Vous envisagez d’installer une piscine hors sol dans votre jardin ? Avant de faire les travaux, il est essentiel de comprendre les implications fiscales de votre projet. Car selon la nature de celui-ci, il se peut que vous ayez des taxes à payer. Et les amendes, en cas de manquement, ne sont pas anodines.
Par Paolo Garoscio
le 7 juillet 2023 à 10h52
Le chiffre d'affaires des pisciniers a grimpé de 32 % en 2021.
La réglementation fiscale des piscines hors sol
Les piscines hors sol se distinguent des autres types de piscines par leur fiscalité. En effet, elles peuvent être exemptées de certaines taxes si elles ne nécessitent pas de permis de construire ni de déclaration de travaux. Cela inclut les piscines dont la surface est inférieure à 10 m², celles dont la hauteur totale est inférieure à 1 m, celles positionnées à plus de 3 m des limites de propriété, et celles présentes pour une période de moins de trois mois par an.
Cependant, si votre piscine hors sol nécessite une déclaration de travaux ou un permis de construire, elle sera prise en compte dans le calcul de votre taxe foncière et de votre taxe d'habitation. Cela inclut les piscines de plus de 10 m², celles dont la hauteur totale est supérieure à 1 m, celles positionnées à moins de 3 m des limites de propriété, celles couvertes par un abri de plus de 1,80 m de hauteur, et celles présentes pour une période de plus de trois mois par an.
Les conséquences fiscales de l'installation d'une piscine hors sol
L'installation d'une piscine hors sol peut avoir un impact sur vos impôts. Si votre piscine est fixée au sol et installée durablement, elle est considérée comme un bâtiment annexe et entre en compte dans le calcul de la taxe d'habitation et de la taxe foncière. Les taux d'imposition de ces taxes sont décidés localement, il est donc recommandé de se renseigner auprès du service urbanisme de votre commune pour connaître le taux appliqué.
En revanche, si votre piscine hors sol est plus modeste et ne nécessite pas de travaux de maçonnerie, ou si elle est installée de manière temporaire, elle n'aura pas d'impact sur vos impôts. Les piscines hors sol tubulaires ou gonflables peuvent échapper totalement à une quelconque imposition si elles respectent certaines conditions.
Les sanctions en cas de non-déclaration
Il est important de noter que la déclaration de votre piscine hors sol ou enterrée est obligatoire dans les 90 jours suivant l'achèvement des travaux. En cas de non-déclaration, vous vous exposez à une amende pouvant aller de 1 200 € à 6 000 € du mètre carré, voire une amende de 300 000€ et une peine d'emprisonnement.
Les autorités utilisent aujourd'hui les nouvelles technologies pour repérer les piscines non déclarées. Une fois l'anomalie détectée, un agent du fisc est envoyé sur place pour constater la fraude. Il est donc essentiel de respecter les obligations de déclaration pour éviter de lourdes sanctions.
L'installation d'une piscine hors sol peut donc avoir des implications fiscales importantes. Il est donc essentiel de bien comprendre la réglementation en vigueur et de respecter les obligations de déclaration pour éviter les surprises. N'hésitez pas à vous renseigner auprès des autorités locales pour obtenir des informations précises sur la fiscalité des piscines hors sol dans votre commune.
https://www.economiematin.fr/piscines-hors-sol-impot-taxe-declaration-fiscalite
Piscine ronde dont le rayon est INFÉRIEUR à 1,79 m (soit diamètre de 3, 58 m) avec hauteur d'eau inférieure à 1 m !! (soit 3,58 m³ sur 1 m/soit aussi 3058 litres)
RépondreSupprimerRéserves de pétrole, de charbon et consommation : quelle est la vérité des chiffres et quelles sont les solutions d’avenir ?
RépondreSupprimerle 6 juillet 2023
Selon le site Wikipedia il y aurait à ce jour pour seulement 60 ans de pétrole au rythme de la consommation actuelle (liens en fin d’article). Il existe cependant une incertitude car ces « réserves prouvées » sont en fait une estimation de BP, l’USGS, l’Agence Internationale de l’Énergie ou encore l’OPEP+. Seuls les géologues ayant effectué des loggings suivis d’analyses détaillées et complétés par des forages exploratoires peuvent faire l’objet d’une évaluation correcte de ces réserves. Il faut ensuite que les gouvernements des Etats disposant de réserves communiquent ces estimations. Malheureusement pour les spécialistes de la prospective ces données sont des secrets d’Etat et bien malin celui peut faire une estimation crédible. Cette estimation de « soixante ans » tient également compte du coût d’exploitation des gisements et donc du prix du baril de pétrole et par conséquent de celui des produits raffinés, qu’il s’agisse de carburants pour les véhicules automobiles ou d’intermédiaires de l’industrie et de la pétrochimie. Ainsi de nombreux gisements exploitables aujourd’hui ne sont pas rentables car leur exploitations est trop coûteuse et ils ne sont pas comptabilisés. Enfin l’estimation de ces réserves de pétrole ne tient pas compte de la fracturation des schistes, aussi appelés « roches mères » pour je ne sais quelle raison, une technique peu utilisée en dehors des Etats-Unis. En restant optimiste on peut donc tabler sur des réserves pour peut-être 80 ans de consommation au rythme actuel.
En toute logique plus on se rapprochera de cette échéance plus le prix du baril de pétrole augmentera entrainant mécaniquement une réduction de la consommation car une multitude de postes de consommation devront se restreindre. Et cette réduction progressive de la consommation de produits pétroliers repoussera cette échéance vers une centaine d’années en restant d’un optimiste modéré. L’humanité dispose donc raisonnablement d’au moins 50 ans pour mettre en œuvre de nouvelles sources d’énergie en premier lieu pour produire de l’électricité. L’avenir de la production d’électricité d’origine éolienne et photovoltaïque ne pourra être assuré que si la mise au point de nouvelles technologies de stockage est au rendez-vous. Dans de nombreux pays la production ponctuelle d’électricité est assurée par des groupes électrogènes utilisant du carburant diesel, un distillat proche du kérosène. Une technologie de stockage, fiable et peu coûteuse, de l’électricité provenant de sources dites renouvelables permettrait de réduire substantiellement cette consommation de distillats légers de pétrole.
Les réserves prouvées de charbon sont de l’ordre de 1000 milliards de tonnes, exploitables par les techniques habituelles. Il est raisonnable d’ajouter à ces réserves prouvées celles connues mais non exploitées car non rentables ou nécessitant la mise en œuvre de techniques coûteuses et à la suite de ces considérations les réserves totales peuvent atteindre le double des réserves prouvées. La consommation totale de charbon est de l’ordre de 7,7 milliards de tonnes par an. Les réserves correspondent donc à 130 ans de consommation au rythme actuel. Mais selon les remarques ci-dessus ces réserves totales comprenant celles non exploitées aujourd’hui incluant les gisements profonds ne sont pas comptabilisés dans ces réserves exploitables et correspondent à plus de 250 ans de consommation. Les calculs très approximatifs présentés pour évaluer l’horizon de disponibilité des combustibles fossiles sont les quotients des réserves prouvées par la production annuelle, partant du principe que ce qui est extrait (pétrole ou charbon) est utilisé dans l’année suivant cette production.
À partir de ces données il apparaît que les pays du monde ont le temps de s’adapter et de se préparer à la vraie transition énergétique qui deviendra nécessaire quand le prix de l’énergie primaire deviendra un fardeau tel que toute croissance économique sera proche de zéro. Il est inutile d’ajouter à ce tableau que la population devra être au pire stable voire au mieux décroissante, c’est d’ailleurs ce que prévoient de nombreuses études de prospective. En effet la croissance économique n’a été possible qu’avec une énergie primaire abondante et peu coûteuse.
RépondreSupprimerComme ce ne sera plus le cas dans 30 ou 40 ans alors l’humanité toute entière doit se préparer dès à présent à cette transition pas seulement énergétique mais civilisationnelle. Malgré ces délais il est nécessaire de se préparer à ce changement profond car dans moins de 30 ans la situation commencera à devenir critique. La production électrique peut être résolue avec le développement massif et coordonné de l’énergie nucléaire afin de préserver une partie des réserves de charbon pour un usage pseudo-pétrochimique. Dans le cas du nucléaire les technologies existent et ont été éprouvées y compris la surrégénération. Afin de réduire la consommation d’énergie primaire non électrique la seule solution envisageable sera le développement massif des transports en commun dans toutes les zones urbaines densément peuplées car la voiture électrique n’a aucun avenir à moins d’une improbable avancée technologique.
Il sera nécessaire d’abandonner les énergies dites renouvelables, intermittentes et non fiables, pour s’orienter résolument vers l’énergie nucléaire. Il n’y a pas d’autre choix pour assurer par exemple des transports en commun de qualité satisfaisante. À ce sujet dans de nombreux pays le tissu routier devra être converti en partie en voies ferrées pour développer les transports en commun électrifiés alimentés selon les configurations particulières par des petits réacteurs nucléaires modulaires dans le but d’éviter le développement d’un réseau très haute tension coûteux provenant de grosses unités de production.
Puisqu’il n’y a pas d’autre choix, pas de plan B, il est donc absolument nécessaire de développer l’énergie nucléaire entièrement « décarbonée » dès maintenant compte tenu des immenses réserves, constituées depuis plus de 50 ans, d’uranium appauvri. Plutôt que de débattre au sujet d’une transition énergétique non réaliste les instances internationales doivent s’orienter vers cette seule solution dont dispose l’humanité à ce jour : toutes les autres approches relèvent d’une idéologie déconnectée de la réalité. Certes l’adaptation des peuples à ce nouveau paradigme sera difficile mais c’est le prix à payer pour la pérennité de l’humanité.
RépondreSupprimerhttps://en.wikipedia.org/wiki/List_of_countries_by_proven_oil_reserves
https://www.energyinst.org/statistical-review
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/07/06/reserves-de-petrole-de-charbon-et-consommation-quelle-est-la-verite-des-chiffres-et-quelles-sont-les-solutions-davenir/
Mesures de gaz carbonique dans les années 1820 (avec mise à jour)
RépondreSupprimer7 juillet 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Si l'on en croit la 1ère édition de Meyers Konversations-Lexikon , le chimiste genevois Nicolas de Saussure (1767-1845) a effectué les premières mesures de gaz carbonique à la fin des années 1820. Le résultat peut-être étonnant : environ 410 ppm. Un regard sur l'ancien - et le nouveau - lekixa indique "plus" qu'une simple note de bas de page dans l'histoire des sciences.
TKP a récemment pointé du doigt un « vieux » commentaire de Günter Ederer dans Die Welt ; il s'agit aujourd'hui d'une contribution à l'histoire scientifique des mesures de gaz carbonique. Il s'agit d'ouvrages de référence encyclopédiques, de grands moments de recherche et d'usurpation d'histoire. En quelque sorte, cette contribution est donc une sorte de note de bas de page ou de note de fin au débat sur le « changement climatique », qui a certainement des traits antiquaires.
Connaissances perdues dans les dictionnaires et les encyclopédies
Les « Lumières » sont généralement considérées comme l'origine immédiate de ce qu'on appelle aujourd'hui « Wikipédia », c'est-à-dire la compilation des connaissances les plus importantes pour le grand public.
L'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert (publiée de 1751 à 1766) en est peut-être l'exemple le plus connu, bien qu'il ne s'agisse pas de la première encyclopédie "moderne" .
En tant qu'historien de l'Europe centrale moderne, je ne peux m'empêcher de souligner le Großes Universal-Lexicon de Zedler (publié de 1731 à 1754), dont la compilation a commencé deux décennies avant l'effort de Diderot et d'Alembert.
Cependant, le prix de la première encyclopédie "moderne" - c'est-à-dire un ouvrage de référence croisé - revient à Ephraim Chambers, dont la Cyclopaedia en deux volumes est parue dès 1728.
Tous ceux-ci - et bien d'autres ouvrages comparables - ont connu plusieurs éditions et sont, pour le dire professionnellement, une source importante et souvent sous-estimée de la connaissance qui était répandue à l'époque.
À ce jour, le véritable héritier est - Wikipédia. Malgré ses nombreux défauts - aujourd'hui, l'édition des entrées "problématiques" se fait presque en "temps réel", mais cela ne signifie pas que les encyclopédies plus anciennes n'avaient pas de tels problèmes - Wikipédia est une réalisation vraiment étonnante (qui, il devrait être dit, est aussi l'ouvrage de référence imprimé le plus touché).
Une dernière remarque préliminaire sur les processus éditoriaux : ce qui entre dans de telles entrées a toujours été une connaissance controversée. Cependant, le résultat d'une telle "surveillance" éditoriale est que les encyclopédies sont un indicateur raisonnable de ce qui est considéré comme acceptable. Remarquez que cela ne signifie pas la "censure" en principe, mais la décision éditoriale sur ce qui entre dans de telles entrées (et ce qui n'y est pas) ; comme exemple de ces débats houleux, on peut citer les entrées fortement expurgées et/ou réellement censurées de Wikipédia (pour un exemple particulièrement évident, je recommande « l' historique des versions » de l'entrée du wiki sur la « Guerre de Palestine »).
RépondreSupprimerUn chimiste méconnu aujourd'hui...
Aujourd'hui, je voudrais vous présenter l'un de ces recueils encyclopédiques d'une grande importance pour l'Europe germanophone : Meyers Konversations-Lexicon , qui existait depuis 1839 et a été fusionné avec l'encyclopédie Brockhaus en 1984 ( entrée Wikipédia ).
À propos de l'encyclopédie Brockhaus, il convient de mentionner qu'il s'agissait de l' ouvrage de référence standard en allemand avant Wikipédia, qui est apparu dans 21 éditions imprimées avant d'être complètement déplacé sur Internet en 2009. Dans leur impact socioculturel, de telles encyclopédies ont été quelque chose comme l'inventaire standard des ménages bourgeois depuis le XIXe siècle.
Mais : Avez-vous déjà entendu parler d'un Nicolas Théodore de Saussure ?
Né à Genève en 1767, Saussure était un chimiste spécialisé en physiologie végétale, l'un de ses intérêts de recherche étant l'étude de la photosynthèse. Il était membre de la Royal Society of London et membre de l'Académie bavaroise des sciences (tous deux en 1820) et professeur à l'Université de Genève. Il mourut à Genève en 1845 (voir Wikipedia pour en savoir plus sur sa vie ).
Pourquoi est-ce que je mentionne M. Saussure dans un article qui est en fait une "suite" du post "réchauffement climatique" ?
...et ses mesures de gaz carbonique dans les années 1820
Comme on le sait, l'ère de la mesure "moderne" de la teneur en gaz carbonique de l'atmosphère terrestre a commencé avec Charles David Keeling (1928-2005). Dans les années 1950, il développe une méthode de mesure qui porte son nom. Son "héritage", la soi-disant courbe de Keeling , documente l'augmentation de la concentration de gaz carbonique atmosphérique depuis 1958. Selon les dernières mesures disponibles (au 3 juillet 2023), les niveaux de dioxyde de carbone atmosphérique sont de 422,71 ppm (parties par million, c'est-à-dire 10 -6 ou pour un millionième) ; la valeur de référence mondiale est déterminée au Mauna Loa sur la grande île d'Hawaii.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
(Remarque sur le graphique : * Les informations sur le mois en cours sont « préliminaires ».)
En regardant autour de la page d'accueil, on a l'impression qu'il n'y avait pas de mesures de gaz carbonique avant la fin des années 1950, bien qu'il existe des illustrations montrant des reconstitutions des concentrations historiques de gaz carbonique atmosphérique remontant jusqu'à 800 000 ans.
Curieusement, la 1ère édition du Großes Konversations-Lexicon de Meyer , parue entre 1857 et 1861, contient une entrée intéressante sur l'atmosphère terrestre.
Dans le tome 2 (Armuth-Bayern), aux pp. 320-21 ( fac-similé numérisé ), on peut lire ce qui suit (c'est moi qui souligne ; nota bene que l'entrée parle de « teneur en acide carbonique » quand on parle de teneur en gaz carbonique) :
Dans les années 1827 à 1829, Saussure [fait] pas moins de 225 expériences sur la teneur en acide carbonique de l'air dans les environs de Genève ... A Chambésy, petit hameau de Genève, sur une prairie sèche et aérée d'argile argileuse [ ] sol, le Situé à 16 mètres au-dessus du lac Léman, à 4 pieds au-dessus du sol, la teneur moyenne en acide carbonique s'est avérée être de 4,15 vol[um units] dans 10 000 vol. Le maximum était = 5,74, le minimum = 3,15.
Pour une meilleure comparabilité avec les données recueillies par Keeling, il convient de noter que 4,15 unités de volume de dioxyde de carbone pour 10 000 unités de volume d'air correspondent à 415 ppm.
La séparation des résultats diurnes et nocturnes a montré que la teneur en acide carbonique est plus faible le jour que la nuit ... A midi, la teneur était également plus faible avec un vent faible qu'avec un vent fort ... [saut de ligne inséré]
D'une comparaison des analyses faites à Chambésy avec les quantités de pluie observées à Genève au même moment, aucune relation directe n'a été trouvée, car on trouvait souvent peu d'acide carbonique à Chambésy lorsqu'il pleuvait beaucoup à Genève, et souvent juste la relation inverse. [saut de ligne inséré]
RépondreSupprimerSaussure pense que l'humidification prolongée du sol par les précipitations a un effet plus important sur la teneur en dioxyde de carbone de l'air qu'un grand volume d'eau . Un sol humide à la suite de pluies fréquentes et légères a un effet plus important sur la réduction de l'acide carbonique en abaissant la température que les fortes averses. En général, la sécheresse et le gel du sol semblent augmenter la carbonatation.
Mais ce n'est pas tout, car Saussure a non seulement essayé de reproduire les résultats obtenus à Chambésy au moyen de mesures comparatives, mais aussi de concevoir ce dispositif d'essai le plus différemment possible :
36 expériences comparatives, faites à Chambésy et au milieu du lac Léman, à 4 pieds au-dessus du niveau de l'eau, ont donné une moyenne de 4,60 volumes d'acide carbonique dans 10 000 volumes d'air à Chambésy et 4,39 volumes pour le lac . [460 ou 439 ppm, remarque ; nouvelle ligne insérée]
30 expériences comparatives, faites à Chambésy et dans une rue de Genève, ont donné une valeur de 4,37 pour Chambésy et de 4,68 pour Genève . Les observations diurnes par elles-mêmes ont donné le même résultat, c'est-à-dire une plus grande carbonatation pour la ville ; la nuit c'était le contraire. [saut de ligne inséré]
Enfin, la carbonatation des montagnes s'est avérée un peu plus grande que celle des plaines ; mais la différence était minime. Ainsi c'était (dans 10 000 vol. d'air) aux mêmes heures de la journée sur le Col de Faucille, à 963 mètres au-dessus du lac Léman : 4,43 ; 4,54 ; 3,69 ; 3,60 ; 4,22 ; 3,95 ; à Chambésy : 4,14 ; 4.15 ; 3,87 ; 3,22 ; 3,55 ; 3.15 ; et aucune différence majeure n'a été trouvée pour Dôle, 1.267 mètres au-dessus du lac Léman. [saut de ligne introduit]
Il n'y avait pas non plus d'augmentation de l'acide carbonique dans les montagnes pendant la nuit. L'existence d'acide carbonique à des altitudes plus élevées, et l'étroite égalité de sa quantité avec celle à la surface de la terre, a déjà été démontrée par Saussure, par des observations faites au sommet du Mont-Blanc, et par San-Lussac, par analyse de l'air recueilli par lui lors de son voyage aérostatique .
Il ressort de ces passages que les mesures de gaz carbonique n'ont pas été réalisées uniquement dans les années 1950. De plus, l'entrée citée ici indique ce qui suit :
RépondreSupprimerL'ensemble de ces investigations prouve donc que l'air atmosphérique libre ne contient en moyenne qu'environ 4 dix mille parties ou 0,04 [sic, il manque ici un zéro] centièmes de son volume d'acide carbonique, et que cette teneur est grande par rapport à sa valeur moyenne, mais par rapport à la masse d'air prélevée mais ne subit que des fluctuations mineures. Nous ne pouvons pas juger si la teneur moyenne en gaz carbonique dans l'atmosphère reste constante ou change avec le temps, tout comme nous ne pouvons pas décider avec certitude d'où provient cette teneur.
4/10 000 correspond à 400 ppm.
Ces passages peuvent être résumés comme suit : A la fin des années 1820, Nicolas Théodore de Saussure effectue plus de 200 mesures du taux de gaz carbonique dans l'air autour de Genève. Celles-ci ont donné les résultats suivants :
437, 468, 460, 439, 489, 443, 454, 369, 360, 422, 395, 414, 415, 337, 322, 355, 315, 489; la moyenne de ces 18 points de données est d'environ 410 ppm.
Aujourd'hui nous sommes à 422-23 ppm.
Comment mesure-t-on concrètement la teneur en gaz carbonique dans l'atmosphère ?
La mesure du dioxyde de carbone atmosphérique est communément attribuée à Charles Keeling à la fois par Wikipédia et par les "médias de premier plan et de qualité". Le rôle de Keeling a été décrit comme suit (ma traduction et mon emphase) dans un article de Justin Gillis paru dans le New York Times le 21 décembre 2010. Celui-ci a fait
profondes découvertes. La première était que les niveaux de dioxyde de carbone varient légèrement selon les saisons. docteur Keeling a compris pourquoi : la majeure partie du monde se trouve dans l'hémisphère nord, et les plantes y absorbent du gaz carbonique lorsqu'elles poussent et poussent en été et le dégagent lorsque les feuilles meurent et pourrissent en hiver.
Considérant les passages sur les expériences et les conclusions de Saussure énoncées dans les années 1850, je voudrais faire un ajout :
Les plantes absorbent ce gaz, et toutes extraient une partie, et certaines même la totalité, du carbone. De vastes forêts, comme celle du département des Landes en France, qui poussent sur du sable ne contenant aucune trace de matière carbonée, prélèvent entièrement le carbone de cette source [c'est-à-dire l'air ; nouvelle ligne insérée]
RépondreSupprimerL'oxygène contenu dans l'acide carbonique n'est pas complètement retenu par les plantes, car les fibres de bois et la plupart des autres parties des plantes ne contiennent pas plus d'oxygène qu'il n'en faut pour former de l'eau avec leur hydrogène, qui est donc absorbé par les plantes sous forme d'eau. Le fait que les feuilles des plantes exhalent de l'oxygène pur a été observé pour la première fois par Priestley, et l'action générale des plantes sur l'atmosphère a ensuite été étudiée par H. Davy et d'autres. [saut de ligne inséré]
Il semble cependant que les plantes aient un double effet sur l'atmosphère ; ils absorbent son acide carbonique, assimilent son carbone pour leurs besoins et dégagent de l'oxygène ; et ils absorbent aussi l'oxygène de l'air, et renvoient à sa place l'acide carbonique, effet analogue à la respiration des animaux. De ces deux effets, le dernier est prédominant pendant la nuit et le premier pendant la journée , mais le résultat des deux est que les plantes émettent plus d'oxygène qu'elles n'en consomment sur une période de 24 heures ; de sorte qu'il n'est pas improbable qu'ils remplacent entièrement la perte d'oxygène subie par l'air par la respiration des animaux et par d'autres processus.Mais si une compensation complète a lieu entre les processus du monde animal et végétal n'est pas connue, pas probable. Si cela avait vraiment eu lieu, il pourrait en fait n'y avoir aucun acide carbonique dans l' atmosphère.
Au vu de la longue citation susmentionnée du Konversations-Lexicon de Meyer des années 1850, la question des réalisations et de l'importance de Keeling se pose. La description susmentionnée de la contribution de Keeling à la recherche est évidente - exagérée.
Je ne sais pas si Justin Gillis - ou Charles Keeling - savait quoi que ce soit sur Saussure et ses recherches. Cela ne semble pas être le cas, car ni les entrées Wikipédia de Saussure en allemand ou en anglais ne mentionnent les faits décrits ci-dessus, ni le Dictionnaire historique suisse ne les identifie.
Mais un fait saute aux yeux : les « Découvertes » de Charles Keeling ne sont pas très originales.
RépondreSupprimerUne autre preuve de cette déclaration quelque peu "hérétique" vient d'Erik Conway, un historien responsable de la " Brève histoire des mesures de gaz carbonique " du Jet Propulsion Laboratory de la NASA : Saussure n'est pas mentionné du tout.
À propos : comment mesure-t-on concrètement le gaz carbonique dans l'atmosphère ?
Voici une vidéo d'un peu plus de 2 minutes du Scripps Institute montrant comment se font les mesures "modernes" de gaz carbonique :
- voir sur site -
Mais comment Saussure effectuait-il ses mesures dans les années 1820 ?
Pour répondre à cette question, nous nous tournons à nouveau vers le Konversations-Lexikon de Meyer , qui donne la réponse suivante (même source que le lien ci-dessus ; encore une fois avec mon emphase) :
La dernière méthode utilisée par Saussure est une modification de celle de Thénard avec de l'eau barytée [un hydroxyde de baryum-Solution utilisée pour la détection chimique du dioxyde de carbone]. Elle en diffère surtout par les précautions minutieuses prises pour obtenir un résultat exact de l'insignifiance de la teneur en acide carbonique de l'air. Le ballon avec un robinet contient 35 à 45 litres et, après avoir été pompé, n'est rempli qu'une seule fois avec l'air à examiner. 100 grammes d'eau de barytine saturée y sont versés directement et y sont laissés pendant 8 jours tout en faisant basculer le ballon environ 20 fois par jour. Lorsque l'absorption est complète, l'eau de barytine trouble est mis dans un ballon, laissé au repos pour le dépôt du carbonate de barytine, qui est lavé avec une solution de carbonate de barytine (Saussure constate que 10 000 litres d'eau dissolvent 2,4 carbonates de barytine à 20 à 25 degrés), puis dissous dans de l'acide chlorhydrique, mélangé à la solution de barytine obtenue en rinçant la bonbonne avec de l'acide chlorhydrique, puis remplie de sulfate de soude [plus connue sous le nom de "poudre à lever"]. A partir de la quantité de sulfate de barytine obtenue, on calcule alors la teneur en acide carbonique de l'air, dont le volume, la température et la pression doivent bien entendu être soigneusement observés au préalable.
Maintenant, je ne suis pas chimiste, mais la méthode utilisée par Saussure est assez similaire à la procédure "découverte" par Keeling. Bien sûr, aujourd'hui, le "ballon" (récipient) est dégonflé à la machine plutôt qu'à la main, mais les produits chimiques utilisés - du bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) à l'hydroxyde de baryum - sont facilement disponibles dans les supermarchés, les pharmacies ou en ligne.
questions ouvertes
RépondreSupprimerÀ la fin de cet essai sur l'histoire apparemment largement inconnue des mesures de gaz carbonique, un certain nombre de questions ouvertes se posent, notamment les suivantes :
Pourquoi les travaux de M. Saussure ne sont-ils pas mentionnés dans les annales du « changement climatique » ?
