« L’arme alimentaire » – C'est ce qui relie les protestations paysannes, l'Agenda 2030 et l'attaque contre l’alimentation...
27.01.2024 www.kla.tv/27996
Actuellement, les protestations des agriculteurs allemands, mais aussi européens, sont sur toutes les lèvres. L'émission Kla.tv en allemand « La lutte pour la survie des paysans » [www.kla.tv/27879], diffusée récemment, résume parfaitement le fait que les mesures de réduction des dépenses du gouvernement ne sont que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase de l'oppression des paysans.
D'autres émissions aborderont la question de savoir dans quelle mesure les agriculteurs ont été instrumentalisés ou non par les protestations et pourquoi ils sont présentés sous un mauvais jour par les médias grand public. Alors, consultez régulièrement Kla.tv !
Le fait est que :
L'ONU, l'OMS et le FEM ont déclaré la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l'a déjà signalé dans plusieurs émissions, s'attaque également aux agriculteurs en particulier. Voici une brève reprise de l'émission « Agenda 2030 : Etiquetage frauduleux. Comment l'ONU entraîne le monde dans l'abîme » www.kla.tv/19023
L'objectif 2 de l'Agenda 2030 prévoit selon ses dires, d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l'agriculture naturelle à petite échelle est en train d'être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l'agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.
La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n'est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous : Un résumé de l'essai "L’arme alimentaire", de l'écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l'existence, a déjà été utilisée dans l'histoire, et l'est encore aujourd'hui, comme arme contre l'humanité :
En décembre 1974, Henry Kissinger a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » des États-Unis. Il portait le titre bureaucratiquement lourd d’« Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts outre-mer ». La stratégie esquissée par Kissinger est devenue la ligne politique officielle du président Gerald Ford en 1975.
« La croissance démographique aura de graves répercussions sur les besoins alimentaires », lit-on. C'est pourquoi l'aide alimentaire aux pays en développement devra peut-être être liée à des programmes de stérilisation obligatoires ou à des quotas de réduction de la population, conclut Kissinger.
Ce raisonnement conduit le géostratège, qui travaille pour l'influent clan Rockefeller, à la conclusion amorale que dans un tel scénario, l’alimentation devient un « instrument de puissance nationale » efficace. Il déclare que l’alimentation est une arme. Cependant, ce n’est pas une idée nouvelle.
Qu'il s'agisse d'un siège au Moyen-Âge ou de l'inflation actuelle, l’alimentation est une arme depuis la nuit des temps. Un levier utilisé par les dirigeants pour contrôler la population. Mais avec les vaccins à ARNm pour les animaux d'élevage, les spores génétiquement modifiées pour optimiser les chaînes d'approvisionnement mondiales et les paiements CBDC pour l'eau, la lutte pour la survie atteint un autre niveau.
Exemples de l'histoire passée :
Il y a 3 000 ans, les Grecs assiégeaient déjà Troie pour l'affamer. En Irlande, près d'un million de personnes, soit 12 % de la population irlandaise, sont mortes suite à la grande famine de 1845-1849. La cause première n'était pas de mauvaises récoltes ou un nouveau type de pourriture de la pomme de terre, mais la politique du gouvernement britannique de l'époque, corrompue par la haute finance et certains groupes d'intérêts.
La puissance coloniale britannique est également responsable de la mort de quatre millions d'Indiens lors de la famine au Bengale en 1943. C'est ce que révèle une étude de scientifiques indiens qui ont analysé les périodes de sécheresse des 150 dernières années.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le siège de Leningrad, qui a duré 500 jours, a fait plus d'un million de morts, plus que les bombardements de Hambourg, Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki réunis.
Joseph Staline a également utilisé son pouvoir pour mettre à genoux la « République socialiste soviétique d'Ukraine » par le biais de pénuries alimentaires. « L'Holodomor », nom donné à la famine des années 1930, considérée par certains comme un génocide, a coûté la vie à trois ou quatre millions de personnes. Le cannibalisme n'était pas rare.
Sous Mao Zedong, au moins 24 millions de personnes sont mortes de faim entre 1958 et 1962. Sa devise était la suivante : « Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l'autre moitié puisse manger à sa faim. »
Développements actuels :
Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n'est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs biotechnologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.
Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l'état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d'approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l'économie verte », de l'agenda zéro gaz carbonique, qu'ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes ! Toute l'industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L'exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d'un grand dynamisme dans ce domaine.
Parallèlement, Gates investit beaucoup d'argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d'un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l'interview de HeikoSchöning« Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !?» www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates - qui ne cesse d'exprimer ses préoccupations en matière de « surpopulation » - écoutez ! - Aider les enfants des pays en voie de développement !!! »
On peut se sentir encore plus mal à l'aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l'ARN ajouté. Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l'injection anti COVID. [Emission d'Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d'ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]
Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu'il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu'en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d'autorisation. En d'autres termes, le risque pour l'utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d'ARN et d'ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d'entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d'autres labels.
Les « vaccins auto-disséminés », des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu'à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l'information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission.
De plus, à l'avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d'approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [TrackingDevices]. Chaque aliment devrait à l'avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu'à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu'il s'agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce « code-barres ADN », comme l'entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme - écoutez ! – « généralement inoffensives » !
Toutes ces évolutions dans le domaine de l'alimentation font de l'organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! Il est évident que l'UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s'engage pour la « régulation » de l'élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l'autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. Désormais, seules les personnes qui scannent leur code QR ou RFID CBDC peuvent obtenir de l'eau au Nigeria. Il est donc fort possible que ceux qui s’insurgent contre le gouvernement sur leurs profils de médias sociaux liés au compte de la banque centrale seront bientôt assoiffés ou mourront.
Une parenthèse de Kla.tv : l'objectif 6 de l'Agenda 2030 prévoit, selon ses dires, de garantir la disponibilité et la gestion durable de l'eau et de l'assainissement pour tous. On constate que 90% de l'eau dans le monde est contrôlée par une série de multinationales qui en font de plus en plus un produit de luxe et empêchent toute autosuffisance et indépendance des populations.
Il est intéressant de noter que le symbole utilisé pour l'Agenda 2030 est le même que celui utilisé pour le "Great Reset" prôné par le FEM. Mais il ne faut pas s'attendre à une amélioration de la situation mondiale de la part d'une élite autoproclamée comme le Forum économique mondial. Bien au contraire, leur Nouvel ordre mondial n'est rien d'autre que l'enrichissement personnel et la folie du contrôle de quelques oligarques financiers aux dépens de la collectivité.
Au vu de ces développements, cette réduction de l'humanité, planifiée de longue date, doit être révélée au public. Vous trouverez la version originale et intégrale, en allemand, de l'essai de Tom-Oliver Regenauer, sur le site : [https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe]
Diffusez également cette émission le plus largement possible ! Et revenez régulièrement sur Kla.tv pour ne pas manquer la suite. Kla.tv restera à l'écoute afin d'apporter plus de lumière sur les corrélations apparemment complexes de ce sujet.
de wou./abu. Sources / Liens : Essai original non abrégé de Tom-Oliver Regenauer : https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe
Document stratégique de Henry Kissinger de 1974 : https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf
La lutte pour la survie des paysans : www.kla.tv/27879
Y a-t-il plus dans cette panique actuelle de grippe aviaire qu’il n’y paraît ?
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AVR 2024 - 00H40 Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Pourquoi les autorités sanitaires mondiales émettent-elles des avertissements aussi inquiétants concernant la grippe aviaire ? Savent-ils quelque chose que nous ignorons tous ?
Le H5N1 circule sur toute la planète depuis plusieurs années maintenant et constitue la pire épidémie que le monde ait jamais connue. Des centaines de millions d’oiseaux sont déjà morts et le H5N1 infecte désormais les mammifères avec une régularité alarmante. La bonne nouvelle est que jusqu’à présent, cela ne constitue pas une menace sérieuse pour les humains, mais cela pourrait-il bientôt changer ?
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, la possibilité que le H5N1 puisse commencer à se propager parmi les humains est une « énorme préoccupation »…
La propagation croissante de la grippe aviaire aux humains constitue une « énorme préoccupation », a averti l’Organisation mondiale de la santé.
Le virus, un sous-type H5N1 extrêmement mortel, a provoqué un déclin dévastateur des populations d’oiseaux après son émergence en Europe en 2020.
Depuis, il s'est propagé aux mammifères tels que les vaches, les chats, les phoques et maintenant les humains, augmentant ainsi le risque de mutation du virus pour devenir plus transmissible.
Le fait qu’autant de types différents de mammifères soient désormais infectés est vraiment alarmant.
Mais peut-être que les vaches ne seraient pas infectées si nous ne leur donnions pas littéralement à manger de la merde de poulet…
Alors que les épidémiologistes s'efforcent de comprendre comment les vaches laitières du Midwest ont été infectées par une souche de grippe aviaire hautement pathogène – une maladie qui a décimé des centaines de millions d'oiseaux sauvages et d'élevage, ainsi que des dizaines de milliers de mammifères à travers la planète – ils Nous examinons une pratique de « recyclage » standard utilisée par des milliers d'agriculteurs à travers le pays : l'alimentation du bétail élevé pour la consommation humaine avec des déchets et des parties d'animaux.
"Cela semble macabre, mais c'est une pratique parfaitement légale et courante de donner aux bovins de la litière de poulet - la matière qui s'accumule sur le sol des installations d'élevage de poulets", a déclaré Michael Hansen, un scientifique principal de l'Union des Consommateurs.
On ne sait pas si manger de la merde de poulet est la raison pour laquelle tant de vaches dans tant d'États différents sont infectées par le H5N1.
Mais à une époque où la grippe aviaire sévit parmi les poulets et les dindes, il semble très insensé de prendre de la merde de poulet et de la donner à nos vaches.
Quoi qu’il en soit, il existe désormais une grande panique quant à la possibilité d’une épidémie de H5N1 chez l’homme.
Les autorités de l’OMS préviennent que le taux de mortalité serait « extraordinairement élevé » si une telle épidémie devait se produire…
Les experts de l’OMS ont déclaré que les humains seraient confrontés à un taux de mortalité « extraordinairement élevé » si la souche devait s’installer, tuant actuellement plus de la moitié des personnes infectées.
La grippe aviaire est très dangereuse et si elle commence à se propager à grande échelle parmi les humains, de nombreuses personnes en mourront.
Alors pourquoi l’argent des contribuables américains est-il utilisé pour financer des expériences en Chine spécifiquement conçues pour rendre les virus de la grippe aviaire encore plus mortels ? Ce qui suit vient d’un article extrêmement choquant du Daily Mail…
Les législateurs exigent des réponses après qu'il a été révélé que les États-Unis envoyaient l'argent des contribuables à un laboratoire de l'armée chinoise pour rendre les virus de la grippe aviaire plus dangereux pour les humains.
Dix-huit membres du Congrès exigent des réponses du ministère de l'Agriculture (USDA) sur le projet, qui a été révélé pour la première fois par DailyMail.com.
Cela fait partie d’une collaboration d’un million de dollars entre l’USDA et l’Académie chinoise des sciences dirigée par le PCC – l’institution qui supervise le laboratoire de Wuhan au centre de la théorie des fuites de laboratoire de Covid.
Dans une lettre cinglante adressée la semaine dernière au secrétaire de l’USDA, Tom Vilsack, le groupe bipartisan a déclaré : « Cette recherche, financée par les contribuables américains, pourrait potentiellement générer de nouvelles souches virales dangereuses créées en laboratoire qui menacent notre sécurité nationale et notre santé publique. »
Comme je le préviens dans mon dernier livre, des scientifiques fous du monde entier s’emparent de certains des microbes les plus mortels connus de l’humanité et tentent délibérément de les rendre encore plus mortels.
Et bien trop souvent, ce sont vos impôts qui en paient le prix.
Bien entendu, les expériences sur le H5N1 ne sont pas nouvelles.
Il y a plus de dix ans, des expériences sur le gain de fonction financées par le Dr Francis S. Collins et le Dr Anthony Fauci ont en fait créé une version mutante du H5N1 qui « avait acquis la capacité de se propager dans l’air entre furets »…
Et pourtant, fin 2011, le monde a appris que deux équipes scientifiques – l’une dans le Wisconsin, dirigée par le virologue Yoshihiro Kawaoka, et l’autre aux Pays-Bas, dirigée par le virologue Ron Fouchier – avaient potentiellement poussé le virus dans cette direction. Chacun de ces laboratoires avait créé des virus H5N1 qui avaient acquis la capacité de se propager par voie aérienne entre furets, le modèle animal utilisé pour étudier le comportement des virus de la grippe chez les humains.
Le but ultime de ce travail était d'aider à protéger le monde contre de futures pandémies, et la recherche a été soutenue par les paroles et le financement de deux des scientifiques les plus éminents des États-Unis : le Dr Francis S. Collins, directeur des National Institutes of Health, et le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses du NIH.
Pourquoi auraient-ils délibérément créé une telle chose ?
Les furets ont été spécifiquement choisis pour cette recherche car ils possèdent un système respiratoire très similaire à celui des humains.
Notre capacité à créer des maladies mortelles dépasse de loin notre capacité à les contrôler, et une fois que quelque chose se déclare, il peut se propager à travers le monde en un clin d’œil.
En ce moment, on s’inquiète beaucoup d’une « mystérieuse maladie respiratoire » qui est soudainement apparue en Argentine…
Une mystérieuse maladie respiratoire a hospitalisé des dizaines de personnes en Argentine lors d’une épidémie qui partage d’étranges similitudes avec l’arrivée de Covid.
Soixante patients ont été atteints d’une « pneumonie atypique grave » dans la capitale, Buenos Aires.
Une alerte concernant un groupe de cas a été diffusée hier soir via un système international de surveillance de la santé publique.
Le Covid a été porté à l’attention du monde fin 2019 grâce à la même base de données, appelée ProMed.
Espérons que cela ne mènera à rien.
Mais ce n’est qu’une question de temps avant que d’autres épidémies de plus grande ampleur ne ravagent notre planète.
Le H5N1 en fera-t-il partie ?
Je ne sais pas, mais c’est une histoire que je surveillerai certainement de près.
La crise du fentanyl aux États-Unis est une « opération dirigée par le PCC », déclare Peter Schweizer
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AVR 2024 - 05:20 Rédigé par Terri Wu et Jan Jekielek via The Epoch Times
Trois mois après que le Département du Trésor américain a sanctionné un chef de la mafia chinoise pour trafic de fentanyl, celui-ci a reçu un prix à Pékin.
Peter Schweizer en mars 2022. (NTD)
En mars 2021, le Comité de travail uni à l’étranger du Parti communiste chinois (PCC) a reconnu Wan Kuok Koi, également connu sous le nom de « Dent cassée », comme un « homme d’affaires patriote » et le « représentant en chef » de toutes les associations internationales de Hongmen. Pour de nombreux Chinois, Hongmen est synonyme de triades, ou de syndicats du crime organisé transnational chinois.
L'entité attributrice du prix est une organisation du Front uni du PCC et une plateforme relevant de l'Association chinoise pour la science et la technologie. Il propulse également le programme d’infrastructure phare de la Chine, l’Initiative la Ceinture et la Route (BRI), à l’échelle mondiale. Selon l'avis du Département du Trésor, M. Wan a créé une société de sécurité protégeant les investissements de la BRI en Asie du Sud-Est.
Dans une récente interview avec American Thought Leaders (ATL) d’EpochTV, l’écrivain d’investigation Peter Schweizer a cité le cas de M. Wan comme exemple de la vision du PCC de la crise du fentanyl aux États-Unis.
"L'idée selon laquelle" oh, la Chine fait de gros efforts, mais elle ne peut pas résoudre ce problème "est une pure plaisanterie dans mon esprit", a-t-il déclaré.
En outre, l’auteur d’un nouveau livre intitulé « L’argent du sang : pourquoi les puissants ferment les yeux pendant que la Chine tue les Américains » a déclaré à ATL que la crise du fentanyl aux États-Unis est une « opération dirigée par le PCC ».
« Les cartels de la drogue sont certainement impliqués, mais ils sont le partenaire junior », a déclaré M. Schweizer, ajoutant que le PCC est présent à « chaque maillon de la chaîne ».
La production chinoise de précurseurs du fentanyl est largement connue. Cependant, les recherches de M. Schweizer montrent également que la Chine fournit à prix coûtant des machines à presser les pilules pour la production de fausses pilules contenant du fentanyl, distribue l'opioïde synthétique aux États-Unis, facilite les transactions financières des cartels de la drogue mexicains et fournit des systèmes de communication sécurisés aux cartels. afin qu'ils puissent contourner la détection par les forces de l'ordre américaines.
Actuellement, les surdoses de fentanyl sont la principale cause de décès chez les Américains âgés de 18 à 45 ans. La drogue mortelle a été responsable d'environ 75 000 décès, soit 200 par jour, en 2022. Par rapport aux 3 105 décès en 2013, le nombre de morts a été multiplié par 23.
Face à cette crise, qui prend une ampleur exponentielle, le gouvernement américain n’a pas encore trouvé de solution efficace. Selon M. Schweizer, l’inaction des dirigeants américains constitue un facteur important.
Il a documenté dans son livre comment les hauts dirigeants américains, bien qu’ayant initialement exprimé leurs inquiétudes quant à l’implication de la Chine dans le trafic de fentanyl, sont restés largement silencieux sur la question.
L’un de ces dirigeants est le président Joe Biden.
Lors d’une audition au Sénat en 1992, le président de la Commission judiciaire de l’époque a averti que « la Chine est sur le point de devenir la cheville ouvrière du commerce de l’héroïne ».
Alors-Sen. Biden a également critiqué le manque d'action de l'administration Bush de l'époque face à la Chine, affirmant que « la vérité est que la coopération entre les États-Unis et la Chine dans la lutte contre la drogue est, au mieux, limitée, et comme c'est le cas, l'administration devient un fermer les yeux sur le comportement renégat de la Chine.»
Pourtant, l’administration Biden a adopté une approche similaire : vantant sa coopération en matière de lutte contre les stupéfiants avec la Chine, qui s’appuie sur des mesures de contrôle volontaires au niveau national. Le dirigeant du PCC, Xi Jinping, n’a pas tenu les promesses qu’il avait faites aux anciens présidents Barack Obama et Donald Trump.
Contrairement à l’héroïne ou à la cocaïne, le fentanyl tue des personnes qui en consomment pour la plupart sans le savoir. Une étude de l’Université de New York réalisée en 2023 a montré qu’une majorité des personnes ayant pris du fentanyl n’avaient pas l’intention de le faire.
Par conséquent, M. Schweizer pense que qualifier la crise du fentanyl de problème de drogue est une erreur.
Pour lui, il est « extrêmement pratique » pour l’administration Biden de traiter le fentanyl comme un « problème de toxicomanie, plutôt que comme ce qu’il est : un empoisonnement », a-t-il déclaré.
« Cela vous dispense d’essayer de confronter le PCC à ce sujet parce que vous dites essentiellement qu’il s’agit d’un problème de nature humaine aux États-Unis. »
Selon M. Schweizer, les liens financiers de la première famille avec la Chine leur interdisaient d'affronter les communistes pour régner sur les acteurs chinois du fentanyl – une décision qui pourrait être efficace « du jour au lendemain » si le chef du PCC Xi Jinping le voulait, a déclaré M. Schweizer. .
La Maison Blanche n’a pas répondu à une demande de commentaires au moment de mettre sous presse.
Les conclusions de M. Schweizer ne s’arrêtent pas à la crise du fentanyl, qu’il considère comme faisant partie de l’approche plus large du PCC de « désintégration ».
Les conclusions de M. Schweizer ne s'arrêtent pas à la crise du fentanyl, qu'il considère comme faisant partie de l'approche plus large de « guerre de désintégration » du PCC, visant à faire tomber les États-Unis en attaquant leur « ventre mou » en ce qui concerne la politique et l'économie des Américains. , et la psychologie.
Dans l’interview d’ATL, il a également parlé des liens du PCC avec des activités qui sèment la discorde sociale en attisant les divisions raciales et sexuelles dans la société américaine et en « abrutissant l’Occident » avec TikTok.
Le cancer augmente après la vaccination – ce qui aide à le combattre
20 avril 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis deux ans, les bases de données sur les effets secondaires, les tables de mortalité et les rapports anecdotiques montrent de plus en plus clairement que le nombre de cas de cancer a considérablement augmenté dans le monde depuis la campagne de vaccination. Même l’OMS s’attend à une augmentation massive des cas de cancer, même si elle en voit les causes partout, sauf dans la vaccination génique.
La question est : que peut-on faire pour le prévenir ou le traiter ? Une vaccination à ARNm contre le cancer ? Chimio ? Pfizer s'attend également à une forte augmentation des cas de cancer , atteignant 30 % de la population, et a donc acquis l'année dernière une société qui propose un nouveau médicament contre le cancer pour 43 milliards de dollars. Ou devriez-vous faire quelque chose de différent ? Et il existe en fait de nombreuses options dont nous avons parlé à maintes reprises ici sur TKP.
Jetons un coup d'œil à ce que disent les experts à ce sujet. Le Centre allemand de recherche sur le cancer (DKFZ) est particulièrement réputé car il souligne à plusieurs reprises que l'augmentation des niveaux de vitamine D constitue une prévention efficace contre le cancer. Dans un communiqué de presse publié le 11 février 2021 , il est rapporté que trois méta-analyses d'études cliniques réalisées au cours des dernières années sont parvenues à la conclusion que la supplémentation en vitamine D était associée à une réduction du taux de mortalité par cancer d'environ 13 %. Les scientifiques du DKFZ ont appliqué ces résultats à la situation en Allemagne et ont calculé : si tous les Allemands de plus de 50 ans recevaient un supplément de vitamine D, jusqu'à 30 000 décès par cancer pourraient être évités par an et plus de 300 000 années de vie pourraient être gagnées - tout en économisant des coûts. Plus d'informations dans cet article du TKP .
Ce n’est pas une découverte particulièrement surprenante, car il est clair que le système immunitaire est l’entité qui détruit et élimine les cellules tumorales. Le prix Nobel de médecine 2018 a été décerné à des chercheurs qui ont montré que le cancer peut être combattu efficacement en renforçant le système immunitaire. Cela a à voir avec le commutateur génétique HIF, qui active les gènes de glycolyse et d'angiogenèse dans la cellule cancéreuse. Cela permet au cancer de se développer, de se nourrir et de fournir du sang. L'oxygène et la vitamine C sont nécessaires à la dégradation du HIF, car la vitamine C est un cofacteur de l'enzyme cruciale pour la dégradation.
La vitamine C est un outil puissant pour lutter contre le cancer. Le premier à l'avoir prouvé fut le chimiste et double prix Nobel Linus Pauling , qui suggéra de fortes doses de vitamine C pour le traitement du cancer. Dans des études avec Ewan Cameron, il a prouvé son efficacité contre le cancer. Cela a été vérifié dans des études menées par Creagan et Moertel à la clinique Mayo. Il n’y aurait eu aucun avantage à administrer de fortes doses de vitamine C par rapport à l’administration d’un placebo. Cependant, l’étude a été mal réalisée : la vitamine C a été administrée par voie orale plutôt que par perfusion.
Professeur Dr. Burkhard Kleuser, qui a étudié la chimie et la chimie alimentaire de 1984 à 1988 et la biochimie de 1990 à 1994, c'est-à-dire un naturaliste, explique dans un long article de la Pharmazeutische Zeitung comment fonctionnent les études décrites par Linus Pauling :
« … il a été démontré que l'administration orale de la dose la plus élevée tolérée de 3 g toutes les quatre heures conduit à une concentration plasmatique maximale de 0,22 mmol/l. Cependant, des concentrations plasmatiques maximales supérieures à 13 mmol/l ont été atteintes lorsque la dose de vitamine C était administrée par voie intraveineuse. Des résultats similaires peuvent également être trouvés chez les patients atteints de tumeurs.
Revenons maintenant au peroxyde d'hydrogène :
" À des concentrations millimolaires élevées, qui ne peuvent être obtenues que par administration intraveineuse, la vitamine C agit comme un prooxydant et conduit à la formation de peroxyde d'hydrogène, capable d'endommager les cellules tumorales. "
À des concentrations plus faibles, la vitamine C agit comme un puissant antioxydant et à des concentrations élevées, elle agit comme un pro-oxydant. On voit encore une fois que la dose fait le poison.
« Tant que la vitamine C circule dans le sang, seule une petite quantité de peroxyde d’hydrogène est produite. ... Ce n'est que lorsque la vitamine C passe de la circulation sanguine à l'interstitium [tissu conjonctif] qu'une formation intensive de peroxyde d'hydrogène se produit, qui peut alors endommager sélectivement les cellules tumorales en tant que molécule cytotoxique... . L’effet semble être spécifique aux cellules tumorales car, contrairement aux cellules saines, celles-ci ont souvent peu ou pas d’activité d’enzymes antioxydantes telles que la catalase, la glutathion peroxydase et la superoxyde dismutase, qui seraient capables de détoxifier le peroxyde d’hydrogène.
Le médecin orthomoléculaire et auteur Dr. Ulrich Strunz décrit dans son blog le traitement du cancer et les expériences des patients avec les oncologues :
» Et ses oncologues lui disent : S'il vous plaît, pas de perfusion de vitamine C. Cela « interfère » avec le traitement de chimiothérapie.
Et plus loin:
" Allumons nos méninges un instant et soyons raisonnables :
La vitamine C a une demi-vie dans le sang de 2,9 heures. Donc, si vous recevez des perfusions de vitamine C aujourd’hui et une chimiothérapie demain, donc tout est échelonné, alors la chimiothérapie ne remarque plus aucune quantité de vitamine C. Quelque chose comme cela s’appelle une simple science naturelle. J'insiste sur le mot « simple ! » La considération suivante est bien plus importante : Comment fonctionne la chimiothérapie ? Ce poison produit des quantités massives de radicaux libres dans chaque cellule du corps. Et, espérons-le, davantage de radicaux libres dans la cellule cancéreuse, dont le métabolisme est plus élevé, que dans les cellules saines. Convenu. Les radicaux libres à cette concentration détruisent et tuent les cellules. Les deux : cellules cancéreuses et cellules saines. Espérons que le cancer soit décédé plus tôt que le patient. Je dis cela avec décence et respect. J'ai moi-même ajouté assez souvent de telles infusions...
Comment fonctionnent les infusions de vitamine C ? La vitamine C à cette dose élevée (et seulement alors) produit des quantités massives de H₂O₂, c'est-à-dire du peroxyde d'hydrogène, un puissant poison cellulaire, un radical libre dans chaque cellule. Seulement : les cellules saines possèdent encore l’enzyme catalase. Et cela décompose ce H₂O₂, ces radicaux libres, à une vitesse fulgurante. La pauvre cellule cancéreuse est désavantagée : elle n’a plus de catalase et est sans défense contre le poison. Meurt." Passionnant. La vitamine C agit d'une part comme un antioxydant, piégeant les radicaux libres, et d'autre part comme un pro-oxydant, produisant du H2O2 dans l'organisme, capable d'oxyder et ainsi d'éliminer les cellules tumorales.
Dans l'article, Kleuser énumère d'autres processus que la vitamine C possède contre les tumeurs. Il mentionne que « la vitamine C joue également un rôle central dans la régulation des enzymes de translocation dix-onze (TET) et des histones déméthylases contenant le domaine Jumonji ».
« Une autre manière dont la vitamine C peut avoir un effet sur les cellules tumorales consiste à moduler le facteur HIF induit par l’hypoxie…. Le facteur de croissance endothélial vasculaire VEGF est exprimé, ce qui favorise l'angiogenèse et donc l'apport sanguin à la tumeur. "
Des études japonaises ont montré que les champignons Huai ( Trametes robiniophila murr ) guérissent non seulement le cancer jusqu'au stade IV, mais éliminent également les pics de vaccin du corps. C’est également une condition préalable à la guérison du cancer induit par l’ARNm. Il existe des articles détaillés du TKP à ce sujet ici et ici .
D'autres champignons ont depuis longtemps été attribués à des effets similaires sur le cancer, comme le champignon Chaga, qui a un fort effet régulateur et fortifiant sur le système immunitaire. Quelque chose de similaire peut être réalisé avec le tramway papillon.
Parlons d'oxygène. Nous savons depuis environ 100 ans que les cellules tumorales se nourrissent de sucre en le fermentant, c'est-à-dire sans oxygène. La découverte vient du biochimiste allemand le professeur Otto Warburg (prix Nobel 1931). Warburg a pu montrer que la cellule cancéreuse vit principalement de sucre et que, même si elle contient suffisamment d'oxygène, elle fermente sans oxygène. Avec un rendement énergétique assez médiocre.
