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samedi 2 novembre 2024

Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? Interview avec Heiko Schöning

 

56 commentaires:

  1. Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? Interview avec Heiko Schöning


    25.01.2024
    www.kla.tv/27963


    Intervieweur (Int) : Bienvenue, chers téléspectateurs, sur Klagemauer-TV. Nous avons aujourd'hui un invité très spécial avec nous, Heiko Schöning.

    Heiko Schöning est l'auteur du livre « Game Over, COVID-19 | ANTHRAX-01 ». Il a également été médecin-chef d'une entreprise de biotechnologie dans le domaine de l'immunologie, a reçu de nombreux prix d'innovation et a dirigé un centre universitaire de technologie médicale. Heiko Schöning a aussi dirigé un institut de recherche pharmaceutique, sous contrat. Dans sa jeunesse, il a pratiqué un sport de haut niveau, l'aviron ; en 2020, il a même obtenu la médaille d'argent allemande des plus de 50 ans en aviron en salle. En tant que médecin praticien, il a soigné jusqu'en 2019 des députés fédéraux, des hauts fonctionnaires et des représentants des médias dans une clinique spécialisée dans la désintoxication. Bienvenue à Heiko Schöning.

    Heiko Schöning (HS) : Merci beaucoup pour votre invitation.

    Int : Monsieur Schöning, vous avez désigné les coupables et vous avez nommé les sites de production pour l'exécution de ce grand crime que nous connaissons tous sous le nom de pandémie Covid. Quels schémas avez-vous découverts à cette occasion ?

    HS : Oui, c'est exact. Si on voit les choses d'un point de vue global, on constate qu'il y a toujours une situation critique. Oui. Une panique est soudainement propagée, uen situation qui cause des dommages. C'est ce que la plupart des gens ont vécu en mars 2020, lorsqu'une pandémie Covid a été déclarée dans le monde entier et que des mesures draconiennes et drastiques ont immédiatement été prises. Et puis, quoi qu’il en soit et comme toujours, des gens sont effectivement morts. Et cela a été très médiatisé. Oui. C'est donc la première fois que nous avons eu une situation critique avec un agent pathogène biologique. On appelle cela « Biohazard » (risque biologique). C'est quelque chose – c’est ce qui a été préparé - qu'on nous a montré. Oui. C'est comme un signal d'arrêt : alerte - panneau d'avertissement - Biohazard - une situation critique. Oui. C'est ce que nous avons vécu à partir de 2020. C’est un des points.

    Or, comme nous avons pu le prouver, ce n'est pas quelque chose qui est arrivé naturellement, mais c’est arrivé intentionnellement. Cela signifie donc que toute cette histoire, telle qu'elle s'est effectivement déroulée, avait un arrière-plan criminel et une planification préalable criminelle.
    Tout cela a été prouvé et dénoncé, notamment dans le livre « Game Over, COVID-19 | ANTHRAX-01 », où le tout est documenté. cette situation critique était un plan criminel. Mais il s’y ajoute encore autre chose. Car une situation critique en elle-même est toujours de durée relativement courte. Et on a vu dans les statistiques qu'en mars et avril 2020, il y a eu une augmentation, un pic du nombre de décès dans certains pays, mais qu’ensuite, cela a rapidement diminué. Je n'ai pas l'intention de m'étendre ici sur les causes réelles des décès. Mais beaucoup de gens se souviennent encore. Des respirateurs ont alors été utilisés comme jamais auparavant - le midazolam (somnifère), et bien d'autres choses encore.
    En tout cas, c'était pour ainsi dire une situation critique à court terme, mais nous l'avons tous vécue, et on a ensuite dit : « Oh, mais nous avons maintenant besoin d'une protection contre cette situation critique. » Oui. Et cette protection, nous savons qu'on a alors dit que c'était la vaccination. Oui. Et voilà, ça y est. Donc voilà : nous avons une situation critique et un sauvetage. Voici donc ces deux points.

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  2. D'abord la situation critique, et ensuite : nous avons besoin d'une..., nous avons besoin d'un sauvetage, et ceci le plus rapidement possible. Oui. Et c'est vrai que ces décès, nous l'avons vu dans les statistiques, ont rapidement diminué. Et qu'il n'y en avait en fait pas tant que ça, il y en avait bien moins. Et ce que nous avons vu dans les statistiques, de façon incontestable, indéniable, c'est que le nombre des décès n’a de nouveau augmenté qu'à partir du moment où la vaccination a été introduite. C'est exact. Oui. Et on ne pouvait plus faire le lien avec la situation critique, parce que les deux étaient séparés dans le temps. Ce n'était plus très proche, cela n’est arrivé qu’à partir du 21 janvier. C'était donc très éloigné. Voilà. En fait, nous avons là effectivement un intervalle de temps. Et ça, c'est tout à fait fondamental et capital et permet de le démontrer également. Oui. Car nous avons d'un côté la situation critique. Et c'était début 2020. Et puis nous avons eu le sauvetage, dans ce cas la vaccination, et les autres mesures qui existaient alors en 2021. Et là, le nombre de décès était bien plus élevé, et ça, c'était après la vaccination. Et ce fait ne peut pas simplement être écarté.
    Et selon moi, c'est aussi l’une des raisons principales pour lesquelles l'ensemble du narratif a été interrompu. Parce que cet écart d'environ un an que l’on constate ne saurait être ignoré. On voit bien que ça ne peut pas être dû à cette épidémie, car il aurait dû y avoir au moins autant de morts dès le début et pendant la situation critique que lors de l’introduction du soi-disant sauvetage par la vaccination. Et cette divergence, tout le monde peut la constater.

    Eh bien oui, exactement. Et si on admet maintenant, ou si on voit les preuves dans le livre « Game Over » et les autres, et qu’ensuite on voit que ce sont vraiment des criminels qui ont tout planifié - nous avons déjà présenté ces preuves -, on doit alors se demander : « Est-ce que cela aurait pu être le plan de ces criminels de séparer temporellement la situation critique et le sauvetage ? » Non, bien sûr que non. Parce que là, on est en manque d'explications. Exactement.

    Int : Parce qu'on voit clairement que les mourants arrivent après la vaccination. S'ils étaient venus directement après, on aurait pu en déduire que c'était dû à cette situation critique.

    HS : C'est ça. Exactement. Et pas seulement un an plus tard. Oui. En fait, on devait dire au début, eh bien, le développement d’un vaccin prend de cinq à dix ans. Ce serait donc très loin. Si bien que beaucoup n’auraient même pas pu l'imaginer. Comme j’ai bien prédit qu'une telle chose arriverait. Et j'ai aussi prédit avec précision que les capacités de production de vaccins allaient être augmentées. Et j'ai aussi dit de quelle entreprise il s'agissait. C'était l'entreprise Emergent BioSolutions, avec son directeur Fuad El-Hibri, qui était au cœur du crime du Covid. Car Emergent BioSolutions a effectivement produit la plupart des vaccins pour toutes les marques que nous connaissons. Donc pour AstraZeneca, c'était chez Emergent BioSolutions. Pour Novavax, Emergent BioSolutions et bien d'autres également. Et c'est cette entreprise, Emergent BioSolutions, qui était aussi liée à l'attentat à l'anthrax de 2001. Un collaborateur de cette entreprise est donc officiellement l'auteur unique d'un attentat à l'arme biologique avec la bactérie anthracis, appelée Anthrax. Aussi en tant que maladie. Oui. Tout simplement. En 2001. Eh bien. Et ce collaborateur...- je me suis intéressé de plus près à ce cas - ici, il faut le dire... attendez : c’est la même entreprise. Et j'ai pu dire également qu'elle avait de grands projets pour 2020 et qu'elle renforcerait ses capacités de production. Que cela fait partie de l'ensemble. Oui.

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  3. Mais il y a encore autre chose que je viens de dire. En effet, si on se place du côté des criminels, la situation critique et la solution auraient dû s’associer dans un court laps de temps, afin de pouvoir maintenir l'ensemble du récit. C'est-à-dire continuer. Afin que la cause des décès qui ne sont apparus qu'avec la vaccination, donc avec le sauvetage, puisse être attribuée à la situation critique. Et ça, c'était effectivement leur plan.

    Int : En fait, la solution devait arriver en juin. Vous l'avez dit.

    HS : Oui, c'est vrai. Mais cela n'a pas été présenté ainsi jusqu'à présent. Et c'est important de le répéter. Parce qu'en fait, c'était aussi prévu et officiellement admis, et déjà diffusé dans des communiqués de presse et des journaux télévisés, en ce qui concerne les entreprises de tabac, comme British American Tobacco ou aussi Philip Morris, Philip Morris c’est Marlboro, et British American Tobacco, c'est Lucky Strike et d'autres. Ainsi British American Tobacco a publié un communiqué de presse le 1er avril 2020, donc très proche et a dit, « oh, nous avons déjà un vaccin prêt pour le Covid ». Issu de plants de tabac génétiquement modifiés. Oui. Je l'ai déjà dit plusieurs fois.

    Int : C'était 3 mois après la situation critique. C'est vrai. Et c'était en fait le plan initial. C’est exact. Oui.

    Insertion de film : En avril, British American Tobacco a annoncé que sa filiale américaine de biotechnologie développait un vaccin contre le COVID-19, dérivé de plants de tabac. Dans le cadre de ce projet, qui, selon BAT, n'est pas à but lucratif, Kentucky Bioprocessing a cloné une partie de la séquence génétique du COVID-19, ce qui a généré une substance qui stimule la production d'anticorps. Lorsque cette substance a été introduite dans des plants de tabac pour les multiplier, un vaccin a été créé, qui semble présenter plusieurs avantages par rapport aux vaccins traditionnels. Selon BVT, il est potentiellement plus sûr, car les plantes ne peuvent pas héberger d'agents pathogènes qui provoquent des maladies chez l'homme. En outre, le vaccin est disponible plus rapidement, car il ne nécessite qu'environ six semaines d'enrichissement au lieu de plusieurs mois. En temps normal, on accueillerait ce genre de nouvelles à bras ouverts, mais lorsqu'elles proviennent d'une industrie dont les produits peuvent en fin de compte tuer des gens, la réaction est quelque peu atténuée.
    (...)
    BAT affirme avoir débloqué des fonds pour des essais cliniques qui pourraient commencer dans les prochaines semaines. Avec le soutien des autorités gouvernementales et des fabricants, des millions de doses pourraient être produites chaque semaine, à condition que cela fonctionne.

    HS : Et pourquoi à partir de plants de tabac, de simples plantes ? Parce que cette méthode de production est vraiment très bonne et bon marché et vraiment très évolutive. Vous pouvez donc produire des masses, des masses de vaccins. Oui. Ils ont dit tout de suite : Nous pouvons déjà, nous avons déjà des millions de vaccins prêts pour le mois de juin 2020. Et nous avons pu passer à des milliards de doses. C'est très important. Voilà. Qu'on voie que tout cela est étroitement lié. Et puis on peut supposer que tous les décès liés à la situation de crise ou au sauvetage auraient pu être bien mieux expliqués. C’est la situation de crise, ce virus SARS-CoV-2, oui, c’était le coupable, pour ainsi dire.

    Int : Vous avez indiqué dans votre livre que c'était justement le plan. Et c'est pourquoi le plan a été abandonné. C'est pourquoi il faut mettre en œuvre le plan B, parce qu'il est devenu évident, notamment grâce à votre travail, que cela devait être fait par le biais des plants de tabac.

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  4. HS : C'est vrai. Je l'avais fait, j'avais mis l'accent sur ce point. Au printemps 2020, et avant même que le groupe British American Tobacco n'admette officiellement qu'ils avaient alors des plants de tabac génétiquement modifiés, j'avais déjà tenu un plant de tabac, oui, très clairement, devant la caméra lors d'une interview et j'avais dit, voilà, c'était le 11 mars 2020. Donc à peine trois semaines avant que le groupe British American Tobacco ne l'admette pour la première fois. Nous avons ici un vaccin Covid, oui, à base de plants de tabac OGM.

    Int : Vous les avez donc démasqués et ensuite ils n'ont pas pu aller jusqu'au bout.

    HS : C'est vrai. Et le point particulier, c'est que j'ai pu relier celaà un crime réellement prouvé. C'est bien là le problème. On peut dire, oui, super, pourquoi pas ? Superbe technologie. Et si on peut produire des vaccins aussi rapidement et en aussi grande quantité pour toute la population mondiale, c'est une excellente nouvelle. Le seul problème, c'est de savoir qui était déjà au courant, ou qui a fait avancer cette technologie ? Et c'est l'un d'entre eux, le directeur scientifique, le Dr Richard Tubb. Et le Dr Richard Tubb, j'ai pu prouver qu'il était au courant à propos des attentats à l'anthrax de 2001. Richard Tubb, un général de brigade de l'armée de l'air américaine et médecin personnel du président américain George W. Bush, était déjà au courant à propos de l'anthrax et a ensuite rejoint le groupe de tabac British American Tobacco en 2013 en tant que membre du conseil d'administration. Et en 2014, un an plus tard seulement, ils ont acquis à 100 %, une filiale Kentucky Bioprocessing, la KBP en abrégé, qui s'appelle désormais K-Bio, K-Bio. Et ils ont des fermes de tabac sous leur toit, qui ne produisent pas des cigarettes, mais des flacons de vaccins. C'est exactement ce que nous avons ici.

    Insertion de film : Kentucky Bioprocessing, ou KBP, est connu comme prestataire de services dans le secteur de la biotechnologie, spécialisé dans la production de médicaments à partir de plantes. KBP a exprimé, extrait et purifié de nombreuses protéines à base de plantes. « Sur le campus de 23 acres de KBP à Owensboro, Kentucky, nous disposons d'une installation de production de 32 000 pieds carrés et de 75 000 pieds carrés d'installations de croissance des plantes contrôlées au niveau environnemental. En utilisant différents systèmes d'expression végétale transitoires, KBP offre à ses clients un chemin clair entre le développement à l'échelle du laboratoire, où nous pouvons traiter quelques kilogrammes de matériel végétal par jour, et le développement à l'échelle pilote, où nous pouvons traiter jusqu'à une tonne de matériel végétal par jour, et la production à l'échelle commerciale, où nous pouvons traiter jusqu'à cinq tonnes de biomasse végétale par heure. »

    Les installations et les services de KBP sont conçus pour permettre aux clients de produire de manière rentable des quantités de matériel allant du milligramme pour les tests précliniques au kilogramme pour la vente en tant que produit commercial. Ou pour pouvoir lutter rapidement contre une menace biologique.

    HS : Même pas des cigarettes. Oui. Nous n'avons pas ça ici. Nous sommes tous non-fumeurs. Pas du tout. Mais ça, oui. Eh bien, oui. Et c'était en fait à nouveau parce que le Dr Richard Tubb connaissait le plan.
    Et encore une fois, il faut se rendre compte de cela : mars 2020. Pandémie de Covid. Juin 2020. Des millions de vaccins prêts à l'emploi produits par les fabricants de tabac. C'était le plan A.

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  5. Int : C’était le plan A. Il a été découvert grâce à votre travail. Et ensuite, on est passé au plan B. C’est pourquoi le sauvetage était si éloigné de la situation critique. Et c’est pour cela qu’on a pu le faire, et toute l’affaire a été démantelée. Et le Covid, on peut aussi le dire, est maintenant stoppé.

    HS : Oui, bien sûr, beaucoup de gens ont aidé et d'autres choses aussi. Et nous n'avons malheureusement pas pu l'arrêter complètement. Mais pour les criminels, il est bien sûr devenu beaucoup plus difficile d'argumenter. La grande pandémie est donc terminée. N’est-ce pas ? Ce grand projet criminel vient de se terminer. Il faut le dire clairement.

    Int : … qui devrait en fait se poursuivre.

