Il y a pléthore de gaz et de pétrole dans le monde pour les pays dynamiques qui investissent pour en trouver.
Par Michel Gay.
13 JANVIER 2019
Du gaz et du pétrole de schiste sont découverts à profusion dans le monde, notamment aux États-Unis. Qui en parle dans nos grands media ? Serait-ce politiquement incorrect de l’évoquer ?
LE SUCCÈS DU PARI DU GAZ ET DU PÉTROLE DE SCHISTE
Le Texas aux États-Unis regorge de pétrole et de gaz de schiste au point que les gazoducs existants sont saturés ! Le gaz doit même être « torché » ou « éventé ».
En attendant la mise en service de nouvelles capacités de transport, la production doit être réduite faute de pouvoir exporter les quantités extraites. La production de pétrole de schiste doit aussi être réduite en parallèle car il est extrait avec le gaz (et vice-versa).
Des projets sont en développement pour évacuer le gaz vers le Golfe du Mexique pour le liquéfier (GPL) et pouvoir ainsi l’exporter par bateau méthanier.
PREMIER PRODUCTEUR DE PÉTROLE
Les États-Unis ont dépassé la Russie et l’Arabie Saoudite pour devenir le premier producteur de pétrole brut en 2018 a annoncé l’agence américaine de l’énergie (EIA).
Après avoir stagné autour de 6 millions de barils par jour (Mb/j) en moyenne de 1933 à 2013, la production a grimpé à 9,4 Mb/j en 2017, puis à 10,4 Mb/j en 2018, et elle passera à 11,5 Mb/j 2019.
La surabondance de gaz de schiste associé à l’extraction du pétrole de schiste a fait chuter les prix au terminal gazier à l’ouest du Texas jusqu’à 1 dollar par million d’unité thermique britannique (dollar/MM-Btu), alors qu’il vaut 13 à 14 dollars/MM-Btu sur le marché européen.
DANS LE MONDE
L’inde a approuvé le 1er août 2018 l’exploration et la production des pétroles et gaz de schiste, ainsi que du gaz de houille (coal bed methane en anglais). Le Premier ministre Narendra Modi veut réduire d’un tiers la dépendance de l’Inde aux importations de pétrole et de gaz naturel en 2022, et de moitié avant 2030. Le sous-sol indien recélerait environ 5 milliards de mètres cubes dans 5 bassins sédimentaires.
L’Égypte a annoncé le 23 juillet 2018 une nouvelle découverte de gaz conventionnel dans le delta du Nil.
Du gaz offshore a été découvert au large de Trinité-et-Tobago par près de 2 000 mètres de fond.
Au Niger, au Chili, en Indonésie en Birmanie au Mexique de nouveaux gisements de gaz et de pétrole ont été découverts.
Au Guyana, proche de la Guyane française, ExxonMobil estimait en décembre 2018 le potentiel de gaz récupérable à 5 milliards de barils équivalent pétrole et envisage une production de l’ordre de 750 000 barils par jour d’ici 2025.
En Europe, fin 2019, la Pologne commencera à produire 50 millions de mètres cubes de gaz de schiste par an.
Au Royaume-Uni, Total a annoncé le 24 septembre avoir fait une découverte de gaz « significative » à l’Ouest des îles Shetland.
L’agence américaine de l’énergie prévoit des stocks mondiaux de combustibles liquides stables en 2019 avec un prix du baril brut de Brent entre 72 dollars/b et 76 dollars/b.
ET LA FRANCE ?
L’article 7 de la Loi 2017-1839 du 30 décembre 2017 a mis fin à la recherche et à l’exploitation des hydrocarbures.
Seul le Costa-Rica a suivi la France dans cette voie du désengagement industriel énergétique… Cette décision a signé la mise au chômage des acteurs de la filière, la fin de plusieurs professions, ainsi que le transfert des investissements dans d’autres pays moins scrupuleux (ou plus intelligent ?). Elle prive aussi la Nation d’une richesse potentielle et du droit fondamental de la connaissance de ses biens.
Après trois années de diminution du chiffre d’affaires, et la perte de près de 10 000 emplois, le carnet de commandes de l’industrie parapétrolière française se stabilise grâce à la diversification des activités. « On touche le creux » a déclaré le 20 septembre 2018 le président de l’association des industries françaises des hydrocarbures et des énergies nouvelles (Dominique Bouvier).
La décapitation volontaire et unilatérale d’une industrie française mondialement active et respectée est sans précédent dans l’histoire.
La zone économique maritime exclusive (ZEE) de la France (plus de 10 millions de km2), résultant de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, est la deuxième au monde après celle des États-Unis. Ce gigantesque espace maritime (presque 20 fois la surface de la France) ouvre pourtant des possibilités fabuleuses d’extractions d’hydrocarbures et d’hydrates de méthane.
La France a une partie de sa ZEE dans le Golfe du Mozambique où d’immenses gisements de gaz ont été découverts. Elle risque de passer à côté de cet eldorado dont la Réunion pourrait grandement bénéficier. Mais l’idéologie se moque du sort des Français, et probablement encore plus de celui des Réunionnais.
Il y a pléthore de gaz et de pétrole dans le monde pour les pays dynamiques qui investissent pour en trouver. Cette loi de prévarication du peuple français votée en 2017, dans la lignée de la loi de transition énergétique votée en 2015, est un monumental gâchis incompréhensible alors que les talents et les savoir-faire sont présents, et que les Français s’appauvrissent ces dernières années.
https://www.contrepoints.org/2019/01/13/334522-il-y-a-plethore-de-gaz-et-de-petrole-vous-etes-au-courant
A savoir que tout ce 'remue-merde' sur les gaz (de shiste et de pétrole) ne sont que DES PARAVENTS ! de l'arbre qui cache la forêt ou du mensonge qui cache la vérité ou encore du chef de l'État qui masque le Peuple !!
LES TORCHÈRES EXISTENT DEPUIS TOUJOURS ! Çà alors !! Car, lorsqu'un derrick est posé pour l'extraction d'une nappe, c'est bien le gaz qui monte en premier ! Et, ce butane-propane EST TORCHÉ !! Alors, arrêtez de nous bassiner avec ce putain de gaz de shiste qui n'a AUCUNE compression et qui - pour le sortir, doit donc en avoir une - favorise des perturbations souterraines appelées aussi tremblements de terre (jusqu'à des centaines de kilomètres !).
Non, il ne faut pas confondre 'richesse et richesse' ! Du gaz de shiste il y en a partout dans le monde et coûte plus cher à extraire que le coût de revente ! (comme pour les éoliennes & panneaux solaires !), tandis que du pétrole... il n'y en a pas partout ! N'empêche que ces nappes sont abiotiques, c'est-à-dire que le pétrole se reconstitue à 100 % de ce qu'il était auparavant ! Çà alors !
Pourquoi les derricks ne sont-ils pas démontés lors d'une baisse de pression ? Parce qu'ils serviront plus tard ! Ainsi, 10 ou 15 ans plus tard, les derricks fermés sont remis en service ! Çà alors ! La pression s'est reformée, le pétrole s'est refrabriqué !
TOUT SE RECYCLE ! TOUT ! DEPUIS TOUJOURS ET POUR TOUJOURS !
Les gaz butane et propane peuvent être extraits et vendus bien moins cher que les gaz de shiste mais sont tellement imposés qu'il est préférable... de les brûler !!
A savoir que tout ce 'remue-merde' sur les gaz (de shiste et de pétrole) ne sont que DES PARAVENTS ! de l'arbre qui cache la forêt ou du mensonge qui cache la vérité ou encore du chef de l'État qui masque le Peuple !!
LES TORCHÈRES EXISTENT DEPUIS TOUJOURS ! Çà alors !! Car, lorsqu'un derrick est posé pour l'extraction d'une nappe, c'est bien le gaz qui monte en premier ! Et, ce butane-propane EST TORCHÉ !! Alors, arrêtez de nous bassiner avec ce putain de gaz de shiste qui n'a AUCUNE compression et qui - pour le sortir, doit donc en avoir une - favorise des perturbations souterraines appelées aussi tremblements de terre (jusqu'à des centaines de kilomètres !).
Non, il ne faut pas confondre 'richesse et richesse' ! Du gaz de shiste il y en a partout dans le monde et coûte plus cher à extraire que le coût de revente ! (comme pour les éoliennes & panneaux solaires !), tandis que du pétrole... il n'y en a pas partout ! N'empêche que ces nappes sont abiotiques, c'est-à-dire que le pétrole se reconstitue à 100 % de ce qu'il était auparavant ! Çà alors !
Pourquoi les derricks ne sont-ils pas démontés lors d'une baisse de pression ? Parce qu'ils serviront plus tard ! Ainsi, 10 ou 15 ans plus tard, les derricks fermés sont remis en service ! Çà alors ! La pression s'est reformée, le pétrole s'est refrabriqué !
TOUT SE RECYCLE ! TOUT ! DEPUIS TOUJOURS ET POUR TOUJOURS !
Les gaz butane et propane peuvent être extraits et vendus bien moins cher que les gaz de shiste mais sont tellement imposés qu'il est préférable... de les brûler !!
LES EOLIENNES MASSACRENT LES ABEILLES :
RépondreSupprimerLes abeilles et les statistiques : le festival du pipotage continue
Décryptage des statistiques concernant la mortalité des abeilles.
Par Wackes Seppi.
14 JANVIER 2019
- voir graphique sur site -
(Source)
Comme bien d’autres, Le Monde (avec AFP) a diffusé le 25 octobre 2018 une mauvaise nouvelle pour les abeilles – qui ne pouvait qu’être bonne pour les médias : « 30 % des colonies d’abeilles sont mortes pendant l’hiver en France».
Comme notre nouvelle n’est plus très fraîche, précisons : l’hiver 2017/2018.
UNE HÂTE À COMMUNIQUER « LES PREMIERS RÉSULTATS »
En bref :
« Le ministère de l’Agriculture et l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) ont rendu public, jeudi, les premiers résultats d’une enquête réalisée cet été. Près de 14 000 apiculteurs, sur 46 500 contactés par e-mail, ont répondu. Les réponses envoyées par voie postale doivent encore être analysées. « Le taux moyen de mortalité des colonies durant l’hiver 2017-2018 (…) peut être estimé à 29,4 % », selon les premiers résultats. »
Pourquoi cette hâte à communiquer des « premiers résultats » ? Aurons nous des résultats définitifs ?
Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation a écrit dans « Une enquête confirme les mortalités anormales d’abeilles : le ministère renforce les mesures pour améliorer la santé du cheptel apicole» :
« Cette enquête montre que le taux moyen de mortalité des colonies d’abeilles à l’échelle nationale durant l’hiver 2017-2018 est estimé à 29,4 %, très au-delà du taux de 10 % de mortalité hivernale qualifié de « normal » par l’ensemble des acteurs concernés (apiculteurs, scientifiques…). Toutes les causes de mortalités sont prises en compte dans cette enquête. »
- voir graphique sur site -
(Source)
DEUX PHRASES, TROIS CURIOSITÉS
C’est triplement curieux. D’une part, ce résultat doit être qualifié : ce qui a été calculé, c’est une moyenne chez les 30 % d’apiculteurs qui ont répondu à la demande et qui ont probablement fourni des chiffres non soumis à une processus de validation individuelle (nous ajouterons : dans un contexte de polémique et de revendication d’aides de l’État).
D’autre part, ce résultat est bien en-deçà des chiffres qui ont été articulés à la sortie de l’hiver, en particulier en provenance de certaines régions, notamment la Bretagne, et qui ont servi à un tapage médiatique en juin 2018.
Enfin, une « mortalité hivernale normale » de 10 % paraît bien optimiste – et on peut se demander comment le ministère a pu gober ce chiffre articulé par « l’ensemble des acteurs concernés ».
- voir graphique sur site -
(Source)
S’agissant du premier point, le rapport conclut cependant sur une note positive :
« Sans pouvoir établir formellement la représentativité de l’échantillon des réponses, l’analyse réalisée à partir des données disponibles ne met pas en évidence de biais de réponse, qui seraient dus à une plus grande propension qu’auraient eu les apiculteurs ayant observé de plus forts taux de mortalité à répondre à l’enquête. »
APRÈS LE SINISTRE, SEULEMENT LA CATASTROPHE… EUH NON ! LA ROUTINE
Et, s’agissant du deuxième, on peine à trouver une mise en perspective dans les médias… Les pertes sont importantes (en moyenne – et on peut comprendre le désarroi d’un apiculteur qui n’est pas dans la moyenne et voit la quasi-intégralité de son cheptel atteint), mais pas exceptionnelles. Et surtout bien en-deçà de ce qu’on – l’AFP – a laissé entendre en juin 2018
RépondreSupprimerQu’écrivait l’AFP en juin 2018, rapportant des propos de M. Gilles Lanio, président de l’Union Nationale de l’Apiculture Française (UNAF) ?
« Les apiculteurs, environ 70 000 en France dont une majorité de petits producteurs, subissaient des pertes d’environ 30 % de leurs cheptels ces dernières années, selon lui. « Aujourd’hui, on a franchi un cap supplémentaire », avec des taux de mortalité pouvant grimper à 80 %, s’est-il alarmé. »
Que faut-il comprendre aujourd’hui ? Que l’AFP a contribué – avec complaisance – à une opération d’extorsion de subventions du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation (pour un large compte rendu, voir Le Monde, « En détresse, des apiculteurs rendent hommage aux abeilles perdues»).
Les médias ont la mémoire courte… cela leur permet de ne pas se remettre en question… Quand il s’agit d’abeilles, l’interlocuteur privilégié, sinon exclusif, reste l’UNAF. Et tant pis si les informations diffusées sont frelatées… cela reste des informations.
Notons que, solidarité gouvernementale oblige, un certain Nicolas Hulot, à l’époque encore ministre de la Transition Écologique et Solidaire avait prêté son concours à l’opération.
Une opération qui aura permis de mobiliser trois millions d’euros d’aide pour la filière, pour les apiculteurs touchés par la mortalité des abeilles, destinés au renouvellement des essaims. Mais, selon M. Henri Clément, secrétaire général de l’UNAF, « [n]ous pensons que les trois millions d’euros débloqués ne seront pas utilisés » car « les apiculteurs ont privilégié la reconstitution d’essaims ». Comprenne qui pourra…
- voir graphique sur site -
(Source)
UN STÉPHANE TRAVERT SCEPTIQUE (OU RATIONNEL), UN DIDIER GUILLAUME…
On peut du reste aussi s’étonner du fait qu’il ait fallu que le ministère lance une enquête, alors qu’il existe un réseau international de surveillance, Coloss (voir son questionnaire ici), ainsi que des enquêtes régionales.
Le Monde avait écrit en chapô :
« La France va procéder à un état des lieux national précis des mortalités d’abeilles, a annoncé le ministère de l’agriculture jeudi, au soir d’une mobilisation d’apiculteurs. »
C’était une réponse rationnelle d’un ministre dont on peut penser qu’il a été sceptique face à la description (souvent répétée) d’une catastrophe.
Mais cela ne répond pas à notre question… ou peut-être que si : la désorganisation de la filière apicole française, avec sa multitude d’associations qui peinent à former l’interprofession exigée par les pouvoirs publics, n’a d’égale que la désorganisation des structures administratives.
Et c’était une décision judicieuse : selon M. Gilles Lanio, « Les apiculteurs […] subissaient des pertes d’environ 30 % de leurs cheptels ces dernières années »… et ils ont subi des pertes de quelque 30 % en moyenne lors de l’hivernage 2017-2018.
Mais au ministère de M. Didier Guillaume, le « taux de 10 % de mortalité hivernale [est] qualifié de « normal » par l’ensemble des acteurs concernés »…
« … PAS DE PATRON GÉOGRAPHIQUE »…
Quoi qu’il en soit des incertitudes liées à des déclarations volontaires, les résultats par département sont intéressants. La manipulation médiatique axée sur la Bretagne réapparaît : le département le moins touché est le Finistère, qui compte le plus de ruches et d’apiculteurs professionnels.
- voir graphique sur site -
(Source)
- voir graphique sur site -
(Source)
Les rapporteurs notent :
RépondreSupprimer« On n’identifie pas de patron géographique évident de la mortalité à l’échelle des colonies. Certains départements contigus peuvent avoir des taux de mortalité contrastés, ce qui pourrait s’expliquer par la variabilité locale des causes potentielles du phénomène (conditions agro-environnementales, maîtrise des maladies, expositions à des produits toxiques, etc.), mais aussi du taux de réponse à l’enquête. Une analyse plus fine de la variabilité géographique des taux de mortalité sera menée quand l’ensemble des réponses à l’enquête sera disponible. »
Le rucher école de Thann (Haut-Rhin) a aussi produit une analyse intéressante – quoique peu représentative vu le nombre limité de mesures : la mortalité est sensiblement la même quel que soit l’environnement (périurbain, champs et prés, forêts).
- voir graphique sur site -
(Source)
…MAIS L’UNAF A UNE REVENDICATION, DONC UN COUPABLE
Mais notre « syndicat » national le plus bruyant, supplétif des mouvements altermondialistes et anti-pesticides a une explication et une revendication. Voici le chapô de l’article du Monde de décembre 2018 :
« L’Union nationale de l’apiculture française presse les pouvoirs publics de sortir l’agriculture de sa dépendance aux pesticides. »
Sur FranceTVInfo, c’est encore plus franc, sous un titre assez cocasse, « Mortalité des abeilles : « Il faut travailler gagnant-gagnant avec le monde agricole » » (ce sont les propos de M. GillesLanio – celui qui milite pour l’interdiction des pesticides (de synthèse), des outils de travail des agriculteurs) :
« C’est un chiffre que l’on confirme malheureusement. Quelle filière pourrait accepter de perdre 30 % ? Il n’y a pas de doute, ce sont les produits phytosanitaires. »
Les autorités ont pourtant mis en place, en février 2018, un Observatoire des Mortalités et des Affaiblissements de l’Abeille Mellifère (OMAA) en régions Bretagne et Pays de la Loire dans le cadre d’une phase expérimentale qui se tiendra jusqu’au 31 juillet 2019.
Le premier bilan d’étape – qu’en est-il de la suite ? – montre que sur 189 déclarations d’événements de santé par l’OMAABretagne et 116 par OMAA Pays de la Loire, 11 et 7, respectivement, « correspondaient à des mortalités massives aiguës, avec suspicion d’intoxication et ont fait l’objet d’une investigation par les services de l’État ». Les suspicions portent donc sur… 6 % des cas… ce qui est en accord avec les nombreuses observations qui attribuent un rôle minoritaire aux pesticides dans la mortalité des abeilles.
« LA PRODUCTION DE MIEL S’EST EFFONDRÉE » (LE MONDE)…
L’article du Monde comporte un intertitre intéressant : « La production de miel s’est effondrée » :
« La France n’assure déjà plus les besoins de ses consommateurs. Entre 1995 et 2017, la production de miel s’est effondrée, passant, selon l’UNAF, d’environ 32 000 tonnes à 10 000 tonnes. Ouvrant les vannes à des miels importés, parfois frelatés ou coupés au sirop de sucre. »
Imperturbablement, les médias perroquètent les chiffres produits par l’UNAF… 1995, année record – mais à 19.833 tonnes selon les statistiques de la FAO – d’une décennie record ; 10 000 tonnes en 2017, alors que l’UNAF, toujours elle, annonçait un chiffre inférieur en octobre 2017, la FAO, 12 393 tonnes (son estimation) et FranceAgriMer… 19 788 tonnes collectées.
Curieusement, le document référencé dans l’article des Échos référencé ci-dessus a disparu du site de FranceAgriMer… mais on a accès au rapport pour 2016… Des explications ?
Rappelons que nous avons examiné le problème des statistiques apicoles dans « Abeilles : la désinformation fait son miel de la crédulité». La situation ne s’améliore visiblement pas…
Non, visiblement pas…
MAIS QU’EN EST-IL DE L’ANNÉE APICOLE 2018 ?
Le 25 octobre 2018 – donc le jour où a paru l’article du Monde (avec AFP) référencé ci-dessus, l’UNAF annonçait selon la France Agricole avoir estimé… intercalons une image d’archive pour ménager le suspense…
« La récolte française de miel entre 18000 et 20000 tonnes pour 2018. C’est quasi le double des estimations de l’association pour 2017. »
RépondreSupprimerCes chiffres figurent dans le communiqué de presse de l’UNAF intitulé : « Une enquête nationale officielle confirme les dénonciations de l’UNAF – Mortalités hivernales 2017/2018 », certes avec de quoi faire pleurer dans les chaumières :
« On évoque habituellement le taux de 30 % de mortalité sur l’année (en saison et en hiver), et avec ce seuil, pratiquer l’apiculture est déjà intenable… Là, ce taux intervient sur 4 mois de l’année. Malgré ce, la récolte de miel 2018 en France s’élève entre 18 et 20 000 tonnes. Ces chiffres pourraient indiquer que certaines miellées ont été très bonnes, mais ce n’est malheureusement pas le cas dans toutes les régions. »
Notons que l’UNAF qualifie ici le chiffre de 30 % de mortalité que M. Gilles Lanio avait précédemment évoqué sans précision. La communication est un art et l’UNAF y excelle…
Et l’UNAF aura aussi réussi l’exploit de faire l’annonce d’une bonne récolte – avec un bémol pour qu’on continue à pleurer dans les chaumières sur le sort des abeilles et des apiculteurs – sans que cela soit perçu par le public… L’AFP n’a pas répercuté l’information – une bonne nouvelle factuelle n’est pas forcément une bonne nouvelle médiatique – et les médias ont fait ce qu’ils font d’habitude ; perroquèter.
Chapeau les artistes de l’UNAF !
Campagnes & Environnement note du reste avec un brin d’ironie :
« Cette enquête sur la mortalité des abeilles est venue immédiatement effacer d’autres chiffres, plus positifs, pour la filière. En début de semaine, l’Unaf se réjouissait d’une production de miel estimée entre 18 000 et 20 000 tonnes pour l’année 2018. »
Sortons vite la théorie du complot : la hâte du ministère pour sortir des chiffres provisoires avait pour but d’« effacerd’autres chiffres, plus positifs, pour la filière », d’entretenir le mythe de la disparition des abeilles (domestiques, pour les espèces sauvages, c’est une autre affaire), et d’assurer la pérennité d’un rucher bourdonnant d’entités, d’organismes, d’institutions dévoués à « sauver les abeilles ». Ça se tient, non ?
C’est toutefois l’endroit pour féliciter et remercier tous ceux qui sont réellement au service des abeilles et des apiculteurs.
METTRE DE L’ORDRE !
Commentaire du Réseau Biodiversité pour les Abeilles(qui a aussi annoncé des récoltes allant jusqu’à… 140 kilos de miel par ruche grâce à la luzerne) :
« Une fois de plus, le manque de fiabilité des données issues de la filière apicole peut être mis en évidence. On ne peut que se demander comment une filière peut parvenir à s’organiser dans ces conditions. Le flou et les incertitudes qui règnent, empêchent l’identification des véritables besoins et la mise en place d’actions pour faire face.
A vouloir toujours et éternellement une liberté sans limites dans la production et la mise en marché des produits apicoles, les apiculteurs nombreux qui défendent ces positions de principe entraînent tout un secteur dans des crises structurelles et cycliques à répétition. Aujourd’hui, après la crise de « la difficulté à produire » on est rentré dans la crise du « difficile à vendre ». »
Et on reste, avec ces apiculteurs, dans la crise du « c’est les pesticides »…
https://www.contrepoints.org/2019/01/14/334612-les-abeilles-et-les-statistiques-le-festival-du-pipotage-continue
AUCUN laboratoire au monde n'a pu identifier l'empoisonnement des abeilles !! AUCUN !
Supprimer99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes
dimanche 2 décembre 2018
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html
Traits d'Alzheimer :
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/analyses-deau-de-pluie-tres.html
https://www.youtube.com/watch?v=4TFlLhhARhc
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/09/un-tiers-du-peuple-britannique-ne-en.html
"Mouvement erratique" dans le champ magnétique terrestre menace la navigation mondiale
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim. 13/01/2019 - 23:05
Le champ magnétique terrestre, également appelé champ géomagnétique, est le champ magnétique qui s'étend du noyau interne de la Terre vers l'espace, où il dévie les rayons nocifs du Soleil.
Mais maintenant, il se passe quelque chose de bizarre. Le pôle magnétique nord de la Terre s’éloigne rapidement du Canada et s’oriente vers le district fédéral sibérien, principalement à cause du fer liquide qui s’agit au plus profond de son noyau.
"Le pôle magnétique se déplace si rapidement qu'il a contraint les experts en géomagnétisme du monde à un geste rare", a déclaré Nature.
- voir carte dur site -
Le 30 janvier (retard dû à la fermeture du gouvernement américain), le World Magnetic Model (WMM), une représentation à grande échelle du champ magnétique de la Terre, sera mis à jour.
WMM est le modèle géomagnétique standard du département de la Défense des États-Unis, du ministère de la Défense du Royaume-Uni, de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et du Bureau de navigation hydrographique du World Hydrographic Office (WHO).
Le modèle actuel devait rester en vigueur jusqu'en 2020, mais des mouvements extraordinairement importants et erratiques du pôle magnétique nord ont été réalisés et doivent être corrigés immédiatement.
- voir carte dur site -
"Ils ont réalisé que c'était tellement inexact qu'il était sur le point de dépasser la limite (de sécurité) acceptable pour les erreurs de navigation", a déclaré Nature.
Des géophysiciens de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) des États-Unis et de la British Geological Survey surveillent régulièrement l'état actuel du champ magnétique terrestre.
Nature a déclaré qu'une surveillance cohérente était nécessaire, car le fer liquide brassé dans le noyau terrestre ne se déplaçait pas de manière uniforme.
Le mouvement du pôle magnétique nord est étudié depuis 1831. Initialement, il avait été suivi jusqu'à l’océan Arctique à une vitesse d’environ 15 km par an. Mais depuis le milieu des années 90, il s’est accéléré.
Il se déplace maintenant à un taux d'environ 34,17 milles par an.
Cependant, les géophysiciens ne savent pas exactement pourquoi le champ magnétique change si rapidement.
"Les impulsions géomagnétiques, comme celle de 2016, pourraient être reliées à des ondes" hydromagnétiques "provenant des profondeurs du cœur", a rapporté Nature. "Et le mouvement rapide du pôle magnétique nord pourrait être lié à un jet de fer liquide à grande vitesse sous le Canada."
Cette rivière en fusion à débit rapide semble affaiblir l’influence magnétique du noyau de fer sous l’Amérique du Nord.
