- ENTREE de SECOURS -



mardi 11 avril 2023

« Peine de mort » pour les opposants au Covid ?

 

114 commentaires:

  1. « Peine de mort » pour les opposants au Covid ?


    10.04.2023
    www.kla.tv/25703


    Il y a deux ans, le 22 mars 2021, on a enterré le président tanzanien John Magufuli avec de nombreuses marques de condoléances. Dans sa nécrologie, le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a souligné les réalisations exceptionnelles de Magufuli pour son pays pendant ses six années de règne. Il était une icône et un héros. Un héros tragique, comme nous allons le montrer ci-après. Parce que malheureusement ce n'est que le cas le plus connu de toute une série de morts soudaines et mystérieuses de personnalités influentes qui ont attiré l'attention en raison de leur prises de position contre la politique mondiale du Covid et ont été, pour ainsi dire, enterrées avec elles. Kla.TV a enquêté sur ces faits. Voici un aperçu :

    Tanzanie :

    Magufuli s'est fait connaître au niveau international lorsqu'il a publiquement mis en doute la pertinence des tests PCR et mis fin à leur utilisation ainsi qu'à l'enquête de statistiques sur le Covid.
    Il est l'un des rares chefs de gouvernement au monde à avoir résisté à la pression d'introduire des mesures coercitives contre son peuple. En juin 2020, il a déclaré son pays exempt de Covid. Son peuple l'a ensuite réélu le 28 octobre avec 84 % des voix. Après avoir refusé les vaccins Covid début 2021 parce qu'ils n'avaient pas été suffisamment testés, un article sponsorisé par la fondation Bill et Melinda Gates a été publié le 8 février dans le quotidien The Guardian, déclarant que Magufuli représentait un danger pour la santé publique. Quelques jours plus tard, du 12 au 22 février, la Tanzanie a connu une série de décès d'hommes politiques de haut rang : le ministre du Travail dans un accident de la route, le secrétaire en chef de la présidence ainsi qu'un secrétaire d'État de longue date pour une raison inconnue. Le vice-président de Zanzibar et le directeur de la Banque de Tanzanie sont également décédés à cause du Covid-19. Le président Magufuli a été vu pour la dernière fois en public fin février et son décès a été annoncé en mars. Les causes évoquées sont aussi bien une maladie cardiaque que le Covid-19. Après la mort de Magufuli, sa successeuse Hassan a réintroduit le 6 avril l'enregistrement du nombre de cas de Covid pour la Tanzanie et a lancé peu après une campagne de vaccination.

    Burundi:

    Le 12 mai 2020, le président Pierre Nkurunziza a expulsé les représentants de l'OMS du pays, car il ne souhaitait pas d'ingérence. Il s'est fermement opposé à un confinement et a qualifié la pandémie d'escroquerie.
    Pierre Nkurunziza est décédé le 8 juin 2020 à l'âge de 55 ans d'une crise cardiaque.
    Son successeur, Évariste Ndayishimiye, a qualifié le coronavirus de pire ennemi du pays et a lancé une campagne de détection.

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  2. Eswatini* :

    Le Premier ministre Ambrose Mandvulo Dlamini souhaitait lutter contre la pandémie par ses propres moyens et continuer à développer les structures de santé déjà en place dans son pays. Il est décédé le 13 décembre 2020 à l'âge de 52 ans. Deux de ses ministres sont décédés peu après, en janvier, tous avec le Covid-19 comme cause de décès.
    Le gouvernement a commandé 1,3 million de doses de vaccin pour l’Eswatini en janvier et les vaccinations ont commencé en mars avec AstraZeneca.

    Afrique du Sud, Zimbabwé et Malawi :

    En janvier 2021, douze hommes politiques étaient morts en Afrique du Sud et quatre ministres au Zimbabwe voisin en l'espace d'une semaine.
    Les événements au Malawi ont été particulièrement frappants : un tribunal a estimé qu'un confinement affecterait injustement la population pauvre, ce qui a poussé le gouvernement à ne pas l'imposer. En l'espace de 48 heures, trois ministres en exercice et l'ancien chef de la banque centrale sont décédés, tous victimes du Covid-19.
    Six jours après ces décès, le gouvernement du Malawi a imposé pour la première fois un confinement, et en mars, les vaccinations ont commencé avec AstraZeneca.

    Haïti :

    En Haïti, ni les autorités ni les habitants du pays n'ont respecté les mesures Covid, les centres de traitement ont fermé en raison du nombre insuffisant de patients. En mai, plus de 700 000 doses de vaccin ont été refusées, et en juin, à nouveau 130 000 doses d'AstraZeneca en raison d'effets secondaires possibles. Selon ce rapport, les autorités ont stoppé à plusieurs reprises l'importation de vaccins Covid, de sorte qu'en juin 2021, Haïti était le dernier pays américain où la vaccination n'avait pas encore commencé.
    Dans la nuit du 7 juillet, 28 hommes lourdement armés se sont avancés vers la maison du président Jovenel Moïse. Certains ont pénétré dans sa chambre à coucher et l'ont abattu.
    Après la mort de Moïse, des troubles massifs ont éclaté dans le pays. Insensible à cela, Haïti a lancé peu de temps après une vaste campagne de vaccination.

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  3. Allemagne :

    En automne 2020, trois hommes influents ont annoncé qu'ils s'opposeraient à un deuxième confinement : Thomas Oppermann, Mario Ohoven et Franz Klein.

    • Thomas Oppermann a été vice-président du Bundestag allemand et a vivement critiqué la chancelière Merkel pour avoir voulu imposer les mesures Covid sans la participation du Parlement. Fin octobre, il a demandé un débat général sur les restrictions des droits fondamentaux. Il s'apprêtait à exposer sa position le 25 octobre dans l'émission « Berlin direkt » de la ZDF lorsque, à 66 ans, il s'est soudainement effondré et est décédé. La cause du décès n'a pas été élucidée.

    • Mario Ohoven était président de l'Association fédérale allemande des petites et moyennes entreprises depuis 1998. Il a écrit plusieurs fois directement à la chancelière fédérale pour éviter un deuxième confinement. Dans un appel publié le 29 octobre, les points suivants ont été remis en question - je cite : « ... si les mesures sont également proportionnées au sens juridique et donc en accord avec notre constitution. En tant qu'association, nous allons demander un tel examen dans l'intérêt des classes moyennes. A la fin, il pourrait y avoir une saisine de la Cour constitutionnelle fédérale. » Deux jours plus tard, le véhicule d'Ohoven a percuté la glissière de sécurité centrale sur l'autoroute pour une raison inconnue, entraînant son décès.

    • Franz Klein était le chef de l'association des hôtels et restaurants de Hambourg. Lorsqu'en novembre, la loi sur la protection contre les infections devait être renforcée, l'association a annoncé qu'elle allait porter plainte devant la Cour constitutionnelle fédérale. Deux jours plus tard, Franz Klein est décédé de manière soudaine et inattendue à l'âge de 72 ans.

    A partir du 2 novembre, l'Allemagne a connu un nouveau confinement, qui s'est durci en décembre. Ce n'est qu'au bout de quatre mois que des assouplissements progressifs ont été décidés.
    Entre-temps, la campagne de vaccination, massivement promue comme seule issue à la pandémie, avait commencé.

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  4. Conclusion :

    Il est finalement impossible de dire si la mort de toutes ces personnalités est liée à leur attitude critique envers les mesures Covid. Ce qu'on peut dire, c'est que l'élimination de porteurs d'espoir qui s'opposent au diktat imposé d'un agenda global s'est déjà produite plus souvent. Selon les révélations de John Perkins, tueur en col blanc et ancien agent de l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA), les opposants indésirables sont soit destitués de leur poste, soit ouvertement écartés du pouvoir, soit assassinés dans le cadre d'opérations clandestines des services secrets. Il semblerait donc qu'un énorme appareil composé de services secrets corrompus, d'organisations terroristes et même de tueurs à gages agisse dans l'ombre et ne recule devant rien pour influencer les développements dans la direction souhaitée.

    Mais il semble que depuis le vent ait tourné. En effet, alors que les décès décrits par John Perkins n'ont été mis en lumière qu'après des décennies, l'accumulation frappante de décès mystérieux chez les opposants à la politique Covid est aujourd'hui révélée en temps réel. Cela montre la dynamique que le mouvement de clarification a atteint aujourd’hui et que rien ne peut plus rester caché.

    de jmr
    Sources / Liens :

    Serien:
    https://apolut.net/ist-afrikas-zurueckhaltung-bei-den-corona-impfungen-gerechtfertigt-von-paul-soldan/

    https://www.oval.media/ploetzlich-und-unerwartet/

    verheimlicht vertuscht vergessen – Was 2021 nicht in der Zeitung stand, Gerhard Wisnewski, Verlag Kopp, Seiten 84ff, 160ff

    Tansania:
    https://www.youtube.com/watch?v=LUUDkQ6Xsn0&t=180s

    www.kla.tv/17363

    https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_in_Tanzania

    https://en.wikipedia.org/wiki/2020_Tanzanian_general_election

    https://www.theguardian.com/global-development/2021/feb/08/its-time-for-africa-to-rein-in-tanzanias-anti-vaxxer-president

    https://www.theguardian.com/world/2021/mar/10/tanzania-missing-president-kenya-covid-says-opposition-leader

    https://en.wikipedia.org/wiki/Atashasta_Justus_Nditiye

    https://www.thecitizen.co.tz/tanzania/news/national/chief-secretary-ambassador-john-kijazi-has-died--3295344

    https://www.thecitizen.co.tz/tanzania/news/national/dr-servacius-likwelile-has-died-aged-63-3298154

    https://en.wikipedia.org/wiki/Seif_Sharif_Hamad

    https://en.wikipedia.org/wiki/Benno_Ndulu

    https://www.theeastafrican.co.ke/tea/news/east-africa/-death-robs-tanzania-of-10-prominent-persons-in-february-3301530

    Burundi:
    https://en.wikipedia.org/wiki/Pierre_Nkurunziza

    https://en.wikipedia.org/wiki/%C3%89variste_Ndayishimiye

    Eswatini:
    https://en.wikipedia.org/wiki/Ambrose_Mandvulo_Dlamini

    https://en.wikipedia.org/wiki/Makhosi_Vilakati

    https://en.wikipedia.org/wiki/Christian_Myekeni_Ntshangase

    https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_in_Eswatini

    Malawi:
    https://www.dailymail.co.uk/news/article-9138885/Four-political-figures-Malawi-DIE-Covid-19-just-days-Madonna-appeared-country.html

    https://en.wikipedia.org/wiki/Sidik_Mia

    https://www.faceofmalawi.com/2021/01/11/ps-ernest-kantchentche-laid-to-rest/

    https://www.jpost.com/breaking-news/covid-19-kills-two-malawi-cabinet-ministers-655154

    https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_in_Malawi

    Deutschland:
    https://www.welt.de/politik/deutschland/article218593404/Thomas-Oppermann-Noch-vor-dem-Dreh-war-er-wie-stets-professionell-und-entspannt.html

    https://de.wikipedia.org/wiki/Mario_Ohoven

    https://www.lokalkompass.de/ratingen/c-blaulicht/mario-ohoven-stirbt-nach-schwerem-unfall_a1462336

    https://www.abendblatt.de/hamburg/article230977062/Dehoga-Chef-Klein-ueberraschend-gestorben.html

    https://www.bundesregierung.de/breg-de/service/archiv/videokonferenz-der-bundeskanzlerin-mit-den-regierungschefinnen-und-regierungschefs-der-laender-am-28-oktober-2020-1805248

    https://www.kla.tv/fr

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    1. *Eswatini
      Pays en Afrique australe

      Le Swaziland, petite monarchie enclavée au sud de l'Afrique, est réputé pour ses réserves naturelles et ses festivals mettant en avant la culture swazie traditionnelle. Marquant sa frontière nord-est avec le Mozambique et s'étendant vers l'Afrique du Sud, les monts Lebombo servent de toile de fond aux nombreux sentiers de randonnée de la réserve naturelle de Mlawula. Non loin de là, le parc national Hlane Royal est habité par une faune diversifiée, notamment des lions, des hippopotames et des éléphants.

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  5. 9/11 et canular Covid-19 dans la transition vers la gouvernance par des «mesures d'urgence»


    Par le professeur Anthony J. Hall
    Recherche mondiale
    11 avril 2023


    Dans le Congrès américain, le sénateur Rand Paul a proposé un amendement pour abandonner la disposition des mesures d'urgence qui est devenue la loi une semaine après les événements du 11 septembre 2001. 86 des 100 sénateurs du Congrès américain ont voté l'initiative de Paul pour interrompre la loi publique 107- 40 22 ans après avoir été invoqué. La loi après le 11 septembre «a autorisé l'utilisation des forces armées américaines contre les responsables des récentes attaques lancées contre les États-Unis».

    Le chèque en blanc donné par le Congrès en 2001 aux forces armées américaines et son commandant en chef a contribué à faire avancer l'ordre du jour qui a mis en 2019 le ministère de la Défense en charge d'une biowar contre l'humanité qui est toujours en cours.

    Jusqu'à présent, l'arme principale de cette guerre est un appareil militaire toujours spécialement présenté au public comme des vaccins pharmaceutiques promus comme remèdes pour Covid-19.

    - voir clip sur site -

    La loi publique 107-40 a été poussée au public en septembre 2001 sans aucune enquête systématique sur la scène du crime et la gamme de coupables possibles qui auraient pu avoir contribué à la débâcle. Le saut pour agir en 2001 avant que les enquêtes appropriées puissent avoir lieu ont été reconstituées dans le canular Covid-19.

    En moins d'un mois suivant le 11 septembre, les forces armées américaines ont atterri en Afghanistan, où il est allé en guerre principalement pour mettre en œuvre le changement de régime.

    Puis en 2020-2010, un remède supposé a été précipité dans la production, puis a piqué dans les bras de plusieurs milliards d'humains. Ces piqûres expérimentales ont été poussés dans les veines sanguines avant que des tests appropriés ne se produisent et sans l'application de contrôles de qualité.

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  6. Cette approche de l'action en premier et de laissant des enquêtes plus tard, devient apparemment un aspect essentiel de la nouvelle normale. Même dans le système de justice pénale de plus en plus dysfonctionnelle, où le principe juridique de base a nécessité la présomption d'innocence jusqu'à ce que la culpabilité soit prouvée, les anciennes règles ne semblent plus s'appliquer. Habituellement, l'ancienne règle est invoquée uniquement pour fournir de nouvelles protections aux puissants afin de les rendre encore plus invulnérables aux récriminations de souffleurs de sifflet, de journalistes d'investigation et autres.

    9/11 utilisé comme cheval de Troie

    L'histoire officielle offrant une couverture pour l'opération de faux drapeau connu sous le 11 septembre est composée de mensonges et de tromperies scandaleux tout aussi évidents pour les véritables demandeurs de vérité que le complexe d'escroqueries covidés facilitant la saisie de puissance massive actuellement en cours.

    Les événements déformés du fiasco du 11 septembre ont inauguré un complexe continu élaboré de «mesures d'urgence» conçues pour concentrer les autorités exécutives arbitraires tout en éigeant l'état de droit, les protections constitutionnelles, les chèques et équilibres, etc. Une grande partie dans la mise en place des fondements psychologiques et pseudo-juges de notre dilemme actuel dans la crise de tout émergeant de la crise covide fabriquée.

    Bien que l'exploitation des dispositions de mesures d'urgence pour faire progresser les saisies de puissance et les objectifs politiques douteuses ne soit pas nouveau dans l'histoire, l'hystérie publique générée en particulier par la pulvérisation des trois tours du World Trade Center à Manhattan a ouvert la porte à de nouvelles frontières Skulduggery. Le sentiment de panique et d'insécurité dominant a été rapidement exploité pour justifier une activité de police accrue, des invasions militaires ainsi que la déclaration virtuelle de la loi martiale au niveau national.

    La vitesse des transitions du gouvernement vers un pied de guerre en 2001 a été remarquable.

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  7. Ces transitions incluent l'invasion américaine presque instante de l'Afghanistan, la libération rapide et la ratification de la loi massive des patriotes et la réingénierie rapide des aéroports pour annoncer la transformation des citoyens détenant des droits en suspects terroristes.

    Tous ces exemples suggèrent très bien la préparation des initiés pour les événements du 11 septembre avant qu'ils ne se produisent réellement. Les preuves indiquent que les connaissances et la préparation antérieures par les véritables instigateurs du 11 septembre de la même manière que l'événement 201 en octobre 2019 ont signalé l'identité des organisateurs pivots responsables de la pandémie de faux drapeau à venir.

    Le fait que le Sénat américain ne soit toujours pas disposé à suspendre la première mesure d'urgence du 11 septembre. À partir du début de 2020, le recours aux pseudo-juges promulgués par des mesures d'urgence est toujours opérationnel dans de nombreux pays et aux différents niveaux de compétence que ces pays contiennent. Surtout avec le mandat des contre-mesures militaires déguisés en vaccins, l'approche des mesures d'urgence a été absorbée par la gouvernance, par exemple, des hôpitaux, des écoles, des sociétés, des syndicats, des associations professionnelles, etc.

    L’industrie pharmaceutique a affirmé que les indemnités découlant des autorisations d’utilisation d’urgence adoptées par les gouvernements de la plupart des pays du monde. Au Canada, le Premier ministre Justin Trudeau a invoqué la version canadienne de la loi martiale avec l'invocation par son gouvernement d'une autre loi d'urgence. Trudeau a utilisé ses nouveaux pouvoirs pour ordonner aux banques canadiennes de saisir les comptes de son opposition politique la plus efficace, à savoir les membres et les partisans du mouvement des convois de liberté des camionneurs.

    Les mensonges continus et les crimes protégés des coupables du 11 septembre

    Il existe un grand corps de littérature bien documentée qui illustre qu'il n'y a pas un aspect du mythe officiellement sanctionné du 11 septembre qui correspond aux preuves du domaine public qui mettent en lumière ce qui s'est réellement passé. Les 11 livres du professeur David Ray Griffin sur divers aspects des crimes du 11 septembre constituent un excellent point d'entrée dans le cas fondé sur des preuves pour justifier la conclusion que l'histoire officielle du 11 septembre insulte le hogwash pour les mannequins.

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  8. La simulation du 11 septembre qui a été mise en ligne peut être considérée comme un art de performance mortel créé pour préparer le terrain de l'opinion publique pour le meurtre de masse de civils, en particulier dans les pays à majorité musulmane. La production théâtrale a été conçue par ses producteurs pour populariser la haine des musulmans, des Perses, des Arabes et en particulier des Palestiniens. Comme les livres analytiques du 9/11 rédigés par, par exemple, Zwicker, Bollyn, Tarpley, MacQueen et Meyssan, les tomes savants de DRG illuminent plutôt que d'obscusciser les événements du 11 septembre.

    Le Brain Trust du Mouvement de vérité du 11 septembre a dirigé leurs enquêtes d'une manière qui a indiqué les fraudes brutes et bizarres présentées par Philip Zelikow ainsi que par d'autres agents et agents de premier plan de la Maison Blanche de Bush-Cheney. Le professeur Zelikow est le véritable architecte et auteur de l'étude de l'administration Bush visant à couvrir la vérité de ce qui s'est réellement passé le 11 septembre. À cet égard, la Commission Zelikow du 11 septembre est similaire à la Commission Warren qui a étudié le meurtre de John F. Kennedy. Les deux demandes ont été créées pour se cacher plutôt que d'éclairer la vérité de ce qui s'était réellement passé.

    Le professeur Zelikow était un initié de la Maison Blanche dont le domaine de recherche impliquait l'étude de mythes populaires tels que ceux nécessaires pour induire des masses de personnes à détester les musulmans et à aimer l'idée d'une guerre contre le terrorisme dirigé par Bush. La persistance de la dissimulation du 11 septembre, même face à la grande interprétation des experts exposant l'étendue des mensonges et des crimes du 11 septembre, a été extrêmement influent pour nous débarquer dans notre cornichon actuel. La rêne en cours du grand mensonge du 11 septembre démontre aux meilleurs coupables, à leurs complices et à leurs cercles d'amis qui, avec le soutien d'une collaboration bien orchestrée entre le gouvernement et les médias, de puissants saboteurs de la société civile peuvent s'en tirer avec d'énormes Crimes transformatrices dans le monde.

    Les crimes peuvent être faits pour sembler avoir disparu dans l'air tandis que la majorité silencieuse Dozy reste sous le charme de sites médiatiques complètement corrompus qui présentent uniformément les fantasmes du 11 septembre comme l'étoffe d'une véritable histoire. Concocté mais une véritable horreur a été conçue dans le PSY OP élaboré du 11 septembre. Un objectif principal dans la traumatisme du public était de mobiliser la monnaie politique de la peur de masse à la veille des invasions répétées des pays à majorité musulmane du Moyen-Orient.

    De toute évidence, les auteurs supérieurs des canular coiffés progressent vers un contrôle plus bio-numérique sur les survivants des bio-agents injectés de dépeuplement. Vingt-deux ans après le 11 septembre, les principaux criminels covidés sont équipés de nombreuses connaissances fondées sur des preuves exposant la stupidité et / ou la corruption de la grande majorité des fabricants d'opinion dans le soi-disant «Occident» et ses extensions mondiales.

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  9. Il semble qu'il y ait beaucoup de chevauchement et de coopération entre les différents centres de pouvoir qui, jusqu'à présent, n'ont pas fait face à une responsabilité juridique pour les assassinats de Kennedy, le 11 septembre, et les crimes immobiles contre l'humanité facilités par les masses des masses de masses de des mensonges qui convergent dans la crise covide. L'ampleur du meurtre et du chaos exploitées par les auteurs régulièrement autonomes semble se développer de façon exponentielle à chaque événement. Quoi de suivi ?

    9/11, Fauci et et les dommages causés par l'AZT et les injections d'ARNm induisant une modification génétique

    Dans son livre célèbre, Robert F. Kennedy Jr. présente un cas puissant que la fraude et la maltraitance tourbillonnant autour du rôle d'Anthony Fauci dans le fiasco VIH / AIDS / AZT au cours des dernières années du XXe siècle offrent une clé pour comprendre le courant actuel Hoax Covid-19. Alors que Dick Cheney était l'opérateur pratique clé de la saga sous faux drapeau le jour du 11 septembre, Anthony Fauci a rempli une fonction similaire dans le faux drapeau médical initiant la crise de tout nous engloutissant actuellement.

    Il est clair que Robert Kennedy a fortement tiré sur le travail d'investigation de Celia Farber dans le développement de sa propre compréhension du rôle de Fauci en tant qu'entreprise fédérale intérieure de la communauté gay qui a salué le faux remède de l'AZT. Au fil du temps, il est devenu de plus en plus clair que l'AZT était extrêmement toxique et mortel. Les similitudes sont étranges entre le rôle de Fauci dans la direction des tests appropriés de l'AZT et de son rôle dans l'évitement des tests appropriés des procédures d'ARNm pour la modification génétique. Dans les deux cas, le but des remèdes supposés sembler sans rapport avec le but d'arrêter les transmissions des infections virales.

    Le rôle de Fauci en tant qu'agent secret de l’établissement de bioterrorismes militaires des États-Unis ramène aux opérations dirigés par Dick Cheney à la suite des événements déformés du 11 septembre. Cette histoire doit être davantage déballée en tant que facette clé des phénomènes que de nombreux pays du monde sont devenus des maisons pour les gouvernements bioterroristes qui mènent le biowarfare sur leur propre peuple.

    Jusqu'à présent, l'échec des citoyens consciencieux à obtenir une certaine responsabilité pour le canular Covid-19 a des racines importantes dans notre échec à venir à une sorte de calcul sociétal avec les mensonges et crimes audacieux du 11 septembre.

    The original source of this article is Global Research.

    https://www.lewrockwell.com/2023/04/no_author/9-11-and-the-covid-19-hoax-in-the-transition-to-governance-by-emergency-measures/

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  10. Los Angeles remplace un état d'urgence par un autre


    Par Tyler Durden
    Mardi 11 avril 2023 - 03:40
    Rédigé par James Breslo via l'époque Epoch Times,


    Le 31 mars, trois ans après la première mise en œuvre, l'état de l'urgence de Covid-19 de Los Angeles a finalement expiré.

    Les responsables avaient utilisé leurs pouvoirs d'urgence pour réglementer pratiquement tous les aspects de la vie à L.A.

    Ils ont fermé les plages, les parcs et les sentiers de randonnée. Ils ont fermé les entreprises qu'ils considéraient comme essentiels. Les églises étaient fermées, mais pas les magasins d'alcools. Ils ont fermé les écoles et ont exigé que les enfants portent des masques lors de la réouverture. Ils ont interdit les rassemblements de famille et les funérailles et ont empêché les gens d'être à côté de leurs proches dans les hôpitaux alors qu'ils prenaient leur dernier souffle.

    Dieu merci, c'est maintenant fini, mais bon nombre des mesures mises en place sont désormais permanentes.

    Les gauchistes ont utilisé les mandats de mise en œuvre de politiques qui n'auraient jamais été possibles autrement, comme le bulletin de vote par courrier, les moratoires d'expansion, les prestations de santé et de bien-être élargies, et même le pardon de la dette des prêts étudiants. De nombreuses exigences de vaccin et de masquage restent en place.

    Il n'est donc pas surprenant que la gauche se soit assurée que l'état d'urgence Covid-19 soit remplacé par un nouveau. Le maire de Los Angeles, Karen Bass, a déclaré l'état d'urgence en décembre pour la crise des sans-abri. Elle a comparé la Déclaration à la L.A. déclarée après le tremblement de terre massif de 6,7 en 1994.

    Les déclarations d'urgence après les tremblements de terre et les ouragans sont ce à quoi les Américains sont habitués. Ils restent généralement en place pendant plusieurs semaines. Mais cette déclaration a été clairement inspirée par l'état de l'urgence Covid-19 et devrait également être en place pour les années à venir.

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  11. Qu'est-ce qui viendra cette fois ? Les résidents seront-ils condamnés à emmener les sans-abri chez eux ? Les parcs et les plages seront-ils fermés au public pour permettre des campements ? Les hôtels seront-ils ordonnés de rendre des chambres disponibles pour les sans-abri ?

    Lors des récentes élections de la ville, les sondages ont montré que le sans-abrisme était le numéro un concernant les électeurs. Il a interrogé plus haut que l'économie, les prix du gaz, l'inflation et la criminalité. En effet, l'itinérance à L.A. est à un niveau comme aucune autre ville aux États-Unis. Los Angeles compte environ 42 000 sans-abri, juste derrière New York (mais plus par habitant), et plusieurs fois celle de la prochaine ville la plus proche.

    Le problème est en plein air pour que tous puissent voir. D'énormes campements de tentes sont partout dans la ville, y compris les plages, les parcs et les trottoirs de L.A. C'est une crise humanitaire pour ceux qui vivent dans la rue, et une crise de qualité de vie pour les Angelenos ordinaires essayant de vivre une vie normale, sûre et saine.

    Les résidents rencontrent les sans-abri, la plupart ayant des problèmes de santé mentale ou de dépendance, quotidiennement. Ils ne peuvent pas emmener leur famille dans leur parc ou plage local sans être préparés à des rencontres inconfortables. La criminalité est en place dans la ville en raison en partie de l'explosion des sans-abri.

    Le problème a été créé lorsque Los Angeles a cessé d'appliquer ses lois sur le camping. Cela a permis aux campements d'être mis en place et de croissance, avec des tentes remplies d'effets personnels apparaissant partout. La solution est évidente: recommencez à appliquer la loi.

    Les villes autour de L.A. qui n'ont appliqué aucune lois sur le camping n'ont aucun problème de sans-abri. C'est le cas même dans les villes sans logement abordable, comme Manhattan Beach qui est l'un des codes postaux les plus chers de l'État. Il s'agit clairement d'un problème d'application. Vous le permettez, ils viendront. Tout comme la frontière américaine: si vous appliquez les lois des frontières, vous n'obtenez pas d'immigrants illégaux. Si vous ne le faites pas, vous les obtenez en masse.

    Los Angeles a fondé son refus d'interdire les campements sur une décision judiciaire de 2018. Dans Martin c. Boise, la neuvième Circuit Court of Appeals a jugé que la poursuite des personnes pour avoir dormi en public était une punition cruelle et inhabituelle lorsqu'aucun abri n'est disponible. Mais la décision ne s'applique que pour dormir la nuit. Rien dans la décision n'interdit les campements d'interdiction pendant la journée. Si la police était autorisée à faire respecter l'interdiction du jour, les campements disparaîtraient. Sans tente, les sans-abri ne peuvent plus installer une maison dans l'espace public. Il n'est pas aussi confortable de vivre un style de vie sans abri si vous n'êtes pas en mesure de maintenir une tente avec un canapé et tous vos effets personnels. D'autres villes l'ont compris, mais L.A. a choisi de ne pas le faire.

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  12. Au lieu de cela, le nouveau maire de la ville, en annonçant l'état d'urgence, s'est concentré principalement sur la lutte contre la «crise du logement abordable». En effet, Bass et ses collègues dirigeants de la ville sont moins intéressés à résoudre le problème des sans-abri qu'ils ne l'utilisent pour mettre en œuvre toutes sortes de politiques de rêve progressistes. Oui, L.A. a une pénurie de logements abordables sur la plage. Mais il n'y a pas de pénurie de logements abordables si vous regardez à 45 minutes de la plage, ce que font les gens rationnels.

    Cela permet aux gauchistes de la ville de mettre en œuvre des politiques telles que le contrôle des loyers, les moratoires d'expulsion, les projets de logements abordables, les projets de logement gratuits et les bons de logement. Los Angeles dépense 1,2 milliard de dollars par an sur les solutions de logement, des unités de construction pour jusqu'à 848 000 $ chacune.