    HS : Oui, exactement. Et c’est pourquoi nous le soulignons encore une fois, c'est important pour l'avenir et le présent. D'une part, l'idée du Covid était déjà de maintenir la situation de crise et le sauvetage proches l'un de l'autre. Et si les deux sont très éloignés, on a un problème pour expliquer les faits, pour ainsi dire. Et maintenant, nous parlons de l'avenir. On peut se demander si tout cela est terminé ; et peut-être aussi, quel était le but avec le Covid. Je n'irais pas trop dans le détail. Mais ce que nous avons vu par exemple, c'est qu'en mars 2020, les quantités d'argent dans le monde ont été énormément augmentées, oui multipliées même. En fait, il y aurait eu une grande inflation, s'ils avaient tout dépensé directement. Mais il y a eu beaucoup plus de billets imprimés. Techniquement, pour prendre un exemple, en mars 2020, la Federal Reserve Bank, c'est-à-dire la banque centrale des États-Unis, a augmenté son bilan de 12,5 %. C'est gigantesque. Ce ne sont pas des milliards, ce sont des ordres de grandeur bien plus grands. C'est vraiment gigantesque. Et c'était seulement ce jour-là, en mars 2020. Et cet exemple ne concerne que les Américains. Mais beaucoup d'autres ont fait ça aussi. Cela signifie qu'ils ont pu, dans le sillage du Covid, injecter beaucoup plus d'argent dans ce système financier pourri. Nous savions aussi, la plupart d'entre nous l'ont vécu, qu'il y avait déjà eu un crash financier en 2007, 2008. Nous l'avons tous vu et subi. L'économie mondiale a chuté d'environ 20 %. Le krach (prononcer krak) financier. Et là, on savait qui étaient les coupables. Les grandes banques et leurs propriétaires privés. Pour eux, c'était un mauvais moment pour faire un grand reset financier, c'est-à-dire pour faire un grand bouleversement financier, pour prendre un nouveau départ. Oui. Parce que là, tout le monde aurait su, hé, c'est les banques. Pourquoi les banques sont-elles sauvées et pourquoi leur injecte-t-on autant d'argent, l'argent des contribuables, etc. ? Et pourquoi augmente-t-on ici la masse monétaire de manière aussi délirante, etc. ? Et ils ont acheté du temps avec plus d'argent. Et c'est pour ça que le Covid est arrivé en 2020. Donc une crise sanitaire. Je ne veux pas dire si les deux sont causalement liés. Je veux juste dire que les deux choses sont arrivées. En tout cas, en 2008, il était clair que c'étaient les grandes banques et leurs propriétaires privés. C'est ce que j'avais dit à Londres. Oui. Encore une autre histoire là-bas, Londres 2020.

    Int : On voit en fait qu'il y a aussi d'autres objectifs derrière le Covid, qu'il ne s'agit pas du tout de la santé.

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  6. HS : Il ne s'agissait certainement pas de la santé, oui. Et quand on voit d'autres personnes, dans ces multinationales de la santé et autres, qui se présentent comme des gourous de la santé, mais qui ont investi auparavant dans Coca-Cola et continuent à le faire aujourd'hui. Il ne s'agit certainement pas de santé, c'est clair. Quoi qu'il en soit, il faut voir, comme l'a annoncé le Forum Economique Mondial, qu'ils ont besoin d'un grand changement, d'une grande remise à zéro. Et notamment un grand redémarrage financier. Avec la suppression de l'argent liquide, la monnaie de la banque centrale, les CBDC et autres. Tout cela a été dit publiquement. Et maintenant, il faut simplement se demander, ok, s'ils veulent continuer ce processus...

    Int : Comment peuvent-ils le mettre en œuvre pour que la population y participe ?

    HS : Oui, comment peuvent-ils le faire ? Est-ce qu'ils vont le faire en disant : Voilà, nous avons là de nouvelles affaires financières et à cause d'une crise financière, nous devons le faire maintenant ? Certainement pas. Il y aura probablement un autre prétexte. Et quel sera ce prétexte ? Certainement une crise sanitaire. C'est évident. Pour faire avancer les choses et aussi toutes ces autres mesures et dire, ici, en injectant à nouveau autant d'argent dans le système, en réduisant les droits civils, en surveillant et en prenant toutes ces mesures. Il est probable que cela arrivera sous le couvert d'une crise sanitaire.

    Maintenant, la question est : Quel genre ? Est-ce que quelque chose se prépare ? Point d'interrogation.
    Et bien sûr, j'ai continué à suivre les structures criminelles, le crime organisé, ces dernières années, et j'ai continué à suivre les personnes et les organisations. Et pour rester simple dans ce cadre, si on se concentre sur les sites de production, c'est quelque chose qui demande un long délai, simplement pour des raisons techniques. Et vous avez même cité quelque chose de ma biographie. Je dis parfois tout simplement, Heiko Schöning, médecin de Hambourg. Mais je viens aussi de l'industrie et j'ai aussi de l'expérience dans l'industrie, donc aussi avec la certification et les bonnes pratiques de gestion et toutes ces choses qu'on doit mettre en place. Cela prend vraiment du temps, de mettre en route de telles usines, une telle production. De nombreux spectateurs d'autres domaines le savent certainement aussi. Avant de monter une affaire ou une production, cela prend des années. Et si on veut vacciner des milliards de personnes ou créer un moyen de sauver des milliards de personnes, il faut bien que cette production se mette en place d`une manière ou d`une autre. Ça ne va pas si vite. Et au centre du crime du Covid, la société Emergent BioSolutions a été montée. Elle est maintenant placée tout en bas et aussi le directeur, Fuad El-Hibri, il est mort. Mais il y a maintenant, et c'est la nouveauté que j'ai décrite dans le nouveau livre qui vient de sortir, au centre de ce nouveau crime, il y aura une nouvelle société de production. C'est la société National Resilience, c'est un peu la nouvelle Emergent BioSolutions.

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  7. Et l'un des nouveaux directeurs est désormais un professionnel. Ce n'est plus le germano-libanais des télécommunications, Fuad El-Hibri, qui était directeur d'Emergent BioSolutions et qui, selon eux n'a pas fait du bon travail. Mais ils ont maintenant réuni toute une équipe de haut niveau au sein du conseil d'administration de National Resilience. C'est donc aussi une entreprise de production de vaccins ARNm. Donc National Resilience produit aujourd'hui le vaccin ARNm, c'est en fait une thérapie génétique, des composants ARNm pour Moderna. C'est ce que fait National Resilience, une toute nouvelle entreprise. Nouvellement créée, seulement en 2020. Il y avait des milliards dans les caisses et ils achètent de plus en plus de capacités de production à une échelle gigantesque. L'un des directeurs est Christopher Darby et il vient directement de la CIA, Scott Gottlieb est également impliqué. Scott Gottlieb était de l'autorité d'homologation des États-Unis, de la FDA, il siège dans de nombreux autres comités. Il y a aussi Susan Desmond-Hellman, l'une des meilleures collaboratrices de la Fondation Bill et Melinda Gates. Elle est également membre de National Resilience. Et nous avons aussi d'autres personnes qui ont même déjà été dénoncées pour bioterrorisme, comme le directeur de National Resilience, Rahul Singhvi. Il a déjà été accusé de bioterrorisme pour la grippe aviaire et la grippe porcine.

    Int : Il était déjà bien repéré ?

    HS : Oui, c'est ça. C'était l'entreprise Baxter et autres. Ils avaient produit 72 litres et il y a eu un accident dans un train, un train Inter City Express en direction de la Suisse. C'est une vieille histoire qui a été étouffée. Tous les détails sont dans le livre, avec toutes les sources. Et voici Rahul Singhvi. Rahul Singhvi a également été PDG, c'est-à-dire directeur général, de la société Novavax, un fabricant de vaccins Covid-19, une marque qui a également produit chez Emergent BioSolutions. Et je l'ai déjà mentionné à plusieurs reprises, l'un des directeurs de Novavax est Michael McManus. C'est un trafiquant d'armes et de drogue. J'ai vraiment réécrit tout cela dans mon livre, avec toutes les sources, et avec les dossiers judiciaires. Nous avons donc un réseau de ces personnes ; dans le livre il y a aussi des graphiques des réseaux. On peut peut-être l'insérer pour qu'on puisse se le figurer. Ensuite, nous avons là-haut Christopher Darby, nous avons Rahul Singhvi et nous avons Michael McManus. Il y a un lien, Rahul Singhvi n'est pas seulement le PDG de National Resilience, mais aussi de Novavax. Nous avons donc Michael McManus, les capacités de production, les sites et autres. Et toute l'activité est maintenant transférée d'Emergent Biosolutions à la nouvelle société National Resilience. Donc Fuad El-Hibri est mort, Emergent Biosolutions est pour ainsi dire brûlé pour eux. Et maintenant la nouvelle National Résilience. Et cette équipe est grande et importante. Ils ont aussi Kerrey avec eux, qui vient d'Allen & Co. Une banque très importante, qui faisait autrefois des affaires avec la mafia, avec Meyer Lansky et autres. Donc c'est vraiment très, très menaçant.

    Int : Les top managers les placent maintenant dans cette nouvelle entreprise, qui est probablement en train de... C'est là que les capacités de production seront construites. C'est là que l'argent est investi. Pour qu'on puisse ensuite, dans la mesure du possible, mener ces deux événements de front, à des moments très proches l'un de l'autre.

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  8. Int : Les deux sont possibles.

    HS : Oui, il est possible d'avoir les deux. Donc pour l'attaque ou pour le prétendu sauvetage. Et c'est le point. Et c'est exactement ce que National Resilience a principalement avec lui. Comme je l'ai dit, ils produisent par exemple des thérapies géniques à ARNm pour Moderna, contre le "Covid". Et ils ont justement ces capacités, également ces capacités bactériennes. Et encore une fois, principalement sur cette base végétale. Il faut le comprendre. Parce que pour produire beaucoup et produire rapidement pour des millions ou des milliards de personnes, ils ont besoin d'une véritable plateforme de production. La meilleure et la plus simple façon de procéder est cette technologie végétale. Et c'est pourquoi ils ont dans leur entourage des scientifiques qui s'y connaissent. Ils sont tous décrits en détail dans le livre. Ces Dr Mabuse. Il n'y en a que quelques-uns, si on se concentre dessus. Et c'est aussi très important de nommer ces personnes, de montrer leurs visages (c'est ce qui est fait dans le livre), de citer leurs noms. Car c'est le goulot d'étranglement. Ce sont les rares personnes dont ils ne peuvent guère se passer. Ces experts et ces usines de production, ils ne peuvent pas simplement les déplacer.

    Int : Et ils ne peuvent pas non plus les construire simplement à court terme, ils doivent les construire à long terme.

    HS : C'est vrai. Et ce qu'on doit comprendre avec un peu de bon sens, c'est pourquoi ils construisent maintenant des capacités de production aussi énormes chez National Resilience ? C'est ça le point. Eh bien. Oui, et c'est là que nous en arrivons à dire : Quel est le déroulement, qu'est-ce qui nous attend ?

    Int : Oui, il y aura probablement une autre situation critique, selon le même modèle. Et les capacités sont maintenant mises en place pour que les secours puissent arriver le plus rapidement possible. Vous dites que cela n'a plus rien à voir avec le virus, comme pour le Covid. Ça a plutôt à voir avec des bactéries. Comment cela va-t-il se passer exactement ? Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

    HS : Oui, c'est vrai. Pour les gens, comment cela sera-t-il vécu ? Cela va recommencer avec une situation critique. On dit que beaucoup de gens meurent ici. Quelque chose que nous n'avons encore jamais vu. C'est pourquoi, attention, attention, il y a un agent biologique qui circule. Et je prédis que cette fois-ci, il ne s'agira pas de virus dans le récit, mais de bactéries. Les bactéries peuvent en effet rendre très malade ou tuer. Et il y a aussi des bactéries qui sont multirésistantes. Cela signifie qu'elles sont résistantes à de nombreux antidotes ou peut-être à tous. L'antidote aux bactéries, c’est les antibiotiques. Donc des produits contre les bactéries. Or, il existe des bactéries qui sont résistantes à presque tous les antibiotiques, voire à tous les antibiotiques. Et on peut les cultiver dans des réservoirs comme ceux de National Resilience. Et on peut aussi y cultiver et produire les poisons bactériens, ça, oui. En tout cas, la première chose, c'est que beaucoup de gens meurent soudainement à cause de bactéries. Et alors il y a probablement à nouveau une grande panique. Et la question est alors de savoir quelle est la solution, quel est le salut ? Normalement, vous avez juste besoin d'un antibiotique. Qu'on dise : le voilà.

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  9. Int : Par exemple, comme la pénicilline ou quelque chose comme ça.

    HS : Comme la pénicilline, non. Mais c’est alors résistant à la pénicilline, ça ne marche pas. Et puis, chère industrie pharmaceutique, quelque chose de nouveau, oui. Faisons quelque chose de nouveau. Et par hasard, ils l'ont déjà introduit dans la formulation et dans le choix des mots de manière à ce qu'il n'y ait pas d'antibiotiques traditionnels, ou d'antimicrobiens. C'est un mot de couverture pour... pour tout ce qui n'est pas vraiment un antibiotique, mais autre chose. De même que la thérapie génique par ARNm n'est pas une vaccination, mais une thérapie génique. Mais on appelle cela une vaccination. Ainsi, les antimicrobiens et les antibiotiques non traditionnels ont déjà été introduits, pour ainsi dire.

    Int : Mais ce ne sont pas vraiment des antibiotiques.

    HS : Ce ne sont pas vraiment des antibiotiques, mais ils sont vendus aux gens comme des antibiotiques. Juste quelque chose de nouveau, de génial.

    Int : Comme pour le vaccin, tout le monde connaissait. Tout le monde a dit, oui, c'est comme un vaccin, alors je peux le prendre. Tout le monde connaît aussi les antibiotiques. C'est beaucoup mieux accepté que si on dit qu'on a là quelque chose de complètement nouveau.

    HS : Exactement. Et ces deux choses doivent être rapprochées. La terreur bactérienne au début, la panique, puis le sauvetage. Et National Resilience est tout à coup merveilleusement capable de produire. Voilà, ce sont ces deux choses. C'est le point essentiel. Et j'aimerais aujourd'hui présenter ce qui est attaqué. Car qu’est-ce qui se passe quand il y a des bactéries dans nos intestins, ce qui est naturel ? Elles s'y rendent et y trouvent aussi beaucoup d'autres bactéries. Notre intestin, j'ai ici une planche de Lego. En fait, notre intestin est très coloré. Il y a beaucoup de bactéries, de champignons et de toutes sortes de choses qui poussent dans notre intestin. Nous avons de toute façon quelque chose qui ressemble à une prairie multicolore. Et si on prend cette planche verte comme une prairie, elle ressemble aussi à ça. Et ce qui est intéressant, c'est que notre intestin n'est pas seulement un tube, mais qu'il a une surface énorme. Comme un terrain de football. Oui. 400 mètres carrés. On peut se demander : un terrain de football ? Comment ça tient dans un être humain ? En augmentant la surface grâce aux villosités. Nous connaissons tout cela grâce à une serviette, une serviette éponge. Le fait qu'elle ait de telles villosités lui confère une grande surface. Elle peut donc absorber beaucoup d'eau et d'autres saletés, c'est-à-dire des particules, de sorte qu'on augmente la surface. L'intestin a donc des villosités, d'où cette énorme surface d'échange de 400 mètres carrés. Et pour le dire très simplement, l'intestin, et je l'ai décrit comme ça dans le livre, l'intestin avec ses villosités est comme une planche de Lego avec des picots. Et je vous remercie d'avoir mis à disposition une planche de Lego avec des picots. En fait, c'est à cela que ressemble notre paroi intestinale. Là, il y a des picots dessus. Et c’est l'état naturel. Ce qui se met en place dès la naissance, c'est que tous les picots sont occupés par des bactéries, principalement des archées, des bactériophages, des champignons etc. Il est entièrement colonisé. Nous avons donc naturellement et utilement dans notre corps encore plus de cellules, des cellules étrangères que nos propres cellules. Et elles nous aident. Car la nourriture que nous absorbons est préparée par toutes ces bactéries spéciales. De sorte qu'elle puisse passer de l'autre côté, être absorbée, ici dans le flux sanguin.

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  10. Et maintenant, on peut bien imaginer que les mauvaises bactéries ou les bactéries résistantes sont plus nombreuses que les autres. C'est pourquoi, comme on le sait en médecine, les mauvaises bactéries résistantes peuvent prendre le dessus après une cure d'antibiotiques. Parce qu'elles ont maintenant beaucoup de surface nouvelle, qu'elles peuvent dire : ici, c'est super, nous y sommes aussi, parce qu'elles n'ont pas autant de concurrence que dans la situation naturelle. Et s'il s'agit de bactéries nuisibles, pour n'en citer qu'une, le Clostridium difficile, abrégé en C. diff. Oui. C'est quelque chose qu'on connaît déjà bien en médecine. On a alors un problème et des gens en meurent. Eh bien, c'est pour ainsi dire la deuxième phase, oui. Les antibiotiques ou les remèdes non traditionnels font une telle coupe à blanc, et maintenant nous sommes dans une situation dangereuse. Et le point suivant est que cet antimicrobien peut être conçu de telle sorte que de nouvelles bactéries naturelles ne puissent plus s'installer aussi facilement. Car normalement, après une cure d'antibiotiques, les bactéries se régénèrent lentement, non ? On mange alors un yaourt ou une soupe de carottes, cuite avec beaucoup de bonnes bactéries colorées et différentes. Et on a alors à nouveau une bonne diversité.