A l'Université de Graz, le professeur Frank Madeo a pu montrer que
la réduction de la respiration cellulaire (c'est-à-dire l'essoufflement) réduit la mort cellulaire naturelle programmée, ce qu'on appelle l'apoptose, et permet ainsi aux cellules de vivre de manière incontrôlable.
Une survie incontrôlée signifie une croissance rapide, et donc un cancer.
Pr Madeo : « Cette résistance accrue (à la mort cellulaire) pourrait contribuer de manière décisive à la formation de tumeurs et à la malignité (métastases). »
L'étude, intitulée « L'effet Warburg supprime l'apoptose induite par le stress oxydatif dans un modèle de levure pour le cancer », est publiée dans Plos One.
Avec ce modèle, les chercheurs de Graz ont réussi à prouver un avantage de survie pour les cellules grâce à ce que l'on appelle l'effet Warburg. Donc
les cellules cancéreuses agressives se nourrissent de sucre (glycolyse)
avec une réduction simultanée de la respiration en oxygène.
Une activité respiratoire accrue, c’est-à-dire un apport accru d’oxygène, inhibe la croissance des tumeurs. Alors Madeo. Et le mince professeur d’université poursuit en expliquant :
« Il est intéressant de noter que l’exercice d’endurance est l’une des meilleures mesures préventives contre le cancer. Cela augmente l'apport d'oxygène du corps et consomme du sucre. Les deux, classiquement selon l’hypothèse de Warburg, sont un poison pour la cellule cancéreuse. »
La conclusion de l'étude est la suivante : " L'effet Warburg pourrait donc contribuer directement au développement du cancer - non seulement par une glycolyse accrue, mais également par une respiration réduite en présence d'oxygène, qui supprime l'apoptose."
En conséquence, les isotopes du sucre et de l’oxygène radiomarqués sont utilisés pour le diagnostic du cancer. Là où il y a beaucoup de sucre, il y a une tumeur. La tumeur se développe là où il y a peu d’oxygène. Comme traitement, il est conseillé de faire l'inverse de ce qui a été fait lors du diagnostic : peu ou pas de sucre (et de glucides) et beaucoup d'oxygène, précise le Dr. Ulrich Strunz et tous ceux qui pensent logiquement.
Orchestre de panique : l’OMS alerte sur la grippe aviaire
19 avril 2024 de Thomas Oysmüller
Aujourd'hui, l'OMS se joint également à l'orchestre de panique autour de la grippe aviaire : elle met en garde contre une pandémie H5N1 imminente avec une « énorme inquiétude ». Un vaccin serait déjà prêt.
La grippe aviaire circule aux États-Unis – du moins dans les médias. Le TKP a déjà rendu compte du phénomène médiatique. Apparemment, une personne a été infectée par la grippe aviaire, mais c'est loin d'être certain. Au plus tard à ce moment-là, l’orchestre de panique autour de la grippe aviaire était pleinement servi. Maintenant, comment pourrait-il en être autrement, l’OMS tire également la sonnette d’alarme.
À propos des oiseaux et des vaccinations
Pour les groupes d’intérêt qui souhaitent une réforme réussie de l’OMS et donc une augmentation du pouvoir de l’agence spécialisée des Nations Unies, les choses ne peuvent guère aller mieux. Peu avant le vote décisif, une « crise sanitaire imminente ». Bien entendu, l'OMS met désormais en garde contre la grippe aviaire, formulée strictement au subjonctif. Comme le rapporte l' Ärzteblatt , la propagande américaine arrive lentement en Europe.
Stefan Homburg dit à propos de « l'avertissement de l'OMS » : « Des formulations comme la grippe porcine 2009, Corona 2020, la variole du singe 2022, etc. : auraient, auraient pu, auraient été. L’OMS doit continuer à parler de nouvelles pandémies pour se préserver. Nous n'avons pas besoin de croire cela. Beaucoup de gens ignorent le contexte économique : l’OMS a été fondée après la guerre pour lutter contre les pandémies. Lorsqu’il n’y avait pas de pandémie, les États ont coupé l’argent et l’OMS est tombée entre les griffes de sociétés pharmaceutiques cupides. Cela ressemble désormais à une mafia.
TKP a rapporté en mars 2023 comment l’OMS était devenue une organisation de lobbying privée et avait été détournée par des capitaux privés. Un autre essai intitulé « L’OMS en tant qu’institution féodale-coloniale » remonte aux origines de l’OMS et contredirait la vision de Homburg de l’OMS « d’après-guerre ».
Particulièrement épicé : lors de la conférence de presse de l'OMS jeudi à Genève, le scientifique en chef de l'OMS, Jeremy Farrar, a mis en garde. Ce qu’il faut peut-être savoir de son discours plein d’« énormes inquiétudes » mais non mentionné dans l’Ärzteblatt : Farrar a été président du « Wellcome Trust » jusqu’en 2022, la deuxième plus grande fondation qui investit dans la recherche médicale – après la Fondation Gates.
Wellcome Trust, la fondation qui s’est vu attribuer à plusieurs reprises un rôle important dans le Covid, étudie également le « risque de transmission d’agents pathogènes des animaux aux humains, ce contre quoi l’OMS met en garde depuis des années avec la grippe aviaire, mais qui ne se produit tout simplement pas » . Farrar avait déjà été récompensé en 2005 pour ses travaux sur la grippe aviaire.
Un vaccin contre le virus H5N1 existe déjà, mais il n'est pas encore commercialisé. Voici une interview de 2023 avec Klaus Stöhr, qui s’est fait connaître du grand public comme un « expert » pendant la Covid. Il a averti à l’été 2023 que nous devions nous préparer à une pandémie de H5N1.
Ici, la boucle se referme d'une manière ou d'une autre : si l'OMS met en œuvre ses plans de réforme, alors - dit par exemple Karl Lauterbach - le monde sera bien mieux préparé à la prochaine pandémie. Et il n'y a pas que les personnes qui sont menacées de piqûres : la France vaccine obligatoirement les canards depuis l'automne 2023 dans le cadre de la « lutte contre la grippe aviaire ».
Un document déclassifié par la justice démontre que le vaccin Pfizer a été lancé en réalité en… mai 2019 sept mois avant l’apparition officielle de la covid
le 19 avril 2024 par pgibertie
Les documents déclassifiés par la justice révèlent des surprises
Le juge Mark T. Pittman (Dallas, Cour d’appel du Texas) vient de récidiver le 9 mai 2023, en exigeant la remise de l’ensemble des données concernant le vaccin pédiatrique Pfizer et le vaccin adulte Moderna, incluant 4,8 millions de pages, sous 2 ans vs les 23,5 que réclamait la FDA. Les laboratoires ont en l’occurrence jusqu’au 31 juin 2025 pour s’exécuter.
La publication de ces données a par ailleurs été jalonnée d’une série d’informations concernant l’origine du virus dont les scientifiques ont acquis la conviction qu’il est issu de recherches de gain de fonction financées clandestinement par le Dr A. Fauci, ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et ancien conseiller médical de la Maison-Blanche durant la pandémie de COVID-19. On sait également aujourd’hui que la fabrication des vaccins a débuté avant la date officielle, communiquée au public, le PDG de Moderna ayant reconnu dans une interview que sa société avait déjà produit 100 000 doses de vaccin Covid-19 en 2019.
La divulgation d’un accord de confidentialité montre en réalité que « des candidats vaccins potentiels contre le coronavirus ont été transférés de Moderna à l’Université de Caroline du Nord le 12 décembre 2019, soit dix-neuf jours avant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’ait eu connaissance de l’émergence des premiers cas de SARS-CoV-2 à Wuhan » (The Expose).
- voir doc sur site -
Un lanceur d’alerte pointe aujourd’hui une information inédite, contenue dans un autre document, également déclassifié suite à une requête FOIA, qui permet de répondre à cette question, en tout cas techniquement. Le document en question est le rapport d’évaluation non clinique produit par le régulateur australien (Therapeutic Goods Administration — TGA). La page 40 du rapport montre que la société Acuitas a formulé l’ARNm codant pour la luciférase transmis par BioNTech et référencé (ARN-EH190611-01c) dans le rapport R-20-0072, en trois types de nanoparticules : LNP12 (formulation DODMA:DOPE), LNP5 et LNP8.
TGA. Nonclinical Evaluation Report BNT162b2 [mRNA] COVID-19 vaccine (COMIRNATYTM). Jan 2021. p. 40
Or la page 29 du rapport BioNTech montre que la formulation des nanoparticules destinées au vaccin (LNP8, comme mentionné à la page 12 du même rapport) a été réalisée le 9 décembre 2019, soit trois semaines avant la divulgation du cas zéro à Wuhan. Les indications de formulation étant strictement identique entre les deux documents, cette concordance ne permet pas de douter que le certificat d’analyse contenu dans le rapport BioNTech concerne les nanoparticules utilisées dans l’étude australienne :
Référence du produit : RNA-EH190611-01c ; No de lot : FM-1074-D ; Taux d’encapsulation : 90 % ; Concentration en ARN : 1.0 mg/ml ; Diamètre : 71 nm ; Rendement : 90 %; Polydispersité : 0,053 : Température de stockage : – 80 °C.
Allemagne: ils ont compris que les confinements étaient liberticides et infondés #RIKFiles , en France le CNRS tourne sa veste mais les journalistes mentent toujours
le 19 avril 2024 par pgibertie
Les scientifiques ont démontré que le confinement et les mesures liberticides n’ont au mieux , servi à rien.
La responsable vaccin de l’OMS avoue devant un tribunal que les pass vaccinaux étaient inutiles et qu’on le savait depuis le début
Les allemands découvrent la même choses via la publication des documents du Robert Koch Institute
En France, encore 99% des journalistes affirment le contraire … Que d’injustices…
Alain Houpert a été suspendu par l’Ordre de Pétain pour avoir contesté ces mesures
Soutenons le sénateur Alain Houpert (
@alainhoupert) face à sa suspension du CDOM (Conseil national de l’ordre des médecins).
https://t.co/mf3gHyW8FX
- voir doc sur site -
@PavanVincent @france_soir a montré durant le COVID qu’il était le rare sinon le seul à avoir donné une autre analyse de la crise par des tribunes laissées aux meilleurs spécialistes. Peut-être que l’Allemagne se rappelle un peu mieux la charte de Munich. Mémoire oblige. Bravo @LMucchielli
- voir doc sur site -
Dans l’article du CNRS, l’historien et sociologue Nicolas Mariot déclare : « J’ai été très étonné de voir qu’aucun grand média, mais également qu’aucune équipe de recherche, en France et même, sauf erreur, en Europe, ne se soit intéressé à dresser un bilan de cette période du point de vue non pas sanitaire, mais réglementaire. Il y a pourtant beaucoup de leçons à tirer de cette expérience, car nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle pandémie » avant d’ajouter « Enfin, en tant qu’historien spécialiste de la guerre de 14-18, j’ai déjà étudié une telle expérience d’obéissance à grande échelle. Et j’ai été surpris qu’une nouvelle forme d’union sacrée justifiant la suspension des libertés et gouvernement sans contrôle ait pu se répéter presqu’un siècle après à l’identique. »
L’Allemagne est ébranlée depuis plusieurs semaines par les révélations des documents du Robert Koch Institute (RKI) obtenus par le magazine Multipolar-Magazin.de. Toute la pandémie durant, le magazine, édité par Stefan Korinth et Paul Schreyer, a été dénigré et subi l’étiquetage de complotiste. Sans se décourager, Multipolar a été jusqu’à obtenir les documents du RKI par décision de justice. L’affaire du #RIKFiles a été rapportée dans France-Soir dès 29 mars 2024. Un véritable séisme de magnitude importante en Allemagne qui ne trouve pas pour le moment écho dans les médias français. Ces derniers étant toujours asservis aux subventions importantes du gouvernement français qu’ils ont contribué à élire. En Allemagne, les médias et députés ont d’ores et déjà retourné leur veste ou changé de bord à ce sujet.
Le gouvernement mexicain préserve la sécurité agroalimentaire du pays
20 Avril 2024 Gouvernement mexicain*
Les ministères de l'Économie (SE) et de l'Agriculture et du Développement Rural (Sader) annoncent que, étant donné que les conditions pour remplacer l'utilisation du glyphosate dans l'agriculture mexicaine n'ont pas été remplies, l'intérêt de préserver la sécurité agroalimentaire du pays doit prévaloir.
Ministère de l'Economie : 26 mars 2024 : Communiqué de presse
Les ministères de l'Économie (SE), de l'Environnement et des Ressources Naturelles (Semarnat), de l'Agriculture et du Développement Rural (Sader) et la Commission Fédérale pour la Protection contre les Risques Sanitaires (Cofepris) annoncent que, étant donné que les conditions pour remplacer l'utilisation du glyphosate dans l'agriculture mexicaine ne se sont pas matérialisées, l'intérêt de sauvegarder la sécurité agroalimentaire du pays doit prévaloir.
Selon le décret présidentiel publié au Journal officiel de la Fédération le 13 février 2023, le renoncement à accorder des autorisations et la révocation des enregistrements sont conditionnés par trois points de fond :
Maintenir la production agricole.
Diminuer l'impact possible de la substitution de la substance.
Disposer d'alternatives, de pratiques agro-écologiques et saines permettant l'élimination complète du glyphosate, ce dernier point étant toujours en cours.
Les actions prévues par le décret n'étant pas encore terminées, l'exécutif fédéral, par l'intermédiaire des organismes susvisés, a décidé de poursuivre la recherche d'une alternative herbicide à large spectre et à faible toxicité pour remplacer le glyphosate et maintenir la productivité de ceux qui optent pour cet intrant.
C'est pourquoi des efforts sont faits pour trouver des options qui soient disponibles dans les quantités nécessaires, associées à des chaînes de commercialisation nationales et accessibles en termes de coût pour tous les types de producteurs.
D'autre part, la Cofepris a consulté – dans le cadre de leurs compétences respectives – les ministères de l'Agriculture et du Développement Rural, de l'Environnement et des Ressources Naturelles, et de la Santé sur le décret visant à remplacer le glyphosate dans les activités agricoles du pays.
À cet égard, le Sader a indiqué qu'il était prêt à recevoir des intrants agricoles éligibles et à en évaluer l'efficacité biologique, lorsqu'ils seront disponibles, par l'intermédiaire de son organe décentralisé, le Service National de la Santé, de la Sécurité et de la Qualité Agroalimentaire (Senasica).
Pour sa part, le Semarnat a indiqué qu'il répondra aux exigences en matière d'avis techniques qui pourraient être requis, pour les molécules identifiées comme substituts du glyphosate.
Le gouvernement mexicain maintient l'objectif du décret de protéger le droit à la santé, à une alimentation nutritive, à un environnement sain pour le développement et le bien-être des personnes, ainsi que de garantir la souveraineté alimentaire du peuple mexicain. __________
* Source : Gobierno de México salvaguarda la seguridad agroalimentaria del país | Secretaría de Economía | Gobierno | gob.mx (www.gob.mx)
Ma note : Le bon sens a fini par prévaloir, même si le gouvernement prend soin de préserver les apparences. On notera la motivation : invoquer la sécurité agroalimentaire n'est pas anodin.
L'industrie de la vérification des faits : portée et tâches
20 avril 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
L’influence du « fact-checking » sur la liberté d’expression s’étend à toutes les formes de médias dans le monde. Des recherches montrent qu’environ 500 plateformes de vérification des faits sont actives dans le monde, dont près de la moitié sont affiliées à des sociétés de médias. Les vérificateurs de faits sont actifs depuis plus de 10 ans, mais ils n’ont pris conscience du grand public qu’avec la « pandémie » du Corona et la propagation de la panique climatique. La déformation des faits et la cohérence globale des messages en termes de contenu et de timing sont devenues trop évidentes.
L’influence sur les médias et en particulier sur les réseaux sociaux en diffusant un récit uniforme et en censurant les faits et les rapports qui s’en écartent est énorme. C’était la seule façon d’organiser une pandémie sans raison médicale ou épidémiologique.
Une autre méthode consiste à « programmes de formation » pour les enfants, les étudiants et les journalistes. Africa Check, par exemple, financé principalement par la société mère Meta Facebook), la Fondation Bill et Melinda Gates et Google, a formé 4 500 journalistes à la vérification des faits, gère un programme d'éducation aux médias dans les écoles et a formé plus de 10 000 personnes aux médias. l'alphabétisation.
Cette industrie est financée directement par quelques entreprises, des fondations milliardaires et même des oligarques. La majorité d’entre eux sont basés aux États-Unis. Plus d’informations sur le financement dans un autre article demain. L'article d'aujourd'hui porte sur les caractéristiques de l'industrie : sa répartition géographique, sa portée dans tous les médias et dans le monde universitaire.
PANDA, un groupe d'experts multidisciplinaires, s'est attaqué à cette industrie de la « vérité » dans une série en trois parties . Aujourd'hui, les extraits les plus importants de la deuxième partie :
Une industrie mondiale
Une enquête préliminaire sur les plateformes internationales de vérification des faits a révélé environ 500 organisations actives dans le monde, dont environ la moitié sont affiliées à des sociétés de médias. Certains d’entre eux se spécialisent dans certains sujets, tels que : Par exemple, les personnalités médiatiques, la santé, le climat et les jeux en ligne. Les plateformes non médiatiques se concentrent sur l’examen du contenu des médias sociaux et des sites Web. La vérification des faits est effectuée dans les langues européennes, asiatiques et africaines, y compris les langues minoritaires des communautés difficiles à atteindre[1]. Plus de 200 organisations de soutien ont également été découvertes, notamment des sociétés d’IA qui produisent des outils de vérification des faits, des universités, des ONG, des associations de journalistes et des organisations de réseautage.
Bien qu’il existe des plateformes indépendantes de vérification des faits dans le monde, les origines des systèmes de vérification des faits asiatiques, africains et sud-américains remontent souvent aux organisations occidentales. Par exemple, Africa Check, la première plateforme africaine de vérification des faits, a été fondée en Afrique du Sud en 2012 par l’Agence France-Presse (AFP)[2] et a été enregistrée à la Companies House de Londres jusqu’en novembre 2021[3]. Africa Check a désormais étendu ses capacités de vérification des faits au Sénégal, au Nigeria et au Kenya. En 2017, les membres de Mafindo, la première plateforme indonésienne de vérification des faits fondée en 2016, et d'Asosiasi Media Siber Indonesia (AMSI), une organisation cybermédia, ont été invités à un sommet Google Media Lab en Californie. À la suite de cet événement, lors d'un sommet financé par Google à Jakarta en 2018, Mafindo et AMSI se sont associés à l'Association indonésienne des journalistes (AJI) pour lancer le groupe CekFakta, qui a recruté 22 médias indonésiens comme premiers membres chargés de la vérification des faits.[4] .
Les plateformes de vérification des faits forment non seulement des groupes nationaux comme CekFakta, mais aussi des réseaux internationaux. Comme décrit dans la première partie , le plus important de ces réseaux est l'International Fact-Checking Network (IFCN), fondé en 2015 par le Poynter Institute en Floride. En 2017, l’IFCN avait établi un code de principes signé par les plateformes internationales de vérification des faits qui adhèrent au code[5]. S’il est louable que les journalistes et les vérificateurs des faits maintiennent des normes professionnelles, il convient de noter que le contenu publié sur le site Web de l’Institut Poynter est conforme aux discours occidentaux dominants sur des questions brûlantes telles que le climat[6, 7, 8] et la santé. [9, 10].
Il existe également des groupes régionaux de vérification des faits, comme l'Observatoire européen des médias numériques (EDMO), qui est divisé en 14 centres régionaux tels que : B. NORDIS, qui opère dans les quatre pays scandinaves[11]. Il existe également un groupe hispano-portugais, LATAMCequea, qui travaille en réseau dans toute la péninsule ibérique et en Amérique du Sud[12], et qui a également formé un sous-groupe, FactChequeado[13], destiné aux hispanophones des États-Unis. Ce sont là quelques exemples des nombreuses associations de fact-checking qui se développent à l’échelle internationale.
Dans les pays hostiles à l’influence occidentale, comme la Biélorussie, la Russie, la Syrie ou le Venezuela, des réseaux de plateformes de fact-checking se mettent en place dans les pays voisins pour vérifier et modifier les contenus. Par exemple, Facebook emploie des vérificateurs de faits indépendants de Lettonie, de Pologne, de Géorgie, de Lituanie, d'Estonie et des États-Unis pour vérifier les faits en russe en Russie[14].
Extension aux anciens médias
Les nouveaux systèmes de vérification des faits s'étendent à toutes les formes de médias : journaux, radio, télévision, informations en ligne, mais aussi jeux en ligne, réseaux sociaux et plateformes cryptées. Par exemple, en ce qui concerne les médias d'information, un journaliste du Washington Post a décrit comment la méthodologie de vérification des faits de la rédaction a changé depuis 2007[15]. Ce journal a été l'un des premiers signataires du Code IFCN en 2017[16]. Les journalistes qui ne sont pas d’accord avec la modération du contenu ont un choix limité d’emplois rémunérés dans l’industrie des médias, car les médias en Europe et aux États-Unis sont entre les mains de quelques riches propriétaires[17][18]. Une autre influence sur la rédaction est constituée par les textes des agences de presse comme l'Agence France-Presse, Associated Press et Reuters, qui ont toutes signé le code IFCN ; leurs textes vérifiés sont transmis à des équipes éditoriales sur cinq continents[19]. Les rédactions opérant dans le monde entier s'inscrivent auprès de l'IFCN et démontrent ainsi qu'elles répondent aux critères du Code IFCN.
Une liste de septembre 2023 des plateformes de vérification des faits du Duke University Reporters' Lab comprend 74 plateformes de vérification des faits actives aux États-Unis. Parmi eux, 48 sont affiliés à des médias – y compris de grandes entreprises comme le Washington Post et CNN, ainsi que des journaux locaux comme la Reno Gazette et le Nevada Independent [20] – ce qui montre que la pratique de la vérification des faits s’étend à tous. domaines des médias grand public.
Comme aux États-Unis et en Europe, les médias du monde entier se tournent de plus en plus vers l’Internet, et bien qu’il y ait de nombreuses raisons commerciales positives à cela, ainsi qu’un accès accru pour le public/lecteur, cela permet également aux vérificateurs de faits de vérifier plus facilement le contenu. Le passage en ligne incite les agences de presse à adopter de nouvelles pratiques de vérification des faits. À l'échelle mondiale, Internews[21] - qui travaille avec le Forum économique mondial avec son partenaire Ads for News[22] - et Google, avec son programme Adsense[23], encouragent et incitent les médias locaux aux États-Unis, en Afrique et en Asie. se mettre en ligne pour modérer le contenu en offrant des revenus publicitaires si le contenu est jugé « digne de confiance »[24].
L’expansion dans le secteur académique
La nouvelle industrie de la vérification des faits s’est également étendue au monde universitaire. En Europe, quinze organisations financées par l’UE, la Commission européenne ou le Conseil de l’Europe soutiennent le fact-checking : il s’agit notamment d’universités, d’entreprises d’IA et de plateformes de fact-checking[25]. Certains d’entre eux sont très étendus. L’EDMO vise à cartographier toutes les plateformes de vérification des faits, à coordonner la recherche, à créer un portail permettant à tous d’examiner et de coordonner les informations, à développer un cadre de collecte de données et à soutenir les autorités[26]. D'autres organisations financées par l'UE effectuent des tâches telles que l'établissement de normes européennes de vérification des faits, la conduite de recherches, le développement d'outils de vérification des faits, la création de contenu, le développement d'outils de réalité virtuelle, la diffusion de données ou la coordination des départements de journalisme. Les universités doivent garantir que les étudiants apprennent à vérifier les faits pour répondre aux exigences actuelles en matière de contrôle du contenu. Quatre-vingt-trois universités dans 31 pays européens ont été désignées comme participantes à ces projets, et le journaliste américain Matt Taibbi a constaté que les universités américaines font également partie du réseau de vérification des faits[27].
conclusion
Cette enquête sur l'industrie mondiale de la vérification des faits montre que, comme indiqué dans les fichiers Twitter, l'incursion de la vérification des faits dans la liberté d'expression se propage dans le monde entier, couvrant toutes les formes de médias et couvrant le monde universitaire, la technologie et les médias traditionnels. Dans la troisième partie, d'autres fonctions du secteur du fact-checking ainsi que les questions de financement international sont examinées.
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Groupe de travail permanent du Code de conduite de l'UE sur la désinformation ; Vérification des faits sur l'UE ; Remise de l'UE ; Centre européen d'actualités sur les données ; L’UE contre la désinformation ; Observatoire européen des médias numériques ; Réseau européen de normes de vérification des faits ; Observatoire narratif européen ; Fonds européen des médias et de l'information ; Laboratoire de médias et d'immersion EUI ; Numériques des médias ; Centre Nord-Sud ; Révéler le projet ; Observatoire social de la désinformation et de l'analyse des médias sociaux ; Vera.ai.
Observatoire européen des médias numériques (EDMO) | Façonner l'avenir numérique de l'Europe (europa.eu) [consulté le 10 avril 2023].
Scmidt, S., Lownethal, A et al. « Rapport sur le complexe industriel de la censure. Les 50 meilleures organisations à connaître. » Racket News, Substack, 10 mai 2023. Rapport sur le complexe industriel de censure : les 50 meilleures organisations à connaître (racket.news) [consulté le 20 juin 2023].
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AVR 2024 - 13H00 Rédigé par Jeffrey Tucker via The Epoch Times,
Nous avons tous entendu des avertissements contre le défilement funeste.
C’est la pratique qui consiste à se réveiller le matin, à parcourir les gros titres, à saisir les mauvaises nouvelles et à s’attarder sur l’obscurité. Vous le faites pendant les temps d'arrêt de la journée et du soir. Votre humeur se détériore de façon permanente.
Cela ne peut pas être bon pour l’esprit humain.
Le terme implique que nous recherchons en quelque sorte le malheur parce que cela nous donne une poussée de dopamine ou quelque chose du genre. En testant cette idée, j’ai essayé à plusieurs reprises d’éviter de faire cela. Mais il y a un problème. Il est impossible de l’éviter simplement parce que les mauvaises nouvelles sont omniprésentes. En fait, j’en suis venu à me méfier de tous les lieux qui ne le signalent pas !
Beaucoup de gens ont conclu que si nous recherchons autre chose que la catastrophe, nous devrions abandonner complètement ce que nous appelons « l’actualité » et nous concentrer sur la culture, la religion, la philosophie, l’histoire, l’art, la poésie, ou trouver quelque chose de pratique et productif à faire.
J'ai récemment rencontré une merveilleuse famille mennonite vivant dans le pays Amish en Pennsylvanie. Ils vivent une vie complètement débranchée : pas de téléphone portable, pas d’internet, pas de télévision. Il n'y a que des livres, du culte communautaire, de l'agriculture, du bétail, des courses dans les magasins locaux et des visites aux voisins.
Je n’aurais jamais pu imaginer qu’un jour je dirais à ceux qui se sont complètement éloignés de la vie moderne : vous faites peut-être les choses de la bonne manière. Il y a quelque chose de vraiment brillant dans les choix que vous avez faits.
Bien sûr, ils se sont créés une bulle, celle de leur choix, dans le prolongement de leur compréhension de leur tradition religieuse. Un point que j'ai observé : ils semblaient sûrement heureux. Pas de la manière fausse que nous voyons sur les réseaux sociaux, mais authentiquement heureux.
Une fois que vous quittez ce monde et replongez dans la vie normale, c’est tout simplement indéniable. Les gros titres des journaux sont remplis de tragédies au pays et à l’étranger, en grande partie liées au désespoir de la population. La liste est familière : perte d’apprentissage, toxicomanie, idées suicidaires, violences publiques et privées, méfiance massive et bien méritée à l’égard de tout et de tous, conflits qui font rage à tous les niveaux de la société.
Cela me dérange, en particulier au sujet des injections d’ARNm conçues pour lutter contre le virus. Nous savons avec certitude qu’ils ont été survendus et ont échoué de toutes les manières pour lesquelles ils étaient censés réussir. Nous sommes en outre inondés de preuves de leurs méfaits, provenant à la fois de notre expérience personnelle et de la littérature scientifique.
Mais lisons-nous ou entendons-nous parler de cela dans les médias traditionnels ? Absolument pas. Même s’il est extrêmement clair que l’injection devrait être considérée comme une cause possible de l’augmentation soudaine des crises cardiaques, des morts subites, des turbo-cancers et des maladies de toutes sortes, tout ce sujet reste d’une manière ou d’une autre inavouable dans les grands médias.
Le silence sur ce sujet est si frappant et si évident qu’il discrédite tout le reste. Et quelle en est la raison ? Eh bien, la publicité pharmaceutique représente 75 % des revenus de la télévision grand public. C’est un chiffre stupéfiant. Les réseaux ne vont tout simplement pas mordre la main qui les nourrit.