"L'emplacement du pôle magnétique nord semble être régi par deux plaques de champ magnétique à grande échelle, l'une sous le Canada et l'autre sous la Sibérie", a déclaré Phil Livermore de l'Université de Leeds à une réunion de l'Union géophysique américaine. "Le patch sibérien gagne le concours."
RépondreSupprimerPendant ce temps, les géophysiciens tentent de comprendre pourquoi le champ magnétique se déplace.
De toute évidence, le modèle WMM présente une lacune importante qui ne sera publiée que dans deux semaines à cause de la fermeture du gouvernement américain. Avec une violation potentielle de la limite acceptable d'erreurs de navigation, les systèmes de navigation qui dépendent fortement du champ géomagnétique de la Terre pourraient subir des perturbations.
Les géophysiciens notent que la Terre peut subir un «renversement géomagnétique», où ces pôles magnétiques changent de côté. La dernière fois que cela s'est produit il y a 781 000 ans, mais cela se produirait tous les 20 000 à 30 000 ans au cours des 20 derniers millions.
Le mouvement erratique du pôle magnétique nord pourrait-il indiquer qu'un "renversement géomagnétique" est déjà en cours ? Si oui, quelles en sont les conséquences pour la planète Terre ?
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-13/erratic-movement-earths-magnetic-field-threaten-global-navigation
SupprimerNotre planète a en son centre une boule de feu ferrique dont le champs magnétique est un peu 'bousculé'. Ce sont les tendances du moment, des volcans (sous-océanique ou maritimes pour la plupart) qui s'éveillent (montées de chaleurs, vents forts) et, d'autres qui se ferment (courants froids océaniques et maritimes).
RépondreSupprimerUne tempête hivernale massive enterre des parties des États-Unis et tue sept personnes
par Tyler Durden
Dim, 13/01/2019 - 19:05
Après un début calme, mais anormalement chaud, jusqu'en 2019, une grave tempête hivernale a tué sept personnes lors de ses attaques dans le Midwest américain, frappant dimanche la côte atlantique.
- voir carte sur site -
Vers la fin samedi soir, la tempête s’est déplacée dans les régions de Virginia, Washington, D.C. et Baltimore, où 4 à 7 pouces de neige sont sur le sol.
- voir carte sur site -
Les modèles météorologiques suggèrent que la neige pourrait devenir plus lourde vers 14h30. pendant quelques heures, en particulier dans la région métropolitaine de Washington.
Le Centre de prévision météorologique (WPC) a averti que la pluie verglaçante serait également une grande préoccupation pour la région dans la nuit.
Une tempête hivernale se déplacera vers l'est au large de la côte Caroline jusqu'à aujourd'hui. De fortes chutes de neige continueront de recouvrir certaines parties du centre du littoral atlantique, tandis que des pluies verglaçantes sont attendues dans l'ouest des Carolines jusqu'au sud de la Virginie. La neige et la glace contribueront au bon déroulement du voyage dans la nuit. pic.twitter.com/7DPWMuaa5x
- NWS (@NWS) 13 janvier 2019
Le gouverneur de Virginie, Ralph Northam, a déclaré l'état d'urgence samedi en prévision de la tempête.
"Je déclare l'état d'urgence afin de préparer et de coordonner la réponse du Commonwealth aux impacts prévisibles des tempêtes hivernales, notamment l'accumulation de neige et de glace, les problèmes de transport et les pannes d'électricité", a déclaré Northam.
L'état d'urgence permet aux responsables de "mobiliser des ressources et de déployer du personnel et du matériel pour aider aux efforts de réponse et de redressement", selon le communiqué de presse.
Saint-Louis, qui a été le plus durement frappé par la tempête jusqu’à présent, a enregistré près de 11 pouces, contraignant les Interstates 44, 64 et 70 à fermer leurs portes.
- voir carte sur site -
Des parties du centre du Missouri, autour de Harrisburg, ont enregistré près de 20 pouces de neige.
Columbia, dans le Missouri, a vu plus d'un pied de neige, ce qui a plus que doublé un record de 109 ans de chute de neige.
Un avertissement de tempête hivernale reste en vigueur dans la majeure partie de la région métropolitaine de Baltimore – Washington jusqu'à 18 heures. Dimanche.
Ed Valle, météorologue de Vallee Weather Consulting, suggère qu'un "modèle classique d'El Nino" se développe, ce qui, combiné à de l'air froid, pourrait entraîner de nouvelles tempêtes sur la côte est jusqu'en février.
Valle a précisé que natgas pourrait être le plus grand bénéficiaire d’un changement important de régime de froid sur la côte est dans la seconde moitié de janvier de février.
"La tendance chaude régnant dans la plupart des États-Unis s'est poursuivie jusqu'à la fin du mois de janvier. Début janvier, le climat change progressivement et continuera de se refroidir vers la fin du mois de janvier. Nous assistons au début de ce changement alors qu'une tempête hivernale traverse le Midwest, Ohio Valley et Mid-Atlantic ce week-end: ce système a livré localement jusqu'à 20 pouces de neige dans la région métropolitaine de St. Louis, dans le Missouri, et a déjà livré jusqu'à 8 pouces de neige dans la région métropolitaine de DC. nous poursuivons à travers le reste du mois de janvier, un modèle plus classique «El Nino» semble se développer, notamment un puissant jet-stream sud, qui, combiné avec un peu de froid, peut probablement apporter d’autres tempêtes hivernales dans la vallée de l’Ohio et la côte est début février .
RépondreSupprimerLe gaz naturel est une autre région touchée par ce changement, à savoir le gaz naturel - après un début vigoureux de la saison de demande, une tendance baissière avec beaucoup de chaleur a étouffé le froid de début de saison, poussant le gaz naturel à la baisse au cours des 4-6 dernières semaines. Cependant, avec la fin du mois de janvier, nous prévoyons que la demande en chauffage continuera à augmenter alors que les zones peuplées du sud des Plaines, du Midwest et de l'Est se déplaceront plus froides et plus orageuses. "
Le degré-jour de chauffage (HDD), une mesure conçue pour quantifier la demande en énergie nécessaire pour chauffer un bâtiment, indique déjà que la demande de gaz naturel devrait augmenter de 48% au cours de la semaine à venir.
Après un effondrement de près de -41% de Natgas depuis le sommet de 4,92 atteint en novembre, le glissement actuel par temps froid et neigeux devrait couvrir la côte est au cours des prochaines semaines, pourrait être un signe de soulagement pour les taureaux énergétiques.
Valle avertit qu'un autre enneigeur pour la côte est est devant nous.
Amoureux de la neige sur la côte est, réjouissez-vous! Une tendance très favorable à la neige et au froid pourrait éventuellement arriver la fin de semaine prochaine et au-delà ... pic.twitter.com/AhEtmJzd19
- Ed Vallée | Vallee Wx Consulting (@EdValleeWx) 12 janvier 2019
La tempête hivernale signalera le week-end prochain sur presque toutes les données. Suggérez de surveiller ce système le long des côtes et de l’intérieur - toutes les zones en jeu actuellement. pic.twitter.com/ksF6RRjaO8
- Ed Vallée | Vallee Wx Consulting (@EdValleeWx) 13 janvier 2019
Ignorer les chiffres spécifiques, mais mon Dieu ensembles suggèrent tout à fait la période active à venir. Tous les 51 membres EPS sont indiqués ci-dessous à travers 1/28 ... pic.twitter.com/rovzGOSKy1
- Ed Vallée | Vallee Wx Consulting (@EdValleeWx) 13 janvier 2019
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-13/massive-winter-storm-buries-parts-us-kills-seven
SUISSE - DANGER D'AVALANCHE NIVEAU 5: UN CAS RARE
RépondreSupprimerL'Institut des avalanches a déclaré le niveau 5 de danger dans plusieurs régions dont le Haut-Valais, l'Oberland bernois et les Grisons. Un niveau d'alerte peu fréquent.
13.01.2019, 19h13
L'Institut pour l'étude de la neige et des avalanches (SLF) a porté le danger d'avalanches au plus haut niveau (5 pour «très fort») dans plusieurs régions de Suisse. Il s'agit d'un niveau d'alerte plutôt rare.
Il a été publié pour la dernière fois à grande échelle en janvier 2018 et, plus loin, lors de l'hiver 1999, a indiqué dimanche le SLF. D'ici lundi soir, il tombera encore 60 à 100 cm de neige de l'Oberland bernois oriental jusqu'à la région de l'Alpstein, dans le pays d'Appenzell, ainsi que dans le nord du Haut-Valais et dans la région de Silvretta aux Grisons. C'est dans ces régions que le danger sera le plus élevé.
Dans le nord-est du pays, de grosses chutes de neige sont déjà tombées au cours des deux dernières semaines, parfois de façon inhabituelle. Selon le SLF, l'épaisseur de neige y est supérieure à la moyenne pour la saison, soit 1,5 à 2 fois plus de neige que d'habitude.
De nombreuses avalanches sont attendues, parfois de grande ampleur. Selon le FSL, les coulées pourront s'étendre loin dans les vallées et plus rarement jusque vers des voies de circulation et des bâtiments. L'Institut recommande d'éviter les sports de neige dans les zones touchées, loin des pistes sécurisées.
Le niveau de risque 4 («fort») a par ailleurs été émis dans une vaste partie des Alpes, du Valais jusqu'aux Grisons. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/danger-avalanche-niveau-5-suisse/story/14196439
Stylos Macron de 2 300 mots lettre à des gilets jaunes cherchant à transformer "la colère en solutions"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dimanche, 13/01/2019 - 18:25
Après avoir échoué pendant des semaines dans le mouvement anti-gouvernemental Yellow Vest, le président français Emmanuel Macron a eu recours à la plume. Il a publié une lettre ouverte de 2 300 mots dans le pays, dans le but de transformer "la colère en solutions".
Macron a déclaré dans sa lettre qu'il était ouvert aux idées et suggestions, mais qu'il était clair que son gouvernement ne renverserait pas les réformes précédentes ni les mesures clés de sa campagne électorale de 2017.
"Aucune question n'est interdite", lit-on dans la lettre. "Nous ne serons pas d'accord sur tout, c'est normal, c'est la démocratie. Mais au moins, nous montrerons que nous sommes un peuple qui n'a pas peur de parler, d'échanger des points de vue et de débattre. Et nous découvrirons peut-être que nous pourrions même d'accord, malgré nos différentes convictions, plus souvent que nous ne le pensons. "
La lettre, qui doit être publiée lundi dans les journaux français, est une nouvelle tactique pour l’administration Macron - c’est la première fois que les citoyens sont invités à faire connaître leur point de vue sur quatre thèmes centraux; Imposition; comment la France est gouvernée transition écologique; et citoyenneté et démocratie, rapporte The Guardian.
La missive de Macron pose un certain nombre de questions, notamment: quelles taxes devraient être réduites? Quelles réductions de dépenses pourraient être une priorité? Y a-t-il trop d'administration? Comment les gens peuvent-ils avoir davantage voix au chapitre dans la gestion du pays?
Macron a déclaré que les propositions rassemblées au cours du débat créeraient un nouveau "contrat pour la nation", influenceraient les décisions politiques et établiraient la position de la France sur les questions nationales, européennes et internationales.
«C’est ainsi que j’entends, avec vous, transformer la colère en solutions», a-t-il écrit.
Reconnaissant que tout le monde voulait des impôts «plus justes et plus efficaces», il a mis en garde contre des attentes irréalistes, ajoutant qu'il ne pourrait y avoir de réduction de la fiscalité sans une réduction des dépenses publiques. -Le gardien
L'administration Macron est soumise à une pression intense depuis le contrecoup de la taxe sur les carburants liée au changement climatique en novembre, qui s'est transformée en neuf semaines de manifestations antigouvernementales qui se sont étendues à une douzaine d'autres pays. Pour tenter de calmer les gilets jaunes, Macron a supprimé la taxe sur les carburants, augmenté le salaire minimum et tenté d'utiliser d'autres mesures économiques dans un "état d'urgence sociale et économique".
Jusqu'ici, rien de tout cela n'a fonctionné, car les gilets jaunes (gilets jaunes) continuent de faire du piquetage à travers le pays, appelant notamment à une réduction des taxes sur les denrées alimentaires et les produits de première nécessité.
Dans sa lettre de 2 300 mots, Macron écrit qu'il n'acceptera "aucune forme de violence", y compris "des pressions et des insultes" contre "les représentants élus, les journalistes des médias, les institutions de l'État ou les fonctionnaires".
"Si tout le monde est agressif envers tous les autres, la société se désagrège", écrit Macron.
Trop tard Emmanuel ...
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-13/macron-pens-2300-word-letter-yellow-vests-seeking-turn-anger-solutions
SupprimerFaire rentrer en Europe des centaines de millions de tapettes contre les rats, n'a pas été la solution quand il existe autant de sortes de fromages que de français !
RépondreSupprimerInvitation au grand débat: la lettre d'Emmanuel Macron aux Français publiée
21:49 13.01.2019
Lundi 14 janvier, deux jours après l'acte 9 des Gilets jaunes et la veille du lancement du grand débat national, Emmanuel Macron s'adressera à ses compatriotes. Europe 1 a publié au préalable le texte de sa lettre aux Français où il entend transformer avec eux «les colères en solutions», assurant qu'il n'y aura «pas de questions interdites».
Alors que le grand débat national doit commencer le 15 janvier, Europe 1 a consulté préalablement le texte de la lettre du Président de la République adressée aux Français.
«Chères Françaises, chers Français, mes chers compatriotes,
Dans une période d'interrogations et d'incertitudes comme celle que nous traversons, nous devons nous rappeler qui nous sommes.
La France n'est pas un pays comme les autres.
Le sens des injustices y est plus vif qu'ailleurs. L'exigence d'entraide et de solidarité plus forte.
Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités. Chez nous, un grand nombre de citoyens paie un impôt sur le revenu, parfois lourd, qui réduit les inégalités. Chez nous, l'éducation, la santé, la sécurité, la justice sont accessibles à tous indépendamment de la situation et de la fortune. Les aléas de la vie, comme le chômage, peuvent être surmontés, grâce à l'effort partagé par tous.
C'est pourquoi la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires.
C'est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d'opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie.
Et chaque citoyen a le droit de choisir celles et ceux qui porteront sa voix dans la conduite du pays, dans la conception des lois, dans les grandes décisions à prendre.
Chacun partage le destin des autres et chacun est appelé à décider du destin de tous: c'est tout cela, la nation française.
Comment ne pas éprouver la fierté d'être Français ?
Je sais, bien sûr, que certains d'entre nous sont aujourd'hui insatisfaits ou en colère. Parce que les impôts sont pour eux trop élevés, les services publics trop éloignés, parce que les salaires sont trop faibles pour que certains puissent vivre dignement du fruit de leur travail, parce que notre pays n'offre pas les mêmes chances de réussir selon le lieu ou la famille d'où l'on vient. Tous voudraient un pays plus prospère et une société plus juste.
Cette impatience, je la partage. La société que nous voulons est une société dans laquelle pour réussir on ne devrait pas avoir besoin de relations ou de fortune, mais d'effort et de travail.
En France, mais aussi en Europe et dans le monde, non seulement une grande inquiétude, mais aussi un grand trouble ont gagné les esprits. Il nous faut y répondre par des idées claires.
Mais il y a pour cela une condition: n'accepter aucune forme de violence. Je n'accepte pas, et n'ai pas le droit d'accepter la pression et l'insulte, par exemple sur les élus du peuple, je n'accepte pas et n'ai pas le droit d'accepter la mise en accusation générale, par exemple des médias, des journalistes, des institutions et des fonctionnaires. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait !
Grand débat national promis par Macron: 50% des Français n’y croient pas, selon un sondage
RépondreSupprimerAfin que les espérances dominent les peurs, il est nécessaire et légitime que nous nous reposions ensemble les grandes questions de notre avenir.
C'est pourquoi j'ai proposé et je lance aujourd'hui un grand débat national qui se déroulera jusqu'au 15 mars prochain.
Depuis quelques semaines, de nombreux maires ont ouvert leurs mairies pour que vous puissiez y exprimer vos attentes. J'ai eu de nombreux retours que j'ai pu prendre en compte. Nous allons désormais entrer dans une phase plus ample et vous pourrez participer à des débats près de chez vous ou vous exprimer sur internet pour faire valoir vos propositions et vos idées. Dans l'Hexagone, outre-mer et auprès des Français résidant à l'étranger. Dans les villages, les bourgs, les quartiers, à l'initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, ou de simples citoyens… Dans les assemblées parlementaires comme régionales ou départementales.
Les maires auront un rôle essentiel car ils sont vos élus et donc l'intermédiaire légitime de l'expression des citoyens.
Pour moi, il n'y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d'accord sur tout, c'est normal, c'est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n'a pas peur de parler, d'échanger, de débattre.
Et peut-être découvrirons-nous que nous pouvons tomber d'accord, majoritairement, au-delà de nos préférences, plus souvent qu'on ne le croit.
Je n'ai pas oublié que j'ai été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles je demeure fidèle. Je pense toujours qu'il faut rendre à la France sa prospérité pour qu'elle puisse être généreuse, car l'un va avec l'autre. Je pense toujours que la lutte contre le chômage doit être notre grande priorité, et que l'emploi se crée avant tout dans les entreprises, qu'il faut donc leur donner les moyens de se développer. Je pense toujours qu'il faut rebâtir une école de la confiance, un système social rénové pour mieux protéger les Français et réduire les inégalités à la racine. Je pense toujours que l'épuisement des ressources naturelles et le dérèglement climatique nous obligent à repenser notre modèle de développement. Nous devons inventer un projet productif, social, éducatif, environnemental et européen nouveau, plus juste et plus efficace. Sur ces grandes orientations, ma détermination n'a pas changé.
Mais je pense aussi que de ce débat peut sortir une clarification de notre projet national et européen, de nouvelles manières d'envisager l'avenir, de nouvelles idées.
À ce débat, je souhaite que le plus grand nombre de Français, le plus grand nombre d'entre nous, puisse participer.
Ce débat devra répondre à des questions essentielles qui ont émergé ces dernières semaines. C'est pourquoi, avec le Gouvernement, nous avons retenu quatre grands thèmes qui couvrent beaucoup des grands enjeux de la nation: la fiscalité et les dépenses publiques, l'organisation de l'Etat et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté. Sur chacun de ces thèmes, des propositions, des questions sont d'ores et déjà exprimées. Je souhaite en formuler quelques-unes qui n'épuisent pas le débat mais me semblent au cœur de nos interrogations.
Le premier sujet porte sur nos impôts, nos dépenses et l'action publique. L'impôt est au cœur de notre solidarité nationale. C'est lui qui finance nos services publics. Il vient rémunérer les professeurs, pompiers, policiers, militaires, magistrats, infirmières et tous les fonctionnaires qui œuvrent à votre service. Il permet de verser aux plus fragiles des prestations sociales mais aussi de financer certains grands projets d'avenir, notre recherche, notre culture, ou d'entretenir nos infrastructures. C'est aussi l'impôt qui permet de régler les intérêts de la dette très importante que notre pays a contractée au fil du temps.
RépondreSupprimerMais l'impôt, lorsqu'il est trop élevé, prive notre économie des ressources qui pourraient utilement s'investir dans les entreprises, créant ainsi de l'emploi et de la croissance. Et il prive les travailleurs du fruit de leurs efforts. Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d'encourager l'investissement et faire que le travail paie davantage. Elles viennent d'être votées et commencent à peine à livrer leurs effets. Le Parlement les évaluera de manière transparente et avec le recul indispensable. Nous devons en revanche nous interroger pour aller plus loin.
Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?
Nous ne pouvons, quoi qu'il en soit, poursuivre les baisses d'impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique.
Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ?
Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? A l'inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?
Notre modèle social est aussi mis en cause. Certains le jugent insuffisant, d'autres trop cher en raison des cotisations qu'ils paient. L'efficacité de la formation comme des services de l'emploi est souvent critiquée. Le gouvernement a commencé à y répondre, après de larges concertations, à travers une stratégie pour notre santé, pour lutter contre la pauvreté, et pour lutter contre le chômage
Comment mieux organiser notre pacte social ? Quels objectifs définir en priorité ?
Le deuxième sujet sur lequel nous devons prendre des décisions, c'est l'organisation de l'Etat et des collectivités publiques. Les services publics ont un coût, mais ils sont vitaux: école, police, armée, hôpitaux, tribunaux sont indispensables à notre cohésion sociale.
Y a-t-il trop d'échelons administratifs ou de niveaux de collectivités locales ? Faut-il renforcer la décentralisation et donner plus de pouvoir de décision et d'action au plus près des citoyens? A quels niveaux et pour quels services ?
Comment voudriez-vous que l'Etat soit organisé et comment peut-il améliorer son action ? Faut-il revoir le fonctionnement de l'administration et comment ?
Comment l'Etat et les collectivités locales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté et que proposez-vous ?
La transition écologique est le troisième thème, essentiel à notre avenir. Je me suis engagé sur des objectifs de préservation de la biodiversité et de lutte contre le réchauffement climatique et la pollution de l'air. Aujourd'hui personne ne conteste l'impérieuse nécessité d'agir vite. Plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses.
RépondreSupprimerFaire la transition écologique permet de réduire les dépenses contraintes des ménages en carburant, en chauffage, en gestion des déchets et en transports. Mais pour réussir cette transition, il faut investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes.
Une solidarité nationale est nécessaire pour que tous les Français puissent y parvenir.
Comment finance-t-on la transition écologique: par l'impôt, par les taxes et qui doit être concerné en priorité ?
Comment rend-on les solutions concrètes accessibles à tous, par exemple pour remplacer sa vieille chaudière ou sa vieille voiture ? Quelles sont les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier ?
Quelles sont les solutions pour se déplacer, se loger, se chauffer, se nourrir qui doivent être conçues plutôt au niveau local que national ? Quelles propositions concrètes feriez-vous pour accélérer notre transition environnementale ?
La question de la biodiversité se pose aussi à nous tous.
Comment devons-nous garantir scientifiquement les choix que nous devons faire à cet égard ? Comment faire partager ces choix à l'échelon européen et international pour que nos producteurs ne soient pas pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers ?
Enfin, il est évident que la période que notre pays traverse montre qu'il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté. Être citoyen, c'est contribuer à décider de l'avenir du pays par l'élection de représentants à l'échelon local, national ou européen. Ce système de représentation est le socle de notre République, mais il doit être amélioré car beaucoup ne se sentent pas représentés à l'issue des élections.
Faut-il reconnaître le vote blanc ? Faut-il rendre le vote obligatoire ?
Quelle est la bonne dose de proportionnelle aux élections législatives pour une représentation plus juste de tous les projets politiques ?
Faut-il, et dans quelles proportions, limiter le nombre de parlementaires ou autres catégories d'élus ?
Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil Economique, Social et Environnemental doivent-ils jouer pour représenter nos territoires et la société civile? Faut-il les transformer et comment?
En outre, une grande démocratie comme la France doit être en mesure d'écouter plus souvent la voix de ses citoyens.
Quelles évolutions souhaitez-vous pour rendre la participation citoyenne plus active, la démocratie plus participative?
Faut-il associer davantage et directement des citoyens non élus, par exemple tirés au sort, à la décision publique ?
Faut-il accroître le recours aux référendums et qui doit en avoir l'initiative ?
La citoyenneté, c'est aussi le fait de vivre ensemble.
RépondreSupprimerNotre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol: c'est le devoir de l'asile, qui ne saurait être remis en cause. Notre communauté nationale s'est aussi toujours ouverte à ceux qui, nés ailleurs, ont fait le choix de la France, à la recherche d'un avenir meilleur: c'est comme cela qu'elle s'est aussi construite. Or, cette tradition est aujourd'hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l'immigration et aux défaillances de notre système d'intégration.
Que proposez-vous pour améliorer l'intégration dans notre Nation ? En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
La question de la laïcité est toujours en France sujet d'importants débats. La laïcité est la valeur primordiale pour que puissent vivre ensemble, en bonne intelligence et harmonie, des convictions différentes, religieuses ou philosophiques. Elle est synonyme de liberté parce qu'elle permet à chacun de vivre selon ses choix.
Comment renforcer les principes de la laïcité française, dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays? Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République?
Dans les semaines qui viennent, je vous invite à débattre pour répondre à ces questions déterminantes pour l'avenir de notre nation. Je souhaite aussi que vous puissiez, au-delà de ces sujets que je vous propose, évoquer n'importe quel sujet concret dont vous auriez l'impression qu'il pourrait améliorer votre existence au quotidien.
Ce débat est une initiative inédite dont j'ai la ferme volonté de tirer toutes les conclusions. Ce n'est ni une élection, ni un référendum. C'est votre expression personnelle, correspondant à votre histoire, à vos opinions, à vos priorités, qui est ici requise, sans distinction d'âge ni de condition sociale. C'est, je crois, un grand pas en avant pour notre République que de consulter ainsi ses citoyens. Pour garantir votre liberté de parole, je veux que cette consultation soit organisée en toute indépendance, et soit encadrée par toutes les garanties de loyauté et de transparence.
C'est ainsi que j'entends transformer avec vous les colères en solutions.
Vos propositions permettront donc de bâtir un nouveau contrat pour la Nation, de structurer l'action du Gouvernement et du Parlement, mais aussi les positions de la France au niveau européen et international. Je vous en rendrai compte directement dans le mois qui suivra la fin du débat.
Françaises, Français, je souhaite que le plus grand nombre d'entre vous puisse participer à ce grand débat afin de faire œuvre utile pour l'avenir de notre pays.
En confiance,
Emmanuel MACRON»
https://fr.sputniknews.com/france/201901131039623156-lettre-emmanuel-macron-grand-debat-national/
Supprimer(...) Je n'accepte pas, et n'ai pas le droit d'accepter la pression et l'insulte, par exemple sur les élus du peuple, je n'accepte pas et n'ai pas le droit d'accepter la mise en accusation générale, par exemple des médias, des journalistes, des institutions et des fonctionnaires. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait ! (...)
Pas un mot sur la Démocratie demandée par toutes les françaises et français pour remplacer la république ! Pas un mot sur les milliardaires à l'Assemblée Nationale et Sénat qui n'ont pas fait même 1 heure de droit et qui votent des lois contre les français ! Pas un mot sur le modèle Suisse ! Pas un mot sur le pouvoir d'achat et les escroqueries du Global Warming avec ses éoliennes et panneaux solaires qui ne servent à rien mais qui ont ruiné la France comme l'arrivée des centaines de millions de 'réfugiés climatiques' !!!
AUSTRALIE - UN MILLION DE POISSONS RETROUVÉS MORTS
RépondreSupprimerCes derniers jours, un million de poissons ont été retrouvés morts dans des fleuves du Sud-Est de l'Australie.
