Lorsqu'est imagé une pyramide beaucoup de gens pensent (?) que les pharaons été enterrés... au sommet ? Que nenni ! Ils étaient sous le tas de pierre ! Donc, à la représentation du triangle équilatéral, il est nécessaire plutôt de se représenter un terrain triangulaire où le FMI, WEF et ONU seraient coincés en coin face à 8 milliards d'habitants qui s'avancent !
La sonnette d'alarme retentit alors que la deuxième plus grande entreprise d'électroménager au monde signale une chute de la demande
PAR TYLER DURDEN LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 15:28
Le fabricant suédois d'appareils électroménagers Electrolux AB a annoncé un programme de réduction des coûts après avoir signalé une chute de la demande pour ses appareils électroménagers en Europe et aux États-Unis.
Le deuxième plus grand fabricant d'appareils électroménagers au monde après Whirlpool a déclaré : "On estime que la demande du marché pour les appareils de base en Europe et aux États-Unis jusqu'à présent au troisième trimestre a diminué à un rythme considérablement accéléré par rapport au deuxième trimestre, sous l'effet de forte inflation sur les achats de biens de consommation durables et faible confiance des consommateurs. »
Il a noté: "Les niveaux élevés des stocks des détaillants ont amplifié l'impact du ralentissement de la demande des consommateurs."
N'oubliez pas qu'il existe une surabondance massive de biens de consommation chez les détaillants.
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Electrolux a averti qu'une combinaison de chaînes d'approvisionnement bloquées avait fait pression sur la société, qui devrait enregistrer une perte d'exploitation encore plus importante au troisième trimestre.
"En combinaison avec des déséquilibres de la chaîne d'approvisionnement entraînant d'importantes inefficacités de production et une augmentation des coûts, les bénéfices du Groupe au troisième trimestre devraient baisser de manière significative par rapport au deuxième trimestre 2022, en excluant également le coût ponctuel de sortie du marché russe. Cela a été tiré principalement par l'Europe et l'Amérique du Nord. Le secteur d'activité Amérique du Nord devrait enregistrer une perte d'exploitation au troisième trimestre supérieure à la perte du deuxième trimestre.
La baisse de la demande des consommateurs, la constitution des stocks des détaillants et les pertes croissantes de la société suédoise ont forcé son conseil d'administration à "lancer un programme de réduction des coûts à l'échelle du groupe portant à la fois sur les coûts variables et structurels". Electrolux a expliqué plus en détail les réductions de coûts :
"Le programme, qui démarre immédiatement, se concentrera sur la réduction des coûts variables, avec une attention particulière à l'élimination des inefficacités de coûts dans notre chaîne d'approvisionnement et de production. Les réductions de coûts structurelles auront principalement lieu en Europe et en Amérique du Nord et comprendront des mesures de priorisation et d'efficacité tirant parti des récentes changements organisationnels qui sont entrés en vigueur le 1er juillet. Les mesures comprennent l'augmentation de la productivité des opérations ainsi que l'optimisation du portefeuille de R&D, de l'administration, des activités de vente et de marketing.
Les perspectives dégradées d'Electrolux ont initialement fait chuter les actions de 7%, mais ont depuis récupéré la plupart des pertes à la fin de la session européenne.
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Le PDG d'Electrolux, Jonas Samuelson, a déclaré que la confiance des consommateurs devrait rester déprimée en Europe, ajoutant : "Je pense que les gens s'accrocheront assez fort à leur portefeuille". Il en va probablement de même aux États-Unis – les consommateurs ont renoncé à acheter des biens durables et se sont concentrés sur l'achat de produits de base, car l'inflation la plus élevée depuis des décennies a entraîné une croissance des salaires profondément négative pendant plus d'un an. Les ménages des deux côtés de l'Atlantique sont à la peine.
De combien de temps et d'argent le Royaume-Uni a-t-il besoin ?
PAR TYLER DURDEN LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 15:08 Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,.
"Tant pour les aumônes alors...?"
Les finances du Royaume-Uni dépendent de la durée pendant laquelle la sécurité énergétique reste compromise et de la capacité du nouveau gouvernement Truss à convaincre les marchés de financer cette période.
Cela va être une semaine extraordinaire pour le Royaume-Uni.
La vie et les marchés continuent. La montée d'amour et de respect pour la reine Elizabeth et les espoirs ardents que nous souhaitons pour le règne du roi Charles servent en quelque sorte de distraction de la réalité économique à laquelle la nation est confrontée. L'inflation, la récession et l'incertitude énergétique continueront de bouleverser la réalité. Les cyniques peuvent soutenir que la décision de la nouvelle première ministre Liz Truss de faire une tournée au Royaume-Uni avec le prince Charles cette semaine est dans l'espoir qu'une partie de son nouvel éclat retrouvé la déteint. Et pourquoi pas? Elle en aura besoin.
Malgré tous mes doutes sur notre nouveau gouvernement, je saluerai avec plaisir Truss et le chancelier Kwazi Kwarteng pour avoir mis en place le plafond énergétique la semaine dernière. Les temps extraordinaires exigent des mesures extraordinaires.
Il n'y avait pas d'alternative pratique – le gouvernement s'est engagé à réduire les factures d'énergie des consommateurs et des PME pendant que la crise de l'énergie se poursuit. Cela supprimera la misère économique de millions de personnes. Il réduit le risque de récession et fera baisser le titre de l'inflation. Aucun chiffre n'a été fourni, mais il est prévu de créer un trou de 150 à 200 milliards de livres sterling dans les finances de l'État au cours de l'année prochaine, qui ne pourra être couvert que par des emprunts supplémentaires.
Cela soulève toutes sortes d'inquiétudes quant à la stabilité financière du Royaume-Uni : pendant combien de temps la nation pourra-t-elle se le permettre ?
La première question cruciale est de savoir combien de temps durera la crise énergétique ?
À court terme, la crise concerne la perturbation des approvisionnements énergétiques de la Russie pendant la guerre d'Ukraine. Il est peu probable que cela change. Les nouvelles d'Ukraine suggèrent un revers russe majeur - mais cela ajoute simplement un degré d'incertitude sur ce que pourrait faire un Poutine enragé et imprévisible. Les risques que la Russie utilise des armes nucléaires tactiques sur le champ de bataille, des frappes de missiles hypersoniques sur des noyaux et des nœuds énergétiques et des cyberattaques sur les réseaux et les infrastructures énergétiques européens sont élevés.
Les chocs énergétiques à moyen terme ont tendance à être de courte durée, car de nouvelles sources d'approvisionnement en énergie alternative sont innovées et mises en ligne - tout, depuis le gaz importé, les achats d'électricité en gros et l'augmentation des combustibles fossiles, ainsi que les programmes gouvernementaux d'économie d'énergie domestique, seront mis en ligne. La grande préoccupation est de savoir si l'Europe peut éviter le rationnement et les coupures d'électricité, et jusqu'où iront les dommages énergétiques à l'économie.
À long terme, les prix de l'énergie se normaliseront. L'Europe établira une nouvelle économie énergétique sécurisée - et la Russie s'efforcera de vendre son énergie à un acheteur monopolistique - la Chine, qui ne voudra probablement pas payer le prix du marché.
La deuxième question critique est la suivante : le Royaume-Uni peut-il se le permettre ?
Le volume actuel des gilts britanniques en circulation est de 2,174 milliards de livres sterling. Les fils financiers et les commentaires disent que les investisseurs ne sont tout simplement pas disposés à financer les dépenses non plafonnées du nouveau plafond énergétique via le Gilt Market. Il y a un prix pour tout. La réalité est que le Royaume-Uni peut émettre des cochettes à sa guise – mais devra accepter le prix que le marché est prêt à payer. Ce prix dépend de l'offre et de la demande, mais aussi des actifs incorporels - comme la façon dont les investisseurs évaluent la Virtuous Sovereign Trinity du Royaume-Uni - ses perspectives politiques et sa stabilité, les facteurs agissant sur la livre sterling et un jugement sur la stabilité de la dette nationale.
Émettre 150 milliards de livres sterling de gilts supplémentaires, à un moment où la Banque d'Angleterre augmente ses taux et où une récession se profile… Dur ! Il existe des alternatives. La Banque d'Angleterre peut, en utilisant la voie bien connue du QE pour imprimer de la monnaie, agir en tant qu'acheteur. Une autre astuce consiste à attirer les acheteurs – comme annoncer aux banques et aux institutions qu'ils peuvent emprunter directement à la Banque contre leurs Gilts – même effet.
Et il y a toujours le ZONK.
Le Zonk est une petite pièce britannique dont personne n'a jamais entendu parler jusqu'à présent, dont l'une sera frappée uniquement sur instruction du Trésor britannique pour représenter le visage du roi Charles (face à la direction opposée au visage du Queens sur l'ancienne monnaie).
J'ai appelé notre compagnie d'assurance maladie - Bupa. Ils ne répondent plus au téléphone. J'ai dû me connecter via un chat bot, qui m'a finalement connecté à une personne pour un chat en ligne. Cela a pris des années - et c'est une méthode très inefficace pour communiquer. J'ai expliqué ce qui s'était passé et j'ai demandé au feu vert l'échographie et la consultation urgentes.
L'agent de Bupa est resté vide pendant un moment, puis est revenu en disant que parce que la blessure initiale s'est produite il y a 2 semaines - en jouant avec le chien - la blessure pour laquelle je cherchais une autorité était donc une condition "préexistante", et serait donc pas être couvert à moins que je puisse obtenir une lettre de mon médecin généraliste confirmant qu'il ne s'agissait pas d'une condition préexistante. J'ai expliqué que j'avais mal, qu'un kiné m'avait dit qu'un scanner était urgent pour vérifier le risque potentiel d'hernie, et que tout était disponible. Je pourrais me prendre des semaines pour aller voir un médecin généraliste.
C'est la base de la médecine privée. Vous obtenez un traitement - mais seulement si la compagnie d'assurance ne trouve pas le moyen de se soustraire à ses obligations. Malgré l'argent que mon entreprise paie pour ma couverture, on m'a effectivement refusé un traitement.
Je vais parler à un avocat plus tard dans la journée au sujet de poursuivre les daylights hors de BUPA pour violation. Je suis allé au rendez-vous et j'ai découvert des ecchymoses sur le muscle, mais aucun signe d'hernie - ce qui est un grand soulagement. Ma nouvelle mission dans Life sera la Destruction de BUPA.
Les chemins de fer américains adoptent des "plans d'urgence", se préparent à une grève du travail alors que les pourparlers syndicaux échouent
PAR TYLER DURDEN LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 14:45
Les chemins de fer et les syndicats ont travaillé tout le week-end pour conclure un accord. Il y avait peu de signes de progrès, et les compagnies ferroviaires prennent maintenant des mesures lundi pour sécuriser les expéditions de matières dangereuses et sensibles à la sécurité « compte tenu de la possibilité d'une grève des travailleurs des chemins de fer », a écrit l'Association of American Railroads (AAR) dans un communiqué.
Dimanche, Norfolk Southern a publié une déclaration détaillant qu'il avait "commencé à mettre en œuvre ses plans d'urgence pour une fermeture contrôlée de notre réseau à 00h01 le vendredi 16 septembre". Le chemin de fer a déclaré que deux syndicats s'accrochent à de nouveaux contrats, "nous n'avons toujours pas d'engagement de ne pas faire grève et devons agir en conséquence", ajoutant : "Notre objectif est de garantir qu'en cas d'arrêt de travail, les équipes, l'équipement , et le fret atteint sa destination en toute sécurité avec un minimum de perturbations."
Union Pacific et CSX ont également annoncé des plans d'urgence pour un éventuel arrêt de travail. Le BNSF a dit aux clients d'appeler le Congrès afin que les législateurs de Capitol Hill puissent "intervenir pour empêcher ou résoudre rapidement l'interruption de service" si une grève du travail se matérialisait vendredi. Le chemin de fer a également déclaré: "Nous commencerons à prendre des mesures pour gérer et sécuriser les expéditions de matières dangereuses et sensibles à la sécurité dès lundi."
Les réseaux de fret ferroviaire sont les artères de l'économie américaine.
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Il y a deux mois, l'administration Biden a imposé une période de réflexion de deux mois qui doit expirer à 00 h 01 HE le 16 septembre – après cela – le président Biden n'avait pas le pouvoir d'empêcher une grève entre deux les syndicats qui avaient encore conclu un accord avec les chemins de fer. Seul le Congrès peut intervenir après l'expiration de la période de refroidissement.
Bloomberg a déclaré que les deux syndicats comprennent la Fraternité des ingénieurs de locomotive et des agents de train et l'Association internationale des ouvriers en tôle de l'air, des chemins de fer et des transports, représentant plus de 90 000 employés des chemins de fer. Dix des autres syndicats ont déjà conclu un accord avec les chemins de fer.
L'Association of American Railroads a averti qu'une grève des chemins de fer pourrait coûter à l'économie américaine plus de 2 milliards de dollars par jour, tandis que des perturbations ne seraient pas une bonne optique pour l'administration Biden avant les élections de mi-mandat en novembre.
L'analyste de Bloomberg Intelligence, Lee Klaskow, a souligné que BNSF et Union Pacific représentent 45 % du trafic intermodal de classe I, tandis que CSX et Norfolk Southern en ont 31 %.
Selon les données du gouvernement, environ 29 % de l'ensemble du fret américain se déplace sur les rails. La moitié de la cargaison est constituée de produits en vrac, tels que l'énergie, la nourriture, les produits chimiques, les métaux et la production de bois, l'autre moitié étant constituée de conteneurs de biens de consommation.
"Même une interruption temporaire créerait un effet d'entraînement dévastateur" sur les chaînes d'approvisionnement américaines, a averti l'American Bakers Association, un groupe commercial basé à Washington représentant plus de 300 entreprises.
Même s'il n'y a pas de grève, les réseaux ferroviaires sont déjà engorgés. La compagnie maritime Maersk a récemment suspendu les réservations d'importation via Fort Worth, au Texas, en raison d'une "grave congestion" dans les gares de triage.
Les chemins de fer se préparent à d'éventuels arrêts de travail à la fin de la semaine si les deux syndicats ne parviennent pas à conclure un accord. Il est possible que le Congrès intervienne avant l'expiration de la période de refroidissement. Si ce n'est pas le cas, attendez-vous à une flambée des chaînes d'approvisionnement en difficulté.
La politique climatique est une menace beaucoup plus grande que le changement climatique
PAR TYLER DURDEN LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 17:17 Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
Une crise financière mondiale se prépare. Le bouc émissaire facile est Poutine. Le plus gros problème est la politique partout où vous regardez...
La décision de l'Allemagne de mettre au rebut ses réacteurs nucléaires avant d'avoir une énergie de remplacement est en jeu.
En avril, le Premier ministre britannique de l'époque, Boris Johnson, s'est vanté que sa stratégie de sécurité énergétique "apporterait une électricité propre, abordable et sûre à la population pour les générations à venir".
Aux États-Unis, la Californie continue avec la bénédiction du président Biden, des cibles absurdes pour les voitures électriques sans avoir la moindre idée d'où proviendront les minéraux et l'exploitation minière de ces batteries.
Crise mondiale de la politique climatique Le Wall Street Journal commente la prochaine crise mondiale de la politique climatique.
Une crise n'arrive pas, elle est déjà là, et évidemment ainsi.
La Réserve fédérale, la Banque d'Angleterre et la Banque centrale européenne, entre autres, veulent savoir comment les variations de température mondiales d'ici un siècle pourraient peser sur les pondérations de capital et de risque de Citi, Barclays ou Deutsche Bank aujourd'hui. La mode consiste à quantifier, avec une fausse précision absurde, les coûts de réassurance des risques d'inondation ou d'incendie, ou la baisse des bénéfices des entreprises d'un avenir dystopique plus chaud.
Eh bien, si vous recherchez le « risque climatique » pour la stabilité financière, regardez autour de vous. Elle est arrivée, quoique exactement à l'opposé de ce que prévoyait notre génération actuelle d'éco-financiers. Le sort de l'Europe raconte une histoire qui pourrait bientôt devenir trop familière aux États-Unis.
Le Royaume-Uni pourrait être confronté à une vague de faillites d'entreprises dépassant tout ce qui a été observé pendant la panique et la récession d'après 2008. Quelque 100 000 entreprises pourraient être contraintes à l'insolvabilité dans les mois à venir, a averti cette semaine le cabinet de conseil en faillite Red Flag Alert. Ce sont par ailleurs des entreprises en bonne santé avec au moins 1 million de livres sterling de chiffre d'affaires annuel. Les faillites d'entreprises de cette ampleur éclipseraient les quelque 65 000 entreprises de toute taille qui ont fait faillite entre 2008 et 2010.
Les choses sont probablement pires en Allemagne, la plus grande économie de la zone euro. Quelque 73 % des petites et moyennes entreprises interrogées dans une enquête ont déclaré ressentir une forte pression des prix de l'énergie, et 10 % d'entre elles ont déclaré qu'elles pensaient faire face à des menaces « existentielles » pour leurs activités au cours des six prochains mois. Et ce sondage, de l'association des petites entreprises BMD, est celui qui est optimiste. Une enquête distincte publiée cette semaine par le BDI, une importante association industrielle, a révélé que 34 % des répondants décrivaient les prix de l'énergie comme un « défi existentiel ». Les faillites d'entreprises se répercuteront sur les chaînes d'approvisionnement et se répercuteront rapidement sur les banques.
Est-ce que quelqu'un sait exactement ce que tout cela signifiera pour le système financier ? Bien sûr que non. Personne ne s'est sérieusement donné la peine de « stress tester » des augmentations catastrophiques des prix de l'énergie, même si la Banque d'Angleterre prétend avoir modélisé l'impact économique d'une augmentation des températures mondiales de 3,3 degrés Celsius au cours des prochaines décennies. Soit dit en passant, la BOE a également prédit que l'impact économique de la transition vers un avenir à zéro émission nette de gaz carbonique serait modeste.
Folie inflationniste Les décisions politiques de chefs d'État ignorants s'inclinent devant Saint Gretta, AOC et le président Biden.
Ils ont mis en place un brasier inflationniste que les banquiers centraux ne savent comment arrêter.
Encore plus ridicule, le président Biden, Elizabeth Warren et d'autres veulent que la Fed assume un troisième mandat et teste sous tension l'impact économique de la hausse continue de la température.
Ce qui doit être testé, c'est l'inverse, l'impact inflationniste d'une poussée pour l'énergie propre avant que la technologie de stockage sur batterie n'existe, des améliorations du réseau existent, et si oui ou non les métaux physiques pour toutes les batteries qui seront nécessaires sont même disponibles.
L'Allemagne va assouplir les règles d'insolvabilité alors que la crise de l'énergie frappe durement Veuillez noter que l'Allemagne va assouplir les règles d'insolvabilité alors que la crise de l'énergie frappe durement
Le ministre allemand de la Justice prévoit un assouplissement temporaire des règles d'insolvabilité pour aider à maintenir à flot les entreprises qui ont des modèles commerciaux fondamentalement sains mais qui sont aux prises avec des dettes en raison des coûts élevés de l'énergie, a-t-il déclaré vendredi.
