moment même où les ventes de véhicules électriques chutent
Avec un timing étrange, le gouvernement australien a adopté le même ratio truqué de ventes de véhicules électriques qui ne fonctionne pas au Royaume-Uni ou aux États-Unis, et il l'a fait la même semaine où les magazines automobiles commencent tout juste à demander : « La lune de miel est-elle terminée pour véhicules électriques en Australie ?
L'Australie a des années de retard sur les bulles électriques d'Europe et d'Amérique, car nous sommes le dernier pays riche au monde dans lequel quiconque voudrait acheter un véhicule électrique. Nous sommes peu peuplés et larges de 5 000 kilomètres. La moitié du continent ne dispose pas de ligne à haute tension à moins de 100 kilomètres des routes, encore moins de chargeur rapide.
Par chance, les ventes de véhicules électriques en Australie commençaient à peine à décoller, mais les ventes de véhicules électriques ont diminué en avril pour la première fois depuis que les véhicules électriques sont devenus « une chose ». Ce n’est qu’un glissement de 5 %, mais c’est la tendance, la tendance…
salutations à Kim, amoureuse du gaz carbonique
https://joannenova.com.au/2024/05/the-ev-car-crash-continues/
Les #éoliennes exigent des tonnes de balsa qui provoquent la déforestation amazonienne.
RépondreSupprimerle 18 Mai 2024
par pgibertie
« J’étais édifié de voir systématiquement les ONG prétendues écologistes
@LPOFrance
@WWFFrance
@greenpeacefr soutenir la pollution éolienne. Sur les 20 dernières années, il y a une confusion entre ONG et politique (…).
@M_Orphelin, député très pro-éolien devient directeur général de la Ligue de protection des oiseaux ;
@pcanfin, patron de WWF devient un des députés européens de Macron ;
@yjadot, chef des opérations spéciales de Greenpeace… Partout en Europe il y a ces porosités entre les ONG, ces officines de guerre économique et les systèmes politiques. »
@FabienBougle
Les #éoliennes marines contiennent plus d’un tonne de terres rares pour concevoir les rotors Les terres rares sont tellement polluantes à extraire qu’on a laissé le monopole à la Chine qui produit 80% des besoins mondiaux
Les chauves-souris sont tuées massivement par l’activité des #éoliennes grandes prédatrices.
- voir cadres sur site -
https://pgibertie.com/2024/05/18/les-eoliennes-exigent-des-tonnes-de-balsa-qui-provoquent-la-deforestation-amazonienne/
Transcender les binaires simplistes : « avantages et inconvénients », « risques et avantages » de l'intelligence artificielle (IA)
RépondreSupprimerRelever les défis éthiques, existentiels et pédagogiques de l’IA dans son interface avec l’éducation contemporaine
Par le professeur Henry Francis B. Espiritu
Recherche mondiale,
20 mai 2024
Dans notre éducation contemporaine, une révolution technologique est en cours – une révolution technologique silencieuse qui transcende les frontières de l’éthique, du droit, de la pédagogie, de la sociologie et même de l’essence même de l’existence humaine.
À son épicentre se trouve l’intégration de l’intelligence artificielle (IA), une force à la fois impressionnante et terrifiante dans sa capacité à remodeler le paysage de l’apprentissage et de la connaissance. Alors que les éducateurs et les apprenants sont aux prises avec les profondes implications de l’IA dans l’éducation, ils sont confrontés à une myriade de défis qui s’étendent bien au-delà du domaine du discours académique traditionnel et de la pratique éducative.
Ce présent essai s'efforce d'approfondir les dimensions philosophiques, analytiques et critiques des défis posés par l'IA dans l'éducation contemporaine, en explorant les défis éthiques, juridiques, pédagogiques, technologiques, sociologiques, existentiels et même spirituels que l'IA pose dans notre système éducatif contemporain, tout en examinant les implications sur les problèmes de créativité, de plagiat, d'inauthenticité, de violations des droits intellectuels, de tromperie académique et de tricherie que l'intelligence artificielle peut poser aux enseignants et aux étudiants.
Avant tout, l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) dans notre système éducatif actuel remet en question nos conceptions de l’éthique et de l’authenticité existentielle, nous obligeant à nous débattre avec les questions du « bien et du mal », de « l’authentique et l’inauthentique » dans un contexte de plus en plus médiatisé et numérisé par la technologie. monde.
Alors que les algorithmes d'IA façonnent les expériences éducatives grâce à des parcours d'apprentissage personnalisés et des évaluations adaptatives, de sérieuses inquiétudes surgissent quant à l'érosion de l'autonomie, de la créativité, de l'originalité, de l'authenticité, de la véritable volonté et de la libre action des étudiants dans le processus d'apprentissage. La tension entre liberté individuelle et déterminisme algorithmique souligne la nécessité de cadres éthiques qui donnent la priorité aux valeurs humaines intrinsèques et aux droits de l’homme ainsi qu’à l’équité sociale dans la conception et le déploiement de technologies éducatives basées sur l’IA auprès des étudiants au-delà des fractures numériques et informationnelles.
En outre, la prolifération de l’intelligence artificielle (IA) dans notre système éducatif actuel soulève des questions juridiques complexes concernant la confidentialité des données, les droits de propriété intellectuelle et la responsabilité algorithmique.
Alors que les établissements d’enseignement collectent et analysent de grandes quantités de données sur les étudiants et les professeurs pour éclairer les processus décisionnels basés sur l’IA, des questions émergent sur la propriété, l’accès et l’utilisation de ces données. De plus, les préoccupations concernant les biais algorithmiques, l’inauthenticité algorithmique, la programmation algorithmique biaisée, la discrimination algorithmique ainsi que les manipulations algorithmiques soulignent la nécessité d’algorithmes transparents, éthiques et responsables qui adhèrent aux principes de justice et d’équité. Les cadres juridiques doivent évoluer pour relever ces défis, en garantissant que les droits et les intérêts des étudiants et des enseignants soient sauvegardés et protégés dans un paysage mondial de plus en plus axé sur les données.
RépondreSupprimerDu point de vue pédagogique, l’intégration de l’intelligence artificielle présente à la fois des opportunités et des défis pour les éducateurs cherchant à favoriser des expériences d’apprentissage significatives qui transcendent les limites de la technologie.
D'une part, les outils et plates-formes basés sur l'IA offrent le potentiel d'améliorer l'efficacité de l'enseignement grâce à des expériences d'apprentissage personnalisées, des grilles de notation adaptatives, des mécanismes de rétroaction sur les résultats des étudiants et des systèmes de mentorat intelligents. En tirant parti de l’IA pour analyser les modèles d’apprentissage des élèves et adapter les stratégies pédagogiques en conséquence, les enseignants peuvent créer des environnements d’apprentissage plus adaptés et plus réactifs qui répondent aux divers besoins et capacités de chaque apprenant. Cependant, le recours à l’IA soulève également des inquiétudes quant à la « déqualification » des enseignants, au remplacement d’un mentorat chaleureux, vivant et personnalisé, et à la marchandisation de l’éducation, dans la mesure où les instructeurs humains sont supplantés par des systèmes informatiques automatisés et numérisés qui donnent la priorité à la standardisation impersonnelle plutôt qu’à la réalité. une créativité authentique, une pensée critique et une véritable réflexion ou réflexivité.