Compte tenu de la méthode de mesure utilisée par Saussure, quelle est l'originalité des procédures « développées » par Keeling ?
Et - qu'en est-il des lectures de gaz carbonique déterminées par Saussure ?
Se pourrait-il que dans les années 1820, la concentration de dioxyde de carbone autour de Genève était d'environ 410 ppm ?
Je ne peux pas apporter de réponse à cette question de plus en plus essentielle, mais étant donné la méthode de Saussure clairement décrite, il serait assez facile d'organiser le matériel nécessaire et de faire une série de mesures parallèles en même temps que les mesures de gaz carbonique "modernes" effectuées par dela méthode
S'il semble clair que les pompes manuelles utilisées par Saussure ont eu une certaine influence sur les résultats (par rapport aux méthodes de Keeling conçues quelque 130 ans plus tard), la question cruciale qui en résulte est que le biais le plus probable dans les résultats de mesure est probablement que des concentrations de gaz carbonique un peu plus élevées sont - mais quelle serait l'ampleur de ces différences ?
- voir sur site -
La figure montre la reconstruction sur 300 ans de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère, avec la flèche rouge insérée par moi et indiquant le moment où Saussure a fait ses mesures. La valeur mesurée reconstruite à ce moment-là était d'environ 280 ppm (mais à ce stade, vous devez être conscient de la méthodologie non sans problème, des informations historiques déterminées à partir de différents ensembles de données et en utilisant différentes méthodes ; on parle de "raccordement des données").
L'écart entre les données « modernes » et les résultats obtenus par Saussure peut-il vraiment être si grand ?
Mais que se passe-t-il si les mesures de M. Saussure sont à peu près correctes ? La réponse la plus plausible est que l'histoire de toute la science du climat (sic) doit être réécrite - et pas seulement le sens de Keeling doit être révisé.
En outre, il existe de nombreuses preuves que le gaz carbonique n'est pas le principal moteur du "réchauffement planétaire" ou du "changement climatique" (TKP rapporté ) .
Cependant, connaissant le fonctionnement de "la Science™", je doute que ce soit le cas de si tôt : bien qu'une vérification des données déterminée par Saussure telle que décrite ci-dessus ne représente guère plus de quelques milliers d'euros de coûts matériels et quelques semaines de beaucoup trop de carrières, de sources de financement, d'ambitions politiques et institutionnelles - et enfin, des investissements massifs et des orientations politiques (comme le "Green Deal" de la Commission européenne) sont en jeu ou reposent sur l'hypothèse d'une changement climatique.
RépondreSupprimerCependant, on ne peut guère s'attendre à ce que les principaux gardiens de la politique, de la science™ et des médias de premier plan et de qualité se laissent tromper par les faits – ou les opinions de la population.
Compte tenu des changements massifs qui s'annoncent, ce débat serait nécessaire.
Addenda ou mise à jour
Sans surprise, ce post a rapidement attiré quelques commentaires critiques. Voici deux aspects que je considère importants :
En fait, je ne connaissais pas la contribution mentionnée de Markus Fiedler , mais je suis heureux de la lier ici, car Fiedler ne discute pas "seulement" de la 1ère édition de Meyers Konversations-Lexikon, mais prend également en compte certaines éditions ultérieures. J'ai le 3./4. Juillet 2023 - sans connaissance de la contribution de Fiedler - déjà écrit à ce sujet en anglais . Merci, Ibrecht Torz, de l'avoir signalé.
Je peux répondre à la remarque d'Ulf Martin, qui semble être plus importante en termes de contenu, comme suit, très brièvement, de l'article d'Ernst-Georg Beck mentionné (la citation suivante est à la p. 277 et suit d'abord en anglais puis en ma traduction ; pour des raisons de lisibilité, j'ai supprimé les références, vous pouvez trouver le texte complet ici ; l'accent dans les deux passages est de moi) :
L'hypothèse de la serre moderne est basée sur les travaux de GS Callendar et CD Keeling, à la suite de S. Arrhenius, tels que récemment popularisés par l'IPCC. L'examen de la littérature disponible soulève la question de savoir si ces auteurs ont rejeté un grand nombre d'articles techniques valides et d'anciennes déterminations du gaz carbonique atmosphérique parce qu'ils ne correspondaient pas à leur hypothèse ? Évidemment, ils n'utilisent que quelques valeurs soigneusement sélectionnées de la littérature ancienne, choisissant invariablement des résultats qui sont cohérents avec l'hypothèse d'une élévation induite de gaz carbonique dans l'air causée par la combustion de combustibles fossiles. La preuve du manque d'évaluation des méthodes résulte de la découverte que des résultats sélectionnés précis montrent des erreurs systématiques de l'ordre d'au moins 20 ppm.La plupart des auteurs et des sources ont résumé de manière incorrecte les déterminations historiques de gaz carbonique par des méthodes chimiques et promulgué l'opinion injustifiable selon laquelle les méthodes d'analyse historiques n'étaient pas fiables et produisaient des résultats de mauvaise qualité.
L'hypothèse de la serre moderne est basée sur les travaux de GS Callendar et CD Keeling, qui ont suivi S. Arrhenius et ont ensuite été diffusés par l'IPCC. Un examen de la littérature disponible soulève la question de savoir si ces auteurs ont systématiquement écarté un grand nombre d'articles techniques valides et d'anciennes déterminations du gaz carbonique atmosphérique parce qu'ils ne correspondaient pas à leur hypothèse ? Apparemment, ils n'utilisent que quelques valeurs soigneusement sélectionnées de la littérature ancienne, choisissant invariablement des résultats cohérents avec l'hypothèse d'une augmentation du gaz carbonique dans l'air causée par la combustion de combustibles fossiles.La preuve du manque d'évaluation des méthodes résulte de la découverte que des résultats sélectionnés avec précision montrent des erreurs systématiques d'au moins 20 ppm. La plupart des auteurs et des sources ont mal interprété les déterminations historiques de gaz carbonique à l'aide de méthodes chimiques et ont promu l'opinion injustifiable selon laquelle les méthodes analytiques historiques n'étaient pas fiables et donnaient des résultats inférieurs .
RépondreSupprimerEnfin, je voudrais souligner que l'article mentionné ci-dessus traite principalement de la manière dont les méthodes de propagande - avant tout par des omissions délibérées ou des prises de position ciblées - doivent être utilisées pour faire avancer ou justifier des décisions massives.
Une revue systématique des résultats de Beck ne change pas non plus cet aspect.
https://tkp.at/2023/07/07/co2-messungen-in-den-1820ern/
Depuis toujours il n'est pas besoin d'être sorti de 'grandes écoles' pour savoir que si les gaz ne se recyclaient pas dans l'atmosphère la vie sur Terre ne serait jamais apparue.
SupprimerC'est pourquoi les analyses faites en 1820 sont les mêmes qu'aujourd'hui et le pourcentage ne change pas.
Le jour le plus chaud "de l'histoire de l'humanité" était plus frais que la plupart de l'holocène
RépondreSupprimerPar Jo Nova
Le "jour le plus chaud" n'est pas si chaud, et très peu pertinent
Ainsi, le cycle des nouvelles est devenu hyperbolique au cours d'une seule journée chaude douteuse dans des enregistrements qui ne remontent qu'à 0,01% de l'existence humaine. Vous souvenez-vous de l'époque où les « tendances sur 30 ans » étaient tout ce qui comptait ?
Ignorons pour le moment que les barres d'erreur sur les mesures de la température globale en 1899 feraient rougir n'importe quel scientifique normal. Qui croit un instant qu'aujourd'hui encore on puisse mesurer la température de surface de la planète au centième de degré près ? Les chiffres insignifiants loufoques étaient partout. Lundi, la surface de la Terre était censée être à 17,01 degrés Celsius pour la première fois de "l'histoire de l'humanité". Puis mardi il était 17, 18°C, Hallelujah. De qui se moque-t-on ?
Le plus grand mensonge était probablement d'appeler cela "l'histoire humaine" comme si les anciens Egyptiens mesuraient la température sur Terre et chaque jour de la semaine. Sommes-nous vraiment sûrs de savoir quelle était la température le 3 juillet 2201 av. Peut-être qu'il faisait 17.31°C ce jour-là - prouvez-moi que j'ai tort ? Nous n'avons aucune idée de la chaleur des « jours les plus chauds » pour 99 % de la civilisation humaine. Les meilleurs proxies que nous avons ne peuvent pas nous dire quelle était la température pendant des périodes de 24 heures. Nous ne pouvons pas comparer des moyennes lissées sur 20 ans avec un seul instantané sur 24 heures. Eh bien, les prostituées scientifiques le peuvent, mais pas les vrais scientifiques.
S'il s'agissait d'un "jour le plus chaud" record, cela aurait pu être le jour le plus chaud des 40 dernières années (peut-être, et si seulement nous avions de bons thermomètres, ne les avions pas placés dans les aéroports, près des climatiseurs et des incinérateurs, non passez à l'électronique, cachez les données d'étalonnage et ajustez les enregistrements, hein ?). C'est un gros et alors.
Et à la fin, nous le savons, il y a eu des années plus chaudes auparavant dans la civilisation humaine, et probablement des milliers d'entre elles.
Qui essaie d'effacer l'Holocène ?
N'apprennent-ils plus rien aux climatologues ? Karsten Haustein, de l'Université de Leipzig, a déclaré à la BBC que juillet sera peut-être le plus chaud "depuis l'Eemian", il y a 120 000 ans, comme si la période optimale de l'Holocène n'existait pas.
Il y a à peine 5 000 ans, le niveau de la mer était plus élevé, les coraux étaient heureux, les gens prospéraient et le Groenland était beaucoup plus chaud. Il s'agissait d'un phénomène mondial - l'élévation du niveau de la mer et quelque 6 000 forages forés dans le monde montrent le même schéma.
RépondreSupprimerIl faisait plus chaud pendant des milliers d'années et le gaz carbonique n'était pas pertinent. Ce dont le monde a besoin, ce sont de vrais journalistes scientifiques qui peuvent demander à ces modélisateurs juniors mal formés ce qui est arrivé à l'Holocène ?
- voir graph sur site -
GISP, Groenland, Températures du cœur de glace, Holocène.
Ce graphique montre les données des carottes de glace jusqu'en 1855. Les 150 dernières années (1705 à 1855) sont surlignées en rouge pour montrer le réchauffement lorsque la Terre a commencé à sortir du petit âge glaciaire.
Le niveau de la mer était plus élevé partout dans le monde
Comment les océans pourraient-ils être plus hauts partout dans le monde si le monde n'était pas plus chaud ? Le niveau de la mer a baissé au cours des 7 000 dernières années autour de l'Australie, il était autrefois de près d'un mètre plus haut dans la mer de Chine méridionale, en Afrique du Sud et en Polynésie et c'est un schéma similaire dans le monde entier (merci NoTricksZone). Des études sur les mangroves au Brésil montrent que le niveau de la mer était supérieur d'environ 2,7 mètres au milieu de l'Holocène et que les mangroves se sont développées 34 kilomètres plus à l'intérieur des terres. (Fontes et al 2017). gaz carbonique Science répertorie des références dans le monde entier. J'effleure à peine la surface.
D'autres chercheurs estiment que les eaux sortant de l'océan Pacifique après l'Indonésie étaient plus chaudes de 2 degrés Celsius il y a 7 000 ans. (Rosenthal, (2013). D'une manière ou d'une autre, les coraux ne se sont pas éteints, les anciens virus n'ont pas anéanti les Sumériens et les humains se sont répandus sur la Terre.
Il y a 7 000 ans, le niveau de la mer était plus élevé au large de l'Australie-Occidentale très stable sur le plan géologique. De l'autre côté de l'Australie, dans la Nouvelle-Galles du Sud, le niveau de la mer était supérieur de 1 à 1,5 m.
- voir graph sur site -
RépondreSupprimerLe niveau de la mer baisse depuis 7 000 ans en Australie occidentale (Lewis et al)
Un millier d'histoires de douleur et de triomphe humains des dix mille dernières années sont en train d'être effacées des archives. Les aborigènes australiens ont apparemment lutté contre une méga sécheresse de 1 500 ans il y a environ 6 000 ans (voir McGowan et al 2012). Et des incendies massifs ont fait rage dans l'extrême nord de l'Australie il y a 4 000 ans, bien pires qu'aujourd'hui. (Rehn et al 2021).
Un autre indicateur suggérant que les températures plus chaudes de l'Holocène étaient mondiales est les données de flux de chaleur mesurées dans 6 000 forages sur six continents jusqu'à environ 2 km. Il y a 5 000 à 10 000 ans, les températures étaient plus chaudes qu'elles ne le sont maintenant.
6 000 forages forés autour de la Terre montrent que les températures étaient plus chaudes à l'holocène.
Emplacement des forages pour les études de flux de chaleur.
Période holocène. Chaleur. Flux de chaleur.
6 000 forages forés autour de la Terre montrent que les températures étaient plus chaudes à l'holocène. Figure 1. Suite de reconstructions de l'histoire de la température de surface au cours des 20 000 dernières années. Neuf courbes correspondent à trois valeurs de diffusivité thermique. Le niveau de référence est la moyenne de l'enregistrement instrumental de 1961 à 1990 après JC. (Huang et al 2008)
La journée la plus chaude des 150 dernières années n'est pas pertinente.
REFERENCES
RépondreSupprimerFontes et al (2017) The Impacts of the Middle Holocene High Sea-Level Stand and Climatic Changes on Mangroves of the Jucuruçu River, Southern Bahia – Northeastern Brazil, Radiocarbon , Volume 59 , Issue 1 , February 2017 , pp. 215 – 230. DOI: https://doi.org/10.1017/RDC.2017.6
Huang, S. P., H. N. Pollack, and P.-Y. Shen (2008), A late Quaternary climate reconstruction based on borehole heat flux data, borehole temperature data, and the instrumental record, Geophys. Res. Lett., 35, L13703, doi:10.1029/2008GL034187 [PDF] Long blog discussion on boreholes.
Lewis, S.E., et al., Post-glacial sea-level changes around the Australian margin: a review, Quaternary Science Reviews (2012), http://dx.doi.org/10.1016/j.quascirev.2012.09.006 [abstract]
Hamish McGowan,Samuel Marx, Patrick Moss, Andrew Hammond (2012): Evidence of ENSO mega-drought triggered collapse of prehistory Aboriginal society in northwest Australia, Geophysical Research Letters, Vol 39, Issue 22. DOI: 10.1029/2012GL053916 [Abstract]
Rehn, E. et al (2021) A late-Holocene multiproxy fire record from a tropical savanna, eastern Arnhem Land, Northern Territory, Australia [PDF]
Rosenthal, Y., Braddock K. Linsley, Delia W. Oppo (2013) Pacific Ocean Heat Content During the Past 10,000 Years, Science 1 November,Vol. 342 no. 6158 pp. 617-621 DOI: 10.1126/science.1240837 [Sciencemag.org ]
https://joannenova.com.au/2023/07/hottest-day-in-human-history-was-cooler-than-most-of-the-holocene/#more-92207
EV Fantasia frappe plusieurs ralentisseurs
RépondreSupprimerPar Jo Nova
July 5th, 2023
Cette semaine, les journaux du Royaume-Uni semblent être pleins de gros titres sur Carmageddon.
Merci à NetZeroWatch et Ballyb, pour la compilation des panneaux d'avertissement EV sur la route de West Debacle.
Le gros avantage d'un VE était le remplissage bon marché, mais tout a changé en moins d'un an avec la crise énergétique. Si les travailleurs ne peuvent pas se permettre d'allumer le four pour cuisiner un rôti du dimanche, ils peuvent à peine se permettre d'allumer une voiture.
Dans une petite bombe la semaine dernière, Volkswagen a admis que les gens n'achetaient pas leurs voitures électriques, qualifiant ce phénomène de "forte réticence des consommateurs". Les ventes ont cependant été si mauvaises, 30 % en baisse par rapport aux prévisions, qu'ils ont fermé l'usine d'Emden, en Allemagne, pendant six semaines et licencient 300 des 1 500 employés.
Pendant ce temps, le Royaume-Uni se dirige vers le mandat EV 2030 cinq ans plus vite que le reste du monde, et le contrecoup s'intensifie. Un sondage du Daily Mail révèle que seulement 1 personne sur 4 pense que c'est une bonne idée d'interdire les ventes de voitures à essence et diesel d'ici 2030. 53 % des gens ne l'aiment pas. Le Royaume-Uni est-il ou non une démocratie ? Les leaders de la fabrication et de l'industrie utilisent des mots comme "ruineux" et parlent de "la fin de la production automobile au Royaume-Uni". Ils avertissent que 800 000 emplois au Royaume-Uni sont menacés. Rien de tout cela n'a de sens. Les véhicules électriques sont une mauvaise façon de changer le temps. Personne ne sait même si les véhicules électriques réduiront le dioxyde de carbone.
En ce moment, au Royaume-Uni, 36 voitures se disputent chaque site de recharge public. La demande d'électricité devrait doubler au Royaume-Uni en raison des véhicules électriques, mais il n'est pas prévu de fournir la capacité supplémentaire. Peut-être que le vrai plan est de faire passer la moitié du pays aux bus électriques… ?
La "révolution" de la voiture électrique est un désastre avant même d'avoir commencé
RépondreSupprimerLes politiciens imposent des voitures électriques à un public qui n'en veut pas
Ben Marlow, Le Télégraphe
La révolution de la voiture électrique piétine, cela ne fait plus aucun doute. Il a laissé les grands constructeurs automobiles mondiaux patauger…
Mais c'est le revers de VW qui se démarque, soulevant de sérieuses questions quant à savoir si les politiciens commettent l'erreur catastrophique d'imposer des voitures électriques à un public qui n'en veut pas.
Pensez-y une seconde : une industrie entière non seulement forcée d'abandonner un produit que la grande majorité des gens veulent et utilisent encore, mais aussi intimidée à canaliser toutes ses ressources pour fabriquer quelque chose à un niveau colossal qu'il n'y a tout simplement pas le marché pour - du moins pas dans le délai horriblement court qui est imposé aux constructeurs automobiles.
C'est de l'auto-sabotage industriel et une catastrophe commerciale, économique et sociale en devenir.
VW, volkswagon, véhicule électrique. ID.3
Rendre obligatoires les véhicules électriques est un « assaut contre la classe ouvrière », déclare Joel Kotkin.
Les propriétaires de véhicules électriques sont plus riches, les voitures sont plus chères et les mandats mettront la possession d'une voiture hors de portée des masses non lavées…
Cette ruée vers les voitures électriques est une erreur colossale
Enrichi en ligne
Remplacer l'énorme industrie automobile mondiale de 3 000 milliards de dollars est un pari économique extrêmement risqué, en particulier pour l'Occident.
En termes simples, la poussée des véhicules électriques représente un assaut contre la classe ouvrière. Les deux tiers de tous les propriétaires de véhicules électriques ont des revenus supérieurs à 100 000 $.
Les mandats de véhicules électriques sont également susceptibles de faire grimper le prix des voitures traditionnelles désormais restreintes. En attendant, les verts exigeront des prix du carburant plus élevés pour réduire la consommation d'essence démoniaque des conducteurs. En fin de compte, comme même le Washington Post l'a récemment admis, les véhicules électriques accélèrent un retour à des conditions inédites depuis le début du XXe siècle, lorsque l'automobile était un produit de luxe. "Les nouvelles voitures, qui faisaient autrefois partie du rêve américain, [sont] désormais hors de portée pour beaucoup", note-t-il.
RépondreSupprimerJuste pour répéter… Rien de tout cela n'a de sens. Même si les gens ont une fixation religieuse sur le changement climatique, ce n'est pas la voie du salut :
L'économiste Bjorn Lomborg calcule qu'un passage massif aux véhicules électriques entraînera une réduction des températures mondiales de pas plus de 0,0002 degrés Fahrenheit d'ici 2100.
Kotkin demande "qui en profite":
Drapeau de la ChineAlors, qui gagne ici ? Certainement pas les familles de la classe moyenne ou ouvrière pour qui le changement climatique est à peine une préoccupation majeure.
… le plus grand gagnant est la Chine.
Aujourd'hui, la Chine produit deux fois plus de véhicules électriques que les États-Unis et l'UE réunis. Son principal fabricant de véhicules électriques, BYD, est désormais le plus grand au monde. Ses exportations de voitures électriques devraient presque doubler cette année, l'aidant à dépasser le Japon en tant que plus grand exportateur de voitures au monde, selon le South China Morning Post.
La Chine contrôle une grande partie des métaux rares du monde. Abandonner une industrie avec un siècle d'expertise et un soutien public de masse pour une nouvelle industrie à haut risque qui dépend des lignes d'approvisionnement étrangères nécessite une explication. Personne ne croit que nous le faisons pour arranger la météo.
*
RépondreSupprimerJoel Kotkin is a spiked columnist, the presidential fellow in urban futures at Chapman University and executive director of the Urban Reform Institute. His latest book, The Coming of Neo-Feudalism, is out now. Follow him on Twitter: @joelkotkin
Image by OpenIcons from Pixabay | Das Logo der Marke Volkswagen Nutzfahrzeuge | VW EV Photo by Vogler,
There was a young climate-change tzar,
Bought a brand new all E.V. car,
Found that very few joints,
Had quick charging points,
Means this car can’t venture too far.
–Ruairi
https://joannenova.com.au/2023/07/ev-fantasia-hits-multiple-speed-bumps/
La voiture électrique à 100 euros par mois, qui en profitera ?
RépondreSupprimerEn établissant un tarif de location mensuel de 100 euros pour les voitures électriques, le gouvernement français se prépare à transformer la mobilité des ménages modestes.
Par Stéphanie Haerts
le 6 juillet 2023 à 12h02
Un plan audacieux pour rendre la voiture électrique plus abordable aux ménages modestes.
Le gouvernement prévoit de dévoiler mi-juillet son projet de location sociale de voitures électriques à bas prix destiné aux ménages modestes. Cependant, afin d'assurer la faisabilité du projet, des décisions cruciales doivent encore être prises concernant plusieurs aspects de ce projet.
Un pas vers une mobilité verte pour tous
Selon les informations exclusives rapportées par Les Echos, le gouvernement français prévoit la mise en place d'une mesure ambitieuse visant à offrir des solutions de location de voitures électriques à bas prix aux ménages dont le revenu fiscal annuel n'excède pas 14.089 euros (5e décile). Les formules de location proposées s'étaleront sur des périodes de 2, 3 ou 5 ans, avec des kilométrages annuels compris entre 10.000 et 15.000 kilomètres.
Une attention particulière sera accordée à la rapidité de traitement des commandes, avec un délai prévu de moins de 6 mois entre la commande et la livraison au client. Un point notable de ce projet est qu'il inclura également les voitures électriques d'occasion. Le gouvernement travaille en collaboration avec des acteurs financiers comme Arval, Crédit Agricole Sofinco et BNP Personal Finance pour proposer ces locations longue durée. Après de nombreuses consultations régulières avec les acteurs de l'industrie automobile, cette initiative vise à peaufiner les détails de la mesure avant une annonce officielle prévue mi-juillet peut-on lire dans Capital.
Entre défis et solutions pour mener à bien ce projet
Malgré son ambition, le plan rencontre des obstacles. Initialement, il était prévu que les clients bénéficiaires de cette mesure se tournent vers les loueurs de voitures traditionnels pour accéder à ce dispositif de leasing social. Cependant, entre les discussions engagées il y a un an avec les constructeurs, les loueurs et les concessionnaires, et les premiers éléments dévoilés aujourd'hui, un véritable écart se fait sentir. Le contexte d'inflation, les augmentations des prix des matières premières, les hausses des taux d'intérêt et les problèmes logistiques constituent autant de défis auxquels les industriels font face, entraînant une hausse des tarifs des voitures et des difficultés à respecter les délais de livraison. En conséquence, l'État doit augmenter sa participation financière pour maintenir le loyer mensuel à 100 euros. Une subvention publique de 7.000 euros par véhicule est envisagée, en plus du bonus écologique déjà en place.
D'autres préoccupations émergent, comme l'absence de garantie de l'État sur l'état du véhicule à la fin de la location. Le gouvernement envisage donc de subventionner les offres de location avec option d'achat (LOA), malgré des doutes quant à la capacité des ménages modestes à exercer cette option.
RépondreSupprimerQuels véhicules pourra-t-on louer ?
Du côté des constructeurs automobiles, l'initiative gouvernementale visant à rendre la voiture électrique accessible aux ménages modestes suscite un intérêt mitigé. Alors que certains fabricants voient dans cette mesure une opportunité de stimuler les ventes et d'élargir leur base de clients, d'autres demeurent prudents quant à sa viabilité économique à long terme et des contours encore trop flous. Néanmoins, le gouvernement français se montre déterminé à soutenir cette transition vers la mobilité électrique en envisageant de sélectionner soigneusement certains modèles en quantité pour répondre à la demande générée par cette nouvelle initiative.
Parmi les véhicules envisagés pour cette mesure novatrice, la R5 de Renault occupe une place prépondérante. Avec sa récente annonce de production à l'usine de Douai, cette icône automobile emblématique reviendra sur le devant de la scène sous une version électrique. Cette démarche s'inscrit dans la stratégie de Renault visant à renforcer sa présence sur le marché des véhicules électriques abordables. Parallèlement, Citroën se positionne avec sa future ë-C3, dont les premières livraisons sont prévues pour 2024. Dotée d'un design futuriste et d'une autonomie prometteuse, la ë-C3 devrait attirer les regards et offrir une option intéressante aux consommateurs à la recherche d'une voiture électrique polyvalente et abordable.
Voiture Electrique 100 Euros
Quelles concessions seront faites pour garantir le succès du leasing social ?
Pour concrétiser la mesure de la voiture électrique à 100 euros par mois, le gouvernement se penche sur les subventions publiques à verser aux loueurs. Même si une participation supplémentaire de 7.000 euros est envisagée, il reste crucial de déterminer les garanties offertes par l'État en cas d'impayés. Tout comme les aspects liés à l'assurance et à la prise en charge des frais pour la remise en vente des véhicules à leur restitution.
La question du prix de vente des voitures électriques est primordiale pour le succès du dispositif de leasing social. Les constructeurs devront déterminer les tarifs qu'ils sont prêts à accorder aux loueurs et à l'État. Parmi les modèles envisagés, tels que la Renault R5, la Citroën e-C3 ou la Peugeot e-208, il est également crucial de préciser si ces modèles seront des produits standards d'entrée de gamme ou s'il s'agira de séries spéciales. De plus, il convient de s'assurer de la disponibilité et de la livraison des véhicules dans les délais impartis.
Voiture Electrique 100 Euros Peaugeot
RépondreSupprimerLes mensualités et les services inclus : quels seront les éléments couverts par le contrat ?
