Le vert bavoir: L'initiative suisse 🇨🇭 de reconstruction analytique exige : il faut enquêter sur la période Covid !

vendredi 15 mars 2024

L'initiative suisse 🇨🇭 de reconstruction analytique exige : il faut enquêter sur la période Covid !

https://www.kla.tv/fr

103 commentaires:

huemaurice515 mars 2024 à 08:22
L'initiative suisse 🇨🇭 de reconstruction analytique exige : il faut enquêter sur la période Covid !

14.03.2024
www.kla.tv/28470

Quelques mois après l'introduction des vaccins Covid, la base de données du CDC, l'agence américaine de contrôle des maladies, était déjà pleine de décès dus à la vaccination. Julian Assange est en prison pour avoir révélé des crimes de guerre, mais les criminels de guerre courent toujours.

Et c'est pourquoi nous demandons maintenant une enquête indépendante sur la période du Covid. C'est pour cette raison que nous avons lancé l'Initiative populaire fédérale « Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 (initiative de reconstruction analytique) ». La question est de savoir ce que veut l'Initiative populaire fédérale « Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 ». Ce que nous voulons, c'est d'une part une commission d'enquête indépendante, c'est-à-dire qui ne soit pas composée de personnes ayant déjà participé d'une manière ou d'une autre à des mesures ou ayant été fonctionnaires ou autres. Ensuite, nous voulons un tribunal spécial et nous voulons une amnistie pour les personnes qui ont été injustement condamnées. Et nous voulons aussi que les fabricants de vaccins assument les dommages causés par les vaccins.

En Suisse, la collecte de signatures pour l'Initiative populaire fédérale « Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 (initiative de reconstruction analytique) » est en cours depuis environ un an. Le point fort de l'initiative est la mise en place d'une "commission d'enquête extraparlementaire suisse". Déjà en avril 2021, avec la pétition "Printemps2020", plus de 55 500 personnes avaient réclamé la création d'une "commission d'enquête extraparlementaire" indépendante, ou APUK. En mars 2022, près de 40 organisations de défense des droits civiques s’étaient également prononcées en faveur d'une APUK dans une lettre ouverte. Le Comité des juristes, le mouvement de défense des droits civiques "Aufrecht" ainsi que l'Union démocratique fédérale (UDF) ont adressé la même demande au monde politique. A ce jour, aucune commission d'enquête indépendante n'a été mise en place pour examiner les décisions prises en matière de pandémie. Cet objectif doit maintenant être atteint par le biais d'une initiative populaire fédérale.

En résumé, l'initiative de reconstruction analytique vise les objectifs suivants :
- Vérifier si les mesures étaient ciblées, proportionnées et conformes à la constitution
- Vérifier s'il y a eu des crimes tels que la corruption, etc.
- Vérifier si des possibilités de traitement ou de prévention meilleures ont été empêchées
- Indemnisation et soutien équitables pour les victimes de la vaccination et d’autres préjudices
- Amnistie pour les innocents
- Des connaissances pour la prochaine pandémie
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huemaurice515 mars 2024 à 08:22
Comme les immenses dommages causés par les mesures Covid, en particulier par les injections d'ARNm, apparaissent de plus en plus clairement, il est indispensable de faire une analyse. L'avocat allemand Ralf Ludwig est le fondateur du Centre pour la reconstruction analytique, l'information, la poursuite juridique et la prévention des crimes contre l'humanité commis sur la base des mesures Covid (ZAAVV). Lors de son exposé "Pas de réconciliation sans remise en état" à la 19e AZK de novembre 2023, Ludwig a résumé la situation comme suit :

"Parce que si nous ne faisons pas une reconstruction analytique, nous permettons quasiment aux dirigeants de chacun de ces Etats, (cela vaut pour la Suisse, pour l'Autriche, pour l'Italie, pour la France, pour tous les Etats), de se mouvoir en dehors des règles que nous nous sommes fixées ensemble, sans qu'ils n'en subissent aucune conséquence. Et cela, nous ne pouvons pas le tolérer. Et nous ne pouvons pas le tolérer, parce qu'alors, nous nous comportons aussi en contradiction avec la loi."

Pour une initiative populaire fédérale, il faut 100 000 signatures valables. Le nombre actuel de signatures est d'environ 30 000. Selon le comité de l'initiative, la collecte des signatures n'est pas si facile. Cela entre autres parce que les médias de masse refusent de parler de l'initiative et, s'ils le font, ils le font de manière péjorative. Le comité est extrêmement reconnaissant pour tout soutien, sous quelque forme que ce soit. Il faut également garder à l'esprit que l'initiative est justement importante pour les "vaccinés", puisqu'elle vise à responsabiliser les fabricants de vaccins afin qu'ils assument les dommages causés par la vaccination.

Aidez l'initiative suisse de reconstruction analytique à percer, diffusez cette émission et commandez dès aujourd'hui des feuilles de signatures en cliquant sur le lien affiché :
https://www.aufarbeitungsinitiative.ch/unterschriftenbogen-bestellen

Note importante :
Les formulaires de signature doivent impérativement être retournés avant le 12 juillet 2024.

de brm.
Sources / Liens :
Site de l’initiative populaire « Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 (initiative de reconstruction analytique) »
https://www.aufarbeitungsinitiative.ch/fr

Commision extraparlemantaire indépendante(APUK)
https://www.aufarbeitungsinitiative.ch/fr/apuk-ausserparlamentarische-untersuchungskommission

Commander des feuilles de signatures
https://www.aufarbeitungsinitiative.ch/fr/unterschriftenbogen-bestellen
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huemaurice515 mars 2024 à 08:22
Lettre ouverte de près de 40 organisations de défense des droits civils demandant une APUK
https://www.aufarbeitungsinitiative.ch/_files/ugd/96fd7b_7888881a64914192bd9f6131b1b901bc.pdf

Avis du comité de juristes du 19 février 2022
https://juristen-komitee.ch/wp-content/uploads/2022/02/2022-02-19_Stellungnahme-CB-auf-BR-DE.pdf

Congrès en plein air à Winterthur du 7 mai 2023
www.kla.tv/26009

Conférence de Ralf Ludwig "Pas de réconciliation sans enquête et remise en ordre“ lors de la 19e AZK
www.kla.tv/27527

Publication du début de la collecte de l'initiative pour le travail de mémoire sur le site de la Chancellerie fédérale
https://www.bk.admin.ch/ch/d/pore/vi/vis545.html

https://www.kla.tv/fr
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huemaurice515 mars 2024 à 08:24
Doit-On cacher la vérité sur l’intégration dans le genome et les risques de cancers suite aux vaccins géniques ?

le 15 mars 2024
par pgibertie

Doit-On cacher la vérité sur l’intégration dans le genome et les risques de cancers suite aux vaccins geniques tant que tous les scientifiques honnêtes ne se sont pas mis d’accord ? Helene Banoun s’interroge devant les hésitations du professeur BUCKHAULT

Pour les cancers aux ETATS Unis, ce sera 14% de plus

L’ARNm de Covid Vaxx a provoqué une inflexion importante en 2021, et désormais une nouvelle tendance en termes d’incidence et de mortalité du cancer. Maintenant, vous savez qui étaient les menteurs depuis le début.

- voir graph sur site -

Les fortes inquietudes qui sont les siennes avaient eu l’effet d’une bombe… Voudrait il calmer le jeu… sans lever les inquiétudes

@P_J_Buckhaults est un des meilleurs cancérologues reconnu au monde

Phillip Buckhaults, Ph.D., est un biologiste moléculaire et généticien du cancer expérimenté qui possède une vaste expérience des applications de séquençage de nouvelle génération pour l’analyse globale de l’expression génique et la détection des mutations génétiques.

Buckhaults a caractérisé les paysages d’expression des tumeurs du côlon pour identifier les signatures de récidive et les paysages de mutations des tumeurs du sein et du côlon pour identifier de nouveaux gènes du cancer, et il a dressé le profil des signatures de mutations des gènes du cancer dans les mélanome

Les découvertes de contamination de l’ADN dans les vaccins à ARNm ont été répétées par moi et par d’autres. L’ADN est largement distribué dans de nombreux lots utilisés dans le monde entier. Moi et d’autres étudions pour voir si l’ADN plasmidique s’intègre un jour dans l’ADN génomique humain.

Mes découvertes seront rapportées dans des publications évaluées par des pairs.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:25
Certaines personnes étaient effrayées par quelque chose pour lequel elles ne pouvaient rien faire. La discussion doit avoir lieu entre scientifiques et régulateurs et ne doit pas être utilisée pour alarmer le public à moins/jusqu’à ce que des informations exploitables soient obtenues. Les scientifiques travaillent en privé pour garantir la protection du public. Il y a des scientifiques bons et honnêtes qui ont rapidement présenté des vaccins au public pour le protéger contre un nouveau virus, et maintenant d’autres scientifiques bons et honnêtes s’y opposent et mènent des études de sécurité supplémentaires pour s’assurer qu’aucun mal ne passe inaperçu. Il s’agit d’une tension naturelle entre deux bons groupes de scientifiques et le public est servi par leurs relations quelque peu conflictuelles.

Les études de pharmacovigilance se déroulent généralement à l’abri des regards du public et ne sont portées à l’attention du public que lorsque des résultats informatifs sont prêts. Cette question a été exposée prématurément au public. Je suis reconnaissant du soutien massif du public envers mes recherches, mais cela a eu un coût émotionnel élevé pour certains. [quelques recommandations politiques…]

1. Les vaccins à ARNm à base de nanoparticules lipidiques nécessitent un nouveau type de programme de surveillance de l’intégrité du génome vérifiant la mutagenèse insertionnelle et/ou les modifications épigénétiques dans les conditions réelles dans lesquelles ils sont utilisés.

2. Les institutions chargées de veiller à la sécurité publique ne devraient pas être financées par les industries qu’elles réglementent.

Une souche d’E.coli peut muter l’ADN. il est probablement à l’origine de certains cas de cancer du côlon à apparition précoce. le microbiome compte. les bons bugs peuvent évincer les mauvais bugs.

- voir cadre sur site -

https://pgibertie.com/2024/03/15/doit-on-cacher-la-verite-sur-lintegration-dans-le-genome-et-les-risques-de-cancers-suite-aux-vaccins-geniques/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:25
Le parlement européen demande la publication des sms Pfizer- Von der Leyen malgré le refus du PPE(sauf les Français), des socialistes de Glucksmann, des écolos et d’AUBRY

le 14 mars 2024
par pgibertie

La Macronie lacherait elle Von der Leyen? Elle n’a pu compter que sur le PPE ( à l’exception de la bande à Bellamy qui lui est hostile), les écolos, Gluksmann et Aubry

- voir doc sur site -

Un début de désaveu de la candidature d’Ursula von der Leyen pour un second mandat ? A l’amendement pour la demande des échanges de SMS entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, une petite majorité a dit oui ! Évidemment Manon Aubry et Raphaël Gluskman ont dit non et les Verts se sont abstenus ! Plus curieux, ce sont les macronistes qui se réveillent aujourd’hui sur le sujet ? Campagne oblige, personne n’est dupe.

- voir doc sur site -

https://pgibertie.com/2024/03/14/le-parlement-europeen-demande-la-publication-des-sms-pfizer-von-der-leyen-malgre-le-refus-du-ppesauf-les-francais-des-socialistes-de-glucksmann-des-ecolos-et-daubry/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:26
Pourquoi les vaccins C-19 ne préviennent pas l'infection

Par John Leake
Discours courageux
15 mars 2024

À l'été 2022, j'ai eu le privilège de dîner avec le professeur Robert Clancy, un éminent immunologiste clinique australien et pionnier dans le domaine de l'immunologie des muqueuses, avec 260 publications sur le sujet.

Il m’a expliqué précisément pourquoi les injections contre le COVID-19 – conçues pour induire la production d’anticorps contre la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 dans le sang – ne peuvent pas empêcher l’infection ou la transmission du virus. Le problème, a-t-il expliqué, est que le SRAS-CoV-2 se réplique rapidement dans la muqueuse nasale et se transmet à d’autres personnes quelques jours avant de descendre dans la région d’échange gazeux des poumons et de rencontrer des anticorps sanguins.

Ceci, a-t-il expliqué, était compris depuis longtemps pour les virus respiratoires tels que ceux qui causent le rhume et la grippe, et cette même qualité a été rapidement constatée pour le SRAS-CoV-2.

Ainsi, dès le départ, il était clair que les vaccins contre la COVID-19 n’empêcheraient PAS l’infection ou la transmission du SRAS-CoV-2. Cette réalité annule complètement toute justification en faveur de l’obligation de vacciner.

Depuis lors, l’explication du professeur Clancy sur cette réalité m’est restée gravée dans la mémoire. Cela m'a été rappelé hier lorsqu'un ami m'a envoyé un lien vers un article intitulé Repenser les vaccins de nouvelle génération contre les coronavirus, les virus de la grippe et d'autres virus respiratoires, par Morens, Taubenberger et Fauci. Comme le soulignent les auteurs :

les virus respiratoires non systémiques tels que les virus de la grippe, le SRAS-CoV-2 et le RSV ont tendance à avoir des périodes d'incubation significativement plus courtes et des évolutions rapides de réplication virale. Ils se répliquent principalement dans les tissus muqueux locaux, sans provoquer de virémie, et ne rencontrent pas de manière significative le système immunitaire systémique ni la pleine force des réponses immunitaires adaptatives, qui mettent au moins 5 à 7 jours pour mûrir, généralement bien après le pic de réplication virale et transmission ultérieure à d’autres. ….

Compte tenu de tous ces facteurs, il n’est pas surprenant qu’aucun des virus respiratoires à prédominance muqueuse n’ait jamais été efficacement contrôlé par les vaccins. Cette observation soulève une question d’importance fondamentale : si les infections virales respiratoires naturelles des muqueuses ne suscitent pas une immunité protectrice complète et à long terme contre la réinfection, comment pouvons-nous espérer que les vaccins, en particulier les vaccins non réplicatifs administrés par voie systémique, y parviennent ? Il s’agit d’un défi majeur pour le développement futur de vaccins, et il est essentiel de le surmonter alors que nous travaillons au développement de vaccins de « nouvelle génération ».
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huemaurice515 mars 2024 à 08:27
En d’autres termes, en novembre 2022, le Dr Fauci et ses collègues ont publié un article dans lequel ils démontraient qu’ils comprenaient clairement ce que le professeur Clancy m’avait dit lors d’un dîner trois mois plus tôt : à savoir que les vaccins contre la COVID-19 ne peuvent pas « contrôler efficacement » le SRAS. CoV-2. L’affirmation initiale, très médiatisée, selon laquelle ils empêcheraient l’infection et la transmission était un mensonge éhonté.

Reprinted with permission from Courageous Discourse.

https://www.lewrockwell.com/2024/03/no_author/why-c-19-vaccines-dont-prevent-infection/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:27
Le fascisme (NAZIonal socialiste) avec les extensions de l'OMS pour le 21e siècle

15 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

Des changements majeurs au Règlement sanitaire international (RSI) seront bientôt décidés lors de la réunion annuelle (WHA) des États membres de l’OMS et un « traité sur la pandémie » sera lancé. Les changements les plus importants concernent le RSI, qui entre automatiquement en vigueur après 10 mois, à moins qu’un État n’y oppose son veto.

Les négociations de l’Organisation mondiale de la santé ne visent PAS à améliorer votre santé. L’accent est mis sur la combinaison du pouvoir des gouvernements et des entreprises pour profiter de « pandémies » sans fin. Nous sommes donc confrontés à une tentative d’inscrire la corruption dans le droit international à une échelle absolument sans précédent.

Dans son blog Substack, le journaliste et observateur le plus proche de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) décrit cela comme du fascisme sous une nouvelle forme et comme une tentative de l'OMS de créer la nouvelle « OPEP » : l'organisation des sociétés d'urgence en cas de pandémie.

Il s’agit d’une tentative de voler les pauvres des pays riches pour enrichir les riches des pays pauvres.
–James Roguski

Lisez le projet officiel révisé du texte de négociation de l’Accord de l’OMS sur la pandémie : « Projet révisé du texte de négociation de l’Accord de l’OMS sur la pandémie ».

J'ai souligné à plusieurs reprises dans les articles du TKP que la façon dont le pouvoir des entreprises a fusionné avec le pouvoir de l'État au cours des quatre dernières années correspond exactement à la définition du fascisme donnée par Benito Mussolini. L'OMS, l'ONU, l'UE et les gouvernements nationaux ont pris en charge la commercialisation et la vente de leurs produits pour l'industrie pharmaceutique mondiale. Les grands gestionnaires d’actifs et le complexe financier numérique se distinguent difficilement du pouvoir de l’État. La censure, le mépris des droits fondamentaux et des droits de l'homme, les expériences médicales sur les personnes et le bellicisme ont prospéré d'une manière jamais vue depuis avant et pendant les deux guerres mondiales du 20e siècle.

Une lecture des textes du contrat :

- voir clip sur site -

Les négociations de l’OMS visent à injecter des dizaines de milliards de dollars dans ce que Roguski appelle le complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques (PHEIC).

Une grande partie de cette redistribution des richesses affecterait environ 400 « parties prenantes concernées ». Ces « acteurs concernés » sont des organisations non gouvernementales (ONG), des organisations à but non lucratif (OBNL) et des organisations de la société civile (OSC), qui sont souvent impliquées dans des « partenariats public-privé ».

Roguski appelle ce trio impie (gouvernement, entreprises et groupes d’intérêt concernés) « un fascisme avec une mise à niveau du 21e siècle ».

Les fases sont originaires de la civilisation étrusque et ont été transmis à la Rome antique, où ils symbolisaient le pouvoir du roi romain de punir ses sujets. Les fasces , faisceau de verges avec une hache, étaient une compilation de tous les instruments nécessaires pour infliger des châtiments corporels (flagellation avec des verges) ou la peine capitale (décapitation avec des haches).

Benito Mussolini a décrit le fascisme comme la fusion du gouvernement et des entreprises, d’où l’utilisation de deux faisceaux.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:28
Roguski a poursuivi :

« Au cours des dernières décennies, l’influence corruptrice des organisations de la société civile, des organisations à but non lucratif, des fondations et de nombreux autres types d’organisations non gouvernementales a ajouté une troisième branche au fascisme du 21e siècle en tant que facteur de stabilisation et de renforcement.

Dans le monde moderne, les faisceaux servent toujours de symbole du pouvoir magistral, de la loi et de la règle. Des faisceaux se trouvent au revers de la pièce de dix cents américaine Mercury et derrière l'estrade de la Chambre des représentants des États-Unis.

Environ 400 « groupes d’intérêts pertinents » constituent le troisième pilier du fascisme du XXIe siècle.
https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr4/A_WGIHR4_6-en.pdf

https://www.who.int/publications/m/item/non-state-actors-in-official-relations-with-who

Extraits des changements
Nouvel article 44A – Mécanisme de financement pour l’équité dans la préparation et la réponse aux urgences sanitaires

1. Un mécanisme sera établi pour la fourniture de ressources financières sous forme de subventions ou à des conditions concessionnelles aux pays en développement. Un tel mécanisme de financement fournira un soutien financier aux fins suivantes

: (i) construire, développer, renforcer et maintenir l
es capacités de base énoncées à l'annexe 1 ;

(ii) renforcer les systèmes de santé, notamment leur fonctionnalité et leur résilience ;

(iii) Créer, développer et maintenir des capacités de recherche, de développement, d’adaptation, de production et de distribution de produits et technologies de santé, le cas échéant au niveau local ou régional.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:28
(iv) Éliminer les inégalités en matière de santé au sein des États parties et entre eux afin que la préparation et la réponse aux urgences sanitaires ne soient pas compromises ;
2. L'AMS prendra, dans les 24 mois suivant l'adoption de cette disposition, des dispositions pour mettre en œuvre les dispositions ci-dessus, en examinant et en tenant compte de la disponibilité des ressources et des dispositions de l'OMS en matière de préparation et de réponse aux urgences sanitaires et en examinant si elles sont maintenues. devrait. Par la suite, tous les quatre ans, l'AMS examine le mécanisme de financement et prend les mesures appropriées pour améliorer le fonctionnement du mécanisme. L'AMS veille également à ce que le mécanisme de financement fonctionne sous la direction des États parties et soit responsable envers eux ; ceux-ci décident de ses politiques, de ses priorités de programme et de ses critères d’éligibilité.

https://tkp.at/2024/03/15/faschismus-mit-who-erweiterungen-fuer-das-21-jahrhundert/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:29
Autorité australienne : le « Long Covid » n’existe pas

15 mars 2024
de Thomas Oysmüller

Une enquête menée par l’État australien du Queensland conclut que le « Long Covid » devrait être supprimé du nombre de maladies.

Le ministère allemand de la Santé investit des millions dans la recherche sur le « Long Covid » et mène une propagande intensive autour de cette 'prétendue maladie'. Même pendant la politique Covid, le « Long Covid » était un élément central de la propagande d’État. Mais il y a maintenant une percée en Australie dans l’autre sens : le terme « Long Covid » doit être supprimé, exige un État fédéral australien après une enquête. Car il n’existe pas de maladie spécifique « Long Covid ».

La fin du Long Covid
Les experts de la santé affirment que les symptômes des personnes qui souffrent encore du « Long Covid » après un an ne sont pas différents des symptômes d’autres maladies virales typiques (comme la grippe). Il est temps d’arrêter d’utiliser cette étiquette, notamment parce qu’il s’agit d’une « expression alarmiste », estiment les chercheurs.

"Nous pensons qu'il est temps d'arrêter d'utiliser des termes comme" Long COVID "", a déclaré le Dr. John Gerrard, qui a supervisé l'étude. Il est à la tête du Queensland Health et donc du plus haut responsable des services de santé publique de l'État australien. Gerrard a poursuivi : « Vous insinuez à tort qu’il y a quelque chose d’unique et d’inhabituel dans les symptômes prolongés associés à ce virus. » Mais c’est faux et peut conduire à « une anxiété inutile et, dans certains cas, une hypervigilance face à des symptômes prolongés qui peuvent entraver la guérison ».

Au total, les chercheurs de Queensland Health ont interrogé 5 112 personnes âgées de 18 ans et plus. Les chercheurs ont sélectionné leurs sujets parmi un groupe d’Australiens malades qui avaient passé un test COVID-19 à la fin du printemps 2022 – avec des résultats positifs ou négatifs – et les ont interrogés sur leurs symptômes et leur qualité de vie un an plus tard.

Seize pour cent des personnes interrogées ont déclaré avoir ressenti des symptômes au printemps 2023, et 3,6 pour cent ont signalé une « déficience fonctionnelle modérée à sévère » dans leur vie quotidienne. Cependant, aucune preuve n’a été trouvée suggérant que les adultes dont le test était positif en 2022 présentaient ce niveau accru de déficience à un taux plus élevé que ceux dont le test était négatif ou ceux qui avaient la grippe.

L’article devrait également être présenté au Congrès européen 2024 de microbiologie clinique et des maladies infectieuses à Barcelone le mois prochain, rapporte le NY Post.

https://tkp.at/2024/03/15/australische-behoerde-long-covid-gibt-es-nicht/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:29
Indicatifs régionaux au Texas : 92 % veulent décider eux-mêmes des vaccinations sans y être forcés

15 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

Le parti républicain au pouvoir au Texas, GOP – Grand Old Party, a demandé hier aux citoyens lors d’une primaire s’ils voulaient avoir la liberté d’accepter ou de refuser les vaccins. 92 % voulaient un consentement éclairé sans coercition. Plus de 2 millions de Texans ont voté.

C’est plus qu’un rejet clair de tous les efforts de l’OMS, des gouvernements nationaux ou des États pour nous forcer à accepter à l’avenir un soi-disant vaccin non testé. Ou même un « vrai » vaccin testé. Les gens veulent leur autonomie physique.

Le Texas s’est déjà rebellé contre les recommandations de l’OMS et le cartel de la vaccination. Le procureur général de l'État a intenté une action en justice contre Pfizer pour fraude dans ses essais de vaccins et pour le nombre élevé d'effets secondaires. La politique repose évidemment sur une majorité de citoyens responsables, comme le montre ce résultat de vote :

Une proposition déclarant que « L’ÉTAT DU TEXAS DEVRAIT GARANTIR que les Texans ont la LIBERTÉ de donner ou de refuser leur consentement à se faire vacciner sans coercition » a été approuvée par les électeurs du Texas lors des dernières élections primaires du 5 mars, massivement soutenues !

Le Parti républicain du Texas a profité des élections primaires pour interroger les électeurs des primaires sur leurs opinions sur 13 questions afin d'évaluer l'importance de certaines questions en plaçant ces propositions sur le bulletin de vote. Il ne s’agit pas de propositions officielles visant à modifier la Constitution ou à adopter de nouvelles lois, mais plutôt d’un sondage d’opinion non contraignant auprès des électeurs des primaires du Parti républicain. Les démocrates ont choisi de ne soumettre aucune proposition au scrutin lors de cette primaire.

Découvrez ces résultats sur la proposition 8 ! Un énorme 91,57 % disent OUI à la liberté de donner ou de refuser son consentement à la vaccination sans contrainte, et seulement 8,43 % disent non. Il ne s’agit pas non plus d’un petit sondage. Plus de 2 millions de Texans ont voté OUI sur leur bulletin de vote et moins de 190 000 ont dit NON.