14.01.2019, 06h38
Un million de poissons ont été retrouvés morts ces derniers jours dans des fleuves du Sud-Est de l'Australie, une hécatombe imputée par le gouvernement à la sécheresse, et par des universitaires à la mauvaise gestion des cours d'eau.
Les berges de l'immense bassin hydrographique Murray-Darling empestent désormais la pourriture, et on ne compte plus le nombre de vidéos tournées par des élus locaux ou des riverains pour alerter l'opinion sur cette catastrophe écologique.
Les autorités ont évalué le bilan à plusieurs centaines de milliers de poissons morts, et le chiffre du million pourrait même être déjà dépassé, alors que le gouvernement de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud redoute une agravation de la crise, avec des températures annoncées cette semaine à la hausse.
Outre la sécheresse, la baisse du niveau des cours d'eau et la montée des températures pourrait avoir aussi favorisé la propagation d'une algue qui priverait les poissons d'oxygène et libérerait des toxines.
«Nous nous attendons à voir davantage de poissons morts dans certains secteurs de l'extrême-ouest (de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud) et sur le (plateau de) Northern Tablelands», a déclaré le ministre de l'Eau de l'Etat, Niall Blair.
Bien que localisée dans le Sud-Est de l'île-continent, cette catastrophe a un retentissement national. «C'est un désastre écologique», a déclaré lundi le Premier ministre australien Scott Morrison. «C'est un spectacle bouleversant.»
«Une honte»
Le gouvernement de M. Morrison a attribué l'hécatombe à la sécheresse, tout en défendant certaines politiques qui, selon les riverains, ont généré la pollution et la baisse des niveaux des cours d'eau. «Il y a une sécheresse et c'est une des conséquences de la sécheresse», a déclaré M. Morrison.
Voilà cependant des années que des chercheurs mettent en garde contre l'extraction sauvage et non contrôlée d'importantes quantités d'eau des fleuves, pour l'irrigation ou à d'autres fins. «La mort des poissons et des cours d'eau n'est pas le fait de la sécheresse. C'est dû au fait que nous puisions beaucoup trop d'eau de nos fleuves», affirme John Williams, spécialiste de la question de l'eau à l'Université nationale australienne.
Le chef de file de l'opposition travailliste, Bill Shorten, a appelé le gouvernement à créer un «groupe de travail d'urgence» sur cette catastrophe écologique. «On ne peut fermer les yeux sur la mort d'un million de poissons», a-t-il dit.
Le Premier ministre a affirmé de son côté que la gestion du Bassin Murray-Darling, qui est le plus vaste bassin hydrographique du pays, avait été bipartite, et que son gouvernement n'avait fait que suivre les politiques menées auparavant par les travaillistes. «Je m'inquiète aujourd'hui de ce que certains politisent cette question», a-t-il dit.
Mais au vu l'ampleur de la catastrophe en cours, des universitaires demandent désormais des comptes aux hommes politiques. «Des milliards ont été dépensés dans la rénovation des infrastructures d'irrigation», a rappelé Quentin Grafton, de l'Université nationale australienne. «Mais la population n'en a tiré aucun bénéfice. C'est une honte et il est temps que les responsables rendent des comptes sur la catastrophe qui se déroule.» (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/asie-oceanie/million-poissons-retrouves-morts/story/12226051
La honte de la monarchie australienne ! ''S'il manque de l'eau c'est pas la sècheresse mais parce que des millions de personne osent s'en servir pour boire ou arroser leur nourriture'' !!! Alors que des millions de kilomètres cubes d'eau (venus des fleuves et des rivières) se déversent continuellement dans l'océan sans construction de barrage pour en retenir le précieux élément !!!
SupprimerCES 2019 - HYUNDAI DÉVOILE UN CONCEPT-CAR À QUATRE PATTES
RépondreSupprimerLe constructeur sud-coréen a présenté un véhicule mi-voiture mi-robot, capable de rouler mais aussi de «marcher» et de «ramper» pour atteindre des terrains escarpés dans des missions de sauvetage par exemple.
«Et si une voiture conçue avec de la robotique pouvait réellement sauver des vies lors d'une catastrophe naturelle ?»
08.01.2019, 07h18
Le constructeur sud-coréen Hyundai a présenté lundi un concept de véhicule à quatre pattes, mi-voiture mi-robot, capable de rouler mais aussi de «marcher» et de «ramper» pour atteindre des terrains escarpés dans des missions de sauvetage par exemple.
«Et si une voiture conçue avec de la robotique pouvait réellement sauver des vies lors d'une catastrophe naturelle?», a lancé John Suh, à la tête des projets futuristes du groupe lors d'une présentation à la presse, à la veille de l'ouverture officielle du Consumer Electronics Show de Las Vegas (Nevada).
Avec ses «jambes» articulées, l'Elevate peut «ainsi escalader une paroi d'1,5 mètre de hauteur tout en maintenant les passagers ou le blessé complètement à l'horizontale», a expliqué David Byron, du cabinet de design Sundberg-Ferar, qui travaille avec le groupe automobile sur ce projet, en présentant sur scène une maquette animée.
Selon Hyundai, il s'agit «du premier véhicule disposant de jambes articulées». Au bout des quatre «pattes» rétractables de la voiture-robot électrique: des roues permettant au véhicule de rouler de façon traditionnelle si besoin, a ajouté M. Byron. Une courte vidéo a montré différentes applications possibles de l'Elevate, qui pourrait notamment servir d'ambulance pour aller chercher et transporter des blessés sur des terrains accidentés.
Une allure d'engin lunaire
Autre utilisation possible, les personnes à mobilité réduite que des taxis Elevate pourraient aller chercher jusque sur le palier de leur maison en toute sécurité. Ce véhicule qui a des allures d'engin lunaire de type rover pourrait aussi servir à explorer la Lune ou Mars, ont dit les dirigeants du projet.
Pour Daniel Hall, consultant spécialisé dans l'automobile au sein du cabinet AutoPacific, le projet est «intéressant» car même si, par exemple, «les militaires utilisent déjà des robots pour (chercher) des bombes», «le fait qu'il puisse escalader (des obstacles) dans certaines situations peut être utile».
Pour Hyundai, il s'agit surtout de démontrer que, comme tous les constructeurs automobiles, ils sont présents dans les aspects innovants de la mobilité, a aussi expliqué M. Hall. (afp/Le Matin)
https://www.lematin.ch/high-tech/hyundai-devoile-conceptcar-quatre-pattes/story/21222621
4 pattes c'est trop peu, il lui en faut 6 pour aller tout terrains.
SupprimerInterdiction des armes d’assaut : juste une question d’apparences
RépondreSupprimerInterdire des armes uniquement en fonction de leur apparence est contreproductif. C’est pourtant ce que prévoit le dernier projet de loi de la sénatrice Dianne Feinstein.
Par Mark McDaniel.
Un article de Reason
14 JANVIER 2019
Le dernier projet de loi de la sénatrice Dianne Feinstein classe les armes à feu non pas en fonction de leur usage mais en fonction de leur apparence.
Une suite de tueries de masse sur-médiatisées ces dernières années a provoqué un mouvement visant à mettre hors-la-loi les armes dites d’assaut, en particulier le très populaire AR-15.
Le 9 janvier, la sénatrice démocrate de Californie Dianne Feinstein a proposé une loi fédérale interdisant les armes d’assaut — un texte présenté comme une mesure de bon sens, sauvant des vies. Mais sa définition d’une arme d’assaut est totalement arbitraire.
Les propositions comme celle du dernier projet de loi de Feinstein laisse les tireurs face à un tas de problèmes tous aussi funestes les uns que les autres.
« Une arme d’assaut, c’est tout ce qui est concerné par l’interdiction des armes d’assaut » dit Jacob Sullum, rédacteur en chef de Reason et auteur d’un reportage sur ce sujet dans le numéro de juin 2018.
« Les critères qui permettent de les caractériser ont peu voire rien à faire avec le niveau d’efficacité ou la capacité à tuer qu’elles peuvent avoir entre les mains d’un tueur de masse. »
L’État fédéral a interdit les armes d’assaut en 1994, quand le Président Bill Clinton a signé une loi, également soutenue par la sénatrice Feinstein. Cette loi a expiré 10 ans plus tard. Dans le même temps, sept états plus le District de Columbia ont instauré leur propre interdiction des armes d’assaut.
Il y a peu de preuves que la loi de 1994 ait permis de réduire le nombre de morts par armes à feu, entre autres parce qu’elle tenait principalement de la posture symbolique.
« À moins de plonger dans le détail de ce que font ces lois, il est impossible de comprendre à quel point elles sont arbitraires », dit Sullum.
Aussi bien dans la loi de 1994 que dans ses nouvelles versions, les armes d’assaut ne sont pas caractérisées par ce qu’elles permettent de faire mais par leur apparence.
Les critères utilisés dans les lois interdisant les armes d’assaut et qui permettent de déterminer celles qui en sont ou pas sont principalement les poignées-pistolet, les crosses télescopiques ou repliables, les bouches de canons filetées et les manchons-refroidisseurs. Ces caractéristiques sont purement cosmétiques.
« Il suffit qu’une arme présente n’importe laquelle de ces spécificités pour qu’elle devienne une arme d’assaut. Et en réalité, il y a des tas d’exemples de ce style. »
Par exemple, comparez la Ruger Mini-14 Ranch Rifle avec l’AR-15. L’une ressemble à une carabine de chasse, l’autre à une arme militaire. Bien que ces carabines diffèrent par leurs fabricants et origines, d’un point de vue pratique, elles sont identiques. Elles tirent à la même cadence une munition de même calibre et en raison de longueurs de canon équivalentes, leur balistique est à peu près identique. Mais une seule est une « arme d’assaut. »
Autre idée fausse : que les armes d’assaut sont « automatiques », c’est à dire qu’elles tirent de manière continue jusqu’à ce que la détente soit relâchée ou que les munitions soient épuisées. L’État fédéral a prohibé la fabrication de nouvelles armes automatiques pour le marché civil en 1986.
RépondreSupprimerLa plupart des armes modernes à usage civil sont semi-automatiques : elles ne tirent qu’un coup par appui sur la détente.
« Mais si on parle de la quantité de cartouches qu’on peut tirer en un laps de temps donné », dit Sullum, « n’importe quelle arme semi-automatique sera capable d’en tirer le même nombre. »
Parmi les autres légendes, le fait que les armes d’assaut soient plus puissantes que les autres. En réalité, la puissance d’une arme à feu dépend principalement de sa cartouche. À nouveau, comparons la Ruger Mini-14 Ranch Rifle avec l’AR-15. Toutes les deux tirent la même balle de calibre .223 à la même vitesse. Selon Sullum :
« On trouve aussi quantité de carabines de chasse plus puissantes et qui peuvent occasionner plus de dégâts à la même distance que de prétendues armes d’assaut ».
La .308 Winchester, qui est une des cartouches les plus couramment utilisées à la chasse, a plus du double d’énergie à l’impact qu’une des munitions tirées dans un AR-15.
Encore une autre rengaine : les armes d’assaut peuvent tirer plus de coups que les autres avant rechargement. Mais c’est le chargeur, qui n’est qu’un boîtier amovible muni d’un ressort, qui détermine combien de fois on peut tirer. Et de nombreuses armes qui ne sont pas étiquetées « arme d’assaut » acceptent les chargeurs à grande capacité.
« On trouve des chargeurs à grande capacité, c’est à dire qui contiennent plus de 10 cartouches… pour des armes qui ne sont pas considérées comme des armes d’assaut », explique Sullum. « Là encore, ce n’est pas une caractéristique qui distingue les armes d’assaut des autres ».
Interdire des armes uniquement en fonction de leur apparence est contreproductif. Cela complique toute discussion de bonne foi sur les solutions efficaces à apporter à la violence armée.
« Je ne dis pas que tout le monde devrait posséder un AR-15 » dit Sullum, « mais les gens qui veulent en avoir ont leurs raisons et l’État ne devrait pas formuler d’autres hypothèses sans avoir une très sérieuse justification. Et celle qui est avancée pour l’interdiction des armes d’assaut est virtuellement nulle et non avenue car insensée. »
—
Traduction par Joël Sagnes de « Assault Weapon Bans Are All About Appearance » pour Contrepoints.
https://www.contrepoints.org/2019/01/14/334587-interdiction-des-armes-dassaut-juste-une-question-dapparences
SupprimerLa démocrate de Californie protège les tueurs latinos qui vivent de la drogue contre les américains qu'elle veut désarmer !!!
Pétition pour une enquête de l’Onu sur les violences policières contre les Gilets jaunes
RépondreSupprimer11:43 14.01.2019
Évoquant les propos de Luc Ferry, qui a appelé à tirer sur les manifestants, une pétition a été créée sur le site change.org, demandant à l’Onu d’ouvrir une enquête sur les violences policières à l’encontre les Gilets jaunes.
Une pétition a vu le jour sur le site change.org, laquelle appelle l'Onu à ouvrir une enquête sur les violences policières lors des manifestations des Gilets jaunes, «ayant entraîné des séquelles physiques et psychologiques graves».
«Nos manifestations sont sous haute tension. La multiplication des arrestations, des blessés liés aux violences policières est inquiétante», dit-on dans le texte de la réclamation.
Ses auteurs se déclarent très préoccupés «par l'usage excessif de la force par la police et les CRS au cours de nos rassemblements».
Les organisateurs de la pétition font également référence aux propos récents de l'ancien ministre Luc Ferry, sur le recours aux armes lors des manifestations. Il a notamment estimé que les forces de l'ordre devraient avoir le droit d'ouvrir le feu contre les Gilets jaunes et a appelé à faire intervenir l'armée.
Pour l'instant, la pétition a recueilli plus de 11.800 signatures sur les 15.000 nécessaires.
Depuis le début des manifestations des Gilets jaunes, les forces de l'ordre ont recours aux gaz lacrymonènes, à des grenades de désencerclement, à des grenades assourdissantes et à des tirs de lanceur de balle de défense (LBD) ou flash-balls. Tout au long des actions du mouvement, ces tirs ont blessé un grand nombre de manifestants, dont un grièvement à la tête.
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039626995-petition-onu-violences-police-gilets-jaunes/
SupprimerLes manifestations des 'gilets d'urgence' (appelées 'gilets jaunes' par les merdias car le jaune représente la couleur des traitres, des juifs et des cocus), représentent uniquement (pour l'instant) qu'une partie des abstentionnistes (plus de 50 % lors des votes) auxquels tardent à se joindre les syndiqués et divers souteneurs de partis politique de merde dont ils ont cru que c'était du gâteau ! Cette vague nationale (voire internationale) contre la (les) dictature au pouvoir ne peut s'arrêter. Le Peuple est prêt a y laisser sa vie ! C'est la guerre de la majorité contre le nano-groupuscule d'assassins aux salaires de milliardaires !
Les Gilets jaunes de Toulouse lancent un «blocage économique»
RépondreSupprimer09:51 14.01.2019
À Toulouse, les Gilets jaunes lancent une action de «blocage économique», après avoir mis en place, dimanche soir, un barrage filtrant à la sortie nord de la ville qui laissait passer les voitures, mais pas les camions.
À la sortie nord de Toulouse, entre 150 et 200 Gilets jaunes ont mis en place, dimanche, un barrage filtrant au péage de Sesquières. Celui-ci laissait passer les voitures, mais bloquait les camions sur l'autoroute A62.
Les manifestants ont ainsi lancé une action de «blocage économique» se voulant nationale. Une banderole qu'ils ont déroulée proclamait: «Tous ensemble contre la loi des riches, on va gagner».
La gendarmerie de Toulouse a déployé ses effectifs sur les lieux et un itinéraire de délestage a été mis en place.
L'action a été lancée au lendemain d'une manifestation qui avait réuni au moins 6.000 personnes à Toulouse, selon les chiffres de la préfecture.
Du côté des Gilets jaunes on évoque plutôt le chiffre de 10.000 participants.
Le neuvième acte des manifestations des Gilets jaunes s'est déroulé ce samedi à Paris, ainsi que dans d'autres villes françaises. 111 personnes ont été interpellées dans la capitale et 74 d'entre elles placées en garde à vue. D'après le ministre français de l'Intérieur, la mobilisation a rassemblé environ 84.000 personnes à travers la France. Le mouvement des Gilets jaunes est en hausse par rapport aux dernières semaines. Le 5 janvier, l'acte 8 avait rassemblé 50.000 manifestants et 32.000 le 29 décembre lors de l'acte 7, avait déclaré le ministre Christophe Castaner.
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039626102-gilets-jaunes-toulouse-blocage-economique/
Une campagne d’affichage marquante en hommage aux Gilets jaunes mutilés lancée à Bordeaux
RépondreSupprimer13:00 14.01.2019
Des affiches sont apparues à Bordeaux, visant à sensibiliser l'opinion aux blessures des Gilets jaunes. Au moins 1.700 d’entre eux ont, en effet, été blessés depuis le début du mouvement. Certains ont ainsi perdu un œil ou une main, souvent par les forces de l'ordre, sans que l'exécutif ne leur adresse de mots de compassion.
Des affiches choquantes sont apparues, notamment à Bordeaux, présentant les visages faussement mutilés des membres du gouvernement: Emmanuel Macron avec la bouche ensanglantée, Christophe Castaner et Marlène Schiappa éborgnés, Edouard Philippe le visage couvert de sang. La campagne a pour but d'alerter l'opinion sur les blessures, parfois graves, reçues par des manifestants.
L'auteur de cette campagne d'affichage est inconnu, mais un internaute qui couvrait l'acte 9 des Gilets jaunes à Bordeaux a pris en photo des images choc le 12 janvier. Les photos ont vite fait le buzz sur Twitter, où elles ont été activement partagées.
Les auteurs de la campagne évoquent des cas réels de militants blessés, notamment par des tirs de lanceurs de balle de défense (LBD) de la part de la police lors des manifestations.
Un millier de membres des forces de l'ordre et 1.700 manifestants ont été blessés, alors que onze personnes ont perdu la vie en lien avec des actions des Gilets jaunes depuis le début du mouvement le 17 novembre, selon le ministère de l'Intérieur. La majorité de ces victimes ont été renversées par des véhicules près des ronds-points, épicentres de la contestation des manifestants. Une victime a été heurtée par une grenade lacrymogène lors d'une manifestation à Marseille alors qu'elle fermait ses volets. Ces chiffres ne prennent pas en compte l'acte 9 des Gilets jaunes le 12 janvier. Le 12 janvier a été également marqué par des épisodes de violences et des blessés.
Selon le journaliste de Libération Jacques Pezet, le nombre de blessés graves parmi les manifestants qu'il a pu identifier avec certitude se monte à 82. Il a constaté entre autres des «membres arrachés, les organes ayant perdu leur fonction principale, les os fracturés, les pieds et jambes incrustés de bouts de grenades, les brûlures graves, mais aussi toutes plaies ouvertes au niveau de la tête».
Les autorités ont plutôt dénoncé les agressions contre les forces de l'ordre, sans exprimer de soutien aux manifestants blessés. Christophe Castaner avait ainsi condamné l'attaque «aussi lâche qu'intolérable» de gendarmes par l'ancien boxeur Christophe Dettinger, à Paris. Le 12 janvier, il a salué sur Twitter «l'action ferme et déterminée des forces de l'ordre qui a permis de contenir les débordements et les violences».
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039627590-gilets-jaunes-blessures-affiches-bordeaux/
Une campagne d'affichage choc en l'honneur des Gilets jaunes mutilés (PHOTOS)
RépondreSupprimerRT
dim., 13 jan. 2019 16:03 UTC
Au moins 1 700 manifestants ont été blessés depuis le début du mouvement des Gilets jaunes. Certains ont perdu un œil ou une main, sans bénéficier de mots de soutien de l'exécutif. Des affiches visant à alerter l'opinion sont apparues à Bordeaux.
- voir photos sur site -
Des affiches choc représentant les membres du gouvernement blessés et mutilés par la police lors de manifestations de Gilets jaunes sont apparues, notamment à Bordeaux.
Emmanuel Macron la bouche ensanglantée, Christophe Castaner et Marlène Schiappa éborgnés, ou encore Edouard Philippe le visage rouge de sang : des affiches choc sont apparues, collées par-dessus des panneaux publicitaires, notamment à Bordeaux. L'objectif ? Sensibiliser l'opinion publique aux blessures, parfois lourdes, subies par des Gilets jaunes lors des manifestations qui se succèdent depuis plusieurs semaines aux quatre coins de la France.
Si l'on ignore qui a lancé cette campagne d'affichage choc, des images de celle-ci ont été photographiées par un internaute qui couvrait l'acte 9 des Gilets jaunes à Bordeaux, le 12 janvier. Les visuels sont rapidement devenus viraux sur Twitter, où ils ont été abondamment partagés, et notamment repris par le journaliste de Libération Vincent Glad.
Sous les visages faussement mutilés des membres du gouvernement, des légendes dressent le parallèle avec des cas réels de manifestants blessés, notamment par des tirs de lanceurs de balle de défense (LBD40) de la police lors des différents actes du mouvement. « Fiorina, mutilée le 08/12/2018 par un tir de flashball », peut-on notamment lire en référence à une jeune étudiante picarde de 20 ans qui avait perdu l'usage de son œil gauche lors d'un rassemblement de Gilets jaunes à Paris.
ATTENTION, LES IMAGES QUI SUIVENT PEUVENT HEURTER LA SENSIBILITE
D'autres montages ramènent au cas de David, Gilet jaune des Yvelines, touché par un tir de LBD40 lors d'une manifestation parisienne en décembre.
Membres arrachés, os fracturés, plaies à la tête : au moins 82 blessés graves
Depuis le début du mouvement de contestation le 17 novembre, 11 personnes ont perdu la vie en lien avec des actions des Gilets jaunes, selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur. La grande majorité de ces victimes ont été renversées près des ronds-points, épicentres de la contestation des manifestants, dont l'objet s'est étendu des prix du carburant à d'autres revendications, comme par exemple l'organisation d'un référendum d'initiative citoyenne (RIC). L'une des personnes décédées, Zineb Romdhane, octogénaire algérienne de Marseille, a été heurtée par une grenade lacrymogène tandis qu'elle fermait ses volets lors d'une manifestation.
Toujours selon la place Beauvau, le bilan (avant l'acte 9 du mouvement) serait en outre de 1 700 blessés parmi les manifestants contre environ un millier chez les forces de l'ordre.
RépondreSupprimerAlors que les images des blessures occasionnées lors des manifestations qui inondent les réseaux sociaux peuvent dans certains cas être difficilement authentifiées, le journaliste de Libération Jacques Pezet a pour sa part décompté le nombre de blessés graves parmi les manifestants qu'il a pu identifier avec certitude : 82. Parmi les blessures graves, le journaliste a retenu les « membres arrachés, les organes ayant perdu leur fonction principale, les os fracturés, les pieds et jambes incrustés de bouts de grenades, les brûlures graves, mais aussi toutes plaies ouvertes au niveau de la tête ».
Des chiffres qui ne prennent pas en compte les autres blessés graves dénombrés lors de l'acte 9 des Gilets jaunes le 12 janvier. Ceux-ci seraient au moins cinq, selon le journaliste David Dufresne, qui répertorie les cas de violences policières présumées sur Twitter depuis le début du mouvement.
Et pour cause, le 12 janvier n'a pas fait exception à la règle et a été marqué par des épisodes de violences et d'affrontements entre forces de l'ordre et manifestants. A Bordeaux, un Gilet jaune a été blessé à la tête par un tir de lanceur de balle de défense ou de grenade lacrymogène. A Paris, trois manifestants ont été touchés à la tête par des tirs de LBD40. Autre exemple, à Strasbourg, un adolescent d'une quinzaine d'années a été touché à la mâchoire.
Allô, Beauvau ?
Comme l'expliquait Eric Morvan, le patron de la Direction générale de la police nationale, sur France Inter le 11 janvier, l'inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie dans 78 dossiers liés à des violences policières lors de rassemblements des Gilets jaunes. Environ 200 signalements ont été transmis, mais aucun membre des forces de l'ordre n'a pour l'heure été suspendu.
Quant aux autorités, à commencer par le ministère de l'Intérieur, elles ont plutôt été enclines à dénoncer les violences commises contre les forces de l'ordre, qu'à apporter un mot de soutien aux manifestants blessés, voire mutilés. Christophe Castaner avait par exemple dénoncé l'attaque « aussi lâche qu'intolérable » de gendarmes par l'ancien boxeur Christophe Dettinger à Paris.
Ce 12 janvier encore, le premier flic de France saluait sur Twitter «l'action ferme et déterminée des forces de l'ordre qui a permis de contenir les débordements et les violences».
- Commentaire : Voir aussi :
Gilets jaunes - des violences policières jamais vues
https://fr.sott.net/article/33347-Une-campagne-d-affichage-choc-en-l-honneur-des-Gilets-jaunes-mutiles-PHOTOS
Bientôt un monuments aux morts en gilets d'urgence dédiés aux héros de la nation ?
Supprimer«Assez de bla-bla !»: une levée massive de boucliers contre la lettre de Macron
RépondreSupprimer12:35 14.01.2019
«Les conclusions doivent être celles des Français, pas celles déjà prévues par le Président»: plusieurs personnalités sur la scène politique française s’en sont violemment prises à la lettre aux Français d’Emmanuel Macron, notamment l'absence de l'ISF.
La lettre aux Français d'Emmanuel Macron, promise lors de ses vœux 2019, a été diffusée ce dimanche soir. Impôts, environnement services publics, immigration, citoyenneté, grand débat… Le choix des sujets a suscité une vague de tweets de désapprobation de la part de ses opposants, de droite comme de gauche.
Si le Président de la République affirme qu'il n'y aura aucune «question interdite» lors du débat, il souligne que le gouvernement ne reviendra sur la suppression de l'ISF, une mesure vivement critiquée par Jean-Luc Mélenchon et la France insoumise.
«Les thèmes choisis ferment toutes discussions sur les salaires, retraites, conditions de travail… Idem sur l'ISF, CICE etc.», dénonce le député La France insoumise Alexis Corbière, sur Twitter. «Et au final de ce débat qui décidera? Le Président tout seul».
«On ne convoque pas tous les Français à 1 débat en leur interdisant de parler par exemple de l'ISF. Les conclusions doivent être celles des Français, pas celles déjà prévues par le Président», a déclaré le leader du PS Olivier Faure sur Twitter.
L'ancien ministre de l'Éducation nationale et fondateur du mouvement Génération.s, Benoît Hamon, la lettre est "faible et prévisible".