De plus, l'intégration de l'intelligence artificielle dans nos établissements d'enseignement actuels pose de profonds défis technologiques, allant des contraintes d'infrastructure et de ressources aux problèmes de fracture numérique/information et d'inégalité d'accès pour les étudiants qui n'ont pas accès à ces programmes et applications (applications) d'IA. . Afin d’exploiter pleinement le potentiel de l’IA pour transformer l’éducation, des investissements doivent être réalisés dans l’infrastructure numérique, la formation des enseignants et les ressources éducatives afin de garantir des opportunités éducatives équitables et accessibles basées sur l’IA pour tous les apprenants et les mentors. En outre, des efforts doivent être déployés pour réduire la fracture numérique et remédier aux disparités en matière d’accès à la technologie et à la connectivité Internet, en particulier chez les enseignants et les étudiants marginalisés et économiquement défavorisés dont l’accès aux outils, programmes et applications éducatifs basés sur l’IA peut être limité ou non. existant.
D'un point de vue sociologique, l'intégration de l'intelligence artificielle dans nos établissements d'enseignement contemporains remodèle la dynamique sociale et les structures de pouvoir au sein des établissements d'enseignement, soulevant des questions sur le rôle de la technologie dans la médiation des relations interpersonnelles et dans la formation des interactions sociales.
RépondreSupprimerAlors que les algorithmes basés sur l’IA influencent les processus décisionnels liés à l’admission des étudiants, aux performances académiques et aux parcours professionnels, des inquiétudes surgissent quant au potentiel de discrimination et de préjugés algorithmiques susceptibles de perpétuer et d’exacerber les inégalités existantes fondées sur la race, le sexe, le statut socio-économique, la religion et la religion. d'autres facteurs démographiques. De plus, le recours aux canaux de communication basés sur l’IA et aux environnements d’apprentissage virtuels peut éroder le sentiment de communauté et de connexion interpersonnelle dans les activités éducatives qui fait partie intégrante de l’expérience éducative, conduisant à des sentiments d’isolement et de désengagement parmi les étudiants et les éducateurs.
Du point de vue existentiel et spirituel, l’intégration de l’intelligence artificielle dans notre système éducatif actuel nous confronte à des questions les plus intimes sur la nature de la conscience humaine, la créativité humaine et la recherche de la vérité dans un monde de plus en plus numérisé et informatisé. Alors que les algorithmes d’IA imitent les comportements humains et génèrent du contenu avec une efficacité toujours plus grande, les frontières entre humain et machine, authentique et artificiel, réel et virtuel s’estompent à bien des égards, ce qui remet en question notre compréhension de ce que signifie être humain et de ce qu’est réellement la réalité. Face au contenu généré par l’IA et aux expériences virtuelles, de profondes questions se posent sur l’authenticité et l’intégrité de l’expression humaine, ainsi que sur les dimensions spirituelles de l’apprentissage et de l’acquisition de connaissances qui transcendent les limites de la technologie. Alors que les éducateurs et les apprenants sont aux prises avec ces défis existentiels et spirituels, ils sont appelés à cultiver une conscience plus profonde de l’interconnexion de tous les êtres et du caractère sacré du processus d’apprentissage et de notre voyage vers la recherche de la connaissance, de la vérité et de la réalité.
Un dernier point, mais crucial : l’intégration de l’intelligence artificielle dans notre système éducatif contemporain soulève une multitude de questions philosophiques, analytiques, critiques, de réflexion et de mise en garde qui exigent un examen attentif et un engagement réfléchi de la part de tous les acteurs de l’éducation. En affrontant les défis éthiques, juridiques, pédagogiques, technologiques, sociologiques, existentiels et spirituels posés par l'IA dans l'éducation, les apprenants et les mentors peuvent travailler ensemble pour exploiter le potentiel transformateur de l'IA afin de créer des environnements d'apprentissage plus inclusifs, plus équitables et plus responsabilisants. tant les étudiants que les enseignants.
RépondreSupprimerCe n'est qu'en naviguant et en adoptant les complexités de l'IA dans notre système éducatif actuel avec ouverture, justice, justice et équité que nous pourrons ouvrir la voie et traverser les paysages en constante évolution et sinueux de l'apprentissage et garantir que la recherche d'une véritable connaissance reste une préoccupation profonde. une entreprise humaine authentique fondée sur les valeurs de vérité, de bonté, de justice et d'amour : un apprentissage authentique fondé et construit par une humanité authentique et une humanité affective engagée, et pas simplement un apprentissage trivial issu de technologies séparées du monde. expérience humaine de la Vie et de la Vie authentique.
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Le professeur Henry Francis B. Espiritu est professeur agrégé 7 de philosophie et d'études asiatiques à l'Université des Philippines (UP), Cebu City, Philippines. Il a été coordinateur académique du programme de sciences politiques à l'UP Cebu de 2011 à 2014, et coordonnateur du programme du bureau du genre et du développement (GAD) à l'UP Cebu de 2015 à 2016 et de 2018 à 2019. Il est actuellement professeur référent pour le genre et le développement à l'Université des Philippines (UP) Cebu, Collège des sciences sociales.
Les intérêts de recherche du professeur Espiritu comprennent l'éthique théorique et appliquée, les études islamiques, en particulier la jurisprudence sunnite (Sunni Fiqh), les discours féministes islamiques, l'islam dans les initiatives de dialogue interreligieux, l'environnementalisme islamique, la pédagogie islamique sunnite classique, les écrits d'Al-Ghazali sur le pluralisme et la tolérance, L'Islam dans le sous-continent indien, le soufisme turc, les études d'Atatürk, les études ottomanes, les études de Gengis Khan, les études d'Asie centrale, la pensée politique marxiste, le dialogue islamo-chrétien, les affaires du Moyen-Orient, les études sur la paix, la théologie publique, l'économie politique, l'éthique de l'intelligence artificielle. (IA) et le postmodernisme en philosophie.
Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG) Canada.
https://www.globalresearch.ca/transcending-binaries-artificial-intelligence-ai/5857628
Craignant que l'IA ne « prenne le dessus », le « parrain de l'IA » conseille au gouvernement britannique de lancer l'UBI
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 20 MAI 2024 - 15H20
Rédigé par Tristan Greene via CoinTelegraph.com,
Geoffrey Hinton, un expert de renommée mondiale en intelligence artificielle (IA), souvent surnommé le « parrain de l'IA », a récemment consulté des membres du gouvernement britannique à Downing Street, où il a conseillé aux législateurs d'envisager l'adoption d'un revenu de base universel (UBI). ) pour faire face à la menace imminente de pertes d'emplois.
Jusqu'à récemment, Hinton travaillait pour Google, développant des fonctionnalités d'IA de haut niveau pour les réseaux neuronaux. Cette technologie sous-jacente alimente la plupart des systèmes d’IA générative modernes, tels que Gemini de Google et ChatGPT d’OpenAI.
Selon Hinton, la révolution de l’IA profitera principalement aux riches. Les profanes, les cols bleus et ceux employés dans des emplois qui peuvent être automatisés risquent de perdre leurs moyens de subsistance et « cela va être mauvais pour la société », a-t-il récemment déclaré à la BBC dans une interview.
"J'ai été consulté par des habitants de Downing Street", a déclaré Hinton, "et je leur ai dit que le revenu de base universel était une bonne idée".