    Mais si c'est comme un poison au glyphosate, que nous connaissons dans les champs, qui ne fait pratiquement pas pousser autre chose, et c'est justement techniquement possible, avec des poisons bactériens. C'est-à-dire ce qu'on peut extraire et ensuite épandre. Seules certaines bactéries y poussent alors. Parfois, il n'y en a pas du tout, et alors nous avons à nouveau un problème. Car dans cette situation, les gens sont immunodéprimés. Ils n'ont plus la fonction protectrice des bactéries naturelles. Pendant cette période, ils sont très affaiblis sur le plan immunitaire, voilà ce qui se passe. Et maintenant, tout le monde s'exclame à nouveau, « Oh, il nous faut à nouveau une solution ! » Tant qu'ils sont immunodéprimés, nous avons à nouveau une situation critique là aussi. Et maintenant, nous avons besoin d'un autre sauvetage. Comment reconstruire notre flore intestinale ? Et si rien ne pousse plus, c'est un peu comme dans les champs. On a d'abord répandu du poison comme le glyphosate, et ensuite seules certaines semences génétiquement modifiées, brevetées et monopolisées, poussent encore. Ils doivent ensuite les acheter chez Monsanto Bayer.

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  11. Int : Comme le maïs OGM.

    HS : Comme le maïs OGM, exactement. Et maintenant imaginez qu'ils peuvent acheter les probiotiques qui en sont capables (brevetés uniquement par certains groupes), qui sont résistants et qu'ainsi, ils peuvent à nouveau reconstruire le tout. Et pendant ce temps, il y a bien sûr des gens qui courent un risque. Là, ils peuvent faire du confinement, de la quarantaine, des mises à l’écart. Parallèlement, toute une industrie de surveillance est mise en place. Je ne fais qu'effleurer la question. Nous avons connu cela avec le Covid, avec les tests nasaux, les bâtonnets dans le nez. Et je dis qu’une subite épidémie massive de prélèvements de selles est préparée. Brusquement, tout le monde ne doit plus donner son code génétique humain via les bâtonnets nasaux, mais via un échantillon de selles, c’est-à-dire le code génétique de sa flore intestinale, de tout son microbiote intestinal. Donc le nouveau « test nasal » sera l'analyse des selles.

    Int : On peut aussi dire que les nouveaux dangers sont ceux qui excrètent.

    HS : Oui, c'est ça. Donc ceux qui excrètent un peu de ces mauvais éléments, oui, ce sont des personnes dangereuses et elles devront bien sûr illico être enfermées, ces « excréteurs ». Et pour ça aussi, il y a maintenant des entreprises associées qui surveillent déjà les toilettes, surveillent les eaux usées des maisons. Cela aussi, nous l'avons déjà fait. Ils ont fermé des maisons, des villages, bouclé des quartiers entiers.

    Int : Parce que dans les eaux usées... - ils l’ont dit – dans les eaux usées, ils ont trouvé des résultats de tests positifs. Un confinement est donc nécessaire...

    HS : Exact. Nous avons trouvé ici un fragment génétique d'une mauvaise bactérie multirésistante. Oui, alors ils sont obligés de le faire. Donc, ce qu'une filiale d'un directeur (en relation avec la National Resilience) … ce qu'ils ont fait, par exemple, c’est qu’ils ont surveillé les toilettes des avions. Maintenant, ils peuvent simplement dire : « Oh, l'alarme se déclenche ». Cette méthode est bien sûr aussi fiable que la méthode du test PCR... Ils peuvent l’adapter à volonté, bon gré mal gré. Ensuite, ils sont dans l'avion et les portes ne s'ouvrent pas, ou alors seulement lorsqu'on aura la garantie que tous les passagers de l'avion iront directement dans un lieu de quarantaine, car un « excréteur » se trouve parmi eux. Et il a éventuellement infecté d'autres personnes. Ce qui, en fait, est plutôt improbable, car il est très, très difficile de transmettre des bactéries. Mais malgré cela, ce narratif deviendra probablement une réalité

    Ce point est important. Mais pour conclure, la situation que nous avons avec les probiotiques c’est qu'on pourra les acheter, intégrés dans un yaourt par exemple, ce que nous connaissons déjà. Mais vous devrez alors acheter des bactéries spéciales, des probiotiques, et les manger afin de recoloniser votre intestin. Mais uniquement ceux fabriqués par des groupes qui ont le monopole. Et ceux-ci poussent tous en rangs d'oignons, pour ainsi dire, comme c’est le cas dans les champs, dans les champs de maïs OGM. Et au final, nous aurons alors...

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  12. HS : Oui, mais j'espère justement que non ! Car le fait que nous ayons une telle crise sanitaire, c'est de la diversion. Tant que nous évoluons dans le domaine de la virologie ou de la médecine en général, comme avec le Covid, nous sommes sur le champ de bataille que le crime organisé a choisi. Et là, ils ne peuvent pas perdre. Car nous ne parlons pas de crime organisé. Nous et tant de virologues amateurs, nous n'avons pas parlé de production ou d'autre chose, d'organisation du crime, mais de santé, comme vous l'avez dit à juste titre. Et je ne peux que dire non, il ne faut pas devenir un bactériologiste amateur ! Et j'espère que les nouveaux gourous des deux côtés ne deviendront pas des bactériologistes maintenant. Et aussi que la médecine en tant que telle, va chercher à minimiser tout cela. Même si je suis moi-même médecin et que j'ai beaucoup d'expérience dans l'industrie etc., j’en suis tout-à-fait conscient. Car le cœur du problème, c'est le crime organisé ! Donc ne pas se laisser distraire par la question de savoir si je dois prendre un antibiotique ou ne pas prendre un antibiotique. Vous avez là une discussion controversée similaire à celle qu’on a déjà eue auparavant, vacciner ou ne pas vacciner ? Là également, très tôt déjà, deux camps se sont installés. Et il en va de même pour la question de la prise ou non d'antibiotiques. Il y a aussi les personnes qui disent non, en aucun cas, jamais. D'autres disent oui, si c'est nécessaire, ou oui, à chaque fois que quelqu'un en blouse blanche le leur conseille. Là également, vous avez déjà ce fondement de la division et du clivage dans de nombreux domaines : diviser pour mieux régner.
    Et c'est pourquoi je peux dire d'emblée que si cela arrive, même si je parle ici d’attaque sur le microbiome, cela a un rapport avec des bactéries. Non, s'il vous plaît, ne devenez pas tous des experts en bactériologie, mais en crime organisé !

    Alors qui sont-ils ? Ce ne sont que quelques personnes. On peut le voir, on peut le mémoriser et ce sont toujours les mêmes, les mêmes structures. Et on peut aussi le voir, dans ces modèles et ces structures, ce que vous dites à juste titre, il y a une situation critique. Et je prédis qu’ils pourront le faire à mon avis au plus tôt à partir du printemps 2025. Et ils veulent avoir la protection relativement tôt, comme je l'ai dit. La protection ne sera plus… contre le Covid, nous avions surtout des vaccins… le prochain sauvetage sera surtout à base de comprimés. Je vais le dire comme ça. Ce sera donc le prochain sauvetage. Des antibiotiques, ou plutôt des antibiotiques non traditionnels, des antimicrobiens. Et toute cette terminologie etc. figure déjà dans le nouveau traité de l'OMS, paragraphe 4, alinéa 4G. Le tout est divisé en de nombreux domaines et afin qu'on ne tombe surtout pas dans le piège, dans le livre c’est vraiment présenté dans son intégralité et de façon compréhensible, avec des sources et des preuves.

    Mais il faut le dire ici, attention, la terreur bactérienne se prépare. Elle arrivera si nous ne dénonçons pas ensemble ce crime organisé. Révélons les personnes, révélons les technologies, comme je l'ai fait avec les technologies végétales. Car dans ce cas aussi, ils utiliseront à nouveau cette technologie de production de plantes, de substances. Parce que c'est le seul moyen. C'est une grande partie, l'ARNm aussi, mais c'est très important de le comprendre.

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  13. de ch.
    Sources / Liens :
    Heiko Schöning
    https://www.wirkraft-institut.net/

    Game Over II - Attaque au microbiome

    https://www.wirkraft-institut.net/game-over/

    Société nationale de résilience
    https://resilience.com/

    Les fabricants de cigarettes participent à la course au vaccin COVID-19
    https://www.youtube.com/watch?v=GwOneN97QY0

    Kentucky BioProcessing, Inc
    https://www.youtube.com/watch?v=76wF17aYdJo

    https://www.kla.tv/fr

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    Réponses
    1. (...) Et maintenant, qu'est-ce qui vient ? Nous l'avons dit au début. Attention, voici des bactéries qui arrivent. Et puis ce sont des bactéries rouges, oui, des bactéries pathogènes. (...)

      (...) Nous et tant de virologues amateurs, nous n'avons pas parlé de production ou d'autre chose, d'organisation du crime, mais de santé, comme vous l'avez dit à juste titre. (...)

      ÂH ! Çà y est ! 'virologue AMATEUR' ! Le 'médecin-chef' (qui n'est PAS un scientifique) reconnaît son incompétence ! Il - comme TOUTES les personnes du service 'médical' - ont lu les rapports scientifiques des Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui ont analysé les flacons injectables dès leurs sorties de laboratoires !
      Elles décrivaient la présence de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !! + des spikes + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !!
      Si avec çà t'es pas mort t'as beaucoup, beaucoup de chance !!
      Mais dans son livre ('Un con vous parle') il parle de cas mais n'aborde jamais de l'origine !

      Pire il parle de... bactéries pathogènes !! Or, une bactérie est scientifiquement INOFFENSIVE et devient offensive si elle transporte des maladies et prend alors le nom de microbe.
      Mais - voir les merdias - il n'a jamais été cité de bactérie ou de microbe il y a plus de 4 ans mais de VIRUS ! Or, un virus est le nom donné aux nano-poussières qui sont par définition INOFFENSIVES sauf les poussières radioactives, ce qui n'est pas là le cas ! (pour anecdote une poussière n'est PAS vivante ! ne se multiplie pas, n'a pas de petits frères ou sœurs, ni ne mute ni ne varie !).

      C'est pourquoi il se garde bien de décrire que ces 'virus' (appelés au départ 'corona', puis 'cocovide19' etc) n'ont JAMAIS été dans l'air !! Il y a dans le monde des milliers de laboratoires qui chaque jour examinent la qualité de l'air et ne l'ont JAMAIS trouvé !! Çà alors !!

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  14. Pilotes : Mort subite et nombreux handicaps et maladies grâce à la vaccination obligatoire


    1 novembre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les décès et les incapacités soudaines de pilotes sont particulièrement visibles en raison du risque pour la sécurité et font souvent l'objet de médias. À cela s’ajoute l’un des taux de vaccination les plus élevés et, au moins jusqu’en 2020, une excellente surveillance médicale.

    Harry Allchin, pilote de Quantas, 30 ans, est décédé « subitement et de manière inattendue » le 13 octobre. Il travaille comme premier officier pour la compagnie aérienne régionale QantasLink depuis 2018. La cause du décès n'a pas été divulguée. Il s’agit de l’une des séries de décès que rapporte régulièrement la chaîne Telegram Airliners for Humanity AT .

    Ce groupe professionnel hautement vacciné et hautement suivi médicalement offre également une bonne opportunité de déterminer les conséquences de la campagne de vaccination. Comme nous l’avons brièvement indiqué précédemment, Sherry Walker – médecin, scientifique et commandant de bord d’une compagnie aérienne – a mené une étude indépendante et a découvert que plus de 23 % des pilotes ayant reçu le vaccin contre la COVID avaient des problèmes de santé.

    L’étude, intitulée « A Review of COVID -19 Vaccine Use and Adverse Effects in US Commercial Airline Pilots », recense bien d’autres risques de sécurité supplémentaires (résumé selon Airliners for Hunity AT) :

    78 % des pilotes de ligne américains interrogés estiment que les vaccins contre la COVID-19 présentent un risque pour la sécurité.

    80 % de tous les répondants estiment que la FAA (Federal Aviation Authority) n’a pas fait preuve de diligence raisonnable en approuvant les vaccins sans tests approfondis.

    77 % des pilotes interrogés ne prendront pas de rappel si celui-ci devient obligatoire.

    Sur la base de leurs connaissances actuelles, 78 % n’auraient pas pris le vaccin ou le rappel.

    Pilotes signalant des effets indésirables : 23,22 %

    Les taux de péricardite et de myocardite dépassent la médiane du CDC pour la population américaine

    Les taux d’acouphènes sont deux fois plus élevés que les taux de péricardite

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  15. Ce graphique est également intéressant, montrant la survenue d’une crise cardiaque après la dernière vaccination.

    - voir graph sur site -

    Les moments d'apparition après la dernière vaccination varient quelque peu selon le fabricant. Ce qui me semble le plus important, cependant, c’est qu’il semble n’y avoir aucune fin en vue. Cela est dû à deux choses. Premièrement, nous savons désormais, grâce à de nombreuses études, que les pointes de vaccination sont retenues et actives dans l’organisme pendant une longue période. L’administration de doses multiples rend le système immunitaire tolérant aux pics de vaccination et aux coronavirus en général. Cela peut être démontré, entre autres, par l’apparition d’anticorps IgG de sous-type 4, ainsi que de cellules T régulatrices qui régulent négativement le système immunitaire.

    Le deuxième effet affecte les cellules du muscle cardiaque, qui n’ont pas la capacité de se régénérer. Une fois les cicatrices formées, elles persistent et peuvent éventuellement provoquer un défaut dans les impulsions électriques du cœur. Les cicatrices surviennent lorsque le système immunitaire détruit les cellules affectées par les pics de vaccination.

    https://tkp.at/2024/11/01/piloten-ploetzlicher-tod-und-viele-beeintraechtigungen-und-krankheiten-dank-impfpflicht/

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  16. Le taux d'autisme aux États-Unis est passé à 1 sur 33 en 2022


    2 novembre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le lien entre les vaccinations infantiles et l’autisme a désormais été prouvé causalement, à la fois statistiquement et par les mécanismes d’action. Depuis des années, le nombre de vaccinations infantiles augmente parallèlement à la fréquence de l’autisme. Mais pas dans les groupes religieux stricts qui rejettent généralement la vaccination, comme les Amish ou les juifs ultra-orthodoxes – l’autisme y est inconnu.

    Dans une étude transversale qui vient d’être publiée sur les dossiers électroniques de santé et d’assurance des États-Unis auprès de plus de 9 millions de personnes par an de 2011 à 2022, l’augmentation des taux de diagnostic d’autisme était significative dans pratiquement tous les groupes d’âge, mais bien sûr chez les enfants. Le taux précédent était de 1 sur 36, il est désormais passé à 1 sur 33 en 2022.

    L'étude de Luke P. Grosvenor et al, « Autism Diagnosis Among US Children and Adults, 2011-2022 », est parue dans Jama Network le 30 octobre 2024 .

    « La prévalence du diagnostic de TSA en 2022 était la plus élevée chez les enfants de 5 à 8 ans (30,3 pour 1 000 enfants) et diminuait avec l'âge, en particulier chez les 45 ans et plus (45 à 54 ans : 0,6 pour 1 000 personnes ; 55 à 64 ans). ans : 0,4 pour 1 000 personnes ; 65 ans et plus : 0,2 pour 1 000 personnes) (tableau). Le taux de diagnostic pour 2022 était plus élevé chez les hommes que chez les femmes, dans un rapport d’environ 3 pour 1 (9,8 pour 1 000 hommes contre 3,1 pour 1 000 femmes).

    - voir graph sur site -

    « Les taux de diagnostic ont augmenté régulièrement de 2011 à 2019, avec des augmentations relatives d'une année sur l'autre allant de 7,2 % à 11,2 %. La prévalence n’a augmenté que de 0,6 % de 2019 à 2020, de 16,5 % de 2020 à 2021 et de 11,9 % de 2021 à 2022. Par rapport à toutes les autres périodes de deux ans (par exemple de 2017 à 2018 : 13,2 % et 3,3 % respectivement), le nombre de personnes autistes inscrites de 2019 à 2020 a augmenté de manière disproportionnée par rapport au nombre global de personnes inscrites (2,4 % et 1,8). %).»

    L'étude a été menée par quatre chercheurs de Kaiser Permanente et un chercheur du Henry Ford Health System.

    Ils ont constaté que le nombre de diagnostics d’autisme sur l’ensemble de l’échantillon avait augmenté de façon alarmante de 175 % au cours de la période d’étude.