Le fondateur des Patriotes, Florian Philippot, dénonce également sur Twitter la longueur de la lettre, son «illisibilité» ainsi que l'absence de sujets fondamentaux comme l'UE.
Pour plusieurs politiques, la publication ne permettra pas de faire avancer le débat en pleine mobilisation des Gilets jaunes. Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a jugé ainsi que M.Macron tentait de gagner du temps avec la publication de cette lettre. «Le seul grand débat, c'est un référendum sur des décisions concrètes. Assez de bla-bla!», martèle-t-il sur Twitter.
Le député européen Rassemblement National, Nicolas Bay, considère, lui aussi, qu'« un débat à sens unique» est en train de s'ouvrir:
«Cette lettre pose des questions qui auraient dû être tranchées lors de l'élection présidentielle. Elle témoigne que seulement 18 mois après son élection, Emmanuel Macron n'a plus de cap et a perdu le fil avec les Français», estime le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée, Christian Jacob. «Dans la litanie des questions, il oublie l'essentiel: son attitude personnelle et sa manière d'exercer le pouvoir»
Selon le député LR Eric Ciotti, la lettre est «beaucoup de suspens pour pas grand chose».
Le député des Insoumis Adrien Quatennens a fait un «résumé» de la lettre:
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039625798-lettre-macron-opposition-reaction/
Jean-Claude Juncker est un «ivrogne notoire» pour Thierry Mariani
RépondreSupprimer12:38 14.01.2019
Jean-Claude Juncker est un «ivrogne notoire» dont l'image correspond bien à l'état actuel de l'Union européenne, a estimé Thierry Mariani quelques jours après avoir annoncé son ralliement au Rassemblement national pour les élections européennes.
Dans son premier discours en tant que candidat du Rassemblement national (RN) pour le lancement de la campagne des élections européennes, Thierry Mariani s'en est pris au président de la Commission européenne. Pour l'ex-ministre Les Républicains, Jean-Claude Juncker, «un ivrogne notoire», «incarne à la perfection le bateau ivre qu'est devenue l'Union européenne».
«Il faudra arracher la barre du navire pour l'obliger à se mettre au service des peuples», a poursuivi M.Mariani en présence de Marine Le Pen.
En troisième position sur la liste du RN pour les élections européennes, il a souligné que la principale menace pour l'Europe «ne venait plus de l'est», alors que l'islamisation et l'immigration risquaient de faire du continent «la nouvelle Atlantide».
Les accusations d'alcoolisme visant Jean-Claude Juncker sont fréquentes parmi les conservateurs et eurosceptiques européens. «Je ne parle qu'avec des gens sobres […]. Il devrait boire deux verres d'eau avant d'ouvrir la bouche», avait lancé en octobre dernier le ministre italien de l'Intérieur et chef de file de la Ligue Matteo Salvini.
Pour sa part, le Luxembourgeois se défend toujours de tout alcoolisme. «Je n'ai pas de problème d'alcool. Maintenant, ça suffit!», avait-il déclaré à la télévision allemande en 2014, lorsqu'il faisait campagne pour la présidence de la Commission européenne.
https://fr.sputniknews.com/international/201901141039628560-mariani-juncker-insultes-ivrogne/
Cela n'est PAS une excuse pour des millions d'assassinats !
SupprimerUn prix Nobel évoquant la supériorité intellectuelle des Blancs subit des sanctions
RépondreSupprimer11:54 14.01.2019
Le généticien James Watson, 90 ans, ancien prix Nobel, a perdu ses titres honorifiques dans le domaine de la recherche, après avoir insisté dans un documentaire sur la différence de QI moyen entre les Noirs et les Blancs.
Lauréat du prix Nobel de médecine en 1962, l’éminent généticien James Watson est réputé pour ses déclarations controversées, qui lui ont à plusieurs reprises valu des accusations de racisme. Âgé de 90 ans, le scientifique ne semble pourtant pas avoir l’intention de reconsidérer ses opinions.
Dans un documentaire tourné récemment, le chercheur a insisté sur la différence de QI moyen entre les Noirs et les Blancs, remarques jugées comme étant «répréhensibles» et «non étayées par la science» par le laboratoire de Cold Spring Harbor, où il avait découvert, avec Francis Crick et Rosalind Franklin, la structure en double hélice de l’ADN.
En 2007, M.Watson avait déjà perdu son emploi au laboratoire après s’être déclaré «fondamentalement sombre sur la perspective de l’Afrique» parce que «toutes nos politiques sociales sont basées sur le fait que leur intelligence est la même que la nôtre». Or, cette-fois ci, le laboratoire a pris la décision de retirer au chercheur ses trois titres honorifiques, dont celui de chancelier émérite.
Les généticiens soulignent que même les évaluations ADN les plus sophistiquées se sont avérées incapables de trouver des preuves solides de différences d’intelligence en fonction de l’appartenance ethnique. Il convient de noter que le Dr Watson réside actuellement dans une maison de retraite, après un accident de voiture survenu en octobre dernier. Celui-ci l’a laissé avec une conscience «très minime» de son environnement, selon les proches du chercheur.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201901141039627381-james-watson-geneticien-racisme/
SupprimerMême s'il existe DES professeurs et scientifiques plus bronzés que d'autres, ce sont bien les moins bronzés qui ont le plus fort pourcentage !
L'intelligence n'est PAS un facteur d'ADN mais de construction géographique dépendant de l'attractivité terrestre.
ZIMBABWE - LES PRIX DU PÉTROLE FLAMBENT, LA RUE S'EMBRASE
RépondreSupprimerLe gouvernement a décrété le doublement des prix des carburants. Cette mesure a suscité de vives protestations dans tout le pays.
14.01.2019
Des manifestations ont éclaté lundi dans les deux principales villes du Zimbabwe, la capitale Harare et Bulawayo (sud) pour protester contre la forte hausse des prix de l'essence décrétée par le gouvernement, sur fond de grave crise économique.
Le président Emmerson Mnangagwa a annoncé samedi soir le doublement des prix des carburants pour tenter d'enrayer sa plus grave pénurie de pétrole dans le pays depuis dix ans.
Cette mesure a suscité de vives protestations dans tout le pays et la principale centrale syndicale du pays appelé la population à une grève de trois jours. Des barricades ont été érigées lundi matin dans plusieurs quartiers de Harare, ont rapporté des témoins à l'AFP.
«C'est très tendu depuis ce matin» dans le quartier de Epworth, a déclaré un de ses habitants, Nhamo Tembo. «Les routes sont barrées par de grosses pierres et des gens en colère empêchent les bus de passer. Les gens sont coincés».
A Bulawayo, des manifestants bloquaient également la circulation vers le centre-ville avec des barrages de pierres et de pneus enflammés, a constaté un journaliste de l'AFP. «Nous voulons faire savoir à Mnangagwa que nous sommes mécontents de ses échecs», a expliqué Mthandazo Moyo, 22 ans, «Mugabe était mauvais mais au moins il écoutait».
Grève des médecins et des enseignants
L'économie du Zimbabwe est sortie exsangue du règne autoritaire de trente-sept ans de Robert Mugabe, contraint à la démission fin 2017 par un coup de force de l'armée. Son successeur Emmerson Mnangagwa promet depuis de relancer l'économie, jusque-là sans résultat.
Le pays souffre notamment d'un manque criant de liquidités en dollars américains. Pour y remédier, le gouvernement avait introduit en 2016 des «bonds notes», des sortes d'obligations d'une même valeur que les billets verts.
Mais, faute de la confiance des opérateurs, leur valeur a baissé et l'opération a échoué. Au marché noir, ils s'échangent actuellement à un taux d'environ trois pour un dollar.
Victimes de l'inflation, de la dépréciation des «bond notes» et des pénuries, les médecins et les enseignants se sont mis en grève ces dernières semaines, notamment pour exiger le paiement de leurs salaires en dollars américains.
Confronté à cette agitation sociale, le gouvernement a dénoncé lundi un «plan délibéré visant à saper l'ordre constitutionnel» et assuré qu'il «répondra de façon approprié (...) à ceux qui conspirent pour saboter la paix». (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/prix-petrole-flambent-rue-s-embrase/story/14433863
L’Algérie exporte des produits agricoles «pestiférés», selon un média marocain
RépondreSupprimer11:10 14.01.2019
Les produits agricoles algériens exportés vers la Mauritanie ne sont pas conformes «aux normes phytosanitaires internationales», selon le site d’information marocain Le 360. Auparavant, les autorités algériennes ont démenti des informations concernant des produits refoulés à l’étranger.
«Les autorités mauritaniennes feraient bien de jeter un regard méticuleux sur les produits agricoles algériens qui viennent de débarquer dans le nord du pays», écrivait le site d'information marocain Le 360 dans son édition du dimanche 13 janvier. Le site internet réagissait au début des opérations d'exportations algériennes vers la Mauritanie et les pays de l'Afrique de l'Ouest.
«Il y va de la santé de leurs citoyens car ces produits peuvent constituer un danger réel pour la santé publique», a-t-il encore ajouté.
Tout en signalant que les produits agricoles algériens étaient «indésirables en Europe, en Amérique du nord, en Russie, dans les pays du Golfe, en Tunisie…» et dans tous les pays du monde ayant «instauré un minimum de contrôle à leurs frontières», Le 360 a affirmé que la cause est la non-conformité de ces produits aux règles de santé.
«Les normes phytosanitaires des produits agricoles algériens sont loin de répondre aux standards internationaux de sécurité sanitaire des aliments (multiples maladies et fortes concentrations en pesticides et autres produits phytosanitaires nocifs)», a-t-il souligné.
Selon ce site d'information, pour contourner la mise en quarantaine de ses produits agricoles, «l'Algérie tente aujourd'hui de profiter de la récente ouverture du passage frontalier avec la Mauritanie pour écouler ses produits "pestiférés" vers l'Afrique de l'Ouest». L'objectif, selon la même source, est de «combler, un tant soit peu, le tarissement de ses rentrées en devises après la chute drastique des revenus pétroliers».
Régissant à l'article du média marocain, le site d'information Tout Sur l'Algérie (TSA) affirmait dans son édition du dimanche 13 janvier que «l'attaque de ce média, proche du Palais royal, contre les exportations algériennes vers le voisin du sud du royaume chérifien pourrait refléter l'agacement de ce dernier par les nouvelles relations commerciales établies entre l'Algérie et la Mauritanie». Dans le même sens, le site d'information a rappelé que l'Algérie et la Mauritanie ont inauguré leur premier poste frontalier en août 2018. Cette inauguration a été suivie par une première opération d'exportation de produits algériens, dont des fruits et légumes, fin décembre de la même année.
Durant l'année 2018, les produits agroalimentaires algériens destinés à l'exportation ont essuyé deux interdictions d'entrées sur le territoire de pays étrangers.
En juin 2018, le ministère algérien de l'Agriculture et de la Pêche s'est exprimé sur le refoulement du Canada et de Russie de produits agricoles en précisant la cause. «Les cas cités récemment dans la presse concernant des marchandises de dattes et de pommes de terres qui ont été refoulées depuis le Canada et la Russie, pour causes qui ne sont pas d'ordre phytosanitaire», indiquait le communiqué cité par l'Algérie Presse Service (APS).
Au début du mois de décembre dernier, Ahmed Ouyahia, le Premier ministre algérien, a annoncé que, sur les neuf premiers mois de l'année 2018, l'Algérie a exporté pour 57 millions de dollars de produits agricoles. Les exportations agroalimentaires algériennes vers la France, la Russie, le Qatar et le Canada ont connu une augmentation importante, passant de 33,4 millions de dollars entre 2013 et 2016 à 49,4 millions de dollars en 2017, selon le responsable.
https://fr.sputniknews.com/international/201901141039626727-algerie-maroc-exportation-produits-agricoles/
Depuis la mise-en-place de l'escroquerie du bio les pays extérieurs s'en frottent les mains ! Vive tous les produits toxiques exportés !
SupprimerC'est actuellement plus de 80 % des fruits & légumes qui sont importés et 100 % en 2019 grâce aux mesures prises contre les remèdes et la protection des bestioles ravageuses.
RépondreSupprimerMÉTÉO - SUISSE: UNE VAGUE DE FROID NOUS PEND AU NEZ DÈS LE 20 JANVIER !
Le mois de janvier n'a pas dit son dernier mot. De l'air polaire va glacer le centre de l'Europe durant toute la semaine prochaine.
PAR ERIC FELLEY
14.01.2019, 10h01
A l'instar de la vague de froid de février 2018, la semaine prochaine risque fort d'être glaciale sur le centre de l'Europe et en particulier la Suisse. Une vague de froid sibérien est attendue à parti du week-end prochain, les 19 et 20 janvier et devrait se prolonger durant toute la semaine suivante. Ce retour d'un froid polaire devrait apporter de la neige jusqu'en plaine, dans très nombreuses régions. Et «même jusqu'en bord de Méditerranée» selon la Chaîne Météo française.
Comme on le voit sur ce modèle pour le lundi 21 janvier, la vague bleue envahit le centre de l'Europe jusqu'à la péninsule ibérique.
Météo Suisse prévoit également une «dépression sur l'Europe centrale et méridionale». Toutefois, cette période nuageuse aurait de «faibles précipitations», mais des températures négatives bien en-dessous des normales de saison entre -5 et -15 degrés. Le thermomètre ne devrait pas remonter au-dessus des zéros durant la journée.
https://www.lematin.ch/suisse/vague-froid-pend-nez-20-janvier/story/23315944
RépondreSupprimerIncapacité de la politique britannique en matière d'énergies renouvelables à minimiser les coûts, à réduire de manière significative les émissions et à maintenir la sécurité d'approvisionnement.
14 janvier 2019
Un nouveau rapport de la Global Warming Policy Foundation révèle que les consommateurs paient beaucoup trop pour les réductions d'émissions générées par les énergies renouvelables. Le rapport, lié ici par le Dr. Capell Aris, est le résultat d’une modélisation poussée des systèmes énergétiques. Il décrit les coûts, les émissions de gaz à effet de serre et la sécurité du réseau fournis par le réseau actuel et par une série de systèmes énergétiques contrefactuels. Comme l'explique le Dr Aris:
«La course au gaz des années 90 a permis de réduire les émissions de gaz carbonique et les coûts. Si nous avions simplement poursuivi, nous pourrions maintenant bénéficier de prix de l’électricité inférieurs de 30 à 40 % à ceux d’aujourd’hui, avec des émissions de gaz carbonique similaires et une sécurité du réseau bien meilleure. Les consommateurs paient exagérément pour un système très peu fiable. "
Ce résultat contre-intuitif découle de l'effet des énergies renouvelables intermittentes sur le réseau. Les énergies renouvelables ont obligé les centrales à gaz à augmenter et diminuer progressivement leur production afin d’équilibrer le réseau et d’éviter les pannes. En outre, personne n’investit dans la centrale à gaz moderne la plus efficace, alors que les énergies renouvelables sont subventionnées. Le résultat est que la flotte alimentée au gaz est beaucoup moins efficace qu'elle ne devrait l'être.
Et la situation va empirer. M. Aris a examiné les plans de National Grid concernant la future combinaison de production et a déclaré que nous devrions nous attendre à ce que les hausses de prix importantes se poursuivent chaque année dans un avenir proche. Cependant, il constate également qu'avec un système basé sur le gaz et le nucléaire, les réductions d'émissions pourraient continuer jusqu'en 2030 tout en maintenant les prix de l'électricité à la consommation à leur niveau actuel. Ce résultat est valable même si les prix très élevés de la centrale électrique prévue de Hinkley C sont appliqués dans la pratique.
Comme le dit le Dr Aris:
Les systèmes que National Grid envisage de mettre en place vont générer des émissions de carbone significatives mais vont doubler les prix de l’électricité. Un système basé sur le gaz et le nucléaire produirait des réductions d'émissions similaires à environ la moitié du prix. Cela ne devrait donc pas être une décision difficile.
https://www.thegwpf.org/content/uploads/2019/01/Capell-Aris-UK-Electricity-System.pdf
https://wattsupwiththat.com/2019/01/14/failure-of-uk-renewable-energy-policy-to-minimise-costs-deliver-meaningful-emissions-cuts-and-maintain-security-of-supply/
RépondreSupprimer« Monsanto Papers » ? Du pipo selon Santé Canada
14 Janvier 2019
par Seppi
Une information qui tombe juste à temps avant la grande soirée de désinformation du Numéro Spécial d'Envoyé Spécial de Mme Élise Lucet, sur France 2, le jeudi 17 janvier 2018.
Le titre est un peu provocateur à l'heure où nous écrivons, Santé Canada n'ayant pas encore publié l'intégralité de ses documents.
Renouvellement pour quinze ans... huit oppositions...
Fin avril 2017, Santé Canada avait publié sa décision de réévaluation du glyphosate (RVD2017-01) et renouvelé l'autorisation de mise en marché de la substance herbicide pour quinze ans.
Cette décision a fait l'objet de huit avis d'opposition de la part, notamment, d'Ecojustice qui regroupe l’Association Canadienne des Médecins pour l’Environnement, Équiterre, la Fondation David Suzuki, Environmental Defence et Prevent Cancer, ainsi que du Collectif de Recherche Écosanté sur les Pesticides, les Politiques et les Alternatives (CREPPA), dont la directrice, Mme Louise Vandelac, est également membre du conseil scientifique du CRIIGEN français.
Les opposants ont, en particulier, soutenu que les études sur lesquelles Santé Canada s'était fondé avaient été manipulées par Monsanto, reprenant en cela les thèses développées sur la base des « Monsanto Papers », thèses qui n'ont pas été sans influence dans le désormais célèbre procès Dewayne « Lee » Johnson (ou plutôt avocats prédateurs) c. Monsanto.
Une réponse potentiellement en deux étapes...
En novembre 2018, Santé Canada avait annoncé reprendre l’analyse des études. « La ministre ne ferme pas la porte à une révision par des experts indépendants éventuellement, si cela s’avère "justifié" et le produit reste vraisemblablement sur le marché, en attendant », écrivait Radio Canada dans « Roundup : Santé Canada revoit des centaines d'études après des "révélations troublantes" ». En d'autres termes, c'était un processus éventuellement en deux étapes.
...avec arrêt dès la première
La première – et désormais unique – étape vient de se conclure. Le 11 janvier 2019, Santé Canada a publié une déclaration dont l'essentiel est comme suit :
« Des scientifiques de Santé Canada ont examiné les renseignements fournis dans ces avis et évalué la validité des études en question afin de déterminer si les questions soulevées auraient une incidence sur les résultats de l’évaluation et les décisions réglementaires connexes.
Après un examen scientifique approfondi de l’ensemble des données pertinentes, nous avons conclu que les questions soulevées par les opposants ne pouvaient pas être prouvées scientifiquement. Leurs objections n’ont pas suscité de doute ni de question quant au fondement scientifique de la décision de réévaluation de 2017 concernant le glysophate. Le Ministère maintiendra donc sa décision. »
Pour s’assurer de l’impartialité de l’évaluation des arguments présentés dans les avis d'opposition, Santé Canada a choisi un groupe de 20 de ses scientifiques qui n’avaient pas participé à la réévaluation de 2017.
Santé Canada publiera sa réponse à chaque avis d’opposition dans le registre public de l’Agence de Réglementation de la Lutte Antiparasitaire (ARLA) le 14 janvier 2019. Nous pourrons alors en savoir plus. Mais cela fera sans doute beaucoup de lecture... Le CREPPA de Mme Louise Vandelac semble avoir déroulé tout l'argumentaire d'opposition de notre CRIIGEN national... et, au vu de la décision qui vient d'être communiquée le 11 janvier 2019, cet argumentaire a été, une nouvelle fois pour nombre de ses éléments, rejeté.
RépondreSupprimerDans « Santé Canada maintient son approbation du glyphosate », Radio Canada a écrit que « l'agence canadienne balaie du revers de la main » les allégations selon lesquelles Monsanto « avait délibérément manipulé des articles scientifiques à son avantage », en « estimant que les "Monsanto Papers" ne sont que des "révisions d’études déjà analysées" par ses propres experts ».
Santé Canada, comme l'EFSA avant lui
Ce qu'il faut entendre par cette dernière citation, c'est que les articles scientifiques incriminés par les opposants sont des articles de revue – des analyses de la littérature scientifique – alors que les experts de l'ARLA s'étaient fondés sur les articles de la littérature scientifique primaire.
Le même genre de réponse a été donné en Europe, le 8 juin 2017, par l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) en réponse à une demande de la Commission Européenne. En bref : « À la suite de cette enquête, l’EFSA peut confirmer que même si les allégations concernant le ghostwriting s’avéraient exactes, il n’y aurait aucun impact sur l’évaluation globale présentée dans les conclusions de l’EFSA sur le glyphosate. »
Avec trois arguments principaux : les deux articles incriminés sont des articles de revue, résumant et synthétisant l'état de la recherche, c'est-à-dire des articles originaux pris en compte par elle (et les experts nationaux) ; les liens avec Monsanto étaient clairement indiqués dans les déclarations d'intérêts et les remerciements ; ces deux études sont noyées dans quelque 700 autres prises en compte sur la toxicologie chez les mammifères.
L'opposition persiste... évidemment...
Il va de soi que les opposants n'en démordent pas. Ainsi, Mme Annie Bérubé, directrice des relations gouvernementales chez Équiterre : « Nous maintenons que la démarche scientifique adoptée par Santé Canada semble avoir été compromise par des données manipulées et des analyses faussées. » Pour Mme Louise Vandelac (CREPPA), le processus mis en œuvre par Santé Canada est une « parodie de processus démocratique, une parodie de consultations ».
Et en France, Envoyé Spécial...
En France, nous auront droit, le jeudi 17 janvier 2018, à une formidable séance de désinformation avec le Numéro Spécial d'Envoyé Spécial de Mme Élise Lucet, sur France 2. Bien sûr, les médias relaieront avec complaisance le lendemain... Nous en avons déjà une avant-première sur FranceTVInfo : « La firme [Monsanto] aurait convaincu d'éminents chercheurs de jouer pour elle les "ghostwriters", ou écrivains fantômes, et de signer des études qu'elle aurait elle-même en partie rédigées. C'est ce que montrent les "Monsanto Papers". »
La décision canadienne – venant après la mise au point de l'EFSA – tombe à pic pour nous démontrer que tout cela, c'est au mieux de la gesticulation.
http://seppi.over-blog.com/2019/01/monsanto-papers-du-pipo-selon-sante-canada.html
Numéro spécial d’Envoyé Spécial consacré au glyphosate : un grand moment de désinformation est annoncé
RépondreSupprimer14 Janvier 2019
par Seppi
Les téléspectateurs français peuvent se préparer à un grand moment de désinformation le jeudi 17 janvier 2019, en début de soirée, sur France 2 : « la Spéciale d'Envoyé » – dont on nous dit que c'est un « magazine d'information » – est consacré au glyphosate, autrement dit au Roundup... de Monsanto, maintenant Bayer.
Une séquence sera consacrée à « Monsanto, la fabrique du mensonge ».
Une « enquête » ? La régurgitation de ragots ?
Ce qui est présenté sur Le Blog TVNews comme une « enquête » a toutes les chances d'être une resucée des ragots répandus dans l'opinion publique, en particulier par la série des articles sur les « Monsanto Papers » publiée par le Monde. Que nous dit le site précité ?
« Monsanto, la firme américaine qui a inventé et commercialisé le glyphosate est dans le viseur de la justice. Des documents internes et confidentiels, les "Monsanto Papers", révèlent comment le géant industriel a créé le doute, prétendant que le glyphosate n’était pas dangereux et en faisant rédiger en secret par ses propres scientifiques des études soi-disant indépendantes. Des documents accablants qui ont convaincu les juges lors d’un procès retentissant aux Etats-Unis : celui de Dewayne Johnson, jardinier atteint d'un cancer, qui a fait condamner Monsanto à 289 millions de dollars ! Vous entendrez son témoignage en exclusivité. »
Il y a deux aguiches sur le site de FranceTVInfo, « VIDEO. Glyphosate : le jardinier qui a fait plier Monsanto se confie en exclusivité à "Envoyé spécial" » et « VIDEO. Glyphosate : quand un scientifique signe un article écrit à 85% par Monsanto ».
Nous sommes donc prévenus...
La séquence « émotion »
La première séquence doit nous prendre par l'émotion. Tous les ingrédients pour faire pleurer y sont.
Ainsi – et nous nous limiterons à deux éléments – M. Dewayne « Lee » Johnson « pouvait asperger plus de 500 litres de glyphosate par jour » en haute saison. Comme l'a relevé un commentateur sur le site de FranceTVInfo, « ça représente environ 500 hectares si l'on prend la dose usuelle d'un agri français »... avec un pulvérisateur portatif...
Et « la motivation de l'ancien jardinier est "tout sauf l'argent. Mon but, c'est d'établir les faits ». Le téléspectateur français n'apprendra probablement pas que M. Dewayne « Lee » Johnson a été « recruté » par un cabinet d'avocats prédateurs qui entend faire les poches – à son profit – à Monsanto.
La séquence « indignation »
La deuxième séquence nous offre une démonstration éclatante de la malhonnêteté qui préside à cette série d'émissions et – la preuve nous en est rapportée – à ce numéro « spécial ». Selon la transcription sur FranceTVInfo, il y a :
« Au club des honorables scientifiques ayant "prêté leur nom" à Monsanto, le professeur Henry Miller, un célèbre biologiste américain, chercheur à Stanford. »
Mais écoutez bien le début de la séquence : ce n'est pas « prêté », mais « vendu ». La nuance est de taille !
Verba volent, scripta manent... On prend des précautions dans l'écrit, mais on s'est lâché dans l'oral...
RépondreSupprimerEt, bien sûr, les journalistes n'ont pas la moindre preuve que M. Henry Miller ait « vendu son nom » (voir ci-dessous, la tentative de lui faire dire combien il avait touché).
Du reste, s'il avait été question de services rémunérés, les « Monsanto Papers » en aurait certainement conservé une trace. On est donc là dans le registre de la diffamation et du mensonge.
Voici, en outre, le chapô de l'article de FranceTVInfo :
« Des scientifiques auraient œuvré en coulisse pour défendre l'innocuité du Roundup, un herbicide qui contient du glyphosate commercialisé par la multinationale Monsanto. La firme américaine aurait convaincu des chercheurs de signer des études qu'elle aurait elle-même en grande partie rédigées. Extrait de "La Spéciale d'Envoyé" consacrée au glyphosate. »
Trois conditionnels ! C'est ce qu'on appelle un « magazine d'information »...