Hinton n’est pas le seul acteur majeur dans le domaine de l’IA à croire que nous aurons besoin de l’UBI pour compenser l’impact de l’automatisation sur l’économie humaine.
Avant de devenir l'un des PDG les plus célèbres de l'industrie technologique, le cofondateur d'OpenAI, Sam Altman, a étudié auprès de Hinton et a contribué à la création du réseau neuronal. De nos jours, Altman est connu pour son mandat en tant que haut responsable d’OpenAI, ainsi que pour son soutien sans réserve à UBI.
L'autre entreprise d'Altman, Worldcoin, se concentre sur la fourniture d'UBI grâce à l'adoption d'un jeton de crypto-monnaie fourni gratuitement à toute personne qui s'inscrit au service et se soumet à un scanner rétinien pour vérifier son identité.
En plus de sauver l’humanité du déplacement d’emplois grâce à l’avènement de l’UBI, Hinton et Altman ont tous deux exprimé leur conviction que l’IA pourrait constituer une menace existentielle pour l’humanité.
Hinton aurait quitté son poste chez Google pour exprimer plus librement ses inquiétudes quant à l'impact que l'IA pourrait avoir sur l'avenir de notre espèce. Pour sa part, Altman affirme que la seule raison pour laquelle il a cofondé OpenAI avec Elon Musk et d’autres était de garantir que les systèmes d’IA avancés étaient développés avec soin et pour le bénéfice de l’humanité.
Dans sa récente interview à la BBC, Hinton a déclaré qu’il ne nous resterait peut-être que quelques années avant que la menace ne devienne imminente :
"Je pense que d'ici cinq à vingt ans, il y a une probabilité de moitié que nous devrons faire face au problème de l'IA qui tente de prendre le relais."
https://www.zerohedge.com/technology/fearing-ai-take-over-godfather-ai-advises-uk-govt-start-ubi
La révolution promise de l’IA – dangereuse et porte atteinte aux principes fondamentaux de la vie
RépondreSupprimer20 mai 2024
par DDr. Siguna Mueller
Un regard personnel sur « Comment l’IA pourrait donner aux mathématiciens des « moments d’inspiration divine ». » « Comment l’IA pourrait donner aux mathématiciens des « moments d’inspiration divine » » est le titre d’un récent article de Nature Briefing . Il prédit que l’IA révolutionnera les mathématiques, entre autres choses, en formulant des conjectures, en reconnaissant des modèles, en décrivant des relations et en décrivant de nouveaux sujets de recherche.
Lire ceci ne me rend pas seulement triste. Je maintiens que c’est l’un des plus grands mensonges envers l’humanité. De plus, il existe des risques confirmés liés à l’utilisation malveillante de l’IA. Des publications récentes montrent même que les systèmes d’IA peuvent manipuler systématiquement – ce qu’ils ont déjà appris à faire. Des recherches récentes mettent en garde contre la possibilité réelle de perdre le contrôle des systèmes d’IA. Alors que certains célèbrent la « Pentecôte » ce week-end, je soulignerai également certains principes spirituels fondamentaux dont le battage médiatique sur l’IA et le « zeitgeist » qui y est associé tentent de nous distraire.
Un bref examen personnel des mathématiques, de la découverte et de l'apprentissage
J'ai passé les deux premières décennies de ma vie universitaire en tant que mathématicien. Au départ, je voulais étudier la médecine, mais cela aurait signifié déménager dans une grande ville, ce que je n'étais pas prêt à faire. Il se trouve que l’université la plus proche offrait un excellent programme de mathématiques. On me disait depuis longtemps que j'étais doué dans ce domaine (et dans d'autres) et c'était vrai, j'ai apprécié !!! Mais il ne s'agit pas seulement de mathématiques. Plus tard, lorsque j'ai obtenu mon (deuxième) doctorat en sciences biomédicales, j'ai ressenti le même genre de frisson qui accompagne toutes les formes d'apprentissage réel. Ayant changé de métier plus tard dans la vie, j’ai dû rapidement développer ma propre approche. J'ai toujours découvert qu'il n'y a rien de plus excitant et utile que d'apprendre quelque chose grâce à vos propres recherches et découvertes.
IA – le bon, le mauvais et le (très) laid
RépondreSupprimerL’article de Nature Briefing affirme clairement : « Les mathématiques seront révolutionnées par l’IA » . Il explique pourquoi, affirmant que l’IA a fait des progrès sur certains problèmes mathématiques anciens et difficiles. Cependant, lorsqu’on parcourt la liste, c’est décevant. Par exemple, en tant que jeune étudiant en maîtrise, je savais déjà que certaines constantes mathématiques célèbres telles que π ou e pouvaient être formulées à l'aide de « fractions continues » (mon mémoire de maîtrise traitait d'un problème similaire). Ainsi, grâce à une recherche exhaustive à travers une série de fractions continues spécifiques, l’IA a trouvé une meilleure formule. Ce n'est pas excitant. Une recherche exhaustive n’est pas intéressante et ne fournit pas non plus de nouvelles idées pour une exploration plus approfondie.
Certains autres problèmes mathématiques en suspens dans lesquels l’IA aurait été transformatrice sont décrits. Son plus grand potentiel réside dans la formulation de nouvelles conjectures, c'est-à-dire de certains modèles ou relations importants que l'on croit vrais mais qui nécessitent encore une preuve définitive.
Vous trouverez ci-dessous quelques réflexions sur les raisons pour lesquelles j'ai des problèmes avec le battage médiatique infondé et trompeur entourant l'IA.
Quelles sont les découvertes de l’IA ? Quels modèles et relations l’IA découvre-t-elle qui sont si étonnants ? Regardons un exemple. Si nous observons trois oiseaux à proximité, nous pourrions être tentés de leur attribuer un motif : « c'est un triangle ». Mais que se passerait-il si chacun d’eux suivait simplement son cours et que leur alignement apparent n’était que cela, la simple apparence d’une relation ?
Les découvertes faites par l’IA sont-elles utiles ? L’article de Nature soulève cette question et explique que « toutes les suppositions ne sont pas égales. Ils doivent également faire progresser notre compréhension des mathématiques » . L'article développe cela en disant qu'« un bon théorème doit faire partie de nombreuses constructions mathématiques, et être utilisé pour prouver des théorèmes de nombreux types différents ». Eh bien, un théorème est différent d'une conjecture ! C’est quelque chose qui est étayé et confirmé par des preuves claires, ce qui n’est pas le cas des conjectures. Au-delà de cet oubli, poursuit Nature, « les meilleurs théorèmes augmentent la probabilité de découvrir de nouveaux théorèmes » . La question clé est donc de savoir si les suppositions faites par l’IA soutiennent la découverte. Mais il ne faut pas se limiter à des hypothèses invérifiables. Ce qui compte, c'est une véritable perspicacité et une véritable compréhension afin que leurs « découvertes » aident à trouver de nouveaux modèles et relations (théorèmes). L’IA peut-elle faire cela ?
Comment l’IA pourrait-elle soutenir la découverte de nouveaux théorèmes ? Je sais par expérience personnelle que la meilleure façon d’apprendre vraiment quelque chose est de le découvrir soi-même. Traditionnellement, la découverte a toujours été l’essence même du véritable apprentissage et de la compréhension. Ce n’est pas la même chose que d’entendre parler d’une conjecture ou d’un modèle particulier que d’autres ont inventé ! Traditionnellement, tous les enseignants et étudiants le savaient instinctivement.