Marco Buschmann, dont le portefeuille comprend des règles d'insolvabilité, a déclaré que son plan exempterait les entreprises de l'obligation de déposer une demande d'insolvabilité si un expert constate qu'elles ont un "pronostic de continuité d'exploitation positif" pendant quatre mois, contre 12 mois maintenant.
Cette semaine, le fabricant de papier hygiénique Hakle, le détaillant de chaussures Goertz et le fournisseur automobile Dr. Schneider ont déposé un dossier d'insolvabilité, et le ministre de l'Économie Robert Habeck a déclaré qu'il pouvait imaginer que certaines parties de l'économie arrêtaient la production en raison de la hausse des prix de l'énergie.
En Californie ... Pendant ce temps, la Californie exige plus d'inflation et interdit l'essence dans les ventes de voitures neuves d'ici 2035.
Les questions abondent La production de lithium, de cobalt, de manganèse et de nickel sera-t-elle suffisante pour fabriquer toutes les batteries ? À quel prix ?
Le réseau électrique peut-il supporter la pression ?
Y aura-t-il suffisamment de bornes de recharge ?
Qui paiera toutes les bornes de recharge ?
Ce sont de bonnes questions et personne n'a les réponses. Mais j'ai la réponse à une question de conduite.
Q : Cela fera-t-il beaucoup pour l'environnement d'ici 2035 ? R : Non, et peut-être pas 2050 non plus.
Les banquiers centraux avaient le vent désinflationniste de la mondialisation dans le dos. Maintenant, il a une forte brise de démondialisation et de décarbonisation qui souffle sur son visage.
PAPIER TOILETTE : EN ALLEMAGNE, L'INDUSTRIE EST EN CRISE
par PAOLO GAROSCIO 12/09/2022
Le prix du papier toilette a augmenté de 12,43 % en France en août 2022 sur un an.
Va-t-on connaître une nouvelle pénurie de papier toilette en Europe, après celle liée à la pandémie de Covid-19 (essentiellement causée par des achats de panique) ? Le risque existe. Face à une forte hausse des prix de l’énergie et des matières premières, le secteur tire la sonnette d’alarme outre-Rhin. L’un des acteurs majeurs a même fait faillite…
Hakle : géant du PQ happé par la hausse des prix
Peu connu en France, Hakle est une institution en Allemagne : il est l’un des principaux producteurs de papier toilette et essuie-tout du pays. Mais le 6 septembre 2022, il a annoncé être en crise et a déclaré son insolvabilité. Un choc pour le pays qui avait déjà connu, durant la pandémie de Covid-19, de grandes pénuries de papier toilette dans les magasins.
Or, si la pénurie en 2020 était liée au choc de la pandémie, l’arrêt de la production et des problèmes logistiques pour raisons sanitaires, celle de 2022 est plus complexe. Elle est causée par la hausse des prix des matières premières, notamment la pâte à papier, et l’augmentation des prix de l’énergie. « L'ensemble de l'industrie papetière est soumise à une énorme pression des coûts » a déclaré au magazine Der Spiegel Gregor Geiger, directeur de la fédération des industries du papier en Allemagne.
Pas de solution à court terme pour l’industrie
La différence entre les deux crises est majeure : alors que les problèmes de production et de logistique causés par le virus Sars-CoV-2 étaient attendus pour être temporaires, nécessitant essentiellement une réorganisation, celle que connaît le secteur actuellement ne présente pas de solutions à court terme. La crise du gaz russe devrait se poursuivre, Moscou continuant d’utiliser l’énergie comme moyen de pression sur l’Union européenne, sur fond de guerre en Ukraine.
De plus, l’industrie se heurte au problème de la rentabilité : avec la hausse des prix des matières premières et de l’énergie, elle devrait fortement augmenter les prix pour le consommateur final. En France, d'ailleurs, en août 2022 la hausse sur un an a dépassé les 10%. Mais cette pratique risque de freiner les ventes, surtout pour les produits les plus chers, alors que les ménages tendent à faire des économies.
Koala ou éléphant - combien d'heures par jour dormez-vous ?
PAR TYLER DURDEN LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 08:45
Chaque animal doit se reposer d'une manière ou d'une autre, mais certains animaux ont besoin de beaucoup plus de sommeil que d'autres.
Ce graphique de Giulia De Amicis utilise les données de startsleeping.com pour montrer les habitudes de sommeil typiques de 40 animaux différents, mettant en évidence leurs temps de sommeil moyens et le pourcentage de chaque journée de 24 heures qu'ils passent à se reposer.
- voir cadre sur site -
Comparé au reste des animaux présentés dans le graphique, les humains ont besoin d'une quantité relativement faible de sommeil.
Nous dormons en moyenne huit heures - soit 33 % de notre journée.
En revanche, les Koalas dorment jusqu'à 22 heures par jour, soit 87,5 % de la journée. Cela est principalement dû au régime alimentaire du koala - les koalas mangent des feuilles d'eucalyptus, qui sont toxiques et nécessitent beaucoup d'énergie pour être digérées.
Gerhard Wisnewski sur la guerre Russie-Ukraine : « Comme pour le 11 septembre, la vérité est diamétralement opposée »
10.09.2022 www.kla.tv/23576
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Et il en résulte que cette guerre a été préparée depuis longtemps, mais pas seulement ou pas par les Russes, mais par les Américains, depuis des années. Il y a de véritables études qu'ils ont faites sur la manière de déstabiliser la Russie.
Oui, il faut bien sûr en tout premier lieu dire adieu aux médias établis. Si tant est qu'on puisse encore les écouter, on ne peut le faire que partiellement, à petites doses, je dirais, pour savoir ce qui se passe, ce qui est mensonger et déformé. C'est important de le savoir. Mais on ne doit plus les utiliser comme source d'information à laquelle on fait confiance. Il faut absolument passer aux médias alternatifs, s'y intéresser et se libérer de toute cette propagande.
Interviewer : Monsieur Wisnewski, je vous souhaite la bienvenue pour notre interview sur Kla.TV. Brièvement pour nos téléspectateurs qui ne vous connaissent peut-être pas encore. A ma connaissance, vous avez été le premier journaliste allemand à remettre en question la couverture officielle par la politique et les médias principaux des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Et donc, bien sûr, à remettre en question non seulement ces informations, mais aussi la guerre contre le terrorisme qui en a résulté et qui a été déclenchée par l'administration américaine. Il s'agissait alors d'un énorme pas innovateur, qui a déclenché une remise en question et un changement de mentalité chez de nombreuses personnes. Je dirais que cela a réveillé un esprit d'investigation. Et cela nous amène au sujet d'aujourd'hui : Actuellement, la politique et les médias dominants nous programment avec insistance avec leur narratif de la guerre Russie-Ukraine. Et cette fois encore, ce sont des répercussions lourdes de conséquences qui nous attendent. Eh bien, Monsieur Wisnewski, pour une fois que nous avons devant la caméra un homme comme vous, doué pour l'investigation, nous aimerions bien sûr savoir ce que vous en pensez. Y a-t-il ici, comme dans le cas du 11 septembre, un tout autre contexte, un autre arrière-plan, des intentions, des stratégies, des tireurs de ficelles et des profiteurs autres que ceux que nous la politique et les médias principaux présentent ?
G. Wisnewski : Oui, bien sûr, alors bien sûr, entre la version officielle des médias et la vérité, il y a à nouveau un énorme écart, un énorme fossé. Donc ici, on nous présente Poutine comme le méchant. Les méchants Russes ont donc attaqué l'Ukraine et je ne veux pas non plus les défendre davantage, car je ne pense pas forcément que Poutine soit irréprochable. Mais le fait est que les Américains travaillent depuis de nombreuses années à cette opération militaire, sans oublier que cette guerre dure depuis 2014. Ce que nous avons pu voir à partir de fin février 2022, c'est une nouvelle offensive de la Russie contre l'Ukraine. Et c'est à cela que les Américains travaillent depuis des années. Ils ont donc envoyé des milliards vers l'Ukraine pour y former et entraîner l'armée. Et ils ont aussi rédigé des papiers, des études, dans lesquels ils anticipaient déjà cette guerre. Ils voulaient donc absolument cette guerre. Et pourquoi au juste ? Et c'est évidemment ce qu'on ne dit pas au public, que les États-Unis voulaient absolument cette guerre. Parce que, quand on regarde la liste des avantages que les États-Unis tirent de cette guerre, on n'en finit plus. J'ai ici quelque chose de très exclusif, à savoir un extrait de mon nouvel livre de l’année, sur lequel je travaille actuellement. J'ai compilé toute cette liste, mais je ne la connais pas par cœur. Ce que les États-Unis ont à gagner dans cette guerre, il faut bien le comprendre. On nous dit toujours ce que les Russes ont à gagner dans cette guerre, et peut-être que cela leur apporte quelque chose. Peut-être veulent-ils se protéger d'une nouvelle avancée de l'OTAN, c'est tout à fait possible.
Mais si on regarde cette liste, ce que les Etats-Unis et l'OTAN ont à gagner de cette nouvelle offensive militaire des Russes… Nous avons donc ici un moyen de diversion et des explications pour d’autres problèmes comme l'inflation, la crise économique, la dissimulation des crimes du Covid, donc de la diversion. Diriger la colère des gens vers tout cela, vers Poutine, vers la hausse des prix, l'inflation. Discipliner les citoyens, instaurer un régime de peur, justifier des mesures antidémocratiques et le cas échéant, peut-être même nous menacer d'un régime d'urgence. Le président Zelensky est passé du statut de politicien corrompu à celui de héros. Zelensky est en effet présenté dans le monde entier comme un super-héros et on n'a plus le droit de le contredire. Ensuite, améliorer les chances pour l'Ukraine d'adhérer à l'UE et à l'OTAN, ce qui est également un objectif prioritaire des Etats-Unis, et renforcer le rôle de leader des Etats-Unis.
Vous avez évoqué le 11 septembre, nous avons eu exactement la même chose. Cela signifie donc qu'avec le 11 septembre, les États-Unis ont à l'époque remis l'OTAN sur les rails. Je me souviens de Collin Powell marchant avec arrogance vers le quartier général de l'OTAN, comme s'il disait : « Maintenant, tout est sous nos ordres ». Et nous avons aussi cet effet aujourd’hui. Ensuite, qu'est-ce que nous avons d'autre… je n'en finis plus ! Ensuite, bien sûr, le fait qu'au lieu d'acheter du gaz russe, on achète maintenant – l'UE et l'Allemagne – du gaz américain, donc il y a aussi des motivations commerciales. Un énorme magasin d'armes, vous voyez bien que ce n’est pas encore fini, il y a en tout 30 points. C'est ce que les Américains attendaient avec impatience, que Poutine se laisse enfin provoquer au point d'envahir l'Ukraine. Maintenant, ils crient et s'agitent, mais en réalité, à Washington, dans l'industrie de l'armement et ailleurs dans l'industrie du gaz – américaine – les bouchons de champagne ont sauté, oui. C'est comme ça que ça se passe, et comme d'habitude, tout est déformé à 180°.
Interviewer : Monsieur Wisnewski, nous aimerions encore préciser quelque chose : Quelles stratégies voyez-vous en arrière-plan, qu'est-ce qui se passe ?
G. Wisnewski : Comme je l'ai peut-être déjà mentionné, ou pas, cette guerre présente toujours le côté russe comme le méchant et l'agresseur, c'est très important. On remarque aussi le langage politique, on parle toujours de la guerre d'agression de Poutine. C'est très important pour eux que ce soit martelé dans les têtes. Mais j'ai bien sûr déjà fait des recherches ici pour mon prochain livre « caché-dissimulé-oublié 23 ». Et il en résulte que cette guerre a été préparée depuis longtemps, mais pas seulement ou pas par les Russes, mais par les Américains, depuis des années. Il y a de véritables études qu'ils ont faites sur la manière de déstabiliser la Russie. Et le scénario de cette guerre n'a pas été écrit en Russie, mais aux États-Unis, ce qui en surprendra peut-être plus d'un. Et ce scénario, on a pu le lire dans un rapport du think tank militaire RAND Corporation, qui est financé aux trois quarts par l'État américain, comme un think tank d'État qui exprime ce que l'État, l'État américain, souhaite. Et le titre de ce rapport ne laisse vraiment aucune place à l'ambiguïté, puisque dans son intitulé il est question de déséquilibrer la Russie.
C'est la stratégie des Américains et c'est pour cela que Poutine leur a fait une énorme faveur - qu'il le veuille ou non - en envahissant finalement l'Ukraine fin février 2022. Le rapport RAND dont j'ai parlé énumère de nombreuses techniques et mesures pour provoquer et menacer la Russie. Donc déjà avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine. Par exemple, certaines de ces mesures incluent ce qui suit :
- Repositionnement, par l'OTAN bien sûr et l'Occident, de bombardiers à distance de frappe d'objectifs stratégiques russes importants. - Déploiement d'armes nucléaires tactiques supplémentaires sur des sites en Europe et en Asie. - Renforcement des forces navales américaines et de leurs alliés et de leur présence sur les zones d'opération de la Russie. - Tenue d'exercices de guerre de l'OTAN aux frontières de la Russie. - Retrait du traité FNI (Forces nucléaires intermédiaires, missiles à moyenne portée).
Interviewer : Encore une question, peut-être pour finir. En tant que consommateur « lambda », on reste bouche bée et étonné devant ces informations, mais on ne sait pas vraiment ce qu’on va en faire, comment je peux gérer ça ? Que nous conseilleriez-vous, que conseilleriez-vous aux téléspectateurs, comment peut-on y remédier ? Comment y répondre, quelles mesures peut-on prendre ? Parce qu'on ne doit pas tout accepter comme la pluie et le beau temps, comme on dit.
G. Wisnewski : Oui, il faut bien sûr en tout premier lieu dire adieu aux médias établis. Si tant est qu'on puisse encore les écouter, on ne peut le faire que partiellement, à petites doses, je dirais, pour savoir ce qui se passe, ce qui est mensonger et déformé. C'est important de le savoir. Mais on ne doit plus les utiliser comme source d'information à laquelle on fait confiance. Il faut absolument passer aux médias alternatifs, s'y intéresser et se libérer de toute cette propagande. Car on dit aussi que la première victime de la guerre est la vérité, et nous avons maintenant un cas spectaculaire devant nous. Nous sommes maintenant en guerre et on ment comme on respire. Il faut en prendre conscience. Et il faut saisir cette occasion, maintenant que c'est si clair, pour se séparer absolument de ces médias du mainstream et des narratifs du mainstream et du bavardage des politiciens.
Interviewer : Monsieur Wisnewski, je vous remercie beaucoup de nous avoir consacré un peu de votre temps. Je serais heureux si nous pouvions vous avoir d’autres fois devant la caméra. Je vous souhaite une bonne journée.
G. Wisnewski : Quand vous voulez, merci beaucoup. Prenez bien soin de vous !
Chili, le 11 septembre 1973: entrée en scène du néolibéralisme, du «traitement de choc» et des instruments de la répression économique – Le «remède économique» mortel de la junte. Salvador Allende a été assassiné sous les ordres d’Henry Kissinger
Par Prof Michel Chossudovsky Mondialisation.ca, 11 septembre 2022
Cet article a été publié la première fois le 17 septembre 2016 en anglais (publication le 23 septembre 2017 en français).
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Travailleurs de ma patrie ! J’ai confiance au Chili et à son destin.
D’autres hommes dépasseront les temps obscurs et amers durant lesquels la trahison prétendra s’imposer.
Allez de l’avant tout en sachant que bientôt s’ouvriront de grandes avenues sur lesquelles passeront des hommes libres de construire une société meilleure.
Vive le Chili!
Vive le peuple ! Vivent les travailleurs ! Dernier discours du président chilien Salvador Allende le 11 septembre 1973.
« Rares sont ceux qui ont le même esprit combatif, courage et parcours qu’Allende. C’est un homme qui a laissé sa marque dans l’histoire : il a donné le pouvoir à la gauche démocratiquement et a été limogé du gouvernement à coups de bombes. » Sénateur Pedro Simon
Chili : « traitement de choc » et mécanismes de la répression économique
Tout de suite après l’élection d’Allende en septembre 1970 et avant son inauguration en novembre 1970 :
Kissinger a lancé la discussion au téléphone avec le directeur de la CIA Richard Helm au sujet d’un coup d’État préventif au Chili. « Nous ne laisserons pas le Chili tomber à l’eau », a déclaré Kissinger. « Je suis avec vous », a répondu Helms. Leur conversation a eu lieu trois jours avant que le président Nixon, en 15 minutes lors d’une réunion avec Kissinger, a ordonné à la CIA « de faire crier l’économie » et a requis Kissinger en tant que superviseur des efforts secrets pour empêcher qu’Allende soit investi de ses fonctions. (National Security Archive)
C’est la CIA qui était le principal instigateur du programme économique néolibéral imposé au Chili. En août 1972, soit un an avant le coup d’État, la CIA avait financé un plan d’action économique de 300 pages à mettre en œuvre à la suite du renversement du gouvernement Allende.
L’objectif ultime du coup d’État militaire du 11 septembre 1973 au Chili était l’imposition du programme néolibéral (un « remède économique » mortel) qui a entraîné l’appauvrissement de tout un pays.
Wall Street était derrière le coup d’État en étroite collaboration avec la CIA, le département d’État des USA et les élites économiques du Chili. Henry Kissinger servait d’intermédiaire.
Après l’élection d’Allende en novembre 1970, les grandes banques commerciales de Wall Street (Chase Manhattan, Chemical, First National City, Manufacturers Hanover et Morgan Guaranty) ont annulé leurs crédits au Chili. En 1972, la Kennecott Corporation a pour sa part « lié les exportations de cuivre chilien à des poursuites en France, en Suède, en Italie et en Allemagne. (Voir John M. Swomley, Jr. “The Political Power of Multinational Corporations,” Christian Century, 91 [25 Septembre 1974], p. 881.)
Le « changement de régime » a été imposé dans le cadre d’une opération clandestine de collecte de renseignements militaires par la CIA, qui a jeté les bases du coup d’État militaire et de l’assassinat du président Allende, puis des réformes macroéconomiques adoptées à la suite du coup d’État.
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Au moment du coup d’État du 11 septembre 1973, j’enseignais l’économie à titre de professeur invité à l’Université catholique du Chili. Dans les heures qui ont suivi le bombardement du palais présidentiel de La Moneda, les nouveaux dirigeants militaires ont imposé un couvre‑feu de 72 heures.
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Salvador Allende à la défense du Palacio de la Moneda le 11 septembre 1973. À la réouverture de l’université plusieurs jours plus tard, j’ai commencé à rassembler des éléments de l’histoire du coup d’État à partir de notes écrites. J’ai vécu le 11 septembre 1973 comme j’avais vécu le coup d’État manqué du 29 juin. Plusieurs de mes étudiants de la Universidad Catolica ont été arrêtés par la junte militaire.