C’est vrai pour la télévision et quelque chose de similaire s’applique probablement aussi à tout le reste.
Qu’est-ce que cela signifie pour le reste d’entre nous ? Cela signifie que chaque fois que nous allumons la télévision, nous risquons de subir la propagande d’entreprises qui sont sérieusement de mèche avec le gouvernement pour générer le flux de revenus le plus élevé possible, quelles que soient les conséquences.
Et pourquoi ne pas se concentrer sur les dommages causés par les vaccins ? Étonnamment, les entreprises elles-mêmes sont indemnisées de toute responsabilité pour les dommages qu’elles causent. Pensez simplement aux implications de cela. Même si vous savez avec certitude que vous avez été blessé par un produit que vous avez été forcé ou manipulé à prendre, vous ne pouvez presque rien y faire.
C’est un fait incroyable et cela explique en grande partie le traitement silencieux.
Le discrédit des grands médias dans ce contexte révèle une vérité plus profonde et plus terrifiante. Une grande partie de l’élite des gestionnaires économiques et sociaux n’a pas à l’esprit nos meilleurs intérêts. Une fois que vous réalisez cela, la couleur du monde change pour vous. Une fois que vous avez acquis cette idée, il n’est pratiquement plus possible de revenir en arrière.
Des millions de personnes en ont pris conscience au cours des quatre dernières années. Cela nous a changé en tant que personnes. Nous voulons désespérément vivre une vie normale et heureuse, mais nous sommes dépassés par ce que nous avons appris. C’est comme si le rideau s’était levé et que nous avions vu ce qui se passait réellement. L’ensemble de la culture officielle nous crie d’ignorer cet homme derrière le rideau.
J'ai récemment suivi mon propre conseil et me suis lancé dans la lecture de l'histoire comme refuge. Mon choix n’était probablement pas le meilleur si mon objectif était de me remonter le moral. J'ai lu « The Vampire Economy » de l'économiste et financier allemand Gunter Reimann, publié en 1939 (et que j'ai numérisé et téléchargé avec la permission de l'auteur).
Le livre a été écrit alors que le parti nazi avait pris le contrôle total du gouvernement (et de tout le reste) et que la guerre totale en Europe était sur le point de commencer avec l’invasion allemande de la Pologne.
Reimann décortique avec brio la réalité d’un régime qui ne se soucie pas des souffrances croissantes du peuple.
« Les dirigeants nazis en Allemagne ne craignent pas une éventuelle ruine économique nationale en temps de guerre », écrit-il.
« Ils sentent que, quoi qu’il arrive, ils resteront au pouvoir, que plus les choses empireront, plus les classes possédantes en dépendront. Et si le pire devait arriver, ils sont prêts à sacrifier tous les autres intérêts pour maintenir leur emprise sur l’État. S’ils doivent partir eux-mêmes, ils sont prêts à démolir le temple avec eux.
C’est une analyse vivifiante qui pourrait s’appliquer à de nombreux régimes de l’histoire, pas seulement aux nazis. En effet, dans l’histoire, un bon gouvernement a rarement été la norme. Le pouvoir profite souvent de la souffrance. En tant qu’Américains, nous ne sommes pas habitués à penser ainsi à nos élites. Mais il est probablement temps de réaliser que cette trajectoire est très en jeu.
Il s’agit peut-être du changement le plus frappant parmi des millions d’Américains au cours des cinq dernières années. Nous avons réalisé que nos dirigeants dans de nombreux secteurs de la vie américaine (ou mondiale, d’ailleurs) ne favorisent pas nos meilleurs intérêts. C’est une prise de conscience troublante mais cela explique beaucoup de choses. C'est pourquoi les élites ne se soucient pas des méfaits des confinements ou des tirs non testés et ne se soucient pas de l'inflation, de l'immigration de masse, de la montée de la criminalité, du squattage et de l'insécurité de la propriété, de l'explosion de la dette publique, de la surveillance croissante de la population ou de tout ce qui ressemble aux règles normales. de la vie civilisée.
Le régime, au sens le plus large possible de ce terme, s’en fiche. Pire encore, elle croît et en profite à nos dépens. Ils le savent. Nous le savons. Ils aiment ça de cette façon.
Les mythes économiques mondiaux atteignent leurs limites
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AVR 2024 - 00h00 Rédigé par Gail Tverberg via le blog Our Finite World,
Il existe de nombreux mythes sur l’énergie et l’économie. Dans cet article, j'explore la situation entourant certains de ces mythes.
Mon analyse suggère fortement que la transition vers une nouvelle économie verte ne progresse pas aussi bien qu’espéré.
Les planificateurs de l’énergie verte n’ont pas compris que notre économie basée sur la physique favorise les producteurs à faibles coûts.
En fait, les États-Unis et l’Union européenne ne sont peut-être pas loin d’un ralentissement économique, car les approches vertes subventionnées ne sont pas vraiment bon marché.
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[1] Les Chinois ont longtemps cru que l’endroit le plus sûr pour stocker leurs économies était dans les appartements en copropriété vides, mais cette approche ne fonctionne plus. L’accent mis sur la propriété de maisons en copropriété commence à se relâcher, avec d’énormes répercussions sur l’économie chinoise. En mars, les prix des logements neufs en Chine ont diminué de 2,2 % par rapport à l'année précédente. Les ventes immobilières ont chuté de 20,5 % au premier trimestre 2024 par rapport à la même période de l'année dernière, et les mises en chantier de nouvelles constructions mesurées par la surface de plancher ont chuté de 27,8 %. L’investissement immobilier global en Chine a chuté de 9,5 % au premier trimestre 2024. Personne ne s’attend à un rebond rapide. Les Chinois semblent déplacer leur main d’œuvre de la construction vers l’industrie manufacturière, mais cela crée des problèmes différents pour l’économie mondiale, que je décris dans la section [6].
[2] On nous a dit que les véhicules électriques (VE) sont la voie de l’avenir, mais le taux de croissance ralentit. Aux États-Unis, le taux de croissance n’a été que de 3,3 % au premier trimestre 2024, contre 47 % il y a un an. Tesla a fait la une des journaux en annonçant qu'elle licenciait 10 % de son personnel. Elle a également récemment annoncé qu'elle retardait les livraisons de son cybertruck. Le prix élevé des véhicules électriques constitue un gros problème. un autre problème est le manque d’infrastructures de recharge. Si les ventes de véhicules électriques veulent réellement se développer, elles auront besoin à la fois de prix plus bas et d’une bien meilleure infrastructure de recharge.
[3] Beaucoup de gens pensaient que les ventes de panneaux solaires domestiques augmenteraient pour toujours, mais aujourd’hui, aux États-Unis, les ventes de panneaux solaires domestiques diminuent. Selon une prévision du groupe professionnel Solar Energy Industries Association et du cabinet de conseil Wood Mackenzie, les installations de panneaux solaires par les propriétaires aux États-Unis devraient chuter de 13 % en 2024. Les problèmes sont nombreux : des taux d'intérêt plus élevés, des subventions moins généreuses aux propriétaires, une capacité de réseau insuffisante pour une nouvelle production et une surproduction excessive d'électricité par les panneaux solaires au printemps et à l'automne, lorsque la demande de chauffage et de climatisation est faible. Le problème de la surproduction est particulièrement aigu en Californie.
Pour chaque journée de 24 heures, le calendrier de production d’énergie solaire ne correspond pas bien au moment où elle est nécessaire. Avec suffisamment de batteries, l’électricité solaire produite le matin peut aider à faire fonctionner les climatiseurs le soir. Mais le stockage de l’été à l’hiver n’est toujours pas réalisable et les batteries destinées au stockage à court terme sont coûteuses.
[4] C’est un mythe que l’énergie éolienne et solaire contribue réellement à l’approvisionnement en électricité des États-Unis et des pays de l’UE. Au lieu de cela, leur tarification semble conduire à un resserrement de l’approvisionnement en électricité. Curieusement, aux États-Unis et dans l’Union européenne, lorsque l’éolien et le solaire sont ajoutés au réseau électrique, l’approvisionnement en électricité semble se resserrer. Par exemple, un article dit : La majeure partie du réseau électrique américain est confrontée à un risque de pénurie de ressources jusqu'en 2027, selon le NERC [groupe de réglementation].
Les graphiques de l’approvisionnement en électricité par habitant montrent une tendance inhabituelle lorsque l’on ajoute l’éolien et le solaire. La figure 1 montre qu’aux États-Unis, une fois l’énergie éolienne et solaire ajoutée, la production totale d’électricité par habitant diminue au lieu d’augmenter !
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Figure 1. Production d’électricité par habitant aux États-Unis, basée sur les données de l’Energy Information Administration des États-Unis. (Les données vont jusqu’en 2023, même si cela n’est pas facile à voir sur les étiquettes.)
L’UE, sur une période historique un peu plus courte, montre une tendance similaire de baisse de la production totale d’électricité par habitant, même en ajoutant l’éolien et le solaire (Figure 2).
Figure 2. Production d'électricité par habitant pour l'Union européenne, sur la base des données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
Je crois que les étranges systèmes de tarification utilisés pour l’éolien et le solaire aux États-Unis et dans l’Union européenne chassent les autres fournisseurs d’électricité, en particulier le nucléaire. Avec ce système, l'électricité intermittente bénéficie de la subvention du premier tarif au tarif régulier du marché de gros. D'autres fournisseurs se retrouvent avec des tarifs de gros très bas, voire négatifs, au printemps et à l'automne, ainsi que les week-ends et les jours fériés. En conséquence, leur rendement global devient trop faible. Le nucléaire est particulièrement touché car il nécessite un investissement fixe énorme et ne peut pas être augmenté ou réduit facilement.
Outre les problèmes susmentionnés affectant l’approvisionnement en électricité produite, il existe également des facteurs affectant la demande d’électricité. La production d’électricité à l’aide de l’énergie éolienne et solaire a tendance à être coûteuse lorsque tous les coûts sont inclus. Les États-Unis et l’Union européenne sont déjà des zones où les coûts d’exploitation des entreprises sont élevés. Les tarifs élevés de l’électricité incitent encore davantage à déplacer l’industrie manufacturière et d’autres industries vers des pays à moindres coûts si les entreprises souhaitent être compétitives sur le marché mondial.
À l’échelle mondiale, en 2022, l’énergie éolienne et solaire a ajouté environ 13 % à la production mondiale totale d’électricité (Figure 3).
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Figure 3. Production d'électricité par habitant dans le monde, basée sur les données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
D’après la figure 3, avec l’ajout de l’éolien et du solaire, la pente ascendante de la production mondiale d’électricité par habitant a pu rester à peu près constante de 1985 à 2022, à environ 1,6 % par an. Mais les États-Unis et l’UE, en tant que producteurs de biens et de services à coûts élevés, n’ont pas été en mesure de participer à cette croissance de l’électricité par habitant.
Au lieu de cela, la Chine a été l’un des principaux bénéficiaires du déplacement de l’industrie manufacturière des États-Unis et de l’UE vers l’étranger. Elle a pu augmenter rapidement sa fourniture d’électricité par habitant, même grâce à l’énergie éolienne et solaire. Il a également augmenté sa capacité de production d’électricité à la fois nucléaire et au charbon.
Figure 4. Production d'électricité par habitant pour la Chine, sur la base des données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
Ainsi, cette analyse produit le résultat auquel on pourrait s’attendre si la physique de l’économie mondiale favorisait les producteurs efficaces (à faibles coûts).
[5] C’est un mythe selon lequel les États-Unis et l’UE peuvent considérablement accélérer l’utilisation des véhicules électriques ou accroître considérablement l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) sans dépendre des combustibles fossiles. La production de véhicules électriques et l’IA sont de gros consommateurs d’électricité. Nous avons constaté que les États-Unis et l’Union européenne ne disposent plus d’un approvisionnement en électricité par habitant croissant. Accélérer la production d’électricité nécessiterait un long délai (10 ans ou plus), une augmentation importante de la consommation de combustibles fossiles et une augmentation du nombre de lignes de transport d’électricité.
L’État de Géorgie, aux États-Unis, est déjà confronté à ce problème, avec des projets de centres de données (liés à l’IA) et d’usines de fabrication de véhicules électriques. L’État prévoit d’ajouter une nouvelle production d’électricité au gaz. Il importera également davantage d'électricité de Mississippi Power, où le retrait d'une centrale au charbon est retardé pour fournir l'électricité supplémentaire nécessaire. À terme, davantage de panneaux solaires sont également prévus.
[6] C’est un mythe que l’économie mondiale puisse continuer comme d’habitude, quoi qu’il arrive à l’approvisionnement énergétique et à la dette croissante. Les problèmes de construction de logements en Chine pourraient, en théorie, conduire à l’éclatement de bulles de dette dans le monde entier. L’économie mondiale dépend d’une bulle de dette croissante. Cela dépend également d’une offre toujours croissante de biens et de services. En fait, les deux sont étroitement liés. Tant qu’une offre croissante d’énergie à bas prix, du type utilisé par les infrastructures bâties, sera disponible, l’économie aura tendance à naviguer.
La Chine, avec des problèmes dans son secteur immobilier, est un exemple de ce qui peut mal tourner lorsque l’approvisionnement en énergie (le charbon en Chine) devient cher, alors que l’offre devient de plus en plus limitée. La figure 5 montre que l’approvisionnement en charbon par habitant de la Chine est devenu limité vers 2013. L’extraction de charbon par habitant en Chine avait augmenté, mais elle a ensuite chuté. Cela a rendu plus difficile pour les constructeurs la construction des maisons prévues pour les futurs propriétaires. C’est en partie ce qui a mis les constructeurs d’habitations en difficulté financière en Chine
Figure 5. Approvisionnement en charbon par habitant en Chine, sur la base des données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
Enfin, en 2022, la Chine a pu augmenter sa production de charbon. Mais cela a été possible grâce à des prix du charbon très élevés (Figure 6). (Les prix indiqués concernent le charbon australien, mais les prix du charbon chinois semblent être similaires.)
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Figure 6. Prix du charbon de Newcastle (Australie) dans un graphique préparé par Trading Economics.
Construire des maisons en béton à des prix aussi élevés du charbon aurait abouti à la construction de nouvelles maisons beaucoup trop chères pour la plupart des citoyens chinois. Si les constructeurs n’étaient pas déjà en difficulté en raison de la faiblesse de l’offre, l’augmentation des prix du charbon constituerait également un deuxième coup dur. En outre, tous les travailleurs autrefois engagés dans la construction d'habitations avaient besoin de nouveaux endroits pour gagner leur vie ; l’approche actuelle semble consister à déplacer un grand nombre de ces travailleurs vers le secteur manufacturier, afin que l’éclatement de la bulle de la construction immobilière ait moins d’impact sur l’économie globale de la Chine.
On s’inquiète désormais du fait que la Chine accélère son industrie manufacturière, en particulier pour les exportations, à un moment où les emplois chinois dans le secteur immobilier disparaissent. Le problème, cependant, est que l’augmentation des exportations de produits manufacturés crée une nouvelle bulle. Cette énorme offre supplémentaire de produits manufacturés ne peut être vendue qu’à bas prix. Cette nouvelle concurrence à bas prix semble susceptible de conduire les fabricants du monde entier à obtenir des prix trop bas pour leurs produits manufacturés.
Si d’autres économies du monde étaient obligées de concurrencer des produits chinois encore moins coûteux, cela pourrait avoir un impact négatif sur l’industrie manufacturière du monde entier. Avec des prix bas, les fabricants sont susceptibles de licencier des travailleurs ou de leur accorder des salaires excessivement bas. Si les salaires et les prix sont insuffisants, les bulles de dette risquent d’éclater dans d’autres régions du monde. Cela se produira parce que de nombreux emprunteurs ne seront plus en mesure de rembourser leur dette. C’est la raison pour laquelle on entend beaucoup parler récemment d’une augmentation des droits de douane sur les exportations chinoises.
[7] Le plus grand mythe du monde est que l’économie mondiale peut continuer à croître éternellement. J’ai souligné précédemment que, sur la base de considérations physiques, on ne peut pas s’attendre à ce que les économies soient des structures permanentes. Les économies et les humains sont tous deux des systèmes auto-organisés qui se développent. Les humains tirent leur énergie de la nourriture. Les économies dépendent des types de produits énergétiques utilisés par nos infrastructures bâties. Ni l’un ni l’autre ne peuvent grandir éternellement. Ni l’un ni l’autre ne peut se passer de produits énergétiques adaptés, en quantités adéquates.
Nous nous habituons tellement aux récits que nous entendons que nous avons tendance à supposer que ce qu’on nous dit doit être juste. Ces récits pourraient être basés sur des vœux pieux, ou sur des modèles inadéquats, ou encore sur une vision amère qui dit : « De toute façon, nous ne voulons pas de combustibles fossiles ». Nous savons que les humains ont besoin de nourriture et que les économies continueront à avoir besoin de combustibles fossiles. Nous ne pouvons pas fabriquer d’éoliennes ou de panneaux solaires sans combustibles fossiles. Que prévoyons-nous de faire pour l’énergie sans combustibles fossiles ?
Dans un monde fini, les économies ne peuvent pas continuer éternellement. Nous ne savons pas précisément ce qui va mal tourner ni quand, mais les récents échecs des mythes selon lesquels notre économie pourrait changer radicalement dans un avenir pas si lointain nous donnent une idée.
Alors que la « réduction de moitié » est imminente, Peter Schiff déclare que « le Bitcoin n'a aucune valeur »
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 19 AVR 2024 - 15H00 Via SchiffGold.com,
Peter est récemment apparu sur Market Overtime avec Oliver Renick pour une interview. Dans leur discussion approfondie, Peter parle de la politique monétaire, de la fiabilité des données sur l’inflation et des raisons d’éviter le Bitcoin.
Contrairement au discours populaire, la récente hausse de l’or n’est pas due aux conflits mondiaux. L’inflation est le moteur de l’évolution des prix du métal :
« Ce n’est que le début d’une révision massive du prix de l’or, et les gens ne l’achètent même pas encore. Les banques centrales achètent, mais les investisseurs n’achètent même pas d’or. Les investisseurs particuliers, les institutions, ils ne sont pas du tout présents sur le marché. Ils ne comprennent même pas pourquoi l’or augmente. Ils l’attribuent aux risques géopolitiques, mais tout est question d’inflation. La clé est que les marchés ont une fausse idée de l’inflation. Les hausses de taux de la Fed jusqu’à cinq et quart, cinq et demi, n’ont pas suffi à remettre le génie de l’inflation dans la bouteille.
Alors que les médias et les décideurs commencent à remettre en question la faisabilité d’un objectif d’inflation de 2 %, leurs mesures préférées de l’inflation ne sont probablement pas aussi précises qu’elles devraient l’être :
« Je dirais que l’inflation est au moins le double de l’IPC. Donc si le gouvernement prétend que l’inflation est de deux, elle est de quatre. Et quand ils prétendaient qu’il était neuf heures, il était probablement dix-huit heures. Les gens se battent. C’est une mauvaise économie. Les revenus réels des gens ont été éviscérés par l’inflation. Ils sont obligés d’occuper plusieurs emplois. Ils croulent sous une montagne de dettes et nous nous dirigeons vers une catastrophe majeure. »
- voir clip sur site -
Sous la surface de l’économie se cachent des décennies de dommages résiduels dus à des taux d’intérêt artificiellement bas, en particulier dans les secteurs immobilier et bancaire :
« L’ensemble du système bancaire est insolvable. C’est là le gros problème : lorsque les taux d’intérêt étaient maintenus à zéro et que tous ces propriétaires refinançaient leurs prêts hypothécaires à 3 %. Les banques possèdent tout ce papier. Ils sont insolvables maintenant ! Ils possèdent tous ces trésors. Grâce au gouvernement – la Fed – l’ensemble du système bancaire américain est insolvable. Et si la Fed augmentait effectivement les taux d’intérêt à un niveau approprié, toutes les banques feraient faillite, y compris toutes les banques trop grandes pour faire faillite.»
Les présages d’un désastre économique rappellent à Peter les avertissements qu’il avait lancés au début des années 2000 :
« Je n’arrêtais pas de mettre en garde contre les erreurs commises par la Fed, la bulle immobilière et la crise financière qui allait frapper lorsque la bulle éclaterait. Les gens disaient : « Quand, quand, quand ? » Eh bien, je n’ai pas de rendez-vous. Je sais juste que ça va arriver. Je ne peux pas vous dire exactement quand. C'est la même chose maintenant. Mais beaucoup de choses se sont produites maintenant, tout comme en 2007, qui indiquent que le jour du jugement se rapproche.»
S’intéressant au débat crypto/or, Peter affirme que la valeur de l’or provient d’utilisations non monétaires qui manquent au Bitcoin :
« Ils disent : « Bitcoin est une réserve de valeur », mais il n’a aucune valeur. Vous ne pouvez pas stocker ce que vous n’avez pas. La raison pour laquelle l’or est une réserve de valeur est que je peux prendre l’or que je possède et dans cent ans, je pourrai fabriquer une montre avec. Je peux conduire l'électricité avec. Je peux l'utiliser en médecine, en dentisterie. L’or a une véritable utilité dans le monde. C’est un produit utilisé dans toute l’industrie.
Il pense que les récents sommets de Bitcoin sont motivés par le battage médiatique des ETF, peut-être un excellent exemple de la théorie du « plus grand imbécile » :
« Le public abandonnait ses actions aurifères pour investir son argent dans ces ETF. Mais le problème est que lorsque les gens qui ont acheté ces ETF voudront s’en sortir, ce sera impossible. … Il n’y aura pas suffisamment de demande pour que les gens qui ont acheté s’en aillent. Le prix va s'effondrer. Nous allons assister au plus gros crash de Bitcoin que nous ayons jamais vu. … Ce sont des mains en papier. Ce ne sont pas des mains en diamant.
Le Bitcoin et l’or sont des actifs catégoriquement différents, et investir dans le Bitcoin est un pari risqué :
« Écoutez, si vous voulez jouer au Bitcoin, prenez l’argent que vous auriez utilisé pour acheter des billets de loterie ou si vous prévoyez un voyage à Vegas, au lieu de jouer au craps ou à la roulette, vous pouvez jouer avec Bitcoin. Mais ne le confondez pas avec un investissement. Ce n’est même pas une spéculation légitime. C’est juste du pur jeu. »
N'oubliez pas de consulter l'autre interview récente de Peter sur Fox Business et restez à l'écoute de la réponse de Peter plus tard cette semaine aux remarques de Jerome Powell faites le mardi 16 avril.
Comment les grandes technologies consomment l’électricité et l’eau des États-Unis La demande d’électricité du cloud computing met à rude épreuve un réseau qui devrait déjà connaître des pénuries d’électricité et des pannes d’électricité régulières dans les années à venir. Amis, lire gratuitement
Comment les grandes technologies consomment l’électricité et l’eau des États-Unis
Par Kevin Stocklin 18 avril 2024
Alors que les politiques fédérales de zéro émission nette tentent de transférer les transports, le chauffage et d'autres éléments essentiels vers le réseau électrique, l'un des secteurs de croissance les plus dynamiques de l'économie américaine est sur le point d'augmenter la demande d'électricité de façon exponentielle, mettant encore plus à rude épreuve une infrastructure énergétique qui est poussée dans le rouge. .
Les centres de données, appelés « cerveaux d’Internet », sont des entrepôts industriels remplis de rangées de serveurs. Ils traitent, communiquent et stockent les données derrière tout, des relevés bancaires, des détaillants en ligne et des plateformes de médias sociaux aux émissions Netflix et à vos vidéos personnelles sur iPhone.
« Les centres de données sont essentiels au cloud computing et à sa capacité à donner aux utilisateurs un accès à distance aux données », indique un rapport de la Réserve fédérale de 2023, citant un article de Science qui les qualifie de « colonne vertébrale de l'information d'un monde de plus en plus numérisé ». De nombreux analystes considèrent les centres de données comme l’un des secteurs du marché immobilier à la croissance la plus rapide, mais le secteur pourrait bientôt se retrouver face à un mur alors que les communautés locales opposent une résistance croissante à l’appétit apparemment insatiable du secteur pour l’électricité et l’eau.
"Alors que d'autres secteurs de l'immobilier commercial connaissent un déclin des pipelines de construction, le développement des centres de données a atteint un niveau record", selon un rapport de janvier de Newmark, un cabinet de conseil en immobilier commercial. « Cependant, la croissance est de plus en plus limitée par la disponibilité des terrains et de l’électricité, les défis de la chaîne d’approvisionnement et les retards de construction, sans parler de la résistance croissante de certaines juridictions locales. »
Le rapport indique que la croissance rapide de l’intelligence artificielle (IA) et d’autres technologies alimente la demande.
Le secteur est dirigé par des géants du cloud computing comme Amazon Web Services (AWS), Microsoft Azure, Google Cloud et Meta. Cela inclut également les propriétaires numériques, appelés sociétés de colocation, qui louent des espaces de stockage à des tiers. Il s'agit notamment d'Equinix, Digital Realty et CyrusOne. La demande d’électricité va doubler d’ici 2030
Les entrepôts de données ont consommé 17 gigawatts d’électricité en 2022, soit environ 4 % de la consommation totale des États-Unis. Cette puissance devrait doubler pour atteindre 35 gigawatts d’ici 2030.
Eric Woodell, titulaire d'un doctorat ès sciences en systèmes d'information et communications et fondateur d'Amerruss, une société de gestion d'infrastructures technologiques, a qualifié les centres de données de « porcs énergétiques ».
« Mais désormais, votre centre de données pour les applications d’IA n’est plus un porc, c’est un éléphant et il vit dans votre jardin », a-t-il déclaré à Epoch Times.
M. Woodell gère des centres de données depuis 25 ans, auparavant pour Vanguard, le deuxième gestionnaire d'actifs au monde.
Un simple espace de 10 pieds carrés dans un centre de données moyen consomme environ 10 fois plus d'électricité qu'une maison moyenne, a-t-il déclaré.
« Alors que les centres de données conventionnels consomment déjà énormément d'énergie, l'IA n'utilise pas de CPU [unités centrales de traitement], mais plutôt des systèmes basés sur GPU, car les GPU [unités de traitement graphique] sont conçus pour mieux gérer des fonctions mathématiques complexes. ," il a dit. "Mais il y a un hic : ils consomment entre cinq et dix fois plus d'énergie que les systèmes CPU équipés de manière similaire."
Cette forte augmentation de la demande d’électricité met à rude épreuve un réseau qui devrait déjà connaître des pénuries d’électricité et des pannes d’électricité récurrentes dans les années à venir. Cela est dû à une demande accrue sur le réseau à un moment où les services publics ferment de manière agressive les centrales au charbon et au gaz dans le cadre de leur transition vers l’énergie éolienne et solaire.
Selon une étude de cas réalisée en février par Quanta Technologies sur un grand service public d’électricité régional, PJM, les prochaines années seront marquées par « des surcharges d’équipement qui déclencheront jusqu’à 6 826 MW de délestage pendant la demande de pointe hivernale moyenne ». Le délestage consiste à couper l’alimentation électrique des consommateurs, également appelée panne d’électricité, pour éviter un effondrement du système.
PJM dessert une douzaine d'États de l'est du centre de l'Atlantique en tant que fournisseur de gros.
"L'analyse révèle la surcharge attendue de 30 installations de transport de masse (230 kV et plus) au cours de l'été 2028, principalement en raison de la forte croissance de la charge associée principalement aux nouveaux centres de données", indique le rapport.
Curieusement, étant donné que la transition vers les énergies renouvelables vise apparemment à lutter contre la hausse des températures, le rapport Quanta constate que « la demande d’électricité atteint moins son pic en été et davantage en hiver ». Ceci est particulièrement inquiétant alors que les États de la côte ouest et du nord-est, qui représentent près d’un tiers des consommateurs de gaz naturel aux États-Unis, interdisent le chauffage au gaz dans les nouvelles maisons, obligeant ces ménages à dépendre de l’électricité pour leur chauffage essentiel.
PJM prévoit une croissance de la charge des nouveaux centres de données de 7 500 MW d'ici 2028, tout en désactivant 11 100 MW de production de combustibles fossiles, laissant un écart de 18,6 gigawatts entre la nouvelle demande et l'offre restante dans ce secteur, selon M. Woodell.
« 18,6 gigawatts alimenteraient environ 3 millions de foyers, soit trois fois la ville de New York », a-t-il déclaré. « Les conséquences sont énormes. » Allée du centre de données À l’échelle mondiale, les centres de données consomment environ 3 % de l’électricité mondiale, selon Ryan Yonk, économiste à l’American Institute for Economic Research. Cette consommation a tendance à être stable et prévisible, et les services publics peuvent se développer pour y répondre, a-t-il déclaré. Cependant, des problèmes surviennent lorsque les centres se concentrent dans une seule zone, surtout si cette zone s’éloigne des combustibles fossiles.
