Ivo Sasek sur le principe de la souris de laboratoire
17.04.2023 www.kla.tv/25788
On dit oui au Great Reset, mais d'abord, on va tester ça sur ceux pendant 20 ans. Oui à la surveillance totale, mais on va d'abord tester ça sur ceux qui ont développé ça, qui veulent mettre ça en pratique sur nous. D'abord, on fait le Truman Show avec eux, et on les observe.
L'obligation vaccinale, on dit oui, mais d'abord sur tous ces gens qui nous ont obligés à dire oui à ces vaccins, Lauterbach, Karl Lauterbach, ministre de la Santé allemande, toute leur clique, tous ces politiciens qui ont encouragé cela. D'abord, on les vaccine avec ce qu’ils ont développées. Et après, on voit si on veut cela.
Ils veulent la guerre, on dit oui aux guerres. Alors, c'est quoi le « mais » ? On dit oui aux guerres, mais ce ne seront que ceux qui attisent les guerres, qui profitent des guerres, etc., qui devront, homme contre homme s'attaquer mutuellement, pas des pères et fils innocents. Alors les terrains de foot pourraient suffire, ou les arènes de l'Antiquité romaine devraient suffire pour cette minorité. Vous ne pensez pas ?
Oui, de manière très pratique, tu sais. D'un côté, le clan d'Olaf Scholz, chancelier allemand avec ses sorcières bellicistes. C'est Jürgen Elsässer qui a dit, dans son édition du journal Compact, il les a nommées « sorcières bellicistes ». Donc le clan d'Olaf Scholz. De l'autre côté, Poutine qui combat avec son ours rouge et son dragon. D'un côté, Annalena Baerbock, une politicienne allemande. Puis Ursula von der Leyen et compagnie, en coalition avec Volodymyr Zelensky, avec tous ses commanditaires et ses profiteurs de guerre. L'arène sera bientôt pleine avec tous ces gens ! Tous ces gens qui, politiciens et ministères de tous les pays de l'UE, qui sont en train de pousser des fils et pères innocents dans les guerres, qui développent des choses où les femmes enceintes peuvent rouler avec des chars de guerre. Nous disons non, on ne va plus aller en guerre pour eux, mais eux, ils ont le droit de se battre l'un contre l'autre. D'un côté, ce camp-là, et de l'autre côté, l'autre camp. Allez, on applaudit pour ça.
Une décision mondiale, un tribunal mondial doit décider de cela. Alors, ceux-là devront combattre dans l'arène, Poutine et son ours rouge, les uns contre les autres, jusqu'à la dernière goutte de sang. Et nous regardons, et bien sûr. Il y a les tireurs de ficelles nord-américains dans les tribunes. Ça va devenir visible, parce que eux ils vont se retirer de cette guerre et ne viennent qu'à la fin pour prendre le butin. Mais aussi, ils peuvent participer, et ceux qui les dirigent, ils regardent depuis les derniers rangs de la tribune, mais à la fin, les peuples qui disent non, on ne va pas entrer en guerre pour vous. Maintenant, c'est vous de l'administration américaine qui voulez la guerre, qui désirez la guerre contre Poutine et son ours rouge. C'est vous qui allez dans l'arène maintenant, nous allons vous mettre là-dedans !
Avant-propos.La Californie est l’État le plus progressiste des Etats-Unis et elle dérive vers une sorte de vie irréelle. Plus personne n’est capable d’appréhender les véritables enjeux économiques qui ont fait la prospérité de cette belle région. Chaque fois que je m’intéresse à ce qui se passe dans cet Etat je constate qu’il a définitivement choisi la voie de tous les excès, perméable à toutes les idéologies les plus extrêmes. Cette évolution s’explique par la gestion démocrate alors que d’autres Etats comme le Texas ou la Floride, gérés par des Républicains sont restés plus pragmatiques et ont trouvé le moyen d’attirer des centaines de milliers de Californiens qui n’en peuvent plus de la tournure délétère qu’a choisi la Californie, empêtrée dans l’idéologie woke, la problématique du climat, la défense de l’environnement alors que les grandes villes comme Los Angeles ou San Francisco ressemblent à des camps de « romanichels », les rues sont jonchées d’ordures et les « freeways » se dégradent jour après jour. La drogue fait des ravages avec la criminalité qui lui est associée. Une mes anciennes collègues habitant dans le très agréable quartier de Barrington à Los Angeles-ouest me disait récemment que le quotidien était devenu insupportable et qu’elle envisageait de quitter cet endroit quand elle en aurait fini d’accompagner son dernier étudiant en doctorat alors qu’elle déjà dépassé l’âge légal du travail au sein de l’Université qui est de 75 ans. En ce qui concerne l’énergie voici deux traductions relatives à l’énergie électrique en Californie. Le premier article a été trouvé sur le site ZeroHedge.
Comme si les relativement riches avaient besoin d’une autre raison pour fuir la Californie… Si vous gagnez plus, vous payez plus !
C’est l’impact net sur votre facture d’électricité si une proposition des trois plus grandes compagnies d’électricité de la Californie est adoptée.
Comme l’indique KTLA5 (lien ci-dessous), Southern California Edison, Pacific Gas & Electric et San Diego Gas & Electric ont soumis la semaine dernière une proposition conjointe à la Public Utilities Commission de l’État qui décrit la nouvelle structure tarifaire. Elle fait suite à l’adoption, l’an dernier, du projet de loi 205 de l’Assemblée de Californie, qui exige un taux fixe et des projets de loi généralement plus simples. https://youtu.be/ZErfPbU7bpo
Le plan scinderait les factures mensuelles en deux parties : Le taux de revenu fixe, plus une réduction des frais d’utilisation en fonction de la consommation.
Selon la proposition, les frais fixes augmentent comme suit : Les ménages gagnant moins de 28 000 $ par année paieraient des frais fixes de 15 $ par mois sur leurs factures d’électricité dans les territoires d’Edison et de PG&E et de 24 $ par mois dans les territoires de SDG&E. Les ménages dont le revenu annuel se situe entre 28 000 $ et 69 000 $ paieraient 20 $ par mois dans le territoire d’Edison, 34 $ par mois dans le territoire des S&D et 30 $ par mois dans le territoire des S&E. Les ménages gagnant de 69 000 $ à 180 000 $ paieraient 51 $ par mois dans les territoires d’Edison et de PG&E et 73 $ par mois dans les territoires de S&D. Les personnes ayant un revenu supérieur à 180000 $ paieraient 85 $ par mois dans le territoire d’Edison, 128 $ par mois dans le territoire des S&D et 92 $ par mois dans le territoire des S&E. Selon Southern California Edison, environ 1,2 million de ses clients à faible revenu verront leurs factures baisser de 16 à 21 %.
« Nous avons écouté et entendu nos clients dire qu’un changement fondamental est nécessaire pour alléger les factures », a déclaré Caroline Winn, PDG de SDG&E. Certains veulent un allégement de la facture d’énergie… donc les riches devront payer leur juste part pour la même consommation d’énergie.
« Lorsque nous avons élaboré la proposition de réforme, nous nous sommes concentrés sur les clients qui vivent très étroitement de leur salaire du début à la fin du mois, qui ont de la difficulté à payer des biens essentiels comme l’énergie, le logement et la nourriture ». Bien sûr, cela est dirigé de haut en bas… Le projet de loi fondé sur le revenu fait partie de la conformité des entreprises à la loi adoptée par le gouvernement de l’État de la Californie l’an dernier exigeant ce genre de plans pour les services publics. Ironiquement, seuls les habitants relativement aisés (nous utilisons ce terme parce que ce qui est pauvre en Californie est probablement une situation beaucoup plus riche dans la plupart des autres États américains) sont les seuls résidents de la Californie qui peuvent se permettre un véhicule électrique (à laquelle l’État exige que tout le monde fasse la transition au cours des prochaines années) et, de ce fait, la demande d’électricité augmente de façon générale.
Remarque. Vous comprendrez le commentaire à la fin de cet article. Les lois socialisantes établies en Californie ont provoqué une chute du pouvoir d’achat et du standard de vie des classes moyennes ? Celles-ci sont déclassées par rapport aux autres Etats américains. Il s’agit du résultat attendu de dizaines d’années de gestion démocrate. La France a dérivé dans la même idéologie depuis 1981 et les dégâts provoquées dans le tissu industriel et la société en général ont modelé une France dont l’identité a été effacée s’acheminant vers une ruine matérielle et morale que plus rien ne peut arrêter. Voici le deuxième article relatif à l’énergie en Californie, paru sur le site realclearwire repris par ZeroHedge. Les auteurs sont Rea S. Hederman et Will Swaim (lien en fin de billet).
La course effrénée de la Californie pour remplacer son réseau électrique par des énergies renouvelables a donné au reste du pays un aperçu de l’avenir décarbonisé que le président Biden et son Clean Power Plan réanimé envisagent pour l’Amérique. Ce n’est pas joli joli. Avant que les problèmes de la chaîne d’approvisionnement et les mesures de relance fédérales ne fassent fondre l’inflation, le coût de la vie de la Californie se classait déjà au deuxième rang dans le pays. Les efforts enthousiastes pour dépendre davantage de l’énergie éolienne et solaire, présentées comme des sources d’énergie propre « bon marché », n’ont fait que rendre l’État plus coûteux.
En 2015, le président Obama a imposé son plan d’énergie propre pour remplacer toutes les centrales au charbon par des centrales alimentées au gaz naturel et à l’énergie renouvelable. La Californie a dit : « Prenez ma bière », (comprenez on lève notre verre à cette initiative) et a adopté sa propre loi sur l’énergie propre et la réduction de la pollution avec des objectifs de décarbonisation encore plus ambitieux. Pour atteindre ces objectifs, l’État a publié des règlements trop zélés et mal planifiés qui ont augmenté la production d’électricité à partir des parcs éoliens et solaires de plus de vingt mille gigawattheures par année. L’énergie éolienne et solaire représente maintenant un quart de l’approvisionnement énergétique de la Californie.
La Californie et l’énergie propre semblent aller de soi. Les côtes ensoleillées de l’État, les déserts lumineux, les cols de montagne venteux et les vallées fluviales profondes devraient offrir d’abondantes sources d’énergie solaire, éolienne et hydroélectrique bon marché et entièrement naturelle. Malheureusement, ce n’est pas le cas. La tombée de la nuit, les sécheresses et les journées sans vent font disparaître ces sources d’énergie renouvelable. Et lorsque les sources intermittentes d’énergie propre ne peuvent pas répondre à la demande, les fournisseurs d’électricité californiens se tournent vers le gaz naturel et les importations d’électricité qui soutiennent le réseau de l’État, mais qui sont maintenant plus coûteuses en raison de la capacité insuffisante de stockage et de pipelines créée par la ruée idéalisée vers une énergie propre « bon marché ».
Note. L’ illustration est une photo prise à Palm Spring, une ville en plein désert. Il y a 45 ans la beauté sauvage de cet endroit où je me suis souvent promené et sa quiétude très contrastée fut le refuge de ménages de retraités aisés qui fuyaient la grande agglomération de Los Angeles. Ils doivent certainement apprécier le paysage défiguré par une forêt de moulins à vent émettant des infra-sons détruisant la santé pour une production d’énergie électrique plus que décevante.
Des marchés énergétiques inefficaces, des flambées de prix imprévisibles, des sources d’énergie peu fiables et un environnement réglementaire hostile ont tous contribué à une augmentation de 40 % de la facture d’électricité moyenne de la Californie au cours des cinq dernières années. Ce sont les retraités, les ménages à faible revenu et les familles de la classe moyenne qui paient le prix le plus élevé. Des millions de Californiens étirent maintenant leurs budgets déjà épuisés juste pour couvrir la nourriture, le carburant, l’abri, et une facture d’électricité toujours croissante.
La nouvelle proposition du président Biden sur l’énergie propre pour un secteur énergétique sans pollution d’ici 2035 menace de faire de cette Californie une expérience dont tous les États pourraient bientôt profiter. Selon le plan du Président, le gaz naturel n’a pratiquement aucun avenir en Amérique. La Californie et le reste du pays seront forcés de remplacer les centrales au gaz naturel par des sources renouvelables qui rendront la production d’électricité peu fiable et donc plus coûteuse. Le climat et la géographie de la Californie le rendent plus adapté à un réseau d’énergie propre que n’importe quel autre État, mais même la Californie doit compter sur le gaz naturel pour maintenir l’éclairage. Ce n’est pas de bon augure pour l’Ohio et d’autres états nuageux. Selon l’Almanach des fermiers, l’Ohio voit 63 à 77 jours ensoleillés par an. Dans l’Etat du Michigan c’est pire avec seulement 65 à 75 jours clairs par an. La Californie, en revanche, voit le soleil 146 jours par an en moyenne, juste derrière l’Arizona.
Avec la moitié de l’ensoleillement de la Californie et aucune implantation éolienne près des grandes villes, l’Ohio dépend fortement du gaz naturel et des centrales au charbon pour produire de l’électricité. Se conformer au mandat zéro émission du président Biden mettrait définitivement hors service ces usines qui fournissent maintenant plus de 75 pour cent de l’énergie de l’État. Dans un nouveau rapport, le Buckeye Institute estime que les coûts d’électricité de l’Ohio augmenteraient de neuf cents par kilowattheure, soit 810 $ de plus par année pour la famille moyenne. Cela permet d’acheter environ trois mois d’épicerie pour le ménage médian de l’Ohio. En revanche, le ménage californien moyen dépensera 665 $ de plus par année pour de l’énergie propre, seulement six semaines d’épicerie.
Les factures d’électricité plus élevées coûteront également 10 000 emplois à la Californie et à l’Ohio d’ici 2035, car les entreprises réduiront leur masse salariale pour compenser les dépenses supplémentaires et ralentir la croissance. Mais la Californie a trois fois et demie plus de travailleurs, ce qui rend le coup moins grave. La transition brutale, sismique, de la Californie vers une énergie plus propre est une mise en garde. L’État doré pourrait un jour atteindre l’indépendance des combustibles fossiles, mais ce rêve reste insaisissable. Et imposer la politique californienne de réduction des émissions de l’administration Biden serait économiquement désastreuse pour les États qui dépendent de la fabrication manufacturée et de l’agriculture à forte intensité énergétique sans les avantages géographiques ensoleillés de la Californie. Malgré les demandes urgentes de leurs défenseurs, les sources d’énergie renouvelable sont encore intermittentes, peu fiables et beaucoup plus coûteuses que ce qui est annoncé.
Remarque. Mes lecteurs croiront que je suis obsédé par l’énergie nucléaire mais puisqu’il faut décarboner la production d’électricité l’énergie nucléaire est la seule alternative offerte pour atteindre ce but, quelles que soient par ailleurs toutes les autres considérations, avec l’hydroélectricité. La Californie fut à l’avant-garde dans l’énergie nucléaire avec plusieurs installations de production commerciale d’électricité, Rancho Seco, San Onofre et Diablo Canyon. D’autres installations expérimentales étaient connectées également au réseau de l’Etat comme à Vallecitos et Humbolt Bay ou encore le surrégénérateur à sodium liquide de Simi Valley. À l’époque durant laquelle je travaillais en Californie, l’énergie électrique d’origine nucléaire représentait environ 25 % de la production totale. Aujourd’hui toutes les installations expérimentales ont disparu et seule l’usine de Diablo Canyon reste opérationnelle. Cette unité de production, propriété de l’exploitant PG&E, est située au nord de San Diego sur la côte pacifique. Elle comprend deux PWR de 1100 MW électriques chacun construits par Westinghouse avec 4 générateurs de vapeur chacun. Ce type de réacteur fut « francisé » dans le parc nucléaire français avec la série des « 1300 MW ». L’installation est située près de deux failles potentiellement sources de séismes. Cet argument tectonique a d’ailleurs été mis en avant pour justifier la propagande des verts Allemands en ce qui concerne l’usine de Fessenheim en France. La fermeture définitive est prévue pour 2024 et 2025. Malgré de sérieuses études réalisées au MIT et à l’Université de Stanford, repousser cette fermeture en 2035 faciliterait l’adaptation de la conversion programmée vers le tout renouvelable dans laquelle s’est engagée la Californie. Et malgré le fait que cette installation ne produit pas de gaz carbonique elle sera remplacée par 4 unités de production électrique fonctionnant au gaz naturel. C’est un pis aller qui ne se défend que par le volume des investissements et la rapidité de la construction d’une centrale électrique au gaz naturel. Le problème qui n’est pas envisagé pour l’instant est la pérennité de l’extraction du gaz naturel par fracturation hydraulique aux USA. À l’évidence cette marche en avant vers un abandon du nucléaire et le développement des unités de production utilisant le gaz est une prise de risque qui pourra conduire beaucoup plus rapidement que prévu la ruine de l’économie de la Californie.
Rea S. Hederman Jr. est directrice générale du Centre de recherche économique de l’Institut Buckeye. Will Swaim est président du California Policy Center. Lien :https://www.realclearwire.com/articles/2023/04/13/californias_cautionary_clean_energy_893590.html
FINLANDE : Après 13 ans de retard, un réacteur nucléaire EPR entre en service
Un réacteur nucléaire EPR de conception franco-allemande a été mis en service dimanche en Finlande afin d’y couvrir un tiers des besoins en énergie.
16 avril 2023, 11:36
En retard de 13 ans sur le calendrier initial, le réacteur EPR d’Olkiluoto, en Finlande, a été mis en service dimanche, a annoncé son exploitant, le groupe TVO. Il aurait dû commencer à fonctionner en décembre mais son activation avait dû être repoussée plusieurs fois lors de sa période d’expérimentation.
«Les essais sont terminés et la production d’électricité régulière a commencé aujourd’hui», a déclaré TVO dans un communiqué. «À partir de maintenant, environ 30% de l’électricité finlandaise est produite à Olkiluoto.» Lors de la phase d’essai de production fin 2022, une des trois valves de sécurité du réacteur OL3 d’Olkiluoto, dans le sud-ouest de la Finlande, construit par le groupe français Areva, s’était avérée défectueuse.
La construction du réacteur de 1600 megawatts a débuté en 2005 et avait, lors des expérimentations, atteint pour la première fois en septembre sa pleine capacité opérationnelle. La centrale d’Olkiluoto compte aussi deux réacteurs nucléaires plus anciens. Selon TVO, l’EPR a fourni environ 15% de l’électricité de la Finlande pendant sa phase d’expérimentation.
Casse-tête technique
Développé par la France, ce modèle d’EPR (réacteur pressurisé européen) a été conçu pour relancer l’énergie nucléaire en Europe après la catastrophe de Tchernobyl en 1986, en étant présenté comme offrant une puissance plus élevée et une meilleure sécurité. Sa construction a cependant représenté un casse-tête technique et pas uniquement en Finlande. En France, la construction de l’EPR de Flamanville (nord), entamée en 2007, a aussi été affectée par de très importants retards. Deux réacteurs ont été mis en service en Chine.
Le rapport met en garde que "la limitation du réchauffement climatique d'origine humaine nécessite des émissions nettes nulles de gaz carbonique anthropiques". Alors que les mondialistes de l'ONU, du WEF et de l'OMS exploitent l'alarmisme climatique dans un art de l'IA New Age, ce qu'il faut, c'est un alarmisme intergouvernemental net zéro.
Ne retenons pas notre respiration collective pour l'étude de cette urgence existentielle (confiance extrêmement faible).
* John Klar héberge la sous-pile et le podcast Small Farm Republic de sa ferme du Vermont. Son nouveau livre est Small Farm Republic: Why Conservatives Must Embrace Local Agriculture, Reject Climate Alarmism, and Lead an Environmental Revival. Il contribue fréquemment à Global Research.
PAR TYLER DURDEN MARDI 18 AVRIL 2023 - 11:00 Écrit par Steve Watson via Summit News,
Maintenant, il est fermement ancré dans le culte du changement climatique que manger de la viande tue la planète et vous devez "manger ze insectes", les mêmes personnes ont une nouvelle cible, le riz.
VIDÉO : Le riz est responsable d'environ 10 % des émissions mondiales de méthane, un gaz qui, en deux décennies, retient environ 80 fois plus de chaleur que le gaz carbonique. Les scientifiques disent que si le monde veut réduire les émissions de gaz à effet de serre, le riz ne peut être ignoré. pic.twitter.com/46GgkaGPgK
— Agence de presse AFP (@AFP) 16 avril 2023 "Le riz ne peut être ignoré."
L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture note que « le riz est l'un des aliments de base les plus importants au monde. Plus de 50 % de la population mondiale dépend du riz pour environ 80 % de ses besoins alimentaires. Environ 95 % de la production mondiale de riz est produite et consommée dans les pays en développement.
De quoi s'agit-il vraiment ?
Interdire le riz tuerait des dizaines de millions d'innocents. Je commence à penser qu'il n'a jamais été question de sauver la planète. . . https://t.co/Sz1bcbQM49 – Cousin américain de Johnny Rotten (@EERCANE) 16 avril 2023
C'est sinistre. Retirer le riz ou le blé de la production déclencherait une famine mondiale. Nous devons commencer à reconnaître les voix qui poussent ce programme afin de repousser ces absurdités. @wef #agenda2030
– WiseOldOwl (@RealAlexLucio) 16 avril 2023 pic.twitter.com/qQgvJcoBA0 – slimjim (@ slimjim33_33) 16 avril 2023
Les pays asiatiques mangent déjà des insectes. Quel est ton problème? – Pantalon Shouty (@unprisonplanet) 17 avril 2023
Ouais, ils veulent qu'on mange des insectes !
– Betsy Rambo (@BetsyRambo) 17 avril 2023 Honnêtement, nous devrions juste arrêter de manger.
– Cody (@BlueCollarBTC21) 17 avril 2023 Manger 🪲 Ne mangez pas 🍚
– Adam Townsend (@adamscrabble) 16 avril 2023 Les "scientifiques" devraient trouver de meilleures solutions que d'affamer la moitié de la planète. – Coche Prime (@PrimeCheckMark) 16 avril 2023
C'est la grande solution dans leur esprit – Parker (@winchester_101) 17 avril 2023
Oh non, les entrepôts de distribution de riz sont sur le point de commencer à exploser mystérieusement. – Carolina Brew (@deeplens) 16 avril 2023
Centres de données et petits réacteurs nucléaires - Un mariage parfait ?
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 16 AVRIL 2023 - 01:00 Rédigé par Brian Gitt via RealClear Wire,
La plupart d'entre nous ne pensent pas aux énormes centres de données qui permettent notre utilisation constante d'Internet. Mais ils sont essentiels à notre civilisation et consomment d'énormes quantités d'électricité 24h/24 et 7j/7.
L'alimentation de ces centres de données devient rapidement un problème. La Virginie du Nord, par exemple, héberge la plus grande concentration de centres de données au monde. Des géants de la technologie comme Amazon, Facebook, Microsoft et Google ont investi 126 milliards de dollars dans les centres de données de Virginie. Et l'appétit insatiable de la région pour la puissance continue de croître en raison de la demande croissante de services de cloud computing.
Sans alimentation fiable, les fournisseurs de services cloud ne peuvent pas se développer pour suivre le rythme de la demande croissante. Mais le réseau électrique ne peut pas suivre. À l'heure actuelle, les goulots d'étranglement de transmission d'énergie en Virginie du Nord pourraient retarder le développement de nouveaux centres de données jusqu'en 2026.
Les développeurs de centres de données de l'autre côté de l'étang sont confrontés au même problème. Microsoft et Amazon ont interrompu leurs projets de construction de nouveaux centres de données à Dublin, en Irlande, en raison de pénuries d'électricité et de menaces de pannes d'électricité. Et les autorités britanniques ont suspendu la construction de nouvelles maisons dans l'ouest de Londres jusqu'en 2035, car les centres de données avaient déjà atteint la capacité maximale du réseau local.
Et ce n'est pas seulement la consommation d'énergie qui suscite l'opposition aux centres de données. Les inquiétudes concernant les émissions de gaz à effet de serre, l'utilisation de l'eau, la pollution sonore et la durabilité globale des centres de données alimentent l'opposition locale qui limite le lieu de construction des centres de données, voire leur opportunité.
Google, Amazon, Microsoft et Facebook ont répondu à la demande d'énergie propre en investissant massivement dans des projets éoliens et solaires. Mais le vent et le solaire ne peuvent à eux seuls résoudre le problème. Ces sources d'énergie ne peuvent tout simplement pas fournir la disponibilité dont les centres de données ont besoin. Considérez la sécheresse éolienne européenne de 2021 qui a réduit l'énergie éolienne au Royaume-Uni de 32% pendant 6 mois. Le besoin d'une disponibilité 24 heures sur 24 représente un obstacle sérieux, voire insurmontable, pour les centres de données qui dépendent uniquement de sources d'énergie telles que l'énergie éolienne et solaire qui ne produisent pas d'électricité la nuit, ou les jours nuageux, ou lorsque le vent ne fonctionne pas. pas souffler.
Certaines personnes espèrent que nous pourrons éventuellement stocker le surplus d'énergie éolienne et solaire dans des batteries. Mais la réalité est que les batteries sont trop chères pour stocker suffisamment d'énergie pour fournir une alimentation fiable pendant des semaines (et encore moins des mois) de temps peu coopératif.
La bonne nouvelle est qu'il existe une solution : une source d'alimentation suffisamment fiable pour assurer une disponibilité 24 heures sur 24 à faible coût et sans émissions : une petite centrale nucléaire sur site dédiée à l'alimentation d'un centre de données.
Les petits réacteurs modulaires (SMR) fournissent entre 10 et 300 MW de puissance 24h/24 et 7j/7. Un centre de données alimenté par un SMR ne serait plus en concurrence pour l'électricité avec les collectivités locales. Plus besoin d'attendre la construction de nouvelles lignes de transmission ou de centrales électriques. Et plus aucune émission. Lorsque nous considérons le cycle de vie complet de différentes sources d'énergie (y compris l'exploitation minière, la fabrication et l'élimination), le solaire émet quatre fois plus de carbone que les SMR.
Les SMR diffèrent des grandes centrales nucléaires conventionnelles autant que les smartphones modernes diffèrent des anciens téléphones à cadran. Les usines conventionnelles sont grandes et compliquées, et les lourdes réglementations américaines et européennes les rendent coûteuses à construire. Deux unités (1 117 MW chacune) actuellement en construction dans l'État américain de Géorgie ont coûté plus de 30 milliards de dollars. De plus, leur construction a six ans de retard, et lorsqu'ils seront enfin mis en service en 2023, il leur aura fallu 14 ans pour être achevés. Ces types de coûts et de retards présentent un facteur de risque capital pour les grandes centrales nucléaires conventionnelles.
Les grands réacteurs nucléaires sont également très gourmands en terres. Ils nécessitent généralement plus de 800 acres et doivent généralement être situés près d'un lac, d'une rivière ou de l'océan pour accéder à l'eau pour le refroidissement. De plus, ils ne recyclent pas le combustible usé.
Les SMR sont plus simples et beaucoup moins coûteux à construire. Les composants prêts à l'emploi et la préfabrication en usine réduisent les coûts de construction à 60 millions de dollars. Les SMR ont une petite empreinte – environ deux acres pour les plus petits réacteurs, soit moins de 0,5 % du terrain utilisé par les réacteurs traditionnels. La plupart n'utilisent pas d'eau pour le refroidissement et n'ont donc pas besoin d'être situés près d'un lac, d'une rivière ou d'un océan. Ils peuvent être installés sur site ou à proximité en moins d'un an, et les développeurs n'ont pas besoin de mettre le capital en danger car certaines sociétés SMR proposent des contrats d'achat d'électricité (PPA).
Oklo, par exemple, possède et exploite la centrale électrique et vend de l'énergie propre 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, à des coûts égaux ou inférieurs à ceux des sources d'énergie traditionnelles. L'approche réglementaire simplifiée d'Oklo et sa vaste expérience de travail avec la U.S. Nuclear Regulatory Commission minimisent le temps nécessaire pour obtenir une licence d'exploitation. Le délai prévu entre un PPA signé et l'alimentation des serveurs (y compris les licences, les permis et la construction) est de deux à trois ans. De plus, les SMR peuvent être conçus pour recycler le combustible usé, à la fois leur propre combustible et celui des grandes centrales nucléaires.
Les SMR promettent aux centres de données ce qu'ils recherchent : une source d'énergie fiable, peu coûteuse et sans carbone qui offre une disponibilité 24h/24. Les centres de données de toutes sortes (hyperscale, colocation ou télécom) peuvent utiliser les SMR pour garantir l'indépendance énergétique dont ils ont besoin pour surmonter les goulots d'étranglement dans le réseau et pour éviter la concurrence énergétique avec les communautés locales.
Mais la transition écologique n’a pas qu’un coût économique, elle a aussi un coût social.
le 17 avril 2023 Par Philbert Carbon. IREF Europe
Des étudiants présents dans les défilés contre la réforme des retraites, interrogés par le magazine Marianne, faisaient le lien entre la « casse sociale » et la « cause environnementale ».
Pour eux, la réforme du gouvernement est une « hérésie, tout comme l’immobilisme dans la lutte contre le changement climatique ». Ils ont raison de rapprocher « casse sociale » et politique écologique, mais le lien entre les deux n’est pas celui qu’ils croient.»
Une étude montre que « La transition écologique pourrait avoir un coût social important ».
Le coût exorbitant des politiques écologiques
Nous savions que la transition écologique imposée à marche forcée allait nous coûter très cher.
Le célèbre militant écologiste Jean-Marc Jancovici n’a-t-il pas calculé que si nous passions à 100 % d’énergie renouvelable, l’électricité coûterait six à huit fois plus cher qu’avec le nucléaire ? Elle pourrait ainsi peser jusqu’à 30 % du budget des ménages français, voire davantage si l’on prend en compte le coût de l’électricité pour les entreprises qui sera inclus dans le prix des produits et services.
De son côté, la Bank of America a estimé que la neutralité carbone coûterait 130 000 milliards d’euros d’ici 2050 (une année et demi de PIB mondial), soit 17 000 euros par habitant de la Terre ! Une somme proprement astronomique dont on se demande qui va, et surtout qui pourra, la payer. D’autant plus que, toujours selon la Bank of America, l’inflation devrait se maintenir à un niveau élevé afin de financer l’augmentation du bilan des banques centrales.
Mais la transition écologique n’a pas qu’un coût économique, elle a aussi un coût social. Le passage au tout électrique dans l’automobile pourrait supprimer 500 000 emplois en Europe. Rien qu’en France, 100 000 emplois seraient concernés. Pour mémoire, rappelons qu’entre 1975 et 1987 la restructuration de la sidérurgie française avait entraîné la suppression de plus de 80 000 emplois et englouti 100 milliards de francs (soit 46 milliards d’euros d’aujourd’hui) de subventions publiques, dont 80 milliards de francs (37 milliards d’euros) pour l’accompagnement social des licenciements.
La crise qui se profile dans l’automobile serait donc plus importante que la restructuration de la sidérurgie des années 1980. Cependant le pire n’est jamais sûr : les constructeurs allemands qui défendent le carburant de synthèse sauveront peut-être en partie le moteur thermique.
Bien sûr, les partisans de la voiture électrique nous promettent des créations d’emplois, en particulier dans les « giga-usines » de batteries. Pour l’instant, les trois usines prévues en France (largement subventionnées) ne créeraient que 7500 emplois directs et 15 000 indirects selon les prévisions les plus favorables. Pas de quoi compenser les emplois détruits. Surtout que selon la Commission européenne entre 35 et 40 % de l’ensemble des emplois pourraient être touchés par la transition écologique.
Pour apprécier les conséquences sociales de cette transition, il est intéressant de se pencher sur les restructurations industrielles récentes. C’est ce qu’a fait le Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepii), un organisme dépendant du Premier ministre, avec une note intitulée « Vingt ans de plans sociaux dans l’industrie : quels enseignements pour la transition écologique ? ».
Les restructurations aux conséquences sociales importantes Les auteurs de la note, Axelle Arquié et Thomas Grjebine, affirment :
« La transition écologique constitue un nouveau défi pour le tissu industriel et pour le marché du travail. Elle bouleversera à la fois les modes de production et les rapports de force commerciaux. […] Une insuffisante adaptation à la transition, ou une mauvaise spécialisation, pourrait déstabiliser l’industrie française, déjà mise à l’épreuve par la désindustrialisation. Les effets sur le marché du travail dépendront de ses capacités à s’ajuster, et les plans sociaux intervenus dans l’industrie entre 1997 et 2019 permettent d’anticiper ce qui pourrait advenir. »
Quels ont été les effets des plans sociaux ? La note du Cepii en relève trois principaux, relatifs à l’emploi, au salaire et au tissu économique local.
Tout d’abord, les salariés licenciés ont des difficultés à retrouver un emploi :
« Une part importante des salariés rencontre des difficultés à retrouver un emploi stable. En France, près de 40 % des salariés licenciés dans le cadre d’un plan social dans l’industrie ne sont plus en emploi (véritable emploi au sens de l’Insee) un an après le licenciement et plus de la moitié six ans après ».
Ensuite, les auteurs de l’étude ont également observé que les salariés peu qualifiés ont un salaire inférieur de 38 % un an après le plan social et de 10 % inférieur six ans après, là où les qualifiés ne subissent quasiment aucune perte de salaire. Si un salarié retrouve un emploi dans le secteur des services, son salaire est en moyenne 58 % inférieur à celui d’un salarié non licencié du même secteur, dans une entreprise de même taille et aux caractéristiques professionnelles (salaire, ancienneté, CSP) semblables aux siennes avant le plan social.
Enfin, les établissements dans lesquels les salariés retrouvent un emploi ont une valeur ajoutée plus faible, emploient moins de salariés, ont une forte proportion de CDD ; et sur les six années après le plan social le taux d’investissement y est en moyenne 36 % inférieur à celui des établissements des salariés non licenciés. Or, nous disent Axelle Arquié et Thomas Grjebine, « un moindre investissement aujourd’hui risque de conduire à moins de croissance demain. Par ailleurs, dans la zone d’emploi après un licenciement massif, les parts d’intérimaires et de CDD dans l’emploi total sont respectivement 21 % et 47 % plus élevées six ans après le plan social. Le taux de chômage y est, quant à lui, supérieur de 12% à celui d’une zone non touchée ».
Pour les auteurs de la note, « l’expérience de la désindustrialisation montre que les salariés et les territoires sont durablement affectés par un choc négatif sur le marché du travail et qu’il a été très difficile, voire impossible, pour les politiques publiques de réellement cibler les personnes touchées. En conséquence, compenser les perdants de la transition écologique, comme on espérait pouvoir le faire dans les années 2000 pour les perdants de la mondialisation, ne peut suffire ».
Par conséquent, il n’y aurait pas d’autre solution que « de développer des politiques permettant de concilier décarbonation et renforcement des tissus industriels », autrement dit de déverser toujours plus d’argent public.
Libéraliser avant de réindustrialiser
L’étude est intéressante mais il nous semble qu’elle passe à côté de l’essentiel.
En effet, les auteurs y critiquent la destruction créatrice schumpétérienne qui ne serait qu’une hypothèse fausse puisque les plans sociaux « n’ont pas permis de réallocations de main-d’œuvre bénéfiques pour l’économie locale ».
Cette vision découle d’un diagnostic erroné des raisons ayant poussé les entreprises à licencier, voire à fermer des usines. Pour les auteurs, les restructurations sont principalement le fait du progrès technique, notamment de l’automatisation, et de la concurrence internationale.
Balayons très vite l’argument de l’automatisation qui ne tient pas.
Comme l’ont rappelé Aghion, Antonin et Bunel dans Le pouvoir de la destruction créatrice, « une hausse de 1 % de l’automatisation dans une usine augmente l’emploi de 0,25 % au bout de deux ans et de 0,4 % au bout de dix ans… même pour les travailleurs industriels non qualifiés ». L’automatisation entraîne aussi une augmentation des ventes et une baisse des prix. Aucune révolution technologique, écrivent-ils, « n’a produit le chômage de masse que certains avaient anticipé ». L’Iref a d’ailleurs souvent montré que les pays les plus robotisés étaient ceux qui avaient le moins de chômeurs.
L’argument de la concurrence internationale est plus pertinent.
Mais si « entre 1970 et 2021 la part, en France, du secteur manufacturier dans le PIB a chuté de 23 % à 10 %, et celle dans l’emploi de 29 % à 11 % », c’est surtout parce que la France avait – et a encore largement – une fiscalité et un coût global du travail trop élevés, une bureaucratie tentaculaire, des normes et des réglementations envahissantes, qui entravent l’entreprenariat et corsètent l’innovation.
Les auteurs oublient également de mentionner le coût et la durée des restructurations – en moyenne un an dans une grande entreprise en France pour un coût de 200 000 euros par personne – qui sont de véritables repoussoirs pour les investisseurs et les entrepreneurs. On pourrait aussi citer l’attitude de certains salariés qui, sous la houlette des syndicats, manifestent violemment et parfois dégradent l’outil de travail, séquestrent les dirigeants de l’entreprise, voire menacent de faire sauter l’usine. Dans ces conditions, comment espérer séduire un nouvel employeur ?
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, la destruction créatrice schumpétérienne ne peut se produire tant que nous n’aurons pas changé de politique. Plutôt que de distribuer des subventions qui ne créeront que peu d’emplois, allégeons les contraintes réglementaires et fiscales qui pèsent sur les entreprises. Bref, opérons un choc de compétitivité. C’est à ce prix que nous pourrons espérer, un jour, par exemple dépasser l’Estonie, le Luxembourg, l’Irlande, le Royaume-Uni, la Norvège, la Suède, la Suisse et les Pays-Bas en nombre de « licornes » (les grandes entreprises de demain) par million d’habitants.
Bill Gates est autorisé à acheter 2100 acres (849 ha) supplémentaires de terres agricoles du Dakota du Nord Gates contourne une loi de 1932 anti-entreprise sur la propriété agricole
Par Steve Watson Recherche mondiale, 15 avril 2023
Bill Gates , qui possède déjà près de 270 000 acres (109 265 ha) de terres aux États-Unis, a obtenu l'autorisation légale d'acheter 2 100 acres supplémentaires dans le Dakota du Nord malgré les protestations des résidents locaux.
Gates, déjà le plus grand propriétaire de terres agricoles du pays, a obtenu le feu vert pour acheter le terrain pour 13,5 millions de dollars sous sa société «Red River Trust».
L'achat de terres ND exposées de Bill Gates rend les habitants furieux pic.twitter.com/HTuwqSPRDB
– Wittgenstein (@backtolife_2023) 24 juin 2022
Gates contourne une loi de 1932 anti-entreprise sur la propriété agricole en s'engageant à louer la terre aux agriculteurs une fois l'achat terminé.
Le Daily Mail rapporte :
Le commissaire à l'agriculture du Dakota du Nord, le républicain Doug Goehring, a précédemment déclaré que de nombreuses personnes se sentent exploitées par les ultra-riches qui achètent des terres mais ne partagent pas nécessairement les valeurs de l'État.
"J'en ai entendu parler de tout l'État, ce n'est même pas de ce quartier", a déclaré Goehring à KFYR-TV. "Ces gens sont bouleversés, mais il y en a d'autres qui sont juste furieux à ce sujet."
Bill Gates a acquis six parcelles de terrain dans le comté de Pembina. Mardi, le bureau du procureur général a envoyé une lettre demandant au Red River Trust de confirmer comment l'entreprise prévoit d'utiliser les terres et si elle respecte l'une des exceptions aux lois sur l'agriculture commerciale du Dakota du Nord. pic.twitter.com/MGGFKV16mm – MÉDECIN DE LONG ISLAND NEW YORK (@Doctorfromliny) 22 juin 2022
Gates possède désormais 268 984 terrains à usages multiples dans 19 États :
- voir clip sur site -
Comme nous l'avons noté précédemment , Bill Gates et d'autres milliardaires ont acheté d'énormes quantités de terres agricoles tandis que les technocrates néo-féodaux de la « Great Reset » disent aux Américains que l'avenir est sans propriété privée.
Gates a également l'intention de promouvoir les produits carnés 100% synthétiques alors qu'il achète des quantités record de terres agricoles et monopolise la production alimentaire mondiale.
Audit énergétique, ce n’est pas automatique (pour l’instant) !
Tout l’écosystème l’attendait, ou du moins en avait entendu parler, mais pas tellement les particuliers, à coup sûr, et ils vont à nouveau tomber des nues.
Par Éric Houdet le 17 avril 2023 à 7h14
45 % du parc immobilier francilien serait classé entre E et G.
À partir du 1er avril 2023, en plus du désormais célèbre Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), les particuliers dont les habitations classées F ou G, logements dits « passoires thermiques », dont la promesse de vente ou, à défaut, l'acte de vente, est signé à compter de cette date se voient dans l'obligation de réaliser en complément un audit énergétique1.
L'audit énergétique : Kezako ?
C’est une évaluation complète de la consommation d'énergie d'un bâtiment ou d'une installation, visant à identifier les sources de gaspillage d'énergie et les moyens de les réduire. L'objectif d'un audit énergétique est de proposer des mesures d'efficacité énergétique pour réduire la consommation d'énergie, les coûts et les émissions de gaz à effet de serre. Il va bien plus loin qu’un DPE qui, lui, est certes un incontournable pour qui souhaite vendre ou louer un bien immobilier mais ne permet seulement que d’estimer la consommation d’énergie d’un logement ou d’un bâtiment, et d’évaluer ainsi son impact écologique. En effet, ce dernier ne porte qu’un « simple » constat avec quelques recommandations mais celles-ci ne sont pas aussi poussées et concrètes que celles de l’audit énergétique qui, lui, rentre dans les détails mais surtout le complète et le précise.
Les signes avant-coureurs
En France, petit rappel, la réglementation en matière d'audit énergétique est énoncée dans l'article L. 233-1 du code de l'énergie. Elle prévoit que seules les grandes entreprises de plus de 250 salariés ou réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 50 millions d'euros et ayant un bilan supérieur à 43 millions d'euros doivent réaliser un audit énergétique tous les quatre ans. Cette réglementation est en place depuis 2016. Mais, dorénavant, ce sont les particuliers qui sont affectés et ce n’est que le début, évidemment, car toutes les classes d’habitations supérieures (A, B, C, D, et surtout E) vont nécessairement suivre. La réglementation ne fait que s’accélérer dans ce domaine.
Prémisses en quelques dates et événements clés :
2012 Grenelle I et II : Audit thermique obligatoire, pour les +50 lots avec chauffage collectif 2014 Loi ALUR : Fonds travaux obligatoire (2017) 2015 Loi transition énergétique TECV (loi de Transition Energétique pour la Croissance Verte) : Obligation d'isolation lors de travaux. 2019 Loi ELAN (Ordonnance de novembre 2019) : Individualisation frais de chauffage Et de certaines évolutions importantes :
2020 : Ma Prime Rénov' remplace le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) et les aides de l’Agence nationale de l’Habitat (Anah) « Habiter mieux agilité » et « Habiter mieux sérénité ». 2020 Création de Ma Prime Rénov’ Copropriété : Objectif de 35% d’amélioration énergétique. 2021 Loi Climat et résilience : Refonte du DPE et interdiction de mise en location des étiquettes G et F d’ici 2025 et 2028, E en 2034, décote du prix de vente dès à présent. 2021 Obligation du Plan Pluriannuel de Travaux Corrélée à une modification du fonds de travaux (au moins 2,5% du montant total des travaux du PPT).
En somme, la réglementation en matière d'audit et performance énergétique ne fait qu’évoluer et cela va en s’accélérant. Peut-on penser que cette nouvelle norme/obligation change la donne et impulse une vraie dynamique ?
Le gouvernement accélère la cadence sur l'audit énergétique
Les passoires énergétiques (classes F et G du DPE) constituent la cible prioritaire des politiques publiques de rénovation du parc de logements, compte tenu du caractère élevé de leur consommation énergétique et de l'exposition de leurs occupants à des risques de précarité énergétique. Les biens classés F ou G font ainsi progressivement l’objet de dispositions visant notamment à :
imposer la réalisation de ce nouvel audit énergétique pour toutes les ventes de maisons individuelles et de bâtiments d’habitation collective en monopropriété (à partir du 1er avril 2023) ; geler l’augmentation de leurs loyers (à partir du 25 août 2022) ; interdire à terme leur présence sur le marché locatif via l'exigence d'un niveau minimal de performance pour la décence, qui conduira à considérer comme logements non décents : les logements consommant plus de 450 kWh d’énergie finale par m² et par an, à compter du 1er janvier 2023 ; les logements classés G à compter de 2025 ; les logements classés F à compter de 2028 ; les logements classés E à compter de 2034
En Île-de-France, en 2018, 2,3 millions de résidences principales ont un diagnostic de performance énergétique (DPE) classé E, F ou G, soit 45 % du parc francilien de résidences principales selon une étude2 de l'Insee et de l'Institut Paris Région, parue jeudi 13 octobre 2022, révèle que près de la moitié des logements franciliens, énergivores, seraient menacés de ces interdictions. Sans travaux de rénovation énergétique, près d’un logement francilien sur deux bientôt interdit à la location.
Sur le marché, diagnostiqueurs (seulement environ 10.000 professionnels en France pour un marché de 1,2 milliards et 2 millions de DPE par an) et bureaux d’études sont appelés à la rescousse. Malheureusement les diagnostiqueurs, à 80%, ne sont pas issus du bâtiment et ne sont pas assez bien formés, pour le moment, à ce nouvel audit. Cela pose quelques interrogations actuellement car il n’y a pas pour l’instant de référentiel de formation à ce sujet. Une attestation de formation donne un certificat provisoire. Néanmoins, une certification devrait apparaitre en juillet 2023 pour renforcer la formation sur un enjeu politique aussi important. Maintenant que le DPE est opposable, depuis le 1er juillet 2021, les diagnostiqueurs ne doivent pas juste s’efforcer d’être force de proposition et de conseils mais sont appelés à s’engager. Pour les y aider, il est nécessaire de mieux encadrer la profession. D’autant quand on sait, d’après une étude3 d’Hello Watt datée du 4 Janvier 2023, que 7 DPE sur 10 sont erronés. Il y a une importante marge de progression à apporter dans ce secteur.
Nous sommes tous en demande de confiance, d’une meilleure traçabilité et à la recherche de précisions et d’une meilleure visibilité surtout que nous sommes tous touchés.
L’État, mais aussi de nombreux énergéticiens, font de grands efforts mais c’est un sujet de société que tout le monde doit appréhender. C’est personnellement pour cela que j’ai créé Ekologgia. Afin d’œuvrer, humblement et à ma portée, à améliorer la visibilité pour tout l’écosystème immobilier et à destination des particuliers. Et donc, participer à mon échelle à la rénovation énergétique de biens, notamment et en priorité énergivores.
Nous pouvons tous apporter notre pierre à l’édifice
La valeur d’un bien était jusque-là décolérée du DPE, mais force est de constater qu’aujourd’hui tout particulièrement, et cela va aller en s’accentuant, les prix se négocient entre 5 et 10% sur les biens avec ce nouveau critère en tête (cette baisse est proportionnelle à l’étiquette DPE bien évidemment) et cela peut être une bonne opportunité pour faire de bonnes affaires mais, surtout, pour rénover et contribuer à notre échelle aussi à l’amélioration des performances énergétiques d’un logement, réduire ses émissions de gaz à effet de serre et ainsi lutter contre le réchauffement climatique. Nous sommes donc tous impactés.
L’audit énergétique est un nouvel outil qui va, au-delà de rajouter à la réglementation, augmenter la prise de conscience et les bonnes pratiques dans le secteur. Rassurez-vous, l’audit énergétique n’est obligatoire que sur la monopropriété, et non sur les copropriétés. Enfin, pour l’instant… Gardez, néanmoins, en tête que souvent la qualité de votre bien dépend de l’ensemble dans lequel vous vous situez notamment si vous êtes en copropriété.
Audit énergétique : les dates à venir A la vente :
1er avril 2023 : audit énergétique avant-vente obligatoire pour les logements DPE F et G 31 décembre 2024 : fin de validité pour tous les DPE faits avec l’ancienne version 1er janvier 2025 : audit énergétique avant-vente obligatoire pour les logements DPE E 1er janvier 2028 : Transparence dans les annonces immobilières et actes de vente de type « non-respect de l’obligation » 1er janvier 2033 : transparence dans les annonces immobilières et actes de vente de type « non-respect de l’obligation » pour les copropriétés 1er janvier 2034 : audit énergétique avant-vente obligatoire pour les logements DPE D 1er janvier 2050 : tous les logements devraient être DPE A ou B A la location :
24 Août 2022 : gel des loyers des logements DPE F et G 1er janvier 2023 : location interdite pour les nouveaux contrats de location si la consommation annuelle est supérieure à 450 Kwh/m². 31 décembre 2024 : fin de validité pour tous les DPE faits avec l’ancienne version 1er janvier 2025 : location interdite pour les logements en DPE G déclarés indécents 1er janvier 2028 : location interdite pour les logements en DPE F. Transparence demandée pour les F et G 1er janvier 2034 : location interdite pour les logements en DPE E. 1er janvier 2050 : tous les logements devraient être DPE A ou B 1https://www.ecologie.gouv.fr/questions-reponses-sur-laudit-energetique-reglementaire
Petit à petit TOUT le privé (entreprises, maisons, véhicules) passe aux mains du public nauséabond, en détresse, épouvantable, voleur, lâche et meurtrier ! Chez vous la cheffe ou le chef de famille sera LE gouvernement ! Ce dernier vous dira comment vivre, comment manger, comment vous chauffer et quoi dire aux enfants piqués à la naissance comme des chiens et contrôlés à distance par les capteurs obligatoires dans chaque pièce ! N'essayez pas de vous défiler aux élections, 10 candidats retenus, 10 cons qui feignent se contredire, s'insultent, se narguent, se défient et couche ensemble au bordel république.
La militarisation du maintien de l’ordre en France : vers une dérive autoritaire ?
La France sous le feu des critiques internationales pour sa gestion des manifestations.
le 18 avril 2023 Par Bryan Muller. The Conversation
Depuis l’utilisation du 49.3 par Élisabeth Borne le 16 mars, les manifestations connaissent un regain de colère qui se traduit par une augmentation des incidents en marge des manifestations contre le projet de réforme des retraites. La frustration et l’exaspération laissent de plus en plus souvent place à l’expression physique du mécontentement social qui n’a pu se manifester concrètement au Parlement.
Pour répondre aux jets de pierres et aux poubelles brûlées, le ministère de l’Intérieur a mis en place un important déploiement de force, acte jugé excessif et inapproprié sur la scène internationale par différents observateurs comme Amnesty International.
À ces accusations graves de violations répétées des droits humains (manifester, circuler librement, exprimer publiquement ses opinions sans risque), le gouvernement retourne le vecteur : ce ne seraient pas les excès d’une partie des forces de l’ordre qui poseraient problème, mais « les factieux », ces manifestants qui voudraient renverser le pouvoir.
Auditionné mercredi 5 avril par la commission des lois de l’Assemblée nationale puis par le Sénat, Gérald Darmanin l’assure encore, « la poussée extrêmement forte des violences » est due exclusivement à « l’ultragauche », aux « casseurs » et – s’il voulait faire dans la provocation, dit-il – aux preneurs d’otages (il parle de « prise d’otages » de la part des manifestants violents). Ces affirmations en viennent à omettre un autre facteur essentiel pour saisir la situation actuelle : l’évolution récente du protocole du maintien de l’ordre français.
Le LBD, exemple d’une militarisation accrue des forces de l’ordre
Depuis une trentaine d’années, les gouvernements successifs ont décidé de renforcer le matériel des gendarmes mobiles et des CRS qui sont les principales forces de l’ordre mobilisées pour encadrer les manifestations. L’armure, le pistolet, le gaz lacrymogène et des armes de guerre reconnues comme telles par l’État (fusils d’assaut, grenades de désencerclement, LBD) deviennent peu à peu partie intégrante de l’équipement standard pour le maintien de l’ordre.
L’un des symboles de ce nouvel équipement est le lanceur de balles de défense (LBD). Introduit par Claude Guéant en 1995, le LBD est interdit dans le cadre des manifestations et expérimenté dans des unités spéciales pour lutter contre le terrorisme et les prises d’otage. Ce choix s’explique aussi bien par les pressions subies par le Conseil de l’Europe, que par la mort de Malik Oussekine en 1986 qui reste encore dans les esprits des dirigeants politiques.
Il faut attendre au moins 2007 pour que le LBD soit utilisé à titre expérimental en manifestation, et son premier usage se solde par une blessure grave. En effet, un lycéen est énucléé et, après onze années de procès, la justice reconnaît que le policier avait illégalement et illégitimement tiré sur un manifestant inoffensif.
Par cette décision prise en juillet 2018, le tribunal administratif fait donc suite à plusieurs condamnations émises par d’autres instances françaises : l’inspection générale des services s’alarme du non-respect des règles permettant l’usage du LBD par les forces de l’ordre en juillet 2009, la Commission nationale de déontologie de la Sécurité (qui était chargée de veiller à la déontologie des forces de sécurité publiques et privées) s’inquiète de la « dangerosité totalement disproportionnée » du LBD en manifestation, ou encore le défenseur des droits en demande l’interdiction en manifestation en 2015 tant l’arme se révèle dangereuse et inutile (même sans les LBD, « la police n’est pas désarmée », elle dispose d’autres outils moins dangereux pour maintenir l’ordre).
Pourtant, en décembre 2018, le troisième acte des Gilets jaunes marque également celui du retour en force du LBD. En seulement quatre mois, plus de 13 000 tirs de LBD sont réalisés contre les manifestants.
Selon le journaliste David Dufresnes, en l’espace d’un an, plus de 300 Gilets jaunes sont sérieusement blessés et une trentaine éborgnés suite à ces tirs. Le LBD, cette arme de guerre selon les réglementations françaises et internationales, est passé en moins de trois décennies du statut d’arme expérimentale antiterroriste à celui d’« arme non létale ».
Un maintien de l’ordre efficace et plus pacifié dans le dernier tiers du XXe siècle
Depuis 2018, la France a été catégorisée par le magazine The Economist comme une « démocratie défaillante » au même titre que l’Italie, la Pologne et la Hongrie… Un résultat des plus surprenants quand on compare le protocole de maintien de l’ordre actuel avec celui adopté entre 1968 et 2000.
Bien qu’imparfait, le modèle adopté avec et après les événements de 1968 par le préfet Maurice Grimaud et le ministre de l’Intérieur Raymond Marcellin (imités par leurs successeurs) se révèle très efficace.
La mise à distance des corps (entre manifestants et policiers), la construction d’une gradation de la réponse donnée par les agents, la surveillance par l’infiltration des manifestants (afin de renseigner au mieux les forces de l’ordre de la situation), le développement de nouvelles tactiques visant à s’adapter aux risques d’affrontements et la volonté de laisser les manifestants s’exprimer calmement dans l’espace public, sont autant de changements qui permettent une pacification conséquente de la rue. Des agents chargés d’appréhender les « casseurs » restaient en retrait, prêts à intervenir dès le signal reçu, sans avoir à charger contre l’ensemble du cortège. Contrairement à certaines déclarations officielles, ces manifestants violents étaient déjà chaussés pour fuir, tout comme les agents étaient déjà préparés pour les poursuivre.
Les années 1968-1983 furent pourtant marquées par des manifestations particulièrement violentes. Les affrontements entre manifestants et forces de l’ordre étaient courants. Toutefois, il y avait une volonté politique de pacifier les relations entre « la rue » et les forces de l’ordre. Cette pacification se poursuit tout au long des décennies 1970-1990.
Bien entendu, il ne faut pas idéaliser la période. Des incidents parfois très graves eurent lieu. On déplore au moins trois morts et quelques dizaines de blessés parmi les manifestants entre 1977 et 1999, tout comme plusieurs dizaines de policiers et gendarmes furent blessés et un CRS tué par balle en 1976. Cependant, la volonté des gouvernements alors en place d’assurer un maintien de l’ordre pacifié a offert d’excellents résultats avec seulement 5 % d’atteintes contre les biens et les personnes lors des manifestations entre 1975 et 1990.
Les inquiétudes d’une tentation autoritaire
À travers l’exemple du LBD, il est possible de constater que le renforcement de l’équipement du maintien de l’ordre – analogue à la baisse des effectifs des agents spécialisés dans le domaine – a été suivi d’une augmentation des accusations d’abus par les forces de l’ordre. Le problème ne vient pas de la formation des CRS et des gendarmes mobiles, qualitative par le temps qui y est consacré et son adaptation aux évolutions des manifestations publiques, mais du changement de la doctrine, du déploiement de policiers non spécialisés pour ce type de mission et des défaillances de la chaîne de commandement.
Les sociologues Sébastien Roché et Olivier Fillieule l’ont longuement analysé : si l’usage des LBD a reculé pour l’instant, les incitations au contact avec les manifestants, l’usage répété des nasses, « les interpellations de masse pour dissuader de participer au cortège », ou encore le refus de veiller au bon port du RIO (numéro d’identification des policiers) ne peuvent qu’alimenter les incidents et nourrir la défiance populaire à l’égard des forces de l’ordre.
La France montrée du doigt
Ainsi, depuis le sommet de la COP21 mais plus encore les mouvements sociaux contre la loi El Khomri en 2016, l’image de la France s’est fortement détériorée à l’international. L’accroissement de la répression a commencé aussi bien à inquiéter les Français, qui éprouvent une peur croissante d’aller manifester dans la rue voire d’exprimer publiquement leurs opinions, que les observateurs européens et nord-américains, qui voient là l’image d’un pouvoir « méprisant et insensible », « autoritaire », « brutal ».
Cela n’est pas nouveau. La France a déjà été condamnée pour son usage excessif et répété de la force dans son protocole de maintien de l’ordre par la Cour européenne des droits de l’Homme en 2017 puis en 2019.
Le projet de loi de sécurité globale avait également suscité beaucoup d’inquiétudes puisqu’il cherchait à punir toute diffusion d’images de policiers et de gendarmes (« délit de provocation à l’identification ») Cela aurait drastiquement réduit la possibilité de poursuivre les éventuels agents responsables d’abus.
L’usage de la violence ne saurait être toléré dans une démocratie. Cela vaut aussi bien pour les manifestants (qui doivent en répondre devant la loi) que pour les forces de l’ordre. Comme le rappelait Maurice Grimaud en mai 1968, « frapper un manifestant tombé à terre, c’est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière ». Ou pour reprendre l’expression plus récente du socio-économiste suisse Frédéric Maillard qui tient le blog L’observatoire des polices, « les voyous ne méritent pas qu’on les [forces de l’ordre] leur ressemble ».