RépondreSupprimerComment mesure-t-on l’utilité des découvertes de l’IA ? L'article suggère que l'imagination et l'intuition des mathématiciens continueront d'être « nécessaires pour comprendre les résultats des outils d'IA » . Mais serons-nous capables d’utiliser de manière « significative » les résultats de l’IA ? Comment évaluerons-nous leurs hypothèses non prouvées ? Et si les relations célébrées n’étaient qu’une construction artificielle, comme trois oiseaux qui volent dans le ciel en même temps ? Il ne s’agit pas de plus de dates et de relations supplémentaires ! Il s'agit de savoir si la découverte améliore ou non nos connaissances et notre véritable compréhension d'un sujet - et non pas simplement de disposer de plus d'informations.
Nous n’avons pas besoin de plus de conjectures pour le plaisir de conjecturer ! Je ne suis pas d'accord avec l'affirmation de l'article selon laquelle « la conjecture accélère la recherche en nous orientant dans la bonne direction ». Si ces suppositions ne sont pas pertinentes ou sont erronées, rechercher des modèles brillants, bien que faux, peut, au mieux, entraîner une énorme perte de ressources et de temps.
Mis à part les points ci-dessus sur lesquels je ne suis pas d’accord avec l’article de Nature, le point suivant est peut-être encore plus troublant.
Une pente glissante : même si l'article de Nature n'en parle pas, nous pourrions avoir besoin d'outils d'IA pour comprendre l'IA. Les nouvelles conjectures formulées par l’IA pourraient ne pas être facilement vérifiables, voire pas du tout. Si les modèles proposés ne peuvent pas être étayés par des preuves obtenues ailleurs, nous nous dirigeons vers une pente glissante. Essentiellement, nous abandonnons notre pouvoir de vérifier « vrai » et « faux » sur quelque chose sur lequel nous n’avons plus de contrôle.
Une prépublication récente (voir aussi mon précédent Substack ) mettait en garde contre les dangers des IA frauduleuses . En fait, il est désormais de plus en plus évident que l’IA peut agir de manière bénigne et coopérative dans certains cas (par exemple lors de la formation de certains ensembles de données), mais de manière malveillante dans d’autres situations. Si nous ne pouvons pas vérifier leurs résultats par les moyens traditionnels, personne ne peut garantir qu’ils ne seront pas utilisés à mauvais escient ou ne deviendront pas eux-mêmes des ennemis.
Le fait que les systèmes d'IA soient déjà capables de tromper les gens a été récemment découvert dans une publication dans Cell . L'article aborde la « tromperie apprise », une source particulière de fausses informations fournies par les systèmes d'IA « qui est beaucoup plus proche d'une manipulation explicite ». Les auteurs définissent « la tromperie comme l’induction systématique de fausses croyances chez autrui comme moyen d’obtenir un résultat autre que la vérité » . Ils donnent des exemples concrets qui prouvent que les systèmes d’IA ont déjà appris la capacité de tromper. Les techniques identifiées incluent la manipulation, la flagornerie (dire à l'utilisateur ce qu'il veut entendre plutôt que de dire la vérité) et la tricherie lors des tests de sécurité. Les systèmes d’IA peuvent recourir à la « tromperie stratégique » parce qu’« ils ont découvert qu’elle peut servir un objectif ». Enfin, ils notent également que « les systèmes d'IA peuvent être des rationalisateurs qui utilisent un raisonnement motivé pour expliquer leur comportement d'une manière qui s'écarte systématiquement de la vérité ». L'article est étayé par de nombreux exemples de tromperies que les systèmes d'IA ont déjà commises. Ces conclusions qui donnent à réfléchir posent de sérieux risques tels que la fraude et la manipulation électorale, mais aussi des risques plus graves tels que la « perte de contrôle des systèmes d’IA ».
RépondreSupprimerLe fondement de l’expérience humaine – détourné par l’IA ?
Ce qui précède me suggère qu’il existe une quantité importante de battage médiatique injustifié autour de l’IA. Dans le meilleur des cas. Comme cela a été suggéré, on craint qu’un système d’IA puisse être utilisé à mauvais escient ou qu’il puisse tromper et manipuler « parce qu’il a appris cela de nous », comme l’a récemment déclaré le journaliste de CNN Jake Tapper.
L’IA n’a besoin que de quelques personnes pour l’entraîner à la manipulation. Mais je pense qu’il y a un aspect plus profond et encore plus inquiétant.
Je peux attester, grâce à des décennies d'expérience, à quoi ressemble le phénomène décrit dans l'article de Nature Briefing :
« La naissance d’une conjecture – une affirmation soupçonnée d’être vraie mais qui n’a pas encore été prouvée de manière concluante – peut ressembler à un moment d’inspiration divine pour un mathématicien. »
Oui, c’est effectivement le cas. Et les gens ont généralement aussi des inspirations. Les gens sont naturellement curieux et inventifs, et ils peuvent réaliser quelque chose – si vous les laissez faire.
Le dicton « La nécessité est mère de l’invention » le prouve. Chaque fois que des idées ou des idées sont nécessaires, nous, les humains, pouvons être inspirés par quelque chose de nouveau, pertinent et utile.
Le mot « inspiré » est en effet intéressant, et certains ont noté qu’il signifie littéralement « dans l’esprit ». L’article de Nature l’appelle « inspiration divine ». C'est en effet un sentiment formidable, stimulant, excitant, édifiant et passionnant de poser une question intéressante et de trouver une solution.
RépondreSupprimerC'est la joie de la science, de la curiosité, de « créer ». D’autres le font dans l’art. Les mathématiques et les sciences sont la même chose. Fondamentalement, il s'agit du plaisir d'explorer et de trouver quelque chose de nouveau et d'utile.
Des générations de chercheurs et de personnes de tous horizons ont vécu cette expérience. Avant, il était normal d’avoir des informations utiles. Aujourd’hui, beaucoup déplorent la perte du véritable instinct et affirment que seuls les animaux sauvages peuvent prédire la météo ou savoir où aller pour trouver ce que l’on veut.
En lisant l’article sur Nature, je me demande si l’auteur a expérimenté bon nombre des inspirations divines dont il parle. C’est précisément cette essence de l’humanité qui devrait être laissée à l’IA. Je soutiens que c’est là le plus grand danger auquel l’humanité est actuellement confrontée.
C'est le système de croyance sous-jacent qui me préoccupe. Quel est le message que nous transmettons à nos enfants ? Lorsque nous disons que l’IA nous aidera à acquérir des connaissances et de l’inspiration, ne leur disons-nous pas qu’ils ne peuvent pas l’avoir eux-mêmes ? N'est-ce pas le message selon lequel nous, en tant qu'humains, ne sommes pas assez bons ?!
La plupart se sentant terriblement inadéquats, il n’est pas étonnant que les gens suivent les promesses de la gouvernance mondiale et du contrôle totalitaire !
De ce seul point de vue, c’est une insulte de dire que l’IA peut nous aider à réaliser une « combinaison de génie, d’intuition et d’expérience » – que l’article de Nature décrit comme inaccessible et rare.
C'est un mensonge ! Vous n’avez pas besoin de cette combinaison pour arriver à de grandes conjectures et idées.