Mais surtout, on essaie de faire accroire au public que des « études » auraient – nous remettons le conditionnel quoiqu'il échappera à de nombreux lecteurs de FranceTVInfo – été rédigées par Monsanto et signées par des scientifiques qui ont « prêté leur nom » (selon le texte) ou « vendu leur nom » (selon la vidéo).
La réalité : la séquence a trait à un article d'opinion publié dans Forbes.
Décidément, on ne sort pas des standards d'indécence
La séquence nous livre aussi un nouvel exemple de l'extraordinaire goujaterie qui est la marque de fabrique des émissions de Mme Élise Lucet : courir après une voiture... ne pas se présenter... poser des questions indiscrètes pour lesquelles on sait déjà qu'il n'y aura pas de réponse compte tenu de la muflerie... et conclure, satisfait :
« Combien le biologiste a-t-il gagné pour cet article "ghostwrité" ? Tristan Waleckx a fait le voyage jusqu'à sa banlieue chic de San Francisco... mais le professeur à la plume magique n'a "rien à dire". Comme Henry Miller, une dizaine de scientifiques suspectés de "ghostwriting" ont refusé de le rencontrer. »
Avec, bien sûr, les petites piques qui feront les délices des téléspectateurs qui s'arrêteront au premier degré : la banlieue est « chic », la plume est « magique »... Le tout témoigne d'un profond mépris pour la déontologie journalistique, pour le service public (mais que font la direction de France 2 et le CSA?) et les téléspectateurs.
Du journalisme totalitaire... ou du totalitarisme journalistique
« ...le professeur à la plume magique n'a "rien à dire" » ? Cela sonne comme si, pour les « journalistes », M. Henry Miller avait une obligation de répondre. Et de répondre à une question qui relève autant de la provocation que de l'inquisition.
On en est presque à : « Accusé, faites la preuve de votre culpabilité. » Ami lecteur, vous avez le choix des références historiques...
Et, bien sûr, « Comme Henry Miller, une dizaine de scientifiques suspectés de "ghostwriting" ont refusé de le rencontrer »... Comme si les scientifiques « suspectés » allaient accueillir nos Pieds Nickelés bras ouverts...
Mais l'essentiel n'est-il pas de duper le téléspectateur ? Ils ont refusé... donc ils ont quelque chose à cacher... donc nous avons raison de les mettre en cause... donc nous avons prouvé...
« Envoyé Spécial », la fabrique de quoi ?
La séquence s'intitule « Monsanto, la fabrique du mensonge ». Nous verrons si ces gens feront la démonstration du mensonge – à l'indicatif et pas au conditionnel.
RépondreSupprimerNous sommes à peu près certains que pas un mot ne sera dit sur le volet des « Monsanto Papers » que d'aucuns appellent le « CIRC-gate » et les « Portier Papers ».
Pour le moment, au vu des deux séquences diffusées, on en est au moins à « Envoyé Spécial, la fabrique du doute ».
Quoique... entre le doute suscité et le mensonge proféré, la limite est floue.
http://seppi.over-blog.com/2019/01/numero-special-d-envoye-special-consacre-au-glyphosate-un-grand-moment-de-desinformation-est-annonce.html
RépondreSupprimerLes scientifiques ougandais sceptiques quant au projet de loi révisée sur les OGM
13 Janvier 2019
par Seppi
John Agaba*
Ma note : C'est un euphémisme ! On peut craindre que les conditions mises à la diffusion de plantes GM – pourtant indispensables pour, notamment, remédier à des crises phytosanitaires pressantes – sont telles que personne ne prendra le risque de les mettre à la disposition des agriculteurs qui en ont un besoin urgent.
L'obscurantisme et les petits intérêts des dirigeants des « ONG » mercenaires locales financées par des entités du Nord – qui prétendent œuvrer pour le développement du Sud et ne font que le maintenir dans le sous-développement – ont encore gagné.
Le Parlement ougandais a approuvé hier [le 28 novembre 2018] un projet de loi visant à réglementer les organismes génétiquement modifiés qui rend les scientifiques sceptiques sur la question de savoir si la technologie atteindra jamais les petits agriculteurs qu’elle est censée aider.
« Mordu une fois, doublement prudent », a déclaré le Dr Andrew Kiggundu, biotechnologiste spécialiste des plantes, faisant référence aux événements de l’année dernière, lorsque le Parlement avait adopté le projet de loi, mais que le président Museveni avait refusé de la promulguer.
Le président l'avait renvoyé au Parlement pour « quelques questions » qu'il souhaitait voir clarifiées. Après plus d'un an de querelles politiques, les législateurs ont renommé le projet de loi en y insérant des « clauses restrictives » qui concernent les chercheurs tels que Kiggundu.
« Je n'ai aucun problème avec le titre » [Genetic Engineering Regulatory Bill – projet de loi sur la réglementation du génie génétique], a-t-il déclaré. Mais l’agronome, qui a promu le développement de la biotechnologie en Ouganda et a participé à la mise en route des travaux de laboratoire pour créer une banane génétiquement modifiée, a déclaré que les clauses relatives à la responsabilité stricte des chercheurs, à l'étiquetage des OGM et aux distances d’isolement entre cultures « inhibent manifestement la biotechnologie ».
Kiggundu ne sait pas comment les millions de petits exploitants agricoles qui dominent le pays peuvent appliquer ces règles.
« Nous devons comprendre pourquoi nous développons la biotechnologie – afin que des millions d'agriculteurs puissent avoir accès à des variétés de plantes plus productives, tolérantes aux maladies et résistantes pour éviter la faim », a déclaré Kiggundu. « Beaucoup de nos agriculteurs possèdent de petits lopins de terre. Ainsi, lorsque vous leur demandez d’étiqueter leurs cultures et d’observer les distances d’isolement, vous leur dites indirectement : "Ces variétés améliorées ne sont pas pour vous." Comment peuvent-ils s’isoler sur ces petites parcelles ? »
L'agronome a déclaré qu'il était dommage que « des personnes influentes, les membres du Parlement », n'aient toujours pas compris l'objectif d'une loi sur la prévention des risques biotechnologiques. S'ils comprenaient, dit-il, ils ne proposeraient pas ces « clauses limitatives. La loi doit réglementer et guider l'utilisation des OGM, mais les gens pensent que c'est pour l'introduction des OGM. »
Le projet de loi remanié comprend également une clause de responsabilité stricte, qui rend les scientifiques responsables en cas de plainte liée à leurs recherches, que l'anomalie soit ou non directement causée par eux.
RépondreSupprimerKiggundu a déclaré que cette disposition était non seulement mal conçue, mais décourageait également la recherche.
« Vous dites qu'un constructeur automobile devrait être responsable. Et qu'en est-il si c’est la négligence de la personne à qui il a vendu la voiture qui a causé l’accident ? »
Le scientifique a déclaré que le projet de loi, tel que remanié, porte encore la marque du mouvement anti-OGM dans bon nombre de dispositions.
Arthur Makara, commissaire chargé de la sensibilisation au Ministère des Sciences, de la Technologie et de l'Innovation, a déclaré que la clause de responsabilité stricte devrait être réservée aux situations considérées comme « intrinsèquement dangereuses », ce qui n'est pas le cas de la biotechnologie.
« Chaque nouvelle variété doit passer par un processus approfondi avant de pouvoir être distribuée aux agriculteurs pour utilisation. Elle doit être évaluée par le comité national de biosécurité et déclarée sûre. Je ne connais pas la raison pour laquelle certaines personnes ne font pas confiance à la science », a déclaré Makara, qui était auparavant directeur exécutif de la Science Foundation for Livelihoods and Development (fondation pour la science pour les moyens de subsistance et le développement).
Makara a déclaré que la clause était inutile. Et dans tous les cas, le gouvernement serait responsable, car la majorité des scientifiques en biotechnologie sont affiliés à des organisations publiques.
« En fin de compte, le gouvernement se rend lui-même responsable. C’est-à-dire si un scientifique souhaite poursuivre ses recherches dans un tel environnement », a déclaré Makara.
Fred Kyakulaga, président du comité parlementaire de la science, de la technologie et de l'innovation, a déclaré que la clause de responsabilité stricte permettrait aux chercheurs de rester à la pointe de la technologie. Elle accordera également la priorité à la sécurité, a-t-il déclaré, parce que la clause les rend responsables si « intentionnellement ou non », ils provoquent une anomalie.
Lorsque Museveni a renvoyé le projet de loi sur la biosécurité au Parlement en décembre 2017, il avait évoqué des problèmes liés à son titre, aux droits des agriculteurs autochtones sur les brevets et aux sanctions imposées aux scientifiques qui mélangent des OGM à des plantes ou à des animaux indigènes. Le Président a également demandé la création d’une banque de gènes, une sorte d'« arche de Noé » destinée à conserver toutes les semences indigènes, affirmant que « les semences GM ne devraient jamais être mélangées au hasard avec nos semences indigènes au cas où elles auraient un problème ».
Elioda Tumwesigye, Ministre de la Science, de la Technologie et de l’Innovation, a déclaré que le comité parlementaire sur la science, la technologie et l’innovation avait procédé à de longues consultations pour répondre aux préoccupations de Museveni, ce qui avait abouti au titre « plus spécifique » du projet de loi et à des articles supplémentaires.
« Nous ne voulions pas compromettre la sécurité », a déclaré le ministre en expliquant la raison des clauses appelées inhibitrices par les scientifiques.
Il a également déclaré que le projet de loi révisé proposait la mise en place d'une autorité compétente, qui garantira la sécurité de toutes les variétés génétiquement modifiées développées dans le pays.
Le plan initial consistait à placer cette autorité compétente sous l'égide du Ministère de la Science, de la Technologie et de l'Innovation. Mais cela a été révisé dans le nouveau projet de loi, laissant à Museveni le pouvoir discrétionnaire de déterminer qui contrôlera l'autorité.
Kyakulaga a expliqué à la Chambre que le Ministère de l'Agriculture disposait déjà d'une banque de semences que le pays n'avait qu'à améliorer pour préserver les variétés indigènes.
En ce qui concerne les droits de brevet, il a dit que le pays dispose déjà de protocoles et de lois régissant le partage des ressources génétiques.
Grâce à ces modifications, le comité et le ministre espèrent que le président promulguera la loi cette fois-ci.
Le retard pris dans la mise en place d’un environnement politique a empêché la diffusion des plantes GM développées et testées par des scientifiques locaux et jugées pertinentes pour l’agriculture ougandaise. Celles-ci incluent une banane bio-fortifiée riche en vitamine A et une autre résistante au flétrissement bactérien. Ils ont également produit un manioc résistant aux maladies de la strie brune et de la mosaïque, une pomme de terre résistante au mildiou et un maïs pouvant tolérer la sécheresse et résister à des insectes nuisibles, comme la légionnaire d'automne.
Les manœuvres politiques ont été particulièrement défavorables aux millions d'agriculteurs qui recherchent des variétés de plantes améliorées présentant des caractéristiques telles que la résistance à des maladies et la tolérance à la sécheresse, mais ne peuvent y accéder tant que le pays ne disposera pas d'un cadre juridique pour réglementer le secteur.
Humphrey Mutaasa, directeur des partenariats à l’Uganda National Farmers' Association (UFFE – association nationale ougandaise des agriculteurs), a déclaré le mois dernier qu’il était regrettable que des personnes occupant des postes clés ne soient toujours pas intéressées par la science et par ce qu’elle peut accomplir.
« Ceux qui détiennent le pouvoir politique doivent mettre une sourdine à leur ego et écouter les scientifiques pour qu'ils puissent comprendre le projet de loi et ce qu'il cherche à réglementer », a-t-il déclaré.
Mais Tumwesigye a déclaré que le vote du Parlement était un pas dans la bonne direction.
* Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2018/11/ugandan-scientists-skeptical-revised-gmo-bill/
http://seppi.over-blog.com/2019/01/les-scientifiques-ougandais-sceptiques-quant-au-projet-de-loi-revisee-sur-les-ogm.html
OGMs : mise au point au sujet du maïs
RépondreSupprimerle 14 janvier 2019
Alors que 19 pays européens se plient aux injonctions de l’administration de Bruxelles et du Parlement européen de Strasbourg notoirement rongés de l’intérieur par les lobbys écologistes les plus radicaux du monde en ce qui concerne la culture des plantes génétiquement modifiés, mais aussi dans bien d’autres domaines, il est nécessaire de rappeler la réalité en ce qui concerne les OGMs et plus particulièrement le maïs. Voici les faits près de 35 ans après l’introduction commerciale en 1996 des plantes transgéniques par la société Monsanto – mais bien d’autres entreprises suivront – Monsanto qui a focalisé les récriminations infondées de ces activistes ignorants des subtilités biologiques ayant conduit à la création de ces plantes transgéniques de grande culture. Depuis leur introduction en 1996 les plantes génétiquement modifiées ont été adoptées par de nombreux pays devenant la biotechnologie la plus rapidement adoptée dans le monde. Leur culture est passée de 1,7 millions d’hectare au début de 1997 à 185 millions d’hectares en 2016 représentant 12 % de la production globale agricole, la moitié se trouvant dans les pays développés. En 2016 les différents traits introduits par transgénèse dans les principales cultures concernées – soja, maïs, colza et coton – sont la tolérance aux herbicides, 96 millions d’hectares soit 53 % des surfaces cultivées avec des plantes transgéniques, la résistance aux insectes : 25 millions d’hectares (14 % de cette surface cultivée) et ces deux traits combinés pour 58,5 millions d’hectares soit 33 % de la surface cultivée d’OGMs.
Malgré les milliers d’études réalisées et indépendantes des principaux producteurs de plantes transgéniques, il reste encore 38 pays dans le monde, dont 19 en Europe, qui ont officiellement interdit la culture de plantes génétiquement modifiées bien que ces pays n’aient pas prohibé l’importation d’aliments pour les êtres humains ou les animaux provenant de plantes elles-mêmes transgéniques, une situation pour le moins paradoxale. Le maïs, après le soja, est la seconde culture transgénique qui a fait l’objet du plus grand nombre d’études détaillées. Environ un tiers de la production de maïs dans le monde est d’origine transgénique. Il y a trente-trois millions d’hectares de maïs transgénique aux USA sur les 53 millions au total dans le monde soit un tiers de tout le maïs cultivé dans le monde sur 185 millions d’hectares. Le maïs transgénique a donc un bel avenir devant lui. Le chiffre d’affaire réalisé pour le seul maïs transgénique dans le monde est estimé à environ (2016) 8 milliards de dollars.
Depuis que les premiers maïs transgéniques ont été autorisés plus de 6000 publications scientifiques ont examiné en détail les avantages mais aussi les inconvénients de ces plantes. Il faut rappeler que dans la plus grande majorité des cas les semences de maïs commercialisées – transgéniques ou non – sont aujourd’hui des hybrides dits F1 qui permettent de combiner un trait génétique introduit et d’autres phénotypes permettant une optimisation des rendements ou une résistance à des conditions hydriques particulières. Les grands semenciers, souvent créateurs de ces plantes génétiquement modifiées, ont donc rendu captifs leurs clients c’est-à-dire les cultivateurs car sans ces hybrides de première génération ceux-ci ne seraient pas satisfaits économiquement des rendements des cultures.
Il existe selon une revue de ces 6000 publications pour la plus grande majorité conduites indépendamment des semenciers tels que Pioneer ou Monsanto des avantages ignorés des politiciens et des activistes écologistes qui ne cessent de décrier les plantes transgéniques. La résistance aux insectes ravageurs obtenue par l’introduction du gène codant pour la toxine Bt a permis, au delà d’une réduction considérable de l’épandage d’insecticides, de réduire presque totalement les risque d’apparition d’aflatoxines provoquées par des infections fongiques favorisées par la dégradation des grains par les insectes. Les risques de présence d’aflatoxines, des composés chimiques toxiques pour le foie et cancérigènes reconnus, sont diminués dans une proportion supérieure à 98 % par rapport à des plantes non génétiquement modifiées même traitées avec des insecticides plusieurs fois au cours de la saison de croissance.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne strictement le coût et le rendement des récoltes de maïs peu d’études ont synthétisé l’ensemble des coûts ni établi de comparaisons détaillées avec des cultures identiques de cultivars non génétiquement modifiés. En effet, ce type d’étude est délicat car il est multi-factoriel. Ces études ont surtout consisté à comparer les rendements par hectare et il ressort que ces rendements oscillent autour de 18 % d’augmentation par rapport à des maïs transgéniques en comparaison de maïs conventionnels, plus précisément entre 5,6 et 24,5 % selon le type d’hybride concerné et dans des conditions de culture optimales. Pour les maïs génétiquement modifiés pour être résistants aux insectes (toxine Bt) l’amélioration est en général de 18 % également hormis les coûts des traitements à l’aide d’insecticides, les coûts des traitements chimiques n’ayant pas été pris en considération dans ces études.
Par contre tous ces travaux ont fait ressortir que les chutes de rendements des productions de maïs non génétiquement modifiés étaient généralement de 31 % par rapport aux maïs « Bt » et en moyenne de 10,5 % pour les maïs résistants aux herbicides, en l’occurence le glyphosate. Trente-et-un pour cent, économiquement parlant, c’est loin d’être négligeable mais encore une fois toutes ces études n’ont pas tenu compte des épandages répétés d’insecticides dans le cas des maïs non « Bt ».
Enfin une autre préoccupation des opposants aux plantes transgéniques concernait une modification de l’équilibre biologique des sols. Selon ces études il n’en est rien. Aucune modification significative des sols n’a pu être constatée ni aucun effet sur la fixation de carbone par les fanes de maïs laissées au champ. N’importe quel lecteur anglophone de mon blog peut se reporter à l’article dont il est fait référence dans ce billet et qui est libre d’accès :
Scientific Reports doi : 10.1038/s41598-018-21284-2
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/01/14/ogms-mise-au-point-au-sujet-du-mais/
RépondreSupprimer9/11 en procès
Par W.M. Peterson
Nouvelles naturelles
14 janvier 2019
Au cours des 17 dernières années, un grand nombre de personnes qui ont examiné de près les événements du 11 septembre 2001 ont conclu que l’histoire officielle du gouvernement qui nous a été présentée ne peut tout simplement pas être vraie. Parmi ces personnes figurent des milliers d'architectes et d'ingénieurs, de professeurs d'université, de premiers intervenants, de pilotes et de nombreux autres. Malgré l’éminence de bon nombre de ces autorités, les principaux médias - quand ils ne leur offrent pas un traitement silencieux trop prévisible - continuent de calomnier ces érudits et de les qualifier de «théoriciens du complot fantasmagorique» occupant les confins de notre société. Tout cela semble cependant.
Après tant d’années ignorées par le grand public, les travaux de groupes tels que Architects and Engineers for 9/11 Truth, Scholars for 9/11 Truth, Firefighters for 9/11 Truth et Pilots for 9/11 Truth; et le travail de personnes comme le théologien David Ray Griffin et d’autres, pourrait enfin rapporter beaucoup. La Commission des juristes pour l'enquête sur le 11/9, ainsi que plus d'une douzaine de membres de la famille du 11/9, ont présenté au procureur américain du district sud de New York un important ensemble de preuves pour étayer leur thèse selon laquelle les bâtiments du World Trade Center n'ont pu être détruits que de la manière qu'ils utilisaient avec des engins explosifs. En raison de la preuve présentée, le procureur américain Geoffrey Berman de Manhattan, dans l'État de New York, s'est conformé aux dispositions de la loi fédérale n ° 18 du § 3332 et a ordonné la convocation d'un grand jury fédéral chargé d'enquêter sur les attentats du 11 septembre. C’est en effet un événement historique qui se fait attendre depuis longtemps.
Nous ne pouvons qu'espérer que la justice prévaudra et que les citoyens de ce pays acquièrent enfin une meilleure compréhension de l'événement marquant qui a été l'unique raison de l'implication de l'Amérique dans d'innombrables guerres illégales au Moyen-Orient et de la mise en place d'un État policier. ici à la maison. Même à l'heure actuelle, avant que le grand jury ait entendu un témoignage ou examiné une preuve, des progrès ont déjà été accomplis dans ce sens. Pour citer Paul Craig Roberts, ancien sous-secrétaire au Trésor sous le gouvernement Reagan: «Ce que les défenseurs du 11 septembre et le comité des avocats ont [déjà] accompli, c’est la destruction de la désignation des sceptiques du 11 septembre en tant que« théoriciens du complot ». ”Aucun avocat américain ne convoquerait un grand jury sur la base d'une théorie du complot. De toute évidence, les preuves sont convaincantes qui ont placé le procureur américain dans une position peu enviable. "
https://www.lewrockwell.com/2019/01/no_author/9-11-on-trial/
Il ne faut pourtant pas être sorti de 'grandes écoles' pour comprendre qu'un avion en aluminium NE PEUT PAS couper des poutres verticales d'acier ni défoncer des murs !
Supprimer'Pire' la tour n°7 qui s'est effondré de rire faute d'arrivée d'avion !
RépondreSupprimerLes prix de l'électricité sont peut-être la chose la plus chaude chez SA et Victoria demain
January 14th, 2019
Des millions de dollars brûleront d'électricité demain
Avec des journées d'été chaudes et normales attendues demain, des hausses de prix sont prévues.
C’est pas si chaud
Ce sont des journées chaudes, mais pas inhabituelles pour les capitales - Adélaïde devrait être à 41 ° C, les autres capitales sont apprivoisées: Melbourne 33, Canberra 39 et Sydney 30. Bien que les petites villes de l’intérieur du pays cuisent à la manière d’Albury à 44 ° C.
Australie du Sud pourrait brûler 36 millions de dollars l'heure
Pour l'Australie-Méridionale demain, l'AEMO prévoit que l'État aura besoin de 2 800 MW pendant 2,5 heures à 12 000 $ / MWh. Cela pourrait être 35 millions de dollars par heure. Notez que les prévisions en électricité varient souvent beaucoup des chiffres réels. Examiner le volume de trésorerie offert (du point de vue des producteurs) apportera vraisemblablement une offre supplémentaire et fera baisser ce prix.
- voir graphique sur site -
Coût de l'électricité en SA, pointes, janvier 2019
Prix prévu pour le 15 janvier 2019 | AEMO
Pour Victoria, les choses sont encore pires
L'AEMO prévoit que 9 000 MW seront nécessaires à 14 500 $ / MWh pendant 3 heures. C’est 130 millions de dollars par heure. En théorie, ce serait un montant obscène de 390 millions de dollars rien que pour alimenter l’État entre 15 et 18 heures. Assez pour acheter une centrale électrique au gaz et la laisser rester toute l'année en attente de pics.
- voir graphique sur site -
CIV, coût de l'électricité, pointes, janvier 2019
Prix prévu pour le 15 janvier 2019 | AEMO
Pour ces heures de pointe, si elle atteint le plafonnement des prix, les prix des pointes seraient 400 fois plus chers que ceux du lignite. Les mêmes 400 millions de dollars pourraient théoriquement alimenter l’État pendant 50 jours sans interruption en électricité à partir de centrales au lignite telles que la centrale de Hazelwood (si seulement elles ne l’avaient pas fermée). Bien que les prix de pointe en plein été soient normalement plus élevés, ce n'est pas une comparaison de pommes à pommes. Remarque également: il s’agit de prix au comptant en gros - il existe d’autres frais, tels que le FCAS, qui pourraient augmenter également demain. Nous ne comptons même pas cela.
Cela semble bizarre, mais une vague de chaleur de deux jours l’an dernier a coûté 400 millions de dollars à SA et à Vic.
Cette semaine pourrait-elle être la canicule 2019 ?
L'AEMO a émis un avertissement LOR (Manque de réserve) - 2e année pour Victoria
Il y a une prévision LOR2 pour Victoria en place pour le moment. L'AEMO indique que la réserve disponible devrait s'élever à 658 MW, mais que 978 MW sont nécessaires. Cela fait 300 MW de moins. Si le prix est correct (et qu'il ne pourrait pas en être plus «correct» sans enfreindre la loi), il y aura probablement une nouvelle génération. Les chiffres de disponibilité et de demande peuvent danser beaucoup. Cet après-midi, l’AEMO a publié deux mises à jour et curieusement, la situation s’est aggravée à chaque mise à jour, pas meilleure.
Mais bon, il y aura peut-être plus de vent que prévu, et tout ira bien.
http://joannenova.com.au/2019/01/millions-of-dollars-burning-on-electricity-tomorrow/
Le changement climatique provoque trois mètres de neige en deux jours et des avalanches en Europe
RépondreSupprimer15 janvier 2019
On le sait mal, mais de la même manière que le changement climatique provoque chaque week-end chaud, il provoque également des décharges de neige, des avalanches et des conditions météorologiques exceptionnelles. Le lien scientifique est tout aussi fort et calculé de la même manière. Effectuez une corrélation croisée tendancielle sur des hypothèses saisonnières en liberté, puis versez de la vodka dans le Cray.
Si seulement les Allemands avaient construit plus d'éoliennes, ils auraient pu arrêter cela.
Chaos dans les stations de ski, personnes piégées, route fermée, vols annulés
Dans certaines régions du pays, trois mètres de neige sont tombés en l'espace de 48 heures et on prévoit la chute de plus d'un mètre aujourd'hui et demain. - The Times (paywalled)
Une neige abondante a paralysé une grande partie de l'Europe pendant encore un jour, coupant les villages de montagne, provoquant des avalanches comme celle qui s'est écrasée dans un hôtel suisse et faisant au moins quatre morts.
Au moins 21 décès liés aux conditions météorologiques ont été signalés en Europe au cours des 10 derniers jours.
-ABC
Avec trois millions de dollars à dépenser aujourd’hui (comme chaque jour), l’ABC a trouvé de jolies photos de trucs blancs sur des moutons en peluche et des scooters sur le thème de la mort. Agréable.
Il y a un danger d'avalanche, des routes bloquées et des inondations dans le sud de l'Allemagne.
La bête de l'est revient en Grande-Bretagne
Le Royaume-Uni se dirige vers le week-end le plus froid de l'année - The Express
Une quantité d'air amer viendra de l'Arctique, poussant les températures à des températures glaciales ou inférieures dans tout le pays au cours des 48 prochaines heures.
L’Écosse, le nord de l’Angleterre et même des régions plus au sud sont à l’affût des averses de fin d’année vers la fin de la semaine et le week-end.
Ce pourrait être la première chute de neige généralisée depuis que la Bête de l'Est a presque paralysé le Royaume-Uni l'hiver dernier.
Les militants ont réitéré leurs appels pour que les personnes âgées et vulnérables prennent des précautions supplémentaires par temps froid.
L’explosion de week-end pourrait être liée au réchauffement stratosphérique soudain apparu en décembre. Les températures montèrent soudainement au-dessus de l'Arctique bien au-dessus des jets d'eau. Souvent, les températures froides à la surface semblent s’apparaître deux semaines plus tard environ.