Pour garantir une pleine compréhension du dispositif, il est essentiel de clarifier le périmètre des services inclus dans les mensualités. Des éléments tels que l'assurance, l'entretien, la maintenance, ainsi que des offres complémentaires comme l'accès à la recharge, devront être précisés. Il est important de prendre en compte le fait que de nombreux logements sociaux ne sont pas encore équipés de bornes de recharge, ce qui pose un défi supplémentaire à l'accessibilité des services de recharge pour les utilisateurs. Les acteurs du secteur attendent avec impatience de découvrir les détails concrets que le gouvernement présentera. De leur côté, les concessionnaires espèrent que la gestion administrative du dispositif de la voiture électrique à 100 euros par mois sera simplifiée afin de garantir une expérience fluide pour les clients et éviter toute insatisfaction.
La mise en œuvre concrète de cette initiative gouvernementale ambitieuse se heurte à de multiples obstacles qui entravent la réalisation de ce plan ambitieux. Le gouvernement devra prendre des décisions cruciales pour concilier les aspirations des ménages modestes à accéder à des voitures électriques abordables et les contraintes économiques actuelles qui affectent l'industrie automobile. La réussite de cette mesure repose sur la capacité de l’Etat à naviguer avec habileté à travers ces défis complexes afin de concrétiser son engagement à promouvoir la mobilité électrique pour tous.
https://www.economiematin.fr/voiture-electrique-100-euros-par-mois-qui-en-profitera
Primo la 'voiture électrique' s'avère être plus polluante qu'un véhicule a combustion. (la fabrication émet plus de gaz carbonique que la fabrication d'un modèle essence ou diesel). Mais du gaz carbonique ON S'EN FOUT car depuis DES milliards d'années TOUS les gaz dans l'atmosphère se recyclent immédiatement sans quoi la vie sur Terre n'aurait jamais apparue.
SupprimerSecundo, la voiture est plus lourde (de l'ordre de 700 kg) ce qui fait que les pneumatiques s'usent très vite et donc pollution de fine particules.
Tertio, le véhicule électrique est hyper-dangereux ! Il s'enflamme ! (durant la charge des véhicules ont pris feu et brûlé des garages et immeubles !).
Tertio, ne rêvons pas: IL N'Y AURA PAS ÉLECTRICITÉ POUR TOUT LE MONDE !
Un sondage Pew révèle que 59 % des Américains S'OPPOSENT au plan de l'administrateur de Biden d'éliminer progressivement les voitures à essence au profit des véhicules électriques
RépondreSupprimer07/05/2023
Ramon Tomey
Les résultats d'un nouveau sondage publié le 28 juin ont révélé que près des trois cinquièmes des Américains – 59 % – s'opposent au plan de l'administration Biden d'éliminer progressivement les voitures à essence au profit des véhicules électriques (VE).
Le Pew Research Center a interrogé plus de 10 000 Américains du 30 mai au 4 juin de cette année. Il a déclaré que dans l'ensemble, 59 % des personnes interrogées ne veulent pas que les voitures à essence soient éliminées d'ici 2035. En revanche, 40 % ont déclaré être favorables à une élimination progressive des véhicules à essence au profit des véhicules électriques.
Seulement 21 % des répondants disent qu'ils seraient enthousiasmés par la perspective de véhicules à essence. Quarante-cinq pour cent – plus du double du nombre de ceux qui sont excités – disent qu'ils seraient contrariés, tandis que 33 % ont déclaré que leurs sentiments seraient neutres.
L'opposition à l'élimination progressive des véhicules à essence était plus prononcée selon les lignes de parti. Une écrasante majorité de 84 % des répondants conservateurs s'opposent à cette décision, contre 16 % qui étaient favorables à une élimination progressive. Soixante-quatre pour cent des répondants libéraux sont favorables à une suppression progressive, tandis que seulement 35 % sont contre.
Il y avait aussi une nette division parmi les répondants en fonction de l'âge. Cinquante-six pour cent des répondants âgés de 18 à 29 ans soutiennent l'arrêt de la production de nouvelles voitures à essence. Cependant, les répondants âgés de 30 ans et plus sont contre l'interdiction des nouvelles voitures à essence au profit des véhicules électriques.
"Alors que l'administration Biden a tenté de développer une infrastructure de véhicules électriques, les Américains ont une confiance limitée dans le fait que le pays construira un réseau de bornes de recharge pour prendre en charge ces véhicules. La législation adoptée sous l'administration Biden a réservé 5 milliards de dollars pour construire un réseau de bornes de recharge. Les conducteurs de véhicules électriques trouvent le système de recharge public actuel difficile », a déclaré Pew.
Le centre a ajouté qu'en avril, l'administration Biden avait proposé de nouvelles limites d'émissions pour les constructeurs automobiles qui réduiraient considérablement le nombre de voitures et de camions à essence que les constructeurs automobiles pourraient vendre. Plusieurs gouvernements d'État ont également poussé des lois pour forcer l'adoption des véhicules électriques, la Californie et New York en tête. En vertu de ces lois, tous les véhicules neufs vendus dans ces États doivent être à zéro émission d'ici 2035. (Connexe : GREEN GOES STUPID : la Californie interdit la vente de voitures à essence d'ici 2035.)
RépondreSupprimerMoins de la moitié des répondants voient favorablement les politiques climatiques de Biden
Myron Ebell, directeur du Centre pour l'énergie et l'environnement du groupe de réflexion Competitive Enterprise Institute basé à Washington, D.C., a fustigé la Maison Blanche pour son utilisation du pouvoir de l'exécutif pour forcer les gens à adopter des véhicules électriques.
"L'administration Biden essaie de contourner toutes les règles fédérales qu'elle peut trouver pour forcer les gens à acheter des véhicules électriques", a-t-il déclaré en avril. "Il existe toujours un marché qui permet aux conducteurs d'acheter les véhicules de leur choix, mais la coercition gouvernementale limite rapidement ces choix."
Le sondage Pew a également révélé que 50% - la moitié des adultes américains interrogés - épousent une vision moins favorable des politiques climatiques de la Maison Blanche, faisant remarquer que le pays se dirige dans la mauvaise direction. Seulement 45 % conviennent que ces politiques climatiques sont bonnes pour le pays.
Cette nette division a également été soulignée selon les lignes de parti. Une écrasante majorité de 82% des répondants républicains pensent que les mandats climatiques de Biden sont mauvais pour la nation, contre 15% des répondants du GOP qui pensent le contraire. De l'autre côté de la clôture, 76% des démocrates pensent que le président fait ce qu'il faut avec sa politique climatique, contre 21% qui pensent le contraire.
Malgré cela, l'enquête Pew a révélé que de nombreux Américains soutiennent toujours l'implication des États-Unis dans les efforts de lutte contre le changement climatique à l'échelle internationale. Soixante-quatorze pour cent de l'ensemble des répondants disent qu'ils soutiennent les principaux efforts de l'Amérique pour résoudre le problème, avec 54 % des répondants favorables au GOP et une écrasante majorité de 94 % des répondants favorables aux démocrates partageant également cette opinion. Au vu de ces résultats, il semble que beaucoup ignorent encore que la "lutte contre le changement climatique" n'est qu'une méthode subtile pour priver peu à peu les personnes de leurs libertés.
Regardez ce reportage de Gary Franchi de Next News Network sur la législature du Wisconsin repoussant l'interdiction des véhicules à essence.
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
La Californie décide d'interdire les ventes de voitures à essence d'ici 2035.
Biden utilise la "crise climatique" pour mettre fin à la prospérité américaine.
Les législateurs européens approuvent l'interdiction effective en 2035 des nouvelles voitures à carburant fossile.
NY suit l'exemple de la Californie et interdit les véhicules à essence d'ici 2035.
Les libéraux de Trudeau se rapprochent de l'interdiction de toutes les ventes de véhicules à essence d'ici 2035.
Sources include:
ThePostMillennial.com
PewResearch.org 1
PewResearch.org 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-59-percent-oppose-phaseout-gas-powered-cars.html
Les véhicules électriques hybrides rechargeables produisent cinq fois plus de gaz à effet de serre que ne le prétendent les constructeurs
RépondreSupprimer07/05/2023
Laura Harris
Un nouveau rapport a révélé que les véhicules électriques hybrides rechargeables (PHEV) produisent beaucoup plus de gaz à effet de serre que leurs fabricants ne le prétendent.
Un rapport d'étape du Climate Change Committee (CCC), un organisme public indépendant au Royaume-Uni, a déclaré que les PHEV produisent jusqu'à cinq fois plus de gaz à effet de serre que prévu. Les PHEV combinent un moteur à combustion traditionnel avec une batterie et des moteurs électriques.
Chris Stark, PDG de la CCC, a déclaré que la réalisation des objectifs de zéro net est « d'une lenteur inquiétante ». Il a même critiqué la forte dépendance du gouvernement à la capture du carbone au lieu de demander aux gens de "réduire leurs activités à forte émission de carbone".
Stark a noté que la contribution du secteur des transports aux émissions globales, connue sous le nom de "budget carbone", est plus élevée que prévu. Il a révélé que le gouvernement s'attend désormais à ce que les émissions des transports de surface dépassent les niveaux définis dans la stratégie zéro net d'ici le milieu des années 2030. (Connexe : une étude scientifique explosive montre que les voitures électriques sont PLUS SALES pour la planète que les véhicules diesel.)
En outre, Stark a déclaré que les dernières données montrent que les économies de carbone des voitures hybrides rechargeables sont inférieures aux attentes. Les économies de carbone réelles sont trois à cinq fois inférieures aux hypothèses initiales. Cette révélation a remis en question l'efficacité environnementale des PHEV et leur contribution aux objectifs globaux de réduction des émissions.
Les performances réelles des PHEV dépassent les émissions annoncées
Dans une étude similaire, le groupe de réflexion Transport & Environnement, en collaboration avec l'Université de technologie de Graz en Autriche, a mené des tests prouvant que les derniers modèles PHEV, dont la BMW Série 3 330e xDrive, la Peugeot 308 Hybrid 225 et la Renault Megane E- TECH Plug-in Hybrid 160, émettent au moins trois fois plus de dioxyde de carbone qu'annoncé lorsque les batteries sont complètement chargées.
Les mêmes tests ont révélé que ces véhicules pouvaient émettre jusqu'à sept fois leurs émissions de dioxyde de carbone annoncées lorsqu'ils roulaient uniquement sur des moteurs à combustion lors de trajets urbains typiques.
RépondreSupprimerCe n'est pas la première fois que des inquiétudes concernant les émissions des PHEV sont soulevées. Il y a deux ans, Transport & Environnement a constaté que ces véhicules émettaient plus de gaz carbonique qu'annoncé sur des trajets plus longs. L'examen récent a révélé leur incapacité à atteindre les objectifs d'émissions, même sur les trajets les plus courts.
L'étude a mesuré les émissions et l'autonomie électrique des trois modèles testés. La BMW Série 3 a émis plus de trois fois sa cote officielle sur un itinéraire de banlieue typique, avec des émissions de gaz carbonique de 112 g/km par rapport à la cote officielle de 36 g/km. Les Peugeot 308 et Renault Megane PHEV ont mieux performé mais ont émis 20% et 70 % de gaz carbonique de plus que ce qui est officiellement annoncé.
De plus, l'étude a révélé que les autonomies électriques des véhicules testés étaient inférieures aux chiffres officiels. La Peugeot PHEV n'a parcouru que 20,9 miles en mode électrique par rapport aux 39,1 miles revendiqués, tandis que la BMW a parcouru 25,6 miles au lieu de 34,8 miles. La Renault avait une autonomie électrique de 31 miles, répondant à la demande officielle mais potentiellement insuffisante pour de nombreux navetteurs.
Richard Hebditch, le directeur de Transport & Environment U.K., a souligné la différence entre l'émission annoncée des PHEV et leurs performances dans le monde réel. Il a déclaré: "La vérité est qu'ils polluent beaucoup plus que ce qui est annoncé et constituent une distraction dangereuse de l'électrification complète. Les plans du gouvernement pour décarboner la conduite doivent être basés sur la réalité de leurs émissions, et non sur les affirmations de l'industrie."
Suivez RoboCars.news pour plus d'informations sur les véhicules hybrides et électriques.
Regardez ce clip de "The American Journal" sur InfoWars alors que l'hôte Harrison Smith explique pourquoi les véhicules électriques sont en fait pires pour l'environnement.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
RépondreSupprimerPlus d'histoires liées :
Sondage Consumer Reports : les voitures à essence sont plus fiables que les véhicules électriques.
Le marché des véhicules électriques est déjà en train d'imploser alors que les fabricants réduisent leurs objectifs de production et augmentent considérablement les prix.
Les véhicules électriques ont plus de problèmes de qualité que les voitures à moteur à combustion, selon une nouvelle étude.
Contrairement à ce que les gens croient, les véhicules électriques ne sont pas moins chers que les véhicules à essence.
La Banque mondiale appelle à l'interdiction mondiale des véhicules à moteur à combustion, inconsciente du fait que les véhicules électriques ne sont pas une alternative viable.
Les sources comprennent :
DailyMail.fr 1
DailyMail.co.uk 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-phevs-produce-more-greenhouse-gases-than-claimed.html
Prime moto neuve : Comment bénéficier de l’aide de 6.000 euros ?
RépondreSupprimerLa prime à la conversion pour l’achat d’une moto neuve a été revalorisée, passant de 1 100 euros à 6 000 euros. Cette mesure vise à encourager l’achat de véhicules moins polluants ou électriques. Cependant, certaines conditions doivent être remplies pour en bénéficier.
Par Benoit Vrignaud
le 6 juillet 2023 à 16h30
Prime Moto Neuve Aide 6 000 Euros Conversion Pollution
L'aide ne doit pas dépasser 40 % du prix total du véhicule.
Conditions d'éligibilité à la prime moto neuve
La prime moto neuve à la conversion, désormais fixée à 6.000 euros, a pour objectif de faciliter l'acquisition d'un deux-roues neuf moins polluant ou électrique. Cette aide vise à renouveler le parc de deux-roues existant, dont de nombreux modèles sont jugés trop polluants par rapport aux modèles récents.
Cependant, cette prime ne concerne pas tous les ménages. En effet, l'État a mis en place plusieurs critères limitant l'accès à cette nouvelle subvention. L'aide ne doit pas dépasser 40 % du prix total du véhicule (de 15 000 €). De plus, la moto acquise doit avoir une puissance supérieure à 11 kilowatts. Enfin, seuls les particuliers dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 14.089 euros peuvent en bénéficier.
Contrôle technique pour les deux-roues
En parallèle de cette annonce de revalorisation, le ministre des Transports, Clément Beaune, a donné plus de détails sur le futur contrôle technique pour les deux-roues. Ce contrôle technique, qui devrait coûter environ 50 euros en moyenne, devra d'abord être réalisé tous les cinq ans, puis tous les trois ans.
Le contrôle technique pour les deux-roues comportera quatre fois moins de points de contrôle à vérifier que celui pour les voitures. Il portera sur la sécurité, la réduction des nuisances sonores et le contrôle des émissions. Cette mesure vise à rendre le contrôle technique le plus pertinent, simple et efficace possible. En cas de non conformité, et si les réparations ou changements de pièces devaient coûter trop cher, alors peut-être serait-il temps de penser à bénéficier de la prime moto neuve et d'acquérir un tout nouveau bolide.
https://www.economiematin.fr/prime-moto-neuve-aide-6-000-euros-conversion-pollution-electrique
Amélioration continue, concept clé de l’excellence opérationnelle
RépondreSupprimerL’amélioration continue est un processus visant à améliorer de manière continue les performances d’une entreprise ou d’une organisation. Cela peut inclure des améliorations dans les processus, les produits, les services ou les résultats. Il est souvent associé à des méthodes telles que la gestion de la qualité totale (TQM) et les Six Sigma.
Par Victor Paillaud
le 7 juillet 2023 à 5h00
Les TPE-PME représentent 99% des entreprises de l'Union européenne.
L’objectif est d’identifier et de corriger les problèmes de manière systématique. De sorte à augmenter la satisfaction des clients et à améliorer la rentabilité de l’entreprise.
6 raisons de mettre en place un processus d’amélioration continue
Il y a de nombreux avantages à mettre en place un tel processus, voici les 6 raisons principales :
Amélioration de la qualité : En identifiant et en corrigeant les problèmes de manière systématique, l’amélioration continue permet d’améliorer la qualité des produits, des services et des processus.
Satisfaction des clients : En améliorant la qualité, ce concept permet également d’augmenter la satisfaction des clients.
Réduction des coûts : En identifiant et en éliminant les sources d’inefficacité et de gaspillage, l’amélioration continue permet de réduire les coûts.
Amélioration de l’efficacité : l’optimisation des processus permet d’augmenter l’efficacité et la productivité.
Stimulation de l’innovation : encourager les collaborateurs à proposer des idées d’amélioration permet de stimuler l’innovation et l’esprit d’entreprise.
Renforcement de la culture d’entreprise : En impliquant tous les employés dans les efforts d’amélioration continue, l’entreprise peut renforcer sa culture en faisant de l’amélioration une responsabilité partagée.
Comment la mettre en place ?
Il existe plusieurs étapes pour mettre en place un processus d’amélioration continue :
La première étape est de définir des objectifs clairs et d’identifier des processus clés. En effet, il est important de définir des objectifs précis pour l’amélioration continue. On peut citer notamment la réduction des coûts, l’augmentation de la productivité ou encore l’amélioration de la qualité. Avant de vous lancer, il vous faudra également déterminer les processus clés de l’entreprise qui ont un impact sur les résultats et qui peuvent être améliorés.
La deuxième étape consistera à collecter les données sur les processus clés, afin de pouvoir les analyser et de déterminer les opportunités d’amélioration. L’analyse de ces données sera un point essentiel pour identifier les problèmes et les causes sous-jacentes.
Suite à l’analyse des données et des problèmes remontés, la mise en place d’un plan d’actions sera de circonstance. Cela permettra d’identifier les solutions, en impliquant tous les employés concernés.
Enfin, l’avant dernière étape est de faire le suivi et l’évaluation des solutions mises en place, de manière à s’assurer qu’elles ont bien amélioré les résultats et à identifier de nouveaux problèmes à résoudre.
Pour terminer, la communication ! Il est important de communiquer sur les résultats obtenus, les solutions mises en place, les enseignements tirés et les prochains axes d’amélioration afin d’impliquer tous les employés et de renforcer la culture d’amélioration continue.
Un pilier de l’excellence opérationnelle
RépondreSupprimerL’excellence opérationnelle est un concept qui vise à améliorer de manière continue la performance globale d’une entreprise en se concentrant sur l’optimisation des processus, l’amélioration de la qualité et l’augmentation de la satisfaction des clients. Les méthodes couramment utilisées pour atteindre l’excellence opérationnelle incluent notamment la gestion de la qualité totale (TQM), les Six Sigma et les systèmes de gestion de la performance.
L’amélioration continue est l’un des principaux piliers de l’excellence opérationnelle. En effet, c’est un processus continu qui vise à identifier et à corriger les problèmes de manière systématique, à améliorer les processus, les produits et les services, et à augmenter la satisfaction des clients. Les deux concepts sont donc étroitement liés, car ils visent tous les deux à améliorer les performances globales de l’entreprise.
https://www.economiematin.fr/amelioration-continue-concept-excellence-entreprise-developpement-paillaud
Primo il faut que l'employeur puisse avoir la liberté de choisir ses employé(e)s. Car l'arrivée d'immigré(e)s baisse forcément le QI d'une entreprise.
SupprimerSecundo, les employé(e)s veulent toutes et tous être riches (en général jouent au PMU ou loterie nationale pour l'être). Donc, s'il il y a volonté de gagner de l'argent il doit y avoir un QI adéquat à l'entreprise et non au gouvernement qui n'en a pas.
RSA : les allocataires vivent sous le seuil de pauvreté
RépondreSupprimerEn France, le Revenu de Solidarité Active (RSA) est un instrument clé dans la lutte contre la pauvreté. Cependant, malgré son rôle crucial, le RSA ne parvient pas à éradiquer la pauvreté. Cet article explore les défis et les opportunités du RSA dans la lutte contre la pauvreté.
Par Paolo Garoscio
le 7 juillet 2023 à 13h07
Le RSA atteindra 608,12 euros pour une personne seule en mai 2023.
Le RSA: un bouclier contre la grande pauvreté
Le RSA, attribué à plus de deux millions de foyers en France, est un outil essentiel pour lutter contre la pauvreté. Il offre une protection efficace contre la "très grande pauvreté", définie comme 40% du revenu médian national. En effet, seulement 16 % des bénéficiaires du RSA souffrent de cette extrême pauvreté. Cependant, le Revenu de solidarité active ne permet pas à ses bénéficiaires de franchir le seuil de pauvreté, fixé à 60 % du revenu médian. En effet, 65 % des bénéficiaires du RSA vivent sous ce seuil de pauvreté.
Fin 2017, selon les données de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), la moitié des personnes touchant le RSA ont un « niveau de vie inférieur à 940 euros par mois ». Or, en moyenne, le niveau de vie des Français est près de deux fois supérieur : 1.770 euros par mois.
Les bénéficiaires de minima sociaux, selon la DREES, touchent en moyenne 550 euros. Ce qui représente tout de même 35 % du revenu disponible de ces ménages. Mais ce sont les bénéficiaires du RSA qui sont les plus pauvres.
Le retour à l'emploi: un objectif non atteint
L'objectif principal de cette aide est de faciliter le retour à l'emploi de ses bénéficiaires. Cependant, cet objectif n'est pas atteint pour près des deux tiers de ses bénéficiaires. Le taux de retour à l'emploi des bénéficiaires du RSA est de 3,9% par mois en 2019, très inférieur à celui de la moyenne des demandeurs d'emploi (8,2 %). De plus, les emplois obtenus sont souvent plus précaires. Sept ans après l'entrée au Revenu de solidarité active, selon la DREES, seulement 34% des bénéficiaires ont quitté le dispositif et sont en emploi, dont seulement un tiers de façon stable.
L'accompagnement des bénéficiaires du RSA est un défi majeur. Environ 40 % des bénéficiaires ne disposent pas de contrat d'accompagnement, un document obligatoire pour formaliser les engagements respectifs des pouvoirs publics et de l'allocataire. De plus, l'accompagnement offert est souvent inadapté aux difficultés spécifiques des bénéficiaires du RSA. Les bénéficiaires suivis par Pôle emploi bénéficient de moins d'une prestation par an en moyenne, de type atelier ou formation.
- voir cadre sur site:
https://www.economiematin.fr/rsa-lutte-pauvrete-argent-menages-inegalites-france
(...) Les bénéficiaires de minima sociaux, selon la DREES, touchent en moyenne 550 euros. Ce qui représente tout de même 35 % du revenu disponible de ces ménages. Mais ce sont les bénéficiaires du RSA qui sont les plus pauvres. (...)
SupprimerEt les paysans qui touchent 300 €/mois (retraite) sont de la merde ?
L’Union Européenne veut encore plus d’OGM, on les appellera désormais NGT !
RépondreSupprimerVous savez quand il y a un scandale et que l’on souhaite passer à autre chose, il est toujours utile de changer le nom du machin incriminé. Le Crédit Lyonnais est devenu le LCL, Vivendi et la faillite retentissante des années Messier est devenu Véolia pour sa partie « eaux ». France Telecom est devenue Orange, ou encore après un crash, la Germanwings deviendra Eurowings.
Par Charles Sannat
le 6 juillet 2023 à 10h00
Les OGM représente 10 % des surfaces cultivées mondiales.
Pour les OGM c’est un peu la même chose.
Les OGM dans l’esprit des gens c’est dangereux et biologiquement risqué! Alors, l’Union Européenne prépare déjà le changement de nom de ces petites plantes et parle désormais de « biotechnologies ».
Ces biotechnologies c’est des NBT pour « new breeding techniques » ou nouvelles techniques génomiques en bon français dans le texte.
« Dans sa proposition présentée mercredi, la Commission suggère de diviser les NGT (ou NBT pour « new breeding techniques ») en deux catégories, en exonérant de la législation sur les OGM les NGT donnant lieu à des modifications pouvant survenir naturellement ou via un processus de sélection traditionnel (mutagénèse, cisgénèse). »
« L’exécutif européen explique que la directive OGM de 2001 n’est plus « adaptée » à ces biotechnologies permettant aux agriculteurs d’avoir accès à des semences plus résistantes en utilisant moins d’engrais ou pesticides. »
« Les écologistes estiment que ces « nouveaux OGM », qui impliquent une modification génétique, devraient rester soumis aux règles actuelles. »
Toujours la même technique itérative.
Et quel que soit le secteur ou le sujet, c’est toujours la même technique itérative qui est utilisée par le système et le pouvoir en place. Ils y vont toujours progressivement.
Après avoir inoculé des centaines de millions de gens aux vaccins ARN Messager qui ne sont jamais rien que des OGM vaccinaux, il est évident, que l’opposition populaire sera infiniment plus faible, surtout quand on expliquera aux masses incultes, que, ce que l’on a fait avec « succès » pour vaincre le Covid, nous pouvons le faire avec les plantes et les graines, pour vaincre la faim dans le monde.
RépondreSupprimerLe moment choisi par l’Union Européenne pour modifier la législation actuelle sur les OGM ne doit strictement rien au hasard.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/ngt-ogm-union-europeenne-reglementation-genetique-science-sannat
Un guide à travers le génome des plantes cultivées
RépondreSupprimer6 Juillet 2023
Arne Claussen, Université Heinrich-Heine de Düsseldorf*
Les plantes présentent une énorme variété de caractéristiques pertinentes pour la sélection, telles que la hauteur des plantes, le rendement et la résistance aux ennemis des cultures. L'un des plus grands défis de la recherche moderne sur les plantes est d'identifier les différences dans l'information génétique qui sont responsables de cette variabilité. Une équipe de recherche dirigée par le groupe de travail « Rendement des cultures » de l'Institut de Physiologie Moléculaire de l'Université Heinrich-Heine de Düsseldorf (HHU) et de la Carnegie Institution of Science de Stanford a mis au point une méthode permettant d'identifier précisément ces différences particulières dans l'information génétique. En utilisant l'exemple du maïs, ils démontrent le grand potentiel de leur méthode dans la revue Genome Biology et présentent des régions du génome du maïs qui pourraient contribuer à augmenter les rendements et la résistance aux ennemis des cultures lors de la sélection.
Guide du génome du maïs : Une nouvelle méthode permet d'identifier les différences d'informations génétiques responsables de la variation des caractéristiques des plantes entre les différentes variétés. Cette méthode peut être utilisée pour une sélection ciblée en vue d'augmenter les rendements, par exemple. (Image : HHU / Paul Schwaderer, andriigorulko / valiantsin - stock.adobe.com)
Le schéma directeur de tous les organismes est codé dans leur ADN. Celui-ci comprend les gènes qui codent les protéines et déterminent les caractéristiques intrinsèques d'un organisme. En outre, il existe d'autres sections importantes de l'ADN, en particulier les régions qui contrôlent la régulation des gènes, c'est-à-dire quand, dans quelles conditions et dans quelle mesure les gènes sont activés.