« Les centres de données finissent par avoir des besoins énergétiques constants, ce qui signifie que le réseau peut être assez bien étendu tant que la capacité de production est suffisamment élevée », a-t-il déclaré. "Mais à mesure que nous passons davantage aux énergies renouvelables... plus la demande de base est élevée, plus elle peut être problématique."
La région couverte par PJM et l’étude Quanta est importante car elle comprend le plus grand centre de données au monde, où se trouvent environ la moitié de tous les centres de données américains et par lequel transite environ 70 % du trafic Internet mondial.
Pour toute personne effectuant une recherche sur Google ou effectuant un achat sur Amazon, cette transaction sera probablement traitée dans ce que l'on appelle Data Center Alley, qui abrite environ 150 entrepôts de données dans le comté de Loudoun, dans le nord de la Virginie.
Data Center Alley a fait ses débuts dans les années 1980, lorsque America Online (AOL) y a installé son siège social. Il en a rapidement attiré d’autres en raison de sa proximité avec Washington, de la construction du réseau de fibre optique « le plus dense au monde », d’un approvisionnement en électricité relativement bon marché et d’incitations fiscales locales.
« C’est la zone où vous souhaitez vous installer pour vous connecter à tout le reste », a déclaré à Epoch Times Julie Bolthouse, directrice de l’utilisation des terres au Conseil environnemental du Piémont (PEC).
« Tout le monde s'appuie les uns sur les autres dans ces centres de données ; il faut le considérer comme un réseau géant qui communique tous les uns avec les autres », a-t-elle déclaré.
« Ce qui s’est passé depuis les années 90 jusqu’à aujourd’hui, c’est que nous les avons surdimensionnés. Nous sommes passés d'un petit bâtiment qui faisait partie d'un plus grand campus d'affaires et qui ne produisait que cinq mégawatts, à ces bâtiments de type entrepôt à grande échelle qui font maintenant 200 000 pieds carrés, et ils utilisent jusqu'à 90 mégawatts par bâtiment. »
À grande échelle, 90 mégawatts représentent environ la consommation électrique de 22 000 foyers, selon un rapport du PEC.
Le réseau de centres de données du nord de la Virginie s'est étendu en 2022 pour inclure un développement appelé Digital Gateway, un cluster de taille à peu près égale à Digital Alley, situé dans le comté voisin de Prince William. Ce nouveau développement comprend 37 bâtiments et 14 sous-stations de 200 000 pieds carrés chacune, a déclaré Mme Bolthouse, et d'autres développements sont en cours dans toute la région. Les centres de données actuels et entrants augmenteraient la consommation d'électricité de plus de 20 gigawatts, indique le PEC dans le rapport. Actuellement, la demande de pointe totale pour cette zone est de 23 gigawatts, de sorte que les centres de données du nord de la Virginie doubleraient presque la demande locale en électricité, utilisant environ 5,5 millions de foyers.
Le problème pour les communautés locales est qu’une fois qu’une municipalité a approuvé le développement, le service public d’électricité doit construire de nouvelles lignes de production et de transmission d’électricité pour desservir ce développement. Le coût de cette nouvelle infrastructure est largement supporté par la communauté sous la forme d'une facture d'électricité plus élevée pour tous les contribuables.
« Lorsque nous payons nos factures d’électricité chaque mois, vous accordez une énorme subvention à des entreprises multimilliardaires comme Amazon, Google, Microsoft et Apple », indique le rapport du PEC.
En conséquence, les centres de données se heurtent de plus en plus à une résistance locale lorsqu’ils tentent de construire de nouvelles installations.
Un groupe qui résiste est la Virginia Data Center Reform Coalition, qui comprend environ 40 organisations, dont des associations d'accession à la propriété, des groupes de protection des ressources naturelles, des groupes de préservation historique et des militants pour le climat. Cette organisation, dans laquelle Mme Bolthouse joue un rôle de leadership, s'efforce de faire adopter des lois locales pour ralentir ou arrêter l'expansion des centres de données. À la recherche de nouveaux endroits à construire Par conséquent, les promoteurs ont commencé à chercher ailleurs des terrains, une énergie bon marché et des eaux souterraines abondantes. Les emplacements cibles incluent Atlanta, Géorgie et Columbus, Ohio. Cheyenne, dans le Wyoming, a également approuvé le développement important d'un centre de données. Les développeurs de centres de données recherchent également des emplacements à l’étranger. La BBC a rapporté en juin 2023 que les centres de données consommaient environ un cinquième de toute l’électricité de la République d’Irlande, l’équivalent de l’électricité utilisée dans tous les districts urbains du pays réunis.
La consommation d'énergie en Irlande de ces entrepôts de données a augmenté de 31 % entre 2021 et 2022, et de 400 % depuis 2015, a déclaré la BBC.
Il a même été envisagé, à un moment donné, avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, d'implanter des centres de données dans des régions glaciales comme la Sibérie, dont certaines disposent également d'une réserve abondante d'énergie nucléaire, a déclaré M. Woodell. "Mais évidemment, cela a disparu en raison de préoccupations géopolitiques."
En fin de compte, il pense que les gouvernements interviendront pour imposer des limites à l’industrie alors que les réseaux électriques deviennent de plus en plus incapables de répondre à la demande du public, obligeant les pays à choisir entre les données et les éléments essentiels comme le chauffage ou l’alimentation électrique des hôpitaux.
"Je pense qu'il y aura finalement des moratoires", a-t-il déclaré. « En Europe et au Royaume-Uni, ils ont imposé des moratoires sur toute nouvelle construction de centres de données parce qu’il n’y a tout simplement pas assez d’énergie. »
Et la ponction sur les ressources locales va au-delà de l’électricité, elle inclut également la consommation d’eau.
Les centres de données concentrent une quantité importante d’énergie dans un petit espace, générant plus de chaleur que le refroidissement par air seul ne peut en atténuer. Par conséquent, ils consomment d’énormes quantités d’eau souterraine pour empêcher les serveurs de surchauffer.
Le rapport de la Fed indique que l’industrie des centres de données se classe parmi les 10 plus grandes industries en termes de consommation d’eau en 2021.
Selon Owen Williams, directeur technique de Subsea Cloud, un fabricant de « pods » de données sous-marines, lorsque de l'énergie est introduite dans une machine industrielle, une voiture ou un avion, cette énergie est convertie en mouvement physique, ou « travail ». »
« Lorsque vous parlez de centres de données, il n’y a absolument aucun travail en cours dans un ordinateur », a déclaré M. Williams à Epoch Times. "Et lorsque de l'énergie entre dans la machine et qu'aucun travail n'est effectué dans cette machine, chaque parcelle d'énergie qui entre doit ressortir sous forme de chaleur", a-t-il déclaré.
"Cent pour cent de l'énergie que vous laissez entrer dans un serveur doit être supprimée du serveur", a déclaré M. Williams. "Si vous la laissez s'accumuler, elle brûlera essentiellement. Ainsi, avec l'augmentation de la densité informatique, la demande d'élimination de cette chaleur est devenue extrême."
En règle générale, a-t-il expliqué, en plus de l'électricité utilisée pour alimenter les ordinateurs, il faut en moyenne 40 % supplémentaires pour les refroidir. Cela exerce une pression supplémentaire sur les réseaux électriques et consomme ainsi d’énormes volumes d’eaux souterraines locales.
Les centres de données peuvent-ils prospérer sous la mer ? Des entreprises comme Microsoft, Subsea Cloud et certains concurrents chinois pensent avoir trouvé une solution : installer des centres de données au large dans des nacelles en eaux profondes. Ces entreprises ont développé de nouvelles technologies capables d’héberger des centres de données dans les eaux côtières, à des milliers de pieds sous la surface.
La température normale de fonctionnement d'une puce informatique est supérieure à 70 degrés Celsius (158 degrés Fahrenheit), de sorte que même dans les eaux tropicales, « il y a toujours une différence si grande entre l'eau et la puce qu'elle évacuera cette chaleur des puces ». sans dépenser aucune énergie pour le faire », a déclaré M. Williams.
Cependant, là où Microsoft a construit des réservoirs de données avec des parois en acier de cinq pouces d'épaisseur pour empêcher la pression des grands fonds marins d'écraser les réservoirs, Subsea Cloud remplit ses réservoirs avec un fluide non corrosif breveté, en utilisant des disques SSD capables de fonctionner dans un liquide. environnement. Cela remplit deux fonctions.
« Premièrement, il transfère la chaleur de manière très efficace », a déclaré M. Williams. "Numéro deux, il s'agit de maintenir une pression à l'intérieur de la nacelle qui est égale à celle à l'extérieur." Cela nécessite que les parois des modules sous-marins n’aient qu’un quart de pouce d’épaisseur.
Même s’il a fallu du temps pour convaincre les entreprises technologiques d’envisager une alternative sous-marine, la demande de modules sous-marins est « énorme en ce moment », a-t-il déclaré.
« Nous avons beaucoup de chance d'être dans un endroit où de très grandes entreprises nous parlent, ainsi que les gouvernements. Le fait est qu’il ne semble pas que la population mondiale veuille réduire l’utilisation de l’électronique, de l’IA et tout le reste.
Les modules de données submersibles peuvent contribuer à réduire les terres, l'électricité et les eaux souterraines nécessaires pour répondre à la demande croissante des centres de données, mais en fin de compte, l'industrie mondiale des données aura toujours besoin de grandes quantités d'énergie pour alimenter sa croissance, ce qui continuera de mettre à rude épreuve les réseaux électriques.
M. Woodell affirme qu'un jour prochain, l'industrie technologique devra soit innover pour améliorer considérablement l'efficacité du traitement des données, soit faire face à des obstacles pratiques et réglementaires à sa croissance future.
Les inquiétudes climatiques sont des croyances luxueuses et non crédibles qui nuisent à la civilisation elle-même
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 19 AVR 2024 - 21:43 Écrit par Joakim Book via The Mises Institute,
J'habite dans un petit village en bordure de terres entouré d'une nature très rude. Ceux qui ont occupé ces vallées dans le passé ont vécu des vies impitoyablement dangereuses, où la famine était une préoccupation constante, la mer aussi souvent nourrie qu'elle emportait, et les hivers étaient longs et périlleux. Aujourd’hui, alors que je parcoure les montagnes désolées ou que j’admire les violentes tempêtes depuis mon existence agréable et abritée, les descriptions de la vie précivilisationnelle de l’homme par Thomas Hobbes résonnent dans ma tête : « Solitaire, pauvre, méchant, brutal et court ».
Dans les années 2020, nous vivons ici une vie assez confortable, mes concitoyens du village et moi. Nos foyers sont chaleureux, notre maîtrise des biens économiques excellente. Nous vivons longtemps et en sécurité, où personne ne meurt de faim et où presque personne ne périt dans les accès de colère de la nature. Nous utilisons des machines – construites très, très loin à l'aide de matériaux que nous n'avons pas, qui fonctionnent avec des combustibles fossiles que ces terres ne contiennent pas – pour enlever la neige qui tombe fréquemment et de manière prévisible sur le pas de notre porte et qui autrement aurait rendu nos routes infranchissables et nos maisons des prisons. Nous utilisons différentes machines – construites très, très loin avec des matériaux que nous n'avons pas, qui fonctionnent avec des combustibles fossiles que ces terres ne contiennent pas – pour sortir de notre vallée et transporter des biens et des services, y compris des fruits et légumes exotiques. qui ne poussent jamais ici (surtout pas en hiver !).
Il est vraiment fascinant de constater les choses étonnantes que le commerce mondialisé et le capitalisme peuvent accomplir. Prendre du recul et réfléchir aux miracles du commerce moderne, de l’innovation et de la division du travail est une véritable leçon d’humilité.
Pourtant, nous, les modernes aisés, nous inquiétons de notre existence collective au point que les enfants font des cauchemars, et les personnes interrogées affirment dans leur grande majorité que le changement climatique mettra fin à la race humaine.
Environ un tiers des jeunes déclarent qu’ils ne veulent pas d’enfants par crainte d’aggraver les conditions climatiques ou de la façon dont ils se comporteraient dans ce nouveau monde courageux. « L’anxiété climatique est répandue parmi les jeunes », rapporte National Geographic. « Comment pouvons-nous aider les enfants à faire face à « l’éco-anxiété » ? » demande la British Broadcasting Corporation. La grande majorité des personnes interrogées dans une étude mondiale menée auprès de dix mille personnes publiée dans le Lancet en 2021 ont admis être très ou extrêmement inquiètes. Les auteurs de Vox s'inquiètent de l'éthique de l'éducation des enfants. Une nouvelle étude, rapportée par Phys.org, souligne combien de jeunes n'auront pas d'enfants à cause du changement climatique : il serait injuste de « mettre au monde un enfant », qui devrait vivre avec le un « sentiment constant de catastrophe imminente, chaque jour, toute leur vie », déclare un futur parent interrogé.
Beaucoup de mes concitoyens entretiennent toutes ces idées globales – fonte des glaciers et parties par million – chiffres, inondations et dilemmes éthiques selon lesquels nous, humains vulgaires, rendons la terre inhospitalière ou inhabitable.
C'est une chose étrange dont il faut s'inquiéter de manière obsessionnelle, alors que la violente tempête qui fait rage devant les fenêtres à double vitrage n'affecte en rien notre approvisionnement alimentaire, notre consommation d'électricité, notre chauffage ou notre capacité à participer à la division mondiale du travail, que ce soit dans nos bureaux ou à distance via Internet haut débit. Il semble en quelque sorte contradictoire de se rassembler passionnément contre le capitalisme dans le confort de maisons, d’hôtels et de pubs construits et entretenus de manière très capitaliste ; pour dénoncer la combustion de combustibles fossiles qui maintient littéralement quelqu'un en vie.
Cela me fait réfléchir à l’axiome d’action, point de départ de la praxéologie de Ludwig von Mises et pilier sur lequel repose l’économie autrichienne. La version familière de cette maxime fondamentale autrichienne est « mettez votre argent là où vous le dites » ou « les actions sont plus éloquentes que les mots ». Nous démontrons par nos actions où se situent nos préférences et nos valeurs ; nous les révélons au monde (les mettons en pratique, en fait) lorsque nous faisons une chose au lieu d'une autre, lorsque nous achetons un bien au lieu d'un autre, lorsque nous travaillons au lieu de nous détendre. Tout cela est enveloppé d’incertitude, d’espoirs et de désirs humains subjectifs qui s’opposent à d’autres désirs similaires ; avec le recul, nous pouvons regretter les choix que nous avons faits. Pourtant, dit Murray Rothbard, « les préférences d’un homme se déduisent de ce qu’il a choisi dans l’action ».
Peut-être que toutes ces plaintes climatiques ne sont que des signes de vertu, dans un monde où les sentiments comptent plus que les faits. Le détachement des processus physiques de la vie de base – l’énergie, les matériaux, les transports et, dans les économies monétaires complexes, l’argent – a rendu de nombreuses personnes ignorantes, tenant pour acquis les modes de vie et les niveaux de vie que nous avons. Cela nous a permis de commencer à penser que les systèmes fondateurs et porteurs de civilisation comme l’argent, les combustibles fossiles ou les institutions commerciales sont facultatifs – une simple question de choix idéologique entre les bonnes et les mauvaises personnes. Ils ne sont pas.
Cela me rappelle aussi les croyances en matière de luxe, un concept quelque peu en vogue inventé par Rob Henderson, psychologue à l'Université de Cambridge et auteur du livre récent Troubled. Henderson transfère la « consommation ostentatoire » de Thorstein Veblen – l’achat de biens coûteux, souvent apparemment inutiles dans le but d’afficher sa richesse – dans le domaine moral et politique. Une croyance en matière de luxe, comme un bien remarquable, s’acquiert dans le but d’impressionner les autres et est conçue pour « conférer un statut à la classe supérieure à très peu de frais, tout en infligeant des coûts aux classes inférieures ».
Les croyances sur le luxe n’ont pas beaucoup de sens et n’ont pas de résistance dans le monde réel des atomes et de la température, de la nature et de la famine. Mais nous sommes si détachés du monde qui nous soutient physiquement – si riches, si trompés, si aisés – que nous sommes prêts à croire (et, par extension, à expérimenter) les systèmes mêmes qui soutiennent notre existence.
Signalez les préoccupations environnementales et l’anticapitalisme.
Pris au sens littéral, en mettant en place des politiques basées sur de telles folies, nous sommes sur la voie de l’horreur et de la pauvreté, avec des vies brutales et courtes à suivre.
La bonne nouvelle est que ces systèmes sont remarquablement résistants et que ces voix pourraient encore être toutes « bavardes », comme dirait Nassim Taleb.
Le populaire magazine de financement de l'énergie Substack Doomberg a fait une observation similaire en février, énumérant en deux paragraphes les événements majeurs survenus à partir de 1971 : la crise pétrolière, l'Iran-Irak, les guerres du Koweït, les conflits du Moyen-Orient, les effondrements financiers en Asie, en peso et en rouble, les attentats terroristes, la Libye-Syrie-Ukraine, la crise financière mondiale et le covid.
À travers tous ces événements, aussi tumultueux qu’ils paraissent à l’époque et aussi pertinents qu’ils restent dans la conscience politique, la consommation totale d’énergie du monde est une ligne droite à travers tout cela.
Voici leur graphique :
BP Statistical Review consommation totale d’énergie mondiale
- voir graph sur site -
Source : Doomberg
Des événements socio-économiques aussi radicaux que les droits des femmes ou l’égalité raciale ; les dirigeants de gauche ou de droite ; crises et récessions, inflations et années de boom ; générations d'universitaires, de scientifiques et de mouvements politiques. . . et il n’y a aucun impact sur l’élément fondamental qui alimente notre civilisation.
Quatre-vingt-cinq pour cent de la consommation mondiale d’énergie primaire provient directement des combustibles fossiles – c’était la même chose il y a plus de trente ans, lorsque je suis né. Vous pouvez exprimer vos convictions sur le changement climatique, sur des objectifs politiques non crédibles et zéro net (toujours avec des années se terminant de manière suspecte par zéro ou cinq), sur la réduction de la dépendance aux combustibles fossiles ou sur le caractère « propre » des énergies renouvelables. Vous pouvez y consacrer de l’argent du gouvernement, adopter des lois ou pontifier devant les hautes cours, les auditoires législatifs ou la place publique, mais vous ne changez tout simplement pas cela. Vous ne pouvez pas changer cela.
Les Cypherpunks écrivent du code. Les gens intelligents ignorent la politique. Vous devriez sortir de la maison, arrêter de trop vous soucier des fous qui dirigent l'asile et plutôt admirer la nature.
Une autre journée sur la route vers la ruine de l’énergie verte et l’illustration de la fabrication verte s’effondre
Par Jo Nova April 20th, 2024
Ce n’est qu’un autre panneau indicateur sur la voie de la grande économie verte d’en bas. Nous regardons la bulle renouvelable éclater autour de nous. Tritium était la petite entreprise technologique australienne qui fabriquait des chargeurs rapides pour les véhicules électriques. Il a fallu 20 ans pour la créer, et seulement deux ans pour la mettre sous séquestre. À son apogée en 2021, elle s'est lancée au NASDAQ et valait 2 milliards de dollars, aujourd'hui elle est insolvable.
The Driven explique à quel point c'était important :
La société affirme avoir vendu plus de 13 000 chargeurs rapides DC dans plus de 40 pays. À son apogée, il prétendait être le plus grand fabricant de chargeurs rapides aux États-Unis avec une part de marché de 30 pour cent (on ne sait pas si cela incluait le réseau Tesla), et une part de 75 pour cent en Australie, et l'un des trois premiers en Europe. .
Lors de son lancement en 2021, les actions se vendaient à 2 500 $ chacune. Le prix actuel est de 1,35 $.
- voir graph sur site -
Cours de l’action Tritium. NASDAQ
Le tritium est l’emblème parfait de l’économie planifiée technocratique Il y a à peine un an, le Premier ministre australien en était ravi et utilisait le Tritium comme modèle pour vendre son nouveau « Fonds national de reconstruction » de 15 milliards de dollars pour « construire une capacité souveraine ».
Lors de sa visite, le Premier ministre a déclaré : « C'est ma troisième visite à Tritium. Chaque fois que je reviens, j'entends parler de plus de revenus, de plus d'emplois créés et de plus de pays vers lesquels l'Australie exporte. Il s’agit ici d’une grande réussite et je félicite tout le monde chez Tritium pour ses réalisations.
Nick Bonyhady et Tom Rabe de l'Australian Financial Review pointent du doigt les prix de l'énergie :
Une entreprise de recharge rapide pour véhicules électriques cotée au Nasdaq, saluée d'abord comme une réussite du Queensland, puis comme une justification des subventions gouvernementales, est le deuxième grand fabricant australien à s'effondrer cette semaine.
La disparition de Tritium survient quelques jours seulement après que le plus grand producteur de plastique d’Australie, Qenos, a été placé sous administration, et comme un chef de l’industrie prévient que la hausse des prix du gaz sur la côte Est continuera de menacer toute une série d’industries manufacturières nationales à travers le pays.
En 2021, l’Australie était le plus grand exportateur mondial de GNL, mais dans une quête de pureté climatique, nous avons interdit tellement de sites d’exploration et poursuivi tellement d’options énergétiques stupides que nous sommes sur le point de commencer à importer du gaz.
« Les dirigeants de l’industrie gazière ont qualifié de « bizarre » et d’incroyable la probabilité que l’Australie puisse bientôt commencer à importer du gaz. »
Daniel Mercer
Peter Tinley [député] a déclaré qu'il n'était pas logique que les États interdisent la pratique de la fracturation hydraulique pour développer les réserves de gaz terrestres tout en autorisant également l'importation de ressources offshore exploitées selon la même méthode.
Victoria interdit la fracturation hydraulique par voie législative depuis 2017.
"Je trouve ironique que certaines juridictions interdisent la fracturation hydraulique, par exemple, mais finissent par importer du gaz de fracturation", a déclaré M. Tinley lors de la conférence Australian Domestic Gas Outlook à Sydney. « Comment faites-vous le lien avec cela ?
h/t Amoureux du gaz carbonique, Old Ozzie, David Maddison.
Pesticides et pathologies pédiatriques : le CHU d'Amiens est-il dans son rôle ?
21 Avril 2024
Tout compte fait, l'analyse aboutit à une question simple : le CHU d'Amiens « fait-il » dans la santé publique ou dans le militantisme ou lobbying anti-pesticides ?
Ce sont trois articles qui commencent à dater. Mais la question reste sur la table.
La Voix du Nord a publié le 3 février 2024 : « À Amiens, une consultation au CHU vérifie le lien entre les pesticides et des maladies chez les enfants ».
En chapô :
« Leucémies, tumeurs cérébrales, malformations : les enfants dont les parents ont été exposés aux pesticides présentent un sur-risque de développer ces pathologies, selon le CHU d’Amiens. »
C'est, certes, la production d'un journaliste... de la très militante Agence France Presse (AFP)... quelle surprise !
Mais c'est avec des éléments livrés par un service qui s'est donné une noble mission en théorie – contribuer à la santé publique – et un objectif beaucoup moins glorieux en pratique – faire de l'activisme anti-pesticides et orienter les parents d'enfants malades vers le Fonds d'Indemnisation des Victimes de Pesticides (FIVP).
« Il [le médecin qui a fondé la consultation] estime à "plusieurs centaines" le nombre d’enfants potentiellement concernés en France. In fine, l’objectif de cette consultation, lancée en octobre 2023, est que les familles remplissent un dossier au Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides (FIVP). »
« Il estime... » ? Sur quelles bases ? Comme nous l'avons vu dans « Pesticides : fonds d’indemnisation cherche victimes, désespérément » de M. Philippe Stoop, le Fonds n'est pas submergé par un flot de demandes.
Est-ce le CHU d'Amiens in corpore ou le médecin à l'origine d'une consultation non pas médicale, mais administrative voire pré-contentieuse, qui affirme l'existence d'un sur-risque ?
Un sur-risque évalué à « 20 % à 30 % » par un autre médecin, chef de service, pour les pathologies onco-hémato-pédiatrique. Où sont les preuves ?
Bref, cela sent le dérapage. Confirmé à notre sens par ce propos :
« Pour le Dr Chamot, si le fonds d’indemnisation a été créé, c’est parce que la "société reconnaît qu’elle fait certainement une erreur en continuant d’utiliser des pesticides qui, potentiellement, peuvent avoir des conséquences". »
C'est au mieux simpliste et en tout cas l'expression d'un militantisme affirmé – avec tout de même une prudence exprimée par un adverbe et un semi-auxiliaire : le Fonds est, en fait, le fruit d'une manœuvre politicienne.
Nous avons vu dans l'article de M. Philippe Stoop que le CHU d'Amiens a annoncé la « bonne nouvelle » par un « Une consultation pesticides et pathologies pédiatriques est créée au CHU Amiens-Picardie, une première en France » non daté (quel professionalisme!).
Annonce relayée trois mois plus tard par le Monde avec « Le CHU d’Amiens met en place la première consultation "pesticides et pathologies pédiatriques" » avec un chapô à nouveau explicite :
« Inauguré il y a trois mois, le dispositif vise à faire reconnaître l’exposition professionnelle des parents, afin qu’ils puissent prétendre au Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides. »
Notez l'ordre des mots, il n'est pas anodin : « pesticides » précède « pathologies pédiatriques » !
Le 23 janvier 2024 (là, on a la date), le service de communication du CHU d'Amiens avait publié : « Le CHU d'Amiens-Picardie soutient les enfants victimes des pesticides ». C'est sans nuance ! Les enfants sont victimes...
Et la mise en route, après un chapô de nature essentiellement historique, est tout aussi tonitruante :
« Leucémies, tumeurs cérébrales, hypospadias et/ou fentes labio-palatines. Voici quelques-unes des douloureuses conséquences d’une exposition aux pesticides, dont les enfants sont aujourd’hui les premières victimes. »
Nous ne pouvons que souscrire à l'opinion de M. Philippe Stoop, reflet d'une évidence :
« Une consultation ciblée sur les seuls pesticides ne va pas aider à y voir plus clair, elle risque plutôt d’embrouiller davantage la situation. »
Embrouiller, et potentiellement nous faire passez à côté d'autres explications – et de réponses de santé publique – que « les pesticides ».
Et aussi faire paniquer. France 3 Hauts-de-France a ainsi publié le 9 février 2024 : « "Nous n’étions pas au courant que ces produits étaient si dangereux" : une consultation pesticides et pathologies pédiatriques créée au CHU d’Amiens »...
« L’arme alimentaire » – C'est ce qui relie les protestations paysannes, l'Agenda 2030 et l'attaque contre l’alimentation...
RépondreSupprimer27.01.2024
www.kla.tv/27996
Actuellement, les protestations des agriculteurs allemands, mais aussi européens, sont sur toutes les lèvres. L'émission Kla.tv en allemand « La lutte pour la survie des paysans » [www.kla.tv/27879], diffusée récemment, résume parfaitement le fait que les mesures de réduction des dépenses du gouvernement ne sont que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase de l'oppression des paysans.
D'autres émissions aborderont la question de savoir dans quelle mesure les agriculteurs ont été instrumentalisés ou non par les protestations et pourquoi ils sont présentés sous un mauvais jour par les médias grand public. Alors, consultez régulièrement Kla.tv !
Le fait est que :
L'ONU, l'OMS et le FEM ont déclaré la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l'a déjà signalé dans plusieurs émissions, s'attaque également aux agriculteurs en particulier.
Voici une brève reprise de l'émission « Agenda 2030 : Etiquetage frauduleux. Comment l'ONU entraîne le monde dans l'abîme » www.kla.tv/19023
L'objectif 2 de l'Agenda 2030 prévoit selon ses dires, d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l'agriculture naturelle à petite échelle est en train d'être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l'agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.
La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n'est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :
Un résumé de l'essai "L’arme alimentaire", de l'écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l'existence, a déjà été utilisée dans l'histoire, et l'est encore aujourd'hui, comme arme contre l'humanité :
En décembre 1974, Henry Kissinger a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » des États-Unis. Il portait le titre bureaucratiquement lourd d’« Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts outre-mer ». La stratégie esquissée par Kissinger est devenue la ligne politique officielle du président Gerald Ford en 1975.
« La croissance démographique aura de graves répercussions sur les besoins alimentaires », lit-on. C'est pourquoi l'aide alimentaire aux pays en développement devra peut-être être liée à des programmes de stérilisation obligatoires ou à des quotas de réduction de la population, conclut Kissinger.
RépondreSupprimerCe raisonnement conduit le géostratège, qui travaille pour l'influent clan Rockefeller, à la conclusion amorale que dans un tel scénario, l’alimentation devient un « instrument de puissance nationale » efficace. Il déclare que l’alimentation est une arme. Cependant, ce n’est pas une idée nouvelle.