    Ils appellent l'application des interdictions de camping inhumaines. Où iront-ils si nous l'appliquerons? La réponse est, à un abri. L.A. en a beaucoup. Ils ne sont pas pleins, car la plupart des sans-abri ont une raison ou une autre pour préférer une tente. Si les abris deviennent pleins, il est très bon marché de créer davantage par rapport au coût de la construction de logements permanents comme la ville est actuellement à la recherche.

    Alternativement, ils peuvent se connecter avec des amis ou de la famille. Il y a beaucoup d'histoires de parents qui trouvent des enfants perdus lorsque les sans-abri quittent enfin les rues.

    Ils pourraient également aller en cure de désintoxication ou dans un établissement de santé mentale. Ou, s'ils ne choisissent aucun de ces éléments et continuent de camper illégal, ils pourraient se retrouver en prison. Ce n'est pas le pire endroit où être. Beaucoup de sans-abri deviennent sobres et font tourner les choses en prison.

    Tout cela est beaucoup plus compatissant que de les laisser dans la rue pour être utilisés comme des pions politiques afin d'aider à mettre en œuvre le socialisme.

    En n'appliquant pas l'interdiction, ils ont fait de Los Angeles la Mecque pour les sans-abri. Ils quittent les villes qui imposent des interdictions de camping à L.A., où ils sont autorisés à camper. Les résidents de la ville sont ensuite invités à résoudre le problème en construisant des logements permanents pour eux. Tout cela fait partie du plan de la gauche.

    https://www.zerohedge.com/political/los-angeles-replaces-one-state-emergency-another

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  13. Nouveaux pouvoirs de l'OMS pour l'action Covid sur les stéroïdes : engagement de l'épisode 2 et droits de l'homme


    11 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Dans l'épisode 1, les expériences avec la pandémie de Corona des trois dernières années ont été brièvement résumées à nouveau. Ils montrent ce que l'OMS et l'industrie pharmaceutique ont en tête avec le nouveau traité sur la pandémie et les modifications apportées au Règlement sanitaire international (RSI). Au lieu de recommandations, l'OMS devrait désormais être autorisée à édicter des réglementations, même si elles n'ont plus besoin de respecter les droits de l'homme.
    Ces changements confèrent à l'OMS des pouvoirs juridiquement contraignants pour dicter la manière dont les États réagissent à ce qu'elle classe comme une situation d'USPPI (urgence de santé publique de portée internationale).

    L'ampleur de l'audace de l'OMS et par extension de l'UE, des gouvernements et des agences de santé publique corrompues qui veulent accepter ces nouvelles règles pour graisser davantage les rouages ​​de l'industrie pandémique est incroyable . L'UE, qui se retourne de plus en plus ouvertement et globalement contre les intérêts des citoyens des États de l'UE, veut les intensifier encore plus . Cependant, les gouvernements qui ont accepté ces nouvelles réglementations n'auront plus leur mot à dire lorsque l'OMS déclarera la prochaine pandémie.

    Mais il ne s'agit pas seulement d'un cartel mondial de la drogue corrompu qui soudoie les gouvernements et les médias pour nous forcer à prendre leurs médicaments. Aussi effrayant que cela puisse paraître, la fraude est plus grande que cela. L'industrie pharmaceutique mondiale n'est qu'une partie, quoique importante, d'un système plus vaste - la corporatocratie capitaliste mondiale - dirigée par l'industrie financière, qui est au bord d'une crise catastrophique . effondrement.

    C'est dans ce contexte que nous devons examiner les amendements du RSI de l'OMS et le projet de traité sur la pandémie. Les modifications les plus importantes du RSI et les clauses du contrat pandémie qui les complètent sont commentées ci-dessous.

    Des recommandations ? Remplacées par des règles juridiques mettant fin à la souveraineté des États
    Le Règlement sanitaire international (RSI) initial stipulait que les recommandations de l'OMS sur la manière dont les États membres devraient gérer les urgences de santé publique de portée internationale (USPPI) sont « non contraignantes ». Cependant, dans un effort pour rendre le RSI juridiquement contraignant, toutes les références à « non contraignant » ont été supprimées des amendements proposés. [i] Le Traité sur la pandémie, qui complète les amendements du RSI, est clair sur ce point. Le projet de traité stipule que « l'instrument [c'est-à-dire le traité] doit être juridiquement contraignant »[ii].

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  14. Le mécanisme proposé par lequel le traité deviendrait juridiquement contraignant pour les États membres est l'article 19 de la Constitution de l'OMS , que les États membres ont signé. Cet article stipule ce qui suit :

    « L' Assemblée de la Santé [l'organe décisionnel de l'OMS] a le pouvoir d'adopter des conventions ou des accords relatifs à toute question relevant de la compétence de l'Organisation. La majorité des deux tiers de l'Assemblée de la Santé est requise pour l'adoption de ces conventions ou accords ; elles entrent en vigueur pour chaque membre lorsqu'il les a acceptées conformément à ses règles constitutionnelles.

    Cependant, il faut concéder un sens de l'humour malsain aux bureaucrates totalitaires de l'OMS, car le préambule du projet de traité commence par « réaffirmer le principe de la souveraineté des États parties dans le traitement des questions de santé publique » . En fait, il n'y a pas un seul mécanisme dans l'accord qui pourrait être interprété comme affirmant le principe de la souveraineté nationale. L'objectif du RSI et du Traité sur la pandémie est de donner à l'OMS des pouvoirs dictatoriaux virtuels pour déterminer ce qu'est une crise sanitaire et limiter considérablement la capacité de toutes les nations à faire face à de telles « crises ».

    droits humains ? Indésirable !

    Le RSI initial faisait explicitement référence à la nécessité de respecter « la dignité, les droits de l'homme et les libertés fondamentales des individus » lors de la mise en œuvre de la réglementation . Tout cela a été effacé (iii). Il s'agit d'une déclaration d'intention éhontée et sans équivoque sur la poursuite planifiée du dénigrement des droits de l'homme dans la nouvelle ère des «pandémies», sans surprise compte tenu de ce qui était commis au plus fort du fascisme mondial de Covid sous les auspices de l'OMS.

    Outre les valeurs de protection évidentes que représentent les droits de l'homme, une autre raison pour laquelle ces droits doivent être pris au sérieux est qu'ils sont considérés comme inaliénables. Cela signifie qu'ils ne peuvent pas être arbitrairement retenus par les institutions gouvernementales lorsque cela est jugé approprié.

    L'OMS travaille sous les auspices des Nations Unies , qui ont rédigé la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, reconnaissant que « les actes de barbarie qui ont outragé la conscience de l'humanité', se poursuivrait indéfiniment si l'humanité ne faisait pas un effort concerté pour donner la priorité aux droits de l'homme dans le droit international et national. Cela ne peut être réalisé qu'en plaçant les droits fondamentaux de l'individu au-dessus de ceux des institutions, en reconnaissant que les institutions tirent leur pouvoir des personnes et que les droits et la dignité des personnes ne doivent pas être bafoués par un pouvoir incontrôlé . Ces droits sont donc correctement appelés « inaliénables » dans la Charte des Nations Unies :

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  15. Il s'avère que ces droits peuvent être niés après tout, et qui de mieux pour le faire qu'une entité de la même organisation qui non seulement les a consacrés au nom de l'humanité en 1948, mais les a correctement qualifiés d'inaliénables.

    La suppression des droits de l'homme dans les amendements les plus importants du RSI est compensée par des paroles en l'air dans le Traité sur la pandémie. Cette confusion met en évidence le dilemme de passer d'une éthique fondée sur les droits de l'homme au totalitarisme. Le dilemme est : comment se débarrasser des droits de l'homme sans dire que l'on veut se débarrasser des droits de l'homme ?

    Le projet de traité sur la pandémie consacre un court article (14) à la protection des droits de l'homme, mais introduit la notion qu'ils peuvent être restreints, ce qui est bien sûr absurde et détruit totalement la caractéristique essentielle d'un droit de l'homme - son inaliénabilité. Un droit de l'homme qui peut être restreint n'est pas un droit de l'homme, car toute dilution d'un droit de l'homme introduit l'absurdité selon laquelle on n'est humain que jusqu'à un certain point - un point arbitrairement déterminé selon les caprices et les convenances de la gestion de l'industrie pandémique devient.

    L'article 14 prévoit ainsi des « limitations des droits de l'homme » mais précise que ces limitations doivent être conformes au droit international[iv]. Alors, le droit international lui-même sera-t-il bientôt adapté aux exigences de l'industrie pandémique ? Absurdes sont les déclarations supplémentaires selon lesquelles "toutes les restrictions sont non discriminatoires [et] nécessaires pour atteindre l'objectif de santé publique et qui sont les moins restrictives pour protéger la santé des personnes" . L'exigence selon laquelle une restriction à un droit de l'homme ne doit pas être discriminatoire n'a pas de sens du point de vue des droits de l'homme. Obliger tout le monde à se faire vacciner serait "non discriminatoire" mais toujours une violation du droit de chacun à l'autonomie corporelle.

    En bref, la duplicité du traité sur la pandémie ferait de l'application des droits de l'homme une question de discrétion plutôt qu'un droit absolu. Bien sûr, cela fait des droits de l'homme une blague. Parallèlement à cette érosion frauduleuse des droits de l'homme se trouve le trio omniprésent et tout aussi frauduleux de l'équité, de la diversité et de l'inclusion (EDI), dont nous parlerons plus en détail dans le prochain épisode .

    https://tkp.at/2023/04/11/neue-who-machtbefugnisse-fuer-covid-massnahmen-auf-steroiden-folge-2-verbindlichkeit-und-menschenrechte/

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  16. L'UE veut durcir le traité sur la pandémie


    11 avril 2023
    par Thomas Oysmuller


    L'UE veut un traité sur la pandémie encore plus strict. Elle suggère d'introduire également le terme « situation de pandémie ». Une éventuelle crise sanitaire suffit alors pour passer à l'état d'urgence.

    Fin mars, l'UE a présenté sa propre proposition pour le très discuté traité de l'OMS sur la pandémie. Le document, qui a été publié fin mars, propose un élargissement et un durcissement de l'accord sur la pandémie. L'accord sur la pandémie ne semble pas aller assez loin pour l'UE.

    "Situation pandémique"

    Dans le premier article du traité, l'UE introduirait le terme « situation de pandémie » et compléterait ainsi le terme « pandémie ». Une « situation de pandémie » est alors une éclosion d'une maladie qui « se propage ou peut se propager sur une vaste zone géographique, souvent mondiale, affectant ou susceptible d'affecter un grand nombre de personnes. Contrairement à la « pandémie », la « situation pandémique » est suffisante pour la possibilité d'une telle crise.

    - voir doc sur site -

    Le directeur général de l'OMS doit décider si une "situation de pandémie" s'est produite. Le deuxième volet de la réforme de l'OMS ( l'amendement du Règlement sanitaire international ) vise à assurer que le Directeur général dispose alors de larges pouvoirs pour ordonner des "mesures" dans un tel cas.

    L'extension du traité pandémie à la « situation de pandémie » intensifierait ainsi le basculement du pouvoir en faveur de l'OMS. Pourquoi l'UE est-elle si en retard ? Le principe de "suivre l'argent" l'expliquerait logiquement. À côté de l'empire Bill Gates, l'Allemagne est le plus grand bailleur de fonds de l'OMS et l'Allemagne est toujours le pays de l'UE qui donne la direction.

    Si l'UE parvient à ses fins, la future politique de biosécurité devrait être basée de manière décisive sur la "situation pandémique", plus précisément sur la prévention d'une telle situation. C'est pourquoi l'UE propose un tout nouveau chapitre intitulé "Prévention, détection et signalement des situations de pandémie".

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  17. Il est clair que vous ne voulez pas non plus vous arrêter dans les chambres privées. L'UE veut vos quatre murs pour arrêter la prochaine pandémie.

    - voir doc sur site -

    Autres ajouts à la proposition de l'UE pour le traité sur la pandémie :

    Les accidents dans les laboratoires biologiques et la libération accidentelle d'agents pathogènes doivent être immédiatement signalés à l'OMS. (Y a-t-il une raison à cet ajout ?)
    "L'utilisation non durable des terres" et la "consommation d'animaux sauvages" doivent être strictement contrôlées. Selon l'UE, les cerfs des chasseurs locaux devraient être "réduits autant que possible" afin de réduire le "risque de zoonoses".
    Un comité d'experts pour les "mesures pandémiques" doit être mis en place.
    Un comité d'experts pour le suivi de One Health doit être mis en place.
    Les "fausses nouvelles" devraient être censurées. Et ce qui ne va pas est déterminé à l'OMS.

    https://tkp.at/2023/04/11/eu-will-pandemievertrag-verschaerfen/

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    1. Ne sont pas désignées comme 'maladies' les empoisonnements.
      Il n'y a pas de vaccin contre le poison, il y a des antidotes.

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  18. Les comprimés de zinc associés à 40 % de décès en moins, à la moitié des admissions en USI et à une sortie plus rapide de l'hôpital


    Par Jo Nova
    April 9th, 2023


    Un traitement de deux semaines coûte 3,75 $*

    En Tunisie, de février à mai de l'année dernière, 470 personnes atteintes de Covid ont reçu au hasard soit 50 mg de zinc chaque jour pendant deux semaines, soit reçu un placebo. Dans le groupe zinc, après 30 jours, 6 % étaient décédés et 5 % avaient été admis en soins intensifs. Pendant ce temps, dans le groupe placebo, 9 % étaient décédés et 11 % étaient allés aux soins intensifs. Les personnes prenant du zinc sont sorties de l'hôpital quelques jours avant les personnes qui n'en prenaient pas.

    Puisqu'il n'y avait aucun effet indésirable grave chez qui que ce soit de la prise de zinc, il est évident que les bons gouvernements distribuaient des comprimés de zinc dans les parkings, les écoles et les centres commerciaux, sauvant ainsi des vies, des millions de dollars et gardant les hôpitaux à moitié vides. Le monde riche se tourne vers des systèmes de santé comme El Salvador. Dommage pour les autres marécages sclérosés et marigots de la médecine de copinage. Parfois, les pays ont trop d'argent pour obtenir un bon traitement.

    En Australie, le gouvernement a dépensé des milliards pour des vaccins expérimentaux à peine testés avec des résultats cachés et des contrats secrets. Notre TGA a dit à tout le monde que les vaccins étaient sûrs et utiles, mais a infligé une amende de 8 000 $ à quelqu'un pour avoir annoncé sur son site Web que l'ivermectine et les pastilles de zinc étaient efficaces contre Covid. Mais qui inflige une amende au TGA ?

    Les barres d'erreur sont grandes dans la petite étude tunisienne (ci-dessous), et on pourrait débattre de sa signification sauf qu'il y a 40 autres études sur 45 000 patients dans 16 pays qui disent en grande partie la même chose. Un traitement précoce au zinc réduit les décès de 40 %, voire plus.

    Le zinc a réduit la mortalité de 40%, Study Tunisia.
    https://academic.oup.com/cid/article/76/2/185/6795268?login=false

    - voir cadre sur site -

    Avec les virus, chaque jour compte
    Dans une étude plus vaste (Mayberry), 940 patients ont commencé à prendre du zinc une semaine avant ou dans les 48 heures suivant leur hospitalisation, et ces personnes étaient 50 % moins susceptibles de mourir.

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  19. Dans l'étude tunisienne, les personnes qui ont reçu un traitement en trois jours étaient largement mieux loties que celles qui n'ont commencé qu'après 4 à 7 jours. Cela rend également assez facile la conception d'autres études qui échouent simplement en commençant le traitement trop tard.

    Pour tout virus, idéalement, nous aurions élaboré un plan avec notre médecin légalement agréé et l'aurions dans le placard prêt à l'emploi.

    - voir graph sur site -

    Retards de traitement, Supplémentation en zinc, Covid-19
    Chaque jour compte. https://c19early.org/zmeta.html

    À l'échelle nationale, ces retards d'attente pour un rendez-vous, un chimiste ou un résultat de test signifient que nous avons besoin de plus grands hôpitaux. Mais alors, les hôpitaux ne s'en soucient probablement pas. Avec tout le système qui profite du traitement des malades, et non de leur prévention, ce n'est "probablement" pas un accident si les solutions bon marché sont oubliées du côté de l'autoroute des actionnaires. Des milliards de dollars en dépendent.

    Le zinc est utile à bien des égards
    Le zinc est utilisé dans environ 100 enzymes différentes. Sans suffisamment de zinc, les cellules immunitaires ne fonctionnent pas correctement. Le zinc empêche le virus de pénétrer dans les cellules en préservant les barrières tissulaires. Cela ralentit la chaîne de montage de l'usine virale qui essaie de produire des bébés virus. Le zinc est nécessaire pour empêcher nos cellules immunitaires de rejeter trop d'espèces réactives d'oxygène et d'azote qui causent tant de dommages à nos tissus. Ainsi, le zinc réduit la tempête inflammatoire, principalement en aidant simplement notre système immunitaire à faire ce qu'il est censé faire.

    - voir cadre sur site -

    Mécanisme d'action du zinc contre le Covid-19
    Source : Wessels et al

    Wessels suggère même que bon nombre de symptômes de Covid pourraient être liés à des carences en zinc.

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  20. Les symptômes les plus courants du COVID-19 sont une altération de l'odorat et du goût, de la fièvre, de la toux, des maux de gorge, une faiblesse générale, des douleurs dans les membres, un écoulement nasal et, dans certains cas, de la diarrhée (10). Dans les chapitres suivants, nous associerons la plupart de ces symptômes à une altération de l'homéostasie du zinc et expliquerons comment le zinc pourrait prévenir ou atténuer ces symptômes, comme le résume la figure 1.

    En effet, la plupart des patients les plus à risque de Covid sont également des conditions où les carences en zinc sont fréquentes :

    …l'intersection entre les groupes à risque de COVID-19 et de carence en zinc est impressionnante. Chez les patients atteints de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), d'asthme bronchique, de maladies cardiovasculaires, de maladies auto-immunes, de maladies rénales, de dialyse, d'obésité, de diabète, de cancer, d'athérosclérose, de cirrhose du foie, d'immunosuppression et de lésions hépatiques connues, de faibles taux de zinc sérique sont régulièrement observés.

    À long terme, une dose plus élevée de zinc peut provoquer une carence en cuivre, qui a ses propres problèmes. Mais pendant la maladie, les besoins en zinc augmentent probablement considérablement à mesure que notre système immunitaire se renforce.

    Pour ce que ça vaut, le RDA est de 11 mg pour les hommes et de 8 mg pour les femmes. Et l'apport tolérable supérieur est de 40 mg selon Harvard.

    Le zinc est utilisé pour soigner les infections depuis la Grèce antique. Ce n'est pas comme si nous n'avions pas reçu d'avertissement.

    Les meilleures sources de zinc sont la viande, le poisson et les fruits de mer

    Six huîtres vous donneront 50mg. Un steak de mandrin de 5 oz – 15 mg et une tasse de lentilles en contient 3 mg. Les huîtres sont loin devant. La plus grande source de zinc pour la plupart des gens est probablement le steak, et oui, les végétariens sont plus susceptibles d'être déficients.

    * Le coût de 3,75 $ a été calculé sur les prix de l'entrepôt australien des chimistes. Mais actuellement, le zinc en vrac se négocie à 3 000 $ la tonne (US), de sorte que le coût de base est d'un centième de cent par dose. Il y a de la place pour des économies massives, pas que quiconque au gouvernement semble intéressé à économiser l'argent des contribuables ou à les empêcher de mourir de carences nutritionnelles de base…

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  21. RÉFÉRENCE

    Abdalla et al (2022) Zinc oral deux fois par jour dans le traitement des patients atteints d'une maladie à coronavirus 2019 : un essai contrôlé randomisé en double aveugle, maladies infectieuses cliniques

    Mayberry et al (2021) L'utilisation du zinc est associée à de meilleurs résultats dans le Covid-19 : Résultats du registre Crush-Covid, Critical Care Medicine 50(1):p 81, janvier 2022. | DOI : 10.1097/01.ccm.0000807104.82650.d6

    Wessels I, et al. (2020) L'impact potentiel de la supplémentation en zinc sur la pathogenèse du COVID-19. Immunol avant. 10 juillet 2020;11:1712. doi : 10.3389/fimmu.2020.01712. PMID : 32754164 ; PMCID : PMC7365891.

    h/t CraigKelly

    https://joannenova.com.au/2023/04/zinc-tablets-associated-with-40-less-death-half-the-icu-admission-and-a-quicker-release-from-hospital/

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  22. Les cancers et autres maladies se «développent rapidement» parmi les personnes vaccinées contre le COVID-19, prévient un expert


    lundi 10 avril 2023
    par : Zoey Sky


    (Natural News) De nombreux cas de blessures et de décès par vaccin ont été enregistrés pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19). Un oncologue au Royaume-Uni a écrit une lettre ouverte au rédacteur en chef de la revue médicale The BMJ pour mettre en garde contre les effets nocifs des vaccins contre les coronavirus qui doivent être «diffusés et débattus immédiatement», d'autant plus que les cancers et autres maladies sont rapidement progresse chez les personnes vaccinées.

    Le Dr Angus Dalgleish est professeur d'oncologie à l'Université St. George de Londres. Il a envoyé sa lettre au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ.

    La lettre de Dalgleish a été écrite à l'appui de l'appel d'un collègue à Abbasi selon lequel le journal devrait faire du consentement éclairé valide pour la vaccination contre le COVID-19 une priorité.

    COVID-19 ne nécessite plus de programme de vaccination

    Dans la lettre, Dalgleish a écrit que le coronavirus n'a pas besoin d'un programme de vaccination puisque l'âge moyen de décès par COVID-19 au Royaume-Uni est de 82 ans, tandis que l'âge moyen de décès par toutes les autres causes est de 81 ans et moins.

    Dalgleish a ajouté que le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est actuellement bien accepté, ainsi que le lien avec des problèmes de santé comme la myélite et la neuropathie.

    La myélite est une inflammation de la moelle épinière, tandis que la neuropathie se caractérise par des lésions nerveuses dues à différents problèmes de santé comme le diabète.

    Dalgleish a ajouté que lui et ses collègues avaient déjà prédit ces effets secondaires dans leur article de juin 2020 publié dans la revue QRB Discovery. Leur analyse de blast a également révélé 79 % d'homologies avec les épitopes humains, en particulier le PF4 et la myéline.

    Dalgleish a averti qu'il existe une autre raison importante d'arrêter tous les programmes de vaccination : il a vu une maladie stable progresser rapidement chez les individus après qu'ils aient été forcés de se faire vacciner contre le COVID-19.

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  23. Dalgleish a également vu des personnes développer une maladie à base de cellules B après avoir reçu des injections de rappel contre le coronavirus. Lorsqu'on leur a demandé, ces personnes lui ont dit qu'elles se sentaient mal au moins plusieurs jours ou semaines après avoir reçu le rappel.

    Parmi les contacts personnels de Dalgleish, un a développé une leucémie et deux collègues de travail ont développé un lymphome non hodgkinien.

    Un vieil ami de Dalgleish a déclaré avoir l'impression d'avoir eu le COVID-19 depuis longtemps depuis qu'il a reçu une injection de rappel. Il a également ressenti de graves douleurs osseuses et on lui a diagnostiqué de multiples métastases d'un trouble rare des lymphocytes B.

    Dalgleish a averti que, sur la base de son expérience, ces cas ne sont pas les anecdotes fortuites que d'autres experts peuvent suggérer. La même tendance est signalée dans d'autres pays comme l'Australie, l'Allemagne et les États-Unis.

    Les rapports d'immunosuppression innée après injection d'ARNm pendant plusieurs semaines concordent également, d'autant plus que tous ces patients, à ce jour, ont des mélanomes ou des cancers à cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire. Tout cela a été enregistré avant même les rapports de suppression du gène suppresseur par l'ARNm dans les expériences de laboratoire.

    Dalgleish a averti que ses préoccupations "doivent être diffusées et débattues immédiatement". (En relation: L'HISTOIRE SE RÉPÈTE: Pfizer a versé 1,2 milliard de dollars après que son médicament ait causé des milliers de cas de CANCER DU SEIN.)

    Qu'est-ce que la maladie médiée par les lymphocytes B ?

    Dans sa lettre, Dalgleish a parlé des maladies et des cancers à base de cellules B. Selon la British Society for Immunology, les lymphocytes B jouent un rôle crucial dans la régulation de la réponse immunitaire.

    La dérégulation de la fonction des lymphocytes B peut entraîner des effets indésirables tels que :

    Auto-immunité
    Cancer
    Maladie inflammatoire non auto-immune
    Transplantation, maladies chroniques du greffon contre l'hôte
    La propagation du virus de l'immunodéficience humaine (VIH)
    Les boosters ne sont également plus nécessaires

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  24. Alors qu'il soignait des patients atteints de cancer en première ligne, Dalgleish a été choqué et consterné par ce qu'il a vu. Il a vu ses proches et ses amis succomber progressivement au cancer après avoir été vaccinés.

    Dalgleish a également été témoin de cancers à croissance rapide et fulminants, et de récidives chez les personnes guéries depuis longtemps ou en rémission de leurs cancers. Dans certains cas, les cancers ont disparu depuis 25 ans ou plus.

    Ces cancers surviennent chez les personnes vaccinées, et Dalgleish pense que les injections de rappel de COVID-19 pourraient déclencher ces cas.

    Dans une interview avec l'émission Tess Talks du Dr Tess Lawrie, Dalgleish a parlé de ce dont il est témoin chez ses contacts proches, comme ses patients, sa famille et ses amis.

    Dalgleish a également parlé du rôle des médicaments bon marché, établis et génériques dans le traitement du cancer, et de la suppression de ces médicaments. Il a averti que ceux qui sont en rémission depuis des années commencent maintenant à rechuter après avoir reçu un rappel de coronavirus, tout en demandant pourquoi cela se produit.

    Le professeur a également expliqué comment ses recherches antérieures sur le VIH lui ont permis de comprendre que les vaccins COVID-19 étaient liés à la coagulation et aux problèmes neurologiques.

    Enfin, Dalgleish a dit à Lawrie que lui et son collègue avaient sonné l'alarme et soumis leurs conclusions au Cabinet britannique. Malheureusement, Dalgleish a déploré qu'aucune mesure appropriée n'ait été prise malgré leurs avertissements.

    Visitez VaccineHolocaust.org pour en savoir plus sur les effets indésirables des vaccins COVID-19 et des rappels.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir pourquoi les injections de rappel COVID-19 sont plus dangereuses que la première dose du vaccin.

    Cette vidéo provient de la chaîne Truth or Consequences sur Brighteon.com.

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  25. Plus d'histoires liées :

    Ben Armstrong: Un rapport explosif de Naomi Wolf a révélé l'essai illégal du vaccin COVID de Pfizer sur 61 enfants.

    Les données du CDC révèlent que plusieurs piqûres de covid peuvent réduire jusqu'à 24 ans la durée de vie prévue d'une personne.

    Naomi Wolf : L'ARNm du COVID-19 de Pfizer a déclenché une guerre contre les femmes, la fertilité humaine.

    Sources include:

    Expose-News.com
    NINDS.NIH.gov
    EverydayHealth.com
    Cambridge.org
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-04-10-cancers-other-diseases-developing-vaccinated-against-covid.html

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  26. Conclusion d'une étude choquante: Long covid est FAUX: Les gens qui pensent qu'ils l'ont sont tout simplement seuls et hors de forme


    Lundi 10 avril 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une nouvelle recherche évaluée par des pairs publiée dans le Journal of the American Medical Association Network Open a révélé que les personnes qui prétendent souffrir d'un covid "long" sont souvent simplement en mauvaise santé, hors de forme et généralement misérables.

    L'étude de cohorte prospective a suivi des centaines de jeunes Norvégiens âgés de 12 à 25 ans qui n'ont jamais été hospitalisés pour covid, mais qui ont subi des examens approfondis après avoir été testés pour la première fois, et qui ont été évalués une deuxième fois six mois plus tard.

    Des chercheurs de Norvège, de Suède, de Grande-Bretagne, de Chine et d'Australie ont tous participé à l'analyse, qui a déterminé qu'il y a très peu de différence entre ceux qui sont infectés par le covid et ceux qui ne le sont pas en termes de souffrance "post-covid". -19 condition » (PCC), c'est le nom international pour long covid.

    Le taux de «prévalence» du PCC s'est avéré à peu près le même pour les participants des groupes infectés et non infectés, dont 49% et 47%, respectivement, ont signalé des symptômes de PCC. L'âge moyen des deux groupes était d'environ 18 ans.

    "Le PCC n'était pas associé à des marqueurs biologiques spécifiques à l'infection virale, mais à la gravité initiale des symptômes", révèle l'article, citant cela comme le facteur de risque le plus important. Il existe également des "facteurs psychosociaux", selon l'article, notamment la "faible activité physique" et la "solitude".

    La gravité du PCC chez les personnes non infectées dépendait de certains "traits de personnalité", ce qui signifie qu'elle n'a rien à voir avec une maladie réelle et tout à voir avec la façon dont une personne pense et se comporte.

    (En relation: Une autre étude publiée l'été dernier par les National Institutes of Health [NIH] a également révélé que le long covid est un mythe - il n'existe pas.)

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  27. Un article erroné basé sur un questionnaire défectueux explique comment le mythe du long covid est né
    Slate a récemment mené une revue sur le long covid, citant diverses « études de cohorte rétrospectives ». Cette revue a révélé que les longs symptômes de covid sont beaucoup moins courants, durables ou graves que ceux généralement décrits par les fonctionnaires fédéraux et autres extrémistes de covid.