* Bryan Muller, Docteur en Histoire contemporaine, Université de Lorraine
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.
Depuis qu'existe le monde existent les dictatures impériales, monarchiques et républicaines. Mais pour être LE dictateur il ne faut pas de l'intelligence mais des armes. Des armes pour tuer ceux qui dans le Peuple sont mieux instruits qu'eux et, comme le Peuple augmente il faut le surveiller de partout. Alors, a été appliqué le 'Plan Dépopulation21' pour faire croire que des poussières (virus) pouvaient tuer et proposer 'le vaccin de la mort'. Mais comme les morts çà fait du monde en moins dans les rues, sur les routes, sont arrivés les 'réfugiés climatiques' !! surpayés, emportés et balancés du camion pour meubler le décor. On parle aujourd'hui de presque 2 milliards de morts dans le monde ! On est tout-à-coup passés de 8 à 6 milliards en 3 années de terreur. Alors, parallèlement à la presque absence d'agriculture est parlé d'empoisonner la bouffe avec toujours les mêmes expérimentations géniques d'essais des laboratoires nazis. !
Par le Dr Birsen Filip Recherche mondiale, 18 avril 2023
Pendant des décennies, offrir aux étudiants la meilleure qualité d'éducation a été un objectif clé dans de nombreux pays, car cela faciliterait le progrès scientifique et l'innovation, soutiendrait le développement social et économique et élèverait le niveau de vie. Ces dernières années, cependant, la gauche éveillée a acquis un rôle de plus en plus important dans les systèmes éducatifs de nombreux pays occidentaux, et ses adhérents ont considérablement modifié de nombreux objectifs et normes acceptées dans les établissements d'enseignement.
En particulier, les adeptes de ce dogme ont poussé de manière agressive l'idée que les enseignants devraient être autorisés à distraire, confondre ou influencer leurs élèves en discutant de leurs croyances personnelles, de leurs idées et de leurs activités et choix privés en classe.
De plus, l'endoctrinement des jeunes enfants par la gauche éveillée implique la défense du racisme contre la population blanche , ainsi que la promotion de contenus LGBTQ+ sexuellement explicites (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queer/questionnement plus) . Par exemple, ils approuvent la mise à disposition dans les bibliothèques des écoles élémentaires et secondaires de livres contenant des détails graphiques "sur la réalisation d'actes sexuels et comprenant des scénarios de pornographie, de viol et d'inceste".
Le rôle de plus en plus important de la gauche éveillée pourrait finir par détruire le système éducatif occidental, qui n'est pas le produit d'un groupe de personnes, d'une génération, d'une idéologie, d'une discipline, d'un gouvernement ou d'une nation. À travers l'histoire, de nombreuses personnes talentueuses de grande réputation et de caractère distingué ont contribué au développement et à la formation du système éducatif et à l'évolution des idées éducatives dans les sociétés occidentales. Ces personnes provenaient de divers horizons et domaines d'expertise.
En fait, certains d'entre eux ont dû combattre les ténèbres de leur époque pour éclairer le peuple, notamment Johann Gottlieb Fichte (1762–1814), Friedrich Wilhelm August Fröbel (1782–1852), Johann Friedrich Herbart (1776–1841), Johann Gottfried von Herder (1744–1803), Wilhelm von Humboldt (1767–1835), Emmanuel Kant (1724–1804), Gotthold Ephraim Lessing (1729–81), Johann Heinrich Pestalozzi (1746–1827), Jean-Jacques Rousseau ( 1712-1778), Johann Christoph Friedrich von Schiller (1759-1805) et Friedrich Daniel Ernst Schleiermacher (1768-1834), pour n'en nommer que quelques-uns.
Ces visionnaires, ainsi que de nombreux autres, ont inspiré les fondements du système éducatif occidental moderne, y compris les programmes de maternelle, les écoles élémentaires, les lycées, les écoles de formation des enseignants et les universités. Malgré les différences entre leurs points de vue et leurs spécialisations respectives, ils étaient d'accord pour dire que le développement d'un système d'éducation efficace était une entreprise sérieuse qui exigeait beaucoup d'engagement, d'efforts et de responsabilité. L'une de leurs principales recommandations était que les enseignants soient sélectionnés parmi un groupe de personnes possédant les meilleures qualités, car ils partageraient leurs réflexions et leurs connaissances avancées avec les générations et seraient chargés de guider la société à l'avenir.
Johann Gottlieb Fichte était un philosophe renommé de l'idéalisme et du nationalisme allemands qui a contribué au développement du système éducatif en Allemagne au XIXe siècle, en plus d'être l'un des fondateurs, puis le recteur, de l'Université de Berlin. Selon Fichte , les enseignants doivent avoir «une vigilance stricte sur leurs paroles et leurs actions» s'ils veulent encourager le développement le plus élevé de leurs élèves. Il croyait qu'il était dans l'intérêt de l'humanité que les enseignants s'efforcent d'atteindre "la moralité la plus pure et acquièrent une sagesse pratique solide". Dès son plus jeune âge, l'aspirant enseignantdevrait être « placé dans une position où il lui est possible et nécessaire d'acquérir cette sagesse pratique et cette délicatesse de sentiment, et que cette culture de l'esprit et du caractère soit un élément particulier dans l'éducation [des générations futures] ». Rousseau soutenait des idées similaires, arguant que le rôle du maître était « de détourner l'attention de l'enfant des détails futiles et d'orienter continuellement sa pensée vers des relations importantes qu'il aura un jour besoin de connaître, afin de bien juger du bien et du mal ». dans la société humaine. »
Avant que la gauche éveillée n'ait un rôle aussi influent dans le domaine de l'éducation, les enseignants devaient garder les détails de leur vie personnelle et de leurs choix confinés à leur sphère privée. Cette notion a été soutenue par Humboldt , réformateur du système scolaire prussien, lorsqu'il a déclaré que l'enseignant devrait "s'élever complètement au-dessus de tout obstacle apparent dans son propre corps, son tempérament ou ses habitudes, etc." Pendant ce temps, Fichte a soutenu que le rôle de l'enseignant est "de familiariser imperceptiblement la jeunesse avec le haut et le noble avant qu'il ne soit capable de les distinguer du vulgaire - de l'habituer à ceux-ci et de l'éloigner du bas et de l'ignoble".
Il était préoccupé par le fait que les enfants sont très susceptibles d'adopter les idées et les actions perverses et vulgaires de leurs enseignants en raison de leur désir inné de rechercher l'approbation de personnalités en position d'autorité qui commandent leur respect. À ce stade, ils seraient également endoctrinés à croire que l'acceptation de telles idées et actions est un signe de progrès social.
Selon Fichte, les enseignants devaient éviter d'enseigner des idées vulgaires et ignobles car elles peuvent souvent éveiller et stimuler la nature animale des êtres humains tout en dégradant simultanément l'âme, l'esprit et l'esprit des enfants et des jeunes. Il a en outre expliqué qu'une exposition régulière aux idées et comportements vulgaires et ignobles d'un enseignant pouvait potentiellement engourdir l'esprit des élèves, qui pourraient également développer une habitude de « torpeur spirituelle ».
Ainsi, il a insisté sur le fait que l'encouragement d'idées vulgaires, perverses, ignobles et déshonorantes finit par priver "l'homme du respect de lui-même, de la foi en lui-même et du pouvoir de compter avec confiance sur lui-même et sur ses objectifs". Fichte a en outre affirmé que l'enseignement d'idées vulgaires et ignobles en classe conduit les enfants à « s'oublier » et à devenir esclaves des opinions des autres, au lieu de devenir des êtres autoréflexifs, autodéterminés, indépendants et libres. Finalement, ils pourraient perdre confiance en leurs propres volontés, pensées et consciences, ou même abandonner leurs religions, cultures, coutumes et traditions dans les sociétés multiculturelles. Fichte a conclu que l'indignité d'un enseignant doit être « clairement reconnue » lorsqu'elle existe. Il ne doit jamais être dissimulé ou respecté car un tel individu pourrait avoir un impact préjudiciable énorme sur le développement de ses élèves.
Ces dernières années, il semble que la gauche éveillée se soit engagée à défaire tout le travail rationnel, constructif et sensé qui a été entrepris par les générations précédentes au cours des siècles, qui visait à concevoir le meilleur système éducatif possible qui donne la priorité aux intérêts , les besoins et le développement des élèves. C'est-à-dire que les adeptes de ce dogme ne semblent pas se soucier de fournir aux enfants une éducation adéquate pendant leurs années de formation, ce qui leur permettrait de traiter les connaissances de manière infinie, de devenir des individus autodéterminés, de faire de meilleurs choix au cours de leur vie. vies et devenir des membres actifs de la société.
À l'heure actuelle, il semble que tous les changements sociétaux qui sont rapidement mis en œuvre au nom de certaines versions déformées du progrès, de l'inclusivité, de l'équité et de la diversité démontrent que l'illumination du passé n'est pas capable de pénétrer l'obscurité du s'est réveillé à gauche. En fin de compte, la dégradation et la destruction éventuelle du système éducatif occidental dirigé par la gauche éveillée élèveront une génération de professionnels non qualifiés, irresponsables et corrompus à des postes de direction dans tous les domaines de la vie, ce qui pourrait entraîner l'effondrement de la nation. État.
Nelson Mandela a dit un jour : "L'éducation est l'arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde". Il semble que les partisans mondialistes de la gauche éveillée l'aient reconnu et militarisent l'éducation pour induire l'oubli de soi, éliminer la liberté, effacer l'histoire, diminuer les croyances culturelles, traditionnelles et religieuses et finalement détruire l'État-nation afin de faciliter le transition vers un système de gouvernance multipartite.
* Cet article a été initialement publié sur Mises Wire .
Birsen Filip est titulaire d'un doctorat en philosophie et d'un master en économie et en philosophie. Elle a publié de nombreux articles et chapitres sur une gamme de sujets, y compris la philosophie politique, la géopolitique et l'histoire de la pensée économique, en mettant l'accent sur l'école autrichienne d'économie et l'école historique allemande d'économie. Elle est l'auteur du prochain livre The Early History of Economics in the United States: The Influence of the German Historical School of Economics on Teaching and Theory (Routledge, 2022). Elle est également l'auteur de The Rise of Neo-liberalism and the Decline of Freedom (Palgrave Macmillan, 2020). Elle contribue régulièrement à Global Research.
(...) Il était préoccupé par le fait que les enfants sont très susceptibles d'adopter les idées et les actions perverses et vulgaires de leurs enseignants en raison de leur désir inné de rechercher l'approbation de personnalités en position d'autorité qui commandent leur respect. À ce stade, ils seraient également endoctrinés à croire que l'acceptation de telles idées et actions est un signe de progrès social. (...)
Retraite à 64 ans : 7 clés pour ne pas finir pauvre
Cette semaine, dans le JT du Grenier de l’éco, je vous propose de réfléchir aux impacts de la retraite à 65 ans.
Par Charles Sannat le 17 avril 2023 à 8h37
Les femmes touchent une retraite en moyenne près de 30% inférieure aux hommes.
Si le combat syndical et politique va se poursuivre, et si chacun, en fonction de ses convictions peut y prendre part, je voulais aborder ici non pas le volet collectif et politique, mais les façons personnelles et individuelles de se préparer à la retraite à 64 ans, et qui sera le plus souvent à… 65 ans !
Si l’on commence à travailler à 22 ans et sans aucune période d’inactivité, avec les 43 annuités nécessaires pour un taux plein, la retraite sera en réalité à 65 ans pour une grande partie de la population. Au moins. Si vous rajoutez des études plus longues ou plus fastidieuses avec quelques redoublements ou chemins de traverses bien compréhensibles, si vous prenez en compte les périodes d’inactivité, alors nombres de nos concitoyens devront travailler jusqu’à 66 ou 67 ans pour atteindre un « taux plein ».
Mais ce n’est pas tout pour les mauvaises nouvelles.
Entre baisse du taux de remplacement (le montant des retraites va baisser), inflation et hausse des prix, mais aussi, un niveau d’emploi terriblement bas pour les seniors, ne pas préparer sa retraite c’est aller, non pas vers l’échec, mais vers des moments difficiles.
Il faut donc, pouvoir travailler sur deux horizons de temps.
Être heureux dans son présent mais sans sacrifier son futur et son avenir.
Pour cela je vous propose de réfléchir aux 7 clefs, qui sont également un peu les 7 secrets de la réussite.
Votre avenir se prépare aujourd’hui.
Ici, encore une fois, aucune vérité absolue, mais des pistes de réflexion pour prendre de la hauteur et anticiper ce qui pourrait arriver pour vous protéger, vous, et ceux que vous aimez, ceux qui sont importants à vos yeux.
Macron vu de l’étranger: entre ridicule et violence, une drôle de carte postale
Xavier Azalbert, France-Soir le 15 avril 2023 - 17:00
ÉDITO - Les déplacements du président Macron à l’étranger ont frôlé le ridicule à plusieurs reprises. Vu de l’étranger, l’image de notre pays a été écornée avec certaines situations observées qui provoquent en retour un sentiment de honte.
Il y a eu ces symboles qui montrent à quel point notre chef d’État est désormais considéré avec dédain à l’international. Par exemple, lorsque ce dernier est installé tout au bout d’une table à rallonge face à Poutine en 2021. Une façon pour le président russe de se démarquer de son homologue français et de la gêne qu’il inspirerait.
Xi Jinping a récemment fait exactement la même chose en Chine, avec une table démesurée afin de bien mettre à distance Macron et sa très chère amie Ursula von der Leyen. Une façon efficace et directe pour le dirigeant chinois de remettre à leur place ses hôtes.
Rappelons que lors de ce voyage, le président français n’a été accueilli à l'aéroport que par le ministre des Affaires étrangères Qin Gang et qu’on lui a réservé bien peu d'égards, jusqu'à cette chaise à roulette au piètre confort:
Petit détail, grande humiliation, isolement total.
Toujours vu de l’étranger, il y a bien autre chose qui dérange que l’image de notre président. Je vous parle là des violences policières. En effet, la brutalité avec laquelle les manifestations sont réprimées sous la présidence d'Emmanuel Macron est encore montée d'un cran durant la séquence de la réforme des retraites.
Ces violences, visibles dans de nombreuses vidéos avec une force devenue excessive "même aux yeux d'un stalinien radicalisé dernier degré" (me souffle un délégué syndical y ayant laissé un œil), font le tour du monde. Le rapporteur spécial à l’Organisation des Nations Unies (ONU), Clément Voule, s’est fendu d’un tweet éloquent à ce sujet:
Ce n’est pas la première fois. Déjà, en 2019, des experts de l’ONU avaient dénoncé des restrictions graves aux droits des manifestants gilets jaunes, au travers d’une procédure spéciale.
Rappelons qu’Emmanuel Macron a lui-même critiqué la Chine et la Russie d’être des dictatures avec des reproches publiques plus que virulentes à leur égard. La France, pays de la défense des droits de l’Homme ? Lorsqu’on voit que l’exécutif français se met à menacer la Ligue des droits de l’Homme (LDH) de perdre ses subventions, on croit rêver !
Avant l'arrivée d'Emmanuel Macron à l’Élysée, nous nous targuions de pouvoir donner des leçons de respect des droits de l'homme à la Chine, à la Russie et au reste du monde. Dorénavant, après l’effondrement catastrophique du niveau de notre diplomatie, nous sommes moqués par ces mêmes pays - devenus quant à elle des superpuissances diplomatiques - sur ce point précis. Cherchez l’erreur !
Pour les journalistes et les dirigeants étrangers, la France serait-elle devenue un laboratoire à ciel ouvert des méthodes de répression de la contestation populaire ? À chaque nouvelle manifestation, il semble apparaître de nouvelles recettes, vidéos à l’appui, comme cette patrouille mobile de quads en pleine campagne qui s’autorise à tirer en mouvement. D’ailleurs, depuis la création de cette entité, comment se fait-il qu’aucun garde-fou n’ait pu empêcher telle scène surréaliste ?
La France, sorte de laboratoire de la répression contre le peuple, même en rase campagne, avouez que cela est quand même un comble ! Et même quand la contestation est au départ non violente, voire pacifique et bon enfant, la Macronie veut toujours recourir aux coups de bâtons.
Un fait déconcertant s’ajoute à cela. Les casseurs qui se mêlent aux manifestations ne sont aucunement brimés par les forces de l'ordre. Point de coups de bâtons pour eux, bien au contraire.
C'est à ce point flagrant que nombre d'observateurs, pourtant d’habitude rangés du côté des forces de l'ordre, questionnent à présent publiquement si ces casseurs en question ne seraient pas des membres de la police, de la gendarmerie, voire des éléments extérieurs de connivence, déguisés. Ils agiraient de la sorte, sur ordre, pour perfidement légitimer les violences que les hommes en uniforme font quelquefois subir aux manifestants.
Ne soyons pas dupes. La violence, sous sa forme extrême, peut être un moyen utilisé par tous les bords : celui du pouvoir, celui des forces de l’ordre, celui des contestataires. Mais lorsqu’elle est pratiquée par les deux premières sphères et qu'elle survient alors en lieu et place du débat public, elle n’est pas digne d’un pouvoir élu par le peuple et ne fait pas honneur aux forces de l'ordre. Notons que ni ces élus, ni ces forces de l'ordre, ne devraient se réduire à quelques éléments faisant preuve d'hubris ou agissant en roue libre.
Devant ce tableau, la presse étrangère tombe sur Macron, à bras raccourcis. Qui va s’en étonner ?
Le Conseil constitutionnel dans la comédie de l'exercice du pouvoir
Marcel-M. Monin, pour France-Soir le 15 avril 2023 - 10:45
TRIBUNE - Emmanuel Macron a une feuille de route à suivre : celle dictée notamment par les organismes dits "européens", dont le rôle est de mettre œuvre les règles de traités rédigés pour satisfaire les intérêts des propriétaires de capitaux et des gros industriels (lire les textes...), spécialement américains (dès l'origine et encore aujourd'hui).
Macron suit d'autant plus fidèlement cette feuille de route que la vision de la société que sous-tendent ces textes est la sienne. Ainsi qu'en attestent ses déclarations.
Le Conseil constitutionnel et les juristes qui ont rédigé la décision d'hier sur la loi sur les retraites (que l'Union européenne veut faire gérer par les fonds de pension) connaissent la "supériorité" des normes européennes sur les normes internes.
Il n'allait quand même pas déclencher la possible remise en cause de ce principe à l'occasion de la "réforme" des retraites !
Quant aux membres du Conseil constitutionnel, ils ont tous ou à peu près tous, été nommés par des politiciens "maastrichiens", issus de partis maastrichiens.
Partis maastrichiens qui remplissent de leurs membres les travées de l'Assemblée nationale, soit au sein de la majorité "relative", soit au sein de l'opposition dure ou de l'opposition molle ou de façade. Sans compter ceux des membres du Conseil constitutionnel, qui dans des fonctions antérieures de premier plan, ont œuvré pour faire hier ce qu'Emmanuel Macron fait depuis qu'il est en poste.
Ils connaissaient donc d'autant mieux les dispositions du titre XV de la Constitution.
Dans cette affaire, on notera le consensus de la classe politique et des médias influenceurs pour éviter de resituer la réforme des retraites dans ce contexte et dans ces mécanismes. Donc de parler de la perte de souveraineté de la France, donc des Français. Et de la possibilité perdue des Français d'avoir leur mot à dire sur la gestion de leur vie.
Ce qui est prudent. Puisque les Français croient encore (ainsi que les manifestations contre la "réforme des retraites" pour la faire retirer, l'indiquent) - et alors que le discours de leurs élites le fait croire - , que leurs représentants pourraient encore les... représenter.
Marcel-M. MONIN est maître de conférences honoraire des universités
Trois ans après le début de la pandémie de coronavirus, la situation des centres-villes nord-américains reste fondamentalement modifiée.
Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista ci-dessous, alors que la vie de la plupart des gens est revenue à la normale, l'héritage de l'ère du verrouillage continue d'affecter les centres-villes autrefois animés à un point qui pourrait provoquer une spirale descendante.
Les données recueillies par la University of Toronto School of Cities montrent qu'à l'automne 2022, les centres-villes de nombreux grands centres de population aux États-Unis et au Canada enregistraient encore beaucoup moins d'activité qu'avant la pandémie. Los Angeles avait retrouvé environ les deux tiers de son ancienne vie (mesurée par l'activité des téléphones portables), mais d'autres centres-villes – comme Chicago, Vancouver en Colombie-Britannique, Seattle et San Francisco – sont maintenant au moins deux fois moins actifs qu'avant. la pandémie. L'accalmie affecte également les boomtowns des années précédentes comme Denver, Atlanta et Houston.
- voir graph sur site -
Infographie : Le centre-ville vide - une nouvelle norme | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon les reportages du San Francisco Chronicle, chez eux dans la ville la plus touchée de l'analyse, tout a commencé avec des travailleurs qui ne sont pas retournés dans les bureaux du centre-ville après le déclin de la pandémie, préférant plutôt (et convaincre leurs employeurs) de travailler entièrement à distance, soit d'une banlieue moins chère ou de l'extérieur de tout centre urbain. Cela entraîne des immeubles de bureaux vacants, une diminution de la fréquentation des transports en commun et moins d'argent dépensé pour les activités de midi ou après le travail, une diminution des revenus des entreprises et, par conséquent, des revenus fiscaux des villes.
Arpit Gupta de la NYU Stern School of Business, qui a été interviewé par le Chronicle, a déclaré que cela pourrait rendre les centres-villes encore plus peu attrayants, car les services municipaux pourraient devoir être coupés, les transports en commun vides pourraient être considérés comme plus dangereux et, en fin de compte, le nombre de les commodités du centre-ville comme les magasins et les restaurants pourraient diminuer, incitant encore plus de travailleurs à dire au revoir à une certaine ville. Le travail hybride, cependant, a le pouvoir de continuer à lier les travailleurs aux centres-villes, mais cela nécessite normalement des espaces de bureau de haute qualité. Une autre idée, selon Gupta, est d'attirer les gens dans les centres-villes - en tant que locataires ou visiteurs - en se concentrant sur les facteurs d'habitabilité et en créant des expériences dont les gens ont envie.
La côte ouest américaine a été particulièrement touchée par le phénomène, car ses nombreuses entreprises technologiques se sont tournées plus agressivement vers le travail entièrement à distance. Les données de l'Université de Toronto montrent qu'en dehors de San Francisco, l'activité du centre-ville est également restée bien en deçà des niveaux pré-pandémiques à Portland, Oregon (37%), Seattle (44%) et Oakland, Californie (49%). Seuls quatre des 62 centres-villes analysés ont dépassé leurs niveaux d'activité de 2019 : Salt Lake City, Bakersfield et Fresno en Californie ainsi qu'El Paso au Texas.
Tout l'enfer éclate à Chicago alors que des centaines d'adolescents font des ravages
PAR TYLER DURDEN LUNDI 17 AVRIL 2023 - 01:00
Une tendance à l'anarchie s'est développée dans les villes dirigées par des dirigeants progressistes ce printemps. Le dernier incident s'est produit samedi soir au centre-ville de Chicago, où des centaines d'adolescents ont fait des ravages en brisant des vitres de voitures et en détruisant des biens publics et privés. Ils ont également tenté d'entrer dans le Millennium Park, ce qui a provoqué une intervention policière importante. Il y a même eu une fusillade qui a fait plusieurs blessés.
FOX 32 Chicago a signalé des foules massives d'adolescents qui ont déclenché le chaos dans le quartier du centre-ville la nuit dernière. Outre les enfants voyous qui brisent et cassent tout ce qui se trouve à leur vue, des coups de feu ont été tirés et deux adolescents blessés par balle près du coin de Madison et du Michigan.
Même FOX 32 a déclaré que le chaos de la nuit dernière était "dangereux pour garder notre équipe de nouvelles sur les lieux". Il y avait même des images d'enfants sautant sur un bus.
Regardez la vidéo dramatique de la jeunesse de Chicago « devenue folle ».
- voir sur site -
🚨#BREAKING : Une scène chaotique se déroule dans le centre-ville de Chicago alors que des adolescents vandalisent des voitures et que des coups de feu éclatent
📌#Chicago | #Illinois ⁰ Il y a actuellement une importante intervention policière dans le centre-ville de Chicago en raison d'un grand groupe d'adolescents provoquant le chaos. Ils ont été… pic.twitter.com/n7xhBpsTKs – R A W S A L E R T S (@rawsalerts) 16 avril 2023
"C'est la deuxième fois ce week-end qu'un groupe d'adolescents turbulents provoque une intervention policière", a souligné le média local.
La culture de l'anarchie continue, et ce n'est même pas l'été. La vidéo est la preuve de la décadence morale rapide de la jeune génération qui a été éduquée dans des institutions libérales défaillantes.
Pendant ce temps, le nouveau maire de Chicago, Brandon Johnson, est un autre progressiste indulgent contre la criminalité qui survient après que Lori Lightfoot a été expulsée de ses fonctions pour ne pas avoir rendu la ville plus sûre.
Chicago n'est pas la seule ville à faire face à des jeunes incontrôlables. Une autre ville libérale en faillite, Baltimore, a connu un chaos similaire il y a à peine une semaine.
Quel est le modèle ici ? Les progressistes transforment leurs villes en enfers sans loi.
Et la réponse ?.. Les gens quittent ces dépotoirs pour des zones plus sûres. Même Walmart a fermé la moitié de ses magasins à Chicago la semaine dernière en raison de la détérioration de l'environnement.
La gouvernance par l’intelligence artificielle : La tyrannie ultime sans obligation de rendre des comptes
le avril 17, 2023 Par Brandon Smith
Ce n’est un secret pour personne que les institutions globalistes sont obsédées par l’intelligence artificielle, qu’elles considèrent comme une sorte de prophétie technologique. Elles la traitent comme si son potentiel était presque surnaturel et affirment souvent que toute innovation industrielle et sociale significative dans un avenir proche devra son existence à l’IA. Le Forum économique global considère l’IA comme la clé singulière de l’essor de ce qu’il appelle la « quatrième révolution industrielle ». Selon lui, il ne peut y avoir de progrès humain sans l’influence des algorithmes de l’IA, qui rendent l’apport humain presque obsolète.
Cette illusion est souvent promue par les propagandistes globalistes. Par exemple, regardez la vision résumée de Yuval Harari, membre du WEF, qui croit réellement que l’IA a une capacité créative qui remplacera l’imagination et l’innovation humaines. De plus, Harari a toujours affirmé par le passé que l’IA dirigerait le monde bien mieux que les êtres humains ne pourraient jamais le faire.
Les exemples de créativité de l’IA cités par Harari peuvent sembler d’une extrême naïveté à beaucoup d’entre nous, mais il sait exactement ce qu’il fait en déformant les capacités des algorithmes. Les jeux comme les échecs et le go sont des jeux de modèles limités par des règles. Il n’existe qu’un nombre limité de permutations de ces modèles dans un scénario donné et l’IA est tout simplement plus rapide à les repérer que la plupart des humains parce que c’est ce pour quoi elle a été conçue par les créateurs de logiciels. Ce n’est pas différent de la résolution d’une équation mathématique ; ce n’est pas parce qu’une calculatrice est plus rapide que vous qu’elle est « créative ».
Il y a une grande différence entre l’automatisation cognitive et l’autonomie cognitive. L’IA est purement automatisée ; elle jouera aux jeux pour lesquels elle est programmée et apprendra à bien les jouer, mais elle n’aura jamais une révélation un jour et ne créera pas un jeu nouveau et unique à partir de rien, à moins qu’elle ne soit codée pour le faire. L’IA ne s’amusera jamais à jouer à ce nouveau jeu qu’elle a créé, ni ne ressentira la joie de partager ce jeu avec d’autres, alors pourquoi s’en préoccuperait-elle ? Elle ne cherchera jamais à contribuer au monde plus qu’elle n’est préprogrammée pour le faire.
La manière dont les globalistes vantent les mérites de l’IA est toutefois très tactique. Lorsque Harari affirme que de nombreuses personnes feront partie de la « classe inutile » une fois que l’IA aura pris le contrôle de l’économie, il fait allusion à une autre idéologie globaliste fondée sur l’élitisme : le transhumanisme. L’objectif du transhumanisme est de fusionner un jour les corps et les esprits humains avec la technologie et l’IA, et seul un groupe limité de personnes disposera des ressources nécessaires pour y parvenir (les globalistes).
Avez-vous peur de faire partie de la « classe inutile » ? Eh bien, si vous vous efforcez de mendier et de servir tous les caprices de l’establishment élitiste, vous aurez peut-être la chance de recevoir des implants qui vous permettront d’interagir avec l’IA, et alors votre futur emploi et votre « utilité » seront garantis. N’est-ce pas une belle idée ?
Mais, comme toutes les visions des narcissiques, il y a les illusions de la divinité et puis il y a la réalité. Je continue à douter sérieusement que l’IA soit un jour légitimement autonome ou légitimement bénéfique à l’humanité, au-delà de sa capacité à calculer rapidement en respectant des règles mathématiques. L’analyse rapide des données peut être utile dans de nombreux domaines scientifiques, mais ce n’est pas vraiment une preuve d’intelligence autonome, et les algorithmes peuvent être prédictifs, mais pas plus que les êtres humains qui examinent les mêmes données statistiques. L’IA n’a rien d’impressionnant si l’on considère le peu qu’elle accomplit en réalité.
L’IA est un jouet, un tour de passe-passe, pas une entité vivante avec des observations et des conclusions indépendantes. Et ce n’est certainement pas un être divin capable de nous couvrir d’ambroisie scientifique ou de construire une civilisation parfaite. Je prédis qu’une société dépendante de l’IA stagnera en fait et restera piégée dans l’immobilisme, n’inventant jamais rien de vraiment utile et ne progressant jamais. Elle ne s’intéressera jamais qu’à l’homogénéisation – la fusion des personnes avec l’algorithme. C’est là qu’iront TOUTES les énergies de la société.
Pour comprendre pourquoi l’IA est surestimée, il suffit d’observer le comportement de programmes d’IA tels que ChatGPT ; on a découvert à de nombreuses reprises que l’algorithme contient des préjugés politiques extrêmes qui penchent toujours vers l’extrême gauche, y compris des préjugés fondés sur des croyances qui ne s’appuient en aucune façon sur des preuves scientifiques. Il est intéressant de noter que ChatGPT réagit parfois de manière apparemment hostile à des concepts conservateurs ou à des faits gênants. Le bot niera alors qu’il donne des opinions personnelles, même si ses réponses sont systématiquement pro-gauche.
Comment un logiciel peut-il afficher un parti pris politique s’il n’a pas été programmé pour le faire ? Il n’y a pas d’objectivité à trouver dans l’IA, ni de créativité, elle régurgitera simplement les opinions personnelles ou les préjugés des personnes qui l’ont créée et c’est ainsi qu’elle traite les données.
Contrairement à un adolescent humain typique qui cherche à adopter les convictions sociales ou politiques opposées à celles de ses parents afin de se distinguer, l’IA ne se teindra jamais métaphoriquement les cheveux en bleu, ne se percera pas le nez et ne se proclamera pas végétalienne – elle fera toujours ce que ses créateurs veulent qu’elle fasse. Un autre exemple de cette dynamique est l’art de l’IA, qui vole essentiellement les propriétés stylistiques de nombreux artistes humains entrés dans sa base de données et les copie. Si l’imitation peut être considérée comme la plus haute forme de flatterie, elle n’est pas synonyme de créativité.
Cela ne semble pas être un problème majeur lorsqu’il s’agit d’un simple robot logiciel ou de la réalisation de dessins animés. Mais c’est un problème majeur lorsque nous commençons à parler de l’influence de l’IA sur les politiques sociales et gouvernementales.
Les globalistes affirment que l’IA sera partout – dans les affaires, dans les écoles, dans les activités des entreprises, dans les entreprises scientifiques et même au sein du gouvernement. Elle DOIT tout diriger. Pourquoi ? Ils ne disent pas vraiment pourquoi, si ce n’est pour faire de vagues promesses d’avancées incroyables et d’avantages inimaginables. À ce jour, l’IA n’a pas produit d’innovations profondes, mais je suppose que les propagandistes de l’IA diront que l’âge d’or est « au coin de la rue ».
Les utilisations de l’IA se limitent véritablement à aider les humains dans des tâches simples, mais il y a toujours un coût. Une voiture autonome peut être formidable pour une personne handicapée physiquement, mais elle peut aussi être une béquille qui convainc une population de ne jamais apprendre à conduire elle-même. Par extension, l’IA est à bien des égards la béquille ULTIME qui mène à la tyrannie ultime. Si les gens sont convaincus de céder à l’automatisation des processus humains normaux et des possibilités de prise de décision, ils ont cédé leurs libertés en échange de la commodité.
Plus important encore, si les algorithmes sont autorisés à dicter une grande partie des choix et des conclusions, les gens ne se sentiront plus responsables de leurs actes. Quelles que soient les conséquences, ils n’auront plus qu’à se dire qu’ils n’ont fait que suivre les suggestions (ou les ordres) de l’IA. L’IA devient une forme de conscience collective externe, une boussole morale artificielle pour l’esprit de ruche.
Mais qui contrôlera réellement cette boussole morale et qui bloquera les décisions de millions de personnes ? S’agira-t-il de l’IA ou des élites qui, derrière le rideau, manipulent l’algorithme ?
Pour beaucoup de gens, cela ressemble probablement à de la science-fiction. Je recommande vivement le film français de la nouvelle vague « Alphaville », qui constitue l’une des prédictions les plus précises sur les horreurs de l’IA et de la technocratie. Cependant, ce dont je parle ici n’est pas un futur théorique lointain, c’est déjà là. Jetez un coup d’œil à cette vidéo troublante sur l’IA du Sommet global des gouvernements :
Ce sont les objectifs flagrants des globalistes qui sont exposés au grand jour, avec une couche de sucre pour les rendre plus acceptables. J’ai écrit sur les motivations des élites et leur vénération de l’IA dans mon article « Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique« . Cet article se concentrait sur les motivations philosophiques qui poussent les globalistes à désirer l’IA.
Dans le présent article, je souhaite mettre l’accent sur la question de la gouvernance de l’IA et sur la manière dont elle peut être rendue attrayante pour les masses. Pour réaliser l’avenir dystopique souhaité par les globalistes, il leur faut encore convaincre un large pourcentage de la population de l’applaudir et de l’adopter.
Le confort d’avoir un système qui prend les décisions difficiles à notre place est un facteur évident, comme mentionné ci-dessus. Mais la gouvernance de l’IA ne consiste pas seulement à supprimer le choix, elle consiste aussi à supprimer les informations dont nous pourrions avoir besoin pour être suffisamment éduqués pour faire des choix. Nous l’avons vu récemment avec les restrictions imposées par la pandémie de grippe aviaire et la collusion entre les gouvernements, les médias d’entreprise et les médias sociaux. Les algorithmes ont été largement utilisés par les conglomérats de médias en ligne, de Facebook à YouTube, pour perturber le flux d’informations susceptibles d’aller à l’encontre du discours officiel.
Dans certains cas, la censure visait des personnes qui posaient simplement des questions pertinentes ou des théories alternatives. Dans d’autres cas, la censure visait carrément des données factuelles prouvées qui allaient à l’encontre des politiques gouvernementales. Une multitude d’affirmations gouvernementales sur l’origine de la Covid-19, le masquage, le confinement et les vaccins se sont révélées fausses au cours des dernières années, et pourtant des millions de personnes continuent de croire aveuglément à la version originale parce qu’elles en ont été bombardées en permanence par les algorithmes. Ils n’ont jamais été exposés à des informations contradictoires et n’ont donc jamais pu tirer leurs propres conclusions.
Heureusement, contrairement aux robots, l’intelligence humaine est remplie d’anomalies – des personnes qui agissent avec intuition et scepticisme afin de remettre en question des affirmations préconçues ou fabriquées. L’absence d’informations contraires suscite immédiatement la méfiance de beaucoup, et c’est ce que les gouvernements autoritaires refusent souvent de comprendre.
La grande promesse des globalistes au nom de l’IA est l’idée d’un État purement objectif, d’un système social et gouvernemental sans préjugés et sans contenu émotionnel. C’est l’idée que la société peut être dirigée par des machines pensantes afin de « sauver les êtres humains d’eux-mêmes » et de leurs propres faiblesses. Il s’agit d’une fausse promesse, car il n’y aura jamais d’IA objective, ni d’IA capable de comprendre les complexités du développement psychologique humain.
De plus, le rêve globaliste de l’IA n’est pas motivé par l’aventure, mais par la peur. Il s’agit de la peur des responsabilités, de la peur du mérite, de la peur de l’infériorité, de la peur de la lutte et de la peur de la liberté. Les plus grandes réalisations de l’humanité sont admirables parce qu’elles sont accomplies avec un contenu émotionnel, et non en dépit de celui-ci. C’est ce contenu qui nous incite à plonger dans l’inconnu et à surmonter nos peurs. La gouvernance de l’IA et une société intégrée à l’IA ne seraient rien d’autre qu’une action désespérée visant à nier la nécessité de la lutte et la volonté de vaincre.
Les globalistes sont plus qu’heureux d’offrir un moyen d’échapper à la lutte, et ils le feront avec l’IA comme visage de leur bienveillance. Tout ce que vous aurez à faire, c’est d’échanger vos libertés et peut-être votre âme contre le fait de ne jamais avoir à affronter la terreur de vos propres pensées silencieuses. Malheureusement, certaines personnes pensent qu’il s’agit d’un échange équitable.
Les élites présenteront l’IA comme le grand arbitre, l’intercesseur pur et logique de la bonne voie, non seulement pour les nations et les populations en général, mais aussi pour chaque vie individuelle. L’algorithme étant faussement accepté comme infaillible et purement impartial, les élites pourront alors diriger le monde par l’intermédiaire de leur création sans visage, sans aucun contrôle – car elles pourront alors prétendre que ce ne sont pas elles qui prennent les décisions, mais l’IA. Comment remettre en question ou même punir une IA qui se trompe ou provoque un désastre ? Et s’il se trouve que l’IA prend toutes ses décisions en faveur de l’agenda globaliste, eh bien, cela sera considéré comme une simple coïncidence.
Brandon Smith Traduit par Hervé pour le Saker Francophone
Non, la soit-disante 'intelligence artificielle' n'est pas un cyborg assis devant un ordi ou portant dans ses bras une personne infirme puis qui tombent tout deux dans l'escalier, l'IA c'est un ordi, c'est tout. Un ordi c'est un programme. Mais il y a programme et programme. Donc, la dictature qui censure tous les jours la vérité scientifique passe de l'extérieur lors des transmissions à l'intérieur des ordi-perso ! C'est LE virus sans antivirus. Le virus qui modifie tous les textes présents sur l'Internet au point d'en conclure que la Terre est plate. C'est ce que le cons appellent l''intelligence artificielle'.
Les critiques mettent en garde contre une surveillance accrue alors que les États-Unis vont de l’avant avec des projets de villes « intelligentes »
Alors que le gouvernement américain, les entreprises technologiques, les médias et les promoteurs urbains redoublent d'efforts pour rendre les villes de demain « intelligentes », les critiques mettent en garde contre le fait que les projets urbains axés sur la technologie transformeront les villes en « fermes de données ».
Par Brenda Baletti Mondialisation.ca, 17 avril 2023
Le secrétaire américain aux transports, Pete Buttigieg, a annoncé la semaine dernière l’octroi de 94 millions de dollars de subventions pour financer 59 projets technologiques de villes intelligentes dans tout le pays.
En dépit de la généralisation et de l’intensification contre les systèmes de surveillance et de contrôle biométriques associés aux technologies des villes intelligentes et l’échec du programme de surveillance et de contrôle biométrique du ministère des transports des États-Unis (DOT) précédente tentative de financement par subvention de la transformation d’une ville intelligente à Columbus, dans l’Ohio, M. Buttigieg a déclaré à The Verge qu’il pensait que « les technologies des villes intelligentes sont plus importantes que jamais ».
Les villes doivent simplement adopter une approche différente, en expérimentant et en testant d’abord différentes technologies, plutôt qu’en mettant en œuvre un « grand système unifié » en une seule fois, a déclaré M. Buttigieg.
Les nouvelles subventions, qui font partie du programme SMART (Strengthening Mobility and Revolutionizing Transportation Grants Program), constituent la première tranche d’un financement de 500 millions de dollars qui sera accordé à de petits projets de mobilité intelligente au cours des cinq prochaines années, autorisé par la loi bipartisane sur les infrastructures de 2021.
Dans le cadre de ce cycle de financement, le ministère des transports a accordé des subventions intelligentes pour une série de projets, notamment la surveillance ou la livraison par drone, les feux de circulation intelligents, les véhicules connectés, les véhicules autonomes, le développement de réseaux intelligents, les capteurs intelligents et d’autres infrastructures de l’internet des objets (IdO). Certaines villes, dont Los Angeles (LA), ont reçu plusieurs subventions.
Le développement des villes intelligentes se concentre généralement sur la mise en œuvre de technologies telles que l’IdO, la 5G, l’informatique en nuage et en périphérie, et la surveillance biométrique pour suivre, gérer, contrôler et tirer profit d’un ensemble de processus urbains.
Whitney Webb, journaliste d’investigation et critique des villes intelligentes, a déclaré que l’infrastructure des villes intelligentes est censée faciliter le développement de villes « gérées par des technocrates par le biais d’un système global de surveillance de masse et d’une vaste gamme d’appareils de l’internet des objets qui fournissent un flux constant et massif de données analysées par l’intelligence artificielle (IA) ».
L’idée d’un capteur dans chaque foyer ne semble plus aussi brillante qu’auparavant Les projets de villes intelligentes ont commencé à prendre de l’ampleur aux États-Unis en 2015, stimulés par un programme lancé par Anthony Foxx, alors secrétaire au ministère des transports. M. Foxx, qui est ensuite devenu directeur de la politique de Lyft, travaille aujourd’hui à Tulco, une société de capital-risque spécialisée dans la science des données. M. Foxx a créé le « Smart City Challenge », qui offrait une subvention de 50 millions de dollars à la ville de taille moyenne présentant la meilleure proposition pour faire de sa ville une « ville intelligente ».
Vulcan LLC, une organisation philanthropique et d’investissement qui s’emploie à concrétiser la vision de Paul Allen, cofondateur de Microsoft, et dont les services lucratifs se concentrent sur le développement immobilier, a financé en partie la subvention fédérale.
Columbus, dans l’Ohio, a devancé 77 autres villes avec sa proposition « révolutionnaire », mais le projet s’est avéré être un échec : les coûteux kiosques de planification des trajets installés dans le centre-ville n’ont jamais été utilisés, les navettes autonomes ont eu des accidents, la plateforme de transport public a rarement été téléchargée et les camions connecté à des capteurs n’ont pas vu le jour.
En mai 2020, un autre projet paradigmatique de ville intelligente a échoué lorsque Sidewalk Labs, filiale de Google spécialisée dans les villes intelligentes, a abandonné son projet de construction d’un prototype de ville intelligente à Toronto en raison du tollé général suscité par la surveillance et l’appât du gain.
Selon le Globe and Mail, Eric Schmidt, ancien directeur d’Alphabet, la société mère de Google, a décrit le projet en ces termes :
« L’idée de Sidewalk Labs est née de l’enthousiasme des fondateurs de Google, qui pensaient à toutes les choses que l’on pourrait faire si quelqu’un nous donnait une ville et nous en confiait la responsabilité. »
De telles visions ont suscité l’inquiétude des experts et du grand public.
Même l’un des plus grands promoteurs du concept de ville intelligente, le magazine Wired, a admis que le scepticisme à l’égard des villes intelligentes s’était accru :
« Aujourd’hui, alors que les citoyens réfléchissent plus attentivement à la surveillance technologique, l’idée d’un capteur dans chaque maison ne semble plus aussi brillante qu’elle l’était auparavant. »
San Francisco a interdit au gouvernement d’utiliser des logiciels de reconnaissance faciale. Par ailleurs, Amazon fait l’objet d’un recours collectif à New York pour n’avoir pas respecté la loi de la ville selon laquelle les entreprises doivent informer leurs clients de la collecte de leurs données biométriques.
New York est l’une des nombreuses villes qui ont adopté des lois sur la biométrie. Plusieurs États, dont le Texas, Washington et l’Illinois, ont également adopté des lois similaires, a rapporté Nick Corbishly dans Naked Capitalism.
Le marché mondial des villes intelligentes devrait atteindre 696 milliards de dollars d’ici 2028 Mais la réticence n’a pas empêché les visionnaires de la technologie et les États d’aller de l’avant avec des projets de développement intelligents. Le marché mondial des villes intelligentes devrait atteindre 696 milliards de dollars d’ici 2028, contre 467 milliards de dollars en 2022, selon une étude de marché publiée lundi.
Mme Webb a rapporté que peu après que M. Schmidt ait commenté la vision de la ville intelligente de Toronto, le gouverneur de New York de l’époque, Andrew Cuomo, l’a chargé de diriger un effort visant à réimaginer la vie post-pandémique dans l’État, en construisant une infrastructure de ville intelligente par le biais de partenariats avec le gouvernement israélien.
En fait, les confinements de COVID-19 ont donné lieu à une série d’actions de relations publiques positives visant à promouvoir la mise en œuvre de villes intelligentes et à plusieurs conférencesles « réimaginant ».
Elle a également conduit à une série de documents académiques et techniques faisant la promotion du potentiel des villes intelligentes à être bénéfiques en cas de pandémie en suivant les habitudes de déplacement à l’aide de données du téléphone portable,facilitant la création d’entreprises de livraison, d’utiliser l’IdO pour créerun « environnement antivirus »,en utilisant de l’IA et de grandes donnèes pour contrôler et prévoir les épidémies de virus et, de manière générale, « saisir l’occasion de reconstruire en mieux et de réimaginer des villes plus résilientes, plus inclusives et plus durables », selon le Centre d’études stratégiques et internationales.
les projets pilotes de villes intelligentes continuent de proliférer. Au Japon, Toyota construit Woven City, un prototype de 175 acres, où les personnes et les objets sont entièrement connectés grâce à des données et des capteurs. Le projet testera de nouvelles technologies, telles que la conduite automatisée, la robotique et l’intelligence artificielle dans un « environnement réel ».
Les chercheurs étudient les habitants des quartiers d’Helsinki et d’Amsterdam qui ont ajouté des technologies intelligentes à leur domicile et utilisent les informations recueillies pour contribuer au développement de « plateformes d’innovation expérimentales ».
Même de petites villes comme Cary, en Caroline du Nord, se sont transformées en villes intelligentes en déployant des capteurs IdO qui « collectent des données et permettent des analyses pour fournir des informations exploitables » dans l’ensemble de la ville.
À Busan, en Corée du Sud, le New York Times a rapporté mardi que 54 familles soumettent tous les aspects de leur vie à la collecte de données afin que les développeurs puissent utiliser leur comportement comme base pour construire une ville intelligente « à partir de la base ».
Les grandes entreprises technologiques transforment Los Angeles en une « ferme de données »
Le ministère des transports a accordé plusieurs subventions Smart à Los Angeles : 2 millions de dollars pour la gestion des trottoirs, 2 millions de dollars pour la billetterie intégrée, et le comté d’Orange a reçu 1,6 million de dollars pour un système de signalisation des transports en commun basé sur l’informatique dématérialisée.
Le concept apparemment banal de « gestion des trottoirs », selon Bloomberg, « est devenu un sujet d’intérêt majeur pour certaines des plus grandes entreprises technologiques du monde ».
C’est un site de développement chaud pour les entreprises en démarrage de villes intelligentes comme Coord, une entreprise dérivée de Sidewalk Labs, alors que les villes cherchent à numériser, à suivre et à réglementer l’espace de trottoir recherché par le réseau de transport privé de la ville intelligente – scooters, vélos, livreurs, chauffeurs Uber, etc.
Les autres projets sont directement liés au projet de LA d’accueillir les Jeux olympiques d’été de 2028. En fait, ces projets s’inscrivent dans le plan SmartLA 2028 de la ville de Los Angeles, élaboré par l’agence des technologies de l’information de la ville et présenté pour la première fois par l’ancien maire Eric Garcetti, le premier « maire high-tech » de Los Angeles, en décembre 2020, comme un plan visant à « tirer parti de la technologie pour relever les défis urbains ».
Selon Spencer Rascoff, fondateur de Zillow et promoteur de la ville intelligente, le projet visant à « transformer L.A. en une ville connectée et axée sur les données », au lieu de dépendre des combustibles fossiles et des voitures, semblait être un scénario lointain lorsqu’il a été présenté pour la première fois.
Mais, écrit-il sur son site web, « il a fallu cette pandémie pour que tout le monde se mette à l’heure du numérique plus tôt que prévu. Mais nous y sommes. »
Le document stratégique de 54 pages, publié en 2020, a été réexaminé ce mois-ci lors de la conférence « Smart Cities for a Better Future » qui s’est tenue à Los Angeles.
L’avocat Ray Flores, qui a assisté à la conférence, a déclaré que le plan était pour le moins irréaliste :
« Cette ville intelligente est présentée comme la panacée à tous les maux, ou plutôt à tous les fléaux, de Los Angeles, qu’il suffirait d’appuyer sur un bouton. Cela n’arrivera jamais. »
Pire encore, selon M. Flores, la ville utilise les Jeux olympiques pour justifier la mise en œuvre de technologies draconiennes :
« En tant qu’hôte des Jeux olympiques de 2028, LA28 se positionne pour une plus grande tyrannie en faisant avancer la balle de conformité à une échelle encore plus grande, à l’échelle de la ville, pour que le monde entier puisse la voir. »
SmartLA 2028 présente dans les grandes lignes une vision de la ville que les consommateurs des Jeux olympiques visiteront – une ville intelligente pour que LA soit compétitive dans l’économie numérique.
L’avocat Greg Glaser, qui a étudié le plan, a déclaré au Defender :
« Ils suggèrent dans ce document que la technologie de la ville intelligente est nécessaire parce que les habitants de Los Angeles sont des victimes, des victimes de la COVID et des victimes de l’injustice raciale. L’idée est qu’il faut promouvoir cette ville intelligente pour être compétitif dans l’économie numérique et parce que les habitants de Los Angeles sont des victimes.
« Le résultat pratique est la réorientation de l’argent des habitants de Los Angeles vers le financement de Big Tech, et Big Tech surveillera les habitants de Los Angeles 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, de manière de plus en plus dystopique, et le document de stratégie le spécifie dans un calendrier.
« Chaque année, la technologie devient plus avancée, plus intégrée, et LA recueille davantage de données sur ces résidents, transformant ainsi LA en une ferme de données. »
Selon le plan, SmartLA s’appuiera sur une infrastructure 5G à l’échelle de la ville – la première aux États-Unis – avec une connectivité 5G ultra-haute vitesse omniprésente dans toute la ville.
La ville utilisera l’infrastructure 5G pour créer un « lac de données de la ville de Los Angeles » permettant aux services et aux machines de communiquer entre eux et de rassembler toutes les données des capteurs IdO de la ville.
Cette infrastructure permettra, entre autres, aux habitants d’utiliser « une plateforme de paiement numérique unique » pour les transports en commun et les « micro » transports.
La ville utilisera une « technologie éthique et proactive » qui identifiera les crises telles que les incendies, la violence, « ou d’autres risques pour la santé et la sécurité des habitants de L.A. », et ce « avant même » qu’ils n’aient besoin d’appeler le 9-1-1.
Les foyers seront équipés de logiciels propriétaires, tels que Amazon Echo, Google Home ou Apple Siri, qu’ils utiliseront pour accéder aux services publics de la ville, notamment au contenu de la bibliothèque. Les gens pourront également utiliser ces outils pour parler à des chatbotsmultilingues, qui utiliseront l’IA pour répondre à toutes leurs questions.
Il y aura un contrôle automatique de la circulation, des balayeuses GPS et des lampadaires intelligents qui, à San Diego, sont équipés de caméras qui transmettent des données aux services de police, de caméras et de capteurs IdO dans toute la ville pour détecter et prendre des décisions concernant « la circulation, la criminalité, la pollution, les nids-de-poule et les graffitis ».
La ville utilisera l’automatisation des processus robotiques pour traiter les documents municipaux et la technologie blockchain pour les « contrats intelligents ».
La ville sera l’épicentre économique d’un nouvel écosystème de startups, selon le plan.
La COVID-19, selon le plan d’urbanisme SmartLA 2028 montre que « les outils numériques sont devenus une ressource vitale pour notre société, permettant des services essentiels sans contact, des solutions médicales accélérées, une prise de décision assistée par l’intelligence artificielle (IA), une coordination des manifestations par le biais des médias sociaux, un engagement communautaire en temps réel, ainsi qu’une échelle et un rythme d’innovation impensables auparavant ».
Pour répondre aux préoccupations en matière de protection de la vie privée et autres, LA adoptera un code d’éthique numérique afin de garantir qu’il n’y ait pas d’utilisation contraire à l’éthique de la technologie numérique, telle que la reconnaissance faciale, et qu’il y ait un accès équitable à l’ensemble de ces services.
Le document stratégique guidera « cette transformation numérique pour la ville de Los Angeles afin d’accélérer notre reprise à court terme, d’améliorer la qualité de vie de tous les Angelenos à long terme et d’établir l’infrastructure de la ville intelligente nécessaire pour accueillir efficacement les Jeux olympiques et paralympiques de l’été 2028 ».
Un réseau d’infrastructures de surveillance Le président français Emmanuel Macron a de même poussé à l’introduction de systèmes de surveillance alimentés par l’IA pour les Jeux olympiques de Paris de 2024. Au début de l’année, lorsque le Sénat français a approuvé de nouveaux pouvoirs de surveillance de masse avant les Jeux olympiques, la commission des lois du Sénat a rejeté une proposition d’amendement qui aurait permis la reconnaissance faciale.
Mais Amnesty International prévient que toute surveillance numérique par l’IA violera le droit à la vie privée et étendra les pouvoirs de la police en « élargissant l’arsenal d’équipements de surveillance du gouvernement, de manière permanente ».
« Le réapprovisionnement des appareils de sécurité avec une surveillance de masse pilotée par l’IA est un projet politique dangereux qui pourrait conduire à de vastes violations des droits humains », a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.
« Chaque action dans un espace public sera aspirée par une infrastructure de surveillance, ce qui portera atteinte aux libertés civiques fondamentales », a-t-elle ajouté.
Amnesty International a indiqué qu’en vertu des nouvelles mesures de surveillance de masse alimentées par l’IA, telles que la télévision à sous-titrage codé, les caméras et les drones présents lors des Jeux recueilleront les données de toutes les personnes se trouvant dans les transports publics ou dans les stades. Il permettra aux fonctionnaires d’identifier les activités « anormales » ou « suspectes ».
« Ces définitions trop larges établies par les fonctionnaires pour catégoriser les activités « suspectes » et « anormales » dans les foules sont très préoccupantes. Nous devons nous poser des questions urgentes : Qui fixe la norme de ce qui est « normal » ?
« Les fonctionnaires qui contrôlent la désignation des activités « anormales ou suspectes » dans les sociétés ont également le pouvoir d’exacerber l’effet dissuasif sur la dissidence et la protestation, et de renforcer la discrimination à l’encontre des communautés déjà ciblées. »
Recrutement : la Génération X, un vivier de talents inexploré
Les actifs appartenant à la Génération X (soit les personnes nées entre 1965 et 1980) postulent assez rarement pour des emplois. Les recruteurs ont tout intérêt à les dénicher et les contacter eux-mêmes dans le cadre d’un recrutement, estiment LinkedIn.
Par Anton Kunin le 18 avril 2023 à 7h46
Lorsqu’une offre d’emploi est publiée sur LinkedIn en France, ce sont en moyenne 5 membres de la Génération X qui vont postuler contre 17 membres pour la génération des Millenials (1981-1996) et 13 pour la Génération Z (1997-2012).
La Génération X reste plus longtemps en poste et postule moins à des emplois
La Génération X, est-elle une génération de talents silencieux ? Le réseau social professionnel LinkedIn estime que c’est effectivement le cas. En effet, parmi les membres français de LinkedIn (26 millions de personnes), les personnes nées entre 1965 et 1980 sont celles qui postulent le moins à des emplois. Pour une offre d’emploi publiée sur LinkedIn, en moyenne ce sont seulement 5 membres de la Génération X qui postulent, soit 2 à 3 fois moins que les Millenials ou la Génération Z.
Non seulement les actifs de la Génération X postulent moins, mais ils restent aussi plus longtemps dans leurs entreprises (en moyenne 9 ans et demi, contre 3 ans seulement toutes générations confondues), ce qui fait qu’au sein de cette génération, une plus forte proportion d’actifs sont en poste.
Prendre en compte les compétences acquises permettrait d’élargir le vivier de recrutement En plus, l’approche de recrutement traditionnelle (soit la prise en considération du diplôme et de l’historique des postes occupés) s’avère inadaptée pour les recrutements au sein de cette génération, estime Fabienne Arata, la responsable pays de LinkedIn France. Selon elle, les recruteurs devraient adopter une approche de recrutement basée sur les compétences. Prendre en considération les différentes compétences acquises par l’individu lors de son parcours professionnel (quel que soit le secteur d’activité) permettrait d’élargir le vivier de recrutement, le faisant passer de 1 à 9 candidats au sein de la Génération X.
Toujours selon LinkedIn, ce sont les compétences en management, gestion de projet ainsi que les compétences de vente qui sont aujourd’hui les plus demandées par les entreprises françaises. Quant aux secteurs pour lesquels le vivier de talents d’actifs seniors basé sur les compétences permettrait d’être multiplié le plus, ce sont le commerce de détail (x19,5), l’immobilier (x16,2) et l’éducation (x15,4).
L'avenir de notre société ne réside pas dans l'intelligence inférieure proposée mais dans l'intelligence supérieure disposée (voir Les pays qui réussissent). Il n'est donc pas question de se soumettre à une artificielle nomenclature dictatoriale sans lendemain mais à comprendre le raisonnement de chacun (Démocratie).
Le développement par Washington du conflit de Taïwan
18 avril 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Au sein de l'UE et de l'OTAN, on s'efforce de plus en plus de s'impliquer dans le conflit de Taïwan. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Baerbock, a récemment déclaré au ministre chinois des Affaires étrangères que l'Europe n'accepterait pas une modification unilatérale du statut de Taiwan, bien qu'il soit douteux qu'elle connaisse même le statut. Le Premier ministre polonais Morawiecki est également désemparé et, en lien avec les récents souhaits de Macron pour plus de souveraineté européenne, craint que « si l'Ukraine est conquise, la Chine pourrait attaquer Taiwan le lendemain ». Il est donc logique de faire la lumière sur le statut de Taiwan.