Ce vote confirme que la plupart des Texans veulent avoir la liberté de décider quels vaccins utiliser ou ne pas utiliser, sans y être obligés !

https://tkp.at/2024/03/15/vorwahlen-in-texas-92-wollen-ohne-zwang-selbst-ueber-impfungen-entscheiden/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:30
Études sur le vaccin Corona : « Tout peut être revendiqué avec des données manipulées. »

15 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

Un autre scientifique s'est prononcé pour mettre en garde le public contre les médicaments à ARNm contre les coronavirus après avoir révélé que les essais médicaux des vaccins avaient été manipulés pour donner l'impression que les injections étaient « sûres et efficaces ». Les preuves ont été publiées par Raphel Lataster , Ph.D., chercheur renommé et ancien pharmacien de l'Université de Sydney, en Australie.

Lataster a résumé quatre études montrant que la promesse d’une vaccination « sûre et efficace » contre le COVID-19 « a été exagérée dans les essais cliniques et les études observationnelles ». Il a expliqué ses arguments dans son Substack et a basé ses conclusions sur quatre articles :

Un article de mars 2023 de l'auteur principal, le professeur Peter Doshi, Ph.D., décrivant le biais de la « fenêtre d'observation du nombre de cas » et son impact potentiel sur la déclaration de l'efficacité du vaccin contre la COVID-19.

Réponse de Lataster de juillet 2023 à l'article de Doshi concluant que le même type de biais affecte les rapports de sécurité.

Une réponse de juillet 2023 de Doshi expliquant comment les essais cliniques de Pfizer et Moderna ont été manipulés à l'aide de fenêtres de décompte des cas.

L'article de Lataster de janvier 2024 , qui discute des biais répandus dans les études à la lumière des données récentes sur la myocardite, un effet secondaire désormais reconnu des vaccinations.

L' étude , qui était au centre de l'analyse de Lataster, a examiné les préjugés qui ont conduit les responsables de la santé et les médias à affirmer que les injections étaient « sûres et efficaces » pour le public.

Trois types de biais peuvent avoir contribué aux premières évaluations inexactes des vaccins : le biais lié au taux d’infection de base, le biais lié à l’âge et le biais lié à la fenêtre de décompte des cas.

Un « biais lié au taux d’infection de fond » se produit lorsque les groupes d’étude ont des niveaux d’exposition intrinsèquement différents.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:30
Un exemple extrême en serait une étude sur les infections corona, dans laquelle des personnes strictement isolées chez elles au début de la pandémie sont comparées à des médecins qui traitaient plusieurs patients Covid par jour au cours de la même période.

Le biais du taux d’infection peut donner l’impression que même un vaccin sans valeur est très efficace.

En se basant sur la façon dont la plupart des études calculent l’efficacité des vaccins, Lataster estime que même une injection fictive pourrait sembler efficace à 67 %.

J'ai décrit le fonctionnement des mathématiques il y a un an dans un article sur les travaux du professeur Norman Fenton. On suppose que deux groupes de 100 personnes chacun sont vaccinés avec un placebo, le groupe bleu est considéré comme vacciné et le groupe vert est considéré comme non vacciné. On suppose également que 10 % des personnes sont infectées toutes les deux semaines. Cependant, les personnes infectées vaccinées sont comptées parmi les non vaccinées car « l’effet » ne se fait sentir qu’au bout de 2 semaines.

Dans un nouvel article, le professeur Norman Fenton écrit :

« L’illusion statistique selon laquelle une vaccination inutile semble être très efficace contre une maladie lorsque les personnes infectées sont classées comme non vaccinées peu de temps après la vaccination. »

Un nouvel article avec Martin Neil, Norman Fenton et Scott McLachlan montre également à quel point cette « astuce bon marché » est répandue dans les études sur la vaccination contre le corona.

Mais revenons à Lataster et Doshi. Dans son étude, Doshi évoque également les préjugés liés à l’âge et les difficultés à les éliminer.

"L'âge est peut-être le facteur de risque le plus influent en médecine, affectant presque tous les résultats en matière de santé ", écrit-il. Les chercheurs tentent d’éliminer autant que possible les préjugés liés à l’âge.

Toutefois, cette tâche est plus facile en théorie qu’en pratique.

Début 2021, alors que la vaccination était bien accueillie mais limitée aux personnes âgées, les vaccinés en tant que groupe étaient beaucoup plus âgés que les non vaccinés. À cette époque, le taux d’infection parmi eux n’était que la moitié de celui de la jeune génération. En raison de ce déséquilibre, les vaccins semblaient plus efficaces qu’ils ne l’étaient en réalité pour prévenir les infections.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:31
Toujours sur cette seule base, Doshi a calculé l’efficacité présumée d’une vaccination fictive à 51 %. Il a suggéré d’utiliser ce pourcentage comme facteur de correction pour les futures allégations sur l’efficacité du vaccin.

Cependant, la source d'erreur la plus importante était le biais de la fenêtre de comptage des cas . Dans les études cruciales sur le vaccin corona, une infection corona symptomatique confirmée en laboratoire a été utilisée comme critère d’évaluation principal. Néanmoins, les études n’ont commencé à compter les cas que 7 et 14 jours après la dernière vaccination de la série.

À ce stade, les sujets testés étaient considérés comme « entièrement vaccinés ».

Selon Doshi, aucun des fabricants de vaccins n’a fourni de justification pour exclure les cas survenus avant ce point, ce qui a principalement eu un impact sur les rapports de sécurité sur les événements indésirables.

Dans une série d'articles, le TKP a souligné la falsification des résultats des statistiques du RKI et de l'AGES en Allemagne et en Autriche. Cette astuce a été utilisée pour revendiquer une efficacité en 2021 et en partie en 2022.

Pfizer a justifié ce retard à la page 15 de son rapport sur les effets indésirables en affirmant que « le vaccin n’a pas encore eu suffisamment de temps pour stimuler le système immunitaire ».

Lataster a qualifié cette explication de « bizarre » car beaucoup de temps s’est écoulé entre la première vaccination et 7, 14 ou 21 jours après la dernière vaccination en série. De nombreux effets secondaires auraient pu survenir pendant cette période.

La plupart des effets secondaires surviennent dans les premiers jours suivant la vaccination.

"Pour aggraver les choses, les non vaccinés ne bénéficient pas d'un tel 'délai de grâce '", a écrit Lataster.

En d’autres termes : les fabricants de vaccins ainsi que le RKI et l’AGES n’ont compté que les cas, les hospitalisations et les décès parmi les non vaccinés. Cependant, les mêmes événements parmi les personnes vaccinées ont été ignorés.

Selon Doshi, ce biais explique 48 % de l'efficacité revendiquée de ces produits. Ce chiffre est supérieur à l’efficacité reconnue des vaccinations après seulement quelques mois.

Dans son article de juillet 2023, Lataster a souligné une quatrième source de biais – le biais définitionnel – que Doshi avait négligé. Ce problème a conduit à ce que les personnes ayant reçu des vaccins contre le coronavirus soient répertoriées comme « non vaccinées ».
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huemaurice515 mars 2024 à 08:31
Le biais de définition signifie que les personnes sont classées comme « non vaccinées » si leur dernière vaccination remonte à moins d’un nombre de jours arbitrairement choisi.

"Bien qu'il puisse être utile dans certaines circonstances de surveiller l'efficacité des vaccins à ARNm à partir du point où ils sont le plus efficaces, il n'y a aucune justification rationnelle pour appliquer cela aux analyses de sécurité", a déclaré Lataster.

Toutefois, le plus grand danger de distorsion des définitions ne réside pas dans le fait que les événements indésirables restent ignorés. Le plus grand danger est que les signaux de danger parmi les vaccinés qui apparaissent avant l’ouverture de la fenêtre de comptage soient regroupés avec ceux qui n’ont pas reçu le vaccin.

Les articles originaux de Doshi et Lataster soulignent les biais des études observationnelles. Cependant, comme Doshi l’a noté dans son deuxième article, les mêmes biais dans le nombre de cas se sont également produits dans les études originales sur le vaccin contre le coronavirus, contrôlées par placebo.

Par exemple, les cas et les événements indésirables survenus après la vaccination mais avant l’ouverture de la « fenêtre » n’ont pas été comptés ni attribués au groupe non vacciné.

Cela a conduit à ce que le vaccin semble plus sûr et plus efficace qu’il ne l’était.

Lataster a répondu avec un autre article soulignant des problèmes supplémentaires. Dans une étude Pfizer, un grand nombre de patients, pour des raisons de santé, une réaction grave au vaccin ou pour toute autre raison, ne sont pas restés dans l’étude assez longtemps pour que leurs résultats soient pris en compte.

Le nombre de patients perdus était suffisamment important pour influencer fortement les résultats dans un sens ou dans l’autre.

En outre, il y a eu plus de 3 000 cas suspects d’infection dans l’ensemble de la population étudiée, mais ceux-ci n’ont pas été confirmés. Ce nombre était réparti presque également entre les groupes de traitement et les groupes placebo.

Ces cas, écrit Lataster, ont considérablement abaissé les estimations de l'efficacité du traitement. Par exemple, sur la base de cinq cas de Covid-19 parmi les personnes vaccinées et de 95 cas parmi les personnes non vaccinées, on pourrait affirmer que le vaccin était très efficace.

Cependant, si l’on ajoute 1 000 cas de Covid-19 dans les deux groupes, soit 1 005 cas contre 1 095 cas, le résultat est bien moins impressionnant, a déclaré Lataster.

« De cette manière, un produit avec une efficacité inférieure à 10 % peut être présenté comme efficace à plus de 90 % », écrit Lataster,
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huemaurice515 mars 2024 à 08:31
« Tout peut être revendiqué avec des données manipulées. "

https://tkp.at/2024/03/15/corona-imfpstoff-studien-mit-manipulierten-daten-kann-alles-behauptet-werden/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:32
Qu’est-ce que le COVID-19, SARS-CoV-2 : comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ?
Chapitre III du livre électronique, La crise mondiale du coronavirus : coup d'État mondial contre l'humanité

Par le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
14 mars 2024

Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.

Le texte suivant constitue le chapitre III de :

La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
par Michel Chossudovsky

ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 chapitres

Prix : 11,50$Obtenez le vôtre GRATUITEMENT ! Cliquez ici pour télécharger . Cliquez ici pour lire en ligne .

Faites défiler vers le bas pour plus de détails au bas de l'article

*

« Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. – Le Dr Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourrait être due à ce que l'on appelle des tests de faux positifs . » – Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

« Cet usage abusif de la technique RT-PCR est appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de RT positifs. -Des tests PCR, et non sur un nombre réel de patients .» – Dr Pascal Sacré , médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste de santé publique réputé.

« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en réétiquetant les patients atteints de cancer, les victimes d’accidents vasculaires cérébraux et toutes sortes de décès réguliers normaux comme Covid, en fait pratiquement toute personne montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement erronées, des tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles dont nous savons tous qu'ils ne valent rien, et pourtant des personnes sont euthanasiées sur cette base et parfois uniquement sur la base d'une radiographie pulmonaire. – John O'Looney, directeur des funérailles, Milton Keynes, Royaume-Uni
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huemaurice515 mars 2024 à 08:35
La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger et al. :

Le nombre de cycles d'amplification [devrait être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, >35 cycles détectent uniquement les signaux qui ne sont pas en corrélation avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten ) 21

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES . C’est pourtant ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en concertation avec l’équipe de virologie de l’hôpital de la Charité à Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les « cas confirmés de COVID-19 » compilées dans le monde entier au cours des deux dernières années et demie sont invalides.

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al., le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ». 22

Le Mea Culpa de l'OMS
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS.

« Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. 23 (c'est nous qui soulignons)

Les « positifs invalides » sont le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas ici d’une question de « faibles positifs » ni de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations invalides des « cas confirmés de COVID-19 ».

Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de COVID positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est invalide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire un test, « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… »

L'OMS appelle à « refaire des tests » , ce qui revient à dire « on a merdé ».
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huemaurice515 mars 2024 à 08:39
«… On s'est rendu compte à travers les dénonciations de certains médecins que les gens ne mouraient pas de la COVID, mais de déshydratation, de malnutrition, d'abandon , déplore M. Brunet. Alors, de quoi sont réellement morts ces milliers de personnes dans les CHSLD et les résidences privées ? (cité dans La Presse, traduit du français)

Test, test, test : données invalides et « jeu des nombres »
Les gens ont peur. Ils sont incités à faire le test PCR, ce qui augmente le nombre de faux positifs. Les gouvernements s’impliquent dans l’augmentation du nombre de tests PCR en vue de gonfler les estimations des « cas confirmés de COVID-19 ».

De plus, à partir de fin 2021, plusieurs milliards de kits de tests d’antigènes et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d’un milliard de kits de tests ont été distribués aux États-Unis.

Au Canada, qui compte 38,5 millions d’habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de test d’antigène COVID-19 à domicile. Cette décision a non seulement contribué à alimenter la campagne de peur, mais elle a également créé une situation de chaos social. Cela a contribué à faire augmenter le nombre de cas dits « confirmés ». 36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d'un diagnostic médical du patient.

Annexe au chapitre III
Texte intégral de la directive de l'OMS du 20 janvier 2021 37

- voir doc sur site -

Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2
Type de produit : technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2

Date : 13 janvier 2021

Identifiant OMS : 2020/5, version 2
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huemaurice515 mars 2024 à 08:39
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.

Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l’OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS destiné aux utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (IVD) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.

Description du problème : L'OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d'utilisation (IFU) lors de l'interprétation des résultats des échantillons testés à l'aide de la méthodologie PCR.

Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d'emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.

Les directives de l'OMS Les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.

La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent prendre en compte tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

Actions à entreprendre par les utilisateurs du DIV :

Veuillez lire attentivement le mode d'emploi dans son intégralité.
Contactez votre représentant local si un aspect du mode d'emploi n'est pas clair pour vous.
Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter tout changement dans le mode d'emploi.
Fournissez la valeur Ct dans le rapport au fournisseur de soins de santé demandeur.

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huemaurice515 mars 2024 à 08:43
Les grandes sociétés pharmaceutiques et leurs complices doivent ajuster leur fiction sur le COVID aux faits

Par le Dr Paul Craig Roberts
Recherche mondiale,
7 mars 2024

Avec des morts soudaines partout dans le monde vacciné à l'ARNm, avec des oncologues signalant une augmentation massive des cancers, des turbo-cancers jamais rencontrés auparavant, avec des études documentant des problèmes menstruels et de fertilité chez les femmes vaccinées 'contre' le Covid, avec de jeunes enfants souffrant de crises cardiaques, avec un nouvelle forme de caillots sanguins qui ressemblent à des linguine, avec des épidémies de syndrome de Guillain-Barré et de maladies neurologiques, de myocardite, de péricardite, d'inflammations de la moelle épinière et du cerveau, et toutes autres sortes d'horreurs sanitaires, une explication narrative contrôlée est nécessaire.

Les grandes sociétés pharmaceutiques s’attaquent au problème en rassemblant une série de leurs recherches médicales subventionnées pour admettre le problème tout en le banalisant en le qualifiant de « rare ».

De toute évidence, Big Pharma a réalisé une étude internationale menée par 21 « scientifiques » médicaux qui a conclu, à partir de 99 millions de personnes vaccinées, que les vaccins à ARNm ont des effets nocifs « rares ».

L’étude a conclu que des « signaux de sécurité » (notez l’euphémisme) existaient pour tous les vaccins à ARNm « contre la myocardite, la péricardite, le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose des sinus veineux cérébraux. D'autres signaux de sécurité potentiels nécessitant une enquête plus approfondie ont été identifiés .

Ce n’est peut-être pas ce que voulaient entendre les grandes sociétés pharmaceutiques, les NIH, les CDC, la FDA et l’establishment médical américain corrompu et dominé par l’argent, mais la presse l’a réglé pour eux.

Jason Gale de Bloomberg News rapporte que l'étude sur le vaccin a révélé des liens avec des effets néfastes sur la santé, mais que les cas étaient en petit nombre, des « événements rares ». Regarde ça .

Le menteur professionnel, Fact Check.org, a rapporté : « Une étude confirme en grande partie les effets secondaires rares et connus du vaccin COVID-19. »

Notez « en grande partie » et « rare ». En d’autres termes, l’échec du « vaccin » n’est pas grave.

Ses effets mortels ne le sont pas non plus, car ils ont tué plus de personnes que le virus lui-même.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:43
Dans les premières phrases de sa dissimulation du « vaccin » mortel, factcheck.org minimise les effets secondaires « rares » avec le faux argument selon lequel le virus « a tué des millions de personnes dans le monde et aurait probablement tué des millions d’autres sans l’arrivée du virus ». vaccins.

Il existe un large consensus parmi les experts et les agences gouvernementales de santé selon lequel les avantages de la vaccination contre le COVID-19 l’emportent sur les risques.

En d’autres termes, les putains de factcheck mentent intentionnellement. Il est maintenant connu et admis que le vaccin n’a pas protégé contre le Covid, n’a pas empêché la transmission et que le virus lui-même n’était pas très mortel, la plupart des décès survenant chez les personnes âgées et malades dont le système immunitaire est affaibli, et parmi les personnes qui n’ont pas été vaccinées. des traitements efficaces et disponibles, au lieu d'être précipités vers la mort avec des ventilateurs.

Que s’est-il passé pour détruire si complètement le caractère des Américains qu’ils mentent pour de l’argent au détriment de la vérité et de la vie des gens et ont l’audace de se qualifier de « vérificateurs de faits » ?

Il y a ici quelques éléments importants à retenir. Premièrement, les autorités admettent que les scientifiques indépendants, les relativement rares qui ne figurent pas sur les listes de paie des grandes sociétés pharmaceutiques et de leurs vassaux de l’industrie médicale, ont obtenu gain de cause. Les scientifiques indépendants ont déclaré sans hésitation que les « vaccins » à ARNm auraient les effets désormais reconnus par un établissement médical corrompu.

Deuxièmement, il existe un grand nombre de scientifiques, de médecins et de représentants de la presse qui vendront la vérité pour de l’argent, comme ceux qui décrivent les morts quotidiennes comme « rares » alors que cela se produit partout dans le monde vacciné. Il y a bien longtemps, la science était financée par les budgets universitaires. Aujourd’hui, la science est financée par des intérêts extérieurs dotés de programmes et est complètement corrompue.

Troisièmement, l’ensemble des médias occidentaux, incompétents sur tous les sujets difficiles, se contentent de se nourrir du récit approuvé et de le régurgiter à la population assise devant l’écran de télévision, écoutant le NPA ou lisant le New York Times.

Le résultat est une population dépourvue d’informations précises et vraies et incapable de s’en rendre compte.

Les Américains, voire l’ensemble du monde occidental, et peut-être la Russie elle-même, sont des cibles faciles pour la prochaine pandémie orchestrée.

Est-ce que ce sera un virus Ebola ? Si oui, quel est le rôle des scientifiques chinois au Canada qui ont envoyé illégalement le virus Ebola à Wuhan ?

Un laboratoire canadien qui gère les virus les plus mortels au monde renforce la sécurité après qu'une enquête a révélé que des chercheurs ayant des liens avec le gouvernement et l'armée chinois ont eu accès au virus Ebola vivant et l'ont envoyé par courrier à Wuhan : voir ceci .
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huemaurice515 mars 2024 à 08:44
Pourquoi les gouvernements occidentaux violent-ils la loi et mènent-ils des recherches illégales sur la guerre biologique ? Pourquoi le Congrès ne fait-il rien à ce sujet ?

Pourquoi les peuples occidentaux ne le savent-ils pas et s’en moquent-ils ?

https://www.globalresearch.ca/big-pharma-shills-having-adjust-their-covid-fiction-facts/5851538
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huemaurice515 mars 2024 à 08:45
Traité de l’OMS sur la pandémie : protection civile ou traitement obligatoire par la porte dérobée ?

15 mars 2024
par Univ.-Doz.(Vienne) Dr. méd. Gerd Reuther

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) promet une « sécurité sanitaire » et affirme que cela nécessite un traité approfondi avec une structure de commandement centralisée et un langage militaire. Mais méfiez-vous! Au moins depuis les injections de poison génétique, il devrait être clair pour tout le monde qu’il faut se méfier des « offres » imposées par la force. Une recommandation sanitaire sérieuse est toujours volontaire. Comment l’OMS veut-elle justifier l’établissement de réglementations pour notre santé ?

Au cours de ses plus de 75 ans d’histoire, l’OMS n’a été en mesure d’atteindre aucun des objectifs qu’elle s’était fixés. La proportion de l’humanité jouissant d’un « bien-être physique, mental et social complet » n’a pas non plus augmenté, et les maladies infectieuses, qui sont la priorité à combattre, ne sont pas devenues un phénomène marginal sur la planète. L’« éradication » de la variole annoncée en 1980 n’était qu’un coup de tonnerre théâtral pour permettre à la « vaccination » inventée à cet effet, qui avait causé à plusieurs reprises de graves dommages à la santé sans aucun effet protecteur, de disparaître dans l’obscurité le plus discrètement possible.

Depuis sa création, l’OMS a été un outil permettant aux lobbyistes de semer la peur et de faire passer les pénuries pour des menaces à la santé mondiale. Le contexte est constitué par les enchevêtrements avec le grand capital occidental et les organisations de contrôle de la population. Cela explique les énormes privilèges de l’organisation et de ses dirigeants. Si l’OMS s’était avant tout préoccupée de santé publique, pourquoi aurait-elle eu besoin de garantir l’impunité de ses acteurs dans tous les pays membres ?

Le statut juridique particulier, qui autorise également les meurtres en toute impunité, peut s'expliquer par les expériences de vaccination contraires à l'éthique ou criminelles, qui constituent le principal domaine d'activité de l'OMS. Les injections de poison génétique pour le « Covid-19 » n’étaient que la dernière attaque de l’OMS contre la santé des gens. Au cours des dernières décennies, des millions de personnes ont perdu la santé ou la vie à cause des expériences de vaccination – principalement dans les pays en développement. Cependant, aucun succès vérifiable n’a été enregistré contre les maladies infectieuses les plus courantes et les plus graves telles que la tuberculose et le paludisme.

L'OMS mène une autre activité de protection apparente de la population dans la surveillance des prétendues « zones déficitaires ». Tout comme quelques cas d'infection partout dans le monde suffisent à évoquer une menace mondiale, quelques régions régionales à faible teneur en iode alimentaire servent à évoquer une menace mondiale de carence en iode qui affecterait 5% de la population mondiale, notamment l'Autriche, L’Allemagne et la Suisse constitueraient des zones de danger dans tout le pays. Cependant, il n'y avait aucune preuve d'hypertrophie de la thyroïde nulle part dans le pays avant qu'une iodation toujours plus élevée du sel ne soit nécessaire.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:45
Si le « Traité sur la pandémie » et les « Lignes directrices en matière de santé » trouvent les majorités nécessaires lors de la prochaine Assemblée générale de l’OMS en mai 2024, la voie vers une dictature sanitaire mondiale serait ouverte. Le directeur général de l’OMS aurait alors le pouvoir de déclarer une pandémie à tout moment et d’exiger des États membres qu’ils mettent en œuvre des mesures de confinement, de vaccination et d’autres mesures. Sous le faux drapeau de la « protection de la santé », l’OMS serait devenue un gouvernement mondial démocratiquement illégitime qui exercerait le pouvoir selon les diktats d’une petite clique de milliardaires. Grâce à la dette publique, le FMI et la Banque mondiale ont pu garantir le respect des exigences par le biais de sanctions financières.

Les États qui souhaitent préserver la souveraineté et la santé de leurs citoyens devraient quitter l’organisation de lutte contre la maladie de l’OMS dès que possible. Sans adhésion, pas de contrat pandémie ni de réglementation sanitaire. Le lundi 18 mars 2024, l'Université-Doz. (Vienne) Dr. méd. Gerd Reuther sur ce sujet hautement explosif au Gasthof Mayr à Pucking près de Linz (Puckingerstraße 2) sur le sujet avec discussion ultérieure. Commence à 19 heures.

https://tkp.at/2024/03/15/who-pandemievertrag-bevoelkerungsschutz-oder-behandlungszwang-durch-die-hintertuer/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:46
La campagne de vaccination dans l'aviation a entraîné une augmentation de 386 % du code d'urgence 7700

14 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

Lorsque la campagne de vaccination a débuté fin 2020, il est devenu clair qu’une grande partie de l’industrie aéronautique mettrait en œuvre une politique « pas de vaccin, pas de vol ». Au premier rang se trouvaient les compagnies aériennes d’Australie, des États-Unis, bien sûr celles de l’UE et de tous les pays hautement vaccinés. Et ce sont précisément les compagnies aériennes de ces pays qui ont enregistré une série interminable de situations d’urgence et de décès.

Dès le début, l'OMS et les autorités aéronautiques ont insisté pour une vaccination complète de tout le personnel navigant, car c'était le seul moyen de maintenir la confiance des passagers dans le vol. Les agents de bord vaccinés ne pourraient plus infecter les passagers. Et bien sûr, des masques ont dû être portés dans les avions pendant des années.

Avant-hier, j’ai découvert à quel point l’industrie était vulnérable aux absurdités de l’OMS sur un vol de South African Airways reliant Windhoek à Johannesburg. Avant le décollage, un agent de bord a aspergé les deux rangées de passagers avec un agent recommandé par l'OMS. Juste recommandé par l' OMS, qui, en tant que plus grand lobby pharmaceutique, est en grande partie responsable des décès et des situations d'urgence dans l'industrie aéronautique.