    Il s'avère que les symptômes du PCC n'ont souvent absolument rien à voir avec une infection covid réelle et ne sont que de mauvais traits de personnalité associés à un mode de vie malsain.

    Gardez à l'esprit qu'à un moment donné, le covid était déclaré par les autorités comme étant un "événement invalidant de masse", bien qu'il ne soit pas réellement une chose réelle. Le journaliste scientifique Jeff Wise accuse une étude précoce et influente de l'État de Washington d'avoir provoqué cette campagne de peur fabriquée.

    Le document a estimé une augmentation de 30% du taux de «symptômes persistants» sur la base d'un questionnaire envoyé aux patients adultes atteints de covid trois à neuf mois après avoir été infectés.

    Comme vous le savez peut-être déjà, les approches basées sur des enquêtes comme celle-ci sont souvent défectueuses en raison d'un biais de sélection et de la documentation des symptômes survenus avant ou pendant l'infection, et non après.

    Rien de tout cela n'a empêché la soi-disant initiative Solve Long COVID de fonctionner avec le chiffre "jusqu'à" 30% que cette étude a produit sur la base du questionnaire défectueux. Encore à ce jour, certaines personnes, principalement de gauche, insistent sur le fait que le long covid est réel parce qu'ils veulent croire que c'est réel.

    En août, l'initiative Solve Long COVID a produit une vidéo de propagande mettant en vedette des personnes âgées, de jeunes adultes et des enfants souffrant d'un long covid, qu'elle a décrit comme un "trouble physique" qui "provoque une fatigue invalidante qui peut durer toute une vie".

    L'initiative Solve Long COVID est soutenue par Elizabeth Unger, chef des maladies virales chroniques aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC), qui est apparue dans un récent webinaire que le groupe a organisé la semaine dernière.

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  28. Pour en savoir plus sur les raisons pour lesquelles Covid était une imposture depuis le tout début, visitez Plague.info.

    Les sources de cet article incluent :

    JustTheNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-04-10-long-covid-fake-lonely-unhealthy-study.html

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  29. La légende du vaccin. La déroute de la science et des scientifiques


    Par Jean-Yves Jézéquel
    Mondialisation.ca,
    10 avril 2023


    11.1 – Choc du constat
    Chacun doit honnêtement le reconnaître : le débat contradictoire n’est plus possible aujourd’hui, en France. Toutes les décisions prises au « Conseil de guerre » ou au « Conseil scientifique », ne reposent sur aucune donnée scientifique. Celui qui les réclame se voit répliquer le « secret défense ». Toute contestation est qualifiée de « complotiste » ou de « terroriste », ou « d’atteinte à la sûreté de l’Etat » …

    Personne ne peut rien savoir sur la Covid-19, seul le narratif officiel des gouvernants répand et impose sa doxa par les médias inféodés. Partout ailleurs, c’est la censure qui règne !

    Si vous demandez ce qui légitime de faire et d’imposer une troisième dose d’injection à ARNm, on vous répond par le silence, parce qu’il n’y a aucune donnée scientifique à communiquer !

    Macron déclarant qu’il faudra faire un rappel tous les quatre mois, et maintenant le ministre de la santé François Braun qui dit qu’il faudra faire indéfiniment un rappel tous les six mois, font tous les deux ces déclarations à partir de quelles données scientifiques ? Aucune. Les données scientifiques n’existent pas. On est dans l’arbitraire absolu, car sur le plan scientifique rien de tout cela ne tient la route. Il s’agit d’une croyance, d’un phénomène de religion, la religion sectaire covidiste ! C’est le professeur Raoult qui l’affirmait haut et fort dans une vidéo postée le 1er février 2022, (Cf., « Alerte du Pr. Raoult », article posté dans mondialisation.ca du 2 février 2022).

    Que ce soit à l’hôpital Point Carré des maladies infectieuses à Garches, service qui était dirigé par le Pr Christian Perronne, ou à l’IHU Méditerranée de Marseille, qui était dirigé par le Pr Didier Raoult, les résultats obtenus sur les malades de la Covid-19 par le protocole Hydroxychloroquine/azithromycine dans la phase adéquate de la charge virale, étaient évidents, puisque ce sont ces deux établissements de santé qui, selon les données statistiques, ont totalisé le moins de morts en France. C’est donc bien la preuve que ce protocole Raoult était efficace, mais il avait le tort de n’être pas rentable pour l’industrie pharmaceutique.

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  30. Véran déclarait solennellement, la main sur le cœur, qu’il n’existait pas d’études « randomisées, en double aveugle avec placebo » sur la combinaison hydroxychloroquine/azithromycine et que pour cela, on ne pouvait pas utiliser le protocole Raoult ! Bien !

    Alors, où sont les études « randomisées, en double aveugle avec placebo » sur les injections Pfizer, AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson …etc, qui sont même imposées aux enfants ?

    Comment faut-il qualifier ce comportement d’un Veran qui trahissait la science, qui trahissait la médecine et qui trahissait la confiance du peuple français ? L’Etat de droit a été remplacé par le crime, le mensonge, la perversion, la corruption, la mafia.

    Mais les « autorités » se moquent éperdument des morts, et aujourd’hui des effets « collatéraux » des injections ! Le but, le seul qui les intéresse est ailleurs.

    Dans le « British Medical Journal », une scientifique américaine explique que l’étude de Pfizer a été truquée ! Si notre ministre et médecin Véran avait été sérieux, il aurait arrêté d’urgence l’injection de ce produit en apprenant cette falsification de l’étude truquée. Dans la normalité, il aurait en principe demandé un audit international sur la question. Pourquoi, rien de tout cela ? Pourquoi le silence de Véran au moment où il aurait dû exiger des explications en suspendant les injections ? Pourquoi ?

    Ce que l’on peut également se demander, c’est comment et pourquoi les Français continuent-ils de faire confiance à des individus pareils ? C’est un mystère incompréhensible pour ceux qui sont habitués à se poser des questions sur les réalités qui les entourent et à penser par eux-mêmes.

    Du moment que c’est « l’autorité qui le dit », on ferme les yeux sur le reste. L’autorité a forcément raison : l’individu abdique sa propre raison en adhérant à un narratif mensonger et crapuleux, simplement parce que c’est l’autorité qui en est l’auteur !

    On repense bien entendu à ce que l’on a déjà évoqué dans un article publié sur mondialisation.ca, c’est l’expérience terrible faite en psychologie comportementaliste par Stanley Milgram (Cf., article mondialisation.ca du 12 mai 2020)

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  31. Donc, la doxa du petit catéchisme rouge des gardiens de Big Pharma, s’est chargée de tourner en dérision le protocole Raoult, de le critiquer et de le décrédibiliser sans jamais apporter d’argumentations scientifiques pour justifier la criminalisation qui était faite sur ce protocole fonctionnant parfaitement lorsqu’on le respectait. Des mensonges tous plus débiles les uns que les autres ont été radotés sans vergogne dans les médias de la vulgarisation pour moutons décérébrés, disant et répétant à volonté que Raoult était une sorte de « Panoramix » et Perronne un « charlatan » qui ne savait plus ce qu’il disait ! Bien entendu, on devait croire sur parole la vérité révélée par Macron, Véran et Castex, la trinité des imbéciles heureux du pouvoir aux ordres de la mafia pharmaceutique et de ses complices du numérique… !

    Les jeunes médecins internes qui voyaient la réelle efficacité du protocole Raoult sur les malades de la Covid-19, soutenaient à la fois le Pr. Raoult et le Pr Perronne qui, ce dernier, utilisait le protocole Raoult, comme il en témoigne, et constataient que la campagne de dénigrement lancée contre Didier Raoult était parfaitement crapuleuse… Le Pr. Christian Perronne raconte dans une interview sur les « Incorrectibles », que dès lors, les jeunes internes ont commencé à être harcelés par l’administration qui leur disait de ne pas approuver Perronne et que s’ils restaient avec « ce charlatan de Perronne », leur carrière s’arrêterait là ! Voilà la vérité d’une bassesse vertigineuse : c’est à ce genre de mesquinerie et de chantage odieux que se livre l’administration des salauds, des ordures et des pervers qui tyrannisent le pays et qui décident pour nous !

    Christian Perronne s’interrogeait sur ce fait : « Comment des gens intelligents qui ont fait de longues études de médecine, n’arrivent-ils pas à voir par eux-mêmes l’aberration de ce qui était arbitrairement imposé dans cette crise ? » On peut répondre à Christian Perronne, que tout cela avait pris cette tournure parce que, bien évidemment, l’opération réellement aberrante montée autour de la « fenêtre d’opportunité coronavirus » n’avait rien à voir avec un motif sanitaire quelconque !

    Certes, il y avait beaucoup de gens qui n’avaient pas fait ces longues études et qui pourtant voyaient spontanément l’aberration du narratif covidiste. Christian Perronne se disait qu’il était difficile de sortir du troupeau et de ne pas céder au conformisme. C’est la peur des menaces proférées par l’autorité qui paralysait les jeunes médecins internes. Ce qui a caractérisé cette période invraisemblable des trois années que nous venons de perdre, c’est l’absence de tout débat contradictoire et l’absence de données scientifiques qui auraient dû fonder les décisions prises en termes de santé publique ! La science a été évacuée dès le début de cette perversion pour être remplacée par une croyance sérieusement débile ; la science a été discréditée et disqualifiée !

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  32. Mais justement, ce n’était pas une question de santé publique, simplement un programme d’enrégimentation des populations qui devaient être graphénisées pour leur dressage inconditionnel, garanti, assuré, implacable, sans faille, pour les conduire dans la docilité obtenue vers cette nouvelle colonie pénitentiaire de Kafka, le meilleur des mondes, la société « orwellienne », devenue l’actualité !

    La doxa convenue du narratif covidiste a fait régner la tyrannie sanitaire et l’arbitraire politique des mesures qui semblaient faites pour écraser la contestation et dresser les personnes à cette sorte de croyance religieuse, comme on l’a dit, criminalisant en même temps tout esprit critique. Ce comportement néo-obscurantiste n’a pu se développer que dans les pays riches qui pouvaient déverser des milliards de dollars ou d’euros dans la poche des laboratoires.

    Il faut réaliser qu’il y a eu plus de morts en France que sur toute l’Afrique peuplée de 1 milliard d’habitants ; et lorsqu’on dit l’Afrique, il s’agissait simplement de l’Afrique du Sud, le pays africain largement le plus influencé par Big Pharma !

    Voilà le premier choc du constat !

    11.2 – La négation des méthodes alternatives à cause de Big Pharma et l’argent
    Il y a déjà un moment, l’ONU avait déclaré que « l’industrie pharmaceutique était la première cause de corruption dans le monde ! »

    Les étudiants en médecine se souviennent qu’on étudiait encore dans les années 80, l’activité antimicrobienne des plantes.

    Il est utile de savoir que Big Pharma a lutté de toutes ses forces pour éliminer des études de médecine, cette référence aux plantes et à tout ce qui n’était pas « médicaments brevetables ».

    Toutes les méthodes alternatives ont été diabolisées et criminalisées, combattues férocement éliminées, déclarées « pratiques de charlatans », alors que les plantes médicinales avaient, depuis très longtemps, fait leurs preuves ! D’ailleurs, dans le domaine des maladies nosocomiales, comme le staphylocoque doré, il n’y a guère que des huiles essentielles qui peuvent en arriver à bout efficacement et rapidement… Pourtant la naturopathie comme l’aromathérapie et l’homéopathie sont sévèrement obstruées. Ces méthodes alternatives sont constamment menacées d’interdiction, par le harcèlement criminel de l’industrie pharmaceutique, alors qu’elles ont fait leurs preuves bien avant l’allopathie qui très souvent est la cause de plus de mal que de bien, puisque ce n’est pas le malade qui compte pour Big Pharma, c’est la rentabilité commerciale…

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  33. Un commercial de laboratoire présentait l’action bienfaitrice de son employeur qui avait livré des dizaines de milliers de vaccins dans un pays Africain, témoigne le Pr Perronne qui était à l’époque vice-président d’un groupe d’experts sur la vaccination, à l’OMS.

    Mais quelqu’un, dans le cours de la présentation élogieuse qui était faite, avait introduit dans le montage visuel des photos montrant que ces stocks de vaccins étaient restés là X temps, dans un hangar au toit de taules ondulées, sous une chaleur de plus de 40°, sans la moindre trace de ce qu’était devenue la chaîne du froid ! Peu importe, la chaîne du froid, du moment que des milliards sont entrés dans la poche de Big Pharma !

    On l’a déjà dit dans la première partie de ce tour d’horizon : des associations ministérielles militent pour faire condamner la pratique du yoga, de la méditation, l’usage des plantes médicinales mais aussi les fruits et légumes qui sont recommandés par des nutritionnistes de renom, dans le but d’assurer la base première d’une bonne santé. Cette kabbale pharmaceutique, contre tout ce qui peut être naturel et imbrevetable, s’est étendue aux facultés de médecine.

    Il faut impérativement que tout traitement rapporte des centaines de milliards d’euros ou de dollars à l’industrie pharmaceutique. Tout le reste est condamné, rejeté, interdit et ridiculisé par un discours négateur devenu insupportable dans le contexte actuel…

    Les grandes revues et les Facultés de Médecine sont colonisées par ce discours néo-obscurantiste et mafieux, au nom de la science qui n’a rien à faire là-dedans, mais que l’on implore à tort et à travers, alors que c’est l’argent qui règne en maître absolu sur cette dérive sociétale.

    Les rédacteurs en chef de The New England Journal of Medicine le plus grand périodique de médecine comme du « The Lancet », le second en importance, avouaient eux-mêmes depuis longtemps, que c’était l’industrie pharmaceutique qui les tenait par la « bourse », et que la plupart des papiers qui devaient être publiés étaient tous biaisés, voire frauduleux, pour servir les intérêts des laboratoires qui ne reconnaissaient que ce qui pouvait leur rapporter gros !

    Les chercheurs et médecins de terrain, hospitaliers et autres, déclarent sur leurs blogs ou pages Web, qu’il est impossible aujourd’hui d’obtenir une connaissance sérieuse en matière de médecine, à travers les grandes revues spécialisées de la publication médicale, parce qu’elles sont phagocytées par la corruption mise en place méthodiquement par Big Pharma. Le Pr. Perronne en témoigne également dans son interview sur « Les Incorrectibles » GETTR, du 16 janvier 2022, animée par Eric Morillot.

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  34. Les médecins qu’on a conditionnés par la doxa convenue, pensent aujourd’hui, que si une étude n’est pas publiée dans ces revues « prestigieuses », elle n’a aucune valeur et ne peut surtout pas être prise au sérieux ! C’est sidérant d’obscurantisme, puisque les médecins d’aujourd’hui sont quasi amenés à penser que la corruption est un gage de sérieux !

    C’est donc la corruption qui fait la loi en médecine : on pense aux malades qui se retrouvent dans les mains de gens qui ne jurent qu’à travers des poncifs dictés par la corruption pharmaceutique !

    Heureusement que beaucoup de médecins de terrain ont encore leur libre arbitre et pensent par eux-mêmes en faisant leur propre expérience de ce qui soigne et de ce qui ne soigne pas ; ceux-là ne tiennent pas à faire partie de la secte médicale allopathe aux certitudes sectaires qui écarte tout autre alternative à sa pratique totalitaire et à son dogme intolérant.

    Le savoir qui provient de ces grandes revues médicales ne peut plus revendiquer son statut de scientifique à cause de la corruption omniprésente des publications falsifiées ou biaisées.

    C’est aussi pour cette raison que la médecine, corrompue par Big Pharma, recourt de plus en plus à une pratique automatisée.

    Le Docteur Jacques Leibovitch avec le Pr. Montagnier, avaient prouvé qu’on pouvait tenir un protocole de soins contre le VIH, sur deux jours par semaine, alors que les protocoles habituels se déroulaient sur 7 jours. Le Dr. Leibovitch qui a découvert le VIH avec le Dr. Montagnier, était très en avance sur la recherche mondiale, car il était parvenu à un jour de traitement par semaine pour les soins contre le VIH, peu avant de mourir en 2020.

    Mais, tout le monde médical s’était scandalisé de cette prouesse au moment où l’industrie pharmaceutique découvrait qu’elle allait devoir diviser ses profits par 7 !

    C’est la sécu qui paie, c’est-à-dire les cotisations des Français issues du travail des Français qui sont en train d’engraisser monstrueusement cette industrie pharmaceutique aux pratiques mafieuses vampirisant sans scrupules les systèmes de sécurité sociale en pratiquant sans fin ce pillage des Etats Nations.

    11.3 – La mutation de la santé publique en entreprise commerciale ou la corruption par Big Pharma
    Au même moment, les serviteurs dévoués de cette mafia, placés aux postes de commandes du pouvoir, supprimaient massivement les acquis de l’après-guerre, déremboursaient les actes médicaux et les médicaments. La couverture de la sécurité sociale se réduisait à un mouchoir de poche. Pourtant, les citoyens sont toujours accusés d’être, comme les Gilets jaunes, responsables du « trou de la sécu », le déficit exorbitant étant causé en réalité par le pillage en règle de Big Pharma, depuis déjà très longtemps…

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  35. Ce gaspillage n’a pas été sanctionné ; il n’y a aucune poursuite ; les plaintes ont été classées sans suite ; les responsables ne rendent aucun compte à personne : ils sont les maîtres absolus de tout ; le peuple n’est toléré et n’est là que pour payer ! Pourtant ce remdesivir qui n’a jamais marché sur Ebola, avait déjà provoqué des insuffisances rénales et hépatiques sévères, en étant par-dessus tout un produit mutagène. Ce produit n’avait, lui non plus, jamais été mis à l’épreuve des études, pour démontrer qu’il marchait !

    L’hydroxychloroquine en vente libre dans les pharmacies depuis des décennies se trouvait tout à coup criminalisé, prohibé, condamné, dénigré, par Agnès Buzyn, avant même l’apparition de la Covid-19, pendant qu’on promouvait un produit toxique n’ayant jamais donné ses preuves ! On allait même jusqu’à en interdire la prescription par des médecins clairement infantilisés ! Qui ne peut pas voir qu’il y a là quelque chose qui cloche très sérieusement ? Ceux qui ne veulent pas voir !

    Les médecins généralistes qui ont une vraie expérience de terrain ont massivement compris qu’on était en dehors des clous du « sanitaire ». Ils se sont donc arrangés, pour le plus grand nombre, afin de continuer à respecter leur serment d’Hippocrate et soigner sans avoir l’autorisation de prescrire, en acceptant de vivre dans la peur de se faire radier par l’Ordre des médecins, qui bien entendu est aux ordres de la mafia gouvernementale.

    Certains médecins ont en effet été radiés de l’Ordre des médecins pour avoir osé soigner sérieusement les malades ! En revanche, certains, au milieu de ceux-là qui participaient au crime contre l’humanité, recevaient la Légion d’Honneur ! De même un grand nombre de médecins ont été suspendus dans leur droit d’exercer la médecine, parce qu’ils ont refusé de se faire injecter des produits expérimentaux en phase de test et sans aucune étude scientifique pour contrôler leur innocuité !

    L’industrie pharmaceutique procède de la façon suivante :

    Les professeurs de médecine les plus en pointe et qui sont susceptibles d’être des propagandistes des produits pharmaceutiques, sont abordés par Big Pharma. On leur dit alors qu’ils vont entrer dans les « board » (Conseils scientifiques et Conseils d’administration des labos). A chaque participation de ces réunions de conseils, ils seront rémunérés par des commissions très élevées. Quand le laboratoire voudra lancer une étude sur telle molécule, le professeur de médecine sera désigné comme « investigateur attitré principal ». Ce n’est qu’un titre, mais le médecin qui accepte ce titre sera grassement rémunéré. L’industrie fait tout de A à Z et le professeur de médecine ne sera là que pour animer des réunions avec des collègues hospitaliers et autres et faire la promotion de la molécule qui aura été totalement investiguée par le labo, sans même que « l’investigateur attiré principal » ne puisse rien savoir des données scientifiques en cause.

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  36. Il faut souligner que cette charte a été ignorée, comme le droit a été ignoré depuis trois ans, comme la science a été ignorée depuis le début de cette crise… Tout ce qui s’est passé depuis trois ans était illégal, anti-scientifique, incohérent, violent et au final hautement criminel ; une trahison exceptionnelle qui a dépassé tout ce que l’on aurait pu imaginer !

    11.4 – Nouvelles infos sur l’oxyde de graphène dans les « vaccins » anti-Covid-19
    https://t.me/brigadesantigraphene

    Les photos ci-dessous proviennent d’une vidéo de 19 minutes, présentée sur Odyssée par le Docteur Matthew Shelton interviewé par une juriste, Sue Grey, en Nouvelle-Zélande. On découvre ainsi, une nouvelle fois, la micro et nanotechnologie dans un « vaccin » Pfizer. La liste des pays qui ont fait cette même découverte s’allonge, mais la croyance en la religion covidiste ne permet pas de voir le danger ! Que chacun se fasse son opinion à partir de ces données scientifiques qui ont été publiées par le chercheur et médecin Matthew Shelton de Nouvelle Zélande.

    - voir photo sur site -

    Conclusion

    Les grands médecins dignes de ce nom ne pouvaient pas cautionner un tel délire durant trois années consécutives, sans réagir ne serait-ce qu’à un moment donné, en suivant l’exemple de leurs paires (médecins et chercheurs en médecine) qui avaient été plus courageux, comme Didier Raoult, Christian Perronne, Louis Fouché, Pascal Sacré, Laurent Toubiana, Denis Agret, Alexandra Henrion Caude, Martine Wonner, Jean-François Toussaint, Jean-Bernard Fourtillan, Nicole Delépine, Gérard Delépine, Luc Montagnier, Patrick Bellier, Jean-Pierre Willem, Christian Vélot, Benoît Ochs, Eric Loridan, Edouard Broussalian, David Bouillon, Jean-Dominique Michel, et tous ceux que j’ai oubliés ainsi que des légions d’autres médecins cohérents avec leur savoir et leur expérience médicale du terrain.

    Il faudrait encore citer, pour les honorer, Astrid Stuckelberger, Carrie Madej, Arne Burkhardt, Karen Kingston, Agnès Hartemann, Geert Vanden Bossche, Wolfgang Wodarg, Samuel White, Martin Kulldorff, Sunetra Gupta, Jayanta Bhattacharya, les 60.000 médecins cosignataires de la déclaration de « Great Barrington », Andréas Noak, Thomas Szekeres, Mike Yeadon, Jens-Peter Keil, Walter Lang, Peter Schirmacher, Pablo Campra en Espagne, et tellement d’autres encore qui ont fait entendre la voix de la réinformation sur cette histoire qui a tourné au délire des responsables politiques et sanitaires…

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  37. Le temps leur avait permis de cumuler des montagnes de preuves qui démontraient que les Gouvernements ne suivaient pas une connaissance scientifique objective ni quelque motif sanitaire que ce soit, même en cherchant bien, puisque les chiffres démontraient que la Covid-19 n’avait jamais, à aucun moment, atteint le niveau normal d’une grippe très peu létale ! (Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19: 140 malades par semaine pour 100.000 habitants ; pour une grippe normale c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100.000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis trois ans !) Il n’y a jamais eu de « pandémie » de la Covid-19 !

    Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus inutiles, comme tous les vaccins, (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence Européenne du Médicament » a déclaré il y a quelque temps :

    « Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire ».

    A bon entendeur, salut !

    En d’autres termes, ce que le docteur Geert Vanden Bossche, spécialiste international du vaccin, prévenait depuis bien longtemps, s’avère être la réalité d’aujourd’hui et c’est exactement ce que la connaissance scientifique sérieuse avait déjà prévu : ces injections allaient détruire le système immunitaire naturel inné et acquis et laisseraient les personnes exposées aux différents « variants » (comme aux autres germes infectieux) sans aucune protection. Les variants allaient, quant à eux, provoquer la caducité perpétuelle des « injections », ne manquant pas de proliférer, grâce aux « vaccinations » répétitives (on en était en 2021 à plus de 4.000 variants du SARS-CoV-2 identifiés à travers le monde selon les services de santé britannique.) (Cf., TV5MONDE Info du 12 mars 2021)

    Ce même raisonnement du Docteur Vanden Bossche, est en réalité applicable à tout vaccin en soi : ce qui confirme encore une fois l’inanité des vaccins, comme Louis Pasteur s’en était rendu compte ; raison pour laquelle il avait dû maquiller les résultats de ses travaux pour des motifs n’ayant rien à voir avec les intérêts de la santé des gens, comme on l’a vu !

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  38. Ce qui veut dire que peu à peu, concernant les vaccins anti-Covid, il était normal de constater que les malades et les morts se compteraient de plus en plus dans la population des « vaccinés ». C’est déjà bien le cas, rien qu’en se basant sur les chiffres de la DREES en France, comme on l’a dit dans la première partie de ce tour d’horizon.

    Quand on abandonne la science pour se livrer à une croyance générant du fanatisme et une doxa obscurantiste, inspirée par l’argent obsessionnel et la volonté compulsive de pouvoir et de contrôle acharné sur des masses de dominés, c’est ce qui arrive, comme l’Histoire l’a si souvent démontré au cours des siècles passés. Il est temps de revenir à la raison et de comprendre ce qui s’est si bien caché derrière cette providentielle « fenêtre d’opportunité », paroles de scientifiques !

    A suivre …

    Jean-Yves Jézéquel

    Autres sources

    https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/covid-19-une-strategie-basee-sur-des-rappels-des-premiers-vaccins-n-est-pas-viable-estime-l-oms-f3512df8-72fc-11ec-b5e2-f1d665483d2a

    https://reinfocovid.fr/science/refutation-des-arguments-scientifiques-justifiant-linstauration-dun- pass-vaccinal/

    https://www.midilibre.fr/2022/01/12/4e-dose-de-vaccin-anti-covid-nous-ne-pouvons-pas-donner-des-doses-tous-les-trois-mois-lema-defavorable-10041091.php

    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/covid-19-l-hypothese-d-une-4e-dose-a-l-etude-en- france-7648627.php

    https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/institut-pasteur-isole-souches-du-coronavirus-2019-ncov-detecte-france

    https://information.tv5monde.com/info/covid-19-ces-variants-qui-se-propagent-travers-le-monde-400183

    https://t.me/brigadesantigraphene

    https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin-la-deroute-de-la-science-et-des-scientifiques/5676808

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    Réponses
    1. Quand 3 ans après des complotistes comme Henrion-Caude ou Raoult refusent encore de reconnaître le contenu des flacons injectables réel examiné et publié par les docteures Astrid Stuckelberger et Carrie Madej, il y a un réel problème dans le monde de la science !

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  39. Le comité chargé d’examiner les dommages causés par le vaccin contre la COVID se réunit à huis clos

    Les Académies nationales des sciences, de l'ingénierie et de la médecine se sont réunies pendant trois jours - à huis clos, à l'exception d'une période de consultation publique de deux heures - pour examiner les données épidémiologiques, cliniques et biologiques relatives aux effets indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19.


    Par Brenda Baletti
    Mondialisation.ca,
    10 avril 2023


    Les Académies nationales des sciences, de l’ingénierie et de la médecine [National Academies of Science, Engineering, and Medicine (NASEM)] se sont réunies pendant trois jours – à huis clos, à l’exception d’une période de consultation publique de deux heures – pour examiner les données épidémiologiques, cliniques et biologiques sur les effets indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19.

    Le comité produira un rapport qui sera utilisé pour ajouter les blessures au tableau fédéral des blessures vaccinales, qui répertorie les effets indésirables connus associés aux vaccins existants.

    Cette liste aide le National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) et le Countermeasures Injury Compensation Program (CICP) – qui font tous deux partie de la Health Resources and Services Administration (HRSA) – à décider s’il y a lieu d’indemniser les demandes d’indemnisation liées à des vaccins.

    Historiquement, les réunions des NASEM sont ouvertes au public, mais celles de cette année se sont déroulées à huis clos, à l’exception des deux heures de commentaires publics requises par la loi fédérale.

    Les NASEM ont retransmis en direct la période de consultation publique, au cours de laquelle chaque intervenant était limité à trois minutes de commentaires.

    Brian Hooker, Ph.D., P.E., directeur scientifique de la Children’s Health Defense, a fait partie des personnes qui ont fait part de leurs commentaires.

    M. Hooker a déclaré à la commission :

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  40. « J’ai peu d’espoir que ce comité d’experts des Académies nationales fasse autre chose que de simplement approuver la sécurité des vaccins contre la COVID-19 qui ont été recommandés et même imposés à la population des États-Unis. »

    Le comité est censé être un organe externe neutre, mais l’examen est effectué à la demande du ministère américain de la santé et des services sociaux (HHS) et partiellement financé par les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

    M. Hooker a dit :

    « Il s’agit des mêmes CDC qui ont découvert dès le 19 février 2021 que les vaccins à ARNm provoquaient des myocardites chez les adolescents et les jeunes hommes, 10 semaines seulement après le lancement des premiers vaccins.

    « Cependant, les responsables de la sécurité vaccinale des CDC, dont le directeur, le Dr Tom Shimabukuro, ont caché cette information jusqu’à ce qu’ils affirment tacitement, plus de trois mois plus tard, le 27 mai 2021, qu’il pourrait y avoir un lien entre les vaccins et la myocardite.

    « Pendant que les responsables des CDC mentaient sur cet événement indésirable, le taux de vaccination aux États-Unis est passé de 8 % à plus de 50 %, augmentant ainsi les profits des fabricants de vaccins qui se sont entièrement emparés de cette agence. »

    L’avocat Aaron Siri, spécialiste des vaccins, a déclaré à la commission que, d’après son expérience de l’aide aux clients pour le dépôt de plaintes, les rapports antérieurs des NASEM étaient « incroyablement conséquents ».