L’économie de Chicago à la sauce chili
Les réformes macroéconomiques radicales (privatisations, libéralisation des prix et gel des salaires) ont été imposées au début d’octobre 1973.
À peine quelques semaines après la prise de pouvoir par les militaires, la junte dirigée par le général Augusto Pinochet a ordonné une augmentation du prix du pain, qui est passé de 11 à 40 escudos, soit une hausse vertigineuse de 264 % du jour au lendemain. Ce « traitement de choc économique » était l’œuvre d’un groupe d’économistes appelés les « Chicago Boys », dont bon nombre étaient mes collègues à l’institut d’économie de l’Université catholique.
Ces réformes macroéconomiques mortelles étaient en grande partie dictées par Wall Street en liaison avec la CIA, « l’économie de Chicago » servant de paradigme et de justification idéologique au « marché libre ». Les professeurs Milton Friedman et Arnold Harberger de l’Université de Chicago étaient loin d’être les forces dirigeantes derrière ces réformes.
Pendant que les prix des aliments montaient en flèche, les salaires ont été gelés afin d’assurer « la stabilité économique et de conjurer les pressions inflationnistes ». Du jour au lendemain, on a précipité dans une pauvreté abjecte tout un pays. En moins d’un an, le prix du pain au Chili a été multiplié par 36 (3 700 %). Quatre‑vingt‑cinq pour cent de la population chilienne s’est ainsi retrouvée sous le seuil de la pauvreté.
En novembre 1973, à la suite de hausses de prix vertigineuses des aliments, j’ai rédigé en espagnol une première évaluation « technique » des réformes macroéconomiques mortelles de la junte.
De concert avec un médecin, collègue et ami de longue date qui enseignait à la faculté de médecine de l’Université du Chili, j’ai fait une estimation des effets des réformes économiques sur les taux de malnutrition due à la chute brutale du niveau de vie.
Au lendemain du coup d’État militaire et de la hausse orchestrée des prix des aliments, j’ai estimé qu’environ 85 % de la population chilienne ne répondait pas à ses besoins minimaux en calories et en protéines établis par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
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En octobre 1973, l’indice « officiel » des prix des aliments affichait une hausse de 82,3 % (par rapport à septembre) selon l’Instituto Nacional de Estadistica (INE), qui était passé sous le contrôle de la junte.
Les données de l’INE concernant le prix des produits alimentaires de base avaient été toutefois falsifiées. En novembre, j’ai procédé à la collecte et à la mise en tableaux des taux réels d’augmentation des prix des aliments directement observés dans la région métropolitaine de Santiago. Cela m’a permis de constater un écart considérable par rapport aux statistiques officielles.
Selon mes estimations basées sur 31 catégories d’aliments, les prix des aliments avaient augmenté de 211,1 % en octobre et novembre 1973 par rapport à septembre (les données officielles de novembre rapportaient une hausse de 88,6 % par rapport à septembre). Par la suite, c’est sur la base de ces statistiques officielles (faussées) qu’on a estimé l’évolution du pouvoir d’achat réel et procédé aux rajustements salariaux officiels.
Craignant la censure de la junte dirigée par le général Augusto Pinochet, mon analyse se limitait à la chute des niveaux de vie à la suite des réformes de la junte et de la hausse des prix des aliments et du carburant, en mettant l’accent sur des estimations statistiques sans faire la moindre analyse politique.
L’institut d’économie de l’Université catholique hésitait au départ à publier le rapport. Il a été transmis à la junte militaire avant sa publication.
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" Les opinions exprimées dans ce rapport sont celles de l’auteur. Par conséquent, elles relèvent de la responsabilité exclusive de l’auteur et n’engagent en rien l’institut d’économie".
(C’était la première fois que l’institut publiait un avis de non-responsabilité.)
J’ai quitté le Chili pour le Pérou en décembre 1973. L’Université catholique a publié le rapport à titre de document de travail (200 copies) quelques jours avant mon départ. Au Pérou, où j’ai rejoint le département d’économie de l’Université catholique du Pérou, j’ai pu rédiger une étude plus détaillée portant sur les réformes néolibérales de la junte et l’idéologie sur laquelle elles s’appuyaient. Cette étude a été publiée en 1974‑1975 en anglais et en espagnol.
Répression économique
En mars 1974, les prix des aliments au Chili (d’après mes estimations) avaient augmenté de 505,5 % (depuis septembre 1973). Les salaires réels se sont quant à eux effondrés.
Chili : Mouvement des salaires réels (1970-1977) selon les statistiques officielles
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Chile: The movement of real wages (1970-77) based on official statistics
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Source : Rudiger Dornbusch, Sebastian Edwards. Macroeconomic Populism in Latin America http://www.nber.org/papers/w2986 (p. 20)
Le graphique ci-dessus (basé sur les statistiques officielles) montre que les salaires réels ont chuté de près de 70 % par rapport à la période de base (1970), qui correspond aussi à l’arrivée au pouvoir du gouvernement du parti Unidad Popular (UP) de Salvador Allende. L’effondrement des salaires réels a été toutefois plus marqué que ce qu’indiquent les statistiques officielles.
Il convient de noter qu’en 1971, le gouvernement Allende avait augmenté les salaires réels de 20 %. La chute des salaires de 1971 jusqu’au début de 1974 était donc de l’ordre de 75 % selon les statistiques officielles sur le coût de la vie. La junte a majoré les salaires au début de mars 1974 (voir le graphique ci‑dessus).
Destruction de la vie économique
Les événements du 11 septembre 1973 m’ont profondément marqué dans mon travail d’économiste. La manipulation des prix, des salaires et des taux d’intérêt a détruit la vie des gens et déstabilisé une économie nationale au complet. La réforme macroéconomique n’était ni « neutre » (la pensée dominante parmi les universitaires), ni distincte du processus plus global de transformation sociale et politique.
J’ai également commencé à comprendre le rôle des opérations du renseignement militaire en appui à ce qui était habituellement décrit comme un processus de « restructuration économique ». Dans mes écrits précédents sur la junte militaire chilienne, je me suis penché sur les supposées réformes du « marché libre » ainsi que sur les instruments bien rodés de la « répression économique ».
La macroéconomie et la géopolitique sont étroitement liées. Les dimensions économiques des guerres menées par les USA doivent être comprises. La destruction de la vie économique en Afghanistan, en Irak, en Syrie et en Libye constitue un crime contre l’humanité, un « génocide économique » qui consiste à déstabiliser et à saboter une économie nationale.
Aujourd’hui, des guerres sont menées au Moyen-Orient. Plusieurs pays latino-américains sont victimes des coups bas des USA qui cherchent à imposer un changement de régime. La pauvreté est créée par les conditions de remboursement des dettes imposées par le FMI. Les prix des aliments et de l’énergie sont manipulés délibérément au moyen de transactions spéculatives (p. ex., sur les Chicago et New York mercantile exchanges). Les dévaluations monétaires sont orchestrées au moyen d’opérations spéculatives sur les marchés des changes. Les moyens d’intervention contemporains (« révolutions de couleur », « guerre contre le terrorisme », déstabilisation économique, sanctions, etc.) diffèrent de ceux des années 1970, mais l’objectif ultime demeure l’atteinte à la souveraineté nationale et l’imposition du néolibéralisme :
contrôle des entreprises, privatisation; « marché libre » pillant les ressources naturelles; remède économique mortel, mesures d’austérité; abandon des programmes sociaux; déréglementation des échanges; effondrement des salaires; mise en place d’une économie fondée sur une main-d’œuvre bon marché; transformation de pays en territoires. Je me rappelle que dans les mois précédant le coup d’État de septembre 1973 au Chili, la distribution des produits de première nécessité et des aliments avait été délibérément perturbée par la manipulation des marchés. Il n’y avait plus de pain, de lait et de sucre aux prix réglementés par le gouvernement. L’escudo chilien ne valait plus rien. Le marché noir florissait.
Une situation similaire est en train de se produire au Venezuela, où la monnaie nationale s’est effondrée. Les prix des aliments et des produits de première nécessité sur le marché noir sont montés en flèche. Tout comme au Chili en 1973, la manipulation du marché des changes (Forex) au Venezuela et le sabotage engendrent des pénuries, la pauvreté et l’instabilité politique. De pair avec la chute orchestrée du Bolivar, le pouvoir d’achat réel a dégringolé (voir ci‑dessous).
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Source: Los Angeles Times, May 31, 2016
Michel Chossudovsky, le 17 septembre 2016
Article original en anglais :
Salvador_Allende_Gossens- Chile, September 11, 1973: The Inauguration of Neoliberalism, “Shock Treatment” and the Instruments of Economic Repression: The Junta’s Deadly “Economic Medicine”, publié le 17 septembre 2016
Traduit par Daniel pour Mondialisation.ca
Sources :
Michel Chossudovsky, La medicion del ingreso minimo de subsistencia y la politica de ingresos para 1974, Documentos de Trabajo no. 18, Noviembre de 1973.
Michel Chossudovsky, The Neo-liberal Model and the Mechanisms of Economic Repression, The Chilean Case, Research Paper No. 7411, Department of Economics, University of Ottawa, 1974, published in Co-Existence, Vol 12, 1975
Michel Chossudovsky, Hacia el nuevo modelo economico chileno : inflación y redistribución del ingreso, El trimestre económico. Mexico, Vol. 42. 1975, 2, p. 311-347.
Vidéo : Kissinger , le Chili et Allende
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Vidéo (en anglais) : CIA, Chile & Allende
Vidéo (en anglais) : USA kills Chilean President 1973 (Chile 9/11)
Le plan Marshall n’a pas relevé l’Allemagne après-guerre
Le plan Marshall n’a pas reconstruit l’Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. C’est la monnaie quis’en est chargée.
le 12 septembre 2022 Par Christian Monson. Foundation for Economic Education
En 1939, l’Allemagne avait un PIB de près de 400 milliards de dollars, ayant dépassé l’URSS pour en faire la deuxième économie la plus puissante du monde, derrière les États-Unis. En 1946, après des années de guerre, le PIB de l’Allemagne était tombé à seulement 160 milliards de dollars, soit moins que le Royaume-Uni et la France. La production alimentaire avait été réduite de 50 %, le parc immobilier de 20 % et la production industrielle de 33 %.
Pourtant, en 1955, le PIB allemand était revenu à près de 400 milliards de dollars, dépassant à nouveau celui du Royaume-Uni. La production industrielle avait quadruplé en 1958, avec un taux de croissance constant d’environ 8 % par an tout au long des années 1950.
Ce « miracle économique » est communément appelé le Wirtschaftswunder. Mais comment l’Allemagne est-elle passée des décombres à la richesse en l’espace d’une décennie, alors que des pays neutres comme l’Espagne se contentaient de faire du sur place ? Si vous demandez à un étudiant en histoire américain moyen, il vous répondra le plan Marshall, bien sûr !
Le plan Marshall en tant que propagande
Malheureusement, l’omniprésence du mythe selon lequel le plan Marshall a reconstruit l’Allemagne est la preuve que l’enseignement contrôlé par l’État favorise la propagande au détriment de la culture économique. Bien que la plupart des historiens modernes n’accordent pas beaucoup de crédit au plan Marshall pour la reconstruction de l’Allemagne et lui attribuent moins de 5 % du revenu national de l’Allemagne pendant sa mise en œuvre, les manuels d’histoire standard le placent toujours au premier plan de la discussion sur la reconstruction d’après-guerre.
Considérez cette section de l’histoire mondiale de McDougal Littell (p. 968), le manuel que j’ai reçu au lycée :
Ce programme d’aide, appelé plan Marshall, devait fournir de la nourriture, des machines et d’autres matériaux pour reconstruire l’Europe occidentale. Alors que le Congrès débattait de ce programme de 12,5 milliards de dollars en 1948, les communistes ont pris le pouvoir en Tchécoslovaquie. Le Congrès a immédiatement voté l’approbation. Le plan est un succès spectaculaire.
Bien entendu, le manuel ne mentionne pas la cause réelle du Wirtschaftwunder : une politique économique saine. C’est parce que, pour l’État, le plan Marshall constitue une excellente mythologie étatiste.
Non seulement il est fréquemment évoqué pour justifier l’implication des États-Unis dans des conflits étrangers, mais il apporte tout simplement un soutien à la planification centrale. Il suffit de regarder le miracle économique que le gouvernement a pu créer grâce au crédit facile, disent-ils.
Et bien sûr, admettre que les milliards de dollars injectés en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale n’ont pratiquement rien donné, surtout si on les compare à quelque chose d’aussi simple qu’une monnaie saine, reviendrait à admettre que le gouvernement passe le plus clair de son temps à se rendre utile alors qu’il ne l’est pas, et qu’il ne fait donc rien d’autre que de gêner…
La vérité dérangeante de la réforme monétaire
Il est peu probable que vous trouviez la véritable cause du Wirtschaftwunder mentionnée dans un manuel d’histoire de lycée, mais voici ce qu’elle était.
En 1948, l’économiste et futur chancelier d’Allemagne de l’Ouest Ludwig Erhard a été choisi par le Conseil économique professionnel comme directeur de l’économie. Il a ensuite libéralisé l’économie ouest-allemande grâce à un certain nombre de bonnes politiques, la plus importante étant la réforme monétaire.
La monnaie utilisée en Allemagne immédiatement après la Seconde Guerre mondiale était encore le reichsmark, et les nazis, puis les autorités soviétiques d’occupation, avaient considérablement augmenté le montant en circulation. Par conséquent, en 1948, le reichsmark était tellement sans valeur que les gens se sont mis à utiliser des cigarettes et du café comme monnaie.
Pour donner aux gens une véritable réserve de valeur afin qu’ils puissent calculer les coûts économiques avec précision, évaluer les risques et investir dans l’avenir, Erhard crée le deutsche mark, la nouvelle monnaie de l’Allemagne de l’Ouest. Comme on arrache un pansement, il a réduit la masse monétaire de 93 % en une nuit.
Il convient également de noter que si Erhard, suivant son école d’ordolibéralisme, a créé une banque centrale, celle-ci était au moins conçue de manière indépendante du gouvernement et a suivi une politique de monnaie dure (préservant une quantité stable de monnaie) pendant toute la durée du Wirtschaftswunder. En fait, la Bank Deutsche Länder d’origine avait une portée plutôt limitée jusqu’à ce qu’elle soit réorganisée pour devenir la Bundesbank, beaucoup plus centralisée, en 1957, soit au moment où le miracle économique allemand a commencé à s’essouffler.
Parmi les autres politiques libérales notables instaurées par Erhard, citons la suppression de tout contrôle des prix et la réduction des impôts, qui sont passés de l’absurde 85 % des nazis à 18 %. Les autorités professionnelles américaines s’opposent à ces réformes, mais Erhard les met tout de même en œuvre. Cette libéralisation a un effet immédiat. Le marché noir disparaît presque du jour au lendemain et en un an la production industrielle a presque doublé.
Le plus poignant est peut-être que le chômage est passé de plus de 10 % à environ 1 % à la fin des années 1950. Normalement, le gouvernement tente de justifier la manipulation de la monnaie comme un moyen d’éliminer le chômage, mais le Wirtschaftwunder est la preuve qu’une monnaie saine fait bien mieux l’affaire…
Que nous apprend l’Histoire sur le plan Marshall
Alors, que peut nous apprendre la vérité du Wirtschaftswunder, sinon que le gouvernement préfère sa propre promotion à une véritable éducation économique ? Alors que les politiciens détruisent de plus en plus nos économies par une politique monétaire inflationniste tout en essayant de nous convaincre que ces mêmes politiques sont le seul moyen de nous sauver, les leçons de l’Allemagne d’après-guerre ne deviennent que plus pertinentes.
Ce que j’ai toujours retenu principalement, c’est la simplicité et la rapidité du Wirtschaftswunder. Pendant que la Réserve fédérale débat sans fin pour savoir s’il faut augmenter les taux et dans quelle mesure, notre économie est de plus en plus alourdie par des investissements mal calculés, des prix en hausse et des salaires qui stagnent. Les riches régulateurs qui ont la main sur l’imprimante à billets peuvent faire passer ces problèmes pour compliqués, mais regardez comment l’économie post-apocalyptique de l’Allemagne d’après-guerre s’est rétablie en quelques mois seulement grâce à la monnaie saine, à la déréglementation et aux faibles impôts.
Nos politiciens et banquiers centraux admettront-ils jamais un remède aussi simple ? Tant qu’ils pourront nous le cacher, j’en doute.
Les législateurs du GOP sonnent l'alarme sur le projet de loi sur le "cartel des médias" qui permettra aux grandes technologies et aux grands médias de s'entendre sur plus de censure
Lundi 12 septembre 2022 par : JD Heyes
(Natural News) Les démocrates de gauche savent depuis des décennies qu'ils ne peuvent pas gagner des débats sur des questions politiques, ils doivent donc recourir au truquage du système - tricherie, en d'autres termes - pour obtenir le pouvoir.
C'est vraiment le but des élections de 2020: les démocrates savaient qu'ils n'avaient présenté aucun candidat qui aurait pu être aussi populaire que le président Donald Trump, ils ont donc présenté deux des candidats les plus vides de sens qu'ils aient pu trouver – Joe Biden et Kamala Harris – parce que ils savaient qu'ils allaient voler le résultat et ensuite contrôler les deux figures de proue du bureau ovale.
Mais le trucage des résultats est une stratégie démocrate en cours, comme en témoigne un projet de loi que le parti défend avec, malheureusement, beaucoup trop de RINO.
Il ne suffit pas que les médias « grand public » soient déjà biaisés de manière flagrante ou que les principales plateformes de médias sociaux le soient également. Maintenant, les démocrates poussent une législation qui permettrait aux deux industries de s'entendre pour censurer des points de vue encore plus conservateurs qu'ils ne le font déjà, mais au moins certains républicains repoussent et essaient de faire connaître ce que fait réellement le projet de loi.
L'un d'eux est le sénateur Marsha Blackburn du Tennessee. Elle a condamné la loi sur la concurrence et la préservation du journalisme (JCPA) pour la deuxième fois après que l'un de ses principaux auteurs, la sénatrice Amy Klobuchar (D-Minn.), L'ait "modifiée" d'une manière qui ne fait qu'exacerber les pires parties de l'original. version, rapporte Breitbart News, ajoutant :
Dans un message sur Twitter, le sénateur du Tennessee a déclaré que les efforts des lobbyistes des médias et des démocrates pour faire passer le JCPA – qui a été relancé à plusieurs reprises au cours des deux dernières années – étaient conformes aux récentes tentatives de discréditer, de diaboliser et de censurer les conservateurs.
« Biden a déclaré que les partisans de Trump sont des extrémistes. Ensuite, d'autres preuves ont révélé que WH travaillait avec Facebook pour censurer les conservateurs. Nous ne pouvons pas permettre aux démocrates d'adopter la loi sur la concurrence et la protection du journalisme, qui permet aux médias libéraux et aux grandes technologies de faire taire les conservateurs », a-t-elle écrit.