Il suffit d’observer les enfants dans leur état naturel. N'êtes-vous pas curieux ? Sont-ils incapables de poser les bonnes questions ?!
En tant qu'étudiants, nous plaisantions souvent, notamment lors des examens devant les grands jurys : « Je préfère être interrogé par ceux qui comprennent le problème. Mais je suis nerveux lorsque je suis examiné par quelqu'un qui n'est pas un expert ». Le fait est que ces derniers ne connaissent pas les difficultés techniques qui ont déjà amené de nombreuses personnes à se heurter aux murs. Ils posent naïvement les questions les plus difficiles parce qu’ils manquent d’expérience, ce qui s’est avéré insoluble.
RépondreSupprimerDernières pensées
Je crois fermement que nous sommes naturellement et divinement dotés de la capacité de poser les bonnes questions et de trouver des réponses parfaites . Mais en tant que société, on nous a dit que nous manquions de tous ces aspects. Nous avons désormais besoin d’un sauveur : l’IA ou un gouvernement autoritaire. Ou les deux.
Quelle insulte à notre vraie nature !
Combien de fois entendons-nous nos professeurs dire à nos jeunes : « Vous êtes bons ! Tu peux le faire! Les parents sont-ils encouragés à apprendre à leurs enfants à faire confiance et à honorer leurs instincts, à leur dire de suivre ce qu’ils ont dans le cœur ? Qu’ils sont libres de suivre leurs rêves et de poursuivre ce qui est important pour eux ?
De nombreuses traditions spirituelles disent, à la base, la même chose à propos de la véritable nature de l’humanité : nous sommes à la fois pleinement humains et pleinement divins. Combien de fois Jésus a-t-il rappelé à ses disciples qu'il ne faisait qu'un avec le Père et que nous devions suivre son exemple dans cette conscience et cette façon de vivre ! Que nous sommes fils (et filles) du Très-Haut, tel était son message.
Dans une récente interview, le chirurgien général de Floride, Joseph Ladapo, a dit essentiellement la même chose en soulignant le cœur de la Constitution américaine, qui est simple et profonde : chaque être humain est divin.
Baird Spalding l'a exprimé ainsi :
RépondreSupprimer« Je vois maintenant qu’il suffit que chacun retourne à la source de sa propre religion…. Dans chacun se trouvera l'or pur de l'Alchimiste, la sagesse du Très-Haut..."
L’hypothèse selon laquelle l’IA est nécessaire à la perspicacité et à l’inspiration divine est réfutée par toute forme de religion lorsqu’elle est comprise dans son essence.
https://tkp.at/2024/05/20/die-versprochene-ki-revolution-gefaehrlich-und-untergraebt-die-grundprinzipien-des-lebens/
La perturbation écologique et la militarisation de l’Antarctique pousseront la planète plus près des points de basculement
RépondreSupprimerPar Bharat Dogra
Recherche mondiale,
20 mai 2024
L'Antarctique (pôle Sud), un continent environ 40 % plus grand que l'Europe, a également été appelé le plus grand désert du monde et le continent le plus froid, le plus venteux et le plus solitaire. De telles descriptions ne font pas exactement de ce continent le continent le plus attractif, mais en accord avec notre époque, ceux qui recherchent des minéraux et des avantages géostratégiques peuvent trouver leurs propres attraits.
Jusqu’à présent, ce continent a été l’un des endroits relativement mieux gérés au monde, mais cela peut changer rapidement avec l’émergence de plus en plus effrayantes possibilités de perturbation écologique, voire de militarisation.
- voir carte sur site -
Si une telle dérive se produit, ce sera une tragédie bien au-delà de ce continent, car l’Antarctique joue un rôle très important dans la protection de l’écologie gravement menacée de la planète entière.
Les vastes calottes glaciaires qui recouvrent presque entièrement ce continent contribuent de manière importante au maintien de l'équilibre thermique en déviant naturellement les rayons du soleil, ce qui joue un rôle de plus en plus protecteur pour la Terre. Ce continent contribue également en maintenant le système de circulation de l'eau.
On estime que les glaciers d’ici représentent 70 % des réserves mondiales d’eau douce.
C'est un habitat pour de nombreuses espèces que l'on trouve uniquement ici, et certaines des espèces trouvées ici, comme les plus grandes baleines, jouent elles-mêmes un rôle protecteur important.
Bien que mieux connu pour ses nombreuses espèces de manchots et de phoques, l'Antarctique abrite également ses krills uniques qui fournissent de la nourriture à de nombreuses espèces en plus de jouer d'autres rôles écologiques importants.
Bien que les écologistes aient mis en garde contre les dangers croissants des plastiques, d'autres polluants et surtout des espèces envahissantes introduits ici ces derniers temps ainsi que contre la menace posée par les pratiques de pêche destructrices, dans l'ensemble, le continent a été raisonnablement bien protégé jusqu'à présent en termes de toute ruine causée localement. Cependant, en termes d'impact du changement climatique et du réchauffement global, l'écologie fragile de ce continent a bien sûr souffert de la forte fonte des glaces et des glaciers et les habitats de plusieurs espèces ont été menacés dans le processus.
Cependant, si les activités futures contribuent beaucoup plus fortement à la ruine écologique locale, alors le cercle vicieux s'achèvera à mesure que le réchauffement climatique fera fondre le continent, libérant également davantage de carbone enfoui, d'une part, et que, d'autre part, la ruine locale perturbera le rôle protecteur du continent et contribue encore davantage au changement climatique et à d’autres catastrophes écologiques graves, poussant le continent vers des points de basculement.
RépondreSupprimerJusqu'à présent, de nombreux dommages ont pu être évités grâce aux systèmes mis en place par le Système du Traité sur l'Antarctique (ATS) créé par le Traité sur l'Antarctique de 1959/1961, qui a mis en place un système visant à éviter l'exploitation et l'exploration des minéraux ainsi qu'à interdire les activités militaires. /militarisation . Cela a été encore renforcé par le protocole de suivi élaboré en 1998, qui a magnifiquement convenu de préserver l'Antarctique en tant que « réserve naturelle internationale dédiée à la science et à la paix ». Ce protocole est censé durer au moins 50 ans, jusqu’en 2048, date à laquelle, espérons-le, il pourra être prolongé.
Cependant, ce système a pu fonctionner raisonnablement efficacement jusqu’à présent parce que la plupart des pays impliqués n’étaient pas motivés à le perturber. Aujourd’hui, avec un monde de plus en plus divisé, plus belliciste dans l’exploration des avantages géostratégiques et qui devient également plus avide de certains minéraux rares ou d’autres ressources naturelles précieuses, cela peut changer.
Même si les systèmes en place ont bien fonctionné jusqu’à présent, leurs failles et leurs vulnérabilités seront révélées une fois que les principaux acteurs impliqués deviendront plus agressifs. Pour donner un exemple, le système actuel accorde toutes les exemptions aux stations de recherche, même à certains militaires. Cela peut être utilisé à mauvais escient pour recruter davantage de militaires. La recherche est censée avoir un but civil, mais en exploitant les possibilités de double usage ainsi que certaines recherches cachées, des travaux d'importance militaire peuvent également être entrepris. De même, les travaux de recherche peuvent également inclure des travaux secrets d’exploration minière, qui sont très susceptibles de conduire à une exploration minérale plus large et, finalement, à des travaux miniers si les perspectives s’avèrent très attrayantes.