Le souffle de l'hiver au-dessus du pôle Nord provoquera probablement une explosion hivernale prolongée, ce qui favorisera un flux d'air plus froid au Royaume-Uni.
Le soi-disant réchauffement stratosphérique soudain (SSW), qui a été à l’origine de la chute de neige paralysante de l’année dernière, a débuté fin décembre.
Les États-Unis ont leur propre tempête hivernale.
Meilleurs voeux à nos amis de l'hémisphère nord.
h / t en GWPF
http://joannenova.com.au/2019/01/climate-change-causes-three-meters-of-snow-in-two-days-avalaches-in-europe/
11 janvier - Le monde est enveloppé dans la neige. Les fortes chutes de neige se poursuivent en Europe, au Canada, aux États-Unis et au Japon
RépondreSupprimerSott.net
ven., 11 jan. 2019 23:14 UTC
Parts of Austria buried in deep snow - more on the way!
Certaines parties de l'Autriche ensevelies sous la neige - et d'autres sur le même chemin !
- voir photos sur site -
ÉTATS-UNIS
Ce fut une assez bonne paire de semaines dans les états de l'ouest des États-Unis avec des chutes de neige régulières dans les stations du nord-ouest du Pacifique, de l'Utah, du Wyoming et du Colorado. Le week-end dernier, les Sierras californiennes ont connu de grosses chutes de neige, les stations de Tahoe et Mammoth ont reçu d'énormes quantités de neige, Squaw Valley a reçu 122 cm de neige sur la haute montagne en deux jours samedi et dimanche derniers, alors que les remontées mécaniques supérieures étaient parfois arrétées. Mammoth a également reçu la cargaison avec un solide 167 cm au Sommet en une semaine, portant le total de la saison des Sommets à 4,8 mètres.
Il y a aussi eu de bonnes chutes à Jackson Hole qui a reçu 64cms du 5 au 7 janvier et selon toutes les informations, la neige était du classique Jackson "Cowboy Powder". L'Utah n'est pas en reste, Brighton et Snowbasin ont ramassé de 25 à 30 cm en une nuit le 6 janvier.
- voir photos sur site -
Le panneau au sommet de Mammoth aujourd'hui. 4,9m de neige accumulée.
Au Colorado, la plupart des stations ont enregistré des totaux de neige décents à la fin de semaine dernière et après une pause au cours des deux ou trois derniers jours, il semble que le Colorado aura encore plus de neige avant la fin de semaine. Une autre tempête devrait frapper les Sierras la semaine prochaine, bien que celle-ci puisse être plus clémente, avec 60 à 90 cm de dénivelé sur les hautes montagnes mais il y aura parfois de la pluie et de la neige sur les pentes inférieures.
JAPON
Eh bien, le Japon a été un endroit formidable ces deux dernières semaines avec des chutes de neige ridiculement abondantes dans toutes les stations hôtelières. Myoko a vraiment été à la hauteur de sa réputation comme l'un des endroits les plus enneigés du Japon, recevant régulièrement 20 cm de plus que Hakuba ou Niseko. Notre journaliste des neiges Myoko, Joey Stanco, n'est pas du genre à faire de la surenchère, mais son reportage du mercredi 9 janvier, était révélateur de ce qui se passait :
"Mesdames et messieurs, la nature nous a bénis de sa présence - dans la ville d'Akakura/ Myoko, 85 cm de neige sont tombés cette nuit ! Aujourd'hui ce sera toute la journée ! Assurez-vous d'avoir votre équipement de glisse, vos lunettes de protection, votre Go Pro et votre tuba. "
Myoko on the morning of January 9 after 85cms overnight
Myoko le matin du 9 janvier après 85 cm tombés dans la nuit.
Hakuba et Niseko ne manquaient pas à l'appel, Niseko ayant reçu 110 cm la semaine dernière alors que Hakuba n'était pas loin derrière. Bien que tout le monde aime la neige poudreuse, beaucoup de gens étaient heureux de voir le soleil hier, en particulier à Niseko où il n'avait pas été vu depuis trois semaines. La météo s'attend à ce que le soleil brille à nouveau ce week-end avant le début de la prochaine tempête, avec des prévisions de neige mardi et mercredi prochains.
CANADA
RépondreSupprimerCe fut un bon mois à Whistler avec 125 cm de neige en plus la semaine dernière, portant le total de la saison à 681 cm et la base moyenne se situant à 280 cm. Les chutes de neige devraient se poursuivre avec 26 cm de plus au cours des quelques jours qui précèderont un ensoleillement au début de la semaine prochaine. Les centres de villégiature plus à l'intérieur des terres n'ont pas reçu les totaux que nous avons vus à Whistler et dans la chaîne Côtière, mais les centres de vacances de l'intérieur de la Colombie-Britannique se portent bien, Revelstoke ayant de bonnes conditions maintenant après 72 cm de neige la semaine dernière alors que Kicking Horse en a reçu 69 cm et sa base est maintenant à 176 cm.
Après des chutes irrégulières cette saison, la semaine dernière a vu de bonnes chutes de neige dans les centres de villégiature de Banff, Lake Louise ayant reçu 102 cm de neige en huit jours. Peu de neige dans les prévisions pour la semaine prochaine, mais il fera généralement froid avec des températures maximales à -14° au milieu de la semaine et des températures minimales jusqu'à -20°.
EUROPE
Comme nous l'avons rapporté dans notre communiqué du mercredi, la neige a été assez abondante en Autriche au cours des trois dernières semaines, particulièrement dans le nord où les chutes de neige ont été énormes avec parfois des conditions hivernales extrêmes. Bien qu'il y ait eu quelques jours de poudreuse spectaculaires dans certaines stations, le danger d'avalanche est très élevé ou extrême. Tragiquement, il y a eu un certain nombre d'avalanches mortelles et le danger a été porté au niveau 5 dans les régions de Salzburgerland, Oberosterreich (Haute Autriche) et Steiermark.
- voir photos sur site -
Des fissures se sont formées dans le manteau neigeux de 60 cm de Trieben, en Autriche, hier, le 10 janvier. Rapport : Stefan Gottstein
- voir photos sur site -
Koloman (Bez. Hallein), en Autriche, le 9 janvier. Rapport : Clemens Gatterbauer
- voir photos sur site -
Neige épaisse à Gams bei Hieflau, Autriche hier, 10 janvier ! Rapport : Tanja Krenn
- voir photos sur site -
Grosse neige (amoncellements) à Weidenegg, Autriche hier, le 10 janvier. Rapport : Josef Lackner
Alors que l'Autriche et les stations balnéaires de l'est de la Suisse ont eu beaucoup de neige, les Alpes occidentales, l'Italie et les Pyrénées ont manqué de neige au cours des deux dernières semaines, avec une fracture est-ouest. Il s'agissait de miser sur les dameuses en France, mais il y avait enfin de la neige hier. On prévoit plus de neige en Autriche et dans les Alpes du Nord ce week-end, mais la bonne nouvelle est qu'il devrait également y avoir des chutes décentes pour les stations françaises, dont Chamonix qui pourrait recevoir de 30 à 40 cm.
Source : Reggae Elliss - Mountain Watch. Traduction Sott.net
https://fr.sott.net/article/33334-11-janvier-Le-monde-est-enveloppe-dans-la-neige-Les-fortes-chutes-de-neige-se-poursuivent-en-Europe-au-Canada-aux-Etats-Unis-et-au-Japon
LOS ANGELES - LA FOLLE SOIRÉE DES CRITICS' CHOICE AWARDS
RépondreSupprimerLa cérémonie s'est tenue dimanche à Santa Monica. Lady Gaga a gagné le prix de la Meilleure Actrice mais a dû le partager avec Glenn Close.
LE MATIN / COVER MEDIA
14.01.2019
«A Star Is Born», «Roma», et «Vice» ont été les coqueluches des Critics’ Choice Awards, qui se tenaient dimanche 13 janvier à Santa Monica, en Californie. «Roma» l’a emporté dans les catégories du Meilleur Film et du Meilleur Film dans une Langue Etrangère, tandis qu’Alfonso Cuaron, le réalisateur, a été distingué des récompenses de Meilleur Réalisateur et Meilleure Photographie.
«Vice» a vu Christian Bale recevoir les récompenses de Meilleur Acteur et Meilleur Acteur dans une comédie, tandis que «A Star Is Born» a permis à Lady Gaga de recevoir la distinction de meilleure chanson pour «Shallow» ainsi que la récompense de Meilleure Actrice. La chanteuse et actrice était émue quand elle est montée sur scène pour récupérer son trophée qu’elle partage avec Glenn Close, pour «The Wife». «Ma mère et Glenn sont très amies, donc je suis vraiment contente que tu gagnes ce soir», a-t-elle lancé, retenant ses larmes.
Mahershala Ali et Regina King ont aussi été récompensés, respectivement du Meilleur Second Rôle masculin et du Meilleur Second Rôle féminin, pour «Green Book» et «Si Beale Street pouvait parler».
Liste complète des récompenses:
Meilleur Film: «Roma»
RépondreSupprimerMeilleur Acteur: Christian Bale - «Vice »
Meilleure Actrice: Glenn Close - «The Wife» & Lady Gaga - «A Star Is Born »
Meilleur Second Rôle masculin: Mahershala Ali - «Green Book »
Meilleur Second rôle féminin: «Regina King – Si Beale Street pouvait parler»
Meilleur Espoir: Elsie Fisher - «Eighth Grade»
Meilleur Casting: «La favorite»
Meilleur Réalisateur: Alfonso Cuaron - «Roma»
Meilleur Scénario original: Paul Schrader – «Sur le chemin de la rédemption»
Meilleure Adaptation: Barry Jenkins – «Si Beale Street pouvait parler»
Meilleure Photographie: Alfonso Cuaron - «Roma»
Meilleure Production: Hannah Beachler, Jay Hart - «Black Panther»
Meilleur Montage: Tom Cross - «First Man: le premier homme sur la lune »
Meilleurs Costumes: Ruth Carter - «Black Panther»
Meilleures Coiffures et Maquillages: «Vice »
Meilleurs Effets Spéciaux: «Black Panther»
Meilleur Film animé: «Spider-Man: Into the Spider-Verse»
Meilleur Film d’action: «Mission: Impossible - Fallout »
Meilleure Comédie: «Crazy Rich Asians»
Meilleur Acteur dans une comédie: Christian Bale - «Vice »
Meilleure Actrice dans une comédie: Olivia Colman – «La favorite»
Meilleur Film de science-fiction ou d’horreur: «Sans un bruit»
Meilleur Film dans une langue étrangère: «Roma»
Meilleure Chanson: «Shallow» - «A Star Is Born »
Meilleure Bande originale: Justin Hurwitz - «First Man: le premier homme sur la Lune»
Meilleure Série dramatique: «The Americans »
Meilleur Acteur dans une série dramatique: Matthew Rhys - «The Americans »
Meilleure Actrice dans une série dramatique: Sandra Oh - «Killing Eve»
Meilleur second rôle masculin dans une série dramatique: Noah Emmerich - «The Americans»
Meilleur Second rôle féminin dans une série dramatique: Thandie Newton - «Westworld»
Meilleure Série comique: «Mme Maisel, femme fabuleuse»
Meilleur Acteur dans une série comique: Bill Hader - «Barry»
Meilleure Actrice dans une série comique: Rachel Brosnahan – «Mme Maisel, femme fabuleuse»
Meilleur Second Rôle masculin dans une série comique: Henry Winkler - «Barry»
Meilleur Second rôle féminin dans une série comique: Alex Borstein - «Mme Maisel, femme fabuleuse»
Meilleure Série: «The Assassination of Gianni Versace: American Crime Story»
Meilleur Téléfilm: «Jesus Christ Superstar Live in Concert»
Meilleur Acteur dans une série ou un téléfilm: Darren Criss - «The Assassination of Gianni Versace: American Crime Story»
Meilleure Actrice dans une série ou un téléfilm: Amy Adams - «Sharp Objects» & Patricia Arquette - «Escape at Dannemora»
Meilleur Second Rôle dans une série ou un téléfilm: Ben Whishaw - «A Very English Scandal»
Meilleur Second Rôle féminin dans une série ou un téléfilm: Patricia Clarkson - «Sharp Objects»
Meilleure série animée: «BoJack Horseman»
#SEEHER AWARD: Claire Foy
Critic's Choice Creative Achievement Award: Chuck Lorre (Le Matin)
https://www.lematin.ch/people/folle-soiree-critics-choice-awards/story/23604010
RépondreSupprimerPour l’acte 9, des CRS armés de fusils d’assaut semi-automatiques HK G36 (images)
15:55 14.01.2019
Juste après que les propos de Luc Ferry sur le recours aux armes ont provoqué une vague de critiques, certains CRS ont été repérés pour la première fois depuis le début du mouvement avec des fusils d’assaut automatiques HK G36 à l’acte 9 des Gilets jaunes. «On est en France?», s’interrogent des internautes.
Pour la première fois depuis le début de la crise des Gilets jaunes, des CRS étaient armés du modèle dernier cri de fusil d'assaut automatique HK G36, comme en témoignent de nombreuses images postées sur la Toile. Les autorités n'avaient ni nié ni confirmé les informations sur l'utilisation de ce type d'armes pendant les dernières manifestations.
- voir photos sur site -
Un tweet précise qu'il s'agit d'un fusil d'assaut de type HK (Heckler & Koch) G36, dont les forces de l'ordre ont été dotées depuis les attentats du 13 novembre 2015.
De plus, des CRS avaient été repérés du côté de l'Arc de Triomphe avec ce fusil d'assaut, non loin de véhicules blindés.
Sur la Toile, des internautes s'inquiètent que cette décision d'armer les CRS avec des fusils d'assaut fasse suite aux propos de l'ancien ministre Luc Ferry, qui avait appelé à recourir aux armes contre les Gilets jaunes.
Le 1er décembre, au premier acte des Gilets jaunes de l'année, un fusil d'assaut de ce type avait été volé aux CRS.
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039632754-crs-fusil-assaut-hk-g36-acte-9-gilets-jaunes/
SupprimerQuand des personnes ont un fusil d'assaut de type HK (Heckler & Koch) G36: c'est pour tuer !
Une pression de gâchette et c'est 200 personnes tuées.
Les ordres d'assassiner des personnes non armées ne peuvent venir que d'un psychopathe qui veut éliminer 65 millions de personnes en France !
RépondreSupprimerDes gendarmes refusent un dépôt de plainte contre Luc Ferry car ils s'en «foutent» (vidéo)
15:46 14.01.2019
Une vidéo est apparue sur Twitter, où un homme se rend au commissariat pour déposer une plainte contre Luc Ferry, qui avait appelé à tirer sur les Gilets jaunes. Toutefois, les agents lui répondent d’écrire un courrier au procureur de la République, et qu’ils «s’en foutent».
En plus de déclencher un outrage public, les propos de l'ancien ministre de l'Éducation nationale Luc Ferry —sur le recours aux armes face aux manifestations des Gilets jaunes- ont fait réagir certains.
Un internaute a publié une vidéo, tournée à l'insu des principaux protagonistes, dans laquelle il se déplace dans un commissariat pour porter plainte contre l'ex-ministre. Or, déposer une plainte contre Luc Ferry «c'est compliqué», déclare dans la vidéo le fonctionnaire.
«Qu'est-ce qu'il a fait ?», s'interroge un responsable.
L'auteur de la vidéo explique que l'ancien ministre a demandé de tirer à balle réelle sur les Gilets jaunes lors de leurs manifestations.
«Je vous conseille de faire un courrier au procureur de la République à ce moment-là», répond le fonctionnaire.
«Vous vous en foutez, hein ?», demande l'auteur de la vidéo, avant de recevoir une réponse immédiate «Ouais». Puis, réinterrogé de nouveau, le fonctionnaire répond par l'affirmative et un hochement de tête.
- «Vous vous en foutez carrément ?»
- «Ouais».
Aucun autre détail —ni le nom de l'auteur de la vidéo, ni le nom du commissariat- n'est donné.
- voir clip sur site -
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039632337-gendarmes-crs-luc-ferry-plainte/
Le Gilet jaune blessé à la tête par un flashball durant l’acte 9 est dans le coma (vidéos)
RépondreSupprimer14:24 14.01.2019
Un homme a été blessé à la tête suite à un tir de flash-ball dans le dos, à Bordeaux, en marge de l’acte neuf des Gilets jaunes. Pompier, marié et père de trois enfants, il a été opéré d’une hémorragie cérébrale mais se trouve toujours plongé en coma artificiel, a annoncé sur Twitter l'écrivain français David Dufresne, citant l’épouse du blessé.
Un Gilet jaune a été blessé à la tête par un tir de flash-ball samedi à Bordeaux lors d'une manifestation. Les vidéos le montrant à terre et la tête en sang ont auparavant fait le tour des réseaux sociaux.
Il s'est avéré qu'il s'agissait d'un pompier de Bazas, marié et père de trois enfants. Suite à l'accident il a été transféré à l'hôpital et plongé dans un coma artificiel, a annoncé sur son compte Twitter l'écrivain et le réalisateur français David Dufresne.
Il a été ensuite opéré d'une hémorragie cérébrale, l'opération s'est bien passée, a poursuivi M.Dufresne, citant l'épouse du Gilet jaune en question.
Les médecins envisagent de réveiller le blessé dont le «pronostic vital est engagé», lit-on sur la page Twitter de l'auteur.
«Courage à sa famille. (…) Halte aux violences policières !», conclut son message.
Sur une vidéo postée sur le réseau social par d'autres utilisateurs, on peut notamment observer le moment où le Gilet jaune a été blessé samedi, à Bordeaux.
Alors qu'il essayait de partir, une personne lui a tiré un coup de flash-ball suivi, quelques secondes plus tard, du lancer d'une grenade dans le dos du manifestant.
D'autres séquences montrent le Gilet jaune assis par terre déjà blessé et avec la tête qui saigne.
Auparavant, d'autres blessés touchés par un lanceur de balle de défense (LBD) avaient été signalés en marge des manifestations des Gilets jaunes à Nantes, Toulouse et Paris.
Le neuvième acte des manifestations des Gilets jaunes se déroule ce samedi à Paris, ainsi que dans d'autres villes françaises. 129 personnes ont été interpellées dans la capitale et 74 d'entre elles placées en garde à vue. D'après le ministre français de l'Intérieur, la mobilisation a rassemblé environ 84.000 personnes à travers la France. Le mouvement des Gilets jaunes est en hausse par rapport aux dernières semaines. Le 5 janvier, l'acte 8 avait rassemblé 50.000 manifestants et 32.000 le 29 décembre lors de l'acte 7, avait déclaré le ministre Christophe Castaner.
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039629237-gilet-jaune-blesse-tete-flashball/
Des images d’une vielle dame touchée par un flashball à Nîmes secouent la Toile (vidéo)
RépondreSupprimer18:21 14.01.2019
Une vieille dame aurait reçu un tir de flashball en pleine tête en marge de l'acte 9 des Gilets jaunes à Nîmes. Une vidéo choc montrant des secouristes soigner la femme a été diffusée sur la Toile.
Une vidéo montrant des secouristes improvisés en train d'apporter les premiers soins à une femme atteinte par un tir de flashball en marge d'une manifestation des Gilets jaunes a fait le tour des réseaux sociaux:
Les images en question auraient été prises en marge de l'acte 9 des Gilets jaunes à Nîmes. Sur l'enregistrement, on voit une femme ensanglantée aux cheveux gris qui ne bouge pratiquement pas tandis que les personnes venues à son secours lui nettoient le visage et tentent d'arrêter l'effusion de sang.
La vidéo a suscité l'indignation des internautes qui expriment leur soutien à la victime du tir ainsi qu'à ses secouristes:
Début décembre 2018, une femme de 80 ans était morte à Marseille en marge des incidents ayant émaillé la manifestation des Gilets jaunes. L'octogénaire a reçu une grenade lacrymogène en pleine tête en allant fermer le volet de sa fenêtre avant de succomber à ses blessures à l'hôpital.
https://fr.sputniknews.com/france/201901141039634859-gilets-jaunes-nimes-flashball-femme/
La nazional socialiste en marche !
SupprimerReconnaissance faciale, pour le meilleur… et pour le pire
RépondreSupprimer18:25 14.01.2019
Mike Beuve
Déverrouiller son téléphone grâce à son visage, payer en faisant un selfie, analyser une photographie pour déceler une maladie rare, tout cela est possible avec la reconnaissance faciale. Si cette technologie présente de nombreux avantages, des États pourraient être tentés de l’utiliser pour des raisons de sécurité, voire à des fins liberticides.
La reconnaissance faciale est en passe d'envahir notre quotidien pour le meilleur et pour le pire. Signe de cette omniprésence, le CES de Las Vegas 2019 (plus grand salon high-tech au monde) qui a vu la présentation d'un bon nombre de produits utilisant la reconnaissance faciale. Si cette technologie est autant plébiscitée, c'est qu'elle peut simplifier la vie de milliers de personne. On pense notamment au système Parafe (Passage automatisé rapide aux frontières extérieures) dans certains aéroports, à la face ID développé par Apple qui permet de déverrouiller son téléphone avec son visage ou encore au nouveau service de paiement par selfie développé par VisionLabs et SWiP (système de paiement russe). Par ailleurs, outre l'aspect pratique, la reconnaissance faciale peut revêtir un caractère vital. En effet, l'application Face2Gene, qui a récemment vu le jour, permet de détecter des maladies rares simplement en analysant une photographie.
Payer ses achats par selfie est désormais possible en Russie
Pourtant, une utilisation de cette technologie à mauvais escient peut devenir liberticide. C'est ainsi que la Chine surveille par exemple la communauté musulmane Ouïghour et d'autres régimes autocratiques pourraient bien être tentés de recourir à la reconnaissance faciale pour tracer les mouvements de leurs opposants politiques. À ce titre, le directeur juridique de Microsoft, Bradford L. Smith, a rédigé une tribune, appelant les États a règlementé son utilisation: «Imaginez un gouvernement suivant à la trace chacun de vos déplacements au cours du dernier mois, sans votre permission ou sans que vous ne le sachiez. […] Imaginez une base de données de toutes les personnes ayant assisté à un rassemblement politique», explique Bradford Smith. Selon lui, «Nous vivons dans une nation de lois, et le gouvernement doit jouer un rôle important dans la réglementation. Un monde avec une réglementation vigoureuse des produits qui sont utiles mais potentiellement "troublants" est mieux qu'un monde dépourvu de normes juridiques.» Me Thierry Vallat, avocat spécialisé en droit du numérique, interrogé par Sputnik France, partage les craintes du directeur juridique de Microsoft.
«On voit des intrusions de plus en plus importantes, de plus en plus ciblées qui impactent nos libertés individuelles et notre liberté de mouvement. Si vous êtes dans une foule, vous êtes dans une ville et qu'une caméra de surveillance couplée avec un système de reconnaissance faciale vous détecte, que vos faits et gestes sont connus de tout le monde, il y a lieu de s'inquiéter sur les utilisations que pourraient être faites de manière plus ou moins compatibles avec nos libertés individuelles par les administrations ou les institutions gouvernementales.»
Les algorithmes des logiciels de reconnaissance faciale étant paramétrés par les humains, les risques de dérives sont donc possibles.
«Les critères impossibles à utiliser sont les critères de race, de sexe, après tout dépend de ce que l'on veut faire mais en principe la seule chose qui peut être utilisée ce sont des critères objectifs, qui sont les points de reconnaissances du visage », rappelle l'avocat.
Une ligne rouge vient pourtant d'être franchie, selon Me Thierry Vallat, avec l'expérimentation du projet-pilote «iBorderCtrl» aux frontières hongroises, grecques et lettones. Ce nouveau système d'intelligence artificielle, testé pendant 6 mois, permettra d'assister les agents lors des contrôles à l'immigration en analysant les réactions faciales pour déterminer si les passagers en transit mentent. Les questions posées seront personnalisées en fonction du genre, de l'apparence ethnique et de la langue des voyageurs. Ce système ne pourra être utilisé que sur les ressortissants non-européens consentants.
RépondreSupprimer«Il est totalement, selon moi, hors de question de pouvoir utiliser des considérations raciales, ou de provenances ethniques ou de pays pour nourrir une IA qui va ensuite sur la base de je ne sais quel algorithme va pouvoir interpréter votre caractère criminogène potentiel, on est un petit peu dans minority report, une espèce de justice prédictive très dangereuse » déclare l'avocat.
Faut-il mettre en place une nouvelle législation pour encadrer la reconnaissance faciale et se prémunir des dérives potentielles liées à celle-ci ? Selon Me Thierry Vallat, «des organismes comme la CNIL doivent, bien évidemment, être associés. Il est tout à fait indispensable que tout cela soit fait sous contrôle.» Néanmoins, pour l'avocat spécialisé en droit numérique, l'arsenal juridique existe déjà.
«Ce n'est pas tellement un problème de remettre une loi, un décret ou une directive au niveau européen. Aujourd'hui, on a un certain nombre de textes qui régissent tous ces problèmes encore faut-il les appliquer, encore faut-il que les citoyens soient également prévenus que leurs données sont utilisées, qu'ils sont " traqués "».
Sans garde-fous, les libertés individuelles et les données personnelles pourraient être «sacrifiées sur l'autel de la surveillance et de tous les problèmes de sécurité qui existent malheureusement aujourd'hui avec les menaces notamment terroristes», déplore Me Thierry Vallat.
Au-delà de l'aspect sécuritaire, la reconnaissance faciale peut s'avérer particulièrement intéressante en terme de coût. Dans le sud de la France, des lycées souhaitent remplacer les surveillants à l'entrée principale afin de détecter les élèves étrangers à l'établissement grâce à un portique de sécurité équipé d'un logiciel de reconnaissance faciale.
«C'est plus facile d'utilisation que les surveillants et c'est surtout moins cher. On essaie d'évacuer l'élément humain le plus possible parce qu'il est salarié, il peut être malade, il peut se mettre en grève. La reconnaissance faciale, elle, une fois qu'elle est installée et amortie, il n'y a pas de problème, elle fonctionne tous les jours de l'année» conclut Me Thierry Vallat.
https://fr.sputniknews.com/societe/201901141039631911-reconnaissance-faciale-avantages-et-possibles-derives/
L'ancien PDG de PG & E va collecter des millions de dollars en espèces alors que les services publics déposent leur bilan
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 14/01/2019 - 12:14
Avec la deuxième faillite de PG & E, les actionnaires et les détenteurs d’obligations s’attendent à des pertes énormes ...