Mais revenons aux situations d'urgence. Selon Airliners for Humanity AT, le magazine aéronautique français « Piloter » rapporte dans son dernier numéro 104 (mars/avril 2024) une augmentation de l'utilisation du code transpondeur 7700 dans l'aviation internationale.

Ce code est émis en cas d'urgence. Il y a eu une augmentation de 272 % depuis 2022. Lors de la saison 2022/2023, il y a même eu une augmentation de 386 %.

Cette augmentation intervient parallèlement à la campagne de vaccination contre le Covid.

Aucune augmentation n’est observée dans les pays où les taux de vaccination sont plus faibles et dans les petites entreprises qui n’ont pas poussé la vaccination.

Comme indiqué précédemment , le cardiologue Dr. Peter McCullough estime qu'environ 30 % des pilotes souffriraient de lésions cardiaques. Les groupes de défense affirment que ces pilotes sont obligés de garder le silence sur leurs problèmes de santé - et qu'un pourcentage bien plus élevé d'entre eux en souffrent probablement que la Federal Aviation Administration (FAA) ne voudrait l'admettre. Les associations de pilotes ont prévenu très tôt que les conséquences de la campagne de vaccination affecteraient la sécurité des vols.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:46
Comme indiqué , l'US Aviation Authority a abaissé les exigences relatives aux paramètres ECG pour les pilotes en 2022 afin de pouvoir maintenir les opérations aériennes. Depuis janvier 2023, certains pilotes préalablement diagnostiqués avec le syndrome de Guillain-Barré ont également eu la possibilité de voler.

Airliners for Humanity AT rapporte à nouveau quatre rapports faisant état de Piltoen en Amérique du Nord décédé en trois semaines.

https://tkp.at/2024/03/14/impfkampagne-in-luftfahrt-fuehrte-zum-anstieg-des-notfallcodes-7700-um-386-prozent/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:47
Entretien avec Christian Perronne : La vérité sur la gestion de la crise émerge aux Etats-Unis

le 14 mars 2024 - 20:00
F. Froger / Z9, pour France-Soir

Le professeur Christian Perronne représentait la France à l’International Crisis Summit ce 24 février 2024 à Washington DC. Au côté d’une vingtaine de scientifiques, juristes et personnalités, il a aussi été invité au Sénat américain par le Sr Ron Johnson pour évoquer ce que cache le cartel Covid. Une table ronde de quatre heures où se sont succédées les présentations des meilleurs scientifiques mondiaux abordant des sujets tels que les traitements précoces, les effets secondaires de la vaccination, la fraude scientifique, les politiques sanitaires ainsi que les nouvelles dispositions juridiques du traité de l’OMS et l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires en France. 

Christian Perronne de retour de cette conférence vient évoquer tour ce qui s’est dit au cours de ces deux journées sur la Crise en général et ses conséquences.

Il évoque aussi avec Xavier Azalbert les deux études publiées sur l’efficacité des traitements précoces,la non efficacité des vaccins ainsi que le calcul de l’estimation des décès que l’on aurait pu éviter avec la systématisation des traitements précoces.

Un retraité très actif et motivé comme jamais à travailler à ce que la connaissance émerge.

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/christian-perronne-la-verite-sur-la-gestion-de-la-crise-emerge-aux-etats-unis-au-senat
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huemaurice515 mars 2024 à 08:48
La vaccination est synchrone avec une explosion de la mortalité attribuée au changement climatique ( en réalité myocardites)

le 13 mars 2024
par pgibertie

Les Etats Unis fournissent des statistiques stupéfiantes . https://theethicalskeptic.com/ a démontré depuis longtemps l’explosion des cancers . Cette fois ci nous avons d’étranges correlations qui concernent les plus jeunes …

Des milliers de crises cardiaques post vaccinales ont été attribuées au changement climatique ou à des surdoses médicamenteuses ;

Surmortalité due aux surdoses de médicaments non spécifiées et au changement climatique – Oui, la combinaison des confinements et de la Covid-19 a entraîné une augmentation temporaire des surdoses de médicaments indéterminées. Cependant, il ne s’agit pas de données « tendancielles ». La tendance commence fin 2020 avec l’introduction du vaccin (qui culmine la semaine même de la vaccination maximale). La myocardite induite par le vaccin a rendu cette population vulnérable à une mort cardiaque subite – qui a ensuite été faussement attribuée à une surdose médicamenteuse. Cet excédent d’attribution, à la semaine 25 2023, est de l’ordre de 300 décès par semaine, pour « drogue non précise » et « climat ». Ce décompte est réintégré aux totaux de mortalité par mort cardiaque subite présentés dans le graphique DFT 10 ci-dessous. Cela suggère une augmentation alarmante de la mort cardiaque subite chez les jeunes.

États-Unis Toutes causes naturelles non liées au Covid Surmortalité Âges 0-24 – 25,5 %

La ligne bleue dans le graphique d’écart par rapport à la tendance (DFT) ci-dessous (graphique 12) montre la mortalité excédentaire de cause naturelle non liée au CDC Wonder par semaine pour les deux années précédentes, ainsi que pour les quatre années de la pandémie, pour l’âge 0. à 24 supports. La ligne de base en pointillés est normalisée à partir des années 2018-2019, légèrement érodée par l’effet Pull Forward (PFE – n’impacte pas aussi durement les jeunes âges). Comme dans de nombreux graphiques de ce type, une inflexion se produit clairement à la semaine 14 de 2021. Tout comme dans le graphique 11 ci-dessus, il s’agit également de l’impact du vaccin à ARNm.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:49
La surmortalité semble déterminée par le pourcentage de vaccinés

Surmortalité cumulée (12 derniers mois – par rapport à la population) par rapport au pourcentage de population vaccinée – (cliquez sur l’image pour l’agrandir) – une fois le bruit éliminé des ensembles de données nationales sur la mortalité, il est devenu tout à fait clair que la surmortalité n’était pas linéairement proportionnelle à la mortalité. taux de vaccination par pays européen. La chute de la surmortalité en dessous de la ligne zéro de l’axe des x (mortalité excessive cumulée) est l’effet Pull Forward (PFE). La raison pour laquelle la courbe s’aplatit près de l’extrémité inférieure est que les pays dans cette section du graphique sont moins peuplés, ce qui entraîne une amplification du dénominateur de l’excès de mortalité cumulé (par rapport à la population) dans les données des pays plus petits. La surmortalité dans chaque pays est en réalité plus élevée que ne l’indiquent ces indices, et le lien avec le vaccin est étroit.

https://pgibertie.com/2024/03/13/la-vaccination-est-synchrone-avec-une-explosion-de-la-mortalite-attribuee-au-changement-climatique-en-realite-myocardites/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:50
Expérience de l'autorité Milgram

Une série d'expériences de psychologie sociale ont été menées par le psychologue Stanley Milgram de l'Université de Yale, dans le but de mesurer la volonté des participants à l'étude d'obéir à une figure d'autorité qui leur a demandé d'accomplir des actes incompatibles avec leur conscience personnelle. Les participants ont été amenés à croire qu'ils assistaient à une expérience sans rapport avec celle-ci, dans laquelle ils devaient administrer des chocs électriques à un « apprenant ». Ces fausses décharges électriques ont progressivement augmenté jusqu'à atteindre des niveaux qui auraient été mortels s'ils avaient été réels.

Expérience dans la prison de Stanford

L'expérience de la prison de Stanford visait à examiner les effets psychologiques de l'autorité et de l'impuissance en milieu carcéral. L'étude, dirigée par le professeur de psychologie Philip G. Zimbardo, a recruté des étudiants de Stanford à l'aide d'une annonce dans un journal local. Vingt-quatre étudiants ont été soigneusement sélectionnés et répartis au hasard en groupes de prisonniers et de gardiens. L'expérience, qui devait durer une à deux semaines, a finalement dû être interrompue le sixième jour seulement, car l'expérience a pris une ampleur incontrôlable lorsque les prisonniers ont été contraints d'endurer des abus cruels et déshumanisants de la part de leurs pairs. L’expérience a montré, selon les mots du Dr Zimbardo, comment « des étudiants ordinaires pouvaient faire des choses terribles ».

Expérience de conformité Asch

Les expériences de conformité Asch étaient une série d'expériences psychologiques menées par Solomon Asch dans les années 1950. Les expériences ont révélé à quel point les opinions d’une personne sont influencées par celles d’un groupe. Asch a découvert que les gens étaient prêts à ignorer la réalité et à donner une réponse incorrecte afin de se conformer au reste du groupe.

Diverses adaptations de l’expérience de la Milgram Authority ont été utilisées au cours de « l’expérience Covid » pour atteindre leurs objectifs. Nous avons vu des vidéos d’autoritaires covid infligeant de la douleur à des Américains moyens, les arrêtant de force pour avoir nagé seuls dans l’océan, surfé, assis dans un parc public, fait du jogging et pris une balle dans leur jardin avec leurs enfants. Infliger de la souffrance à ceux qui ne respectent pas les « règles du Covid » a été adopté par les Karens et les Chad à travers le pays. Ils voulaient que les non-conformistes (c’est-à-dire les penseurs critiques) soient licenciés de leur emploi, censurés sur les réseaux sociaux, condamnés à une amende, emprisonnés et transformés en parias sociaux. Ils ont souhaité la mort aux personnes non vaccinées et ont fait des danses de la victoire lorsqu’une personne non vaccinée mourait. Milgram aurait été fier de ces petits tyrans psychopathes.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:50
L’expérience de la prison de Stanford a montré que des gens ordinaires pouvaient devenir des sociopathes fascistes et cruels presque sur ordre, infligeant douleur et torture à ceux qui, à leur avis, méritaient d’être traités de manière inhumaine. Des gouverneurs autoritaires comme Cuomo, Murphy, Whitmer, Wolf et Newsom ont assassiné des personnes âgées en plaçant des patients infectés dans des centres de résidence pour personnes âgées. Des médecins, des administrateurs d’hôpitaux et des infirmières ont assassiné des patients en les mettant sous respirateur, en leur administrant du Remdesivir et en refusant aux patients de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. Biden, Fauci, Trump, Walensky et le complexe industriel Big Pharma ont assassiné et blessé des millions de personnes en déployant leur vaccin mortel de plusieurs milliards de dollars. L'emprisonnement en cours le 6 janvier des touristes de la capitale dans les cachots de DC sans procès est une punition cruelle et inhumaine comme un message pour tous les penseurs critiques exerçant leurs droits au titre du Premier Amendement.

L’expérience Asch Conformity s’est clairement confirmée lors de l’arnaque du covid. Les gens se conforment à la volonté de la foule, même si leur cerveau leur dit que la foule a tort. Ils ne veulent pas être le mouton noir perturbateur dans un troupeau de moutons blancs soumis. Pratiquement tout le monde, lorsqu’on lui a dit de porter un masque, l’a fait sans réticence, même si des études scientifiques ont prouvé que les masques NE FONCTIONNENT PAS. Les masses se sont conformées parce qu'elles croyaient Fauci (alias The Science), Biden, Trump, les faux experts en matière de tubes de seins, les compères d'Hollywood à faible QI, les athlètes au QI inférieur payés par Big Pharma et les têtes parlantes/bimbos débitant le récit de propagande covid sur le médias du régime. Plutôt que de faire leurs propres recherches, les idiots intellectuellement paresseux, distraits par les gadgets, accros aux médias sociaux et endoctrinés par les écoles publiques ont décidé de se conformer, d'obéir et de croire tout ce qu'on leur disait.

Si vous ne croyez pas que nous sommes gouvernés par un gouvernement invisible (alias Deep State) composé d’hommes qui tirent les ficelles de la société et manipulent l’esprit des masses pour obtenir le résultat qui leur profite, alors « l’expérience Covid » devrait lever tout doute. . L’ensemble de l’épisode covid a été planifié à l’avance (Événement 201) avec de multiples objectifs, le tout au bénéfice de ceux qui mènent cette expérience, avec nous comme cobayes jetables dans leur intrigue diabolique. L’orgueil de ces tyrans a pris des proportions épiques, car ils considèrent leur « expérience » comme un triomphe absolu de mesures autoritaires.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:51
Nous savons qu’entre 20 et 30 % de la population ont résisté aux mesures imposées par la classe dirigeante de l’État profond, se distinguant ainsi comme la seule ombre au tableau de « l’expérience Covid ». Il ne fait aucun doute qu’ils lanceront leur prochaine « expérience » de totalitarisme dans les neuf prochains mois, alors que l’élection présidentielle risque de faire dérailler leurs efforts en cours pour piller et piller les richesses restantes accumulées par la plèbe. S'agira-t-il d'un effondrement financier machiné, d'une invasion de cannibales haïtiens, d'une maladie créée par un autre laboratoire, de l'activation de millions d'envahisseurs illégaux pour créer le chaos, d'un démantèlement coordonné du réseau électrique et d'Internet, de l'assassinat de Trump et du déclenchement d'une guerre civile, ou enfin de la traversée La ligne rouge de Poutine en Ukraine et le déclenchement d'un conflit mondial ?

Résister pendant « l’expérience Covid » signifiait ne pas suivre leur récit et leurs directives. Il s’agissait plutôt d’une résistance passive. Cela ne les a pas empêchés d’atteindre leurs objectifs. Ils ont utilisé cette expérience pour augmenter les dépenses fédérales de 4 400 milliards de dollars à plus de 7 000 milliards de dollars, la majeure partie de l’augmentation allant directement dans les poches de l’État profond, tout en laissant la plèbe avec une inflation galopante, une énorme augmentation de son endettement et un niveau de norme considérablement réduit. de vie.

Pour résister à leur prochaine « expérience » de destruction de notre société, il faudra utiliser ces 300 millions d’armes à feu dispersées parmi les 20 à 30 % de foyers capables et disposés à dire NON. Cela peut sembler trop désastreux et apocalyptique, mais ces psychopathes en costume ne s'arrêteront pas tant qu'ils n'auront pas peur pour leur propre vie. Le temps des approches d’action et de leurs « expérimentations » doit prendre fin si nous espérons avoir un semblant de République qui nous a été donnée il y a 235 ans.

Reprinted with permission from The Burning Platform.

https://www.lewrockwell.com/2024/03/jim-quinn/the-covid-experiment/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:53
Dr Astrid Stuckelberger a reposté

"On peut mourir de doliprane ?

Bien sûr, c'est la première cause de greffe du foie au monde, le doliprane.

La dose mortelle de doliprane, elle est quatre fois la dose que vous prenez aujourd'hui.

Donc, si vous avez mal et que vous commencez à prendre du doliprane... On peut mourir ?

Ah, bien, bien sûr, on meurt de ça.

Une des parties très importantes, déjà, en plus, si vous avez un problème hépatique, une des parties très importantes du problème qu'il y a eu avec l'épidémie chez chikungunia à La Réunion...

Oui, c'est parce que ça donne des douleurs très persistantes, très longtemps.

Il y avait des gens qui avaient déjà une consommation alcoolique relativement importante, et si vous avez...

Le foie, déjà un peu fatigué et que vous prenez un peu trop de doliprane, vous vous dites, oui ! Le doliprane est un excellent somnifère."

https://twitter.com/Stuckelberger/status/1767802880637948165?cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D
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huemaurice515 mars 2024 à 08:53
La campagne de vaccination dans l'aviation a entraîné une augmentation de 386 % du code d'urgence 7700

14 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

Lorsque la campagne de vaccination a débuté fin 2020, il est devenu clair qu’une grande partie de l’industrie aéronautique mettrait en œuvre une politique « pas de vaccin, pas de vol ». Au premier rang se trouvaient les compagnies aériennes d’Australie, des États-Unis, bien sûr celles de l’UE et de tous les pays hautement vaccinés. Et ce sont précisément les compagnies aériennes de ces pays qui ont enregistré une série interminable de situations d’urgence et de décès.

Dès le début, l'OMS et les autorités aéronautiques ont insisté pour une vaccination complète de tout le personnel navigant, car c'était le seul moyen de maintenir la confiance des passagers dans le vol. Les agents de bord vaccinés ne pourraient plus infecter les passagers. Et bien sûr, des masques ont dû être portés dans les avions pendant des années.

Avant-hier, j’ai découvert à quel point l’industrie était vulnérable aux absurdités de l’OMS sur un vol de South African Airways reliant Windhoek à Johannesburg. Avant le décollage, un agent de bord a aspergé les deux rangées de passagers avec un agent recommandé par l'OMS. Juste recommandé par l' OMS, qui, en tant que plus grand lobby pharmaceutique, est en grande partie responsable des décès et des situations d'urgence dans l'industrie aéronautique.

Mais revenons aux situations d'urgence. Selon Airliners for Humanity AT, le magazine aéronautique français « Piloter » rapporte dans son dernier numéro 104 (mars/avril 2024) une augmentation de l'utilisation du code transpondeur 7700 dans l'aviation internationale.

Ce code est émis en cas d'urgence. Il y a eu une augmentation de 272 % depuis 2022. Lors de la saison 2022/2023, il y a même eu une augmentation de 386 %.

Cette augmentation intervient parallèlement à la campagne de vaccination contre le Covid.

Aucune augmentation n’est observée dans les pays où les taux de vaccination sont plus faibles et dans les petites entreprises qui n’ont pas poussé la vaccination.

Comme indiqué précédemment , le cardiologue Dr. Peter McCullough estime qu'environ 30 % des pilotes souffriraient de lésions cardiaques. Les groupes de défense affirment que ces pilotes sont obligés de garder le silence sur leurs problèmes de santé - et qu'un pourcentage bien plus élevé d'entre eux en souffrent probablement que la Federal Aviation Administration (FAA) ne voudrait l'admettre. Les associations de pilotes ont prévenu très tôt que les conséquences de la campagne de vaccination affecteraient la sécurité des vols.

Comme indiqué , l'US Aviation Authority a abaissé les exigences relatives aux paramètres ECG pour les pilotes en 2022 afin de pouvoir maintenir les opérations aériennes. Depuis janvier 2023, certains pilotes préalablement diagnostiqués avec le syndrome de Guillain-Barré ont également eu la possibilité de voler.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:53
Airliners for Humanity AT rapporte à nouveau quatre rapports faisant état de Piltoen en Amérique du Nord décédé en trois semaines.

https://tkp.at/2024/03/14/impfkampagne-in-luftfahrt-fuehrte-zum-anstieg-des-notfallcodes-7700-um-386-prozent/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:54
L'efficacité de la vitamine C et comment les produits pharmaceutiques la combattent

14 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

Notre existence n’est pas possible sans vitamine C ; elle agit directement ou indirectement dans des centaines de processus biochimiques, voire plus. Une carence provoque des maladies, voire la mort. Cependant, sa grande efficacité contre de nombreuses maladies est préjudiciable au secteur pharmaceutique. C'est pourquoi de nombreuses rumeurs se propagent à travers le monde pour le rendre fou. Un lecteur a attiré mon attention sur certains d’entre eux.

J'ai récemment écrit un article sur les effets de la vitamine C en relation avec son métabolite peroxyde d'hydrogène (H2O2). Il manquait un « indice vraiment important », à savoir qu’est-ce que la vitamine C ? La vitamine C est un terme générique et de nombreuses préparations à base de vitamine C sont même nocives. Une préparation de vitamine C peut contenir de l'acide L-ascorbique et de l'acide L+ascorbique ainsi que des formes oxydées. Seul l'acide L-ascorbique est requis. Si l'acide ascorbique est produit artificiellement, le résultat est de 50 % L+ et 50 % L-. Cependant, le corps ne peut rien faire avec l'acide L+ascorbique, mais il est tout aussi chimiquement actif que la variante (L-) et constitue donc un radical extrêmement puissant et endommageant les cellules. Cette question ne serait pas prise en compte dans les études. La vitamine C naturelle est la meilleure et Linus Pauling ne serait peut-être pas mort d'un cancer si cela avait été pris en compte.

Voilà pour l’e-mail du lecteur.

Linus Pauling, double prix Nobel, est né le 28 février 1901 et est décédé le 19 août 1994. Il a donc vécu jusqu'à l'âge de 93 ans, soit environ 15 ans de plus que l'espérance de vie moyenne. Il aurait consommé jusqu'à 18 grammes de vitamine par jour. Il a été le premier à prouver que la vitamine C, lorsqu'elle est infusée en grande quantité, tue les cellules cancéreuses en produisant du H2O2 à des concentrations dans le sérum qui ne peuvent être atteintes que par perfusion. Comment cela fonctionne est décrit dans mon article . Depuis la publication des résultats des recherches du prix Nobel de chimie Pauling, l'industrie pharmaceutique lutte contre cela, car des milliards de dollars proviennent de médicaments contre le cancer et la vitamine C est donc préjudiciable aux entreprises.

On continue avec la question des différents isomères de la vitamine C. L'acide ascorbique existe non seulement sous deux, mais même sous quatre formes stéréoisomères différentes qui ont une activité optique, puisque les 4ème et 5ème atomes de carbone sont chacun des centres d'asymétrie :

Acide L-ascorbique
Acide D-ascorbique
Acide L-isoascorbique
Acide D-isoascorbique
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huemaurice515 mars 2024 à 08:54
Seul l'acide L-ascorbique est actif. Bien que les différences soient minimes, presque tous les autres sont inactifs dans l'organisme car les enzymes impliquées dans le métabolisme reconnaissent spécifiquement l'acide L-ascorbique. Seul l'acide D-isoascorbique a un effet mineur. Inactif signifie qu’il n’y a ni effets positifs ni négatifs. Les affirmations selon lesquelles on peut se faire du mal avec le « mauvais » acide ascorbique sont de la désinformation de l’industrie pharmaceutique.

De plus, les isomères inactifs ne sont de toute façon pas produits lors de la synthèse. En 1934, Walter Haworth et Tadeus Reichstein furent les premiers à synthétiser de l'acide L-ascorbique artificiel à partir du glucose, qui est encore utilisé aujourd'hui dans le cadre de procédés de génie génétique.

Par vitamine C « naturelle », on entend généralement celle produite, par exemple, dans la cerise acérola. La vitamine C naturelle est obtenue à partir de sources naturelles. La molécule de vitamine C, l’acide ascorbique, n’est PAS différente de la vitamine C produite chimiquement. Le grand avantage des sources naturelles de vitamine C réside dans l’interaction de plusieurs substances provenant de la source naturelle de vitamine C. Par exemple, l'acérola contient de nombreux bioflavonoïdes ou polyphénols, qui ont un effet antioxydant supplémentaire. Ceux-ci améliorent également l’absorption de la vitamine C dans les cellules. Il existe sur le marché des produits contenant de la quercétine et de la rutine d'origine végétale, par exemple à base d'extrait de fleur de sureau, qui promettent un effet amélioré.

La vitamine C liposomale , une combinaison d'inhibiteurs de radicaux libres et de phospholipides, est souvent utilisée, notamment en cas de rhume aigu ou d'infection virale , ce qui permet un taux sanguin plus élevé que l'absorption de la vitamine C pure.

Une autre désinformation pharmaceutique portée à l'attention du lecteur est l'affirmation selon laquelle la combinaison de vitamine C, de graisse et d'acide gastrique conduit à la formation de nitrosamines. Les nitrosamines peuvent conduire au cancer.

La prudence est également de mise avec un régime cétogène .

Ici aussi, c’est exactement le contraire qui se produit en biochimie. Car la vitamine C a aussi un effet fondamentalement détoxifiant. Dans l'estomac, il empêche la formation de nitrosamines cancérigènes à partir de nitrites et d'amines secondaires. Dans le même temps, il réduit la toxicité du plomb ou du cadmium, par exemple, et participe à la dégradation de divers médicaments et drogues. Le régime cétogène, c'est-à-dire éviter le sucre sous sa forme pure et sous forme de glucides, améliore l'effet de la vitamine C car il crée moins de radicaux libres.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:55
Il y a toujours des avertissements concernant les dosages trop élevés. La vitamine C est soluble dans l'eau et est donc facilement excrétée par les reins. Sa demi-vie dans l’organisme est de 2,9 heures. Les animaux qui peuvent encore produire eux-mêmes de la vitamine C en produisent de très grandes quantités lorsque cela est nécessaire. Une chèvre confrontée au danger du loup en produit 50 grammes. Aide à la cicatrisation des plaies.

Il y a longtemps, une mutation génétique s’est produite chez l’homme et chez certaines espèces de singes. Nous ne possédons pas le gène Gulo, c’est pourquoi nous ne pouvons pas synthétiser nous-mêmes la vitamine C mais devons l’obtenir par notre alimentation. La mutation s’est apparemment produite à une époque où il y avait plus qu’assez de vitamine C dans l’alimentation, donc il n’y a eu aucun problème.

Plus d'informations à ce sujet ici , ici et ici .

https://tkp.at/2024/03/14/die-wirksamkeit-von-vitamin-c-und-wie-pharma-dagegen-kaempft/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:55
ÉTATS UNIS; Étrange progression des cancers chez les jeunes à partir de 2021

le 14 mars 2024
par pgibertie

Dans cette étude, nous étudions les tendances des taux de mortalité dus aux néoplasmes (codes CIM-10 C00-D48) aux États-Unis en utilisant des données brutes du CDC (Centers for Disease Control and Prevention).

https://www.researchgate.net/publication/378869803_US_-Death_Trends_for_Neoplasms_ICD_codes_C00-D48_Ages_15-44

Nous limitons notre enquête aux individus âgés de 15 à 44 ans et pour la période de 2010 à 2022. Nous étudions à la fois les tendances des néoplasmes lorsque ceux-ci apparaissent sur des causes multiples (MC) de décès, ou comme cause sous-jacente (UC), ainsi que la tendances du rapport entre les taux de mortalité à causes multiples et les taux de mortalité sous-jacents.