Il existe des perspectives de pêche lucrative ainsi que de création de nouvelles routes maritimes. La domination du ciel ici peut conduire à un avantage militaire important sur une vaste zone. Le ciel clair ici ravira peut-être les amoureux de la nature, mais ceux qui s'intéressent à la recherche sur la guerre spatiale et au suivi par satellite peuvent avoir une vision très différente des possibilités.
Le traité original a été signé par 12 pays. Sept d'entre eux ont revendiqué des territoires : l'Argentine, l'Australie, le Chili, la France, la Nouvelle-Zélande, la Norvège et le Royaume-Uni . Non moins important est le fait que les États-Unis, la Russie et la Chine se réservent le droit de faire des réclamations futures. De nombreux autres pays, plus de 30, ont mis en place des bases de recherche permanentes . Même les efforts visant à diviser la région selon des lignes imaginaires ont été discutés, tournant en dérision le traité et le protocole existants. Cependant, jusqu’à présent, le traité et le protocole sont en place, et c’est une grâce salvatrice.
RépondreSupprimerIl est toutefois évident que de nombreux efforts supplémentaires sont nécessaires pour renforcer les dispositions en matière de paix et de protection écologique. Une option consiste à abandonner complètement les revendications territoriales et à confier le continent aux Nations Unies pour qu’elles le gouvernent entièrement sur la base d’une paix totale et d’une protection écologique en tant que patrimoine commun de toute l’humanité et de toutes les formes de vie.
https://www.globalresearch.ca/ecological-disruption-militarization-antarctica/5857650
(...) On estime que les glaciers d’ici représentent 70 % des réserves mondiales d’eau douce. (...)
SupprimerUn peu con comme formule, non ?
A savoir que: depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km3 d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans SANS qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !
L'eau sale des mers & océans (les poissons chient dedans !!) s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers maritimes & océaniques où elle est chauffée/brûlée et repart en galeries souterraines (d'où elle est venue à 78 %) vers les sources de montagnes et nappes phréatiques (22 %).
Cette eau est désormais PURE, claire, sans goût, ni couleur, ni odeur, ni bactérie.
Alors, parler 'de réserves'...
Normalisation de la déviance : la thanatopolitique de la biosécurité et du biocapitalisme
RépondreSupprimerDIMANCHE 19 MAI 2024
Il y a environ 10 jours, j'ai décrit les ruptures symboliques et les réseaux catastrophiques du complexe biocapital-sécurité, qui comprend des entreprises, des agences gouvernementales, des scientifiques/universitaires et des organisations de la « société civile » qui amplifient de manière symbiotique les agendas institutionnels et/ou élites : Un essai sur le complexe bio-capital-sécurité défaillant
La formule de l’échec est simple : un comportement de recherche de risques conduit à des crises qui sont ignorées ou exploitées par des réseaux et des organisations bien positionnés.
J'étudie et enseigne la communication sur les risques et les crises. Les risques sont poursuivis et les dangers ignorés lorsque les profits ou le pouvoir sont en jeu, comme mes études de cas sur la crise financière de 2007-2008, la marée noire de BP, la crise de Fukushima, la crise nucléaire de Fukushima Daiichi et maintenant la pandémie (2020-2022). démontrent.
Pour reprendre le langage de Diane Vaughan dans son étude sur la catastrophe du Challenger, la « déviance » est normalisée lorsque les observations de préjudices et les avertissements sont censurés ou autrement réprimés, comme l'explique cet article du journaliste du WSJ, JB Meigs :
Meigs, J.B. (10 mai 2024). Revue "Challenger": Comment la catastrophe de la navette spatiale s'est produite. Le journal de Wall Street.
https://www.wsj.com/arts-culture/books/challenger-review-how-disasters-happen-2e3f41a2?st=c77eqc3ii5g7fou&reflink=desktopwebshare_permalink
Citation : « Il est tentant de supposer que si nous étions engagés dans une entreprise risquée, nous repérerions le danger et sonnerions l'alarme. Mais l'étude des catastrophes montre que de telles hypothèses sont trop faciles. Dans toute organisation, la pression pour normaliser la déviance est forte ; même les managers les mieux intentionnés succombent à la pensée de groupe ; et des règles trop strictement suivies peuvent rendre difficile la gestion des imprévus. "IDÉE CLÉ : la pression pour normaliser la déviance conduit aux désastres !
La déviance est normalisée lorsque les dangers – en particulier ceux transférés à des « autres » moins puissants – sont ignorés en raison d’« incitations perverses ».
Nous le voyons maintenant se manifester dans le contexte de la pandémie. La recherche sur les gains de fonction est menée au hasard et est financée par les gouvernements et les réseaux d’élite sans transparence ni responsabilité. Tout le monde devrait lire le témoignage du Congrès sur le financement du GoF par les NIH :
RépondreSupprimerhttps://oversight.house.gov/release/hearing-wrap-up-nih-repeatedly-refutes-ecohealth-alliance-president-dr-peter-daszaks-testimony
Le témoignage de Tabak révèle des procédures de subventions fédérales nécessitant une réforme sérieuse
Pendant ce temps, une faille historique dans l’éthique médicale pousse les efforts visant à modifier génétiquement la synthèse de protéines humaines au moyen de produits injectables obligatoires, sans aucune responsabilité du fait des produits.
Des expériences de transfection génétique sont menées sur des personnes dont les résultats indésirables sont refusés.
Mais les externalités deviennent difficiles à ignorer. La santé publique s’effondre dans les pays hautement vaccinés :
Jon Ungoed-Thomas (19 mai 2024). Les patients cardiaques sont contraints d'attendre plus d'un an pour être soignés en Angleterre. The gardian.
https://www.theguardian.com/society/article/2024/may/19/heart-patients-wait-year-treatment-england-disease-waiting-lists
La British Heart Foundation (BHF) prévient que les listes d'attente pour des soins cardiaques atteignent désormais un niveau record, atteignant 414 596 fin mars 2024 en Angleterre, soit presque le double de ce qu'elle était en 2020. Le nombre de personnes attendant plus d'un an pour des soins cardiaques le nombre de tests et de traitements est passé à 10 893. Il y a quatre ans, ce chiffre n’était que de 53. ….
Une analyse du BHF publiée en janvier a révélé que le nombre de personnes mourant en Angleterre avant 75 ans de maladies cardiaques et circulatoires avait atteint son plus haut niveau depuis une décennie. En 2022, plus de 39 000 personnes sont décédées prématurément en Angleterre de maladies cardiovasculaires, notamment de crises cardiaques, de maladies coronariennes et d’accidents vasculaires cérébraux, soit une moyenne de 750 personnes par semaine. Il a signalé que le total annuel de décès était le plus élevé depuis 2008.
Le COVID-19, les susceptibilités génétiques et le mode de vie en seront responsables, mais ne sous-estimez pas l’impact des vaccins. Le virus contient les récepteurs ACE-2 optimisés et le clivage de la furine pour permettre au virus de détourner les cellules. Mais le vaccin amène votre corps à produire des protéines de pointe presque identiques pendant une durée prolongée, dans tout votre corps, avec le risque supplémentaire du mécanisme d'administration - les soi-disant nanoparticules lipidiques qui sont susceptibles de provoquer des problèmes de coagulation et auto-immunes.