Toutefois, par rapport aux gènes, ces régions régulatrices – également appelées « éléments cis » – sont difficiles à trouver. Or, ce sont précisément les modifications de ces éléments d'ADN qui sont en grande partie responsables des différences entre les organismes, et donc entre les différentes variétés de plantes.
Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont découvert que les régions régulatrices sont des sites de liaison de protéines spécifiques. Ces dernières, appelées facteurs de transcription, déterminent le moment et la durée de l'activation des gènes.
Le Dr Thomas Hartwig, l'un des auteurs à qui la correspondance peut être adressée, qui dirige le groupe de recherche sur le rendement des cultures à l'Institut de Physiologie Moléculaire de l'Université Heinrich-Heine et à l'Institut Max Planck de Recherche sur l'Amélioration des Plantes (MPIPZ) à Cologne a déclaré : « Trouver les quelques variations qui sont essentielles pour modifier des caractéristiques telles que la résistance aux ennemis des cultures parmi les millions et les millions de différences non causatives du génome est la recherche ultime d'une aiguille dans une botte de foin. »
« Contrairement aux gènes codant pour des protéines, les sites de régulation ne peuvent généralement pas être identifiés sur la base de la seule séquence. Il est donc très difficile de les localiser. Notre méthode utilise des plantes hybrides pour mesurer les effets directs de la variation de la séquence d'ADN sur la liaison des facteurs de transcription », explique l'auteur principal, le professeur Zhi-Yong Wang, de la Carnegie Institution for Science.
RépondreSupprimerL'étude a été réalisée en collaboration avec des chercheurs de l'Institut Leibniz de Génétique Végétale et de Recherche sur les Plantes Cultivées (IPK) de Gatersleben, ainsi qu'avec l'Université de Nebraska-Lincoln et l'Université d'État de l'Iowa aux États-Unis.
En utilisant des hybrides, c'est-à-dire la première génération de plantes créées par le croisement de deux variétés, l'équipe de recherche peut comparer les régions régulatrices qui diffèrent sur l'ensemble du génome. Le Dr Julia Engelhorn, co-auteure de l'étude, explique : « Notre méthode analytique nous permet de mesurer précisément si les facteurs de transcription se lient davantage au génome maternel ou paternel. » Cette procédure a également permis à l'équipe d'identifier des milliers de différences associées à des caractéristiques telles que le rendement et la résistance aux ennemis des cultures chez le maïs.
La technologie a été démontrée pour un facteur de transcription dans la voie des brassinostéroïdes, une hormone liée à la croissance et aux maladies. Le professeur Dr Wolf B. Frommer, directeur de l'institut : « L'équipe a identifié des milliers de variations génomiques qui peuvent expliquer pourquoi une variété de maïs se comporte différemment en termes de rendement ou de résistance aux maladies. De plus, l'équipe a pu montrer que ces différences sont presque autant génétiques qu'épigénétiques. » L'épigénétique décrit les processus qui influencent l'activité des gènes sans être codés dans la séquence d'ADN elle-même.
L'un des principaux résultats de l'étude est une liste de plus de 6.000 régions du génome qui peuvent être ciblées pour la sélection végétale. Il peut s'agir de régions par lesquelles s'expriment, dans certaines variétés de maïs, des caractères positifs dont d'autres plantes sont dépourvues.
M. Hartwig : « Savoir à quel endroit du génome les méthodes modernes de sélection peuvent être appliquées pour transférer des caractéristiques de certaines variétés à d'autres est d'une grande importance pour la biotechnologie. Notre étude peut servir de guide pour trouver ces régions intéressantes du génome. » Le professeur Frommer ajoute : « Les résultats de l'étude jettent les bases de l'utilisation de techniques modernes pour produire de nouvelles variétés de maïs en combinant habilement les variantes optimales. »
L'étude a été financée par le pôle d'excellence CEPLAS de la HHU, la Fondation Allemande pour la Recherche (DFG), la Carnegie Institution for Science, le professeur Alexander von Humboldt Wolf B. Frommer, les National Institutes of Health des États-Unis et le Ministère de l'Économie, du Tourisme, de l'Agriculture et de la Sylviculture de Saxe-Anhalt.
RépondreSupprimerLire l'article : Thomas Hartwig, Michael Banf, Gisele Passaia Prietsch, Jia-Ying Zhu, Isabel Mora-Ramírez, Jos H.M. Schippers, Samantha, J. Snodgrass, Arun S. Seetharam, Bruno Huettel, Judith, Kolkman, Jinliang Yang, Julia Engelhorn, Zhi-Yong Wang: Hybrid allele-specific ChIP-seq analysis identifies variation in brassinosteroid-responsive transcription factor binding linked to traits in maize. Genome Biology 2023.
DOI: 10.1186/s13059-023-02909-w
Source de l'article : Université Heinrich-Heine de Düsseldorf
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Source : A guide through the genome of crops - The Global Plant Council
https://seppi.over-blog.com/2023/07/un-guide-a-travers-le-genome-des-plantes-cultivees.html
Provoquer un rejet en agitant la peur : le Corporate Europe Observatory
RépondreSupprimer6 Juillet 2023
David Zaruk (Risk-monger)*
Le Corporate Europe Observatory (CEO) est l'une des principales voix de la campagne militante contre les semences génétiquement modifiées et les technologies agricoles en général. Au cours des trois dernières années, il a publié 26 rapports ou documents de campagnes contre l'agrotechnologie. Son rapport qui affirme que les nouvelles technologies d'amélioration des plantes ne sont que des OGM 2.0, a été largement cité dans la campagne de 2018 visant à amener la Cour de Justice de l'Union Européenne à statuer que les innovations par édition de gènes devraient relever de la directive restrictive de l'UE sur les OGM de 2001.
Alors que d'autres ONG se retirent de la campagne contre l'édition de gènes, le CEO devient la dernière voix forte de protestation au sein d'un groupe disparate d'alarmistes propagateurs de fake news. La peur du public à l'égard de l'amélioration des plantes, de l'édition des gènes et de la modification génétique s'estompe à mesure que leur présence depuis trois décennies dans la chaîne alimentaire devient banale (ce que j'ai appelé la « banalisation » des risques communs), de sorte que les ONG militantes doivent devenir plus créatives dans leurs campagnes axées sur la peur.
Le Corporate Europe Observatory a élaboré un récit dans lequel les grandes entreprises prennent le contrôle de la chaîne alimentaire à l'aide de « produits chimiques toxiques et de biotechnologies inconnues ». En propageant cette peur, ils envisagent un monde alternatif de petits agriculteurs biologiques qui nourrissent les communautés locales grâce à des semences ancestrales et sans intrants de synthèse.
D'après les informations accessibles au public, il semble que le CEO n'emploie pas d'agronomes et ne dispose d'aucune capacité de recherche sur les semences. Leur budget ne comprend pas de consultants scientifiques ni de frais de laboratoire. Les militants qui produisent leurs multiples rapports ont peu de connaissances scientifiques. Leur argumentation contre l'amélioration des plantes et l'édition des gènes n'est pas fondée sur les faits ou la science. Ils se contentent de faire campagne sur le fait que la technologie provient de grandes entreprises ou qu'elle est financée par l'industrie. Leurs innovations, leur science, ne sont donc pas dignes de confiance et doivent être exclues du processus politique.
L'horreur plutôt que les faits
RépondreSupprimerLe CEO a tissé une image de l'industrie qui la présente comme étant vraiment horrible – des sociétés cupides et trompeuses uniquement préoccupées par les profits et heureuses de voir les innocents et les vulnérables souffrir alors qu'elles détruisent l'environnement. Lesquelles ? Toutes !Cette horreur, associée à la victimisation des « gens comme nous », est plus puissante que la peur d'une incertitude liée à un risque potentiel. « L'horreur » crée un sentiment d'indignation, de rejet, qui pousse à agir et à lutter contre l'injustice des entreprises.
Réminiscence de l'alarmisme viral récent. Crédit : Carola Salvi et al.
Ce détournement par la peur isole l'argument au niveau politique. Il ne s'agit plus d'agir en fonction des faits et des preuves, mais plutôt de ne pas agir en raison de la nature perçue des personnes et des organisations impliquées. Les gens sont prêts à croire des affirmations ridicules lorsqu'ils sont remplis d'indignation face à quelque chose présenté comme vraiment horrible.
C'est ainsi qu'une fausse nouvelle est devenue crédible : une entreprise de taille moyenne comme Monsanto aurait eu des valises remplies d'argent liquide pour payer tous les régulateurs gouvernementaux et les scientifiques universitaires. Cette campagne de création de l'indignation s'est même répercutée sur les procès relatifs au glyphosate, les jurés exigeant des compensations se chiffrant en milliards de dollars parce que le directeur de la recherche de Monsanto n'a pas rappelé un jardinier qui s'était renversé du glyphosate dans le dos.
Les attaques malveillantes du CEO ne se contentent pas de diffuser des fausses nouvelles à l'encontre des entreprises. Elles semblent exceller aussi dans l'art de salir la réputation personnelle des scientifiques universitaires qui ont travaillé sur des projets avec l'industrie (ou qui ont même simplement été consultants pour elle). En publiant des articles d'agression contre des scientifiques respectés comme le professeur Alan Boobis, le message du Corporate Europe Observatory est clair : si vous coopérez avec l'industrie, nous vous ferons du mal. Les décideurs politiques et les régulateurs craignent ces pitbulls et ont donc tout simplement cessé de s'engager directement avec les représentants de l'industrie. Lorsque j'ai remporté un succès limité dans la campagne visant à réautoriser le glyphosate dans l'UE en 2016, Martin Pigeon, du CEO, a travaillé avec un universitaire pour que je sois démis de mes fonctions de conférencier à l'université. Je suppose que j'étais vraiment horrible.
Le CEO a réussi à créer un rejet par la peur en associant les faibles risques de l'édition des gènes à l'horreur de l'industrie (et de tous ceux qui la soutiennent).
Protester contre l'industrie... dans les champs
L'argument selon lequel la chaîne alimentaire est désormais dominée par de grands groupes industriels ne se limite pas aux grandes entreprises chimiques et semencières. Des groupes d'activistes comme le CEO protestent désormais contre tout développement agricole d'envergure où l'utilisation de la technologie créerait des avantages qui seraient injustes pour les petits agriculteurs (généralement biologiques). L'« agriculture industrielle » est la nouvelle horreur.
La nouvelle la plus alarmante de l'année 2022 a été la campagne menée par un groupe de paysans qui s'en est pris aux agriculteurs français construisant des bassins d'irrigation. Face à des années successives de sécheresse estivale, les militants exigent une agriculture moins intensive plutôt que d'investir dans des technologies de base (que les petits exploitants biologiques ne pourraient pas développer). En octobre, des milliers de militants ont attaqué un projet d'irrigation à Sainte-Soline, ce qui s'est traduit par l'hospitalisation de dizaines de policiers et la diffusion de leur message naïf d'un autre mode d'agriculture (sans irrigation).
RépondreSupprimerLe détournement par la peur et le discours anti-industrie du CEO ont maintenant alimenté un programme anti-agriculture. Je n'ai peut-être pas la même définition du mot « horrible ».
https://seppi.over-blog.com/2023/07/provoquer-un-rejet-en-agitant-la-peur-le-corporate-europe-observatory.html
Pratiques patrimoniales des petits agriculteurs contre « faux programme sur le changement climatique » contrôlé par les grandes entreprises
RépondreSupprimerPar Bharat Dogra
Recherche mondiale,
6 juillet 2023
Au milieu de plusieurs problèmes croissants du secteur alimentaire et agricole, un aspect rassurant est que les différentes solutions ne sont pas en conflit les unes avec les autres et donc tous les problèmes peuvent être résolus simultanément en adoptant les bonnes politiques.
Cela devient plus clair en examinant les priorités les plus souhaitables et les politiques d'accompagnement pour le secteur alimentaire et agricole :
la production d'aliments sains, nutritifs et sûrs à la ferme,
sa transformation uniquement de manière à maintenir la santé, la sécurité et une nutrition saine de manière naturelle sans additifs nocifs,
la protection du sol, le maintien et l'amélioration de sa teneur organique et de sa porosité pour conserver l'eau,
conserver l'eau, fournir une irrigation de protection mais en même temps éviter une irrigation excessive et inutile et éviter également les cultures commerciales trop gourmandes en eau pour une région,
protéger les vers de terre et les micro-organismes qui améliorent la conservation des sols et de l'eau, protéger tous les insectes, abeilles, oiseaux et pollinisateurs amis et maintenir l'équilibre de la nature dans l'environnement local dans lequel même les araignées, les hiboux et les vautours jouent leur rôle utile,
assurer des moyens de subsistance durables, sains, créatifs et satisfaisants à tous ceux qui choisissent la production et la transformation alimentaires comme moyen de subsistance à temps partiel ou à temps plein,
maximiser le potentiel de la transformation alimentaire locale et villageoise à petite échelle,
réglementation du commerce alimentaire de manière à ce que, d'une part, les agriculteurs et, d'autre part, les artisans et petits transformateurs d'aliments (les deux activités peuvent également être combinées dans la même famille agricole ou unité agricole) obtiennent l'essentiel du prix de détail réalisé tandis que les commerçants obtiennent un plus petit mais juste part,
la technologie agricole devrait être rendue aussi autonome que possible en termes d'utilisation maximale des ressources locales tout en réduisant au minimum les coûts des intrants pour les agriculteurs,
l'utilisation de combustibles fossiles, que ce soit sous forme d'engrais chimiques, de pesticides, de diesel, etc., doit être minimisée et aucune subvention ne doit être accordée spécifiquement à cet effet,
toutes les subventions devraient être accordées directement à tous les petits et moyens agriculteurs, et celles-ci devraient être les plus élevées pour ceux qui adoptent les politiques les plus respectueuses de l'environnement et produisent les aliments nutritifs les plus sains, les plus sûrs et les plus sains,
RépondreSupprimertous les petits et moyens agriculteurs qui produisent des aliments sûrs, sains et nutritifs devraient être assurés d'un prix équitable pour cela, une grande partie étant achetée directement dans le village par les agences d'approvisionnement du gouvernement pour l'approvisionnement des programmes de nutrition locaux et du système de distribution public du village ainsi que des communes voisines ainsi que des stockages de stocks tampons,
le concept de minimisation des kilomètres alimentaires doit être soigneusement suivi,
dans la mesure du possible, au moins des terres agricoles devraient être trouvées pour toutes les familles rurales sans terre désireuses de les cultiver, et des jardins potagers pour tous devraient être encouragés,
les ménages sans terre qui ne peuvent toujours pas obtenir de terres agricoles dans le village devraient être impliqués dans les efforts communautaires, soutenus par le gouvernement, consistant à utiliser les terres vacantes dans ou à proximité du village pour cultiver un mélange d'espèces d'arbres indigènes fournissant des fruits, des fruits secs, du fourrage, des médicaments , oléagineux ou huile comestible etc . et ils devraient obtenir des droits sur cette terre ,
Les animaux de ferme doivent être bien nourris et suffisamment de fourrage et de tourteaux sains doivent être produits au niveau du village pour eux, une plus grande attention doit également être accordée à l'amélioration des pâturages,
cultiver une grande diversité de cultures et de variétés de cultures dans des systèmes agricoles mixtes harmonieux (y compris les arbres) et des rotations de cultures, en accordant la plus haute priorité aux besoins alimentaires et nutritionnels locaux tout en protégeant et en conservant une grande diversité de semences et de variétés indigènes.
Une telle liste peut certainement être élargie, mais cela donne une bonne idée des priorités souhaitables. Étant plus familier avec les conditions de l'Inde, cet écrivain a exprimé une vision plus dans le contexte de l'Inde, mais sûrement beaucoup de cela serait également pertinent dans plusieurs autres pays.
Ces priorités et politiques prises ensemble ont deux caractéristiques très remarquables. Premièrement, comme indiqué précédemment, toutes ces politiques et priorités sont mutuellement cohérentes les unes envers les autres et peuvent coexister avec bonheur. En général, ils se soutiennent également les uns les autres et il n'y a certainement pas de conflit ou de contradiction entre eux.
RépondreSupprimerEn effet, ceux-ci font partie intégrante d'une réflexion globale qui cherche à rassembler les préoccupations de justice, de paix, de santé et de nutrition de tous, de durabilité, de protection de l'environnement et de toutes les formes de vie, lorsqu'elles sont appliquées au secteur alimentaire et agricole.
Deuxièmement, un aspect non moins remarquable est que si toutes ces priorités et politiques étaient très souhaitables avant que le changement climatique ne devienne un gros problème , exactement les mêmes politiques et priorités sont devenues encore plus pertinentes dans le contexte du besoin très pressant d'atténuation du changement climatique et adaptation.
Qu'il s'agisse de réduire considérablement l'utilisation des combustibles fossiles ou d'absorber le dioxyde de carbone, le mélange complet de politiques et de priorités (que l'on peut aussi qualifier de pratiques patrimoniales parce qu'elles ont évolué à partir de la sagesse de plusieurs générations d'agriculteurs) qui ont été bonnes pour la santé et la nutrition, pour la conservation des sols et de l'eau, pour la justice et l'égalité, se révèlent également bonnes pour l'atténuation et l'adaptation au changement climatique.
Par conséquent, ce qu'impliquent l'atténuation et l'adaptation au changement climatique dans le contexte de l'agriculture et de l'alimentation, c'est ce que plusieurs générations d'agriculteurs savaient déjà bien mais avaient abandonné ces derniers temps sous l'impact croissant des intérêts des grandes entreprises.
Par conséquent, l'atténuation et l'adaptation au changement climatique sont également, de manière très significative, un processus visant à se débarrasser des impacts et des influences indésirables imposés par les intérêts des grandes entreprises dont l'objectif principal a été d'augmenter leurs profits, le contrôle et la domination de ce secteur tout en augmentant l'utilisation des combustibles fossiles, la pollution, monocultures, surexploitation de l'eau et des sols, perte de diversité des semences traditionnelles, déracinement des systèmes de polyculture et de rotation des cultures séculaires, endettement et perte de terres chez les petits agriculteurs.
Malgré un dossier aussi largement documenté, les intérêts des grandes entreprises exigent maintenant qu'on leur confie le rôle de chef de file dans l'atténuation et l'adaptation au changement climatique dans le contexte de ce secteur, afin qu'ils puissent fortement déformer l'ensemble du programme pour le rendre encore plus adapté à des niveaux encore plus élevés de leurs profits et de leur contrôle.
RépondreSupprimerC'est la principale menace qui existe aujourd'hui dans le secteur de l'alimentation et de l'agriculture - l'ensemble du programme de changements souhaitables étant déformé par les intérêts des grandes entreprises armées de technologies hautement perturbatrices comme celle des cultures GM. Cette menace devrait être largement combattue.
*
Bharat Dogra est l'organisateur honoraire de la Campagne pour sauver la Terre maintenant. Ses livres récents incluent India's Quest for Sustainable Farming and Healthy Food, Man over Machine et When the Two Streams Met. Il contribue régulièrement à Global Research.
https://www.globalresearch.ca/heritage-practices-small-farmers-helping-check-climate-change-but-threatened-by-big-business/5824908
Bharat Dogra est un con qui ne sait rien mais qui parle ! 'cultiver une grande diversité de cultures et de variétés de cultures' s'adresse aux jardiniers ! Une rangée de poireaux, une de tomates, une d'oignons, une de melons, une d'asperges, une de... etc, etc !
SupprimerUn paysan lui va se limiter à 3 rangs de pommes de terre et ou tomates et va s'occuper de ses hectares de vignes, de son blé ou des vaches. Un paysan n'a pas 36 bras !
Puis, le con parle de (changement de saisons) changement climatique !! Il est en colère parce que l'hiver il fait froid et l'été... il fait chaud ! Çà alors !! Le matin c'est 15 °C et l'après-midi 25 ou 30°C !!
Les marchés chutent car l’économie ne chute pas assez vite !
RépondreSupprimerLa réaction des marchés semble toujours tordue pour le commun des mortels, pourtant les réactions sont toujours « logiques », une logique parfois ou souvent très cynique il est vrai.
Par Charles Sannat
le 7 juillet 2023 à 10h30
La baisse des achats de produits de grande consommation a été de 5% au premier trimestre 2023.
Avec cette histoire d’inflation et d’emploi nous avons un excellent exemple de ce cynisme.
Pour résumer rapidement et schématiquement, pour baisser l’inflation il faut baisser la demande de tous les bidules que les entreprises peuvent fabriquer et vendre. Pour baisser la demande de bidules, il suffit de baisser la quantité de monnaie disponible dans le monde, comme ça il y a moins de sous pour acheter des bidules. Pour baisser la quantité d’argent en circulation, on augmente les taux d’intérêt, enfin pas « on » mais les banques centrales et en plus elles retirent des liquidités.
A force de retirer des sous du système économique en rendant les prêts plus chers, il y a moins de sous en circulation et donc moins d’argent pour acheter des bidules.
Au bout d’un moment, les entreprises vendant moins de bidules, elle réduisent la production de bidules et cessent d’embaucher des gens pour fabriquer ces bidules, avant de même en licencier si les ventes de bidules continuent à chuter.
Et c’est exactement ce qu’il se passe.
La vente de bidules diminue sensiblement. Bon surtout en France… la courbe bleue chute considérablement au moment du Covid puisque nous étions enfermés et que nous ne pouvions rien acheter sauf de l’alimentaire. Donc la consommation de bidules s’effondre mais pas celle alimentaire qui augmente en 2020. Puis après avec l’arrivée de l’inflation en 2022, toutes les ventes de bidules alimentaires ou non s’effondrent et c’est du jamais vu depuis 1980.
Vous remarquerez également que notre consommation de bidules a doublé depuis 1980, ce qui n’est pas le cas de notre niveau de bonheur, mais bien le cas du niveau de pollution !
Le problème n’est donc pas l’écologie, le nombre d’humains ou le recyclage, mais bien le fait que nous consommons tout simplement trop de bidules, mais c’est un autre sujet.
Consommation En France
RépondreSupprimerLes ventes de bidules s’effondrent… mais… l’emploi reste dynamique !
« Le secteur privé aux Etats-Unis a créé plus d’emploi que prévu en juin, montre jeudi l’enquête mensuelle du cabinet ADP, signe d’un marché du travail qui demeure dynamique malgré la hausse continue des taux d’intérêt qui pourrait provoquer une récession.
L’enquête ADP recense 497 .000 créations de postes, le niveau le plus élevé depuis février 2022.
Les économistes interrogés par Reuters en prévoyaient en moyenne 228.000, tandis que les estimations s’échelonnaient entre 95.000 et 334.000 créations de postes.
ADP a révisé en baisse les résultats de l’enquête de mai, qui montrent désormais 267.000 emplois créés alors que les résultats initiaux en faisaient ressortir 278.000. »
Vous l’avez compris, il n’y a pas assez de chômeurs pour réellement calmer l’économie malgré la chute importante de la consommation, les marchés craignent que les banques centrales soient obligées de poursuivre la hausse des taux, et ça, c’est une très mauvaise nouvelle.
La FED toujours sous pression.
« Le compte-rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Fed montre que presque tous les responsables de la banque centrale s’attendent à de nouvelles hausses de taux dans les mois à venir.
« Les banques centrales voient le verre à moitié plein concernant les risques d’inflation, et les dernières ‘minutes’ de la Fed font écho aux inquiétudes de la BCE (et de la BoE) », expliquent les stratégistes d’ING.
Le contexte géopolitique est également négatif, Pékin ayant prévenu que ses mesures de rétorsion prises contre les Etats-Unis n’étaient « qu’un début », alors que la secrétaire d’Etat au Trésor Janet Yellen débute trois jours de visite diplomatique en Chine. »
Comme je vous le dis depuis plusieurs années maintenant, la démondialisation en cours est fortement inflationniste.
RépondreSupprimerLes banques centrales risquent donc de continuer à hausser aussi bien le ton que les taux pour réduire l’inflation, ce qui, immanquablement finira par créer une crise sur les marchés boursiers.
Ils baissent aujourd’hui et cela valide bien le mécanisme archi connu. Hausse des taux = baisse des marchés boursiers et obligataires (sans oublier l’immobilier).
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/baisse-marches-chute-economie-consommation-crise-sannat
Big Win contre Big-Tech Censors aux États-Unis montre que les Australiens ont besoin d'un référendum différent - un pour la liberté d'expression
RépondreSupprimerPar Jo Nova
July 7th, 2023
Un juge américain a finalement statué sur ce que nous savions depuis le début - qu'il n'est pas acceptable que le gouvernement américain s'entende avec Big Tech pour faire taire les critiques et les opposants politiques.
C'est un rappel que les Australiens n'ont pas le droit à la liberté d'expression. Il est temps que notre propre "premier amendement" soit inscrit dans la constitution. Au lieu d'un référendum pour une voix pour certains Australiens (qui a lieu cette année), nous avons besoin d'un référendum pour une voix pour tous les Australiens - un référendum qui garantisse leur droit de parler, quelle que soit la couleur de leur peau, où leurs ancêtres ont vécu ou pour quelle équipe ils votent.
- voir photo sur site -
La liberté d'expression. 1er amendement américain
Newseum Tablette du premier amendement | Photo par DBKing. Modifié.
Les États républicains américains pourraient encore nous sauver tous – les procureurs généraux de la Louisiane et du Missouri ont accusé la bureaucratie Biden de collusion active avec les géants de la technologie pour suspendre les critiques ou supprimer les commentaires. Enfin, un juge d'un tribunal de district a décidé que cela devait cesser.
Le juge porte un coup majeur à l'administrateur de Biden dans une affaire de censure des médias sociaux
Par Tony Ozimek, The Epoch Times
Un juge fédéral a rendu une décision historique en accordant partiellement une injonction qui empêche divers responsables de l'administration Biden et des agences gouvernementales telles que le ministère de la Justice et le FBI de travailler avec de grandes entreprises technologiques pour censurer les publications sur les réseaux sociaux.
Enfin, quelque chose qui ralentit le complexe de la censure industrielle - regardez combien d'agences gouvernementales sont nommées :
Le juge Terry A. Doughty du tribunal de district américain du district ouest de la Louisiane a écrit dans la décision du 4 juillet (pdf) que divers organismes gouvernementaux, dont la Cybersecurity and Infrastructure Agency, le Department of Homeland Security (DHS), le State Department, il est interdit au ministère de la Justice (DOJ) et aux Centers for Disease Control and Prevention de prendre une série d'actions concernant les entreprises de médias sociaux.
RépondreSupprimerDans l'immédiat, ces agences ne doivent pas téléphoner, envoyer des e-mails, envoyer des messages ou communiquer avec les géants des médias sociaux avec une quelconque pression pour supprimer les opinions. Cela fait déjà son effet. Le département d'État vient d'annuler les réunions avec Facebook.
"Cela pourrait être sans doute l'un des cas les plus importants du premier amendement de l'histoire moderne", a déclaré le procureur général de Louisiane, Jeff Landry, l'un des plaignants, aux "American Thought Leaders" d'Epoch Times dans une interview à la suite de la décision.