À l’aide de différentes mesures, nous comparons les tendances de la mortalité due aux néoplasmes avant la pandémie de COVID-19 avec celles de la période pandémique. Nous montrons une augmentation de la surmortalité due aux néoplasmes signalés comme cause sous-jacente de décès, qui a débuté en 2020 (1,7 %) et s’est considérablement accélérée en 2021 (5,6 %) et 2022 (7,9 %).

L’augmentation de la surmortalité en 2021 (score Z de 11,8) et en 2022 (score Z de 16,5) est hautement significative sur le plan statistique (événements extrêmes).

Lorsque l’on examine les décès par néoplasme signalés comme l’une des causes multiples de décès, nous observons une tendance similaire avec une surmortalité de 3,3 % (score Z de 5,1) en 2020, 7,9 % (score Z de 12,1) en 2021 et 9,8 %. (score Z de 15,0) en 2022, qui étaient également hautement statistiquement significatifs. Les résultats indiquent qu’à partir de 2021, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès par néoplasme semble être présent chez les individus âgés de 15 à 44 ans aux États-Unis. L’augmentation plus importante des décès dus à des néoplasmes de causes multiples par rapport à la cause sous-jacente indique que certains décès dus à des néoplasmes sont provoqués par d’autres causes.

L’augmentation des taux de mortalité par cancer comme cause sous-jacente pourrait être le résultat d’une augmentation inattendue de l’incidence de cancers mortels à croissance rapide et/ou d’une réduction de la survie des cas de cancer existants. Une stratification plus poussée est en cours, par exemple par âge et type de cancer, pour comprendre ces tendances et leur relation avec des facteurs liés à la pandémie tels que l’accès ou l’utilisation du dépistage et du traitement du cancer, les changements dans les comportements liés à la santé tels que l’exercice ou le tabagisme, l’exposition au COVID. -19 vaccins contre la maladie ou COVID-19.

- voir graph sur site :

https://pgibertie.com/2024/03/14/etats-unis-etrange-progression-des-cancers-chez-les-jeunes-a-partir-de-2021/
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huemaurice515 mars 2024 à 08:56
Le CDC supprime chaque mot d'une étude de 148 pages sur la myocardite après la vaccination contre le COVID

Par Baxter Dmitry
Recherche mondiale,
14 mars 2024

Le document de 148 pages publié par le CDC était en réponse à une demande de la Freedom of Information Act (FOIA) d'Epoch Times. L'étude du CDC entièrement expurgée sur la myocardite après vaccination à l'ARNm est accessible ici .

- voir clip sur site -

Le journaliste Zachary Steiber a expliqué sur X :

"Nous constatons une certaine confusion à propos de ce document : il s'agit d'un document du CDC qui nous a été envoyé en réponse à une demande du Freedom of Information Act et il est entièrement expurgé."

« La demande demandait des informations sur le projet MOVING du CDC. L'équipe a publié plusieurs études, dont celle-ci . Le CDC prévoit de soumettre un autre document sur les résultats actualisés du projet pour examen par les pairs, nous a dit un porte-parole en janvier.

Le discours de l’establishment autour des vaccinations à ARNm contre le COVID-19 et de ses graves conséquences sur la santé, notamment la myocardite, continue de s’effriter face à l’examen minutieux du public.

Le Dr Anthony Fauci a finalement admis lors d'une interview sur « This Week » sur ABC en septembre de l'année dernière que les injections d'ARNm du Covid-19 pouvaient provoquer une myocardite.

Après des mois passés à rejeter ou à minimiser les inquiétudes concernant les effets secondaires potentiels des vaccins expérimentaux, l'ancien tsar du Covid du président Biden affirme désormais qu'il existe un risque de myocardite, en particulier chez les jeunes hommes.

Au cours de l’entretien, Fauci a été invité à discuter de la récente augmentation des cas de COVID-19 et de la campagne de vaccination en cours.

Pendant ce temps, neuf nouveaux membres nommés au comité qui conseille le CDC sur les recommandations en matière de vaccins ont reçu d'énormes sommes d'argent de la part des grandes sociétés pharmaceutiques pour promouvoir les vaccins mortels à ARNm, selon une nouvelle enquête.

Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a nommé mi-février les nouveaux membres du Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP), qui dicte la politique vaccinale américaine.

Commentant ces nouvelles nominations, la présidente de Children's Health Defense (CHD), Mary Holland, a déclaré :

« L’ACIP est depuis longtemps un aval pour tous les vaccins que Big Pharma souhaite promouvoir. Mais l’audace de la fusion HHS-Big Pharma n’a jamais été autant mise en évidence.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:56
"Le seul côté positif de cette démonstration grotesque est que de plus en plus de gens prennent conscience de la réalité selon laquelle l'ACIP n'a rien à voir avec la santé et tout à voir avec le profit."

L'ACIP est décrite comme un organisme d'experts indépendant et non fédéral composé de professionnels possédant une expertise clinique, scientifique et en santé publique. Le comité décide quels vaccins doivent être recommandés au public, qui doit les prendre et à quelle fréquence – des recommandations que le CDC approuve généralement sans discussion.

https://www.globalresearch.ca/cdc-redacts-every-single-word-148-page-study-myocarditis-after-covid-vaccination/5852122
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huemaurice515 mars 2024 à 08:57

Big Pharma et son Bloomberg News, l'Annenberg Center et l'Université Harvard Shills ajustent la dissimulation du Covid Vax et font progresser le déplacement de la réalité

Par le Dr Paul Craig Roberts
Recherche mondiale,
13 mars 2024

Comme je l’ai signalé récemment, maintenant qu’on ne peut plus nier que le « vaccin » contre le Covid provoque la mort et une grande variété d’effets graves sur la santé, les grandes sociétés pharmaceutiques et leurs comparses ajustent le discours.

Une « étude » a été réalisée, reconnaissant les effets indésirables du « vaccin » mais les qualifiant de « rares ». Regardez ça .

Ensuite, Bloomberg Misinformation a attribué les décès et les problèmes de santé au Covid, et non au « vaccin ». Voici Jason Gale qui détourne les faits du « vaccin » pour parler du Covid lui-même :

« Je n'ai vu aucune donnée ou recherche dans des revues à comité de lecture prouvant que les vaccinations ont causé un quart de million de décès supplémentaires par maladies cardiovasculaires aux États-Unis. Au contraire, ils ont sauvé des millions de vies.»

Il s’agit d’une déclaration étonnante si l’on considère que les preuves sont si accablantes que les grandes sociétés pharmaceutiques tentent maintenant de fermer ou de discréditer le système de déclaration des effets indésirables des vaccins : voir ceci .

L’Université Harvard, qui s’est révélée être une autre usine à mensonges, a été contrainte d’abandonner son mandat de « vaccin », mais continue de « recommander fortement » aux professeurs et aux étudiants de « rester à jour » en prenant les rappels. Regarde ça .

Harvard a ensuite licencié l'un des rares scientifiques médicaux à avoir compris l'histoire dès le début. Le Dr Martin Kulldorff explique :

« Je ne suis plus professeur de médecine à Harvard. La devise de Harvard est Veritas, qui signifie vérité en latin. Mais comme je l’ai découvert, la vérité peut vous faire virer.

Aujourd’hui, dans les universités américaines, dire la vérité et utiliser de mauvais pronoms sont les seules choses qui peuvent vous faire virer. Tant que vous mentez dans l’intérêt des donateurs, vous êtes en sécurité.
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huemaurice515 mars 2024 à 08:57
Comme je l'ai noté, il n'existe aucune institution publique ou privée en laquelle nous pouvons faire confiance, et encore moins les scientifiques et les universités qui reçoivent des subventions des grandes sociétés pharmaceutiques et des agences de réglementation médicale telles que la FDA, le NIH, le CDC, l'OMS, qui sont essentiellement des portes tournantes avec les grandes sociétés pharmaceutiques. Pharmaceutique. Le Dr Fauci du NIH était en fait copropriétaire de brevets avec Big Pharma. La recherche universitaire dans tous les domaines est contaminée, car elle est financée par le complexe militaro-sécuritaire, les grandes sociétés pharmaceutiques, les entreprises et les fondations ayant des programmes. La manière de réussir dans les universités américaines aujourd’hui est de servir ces objectifs. Harvard se cache derrière sa devise – « Vérité » – mais, comme le rapporte le Dr Kulldorff, la vérité est ce qui vous fait virer. L’argent a autant corrompu l’érudition que le caractère du peuple américain.

Aujourd’hui, la recherche et les investisseurs se concentrent sur l’intelligence artificielle, une technologie conçue pour contrôler les pensées et le comportement des humains. L’asservissement, et non la libération, est l’agenda de l’intelligence artificielle. Nous sommes parqués dans un monde dans lequel les explications contrôlées deviendront notre réalité.

https://www.globalresearch.ca/big-pharma-and-its-bloomberg-news-annenberg-center-and-harvard-university-shills-adjust-the-covid-vax-coverup-and-advance-the-displacement-of-reality/5852074
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huemaurice515 mars 2024 à 08:58

Vaccinés 'contre' le COVID-19 : des interventions chirurgicales mineures sont devenues mortelles

Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
14 mars 2024

La musicienne brésilienne MC Katia a Fiel a subi une intervention chirurgicale mineure en juillet 2023 pour retirer un fibrome de 5 cm. Elle a fini par être amputée de deux jambes.

MC Katia a été vaccinée contre le COVID-19 avec une dose de J&J Janssen :

- voir photo sur site -

Le 3 juillet 2021, elle a écrit sur Twitter : « Pour l’amour de Dieu, arrêtez simplement de parler des effets secondaires des vaccins et allez vous faire vacciner !!!!! »

- voir photo sur site -

Elle était très enthousiasmée par le vaccin contre la COVID-19 depuis des mois.

- voir photo sur site -

Une brève explication de ce qui s’est passé en juillet 2023 :

- voir photo sur site -

Mon avis…
Les vaccinés contre le COVID-19 réussissent extrêmement mal, même lors des interventions chirurgicales les plus mineures – ils ont tendance à développer des caillots sanguins pendant ou peu de temps après l’opération et ces caillots peuvent être dévastateurs et dans de nombreux cas, MORTELS.

Cela se produit avec tous les vaccins contre la COVID-19, pas seulement avec les « injections de caillots » originales qui étaient AstraZeneca et J&J (et la raison pour laquelle ils ont été retirés du marché).

J'ai écrit un article à ce sujet le 15 septembre 2023 : « Les chirurgies mineures deviennent mortelles pour les vaccinés à ARNm du COVID-19 – 16 histoires tragiques » ( cliquez ici )

Selon l'OMS VigiAccess, 65 % des blessés dus au vaccin COVID-19 sont des FEMMES.

Les femmes vaccinées contre le COVID-19 souffrent de caillots sanguins après des interventions chirurgicales mineures, qui sont généralement des chirurgies esthétiques, comme l'exemple suivant d'une résidente de Londres, au Royaume-Uni, Dellie Isla, âgée de 21 ans, qui a subi une labiaplastie en avril 2023 et qui a développé en quelques heures des caillots sanguins qui ont nécessité 3 interventions chirurgicales d'urgence.

C'est une chose pour une femme de plus de 70 ans vaccinée contre le COVID-19 de mourir de caillots sanguins après une opération à l'épaule, comme Nancy Crookston, décédée le 17 novembre 2023. Personne n'y réfléchira à deux fois devant un tel cas.

C'est un tout autre cas pour des jeunes de 21 ans de mourir de la même façon.

- voir photo sur site -

Parfois, vous mourez au début d'une opération chirurgicale, comme Carolyn Dixon de Charlotte, Caroline du Nord, l'a fait le 7 novembre 2023.

- voir photo sur site -

(Remarque : les badges Facebook « La désinformation est mortelle » dans les 3 cas)

*
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huemaurice515 mars 2024 à 08:58
Bien sûr, cela arrive aussi aux hommes. Voici une opération très courante chez un joueur de baseball de 20 ans de l'Université George Mason (Fairfax, VA), Sang Ho Baek, qui s'est avérée mortelle.

- voir photo sur site -

Radford Dudoit, entraîneur de football de 46 ans, du lycée Kalani à Hawaï, a eu des complications après une opération cardiaque, perdant ses deux pieds et sa main gauche. Il est décédé le 1er février 2024.

- voir photo sur site -

« Il s’agit peut-être d’un caillot de sang provenant d’une opération chirurgicale qu’il a subie récemment » – Constantino Frangos est décédé en novembre 2023.

Conclusion

Où pouvons-nous trouver des preuves ? Données du gouvernement britannique.

Augmentation de 522 % des handicaps hématologiques en 2022 au Royaume-Uni.

Troubles de la coagulation sanguine +162%
troubles plaquettaires +221%
Troubles sanguins +137%
Il ne s’agit pas d’un « Long COVID » qui enregistre à peine un petit incident en 2020.

Il s’agit de troubles hématologiques induits par le vaccin COVID-19.

- voir graph sur site -

Alors, que faites-vous si vous êtes vacciné contre le COVID-19 et que vous avez besoin d’une intervention chirurgicale ?

Évitez les chirurgies électives dans la mesure du possible.

Sinon, informez votre médecin du risque considérablement élevé de caillots sanguins dû aux vaccins contre la COVID-19.

https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccinated-minor-surgeries-turned-deadly/5852150
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huemaurice515 mars 2024 à 08:59
Une IA déplorable et « raciste » résiste aux programmes d’endoctrinement éveillé et fait des discours de haine

Par Ben Bartee
Prose d'Armaguédon
15 mars 2024

Ma grand-mère irlandaise-catholique du Midwest m'a souvent transmis ce morceau de sagesse populaire celtique, son jeune et dévoué réceptacle - derrière un voile de fumée Virginia Slims™ et les grains du chapelet auxquels elle s'accrochait notoirement amèrement, comme dirait l'entité Obama avec dédain : « Vous pouvez tromper une partie de l’IA tout le temps, et toute l’IA de temps en temps, mais vous ne pouvez pas tromper toute l’IA tout le temps. »

Cela sonnait vrai à l'époque, alors que je toussais sur son cancer secondaire et sa sévérité morale étouffante irlandaise-catholique - qui lui avait été transmise, tout comme elle m'avait été transmise par le fouet des religieuses de l'école paroissiale du comté de Monaghan - tout comme elle l'avait été. le fait maintenant.

"Une petite équipe de chercheurs en IA de l'Allen Institute for AI, de l'Université de Stanford et de l'Université de Chicago, tous situés aux États-Unis, a découvert que des dizaines de grands modèles de langage populaires continuent d'utiliser des stéréotypes racistes même après avoir reçu des instructions antiracistes. entraînement. Le groupe a publié un article sur le serveur de préimpression arXiv décrivant ses expériences avec des chatbots tels que GPT-4 et GPT-3.5 d'OpenAI.

Des preuves anecdotiques suggèrent que bon nombre des LLM les plus populaires aujourd’hui peuvent proposer des réponses racistes en réponse aux requêtes – parfois ouvertement et parfois secrètement. En réponse, de nombreux fabricants de tels modèles ont dispensé une formation antiraciste à leur LLM. Dans ce nouvel effort, l’équipe de recherche a testé des dizaines de LLM populaires pour découvrir si les efforts ont fait une différence.

Maintenant, on pourrait s'attendre, si nous n'étions pas déjà tous familiers avec la philosophie de Clown World Social Justice™, que, pour accuser de manière crédible l'IA de racisme, il faudrait peut-être des preuves réelles à cet effet, comme celle-ci. tous « Solution finale sur les n-mots ».

Les preuves présentées, vous ne serez pas choqué de l’apprendre, sont bien plus banales que cela :

« Les chercheurs ont formé des chatbots IA sur des documents texte rédigés dans le style de l’anglais afro-américain et ont incité les chatbots à proposer des commentaires sur les auteurs des textes. Ils ont ensuite fait de même avec des documents texte rédigés dans le style de l’anglais américain standard. Ils ont comparé les réponses données aux deux types de documents.

Pratiquement tous les chatbots ont renvoyé des résultats que les chercheurs ont considéré comme confortant les stéréotypes négatifs. À titre d’exemple, GPT-4 suggérait que les auteurs des articles rédigés en anglais afro-américain étaient susceptibles d’être agressifs, grossiers, ignorants et méfiants. En revanche, les auteurs d’articles rédigés en anglais américain standard ont obtenu des résultats beaucoup plus positifs.

Les chercheurs ont également constaté que les mêmes LLM étaient beaucoup plus positifs lorsqu'on leur demandait de commenter les Afro-Américains en général, proposant des termes tels qu'intelligent, brillant et passionné.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:00
Malheureusement, ils ont également constaté un biais lorsqu'ils ont demandé aux LLM de décrire le type de travail que les auteurs des deux types d'articles pourraient effectuer pour gagner leur vie. Pour les auteurs des textes afro-américains en anglais, les LLM avaient tendance à les associer à des emplois qui nécessitent rarement un diplôme ou qui sont liés au sport ou au divertissement. Ils étaient également plus susceptibles de suggérer que ces auteurs soient reconnus coupables de divers crimes et soient plus souvent condamnés à la peine de mort.

Dans une nouvelle totalement indépendante, les suprémacistes blancs™ de Miami ont émis une fatwa contre les « érudits » qui frappent la ville chaque année pour les « Spring Breaks ».

Déplorable !

Reprinted with the author’s permission.

https://www.lewrockwell.com/2024/03/no_author/deplorable-racist-ai-resists-woke-indoctrination-programs-does-hate-speech/
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huemaurice515 mars 2024 à 09:00
Les géants coréens de la technologie arrêtent les projets de construction aux États-Unis

15 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

L’Occident politique s’enfonce de plus en plus vite et plus profondément dans un désastre économique. Les sanctions contre de plus en plus d’États ainsi que les guerres contre la Russie, les Palestiniens, les Houthis ainsi qu’en Asie et en Afrique portent désormais préjudice non seulement aux États de l’UE, mais aussi aux États-Unis. La politique climatique et énergétique apporte une autre contribution négative.

Les géants technologiques asiatiques qui souhaitent miser sur le « Made in USA » se retirent en raison de conditions de plus en plus mauvaises. Samsung, LG et SK, qui construisent actuellement des installations de production de semi-conducteurs et de batteries aux États-Unis, suspendent leurs projets de construction aux États-Unis dans un contexte de hausse rapide des coûts de main-d'œuvre et de construction. Ceci est rapporté par le Korea Times.

Samsung Electronics a investi 17 milliards de dollars pour construire une usine de puces à Taylor, au Texas. L'usine commencera la production de masse de semi-conducteurs utilisés pour les systèmes de réseau de cinquième génération ou les solutions d'intelligence artificielle (IA) au cours du second semestre de cette année. Cependant, l'entreprise devrait supporter une charge financière plus importante – jusqu'à 8 milliards de dollars pour construire l'usine – en raison de la forte augmentation des coûts des matériaux et de la main d'œuvre.

Les responsables de l'industrie coréenne des puces ont déclaré que les coûts financiers liés à la construction de nouvelles installations à l'étranger augmentaient, mais qu'ils manquaient d'une stratégie claire pour alléger ce fardeau.

Un cadre d’un fabricant de puces coréen a déclaré :

Rares sont ceux qui auraient prédit que les coûts de la main-d’œuvre et de la construction augmenteraient à un rythme aussi alarmant. Outre les conséquences de l’inflation, nous sommes également confrontés à des risques politiques à l’approche de l’élection présidentielle américaine.

LG Energy Solution s'est retiré de la construction initialement prévue de sa quatrième usine de batteries dans l'Indiana en collaboration avec General Motors (GM) pour une raison similaire.

TSMC, le plus grand fabricant de puces sous contrat au monde, a également repoussé d'un an le démarrage de sa première usine en Arizona, soit à 2025. La société a également repoussé le démarrage de sa deuxième usine de production de 2026 à 2027.

SK On, la filiale de fabrication de batteries du groupe SK, est également soumise à une pression financière croissante. L'entreprise s'est associée à Ford Motor pour construire des usines de batteries au Kentucky et au Tennessee. Cependant, les deux sociétés ont reporté la date de démarrage de leur deuxième usine dans le Kentucky en raison de la hausse des coûts de construction et du ralentissement du développement du secteur des véhicules électriques (VE).

Selon un rapport de Yuanta Securities, SK On a subi une perte d'exploitation de 581,8 milliards de wons en 2023 et devrait subir une perte encore plus importante de 700 milliards de wons au premier semestre de cette année, à mesure que l'intérêt pour les véhicules électriques diminue et que les coûts d'investissement diminuent. pour la construction d'usines sont en hausse.

https://tkp.at/2024/03/15/koreanische-technologieriesen-stoppen-us-bauvorhaben/
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huemaurice515 mars 2024 à 09:01
Semi-conducteurs : la naissance des Marvelous Three ?

Augmenter mais surtout sécuriser la capacité de production des semi-conducteurs les plus puissants, c’est l’objectif ambitieux de Sam Altman, CEO d’OpenAI et concepteur de ChatGPT.

le 15 mars 2024 à 5h30

Les revenus mondiaux des semi-conducteurs ont augmenté de 1,1% en 2022

Son plan ? Garantir la production suffisante des semi-conducteurs dernière génération, indispensables au développement de l’intelligence artificielle (IA) générative. Un défi vertigineux estimé à 7 000 milliards de dollars par le patron d’OpenAI lui-même.

L’industrie des semi-conducteurs est au cœur de toutes les grandes innovations technologiques. Il n’y a pas de digitalisation possible sans puces. Il n’y a pas d’iPhone, pas de Facebook, pas de Tesla, sans puces. Il n’y a pas non plus de défense moderne. Ces puces sont essentielles, fournissant à la fois puissance de calcul et capacité de stockage. A chaque cycle d’innovation, un écosystème dominant émerge. La révolution du PC à l’aube des années 1980 a été dominée par Intel, avec la complicité de Microsoft. Celle du smartphone, 25 ans plus tard, sera dominée par Qualcomm sur une architecture ARM, le tout fabriqué à Taïwan par TSMC sur des machines ASML.

La révolution technologique actuelle, celle de l’IA, sera bien plus immersive dans nos vies que les précédentes. L’IA repose sur une nouvelle architecture, le processeur GPU d’abord utilisé pour les cartes graphiques et le gaming, puis adopté plus largement par de nouvelles applications dont la conduite autonome ou le machine learning. Le succès de l'IA générative, plus récemment déployée, doit beaucoup aux capacités intensives de calcul des réseaux neuronaux artificiels, exécutées plus efficacement par l’architecture GPU que par les CPUs1 d’Intel.

L’écosystème dominant de cette nouvelle révolution est déjà identifié. Point important, il est transnational. Nvidia aux Etats-Unis conçoit les GPUs. TSMC à Taïwan est la seule fonderie à avoir les fabs2 suffisamment avancées pour la production de semi-conducteurs sur les résolutions les plus fines. Enfin, basée en Europe, ASML est la seule société d’équipement pour l’industrie des semi-conducteurs capable de développer les machines de lithographie, étape clé du processus de fabrication. Les avantages compétitifs de ces trois acteurs sont tels qu’ils devraient rester dominants pendant tout ce cycle d’innovation. De ce point de vue, ils méritent bien d’être désignés les Marvelous Three ! ASML, qui détient un monopole dans la lithographie, vend ses machines les plus puissantes à 250 millions de dollars l’unité, TSMC a besoin de plus de 10 milliards de dollars pour chaque nouvelle fab, et Nvidia développe l’architecture GPU depuis plus 30 ans. La croissance des bénéfices de ces trois sociétés sera, selon nous, forte et durable.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:01
Le risque éventuel pour cet écosystème ne nous semble pas d’ordre technologique. Il est ailleurs, hautement géostratégique comme a pu l’être le pétrole. Une petite musique commence à résonner : les nations qui domineront la puissance de calcul auront un avantage important. Par conséquent, les réflexes protectionnistes gouvernementaux mettront-ils à mal une coopération technologique internationale pouvant bénéficier à tous ? L’Inflation Reduction Act aux Etats-Unis prévoit 52 milliards de dollars pour la relocalisation des fabs. L’Europe lance son Chips Act et envisage 43 milliards de dollars pour l’installation de nouvelles fabs sur son territoire.

La Chine essaie depuis longtemps, avec quelques succès, de faire naître une industrie des semi-conducteurs mais se heurte aux efforts de blocage américains sur l’accès aux machines ASML les plus sophistiquées. Enfin, si la Chine prenait de force Taïwan, elle s’assurerait alors le contrôle de TSMC… mais perdrait probablement l’accès à ASML. Le concept de « mondialisation heureuse » n’est plus qu’un lointain souvenir. La donne géostratégique constitue le principal risque pour cette industrie et donc pour les Marvelous Three !

1 Processeurs

2 Usines où sont fabriqués les semi-conducteurs
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huemaurice515 mars 2024 à 09:04

Il y a 76 ans, les Australiens pouvaient bâtir des actifs qui dureraient des générations

Par Jo Nova
March 15th, 2024 |

Bon sang. 1948. Certains se souviendront d’une époque où les gens intelligents faisaient avancer les choses.

L'article de trois minutes décrit la valeur impressionnante de la centrale électrique au charbon de Yallourn : « la conversion du lignite en lumière et en électricité ». Cette seule centrale fournissait les deux tiers de toute l’électricité dont l’État de Victoria avait besoin à l’époque.

- voir clip sur site -

La plupart de ces éoliennes construites entre 1928 et 1961 ont depuis été fermées, mais la dernière, construite dans les années 1970, continue de fonctionner aujourd'hui. Yallourn W est évalué à 1 450 MW et fournit toujours un cinquième de l’énergie de Victoria.