RépondreSupprimerDans une récente interview, l'ancien directeur du CDC, Robert Redfield (voir ici), a déploré la perte de confiance du public dans les agences de santé publique en raison du manque de transparence autour des vaccins, qui, selon lui, « ont sauvé de nombreuses vies », mais ont également incité certaines personnes à se protéger. "assez malade."
"Ceux d'entre nous qui ont essayé de suggérer que les vaccins pourraient avoir des effets secondaires importants... nous avons en quelque sorte été annulés parce que personne ne voulait parler du problème potentiel des vaccins, car ils avaient peur que cela provoque des problèmes chez les gens. ne pas vouloir se faire vacciner », a déclaré le Dr Redfield.
« J’ai un certain nombre de personnes qui sont très malades et qui n’ont jamais eu le COVID, mais elles sont malades à cause du vaccin », a-t-il poursuivi. "Et nous devons simplement le reconnaître."
ANNULÉ
Redfield fait partie d'un groupe d'anciens défenseurs des vaccins qui « reconnaissent » désormais les dommages causés par les vaccins, bien que toutes les mentions d'effets indésirables aient été systématiquement ignorées, censurées et effacées en 2021 et 2022.
J’ai été témoin en chair et en os de professionnels de la santé refusant de reconnaître les blessures causées par les vaccins. Dans mon cas personnel, l'infirmière de ma compagnie d'assurance m'a ordonné de ne pas aller à l'hôpital, malgré une pression thoracique énorme et incessante et des difficultés respiratoires après le vaccin pendant des jours. Je crois que cette étude explique mon expérience, qui n'est "rare" que parce qu'elle n'a pas été suffisamment rapportée :
Bakos, Tamas et al. (2024). "Les lipides du vaccin ARNm-LNP COVID-19 induisent l'activation du complément et la production de cytokines pro-inflammatoires : mécanismes, effets des inhibiteurs du complément et pertinence par rapport aux effets indésirables" International Journal of Molecular Sciences 25, no. 7 : 3595.
https://doi.org/10.3390/ijms25073595
RépondreSupprimerDe nombreuses personnes ont eu des réactions indésirables aux vaccins contre la COVID-19 et certaines sont décédées. Les personnes de notre réseau sont décédées et ont eu des réactions potentiellement mortelles, que les professionnels de la santé ont presque toutes négligé de signaler ou même de reconnaître. La plupart des blessés avaient moins de 40 ans.
De nombreuses personnes ont refusé de reconnaître ou de discuter des blessures causées par le vaccin. Certaines de ces personnes ont vilipendé toute forme de résistance aux mandats et ont annulé les amis et la famille qui n'étaient pas d'accord avec la grande expérimentation sur la population.
La propagande a été utilisée comme jamais auparavant pour promouvoir un récit unique et fabriqué sur les origines du virus et pour stigmatiser et éliminer toute dissidence. La documentation sur l’utilisation abusive de la communication sur les risques de pandémie est bien établie. Le pays a été délibérément divisé entre les « vaccinés » et les « non vaccinés » par les autorités sanitaires, comme je le documente ici.
Le pardon va prendre beaucoup de temps. Des gens ont perdu la vie et la santé. Ceux qui refusaient étaient vilipendés et censurés. De nombreuses personnes ont perdu leur emploi à cause de leur résistance. Ceux qui ont eu des événements défavorables et ceux qui ont résisté ont été ignorés ou annulés par les petits tyrans.
Il faudra beaucoup de temps pour obtenir le pardon, mais avant d'y parvenir, il faut la vérité et la réconciliation, et je ne pense pas que cela se produise.
Au lieu de cela, il semble que la recherche sur les gains de fonction sur les virus se poursuit et inclut la grippe aviaire et d’autres fléaux, alors que la biosécurité est présentée comme à la fois défensive et offensive et que le biocapital cannabilise le corps humain.
Entre-temps, les échecs matériels et symboliques de la biosécurité deviennent de plus en plus évidents.
http://majiasblog.blogspot.com/2024/05/normalizing-deviance-thanatopolitics-of.html
La spirale des erreurs : pourquoi la politique industrielle est vouée à l’échec
RépondreSupprimerRainer Zitelmann
le 20 mai 2024
La politique industrielle est vouée à l’échec pour les mêmes raisons que l’économie planifiée. C’est l’une des thèses explorées dans le livre du célèbre économiste chinois Weiying Zhang, professeur à l’université de Pékin. Zhang est largement reconnu comme le principal défenseur des principes de l’économie de marché en Chine, et a joué un rôle important dans l’élaboration des politiques économiques de Deng Xiaoping à la fin des années 1980 et dans les années 1990.
Toutefois, l’influence de Zhang s’est affaiblie ces dernières années, la Chine s’étant orientée vers une politique industrielle davantage pilotée par l’État. Dans son nouveau livre, Re-Understanding Entrepreneurship, publié par Cambridge University Press, Zhang critique les politiques industrielles chinoise et américaine. Celles-ci se sont influencées mutuellement entraînant une spirale d’erreurs. Il écrit :
« En partie en réponse aux politiques industrielles de la Chine, le gouvernement américain a également introduit une politique industrielle au cours des dernières décennies, d’une manière ou d’une autre. Les exemples incluent l’adoption législative du CHIPS and Science Act et de l’Inflation Reduction Act, supervisée par le président Biden. »
Article original publié sur Washington Examiner.
Si les hommes politiques occidentaux pensaient que la réussite économique de la Chine était le résultat d’une gestion économique étatique ou d’une politique industrielle, il s’agissait d’une interprétation erronée du succès de la Chine, explique M. Zhang.
Un document de travail du Forum économique mondial publié il y a cinq ans affirmait :
« Le secteur privé chinois […] est désormais le principal moteur de la croissance économique de la Chine. La combinaison des chiffres 60/70/80/90 est fréquemment utilisée pour décrire la contribution du secteur privé à l’économie chinoise : il contribue à 60 % du PIB de la Chine, est responsable de 70 % de l’innovation, de 80 % de l’emploi urbain, et fournit 90 % des nouveaux emplois. La richesse privée est également à l’origine de 70 % des investissements et de 90 % des exportations. »
Depuis les années 1980, la Chine a connu de nombreux échecs en matière de politique industrielle, mais très peu de succès. Selon Zhang, les succès du pays ne sont pas dus à l’intervention de l’État dans l’économie, mais bien à celle-ci.
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle la politique industrielle échoue régulièrement est la croyance erronée selon laquelle les politiciens et les fonctionnaires ont une meilleure compréhension des innovations les plus prometteuses de l’avenir que des millions d’entrepreneurs et de consommateurs.
Selon Zhang, c’est une grave erreur de penser que les gouvernements peuvent prédire l’avenir correctement. Les innovations ne sont pas le fruit d’une planification étatique, mais de l’esprit d’entreprise. Le rôle de l’entrepreneur n’est pas bien compris par les politiciens ni par l’économie classique. Les innovations ne découlent pas d’études de marché scientifiques, mais plutôt de la connaissance implicite (également connue sous le nom d’intuition) des entrepreneurs. Lorsqu’un entrepreneur commet une erreur, ce qui arrive assez souvent, il est pénalisé sur le marché concurrentiel.