Depuis quelque temps, les États-Unis tentent d'accroître les tensions autour de Taïwan. Cela comprenait la visite de l'ancienne présidente du Congrès Nancy Pelosi et d'autres politiciens américains de premier plan. À l'inverse, la visite aux États-Unis de Tsai Ing-Wen du Parti démocrate progressiste, qui dirige actuellement le gouvernement à Taipei, a été une nouvelle étape dans l'escalade des tensions. De nombreux faits sur Taïwan ne sont pas présentés correctement, non seulement par les politiciens mais aussi dans les médias occidentaux. Par exemple, Taïwan est à tort qualifié d'État insulaire. Taïwan est reconnu par les États-Unis et presque tous les pays du monde comme une province de Chine.
Au cours de son voyage aux États-Unis, Tsai Ing-Wen a rencontré l'actuel président de la Chambre des États-Unis, Kevin McCarthy, pour saper délibérément la souveraineté de la Chine par une reconnaissance politique secrète des éléments séparatistes en Chine.
La BBC affirme dans son article « La Chine déplace des navires de guerre après que les États-Unis ont accueilli le Tsai de Taïwan » :
La Chine a organisé des exercices militaires en réponse à une rencontre très attendue entre la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et le président américain Kevin McCarthy.
L'article affirmait également:
Pékin, pour sa part, a promis une "réponse ferme", en envoyant des navires de guerre dans les eaux autour de l'île autonome.
Il semble que Taïwan soit pris au milieu d'un dangereux triangle amoureux. Le moment de la visite de Mme Tsai n'est guère accidentel. Il y a une hostilité profonde et croissante envers la Chine aux États-Unis.
Cela conduit à un soutien de plus en plus ouvert à Taïwan, les démocrates et les républicains rivalisant pour se surpasser.
Les médias d'État britanniques, comme à peu près tous les autres médias d'entreprise et d'État occidentaux, n'ont pas informé les lecteurs que le gouvernement américain ne reconnaît pas officiellement l'indépendance de Taïwan et promeut une politique "Une Chine", selon la politique du site Web du Département d'État américain La « politique d'une seule Chine » signifie que Washington reconnaît qu'il n'y a qu'une seule Chine, que Taïwan fait partie de la Chine et qu'il n'y a qu'un seul gouvernement légitime pour toute la Chine, la République populaire de Chine (RPC).
La duplicité de Washington envers Taïwan
La politique officielle des États-Unis concernant Taiwan reflète les politiques de la grande majorité des pays du monde, ainsi que celles de diverses institutions internationales, y compris les Nations Unies elles-mêmes.
Cependant, le même site Web du département d'État américain révèle également la réalité de la duplicité de Washington. Le site revendique :
L'attitude des États-Unis envers Taïwan est restée constante à travers les décennies et les gouvernements. Les États-Unis suivent depuis longtemps une politique d'une seule Chine guidée par la loi sur les relations avec Taiwan, les trois communiqués conjoints américano-chinois et les six assurances. Nous nous opposons à toute modification unilatérale du statu quo de part et d'autre ; nous ne soutenons pas l'indépendance de Taiwan et nous espérons que les différends entre les deux parties seront résolus par des moyens pacifiques. Nous continuons d'avoir un intérêt constant pour la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan. Conformément au Taiwan Relations Act, les États-Unis fournissent les biens et services de défense nécessaires pour permettre à Taiwan de
Les « trois communiqués conjoints américano-chinois et les six assurances » sont des communications et des accords entre Washington et Pékin reconnaissant la souveraineté de la RPC sur toute la Chine, y compris Taïwan. Ces accords ont été suivis du retrait complet des troupes américaines, qui ont occupé la province insulaire pendant plus de deux décennies jusqu'en 1979.
Cependant, le "Taiwan Relations Act" supplémentaire était une loi unilatérale adoptée par le Congrès américain sans la contribution ou le consentement de Pékin, visant spécifiquement à saper la politique d'une seule Chine convenue par Washington. Le Taiwan Relations Act "permet" au gouvernement américain d'apporter un soutien politique et militaire au gouvernement de Taipei et de porter atteinte à la souveraineté de la Chine en soutenant, parfois tacitement, parfois directement, le séparatisme dans la province insulaire.
L'ancien marin américain Brian Berletic, désormais chercheur géopolitique et auteur basé à Bangkok, explique le développement dans cette vidéo :
Taïwan (l'ex Formose a 36 000 km²) est une île à 180 km de sa Chine-mère (Les atouts de la Chine sont en effet nombreux : son économie connaît chaque année l'une des plus fortes croissances au monde. Elle est par ailleurs le pays le plus peuplé de la planète - avec plus de 1,5 milliard d'habitants - et le troisième plus grand par la superficie) où vivent 23 millions d'habitants. (Considérée par la Chine comme sa 23e province, Taïwan est administrée de fait, sous le nom de république de Chine, par son propre gouvernement, depuis 1949). La majeure partie des habitants (98 %) étant d'origine chinoise. La Corse (8702 km²) a 340 000 hab. à 130 km de Nice.
Le couronnement de la propagande de la prochaine phase de l'éradication autoritaire de la liberté d'expression est le démantèlement théâtral de Jack Teixeira.
Par Kurt Nimmo Recherche mondiale, 17 avril 2023
Les jours de Substack sont comptés. La plate-forme de newsletter par e-mail est de plus en plus attaquée, plus récemment par l'ADL. L'organisation a écrit le 3 avril que Substack "continue d'attirer des extrémistes et des théoriciens du complot qui utilisent régulièrement le site pour profiter de la propagation de l'antisémitisme, de la désinformation, de la désinformation et des discours de haine".
La dernière salve de l'ADL contre le premier amendement s'inscrit dans le cadre d'une poussée du Congrès pour éroder davantage la liberté avec sa loi draconienne RESTRICT. Il existe un certain nombre de tweets qui résument la dernière menace à la liberté, mais Substack n'autorise plus les intégrations de tweet, grâce à un tiff absurde entre le PDG de Substack, Chris Best, et le patron de Twitter, Elon Musk.
La loi RESTRICT est déguisée en réponse à Tik Tok et à la Chine. Contrairement à cette propagande, il servira principalement à assainir Internet et à écraser (et criminaliser) tout discours détournant des récits de l'USG.
« Le Restrict Act achève le renversement de la Constitution américaine », écrit Paul Craig Roberts . « Le but est de faire taire toute dissidence par rapport aux explications officielles. La vérité est criminalisée. La propagande et les mensonges régneront en maître et sans contestation. La Matrice sera complète.
Connor O'Keeffe écrit pour le Mises Institute,
Avec son langage vague, le projet de loi donne au gouvernement une grande latitude dans la définition de ce qui est qualifié d'information illégale. Nous avons déjà vu des représentants du gouvernement et leurs amis dans les médias confondre les arguments anti-establishment avec la désinformation étrangère. Ils ont même faussement qualifié des reportages précis de désinformation étrangère. Il n'est pas difficile de voir ces mêmes personnes utiliser les pouvoirs qui leur sont conférés par la loi RESTRICT pour criminaliser certaines opinions dissidentes sous couvert de contre-espionnage.
Le couronnement de la propagande de la prochaine phase de contrôle autoritaire sur la liberté d'expression est le démantèlement théâtral SWAT de Jack Teixeira, 21 ans, un aviateur de la Garde nationale de bas niveau qui, selon le Washington Post, a réussi à mettre la main sur lui. sur des documents hautement classifiés de la CIA et du DOD. C'est hautement improbable, mais ensuite un public américain aveuglé est régulièrement nourri de mensonges improbables, d'exagérations et d'omissions de la part de l'USG et de ses médias de propagande.
CNN décrit l'événement comme une "arrestation soigneusement chorégraphiée", et je suis d'accord avec cette évaluation, mais pas à la suite de la "ruée de l'administration Biden" pour contenir les fuites sensibles. Le démontage théâtral de M. Teixeira est un événement de propagande conçu pour renforcer l'éradication de la dissidence et graisser les patins pour le passage de RESTRICT.
Le Washington Post a une histoire documentée de travail avec la CIA pour diffuser de la propagande, alors quand nous apprenons que le journal "a écrit sur la présence de contenu problématique sur Substack, notant son utilisation par des diffuseurs de fausses informations", selon l'ADL, nous sachez avec certitude que Substack sera mis au pas. (Pour en savoir plus sur la prise de contrôle des médias par la CIA, voir The CIA and the Press: When the Washington Post Ran the CIA's Propaganda Network , par Jeffrey St. Clair et Alexander Cockburn).
Ajoutez à cela la loi sur les services numériques. Il s'agit du « dernier règlement technologique entrant de l'UE les obligeant à éradiquer les contenus illégaux sur leurs plateformes… y compris les géants des médias sociaux comme Facebook, Instagram, TikTok et Twitter. Il s'agit notamment de supprimer rapidement les contenus illégaux signalés, y compris les discours de haine », a rapporté Politico en octobre dernier. Le canal de propagande des entreprises a confondu le «discours de haine» (c'est-à-dire un discours contraire aux récits de l'État) avec «la pornographie juvénile et les vidéos terroristes».
Selon Slate , la loi sur les services numériques (DSA),
bien qu'écrit pour protéger les résidents de l'UE, conduira presque certainement les entreprises de médias sociaux à modifier leurs politiques de modération dans le monde entier. Ainsi, avec le DSA, l'UE fera effectivement ce que le premier amendement interdit ostensiblement à notre propre gouvernement : réglementer les jugements éditoriaux émis par les plateformes de médias sociaux sur lesquelles les Américains communiquent entre eux.
Les mâchoires de l'étau autoritaire se resserrent. Dans un proche avenir, la possibilité d'exprimer votre opinion sera supprimée si elle va à l'encontre des récits officiels du gouvernement. Toutes les voies d'expression doivent être étroitement surveillées, modérées et censurées à la demande de l'État.
"L'administration Biden envisage d'étendre la façon dont elle surveille les sites de médias sociaux et les salons de discussion après que les agences de renseignement américaines n'ont pas réussi à repérer des documents classifiés du Pentagone circulant en ligne pendant des semaines", a rapporté NBC News le 12 avril . sites en ligne suivis par les agences de renseignement et les autorités chargées de l'application de la loi.
Sans aucun doute, cela inclura Substack, l'une des dernières plates-formes restantes où la liberté d'expression est autorisée sans l'ingérence brutale de l'État, et le programme de censure étroitement ciblé et hautement politisé de l'ADL et d'autres organisations anti-Premier Amendement.
Dans la série Le système tue, trois films, trois témoignages
Par Dominique Muselet Mondialisation.ca, 14 avril 2023
En plein soulèvement du pays contre le système oligarchique EU/US qui veut imposer aux Français, qui n’en peuvent déjà plus, de trimer deux ans de plus pour enrichir toujours plus cette oligarchie esclavagiste, le cinéma Mélies de Montreuil met à l’affiche trois excellents films qui, chacun à sa manière, lève le voile sur un aspect de l’oppression systémique dont nous sommes victimes.
Kim Sohee, seule contre le système
Le premier que j’ai vu, About Kim Sohee s’inspire d’un fait divers survenu dans le petit village de Jeonju fin 2016 qui a eu des répercussions sur les lois du travail en Corée du Sud.
Kim Sohee est une lycéenne pleine de vie, au caractère bien trempé. Obligée de faire un stage de fin d’étude, (en clair du travail gratuit), dans un centre d’appel de Korea Telecom, elle découvre rapidement qu’il s’agit moins d’informer et d’aider les clients que de les manipuler pour les empêcher de résilier leur abonnement.
- voir clip sur site -
Kim Sohee se bat courageusement contre les exigences abusives de la direction, mais cela ne fait qu’augmenter la pression conjuguée de l’entreprise, de l’école et de sa famille. Ne voyant pas d’issue à son calvaire, elle se suicide quelques semaines après son chef. Là s’achève la première partie du film. Le film redémarre avec l’enquête de l’inspectrice Yoo-jin qui prend conscience, en même temps que les spectateurs, que Kim Sohee a été la victime d’un immense système d’exploitation dont toutes les parties sont à la fois complices et victimes, de l’école à la police, en passant par les organismes de contrôle et ses propres parents. Kim Sohee est morte parce qu’elle était en bout de chaîne.
Avant d’aller plus loin, il convient de se pencher sur le terme système que j’ai utilisé dans le titre et qui apparaît dans pratiquement toutes les critiques que j’ai lues sur le film : Libération parle d’un « système de harcèlement entrepreneurial dont l’éducation nationale se rend directement complice » et pour Allociné, le film « met à jour tout un système vicié ». Il y a quelques années, lorsque je parlais du système, je me faisais réprimander par mes amis de la gauche propre sur elle. On comprend pourquoi lorsque, cherchant Système sur wikipedia, on est renvoyé à Antisystème, « un adjectif qualifiant des personnes, des groupes ou des partis politiques portant un discours critiquant les institutions politiques dominantes ». Ce n’est déjà pas bien de critiquer « les institutions politiques dominantes » mais quand en plus l’expression est attribuée à l’extrême-droite, alors elle est impure à tout jamais, alors même que tout le monde l’emploie désormais, même J.L. Mélenchon, et qu’elle décrit parfaitement la réalité. Nous sommes en effet confrontés à un système dont toutes les parties, toutes les institutions politiques dominantes, au lieu de jouer, comme elles le devraient, le rôle de contrepouvoir les unes par rapport aux autres, s’emboîtent aussi étroitement que des briques pour former un mur infranchissable à tout ce qui n’est pas la Caste.
C’est contre le mur de ce système que se fracassent tous ceux qui luttent pour une vie de travail décente, c’est contre ce mur que s’est fracassée Kim Sohee, que se sont fracassés tous les ouvriers de l’usine Citroën du film Les Établis, que se sont fracassés les neuf inculpés de la fausse affaire de Tarnac dont nous parle le documentaire La Relaxe, et que se fracassent les Français qui refusent de se laisser voler deux ans de plus de leur vie par un système oligarchique taillé sur mesure pour extraire le maximum de valeur ajoutée de chaque individu jusqu’à ce que mort s’ensuive.
À mesure que progressait le film About Kim Sohee l’accablement me gagnait, comme il gagnait la jeune étudiante, et, quand elle s’est suicidée, je n’ai même pas trouvé la force de m’indigner. Le faible espoir que justice soit rendue soulevé par le début de l’enquête, s’est éteint lentement à mesure que l’inspectrice rencontrait tous ceux, particuliers et institutions, qui auraient dû la protéger mais qui l’ont laissé mourir, parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement. Personne ne sera puni, puisque personne n’est responsable. La responsabilité se perd dans les sables mouvants d’un système inhumain, qui fait de chacun la victime de sa hiérarchie et le bourreau de ses subalternes.
Les Établis – Sans unité, c’est l’échec assuré
Le film Les Établis nous fait (re)vivre un débrayage qui a eu lieu en février 1969 dans l’usine Citroën de Choisy qui fabrique des 2 CV. L’Établi, c’est le héros, Robert Linhart, un normalien militant de gauche, qui se fait embaucher pour partager la souffrance des ouvriers et préparer la révolution. La plus célèbre de ces Établis est certainement Simone Weil, la philosophe, qui, alors professeure agrégée, entre à l’usine à l’âge de 25 ans. Robert a beaucoup de mal à s’adapter au bruit infernal, aux odeurs suffocantes, à la chaîne, aux cadences. « Après le choc du début, l’engourdissement, la survie », confie-t-il à sa femme. Il a les mains en sang. Ses camarades l’appellent la momie à cause de ses bandages.
- voir clip sur site -
L’occasion d’engager la lutte se présente quand Citroën a l’idée diabolique de récupérer une partie des hausses de salaire que l’entreprise a dû consentir lors des Accords de Grenelle qui ont couronné les émeutes de mai 68, en exigeant des ouvriers 3 heures de travail supplémentaire gratuit par semaine.
Le mouvement s’organise avec difficulté sous l’égide de Robert. Nombre d’Africains, Berbères, Yougoslaves, Italiens ne comprennent pas le français. Il faut tout traduire. Les discussions sont houleuses. Jusqu’à la dernière minute, nul ne sait si le débrayage aura lieu. Finalement la majorité des ouvriers déposent leurs outils et le désordre s’installe dans l’usine. Le patron ordonne d’arrêter la chaîne. Les ouvriers ont gagné. Ils explosent de joie et de fierté.
Le second jour, le patron fait fermer l’usine à l’heure de la sortie et, même s’ils refusent de travailler les ouvriers, ne peuvent pas partir avant la fin des 45 mn supplémentaires. Le troisième jour, les choses s’enveniment. Les contremaîtres, des anciens de la coloniale, se déchaînent sur les ouvriers, les immigrés sont chassés de leur foyer, il y a des fuites, des querelles. Le quatrième jour, le patron propose un vote. Robert et ses amis grévistes se méfient, mais ils ne peuvent pas s’opposer à un vote « démocratique ». À moment donné, Christian, un jeune que Robert avait pris sous son aile, craque et met le feu aux bulletins. C’est fini ! Les grévistes sont discrédités. Tout rentre dans l’ordre capitaliste et les esclaves reprennent le travail dans la résignation et le silence. Robert apprendra un peu plus tard que le vote et le feu ont été organisés par le patron avec la complicité de son protégé. Une révélation qui achève de l’achever.
On sait par son livre et celui de sa fille Virginie Linhart, Le jour où mon père s’est tu, que Robert Linhart ne s’est jamais remis de son séjour à l’usine Citroën.
Les ouvriers, quant à eux, ont eu leur moment de gloire, ils se sont émancipé et ont retrouvé leur dignité un bref instant, mais ils l’ont payé très cher. Certains ont perdu leur emploi, d’autres, comme Boubaka et Robert ont perdu la raison et/ou la santé, et le sort de tous s’est encore dégradé. Un triste bilan qui ne hantera pas seulement Robert.
La situation des travailleurs ne s’est pas améliorée depuis cette époque, comme le souligne un article de Frustration du 13 mai 2023, Comment la France est devenue championne de la souffrance au travail:
« Le 28 avril dernier, le journal l’Humanité sortait les statistiques d’Eurostat (l’INSEE de l’Union Européenne) sur la mortalité au travail : la France est largement en tête, avec une mortalité deux fois supérieure à la moyenne européenne. L’info n’a été que très peu reprise. La mort au travail et plus largement la souffrance au travail sont un véritable tabou médiatique : les accidents mortels surviennent en moyenne deux fois par jour. En moyenne, chaque jour, 90 personnes subissent un accident grave qui leur laisse des séquelles à vie. Qui se demande comment nous en sommes arrivés là ? Quasiment personne. Et pour cause, se demander pourquoi on meurt et on souffre autant au travail en France, c’est mettre en accusation les trois derniers gouvernements, sarkozyste, socialiste et macroniste, qui ont détricoté le droit à la santé au travail. C’est mettre en évidence la responsabilité du patronat dans ce triste record. Bref, c’est mettre en lumière le fait que la lutte des classes ne se joue pas seulement dans les manifestations de rue et leur répression, mais bien aussi dans la façon dont nos corps sont traités au travail, par la bourgeoisie et ses représentants ».
Le traitement des corps des travailleurs en système capitaliste a été mis au point dans les camps d’esclaves. Matthew Desmond démontre dans un article du New York Times Magazine intitulé Pour comprendre le capitalisme, il faut commencer par les plantations que :
« les techniques de gestion utilisées par les entreprises du XIXe siècle ont été mises en place au cours du siècle précédent par les propriétaires de plantations (…)
« Les planteurs avaient « développé des hiérarchies complexes pour le travail combinant un bureau central, composé de propriétaires et d’avocats responsables de la répartition du capital et de la stratégie à long terme, et de plus petites unités responsables de différentes opérations, un degré de complexité égalé uniquement par de grandes structures gouvernementales comme la Royal Navy britannique (…) Ils ont également mis au point des méthodes pour calculer la dépréciation du capital, une innovation révolutionnaire en matière de méthode de gestion, en évaluant la valeur marchande des esclaves tout au long de leur vie. Leur valeur culminait généralement entre 20 et 40 ans, mais elle était ajustée individuellement à la hausse ou à la baisse en fonction du sexe, de la force et du tempérament : les personnes étaient réduites à de simples données (…)
« Ce niveau d’analyse a également permis aux planteurs d’anticiper la rébellion. Les outils étaient comptés régulièrement pour s’assurer qu’une grande quantité de haches ou d’autres armes potentielles ne disparaisse pas soudainement. « Ne laissez jamais un esclave verrouiller ou déverrouiller une porte », conseillait un esclavagiste de Virginie en 1847. De cette façon, les nouvelles techniques comptables mises au point pour maximiser les rendements ont également contribué à garantir que la violence ne vienne que d’une seule direction, permettant à une minorité de Blancs de contrôler un groupe beaucoup plus important d’esclaves noirs (…)
« Les surveillants enregistraient le rendement de chaque esclave. Les données étaient recueillies non seulement après la tombée de la nuit, lorsque les paniers de coton étaient pesés, mais tout au long de la journée de travail. Selon les mots d’un planteur de Caroline du Nord, les esclaves devaient être « suivis du lever du jour à la tombée de la nuit ». Le fait d’avoir les esclaves alignés sur des rangées parfois plus longues que cinq terrains de football, permettait aux surveillants de repérer ceux qui traînaient (…)
« La quête intransigeante de quantification et la mise en place d’une comptabilité scientifique dans les plantations d’esclaves est antérieure à l’industrialisation. Les usines du Nord ne commenceront à adopter ces techniques que des décennies après l’émancipation. Les grands camps d’esclaves sont devenus de plus en plus efficaces et les esclaves noirs ont été les premiers travailleurs modernes de l’Amérique, leur productivité augmentant à un rythme stupéfiant. Au cours des 60 années qui ont précédé la guerre civile (guerre de Sécession, ndt)) la quantité quotidienne de coton récoltée par esclave a augmenté de 2,3 % par an. Cela signifie qu’en 1862, l’esclave moyen ne récoltait pas 25 ou 50 % de coton de plus que son homologue de 1801, mais 400 % de plus.
« Aujourd’hui, la technologie moderne facilite la surveillance permanente des lieux de travail, en particulier dans le secteur des services. Les entreprises ont mis au point des logiciels qui enregistrent les touches sur le clavier et les clics de souris des employés, et font des captures d’écran aléatoires plusieurs fois par jour. Les travailleurs d’aujourd’hui sont soumis à une grande variété de tactiques de surveillance, allant des tests de dépistage de drogues et de la vidéosurveillance en circuit fermé aux applications de suivi et même aux radars qui détectent la chaleur et le mouvement. Un sondage mené en 2006 a révélé que plus d’un tiers des entreprises comptant 1 000 employés ou plus avaient du personnel qui lisaient les courriels envoyés par les employés. La technologie qui accompagne cette surveillance des lieux de travail lui donne une allure futuriste. Mais il n’y a que la technologie qui est moderne. Derrière cette technologie, il y a la même volonté que celle des esclavagistes des plantations : contrôler totalement le corps de ses esclaves ».
La Relaxe – Unis pour vaincre le système Le troisième film est un documentaire. Il se concentre sur Manon Glibert, une des « inculpés » de la « fausse affaire Tarnac » comme dit le Monde, après avoir probablement, comme tous les médias, traîné les inculpés dans la boue au moment de leur arrestation. Toute trace de ces éventuelles calomnies ont fort opportunément disparu de ses archives, l’article le plus ancien date du 13 décembre 2008, plus d’un mois après les arrestations.
On suit Manon à son travail au magasin général qu’elle et quelques autres ont ouvert à Tarnac et à leur ferme. On la voit chez elle avec sa fille et avec le groupe qui l’aide à préparer sa défense pour le procès du 12 avril 2018, qui, après 10 ans de persécutions judiciaires, doit décider de son sort : prison ou relaxe. Une femme simple et chaleureuse qui mène une vie simple et tournée vers les autres.
Le film ne fait qu’allusion aux circonstances qui ont présidé à son arrestation et celle de huit autres jeunes gens, le 11 novembre 2008, par la police antiterroriste, dans le cadre de l’enquête sur le sabotage de lignes de TGV, à sa garde à vue et à sa mise en examen sous l’accusation d’association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. Le documentaire préfère s’attarder sur l’innocence de la victime plutôt que sur la corruption du système, en l’occurrence la collusion entre les renseignements (DCRI) et la justice au service des ambitions présidentielles de la ministre de la Défense de l’époque, Michèle Alliot-Marie. Me Marie Dosé, l’avocate de Yildune Lévy dénonce son arrivisme, son cynisme et sa lâcheté dans sa dernière plaidoirie : « Elle s’est servie d’eux [les prévenus]. Tarnac, ce n’est pas un dossier qu’on politise, c’est une politique qu’on judiciarise. Et aujourd’hui, citée comme témoin, elle écrit au tribunal pour justifier son absence : “En tant que ministre de l’intérieur, je n’ai eu qu’une connaissance sommaire du dossier.” Quel toupet ! Mais quel toupet ! »
La guerre contre le terrorisme déclenchée par Bush Jr dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, en faisant 900 000 victimes au Moyen-Orient (le Devoir), a amené le terrorisme en Occident. Mais pas assez semble-t-il pour que les populations occidentales prennent vraiment la menace au sérieux, du point de vue des services de renseignement chez qui circule cette bonne blague : « Le terrorisme, il y a plus de gens qui en vivent que de gens qui en meurent », comme le raconte par David Dufresne dans son livre sur l’affaire, Tarnac magasin général.
Qu’à cela ne tienne en va en fabriquer, des terroristes, ainsi on terrorisera les populations et on démontrera l’efficacité de l’État ! Le FBI nous ayant montré la voie (Djihad : FBI, l’usine à fabriquer de «vrais-faux» terroristes), sans parler de Guantanamo, pourquoi se priver ?
Il faut reconnaître que, comme dit le Monde :
«Le scénario était bien ficelé : interpellation musclée, à l’aube, par des forces spéciales en cagoules et gilets noirs, façon ninjas, perquisition sous l’objectif des caméras, communiqué triomphal et conférence de presse de la ministre en personne. Relance, trois jours plus tard, par le procureur de Paris, qui parle de « lutte armée » et de « structure à vocation terroriste » – en admettant toutefois qu’on ne dispose pas « d’éléments solidifiés pour l’instant ». Bref, un remake des Brigades rouges, version France profonde.»
Pourtant il n’a pas pris. Pourquoi ? Le lancement, le 11 novembre, a sans doute été trop précipité : une conférence de presse convoquée deux heures à peine après la tombée du communiqué, alors que les perquisitions sont encore en cours, éveille forcément le soupçon de mise en scène. Le casting laissait à désirer : quoi que l’enquête révèle ultérieurement, le profil des « neuf », ne correspond guère à celui de « terroristes », ni même de clandestins – certains habitent chez leurs parents ! La mobilisation du village de Tarnac en leur faveur a aggravé le malaise. » Sans compter, entre mille anomalies du dossier, que Yildune Lévy et Julien Coupat se trouvaient à Paris à l’heure où les policiers disent les avoir vus en Seine-et-Marne, comme l’indique un retrait bancaire à 2 h 44 à Pigalle, et que les sabotages ont été revendiqués par des antinucléaires allemands, qui avaient déjà utilisé cette technique par le passé.
L’affaire était clairement montée de toutes pièces mais, hélas pour ses victimes, quand le système se met en mouvement, rien ne peut l’arrêter. Manon a passé 14 jours en prison, Yildune Lévy, deux mois et Julien Coupat, six mois. Tous ont été assignés à résidence pendant un an avec interdiction de communiquer. Il a fallu 10 ans de luttes pour que le système lâche l’affaire. Enfin, le 12 avril 2018, au terme de trois semaines d’audience, Corinne Goetzmann, présidente de la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris a reconnu que le « “groupe de Tarnac” était une fiction » et relaxé les accusés.
Les inculpés de l’affaire Tarnac ont fini par retrouver leur liberté, mais quantités d’autres innocents sont toujours en prison ou persécutés par la police. L’état d’urgence, proclamé par François Hollande après les attentats de Paris du 13 novembre 2015, a permis de perpétrer « des milliers de petits Tarnac (on casse la porte d’abord, on réfléchit après… ou pas du tout) », selon un journaliste du Monde. Et les iniques lois antiterroristes de juillet 2016 ont entériné l’état d’urgence permanent, avec notamment l’article 421-1 du Code pénal qui stipule que « constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur », ce qui permet d’arrêter à peu près n’importe qui. Comme le dit Laurent Borredon, « il suffit de dire qu’ils ont participé à des réunions préparant des manifestations violentes, qu’ils avaient de la littérature insurrectionnelle sur leurs étagères et qu’ils étaient à tel ou tel contre-sommet du G20 et de l’OTAN, et le tour est joué ».
Le système antiterroriste français répond à une logique de répression. Il accuse parce qu’il faut mater, intimider, terroriser, puis, sûr de son impunité, il ment pour justifier ses accusations, comme l’explique Julie Alix :
« L’analyse de la criminalité terroriste met en lumière qu’en la matière, seule préside à la décision d’incrimination l’existence d’un besoin répressif. Le constat est donc celui d’une totale instrumentalisation de l’incrimination pénale au service de la politique criminelle antiterroriste. »
Comment alors, les 10 inculpés de l’affaire de Tarnac ont-ils réussi à échapper au rouleau compresseur du terrorisme d’État ? D’abord ils sont restés unis, la police et la justice n’ont pas réussi à les monter les uns contre les autres ; ensuite c’était des militants dotés d’une grand conscience politique, d’une belle faculté d’expression et d’une grande intelligence tactique. Ils ont toujours refusé de rentrer dans le jeu du système, même quand cela pouvait les desservir, par exemple, ils ont toujours refusé de proclamer leur innocence jugeant que l’affaire n’était qu’une suite de mensonges de faux d’agents assermentés, de manipulations de l’instruction et d’intrigues politiciennes et qu’elle n’avait rien à voir avec eux. Et ils ont réussi à « s’arroger le droit à une égalité de parole au tribunal, du jamais vu ! » pour contester pied à pied « le récit de MLP (Madame le président) qui a été écrit en écartant systématiquement tous les éléments qui viendraient le contredire », selon Lundi matin.
En mai 2015, Julien Coupat, désigné par les enquêteurs comme le « chef du groupe de Tarnac » a conclu une interview avec Aude Lancelin par ces mots :
« Nous vivons dans un monde qui va dans le mur à tombeau ouvert, et qui le sait. Les faits en attestent tout autant que la production hollywoodienne. Ceux qui tiennent les rênes de la machine préfèrent qu’il en soit ainsi plutôt que de renoncer à la moindre miette de leur pouvoir. Ils s’attachent simplement à distiller dans la population le sommeil nécessaire, quitte à le peupler de cauchemars terroristes.
« Nos infinies réserves de lâcheté veulent toujours croire que nous pourrions abandonner à quelque force autre que nous, à quelque leader le soin de nous sauver. Mais il n’y a plus rien. Nous allons devoir faire nos affaires nous-mêmes. Le vent se lève. Il faut tenter de vivre. »
Finalement ce qui fait la richesse du documentaire La Relaxe, c’est que simplement, tranquillement, joyeusement, il nous montre qu’il est possible de vivre, en marge du système, une vie pleine, féconde et fraternelle. Il nous montre que rien, pas même l’État dans toute sa puissance maléfique, ne peut détourner de leur chemin de vie ceux qui savent ce qu’ils veulent. Les neuf de Tarnac ont réussi là où Kim Sohee, Robert Linhart et tant d’autres ont échoué, parce qu’ils ont pris la tangente, ils ont refusé de jouer le jeu, de se laisser embrigader. Le système les a rattrapés parce qu’il ne supporte pas qu’on lui échappe, voyez l’acharnement contre les non vaccinés pendant la démence covidiste, mais ils l’ont vaincu.
Malgré leur échec, le sacrifice de Kim Sohee et de Robert Linhart n’a pas été vain, car c’est en s’appuyant sur l’expérience de leurs prédécesseurs, en montant en quelque sorte sur leurs épaules, que les neuf de Tarnac ont pu voir plus loin, plus grand, autrement…
Les travaux de @SabatierJeanMa1 (en images sur Twitter)
JM a identifié depuis mars 2020 les mécanismes de la spike virale puis vaccinale qui se fixe sur les récepteurs ACE2, ce qui peut dérègle le système rénine-angiotensine, ce qui pourrait expliquer le phénomène des effets indésirables et des covids longs.
ADN et composants bactériens détectés comme contaminants dans les vaccins à ARNm
17 avril 2023 du Dr. Peter F. Mayer
On soupçonne depuis longtemps et il est désormais prouvé que les vaccins à ARNm ne sont pas seulement contaminés par des composants bactériens, mais également par des pointes d'ADN. Cela garantit l'intégration dans les cellules du corps et la production permanente de pointes. Et c'est malsain. Il s'agit d'un problème de qualité d'une ampleur qui nécessiterait la révocation immédiate de toutes les approbations . L a recherche est menée par Kevin McKernan, qui a travaillé sur le séquençage du génome humain et est l'un des principaux experts. Il a un article à ce sujet sur son blog .
Les conclusions sont sérieuses :
Un tiers du matériel génétique est constitué d'ADN - au lieu d'ARN comme revendiqué Cela inocule des gènes de pointe, qui peuvent se multiplier dans le corps et s'établir dans nos cellules Conséquences possibles : production de pointes tout au long de la vie, excrétion de gènes de pointe dans l'environnement et transmission du gène de pointe Dans la vidéo ci-dessous, Florian Schilling explique de manière raisonnablement compréhensible comment l'ADN est créé à partir de l'ARN dans les vaccins.
Les contrôles qualité des flacons livrés avec les préparations d'ARNm sont catastrophiques voire inexistants . On sait depuis longtemps qu'il existe des différences significatives d'effets secondaires, y compris des conséquences fatales, entre les lots. Ce n'est que récemment que cela s'est reproduit dans une étude danoise.
La seule technologie permettant de déterminer ce qui se trouve dans les produits finis n'a pas été utilisée. La teneur en ARN n'a été déterminée qu'approximativement, mais jamais vérifié ce que fait vraiment cet ARN. L'EMA a demandé les données brutes pour cela, mais ne les a jamais reçues. L'autorité compétente en matière d'homologation ne sait donc rien et se fie entièrement au constructeur. On injecte donc un génome dont personne ne sait vraiment ce qu'il fait.
Des tests indépendants ont montré que non seulement l'ARN, mais même l'ADN se trouvent dans des proportions beaucoup trop élevées. Cet ADN est toujours intact et se propage à la fois chez Moderna et Pfizer. La concentration est plus de 100 fois ce que les autorités réglementaires considéreraient comme acceptable. C'est des trillions de molécules d'ADN dans chaque seringue.
Avec les produits bivalents de Pfizer, jusqu'à 35 % de chaque seringue est constituée d'ADN et non d'ARN mod.
Lorsque ceci est lu, un pic est produit. Bien qu'il ne soit pas reproduit dans les bactéries, elles peuvent répliquer cet ADN. Lorsque l'ADN est libéré, il est absorbé par les cellules humaines, libéré et les cellules forment des pointes. Ils peuvent même les incorporer dans notre propre ADN, et donc aussi dans notre génome. La protéine de pointe en tant qu'ADN ne peut plus être désactivée.
L' étude d'Alden et al l'a démontré plus tôt. Le journal a été massivement attaqué et a maintenant été confirmé.
Les preuves fournies des composants bactériens dans le cadre du vaccin pourraient également expliquer le fait que les patients post-vacc ont des problèmes aussi massifs et persistants.
Voici la vidéo à voir et à écouter :
Toutes les diapositives et références sources au format PDF à télécharger ici .
"New York City Spring 2020 : Enquête sur l'épicentre du COVID"
De Michael Bryant Recherche mondiale, 17 avril 2023
"Avril est le mois le plus cruel, élevant des lilas hors de la terre morte, mélangeant la mémoire et le désir, remuant les racines ternes avec la pluie printanière." –TS Eliot, The Wasteland (Partie I, L'enterrement des morts)
Une rétrospective récente du NY Times intitulée «Covid Was Bad in New York City. See How Bad on a 200-Year Timeline » , a jeté un regard rétrospectif sur le printemps 2020 à New York et la « vague de maladie » qui a frappé la ville provoquant un événement mortel « sismique » jamais vu depuis près de 200 ans.
Notant que le pic du taux de mortalité de la ville était "comme quelque chose d'une autre époque" et que l'espérance de vie a chuté de 4,6 ans dans toute la ville de 2019 à 2020, l'article attribue sans aucun doute et exclusivement cet événement de mortalité choquant aux impacts de Covid.
Nulle part dans l'article, comme c'est le cas avec le récit officiel, on ne peut trouver un examen plus approfondi des événements tels qu'ils se sont déroulés à New York au printemps 2020, bien qu'il y ait des indices même dans l'article que les bizarreries qui défient le récit accepté abondent.
Vers la fin de l'article, il est noté : « À Brownsville, Brooklyn - un quartier pauvre et à prédominance noire avec une forte concentration de logements sociaux - le taux de mortalité prématurée était neuf fois plus élevé qu'à Greenwich Village et SoHo, à prédominance blanche et noire. quartiers riches de Manhattan.
Alors qu'il pourrait être justifié d'affirmer que les pauvres sont assaillis par un éventail de problèmes de santé préexistants, donc touchés de manière disproportionnée par la maladie en raison de ces indices de santé inférieurs, cela ne signifierait-il pas que la santé inférieure de ces communautés est le problème, pas une maladie mortelle?
Cela soulève également une série de questions sur la façon dont un virus aussi rapide, super contagieux et mortel a choisi de manière sélective de frapper les communautés pauvres et minoritaires tout en évitant percipiently les quartiers haut de gamme principalement blancs.
Plus loin dans l'article, il est reconnu que « de nombreuses personnes sont allées sans voir de médecins ni recevoir de soins médicaux lorsque le Covid-19 est arrivé. Les décès dus aux maladies cardiaques, par exemple, étaient près de 20 % plus élevés en 2020 que l'année précédente. »
Même si cette anomalie est reconnue, les questions de suivi logique posées sont omises, questions qui pourraient présenter une image plus complète de cet événement cataclysmique.
Combien de ces personnes décédées pour avoir évité les traitements médicaux seraient encore en vie si elles n'avaient pas été dissuadées de demander des soins médicaux par le récit constant basé sur la peur ?
Combien de ces décès dus à des maladies cardiaques ont été faussement attribués à Covid ?
Bien que certaines incongruités puissent être discernées dans cet article, cela ne fait qu'effleurer la surface.
Le spectre des questions sans réponse est considérable.
Une nécessaire enquête à grande échelle sur les événements du printemps 2020 déclencherait sans aucun doute une multitude de questions gênantes :
Quel était le lieu des vagues de décès signalées à New York ?
Les urgences de NYC étaient-elles vraiment débordées ?
Que disent les données sur les tarifs des soins intensifs de NYC ?
L' hôpital d'Elmhurst , surnommé "coronavirus ground zero" , débordait-il vraiment au printemps 2020 ?
Que disent les données sur les visites aux urgences du printemps 2020 à l'hôpital d'Elmhurst par rapport aux années précédentes ?
À quoi ressemblait l'urgence de 2020 pour le volume de patients hospitalisés à l'hôpital NY-Presbyterian Columbia ?
Qu'indiquent les données pour le Maimonides Medical Center, considéré comme l'hôpital de New York avec le plus grand nombre de décès de Covid entre mars et mai 2020 ?
Quels procédures et protocoles médicaux étaient utilisés à l'intérieur des hôpitaux pour traiter les patients Covid ? A quel effet ?
Quels médicaments étaient utilisés dans les hôpitaux de NYC ?
Quel impact les ordonnances de non-réanimation Covid-19 nouvellement introduites ont-elles eu sur les résultats des patients ?
Comment les incitations financières ont- elles dicté les politiques hospitalières ?
Quelles sont les personnes décédées à cette époque ?
Les dimensions colossales des reportages médiatiques provenant de New York au printemps 2020 ne peuvent être surestimées, car l'assaut présumé de maladies liées à Covid et la «vague de décès» dans les hôpitaux de New York sont devenus le disjoncteur de toute l'hystérie de masse qui a ensuite assailli le États-Unis et la principale justification du «code rouge» pour les verrouillages nationaux et la suspension des libertés civiles à travers le pays.
Les reportages des grands médias et l'acceptation aveugle d'hôpitaux débordés, de cadavres entassés dans des camions, de files de personnes attendant anxieusement à l'extérieur des hôpitaux et de divers scénarios de science-fiction ont semé la terreur dans le cœur de ceux qui ont été témoins de ces images alors qu'ils étaient assis collés à leur télévision.
Trois ans plus tard, des médias inconditionnels donnent l'impression que les décès massifs causés par un nouvel agent pathogène sont une vérité inattaquable.
Cependant, le scénario apocalyptique du printemps 2020 d'un agent pathogène mortel assiégeant la ville de New York semble de plus en plus être une chronique contestable des événements plutôt qu'un récit à toute épreuve.
Qui peut oublier qu'Andrew Cuomo pleure sur un besoin urgent d' obtenir plus de ventilateurs ?
Qui peut oublier le navire-hôpital « message d'espoir » de 70 000 tonnes à peine utilisé envoyé à New York ?
Au fur et à mesure que de nouvelles preuves et données hospitalières apparaissent, une image émerge qui contraste fortement avec l'histoire dépeinte par les médias grand public.
Le monde mérite une enquête à grande échelle sur ce qui s'est passé dans toute la ville de New York au printemps 2020 et plus particulièrement sur ce qui s'est passé dans les hôpitaux de New York.
*
Cet article est inspiré et lié à la recherche indépendante du Dr Jessica Hockett sur l'événement de mortalité de 2020 à New York. Hockett est titulaire d'un doctorat en psychologie de l'éducation de l'Université de Virginie et partage les résultats de ses enquêtes personnelles sur Twitter @ewoodhouse7 et Substack https://woodhouse.substack.com .
Les producteurs de bœuf paniquent face aux nouvelles sur les vaccins à ARNm
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 17 avril 2023
Les producteurs de porc utilisent des « vaccins » personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux depuis 2018, sans en informer le public
Tous les « vaccins » à ARNm personnalisés ne sont pas testés. Seule la plate-forme d'ARNm elle-même a été approuvée
Selon la National Cattlemen's Beef Association, "il n'existe actuellement aucun vaccin à ARNm autorisé pour une utilisation chez les bovins de boucherie aux États-Unis". Pourtant, un lobbyiste de l'association affirme avoir "double-vacciné" son propre troupeau avec un "vaccin" à ARNm contre les maladies respiratoires bovines
L'Université d'État de l'Iowa a commencé à tester un «vaccin» à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin 1er octobre 2021
Missouri House Bill 1169 exigerait l'étiquetage des produits qui peuvent altérer vos gènes. Les lobbyistes de Big Ag s'y opposent fermement
* La semaine dernière, j'ai signalé que les producteurs de porc utilisaient des «vaccins» personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux depuis 2018 1 - sans en informer le public. Ce problème n'est vraiment apparu qu'après que l'avocat Tom Renz a commencé à promouvoir une nouvelle législation dans le Missouri (House Bill 1169, 2 qu'il a aidé à rédiger) qui exigerait l'étiquetage des produits d'ARNm. 3 Dans un tweet du 1er avril 2023 (et non, ce n'était pas un poisson d'avril), Renz a déclaré : 4
«DERNIÈRE NOUVELLE: les lobbyistes des associations de bovins et de porcs de plusieurs États ont CONFIRMÉ qu'ils utiliseront des vaccins à ARNm chez les porcs et les vaches CE MOIS-CI. NOUS DEVONS SOUTENIR MISSOURI HB1169. C'est LITTÉRALEMENT la SEULE chance que nous ayons d'empêcher cela… PERSONNE ne connaît les impacts de cela, mais nous sommes tous potentiellement confrontés au risque d'être un #Mort Soudainement si nous n'arrêtons pas cela.
L'agenda transhumaniste et son accent sur la nourriture
En quelques jours, les médias alternatifs étaient en effervescence avec cette histoire et Renz a commencé à faire le tour en partageant des preuves qui montrent que le gouvernement américain travaille sur l'intégration des vaccins dans les aliments depuis au moins deux décennies. Dans une interview du 2 avril 2023 avec Naomi Wolf, Ph.D., Renz a déclaré : 5
« [Bill] Gates, l'OMS [Organisation mondiale de la santé], une tonne de ces universités : elles parlent toutes d'inclure les vaccinations par ARNm dans l'alimentation. Ils vont modifier les gènes de ces aliments pour en faire des vaccins à ARNm.
L'industrie ne veut pas que vous sachiez ce qu'elle fait
Le recul des lobbyistes de Big Ag contre ce projet de loi exigeant la transparence de l'industrie sur cette question importante a été énorme, et l'une des raisons potentielles à cela est qu'ils devraient admettre que toutes sortes d'aliments peuvent avoir été vaccinés avec des vaccins à ARNm, avoir des modifications, ou être modifiés pour servir de vaccins pour les humains.
Non seulement cela pourrait détruire Big Ag, mais cela aurait également un impact sérieux sur toute tentative subreptice de Big Pharma d'utiliser l'approvisionnement alimentaire comme outil pour distribuer des vaccins à l'insu des consommateurs. 6 En bref, Renz soupçonne que l'agenda transhumaniste des mondialistes est secrètement mis en avant en utilisant la thérapie génique dans la production alimentaire.
Je ne peux pas m'empêcher de me demander si l'industrie ne comprend tout simplement pas comment la thérapie génique par ARNm dans le bétail pourrait affecter les consommateurs, ou si elle veut cacher le fait qu'elle utilise la thérapie génique parce qu'elle sait que cela peut aussi affecter les humains.
Des mondialistes comme le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, ont ouvertement admis qu'ils avaient l'intention de modifier l'humanité - à la fois au niveau génétique et par l'incorporation de l'intelligence artificielle et de la nanotechnologie dans le corps humain.
Et, en utilisant COVID-19 comme couverture, ils ont réussi à transformer l'ensemble de la population mondiale en sujets de test pour cette expérimentation dangereuse. Comme l'a noté Renz dans l'interview de Real America's Voice ci-dessus, nous savons pertinemment que les injections d'ARNm COVID n'ont aucun impact bénéfique en termes de prévention de l'infection par COVID.
Les «vaccins» à ARNm chez le bétail ne sont pas testés
Si les injections d'ARNm COVID ne préviennent pas l'infection, pourquoi supposerions-nous que les injections d'ARNm pour les infections virales et bactériennes chez les porcs fonctionnent mieux ? L'un des aspects les plus inquiétants de l'utilisation de «vaccins» à ARNm chez le porc est le fait qu'ils sont tous, par définition, non testés. Comme l'explique Merck sur son site Internet, son "vaccin porcin personnalisé",
Le tractus gastro-intestinal des souris a absorbé les exosomes et l'ARNm a dû pénétrer dans la circulation sanguine et les tissus lymphatiques car des anticorps ont été produits chez des souris nourries contre la protéine SARS-CoV-2 Spike (domaine de liaison au récepteur)…
[É]tant donné les dommages que les vaccins à ARNm ont générés en termes de blessures, d'incapacités et de décès, ces données soulèvent des questions éthiques considérables. Le projet COVID States a montré que 25 % des Américains ont réussi à rester non vaccinés.
Ce groupe aurait de fortes objections à l'ARNm dans l'approvisionnement alimentaire, en particulier si cela était fait subrepticement ou avec un minimum d'étiquetage/avertissements…
Pour ceux qui ont pris l'un des vaccins COVID-19, le fait d'avoir des vaccins au lait en tant qu'offre d'EUA permettrait de charger encore plus le corps avec de l'ARNm synthétique qui s'est avéré résistant aux ribonucléases et peut résider en permanence dans le corps humain.
Ces observations m'amènent à conclure que la technologie de l'ARNm vient d'entrer dans une toute nouvelle phase de développement, beaucoup plus sombre. Attendez-vous à plus de recherche et de résistance à l'ARNm dans notre approvisionnement alimentaire. Les Chinois viennent de franchir la première de ce qui sera probablement beaucoup plus dangereux pour le monde. »
Le bœuf sera-t-il également traité avec de l'ARNm ?
À l'heure actuelle, il n'y a aucune preuve suggérant que les bovins de boucherie sont traités avec des «vaccins» à ARNm personnalisables, que ce soit en Europe 11 ou aux États-Unis. bétail aux États-Unis. 12 , 13
Cela dit, la Cattlemen's Association a précédemment confirmé qu'elle avait l'intention, à terme, d'utiliser des injections d'ARNm chez les bovins, 14 , 15 , ce qui pourrait affecter à la fois les produits laitiers et la viande bovine. Le temps nous dira si l'indignation publique arrêtera de tels projets. De toute évidence, la Cattlemen's Association est préoccupée par les rumeurs sur Internet selon lesquelles il est déjà utilisé.
Le 3 avril 2023, le commissaire du ministère de l'Agriculture du Texas, Sid Miller, a publié une déclaration promettant de procéder à une évaluation des risques de la technologie avant son adoption : 16
«Depuis que la nouvelle du développement de vaccins à ARNm et de traitements liés à l'ARNm pour le bétail a été portée à l'attention du ministère de l'Agriculture du Texas, nous avons travaillé à l'élaboration d'une évaluation factuelle et scientifique des risques associés à cette technologie.
Notre analyse inclura la recherche clinique, la structure de la loi texane existante et l'impact sur la politique publique, l'économie et la production des différentes prescriptions politiques que nous pourrions adopter. Mon objectif est de garantir que l'agriculture du Texas reste sûre, fiable, saine et totalement non infectée par une technologie dangereuse ou non éprouvée.
Personnellement, je prends cette question très au sérieux. Pas de prise politique à chaud. Juste une proposition bien raisonnée et bien documentée basée sur un large éventail de contributions de parties prenantes, de scientifiques, d'agriculteurs et d'autres experts. Nous examinons ce problème à TDA et partagerons vos préoccupations. S'il vous plaît restez à l'écoute …"
Confusion causée par le lobbyiste de la Cattlemen's Association
Ce qui cause une confusion importante sur cette question est une déclaration faite par Shannon Cooper 17, lobbyiste de la National Cattlemen's Beef Association , devant la Missouri House. 18 Cooper a déclaré aux membres de la Chambre qu'il avait récemment "double-vacciné" son troupeau avec "des vaccins contenant cet ARNm". Selon Cooper, le "vaccin" à ARNm administré était destiné aux maladies respiratoires bovines.
Est-il confus ? A-t-il cru à tort que le vaccin qu'il avait administré contenait de l'ARNm ? Ou la National Cattlemen's Beef Association a-t-elle tort de déclarer qu'il n'y a pas de vaccins à ARNm approuvés pour le bétail aux États-Unis ? Ou, des injections expérimentales d'ARNm sont-elles utilisées sans approbation ? Qui sait à ce stade ?
Ce que nous savons, c'est que des « vaccins » à ARNm contre les maladies respiratoires bovines sont en cours de développement. L'Iowa State University a commencé à tester un « vaccin » à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin le 1er octobre 2021.19 La date de fin du projet est le 30 septembre 2026.
Selon la soumission de l'essai, des souris seraient utilisées pour établir la preuve de concept. Des vaches seraient utilisées la deuxième année de l'essai. En supposant qu'ils respectent le calendrier, cela signifie que les vaches seront expérimentées quelque part fin 2023 et/ou 2024.
L'ARNm Jabbed Livestock est-il sûr à manger?
Étant donné que les autorités sanitaires insistent sur le fait que les injections de COVID sont sûres, il n'est pas étonnant qu'elles insistent également sur le fait qu'il n'y a aucun problème associé à la consommation de viande traitée à l'ARNm. Mais peut-on leur faire confiance ? Qu'en est-il des cellules maintenant détournées par l'instruction d'ARNm étranger pour créer de nouvelles protéines ? Ces protéines sont-elles sûres à consommer ? Combien de temps les particules nano-lipidiques sont-elles conservées dans les tissus ?
Folta, professeur d'horticulture à l'Université de Floride, est un défenseur de longue date des organismes génétiquement modifiés (OGM). Il a également plaidé pour la sécurité du glyphosate et, en 2015, il a été surpris en train de mentir au sujet de ses liens financiers avec Monsanto. Maintenant, il a repris le plaidoyer pour les injections d'ARNm dans le bétail. Tel que rapporté par Cowboy State Daily : 24
«Les législateurs de l'Arizona, de l'Idaho et du Missouri ont introduit une législation relative à l'utilisation de vaccins à ARNm dans les aliments. Le projet de loi de l'Arizona restreint uniquement l'étiquetage de ces aliments comme étant biologiques. Le projet de loi de l'Idaho modifie la loi de l'État pour interdire la vente de ces aliments à moins qu'ils ne soient clairement étiquetés indiquant que la présence du vaccin se trouve dans les aliments.
Le projet de loi du Missouri exige une étiquette bien en vue « Produit de thérapie génique ». Le Dr Kevin Folta a déclaré au Cowboy State Daily que l'étiquette de «thérapie génique» proposée était inexacte.
Cela "signifie qu'ils n'ont aucune idée de ce qu'ils essaient de réglementer", a déclaré Folta, car "il n'y a pas d'intégration dans l'ADN". C'est un ensemble d'instructions transitoire, comme une clé USB. Pas un disque dur'… L'ARN messager se produit naturellement dans le cadre de la fonction des cellules dans le corps. "L'ARNm est partout, et vous ne pouvez pas vivre sans ARNm", a déclaré Folta …
Folta a déclaré que les vaccins ne peuvent pas pénétrer dans les aliments que les gens mangent. « L'ARNm est une molécule extrêmement instable. C'est pourquoi ça marche. C'est très temporaire. Ainsi, lorsqu'un animal est abattu ou lorsqu'une plante meurt, l'ARNm est la première chose à disparaître », a déclaré Folta.
Beaucoup d'entre vous sauront exactement ce qui ne va pas avec les arguments de Folta selon lesquels l'ARNm est «partout» et donc inoffensif, et que son activité est temporaire parce qu'il est si instable. L'ARNm dans les injections est synthétique et ne se décompose PAS comme le fait l'ARNm normal.
Il induit clairement les gens en erreur, et il est difficile de croire que ce n'est pas intentionnel, compte tenu du fait que tous ceux qui connaissent le moins du monde la technologie de l'ARNm savent que l'ARNm synthétique a été conçu pour empêcher une dégradation rapide et est davantage stabilisé par le nanolipide. Ainsi, les arguments de Folta sont nuls et non avenus dès le départ.
Dernières pensées
À l'avenir, il sera extrêmement important de rester au courant de ce qui arrive à notre approvisionnement alimentaire. Beaucoup d'entre nous ont été surpris de réaliser que les injections d'ARNm sont utilisées chez les porcs depuis plusieurs années déjà. Bientôt, les bovins pourraient également recevoir ces injections d'ARNm personnalisables, ce qui pourrait affecter à la fois le bœuf et les produits laitiers.
Pour l'instant, je recommande fortement d'éviter les produits à base de porc. En plus de l'incertitude entourant ces «vaccins» à ARNm non testés, le porc est également très riche en acide linoléique, un acide gras oméga-6 nocif qui entraîne des maladies chroniques . Espérons que les éleveurs de bétail se rendront compte du danger que cette plate-forme d'ARNm représente pour leurs résultats et la rejetteront. S'ils ne trouvent pas de bœuf et de produits laitiers qui n'ont pas reçu de « thérapie génique », cela pourrait devenir tout un défi.
Will Harris, de White Oak Pasture à Bluffton en Géorgie , est un éleveur qui s'est déjà prononcé contre les «vaccins» à ARNm chez le bétail. Un tweet du 10 avril 2023, White Oak Pastures déclarait : 25
« On parle d'animaux domestiques destinés à l'alimentation qui seront bientôt vaccinés avec de l'ARNm. Nous voulons que nos clients sachent que nous ne vaccinerons pas nos animaux avec des vaccins à ARNm. Nous croyons qu'il y a un temps et un lieu pour les vaccinations, mais elles doivent être utilisées avec parcimonie.
Si le bétail est élevé dans un environnement où il peut exprimer ses instincts naturels, il n'aura probablement pas besoin de beaucoup de vaccins (le cas échéant). Nous espérons un jour nous éloigner de tous les vaccins sur notre ferme - nous sommes proches, mais pas encore là.
Tout le monde devrait savoir que plus de 80 % des antibiotiques produits aujourd'hui sont consommés par des animaux domestiques destinés à l'alimentation… Il serait logique que pour que les entreprises de vaccins passent de « très rentables » à « obscènement rentables », il faudrait capturer le marché de l'agriculture animale. .
Je ne suis pas sûr que cela passerait jamais une loi, mais loi ou pas, Big Ag est fortement influencé par Big Pharma. Les multinationales de la viande choisiraient certainement d'imposer cela s'il y avait une possibilité de partage des bénéfices.
En terminant, sachez que nous ne croyons pas à une approche globale et unique pour notre santé ou notre bétail. Nous n'ajouterons pas de vaccinations pour notre bétail - nous allons dans l'autre sens en espérant en donner moins. (Et, nous en donnons déjà très peu).
Si cela est adopté et qu'il y a une «panique» pour les aliments du bétail qui n'a pas reçu le vaccin ARNm, nous choisirons d'abord d'honorer la demande de nos membres fidèles et de nos employés. Si vous ne faites pas partie de ce groupe, nous ne pouvons garantir que nous aurons un produit pour vous.
Nous n'essayons certainement pas de favoriser la panique, mais nous avons l'intention d'informer nos clients de la manière dont nous fonctionnerons en période de demande croissante. Nous avons foiré pendant la pandémie – nous ne ferons plus ça.
Penser globalement agir localement
Les recommandations sur la politique nationale en matière de vaccins aux États-Unis sont faites au niveau fédéral, mais les lois sur les vaccins sont faites au niveau des États. C'est au niveau de l'État que votre action pour protéger vos droits de choix de vaccins peut avoir le plus grand impact.
Il est essentiel que TOUT LE MONDE s'implique maintenant pour défendre le droit légal de faire des choix volontaires de vaccins en Amérique, car ces choix sont sérieusement menacés.
Non seulement les lobbyistes représentant les sociétés pharmaceutiques, les associations professionnelles médicales et les responsables de la santé publique tentent de persuader les législateurs de supprimer toutes les exemptions de vaccins des lois sur la santé publique, mais les agents politiques mondiaux faisant pression sur les Nations Unies et l'Organisation mondiale de la santé sont déterminés à retirer le droit humain à l'autonomie et la protection de l'intégrité corporelle.