«Si vous regardez l'opinion du juge, il tire de notre argument qu'il s'agit fondamentalement de l'une des entreprises les plus massives du gouvernement fédéral pour limiter le discours américain dans l'histoire de notre pays. Les choses que nous avons découvertes, dans ce cas, devraient être à la fois choquantes, épouvantables et préoccupantes pour tous les Américains. »
Le juge a expliqué que le gouvernement avait usé de son pouvoir pour faire taire l'opposition :
« Opposition aux vaccins COVID-19 ; opposition au masquage et aux confinements liés au COVID-19 ; opposition à la théorie des fuites de laboratoire de COVID-19 ; opposition à la validité des élections de 2020 ; opposition aux politiques du président Biden ; des déclarations selon lesquelles l'histoire de l'ordinateur portable de Hunter Biden était vraie ; et l'opposition aux politiques des responsables gouvernementaux au pouvoir. Tous ont été supprimés », a écrit Doughty.
— Tout lire sur The Epoch Times
Ce jugement est encore trois ans trop tard, et toujours susceptible d'appel. Beaucoup sont morts ou ont subi des blessures débilitantes qui auraient pu être épargnées si les voix n'avaient pas été supprimées. Les gens auraient peut-être voté différemment s'ils avaient eu connaissance de l'ordinateur portable de Hunter Biden. Les guerres n'ont peut-être pas eu lieu.
L'administration Biden a déjà fait appel, comme le ferait n'importe quel tyran en herbe – ce qui montre à quel point ce pouvoir de censure est important pour eux. Les deux principaux procureurs généraux ont juré de se battre jusqu'à la Cour suprême. Robert Malone conseillait le procureur général Jeff Landry de la Louisiane. Il écrit que même la lutte de State AG contre l'océan d'argent que les géants de la technologie peuvent apporter à n'importe quelle bataille juridique. Comme le dit Malone, les State AG travaillent constamment avec un budget limité, choisissent des batailles dans un délai de quatre ans et s'inquiètent probablement des futurs dons politiques. Il faut un AG courageux pour s'attaquer à Big Tech et au plus grand gouvernement de tous.
RépondreSupprimerLes Australiens ne semblent jamais se voir proposer les référendums qui comptent le plus
Deux sénateurs australiens ont essayé en 2019, et ils disent que la liberté de religion fait partie de la constitution australienne, mais la liberté d'expression et une presse libre ne le sont pas :
L'article 116 de la Constitution australienne protège la liberté de religion en stipulant que le Parlement du Commonwealth "ne fera aucune loi pour établir une religion, imposer une pratique religieuse ou interdire le libre exercice d'une religion, et aucun test religieux ne sera requis comme qualification pour tout poste ou mandat public dans le cadre du Commonwealth.
« La liberté de religion est inscrite dans notre C
« La liberté de religion est inscrite dans notre Constitution, mais la liberté d'expression et la liberté de la presse ne font pas l'objet d'une protection explicite ; c'est une faille profondément ancrée dans les fondements de la démocratie australienne », a déclaré le sénateur Patrick.
— Sénateurs de l'Alliance du Centre Rex Patrick et Stirling Grif, 2019
Un défaut profond en effet.
La constitution elle-même n'est pas un talisman magique contre le mal, pas sans des gens prêts à mourir pour la défendre. Mais sans les mots pour commencer, qu'y a-t-il à défendre ?
https://joannenova.com.au/2023/07/big-win-against-big-tech-censors-in-usa-shows-australians-need-a-referendum-for-free-speech/
(...) C'est un rappel que les Australiens n'ont pas le droit à la liberté d'expression. Il est temps que notre propre "premier amendement" soit inscrit dans la constitution. Au lieu d'un référendum pour une voix pour certains Australiens (qui a lieu cette année), nous avons besoin d'un référendum pour une voix pour tous les Australiens - un référendum qui garantisse leur droit de parler, quelle que soit la couleur de leur peau, où leurs ancêtres ont vécu ou pour quelle équipe ils votent. (...)
SupprimerÔÔôoh putaing ! L'Australie va devenir la 'nouvelle Suisse' !!
C'est le feu et le soufre du climat biblique, sauf que l'ONU veut être Dieu
RépondreSupprimerPar Jo Nova
July 4th, 2023
Le commissaire aux droits de l'homme de l'ONU se transforme en prophète infernal
Volker Turk a regardé dans son bol de cristal et voit venir cinq ou dix fléaux - il y aura famine, inondation et incendie, et la Terre fond - il peut cesser d'exister ou peut-être même s'évaporer ? Heureusement, l'ONU sait comment sauver le monde, nous n'avons qu'à faire ce qu'ils disent et être gentils avec leurs amis de BlackRock, Microsoft et le Parti communiste chinois. Cela signifie acheter beaucoup d'éoliennes et de panneaux solaires parce que le changement climatique est une question de droits de l'homme, mais pas les camps de travail forcé du Xingjiang.
Et qui se soucie des enfants mineurs de cobalt au Congo ?
Tsar des droits de l'ONU - Famines, inondations, incendies "vraiment terrifiants", à moins que le "changement climatique" ne soit résolu
Simon Kent Breitbart
Volker Turk, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, a déclaré lundi que la planète était « […] brûlante. Ça fond. C'est l'inondation. C'est épuisant. C'est en train de sécher. Il est en train de mourir », alors qu'il évoquait un « avenir dystopique » pour tous à moins que le « changement climatique » ne soit abordé.
L'avocat autrichien devenu responsable de l'ONU a déclaré que le moment était venu pour tout le monde de tenir compte de l'organe non élu et de répondre à la longue liste de préoccupations qu'il considère comme menaçant l'existence même de la planète.
Essentiellement, un avocat nommé à un comité de l'ONU dit des choses extrêmes, absurdes et manifestement fausses sur la science du climat, l'alimentation mondiale, fait des prophéties de fin du monde et certains journaux pensent que cela vaut la peine d'être rapporté.
Magie, mythologie, primitif, culte, sorts de sorcier, artisanat païen. fantasy.Turk dit que les récoltes ont été anéanties et que 80 millions de personnes supplémentaires vont mourir de faim
France24
RépondreSupprimerTurk a déclaré lors d'un débat du Conseil des droits de l'homme de l'ONU sur le droit à l'alimentation que des phénomènes météorologiques extrêmes détruisaient les cultures, les troupeaux et les écosystèmes, empêchant les communautés de se reconstruire et de subvenir à leurs besoins.
"Plus de 828 millions de personnes ont été confrontées à la faim en 2021. Et le changement climatique devrait exposer jusqu'à 80 millions de personnes supplémentaires au risque de faim d'ici le milieu de ce siècle", a déclaré Turk.
C'est la catastrophe que le changement climatique inflige à l'agriculture mondiale. Loin d'être anéantie, il n'y a jamais eu plus de nourriture sur Terre.
- voir graph (prod 1961-2021) sur site -
Production céréalière dans le monde, graphique. OWID
La dystopie dont il met en garde est là, mais c'est là que les bureaucrates de carrière peuvent travailler 30 ans à l'ONU et être pris au sérieux lorsqu'ils se trompent à 100 %.
L'ONU est la dystopie contre laquelle Orwell nous a mis en garde. Il est temps d'en finir et de nous rendre notre argent.
RÉFÉRENCE
Hannah Ritchie, Pablo Rosado et Max Roser (2023) – "Production agricole". Publié en ligne sur OurWorldInData.org.
https://joannenova.com.au/2023/07/its-biblical-climate-fire-and-brimstone-except-the-un-wants-to-be-god/
Dans le cas présent, la loi complète une mine de près de 300 textes juridiques pertinents, dont 52 spécifiques aux affaires étrangères et 150 avec des clauses pertinentes correspondantes. Il s'agit notamment des réponses de la Chine aux mesures occidentales telles que la "Liste des entités non fiables" (2020) et la "Loi sur les sanctions étrangères" (2021) et les "Contre-mesures relatives à l'application extraterritoriale injustifiée du droit étranger" (2021). En avril 2023, la loi anti-espionnage chinoise a également été modifiée pour inclure le "vol de secrets d'État" et les "données de sécurité nationale". Bien que la Chambre de commerce des États-Unis ait reconnu le 28 avril cette mesure d'autodéfense comme « une affaire sérieuse pour la communauté des investisseurs et probablement aussi pour leurs partenaires commerciaux locaux en Chine » : Il s'agit évidemment d'ajustements aux normes internationales. La nouvelle loi étrangère est considérée comme un développement ultérieur de la "loi contre les sanctions étrangères" et vise à soutenir la cohérence de la loi.Comme toujours, la nouvelle loi est également en ligne .
RépondreSupprimerLe besoin actuel d'action et de clarification était évident : qu'est-ce qui devrait s'appliquer en Chine et pour les Chinois s'ils sont impliqués dans des transactions dans le cadre de leurs activités commerciales qui, selon la loi chinoise, sont peut-être criminelles ou du moins considérées par l'État comme être préjudiciable à leur propre économie ou les obligations de la Chine dans l'ordre international sont-elles à classer ? Sont pertinentes les normes internationales ratifiées par la Chine, qui interdisent une politique agressive de « découplage » et l'esprit belliciste. Les acteurs non chinois sont également intéressés par un cadre cohérent pour établir une sécurité juridique mondiale, même si l'Europe doit évidemment se réhabituer à cette idée.
Cette loi précise que le « découplage » n'est pas une variante euphémique de la raison d'État, mais la perturbation de l'ordre international dans son développement pacifique. Que vous vouliez croire ou non cette annonce en Chine, elle est clairement et massivement diffusée par tous les médias et toutes les lois. D'un autre côté, il est difficile de construire des signes qui justifient une méfiance fondamentale à l'égard de l'interprétation par la Chine de l'accord de sa propre politique globale de paix et de développement.
Néanmoins, il existe une menace que la Chine utilise une telle loi pour promouvoir « la transformation de l'ordre mondial » (Tagesspiegel). "La communauté mondiale devrait s'asseoir et prendre note", dit-on alors - et cela ne signifie pas qu'il faille enfin apprendre à lire et à écouter le chinois pour se forger sa propre opinion. Il s'agit plutôt de l'entretien désespéré d'une histoire bien connue de méchants orientaux et communistes - qui est alimentée uniquement par l'ignorance. En dehors de cette bulle idéologique, de plus en plus de personnes remarquent le fait que deux poids deux mesures sont appliqués quant à l'exigence d'une loi sur la pureté des droits de l'homme, qui dans ce pays n'évoque qu'un haussement d'épaules, et d'autre part les chances réelles de coopération avec la Chine moderne sont ignorées.
Bien entendu, il est dans la nature des choses que les lois soient ouvertes et sujettes à interprétation. Cela va de pair avec un certain degré d'ouverture aux arguments qui rendent justice aux idiosyncrasies du cas individuel et peuvent irriter le profane impatient qui le trouve vague - lisez n'importe quelle loi allemande. L'autre concerne les institutions judiciaires, qui interprètent les faits en bonne et due forme selon des critères et des procédures établis. Vous vous déplacez toujours dans le champ de tension entre l'expertise, la compréhension juridique, les conditions-cadres politiques et les caractéristiques spécifiques de la procédure ou de l'institution respective - telles que l'éducation, l'équipement ou la gamme de compétences. On suit le traitement en cours du rôle de la jurisprudence allemande sur les "mesures Covid". Bref, il ne sert à rien de s'inquiéter des ambiguïtés normales. Au lieu de cela, il s'agit d'observer comment la normalité est désormais façonnée. C'est aussi la réaction de l'économie réelle : une évolution positive qu'il convient d'observer avec un sain scepticisme.
RépondreSupprimerQu'y a-t-il encore de scandaleux aujourd'hui, alors que « la Chine (apparaît) avec de plus en plus d'assurance comme une puissance mondiale » en voyant sa souveraineté dans le respect du droit international ? Un étudiant docile qui rattrape les vieux maîtres devient soudainement un épouvantail. Lorsqu'il s'agit de lignes directrices de politique étrangère, comme dans l'exemple d'aujourd'hui, il va sans dire que, selon la loi, un État est avant tout obligé envers ses propres citoyens. En même temps, on peut aussi se soumettre au droit international. C'est une logique désirable et séculaire, limpide, comme la "Paix éternelle" de Kant.
On pourrait proposer des critiques constructives qui reprennent les modèles chinois : "Notre système juridique étranger a encore quelques lacunes, notamment en ce qui concerne les domaines de la souveraineté, de la sécurité nationale et du développement de nos intérêts", indique un commentaire récent. L'auto-ironie face à la peur omniprésente de la Chine vis-à-vis des faux géants occidentaux mériterait une révérence diplomatique. Au lieu de cela, les mêmes stéréotypes, préjugés et slogans idéologiques sont répétés sans imagination dans la chambre d'écho d'une heuristique que nous savons depuis longtemps que nous devons désapprendre de toute urgence afin de mûrir nos jugements sur la Chine. Trouver le système juridique chinois bon ou mauvais est une chose. Que l'on refuse de prendre acte de sa logique, de sa fonctionnalité et de son évolution en est une autre.
Dans tous les cas, la Chine commente et documente abondamment la loi. Elle se targue de continuer à améliorer ses outils pour traiter en interne avec le monde extérieur et a nuancé l'engagement de la Chine en faveur d'un ordre mondial juste. On se voit pro-activement dans le contexte d'une offensive de responsabilité pour protéger les Nations Unies des efforts hégémoniques. Le soupçon que la Chine veuille s'immiscer davantage dans les affaires intérieures d'autres pays et promouvoir le protectionnisme est compris comme l'expression d'une attitude qui ne connaît que les jeux à somme nulle et, pour sa part, ne veut pas penser et traiter la loi en autrement que purement instrumentalement. Ici donc, la balle est renvoyée à l'alliance transatlantique des "valeurs".
RépondreSupprimerLes réactions des entreprises semblent cependant rationnelles. Les entreprises allemandes qui pensent à elles-mêmes, à leurs salariés et à l'avenir se sont probablement « découplées » des faiseurs d'opinion et des amateurs politiques. La stratégie éprouvée de diversification et de conception de l'infrastructure la plus robuste et flexible possible dans la région est suivie. La seule chose qui manque, malheureusement, est l'expertise nationale de la Chine pour transformer les opportunités en avenir.
*
Ole Döring est un philosophe culturel et sinologue qualifié. Il met en réseau différentes compétences et façons de penser sur la médecine et la santé, la technologie, les affaires sociales et l'économie. Il traite des questions culturelles et philosophiques de la technologie et de la bioéthique et est un pionnier de l'éthique de la santé mondiale. Plus récemment, il a publié le livre « The Luther Gene – On the Position of Integrity in the World ». Döring a très tôt critiqué le récit et les mesures de la «pandémie de Covid». Il enseigne actuellement en tant que professeur sur des sujets philosophiques et germaniques à l'Université normale du Hunan à Changsha, dans le sud de la Chine, et en tant que conférencier privé à l'Institute for Technology Futures du KIT.
https://tkp.at/2023/07/07/kein-grund-zur-panik-china-hat-ein-neues-gesetz/
Macron utilise la mort de Nahel pour imposer des lois draconiennes aux citoyens français
RépondreSupprimerPar Ahmed Adel
Recherche mondiale,
07 juillet 2023
Les législateurs français ont accepté un projet de loi de réforme de la justice qui comprend une clause qui donne à la police le pouvoir d'obtenir la géolocalisation des suspects via des téléphones et d'autres appareils. Ce projet de loi est poussé à un moment où une grande partie de la France est embourbée dans la controverse d'un policier recevant un large soutien dans le pays, y compris financier, après qu'un adolescent d'origine algérienne a été tué en ne s'arrêtant pas à un contrôle routier.
Les médias français ont souligné que le permis d'espionnage a été attaqué à la fois par la gauche et la droite comme une «lettre faisant autorité d'espions. Cependant, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a insisté sur le fait que cela ne concernerait que "des dizaines de cas par an".
Selon Le Monde, les législateurs ont autorisé le 5 juillet la police française à espionner les suspects faisant l'objet d'une enquête en activant à distance la caméra, le microphone et le GPS de leurs téléphones et autres appareils . La mesure permettrait également la géolocalisation des suspects de crimes passibles d'au moins cinq ans de prison et couvrirait les appareils tels que les ordinateurs portables, les voitures et autres objets connectés à Internet, comme les téléphones.
Un groupe français qui œuvre en faveur des droits numériques, La Quadrature du Net (LQDN), a déclaré dans un communiqué que les dispositions "soulèvent de sérieuses inquiétudes quant aux violations des libertés fondamentales" telles que le "droit à la sécurité, le droit à la vie privée et au respect de la vie privée". correspondance » et « le droit d'aller et venir librement ».
Lors d'un débat le 5 juillet, des parlementaires de la base du président Emmanuel Macron ont inséré un amendement limitant le recours à l'espionnage à distance "lorsque justifié par la nature et la gravité du crime" et "pour une durée strictement proportionnée". Toutefois, toute utilisation de l'appareil doit être approuvée par un juge et la durée totale de la surveillance ne peut excéder six mois. Les personnes exerçant des professions sensibles, notamment les médecins, les journalistes, les avocats, les juges et les parlementaires, ne seraient pas des cibles légitimes.
"Nous sommes loin du totalitarisme de '1984', le roman de George Orwell sur une société sous surveillance totale", a déclaré Dupond-Moretti. « La vie des gens sera sauvée [par la loi]. »
RépondreSupprimerLa France est en proie à des émeutes, à l'anarchie et à des conditions proches de la guerre civile depuis que Nahel, 17 ans, d'origine algérienne, a été abattu par un policier après avoir omis de s'arrêter à un contrôle routier à Paris le 25 juin. Et plutôt que de s'attaquer aux causes profondes de la violence qui a conduit à l'arrestation de plus de 3 000 personnes depuis la mort de Nahel, ainsi qu'à des centaines de policiers et de pompiers blessés dans les violences, le gouvernement Macron en a plutôt profité pour imposer des libertés draconiennes -des mesures menaçantes contre les citoyens français.
De manière controversée, plus d'un million d'euros a été collecté pour la famille du policier français qui a abattu Nahel. Intervenant dans la discussion, le député Eric Bothorel du parti au pouvoir de Macron a qualifié la collecte de fonds de "indécente et scandaleuse" et a déclaré que son organisateur "jouait avec le feu". Pour sa part, Dupond-Moretti a déclaré que la collecte de fonds "alimentait le feu" des troubles et l'a fustigée comme une "instrumentalisation" populiste de la mort de l'adolescent.
Le gouvernement Macron utilise également la controverse sur la collecte de fonds pour cacher les nouvelles récentes selon lesquelles des armes fournies par l'Occident à l'Ukraine sont utilisées par des émeutiers en France. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova , a qualifié ce phénomène le 6 juillet de « boomerang ».
"Des armes, fournies à Kiev, sont entre les mains de ces manifestants et sont utilisées contre la police en France", a déclaré Zakharova. "Les mêmes armes que l'Occident, l'OTAN et la France fournissent, le même argent qu'ils versent pour soutenir les nationalistes, les nazis et les fascistes dans le boomerang ukrainien et non seulement se retrouvent sur leur propre territoire, mais sont tirés sur leur propre peuple."
"Des armes, expédiées à Kiev, finissent entre les mains de ces manifestants et sont utilisées contre la police en France", a-t-elle ajouté.
Dans le même temps, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré dans une interview au Jerusalem Post que certaines des armes que les pays occidentaux ont fournies à l'Ukraine se trouvaient déjà aux frontières d'Israël, et Tel Aviv craint que toute fourniture de systèmes d'armes à l'Ukraine ne finisse aux mains de l'ennemi, comme l'Iran.
Encore une fois, cela donne un aperçu de l'insouciance de la politique de Paris envers l'Ukraine. Non seulement leur obsession a signifié qu'ils ont perdu de vue la situation intérieure, mais maintenant même les armes mêmes qu'ils ont envoyées pour tuer les Russes sont maintenant utilisées pour cibler le personnel de sécurité français ou sont une source d'inquiétude pour les alliés français, comme Israël.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/macron-uses-nahel-death-impose-draconian-laws-french-citizens/5825022
La chute sans cesse croissante de l'homme qui se baigne en l'absence d'intérêt
RépondreSupprimerDe Gary D. Barnett
6 juillet 2023
"La tolérance et l'apathie sont les dernières vertus d'une société mourante."
~ Aristote
C'est un sujet sur lequel j'ai longuement abordé ou écrit abondamment, mais il est d'une importance vitale si la majeure partie de la société veut un jour accepter le fait que sa liberté et sa prospérité dépendent entièrement de ses propres efforts. , et ne jamais être laissé aux rois, dirigeants, présidents, technocrates ou gouvernements. Dépendre de l'État pour tout redressement de griefs, pour tout retour à une société plus libre ou pour toute attente de justice face à une agression bestiale de l'État, intérieure ou étrangère, est stupide. C'est l'équivalent de s'attendre à ce que le propriétaire d'esclaves consentant mène des efforts pour libérer tous les esclaves. Cette attitude a apparemment consumé les masses indifférentes à un point tel qu'elle a causé un aveuglement total à la réalité de leur propre disparition complotée.
L'indifférence, l'apathie, la paresse, la lâcheté et la dépendance sont les fondements de la servitude et l'incarnation du consentement à sa propre servitude en acceptant un maître ou une classe de maîtres de monstres en quête de pouvoir. En fait, ces attitudes sont ce que recherchent «l'élite» dirigeante et son cadre de pions contrôlés et complices dans la politique et le gouvernement. Car sans une population stupide et obéissante, le gouvernement par quelques-uns est impossible à réaliser, ce qui signifie que le prolétariat collectif doit être convaincu par des mensonges et une propagande extrême que son existence même doit être soumise à la règle d'un gouvernement oppressif et autoritaire pour que tout harmonie « civilisée » à endurer. Cette « pensée » est bien sûr non seulement ridicule, mais complètement rétrograde et contraire à la liberté ou à toute harmonie et cohésion sociétales honnêtes.
La plupart croient que la liberté ne peut exister que lorsque des règles et des décrets définissant les «droits légaux» sont présents et décrits dans une sorte d'ensemble officiel de «lois» restrictives odieuses, de «déclarations» faisant autorité ou d'une constitution bidon. C'est un exemple de confusion totale et d'incompréhension flagrante de la logique et de la responsabilité personnelle. Pendant toute l'histoire, il y a eu ceux qui ont cherché à régner sur les autres, de sorte que les gouvernements sous une forme ou une autre, à quelques exceptions près, ont perpétuellement existé tout au long du temps de l'homme sur terre. Considérant les défauts de l'animal humain, ce n'est pas une surprise, mais ce qui est beaucoup plus troublant, c'est que l'homme ordinaire n'a jamais compris qu'il n'a pas réussi à atteindre sa propre liberté pure et indépendante depuis le début des temps, et a toujours dépendait des autres pour accomplir la tâche d'assurer sa liberté individuelle. Tant que cet état d'esprit vide et psychotique sera présent, l'asservissement des masses régnera en maître.
Ce que cela indique, c'est qu'une soif de pouvoir repose dans le cœur de l'humanité et est inhérente dans une certaine mesure à toute la société, mais seuls les pires cherchent et poursuivent agressivement la tâche du contrôle total sur le plus grand nombre. Ce sont les rebuts de notre existence, qui, sans aucune boussole morale ni compassion, utilisent tous les efforts possibles pour causer un grand mal afin de semer la peur dans l'esprit des hommes au point de provoquer une fausse dépendance à l'égard de la règle des autres. C'est une action complètement prédatrice; une attaque délibérée contre les faibles, afin d'obtenir le pouvoir et le contrôle sur la société, et à tout prix. Sinon, pourquoi la guerre perpétuelle existerait-elle, ce qu'elle a bien sûr pour toute l'éternité ?
RépondreSupprimerOui, il y a eu des moments de résistance, mais rarement une résistance s'est appuyée sur l'anarchie réelle, ou le volontariat sans aucune présence gouvernementale, qui est bien sûr la seule voie viable vers la liberté. Au lieu de cela, une fois qu'un soulagement de la tyrannie a été en vue, ceux qui prétendent rechercher une véritable indépendance se sont tournés à maintes reprises vers une sorte de règle structurelle descendante, par laquelle un monarque ou une oligarchie dominante a été délibérément recherché et autorisé à superviser une « nouvelle » structure de gouvernance qui serait meilleure que la précédente. Considérant que cette attitude l'a toujours emporté, et sans exception, et a toujours échoué sans fin, il doit être considéré comme incontestable que le peuple lui-même a volontairement accepté sa propre servitude, et est donc son pire ennemi, car il a jamais eu le courage de parvenir à l'autonomie.
Mais les choses ont radicalement changé, et se détériorent rapidement à un degré si extrême qu'elles causent la chute finale de l'humanité ; du moins de toute perspective d'être à nouveau capable d'atteindre même la plus lointaine chance de liberté individuelle. En raison du manque total de motivation et d'intérêt de la part de l'homme ordinaire pour gagner et protéger sa propre évasion de l'esclavage de l'État, la fin de la vie telle que nous la connaissons est proche. La volonté incessante de pouvoir et de contrôle sur tous par quelques-uns a finalement atteint les outils nécessaires pour achever sa prise de contrôle universelle des esprits et des corps de l'humanité dans son ensemble.
« La science remplace l'évolution par la sélection naturelle, par l'évolution par un dessein intelligent. Pas une conception intelligente par un Dieu au-dessus des nuages, mais notre conception intelligente. Et la conception intelligente de nos clouds : le cloud IBM, le cloud Microsoft, ce sont les nouveaux moteurs de l'évolution. Dans les décennies à venir, l'IA et la biotechnologie nous donneront des capacités divines pour réorganiser la vie et même créer de nouvelles formes de vie.
RépondreSupprimer« Nous acquérons vraiment des pouvoirs divins de création et de destruction. Nous transformons vraiment les humains en dieux.
Comment sommes-nous arrivés à cet endroit ? Pourquoi les créatures supposées les plus intelligentes de la terre ont-elles permis la prise de contrôle de leur esprit et de leur corps par des tyrans et des dirigeants maléfiques ? Pourquoi les masses d'humains ordinaires ont-elles abandonné toute responsabilité pour leur propre liberté et survie ? Comment les quelques puissants ont-ils pu manipuler et contrôler plus de 330 millions de personnes dans ce pays et 8 milliards dans le monde ? Tout cela est-il simplement dû aux « avancées » technologiques ou est-ce dû à un désintérêt total de la masse collective en faveur d'une existence en état de mort cérébrale, irresponsable et dépendante ?
La technologie de l'IA et aucun de ses partisans, du moins ceux qui souhaitent un monde contrôlé par les ordinateurs et les soi-disant «élites» technocratiques, se considérant tous comme des dieux créés par l'homme, sont viables dans toute société véritablement humaine. Les humanoïdes créés par l'IA ne sont pas et ne seront jamais des êtres sensibles, et seront toujours artificiels. Cette vérité doit être comprise, si nous voulons un jour retrouver nos caractéristiques humaines complètes d'amour, de compassion, de fibre morale solide, de famille et de nature, et vivre notre vie de la manière la plus complète et la plus satisfaisante possible.