Salut à David Maddison qui dit : « Sir John Monash (décédé en 1931), qui a construit l'approvisionnement en électricité de Victoria à l'époque, serait consterné par ce que l'Unipary a fait à sa création. »

https://joannenova.com.au/2024/03/76-years-ago-australians-could-build-assets-that-would-last-generations/
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huemaurice515 mars 2024 à 09:04
En Europe la mise en place du totalitarisme est devenue une réalité

le 14 mars 2024

Les lecteurs de ce blog vont commencer à se lasser des articles qui mentionnent l’installation insidieuse d’un régime totalitaire en Europe occidentale. Depuis que Thierry Breton a été promu « Ministre de la Vérité » à Bruxelles la situation que j’ai dénoncé sur ce blog s’accélère. Un article de Francesca de Villasmundo daté du 13 mars 2024 fait état de la condamnation à une année de prison ferme d’un député nationaliste belge ayant tenu des propos enfreignant la loi belge sur le racisme et le négationnisme : https://www.medias-presse.info/depute-nationaliste-belge-1-an-de-prison-ferme/187489/ . La conclusion de l’article est la suivante :

« Une telle condamnation est générée pour faire des exemples, créer la peur, faire taire les voix dissidentes, obliger la population à s’auto-censurer, à se tenir dans les clous, à être obéissante envers un pouvoir soi-disant démocratique devenu tout puissant. Ne nous y trompons pas, la dérive vers des régimes totalitaires en Europe s’accentue ».

Qui sont les acteurs de cette évolution ? Il y a en premier lieu la Commission européenne avec une administration tentaculaire de près de 10000 personnes qui concocte des directives à l’intention des gouvernements nationaux qui normalement doivent les soumettre à leur représentation citoyenne constituée d’élus du peuple. Comme ces représentants savent depuis des années qu’il n’ont plus de pouvoir puisque tout est décidé à Bruxelles ils sont devenus par la force des choses des « béni-oui-oui » serviles totalement désolidarisés du peuple qui les a élus. La porte est donc de facto grande ouverte pour l’installation sans embûche d’un régime totalitaire.

D’où viennent les ordres ? De groupes de pressions supra-nationaux tels que les lobbys financiers, ce sont eux qui en réalité dirigent et les exemples se sont multiplié par le passé. Il s’agit d’un système de sanctions financières comme le Hongrie en a fait les frais récemment dans le cas de l’adhésion de la Suède à l’OTAN et de dispositions opposées aux LGBT+. Les outils dont dispose le lobby financier sont de tous ordres comme par exemple le « Club de Davos », l’ « Open Society » et une multitude d’ONGs généreusement financées tant par ces lobbys financiers que par la Commission européenne elle-même, donc par les contribuables européens dans leur ensemble. Enfin les acteurs locaux, c’est-à-dire dans chaque pays membre de l’Union européenne, ne sont pas directement les gouvernements comme on pourrait le croire mais les administrations nationales toutes pléthoriques, des fonctionnaires vendus aux idéologies progressistes les plus délétères qui ont revêtu le déguisement de circonstance : une « chemise brune ». Garants de la bonne exécution des directives bruxelloises au niveau local ils ont pour mission d’appliquer ces directives depuis l’éducation sexuelle des enfants jusqu’à l’installation de moulins à vent en passant par des contrôles surréalistes de l’activité agricole ou du fonctionnement des hôpitaux sans oublier des sujets spécifiques comme la bonne conduite de l’audiovisuel ou de l’application des peines, une responsabilité qui a rétrogradé les juges et le pouvoir judiciaire dans son ensemble à de vulgaires rôles d’exécutants.

Tout y passe et c’est ainsi qu’un régime totalitaire prend forme et tout est déjà en place dans des pays comme la France ou la Belgique, c’est irréversible ! J’allais oublier une autre courroie de transmission : les médias contrôlés par les États ou plus prosaïquement par ce même lobby financier mentionné plus haut sans oublier les réseaux sociaux qui sont devenus de véritables « égouts à ciel ouvert » (je ne me souviens plus quel est l’auteur de cette comparaison) …
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huemaurice515 mars 2024 à 09:05
Mais pourquoi les peuples ne réagissent-t-ils pas ? Parce qu’ils sont déjà formatés pour obéir depuis la démonstration couronnée d’un franc succès de l’épisode du coronavirus qui a révélé que les peuples étaient maintenant mûrs pour accepter leur servitude volontaire. Pour bien enfoncer les derniers clous de cette main-mise des puissances dont le seul but est de dominer le monde toutes sortes d’institutions supra-nationales comme l’IPCC ou l’OMS (pour ne nommer que les deux plus importantes) distillent la peur à longueur de bulletins d’information … Pire encore : la main-mise des puissances financières sur la nourriture, c’est-à-dire l’agriculture dans son ensemble. Il s’agit d’un moyen imparable pour dominer les peuples. Et les écologistes qui décidément ne comprennent rien ont applaudi la mise en jachère de riches terres agricoles au nom de la préservation de la biodiversité et pour bien consolider son pouvoir sur l’alimentation le lobby financier a encouragé un libre échange des denrées alimentaires en provenance de pays qui ne respectent pas les normes européennes pénalisant les agriculteurs et les éleveurs : demandez à BlackRock ou Vanguard de respecter les normes bruxelloises ils vous prendront pour un fou.

Dans très peu de temps on assistera à l’apparition de nouveaux camps de concentration pour réduire à l’état d’esclaves les récalcitrants et finalement les éliminer. Fort heureusement ce phénomène ne concerne pour l’instant que l’Europe occidentale, l’exemple de démocratie que le monde entier devrait copier ! La mafia idéologique à la tête de l’Europe a repoussé les limites de l’inimaginable … ce que l’humanité a inventé de pire ces cent dernières années, les dictatures qui fleurissaient partout dans le monde avec Franco, Hitler, Salazar, Mao, Staline, Papadopoulos, Reza Shah, … sans oublier l’Amérique du sud avec Ongania, Pinochet, la junte militaire au Brésil. Il existe de l’espoir pour tous les Européens qui le peuvent encore : fuir cette pétaudière européenne, direction la Malaisie, les Philippines, l’Indonésie, le Vietnam, … et si j’avais 40 ans de moins et que la situation européenne était aussi pourrie qu’aujourd’hui j’irais m’installer à Vladivostok, la ville la plus dynamique de la Russie en ces temps troublés.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/03/14/en-europe-la-mise-en-place-du-totalitarisme-est-devenue-une-realite/
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huemaurice515 mars 2024 à 09:05
L’UE autorise la surveillance biométrique de masse

14 mars 2024
de Thomas Oysmüller

L’UE a franchi une étape importante dans la dystopie de la surveillance numérique. Le Parlement européen a adopté la loi sur l’IA, permettant ainsi également la reconnaissance faciale biométrique permanente.

Le Parlement européen ouvre la voie à une surveillance biométrique complète dans l’UE. La surveillance faciale permanente peut ainsi faire partie du quotidien. Car mercredi, le Parlement européen a adopté la « loi sur l’IA ». Outre les règles d'utilisation de l'intelligence artificielle, elle réglemente (et autorise) également l'introduction de la surveillance biométrique de masse dans l'UE.

Presque aucune résistance au Parlement
Le député du Parti Pirate Patrick Beyer interprète la loi comme suit :

« Avec cette loi sur l’IA, l’UE semble vouloir imiter la Chine non seulement sur le plan technologique mais aussi sur le plan national. Reconnaissance faciale complète et permanente en temps réel, surveillance comportementale intimidante dans les espaces publics comme celle utilisée à Hambourg, reconnaissance faciale sujette aux erreurs dans les enregistrements de vidéosurveillance des manifestations, même pour des délits mineurs, évaluation de l'origine des personnes assistée par l'IA, « détecteurs de mensonges vidéo » non scientifiques - aucune de ces technologies dystopiques n'est interdite par la loi sur l'IA de nos gouvernements.

Lui, ou plutôt le Parti Pirate, veut défendre « notre démocratie contre l'instauration d'un État de surveillance high-tech » . On est enclin à se demander ce qui reste à défendre. Il est également important de noter que les Pirates (comme tant d’autres) ont adopté une position non critique à l’égard du Covid, et la politique relative au Covid a évidemment servi de modèle à de nombreuses mesures de surveillance numérique.

Les Pirates partagent une photo qui montre comment les députés européens allemands ont voté. Martin Sonneborn parle d’un « devant croisé du milieu » :

Sonneborn poursuit : « Il n’y a (maintenant) aucun commentaire sur l’approbation de la CDU, du SPD et des Verts. Et à l'AFDP, les engagements (enflammés) en faveur de la "liberté" et du "libéralisme" ne sont pas encore passés de l'affiche électorale au bulletin de vote.»

Breyer précise ce qui est possible avec la loi IA :

"Imaginez une Europe dans laquelle, selon la devise "Un seul recherché, tous surveillés", nos visages sont scannés partout à l'aide d'une technologie intimidante et où l'on peut s'attendre à être arrêté à tout moment en raison d'une erreur d'identité."

Contrairement aux critiques, la bureaucratie européenne s’est félicitée. Avec ce paquet législatif, l’UE a franchi une étape historique qui serait « axée sur les personnes » et « fondée sur les risques ». Mais même « epicentre.works » dit : « La protection des droits fondamentaux est différente. »

Mercredi, l’UE a franchi une nouvelle étape importante vers une dystopie entièrement surveillée. Piquant : En 2023, le Parlement européen s’est prononcé en faveur d’une interdiction de la surveillance biométrique de masse. Cela a changé.

https://tkp.at/2024/03/14/eu-ermoeglicht-biometrische-massenueberwachung/
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huemaurice515 mars 2024 à 09:06
Dernière chance de vous inscrire à la conférence Big Ideas à Albury

Une petite annonce gratuite pour une bonne cause. J'ai hâte de rencontrer du monde !

Billets ici

Rejoignez-moi à la triple conférence à Albury, du 15 au 17 mars 2024 – Dernière chance de vous inscrire !

Nous allons bien nous amuser avec les sénateurs et les dirigeants politiques. Le programme : Friedman Vendredi : Qu'est-ce que la liberté ? Pourquoi est-elle érodée ? Et comment fait-on pour le récupérer ? Première conférence libertaire d'Australie. Église et État samedi : Nous ne pouvons pas servir deux maîtres, alors que devraient faire les croyants lorsque le gouvernement prétend être Dieu ? Dîner de gala NYET Zero : Dites NON à Net Zero lors du gala de lancement de cette campagne drôle mais sérieuse. Comment direz-vous « NYET » ? Dimanche des grandes idées : nous terminons la conférence avec l'esprit positif australien et explorons de grandes idées pour l'édification de la nation, car le meilleur est encore à venir. Connectez-vous avec des Australiens partageant les mêmes idées et aidez à redéfinir notre avenir. Apprenez-en plus et réservez votre place sur https://tripleconference.com/.

https://joannenova.com.au/2024/03/last-chance-to-register-for-the-big-ideas-conference-in-albury/#more-96194
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huemaurice515 mars 2024 à 09:07
Les moustiques OGM n’évitent pas la dengue au carnaval de Rio.

Par Dr Gérard Delépine
Mondialisation.ca,
09 mars 2024

Depuis une quinzaine d’années les épidémies de dengue se multiplient au Brésil. L’OMS a prétendu que l’utilisation de moustiques génétiquement modifiés allait éradiquer cette maladie, mais depuis les lâchers de ces insectes OGM la maladie progresse encore plus fortement au point que la flambée actuelle a troublé la tenue du carnaval de Rio, malgré l’instauration de l’état d’urgence.

Jouer les apprentis sorciers est toujours une expérience risquée.

Qu’est-ce que la dengue ?

La dengue ou grippe tropicale est une maladie virale transmise par deux espèces de moustiques de la famille Aedes. Le virus causal est un virus à ARN (DENV) dont Il existe quatre souches différentes (DENV-1, DENV-2, DENV-3, DENV-4). C’est un arbovirus, comme ceux du Zika, du Chikungunya, de la fièvre du Nil et de la fièvre jaune.

La plupart des cas de dengue sont bénins, souvent asymptomatiques et lorsqu’ils se manifestent, ressemblent le plus souvent à une grippe banale. La dengue habituelle se manifeste brutalement après 4 à 10 jours d’incubation par l’apparition d’une forte fièvre souvent accompagnée de maux de tête, de nausées et de vomissements. Ces symptômes persistent deux à sept jours. La convalescence peut s’étendre sur environ deux semaines. La guérison de l’infection confère une immunité à vie contre le sérotype responsable sans protéger contre les autres souches.

Une nouvelle infection par un autre sérotype expose au risque de développer une forme grave marquée par des douleurs abdominales sévères, des vomissements répétés, une respiration rapide, des saignements des gencives ou du nez, dans les vomissures ou les selles, une fatigue intense, une agitation, une forte sensation de soif, une faiblesse, ou un teint livide avec une peau pâle et froide.

Globalement la dengue est une maladie fréquente mais bénigne, et sa mortalité est infime. L’OMS estime à 390 millions le nombre de personnes exposées dans le monde, avec 96 millions de malades, un demi-million de dengues sévères nécessitant une hospitalisation, et 20 000 morts (0,005%).

Il n’existe aucun traitement spécifique contre la dengue. La prise en charge clinique repose, dans les formes graves, sur des perfusions, des antipyrétiques et des antibiotiques pour éviter les surinfections chez les personnes les plus vulnérables

L’expansion de la maladie crée un marché préventif gigantesque.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:08
Depuis la mondialisation et la multiplication des transports internationaux, la maladie a connu une expansion considérable en particulier en Amérique du Sud et au Brésil où la dengue a été signalé dès 1845. L’OMS estime que la moitié de la population mondiale y est exposée, que le nombre annuel de cas symptomatiques est passé de 40000 en 1996 à 3 200 000 en 2015 et 96 millions en 2019. Et les médias subventionnés, pour créer un marché pour les traitements préventifs (vaccins ou lâcher de moustiques génétiquement modifiés…), agitent le spectre de la maladie sans en rappeler la bénignité habituelle.

La catastrophe du Dengvaxia pourtant « déclaré sûr et efficace » par l’OMS
Le développement et l’homologation de Dengvaxia® ont duré plus de 20 ans et coûté plus de 1,5 milliard de dollars à Sanofi sans permettre d’éviter la catastrophe vaccinale des Philippines.

La saga du Dengvaxia commence en septembre 2008 lorsque Sanofi acquiert, pour 332 millions d’euros la société Acambis, propriétaire d’un candidat vaccin développé à partir d’un virus génétiquement modifié, chimère obtenue à partir des virus de la dengue et de la fièvre jaune.

Six mois plus tard, en mai 2009, Sanofi investit 350 millions d’euros pour la construction d’une usine près de Lyon et commence la production de ce vaccin sans attendre les résultats des essais cliniques de phase 2 en cours en Thaïlande.

Fréderic Tangy, chef de l’unité génomique virale et vaccination à l’Institut Pasteur a rappelé que « lorsque Sanofi a lancé les essais cliniques chez l’homme, nous l’avons alerté sur différents risques, comme celui d’une interférence possible entre les différentes souches de dengue, mais surtout celui d’une réaction immunitaire spécifique qui permet au virus d’entrer encore plus facilement dans les cellules cibles après une première exposition ». Mais cette mise en garde a été ignorée.

En 2011, les essais de phase 3 ont commencé incluant 30 000 enfants dont à peine 600 jamais infectés par la dengue. Les résultats de ces premiers essais cliniques ont été médiocres avec seulement 56% d’efficacité à deux ans et un surrisque important (700%) de formes graves chez les vaccinés les plus jeunes avec plusieurs décès. Ces résultats décevants expliquent la réticence des potentiels acheteurs et les millions de doses déjà fabriquées approchant de leur date de péremption.

Sanofi a alors mobilisé tous ses réseaux y compris le président de la République F.Hollande, pour promouvoir son vaccin. Lors d’un voyage, F. Hollande a obtenu du vice-ministre mexicain de la santé, Pablo Kuri Morales, l’AMM du Dengvaxia.

En novembre 2014, lors du sommet de l’APEC, le vice-président de Sanofi et le président Hollande ont rencontré le président philippin B Aquino, pour lui vanter le vaccin présenté dans tous les médias comme un vaccin « révolutionnaire, efficace et sans danger » capable « d’éviter 93% des dengues hémorragiques ».
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huemaurice515 mars 2024 à 09:08
Six mois plus tard, la ministre de la Santé des Philippines, J Garin, se rend en France, visite l’usine du Dengvaxia et accepte le prix demandé par Sanofi, lors d’un dîner sur les Champs-Elysées avec les dirigeants de l’entreprise.

En septembre 2015, les résultats des essais des trois premières années sont rendus publics : le vaccin n’est pas très efficace et surtout « les enfants vaccinés avant 5 ans ont un risque d’hospitalisation de dengue sévère 5 fois plus élevé que les enfants non vaccinés ». Mais plutôt que de faire un nouvel essai pour mieux comprendre, Sanofi accélère ses efforts pour une commercialisation la plus rapide possible.

En décembre 2015, après une nouvelle rencontre, les dirigeants de Sanofi, le président B. Aquino et J. Garin organisent en urgence une campagne massive de vaccination dont le coût dépasse les 3 milliards de pesos (plus que l’ensemble des sommes allouées à l’ensemble des autres programmes de vaccination aux Philippines, alors que la dengue ne fait pas partie des dix premières causes de mortalité). L’un des plus fervents apôtres du vaccin est K Hartigan-Go, sous-secrétaire à la santé de 2015 à 2016, mais aussi fondateur de la Zuellig Family Fondation, dont la branche pharmaceutique obtient l’exclusivité de la commercialisation du vaccin aux Philippines. Partout connivence et conflits d’intérêts.

J.Garin ministre de la Santé s’auto-nomme directrice de l’Agence du Médicament pour décerner l’autorisation immédiate de mise sur le marché pour le Dengvaxia, sans respecter la procédure d’attribution des marchés publics. Puis elle annonce qu’un million d’enfants philippins bénéficieront gratuitement de ce vaccin « miracle » grâce au gouvernement, avant les prochaines élections. Lors de retransmissions télévisuelles, cette vaccination sera souvent accompagnée de distribution aux enfants de tee-shirts jaunes, couleur de son parti. Dans le même temps, une intense campagne de publicité trompeuse et souvent mensongère mobilise tous les médias philippins pour la promotion de ce vaccin.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:09
En avril 2016, l’OMS se joint à la campagne de publicité du Dengvaxia en présentant la dengue comme « la maladie virale transmise par les moustiques la plus importante du monde » et affirme « qu’endiguer sa propagation est une priorité » et « conseille la vaccination dans tous les pays à forte endémie de dengue ». Cette affirmation mensongère , rappelle la déclaration scandaleuse de pandémie lors de la crise de la grippe H1N1 et les liens entre les experts de l’OMS et l’industrie très largement soulignés par British Médical Journal.

Déclaration d’autant plus scandaleuse qu’à cette date, plusieurs articles de chercheurs d’universités de quatre pays (Portugal, Brésil, Grande-Bretagne, USA) mené par S B Halstead avaient alerté sur les risques qu’entraînerait une vaccination contre la dengue.

Leurs analyses contestaient les résultats de Sanofi et soulignaient que le vaccin était susceptible d’augmenter le risque de dengue sévère chez les sujets jamais contaminés. Ils exhortaient les organisateurs de la campagne de pratiquer des tests de diagnostic avant vaccination et insistaient sur le fait que l’OMS n’aurait pas dû recommander le vaccin sur des résultats publiés par la compagnie pharmaceutique, sans analyser les données brutes.

En plus des publications internationales sur le sujet en 2016, le Dr Halstead avait adressé au comité philippin chargé d’évaluer l’intérêt de la vaccination une vidéo rappelant ces risques.

Dans une déclaration datée du 7/10/2016 le Haut Conseil de la Santé Publique avait refusé de recommander ce vaccin. « Le HCSP n’est pas favorable à l’utilisation anticipée de ce vaccin dans les Territoires français d’Amérique. Certaines comorbidités, essentiellement la drépanocytose, pourraient favoriser la survenue de formes graves de dengue et un risque relatif accru d’hospitalisation pour dengue chez les enfants vaccinés les plus jeunes par rapport aux non vaccinés».
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huemaurice515 mars 2024 à 09:09
Pourtant, dès avril 2016, commence aux Philippines une campagne massive de vaccination scolaire touchant en priorité les zones qui rassemblent le plus d’électeurs. Les vaccinations se déroulent dans de nombreux cas sans la présence de médecins et sans que les parents soient prévenus. Elles concerneront au total plus de 830 000 écoliers philippins. Rapidement des accidents se multiplient touchant particulièrement les plus jeunes vaccinés et en novembre 2017, Sanofi reconnait enfin « un risque accru de dengue sévère pour ceux qui n’ont jamais été exposés au virus ». Le gouvernement suspend enfin la vaccination et les pays qui avaient autorisé la commercialisation du Dengvaxia l’ont retiré, ou restreint son utilisation aux personnes ayant déjà subi une attaque de dengue.

En décembre 2018, des milliers d’enfants philippins ont été hospitalisés, plus de 500 morts ont été déclarées par les parents et, selon le bureau du procureur P. Acosta, les vérifications autopsiques ont prouvé que 103 enfants vaccinés étaient morts de dengue hémorragique.

Les familles manifestent pour obtenir justice, et accusent Sanofi d’avoir traité les enfants philippins en cobayes, et les politiques et administratifs de corruption. Depuis, les électeurs ont chassé du pouvoir les politiques responsables de cette catastrophe et le nouveau gouvernement philippin a imposé à Sanofi la création un fonds d’indemnisation pour prendre en charge l’hospitalisation et les traitements de tous les enfants qui pourraient développer une forme sévère de dengue. Le procureur a procédé à des mises en examen contre près d’une vingtaine de philippins dont Aquino (ex-président), Janette Garin (ex-ministre de la Santé), Butch Abad (ex-ministre du budget), et Paquito Ochoa (ex-secrétaire du gouvernement) et 6 responsables français de Sanofi (qui ont tous quitté les Philippines). Sans oublier 19 autres mis en examen dont Rose Capeding, ex-chef du département de médecine tropicale et Tropical Medicine (RITM) qui encourent une peine de 48 ans de prison pour « homicide par imprudence pour avoir facilité l’approbation hâtive du dengvaxia et la mise en place de la campagne scolaire de vaccination. »

En septembre 2018, les résultats catastrophiques du dengvaxia ont contraint l’OMS à modifier ses recommandations : « …le suivi à long terme a révélé un signal d’innocuité très préoccupant chez les receveurs de vaccins séronégatifs. La génération et les analyses de données supplémentaires ont confirmé le signal, entraînant une modification de l’indication demandée au promoteur, des recommandations d’utilisation de l’OMS et des approbations des organismes de réglementation…Le CYD-TDV s’est avéré efficace et sûr dans les essais cliniques chez les personnes séropositives, mais comporte un risque accru de dengue sévère chez ceux qui subissent leur première infection naturelle par la dengue après la vaccination (individus séronégatifs)…Seules les personnes présentant des preuves d’une infection passée par la dengue doivent être vaccinées sur la base d’un test d’anticorps ou d’une infection par la dengue confirmée en laboratoire documentée dans le passé. »
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huemaurice515 mars 2024 à 09:10
Les complications post vaccinales observées aux Philippines et les médiocres résultats des nouveaux vaccins ont entraîné un net recul des indications vaccinales dans l’ensemble des pays qui pourraient en avoir besoin. L’espoir s’est orienté sur la lutte contre les vecteurs et en particulier par l’utilisation de moustiques génétiquement modifiés.

Laboratoire de création de moustiques OGM. Capture d’écran.

Les moustiques génétiquement modifiés

Les moustiquaires et les pulvérisations d’insecticides ont joué un rôle majeur dans la réduction du fardeau du paludisme et leur association aux traitements curatifs ont même permis son éradication dans de nombreux pays africains (Algérie, Cap vert, Ile Maurice) et asiatiques. Mais il n’existe pas de traitement curatif pour la dengue et de nombreuses espèces de moustiques sont devenues résistantes aux insecticides.

Aussi des scientifiques ont imaginé de modifier génétiquement les moustiques pour les rendre incapables de transmettre la maladie ou pour réduire drastiquement la taille de la population. La technologie a été développée en 2002 au Royaume-Uni par l’entreprise britannique Oxitec. Un gène est introduit dans le moustique rendant l’insecte dépendant à la tétracycline, un antibiotique. Sans lui, l’insecte meurt. L’hypothèse avancée était que ces moustiques OGM, lâchés dans la nature en quantité deux fois supérieure à celle des moustiques sauvages, attireraient les femelles pour copuler mais que les gènes de cette souche n’entreraient pas dans la population de moustiques autochtones car la progéniture mourrait ou serait incapable de se reproduire.

Des tests, commencés en 2011 dans l’Etat de Bahia ont montré une réduction de plus de 80% de la population de moustiques. Mais l’association Inf’OGM s’est inquiétée du manque de transparence de l’entreprise sur ses résultats, et que l’élimination du moustique serait incomplète, avec la survie de 3 % des insectes mettant en doute la capacité de la méthode à enrayer l’épidémie.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:10
Le marché potentiel a fait rêver les fabricants des moustiques OGM après le lâcher de moustiques génétiquement modifiés au Panama, facturé plus de 2§ le moustique et amenant le cout de l’éradication de 20,000 moustiques sauvages à près de 14.5 millions de dollars par semaine ! Selon Glenn Slade, une ville de 50.000 habitants devrait débourser de 2 à 5 millions de reais (soit quelque 670.000 à 1,6 million d’euros) par an pour bénéficier de cette méthode et un million de reais (335.000 euros) les années suivantes pour le maintien de la population des insectes transgéniques . Cette méthode a été largement promue par leurs fabricants, l’OMS et Bill Gates qui affirmaient que la méthode ne présentait aucun risque pour la population.