    Les augmentations les plus importantes concernent les jeunes adultes, les femmes et les enfants de divers groupes raciaux et ethniques.

    « Les taux rapportés ici pourraient sous-estimer la véritable prévalence des TSA chez les adultes, en particulier chez les femmes adultes plus âgées, car nombre d’entre eux n’ont pas été dépistés dans l’enfance et ne sont donc pas diagnostiqués », écrivent les chercheurs.

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  17. Cependant, l’étude n’a pas mentionné les vaccins comme facteur possible.

    John Gilmore, directeur exécutif de l' Autism Action Network , a déclaré que l'étude confirme ce que nous avons vu à partir de nombreuses autres sources de données : qu'il existe une épidémie catastrophique d'autisme en cours.

    Gilmore prévient que l'étude « répond à la question des gorilles de 800 livres : « Pourquoi les chiffres augmentent-ils ? » "écarte."

    Il accuse les auteurs d’utiliser « les réponses standard obligatoires consistant à modifier les critères de diagnostic et à améliorer la recherche des cas ».

    TKP a rendu compte des groupes non vaccinés ici :

    L'autisme chez les enfants aux États-Unis constitue déjà une urgence - à l'exception des enfants Amish non vaccinés
    https://tkp.at/2023/07/19/autismus-bei-kindern-in-usa-bereits-notfall-ausser-bei-ungeimpften-amischen-kindern/

    Où vivent les enfants les plus en bonne santé d’Amérique
    https://tkp.at/2023/07/11/wo-die-gesuendesten-kinder-der-usa-leben/

    https://tkp.at/2024/11/02/autismus-rate-in-usa-auf-1-von-33-im-jahr-2022-angestiegen/

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  18. Qu’est-ce qui se cache réellement derrière « Un expert s’attend à une pandémie » ?


    1 novembre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les grands médias servent à plusieurs reprises le récit pharmaceutique sur la dangereuse pandémie. Il s’agit ici de promotion des ventes et non de diffusion de véritables connaissances scientifiques. Dans ce cas, même la déclaration d'un médecin est fortement déformée, mais de manière à promouvoir les ventes.

    Non seulement le « sexe fait vendre », mais apparemment aussi ce qu'on appelle le « porno de la peur », en allemand « alarmiste ». Le fait que les médias ne peuvent guère s’appuyer sur des équipes éditoriales scientifiques solides, mais doivent en revanche nourrir toute une série d’employés précaires, pourrait bien être une des raisons du « copier-coller » journalistique qui est devenu plus courant ces dernières années. Les titres de panique semblent être particulièrement populaires. Ici plus précisément : quel expert est censé avoir encore dit quelque chose - et pourquoi ?

    Presque mot pour mot, de nombreux titres de médias ont annoncé le 27 octobre une mauvaise nouvelle : un expert s’attendait déjà à une pandémie. Tous ces rapports remontent à un rapport de l'APA, une version datée du 28 octobre. est disponible sur le site de l'APA . Il s’agit essentiellement d’un seul et même article de l’APA publié sous différents titres, tels que : « Un expert s’attend à une nouvelle épidémie de grippe/grippe aviaire », « Un expert s’attend à une nouvelle épidémie de grippe », « Grippe et grippe aviaire : un expert s’attend à une nouvelle épidémie ». "Expert : 'Une nouvelle et grave épidémie' approche'", qui a frappé les médias fin octobre. Certains médias ont eux-mêmes reconstitué quelque chose de l’interview de l’APA.

    Le message du titre semble important : un autre expert prédit une autre épidémie. Comme vous pouvez le constater, il suffit souvent de lire un seul journal. La « science » est servie de la même manière partout.

    Mais qu’a réellement dit le médecin ?

    L'expert dans ce cas est un véritable spécialiste. Univ.-Prof. Dr. Günter Weiss est directeur de la Clinique universitaire de médecine interne II de la MedUni Innsbruck, spécialisée dans les domaines de médecine interne, d'infectiologie et d'immunologie. Contrairement aux gros titres toujours sensationnels, le médecin a appelé à ce que la rationalité prévale.

    » Une telle épidémie ne devrait en aucun cas s’accompagner de conséquences pour la société dans son ensemble comme avec le coronavirus. Et c'est là qu'on ne « met pas son esprit rationnel de côté », comme cela s'est parfois produit - surtout dans les phases ultérieures - dans la lutte contre la pandémie de corona. Weiss a fait allusion, entre autres, aux fermetures d'écoles à l'époque et bien d'autres encore. « L'APA cite le médecin. Écoutez, écoutez, c'est en fait un médecin sérieux qui exprime ici des critiques.

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  19. La déclaration de Weiss : « Au lieu de cela, il devrait y avoir une « discussion objective et fondée sur des faits » et « pas toujours la recherche de coupables » comme dans ce pays », il faut rétorquer que l'on n'apprend que d'un traitement honnête et détaillé des erreurs. En affaires, il est courant d’apprendre systématiquement de ses erreurs. Les erreurs sont traitées dans ce que l'on appelle les « leçons apprises ». Bien entendu, l’accent n’est pas mis sur la recherche de coupables, mais sur les erreurs à éviter à l’avenir. Mais dans le monde des affaires, les responsables d’erreurs répétées seront à un moment donné confrontés à des conséquences personnelles. Cela serait également nécessaire en politique, où une analyse factuelle est une exigence fondamentale absolue.

    Weiss n’est donc certainement pas un agitateur dans la politique pandémique, mais soyez prudent : « Weiss est d’ailleurs conférencier au « One Health Symposium » à l’Université de médecine vétérinaire de Vienne et à l’Université de médecine d’Innsbruck, qui aura lieu la semaine prochaine dans la capitale tyrolienne. L' événement a eu lieu le 30 octobre sous le titre « One Health Tirol. « Ensemble pour des personnes et des animaux en bonne santé ». Le graphique présenté sur le site Web est constitué de pièces de puzzle pour « Santé humaine », « Santé environnementale » et « Santé animale ». Le concept « One Health » est déjà connu des lecteurs du TKP comme un concept mondial de l'OMS et de l'UE . Le titre de la conférence du professeur Weiss était « Les nouveaux défis des maladies infectieuses à l’époque de One Health et du changement climatique ».

    Dr. Dans une interview avec Bastian Barucker, Sibylle Pfeil a commenté l'approche « One Health » comme suit : « La santé a aussi des références à un environnement sain – désormais selon cette approche One Health – et des références au climat et des références au bien-être animal. . Et cette approche One Health est vraiment si floue et indéfinie pour le moment qu'au final on peut y inclure presque tout ou rien et la question s'est posée : l'OMS ou le Directeur général peuvent-ils éventuellement résoudre une urgence sanitaire à l'avenir ? une « urgence de santé publique de portée internationale, PHEIC » – citant la protection du climat ? Et puis le problème recommence. Qu’est-ce que la protection du climat ? Pouvons-nous réellement protéger le climat ? Où sont les preuves scientifiques ici ? Ici aussi, une quantité incroyable de mesures peuvent être prises sur la base de n'importe quelle étiquette, ce qui porte gravement atteinte à nos libertés civiles. Et c'est là que nous avons un problème fondamental : nous n'avons pas d'organisme de contrôle indépendant. En d'autres termes, en ce qui me concerne, il existe des preuves scientifiques ou, en cas d'atteintes aux droits fondamentaux, une proportionnalité sur papier, également dans ces contrats - et c'est à cela que les "fact checkers" aiment se référer - donc il y a des critères restrictifs, mais si je n'ai pas d'organisme de contrôle indépendant, tout cela ne vaut pas le papier sur lequel c'est écrit.»

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  20. Même si les intervenants de ce colloque ne le savent peut-être pas : le label « One Health » est un label très problématique.

    Enfin, une sélection de « photocopieuses » : que signifie cette adoption aveugle des rapports d’agence pour la présence de véritables journalistes dans les médias respectifs ?

    En faisant clairement référence à la source du rapport, l’APA :

    « Un expert s'attend à une nouvelle épidémie de grippe/grippe aviaire » Salzburger Nachrichten le 27 octobre ( https://www.sn.at/panorama/oesterreich/experte-influenza-vogelgrippe-epidemie-167412688 ) « par : APA »

    « L'expert s'attend à une nouvelle épidémie de grippe/grippe aviaire à moyen terme » la norme ( https://www.derstandard.at/story/3000000242408/experte-rechner-mit-neuer-influenzavogelfluppe-epidemie ) « apa »

    « Un expert s'attend à une nouvelle épidémie de grippe » OÖ Nachrichten ( https://www.nachrichten.at/meine-welt/gesundheit/experte-rechner-mit-neuer-influenza-epidemie;art114,3995168 ) » de nachrichten.at/apa »

    « Un expert s'attend à une nouvelle épidémie de grippe/grippe aviaire » News ( https://www.news.at/schlagzeilen/experte-rechner-mit-neuer-influenzavogelfluppe-epidemie ) « par : APA »

    « Un expert s'attend à une nouvelle épidémie de grippe/grippe aviaire » Kleine Zeitung ( https://www.kleinezeitung.at/service/newsticker/chronik/19010391/experte-rechner-mit-neuer-influenza-vogelfluppe-epidemie ) sous « Newsticker> APA Chronique"

    Et en référence aux « agences/rédaction/rouge » :

    « Grippe et grippe aviaire : un expert s'attend à une nouvelle épidémie » Puls4 ( https://www.puls24.at/news/chronik/experte-rechner-mit-neuer-influenzavogelgrippe-epidemie/361564 )

    Ou sans aucune citation de source immédiatement évidente :

    « Expert : « Une nouvelle et grave épidémie » approche » Krone ( https://www.krone.at/3573148 )

    « Un expert s'attend à une nouvelle épidémie de grippe/grippe aviaire » Tiroler Tageszeitung ( https://www.tt.com/artikel/30894644/experte-rechner-mit-neuer-influenza-vogelfluppe-epidemie )

    « Un expert s'attend à une nouvelle épidémie de grippe/grippe aviaire » Kurier ( https://k.at/news/experte-rechner-mit-neuer-influenzavogelgrippe-epidemie/402968025 ) « Article de la rédaction de k.at »

    https://tkp.at/2024/11/01/was-steckt-wirklich-hinter-experte-rechnet-mit-pandemie/

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  21. Tout comme au Danemark une étude américaine met en évidence 3 types de lots de Pfizer ARNm inégalement contaminés et inégalement dangereux


    le 1 novembre 2024
    par pgibertie


    Cette lettre de recherche s’ajoute à une publication récente de Schmeling, Manniche et Hansen (2023) [1] qui a identifié des événements indésirables suspectés (EIG) inattendus et dépendants du lot après la vaccination COVID-19 par ARNm BNT162b2 de Pfizer-BioNTech (Pfizer-BioNTech). L’étude a associé les allocations de doses de lots de vaccins aux taux d’EIG à partir de données recueillies au Danemark entre le 27/12/20 et le 11/1/22. Les chercheurs ont classé les EIG à partir des données de cas en trois catégories (c’est-à-dire décès, graves et tous les EIG). Trois groupes distincts ont été identifiés qui présentent des taux différents de taille de lot par rapport aux EIG (c’est-à-dire jaune, vert et bleu). Les chercheurs ont constaté que plus la taille du lot de vaccins est grande, plus les taux d’EIG sont faibles (identifiés comme les groupes jaunes), et vice versa (c’est-à-dire que les tailles de lot plus petites sont corrélées à des taux d’EIG plus élevés, ou groupes bleus).

    Aux États-Unis, 52,8 % de tous les vaccins COVID-19 attribués étaient le vaccin Pfizer-BioNTech [4]. Une demande en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) adressée aux Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis contenant les doses de vaccin par numéros de lot a été rendue publique par le biais d’une action en justice en octobre 2022 [2]. À partir de ces données, plus de 410 millions de doses du vaccin Pfizer-BioNTech ont été attribuées entre le 13/12/20 et le 26/04/22 à partir de 156 numéros de lot différents [2]. Cet ensemble de données comprend le numéro de lot de vaccination, le fournisseur de vaccins (avec le nom, la ville, l’état et le code postal), le nombre de doses par envoi, la date d’expédition de la commande et la date d’expiration du lot pour les envois effectués à travers les États-Unis.

    Pour les trois années de données, un total de 977 542 cas ont été signalés au VAERS. Parmi ceux-ci, 455 820 cas (46,7 %) étaient associés à la vaccination Pfizer BioNTech (voir le tableau supplémentaire 2 pour les classes de lésions signalées par lot de vaccin).

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  22. Cette étude, comme celle du Danemark, conclut qu’il existe des variations claires dans les lots de vaccins de Pfizer-BioNTech et que le même schéma d’effets indésirables graves a été observé. Les données d’attribution des vaccins utilisées dans cette étude n’ont été publiées qu’à la suite d’une action en justice forcée et ne fournissent pas de données au-delà d’avril 2022. À l’heure actuelle, l’ensemble de données publiques du VAERS n’est fourni qu’au niveau de l’Éthttps://pgibertie.com/2024/11/01/tout-comme-au-danemark-une-etude-americaine-met-en-evidence-3-types-de-lots-de-pfizer-arnm-inegalement-contamines-et-inegalement-dangereux/at, ce qui est insuffisant pour saisir les variations dans les différentes régions d’un État. La fourniture automatique de données mises à jour et démocratisées au public améliorerait la transparence et la confiance dans le gouvernement.

    https://pgibertie.com/2024/11/01/tout-comme-au-danemark-une-etude-americaine-met-en-evidence-3-types-de-lots-de-pfizer-arnm-inegalement-contamines-et-inegalement-dangereux/

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  23. Témoignage américain : comment ils cachent l’épidémie post vaccination ARNm


    le 2 novembre 2024
    par pgibertie


    En date de la 42e semaine de 2024, soit 4,65 ans après le début de la pandémie de Covid-19 et de ses conséquences, 1 696 941 décès supplémentaires ont été enregistrés à ce jour. Il est certain que le virus SARS-CoV-2 était un agent pathogène mortel, lui-même 6,6 fois plus mortel que le total annuel de mortalité typique de tous les virus de la grippe combinés. Cependant, comme le lecteur le déduira des éléments ci-dessous, ce sont les actions alimentées par la panique, et dans certains cas malveillantes, de ceux qui détenaient le pouvoir qui ont contribué à précipiter la plus grande partie de la surmortalité totale pendant la pandémie, ainsi que dans les périodes post-pandémiques.

    - voir cadre sur site -

    Au 19 octobre 2024 , il y a eu

    765 984 décès supplémentaires dus à des causes naturelles non liées à la Covid (principalement dus au vaccin contre la Covid),
    174 100 décès non naturels excédentaires (dont 120 000 morts cardiaques subites chez des consommateurs occasionnels de drogues),
    379 085 décès supplémentaires dus à des fautes professionnelles et à un refus de traitement,1
    377 773 décès supplémentaires dus au virus SARS-CoV-2 (6,6 fois le nombre annuel de grippes et de pneumonies)2

    soit un total de 1 319 169 (77,7 %) décès excédentaires d’origine humaine de citoyens américains, sur un total de 1 696 941 décès excédentaires dus à la pandémie.

    Comme mentionné précédemment sur X, et comme beaucoup de mes lecteurs le savent, depuis janvier 2023, nous avons connu la perte de 10 membres de notre famille (tante/oncle/cousin germain ou plus proche de moi/conjoint – je viens de vivre un autre décès par cancer depuis la publication de cet article). Ces pertes, toutes associées ou causées par le cancer, sont survenues chez des personnes âgées de 70 ans et plus. Parmi elles, les dix étaient toutes vaccinées contre l’ARNm Covid-19 et renforcées, deux étaient en rééducation après un AVC et, dans un cas, le cancer était en rémission depuis une décennie. Cependant, pour donner un contexte, au cours des 60 dernières années, ce même groupe familial (en tenant compte du renouvellement générationnel) n’a connu que trois cas de cancer, dont un seul a entraîné la mort après une bataille prolongée (cancer de la prostate). Les maladies cardiovasculaires et cardiaques ont été davantage le problème clé au sein de nos lignées.

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  24. Sur un groupe familial totalisant environ 150 personnes, cet événement (~7 %) représente un écart significatif par rapport à la norme pour les seuls décès, sans compter que tous ces décès sont dus au cancer seul. Même en tenant compte de l’âge moyen des personnes touchées, cela équivaut à un événement sigma 20+ pour notre groupe familial. Tout au long de l’année 2023, ma femme et moi avons consacré une partie considérable de notre temps à travailler ou à assister à des funérailles.