Qu'il s'agisse d'un siège au Moyen-Âge ou de l'inflation actuelle, l’alimentation est une arme depuis la nuit des temps. Un levier utilisé par les dirigeants pour contrôler la population. Mais avec les vaccins à ARNm pour les animaux d'élevage, les spores génétiquement modifiées pour optimiser les chaînes d'approvisionnement mondiales et les paiements CBDC pour l'eau, la lutte pour la survie atteint un autre niveau.
Exemples de l'histoire passée :
Il y a 3 000 ans, les Grecs assiégeaient déjà Troie pour l'affamer.
En Irlande, près d'un million de personnes, soit 12 % de la population irlandaise, sont mortes suite à la grande famine de 1845-1849. La cause première n'était pas de mauvaises récoltes ou un nouveau type de pourriture de la pomme de terre, mais la politique du gouvernement britannique de l'époque, corrompue par la haute finance et certains groupes d'intérêts.
La puissance coloniale britannique est également responsable de la mort de quatre millions d'Indiens lors de la famine au Bengale en 1943.
C'est ce que révèle une étude de scientifiques indiens qui ont analysé les périodes de sécheresse des 150 dernières années.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le siège de Leningrad, qui a duré 500 jours, a fait plus d'un million de morts, plus que les bombardements de Hambourg, Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki réunis.
Joseph Staline a également utilisé son pouvoir pour mettre à genoux la « République socialiste soviétique d'Ukraine » par le biais de pénuries alimentaires. « L'Holodomor », nom donné à la famine des années 1930, considérée par certains comme un génocide, a coûté la vie à trois ou quatre millions de personnes. Le cannibalisme n'était pas rare.
Sous Mao Zedong, au moins 24 millions de personnes sont mortes de faim entre 1958 et 1962. Sa devise était la suivante : « Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l'autre moitié puisse manger à sa faim. »
RépondreSupprimerDéveloppements actuels :
Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n'est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs biotechnologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.
Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l'état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d'approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l'économie verte », de l'agenda zéro gaz carbonique, qu'ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
Toute l'industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L'exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d'un grand dynamisme dans ce domaine.
Parallèlement, Gates investit beaucoup d'argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d'un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l'interview de HeikoSchöning« Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !?» www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates - qui ne cesse d'exprimer ses préoccupations en matière de « surpopulation » - écoutez ! - Aider les enfants des pays en voie de développement !!! »
On peut se sentir encore plus mal à l'aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l'ARN ajouté. Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l'injection anti COVID. [Emission d'Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d'ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]
RépondreSupprimerDes entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu'il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu'en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d'autorisation. En d'autres termes, le risque pour l'utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d'ARN et d'ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d'entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d'autres labels.
Les « vaccins auto-disséminés », des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu'à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l'information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission.
De plus, à l'avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d'approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [TrackingDevices]. Chaque aliment devrait à l'avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu'à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu'il s'agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce « code-barres ADN », comme l'entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme - écoutez ! – « généralement inoffensives » !
Toutes ces évolutions dans le domaine de l'alimentation font de l'organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! Il est évident que l'UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s'engage pour la « régulation » de l'élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l'autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. Désormais, seules les personnes qui scannent leur code QR ou RFID CBDC peuvent obtenir de l'eau au Nigeria. Il est donc fort possible que ceux qui s’insurgent contre le gouvernement sur leurs profils de médias sociaux liés au compte de la banque centrale seront bientôt assoiffés ou mourront.
RépondreSupprimerUne parenthèse de Kla.tv : l'objectif 6 de l'Agenda 2030 prévoit, selon ses dires, de garantir la disponibilité et la gestion durable de l'eau et de l'assainissement pour tous. On constate que 90% de l'eau dans le monde est contrôlée par une série de multinationales qui en font de plus en plus un produit de luxe et empêchent toute autosuffisance et indépendance des populations.
Il est intéressant de noter que le symbole utilisé pour l'Agenda 2030 est le même que celui utilisé pour le "Great Reset" prôné par le FEM. Mais il ne faut pas s'attendre à une amélioration de la situation mondiale de la part d'une élite autoproclamée comme le Forum économique mondial. Bien au contraire, leur Nouvel ordre mondial n'est rien d'autre que l'enrichissement personnel et la folie du contrôle de quelques oligarques financiers aux dépens de la collectivité.
Au vu de ces développements, cette réduction de l'humanité, planifiée de longue date, doit être révélée au public. Vous trouverez la version originale et intégrale, en allemand, de l'essai de Tom-Oliver Regenauer, sur le site : [https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe]
Diffusez également cette émission le plus largement possible ! Et revenez régulièrement sur Kla.tv pour ne pas manquer la suite. Kla.tv restera à l'écoute afin d'apporter plus de lumière sur les corrélations apparemment complexes de ce sujet.
de wou./abu.
Sources / Liens :
Essai original non abrégé de Tom-Oliver Regenauer :
https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe
Document stratégique de Henry Kissinger de 1974 :
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf
La lutte pour la survie des paysans :
www.kla.tv/27879
Agenda 2030 : Etiquetage frauduleux :
www.kla.tv/19023
https://www.kla.tv/fr
Y a-t-il plus dans cette panique actuelle de grippe aviaire qu’il n’y paraît ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AVR 2024 - 00H40
Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Pourquoi les autorités sanitaires mondiales émettent-elles des avertissements aussi inquiétants concernant la grippe aviaire ? Savent-ils quelque chose que nous ignorons tous ?
Le H5N1 circule sur toute la planète depuis plusieurs années maintenant et constitue la pire épidémie que le monde ait jamais connue. Des centaines de millions d’oiseaux sont déjà morts et le H5N1 infecte désormais les mammifères avec une régularité alarmante. La bonne nouvelle est que jusqu’à présent, cela ne constitue pas une menace sérieuse pour les humains, mais cela pourrait-il bientôt changer ?
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, la possibilité que le H5N1 puisse commencer à se propager parmi les humains est une « énorme préoccupation »…
La propagation croissante de la grippe aviaire aux humains constitue une « énorme préoccupation », a averti l’Organisation mondiale de la santé.
Le virus, un sous-type H5N1 extrêmement mortel, a provoqué un déclin dévastateur des populations d’oiseaux après son émergence en Europe en 2020.
Depuis, il s'est propagé aux mammifères tels que les vaches, les chats, les phoques et maintenant les humains, augmentant ainsi le risque de mutation du virus pour devenir plus transmissible.
Le fait qu’autant de types différents de mammifères soient désormais infectés est vraiment alarmant.
Mais peut-être que les vaches ne seraient pas infectées si nous ne leur donnions pas littéralement à manger de la merde de poulet…
RépondreSupprimerAlors que les épidémiologistes s'efforcent de comprendre comment les vaches laitières du Midwest ont été infectées par une souche de grippe aviaire hautement pathogène – une maladie qui a décimé des centaines de millions d'oiseaux sauvages et d'élevage, ainsi que des dizaines de milliers de mammifères à travers la planète – ils Nous examinons une pratique de « recyclage » standard utilisée par des milliers d'agriculteurs à travers le pays : l'alimentation du bétail élevé pour la consommation humaine avec des déchets et des parties d'animaux.
"Cela semble macabre, mais c'est une pratique parfaitement légale et courante de donner aux bovins de la litière de poulet - la matière qui s'accumule sur le sol des installations d'élevage de poulets", a déclaré Michael Hansen, un scientifique principal de l'Union des Consommateurs.
On ne sait pas si manger de la merde de poulet est la raison pour laquelle tant de vaches dans tant d'États différents sont infectées par le H5N1.
Mais à une époque où la grippe aviaire sévit parmi les poulets et les dindes, il semble très insensé de prendre de la merde de poulet et de la donner à nos vaches.
Quoi qu’il en soit, il existe désormais une grande panique quant à la possibilité d’une épidémie de H5N1 chez l’homme.
Les autorités de l’OMS préviennent que le taux de mortalité serait « extraordinairement élevé » si une telle épidémie devait se produire…
Les experts de l’OMS ont déclaré que les humains seraient confrontés à un taux de mortalité « extraordinairement élevé » si la souche devait s’installer, tuant actuellement plus de la moitié des personnes infectées.
Je suis d'accord.
La grippe aviaire est très dangereuse et si elle commence à se propager à grande échelle parmi les humains, de nombreuses personnes en mourront.
RépondreSupprimerAlors pourquoi l’argent des contribuables américains est-il utilisé pour financer des expériences en Chine spécifiquement conçues pour rendre les virus de la grippe aviaire encore plus mortels ? Ce qui suit vient d’un article extrêmement choquant du Daily Mail…
Les législateurs exigent des réponses après qu'il a été révélé que les États-Unis envoyaient l'argent des contribuables à un laboratoire de l'armée chinoise pour rendre les virus de la grippe aviaire plus dangereux pour les humains.
Dix-huit membres du Congrès exigent des réponses du ministère de l'Agriculture (USDA) sur le projet, qui a été révélé pour la première fois par DailyMail.com.
Cela fait partie d’une collaboration d’un million de dollars entre l’USDA et l’Académie chinoise des sciences dirigée par le PCC – l’institution qui supervise le laboratoire de Wuhan au centre de la théorie des fuites de laboratoire de Covid.
Dans une lettre cinglante adressée la semaine dernière au secrétaire de l’USDA, Tom Vilsack, le groupe bipartisan a déclaré : « Cette recherche, financée par les contribuables américains, pourrait potentiellement générer de nouvelles souches virales dangereuses créées en laboratoire qui menacent notre sécurité nationale et notre santé publique. »
Comme je le préviens dans mon dernier livre, des scientifiques fous du monde entier s’emparent de certains des microbes les plus mortels connus de l’humanité et tentent délibérément de les rendre encore plus mortels.
Et bien trop souvent, ce sont vos impôts qui en paient le prix.
Bien entendu, les expériences sur le H5N1 ne sont pas nouvelles.
Il y a plus de dix ans, des expériences sur le gain de fonction financées par le Dr Francis S. Collins et le Dr Anthony Fauci ont en fait créé une version mutante du H5N1 qui « avait acquis la capacité de se propager dans l’air entre furets »…
Et pourtant, fin 2011, le monde a appris que deux équipes scientifiques – l’une dans le Wisconsin, dirigée par le virologue Yoshihiro Kawaoka, et l’autre aux Pays-Bas, dirigée par le virologue Ron Fouchier – avaient potentiellement poussé le virus dans cette direction. Chacun de ces laboratoires avait créé des virus H5N1 qui avaient acquis la capacité de se propager par voie aérienne entre furets, le modèle animal utilisé pour étudier le comportement des virus de la grippe chez les humains.
Le but ultime de ce travail était d'aider à protéger le monde contre de futures pandémies, et la recherche a été soutenue par les paroles et le financement de deux des scientifiques les plus éminents des États-Unis : le Dr Francis S. Collins, directeur des National Institutes of Health, et le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses du NIH.
RépondreSupprimerPourquoi auraient-ils délibérément créé une telle chose ?
Les furets ont été spécifiquement choisis pour cette recherche car ils possèdent un système respiratoire très similaire à celui des humains.
Notre capacité à créer des maladies mortelles dépasse de loin notre capacité à les contrôler, et une fois que quelque chose se déclare, il peut se propager à travers le monde en un clin d’œil.
En ce moment, on s’inquiète beaucoup d’une « mystérieuse maladie respiratoire » qui est soudainement apparue en Argentine…
Une mystérieuse maladie respiratoire a hospitalisé des dizaines de personnes en Argentine lors d’une épidémie qui partage d’étranges similitudes avec l’arrivée de Covid.
Soixante patients ont été atteints d’une « pneumonie atypique grave » dans la capitale, Buenos Aires.
Une alerte concernant un groupe de cas a été diffusée hier soir via un système international de surveillance de la santé publique.
Le Covid a été porté à l’attention du monde fin 2019 grâce à la même base de données, appelée ProMed.
Espérons que cela ne mènera à rien.
Mais ce n’est qu’une question de temps avant que d’autres épidémies de plus grande ampleur ne ravagent notre planète.
Le H5N1 en fera-t-il partie ?
Je ne sais pas, mais c’est une histoire que je surveillerai certainement de près.
https://www.zerohedge.com/medical/there-more-current-bird-flu-panic-meets-eye
La crise du fentanyl aux États-Unis est une « opération dirigée par le PCC », déclare Peter Schweizer
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AVR 2024 - 05:20
Rédigé par Terri Wu et Jan Jekielek via The Epoch Times
Trois mois après que le Département du Trésor américain a sanctionné un chef de la mafia chinoise pour trafic de fentanyl, celui-ci a reçu un prix à Pékin.
Peter Schweizer en mars 2022. (NTD)
En mars 2021, le Comité de travail uni à l’étranger du Parti communiste chinois (PCC) a reconnu Wan Kuok Koi, également connu sous le nom de « Dent cassée », comme un « homme d’affaires patriote » et le « représentant en chef » de toutes les associations internationales de Hongmen. Pour de nombreux Chinois, Hongmen est synonyme de triades, ou de syndicats du crime organisé transnational chinois.
L'entité attributrice du prix est une organisation du Front uni du PCC et une plateforme relevant de l'Association chinoise pour la science et la technologie. Il propulse également le programme d’infrastructure phare de la Chine, l’Initiative la Ceinture et la Route (BRI), à l’échelle mondiale. Selon l'avis du Département du Trésor, M. Wan a créé une société de sécurité protégeant les investissements de la BRI en Asie du Sud-Est.
Dans une récente interview avec American Thought Leaders (ATL) d’EpochTV, l’écrivain d’investigation Peter Schweizer a cité le cas de M. Wan comme exemple de la vision du PCC de la crise du fentanyl aux États-Unis.
"L'idée selon laquelle" oh, la Chine fait de gros efforts, mais elle ne peut pas résoudre ce problème "est une pure plaisanterie dans mon esprit", a-t-il déclaré.
En outre, l’auteur d’un nouveau livre intitulé « L’argent du sang : pourquoi les puissants ferment les yeux pendant que la Chine tue les Américains » a déclaré à ATL que la crise du fentanyl aux États-Unis est une « opération dirigée par le PCC ».
« Les cartels de la drogue sont certainement impliqués, mais ils sont le partenaire junior », a déclaré M. Schweizer, ajoutant que le PCC est présent à « chaque maillon de la chaîne ».
La production chinoise de précurseurs du fentanyl est largement connue. Cependant, les recherches de M. Schweizer montrent également que la Chine fournit à prix coûtant des machines à presser les pilules pour la production de fausses pilules contenant du fentanyl, distribue l'opioïde synthétique aux États-Unis, facilite les transactions financières des cartels de la drogue mexicains et fournit des systèmes de communication sécurisés aux cartels. afin qu'ils puissent contourner la détection par les forces de l'ordre américaines.
Actuellement, les surdoses de fentanyl sont la principale cause de décès chez les Américains âgés de 18 à 45 ans. La drogue mortelle a été responsable d'environ 75 000 décès, soit 200 par jour, en 2022. Par rapport aux 3 105 décès en 2013, le nombre de morts a été multiplié par 23.
Face à cette crise, qui prend une ampleur exponentielle, le gouvernement américain n’a pas encore trouvé de solution efficace. Selon M. Schweizer, l’inaction des dirigeants américains constitue un facteur important.
RépondreSupprimerIl a documenté dans son livre comment les hauts dirigeants américains, bien qu’ayant initialement exprimé leurs inquiétudes quant à l’implication de la Chine dans le trafic de fentanyl, sont restés largement silencieux sur la question.
L’un de ces dirigeants est le président Joe Biden.
Lors d’une audition au Sénat en 1992, le président de la Commission judiciaire de l’époque a averti que « la Chine est sur le point de devenir la cheville ouvrière du commerce de l’héroïne ».
Alors-Sen. Biden a également critiqué le manque d'action de l'administration Bush de l'époque face à la Chine, affirmant que « la vérité est que la coopération entre les États-Unis et la Chine dans la lutte contre la drogue est, au mieux, limitée, et comme c'est le cas, l'administration devient un fermer les yeux sur le comportement renégat de la Chine.»
Pourtant, l’administration Biden a adopté une approche similaire : vantant sa coopération en matière de lutte contre les stupéfiants avec la Chine, qui s’appuie sur des mesures de contrôle volontaires au niveau national. Le dirigeant du PCC, Xi Jinping, n’a pas tenu les promesses qu’il avait faites aux anciens présidents Barack Obama et Donald Trump.
Contrairement à l’héroïne ou à la cocaïne, le fentanyl tue des personnes qui en consomment pour la plupart sans le savoir. Une étude de l’Université de New York réalisée en 2023 a montré qu’une majorité des personnes ayant pris du fentanyl n’avaient pas l’intention de le faire.
Par conséquent, M. Schweizer pense que qualifier la crise du fentanyl de problème de drogue est une erreur.
Pour lui, il est « extrêmement pratique » pour l’administration Biden de traiter le fentanyl comme un « problème de toxicomanie, plutôt que comme ce qu’il est : un empoisonnement », a-t-il déclaré.
« Cela vous dispense d’essayer de confronter le PCC à ce sujet parce que vous dites essentiellement qu’il s’agit d’un problème de nature humaine aux États-Unis. »
Selon M. Schweizer, les liens financiers de la première famille avec la Chine leur interdisaient d'affronter les communistes pour régner sur les acteurs chinois du fentanyl – une décision qui pourrait être efficace « du jour au lendemain » si le chef du PCC Xi Jinping le voulait, a déclaré M. Schweizer. .
RépondreSupprimerLa Maison Blanche n’a pas répondu à une demande de commentaires au moment de mettre sous presse.
Les conclusions de M. Schweizer ne s’arrêtent pas à la crise du fentanyl, qu’il considère comme faisant partie de l’approche plus large du PCC de « désintégration ».
Les conclusions de M. Schweizer ne s'arrêtent pas à la crise du fentanyl, qu'il considère comme faisant partie de l'approche plus large de « guerre de désintégration » du PCC, visant à faire tomber les États-Unis en attaquant leur « ventre mou » en ce qui concerne la politique et l'économie des Américains. , et la psychologie.
Dans l’interview d’ATL, il a également parlé des liens du PCC avec des activités qui sèment la discorde sociale en attisant les divisions raciales et sexuelles dans la société américaine et en « abrutissant l’Occident » avec TikTok.
The interview premieres on April 18.
https://www.zerohedge.com/political/us-fentanyl-crisis-ccp-run-operation-says-peter-schweizer
Le cancer augmente après la vaccination – ce qui aide à le combattre
RépondreSupprimer20 avril 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis deux ans, les bases de données sur les effets secondaires, les tables de mortalité et les rapports anecdotiques montrent de plus en plus clairement que le nombre de cas de cancer a considérablement augmenté dans le monde depuis la campagne de vaccination. Même l’OMS s’attend à une augmentation massive des cas de cancer, même si elle en voit les causes partout, sauf dans la vaccination génique.
La question est : que peut-on faire pour le prévenir ou le traiter ? Une vaccination à ARNm contre le cancer ? Chimio ? Pfizer s'attend également à une forte augmentation des cas de cancer , atteignant 30 % de la population, et a donc acquis l'année dernière une société qui propose un nouveau médicament contre le cancer pour 43 milliards de dollars. Ou devriez-vous faire quelque chose de différent ? Et il existe en fait de nombreuses options dont nous avons parlé à maintes reprises ici sur TKP.
Jetons un coup d'œil à ce que disent les experts à ce sujet. Le Centre allemand de recherche sur le cancer (DKFZ) est particulièrement réputé car il souligne à plusieurs reprises que l'augmentation des niveaux de vitamine D constitue une prévention efficace contre le cancer. Dans un communiqué de presse publié le 11 février 2021 , il est rapporté que trois méta-analyses d'études cliniques réalisées au cours des dernières années sont parvenues à la conclusion que la supplémentation en vitamine D était associée à une réduction du taux de mortalité par cancer d'environ 13 %. Les scientifiques du DKFZ ont appliqué ces résultats à la situation en Allemagne et ont calculé : si tous les Allemands de plus de 50 ans recevaient un supplément de vitamine D, jusqu'à 30 000 décès par cancer pourraient être évités par an et plus de 300 000 années de vie pourraient être gagnées - tout en économisant des coûts. Plus d'informations dans cet article du TKP .
Ce n’est pas une découverte particulièrement surprenante, car il est clair que le système immunitaire est l’entité qui détruit et élimine les cellules tumorales. Le prix Nobel de médecine 2018 a été décerné à des chercheurs qui ont montré que le cancer peut être combattu efficacement en renforçant le système immunitaire. Cela a à voir avec le commutateur génétique HIF, qui active les gènes de glycolyse et d'angiogenèse dans la cellule cancéreuse. Cela permet au cancer de se développer, de se nourrir et de fournir du sang. L'oxygène et la vitamine C sont nécessaires à la dégradation du HIF, car la vitamine C est un cofacteur de l'enzyme cruciale pour la dégradation.
Des vitamines et encore des vitamines
RépondreSupprimerLa vitamine C est un outil puissant pour lutter contre le cancer. Le premier à l'avoir prouvé fut le chimiste et double prix Nobel Linus Pauling , qui suggéra de fortes doses de vitamine C pour le traitement du cancer. Dans des études avec Ewan Cameron, il a prouvé son efficacité contre le cancer. Cela a été vérifié dans des études menées par Creagan et Moertel à la clinique Mayo. Il n’y aurait eu aucun avantage à administrer de fortes doses de vitamine C par rapport à l’administration d’un placebo. Cependant, l’étude a été mal réalisée : la vitamine C a été administrée par voie orale plutôt que par perfusion.
Professeur Dr. Burkhard Kleuser, qui a étudié la chimie et la chimie alimentaire de 1984 à 1988 et la biochimie de 1990 à 1994, c'est-à-dire un naturaliste, explique dans un long article de la Pharmazeutische Zeitung comment fonctionnent les études décrites par Linus Pauling :
« … il a été démontré que l'administration orale de la dose la plus élevée tolérée de 3 g toutes les quatre heures conduit à une concentration plasmatique maximale de 0,22 mmol/l. Cependant, des concentrations plasmatiques maximales supérieures à 13 mmol/l ont été atteintes lorsque la dose de vitamine C était administrée par voie intraveineuse. Des résultats similaires peuvent également être trouvés chez les patients atteints de tumeurs.
Revenons maintenant au peroxyde d'hydrogène :
" À des concentrations millimolaires élevées, qui ne peuvent être obtenues que par administration intraveineuse, la vitamine C agit comme un prooxydant et conduit à la formation de peroxyde d'hydrogène, capable d'endommager les cellules tumorales. "
À des concentrations plus faibles, la vitamine C agit comme un puissant antioxydant et à des concentrations élevées, elle agit comme un pro-oxydant. On voit encore une fois que la dose fait le poison.
« Tant que la vitamine C circule dans le sang, seule une petite quantité de peroxyde d’hydrogène est produite. ... Ce n'est que lorsque la vitamine C passe de la circulation sanguine à l'interstitium [tissu conjonctif] qu'une formation intensive de peroxyde d'hydrogène se produit, qui peut alors endommager sélectivement les cellules tumorales en tant que molécule cytotoxique... . L’effet semble être spécifique aux cellules tumorales car, contrairement aux cellules saines, celles-ci ont souvent peu ou pas d’activité d’enzymes antioxydantes telles que la catalase, la glutathion peroxydase et la superoxyde dismutase, qui seraient capables de détoxifier le peroxyde d’hydrogène.
Le médecin orthomoléculaire et auteur Dr. Ulrich Strunz décrit dans son blog le traitement du cancer et les expériences des patients avec les oncologues :
RépondreSupprimer» Et ses oncologues lui disent : S'il vous plaît, pas de perfusion de vitamine C.
Cela « interfère » avec le traitement de chimiothérapie.
Et plus loin:
" Allumons nos méninges un instant et soyons raisonnables :
La vitamine C a une demi-vie dans le sang de 2,9 heures. Donc, si vous recevez des perfusions de vitamine C aujourd’hui et une chimiothérapie demain, donc tout est échelonné, alors la chimiothérapie ne remarque plus aucune quantité de vitamine C. Quelque chose comme cela s’appelle une simple science naturelle. J'insiste sur le mot « simple ! »
La considération suivante est bien plus importante : Comment fonctionne la chimiothérapie ? Ce poison produit des quantités massives de radicaux libres dans chaque cellule du corps. Et, espérons-le, davantage de radicaux libres dans la cellule cancéreuse, dont le métabolisme est plus élevé, que dans les cellules saines. Convenu. Les radicaux libres à cette concentration détruisent et tuent les cellules. Les deux : cellules cancéreuses et cellules saines. Espérons que le cancer soit décédé plus tôt que le patient. Je dis cela avec décence et respect. J'ai moi-même ajouté assez souvent de telles infusions...
Comment fonctionnent les infusions de vitamine C ? La vitamine C à cette dose élevée (et seulement alors) produit des quantités massives de H₂O₂, c'est-à-dire du peroxyde d'hydrogène, un puissant poison cellulaire, un radical libre dans chaque cellule. Seulement : les cellules saines possèdent encore l’enzyme catalase. Et cela décompose ce H₂O₂, ces radicaux libres, à une vitesse fulgurante. La pauvre cellule cancéreuse est désavantagée : elle n’a plus de catalase et est sans défense contre le poison. Meurt."
Passionnant. La vitamine C agit d'une part comme un antioxydant, piégeant les radicaux libres, et d'autre part comme un pro-oxydant, produisant du H2O2 dans l'organisme, capable d'oxyder et ainsi d'éliminer les cellules tumorales.
Dans l'article, Kleuser énumère d'autres processus que la vitamine C possède contre les tumeurs. Il mentionne que « la vitamine C joue également un rôle central dans la régulation des enzymes de translocation dix-onze (TET) et des histones déméthylases contenant le domaine Jumonji ».
« Une autre manière dont la vitamine C peut avoir un effet sur les cellules tumorales consiste à moduler le facteur HIF induit par l’hypoxie…. Le facteur de croissance endothélial vasculaire VEGF est exprimé, ce qui favorise l'angiogenèse et donc l'apport sanguin à la tumeur. "
Champignons et oxygène
RépondreSupprimerDes études japonaises ont montré que les champignons Huai ( Trametes robiniophila murr ) guérissent non seulement le cancer jusqu'au stade IV, mais éliminent également les pics de vaccin du corps. C’est également une condition préalable à la guérison du cancer induit par l’ARNm. Il existe des articles détaillés du TKP à ce sujet ici et ici .
D'autres champignons ont depuis longtemps été attribués à des effets similaires sur le cancer, comme le champignon Chaga, qui a un fort effet régulateur et fortifiant sur le système immunitaire. Quelque chose de similaire peut être réalisé avec le tramway papillon.
Parlons d'oxygène. Nous savons depuis environ 100 ans que les cellules tumorales se nourrissent de sucre en le fermentant, c'est-à-dire sans oxygène. La découverte vient du biochimiste allemand le professeur Otto Warburg (prix Nobel 1931). Warburg a pu montrer que la cellule cancéreuse vit principalement de sucre et que, même si elle contient suffisamment d'oxygène, elle fermente sans oxygène. Avec un rendement énergétique assez médiocre.
A l'Université de Graz, le professeur Frank Madeo a pu montrer que
la réduction de la respiration cellulaire (c'est-à-dire l'essoufflement) réduit la mort cellulaire naturelle programmée, ce qu'on appelle l'apoptose, et permet ainsi aux cellules de vivre de manière incontrôlable.
Une survie incontrôlée signifie une croissance rapide, et donc un cancer.
Pr Madeo : « Cette résistance accrue (à la mort cellulaire) pourrait contribuer de manière décisive à la formation de tumeurs et à la malignité (métastases). »
L'étude, intitulée « L'effet Warburg supprime l'apoptose induite par le stress oxydatif dans un modèle de levure pour le cancer », est publiée dans Plos One.
Avec ce modèle, les chercheurs de Graz ont réussi à prouver un avantage de survie pour les cellules grâce à ce que l'on appelle l'effet Warburg. Donc
les cellules cancéreuses agressives se nourrissent de sucre (glycolyse)
avec une réduction simultanée de la respiration en oxygène.
Une activité respiratoire accrue, c’est-à-dire un apport accru d’oxygène, inhibe la croissance des tumeurs. Alors Madeo. Et le mince professeur d’université poursuit en expliquant :
RépondreSupprimer« Il est intéressant de noter que l’exercice d’endurance est l’une des meilleures mesures préventives contre le cancer. Cela augmente l'apport d'oxygène du corps et consomme du sucre. Les deux, classiquement selon l’hypothèse de Warburg, sont un poison pour la cellule cancéreuse. »
La conclusion de l'étude est la suivante : " L'effet Warburg pourrait donc contribuer directement au développement du cancer - non seulement par une glycolyse accrue, mais également par une respiration réduite en présence d'oxygène, qui supprime l'apoptose."