    « Il s’agit de documents qui seront utilisés par le gouvernement fédéral pour s’acquitter de son devoir… de lutter contre toute demande d’indemnisation », a déclaré M. Siri :

    « Votre tâche, si j’ai bien compris, consiste à examiner la littérature médicale. Mais comprenez que les entreprises pharmaceutiques n’ont pas intérêt à mener des études, pas plus que nos agences fédérales de santé. »

    Il a déclaré que les experts qu’il a fait témoigner utilisent l’absence de preuves dans ces rapports pour un effet secondaire donné comme preuve que l’effet secondaire n’existe pas. Sur cette base, ils rejettent les demandes d’indemnisation des victimes.

    M. Siri a imploré la commission de prendre au sérieux les témoignages des personnes blessées par les vaccins dans les commentaires publics lorsqu’elle examinera les éléments à inclure dans le rapport.

    Le comité est dirigé par Kathleen Stratton, docteur en médecine, qui a participé à la rédaction du rapport de l’Institut de médecine de 2004, cité comme « preuve » que les vaccins ne causent pas l’autisme, alors que 5 000 dossiers étaient en cours d’examen au VICP.

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  41. Des documents divulgués montrent que Mme Stratton s’est coordonné avec les CDC pour nier tout lien entre les vaccins et l’autisme.

    Le docteur Reed Grimes, directeur de la division de l’indemnisation des dommages corporels à la HRSA, et le docteur Tom Shimabukuro, directeur adjoint de l’Immunization Safety Office des CDC, ont présenté des exposés lors de la première réunion du comité, qui s’est tenue en janvier et a été publiée en ligne.

    Le comité examine également la littérature sur l’administration des vaccins et les blessures à l’épaule. Ses conclusions sont attendues pour mars 2024.

    Le programme d’indemnisation des victimes de vaccins « serait méconnaissable » pour ses fondateurs

    Parmi les plus de 30 personnes qui ont fait part de leurs commentaires au public figuraient des personnes blessées par des vaccins, des médecins, des avocats, des chercheurs travaillant à l’identification des lésions et des traitements liés aux vaccins, ainsi que des membres du groupe de défense React19, qui a compilé 3 400 études évaluées par des pairs et répertoriant les effets indésirables du vaccin contre la COVID-19.

    Les intervenants ont fait part de nombreuses preuves personnelles, scientifiques et juridiques des effets indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19.

    Parmi les orateurs blessés par un vaccin figure Brianne Dressen, qui a reçu une dose du vaccin d’AstraZeneca en tant que volontaire dans le cadre d’un essai clinique. Ses effets secondaires débilitants, notamment le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP), les acouphènes et d’autres symptômes, n’ont pas été mentionnés dans le rapport de l’essai clinique d’AstraZeneca, bien qu’ils aient été reconnus par les National Institutes of Health (NIH).

    Mme Dressen a déclaré à la commission qu’elle restait « perplexe » face au processus scientifique et a ajouté : « Je vous demande de bien vouloir jeter un regard honnête et impartial sur la littérature existante. S’il vous plaît, faites votre part et assurez-vous que ces personnes qui souffrent ne soient pas rejetées, que nous ne soyons pas effacés et que nous ne soyons pas écartés. »

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  42. Le Dr Joseph Fraiman, auteur principal d’une étude évaluée par des pairs sur les effets secondaires graves des vaccins à ARNm, est intervenu pour partager les résultats de ses recherches avec le comité, soulignant qu’il n’y avait « aucun doute » que des effets indésirables graves étaient associés aux vaccins à ARNm.

    Parmi les nombreux intervenants qui ont attiré l’attention sur les effets secondaires graves liés aux vaccins, le Dr Peter McCullough a attiré l’attention de la commission sur le fait que « Pfizer a fait état de 1 223 décès survenus dans le cadre de la partie obligatoire des données post-commercialisation à 90 jours ».

    Il a rappelé à la commission que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté d’empêcher la publication des données des essais cliniques de Pfizer et que les recherches en cours dans plusieurs universités américaines indiquent que des centaines de milliers de décès sont associés au vaccin.

    Le Dr McCullough a ajouté :

    « J’en conclus que les académies nationales devraient soutenir le retrait total des vaccins contre la COVID-19 de l’utilisation actuelle aux États-Unis, et qu’elles devraient entreprendre une évaluation et une indemnisation équitables pour le grand nombre de personnes qui ont souffert de lésions, d’incapacités et de décès dus aux vaccins. »

    Le Dr. Meryl Nass,médecin interniste et épidémiologiste spécialisé dans les guerres biologiques, a déclaré que la commission devait garder à l’esprit l’évaluation des bénéfices et des risques de la FDA et la prise de décision en matière de réglementation des médicaments, qui, selon elle, « stipule que pour qu’un médicament soit approuvé en vue de sa commercialisation, la FDA doit déterminer que le médicament est efficace et que ses bénéfices escomptés l’emportent sur les risques potentiels pour les patients ».

    Elle a présenté des données – notant que le comité n’a autorisé aucun commentateur à partager les diapositives qu’il avait préparées pour le comité – montrant la rapidité avec laquelle l’efficacité diminue pour n’importe lequel des vaccins.

    Albert Benavides, qui dirige le site web Vaersaware.com, a déclaré à la commission que les erreurs de codage ou le sous-codage et la publication tardive dans le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) ont caché des milliers d’effets indésirables graves.

    Plusieurs intervenants ont commenté la manière dont ces rapports sont utilisés à mauvais escient par le VICP et le CICP.

    Le professeur Renee Gentry, directrice de la Vaccine Injury Litigation Clinic à la faculté de droit de l’université George Washington, a déclaré à la commission qu’au cours des dix dernières années, elle avait été témoin de « la délégitimation agressive par le HHS de toutes les blessures causées par des vaccins ne figurant pas dans le tableau ».

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  43. Elle a déclaré que le ministère de la santé et des services sociaux s’est vigoureusement opposé à toute demande concernant des lésions ne figurant pas sur la liste, en dépit du fait que les personnes vaccinées sont légalement autorisées à déposer des demandes pour des lésions figurant ou non sur la liste.

    Elle a dit :

    « La ligne dure tracée par le HHS en contestant ces cas, je crois, contrevient à l’intention du Congrès ainsi qu’à celle de ce comité et a poussé le tribunal des vaccins plus loin dans le litige prolongé de l’arène civile que le Congrès espère éviter. »

    Elle a expliqué que les parties prenantes qui ont créé le VICP – fabricants de vaccins, avocats et parents – l’ont conçu de manière à ce qu’il soit convivial pour les pétitionnaires, informel, généreux et non contradictoire :

    « Le dossier du Congrès de l’époque fait état de l’avertissement du Congrès selon lequel il est préférable d’indemniser quelqu’un qui n’a pas été blessé par le vaccin que de ne pas indemniser quelqu’un qui l’a été ….

    « Je pense que le VICP tel qu’il existe aujourd’hui serait méconnaissable pour les parties prenantes initiales. Dans certaines circonstances, l’opposition implacable du HHS aux lésions causées par les vaccins en utilisant l’épidémiologie discutée par ce comité a entraîné l’élimination de catégories entières de lésions …

    « Pour garantir un programme de vaccination universel solide et efficace, il faut disposer d’un filet de sécurité efficace pour les rares personnes qui subissent un préjudice. Un programme d’indemnisation doit être une alternative raisonnable et significative aux poursuites civiles, sinon il a échoué. »

    Comment fonctionne l’indemnisation des victimes de vaccins ?

    La loi PREP protège les fabricants de vaccins de toute responsabilité en cas de blessures ou de décès liés à des vaccins ayant fait l’objet d’une autorisation d’utilisation d’urgence, mais ils peuvent être tenus responsables des blessures causées par un vaccin pleinement homologué – à moins que ce vaccin ne soit ajouté au calendrier de vaccination des enfants établi par les CDC.

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  44. Un tribunal ordonne à Merck de lui remettre ses bases de données sur les effets indésirables du Gardasil

    Un tribunal de district de Caroline du Nord a ordonné au géant pharmaceutique Merck de remettre toutes ses bases de données sur les effets indésirables du Gardasil aux plaignants qui le poursuivent pour des blessures prétendument causées par le vaccin contre le papillomavirus.


    Par Brenda Baletti
    Mondialisation.ca,
    07 avril 2023


    Un tribunal de district de Caroline du Nord a ordonné à Merck de remettre toutes ses bases de données sur les effets indésirables du Gardasil aux plaignants qui poursuivent le géant pharmaceutique pour des blessures prétendument causées par le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH).

    Les bases de données, qui comprennent des informations provenant du Merck Adverse Event Reporting and Review System (MARRS) – la version de Merck du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) – devrait contenir tous les rapports relatifs aux effets indésirables de Gardasil soumis par les médecins, les patients et les publications, a déclaré l’avocat des plaignants, Michael Baum, à l’occasion d’une conférence de presse. au Defender..

    Dans son ordonnance du 20 mars, le juge de district Robert J. Conrad Jr. a déclaré que “les plaignants et leurs experts devraient avoir la même possibilité que Merck d’examiner et d’analyser l’ensemble des données”.

    Jusqu’à présent, Merck a refusé de mettre l’ensemble des bases de données MARRS à la disposition des avocats des plaignants.

    Gardasil est un vaccin très répandu, administré aux adolescents et aux jeunes adultes avant qu’ils ne soient sexuellement actifs, pour les protéger contre les infections à HPV, qui peuvent être transmises sexuellement plus tard dans la vie.

    Les infections à HPV peuvent entraîner le développement d’un cancer du col de l’utérus. Cependant, la plupart des infections sont bénignes et disparaissent d’elles-mêmes.

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  45. Le cabinet Baum Hedlund Aristei & Goldman et Robert F. Kennedy Jr, président en congé de Children’s Health Defense, ont intenté plus d’une vingtaine d’actions en justice au nom de jeunes blessés par le Gardasil, alléguant que Merck avait sciemment et frauduleusement dissimulé les risques du vaccin.

    Ces actions en justice font partie des plus de 80 actions en cours devant les tribunaux fédéraux, et ce nombre est appelé à augmenter. En août 2022, un groupe de juges a regroupé les actions en justice dans une seule salle d’audience fédérale.

    Parmi les effets caractéristiques observés à la suite de la vaccination contre le papillomavirus – qui affectent un certain nombre de plaignants – figurent des maladies auto-immunes et neurologiques invalidantes à vie, telles que lesyndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS), la fibromyalgie et l’encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique, a rapporté The Defender.

    Des milliers de rapports d’effets indésirables dans le monde entier, des publications scientifiques évaluées par des pairs aux États-Unis, en Australie, au Danemark, en Suède, en France et au Japon, ainsi que des statistiques publiées par les agences de santé publique de chacun de ces pays démontrent des associations plausibles entre la vaccination contre le papillomavirus et les maladies auto-immunes.

    Merck maintient qu’il n’y a pas de signal de sécurité dans les données relatives aux maladies auto-immunes. Les plaignants allèguent que Merck a avancé cet argument en ne tenant pas compte des rapports.

    M. Baum a déclaré au Défenseur que l’accès à cette base de données complète de rapports d’événements indésirables devrait permettre aux experts de mieux analyser l’étendue des symptômes auto-immuns post-Gardasil et de démontrer qu’il existe un “lien de causalité statistiquement significatif entre Gardasil et les conditions auto-immunes”.

    La longue histoire des effets indésirables auto-immuns du Gardasil

    Alors que Merck commercialise Gardasil comme étant “sûr et efficace”, des signaux de sécurité sont apparus dès le début des essais cliniques du vaccin. Cependant, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé au vaccin l’autorisation de mise sur le marché accélérée (Fast Track ) après seulement six mois de procédure d’examen.

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  46. En 2006, Gardasil a été homologué aux États-Unis et en Europe. Mais en l’espace de quelques années, des rapports faisant état d’effets indésirables graves sont apparus, d’abord dans les médias, puis dans des revues spécialisées.

    En 2013, Gardasil a été responsable aux États-Unis de trois cinquièmes de toutes les réactions vaccinales graves signalées chez les jeunes femmes de moins de 30 ans, dont 64% de décès et 81% de cas d’invalidité permanente.

    De même, des taux disproportionnés d’effets indésirables ont été signalés en Australie, au Japon et dans d’autres pays européens à cette époque.

    Pourtant, en 2014, la FDA a approuvé une nouvelle version du vaccin, le Gardasil 9. En 2016, lorsque GlaxoSmithKline (GSK) a retiré du marché américain son vaccin bivalent contre le VPH Cervarix, dont la concurrence était médiocre, le Gardasil 9 est devenu “le seul jeu en ville“.

    Gardasil 9 est approuvé par la FDA pour les hommes et les femmes âgés de 9 à 45 ans.

    En 2015, en raison du nombre élevé d’effets indésirables graves signalés au Danemark et dans le monde, l’autorité danoise de la santé et des médicaments a demandé à la Commission européenne d’enquêter sur le lien entre Gardasil et les effets indésirables graves.

    Quelques mois plus tard, l’Agence européenne des médicaments (EMA) – l’équivalent européen de la FDA – a publié un rapport concluant qu’il n’y avait pas de lien entre les vaccins contre le papillomavirus et les effets indésirables neurologiques graves.

    Toutefois, un document confidentiel de l’EMA, qui a fait l’objet d’une fuite, fait état d’un désaccord important entre les experts de l’agence.

    Un article publié dans The BMJ Evidence-Based Medicine (une revue de médecine basée sur les preuves) a également révélé que l’EMA a réalisé son évaluation sur la base de données et d’analyses erronées fournies par les fabricants de vaccins, qu’elle a rejeté des preuves irréfutables fournies par des chercheurs indépendants et l’Observatoire d’Uppsala, et qu’elle a demandé l’avis d’experts ayant des conflits d’intérêts financiers, en violation de ses propres règles.

    Compte tenu des problèmes de sécurité liés aux révélations de l’étude erronée de l’EMA, Rebecca Chandler et al. ont mené d’autres recherches sur le lien entre le vaccin contre le papillomavirus et les troubles auto-immuns, qui ont été publiées en 2017 dans Drug Safety (Sécurité des médicaments).

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  47. Les maladies auto-immunes peuvent être difficiles à identifier et prendre beaucoup de temps à diagnostiquer car elles se caractérisent généralement par des combinaisons d’un large éventail de symptômes qui peuvent être liés à un certain nombre de maladies.

    Un symptôme isolé peut ne pas fournir suffisamment d’informations pour alerter le médecin sur la cause sous-jacente.

    Pour identifier les troubles auto-immuns associés au vaccin contre le papillomavirus, Mme Chandler et son équipe ont procédé à une analyse en grappes de VigiBase, la base de données internationale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les effets indésirables présumés des médicaments.

    Ils ont procédé à une analyse statistique des rapports sur les effets indésirables du HPV, en recherchant des groupes de symptômes associés à des maladies auto-immunes telles que le POTS, le CRPS et le CFS – plutôt que de se limiter aux cas où une maladie auto-immune a été définitivement diagnostiquée – et ont trouvé des taux statistiquement significatifs d’effets indésirables graves associés au Gardasil.

    Il s’agit de l’une des nombreuses études récentes établissant un lien entre Gardasil et des problèmes auto-immuns.

    Dans le cadre de ce procès désormais consolidé, les plaignants demandent depuis plusieurs années l’accès à la base de données de Merck afin d’effectuer une analyse en grappes de toutes les données collectées par Merck.

    Il est difficile, mais possible, de poursuivre Big Pharma pour des lésions causées par des vaccins

    Les fabricants de vaccins peuvent être tenus pour responsables des lésions causées par un vaccin entièrement homologué, à moins que ce vaccin ne soit ajouté au calendrier de vaccination des enfants établi par le CDC.

    Le vaccin contre le papillomavirus figure dans ce calendrier.

    Les personnes blessées par des vaccins figurant sur le calendrier de vaccination des enfants peuvent demander une indemnisation dans le cadre du programme national d’indemnisation des victimes de vaccins (VICP), financé par le contribuable, qui constitue une alternative sans faute au système juridique traditionnel de règlement des litiges liés aux vaccins.

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  48. Mais de nombreuses personnes ignorent que les demandeurs qui ne sont pas satisfaits des résultats de la procédure du CIVP peuvent poursuivre l’entreprise pharmaceutique directement devant un tribunal civil, à condition que le demandeur ait suivi la procédure du CIVP.

    M. Baum a déclaré au Defender que le VICP avait versé plus de 70 millions de dollars à des personnes ayant fait des réclamations concernant le Gardasil, mais qu’au cours des dernières années, il avait cessé d’effectuer des paiements pour des affections auto-immunes, sans fournir d’explication.

    Les actions en justice intentées contre Merck, selon lesquelles le vaccin contre le papillomavirus est à l’origine de complications auto-immunes débilitantes, sont le résultat de ce processus.

    M. Baum a également expliqué au Defender qu’un demandeur ne dispose que de trois ans à compter de l’apparition des symptômes pour déposer une plainte, mais comme les maladies auto-immunes sont difficiles à diagnostiquer, de nombreuses personnes ne sont pas diagnostiquées avant que le délai de prescription n’ait expiré.

    https://www.mondialisation.ca/un-tribunal-ordonne-a-merck-de-lui-remettre-ses-bases-de-donnees-sur-les-effets-indesirables-du-gardasil/5676797

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  49. Facteurs de risque alimentaires dans le suicide : comment la vitamine D peut aider


    11 avril 2023
    de Max Langen


    Dans le monde, environ 800 000 personnes meurent par suicide chaque année [1,2], ce qui semble choquant. C'est plus que toute la population de Seattle, Washington. Chez les 15-29 ans et les 15-44 ans, le suicide est respectivement la deuxième et la troisième cause de décès. [2] Selon les experts, le nombre de tentatives de suicide est même 10 à 30 fois plus élevé (jusqu'à 200 fois plus élevé dans certains sous-groupes). [2] En d'autres termes, il peut y avoir entre 8 et plus de 24 millions de tentatives de suicide par an.

    En plus de l'énorme douleur émotionnelle subie par les victimes, la quasi-totalité de ces 800 000 personnes ont des parents et des amis qui souffrent souvent de traumatismes émotionnels graves, de choc, de chagrin, de douleur, de colère, de culpabilité, etc. après le suicide de leur proche. Ainsi, l'ampleur de la douleur associée et résultant du suicide et des tentatives de suicide est incommensurable. C'est une urgence mondiale.

    Bien que le suicide ait de nombreuses causes et facteurs de risque différents, de nombreuses études récentes suggèrent qu'une faible exposition au soleil et une carence en vitamine D pourraient être un facteur important de suicide. Une méta-analyse récente de 20 études a montré une association significative entre la latitude et le suicide. Une latitude plus élevée a été associée à une prévalence de suicide plus élevée. [1] En d'autres termes, une plus grande exposition au soleil semble réduire le risque de suicide et donc le protéger.

    De nombreuses autres études ont montré que la carence en vitamine D est associée à un risque plus élevé de pensées suicidaires, de tentatives de suicide et de suicides réussis. [3-8] Les personnes qui ont tenté de se suicider avaient des niveaux de vitamine D significativement plus faibles que les témoins sains. [6-8] Une prédisposition génétique à des niveaux inférieurs de vitamine D a également été associée à un risque plus élevé de tentative de suicide, ce qui suggère que la vitamine D pourrait avoir un potentiel préventif contre les tentatives de suicide. [9] Les personnes ayant une prédisposition génétique à réduire les niveaux de vitamine D peuvent avoir besoin de plus grandes quantités de vitamine D pour rester en bonne santé.

    Une étude récente portant sur plus d'un million d'anciens combattants américains a examiné s'il existait une association entre la supplémentation en vitamine D prescrite et la tentative de suicide ou l'automutilation intentionnelle. Les auteurs ont effectué un appariement des scores de propension afin de réduire le risque de confusion et de rendre les groupes traités à la vitamine D et témoins aussi comparables que possible. Les résultats ont montré que la supplémentation en vitamine D réduisait presque de moitié le risque de tenter de se suicider ou de se faire du mal intentionnellement. [dix]

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  50. Des analyses de sous-groupes ont également montré que ceux qui avaient les niveaux les plus bas de vitamine D avant la supplémentation présentaient la plus grande réduction du risque de tentative de suicide ou d'automutilation. Plus la carence est importante, plus le bénéfice de la prise est grand. Par exemple, dans le groupe d'anciens combattants qui étaient de 0 à 19 ng/mL avant la supplémentation, la réduction du risque de la supplémentation en D3 était de 64 %. Pour ceux qui étaient de 20 à 39 ng/mL avant la supplémentation, chaque augmentation supplémentaire d'un point de pourcentage de la dose quotidienne moyenne de D3 était associée à une diminution de 9,6 %. La réduction du risque de la supplémentation en vitamine D était encore plus élevée chez les vétérans noirs que chez les vétérans blancs. C'est probablement en partie parce que les personnes à la peau foncée absorbent moins de vitamine D du soleil, elles ont donc tendance à être plus déficientes et donc à en profiter davantage. [dix]

    Notre cerveau a besoin de suffisamment de lumière solaire et de vitamine D pour fonctionner correctement. Avec un manque de vitamine D et d'autres nutriments, la synthèse des neurotransmetteurs ne fonctionne plus correctement, les processus inflammatoires augmentent, [7] le cerveau n'a plus l'énergie pour faire face adéquatement aux défis de la vie, et c'est ainsi que la dépression peut se développer.

    La carence en vitamine D (< 30 ng/ml) touche 75 % de la population adulte mondiale. (11,12) Étant donné que les tentatives de suicide augmentent le risque de carence en vitamine D, la correction de cette carence globale en vitamine D pourrait aider à prévenir des centaines de milliers de suicides et des millions de tentatives de suicide chaque année.

    Cette hypothèse est également étayée par cinq études récentes :

    Une méta-analyse de 25 ECR contrôlés par placebo avec plus de 7000 participants a révélé que la supplémentation en vitamine D réduit les émotions négatives. [13]
    Une méta-analyse de 3 ECR impliquant plus de 150 diabétiques a montré que la vitamine D améliorait les symptômes dépressifs de manière significative plus que le placebo. [14]
    Une méta-analyse de 29 études avec plus de 4500 participants a montré que la supplémentation en vitamine D réduisait l'incidence de la dépression. Une dose quotidienne supérieure à 2800 UI s'est avérée efficace pour prévenir et traiter la dépression, en particulier chez les participants dont les niveaux de base étaient faibles. [15]

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  51. Une méta-analyse de 18 ECR contrôlés par placebo a confirmé que la supplémentation en vitamine D réduit les symptômes de la dépression. De plus, les patients souffrant de dépression plus sévère répondaient encore mieux que les patients présentant des symptômes moins sévères. [15]
    Enfin, une méta-analyse globale a montré que les personnes ayant de faibles niveaux de vitamine D ont un risque plus élevé de développer une dépression que celles ayant des niveaux adéquats. L'ajout de vitamine D (en particulier à des doses plus élevées) a réduit les scores de dépression plus que le placebo. [16]
    Plus de 250 millions de personnes dans le monde souffrent de dépression. La prévalence de la dépression chez l'adulte est estimée à 5 %. Et c'est la première cause de suicide. [2]

    Malheureusement, bien que la carence en vitamine D soit fréquente chez les patients dépressifs et soit probablement l'une des principales causes de ce handicap grave, nombre d'entre eux ne reçoivent que des antidépresseurs ou une psychothérapie. Sans aucun doute, les antidépresseurs ou la psychothérapie peuvent aider. Cependant, ils ne corrigent pas les carences en nutriments, c'est pourquoi de nombreux patients ne répondent pas à ces thérapies et ne se rétablissent pas. Ces personnes sont souvent qualifiées de "résistantes aux traitements", ce qui est une affirmation trompeuse qui les rend souvent encore plus désespérées. La raison pour laquelle ils ne vont pas bien peut être que le traitement qu'ils ont reçu est erroné ou incomplet. Lorsque de graves carences en nutriments sont présentes, le métabolisme cérébral ne fonctionne pas correctement. La guérison biochimique n'est possible que

    Une étude en double aveugle contrôlée par placebo a montré qu'un traitement combiné avec l'antidépresseur fluoxétine + vitamine D était significativement plus efficace que la fluoxétine seule dans le traitement des troubles dépressifs. [18] Et fait intéressant, dans une étude en double aveugle avec l'acide gras oméga-3 EPA, la combinaison de fluoxétine + EPA était également significativement plus efficace que la monothérapie à la fluoxétine chez les patients souffrant de troubles dépressifs majeurs. [19]

    "Dr. Carl C. Pfeiffer a déclaré que presque tous les médicaments ont une alternative nutritionnelle, et le Dr. Abram Hoffer a averti que les patients qui ne prennent que des médicaments ne guériront pas. Je suis entièrement d'accord avec cela." —André Saul, PhD.

    Lors de la prise de vitamine D, il ne faut pas oublier les cofacteurs. Sans eux, la vitamine D ne peut pas s'activer correctement et fonctionner comme prévu. Si les cofacteurs ne sont pas pris en compte, le risque d'effets secondaires augmente également. Les nutriments travaillent ensemble dans le corps et le corps a besoin de tous pour soutenir son métabolisme (synergie). Afin de protéger la santé physique et mentale et de garantir que tous les processus biochimiques ou métaboliques (y compris dans le cerveau) puissent se dérouler comme prévu par la nature, tous les nutriments doivent donc être apportés à des doses appropriées et équilibrées.

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  52. Le magnésium et la vitamine K2 sont parmi les cofacteurs les plus importants. La moitié de tous les adultes aux États-Unis ne consomment pas suffisamment de magnésium, ce qui explique pourquoi les carences en ce minéral sont très courantes et affectent de nombreuses personnes, voire la plupart, en Amérique et en Europe. Selon la démographie, le taux de carence ou de carence en magnésium peut varier de 30% à 90%. (12,20) Il en va de même pour la vitamine K2. Jusqu'à 97 % des personnes âgées souffrent d'une carence ou d'une insuffisance en vitamine K2 [21], ce qui pose un autre problème majeur de santé publique.

    Fait intéressant, la carence en magnésium est une autre cause importante de dépression, et le traitement au magnésium s'est avéré efficace dans les ECR. Dans des études récentes, les symptômes de la dépression pourraient être considérablement réduits. [22,23] Ainsi, la sous-offre généralisée du cofacteur magnésium est probablement un autre facteur important dans les tendances suicidaires. Et la vitamine K2 est également susceptible d'être efficace dans la dépression. Dans un nouvel ECR, la supplémentation en K2 a considérablement atténué la dépression chez les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). [24]

    Le protocole avec les vitamines D et K2, le magnésium et les acides gras oméga-3 est utile comme base pour une excellente santé physique et mentale. Si tout le monde consommait ces nutriments en quantité suffisante, il y aurait probablement moins de cas de suicide et de dépression. La thérapie nutritionnelle / médecine orthomoléculaire sauve des vies. Les doses nécessaires dépendent des besoins individuels. Un thérapeute orthomoléculaire qualifié qui peut fournir des conseils médicaux peut aider à trouver les doses appropriées et également découvrir s'il existe des contre-indications individuelles. Si le taux sanguin de vitamine D est connu, ce calculateur de vitamine D gratuit peut être utilisé comme guide pour le dosage :https://www.grassrootshealth.net/project/dcalculator

    La supplémentation à long terme en vitamine D (5 000 à 10 000 UI/jour) est sans danger pour la plupart des adultes. [Cette dose porte le niveau d'un adulte typique à 40-60 ng/mL, ce qui renforce le système immunitaire du corps pour aider à prévenir les infections virales et les maladies auto-immunes, réduire le risque de cancer et réduire le risque de dépression pendant les mois d'hiver. Le magnésium est également nécessaire au métabolisme de la vitamine D, il est donc souvent utile de prendre les deux ensemble. [11,12] Le magnésium (300 à 500 mg/j sous forme de citrate, de malate, de gluconate ou de chlorure) et la vitamine K2 (100 mcg/j pour chaque 5 000 à 10 000 UI/j de D3) doivent être pris en même temps que la vitamine D . [11,12] Le magnésium doit être pris à plusieurs heures d'intervalle des médicaments pour la thyroïde et de certains antibiotiques.

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  53. Bien sûr, divers autres nutriments sont également importants dans la prévention et le traitement de la dépression. Par exemple, la niacine peut être utile pour promouvoir la santé mentale. [26,27] Les acides gras oméga-3 (noix, farine/huile de graines de lin et 300-600 mg/j de DHA et d'EPA) sont bénéfiques pour la santé, y compris la fonction cérébrale. [28-30] Les troubles alimentaires sont un important facteur de risque de suicide. [31]

    Les personnes aux prises avec des pensées suicidaires doivent noter que les thérapeutes travaillant dans ce domaine constatent souvent que la plupart de ceux qui ont tenté de se suicider et qui ont survécu sont contents de l'avoir fait ! Peu importe à quel point les choses peuvent sembler sombres ou désespérées à un moment donné, toute situation peut changer et s'améliorer. Il y a toujours de l'espoir, et tout le monde peut trouver une nouvelle perspective ou une raison de vivre. Et s'il vous plaît ne restez pas seul avec ces pensées et ces sentiments. Vous pouvez parler (anonymement) à des personnes ou à des thérapeutes qui veulent vraiment vous écouter, vous aider à résoudre les défis de la vie et à trouver de nouvelles perspectives. Vous pouvez toujours trouver une bonne personne attentionnée. Reste fort; le soleil vous reviendra.