Nous devons prendre des mesures pour défendre notre république constitutionnelle et les libertés civiles, y compris le droit à l'autonomie, en Amérique. Cela comprend la réforme des lois oppressives sur la vaccination obligatoire et l'arrêt de l'identification de santé numérique qui fera des passeports vaccinaux une réalité pour nous, nos enfants et petits-enfants si nous n'agissons pas aujourd'hui.
L'inscription pour utiliser le portail de plaidoyer en ligne gratuit parrainé par le Centre national d'information sur les vaccins à l'adresse www.NVICAdvocacy.org vous donne un accès immédiat et facile à vos propres législateurs d'État et fédéraux sur votre smartphone ou votre ordinateur afin que vous puissiez faire entendre votre voix.
Notez bien que - comme le virus 'corona' ou 'cocovide19' ou 'Delta-Charly-Bravo' n'EXISTE PAS dans l'air - il n' a donc pas à prendre des remèdes anti-poussières. Donc, de piquer des animaux les inocule avec un poison mortel pour eux comme pour les consommateurs de viande car le poison même cuit demeure un poison !
Nouvelles technologies de vaccins en médecine vétérinaire : un héraut des vaccins en médecine humaine
L'explosion de vaccins génétiques chez les animaux attire l'attention humaine
Par le Dr Peter McCullough Recherche mondiale, 17 avril 2023
La débâcle du vaccin ARNm et ADN adénoviral COVID-19 chez l'homme a mis les populations sur les nerfs, méfiantes à l'égard d'une technologie génétique mal conçue. Entre-temps, le domaine a considérablement progressé en médecine vétérinaire. Bien que ces injections puissent protéger les animaux contre les agents pathogènes à court terme, quelles sont les implications pour notre approvisionnement alimentaire ? Du matériel génétique transmissible à l'homme par consommation ? Cru ou cuit ? Ces questions et d'autres surgissent au fur et à mesure que de plus amples informations sont fournies.
Aida et ses collègues ont résumé graphiquement les technologies génétiques utilisées à partir de 2021 en médecine vétérinaire. Dans la catégorie de la viande de consommation à l'heure actuelle, seuls les porcs sont préoccupants étant donné l'utilisation d'ADN plasmidique, de vecteur viral incompétent pour la réplication et de produits de réplicon d'ARN. Ces technologies provoquent-elles des maladies non infectieuses chez les animaux ?
Une partie du matériel génétique peut-elle survivre à la dénaturation pendant le séchage et la cuisson ? Que diriez-vous des intestins de porc récoltés pour la production d'héparine largement utilisée en médecine humaine ? Est-il concevable que l'incorporation génétique d'ARN ou d'ADN étranger chez l'homme et la production d'antigènes, par exemple, la diarrhée endémique porcine ou la grippe A, puissent avoir des effets indésirables, notamment une auto-immunité similaire à celle des vaccins COVID-19 ?
- voir schéma sur site -
Aida V, Pliasas VC, Neasham PJ, North JF, McWhorter KL, Glover SR, Kyriakis CS. Nouvelles Technologies De Vaccins En Médecine Vétérinaire : Un Héraut De La Médecine Humaine Vaccines. Avant Vétérinaire Sci. 15 avril 2021;8:654289. doi : 10.3389/fvets.2021.654289. PMID : 33937377 ; PMCID : PMC8083957.
Le moment est venu pour la médecine vétérinaire et humaine, y compris la FDA et l'USDA, de se réunir et d'examiner les études publiées de ces nouveaux produits sur la transmissibilité génétique à l'homme et ses implications potentielles. L'article d'Aida ne mentionne même pas la possibilité d'un impact collatéral sur les humains. On peut voir que les développeurs, les sponsors et les auteurs sont aveuglés par l'engouement pour la biologie moléculaire et ont perdu de vue la sécurité des produits biologiques dans l'approvisionnement alimentaire.
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* Source
Aida V, Pliasas VC, Neasham PJ, North JF, McWhorter KL, Glover SR, Kyriakis CS. Nouvelles Technologies De Vaccins En Médecine Vétérinaire : Un Héraut De La Médecine Humaine Vaccines. Avant Vétérinaire Sci. 15 avril 2021;8:654289. doi : 10.3389/fvets.2021.654289. PMID : 33937377 ; PMCID : PMC8083957.
Par Thomas Hayes Recherche mondiale, 17 avril 2023
Le 5 avril 2023, la Haute Cour [du Royaume-Uni] a rendu un jugement dans l'affaire Adil v General Medical Council [2023] EWHC 797 (Admin) . L'affaire a examiné dans quelle mesure un régulateur professionnel peut interférer avec le droit à la liberté d'expression d'un individu soumis à sa réglementation, ainsi que les circonstances dans lesquelles la Cour devrait accepter les contestations des décisions prises par les régulateurs dans l'exercice de leurs fonctions . Il s'agit de la première affaire tranchée par la Haute Cour [du Royaume-Uni] concernant des déclarations anti-vaccination faites par un médecin en relation avec la pandémie de COVID-19, et les actions du General Medical Council («GMC») en réponse.
Contexte factuel M. Adil est chirurgien colorectal consultant. Au cours de la pandémie de COVID-19, il a posté plusieurs vidéos sur les réseaux sociaux dans lesquelles il a, entre autres, fait des déclarations à l'effet que :
Le COVID-19 n'existait pas ; la pandémie était une conspiration fomentée par le Royaume-Uni, Israël et l'Amérique ; la pandémie était une arnaque qui était manipulée au profit de Bill Gates et des sociétés pharmaceutiques ; Bill Gates a infecté le monde entier avec le COVID-19 afin de vendre des vaccins ; et Les vaccins COVID-19 seraient administrés à tout le monde, de force si nécessaire, et pourraient potentiellement contenir des micropuces qui affectent le corps humain. Dans ces vidéos, M. Adil a fait savoir qu'il était un médecin travaillant au Royaume-Uni.
Le GMC a engagé une procédure réglementaire contre M. Adil au motif que ces déclarations :
sapé la santé publique; étaient contraires à l'opinion médicale largement acceptée ; et/ou miné la confiance du public dans la profession médicale.
Son affaire a été entendue par le Medical Practitioners Tribunal ("le Tribunal") en juin 2022. Il a conclu que les déclarations avaient été faites comme allégué, que ce faisant, M. Adil s'était rendu coupable d'une faute qui, à son tour, avait entraîné une altération de sa capacité. d'exercer la médecine et qu'une suspension immédiate de six mois de son inscription était appropriée.
M. Adil a interjeté appel devant la Haute Cour. Il a avancé cinq moyens d'appel, qui portaient principalement sur la question de savoir si la décision du Tribunal était conforme à son droit à la liberté d'expression garanti par l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme. Les motifs peuvent être résumés comme suit :
Le motif 1 était que les conclusions sur la faute et l'atteinte étaient contraires à l'article 10(1) de la CEDH parce qu'elles représentaient une ingérence dans ses droits garantis par l'article 10 qui n'était pas « prévue par la loi » ;
Le motif 2 était que les conclusions sur la faute et l'affaiblissement constituaient une ingérence disproportionnée dans ses droits garantis par l'article 10 ;
Les motifs 3 et 4 étaient en fait des extensions supplémentaires du motif 2. Le motif 3 était que le Tribunal avait eu tort de conclure que l'expression d'opinions " en dehors de l'opinion médicale largement acceptée " équivalait à une faute ou justifiait une ingérence dans le droit de M. Adil à la liberté d'expression. . Le motif 4 était qu'il n'y avait aucune preuve à l'appui de la conclusion selon laquelle ses propos avaient porté atteinte à la réputation de la profession médicale. Cela aussi, a-t-il soutenu, concernait la question de savoir si les conclusions d'inconduite, d'atteinte aux facultés affaiblies et la peine infligée constituaient des ingérences proportionnées dans ses droits garantis par la CEDH.
Le motif 5 était que la sanction de six mois de suspension du registre médical était erronée.
Loi applicable L'article 10, paragraphe 1, de la CEDH dispose :
Tout le monde a le droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'avoir des opinions et de recevoir et de répandre des informations et des idées sans ingérence de l'autorité publique et sans considération de frontières.
Ce droit est qualifié par l'article 10(2), qui prévoit expressément l'ingérence dans la liberté d'expression aux fins de la protection de la santé :
L'exercice de ces libertés, puisqu'il comporte des devoirs et des responsabilités, peut être soumis aux formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi et nécessaires dans une société démocratique, dans l'intérêt de la sécurité nationale, de l'intégrité territoriale ou la sécurité publique, pour la prévention du désordre ou du crime, pour la protection de la santé…
La Cour a rejeté les 5 moyens d'appel et confirmé les décisions du Tribunal ainsi que sa sanction.
En ce qui concerne le premier motif, la Cour a estimé que les dispositions des « Bonnes pratiques médicales » (le principal document d'orientation du GMC destiné aux médecins) étaient suffisantes pour satisfaire à l'exigence selon laquelle toute ingérence dans les droits de M. Adil en vertu de l'article 10 doit être « prévue par la loi » . Bien que l'obligation pour les médecins de maintenir la confiance du public dans la profession soit encadrée par les « bonnes pratiques médicales» d'une manière tout à fait générale, elle suffisait néanmoins à refléter l'ensemble des obligations qui s'attachaient à la profession et était susceptible d'être aisément comprise par les médecins pour leur permettre de régler leur conduite. La Cour a jugé qu'il aurait dû être raisonnablement prévisible pour M. Adil que ses actions seraient contraires aux normes professionnelles établies par le GMC.
En ce qui concerne les deuxième, troisième et quatrième motifs, la Cour a estimé que si la sanction du GMC faisait incontestablement intervenir l'article 10, il s'agissait d'une ingérence proportionnée dans sa liberté d'expression. M. Adil s'était identifié comme médecin et avait ensuite fait des commentaires que le juge a jugés « farfelus ». Dans les circonstances, il était clairement loisible au Tribunal de conclure que ses propos compromettaient la protection de la santé publique et ébranleraient la confiance du public dans la profession. Cela étant, le Tribunal a constitué une ingérence proportionnée dans les droits de M. Adil au titre de l'article 10 en concluant que : (a) son émission constituait une faute ; (b) qu'en raison de cette inconduite, son aptitude à exercer a été altérée; et c) que son enregistrement soit suspendu pendant six mois.
Quant au cinquième moyen d'appel, la question posée à la Cour était de savoir si la sanction du Tribunal était « erronée ». Au vu de ses conclusions relatives aux motifs 1 à 4, la décision d'imposer une suspension immédiate était manifestement une décision qui relevait du Tribunal. En conséquence, le dernier moyen d'appel a également échoué.
La Cour a reconnu qu'en matière de réglementation professionnelle, l'organisme de réglementation possède une expertise particulière qui manque à la Cour quant à la meilleure façon de protéger la réputation de la profession et l'intérêt public. Il s'ensuit que la Cour devrait être lente à interférer avec la décision d'un régulateur. En l'espèce, compte tenu de la nature des propos de M. Adil, les déterminations et conclusions du Tribunal ont été jugées clairement raisonnables.
Néanmoins, la Cour a fait remarquer à juste titre la nécessité de la liberté d'expression pour les professionnels de la santé, et que celle-ci ne devrait pas être limitée par la nécessité que les commentaires d'un médecin s'inscrivent dans l'opinion médicale dominante. La Cour a reconnu l'intérêt de préserver le droit des médecins de contester l'orthodoxie médicale, et les conséquences indésirables si cela exposait un médecin à un risque de sanction professionnelle.
Fait intéressant, la Cour a estimé que la loi habilitante aux fins de satisfaire à l'exigence selon laquelle toute ingérence dans la liberté d'expression doit être « prévue par la loi » n'était pas une loi adoptée par le Parlement (sous la forme de la loi médicale de 1983), mais « de bonnes pratiques médicales Pratique ». Il s'ensuit que lorsqu'un régulateur donne des directives ou des conseils à un professionnel quant aux normes professionnelles attendues, le régulateur doit être conscient que la Cour peut traiter ces directives comme une « loi » par laquelle ces normes professionnelles doivent être jugées. S'il s'avère par la suite que ces indications ne sont pas suffisamment précises, les actions d'un régulateur peuvent être considérées comme illégales lorsqu'elles mettent en jeu des droits qualifiés conférés par la CEDH. Des documents tels que « Bonnes Pratiques Médicales »» ne peuvent donc pas être traités simplement comme des conseils utiles fournis par un régulateur pour aider les professionnels à façonner leur conduite, mais peuvent être traités par la Cour comme des codes de conduite par rapport auxquels les normes d'un professionnel doivent être jugées.
*
Martin Forde KC a agi pour le General Medical Council, assisté de Thomas Hayes , l'auteur de cette pièce.
Enquêtes russes sur les biolabs américains en Ukraine
Par Lucas Leiroz de Almeida Recherche mondiale, 17 avril 2023
Enfin, l'enquête russe sur les activités biologiques américaines sur le sol ukrainien était terminée. Une commission parlementaire spéciale a été formée pour analyser soigneusement les preuves de crimes tels que la production d'armes biologiques dans des laboratoires biologiques militaires découverts et neutralisés par les forces armées russes. Le groupe parlementaire a travaillé en partenariat avec des experts liés aux troupes russes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques pendant plus d'un an. Les résultats indiquent qu'en fait Washington maintient des activités bio-militaires illégales.
Les enquêteurs ont souligné que les États-Unis travailleraient à la création d'une sorte "d'arme biologique universelle", génétiquement modifiée pour causer de graves dommages, comparables à ceux d'un "hiver nucléaire". Les données recueillies par les Russes indiquent que Washington prévoit de développer des armes capables d'endommager non seulement les soldats ennemis dans un scénario de guerre, mais aussi les animaux et même les cultures agricoles. Avec cela, l'objectif serait de détruire complètement le pays touché par la prolifération de ces agents pathogènes, affectant également la population civile, la sécurité alimentaire et l'environnement.
En pratique, l'utilisation secrète et anticipée de ce type d'arme garantirait aux forces américaines un avantage stratégique pratiquement insurmontable dans n'importe quel scénario de conflit, rendant impossible pour la partie ennemie de vaincre les forces américaines pour des raisons non militaires. Les enquêteurs ont précisé que la possession de ce type d'arme changerait complètement la nature contemporaine des conflits armés, ce qui génère une longue liste de préoccupations militaires, juridiques et humanitaires.
« Les États-Unis visent à développer une arme biologique universelle génétiquement modifiée capable d'infecter non seulement les humains, mais aussi les animaux ainsi que les cultures agricoles. Son utilisation implique, entre autres, l'objectif d'infliger des dommages économiques à grande échelle et irréparables à l'ennemi (…) L'utilisation secrète et ciblée d'une telle arme en prévision d'une confrontation militaire directe positive inévitable pourrait créer un avantage significatif pour les États-Unis. forces sur l'adversaire, même contre ceux qui possèdent d'autres types d'armes de destruction massive (…) La possession d'armes biologiques aussi efficaces crée, selon l'armée américaine, les conditions préalables réelles pour changer la nature des conflits armés contemporains » , indique le rapport.
Les scientifiques ont toutefois souligné que l'existence de ce projet américain ne diminue en rien la gravité de l'utilisation d'armes biologiques conventionnelles, telles que "la variole, l'anthrax, la tularémie et la peste, qui peuvent toutes être modifiées pour renforcer leurs propriétés mortelles". A cela s'ajoute la difficulté objective de déterminer la véritable cause des épidémies de maladies infectieuses, qui peuvent être à la fois naturelles et artificielles ». Ainsi, il existe un nombre considérable de risques à surveiller et à contrôler simultanément.
Bien que de nombreux biolaboratoires aient été neutralisés ou détruits en raison de l'opération militaire spéciale aux frontières russes, le programme biomilitaire américain reste actif, plusieurs laboratoires à travers le monde effectuant des recherches avancées afin de développer de telles armes. Il y a même des rapports récents indiquant que les États-Unis auraient à nouveau de telles activités sur le sol ukrainien, dans les régions occupées par le régime néo-nazi.
L'équipe russe explique comment ces programmes sont un héritage fasciste américain. De nombreux scientifiques de l'Axe ont été capturés pendant la Seconde Guerre mondiale et, au lieu d'être arrêtés et punis, se sont vu confier des postes par le gouvernement américain dans des programmes secrets visant à développer des recherches militaires scientifiques avancées. En conséquence, Washington a créé l'un des systèmes de recherche militaire les plus complexes au monde, soutenu par des scientifiques allemands et japonais qui étudiaient déjà ces sujets dans les années 1930 et 1940.
Les chercheurs russes mentionnent également le fait que l'absence d'une réglementation internationale claire et avancée sur ces questions augmente la capacité américaine à agir à l'étranger en produisant et en répandant la terreur biologique. Utilisant des arguments humanitaires, sanitaires et scientifiques pour développer la recherche, les forces armées américaines et des entreprises liées au gouvernement construisent des laboratoires où ces activités illégales sont menées.
"L'absence de contrôle international sur ce travail offre aux États-Unis la possibilité d'agir dans d'autres pays sans être limités par des normes morales et juridiques et des principes humanistes, et d'ignorer les demandes du public", ont ajouté les enquêteurs.
Enfin, les scientifiques recommandent que la question biologique soit traitée par les autorités russes comme une question d'importance centrale dans l'agenda de défense et de sécurité. Il est urgent de créer des mesures efficaces pour la détection des agents pathogènes génétiquement modifiés, ainsi que pour le diagnostic précoce, le traitement et la prévention des maladies causées par ces agents. Le rapport propose la création d'un «mécanisme de contrôle» pour la recherche en biotechnologie et en biologie synthétique comme moyen de trouver une solution au problème.
En effet, la Russie a longtemps mis en garde contre le grave problème des armes biologiques du Pentagone. Le sujet a été ignoré par les pays occidentaux et par les organisations internationales, qui semblent ne pas comprendre le niveau de dangerosité généré par ce type d'attitude. Le développement d'armes biologiques devrait faire l'objet d'une enquête et être rapidement condamné par tous les pays, même ceux qui entretiennent de bonnes relations avec les États-Unis, car cela pose un risque existentiel pour de nombreuses personnes.
De plus, le cas demande encore plus d'attention avec les enquêtes pointant vers l'effort de créer de nouveaux agents pathogènes, capables d'infecter et d'endommager les humains, les animaux et les plantes, visant l'anéantissement total d'un pays et de sa population. Il est donc urgent que des discussions et des mesures soient prises à l'ONU, avant que de telles armes ne commencent à être utilisées sur le champ de bataille, générant un niveau de violence et de dégâts sans précédent.
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Lucas Leiroz est journaliste, chercheur au Centre d'études géostratégiques, consultant géopolitique. Vous pouvez suivre Lucas sur Twitter et Telegram .
Contrairement aux chemtrails diffusés par avions et qui peuvent s'éloigner des lieux de largages, les injections ne touchent que les victimes désignées à disparaître.
Les Canadiens organisent une enquête citoyenne pour demander des comptes pour les crimes liés à la COVID
Par le professeur Anthony J. Hall Recherche mondiale, 18 avril 2023
Le mot se répand que presque rien n'est vrai sur ce que les gouvernements et les médias traditionnels nous ont dit concernant la catastrophe du COVID-19. De plus, tous les remèdes imposés, mais surtout les confinements mondiaux et les procédures d'injection de modification génétique, entraînent des effets absolument catastrophiques dont l'ampleur est fondamentalement encore insondable en ces temps de plus en plus apocalyptiques.
Jusqu'à présent, les huit milliards d'habitants de la planète ont reçu collectivement environ 14 milliards de tirs. Beaucoup reconnaîtront que cette piqûre-fest mondial n'est pas du tout une bonne nouvelle. C'est une très mauvaise nouvelle avec des conséquences énormes pour toute l'humanité et aussi pour notre postérité.
Les gouvernements de presque chacun des 192 pays du monde ont proposé des ensembles similaires de mauvaises politiques qui ont fait la part du lion des dommages constituant la crise COVID fabriquée. La similitude simultanée de ces politiques constamment destructrices indique qu'une initiative supranationale au-dessus du niveau des États-nations a été mobilisée pour orchestrer notre descente continue dans la tyrannie. Cette descente est passée à la vitesse supérieure à l'hiver 2020, mais surtout après que l'Organisation mondiale de la santé a déclaré une pandémie mondiale sans preuves crédibles suffisantes.
Par conséquent, l'impératif de penser globalement tout en agissant localement est absolument approprié en ce moment lorsqu'il s'agit de développer le muscle collectif dont nous avons besoin pour arrêter les horribles prédations continues.
Ici et là, des citoyens s'organisent pour initier nos propres enquêtes publiques sur la genèse de la catastrophe que nous vivons. Au Canada, une « enquête citoyenne » est actuellement en cours. La mission de la National Citizens Inquiry (NCI) est d'enquêter sur « les réponses du Canada à la COVID-19 ». Pour faire avancer cette mission, une tournée à travers le pays des commissaires du NCI nommés par les citoyens est en cours.
J'ai l'intention de participer à ce processus, y compris en donnant un témoignage d'expert si et quand je suis appelé à le faire. Mon intention est d'envoyer des dépêches régulières sur GlobalResearch.ca . Je vérifie mes pneus et mets à jour mon ordinateur portable pour me préparer à rejoindre la tournée à l'approche de la Saskatchewan, puis de ma province natale, l'Alberta.
Le principe selon lequel cette enquête est menée par les citoyens et non par le gouvernement est essentiel pour comprendre l'importance plus large de ce qui se passe ici au Canada. Les enquêtes menées par le gouvernement sont rarement crédibles lorsqu'il s'agit d'enquêter sur des crimes présumés commis par des gouvernements. De telles enquêtes s'avèrent généralement être des blanchiments des puissants et des bien connectés. Très souvent, les enquêtes se transforment en chasses aux sorcières visant à salir les détracteurs les plus efficaces des politiques et actions gouvernementales.
Ce schéma est presque parfaitement illustré par les efforts scandaleux de Trudeau pour criminaliser le mouvement Canadian Freedom Convoy et se distinguer ainsi comme un défenseur vigilant de la loi et de l'ordre. À la mi-février 2022, Trudeau a invoqué la version canadienne de la loi martiale. Le but de Trudeau était de vaincre le Freedom Convoy par des tactiques telles que le déchaînement de la violence policière contre des manifestants pacifiques sur la Colline du Parlement et la saisie des comptes bancaires de certains camionneurs et de leurs partisans.
Justin a nommé un juge très politisé du Parti libéral et ami de la famille Trudeau, Paul Rouleau, pour diriger au début de 2023 une commission chargée d'enquêter pour savoir si le gouvernement canadien avait agi correctement ou non en imposant le plus haut niveau de mesures d'urgence au-dessus de couche après couche. des mesures d'urgence COVID antérieures. Des variations de ce même processus se sont produites partout dans le monde alors que les branches exécutives du gouvernement se sont emparées de vastes nouveaux pouvoirs en suspendant les libertés civiles au nom de la lutte contre le virus des célébrités.
Il n'est pas surprenant que le juge du Parti libéral ait donné à son ami Justin et à ses acolytes un bon bilan de santé. L'ami de Trudeau a trouvé le gouvernement Trudeau, non coupable. Rien à voir ici les amis, continuez à avancer.
Ainsi, au Canada, le précédent est en train d'être établi que nous ne pouvons pas compter sur les gouvernements pour enquêter sur leurs propres crimes en provoquant et en aggravant la crise manufacturée du COVID et les crises manufacturées subséquentes découlant de la mère de tous les faux drapeaux médicaux. Nous avons besoin d'initiatives locales, d'initiatives nationales, d'initiatives régionales et finalement d'initiatives mondiales pour faire la lumière sur ce qui s'est passé et engager le type de procédures juridiques nécessaires pour arrêter cette série de crimes contre l'humanité.
Seuls des procès, des verdicts criminels lorsqu'ils sont justifiés et des sanctions appropriées serviront la cause du type de justice dont nous avons désespérément besoin en ce moment alors que l'état de droit continue de disparaître de jour en jour.
À la fin de 2022, Preston Manning , fondateur du Parti réformiste du Canada et fils de l'ancien premier ministre de l'Alberta, Ernest Manning, a lancé le NCI lors d'une conférence de presse à la tribune de la presse du Parlement à Ottawa. Il explique très clairement l'importance dans ces circonstances de ne pas attendre que les gouvernements enquêtent eux-mêmes.
- voir clip sur site -
Le lien suivant contient quelques exemples des témoignages recueillis jusqu'à présent par le NCI : cliquez ici .
Je recommande particulièrement le témoignage de Vincent Gircys , un haut fonctionnaire de police à la retraite de l'Ontario qui a travaillé avec diligence avec des collègues pour clarifier ce que la primauté du droit exige des policiers en ces temps. L'agent Gircys a vu son compte bancaire saisi par les fanatiques du gouvernement Trudeau dans l'une des manifestations les plus caractéristiques des tactiques fascistes mises au point pour étouffer la dissidence légitime.
Le témoignage de l'embaumeuse Laura Jeffey est saisissant. Mme Jeffrey est un modèle exemplaire de lanceuse d'alerte résolue qui se manifeste lorsque tous les fonctionnaires qui l'entourent et au-dessus d'elle refusent d'honorer leurs responsabilités professionnelles et de faire ce qu'il faut.
Le journaliste Rodney Palmer a présenté une évaluation bien documentée du refus consternant de la Société Radio-Canada d'enquêter sur le scandale de la COVID-19. Il nomme des noms et relate explicitement à quel point la SRC est tombée en renonçant à son rôle de radiodiffuseur public. Palmer fournit les éléments de preuve pour prouver que la SRC est devenue un fournisseur de propagande grossière pour servir le programme de ses payeurs complètement corrompus. De toute évidence, nous avons besoin d'un nouveau radiodiffuseur public pour remplacer la CBC maintenant complètement discréditée.
* Le Dr Anthony Hall est actuellement professeur d'études sur la mondialisation à l'Université de Lethbridge en Alberta au Canada. Il enseigne dans le système universitaire canadien depuis 1982. Le Dr Hall a récemment terminé un important projet d'édition en deux volumes aux Presses universitaires McGill-Queen intitulé « Le bol avec une cuillère ».
Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).
Une nouvelle recherche ouvre la porte à la prédiction de la maladie d'Alzheimer 10 ans plus tôt
Par Naveen Athrappully 17 avril 2023Mis à jour : 17 avril 2023
Une nouvelle étude pourrait ouvrir la voie à un dépistage plus facile et plus précoce de la maladie d'Alzheimer, avec la possibilité de détecter la maladie neurodégénérative incurable jusqu'à une décennie à l'avance.
La détection précoce de la maladie d'Alzheimer est essentielle pour un traitement efficace. Cependant, il n'existe pas de méthodes fiables pour une telle détection à l'heure actuelle. L'étude, réalisée par des chercheurs de l'Institut suédois Karolinska et publiée le 12 avril dans Alzheimer's & Dementia, la revue de l'Association Alzheimer, consiste à analyser un type de structure de glycanes dans le sang appelé N-acétylglucosamine bissectée. Cette structure glycane est liée au niveau de tau, une protéine jouant un rôle clé dans le développement de la démence sévère.
Les glycanes sont des molécules de sucre présentes à la surface des protéines et sont l'un des principaux éléments constitutifs de la vie.
L'identification de la N-acétylglucosamine coupée en deux peut donner aux médecins une voie vers le repérage des personnes présentant un risque plus élevé de maladie d'Alzheimer. En fait, l'étude pourrait ouvrir la voie à une procédure de dépistage simple capable de prédire l'apparition de la maladie d'Alzheimer 10 ans à l'avance.
Au début de la maladie d'Alzheimer, les neurones du cerveau meurent. S'assurer que le traitement commence tôt lorsque peu de neurones sont morts est crucial pour inverser la maladie d'Alzheimer.
Dans l'étude, les chercheurs ont mesuré les niveaux de glycanes sanguins des participants. Ils ont découvert que les personnes ayant des niveaux correspondants de glycanes et de tau étaient plus de deux fois plus susceptibles de développer une démence de type Alzheimer.
"Nous démontrons dans notre étude que les taux sanguins de glycanes sont altérés au début du développement de la maladie", a déclaré Robin Zhou, premier auteur de l'étude ainsi qu'étudiant en médecine et chercheur affilié au Département de neurobiologie, sciences des soins et société. (NVS) au Karolinska Institutet, selon un communiqué de presse du 12 avril.
"Cela pourrait signifier que nous pourrons prédire le risque de maladie d'Alzheimer avec seulement un test sanguin et un test de mémoire."
L'équipe de recherche avait précédemment trouvé un lien entre la protéine tau et les niveaux de glycanes chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.
Cependant, ces tests ont été effectués sur le liquide céphalo-rachidien. Le prélèvement d'échantillons de liquide céphalo-rachidien est très difficile. Pendant ce temps, les processus d'imagerie cérébrale peuvent être assez coûteux. Les marqueurs sanguins offrent un moyen plus facile et moins coûteux de dépister la maladie.
"Nous montrons également qu'un modèle statistique simple qui prend en compte les niveaux sanguins de glycane et de tau, le gène de risque APOE4 et un test de mémoire, peut être utilisé pour prédire la maladie d'Alzheimer avec une fiabilité de 80 % près d'une décennie avant des symptômes tels que la perte de mémoire. apparaissent », a déclaré la co-auteur Sophia Schedin Weiss dans l'annonce du Karolinska Institutet.
APOE4 est un gène qui est lié à un risque plus élevé de développer la maladie d'Alzheimer. L'étude a porté sur 233 participants à l'étude nationale suédoise sur le vieillissement et les soins à Stockholm (SNAC-K), avec des échantillons collectés entre 2001 et 2004.
Les participants ont été surveillés régulièrement pour la perte de mémoire et la présence de démence. Les suivis se sont poursuivis pendant 17 ans.
La maladie d'Alzheimer aux États-Unis
Selon les chiffres de l'Association Alzheimer, plus de 6 millions de personnes aux États-Unis ont développé la maladie. D'ici 2050, le nombre de personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer devrait plus que doubler pour atteindre près de 13 millions (pdf).
Les données sur les réclamations de Medicare de 2019 montrent qu'environ un tiers des bénéficiaires de Medicare qui meurent au cours d'une année donnée ont reçu un diagnostic de maladie d'Alzheimer ou d'une autre forme de démence, rapporte l'Association Alzheimer.
Le risque à vie de développer la maladie d'Alzheimer à l'âge de 45 ans est de 1 sur 5 pour les femmes. Pour les hommes, le risque est de 1 sur 10.
Sept personnes sur 10 souhaitent savoir très tôt si elles sont atteintes de la maladie d'Alzheimer. Cependant, seulement 4 personnes sur 10 se sont avérées disposées à parler immédiatement à leur médecin lorsqu'elles éprouvent une perte de mémoire ou cognitive.
La maladie d'Alzheimer et d'autres formes de démence devraient coûter aux États-Unis 345 milliards de dollars en 2023, un chiffre qui devrait atteindre près de 1 000 milliards de dollars d'ici 2050.
(...) Le risque à vie de développer la maladie d'Alzheimer à l'âge de 45 ans est de 1 sur 5 pour les femmes. Pour les hommes, le risque est de 1 sur 10. (...)
Depuis 1929 TOUS les vaccins se composent de nano-particules d'aluminium ! Les laboratoires s'en sont aperçu et continuent de proposer leurs nano-particules d'aluminium qui donnent Alzheimer ! (et Parkinson !).
Cause d'arrêts de travail massifs dus à la grippe et au VRS : Affaiblissement ciblé du système immunitaire ?
17 avril 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Au cours des trois dernières années, des gens du monde entier ont fait un tour de montagnes russes pour des raisons de santé. Il était contrôlé par l'industrie pharmaceutique par l'intermédiaire de l'OMS, des gouvernements et des médias grand public. Les atteintes à la santé causées par le paquet de mesures et la campagne de vaccination sont variées et persistantes. Par exemple, le journal médical du 14 avril 2023 écrit :
Selon le Barmer, le nombre de personnes en congé de maladie en raison d'infections respiratoires était plus élevé au cours des trois premiers mois qu'il ne l'avait été depuis des années .
Selon une analyse publiée aujourd'hui par l'Institut de recherche sur le système de santé, qui appartient à la compagnie d'assurance maladie, en moyenne 368 assurés Barmer sur 10 000 n'ont pas pu travailler chaque semaine de janvier à mars en raison de maladies respiratoires.
Les pertes dues au corona, à la grippe ou à d'autres infections étaient presque quatre fois plus élevées qu'au début de 2021 avec 98 personnes touchées pour 10 000 assurés ayant droit à des indemnités de maladie.
Même par rapport au début de 2018, lorsqu'il y avait une épidémie de grippe inhabituellement forte, les chiffres étaient plus élevés cette année. A cette époque, le taux était de 300 pour 10 000 assurés ayant droit aux indemnités de maladie.
La Société Autrichienne des Maladies Infectieuses et de Médecine Tropicale, bien pourvue en fonds pharmaceutiques, a déjà remarqué quelque chose et organise un webinaire sur le sujet du VRS :
Bien sûr, la question se pose maintenant de savoir quelle est exactement la cause de cette énorme augmentation de toute une gamme de maladies. Dans un grand nombre d'articles sur l'évaluation de la base de données américaine sur les effets secondaires VAERS, TKP a rapporté les augmentations significatives suivantes des maladies : cancer de la prostate , cancer du sein , cancer gastro-intestinal , cancer du poumon , cancer du sang , métastases , augmentation de 14,5 % de la mortalité des les personnes vaccinées avec le Covid , la susceptibilité aux infections , la survenue plus fréquente d'inflammations pour n'en citer que quelques-unes.
Le psychoneuroimmunologue Prof. DDr. Christian Schubert a souligné à plusieurs reprises que la propagation de la peur et de la panique a non seulement endommagé le système immunitaire des individus, mais également le système immunitaire de la société. Cela vaut également pour le paquet de mesures entamé mi-mars 2020 avec confinement, règles de distanciation, interdiction de contact, enfermement des personnes âgées, blocage des écoles et des commerces, masques obligatoires, etc.
Le nouveau livre du professeur Christian Schubert sur ce sujet sera publié le 4 mai, intitulé GEOMETRIE DE L'AME – Comment les modèles inconscients déterminent le scénario de nos vies .
Nous connaissons également un certain nombre d'autres mécanismes d'action. Les dommages causés par le port prolongé du masque , la production de cellules T régulatrices qui inhibent le système immunitaire et d'anticorps IgG4 par des injections répétées d'ARNm ou la pénétration des pics vaccinaux dans les ribosomes du noyau cellulaire et dans le cerveau du centre de contrôle ont été identifiés .
L'affaiblissement ciblé du système immunitaire rend les maladies respiratoires plus dangereuses Les mesures Corona étaient-elles réellement ciblées ? Y avait-il intention de nuire ? C'est difficile à prouver devant un tribunal. Mais il y a des indications que des programmes visant à réduire la population mondiale sont en cours depuis des décennies, comme indiqué ici .
De même , des considérations scientifiques ont été faites à ce sujet depuis des décennies. Dans le blog de >b, sous le titre " La biodéfense à l'ère de la biologie synthétique ", il y a une recherche intéressante sur les travaux antérieurs sur ce sujet.
Le livre Biodefense in the Age of Synthetic Biology nous éclaire un peu. Le co-auteur est Gigi Kwik Gronvall du Johns Hopkins Center for Health Security , l'usine d'armes biologiques de Johns Hopkins qui a également élaboré le plan de propagande pour "COVID-19" .
Il est conseillé de jeter un œil aux chapitres « Modifier le microbiome humain » , « Modifier le système immunitaire humain » et « Modifier le génome humain » . Pour changer le système immunitaire, les auteurs écrivent, par exemple :
"Créer une déficience immunitaire. Manipuler une population cible pour affaiblir son immunité pourrait renforcer l'effet d'une attaque biologique. Cet objectif pourrait être poursuivi soit en manipulant un agent pathogène pour simultanément réduire l'immunité et induire une maladie (Jackson et al., 2001), soit en introduisant un agent immunosuppresseur et une arme biologique séparément dans une population cible. Les agents utilisés pour provoquer l'immunodéficience peuvent être des agents pathogènes (par exemple, la propagation insidieuse du VIH [virus de l'immunodéficience humaine]) ou des produits chimiques (voir NRC [1992] et IPCS [1996] pour des discussions sur les produits chimiques qui contribuent à l'immunotoxicité). Il est également possible,
« Établir l'hyperréactivité. L'inconvénient de la technique de l'immunodéficience serait une tentative de créer une hyperréactivité du système immunitaire. Il a été démontré que les agents pathogènes et les produits chimiques déclenchent une tempête de cytokines, une condition dangereuse créée par une boucle de rétroaction positive dans la réponse immunitaire. Il pourrait être possible de développer une substance active qui déclenche une telle cascade de manière ciblée. […] »
"Établir l'auto-immunité. Les maladies auto-immunes naturelles entraînent des incapacités et des décès importants. Il pourrait être possible de concevoir une maladie qui pousse le corps à se retourner contre lui-même. Il existe maintenant des modèles de souris pour stimuler l'auto-immunité. Par exemple, l'encéphalomyélite auto-immune expérimentale, qui imite les symptômes de la maladie humaine de la sclérose en plaques, a été induite chez la souris par immunisation avec des antigènes qui déclenchent une réponse immunitaire (autoantigènes ; voir Miller et al., 2007). Normalement, une telle auto-immunisation est empêchée par les mécanismes qui assurent l'exclusion des anticorps et des lymphocytes T, eux-mêmes réactifs, mais certains pathogènes peuvent présenter des antigènes si proches des protéines de l'organisme qu'ils que la réponse immunitaire d'origine passe de l'agent pathogène à la nouvelle cible humaine. La recherche sur les inhibiteurs de points de contrôle, conçus pour stimuler le système immunitaire humain afin d'éradiquer les tumeurs, pourrait également servir de base aux efforts visant à contrôler intentionnellement l'auto-immunité. Il a été démontré que les inhibiteurs de points de contrôle conduisent à l'auto-immunité en stimulant excessivement le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. La recherche sur les inhibiteurs de points de contrôle, conçus pour stimuler le système immunitaire humain afin d'éradiquer les tumeurs, pourrait également servir de base aux efforts visant à contrôler intentionnellement l'auto-immunité. Il a été démontré que les inhibiteurs de points de contrôle conduisent à l'auto-immunité en stimulant excessivement le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. La recherche sur les inhibiteurs de points de contrôle, conçus pour stimuler le système immunitaire humain afin d'éradiquer les tumeurs, pourrait également servir de base aux efforts visant à contrôler intentionnellement l'auto-immunité.
Il a été démontré que les inhibiteurs de points de contrôle conduisent à l'auto-immunité en stimulant excessivement le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. que les inhibiteurs de point de contrôle conduisent à l'auto-immunité en surstimulant le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. que les inhibiteurs de point de contrôle conduisent à l'auto-immunité en surstimulant le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome.
Les auteurs de ce livre décrivent ainsi le mode d'action de la protéine de pointe du SARS-CoV-2. Cependant, cela ne se produit pas seulement dans le virus, mais comme on le sait, c'est le composant central de la soi-disant "vaccination corona" - qui, comme le virus lui-même, peut donc être classée comme une arme biologique.
Donc, cela décrit à peu près ce qui s'est passé. Nous avons déjà vu l'effet des mesures au second semestre 2020. Voici les données de OurWorldInData pour l'année 2020.
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Nous constatons une augmentation des «nouveaux cas», des admissions à l'hôpital et des admissions aux soins intensifs, et des décès. Bien que nous sachions que cela a été massivement exagéré, une augmentation de la saison grippale automne/hiver 2020 par rapport au printemps peut être déduite.
Les dommages au système immunitaire ont été massivement augmentés avec la campagne de vaccination, comme le montrent de plus en plus de données.
Mise à jour : la baisse du taux de natalité en Suède se poursuit en 2023
16 avril 2023 par Ulf Lorre
En février 2023, un bilan annuel pour 2022 annonçait le plus faible nombre de naissances en 17 ans (-8,3%). Les données de janvier et février 2023 sont désormais aussi nettement trop basses (-10,7% et -9,2%).
De 2018 à 2021, les naissances en Suède ont suivi une période saisonnière et ont montré une faible tendance négative. Un ajustement a été effectué sur cette période et une prévision pour 2022 et 2023 a été calculée à partir de celle-ci (Fig. 1).
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Fig. 1 : Naissances mensuelles en Suède avec ajustement (modèle de série chronologique linéaire, bleu clair), prévision (bleu) et IC à 95 % (bleu clair). Les valeurs réelles ne s'écartaient que légèrement de l'ajustement de la période de comparaison. Cependant, en janvier 2022, ils sont inférieurs à l'intervalle de confiance de 95 % des prévisions, ce qui indique une signification statistique. Les écarts montrent un lien temporel avec la campagne de vaccination suédoise C19 (Fig. 2).
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Fig. 2 : Relation temporelle entre la baisse des naissances et le taux de vaccination C19 dans le groupe d'âge fertile. Les taux de vaccination sont exprimés en doses/(population * mois), source : données de vaccination de l'ECDC .
En tenant compte d'un décalage horaire de 9 mois, on peut voir que les deux événements ont commencé en même temps. Une corrélation de rang négative statistiquement significative peut être démontrée pour la période d'octobre 2021 à décembre 2022 (Spearman's 𝜌 = -0,53, p = 0,021). Si les chiffres des naissances pour 2023 sont ajoutés, cela ne s'applique plus, ce qui pourrait indiquer des effets plus durables.
Un test de causalité de Granger dans la fenêtre temporelle ci-dessus ne conduit pas à un résultat clair. Les résultats ne changent pas non plus lors de l'évaluation des courbes des doses individuelles. Cela pourrait être lié à la résolution temporelle insuffisante. De plus, les deux signaux contiennent le chevauchement des différentes séries de vaccination, qui ne peuvent être attribuées séparément aux naissances en raison d'un manque de disponibilité des données.
Au-delà de ces considérations statistiques, il existe des preuves biomédicales significatives d'une association entre la vaccination C19 et une baisse de la fertilité, et on ne sait pas combien de temps cette réduction dure et comment elle se répartit entre les hommes et les femmes.
Les dernières données suédoises suggèrent que l'impact sur la fertilité persiste pendant au moins deux mois après la fin de la vaccination de masse. Ce résultat pourrait également s'appliquer à de nombreux autres pays touchés. Les graphiques actuels des taux de natalité dans les pays européens peuvent être trouvés ici .
Remarque : Un article TKP précédent sur ce sujet était basé sur une importation de données incorrecte. Les résultats qui y sont décrits ne peuvent donc plus être maintenus. Toutes mes excuses à tous les lecteurs pour cette erreur !
Coup de théâtre : Von Der Leyen poursuivie en justice pour avoir violé les Traités européens dans les contrats Covid
By Cheikh Dieng 17 avril 2023
Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission Européenne, vient d’être traînée en justice par un puissant lobbyiste belge qui l’accuse d’avoir agi en dehors des Traités européens dans l’acquisition des contrats de vaccins signés avec les laboratoires lors de la pandémie à Coronavirus
Ursula Von Der Leyen n’est pas encore sortie de l’auberge. Alors que plusieurs élus européens exigent d’elle qu’elle s’explique sur les contrats de vaccins signés avec le laboratoire Pfizer et estimés à plusieurs milliards d’euros, la présidente de la Commission Européenne vient d’être visée par une nouvelle plainte déposée, cette fois-ci, par un grand lobbyiste accrédité par l’Union Européenne.
C’est en tout cas l’information que Lecourrier-du-soir.com a apprise ce 16 avril du média Euractiv. En effet, à en croire cette source, la plainte a été déposée par le puissant lobbyiste belge Frédéric Baidan, un poids lourd du lobby européen. Ce dernier dit avoir personnellement décidé de poursuivre Von der Leyen en justice car il estime que la présidente de la Commission Européenne a ébranlé les finances publiques de son pays ainsi que la confiance publique dont jouissaient jusque-là les institutions.
D’après les informations obtenues par Euractiv, Frédéric Baidan a déposé sa plainte ce 5 avril à Liège. Dans sa plainte, le lobbyiste belge accuse Von der Leyen d’avoir agi en dehors des Traités européens et d’avoir outrepassé son mandat de présidente de la Commission Européenne.
Il faut dire que cette information intervient moins d’un mois après la décision de l’UE de blanchir totalement la présidente de la Commission Européenne. En effet, d’après une info d’Euractiv publiée ce 27 mars, Stella Kyriakides, commissaire européenne à la Santé, persiste et signe. Pour elle, la présidente de la Commission Européenne n’est, en aucun cas, impliquée dans les négociations ayant précédé la signature de contrats de vaccins estimés à plusieurs milliards d’euros.
« La présidente de la Commission Européenne n’a été impliquée dans aucune négociation concernant les contrats Covid. Je l’ai dit avant et je le redis une nouvelle fois », a martelé Stella Kyriakides. Devant le Comité Spécial en charge du Covid, la commissaire européenne à la Santé joue la carte de la transparence.
« Il y a eu une équipe qui s’est chargée de la négociation et un comité directeur », insiste-t-elle. Et elle ne s’arrête pas là. Face au Comité Spécial Covid, elle pointe du doigt la responsabilité des Etats membres. « Les Etats membres ont toujours eu la possibilité de rejeter un contrat (…). Ils étaient parfaitement au courant des conditions de ces contrats », révèle Stella.
Face au Comité Covid, Stella Kyriakides précise que tout a été fait pour que les députés soient informés des tenants et aboutissants des contrats signés avec les labos. Cependant, elle reconnaît, tout de même, que les réponses fournies à ces derniers (les eurodéputés, ndlr) n’ont pas été satisfaisantes en raison des clauses de confidentialité qui encadrent ces contrats.
Les guerres de Corona ont révélé la corruption institutionnelle : le pivot de l'autonomie dans un nouveau monde des soins de santé
Par le Dr Emmanuel Garcia Recherche mondiale, 17 avril 2023
Je suppose que j'ai contemplé les contours d'une forme idéale de "médecine" depuis toujours, certainement depuis le début de mes études institutionnelles formelles qui ont conduit à mon doctorat en médecine.
Trois années de guerres du Corona ont révélé la corruption institutionnelle à pratiquement tous les niveaux : les gouvernements, leurs ministères, les conseils médicaux qui prétendent protéger leurs citoyens en réglementant ceux qui pratiquent la médecine, les entités mondiales inextricablement liées, par exemple, les Nations Unies et le Organisation Mondiale de la Santé.
Nous avons vu au cours de ces trois dernières années comment les vaccins ont été redéfinis, comment le consentement éclairé a été minimisé, comment le serment d'Hippocrate a perdu son charme pour l'agenda mondialiste cherchant à instiller la peur dans la population du monde et à injecter ce population avec une concoction thrombogène modifiant les gènes en utilisant les arts de la séduction et de la force.
Ainsi, la poussière étant retombée, de l'intérieur de ces décombres de malversations institutionnelles, nous avons l'occasion de repartir à zéro - nous qui avons reconnu le rôle pervers du complexe industriel pharmaceutique avec ses soi-disant aspirations au Nouvel Ordre Mondial.
Commençons par les médecins et l'autorité dont ils ont été investis, et le pouvoir dont les installations de recherche scientifique et les hôpitaux ont été revêtus par ceux qui, souffrant, sont à leur merci.
Chaque rencontre entre un patient et un médecin est elle-même imprégnée d'aspects de cette force : même les rois d'un royaume terrestre ont été humiliés, lorsqu'ils étaient faibles et frappés, par leurs médecins.
Il est temps d'uniformiser les règles du jeu et de soutenir une forme d'auto-guérison guidée par le patient dans laquelle l'individu devient maître de son propre traitement. Après tout, la première étape typique pour tout individu affligé est une auto-guérison ; ce n'est qu'en cas d'échec qu'il s'adresse à une autorité professionnelle, autorité dont la réglementation est monopolisée par l'État.
Cette autorité peut désormais prendre une nouvelle forme et être redéfinie.
Laissons de côté pour l'instant la Grande Médecine, j'entends par là la médecine des procédures hautement techniques et des équipements coûteux et des salles d'opération et chirurgies, la Médecine des soins aigus de traumatologie et de l'imagerie complexe, qui, selon mon estimation, ne représente qu'un faible pourcentage de la santé.
Concentrons-nous plutôt sur les domaines de la nutrition, de la prévention, du dépistage précoce des maux et des traitements naturels des affections qui constituent l'essentiel des consultations chez le médecin généraliste. Diabète, hypertension, santé cardiovasculaire – il me semble que ces problèmes peuvent être traités facilement et avec succès par des approches médicales intégratives et « alternatives » qui reposent beaucoup moins sur des produits pharmaceutiques exclusifs et beaucoup plus sur des approches homéopathiques. Mais quel que soit le type d'intervention, au cœur de ce que je propose, il y a une démystification claire et délibérée du médecin ou du guérisseur - une démystification qui n'enlève rien à la reconnaissance de l'expertise, mais qui place le patient sur un pied d'égalité, comme c'était.
En psychanalyse, la découverte par Freud de ce que nous appelons « transfert » a conduit à une immense recherche sur le sens et les usages des constellations émotionnelles projetées ou transférées sur l'analyste. Cela impliquait la reconnaissance de la création d'un pouvoir autoritaire - un pouvoir créé par le patient lui-même qui, à la fin d'une analyse réussie, serait suffisamment dissipé ou analysé jusqu'à ce que le patient puisse procéder de manière indépendante. En résumé, le but de l'analyse est l'auto-analyse : l'autonomie.
Sous ces lumières, un nouveau système serait celui d'une coopération égalitaire. Un patient serait libre de s'éduquer et de choisir des interventions, des approches, des médicaments et des traitements en fonction de ses besoins.
Je devrai laisser à d'autres dont les pouvoirs d'organisation créative sont bien plus grands que les miens la manière dont cela peut être mis en œuvre dans la pratique. Je peux imaginer des centres de bien-être florissants, une consultation communicative généralisée rendue possible par Internet, des programmes mettant l'accent sur la santé plutôt que axés sur et organisés principalement autour de la maladie… En fait, je suis au courant d'initiatives ici en Nouvelle-Zélande et dans le monde qui ont commencé à mettre en œuvre de telles idées.
Mais c'est le pivot de l'autonomie qui s'impose , quel que soit le levier utilisé, et la fin de la tradition millénaire de la médecine occidentale qui divinisait les médecins. Cela signifiera également la fin du règne des monstrueuses entités et entreprises publiques et privées qui nous ont si profondément trahis ces trois dernières années.
Propagande de l'OMS : l'injection de Covid a sauvé un million de vies en Europe
17 avril 2023 par Thomas Oysmuller
Lundi, l'OMS a annoncé que la "vaccination" contre le Covid aurait sauvé plus d'un million de vies rien qu'en Europe. Politiciens et journalistes célèbrent le message.
Un nouveau rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) vous fait vous asseoir et prendre note : les "vaccins contre le coronavirus" ont sauvé plus d'un million de vies depuis la fin de 2020 - rien qu'en Europe. Le nombre a été "calculé sur la base du nombre de décès et des doses de vaccin administrées". Dans le même temps, l'appel à la vaccination est renouvelé, avec lequel on veut évidemment argumenter la nouvelle campagne.
L'OMS dans le cadre de l'industrie de la pandémie
Selon le rapport, "un nombre particulièrement important de décès" ont été évités pendant la vague omicron. Selon le rapport, l'injection aurait sauvé plus d'un demi-million de personnes de la mort d'omicron. Cependant, les rapports traditionnels ne mentionnent pas que le taux de mortalité par infection pour Omikron était significativement inférieur à celui des variantes précédentes. Il n'y a pas non plus de lien direct avec « l'étude » dans les reportages des médias.
Rudolf Anschober, l'ancien ministre autrichien de la Santé, a fièrement tweeté le message correspondant de l'ORF : " Je répondrai désormais toujours aux négationnistes agressifs qui se sentent confirmés depuis la Basse-Autriche."
Florian Klenk a tweeté le message correspondant de la " Süddeutsche " : " Les vaccinations corona ont sauvé plus d'un million de vies en Europe. Un million ! "
Cependant, aucun d'eux n'a mis l'OMS dans son contexte. Cependant, il faut mentionner que le plus gros donateur de l'OMS est l'empire privé Gates, d'une part via la « Fondation Bill & Melinda Gates » et d'autre part via l'alliance de vaccination « GAVI ». Des fonds privés à l'OMS sont également affectés. L'OMS ne peut pas disposer librement de l'argent, mais les donateurs privés déterminent où il doit être investi.
C'est la principale raison pour laquelle de nombreux critiques décrivent l'OMS comme une "ONG privée" ou pourquoi l'agence des Nations Unies est qualifiée de groupe de pression pour l'industrie de la pandémie. En raison de l'argent de Gates, qui a beaucoup investi dans le secteur de la vaccination, une discussion objective sur le sujet devrait être très difficile.
L'OMS souligne notamment que les personnes de plus de 60 ans auraient été "sauvées". Ces personnes sont également la cible de la prochaine campagne de vaccination, que l'OMS et la Commission européenne prévoient de lancer au printemps et à l'automne au plus tard. La présentation du succès de la vaccination était également accompagnée d'un appel : "les personnes non vaccinées" doivent "se laisser protéger". Car l'injection de Covid aurait été un grand succès.
A RAPPELER QUE: Il y a DES milliers de laboratoires qui analysent tous les jours la qualité de l'air sans que dans le monde un seul n'ait pu découvrir ce virus dans l'air !! Çà alors !!
Ivo Sasek sur le principe de la souris de laboratoire
RépondreSupprimer17.04.2023
www.kla.tv/25788
On dit oui au Great Reset, mais d'abord, on va tester ça sur ceux pendant 20 ans. Oui à la surveillance totale, mais on va d'abord tester ça sur ceux qui ont développé ça, qui veulent mettre ça en pratique sur nous. D'abord, on fait le Truman Show avec eux, et on les observe.
L'obligation vaccinale, on dit oui, mais d'abord sur tous ces gens qui nous ont obligés à dire oui à ces vaccins, Lauterbach, Karl Lauterbach, ministre de la Santé allemande, toute leur clique, tous ces politiciens qui ont encouragé cela. D'abord, on les vaccine avec ce qu’ils ont développées. Et après, on voit si on veut cela.
Ils veulent la guerre, on dit oui aux guerres. Alors, c'est quoi le « mais » ? On dit oui aux guerres, mais ce ne seront que ceux qui attisent les guerres, qui profitent des guerres, etc., qui devront, homme contre homme s'attaquer mutuellement, pas des pères et fils innocents. Alors les terrains de foot pourraient suffire, ou les arènes de l'Antiquité romaine devraient suffire pour cette minorité. Vous ne pensez pas ?
Oui, de manière très pratique, tu sais. D'un côté, le clan d'Olaf Scholz, chancelier allemand avec ses sorcières bellicistes. C'est Jürgen Elsässer qui a dit, dans son édition du journal Compact, il les a nommées « sorcières bellicistes ». Donc le clan d'Olaf Scholz. De l'autre côté, Poutine qui combat avec son ours rouge et son dragon. D'un côté, Annalena Baerbock, une politicienne allemande. Puis Ursula von der Leyen et compagnie, en coalition avec Volodymyr Zelensky, avec tous ses commanditaires et ses profiteurs de guerre. L'arène sera bientôt pleine avec tous ces gens ! Tous ces gens qui, politiciens et ministères de tous les pays de l'UE, qui sont en train de pousser des fils et pères innocents dans les guerres, qui développent des choses où les femmes enceintes peuvent rouler avec des chars de guerre. Nous disons non, on ne va plus aller en guerre pour eux, mais eux, ils ont le droit de se battre l'un contre l'autre. D'un côté, ce camp-là, et de l'autre côté, l'autre camp. Allez, on applaudit pour ça.
Une décision mondiale, un tribunal mondial doit décider de cela. Alors, ceux-là devront combattre dans l'arène, Poutine et son ours rouge, les uns contre les autres, jusqu'à la dernière goutte de sang. Et nous regardons, et bien sûr. Il y a les tireurs de ficelles nord-américains dans les tribunes. Ça va devenir visible, parce que eux ils vont se retirer de cette guerre et ne viennent qu'à la fin pour prendre le butin. Mais aussi, ils peuvent participer, et ceux qui les dirigent, ils regardent depuis les derniers rangs de la tribune, mais à la fin, les peuples qui disent non, on ne va pas entrer en guerre pour vous.
Maintenant, c'est vous de l'administration américaine qui voulez la guerre, qui désirez la guerre contre Poutine et son ours rouge. C'est vous qui allez dans l'arène maintenant, nous allons vous mettre là-dedans !
https://www.kla.tv/fr
En Californie l’énergie va perdre toute énergie …
RépondreSupprimerle 17 avril 2023
Avant-propos.La Californie est l’État le plus progressiste des Etats-Unis et elle dérive vers une sorte de vie irréelle. Plus personne n’est capable d’appréhender les véritables enjeux économiques qui ont fait la prospérité de cette belle région. Chaque fois que je m’intéresse à ce qui se passe dans cet Etat je constate qu’il a définitivement choisi la voie de tous les excès, perméable à toutes les idéologies les plus extrêmes. Cette évolution s’explique par la gestion démocrate alors que d’autres Etats comme le Texas ou la Floride, gérés par des Républicains sont restés plus pragmatiques et ont trouvé le moyen d’attirer des centaines de milliers de Californiens qui n’en peuvent plus de la tournure délétère qu’a choisi la Californie, empêtrée dans l’idéologie woke, la problématique du climat, la défense de l’environnement alors que les grandes villes comme Los Angeles ou San Francisco ressemblent à des camps de « romanichels », les rues sont jonchées d’ordures et les « freeways » se dégradent jour après jour. La drogue fait des ravages avec la criminalité qui lui est associée. Une mes anciennes collègues habitant dans le très agréable quartier de Barrington à Los Angeles-ouest me disait récemment que le quotidien était devenu insupportable et qu’elle envisageait de quitter cet endroit quand elle en aurait fini d’accompagner son dernier étudiant en doctorat alors qu’elle déjà dépassé l’âge légal du travail au sein de l’Université qui est de 75 ans. En ce qui concerne l’énergie voici deux traductions relatives à l’énergie électrique en Californie. Le premier article a été trouvé sur le site ZeroHedge.
Comme si les relativement riches avaient besoin d’une autre raison pour fuir la Californie… Si vous gagnez plus, vous payez plus !