En conséquence, les isotopes du sucre et de l’oxygène radiomarqués sont utilisés pour le diagnostic du cancer. Là où il y a beaucoup de sucre, il y a une tumeur. La tumeur se développe là où il y a peu d’oxygène. Comme traitement, il est conseillé de faire l'inverse de ce qui a été fait lors du diagnostic : peu ou pas de sucre (et de glucides) et beaucoup d'oxygène, précise le Dr. Ulrich Strunz et tous ceux qui pensent logiquement.
https://tkp.at/2024/04/20/krebs-nach-impfung-am-vormarsch-was-dagegen-hilft/
Orchestre de panique : l’OMS alerte sur la grippe aviaire
RépondreSupprimer19 avril 2024
de Thomas Oysmüller
Aujourd'hui, l'OMS se joint également à l'orchestre de panique autour de la grippe aviaire : elle met en garde contre une pandémie H5N1 imminente avec une « énorme inquiétude ». Un vaccin serait déjà prêt.
La grippe aviaire circule aux États-Unis – du moins dans les médias. Le TKP a déjà rendu compte du phénomène médiatique. Apparemment, une personne a été infectée par la grippe aviaire, mais c'est loin d'être certain. Au plus tard à ce moment-là, l’orchestre de panique autour de la grippe aviaire était pleinement servi. Maintenant, comment pourrait-il en être autrement, l’OMS tire également la sonnette d’alarme.
À propos des oiseaux et des vaccinations
Pour les groupes d’intérêt qui souhaitent une réforme réussie de l’OMS et donc une augmentation du pouvoir de l’agence spécialisée des Nations Unies, les choses ne peuvent guère aller mieux. Peu avant le vote décisif, une « crise sanitaire imminente ». Bien entendu, l'OMS met désormais en garde contre la grippe aviaire, formulée strictement au subjonctif. Comme le rapporte l' Ärzteblatt , la propagande américaine arrive lentement en Europe.
Stefan Homburg dit à propos de « l'avertissement de l'OMS » : « Des formulations comme la grippe porcine 2009, Corona 2020, la variole du singe 2022, etc. : auraient, auraient pu, auraient été. L’OMS doit continuer à parler de nouvelles pandémies pour se préserver. Nous n'avons pas besoin de croire cela. Beaucoup de gens ignorent le contexte économique : l’OMS a été fondée après la guerre pour lutter contre les pandémies. Lorsqu’il n’y avait pas de pandémie, les États ont coupé l’argent et l’OMS est tombée entre les griffes de sociétés pharmaceutiques cupides. Cela ressemble désormais à une mafia.
TKP a rapporté en mars 2023 comment l’OMS était devenue une organisation de lobbying privée et avait été détournée par des capitaux privés. Un autre essai intitulé « L’OMS en tant qu’institution féodale-coloniale » remonte aux origines de l’OMS et contredirait la vision de Homburg de l’OMS « d’après-guerre ».
Particulièrement épicé : lors de la conférence de presse de l'OMS jeudi à Genève, le scientifique en chef de l'OMS, Jeremy Farrar, a mis en garde. Ce qu’il faut peut-être savoir de son discours plein d’« énormes inquiétudes » mais non mentionné dans l’Ärzteblatt : Farrar a été président du « Wellcome Trust » jusqu’en 2022, la deuxième plus grande fondation qui investit dans la recherche médicale – après la Fondation Gates.
RépondreSupprimerWellcome Trust, la fondation qui s’est vu attribuer à plusieurs reprises un rôle important dans le Covid, étudie également le « risque de transmission d’agents pathogènes des animaux aux humains, ce contre quoi l’OMS met en garde depuis des années avec la grippe aviaire, mais qui ne se produit tout simplement pas » . Farrar avait déjà été récompensé en 2005 pour ses travaux sur la grippe aviaire.
Un vaccin contre le virus H5N1 existe déjà, mais il n'est pas encore commercialisé. Voici une interview de 2023 avec Klaus Stöhr, qui s’est fait connaître du grand public comme un « expert » pendant la Covid. Il a averti à l’été 2023 que nous devions nous préparer à une pandémie de H5N1.
Ici, la boucle se referme d'une manière ou d'une autre : si l'OMS met en œuvre ses plans de réforme, alors - dit par exemple Karl Lauterbach - le monde sera bien mieux préparé à la prochaine pandémie. Et il n'y a pas que les personnes qui sont menacées de piqûres : la France vaccine obligatoirement les canards depuis l'automne 2023 dans le cadre de la « lutte contre la grippe aviaire ».
https://tkp.at/2024/04/19/panik-orchester-who-alarm-wegen-vogelgrippe/
Un document déclassifié par la justice démontre que le vaccin Pfizer a été lancé en réalité en… mai 2019 sept mois avant l’apparition officielle de la covid
RépondreSupprimerle 19 avril 2024
par pgibertie
Les documents déclassifiés par la justice révèlent des surprises
Le juge Mark T. Pittman (Dallas, Cour d’appel du Texas) vient de récidiver le 9 mai 2023, en exigeant la remise de l’ensemble des données concernant le vaccin pédiatrique Pfizer et le vaccin adulte Moderna, incluant 4,8 millions de pages, sous 2 ans vs les 23,5 que réclamait la FDA. Les laboratoires ont en l’occurrence jusqu’au 31 juin 2025 pour s’exécuter.
La publication de ces données a par ailleurs été jalonnée d’une série d’informations concernant l’origine du virus dont les scientifiques ont acquis la conviction qu’il est issu de recherches de gain de fonction financées clandestinement par le Dr A. Fauci, ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et ancien conseiller médical de la Maison-Blanche durant la pandémie de COVID-19. On sait également aujourd’hui que la fabrication des vaccins a débuté avant la date officielle, communiquée au public, le PDG de Moderna ayant reconnu dans une interview que sa société avait déjà produit 100 000 doses de vaccin Covid-19 en 2019.
https://twitter.com/odrobsed/status/1632315917286752266?s=20
La divulgation d’un accord de confidentialité montre en réalité que « des candidats vaccins potentiels contre le coronavirus ont été transférés de Moderna à l’Université de Caroline du Nord le 12 décembre 2019, soit dix-neuf jours avant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’ait eu connaissance de l’émergence des premiers cas de SARS-CoV-2 à Wuhan » (The Expose).
- voir doc sur site -
Un lanceur d’alerte pointe aujourd’hui une information inédite, contenue dans un autre document, également déclassifié suite à une requête FOIA, qui permet de répondre à cette question, en tout cas techniquement. Le document en question est le rapport d’évaluation non clinique produit par le régulateur australien (Therapeutic Goods Administration — TGA). La page 40 du rapport montre que la société Acuitas a formulé l’ARNm codant pour la luciférase transmis par BioNTech et référencé (ARN-EH190611-01c) dans le rapport R-20-0072, en trois types de nanoparticules : LNP12 (formulation DODMA:DOPE), LNP5 et LNP8.
- voir doc sur site -
TGA. Nonclinical Evaluation Report BNT162b2 [mRNA] COVID-19 vaccine (COMIRNATYTM). Jan 2021. p. 40
RépondreSupprimerOr la page 29 du rapport BioNTech montre que la formulation des nanoparticules destinées au vaccin (LNP8, comme mentionné à la page 12 du même rapport) a été réalisée le 9 décembre 2019, soit trois semaines avant la divulgation du cas zéro à Wuhan. Les indications de formulation étant strictement identique entre les deux documents, cette concordance ne permet pas de douter que le certificat d’analyse contenu dans le rapport BioNTech concerne les nanoparticules utilisées dans l’étude australienne :
Référence du produit : RNA-EH190611-01c ;
No de lot : FM-1074-D ;
Taux d’encapsulation : 90 % ;
Concentration en ARN : 1.0 mg/ml ;
Diamètre : 71 nm ;
Rendement : 90 %;
Polydispersité : 0,053 :
Température de stockage : – 80 °C.
https://pgibertie.com/2024/04/19/un-document-declassifie-par-la-justice-demontre-que-le-vaccin-pfizer-a-ete-lance-en-realite-en-mai-2019-sept-mois-avant-lapparition-officielle-de-la-covid/
Allemagne: ils ont compris que les confinements étaient liberticides et infondés #RIKFiles , en France le CNRS tourne sa veste mais les journalistes mentent toujours
RépondreSupprimerle 19 avril 2024
par pgibertie
Les scientifiques ont démontré que le confinement et les mesures liberticides n’ont au mieux , servi à rien.
La responsable vaccin de l’OMS avoue devant un tribunal que les pass vaccinaux étaient inutiles et qu’on le savait depuis le début
Les allemands découvrent la même choses via la publication des documents du Robert Koch Institute
En France, encore 99% des journalistes affirment le contraire … Que d’injustices…
Alain Houpert a été suspendu par l’Ordre de Pétain pour avoir contesté ces mesures
Soutenons le sénateur Alain Houpert (
@alainhoupert) face à sa suspension du CDOM (Conseil national de l’ordre des médecins).
https://t.co/mf3gHyW8FX
- voir doc sur site -
@PavanVincent @france_soir a montré durant le COVID qu’il était le rare sinon le seul à avoir donné une autre analyse de la crise par des tribunes laissées aux meilleurs spécialistes. Peut-être que l’Allemagne se rappelle un peu mieux la charte de Munich. Mémoire oblige. Bravo @LMucchielli
- voir doc sur site -
Dans l’article du CNRS, l’historien et sociologue Nicolas Mariot déclare : « J’ai été très étonné de voir qu’aucun grand média, mais également qu’aucune équipe de recherche, en France et même, sauf erreur, en Europe, ne se soit intéressé à dresser un bilan de cette période du point de vue non pas sanitaire, mais réglementaire. Il y a pourtant beaucoup de leçons à tirer de cette expérience, car nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle pandémie » avant d’ajouter « Enfin, en tant qu’historien spécialiste de la guerre de 14-18, j’ai déjà étudié une telle expérience d’obéissance à grande échelle. Et j’ai été surpris qu’une nouvelle forme d’union sacrée justifiant la suspension des libertés et gouvernement sans contrôle ait pu se répéter presqu’un siècle après à l’identique. »
https://francesoir.fr/politique-monde/rkifiles-allemagne-les-dossiers-rki-meritent-la-croix-federale-du-merite
L’Allemagne est ébranlée depuis plusieurs semaines par les révélations des documents du Robert Koch Institute (RKI) obtenus par le magazine Multipolar-Magazin.de. Toute la pandémie durant, le magazine, édité par Stefan Korinth et Paul Schreyer, a été dénigré et subi l’étiquetage de complotiste. Sans se décourager, Multipolar a été jusqu’à obtenir les documents du RKI par décision de justice. L’affaire du #RIKFiles a été rapportée dans France-Soir dès 29 mars 2024. Un véritable séisme de magnitude importante en Allemagne qui ne trouve pas pour le moment écho dans les médias français. Ces derniers étant toujours asservis aux subventions importantes du gouvernement français qu’ils ont contribué à élire. En Allemagne, les médias et députés ont d’ores et déjà retourné leur veste ou changé de bord à ce sujet.
https://pgibertie.com/2024/04/19/allemagne-ils-ont-compris-que-les-confinements-etaient-liberticides-et-infondes-rikfiles-en-france-le-cnrs-tourne-sa-veste-mais-les-journalistes-mentent-toujours/
Le gouvernement mexicain préserve la sécurité agroalimentaire du pays
RépondreSupprimer20 Avril 2024
Gouvernement mexicain*
Les ministères de l'Économie (SE) et de l'Agriculture et du Développement Rural (Sader) annoncent que, étant donné que les conditions pour remplacer l'utilisation du glyphosate dans l'agriculture mexicaine n'ont pas été remplies, l'intérêt de préserver la sécurité agroalimentaire du pays doit prévaloir.
Ministère de l'Economie : 26 mars 2024 : Communiqué de presse
Les ministères de l'Économie (SE), de l'Environnement et des Ressources Naturelles (Semarnat), de l'Agriculture et du Développement Rural (Sader) et la Commission Fédérale pour la Protection contre les Risques Sanitaires (Cofepris) annoncent que, étant donné que les conditions pour remplacer l'utilisation du glyphosate dans l'agriculture mexicaine ne se sont pas matérialisées, l'intérêt de sauvegarder la sécurité agroalimentaire du pays doit prévaloir.
Selon le décret présidentiel publié au Journal officiel de la Fédération le 13 février 2023, le renoncement à accorder des autorisations et la révocation des enregistrements sont conditionnés par trois points de fond :
Maintenir la production agricole.
Diminuer l'impact possible de la substitution de la substance.
Disposer d'alternatives, de pratiques agro-écologiques et saines permettant l'élimination complète du glyphosate, ce dernier point étant toujours en cours.
Les actions prévues par le décret n'étant pas encore terminées, l'exécutif fédéral, par l'intermédiaire des organismes susvisés, a décidé de poursuivre la recherche d'une alternative herbicide à large spectre et à faible toxicité pour remplacer le glyphosate et maintenir la productivité de ceux qui optent pour cet intrant.
C'est pourquoi des efforts sont faits pour trouver des options qui soient disponibles dans les quantités nécessaires, associées à des chaînes de commercialisation nationales et accessibles en termes de coût pour tous les types de producteurs.
D'autre part, la Cofepris a consulté – dans le cadre de leurs compétences respectives – les ministères de l'Agriculture et du Développement Rural, de l'Environnement et des Ressources Naturelles, et de la Santé sur le décret visant à remplacer le glyphosate dans les activités agricoles du pays.
À cet égard, le Sader a indiqué qu'il était prêt à recevoir des intrants agricoles éligibles et à en évaluer l'efficacité biologique, lorsqu'ils seront disponibles, par l'intermédiaire de son organe décentralisé, le Service National de la Santé, de la Sécurité et de la Qualité Agroalimentaire (Senasica).
Pour sa part, le Semarnat a indiqué qu'il répondra aux exigences en matière d'avis techniques qui pourraient être requis, pour les molécules identifiées comme substituts du glyphosate.
RépondreSupprimerLe gouvernement mexicain maintient l'objectif du décret de protéger le droit à la santé, à une alimentation nutritive, à un environnement sain pour le développement et le bien-être des personnes, ainsi que de garantir la souveraineté alimentaire du peuple mexicain.
__________
* Source : Gobierno de México salvaguarda la seguridad agroalimentaria del país | Secretaría de Economía | Gobierno | gob.mx (www.gob.mx)
Ma note : Le bon sens a fini par prévaloir, même si le gouvernement prend soin de préserver les apparences. On notera la motivation : invoquer la sécurité agroalimentaire n'est pas anodin.
https://seppi.over-blog.com/2024/04/le-gouvernement-mexicain-preserve-la-securite-agroalimentaire-du-pays.html
L'industrie de la vérification des faits : portée et tâches
RépondreSupprimer20 avril 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
L’influence du « fact-checking » sur la liberté d’expression s’étend à toutes les formes de médias dans le monde. Des recherches montrent qu’environ 500 plateformes de vérification des faits sont actives dans le monde, dont près de la moitié sont affiliées à des sociétés de médias. Les vérificateurs de faits sont actifs depuis plus de 10 ans, mais ils n’ont pris conscience du grand public qu’avec la « pandémie » du Corona et la propagation de la panique climatique. La déformation des faits et la cohérence globale des messages en termes de contenu et de timing sont devenues trop évidentes.
L’influence sur les médias et en particulier sur les réseaux sociaux en diffusant un récit uniforme et en censurant les faits et les rapports qui s’en écartent est énorme. C’était la seule façon d’organiser une pandémie sans raison médicale ou épidémiologique.
Une autre méthode consiste à « programmes de formation » pour les enfants, les étudiants et les journalistes. Africa Check, par exemple, financé principalement par la société mère Meta Facebook), la Fondation Bill et Melinda Gates et Google, a formé 4 500 journalistes à la vérification des faits, gère un programme d'éducation aux médias dans les écoles et a formé plus de 10 000 personnes aux médias. l'alphabétisation.
Cette industrie est financée directement par quelques entreprises, des fondations milliardaires et même des oligarques. La majorité d’entre eux sont basés aux États-Unis. Plus d’informations sur le financement dans un autre article demain. L'article d'aujourd'hui porte sur les caractéristiques de l'industrie : sa répartition géographique, sa portée dans tous les médias et dans le monde universitaire.
PANDA, un groupe d'experts multidisciplinaires, s'est attaqué à cette industrie de la « vérité » dans une série en trois parties . Aujourd'hui, les extraits les plus importants de la deuxième partie :
Une industrie mondiale
Une enquête préliminaire sur les plateformes internationales de vérification des faits a révélé environ 500 organisations actives dans le monde, dont environ la moitié sont affiliées à des sociétés de médias. Certains d’entre eux se spécialisent dans certains sujets, tels que : Par exemple, les personnalités médiatiques, la santé, le climat et les jeux en ligne. Les plateformes non médiatiques se concentrent sur l’examen du contenu des médias sociaux et des sites Web. La vérification des faits est effectuée dans les langues européennes, asiatiques et africaines, y compris les langues minoritaires des communautés difficiles à atteindre[1]. Plus de 200 organisations de soutien ont également été découvertes, notamment des sociétés d’IA qui produisent des outils de vérification des faits, des universités, des ONG, des associations de journalistes et des organisations de réseautage.
Bien qu’il existe des plateformes indépendantes de vérification des faits dans le monde, les origines des systèmes de vérification des faits asiatiques, africains et sud-américains remontent souvent aux organisations occidentales. Par exemple, Africa Check, la première plateforme africaine de vérification des faits, a été fondée en Afrique du Sud en 2012 par l’Agence France-Presse (AFP)[2] et a été enregistrée à la Companies House de Londres jusqu’en novembre 2021[3]. Africa Check a désormais étendu ses capacités de vérification des faits au Sénégal, au Nigeria et au Kenya. En 2017, les membres de Mafindo, la première plateforme indonésienne de vérification des faits fondée en 2016, et d'Asosiasi Media Siber Indonesia (AMSI), une organisation cybermédia, ont été invités à un sommet Google Media Lab en Californie. À la suite de cet événement, lors d'un sommet financé par Google à Jakarta en 2018, Mafindo et AMSI se sont associés à l'Association indonésienne des journalistes (AJI) pour lancer le groupe CekFakta, qui a recruté 22 médias indonésiens comme premiers membres chargés de la vérification des faits.[4] .
RépondreSupprimerLes plateformes de vérification des faits forment non seulement des groupes nationaux comme CekFakta, mais aussi des réseaux internationaux. Comme décrit dans la première partie , le plus important de ces réseaux est l'International Fact-Checking Network (IFCN), fondé en 2015 par le Poynter Institute en Floride. En 2017, l’IFCN avait établi un code de principes signé par les plateformes internationales de vérification des faits qui adhèrent au code[5]. S’il est louable que les journalistes et les vérificateurs des faits maintiennent des normes professionnelles, il convient de noter que le contenu publié sur le site Web de l’Institut Poynter est conforme aux discours occidentaux dominants sur des questions brûlantes telles que le climat[6, 7, 8] et la santé. [9, 10].
Il existe également des groupes régionaux de vérification des faits, comme l'Observatoire européen des médias numériques (EDMO), qui est divisé en 14 centres régionaux tels que : B. NORDIS, qui opère dans les quatre pays scandinaves[11]. Il existe également un groupe hispano-portugais, LATAMCequea, qui travaille en réseau dans toute la péninsule ibérique et en Amérique du Sud[12], et qui a également formé un sous-groupe, FactChequeado[13], destiné aux hispanophones des États-Unis. Ce sont là quelques exemples des nombreuses associations de fact-checking qui se développent à l’échelle internationale.
…
Dans les pays hostiles à l’influence occidentale, comme la Biélorussie, la Russie, la Syrie ou le Venezuela, des réseaux de plateformes de fact-checking se mettent en place dans les pays voisins pour vérifier et modifier les contenus. Par exemple, Facebook emploie des vérificateurs de faits indépendants de Lettonie, de Pologne, de Géorgie, de Lituanie, d'Estonie et des États-Unis pour vérifier les faits en russe en Russie[14].
RépondreSupprimerExtension aux anciens médias
Les nouveaux systèmes de vérification des faits s'étendent à toutes les formes de médias : journaux, radio, télévision, informations en ligne, mais aussi jeux en ligne, réseaux sociaux et plateformes cryptées. Par exemple, en ce qui concerne les médias d'information, un journaliste du Washington Post a décrit comment la méthodologie de vérification des faits de la rédaction a changé depuis 2007[15]. Ce journal a été l'un des premiers signataires du Code IFCN en 2017[16]. Les journalistes qui ne sont pas d’accord avec la modération du contenu ont un choix limité d’emplois rémunérés dans l’industrie des médias, car les médias en Europe et aux États-Unis sont entre les mains de quelques riches propriétaires[17][18]. Une autre influence sur la rédaction est constituée par les textes des agences de presse comme l'Agence France-Presse, Associated Press et Reuters, qui ont toutes signé le code IFCN ; leurs textes vérifiés sont transmis à des équipes éditoriales sur cinq continents[19]. Les rédactions opérant dans le monde entier s'inscrivent auprès de l'IFCN et démontrent ainsi qu'elles répondent aux critères du Code IFCN.
Une liste de septembre 2023 des plateformes de vérification des faits du Duke University Reporters' Lab comprend 74 plateformes de vérification des faits actives aux États-Unis. Parmi eux, 48 sont affiliés à des médias – y compris de grandes entreprises comme le Washington Post et CNN, ainsi que des journaux locaux comme la Reno Gazette et le Nevada Independent [20] – ce qui montre que la pratique de la vérification des faits s’étend à tous. domaines des médias grand public.
Comme aux États-Unis et en Europe, les médias du monde entier se tournent de plus en plus vers l’Internet, et bien qu’il y ait de nombreuses raisons commerciales positives à cela, ainsi qu’un accès accru pour le public/lecteur, cela permet également aux vérificateurs de faits de vérifier plus facilement le contenu. Le passage en ligne incite les agences de presse à adopter de nouvelles pratiques de vérification des faits. À l'échelle mondiale, Internews[21] - qui travaille avec le Forum économique mondial avec son partenaire Ads for News[22] - et Google, avec son programme Adsense[23], encouragent et incitent les médias locaux aux États-Unis, en Afrique et en Asie. se mettre en ligne pour modérer le contenu en offrant des revenus publicitaires si le contenu est jugé « digne de confiance »[24].
RépondreSupprimerL’expansion dans le secteur académique
La nouvelle industrie de la vérification des faits s’est également étendue au monde universitaire. En Europe, quinze organisations financées par l’UE, la Commission européenne ou le Conseil de l’Europe soutiennent le fact-checking : il s’agit notamment d’universités, d’entreprises d’IA et de plateformes de fact-checking[25]. Certains d’entre eux sont très étendus. L’EDMO vise à cartographier toutes les plateformes de vérification des faits, à coordonner la recherche, à créer un portail permettant à tous d’examiner et de coordonner les informations, à développer un cadre de collecte de données et à soutenir les autorités[26]. D'autres organisations financées par l'UE effectuent des tâches telles que l'établissement de normes européennes de vérification des faits, la conduite de recherches, le développement d'outils de vérification des faits, la création de contenu, le développement d'outils de réalité virtuelle, la diffusion de données ou la coordination des départements de journalisme. Les universités doivent garantir que les étudiants apprennent à vérifier les faits pour répondre aux exigences actuelles en matière de contrôle du contenu. Quatre-vingt-trois universités dans 31 pays européens ont été désignées comme participantes à ces projets, et le journaliste américain Matt Taibbi a constaté que les universités américaines font également partie du réseau de vérification des faits[27].
conclusion
Cette enquête sur l'industrie mondiale de la vérification des faits montre que, comme indiqué dans les fichiers Twitter, l'incursion de la vérification des faits dans la liberté d'expression se propage dans le monde entier, couvrant toutes les formes de médias et couvrant le monde universitaire, la technologie et les médias traditionnels. Dans la troisième partie, d'autres fonctions du secteur du fact-checking ainsi que les questions de financement international sont examinées.
informations d'identification
RépondreSupprimerAbbas, A., « Combattre la désinformation dans les langues à faibles ressources – leçons du monde entier ». First Draft News , 17 décembre 2020. Combattre la désinformation dans les langues mal desservies : Leçons du monde entier (firstdraftnews.org) [Consulté le 15 mai 2023].
"La Fondation AFP lance un site Web africain de vérification des faits en partenariat avec une université sud-africaine". AFP. 31 octobre 2012. La Fondation AFP lance un site Web africain de vérification des faits en partenariat avec l'Université sud-africaine | AFP.com [Consulté le 25 octobre 2023].
Présentation d’AFRICA CHECK CIC – Rechercher et mettre à jour les informations sur l’entreprise – GOV.UK (company-information.service.gov.uk) [Consulté le 25 septembre 2023].
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Groupe de travail permanent du Code de conduite de l'UE sur la désinformation ; Vérification des faits sur l'UE ; Remise de l'UE ; Centre européen d'actualités sur les données ; L’UE contre la désinformation ; Observatoire européen des médias numériques ; Réseau européen de normes de vérification des faits ; Observatoire narratif européen ; Fonds européen des médias et de l'information ; Laboratoire de médias et d'immersion EUI ; Numériques des médias ; Centre Nord-Sud ; Révéler le projet ; Observatoire social de la désinformation et de l'analyse des médias sociaux ; Vera.ai.
RépondreSupprimerObservatoire européen des médias numériques (EDMO) | Façonner l'avenir numérique de l'Europe (europa.eu) [consulté le 10 avril 2023].
Scmidt, S., Lownethal, A et al. « Rapport sur le complexe industriel de la censure. Les 50 meilleures organisations à connaître. » Racket News, Substack, 10 mai 2023. Rapport sur le complexe industriel de censure : les 50 meilleures organisations à connaître (racket.news) [consulté le 20 juin 2023].
https://tkp.at/2024/04/20/die-faktenchecker-industrie-reichweite-und-aufgaben/
Le régime qui s'en fiche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AVR 2024 - 13H00
Rédigé par Jeffrey Tucker via The Epoch Times,
Nous avons tous entendu des avertissements contre le défilement funeste.
C’est la pratique qui consiste à se réveiller le matin, à parcourir les gros titres, à saisir les mauvaises nouvelles et à s’attarder sur l’obscurité. Vous le faites pendant les temps d'arrêt de la journée et du soir. Votre humeur se détériore de façon permanente.
Cela ne peut pas être bon pour l’esprit humain.
Le terme implique que nous recherchons en quelque sorte le malheur parce que cela nous donne une poussée de dopamine ou quelque chose du genre. En testant cette idée, j’ai essayé à plusieurs reprises d’éviter de faire cela. Mais il y a un problème. Il est impossible de l’éviter simplement parce que les mauvaises nouvelles sont omniprésentes. En fait, j’en suis venu à me méfier de tous les lieux qui ne le signalent pas !
Beaucoup de gens ont conclu que si nous recherchons autre chose que la catastrophe, nous devrions abandonner complètement ce que nous appelons « l’actualité » et nous concentrer sur la culture, la religion, la philosophie, l’histoire, l’art, la poésie, ou trouver quelque chose de pratique et productif à faire.
J'ai récemment rencontré une merveilleuse famille mennonite vivant dans le pays Amish en Pennsylvanie. Ils vivent une vie complètement débranchée : pas de téléphone portable, pas d’internet, pas de télévision. Il n'y a que des livres, du culte communautaire, de l'agriculture, du bétail, des courses dans les magasins locaux et des visites aux voisins.
Je n’aurais jamais pu imaginer qu’un jour je dirais à ceux qui se sont complètement éloignés de la vie moderne : vous faites peut-être les choses de la bonne manière. Il y a quelque chose de vraiment brillant dans les choix que vous avez faits.
Bien sûr, ils se sont créés une bulle, celle de leur choix, dans le prolongement de leur compréhension de leur tradition religieuse. Un point que j'ai observé : ils semblaient sûrement heureux. Pas de la manière fausse que nous voyons sur les réseaux sociaux, mais authentiquement heureux.
Une fois que vous quittez ce monde et replongez dans la vie normale, c’est tout simplement indéniable. Les gros titres des journaux sont remplis de tragédies au pays et à l’étranger, en grande partie liées au désespoir de la population. La liste est familière : perte d’apprentissage, toxicomanie, idées suicidaires, violences publiques et privées, méfiance massive et bien méritée à l’égard de tout et de tous, conflits qui font rage à tous les niveaux de la société.
Cela me dérange, en particulier au sujet des injections d’ARNm conçues pour lutter contre le virus. Nous savons avec certitude qu’ils ont été survendus et ont échoué de toutes les manières pour lesquelles ils étaient censés réussir. Nous sommes en outre inondés de preuves de leurs méfaits, provenant à la fois de notre expérience personnelle et de la littérature scientifique.