    Crédits:

    1
    An S, Lim S, Kim HW, et al. (2023) Prévalence mondiale du suicide par latitude : une revue systématique et une méta-analyse. Asiatique J Psychiatre. 81:103454. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36634498
    2
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  54. 10
    Lavigne JE, Gibbons JB. (2023) L'association entre les taux sériques de vitamine D, la supplémentation et les tentatives de suicide et l'automutilation intentionnelle. PLoS One. 18:e0279166. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36724169
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  55. 20
    DiNicolantonio JJ, O'Keefe JH. (2021) Carence en magnésium et en vitamine D comme cause potentielle de dysfonctionnement immunitaire, de tempête de cytokines et de coagulation intravasculaire disséminée chez les patients covid-19. Mo Med. 118:68-73. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33551489
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    Tarleton EK, Littenberg B, MacLean CD, et al. (2017) Rôle de la supplémentation en magnésium dans le traitement de la dépression : un essai clinique randomisé. PLoS One 12:e0180067. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28654669
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    Grant WB (2021) Principaux articles sur la vitamine D en 2021 : avantages ignorés à un moment où ils sont le plus nécessaires. Service d'information sur la médecine orthomoléculaire http://orthomolecular.org/resources/omns/v18n02.shtml
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    Patrick RP, Ames BN (2015) La vitamine D et les acides gras oméga-3 contrôlent la synthèse et l'action de la sérotonine, partie 2 : pertinence pour le TDAH, le trouble bipolaire, la schizophrénie et le comportement impulsif. FASEB J. 29:2207-2222. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25713056

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  56. 30
    Mehdi S, Manohar K, Shariff A, et al. (2023) Supplémentation en acides gras oméga-3 dans le traitement de la dépression : une étude observationnelle. J Pers Med. 13:224. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36836458
    31
    Greenblatt JM (2011) Facteurs de risque nutritionnels du suicide. PsychologieAujourd'hui. https://www.psychologytoday.com/us/blog/the-breakthrough-depression-solution/201109/nutritional-risk-factors-suicide

    Max Langen a constaté que ses propres problèmes de santé étaient grandement atténués par la médecine orthomoléculaire. Il travaille actuellement sur un livre à ce sujet et envisage de devenir thérapeute.

    L'article a d'abord été publié sur Orthomolecular.org .

    https://tkp.at/2023/04/11/ernaehrungsbedingte-risikofaktoren-bei-selbstmord-wie-vitamin-d-helfen-kann/

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  57. Les États-Unis mettent fin à l'urgence du COVID-19 avec la signature du président


    11 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Comme chez nous, l'urgence Covid et les mesures associées ont été déclarées et administrées sur la base d'une loi aux États-Unis. C'est pourquoi il est abrogé par la loi. La loi HJRes. 7 pour mettre fin à l'état d'urgence est entré en vigueur hier, 10 avril 2023, avec la signature du Président.
    Cependant, l' interdiction d'entrée pour les touristes internationaux non vaccinés restera en vigueur jusqu'au 10 mai 2023 au moins.

    Cette abrogation est attendue depuis longtemps car elle aurait dû prendre fin en juin 2020. Au plus tard à ce moment-là, il était évident que cette épidémie était essentiellement une grippe et que les contre-mesures avaient de graves répercussions sur la société. Aux États-Unis, cependant, on aurait également pu savoir que la "pandémie" était prévue lors de l'événement 201 en octobre , basé sur un virus corona déjà connu à l'époque et appelé nCov-19 lors de l'événement.

    Il est facile de voir que les mesures ne protégeaient personne, mais qu'elles étaient extrêmement contre-productives lorsque l' on regarde US -Mortality comparant les États-Unis à la Suède , qui n'a pris presque aucune de ces contre-mesures de santé publique :

    - voir graph sur site -

    En ajustant les données en fonction de l'âge et de la taille de la population, on obtient un taux de mortalité standardisé selon l'âge (ASMR) de +266/100 000 pour les États-Unis et de +45/100 000 pour la Suède. Par rapport à 2019, cela signifie une augmentation de la surmortalité pandémique de +17,1% pour les USA et de +4,4% pour la Suède.

    - voir graph sur site -

    Cette différence est donc due à la différence des mesures. En d'autres termes, le virus était aussi dangereux ou pas dangereux que la grippe commune, mais les restrictions de traitement médical, les intubations, les confinements, les fermetures d'écoles et de magasins, l'obligation de porter un masque et la peur omniprésente ont provoqué une surmortalité importante.

    https://tkp.at/2023/04/11/usa-beendet-coivd-notfall-durch-unterschrift-des-praesidenten/

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  58. La protéine de pointe s'accumule dans le cerveau et provoque des infarctus, des saignements et une inflammation - Les vaccins à ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna provoquent de graves lésions neurologiques


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    11 avril 2023


    Un nouvel article allemand publié le 5 avril 2023 prouve que la protéine de pointe s'accumule dans le cerveau et provoque la mort des cellules cérébrales (ce qui expliquerait certainement une grande partie de ce que nous voyons autour de nous) .

    - voir pdf sur:

    https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2023.04.04.535604v1.full.pdf

    - voir photos sur site -

    Principales conclusions:

    « Nos résultats ont révélé l'accumulation de la protéine de pointe dans la moelle crânienne, les méninges cérébrales et le parenchyme cérébral. ”

    « L'injection de la protéine de pointe à elle seule a provoqué la mort cellulaire dans le cerveau, mettant en évidence un effet direct sur le tissu cérébral. ”

    « nous avons observé la présence de protéines de pointe dans le crâne des personnes décédées longtemps après leur infection au COVID-19, ce qui suggère que la persistance de la pointe peut contribuer à des symptômes neurologiques à long terme »

    Dommages aux protéines de pointe :

    De toutes les protéines virales COVID-19, seule la protéine de pointe a été détectée dans le parenchyme cérébral.

    » suggérant que la protéine de pointe pourrait avoir une longue durée de vie dans le corps . Cette notion est étayée par l'observation selon laquelle la protéine de pointe peut être détectée sur les cellules immunitaires des patients plus d'un an après l'infection - une préimpression récente suggère la persistance de la protéine de pointe dans les échantillons de plasma jusqu'à 12 mois après le diagnostic.

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  59. "l'injection de protéine de pointe a induit un large spectre de modifications du protéome dans la moelle crânienne, les méninges et le cerveau, y compris les protéines liées à la maladie des coronavirus, les cascades de complément et de coagulation, la dégranulation des neutrophiles, la formation de NET et la voie de signalisation PI3K-AKT, démontrant l'immunogénicité de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 en l'absence d'autres composants viraux ».

    Inflammation cérébrale

    "Notre analyse moléculaire suggère l'activation de la réponse immunitaire dans l'axe crâne-méninges-cerveau, potentiellement via le recrutement et l'augmentation de l'activité des neutrophiles similaire à ce qui a été rapporté dans les voies respiratoires"

    « dans la moelle osseuse … les protéines virales agissent comme un stimulus inflammatoire qui entraîne le développement d'une réponse immunitaire importante dans le cerveau »

    « Dans les méninges , une conséquence importante de l'état inflammatoire est une régulation à la hausse des protéines impliquées dans la dégranulation des neutrophiles »

    "Les protéines liées à la voie de la neurodégénérescence et aux dommages à la barrière hémato-encéphalique étaient les molécules dérégulées les plus importantes dans le cerveau."

    "la protéine de pointe virale conduit à l'activation de RHOA, qui déclenche la perturbation de la barrière hémato-encéphalique "

    Caillots sanguins, mini-AVC, saignements cérébraux

    « Le dérèglement des voies du complément et de la coagulation a été détecté à la fois dans la moelle crânienne et dans le cerveau . Cela pourrait expliquer la propension observée des patients COVID-19 à développer des mini-infarctus dans le parenchyme cérébral et notre observation d'un niveau accru de micro-saignements chez les patients COVID-19, contribuant potentiellement aux lésions cérébrales observées chez les patients COVID-19 dans les phases aiguës ou chroniques »

    Protéine de pointe et maladies neurologiques
    « Nous avons identifié plusieurs protéines candidates sans association antérieure avec le COVID-19, en particulier celles associées antérieurement à des maladies neurologiques… notamment, leur rôle a été associé à des troubles tels que la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer et la démence »

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  60. "Pour mieux cerner les conséquences des effets spécifiques aux protéines de pointe dans le tissu cérébral au-delà de la réponse inflammatoire aiguë... Nous avons identifié plusieurs protéines dérégulées associées à la neurodégénérescence "

    « altère considérablement la fonction mitochondriale … une source de stress oxydatif signalée dans… des symptômes à long terme tels que la fatigue chronique »

    Comment la protéine Spike pénètre dans le cerveau

    « Nos données peuvent également suggérer un mécanisme d'entrée du virus dans le système nerveux central. Dans les tissus humains de souris et de COVID-19, nous trouvons des protéines de pointe dans les SMC ( connexion crâne-méninges ), que le virus ou les composants du virus pourraient utiliser pour voyager de la moelle crânienne aux méninges et au parenchyme cérébral »

    "Le virus pourrait emprunter d'autres voies pour atteindre le cerveau d'une manière qui ne s'exclut pas mutuellement. Par exemple, le virus pourrait traverser le système vasculaire cérébral pour atteindre le parenchyme cérébral ou y être transporté par des cellules immunitaires (via des neutrophiles ou des cellules phagocytaires) »

    «L'invasion cérébrale de la protéine de pointe à libération de virus trouvée dans certains cas de COVID-19 a été liée à une barrière hémato-encéphalique compromise et à un trafic le long du nerf olfactif ou du nerf vague . Ici, nous suggérons un scénario alternatif dans lequel la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 atteint d'abord la moelle crânienne, puis les méninges avant de pénétrer dans le cerveau .

    " Les altérations induites par les pointes dans l'axe crâne-méninges-cerveau présentent des opportunités diagnostiques et thérapeutiques car le crâne et les méninges sont plus faciles d'accès que le parenchyme cérébral"

    Mes sous-piles sur la psychose après la vaccination COVID-19 :

    9 mars 2023 – Enfants blessés par les vaccins ARNm Pfizer ou Moderna COVID-19 – Hallucinations, automutilation, tentatives de suicide, incapacité permanente ( cliquez ici )

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  61. 8 mars 2023 - Psychose induite par le vaccin COVID-19 - 13 cas de psychose post-vaccinale, de manie et de tentatives de suicide qui vous choqueront…( cliquez ici )

    Ma prise…
    Il s'agit d'un document extrêmement important d'Allemagne (nous ne verrons jamais ce genre de recherche se faire au Canada).

    Cet article prouve que la protéine de pointe du vaccin ARNm du SRAS-CoV2 et du COVID-19 pénètre dans la moelle crânienne, les méninges et le parenchyme cérébral.

    La protéine de pointe perturbe la barrière hémato-encéphalique.

    La protéine de pointe provoque à elle seule la mort cellulaire dans le cerveau, elle active les voies du complément et de la coagulation qui conduisent à des caillots sanguins, des mini-infarctus et des saignements cérébraux, elle provoque une inflammation et des changements locaux associés à la neurodégénérescence (démence, Alzheimer, Parkinson).

    Je crois que les lésions neurologiques sont l'une des plus grandes catégories de lésions causées par le vaccin à ARNm COVID-19. Ces blessures sont extrêmement courantes et nous commençons seulement à voir les effets à long terme de l'accumulation de protéines de pointe dans le cerveau .

    Au-delà des accidents vasculaires cérébraux, des anévrismes et des hémorragies cérébrales, des problèmes de vision et audiovestibulaires, de toutes sortes de paralysies et de troubles du mouvement, je pense que parmi les ARNm COVID-19 vaccinés, nous verrons un énorme pic de troubles neurodégénératifs, de troubles de santé mentale et une risque accru de suicide.

    *

    Le Dr William Makis est un médecin canadien spécialisé en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursier de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.

    https://www.globalresearch.ca/spike-protein-accumulates-brain-causes-infarcts-bleeds-inflammation-pfizer-moderna-covid-19-mrna-vaccines-cause-severe-neurological-injuries/5815286

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  62. Le test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences des résultats faussement positifs


    Examen externe par les pairs
    Par Pieter Borger et et al.
    Recherche mondiale, 11 avril 2023


    Abstrait

    Dans la publication intitulée « Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR » (Eurosurveillance 25(8) 2020) les auteurs présentent un workflow de diagnostic et un protocole RT-qPCR pour la détection et le diagnostic du 2019-nCoV (maintenant connu sous le nom de SARS-CoV-2), qu'ils prétendent être validé, en plus d'être une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique.

    À la lumière de toutes les conséquences résultant de cette même publication pour les sociétés du monde entier, un groupe de chercheurs indépendants a effectué un examen point par point de la publication susmentionnée dans laquelle 1) tous les composants de la conception de test présentée ont été recoupés, 2) le Les recommandations du protocole RT-qPCR ont été évaluées par rapport aux bonnes pratiques de laboratoire et 3) les paramètres ont été examinés par rapport à la littérature scientifique pertinente couvrant le domaine.

    Le protocole RT-qPCR publié pour la détection et le diagnostic du 2019-nCoV et le manuscrit souffrent de nombreuses erreurs techniques et scientifiques, notamment une conception d'amorce insuffisante, un protocole RT-qPCR problématique et insuffisant et l'absence d'une validation précise du test. Ni le test présenté ni le manuscrit lui-même ne remplissent les conditions d'une publication scientifique acceptable. De plus, les conflits d'intérêts graves des auteurs ne sont pas mentionnés. Enfin, le délai très court entre la soumission et l'acceptation de la publication (24 heures) signifie qu'un processus systématique d'examen par les pairs n'a pas été effectué ici, ou de mauvaise qualité problématique. Nous fournissons des preuves irréfutables de plusieurs insuffisances, erreurs et failles scientifiques.

    Au vu des imperfections scientifiques et méthodologiques présentées ici, nous sommes convaincus que le comité de rédaction d'Eurosurveillance n'a d'autre choix que de retirer la publication.

    Rapport d'examen concis

    Cet article montrera de nombreuses failles graves dans l'article de Corman-Drosten, dont l'importance a conduit à un diagnostic erroné mondial d'infections attribuées au SRAS-CoV-2 et associées à la maladie COVID-19. Nous sommes confrontés à des confinements stricts qui ont détruit la vie et les moyens de subsistance de nombreuses personnes, à un accès limité à l'éducation et ces restrictions imposées par les gouvernements du monde entier constituent une attaque directe contre les droits fondamentaux des personnes et leurs libertés individuelles, entraînant des dommages collatéraux pour des économies entières sur un échelle globale.

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  63. Il y a dix problèmes fatals avec l'article de Corman-Drosten que nous décrirons et expliquerons plus en détail dans les sections suivantes.

    Le premier et principal problème est que le nouveau Coronavirus SARS-CoV-2 (dans la publication nommée 2019-nCoV et en février 2020 nommé SARS-CoV-2 par un consortium international d'experts en virus) est basé sur des séquences in silico (théoriques) , fourni par un laboratoire en Chine [1], car à l'époque ni le matériel de contrôle du SARS-CoV-2 infectieux (« vivant ») ou inactivé ni l'ARN génomique isolé du virus n'étaient à la disposition des auteurs. À ce jour, aucune validation n'a été effectuée par l'auteur sur la base de virus SARS-CoV-2 isolés ou d'ARN complet de ceux-ci. Selon Corman et al. :

    « Notre objectif était de développer et de déployer une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique sans disposer de matériel viral. » [1]

    L'accent doit être mis ici sur les deux objectifs déclarés : a) le développement et b) le déploiement d'un test de diagnostic à utiliser dans les laboratoires de santé publique . Ces objectifs ne sont pas réalisables sans disposer de matériel viral réel (par exemple pour la détermination de la charge virale infectieuse). Dans tous les cas, seul un protocole avec une précision maximale peut être l'objectif obligatoire et principal dans tout scénario-résultat de cette ampleur. La détermination de la charge virale critique est une information obligatoire, et il est de la responsabilité du groupe de Christian Drosten de réaliser ces expériences et de fournir les données cruciales.

    Néanmoins, ces séquences in silico ont été utilisées pour développer une méthodologie de test RT-PCR pour identifier le virus susmentionné. Ce modèle était basé sur l'hypothèse que le nouveau virus est très similaire au SRAS-CoV de 2003 car les deux sont des bêta-coronavirus.

    Le test PCR a donc été conçu en utilisant la séquence génomique du SARS-CoV comme matériel de contrôle du composant Sarbeco ; nous le savons grâce à notre communication personnelle par e-mail avec [2] l'un des co-auteurs de l'article de Corman-Drosten. Cette méthode pour modéliser le SRAS-CoV-2 a été décrite dans l'article Corman-Drosten comme suit :

    « la mise en place et la validation d'un flux de travail de diagnostic pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV, conçu en l'absence d'isolats de virus disponibles ou d'échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par la parenté génétique étroite avec le SRAS-CoV de 2003, et aidées par l'utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques.

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  64. La transcription inverse-amplification en chaîne par polymérase (RT-PCR) est une technologie biomoléculaire importante pour détecter rapidement des fragments d'ARN rares, qui sont connus à l'avance. Dans la première étape, les molécules d'ARN présentes dans l'échantillon sont rétrotranscrites pour donner de l'ADNc. L'ADNc est ensuite amplifié dans la réaction en chaîne par polymérase à l'aide d'une paire d'amorces spécifique et d'une enzyme ADN polymérase thermostable. La technologie est très sensible et sa limite de détection est théoriquement de 1 molécule d'ADNc. La spécificité de la PCR est fortement influencée par les erreurs de conception biomoléculaire.

    Qu'est-ce qui est important lors de la conception d'un test RT-PCR et du test RT-qPCR quantitatif décrit dans la publication Corman-Drosten ?

    Pour lire l'article complet cliquez ici

    Catalogue récapitulatif des erreurs trouvées dans le document

    L'article de Corman-Drosten contient les erreurs spécifiques suivantes :

    1. Il n'existe aucune raison spécifiée d'utiliser ces concentrations extrêmement élevées d'amorces dans ce protocole. Les concentrations décrites conduisent à une augmentation des liaisons non spécifiques et des amplifications de produits de PCR, rendant le test inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.

    2. Six positions bancales non spécifiées introduiront une énorme variabilité dans les implémentations réelles en laboratoire de ce test ; la description non spécifique déroutante dans l'article de Corman-Drosten ne convient pas comme protocole opérationnel standard, ce qui rend le test inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.

    3. Le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments viraux. Par conséquent, le test ne peut pas être utilisé comme diagnostic pour les virus intacts (infectieux), ce qui rend le test inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2 et faire des déductions sur la présence d'une infection.

    4. Une différence de 10°C par rapport à la température d'hybridation Tm pour la paire d'amorces1 (RdRp_SARSr_F et RdRp_SARSr_R) rend également le test inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.

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  65. 5. Une erreur grave est l'omission d'une valeur Ct à laquelle un échantillon est considéré comme positif et négatif. Cette valeur Ct ne se trouve pas non plus dans les soumissions de suivi, ce qui rend le test inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.

    6. Les produits PCR n'ont pas été validés au niveau moléculaire. Ce fait rend le protocole inutile comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.

    7. Le test PCR ne contient ni un contrôle positif unique pour évaluer sa spécificité pour le SARS-CoV-2 ni un contrôle négatif pour exclure la présence d'autres coronavirus, ce qui rend le test inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le SARS-CoV-2 virus.

    8. La conception du test dans l'article de Corman-Drosten est si vague et imparfaite qu'on peut aller dans des dizaines de directions différentes ; rien n'est standardisé et il n'y a pas de SOP. Cela remet fortement en question la validité scientifique du test et le rend inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.

    9. Très probablement, l'article de Corman-Drosten n'a pas été évalué par des pairs, ce qui rend le test inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.

    10. Nous constatons de graves conflits d'intérêts pour au moins quatre auteurs, en plus du fait que deux des auteurs de l'article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d'Eurosurveillance. Un conflit d'intérêts a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol ; Marco Kaiser est chercheur senior chez GenExpress et sert de conseiller scientifique pour TIB-Molbiol), qui n'était pas déclaré dans la version originale (et l'est toujours manquant dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été "la première" à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit Corman-Drosten, et selon leurs propres dires, ils ont distribué ces kits de test PCR avant la publication. même soumis [20] ; plus loin, Victor Corman & Christian Drosten a omis de mentionner leur deuxième affiliation : le laboratoire de test commercial « Labor Berlin ». Les deux sont responsables du diagnostic du virus là-bas [21] et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.

    À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le SARS-CoV-2 décrit dans l'article de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des erreurs inhérentes qui rendent le test PCR SARS-CoV-2 inutile.

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  66. Conclusion

    La décision quant aux protocoles de test qui sont publiés et largement diffusés est entièrement entre les mains d'Eurosurveillance. La décision de reconnaître les erreurs apparentes dans l'article de Corman-Drosten a l'avantage de minimiser considérablement le coût humain et la souffrance à l'avenir.

    N'est-il pas dans l'intérêt d'Eurosurveillance de retirer cet article ? Notre conclusion est claire. Face à tous les énormes défauts et erreurs de conception du protocole PCR décrits ici, nous concluons : il ne reste plus beaucoup de choix dans le cadre de l'intégrité et de la responsabilité scientifiques.

    Pour lire l'article complet cliquez ici

    *

    Auteurs

    1) Dr Pieter Borger (MSc, PhD), génétique moléculaire, associé de recherche W+W, Lörrach, Allemagne

    2) Rajesh Kumar Malhotra (alias d'artiste : Bobby Rajesh Malhotra ), ancien artiste 3D / visualisations scientifiques au CeMM - Centre de médecine moléculaire de l'Académie autrichienne des sciences (2019-2020), Université des arts appliqués - Département des arts numériques de Vienne, L'Autriche

    3) Dr Michael Yeadon BSs (Hons) Biochem Tox U Surrey, PhD Pharmacologie U Surrey. Directeur général, Yeadon Consulting Ltd, ancien scientifique en chef de Pfizer, Royaume-Uni

    4) Dr Clare Craig MA, (Cantab) BM, BCh (Oxon), FRCPath, Royaume-Uni

    5) Kevin McKernan , BS Emory University, directeur scientifique, fondateur de Medical Genomics, a conçu le pipeline de séquençage au WIBR/MIT pour le projet du génome humain, a inventé et développé le séquenceur SOLiD, a accordé des brevets liés à la PCR, à l'isolement et au séquençage de l'ADN, États-Unis

    6) Prof. Dr. Klaus Steger , Département d'urologie, urologie pédiatrique et andrologie, andrologie moléculaire, Centre de recherche biomédicale de l'Université Justus Liebig, Giessen, Allemagne

    7) Dr Paul McSheehy (BSc, PhD), biochimiste et pharmacologue industriel, Loerrach, Allemagne

    8) Dr Lidiya Angelova , MSc en biologie, PhD en microbiologie, ancienne chercheuse au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), Maryland, USA

    9) Dr. Fabio Franchi , ancien Dirigente Medico (MD) dans un service de maladies infectieuses, spécialisé dans les « Maladies infectieuses » et « Hygiène et médecine préventive », Società Scientifica per il Principio di Precauzione (SSPP), Italie

    10) Dr méd. Thomas Binder , Interniste et Cardiologue (FMH), Suisse

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  67. 11) Prof. Dr méd. Henrik Ullrich , spécialiste en radiologie diagnostique, médecin-chef du centre de radiologie du Collm Oschatz-Hospital, Allemagne

    12) Prof. Dr. Makoto Ohashi , Professeur émérite, PhD en Microbiologie et Immunologie, Université de Tokushima, Japon

    13) Dr Stefano Scoglio , B.Sc. Ph.D., Microbiologiste, Nutritionniste, Italie

    14) Dr Marjolein Doesburg-van Kleffens (MSc, PhD), spécialiste en médecine de laboratoire (chimie clinique), Maasziekenhuis Pantein, Beugen, Pays-Bas

    15) Dre Dorothea Gilbert (MSc, PhD), PhD Chimie environnementale et toxicologie. DGI Consulting Services, Oslo, Norvège

    16) Dr Rainer J. Klement , PhD. Département de radio-oncologie, hôpital Leopoldina de Schweinfurt, Allemagne

    17) Dr. Ruth Schruefer , PhD, génétique humaine/immunologie, Munich, Allemagne,

    18) Dr. Berber W. Pieksma , médecin généraliste, Pays-Bas

    19) Dr méd. Jan Bonte (GJ), neurologue consultant, Pays-Bas

    20) Dr Bruno H. Dalle Carbonare (biologiste moléculaire), spécialiste de la propriété intellectuelle, BDC Bâle, Suisse

    21) Dr Kevin P. Corbett , MSc Nursing (Kings College London) PhD (London South Bank) Sciences sociales (Science & Technology Studies) Londres, Angleterre, Royaume-Uni

    22) Prof. Dr. Ulrike Kämmerer , spécialiste en virologie/immunologie/biologie humaine/biologie cellulaire, hôpital universitaire de Würzburg, Allemagne

    Remarques

    [1] Corman Victor M, Landt Olfert, Kaiser Marco, Molenkamp Richard, Meijer Adam, Chu Daniel KW, Bleicker Tobias, Brünink Sebastian, Schneider Julia, Schmidt Marie Luisa, Mulders Daphne GJC, Haagmans Bart L, van der Veer Bas, van den Brink Sharon, Wijsman Lisa, Goderski Gabriel, Romette Jean-Louis, Ellis Joanna, Zambon Maria, Peiris Malik, Goossens Herman, Reusken Chantal, Koopmans Marion PG, Drosten Christian. Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel. Euro Surveillance. 2020;25(3):pii=2000045. https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045

    [2] Communication par e-mail entre le Dr Peter Borger et le Dr Adam Meijer : matériel supplémentaire

    [3] Jafaar et al., Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne par polymérase quantitative et cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère. https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciaa1491/5912603

    [4] BBC, 21 janvier 2020 : https://www.bbc.com/news/world-asia-china-51185836 ;
    Archives : https://archive.is/0qRmZ

    [5] Google Analytics – COVID19-décès dans le monde : https://bit.ly/3fndemJ
    Archive : https://archive.is/PpqEE

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  68. [6] Tests en laboratoire pour le Centre technique d'intervention d'urgence COVID-19, NIVD sous
    le CDC chinois 15 mars 2020 : http://www.chinacdc.cn/en/COVID19/202003/P020200323390321297894.pdf

    [7] Manuel de PCR en temps réel Life Technologies : https://www.thermofisher.com/content/dam/LifeTech/global/Forms/PDF/real-time-pcr-handbook.pdf

    Nolan T, Huggett J, Sanchez E. Guide de bonnes pratiques pour l'application de la PCR quantitative (qPCR) Première édition 2013

    [8] Trestan Pillonel et al, Lettre à l'éditeur : détection du SARS-CoV-2 par RT-PCR en temps réel : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7268274/

    [9] Kurkela, Satu et David WG Brown. "Techniques de diagnostic moléculaire." Médecine 38.10
    (2009) : 535-540.

    [10] Wolfel et al., Évaluation virologique des patients hospitalisés atteints de COVID-2019
    https://www.nature.com/articles/s41586-020-2196-x

    [11] Outil Web Thermofischer Primer Dimer : https://www.thermofisher.com/us/en/home/brands/thermo-scientific/molecular-biology/molecular-biology-learning-center/molecular-biology-resource-library /thermo-scientific-web-tools/multiple-primer-analyzer.html

    Matériel complémentaire

    [12] Primer-BLAST, NCBI - Centre national d'information sur la biotechnologie : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/tools/primer-blast/

    [13] Marra MA, Steven JMJ, Caroline RA, Robert AH, Angela BW et al. (2003) Sciences. La
    séquence du génome du coronavirus associé au SRAS. Sciences 300(5624): 1399-1404.

    [14] Isolat du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Wuhan-Hu-1,
    génome complet : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947

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  69. [15] Borger P. Un coronavirus de type SRAS était attendu mais rien n'a été fait pour s'y préparer. Am J Biomed Sci Res 2020. https://biomedgrid.com/pdf/AJBSR.MS.ID.001312.pdf
    https://www.researchgate.net/publication/341120750_A_SARS-like_Coronavirus_was_Expected_but_nothing_was_done_to_be_Prepared
    ;
    Archives : https://archive.is/i76Hu

    [16] Processus d'évaluation/de révision des documents d'Eurosurveillance : https://www.eurosurveillance.org/evaluation

    [17] Recommandation officielle du protocole Corman-Drosten et manuscrit de l'OMS, publiée le 13 janvier 2020 en tant que version 1.0 du document :
    https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/wuhan-virus -essai-
    v1991527e5122341d99287a1b17c111902.pdf ; archives : https://bit.ly/3m3jXVH

    [18] Recommandation officielle de l'OMS pour le protocole Corman / Drosten RT-qPCR, qui
    découle directement de la publication Eurosurveillance, document-version 2-1, publiée le
    17 janvier 2020 : https://www.who.int/ docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf
    ?sfvrsn=a9ef618c_2

    [19] Comité éditorial d'Eurosurveillance, 2020 : https://www.eurosurveillance.org/upload/site-assets/imgs/2020-09-Editorial%20Board%20PDF.pdf
    ;
    Archives : https://bit.ly/2TqXBjX

    [20] Mode d'emploi LightMix SarbecoV E-gene plus EAV Control, TIB-Molbiol & Roche
    Molecular Solutions, 11 janvier 2020 : https://www.roche-as.es/lm_pdf/MDx_40-0776_96_Sarbeco-E-gene_V200204_09164154001
    (1 ).pdf
    Archive, horodatage – 11 janvier 2020 : https://archive.is/Vulo5 ;
    Archives : https://bit.ly/3fm9bXH

    [21] Christian Drosten & Victor Corman, responsable du diagnostic viral au Labour Berlin :
    https://www.laborberlin.com/fachbereiche/virologie/
    Archive : https://archive.is/CDEUG

    [22] Tom Jefferson, Elizabeth Spencer, Jon Brassey, Carl Heneghan Cultures virales pour
    l'évaluation de l'infectiosité du COVID-19. Revue systématique. Examen systématique doi :
    https://doi.org/10.1101/2020.08.04.20167932 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.08.04.20167932v4

    [23] Kim et al., L'architecture du transcriptome du SRAS-CoV-2 :
    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867420304062

    [24] Réponse de l'ECDC au Dr Peter Borger, 18 novembre 2020 :
    Documents supplémentaires

    [25] Prof. Dr. Ulrike Kämmerer & team, survey & Primer-BLAST table:
    Supplementary Material

    https://www.globalresearch.ca/external-peer-review-rt-pcr-test-detect-sars-cov-2-reveals-10-major-scientific-flaws-molecular-methodological-level-consequences-false-positive-results/5730889

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  70. La pandémie de Covid : la peur est le nom du jeu – L'approche juridique


    Par Reiner Fuellmich
    Recherche mondiale,
    11 avril 2023


    Le droit n'est pas difficile, sauf si vous allez à l'école de droit en Allemagne, où vous n'apprenez rien sur la vraie vie et tout sur la doctrine juridique théorique la plus compliquée dans les cours les plus ennuyeux que vous ayez jamais vus.