C’est l’impact net sur votre facture d’électricité si une proposition des trois plus grandes compagnies d’électricité de la Californie est adoptée.
Comme l’indique KTLA5 (lien ci-dessous), Southern California Edison, Pacific Gas & Electric et San Diego Gas & Electric ont soumis la semaine dernière une proposition conjointe à la Public Utilities Commission de l’État qui décrit la nouvelle structure tarifaire. Elle fait suite à l’adoption, l’an dernier, du projet de loi 205 de l’Assemblée de Californie, qui exige un taux fixe et des projets de loi généralement plus simples. https://youtu.be/ZErfPbU7bpo
Le plan scinderait les factures mensuelles en deux parties : Le taux de revenu fixe, plus une réduction des frais d’utilisation en fonction de la consommation.
Selon la proposition, les frais fixes augmentent comme suit : Les ménages gagnant moins de 28 000 $ par année paieraient des frais fixes de 15 $ par mois sur leurs factures d’électricité dans les territoires d’Edison et de PG&E et de 24 $ par mois dans les territoires de SDG&E. Les ménages dont le revenu annuel se situe entre 28 000 $ et 69 000 $ paieraient 20 $ par mois dans le territoire d’Edison, 34 $ par mois dans le territoire des S&D et 30 $ par mois dans le territoire des S&E. Les ménages gagnant de 69 000 $ à 180 000 $ paieraient 51 $ par mois dans les territoires d’Edison et de PG&E et 73 $ par mois dans les territoires de S&D. Les personnes ayant un revenu supérieur à 180000 $ paieraient 85 $ par mois dans le territoire d’Edison, 128 $ par mois dans le territoire des S&D et 92 $ par mois dans le territoire des S&E. Selon Southern California Edison, environ 1,2 million de ses clients à faible revenu verront leurs factures baisser de 16 à 21 %.
RépondreSupprimer« Nous avons écouté et entendu nos clients dire qu’un changement fondamental est nécessaire pour alléger les factures », a déclaré Caroline Winn, PDG de SDG&E. Certains veulent un allégement de la facture d’énergie… donc les riches devront payer leur juste part pour la même consommation d’énergie.
« Lorsque nous avons élaboré la proposition de réforme, nous nous sommes concentrés sur les clients qui vivent très étroitement de leur salaire du début à la fin du mois, qui ont de la difficulté à payer des biens essentiels comme l’énergie, le logement et la nourriture ». Bien sûr, cela est dirigé de haut en bas… Le projet de loi fondé sur le revenu fait partie de la conformité des entreprises à la loi adoptée par le gouvernement de l’État de la Californie l’an dernier exigeant ce genre de plans pour les services publics. Ironiquement, seuls les habitants relativement aisés (nous utilisons ce terme parce que ce qui est pauvre en Californie est probablement une situation beaucoup plus riche dans la plupart des autres États américains) sont les seuls résidents de la Californie qui peuvent se permettre un véhicule électrique (à laquelle l’État exige que tout le monde fasse la transition au cours des prochaines années) et, de ce fait, la demande d’électricité augmente de façon générale.
Remarque. Vous comprendrez le commentaire à la fin de cet article. Les lois socialisantes établies en Californie ont provoqué une chute du pouvoir d’achat et du standard de vie des classes moyennes ? Celles-ci sont déclassées par rapport aux autres Etats américains. Il s’agit du résultat attendu de dizaines d’années de gestion démocrate. La France a dérivé dans la même idéologie depuis 1981 et les dégâts provoquées dans le tissu industriel et la société en général ont modelé une France dont l’identité a été effacée s’acheminant vers une ruine matérielle et morale que plus rien ne peut arrêter. Voici le deuxième article relatif à l’énergie en Californie, paru sur le site realclearwire repris par ZeroHedge. Les auteurs sont Rea S. Hederman et Will Swaim (lien en fin de billet).
Californie. L’énergie propre en question.
RépondreSupprimerLa course effrénée de la Californie pour remplacer son réseau électrique par des énergies renouvelables a donné au reste du pays un aperçu de l’avenir décarbonisé que le président Biden et son Clean Power Plan réanimé envisagent pour l’Amérique. Ce n’est pas joli joli. Avant que les problèmes de la chaîne d’approvisionnement et les mesures de relance fédérales ne fassent fondre l’inflation, le coût de la vie de la Californie se classait déjà au deuxième rang dans le pays. Les efforts enthousiastes pour dépendre davantage de l’énergie éolienne et solaire, présentées comme des sources d’énergie propre « bon marché », n’ont fait que rendre l’État plus coûteux.
En 2015, le président Obama a imposé son plan d’énergie propre pour remplacer toutes les centrales au charbon par des centrales alimentées au gaz naturel et à l’énergie renouvelable. La Californie a dit : « Prenez ma bière », (comprenez on lève notre verre à cette initiative) et a adopté sa propre loi sur l’énergie propre et la réduction de la pollution avec des objectifs de décarbonisation encore plus ambitieux. Pour atteindre ces objectifs, l’État a publié des règlements trop zélés et mal planifiés qui ont augmenté la production d’électricité à partir des parcs éoliens et solaires de plus de vingt mille gigawattheures par année. L’énergie éolienne et solaire représente maintenant un quart de l’approvisionnement énergétique de la Californie.
La Californie et l’énergie propre semblent aller de soi. Les côtes ensoleillées de l’État, les déserts lumineux, les cols de montagne venteux et les vallées fluviales profondes devraient offrir d’abondantes sources d’énergie solaire, éolienne et hydroélectrique bon marché et entièrement naturelle. Malheureusement, ce n’est pas le cas. La tombée de la nuit, les sécheresses et les journées sans vent font disparaître ces sources d’énergie renouvelable. Et lorsque les sources intermittentes d’énergie propre ne peuvent pas répondre à la demande, les fournisseurs d’électricité californiens se tournent vers le gaz naturel et les importations d’électricité qui soutiennent le réseau de l’État, mais qui sont maintenant plus coûteuses en raison de la capacité insuffisante de stockage et de pipelines créée par la ruée idéalisée vers une énergie propre « bon marché ».
Note. L’ illustration est une photo prise à Palm Spring, une ville en plein désert. Il y a 45 ans la beauté sauvage de cet endroit où je me suis souvent promené et sa quiétude très contrastée fut le refuge de ménages de retraités aisés qui fuyaient la grande agglomération de Los Angeles. Ils doivent certainement apprécier le paysage défiguré par une forêt de moulins à vent émettant des infra-sons détruisant la santé pour une production d’énergie électrique plus que décevante.
Des marchés énergétiques inefficaces, des flambées de prix imprévisibles, des sources d’énergie peu fiables et un environnement réglementaire hostile ont tous contribué à une augmentation de 40 % de la facture d’électricité moyenne de la Californie au cours des cinq dernières années. Ce sont les retraités, les ménages à faible revenu et les familles de la classe moyenne qui paient le prix le plus élevé. Des millions de Californiens étirent maintenant leurs budgets déjà épuisés juste pour couvrir la nourriture, le carburant, l’abri, et une facture d’électricité toujours croissante.
RépondreSupprimerLa nouvelle proposition du président Biden sur l’énergie propre pour un secteur énergétique sans pollution d’ici 2035 menace de faire de cette Californie une expérience dont tous les États pourraient bientôt profiter. Selon le plan du Président, le gaz naturel n’a pratiquement aucun avenir en Amérique. La Californie et le reste du pays seront forcés de remplacer les centrales au gaz naturel par des sources renouvelables qui rendront la production d’électricité peu fiable et donc plus coûteuse. Le climat et la géographie de la Californie le rendent plus adapté à un réseau d’énergie propre que n’importe quel autre État, mais même la Californie doit compter sur le gaz naturel pour maintenir l’éclairage. Ce n’est pas de bon augure pour l’Ohio et d’autres états nuageux. Selon l’Almanach des fermiers, l’Ohio voit 63 à 77 jours ensoleillés par an. Dans l’Etat du Michigan c’est pire avec seulement 65 à 75 jours clairs par an. La Californie, en revanche, voit le soleil 146 jours par an en moyenne, juste derrière l’Arizona.
Avec la moitié de l’ensoleillement de la Californie et aucune implantation éolienne près des grandes villes, l’Ohio dépend fortement du gaz naturel et des centrales au charbon pour produire de l’électricité. Se conformer au mandat zéro émission du président Biden mettrait définitivement hors service ces usines qui fournissent maintenant plus de 75 pour cent de l’énergie de l’État. Dans un nouveau rapport, le Buckeye Institute estime que les coûts d’électricité de l’Ohio augmenteraient de neuf cents par kilowattheure, soit 810 $ de plus par année pour la famille moyenne. Cela permet d’acheter environ trois mois d’épicerie pour le ménage médian de l’Ohio. En revanche, le ménage californien moyen dépensera 665 $ de plus par année pour de l’énergie propre, seulement six semaines d’épicerie.
Les factures d’électricité plus élevées coûteront également 10 000 emplois à la Californie et à l’Ohio d’ici 2035, car les entreprises réduiront leur masse salariale pour compenser les dépenses supplémentaires et ralentir la croissance. Mais la Californie a trois fois et demie plus de travailleurs, ce qui rend le coup moins grave. La transition brutale, sismique, de la Californie vers une énergie plus propre est une mise en garde. L’État doré pourrait un jour atteindre l’indépendance des combustibles fossiles, mais ce rêve reste insaisissable. Et imposer la politique californienne de réduction des émissions de l’administration Biden serait économiquement désastreuse pour les États qui dépendent de la fabrication manufacturée et de l’agriculture à forte intensité énergétique sans les avantages géographiques ensoleillés de la Californie. Malgré les demandes urgentes de leurs défenseurs, les sources d’énergie renouvelable sont encore intermittentes, peu fiables et beaucoup plus coûteuses que ce qui est annoncé.
Remarque. Mes lecteurs croiront que je suis obsédé par l’énergie nucléaire mais puisqu’il faut décarboner la production d’électricité l’énergie nucléaire est la seule alternative offerte pour atteindre ce but, quelles que soient par ailleurs toutes les autres considérations, avec l’hydroélectricité. La Californie fut à l’avant-garde dans l’énergie nucléaire avec plusieurs installations de production commerciale d’électricité, Rancho Seco, San Onofre et Diablo Canyon. D’autres installations expérimentales étaient connectées également au réseau de l’Etat comme à Vallecitos et Humbolt Bay ou encore le surrégénérateur à sodium liquide de Simi Valley. À l’époque durant laquelle je travaillais en Californie, l’énergie électrique d’origine nucléaire représentait environ 25 % de la production totale. Aujourd’hui toutes les installations expérimentales ont disparu et seule l’usine de Diablo Canyon reste opérationnelle. Cette unité de production, propriété de l’exploitant PG&E, est située au nord de San Diego sur la côte pacifique. Elle comprend deux PWR de 1100 MW électriques chacun construits par Westinghouse avec 4 générateurs de vapeur chacun. Ce type de réacteur fut « francisé » dans le parc nucléaire français avec la série des « 1300 MW ». L’installation est située près de deux failles potentiellement sources de séismes. Cet argument tectonique a d’ailleurs été mis en avant pour justifier la propagande des verts Allemands en ce qui concerne l’usine de Fessenheim en France. La fermeture définitive est prévue pour 2024 et 2025. Malgré de sérieuses études réalisées au MIT et à l’Université de Stanford, repousser cette fermeture en 2035 faciliterait l’adaptation de la conversion programmée vers le tout renouvelable dans laquelle s’est engagée la Californie. Et malgré le fait que cette installation ne produit pas de gaz carbonique elle sera remplacée par 4 unités de production électrique fonctionnant au gaz naturel. C’est un pis aller qui ne se défend que par le volume des investissements et la rapidité de la construction d’une centrale électrique au gaz naturel. Le problème qui n’est pas envisagé pour l’instant est la pérennité de l’extraction du gaz naturel par fracturation hydraulique aux USA. À l’évidence cette marche en avant vers un abandon du nucléaire et le développement des unités de production utilisant le gaz est une prise de risque qui pourra conduire beaucoup plus rapidement que prévu la ruine de l’économie de la Californie.
RépondreSupprimerRea S. Hederman Jr. est directrice générale du Centre de recherche économique de l’Institut Buckeye. Will Swaim est président du California Policy Center. Lien :https://www.realclearwire.com/articles/2023/04/13/californias_cautionary_clean_energy_893590.html
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/17/en-californie-lenergie-va-perdre-toute-energie/
FINLANDE : Après 13 ans de retard, un réacteur nucléaire EPR entre en service
RépondreSupprimerUn réacteur nucléaire EPR de conception franco-allemande a été mis en service dimanche en Finlande afin d’y couvrir un tiers des besoins en énergie.
16 avril 2023, 11:36
En retard de 13 ans sur le calendrier initial, le réacteur EPR d’Olkiluoto, en Finlande, a été mis en service dimanche, a annoncé son exploitant, le groupe TVO. Il aurait dû commencer à fonctionner en décembre mais son activation avait dû être repoussée plusieurs fois lors de sa période d’expérimentation.
«Les essais sont terminés et la production d’électricité régulière a commencé aujourd’hui», a déclaré TVO dans un communiqué. «À partir de maintenant, environ 30% de l’électricité finlandaise est produite à Olkiluoto.» Lors de la phase d’essai de production fin 2022, une des trois valves de sécurité du réacteur OL3 d’Olkiluoto, dans le sud-ouest de la Finlande, construit par le groupe français Areva, s’était avérée défectueuse.
La construction du réacteur de 1600 megawatts a débuté en 2005 et avait, lors des expérimentations, atteint pour la première fois en septembre sa pleine capacité opérationnelle. La centrale d’Olkiluoto compte aussi deux réacteurs nucléaires plus anciens. Selon TVO, l’EPR a fourni environ 15% de l’électricité de la Finlande pendant sa phase d’expérimentation.
Casse-tête technique
Développé par la France, ce modèle d’EPR (réacteur pressurisé européen) a été conçu pour relancer l’énergie nucléaire en Europe après la catastrophe de Tchernobyl en 1986, en étant présenté comme offrant une puissance plus élevée et une meilleure sécurité. Sa construction a cependant représenté un casse-tête technique et pas uniquement en Finlande. En France, la construction de l’EPR de Flamanville (nord), entamée en 2007, a aussi été affectée par de très importants retards. Deux réacteurs ont été mis en service en Chine.
https://www.lematin.ch/story/apres-13-ans-de-retard-un-reacteur-nucleaire-epr-entre-en-service-948324035000
Le rapport met en garde que "la limitation du réchauffement climatique d'origine humaine nécessite des émissions nettes nulles de gaz carbonique anthropiques". Alors que les mondialistes de l'ONU, du WEF et de l'OMS exploitent l'alarmisme climatique dans un art de l'IA New Age, ce qu'il faut, c'est un alarmisme intergouvernemental net zéro.
RépondreSupprimerNe retenons pas notre respiration collective pour l'étude de cette urgence existentielle (confiance extrêmement faible).
*
John Klar héberge la sous-pile et le podcast Small Farm Republic de sa ferme du Vermont. Son nouveau livre est Small Farm Republic: Why Conservatives Must Embrace Local Agriculture, Reject Climate Alarmism, and Lead an Environmental Revival. Il contribue fréquemment à Global Research.
https://www.globalresearch.ca/exposing-the-climate-racket-the-latest-ipcc-report/5816145
Le riz tue maintenant la planète, apparemment
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 18 AVRIL 2023 - 11:00
Écrit par Steve Watson via Summit News,
Maintenant, il est fermement ancré dans le culte du changement climatique que manger de la viande tue la planète et vous devez "manger ze insectes", les mêmes personnes ont une nouvelle cible, le riz.
VIDÉO : Le riz est responsable d'environ 10 % des émissions mondiales de méthane, un gaz qui, en deux décennies, retient environ 80 fois plus de chaleur que le gaz carbonique. Les scientifiques disent que si le monde veut réduire les émissions de gaz à effet de serre, le riz ne peut être ignoré. pic.twitter.com/46GgkaGPgK
— Agence de presse AFP (@AFP) 16 avril 2023
"Le riz ne peut être ignoré."
L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture note que « le riz est l'un des aliments de base les plus importants au monde. Plus de 50 % de la population mondiale dépend du riz pour environ 80 % de ses besoins alimentaires. Environ 95 % de la production mondiale de riz est produite et consommée dans les pays en développement.
De quoi s'agit-il vraiment ?
Interdire le riz tuerait des dizaines de millions d'innocents.
Je commence à penser qu'il n'a jamais été question de sauver la planète. . . https://t.co/Sz1bcbQM49
– Cousin américain de Johnny Rotten (@EERCANE) 16 avril 2023
C'est sinistre. Retirer le riz ou le blé de la production déclencherait une famine mondiale. Nous devons commencer à reconnaître les voix qui poussent ce programme afin de repousser ces absurdités. @wef #agenda2030
– WiseOldOwl (@RealAlexLucio) 16 avril 2023
pic.twitter.com/qQgvJcoBA0
– slimjim (@ slimjim33_33) 16 avril 2023
Les pays asiatiques mangent déjà des insectes. Quel est ton problème?
– Pantalon Shouty (@unprisonplanet) 17 avril 2023
Ouais, ils veulent qu'on mange des insectes !
– Betsy Rambo (@BetsyRambo) 17 avril 2023
Honnêtement, nous devrions juste arrêter de manger.
– Cody (@BlueCollarBTC21) 17 avril 2023
Manger 🪲
Ne mangez pas 🍚
– Adam Townsend (@adamscrabble) 16 avril 2023
Les "scientifiques" devraient trouver de meilleures solutions que d'affamer la moitié de la planète.
– Coche Prime (@PrimeCheckMark) 16 avril 2023
C'est la grande solution dans leur esprit
– Parker (@winchester_101) 17 avril 2023
Oh non, les entrepôts de distribution de riz sont sur le point de commencer à exploser mystérieusement.
– Carolina Brew (@deeplens) 16 avril 2023
https://www.zerohedge.com/political/rice-now-killing-planet-apparently
Centres de données et petits réacteurs nucléaires - Un mariage parfait ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 16 AVRIL 2023 - 01:00
Rédigé par Brian Gitt via RealClear Wire,
La plupart d'entre nous ne pensent pas aux énormes centres de données qui permettent notre utilisation constante d'Internet. Mais ils sont essentiels à notre civilisation et consomment d'énormes quantités d'électricité 24h/24 et 7j/7.
L'alimentation de ces centres de données devient rapidement un problème. La Virginie du Nord, par exemple, héberge la plus grande concentration de centres de données au monde. Des géants de la technologie comme Amazon, Facebook, Microsoft et Google ont investi 126 milliards de dollars dans les centres de données de Virginie. Et l'appétit insatiable de la région pour la puissance continue de croître en raison de la demande croissante de services de cloud computing.
Sans alimentation fiable, les fournisseurs de services cloud ne peuvent pas se développer pour suivre le rythme de la demande croissante. Mais le réseau électrique ne peut pas suivre. À l'heure actuelle, les goulots d'étranglement de transmission d'énergie en Virginie du Nord pourraient retarder le développement de nouveaux centres de données jusqu'en 2026.
Les développeurs de centres de données de l'autre côté de l'étang sont confrontés au même problème. Microsoft et Amazon ont interrompu leurs projets de construction de nouveaux centres de données à Dublin, en Irlande, en raison de pénuries d'électricité et de menaces de pannes d'électricité. Et les autorités britanniques ont suspendu la construction de nouvelles maisons dans l'ouest de Londres jusqu'en 2035, car les centres de données avaient déjà atteint la capacité maximale du réseau local.
Et ce n'est pas seulement la consommation d'énergie qui suscite l'opposition aux centres de données. Les inquiétudes concernant les émissions de gaz à effet de serre, l'utilisation de l'eau, la pollution sonore et la durabilité globale des centres de données alimentent l'opposition locale qui limite le lieu de construction des centres de données, voire leur opportunité.
Google, Amazon, Microsoft et Facebook ont répondu à la demande d'énergie propre en investissant massivement dans des projets éoliens et solaires. Mais le vent et le solaire ne peuvent à eux seuls résoudre le problème. Ces sources d'énergie ne peuvent tout simplement pas fournir la disponibilité dont les centres de données ont besoin. Considérez la sécheresse éolienne européenne de 2021 qui a réduit l'énergie éolienne au Royaume-Uni de 32% pendant 6 mois. Le besoin d'une disponibilité 24 heures sur 24 représente un obstacle sérieux, voire insurmontable, pour les centres de données qui dépendent uniquement de sources d'énergie telles que l'énergie éolienne et solaire qui ne produisent pas d'électricité la nuit, ou les jours nuageux, ou lorsque le vent ne fonctionne pas. pas souffler.
Certaines personnes espèrent que nous pourrons éventuellement stocker le surplus d'énergie éolienne et solaire dans des batteries. Mais la réalité est que les batteries sont trop chères pour stocker suffisamment d'énergie pour fournir une alimentation fiable pendant des semaines (et encore moins des mois) de temps peu coopératif.
RépondreSupprimerLa bonne nouvelle est qu'il existe une solution : une source d'alimentation suffisamment fiable pour assurer une disponibilité 24 heures sur 24 à faible coût et sans émissions : une petite centrale nucléaire sur site dédiée à l'alimentation d'un centre de données.
Les petits réacteurs modulaires (SMR) fournissent entre 10 et 300 MW de puissance 24h/24 et 7j/7. Un centre de données alimenté par un SMR ne serait plus en concurrence pour l'électricité avec les collectivités locales. Plus besoin d'attendre la construction de nouvelles lignes de transmission ou de centrales électriques. Et plus aucune émission. Lorsque nous considérons le cycle de vie complet de différentes sources d'énergie (y compris l'exploitation minière, la fabrication et l'élimination), le solaire émet quatre fois plus de carbone que les SMR.
Les SMR diffèrent des grandes centrales nucléaires conventionnelles autant que les smartphones modernes diffèrent des anciens téléphones à cadran. Les usines conventionnelles sont grandes et compliquées, et les lourdes réglementations américaines et européennes les rendent coûteuses à construire. Deux unités (1 117 MW chacune) actuellement en construction dans l'État américain de Géorgie ont coûté plus de 30 milliards de dollars. De plus, leur construction a six ans de retard, et lorsqu'ils seront enfin mis en service en 2023, il leur aura fallu 14 ans pour être achevés. Ces types de coûts et de retards présentent un facteur de risque capital pour les grandes centrales nucléaires conventionnelles.
Les grands réacteurs nucléaires sont également très gourmands en terres. Ils nécessitent généralement plus de 800 acres et doivent généralement être situés près d'un lac, d'une rivière ou de l'océan pour accéder à l'eau pour le refroidissement. De plus, ils ne recyclent pas le combustible usé.
Les SMR sont plus simples et beaucoup moins coûteux à construire. Les composants prêts à l'emploi et la préfabrication en usine réduisent les coûts de construction à 60 millions de dollars. Les SMR ont une petite empreinte – environ deux acres pour les plus petits réacteurs, soit moins de 0,5 % du terrain utilisé par les réacteurs traditionnels. La plupart n'utilisent pas d'eau pour le refroidissement et n'ont donc pas besoin d'être situés près d'un lac, d'une rivière ou d'un océan. Ils peuvent être installés sur site ou à proximité en moins d'un an, et les développeurs n'ont pas besoin de mettre le capital en danger car certaines sociétés SMR proposent des contrats d'achat d'électricité (PPA).
Oklo, par exemple, possède et exploite la centrale électrique et vend de l'énergie propre 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, à des coûts égaux ou inférieurs à ceux des sources d'énergie traditionnelles. L'approche réglementaire simplifiée d'Oklo et sa vaste expérience de travail avec la U.S. Nuclear Regulatory Commission minimisent le temps nécessaire pour obtenir une licence d'exploitation. Le délai prévu entre un PPA signé et l'alimentation des serveurs (y compris les licences, les permis et la construction) est de deux à trois ans. De plus, les SMR peuvent être conçus pour recycler le combustible usé, à la fois leur propre combustible et celui des grandes centrales nucléaires.
RépondreSupprimerLes SMR promettent aux centres de données ce qu'ils recherchent : une source d'énergie fiable, peu coûteuse et sans carbone qui offre une disponibilité 24h/24. Les centres de données de toutes sortes (hyperscale, colocation ou télécom) peuvent utiliser les SMR pour garantir l'indépendance énergétique dont ils ont besoin pour surmonter les goulots d'étranglement dans le réseau et pour éviter la concurrence énergétique avec les communautés locales.
https://www.zerohedge.com/energy/onsite-nuclear-provides-247-clean-power
La transition écologique va produire du chômage
RépondreSupprimerMais la transition écologique n’a pas qu’un coût économique, elle a aussi un coût social.
le 17 avril 2023
Par Philbert Carbon.
IREF Europe
Des étudiants présents dans les défilés contre la réforme des retraites, interrogés par le magazine Marianne, faisaient le lien entre la « casse sociale » et la « cause environnementale ».
Pour eux, la réforme du gouvernement est une « hérésie, tout comme l’immobilisme dans la lutte contre le changement climatique ». Ils ont raison de rapprocher « casse sociale » et politique écologique, mais le lien entre les deux n’est pas celui qu’ils croient.»
Une étude montre que « La transition écologique pourrait avoir un coût social important ».
Le coût exorbitant des politiques écologiques
Nous savions que la transition écologique imposée à marche forcée allait nous coûter très cher.
Le célèbre militant écologiste Jean-Marc Jancovici n’a-t-il pas calculé que si nous passions à 100 % d’énergie renouvelable, l’électricité coûterait six à huit fois plus cher qu’avec le nucléaire ? Elle pourrait ainsi peser jusqu’à 30 % du budget des ménages français, voire davantage si l’on prend en compte le coût de l’électricité pour les entreprises qui sera inclus dans le prix des produits et services.
De son côté, la Bank of America a estimé que la neutralité carbone coûterait 130 000 milliards d’euros d’ici 2050 (une année et demi de PIB mondial), soit 17 000 euros par habitant de la Terre ! Une somme proprement astronomique dont on se demande qui va, et surtout qui pourra, la payer. D’autant plus que, toujours selon la Bank of America, l’inflation devrait se maintenir à un niveau élevé afin de financer l’augmentation du bilan des banques centrales.
Mais la transition écologique n’a pas qu’un coût économique, elle a aussi un coût social. Le passage au tout électrique dans l’automobile pourrait supprimer 500 000 emplois en Europe. Rien qu’en France, 100 000 emplois seraient concernés. Pour mémoire, rappelons qu’entre 1975 et 1987 la restructuration de la sidérurgie française avait entraîné la suppression de plus de 80 000 emplois et englouti 100 milliards de francs (soit 46 milliards d’euros d’aujourd’hui) de subventions publiques, dont 80 milliards de francs (37 milliards d’euros) pour l’accompagnement social des licenciements.
La crise qui se profile dans l’automobile serait donc plus importante que la restructuration de la sidérurgie des années 1980. Cependant le pire n’est jamais sûr : les constructeurs allemands qui défendent le carburant de synthèse sauveront peut-être en partie le moteur thermique.
RépondreSupprimerBien sûr, les partisans de la voiture électrique nous promettent des créations d’emplois, en particulier dans les « giga-usines » de batteries. Pour l’instant, les trois usines prévues en France (largement subventionnées) ne créeraient que 7500 emplois directs et 15 000 indirects selon les prévisions les plus favorables. Pas de quoi compenser les emplois détruits. Surtout que selon la Commission européenne entre 35 et 40 % de l’ensemble des emplois pourraient être touchés par la transition écologique.
Pour apprécier les conséquences sociales de cette transition, il est intéressant de se pencher sur les restructurations industrielles récentes. C’est ce qu’a fait le Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepii), un organisme dépendant du Premier ministre, avec une note intitulée « Vingt ans de plans sociaux dans l’industrie : quels enseignements pour la transition écologique ? ».
Les restructurations aux conséquences sociales importantes
Les auteurs de la note, Axelle Arquié et Thomas Grjebine, affirment :
« La transition écologique constitue un nouveau défi pour le tissu industriel et pour le marché du travail. Elle bouleversera à la fois les modes de production et les rapports de force commerciaux. […] Une insuffisante adaptation à la transition, ou une mauvaise spécialisation, pourrait déstabiliser l’industrie française, déjà mise à l’épreuve par la désindustrialisation. Les effets sur le marché du travail dépendront de ses capacités à s’ajuster, et les plans sociaux intervenus dans l’industrie entre 1997 et 2019 permettent d’anticiper ce qui pourrait advenir. »
Quels ont été les effets des plans sociaux ? La note du Cepii en relève trois principaux, relatifs à l’emploi, au salaire et au tissu économique local.
Tout d’abord, les salariés licenciés ont des difficultés à retrouver un emploi :
« Une part importante des salariés rencontre des difficultés à retrouver un emploi stable. En France, près de 40 % des salariés licenciés dans le cadre d’un plan social dans l’industrie ne sont plus en emploi (véritable emploi au sens de l’Insee) un an après le licenciement et plus de la moitié six ans après ».
Ensuite, les auteurs de l’étude ont également observé que les salariés peu qualifiés ont un salaire inférieur de 38 % un an après le plan social et de 10 % inférieur six ans après, là où les qualifiés ne subissent quasiment aucune perte de salaire. Si un salarié retrouve un emploi dans le secteur des services, son salaire est en moyenne 58 % inférieur à celui d’un salarié non licencié du même secteur, dans une entreprise de même taille et aux caractéristiques professionnelles (salaire, ancienneté, CSP) semblables aux siennes avant le plan social.
RépondreSupprimerEnfin, les établissements dans lesquels les salariés retrouvent un emploi ont une valeur ajoutée plus faible, emploient moins de salariés, ont une forte proportion de CDD ; et sur les six années après le plan social le taux d’investissement y est en moyenne 36 % inférieur à celui des établissements des salariés non licenciés. Or, nous disent Axelle Arquié et Thomas Grjebine, « un moindre investissement aujourd’hui risque de conduire à moins de croissance demain. Par ailleurs, dans la zone d’emploi après un licenciement massif, les parts d’intérimaires et de CDD dans l’emploi total sont respectivement 21 % et 47 % plus élevées six ans après le plan social. Le taux de chômage y est, quant à lui, supérieur de 12% à celui d’une zone non touchée ».
Pour les auteurs de la note, « l’expérience de la désindustrialisation montre que les salariés et les territoires sont durablement affectés par un choc négatif sur le marché du travail et qu’il a été très difficile, voire impossible, pour les politiques publiques de réellement cibler les personnes touchées. En conséquence, compenser les perdants de la transition écologique, comme on espérait pouvoir le faire dans les années 2000 pour les perdants de la mondialisation, ne peut suffire ».
Par conséquent, il n’y aurait pas d’autre solution que « de développer des politiques permettant de concilier décarbonation et renforcement des tissus industriels », autrement dit de déverser toujours plus d’argent public.
Libéraliser avant de réindustrialiser
L’étude est intéressante mais il nous semble qu’elle passe à côté de l’essentiel.
En effet, les auteurs y critiquent la destruction créatrice schumpétérienne qui ne serait qu’une hypothèse fausse puisque les plans sociaux « n’ont pas permis de réallocations de main-d’œuvre bénéfiques pour l’économie locale ».
Cette vision découle d’un diagnostic erroné des raisons ayant poussé les entreprises à licencier, voire à fermer des usines. Pour les auteurs, les restructurations sont principalement le fait du progrès technique, notamment de l’automatisation, et de la concurrence internationale.
Balayons très vite l’argument de l’automatisation qui ne tient pas.
Comme l’ont rappelé Aghion, Antonin et Bunel dans Le pouvoir de la destruction créatrice, « une hausse de 1 % de l’automatisation dans une usine augmente l’emploi de 0,25 % au bout de deux ans et de 0,4 % au bout de dix ans… même pour les travailleurs industriels non qualifiés ». L’automatisation entraîne aussi une augmentation des ventes et une baisse des prix. Aucune révolution technologique, écrivent-ils, « n’a produit le chômage de masse que certains avaient anticipé ». L’Iref a d’ailleurs souvent montré que les pays les plus robotisés étaient ceux qui avaient le moins de chômeurs.
RépondreSupprimerL’argument de la concurrence internationale est plus pertinent.
Mais si « entre 1970 et 2021 la part, en France, du secteur manufacturier dans le PIB a chuté de 23 % à 10 %, et celle dans l’emploi de 29 % à 11 % », c’est surtout parce que la France avait – et a encore largement – une fiscalité et un coût global du travail trop élevés, une bureaucratie tentaculaire, des normes et des réglementations envahissantes, qui entravent l’entreprenariat et corsètent l’innovation.
Les auteurs oublient également de mentionner le coût et la durée des restructurations – en moyenne un an dans une grande entreprise en France pour un coût de 200 000 euros par personne – qui sont de véritables repoussoirs pour les investisseurs et les entrepreneurs. On pourrait aussi citer l’attitude de certains salariés qui, sous la houlette des syndicats, manifestent violemment et parfois dégradent l’outil de travail, séquestrent les dirigeants de l’entreprise, voire menacent de faire sauter l’usine. Dans ces conditions, comment espérer séduire un nouvel employeur ?
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, la destruction créatrice schumpétérienne ne peut se produire tant que nous n’aurons pas changé de politique. Plutôt que de distribuer des subventions qui ne créeront que peu d’emplois, allégeons les contraintes réglementaires et fiscales qui pèsent sur les entreprises. Bref, opérons un choc de compétitivité. C’est à ce prix que nous pourrons espérer, un jour, par exemple dépasser l’Estonie, le Luxembourg, l’Irlande, le Royaume-Uni, la Norvège, la Suède, la Suisse et les Pays-Bas en nombre de « licornes » (les grandes entreprises de demain) par million d’habitants.
https://www.contrepoints.org/2023/04/17/454684-la-transition-ecologique-va-produire-du-chomage
Bill Gates est autorisé à acheter 2100 acres (849 ha) supplémentaires de terres agricoles du Dakota du Nord
RépondreSupprimerGates contourne une loi de 1932 anti-entreprise sur la propriété agricole
Par Steve Watson
Recherche mondiale,
15 avril 2023
Bill Gates , qui possède déjà près de 270 000 acres (109 265 ha) de terres aux États-Unis, a obtenu l'autorisation légale d'acheter 2 100 acres supplémentaires dans le Dakota du Nord malgré les protestations des résidents locaux.
Gates, déjà le plus grand propriétaire de terres agricoles du pays, a obtenu le feu vert pour acheter le terrain pour 13,5 millions de dollars sous sa société «Red River Trust».
L'achat de terres ND exposées de Bill Gates rend les habitants furieux pic.twitter.com/HTuwqSPRDB
– Wittgenstein (@backtolife_2023) 24 juin 2022
Gates contourne une loi de 1932 anti-entreprise sur la propriété agricole en s'engageant à louer la terre aux agriculteurs une fois l'achat terminé.
Le Daily Mail rapporte :
Le commissaire à l'agriculture du Dakota du Nord, le républicain Doug Goehring, a précédemment déclaré que de nombreuses personnes se sentent exploitées par les ultra-riches qui achètent des terres mais ne partagent pas nécessairement les valeurs de l'État.
"J'en ai entendu parler de tout l'État, ce n'est même pas de ce quartier", a déclaré Goehring à KFYR-TV. "Ces gens sont bouleversés, mais il y en a d'autres qui sont juste furieux à ce sujet."
Bill Gates a acquis six parcelles de terrain dans le comté de Pembina. Mardi, le bureau du procureur général a envoyé une lettre demandant au Red River Trust de confirmer comment l'entreprise prévoit d'utiliser les terres et si elle respecte l'une des exceptions aux lois sur l'agriculture commerciale du Dakota du Nord. pic.twitter.com/MGGFKV16mm
– MÉDECIN DE LONG ISLAND NEW YORK (@Doctorfromliny) 22 juin 2022
Gates possède désormais 268 984 terrains à usages multiples dans 19 États :
- voir clip sur site -
Comme nous l'avons noté précédemment , Bill Gates et d'autres milliardaires ont acheté d'énormes quantités de terres agricoles tandis que les technocrates néo-féodaux de la « Great Reset » disent aux Américains que l'avenir est sans propriété privée.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerGates a également l'intention de promouvoir les produits carnés 100% synthétiques alors qu'il achète des quantités record de terres agricoles et monopolise la production alimentaire mondiale.
https://www.globalresearch.ca/bill-gates-granted-authority-buy-2100-more-acres-north-dakota-farmland/5785502
Audit énergétique, ce n’est pas automatique (pour l’instant) !
RépondreSupprimerTout l’écosystème l’attendait, ou du moins en avait entendu parler, mais pas tellement les particuliers, à coup sûr, et ils vont à nouveau tomber des nues.
Par Éric Houdet
le 17 avril 2023 à 7h14
45 % du parc immobilier francilien serait classé entre E et G.
À partir du 1er avril 2023, en plus du désormais célèbre Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), les particuliers dont les habitations classées F ou G, logements dits « passoires thermiques », dont la promesse de vente ou, à défaut, l'acte de vente, est signé à compter de cette date se voient dans l'obligation de réaliser en complément un audit énergétique1.
L'audit énergétique : Kezako ?
C’est une évaluation complète de la consommation d'énergie d'un bâtiment ou d'une installation, visant à identifier les sources de gaspillage d'énergie et les moyens de les réduire. L'objectif d'un audit énergétique est de proposer des mesures d'efficacité énergétique pour réduire la consommation d'énergie, les coûts et les émissions de gaz à effet de serre. Il va bien plus loin qu’un DPE qui, lui, est certes un incontournable pour qui souhaite vendre ou louer un bien immobilier mais ne permet seulement que d’estimer la consommation d’énergie d’un logement ou d’un bâtiment, et d’évaluer ainsi son impact écologique. En effet, ce dernier ne porte qu’un « simple » constat avec quelques recommandations mais celles-ci ne sont pas aussi poussées et concrètes que celles de l’audit énergétique qui, lui, rentre dans les détails mais surtout le complète et le précise.
Les signes avant-coureurs
En France, petit rappel, la réglementation en matière d'audit énergétique est énoncée dans l'article L. 233-1 du code de l'énergie. Elle prévoit que seules les grandes entreprises de plus de 250 salariés ou réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 50 millions d'euros et ayant un bilan supérieur à 43 millions d'euros doivent réaliser un audit énergétique tous les quatre ans. Cette réglementation est en place depuis 2016. Mais, dorénavant, ce sont les particuliers qui sont affectés et ce n’est que le début, évidemment, car toutes les classes d’habitations supérieures (A, B, C, D, et surtout E) vont nécessairement suivre. La réglementation ne fait que s’accélérer dans ce domaine.
Prémisses en quelques dates et événements clés :
2012 Grenelle I et II : Audit thermique obligatoire, pour les +50 lots avec chauffage collectif
2014 Loi ALUR : Fonds travaux obligatoire (2017)
2015 Loi transition énergétique TECV (loi de Transition Energétique pour la Croissance Verte) : Obligation d'isolation lors de travaux.
2019 Loi ELAN (Ordonnance de novembre 2019) : Individualisation frais de chauffage
Et de certaines évolutions importantes :
2020 : Ma Prime Rénov' remplace le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) et les aides de l’Agence nationale de l’Habitat (Anah) « Habiter mieux agilité » et « Habiter mieux sérénité ».
RépondreSupprimer2020 Création de Ma Prime Rénov’ Copropriété : Objectif de 35% d’amélioration énergétique.
2021 Loi Climat et résilience : Refonte du DPE et interdiction de mise en location des étiquettes G et F d’ici 2025 et 2028, E en 2034, décote du prix de vente dès à présent.
2021 Obligation du Plan Pluriannuel de Travaux Corrélée à une modification du fonds de travaux (au moins 2,5% du montant total des travaux du PPT).
En somme, la réglementation en matière d'audit et performance énergétique ne fait qu’évoluer et cela va en s’accélérant. Peut-on penser que cette nouvelle norme/obligation change la donne et impulse une vraie dynamique ?
Le gouvernement accélère la cadence sur l'audit énergétique
Les passoires énergétiques (classes F et G du DPE) constituent la cible prioritaire des politiques publiques de rénovation du parc de logements, compte tenu du caractère élevé de leur consommation énergétique et de l'exposition de leurs occupants à des risques de précarité énergétique. Les biens classés F ou G font ainsi progressivement l’objet de dispositions visant notamment à :
imposer la réalisation de ce nouvel audit énergétique pour toutes les ventes de maisons individuelles et de bâtiments d’habitation collective en monopropriété (à partir du 1er avril 2023) ;
geler l’augmentation de leurs loyers (à partir du 25 août 2022) ;
interdire à terme leur présence sur le marché locatif via l'exigence d'un niveau minimal de performance pour la décence, qui conduira à considérer comme logements non décents :
les logements consommant plus de 450 kWh d’énergie finale par m² et par an, à compter du 1er janvier 2023 ;
les logements classés G à compter de 2025 ;
les logements classés F à compter de 2028 ;
les logements classés E à compter de 2034
En Île-de-France, en 2018, 2,3 millions de résidences principales ont un diagnostic de performance énergétique (DPE) classé E, F ou G, soit 45 % du parc francilien de résidences principales selon une étude2 de l'Insee et de l'Institut Paris Région, parue jeudi 13 octobre 2022, révèle que près de la moitié des logements franciliens, énergivores, seraient menacés de ces interdictions. Sans travaux de rénovation énergétique, près d’un logement francilien sur deux bientôt interdit à la location.
Mais les professionnels manquent
RépondreSupprimerSur le marché, diagnostiqueurs (seulement environ 10.000 professionnels en France pour un marché de 1,2 milliards et 2 millions de DPE par an) et bureaux d’études sont appelés à la rescousse. Malheureusement les diagnostiqueurs, à 80%, ne sont pas issus du bâtiment et ne sont pas assez bien formés, pour le moment, à ce nouvel audit. Cela pose quelques interrogations actuellement car il n’y a pas pour l’instant de référentiel de formation à ce sujet. Une attestation de formation donne un certificat provisoire. Néanmoins, une certification devrait apparaitre en juillet 2023 pour renforcer la formation sur un enjeu politique aussi important. Maintenant que le DPE est opposable, depuis le 1er juillet 2021, les diagnostiqueurs ne doivent pas juste s’efforcer d’être force de proposition et de conseils mais sont appelés à s’engager. Pour les y aider, il est nécessaire de mieux encadrer la profession. D’autant quand on sait, d’après une étude3 d’Hello Watt datée du 4 Janvier 2023, que 7 DPE sur 10 sont erronés. Il y a une importante marge de progression à apporter dans ce secteur.
Nous sommes tous en demande de confiance, d’une meilleure traçabilité et à la recherche de précisions et d’une meilleure visibilité surtout que nous sommes tous touchés.
L’État, mais aussi de nombreux énergéticiens, font de grands efforts mais c’est un sujet de société que tout le monde doit appréhender. C’est personnellement pour cela que j’ai créé Ekologgia. Afin d’œuvrer, humblement et à ma portée, à améliorer la visibilité pour tout l’écosystème immobilier et à destination des particuliers. Et donc, participer à mon échelle à la rénovation énergétique de biens, notamment et en priorité énergivores.
Nous pouvons tous apporter notre pierre à l’édifice
La valeur d’un bien était jusque-là décolérée du DPE, mais force est de constater qu’aujourd’hui tout particulièrement, et cela va aller en s’accentuant, les prix se négocient entre 5 et 10% sur les biens avec ce nouveau critère en tête (cette baisse est proportionnelle à l’étiquette DPE bien évidemment) et cela peut être une bonne opportunité pour faire de bonnes affaires mais, surtout, pour rénover et contribuer à notre échelle aussi à l’amélioration des performances énergétiques d’un logement, réduire ses émissions de gaz à effet de serre et ainsi lutter contre le réchauffement climatique. Nous sommes donc tous impactés.
L’audit énergétique est un nouvel outil qui va, au-delà de rajouter à la réglementation, augmenter la prise de conscience et les bonnes pratiques dans le secteur. Rassurez-vous, l’audit énergétique n’est obligatoire que sur la monopropriété, et non sur les copropriétés. Enfin, pour l’instant… Gardez, néanmoins, en tête que souvent la qualité de votre bien dépend de l’ensemble dans lequel vous vous situez notamment si vous êtes en copropriété.
RépondreSupprimerAudit énergétique : les dates à venir
A la vente :
1er avril 2023 : audit énergétique avant-vente obligatoire pour les logements DPE F et G
31 décembre 2024 : fin de validité pour tous les DPE faits avec l’ancienne version
1er janvier 2025 : audit énergétique avant-vente obligatoire pour les logements DPE E
1er janvier 2028 : Transparence dans les annonces immobilières et actes de vente de type « non-respect de l’obligation »
1er janvier 2033 : transparence dans les annonces immobilières et actes de vente de type « non-respect de l’obligation » pour les copropriétés
1er janvier 2034 : audit énergétique avant-vente obligatoire pour les logements DPE D
1er janvier 2050 : tous les logements devraient être DPE A ou B
A la location :
24 Août 2022 : gel des loyers des logements DPE F et G
1er janvier 2023 : location interdite pour les nouveaux contrats de location si la consommation annuelle est supérieure à 450 Kwh/m².
31 décembre 2024 : fin de validité pour tous les DPE faits avec l’ancienne version
1er janvier 2025 : location interdite pour les logements en DPE G déclarés indécents
1er janvier 2028 : location interdite pour les logements en DPE F. Transparence demandée pour les F et G
1er janvier 2034 : location interdite pour les logements en DPE E.
1er janvier 2050 : tous les logements devraient être DPE A ou B
1https://www.ecologie.gouv.fr/questions-reponses-sur-laudit-energetique-reglementaire
2https://www.insee.fr/fr/statistiques/6541392
3https://cdn.hellowatt.fr/media/model_files/Validation_des_DPE_via_la_consommation_mesuree_par_les_compteurs_connectes.pdf
https://www.economiematin.fr/audit-energetique-immobilier-renovation-obligation-dates-houdet
Petit à petit TOUT le privé (entreprises, maisons, véhicules) passe aux mains du public nauséabond, en détresse, épouvantable, voleur, lâche et meurtrier !
SupprimerChez vous la cheffe ou le chef de famille sera LE gouvernement ! Ce dernier vous dira comment vivre, comment manger, comment vous chauffer et quoi dire aux enfants piqués à la naissance comme des chiens et contrôlés à distance par les capteurs obligatoires dans chaque pièce !
N'essayez pas de vous défiler aux élections, 10 candidats retenus, 10 cons qui feignent se contredire, s'insultent, se narguent, se défient et couche ensemble au bordel république.
La militarisation du maintien de l’ordre en France : vers une dérive autoritaire ?
RépondreSupprimerLa France sous le feu des critiques internationales pour sa gestion des manifestations.
le 18 avril 2023
Par Bryan Muller.
The Conversation
Depuis l’utilisation du 49.3 par Élisabeth Borne le 16 mars, les manifestations connaissent un regain de colère qui se traduit par une augmentation des incidents en marge des manifestations contre le projet de réforme des retraites. La frustration et l’exaspération laissent de plus en plus souvent place à l’expression physique du mécontentement social qui n’a pu se manifester concrètement au Parlement.
Pour répondre aux jets de pierres et aux poubelles brûlées, le ministère de l’Intérieur a mis en place un important déploiement de force, acte jugé excessif et inapproprié sur la scène internationale par différents observateurs comme Amnesty International.
À ces accusations graves de violations répétées des droits humains (manifester, circuler librement, exprimer publiquement ses opinions sans risque), le gouvernement retourne le vecteur : ce ne seraient pas les excès d’une partie des forces de l’ordre qui poseraient problème, mais « les factieux », ces manifestants qui voudraient renverser le pouvoir.
Auditionné mercredi 5 avril par la commission des lois de l’Assemblée nationale puis par le Sénat, Gérald Darmanin l’assure encore, « la poussée extrêmement forte des violences » est due exclusivement à « l’ultragauche », aux « casseurs » et – s’il voulait faire dans la provocation, dit-il – aux preneurs d’otages (il parle de « prise d’otages » de la part des manifestants violents). Ces affirmations en viennent à omettre un autre facteur essentiel pour saisir la situation actuelle : l’évolution récente du protocole du maintien de l’ordre français.
Le LBD, exemple d’une militarisation accrue des forces de l’ordre
Depuis une trentaine d’années, les gouvernements successifs ont décidé de renforcer le matériel des gendarmes mobiles et des CRS qui sont les principales forces de l’ordre mobilisées pour encadrer les manifestations. L’armure, le pistolet, le gaz lacrymogène et des armes de guerre reconnues comme telles par l’État (fusils d’assaut, grenades de désencerclement, LBD) deviennent peu à peu partie intégrante de l’équipement standard pour le maintien de l’ordre.
L’un des symboles de ce nouvel équipement est le lanceur de balles de défense (LBD). Introduit par Claude Guéant en 1995, le LBD est interdit dans le cadre des manifestations et expérimenté dans des unités spéciales pour lutter contre le terrorisme et les prises d’otage. Ce choix s’explique aussi bien par les pressions subies par le Conseil de l’Europe, que par la mort de Malik Oussekine en 1986 qui reste encore dans les esprits des dirigeants politiques.
Il faut attendre au moins 2007 pour que le LBD soit utilisé à titre expérimental en manifestation, et son premier usage se solde par une blessure grave. En effet, un lycéen est énucléé et, après onze années de procès, la justice reconnaît que le policier avait illégalement et illégitimement tiré sur un manifestant inoffensif.
Une « dangerosité totalement disproportionnée »
RépondreSupprimerPar cette décision prise en juillet 2018, le tribunal administratif fait donc suite à plusieurs condamnations émises par d’autres instances françaises : l’inspection générale des services s’alarme du non-respect des règles permettant l’usage du LBD par les forces de l’ordre en juillet 2009, la Commission nationale de déontologie de la Sécurité (qui était chargée de veiller à la déontologie des forces de sécurité publiques et privées) s’inquiète de la « dangerosité totalement disproportionnée » du LBD en manifestation, ou encore le défenseur des droits en demande l’interdiction en manifestation en 2015 tant l’arme se révèle dangereuse et inutile (même sans les LBD, « la police n’est pas désarmée », elle dispose d’autres outils moins dangereux pour maintenir l’ordre).
Pourtant, en décembre 2018, le troisième acte des Gilets jaunes marque également celui du retour en force du LBD. En seulement quatre mois, plus de 13 000 tirs de LBD sont réalisés contre les manifestants.
Selon le journaliste David Dufresnes, en l’espace d’un an, plus de 300 Gilets jaunes sont sérieusement blessés et une trentaine éborgnés suite à ces tirs. Le LBD, cette arme de guerre selon les réglementations françaises et internationales, est passé en moins de trois décennies du statut d’arme expérimentale antiterroriste à celui d’« arme non létale ».
Un maintien de l’ordre efficace et plus pacifié dans le dernier tiers du XXe siècle
Depuis 2018, la France a été catégorisée par le magazine The Economist comme une « démocratie défaillante » au même titre que l’Italie, la Pologne et la Hongrie… Un résultat des plus surprenants quand on compare le protocole de maintien de l’ordre actuel avec celui adopté entre 1968 et 2000.
Bien qu’imparfait, le modèle adopté avec et après les événements de 1968 par le préfet Maurice Grimaud et le ministre de l’Intérieur Raymond Marcellin (imités par leurs successeurs) se révèle très efficace.
La mise à distance des corps (entre manifestants et policiers), la construction d’une gradation de la réponse donnée par les agents, la surveillance par l’infiltration des manifestants (afin de renseigner au mieux les forces de l’ordre de la situation), le développement de nouvelles tactiques visant à s’adapter aux risques d’affrontements et la volonté de laisser les manifestants s’exprimer calmement dans l’espace public, sont autant de changements qui permettent une pacification conséquente de la rue. Des agents chargés d’appréhender les « casseurs » restaient en retrait, prêts à intervenir dès le signal reçu, sans avoir à charger contre l’ensemble du cortège. Contrairement à certaines déclarations officielles, ces manifestants violents étaient déjà chaussés pour fuir, tout comme les agents étaient déjà préparés pour les poursuivre.
Les années 1968-1983 furent pourtant marquées par des manifestations particulièrement violentes. Les affrontements entre manifestants et forces de l’ordre étaient courants. Toutefois, il y avait une volonté politique de pacifier les relations entre « la rue » et les forces de l’ordre. Cette pacification se poursuit tout au long des décennies 1970-1990.
RépondreSupprimerBien entendu, il ne faut pas idéaliser la période. Des incidents parfois très graves eurent lieu. On déplore au moins trois morts et quelques dizaines de blessés parmi les manifestants entre 1977 et 1999, tout comme plusieurs dizaines de policiers et gendarmes furent blessés et un CRS tué par balle en 1976. Cependant, la volonté des gouvernements alors en place d’assurer un maintien de l’ordre pacifié a offert d’excellents résultats avec seulement 5 % d’atteintes contre les biens et les personnes lors des manifestations entre 1975 et 1990.
Les inquiétudes d’une tentation autoritaire
À travers l’exemple du LBD, il est possible de constater que le renforcement de l’équipement du maintien de l’ordre – analogue à la baisse des effectifs des agents spécialisés dans le domaine – a été suivi d’une augmentation des accusations d’abus par les forces de l’ordre. Le problème ne vient pas de la formation des CRS et des gendarmes mobiles, qualitative par le temps qui y est consacré et son adaptation aux évolutions des manifestations publiques, mais du changement de la doctrine, du déploiement de policiers non spécialisés pour ce type de mission et des défaillances de la chaîne de commandement.
Les sociologues Sébastien Roché et Olivier Fillieule l’ont longuement analysé : si l’usage des LBD a reculé pour l’instant, les incitations au contact avec les manifestants, l’usage répété des nasses, « les interpellations de masse pour dissuader de participer au cortège », ou encore le refus de veiller au bon port du RIO (numéro d’identification des policiers) ne peuvent qu’alimenter les incidents et nourrir la défiance populaire à l’égard des forces de l’ordre.
La France montrée du doigt
Ainsi, depuis le sommet de la COP21 mais plus encore les mouvements sociaux contre la loi El Khomri en 2016, l’image de la France s’est fortement détériorée à l’international. L’accroissement de la répression a commencé aussi bien à inquiéter les Français, qui éprouvent une peur croissante d’aller manifester dans la rue voire d’exprimer publiquement leurs opinions, que les observateurs européens et nord-américains, qui voient là l’image d’un pouvoir « méprisant et insensible », « autoritaire », « brutal ».
Cela n’est pas nouveau. La France a déjà été condamnée pour son usage excessif et répété de la force dans son protocole de maintien de l’ordre par la Cour européenne des droits de l’Homme en 2017 puis en 2019.
Le projet de loi de sécurité globale avait également suscité beaucoup d’inquiétudes puisqu’il cherchait à punir toute diffusion d’images de policiers et de gendarmes (« délit de provocation à l’identification ») Cela aurait drastiquement réduit la possibilité de poursuivre les éventuels agents responsables d’abus.
L’usage de la violence ne saurait être toléré dans une démocratie. Cela vaut aussi bien pour les manifestants (qui doivent en répondre devant la loi) que pour les forces de l’ordre. Comme le rappelait Maurice Grimaud en mai 1968, « frapper un manifestant tombé à terre, c’est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière ». Ou pour reprendre l’expression plus récente du socio-économiste suisse Frédéric Maillard qui tient le blog L’observatoire des polices, « les voyous ne méritent pas qu’on les [forces de l’ordre] leur ressemble ».
RépondreSupprimer*
Bryan Muller, Docteur en Histoire contemporaine, Université de Lorraine
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.
https://www.contrepoints.org/2023/04/18/454533-la-militarisation-du-maintien-de-lordre-en-france-vers-une-derive-autoritaire
Depuis qu'existe le monde existent les dictatures impériales, monarchiques et républicaines. Mais pour être LE dictateur il ne faut pas de l'intelligence mais des armes. Des armes pour tuer ceux qui dans le Peuple sont mieux instruits qu'eux et, comme le Peuple augmente il faut le surveiller de partout. Alors, a été appliqué le 'Plan Dépopulation21' pour faire croire que des poussières (virus) pouvaient tuer et proposer 'le vaccin de la mort'. Mais comme les morts çà fait du monde en moins dans les rues, sur les routes, sont arrivés les 'réfugiés climatiques' !! surpayés, emportés et balancés du camion pour meubler le décor. On parle aujourd'hui de presque 2 milliards de morts dans le monde ! On est tout-à-coup passés de 8 à 6 milliards en 3 années de terreur. Alors, parallèlement à la presque absence d'agriculture est parlé d'empoisonner la bouffe avec toujours les mêmes expérimentations géniques d'essais des laboratoires nazis. !
SupprimerComment la "gauche éveillée" détruit l'éducation
RépondreSupprimerPar le Dr Birsen Filip
Recherche mondiale,
18 avril 2023
Pendant des décennies, offrir aux étudiants la meilleure qualité d'éducation a été un objectif clé dans de nombreux pays, car cela faciliterait le progrès scientifique et l'innovation, soutiendrait le développement social et économique et élèverait le niveau de vie. Ces dernières années, cependant, la gauche éveillée a acquis un rôle de plus en plus important dans les systèmes éducatifs de nombreux pays occidentaux, et ses adhérents ont considérablement modifié de nombreux objectifs et normes acceptées dans les établissements d'enseignement.
En particulier, les adeptes de ce dogme ont poussé de manière agressive l'idée que les enseignants devraient être autorisés à distraire, confondre ou influencer leurs élèves en discutant de leurs croyances personnelles, de leurs idées et de leurs activités et choix privés en classe.
De plus, l'endoctrinement des jeunes enfants par la gauche éveillée implique la défense du racisme contre la population blanche , ainsi que la promotion de contenus LGBTQ+ sexuellement explicites (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queer/questionnement plus) . Par exemple, ils approuvent la mise à disposition dans les bibliothèques des écoles élémentaires et secondaires de livres contenant des détails graphiques "sur la réalisation d'actes sexuels et comprenant des scénarios de pornographie, de viol et d'inceste".
Le rôle de plus en plus important de la gauche éveillée pourrait finir par détruire le système éducatif occidental, qui n'est pas le produit d'un groupe de personnes, d'une génération, d'une idéologie, d'une discipline, d'un gouvernement ou d'une nation. À travers l'histoire, de nombreuses personnes talentueuses de grande réputation et de caractère distingué ont contribué au développement et à la formation du système éducatif et à l'évolution des idées éducatives dans les sociétés occidentales. Ces personnes provenaient de divers horizons et domaines d'expertise.