RépondreSupprimerMais lisons-nous ou entendons-nous parler de cela dans les médias traditionnels ? Absolument pas. Même s’il est extrêmement clair que l’injection devrait être considérée comme une cause possible de l’augmentation soudaine des crises cardiaques, des morts subites, des turbo-cancers et des maladies de toutes sortes, tout ce sujet reste d’une manière ou d’une autre inavouable dans les grands médias.
Le silence sur ce sujet est si frappant et si évident qu’il discrédite tout le reste. Et quelle en est la raison ? Eh bien, la publicité pharmaceutique représente 75 % des revenus de la télévision grand public. C’est un chiffre stupéfiant. Les réseaux ne vont tout simplement pas mordre la main qui les nourrit.
C’est vrai pour la télévision et quelque chose de similaire s’applique probablement aussi à tout le reste.
Qu’est-ce que cela signifie pour le reste d’entre nous ? Cela signifie que chaque fois que nous allumons la télévision, nous risquons de subir la propagande d’entreprises qui sont sérieusement de mèche avec le gouvernement pour générer le flux de revenus le plus élevé possible, quelles que soient les conséquences.
Et pourquoi ne pas se concentrer sur les dommages causés par les vaccins ? Étonnamment, les entreprises elles-mêmes sont indemnisées de toute responsabilité pour les dommages qu’elles causent. Pensez simplement aux implications de cela. Même si vous savez avec certitude que vous avez été blessé par un produit que vous avez été forcé ou manipulé à prendre, vous ne pouvez presque rien y faire.
C’est un fait incroyable et cela explique en grande partie le traitement silencieux.
Le discrédit des grands médias dans ce contexte révèle une vérité plus profonde et plus terrifiante. Une grande partie de l’élite des gestionnaires économiques et sociaux n’a pas à l’esprit nos meilleurs intérêts. Une fois que vous réalisez cela, la couleur du monde change pour vous. Une fois que vous avez acquis cette idée, il n’est pratiquement plus possible de revenir en arrière.
Des millions de personnes en ont pris conscience au cours des quatre dernières années. Cela nous a changé en tant que personnes. Nous voulons désespérément vivre une vie normale et heureuse, mais nous sommes dépassés par ce que nous avons appris. C’est comme si le rideau s’était levé et que nous avions vu ce qui se passait réellement. L’ensemble de la culture officielle nous crie d’ignorer cet homme derrière le rideau.
J'ai récemment suivi mon propre conseil et me suis lancé dans la lecture de l'histoire comme refuge. Mon choix n’était probablement pas le meilleur si mon objectif était de me remonter le moral. J'ai lu « The Vampire Economy » de l'économiste et financier allemand Gunter Reimann, publié en 1939 (et que j'ai numérisé et téléchargé avec la permission de l'auteur).
RépondreSupprimerLe livre a été écrit alors que le parti nazi avait pris le contrôle total du gouvernement (et de tout le reste) et que la guerre totale en Europe était sur le point de commencer avec l’invasion allemande de la Pologne.
Reimann décortique avec brio la réalité d’un régime qui ne se soucie pas des souffrances croissantes du peuple.
« Les dirigeants nazis en Allemagne ne craignent pas une éventuelle ruine économique nationale en temps de guerre », écrit-il.
« Ils sentent que, quoi qu’il arrive, ils resteront au pouvoir, que plus les choses empireront, plus les classes possédantes en dépendront. Et si le pire devait arriver, ils sont prêts à sacrifier tous les autres intérêts pour maintenir leur emprise sur l’État. S’ils doivent partir eux-mêmes, ils sont prêts à démolir le temple avec eux.
C’est une analyse vivifiante qui pourrait s’appliquer à de nombreux régimes de l’histoire, pas seulement aux nazis. En effet, dans l’histoire, un bon gouvernement a rarement été la norme. Le pouvoir profite souvent de la souffrance. En tant qu’Américains, nous ne sommes pas habitués à penser ainsi à nos élites. Mais il est probablement temps de réaliser que cette trajectoire est très en jeu.
Il s’agit peut-être du changement le plus frappant parmi des millions d’Américains au cours des cinq dernières années. Nous avons réalisé que nos dirigeants dans de nombreux secteurs de la vie américaine (ou mondiale, d’ailleurs) ne favorisent pas nos meilleurs intérêts. C’est une prise de conscience troublante mais cela explique beaucoup de choses. C'est pourquoi les élites ne se soucient pas des méfaits des confinements ou des tirs non testés et ne se soucient pas de l'inflation, de l'immigration de masse, de la montée de la criminalité, du squattage et de l'insécurité de la propriété, de l'explosion de la dette publique, de la surveillance croissante de la population ou de tout ce qui ressemble aux règles normales. de la vie civilisée.
Le régime, au sens le plus large possible de ce terme, s’en fiche. Pire encore, elle croît et en profite à nos dépens. Ils le savent. Nous le savons. Ils aiment ça de cette façon.
https://www.zerohedge.com/political/regime-doesnt-care
Les mythes économiques mondiaux atteignent leurs limites
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AVR 2024 - 00h00
Rédigé par Gail Tverberg via le blog Our Finite World,
Il existe de nombreux mythes sur l’énergie et l’économie. Dans cet article, j'explore la situation entourant certains de ces mythes.
Mon analyse suggère fortement que la transition vers une nouvelle économie verte ne progresse pas aussi bien qu’espéré.
Les planificateurs de l’énergie verte n’ont pas compris que notre économie basée sur la physique favorise les producteurs à faibles coûts.
En fait, les États-Unis et l’Union européenne ne sont peut-être pas loin d’un ralentissement économique, car les approches vertes subventionnées ne sont pas vraiment bon marché.
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[1] Les Chinois ont longtemps cru que l’endroit le plus sûr pour stocker leurs économies était dans les appartements en copropriété vides, mais cette approche ne fonctionne plus.
L’accent mis sur la propriété de maisons en copropriété commence à se relâcher, avec d’énormes répercussions sur l’économie chinoise. En mars, les prix des logements neufs en Chine ont diminué de 2,2 % par rapport à l'année précédente. Les ventes immobilières ont chuté de 20,5 % au premier trimestre 2024 par rapport à la même période de l'année dernière, et les mises en chantier de nouvelles constructions mesurées par la surface de plancher ont chuté de 27,8 %. L’investissement immobilier global en Chine a chuté de 9,5 % au premier trimestre 2024. Personne ne s’attend à un rebond rapide. Les Chinois semblent déplacer leur main d’œuvre de la construction vers l’industrie manufacturière, mais cela crée des problèmes différents pour l’économie mondiale, que je décris dans la section [6].
[2] On nous a dit que les véhicules électriques (VE) sont la voie de l’avenir, mais le taux de croissance ralentit.
Aux États-Unis, le taux de croissance n’a été que de 3,3 % au premier trimestre 2024, contre 47 % il y a un an. Tesla a fait la une des journaux en annonçant qu'elle licenciait 10 % de son personnel. Elle a également récemment annoncé qu'elle retardait les livraisons de son cybertruck. Le prix élevé des véhicules électriques constitue un gros problème. un autre problème est le manque d’infrastructures de recharge. Si les ventes de véhicules électriques veulent réellement se développer, elles auront besoin à la fois de prix plus bas et d’une bien meilleure infrastructure de recharge.
[3] Beaucoup de gens pensaient que les ventes de panneaux solaires domestiques augmenteraient pour toujours, mais aujourd’hui, aux États-Unis, les ventes de panneaux solaires domestiques diminuent.
RépondreSupprimerSelon une prévision du groupe professionnel Solar Energy Industries Association et du cabinet de conseil Wood Mackenzie, les installations de panneaux solaires par les propriétaires aux États-Unis devraient chuter de 13 % en 2024. Les problèmes sont nombreux : des taux d'intérêt plus élevés, des subventions moins généreuses aux propriétaires, une capacité de réseau insuffisante pour une nouvelle production et une surproduction excessive d'électricité par les panneaux solaires au printemps et à l'automne, lorsque la demande de chauffage et de climatisation est faible. Le problème de la surproduction est particulièrement aigu en Californie.
Pour chaque journée de 24 heures, le calendrier de production d’énergie solaire ne correspond pas bien au moment où elle est nécessaire. Avec suffisamment de batteries, l’électricité solaire produite le matin peut aider à faire fonctionner les climatiseurs le soir. Mais le stockage de l’été à l’hiver n’est toujours pas réalisable et les batteries destinées au stockage à court terme sont coûteuses.
[4] C’est un mythe que l’énergie éolienne et solaire contribue réellement à l’approvisionnement en électricité des États-Unis et des pays de l’UE. Au lieu de cela, leur tarification semble conduire à un resserrement de l’approvisionnement en électricité.
Curieusement, aux États-Unis et dans l’Union européenne, lorsque l’éolien et le solaire sont ajoutés au réseau électrique, l’approvisionnement en électricité semble se resserrer. Par exemple, un article dit : La majeure partie du réseau électrique américain est confrontée à un risque de pénurie de ressources jusqu'en 2027, selon le NERC [groupe de réglementation].
Les graphiques de l’approvisionnement en électricité par habitant montrent une tendance inhabituelle lorsque l’on ajoute l’éolien et le solaire. La figure 1 montre qu’aux États-Unis, une fois l’énergie éolienne et solaire ajoutée, la production totale d’électricité par habitant diminue au lieu d’augmenter !
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Figure 1. Production d’électricité par habitant aux États-Unis, basée sur les données de l’Energy Information Administration des États-Unis. (Les données vont jusqu’en 2023, même si cela n’est pas facile à voir sur les étiquettes.)
L’UE, sur une période historique un peu plus courte, montre une tendance similaire de baisse de la production totale d’électricité par habitant, même en ajoutant l’éolien et le solaire (Figure 2).
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Figure 2. Production d'électricité par habitant pour l'Union européenne, sur la base des données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
RépondreSupprimerJe crois que les étranges systèmes de tarification utilisés pour l’éolien et le solaire aux États-Unis et dans l’Union européenne chassent les autres fournisseurs d’électricité, en particulier le nucléaire. Avec ce système, l'électricité intermittente bénéficie de la subvention du premier tarif au tarif régulier du marché de gros. D'autres fournisseurs se retrouvent avec des tarifs de gros très bas, voire négatifs, au printemps et à l'automne, ainsi que les week-ends et les jours fériés. En conséquence, leur rendement global devient trop faible. Le nucléaire est particulièrement touché car il nécessite un investissement fixe énorme et ne peut pas être augmenté ou réduit facilement.
Outre les problèmes susmentionnés affectant l’approvisionnement en électricité produite, il existe également des facteurs affectant la demande d’électricité. La production d’électricité à l’aide de l’énergie éolienne et solaire a tendance à être coûteuse lorsque tous les coûts sont inclus. Les États-Unis et l’Union européenne sont déjà des zones où les coûts d’exploitation des entreprises sont élevés. Les tarifs élevés de l’électricité incitent encore davantage à déplacer l’industrie manufacturière et d’autres industries vers des pays à moindres coûts si les entreprises souhaitent être compétitives sur le marché mondial.
À l’échelle mondiale, en 2022, l’énergie éolienne et solaire a ajouté environ 13 % à la production mondiale totale d’électricité (Figure 3).
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Figure 3. Production d'électricité par habitant dans le monde, basée sur les données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
D’après la figure 3, avec l’ajout de l’éolien et du solaire, la pente ascendante de la production mondiale d’électricité par habitant a pu rester à peu près constante de 1985 à 2022, à environ 1,6 % par an. Mais les États-Unis et l’UE, en tant que producteurs de biens et de services à coûts élevés, n’ont pas été en mesure de participer à cette croissance de l’électricité par habitant.
Au lieu de cela, la Chine a été l’un des principaux bénéficiaires du déplacement de l’industrie manufacturière des États-Unis et de l’UE vers l’étranger. Elle a pu augmenter rapidement sa fourniture d’électricité par habitant, même grâce à l’énergie éolienne et solaire. Il a également augmenté sa capacité de production d’électricité à la fois nucléaire et au charbon.
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Figure 4. Production d'électricité par habitant pour la Chine, sur la base des données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
RépondreSupprimerAinsi, cette analyse produit le résultat auquel on pourrait s’attendre si la physique de l’économie mondiale favorisait les producteurs efficaces (à faibles coûts).
[5] C’est un mythe selon lequel les États-Unis et l’UE peuvent considérablement accélérer l’utilisation des véhicules électriques ou accroître considérablement l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) sans dépendre des combustibles fossiles.
La production de véhicules électriques et l’IA sont de gros consommateurs d’électricité. Nous avons constaté que les États-Unis et l’Union européenne ne disposent plus d’un approvisionnement en électricité par habitant croissant. Accélérer la production d’électricité nécessiterait un long délai (10 ans ou plus), une augmentation importante de la consommation de combustibles fossiles et une augmentation du nombre de lignes de transport d’électricité.
L’État de Géorgie, aux États-Unis, est déjà confronté à ce problème, avec des projets de centres de données (liés à l’IA) et d’usines de fabrication de véhicules électriques. L’État prévoit d’ajouter une nouvelle production d’électricité au gaz. Il importera également davantage d'électricité de Mississippi Power, où le retrait d'une centrale au charbon est retardé pour fournir l'électricité supplémentaire nécessaire. À terme, davantage de panneaux solaires sont également prévus.
[6] C’est un mythe que l’économie mondiale puisse continuer comme d’habitude, quoi qu’il arrive à l’approvisionnement énergétique et à la dette croissante. Les problèmes de construction de logements en Chine pourraient, en théorie, conduire à l’éclatement de bulles de dette dans le monde entier.
L’économie mondiale dépend d’une bulle de dette croissante. Cela dépend également d’une offre toujours croissante de biens et de services. En fait, les deux sont étroitement liés. Tant qu’une offre croissante d’énergie à bas prix, du type utilisé par les infrastructures bâties, sera disponible, l’économie aura tendance à naviguer.
La Chine, avec des problèmes dans son secteur immobilier, est un exemple de ce qui peut mal tourner lorsque l’approvisionnement en énergie (le charbon en Chine) devient cher, alors que l’offre devient de plus en plus limitée. La figure 5 montre que l’approvisionnement en charbon par habitant de la Chine est devenu limité vers 2013. L’extraction de charbon par habitant en Chine avait augmenté, mais elle a ensuite chuté. Cela a rendu plus difficile pour les constructeurs la construction des maisons prévues pour les futurs propriétaires. C’est en partie ce qui a mis les constructeurs d’habitations en difficulté financière en Chine
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Figure 5. Approvisionnement en charbon par habitant en Chine, sur la base des données de l'examen statistique de l'énergie mondiale 2023, préparé par l'Institut de l'énergie. Les montants vont jusqu’en 2022.
RépondreSupprimerEnfin, en 2022, la Chine a pu augmenter sa production de charbon. Mais cela a été possible grâce à des prix du charbon très élevés (Figure 6). (Les prix indiqués concernent le charbon australien, mais les prix du charbon chinois semblent être similaires.)
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Figure 6. Prix du charbon de Newcastle (Australie) dans un graphique préparé par Trading Economics.
Construire des maisons en béton à des prix aussi élevés du charbon aurait abouti à la construction de nouvelles maisons beaucoup trop chères pour la plupart des citoyens chinois. Si les constructeurs n’étaient pas déjà en difficulté en raison de la faiblesse de l’offre, l’augmentation des prix du charbon constituerait également un deuxième coup dur. En outre, tous les travailleurs autrefois engagés dans la construction d'habitations avaient besoin de nouveaux endroits pour gagner leur vie ; l’approche actuelle semble consister à déplacer un grand nombre de ces travailleurs vers le secteur manufacturier, afin que l’éclatement de la bulle de la construction immobilière ait moins d’impact sur l’économie globale de la Chine.
On s’inquiète désormais du fait que la Chine accélère son industrie manufacturière, en particulier pour les exportations, à un moment où les emplois chinois dans le secteur immobilier disparaissent. Le problème, cependant, est que l’augmentation des exportations de produits manufacturés crée une nouvelle bulle. Cette énorme offre supplémentaire de produits manufacturés ne peut être vendue qu’à bas prix. Cette nouvelle concurrence à bas prix semble susceptible de conduire les fabricants du monde entier à obtenir des prix trop bas pour leurs produits manufacturés.
Si d’autres économies du monde étaient obligées de concurrencer des produits chinois encore moins coûteux, cela pourrait avoir un impact négatif sur l’industrie manufacturière du monde entier. Avec des prix bas, les fabricants sont susceptibles de licencier des travailleurs ou de leur accorder des salaires excessivement bas. Si les salaires et les prix sont insuffisants, les bulles de dette risquent d’éclater dans d’autres régions du monde. Cela se produira parce que de nombreux emprunteurs ne seront plus en mesure de rembourser leur dette. C’est la raison pour laquelle on entend beaucoup parler récemment d’une augmentation des droits de douane sur les exportations chinoises.
[7] Le plus grand mythe du monde est que l’économie mondiale peut continuer à croître éternellement.
RépondreSupprimerJ’ai souligné précédemment que, sur la base de considérations physiques, on ne peut pas s’attendre à ce que les économies soient des structures permanentes. Les économies et les humains sont tous deux des systèmes auto-organisés qui se développent. Les humains tirent leur énergie de la nourriture. Les économies dépendent des types de produits énergétiques utilisés par nos infrastructures bâties. Ni l’un ni l’autre ne peuvent grandir éternellement. Ni l’un ni l’autre ne peut se passer de produits énergétiques adaptés, en quantités adéquates.
Nous nous habituons tellement aux récits que nous entendons que nous avons tendance à supposer que ce qu’on nous dit doit être juste. Ces récits pourraient être basés sur des vœux pieux, ou sur des modèles inadéquats, ou encore sur une vision amère qui dit : « De toute façon, nous ne voulons pas de combustibles fossiles ». Nous savons que les humains ont besoin de nourriture et que les économies continueront à avoir besoin de combustibles fossiles. Nous ne pouvons pas fabriquer d’éoliennes ou de panneaux solaires sans combustibles fossiles. Que prévoyons-nous de faire pour l’énergie sans combustibles fossiles ?
Dans un monde fini, les économies ne peuvent pas continuer éternellement. Nous ne savons pas précisément ce qui va mal tourner ni quand, mais les récents échecs des mythes selon lesquels notre économie pourrait changer radicalement dans un avenir pas si lointain nous donnent une idée.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/worlds-economic-myths-are-hitting-their-limits
Alors que la « réduction de moitié » est imminente, Peter Schiff déclare que « le Bitcoin n'a aucune valeur »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 19 AVR 2024 - 15H00
Via SchiffGold.com,
Peter est récemment apparu sur Market Overtime avec Oliver Renick pour une interview. Dans leur discussion approfondie, Peter parle de la politique monétaire, de la fiabilité des données sur l’inflation et des raisons d’éviter le Bitcoin.
Contrairement au discours populaire, la récente hausse de l’or n’est pas due aux conflits mondiaux. L’inflation est le moteur de l’évolution des prix du métal :
« Ce n’est que le début d’une révision massive du prix de l’or, et les gens ne l’achètent même pas encore. Les banques centrales achètent, mais les investisseurs n’achètent même pas d’or. Les investisseurs particuliers, les institutions, ils ne sont pas du tout présents sur le marché. Ils ne comprennent même pas pourquoi l’or augmente. Ils l’attribuent aux risques géopolitiques, mais tout est question d’inflation. La clé est que les marchés ont une fausse idée de l’inflation. Les hausses de taux de la Fed jusqu’à cinq et quart, cinq et demi, n’ont pas suffi à remettre le génie de l’inflation dans la bouteille.
Alors que les médias et les décideurs commencent à remettre en question la faisabilité d’un objectif d’inflation de 2 %, leurs mesures préférées de l’inflation ne sont probablement pas aussi précises qu’elles devraient l’être :
« Je dirais que l’inflation est au moins le double de l’IPC. Donc si le gouvernement prétend que l’inflation est de deux, elle est de quatre. Et quand ils prétendaient qu’il était neuf heures, il était probablement dix-huit heures. Les gens se battent. C’est une mauvaise économie. Les revenus réels des gens ont été éviscérés par l’inflation. Ils sont obligés d’occuper plusieurs emplois. Ils croulent sous une montagne de dettes et nous nous dirigeons vers une catastrophe majeure. »
- voir clip sur site -
Sous la surface de l’économie se cachent des décennies de dommages résiduels dus à des taux d’intérêt artificiellement bas, en particulier dans les secteurs immobilier et bancaire :
« L’ensemble du système bancaire est insolvable. C’est là le gros problème : lorsque les taux d’intérêt étaient maintenus à zéro et que tous ces propriétaires refinançaient leurs prêts hypothécaires à 3 %. Les banques possèdent tout ce papier. Ils sont insolvables maintenant ! Ils possèdent tous ces trésors. Grâce au gouvernement – la Fed – l’ensemble du système bancaire américain est insolvable. Et si la Fed augmentait effectivement les taux d’intérêt à un niveau approprié, toutes les banques feraient faillite, y compris toutes les banques trop grandes pour faire faillite.»
Les présages d’un désastre économique rappellent à Peter les avertissements qu’il avait lancés au début des années 2000 :
« Je n’arrêtais pas de mettre en garde contre les erreurs commises par la Fed, la bulle immobilière et la crise financière qui allait frapper lorsque la bulle éclaterait. Les gens disaient : « Quand, quand, quand ? » Eh bien, je n’ai pas de rendez-vous. Je sais juste que ça va arriver. Je ne peux pas vous dire exactement quand. C'est la même chose maintenant. Mais beaucoup de choses se sont produites maintenant, tout comme en 2007, qui indiquent que le jour du jugement se rapproche.»
RépondreSupprimerS’intéressant au débat crypto/or, Peter affirme que la valeur de l’or provient d’utilisations non monétaires qui manquent au Bitcoin :
« Ils disent : « Bitcoin est une réserve de valeur », mais il n’a aucune valeur. Vous ne pouvez pas stocker ce que vous n’avez pas. La raison pour laquelle l’or est une réserve de valeur est que je peux prendre l’or que je possède et dans cent ans, je pourrai fabriquer une montre avec. Je peux conduire l'électricité avec. Je peux l'utiliser en médecine, en dentisterie. L’or a une véritable utilité dans le monde. C’est un produit utilisé dans toute l’industrie.
Il pense que les récents sommets de Bitcoin sont motivés par le battage médiatique des ETF, peut-être un excellent exemple de la théorie du « plus grand imbécile » :
« Le public abandonnait ses actions aurifères pour investir son argent dans ces ETF. Mais le problème est que lorsque les gens qui ont acheté ces ETF voudront s’en sortir, ce sera impossible. … Il n’y aura pas suffisamment de demande pour que les gens qui ont acheté s’en aillent. Le prix va s'effondrer. Nous allons assister au plus gros crash de Bitcoin que nous ayons jamais vu. … Ce sont des mains en papier. Ce ne sont pas des mains en diamant.
Le Bitcoin et l’or sont des actifs catégoriquement différents, et investir dans le Bitcoin est un pari risqué :
« Écoutez, si vous voulez jouer au Bitcoin, prenez l’argent que vous auriez utilisé pour acheter des billets de loterie ou si vous prévoyez un voyage à Vegas, au lieu de jouer au craps ou à la roulette, vous pouvez jouer avec Bitcoin. Mais ne le confondez pas avec un investissement. Ce n’est même pas une spéculation légitime. C’est juste du pur jeu. »
N'oubliez pas de consulter l'autre interview récente de Peter sur Fox Business et restez à l'écoute de la réponse de Peter plus tard cette semaine aux remarques de Jerome Powell faites le mardi 16 avril.
https://www.zerohedge.com/crypto/halving-imminent-peter-schiff-says-bitcoin-has-no-value
Comment les grandes technologies consomment l’électricité et l’eau des États-Unis
RépondreSupprimerLa demande d’électricité du cloud computing met à rude épreuve un réseau qui devrait déjà connaître des pénuries d’électricité et des pannes d’électricité régulières dans les années à venir.
Amis, lire gratuitement
Comment les grandes technologies consomment l’électricité et l’eau des États-Unis
Par Kevin Stocklin
18 avril 2024
Alors que les politiques fédérales de zéro émission nette tentent de transférer les transports, le chauffage et d'autres éléments essentiels vers le réseau électrique, l'un des secteurs de croissance les plus dynamiques de l'économie américaine est sur le point d'augmenter la demande d'électricité de façon exponentielle, mettant encore plus à rude épreuve une infrastructure énergétique qui est poussée dans le rouge. .
Les centres de données, appelés « cerveaux d’Internet », sont des entrepôts industriels remplis de rangées de serveurs. Ils traitent, communiquent et stockent les données derrière tout, des relevés bancaires, des détaillants en ligne et des plateformes de médias sociaux aux émissions Netflix et à vos vidéos personnelles sur iPhone.
« Les centres de données sont essentiels au cloud computing et à sa capacité à donner aux utilisateurs un accès à distance aux données », indique un rapport de la Réserve fédérale de 2023, citant un article de Science qui les qualifie de « colonne vertébrale de l'information d'un monde de plus en plus numérisé ».
De nombreux analystes considèrent les centres de données comme l’un des secteurs du marché immobilier à la croissance la plus rapide, mais le secteur pourrait bientôt se retrouver face à un mur alors que les communautés locales opposent une résistance croissante à l’appétit apparemment insatiable du secteur pour l’électricité et l’eau.
"Alors que d'autres secteurs de l'immobilier commercial connaissent un déclin des pipelines de construction, le développement des centres de données a atteint un niveau record", selon un rapport de janvier de Newmark, un cabinet de conseil en immobilier commercial.
« Cependant, la croissance est de plus en plus limitée par la disponibilité des terrains et de l’électricité, les défis de la chaîne d’approvisionnement et les retards de construction, sans parler de la résistance croissante de certaines juridictions locales. »
Le rapport indique que la croissance rapide de l’intelligence artificielle (IA) et d’autres technologies alimente la demande.
Le secteur est dirigé par des géants du cloud computing comme Amazon Web Services (AWS), Microsoft Azure, Google Cloud et Meta. Cela inclut également les propriétaires numériques, appelés sociétés de colocation, qui louent des espaces de stockage à des tiers. Il s'agit notamment d'Equinix, Digital Realty et CyrusOne.
La demande d’électricité va doubler d’ici 2030
Les entrepôts de données ont consommé 17 gigawatts d’électricité en 2022, soit environ 4 % de la consommation totale des États-Unis. Cette puissance devrait doubler pour atteindre 35 gigawatts d’ici 2030.
RépondreSupprimerEric Woodell, titulaire d'un doctorat ès sciences en systèmes d'information et communications et fondateur d'Amerruss, une société de gestion d'infrastructures technologiques, a qualifié les centres de données de « porcs énergétiques ».
« Mais désormais, votre centre de données pour les applications d’IA n’est plus un porc, c’est un éléphant et il vit dans votre jardin », a-t-il déclaré à Epoch Times.
M. Woodell gère des centres de données depuis 25 ans, auparavant pour Vanguard, le deuxième gestionnaire d'actifs au monde.
Un simple espace de 10 pieds carrés dans un centre de données moyen consomme environ 10 fois plus d'électricité qu'une maison moyenne, a-t-il déclaré.
« Alors que les centres de données conventionnels consomment déjà énormément d'énergie, l'IA n'utilise pas de CPU [unités centrales de traitement], mais plutôt des systèmes basés sur GPU, car les GPU [unités de traitement graphique] sont conçus pour mieux gérer des fonctions mathématiques complexes. ," il a dit. "Mais il y a un hic : ils consomment entre cinq et dix fois plus d'énergie que les systèmes CPU équipés de manière similaire."
Cette forte augmentation de la demande d’électricité met à rude épreuve un réseau qui devrait déjà connaître des pénuries d’électricité et des pannes d’électricité récurrentes dans les années à venir. Cela est dû à une demande accrue sur le réseau à un moment où les services publics ferment de manière agressive les centrales au charbon et au gaz dans le cadre de leur transition vers l’énergie éolienne et solaire.
Selon une étude de cas réalisée en février par Quanta Technologies sur un grand service public d’électricité régional, PJM, les prochaines années seront marquées par « des surcharges d’équipement qui déclencheront jusqu’à 6 826 MW de délestage pendant la demande de pointe hivernale moyenne ».
Le délestage consiste à couper l’alimentation électrique des consommateurs, également appelée panne d’électricité, pour éviter un effondrement du système.
PJM dessert une douzaine d'États de l'est du centre de l'Atlantique en tant que fournisseur de gros.
"L'analyse révèle la surcharge attendue de 30 installations de transport de masse (230 kV et plus) au cours de l'été 2028, principalement en raison de la forte croissance de la charge associée principalement aux nouveaux centres de données", indique le rapport.