Biden a déclaré que les partisans de Trump sont des extrémistes.
Ensuite, d'autres preuves ont révélé que WH travaillait avec Facebook pour censurer les conservateurs.
Nous ne pouvons pas permettre aux démocrates d'adopter la loi sur la concurrence et la protection du journalisme, qui permet aux médias libéraux et aux grandes technologies de faire taire les conservateurs.
– Marsha Blackburn (@VoteMarsha) 6 septembre 2022
Breitbart News a noté: "Les commentaires de Blackburn interviennent après la publication récente d'une version modifiée du JCPA, qui permettrait au cartel des médias qu'il crée d'écrire ses propres critères pour exclure les médias indépendants et conservateurs."
Le point de vente a rapporté précédemment:
Cette disposition est significative notamment par sa spécificité. Ces cartels des médias grand public et de gauche ne peuvent pas exclure en fonction de leur taille ou des « opinions exprimées par leur contenu ». Mais ce n'est pas ainsi que l'exclusion se produit ou se produira.
Ces cartels autoproclamés des médias grand public et de gauche SONT autorisés à exclure sur la base des facteurs habituels, totalement subjectifs, qu'ils font toujours, tels que : « fiabilité », « fake news », « extrémisme », « désinformation », « discours de haine ». », « complot », « politique correctionnelle », « expertise », « autorité », etc.
Remarquez que ces termes sont censés être neutres, mais ils sont interprétés par les groupes de « surveillance des médias » de l'État profond comme NewsGuard pour cibler un seul côté du spectre politique, et ce n'est pas du côté des démocrates. De temps en temps, il y aura un avertissement symbolique de sortie «grand public», mais ceux-ci sont rares, a noté Breitbart.
Blackburn tire la sonnette d'alarme sur cette monstruosité de projet de loi depuis des mois maintenant.
"La loi sur la concurrence et la préservation du journalisme donnera encore plus de pouvoir aux médias grand public et à la Silicon Valley", a déclaré Blackburn à Breitbart News l'année dernière.
« Nous devons protéger nos petits journaux et veiller à ce qu'ils soient rémunérés pour leur contenu. Cela permettra aux grandes technologies de consolider davantage leur pouvoir et de faciliter encore plus la censure des voix conservatrices sur les réseaux sociaux », a-t-elle déclaré.
Bien sur. Les démocrates ne peuvent pas gagner les débats politiques avec leurs idées loufoques, ils doivent donc tricher pour gagner du pouvoir ou truquer le jeu.
Les États-Unis et l'OTAN envoient des armes à l'Ukraine pour tuer des Russes, tout comme Fauci et la Chine ont construit des armes biologiques pour TUER des Américains
Monday, September 12, 2022 by: S.D. Wells
(Natural News) Par tous les moyens nécessaires, les États-Unis et les mondialistes tentent de réduire la population mondiale de plusieurs milliards, notamment en déclenchant des guerres nucléaires et en utilisant des armes biologiques génocidaires (vaccins) comme « médecine » pour les masses. Par crainte que les Russes n'exposent tous les laboratoires américains d'armes biologiques en Ukraine, le régime Biden et les faux médias américains ont créé une diversion massive destinée à hypnotiser les Américains dans un autre canular russe.
Alors maintenant, le régime communiste de Biden envoie des milliards de dollars, des armes et des forces de l'OTAN en Ukraine pour "combattre" la Russie et l'empêcher de conquérir le monde, comme le Vietnam ou pendant le conte de fées de la collusion Trump-Russie.
Les laboratoires américains d'armes biologiques en Ukraine sont comme le laboratoire de Wuhan - ils travaillent sur le gain de fonction du SRAS et les programmes de dépopulation pour propager la maladie Si vous ne le savez pas maintenant, les États-Unis et le CDC sont au lit avec le Parti communiste chinois, créant et diffusant des virus concoctés en laboratoire, des agents pathogènes à haut risque et des vaccins qui propagent ces virus, et l'Ukraine est un épicentre pour ces laboratoires , tout comme Wuhan. Suivez la balle rebondissante, alors que les États-Unis créent un autre canular russe infusé par les médias, affirmant que la Russie tente à nouveau de conquérir le monde, un pays à la fois. Cette fois, au lieu de "truquer" une élection américaine, ils prennent le contrôle d'un "pays innocent" et tuent toutes les femmes et tous les enfants, ou quelque chose comme ça.
Alors qu'en réalité, les États-Unis et l'OTAN collaborent pour défendre leur propre attaque mondiale contre les nations, et il y a beaucoup à découvrir en Ukraine, y compris plus de laboratoires biologiques de coronavirus de chauve-souris où toute cette pandémie a été créée et est continuellement menée contre l'humanité.
Ces laboratoires d'armes biologiques ont été confirmés : « Les États-Unis admettent qu'il y a des laboratoires biologiques en Ukraine et disent maintenant que si une attaque biologique se produit, c'est la faute de la Russie. Bien sûr, tout est de la faute de la Russie », selon les médias grand public.
Ces laboratoires prouvent que les «théoriciens du complot» avaient raison depuis le début, affirmant que la grippe Fauci s'était déchaînée sur le monde exprès, après avoir été créée avec un gain de fonction afin qu'elle puisse passer des chauves-souris aux humains et des humains aux humains.
Les laboratoires biologiques gérés par le Pentagone en Ukraine allaient être utilisés pour attaquer la Russie On pourrait même sympathiser avec la Russie pour la guerre en Ukraine, étant donné que les États-Unis construisaient un arsenal d'armes biologiques juste à côté de leur pays. Ces virus sont des armes de destruction massive (ADM), ainsi que les vaccins utilisés pour favoriser la décimation sanitaire. Moscou a connecté EcoHealth Alliance et la famille criminelle Biden à ces laboratoires, qui étaient utilisés pour préparer des drones remplis d'armes biologiques pour attaquer la Russie.
Maintenant, une grande partie de cette preuve est entre les mains de l'armée russe, alors qu'elle envahit l'Ukraine afin de se protéger de la destruction totale par les communistes américains et les forces corrompues de l'OTAN. L'inquiétude de la Russie concernant l'OTAN et les États-Unis chargeant l'Ukraine d'armes de destruction massive est comparable à l'inquiétude des États-Unis concernant la crise des missiles cubains de 1962, pour ceux qui s'en souviennent. Les États-Unis (ainsi que l'OTAN, Fauci et le CDC) se précipitent pour détruire le matériel génocidaire lié à la pandémie dans leur douzaine ou plus de laboratoires d'armes biologiques en Ukraine avant que la Russie ne trouve et ne révèle tout.
- voir clip sur site -
Le canular russe continue, car chaque Américain est amené à croire que nous sommes censés blâmer Trump et la Russie pour tout ce qui est mauvais, y compris la guerre nucléaire, la pandémie, tous les décès induits par les vaccins et les prochaines «élections truquées» où les démoncrates perdent GROS et l'ordre est rétabli dans la République.
Réglez votre fréquence frauduleuse sur Censored.news pour obtenir des informations véridiques sur l'Ukraine, l'OTAN et le régime hautement corrompu de Biden / PCC qui est censuré par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
La crise des engrais est sur le point de réduire de 40 % la production mondiale de céréales, prévient l'ONU
Lundi 12 septembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Maximo Torero, économiste en chef à l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), prévient que près de la moitié de la production mondiale de céréales pourrait disparaître d'ici la prochaine saison de plantation.
L'inflation galopante, les pénuries d'approvisionnement et la crise énergétique en cours créent une tempête parfaite pour une réduction de 40% de la production céréalière, a déclaré Torero à Bloomberg TV dans une interview.
Blâmant la guerre russe en Ukraine, Torero a déclaré que le monde peut s'attendre à encore plus de problèmes dans les mois à venir qui érodent la capacité des agriculteurs à produire suffisamment de nourriture pour nourrir le monde. (Connexe: les agriculteurs du Midwest américain ont du mal à rester à flot au milieu d'une inflation galopante et de pénuries d'engrais.)
Les combustibles fossiles sont nécessaires pour créer des engrais, qui sont rares en raison des sanctions occidentales contre la Russie. Les Européens auront du mal à chauffer leurs maisons cette année, sans parler d'utiliser tout excès d'énergie pour créer des engrais pour la culture des aliments.
De nombreux producteurs d'engrais ont arrêté la production parce qu'il est tout simplement trop coûteux de continuer à fabriquer des produits comme l'azote et l'ammoniac. En conséquence, les agriculteurs n'auront rien pour faire pousser leurs cultures la saison prochaine.
La moitié de la population mondiale pourrait MOURIR l'année prochaine par manque de nourriture La réduction de la production de riz est particulièrement préoccupante car le riz nourrit plus de la moitié de l'humanité et est un élément vital pour la stabilité économique en Asie et en Afrique subsaharienne.
Le manque d'engrais signifie le manque de riz, ce qui signifie finalement que des milliards de personnes pourraient mourir de faim en raison de pénuries d'approvisionnement, de perturbations et d'autres facteurs.
Tout cela devrait vraiment prendre forme dans les six prochains mois – et probablement avant l'arrivée de 2023.
Par rapport à 2020, les prix des engrais aujourd'hui en Amérique du Nord, où les choses vont légèrement mieux - du moins pour le moment - sont 220 % plus élevés. Ailleurs dans le monde, la situation est encore plus dramatique.
"Nous commençons vraiment à crier de chaque tour qu'il y a une crise des engrais", a déclaré à Politico un responsable anonyme de l'ONU qui n'a parlé que sous couvert d'anonymat. "Et la crise des engrais est énorme."
Trois ingrédients principaux - l'azote, le phosphore et le potassium - sont utilisés dans les engrais synthétiques. Les agriculteurs utilisent normalement ces nutriments pour augmenter les rendements des cultures, ce qui est le seul moyen de nourrir les près de huit milliards de personnes qui vivent actuellement sur la planète.
Si l'inflation ne diminue pas et que les chaînes d'approvisionnement guérissent, les engrais seront difficiles à trouver d'ici la saison prochaine, ce qui signifie une diminution des récoltes. La crise énergétique, tant qu'elle perdurera, ne fera qu'exacerber encore plus le problème.
"Plus d'un tiers de la population de l'Inde mange à peine assez pour rester en vie au jour le jour", a écrit un commentateur sur la façon dont des centaines de millions d'Indiens pourraient en mourir.
"Cela va aussi être particulièrement difficile pour les Africains qui sont encore plus pauvres."
"Je suppose que Biden et l'UE n'auraient pas dû imposer de sanctions inutiles sur tout ce que la Russie exporte", a écrit un autre sur le fait que tout cela est le résultat direct de Joe Biden et des autres mondialistes qui tentent de diriger ce navire en perdition.
« La Russie ne souffre pas, car elle a augmenté ses exportations et ses profits en vendant du pétrole, du blé, du gaz naturel et des engrais à l'Inde et à la Chine, qui comptent environ 3,1 milliards d'habitants. L'ensemble de l'Europe ne compte que 749 millions d'habitants. De nombreux pays non européens qui achètent normalement directement à la Russie contournent les sanctions parce qu'ils achètent l'engrais russe via l'Inde et la Chine. Il n'y a pas de pénurie comme le prétend l'Occident. Les seules personnes qui semblent être en danger de souffrance sont l'Europe, les États-Unis, le Canada et toute autre personne suivant l'exemple de Biden.
Alors que l'ordre mondial existant s'effondre à dessein et est remplacé par un nouveau, nous vous tiendrons informés de ce qui se passe sur Collapse.news.
Une enquête du CDC révèle que plus de la moitié de tous les bébés, les tout-petits souffrent d'une «réaction systémique» après une injection de covid
lundi 12 septembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) De nouvelles données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis suggèrent que 55% des enfants âgés de six mois à deux ans souffrent d'une "réaction systémique" après avoir reçu leur première dose d'ARNm (ARN messager). ) "vaccin" de Pfizer-BioNTech ou Moderna.
Après la deuxième dose, l'enquête du CDC a révélé que 60 % des enfants souffrent d'une sorte de réaction négative. Ceci est basé sur une évaluation de plus de 13 000 enfants qui ont été évalués dans le cadre d'une analyse post-commercialisation.
« Une réaction du système est une réponse au-delà du site d'injection », a rapporté Margaret Menge de The Epoch Times.
"Alors que les réactions systémiques les plus courantes étaient la fatigue, la fièvre, l'irritabilité et les pleurs, les parents de plus de 6 % des enfants de l'étude ont déclaré que leur enfant était incapable d'effectuer des activités normales après la deuxième dose de Pfizer-BioNTech ou de Moderna. vaccin."
Le CDC a collecté ces données entre le 18 juillet et le 21 août de cette année à l'aide d'une application de surveillance basée sur un smartphone appelée V-Safe. Les parents peuvent télécharger l'application et suivre la santé de leurs enfants après l'injection. (En relation: Christine Grady, l'épouse de Tony Fauci, a joué un rôle majeur dans le déclenchement des injections de virus chinois sur les enfants et les bébés.)
Les parents de 8 338 enfants âgés de six mois à deux ans qui ont reçu le vaccin Moderna ont signalé un taux de réaction systémique de 55,7 % après la première dose et un taux de réaction systémique de 58 % après la deuxième dose.
Les parents d'enfants ayant reçu une injection de Pfizer, au nombre de 4 749, ont signalé un taux de réaction systémique de 55,8 % après la première dose et un taux de réaction systémique de 47 % après la deuxième dose.
Ce sont des chiffres étonnants qui suggèrent que les injections nuisent le plus souvent aux enfants tout en offrant des avantages minimes, voire inexistants.
"Les réactions les plus fréquemment signalées chez les enfants de 6 mois à 2 ans étaient l'irritabilité ou les pleurs, la somnolence et la fièvre", a expliqué Menge. "Les réactions les plus courantes chez les enfants âgés de 3 à 5 ans étaient la douleur au site d'injection, la fatigue et la fièvre."
Un enfant sur 10 entre six mois et deux ans souffre d'un "impact sur la santé" plus grave après l'injection d'ARNm Une section spéciale de l'enquête du CDC a également examiné les réactions de santé plus graves, qualifiées de « tout impact sur la santé ». Étonnamment, environ 10 % des enfants âgés de six mois à deux ans ont subi un « impact sur la santé » après leur première dose de Pfizer ou de Moderna.
Une fois de plus, le taux de blessures après la deuxième injection était légèrement pire pour le vaccin de Moderna que pour le vaccin de Pfizer, peut-être parce que le vaccin de Moderna contient une dose plus élevée de produits chimiques à base d'ARNm.
Les données ont été publiées le 1er septembre devant le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du CDC, qui est censé suivre ce genre de choses à des fins d'orientation.
Les données recueillies auprès du système officiel de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) du gouvernement ont également été présentées avant l'ACIP, ainsi que les données de plusieurs grandes organisations de maintien de la santé à travers les États-Unis.
Malgré une profusion de preuves du contraire, le chef de l'équipe de sécurité des vaccins du CDC, Tom Shimabukuro, a affirmé devant le comité qu'il n'y avait aucun "signal statistique" suggérant que les injections sont en aucune façon dangereuses pour les enfants. Les parents, a-t-il suggéré, devraient toujours aligner leurs enfants pour les vaccins que le gouvernement leur dit de recevoir.
"A quoi pensent ces parents ?" a demandé un commentateur du Times à propos des parents qui choisissent d'injecter leurs enfants pour le covid. «Je suppose que certaines personnes pensent toujours que le gouvernement ne tuerait jamais personne avec un vaccin exprès. Cela est allé trop loin.
"Les parents ne réfléchissent pas - c'est le problème", a répondu quelqu'un d'autre. "Ils ont peur de remettre en question le gouvernement ou la propagande médiatique."
Pour en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des vaccins contre la grippe Fauci, visitez ChemicalViolence.com.
Vous ou un de vos proches souffrez du syndrome allopathique ? Il y a un REMÈDE
Monday, September 12, 2022 by: S.D. Wells
(Natural News) Les médicaments sur ordonnance, depuis leur conception au début des années 1900, ont été conçus pour apaiser ou éliminer la douleur et/ou les symptômes de la maladie, mais n'ont jamais été destinés à guérir quoi que ce soit. Au milieu des années 1900, des vaccins ont été concoctés pour escroquer les gens en leur faisant croire que les maladies infectieuses pouvaient être totalement évitées et éliminées, afin que tout le monde soit «sauvé» de la poliomyélite, de la variole et de bien d'autres. Les médecins ont été formés et payés généreusement pour pousser les pilules, la chirurgie et les vaccins dans une nouvelle ère révolutionnaire de la médecine occidentale où la «technologie» de laboratoire est le sauveur, et la médecine naturelle n'était réservée qu'aux charlatans, aux Indiens et aux hippies.
C'est l'ère de la médecine allopathique, et il n'y a jamais eu autant de malades chroniques ayant accès aux « traitements » médicaux modernes dans l'histoire de la planète.
La plupart des vaccins contiennent des produits chimiques mortels qui causent le cancer, des troubles neurologiques et un affaiblissement du système immunitaire
L'objectif principal des médecins aux États-Unis n'est pas de vous guérir de la maladie, mais de vous garder en tant que patient à vie, qui en a besoin lorsque la douleur et les symptômes d'une maladie profondément enracinée font leur apparition. C'est pourquoi les médecins offrent rarement, voire jamais, des conseils nutritionnels à leurs patients.
Si le patient est guéri de maladies en mangeant des aliments biologiques entiers et que le patient développe une immunité naturelle durable, alors les affaires répétées disparaissent et ces médecins ne peuvent pas vivre le style de vie luxueux auquel ils sont tous habitués.
Le syndrome allopathique commence et se termine par une mauvaise alimentation. Les vaisseaux sanguins obstrués, le manque de nutriments appropriés et les cargaisons de produits chimiques dans les aliments transformés créent les «quilles» pour la «grève», qui se présente souvent sous la forme d'une crise cardiaque, d'un accident vasculaire cérébral ou d'un cancer.
La plupart des boissons vendues en Amérique alimentent le syndrome allopathique, car elles contiennent des sucres ajoutés, des édulcorants artificiels, des huiles (oui, ils le font), des hormones synthétiques et des antibiotiques (pensez aux laits et crèmes à café conventionnels), des arômes artificiels, des colorants artificiels et d'autres concoctions fabriquées en laboratoire qui alimentent l'inflammation chronique, les maux de tête, la léthargie, l'obésité, l'arthrite et l'ostéoporose.
Cela nous amène à l'insecticide appelé fluorure qui est mis dans l'eau du robinet à dessein et pour de mauvaises raisons (abaisse le QI et provoque le cancer et la fragilité des os). Ce n'est que la pointe de l'iceberg en ce qui concerne les toxines que la plupart des Américains n'essaient jamais de filtrer de leur apport quotidien, et leurs médecins et chirurgiens n'ont rien à dire à ce sujet.
C'est pourquoi on l'appelle syndrome allopathique, car un syndrome est un ensemble de signes et de symptômes médicaux qui sont tous corrélés et associés à la maladie et au trouble. En fait, le mot syndrome vient d'un mot grec qui signifie concurrence, puisqu'un syndrome peut être regroupé avec des causes précises, devenant éventuellement une maladie.