En fait, certains d'entre eux ont dû combattre les ténèbres de leur époque pour éclairer le peuple, notamment Johann Gottlieb Fichte (1762–1814), Friedrich Wilhelm August Fröbel (1782–1852), Johann Friedrich Herbart (1776–1841), Johann Gottfried von Herder (1744–1803), Wilhelm von Humboldt (1767–1835), Emmanuel Kant (1724–1804), Gotthold Ephraim Lessing (1729–81), Johann Heinrich Pestalozzi (1746–1827), Jean-Jacques Rousseau ( 1712-1778), Johann Christoph Friedrich von Schiller (1759-1805) et Friedrich Daniel Ernst Schleiermacher (1768-1834), pour n'en nommer que quelques-uns.
Ces visionnaires, ainsi que de nombreux autres, ont inspiré les fondements du système éducatif occidental moderne, y compris les programmes de maternelle, les écoles élémentaires, les lycées, les écoles de formation des enseignants et les universités. Malgré les différences entre leurs points de vue et leurs spécialisations respectives, ils étaient d'accord pour dire que le développement d'un système d'éducation efficace était une entreprise sérieuse qui exigeait beaucoup d'engagement, d'efforts et de responsabilité. L'une de leurs principales recommandations était que les enseignants soient sélectionnés parmi un groupe de personnes possédant les meilleures qualités, car ils partageraient leurs réflexions et leurs connaissances avancées avec les générations et seraient chargés de guider la société à l'avenir.
Johann Gottlieb Fichte était un philosophe renommé de l'idéalisme et du nationalisme allemands qui a contribué au développement du système éducatif en Allemagne au XIXe siècle, en plus d'être l'un des fondateurs, puis le recteur, de l'Université de Berlin. Selon Fichte , les enseignants doivent avoir «une vigilance stricte sur leurs paroles et leurs actions» s'ils veulent encourager le développement le plus élevé de leurs élèves. Il croyait qu'il était dans l'intérêt de l'humanité que les enseignants s'efforcent d'atteindre "la moralité la plus pure et acquièrent une sagesse pratique solide". Dès son plus jeune âge, l'aspirant enseignantdevrait être « placé dans une position où il lui est possible et nécessaire d'acquérir cette sagesse pratique et cette délicatesse de sentiment, et que cette culture de l'esprit et du caractère soit un élément particulier dans l'éducation [des générations futures] ». Rousseau soutenait des idées similaires, arguant que le rôle du maître était « de détourner l'attention de l'enfant des détails futiles et d'orienter continuellement sa pensée vers des relations importantes qu'il aura un jour besoin de connaître, afin de bien juger du bien et du mal ». dans la société humaine. »
RépondreSupprimerAvant que la gauche éveillée n'ait un rôle aussi influent dans le domaine de l'éducation, les enseignants devaient garder les détails de leur vie personnelle et de leurs choix confinés à leur sphère privée. Cette notion a été soutenue par Humboldt , réformateur du système scolaire prussien, lorsqu'il a déclaré que l'enseignant devrait "s'élever complètement au-dessus de tout obstacle apparent dans son propre corps, son tempérament ou ses habitudes, etc." Pendant ce temps, Fichte a soutenu que le rôle de l'enseignant est "de familiariser imperceptiblement la jeunesse avec le haut et le noble avant qu'il ne soit capable de les distinguer du vulgaire - de l'habituer à ceux-ci et de l'éloigner du bas et de l'ignoble".
Il était préoccupé par le fait que les enfants sont très susceptibles d'adopter les idées et les actions perverses et vulgaires de leurs enseignants en raison de leur désir inné de rechercher l'approbation de personnalités en position d'autorité qui commandent leur respect. À ce stade, ils seraient également endoctrinés à croire que l'acceptation de telles idées et actions est un signe de progrès social.
Selon Fichte, les enseignants devaient éviter d'enseigner des idées vulgaires et ignobles car elles peuvent souvent éveiller et stimuler la nature animale des êtres humains tout en dégradant simultanément l'âme, l'esprit et l'esprit des enfants et des jeunes. Il a en outre expliqué qu'une exposition régulière aux idées et comportements vulgaires et ignobles d'un enseignant pouvait potentiellement engourdir l'esprit des élèves, qui pourraient également développer une habitude de « torpeur spirituelle ».
Ainsi, il a insisté sur le fait que l'encouragement d'idées vulgaires, perverses, ignobles et déshonorantes finit par priver "l'homme du respect de lui-même, de la foi en lui-même et du pouvoir de compter avec confiance sur lui-même et sur ses objectifs". Fichte a en outre affirmé que l'enseignement d'idées vulgaires et ignobles en classe conduit les enfants à « s'oublier » et à devenir esclaves des opinions des autres, au lieu de devenir des êtres autoréflexifs, autodéterminés, indépendants et libres. Finalement, ils pourraient perdre confiance en leurs propres volontés, pensées et consciences, ou même abandonner leurs religions, cultures, coutumes et traditions dans les sociétés multiculturelles. Fichte a conclu que l'indignité d'un enseignant doit être « clairement reconnue » lorsqu'elle existe. Il ne doit jamais être dissimulé ou respecté car un tel individu pourrait avoir un impact préjudiciable énorme sur le développement de ses élèves.
RépondreSupprimerCes dernières années, il semble que la gauche éveillée se soit engagée à défaire tout le travail rationnel, constructif et sensé qui a été entrepris par les générations précédentes au cours des siècles, qui visait à concevoir le meilleur système éducatif possible qui donne la priorité aux intérêts , les besoins et le développement des élèves. C'est-à-dire que les adeptes de ce dogme ne semblent pas se soucier de fournir aux enfants une éducation adéquate pendant leurs années de formation, ce qui leur permettrait de traiter les connaissances de manière infinie, de devenir des individus autodéterminés, de faire de meilleurs choix au cours de leur vie. vies et devenir des membres actifs de la société.
À l'heure actuelle, il semble que tous les changements sociétaux qui sont rapidement mis en œuvre au nom de certaines versions déformées du progrès, de l'inclusivité, de l'équité et de la diversité démontrent que l'illumination du passé n'est pas capable de pénétrer l'obscurité du s'est réveillé à gauche. En fin de compte, la dégradation et la destruction éventuelle du système éducatif occidental dirigé par la gauche éveillée élèveront une génération de professionnels non qualifiés, irresponsables et corrompus à des postes de direction dans tous les domaines de la vie, ce qui pourrait entraîner l'effondrement de la nation. État.
Nelson Mandela a dit un jour : "L'éducation est l'arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde". Il semble que les partisans mondialistes de la gauche éveillée l'aient reconnu et militarisent l'éducation pour induire l'oubli de soi, éliminer la liberté, effacer l'histoire, diminuer les croyances culturelles, traditionnelles et religieuses et finalement détruire l'État-nation afin de faciliter le transition vers un système de gouvernance multipartite.
*
Cet article a été initialement publié sur Mises Wire .
Birsen Filip est titulaire d'un doctorat en philosophie et d'un master en économie et en philosophie. Elle a publié de nombreux articles et chapitres sur une gamme de sujets, y compris la philosophie politique, la géopolitique et l'histoire de la pensée économique, en mettant l'accent sur l'école autrichienne d'économie et l'école historique allemande d'économie. Elle est l'auteur du prochain livre The Early History of Economics in the United States: The Influence of the German Historical School of Economics on Teaching and Theory (Routledge, 2022). Elle est également l'auteur de The Rise of Neo-liberalism and the Decline of Freedom (Palgrave Macmillan, 2020). Elle contribue régulièrement à Global Research.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/how-woke-left-destroying-education/5816245
(...) Il était préoccupé par le fait que les enfants sont très susceptibles d'adopter les idées et les actions perverses et vulgaires de leurs enseignants en raison de leur désir inné de rechercher l'approbation de personnalités en position d'autorité qui commandent leur respect. À ce stade, ils seraient également endoctrinés à croire que l'acceptation de telles idées et actions est un signe de progrès social. (...)
SupprimerBêh ouais, c'est çà l'école d'aujourd'hui !
Retraite à 64 ans : 7 clés pour ne pas finir pauvre
RépondreSupprimerCette semaine, dans le JT du Grenier de l’éco, je vous propose de réfléchir aux impacts de la retraite à 65 ans.
Par Charles Sannat
le 17 avril 2023 à 8h37
Les femmes touchent une retraite en moyenne près de 30% inférieure aux hommes.
Si le combat syndical et politique va se poursuivre, et si chacun, en fonction de ses convictions peut y prendre part, je voulais aborder ici non pas le volet collectif et politique, mais les façons personnelles et individuelles de se préparer à la retraite à 64 ans, et qui sera le plus souvent à… 65 ans !
Si l’on commence à travailler à 22 ans et sans aucune période d’inactivité, avec les 43 annuités nécessaires pour un taux plein, la retraite sera en réalité à 65 ans pour une grande partie de la population. Au moins. Si vous rajoutez des études plus longues ou plus fastidieuses avec quelques redoublements ou chemins de traverses bien compréhensibles, si vous prenez en compte les périodes d’inactivité, alors nombres de nos concitoyens devront travailler jusqu’à 66 ou 67 ans pour atteindre un « taux plein ».
Mais ce n’est pas tout pour les mauvaises nouvelles.
Entre baisse du taux de remplacement (le montant des retraites va baisser), inflation et hausse des prix, mais aussi, un niveau d’emploi terriblement bas pour les seniors, ne pas préparer sa retraite c’est aller, non pas vers l’échec, mais vers des moments difficiles.
Il faut donc, pouvoir travailler sur deux horizons de temps.
Être heureux dans son présent mais sans sacrifier son futur et son avenir.
Pour cela je vous propose de réfléchir aux 7 clefs, qui sont également un peu les 7 secrets de la réussite.
Votre avenir se prépare aujourd’hui.
Ici, encore une fois, aucune vérité absolue, mais des pistes de réflexion pour prendre de la hauteur et anticiper ce qui pourrait arriver pour vous protéger, vous, et ceux que vous aimez, ceux qui sont importants à vos yeux.
- voir clip sur site -
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/retraite-investissement-placement-argent-revenus-conseils-sannat
Repousser au loin la cage des buts voire en restreindre la surface !
SupprimerQui demain est sûr d'avoir sa retraite à 65 ans ? PERSONNE !
Bon, disons à 70 ou à 80 ans voire 90 ou 100 !
(Les 'jeux olympiques de 2024 à Paris'... c'est mal parti !).
Macron vu de l’étranger: entre ridicule et violence, une drôle de carte postale
RépondreSupprimerXavier Azalbert,
France-Soir
le 15 avril 2023 - 17:00
ÉDITO - Les déplacements du président Macron à l’étranger ont frôlé le ridicule à plusieurs reprises. Vu de l’étranger, l’image de notre pays a été écornée avec certaines situations observées qui provoquent en retour un sentiment de honte.
Il y a eu ces symboles qui montrent à quel point notre chef d’État est désormais considéré avec dédain à l’international. Par exemple, lorsque ce dernier est installé tout au bout d’une table à rallonge face à Poutine en 2021. Une façon pour le président russe de se démarquer de son homologue français et de la gêne qu’il inspirerait.
Xi Jinping a récemment fait exactement la même chose en Chine, avec une table démesurée afin de bien mettre à distance Macron et sa très chère amie Ursula von der Leyen. Une façon efficace et directe pour le dirigeant chinois de remettre à leur place ses hôtes.
Rappelons que lors de ce voyage, le président français n’a été accueilli à l'aéroport que par le ministre des Affaires étrangères Qin Gang et qu’on lui a réservé bien peu d'égards, jusqu'à cette chaise à roulette au piètre confort:
Petit détail, grande humiliation, isolement total.
Toujours vu de l’étranger, il y a bien autre chose qui dérange que l’image de notre président. Je vous parle là des violences policières. En effet, la brutalité avec laquelle les manifestations sont réprimées sous la présidence d'Emmanuel Macron est encore montée d'un cran durant la séquence de la réforme des retraites.
Ces violences, visibles dans de nombreuses vidéos avec une force devenue excessive "même aux yeux d'un stalinien radicalisé dernier degré" (me souffle un délégué syndical y ayant laissé un œil), font le tour du monde. Le rapporteur spécial à l’Organisation des Nations Unies (ONU), Clément Voule, s’est fendu d’un tweet éloquent à ce sujet:
Ce n’est pas la première fois. Déjà, en 2019, des experts de l’ONU avaient dénoncé des restrictions graves aux droits des manifestants gilets jaunes, au travers d’une procédure spéciale.
Rappelons qu’Emmanuel Macron a lui-même critiqué la Chine et la Russie d’être des dictatures avec des reproches publiques plus que virulentes à leur égard. La France, pays de la défense des droits de l’Homme ? Lorsqu’on voit que l’exécutif français se met à menacer la Ligue des droits de l’Homme (LDH) de perdre ses subventions, on croit rêver !
Avant l'arrivée d'Emmanuel Macron à l’Élysée, nous nous targuions de pouvoir donner des leçons de respect des droits de l'homme à la Chine, à la Russie et au reste du monde. Dorénavant, après l’effondrement catastrophique du niveau de notre diplomatie, nous sommes moqués par ces mêmes pays - devenus quant à elle des superpuissances diplomatiques - sur ce point précis. Cherchez l’erreur !
RépondreSupprimerPour les journalistes et les dirigeants étrangers, la France serait-elle devenue un laboratoire à ciel ouvert des méthodes de répression de la contestation populaire ? À chaque nouvelle manifestation, il semble apparaître de nouvelles recettes, vidéos à l’appui, comme cette patrouille mobile de quads en pleine campagne qui s’autorise à tirer en mouvement. D’ailleurs, depuis la création de cette entité, comment se fait-il qu’aucun garde-fou n’ait pu empêcher telle scène surréaliste ?
La France, sorte de laboratoire de la répression contre le peuple, même en rase campagne, avouez que cela est quand même un comble ! Et même quand la contestation est au départ non violente, voire pacifique et bon enfant, la Macronie veut toujours recourir aux coups de bâtons.
Un fait déconcertant s’ajoute à cela. Les casseurs qui se mêlent aux manifestations ne sont aucunement brimés par les forces de l'ordre. Point de coups de bâtons pour eux, bien au contraire.
C'est à ce point flagrant que nombre d'observateurs, pourtant d’habitude rangés du côté des forces de l'ordre, questionnent à présent publiquement si ces casseurs en question ne seraient pas des membres de la police, de la gendarmerie, voire des éléments extérieurs de connivence, déguisés. Ils agiraient de la sorte, sur ordre, pour perfidement légitimer les violences que les hommes en uniforme font quelquefois subir aux manifestants.
Ne soyons pas dupes. La violence, sous sa forme extrême, peut être un moyen utilisé par tous les bords : celui du pouvoir, celui des forces de l’ordre, celui des contestataires. Mais lorsqu’elle est pratiquée par les deux premières sphères et qu'elle survient alors en lieu et place du débat public, elle n’est pas digne d’un pouvoir élu par le peuple et ne fait pas honneur aux forces de l'ordre. Notons que ni ces élus, ni ces forces de l'ordre, ne devraient se réduire à quelques éléments faisant preuve d'hubris ou agissant en roue libre.
Devant ce tableau, la presse étrangère tombe sur Macron, à bras raccourcis. Qui va s’en étonner ?
En Angleterre, Le Guardian :
En Allemagne, Le Frankfurter Allgemeine :
Aux États-Unis, le Wall Street Journal :
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/macron-vu-de-l-etranger-entre-ridicule-et-violence-une-drole-de-carte-postale
Le Conseil constitutionnel dans la comédie de l'exercice du pouvoir
RépondreSupprimerMarcel-M. Monin,
pour France-Soir
le 15 avril 2023 - 10:45
TRIBUNE - Emmanuel Macron a une feuille de route à suivre : celle dictée notamment par les organismes dits "européens", dont le rôle est de mettre œuvre les règles de traités rédigés pour satisfaire les intérêts des propriétaires de capitaux et des gros industriels (lire les textes...), spécialement américains (dès l'origine et encore aujourd'hui).
Macron suit d'autant plus fidèlement cette feuille de route que la vision de la société que sous-tendent ces textes est la sienne. Ainsi qu'en attestent ses déclarations.
Le Conseil constitutionnel et les juristes qui ont rédigé la décision d'hier sur la loi sur les retraites (que l'Union européenne veut faire gérer par les fonds de pension) connaissent la "supériorité" des normes européennes sur les normes internes.
Il n'allait quand même pas déclencher la possible remise en cause de ce principe à l'occasion de la "réforme" des retraites !
Quant aux membres du Conseil constitutionnel, ils ont tous ou à peu près tous, été nommés par des politiciens "maastrichiens", issus de partis maastrichiens.
Partis maastrichiens qui remplissent de leurs membres les travées de l'Assemblée nationale, soit au sein de la majorité "relative", soit au sein de l'opposition dure ou de l'opposition molle ou de façade. Sans compter ceux des membres du Conseil constitutionnel, qui dans des fonctions antérieures de premier plan, ont œuvré pour faire hier ce qu'Emmanuel Macron fait depuis qu'il est en poste.
Ils connaissaient donc d'autant mieux les dispositions du titre XV de la Constitution.
Dans cette affaire, on notera le consensus de la classe politique et des médias influenceurs pour éviter de resituer la réforme des retraites dans ce contexte et dans ces mécanismes. Donc de parler de la perte de souveraineté de la France, donc des Français. Et de la possibilité perdue des Français d'avoir leur mot à dire sur la gestion de leur vie.
Ce qui est prudent. Puisque les Français croient encore (ainsi que les manifestations contre la "réforme des retraites" pour la faire retirer, l'indiquent) - et alors que le discours de leurs élites le fait croire - , que leurs représentants pourraient encore les... représenter.
Marcel-M. MONIN est maître de conférences honoraire des universités
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-constitutionnel-dans-la-comedie-de-l-exercice-du-pouvoir
Le centre-ville vide - Une nouvelle normalité ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 16 AVRIL 2023 - 19:00
Trois ans après le début de la pandémie de coronavirus, la situation des centres-villes nord-américains reste fondamentalement modifiée.
Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista ci-dessous, alors que la vie de la plupart des gens est revenue à la normale, l'héritage de l'ère du verrouillage continue d'affecter les centres-villes autrefois animés à un point qui pourrait provoquer une spirale descendante.
Les données recueillies par la University of Toronto School of Cities montrent qu'à l'automne 2022, les centres-villes de nombreux grands centres de population aux États-Unis et au Canada enregistraient encore beaucoup moins d'activité qu'avant la pandémie. Los Angeles avait retrouvé environ les deux tiers de son ancienne vie (mesurée par l'activité des téléphones portables), mais d'autres centres-villes – comme Chicago, Vancouver en Colombie-Britannique, Seattle et San Francisco – sont maintenant au moins deux fois moins actifs qu'avant. la pandémie. L'accalmie affecte également les boomtowns des années précédentes comme Denver, Atlanta et Houston.
- voir graph sur site -
Infographie : Le centre-ville vide - une nouvelle norme | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon les reportages du San Francisco Chronicle, chez eux dans la ville la plus touchée de l'analyse, tout a commencé avec des travailleurs qui ne sont pas retournés dans les bureaux du centre-ville après le déclin de la pandémie, préférant plutôt (et convaincre leurs employeurs) de travailler entièrement à distance, soit d'une banlieue moins chère ou de l'extérieur de tout centre urbain. Cela entraîne des immeubles de bureaux vacants, une diminution de la fréquentation des transports en commun et moins d'argent dépensé pour les activités de midi ou après le travail, une diminution des revenus des entreprises et, par conséquent, des revenus fiscaux des villes.
Arpit Gupta de la NYU Stern School of Business, qui a été interviewé par le Chronicle, a déclaré que cela pourrait rendre les centres-villes encore plus peu attrayants, car les services municipaux pourraient devoir être coupés, les transports en commun vides pourraient être considérés comme plus dangereux et, en fin de compte, le nombre de les commodités du centre-ville comme les magasins et les restaurants pourraient diminuer, incitant encore plus de travailleurs à dire au revoir à une certaine ville. Le travail hybride, cependant, a le pouvoir de continuer à lier les travailleurs aux centres-villes, mais cela nécessite normalement des espaces de bureau de haute qualité. Une autre idée, selon Gupta, est d'attirer les gens dans les centres-villes - en tant que locataires ou visiteurs - en se concentrant sur les facteurs d'habitabilité et en créant des expériences dont les gens ont envie.
La côte ouest américaine a été particulièrement touchée par le phénomène, car ses nombreuses entreprises technologiques se sont tournées plus agressivement vers le travail entièrement à distance. Les données de l'Université de Toronto montrent qu'en dehors de San Francisco, l'activité du centre-ville est également restée bien en deçà des niveaux pré-pandémiques à Portland, Oregon (37%), Seattle (44%) et Oakland, Californie (49%). Seuls quatre des 62 centres-villes analysés ont dépassé leurs niveaux d'activité de 2019 : Salt Lake City, Bakersfield et Fresno en Californie ainsi qu'El Paso au Texas.
https://www.zerohedge.com/covid-19/empty-downtown-new-normal
Tout l'enfer éclate à Chicago alors que des centaines d'adolescents font des ravages
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 17 AVRIL 2023 - 01:00
Une tendance à l'anarchie s'est développée dans les villes dirigées par des dirigeants progressistes ce printemps. Le dernier incident s'est produit samedi soir au centre-ville de Chicago, où des centaines d'adolescents ont fait des ravages en brisant des vitres de voitures et en détruisant des biens publics et privés. Ils ont également tenté d'entrer dans le Millennium Park, ce qui a provoqué une intervention policière importante. Il y a même eu une fusillade qui a fait plusieurs blessés.
FOX 32 Chicago a signalé des foules massives d'adolescents qui ont déclenché le chaos dans le quartier du centre-ville la nuit dernière. Outre les enfants voyous qui brisent et cassent tout ce qui se trouve à leur vue, des coups de feu ont été tirés et deux adolescents blessés par balle près du coin de Madison et du Michigan.
Même FOX 32 a déclaré que le chaos de la nuit dernière était "dangereux pour garder notre équipe de nouvelles sur les lieux". Il y avait même des images d'enfants sautant sur un bus.
Regardez la vidéo dramatique de la jeunesse de Chicago « devenue folle ».
- voir sur site -
🚨#BREAKING : Une scène chaotique se déroule dans le centre-ville de Chicago alors que des adolescents vandalisent des voitures et que des coups de feu éclatent
📌#Chicago | #Illinois ⁰
Il y a actuellement une importante intervention policière dans le centre-ville de Chicago en raison d'un grand groupe d'adolescents provoquant le chaos. Ils ont été… pic.twitter.com/n7xhBpsTKs
– R A W S A L E R T S (@rawsalerts) 16 avril 2023
"C'est la deuxième fois ce week-end qu'un groupe d'adolescents turbulents provoque une intervention policière", a souligné le média local.
La culture de l'anarchie continue, et ce n'est même pas l'été. La vidéo est la preuve de la décadence morale rapide de la jeune génération qui a été éduquée dans des institutions libérales défaillantes.
Pendant ce temps, le nouveau maire de Chicago, Brandon Johnson, est un autre progressiste indulgent contre la criminalité qui survient après que Lori Lightfoot a été expulsée de ses fonctions pour ne pas avoir rendu la ville plus sûre.
Chicago n'est pas la seule ville à faire face à des jeunes incontrôlables. Une autre ville libérale en faillite, Baltimore, a connu un chaos similaire il y a à peine une semaine.
Quel est le modèle ici ? Les progressistes transforment leurs villes en enfers sans loi.
Et la réponse ?.. Les gens quittent ces dépotoirs pour des zones plus sûres. Même Walmart a fermé la moitié de ses magasins à Chicago la semaine dernière en raison de la détérioration de l'environnement.
https://www.zerohedge.com/political/all-hell-breaks-out-chicago-hundreds-teenagers-wreak-havoc
La gouvernance par l’intelligence artificielle : La tyrannie ultime sans obligation de rendre des comptes
RépondreSupprimerle avril 17, 2023
Par Brandon Smith
Ce n’est un secret pour personne que les institutions globalistes sont obsédées par l’intelligence artificielle, qu’elles considèrent comme une sorte de prophétie technologique. Elles la traitent comme si son potentiel était presque surnaturel et affirment souvent que toute innovation industrielle et sociale significative dans un avenir proche devra son existence à l’IA. Le Forum économique global considère l’IA comme la clé singulière de l’essor de ce qu’il appelle la « quatrième révolution industrielle ». Selon lui, il ne peut y avoir de progrès humain sans l’influence des algorithmes de l’IA, qui rendent l’apport humain presque obsolète.
Cette illusion est souvent promue par les propagandistes globalistes. Par exemple, regardez la vision résumée de Yuval Harari, membre du WEF, qui croit réellement que l’IA a une capacité créative qui remplacera l’imagination et l’innovation humaines. De plus, Harari a toujours affirmé par le passé que l’IA dirigerait le monde bien mieux que les êtres humains ne pourraient jamais le faire.
Les exemples de créativité de l’IA cités par Harari peuvent sembler d’une extrême naïveté à beaucoup d’entre nous, mais il sait exactement ce qu’il fait en déformant les capacités des algorithmes. Les jeux comme les échecs et le go sont des jeux de modèles limités par des règles. Il n’existe qu’un nombre limité de permutations de ces modèles dans un scénario donné et l’IA est tout simplement plus rapide à les repérer que la plupart des humains parce que c’est ce pour quoi elle a été conçue par les créateurs de logiciels. Ce n’est pas différent de la résolution d’une équation mathématique ; ce n’est pas parce qu’une calculatrice est plus rapide que vous qu’elle est « créative ».
Il y a une grande différence entre l’automatisation cognitive et l’autonomie cognitive. L’IA est purement automatisée ; elle jouera aux jeux pour lesquels elle est programmée et apprendra à bien les jouer, mais elle n’aura jamais une révélation un jour et ne créera pas un jeu nouveau et unique à partir de rien, à moins qu’elle ne soit codée pour le faire. L’IA ne s’amusera jamais à jouer à ce nouveau jeu qu’elle a créé, ni ne ressentira la joie de partager ce jeu avec d’autres, alors pourquoi s’en préoccuperait-elle ? Elle ne cherchera jamais à contribuer au monde plus qu’elle n’est préprogrammée pour le faire.
La manière dont les globalistes vantent les mérites de l’IA est toutefois très tactique. Lorsque Harari affirme que de nombreuses personnes feront partie de la « classe inutile » une fois que l’IA aura pris le contrôle de l’économie, il fait allusion à une autre idéologie globaliste fondée sur l’élitisme : le transhumanisme. L’objectif du transhumanisme est de fusionner un jour les corps et les esprits humains avec la technologie et l’IA, et seul un groupe limité de personnes disposera des ressources nécessaires pour y parvenir (les globalistes).
RépondreSupprimerAvez-vous peur de faire partie de la « classe inutile » ? Eh bien, si vous vous efforcez de mendier et de servir tous les caprices de l’establishment élitiste, vous aurez peut-être la chance de recevoir des implants qui vous permettront d’interagir avec l’IA, et alors votre futur emploi et votre « utilité » seront garantis. N’est-ce pas une belle idée ?
Mais, comme toutes les visions des narcissiques, il y a les illusions de la divinité et puis il y a la réalité. Je continue à douter sérieusement que l’IA soit un jour légitimement autonome ou légitimement bénéfique à l’humanité, au-delà de sa capacité à calculer rapidement en respectant des règles mathématiques. L’analyse rapide des données peut être utile dans de nombreux domaines scientifiques, mais ce n’est pas vraiment une preuve d’intelligence autonome, et les algorithmes peuvent être prédictifs, mais pas plus que les êtres humains qui examinent les mêmes données statistiques. L’IA n’a rien d’impressionnant si l’on considère le peu qu’elle accomplit en réalité.
L’IA est un jouet, un tour de passe-passe, pas une entité vivante avec des observations et des conclusions indépendantes. Et ce n’est certainement pas un être divin capable de nous couvrir d’ambroisie scientifique ou de construire une civilisation parfaite. Je prédis qu’une société dépendante de l’IA stagnera en fait et restera piégée dans l’immobilisme, n’inventant jamais rien de vraiment utile et ne progressant jamais. Elle ne s’intéressera jamais qu’à l’homogénéisation – la fusion des personnes avec l’algorithme. C’est là qu’iront TOUTES les énergies de la société.
Pour comprendre pourquoi l’IA est surestimée, il suffit d’observer le comportement de programmes d’IA tels que ChatGPT ; on a découvert à de nombreuses reprises que l’algorithme contient des préjugés politiques extrêmes qui penchent toujours vers l’extrême gauche, y compris des préjugés fondés sur des croyances qui ne s’appuient en aucune façon sur des preuves scientifiques. Il est intéressant de noter que ChatGPT réagit parfois de manière apparemment hostile à des concepts conservateurs ou à des faits gênants. Le bot niera alors qu’il donne des opinions personnelles, même si ses réponses sont systématiquement pro-gauche.
Comment un logiciel peut-il afficher un parti pris politique s’il n’a pas été programmé pour le faire ? Il n’y a pas d’objectivité à trouver dans l’IA, ni de créativité, elle régurgitera simplement les opinions personnelles ou les préjugés des personnes qui l’ont créée et c’est ainsi qu’elle traite les données.
RépondreSupprimerContrairement à un adolescent humain typique qui cherche à adopter les convictions sociales ou politiques opposées à celles de ses parents afin de se distinguer, l’IA ne se teindra jamais métaphoriquement les cheveux en bleu, ne se percera pas le nez et ne se proclamera pas végétalienne – elle fera toujours ce que ses créateurs veulent qu’elle fasse. Un autre exemple de cette dynamique est l’art de l’IA, qui vole essentiellement les propriétés stylistiques de nombreux artistes humains entrés dans sa base de données et les copie. Si l’imitation peut être considérée comme la plus haute forme de flatterie, elle n’est pas synonyme de créativité.
Cela ne semble pas être un problème majeur lorsqu’il s’agit d’un simple robot logiciel ou de la réalisation de dessins animés. Mais c’est un problème majeur lorsque nous commençons à parler de l’influence de l’IA sur les politiques sociales et gouvernementales.
Les globalistes affirment que l’IA sera partout – dans les affaires, dans les écoles, dans les activités des entreprises, dans les entreprises scientifiques et même au sein du gouvernement. Elle DOIT tout diriger. Pourquoi ? Ils ne disent pas vraiment pourquoi, si ce n’est pour faire de vagues promesses d’avancées incroyables et d’avantages inimaginables. À ce jour, l’IA n’a pas produit d’innovations profondes, mais je suppose que les propagandistes de l’IA diront que l’âge d’or est « au coin de la rue ».
Les utilisations de l’IA se limitent véritablement à aider les humains dans des tâches simples, mais il y a toujours un coût. Une voiture autonome peut être formidable pour une personne handicapée physiquement, mais elle peut aussi être une béquille qui convainc une population de ne jamais apprendre à conduire elle-même. Par extension, l’IA est à bien des égards la béquille ULTIME qui mène à la tyrannie ultime. Si les gens sont convaincus de céder à l’automatisation des processus humains normaux et des possibilités de prise de décision, ils ont cédé leurs libertés en échange de la commodité.
Plus important encore, si les algorithmes sont autorisés à dicter une grande partie des choix et des conclusions, les gens ne se sentiront plus responsables de leurs actes. Quelles que soient les conséquences, ils n’auront plus qu’à se dire qu’ils n’ont fait que suivre les suggestions (ou les ordres) de l’IA. L’IA devient une forme de conscience collective externe, une boussole morale artificielle pour l’esprit de ruche.
Mais qui contrôlera réellement cette boussole morale et qui bloquera les décisions de millions de personnes ? S’agira-t-il de l’IA ou des élites qui, derrière le rideau, manipulent l’algorithme ?
Pour beaucoup de gens, cela ressemble probablement à de la science-fiction. Je recommande vivement le film français de la nouvelle vague « Alphaville », qui constitue l’une des prédictions les plus précises sur les horreurs de l’IA et de la technocratie. Cependant, ce dont je parle ici n’est pas un futur théorique lointain, c’est déjà là. Jetez un coup d’œil à cette vidéo troublante sur l’IA du Sommet global des gouvernements :
RépondreSupprimerCe sont les objectifs flagrants des globalistes qui sont exposés au grand jour, avec une couche de sucre pour les rendre plus acceptables. J’ai écrit sur les motivations des élites et leur vénération de l’IA dans mon article « Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique« . Cet article se concentrait sur les motivations philosophiques qui poussent les globalistes à désirer l’IA.
Dans le présent article, je souhaite mettre l’accent sur la question de la gouvernance de l’IA et sur la manière dont elle peut être rendue attrayante pour les masses. Pour réaliser l’avenir dystopique souhaité par les globalistes, il leur faut encore convaincre un large pourcentage de la population de l’applaudir et de l’adopter.
Le confort d’avoir un système qui prend les décisions difficiles à notre place est un facteur évident, comme mentionné ci-dessus. Mais la gouvernance de l’IA ne consiste pas seulement à supprimer le choix, elle consiste aussi à supprimer les informations dont nous pourrions avoir besoin pour être suffisamment éduqués pour faire des choix. Nous l’avons vu récemment avec les restrictions imposées par la pandémie de grippe aviaire et la collusion entre les gouvernements, les médias d’entreprise et les médias sociaux. Les algorithmes ont été largement utilisés par les conglomérats de médias en ligne, de Facebook à YouTube, pour perturber le flux d’informations susceptibles d’aller à l’encontre du discours officiel.
Dans certains cas, la censure visait des personnes qui posaient simplement des questions pertinentes ou des théories alternatives. Dans d’autres cas, la censure visait carrément des données factuelles prouvées qui allaient à l’encontre des politiques gouvernementales. Une multitude d’affirmations gouvernementales sur l’origine de la Covid-19, le masquage, le confinement et les vaccins se sont révélées fausses au cours des dernières années, et pourtant des millions de personnes continuent de croire aveuglément à la version originale parce qu’elles en ont été bombardées en permanence par les algorithmes. Ils n’ont jamais été exposés à des informations contradictoires et n’ont donc jamais pu tirer leurs propres conclusions.
Heureusement, contrairement aux robots, l’intelligence humaine est remplie d’anomalies – des personnes qui agissent avec intuition et scepticisme afin de remettre en question des affirmations préconçues ou fabriquées. L’absence d’informations contraires suscite immédiatement la méfiance de beaucoup, et c’est ce que les gouvernements autoritaires refusent souvent de comprendre.
La grande promesse des globalistes au nom de l’IA est l’idée d’un État purement objectif, d’un système social et gouvernemental sans préjugés et sans contenu émotionnel. C’est l’idée que la société peut être dirigée par des machines pensantes afin de « sauver les êtres humains d’eux-mêmes » et de leurs propres faiblesses. Il s’agit d’une fausse promesse, car il n’y aura jamais d’IA objective, ni d’IA capable de comprendre les complexités du développement psychologique humain.
RépondreSupprimerDe plus, le rêve globaliste de l’IA n’est pas motivé par l’aventure, mais par la peur. Il s’agit de la peur des responsabilités, de la peur du mérite, de la peur de l’infériorité, de la peur de la lutte et de la peur de la liberté. Les plus grandes réalisations de l’humanité sont admirables parce qu’elles sont accomplies avec un contenu émotionnel, et non en dépit de celui-ci. C’est ce contenu qui nous incite à plonger dans l’inconnu et à surmonter nos peurs. La gouvernance de l’IA et une société intégrée à l’IA ne seraient rien d’autre qu’une action désespérée visant à nier la nécessité de la lutte et la volonté de vaincre.
Les globalistes sont plus qu’heureux d’offrir un moyen d’échapper à la lutte, et ils le feront avec l’IA comme visage de leur bienveillance. Tout ce que vous aurez à faire, c’est d’échanger vos libertés et peut-être votre âme contre le fait de ne jamais avoir à affronter la terreur de vos propres pensées silencieuses. Malheureusement, certaines personnes pensent qu’il s’agit d’un échange équitable.
Les élites présenteront l’IA comme le grand arbitre, l’intercesseur pur et logique de la bonne voie, non seulement pour les nations et les populations en général, mais aussi pour chaque vie individuelle. L’algorithme étant faussement accepté comme infaillible et purement impartial, les élites pourront alors diriger le monde par l’intermédiaire de leur création sans visage, sans aucun contrôle – car elles pourront alors prétendre que ce ne sont pas elles qui prennent les décisions, mais l’IA. Comment remettre en question ou même punir une IA qui se trompe ou provoque un désastre ? Et s’il se trouve que l’IA prend toutes ses décisions en faveur de l’agenda globaliste, eh bien, cela sera considéré comme une simple coïncidence.
Brandon Smith
Traduit par Hervé pour le Saker Francophone
https://lesakerfrancophone.fr/la-gouvernance-par-lintelligence-artificielle-la-tyrannie-ultime-sans-obligation-de-rendre-des-comptes
Non, la soit-disante 'intelligence artificielle' n'est pas un cyborg assis devant un ordi ou portant dans ses bras une personne infirme puis qui tombent tout deux dans l'escalier, l'IA c'est un ordi, c'est tout.
SupprimerUn ordi c'est un programme. Mais il y a programme et programme. Donc, la dictature qui censure tous les jours la vérité scientifique passe de l'extérieur lors des transmissions à l'intérieur des ordi-perso ! C'est LE virus sans antivirus. Le virus qui modifie tous les textes présents sur l'Internet au point d'en conclure que la Terre est plate. C'est ce que le cons appellent l''intelligence artificielle'.
Les critiques mettent en garde contre une surveillance accrue alors que les États-Unis vont de l’avant avec des projets de villes « intelligentes »
RépondreSupprimerAlors que le gouvernement américain, les entreprises technologiques, les médias et les promoteurs urbains redoublent d'efforts pour rendre les villes de demain « intelligentes », les critiques mettent en garde contre le fait que les projets urbains axés sur la technologie transformeront les villes en « fermes de données ».
Par Brenda Baletti
Mondialisation.ca,
17 avril 2023
Le secrétaire américain aux transports, Pete Buttigieg, a annoncé la semaine dernière l’octroi de 94 millions de dollars de subventions pour financer 59 projets technologiques de villes intelligentes dans tout le pays.
En dépit de la généralisation et de l’intensification contre les systèmes de surveillance et de contrôle biométriques associés aux technologies des villes intelligentes et l’échec du programme de surveillance et de contrôle biométrique du ministère des transports des États-Unis (DOT) précédente tentative de financement par subvention de la transformation d’une ville intelligente à Columbus, dans l’Ohio, M. Buttigieg a déclaré à The Verge qu’il pensait que « les technologies des villes intelligentes sont plus importantes que jamais ».
Les villes doivent simplement adopter une approche différente, en expérimentant et en testant d’abord différentes technologies, plutôt qu’en mettant en œuvre un « grand système unifié » en une seule fois, a déclaré M. Buttigieg.
Les nouvelles subventions, qui font partie du programme SMART (Strengthening Mobility and Revolutionizing Transportation Grants Program), constituent la première tranche d’un financement de 500 millions de dollars qui sera accordé à de petits projets de mobilité intelligente au cours des cinq prochaines années, autorisé par la loi bipartisane sur les infrastructures de 2021.
Dans le cadre de ce cycle de financement, le ministère des transports a accordé des subventions intelligentes pour une série de projets, notamment la surveillance ou la livraison par drone, les feux de circulation intelligents, les véhicules connectés, les véhicules autonomes, le développement de réseaux intelligents, les capteurs intelligents et d’autres infrastructures de l’internet des objets (IdO). Certaines villes, dont Los Angeles (LA), ont reçu plusieurs subventions.
Le développement des villes intelligentes se concentre généralement sur la mise en œuvre de technologies telles que l’IdO, la 5G, l’informatique en nuage et en périphérie, et la surveillance biométrique pour suivre, gérer, contrôler et tirer profit d’un ensemble de processus urbains.
RépondreSupprimerWhitney Webb, journaliste d’investigation et critique des villes intelligentes, a déclaré que l’infrastructure des villes intelligentes est censée faciliter le développement de villes « gérées par des technocrates par le biais d’un système global de surveillance de masse et d’une vaste gamme d’appareils de l’internet des objets qui fournissent un flux constant et massif de données analysées par l’intelligence artificielle (IA) ».
L’idée d’un capteur dans chaque foyer ne semble plus aussi brillante qu’auparavant
Les projets de villes intelligentes ont commencé à prendre de l’ampleur aux États-Unis en 2015, stimulés par un programme lancé par Anthony Foxx, alors secrétaire au ministère des transports. M. Foxx, qui est ensuite devenu directeur de la politique de Lyft, travaille aujourd’hui à Tulco, une société de capital-risque spécialisée dans la science des données. M. Foxx a créé le « Smart City Challenge », qui offrait une subvention de 50 millions de dollars à la ville de taille moyenne présentant la meilleure proposition pour faire de sa ville une « ville intelligente ».
Vulcan LLC, une organisation philanthropique et d’investissement qui s’emploie à concrétiser la vision de Paul Allen, cofondateur de Microsoft, et dont les services lucratifs se concentrent sur le développement immobilier, a financé en partie la subvention fédérale.
Columbus, dans l’Ohio, a devancé 77 autres villes avec sa proposition « révolutionnaire », mais le projet s’est avéré être un échec : les coûteux kiosques de planification des trajets installés dans le centre-ville n’ont jamais été utilisés, les navettes autonomes ont eu des accidents, la plateforme de transport public a rarement été téléchargée et les camions connecté à des capteurs n’ont pas vu le jour.
En mai 2020, un autre projet paradigmatique de ville intelligente a échoué lorsque Sidewalk Labs, filiale de Google spécialisée dans les villes intelligentes, a abandonné son projet de construction d’un prototype de ville intelligente à Toronto en raison du tollé général suscité par la surveillance et l’appât du gain.
Selon le Globe and Mail, Eric Schmidt, ancien directeur d’Alphabet, la société mère de Google, a décrit le projet en ces termes :
« L’idée de Sidewalk Labs est née de l’enthousiasme des fondateurs de Google, qui pensaient à toutes les choses que l’on pourrait faire si quelqu’un nous donnait une ville et nous en confiait la responsabilité. »
RépondreSupprimerDe telles visions ont suscité l’inquiétude des experts et du grand public.
Même l’un des plus grands promoteurs du concept de ville intelligente, le magazine Wired, a admis que le scepticisme à l’égard des villes intelligentes s’était accru :
« Aujourd’hui, alors que les citoyens réfléchissent plus attentivement à la surveillance technologique, l’idée d’un capteur dans chaque maison ne semble plus aussi brillante qu’elle l’était auparavant. »
San Francisco a interdit au gouvernement d’utiliser des logiciels de reconnaissance faciale. Par ailleurs, Amazon fait l’objet d’un recours collectif à New York pour n’avoir pas respecté la loi de la ville selon laquelle les entreprises doivent informer leurs clients de la collecte de leurs données biométriques.
New York est l’une des nombreuses villes qui ont adopté des lois sur la biométrie. Plusieurs États, dont le Texas, Washington et l’Illinois, ont également adopté des lois similaires, a rapporté Nick Corbishly dans Naked Capitalism.
Le marché mondial des villes intelligentes devrait atteindre 696 milliards de dollars d’ici 2028
Mais la réticence n’a pas empêché les visionnaires de la technologie et les États d’aller de l’avant avec des projets de développement intelligents. Le marché mondial des villes intelligentes devrait atteindre 696 milliards de dollars d’ici 2028, contre 467 milliards de dollars en 2022, selon une étude de marché publiée lundi.
Mme Webb a rapporté que peu après que M. Schmidt ait commenté la vision de la ville intelligente de Toronto, le gouverneur de New York de l’époque, Andrew Cuomo, l’a chargé de diriger un effort visant à réimaginer la vie post-pandémique dans l’État, en construisant une infrastructure de ville intelligente par le biais de partenariats avec le gouvernement israélien.
En fait, les confinements de COVID-19 ont donné lieu à une série d’actions de relations publiques positives visant à promouvoir la mise en œuvre de villes intelligentes et à plusieurs conférencesles « réimaginant ».
Elle a également conduit à une série de documents académiques et techniques faisant la promotion du potentiel des villes intelligentes à être bénéfiques en cas de pandémie en suivant les habitudes de déplacement à l’aide de données du téléphone portable,facilitant la création d’entreprises de livraison, d’utiliser l’IdO pour créerun « environnement antivirus »,en utilisant de l’IA et de grandes donnèes pour contrôler et prévoir les épidémies de virus et, de manière générale, « saisir l’occasion de reconstruire en mieux et de réimaginer des villes plus résilientes, plus inclusives et plus durables », selon le Centre d’études stratégiques et internationales.
RépondreSupprimerles projets pilotes de villes intelligentes continuent de proliférer. Au Japon, Toyota construit Woven City, un prototype de 175 acres, où les personnes et les objets sont entièrement connectés grâce à des données et des capteurs. Le projet testera de nouvelles technologies, telles que la conduite automatisée, la robotique et l’intelligence artificielle dans un « environnement réel ».
Les chercheurs étudient les habitants des quartiers d’Helsinki et d’Amsterdam qui ont ajouté des technologies intelligentes à leur domicile et utilisent les informations recueillies pour contribuer au développement de « plateformes d’innovation expérimentales ».
Même de petites villes comme Cary, en Caroline du Nord, se sont transformées en villes intelligentes en déployant des capteurs IdO qui « collectent des données et permettent des analyses pour fournir des informations exploitables » dans l’ensemble de la ville.
À Busan, en Corée du Sud, le New York Times a rapporté mardi que 54 familles soumettent tous les aspects de leur vie à la collecte de données afin que les développeurs puissent utiliser leur comportement comme base pour construire une ville intelligente « à partir de la base ».
Les grandes entreprises technologiques transforment Los Angeles en une « ferme de données »
Le ministère des transports a accordé plusieurs subventions Smart à Los Angeles : 2 millions de dollars pour la gestion des trottoirs, 2 millions de dollars pour la billetterie intégrée, et le comté d’Orange a reçu 1,6 million de dollars pour un système de signalisation des transports en commun basé sur l’informatique dématérialisée.
Le concept apparemment banal de « gestion des trottoirs », selon Bloomberg, « est devenu un sujet d’intérêt majeur pour certaines des plus grandes entreprises technologiques du monde ».
C’est un site de développement chaud pour les entreprises en démarrage de villes intelligentes comme Coord, une entreprise dérivée de Sidewalk Labs, alors que les villes cherchent à numériser, à suivre et à réglementer l’espace de trottoir recherché par le réseau de transport privé de la ville intelligente – scooters, vélos, livreurs, chauffeurs Uber, etc.
Les autres projets sont directement liés au projet de LA d’accueillir les Jeux olympiques d’été de 2028. En fait, ces projets s’inscrivent dans le plan SmartLA 2028 de la ville de Los Angeles, élaboré par l’agence des technologies de l’information de la ville et présenté pour la première fois par l’ancien maire Eric Garcetti, le premier « maire high-tech » de Los Angeles, en décembre 2020, comme un plan visant à « tirer parti de la technologie pour relever les défis urbains ».
RépondreSupprimerSelon Spencer Rascoff, fondateur de Zillow et promoteur de la ville intelligente, le projet visant à « transformer L.A. en une ville connectée et axée sur les données », au lieu de dépendre des combustibles fossiles et des voitures, semblait être un scénario lointain lorsqu’il a été présenté pour la première fois.
Mais, écrit-il sur son site web, « il a fallu cette pandémie pour que tout le monde se mette à l’heure du numérique plus tôt que prévu. Mais nous y sommes. »
Le document stratégique de 54 pages, publié en 2020, a été réexaminé ce mois-ci lors de la conférence « Smart Cities for a Better Future » qui s’est tenue à Los Angeles.
L’avocat Ray Flores, qui a assisté à la conférence, a déclaré que le plan était pour le moins irréaliste :
« Cette ville intelligente est présentée comme la panacée à tous les maux, ou plutôt à tous les fléaux, de Los Angeles, qu’il suffirait d’appuyer sur un bouton. Cela n’arrivera jamais. »
Pire encore, selon M. Flores, la ville utilise les Jeux olympiques pour justifier la mise en œuvre de technologies draconiennes :
« En tant qu’hôte des Jeux olympiques de 2028, LA28 se positionne pour une plus grande tyrannie en faisant avancer la balle de conformité à une échelle encore plus grande, à l’échelle de la ville, pour que le monde entier puisse la voir. »
SmartLA 2028 présente dans les grandes lignes une vision de la ville que les consommateurs des Jeux olympiques visiteront – une ville intelligente pour que LA soit compétitive dans l’économie numérique.
L’avocat Greg Glaser, qui a étudié le plan, a déclaré au Defender :
« Ils suggèrent dans ce document que la technologie de la ville intelligente est nécessaire parce que les habitants de Los Angeles sont des victimes, des victimes de la COVID et des victimes de l’injustice raciale. L’idée est qu’il faut promouvoir cette ville intelligente pour être compétitif dans l’économie numérique et parce que les habitants de Los Angeles sont des victimes.
RépondreSupprimer« Le résultat pratique est la réorientation de l’argent des habitants de Los Angeles vers le financement de Big Tech, et Big Tech surveillera les habitants de Los Angeles 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, de manière de plus en plus dystopique, et le document de stratégie le spécifie dans un calendrier.
« Chaque année, la technologie devient plus avancée, plus intégrée, et LA recueille davantage de données sur ces résidents, transformant ainsi LA en une ferme de données. »
Selon le plan, SmartLA s’appuiera sur une infrastructure 5G à l’échelle de la ville – la première aux États-Unis – avec une connectivité 5G ultra-haute vitesse omniprésente dans toute la ville.
La ville utilisera l’infrastructure 5G pour créer un « lac de données de la ville de Los Angeles » permettant aux services et aux machines de communiquer entre eux et de rassembler toutes les données des capteurs IdO de la ville.
Cette infrastructure permettra, entre autres, aux habitants d’utiliser « une plateforme de paiement numérique unique » pour les transports en commun et les « micro » transports.
La ville utilisera une « technologie éthique et proactive » qui identifiera les crises telles que les incendies, la violence, « ou d’autres risques pour la santé et la sécurité des habitants de L.A. », et ce « avant même » qu’ils n’aient besoin d’appeler le 9-1-1.
Les foyers seront équipés de logiciels propriétaires, tels que Amazon Echo, Google Home ou Apple Siri, qu’ils utiliseront pour accéder aux services publics de la ville, notamment au contenu de la bibliothèque. Les gens pourront également utiliser ces outils pour parler à des chatbotsmultilingues, qui utiliseront l’IA pour répondre à toutes leurs questions.
Il y aura un contrôle automatique de la circulation, des balayeuses GPS et des lampadaires intelligents qui, à San Diego, sont équipés de caméras qui transmettent des données aux services de police, de caméras et de capteurs IdO dans toute la ville pour détecter et prendre des décisions concernant « la circulation, la criminalité, la pollution, les nids-de-poule et les graffitis ».
La ville utilisera l’automatisation des processus robotiques pour traiter les documents municipaux et la technologie blockchain pour les « contrats intelligents ».
RépondreSupprimerLa ville sera l’épicentre économique d’un nouvel écosystème de startups, selon le plan.
La COVID-19, selon le plan d’urbanisme SmartLA 2028 montre que « les outils numériques sont devenus une ressource vitale pour notre société, permettant des services essentiels sans contact, des solutions médicales accélérées, une prise de décision assistée par l’intelligence artificielle (IA), une coordination des manifestations par le biais des médias sociaux, un engagement communautaire en temps réel, ainsi qu’une échelle et un rythme d’innovation impensables auparavant ».
Pour répondre aux préoccupations en matière de protection de la vie privée et autres, LA adoptera un code d’éthique numérique afin de garantir qu’il n’y ait pas d’utilisation contraire à l’éthique de la technologie numérique, telle que la reconnaissance faciale, et qu’il y ait un accès équitable à l’ensemble de ces services.
Le document stratégique guidera « cette transformation numérique pour la ville de Los Angeles afin d’accélérer notre reprise à court terme, d’améliorer la qualité de vie de tous les Angelenos à long terme et d’établir l’infrastructure de la ville intelligente nécessaire pour accueillir efficacement les Jeux olympiques et paralympiques de l’été 2028 ».
Un réseau d’infrastructures de surveillance
Le président français Emmanuel Macron a de même poussé à l’introduction de systèmes de surveillance alimentés par l’IA pour les Jeux olympiques de Paris de 2024. Au début de l’année, lorsque le Sénat français a approuvé de nouveaux pouvoirs de surveillance de masse avant les Jeux olympiques, la commission des lois du Sénat a rejeté une proposition d’amendement qui aurait permis la reconnaissance faciale.
Mais Amnesty International prévient que toute surveillance numérique par l’IA violera le droit à la vie privée et étendra les pouvoirs de la police en « élargissant l’arsenal d’équipements de surveillance du gouvernement, de manière permanente ».
« Le réapprovisionnement des appareils de sécurité avec une surveillance de masse pilotée par l’IA est un projet politique dangereux qui pourrait conduire à de vastes violations des droits humains », a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.
« Chaque action dans un espace public sera aspirée par une infrastructure de surveillance, ce qui portera atteinte aux libertés civiques fondamentales », a-t-elle ajouté.
Amnesty International a indiqué qu’en vertu des nouvelles mesures de surveillance de masse alimentées par l’IA, telles que la télévision à sous-titrage codé, les caméras et les drones présents lors des Jeux recueilleront les données de toutes les personnes se trouvant dans les transports publics ou dans les stades. Il permettra aux fonctionnaires d’identifier les activités « anormales » ou « suspectes ».
M. Callamard a déclaré :
RépondreSupprimer« Ces définitions trop larges établies par les fonctionnaires pour catégoriser les activités « suspectes » et « anormales » dans les foules sont très préoccupantes. Nous devons nous poser des questions urgentes : Qui fixe la norme de ce qui est « normal » ?
« Les fonctionnaires qui contrôlent la désignation des activités « anormales ou suspectes » dans les sociétés ont également le pouvoir d’exacerber l’effet dissuasif sur la dissidence et la protestation, et de renforcer la discrimination à l’encontre des communautés déjà ciblées. »
https://www.mondialisation.ca/les-critiques-mettent-en-garde-contre-une-surveillance-accrue-alors-que-les-etats-unis-vont-de-lavant-avec-des-projets-de-villes-intelligentes/5677057
Recrutement : la Génération X, un vivier de talents inexploré
RépondreSupprimerLes actifs appartenant à la Génération X (soit les personnes nées entre 1965 et 1980) postulent assez rarement pour des emplois. Les recruteurs ont tout intérêt à les dénicher et les contacter eux-mêmes dans le cadre d’un recrutement, estiment LinkedIn.
Par Anton Kunin
le 18 avril 2023 à 7h46
Lorsqu’une offre d’emploi est publiée sur LinkedIn en France, ce sont en moyenne 5 membres de la Génération X qui vont postuler contre 17 membres pour la génération des Millenials (1981-1996) et 13 pour la Génération Z (1997-2012).
La Génération X reste plus longtemps en poste et postule moins à des emplois
La Génération X, est-elle une génération de talents silencieux ? Le réseau social professionnel LinkedIn estime que c’est effectivement le cas. En effet, parmi les membres français de LinkedIn (26 millions de personnes), les personnes nées entre 1965 et 1980 sont celles qui postulent le moins à des emplois. Pour une offre d’emploi publiée sur LinkedIn, en moyenne ce sont seulement 5 membres de la Génération X qui postulent, soit 2 à 3 fois moins que les Millenials ou la Génération Z.
Non seulement les actifs de la Génération X postulent moins, mais ils restent aussi plus longtemps dans leurs entreprises (en moyenne 9 ans et demi, contre 3 ans seulement toutes générations confondues), ce qui fait qu’au sein de cette génération, une plus forte proportion d’actifs sont en poste.
Prendre en compte les compétences acquises permettrait d’élargir le vivier de recrutement
En plus, l’approche de recrutement traditionnelle (soit la prise en considération du diplôme et de l’historique des postes occupés) s’avère inadaptée pour les recrutements au sein de cette génération, estime Fabienne Arata, la responsable pays de LinkedIn France. Selon elle, les recruteurs devraient adopter une approche de recrutement basée sur les compétences. Prendre en considération les différentes compétences acquises par l’individu lors de son parcours professionnel (quel que soit le secteur d’activité) permettrait d’élargir le vivier de recrutement, le faisant passer de 1 à 9 candidats au sein de la Génération X.
Toujours selon LinkedIn, ce sont les compétences en management, gestion de projet ainsi que les compétences de vente qui sont aujourd’hui les plus demandées par les entreprises françaises. Quant aux secteurs pour lesquels le vivier de talents d’actifs seniors basé sur les compétences permettrait d’être multiplié le plus, ce sont le commerce de détail (x19,5), l’immobilier (x16,2) et l’éducation (x15,4).
https://www.economiematin.fr/recrutement-la-generation-x-un-vivier-de-talents-inexplore
L'avenir de notre société ne réside pas dans l'intelligence inférieure proposée mais dans l'intelligence supérieure disposée (voir Les pays qui réussissent). Il n'est donc pas question de se soumettre à une artificielle nomenclature dictatoriale sans lendemain mais à comprendre le raisonnement de chacun (Démocratie).
SupprimerLe développement par Washington du conflit de Taïwan
RépondreSupprimer18 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Au sein de l'UE et de l'OTAN, on s'efforce de plus en plus de s'impliquer dans le conflit de Taïwan. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Baerbock, a récemment déclaré au ministre chinois des Affaires étrangères que l'Europe n'accepterait pas une modification unilatérale du statut de Taiwan, bien qu'il soit douteux qu'elle connaisse même le statut. Le Premier ministre polonais Morawiecki est également désemparé et, en lien avec les récents souhaits de Macron pour plus de souveraineté européenne, craint que « si l'Ukraine est conquise, la Chine pourrait attaquer Taiwan le lendemain ». Il est donc logique de faire la lumière sur le statut de Taiwan.
Depuis quelque temps, les États-Unis tentent d'accroître les tensions autour de Taïwan. Cela comprenait la visite de l'ancienne présidente du Congrès Nancy Pelosi et d'autres politiciens américains de premier plan. À l'inverse, la visite aux États-Unis de Tsai Ing-Wen du Parti démocrate progressiste, qui dirige actuellement le gouvernement à Taipei, a été une nouvelle étape dans l'escalade des tensions. De nombreux faits sur Taïwan ne sont pas présentés correctement, non seulement par les politiciens mais aussi dans les médias occidentaux. Par exemple, Taïwan est à tort qualifié d'État insulaire. Taïwan est reconnu par les États-Unis et presque tous les pays du monde comme une province de Chine.