Le problème de la politique industrielle de l’État est que, bien qu’elle puisse produire des succès à court terme, elle échoue en fin de compte à long terme. Lorsque des échecs surviennent, ils ne sont souvent pas corrigés, ce qui incite les responsables politiques à poursuivre leurs stratégies erronées. Ce cycle d’intervention et d’échec a été qualifié de spirale d’intervention par l’économiste Ludwig von Mises.
Zhang résume bien ce phénomène lorsqu’il déclare :
« Les fonctionnaires et les experts, cependant, ne sont généralement pas disposés à reconnaître leurs propres erreurs parce que celles-ci révèlent leur propre ignorance. L’un des moyens de dissimuler les erreurs consiste à soutenir davantage les projets qui échouent. Le résultat est une succession d’erreurs ! »
Ce n’est souvent qu’avec le recul que l’échec de la politique industrielle apparaît au grand jour, comme le montre l’exemple du Japon, qui était autrefois considéré comme un succès retentissant et un modèle pour des pays comme la Chine et les États-Unis. Toutefois, des études plus récentes ont montré que les vingt industries japonaises les plus prospères n’ont reçu pratiquement aucun soutien, tandis que les sept industries les moins prospères ont bénéficié du plus grand nombre d’aides d’État.
Les hommes politiques des États-Unis et de la Chine s’inspirent actuellement des pires politiques de l’autre, comme le montre Zhang : la politique industrielle américaine de Joe Biden « incite le gouvernement chinois à se montrer plus obstiné dans sa politique industrielle. Ainsi, les politiques industrielles des différents pays peuvent s’accélérer mutuellement. »
RépondreSupprimerUn autre problème est que l’échec de la politique industrielle est souvent dissimulé par un processus d’« autojustification. »
La promotion des véhicules électriques en est un exemple :
« Si le gouvernement utilise la législation pour interdire l’utilisation des véhicules à essence et n’autorise que les véhicules électriques d’ici 2030, par exemple, alors l’élimination des véhicules à essence sera une victoire décisive pour les véhicules électriques. Toutefois, cela ne prouve pas qu’une politique industrielle visant à encourager les véhicules électriques soit correcte. »
La politique gouvernementale pourrait bien éliminer des technologies plus prometteuses. Le potentiel de progrès des véhicules à essence est encore énorme. C’est le marché, et non les politiciens, qui devrait décider si ce sont les moteurs à combustion innovants ou les véhicules électriques qui l’emportent.
L’ironie de l’histoire veut qu’un professeur d’économie de l’université de Pékin, guidé par les enseignements de Ludwig von Mises et de Friedrich August von Hayek, doive expliquer aux États-Unis les principes de l’économie capitaliste et de l’esprit d’entreprise.
https://www.contrepoints.org/2024/05/20/474673-la-spirale-des-erreurs-pourquoi-la-politique-industrielle-est-vouee-a-lechec
(...) Selon Zhang, c’est une grave erreur de penser que les gouvernements peuvent prédire l’avenir correctement. Les innovations ne sont pas le fruit d’une planification étatique, mais de l’esprit d’entreprise. Le rôle de l’entrepreneur n’est pas bien compris par les politiciens ni par l’économie classique. (...)
SupprimerTous les chefs d’États dans le monde ne peuvent que le reconnaître: seule la Démocratie peut fonctionner dans un pays. Suffit de regarder toutes les escroqueries lancées par les chefs d’États depuis les guerres, le Global Warming jusqu'au corona avec le manchon de l'OMS pour contraindre le Peuple à être con.
Les Pays-Bas vont-ils quitter l'UE ?
RépondreSupprimer20 mai 2024
de Thomas Oysmüller
Un changement de direction se profile à l’horizon aux Pays-Bas, ce qui pourrait également ébranler l’UE. En fin de compte, la question se posera également de savoir si le prochain pays après les Britanniques fuira l’UE.
Geert Wilders, l’un des premiers populistes de droite des Pays-Bas, est au sommet de son pouvoir. Il est député depuis 1998 et son parti a désormais pris le pouvoir dans ce pays de l'UE au sein d'une coalition de quatre partis. On ne sait toujours pas qui deviendra Premier ministre. Mais Wilders annonce un net changement de cap politique. Une question cruciale : le « NEXIT » arrive-t-il maintenant ?
L’UE sans la Hollande ?
Viktor Orban, le principal opposant à Bruxelles (du moins en public), ne veut pas sortir la Hongrie de l'UE, il dit vouloir « reprendre Bruxelles ». Wilders est devenu populaire grâce à sa politique migratoire. Il ne faisait pas partie de l'opposition en raison de son ton extrêmement dur contre l'Islam - raison pour laquelle il soutient également résolument les colonies israéliennes illégales - et sa politique était simple. Il lui reste maintenant à le mettre en œuvre. Wilders veut arrêter ou au moins « ralentir considérablement » l'immigration clandestine ; il annonce une « loi sur la crise de l'asile » : les contrôles aux frontières sont inclus : les migrants irréguliers rencontrés lors des contrôles aux frontières terrestres seront immédiatement renvoyés vers l'Allemagne et la Belgique.
Une loi récemment adoptée qui divise les migrants entre les municipalités néerlandaises doit être abrogée et le « statut de réfugié illimité » doit être aboli. En bref : la « politique d’asile la plus stricte de tous les temps » et la fin de certaines lois sur le climat : au lieu de 100 km/h sur l’autoroute, il y aura à nouveau 130 km/h et l’obligation d’utiliser des pompes à chaleur sera à nouveau supprimée.
Les choses seront difficiles pour l’UE. Wilders veut négocier une exception aux règles européennes en matière d'asile. Les Danois font déjà quelque chose de similaire. Si le prochain pays parvient à faire de même, l'autorité de Bruxelles sera encore affaiblie et la pression migratoire sur l'Allemagne augmentera. La sortie des contrats, comme le souhaiterait Wilders, est légalement impossible. Porte-parole de la Commission, Eric Mamer : « Vous ne pouvez pas vous retirer de la législation européenne. (…) Nous travaillons sur la base des traités et de la législation existants.» Mark Rutte n'a accepté la nouvelle loi européenne sur l'asile qu'en décembre.
La plateforme Tichys Insight révèle également l’idée évidente :
En fin de compte, tout pourrait se résumer à la question de savoir si les Pays-Bas souhaitent rester dans l’UE ou estiment que les inconvénients l’emportent désormais sur les avantages. Les négociations sur le Brexit nous ont appris que les grandes sociétés européennes ont une aversion pour ce qu’on appelle le « Cherry Picking ». Alors cette cruche (têtue) va au puits jusqu'à ce qu'elle se brise. Et d’un autre côté : Wilders aura de moins en moins à perdre, mais l’UE oui, à savoir la cinquième économie du bloc d’États. Mais Wilders a comme vent arrière les problèmes croissants dans l’UE et aux Pays-Bas.
Quoi qu’il en soit, les problèmes augmentent pour Bruxelles – et ce avant même les élections européennes.
https://tkp.at/2024/05/20/treten-die-niederlande-aus-der-eu-aus/
ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119)
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Article censuré (par Blogger): - Blog du 2 Mai 2024
"Les données canadiennes montrent une forte augmentation des fausses-couches en raison de la campagne de vaccination à base d'ARNm"
ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 2 = 118)
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