La liberté n'est pas morte, et le libre arbitre doit être complètement sauvé si nos vies doivent rester entières et conserver une conscience consciente de la beauté absolue de cette vie.
"Parfois, les pires monstres ne sont que les gens qui nous entourent, faisant semblant de s'en soucier tout en montrant les dents."
~ Kaida Nevemore
Reference links:
Yuval Harari at the WEF on the end of Homo Sapiens
AI and the Future of Humanity
The Rise of the Useless Class
https://www.lewrockwell.com/2023/07/gary-d-barnett/the-ever-escalating-downfall-of-man-bathing-in-an-absence-of-interest/
L'erreur fatale des moutons
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 06 JUILLET 2023 - 00:20
Écrit par Todd Hayen via Off-Guardian.org,
Je commencerai cet article par des excuses aux lecteurs qui n'ont pas le même sens de l'humour que le mien, ainsi qu'à ces adorables gens au grand cœur qui n'aiment pas les étiquettes d'aucune sorte (mouton et/ou musaraigne).
En ce qui concerne le terme "mouton" - j'ai essayé (et je suis certain d'avoir parfois échoué) de m'abstenir d'appeler une personne individuelle comme "mouton". C'est plutôt un terme que j'ai appliqué à un groupe de personnes ayant un "état d'esprit" similaire. Si vous sentez que vous correspondez à cet état d'esprit, vous pouvez, si vous le souhaitez, vous appeler un "mouton". Si vous trouvez cela offensant et que vous ne vous sentez pas « en forme », cela me convient. Ne vous incluez pas dans le groupe des moutons.
Quant aux musaraignes. Eh bien, c'est là que le sens de l'humour entre en jeu. J'avais besoin d'un terme autre que "ceux d'entre nous de l'autre côté de la fracture qui croient en la liberté et ne croient pas à l'agenda ou aux mondialistes avides de pouvoir essayant de conquérir le monde". "... ouf..." musaraigne "est un moyen plus simple de faire passer le même message une fois le terme défini.
Pourquoi mégère ? C'est une longue histoire. Mais c'est un terme aussi bon que n'importe quel autre, et il est complémentaire de "mouton" car il commence par les deux mêmes premières lettres, et c'est aussi un animal. Il s'avère que les musaraignes peuvent être féroces, même si elles sont très petites. Donc ça convient aussi.
Alors voilà. Lisez cet article en gardant ces choses à l'esprit, car il est plein de références aux moutons et aux musaraignes.
L'erreur fatale des moutons est de ne pas se rendre compte que les gens qu'ils appellent les « théoriciens du complot » et les « négationnistes de la science » ne sont pas un petit groupe marginal de cinglés et de péquenauds comme ils pourraient l'imaginer. Le fait est que nous sommes nombreux et comptons de nombreux esprits brillants et des membres formidables dans nos domaines d'expertise individuels. Ce n'est pas un groupe hétéroclite de ne'er do wells.
Bien que je ne doute pas que nous soyons du bon côté des choses, je dirai qu'aux personnes qui doivent traiter avec nous, ce fait n'a aucune conséquence réelle (avoir raison semble devoir les affecter). Il semble que les moutons aiment nous ignorer et agissent comme si nous n'existions pas, même si nous avons raison. Ils ne peuvent pas être dérangés avec nous; nous ne sommes qu'une nuisance pour eux. Cette attitude va un jour les mordre très fort dans le vous savez où.
Beaucoup de moutons m'ont demandé : « Comment pouvez-vous être sûr que vous avez raison et que nous avons tort ? Je me suis souvent posé la même question. Il y a beaucoup de réponses, ma préférée est simplement de dire "nous avons raison parce que nous avons raison" - ce qui est bien sûr plutôt désinvolte. Ceci, cependant, semble être une réponse plus prudente : les musaraignes sont curieuses et recherchent des réponses.
Même si le consensus dominant semble correct, nous semblons toujours en vouloir plus. Nous voulons vraiment comprendre pourquoi les choses sont comme elles sont. Peut-être que nous ne faisons pas cela avec tout ce que nous rencontrons ; nous le faisons certainement face à de grandes déclarations radicales et lorsque les pouvoirs en place nous disent que nous devons tous "faire" ceci ou cela, comme prendre un vaccin que personne n'a vraiment étudié pour un virus dont personne ne sait vraiment grand-chose. Nous allons généralement "hein ?"
RépondreSupprimerOn s'y plonge alors. Nous descendons tous les terriers de lapin que nous pouvons trouver. Beaucoup de ces trous mènent à des impasses, mais nous découvrons ces impasses par nous-mêmes. Nous ne laissons personne nous interdire l'accès et dire : « vous ne voulez pas descendre là-bas ». Nous disons, « hein ? Pourquoi pas ?" Une fois que nous commençons à sentir que nos sources habituelles d'information, généralement ce qu'ils appellent les « médias principaux », ne nous donnent pas toute l'histoire, nous entrons rapidement dans un territoire inexploré et commençons à y creuser. Oui, encore une fois, plus d'impasses, mais nous nous habituons à ce que les "impasses" soient normales pour le cours d'une découverte vraiment décomplexée.
Nous créons des conclusions, des hypothèses, des spéculations basées sur toutes les informations que nous avons recueillies, et commençons à proposer quelque chose sur lequel nous pouvons faire une déclaration de vérité tenable. Mais cela demande une tonne de travail. Et n'est généralement jamais définitif, jamais à toute épreuve. Nous ne semblons pas aimer les choses qui "apparaissent" à toute épreuve.
Les moutons ne font pas cela.
Je n'en ai pas encore rencontré qui le fasse. Ils PENSENT souvent qu'ils le font et me renvoient des lignes qu'ils ont entendues sur NPR, ou le WP ou le NYT, ou bien sûr les grandes «autorités» telles que le tsar à la retraite de la science Fauci, POTUS, les chefs de grands hôpitaux ou sociétés pharmaceutiques , et coll. Ils ne semblent pas se rendre compte que leur insistance sur l'exactitude de ces sources équivaut à se tourner vers Goebbels pour vérifier l'exactitude d'un discours d'Hitler, ou à se référer à Der Stürmer pour connaître la vérité sur les Juifs. Il faut, aujourd'hui, aller à des sources variées avant de tomber sur un portrait fidèle de la réalité sociale ou scientifique.
Les moutons refusent d'accepter cela.
RépondreSupprimerCe qui est étrange à ce sujet, c'est que nous n'avons jamais été dans une culture où les informations grand public sont fiables à 100 %. Les sources ont toujours été biaisées, et pour vraiment avoir une image fidèle de quelque chose, nous avons toujours eu besoin d'accéder à plusieurs sources.
Le problème est qu'en tant qu'Américains (ou Canadiens d'ailleurs), on nous a inculqué que la liberté, la vérité, la maman et la tarte aux pommes sont les caractéristiques de notre culture américaine. Bien que la plupart d'entre nous aient été élevés dans cette croyance, cela n'a jamais vraiment été la vérité. Peut-être que pendant une milliseconde, c'était en 1776, mais j'en doute. (Les principes ici sont vrais, mais se faire dire que ce sont les caractéristiques et les intentions du gouvernement américain ou canadien n'est pas la vérité.)
Cela ne signifie pas nécessairement que cette culture a été privée à 100% de toute intégrité pendant 200 ans (enfin, en ce moment, vous pourriez être en mesure de dire cela), cela signifie que nous avons toujours été responsables de manière indépendante de voir à travers ce mur de subterfuge. Malheureusement, je pense qu'ils ont finalement réussi à couper la tête du poulet. La plupart des gens semblent avoir perdu la capacité d'utiliser leur cerveau.
Auparavant, il ne fallait pas grand-chose pour révéler les charançons de la capsule qui se cachaient dans le coton. Nous avions des journaux concurrents qui se délectaient de révéler des contrevérités dans les pages d'un concurrent. Cela avait tendance à bien fonctionner avec tous les acteurs sauf les plus grands (Rockefeller, Carnegies, Morgans, etc.), maintenant cela ne fonctionne plus du tout parce que toutes les grandes sources d'information sont achetées. C'est assez évident, mais la plupart des moutons semblent penser que le propriétaire d'une source d'information n'a aucun pouvoir sur ce qu'ils impriment.
Euh.
Beaucoup imaginent un éditeur bourreau de travail fumeur de cigares tenant son ancre de vérité prononçant avec dégoût, "ils ne vont pas m'empêcher d'imprimer CELA". Je ne pense pas que cela ait jamais vraiment existé. Je pense que si quelque chose maintenait les anciennes sources d'information plus honnêtes qu'aujourd'hui, c'était de trébucher sur la « vérité » en tant que produit commercialisable. Cela ne semble plus être le cas.
Alors, qu'est-ce que cela a à voir avec une erreur fatale de mouton ?
RépondreSupprimerEh bien, rien que ça, la vérité n'est plus une marchandise commercialisable auprès des principales sources d'information, nous devons donc tous nous tourner vers des sources où elle se trouve encore. Les moutons ne réalisent pas que les musaraignes ont la vérité de leur côté. Et ils s'alignent sur la vérité. Ils ne croient pas non plus que nous soyons intègres, ou que nous sommes assez nombreux, et que nous sommes très INTELLIGENTS, ingénieux et persistants. Finalement, cela va les avoir, et d'une manière très difficile.
La vérité est comme l'eau de pluie sur un toit. Il trouvera son chemin s'il y a un chemin. Là où cette analogie échoue, c'est quand un toit devient étanche. La culture et la société humaine ne peuvent jamais devenir « véridiques ». Ne me demandez pas pourquoi, c'est juste une donnée. Finalement, la vérité trouve son chemin, quoi qu'il arrive. Cela peut prendre un certain temps, mais la vérité passera. Il prévaudra.
Les musaraignes ne connaissent peut-être pas toutes la vérité à un moment donné, mais elles la recherchent, peu importe où elle se cache, et elles la trouvent. Quand ils le trouvent et montrent aux autres où il se trouve, ils élargissent le trou pour en faire passer plus, tout comme la fuite dans le toit ou le trou dans le barrage.
Finalement, le barrage se rompra et le toit s'effondrera.
https://www.zerohedge.com/political/fatal-error-sheep
Rickards : les élites mondialistes vous craignent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 05 JUILLET 2023 - 23:00
Rédigé par James Rickards via DailyReckoning.com,
Les élites mondialistes aiment parler de démocratie. Mais en réalité, ils ne croient pas à la démocratie.
Lorsque le Royaume-Uni a voté pour le Brexit en juin 2016, les mondialistes ont été stupéfaits.
Ils ne pouvaient pas y croire. Ils ont alors tout fait pour retarder et combattre le Brexit.
Puis, lorsque Donald Trump a remporté l'élection présidentielle en novembre 2016, les mondialistes ont été encore plus stupéfaits.
Ils sont entrés dans le déni complet et ont mis la tête dans le sable.
Ils se sont réconfortés avec le mythe commode selon lequel l'ingérence russe leur a fait perdre l'élection, et non un rejet populaire de leur idéologie.
Pourtant, la situation n'a cessé de s'aggraver pour les mondialistes. La Chine et la Russie sont devenues plus nationalistes et ont complètement tourné le dos au mondialisme. La guerre en Ukraine n'a fait qu'intensifier cette tendance.
La pandémie n'a fait que renforcer la tendance à s'éloigner du mondialisme, et les problèmes persistants de la chaîne d'approvisionnement que nous avons constatés révèlent le ventre fragile du mondialisme.
Ces chaînes peuvent être efficaces et économiques, mais lorsqu'elles tombent en panne, cela a un effet d'entraînement sur l'économie mondiale. C'est comme tirer sur un brin d'un tapis. L'ensemble est affecté.
"Les tarifs sont aussi américains que la tarte aux pommes"
Les mondialistes vénèrent l'autel du libre-échange. Mais le libre-échange est un mythe. Il n'existe pas en dehors des salles de classe. La France subventionne l'agriculture. Les États-Unis subventionnent les véhicules électriques. La Chine subventionne une longue liste de champions nationaux avec des contrats gouvernementaux, des prêts bon marché et des manipulations de devises.
Chaque grande économie subventionne un ou plusieurs secteurs en utilisant des outils fiscaux et monétaires et des barrières tarifaires et non tarifaires au commerce.
L'Amérique est devenue riche et puissante de 1787 à 1962, une période de 175 ans, en utilisant les droits de douane, les subventions et d'autres obstacles au commerce pour soutenir l'industrie nationale et protéger les emplois manufacturiers bien rémunérés.
En fait, les tarifs sont aussi américains que la tarte aux pommes.
RépondreSupprimerÀ partir de 1962, les États-Unis ont tourné le dos à un héritage réussi de protection de leurs emplois et de leur industrie et ont adopté la théorie du libre-échange. Cela a d'abord été fait par le biais de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, ou GATT, l'une des premières institutions de Bretton Woods en plus de la Banque mondiale et du FMI.
Contre le système mercantiliste se trouvait une théorie du libre-échange basée sur l'avantage comparatif telle que préconisée par l'économiste britannique David Ricardo au début du XIXe siècle. Selon la théorie de Ricardo, les nations commerçantes sont dotées d'attributs qui leur donnent un avantage relatif dans la production de certains biens par rapport à d'autres.
Ces attributs pourraient être les ressources naturelles, le climat, la population, les systèmes fluviaux, l'éducation, les ports, la capacité financière ou tout autre facteur de production. Les nations devraient produire les biens pour lesquels elles ont un avantage naturel et échanger avec d'autres nations des biens pour lesquels l'avantage n'est pas si grand.
Les pays devraient se spécialiser dans ce qu'ils font le mieux et laisser les autres se spécialiser également dans ce qu'ils font le mieux. Les pays pourraient alors simplement échanger les biens qu'ils fabriquent contre les biens fabriqués par d'autres. Toutes les parties seraient mieux loties parce que les prix seraient plus bas en raison de la spécialisation dans les biens pour lesquels vous avez un avantage naturel.
Fonctionne en théorie, pas en fait
C'est une belle théorie souvent résumée dans l'idée que Tom Brady ne devrait pas tondre sa propre pelouse car il est plus logique de payer un paysagiste pendant qu'il pratique le football.
Par exemple, si le Royaume-Uni avait un avantage dans la production textile et que le Portugal avait un avantage dans la production de vin, alors le Royaume-Uni et le Portugal devraient échanger de la laine contre du vin. Mais si la théorie de l'avantage comparatif était vraie, le Japon exporterait toujours du thon au lieu de voitures, d'ordinateurs, de téléviseurs, d'acier et bien plus encore.
Le problème avec la théorie de l'avantage comparatif est que les facteurs de production ne sont pas permanents et qu'ils ne sont pas immobiles.
Si la main-d'œuvre se déplace de la campagne vers la ville en Chine, alors soudainement la Chine a un avantage comparatif dans la main-d'œuvre bon marché. Si le capital financier passe des banques new-yorkaises aux investissements étrangers directs dans les usines chinoises, alors la Chine a également l'avantage comparatif en matière de capital.
RépondreSupprimerAvant longtemps, la Chine a l'avantage en matière de main-d'œuvre et de capital et enregistre d'énormes excédents commerciaux avec les États-Unis, mettant les Américains au chômage et fermant les usines américaines dans le processus.
Pire encore, des pays comme la Chine peuvent tirer un avantage comparatif de nulle part avec des subventions gouvernementales.
Nous vivons dans un monde où les États-Unis sont une ventouse du libre-échange et où tous les autres enfreignent les règles. Dans un monde où quelques parties sont des libre-échangistes mais la plupart sont des mercantilistes, les mercantilistes gagnent à chaque fois. Ils sont comme des parasites qui assèchent les libre-échangistes.
Mondialisation à tout prix
Mais pour les mondialistes, l'arc moral de l'univers se penche dans une direction, et c'est vers une mondialisation croissante. Le populisme et le protectionnisme sont donc des maux moraux qu'il faut condamner.
Mais les mondialistes ont lentement réalisé que la tendance nationaliste n'est pas une anomalie mais une force puissante qui renverse les politiques mondialistes qui ont pris de l'ampleur depuis 1989, voire depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, lorsque des institutions comme le FMI et la Banque mondiale ont été créées pour promouvoir des objectifs mondialistes.
Mais en ce moment, le libre-échange est dans les cordes, les guerres monétaires sévissent, il y a une véritable guerre en Europe de l'Est et les points chauds géopolitiques comme Taiwan deviennent plus dangereux.
Qu'est-il arrivé au mondialisme ?
Le mondialiste en chef est Jeffrey D. Sachs, universitaire de l'Université de Columbia. Il a mené la charge des solutions de « marché » en Russie dans les années 1990, qui s'est retournée contre une prise de contrôle par les oligarques et la montée de Poutine.
Il a également mené la charge de "l'ouverture" de la Chine au début des années 2000, qui a conduit à la montée de Xi Jinping et à la forme la plus forte de communisme depuis la mort de Mao Zedong.
Sachs est-il prêt à admettre ses erreurs ? Non. Comme la plupart des mondialistes qui sont trop arrogants pour remettre en question leurs propres visions du monde et hypothèses, Sachs dit plutôt que le problème est la démocratie elle-même.
RépondreSupprimerEssentiellement, Sachs veut abandonner le vote traditionnel aux États-Unis et au Royaume-Uni pour créer un système plus favorable aux mondialistes. Bien sûr, vous pouvez laisser les électeurs choisir le candidat de centre droit x ou le candidat de centre gauche y, qui pourraient être à 10 % d'écart sur de nombreuses questions. Aucun d'eux ne fera vraiment bouger le bateau et n'aura aucun désaccord fondamental avec le mondialisme en général.
Les mondialistes ne vous font pas confiance
En ce qui concerne les mondialistes, on ne peut pas faire confiance aux électeurs pour voter sur des questions fondamentales comme le Brexit. On ne peut pas non plus leur faire confiance pour voter contre des candidats présidentiels comme Trump. De telles décisions devraient échapper au contrôle démocratique, estiment les mondialistes.
En fait, le magazine Time a publié un article se réjouissant de la façon dont les élites des entreprises et des médias ont essentiellement conspiré pour empêcher Trump de remporter les élections de 2020.
Le refus des médias de couvrir le scandale des ordinateurs portables de Hunter Biden n'était qu'un exemple. D'anciens responsables du renseignement se sont joints à eux en affirmant qu'il portait toutes les marques de la "désinformation russe". Bien sûr, nous savons tous que l'ordinateur portable était réel. Mais ils ne lui permettraient pas d'influencer les élections.
Pendant ce temps, les récentes révélations de Twitter ont révélé à quel point l'entreprise travaillait avec le gouvernement fédéral pour censurer les points de vue qu'ils n'aimaient pas.
En fin de compte, lorsque les élites n'aiment pas le résultat potentiel, il suffit de changer les règles.
Le cheval de Troie du changement climatique
Une autre question qui unit les mondialistes est le changement climatique. Les mondialistes soutiennent que le changement climatique est trop important pour être confié aux électeurs de chaque pays. Le changement climatique est la couverture parfaite du mondialisme car le combattre nécessite une politique coordonnée au niveau international et dirigée par des élites.
RépondreSupprimerLeur véritable programme est de définir un "problème mondial" afin qu'ils puissent proposer des "solutions mondiales" telles que la gouvernance mondiale, la fiscalité mondiale et la domination mondiale par les élites. Peu importe que la science réelle derrière l'alarmisme climatique hystérique soit extrêmement faible.
Malheureusement, les médias, les entreprises, les gouvernements et les organisations internationales sont principalement dirigés par des mondialistes.
Et beaucoup d'entre eux travaillent dur pour faire taire la dissidence. Nous sommes dans un Brave New World.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/rickards-globalist-elites-fear-you
RépondreSupprimerDans un monde corrompu qui se ressemble s’assemble …
le 6 juillet 2023
Si l’information est exacte Oncle Joe, notoirement corrompu, pressent Ursula, La Reine de l’Europe, pour prendre la direction de l’OTAN. Rompue aux magouilles lorsqu’elle était ministre de la défense de l’Allemagne, elle va pouvoir redoubler de coups tordus, le domaine de la défense étant le plus opaque qui soit dans la mesure où tout est secret, un peu comme les contrats passés entre la Reine de l’Europe et son ami Bourla.
Il s’agit de la partie émergée de l’iceberg de corruption qui ruine l’Union européenne. Mais au fait, les casseroles que traîne Ursula vont-elle ameuter les pays de l’Union ? Que va faire le Parlement européen, les plaintes au pénal contre Ursula vont-elles aboutir ? Il est raisonnable d’en douter, car dans un monde où règne la corruption à tous les niveaux la justice est elle-même corrompue. Qu’il est bon de vivre dans un monde sans foi ni loi …
Source : https://fr.news-front.info/2023/07/05/m-biden-promeut-mme-von-der-leyen-au-poste-de-secretaire-general-de-lotan/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/07/06/dans-un-monde-corrompu-qui-se-ressemble-sassemble/
UE, OMS, ONU - ne parlons plus de démocratie et de droits fondamentaux
RépondreSupprimer7 juillet 2023
du Dr. Peter F. Mayer
L'histoire de l'homme politique britannique du Brexit Nigel Farage, dont le compte a été résilié par sa banque et qui a reçu des avis négatifs de 9 banques, surprend par la transparence et la brutalité de la procédure. Ce qui est décrit avec bienveillance comme « annuler la culture » n'a plus rien à voir avec la démocratie, la liberté et l'État de droit.
L'UE dispose actuellement des droits fondamentaux les plus essentiels, à savoir la liberté d'opinion, d'expression et de la presse avec sa loi sur les services numériques. Elle représente les intérêts de l'industrie pharmaceutique vis-à-vis de la population et ceux du complexe digital-financier avec une telle efficacité qu'elle a reçu le "Global Goalkeeper Award" de la Gates Foundation BMGF. Les certificats biométriques numériques, les passeports de vaccination et de santé sont destinés à faciliter le suivi et le contrôle des citoyens de l'UE et enfin à les asservir avec l'euro de banque centrale numérique.
Suivant l'exemple de Nigel Farage et d'autres Britanniques ou institutions, de nombreux citoyens européens seront mis en faillite dans les années à venir si… (n'importe laquelle de ces choses fera l'affaire) :
ils croient qu'il n'y a que deux sexes
ils croient que le changement climatique d'origine humaine est un canular
ils ne veulent pas devenir des morts-vivants après avoir été injectés à plusieurs reprises avec des thérapies géniques toxiques
ils croient que l'UE et l'OTAN n'agissent pas dans leur intérêt, qu'ils sont des organisations agissant uniquement en faveur de Washington et de l'agenda dystopique du WEF
ils pensent que les grillons domestiques et les vers de farine ne devraient pas faire partie de leur alimentation.
ils sont contre l'immigration clandestine
ils veulent préserver leur culture et leurs traditions.
L'Europe était le continent le plus riche et se transforme maintenant en quelque chose qui rappelle fortement les années 1920. Le retour à la souveraineté nationale peut enrayer ce glissement vers l'abîme.
Contrôle via l'euro numérique de la banque centrale
La confiscation des avoirs russes et ce qui est arrivé à Nigel Farage au Royaume-Uni ne sont qu'un avant-goût de ce qui attend le citoyen européen moyen.
Selon certaines estimations, 10 000 Européens ont déjà été exclus du système en raison de leurs opinions politiques depuis le début de l'arnaque Covid. Juste parce qu'ils ne sont pas célèbres, on n'entend pas parler d'eux sur les réseaux sociaux et autres médias, mais ils sont là, nombreux médecins, journalistes, politiciens qui sont considérés comme des criminels par la dictature de l'UE parce qu'ils luttent contre le récit officiel. Vous pouvez en trouver un certain nombre, notamment en Allemagne.
RépondreSupprimerLe nombre de personnes bannies du système occidental pourri est susceptible d'augmenter pour atteindre des dizaines de millions dans les années à venir suite au lancement de l'euro CBDC de la banque centrale numérique et de l'identification numérique/du crédit social.
Pour cette raison, il est d'une importance fondamentale que l'UE s'effondre le plus tôt possible afin de restaurer la liberté en Europe. Certains signes indiquent que cela pourrait se produire plus tôt que prévu, car la mise en œuvre rapide du totalitarisme montre que les élites mondialistes sont moins confiantes quant à leurs prises de pouvoir.
Le rôle de l'ONU
La bureaucratie de l'ONU veut aussi sa part dans la répartition mondiale du pouvoir. Le Pacte pour l'avenir des Nations Unies demande des pouvoirs d'urgence permanents pour les "chocs mondiaux complexes". Le « Pacte pour l'avenir des Nations Unies » demande des pouvoirs d'urgence permanents pour les « chocs mondiaux complexes ». L'ONU prévoit un plan global pour obtenir des pouvoirs d'urgence afin d' établir un « agenda commun » pour toutes les nations lors d'événements tels que les pandémies.
Une mesure est la création d'une "plate-forme d'urgence" qui donnerait aux Nations Unies le pouvoir de promouvoir et de conduire une réponse internationale. Des exemples de déclencheurs possibles sont les événements climatiques, les risques de pandémie et les perturbations de la connectivité numérique. L'ONU exercerait un contrôle sur divers acteurs, notamment les scientifiques, les gouvernements et les institutions financières internationales. Les pouvoirs seraient initialement temporaires, mais l'ONU pourrait les prolonger indéfiniment.
La liberté et la souveraineté sont incompatibles avec ces organisations : UE, OTAN, FMI, Banque mondiale, OMC, OMS. Par conséquent, elles doivent être dissoutes et il faut veiller à ce que des organisations similaires portant des noms différents ne soient pas ressuscitées à l'avenir. Aux États-Unis, de plus en plus de politiciens le voient de la même manière.
résistance aux États-Unis
Le comité du budget de la Chambre des États-Unis a proposé d'éliminer entièrement le financement gouvernemental de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans le cadre de sa proposition de budget pour l'exercice 2024. Cette proposition est incluse dans le projet de loi sur les crédits de l'État, des opérations étrangères et des programmes connexes pour l'exercice 2024 du Comité , publié le 22 juin . Selon le communiqué de presse de la commission , les propositions visent à « réduire les dépenses sur les activités et programmes peu prioritaires ».
Le projet de loi comprend également une interdiction de financer l'Institut de virologie de Wuhan, l'EcoHealth Alliance et la recherche sur le gain de fonction, mettant fin à la collaboration du gouvernement américain avec le Forum économique mondial (WEF) et une interdiction de la "désinformation" gouvernementale. et les programmes de "désinformation", qui, cependant, signifient exactement le contraire de ce que prévoient l'UE, l'OMS et les autres organisations mondialistes.
RépondreSupprimerL'intégration du pouvoir des entreprises avec le gouvernement
Ces organisations mondiales sont le point de départ idéal pour les oligarques et leurs fondations, pour les grandes entreprises et l'industrie pharmaceutique ainsi que pour le complexe numérique-financier pour faire valoir leurs intérêts. Ils prennent de plus en plus de pouvoir. Ces énormes bureaucraties développées ne peuvent plus être réformées.