    Cependant, chaque affaire judiciaire commence toujours par les faits, qui constituent l'histoire. Si vous ne comprenez pas les faits, votre analyse juridique est inutile ou, dans le pire des cas, vous mettez le mauvais homme dans le couloir de la mort. Dans notre cas, je suggérerais l'approche suivante pour raconter l'histoire :

    1. Nous devons commencer par exposer la pandémie de Covid (pas le réchauffement climatique ou les francs-maçons - ou pire, cela vient plus tard) en trois étapes :

    Il n'y a jamais eu de nouveau virus Corona , seulement les quatre virus Corona endémiques qui sont endémiques depuis, si je me souviens bien, les années 1960. C'est pourquoi ils (M. Global) ont choisi ce virus pour déployer la plandémie : il était partout de toute façon (dans la plupart des grippes et des rhumes, par exemple), et si vous réglez le test PCR pour ce virus uniquement, plus abusez-en grossièrement (45 cycles d'amplification), vous êtes presque assuré de le trouver un peu partout. Ajoutez à cela des photos et des clips vidéo de camions militaires à Bergame, en Italie, dans des rues jonchées de cercueils (probablement pour la plupart vides) et de tentes d'hôpital blanches devant les hôpitaux de Newy York, ainsi que les msm et les politiciens qui crient : nous allons tous mourir, à moins que un vaccin est trouvé, vous avez le début de la pandémie.

    Nous savons maintenant, bien sûr, que jusqu'au début de la campagne de "vaccination", il n'y a eu aucun excès de décès nulle part. Les pics à New York et à Bergame étaient le résultat de la panique et d'une grossière faute médicale : 94 % des personnes qui seraient mortes de Covid dans les deux villes, sont mortes de causes complètement différentes. À Bergame, les patients des maisons de retraite avaient été vaccinés peu de temps avant l'arrivée de la «pandémie» (j'oublie si c'était les vaccins contre la grippe ou autre chose), affaiblissant davantage leur système immunitaire déjà affaibli, puis ils ont transféré des personnes qui souffraient probablement de la grippe aux Ehpad pour faire de la place à toutes ces pauvres victimes de la pandémie.

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  71. Dans les maisons de retraite, la grippe a tué de nombreux patients dont le système immunitaire avait été délibérément affaibli. Histoire similaire à Newy York : Beaucoup ont fui vers les hôpitaux dans la panique qui seraient autrement (sans la panique) restés à la maison, ou même au lit pour récupérer.

    Là, certains ont contracté des infections nosocomiales, d'autres sont morts du "protocole Fauci" qui ordonnait aux médecins d'utiliser le remdesivir et de mettre les gens sous respirateur. En bout de ligne, cependant : aucune surmortalité jusqu'au début de la campagne de « vaccination » où que ce soit, juste de la panique.

    Même alors, l'OMS et le professeur John Ioannidis de l'université de Stanford ont découvert que le taux de mortalité par infection de ce prétendu nouveau virus Corona se situait entre 0,14 et 0,15 % ; avec le recul, cependant, selon une méta-étude plus récente, ce virus plandémique - tout comme son précurseur, la grippe porcine en 2009 (voir la vidéo "profiteurs de la peur" sur youtube) - s'est avéré n'être pas plus dangereux qu'une grippe bénigne . Certaines personnes ont ressenti une perte d'odorat et de goût, ou ont estimé que cela était quelque peu différent d'une grippe ordinaire. Mais la perte d'odorat et de goût se produit également avec la grippe, et tout ce qui a rendu cette sensation différente (les chemtrails ?, par exemple, peut avoir ajouté à cela) :

    Il n'y a pas eu de surmortalité jusqu'au début de la campagne de « vaccination ». Le plus : Il y a toujours eu des méthodes alternatives de traitement disponibles qui ont toujours fonctionné pour la grippe : Vitamine C, D, zinc, hydroxychloroquine, ivermectine, etc. Mais Fauci et al ont ordonné de ne pas les utiliser, ce qui se traduit par un refus délibéré de – efficace ! -traitement, dans le seul but de leur faire prendre le "vaccin", car la définition de l'immunité collective a tout d'un coup exclu l'immunité naturelle dont la protection aurait dû occuper le devant de la scène.

    Ajoutez à cela : les politiciens qui essayaient de nous faire croire que la panique était de mise ont continué à faire la fête et à voler dans des avions sans masque. Auraient-ils fait cela s'il y avait eu un nouveau virus Corona dangereux ? La grippe a soudainement complètement disparu lorsque Covid a frappé.

    Les médecins semblent avoir oublié les diagnostics différentiels (que même le CDC conseillait afin de découvrir ce qui a réellement causé les symptômes ) et depuis quand existe-t-il des « infections asymptomatiques » ? M. Global a un contrôle total sur le msm, alors comment se fait-il que la lutte contre les expériences de « gain de fonction » soit entrée dans le débat général ? Se pourrait-il que cela aussi ait été conçu pour faire croire aux gens que nous avions affaire à un virus très dangereux ("il vient d'un laboratoire, et là, ils travaillent à rendre les virus plus dangereux").

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  72. Quoi qu'il en soit : le test PCR n'a jamais été approuvé à des fins de diagnostic, et il ne peut rien nous dire sur les infections, comme l'a répété à maintes reprises son créateur, la lauréate du prix Nobel Kary Mullis, quelle que soit la manière dont il est appliqué.

    Entre autres problèmes : il ne peut pas faire la distinction entre la matière « morte » et « vivante », et il ne trouve jamais un virus entier, ce qui est nécessaire pour une infection, car tout ce qui est prélevé dans la gorge ou le nez est détruit ou écrasé avant d'entrer dans la machine.

    Le coup de foudre, bien sûr, c'est que le désormais infâme idiot Drosten de l'hôpital de la Charité à Berlin (à la demande de l'OMS totalement corrompue qui a ensuite recommandé son test comme l'étalon-or pour la détection des infections au monde entier) a mis son testez à 45 cycles d'amplification quand l'utilité du test se termine à 24 cycles, et vous vous retrouvez avec plus de 90% de faux positifs à 35.

    Les experts qui en ont témoigné sont – entre autres – le Dr Mike Yeadon, le Dr Jay Couey, le Dr Sona Pekova (PCR) et le Dr Astrid Stuckelberger et le Dr Silvia Behrend (qui ont travaillé pour et/ou conseillé l'OMS et avoir des connaissances privilégiées sur les "cas" ont été créés à l'aide du test PCR mal utilisé, afin que l'OMS déclare l'urgence de santé publique (librement inventée par eux) de portée internationale, qui serait alors la base sur laquelle ils ( l'OMS sans aucune autorisation démocratique) prétendent que l'utilisation de nouveaux médicaments non testés était possible.

    Ce à quoi cela - la création délibérée et préméditée de la plandémie - s'ajoute, bien sûr : l'intention.

    Voici une brillante présentation du biologiste Dr Jay Couey de Pittsburgh qui explique la plupart de cela scientifiquement.

    Experts : Dr Mike Yeadon, Dr Jay Couey, Dr Sona Pekova et bien d'autres

    Les "vaccins" étaient déjà connus de Biontech/Pfizer comme hautement dangereux et potentiellement mortels (myocardite, péricardite, coagulation du sang) lorsqu'ils ont déposé une demande de brevet en novembre 2019 (!) . Cette brillante présentation du chercheur biochimiste italien, le Dr Gabriele Segalla, le prouve sans l'ombre d'un doute :

    LE VACCIN DE PANDORA d' Exterius sur Vimeo .

    Experts : Par exemple Dr. Gabriele Segalla, Dr. Hedley Reese, Prof. Werner Bergholz et bien d'autres.

    Cela montre l'intention des « fabricants de vaccins » de causer des dommages mortels.

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  73. Alors pourquoi cela n'a-t-il pas été détecté lorsque ce cocktail toxique a traversé les essais médicaux, pourquoi a-t-il été approuvé par les autorités sanitaires aux États-Unis, en Europe et partout ailleurs ?Parce qu'aucune étude n'a été menée du tout, parce que les autorités sanitaires ont depuis longtemps été capturées par ces oligarques derrière l'industrie pharmaceutique, et parce que, comme l'a montré l'affaire Brooke Jackson contre Pfizer : le gouvernement n'est pas « notre », mais « leur ». » gouvernement, il en va de même pour « nos » agences. Le pouvoir qui était vraiment aux commandes était le DoD (tout comme l'armée était - de manière cruciale - impliquée là-dedans en Allemagne, et probablement partout ailleurs aussi) : les "procès" où, comme RFK, jr l'a dit dans une excellente interview avec Sasha Latypova : Théâtre Kabuki ; ils ont juste fait semblant de faire ces essais pour faire croire aux gens qu'ils avaient été testés et qu'ils étaient « sûrs et efficaces ». En réalité, c'est (pas le virus) l'arme biologique que le DoD a utilisée contre son propre peuple, la population américaine – mais aussi contre tous les autres. Ceexcellente interview en podcast de Robert F Kennedy, jr avec Sasha Latypova le montre sans l'ombre d'un doute.
    Experts : Dr Sasha Latypova, Brooke Jackson, Katharine Watt et bien d'autres.

    Cela montre l'intention de la part du "gouvernement" et de ses agences, et : cela mène directement à la deuxième partie de l'"affaire" = l'histoire à exposer devant un tribunal : sdrn, seul un spectacle a été fait, et en vérité le DoD = l'État profond voulait utiliser des armes biologiques pour son propre peuple, car en vérité ce n'est pas son propre peuple, ni son propre gouvernement, sdrn l'État profond mondial, qui s'en prend à toute l'humanité et se déguise en "propre" gouvernement et "propres" autorités avec Katherine Watt u Sasha Latypova

    2) Qui est derrière tout ça et quel est le but de tout ça ?

    Cela pourrait être traité ensuite : Le fond eugénique, les francs-maçons, le Vatican, la Maison de Windsor, la société eugéniste britannique fondée en 1906, la société américaine d'eugénisme fondée en 1926, l'ONU et l'UNESCO, l'OMS, le WEF (création de la CIA, en 1971), Programme Young Global Leaders (1992, parmi les premiers diplômés : Angela Merkel, Bill Gates, plus tard Tony Blair, Jose Aznar, etc., maintenant : Jacinda Ardern, Ursula von der Leyen (présidente de l'UE, une autre création de la CIA selon moi ), Sebastian Kurz d'Autriche, et bien sûr, Justin Trudeau). Tout cet argent (volé à nous, le peuple) versé dans les msm (leurs outils de propagande les plus importants) et la politique par ceux qui tirent les ficelles (M. Global) de leurs marionnettes, les personnes et entités susmentionnées.

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  74. Objectif ultime : le contrôle de la population par le biais de la réduction de la population plus (pour ceux qui survivent) la mise en place d'un gouvernement mondial unique sous l'ONU complètement corrompue et une monnaie numérique mondiale, émise par leur banque, bien sûr. Pour nous faire accepter cela, un mode panique permanent est nécessaire à leurs yeux, donc ces outils sortis de leur boîte à outils sont utiles : réchauffement climatique/changement climatique, pénuries alimentaires, pénuries d'énergie, guerre en Ukraine, peut-être guerre en Asie du sud est. Selon leur plan SPARS (de 2017, Johns Hopkins), tous ces politiciens qui commencent à s'excuser ou même à démissionner, et même le gouvernement suisse abandonne maintenant les "vaccins" et menace de tenir tout médecin responsable s'il continue avec ça , n'est qu'une partie de l'ordre du jour, peut-être un "lieu de rencontre limité", car ils sont maintenant sous beaucoup plus de pression que prévu ;
    À ce stade, nous avons affaire à un génocide.

    La spiritualité devra également être abordée, car cette dimension apparaît comme cruciale (pas tant la religion, car les églises aussi semblent s'être infiltrées : Où en sont-elles ces 3 dernières années ? Et : Regardez le pape et le Dalaï Lama poussant les "vaccins",
    Nous devrons organiser cette deuxième partie, mais cela pourra être fait lorsque nous verrons comment la première partie fonctionne. Nous l'avons fait auparavant, dans notre modèle d'enquête du grand jury. Voir ceci .

    Et nous sommes toujours en contact avec ces experts, dont beaucoup sont devenus des amis.

    Ce qui nous manquait, c'était un système judiciaire indépendant qui nous accorderait une audience équitable, entendrait nos témoins et examinerait nos preuves documentaires. Cela a changé, et maintenant nous sommes prêts pour la vraie chose.

    https://www.globalresearch.ca/fear-name-game-legal-approach/5815323

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  75. Inflammation multiorganique massive mortelle chez un adolescent après un rappel COVID-19
    Les informations de l'étude sur l'autopsie aident à expliquer des milliers de décès inattendus dus à des "causes inconnues"


    Par le Dr Peter McCullough
    Recherche mondiale,
    10 avril 2023


    L'une des questions les plus épineuses dans l'épidémiologie de la mort du vaccin COVID-19 est : pourquoi certaines personnes vont bien et d'autres développent des syndromes mortels fulminants ? Cela conduit à la question logique suivante : qui est le prochain à mourir après la vaccination contre le COVID-19 ? C'est une question que les parents d'une jeune fille japonaise de 14 ans auraient souhaité poser avant qu'elle ne retrousse sa manche pour son troisième vaccin BNT1262b2 ARNm COVID-19/Pfizer (Comirnaty®) qui n'était ni médicalement nécessaire ni cliniquement indiqué. Dans d'autres pays, il ne serait pas proposé et même l'OMS affirme que les enfants en bonne santé n'ont pas besoin de risquer la vaccination contre le COVID-19.

    Le cas a été publié par Nushida et al qui explique que l'adolescent était en bonne santé et qu'il avait peut-être eu des POTS dès les deux premiers coups. Pour chacun des deux premiers clichés, elle s'est sentie malade et a manqué l'école - c'était un conseil que les parents auraient dû noter. Après le troisième coup, sa sœur a remarqué qu'elle avait du mal à respirer et le lendemain, elle est décédée. Les enquêteurs ont effectué une analyse détaillée pour exclure une infection par le SRAS-CoV-2.

    Nushida H, Ito A, Kurata H, Umemoto H, Tokunaga I, Iseki H, Nishimura A. Un cas d'inflammation mortelle de plusieurs organes après la vaccination contre la COVID-19. Leg Med (Tokyo). 2023 mars 20;63:102244. doi : 10.1016/j.legalmed.2023.102244. Epub avant impression. PMID : 36990036 ; PMCID : PMC10027302.

    Ils ont trouvé une inflammation massive dans pratiquement tous les organes examinés, compatible avec un trouble inflammatoire multisystémique. À chaque tir successif, son corps semblait être progressivement amorcé pour réagir plus vigoureusement à la protéine Spike produite par l'ARNm Pfizer de longue durée. Parce que cela ne peut pas être prédit à l'avance, chaque parent doit comprendre que leur enfant pourrait être le prochain à avoir une réaction fatale.

    *

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  76. Sources

    Les vaccins COVID ne sont pas nécessaires pour les enfants et les adolescents en bonne santé, déclare l'Organisation mondiale de la santé, 29 mars 2023

    Nushida H, Ito A, Kurata H, Umemoto H, Tokunaga I, Iseki H, Nishimura A. Un cas d'inflammation mortelle de plusieurs organes après la vaccination contre la COVID-19. Leg Med (Tokyo). 2023 mars 20;63:102244. doi : 10.1016/j.legalmed.2023.102244. Epub avant impression. PMID : 36990036 ; PMCID : PMC10027302.

    https://www.globalresearch.ca/fatal-massive-multiorgan-inflammation-teenager-after-covid-19-booster/5815304

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  77. Depuis combien de temps consommez-vous du porc avec thérapie génique ?


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    11 avril 2023


    Au cours des deux dernières années, j'ai recommandé de ne pas manger de porc en raison de sa teneur élevée en acide linoléique (LA), mais il y a une raison encore plus importante de l'éviter maintenant. Depuis 2018, les éleveurs de porcs utilisent des « vaccins » personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux

    Le tout premier vaccin pour bétail à base d'ARN, une injection d'ARN contre la grippe porcine (H3N2) sous licence en 2012, a été développé par Harrisvaccines. La société a suivi avec une injection d'ARNm de la grippe aviaire en 2015. Harrisvaccines a été acquis par Merck Animal Health plus tard cette année-là.

    CureVac a développé un vaccin contre la rage à base d'ARNm pour les porcs en 2016

    La plateforme de vaccins porcins Sequiivity, introduite en 2018, a été développée par Merck en partenariat avec Moderna. Sequiivity peut produire des « vaccins » personnalisés à l'infini, dont aucun ne subit de test de sécurité

    Les Américains mangent du porc traité par thérapie génique depuis près de cinq ans déjà, et une part encore plus grande de notre approvisionnement en viande est sur le point de recevoir le même traitement. Des injections de nanoparticules d'ARNm-lipides pour la grippe aviaire sont en cours, tout comme des injections d'ARNm pour les vaches. Les lobbyistes de la Cattlemen's Association ont récemment confirmé leur intention d'utiliser des «vaccins» à ARNm chez les bovins, ce qui pourrait affecter à la fois les produits laitiers et les bovins

    Le projet de loi Missouri House 1169 exigerait l'étiquetage des produits qui peuvent altérer vos gènes. Cela obligerait également les entreprises à partager des informations sur la transmissibilité potentielle des interventions de modification génétique et affirme qu'un consentement pleinement éclairé doit être donné pour tous les vaccins, thérapies géniques et interventions médicales.

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  78. Au cours des deux dernières années, j'ai recommandé de ne pas manger de porc en raison de sa teneur élevée en acide linoléique (LA), mais il y a une raison encore plus importante de l'éviter maintenant. Depuis 2018, 1 producteurs de porc utilisent des « vaccins » personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux, et cela est complètement passé sous le radar. Je viens moi-même de le découvrir. Comme décrit sur le site Web de santé animale de Merck : 2

    « Plateforme révolutionnaire de vaccins porcins, SEQUIVITY exploite la technologie des particules d'ARN pour créer des vaccins sur ordonnance personnalisés contre les souches du virus de la grippe A chez le porc, le circovirus porcin (PCV), le rotavirus et au-delà. Il est soutenu par un tableau de bord sophistiqué rempli de données et d'informations complètes…

    Sequiivity est une plate-forme de vaccins porcins personnalisés… Sequiivity ne cible que les séquences de gènes pathogènes porcins d'intérêt. Ne se réplique pas ou ne provoque pas de maladie, fournissant des informations sur les agents pathogènes au système immunitaire… Il n'est pas nécessaire de transférer ou de manipuler du matériel vivant comme des vaccins vivants autogènes, tués ou modifiés…

    Cible les agents pathogènes porcins existants et en évolution, y compris les maladies non couvertes par les vaccins porcins conventionnels. Permet la création de formulations multivalentes en mélangeant des particules d'ARN pour cibler plusieurs agents pathogènes porcins en une seule fois.

    Premier « vaccin » à ARN pour le bétail autorisé en 2012

    Cependant, Merck n'était pas le seul à développer des injections d'ARNm vétérinaires. Ils n'étaient même pas les premiers sur la scène, bien qu'ils aient acquis plus tard l'entreprise qui a tout lancé.

    Le tout premier vaccin pour bétail à base d'ARN, une injection d'ARN contre la grippe porcine (H3N2), a été homologué il y a plus de dix ans en 2012 et a été développé par Harrisvaccines. 3 , 4 La société a effectué un suivi avec une injection d'ARNm de la grippe aviaire en 2015. 5 Harrisvaccines a été acquis par Merck Animal Health plus tard cette année-là. 6 , 7

    CureVac a développé un vaccin contre la rage à base d'ARNm pour les porcs en 2016. 8 (En passant, ils ont commencé à mener des essais de vaccin contre la rage humaine en 2020 en réponse à l'objectif de l'Organisation mondiale de la santé d'atteindre « zéro décès humain dû à la rage d'ici 2030 ». 9 )

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  79. En 2016, Bayer s'est également associé à BioNTech pour développer des « vaccins » à ARNm pour le bétail et les animaux de compagnie, 10 , 11 mais il ne semble pas qu'ils aient jamais lancé quoi que ce soit. Ainsi, rétrospectivement, il semble que les Américains aient mangé du porc traité par thérapie génique au cours des cinq dernières années, et encore plus de notre approvisionnement en viande est sur le point d'être contaminé par le même traitement.

    En plus de l'injection d'ARN de la grippe aviaire pour les poulets autorisée en 2015, de nouvelles injections de nanoparticules d'ARNm et de lipides pour la grippe aviaire sont également en préparation. 12 L'Iowa State University travaille également sur une injection d'ARNm pour les vaches, et les lobbyistes de la Cattlemen's Association ont récemment confirmé leur intention d'utiliser des «vaccins» d'ARNm chez les bovins, 13 , 14 qui pourraient affecter à la fois les produits laitiers et les bovins.

    Merck et Moderna : Partenaires dans la course Jab ARNm depuis 2015

    La même année, Merck a acheté Harrisvaccines (2015), il a également conclu un partenariat avec Moderna pour développer un certain nombre de "vaccins" à ARNm non divulgués. Il devait s'agir d'une collaboration de trois ans, avec une prolongation facultative d'un an, au cours de laquelle Merck effectuerait la recherche et le développement et la commercialisation de cinq produits potentiels utilisant la technologie d'ARNm de Moderna. Tel que rapporté par Genetic Engineering & Biotechnology News à l'époque : 15

    « Moderna a accepté de concevoir et de synthétiser les produits candidats d'ARNm dirigés contre des cibles sélectionnées via sa plateforme mRNA Therapeutics™.

    La plate-forme s'appuie sur la découverte que l'ARNm modifié peut diriger la machinerie cellulaire du corps pour produire presque toutes les protéines d'intérêt - allant des protéines natives aux anticorps et autres constructions protéiques entièrement nouvelles avec une activité thérapeutique à l'intérieur et à l'extérieur des cellules.

    Personnalisation sans fin, zéro test de sécurité
    Sequiivity, introduit en 2018, était l'un des produits issus de ce partenariat. Comme l'explique Merck (à la fois sur son site Web et dans la vidéo ci-dessus), Sequiivity n'est pas tant un vaccin unique qu'une plate-forme qui peut être personnalisée à l'infini - le tout sans analyses de sécurité supplémentaires au-delà des tests initiaux ridiculement inadéquats. Comme le note Zoetis, le plus grand producteur de médicaments et de vaccins vétérinaires : 16

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  80. "Sequiivity a des études d'innocuité et d'efficacité basées sur la plate-forme avec un isolat initial historique, probablement pas l'isolat que les clients demanderaient dans leur produit."

    La séquelle est personnalisée comme suit : 17

    L'agent pathogène est collecté et envoyé à un laboratoire de diagnostic.
    Le gène d'intérêt est séquencé et envoyé par voie électronique aux analystes de Sequivity.
    Une version synthétique du gène d'intérêt est synthétisée et insérée dans la plateforme de production d'ARN.
    Les particules d'ARN libérées par les cellules de production incubées sont récoltées et formulées dans un "vaccin" personnalisé.
    Grâce à cette plateforme, un « vaccin » personnalisé peut être créé en aussi peu que huit semaines. Maintenant, qu'est-ce qui pourrait mal tourner en ne testant pas chaque nouveau tir pour la sécurité ?

    À mon avis, il existe un certain nombre de risques pour la sécurité, car chaque agent pathogène a des effets distincts, et tromper le corps de l'animal pour qu'il produise cet agent pathogène (ou une partie pathogène de cet agent pathogène, comme cela a été le cas avec le SRAS-CoV-2) peut avoir des effets extrêmement inattendus. Effets secondaires.

    Nous l'avons clairement vu avec la protéine de pointe SARS-CoV-2 chez l'homme. La propre documentation de Pfizer répertorie 158 000 effets secondaires enregistrés, et bon nombre de ces maladies et affections n'ont jamais été signalées auparavant en réponse à un vaccin.

    J'ai passé en revue ces preuves dans " Des documents Pfizer récemment publiés révèlent les dangers du COVID Jab " et " CDC Aware of Hundreds of Safety Signals for COVID Jab ". Pourtant, malgré les risques évidents, la Food and Drug Administration des États-Unis est allée de l'avant et a autorisé la publication annuelle de vaccins COVID mis à jour sans tests de sécurité supplémentaires , et apparemment, les tests de sécurité des vaccins d'ARNm utilisés chez les animaux ont été abandonnés il y a près de cinq ans !

    Le risque d'effets secondaires dangereux est l'une des raisons pour lesquelles tous les vaccins conventionnels ne fonctionnent pas. Certains causent tout simplement trop de problèmes. Maintenant, nous devons croire que la possibilité d'effets secondaires dangereux n'existe pas simplement parce que nous forçons le corps à produire l'antigène en interne ? Au contraire, la possibilité de problèmes est plus élevée que jamais, car l'exposition à l'antigène est continue pendant une longue période, peut-être toute la vie de l'animal.

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  81. Même les producteurs de porc biologique peuvent utiliser des injections d'ARNm
    Malheureusement, étant donné que les moteurs de recherche ne fournissent désormais qu'une courte liste de contenus organisés et fortement censurés, il a été impossible de déterminer combien de producteurs de porc aux États-Unis utilisent Sequiivity.

    Sans ces données, je recommande de pécher par excès de sécurité et d'éviter complètement le porc, y compris le porc biologique, car les normes biologiques n'ont aucune règle sur l'utilisation des vaccins, à base d'ARNm ou autres. 18

    Étant donné que la plate-forme Sequiivity existe déjà depuis près de cinq ans, il semble raisonnable de supposer que presque tous les producteurs de porcs à grande échelle ont effectué cette transition.

    Que contiennent les cellules de la viande traitée à l'ARNm ?

    La question est maintenant de savoir comment les injections d'ARNm affectent-elles la viande ? Pour l'instant, c'est spéculatif, car nous ne savons pas si les injections d'ARNm vétérinaires remplacent l'uridine par de la pseudouridine, comme cela a été fait dans les injections COVID. Mais s'ils le font, alors l'une des préoccupations évidentes serait que l'ARNm pourrait se retrouver dans le produit carné final que vous mangez, car cette substitution le rend extrêmement difficile à détruire. Comme l'a expliqué le Dr Peter McCullough : 19

    « L'ARN naturel est composé de deux purines adénine et guanine et de deux pyrimidines cytosine et uracile.

    Le remplacement de l'uracile avec son anneau ribose (uridine) par la N-1-méthyl-pseudouridine, un produit de synthèse, rend le code génétique de la protéine Wuhan Spike mieux stabilisé sur des nanoparticules lipidiques, durable et très efficace en termes d'évasion cellulaire destruction et capable de subir une lecture répétée par les ribosomes pour une synthèse protéique continue.

    Morais et al 20 indiquent que Pfizer et Moderna ont choisi des stratégies de développement remplaçant toutes les unités d'uridine par de la pseudo-uridine, rendant le brin entier complètement « non naturel » pour le corps humain. Ainsi, les consultants en vaccins, les entreprises et les patients ont malheureusement parié sur la durée d'activité de l'ARNm dans le corps humain.

    Fertig et al 21 ont découvert que les nanoparticules lipidiques contenant de l'ARNm étaient mesurables dans le plasma pendant — 15 jours. Récemment, Castruita et al 22 ont mis en évidence l'ARNm dans le sang jusqu'à 28 jours. Röltgen et al 23 ont trouvé de l'ARNm dans les ganglions lymphatiques 60 jours après l'injection.

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  82. Aucune de ces études n'a démontré la clairance complète de l'ARNm d'un groupe de patients.

    Ceci est inquiétant car les injections sont recommandées dans certaines populations à quelques mois d'intervalle, ce qui implique qu'il y aura un empilement d'ARNm de longue durée dans le corps sans possibilité adéquate de clairance et d'élimination.

    Nous regarderons en arrière pendant de nombreuses années et nous demanderons : comment tant de personnes pourraient-elles accepter facilement des injections de code génétique synthétique fortement modifié donnant au corps des instructions pour fabriquer une protéine promotrice de maladie et mortelle conçue dans un laboratoire de biosécurité à Wuhan, en Chine ?

    Des administrations répétées d'ARNm parsemé de pseudouridine apparemment indestructible peuvent avoir changé le cours de vies pour toujours.