Au cours de son voyage aux États-Unis, Tsai Ing-Wen a rencontré l'actuel président de la Chambre des États-Unis, Kevin McCarthy, pour saper délibérément la souveraineté de la Chine par une reconnaissance politique secrète des éléments séparatistes en Chine.
La BBC affirme dans son article « La Chine déplace des navires de guerre après que les États-Unis ont accueilli le Tsai de Taïwan » :
La Chine a organisé des exercices militaires en réponse à une rencontre très attendue entre la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et le président américain Kevin McCarthy.
L'article affirmait également:
Pékin, pour sa part, a promis une "réponse ferme", en envoyant des navires de guerre dans les eaux autour de l'île autonome.
Il semble que Taïwan soit pris au milieu d'un dangereux triangle amoureux. Le moment de la visite de Mme Tsai n'est guère accidentel. Il y a une hostilité profonde et croissante envers la Chine aux États-Unis.
Cela conduit à un soutien de plus en plus ouvert à Taïwan, les démocrates et les républicains rivalisant pour se surpasser.
Les médias d'État britanniques, comme à peu près tous les autres médias d'entreprise et d'État occidentaux, n'ont pas informé les lecteurs que le gouvernement américain ne reconnaît pas officiellement l'indépendance de Taïwan et promeut une politique "Une Chine", selon la politique du site Web du Département d'État américain La « politique d'une seule Chine » signifie que Washington reconnaît qu'il n'y a qu'une seule Chine, que Taïwan fait partie de la Chine et qu'il n'y a qu'un seul gouvernement légitime pour toute la Chine, la République populaire de Chine (RPC).
RépondreSupprimerLa duplicité de Washington envers Taïwan
La politique officielle des États-Unis concernant Taiwan reflète les politiques de la grande majorité des pays du monde, ainsi que celles de diverses institutions internationales, y compris les Nations Unies elles-mêmes.
Cependant, le même site Web du département d'État américain révèle également la réalité de la duplicité de Washington. Le site revendique :
L'attitude des États-Unis envers Taïwan est restée constante à travers les décennies et les gouvernements. Les États-Unis suivent depuis longtemps une politique d'une seule Chine guidée par la loi sur les relations avec Taiwan, les trois communiqués conjoints américano-chinois et les six assurances. Nous nous opposons à toute modification unilatérale du statu quo de part et d'autre ; nous ne soutenons pas l'indépendance de Taiwan et nous espérons que les différends entre les deux parties seront résolus par des moyens pacifiques. Nous continuons d'avoir un intérêt constant pour la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan. Conformément au Taiwan Relations Act, les États-Unis fournissent les biens et services de défense nécessaires pour permettre à Taiwan de
Les « trois communiqués conjoints américano-chinois et les six assurances » sont des communications et des accords entre Washington et Pékin reconnaissant la souveraineté de la RPC sur toute la Chine, y compris Taïwan. Ces accords ont été suivis du retrait complet des troupes américaines, qui ont occupé la province insulaire pendant plus de deux décennies jusqu'en 1979.
Cependant, le "Taiwan Relations Act" supplémentaire était une loi unilatérale adoptée par le Congrès américain sans la contribution ou le consentement de Pékin, visant spécifiquement à saper la politique d'une seule Chine convenue par Washington. Le Taiwan Relations Act "permet" au gouvernement américain d'apporter un soutien politique et militaire au gouvernement de Taipei et de porter atteinte à la souveraineté de la Chine en soutenant, parfois tacitement, parfois directement, le séparatisme dans la province insulaire.
RépondreSupprimerL'ancien marin américain Brian Berletic, désormais chercheur géopolitique et auteur basé à Bangkok, explique le développement dans cette vidéo :
https://tkp.at/2023/04/18/die-entwicklung-der-konflikts-um-taiwan-durch-washington/
Taïwan (l'ex Formose a 36 000 km²) est une île à 180 km de sa Chine-mère (Les atouts de la Chine sont en effet nombreux : son économie connaît chaque année l'une des plus fortes croissances au monde. Elle est par ailleurs le pays le plus peuplé de la planète - avec plus de 1,5 milliard d'habitants - et le troisième plus grand par la superficie) où vivent 23 millions d'habitants. (Considérée par la Chine comme sa 23e province, Taïwan est administrée de fait, sous le nom de république de Chine, par son propre gouvernement, depuis 1949). La majeure partie des habitants (98 %) étant d'origine chinoise.
SupprimerLa Corse (8702 km²) a 340 000 hab. à 130 km de Nice.
Sous-pile : Un homme mort qui marche
RépondreSupprimerLe couronnement de la propagande de la prochaine phase de l'éradication autoritaire de la liberté d'expression est le démantèlement théâtral de Jack Teixeira.
Par Kurt Nimmo
Recherche mondiale,
17 avril 2023
Les jours de Substack sont comptés. La plate-forme de newsletter par e-mail est de plus en plus attaquée, plus récemment par l'ADL. L'organisation a écrit le 3 avril que Substack "continue d'attirer des extrémistes et des théoriciens du complot qui utilisent régulièrement le site pour profiter de la propagation de l'antisémitisme, de la désinformation, de la désinformation et des discours de haine".
La dernière salve de l'ADL contre le premier amendement s'inscrit dans le cadre d'une poussée du Congrès pour éroder davantage la liberté avec sa loi draconienne RESTRICT. Il existe un certain nombre de tweets qui résument la dernière menace à la liberté, mais Substack n'autorise plus les intégrations de tweet, grâce à un tiff absurde entre le PDG de Substack, Chris Best, et le patron de Twitter, Elon Musk.
La loi RESTRICT est déguisée en réponse à Tik Tok et à la Chine. Contrairement à cette propagande, il servira principalement à assainir Internet et à écraser (et criminaliser) tout discours détournant des récits de l'USG.
« Le Restrict Act achève le renversement de la Constitution américaine », écrit Paul Craig Roberts . « Le but est de faire taire toute dissidence par rapport aux explications officielles. La vérité est criminalisée. La propagande et les mensonges régneront en maître et sans contestation. La Matrice sera complète.
Connor O'Keeffe écrit pour le Mises Institute,
Avec son langage vague, le projet de loi donne au gouvernement une grande latitude dans la définition de ce qui est qualifié d'information illégale. Nous avons déjà vu des représentants du gouvernement et leurs amis dans les médias confondre les arguments anti-establishment avec la désinformation étrangère. Ils ont même faussement qualifié des reportages précis de désinformation étrangère. Il n'est pas difficile de voir ces mêmes personnes utiliser les pouvoirs qui leur sont conférés par la loi RESTRICT pour criminaliser certaines opinions dissidentes sous couvert de contre-espionnage.
Le couronnement de la propagande de la prochaine phase de contrôle autoritaire sur la liberté d'expression est le démantèlement théâtral SWAT de Jack Teixeira, 21 ans, un aviateur de la Garde nationale de bas niveau qui, selon le Washington Post, a réussi à mettre la main sur lui. sur des documents hautement classifiés de la CIA et du DOD. C'est hautement improbable, mais ensuite un public américain aveuglé est régulièrement nourri de mensonges improbables, d'exagérations et d'omissions de la part de l'USG et de ses médias de propagande.
CNN décrit l'événement comme une "arrestation soigneusement chorégraphiée", et je suis d'accord avec cette évaluation, mais pas à la suite de la "ruée de l'administration Biden" pour contenir les fuites sensibles. Le démontage théâtral de M. Teixeira est un événement de propagande conçu pour renforcer l'éradication de la dissidence et graisser les patins pour le passage de RESTRICT.
RépondreSupprimerLe Washington Post a une histoire documentée de travail avec la CIA pour diffuser de la propagande, alors quand nous apprenons que le journal "a écrit sur la présence de contenu problématique sur Substack, notant son utilisation par des diffuseurs de fausses informations", selon l'ADL, nous sachez avec certitude que Substack sera mis au pas. (Pour en savoir plus sur la prise de contrôle des médias par la CIA, voir The CIA and the Press: When the Washington Post Ran the CIA's Propaganda Network , par Jeffrey St. Clair et Alexander Cockburn).
Ajoutez à cela la loi sur les services numériques. Il s'agit du « dernier règlement technologique entrant de l'UE les obligeant à éradiquer les contenus illégaux sur leurs plateformes… y compris les géants des médias sociaux comme Facebook, Instagram, TikTok et Twitter. Il s'agit notamment de supprimer rapidement les contenus illégaux signalés, y compris les discours de haine », a rapporté Politico en octobre dernier. Le canal de propagande des entreprises a confondu le «discours de haine» (c'est-à-dire un discours contraire aux récits de l'État) avec «la pornographie juvénile et les vidéos terroristes».
Selon Slate , la loi sur les services numériques (DSA),
bien qu'écrit pour protéger les résidents de l'UE, conduira presque certainement les entreprises de médias sociaux à modifier leurs politiques de modération dans le monde entier. Ainsi, avec le DSA, l'UE fera effectivement ce que le premier amendement interdit ostensiblement à notre propre gouvernement : réglementer les jugements éditoriaux émis par les plateformes de médias sociaux sur lesquelles les Américains communiquent entre eux.
Les mâchoires de l'étau autoritaire se resserrent. Dans un proche avenir, la possibilité d'exprimer votre opinion sera supprimée si elle va à l'encontre des récits officiels du gouvernement. Toutes les voies d'expression doivent être étroitement surveillées, modérées et censurées à la demande de l'État.
"L'administration Biden envisage d'étendre la façon dont elle surveille les sites de médias sociaux et les salons de discussion après que les agences de renseignement américaines n'ont pas réussi à repérer des documents classifiés du Pentagone circulant en ligne pendant des semaines", a rapporté NBC News le 12 avril . sites en ligne suivis par les agences de renseignement et les autorités chargées de l'application de la loi.
Sans aucun doute, cela inclura Substack, l'une des dernières plates-formes restantes où la liberté d'expression est autorisée sans l'ingérence brutale de l'État, et le programme de censure étroitement ciblé et hautement politisé de l'ADL et d'autres organisations anti-Premier Amendement.
https://www.globalresearch.ca/substack-dead-man-walking/5816047
Dans la série Le système tue, trois films, trois témoignages
RépondreSupprimerPar Dominique Muselet
Mondialisation.ca,
14 avril 2023
En plein soulèvement du pays contre le système oligarchique EU/US qui veut imposer aux Français, qui n’en peuvent déjà plus, de trimer deux ans de plus pour enrichir toujours plus cette oligarchie esclavagiste, le cinéma Mélies de Montreuil met à l’affiche trois excellents films qui, chacun à sa manière, lève le voile sur un aspect de l’oppression systémique dont nous sommes victimes.
Kim Sohee, seule contre le système
Le premier que j’ai vu, About Kim Sohee s’inspire d’un fait divers survenu dans le petit village de Jeonju fin 2016 qui a eu des répercussions sur les lois du travail en Corée du Sud.
Kim Sohee est une lycéenne pleine de vie, au caractère bien trempé. Obligée de faire un stage de fin d’étude, (en clair du travail gratuit), dans un centre d’appel de Korea Telecom, elle découvre rapidement qu’il s’agit moins d’informer et d’aider les clients que de les manipuler pour les empêcher de résilier leur abonnement.
- voir clip sur site -
Kim Sohee se bat courageusement contre les exigences abusives de la direction, mais cela ne fait qu’augmenter la pression conjuguée de l’entreprise, de l’école et de sa famille. Ne voyant pas d’issue à son calvaire, elle se suicide quelques semaines après son chef. Là s’achève la première partie du film. Le film redémarre avec l’enquête de l’inspectrice Yoo-jin qui prend conscience, en même temps que les spectateurs, que Kim Sohee a été la victime d’un immense système d’exploitation dont toutes les parties sont à la fois complices et victimes, de l’école à la police, en passant par les organismes de contrôle et ses propres parents. Kim Sohee est morte parce qu’elle était en bout de chaîne.
Avant d’aller plus loin, il convient de se pencher sur le terme système que j’ai utilisé dans le titre et qui apparaît dans pratiquement toutes les critiques que j’ai lues sur le film : Libération parle d’un « système de harcèlement entrepreneurial dont l’éducation nationale se rend directement complice » et pour Allociné, le film « met à jour tout un système vicié ». Il y a quelques années, lorsque je parlais du système, je me faisais réprimander par mes amis de la gauche propre sur elle. On comprend pourquoi lorsque, cherchant Système sur wikipedia, on est renvoyé à Antisystème, « un adjectif qualifiant des personnes, des groupes ou des partis politiques portant un discours critiquant les institutions politiques dominantes ». Ce n’est déjà pas bien de critiquer « les institutions politiques dominantes » mais quand en plus l’expression est attribuée à l’extrême-droite, alors elle est impure à tout jamais, alors même que tout le monde l’emploie désormais, même J.L. Mélenchon, et qu’elle décrit parfaitement la réalité. Nous sommes en effet confrontés à un système dont toutes les parties, toutes les institutions politiques dominantes, au lieu de jouer, comme elles le devraient, le rôle de contrepouvoir les unes par rapport aux autres, s’emboîtent aussi étroitement que des briques pour former un mur infranchissable à tout ce qui n’est pas la Caste.
C’est contre le mur de ce système que se fracassent tous ceux qui luttent pour une vie de travail décente, c’est contre ce mur que s’est fracassée Kim Sohee, que se sont fracassés tous les ouvriers de l’usine Citroën du film Les Établis, que se sont fracassés les neuf inculpés de la fausse affaire de Tarnac dont nous parle le documentaire La Relaxe, et que se fracassent les Français qui refusent de se laisser voler deux ans de plus de leur vie par un système oligarchique taillé sur mesure pour extraire le maximum de valeur ajoutée de chaque individu jusqu’à ce que mort s’ensuive.
RépondreSupprimerÀ mesure que progressait le film About Kim Sohee l’accablement me gagnait, comme il gagnait la jeune étudiante, et, quand elle s’est suicidée, je n’ai même pas trouvé la force de m’indigner. Le faible espoir que justice soit rendue soulevé par le début de l’enquête, s’est éteint lentement à mesure que l’inspectrice rencontrait tous ceux, particuliers et institutions, qui auraient dû la protéger mais qui l’ont laissé mourir, parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement. Personne ne sera puni, puisque personne n’est responsable. La responsabilité se perd dans les sables mouvants d’un système inhumain, qui fait de chacun la victime de sa hiérarchie et le bourreau de ses subalternes.
Les Établis – Sans unité, c’est l’échec assuré
Le film Les Établis nous fait (re)vivre un débrayage qui a eu lieu en février 1969 dans l’usine Citroën de Choisy qui fabrique des 2 CV. L’Établi, c’est le héros, Robert Linhart, un normalien militant de gauche, qui se fait embaucher pour partager la souffrance des ouvriers et préparer la révolution. La plus célèbre de ces Établis est certainement Simone Weil, la philosophe, qui, alors professeure agrégée, entre à l’usine à l’âge de 25 ans. Robert a beaucoup de mal à s’adapter au bruit infernal, aux odeurs suffocantes, à la chaîne, aux cadences. « Après le choc du début, l’engourdissement, la survie », confie-t-il à sa femme. Il a les mains en sang. Ses camarades l’appellent la momie à cause de ses bandages.
- voir clip sur site -
L’occasion d’engager la lutte se présente quand Citroën a l’idée diabolique de récupérer une partie des hausses de salaire que l’entreprise a dû consentir lors des Accords de Grenelle qui ont couronné les émeutes de mai 68, en exigeant des ouvriers 3 heures de travail supplémentaire gratuit par semaine.
Le mouvement s’organise avec difficulté sous l’égide de Robert. Nombre d’Africains, Berbères, Yougoslaves, Italiens ne comprennent pas le français. Il faut tout traduire. Les discussions sont houleuses. Jusqu’à la dernière minute, nul ne sait si le débrayage aura lieu. Finalement la majorité des ouvriers déposent leurs outils et le désordre s’installe dans l’usine. Le patron ordonne d’arrêter la chaîne. Les ouvriers ont gagné. Ils explosent de joie et de fierté.
Le second jour, le patron fait fermer l’usine à l’heure de la sortie et, même s’ils refusent de travailler les ouvriers, ne peuvent pas partir avant la fin des 45 mn supplémentaires. Le troisième jour, les choses s’enveniment. Les contremaîtres, des anciens de la coloniale, se déchaînent sur les ouvriers, les immigrés sont chassés de leur foyer, il y a des fuites, des querelles. Le quatrième jour, le patron propose un vote. Robert et ses amis grévistes se méfient, mais ils ne peuvent pas s’opposer à un vote « démocratique ». À moment donné, Christian, un jeune que Robert avait pris sous son aile, craque et met le feu aux bulletins. C’est fini ! Les grévistes sont discrédités. Tout rentre dans l’ordre capitaliste et les esclaves reprennent le travail dans la résignation et le silence. Robert apprendra un peu plus tard que le vote et le feu ont été organisés par le patron avec la complicité de son protégé. Une révélation qui achève de l’achever.
RépondreSupprimerOn sait par son livre et celui de sa fille Virginie Linhart, Le jour où mon père s’est tu, que Robert Linhart ne s’est jamais remis de son séjour à l’usine Citroën.
Les ouvriers, quant à eux, ont eu leur moment de gloire, ils se sont émancipé et ont retrouvé leur dignité un bref instant, mais ils l’ont payé très cher. Certains ont perdu leur emploi, d’autres, comme Boubaka et Robert ont perdu la raison et/ou la santé, et le sort de tous s’est encore dégradé. Un triste bilan qui ne hantera pas seulement Robert.
La situation des travailleurs ne s’est pas améliorée depuis cette époque, comme le souligne un article de Frustration du 13 mai 2023, Comment la France est devenue championne de la souffrance au travail:
« Le 28 avril dernier, le journal l’Humanité sortait les statistiques d’Eurostat (l’INSEE de l’Union Européenne) sur la mortalité au travail : la France est largement en tête, avec une mortalité deux fois supérieure à la moyenne européenne. L’info n’a été que très peu reprise. La mort au travail et plus largement la souffrance au travail sont un véritable tabou médiatique : les accidents mortels surviennent en moyenne deux fois par jour. En moyenne, chaque jour, 90 personnes subissent un accident grave qui leur laisse des séquelles à vie. Qui se demande comment nous en sommes arrivés là ? Quasiment personne. Et pour cause, se demander pourquoi on meurt et on souffre autant au travail en France, c’est mettre en accusation les trois derniers gouvernements, sarkozyste, socialiste et macroniste, qui ont détricoté le droit à la santé au travail. C’est mettre en évidence la responsabilité du patronat dans ce triste record. Bref, c’est mettre en lumière le fait que la lutte des classes ne se joue pas seulement dans les manifestations de rue et leur répression, mais bien aussi dans la façon dont nos corps sont traités au travail, par la bourgeoisie et ses représentants ».
Le traitement des corps des travailleurs en système capitaliste a été mis au point dans les camps d’esclaves. Matthew Desmond démontre dans un article du New York Times Magazine intitulé Pour comprendre le capitalisme, il faut commencer par les plantations que :
« les techniques de gestion utilisées par les entreprises du XIXe siècle ont été mises en place au cours du siècle précédent par les propriétaires de plantations (…)
RépondreSupprimer« Les planteurs avaient « développé des hiérarchies complexes pour le travail combinant un bureau central, composé de propriétaires et d’avocats responsables de la répartition du capital et de la stratégie à long terme, et de plus petites unités responsables de différentes opérations, un degré de complexité égalé uniquement par de grandes structures gouvernementales comme la Royal Navy britannique (…) Ils ont également mis au point des méthodes pour calculer la dépréciation du capital, une innovation révolutionnaire en matière de méthode de gestion, en évaluant la valeur marchande des esclaves tout au long de leur vie. Leur valeur culminait généralement entre 20 et 40 ans, mais elle était ajustée individuellement à la hausse ou à la baisse en fonction du sexe, de la force et du tempérament : les personnes étaient réduites à de simples données (…)
« Ce niveau d’analyse a également permis aux planteurs d’anticiper la rébellion. Les outils étaient comptés régulièrement pour s’assurer qu’une grande quantité de haches ou d’autres armes potentielles ne disparaisse pas soudainement. « Ne laissez jamais un esclave verrouiller ou déverrouiller une porte », conseillait un esclavagiste de Virginie en 1847. De cette façon, les nouvelles techniques comptables mises au point pour maximiser les rendements ont également contribué à garantir que la violence ne vienne que d’une seule direction, permettant à une minorité de Blancs de contrôler un groupe beaucoup plus important d’esclaves noirs (…)
« Les surveillants enregistraient le rendement de chaque esclave. Les données étaient recueillies non seulement après la tombée de la nuit, lorsque les paniers de coton étaient pesés, mais tout au long de la journée de travail. Selon les mots d’un planteur de Caroline du Nord, les esclaves devaient être « suivis du lever du jour à la tombée de la nuit ». Le fait d’avoir les esclaves alignés sur des rangées parfois plus longues que cinq terrains de football, permettait aux surveillants de repérer ceux qui traînaient (…)
« La quête intransigeante de quantification et la mise en place d’une comptabilité scientifique dans les plantations d’esclaves est antérieure à l’industrialisation. Les usines du Nord ne commenceront à adopter ces techniques que des décennies après l’émancipation. Les grands camps d’esclaves sont devenus de plus en plus efficaces et les esclaves noirs ont été les premiers travailleurs modernes de l’Amérique, leur productivité augmentant à un rythme stupéfiant. Au cours des 60 années qui ont précédé la guerre civile (guerre de Sécession, ndt)) la quantité quotidienne de coton récoltée par esclave a augmenté de 2,3 % par an. Cela signifie qu’en 1862, l’esclave moyen ne récoltait pas 25 ou 50 % de coton de plus que son homologue de 1801, mais 400 % de plus.
« Aujourd’hui, la technologie moderne facilite la surveillance permanente des lieux de travail, en particulier dans le secteur des services. Les entreprises ont mis au point des logiciels qui enregistrent les touches sur le clavier et les clics de souris des employés, et font des captures d’écran aléatoires plusieurs fois par jour. Les travailleurs d’aujourd’hui sont soumis à une grande variété de tactiques de surveillance, allant des tests de dépistage de drogues et de la vidéosurveillance en circuit fermé aux applications de suivi et même aux radars qui détectent la chaleur et le mouvement. Un sondage mené en 2006 a révélé que plus d’un tiers des entreprises comptant 1 000 employés ou plus avaient du personnel qui lisaient les courriels envoyés par les employés. La technologie qui accompagne cette surveillance des lieux de travail lui donne une allure futuriste. Mais il n’y a que la technologie qui est moderne. Derrière cette technologie, il y a la même volonté que celle des esclavagistes des plantations : contrôler totalement le corps de ses esclaves ».
RépondreSupprimerLa Relaxe – Unis pour vaincre le système
Le troisième film est un documentaire. Il se concentre sur Manon Glibert, une des « inculpés » de la « fausse affaire Tarnac » comme dit le Monde, après avoir probablement, comme tous les médias, traîné les inculpés dans la boue au moment de leur arrestation. Toute trace de ces éventuelles calomnies ont fort opportunément disparu de ses archives, l’article le plus ancien date du 13 décembre 2008, plus d’un mois après les arrestations.
On suit Manon à son travail au magasin général qu’elle et quelques autres ont ouvert à Tarnac et à leur ferme. On la voit chez elle avec sa fille et avec le groupe qui l’aide à préparer sa défense pour le procès du 12 avril 2018, qui, après 10 ans de persécutions judiciaires, doit décider de son sort : prison ou relaxe. Une femme simple et chaleureuse qui mène une vie simple et tournée vers les autres.
Le film ne fait qu’allusion aux circonstances qui ont présidé à son arrestation et celle de huit autres jeunes gens, le 11 novembre 2008, par la police antiterroriste, dans le cadre de l’enquête sur le sabotage de lignes de TGV, à sa garde à vue et à sa mise en examen sous l’accusation d’association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. Le documentaire préfère s’attarder sur l’innocence de la victime plutôt que sur la corruption du système, en l’occurrence la collusion entre les renseignements (DCRI) et la justice au service des ambitions présidentielles de la ministre de la Défense de l’époque, Michèle Alliot-Marie. Me Marie Dosé, l’avocate de Yildune Lévy dénonce son arrivisme, son cynisme et sa lâcheté dans sa dernière plaidoirie : « Elle s’est servie d’eux [les prévenus]. Tarnac, ce n’est pas un dossier qu’on politise, c’est une politique qu’on judiciarise. Et aujourd’hui, citée comme témoin, elle écrit au tribunal pour justifier son absence : “En tant que ministre de l’intérieur, je n’ai eu qu’une connaissance sommaire du dossier.” Quel toupet ! Mais quel toupet ! »
La guerre contre le terrorisme déclenchée par Bush Jr dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, en faisant 900 000 victimes au Moyen-Orient (le Devoir), a amené le terrorisme en Occident. Mais pas assez semble-t-il pour que les populations occidentales prennent vraiment la menace au sérieux, du point de vue des services de renseignement chez qui circule cette bonne blague : « Le terrorisme, il y a plus de gens qui en vivent que de gens qui en meurent », comme le raconte par David Dufresne dans son livre sur l’affaire, Tarnac magasin général.
RépondreSupprimerQu’à cela ne tienne en va en fabriquer, des terroristes, ainsi on terrorisera les populations et on démontrera l’efficacité de l’État ! Le FBI nous ayant montré la voie (Djihad : FBI, l’usine à fabriquer de «vrais-faux» terroristes), sans parler de Guantanamo, pourquoi se priver ?
Il faut reconnaître que, comme dit le Monde :
«Le scénario était bien ficelé : interpellation musclée, à l’aube, par des forces spéciales en cagoules et gilets noirs, façon ninjas, perquisition sous l’objectif des caméras, communiqué triomphal et conférence de presse de la ministre en personne. Relance, trois jours plus tard, par le procureur de Paris, qui parle de « lutte armée » et de « structure à vocation terroriste » – en admettant toutefois qu’on ne dispose pas « d’éléments solidifiés pour l’instant ». Bref, un remake des Brigades rouges, version France profonde.»
Pourtant il n’a pas pris. Pourquoi ? Le lancement, le 11 novembre, a sans doute été trop précipité : une conférence de presse convoquée deux heures à peine après la tombée du communiqué, alors que les perquisitions sont encore en cours, éveille forcément le soupçon de mise en scène. Le casting laissait à désirer : quoi que l’enquête révèle ultérieurement, le profil des « neuf », ne correspond guère à celui de « terroristes », ni même de clandestins – certains habitent chez leurs parents ! La mobilisation du village de Tarnac en leur faveur a aggravé le malaise. » Sans compter, entre mille anomalies du dossier, que Yildune Lévy et Julien Coupat se trouvaient à Paris à l’heure où les policiers disent les avoir vus en Seine-et-Marne, comme l’indique un retrait bancaire à 2 h 44 à Pigalle, et que les sabotages ont été revendiqués par des antinucléaires allemands, qui avaient déjà utilisé cette technique par le passé.
L’affaire était clairement montée de toutes pièces mais, hélas pour ses victimes, quand le système se met en mouvement, rien ne peut l’arrêter. Manon a passé 14 jours en prison, Yildune Lévy, deux mois et Julien Coupat, six mois. Tous ont été assignés à résidence pendant un an avec interdiction de communiquer. Il a fallu 10 ans de luttes pour que le système lâche l’affaire. Enfin, le 12 avril 2018, au terme de trois semaines d’audience, Corinne Goetzmann, présidente de la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris a reconnu que le « “groupe de Tarnac” était une fiction » et relaxé les accusés.
Les inculpés de l’affaire Tarnac ont fini par retrouver leur liberté, mais quantités d’autres innocents sont toujours en prison ou persécutés par la police. L’état d’urgence, proclamé par François Hollande après les attentats de Paris du 13 novembre 2015, a permis de perpétrer « des milliers de petits Tarnac (on casse la porte d’abord, on réfléchit après… ou pas du tout) », selon un journaliste du Monde. Et les iniques lois antiterroristes de juillet 2016 ont entériné l’état d’urgence permanent, avec notamment l’article 421-1 du Code pénal qui stipule que « constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur », ce qui permet d’arrêter à peu près n’importe qui. Comme le dit Laurent Borredon, « il suffit de dire qu’ils ont participé à des réunions préparant des manifestations violentes, qu’ils avaient de la littérature insurrectionnelle sur leurs étagères et qu’ils étaient à tel ou tel contre-sommet du G20 et de l’OTAN, et le tour est joué ».
RépondreSupprimerLe système antiterroriste français répond à une logique de répression. Il accuse parce qu’il faut mater, intimider, terroriser, puis, sûr de son impunité, il ment pour justifier ses accusations, comme l’explique Julie Alix :
« L’analyse de la criminalité terroriste met en lumière qu’en la matière, seule préside à la décision d’incrimination l’existence d’un besoin répressif. Le constat est donc celui d’une totale instrumentalisation de l’incrimination pénale au service de la politique criminelle antiterroriste. »
Comment alors, les 10 inculpés de l’affaire de Tarnac ont-ils réussi à échapper au rouleau compresseur du terrorisme d’État ? D’abord ils sont restés unis, la police et la justice n’ont pas réussi à les monter les uns contre les autres ; ensuite c’était des militants dotés d’une grand conscience politique, d’une belle faculté d’expression et d’une grande intelligence tactique. Ils ont toujours refusé de rentrer dans le jeu du système, même quand cela pouvait les desservir, par exemple, ils ont toujours refusé de proclamer leur innocence jugeant que l’affaire n’était qu’une suite de mensonges de faux d’agents assermentés, de manipulations de l’instruction et d’intrigues politiciennes et qu’elle n’avait rien à voir avec eux. Et ils ont réussi à « s’arroger le droit à une égalité de parole au tribunal, du jamais vu ! » pour contester pied à pied « le récit de MLP (Madame le président) qui a été écrit en écartant systématiquement tous les éléments qui viendraient le contredire », selon Lundi matin.
Conclusion
RépondreSupprimerEn mai 2015, Julien Coupat, désigné par les enquêteurs comme le « chef du groupe de Tarnac » a conclu une interview avec Aude Lancelin par ces mots :
« Nous vivons dans un monde qui va dans le mur à tombeau ouvert, et qui le sait. Les faits en attestent tout autant que la production hollywoodienne. Ceux qui tiennent les rênes de la machine préfèrent qu’il en soit ainsi plutôt que de renoncer à la moindre miette de leur pouvoir. Ils s’attachent simplement à distiller dans la population le sommeil nécessaire, quitte à le peupler de cauchemars terroristes.
« Nos infinies réserves de lâcheté veulent toujours croire que nous pourrions abandonner à quelque force autre que nous, à quelque leader le soin de nous sauver. Mais il n’y a plus rien. Nous allons devoir faire nos affaires nous-mêmes. Le vent se lève. Il faut tenter de vivre. »
Finalement ce qui fait la richesse du documentaire La Relaxe, c’est que simplement, tranquillement, joyeusement, il nous montre qu’il est possible de vivre, en marge du système, une vie pleine, féconde et fraternelle. Il nous montre que rien, pas même l’État dans toute sa puissance maléfique, ne peut détourner de leur chemin de vie ceux qui savent ce qu’ils veulent. Les neuf de Tarnac ont réussi là où Kim Sohee, Robert Linhart et tant d’autres ont échoué, parce qu’ils ont pris la tangente, ils ont refusé de jouer le jeu, de se laisser embrigader. Le système les a rattrapés parce qu’il ne supporte pas qu’on lui échappe, voyez l’acharnement contre les non vaccinés pendant la démence covidiste, mais ils l’ont vaincu.
Malgré leur échec, le sacrifice de Kim Sohee et de Robert Linhart n’a pas été vain, car c’est en s’appuyant sur l’expérience de leurs prédécesseurs, en montant en quelque sorte sur leurs épaules, que les neuf de Tarnac ont pu voir plus loin, plus grand, autrement…
https://www.mondialisation.ca/dans-la-serie-le-systeme-tue-trois-films-trois-temoignages/5676987
Christine Cotton OFFICIEL
RépondreSupprimer@StatChrisCotton
Les travaux de @SabatierJeanMa1
(en images sur Twitter)
JM a identifié depuis mars 2020 les mécanismes de la spike virale puis vaccinale qui se fixe sur les récepteurs ACE2, ce qui peut dérègle le système rénine-angiotensine, ce qui pourrait expliquer le phénomène des effets indésirables et des covids longs.
https://twitter.com/StatChrisCotton/status/1646511888325550081?cxt=HBwWgoDR4df1ytktAAAA&cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D&refsrc=email
ADN et composants bactériens détectés comme contaminants dans les vaccins à ARNm
RépondreSupprimer17 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
On soupçonne depuis longtemps et il est désormais prouvé que les vaccins à ARNm ne sont pas seulement contaminés par des composants bactériens, mais également par des pointes d'ADN. Cela garantit l'intégration dans les cellules du corps et la production permanente de pointes. Et c'est malsain. Il s'agit d'un problème de qualité d'une ampleur qui nécessiterait la révocation immédiate de toutes les approbations .
L a recherche est menée par Kevin McKernan, qui a travaillé sur le séquençage du génome humain et est l'un des principaux experts. Il a un article à ce sujet sur son blog .
Les conclusions sont sérieuses :
Un tiers du matériel génétique est constitué d'ADN - au lieu d'ARN comme revendiqué
Cela inocule des gènes de pointe, qui peuvent se multiplier dans le corps et s'établir dans nos cellules
Conséquences possibles : production de pointes tout au long de la vie, excrétion de gènes de pointe dans l'environnement et transmission du gène de pointe
Dans la vidéo ci-dessous, Florian Schilling explique de manière raisonnablement compréhensible comment l'ADN est créé à partir de l'ARN dans les vaccins.
Les contrôles qualité des flacons livrés avec les préparations d'ARNm sont catastrophiques voire inexistants . On sait depuis longtemps qu'il existe des différences significatives d'effets secondaires, y compris des conséquences fatales, entre les lots. Ce n'est que récemment que cela s'est reproduit dans une étude danoise.
La seule technologie permettant de déterminer ce qui se trouve dans les produits finis n'a pas été utilisée. La teneur en ARN n'a été déterminée qu'approximativement, mais jamais vérifié ce que fait vraiment cet ARN. L'EMA a demandé les données brutes pour cela, mais ne les a jamais reçues. L'autorité compétente en matière d'homologation ne sait donc rien et se fie entièrement au constructeur. On injecte donc un génome dont personne ne sait vraiment ce qu'il fait.
Des tests indépendants ont montré que non seulement l'ARN, mais même l'ADN se trouvent dans des proportions beaucoup trop élevées. Cet ADN est toujours intact et se propage à la fois chez Moderna et Pfizer. La concentration est plus de 100 fois ce que les autorités réglementaires considéreraient comme acceptable. C'est des trillions de molécules d'ADN dans chaque seringue.
Avec les produits bivalents de Pfizer, jusqu'à 35 % de chaque seringue est constituée d'ADN et non d'ARN mod.
RépondreSupprimerLorsque ceci est lu, un pic est produit. Bien qu'il ne soit pas reproduit dans les bactéries, elles peuvent répliquer cet ADN. Lorsque l'ADN est libéré, il est absorbé par les cellules humaines, libéré et les cellules forment des pointes. Ils peuvent même les incorporer dans notre propre ADN, et donc aussi dans notre génome. La protéine de pointe en tant qu'ADN ne peut plus être désactivée.
L' étude d'Alden et al l'a démontré plus tôt. Le journal a été massivement attaqué et a maintenant été confirmé.
Les preuves fournies des composants bactériens dans le cadre du vaccin pourraient également expliquer le fait que les patients post-vacc ont des problèmes aussi massifs et persistants.
Voici la vidéo à voir et à écouter :
Toutes les diapositives et références sources au format PDF à télécharger ici .
Plus de Florian Schilling :
https://www.instagram.com/florian_schilling_science
https://www.youtube.com/channel/UCQEShgCQ_CyuRQseKfXXIAw
https://t.me/florianschillingscience
http://www.florianschillingscience.org
https://twitter.com/DocFlo4
https://odysee.com/@florian_shilling_science:d
https://tkp.at/2023/04/17/dna-und-bakterielle-komponenten-als-verunreinigungen-in-mrna-vakzinen-nachgewiesen/
"New York City Spring 2020 : Enquête sur l'épicentre du COVID"
RépondreSupprimerDe Michael Bryant
Recherche mondiale,
17 avril 2023
"Avril est le mois le plus cruel, élevant des lilas hors de la terre morte, mélangeant la mémoire et le désir, remuant les racines ternes avec la pluie printanière." –TS Eliot, The Wasteland (Partie I, L'enterrement des morts)
Une rétrospective récente du NY Times intitulée «Covid Was Bad in New York City. See How Bad on a 200-Year Timeline » , a jeté un regard rétrospectif sur le printemps 2020 à New York et la « vague de maladie » qui a frappé la ville provoquant un événement mortel « sismique » jamais vu depuis près de 200 ans.
Notant que le pic du taux de mortalité de la ville était "comme quelque chose d'une autre époque" et que l'espérance de vie a chuté de 4,6 ans dans toute la ville de 2019 à 2020, l'article attribue sans aucun doute et exclusivement cet événement de mortalité choquant aux impacts de Covid.
Nulle part dans l'article, comme c'est le cas avec le récit officiel, on ne peut trouver un examen plus approfondi des événements tels qu'ils se sont déroulés à New York au printemps 2020, bien qu'il y ait des indices même dans l'article que les bizarreries qui défient le récit accepté abondent.
Vers la fin de l'article, il est noté : « À Brownsville, Brooklyn - un quartier pauvre et à prédominance noire avec une forte concentration de logements sociaux - le taux de mortalité prématurée était neuf fois plus élevé qu'à Greenwich Village et SoHo, à prédominance blanche et noire. quartiers riches de Manhattan.
Alors qu'il pourrait être justifié d'affirmer que les pauvres sont assaillis par un éventail de problèmes de santé préexistants, donc touchés de manière disproportionnée par la maladie en raison de ces indices de santé inférieurs, cela ne signifierait-il pas que la santé inférieure de ces communautés est le problème, pas une maladie mortelle?
Cela soulève également une série de questions sur la façon dont un virus aussi rapide, super contagieux et mortel a choisi de manière sélective de frapper les communautés pauvres et minoritaires tout en évitant percipiently les quartiers haut de gamme principalement blancs.
Plus loin dans l'article, il est reconnu que « de nombreuses personnes sont allées sans voir de médecins ni recevoir de soins médicaux lorsque le Covid-19 est arrivé. Les décès dus aux maladies cardiaques, par exemple, étaient près de 20 % plus élevés en 2020 que l'année précédente. »
Même si cette anomalie est reconnue, les questions de suivi logique posées sont omises, questions qui pourraient présenter une image plus complète de cet événement cataclysmique.
Combien de ces personnes décédées pour avoir évité les traitements médicaux seraient encore en vie si elles n'avaient pas été dissuadées de demander des soins médicaux par le récit constant basé sur la peur ?
Combien de ces décès dus à des maladies cardiaques ont été faussement attribués à Covid ?
RépondreSupprimerBien que certaines incongruités puissent être discernées dans cet article, cela ne fait qu'effleurer la surface.
Le spectre des questions sans réponse est considérable.
Une nécessaire enquête à grande échelle sur les événements du printemps 2020 déclencherait sans aucun doute une multitude de questions gênantes :
Quel était le lieu des vagues de décès signalées à New York ?
Les urgences de NYC étaient-elles vraiment débordées ?
Que disent les données sur les tarifs des soins intensifs de NYC ?
L' hôpital d'Elmhurst , surnommé "coronavirus ground zero" , débordait-il vraiment au printemps 2020 ?
Que disent les données sur les visites aux urgences du printemps 2020 à l'hôpital d'Elmhurst par rapport aux années précédentes ?
À quoi ressemblait l'urgence de 2020 pour le volume de patients hospitalisés à l'hôpital NY-Presbyterian Columbia ?
Qu'indiquent les données pour le Maimonides Medical Center, considéré comme l'hôpital de New York avec le plus grand nombre de décès de Covid entre mars et mai 2020 ?
Quels procédures et protocoles médicaux étaient utilisés à l'intérieur des hôpitaux pour traiter les patients Covid ? A quel effet ?
Quels médicaments étaient utilisés dans les hôpitaux de NYC ?
Quel impact les ordonnances de non-réanimation Covid-19 nouvellement introduites ont-elles eu sur les résultats des patients ?
Comment les incitations financières ont- elles dicté les politiques hospitalières ?
Quelles sont les personnes décédées à cette époque ?
Les dimensions colossales des reportages médiatiques provenant de New York au printemps 2020 ne peuvent être surestimées, car l'assaut présumé de maladies liées à Covid et la «vague de décès» dans les hôpitaux de New York sont devenus le disjoncteur de toute l'hystérie de masse qui a ensuite assailli le États-Unis et la principale justification du «code rouge» pour les verrouillages nationaux et la suspension des libertés civiles à travers le pays.
Les reportages des grands médias et l'acceptation aveugle d'hôpitaux débordés, de cadavres entassés dans des camions, de files de personnes attendant anxieusement à l'extérieur des hôpitaux et de divers scénarios de science-fiction ont semé la terreur dans le cœur de ceux qui ont été témoins de ces images alors qu'ils étaient assis collés à leur télévision.
Trois ans plus tard, des médias inconditionnels donnent l'impression que les décès massifs causés par un nouvel agent pathogène sont une vérité inattaquable.
RépondreSupprimerCependant, le scénario apocalyptique du printemps 2020 d'un agent pathogène mortel assiégeant la ville de New York semble de plus en plus être une chronique contestable des événements plutôt qu'un récit à toute épreuve.
Qui peut oublier qu'Andrew Cuomo pleure sur un besoin urgent d' obtenir plus de ventilateurs ?
Qui peut oublier le navire-hôpital « message d'espoir » de 70 000 tonnes à peine utilisé envoyé à New York ?
Au fur et à mesure que de nouvelles preuves et données hospitalières apparaissent, une image émerge qui contraste fortement avec l'histoire dépeinte par les médias grand public.
Le monde mérite une enquête à grande échelle sur ce qui s'est passé dans toute la ville de New York au printemps 2020 et plus particulièrement sur ce qui s'est passé dans les hôpitaux de New York.
*
Cet article est inspiré et lié à la recherche indépendante du Dr Jessica Hockett sur l'événement de mortalité de 2020 à New York. Hockett est titulaire d'un doctorat en psychologie de l'éducation de l'Université de Virginie et partage les résultats de ses enquêtes personnelles sur Twitter @ewoodhouse7 et Substack https://woodhouse.substack.com .
https://www.globalresearch.ca/new-york-city-spring-2020-investigating-covid-epicenter/5816059
Les producteurs de bœuf paniquent face aux nouvelles sur les vaccins à ARNm
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
17 avril 2023
Les producteurs de porc utilisent des « vaccins » personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux depuis 2018, sans en informer le public
Tous les « vaccins » à ARNm personnalisés ne sont pas testés. Seule la plate-forme d'ARNm elle-même a été approuvée
Selon la National Cattlemen's Beef Association, "il n'existe actuellement aucun vaccin à ARNm autorisé pour une utilisation chez les bovins de boucherie aux États-Unis". Pourtant, un lobbyiste de l'association affirme avoir "double-vacciné" son propre troupeau avec un "vaccin" à ARNm contre les maladies respiratoires bovines
L'Université d'État de l'Iowa a commencé à tester un «vaccin» à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin 1er octobre 2021
Missouri House Bill 1169 exigerait l'étiquetage des produits qui peuvent altérer vos gènes. Les lobbyistes de Big Ag s'y opposent fermement
*
La semaine dernière, j'ai signalé que les producteurs de porc utilisaient des «vaccins» personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux depuis 2018 1 - sans en informer le public. Ce problème n'est vraiment apparu qu'après que l'avocat Tom Renz a commencé à promouvoir une nouvelle législation dans le Missouri (House Bill 1169, 2 qu'il a aidé à rédiger) qui exigerait l'étiquetage des produits d'ARNm. 3 Dans un tweet du 1er avril 2023 (et non, ce n'était pas un poisson d'avril), Renz a déclaré : 4
«DERNIÈRE NOUVELLE: les lobbyistes des associations de bovins et de porcs de plusieurs États ont CONFIRMÉ qu'ils utiliseront des vaccins à ARNm chez les porcs et les vaches CE MOIS-CI. NOUS DEVONS SOUTENIR MISSOURI HB1169. C'est LITTÉRALEMENT la SEULE chance que nous ayons d'empêcher cela… PERSONNE ne connaît les impacts de cela, mais nous sommes tous potentiellement confrontés au risque d'être un #Mort Soudainement si nous n'arrêtons pas cela.
L'agenda transhumaniste et son accent sur la nourriture
En quelques jours, les médias alternatifs étaient en effervescence avec cette histoire et Renz a commencé à faire le tour en partageant des preuves qui montrent que le gouvernement américain travaille sur l'intégration des vaccins dans les aliments depuis au moins deux décennies. Dans une interview du 2 avril 2023 avec Naomi Wolf, Ph.D., Renz a déclaré : 5
RépondreSupprimer« [Bill] Gates, l'OMS [Organisation mondiale de la santé], une tonne de ces universités : elles parlent toutes d'inclure les vaccinations par ARNm dans l'alimentation. Ils vont modifier les gènes de ces aliments pour en faire des vaccins à ARNm.
L'industrie ne veut pas que vous sachiez ce qu'elle fait
Le recul des lobbyistes de Big Ag contre ce projet de loi exigeant la transparence de l'industrie sur cette question importante a été énorme, et l'une des raisons potentielles à cela est qu'ils devraient admettre que toutes sortes d'aliments peuvent avoir été vaccinés avec des vaccins à ARNm, avoir des modifications, ou être modifiés pour servir de vaccins pour les humains.
Non seulement cela pourrait détruire Big Ag, mais cela aurait également un impact sérieux sur toute tentative subreptice de Big Pharma d'utiliser l'approvisionnement alimentaire comme outil pour distribuer des vaccins à l'insu des consommateurs. 6 En bref, Renz soupçonne que l'agenda transhumaniste des mondialistes est secrètement mis en avant en utilisant la thérapie génique dans la production alimentaire.
Je ne peux pas m'empêcher de me demander si l'industrie ne comprend tout simplement pas comment la thérapie génique par ARNm dans le bétail pourrait affecter les consommateurs, ou si elle veut cacher le fait qu'elle utilise la thérapie génique parce qu'elle sait que cela peut aussi affecter les humains.
Des mondialistes comme le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, ont ouvertement admis qu'ils avaient l'intention de modifier l'humanité - à la fois au niveau génétique et par l'incorporation de l'intelligence artificielle et de la nanotechnologie dans le corps humain.
Et, en utilisant COVID-19 comme couverture, ils ont réussi à transformer l'ensemble de la population mondiale en sujets de test pour cette expérimentation dangereuse. Comme l'a noté Renz dans l'interview de Real America's Voice ci-dessus, nous savons pertinemment que les injections d'ARNm COVID n'ont aucun impact bénéfique en termes de prévention de l'infection par COVID.
Les «vaccins» à ARNm chez le bétail ne sont pas testés
Si les injections d'ARNm COVID ne préviennent pas l'infection, pourquoi supposerions-nous que les injections d'ARNm pour les infections virales et bactériennes chez les porcs fonctionnent mieux ? L'un des aspects les plus inquiétants de l'utilisation de «vaccins» à ARNm chez le porc est le fait qu'ils sont tous, par définition, non testés. Comme l'explique Merck sur son site Internet, son "vaccin porcin personnalisé",
Le tractus gastro-intestinal des souris a absorbé les exosomes et l'ARNm a dû pénétrer dans la circulation sanguine et les tissus lymphatiques car des anticorps ont été produits chez des souris nourries contre la protéine SARS-CoV-2 Spike (domaine de liaison au récepteur)…
RépondreSupprimer[É]tant donné les dommages que les vaccins à ARNm ont générés en termes de blessures, d'incapacités et de décès, ces données soulèvent des questions éthiques considérables. Le projet COVID States a montré que 25 % des Américains ont réussi à rester non vaccinés.
Ce groupe aurait de fortes objections à l'ARNm dans l'approvisionnement alimentaire, en particulier si cela était fait subrepticement ou avec un minimum d'étiquetage/avertissements…
Pour ceux qui ont pris l'un des vaccins COVID-19, le fait d'avoir des vaccins au lait en tant qu'offre d'EUA permettrait de charger encore plus le corps avec de l'ARNm synthétique qui s'est avéré résistant aux ribonucléases et peut résider en permanence dans le corps humain.
Ces observations m'amènent à conclure que la technologie de l'ARNm vient d'entrer dans une toute nouvelle phase de développement, beaucoup plus sombre. Attendez-vous à plus de recherche et de résistance à l'ARNm dans notre approvisionnement alimentaire. Les Chinois viennent de franchir la première de ce qui sera probablement beaucoup plus dangereux pour le monde. »
Le bœuf sera-t-il également traité avec de l'ARNm ?
À l'heure actuelle, il n'y a aucune preuve suggérant que les bovins de boucherie sont traités avec des «vaccins» à ARNm personnalisables, que ce soit en Europe 11 ou aux États-Unis. bétail aux États-Unis. 12 , 13
Cela dit, la Cattlemen's Association a précédemment confirmé qu'elle avait l'intention, à terme, d'utiliser des injections d'ARNm chez les bovins, 14 , 15 , ce qui pourrait affecter à la fois les produits laitiers et la viande bovine. Le temps nous dira si l'indignation publique arrêtera de tels projets. De toute évidence, la Cattlemen's Association est préoccupée par les rumeurs sur Internet selon lesquelles il est déjà utilisé.
Le 3 avril 2023, le commissaire du ministère de l'Agriculture du Texas, Sid Miller, a publié une déclaration promettant de procéder à une évaluation des risques de la technologie avant son adoption : 16
«Depuis que la nouvelle du développement de vaccins à ARNm et de traitements liés à l'ARNm pour le bétail a été portée à l'attention du ministère de l'Agriculture du Texas, nous avons travaillé à l'élaboration d'une évaluation factuelle et scientifique des risques associés à cette technologie.
Notre analyse inclura la recherche clinique, la structure de la loi texane existante et l'impact sur la politique publique, l'économie et la production des différentes prescriptions politiques que nous pourrions adopter. Mon objectif est de garantir que l'agriculture du Texas reste sûre, fiable, saine et totalement non infectée par une technologie dangereuse ou non éprouvée.
RépondreSupprimerPersonnellement, je prends cette question très au sérieux. Pas de prise politique à chaud. Juste une proposition bien raisonnée et bien documentée basée sur un large éventail de contributions de parties prenantes, de scientifiques, d'agriculteurs et d'autres experts. Nous examinons ce problème à TDA et partagerons vos préoccupations. S'il vous plaît restez à l'écoute …"
Confusion causée par le lobbyiste de la Cattlemen's Association
Ce qui cause une confusion importante sur cette question est une déclaration faite par Shannon Cooper 17, lobbyiste de la National Cattlemen's Beef Association , devant la Missouri House. 18 Cooper a déclaré aux membres de la Chambre qu'il avait récemment "double-vacciné" son troupeau avec "des vaccins contenant cet ARNm". Selon Cooper, le "vaccin" à ARNm administré était destiné aux maladies respiratoires bovines.
Est-il confus ? A-t-il cru à tort que le vaccin qu'il avait administré contenait de l'ARNm ? Ou la National Cattlemen's Beef Association a-t-elle tort de déclarer qu'il n'y a pas de vaccins à ARNm approuvés pour le bétail aux États-Unis ? Ou, des injections expérimentales d'ARNm sont-elles utilisées sans approbation ? Qui sait à ce stade ?
Ce que nous savons, c'est que des « vaccins » à ARNm contre les maladies respiratoires bovines sont en cours de développement. L'Iowa State University a commencé à tester un « vaccin » à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin le 1er octobre 2021.19 La date de fin du projet est le 30 septembre 2026.
Selon la soumission de l'essai, des souris seraient utilisées pour établir la preuve de concept. Des vaches seraient utilisées la deuxième année de l'essai. En supposant qu'ils respectent le calendrier, cela signifie que les vaches seront expérimentées quelque part fin 2023 et/ou 2024.
L'ARNm Jabbed Livestock est-il sûr à manger?
Étant donné que les autorités sanitaires insistent sur le fait que les injections de COVID sont sûres, il n'est pas étonnant qu'elles insistent également sur le fait qu'il n'y a aucun problème associé à la consommation de viande traitée à l'ARNm. Mais peut-on leur faire confiance ? Qu'en est-il des cellules maintenant détournées par l'instruction d'ARNm étranger pour créer de nouvelles protéines ? Ces protéines sont-elles sûres à consommer ? Combien de temps les particules nano-lipidiques sont-elles conservées dans les tissus ?
Folta, professeur d'horticulture à l'Université de Floride, est un défenseur de longue date des organismes génétiquement modifiés (OGM). Il a également plaidé pour la sécurité du glyphosate et, en 2015, il a été surpris en train de mentir au sujet de ses liens financiers avec Monsanto. Maintenant, il a repris le plaidoyer pour les injections d'ARNm dans le bétail. Tel que rapporté par Cowboy State Daily : 24
RépondreSupprimer«Les législateurs de l'Arizona, de l'Idaho et du Missouri ont introduit une législation relative à l'utilisation de vaccins à ARNm dans les aliments. Le projet de loi de l'Arizona restreint uniquement l'étiquetage de ces aliments comme étant biologiques. Le projet de loi de l'Idaho modifie la loi de l'État pour interdire la vente de ces aliments à moins qu'ils ne soient clairement étiquetés indiquant que la présence du vaccin se trouve dans les aliments.
Le projet de loi du Missouri exige une étiquette bien en vue « Produit de thérapie génique ». Le Dr Kevin Folta a déclaré au Cowboy State Daily que l'étiquette de «thérapie génique» proposée était inexacte.
Cela "signifie qu'ils n'ont aucune idée de ce qu'ils essaient de réglementer", a déclaré Folta, car "il n'y a pas d'intégration dans l'ADN". C'est un ensemble d'instructions transitoire, comme une clé USB. Pas un disque dur'… L'ARN messager se produit naturellement dans le cadre de la fonction des cellules dans le corps. "L'ARNm est partout, et vous ne pouvez pas vivre sans ARNm", a déclaré Folta …
Folta a déclaré que les vaccins ne peuvent pas pénétrer dans les aliments que les gens mangent. « L'ARNm est une molécule extrêmement instable. C'est pourquoi ça marche. C'est très temporaire. Ainsi, lorsqu'un animal est abattu ou lorsqu'une plante meurt, l'ARNm est la première chose à disparaître », a déclaré Folta.
Beaucoup d'entre vous sauront exactement ce qui ne va pas avec les arguments de Folta selon lesquels l'ARNm est «partout» et donc inoffensif, et que son activité est temporaire parce qu'il est si instable. L'ARNm dans les injections est synthétique et ne se décompose PAS comme le fait l'ARNm normal.
Il induit clairement les gens en erreur, et il est difficile de croire que ce n'est pas intentionnel, compte tenu du fait que tous ceux qui connaissent le moins du monde la technologie de l'ARNm savent que l'ARNm synthétique a été conçu pour empêcher une dégradation rapide et est davantage stabilisé par le nanolipide. Ainsi, les arguments de Folta sont nuls et non avenus dès le départ.
Dernières pensées
À l'avenir, il sera extrêmement important de rester au courant de ce qui arrive à notre approvisionnement alimentaire. Beaucoup d'entre nous ont été surpris de réaliser que les injections d'ARNm sont utilisées chez les porcs depuis plusieurs années déjà. Bientôt, les bovins pourraient également recevoir ces injections d'ARNm personnalisables, ce qui pourrait affecter à la fois le bœuf et les produits laitiers.
Pour l'instant, je recommande fortement d'éviter les produits à base de porc. En plus de l'incertitude entourant ces «vaccins» à ARNm non testés, le porc est également très riche en acide linoléique, un acide gras oméga-6 nocif qui entraîne des maladies chroniques . Espérons que les éleveurs de bétail se rendront compte du danger que cette plate-forme d'ARNm représente pour leurs résultats et la rejetteront. S'ils ne trouvent pas de bœuf et de produits laitiers qui n'ont pas reçu de « thérapie génique », cela pourrait devenir tout un défi.
RépondreSupprimerWill Harris, de White Oak Pasture à Bluffton en Géorgie , est un éleveur qui s'est déjà prononcé contre les «vaccins» à ARNm chez le bétail. Un tweet du 10 avril 2023, White Oak Pastures déclarait : 25
« On parle d'animaux domestiques destinés à l'alimentation qui seront bientôt vaccinés avec de l'ARNm. Nous voulons que nos clients sachent que nous ne vaccinerons pas nos animaux avec des vaccins à ARNm. Nous croyons qu'il y a un temps et un lieu pour les vaccinations, mais elles doivent être utilisées avec parcimonie.
Si le bétail est élevé dans un environnement où il peut exprimer ses instincts naturels, il n'aura probablement pas besoin de beaucoup de vaccins (le cas échéant). Nous espérons un jour nous éloigner de tous les vaccins sur notre ferme - nous sommes proches, mais pas encore là.
Tout le monde devrait savoir que plus de 80 % des antibiotiques produits aujourd'hui sont consommés par des animaux domestiques destinés à l'alimentation… Il serait logique que pour que les entreprises de vaccins passent de « très rentables » à « obscènement rentables », il faudrait capturer le marché de l'agriculture animale. .
Je ne suis pas sûr que cela passerait jamais une loi, mais loi ou pas, Big Ag est fortement influencé par Big Pharma. Les multinationales de la viande choisiraient certainement d'imposer cela s'il y avait une possibilité de partage des bénéfices.
En terminant, sachez que nous ne croyons pas à une approche globale et unique pour notre santé ou notre bétail. Nous n'ajouterons pas de vaccinations pour notre bétail - nous allons dans l'autre sens en espérant en donner moins. (Et, nous en donnons déjà très peu).
Si cela est adopté et qu'il y a une «panique» pour les aliments du bétail qui n'a pas reçu le vaccin ARNm, nous choisirons d'abord d'honorer la demande de nos membres fidèles et de nos employés. Si vous ne faites pas partie de ce groupe, nous ne pouvons garantir que nous aurons un produit pour vous.
RépondreSupprimerNous n'essayons certainement pas de favoriser la panique, mais nous avons l'intention d'informer nos clients de la manière dont nous fonctionnerons en période de demande croissante. Nous avons foiré pendant la pandémie – nous ne ferons plus ça.