RépondreSupprimerCurieusement, étant donné que la transition vers les énergies renouvelables vise apparemment à lutter contre la hausse des températures, le rapport Quanta constate que « la demande d’électricité atteint moins son pic en été et davantage en hiver ». Ceci est particulièrement inquiétant alors que les États de la côte ouest et du nord-est, qui représentent près d’un tiers des consommateurs de gaz naturel aux États-Unis, interdisent le chauffage au gaz dans les nouvelles maisons, obligeant ces ménages à dépendre de l’électricité pour leur chauffage essentiel.
PJM prévoit une croissance de la charge des nouveaux centres de données de 7 500 MW d'ici 2028, tout en désactivant 11 100 MW de production de combustibles fossiles, laissant un écart de 18,6 gigawatts entre la nouvelle demande et l'offre restante dans ce secteur, selon M. Woodell.
« 18,6 gigawatts alimenteraient environ 3 millions de foyers, soit trois fois la ville de New York », a-t-il déclaré. « Les conséquences sont énormes. »
Allée du centre de données
À l’échelle mondiale, les centres de données consomment environ 3 % de l’électricité mondiale, selon Ryan Yonk, économiste à l’American Institute for Economic Research. Cette consommation a tendance à être stable et prévisible, et les services publics peuvent se développer pour y répondre, a-t-il déclaré.
Cependant, des problèmes surviennent lorsque les centres se concentrent dans une seule zone, surtout si cette zone s’éloigne des combustibles fossiles.
« Les centres de données finissent par avoir des besoins énergétiques constants, ce qui signifie que le réseau peut être assez bien étendu tant que la capacité de production est suffisamment élevée », a-t-il déclaré. "Mais à mesure que nous passons davantage aux énergies renouvelables... plus la demande de base est élevée, plus elle peut être problématique."
La région couverte par PJM et l’étude Quanta est importante car elle comprend le plus grand centre de données au monde, où se trouvent environ la moitié de tous les centres de données américains et par lequel transite environ 70 % du trafic Internet mondial.
RépondreSupprimerPour toute personne effectuant une recherche sur Google ou effectuant un achat sur Amazon, cette transaction sera probablement traitée dans ce que l'on appelle Data Center Alley, qui abrite environ 150 entrepôts de données dans le comté de Loudoun, dans le nord de la Virginie.
Data Center Alley a fait ses débuts dans les années 1980, lorsque America Online (AOL) y a installé son siège social. Il en a rapidement attiré d’autres en raison de sa proximité avec Washington, de la construction du réseau de fibre optique « le plus dense au monde », d’un approvisionnement en électricité relativement bon marché et d’incitations fiscales locales.
« C’est la zone où vous souhaitez vous installer pour vous connecter à tout le reste », a déclaré à Epoch Times Julie Bolthouse, directrice de l’utilisation des terres au Conseil environnemental du Piémont (PEC).
« Tout le monde s'appuie les uns sur les autres dans ces centres de données ; il faut le considérer comme un réseau géant qui communique tous les uns avec les autres », a-t-elle déclaré.
« Ce qui s’est passé depuis les années 90 jusqu’à aujourd’hui, c’est que nous les avons surdimensionnés. Nous sommes passés d'un petit bâtiment qui faisait partie d'un plus grand campus d'affaires et qui ne produisait que cinq mégawatts, à ces bâtiments de type entrepôt à grande échelle qui font maintenant 200 000 pieds carrés, et ils utilisent jusqu'à 90 mégawatts par bâtiment. »
À grande échelle, 90 mégawatts représentent environ la consommation électrique de 22 000 foyers, selon un rapport du PEC.
Le réseau de centres de données du nord de la Virginie s'est étendu en 2022 pour inclure un développement appelé Digital Gateway, un cluster de taille à peu près égale à Digital Alley, situé dans le comté voisin de Prince William. Ce nouveau développement comprend 37 bâtiments et 14 sous-stations de 200 000 pieds carrés chacune, a déclaré Mme Bolthouse, et d'autres développements sont en cours dans toute la région.
RépondreSupprimerLes centres de données actuels et entrants augmenteraient la consommation d'électricité de plus de 20 gigawatts, indique le PEC dans le rapport. Actuellement, la demande de pointe totale pour cette zone est de 23 gigawatts, de sorte que les centres de données du nord de la Virginie doubleraient presque la demande locale en électricité, utilisant environ 5,5 millions de foyers.
Le problème pour les communautés locales est qu’une fois qu’une municipalité a approuvé le développement, le service public d’électricité doit construire de nouvelles lignes de production et de transmission d’électricité pour desservir ce développement. Le coût de cette nouvelle infrastructure est largement supporté par la communauté sous la forme d'une facture d'électricité plus élevée pour tous les contribuables.
« Lorsque nous payons nos factures d’électricité chaque mois, vous accordez une énorme subvention à des entreprises multimilliardaires comme Amazon, Google, Microsoft et Apple », indique le rapport du PEC.
En conséquence, les centres de données se heurtent de plus en plus à une résistance locale lorsqu’ils tentent de construire de nouvelles installations.
Un groupe qui résiste est la Virginia Data Center Reform Coalition, qui comprend environ 40 organisations, dont des associations d'accession à la propriété, des groupes de protection des ressources naturelles, des groupes de préservation historique et des militants pour le climat.
Cette organisation, dans laquelle Mme Bolthouse joue un rôle de leadership, s'efforce de faire adopter des lois locales pour ralentir ou arrêter l'expansion des centres de données.
À la recherche de nouveaux endroits à construire
Par conséquent, les promoteurs ont commencé à chercher ailleurs des terrains, une énergie bon marché et des eaux souterraines abondantes. Les emplacements cibles incluent Atlanta, Géorgie et Columbus, Ohio. Cheyenne, dans le Wyoming, a également approuvé le développement important d'un centre de données.
Les développeurs de centres de données recherchent également des emplacements à l’étranger. La BBC a rapporté en juin 2023 que les centres de données consommaient environ un cinquième de toute l’électricité de la République d’Irlande, l’équivalent de l’électricité utilisée dans tous les districts urbains du pays réunis.
La consommation d'énergie en Irlande de ces entrepôts de données a augmenté de 31 % entre 2021 et 2022, et de 400 % depuis 2015, a déclaré la BBC.
RépondreSupprimerIl a même été envisagé, à un moment donné, avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, d'implanter des centres de données dans des régions glaciales comme la Sibérie, dont certaines disposent également d'une réserve abondante d'énergie nucléaire, a déclaré M. Woodell. "Mais évidemment, cela a disparu en raison de préoccupations géopolitiques."
En fin de compte, il pense que les gouvernements interviendront pour imposer des limites à l’industrie alors que les réseaux électriques deviennent de plus en plus incapables de répondre à la demande du public, obligeant les pays à choisir entre les données et les éléments essentiels comme le chauffage ou l’alimentation électrique des hôpitaux.
"Je pense qu'il y aura finalement des moratoires", a-t-il déclaré. « En Europe et au Royaume-Uni, ils ont imposé des moratoires sur toute nouvelle construction de centres de données parce qu’il n’y a tout simplement pas assez d’énergie. »
Et la ponction sur les ressources locales va au-delà de l’électricité, elle inclut également la consommation d’eau.
Les centres de données concentrent une quantité importante d’énergie dans un petit espace, générant plus de chaleur que le refroidissement par air seul ne peut en atténuer. Par conséquent, ils consomment d’énormes quantités d’eau souterraine pour empêcher les serveurs de surchauffer.
Le rapport de la Fed indique que l’industrie des centres de données se classe parmi les 10 plus grandes industries en termes de consommation d’eau en 2021.
Selon Owen Williams, directeur technique de Subsea Cloud, un fabricant de « pods » de données sous-marines, lorsque de l'énergie est introduite dans une machine industrielle, une voiture ou un avion, cette énergie est convertie en mouvement physique, ou « travail ». »
« Lorsque vous parlez de centres de données, il n’y a absolument aucun travail en cours dans un ordinateur », a déclaré M. Williams à Epoch Times. "Et lorsque de l'énergie entre dans la machine et qu'aucun travail n'est effectué dans cette machine, chaque parcelle d'énergie qui entre doit ressortir sous forme de chaleur", a-t-il déclaré.
"Cent pour cent de l'énergie que vous laissez entrer dans un serveur doit être supprimée du serveur", a déclaré M. Williams. "Si vous la laissez s'accumuler, elle brûlera essentiellement. Ainsi, avec l'augmentation de la densité informatique, la demande d'élimination de cette chaleur est devenue extrême."
RépondreSupprimerEn règle générale, a-t-il expliqué, en plus de l'électricité utilisée pour alimenter les ordinateurs, il faut en moyenne 40 % supplémentaires pour les refroidir. Cela exerce une pression supplémentaire sur les réseaux électriques et consomme ainsi d’énormes volumes d’eaux souterraines locales.
Les centres de données peuvent-ils prospérer sous la mer ?
Des entreprises comme Microsoft, Subsea Cloud et certains concurrents chinois pensent avoir trouvé une solution : installer des centres de données au large dans des nacelles en eaux profondes.
Ces entreprises ont développé de nouvelles technologies capables d’héberger des centres de données dans les eaux côtières, à des milliers de pieds sous la surface.
La température normale de fonctionnement d'une puce informatique est supérieure à 70 degrés Celsius (158 degrés Fahrenheit), de sorte que même dans les eaux tropicales, « il y a toujours une différence si grande entre l'eau et la puce qu'elle évacuera cette chaleur des puces ». sans dépenser aucune énergie pour le faire », a déclaré M. Williams.
Cependant, là où Microsoft a construit des réservoirs de données avec des parois en acier de cinq pouces d'épaisseur pour empêcher la pression des grands fonds marins d'écraser les réservoirs, Subsea Cloud remplit ses réservoirs avec un fluide non corrosif breveté, en utilisant des disques SSD capables de fonctionner dans un liquide. environnement. Cela remplit deux fonctions.
« Premièrement, il transfère la chaleur de manière très efficace », a déclaré M. Williams. "Numéro deux, il s'agit de maintenir une pression à l'intérieur de la nacelle qui est égale à celle à l'extérieur." Cela nécessite que les parois des modules sous-marins n’aient qu’un quart de pouce d’épaisseur.
Même s’il a fallu du temps pour convaincre les entreprises technologiques d’envisager une alternative sous-marine, la demande de modules sous-marins est « énorme en ce moment », a-t-il déclaré.
« Nous avons beaucoup de chance d'être dans un endroit où de très grandes entreprises nous parlent, ainsi que les gouvernements. Le fait est qu’il ne semble pas que la population mondiale veuille réduire l’utilisation de l’électronique, de l’IA et tout le reste.
RépondreSupprimerLes modules de données submersibles peuvent contribuer à réduire les terres, l'électricité et les eaux souterraines nécessaires pour répondre à la demande croissante des centres de données, mais en fin de compte, l'industrie mondiale des données aura toujours besoin de grandes quantités d'énergie pour alimenter sa croissance, ce qui continuera de mettre à rude épreuve les réseaux électriques.
M. Woodell affirme qu'un jour prochain, l'industrie technologique devra soit innover pour améliorer considérablement l'efficacité du traitement des données, soit faire face à des obstacles pratiques et réglementaires à sa croissance future.
https://www.theepochtimes.com/article/rapid-expansion-of-cloud-computing-may-hit-a-wall-with-limited-supply-of-power-water-5630195?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Les inquiétudes climatiques sont des croyances luxueuses et non crédibles qui nuisent à la civilisation elle-même
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 19 AVR 2024 - 21:43
Écrit par Joakim Book via The Mises Institute,
J'habite dans un petit village en bordure de terres entouré d'une nature très rude. Ceux qui ont occupé ces vallées dans le passé ont vécu des vies impitoyablement dangereuses, où la famine était une préoccupation constante, la mer aussi souvent nourrie qu'elle emportait, et les hivers étaient longs et périlleux. Aujourd’hui, alors que je parcoure les montagnes désolées ou que j’admire les violentes tempêtes depuis mon existence agréable et abritée, les descriptions de la vie précivilisationnelle de l’homme par Thomas Hobbes résonnent dans ma tête : « Solitaire, pauvre, méchant, brutal et court ».
Dans les années 2020, nous vivons ici une vie assez confortable, mes concitoyens du village et moi. Nos foyers sont chaleureux, notre maîtrise des biens économiques excellente. Nous vivons longtemps et en sécurité, où personne ne meurt de faim et où presque personne ne périt dans les accès de colère de la nature. Nous utilisons des machines – construites très, très loin à l'aide de matériaux que nous n'avons pas, qui fonctionnent avec des combustibles fossiles que ces terres ne contiennent pas – pour enlever la neige qui tombe fréquemment et de manière prévisible sur le pas de notre porte et qui autrement aurait rendu nos routes infranchissables et nos maisons des prisons. Nous utilisons différentes machines – construites très, très loin avec des matériaux que nous n'avons pas, qui fonctionnent avec des combustibles fossiles que ces terres ne contiennent pas – pour sortir de notre vallée et transporter des biens et des services, y compris des fruits et légumes exotiques. qui ne poussent jamais ici (surtout pas en hiver !).
Il est vraiment fascinant de constater les choses étonnantes que le commerce mondialisé et le capitalisme peuvent accomplir. Prendre du recul et réfléchir aux miracles du commerce moderne, de l’innovation et de la division du travail est une véritable leçon d’humilité.
Pourtant, nous, les modernes aisés, nous inquiétons de notre existence collective au point que les enfants font des cauchemars, et les personnes interrogées affirment dans leur grande majorité que le changement climatique mettra fin à la race humaine.
Environ un tiers des jeunes déclarent qu’ils ne veulent pas d’enfants par crainte d’aggraver les conditions climatiques ou de la façon dont ils se comporteraient dans ce nouveau monde courageux. « L’anxiété climatique est répandue parmi les jeunes », rapporte National Geographic. « Comment pouvons-nous aider les enfants à faire face à « l’éco-anxiété » ? » demande la British Broadcasting Corporation. La grande majorité des personnes interrogées dans une étude mondiale menée auprès de dix mille personnes publiée dans le Lancet en 2021 ont admis être très ou extrêmement inquiètes. Les auteurs de Vox s'inquiètent de l'éthique de l'éducation des enfants. Une nouvelle étude, rapportée par Phys.org, souligne combien de jeunes n'auront pas d'enfants à cause du changement climatique : il serait injuste de « mettre au monde un enfant », qui devrait vivre avec le un « sentiment constant de catastrophe imminente, chaque jour, toute leur vie », déclare un futur parent interrogé.
RépondreSupprimerBeaucoup de mes concitoyens entretiennent toutes ces idées globales – fonte des glaciers et parties par million – chiffres, inondations et dilemmes éthiques selon lesquels nous, humains vulgaires, rendons la terre inhospitalière ou inhabitable.
C'est une chose étrange dont il faut s'inquiéter de manière obsessionnelle, alors que la violente tempête qui fait rage devant les fenêtres à double vitrage n'affecte en rien notre approvisionnement alimentaire, notre consommation d'électricité, notre chauffage ou notre capacité à participer à la division mondiale du travail, que ce soit dans nos bureaux ou à distance via Internet haut débit. Il semble en quelque sorte contradictoire de se rassembler passionnément contre le capitalisme dans le confort de maisons, d’hôtels et de pubs construits et entretenus de manière très capitaliste ; pour dénoncer la combustion de combustibles fossiles qui maintient littéralement quelqu'un en vie.
Cela me fait réfléchir à l’axiome d’action, point de départ de la praxéologie de Ludwig von Mises et pilier sur lequel repose l’économie autrichienne. La version familière de cette maxime fondamentale autrichienne est « mettez votre argent là où vous le dites » ou « les actions sont plus éloquentes que les mots ». Nous démontrons par nos actions où se situent nos préférences et nos valeurs ; nous les révélons au monde (les mettons en pratique, en fait) lorsque nous faisons une chose au lieu d'une autre, lorsque nous achetons un bien au lieu d'un autre, lorsque nous travaillons au lieu de nous détendre. Tout cela est enveloppé d’incertitude, d’espoirs et de désirs humains subjectifs qui s’opposent à d’autres désirs similaires ; avec le recul, nous pouvons regretter les choix que nous avons faits. Pourtant, dit Murray Rothbard, « les préférences d’un homme se déduisent de ce qu’il a choisi dans l’action ».
Peut-être que toutes ces plaintes climatiques ne sont que des signes de vertu, dans un monde où les sentiments comptent plus que les faits. Le détachement des processus physiques de la vie de base – l’énergie, les matériaux, les transports et, dans les économies monétaires complexes, l’argent – a rendu de nombreuses personnes ignorantes, tenant pour acquis les modes de vie et les niveaux de vie que nous avons. Cela nous a permis de commencer à penser que les systèmes fondateurs et porteurs de civilisation comme l’argent, les combustibles fossiles ou les institutions commerciales sont facultatifs – une simple question de choix idéologique entre les bonnes et les mauvaises personnes. Ils ne sont pas.
RépondreSupprimerCela me rappelle aussi les croyances en matière de luxe, un concept quelque peu en vogue inventé par Rob Henderson, psychologue à l'Université de Cambridge et auteur du livre récent Troubled. Henderson transfère la « consommation ostentatoire » de Thorstein Veblen – l’achat de biens coûteux, souvent apparemment inutiles dans le but d’afficher sa richesse – dans le domaine moral et politique. Une croyance en matière de luxe, comme un bien remarquable, s’acquiert dans le but d’impressionner les autres et est conçue pour « conférer un statut à la classe supérieure à très peu de frais, tout en infligeant des coûts aux classes inférieures ».
Les croyances sur le luxe n’ont pas beaucoup de sens et n’ont pas de résistance dans le monde réel des atomes et de la température, de la nature et de la famine. Mais nous sommes si détachés du monde qui nous soutient physiquement – si riches, si trompés, si aisés – que nous sommes prêts à croire (et, par extension, à expérimenter) les systèmes mêmes qui soutiennent notre existence.
Signalez les préoccupations environnementales et l’anticapitalisme.
Pris au sens littéral, en mettant en place des politiques basées sur de telles folies, nous sommes sur la voie de l’horreur et de la pauvreté, avec des vies brutales et courtes à suivre.
La bonne nouvelle est que ces systèmes sont remarquablement résistants et que ces voix pourraient encore être toutes « bavardes », comme dirait Nassim Taleb.
Le populaire magazine de financement de l'énergie Substack Doomberg a fait une observation similaire en février, énumérant en deux paragraphes les événements majeurs survenus à partir de 1971 : la crise pétrolière, l'Iran-Irak, les guerres du Koweït, les conflits du Moyen-Orient, les effondrements financiers en Asie, en peso et en rouble, les attentats terroristes, la Libye-Syrie-Ukraine, la crise financière mondiale et le covid.
RépondreSupprimerÀ travers tous ces événements, aussi tumultueux qu’ils paraissent à l’époque et aussi pertinents qu’ils restent dans la conscience politique, la consommation totale d’énergie du monde est une ligne droite à travers tout cela.
Voici leur graphique :
BP Statistical Review consommation totale d’énergie mondiale
- voir graph sur site -
Source : Doomberg
Des événements socio-économiques aussi radicaux que les droits des femmes ou l’égalité raciale ; les dirigeants de gauche ou de droite ; crises et récessions, inflations et années de boom ; générations d'universitaires, de scientifiques et de mouvements politiques. . . et il n’y a aucun impact sur l’élément fondamental qui alimente notre civilisation.
Quatre-vingt-cinq pour cent de la consommation mondiale d’énergie primaire provient directement des combustibles fossiles – c’était la même chose il y a plus de trente ans, lorsque je suis né. Vous pouvez exprimer vos convictions sur le changement climatique, sur des objectifs politiques non crédibles et zéro net (toujours avec des années se terminant de manière suspecte par zéro ou cinq), sur la réduction de la dépendance aux combustibles fossiles ou sur le caractère « propre » des énergies renouvelables. Vous pouvez y consacrer de l’argent du gouvernement, adopter des lois ou pontifier devant les hautes cours, les auditoires législatifs ou la place publique, mais vous ne changez tout simplement pas cela. Vous ne pouvez pas changer cela.
Les Cypherpunks écrivent du code. Les gens intelligents ignorent la politique. Vous devriez sortir de la maison, arrêter de trop vous soucier des fous qui dirigent l'asile et plutôt admirer la nature.
That’s what I’m doing.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/climate-worries-are-non-credible-luxury-beliefs-harm-civilization-itself
Une autre journée sur la route vers la ruine de l’énergie verte et l’illustration de la fabrication verte s’effondre
RépondreSupprimerPar Jo Nova
April 20th, 2024
Ce n’est qu’un autre panneau indicateur sur la voie de la grande économie verte d’en bas.
Nous regardons la bulle renouvelable éclater autour de nous. Tritium était la petite entreprise technologique australienne qui fabriquait des chargeurs rapides pour les véhicules électriques. Il a fallu 20 ans pour la créer, et seulement deux ans pour la mettre sous séquestre. À son apogée en 2021, elle s'est lancée au NASDAQ et valait 2 milliards de dollars, aujourd'hui elle est insolvable.
The Driven explique à quel point c'était important :
La société affirme avoir vendu plus de 13 000 chargeurs rapides DC dans plus de 40 pays. À son apogée, il prétendait être le plus grand fabricant de chargeurs rapides aux États-Unis avec une part de marché de 30 pour cent (on ne sait pas si cela incluait le réseau Tesla), et une part de 75 pour cent en Australie, et l'un des trois premiers en Europe. .
Lors de son lancement en 2021, les actions se vendaient à 2 500 $ chacune. Le prix actuel est de 1,35 $.
- voir graph sur site -
Cours de l’action Tritium. NASDAQ
Le tritium est l’emblème parfait de l’économie planifiée technocratique
Il y a à peine un an, le Premier ministre australien en était ravi et utilisait le Tritium comme modèle pour vendre son nouveau « Fonds national de reconstruction » de 15 milliards de dollars pour « construire une capacité souveraine ».
Lors de sa visite, le Premier ministre a déclaré : « C'est ma troisième visite à Tritium. Chaque fois que je reviens, j'entends parler de plus de revenus, de plus d'emplois créés et de plus de pays vers lesquels l'Australie exporte. Il s’agit ici d’une grande réussite et je félicite tout le monde chez Tritium pour ses réalisations.
Nick Bonyhady et Tom Rabe de l'Australian Financial Review pointent du doigt les prix de l'énergie :
Une entreprise de recharge rapide pour véhicules électriques cotée au Nasdaq, saluée d'abord comme une réussite du Queensland, puis comme une justification des subventions gouvernementales, est le deuxième grand fabricant australien à s'effondrer cette semaine.
La disparition de Tritium survient quelques jours seulement après que le plus grand producteur de plastique d’Australie, Qenos, a été placé sous administration, et comme un chef de l’industrie prévient que la hausse des prix du gaz sur la côte Est continuera de menacer toute une série d’industries manufacturières nationales à travers le pays.
RépondreSupprimerEn 2021, l’Australie était le plus grand exportateur mondial de GNL, mais dans une quête de pureté climatique, nous avons interdit tellement de sites d’exploration et poursuivi tellement d’options énergétiques stupides que nous sommes sur le point de commencer à importer du gaz.
« Les dirigeants de l’industrie gazière ont qualifié de « bizarre » et d’incroyable la probabilité que l’Australie puisse bientôt commencer à importer du gaz. »
Daniel Mercer
Peter Tinley [député] a déclaré qu'il n'était pas logique que les États interdisent la pratique de la fracturation hydraulique pour développer les réserves de gaz terrestres tout en autorisant également l'importation de ressources offshore exploitées selon la même méthode.
Victoria interdit la fracturation hydraulique par voie législative depuis 2017.
"Je trouve ironique que certaines juridictions interdisent la fracturation hydraulique, par exemple, mais finissent par importer du gaz de fracturation", a déclaré M. Tinley lors de la conférence Australian Domestic Gas Outlook à Sydney. « Comment faites-vous le lien avec cela ?
h/t Amoureux du gaz carbonique, Old Ozzie, David Maddison.
https://joannenova.com.au/2024/04/another-day-on-the-road-to-green-energy-ruin-and-the-posterchild-of-green-manufacturing-collapsess/
Pesticides et pathologies pédiatriques : le CHU d'Amiens est-il dans son rôle ?
RépondreSupprimer21 Avril 2024
Tout compte fait, l'analyse aboutit à une question simple : le CHU d'Amiens « fait-il » dans la santé publique ou dans le militantisme ou lobbying anti-pesticides ?
Ce sont trois articles qui commencent à dater. Mais la question reste sur la table.
La Voix du Nord a publié le 3 février 2024 : « À Amiens, une consultation au CHU vérifie le lien entre les pesticides et des maladies chez les enfants ».
En chapô :
« Leucémies, tumeurs cérébrales, malformations : les enfants dont les parents ont été exposés aux pesticides présentent un sur-risque de développer ces pathologies, selon le CHU d’Amiens. »
C'est, certes, la production d'un journaliste... de la très militante Agence France Presse (AFP)... quelle surprise !
Mais c'est avec des éléments livrés par un service qui s'est donné une noble mission en théorie – contribuer à la santé publique – et un objectif beaucoup moins glorieux en pratique – faire de l'activisme anti-pesticides et orienter les parents d'enfants malades vers le Fonds d'Indemnisation des Victimes de Pesticides (FIVP).
« Il [le médecin qui a fondé la consultation] estime à "plusieurs centaines" le nombre d’enfants potentiellement concernés en France. In fine, l’objectif de cette consultation, lancée en octobre 2023, est que les familles remplissent un dossier au Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides (FIVP). »
« Il estime... » ? Sur quelles bases ? Comme nous l'avons vu dans « Pesticides : fonds d’indemnisation cherche victimes, désespérément » de M. Philippe Stoop, le Fonds n'est pas submergé par un flot de demandes.
Est-ce le CHU d'Amiens in corpore ou le médecin à l'origine d'une consultation non pas médicale, mais administrative voire pré-contentieuse, qui affirme l'existence d'un sur-risque ?
RépondreSupprimerUn sur-risque évalué à « 20 % à 30 % » par un autre médecin, chef de service, pour les pathologies onco-hémato-pédiatrique. Où sont les preuves ?
Bref, cela sent le dérapage. Confirmé à notre sens par ce propos :
« Pour le Dr Chamot, si le fonds d’indemnisation a été créé, c’est parce que la "société reconnaît qu’elle fait certainement une erreur en continuant d’utiliser des pesticides qui, potentiellement, peuvent avoir des conséquences". »
C'est au mieux simpliste et en tout cas l'expression d'un militantisme affirmé – avec tout de même une prudence exprimée par un adverbe et un semi-auxiliaire : le Fonds est, en fait, le fruit d'une manœuvre politicienne.
Nous avons vu dans l'article de M. Philippe Stoop que le CHU d'Amiens a annoncé la « bonne nouvelle » par un « Une consultation pesticides et pathologies pédiatriques est créée au CHU Amiens-Picardie, une première en France » non daté (quel professionalisme!).
Annonce relayée trois mois plus tard par le Monde avec « Le CHU d’Amiens met en place la première consultation "pesticides et pathologies pédiatriques" » avec un chapô à nouveau explicite :
« Inauguré il y a trois mois, le dispositif vise à faire reconnaître l’exposition professionnelle des parents, afin qu’ils puissent prétendre au Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides. »
Notez l'ordre des mots, il n'est pas anodin : « pesticides » précède « pathologies pédiatriques » !
Le 23 janvier 2024 (là, on a la date), le service de communication du CHU d'Amiens avait publié : « Le CHU d'Amiens-Picardie soutient les enfants victimes des pesticides ». C'est sans nuance ! Les enfants sont victimes...
Et la mise en route, après un chapô de nature essentiellement historique, est tout aussi tonitruante :
« Leucémies, tumeurs cérébrales, hypospadias et/ou fentes labio-palatines. Voici quelques-unes des douloureuses conséquences d’une exposition aux pesticides, dont les enfants sont aujourd’hui les premières victimes. »
C'est désolant !
Nous ne pouvons que souscrire à l'opinion de M. Philippe Stoop, reflet d'une évidence :
RépondreSupprimer« Une consultation ciblée sur les seuls pesticides ne va pas aider à y voir plus clair, elle risque plutôt d’embrouiller davantage la situation. »
Embrouiller, et potentiellement nous faire passez à côté d'autres explications – et de réponses de santé publique – que « les pesticides ».
Et aussi faire paniquer. France 3 Hauts-de-France a ainsi publié le 9 février 2024 : « "Nous n’étions pas au courant que ces produits étaient si dangereux" : une consultation pesticides et pathologies pédiatriques créée au CHU d’Amiens »...
https://seppi.over-blog.com/2024/04/pesticides-et-pathologies-pediatriques-le-chu-d-amiens-est-il-dans-son-role.html