    Si les injections d'ARNm peuvent causer des maladies importantes chez l'homme, comment cela a-t-il affecté notre approvisionnement en porc au cours des cinq dernières années ? Et comment cela affectera-t-il le bœuf et le poulet à l'avenir ? Consommer de la viande génétiquement modifiée peut-il affecter votre santé ? Ce sont des questions qui n'ont actuellement pas de réponses et qui doivent faire l'objet d'une enquête approfondie et approfondie.

    Big Ag ne nous a pas dit ce qu'ils faisaient

    L'un des aspects les plus frustrants de cette situation est que l'industrie ne nous a pas dit qu'elle utilisait une nouvelle thérapie génique pour créer des «vaccins» personnalisés en quelques semaines sans aucun test de sécurité. La seule raison pour laquelle beaucoup d'entre nous ont pris conscience de ce problème ces dernières semaines est que l'avocat Tom Renz a commencé à mettre en garde à ce sujet.

    Le projet de loi 1169 du Missouri House exigerait l'étiquetage des produits qui ont la capacité de modifier votre génétique. Cela obligerait également les entreprises à partager des informations sur la transmissibilité potentielle des interventions de modification génétique.
    Dans un article de Substack du 2 avril 2023, il écrit : 24

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  83. «J'ai parlé de l'introduction de vaccins de thérapie génique dans l'approvisionnement alimentaire sans fournir aux gens un consentement éclairé sur mon compte Twitter… ainsi que de pousser le Missouri HB1169 qui est notre meilleur pari pour empêcher que cela se produise.

    Il s'agit d'un scénario cauchemardesque dans lequel la génétique des gens est potentiellement modifiée par des «aliments industriels» sans même qu'ils le sachent. Permettez-moi de commencer par dissiper toute question quant à savoir si cela peut arriver. L’idée des vaccins dans les aliments existe depuis longtemps…

    Voici un article publié dans le NIH 25 (vous savez — par notre gouvernement) parlant d'aliments « en cours d'application » pour être génétiquement modifiés pour devenir des vaccins comestibles — DEPUIS 2013… Le fait que les aliments puissent être modifiés pour agir comme un vaccin n'est pas contestable.

    Quels aliments et de quelles manières est plus une question. On prétend que le bœuf, le porc, etc. ne peuvent pas transférer la vaccination de la viande au consommateur de la viande. À première vue, cela aurait du sens (l'ADN de la vache et l'ADN des personnes sont assez différents et un ARNm conçu pour les vaches ne pourrait probablement pas être transféré directement aux personnes), mais ce n'est PAS toute l'histoire.

    Vous devez vous rappeler que les additifs contenus dans les vaccins à ARNm ne sont en aucun cas "prouvés comme sûrs" et nous ne savons même pas vraiment ce qu'il y a dans ces injections... En fin de compte, les piqûres d'ARNm n'ont toujours pas subi de tests à long terme car à long terme les tests peuvent prendre 10 à 20 ans et ils n'existent pas depuis si longtemps, donc toute affirmation concernant la sécurité ou l'efficacité de ce qu'ils contiennent est au mieux une poubelle.

    Ce que nous savons des vaccins à ARNm, c'est qu'ils n'arrêtent pas la propagation de la maladie 26 … et n'aident en aucune manière à quoi que ce soit. Nous savons également que ces piqûres ont été démontrées, in vitro, pour modifier la composition génétique de certaines cellules et je dirais qu'il est extrêmement probable qu'elles fassent l'extérieur de la boîte de Pétri.

    Étant donné que nous parlons maintenant d'un nouveau niveau de génie génétique avec des effets inconnus et aucune étude à long terme, les modifications génétiques potentielles facilitées par les injections d'ARNm présentent-elles un risque à long terme pour les humains qui ingèrent les aliments modifiés ? Avant de dire non, ne préféreriez-vous pas qu'il soit testé plutôt que d'être le sujet de l'expérience ? »

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  84. Nous devons prendre des mesures pour défendre notre république constitutionnelle et les libertés civiles, y compris le droit à l'autonomie, en Amérique. Cela comprend la réforme des lois oppressives sur la vaccination obligatoire et l'arrêt de l'identification numérique de la santé qui fera des passeports vaccinaux une réalité pour nous, nos enfants et petits-enfants si nous n'agissons pas aujourd'hui.

    L'inscription pour utiliser le portail de plaidoyer en ligne gratuit parrainé par le National Vaccine Information Center à l'adresse www.NVICAdvocacy.org vous donne un accès immédiat et facile à vos propres législateurs d'État et fédéraux sur votre smartphone ou votre ordinateur afin que vous puissiez faire entendre votre voix.

    NVIC vous tiendra au courant des derniers projets de loi menaçant d'éliminer - ou d'étendre - votre droit légal de faire des choix de vaccins et vous donnera des conseils sur ce que vous pouvez faire pour soutenir ou vous opposer à ces projets de loi. Alors, s'il vous plaît, dans un premier temps, inscrivez-vous au portail de plaidoyer NVIC.

    Partagez votre histoire avec vos législateurs et les personnes que vous connaissez
    Si vous ou un membre de votre famille avez subi une réaction vaccinale grave, une blessure ou un décès, veuillez en parler. Si nous ne partageons pas les informations et les expériences les uns avec les autres, tout le monde se sent seul et a peur de parler.

    Si vous souhaitez protéger votre droit légal de dire «non» aux vaccins que vous ne croyez pas sûrs ou efficaces, prenez rendez-vous pour parler personnellement avec quelqu'un que vous avez élu au niveau local, étatique et fédéral ou écrivez une lettre à vos propres mots indiquant vos préoccupations.

    Assistez aux réunions du conseil scolaire, du conseil municipal et de la mairie de votre communauté qui auront une incidence sur votre droit de savoir et votre liberté de prendre des décisions sur la façon dont vous ou vos enfants vivrez et resterez en bonne santé. Si vous avez un point de vue différent sur un article sur la vaccination qui paraît dans votre journal local, écrivez une lettre à l'éditeur.

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  85. Je dois être franc avec vous : vous devez être courageux car il y a beaucoup de censure des conversations qui remettent en question les récits « officiels » sur la vaccination. Vous serez probablement fortement critiqué pour avoir osé parler de «l'autre côté» de l'histoire du vaccin et pour avoir défendu vos droits au consentement éclairé. Préparez-vous et ayez le courage de tenir bon.

    Ce n'est qu'en partageant notre point de vue et ce que nous savons être vrai que la conversation publique sur la vaccination s'ouvrira afin que les gens n'aient pas peur d'en parler.

    Alors que nos droits sont menacés, les vaccins blessés sont balayés sous le tapis et traités comme rien de plus que des «dommages collatéraux» statistiquement acceptables des lois de vaccination obligatoires uniformes. Beaucoup trop de personnes sont exposées à des risques de blessures et de mort et il n'y a rien de scientifique ou de moral à cela. Nous ne devrions pas traiter les êtres humains comme des cobayes.

    Ressources Internet où vous pouvez en savoir plus

    Je vous encourage à visiter les quatre sites Web du Centre national d'information sur les vaccins (NVIC), à l'adresse www.NVIC.org , un organisme de bienfaisance à but non lucratif qui sensibilise le public à la nécessité de prévenir les blessures et les décès liés aux vaccins depuis 1982. Les informations que vous obtenez sur leurs sites Web est entièrement référencé et vous aidera à devenir un défenseur efficace du choix des vaccins dans votre communauté :

    NVIC.org - Ce site Web a été créé en 1995 et est le plus ancien et le plus grand site Web géré par des consommateurs publiant des informations sur les maladies et les vaccins sur Internet. Découvrez les réactions aux vaccins, les blessures et les décès, ainsi que l'historique et l'état actuel de la science, de la politique, de la loi et de l'éthique des vaccins aux États-Unis sur plus de 2 000 pages Web.
    NVICAdvocacy.org - Ce réseau de communication et de plaidoyer, créé en 2010, est votre passerelle pour prendre des mesures pour protéger votre droit de faire des choix de vaccins là où vous vivez.
    TheVaccineReaction.org - Ce journal hebdomadaire publié par NVIC depuis 2015 se consacre à encourager une «conversation éclairée sur la vaccination, la santé et l'autonomie».

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  86. MedAlerts.org - Il s'agit d'un moteur de recherche convivial pour le système fédéral de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) établi en vertu de la loi nationale de 1986 sur les blessures causées par les vaccins chez l'enfant et parrainé par le NVIC depuis 2006. Recherchez les descriptions des blessures et des décès dus au vaccin signalés au VAERS sur ce site Web populaire.
    Trouvez un médecin qui écoutera et soignera
    Si votre médecin ou votre pédiatre refuse de vous prodiguer des soins médicaux à vous ou à votre enfant à moins que vous n'acceptiez de recevoir des vaccins dont vous ne voulez pas, je vous encourage fortement à avoir le courage de trouver un autre médecin. Le harcèlement, la coercition et le refus de fournir des soins médicaux à une personne refusant une ou plusieurs doses de vaccins recommandés par le gouvernement constituent une violation de l'éthique du consentement éclairé.

    Malheureusement, il devient courant parmi les membres de l'establishment médical d'être réticents à partager le pouvoir de décision sur les vaccins avec les patients et les parents d'enfants mineurs, en particulier pendant la pression agressive pour que tous les Américains se fassent vacciner contre le COVID.

    Il existe des médecins qui respectent les principes de précaution et de consentement éclairé, alors prenez le temps de trouver un médecin qui vous traite avec compassion et qui est prêt à écouter et à respecter les choix de soins de santé que vous faites pour vous-même ou votre enfant.

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    Remarques

    1 YouTube Global Ag Media 2018

    2, 17 Merck Santé Animale, Sequivity

    3 Watt Volaille 2 octobre 2012

    4 Drugs.com Vaccin contre la grippe porcine à ARN

    5 Merck Santé Animale 21 septembre 2015

    6 Merck 12 novembre 2015

    7 Merck 15 mars 2016

    8 PLOS Neglected Tropical Diseases juin 2016 ; 10(6) : e0004746

    9 Curevac 7 janvier 2020

    10 Point d'appui 7 20 janvier 2023

    11 Genengnews.com 10 mai 2016

    12 Vaccin Epub 31 mars 2023

    13 Gazouillement Tom Renz 1er avril 2023

    14 Agri-impulsion 22 juin 2022

    15 Genengnews.com 13 janvier 2015

    16 Tableau comparatif des produits ZoetisUS.com

    18 USDA Organic 101 : Substances autorisées et interdites 27 octobre 2020

    19 Peter McCullough Sous-pile 17 mars 2023

    20 Frontiers in Cell and Developmental Biology 4 novembre 2021; 9

    21 Biomédecines juillet 2022 ; 10(7): 1538

    22 APMIS 17 janvier 2023 ; 131(3): 128-132

    23 cellule 17 mars 2022 ; 185(6): 1025-1040.e14

    24, 29 Tom Renz Sous-pile 2 avril 2023

    25 Advances in Biotechnology 22 octobre 2013; 207-226

    26 Cap Con 14 octobre 2022

    27 Missouri House projet de loi 1169

    28 Union des agriculteurs du Missouri 29 mars 2021

    https://www.globalresearch.ca/how-long-have-you-been-consuming-gene-therapied-pork/5815387

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  87. Le niveau scolaire des élèves français en baisse, constat d’échec

    Le niveau scolaire des élèves français est en baisse : comment inverser la tendance ? Enjeux et perspectives de l’Éducation nationale.


    le 11 avril 2023
    Yves Montenay


    L’Éducation nationale est là pour faire progresser les élèves. Mais c’est tellement évident qu’elle l’oublie et fait passer l’objectif de « la mixité sociale » avant la progression du niveau. Bref elle court deux lièvres à la fois et n’en n’attrape aucun : le niveau baisse et la ségrégation sociale augmente.

    Alors pourquoi le niveau scolaire des jeunes Français baisse et surtout comment le faire remonter ?

    Analysons l’organisation de l’éducation nationale, le Mammouth dénoncé par l’ancien ministre Claude Allègre, au lieu de blâmer les parents d’élèves de vouloir le meilleur pour l’éducation de leurs enfants.

    Un constat d’échec : le niveau baisse

    Le niveau baisse ! Longtemps considéré comme une réflexion nostalgique de seniors ayant oublié leur propre scolarité, ou par des modernes résignés à ce que les connaissances des jeunes portent désormais sur bien d’autres choses que celles de leurs parents, c’est maintenant un fait établi.

    Les comparaisons internationales et les constatations des employeurs l’illustrent. Les entreprises sont de plus souvent plus souvent obligées de faire appel à des professionnels pour perfectionner le français et les mathématiques des nouveaux embauchés.

    Selon le rapport « L’Europe de l’éducation en chiffres », en France « environ 21 % des élèves âgés de 15 ans n’ont pas un niveau suffisant de compétences en compréhension de l’écrit, culture mathématique et culture scientifique… ».

    De son côté, dans son étude publiée en décembre 2021 « Une école plus efficacement organisée au service des élèves », la Cour des comptes constate que la France dépense plus pour l’éducation que la moyenne des pays de l’OCDE.

    Et pourtant, nos enseignants sont mal payés, les résultats des élèves ont tendance à se dégrader et plus seulement pour les jeunes issus des milieux défavorisés. Alors que l’éducation reste le premier poste de dépense de l’État, « 40 % des élèves en fin de primaire ne possèdent pas les connaissances fondamentales en lecture et en maths qui leur permettraient de suivre une scolarité au collège dans les bonnes conditions » (Source : France stratégie, quelles priorités éducatives ?)

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  88. Enfin, la compilation des classements PISA (programme international pour le suivi des acquis des élèves) montre une dégradation continue.

    Les élèves français seraient-ils moins doués que leurs camarades dans le monde ? Leurs enseignants seraient-ils moins performants ?

    Ou est-ce le système éducatif français et son organisation actuelle qui peinent à former la jeunesse française ?

    Nous allons examiner ce dernier point.

    Un enseignement français centralisé

    L’enseignement public français a été conçu centralisé et uniforme. Pour matérialiser l’égalité de traitement, les programmes scolaires sont identiques et soumis aux mêmes règles quels que soient les établissements, le profil des élèves qui les fréquentent ou la région dans laquelle ils sont implantés.

    Les enseignants sont recrutés par un concours national, débutent dans les zones et les établissements les plus difficiles, progressent à l’ancienneté avant de se retrouver, une fois expérimentés, dans les meilleurs établissements.

    Lors de l’établissement de la scolarité obligatoire en 1882, les gouvernements de la Troisième République insistaient sur la nécessité d’unifier une France encore fortement rurale composée d’éléments isolés et d’imposer le français comme langue nationale au détriment des parlers locaux.

    Ce n’est qu’au début des années 1980 que l’État, rompant avec cette tradition, engage la décentralisation qui renforce le poids des collectivités locales. Ces dernières ont depuis la responsabilité du fonctionnement matériel, hors dépenses de personnel, et de l’investissement, pour répondre aux besoins locaux.

    Cependant, l’État conserve la responsabilité de la pédagogie, de la fixation des programmes nationaux, de l’organisation et du contenu des enseignements.

    L’école de la République se rêve l’école de l’égalité des chances et de la méritocratie. En y entrant, s’il se montre capable et travaille, un petit élève français est censé disposer des mêmes chances de réussite, où qu’il se trouve sur le territoire et quels que soient les établissements qu’il fréquente.

    Mais l’école n’est pas le seul vecteur d’apprentissage et c’est encore plus vrai aujourd’hui à l’heure d’internet et des réseaux sociaux. Les origines familiales, le lieu de résidence, le niveau d’éducation des parents, le niveau de revenus ou encore le niveau culturel conditionnent fortement la réussite scolaire.

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  89. Cela a poussé certains groupes, des partis politiques puis les gouvernants à vouloir réagir contre cette tendance naturelle. Décrivons d’abord cette réaction avant de voir comment elle interfère avec le niveau de formation des élèves.

    L’égalitarisme veut gommer cette diversité

    Ce que j’appelle « cette tendance naturelle » expliquant la diversité des élèves est difficile à mesurer du fait des nombreux facteurs en jeu. Mais au lieu de se borner à cette constatation on préfère dire que notre système éducatif reproduit les inégalités sociales et les inégalités sont mesurées par les revenus.

    Bref, on fait l’amalgame entre le niveau des élèves et le niveau de revenus des parents. Or les élèves de moins bon niveau ne sont pas nécessairement issus des milieux sociaux à faibles revenus.

    Pourquoi ce passage de la constatation d’un état de fait humainement naturel à une dénonciation idéologique ?

    D’abord une raison pratique : on sait (en gros) mesurer les différences de revenus mais on ne sait pas mesurer la culture des parents ni les autres déterminants. Il est fréquent en sciences humaines de mesurer ce qui est mesurable en oubliant que ce qui est mesurable n’est pas l’objet de l’étude !

    Ensuite une raison idéologique, au sens neutre : pour beaucoup il s’agit de « justice sociale » voire pour certains, de « nécessité révolutionnaire ». Bref cela devient une inégalité à dénoncer et on tombe dans la politique.

    En conférence de presse le 26 août 2022 le ministre de l’Éducation nationale a une fois de plus déclaré que l’égalité était sa priorité.

    À ce stade, on pourrait penser que nous sommes dans « une revendication de gauche ». Mais en fait cette idée a imprégné l’ensemble du champ politique, en général sincèrement, mais parfois aussi hypocritement lorsque l’on voit les enfants de certains élus des partis de gauche être discrètement dirigés chaque matin vers « un bon établissement », parfois avec voiture et chauffeur de fonction.

    La recherche de l’égalité par l’école

    C’est dans ce contexte que l’État proclame rechercher davantage de mixité sociale au nom du principe d’égalité : la mise en place de la carte scolaire, l’introduction en 2015 de l’indice de position sociale (IPS) ou encore d’Affelnet.

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  90. Ce dernier est l’algorithme qui gère l’affectation dans les lycées de l’ensemble des collégiens de troisième. Il prend en compte notamment le statut de boursier et l’IPS des établissements. Sa réforme à Paris en 2021 aurait fait reculer la ségrégation sociale dans les lycées publics de près de 40 % en deux ans. Bref, c’est une sorte de perfectionnement de la carte scolaire.

    De même la création par Science Po Paris d’une filière dédiée aux élèves issus de milieux défavorisés. S’il est excellent de faire découvrir Sciences Po à des milieux où elle n’est pas connue, voire d’aider à la préparation à la sélection d’entrée, il est plus discutable d’assouplir les critères d’entrée pour certaines catégories de la population. On s’approche de la discrimination positive, qui reste une discrimination et pose tant de problèmes aux États-Unis, par exemple en barrant l’accès aux Asiatiques qui ont de « trop bons » dossiers.

    Autre initiative : l’attribution des places dans les lycées de manière à y diversifier l’origine sociale des élèves. On peut citer par exemple l’expérimentation menée à Toulouse où 1200 élèves de quartiers difficiles étudient dans des établissements du centre-ville.

    Toutes ces initiatives ont en commun d’imposer d’en haut des règles de répartition afin d’atténuer la ségrégation sociale en perdant de vue l’objectif principal qui est la progression des connaissances et du raisonnement.

    Or ce qui est imposé d’en haut est mal adapté à certains cas, fait donc ensuite l’objet de correctifs, qui eux-mêmes ne sont pas adaptés partout et de plus compliquent évidemment la procédure.

    Mais pourquoi ce désir de mixité sociale qui va à contre-courant des vœux d’une partie importante de la population ?

    Mixité sociale et égalité : les arguments en présence

    Il y a en premier lieu un argument idéologique : l’égalité est un impératif catégorique. Souvent la discussion ne va pas plus loin et l’on évite de comparer égalité et uniformité ou de réfléchir aux conséquences sur le niveau scolaire.

    Il est difficile de s’attaquer à un impératif catégorique. Je vais me borner aux autres arguments parmi lesquels une inégalité d’information, l’existence de codes bloquants ou le manque de formation générale dans certaines filières.

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  91. L’inégalité d’information

    L’inégalité d’information est un problème réel que j’ai expérimenté personnellement du fait de parents très loin du monde enseignant : je n’avais pas la moindre idée de ce qu’était l’enseignement supérieur et c’est au moment des résultats du bac de terminale que mon professeur de maths, ravi d’avoir enfin une très belle mention pour sa dernière année de carrière, m’a dirigé vers une bonne classe préparatoire.

    J’y ai rencontré des enfants d’enseignants déjà familiers du « concours général ». Ils étaient tellement imprégnés par leur connaissance du système qu’ils supposaient que je l’étais aussi. Ils ne m’ont donc ne rien dit et j’ai dû grappiller des indices. Idem pour le professeur principal qui n’a pas compris ma question « où tout cela mène-t-il ? » et s’est borné à répondre « apprenez votre cours ». Remarquez bien que je parle des enfants d’enseignants et non pas « des riches ». Donc le revenu n’est pas tout.

    Mais ce problème d’information est maintenant bien connu, et tant l’administration que de multiples autres organisations veillent à le limiter.

    La méconnaissance des codes

    Passons à la question des « codes ». Je n’ai jamais vraiment compris ce que ça voulait dire. Certes, Bourdieu et ses disciples s’en sont gargarisés mais ils ne m’ont pas convaincu : si le code c’est savoir placer une bonne citation littéraire, je savais le faire pour l’avoir appris en classe sans être enfant d’enseignant ou de polytechnicien.

    Alors quel code ? l’orthographe ? mais ça me paraît justifié et à la portée de tous.

    Le poids de la formation dite générale

    Quant à l’importance relative de la formation générale, citons l’indignation de Vincent Peillon ancien ministre de l’Éducation nationale sur France Culture : « il y a les 600 000 élèves des lycées professionnels auxquels on a retiré 70 heures d’enseignement général sans que personne n’en parle ».

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  92. C’est présenté politiquement comme scandaleux, sans regarder les exemples chez nos voisins suisses ou allemands où loin d’être une voie de garage la voie professionnelle peut mener à la présidence d’une grande entreprise sans passer par l’équivalent de nos grandes écoles dans ces pays.

    La vraie question est donc de savoir pourquoi nos lycées professionnels ne font pas de même. C’est en train de changer avec le succès de l’apprentissage qui me paraît être une des réformes récentes les plus importantes.

    Enfin, faut-il forcer les élèves à ingurgiter des connaissances dont ils ne comprennent pas l’usage ? L’art d’un enseignant est de motiver, et on cite telle école de Gennevilliers dont les élèves sont devenus fanas de l’apprentissage du latin.

    Mais on ne peut exiger un tel don de tous les enseignants. À part les fondamentaux que sont le français et les maths, obliger des élèves à avaler ce dont ils ne voient pas l’intérêt me parait discutable.

    Remarquons pour l’instant que des lycées professionnels sont dans le même moule centralisé que le reste de l’enseignement alors qu’en Suisse leur programme est ajusté en permanence et localement par concertation avec les pouvoirs publics et les employeurs.

    La mixité sociale semble être devenue l’objectif numéro un

    Quel que soit leur camp politique, c’est ce qui ressort des propos des responsables sous la pression intellectuelle et morale des partisans de cette mixité qui trouvent que l’on n’en fait jamais assez.

    Je prends l’exemple du mariage de deux collèges voisins, l’un « favorisé », l’autre « difficile ». Une première expérience a été faite pour le XVIIIe arrondissement en 2017 par la ministre socialiste Najat Vaillaud Belkacem, que le ministre actuel Pap Ndiaye veut étendre à 200 collèges.

    J’espère que cette expérience sera positive mais en tous cas elle confirme bien cette priorité donnée à la mixité sociale.

    Parmi ceux qui trouvent que l’on n’en fait jamais assez, il y a Pierre Merle professeur émérite de sociologie, auteur de Parlons école à qui Le Monde a offert une tribune dans son édition du 20 mars 2023, où il dénonce l’insuffisance de cette action et propose des mesures encore plus vigoureuses de mixité.

    Il suggère notamment de localiser les sections spécialisées (internationales, artistiques…) dans les lycées défavorisés et d’obliger le secteur privé à augmenter son pourcentage de boursiers.

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  93. Que l’on me comprenne bien : je ne suis pas opposé la mixité sociale, j’ai connu trop de snobs méprisants et (en réaction ?) beaucoup de personnes « défavorisées » faisant preuve de racisme social chargeant « les riches » de tous les défauts. C’est navrant, et tout ce qui va dans le sens d’un décloisonnement de la société est positif.

    Mais la mixité sociale ne devrait pas être l’objectif numéro un de l’Éducation nationale qui est d’abord de donner à l’ensemble des Français des outils intellectuels et professionnels.

    Résultat de cette priorité au social : une ruée des parents vers le privé

    Cette politique se heurte au fait que tout le monde est favorable à la mixité sociale… pour les autres.

    Lorsqu’il s’agit de ses propres enfants, la logique individualiste prime.

    Tout parent – et c’est un cas de conscience pour les électeurs de gauche – souhaite le meilleur pour son enfant : le meilleur collège puis le meilleur lycée qui lui offrira les meilleures chances d’entrer par exemple dans la meilleure classes prépa et d’intégrer les meilleures écoles. Car tout parent craint que lorsqu’il y a dans une classe des élèves de moins bon niveau, ce dernier soit tiré vers le bas aux dépens des progrès de son enfant.

    Or ce que nous avons vu va en sens inverse des vœux des parents qui craignent que les classes hétérogènes nuisent au niveau de l’enseignement de leurs enfants.

    Ils sont confortés dans cette conviction par la constatation de la différence de notation lorsque leur enfant passe d’un établissement à classes hétérogènes à un autre de meilleure réputation : tel qui était le premier de sa classe avec de bonnes notes se révèle alors d’un moins bon niveau que ses nouveaux camarades et voit son dossier alourdi par de mauvaises notes. Son propre niveau est donc inférieur à ce qu’il aurait été s’il avait été scolarisé dans ce « bon » lycée.

    Pour y échapper, les parents qui élaboraient hier des stratégies de contournement de la carte scolaire se ruent aujourd’hui vers les établissements privés qui concentrent de plus en plus les meilleurs élèves, entretenant le cercle vicieux : davantage de bons élèves et donc de meilleurs taux de réussite à l’examen et davantage de mentions au baccalauréat qui attirent à leur tour les meilleurs élèves chaque année après parution des palmarès des « meilleurs lycées »…

    En réaction, les appels à la mixité sociale dans l’enseignement public se doublent souvent de critiques de l’enseignement privé sous contrat, en général catholique, accusé de ne pas en faire sa priorité. Alors qu’il est précisément choisi par de nombreux parents qui n’ont rien de spécialement catholiques pour éviter de voir leurs enfants tirés vers le bas par de moins bons élèves.

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  94. Le même genre de querelle explique le développement de l’enseignement privé « hors contrat », relativement cher puisque ne recevant pas d’aide de l’État. Cela illustre l’aspect souvent contre-productif de la priorité à la mixité sociale.

    Le secrétaire général du SNUEP-FSU dénonce ces stratégies de contournement des parents : sur les 50 meilleurs collèges d’enseignement professionnel, 45 sont aujourd’hui privés.

    Jean-Claude Delahaye, ancien directeur général de l’enseignement scolaire regrette ce qu’il appelle « un séparatisme » qu’il décrit comme « un système par ordre avec d’un côté la noblesse dans l’enseignement général, le tiers état dans les lycées professionnels et même un clergé dans le privé sous contrat. »

    Pourtant la baisse du niveau de l’enseignement en France est non seulement dommageable à tous, mais accroît probablement toutes les inégalités en privant les meilleurs des « défavorisés » d’une chance de percer.

    Tout cela nous mène à chercher le moyen de redonner la priorité à la progression de chacun, ce qui, en prime, limiterait l’influence des différences sociales.

    Ce moyen existe et est analysé depuis longtemps : l’autonomie.

    Décentralisation et autonomie ?

    Les remarques ci-dessus, les comparaisons avec les systèmes d’éducation des autres pays occidentaux et mon expérience en entreprise conduisent à parler décentralisation et autonomie.

    Deux mots tout d’abord sur cette référence à l’entreprise.

    Je sais qu’elle sera très mal vue par mes collègues enseignants. Je rappelle que j’étais chef d’entreprise dans la journée et enseignant le soir. Mais quand on a eu l’occasion d’expérimenter quelque chose qui marche, autant témoigner pour en faire profiter les autres !

    Décentraliser et autonomiser signifie en l’occurrence laisser aux directeurs d’établissements une marge de manœuvre suffisante pour éventuellement adapter les programmes à leur public et surtout pour recruter des enseignants qui leur soient adaptés.

    C’est loin de l’uniformité théorique actuelle mais surtout la question de l’égalité entre les élèves des établissements ne se pose pas puisque chaque établissement est différent.

    L’autonomie est notamment une liberté pour faciliter la capacité d’innovation des équipes pédagogiques et éducatives et pouvoir ainsi mieux contribuer à la réussite scolaire de leurs élèves.

    L’expérience du privé sous contrat comme hors contrat est justement celle de l’autonomie. Et il y en a de tous les types, des plus élitistes aux plus attentifs à la promotion sociale : La Cordée, exemple d’une école privée hors contrat : ça marche !

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  95. La ferme opposition des enseignants

    Les syndicats d’enseignants sont opposés à donner de tels pouvoirs aux directeurs d’établissement.

    On peut citer l’appel au boycott des équipes de 40 écoles marseillaises, relayé par le SNUipp-FSU13, suite au projet d’Emmanuel Macron et du maire socialiste de Marseille sur « l’école du futur » en septembre 2021.

    Ce projet offrait la possibilité aux chefs d’établissement concernés de choisir leurs enseignants : « cela impliquerait la fin d’un mouvement des personnels fondé sur des critères communs […] et inféoderait tout au long de leur carrière les enseignants à des entretiens d’embauche ». (Le Point septembre 2021).