    Un deuxième cancer agressif indépendant en l’espace d’un an

    En décembre 2023, nous avons tragiquement perdu l’un de nos proches, victime d’un cancer du côlon. Le drame a commencé lorsqu’elle a remarqué une grosseur importante et à croissance rapide dans son quadrant inférieur gauche au début du mois de septembre de la même année. Elle venait de se remettre d’une opération réussie du cancer du sein, huit mois seulement auparavant. Cette grosseur lui causait de l’inconfort, notamment lors du péristaltisme du gros intestin passant par son côlon descendant. Par conséquent, elle a rapidement pris rendez-vous avec son médecin généraliste.

    Ma femme et moi l’avons accompagnée à plusieurs rendez-vous chez son médecin généraliste et son cancérologue-hématologue en octobre et novembre. Mais en novembre, la grosseur avait rapidement atteint la taille d’un pamplemousse, ce qui lui causait d’importantes douleurs. L’équipe médicale a réagi rapidement, en lui administrant des analgésiques appropriés et en effectuant divers tests, scanners et traitements pour le cancer du côlon. Je félicite l’ensemble de ses soignants pour leur compassion et leur réactivité.

    J’ai rencontré le médecin généraliste en face à face le 13 octobre 2023 et la discussion suivante a suivi.

    TES : « Merci pour l’attention supplémentaire que vous nous portez aujourd’hui, docteur. Elle est catégorique : son arthrite d’apparition soudaine, son anémie, ses lésions cutanées, ses cloques, ses douleurs articulaires, ses ecchymoses aux extrémités et maintenant son deuxième cancer en 10 mois sont tous le résultat du vaccin contre la Covid-19. Pensez-vous que tout cela est dû au moins en partie au vaccin contre la Covid ?

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  25. Dr GP : « Oui, je crois. Le changement d’état entre avant et après était très marqué. De plus, j’ai constaté ce phénomène chez d’autres patients. Elle et moi avons eu cette discussion lors de sa dernière visite. Elle m’a demandé si tout cela, et son cancer précédent, étaient dus au vaccin, et je lui ai répondu « oui », ou « très probablement ».

    TES : « Allez-vous diagnostiquer cela comme un cancer et comme une blessure liée au vaccin Covid-19 dans son dossier médical ? »

    Dr GP : « Je n’ai aucune preuve de cela. Je peux citer son anémie, mais nous avons besoin de plus de tests pour prouver un cas et un type de cancer du côlon. Allons-y et prenons rendez-vous. »

    TES : « Excellent docteur, merci. Mais il s’agit, selon vous, d’un cancer du côlon ? »

    Dr GP : « Oh oui. »

    Le médecin généraliste nous a dirigés vers un hématologue-oncologue pour une évaluation plus approfondie. La mesure initiale de l’antigène carcinoembryonnaire (ACE) de 11,9 était effectivement élevée, ce qui suscitait des inquiétudes. Cependant, l’hématologue a souligné que même si un ACE élevé peut suggérer la présence d’un cancer, il n’est pas définitif en soi. J’ai fait remarquer au spécialiste que le temps était essentiel, étant donné que le cancer était passé de la taille d’un pamplemousse en seulement 90 jours, et surtout compte tenu du traitement continu fourni par ses médecins traitants et l’équipe de soins palliatifs, tous opéré sous l’hypothèse d’un diagnostic de cancer. Malgré l’absence de diagnostic définitif, l’urgence de la situation était claire, soulignant la nécessité de procéder à des tests rapides et décisifs.

    Malgré nos efforts pour fixer des rendez-vous pour des tests supplémentaires, son état physique déclinant a rendu la tâche difficile sur le plan logistique. Malheureusement, elle est décédée 107 jours après le début de sa deuxième bataille contre le cancer en moins d’un an. Le premier cas, un cancer du sein, avait été retiré chirurgicalement fin 2022. Après son décès, j’ai contacté l’hématologue-oncologue pour m’enquérir de son diagnostic dans le dossier médical. Sa réponse a été décourageante : « Nous n’avions aucune preuve. Je ne peux donner un diagnostic de cancer que sur la base de preuves définitives. » Bien que cela ait du sens, la conversation a néanmoins souligné la frustration et le sentiment d’impuissance que nous avons éprouvés face à une maladie qui a échappé à tout diagnostic clair jusqu’à ce qu’il soit tragiquement trop tard.

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  26. Nous avons été confrontés à une frustration similaire, avec un bureau du coroner qui avait trois mois de retard et des services médicaux qui n’étaient absolument pas préparés ou disposés à effectuer une biopsie post-mortem pour prouver notre cas.

    Lorsque le certificat de décès est arrivé cette semaine de l’État, tel qu’il a été rédigé par le médecin des soins palliatifs (qui ne l’avait même jamais vue – rappelez-vous, ces personnes déterminent la plus grande prépondérance des appels pour « cause de décès »), la cause immédiate et sous-jacente (et a fortiori multiple) du décès n’avait qu’un seul code CIM répertorié : « maladie d’Alzheimer ». La maladie n’était même pas intitulée correctement : G30 (maladie d’Alzheimer ). Apparemment, pour un diagnostic de cancer, il faut apporter une preuve définitive, mais pour une explication ad hoc , il n’est pas du tout nécessaire d’apporter une preuve, ni même un indice. Vous fabriquez simplement la réponse imposée par votre conseil médical d’État.

    Elle n’a jamais souffert de la maladie d’Alzheimer, et on ne lui a jamais diagnostiqué ni même soupçonné qu’elle en était atteinte. Elle était vive d’esprit et fonctionnelle jusqu’à quelques jours avant sa mort.

    Voilà comment fonctionne la fausse science. La réponse que vous n’aimez pas doit être accompagnée d’une preuve irréfutable. La réponse que vous préférez n’a pas besoin de fournir la moindre preuve et est vraie jusqu’à preuve du contraire (clin d’œil, petit coup de pouce).

    - voir cadres sur site :

    https://pgibertie.com/2024/11/02/temoignage-americain-comment-ils-cachent-lepidemie-post-vaccination-arnm/

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  27. Maintenant ils veulent injecter les truites et les carpes avec de l’ARNm


    le 1 novembre 2024
    par pgibertie


    Maintenant que les usines existent il faut les faire tourner !

    - voir cadres sur site :

    https://pgibertie.com/2024/11/01/maintenant-ils-veulent-injecter-les-truites-et-les-carpes-avec-de-larnm/

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  28. Pour des oncologues britanniques le lien de causalité est établi entre vaccins covid et cancers turbo, les statistiques us confirment le désastre


    le 1 novembre 2024
    par pgibertie


    N’acceptez pas leurs mensonges. Nous avons un problème de cancer qui a commencé avec le vaccin à ARNm. Les commissions médicales d’État ordonnent que ce fait soit dissimulé dans les actes de décès. Ce sont les mêmes personnes qui vous ont refusé un traitement contre le Covid.

    Le chirurgien J. Royle met en lumière une augmentation des cancers colorectaux agressifs, ou « turbo cancers ». Ses collègues observent également une hausse significative de ces cancers incurables au cours des deux dernières années. La corrélation temporelle entre cette augmentation et le déploiement des vaccins ARNm répond à des critères épidémiologiques pour établir un lien de causalité.
    Un chirurgien britannique met en garde contre une augmentation des « cancers turbo » inopérables suite au déploiement du vaccin COVID
    Le Dr James Royle, chirurgien britannique de renom, a tiré la sonnette d’alarme face à une augmentation significative des « cancers turbo » agressifs et à propagation rapide.

    Selon le Dr Royle, ces cancers se développent, se propagent et mutent à une vitesse sans précédent. Ses inquiétudes font écho aux conclusions du professeur Angus Dalgleish et d’autres professionnels de la santé du monde entier. Il est convaincu que ce changement est dû à la thérapie génique à ARNm contre la COVID, commercialisée auprès du public par les établissements médicaux et les médias traditionnels sous le nom de « vaccin contre la COVID ».

    « Plusieurs de mes collègues de l’équipe multidisciplinaire, chirurgiens, oncologues, pathologistes, radiologues et infirmières spécialisées m’ont tous reconnu le changement soudain des tendances et l’augmentation spectaculaire de ces cancers avancés incurables que nous avons observés au cours de ces deux dernières années. »

    Le Dr Royle a souligné un lien temporel clair entre la hausse du nombre de cas et le déploiement du vaccin COVID, affirmant que cela répond aux critères de Bradford-Hill , une norme utilisée en épidémiologie pour évaluer la causalité.

    « Outre l’augmentation des décès toutes causes confondues dans les pays fortement vaccinés depuis le déploiement du vaccin injectable génétiquement modifié [c’est-à-dire le « vaccin » contre la COVID], on a observé une augmentation alarmante et significative des cancers. Ces cancers ont été appelés familièrement « cancers turbo ». Il ne s’agit évidemment pas d’un terme scientifique, mais il reflète la nature biologique agressive différente qui semble être observée par le public ainsi que par les cliniciens.

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  29. « Malgré les récents articles [des médias grand public] affirmant que la croissance soudaine des cancers n’est pas nouvelle… on constate une augmentation claire et spectaculaire en 2021, peu de temps après le déploiement du vaccin.

    « Une étude sérieuse récemment publiée au Japon, maintenant expurgée après une pression importante, a montré une surmortalité liée au cancer dans les populations vaccinées. Les cancers sont observés à tous les âges. Je suis d’avis, partagé par de nombreux experts [et] collègues cliniciens du monde entier, que les cancers que nous observons sont extrêmement agressifs et ont une biologie différente. Une étude a montré cette augmentation spectaculaire, en particulier chez les jeunes âges jusqu’en 2021 – augmentation de 5,2 %, en 2022 – augmentation de 7,9 %. J’ai remarqué des récidives agressives et généralisées chez des patients atteints d’un cancer du côlon précédemment traités avec succès et que je considérais comme guéris. De nombreuses métastes dans ces cas sont inhabituelles ou atypiques.

    « Les personnes d’âge moyen ou plus âgées présentent des cancers colorectaux de stade 4 qui apparaissent soudainement et qui sont incurables et qui disparaissent en quelques semaines ou quelques mois. Dans de nombreux cas, le foie entier semble rempli de grosses tumeurs rondes. C’est horrible à voir toutes les semaines. D’après mon expérience, il est rare que les cancers colorectaux soient aussi agressifs chez les personnes âgées. En général, les cancers sporadiques sont encore opérables lorsqu’ils se déclarent. »

    « L’augmentation spectaculaire de ces cancers avancés et incurables est alarmante », a-t-il noté.

    En conclusion de la vidéo, il a exigé que l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 soit immédiatement arrêtée : « En conclusion, les données sont claires : les vaccins contre la COVID-19 ne sont ni sûrs ni efficaces. Mes propres observations personnelles sont de plus en plus confirmées par d’autres données à travers le monde, par des études de recherche et par l’avis d’experts d’autres centres. J’exige personnellement que ces injections et toute promotion de celles-ci soient arrêtées avec effet immédiat. »
    Réaction sur les réseaux sociaux :

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  30. – Je travaille pour le même Trust que le Dr James Royal et, comme lui et bien d’autres, nous exprimons nos inquiétudes depuis longtemps. Il est bon de constater que de plus en plus de personnes s’expriment à mesure que la vérité est connue.

    – Beaucoup d’amies de mes filles en donnent à leurs tout-petits. C’est affolant.

    – Ma mère était une femme indépendante et en bonne santé, qui sortait de chez elle tous les jours jusqu’à ce qu’elle se fasse vacciner. Deux jours plus tard, elle a eu des saignements derrière les yeux. Quelques mois plus tard, on lui a diagnostiqué un cancer du poumon et du cerveau, sans aucun symptôme. Trois jours après le diagnostic, elle est décédée. Je sais à 100 % ce qui a provoqué ce problème.

    – Je me demande quand les urologues vont commencer à parler des hommes dont le cancer de la prostate est en rémission depuis des années après un traitement avec des PSA faibles en série et qui enregistrent maintenant soudainement des PSA élevés et présentent de multiples sites métastatiques de la maladie ?

    – Il est temps que les fabricants du vaccin contre la COVID-19 et tous ses boosters soient définitivement mis au placard !

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  31. Explosion des Maladies Auto-immunes et des C4NC3R Aggressifs L’étude met en lumière une augmentation significative de cas de maladies auto-immunes et de C4NC3R agressifs après les vaccinations à ARNm. Ces vaccins ont provoqué des réponses immunitaires déséquilibrées, entraînant l’apparition de C4NC3R non seulement au site d’injection mais également dans des sites métastatiques à distance, mettant en évidence leur danger potentiel pour tout l’organisme. Déséquilibre Immunitaire et Déclin de la Fonction Thymique Le vaccin induit une involution thymique (rétrécissement et dysfonctionnement du thymus) en perturbant l’équilibre crucial entre les cellules T régulatrices (Treg) et les cellules T effectrices (Teff). Ce dysfonctionnement du système immunitaire affecte la capacité de l’organisme à prévenir les maladies auto-immunes et à défendre contre les cellules C4NC3R, créant ainsi un terrain propice aux maladies graves. Des cellules immunitaires activées transportent la protéine de pointe (spike) vers les cellules épithéliales du thymus, les endommageant et affaiblissant davantage la réponse immunitaire. Injection Répétée : Aggravation des Risques d’Auto-immunité et de C4NC3R Les preuves empiriques suggèrent que les injections répétées d’ARNm diminuent non seulement la fonction immunitaire mais augmentent également les taux de C4NC3R. Les taux élevés d’IgG4 et de PD-L1 associés à la vaccination révèlent une baisse de résistance aux infections et une amplification des risques de C4NC3R et d’auto-immunité. Dans les cas de patients atteints de C4NC3R, l’administration de ces vaccins pourrait soit déclencher des maladies auto-immunes, soit exacerber la progression de la maladie, ce qui rend leur utilisation extrêmement risquée pour ces populations vulnérables . Déclin Immunitaire Global et Détérioration de la Santé Publique Les découvertes scientifiques de cette étude remettent en question les fondements mêmes de la sécurité des vaccins à ARNm. Le déclin de la capacité immunitaire, résultant en infections fréquentes et exacerbant des pathologies existantes, est particulièrement alarmant chez les patients plus âgés et ceux avec des antécédents d’infections ou de maladies immunitaires. Le vaccin perturbe la régulation immunitaire naturelle, entraînant un affaiblissement de la défense contre les C4NC3R et une susceptibilité accrue aux maladies auto-immunes. Une Réforme Urgente de la Politique de Santé Publique En conclusion, l’ampleur des impacts négatifs des vaccins à ARNm exige des actions urgentes. Cette étude fournit des preuves accablantes que les vaccins à ARNm compromettent l’intégrité du système immunitaire et créent des risques à long terme pour la santé humaine. Pour prévenir de futures crises de santé publique, il est impératif que les autorités sanitaires suspendent immédiatement l’utilisation des vaccins à ARNm et procèdent à des révisions approfondies de leur sécurité, afin de protéger la population mondiale des effets néfastes et potentiellement irréversibles de ces produits . L’étude : https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/112/356…

    - voir graph sur site :

    https://pgibertie.com/2024/11/01/pour-des-oncologues-britanniques-le-lien-de-causalite-est-etabli-entre-vaccins-covid-et-cancers-turbo/

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  32. Ile Maurice : les réseaux sociaux bloqués après un scandale d'écoutes téléphoniques


    le 02 novembre 2024 - 00:02


    L'île Maurice, pays de l'océan Indien en proie à un scandale d'écoutes téléphoniques à grande échelle, a bloqué vendredi l'accès aux réseaux sociaux, à quelques jours des élections législatives prévues le 10 novembre.

    La mesure a été annoncée par l'opérateur de télécommunications EMTEL qui a dit avoir reçu jeudi en fin de journée de l'Autorité des technologies de l'information et de la communication l'ordre de bloquer l'accès à toutes les plateformes de réseaux sociaux.

    "Suite à la publication de certains enregistrements sur les réseaux sociaux, il existe un risque réel que la sécurité nationale et l'intégrité de notre République et de nos partenaires internationaux aient été compromises", a déclaré le bureau du Premier ministre dans un communiqué.

    Le blocage devrait durer jusqu'au 11 novembre, soit le lendemain du scrutin.

    Cette décision fait suite au scandale qui a éclaté récemment, lorsque des extraits de conversations téléphoniques de politiques, de membres de la société civile, de diplomates et de journalistes ont été enregistrés et ont fuité sur internet.

    NetBlocks, un organisme de surveillance de la gouvernance de l'internet, a confirmé que Facebook, Instagram, TikTok et X n'étaient pas accessibles.