Top 10 des "composants clés" de la perpétuation du syndrome allopathique
Pourquoi et comment les vaccins vous maintiennent dans un état d'immunité affaiblie à long terme.
Comment les antihistaminiques provoquent des infections des sinus, qui peuvent entraîner des infections bronchiques.
Comment les antibiotiques tuent les mauvaises et les bonnes bactéries intestinales, laissant la personne très vulnérable aux attaques de virus, sans parler des agents pathogènes et des parasites.
Comment les vaccins multidoses contre la grippe maintiennent de fortes doses de mercure dans le corps humain, alimentant les troubles neurologiques et cérébraux.
Comment les publicités à la télévision pour des médicaments, avec des effets secondaires bien pires que la condition à traiter, convainquent TOUJOURS les gens de les demander à leurs médecins.
Pourquoi les personnes atteintes du syndrome allopathique croient à 100 % que tous les vaccins sont « sûrs et efficaces ».
Comment la plupart des Américains boivent quotidiennement de l'eau du robinet ou de l'eau en bouteille contenant des produits chimiques, pensant que ce n'est pas grave.
Comment l'huile de canola est-elle devenue «saine pour le cœur» lorsqu'elle obstrue le sang et entraîne une prise de poids rapide, une perte de mémoire et la démence ?
Pourquoi les gens croient qu'ils peuvent trouver des réponses à leurs problèmes de santé (évitables) en utilisant Google, WebMD ou Twitter.
Comment la plupart des médecins en Amérique poussent les pilules, les vaccins et la chirurgie pour de l'argent, alors qu'il existe des remèdes naturels beaucoup plus sûrs et plus efficaces dont ils pourraient facilement vous parler.
Les piqûres Covid sont les « clous dans le cercueil » pour ceux qui souffrent du syndrome allopathique
Ne cherchez pas plus loin que la FDA et le CDC pour les pires conseils qui non seulement causent et perpétuent le syndrome allopathique, mais aussi pour les mandats de vaccins et les protocoles Covid qui mettent les clous dans le cercueil, littéralement, pour des millions d'Américains. Les gens pensent que les procédures médicales invasives et les médicaments sur ordonnance sont le SEUL moyen de "maintenir" leur santé qui s'érode rapidement, et la plupart d'entre eux veulent juste tuer la douleur, pas eux-mêmes, mais ils ne savent pas grand-chose.
Désormais, les vaccins Covid sont conçus pour catapulter ces «conditions» préexistantes (syndrome allopathique) en obstruant le sang, en forçant le cœur, en provoquant de nouveaux cancers et en détruisant le système nerveux. Même les gens du Congrès dénoncent les injections du syndrome allopathique.
Maintenant, les moutons atteints de Covid souffrent d'un nouveau type d'inflammation chronique et de dysfonctionnement du système immunitaire comme jamais auparavant. Le remède est de commencer à filtrer toutes ces toxines de votre vie. Demandez conseil à un médecin naturopathe. Améliorez votre routine d'exercice. Mangez principalement un régime alimentaire à base de plantes, entier, biologique et cru. Buvez de l'eau filtrée, sûre et propre. Augmentez vos suppléments organiques.
Si vous ou un proche souffrez du syndrome allopathique, contactez immédiatement un médecin naturopathe. Même une consultation virtuelle pourrait faire des merveilles pour les changements nécessaires pour échapper au syndrome, et le faire naturellement. Réglez votre Internet sur Censored.news pour d'énormes pans d'informations sur la vérité qui sont censurées par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
Les 8 meilleures façons dont l'AMA, la FDA et le CDC enterrent les CURES NATURELLES
Monday, September 12, 2022 by: S.D. Wells
(Natural News) La médecine moderne est principalement une «médecine sale», car les risques graves pour la santé l'emportent de loin sur les avantages qui découlent de son utilisation. Le monde allopathique des produits pharmaceutiques et des vaccins est rempli d'"effets secondaires" cauchemardesques et d'"événements indésirables" qui proviennent de réactions allergiques, de surdoses (même lorsqu'elles sont prises selon les directives), de blessures permanentes et de décès, contrairement aux remèdes naturels qui provoquent rarement des effets secondaires graves. . Ce n'est pas nouveau. En fait, depuis plus d'un siècle, les agences de réglementation américaines ont enterré les remèdes naturels pour à peu près tout, et les médecins et les scientifiques qui les promeuvent sont interdits de pratiquer la médecine ou même tués pour cela.
AMA enterre les remèdes naturels
Saviez-vous que la première "Voice of American Medicine" était un charlatan ? Un paresseux nommé Morris Fishbein s'est frayé un chemin jusqu'à la première place de l'American Medical Association, après avoir à peine obtenu son diplôme en médecine, et a escroqué chaque médecin pour qu'il n'écrive que des médicaments sur ordonnance pour les maladies et les troubles cellulaires (cancer). Toutes les cliniques de santé naturelle et les guérisseurs naturels ont été fermés.
Ce règne pharmaceutique a duré 40 ans sous Fishbein, et les vitamines et les minéraux seraient balayés sous le tapis, pour ne jamais être considérés comme quoi que ce soit qui puisse guérir ou empêcher quoi que ce soit. Le « sceau d'approbation » pharmaceutique (AMA ou FDA) est tout aussi frauduleux aujourd'hui qu'il l'était à l'époque, lorsque Fishbein a empoché une fortune pour avoir qualifié les médicaments expérimentaux concoctés en laboratoire de « sûrs et efficaces » et publié de fausses études dans les revues médicales.
La FDA enterre les remèdes naturels
La FDA a vraiment commencé sous le nom de "Pure Food and Drugs Act" de 1906, lorsque l'agence a déréglementé les aliments frelatés (transformés) en les appelant "commerce interétatique". Enterrer le pouvoir des vitamines découvertes au début des années 1900 était la clé de la promotion des médicaments sur ordonnance, tandis que les Américains tombaient lentement mais sûrement malades et mouraient plus jeunes à cause d'aliments frelatés (et de carences en nutriments). L'Amérique a pratiquement inventé le cancer, le diabète et les maladies cardiaques, et la FDA a tout supervisé.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'industrie corrompue des médicaments a été dirigée par d'anciens scientifiques nazis qui n'ont servi que 4 à 7 ans pour meurtre de masse et génocide en Allemagne sous Hitler. Les nazis n'ont jamais été vraiment "vaincus", ils se sont seulement dissous pour devenir les principaux concepteurs de Big Pharma en Amérique, ce que la plupart des gens connaissent aujourd'hui sous le nom de Bayer (Monsanto) et Pfizer.
Un scientifique, nommé le Dr Stanislaw Burzynski, a littéralement découvert un remède non toxique ciblant les gènes, même pour les types de cancer les plus mortels, comme le cancer du tronc cérébral, et a guéri des enfants, comme leurs parents ont témoigné devant le tribunal, essayant de sauver Burzynski de la FDA. poursuite. La FDA a rendu illégal le traitement du cancer par la médecine naturelle.
Le CDC pousse délibérément toutes sortes de vaccins toxiques sur les Américains, connaissant les risques et les inconvénients pour la santé L'EMPORTANT DE LOIN sur les avantages, le cas échéant. Il y a du mercure dans les vaccins multidoses contre la grippe. Il y a un virus porcin mortel appelé circovirus (de Chine et de Russie) trouvé dans les vaccins contre le rotavirus pour enfants (vérifier Rotateq), et maintenant il y a des injections qui disent aux cellules humaines de créer des milliards de protéines de pointe imitant le virus qui obstruent le sang. Tout cela fait partie du modèle commercial à but lucratif du CDC consistant à garder les Américains malades à tout moment.
C'est pourquoi personne ne devrait faire confiance à tout ce qui vient des agences de réglementation américaines, car elles étaient toutes fondées sur la fraude, construites sur la fraude et conçues pour perpétuer la fraude qui décime la santé.
8 façons dont l'AMA, la FDA et le CDC enterrent les remèdes naturels
#1. Censurez-les complètement du public en contrôlant les recherches dans les médias (Google) et les données publiées.
#2. Manipulez-les dans un laboratoire pour les rendre faibles, puis brevetez la version faible, empêchez quiconque de vendre autre chose, puis dites qu'ils fonctionnent à peine (et rarement).
#3. Discréditer (par la diffamation) des médecins, des nutritionnistes et des scientifiques honnêtes qui les utilisent efficacement.
#4. Bloquer et mettre sur liste noire les blogueurs, les podcasteurs et les influenceurs YouTube qui dénoncent les mauvais médicaments et/ou font passer le mot sur les remèdes naturels qui fonctionnent.
#5. Avoir de faux «vérificateurs de faits» discrédite les remèdes et les appelle la désinformation ou la désinformation.
#6. Publier partout des informations erronées sur les remèdes naturels, y compris de fausses études et des données manipulées, et faire en sorte que ces recherches soient bien classées dans Google.
#7. Les régulateurs gouvernementaux répandent eux-mêmes des mensonges qui sont scénarisés et répétés par les présentateurs de nouvelles et les administrateurs d'hôpitaux pour que tous les médecins et infirmières régurgitent aux patients (et les patients entre eux).
#8. En assassinant littéralement des médecins et des scientifiques qui dénoncent des médicaments toxiques ou des vaccins sales, ou qui découvrent des remèdes naturels qui fonctionnent pour les maladies et troubles modernes, y compris Covid,
C'est pourquoi vous ne pouvez pas faire confiance à tout ce qui sort de la bouche des représentants et des soi-disant «experts» qui travaillent pour les agences de perpétuation des maladies aux États-Unis. Restez à l'écoute et restez glacial. Réglez votre Internet sur Censored.news pour d'énormes pans d'informations sur la vérité qui sont censurées par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
Un ancien professeur de Harvard prévient que "la science et la santé publique sont brisées"
Lundi 12 septembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le Dr Martin Kulldorff, un éminent épidémiologiste et statisticien de l'Université de Harvard, affirme que le paradigme actuel de la science et de la santé publique est clairement «cassé».
La pandémie de coronavirus de Wuhan (Covid-19) a révélé la corruption du système à un degré peut-être jamais vu. Lorsque la personne moyenne commence vraiment à remettre en question la légitimité du gouvernement et ses impositions de «santé publique», vous savez que quelque chose ne va pas.
«Pour une raison quelconque, un récit officiel public a été établi, et vous n'étiez pas autorisé à le remettre en question – ce qui, bien sûr, est très préjudiciable, à la fois à la pandémie et à la manière de gérer la pandémie, car vous devez avoir une dynamique discussion pour trouver la meilleure façon de gérer ces choses », a déclaré Kulldorff à Epoch Times dans une récente interview.
Au début de la plandémie, vous vous souviendrez peut-être que Kulldorff s'est mis dans le collimateur en exposant la plandémie pour ce qu'elle était, même lorsqu'on disait encore aux gens qu'il ne faudrait que deux semaines pour "aplatir la courbe".
En mars 2020, lorsque la plandémie a commencé, Kulldorff, originaire de Suède, essayait déjà de publier des études montrant que la grippe Fauci n'était vraiment pas si grave. Il a essayé de présenter des preuves de ce que les gens pouvaient faire pour aider à minimiser leur risque d'infection au lieu de simplement paniquer et vivre dans la peur.
Les recherches de Kulldorff ont été manifestement rejetées, comme on pouvait s'y attendre - mais il n'a pas cessé de se battre. En fait, il a continué à dire la vérité, mettant toute sa carrière et sa réputation en jeu.
"J'ai pu publier en Suède, dans les grands quotidiens là-bas au printemps 2020, donc ce n'était pas un problème", dit-il. "Mais les États-Unis n'ont pas été autorisés à avoir un débat, ce qui est très troublant."
Kulldorff mène le bon combat depuis le début de la pandémie
Les premiers efforts de Kulldorff ont abouti à la publication de la Déclaration de Great Barrington, qui a été publiée par les Drs. Sunetra Gupta et Jay Bhattacharya en octobre 2020. Cette déclaration appelait à une approche plus nuancée de la plandémie par opposition aux restrictions uniformes imposées principalement aux Occidentaux.
«L'approche la plus compatissante qui équilibre les risques et les avantages d'atteindre l'immunité collective, est de permettre à ceux qui courent un risque minimal de mourir de vivre leur vie normalement pour développer une immunité contre le virus par une infection naturelle, tout en protégeant mieux ceux qui sont à risque le plus élevé », indique cette déclaration.
Gupta, soit dit en passant, est un épidémiologiste spécialisé en immunologie, en développement de vaccins et en modélisation mathématique des maladies infectieuses, qui travaille également comme professeur à l'Université d'Oxford. Bhattacharya est un épidémiologiste, un économiste de la santé et un expert en politique de santé publique qui se concentre sur les maladies infectieuses et les populations vulnérables, et enseigne également au Stanford University Medical System.
«Ce ne sont que les principes fondamentaux de base de la santé publique qui existaient dans le plan de préparation à la pandémie préparé de nombreuses années auparavant», déclare Kulldorff à propos de la déclaration de Great Barrington. "C'est assez étonnant qu'il n'ait pas été suivi dès le début de la pandémie."
Kulldorff dit que la déclaration de Great Barrington n'était pas destinée aux politiciens, aux scientifiques ou même aux médecins, malgré le fait que des milliers d'entre eux l'ont signée. Au lieu de cela, il était destiné au grand public.
« Le public le plus important était le public », dit-il. "Parce que c'est le public qui finira par mettre fin à ces politiques de santé publique erronées. C'est le public, les gens ordinaires, qui en subissent les conséquences.
"L'essentiel était de briser le prétexte qu'il y avait un consensus scientifique pour ces verrouillages - ce qui n'était pas le cas."
La dernière couverture médiatique sur la plandémie peut être trouvée sur Pandemic.news.
BOOSTER LA COURBE : les boosters COVID blessent jusqu'à 98 jeunes adultes juste pour éviter une hospitalisation pour COVID-19
lundi 12 septembre 2022 par : Lance D. Johnson
(Natural News) Le gouvernement fédéral exhorte tous les Américains de plus de douze ans à faire la queue et à recevoir une cinquième dose du vaccin COVID, soulignant à nouveau l'importance de "faire votre part" pour "ralentir la propagation du coronavirus".
Cependant, une nouvelle étude, intitulée «Rappels de vaccins Covid-19 pour les jeunes adultes: une évaluation des risques et des avantages et cinq arguments éthiques contre les mandats dans les universités» révèle que les rappels COVID AUGMENTENT LA COURBE des hospitalisations, sans les empêcher. Selon les résultats de l’étude, les rappels COVID causent jusqu’à 98 blessures graves par vaccin chez les jeunes adultes juste pour empêcher UNE hospitalisation COVID-19. L'équipe de chercheurs qualifie désormais les mandats du vaccin COVID-19 de "contraires à l'éthique" car les piqûres sont près de 100 fois plus susceptibles de faire subir à un jeune une blessure grave due au vaccin que d'empêcher une hospitalisation pour COVID-19.
Il existe de nombreuses façons de prévenir les hospitalisations liées au COVID-19 qui ne nécessitent pas 98 blessures graves supplémentaires. Il existe de nombreuses façons de traiter les patients et d'obtenir une immunité naturelle qui ne nécessitent pas un risque aussi extrême pour la vie et les moyens de subsistance des jeunes. Les conclusions de l'étude sont encore plus choquantes, étant donné que l'auteur de l'étude, le Dr Kevin Bardosh, a reçu des fonds du Département de la santé de Floride pro-vaccination et du Wellcome Trust, adorateur des vaccins.
Les jeunes adultes sont plus susceptibles d'être gravement blessés par un programme de vaccination covid-19 coercitif et abusif
Afin d'éviter une hospitalisation au COVID-19 chez les adultes âgés de 18 à 29 ans, au moins 22 000 à 30 000 doivent être boostés avec le vaccin à ARNm. Selon les données sur les événements indésirables, environ 18 à 98 événements indésirables graves surviennent dans une population de cette taille. Ces événements indésirables graves ne sont pas les cas typiques de douleurs au bras, de fièvre, de frissons et de fatigue qui accompagnent souvent ce vaccin mal conçu. Ces événements indésirables graves comprennent des problèmes médicaux comme la myocardite, les caillots sanguins, la paralysie faciale, les convulsions et d'autres problèmes médicaux qui interfèrent avec la vie quotidienne d'une personne, à long terme. Entre 1,7 et 3 jeunes adultes seront contraints de vivre avec une myocardite juste pour prévenir un cas "grave" de covid-19.
Le gouvernement dit à la majorité de la population de prendre en charge des milliers de nouveaux problèmes médicaux juste pour prévenir une poignée de maladies. Il existe d'innombrables façons d'améliorer le système immunitaire inné pour prévenir l'hospitalisation liée au covid-19. Ces nutraceutiques, antiviraux, adaptogènes et traitements n'obligent pas la population à s'attaquer à de nouveaux problèmes médicaux qui perturbent la vie quotidienne, causent souffrance et décès.
Au fur et à mesure que la population acquiert une immunité naturelle et s'adapte à l'excrétion et aux mutations induites par le vaccin, le profil de risque de la prise de nouveaux rappels COVID devient encore plus insensé. Pourtant, le gouvernement fédéral continue de demander aux jeunes de le prendre. Pourquoi les jeunes sont-ils contraints et contraints de prendre quelque chose qui cause près de 100 hospitalisations de plus que la maladie elle-même ? Pourquoi les campus universitaires et les écoles publiques poussent-ils les enfants à obéir aux agresseurs et à s'isoler, à s'attarder sur la maladie, à se bâillonner pendant des heures chaque jour et à prendre des injections qui sont plus susceptibles de les blesser et de les tuer - le tout par peur de quelque chose qui récupérer le plus facilement ?
Les chercheurs avertissent qu'il y a:
Pas d'évaluation formelle du rapport bénéfice/risque pour le groupe d'âge (18-29 ans) ou pour les enfants. Les jeunes adultes sont contraints de faire quelque chose qui est insensé du point de vue de l'évaluation des risques.
Les mandats de vaccination peuvent entraîner un préjudice net attendu pour les jeunes individuels, échangeant la possibilité et l'inévitabilité d'une simple maladie contre le risque délibéré de prendre un problème médical grave et inutile.
Les méfaits attendus des mandats de vaccination ne sont pas compensés par les avantages allégués, en particulier lorsque les vaccins ne parviennent pas à arrêter la transmission. Les mandats violent le principe de réciprocité parce que les dommages rares et graves liés aux vaccins ne seront pas indemnisés de manière fiable en raison des boucliers de responsabilité dans les régimes actuels de dommages liés aux vaccins.
Les mandats créent des préjudices sociaux, une discrimination, une ségrégation plus larges, etc. Les sources comprennent :
Les décès de cols blancs étaient en fait 23 % plus élevés que les décès de cols bleus et d'autres décès au cours de la même période.