… alors que quelque 16 millions de résidents californiens sont sur le point de payer des prix de l'électricité nettement plus élevés, tous ne souffrent pas: selon Bloomberg, l'ancienne PDG de l'entreprise, Geisha Williams, qui a soudainement quitté le navire en perdition quelques heures à peine avant de notifier les travailleurs pour la faillite en quelques semaines, est sur le point de partir avec des millions en espèces.
Durant le bref mandat de deux ans de Williams 57, l'entreprise de services publics basée à San Francisco a accumulé plus de 30 milliards de dollars de passifs potentiels liés aux incendies de forêt. Et maintenant, Williams est sur le point de gagner beaucoup d’argent alors même qu’elle quitte son ancienne compagnie en flammes, pour ainsi dire.
Lundi, PG & E a confirmé que Williams toucherait une indemnité de départ et qu'elle se situerait probablement entre 2,36 et 4,46 millions de dollars, selon la catégorisation de son départ. L'ancien PDG dispose également de 3,1 millions de dollars de prestations de retraite qui pourraient changer si la société se présentait devant un tribunal de la faillite. En 2017, elle a reçu 8,6 millions de dollars en 2017, principalement des attributions d'actions (le montant des rachetées que la société a rachetées pour renforcer artificiellement la rémunération incitative de la direction n'était pas encore clair). Cela dit, les options d’achat d’actions et les actions subalternes non acquises seront probablement supprimées si la société entre en chapitre 11.
Williams connaissait les risques auxquels elle était exposée en raison des responsabilités liées aux incendies de forêt. Selon Bloomberg, lors d’une conférence sur l’énergie tenue à Houston l’année dernière, elle a déclaré - en plaisantant - que si elle ne modifiait pas la loi d’un État sur les feux de forêt, «je ne serai plus ici dans deux ans».
Eh bien, elle avait raison, mais au moins, elle sera assise sur une plage et récoltera 2,00 % (au moins jusqu'à ce que Powell lance la NIRP).
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/pge-former-ceo-collect-millions-case-even-utility-files-bankruptcy
"Ogives nucléaires financières" - Les gilets jaunes le comprennent bien
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 15/01/2019 - 00:25
Créé par Robert Gore via le blog Straight Line Logic,
Les médias grand public ont dégénéré de manière irréversible. Voici une règle fiable: s’il est important, il n’est pas couvert; s’il est couvert, ce n’est pas important. Les articles de presse grand public américains sur les manifestations de Yellow Vest ont été peu nombreux. Un aspect des manifestations, d'une importance capitale, a été peu couvert.
Les manifestants du Yellow Vest ont réclamé une course coordonnée sur les banques françaises. Qu'ils s'en rendent compte ou non, ils jouent avec des ogives nucléaires qui pourraient anéantir non seulement le système financier français, mais aussi celui de l'Europe et du monde entier. Parce qu’ils sont inextricablement liés aux objectifs des gouvernements contemporains - jusqu’à quel point ils peuvent gâcher la vie de ceux qui doivent vivre sous leur gouvernement - la question des moyens est-elle efficace - comment financer leur mauvaise gestion ? La réponse courte est impôts et dette.
Depuis 1971, date à laquelle le président Nixon a suspendu "temporairement" la convertibilité internationale du dollar en or (cette devise n’a jamais été rétablie), la base monétaire de l’économie mondiale étant une dette immédiate. Ni la dette des gouvernements ou des banques centrales, ni les monnaies, ne sont soumises à aucune contrainte réelle, à l'instar des métaux précieux (voir «Argent réel», SLL). Ainsi, les politiciens et les responsables monétaires peuvent créer autant de dettes qu’ils le souhaitent: une dette à l’ordre
La dette des gouvernements et des banques centrales est au sommet de la pyramide mondiale de la dette. Le niveau suivant est constitué par les banques commerciales qui ont des comptes dans les banques centrales. Ces comptes sont des actifs bancaires et des engagements de la banque centrale, ou des dettes. Les banques centrales étendent leurs passifs directs envers les banques en échange de la dette publique directe des banques, un échange appelé monétisation de la dette, ce qui est un peu trompeur, car aucun «argent réel» n’est impliqué. La «monétisation» est l’expansion immédiate des comptes des banques auprès de la banque centrale en échange d’une dette publique immédiate, ce qui accroît les avoirs disponibles pour les prêts aux gouvernements, aux entreprises et aux particuliers.
Dans «argent réel», la monnaie était définie, en partie, comme ce qui a une valeur intrinsèque et n'est pas un passif d'un individu ou d'une entité. Cette partie de la définition est controversée. cela invalide tout ce que nous considérons actuellement comme de l'argent. Les définitions généralement acceptées sont essentiellement les suivantes: l'argent est comme l'argent, tout ce qui sert de moyen d'échange, de réserve de valeur et une unité de compte (les autres parties de la définition de SLL) est de l'argent.
Cependant, ce n’est pas parce qu’une chose a des fonctions monétaires que d’utiliser une brosse à cheveux pour se brosser les dents en fait une brosse à dents. Bien qu'il y ait des questions métaphysiques sur la notion de valeur intrinsèque (ce terme a été choisi parce qu'il est plus court et plus pratique que de dire «quelque chose auquel la plupart des gens attribueraient une valeur en plus de sa valeur potentielle en tant qu'argent», l'important Le fait est que, selon la définition de SLL, utiliser une dette en tant qu’argent, y compris la dette de votre portefeuille connue sous le nom de "Federal Reserve Notes", n’en fait pas de l’argent
Sauf dans les cas relativement rares où l’or, l’argent ou une autre valeur corporelle est utilisée comme moyen d’échange dans les transactions privées, tout ce qui est actuellement utilisé est constitué par des dettes, y compris des devises. Lorsque des particuliers et des entreprises effectuent des dépôts dans une banque, ils échangent une forme de dette, généralement une devise ou un chèque, par une autre: la promesse de la banque, dans certaines conditions, de retourner de la monnaie ou un chèque tiré sur la banque.
RépondreSupprimerLe déposant est un créancier et la banque est libre de prêter les fonds déposés. C’est la base de la banque de réserve fractionnée, la capacité du système bancaire à créer de la dette en multiples de montants déposés. Pour chaque tranche de 10 dollars déposée, une banque prête peut-être 9 dollars et gardera 1 dollar en réserve pour répondre aux demandes de retrait. La fraction qui peut être prêtée et la fraction qui doit être gardée en réserve sont généralement spécifiées par la réglementation du gouvernement ou de la banque centrale.
Le montant prêté retourne généralement dans le système bancaire, où il sert de base à de nouveaux prêts. Pour des raisons de simplicité analytique, les cours d’introduction à l’économie indiquent que, dans le système bancaire, toute augmentation autonome des dépôts bancaires augmentera le total des prêts de la contrepartie de la réserve obligatoire. Si les réserves obligatoires sont de 5% des dépôts bancaires, une augmentation des dépôts bancaires entraînera une multiplication par 20 des emprunts bancaires. La vraie vie n’est pas aussi simple, mais c’est une approximation décente.
Une implication importante est que dans le système bancaire, la plupart des dépôts ont été prêtés, ils ne sont pas dans le système. Ainsi, si tous les déposants veulent exercer leurs droits à l’égard du système en même temps, celui-ci ne peut pas répondre à ces demandes. La même chose est vraie pour les banques individuelles.
Comment une course sur une banque individuelle se transforme-t-elle en un fil lâche qui, une fois tiré, défait tout le pull ? La banque essaie d’accroître ses liquidités en s’appuyant sur les lignes de crédit d’urgence dont elle dispose et de convertir ses avoirs non liquides en avoirs liquides en faisant appel à des emprunts. Cela met sous pression les autres banques et institutions financières, qui tirent sur leurs lignes de crédit et appellent leurs prêts, etc., jusqu'à l'effondrement du système.
Les banques centrales sont censées empêcher les crises de se transformer en crises systémiques en fournissant un soutien d’urgence pour les dettes fiduciaires garanties par des sûretés "de haute qualité" mais illiquides. L'assurance-dépôts, innovation du New Deal, est désormais répandue dans les pays développés. Aux États-Unis, le fonds d’assurance-dépôts ne couvrirait qu’un faible pourcentage des dépôts en cas de défaillance du système.
Plus le système est endetté, plus il est vulnérable à de telles crises. Nous l’avons vu en 2008-2009, lorsque des problèmes survenus dans un segment du marché du crédit - les prêts hypothécaires à risque aux États-Unis - ont entraîné une crise financière mondiale qui n’a été que paralysée par des injections massives de dettes de la part du gouvernement et de la banque centrale. Depuis cette crise, les dettes des gouvernements, des banques centrales, des entreprises et des particuliers ont toutes augmenté, laissant le système financier mondial et l’économie plus vulnérables qu’aujourd’hui.
La dette mondiale nominale déclarée avoisine les 250 milliards de dollars, soit trois fois le PIB mondial. Ajoutez à cela des promesses de retraite et de soins médicaux non capitalisées de la part des gouvernements et des entreprises, ainsi qu'une énorme pile de produits dérivés, dont on ne peut que deviner le montant (allant de 250 à 750 billions de dollars), et le nombre total de créances sur les actifs actuels et la production future est probablement bien supérieur. un milliard de milliards de dollars, soit douze fois le PIB mondial. La dette de Fiat a permis au monde de s’endetter plus que jamais, avec l’augmentation temporaire de la «richesse» liée à toute consommation excessive d’emprunts, mais avec la faillite inévitable en attente.
RépondreSupprimerLa faillite est un moment, pas un si. Une question est de savoir si cela commence dans un coin aléatoire du système financier mondial ou à la demande de ses victimes présumées. Ce qui nous ramène à l’essai de la banque. En ces temps de surendettement, toute crise financière digne de ce nom entraînera des ruptures de banque, les déposants perdant la plupart ou la totalité de leurs dépôts. La dette est le talon d’Achille des gouvernements du monde. Une série d’institutions financières réduira considérablement le crédit disponible et augmentera les taux d’intérêt, et le crédit sera entièrement coupé pour certaines d’entre elles. Dans ces circonstances, les recettes fiscales vont également diminuer.
Comme indiqué dans «Revolution in America» (SLL), toute personne réellement intéressée à modifier ces systèmes devrait, à l'instar des Yellow Vests, essayer de procéder au retrait massif de fonds du système financier instable. C’est efficace, non violent, actuellement légal, avant que ces fonds ne soient gelés, puis confisqués par des gouvernements rapaces, et déclenche la crise inévitable au profit de ceux qui l’initient. Pour plus de détails et d’arguments, voir «Révolution».
Comme indiqué dans cet article, la probabilité d'une reconnaissance massive de l'action inévitable et coordonnée contre cette action est faible. Au lieu de cela, nous aurons la crise. Les gouvernements vont geler les comptes puis confisquer ce qui leur reste. Avec les banques centrales, elles réduiront à zéro la valeur de leurs propres dettes fiat. Nous assisterons à de nouvelles avancées en matière de gouvernance mondiale et de centralisation de l’activité économique et des finances, censées résoudre les crises créées par la gouvernance et la centralisation passées et présentes. Quiconque prônant les droits individuels et contre le gouvernement sera diabolisé, ostracisé et probablement criminalisé. La dette électronique de Fiat remplacera les obligations fiduciaires en papier afin de verrouiller le moyen d'échange de plus en plus inutile dans le système financier en faillite. L'activité économique «légitime» va s'arrêter et les marchés noirs vont prospérer. La propriété privée de métaux précieux et le troc seront peut-être interdits. Les gouvernements ne disposeront pas de ressources réelles suffisantes pour payer et équiper leurs prétoriens, qui rejetteront le certificat d’ordonnance. Sans protection, les vestiges de l'ordre ancien vont s'effondrer. Les survivants aguerris au combat vont émerger et commencer à construire des enclaves décentralisées. Celles-ci devront reposer sur un ensemble de principes plus durables pour survivre.
... Dans l'état actuel des choses, le gouvernement fera faillite. La seule option pour ceux d’entre nous qui avons fourni une si grande partie de son butin mal acquis et mal dépensé - et reçu si peu en retour - est de prendre l’initiative, de faire la grève à son point le plus faible, d’extraire un faible pourcentage de ce qui a été obtenu. pris, hâter le crash inévitable, puis reconstruire l'Amérique dans la grande nation qu'elle était autrefois ...
RépondreSupprimerla seule défense contre ce qui est sûrement à venir est une offense solide, avant que notre capacité à lancer une offensive ne nous soit volée.
“Révolution en Amérique, SLL.
Les gilets jaunes doivent être félicités pour avoir pris l'initiative et lancé l'offensive.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/financial-nuclear-warheads-yellow-vests-get-it-right
Ne jouons pas sur les mots ! IL N'Y A PAS DE DETTE ! Cet argent n'est pas dû ! car IL N'A JAMAIS ÉTÉ PRÊTÉ !
SupprimerSEUL le Peuple peut permettre l'honnêteté de remettre les compteurs à zéro et d'instaurer la Démocratie en remplacement de la république !
Des escrocs ont essayé de récupérer le mouvement ! HAHAHAHA ! Même il y a eu une demande de rapprochement entre les siamois d'extrême-gauche et ceux d'extrême-droite ! HAHAHAHA ! Alors qu'ils ont TOUJOURS représenté le MÊME parti ! Le parti de la dictature.
AUCUN parti n'a proposé la Démocratie !! AUCUN !
Rappel que des ARMES DE GUERRE ont été distribuées !
Le HK G36 est un modèle de fusil d'assaut conçu par l'entreprise allemande Heckler & Koch.
Période d'utilisation : Depuis 1997
Munitions : 5,56 × 45 mm OTAN
Cadence de tir : 750 coups par minute
Portée pratique : 500 m
Portée maximale : 2 500 m
Longueur du canon : 48 cm (selon version)
Type : fusil d'assaut
Une balle tue à 2,500 km en passant au travers de ceux qui sont devant !
Découvrez le nouveau méga-yacht de luxe de Jerry Jones, d’une valeur de 250 millions de dollars
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 14/01/2019 - 23:25
Jerry Jones, propriétaire du milliardaire des Dallas Cowboys, a acheté un superyacht de 109 m, nommé d'après son épouse, appelée Bravo Eugenia, ont confirmé des sources au directeur des sports de NBC 5, Newy Scruggs.
Le navire de 250 millions de dollars, construit l'an dernier par la société néerlandaise Oceanco, peut accueillir 14 personnes et est géré par un équipage d'environ deux douzaines, selon SuperYacht Times.
Fonctionnant sous pavillon américain, le navire dispose d’une salle des machines à un seul étage, conçue pour naviguer dans l’eau avec moins de résistance. "Associé à son système de propulsion hybride", a expliqué James Roy, directeur général de Lateral, "Bravo offre des performances exceptionnelles et est configuré pour offrir plusieurs modes de fonctionnement, chacun étant adapté au profil de fonctionnement variable d'un yacht conçu pour naviguer de manière autonome sur les océans du monde. "
Le navire dispose de deux aires d'atterrissage pour hélicoptères (une à l'avant et une autre à l'arrière), d'un grand garage annexe sous le pont avant, d'un centre de remise en forme avec sauna, hammams, bains à remous et d'une piscine. La conception du navire est celle de Nuvolari Lenard, tandis que Burgess a servi de représentant du propriétaire pendant la construction.
Reymond Langton Design, un studio de design spécialisé dans la construction de superyachts, a conçu un intérieur élégant, avec des bois clairs et des surfaces laquées. "Nous avons travaillé en étroite collaboration avec le propriétaire afin de trouver les artisans parfaits pour créer des œuvres d'art sur mesure, des tissus et des meubles de marque des pièces qui reflètent le style et l’essence du propriétaire et qui, combinées, créent un environnement chaleureux et invitant pour tous les passagers, "a déclaré Pascale Reymond, partenaire chez Reymond Langton Design.
Jones, 76 ans, a une valeur nette d’environ 7 milliards de dollars, selon Forbes. Les Cowboys sont considérés comme l'une des plus importantes concessions sportives au monde, avec 4,8 milliards de dollars. Jones a acheté l’équipe en 1989 pour 150 millions de dollars, soit 46 fois plus que l’investissement initial.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-10/check-out-jerry-jones-new-250-million-luxury-mega-yacht
Le yacht a été baptisé 'La dette' ! HAHAHAHA !
Supprimer(bateau offert à tout porteur de yellow vest !)
Le magma sous le Supervolcan de Yellowstone est "en hausse", avertissent les scientifiques qu'une éruption ravagerait la planète
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 14/01/2019 - 21:05
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Serait-il possible qu'une éruption complète du supervolcan de Yellowstone ne soit pas trop éloignée?
L'activité sismique a augmenté dans le monde entier au cours des dernières années, et ce processus semble s'être accéléré au début de 2019. En particulier, un certain nombre de volcans autrefois dormants ressuscitent, ce qui inquiète beaucoup de ce qui pourrait potentiellement se produire à Yellowstone. Bien sûr, Yellowstone n'a jamais été «en sommeil», mais de nouveaux signes de vie se sont manifestés au cours des six derniers mois. De tout nouveaux geysers ont surgi du sol, Steamboat Geyser a été le plus actif des décennies, et certains geysers ont même projeté des "débris et des roches" dans le ciel. Et maintenant, on nous dit qu'un "morceau de roche en fusion de 465 km de long" est en train de "s'élever" directement sous Yellowstone…
Des scientifiques surveillent de près un morceau de roche en fusion s'élevant sous la caldera de Yellowstone, longue de 465 km, a révélé un documentaire.
Le supervolcan, situé dans le parc national de Yellowstone, a fait l'objet d'une éruption à trois reprises - il y a 2,1 millions d'années, il y a 1,2 million d'années et 640 000 ans. Les volcans soufflent généralement lorsque la roche en fusion, appelée magma, remonte à la surface après la fonte du manteau terrestre causée par le déplacement des plaques tectoniques. Cependant, des géologues ont révélé que la chambre magmatique de Yellowstone, située au sommet du panache de magma, s’élevait lentement chaque année.
Espérons qu'il ne se passera rien de grave à Yellowstone pendant très longtemps.
Mais les experts nous assurent qu’une autre éruption complète aura lieu un jour et que, le cas échéant, elle pourrait potentiellement créer un «hiver volcanique» mondial qui rendrait la croissance des cultures presque impossible et provoquerait finalement de terribles famines mondiales. La citation suivante vient du Dr Christopher Kilburn…
«En conséquence, la quantité de lumière solaire atteignant la surface de la terre diminue et, en conséquence, elle déclenchera ce que l’on appelle un hiver volcanique en ce sens que les températures ne pourront jamais se rétablir.
«Alors que vous passez l'hiver, le voile de cendres empêche le soleil de réchauffer la terre de façon saisonnière. Vous avez donc des hivers continus qui pourraient provoquer, à terme, une couverture de glace étendue.»
Si Yellowstone devait éclater aujourd’hui, aucune de nos vies ne serait plus jamais la même à partir de ce moment.
Nous parlons d’une catastrophe d’une ampleur que la plupart d’entre nous ne pouvaient même pas imaginer, et qui rendrait instantanément la plus grande partie du pays complètement inhabitable. Ce qui suit est un extrait de l'un de mes précédents articles sur Yellowstone…
Je voudrais essayer de décrire pour vous ce qu'une éruption à grande échelle du supervolcan de Yellowstone signifierait pour ce pays.
RépondreSupprimerDes centaines de kilomètres cubes de cendres, de roches et de lave seraient projetés dans l'atmosphère, ce qui plongerait probablement une grande partie de l'hémisphère nord dans plusieurs jours d'obscurité totale. Presque tout ce qui se trouve à moins de 100 miles de Yellowstone serait immédiatement tué, mais un destin beaucoup plus cruel serait réservé à ceux qui vivent dans les grandes villes en dehors de la zone de destruction immédiate, comme Salt Lake City et Denver.
Des cendres volcaniques chaudes, des roches et de la poussière pleuvraient littéralement sur ces villes pendant des semaines. En fin de compte, il serait extrêmement difficile pour quiconque vivant dans ces communautés de survivre. En fait, il a été estimé que 90% de toutes les personnes vivant à moins de 600 km de Yellowstone seraient tuées.
Les experts prévoient qu'une telle éruption déverserait une couche de cendres volcaniques d'au moins 10 pieds de profondeur jusqu'à 1 000 milles de distance, et qu'environ les deux tiers des États-Unis deviendraient soudainement inhabitables. Les cendres volcaniques contamineraient gravement la plupart de nos ressources en eau et la production d'aliments dans le centre du pays deviendrait presque impossible.
En d'autres termes, ce serait la fin de notre pays tel que nous le connaissons aujourd'hui.
Le reste de la planète, et cela serait particulièrement vrai pour l'hémisphère nord, vivrait ce que l'on appelle un «hiver nucléaire». Une période extrême de «refroidissement global» aurait lieu et les températures dans le monde chuteraient jusqu'à 20 degrés. Les récoltes échoueraient sur toute la planète et une famine sévère balayerait le monde.
À la fin, des milliards pourraient mourir.
Les scientifiques surveillent en permanence Yellowstone pour détecter les signes potentiels d'une éruption, mais la vérité est qu'un désastre majeur de cette ampleur surviendrait probablement avec peu ou pas d'avertissement.
Il est indéniable qu'au cours des derniers mois, il y a eu des signes d'activité accrue à Yellowstone. Cela ne signifie pas qu’une éruption est imminente, mais cela devrait sans aucun doute être une source de préoccupation.
Et cela est particulièrement vrai compte tenu de la secousse que nous voyons ailleurs
Et ceci est particulièrement vrai compte tenu de toutes les secousses que nous constatons ailleurs dans le monde. En quelques jours, un séisme de magnitude 4,1 a frappé la Californie et un séisme de magnitude 5,1 près d'Anchorage, en Alaska. Ce dernier a définitivement fait trembler beaucoup de monde…
Les résidents se sont rendus sur le site de surveillance sismique EMSC pour partager leurs expériences. L'un d'eux a déclaré: «Long et grand. Pic d'anxiété significatif!
Un autre a ajouté: «C'était effrayant. Dur tremblement. "
Nous ne sommes même pas à la mi-janvier et il y a déjà eu plus de 100 séismes importants en Alaska jusqu'à présent cette année.
Ce n'est pas normal
RépondreSupprimerNotre planète semble subir des changements majeurs et beaucoup pensent que toute cette activité sismique est une indication que les choses sont sur le point de devenir très apocalyptiques. Personnellement, je suis d’avis que nous allons continuer à assister à une augmentation du nombre de tremblements de terre et à une augmentation du nombre d’éruptions volcaniques.
Comme je l'ai déjà dit, la coquille de notre planète est fissurée et nous ne faisons que flotter sur les morceaux. Maintenant, ces pièces semblent devenir de plus en plus instables, et cela va nous affecter d'une manière que la plupart des gens ne peuvent même pas imaginer pour le moment.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/magma-under-yellowstone-supervolcano-rising-scientists-warn-eruption-would
(...) Je voudrais essayer de décrire pour vous ce qu'une éruption à grande échelle du supervolcan de Yellowstone signifierait pour ce pays. (...): PLUS JAMAIS DE DETTE !
SupprimerAprès les 'yellow vest' tête nucléaire, un astéroïde qui foncerait vers la Terre, voici qu'arrive le yellowstone vest-astéro !
L'Inde vient d'organiser la plus grande grève de l'histoire alors que 200 millions de travailleurs sont dans la rue
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 14/01/2019 - 19:03
Dans ce qui pourrait être la plus grande grève ouvrière de l'histoire, l'Inde s'est arrêtée pendant deux jours au moins 200 millions de travailleurs - environ 16 % de sa population, sur un total de 1,25 milliard d'habitants - dans les secteurs public, des services, de la communication et de l'agriculture. Grève à travers le pays organisée par dix syndicats de travailleurs contre ce qu'ils ont appelé les politiques anti-nationales et anti-ouvrières du gouvernement dirigé par le BJP, et contre une nouvelle loi sur le travail qui minerait les droits des travailleurs et des syndicats.
La grève est une protestation contre la nouvelle législation adoptée le 2 janvier. Elle constitue de facto un verdict condamnant le Premier ministre Narendra Modi à donner à des millions de travailleurs la possibilité de protester contre les prix élevés et le taux de chômage élevé. Le réseau ferroviaire indien a annoncé 63 000 ouvertures de postes… 19 millions de personnes ont postulé. "
John Dayal, secrétaire général du All India Christian Council, a déclaré à AsiaNews que l'événement était exceptionnel, "l'un des plus importants jamais organisé dans le pays, planifié à l'avance dans les moindres détails". Selon lui, le plus important est que cela "se déroule à la veille d'élections générales qui marqueront le sort du Premier ministre".
Alors que la grève massive s'est déroulée dans un climat général de calme, de nombreux incidents ont confirmé que la colère sociale dans le deuxième pays le plus peuplé du monde approche également d'un point de rupture: les manifestants ont bloqué plusieurs villes, des affrontements ont eu lieu et des dégâts ont été signalés; une femme de 57 ans est décédée à Mundagod, une ville du nord du Karnataka, au cours d'une manifestation locale. Dans le Maharashtra, plus de 5 000 travailleurs ont bloqué l’autoroute Mumbai-Baroda-Jaipur-Delhi. À Pondichéry (Pondichéry), sur la côte est, des manifestants ont lancé des pierres sur un autobus de l'Etat du Tamil Nadu. Les services de transport ont été fermés et les services ferroviaires ont été interrompus au Kerala. À Odisha (Orissa), les magasins, les écoles, les bureaux et les marchés ont été fermés pendant 48 heures. Au Bengale occidental, les manifestants ont brûlé les effigies du Premier ministre Modi.
La grève nationale était une initiative de la Central Trade Unions (CTU), une fédération syndicale indienne. Les syndicats s’opposent au projet de loi sur les syndicats (amendement) de 2018, qui modifie la loi de 1926 sur les syndicats.
En vertu de la loi, la reconnaissance des syndicats est obligatoire aux niveaux national et national. Toutefois, les travailleurs estiment que la nouvelle loi accorde au gouvernement un pouvoir discrétionnaire en matière de reconnaissance des organisations syndicales, éliminant ainsi le processus de négociation en cours impliquant les employés, les employeurs et le gouvernement.
Les syndicats ont demandé la promulgation de la loi sur la sécurité sociale pour protéger les travailleurs et un salaire minimum de 24 000 roupies (plus de 340 dollars des États-Unis) pour le secteur des transports non organisés.
Les travailleurs des banques, des assurances, de la santé, de l’éducation, des transports, de l’électricité et du charbon ont également rejoint la grève. Des groupes d’étudiants ont également protesté, de même que des associations d’agriculteurs qui ont menacé d’appeler un gramin hartal, une grève rurale. Les agriculteurs protestent depuis des mois contre les conditions difficiles dans les campagnes, accablées par la dette et une vague de suicides.