Benito Mussolini a caractérisé ce qui s'est passé dans l'UE et dans ces organisations comme suit : « Le fascisme devrait à juste titre être appelé corporatisme, car c'est la fusion du pouvoir des entreprises et du gouvernement. » Le corporatisme signifie les groupes capitalistes – les entreprises. En particulier, les grands gestionnaires d'actifs tels que BlackRock, UBS, Vanguard, etc. exercent déjà plus de pouvoir médiatisé sur ces organisations mondialistes que des États encore plus grands.
https://tkp.at/2023/07/07/eu-who-uno-von-demokratie-und-grundrechten-keine-rede-mehr/
Table ronde sur la politique de santé de Kennedy
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
8 juillet 2023
Le 27 juin 2023, Robert F. Kennedy Jr. a organisé une table ronde sur les politiques de santé avec un panel de défenseurs de la liberté de la santé, dont votre humble serviteur ; mon bon ami Dr Patrick Gentempo; Maureen McDonnell, infirmière pédiatrique holistique; Dr Pierre Kory, cofondateur de la Frontline COVID Critical Care Alliance (FLCCC); le cinéaste Mikki Willis; Sayer Ji, fondateur de Greenmed.com ; et le Dr Sherri Tenpenny.
Déclarations d'ouverture
L'événement était organisé par Mary Holland, ancienne présidente et avocate générale de Children's Health Defence (CHD), une organisation fondée par Kennedy. Elle est actuellement en congé du CHD pour travailler sur la campagne présidentielle de Kennedy.
"Je suis en campagne en grande partie à cause de la position ferme de M. Kennedy pour protéger la liberté, y compris la liberté de la santé, et pour protéger les droits humains fondamentaux", a déclaré Holland dans sa déclaration liminaire.
"Beaucoup d'entre vous qui regardez sont des partisans clés du mouvement pour la liberté de la santé, et vous connaissez beaucoup de choses dont M. Kennedy a parlé au fil des ans - sur la capture d'agence, la cupidité des entreprises, la corruption, les dommages pharmaceutiques et médicaux, et l'abus de pouvoir du gouvernement, en particulier pendant COVID… et la plupart d'entre vous conviennent que le système de santé américain a besoin d'une réforme en profondeur, ce qui est notre sujet ce soir.
Charles Eisenstein, qui a travaillé en étroite collaboration avec Kennedy sur la politique et la messagerie, a animé l'événement.
"Ce qui distingue les personnes de ce panel, c'est le courage", a déclaré Eisenstein. "Ce n'est pas simplement un idéal abstrait - la liberté de la santé - pour chacun d'entre nous ici. C'est quelque chose pour lequel nous avons tous risqué notre carrière...
Ce qui nous unit, c'est une certaine indépendance de pensée, et aussi un sens pratique que nous cherchons réellement à faire quelque chose à ce sujet, à une époque où le paysage de l'information est devenu si fragmenté qu'il est difficile de dire à qui faire confiance et quoi croire, lorsque les autorités traditionnelles ont perdu la confiance du public.
J'espère que tous ceux qui écoutent seront à l'écoute du contenu de ce qui est dit [et] du ton de l'enquête, et feront confiance à votre instinct pour savoir qui est sincère et qui est véridique. Exécutez-le par votre raison et votre logique…
Beaucoup d'entre nous sont « alternatifs » depuis très longtemps. C'est le moment où le centre qui s'effondre… le système de santé dysfonctionnel, s'ouvre enfin, et ce qui a si longtemps été une alternative pourrait devenir un nouveau courant dominant qui pourrait transformer la santé de ce pays. C'est la… possibilité dans laquelle nous sommes engagés.
Comme prévu, les médias grand public n'ont rien dit de bon à propos de l'événement, tentant de salir Kennedy et les panélistes avec des titres tels que "RFK Jr. affirme que la "recherche sur les vaccins" est probablement responsable du VIH et de la grippe espagnole"1,2 et "RFK Jr Je suggère de suivre l'invitation d'Eisenstein pour l'écouter et vous faire votre propre opinion. Ci-dessous, je vais résumer certains des points saillants de ce Q&A.
Vous pouvez dire, montrez-moi l'association entre le vaccin contre l'hépatite B des enfants au cours de leurs 30 premiers jours et le diabète, et les TSA et l'autisme… Vous pouvez corréler tout cela et consulter de très bonnes données presque instantanément… Donc, je suis très heureux d'avoir un véritable système d'informatique médicale, non seulement pour regarder les vaccins, mais pour regarder tous les médicaments.
RépondreSupprimerSi vous avez deux médicaments antidiabétiques concurrents, pourquoi ne savons-nous pas lequel est le plus efficace ? Pourquoi ne savons-nous pas lequel est le plus susceptible d'entraîner des crises cardiaques ou quoi que ce soit ?
Nous serons en mesure de comparer instantanément chaque intervention médicale dans le pays, et de la comparer à toutes les alternatives, et de faire des centaines de ces études en une journée, puis d'en informer les compagnies d'assurance. "Écoutez, ce n'est pas un médicament qui fonctionne réellement, et c'est un médicament qui va vous coûter de l'argent à long terme."
Kennedy éliminerait également les scientifiques qui ont approuvé des interventions nuisibles en raison de conflits d'intérêts. Les scientifiques et les dirigeants des comités d'approbation médicale ont la responsabilité sacrée de protéger la santé américaine, et s'ils ne respectent pas ce devoir, il leur serait à nouveau interdit de siéger à une commission médicale fédérale.
Prévenir les préjugés politiques dans la recherche
Kory, à son tour, a voulu savoir comment Kennedy entend s'assurer que les préjugés politiques sont tenus à l'écart des futures décisions de financement, en particulier le financement de la recherche. Alors que les décisions de financement doivent passer par le Congrès, Kennedy pourrait apporter de nombreux changements qui ne nécessitent pas l'approbation du Congrès.
Par exemple, les National Institutes of Health (NIH) n'étudient plus les maladies chroniques et sont plutôt devenus un incubateur pour le développement de médicaments, dont l'agence perçoit ensuite des redevances. "Je vais mettre fin à cela, dans la mesure du possible", déclare Kennedy. Une façon de mettre fin à ce programme est de mettre fin à la pratique consistant à autoriser les scientifiques des NIH à percevoir des redevances sur les produits sur lesquels ils ont travaillé.
"C'est tout simplement faux", dit Kennedy. « Les régulateurs ne devraient pas gagner d'argent sur des produits sur lesquels ils ont travaillé aux frais des contribuables. Mais surtout, je ne pense pas que le NIH devrait s'occuper d'incuber des médicaments pour l'industrie pharmaceutique, à moins qu'il n'y ait des raisons impérieuses pour lesquelles la pharmacie ne développera pas ce médicament par elle-même.
Soit dit en passant, je ne crois pas que les maladies infectieuses constituent une énorme menace pour la santé humaine. Nous avons eu un taux de mortalité énorme dû au COVID dans ce pays, mais presque tous ceux qui sont morts avaient une maladie chronique… La véritable menace pour la santé américaine ne vient pas des infections ; cela vient d'une maladie chronique, et c'est ce que nous devrions cibler pour toutes nos recherches.
Nous devons mettre fin à la recherche sur le gain de fonction
RépondreSupprimerKennedy s'engage également à mettre fin à toutes les recherches sur le gain de fonction et s'efforcera d'amener toutes les nations à signer un traité interdisant toutes ces recherches.
"La recherche sur le gain de fonction, c'est juste un désastre", dit-il. « Cela ne nous a donné aucun avantage, cela nous a tout donné, de la maladie de Lyme au COVID, et de nombreuses autres maladies. Le VRS, qui est aujourd'hui l'un des plus grands tueurs d'enfants, est sorti d'un laboratoire de vaccins...
Il y a de bonnes preuves que même la grippe espagnole est venue de… la recherche sur les vaccins… La recherche sur les vaccins a en fait créé certains des pires fléaux de notre histoire… »
Kennedy représente l'absolutisme constitutionnel
Gentempo a demandé à Kennedy comment il comptait empêcher la destruction des droits constitutionnels au nom des "soins de santé" ou d'une "urgence médicale", comme cela a été fait pendant la pandémie de COVID. Kennedy a répondu :
«Je vais devoir aller au Congrès… et changer les critères de déclaration d'urgence dans ce pays. Nous devons préciser que la Constitution est inviolable et que même dans l'urgence la plus extrême, vous ne pouvez pas renoncer à la Constitution et que vous devez passer par le processus démocratique.
Maintenant, cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas avoir de courtes urgences. Mais ce que nous avons vu avec cette urgence était vraiment extraordinaire, car tout le processus démocratique a été abandonné… Mais peu importe si la vie de la nation est en jeu – vous ne pouvez pas faire [ça]. La Constitution est même plus importante que la nation, ou n'importe quel nombre de vies, et nous devons revenir à cela.
Rediriger le Parti démocrate vers ses valeurs originelles
Pour ma part, j'ai choisi de jouer l'avocat du diable et j'ai demandé à Kennedy pourquoi les gens devraient soutenir un autre démocrate à la présidence, voyant comment le gouvernement fédéral a été détourné par des milliardaires mondialistes, et le Parti démocrate sous le régime de Biden est devenu l'administration la plus autoritaire de Histoire des États-Unis.
L'obstacle à la victoire de Kennedy en tant que candidat démocrate semble presque insurmontable, grâce aux super PAC de la Convention nationale démocrate (DNC). Kennedy devrait obtenir 66 % des voix pour gagner ces délégués d'État. Alors, pourquoi a-t-il choisi de se présenter en tant que démocrate, alors que le parti dispose d'un arsenal massif pour l'empêcher de gagner ? Kennedy a répondu :
« Je ne vous demande pas de soutenir le Parti démocrate. J'essaie de rappeler le Parti démocrate à ses valeurs initiales. Les valeurs avec lesquelles j'ai grandi, que mon oncle et mon père représentaient...
Je pense que, pour moi, le meilleur chemin vers la victoire passe par le Parti démocrate, même si, à ce stade, les gens peuvent le regarder et dire que c'est insurmontable. Mais je pense que nous avons un assez bon plan pour y arriver. Je vous demande d'avoir la foi et de regarder ce que nous faisons, et je pense que vous serez content.
Beaucoup de gens disent : « Peut-être devriez-vous vous présenter en tant qu'indépendant. » Mais si vous vous présentez en tant qu'indépendant, il n'y a pas de processus principal. Personne ne prête attention aux indépendants jusqu'aux élections générales, et c'est dans un an.
RépondreSupprimerJ'ai actuellement 800 demandes de presse, et je suis quelqu'un qui n'a pas pu entrer dans la presse pendant 18 ans. Pour la première fois, je suis en mesure de parler à de larges pans du public de ces questions, d'être complètement honnête à leur sujet, et d'en débattre pour la première fois.
Comment Kennedy choisira son équipe scientifique
Tenpenny était le suivant:
« Nous avons passé les trois dernières années et demie sous la tyrannie de [Dr. Anthony] Fauci et [Dr. Déborah] Birx. Je ne sais pas pourquoi Birx se promène encore. Elle a reconnu avoir menti au président. Nous n'avons pas de ministère de la Justice, auquel j'espère que vous vous adresserez en tant qu'avocat.
Mais ma question pour vous est basée sur la façon dont le pays a été détourné par Fauci et Birx et quelques-uns de leurs camarades. Comment allez-vous choisir votre équipe médicale consultative ? Et où se situent les agences à trois lettres comme le NIH et le CDC? Comment allez-vous procéder pour choisir les personnes que vous allez écouter ?
Kennedy a répondu :
"J'aurai une équipe consultative médicale diversifiée. J'ai l'impression d'être à peu près un expert de l'analyse des informations médicales et de leur compréhension… Je vais avoir des gens qui sont des dissidents. Je vais avoir des gens qui s'éloignent du paradigme pharmaceutique.
Je veux vraiment essayer d'éloigner ce pays du paradigme pharmaceutique et déplacer nos objectifs… [vers] des mesures qui montrent une meilleure santé. Sommes-nous en train de réduire les maladies chroniques ? Les factures médicales baissent-elles ? Nos enfants sont-ils en meilleure santé ? Avons-nous une meilleure mortalité infantile ?
Avons-nous une meilleure longévité ? Et fondez tout sur l'empirisme, sur la science factuelle. Faisons les études et assurons-nous que ces interventions fonctionnent. Et puis, ne pas être fermé d'esprit aux remèdes naturels et à la médecine intégrative...
Je plaide contre toutes ces agences depuis de très nombreuses années… le NIH, le CDC et la FDA. Je connais donc les personnes en qui j'ai confiance au sein de chacune de ces agences. J'ai une sorte de cadre de personnes dont je crois que le jugement est indépendant; des gens sages qui sont perspicaces et prudents et qui comprennent aussi quel est le problème.
Où Kennedy se tient sur le traité pandémique
La question de Ji tournait autour de la position de Kennedy sur le Traité sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI), qui menacent la souveraineté de notre nation et le droit des gens à faire des choix médicaux éclairés.
"Sous ma présidence, nous n'allons nous soumettre à aucun traité de l'OMS", a répondu Kennedy. "Je vais réévaluer la relation des États-Unis avec l'OMS. L'OMS s'est éloignée de ce qu'elle faisait vraiment bien, à savoir la nutrition, l'hygiène, le développement économique local... des choses qui aidaient vraiment... des stratégies locales qui étaient enracinées dans la culture locale...
RépondreSupprimerAu lieu de cela, ils ont été vérifiés par de grandes entreprises qui veulent promouvoir… la technologie de l'emporte-pièce pour chaque problème… Je veux aider les gens à développer leurs propres solutions plutôt que de laisser les entreprises américaines imposer des solutions technologiques à des problèmes que les gens résolvent eux-mêmes depuis des milliers d'années. , et aidez-les à faire ce qu'ils veulent faire.
Idem avec la médecine. Je ne pense pas qu'une bonne santé vienne d'une seringue. Je pense qu'une bonne santé vient de… une bonne eau, une bonne nutrition, des aliments sains. C'est ce qui arrête la mortalité due aux maladies infectieuses, et le changement des priorités au détriment de l'hygiène traditionnelle, de la nutrition, du développement économique et des soins de santé locaux, a vraiment détruit toute sorte de… légitimité à l'OMS et nous avons besoin d'un redémarrage complet de cette agence.
Quelle est la position de Kennedy sur le changement climatique ?
La question suivante est venue de Willis, qui a déclaré que, même en tant que militant écologiste progressiste de longue date, il commence maintenant à voir le côté obscur du récit du changement climatique. "Je suis maintenant conscient que le discours sur le changement climatique a été grossièrement exagéré par des politiciens avides de pouvoir", a-t-il déclaré.
Que pense Kennedy du récit actuel sur le changement climatique ? "Je crois que le climat est une menace existentielle, et je crois que le carbone contribue au changement climatique", a répondu Kennedy. Mais quant à la part du changement climatique causée par le dioxyde de carbone, il n'en est pas sûr.
« La science du climat est tellement complexe et nécessite tellement de disciplines. Je ne comprends pas assez bien la modélisation mathématique, la physique ou la chimie pour faire une évaluation indépendante », a-t-il déclaré. Cependant, il pense que les climatologues qui prédisent des résultats désastreux ont raison. Willis intervint :
RépondreSupprimer"Ce qui m'inquiète le plus... c'est la façon dont les politiciens ont exagéré le récit de telle sorte que nous avons maintenant une génération de jeunes jurant de ne jamais avoir d'enfants parce qu'ils pensent que notre monde va se terminer...
Je pense que la désinformation du récit sur le climat nous a détourné des yeux et nous empêche de corriger la pollution et les choses pour lesquelles nous pourrions réellement avoir le financement et la technologie pour aujourd'hui.
C'est le récit catastrophique qui terrorise tant d'Américains, en particulier les jeunes, et j'aimerais savoir, allez-vous continuer avec ce récit ? Ou que ferez-vous pour mettre nos prochaines générations à l'aise afin qu'elles ne laissent pas passer l'un des plus beaux cadeaux de tous les temps, qui est de créer une famille ? »
Kennedy a convenu que le récit sur le climat a en effet été détourné par le Forum économique mondial, Bill Gates et autres, et est utilisé par les globalistes pour consolider le pouvoir, diminuer la démocratie et restreindre les droits civils et les droits de l'homme.
"Je pense que la crise climatique en ce moment est utilisée de cette manière par ces gens", a déclaré Kennedy. « Mon approche du climat a toujours été une approche de marché libre. Pendant 40 ans, j'ai dit que nous devrions utiliser les règles du marché plutôt que des contrôles descendants. Nous devrions récompenser les sources d'énergie les moins chères et les plus efficaces, et celles-ci seront des sources renouvelables, d'une manière générale, selon l'endroit où vous vous trouvez dans le monde…
Si nous avons des règles basées sur le marché, le carbone disparaîtra de toute façon. Ce sur quoi je me suis concentré au cours de ma carrière n'est pas d'effrayer les gens avec du carbone, mais de parler de ce qui se passe réellement… J'ai passé beaucoup de temps en Virginie-Occidentale, et nous avons maintenant… aplati une zone plus grande que l'état du Delaware, 1,4 million hectares…
Nous avons rempli 2 200 milles de rivières de gravats. C'est l'un des coûts du charbon. L'autre coût est la contamination par le mercure de tous les poissons d'eau douce en Amérique et de la plupart des gros poissons d'eau salée. Nous avons des pluies acides qui ont détruit 150 lacs et les Appalaches sont maintenant stérilisées. Ce couvert forestier a disparu… »
RépondreSupprimerLe point de vue de Kennedy sur les mandats de vaccination
Ensuite, Tenpenny a demandé quelle était la position de Kennedy sur les mandats de vaccination, qu'ils soient liés à des situations d'urgence ou à des vaccinations infantiles obligatoires pour aller à l'école.
"Je ne suis pas plus contre les vaccins que je ne suis contre la médecine", a répondu Kennedy. « Si vous me montrez un vaccin qui fonctionne – pour que les personnes qui le prennent, dans 10 ans, soient plus sûres et en meilleure santé et plus vivantes à tous égards… Je prendrais ce vaccin, et j'exhorterais les autres à le prendre également.
Mais je ne l'imposerais jamais. Je suis contre les mandats de vaccination ou tout type de mandats médicaux. Je suis contre les aides massives… Donc, les rendre obligatoires est quelque chose que je ne permettrais pas en tant que président.
Unir le pays par l'honnêteté
En terminant, McDonnell a demandé comment Kennedy avait l'intention d'unir ce pays fortement divisé, dans lequel les gens ne semblent pas être d'accord sur quoi que ce soit.
«Nous avons une nation qui divise tellement. Il est tellement divisé sur le sexe, sur la religion, sur la politique. Je vous ai entendu parler lorsque vous avez annoncé votre candidature à Boston, et l'un des intervieweurs vous a dit : « Vos propres frères et sœurs ne sont pas d'accord avec vous ; ils ne vous soutiennent pas.
Et vous avez dit quelque chose de très profond. Vous avez dit : "Dans ma famille, nous avons le droit de débattre, nous avons le droit de discuter, nous avons le droit d'être en désaccord, mais nous nous aimons tous." Alors, ma question pour vous est la suivante : avec ce sentiment, peut-on vous aidez à rassembler le pays? Comment feriez-vous cela?" a demandé McDonnell.
Kennedy a répondu: "Honnêtement, je pense que la raison pour laquelle les gens sont tous en colère les uns contre les autres, c'est qu'on leur ment." Si le gouvernement et les médias, des institutions censées être dignes de confiance, arrêtaient de mentir et commençaient à dire la vérité, une grande partie de cette colère se dissiperait.
"Les journalistes sont devenus des propagandistes des récits officiels, et les gens savent qu'on leur ment", a déclaré Kennedy, "et ils recherchent donc d'autres sources d'information. Et ils doivent être punis pour cela, parce que c'est une hérésie. Et donc, ils sont réduits au silence, ou ils sont déformés, ou ils sont éclairés au gaz.
RépondreSupprimerOn leur dit qu'ils mentent et cela met les gens en colère. Donc, je pense que la plus grande partie de la colère est enracinée dans les mensonges des gens, la censure et toutes les réactions aux mensonges. Le principal antidote à cela est un gouvernement qui est rigoureusement véridique [et] qui commence à encourager de diverses manières les médias à commencer à dire la vérité au public.
La première chose que je vais faire quand j'arriverai là-bas - en plus de pardonner à Julian Assange et à un tas d'autres choses que je promets de faire - est de publier un décret exécutif [qui dit que] les agences fédérales ne peuvent participer ni à la propagande de l'American public ou de censurer le public américain. Ce sera la première étape, et ensuite je ferai beaucoup d'autres trucs forts pour m'assurer que... ça ne se reproduira plus jamais."
Sources and References
1 Rolling Stone June 27, 2023
2 Raw Story June 27, 2023
3 Slate June 27, 2023
https://www.lewrockwell.com/2023/07/joseph-mercola/kennedys-health-policy-roundtable/
Personnellement je ne ferais pas confiance à un Kennedy parce qu'il n'est pas médecin ni scientifique et, en plus il est démocrate ! Démocrate veut dire aux États-Unis être CONTRE la Démocratie (comme le sont aussi les républicains).
SupprimerIls savent (d'un côté comme de l'autre) qu'une république est une dictature. Ils se confortent, s'y prélassent dedans ! Des merdes dans la merde.
Une cause fondamentale de la maladie mentale : Professeur de Harvard
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 06 JUILLET 2023 - 03:00
Écrit par Michelle Standlee via The Epoch Times
Qu'est-ce qui cause la maladie mentale?
Pendant des années, cette question pressante est restée sans réponse.
Souvent, les patients en quête de clarté rencontrent des explications telles que "c'est génétique" ou "la dépression est un manque de sérotonine".
La maladie mentale a été une énigme et un point de confusion pour de nombreux chercheurs et scientifiques. Malgré les progrès de la médecine, la cause profonde de la maladie mentale est restée inconnue.
Cependant, une percée récente en psychiatrie pourrait être la pièce manquante de ce mystérieux puzzle.
Le Dr Christopher Palmer, professeur de psychiatrie à Harvard, a fait le lien entre des milliers d'articles de recherche concernant la relation entre la maladie mentale et le dysfonctionnement mitochondrial.
Selon Palmer, cette recherche collective soulève des inquiétudes quant aux traitements actuels utilisés pour les troubles mentaux.
Un moment charnière en 2016 a lancé le psychiatre sur une nouvelle voie lorsqu'il a aidé un patient atteint de trouble schizo-affectif à perdre du poids. Le patient souffrait non seulement d'une maladie mentale grave, mais aussi d'une faible estime de soi en raison de la prise de poids qu'il avait subie sous traitement psychotrope.
Palmer a expliqué qu'il ne pouvait initialement pas croire que le passage à un régime cétogène à faible teneur en glucides pourrait arrêter les hallucinations auditives chroniques et les délires paranoïaques. Il a rapidement commencé à utiliser cette intervention chez d'autres patients et a constaté des résultats similaires, parfois même plus spectaculaires.
Cette expérience l'a encouragé à entreprendre un voyage scientifique pour comprendre comment un changement de régime alimentaire pourrait aider les maladies mentales graves.
Assembler les pièces
Palmer a découvert des décennies de recherche scientifique révélant le lien entre la santé métabolique et la santé du cerveau.
Palmer a déclaré à Epoch Times : « Plus je découvrais ces mécanismes d'action concrets, plus je réalisais qu'il y avait quelque chose de beaucoup plus grand ici. Je commence à relier beaucoup de points que notre domaine n'a pas pu relier auparavant.
RépondreSupprimerEn novembre 2022, il a publié un livre de pointe intitulé "Brain Energy", soulignant ses découvertes et théorisant que les troubles mitochondriaux sont à l'origine de toutes les maladies mentales.
S'appuyant sur des décennies de recherche sur le métabolisme et les mitochondries, Palmer pense que les troubles mentaux sont des troubles métaboliques du cerveau. Cela signifie que ces conditions ne sont pas des défauts permanents et peuvent être corrigées en identifiant et en traitant leur cause première. Cette idée remet en question la notion selon laquelle des conditions telles que la schizophrénie et le trouble bipolaire sont des troubles permanents.
"Les personnes portant des étiquettes telles que la schizophrénie et le trouble bipolaire peuvent mettre leurs maladies en rémission, elles peuvent guérir et elles peuvent récupérer", a affirmé Palmer.
"Cela va à l'encontre d'une grande partie de ce que nous disons aux gens aujourd'hui", a-t-il ajouté.
Qu'est-ce que le dysfonctionnement mitochondrial ?
Une plongée profonde dans la biologie cellulaire révèle de minuscules organites dans les cellules responsables de la production d'énergie. Les structures appelées mitochondries sont vitales pour que toutes les cellules fonctionnent normalement, y compris les cellules cérébrales. Lorsque les mitochondries ne fonctionnent pas correctement, divers problèmes de santé peuvent survenir, notamment les maladies cardiovasculaires, l'hypertension, l'obésité et le diabète de type 2.
Palmer a souligné que lorsque les mitochondries ne fonctionnent pas correctement, cela peut également entraîner des troubles mentaux tels que l'anxiété, la dépression, le trouble bipolaire et la schizophrénie. Le cerveau a besoin d'une quantité considérable d'énergie pour fonctionner efficacement. Lorsque les mitochondries ne produisent pas suffisamment d'énergie, cela peut entraîner des anomalies dans la structure et le fonctionnement du cerveau, entraînant une maladie mentale.
Palmer affirme que le dysfonctionnement mitochondrial peut produire plusieurs changements dans le cerveau qui peuvent provoquer le développement d'une maladie mentale. Ces changements comprennent les fluctuations des niveaux de neurotransmetteurs, le stress oxydatif et l'inflammation.
Théorie révolutionnaire
RépondreSupprimerSi l'origine des troubles mentaux est un dysfonctionnement mitochondrial, les modalités de traitement qui traitent le problème sous-jacent pourraient être plus efficaces que les outils traditionnels.
Les médicaments et la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), le traitement standard de la plupart des troubles mentaux, peuvent parfois gérer les symptômes mais ne parviennent pas à guérir la maladie.
Palmer, dont le travail clinique s'étend sur plus de deux décennies et se concentre sur les cas de maladie mentale les plus résistants au traitement, a découvert que de nombreux patients aux prises avec une maladie mentale présentent également des signes de dysfonctionnement mitochondrial.
Il a déclaré que s'attaquer au trouble mitochondrial fondamental peut souvent améliorer leur état de santé mentale. Certains de ses patients ont connu une rémission de symptômes légers à graves, y compris la dépression, la psychose et les hallucinations, et ont réduit ou arrêté leurs médicaments.
Bien qu'ils soient utiles pour certains patients à court terme, les médicaments psychiatriques peuvent souvent produire des effets secondaires tels qu'une baisse de la libido, un risque accru de suicide et une prise de poids.
"Nous devons sérieusement examiner les risques et les avantages de ces traitements à long terme", a déclaré Palmer.