Scott Davison de la compagnie d'assurance-vie OneAmerica, basée à Indianapolis, a été le premier à évoquer ce phénomène. Sa carrière a vu une augmentation massive de 40% des demandes de décès parmi les 18-64 ans après l'introduction des vaccins contre la grippe Fauci.
Ce que Davison a vu à OneAmerica est sans précédent, représentant un événement "trois sigma" - c'est-à-dire une catastrophe qui se produit une fois tous les 200 ans et qui est exceptionnellement rare.
OneAmerica est l'une des 20 entreprises qui ont participé au rapport SOA, avec Aflac, Anthem, The Hartford, Lincoln Financial Group, MetLife, New York Life et Principal Financial.
L'ancien gestionnaire de fonds spéculatifs Edward Dowd s'est également exprimé sur la question, déclarant que les mandats d'injection de virus chinois du régime Biden coïncident directement avec cette augmentation du nombre de décès.
"Temporairement, au cours de cette période de trois mois, le changement a été tel que quelque chose s'est produit", a déclaré Dowd.
« Eh bien, nous savons tous ce qui s'est passé en août, septembre et octobre. C'étaient les mandats de Biden le 9 septembre, et de nombreuses entreprises anticipaient ces mandats.
Il y a près d'un an jour pour jour du décès de la reine Elizabeth II, le régime de Biden a publié un décret obligeant tous les employés fédéraux et les travailleurs de la santé des établissements certifiés par Medicare et Medicaid à se faire piquer pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
"Ce qui semble émerger chaque jour avec plus de preuves des meurtres de masse causés par l'arnaque du covid est la mère de tous les bourbiers juridiques", a souligné un commentateur d'Epoch Times à propos de ce qui va probablement suivre.
Les dernières nouvelles sur l'injection de virus chinois peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
7 médicaments sur ordonnance les plus effrayants, selon les propres avertissements de Big Pharma
Monday, September 12, 2022 by: S.D. Wells
(Natural News) Lorsque vous pensez aux "troubles d'apprentissage" pour les enfants américains, de nombreux types viennent à l'esprit, y compris le syndrome d'Asperger, l'autisme et le syndrome de Down, mais cela peut vous surprendre de savoir qu'il y a plus de 6 millions d'enfants américains diagnostiqués avec Attention Trouble déficitaire avec hyperactivité (TDAH) en ce moment. Près de 2 millions de ces enfants prennent des médicaments d'ordonnance dangereux pour cela. Ce qui est pire, c'est que le "diagnostic" est très vague et peut inclure à peu près n'importe quel comportement énergétique, sans prêter suffisamment "d'attention" au programme ennuyeux et tordu. Sans oublier que la plupart des enfants mangent une cargaison de sirop de maïs à haute teneur en fructose pour le petit-déjeuner dans les céréales, les boissons, les pains et les collations de ces enfants. Pas étonnant qu'ils ne puissent pas rester assis pendant des heures. Cela ne signifie PAS qu'ils ont un TDA ou un TDAH.
Pourtant, tous ces enfants sont bourrés de stimulants qui ont des effets secondaires comme une dépression sévère et des sentiments (accrus) d'homicide et de suicide. On dit aux médecins d'être à l'affût lorsqu'ils prescrivent ces concoctions expérimentales, pour les sautes d'humeur des patients, les troubles du sommeil, les migraines, la perte de poids et, bien sûr, les tendances suicidaires.
Ce n'est que le début des avertissements de la "boîte noire" qui accompagnent ces médicaments pour le TDAH, prescrits pour à peu près n'importe quel enfant, n'importe où, n'importe quand, sans discrétion.
Dans cet esprit, nous y allons avec les 7 médicaments sur ordonnance les plus effrayants lancés aux bébés, aux enfants, aux adolescents et aux adultes sans discrétion
#1. Médicaments pour le TDAH – Peuvent augmenter les pensées et les actions suicidaires chez les enfants, les adolescents ou les adultes atteints de TDAH, en particulier au cours des premiers mois de traitement ou lorsque la dose est modifiée
#2. Remdesivir pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) – Ce médicament peut décimer vos reins et provoquer une défaillance des organes (rénaux)
#3. ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) - médicaments psychotropes administrés pour l'anxiété, la dépression, le trouble bipolaire. Provoque (augmentation) des pensées suicidaires et des pensées meurtrières - souvent le coupable des fusillades de masse
#4. Médicaments contre le cholestérol
#5. Anticoagulants
#6. Chimiothérapie orale
#7. Paxlovid – la pilule « antivirale » de Pfizer – provoque un rebond de l’infection au COVID-19
Même lorsqu'ils sont "pris comme indiqué", ces médicaments sur ordonnance sont encore beaucoup plus dangereux que les conditions qu'ils sont censés traiter Imaginez que vous alliez à l'hôpital parce que vous attrapiez un cas léger de COVID-19, et que les médecins, juste pour être «en sécurité», vous prescrivent Remdesivir, et vos reins commencent à défaillir. Ensuite, vous réalisez que vous n'avez même jamais été informé que cet événement est assez courant avec la drogue, et tout le monde semble le savoir, sauf vous.
Ensuite, il y a Paxlovid - la pilule dite "antivirale" de Pfizer qui PROVOQUE littéralement un rebond de l'infection au COVID-19. Le CDC lui-même avertit que vous pourriez voir des symptômes «réapparaître deux à huit jours après la fin du traitement et un test négatif.
Comment aimez-vous les pommes? Pourri jusqu'à la moelle. C'est le complexe médical et industriel en Amérique qui s'en sort littéralement avec un meurtre et au grand jour. Cela signifie que tout en "gérant votre risque de maladie grave", les médecins prescrivent un médicament qui vous expose à un RISQUE ÉLEVÉ de maladie grave, selon leurs propres descriptions de COVID-19 sous le laboratoire concocté, gain de fonction, saut de chauve-souris à humain, grippe de Wuhan financée par Fauci et Pfizer. Viennent ensuite les prescriptions de « monkeypox » pour protéger tous les Américains contre le syndrome des relations sexuelles avec des singes, des verrues anales, des orgies humaines.
Ne commencez même pas avec tous ces anticoagulants, où à peu près n'importe quelle légère bosse ou ecchymose sur le patient peut entraîner une hémorragie interne, qui peut rapidement entraîner la mort. L'anticoagulant fait le bon mort-aux-rats, et une fois que le M.I.C. les médecins (trafiquants de médicaments d'entreprise du complexe médical et industriel) mettent leurs patients sous ces médicaments cauchemardesques, ils les laissent rarement, voire jamais, les arrêter à nouveau.
Enfin, si la chimiothérapie vous fait peur, c'est normal. Qu'elle soit prise par « goutte-à-goutte » ou par voie orale, ce n'est rien de plus qu'une lente marche dans les « chambres à gaz », où la chimio elle-même provoque la formation de nouveaux cancers et les attaque avec vengeance. Les scientifiques le savent depuis sa création, dans les années 1950 et 1960.
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Le CDC admet que des LOTS TUEURS de vaccins COVID-19 sont toujours donnés au public
lundi 12 septembre 2022 par : Belle Carter
(Natural News) Une enquête des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a révélé que certains lots de vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) liés à un nombre extrêmement élevé d'effets indésirables et de décès étaient toujours mis à la disposition du public.
L'agence de santé publique a découvert que des numéros de lot spécifiques des vaccins COVID-19 liés aux effets indésirables et aux décès étaient déjà identifiés, mais pas retirés. Ils ont également constaté que quatre à cinq pour cent des lots de vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 étaient responsables de chaque décès signalé comme effet indésirable. De plus, ces lots mortels ont été largement distribués à travers les États-Unis, tandis que les autres lots bénins ont été envoyés à quelques endroits seulement.
Le CDC a utilisé les données du Vaccine Adverse Event Reporting System soumises jusqu'au 15 octobre 2021. Il comprenait tous les effets indésirables liés aux vaccins Pfizer et Moderna. Les effets indésirables liés aux vaccins contre la grippe ont également été inclus pour servir d'ensemble de données de contrôle.
Au total, 171 463 effets indésirables, 14 262 hospitalisations et 2 828 décès étaient liés à 4 522 numéros de lot Pfizer, tandis que 188 998 effets indésirables, 10 225 hospitalisations et 2 603 décès étaient liés à 5 510 numéros de lot Moderna.
Quatre-vingt-seize pour cent des lots de vaccins Pfizer n'avaient aucun rapport de décès, ce qui signifie que les 2 828 décès liés au vaccin provenaient de quatre pour cent des lots. Pendant ce temps, 95% des lots de vaccins Moderna n'avaient aucun rapport de décès, ce qui se traduit par 2 603 décès associés à 5% des lots.
Des lots spécifiques de vaccins à ARNm distribués entre 13 et 50 États à travers les États-Unis ont présenté un nombre inhabituellement élevé de rapports d'événements indésirables et de décès, par rapport à ceux distribués à 12 États ou moins. Le CDC a conclu qu'il y avait "des découvertes préoccupantes qui justifient une enquête plus approfondie".
Pfizer balaie les problèmes de sécurité des vaccins COVID-19 sous le tapis Alors que ces rapports pourraient simplement être imputés à des problèmes de contrôle de la qualité, un dénonciateur d'une usine de fabrication de Pfizer a dit le contraire. Elle a révélé qu'elle avait même été licenciée par l'entreprise pour avoir intensifié et signalé les irrégularités dans la qualité des vaccins qu'elle trouvait alarmantes.
Melissa McAtee, ancienne auditrice de la qualité à l'usine Pfizer du Kansas, a déclaré l'année dernière à l'animateur de "World View Report", Brannon Howse, qu'elle avait remarqué que le vaccin brillait sous une certaine lumière. Après avoir alerté la société, McAtee a déclaré que le problème était toujours ignoré. (Connexe : Pfizer demande au tribunal de rejeter le procès du lanceur d'alerte parce que le gouvernement était pleinement conscient de la fraude lorsqu'il a accepté de travailler avec l'entreprise.)
Alors que Pfizer a déclaré que 90% des employés de l'usine étaient vaccinés contre les injections de COVID-19, McAtee a déclaré que ce n'était pas le cas.
« Soi-disant, la moitié de l'usine n'a pas été vaccinée ou partirait si elle était forcée de se soumettre au mandat de vaccination », a-t-elle déclaré.
L'ancien personnel de Big Pharma a en outre déclaré que le plus important était que les gens obtiennent un consentement éclairé. "Je tiens à ce que les gens soient informés et qu'ils sachent ce qui est injecté dans leur corps", a déclaré McAtee.
McAtee a déclaré que Pfizer était trompeur et omettait des informations et a également noté que la société s'était engagée dans le secret, comme la fermeture de couloirs et de certains processus alors qu'elle savait que la Food and Drug Administration viendrait à l'usine.
Parcourez BigPharmaNews.com pour en savoir plus sur la façon dont Pfizer et Moderna trompent les gens avec leurs vaccins expérimentaux.
Regardez la vidéo ci-dessous qui explique la signification des lots de vaccins COVID-19.
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Cette vidéo provient de la chaîne Prevent Global Genocide sur Brighteon.com.
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"Lorsque nous avons examiné tous les décès survenus, nous avons examiné ceux qui étaient liés à un accident ou manifestement non proches du virus COVID-19", a-t-elle déclaré aux journalistes lors d'un autre point de presse. "C'était moins de 0,6% de ces décès qui appartenaient à cette catégorie où il s'agissait d'un accident, d'un homicide ou de quelque chose où le diagnostic de COVID n'était pas la cause immédiate du décès."
Au moment de mettre sous presse, 39 445 personnes dans l'Illinois seraient mortes du COVID-19. En raison de la révélation d'Ezike, on ne sait toujours pas combien d'entre eux ont été réellement causés par le coronavirus et combien sont morts d'autres causes, mais il se trouve qu'ils avaient le COVID-19 au moment du décès.
On ne sait pas non plus combien de personnes dans l'Illinois, avec un taux de vaccination complet de plus de 70 %, sont décédées en raison de problèmes de santé causés par les vaccins COVID-19 et non du coronavirus.
En savoir plus sur la pandémie de COVID-19 sur Pandemic.news.
Regardez cet épisode du 8 septembre de "Keep the Republic" avec le Dr Daniel Bobinski.
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"Keep the Republic" avec le Dr Daniel Bobinski est diffusé tous les jeudis de 16h à 17h. sur Brighteon.TV.
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Premier venu le 11 septembre. Puis COVID-19. Quelle est la prochaine crise pour verrouiller la nation ?
Par John et Nisha Whitehead L'Institut Rutherford 13 septembre 2022
"Le but de la politique pratique est de garder la population alarmée (et donc pressée d'être conduite à la sécurité) par une série interminable de hobgobelins, la plupart imaginaires." - H.L. Mencken
D'abord est venu le 11 septembre, que le gouvernement a utilisé pour se transformer en un État policier.
Puis la pandémie de COVID-19 a frappé, que l'État policier a utilisé pour tester ses pouvoirs de verrouillage.
À la lumière de la tendance du gouvernement à exploiter les crises (légitimes ou fabriquées) et à capitaliser sur les émotions, la confusion et la peur accrues de la nation comme moyen d'étendre la portée de l'État policier, on peut se demander quelle soi-disant crise il déclarera ensuite .
C'est une formule assez simple : d'abord, vous créez la peur, puis vous la capitalisez en prenant le pouvoir.
Franchement, peu importe la nature de la prochaine urgence nationale (terrorisme, troubles civils, effondrement économique, crise sanitaire ou environnement) tant qu'elle permet au gouvernement de verrouiller la nation et de justifier toutes les manières de la tyrannie au soi-disant nom de la sécurité nationale.
Signalez l'état d'urgence.
Attaques terroristes, fusillades de masse, « effondrement économique imprévu, perte de fonctionnement de l'ordre politique et juridique, résistance ou insurrection intérieure délibérée, urgences de santé publique généralisées et catastrophes naturelles et humaines catastrophiques » : le gouvernement anticipe et se prépare à de telles crises depuis des années à présent.
Comme l'écrit David C. Unger pour le New York Times : « La vie, la liberté et la poursuite du bonheur ont cédé la place à une gestion permanente des crises : faire la police de la planète et mener des guerres préventives d'endiguement idéologique, généralement sur un terrain choisi par et favorable. à, nos ennemis. Le gouvernement limité et la responsabilité constitutionnelle ont été écartés par le type de présidence impériale que notre système constitutionnel était explicitement conçu pour empêcher. »
Voici ce que nous savons : étant donné la vitesse à laquelle le gouvernement continue de concevoir de nouvelles façons de s'imposer comme la « solution » à tous nos problèmes mondains aux frais des contribuables, chaque crise subséquente inaugure des expansions toujours plus importantes du pouvoir gouvernemental et moins de liberté individuelle.
C'est la pente glissante vers la tyrannie pure et simple.
Vous voyez, une fois que le gouvernement acquiert (et utilise) des pouvoirs autoritaires - pour espionner ses citoyens, pour effectuer une surveillance, pour transformer ses forces de police en extensions de l'armée, pour saisir l'argent des contribuables, pour mener des guerres sans fin, pour censurer et faire taire dissidents, pour identifier les fauteurs de troubles potentiels, pour détenir des citoyens sans procédure régulière - il ne les abandonne pas volontairement.
La leçon pour les âges est la suivante : une fois qu'un gouvernement est autorisé à aller trop loin et à étendre ses pouvoirs, il est presque impossible de remettre le génie dans la bouteille. Comme le reconnaît Laurence Tribe, professeur de droit constitutionnel à Harvard, « la soif dictatoriale de pouvoir est insatiable ».
En effet, l'histoire des États-Unis témoigne du vieil adage selon lequel la liberté diminue à mesure que le gouvernement (et la bureaucratie gouvernementale) se développe. Autrement dit, à mesure que le gouvernement s'étend, la liberté se contracte.
De cette façon, chaque crise depuis les débuts de la nation est devenue une opportunité de création d'emplois pour le gouvernement.
Chaque crise a également été un test pour voir jusqu'où « nous, le peuple » permettrait au gouvernement de contourner la Constitution au soi-disant nom de la sécurité nationale ; un test pour voir dans quelle mesure nous avons assimilé les leçons du gouvernement en matière de conformité, de peur et de tactiques d'État policier ; un test pour voir à quelle vitesse nous marcherons au pas avec les diktats du gouvernement, sans poser de questions ; et un test pour voir le peu de résistance que nous offrons aux prises de pouvoir du gouvernement lorsqu'elles sont faites au nom de la sécurité nationale.
Plus important encore, cela a été un test pour voir si la Constitution - et notre engagement envers les principes inscrits dans la Déclaration des droits - pourrait survivre à une crise nationale et à un véritable état d'urgence.
Malheureusement, nous échouons à ce test particulier depuis longtemps maintenant.
En effet, les pouvoirs en place ont poussé nos boutons et nous ont conduits comme autant de bétail depuis la Seconde Guerre mondiale, au moins, à commencer par les attaques japonaises sur Pearl Harbor, qui ont non seulement propulsé les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale, mais aussi unifié le peuple américain dans son opposition à un ennemi commun.
Cette peur d'une attaque par des menaces étrangères, commodément renforcée par le complexe militaro-industriel croissant, a à son tour donné lieu à la «peur rouge» de l'ère de la guerre froide. Promulgués par la propagande gouvernementale, la paranoïa et la manipulation, les sentiments anticommunistes se sont transformés en une hystérie de masse qui considérait tout le monde comme suspect : vos amis, le voisin d'à côté, même les membres de votre famille pourraient être des subversifs communistes.
Cette hystérie, qui a abouti à des audiences devant le House Un-American Activities Committee, où des centaines d'Américains ont été appelés devant le Congrès pour témoigner de leurs soi-disant affiliations communistes et intimidés pour faire de faux aveux, a également ouvert la voie à la montée d'un tout État de surveillance gouvernemental qui sait tout et qui voit tout.
Au moment où le 11 septembre s'est déroulé, tout ce que George W. Bush avait à faire était de prétendre que le pays était envahi par des terroristes, et le gouvernement a utilisé le USA Patriot Act pour revendiquer de plus grands pouvoirs pour espionner, rechercher, détenir et arrêter les citoyens américains dans afin de protéger l'Amérique.
Par le biais de la loi sur l'autorisation de la défense nationale, Barack Obama a poursuivi la tendance de Bush à saper la Constitution, allant jusqu'à donner à l'armée le pouvoir de dépouiller les Américains de leurs droits constitutionnels, de les qualifier d'extrémistes et de les détenir indéfiniment sans procès, le tout en le nom de garder l'Amérique en sécurité.
Malgré le fait que l'étendue du pouvoir de l'armée de détenir des citoyens américains viole non seulement la loi américaine et la Constitution, mais aussi les lois internationales, le gouvernement a refusé de renoncer à ses pouvoirs de détention rendus possibles par la NDAA.
Ensuite, Donald Trump a pris ses fonctions, affirmant que le pays était envahi par des immigrants dangereux et insistant sur le fait que la seule façon de protéger l'Amérique était d'étendre la portée de la police des frontières, de donner aux militaires les moyens d'"aider" au contrôle des frontières et de transformer essentiellement le pays en une zone sans Constitution.