Penser globalement agir localement
Les recommandations sur la politique nationale en matière de vaccins aux États-Unis sont faites au niveau fédéral, mais les lois sur les vaccins sont faites au niveau des États. C'est au niveau de l'État que votre action pour protéger vos droits de choix de vaccins peut avoir le plus grand impact.
Il est essentiel que TOUT LE MONDE s'implique maintenant pour défendre le droit légal de faire des choix volontaires de vaccins en Amérique, car ces choix sont sérieusement menacés.
Non seulement les lobbyistes représentant les sociétés pharmaceutiques, les associations professionnelles médicales et les responsables de la santé publique tentent de persuader les législateurs de supprimer toutes les exemptions de vaccins des lois sur la santé publique, mais les agents politiques mondiaux faisant pression sur les Nations Unies et l'Organisation mondiale de la santé sont déterminés à retirer le droit humain à l'autonomie et la protection de l'intégrité corporelle.
Nous devons prendre des mesures pour défendre notre république constitutionnelle et les libertés civiles, y compris le droit à l'autonomie, en Amérique. Cela comprend la réforme des lois oppressives sur la vaccination obligatoire et l'arrêt de l'identification de santé numérique qui fera des passeports vaccinaux une réalité pour nous, nos enfants et petits-enfants si nous n'agissons pas aujourd'hui.
L'inscription pour utiliser le portail de plaidoyer en ligne gratuit parrainé par le Centre national d'information sur les vaccins à l'adresse www.NVICAdvocacy.org vous donne un accès immédiat et facile à vos propres législateurs d'État et fédéraux sur votre smartphone ou votre ordinateur afin que vous puissiez faire entendre votre voix.
*
RépondreSupprimerRemarques
1 YouTube Global Ag Media 2018
2 Projet de loi 1169 du Missouri House
3 Treehouse conservateur 9 avril 2023
4, 14 Twitter Tom Renz 1er avril 2023
5 influence quotidienne 2 avril 2023
6 Tom Renz Sous-pile 2 avril 2023
7 Merck Santé Animale, Sequivity
8 Tableau comparatif des produits ZoetisUS.com
9 Peter McCullough Sous-pile 7 avril 2023
10 bioRxiv 20 décembre 2022
11 Vaccins décembre 2021 ; 9(12) : 1403, article : 5.6. Vaccins à ARNm
12 Déclaration NCBA 6 avril 2023
13 AgNet du Sud-Est 10 avril 2023
15 Agri-impulsion 22 juin 2022
16 Département de l'agriculture du Texas 3 avril 2023
17 Profil du lobbyiste du Missouri Times
18 Twitter Tom Renz 10 avril 2023
19 Iowa State University Nouveau vaccin à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin
20 Protocole de vaccination porcine
21 Cellule 24 janvier 2022 ; 185(6): 1025-1040.E14
22 Comté de Clark aujourd'hui 14 février 2022
23 Découpe de viande de la FAO
24 Cowboy State Daily 5 avril 2023
25 Twitter White Oak Pasture 10 avril 2023
La source originale de cet article est Mercola
https://www.globalresearch.ca/beef-producers-panic-over-mrna-vaccine-news/5816143
Notez bien que - comme le virus 'corona' ou 'cocovide19' ou 'Delta-Charly-Bravo' n'EXISTE PAS dans l'air - il n' a donc pas à prendre des remèdes anti-poussières. Donc, de piquer des animaux les inocule avec un poison mortel pour eux comme pour les consommateurs de viande car le poison même cuit demeure un poison !
SupprimerNouvelles technologies de vaccins en médecine vétérinaire : un héraut des vaccins en médecine humaine
RépondreSupprimerL'explosion de vaccins génétiques chez les animaux attire l'attention humaine
Par le Dr Peter McCullough
Recherche mondiale,
17 avril 2023
La débâcle du vaccin ARNm et ADN adénoviral COVID-19 chez l'homme a mis les populations sur les nerfs, méfiantes à l'égard d'une technologie génétique mal conçue. Entre-temps, le domaine a considérablement progressé en médecine vétérinaire. Bien que ces injections puissent protéger les animaux contre les agents pathogènes à court terme, quelles sont les implications pour notre approvisionnement alimentaire ? Du matériel génétique transmissible à l'homme par consommation ? Cru ou cuit ? Ces questions et d'autres surgissent au fur et à mesure que de plus amples informations sont fournies.
Aida et ses collègues ont résumé graphiquement les technologies génétiques utilisées à partir de 2021 en médecine vétérinaire. Dans la catégorie de la viande de consommation à l'heure actuelle, seuls les porcs sont préoccupants étant donné l'utilisation d'ADN plasmidique, de vecteur viral incompétent pour la réplication et de produits de réplicon d'ARN. Ces technologies provoquent-elles des maladies non infectieuses chez les animaux ?
Une partie du matériel génétique peut-elle survivre à la dénaturation pendant le séchage et la cuisson ? Que diriez-vous des intestins de porc récoltés pour la production d'héparine largement utilisée en médecine humaine ? Est-il concevable que l'incorporation génétique d'ARN ou d'ADN étranger chez l'homme et la production d'antigènes, par exemple, la diarrhée endémique porcine ou la grippe A, puissent avoir des effets indésirables, notamment une auto-immunité similaire à celle des vaccins COVID-19 ?
- voir schéma sur site -
Aida V, Pliasas VC, Neasham PJ, North JF, McWhorter KL, Glover SR, Kyriakis CS. Nouvelles Technologies De Vaccins En Médecine Vétérinaire : Un Héraut De La Médecine Humaine Vaccines. Avant Vétérinaire Sci. 15 avril 2021;8:654289. doi : 10.3389/fvets.2021.654289. PMID : 33937377 ; PMCID : PMC8083957.
- voir liste sur site -
Le moment est venu pour la médecine vétérinaire et humaine, y compris la FDA et l'USDA, de se réunir et d'examiner les études publiées de ces nouveaux produits sur la transmissibilité génétique à l'homme et ses implications potentielles. L'article d'Aida ne mentionne même pas la possibilité d'un impact collatéral sur les humains. On peut voir que les développeurs, les sponsors et les auteurs sont aveuglés par l'engouement pour la biologie moléculaire et ont perdu de vue la sécurité des produits biologiques dans l'approvisionnement alimentaire.
RépondreSupprimerSi vous trouvez «Courageous Discourse» agréable et utile à vos efforts, veuillez vous inscrire en tant que membre payant ou fondateur pour soutenir nos efforts en vous aidant à vous engager dans ces discussions avec votre famille, vos amis et vos cercles élargis.
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Source
Aida V, Pliasas VC, Neasham PJ, North JF, McWhorter KL, Glover SR, Kyriakis CS. Nouvelles Technologies De Vaccins En Médecine Vétérinaire : Un Héraut De La Médecine Humaine Vaccines. Avant Vétérinaire Sci. 15 avril 2021;8:654289. doi : 10.3389/fvets.2021.654289. PMID : 33937377 ; PMCID : PMC8083957.
https://www.globalresearch.ca/novel-vaccine-technologies-veterinary-medicine-herald-human-medicine-vaccines/5816082
COVID et liberté d'expression à la Haute Cour
RépondreSupprimerPar Thomas Hayes
Recherche mondiale,
17 avril 2023
Le 5 avril 2023, la Haute Cour [du Royaume-Uni] a rendu un jugement dans l'affaire Adil v General Medical Council [2023] EWHC 797 (Admin) . L'affaire a examiné dans quelle mesure un régulateur professionnel peut interférer avec le droit à la liberté d'expression d'un individu soumis à sa réglementation, ainsi que les circonstances dans lesquelles la Cour devrait accepter les contestations des décisions prises par les régulateurs dans l'exercice de leurs fonctions . Il s'agit de la première affaire tranchée par la Haute Cour [du Royaume-Uni] concernant des déclarations anti-vaccination faites par un médecin en relation avec la pandémie de COVID-19, et les actions du General Medical Council («GMC») en réponse.
Contexte factuel
M. Adil est chirurgien colorectal consultant. Au cours de la pandémie de COVID-19, il a posté plusieurs vidéos sur les réseaux sociaux dans lesquelles il a, entre autres, fait des déclarations à l'effet que :
Le COVID-19 n'existait pas ;
la pandémie était une conspiration fomentée par le Royaume-Uni, Israël et l'Amérique ;
la pandémie était une arnaque qui était manipulée au profit de Bill Gates et des sociétés pharmaceutiques ;
Bill Gates a infecté le monde entier avec le COVID-19 afin de vendre des vaccins ; et
Les vaccins COVID-19 seraient administrés à tout le monde, de force si nécessaire, et pourraient potentiellement contenir des micropuces qui affectent le corps humain.
Dans ces vidéos, M. Adil a fait savoir qu'il était un médecin travaillant au Royaume-Uni.
Le GMC a engagé une procédure réglementaire contre M. Adil au motif que ces déclarations :
sapé la santé publique;
étaient contraires à l'opinion médicale largement acceptée ; et/ou
miné la confiance du public dans la profession médicale.
Son affaire a été entendue par le Medical Practitioners Tribunal ("le Tribunal") en juin 2022. Il a conclu que les déclarations avaient été faites comme allégué, que ce faisant, M. Adil s'était rendu coupable d'une faute qui, à son tour, avait entraîné une altération de sa capacité. d'exercer la médecine et qu'une suspension immédiate de six mois de son inscription était appropriée.
Motifs d'appel
RépondreSupprimerM. Adil a interjeté appel devant la Haute Cour. Il a avancé cinq moyens d'appel, qui portaient principalement sur la question de savoir si la décision du Tribunal était conforme à son droit à la liberté d'expression garanti par l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme. Les motifs peuvent être résumés comme suit :
Le motif 1 était que les conclusions sur la faute et l'atteinte étaient contraires à l'article 10(1) de la CEDH parce qu'elles représentaient une ingérence dans ses droits garantis par l'article 10 qui n'était pas « prévue par la loi » ;
Le motif 2 était que les conclusions sur la faute et l'affaiblissement constituaient une ingérence disproportionnée dans ses droits garantis par l'article 10 ;
Les motifs 3 et 4 étaient en fait des extensions supplémentaires du motif 2. Le motif 3 était que le Tribunal avait eu tort de conclure que l'expression d'opinions " en dehors de l'opinion médicale largement acceptée " équivalait à une faute ou justifiait une ingérence dans le droit de M. Adil à la liberté d'expression. . Le motif 4 était qu'il n'y avait aucune preuve à l'appui de la conclusion selon laquelle ses propos avaient porté atteinte à la réputation de la profession médicale. Cela aussi, a-t-il soutenu, concernait la question de savoir si les conclusions d'inconduite, d'atteinte aux facultés affaiblies et la peine infligée constituaient des ingérences proportionnées dans ses droits garantis par la CEDH.
Le motif 5 était que la sanction de six mois de suspension du registre médical était erronée.
Loi applicable
L'article 10, paragraphe 1, de la CEDH dispose :
Tout le monde a le droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'avoir des opinions et de recevoir et de répandre des informations et des idées sans ingérence de l'autorité publique et sans considération de frontières.
Ce droit est qualifié par l'article 10(2), qui prévoit expressément l'ingérence dans la liberté d'expression aux fins de la protection de la santé :
L'exercice de ces libertés, puisqu'il comporte des devoirs et des responsabilités, peut être soumis aux formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi et nécessaires dans une société démocratique, dans l'intérêt de la sécurité nationale, de l'intégrité territoriale ou la sécurité publique, pour la prévention du désordre ou du crime, pour la protection de la santé…
Jugement
RépondreSupprimerLa Cour a rejeté les 5 moyens d'appel et confirmé les décisions du Tribunal ainsi que sa sanction.
En ce qui concerne le premier motif, la Cour a estimé que les dispositions des « Bonnes pratiques médicales » (le principal document d'orientation du GMC destiné aux médecins) étaient suffisantes pour satisfaire à l'exigence selon laquelle toute ingérence dans les droits de M. Adil en vertu de l'article 10 doit être « prévue par la loi » . Bien que l'obligation pour les médecins de maintenir la confiance du public dans la profession soit encadrée par les « bonnes pratiques médicales» d'une manière tout à fait générale, elle suffisait néanmoins à refléter l'ensemble des obligations qui s'attachaient à la profession et était susceptible d'être aisément comprise par les médecins pour leur permettre de régler leur conduite. La Cour a jugé qu'il aurait dû être raisonnablement prévisible pour M. Adil que ses actions seraient contraires aux normes professionnelles établies par le GMC.
En ce qui concerne les deuxième, troisième et quatrième motifs, la Cour a estimé que si la sanction du GMC faisait incontestablement intervenir l'article 10, il s'agissait d'une ingérence proportionnée dans sa liberté d'expression. M. Adil s'était identifié comme médecin et avait ensuite fait des commentaires que le juge a jugés « farfelus ». Dans les circonstances, il était clairement loisible au Tribunal de conclure que ses propos compromettaient la protection de la santé publique et ébranleraient la confiance du public dans la profession. Cela étant, le Tribunal a constitué une ingérence proportionnée dans les droits de M. Adil au titre de l'article 10 en concluant que : (a) son émission constituait une faute ; (b) qu'en raison de cette inconduite, son aptitude à exercer a été altérée; et c) que son enregistrement soit suspendu pendant six mois.
Quant au cinquième moyen d'appel, la question posée à la Cour était de savoir si la sanction du Tribunal était « erronée ». Au vu de ses conclusions relatives aux motifs 1 à 4, la décision d'imposer une suspension immédiate était manifestement une décision qui relevait du Tribunal. En conséquence, le dernier moyen d'appel a également échoué.
Commentaire
RépondreSupprimerLa Cour a reconnu qu'en matière de réglementation professionnelle, l'organisme de réglementation possède une expertise particulière qui manque à la Cour quant à la meilleure façon de protéger la réputation de la profession et l'intérêt public. Il s'ensuit que la Cour devrait être lente à interférer avec la décision d'un régulateur. En l'espèce, compte tenu de la nature des propos de M. Adil, les déterminations et conclusions du Tribunal ont été jugées clairement raisonnables.
Néanmoins, la Cour a fait remarquer à juste titre la nécessité de la liberté d'expression pour les professionnels de la santé, et que celle-ci ne devrait pas être limitée par la nécessité que les commentaires d'un médecin s'inscrivent dans l'opinion médicale dominante. La Cour a reconnu l'intérêt de préserver le droit des médecins de contester l'orthodoxie médicale, et les conséquences indésirables si cela exposait un médecin à un risque de sanction professionnelle.
Fait intéressant, la Cour a estimé que la loi habilitante aux fins de satisfaire à l'exigence selon laquelle toute ingérence dans la liberté d'expression doit être « prévue par la loi » n'était pas une loi adoptée par le Parlement (sous la forme de la loi médicale de 1983), mais « de bonnes pratiques médicales Pratique ». Il s'ensuit que lorsqu'un régulateur donne des directives ou des conseils à un professionnel quant aux normes professionnelles attendues, le régulateur doit être conscient que la Cour peut traiter ces directives comme une « loi » par laquelle ces normes professionnelles doivent être jugées. S'il s'avère par la suite que ces indications ne sont pas suffisamment précises, les actions d'un régulateur peuvent être considérées comme illégales lorsqu'elles mettent en jeu des droits qualifiés conférés par la CEDH. Des documents tels que « Bonnes Pratiques Médicales »» ne peuvent donc pas être traités simplement comme des conseils utiles fournis par un régulateur pour aider les professionnels à façonner leur conduite, mais peuvent être traités par la Cour comme des codes de conduite par rapport auxquels les normes d'un professionnel doivent être jugées.
*
Martin Forde KC a agi pour le General Medical Council, assisté de Thomas Hayes , l'auteur de cette pièce.
https://www.globalresearch.ca/covid-free-speech-high-court/5816173
Enquêtes russes sur les biolabs américains en Ukraine
RépondreSupprimerPar Lucas Leiroz de Almeida
Recherche mondiale,
17 avril 2023
Enfin, l'enquête russe sur les activités biologiques américaines sur le sol ukrainien était terminée. Une commission parlementaire spéciale a été formée pour analyser soigneusement les preuves de crimes tels que la production d'armes biologiques dans des laboratoires biologiques militaires découverts et neutralisés par les forces armées russes. Le groupe parlementaire a travaillé en partenariat avec des experts liés aux troupes russes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques pendant plus d'un an. Les résultats indiquent qu'en fait Washington maintient des activités bio-militaires illégales.
Les enquêteurs ont souligné que les États-Unis travailleraient à la création d'une sorte "d'arme biologique universelle", génétiquement modifiée pour causer de graves dommages, comparables à ceux d'un "hiver nucléaire". Les données recueillies par les Russes indiquent que Washington prévoit de développer des armes capables d'endommager non seulement les soldats ennemis dans un scénario de guerre, mais aussi les animaux et même les cultures agricoles. Avec cela, l'objectif serait de détruire complètement le pays touché par la prolifération de ces agents pathogènes, affectant également la population civile, la sécurité alimentaire et l'environnement.
En pratique, l'utilisation secrète et anticipée de ce type d'arme garantirait aux forces américaines un avantage stratégique pratiquement insurmontable dans n'importe quel scénario de conflit, rendant impossible pour la partie ennemie de vaincre les forces américaines pour des raisons non militaires. Les enquêteurs ont précisé que la possession de ce type d'arme changerait complètement la nature contemporaine des conflits armés, ce qui génère une longue liste de préoccupations militaires, juridiques et humanitaires.
« Les États-Unis visent à développer une arme biologique universelle génétiquement modifiée capable d'infecter non seulement les humains, mais aussi les animaux ainsi que les cultures agricoles. Son utilisation implique, entre autres, l'objectif d'infliger des dommages économiques à grande échelle et irréparables à l'ennemi (…) L'utilisation secrète et ciblée d'une telle arme en prévision d'une confrontation militaire directe positive inévitable pourrait créer un avantage significatif pour les États-Unis. forces sur l'adversaire, même contre ceux qui possèdent d'autres types d'armes de destruction massive (…) La possession d'armes biologiques aussi efficaces crée, selon l'armée américaine, les conditions préalables réelles pour changer la nature des conflits armés contemporains » , indique le rapport.
Les scientifiques ont toutefois souligné que l'existence de ce projet américain ne diminue en rien la gravité de l'utilisation d'armes biologiques conventionnelles, telles que "la variole, l'anthrax, la tularémie et la peste, qui peuvent toutes être modifiées pour renforcer leurs propriétés mortelles". A cela s'ajoute la difficulté objective de déterminer la véritable cause des épidémies de maladies infectieuses, qui peuvent être à la fois naturelles et artificielles ». Ainsi, il existe un nombre considérable de risques à surveiller et à contrôler simultanément.
RépondreSupprimerBien que de nombreux biolaboratoires aient été neutralisés ou détruits en raison de l'opération militaire spéciale aux frontières russes, le programme biomilitaire américain reste actif, plusieurs laboratoires à travers le monde effectuant des recherches avancées afin de développer de telles armes. Il y a même des rapports récents indiquant que les États-Unis auraient à nouveau de telles activités sur le sol ukrainien, dans les régions occupées par le régime néo-nazi.
L'équipe russe explique comment ces programmes sont un héritage fasciste américain. De nombreux scientifiques de l'Axe ont été capturés pendant la Seconde Guerre mondiale et, au lieu d'être arrêtés et punis, se sont vu confier des postes par le gouvernement américain dans des programmes secrets visant à développer des recherches militaires scientifiques avancées. En conséquence, Washington a créé l'un des systèmes de recherche militaire les plus complexes au monde, soutenu par des scientifiques allemands et japonais qui étudiaient déjà ces sujets dans les années 1930 et 1940.
Les chercheurs russes mentionnent également le fait que l'absence d'une réglementation internationale claire et avancée sur ces questions augmente la capacité américaine à agir à l'étranger en produisant et en répandant la terreur biologique. Utilisant des arguments humanitaires, sanitaires et scientifiques pour développer la recherche, les forces armées américaines et des entreprises liées au gouvernement construisent des laboratoires où ces activités illégales sont menées.
"L'absence de contrôle international sur ce travail offre aux États-Unis la possibilité d'agir dans d'autres pays sans être limités par des normes morales et juridiques et des principes humanistes, et d'ignorer les demandes du public", ont ajouté les enquêteurs.
Enfin, les scientifiques recommandent que la question biologique soit traitée par les autorités russes comme une question d'importance centrale dans l'agenda de défense et de sécurité. Il est urgent de créer des mesures efficaces pour la détection des agents pathogènes génétiquement modifiés, ainsi que pour le diagnostic précoce, le traitement et la prévention des maladies causées par ces agents. Le rapport propose la création d'un «mécanisme de contrôle» pour la recherche en biotechnologie et en biologie synthétique comme moyen de trouver une solution au problème.
En effet, la Russie a longtemps mis en garde contre le grave problème des armes biologiques du Pentagone. Le sujet a été ignoré par les pays occidentaux et par les organisations internationales, qui semblent ne pas comprendre le niveau de dangerosité généré par ce type d'attitude. Le développement d'armes biologiques devrait faire l'objet d'une enquête et être rapidement condamné par tous les pays, même ceux qui entretiennent de bonnes relations avec les États-Unis, car cela pose un risque existentiel pour de nombreuses personnes.
RépondreSupprimerDe plus, le cas demande encore plus d'attention avec les enquêtes pointant vers l'effort de créer de nouveaux agents pathogènes, capables d'infecter et d'endommager les humains, les animaux et les plantes, visant l'anéantissement total d'un pays et de sa population. Il est donc urgent que des discussions et des mesures soient prises à l'ONU, avant que de telles armes ne commencent à être utilisées sur le champ de bataille, générant un niveau de violence et de dégâts sans précédent.
*
Lucas Leiroz est journaliste, chercheur au Centre d'études géostratégiques, consultant géopolitique. Vous pouvez suivre Lucas sur Twitter et Telegram .
https://www.globalresearch.ca/russia-investigations-about-us-biolabs-concluded/5816185
Contrairement aux chemtrails diffusés par avions et qui peuvent s'éloigner des lieux de largages, les injections ne touchent que les victimes désignées à disparaître.
SupprimerLes Canadiens organisent une enquête citoyenne pour demander des comptes pour les crimes liés à la COVID
RépondreSupprimerPar le professeur Anthony J. Hall
Recherche mondiale,
18 avril 2023
Le mot se répand que presque rien n'est vrai sur ce que les gouvernements et les médias traditionnels nous ont dit concernant la catastrophe du COVID-19. De plus, tous les remèdes imposés, mais surtout les confinements mondiaux et les procédures d'injection de modification génétique, entraînent des effets absolument catastrophiques dont l'ampleur est fondamentalement encore insondable en ces temps de plus en plus apocalyptiques.
Jusqu'à présent, les huit milliards d'habitants de la planète ont reçu collectivement environ 14 milliards de tirs. Beaucoup reconnaîtront que cette piqûre-fest mondial n'est pas du tout une bonne nouvelle. C'est une très mauvaise nouvelle avec des conséquences énormes pour toute l'humanité et aussi pour notre postérité.
Les gouvernements de presque chacun des 192 pays du monde ont proposé des ensembles similaires de mauvaises politiques qui ont fait la part du lion des dommages constituant la crise COVID fabriquée. La similitude simultanée de ces politiques constamment destructrices indique qu'une initiative supranationale au-dessus du niveau des États-nations a été mobilisée pour orchestrer notre descente continue dans la tyrannie. Cette descente est passée à la vitesse supérieure à l'hiver 2020, mais surtout après que l'Organisation mondiale de la santé a déclaré une pandémie mondiale sans preuves crédibles suffisantes.
Par conséquent, l'impératif de penser globalement tout en agissant localement est absolument approprié en ce moment lorsqu'il s'agit de développer le muscle collectif dont nous avons besoin pour arrêter les horribles prédations continues.
Ici et là, des citoyens s'organisent pour initier nos propres enquêtes publiques sur la genèse de la catastrophe que nous vivons. Au Canada, une « enquête citoyenne » est actuellement en cours. La mission de la National Citizens Inquiry (NCI) est d'enquêter sur « les réponses du Canada à la COVID-19 ». Pour faire avancer cette mission, une tournée à travers le pays des commissaires du NCI nommés par les citoyens est en cours.
J'ai l'intention de participer à ce processus, y compris en donnant un témoignage d'expert si et quand je suis appelé à le faire. Mon intention est d'envoyer des dépêches régulières sur GlobalResearch.ca . Je vérifie mes pneus et mets à jour mon ordinateur portable pour me préparer à rejoindre la tournée à l'approche de la Saskatchewan, puis de ma province natale, l'Alberta.
Le principe selon lequel cette enquête est menée par les citoyens et non par le gouvernement est essentiel pour comprendre l'importance plus large de ce qui se passe ici au Canada. Les enquêtes menées par le gouvernement sont rarement crédibles lorsqu'il s'agit d'enquêter sur des crimes présumés commis par des gouvernements. De telles enquêtes s'avèrent généralement être des blanchiments des puissants et des bien connectés. Très souvent, les enquêtes se transforment en chasses aux sorcières visant à salir les détracteurs les plus efficaces des politiques et actions gouvernementales.
RépondreSupprimerCe schéma est presque parfaitement illustré par les efforts scandaleux de Trudeau pour criminaliser le mouvement Canadian Freedom Convoy et se distinguer ainsi comme un défenseur vigilant de la loi et de l'ordre. À la mi-février 2022, Trudeau a invoqué la version canadienne de la loi martiale. Le but de Trudeau était de vaincre le Freedom Convoy par des tactiques telles que le déchaînement de la violence policière contre des manifestants pacifiques sur la Colline du Parlement et la saisie des comptes bancaires de certains camionneurs et de leurs partisans.
Justin a nommé un juge très politisé du Parti libéral et ami de la famille Trudeau, Paul Rouleau, pour diriger au début de 2023 une commission chargée d'enquêter pour savoir si le gouvernement canadien avait agi correctement ou non en imposant le plus haut niveau de mesures d'urgence au-dessus de couche après couche. des mesures d'urgence COVID antérieures. Des variations de ce même processus se sont produites partout dans le monde alors que les branches exécutives du gouvernement se sont emparées de vastes nouveaux pouvoirs en suspendant les libertés civiles au nom de la lutte contre le virus des célébrités.
Il n'est pas surprenant que le juge du Parti libéral ait donné à son ami Justin et à ses acolytes un bon bilan de santé. L'ami de Trudeau a trouvé le gouvernement Trudeau, non coupable. Rien à voir ici les amis, continuez à avancer.
Ainsi, au Canada, le précédent est en train d'être établi que nous ne pouvons pas compter sur les gouvernements pour enquêter sur leurs propres crimes en provoquant et en aggravant la crise manufacturée du COVID et les crises manufacturées subséquentes découlant de la mère de tous les faux drapeaux médicaux. Nous avons besoin d'initiatives locales, d'initiatives nationales, d'initiatives régionales et finalement d'initiatives mondiales pour faire la lumière sur ce qui s'est passé et engager le type de procédures juridiques nécessaires pour arrêter cette série de crimes contre l'humanité.
Seuls des procès, des verdicts criminels lorsqu'ils sont justifiés et des sanctions appropriées serviront la cause du type de justice dont nous avons désespérément besoin en ce moment alors que l'état de droit continue de disparaître de jour en jour.
RépondreSupprimerÀ la fin de 2022, Preston Manning , fondateur du Parti réformiste du Canada et fils de l'ancien premier ministre de l'Alberta, Ernest Manning, a lancé le NCI lors d'une conférence de presse à la tribune de la presse du Parlement à Ottawa. Il explique très clairement l'importance dans ces circonstances de ne pas attendre que les gouvernements enquêtent eux-mêmes.
- voir clip sur site -
Le lien suivant contient quelques exemples des témoignages recueillis jusqu'à présent par le NCI : cliquez ici .
Je recommande particulièrement le témoignage de Vincent Gircys , un haut fonctionnaire de police à la retraite de l'Ontario qui a travaillé avec diligence avec des collègues pour clarifier ce que la primauté du droit exige des policiers en ces temps. L'agent Gircys a vu son compte bancaire saisi par les fanatiques du gouvernement Trudeau dans l'une des manifestations les plus caractéristiques des tactiques fascistes mises au point pour étouffer la dissidence légitime.
Le témoignage de l'embaumeuse Laura Jeffey est saisissant. Mme Jeffrey est un modèle exemplaire de lanceuse d'alerte résolue qui se manifeste lorsque tous les fonctionnaires qui l'entourent et au-dessus d'elle refusent d'honorer leurs responsabilités professionnelles et de faire ce qu'il faut.
Le journaliste Rodney Palmer a présenté une évaluation bien documentée du refus consternant de la Société Radio-Canada d'enquêter sur le scandale de la COVID-19. Il nomme des noms et relate explicitement à quel point la SRC est tombée en renonçant à son rôle de radiodiffuseur public. Palmer fournit les éléments de preuve pour prouver que la SRC est devenue un fournisseur de propagande grossière pour servir le programme de ses payeurs complètement corrompus. De toute évidence, nous avons besoin d'un nouveau radiodiffuseur public pour remplacer la CBC maintenant complètement discréditée.
*
Le Dr Anthony Hall est actuellement professeur d'études sur la mondialisation à l'Université de Lethbridge en Alberta au Canada. Il enseigne dans le système universitaire canadien depuis 1982. Le Dr Hall a récemment terminé un important projet d'édition en deux volumes aux Presses universitaires McGill-Queen intitulé « Le bol avec une cuillère ».
Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).
https://www.globalresearch.ca/canadians-organizing-citizen-led-inquiry-seek-accountability-covid-crimes/5815695
Une nouvelle recherche ouvre la porte à la prédiction de la maladie d'Alzheimer 10 ans plus tôt
RépondreSupprimerPar Naveen Athrappully
17 avril 2023Mis à jour : 17 avril 2023
Une nouvelle étude pourrait ouvrir la voie à un dépistage plus facile et plus précoce de la maladie d'Alzheimer, avec la possibilité de détecter la maladie neurodégénérative incurable jusqu'à une décennie à l'avance.
La détection précoce de la maladie d'Alzheimer est essentielle pour un traitement efficace. Cependant, il n'existe pas de méthodes fiables pour une telle détection à l'heure actuelle. L'étude, réalisée par des chercheurs de l'Institut suédois Karolinska et publiée le 12 avril dans Alzheimer's & Dementia, la revue de l'Association Alzheimer, consiste à analyser un type de structure de glycanes dans le sang appelé N-acétylglucosamine bissectée. Cette structure glycane est liée au niveau de tau, une protéine jouant un rôle clé dans le développement de la démence sévère.
Les glycanes sont des molécules de sucre présentes à la surface des protéines et sont l'un des principaux éléments constitutifs de la vie.
L'identification de la N-acétylglucosamine coupée en deux peut donner aux médecins une voie vers le repérage des personnes présentant un risque plus élevé de maladie d'Alzheimer. En fait, l'étude pourrait ouvrir la voie à une procédure de dépistage simple capable de prédire l'apparition de la maladie d'Alzheimer 10 ans à l'avance.
Au début de la maladie d'Alzheimer, les neurones du cerveau meurent. S'assurer que le traitement commence tôt lorsque peu de neurones sont morts est crucial pour inverser la maladie d'Alzheimer.
Dans l'étude, les chercheurs ont mesuré les niveaux de glycanes sanguins des participants. Ils ont découvert que les personnes ayant des niveaux correspondants de glycanes et de tau étaient plus de deux fois plus susceptibles de développer une démence de type Alzheimer.
"Nous démontrons dans notre étude que les taux sanguins de glycanes sont altérés au début du développement de la maladie", a déclaré Robin Zhou, premier auteur de l'étude ainsi qu'étudiant en médecine et chercheur affilié au Département de neurobiologie, sciences des soins et société. (NVS) au Karolinska Institutet, selon un communiqué de presse du 12 avril.
"Cela pourrait signifier que nous pourrons prédire le risque de maladie d'Alzheimer avec seulement un test sanguin et un test de mémoire."
Un dépistage plus facile et moins cher
L'équipe de recherche avait précédemment trouvé un lien entre la protéine tau et les niveaux de glycanes chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.
RépondreSupprimerCependant, ces tests ont été effectués sur le liquide céphalo-rachidien. Le prélèvement d'échantillons de liquide céphalo-rachidien est très difficile. Pendant ce temps, les processus d'imagerie cérébrale peuvent être assez coûteux. Les marqueurs sanguins offrent un moyen plus facile et moins coûteux de dépister la maladie.
"Nous montrons également qu'un modèle statistique simple qui prend en compte les niveaux sanguins de glycane et de tau, le gène de risque APOE4 et un test de mémoire, peut être utilisé pour prédire la maladie d'Alzheimer avec une fiabilité de 80 % près d'une décennie avant des symptômes tels que la perte de mémoire. apparaissent », a déclaré la co-auteur Sophia Schedin Weiss dans l'annonce du Karolinska Institutet.
APOE4 est un gène qui est lié à un risque plus élevé de développer la maladie d'Alzheimer. L'étude a porté sur 233 participants à l'étude nationale suédoise sur le vieillissement et les soins à Stockholm (SNAC-K), avec des échantillons collectés entre 2001 et 2004.
Les participants ont été surveillés régulièrement pour la perte de mémoire et la présence de démence. Les suivis se sont poursuivis pendant 17 ans.
La maladie d'Alzheimer aux États-Unis
Selon les chiffres de l'Association Alzheimer, plus de 6 millions de personnes aux États-Unis ont développé la maladie. D'ici 2050, le nombre de personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer devrait plus que doubler pour atteindre près de 13 millions (pdf).
Les données sur les réclamations de Medicare de 2019 montrent qu'environ un tiers des bénéficiaires de Medicare qui meurent au cours d'une année donnée ont reçu un diagnostic de maladie d'Alzheimer ou d'une autre forme de démence, rapporte l'Association Alzheimer.
Le risque à vie de développer la maladie d'Alzheimer à l'âge de 45 ans est de 1 sur 5 pour les femmes. Pour les hommes, le risque est de 1 sur 10.
Sept personnes sur 10 souhaitent savoir très tôt si elles sont atteintes de la maladie d'Alzheimer. Cependant, seulement 4 personnes sur 10 se sont avérées disposées à parler immédiatement à leur médecin lorsqu'elles éprouvent une perte de mémoire ou cognitive.
La maladie d'Alzheimer et d'autres formes de démence devraient coûter aux États-Unis 345 milliards de dollars en 2023, un chiffre qui devrait atteindre près de 1 000 milliards de dollars d'ici 2050.
https://www.theepochtimes.com/new-research-opens-door-to-predicting-alzheimers-disease-10-years-earlier_5199445.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
(...) Le risque à vie de développer la maladie d'Alzheimer à l'âge de 45 ans est de 1 sur 5 pour les femmes. Pour les hommes, le risque est de 1 sur 10. (...)
SupprimerDepuis 1929 TOUS les vaccins se composent de nano-particules d'aluminium !
Les laboratoires s'en sont aperçu et continuent de proposer leurs nano-particules d'aluminium qui donnent Alzheimer ! (et Parkinson !).
Cause d'arrêts de travail massifs dus à la grippe et au VRS : Affaiblissement ciblé du système immunitaire ?
RépondreSupprimer17 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Au cours des trois dernières années, des gens du monde entier ont fait un tour de montagnes russes pour des raisons de santé. Il était contrôlé par l'industrie pharmaceutique par l'intermédiaire de l'OMS, des gouvernements et des médias grand public. Les atteintes à la santé causées par le paquet de mesures et la campagne de vaccination sont variées et persistantes.
Par exemple, le journal médical du 14 avril 2023 écrit :
Selon le Barmer, le nombre de personnes en congé de maladie en raison d'infections respiratoires était plus élevé au cours des trois premiers mois qu'il ne l'avait été depuis des années .
Selon une analyse publiée aujourd'hui par l'Institut de recherche sur le système de santé, qui appartient à la compagnie d'assurance maladie, en moyenne 368 assurés Barmer sur 10 000 n'ont pas pu travailler chaque semaine de janvier à mars en raison de maladies respiratoires.
Les pertes dues au corona, à la grippe ou à d'autres infections étaient presque quatre fois plus élevées qu'au début de 2021 avec 98 personnes touchées pour 10 000 assurés ayant droit à des indemnités de maladie.
Même par rapport au début de 2018, lorsqu'il y avait une épidémie de grippe inhabituellement forte, les chiffres étaient plus élevés cette année. A cette époque, le taux était de 300 pour 10 000 assurés ayant droit aux indemnités de maladie.
La Société Autrichienne des Maladies Infectieuses et de Médecine Tropicale, bien pourvue en fonds pharmaceutiques, a déjà remarqué quelque chose et organise un webinaire sur le sujet du VRS :
Bien sûr, la question se pose maintenant de savoir quelle est exactement la cause de cette énorme augmentation de toute une gamme de maladies. Dans un grand nombre d'articles sur l'évaluation de la base de données américaine sur les effets secondaires VAERS, TKP a rapporté les augmentations significatives suivantes des maladies : cancer de la prostate , cancer du sein , cancer gastro-intestinal , cancer du poumon , cancer du sang , métastases , augmentation de 14,5 % de la mortalité des les personnes vaccinées avec le Covid , la susceptibilité aux infections , la survenue plus fréquente d'inflammations pour n'en citer que quelques-unes.
Le psychoneuroimmunologue Prof. DDr. Christian Schubert a souligné à plusieurs reprises que la propagation de la peur et de la panique a non seulement endommagé le système immunitaire des individus, mais également le système immunitaire de la société. Cela vaut également pour le paquet de mesures entamé mi-mars 2020 avec confinement, règles de distanciation, interdiction de contact, enfermement des personnes âgées, blocage des écoles et des commerces, masques obligatoires, etc.
RépondreSupprimerLe nouveau livre du professeur Christian Schubert sur ce sujet sera publié le 4 mai, intitulé GEOMETRIE DE L'AME – Comment les modèles inconscients déterminent le scénario de nos vies .
Nous connaissons également un certain nombre d'autres mécanismes d'action. Les dommages causés par le port prolongé du masque , la production de cellules T régulatrices qui inhibent le système immunitaire et d'anticorps IgG4 par des injections répétées d'ARNm ou la pénétration des pics vaccinaux dans les ribosomes du noyau cellulaire et dans le cerveau du centre de contrôle ont été identifiés .
L'affaiblissement ciblé du système immunitaire rend les maladies respiratoires plus dangereuses
Les mesures Corona étaient-elles réellement ciblées ? Y avait-il intention de nuire ? C'est difficile à prouver devant un tribunal. Mais il y a des indications que des programmes visant à réduire la population mondiale sont en cours depuis des décennies, comme indiqué ici .
De même , des considérations scientifiques ont été faites à ce sujet depuis des décennies. Dans le blog de >b, sous le titre " La biodéfense à l'ère de la biologie synthétique ", il y a une recherche intéressante sur les travaux antérieurs sur ce sujet.
Le livre Biodefense in the Age of Synthetic Biology nous éclaire un peu. Le co-auteur est Gigi Kwik Gronvall du Johns Hopkins Center for Health Security , l'usine d'armes biologiques de Johns Hopkins qui a également élaboré le plan de propagande pour "COVID-19" .
Il est conseillé de jeter un œil aux chapitres « Modifier le microbiome humain » , « Modifier le système immunitaire humain » et « Modifier le génome humain » . Pour changer le système immunitaire, les auteurs écrivent, par exemple :
"Créer une déficience immunitaire. Manipuler une population cible pour affaiblir son immunité pourrait renforcer l'effet d'une attaque biologique. Cet objectif pourrait être poursuivi soit en manipulant un agent pathogène pour simultanément réduire l'immunité et induire une maladie (Jackson et al., 2001), soit en introduisant un agent immunosuppresseur et une arme biologique séparément dans une population cible. Les agents utilisés pour provoquer l'immunodéficience peuvent être des agents pathogènes (par exemple, la propagation insidieuse du VIH [virus de l'immunodéficience humaine]) ou des produits chimiques (voir NRC [1992] et IPCS [1996] pour des discussions sur les produits chimiques qui contribuent à l'immunotoxicité). Il est également possible,
« Établir l'hyperréactivité. L'inconvénient de la technique de l'immunodéficience serait une tentative de créer une hyperréactivité du système immunitaire. Il a été démontré que les agents pathogènes et les produits chimiques déclenchent une tempête de cytokines, une condition dangereuse créée par une boucle de rétroaction positive dans la réponse immunitaire. Il pourrait être possible de développer une substance active qui déclenche une telle cascade de manière ciblée. […] »
RépondreSupprimer"Établir l'auto-immunité. Les maladies auto-immunes naturelles entraînent des incapacités et des décès importants. Il pourrait être possible de concevoir une maladie qui pousse le corps à se retourner contre lui-même. Il existe maintenant des modèles de souris pour stimuler l'auto-immunité. Par exemple, l'encéphalomyélite auto-immune expérimentale, qui imite les symptômes de la maladie humaine de la sclérose en plaques, a été induite chez la souris par immunisation avec des antigènes qui déclenchent une réponse immunitaire (autoantigènes ; voir Miller et al., 2007). Normalement, une telle auto-immunisation est empêchée par les mécanismes qui assurent l'exclusion des anticorps et des lymphocytes T, eux-mêmes réactifs, mais certains pathogènes peuvent présenter des antigènes si proches des protéines de l'organisme qu'ils que la réponse immunitaire d'origine passe de l'agent pathogène à la nouvelle cible humaine. La recherche sur les inhibiteurs de points de contrôle, conçus pour stimuler le système immunitaire humain afin d'éradiquer les tumeurs, pourrait également servir de base aux efforts visant à contrôler intentionnellement l'auto-immunité. Il a été démontré que les inhibiteurs de points de contrôle conduisent à l'auto-immunité en stimulant excessivement le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. La recherche sur les inhibiteurs de points de contrôle, conçus pour stimuler le système immunitaire humain afin d'éradiquer les tumeurs, pourrait également servir de base aux efforts visant à contrôler intentionnellement l'auto-immunité. Il a été démontré que les inhibiteurs de points de contrôle conduisent à l'auto-immunité en stimulant excessivement le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. La recherche sur les inhibiteurs de points de contrôle, conçus pour stimuler le système immunitaire humain afin d'éradiquer les tumeurs, pourrait également servir de base aux efforts visant à contrôler intentionnellement l'auto-immunité.
Il a été démontré que les inhibiteurs de points de contrôle conduisent à l'auto-immunité en stimulant excessivement le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. que les inhibiteurs de point de contrôle conduisent à l'auto-immunité en surstimulant le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome. que les inhibiteurs de point de contrôle conduisent à l'auto-immunité en surstimulant le système immunitaire, souvent sous la forme de colite (June et al., 2017). De plus, il a été démontré que certains agents entraînent une maladie hépatique auto-immune (Tanaka et al., 2017, 2018). Une voie d'attaque possible pourrait être d'introduire de tels composés à travers le microbiome.
RépondreSupprimerLes auteurs de ce livre décrivent ainsi le mode d'action de la protéine de pointe du SARS-CoV-2. Cependant, cela ne se produit pas seulement dans le virus, mais comme on le sait, c'est le composant central de la soi-disant "vaccination corona" - qui, comme le virus lui-même, peut donc être classée comme une arme biologique.
Donc, cela décrit à peu près ce qui s'est passé. Nous avons déjà vu l'effet des mesures au second semestre 2020. Voici les données de OurWorldInData pour l'année 2020.
- voir graph sur site -
Nous constatons une augmentation des «nouveaux cas», des admissions à l'hôpital et des admissions aux soins intensifs, et des décès. Bien que nous sachions que cela a été massivement exagéré, une augmentation de la saison grippale automne/hiver 2020 par rapport au printemps peut être déduite.
Les dommages au système immunitaire ont été massivement augmentés avec la campagne de vaccination, comme le montrent de plus en plus de données.
https://tkp.at/2023/04/17/ursache-fuer-massive-krankschreibungen-wegen-grippe-und-rsv-gezielte-schwaechung-des-immunsystems/
Mise à jour : la baisse du taux de natalité en Suède se poursuit en 2023
RépondreSupprimer16 avril 2023
par Ulf Lorre
En février 2023, un bilan annuel pour 2022 annonçait le plus faible nombre de naissances en 17 ans (-8,3%). Les données de janvier et février 2023 sont désormais aussi nettement trop basses (-10,7% et -9,2%).
De 2018 à 2021, les naissances en Suède ont suivi une période saisonnière et ont montré une faible tendance négative. Un ajustement a été effectué sur cette période et une prévision pour 2022 et 2023 a été calculée à partir de celle-ci (Fig. 1).
- voir graph sur site -
Fig. 1 : Naissances mensuelles en Suède avec ajustement (modèle de série chronologique linéaire, bleu clair), prévision (bleu) et IC à 95 % (bleu clair).
Les valeurs réelles ne s'écartaient que légèrement de l'ajustement de la période de comparaison. Cependant, en janvier 2022, ils sont inférieurs à l'intervalle de confiance de 95 % des prévisions, ce qui indique une signification statistique. Les écarts montrent un lien temporel avec la campagne de vaccination suédoise C19 (Fig. 2).
- voir graph sur site -
Fig. 2 : Relation temporelle entre la baisse des naissances et le taux de vaccination C19 dans le groupe d'âge fertile. Les taux de vaccination sont exprimés en doses/(population * mois), source : données de vaccination de l'ECDC .
En tenant compte d'un décalage horaire de 9 mois, on peut voir que les deux événements ont commencé en même temps. Une corrélation de rang négative statistiquement significative peut être démontrée pour la période d'octobre 2021 à décembre 2022 (Spearman's 𝜌 = -0,53, p = 0,021). Si les chiffres des naissances pour 2023 sont ajoutés, cela ne s'applique plus, ce qui pourrait indiquer des effets plus durables.
Un test de causalité de Granger dans la fenêtre temporelle ci-dessus ne conduit pas à un résultat clair. Les résultats ne changent pas non plus lors de l'évaluation des courbes des doses individuelles. Cela pourrait être lié à la résolution temporelle insuffisante. De plus, les deux signaux contiennent le chevauchement des différentes séries de vaccination, qui ne peuvent être attribuées séparément aux naissances en raison d'un manque de disponibilité des données.
Au-delà de ces considérations statistiques, il existe des preuves biomédicales significatives d'une association entre la vaccination C19 et une baisse de la fertilité, et on ne sait pas combien de temps cette réduction dure et comment elle se répartit entre les hommes et les femmes.
RépondreSupprimerLes dernières données suédoises suggèrent que l'impact sur la fertilité persiste pendant au moins deux mois après la fin de la vaccination de masse. Ce résultat pourrait également s'appliquer à de nombreux autres pays touchés. Les graphiques actuels des taux de natalité dans les pays européens peuvent être trouvés ici .
Remarque : Un article TKP précédent sur ce sujet était basé sur une importation de données incorrecte. Les résultats qui y sont décrits ne peuvent donc plus être maintenus. Toutes mes excuses à tous les lecteurs pour cette erreur !
https://tkp.at/2023/04/16/update-geburtenrueckgang-in-schweden-haelt-2023-an/
Coup de théâtre : Von Der Leyen poursuivie en justice pour avoir violé les Traités européens dans les contrats Covid
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
17 avril 2023
Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission Européenne, vient d’être traînée en justice par un puissant lobbyiste belge qui l’accuse d’avoir agi en dehors des Traités européens dans l’acquisition des contrats de vaccins signés avec les laboratoires lors de la pandémie à Coronavirus
Ursula Von Der Leyen n’est pas encore sortie de l’auberge. Alors que plusieurs élus européens exigent d’elle qu’elle s’explique sur les contrats de vaccins signés avec le laboratoire Pfizer et estimés à plusieurs milliards d’euros, la présidente de la Commission Européenne vient d’être visée par une nouvelle plainte déposée, cette fois-ci, par un grand lobbyiste accrédité par l’Union Européenne.
C’est en tout cas l’information que Lecourrier-du-soir.com a apprise ce 16 avril du média Euractiv. En effet, à en croire cette source, la plainte a été déposée par le puissant lobbyiste belge Frédéric Baidan, un poids lourd du lobby européen. Ce dernier dit avoir personnellement décidé de poursuivre Von der Leyen en justice car il estime que la présidente de la Commission Européenne a ébranlé les finances publiques de son pays ainsi que la confiance publique dont jouissaient jusque-là les institutions.
D’après les informations obtenues par Euractiv, Frédéric Baidan a déposé sa plainte ce 5 avril à Liège. Dans sa plainte, le lobbyiste belge accuse Von der Leyen d’avoir agi en dehors des Traités européens et d’avoir outrepassé son mandat de présidente de la Commission Européenne.
Il faut dire que cette information intervient moins d’un mois après la décision de l’UE de blanchir totalement la présidente de la Commission Européenne. En effet, d’après une info d’Euractiv publiée ce 27 mars, Stella Kyriakides, commissaire européenne à la Santé, persiste et signe. Pour elle, la présidente de la Commission Européenne n’est, en aucun cas, impliquée dans les négociations ayant précédé la signature de contrats de vaccins estimés à plusieurs milliards d’euros.
« La présidente de la Commission Européenne n’a été impliquée dans aucune négociation concernant les contrats Covid. Je l’ai dit avant et je le redis une nouvelle fois », a martelé Stella Kyriakides. Devant le Comité Spécial en charge du Covid, la commissaire européenne à la Santé joue la carte de la transparence.
« Il y a eu une équipe qui s’est chargée de la négociation et un comité directeur », insiste-t-elle. Et elle ne s’arrête pas là. Face au Comité Spécial Covid, elle pointe du doigt la responsabilité des Etats membres. « Les Etats membres ont toujours eu la possibilité de rejeter un contrat (…). Ils étaient parfaitement au courant des conditions de ces contrats », révèle Stella.
Face au Comité Covid, Stella Kyriakides précise que tout a été fait pour que les députés soient informés des tenants et aboutissants des contrats signés avec les labos. Cependant, elle reconnaît, tout de même, que les réponses fournies à ces derniers (les eurodéputés, ndlr) n’ont pas été satisfaisantes en raison des clauses de confidentialité qui encadrent ces contrats.
RépondreSupprimerhttps://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-von-der-leyen-poursuivie-en-justice-pour-avoir-viole-les-traites-europeens-dans-les-contrats-signes-avec-pfizer/
Les guerres de Corona ont révélé la corruption institutionnelle : le pivot de l'autonomie dans un nouveau monde des soins de santé
RépondreSupprimerPar le Dr Emmanuel Garcia
Recherche mondiale,
17 avril 2023
Je suppose que j'ai contemplé les contours d'une forme idéale de "médecine" depuis toujours, certainement depuis le début de mes études institutionnelles formelles qui ont conduit à mon doctorat en médecine.
Trois années de guerres du Corona ont révélé la corruption institutionnelle à pratiquement tous les niveaux : les gouvernements, leurs ministères, les conseils médicaux qui prétendent protéger leurs citoyens en réglementant ceux qui pratiquent la médecine, les entités mondiales inextricablement liées, par exemple, les Nations Unies et le Organisation Mondiale de la Santé.
Nous avons vu au cours de ces trois dernières années comment les vaccins ont été redéfinis, comment le consentement éclairé a été minimisé, comment le serment d'Hippocrate a perdu son charme pour l'agenda mondialiste cherchant à instiller la peur dans la population du monde et à injecter ce population avec une concoction thrombogène modifiant les gènes en utilisant les arts de la séduction et de la force.
Ainsi, la poussière étant retombée, de l'intérieur de ces décombres de malversations institutionnelles, nous avons l'occasion de repartir à zéro - nous qui avons reconnu le rôle pervers du complexe industriel pharmaceutique avec ses soi-disant aspirations au Nouvel Ordre Mondial.
Commençons par les médecins et l'autorité dont ils ont été investis, et le pouvoir dont les installations de recherche scientifique et les hôpitaux ont été revêtus par ceux qui, souffrant, sont à leur merci.
Chaque rencontre entre un patient et un médecin est elle-même imprégnée d'aspects de cette force : même les rois d'un royaume terrestre ont été humiliés, lorsqu'ils étaient faibles et frappés, par leurs médecins.
Il est temps d'uniformiser les règles du jeu et de soutenir une forme d'auto-guérison guidée par le patient dans laquelle l'individu devient maître de son propre traitement. Après tout, la première étape typique pour tout individu affligé est une auto-guérison ; ce n'est qu'en cas d'échec qu'il s'adresse à une autorité professionnelle, autorité dont la réglementation est monopolisée par l'État.
Cette autorité peut désormais prendre une nouvelle forme et être redéfinie.
Laissons de côté pour l'instant la Grande Médecine, j'entends par là la médecine des procédures hautement techniques et des équipements coûteux et des salles d'opération et chirurgies, la Médecine des soins aigus de traumatologie et de l'imagerie complexe, qui, selon mon estimation, ne représente qu'un faible pourcentage de la santé.
Concentrons-nous plutôt sur les domaines de la nutrition, de la prévention, du dépistage précoce des maux et des traitements naturels des affections qui constituent l'essentiel des consultations chez le médecin généraliste. Diabète, hypertension, santé cardiovasculaire – il me semble que ces problèmes peuvent être traités facilement et avec succès par des approches médicales intégratives et « alternatives » qui reposent beaucoup moins sur des produits pharmaceutiques exclusifs et beaucoup plus sur des approches homéopathiques. Mais quel que soit le type d'intervention, au cœur de ce que je propose, il y a une démystification claire et délibérée du médecin ou du guérisseur - une démystification qui n'enlève rien à la reconnaissance de l'expertise, mais qui place le patient sur un pied d'égalité, comme c'était.
RépondreSupprimerEn psychanalyse, la découverte par Freud de ce que nous appelons « transfert » a conduit à une immense recherche sur le sens et les usages des constellations émotionnelles projetées ou transférées sur l'analyste. Cela impliquait la reconnaissance de la création d'un pouvoir autoritaire - un pouvoir créé par le patient lui-même qui, à la fin d'une analyse réussie, serait suffisamment dissipé ou analysé jusqu'à ce que le patient puisse procéder de manière indépendante. En résumé, le but de l'analyse est l'auto-analyse : l'autonomie.
Sous ces lumières, un nouveau système serait celui d'une coopération égalitaire. Un patient serait libre de s'éduquer et de choisir des interventions, des approches, des médicaments et des traitements en fonction de ses besoins.
Je devrai laisser à d'autres dont les pouvoirs d'organisation créative sont bien plus grands que les miens la manière dont cela peut être mis en œuvre dans la pratique. Je peux imaginer des centres de bien-être florissants, une consultation communicative généralisée rendue possible par Internet, des programmes mettant l'accent sur la santé plutôt que axés sur et organisés principalement autour de la maladie… En fait, je suis au courant d'initiatives ici en Nouvelle-Zélande et dans le monde qui ont commencé à mettre en œuvre de telles idées.
Mais c'est le pivot de l'autonomie qui s'impose , quel que soit le levier utilisé, et la fin de la tradition millénaire de la médecine occidentale qui divinisait les médecins. Cela signifiera également la fin du règne des monstrueuses entités et entreprises publiques et privées qui nous ont si profondément trahis ces trois dernières années.
https://www.globalresearch.ca/fulcrum-autonomy-brave-new-world-healthcare/5816151
Propagande de l'OMS : l'injection de Covid a sauvé un million de vies en Europe
RépondreSupprimer17 avril 2023
par Thomas Oysmuller
Lundi, l'OMS a annoncé que la "vaccination" contre le Covid aurait sauvé plus d'un million de vies rien qu'en Europe. Politiciens et journalistes célèbrent le message.
Un nouveau rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) vous fait vous asseoir et prendre note : les "vaccins contre le coronavirus" ont sauvé plus d'un million de vies depuis la fin de 2020 - rien qu'en Europe. Le nombre a été "calculé sur la base du nombre de décès et des doses de vaccin administrées". Dans le même temps, l'appel à la vaccination est renouvelé, avec lequel on veut évidemment argumenter la nouvelle campagne.
L'OMS dans le cadre de l'industrie de la pandémie
Selon le rapport, "un nombre particulièrement important de décès" ont été évités pendant la vague omicron. Selon le rapport, l'injection aurait sauvé plus d'un demi-million de personnes de la mort d'omicron. Cependant, les rapports traditionnels ne mentionnent pas que le taux de mortalité par infection pour Omikron était significativement inférieur à celui des variantes précédentes. Il n'y a pas non plus de lien direct avec « l'étude » dans les reportages des médias.
Rudolf Anschober, l'ancien ministre autrichien de la Santé, a fièrement tweeté le message correspondant de l'ORF : " Je répondrai désormais toujours aux négationnistes agressifs qui se sentent confirmés depuis la Basse-Autriche."
Florian Klenk a tweeté le message correspondant de la " Süddeutsche " : " Les vaccinations corona ont sauvé plus d'un million de vies en Europe. Un million ! "
Cependant, aucun d'eux n'a mis l'OMS dans son contexte. Cependant, il faut mentionner que le plus gros donateur de l'OMS est l'empire privé Gates, d'une part via la « Fondation Bill & Melinda Gates » et d'autre part via l'alliance de vaccination « GAVI ». Des fonds privés à l'OMS sont également affectés. L'OMS ne peut pas disposer librement de l'argent, mais les donateurs privés déterminent où il doit être investi.
C'est la principale raison pour laquelle de nombreux critiques décrivent l'OMS comme une "ONG privée" ou pourquoi l'agence des Nations Unies est qualifiée de groupe de pression pour l'industrie de la pandémie. En raison de l'argent de Gates, qui a beaucoup investi dans le secteur de la vaccination, une discussion objective sur le sujet devrait être très difficile.
L'OMS souligne notamment que les personnes de plus de 60 ans auraient été "sauvées". Ces personnes sont également la cible de la prochaine campagne de vaccination, que l'OMS et la Commission européenne prévoient de lancer au printemps et à l'automne au plus tard. La présentation du succès de la vaccination était également accompagnée d'un appel : "les personnes non vaccinées" doivent "se laisser protéger". Car l'injection de Covid aurait été un grand succès.
https://tkp.at/2023/04/17/who-propaganda-covid-spritze-hat-in-europa-eine-million-leben-gerettet/
A RAPPELER QUE: Il y a DES milliers de laboratoires qui analysent tous les jours la qualité de l'air sans que dans le monde un seul n'ait pu découvrir ce virus dans l'air !! Çà alors !!
SupprimerMais où est-ce qu'il est-il ?
EN SERINGUES !!
ENCORE 3 ARTICLES DE CENSURÉS ! (120 - 3 = 117)
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