    L'ancien PDG de Mauritius Telecom, Sherry Singh, a été arrêté vendredi soir avec trois autres suspects dans le cadre de l'enquête sur ces fuites, ont indiqué des sources policières à l'AFP.

    Le gouvernement n'a pas commenté dans l'immédiat la mesure d'interdiction.

    "C'est choquant, révoltant et inacceptable. C'est un signe de panique", a déclaré Paul Berenger, l'un des dirigeants de la coalition d'opposition Alliance pour le changement.

    "Nous avons affaire à des personnes dangereuses pour le pays. Les avocats travaillent sur ce qui peut être fait légalement. Nous allons agir très rapidement sur le plan juridique et politique", a-t-il ajouté.

    "C'est le dernier acte désespéré d'un régime en déroute", a déclaré Nando Bodha, chef du groupe d'opposition Linion Reform.

    "Il attaque de front les droits fondamentaux des citoyens garantis par la Constitution, y compris la liberté d'expression", a-t-il ajouté, appelant à une intervention de la Commission électorale pour garantir que les scrutins soient "libres et équitables".

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  33. L'île Maurice, l'une des démocraties les plus stables d'Afrique, tiendra des élections législatives le 10 novembre.

    Lors de ce scrutin, le Mouvement socialiste militant (MSM) du Premier ministre Pravind Kumar Jugnauth cherchera à conserver sa majorité à l'Assemblée nationale et à accorder à M. Jugnauth un nouveau mandat de cinq ans.

    Pravind Kumar Jugnauth a accédé au poste de Premier ministre à la mort de son père en 2017, avant d'assurer la victoire de sa coalition lors des législatives de 2019.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/ile-maurice-les-reseaux-sociaux-bloques-apres-un-scandale-d-ecoutes-telephoniques

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  34. Des lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation disent que la faim dans le monde est négligée dans les élections américaines


    1 Novembre 2024
    AGDAILY Reporters*


    Le Dialogue International Norman E. Borlaug 2024 est une conférence de haut niveau de trois jours axée sur les questions de pointe en matière de sécurité alimentaire et d'agriculture. L'événement 2024, qui [s'est déroulé] du 29 au 31 octobre dans l'Iowa, [a eu] pour thème « Seeds of Opportunity: Bridging Generations and Cultivating Diplomacy » (graines d'opportunités : rapprocher les générations et cultiver la diplomatie), [a réuni] des dirigeants mondiaux et des experts de premier plan dans les domaines du développement, de l'agriculture, de la politique économique, de la gestion des ressources et de la nutrition. Il [comprenait] également une cérémonie officielle de remise des prix célébrant les lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation 2024 et leur rôle dans la lutte contre la faim dans le monde.

    Vous trouverez ci-dessous un communiqué de presse signé par 13 lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation et publié [le 30 octobre 2024], appelant les gouvernements américains actuel et futurs à faire preuve de leadership dans la lutte contre la faim dans le monde.

    Voici la déclaration dans son intégralité :

    ° o 0 o °

    Nous sommes frappés par le fait que les élections américaines, qui auront lieu dans une semaine, n'ont pratiquement pas abordé la question de la faim dans le monde. Les progrès sans précédent réalisés contre la faim dans le monde au cours des dernières décennies ont commencé à s'inverser. Le nombre et le pourcentage de personnes souffrant de faim chronique dans le monde sont passés de 581 millions (7,5 %) en 2019 à 733 millions (9,1 %) en 2023. Cette situation a des implications menaçantes pour la paix et la prospérité partout dans le monde. Mais les succès passés montrent que nous savons comment remettre le progrès sur les rails. Ce dont nous avons le plus besoin, c'est d'un leadership politique, en particulier de la part des États-Unis.

    La pandémie de COVID a déprimé l'économie mondiale et perturbé le commerce mondial. Elle a entraîné une inflation mondiale et des taux d'intérêt élevés. De nombreux pays à faible revenu sont aujourd'hui accablés par des dettes impossibles à rembourser, la plupart du temps sans qu'ils en soient responsables. En tant que groupe, ils dépensent aujourd'hui davantage pour le service de la dette que pour la santé et l'éducation. Le changement climatique a frappé les pays tropicaux de plein fouet, mettant à mal les moyens de subsistance de nombreuses familles pratiquant l'agriculture de subsistance. Des situations de famine ou de quasi-famine sont réapparues dans le monde entier. Les conflits violents se sont également multipliés, drainant l'argent et l'attention politique au détriment de l'investissement dans une vie meilleure pour tous.

    Mais la chose la plus importante à savoir sur la faim dans le monde est peut-être que nous savons comment relancer le progrès. Nous pouvons investir dans la productivité agricole en améliorant les semences, la gestion des sols, la lutte contre les parasites et maladies, l'information, la technologie, la gestion de l'eau et les finances, puis investir dans les infrastructures pour aider à acheminer les denrées alimentaires vers les marchés plus rapidement, à moindre coût et avec moins de pertes et de gaspillages. Nous pouvons faire en sorte qu'une plus grande partie de la nourriture produite soit locale, nutritive et résistante au climat.

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  35. Des centaines de personnes du monde entier se sont réunies cette semaine à Des Moines, dans l'Iowa, à l'occasion du dialogue Borlaug, pour débattre de ces questions et d'autres moyens de progresser à nouveau dans la lutte contre la faim et la malnutrition. Les lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation de cette année, Geoffrey Hawtin et Cary Fowler, ont joué un rôle de premier plan dans la préservation et la protection de l'héritage mondial de la biodiversité des cultures et dans la mobilisation de cette ressource essentielle pour lutter contre les menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire mondiale. Les anciens lauréats de Des Moines ont à leur actif de nombreuses réussites dans des domaines aussi variés que l'élimination des mines terrestres, l'amélioration de la production alimentaire et de la nutrition ou la lutte contre le changement climatique.

    Les présidents de trois pays africains, de la Banque Mondiale et de la Banque Africaine de Développement sont venus au dialogue Borlaug cette année pour partager des stratégies visant à alléger le fardeau de la dette qui pèse sur les pays à faible revenu, à accroître la production agricole en dépit du changement climatique et à favoriser la paix.

    Mais le monde peut-il rassembler la volonté politique nécessaire pour saisir les opportunités qui s'offrent à lui ? Nous souhaitons attirer l'attention sur quatre points de décision à venir.

    Premièrement, les gouvernements actuel et futurs des États-Unis peuvent et doivent apporter un soutien et une collaboration solides à la nouvelle Alliance Mondiale Contre la Faim et la Pauvreté. Cette initiative sera lancée par le Groupe des 20, les dirigeants des 20 économies les plus puissantes du monde, lors de leur réunion au Brésil le mois prochain, sous la direction du président Lula da Silva, lauréat du Prix Mondial de l'Alimentation. L'Alliance Mondiale est conçue pour mobiliser des efforts accrus afin de restaurer les progrès accomplis dans la lutte contre la faim et la pauvreté et d'assurer le soutien des gouvernements qui souhaitent mettre en œuvre des approches éprouvées à l'échelle nationale.

    Deuxièmement, les États-Unis devraient prendre la tête d'une solide reconstitution du fonds de la Banque Mondiale pour les pays à faible revenu, aux côtés d'autres gouvernements, en décembre prochain. Cette décision sur le montant du financement que les donateurs mettront à disposition au cours des trois prochaines années est essentielle pour aider les pays à faible revenu à faire face au fardeau de l'après-COVID.

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  36. Troisièmement, les États-Unis peuvent amplifier et conduire d'autres pays industrialisés à répondre à l'appel du pape François, qui demande aux Nations du monde de prendre des mesures audacieuses pour résoudre le problème du fardeau de la dette post-COVID des pays à faible revenu en 2025, année qu'il a proclamée année du Jubilé.

    Quatrièmement, les électeurs américains devraient réfléchir à la manière dont les différents candidats aux élections locales, étatiques et fédérales traiteront les familles qui luttent contre la faim dans leurs communautés et à l'étranger. Leurs choix auront un impact important sur la reprise des progrès contre la faim aux États-Unis et dans le monde.

    Alors que nous nous réunissons dans l'Iowa, au cœur des États-Unis, nous pensons également au-delà de l'élection américaine et nous planifions l'avenir pour parvenir à un monde sans pauvreté et sans faim. Bien que la COVID, le changement climatique et les conflits nous aient mis en veilleuse pour l'instant, nous sommes optimistes quant à la possibilité de remettre le monde sur la voie de l'éradication de la faim et de la pauvreté. L'énergie, les idées et la coopération qui se dégagent du dialogue Borlaug représentent un pas en avant. Les personnes souffrant de la faim luttent pour une vie meilleure. Le leadership des États-Unis peut leur donner de l'espoir.

    Signé en partenariat,

    Les lauréats du Prix mondial de l'alimentation :

    Maria Andrade (lauréate 2016)

    David Beckmann (lauréat 2010)

    Howarth Bouis (lauréat 2016)

    Gebisa Ejeta (lauréat 2009)

    Lawrence Haddad (lauréat 2018)

    Geoffrey Hawtin (Lauréat 2024)

    Gurdev Khush (lauréat 1996)

    Heidi Kühn (lauréate 2023)

    Rattan Lal (lauréat 2020)

    Jan Low (lauréat 2016)

    Per Pinstrup-Andersen (lauréat 2001)

    Pedro Sanchez (lauréat 2002)

    Shakuntala Haraksingh Thilsted (lauréate 2021

    *

    * Source : Laureates say world hunger is overlooked in U.S. elections | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2024/11/des-laureats-du-prix-mondial-de-l-alimentation-disent-que-la-faim-dans-le-monde-est-negligee-dans-les-elections-americaines.html

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  37. La magie de l'ail : ce trésor culinaire peut éloigner les maladies et préserver le bien-être


    31/10/2024
    Olivia Cook


    L'ail est depuis longtemps considéré comme bien plus qu'un simple aliment de base en cuisine. C'est un symbole de bonne fortune, de santé et de protection, alliant le culinaire et le sacré.
    Bien qu'il ne fasse qu'une brève apparition dans la Bible, ce bulbe humble a gagné sa place comme l'une des herbes les plus puissantes des temps modernes. Souvent appelé « camphre du pauvre », ce « rosier puant » offre une multitude de bienfaits pour la santé en agissant comme un antimicrobien naturel. En substance, cultiver de l'ail à la maison, c'est comme avoir sa pharmacie : un puissant allié pour éloigner les maladies et préserver votre bien-être et votre bien-être. Ce petit bulbe mérite une place dans la vie de chacun.

    Le pouvoir de l'ail pour la santé

    L'ail, ainsi que ses parents Allium comme les poireaux et les oignons, sont connus depuis longtemps pour lutter contre les infections. Mais l'ail se distingue par son puissant pouvoir antimicrobien, grâce à des composés uniques à base de soufre. Voici une liste des meilleurs défenseurs de la santé de l'ail.

    Allicine

    L'allicine est ce qui donne à l'ail cru son odeur caractéristique et c'est aussi le principal acteur en matière de bienfaits pour la santé. C'est une centrale électrique contre un large éventail de bactéries nocives, même celles résistantes à de nombreux antibiotiques. L'allicine peut également combattre les champignons, les parasites et les virus. Lorsqu'elle interagit avec les bactéries, elle perturbe leurs processus vitaux, ce qui finit par les tuer. Par exemple, il a été démontré qu'elle améliore les infections cutanées causées par le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) - une bactérie notoirement résistante. Le piège ? L'allicine ne reste pas longtemps dans la circulation sanguine, son utilisation peut donc être mieux adaptée aux traitements par inhalation ou topiques.

    Ajoène

    Formé à partir de l'allicine, l'ajoène est un autre composé riche en soufre présent dans l'huile d'ail. Il est efficace contre les bactéries et les champignons, y compris les souches comme H. pylori et Candida albicans. Bien que son action antimicrobienne soit légèrement moins puissante que l'allicine, l'ajoène a tout de même un effet percutant. Cependant, comme l'allicine, elle se décompose rapidement une fois à l'intérieur du corps.

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  38. Polysulfures de diallyle

    Présentés dans l'huile d'ail, ces composés varient en force, en fonction du nombre d'atomes de soufre qu'ils contiennent. Plus il y a d'atomes de soufre, plus leur capacité à s'attaquer aux bactéries est forte. Parmi ceux-ci, le tétrasulfure de diallyle (DAS-4) est le plus puissant, ce qui rend l'huile d'ail efficace comme remède antibactérien, en particulier contre les souches résistantes aux médicaments.

    Vinyldithiines

    Bien que les vinyldithiines, également présentes dans l'huile d'ail, n'aient pas de propriétés antimicrobiennes, elles contribuent aux bienfaits généraux de l'ail pour la santé d'autres manières, comme en aidant à la gestion du poids.

    Les merveilles de l'ail pour le bien-être

    L'ail, qu'il soit cru ou sous forme d'huile ou de poudre, n'est pas seulement un ajout savoureux à vos repas - c'est un remède naturel doté de propriétés thérapeutiques. Un régime alimentaire riche en aliments fonctionnels infusés à l'ail peut offrir une gamme de bienfaits pour la santé soutenus par la science. Voici quelques-unes des principales façons dont l'ail peut projeter et améliorer votre santé.

    Il a été démontré que l'extrait d'ail frais (FGE) améliore l'efficacité des antibiotiques. Dans une étude de 2015 publiée dans le Jundishapur Journal of Microbiology, des chercheurs ont testé la manière dont le FGE fonctionnait aux côtés des antibiotiques pour lutter contre les souches résistantes comme Staphylococcus aureus (SARM), Pseudonomas aeruginosa et Candida albicans.

    L'étude a révélé que le FGE seul avait une puissance significative contre le SARM et C. albicans, mais était moins efficace contre P. aeruginosa. Mieux encore, lorsqu'il était associé à certains antibiotiques, le FGE améliorait la capacité des antibiotiques à combattre ces infections tenaces. Cela suggère que l'ail pourrait être un complément utile aux traitements conventionnels contre les infections résistantes aux médicaments.

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  39. Un combattant naturel contre les champignons. Les extraits d'ail sont efficaces contre les champignons comme Aspergillus, Candida et Trichophyton, qui peuvent provoquer des infections cutanées, des infections à levures et plus encore. L'application externe d'huile d'ail peut même aider à résoudre des problèmes tels que la teigne et les verrues. Dans une étude, des chercheurs ont synthétisé des nanoparticules d'argent à partir d'extrait d'ail, renforçant encore davantage ses propriétés antifongiques. Les composés soufrés de l'ail (disulfures, monosulfures et trisulfures) sont le secret de sa puissante action contre les infections fongiques.

    Pouvoir antibactérien à large spectre. Des études montrent que les extraits d'ail sont aussi puissants que certains antibiotiques à large spectre, s'attaquant efficacement à des bactéries comme Escherichia coli, Listeria, Salmonella et S. aureus. Les propriétés antibactériennes de l'ail proviennent de sa capacité à décomposer les membranes cellulaires bactériennes, provoquant la mort des bactéries sans nuire à l'hôte. Cela fait de l'ail une alternative prometteuse aux antibiotiques, en particulier pour les personnes qui cherchent à éviter les effets secondaires des médicaments commerciaux.

    Un puissant allié antiviral. Des études précliniques ont montré que les extraits d'ail peuvent empêcher les virus de se multiplier, même dans des cas comme le coronavirus. Dans certains tests, l'ail a été utilisé pour traiter des infections, allant des maladies sexuellement transmissibles aux infections pulmonaires comme la tuberculose pulmonaire. Sa teneur élevée en organosulfures interagit avec la protéine de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ACE2) et d'autres protéines virales, montrant le potentiel de prévenir ou de réduire la gravité des infections virales, y compris le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Protège contre les maladies cardiovasculaires

    Les maladies cardiaques restent l'une des principales causes de décès dans le monde, mais il a été démontré que l'ail offre une protection significative contre diverses maladies cardiaques, notamment l'hypertension et l'hypercholestérolémie. Voici comment l'ail peut aider à garder votre corps en bonne santé et fort.

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  40. Réduit la tension artérielle et combat l'hypertension. L'ail s'est avéré particulièrement utile pour les personnes souffrant d'hypertension artérielle (hypertension) - l'un des principaux facteurs de risque de maladie cardiaque. Des études ont montré que l'ail peut aider à réduire la tension artérielle systolique et diastolique. Cet effet est en grande partie dû aux composés organosulfurés de l'ail, qui aident à détendre les vaisseaux sanguins, améliorant ainsi la circulation sanguine et réduisant la pression sur le cœur. Il a été démontré que les suppléments d'ail abaissent les niveaux de tension artérielle presque aussi efficacement que certains médicaments conventionnels - la pression systolique diminuant jusqu'à 10 mm Hg et la pression diastolique de 8 mm Hg.