Cette soi-disant crise de l'immigration s'est ensuite transformée en crises multiples (extrémisme domestique, pandémie de COVID-19, guerres raciales, troubles civils, etc.) que le gouvernement s'est empressé d'utiliser pour étendre ses pouvoirs.
Joe Biden, à son tour, a tout mis en œuvre pour étendre la portée de l'État policier militarisé, s'engageant à embaucher 87 000 agents de l'IRS et 100 000 policiers supplémentaires. Lisez entre les lignes et vous constaterez que Biden a pratiquement déclaré la guerre au peuple américain.
Personne ne sait quelle sera la prochaine crise, mais vous pouvez être sûr qu'il y aura une prochaine crise.
Alors, à quoi devez-vous vous attendre si le gouvernement décide de déclarer un autre état d'urgence et institue un confinement à l'échelle nationale ?
Vous devriez vous attendre à plus de la même chose, mais à pire.
Plus de conformité, moins de résistance.
Plus de tactiques alarmistes et de contrôle de l'esprit et moins de tolérance pour ceux qui remettent en question les récits de propagande du gouvernement.
Surtout, comme je le souligne dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, vous devriez vous attendre à plus de tyrannie et moins de liberté.
Il y a tout lieu de s'inquiéter de la suite.
Certes, les antécédents du gouvernement et ses plans tant attendus d'instauration de la loi martiale (utilisation des forces armées pour résoudre les problèmes politiques et sociaux intérieurs) en réponse à une crise future sont suffisamment préoccupants quant à la manière dont le gouvernement gérera la prochaine « crise ». ”
Notez mes mots : si et quand un autre verrouillage national frappe enfin - si et quand nous sommes obligés de nous abriter sur place - si et quand la police militarisée patrouille dans les rues - si et quand des points de contrôle de sécurité ont été établis - si et quand la capacité des médias à diffuser les informations a été restreint par les censeurs du gouvernement - si et quand les systèmes publics de communication (lignes téléphoniques, Internet, messagerie texte, etc.) ont été restreints - si et quand ces camps de la FEMA que le gouvernement a construits subrepticement sont finalement utilisés comme détention des centres pour les citoyens américains – si et quand des équipes militaires « snatch and grab » sont déployées aux niveaux local, étatique et fédéral dans le cadre des plans activés de continuité du gouvernement pour isoler toute personne soupçonnée d'être une menace pour la sécurité nationale – et si et quand la loi martiale est promulguée avec peu de tollé ou de résistance réelle de la part du public - alors nous comprendrons vraiment à quel point le gouvernement a pleinement réussi à nous acclimater à un état de affaires dans lesquelles le gouvernement a tout le pouvoir et « nous le peuple » n'en avons aucun.
Lorsqu'est imagé une pyramide beaucoup de gens pensent (?) que les pharaons été enterrés... au sommet ? Que nenni ! Ils étaient sous le tas de pierre !
RépondreSupprimerDonc, à la représentation du triangle équilatéral, il est nécessaire plutôt de se représenter un terrain triangulaire où le FMI, WEF et ONU seraient coincés en coin face à 8 milliards d'habitants qui s'avancent !
La sonnette d'alarme retentit alors que la deuxième plus grande entreprise d'électroménager au monde signale une chute de la demande
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 15:28
Le fabricant suédois d'appareils électroménagers Electrolux AB a annoncé un programme de réduction des coûts après avoir signalé une chute de la demande pour ses appareils électroménagers en Europe et aux États-Unis.
Le deuxième plus grand fabricant d'appareils électroménagers au monde après Whirlpool a déclaré : "On estime que la demande du marché pour les appareils de base en Europe et aux États-Unis jusqu'à présent au troisième trimestre a diminué à un rythme considérablement accéléré par rapport au deuxième trimestre, sous l'effet de forte inflation sur les achats de biens de consommation durables et faible confiance des consommateurs. »
Il a noté: "Les niveaux élevés des stocks des détaillants ont amplifié l'impact du ralentissement de la demande des consommateurs."
N'oubliez pas qu'il existe une surabondance massive de biens de consommation chez les détaillants.
- voir graph sur site -
Electrolux a averti qu'une combinaison de chaînes d'approvisionnement bloquées avait fait pression sur la société, qui devrait enregistrer une perte d'exploitation encore plus importante au troisième trimestre.
"En combinaison avec des déséquilibres de la chaîne d'approvisionnement entraînant d'importantes inefficacités de production et une augmentation des coûts, les bénéfices du Groupe au troisième trimestre devraient baisser de manière significative par rapport au deuxième trimestre 2022, en excluant également le coût ponctuel de sortie du marché russe. Cela a été tiré principalement par l'Europe et l'Amérique du Nord. Le secteur d'activité Amérique du Nord devrait enregistrer une perte d'exploitation au troisième trimestre supérieure à la perte du deuxième trimestre.
La baisse de la demande des consommateurs, la constitution des stocks des détaillants et les pertes croissantes de la société suédoise ont forcé son conseil d'administration à "lancer un programme de réduction des coûts à l'échelle du groupe portant à la fois sur les coûts variables et structurels". Electrolux a expliqué plus en détail les réductions de coûts :
"Le programme, qui démarre immédiatement, se concentrera sur la réduction des coûts variables, avec une attention particulière à l'élimination des inefficacités de coûts dans notre chaîne d'approvisionnement et de production. Les réductions de coûts structurelles auront principalement lieu en Europe et en Amérique du Nord et comprendront des mesures de priorisation et d'efficacité tirant parti des récentes changements organisationnels qui sont entrés en vigueur le 1er juillet. Les mesures comprennent l'augmentation de la productivité des opérations ainsi que l'optimisation du portefeuille de R&D, de l'administration, des activités de vente et de marketing.
RépondreSupprimerLes perspectives dégradées d'Electrolux ont initialement fait chuter les actions de 7%, mais ont depuis récupéré la plupart des pertes à la fin de la session européenne.
- voir graph sur site -
Le PDG d'Electrolux, Jonas Samuelson, a déclaré que la confiance des consommateurs devrait rester déprimée en Europe, ajoutant : "Je pense que les gens s'accrocheront assez fort à leur portefeuille". Il en va probablement de même aux États-Unis – les consommateurs ont renoncé à acheter des biens durables et se sont concentrés sur l'achat de produits de base, car l'inflation la plus élevée depuis des décennies a entraîné une croissance des salaires profondément négative pendant plus d'un an. Les ménages des deux côtés de l'Atlantique sont à la peine.
https://www.zerohedge.com/markets/alarm-bells-sound-worlds-second-largest-appliance-company-reports-demand-plunge
En cas de panne les lavoirs et rivières gelées ont un bel avenir ! Faudra juste casser la glace pour laver le linge !
SupprimerEn Afrique les bronzés font du ski !
De combien de temps et d'argent le Royaume-Uni a-t-il besoin ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 15:08
Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,.
"Tant pour les aumônes alors...?"
Les finances du Royaume-Uni dépendent de la durée pendant laquelle la sécurité énergétique reste compromise et de la capacité du nouveau gouvernement Truss à convaincre les marchés de financer cette période.
Cela va être une semaine extraordinaire pour le Royaume-Uni.
La vie et les marchés continuent. La montée d'amour et de respect pour la reine Elizabeth et les espoirs ardents que nous souhaitons pour le règne du roi Charles servent en quelque sorte de distraction de la réalité économique à laquelle la nation est confrontée. L'inflation, la récession et l'incertitude énergétique continueront de bouleverser la réalité. Les cyniques peuvent soutenir que la décision de la nouvelle première ministre Liz Truss de faire une tournée au Royaume-Uni avec le prince Charles cette semaine est dans l'espoir qu'une partie de son nouvel éclat retrouvé la déteint. Et pourquoi pas? Elle en aura besoin.
Malgré tous mes doutes sur notre nouveau gouvernement, je saluerai avec plaisir Truss et le chancelier Kwazi Kwarteng pour avoir mis en place le plafond énergétique la semaine dernière. Les temps extraordinaires exigent des mesures extraordinaires.
Il n'y avait pas d'alternative pratique – le gouvernement s'est engagé à réduire les factures d'énergie des consommateurs et des PME pendant que la crise de l'énergie se poursuit. Cela supprimera la misère économique de millions de personnes. Il réduit le risque de récession et fera baisser le titre de l'inflation. Aucun chiffre n'a été fourni, mais il est prévu de créer un trou de 150 à 200 milliards de livres sterling dans les finances de l'État au cours de l'année prochaine, qui ne pourra être couvert que par des emprunts supplémentaires.
Cela soulève toutes sortes d'inquiétudes quant à la stabilité financière du Royaume-Uni : pendant combien de temps la nation pourra-t-elle se le permettre ?
La première question cruciale est de savoir combien de temps durera la crise énergétique ?
À court terme, la crise concerne la perturbation des approvisionnements énergétiques de la Russie pendant la guerre d'Ukraine. Il est peu probable que cela change. Les nouvelles d'Ukraine suggèrent un revers russe majeur - mais cela ajoute simplement un degré d'incertitude sur ce que pourrait faire un Poutine enragé et imprévisible. Les risques que la Russie utilise des armes nucléaires tactiques sur le champ de bataille, des frappes de missiles hypersoniques sur des noyaux et des nœuds énergétiques et des cyberattaques sur les réseaux et les infrastructures énergétiques européens sont élevés.
Les chocs énergétiques à moyen terme ont tendance à être de courte durée, car de nouvelles sources d'approvisionnement en énergie alternative sont innovées et mises en ligne - tout, depuis le gaz importé, les achats d'électricité en gros et l'augmentation des combustibles fossiles, ainsi que les programmes gouvernementaux d'économie d'énergie domestique, seront mis en ligne. La grande préoccupation est de savoir si l'Europe peut éviter le rationnement et les coupures d'électricité, et jusqu'où iront les dommages énergétiques à l'économie.
RépondreSupprimerÀ long terme, les prix de l'énergie se normaliseront. L'Europe établira une nouvelle économie énergétique sécurisée - et la Russie s'efforcera de vendre son énergie à un acheteur monopolistique - la Chine, qui ne voudra probablement pas payer le prix du marché.
La deuxième question critique est la suivante : le Royaume-Uni peut-il se le permettre ?
Le volume actuel des gilts britanniques en circulation est de 2,174 milliards de livres sterling. Les fils financiers et les commentaires disent que les investisseurs ne sont tout simplement pas disposés à financer les dépenses non plafonnées du nouveau plafond énergétique via le Gilt Market. Il y a un prix pour tout. La réalité est que le Royaume-Uni peut émettre des cochettes à sa guise – mais devra accepter le prix que le marché est prêt à payer. Ce prix dépend de l'offre et de la demande, mais aussi des actifs incorporels - comme la façon dont les investisseurs évaluent la Virtuous Sovereign Trinity du Royaume-Uni - ses perspectives politiques et sa stabilité, les facteurs agissant sur la livre sterling et un jugement sur la stabilité de la dette nationale.
Émettre 150 milliards de livres sterling de gilts supplémentaires, à un moment où la Banque d'Angleterre augmente ses taux et où une récession se profile… Dur ! Il existe des alternatives. La Banque d'Angleterre peut, en utilisant la voie bien connue du QE pour imprimer de la monnaie, agir en tant qu'acheteur. Une autre astuce consiste à attirer les acheteurs – comme annoncer aux banques et aux institutions qu'ils peuvent emprunter directement à la Banque contre leurs Gilts – même effet.
Et il y a toujours le ZONK.
Le Zonk est une petite pièce britannique dont personne n'a jamais entendu parler jusqu'à présent, dont l'une sera frappée uniquement sur instruction du Trésor britannique pour représenter le visage du roi Charles (face à la direction opposée au visage du Queens sur l'ancienne monnaie).
J'ai appelé notre compagnie d'assurance maladie - Bupa. Ils ne répondent plus au téléphone. J'ai dû me connecter via un chat bot, qui m'a finalement connecté à une personne pour un chat en ligne. Cela a pris des années - et c'est une méthode très inefficace pour communiquer. J'ai expliqué ce qui s'était passé et j'ai demandé au feu vert l'échographie et la consultation urgentes.
RépondreSupprimerL'agent de Bupa est resté vide pendant un moment, puis est revenu en disant que parce que la blessure initiale s'est produite il y a 2 semaines - en jouant avec le chien - la blessure pour laquelle je cherchais une autorité était donc une condition "préexistante", et serait donc pas être couvert à moins que je puisse obtenir une lettre de mon médecin généraliste confirmant qu'il ne s'agissait pas d'une condition préexistante. J'ai expliqué que j'avais mal, qu'un kiné m'avait dit qu'un scanner était urgent pour vérifier le risque potentiel d'hernie, et que tout était disponible. Je pourrais me prendre des semaines pour aller voir un médecin généraliste.
C'est la base de la médecine privée. Vous obtenez un traitement - mais seulement si la compagnie d'assurance ne trouve pas le moyen de se soustraire à ses obligations. Malgré l'argent que mon entreprise paie pour ma couverture, on m'a effectivement refusé un traitement.
Je vais parler à un avocat plus tard dans la journée au sujet de poursuivre les daylights hors de BUPA pour violation. Je suis allé au rendez-vous et j'ai découvert des ecchymoses sur le muscle, mais aucun signe d'hernie - ce qui est un grand soulagement. Ma nouvelle mission dans Life sera la Destruction de BUPA.
https://www.zerohedge.com/economics/how-much-time-money-does-uk-need
Vous vous imaginez si en plus ils foutent la gueule de Charles sur les billets de banques !!!
SupprimerLes chemins de fer américains adoptent des "plans d'urgence", se préparent à une grève du travail alors que les pourparlers syndicaux échouent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 14:45
Les chemins de fer et les syndicats ont travaillé tout le week-end pour conclure un accord. Il y avait peu de signes de progrès, et les compagnies ferroviaires prennent maintenant des mesures lundi pour sécuriser les expéditions de matières dangereuses et sensibles à la sécurité « compte tenu de la possibilité d'une grève des travailleurs des chemins de fer », a écrit l'Association of American Railroads (AAR) dans un communiqué.
Dimanche, Norfolk Southern a publié une déclaration détaillant qu'il avait "commencé à mettre en œuvre ses plans d'urgence pour une fermeture contrôlée de notre réseau à 00h01 le vendredi 16 septembre". Le chemin de fer a déclaré que deux syndicats s'accrochent à de nouveaux contrats, "nous n'avons toujours pas d'engagement de ne pas faire grève et devons agir en conséquence", ajoutant : "Notre objectif est de garantir qu'en cas d'arrêt de travail, les équipes, l'équipement , et le fret atteint sa destination en toute sécurité avec un minimum de perturbations."
Union Pacific et CSX ont également annoncé des plans d'urgence pour un éventuel arrêt de travail. Le BNSF a dit aux clients d'appeler le Congrès afin que les législateurs de Capitol Hill puissent "intervenir pour empêcher ou résoudre rapidement l'interruption de service" si une grève du travail se matérialisait vendredi. Le chemin de fer a également déclaré: "Nous commencerons à prendre des mesures pour gérer et sécuriser les expéditions de matières dangereuses et sensibles à la sécurité dès lundi."
Les réseaux de fret ferroviaire sont les artères de l'économie américaine.
- voir carte sur site -
Il y a deux mois, l'administration Biden a imposé une période de réflexion de deux mois qui doit expirer à 00 h 01 HE le 16 septembre – après cela – le président Biden n'avait pas le pouvoir d'empêcher une grève entre deux les syndicats qui avaient encore conclu un accord avec les chemins de fer. Seul le Congrès peut intervenir après l'expiration de la période de refroidissement.
Bloomberg a déclaré que les deux syndicats comprennent la Fraternité des ingénieurs de locomotive et des agents de train et l'Association internationale des ouvriers en tôle de l'air, des chemins de fer et des transports, représentant plus de 90 000 employés des chemins de fer. Dix des autres syndicats ont déjà conclu un accord avec les chemins de fer.
L'Association of American Railroads a averti qu'une grève des chemins de fer pourrait coûter à l'économie américaine plus de 2 milliards de dollars par jour, tandis que des perturbations ne seraient pas une bonne optique pour l'administration Biden avant les élections de mi-mandat en novembre.
L'analyste de Bloomberg Intelligence, Lee Klaskow, a souligné que BNSF et Union Pacific représentent 45 % du trafic intermodal de classe I, tandis que CSX et Norfolk Southern en ont 31 %.
Selon les données du gouvernement, environ 29 % de l'ensemble du fret américain se déplace sur les rails. La moitié de la cargaison est constituée de produits en vrac, tels que l'énergie, la nourriture, les produits chimiques, les métaux et la production de bois, l'autre moitié étant constituée de conteneurs de biens de consommation.
"Même une interruption temporaire créerait un effet d'entraînement dévastateur" sur les chaînes d'approvisionnement américaines, a averti l'American Bakers Association, un groupe commercial basé à Washington représentant plus de 300 entreprises.
Même s'il n'y a pas de grève, les réseaux ferroviaires sont déjà engorgés. La compagnie maritime Maersk a récemment suspendu les réservations d'importation via Fort Worth, au Texas, en raison d'une "grave congestion" dans les gares de triage.
RépondreSupprimerLes chemins de fer se préparent à d'éventuels arrêts de travail à la fin de la semaine si les deux syndicats ne parviennent pas à conclure un accord. Il est possible que le Congrès intervienne avant l'expiration de la période de refroidissement. Si ce n'est pas le cas, attendez-vous à une flambée des chaînes d'approvisionnement en difficulté.
https://www.zerohedge.com/political/us-railroads-enact-contingency-plans-preparing-labor-strike-union-talks-fail
Imaginez si en plus il foutent la gueule de Jo sur les dollars !!!
SupprimerLa politique climatique est une menace beaucoup plus grande que le changement climatique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 17:17
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
Une crise financière mondiale se prépare. Le bouc émissaire facile est Poutine. Le plus gros problème est la politique partout où vous regardez...
La décision de l'Allemagne de mettre au rebut ses réacteurs nucléaires avant d'avoir une énergie de remplacement est en jeu.
En avril, le Premier ministre britannique de l'époque, Boris Johnson, s'est vanté que sa stratégie de sécurité énergétique "apporterait une électricité propre, abordable et sûre à la population pour les générations à venir".
Aux États-Unis, la Californie continue avec la bénédiction du président Biden, des cibles absurdes pour les voitures électriques sans avoir la moindre idée d'où proviendront les minéraux et l'exploitation minière de ces batteries.
Crise mondiale de la politique climatique
Le Wall Street Journal commente la prochaine crise mondiale de la politique climatique.
Une crise n'arrive pas, elle est déjà là, et évidemment ainsi.
La Réserve fédérale, la Banque d'Angleterre et la Banque centrale européenne, entre autres, veulent savoir comment les variations de température mondiales d'ici un siècle pourraient peser sur les pondérations de capital et de risque de Citi, Barclays ou Deutsche Bank aujourd'hui. La mode consiste à quantifier, avec une fausse précision absurde, les coûts de réassurance des risques d'inondation ou d'incendie, ou la baisse des bénéfices des entreprises d'un avenir dystopique plus chaud.