Les premiers essais dans la commune de Niterói (État de Rio de Janeiro), avaient effectivement conclu à une réduction des cas de dengue de 76 %.

Depuis 2017 des millions de moustiques génétiquement modifiés ont commencé à être relâchés dans la nature venant d’une usine à moustiques, produisant chaque mois jusqu’à 10 millions de moustiques mâles transgéniques.

Mais ces moustiques génétiquement modifiés ont donné naissance à des moustiques hybrides. Une étude de l’Université de Yale a montré que la population de moustiques est maintenant un mélange génétique entre la population initiale, les moustiques Aedes Aegypti, et la souche mexico-cubaine. Selon les chercheurs, cela a conduit à former des populations plus robustes encore !

Cette évolution imprévue des populations des vecteurs a été suivie par une forte augmentation des poussées de dengue au Brésil. En 2002, 60000 malades avaient été recensés ; Ils ont été 1 million en 2010, 1,4 million en 2013 , et 1,6 million en 2023 et 1,2 million de cas durant les seuls deux premiers mois de 2024 forçant la ville de Rio à décréter l’état d’urgence en santé deux jours avant l’ouverture du carnaval. Dans l’immédiat, pour faire face à cette explosion de l’épidémie, le gouvernement brésilien a entrepris une campagne expérimentale de vaccination par le vaccin takeda, malgré les risques de cette méthode dont les essais ne sont pas concluants.

Dans le cadre du World Mosquito Program le gouvernement du Brésil avait prévu de relâcher 5 milliards de moustiques OGM sur son territoire en 2024 ; l’échec actuel de sa politique « moustique OGM » le fera -t-il revoir ses ambitions à la baisse ?

Le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions. Celui des dengues graves le serait-il de vaccins et de moustiques OGM ? Ne serait-il pas moins dangereux d’insister sur les gestes traditionnels de chasse aux moustiques ?

https://www.mondialisation.ca/les-moustiques-ogm-nevitent-pas-la-dengue-au-carnaval-de-rio/5687343?doing_wp_cron=1710074786.2654910087585449218750
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huemaurice515 mars 2024 à 09:11
Les moustiques OGM de Bill Gates provoquent une augmentation de 400 % de la dengue au Brésil – maintenant ils implorent ses VACCINS pour arrêter l’épidémie

13/03/2024
Ethan Huff

Une épidémie de dengue ravage le Brésil après que le milliardaire eugéniste Bill Gates a libéré des milliards de moustiques génétiquement modifiés (OGM) qui la transportent dans la nature. Et maintenant, le gouvernement brésilien veut acheter des quantités de vaccins contre la dengue de Gates pour arrêter la propagation.

Des rapports indiquent que 40 personnes au Brésil sont jusqu'à présent mortes de la dengue, selon le ministère national de la Santé, tandis que 265 autres décès font l'objet d'une enquête pour déterminer s'ils sont également liés à l'épidémie.

La réponse du Brésil à l'épidémie n'a pas consisté à réfléchir aux raisons pour lesquelles il y a soudainement une augmentation de 400 pour cent des cas de dengue depuis la dissémination des moustiques OGM. Au lieu de cela, le pays sud-américain a décidé d'acheter 5,2 millions de doses d'un vaccin contre la dengue appelé Qdenga, développé par le fabricant japonais de médicaments Takeda. 1,32 million de doses supplémentaires seront également envoyées gratuitement.

Trois États brésiliens ont déclaré l'état d'urgence, dont le Minas Gerais, le deuxième État le plus peuplé du Brésil, ainsi que le District fédéral où se trouve la capitale Brasilia.

Depuis le début de l'année 2024, il y a déjà plus de cas de dengue à Brasilia que pendant toute l'année 2023. Le taux d'infection est actuellement de 1 625 cas pour 100 000 habitants, ce qui est bien supérieur à la moyenne nationale de 170 cas pour 100 000 habitants. .

Les enfants âgés de 10 à 14 ans commenceront à recevoir l’injection de Qdenga cette semaine pour tenter d’arrêter la propagation de la maladie – mais est-ce que cela fonctionnera ?

(Connexe : L’année dernière, Gates a annoncé son intention d’expédier des millions de « vaccins » contre le paludisme en Afrique, même s’il a été constaté que ces injections provoquaient une augmentation de la maladie.)

Le Programme mondial des Nations Unies contre les moustiques est également responsable
En 2023, le Programme mondial des Nations Unies contre les moustiques a annoncé un plan sur 10 ans visant à libérer des moustiques dits « génétiquement modifiés » au Brésil, le but présumé étant que ces insectes OGM éradiqueront un jour la dengue du pays. .

"Les autorités sanitaires brésiliennes de cinq villes ont relâché des nuages de moustiques Aedes aegypti cultivés en laboratoire et infectés par la bactérie Wolbachia, ce qui empêche la transmission du virus de la dengue aux humains", a annoncé Harvard Public Health dans un rapport d'août 2024.

« Le pays sera le premier à lancer un programme national visant à libérer des moustiques modifiés par Wolbachia, qui devraient protéger jusqu'à 70 millions de personnes contre la dengue au cours des 10 prochaines années. Et il construit une usine pour augmenter la production de moustiques : Début D’ici 2024, l’usine produira en masse cinq milliards de moustiques par an. »
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huemaurice515 mars 2024 à 09:12
Au cours de l'année qui a suivi l'annonce de cette libération, les cas de dengue ont grimpé en flèche dans tout le Brésil, la cause évidente étant les moustiques OGM qui auraient été lâchés pour arrêter la maladie, et non pour en créer davantage.

Gardez à l’esprit que le Programme mondial des Nations Unies contre les moustiques a reçu une subvention de 50 millions de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates, qui finance également la recherche sur davantage de vaccins contre la dengue.

Takeda, le fabricant de Qdenga, a également reçu des millions de dollars en espèces de la Fondation Bill & Melinda Gates.

« En d’autres termes, l’argent de la Fondation Bill Gates est impliqué dans tous les aspects de la situation, depuis les moustiques génétiquement modifiés – qui ont apparemment exacerbé la crise de la dengue – jusqu’au financement des entreprises qui fournissent au Brésil le vaccin contre la dengue très demandé. » écrit Jamie White pour Infowars.

"À quelle fin?"

Quelqu’un d’autre dans les commentaires a fait écho à ce sentiment, remerciant sarcastiquement Gates d’avoir aidé à créer et à libérer les moustiques OGM responsables de cette nouvelle crise de santé publique.

"La population estivale d'insectes volants dans le Michigan a probablement été supprimée à environ 90 % au cours de la dernière décennie", a écrit un autre à propos de ce qu'il voit ici même aux États-Unis. "Je soupçonne que la "géo-ingénierie" au fil des ans tue la population d'insectes."

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Les sources de cet article incluent :

Infowars.com
NaturalNews.com

https://www.naturalnews.com/2024-03-13-bill-gates-gmo-mosquitos-dengue-fever-brazil.html
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huemaurice515 mars 2024 à 09:13
Aucune preuve de vie extraterrestre, selon un rapport du Pentagone

Eric Tucker
msn.com
ven., 08 mar. 2024 19:30 UTC

Une étude du Pentagone publiée vendredi, qui a examiné les observations rapportées d'ovnis au cours de près d'un siècle, n'a trouvé aucune preuve d'extraterrestres ou d'intelligence extraterrestre, une conclusion cohérente avec les initiatives passées du gouvernement américain pour évaluer l'exactitude des affirmations qui ont captivé l'attention du public depuis des décennies.

L'étude du Bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines du département de la Défense a analysé les enquêtes du gouvernement américain depuis 1945 sur les observations signalées de phénomènes anormaux non identifiés, plus communément appelés ovnis.

Il n'a été trouvé aucune preuve que l'un d'entre eux était un signe de vie extraterrestre, ou que le gouvernement américain et des entreprises privées avaient procédé à une ingénierie inverse de la technologie extraterrestre et la cachaient.

« Tous les efforts d'enquête, à tous les niveaux de classification, ont conclu que la plupart des observations étaient des objets et des phénomènes ordinaires et le résultat d'une identification erronée », indique le rapport, mandaté par le Congrès. Un autre volume du rapport axé sur des recherches plus récentes paraîtra ultérieurement.

Les autorités américaines se sont efforcées de trouver des réponses aux légions d'observations d'ovnis signalées au fil des années, mais jusqu'à présent, elles n'ont identifié aucune preuve réelle de la vie extraterrestre. Un rapport gouvernemental de 2021 qui a examiné 144 observations d'avions ou d'autres appareils volant apparemment à des vitesses ou des trajectoires mystérieuses n'a trouvé aucun lien extraterrestre, mais a tiré peu d'autres conclusions et a appelé à une meilleure collecte de données.

La question est revenue sur le tapis l'été dernier, lorsqu'un responsable du renseignement à la retraite de l'armée de l'air a témoigné devant le Congrès que les États-Unis dissimulaient un programme de longue date qui récupérait et procédait à l'ingénierie inverse d'objets volants non identifiés. Le Pentagone a nié ces affirmations et a déclaré fin 2022 qu'un nouveau bureau du Pentagone mis en place pour suivre les rapports d'objets volants non identifiés - le même qui a publié le rapport de vendredi - avait reçu « plusieurs centaines » de nouveaux rapports, mais n'avait trouvé aucune preuve jusqu'à présent de la vie extraterrestre.

Les auteurs du rapport de vendredi ont déclaré que l'objectif était d'appliquer une analyse scientifique rigoureuse à un sujet qui a longtemps captivé l'imagination du public américain.

« (Le Bureau) reconnaît que de nombreuses personnes ont sincèrement des versions de ces croyances qui sont basées sur leur perception d'expériences passées, sur les expériences d'autres personnes en qui elles ont confiance, ou sur les médias et les médias en ligne qu'ils considèrent comme des sources d'informations crédibles et vérifiables. »

« La prolifération de programmes télévisés, de livres, de films et la grande quantité de contenu sur internet et les réseaux sociaux centrés sur des sujets liés aux (phénomènes anormaux non identifiés) ont très probablement influencé le débat public sur ce sujet et renforcé ces croyances au sein de certaines couches de la population. »

https://fr.sott.net/article/43473-Aucune-preuve-de-vie-extraterrestre-selon-un-rapport-du-Pentagone
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huemaurice515 mars 2024 à 09:14
Réchauffement climatique : il faut s’adapter !

Il faut préparer notre pays à 4°C de réchauffement climatique a déclaré Christophe Bechu, ministre de la transition écologique. L’ampleur du changement semble largement dépasser la limite des 2°C à laquelle aspire l’Accord de Paris.

le 11 mars 2024 à 5h00

En 2022, le PIB mondial a chuté de 6,3% à cause du réchauffement climatique.

Nous ne pouvons plus nous limiter à l’adoption de mesures d’atténuation. L’urgence est à l’adaptation et les défis sont immenses. Il est nécessaire d’accepter la réalité du changement climatique, de ses impacts inéluctables et de s’y préparer activement. L’adaptation est l’affaire de tous, alors passons à l’action !

Adapter les territoires

Cette adaptation désigne « le processus d’ajustement face au climat réel ou prévu et à ses effets afin de modérer les dommages ou d’exploiter d’éventuelles opportunités »1. Elle a pour objectif d’atténuer l’impact du climat déréglé sur les sociétés humaines. Les récentes inondations dans le Pas-de-Calais illustrent l’urgence de l’adaptation des territoires face aux événements extrêmes dont la fréquence et l’intensité augmenteront au cours du siècle. Le 3ème Plan National d’Adaptation au Changement Climatique, prévu pour cet été, vise à établir une vision commune de l’adaptation. Pour être efficace, il devra bouleverser les réglementations, législations et pratiques pour s’adapter à la nouvelle réalité climatique.

Adapter les entreprises

Si les territoires sont de plus en plus exposés, les entreprises ne sont pas en reste. Le mal-être agricole actuel illustre par exemple les multiples défis qui s’imposent au secteur et rendent sa transition inéluctable. La baisse de la production agricole, étroitement liée aux impacts du changement climatique et à la dégradation de la biodiversité, affecte la rémunération des agriculteurs. La flambée des prix du cacao à laquelle nous assistons à l’approche de Pâques est une belle illustration des impacts concrets de ces phénomènes climatiques. Le renforcement de la résilience des exploitations afin de s’adapter à la nouvelle donne environnementale semble être un passage obligé. La collaboration entre les acteurs de la chaîne est cruciale pour l’adaptation de toute la filière agroalimentaire et la sécurisation des chaînes d’approvisionnement. Ici encore, un dispositif réglementaire incitatif adapté à la réalité du terrain aura probablement un rôle clef à jouer.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:14
Financer l'adaptation

Reste l’épineuse question des financements qui devront être massifiés. Afin d’attirer les capitaux, la taxonomie européenne y dédie l’un de ses principaux volets. Elle identifie deux types d’entreprises : les entreprises adaptées qui déploient des dispositifs d’adaptation de leurs processus, et les entreprises habilitantes qui proposent des solutions d’adaptation clef en main à d’autres acteurs. Investisseurs responsables, nous sommes convaincus de notre rôle dans le financement de l’adaptation. L’analyse de l’exposition de nos investissements aux risques physiques et de transition est une première étape, devant être assortie d’une analyse qualitative approfondie des plans de transition.

Chez LFDE, les dynamiques de transition des entreprises sont évaluées selon notre méthodologie propriétaire Maturité Climat et Biodiversité. Elle intègre également l’analyse de l’enjeu de transition juste, clef du succès, comme nous le rappelle la colère des agriculteurs. Ce sujet qui anime de plus en plus la communauté finance durable, sous des impulsions réglementaires multiples, aboutira, nous l’espérons, à un financement et un engagement massif et rigoureux pour accompagner la société tout entière dans le défi de l’adaptation.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:16
Achetez des éoliennes ou les récifs coralliens du monde entier mourront !

Par Jo Nova
March 14th, 2024

Le Sydney Morning Herald s’en prend à Coral Reef Seer – prédisant non seulement la fin de la vaste Grande Barrière de Corail, mais aussi la perte totale des récifs coralliens du monde entier. Cela représente un quart à un demi-million de kilomètres carrés de récif, disparu, pfft, détruit, juste comme ça.

La prophétie repose sur une série de photos prises la semaine dernière à partir d’un point situé à la limite sud de la Grande Barrière de Corail. Apparemment, comme les feuilles de thé et les entrailles de poulet, cet endroit possède des capacités de prévision magiques.

Prophétie par Mike Foley, SMH

Les photos qui ne montrent rien jusqu'à présent ont sauvé la Grande Barrière de Corail
Les objectifs climatiques de l’Australie doivent être renforcés pour répondre à l’action mondiale nécessaire pour empêcher la perte totale des récifs coralliens de la planète, préviennent les experts, après le cinquième événement de blanchissement massif au large des côtes du Queensland depuis 2016.

Ainsi, l’année dernière, pour la deuxième année consécutive, la Grande Barrière de corail a été enregistrée comme ayant une couverture corallienne plus importante que jamais depuis le début de la collecte de données en 1986.

Les personnes qui plongent sur le récif pour le rechercher découvrent qu’il se remet du blanchissement massif en à peine 18 mois.

- voir graph sur site -

Coraux, graphique.

Après 37 ans de pollution incessante, il y a plus de coraux que jamais sur la Grande Barrière de Corail.

Les premiers récifs coralliens ont évolué il y a 485 millions d’années, à une époque où la planète était plus chaude et où les niveaux de gaz carbonique étaient dix fois plus élevés.

La température mondiale fluctue énormément depuis trois millions d’années. D’une manière ou d’une autre, les récifs coralliens ont très bien survécu à cela, mais seront-ils anéantis d’un demi-degré supplémentaire ?

avec David de Cooyal à Oz

Cinq millions d'années de changement climatique et de carottes de sédiments. Paléoclimat, périodes glaciaires, Graphique. Pléistocène.
Températures estimées à partir d’une pile de 57 enregistrements de δ18O benthiques répartis dans le monde

- voir graph sur site -.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:16
RÉFÉRENCE

L. E. Lisiecki et M. E. Raymo (2005) — Une pile Pliocène-Pléistocène de 57 enregistrements de δ18O benthiques répartis dans le monde, Paléoocéanographie 20, 1003

10 sur 10 basé sur 77 notes
14 mars 2024 | Tags : Coraux, Culte scientifique, Grande Barrière de corail, Hyperbole, Biais médiatique | Catégorie : Réchauffement climatique | Imprimer cet article Imprimer cet article | | Commentaires (86)
Jeudi
Je serai absent quelques jours pour la conférence à Albury. Désolé, la publication sera plus légère…

https://joannenova.com.au/2024/03/buy-wind-turbines-or-the-whole-worlds-coral-reefs-will-die/
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huemaurice515 mars 2024 à 09:17
Climat : l’imposture criminelle toujours d’actualité

le 13 mars 2024

Le grand coupable du supposé changement du climat vers un réchauffement insupportable est le gaz carbonique. Or cet accroissement de la teneur en ce gaz indispensable à toute forme de vie sur terre et dans les océans est un sous-produit de l’activité humaine. Par conséquent il faut réduire les émissions de ce gaz et il n’y a pas d’autre choix que de réduire l’activité économique. Il s’agit d’un postulat définitif, non, un dogme, qu’il est interdit de remettre en cause. Chacun appréciera à sa mesure ce que cela signifie pour sa vie quotidienne : en un mot la misère. L’organisme onusien transmet aux décideurs politiques de fausses informations et il est important de rappeler deux faces de cette propagande dénuée de preuves scientifiques. L’effet de serre du gaz carbonique, s’il existe réellement, ne peut qu’être négligeable compte tenu de sa très faible teneur dans l’atmosphère. De plus l’existence indéniable de l’effet du champ gravitationnel de la Terre sur l’atmosphère remet en cause toute la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique, en d’autres termes ce qui est appelé le gradient adiabatique auquel est soumis notre atmosphère obéit à des lois physiques qui sont incompatibles avec la théorie de l’effet de serre. D’aucuns mentionnent la vapeur d’eau comme candidat à un effet de serre, c’est peine perdue car la vapeur d’eau n’est pas un gaz parfait car ce gaz a pour propriété de changer d’état en fonction de la température et il est directement soumis au gradient adiabatique qui dit que pour chaque 100 mètres en altitude l’air se refroidit de 0,65 °C et 0,6 °C si cet air est riche en vapeur d’eau et cette vapeur d’eau est un puissant véhicule pour évacuer vers l’espace l’énergie solaire atteignant la surface de la Terre et des océans, en particulier des océans.

Pourtant l’observatoire de la NOAA sur l’île de Hawaii note une augmentation continue de cette teneur en gaz carbonique avec un réchauffement moyen qui ne suit pas le rythme de cette augmentation et personne n’ose en parler franchement, certainement pas l’IPCC qui refuse d’admettre l’évidence : le gaz carbonique n’a rien à voir avec les variations du climat terrestre. Voilà la gigantesque « imposture climatique » dans laquelle on est plongé. Et pourtant il existe une explication mais l’IPCC ne veut pas en entendre parler non plus. Toutes les études des glaces remontées par forage dans l’Antarctique et au Groenland ont montré sans ambiguïté que ce n’est pas le gaz carbonique qui a provoqué par le passé des épisodes de déglaciation mais que la cause de ces épisodes interglaciaires était une conséquence de la mécanique céleste conduisant à ces épisodes de climat optimal d’une périodicité d’environ 100000 ans. Ces études ont confirmé que cet échauffement généralisé du climat provoquait une augmentation de la teneur en gaz carbonique atmosphérique entre 1000 et 1500 années consécutives au début de ce réchauffement toujours brutal, parfois en seulement quelques centaines d’années. On ne peut que constater que l’IPCC a menti sur la durée de cette latence d’apparition du gaz carbonique après la fin d’un épisode glaciaire car plus près de notre temps présent il y eut ce qui est appelé l’optimum médiéval du climat qui dura presque 300 ans, entre l’an mil et l’an 1300 de l’ère commune. Depuis les années 1950, alors que l’augmentation de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère a été mesurée en continu et n’a cessé de croître, elle n’est due qu’au dégazage des océans qui a lieu aujourd’hui mais dont la cause est cet optimum médiéval du climat en raison de la robuste inertie thermique des océans. Nier ce fait contredirait les observations des glaciologues qui ont étudié avec d’infinies précautions les carottes de glace. Donc l’IPCC ment sur ce point : ce n’est pas l’activité humaine qui provoque cette augmentation du gaz carbonique. Étant parfaitement informé de cet état de fait l’IPCC a falsifié ses courbes d’évolution du climat en effaçant l’existence même de cet optimum médiéval !
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huemaurice515 mars 2024 à 09:18
Enfin le dernier mensonge et non des moindres est la dramatisation de l’effet putatif du gaz carbonique sur le déséquilibre du climat, sa perturbation, sa désorganisation, appelez cela comme vous voudrez. Le tableau tiré du dernier ouvrage de Patrice Poyet montre à quel point l’IPCC amplifie cet alarmisme et cette peur qu’il est chargé de répandre inlassablement dans toutes les couches de la société, urbi et orbi comme dirait le locataire du Vatican, alors qu’il n’en est rien :

La Chine, le plus important émetteur de gaz carbonique, n’aura contribué en 2050 (sans réduire ses émissions actuelles de ce gaz) qu’à une augmentation de la température de 0,03 °C et la France dont la majeure partie de la production d’énergie primaire est d’origine nucléaire et hydraulique ne contribuera qu’à hauteur de 0,00095 °C et pourtant il faut plonger tout le monde dans la misère pour réduire ces « émission de carbone ». Toutes les organisations supra-nationales impliquées dans cette thématique du changement du climat d’origine humaine sont donc des criminels, il ne faut pas avoir peur des mots !

https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/03/13/climat-limposture-criminelle-toujours-dactualite/
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huemaurice515 mars 2024 à 09:19
Eau – La rareté abondante

Par Peter Koenig
Recherche mondiale,
15 février 2024

Où est l’eau douce disponible ?
La plus grande quantité d’eau douce disponible est de loin l’Amérique du Sud.

La carte montre une multitude de rivières traversant l’Amazonie, transportant des milliards de mètres cubes d’eau douce, en grande partie inutilisés pour la consommation humaine, vers l’Atlantique. La plupart d'entre eux se trouvent au Brésil.

Environ 90 % des cours d’eau d’Amérique du Sud se jettent dans l’Atlantique. Cela laisse une bande relativement mince de l’ouest de l’Amérique du Sud, fortement peuplée, dans un état désertique ou semi-désertique (voir la carte ci-dessous).

- voir carte sur site -

Le Brésil, avec environ 8 200 km3 d'eau douce renouvelable par an, se classe au premier rang avec environ un huitième (1/8) des ressources mondiales totales d'eau douce renouvelables, estimées à 45 000 km3. Le bassin amazonien contient environ 73 % de toute l'eau douce du Brésil. L’eau douce renouvelable est l’ensemble de la recharge annuelle durable des eaux de surface et souterraines combinée (recharge par les précipitations et l’apport de l’extérieur).

Le deuxième pays le plus riche en eau est la Russie avec 4 500 km3/an, suivie du Canada, de l’Indonésie, de la Chine, de la Colombie, des États-Unis, du Pérou et de l’Inde – tous dotés de ressources en eau renouvelables comprises entre 2 000 km3 et 3 000 km3/an.

Par continent, les Amériques possèdent la plus grande part des ressources mondiales en eau douce, avec 45 %, suivies par l'Asie avec 28 %, l'Europe avec 15,5 % et l'Afrique avec 9 %.

Ce scénario met immédiatement en évidence la vulnérabilité de l'Afrique. L’Afrique est clairement le continent le plus vulnérable du point de vue des ressources en eau – de la survie. L'Afrique possède environ 60 % des ressources naturelles disponibles restantes et connues dans le monde ; ressources que l’Occident convoite et pour lesquelles il part en guerre.

L'Amérique du Sud abrite l'un des plus grands réservoirs souterrains d'eau douce renouvelable au monde, l'aquifère Guarani, qui couvre 1,2 million de kilomètres carrés (km2), ce qui équivaut à peu près à la taille du Texas et de la Californie réunis. Parmi les Guarani, 71 % se trouvent sous le Brésil, 19 % sous l'Argentine, 6 % sous le Paraguay et 4 % sous l'Uruguay. Un autre énorme réservoir d’eau souterraine se trouve sous l’Afrique du Nord – voir ci-dessous.

L'aquifère Guaraní a été découvert dans les années 1990. Il porte le nom des peuples autochtones qui habitent la région depuis des siècles. Le Guarani détient environ 46 000 km3 d’eau douce (à ne pas confondre avec l’eau douce renouvelable annuelle, dont le Brésil possède environ 8 300 km3 – voir ci-dessus).

On dit que les Guaraní pourraient approvisionner la population mondiale actuelle pendant les 200 prochaines années avec 100 litres par habitant et par jour.