    Améliore les niveaux de cholestérol. Des recherches ont montré que l'ail, en particulier l'extrait d'ail noir vieilli (AGE) peut aider à réduire les niveaux de cholestérol total, de triglycérides et de cholestérol LDL (mauvais) nocif. L’ail réduit ainsi l’accumulation de dépôts graisseux dans les artères, qui peuvent entraîner des blocages et des crises cardiaques. Il améliore également les niveaux de cholestérol HDL (bon cholestérol), ce qui contribue à protéger contre les maladies cardiaques.

    Prévient les caillots sanguins et la thrombose. En inhibant l’agrégation plaquettaire (l’agglutination des plaquettes dans le sang), l’ail réduit le risque de caillots sanguins dangereux qui peuvent entraîner des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux.

    Avantages anti-athérosclérotiques. Il a été démontré que l’ail a un effet direct et anti-athérogène – ce qui signifie qu’il aide à prévenir la formation de plaque et ralentit le développement de l’athérosclérose. Il agit également en inhibant certaines enzymes, comme la sialidase, qui jouent un rôle dans la formation du cholestérol LDL nocif – un facteur clé dans la progression de l’athérosclérose.

    Soutient la santé cardiovasculaire globale. Au-delà de ces avantages, il a été démontré que l’ail améliore plusieurs paramètres cardiovasculaires. Il peut améliorer la circulation sanguine, réduire l’épaisseur des parois des artères carotides (un indicateur de la santé cardiaque) et favoriser la microcirculation, assurant ainsi un meilleur apport d’oxygène et de nutriments au cœur et aux tissus environnants. Des études suggèrent que l’ail peut même améliorer la fonction cardiaque en augmentant les niveaux de Na+/K+-ATPase, qui régulent le sodium et le potassium dans les tissus cardiaques, empêchant ainsi l’hypertrophie (élargissement du muscle cardiaque).

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  41. Aide à prévenir le cancer

    Des recherches ont montré que l'extrait d'ail peut aider à inhiber la croissance des cellules cancéreuses et à soutenir les défenses naturelles de l'organisme dans la lutte contre le cancer, en particulier dans le tube digestif.

    Réduit le risque de cancers digestifs. Des études ont montré que la consommation d'ail peut réduire considérablement le risque de cancers affectant le côlon, l'œsophage et l'estomac. Les composés bioactifs de l'ail, tels que l'allicine, l'allyl mercaptan, le sulfure de diallyle (DATS), sont connus pour leurs fortes propriétés anticancéreuses. Ces composés aident à réduire la formation de tumeurs, à ralentir la croissance des cellules cancéreuses et à prévenir la propagation du cancer en ciblant les vaisseaux sanguins qui alimentent les tumeurs.

    Extrait d'ail vieilli (AGE) et prévention du cancer. En réduisant les espèces réactives de l'oxygène (ROS) et en empêchant l'activation endothéliale, l'AGE peut aider à protéger les cellules des dommages qui peuvent conduire au cancer. Cela permet non seulement de réduire le risque de formation de tumeurs, mais également de soutenir la santé cardiovasculaire globale, créant un double avantage pour ceux qui intègrent l'ail dans leur alimentation.

    Renforce le système immunitaire. En stimulant les lymphocytes T auxiliaires, l'ail soutient la réponse immunitaire de l'organisme, l'aidant à combattre les infections et, potentiellement, les cellules cancéreuses. Ce renforcement immunitaire joue un rôle essentiel dans la prévention de la croissance et de la propagation des cellules cancéreuses.

    Visitez Herbs.news pour en savoir plus sur les aliments médicinaux comme l'ail.

    Découvrez le 47e sermon de Mike Adams qui parle de l'ail comme d'un antibiotique naturel de Dieu, d'un médicament anticancéreux et anticholestérol qui favorise également la virilité.

    This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.

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  42. Sources include:

    NCBI.NLM.NIH.gov
    Spandidos-Publications.com
    FrontiersIn.org
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-10-31-garlic-wards-off-ailments-safeguards-wellness.html

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  43. Le Mexique cible la production de haricots dans un contexte de préférences alimentaires modernes


    2 Novembre 2024
    AGDAILY Reporters*


    Bouchées du jour

    Souveraineté alimentaire : Le plan Sheinbaum vise à stimuler la production nationale de maïs et de haricots et à réduire les importations.

    Augmentation de 30 % de la production de haricots : le gouvernement prévoit de développer des semences à haut rendement et d'améliorer l'autosuffisance.

    Le défi des habitudes de consommation : l'abandon des aliments transformés et des importations pose des difficultés pour le plan.

    Discussion du jour

    La nouvelle présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a dévoilé mardi [22 octobre 2024] un plan agricole qui pourrait remodeler la production et la distribution des denrées alimentaires dans le pays, à tel point que beaucoup disent qu'elles ressembleront aux années 1980, lorsque les repas étaient centrés sur les tortillas, les haricots, le café instantané et le chocolat chaud à un prix abordable.

    Mme Sheinbaum s'est engagée à faire revivre les magasins publics qui vendent des produits de base et à poursuivre les efforts en faveur de la « souveraineté alimentaire ». Elle a déclaré à l'Associated Press : « Il s'agit de produire ce que nous mangeons », en mettant l'accent sur l'augmentation de la production de maïs et de haricots.

    Le secrétaire à l'Agriculture, Julio Berdegué, a également déclaré que le plan visait à garantir les prix pour les producteurs de maïs et à réduire les prix des tortillas de 10 % après les récentes hausses. Le gouvernement prévoit d'augmenter la production de haricots de 30 % sur six ans et d'établir des centres de recherche pour développer des semences de haricots à plus haut rendement. « L'autosuffisance en haricots est un objectif que la présidente nous a fixé », a-t-il déclaré.

    Il a expliqué qu'au cours des six prochaines années, le ministère de l'Agriculture et du Développement Rural (Sader) travaillera sur la base de quatre principes directeurs – le bien-être, la production, l'eau et la durabilité –, afin d'éradiquer l'extrême pauvreté dans les zones rurales, d'augmenter la part de la production nationale dans l'approvisionnement alimentaire, d'améliorer considérablement l'efficacité de l'eau pour l'irrigation et d'accélérer la transition écologique de l'ensemble du système agroalimentaire.

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  44. Le plan prévoit également de soutenir la production de café instantané et de cacao, en mettant l'accent sur le chocolat en poudre pour la pâtisserie et le chocolat chaud. Toutefois, ces politiques vont à l'encontre des tendances actuelles du marché. M. Berdegué note que si la plupart des ménages mexicains utilisent du café instantané, la consommation de café fraîchement moulu a augmenté, de même que le nombre de cafés spécialisés.

    « Le Mexique consomme un million de tonnes par an, dont nous importons 300.000. L'objectif de ce programme est de cesser d'importer ces 300.000 tonnes et de les produire ici », a expliqué le secrétaire Berdegué Sacristán.

    Cependant, la consommation de haricots au Mexique a considérablement diminué, passant de 35 livres [16 kg] par an en 1980 à environ 17 livres [8 kg] par an. Mme Amanda Gálvez, chercheuse à l'Université Nationale Autonome du Mexique, a écrit : « Nous méprisons les haricots parce qu'ils sont considérés comme la nourriture des pauvres, et nous commettons une grave erreur », tout en soulignant leurs avantages nutritionnels. Toutefois, les haricots frits, la préparation la plus courante au Mexique, sont souvent cuits avec du saindoux, ce qui pose des problèmes de santé.

    La consommation de tortillas a également diminué, passant de 220 livres [100 kg] par habitant et par an en 2000 à environ 165 livres [75 kg] en 2024, car de plus en plus de personnes optent pour le pain et les produits de boulangerie.

    Le plan du gouvernement se heurte à la difficulté de modifier les habitudes des consommateurs et va à l'encontre des tendances du marché. L'accent mis par Mme Sheinbaum sur l'autosuffisance fait écho aux politiques de l'ancien président Andrés Manuel López Obrador, son prédécesseur et mentor politique, qui privilégiait une vision nostalgique du Mexique des années 1970, avec des industries appartenant à l'État et de petits magasins de quartier.

    Mme Sheinbaum a également annoncé une interdiction de la « malbouffe » dans les écoles, visant les snacks transformés et les boissons sucrées, qui devrait entrer en vigueur dans six mois. Cependant, l'éditorialiste Javier Tejado, écrivant pour El Universal, a noté que des efforts similaires dans le passé, comme l'interdiction en 2014 des publicités pour la malbouffe destinées aux enfants, n'ont pas réussi à changer les comportements. « Les choses sont pires que lorsqu'elles ont commencé en 2014 ; les Mexicains ont décidé de continuer à consommer des choses qu'ils aiment », a-t-il déclaré.

    Le plan agricole de Mme Sheinbaum visant à stimuler la production nationale de haricots et de maïs présente des similitudes avec le décret de 2020 de l' ancien président López Obrador interdisant le maïs génétiquement modifié et le glyphosate.

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  45. Bien qu'elles aient annoncé l'abandon de l'objectif du maïs génétiquement modifié, les deux initiatives visent à atteindre une plus grande autosuffisance alimentaire et à réduire la dépendance du Mexique à l'égard des importations. L'interdiction du maïs génétiquement modifié de M. López Obrador visait à réduire les importations de 30 à 40 % et à augmenter la production nationale. Toutefois, cette politique a subi des retards et des révisions en raison de la forte dépendance du pays à l'égard des importations de maïs américain, en particulier pour l'alimentation animale et l'utilisation industrielle.

    De même, l'accent mis par Mme Sheinbaum sur l'augmentation de 30 % de la production locale de haricots fait écho à cette volonté de contrôle national sur les aliments de base, même si les préférences du marché moderne remettent en cause les deux initiatives. Alors que Mme Sheinbaum cible des aliments de base tels que les haricots et les tortillas, la lutte pour modifier le comportement des consommateurs en les éloignant des aliments transformés et des importations met en évidence les défis que pose l'inversion de la dépendance agricole du Mexique – en parallèle avec les complexités actuelles de la mise en œuvre de l'interdiction du maïs génétiquement modifié. Ces deux initiatives reflètent la volonté plus large du Mexique d'assurer sa souveraineté alimentaire, mais illustrent la difficulté de trouver un équilibre entre la production nationale et la consommation moderne.
    _______________

    * Source : Mexico targets bean production amid modern preferences | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2024/11/le-mexique-cible-la-production-de-haricots-dans-un-contexte-de-preferences-alimentaires-modernes.html

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  46. L'économie russe progresse à un rythme soutenu, dépassant la croissance des États-Unis et de l'UE


    Par Drago Bosnic
    InfoBrics
    2 novembre 2024

    Lorsque l'opération militaire spéciale (SMO) a été lancée pour mettre fin au conflit ukrainien orchestré par l'OTAN, l'Occident politique a insisté sur le fait que la Russie était finie (précisément ce qu'il a essayé de garantir dans les années 1990). Son économie était censée être ruinée, le Kremlin étant même censé faire défaut après qu'une grande partie de ses réserves de change ait été gelée (c'est-à-dire volée) par les banques occidentales.

    Après l'échec de tout cela, le pôle de puissance belligérant dirigé par les États-Unis a tenté d'imposer un plafonnement des prix ridicule sur le pétrole russe, un plafonnement que même les nations occidentales les plus importantes ont tenté de contourner, y compris le Japon et même le Royaume-Uni pathologiquement russophobe. Quant aux États-Unis, ils ont continué à acheter des matières premières russes tout en critiquant tous ceux qui le faisaient. Pourtant, par l'intermédiaire de ses marionnettes néonazies à Kiev, l'OTAN a lancé une guerre quasi totale contre Moscou pour tenter de perturber son économie et de causer autant de dégâts que possible.

    Et pourtant, tout cela a échoué une fois de plus. Le Kremlin a assuré la stabilité économique malgré le fait qu’il ait été contraint de mener l’OMI contre l’ensemble de l’Occident politique. De plus, la Russie a dépassé l’Allemagne en tant que cinquième économie mondiale et première économie européenne, une défaite humiliante pour ses rivaux de l’UE/OTAN qui s’attendaient au contraire. Les performances économiques de Berlin ont été pires que depuis des décennies, tandis que Londres était à son plus bas niveau depuis plus de 300 ans (depuis 1709, pour être précis).

    Et pourtant, pour « ajouter l’insulte à l’injure », même les données occidentales ont montré que les estimations initiales des performances économiques de Moscou étaient erronées et qu’elles étaient en fait encore meilleures en 2023 et 2024. Les prévisions actualisées du FMI d’une croissance du PIB de 2,6 % ont doublé son évaluation précédente. Selon le Financial Times, cette augmentation de 1,5 % a été la plus forte pour toutes les économies présentées dans une mise à jour des Perspectives de l’économie mondiale du FMI, publiées le 30 janvier de cette année.

    Les hauts responsables russes, dont l’actuel ministre de la Défense Andreï Belousov (précédemment chargé du développement économique), s’attendaient à ce que la croissance soit suffisamment stable pour que le géant eurasien dépasse le Japon d’ici 2030. Or, ce qui devait se produire en six ans au moins s’est produit en moins de six mois. Selon les données de cette année, les prévisions du président Poutine concernant une croissance économique accrue (de plus de 3,5 à 4 %) se sont non seulement avérées exactes, mais même conservatrices, bien que la machine de propagande dominante ait tenté de les présenter comme « trop optimistes ». Cependant, la seule chose qui était réellement trop optimiste était l’attente de l’Occident politique selon laquelle les sanctions fonctionneraient. En effet, selon les précédentes mises à jour des données de la Banque mondiale pour cette année, la Russie a effectivement réussi à dépasser le Japon en tant que quatrième économie mondiale (en termes de PIB PPA).

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  47. Il convient de noter que le PIB PPA (parité de pouvoir d’achat) est une mesure très fiable et bien plus adaptée pour mesurer la véritable puissance économique que les chiffres exagérés du PIB nominal qui ne servent qu’à nourrir l’égo surdimensionné de l’Occident politique dirigé par les États-Unis. Moins de 10 mois après avoir dépassé l’Allemagne, la Russie a également dépassé le Japon, laissant les observateurs occidentaux stupéfaits quant à la façon dont un pays dont on leur avait dit qu’il « s’effondrerait sous le poids des sanctions » et du vol pur et simple de ses réserves de change a réussi un tel exploit. De plus, certaines sources ont estimé que le géant eurasien était l’une des économies majeures à la croissance la plus rapide au monde. En outre, même la projection actualisée de Moscou de dépasser Tokyo (explicitement fixée à mars 2025 par le président Poutine) s’est avérée « trop prudente », car cet exploit sans précédent a été accompli près d’un an plus tôt.

    Cependant, les dernières estimations des performances économiques russes suggèrent que les choses ne font que s’améliorer pour le Kremlin. En effet, dans une interview accordée à CBS News, Richard Connolly, chercheur junior au Royal Institute of Shared Services de Londres et expert de l’économie russe, a déclaré que « le nombre de petites et moyennes entreprises enregistrées en Russie a atteint un niveau sans précédent ». Après l’exode des grandes entreprises occidentales, contraintes de quitter le pays ou de suspendre leurs activités en raison des sanctions imposées par leur propre pays, elles ont laissé un énorme vide sur le marché, qui a été comblé par les entreprises nationales. Ainsi, les entreprises russes ont remplacé les grandes marques occidentales : au lieu de Starbucks, il y a maintenant Stars Coffee, au lieu de Zara, il y a MAAG, au lieu de Coca-Cola, les Russes boivent du Dobry Cola, etc. D’autres segments de l’économie ont connu un changement similaire.

    De plus, ces marques nationales ont non seulement remplacé leurs prédécesseurs étrangers, mais les ont aussi rapidement dépassés. Par exemple, en avril dernier, Dobry Cola a annoncé que ses bénéfices de 2022 avaient quadruplé en 2023. Connolly affirme que « les sanctions se sont avérées inefficaces, ce qui a essentiellement fait de l’évasion des sanctions un secteur à part entière ». On peut même affirmer que les restrictions imposées par l’Occident politique ont relancé des pans de l’économie russe qui étaient petits et largement dormants (voire inexistants avant l’OMS).

    De plus, les Russes continuent d’obtenir pratiquement tous les biens et services dont ils disposaient auparavant, notamment par le biais d’importations via des pays tiers (Géorgie, Kazakhstan, Chine, Turquie, etc.). Et même si certains prix sont plus élevés, les marques locales qui ont conquis la part de marché occidentale sont en fait plus abordables tout en offrant une qualité similaire, voire meilleure.