Il a averti que les lecteurs et les patients ne devraient jamais interrompre les médicaments sans l'avis de leurs prestataires médicaux.
Le régime cétogène à faible teneur en glucides est prometteur
Selon ses recherches et son expérience clinique, Palmer a suggéré de nombreuses stratégies pour atténuer les effets du dysfonctionnement mitochondrial, y compris des changements de mode de vie de bon sens tels que l'alimentation, l'exercice, la réduction du stress et un sommeil suffisant.
Une intervention diététique s'est avérée être la plus réussie avec les patients de Palmer. Le régime cétogène, qui remonte à 1920, a d'abord été utilisé pour traiter l'épilepsie. Il a été démontré que le régime alimentaire riche en graisses, modéré en protéines et pauvre en glucides augmente le nombre de mitochondries dans les cellules et améliore leur fonction.
L'un des avantages du régime cétogène pour la santé mitochondriale est la production de cétones. Lorsque le corps est en cétose, il produit des cétones à partir des graisses stockées comme source de carburant alternative et plus efficace. Ces cétones peuvent fournir de l'énergie aux cellules, y compris les cellules cérébrales, qui dépendent fortement des mitochondries pour leurs besoins énergétiques.
RépondreSupprimerLes mitochondries aident à la production de neurotransmetteurs, des substances chimiques qui influencent l'humeur et le comportement, comme la sérotonine et la dopamine.
Le régime cétogène améliore également la résistance à l'insuline car il est pauvre en sucre et en glucides. La résistance à l'insuline peut également nuire à la création de nouvelles mitochondries. La résistance à l'insuline entraîne un dysfonctionnement des mitochondries, une réduction de la production d'énergie et des dommages cellulaires, y compris dans les cellules cérébrales.
L'espoir à l'horizon
«Nous avons des centaines de cas de personnes atteintes de trouble bipolaire et de schizophrénie mettant leurs maladies en rémission. Les scientifiques poursuivent cela. Nous avons actuellement au moins 10 essais contrôlés du régime cétogène pour les maladies mentales graves en cours. L'un se prépare à publier bientôt les résultats de son essai pilote », a déclaré Palmer.
"Il y a beaucoup d'élan derrière cela", a-t-il déclaré. « Cette théorie révolutionnaire nous ouvre des voies entièrement nouvelles pour conceptualiser et traiter la maladie mentale à l'avenir. Des études sont déjà en cours et progressent rapidement, mais cela peut avoir de vrais résultats chez de vraies personnes aujourd'hui.
https://www.zerohedge.com/medical/root-cause-mental-illness-harvard-professor
Des médecins sont condamnés par le Conseil de l’Ordre pour avoir signalé des enfants en danger.
RépondreSupprimerAlerte de Françoise Fericelli, pédopsychiatre
Laurence Beneux, France-Soir
le 06 juillet 2023 - 11:30
DEBRIEFING - "Signaler un inceste sans s’immiscer dans les affaires de famille, ça paraît un exercice un peu compliqué", observe la pédopsychiatre Françoise Fericelli. Dans ce Débriefing, la spécialiste, co-fondatrice du collectif "Médecins Stop Violences", dénonce l’incapacité apparente de l’Ordre des médecins à intégrer cette assertion de bon sens, qui inflige des sanctions disciplinaires à des médecins ayant signalé des suspicions de maltraitances, au motif que ces professionnels violeraient l’article 51 du code de déontologie, "le médecin ne doit pas s’immiscer sans raison professionnelle dans les affaires de famille ni dans la vie privée de ses patients." "Je pense qu’Hippocrate se retournerait dans sa tombe en voyant des choses pareilles", s’indigne Françoise Fericelli. "L’assistance aux plus vulnérables, c’est la base du code de déontologie !"
La pédopsychiatre Françoise Fericelli fait partie de ces médecins sanctionnés par le Conseil de l’Ordre des médecins pour avoir signalé une suspicion de maltraitance sur enfant. Dans son cas, la sanction, qui fait l’objet d’un appel, était légère : "un avertissement". Il faut dire que la personne qu’elle soupçonnait de maltraitance sur mineur avait fait déjà l’objet d’une condamnation pénale au moment où la pédopsychiatre est passée devant la chambre disciplinaire... Mais les sanctions prononcées peuvent aller jusqu’à une interdiction temporaire d’exercer.
Ces sanctions, qui entrent en contradiction avec la loi et avec un autre article du code de déontologie médicale, l’article 43, "Le médecin doit être le défenseur de l’enfant lorsqu’il estime que l’intérêt de sa santé est mal compris ou mal préservé par son entourage", dissuadent les médecins de signaler les violences qu’ils peuvent être amenées à soupçonner.
65 médecins, engagés dans la lutte contre les violences intrafamiliales se sont donc réunis, sous la forme du collectif "Médecins Stop Violences" et ont mis en ligne une pétition dans laquelle ils demandent que :
L’obligation de signalement à l’autorité judiciaire ou administrative soit clairement énoncée dans la loi.
Que cette obligation soit assortie d’une protection effective des médecins signalant, s’étendant à l’irrecevabilité des poursuites (le diable se cache dans les détails : si les sanctions sont en théorie déjà interdites en cas de soupçons de maltraitances, les poursuites, elles, ne le sont pas. Or ces dernières sont particulièrement chronophages pour les professionnels, et sources de soucis.
Les médecins puissent adresser les signalements à tous les magistrats ayant une mission de protection de l’enfance, et pas aux seuls procureurs ou Centre régional des informations préoccupantes.
Que l’anonymat du signalant soit préservé si le médecin le demande.
RépondreSupprimerQue les poursuites devant le Conseil de l’Ordre pour non-respect de l’autorité parentale conjointe soient interdites en cas de suspicion de maltraitances. En effet, un parent maltraitant bénéficiant de l’autorité parentale peut aujourd’hui s’opposer à un suivi psychiatrique de son enfant et il arrive qu’il le fasse pour éviter que les maltraitances soient révélées.
Pour savoir plus, voir l’article "La silenciation des médecins", publié dans la revue Enfances et psy 2023/2 (n°96) et repris sur le site Cairn.info.
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/fericelli-medecins-refusent-etre-condamnes-par-ordre
Des documents ont par la suite été révélés suggérant que Pfizer avait arrangé des retards dans la publication d'études scientifiques qui sapaient sa revendication des autres utilisations de Neurontin. Dans l'un de ces documents, il a été constaté qu'un chef d'équipe Neurontin chez Pfizer a déclaré: "Je pense que nous pouvons limiter les inconvénients potentiels de l'étude 224 en retardant la publication aussi longtemps que possible."
RépondreSupprimerEnfin, en 2010, un jury fédéral a conclu que Pfizer avait commis une fraude de racket dans sa commercialisation de Neurontin ; le juge chargé de l'affaire a par la suite ordonné à la société de payer 142 millions de dollars de dommages et intérêts.
- En 2005, Pfizer a retiré son analgésique Bextra du marché après que la FDA ait cité "des informations inadéquates sur les risques cardiaques possibles liés à l'utilisation à long terme du médicament ainsi que sur les réactions cutanées" potentiellement mortelles ", y compris les décès".
- Cette même année, la FDA a approuvé un avertissement de boîte noire sur l'autre analgésique à succès de Pfizer, Celebrex, citant des risques élevés "d'événements cardiovasculaires et d'hémorragies gastro-intestinales potentiellement mortelles".
— En 2007, Pfizer a accepté de payer 34,7 millions de dollars pour régler les charges fédérales liées à la commercialisation de son hormone de croissance humaine Genotropin. Pharmacia & Upjohn Co., une filiale de Pfizer, a accepté de payer 19,7 millions de dollars pour "avoir offert un pot-de-vin à un gestionnaire de prestations pharmaceutiques pour vendre davantage de médicaments", tandis que Pfizer a accepté de payer 15 millions de dollars supplémentaires pour "la promotion de Genotropin pour des utilisations non approuvées". par la Food and Drug Administration.
- En 2008, Pfizer a payé une amende énorme de 894 millions de dollars pour régler des poursuites "alléguant que son analgésique Bextra retiré et son médicament contre l'arthrite Celebrex largement utilisé ont nui aux patients américains et fraudé les consommateurs". Sur l'amende totale, 745 millions de dollars ont été mis de côté pour "résoudre les réclamations pour blessures corporelles".
- L'année suivante, 2009, Pfizer a été condamné à une amende de 2,3 milliards de dollars, gagnant la distinction douteuse d'être étiqueté avec le plus grand règlement de soins de santé de l'histoire. GlaxoSmithKline monterait la barre avec un règlement de 3 milliards de dollars en 2012.
L'amende était une combinaison de règlements civils et pénaux liés à la "promotion prétendument illégale de certains médicaments par Pfizer, notamment le Bextra". Pfizer a plaidé coupable d'avoir "mal étiqueté l'analgésique Bextra avec l'intention de frauder ou d'induire en erreur, en faisant la promotion du médicament pour traiter la douleur aiguë à des doses que la FDA avait précédemment jugées dangereusement élevées".
Le ministère de la Justice a également noté que Pfizer avait "prétendument payé des pots-de-vin à des médecins conformes et fait la promotion illégale de trois autres médicaments : l'antipsychotique Geodon, un antibiotique Zyvox et le médicament antiépileptique Lyrica".
Interrogé par le New York Times, l'ancien représentant commercial de Pfizer, John Kopchinski, qui a aidé à lancer l'enquête fédérale, a déclaré : « Toute la culture de Pfizer est axée sur les ventes, et si vous ne vendiez pas de médicaments illégalement, vous n'étiez pas considéré comme un joueur d'équipe."
L'amende pénale de 1,195 milliard de dollars dans ce règlement représente toujours la plus grande amende pénale jamais imposée aux États-Unis pour quelque affaire que ce soit.
Même après avoir conclu un vaste accord d'intégrité d'entreprise avec le Bureau de l'inspecteur général du ministère de la Santé et des Services sociaux dans le cadre du règlement de 2009, le comportement sans principes et préjudiciable de Pfizer s'est poursuivi. Le groupe a continué à jouer.
Lancet retire une étude désastreuse sur l'évaluation des protocoles de pathologie pour la campagne de vaccination
RépondreSupprimer7 juillet 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Les affirmations de l'OMS et des médias grand public sur la "sécurité et l'efficacité" des vaccins corona sont réfutées avec une clarté croissante. Et de moins en moins de gens y croient, ne serait-ce que parce que presque tout le monde connaît désormais de plus en plus de personnes avec des dégâts de vaccination. La relation causale est également prouvée dans de plus en plus d'études. Un Lancet en a publié un, mais l'a retiré dans les 24 heures.
Cependant , Internet n'oublie jamais et la publication du Lancet peut toujours être trouvée dans les archives Web .
- voir doc sur site -
Entre-temps, Zenodo a également publié l'étude , et elle est librement accessible, du moins pour le moment. Pour plus de sécurité, voici une sauvegarde TKP locale comprenant l' annexe supplémentaire.
L'étude s'intitule A Systematic Review of Autopsy Findings in Deaths after COVID-19 Vaccination et est rédigée par Peter McCullough, Harvey Risch, Paul E. Alexander et d'autres.
Dans 44 articles avec 325 cas d'autopsie, un lien de causalité avec la vaccination a pu être déterminé dans la plupart des cas (73,9%). Le décès est survenu en moyenne 14,3 jours après la dernière vaccination. Plus de la moitié des causes de décès étaient liées au système cardiovasculaire.
Il convient de noter que seul un très petit pourcentage de décès inexpliqués ont également été évalués lors d'un examen médico-légal.
Contexte : Le développement rapide et l'utilisation généralisée des vaccins contre la COVID-19, associés à un nombre élevé de rapports d'événements indésirables, ont soulevé des inquiétudes quant à d'éventuels mécanismes de préjudice, notamment la distribution systémique de nanoparticules lipidiques (LNP) et d'ARNm, la protéine de pointe -Lésions tissulaires associées, thrombogénicité, dysfonctionnement du système immunitaire et cancérogénicité. Le but de cette revue systématique est d'étudier les relations causales possibles entre l'administration du vaccin COVID-19 et les décès sur la base d'autopsies et d'analyses post-mortem.
Méthodes : Nous avons recherché tous les rapports d'autopsie et d'autopsie publiés liés à la vaccination contre la COVID-19 jusqu'au 18 mai 2023. Nous avons initialement identifié 678 études et, après sélection par rapport à nos critères d'inclusion, nous avons inclus 44 articles avec 325 cas d'autopsie et un cas d'autopsie. Trois médecins ont examiné de manière indépendante tous les décès et ont déterminé si la vaccination contre le COVID-19 était la cause directe ou un contributeur majeur au décès.
Les résultats : Le système organique le plus fréquemment affecté dans les décès liés à la vaccination contre la COVID-19 était le système cardiovasculaire (53 %), suivi du système hématologique (17 %), du système respiratoire (8 %) et des systèmes d'organes multiples ( 7 %). Dans 21 cas, trois systèmes d'organes ou plus étaient touchés. Le délai médian entre la vaccination et le décès était de 14,3 jours. La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière dose de vaccin. Un total de 240 décès (73,9 %) ont été évalués de manière indépendante comme étant directement causés par la vaccination contre la COVID-19 ou y ayant contribué de manière significative.
Analyse : La cohérence des cas dans cette enquête avec les effets indésirables connus du vaccin COVID-19, leurs mécanismes et les décès associés en conjonction avec la confirmation de l'autopsie et l'évaluation des décès par le médecin indique que dans la plupart des cas, une relation causale entre Les vaccins COVID-19 et les décès sont très probables. Des investigations plus urgentes sont nécessaires pour clarifier nos résultats.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/07/07/lancet-zieht-fuer-impfkampagne-desastroese-studie-ueber-auswertung-von-pathologie-protokollen-zurueck/
L'International Science Journal publie un article demandant que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 soient reclassés en tant que thérapies géniques
RépondreSupprimerDe Paul Anthony Taylor
Recherche mondiale,
07 juillet 2023
Dans un développement significatif, un article de synthèse publié dans l'International Journal of Molecular Sciences demande ouvertement que les vaccins à ARNm anti-COVID-19 soient reclassés en tant que produits de thérapie génique.
Notant leur développement rapide et leur approbation en réponse au coronavirus SARS-CoV-2, l'article soutient que, maintenant que la pandémie est passée, il est temps d'examiner correctement les problèmes de sécurité associés à leur utilisation. Malgré leur principe d'action correspondant aux définitions réglementaires des thérapies géniques, explique l'article, les injections sont plutôt traitées comme des vaccins contre les maladies infectieuses. Les autorités gouvernementales n'ont fourni aucune justification scientifique ou éthique à cela.
Soulignant qu'ils représentent une nouvelle classe de vaccins basés sur de nouvelles technologies, l'article propose que les vaccins anti-COVID-19 soient soumis à davantage de contrôles que les injections conventionnelles. Notant que les fabricants envisagent de remplacer certains vaccins "classiques" par des versions à ARNm, à commencer par les vaccins antigrippaux, et que des "vaccins" à ARNm contre le cancer sont également annoncés, l'article souligne que les problèmes de sécurité découlant de l'absence de contrôles réglementaires suffisants devraient urgemment maintenant être adressé.
Les fabricants de vaccins s'attendaient à ce que leurs produits d'ARNm soient réglementés en tant que thérapies géniques
L'article affirme avec force que les injections d'ARNm ne sont pas des vaccins et qu'elles doivent être conformes à la réglementation sur les produits de thérapie génique. Fait intéressant, par conséquent, il décrit également comment Moderna et BioNTech s'attendaient à l'origine à ce que leurs produits d'ARNm soient réglementés en tant que thérapies géniques.
Moderna a reconnu dans un dossier de la Securities and Exchange Commission des États-Unis en 2020 que "actuellement, l'ARNm est considéré comme un produit de thérapie génique par la FDA". De même, le fondateur de BioNTech, Ugur Sahin, dans un article de 2014 , a déclaré que : "On s'attendrait à ce que la classification d'un médicament à base d'ARNm soit un médicament biologique, une thérapie génique ou une thérapie cellulaire somatique". Compte tenu de cela, aucune des deux sociétés ne devrait avoir de motif de plainte si leurs produits d'ARNm devaient être reclassés.
Les preuves suggèrent que les injections d'ARNm peuvent provoquer ou réactiver des cancers
RépondreSupprimerDiscutant des types d'études qui auraient dû être menées avant l'autorisation des injections d'ARNm anti-COVID-19, l'article décrit comment le Comité européen des médicaments à usage humain a noté qu'aucune donnée n'est disponible sur le transfert placentaire ou l'excrétion du vaccin dans lait maternel. Cependant, des recherches menées indépendamment des fabricants des produits ont démontré le passage de l'ARNm du vaccin dans le lait maternel dans la première semaine suivant l'injection. Selon un rapport de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis , les effets indésirables observés chez les bébés allaités pourraient être dus à cela. De plus, des nanoparticules, similaires à celles trouvées dans les vaccins à ARNm COVID-19, ont été montréescapable de traverser la barrière placentaire chez la souris. L'article soutient donc que des études précliniques et cliniques approfondies auraient dû explorer ces aspects.
Des études de cancérogénicité, de tumorigénicité et de suppression immunitaire auraient également dû être menées, affirme l'article, car des études ont suggéré que les vaccins à ARNm pourraient induire une immunotolérance . Recommandant de surveiller à long terme les cancers développés par des individus vaccinés, l'article décrit comment des cancers se sont développés suite à des vaccinations par ARNm ou même ont été réactivés par celles-ci.
Aucune donnée de sécurité humaine à long terme n'existe pour les injections d'ARNm
L'article note que la réglementation des produits de thérapie génique nécessite une surveillance à très long terme des effets indésirables. Cela sera difficile à réaliser pour les vaccins à ARNm, explique l'article, car l'Agence européenne des médicaments (EMA) n'a demandé qu'un suivi de 24 mois des événements indésirables après la vaccination, affirmant qu'un nombre important de participants du groupe placebo ont maintenant été vacciné.
Moderna a annoncé qu '"au 13 avril 2021, tous les participants au placebo se sont vu offrir le vaccin Moderna COVID-19 et 98% d'entre eux ont reçu le vaccin". Comme le British Medical Journal a résumé la situation, "l'essai n'est plus en aveugle et le groupe placebo n'existe plus". Cela rend clairement très difficile le suivi de la sécurité.
Décrivant comment la dernière date de suivi de pharmacovigilance de l'EMA pour les vaccins à ARNm anti-COVID-19 est le 31 mars 2024, l'article explique en outre comment cela est bien en deçà de la période de suivi de 30 ans que l'agence exige pour les produits de thérapie génique. Aux États-Unis, la FDA a un suivi de 5 à 15 ans pour ces produits.
Dans sa conclusion, l'article note que le rôle des agences de réglementation est d'assurer la sécurité et l'efficacité des médicaments. Étant donné cependant que la pandémie de COVID-19 a considérablement accéléré le calendrier de production et d'utilisation clinique des vaccins à ARNm, il n'aura clairement pas été possible de traiter pleinement tous les aspects de leur sécurité. Avec des milliards de doses administrées, les effets à long terme sont incalculables.
Mais avec une approche efficace et sûre pour améliorer l'immunité contre le COVID-19 désormais disponible sous la forme d'une combinaison révolutionnaire de micronutriments naturels , les risques de se soumettre à des injections expérimentales d'ARNm ne peuvent plus être justifiés. Les seules parties à souffrir de ce développement scientifique révolutionnaire, ainsi que de la reclassification des injections d'ARNm en tant que thérapies géniques, seront l'industrie vaccinale de plusieurs milliards de dollars et ses parties prenantes.
RépondreSupprimerS'exprimant lors d'une conférence au Sommet mondial de la santé à Berlin, le dirigeant de Bayer, Stefan Oelrich, a admis qu'en réalité, les vaccins à ARNm anti-COVID-19 sont des thérapies géniques.
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Cet article a été initialement publié sur Dr. Rath Health Foundation .
Directeur exécutif de la Dr. Rath Health Foundation et l'un des co-auteurs de notre livre explosif, " The Nazi Roots of the 'Brussels EU' ", Paul est également notre expert à la Commission du Codex Alimentarius et a eu une expérience de témoin oculaire, comme un délégué observateur officiel, à ses réunions. Vous pouvez trouver Paul sur Twitter à @paulanthtaylor
https://www.globalresearch.ca/international-science-journal-publishes-article-calling-covid-19-mrna-vaccines-reclassified-gene-therapies/5825028
Preuve de crimes de « vaccins » de Covid soumis à l'enquête du grand jury de Floride
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Sansone
L'esprit compte et tout le reste
7 juillet 2023
"Interdit immédiatement et des enquêtes criminelles devraient commencer"
En tant que résident de Floride et membre du conseil d'administration du Mouvement national de la Renaissance américaine, au nom du Mouvement national de la Renaissance américaine, je viens de soumettre ce livre blanc contenant des preuves du Grand Jury. Cette preuve sera également distribuée aux procureurs de l'État de Floride et aux shérifs du comté. Ce document a été préparé par le président du National American Renaissance Movement et l'avocat de la défense pénale du NJ, David Meiswinkle. Ce document répertorie 149 pièces à conviction et affirme la preuve que des crimes d'État et fédéraux ont été commis. Ce document exige une interdiction immédiate des «vaccins» Covid 19 et des enquêtes criminelles.
Ce document stipule que les «vaccins» Covid doivent être «interdits immédiatement et les enquêtes criminelles doivent commencer».
La soumission de cette preuve est un dossier public. Il ne peut y avoir aucune affirmation légitime selon laquelle ces preuves n'ont pas été fournies à l'enquête sur le vaccin Covid du grand jury de Floride. Ce document décrit les crimes et les personnes d'intérêt. Le document affirme que les injections de C19 répondent aux critères des armes biologiques selon les lois de Floride et fédérales sur les armes biologiques. Il met en évidence des preuves de racket, de trahison, de crimes contre l'humanité et d'autres crimes graves.
Cette preuve sera également distribuée aux procureurs de l'État de Floride et aux shérifs du comté. La guerre à venir ne peut être gagnée sans vous. S'il vous plaît, partagez-le largement.
Lisez ici :
Résumé
Preuve du grand jury de Floride
Cela est apparu à l'origine sur Mind Matters and Everything Else avec le Dr Joseph Sansone.
https://www.lewrockwell.com/2023/07/no_author/evidence-of-covid-vaccine-crimes-submitted-to-florida-grand-jury-investigation/
Surpoids et surmortalité : un lien remis en cause
RépondreSupprimerUne série d’études récentes remet en question la fiabilité de l’Indice de Masse Corporelle (IMC) comme indicateur de santé. Contrairement à l’obésité, le surpoids ne semble pas augmenter le risque de mortalité. Cependant, cela ne signifie pas que le surpoids est sans risques pour la santé.
Par Paolo Garoscio
le 7 juillet 2023 à 11h43
70% des adultes aux États-Unis sont considérés comme en surpoids ou obèses
L'IMC : Un outil limité pour évaluer la santé
L'IMC, bien qu'utile pour sa simplicité de calcul, est de plus en plus remis en question comme indicateur de santé. Des chercheurs de l'université Rutgers dans le New Jersey ont souligné que d'autres indicateurs, tels que la répartition corporelle de l'excès de graisse, fournissent des informations plus précises sur l'état de santé d'un individu. Leur étude, publiée le 5 juillet 2023 sur la revue Plos One, remet en cause certains présupposés sur le lien entre poids et surmortalité.
En effet, des personnes ayant des IMC similaires peuvent présenter des conséquences de santé très différentes. Par exemple, certains sportifs peuvent avoir un IMC élevé en raison d'une masse musculaire importante, sans être considérés comme en surpoids ou obèses d'un point de vue médical.
Surpoids et obésité : une distinction cruciale
Les personnes en surpoids, c'est-à-dire avec un IMC entre 25 et 30, ne présentent pas de risque accru de mortalité par rapport à celles dont l'IMC est entre 22,5 et moins de 25. Cependant, le risque de mortalité augmente significativement pour les personnes ayant un IMC inférieur à 20 et celles dont l'IMC est égal ou supérieur à 30, soit les personnes catégorisées comme obèses.
Il est important de noter que le surpoids reste associé à des maladies comme le diabète ou les maladies cardiovasculaires. De plus, plus de 70% des adultes aux États-Unis sont considérés comme en surpoids ou obèses, ce qui souligne l'importance de comprendre ces distinctions.
Vers une meilleure compréhension globale de la santé
Ces résultats suggèrent que nous devons aller au-delà de l'IMC pour évaluer l'état de santé d'une personne. Des facteurs tels que la mesure du tour de taille, la densité osseuse et musculaire, ainsi que la présence de maladies chroniques, doivent être pris en compte.
Les progrès dans le traitement des maladies liées au surpoids pourraient également modifier la relation entre le poids et la mortalité. De futures recherches sont nécessaires pour mieux caractériser les associations entre l'IMC, le surpoids, l'obésité et la mortalité.
- voir cadre sur site:
https://www.economiematin.fr/surpoids-surmortalite-imc-obesite-sante-calcul-etude-science
"On est des familles comme tout le monde, on a des enfants, et là on est vraiment en train d’avoir très, très peur"
RépondreSupprimerLaurence Beneux, France-Soir
le 04 juillet 2023 - 16:00
"De la part du ministère de l’Intérieur, rien n’a été mis en place, strictement rien", constate Aurélie Laroussie.
DEBRIEFING - Dans ce Débriefing, Aurélie Laroussie, présidente de l’association des Femmes des Forces de l’Ordre en Colère (FFOC), livre un témoignage poignant du désarroi des familles des membres des forces de l’ordre alors qu’une "réelle chasse aux flics, et de ce fait de leurs familles", s’organise.
"On avait déjà peur pour nos hommes et nos femmes, aujourd’hui on tremble aussi à la maison. Et à la maison, il y a aussi nos enfants", explique la jeune femme, co-auteure avec Perrine Sallé d’un livre, "Putes à flics”. L'enfer quotidien des familles des forces de l’ordre", publié aux Éditions Ring (2022, préface de Marie Fugain).
Elle dénonce l’indifférence du ministère de l’Intérieur, face aux dangers qu’encourent actuellement ces familles, et l’incapacité de la justice à prendre les mesures qui s’imposent.
"De la part du ministère de l’Intérieur, rien n’a été mis en place, strictement rien", constate Aurélie Laroussie.
"Monsieur Darmanin aurait peut-être pu avoir la délicatesse de me dire 'je sais ce qui se passe dans vos familles' (…), de nous porter un minimum d’attention", reproche-t-elle encore.
La mère de famille appelle à l’apaisement et demande des mesures fortes contre une minorité qui "fait beaucoup de bruit".
Et si elle explique comprendre la colère de certaines personnes, elle les exhorte aussi à réaliser que "aucun policier n’est content d’avoir tué un être humain", et que les forces de l’ordre sont, elles aussi, victimes des politiques publiques.
Page Facebook de l’association FFOC : https://www.facebook.com/AssoFFOC/
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/est-des-familles-comme-tout-le-monde-des-enfants-et-la-est-vraiment-en-train
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