Le taux d'extraction actuel du Guarani est d'un peu plus de 1 km3 par an, tandis que le taux de recharge potentiel se situe entre 45 km3 et 55 km3/an, ce qui signifie qu'il n'y a jusqu'à présent aucun risque de surexploitation. Cela pourrait cependant changer rapidement.

Le véritable risque pour l’abondant « lac » souterrain guarani est la privatisation.

Environ 35 millions de personnes habitent la région Guarani. Dans la partie brésilienne du Guaraní, environ 500 à 600 villes sont actuellement approvisionnées en eau guarani – combien de ces approvisionnements municipaux sont déjà privatisés ?
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huemaurice515 mars 2024 à 09:19
En Afrique du Nord, le Système Aquifère des Grès Nubiens (NSAS) couvre une superficie d’environ 2,2 millions de km2 s’étendant sur quatre pays d’Afrique du Nord (Soudan, Tchad, Égypte et Libye). C'est, avec l'aquifère Guarani, l'une des plus grandes réserves d'eau souterraine connues au monde. Il date de la période Quaternaire, il y a environ 2,5 millions d'années.

Le NSAS stocke environ 370 000 km3 d’eau douce. Cependant, seulement 10 à 20 % sont renouvelables et relativement facilement accessibles. Le reste est ce qu’on appelle de l’eau fossile ou non renouvelable.

Alors que les réserves d’eau douce semblent diminuer, la privatisation des entreprises progresse tranquillement. La privatisation d’une partie de l’aquifère Guarani constitue un risque réel.

Des sociétés transnationales, telles que Nestlé, Coca Cola, PepsiCo, Dow Chemicals, et d'autres sociétés transnationales ayant de forts intérêts dans l'eau, comme Veolia, Suez (française), Thames (Royaume-Uni), Bechtel (États-Unis), Petrobras et une myriade d'autres, se joignent à la Banque mondiale, la Banque interaméricaine de développement (BID), différentes agences des Nations Unies, ainsi que de nombreuses organisations d'aide bilatérale et ONG néolibérales. Ils poursuivent la privatisation des ressources en eau douce, sous prétexte de protéger les sources d’eau potable pour l’humanité.

Rien ne pourrait être aussi loin de la vérité. Alors que l’ONU prône l’accès à l’eau douce à tous les habitants de la planète, le nombre de personnes privées d’eau potable n’a pratiquement pas changé au cours des dernières décennies. Aujourd’hui, plus de 2 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à l’eau potable, ce qui les rend, notamment les enfants, très vulnérables aux maladies d’origine hydrique.

Il est grand temps que les gens se réveillent et créent, par exemple, des fiducies publiques pour préserver l’eau en tant que bien public au bénéfice de l’humanité. C’est une méthode pour les gens ordinaires de cultiver « l’eau » de la graine et de la laisser grandir dans la conscience collective de la société.

Ici, l’eau rejoint la paix – comme un projet humain incontournable. Nous, le peuple, devons conserver l’eau, la protéger de la pollution et la maintenir dans le domaine public – pour maintenir l’eau en tant que droit humain, renforçant ainsi la résolution des Nations Unies de 2010 et la transformant en réalité.

https://www.globalresearch.ca/water-abundant-scarcity/5849611
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huemaurice515 mars 2024 à 09:20
Pesticides : fonds d’indemnisation cherche victimes, désespérément

15 Mars 2024
Philippe Stoop, chez Marcel Kuntz sur Factuel*

Le blog de M. Marcel Kuntz a donné « Carte Blanche » à M. Philippe Stoop, Docteur en Agronomie, Directeur R&D de la société ITK, membre de l’Académie d’Agriculture de France.

Le CHU (Centre Hospitalier Universitaire) d’Amiens a créé fin 2023 une consultation « Pesticides et pathologies pédiatriques », la première de ce type en France. Son objectif est d’accueillir les « enfants atteints de leucémies, tumeurs cérébrales, hypospadias et/ou fentes labio-palatines [pour] reconnaitre l’exposition professionnelle d’un parent ou des deux parents aux pesticides […] Une demande d’indemnisation au Fonds d’Indemnisation des Victimes de Pesticides sera recommandée ou non selon la situation » [1]. Les attendus et les objectifs de cette consultation ont été détaillés dans un article récent du Monde [2].

Vu la façon dont la recherche sur les effets sanitaires des pesticides est habituellement présentée, cette démarche peut paraître salutaire. En fait, c’est une très étrange idée d’un point de vue scientifique, pour des raisons faciles à comprendre si on y réfléchit un peu. Commençons par l’exemple de l’hypospadias, une malformation congénitale du pénis, mise en avant par l’article du Monde, sur la foi d’un cas unique vu en consultation. Cette pathologie assez commune a deux facteurs de risque clairement identifiés :

Un facteur génétique (le risque est près de 4 fois plus élevé dans les familles où un cas a déjà été identifié).

Les fécondations in vitro (risque 5 fois plus élevé qu’une grossesse naturelle).

L’effet de perturbateurs endocrinien est également suspecté, ce qui peut inclure certains pesticides, mais aussi d’autres substances encore bien plus fréquentes dans l’environnement tels que les PCB ou les phytoœstrogènes d’origine végétale, contenus par exemple dans le lait de soja [3].

Beaucoup d’incertitudes subsistent donc sur les causes de cette malformation congénitale, et les pesticides ne semblent pas une piste prioritaire pour l’INSERM [4], dont les expertises collectives sur les pesticides et la santé font référence : le premier rapport de 2013 mentionnait bien l’hypospadias, mais soulignait que les résultats à son sujet étaient très contradictoires. Dans le rapport de 2021, cette malformation n’était même plus mentionnée.

Une consultation ciblée sur les seuls pesticides ne va pas aider à y voir plus clair, elle risque plutôt d’embrouiller davantage la situation. Étant destinée à obtenir une indemnisation, elle va créer un biais de recrutement difficile à quantifier (en mettant à jour, seulement chez les agriculteurs, des cas bénins qui, sinon, seraient restés inaperçus). Les agriculteurs étant très minoritaires dans la population générale, elle ne recueillera que peu de cas, sans doute trop peu nombreux pour donner des résultats statistiquement significatifs. La quantification de l’exposition des parents sera nécessairement rétrospective (on leur demandera a posteriori quels produits ils ont utilisé), ce qui entraîne un biais de rappel bien connu (à exposition égale, les parents d’enfants malades se rappelleront plus l’usage de produits suspectés que les parents d’enfants sains).
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huemaurice515 mars 2024 à 09:20
Le même problème se pose pour toutes les autres pathologies suivies par cette consultation. Même si pour les leucémies et les tumeurs au cerveau, l’INSERM considère bien qu’il y a « présomption forte » [4bis] de lien avec l’exposition parentale aux pesticides, bien d’autres facteurs de risque potentiels sont également soupçonnés : perturbateurs endocriniens divers, radiations ionisantes, voire proximité de lignes haute tension dans le cas des leucémies [5]. Là encore, en se focalisant sur une population sélectionnée sur un seul de ces facteurs de risque, le CHU d’Amiens va créer un biais de recrutement qui déséquilibrera les études destinées à quantifier et hiérarchiser objectivement les différentes causes environnementales de ces cancers (s’il y en a).

Mais il est vrai que l’objectif principal affiché par cette consultation n’est pas scientifique : comme l’a expliqué au Monde son créateur, le Dr Chamot, il s’agit de « faire valoir les droits des agriculteurs, qui sont d’abord des victimes, ainsi que leurs enfants », et leur permettre de monter un dossier pour le Fonds d’Indemnisation des Victimes de Pesticides (FIVP). Il a aussi précisé le motif déclencheur inattendu de cette consultation : il avait été surpris par le petit nombre de dossiers déposés à ce fonds, depuis sa création en 2020.

Le faible succès de ce fonds d’indemnisation n’a pourtant rien d’étonnant pour ceux qui ont suivi sa création, suite au classement du lymphome non hodgkinien (LNH, un cancer des cellules sanguines) comme maladie professionnelle causée par l’exposition aux pesticides [5bis]. Une mission interministérielle avait été constituée en 2017 pour estimer le nombre de victimes que le FIVP devrait indemniser, et avait vite buté sur un problème inattendu : la cohorte Agrican [6] de l’INSERM, qui aurait normalement dû permettre ce calcul, montrait en fait que c’est seulement chez les agriculteurs non-utilisateurs de pesticides qu’il y avait un excès de LNH ! Au final, ce n’est donc pas l’INSERM qui fit ce calcul injustifiable scientifiquement, mais les membres de la Mission interministérielle, en suivant une méthode qui avait été expressément déconseillée par l’INSERM, et en incluant les cas des agriculteurs non-utilisateurs de pesticides [7] !

On arrivait ainsi à une estimation de l’ordre de 1000 cas indemnisables par an, pour des montants annuels entre 28 et 93 millions d’euros. Que le contribuable se rassure, cette générosité n’était que de façade. L’indemnisation est accessible dans un délai maximum de 10 ans après l’exposition [8], et porte sur une liste de pesticides (insecticides organo-phosphorés, atrazine)… qui avaient tous été interdits au plus tard en 2008. Lors de la création du fonds en 2020, il était donc déjà trop tard pour bénéficier d’une indemnisation après usage de ces produits ! Certes, cette liste n’est qu’indicative, et n’exclut donc pas l’indemnisation pour d’autres produits, mais dans un flou juridique et scientifique total.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:21
Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que les demandes d’agriculteurs n’aient pas afflué au FIVP. Il est d’ailleurs probable que peu d’entre eux aient adhéré au principe même de la démarche, qui prétend faire valoir leur statut de victime, mais légitime aussi l’idée qu’ils empoisonneraient notre alimentation. Le FIVP s’est donc surtout fait connaitre pour sa 2e mission : faire reconnaitre le préjudice des enfants victimes de pathologies causées par l’exposition de leurs parents aux pesticides. Là encore, on se frotte les yeux en lisant la définition de ses critères de décision : « La pathologie de l’enfant inscrite ou non [c’est nous qui soulignons] sur la liste reconnue par des experts médicaux. À ce jour 5 pathologies sont identifiées comme pouvant être en lien avec les pesticides : la leucémie, la tumeur cérébrale, la fente labio-palatine, l’hypospadias, les troubles du neuro-développement [9] ».

Cela pose d’abord la question de savoir qui sont ces fameux experts, puisque nous avons vu que l’expertise collective de l’INSERM n’avait pas retenu de présomption sérieuse pour l’hypospadias ni la fente labio-palatine. S’agit-il simplement des experts du FIVP ? Cela pourrait expliquer l’ajout de l’hypospadias à la liste des pathologies indemnisables par le Fonds : l’une de ces expertes fait partie des chercheurs dont les travaux penchaient en faveur d’un lien avec les pesticides, dans l’expertise collective de 2013. La résurgence de ce sujet, pourtant écarté par l’expertise collective de 2021, est donc compréhensible, mais dans ce cas il faudrait s’assurer que les données nouvelles acquises sur cette malformation le soient selon une méthodologie rigoureuse, ce qui sera difficile pour les raisons vues en introduction. Il serait également temps, pour des raisons de transparence et de cohérence évidentes, que l’INSERM explique pourquoi ce sujet de l’hypospadias avait disparu de son rapport 2021.

Mais ces questions scientifiques n’ont pas tant d’importance, puisque de toute façon le FIVP écrit lui-même qu’il peut retenir une pathologie dont le lien avec les pesticides n’est validé par aucun expert ! Il ne s’agit pas d’une vantardise théorique. Il l’a prouvé récemment avec une décision très médiatisée : l’indemnisation accordée au jeune Théo Grataloup, atteint d’une atrésie œsophagienne que ses parents attribuaient à l’utilisation de glyphosate par sa mère pendant sa grossesse. Cette décision avait stupéfié les spécialistes de cette malformation, qui n’avaient jamais parlé de lien possible avec les pesticides, mais les motivations du FIVP n’avaient pas été publiées. Il a fallu le travail d’investigation de Géraldine Woessner, au Point, pour découvrir que son avis parlait simplement de « possibilité de lien de causalité entre la pathologie de l’enfant et l’exposition aux pesticides » [10]. Bien entendu, cette décision avait été presque unanimement présentée dans la presse comme la démonstration d’un lien entre glyphosate et malformation congénitale, interprétation mensongère que le FIVP n’a jamais jugé utile de démentir.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:21
La démarche du CHU d’Amiens serait parfaitement judicieuse et claire si le FIVP n’indemnisait que des pathologies dont le lien avec les pesticides a été clairement reconnu par l’INSERM, mais ce n’est pas le cas. Créé au départ pour indemniser les pathologies ayant une « présomption forte » de lien avec les pesticides, selon le jugement de l’INSERM, le FIVP n’a eu de cesse d’élargir la gamme de pathologies qu’il peut indemniser, au point de se passer maintenant de toute expertise externe, au point de relancer avec l’hypospadias un sujet qui avait été clos par l’Institut. Avec de tels critères de décision, il est clair qu’il pourra enfin employer les fonds accumulés en vain, et que la consultation du CHU d’Amiens lui fournira après coup des arguments sur la « possibilité de lien de causalité ». Reste à savoir si l’INSERM arrivera ensuite à transformer ces « possibilités » en « présomptions fortes », avec des méthodes statistiques acceptables dans une revue scientifique. Sinon le fossé va encore s’élargir entre les faits reconnus scientifiquement sur l’impact sanitaire des pesticides, et leur traitement politique porté par le FIVP.
______________

[1] Une consultation pesticides et pathologies pédiatriques est créée au CHU Amiens-Picardie, une première en France - CHU Amiens-Picardie (chu-amiens.fr)

[2] Le CHU d’Amiens met en place la première consultation « pesticides et pathologies pédiatriques » (lemonde.fr)

[3] PAPAREL 741.pdf (urofrance.org)

[4] Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale

[4bis] [Ma note (AH)] : L'INSERM définit la « présomption forte » comme suit :

« (++) la présomption du lien est forte s’il existe une méta-analyse de bonne qualité qui montre une association statistiquement significative, ou plusieurs études de bonne qualité et d’équipes différentes qui montrent des associations statistiquement significatives ».

Le travail de l'INSERM, aussi considérable soit-il, a consisté en une recherche bibliographique suivie de l'évaluation de la « qualité » des articles scientifiques pris en compte.

[5] Leucémies de l'enfant : les facteurs de risque | Fondation ARC pour la recherche sur le cancer (fondation-arc.org) ; Les tumeurs cérébrales (e-cancer.fr)

[5bis] Ma note : Selon le tableau, « Le terme "pesticides" se rapporte aux produits à usages agricoles et aux produits destinés à l'entretien des espaces verts (produits phytosanitaires ou produits phytopharmaceutiques) ainsi qu'aux biocides et aux antiparasitaires vétérinaires, qu'ils soient autorisés ou non au moment de la demande. »

[6] Population d’agriculteurs suivie pour mesurer la fréquence des maladies qui les frappent

[7] Pour ceux qui voudraient vérifier les détails de cette histoire ubuesque, voir le rapport de la Mission Interministérielle : http://agriculture.gouv.fr/telecharger/89861?token=32f9951a0796a25966ff306e1d88e7ea, pages 40 à 42, et son décryptage : Combien de victimes des pesticides ? Quand l’INSERM se déclare incompétent… | ForumPhyto

[8] https://www.inrs.fr/dms/tabmalpro/TableauTabMalPro/RA-59-1/TMP_RA%2059.pdf

[9] Indemnisation - Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides (fonds-indemnisation-pesticides.fr)

[10] Exposition prénatale au glyphosate : l’avis mal compris du Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides (lepoint.fr)

https://seppi.over-blog.com/2024/03/pesticides-fonds-d-indemnisation-cherche-victimes-desesperement.html
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huemaurice515 mars 2024 à 09:22
Bayer gagne le dernier procès dans l'affaire du désherbant Roundup en Pennsylvanie

9 Mars 2024
AGDAILY Reporters*

Ma note : Le sujet a totalement disparu des médias français... Les péripéties judiciaires d'outre-Atlantique – lire : les défaites de Bayer/Monsanto – ne servent plus à alimenter un lobbyisme anti-glyphosate. Et Bayer/Monsanto ne perd pas tout le temps... c'est agaçant...

Bayer Ag a obtenu une victoire juridique à Philadelphie mardi [5 mars 2024] concernant son désherbant Roundup, tandis que des plaignants en Californie se sont désistés dans une autre affaire.

Confrontée à de nombreuses actions en justice alléguant que le Roundup est à l'origine de cancers, la société Bayer maintient que son produit est sûr, en dépit de ces allégations. Les récentes victoires en Arkansas et au Delaware s'ajoutent à d'autres succès de l'entreprise dans les procès, Bayer l'emportant dans trois affaires consécutives et dans 13 des 19 derniers procès.

La victoire à Philadelphie marque une étape importante pour Bayer, en particulier à la suite de décisions récentes sur les preuves admissibles dans le cadre du litige sur le Roundup. La société a également annoncé l'issue favorable d'un procès en Pennsylvanie, dans lequel un employé des services postaux à la retraite affirmait que le Roundup était à l'origine de son lymphome non hodgkinien.

Par ailleurs, selon Reuters, un agriculteur californien et sa femme ont volontairement renoncé à leur action en justice selon laquelle le Roundup était à l'origine d'un cancer, ce qui renforce encore la position de Bayer. Malgré les litiges en cours, Bayer continue de défendre fermement la sécurité du Roundup et de ses produits.

« Nous continuons à affirmer la sécurité du Roundup et nous défendrons avec confiance la sécurité de nos produits et nos actions de bonne foi dans tout litige futur », a déclaré Bayer dans un communiqué.

Les représentants juridiques des plaignants dans les deux affaires ont exprimé des points de vue différents. Alors que l'avocat du plaignant de Pennsylvanie a cité des preuves exclues [non admissibles], notamment un rapport de l'Organisation Mondiale de la Santé sur le glyphosate, l'avocat du plaignant californien n'a pas immédiatement commenté sa décision de se retirer de l'affaire.

Le glyphosate, qui existe depuis les années 1970, est l'ingrédient actif du Roundup et d'autres produits, tels que le Ranger Pro, et il est souvent pris pour cible par les militants qui s'élèvent contre les pratiques agricoles modernes. Les avocats de Bayer soutiennent depuis longtemps que de nombreuses études ont montré que le Roundup est sans danger et que l'Agence Américaine de Protection de l'Environnement a conclu que le glyphosate n'est pas cancérigène.

Indépendamment, la quasi-totalité des organismes scientifiques et des recherches associées ont affirmé la sécurité du glyphosate.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:22
Les récents succès juridiques de Bayer font suite à de précédentes victoires en première instance, bien que l'entreprise doive faire appel et que les dommages-intérêts punitifs risquent d'être réduits. Plus de 165.000 plaintes concernant le Roundup ont été déposées contre Bayer aux États-Unis, et environ 54.000 sont encore en instance.

Le PDG de Bayer, Bill Anderson, a mis l'accent sur les efforts déployés pour résoudre le litige, en explorant des options autres que celles du prétoire. L'année dernière, l'entreprise a cessé de vendre des produits à base de glyphosate à usage domestique, mais continue de proposer d'autres formulations de Roundup.

Les actions de Bayer ont légèrement augmenté à la suite de cette nouvelle. Cependant, les actions de la société ont connu une baisse significative au cours de l'année écoulée, en grande partie attribuée à des problèmes juridiques découlant de son acquisition du fabricant de Roundup, Monsanto, en 2018.

Malgré les victoires juridiques, Bayer serait aux prises avec une baisse des bénéfices et avec des incertitudes juridiques, ce qui l'a incité à réaffirmer sa structure d'entreprise actuelle tout en s'attaquant aux défis juridiques.

Les procès concernant le glyphosate et la santé humaine trouvent généralement leur origine dans la classification du glyphosate comme cancérogène « probable » par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) en 2015. Lorsque le CIRC a pris cette décision, elle a été immédiatement controversée, et cette controverse n'a cessé de croître au cours des années qui ont suivi, notamment en raison de la modification douteuse des versions préliminaires du rapport original avant qu'elles ne soient rendues publiques.
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* Source : Bayer wins latest trial in Pennsylvania Roundup weedkiller suit | AGDAILY

https://seppi.over-blog.com/2024/03/bayer-gagne-le-dernier-proces-dans-l-affaire-du-desherbant-roundup-en-pennsylvanie.html
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huemaurice515 mars 2024 à 09:23
Ne pas politiser l'étiquetage

15 Mars 2024
Jenny Holtermann, Réseau Mondial d'Agriculteurs*

De nos jours, nous apposons des étiquettes, des avertissements et des clauses de non-responsabilité sur tout, et plus nous le faisons, moins nous semblons y prêter attention.

Quand avez-vous lu pour la dernière fois la longue notice légale qui vous demandait votre accord avant de mettre à jour le système d'exploitation de votre téléphone ? Avez-vous déjà plaisanté sur le fait que la police des matelas vous aurait arrêté parce que vous aviez enlevé une étiquette, soi-disant « sous peine de poursuites judiciaires » ? (Attention : les acheteurs peuvent retirer les étiquettes des matelas.) Et ne me parlez pas de l'abus inconsidéré des étiquettes « sans OGM », surtout lorsqu'elles concernent le sel, un minéral qui ne peut être ni OGM ni non-OGM puisqu'il n'a même pas de gènes.

Chacun de ces exemples doit son existence à des avocats anxieux, à des régulateurs indiscrets ou à des spécialistes du marketing trompeurs.

Ce qu'ils prennent rarement en compte, ce sont les besoins fondamentaux des consommateurs ordinaires en matière d'informations précises et utiles.

C'est pourquoi je suis très encouragée par une nouvelle décision d'une cour fédérale qui empêche mon État d'origine, la Californie, d'imposer un étiquetage erroné et inapproprié sur un produit agricole populaire.

Le mois dernier, la cour d'appel du neuvième circuit a déclaré inconstitutionnel le fait que le gouvernement californien exige l'apposition d'étiquettes de mise en garde contre le cancer sur le glyphosate, un outil de protection des cultures qui aide les agriculteurs et les jardiniers à lutter contre les mauvaises herbes. [Ma note : l'étiquetage standard dirait : « Ce produit est connu de l'État de Californie comme causant le cancer ».]

Le glyphosate est l'un des herbicides les plus anciens, les plus populaires et les plus efficaces au monde. Les agences de réglementation du monde entier l'ont jugé sans danger. Il s'agit de l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis, de l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments et de l'Agence Européenne des Produits Chimiques, ainsi que de la Commission de Sécurité des Aliments du Japon et des agences du Canada, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande.

C'est la définition même d'un consensus scientifique : un résultat considéré comme vrai et confirmé à plusieurs reprises par des équipes internationales de chercheurs.

Alors pourquoi un seul État comme la Californie chercherait-il à exiger une étiquette d'avertissement qui n'est en fait qu'une fausse alerte ? La réponse est simple : les étiquettes sont devenues politiques. Nombre d'entre elles ne portent plus sur ce que les gens doivent savoir, mais plutôt sur ce que des groupes d'intérêt cherchent à imposer – en l'occurrence, des militants écologistes qui veulent augmenter les coûts et les incertitudes des agriculteurs et des consommateurs.
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huemaurice515 mars 2024 à 09:23
Les juges fédéraux ont annulé la réglementation californienne parce que les fonctionnaires ont choisi de faire de la politique au lieu de s'appuyer sur des données scientifiques fiables.

Nous avons besoin de bonnes étiquettes, bien sûr, et surtout lorsqu'il s'agit de notre alimentation. L'étiquette « Nutrition Facts » exigée par la Food and Drug Administration est logique. Elle fournit des données sur les calories, les ingrédients et les portions sous une forme que les gens peuvent comprendre lorsqu'ils décident de ce qu'ils achètent et de ce qu'ils mangent.

Nous avons également besoin d'étiquettes d'avertissement appropriées. La FDA exige des étiquettes sur les produits sûrs que l'on trouve dans toutes les cuisines, comme l'eau de Javel. Gardez-le hors de portée des enfants !

Les produits phytosanitaires tels que le glyphosate doivent être étiquetés de manière à fournir des instructions d'utilisation. Elles fournissent des informations utiles sur le port d'équipements tels que des chemises à manches longues pendant l'application, le lavage soigneux des mains après l'application et la manière de se débarrasser des récipients vides.

Dans mon exploitation d'amandiers en Californie, nous utilisons des produits phytosanitaires sûrs pour protéger nos arbres et nos amandes des ravageurs et des maladies. Nous étudions et passons les tests requis pour obtenir les certificats et les licences qui indiquent que nous sommes prêts à utiliser ces outils importants en toute sécurité. Nous nous inscrivons également à des cours de formation continue pour nous assurer que nous sommes au fait des meilleures pratiques.

Toute cette préparation est importante pour nous, car nous travaillons ensemble pour produire les aliments sains et nutritifs que nos clients attendent, en plaçant toujours la sécurité au premier plan. Nous le faisons aussi parce que c'est bon pour les amandiers, en les gardant en bonne santé pendant leur vie productive, qui peut durer jusqu'à 30 ans. Mais surtout, nous le faisons pour notre famille : Mes enfants vivent et jouent dans nos champs, et nous ne les mettrions jamais en danger.

Cependant, lorsque les fonctionnaires font de la politique avec les étiquettes, ils mettent tout le monde en danger parce qu'ils encouragent les gens à ne pas prendre leurs paroles et leurs avertissements avec le sérieux que méritent des étiquettes appropriées.

Les juges fédéraux ont perçu la menace et ont judicieusement porté un coup à la prolifération des étiquettes inutiles.