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  48. En conséquence, la Russie connaît ce que Connolly a appelé « la croissance économique la plus rapide de la dernière décennie ». En d’autres termes, contrairement à l’atroce Biden, ce que bne IntelliNews a appelé la Putinomics s’est avérée bien plus efficace, en particulier si l’on considère le fait que la Russie mène une guerre défensive contre l’ensemble de l’Occident politique dirigé par les États-Unis. Selon leur rapport, les politiques du Kremlin « stimulent la croissance d’une nouvelle Putinomics ». Outre la résurgence des investissements dans la défense, « Poutine a également lancé le programme Projets nationaux 2.1 pour investir également dans l’économie civile et améliorer la qualité de vie du Russe moyen, comme il l’a clairement indiqué dans son récent discours sur les armes et le beurre ». Le rapport a également avancé que, grâce à la Putinomics, « les régions les plus pauvres de Russie ont été les plus grandes gagnantes et, comme l’a récemment rapporté bne IntelliNews, l’indice de désespoir du pays est tombé à son plus bas niveau jamais atteint cette année ».

    Il convient de noter que même la tristement célèbre CIA admet que la Russie est la quatrième économie mondiale. Cependant, alors que les chiffres de la Banque mondiale situent les économies russe et japonaise à 5,95 et 5,87 billions de dollars respectivement, l’écart réel pourrait être bien plus grand. En effet, la Banque mondiale estime également que 39 % de l’économie russe est dans l’ombre, alors que le même chiffre pour le Japon est de 10 %.

    En termes de PIB PPA, cela ajouterait 2,5 billions de dollars aux 6,45 billions de dollars de l’économie russe ajustée en PPA, ce qui, bien que toujours loin des 14,6 billions de dollars du PIB indien, creuse encore l’écart avec le Japon. Comme prévu, cette résurgence économique permet également à Moscou de reconstruire sa puissance militaire de l’ère soviétique, ce qui se traduit par un budget réel de défense sans précédent de plus d’un demi-billion de dollars. L’Occident politique, impuissant à arrêter la reprise de la Russie, veut maintenant lancer une campagne de terreur pour perturber cela.

    Source: InfoBrics

    https://www.lewrockwell.com/2024/11/no_author/russian-economy-zooms-ahead-outpaces-us-and-eu-growth/

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  49. Trump nous sauvera-t-il de la grande industrie agroalimentaire ?

    La grande industrie agroalimentaire est étroitement liée à la grande industrie pharmaceutique. Elle a mis en place un système dans lequel l'une nous rend malades et l'autre fait de nous des patients sous traitement à vie.


    By Austin Ruse
    Crisis Magazine
    November 2, 2024


    L'un des grands cadeaux de l'ère Trump est que nous avons appris à reconnaître que les institutions en lesquelles nous avons grandi en faisant confiance sont corrompues. Le FBI, corrompu. La CIA, corrompue. Le pouvoir judiciaire, corrompu. Non pas que nous ayons grandi en connaissant le NIH ou le CDC, mais nous savons maintenant qu'ils sont également corrompus.

    Nous savions que les médias et le monde universitaire étaient corrompus, mais nous avons réalisé qu'ils le sont peut-être irrémédiablement. Je ne savais pas que la médecine était corrompue. J'avais un vague soupçon que la grande science était corrompue, mais maintenant nous en sommes certains.

    Je ne savais certainement pas qu'il existait une chose telle que la grande industrie agroalimentaire et que la grande industrie agroalimentaire est corrompue et maléfique. De plus, la grande industrie agroalimentaire est étroitement liée à la grande industrie pharmaceutique. Ils ont mis en place un système dans lequel l'un nous rend malade et l'autre fait de nous des patients sous médicaments à vie.

    Je suis en colère contre ce que j'ai appris grâce au travail de Casey Means et Calley Means. Frère et sœur, elle est chirurgienne diplômée de Stanford, bien qu'elle n'exerce plus ce métier. Il était titulaire d'un MBA de Harvard et travaillait à la tête de grandes entreprises agroalimentaires. Après ce qu'il a vu, il est parti lui aussi.

    Saviez-vous que nous ingérons une quantité de plastique de la taille d'une carte de crédit chaque semaine ? Saviez-vous que 50 % des enfants américains souffrent d'un problème de santé chronique et qu'il y a 50 ans, ce n'était qu'1 % ? Saviez-vous que 74 % des adultes américains sont aujourd'hui en surpoids ou obèses et que près de 50 % des enfants sont en surpoids ou obèses ? Tout cela est lié à notre alimentation.

    Casey Means déclare :

    La moitié du pays souffre de prédiabète ou de diabète de type 2, et 30 % des adolescents souffrent aujourd’hui de prédiabète. Il s’agissait d’une maladie qu’aucun pédiatre n’aurait pu observer il y a 50 ans. En 1950, 1 % des Américains souffraient de diabète de type 2. Nous avons 18 % d’adolescents atteints d’une stéatose hépatique, une maladie qui touchait autrefois les alcooliques en phase terminale.

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  50. Elle déclare :

    Les taux de cancer montent en flèche chez les jeunes et les personnes âgées. Les cancers chez les jeunes adultes ont augmenté de 79 %. Et c’est la première année dans l’histoire américaine où l’on estime que nous avons plus de 2 millions de cas de cancer. 25 % des Américaines prennent des antidépresseurs. 40 % des jeunes de 18 ans ont un diagnostic de santé mentale. Nous avons le taux de mortalité infantile et maternelle le plus élevé de tout le monde développé, malgré des dépenses deux fois plus élevées en soins infantiles et maternels que dans tout autre pays.

    Calley Means explique que l’état désastreux de notre santé a commencé lorsque les grandes entreprises de tabac ont eu de gros problèmes avec le tabagisme passif dans les années 80, et qu’elles ont utilisé leurs énormes réserves de liquidités pour acheter des entreprises agroalimentaires. Les géants du tabac R.J. Reynolds et Philip Morris sont devenus les plus grandes entreprises agroalimentaires du monde. Et leurs scientifiques se sont immédiatement mis au travail pour rendre la nourriture aussi addictive que la cigarette. Les aliments en boîtes et en sacs sont maintenant chargés de sucre et de produits chimiques pour augmenter leur durée de conservation. De plus, sont apparus les « aliments ultra-transformés » et les huiles de graines, tous toxiques pour notre corps. Nous en sommes venus à désirer ces choses qui nuisent à notre corps.

    L’étape suivante de l’industrie du tabac et de l’alimentation a été de capturer les agences fédérales qui étaient censées nous protéger de ces aliments Frankenfood. L’industrie du tabac et de l’alimentation est devenue la plus grande opération de lobbying à Washington, D.C., plus grande et plus puissante que le pétrole.
    L’étape suivante de l’industrie du tabac et de l’alimentation a été de capturer les agences fédérales qui étaient censées nous protéger de ces aliments Frankenfood. Les grandes entreprises du tabac et de l’alimentation sont devenues la plus grande opération de lobbying à Washington, D.C., plus grande et plus puissante que le pétrole.

    Calley Means déclare : « Ils ont modifié leur stratégie de lobbying et de manipulation des institutions de confiance pour l’alimentation. » Ils ont donc créé la « pyramide alimentaire » qui dit, par exemple, que les glucides sont bons. Nous avons suivi le mouvement, sans savoir que c’était non seulement mauvais mais dangereux. Et puis ces mêmes entreprises sont devenues une source massive de financement pour les articles de recherche universitaires utilisés par les agences fédérales qui disent que tout cela est parfaitement normal.

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  51. Et une fois que nous mangeons leur nourriture toxique et que notre corps contracte toutes sortes de maladies, nous allons chez notre médecin qui est formé pour vous voir pendant quelques minutes, vous orienter vers un ou deux, trois ou quatre spécialistes, et vous prescrire des ordonnances de Big Pharma que vous pourriez prendre à vie. Big Food, Big Pharma, d’énormes profits.

    Casey Means dit que la réponse à la plupart de nos maladies chroniques est la nutrition, mais 80 % des écoles de médecine n’ont pas un seul cours sur la nutrition. Votre médecin ne mentionnera pas la nutrition. Il vous orientera vers des spécialistes et vous donnera des médicaments. Casey dit qu'il n'y a rien de plus rentable qu'un enfant malade chronique. Après les avoir fait grossir, les grandes entreprises agroalimentaires/pharmaceutiques veulent mettre les enfants sous Ozempic à vie.

    Vous voyez le cycle ici ?

    Bobby Kennedy a vu cela. Et maintenant nous avons Casey et Calley Means. Je ne sais pas pour vous, mais je suis en colère.

    Y a-t-il une réponse ? Pour nous personnellement, il existe des aliments biologiques qui ne sont pas trempés dans des produits chimiques. Ne mangez rien des boîtes et des sacs. Achetez votre viande dans une ferme locale que vous connaissez. Arrêtez d'utiliser l'huile de canola, l'huile de maïs, l'huile végétale, tous les produits des processus de fabrication. Utilisez du saindoux, du ghee, de l'huile d'olive.

    Pour notre pays, il y a la rupture du lien impie entre les grandes entreprises alimentaires et les institutions fédérales qui sont censées nous protéger. Une proposition de Kennedy et des frères et sœurs Means est qu'aucun chercheur en alimentation ne puisse recevoir d'argent des grandes entreprises alimentaires. Les grandes entreprises alimentaires dépensent des centaines de millions pour financer des recherches que les agences fédérales utilisent ensuite pour dire que tout va bien avec leurs boîtes et leurs sacs de produits chimiques. Les fabricants de bonbons financent les associations de diabétiques et les écoles de médecine.

    Il y a bien plus à dire, et je vous recommande vivement de regarder le podcast de deux heures des frères Means avec Tucker Carlson et le podcast de trois heures avec Joe Rogan. Achetez leur livre révélateur « Good Energy : The Surprising Connection Between Metabolism and Limitless Health ». Notre santé réside dans un métabolisme adéquat.

    Trump pourrait bien comprendre cela. Et dans un geste de Nixon envers la Chine, cet aficionado de la malbouffe pourrait faire quelque chose à ce sujet. Il est proche de Kennedy, et les frères Means sont dans son orbite. Trump va-t-il nous sauver du lien entre Big Food et Big Pharma ? Nous verrons bien. Comme nous, il en est venu à se méfier des autres grandes institutions, alors peut-être de celle-ci aussi.

    https://crisismagazine.com/opinion/will-trump-save-us-from-big-food

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    1. Et tous ces morts qui leurs sont imputables sont retournés vers... les agriculteurs qui oseraient donner à manger et à boire aux cultures !! Pire encore ils les protégeraient contre les maladies et les attaques d'insectes !!
      Voilà où en est l'Amérique aujourd'hui !
      Et, c'est alors qu'arrive un philanthrope qui propose... de bouffer des mouches et des cafards ! Des hamburgers aux asticots ! Bouffer de la merde bio !!

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  52. Milan : la recherche de l’équilibre entre écologie et liberté


    Quentin Pak
    1 novembre 2024


    Milan, capitale économique de l’Italie, est souvent citée en exemple pour son dynamisme et sa capacité à se réinventer.
    La métropole développe des politiques urbaines audacieuses qui mêlent habilement innovation et résilience. Ainsi, cette ville historique bouscule les codes traditionnels du développement urbain pour redéfinir le concept même de métropole moderne.

    Mais cette transformation pose une série de questions économiques fondamentales, notamment sur la relation entre innovation, intervention publique et liberté économique.

    Milan, l’innovation technologique au service de la croissance

    L’une des réussites récentes les plus emblématiques de Milan est sans doute la création de la Tech Europe Foundation (TEF). Cette initiative vise à stimuler l’innovation technologique en attirant des start-ups du monde entier.

    Ce projet ambitieux, soutenu par des institutions prestigieuses comme l’Université Bocconi et la Fondation polytechnique de Milan, a pour objectif de faire de la ville un pôle central pour les nouvelles technologies en Europe.

    Cette orientation vers la technologie et l’innovation reflète bien la capacité de Milan à s’adapter aux changements rapides qui façonnent l’économie mondiale.

    Cependant, les mécanismes économiques qui permettent ce développement méritent qu’on s’y attarde. En effet, si l’innovation est vitale pour la croissance, certaines interrogations se posent. Par exemple, le rôle prépondérant des subventions publiques dans cet écosystème.

    Un modèle d’innovation soutenu par des subventions publiques

    De fait, le financement public joue un rôle non négligeable dans la mise en place de cet écosystème innovant. Ainsi, la Tech Europe Foundation a bénéficié d’une dotation initiale de 100 millions d’euros, dont une partie provient de la Chambre de commerce de Milan Monza Brianza Lodi. Ce financement pose la question de savoir si un tel modèle d’innovation est réellement autosuffisant, ou s’il dépend intrinsèquement d’un soutien public pour survivre.

    Ainsi, le fait que les subventions publiques stimulent l’innovation est contradictoire avec les principes de liberté économique et d’autonomie entrepreneuriale. En injectant des fonds publics dans le processus d’innovation, les autorités risquent de fausser les incitations et de créer un environnement où les entreprises se tournent d’abord vers les subventions plutôt que vers des solutions de marché.

    La résilience urbaine : entre ambition écologique et liberté d’entreprendre

    En plus de son dynamisme technologique, Milan se distingue également par ses programmes de modernisation urbaine. Des initiatives comme le Bosco Verticale (célèbre tour végétalisée au cœur de la ville) et la création de zones vertes sont devenues des symboles qui incarnent la nouvelle approche en matière d’urbanisme.

    Milan conjugue ainsi développement économique et protection de l’environnement, avec des projets toujours plus innovants qui cherchent à réduire l’empreinte carbone de la ville tout en améliorant la qualité de vie de ses habitants.

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  53. Cependant, si les efforts en matière de résilience environnementale sont louables, ils peuvent également entraîner un lot de contraintes pour les acteurs économiques locaux, et plus particulièrement pour les petites entreprises et les indépendants.

    Une réglementation verte qui pèse sur l’économie locale

    La mise en place de l’Area C avec sa zone de péage au centre de Milan illustre bien la tension qui peut exister entre réglementation environnementale et liberté économique.

    Cette zone, à l’intérieure de laquelle se trouve le superbe Duomo de Milan (bien présentée par le site Bonjour Milan), désigne l’espace où les véhicules les plus polluants doivent s’affranchir d’un droit d’entrée. Elle a pour objectif de réduire la pollution en incitant les citoyens à utiliser des moyens de locomotion plus écologiques.

    Et bien que cette initiative ait permis de diminuer la circulation et les émissions dans le centre-ville, elle a surtout créé des barrières économiques pour les petites entreprises, qui sont les premières touchées par le poids de ces taxes.

    Innovation et liberté économique : vers un équilibre subtil ?

    Le modèle de Milan présente de nombreuses réussites sur plusieurs aspects. Il invite ainsi à une réflexion plus profonde sur l’équilibre entre innovation technologique, résilience urbaine et liberté économique.

    Si la ville a su attirer des start-ups et mettre en place des infrastructures favorables à l’innovation, elle l’a fait en grande partie grâce à des financements publics et des réglementations parfois contraignantes.

    Cette dynamique pose la question de savoir si Milan peut continuer à prospérer en restant dépendante de l’intervention publique ou si elle doit, au contraire, chercher à réduire cette dépendance pour permettre un développement plus autonome.

    Milan, un modèle d’équilibre en construction

    Milan est incontestablement un modèle de réinvention urbaine, à la fois sur le plan technologique et écologique. Sa capacité à attirer des investissements, à innover et à s’adapter aux défis contemporains en fait une ville pionnière en Europe.

    Pourtant, pour que ce modèle soit véritablement « durable », Milan devra continuer à chercher des solutions qui garantissent à la fois la liberté économique, la viabilité écologique et l’autonomie entrepreneuriale.

    Le développement urbain, pour être réellement efficace, ne pourra se faire qu’en respectant un équilibre entre ces trois piliers.

    https://www.contrepoints.org/2024/11/01/479645-milan-la-recherche-de-lequilibre-entre-ecologie-et-liberte

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    1. (...) Des initiatives comme le Bosco Verticale (célèbre tour végétalisée au cœur de la ville) et la création de zones vertes sont devenues des symboles qui incarnent la nouvelle approche en matière d’urbanisme.(...)

      Quand l'idiotie s'empare de l'urbanisme ! Nombreuses sont à ce jours les villes où les pouvoirs publics penchent du côté de l'imbécilité ! Végétaliser un mur veut dire arrosage permanent. Et, arrosage permanent veut dire infiltration d'humidités dans les murs et pénétration du froid extérieur à l'intérieur du bâtiment. C'est l'écologie.

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