Tapan Sen, secrétaire général du Centre des syndicats indiens (CITU), l'une des organisations ouvrières en grève, a reproché au gouvernement du Premier ministre Modi d'avoir détruit la culture du travail dans les secteurs publics du pays en favorisant les acteurs privés dans les grands contrats de fabrication.
RépondreSupprimerLes syndicats ont également allégué que le gouvernement n'avait pas réussi à créer des emplois et avait totalement ignoré la charte de revendications en douze points des syndicats, en plus de réclamer de manière agressive un emploi à durée déterminée et de modifier la loi sur les syndicats, ce qui va à l'encontre des intérêts des travailleurs. le temps économique.
S'adressant aux médias après la grève de deux jours, Amarjeet Kaur, de l'AITUC, a déclaré que près de huit États avaient assisté à une fermeture totale, principalement dans le nord-est du Kerala, dans le Bihar et à Goa. Plus de 20 travailleurs crore ont participé à la grève.
La grève massive arrive à un tournant décisif pour l’Inde, qui est l’une des économies à la croissance la plus rapide au monde, mais ne génère pas assez d’emplois pour sa jeune population instruite.
Selon un article récent du Washington Post, le nombre de personnes âgées de 15 à 34 ans en Inde devrait atteindre 480 millions d’ici à l’horizon 2021. Elles ont un niveau d’alphabétisation plus élevé et restent à l’école plus longtemps que n’importe quelle génération précédente. L'afflux de jeunes pourrait être une opportunité immense pour le pays s'il pouvait trouver un moyen de les mettre au travail. Mais les tendances de l'emploi dans le pays restent sombres.
Une analyse réalisée par l'Université Azim Premji montre que le chômage a augmenté entre 2011 et 2016 dans presque tous les États indiens. Les taux de chômage des jeunes et des diplômés de l'enseignement supérieur ont également fortement augmenté. Par exemple, pour les diplômés des collèges, il est passé de 4,1% à 8,4%.
Ajit Ghose, économiste à l'Institute for Human Development de Delhi, a déclaré que le pays devait créer des emplois non seulement pour les 6 à 8 millions de nouveaux employés, mais également pour les personnes qui, comme les femmes, travaillent moins qu'elles ne le seraient s'ils pouvaient trouver un emploi à un salaire décent. Le même économiste note que l'Inde compte environ 104 millions de travailleurs "excédentaires".
Développer autant le marché du travail est une tâche ardue pour tout gouvernement, pas seulement pour l'Inde. Le bilan de Modi en matière de création d’emplois reste également quelque peu mystérieux, le pays n’ayant pas fourni de données nationales sur l’emploi depuis 2016. Les ministères du travail et les statistiques ont mené des enquêtes sur les ménages indiens, mais les résultats n’ont pas été rendus publics.
Amit Basole, économiste à l’Université Azim Premji, a déclaré: «Quiconque devinera si des statistiques sur l’emploi seront publiées avant les élections de 2019».
Que se passe-t-il après cette démonstration de force sans précédent des travailleurs indiens? Probablement davantage: les syndicats ont menacé de suivre la grève de la semaine dernière avec une grève illimitée si le gouvernement ne tenait pas compte de leurs revendications. Le secrétaire général de l'un des syndicats, HMS, a déclaré que les syndicats avaient collectivement décidé de se mettre en grève pour une durée indéterminée si le gouvernement ne réagissait pas à la grève «historique» cette fois.
RépondreSupprimerSi cela se produit, le bilan de l'Inde en tant qu'une des économies à la croissance la plus rapide au monde sera bientôt terni. En ce qui concerne l’ensemble, le mécontentement populaire - et populiste - dans le monde entier s’étend rapidement et touche non seulement les pays développés (Trump, Brexit, la plupart des pays d’Europe), mais aussi les pays en développement.
On ne sait pas si les syndicats obtiendront ce qu'ils veulent, mais une chose est sûre: le voisin encore plus peuplé de l'Inde, la Chine, suit de très près ces développements réticents des travailleurs et espère et prie que sa propre population ne reçoive pas les mêmes idées.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/india-just-staged-biggest-strike-history-200-million-workers-took-streets
Pfft ! Ils n'ont même pas des yellow vest !
SupprimerMais quand même... 200 millions de manifestants sur les champs-élysées de New-Delhi...
Le nouveau gouverneur de la Californie propose de taxer l'eau potable
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 14/01/2019 - 18:25
Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Juste au moment où vous pensez que la Californie ne peut pas proposer plus d'éléments à taxer, le nouveau gouverneur, Gavin Newsom, décide de taxer l'eau potable. Dans la première proposition budgétaire de Newsom vendredi, le communiste a inclus une taxe sur l’eau potable.
Le nouveau budget, intitulé «Californie pour tous», déclare que l'eau potable est un «droit fondamental», mais propose de taxer ce «droit».
«Le budget comprend des mesures à court terme pour apporter un soulagement immédiat aux collectivités sans eau de boisson saine et propose également une source de financement durable et durable pour remédier à ce problème à l'avenir."
Le San Francisco Chronicle a indiqué que les détails de la proposition de taxe ne sont pas connus. Cependant, le gouverneur de l'époque, Jerry Brown, a renoncé à une proposition similaire l'année dernière après ne pas avoir recueilli suffisamment de soutien à l'Assemblée législative. Selon Breitbart, les critiques ont déjà critiqué le plan. L'ancien candidat républicain au poste de gouverneur au pouvoir, Travis Allen, exhorte ses collègues républicains à «reprendre» l'État sur les médias sociaux, et la Howard Jarvis Taxpayer Association et l'Association of California Water Agencies déclarent que l'État devrait puiser dans son excédent budgétaire pour payer le montant nécessaire. nettoyer les réserves d'eau.
Fonds pour l’eau potable sûr et abordable - Etablissez un nouveau fonds spécial, doté d’une source de financement dédiée sous forme de nouveaux frais d’eau, d’engrais et de produits laitiers, afin de permettre à la Régie nationale de contrôle des ressources en eau d’aider les communautés, en particulier les plus défavorisées, à coûts à long terme et à long terme pour obtenir un accès à une eau potable salubre et abordable. Cette proposition est conforme au cadre politique de la SB 623, présenté lors de la session législative 2017-18. Le budget comprend également 4,9 millions de dollars du Fonds général à titre ponctuel permettant à la Commission nationale de contrôle des ressources en eau et au ministère de l'Alimentation et de l'Agriculture de prendre les mesures initiales en vue de la mise en œuvre de ce nouveau programme relatif à l'eau potable salubre et abordable, notamment: systèmes de collecte de redevances, (2) l’adoption d’un plan de mise en œuvre annuel et (3) l’élaboration d’une carte des aquifères à haut risque utilisés comme sources d’eau potable.
Newsom utilise la ligne typiquement démocrate consistant à «aider les pauvres» à nettoyer leur eau comme une excuse pour taxer ce qu'il appelle un «droit». Et selon l'abeille Sacramento, tout le monde ne pense pas que taxer l'eau potable soit une mauvaise idée.
«Nous sommes ravis», a déclaré Anja Raudabaugh, PDG de Western United Dairymen.
«Nous apprécions l’engagement du Gouverneur Newsom à fournir des solutions à long terme en matière d’eau potable dans nos communautés et nous sommes impatients de proposer une solution qui offre une certitude à nos producteurs laitiers.»
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/californias-new-governor-proposes-taxing-drinking-water
Un surdosage de masse par le fentanyl en Californie tue une personne et laisse 12 personnes de plus hospitalisées
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 15/01/2019 - 00:05
Une personne est morte et une douzaine d’autres ont été hospitalisées après une surdose massive de fentanyl à Chico, en Californie, au cours du week-end.
Le surdosage a été signalé aux forces de l'ordre à 9 h 12 samedi matin, a rapporté KHSL-TV (Action News Now), une filiale de CBS / CW +.
Le chef de la division des pompiers de Chico, Jesse Alexander, a confié à Action News Now, sur Facebook Live, que c’était l’incident le plus grave qu’il ait jamais vu.
Alexander a décrit la scène horrible avec jusqu'à six personnes subissant simultanément une RCP.
Quatre de ceux qui se sont précipités à l'hôpital sont toujours dans un état critique. La police a appelé les 13 personnes "amis et connaissances", mais a fourni des détails supplémentaires sur le propriétaire de la maison. Les victimes étaient principalement des femmes du Millénaire, âgées de 19 à 30 ans environ.
La police n'a fourni aucun détail sur la personne décédée, mais a déclaré qu'il s'agissait d'un homme adulte qui avait fait une overdose et était décédé à l'intérieur de la maison.
Deux des agents qui sont arrivés sur les lieux ont été emmenés à l'hôpital après avoir signalé des symptômes d'exposition possible au fentanyl. Ils ont été soignés et libérés de l'hôpital, a annoncé la police.
Le chef de la police de Chico, Mike O'Brien, a informé les journalistes de l'incident de causalité massive survenu samedi après-midi.
O’Brien a déclaré que les surdoses avaient été provoquées par l’ingestion d’un analogue du fentanyl et d’une autre substance qui n’avait pas encore été identifiée.
"Aussi tragique que soit cet événement, il existe certainement un risque de mortalité supplémentaire - je tiens à le souligner - il aurait certainement été bien pire sans la réaction et la distribution de Naloxone par des agents de la police de Chico, les efforts de sauvetage de Les pompiers de Chico et le service médical d'urgence de Butte et les soins d'urgence reçus par le personnel de l'hôpital Enloe ", a déclaré O'Brien à la presse.
Le site de la surdose se trouvait dans une maison résidentielle à environ 2 heures au nord de Sacramento.
L'épidémie d'opioïdes s'est violemment étendue à travers le pays au cours des dernières années.
Un nouveau rapport publié par les Centers for Disease Control and Prevention indique qu'il y a eu 70 237 décès par surdose de drogue en 2017. Les opioïdes étaient impliqués dans 67,8 %, soit 47 600 de ces décès. Parmi les décès par surdose liés aux opioïdes, 59,8 %, soit 28 466, étaient dus à des opioïdes synthétiques.
"Nous attendions et attendions malheureusement que cela se produise car nous savions que le fentanyl s'était déplacé vers l'ouest et que dans d'autres régions du pays, ils voyaient vraiment l'impact le plus important de cette drogue", a déclaré O'Brien. . "Cela change malheureusement, et maintenant nous avons cet incident avec de nombreuses victimes. ... Cela devrait nous concerner tous."
RépondreSupprimerComme nous l’avons déjà dit, «la troisième vague de l’épidémie d’opioïdes est arrivée», motivée par les nouveaux produits synthétiques opioïdes 10 000 fois plus puissants que la morphine et utilisés pour calmer les éléphants, imputables à la dernière vague de décès. Attendez-vous à davantage d'événements impliquant un nombre important de victimes, comme celui de Californie, alors que la crise des opioïdes continue de s'accélérer.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/mass-fentanyl-overdose-california-kills-1-person-leaves-12-more-hospitalized
L'Europe pourrait "s'effondrer" face à la migration, déclare le Premier ministre italien; Salvini insiste sur le fait que "l'axe de Paris-Berlin" doit changer
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 14/01/2019 - 15:01
Le Premier ministre italien, Giuseppe Conte, a déclaré lundi que l'Union européenne risquait de s'effondrer si elle ne parvenait pas à trouver un terrain d'entente sur les migrations massives.
"Si nous continuons à caler sans chemin commun, nous risquons de détruire le bâtiment européen", a déclaré M. Conté lors d'une conférence de presse au cours d'une récente réunion à Rome avec le commissaire européen aux Affaires intérieures, Dimitris Avramopoulos.
"Nous avons présenté ce que l'Italie a fait jusqu'à présent à Avramopoulos", a déclaré Conte, ajoutant que "nous apportons un changement de cap qui porte ses fruits".
Lors de ses discussions sur les efforts italiens pour freiner les migrations massives, Conte a déclaré: L'Italie avait été laissée seule et se débrouillait maintenant seule. Nous n'avons pas parlé de blocus naval avec Avramopoulos, mais nous avons discuté d'instruments de défense des frontières, ce qui est très important pour la gestion des flux (de migrants). "
M. Avramopoulos a également rencontré le vice-Premier ministre et ministre de l'Intérieur italien, Matteo Salvini, qui a dirigé la position dure du pays contre les navires de transport de migrants gérés par des ONG traversant la Méditerranée vers les ports italiens.
S'exprimant dans le bulletin Tg2 de la RAI, Salvini a accusé la France et l'Allemagne d'avoir "dicté la législature" au cours de la dernière décennie, ajoutant que lui et ses alliés d'autres pays de l'UE "veulent changer l'Europe, pas la détruire", a déclaré Bloomberg.
"Depuis de nombreuses années, la France et l'Allemagne ont légiféré en Europe", a déclaré M. Salvini, ajoutant que "tout a été fait sur la base de l'axe Paris-Berlin".
"J'essaie de constituer une alliance axée sur l'emploi et les familles", a déclaré Salvini. "En Italie, nous avons fait mieux que les gouvernements de Mario Monti et Matteo Renzi. En Europe, nous ferons mieux que Juncker et Schulz."
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/europe-could-collapse-over-migration-says-italy-pm-salvini-insists-paris-berlin
Lettre aux Français : chiche, Monsieur le Président !
RépondreSupprimerLa réponse « énergique » de notre chroniqueur Michel Gay aux questions du Président Macron. Le débat est lancé !
Par Michel Gay.
15 JANVIER 2019
Dans sa lettre aux Français diffusée ce 13 janvier 2019, le Président de la République affiche plusieurs orientations importantes qui méritent des éclaircissements compte-tenu de certaines affirmations déconcertantes et de contradictions entre ses déclarations et ses actes.
Ainsi :
- La France n’est pas un pays comme les autres. Le sens des injustices y est plus vif qu’ailleurs. L’exigence d’entraide et de solidarité plus forte.
Ailleurs, « ils » commencent par créer de la richesse avant de la distribuer ; ailleurs, ils n’interdisent pas à leurs entreprises d’explorer le sous-sol pour extraire du gaz et du pétrole ; ailleurs, ils ont aussi le sens de la justice, ainsi que de l’entraide et de la solidarité qui ne constituent pas une exclusivité française. Et il serait arrogant de le croire.
- C'est pourquoi la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires.
Vu « d’ailleurs », cette affirmation peut paraître bien péremptoire et douteuse au regard de l’agitation populaire (Gilets jaunes) qui dénonce justement ce manque de fraternité et d’égalité, notamment devant l’impôt.
- Je sais, bien sûr, que certains d’entre nous sont aujourd’hui insatisfaits ou en colère.
C’est bien de le savoir, et de faire ensuite un constat juste des causes de cette colère. Mais comment y répondre ? Allez-vous continuer à dilapider l’argent des contribuables dans les énergies renouvelables pour faire plaisir à des lobbies verts présents dans vos ministères, et que vous semblez redouter ?
- Je n’ai pas oublié que j’ai été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles je demeure fidèle.
Alors le grand débat va servir à quoi puisque ce sont justement certaines de ces grandes orientations qui sont remises en cause aujourd’hui ? Est-ce que réduire le nucléaire à 50% du mix énergétique, et taxer toujours plus les énergies (essence, électricité) pour subventionner toujours plus les énergies renouvelables, fait partie de ces grandes orientations ? Dans l’affirmative, « la messe est dite » et ce débat sera une mascarade.
- Il faut rendre à la France sa prospérité pour qu’elle puisse être généreuse.
Alors pourquoi la ruiner dans l’impasse des énergies renouvelables, notamment éolienne et photovoltaïque ? Pourquoi vouloir réduire la production d’électricité d’origine nucléaire source de richesses pour la France en fermant la centrale de Fessenheim en parfait état de fonctionnement ?
- L’emploi se crée avant tout dans les entreprises.
Alors pourquoi les pénaliser avec une énergie de plus en plus chère sous le poids de taxes et d’impôts qui grèvent leur compétitivité, notamment à l’international ?
- Je pense toujours que l’épuisement des ressources naturelles et le dérèglement climatique nous obligent à repenser notre modèle de développement.
Alors pourquoi vouloir diminuer le nucléaire, économe en ressources naturelles (un seul gramme d’uranium fissionné par Français et par an pour produire 75% de l’électricité nationale), et qui, de plus, n’émet pas de gaz à effet de serre (ce qui est bon pour « le dérèglement climatique ») ?
RépondreSupprimerRepenser notre modèle de développement consiste à développer le nucléaire du futur (EPR et surgénérateurs), et à sortir de l’impasse des éoliennes et du photovoltaïque. Ces productions intermittentes impliquent d’augmenter notre consommation de gaz, ou de bruler du charbon / lignite comme en Allemagne. Est-ce bien ce que vous voulez ?
- L’impôt, lorsqu’il est trop élevé, prive notre économie des ressources qui pourraient utilement s’investir dans les entreprises.
Oui et, après « entreprises », vous auriez pu ajouter « productrices de richesses ».
Voilà encore une fois un constat juste et pertinent, et vous déclarez même vouloir « faire que le travail paie davantage ». Mais pourquoi alors agir à l’opposé en créant des rentes de situations alimentées par des subventions publiques pour des lobbies éoliens et photovoltaïques ?
- Nous ne pouvons, quoi qu’il en soit, poursuivre les baisses d’impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique.
Oui, il est nécessaire de baisser le niveau de la dépense publique pour diminuer les impôts. La Cour des comptes propose une économie de 121 milliards d’euros en cessant de subventionner les énergies renouvelables à fonds perdus vers des lobbies et des opportunistes !
Concernant le thème « essentiel à notre avenir » de la transition énergétique, vous indiquez « Aujourd’hui personne ne conteste l’impérieuse nécessité d’agir vite ».
Attention ! Agir, oui, mais l’urgence est relative. Et surtout dans quel sens ? Réduire le nucléaire (qui économise des énergies fossiles et réduit les émissions de CO2), tout en augmentant notre dépendance au gaz (en développant les énergies renouvelables fatales et intermittentes), est-ce le meilleur moyen d’agir dans le bon sens ?
- « Il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté ».
C’est un vœu pieux qui se heurte à l’immobilisme de la classe politique souvent plus soucieuse de préserver son pré carré que de défendre l’intérêt général du pays. Jamais les propositions (politiquement incorrectes ?) formulées ci-dessus ainsi que dans de nombreux articles, et des courriers aux élus n’ont été prises en compte. Elles ont également été ignorées dans les débats préparatoires à la Loi de transition énergétique pour la croissance verte en 2015 (LTECV), ainsi dans la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE)…
- C’est ainsi que j’entends transformer avec vous les colères en solutions.
Chiche, Monsieur le Président de la République ! Vous avez maintenant des solutions pour commencer à augmenter la richesse des Français, diminuer leurs impôts et pour « rendre à la France sa prospérité pour qu’elle puisse être généreuse ».
Ce serait un bon début pour calmer les colères.
https://www.contrepoints.org/2019/01/15/334730-lettre-aux-francais-chiche-monsieur-le-president
Électricité en Europe : une journée qui dérange
RépondreSupprimerLa France a frôlé le black out électrique ce 10 janvier. Voici pourquoi.
Par Michel Quatrevalet.
15 JANVIER 2019
L’Allemagne a installé à ce jour près de 60 GW de capacité de production électrique en éolien. Sa demande de capacité à la pointe d’hiver est de l’ordre de 80 GW, et en été beaucoup moins. Compte tenu du fait qu’elle doit conserver une réserve tournante suffisante pour pallier les variations du vent et du soleil, les jours venteux elle essaye par tous le moyens d’écouler son énergie excédentaire pour plusieurs raisons : techniques d’abord, car il est périlleux pour le réseau de déconnecter des milliers d’éoliennes ou de les reconnecter à pleine puissance. Financière ensuite, car le dédommagement contractuel aux producteurs en cas d’arrêt forcé coûte une fortune.
Mais le dieu Éole est capricieux, comme la journée du 10 janvier nous l’a remis en mémoire. L’Allemagne a produit jusqu’à une puissance de 43 GW en éolien dans les jours précédents. Elle exportait 10 GW via la France vers les pays structurellement déficitaires : Angleterre, Espagne, Italie.
Mais l’éolien est tombé à des valeurs proches de zéro dans la journée du 10 janvier. Les exports ont cessé. Le réseau a été fragilisé, à tel point que la fréquence a baissé dangereusement. Une chute brutale supplémentaire de quelques GW, malencontreusement à la pointe vers 19 h, a entraîné une situation critique, proche du black out, qui a été évitée en effaçant en catastrophe les grands consommateurs.
On a eu chaud. Un réseau électrique, même de la taille du réseau européen, a du mal à encaisser une baisse forcée de production de 40 GW en quelques heures, et même si par miracle on pouvait stocker une énergie suffisante pour suppléer (ce qui est improbable à l’heure actuelle, compte tenu des technologies disponibles) la situation resterait critique.
Imaginons ce qui se serait passé si la France avait elle aussi 50 GW de capacité éolienne, comme le prévoit le projet de programmation de l’Énergie : la chute aurait été de 80 GW…
Production allemande du 6 au 13 :
- voir graphiques sur site -
Faudra-t-il un vrai black out, avec des conséquences dramatiques, humaines et financières, pour que les décideurs comprennent que l’énergie est un sujet d’abord technique avant d’être politique ?
https://www.contrepoints.org/2019/01/15/334711-electricite-en-europe-une-journee-qui-derange
HAHAHAHA ! LES IDIOTS DU SITE 'Le Matin':
RépondreSupprimerENVIRONNEMENT - LA GLACE DE L'ANTARCTIQUE FOND PLUS VITE QUE JAMAIS
Une étude révèle que les glaces fondent six fois plus rapidement qu'il y a 40 ans en Antarctique.
Des scientifiques révèlent des chiffres très inquiétants sur la fonte des glaces du Continent Blanc et des conséquences sur les océans.
15.01.2019
La fonte annuelle des glaces en Antarctique est six fois plus rapide qu'il y a 40 ans, révèle une étude. Une fonte qui entraîne une hausse des océans et menace des millions de personnes.
L'amoindrissement des glaces du Continent Blanc est responsable d'une montée de 1,4 centimètre du niveau des océans de la planète entre 1979 et 2017, selon un rapport des Compte-rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS). Et le rythme de fonte anticipé devrait entraîner une élévation désastreuse de ce niveau dans les prochaines années, a relevé Eric Rignot, président de la chaire de système scientifique de la Terre à l'université de Californie (Irvine).
«Avec la calotte antarctique qui continue de fondre, nous prévoyons une hausse du niveau des océans de plusieurs mètres à cause de l'Antarctique dans les prochains siècles», a-t-il ajouté.
Selon des études précédentes, une montée de 1,8 mètre d'ici 2100 - l'une des pires prévisions scientifiques - provoquerait l'inondation de nombreuses villes côtières abritant des millions de personnes dans le monde.
Région plus sensible
Pour cette nouvelle étude, dont les conclusions sont publiées lundi, les chercheurs ont mené la plus longue évaluation de la masse des glaces dans dix-huit régions de l'Antarctique. Ils ont utilisé des données fournies par des photographies aériennes en haute résolution prises par des avions de la Nasa, ainsi que des images radar provenant de satellites de multiples agences spatiales.
Elles ont permis de déterminer qu'entre 1979 et 1990, l'Antarctique avait perdu en moyenne 40 milliards de tonnes de masse glaciaire par an. A partir de 2009 et jusqu'en 2017, c'est passé à 252 milliards de tonnes chaque année.
Plus inquiétant encore, les scientifiques ont repéré des zones dans l'Est, autrefois considérées comme relativement «à l'abri du changement», mais qui perdent désormais beaucoup de glace. «La région de la terre de Wilkes dans l'Est de l'Antarctique a, globalement, contribué de façon importante à la perte de masse même en remontant jusqu'aux années 1980», a expliqué M. Rignot.
«Cette région est probablement beaucoup plus sensible au climat que ce qui était traditionnellement présumé et c'est important de le savoir parce qu'elle a davantage de glace que l'Antarctique de l'Ouest et la péninsule Antarctique réunies», a-t-il poursuivi. Selon lui, le réchauffement de l'eau des océans va accélérer encore plus la fonte des glaces.
RépondreSupprimerL'Antarctique renferme suffisamment de glace pour provoquer, si cette dernière venait à fondre complètement, une élévation de 57 mètres du niveau des mers. La très grande majorité de la glace est concentrée dans l'Est de l'Antarctique, avec de quoi faire monter les mers de 52 mètres en cas de fonte, contre 5 mètres pour la partie Ouest.
La calotte glaciaire de l'Antarctique de l'Est, la plus importante au monde, contient environ la moitié des réserves d'eau douce de la planète. Une étude de référence publiée en juin 2018 dans la revue «Nature» relevait que la fonte des glaces de l'Antarctique avait triplé depuis 1992, sans toutefois montrer d'impact significatif dans l'Est.
Une autre étude d'envergure analysait cependant trois mois plus tard, dans la même revue, des couches de sédiments du plancher océanique déposés lors de la dernière fonte du basin sous-glaciaire de Wilkes, dans l'Antarctique de l'Est, il y a 125'000 ans. Cette étude a montré que cet énorme bassin commencerait à fondre à nouveau en cas d'élévation de la température de 2°C, la limite haute fixée par l'accord de Paris pour atténuer le changement climatique.
Les récentes recherches devraient inciter à porter une «attention accrue» à la fonte des glaces dans l'Est de l'Antarctique, a souligné le rapport des PNAS. Selon les scientifiques, le réchauffement de l'eau des océans va accélérer encore davantage la fonte des glaces et le niveau des mers va continuer à s'élever pendant des siècles, quels que soient les efforts réalisés actuellement pour combattre le changement climatique. Leur température, ont démontré de récentes études, se réchauffe plus rapidement que ce que pensaient les scientifiques et ont atteint des records ces dernières années. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/sante/environnement/glace-antarctique-fond-vite-jamais/story/29516258
(...) Selon des études précédentes, une montée de 1,8 mètre d'ici 2100 - l'une des pires prévisions scientifiques - provoquerait l'inondation de nombreuses villes côtières abritant des millions de personnes dans le monde. (...)
Supprimer(...) L'Antarctique renferme suffisamment de glace pour provoquer, si cette dernière venait à fondre complètement, une élévation de 57 mètres du niveau des mers. La très grande majorité de la glace est concentrée dans l'Est de l'Antarctique, avec de quoi faire monter les mers de 52 mètres en cas de fonte, contre 5 mètres pour la partie Ouest. (...)
HAHAHAHAHAHAHAHAHA !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.