    Remarquons qu’il n’est pas question de l’intérêt des élèves qui était pourtant la motivation d’Emmanuel Macron et du maire de Marseille.

    Cette opposition ne viendrait-elle pas de la crainte d’avoir un patron, voire que leur carrière soit impactée en cas de conflit ?

    Mon expérience de la fonction publique à la direction d’une grande école publique de 200 personnes me fait craindre que cette opposition soit celle des moins motivés par leur travail. Et de toute façon, on se soucie d’éventuels inconvénients pour les enseignants et non de l’amélioration du niveau.

    De même encore la réaction à la mesure prévue par le gouvernement de porter à 50 % le temps passé en stage en entreprise : « on ne pourra plus jouer notre rôle social ».

    Là aussi aucune considération sur l’adéquation avec un emploi et l’absence de comparaison avec les systèmes suisse et allemand.

    L’autonomie, une idée ancienne et largement pratiquée dans l’OCDE

    Cette autonomie n’est pas une idée fantaisiste de ma part, comme en témoigne Éric Charbonnier, analyste et expert en éducation à l’OCDE :

    « L’autonomie, couplée à une évaluation des établissements, est une pratique de nombreux pays de l’OCDE. Les pays qui réussissent le mieux sont ceux […] où les collèges et lycées disposent d’une part d’autonomie, outil de pilotage ». (Le Monde du 7 décembre 2010).

    « S’il y a des inégalités, c’est parce qu’on ne sait pas suffisamment personnaliser les parcours, parce que chaque enfant est différent. Il faut emmener chaque enfant au meilleur de lui-même » expliquait Jean-Michel Blanquer, alors ministre de l’Éducation nationale au micro de RTL en mai 2019.

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  96. Cette autonomie a été expérimentée depuis 30 ans avec des Charter Schools aux États-Unis, les Academies au Royaume-Uni, ou des Fristående Skolor en Suède.

    Ces écoles sont financées par le public mais bénéficient d’une large autonomie en termes d’allocation de budget, de projet pédagogique, de recrutement, etc., un peu sur le modèle de l’enseignement « privé sous contrat » français.

    Jean-Paul Delahaye, ancien directeur général de l’enseignement scolaire dans un article d’Administration & Éducation (2015) rappelle :

    « En France, l’autonomie n’est pas une idée récente. Une relecture des textes officiels de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle montre qu’il y a plus d’un siècle une réflexion très poussée a été conduite, non seulement sur l’intérêt d’accorder une autonomie aux établissements scolaires mais aussi sur les conditions dans lesquelles devait s’exercer cette autonomie ».

    Cependant, pour éviter toute guerre idéologique il précise que l’autonomie n’est pas un objectif en soi mais un moyen pour plus d’efficacité et donc d’égalité.

    En prime, une meilleure insertion professionnelle après la scolarité

    Si on en juge par l’expérience suisse et allemande, cette décentralisation et cette autonomie permettent une concertation avec l’administration, la société civile et les employeurs locaux, facilitant leur emploi au pays.

    Je ne suis pas le seul à le penser.

    Eric Chevée, vice-président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) affirme :

    « Si l’Éducation nationale et les lycées professionnels s’adaptent à la demande des chefs d’entreprise dans les bassins d’emplois, nous ne pouvons que nous en réjouir ».

    Souâd Ayada, ancienne présidente du Conseil supérieur des programmes l’approuve également :

    « Assurément, notre école ne doit pas détourner les jeunes gens du monde tel qu’il va et elle doit donner le goût du travail et aiguiser la volonté de trouver sa place dans la société. »

    De plus, en tant qu’employeur puis directeur d’une école de management, j’ai personnellement constaté que contrairement aux idées reçues les employeurs apprécient la culture générale et l’esprit critique : même dans les emplois peu qualifiés, « un imbécile » pose des problèmes.

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  97. Il est dommage que les enseignants que je connais évacuent trop vite le problème en lançant des formules générales du genre « nous ne sommes pas là pour ça », ce qui ne fait qu’accroître la méfiance des élèves et des parents.

    Je suis frappé de voir de plus en plus d’enseignants se plaindre des parents et réciproquement.

    Il me semblerait pourtant normal que l’enseignant explique régulièrement l’utilité de son enseignement comme par exemple : « comprendre les autres », « savoir s’exprimer » ou résoudre des petits problèmes quotidiens avec les mathématiques, la physique et la chimie. Et plus généralement qu’il soit davantage à l’écoute.

    En conclusion

    Ne perdons pas de vue que l’objectif de l’Éducation nationale doit être… l’éducation nationale.

    C’est-à-dire d’abord la culture de l’esprit critique et les connaissances nécessaires pour l’adaptation au monde tant pour la vie privée que pour la vie professionnelle. Cela commence par l’acquisition des fondamentaux : lire, écrire, compter.

    L’égalité des chances ne peut être qu’un objectif second qui ne doit pas sacrifier le premier, d’autant qu’à mon avis, l’amélioration du niveau donnera sa chance à beaucoup de « défavorisés ».

    N’oublions pas que le clivage ne correspond que partiellement à une question de revenus et bien davantage à l’engagement des parents.

    Un argument supplémentaire est qu’il est de l’intérêt à la fois du pays et des élèves que la scolarité apporte des qualités professionnelles permettant l’intégration dans la société, et de préférence au pays, c’est-à-dire dans l’environnement local.

    C’est justement ce qui se passe en Suisse, qui fait participer les employeurs locaux aux objectifs de l’enseignement de leur ville. Malheureusement une partie du corps enseignant français est hostile au fait de travailler pour le patronat. Toutefois je remarque que cet a priori semble s’affaiblir.

    Par contre, les élèves qui sont loin des controverses sur « comment développer un esprit critique » trouvent très important que leur scolarité les aide à trouver un emploi.

    De toute façon, j’estime personnellement que développer des aptitudes professionnelles et l’esprit critique n’est pas contradictoire : de plus en plus d’employeurs apprécient un œil neuf sur leur activité et la créativité qui l’accompagne.

    Finalement, beaucoup d’arguments convergent vers la fin de l’uniformité, qui passe elle-même par une certaine autonomie.

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  98. Alors pourquoi ces réticences ?

    À mon avis parce que de nombreux cadres supérieurs de l’institution ainsi que de nombreux enseignants ont été formés dans une optique d’uniformité qu’ils confondent avec l’égalité. Or l’égalité est profondément enracinée dans les mentalités françaises et notamment dans l’électorat, ce qui incite les hommes politiques à la prudence, quitte à sacrifier l’avenir des jeunes et celui du pays.

    https://www.contrepoints.org/2023/04/11/454159-le-niveau-scolaire-des-eleves-francais-en-baisse-constat-dechec

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    1. L'absence flagrante d'éducation dans des régions africaines et de l'Est de l'Europe amène naturellement le 'ministère de l’Éducation' à niveler le QI des élèves français à celui des immigrés climatiques !

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  99. Le bénéfice de 718 % du plus grand producteur d'œufs américain déclenche des appels à BREAK UP Big Ag


    Lundi 10 avril 2023
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Les appels à démanteler Big Ag ont refait surface après qu'un grand producteur d'œufs aux États-Unis a annoncé des bénéfices exceptionnels.

    Un communiqué de presse du 28 mars de Cal-Maine Foods a déclaré que le producteur d'œufs basé au Mississippi avait enregistré un chiffre d'affaires total de 997,5 millions de dollars - une augmentation de 109% - pour le trimestre se terminant le 25 février. Le bénéfice de Cal-Maine Foods pour la même période a grimpé en flèche de 718 % à 323,2 millions de dollars.

    "Nos résultats reflètent un environnement de marché dynamique avec des prix de vente moyens plus élevés et une demande favorable", a déclaré Sherman Miller, président de Cal-Maine. "Les prix élevés du marché se poursuivent, principalement en raison de l'impact de l'épidémie en cours de grippe aviaire hautement pathogène, qui a considérablement réduit la capacité de ponte du pays."

    "NOUS. les stocks d'œufs étaient inférieurs de 29% au cours de la dernière semaine de décembre 2022 par rapport au début de l'année », a déclaré le département américain de l'Agriculture. Il a ajouté que plus de 43 millions de poules pondeuses avaient été perdues à cause de la grippe aviaire elle-même ou des mesures d'abattage pour arrêter la maladie depuis le début de l'épidémie en février 2022.

    En avril 2020, Cal-Maine a été inclus en tant que défendeur dans un recours collectif aux côtés de Costco, Trader Joe's et Whole Foods. La plainte déposée devant un tribunal fédéral a accusé les producteurs d'œufs et les chaînes d'épicerie d'avoir fait grimper les prix des œufs au milieu de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Selon le procès, les prix des œufs ont non seulement triplé dans les épiceries susmentionnées – mais les prix sont restés 10% plus élevés qu'avant la déclaration d'urgence du 4 mars 2020 par le gouverneur de Californie Gavin Newsom. Il a poursuivi: "Parce que le prix des œufs a augmenté de plus de 180% pendant l'urgence COVID-19, il est clair que certains ou tous les accusés ont augmenté leurs prix dans une mesure qui viole la loi."

    Sanders et d'autres législateurs défient Big Ag
    Plusieurs législateurs ont dénoncé les bénéfices exceptionnels annoncés par Cal-Maine.

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  100. Le sénateur Bernie Sanders (I-VT) a fustigé Cal-Maine dans un tweet : « Pourquoi le peuple américain est-il en colère ? Peut-être que cela a quelque chose à voir avec le fait que le plus grand producteur d'œufs d'Amérique a augmenté ses bénéfices de 718 % au dernier trimestre, après avoir doublé le prix des œufs et signalé zéro cas de grippe aviaire. Nous devons démanteler Big Ag et promulguer un impôt sur les bénéfices exceptionnels.

    Sanders a pris des monopoles agricoles lors de ses campagnes présidentielles ratées en 2016 et 2020.

    La sénatrice Elizabeth Warren (D-MA) a tweeté en réponse : « Alors que les familles de travailleurs payaient des prix record pour les œufs, Cal-Maine a engrangé plus de 700 % de bénéfices supplémentaires – sans signaler un seul cas de grippe aviaire. Nous devons sévir contre les hausses de prix des entreprises pour soulager les Américains à l'épicerie. »

    "La cupidité des entreprises est à l'origine de l'inflation", a tweeté la représentante Katie Porter (D-CA). « Nous avons besoin de plus de concurrence pour faire baisser les prix. En attendant, j'exige des réponses directement de Cal-Maine.

    Cette demande de réponses a pris la forme d'une lettre du 16 février que Warren et Porter ont écrite à Cal-Maine et à quatre autres géants producteurs d'œufs américains. Ils ont exprimé leur inquiétude face à la flambée massive des prix des œufs et à la mesure dans laquelle les producteurs d'œufs pourraient utiliser les craintes concernant la grippe aviaire et les chocs d'approvisionnement comme couverture pour augmenter leurs propres bénéfices.

    "Les familles américaines qui travaillent pour mettre de la nourriture sur la table méritent de savoir si l'augmentation des prix qu'elles paient pour les œufs représente une réponse légitime à une offre réduite ou à une cupidité incontrôlable des entreprises", ont écrit les deux démocrates.

    Regardez ce reportage sur la flambée des prix des œufs.

    Cette vidéo provient de la chaîne The 100% Clean Food Lifestyle sur Brighteon.com.

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  101. Plus d'histoires liées :

    Le WEF promet d'interdire les œufs "dangereux" suite à la découverte scientifique que les manger guérit naturellement le covid.

    La pénurie d'œufs et l'inflation étrangement chronométrées avec la révélation que les jaunes atténuent naturellement les protéines de pointe du «vaccin» covid.

    UN AUTRE incendie dévaste l'élevage de poulets du Minnesota, tuant des dizaines de milliers de poulets qui fournissent des œufs pour l'approvisionnement alimentaire.

    Une ferme commerciale d'œufs dans le Connecticut s'enflamme pendant le week-end ; plus de 100 000 poulets perdus alors que le prix des œufs explose.

    Les sources comprennent :

    ChildrensHealthDefense.org
    CalMaineFoods.GCS-Web.com
    SFGate.com
    Warren.Senate.Gov [PDF]
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-04-10-windfall-profit-egg-producer-dismantle-big-ag.html

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  102. La DÉMOLITION contrôlée par les mondialistes de l'approvisionnement en protéines est pleinement effective alors que la vaccination forcée de tous les poulets contre la GRIPPE AVIAIRE CRÉÉE EN LABORATOIRE est maintenant imminente


    Monday, April 10, 2023
    by: S.D. Wells


    (Natural News) L'Allemagne et la France crient qu'il y aura des pénuries massives de poulet et d'œufs dans les mois à venir. Des centaines de millions d'oiseaux sont abattus à travers le monde. Maintenant, l'USDA pèse sur la vaccination de tous les poulets américains contre la grippe aviaire. Si elle est approuvée, cela sera obligatoire pour tous les poulets américains. Ces soi-disant « vaccins » contiendront-ils de l'ARNm, et cela transmettra-t-il les protéines de pointe mortelles à tous les humains qui consomment du poulet ? Tout cela fait partie de la chaîne d'approvisionnement fermée et le début de la fin de tous les producteurs de poulet et d'œufs qui ne se prosternent pas et ne servent pas les rois de l'industrie pharmaceutique - Pfizer. Ne vous méprenez pas, car tout cela fait partie d'une démolition contrôlée par les mondialistes de l'approvisionnement en protéines, de sorte que tous les humains (les péons non riches) seront obligés de manger des vers et des grillons au lieu de la viande et des œufs. Préparez-vous à la pandémie de "Bird-Gates-Flu" à gain de fonction.

    La grippe aviaire à gain de fonction de Bill Gates est en cours de création dans des biolabs en Ukraine en ce moment
    Quand les fausses nouvelles feront-elles naître la rumeur selon laquelle les humains attrapent la grippe aviaire en mangeant du poulet infecté provenant d'un marché humide en Chine ? Les fabricants du monde entier laissent entendre qu'une nouvelle souche de grippe aviaire pourrait traverser la division des espèces et infecter les humains, alors ils se précipitent pour développer un vaccin contre la grippe aviaire humaine. Alors que le H5N1 tue un nombre record d'oiseaux, selon MSM, il y a une histoire inédite concernant la recherche sur le gain de fonction qui est financée par vous savez qui, Bill Gates, via des biolabs ukrainiens. Est-ce la prochaine pandémie planétaire dont les mondialistes et Fauci disent qu'elle arrive bientôt ?

    Alors que les médias grand public du monde entier sont inondés d'informations sur la "pire" pandémie de grippe aviaire de tous les temps, sachez également que les tests que les mondialistes utilisent pour cela sont les mêmes tests FRAUDULEUX basés sur la PCR qu'ils ont utilisés pour l'arnaque Covid-19, et voilà le hic. Les Russes ont pris le contrôle de laboratoires biologiques financés par les États-Unis et l'OTAN en Ukraine et ont trouvé des recherches sur la propagation de la grippe aviaire à gain de fonction via les oiseaux migrateurs dans toutes les régions du monde. Réalisez que cela fait partie de la fausse poussée de viande, que tous les humains seront terrifiés à l'idée de manger de la vraie viande et auront recours à la viande de Franken pour le dîner, aux grillons et aux vers de terre pour le déjeuner et les collations, et aux œufs de zombies de Bill Gates pour le petit-déjeuner.

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  103. Grippe Bird-Gates? Le New York Post publie un titre sensationnel "Les scientifiques disent qu'une grippe aviaire apocalyptique pourrait anéantir la moitié de l'humanité"
    Le gain de fonction est un moyen pour les scientifiques de rendre les maladies animales contagieuses aux humains. C'est ainsi que Bill Gates et Fraudulent Fauci ont financé, créé et perpétué l'arnaque Covid. Maintenant, ils recherchent et financent une nouvelle arnaque utilisant la grippe aviaire, et ils annoncent déjà, tout en souriant d'une oreille à l'autre, que cela arrive bientôt. Maintenant que l'arnaque du Covid a pris fin, les mondialistes en ont besoin d'une nouvelle, pour sécuriser de fausses élections et faire avancer le programme mondial de dépopulation. Covid a anéanti près d'un milliard de personnes, principalement à cause des injections mortelles de thérapie génique par injection de caillots. C'était juste le début. Préparez-vous à un nouveau virus à gain de fonction appelé… attendez… Bird-Gates Flu.

    Bill Gates adore parler de la pandémie NEXT, tout en poussant des vaccins toxiques pour anéantir les minorités en Afrique et en Inde. Parlez de la suprématie blanche - il en est le "roi". Ce n'est plus une question de savoir si, mais quand, le virus du gain de fonction de la grippe aviaire « s'échappera » des biolabs et attaquera la population humaine, anéantissant quelques milliards de personnes, utilisant plus de « vaccins » à ARNm pour aider à mettre le clous dans les cercueils, littéralement.

    Voici le récit que les médias grand public et le Parti communiste chinois, qui dirige Washington DC et Pékin Biden, ont déjà commencé à se propager (jeu de mots) : L'épidémie de grippe aviaire à Hong Kong « a commencé avec un garçon de trois ans à Hong Kong, dont le mal de gorge et le mal de ventre se sont transformés en une maladie qui a caillé son sang et l'a tué en une semaine à la suite d'une insuffisance respiratoire et organique aiguë. Oui, c'est le récit que le monde entier se fera fourrer dans la gorge pour lancer la prochaine arnaque avant le début des élections POTUS de 2024. Préparez-vous pour les masques, les confinements, les vaccinations plus forcées (suicides) et la fin de la nourriture telle que vous la connaissez.

    Réglez votre fréquence d'actualités alimentaires sur FoodSupply.news pour obtenir des mises à jour sur davantage de pénuries alimentaires, de viande toxique et d'œufs contaminés arrivant dans les magasins près de chez vous lorsque la pandémie de grippe Bird-Gates commence.

    Sources for this article include:

    Reuters.com
    Rumble.com
    NaturalNews.com
    NYpost.com

    https://www.naturalnews.com/2023-04-10-forced-vaccination-of-chickens-lab-created-bird-flu-now-imminent.html

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  104. Réflexions sur l’évolution du système agroalimentaire chinois


    Par Devlin Kuyek et Angus Lam
    Mondialisation.ca,
    10 avril 2023


    Angus Lam a rejoint GRAIN en 2022 après avoir travaillé plus de 25 ans en Chine et dans toute l’Asie en soutien à des mouvements pour une alimentation locale, des systèmes de semences communautaires, des réseaux paysans de co-apprentissage et des campagnes contre les OGM. Dans cette conversation avec Devlin Kuyek, chercheur chez GRAIN, Angus partage quelques idées sur les évolutions passées et présentes du système alimentaire chinois, sur la base de son expérience de travail avec le monde paysan et les mouvements alimentaires en Chine continentale.

    Devlin : Peux-tu nous parler un peu du travail que tu faisais en Chine avant de rejoindre GRAIN ?

    Angus : Pendant une vingtaine d’années, j’ai travaillé en étroite collaboration avec des paysans et paysannes et des organisations de terrain dans la Chine rurale, en soutenant les pratiques agroécologiques, les systèmes de semences communautaires et ce qu’on appelle le mouvement des jeunes agriculteurs. Une partie de mon travail consistait à aider les agriculteurs et agricultrices à comprendre les impacts de l’industrialisation agricole et de la mondialisation sur leurs systèmes agricoles. Mon expérience au cours de cette période m’a permis de mieux comprendre les transformations agricoles rapides à l’œuvre dans les campagnes et, en particulier, les changements survenus au niveau communautaire du fait des politiques de privatisation et de mondialisation.

    Devlin : Peux-tu nous parler un peu de ces changements majeurs que vivait le monde paysan en Chine quand tu as commencé à travailler dans ce domaine ?

    Angus : La transition a vraiment commencé à décoller dans les années 1980, pendant les réformes économiques mises en place par le président Deng Xiaoping. Dans le secteur agricole, ces réformes comprenaient notamment des politiques comme le Système de responsabilité des ménages, qui a remplacé le système agricole collectif. Dans le cadre de ce système, les paysan·nes se voyaient attribuer des terres agricoles en fonction de la taille de leur ménage, et pouvaient décider quoi cultiver et où vendre leurs produits, tandis que des « marchés » étaient introduits dans l’économie rurale. La production agricole est donc largement passée d’une orientation communautaire à une orientation marchande.

    Un changement similaire s’est produit avec l’approvisionnement en intrants agricoles, qui est passé d’un système coordonné par l’État à un système d’approvisionnement fragmenté et privé. Un marché des semences et des produits agrochimiques a commencé à émerger. Dans un premier temps, les petites entreprises nationales et les stations de semences ou de produits agrochimiques contrôlées par le gouvernement (connues sous le nom de stations d’engrais et de stations de protection des plantes) « se partageaient » le système d’approvisionnement. Les entreprises étaient responsables de la commercialisation tandis que les stations administrées par le gouvernement étaient chargées de la gouvernance. Mais en réalité, il s’agissait le plus souvent d’« une seule institution à deux noms », car les fonctions de gouvernance et de marché se recoupaient et étaient interdépendantes. Les responsables locaux utilisaient leur autorité gouvernementale pour privilégier l’activité du marché. Par exemple, les autorités « demandaient » souvent aux agriculteurs et aux agricultrices d’acheter des engrais ou des semences hybrides de certaines marques.

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  105. Pour illustrer cette situation dans la Chine rurale, je peux te donner un exemple qui m’a été rapporté par un agent de vulgarisation agricole à la retraite dans le Guangxi, une province du sud-ouest de la Chine. Pendant quelques années, au début des années 1980, il a dirigé une équipe d’agents locaux de vulgarisation agricole chargés de promouvoir les engrais chimiques gratuits auprès des communautés. Il s’est vite rendu compte que les agriculteurs et agricultrices déversaient tous les engrais chimiques dans les rivières. Disposant déjà d’un riche approvisionnement en fumier organique, les engrais chimiques gratuits ne leur étaient pas nécessaires. Les paysan·nes souhaitaient uniquement conserver les sacs d’engrais en plastique, car ceux-ci étaient encore une ressource rare dans la Chine rurale à cette époque. Néanmoins, les autorités « créaient », sous le nom de services techniques, un marché pour les paysan·nes afin de générer des bénéfices pour les entreprises qui leur étaient étroitement liées.

    Devlin : Ces engrais chimiques et pesticides étaient-ils subventionnés par le gouvernement ?

    Angus : Les premières années, la plupart d’entre eux étaient subventionnés par le gouvernement et étaient offerts aux paysan·nes sous forme d’échantillons gratuits dans le cadre de vastes campagnes promotionnelles visant à encourager leur utilisation. Au début, les agriculteurs et agricultrices étaient sceptiques à l’égard des produits agrochimiques et n’en voyaient pas vraiment l’utilité, étant donné que le fumier organique était largement disponible et que les ravageurs et les maladies étaient efficacement contrôlés par les variétés de semences locales et les pratiques traditionnelles.

    Mais les choses ont commencé à changer dans les années 1980, avec la promotion intensive par le gouvernement de variétés de cultures à haut rendement, très dépendantes des engrais chimiques et des pesticides, et du fait des investissements massifs du gouvernement dans la production et l’importation d’engrais chimiques. Plus d’une centaine de nouvelles usines d’engrais ont été créées chaque année dans toute la Chine, pour atteindre un total de plus de 1 500 en 1987. Simultanément, la Chine a importé 24 millions de tonnes d’urée pendant plusieurs années consécutives, de 1982 à 1987.

    Paradoxalement, les importations d’urée ont rapidement fragilisé l’industrie nationale des engrais, entraînant une fermeture massive des petites usines, en particulier celles qui produisaient des engrais à base d’ammoniac. En 1986, Qin Zhongda, chef du ministère de l’Industrie chimique, a proposé au gouvernement de l’État de passer de « l’ammoniac à l’urée », ce qui nécessitait un processus de fabrication plus sophistiqué. Cela a conduit à une restructuration majeure de l’industrie, avec un transfert de contrôle au profit de grandes entreprises appelées « entreprises leaders ».

    Devlin : Les entreprises de ce type ont-elles également pris le contrôle d’autres secteurs de l’agriculture et de l’alimentation du pays ?

    Angus : Oui. Ces entreprises sont apparues en réponse à une crise issue du modèle initial de réforme. À la fin des années 1980, l’accent mis par l’État sur le développement urbain commençait déjà à entraîner une migration massive des paysan·nes vers les centres urbains pour travailler dans les usines. Cet exode rural a provoqué un effondrement de la production agricole.

    En 1998, l’État a répondu par une nouvelle politique visant à promouvoir l’industrialisation agricole. Il s’agissait essentiellement de remplacer la petite agriculture (considérée comme arriérée et improductive) par une agro-industrie à grande échelle (considérée comme efficace et moderne). Pour y parvenir, le gouvernement a choisi de remplacer les marchés locaux, encouragés dans les premières années des réformes économiques, par des systèmes d’agriculture contractuelle gérés par des entreprises agro-industrielles, dites « entreprises à tête de dragon ».

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  106. Angus : Le concept de souveraineté alimentaire n’a pas de traduction directe en Chine au sein des mouvements sociaux. Et « l’agroécologie » a malheureusement été interprétée de manière étroite par la communauté scientifique chinoise, avec une perspective technique similaire à celle de l’agriculture écologique. Des chercheurs et chercheuses traduisent même « agroécologie » par « agriculture biologique ».

    Cependant, les actions et les modèles du mouvement sont largement inspirés et nourris de l’expérience des mouvements internationaux d’agroécologie et de souveraineté alimentaire qui ont vu le jour à travers le monde entre la fin des années 80 et le début des années 90. Il est donc possible d’identifier certains principes ou valeurs communs entre le mouvement en faveur d’une alimentation locale en Chine et le mouvement mondial, ce qui peut conduire à un dialogue ou à un échange constructif.

    Devlin : Comment ces transformations du système alimentaire chinois ont-elles influencé les initiatives du pays à l’étranger ?

    Angus : Le lancement de l’initiative « la Ceinture et la Route » (BRI selon son acronyme anglais, d’abord appelée « Nouvelle route de la soie ») en 2013 a marqué une nouvelle étape dans la stratégie alimentaire mondiale de la Chine. Elle a établi les objectifs et les stratégies de l’investissement agro-industriel chinois à l’étranger dans différentes régions géographiques, couvrant plus de 150 pays d’Asie, d’Europe, d’Afrique et d’Amérique latine. Fondamentalement, la BRI ouvre un espace politique et fournit une infrastructure permettant à la Chine d’accéder à des denrées alimentaires provenant d’un nombre croissant de sources dans le monde.

    La stratégie alimentaire de la Chine s’inscrit toujours dans un triple cadre : assurer l’autosuffisance céréalière face à la pression démographique ; accéder aux importations alimentaires mondiales pour répondre à l’évolution de la demande alimentaire (en particulier la demande accrue de viande et de produits laitiers) ; et augmenter les investissements dans les infrastructures afin d’amplifier son influence dans le système mondial d’approvisionnement alimentaire.

    Il convient de noter que les projets agro-industriels chinois à l’étranger s’inscrivent souvent dans des objectifs à long terme et s’accompagnent de la construction massive d’infrastructures. Ces stratégies permettent ainsi au pays de développer des routes commerciales alternatives ou de nouvelles zones de production agricole pour permettre des exportations alimentaires vers la Chine.

    La Chine a par exemple récemment signé un accord avec la Tanzanie pour exporter du soja vers la Chine. Le projet est dirigé par Longping Agriscience, une entreprise semencière « à tête de dragon » appartenant au groupe CITIC, une société d’investissement publique chinoise. L’accord porte sur la construction d’une exploitation à grande échelle de 50 000 hectares à Mbeya, une ville du sud-ouest de la Tanzanie, spécifiquement pour la production de soja et de maïs.

    La coopération sino-africaine remonte à plusieurs décennies, mais sa forme a changé au fil du temps. Elle se caractérise aujourd’hui par l’intérêt de la Chine à dynamiser la production d’exportations vers la Chine et implique la diffusion d’un ensemble de technologies, d’expertises et d’investissements financiers, souvent via des entreprises chinoises, pour inciter les pays africains à reproduire le modèle agricole chinois, souvent au nom de la coopération bilatérale ou de l’aide au développement.

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  107. Devlin : Quelles sont les perspectives d’avenir que tu entrevois pour les mouvements alimentaires en Chine ?

    Angus : Le mouvement mondial pour la souveraineté alimentaire affirme que « la réponse réside dans le soutien à la petite agriculture, pas dans l’agro-industrie ». Cette valeur est également ancrée dans le mouvement florissant en faveur de systèmes alimentaires locaux en Chine et a commencé à être reprise dans des réseaux intersectoriels qui remettent en question le système alimentaire capitaliste et ouvrent un espace pour des trajectoires alternatives pour l’avenir du système alimentaire chinois. Il est également inspirant de voir de jeunes agriculteurs et agricultrices d’horizons divers s’unir pour pratiquer l’agriculture agroécologique en Chine. Enfin, je pense que les recherches et analyses menées sur l’agro-industrie et la stratégie alimentaire mondiale de la Chine fournissent des informations précieuses qui aident les mouvements alimentaires chinois à faire face aux différents défis auxquels ils sont confrontés.

    https://www.mondialisation.ca/reflexions-sur-levolution-du-systeme-agroalimentaire-chinois/5676870

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    Réponses
    1. GRAIN est une association verte terroriste qui promeut l'utilisation insuffisante et mal adaptée du fumier pour combattre l'arrivée d'engrais sélectionnés pour chaque type de plante. C'est donc soit, vivre comme au 19 ème siècle avec la famine de partout dans le monde soit évoluer intelligemment dans la compréhension de la composition de ces nouvelles nourritures spécifiques.

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