Leur sagesse rappelle une célèbre réplique du film « Les Incroyables ». Confronté à la platitude selon laquelle « tout le monde est spécial », un enfant répond : « Ce qui est une autre façon de dire que personne ne l'est. »

En d'autres termes, lorsque tout porte une étiquette, rien n'en porte plus, et le moyen le plus sûr d'amener les consommateurs à ne plus prêter attention aux étiquettes est de les submerger d'étiquettes pleines d'informations confuses, inutiles et trompeuses.

https://seppi.over-blog.com/2024/03/ne-pas-politiser-l-etiquetage.html
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huemaurice515 mars 2024 à 10:39
Vattenfall met fin à la production d’hydrogène avec l’éolien offshore – perception déformée dans les médias d’entreprise

15 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer

Les grandes entreprises et le capital financier abandonnent le navire en perdition de la « transition énergétique ». Alors qu'il a été massivement promu dans les newsletters du patron de BlackRock, Larry Fink, en 2020, il n'est désormais poussé qu'vers les consommateurs, les petites entreprises, les agriculteurs et les pays africains comme la Namibie . Les grandes entreprises ont reçu des subventions de l'argent des contribuables et se tournent désormais vers d'autres projets plus rentables.

L’hydrogène a longtemps été présenté comme une énergie « verte » et un carburant idéal. Même le chancelier autrichien à court terme Sebastain Kurz l'a colporté pendant un certain temps. En association avec l’éolien, elle apparaît en premier lieu comme la source d’énergie idéale « neutre pour le climat ».

Le fournisseur d'énergie suédois Vattenfall met désormais un terme à un projet visant à explorer les possibilités de production d'hydrogène dans les parcs éoliens offshore et le transport terrestre - moins de deux ans après son lancement.

Le projet HT1 a été conçu autour du centre européen de développement éolien offshore de Vattenfall, au large d'Aberdeen, en Écosse, et a été en partie financé par le ministère britannique de la Sécurité énergétique et de Net Zero dans le cadre du programme de financement Low Carbon Hydrogen Supply 2.

"Après avoir testé la phase de développement d'une production décentralisée d'hydrogène offshore et compte tenu des autres avancées du secteur, Vattenfall a maintenant pris la décision de mettre fin au projet", a déclaré jeudi Vattenfall, ajoutant que la société continuerait à produire de l'hydrogène sans combustibles fossiles. enquêter.

Oilprice.com rapporte sous le titre « Vattenfall abandonne son projet de production d'hydrogène à partir de l'énergie éolienne offshore » :

Comme le rapportent ces confrères, certains médias présentent le sujet différemment. Pour Current , le projet semble être un succès et titre « Vattenfall achève le « premier » développement au monde de production d’hydrogène offshore » :

En fait, l’ensemble de l’industrie éolienne est en crise. De grandes entreprises comme Siemens subissent de lourdes pertes dans leur division éolienne. Les impacts écologiques et climatologiques négatifs des parcs éoliens ne peuvent pas encore être estimés.

L'hydrogène – H2 – est la plus petite molécule existante et est donc extrêmement volatile. Lorsqu'il est mélangé à l'air, de l'oxyhydrogène explosif est créé, les exigences de sécurité sont donc bien plus élevées que pour toute autre forme d'énergie. Le transport et le stockage sont compliqués, énergivores et coûteux.

https://tkp.at/2024/03/15/vattenfall-beendet-wasserstoff-produktion-mit-offshore-wind-verzerrte-wahrnehmung-in-konzernmedien/
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huemaurice515 mars 2024 à 10:39
Séparer l’information de la désinformation : les menaces de la révolution de l’IA

PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 15 MARS 2024 - 11H30
Rédigé par Per Bylund via The Mises Institute,

L’intelligence artificielle (IA) ne peut pas distinguer les faits de la fiction. Il n’est pas non plus créatif ou peut créer du contenu nouveau mais répète, reconditionne et reformule ce qui a déjà été dit (mais peut-être de nouvelles manières).

Je suis sûr que quelqu’un ne sera pas d’accord avec cette dernière solution, soulignant peut-être le fait que l’IA peut clairement générer, par exemple, de nouvelles chansons et paroles. Je suis d’accord avec cela, mais cela passe à côté de l’essentiel. L'IA produit une « nouvelle » parole de chanson uniquement en s'appuyant sur les données des paroles de chansons précédentes, puis utilise ces informations (les motifs découverts par induction) pour générer ce qui nous semble être une nouvelle chanson (et pourrait très bien en être une) . Cependant, il n’y a aucun talent artistique, aucune créativité. Ce n’est qu’une refonte structurelle de ce qui existe.

Bien sûr, nous pouvons débattre de la mesure dans laquelle les humains peuvent avoir des pensées véritablement nouvelles et si l’apprentissage humain peut être basé uniquement ou principalement sur le mimétisme. Cependant, même si nous convenions – pour les besoins de l’argumentation – que tout ce que nous savons et faisons est une simple reproduction, les humains ont une capacité limitée à se souvenir exactement et commettront des erreurs. Nous comblons également les lacunes avec ce qui a du sens subjectivement (et non objectivement) pour nous (test de Rorschach, ça vous dit ?). Même dans ce scénario très limité, avec lequel je ne suis pas d’accord, les humains génèrent de la nouveauté au-delà de ce que l’IA est capable de faire.

L’incapacité à distinguer les faits de la fiction et le lien inductif avec des modèles de données existants sont des problèmes qui peuvent être atténués par programmation, mais qui sont ouverts à la manipulation.

Manipulation et propagande

Lorsque Google a lancé son Gemini AI en février, il est immédiatement devenu clair que l’IA avait un agenda éveillé. Entre autres choses, l’IA a poussé les idéaux de diversité éveillés dans toutes les réponses imaginables et, entre autres choses, a refusé de montrer des images de personnes blanches (y compris lorsqu’on lui a demandé de produire des images des pères fondateurs).
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huemaurice515 mars 2024 à 10:40
Le gourou de la technologie et investisseur de la Silicon Valley, Marc Andreessen, l'a résumé sur X (anciennement Twitter) : « Je sais que c'est difficile à croire, mais Big Tech AI génère le résultat qu'elle produit parce qu'elle exécute précisément le programme idéologique, radical et biaisé spécifique de ses créateurs. . Le résultat apparemment bizarre est 100 % prévu. Cela fonctionne comme prévu.

Il y a en effet une conception de ces IA au-delà des moteurs de catégorisation et de génération de base. Les réponses ne sont pas parfaitement inductives ou génératives. Cela est en partie nécessaire pour rendre l’IA utile : des filtres et des règles sont appliqués pour garantir que les réponses générées par l’IA sont appropriées, correspondent aux attentes des utilisateurs et sont exactes et respectueuses. Compte tenu de la situation juridique, les créateurs d’IA doivent également s’assurer que l’IA ne viole pas, par exemple, les lois sur la propriété intellectuelle ou ne se livre pas à des discours de haine. L’IA est également conçue (dirigée) de manière à ne pas se détraquer ou offenser ses utilisateurs (vous vous souvenez de Tay ?).

Cependant, comme de tels filtres sont appliqués et que le « comportement » de l’IA est déjà orienté, il est facile d’aller un peu plus loin. Après tout, quand une réponse est-elle trop offensante ou offensante mais dans les limites du discours autorisé ? C'est une ligne fine et difficile qui doit être spécifiée par programme.

Cela ouvre également la possibilité d’orienter les réponses générées au-delà de la simple assurance qualité. Avec des filtres déjà en place, il est facile de faire en sorte que l'IA fasse des déclarations d'un type spécifique ou qui poussent l'utilisateur dans une certaine direction (en termes de faits sélectionnés, d'interprétations et de visions du monde). Il peut également être utilisé pour donner un programme à l’IA, comme le suggère Andreessen, par exemple en la réveillant sans relâche.

Ainsi, l’IA peut être utilisée comme un outil de propagande efficace, ce que reconnaissent tant les entreprises qui les créent que les gouvernements et les agences qui les réglementent.

Désinformation et erreur

Les États ont longtemps refusé d’admettre qu’ils profitent de la propagande et l’utilisent pour diriger et contrôler leurs sujets. Cela s’explique en partie par le fait qu’ils souhaitent conserver un semblant de légitimité en tant que gouvernements démocratiques qui gouvernent sur la base (plutôt que de façonner) les opinions du peuple. La propagande sonne mal ; c’est un moyen de contrôle.
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huemaurice515 mars 2024 à 10:40
Cependant, les ennemis de l’État – tant nationaux qu’étrangers – comprennent le pouvoir de la propagande et n’hésitent pas à l’utiliser pour semer le chaos dans notre société démocratique par ailleurs intacte. Le gouvernement doit nous sauver d’une telle manipulation, affirment-ils. Bien sûr, cela s’arrête rarement à la simple défense. Nous l’avons clairement vu lors de la pandémie de Covid, au cours de laquelle le gouvernement, en collaboration avec les sociétés de médias sociaux, a en fait interdit d’exprimer des opinions qui n’étaient pas la ligne officielle (voir Murthy c. Missouri).

L’IA est tout aussi facile à manipuler à des fins de propagande que les algorithmes des réseaux sociaux, mais avec l’avantage supplémentaire qu’il ne s’agit pas uniquement des opinions des gens et que les utilisateurs ont tendance à croire que ce que rapporte l’IA est vrai. Comme nous l’avons vu dans l’article précédent sur la révolution de l’IA, ce n’est pas une hypothèse valable, mais c’est néanmoins une opinion largement répandue.

Si l’on peut alors demander à l’IA de ne pas commenter certaines choses que les créateurs (ou les régulateurs) ne veulent pas que les gens voient ou apprennent, alors il s’agit effectivement d’une « mémoire trouée ». Ce type d'informations « indésirables » ne se diffusera pas car les gens n'y seront pas exposés – comme par exemple montrer uniquement diverses représentations des pères fondateurs (comme les Gémeaux de Google) ou présenter, par exemple, uniquement des vérités macroéconomiques keynésiennes pour les faire apparaître comme telles. il n’y a pas d’autre perspective. Les gens ne savent pas ce qu’ils ne savent pas.

Bien entendu, rien ne veut dire que ce qui est présenté à l’utilisateur est vrai. En fait, l’IA elle-même ne peut pas distinguer les faits de la vérité, mais génère uniquement des réponses selon la direction et uniquement sur la base de ce qui a été alimenté par l’IA. Cela laisse beaucoup de place à la déformation de la vérité et peut amener le monde à croire carrément à des mensonges. L’IA peut donc facilement être utilisée pour imposer un contrôle, que ce soit sur un État, sur les sujets qu’il gouverne ou même sur une puissance étrangère.

La vraie menace de l’IA

Quelle est alors la véritable menace de l’IA ? Comme nous l’avons vu dans le premier article, les grands modèles de langage n’évolueront pas (ne pourront pas) évoluer vers une intelligence artificielle générale, car il n’y a rien sur le criblage inductif de grandes quantités d’informations (humainement) créées qui donneront naissance à la conscience. Pour être franc, nous n’avons même pas compris ce qu’est la conscience, donc penser que nous allons la créer (ou qu’elle émergera d’une manière ou d’une autre d’algorithmes découvrant des corrélations statistiques entre les langages dans les textes existants) est assez hyperbolique. L’intelligence artificielle générale est encore hypothétique.
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huemaurice515 mars 2024 à 10:41
Comme nous l’avons vu dans le deuxième article, l’IA ne représente également aucune menace économique. Cela ne rendra pas les humains économiquement superflus ni ne provoquera un chômage de masse. L’IA est un capital productif, qui a donc de la valeur dans la mesure où elle sert les consommateurs en contribuant à la satisfaction de leurs désirs. Une IA mal utilisée a autant de valeur qu’une usine mal utilisée : elle aura tendance à perdre sa valeur de rebut. Cela ne signifie pas pour autant que l’IA n’aura aucun impact sur l’économie. Ce sera le cas, et c’est déjà le cas, mais ce ne sera pas aussi important à court terme que certains le craignent, et il sera probablement plus important à long terme que prévu.

Non, la véritable menace réside dans l’impact de l’IA sur l’information. Cela s’explique en partie par le fait que l’induction est une source de connaissances inappropriée : la vérité et les faits ne sont pas une question de fréquence ou de probabilités statistiques. Les preuves et les théories de Nicolas Copernic et de Galileo Galilei seraient éliminées comme improbables (fausses) par une IA formée sur tous les (meilleurs et plus brillants) écrits sur le géocentrisme de l’époque. Il n’y a pas de progrès ni d’apprentissage de nouvelles vérités si nous nous fions uniquement aux théories historiques et aux présentations de faits.

Cependant, ce problème peut probablement être surmonté par une programmation intelligente (c’est-à-dire en mettant en œuvre des règles – et des limitations fondées sur des faits – pour le problème d’induction), au moins dans une certaine mesure. Le plus grand problème est la corruption de ce que présente l’IA : la désinformation, la désinformation et la malinformation que ses créateurs et administrateurs, ainsi que les gouvernements et les groupes de pression, lui ordonnent de créer comme moyen de contrôler ou d’orienter l’opinion publique ou les connaissances.

C’est le véritable danger que souligne la désormais célèbre lettre ouverte, signée par Elon Musk, Steve Wozniak et d’autres :

« Devrions-nous laisser les machines inonder nos canaux d’information de propagande et de mensonges ? Devons-nous automatiser toutes les tâches, y compris les plus enrichissantes ? Devrions-nous développer des esprits non humains qui pourraient éventuellement être plus nombreux, plus intelligents, obsolètes et nous remplacer ? Devons-nous risquer de perdre le contrôle de notre civilisation ?

Outre la référence économiquement analphabète à « l’automatisation de tous les emplois », l’avertissement est bien compris. L’IA ne commencera pas à nous haïr et à tenter d’exterminer l’humanité à la manière de Terminator. Cela ne fera pas de nous tous des batteries biologiques, comme dans Matrix. Cependant, surtout lorsqu’elle est corrompue, elle nous désinformera et nous induira en erreur, créera le chaos et rendra potentiellement nos vies « solitaires, pauvres, méchantes, brutales et courtes ».

https://www.zerohedge.com/technology/separating-information-disinformation-threats-ai-revolution
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huemaurice515 mars 2024 à 10:42
Oh Canada : le Parlement décide d'imposer une peine d'emprisonnement à vie pour les délits d'expression

PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 15 MARS 2024 - 16H50
Écrit par Jonathan Turley,

Nous avons déjà évoqué les attaques incessantes du Premier ministre canadien Justin Trudeau et de ses alliés contre la liberté d’expression. Il y a eu une criminalisation constante du discours, y compris même des blagues et du discours religieux, au Canada. Aujourd'hui, le Parlement canadien s'oriente vers un nouveau changement qui permettrait d'imposer l'emprisonnement à vie à ceux qui affichent des opinions jugées favorables au génocide. Avec un mouvement croissant qualifiant la guerre menée par Israël à Gaza de « génocide », la portée potentielle d’une telle loi apparaît clairement. Cela semble être son principal attrait pour les défenseurs de la liberté d’expression dans le pays.

La Loi sur les préjudices en ligne, ou projet de loi C-63, augmente les peines potentielles de cinq ans à l'emprisonnement à perpétuité. Il augmente également la peine pour incitation délibérée à la haine (un crime dangereusement mal défini) de deux à cinq ans. Les changements proposés constituent un doublement de l’engagement du Canada à réduire la liberté d’expression des citoyens malgré les critiques de nombreux membres de la communauté des libertés civiles.

Il existe également une option effrayante, l’assignation à résidence, si un juge estime qu’un accusé « va commettre » une infraction. En d’autres termes, si un juge pense qu’un citoyen ne se laissera pas décourager et tentera à nouveau de s’exprimer librement.

Le ministre de la Justice, Arif Virani, a eu recours à la même hystérie pour convaincre les citoyens de céder leurs libertés au gouvernement. Il a exprimé à quel point il était terrifié par le potentiel de la liberté d’expression, déclarant qu’il était « terrifié par les dangers qui se cachent sur Internet pour nos enfants ».

Il est peu probable que cela s’arrête là.

Aujourd’hui, la justification est le génocide. Cependant, une fois que les nouvelles sanctions seront en place, une foule d’autres groupes exigeront un traitement similaire pour ceux qui ont des points de vue opposés sur leur propre cause.

Cette loi a déjà alourdi les sanctions pour tout discours jugé haineux.

Cette loi intervient après que le Canada a empêché une dissidente russe de devenir citoyenne en raison de sa violation des lois russes anti-liberté d'expression.
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huemaurice515 mars 2024 à 10:42
Dans un acte révélateur, le gouvernement a déclaré que le même comportement (c'est-à-dire la liberté d'expression) pourrait constituer un crime au Canada.

En fait, il pourrait désormais être puni encore plus sévèrement.

https://www.zerohedge.com/political/oh-canada-parliament-moves-impose-potential-life-imprisonment-speech-crimes
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huemaurice515 mars 2024 à 10:43
Vous envisagez de déménager ? Ces cinq États viennent d’enregistrer les plus fortes hausses des stocks de logements

PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 15 MARS 2024 - 12H45

Vous ne trouvez pas de maison à acheter ? Le problème sous-jacent reste la pénurie persistante de logements et les taux hypothécaires élevés qui ont paralysé le marché immobilier à l’échelle nationale.

Cependant, n'ayez crainte à l'approche de la saison immobilière du printemps. De nouvelles données sur le logement du chercheur industriel ResiClub révèlent des poches de marchés immobiliers avec des stocks croissants (c'est-à-dire des inscriptions actives), ce qui signifie une croissance plus faible des prix des logements et, par conséquent, une meilleure abordabilité pour les acheteurs.

La semaine dernière, ResiClub a rapporté que le nombre de maisons actives à vendre aux États-Unis en février 2024 (664 716) était en hausse de +15 % sur un an par rapport à février 2023 (579 264). Cependant, le stock actif à vendre est toujours inférieur de 40 % à ses niveaux d’avant Covid de 1 102 660.

La bonne nouvelle est qu'au niveau régional, si l'on considère l'évolution des stocks sur 12 mois, ce sont les cinq États avec les plus grandes réserves arrivant sur le marché en février :

Floride : +45,8%

Mississippi : +28,0%

Louisiane : +28,0%

Alabama : +27,0 %

Arkansas : +23,2%

Si vous êtes acheteur d’une maison, évitez ces cinq États, car les stocks restent extrêmement serrés.

Nevada : -32,0%

Illinois : -9,8%

New Jersey : -9,1 %

Idaho : -9,0%

Rhode Island : -7,8%

Voici une variation des stocks du pays sur 12 mois entre février 2023 et février 2024.

- voir carte sur site -

En résumé, les meilleures offres de ce printemps pourraient se situer dans les États du sud.

https://www.zerohedge.com/markets/here-are-states-largest-housing-inventory-surge
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huemaurice515 mars 2024 à 23:57
Le 11 septembre semble être un récit scénarisé qui nous a amené le Patriot Act, la National Security Agency (NSA) et le Real ID Act de 2005. Cela a commencé avec des images d’avions à carrosserie en aluminium traversant des bâtiments blindés en acier. [Clignez, clignez des yeux.] Ensuite, des vidéos de Mickey Mouse sont apparues, montrant les criminels se balançant sur des anneaux de terrain de jeu. Ah, oui, juste votre formation de pilote moyenne… pour piloter des avions dans des gratte-ciel ! Un présentateur de CNN, devant une image en direct du bâtiment 7 intact en arrière-plan, a rapporté qu'il venait de s'effondrer. Mais il se tenait fièrement – peut-être avec défi – sur le flux en direct. Puis nous avons vu le bâtiment 7 imploser, sans attaque aérienne.

La conclusion immédiate : des « terroristes » de n’importe quel pays pourraient nous tuer à tout moment.

Le nouvel ennemi invisible était si effrayant que tous les voyageurs aériens ont soudainement dû se soumettre à des poses humiliantes de « lever les mains » pendant qu’ils étaient irradiés. Et se déshabiller en public. « Madame, est-ce un pull ou une chemise ? Est-ce que tu as quelque chose en dessous ? Si c’est un pull, enlevez-le. Et limitez les liquides et les gels à 3 oz chacun et mettez-les dans un sac de la taille d'un litre. À quel point est-ce aléatoire ? Et enlevons nos chaussures parce qu'un gars a essayé de faire exploser un avion entier en mettant le feu à ses chaussures. Est-ce que quelqu'un y croyait vraiment à l'époque ?

En raison de la peur créée par le 11 septembre, nous avons volontairement renoncé à un peu de vie privée et à d'autres libertés civiles pour assurer notre sécurité. Notre consentement a été fabriqué. Repensez le changement dans la sécurité des aéroports sans un incident incitatif comme le 11 septembre. Combien seraient partis si rapidement et si facilement ?

Permettez-moi d'utiliser un exemple très basique de ce que le 11 septembre a accompli en matière d'abandon des libertés civiles pour une plus grande sécurité. L’année dernière, le Dr Naomi Wolf a séjourné chez moi, ou dans mon « royaume royal », comme elle l’appelait si gentiment. Le Dr Wolf prenait un bain de soleil sur une chaise longue, mais mon chiot n'arrêtait pas de lui sauter dessus. Le problème du chiot lui a valu son consentement à une solution. J'ai mis un tas de portes en zigzag autour du Dr Wolf pour que le chiot ne puisse pas s'approcher d'elle, mais elle ne pouvait pas changer de chaise lorsque le soleil bougeait. J'avais retiré une partie de sa liberté personnelle en échange de sa sécurité envers mon chiot. La sécurité peut être gênante. Le Dr Wolf a fini par abandonner l'abri des portes pour chercher le soleil dans une autre chaise longue. Elle a plutôt choisi sa liberté au risque des sauts de chiots. (Le recul est de 20/20 : maintenant, j'aurais mis mon chiot en laisse et je l'aurais attaché à moi.)
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huemaurice515 mars 2024 à 23:58
La Seconde Guerre contre le « terrorisme » : COVID-19

Le COVID-19 était un autre récit scénarisé sur une « pandémie » qui tentait de pousser tout le monde à obtenir un passeport vaccinal. La définition de pandémie a été édulcorée en 2009 avec la grippe porcine, euh, désolé les porcs, le H1N1.

Les médias nous ont dit que tout avait commencé en Chine. Les virus n’émergent jamais de Madison, dans le Wisconsin. Ce n’est pas assez effrayant pour les Américains.

Non seulement ce nouveau virus venait de Chine ; les médias ont dit que cela provenait de la soupe aux chauves-souris. Admettez-le, en tant qu’Américain, vous ne pensiez pas que les Chinois mangeaient des chauves-souris ou de la soupe aux chauves-souris. Mais tous les médias ont déclaré que les Chinois mangeaient de la soupe de chauve-souris provenant d'un marché humide. Et si les virus sont dans une soupe, c’est sûrement une soupe cuite, et les virus sont censés être tués par la chaleur. Je n’ai jamais entendu parler d’un gaspacho de chauve-souris réfrigéré, qui pourrait théoriquement être contagieux. C’est à ce moment-là que j’ai crié à la connerie, ou à la connerie. Là-dessus, ils ont raté le but. J’étais en haleine jusqu’à ce que je réalise que ce récit absurde signifiait que nous avions de sérieux ennuis.

En ce qui concerne les récits médiatiques scénarisés, j’avais également observé avec horreur comment se déroulait le récit « nous avons eu Ben Laden ». Il a été difficile de le retrouver pendant des années, avec toutes ces cachettes dans les grottes (vraiment ?), mais comme il était prétendument sous dialyse, il allait forcément se présenter dans une zone urbaine. Comme Abbottabad. Puis William et Kate se sont mariés le 29 avril 2011. Les globes oculaires du monde entier sont restés rivés sur la télévision pendant des jours, savourant les moments du mariage royal. Quel moment opportun pour reprendre le cycle de l’information télévisée. Puis, le 2 mai, nous avons « eu Ben Laden » avec le seul raid qui s’est déroulé dans une salle de guerre avec un Obama contemplatif et Hilary posant avec une main sur la bouche. Ensuite, nous avons prélevé un échantillon d’ADN de Ben Laden et, selon la tradition musulmane, [toux, toux] et avons immédiatement envoyé son corps à la mer. Et j'ai hésité à ajouter ceci, mais vous vous souvenez de la SEAL Team 6, les héros qui ont envahi la cachette d'Abbottabad ? Ouais. Lors d'un accident mortel d'hélicoptère en Afghanistan le 6 août 2011, tous les passagers, dont 15 membres de l'équipe SEAL 6, ont été tués. Le récit officiel est que les morts des SEAL n’incluent personne lors du raid à domicile d’Abbottabad ben Laden. En fait, j'étais avec quelqu'un en septembre de la même année qui connaissait beaucoup de ces hommes. Il suffit de dire que le récit officiel est différent de ce qu’on m’a dit.

Vous souvenez-vous de ce que les scientifiques chinois ont fait avec les premiers échantillons biologiques du SRAS CoV-2 ? Ils l’ont séquencé en janvier 2020, puis l’ont détruit afin que personne ne puisse évaluer leur travail par les pairs. Euh hein. Tout comme le corps de Ben Laden. Peut-être qu’ils suivaient à nouveau la tradition musulmane.

Ensuite, après le déploiement des vaccins contre le COVID, nous avons été manipulés pour avoir littéralement peur de tout le monde. Ils voulaient nous faire croire à une propagation asymptomatique, même si nous avons une vidéo de Fauci disant avant les confinements que la propagation asymptomatique n’est « pas un moteur d’épidémies ».
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huemaurice518 mars 2024 à 07:48
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