Eh bien, si vous recherchez le « risque climatique » pour la stabilité financière, regardez autour de vous. Elle est arrivée, quoique exactement à l'opposé de ce que prévoyait notre génération actuelle d'éco-financiers. Le sort de l'Europe raconte une histoire qui pourrait bientôt devenir trop familière aux États-Unis.
Le Royaume-Uni pourrait être confronté à une vague de faillites d'entreprises dépassant tout ce qui a été observé pendant la panique et la récession d'après 2008. Quelque 100 000 entreprises pourraient être contraintes à l'insolvabilité dans les mois à venir, a averti cette semaine le cabinet de conseil en faillite Red Flag Alert. Ce sont par ailleurs des entreprises en bonne santé avec au moins 1 million de livres sterling de chiffre d'affaires annuel. Les faillites d'entreprises de cette ampleur éclipseraient les quelque 65 000 entreprises de toute taille qui ont fait faillite entre 2008 et 2010.
Les choses sont probablement pires en Allemagne, la plus grande économie de la zone euro. Quelque 73 % des petites et moyennes entreprises interrogées dans une enquête ont déclaré ressentir une forte pression des prix de l'énergie, et 10 % d'entre elles ont déclaré qu'elles pensaient faire face à des menaces « existentielles » pour leurs activités au cours des six prochains mois. Et ce sondage, de l'association des petites entreprises BMD, est celui qui est optimiste. Une enquête distincte publiée cette semaine par le BDI, une importante association industrielle, a révélé que 34 % des répondants décrivaient les prix de l'énergie comme un « défi existentiel ». Les faillites d'entreprises se répercuteront sur les chaînes d'approvisionnement et se répercuteront rapidement sur les banques.
Est-ce que quelqu'un sait exactement ce que tout cela signifiera pour le système financier ? Bien sûr que non. Personne ne s'est sérieusement donné la peine de « stress tester » des augmentations catastrophiques des prix de l'énergie, même si la Banque d'Angleterre prétend avoir modélisé l'impact économique d'une augmentation des températures mondiales de 3,3 degrés Celsius au cours des prochaines décennies. Soit dit en passant, la BOE a également prédit que l'impact économique de la transition vers un avenir à zéro émission nette de gaz carbonique serait modeste.
RépondreSupprimerFolie inflationniste
Les décisions politiques de chefs d'État ignorants s'inclinent devant Saint Gretta, AOC et le président Biden.
Ils ont mis en place un brasier inflationniste que les banquiers centraux ne savent comment arrêter.
Encore plus ridicule, le président Biden, Elizabeth Warren et d'autres veulent que la Fed assume un troisième mandat et teste sous tension l'impact économique de la hausse continue de la température.
Ce qui doit être testé, c'est l'inverse, l'impact inflationniste d'une poussée pour l'énergie propre avant que la technologie de stockage sur batterie n'existe, des améliorations du réseau existent, et si oui ou non les métaux physiques pour toutes les batteries qui seront nécessaires sont même disponibles.
L'Allemagne va assouplir les règles d'insolvabilité alors que la crise de l'énergie frappe durement
Veuillez noter que l'Allemagne va assouplir les règles d'insolvabilité alors que la crise de l'énergie frappe durement
Le ministre allemand de la Justice prévoit un assouplissement temporaire des règles d'insolvabilité pour aider à maintenir à flot les entreprises qui ont des modèles commerciaux fondamentalement sains mais qui sont aux prises avec des dettes en raison des coûts élevés de l'énergie, a-t-il déclaré vendredi.
Marco Buschmann, dont le portefeuille comprend des règles d'insolvabilité, a déclaré que son plan exempterait les entreprises de l'obligation de déposer une demande d'insolvabilité si un expert constate qu'elles ont un "pronostic de continuité d'exploitation positif" pendant quatre mois, contre 12 mois maintenant.
Cette semaine, le fabricant de papier hygiénique Hakle, le détaillant de chaussures Goertz et le fournisseur automobile Dr. Schneider ont déposé un dossier d'insolvabilité, et le ministre de l'Économie Robert Habeck a déclaré qu'il pouvait imaginer que certaines parties de l'économie arrêtaient la production en raison de la hausse des prix de l'énergie.
C'est ma huée du jour !
En Californie ...
RépondreSupprimerPendant ce temps, la Californie exige plus d'inflation et interdit l'essence dans les ventes de voitures neuves d'ici 2035.
Les questions abondent
La production de lithium, de cobalt, de manganèse et de nickel sera-t-elle suffisante pour fabriquer toutes les batteries ? À quel prix ?
Le réseau électrique peut-il supporter la pression ?
Y aura-t-il suffisamment de bornes de recharge ?
Qui paiera toutes les bornes de recharge ?
Ce sont de bonnes questions et personne n'a les réponses. Mais j'ai la réponse à une question de conduite.
Q : Cela fera-t-il beaucoup pour l'environnement d'ici 2035 ?
R : Non, et peut-être pas 2050 non plus.
Les banquiers centraux avaient le vent désinflationniste de la mondialisation dans le dos. Maintenant, il a une forte brise de démondialisation et de décarbonisation qui souffle sur son visage.
Bonne chance avec ça.
https://www.zerohedge.com/political/climate-policy-much-greater-threat-climate-change
PAPIER TOILETTE : EN ALLEMAGNE, L'INDUSTRIE EST EN CRISE
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
12/09/2022
Le prix du papier toilette a augmenté de 12,43 % en France en août 2022 sur un an.
Va-t-on connaître une nouvelle pénurie de papier toilette en Europe, après celle liée à la pandémie de Covid-19 (essentiellement causée par des achats de panique) ? Le risque existe. Face à une forte hausse des prix de l’énergie et des matières premières, le secteur tire la sonnette d’alarme outre-Rhin. L’un des acteurs majeurs a même fait faillite…
Hakle : géant du PQ happé par la hausse des prix
Peu connu en France, Hakle est une institution en Allemagne : il est l’un des principaux producteurs de papier toilette et essuie-tout du pays. Mais le 6 septembre 2022, il a annoncé être en crise et a déclaré son insolvabilité. Un choc pour le pays qui avait déjà connu, durant la pandémie de Covid-19, de grandes pénuries de papier toilette dans les magasins.
Or, si la pénurie en 2020 était liée au choc de la pandémie, l’arrêt de la production et des problèmes logistiques pour raisons sanitaires, celle de 2022 est plus complexe. Elle est causée par la hausse des prix des matières premières, notamment la pâte à papier, et l’augmentation des prix de l’énergie. « L'ensemble de l'industrie papetière est soumise à une énorme pression des coûts » a déclaré au magazine Der Spiegel Gregor Geiger, directeur de la fédération des industries du papier en Allemagne.
Pas de solution à court terme pour l’industrie
La différence entre les deux crises est majeure : alors que les problèmes de production et de logistique causés par le virus Sars-CoV-2 étaient attendus pour être temporaires, nécessitant essentiellement une réorganisation, celle que connaît le secteur actuellement ne présente pas de solutions à court terme. La crise du gaz russe devrait se poursuivre, Moscou continuant d’utiliser l’énergie comme moyen de pression sur l’Union européenne, sur fond de guerre en Ukraine.
De plus, l’industrie se heurte au problème de la rentabilité : avec la hausse des prix des matières premières et de l’énergie, elle devrait fortement augmenter les prix pour le consommateur final. En France, d'ailleurs, en août 2022 la hausse sur un an a dépassé les 10%. Mais cette pratique risque de freiner les ventes, surtout pour les produits les plus chers, alors que les ménages tendent à faire des économies.
Koala ou éléphant - combien d'heures par jour dormez-vous ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 SEPTEMBRE 2022 - 08:45
Chaque animal doit se reposer d'une manière ou d'une autre, mais certains animaux ont besoin de beaucoup plus de sommeil que d'autres.
Ce graphique de Giulia De Amicis utilise les données de startsleeping.com pour montrer les habitudes de sommeil typiques de 40 animaux différents, mettant en évidence leurs temps de sommeil moyens et le pourcentage de chaque journée de 24 heures qu'ils passent à se reposer.
- voir cadre sur site -
Comparé au reste des animaux présentés dans le graphique, les humains ont besoin d'une quantité relativement faible de sommeil.
Nous dormons en moyenne huit heures - soit 33 % de notre journée.
En revanche, les Koalas dorment jusqu'à 22 heures par jour, soit 87,5 % de la journée. Cela est principalement dû au régime alimentaire du koala - les koalas mangent des feuilles d'eucalyptus, qui sont toxiques et nécessitent beaucoup d'énergie pour être digérées.
https://www.zerohedge.com/medical/koala-or-elephant-how-many-hours-day-do-you-sleep
Gerhard Wisnewski sur la guerre Russie-Ukraine : « Comme pour le 11 septembre, la vérité est diamétralement opposée »
RépondreSupprimer10.09.2022
www.kla.tv/23576
- voir clip sur site -
Et il en résulte que cette guerre a été préparée depuis longtemps, mais pas seulement ou pas par les Russes, mais par les Américains, depuis des années. Il y a de véritables études qu'ils ont faites sur la manière de déstabiliser la Russie.
Oui, il faut bien sûr en tout premier lieu dire adieu aux médias établis. Si tant est qu'on puisse encore les écouter, on ne peut le faire que partiellement, à petites doses, je dirais, pour savoir ce qui se passe, ce qui est mensonger et déformé. C'est important de le savoir. Mais on ne doit plus les utiliser comme source d'information à laquelle on fait confiance. Il faut absolument passer aux médias alternatifs, s'y intéresser et se libérer de toute cette propagande.
Interviewer : Monsieur Wisnewski, je vous souhaite la bienvenue pour notre interview sur Kla.TV. Brièvement pour nos téléspectateurs qui ne vous connaissent peut-être pas encore. A ma connaissance, vous avez été le premier journaliste allemand à remettre en question la couverture officielle par la politique et les médias principaux des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Et donc, bien sûr, à remettre en question non seulement ces informations, mais aussi la guerre contre le terrorisme qui en a résulté et qui a été déclenchée par l'administration américaine. Il s'agissait alors d'un énorme pas innovateur, qui a déclenché une remise en question et un changement de mentalité chez de nombreuses personnes. Je dirais que cela a réveillé un esprit d'investigation. Et cela nous amène au sujet d'aujourd'hui : Actuellement, la politique et les médias dominants nous programment avec insistance avec leur narratif de la guerre Russie-Ukraine. Et cette fois encore, ce sont des répercussions lourdes de conséquences qui nous attendent. Eh bien, Monsieur Wisnewski, pour une fois que nous avons devant la caméra un homme comme vous, doué pour l'investigation, nous aimerions bien sûr savoir ce que vous en pensez. Y a-t-il ici, comme dans le cas du 11 septembre, un tout autre contexte, un autre arrière-plan, des intentions, des stratégies, des tireurs de ficelles et des profiteurs autres que ceux que nous la politique et les médias principaux présentent ?
G. Wisnewski : Oui, bien sûr, alors bien sûr, entre la version officielle des médias et la vérité, il y a à nouveau un énorme écart, un énorme fossé. Donc ici, on nous présente Poutine comme le méchant. Les méchants Russes ont donc attaqué l'Ukraine et je ne veux pas non plus les défendre davantage, car je ne pense pas forcément que Poutine soit irréprochable. Mais le fait est que les Américains travaillent depuis de nombreuses années à cette opération militaire, sans oublier que cette guerre dure depuis 2014. Ce que nous avons pu voir à partir de fin février 2022, c'est une nouvelle offensive de la Russie contre l'Ukraine. Et c'est à cela que les Américains travaillent depuis des années. Ils ont donc envoyé des milliards vers l'Ukraine pour y former et entraîner l'armée. Et ils ont aussi rédigé des papiers, des études, dans lesquels ils anticipaient déjà cette guerre. Ils voulaient donc absolument cette guerre. Et pourquoi au juste ? Et c'est évidemment ce qu'on ne dit pas au public, que les États-Unis voulaient absolument cette guerre. Parce que, quand on regarde la liste des avantages que les États-Unis tirent de cette guerre, on n'en finit plus. J'ai ici quelque chose de très exclusif, à savoir un extrait de mon nouvel livre de l’année, sur lequel je travaille actuellement. J'ai compilé toute cette liste, mais je ne la connais pas par cœur. Ce que les États-Unis ont à gagner dans cette guerre, il faut bien le comprendre. On nous dit toujours ce que les Russes ont à gagner dans cette guerre, et peut-être que cela leur apporte quelque chose. Peut-être veulent-ils se protéger d'une nouvelle avancée de l'OTAN, c'est tout à fait possible.
RépondreSupprimerMais si on regarde cette liste, ce que les Etats-Unis et l'OTAN ont à gagner de cette nouvelle offensive militaire des Russes… Nous avons donc ici un moyen de diversion et des explications pour d’autres problèmes comme l'inflation, la crise économique, la dissimulation des crimes du Covid, donc de la diversion. Diriger la colère des gens vers tout cela, vers Poutine, vers la hausse des prix, l'inflation. Discipliner les citoyens, instaurer un régime de peur, justifier des mesures antidémocratiques et le cas échéant, peut-être même nous menacer d'un régime d'urgence. Le président Zelensky est passé du statut de politicien corrompu à celui de héros. Zelensky est en effet présenté dans le monde entier comme un super-héros et on n'a plus le droit de le contredire. Ensuite, améliorer les chances pour l'Ukraine d'adhérer à l'UE et à l'OTAN, ce qui est également un objectif prioritaire des Etats-Unis, et renforcer le rôle de leader des Etats-Unis.
Vous avez évoqué le 11 septembre, nous avons eu exactement la même chose. Cela signifie donc qu'avec le 11 septembre, les États-Unis ont à l'époque remis l'OTAN sur les rails. Je me souviens de Collin Powell marchant avec arrogance vers le quartier général de l'OTAN, comme s'il disait : « Maintenant, tout est sous nos ordres ». Et nous avons aussi cet effet aujourd’hui. Ensuite, qu'est-ce que nous avons d'autre… je n'en finis plus ! Ensuite, bien sûr, le fait qu'au lieu d'acheter du gaz russe, on achète maintenant – l'UE et l'Allemagne – du gaz américain, donc il y a aussi des motivations commerciales. Un énorme magasin d'armes, vous voyez bien que ce n’est pas encore fini, il y a en tout 30 points. C'est ce que les Américains attendaient avec impatience, que Poutine se laisse enfin provoquer au point d'envahir l'Ukraine. Maintenant, ils crient et s'agitent, mais en réalité, à Washington, dans l'industrie de l'armement et ailleurs dans l'industrie du gaz – américaine – les bouchons de champagne ont sauté, oui. C'est comme ça que ça se passe, et comme d'habitude, tout est déformé à 180°.
RépondreSupprimerInterviewer :
Monsieur Wisnewski, nous aimerions encore préciser quelque chose : Quelles stratégies voyez-vous en arrière-plan, qu'est-ce qui se passe ?
G. Wisnewski : Comme je l'ai peut-être déjà mentionné, ou pas, cette guerre présente toujours le côté russe comme le méchant et l'agresseur, c'est très important. On remarque aussi le langage politique, on parle toujours de la guerre d'agression de Poutine. C'est très important pour eux que ce soit martelé dans les têtes. Mais j'ai bien sûr déjà fait des recherches ici pour mon prochain livre « caché-dissimulé-oublié 23 ». Et il en résulte que cette guerre a été préparée depuis longtemps, mais pas seulement ou pas par les Russes, mais par les Américains, depuis des années. Il y a de véritables études qu'ils ont faites sur la manière de déstabiliser la Russie. Et le scénario de cette guerre n'a pas été écrit en Russie, mais aux États-Unis, ce qui en surprendra peut-être plus d'un. Et ce scénario, on a pu le lire dans un rapport du think tank militaire RAND Corporation, qui est financé aux trois quarts par l'État américain, comme un think tank d'État qui exprime ce que l'État, l'État américain, souhaite. Et le titre de ce rapport ne laisse vraiment aucune place à l'ambiguïté, puisque dans son intitulé il est question de déséquilibrer la Russie.
C'est la stratégie des Américains et c'est pour cela que Poutine leur a fait une énorme faveur - qu'il le veuille ou non - en envahissant finalement l'Ukraine fin février 2022. Le rapport RAND dont j'ai parlé énumère de nombreuses techniques et mesures pour provoquer et menacer la Russie. Donc déjà avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine. Par exemple, certaines de ces mesures incluent ce qui suit :
- Repositionnement, par l'OTAN bien sûr et l'Occident, de bombardiers à distance de frappe d'objectifs stratégiques russes importants.
- Déploiement d'armes nucléaires tactiques supplémentaires sur des sites en Europe et en Asie.
- Renforcement des forces navales américaines et de leurs alliés et de leur présence sur les zones d'opération de la Russie.
- Tenue d'exercices de guerre de l'OTAN aux frontières de la Russie.
- Retrait du traité FNI (Forces nucléaires intermédiaires, missiles à moyenne portée).
Interviewer :
RépondreSupprimerEncore une question, peut-être pour finir. En tant que consommateur « lambda », on reste bouche bée et étonné devant ces informations, mais on ne sait pas vraiment ce qu’on va en faire, comment je peux gérer ça ? Que nous conseilleriez-vous, que conseilleriez-vous aux téléspectateurs, comment peut-on y remédier ? Comment y répondre, quelles mesures peut-on prendre ? Parce qu'on ne doit pas tout accepter comme la pluie et le beau temps, comme on dit.
G. Wisnewski : Oui, il faut bien sûr en tout premier lieu dire adieu aux médias établis. Si tant est qu'on puisse encore les écouter, on ne peut le faire que partiellement, à petites doses, je dirais, pour savoir ce qui se passe, ce qui est mensonger et déformé. C'est important de le savoir. Mais on ne doit plus les utiliser comme source d'information à laquelle on fait confiance. Il faut absolument passer aux médias alternatifs, s'y intéresser et se libérer de toute cette propagande. Car on dit aussi que la première victime de la guerre est la vérité, et nous avons maintenant un cas spectaculaire devant nous. Nous sommes maintenant en guerre et on ment comme on respire. Il faut en prendre conscience. Et il faut saisir cette occasion, maintenant que c'est si clair, pour se séparer absolument de ces médias du mainstream et des narratifs du mainstream et du bavardage des politiciens.
Interviewer :
Monsieur Wisnewski, je vous remercie beaucoup de nous avoir consacré un peu de votre temps. Je serais heureux si nous pouvions vous avoir d’autres fois devant la caméra. Je vous souhaite une bonne journée.
G. Wisnewski : Quand vous voulez, merci beaucoup. Prenez bien soin de vous !
https://www.kla.tv/fr
Chili, le 11 septembre 1973: entrée en scène du néolibéralisme, du «traitement de choc» et des instruments de la répression économique – Le «remède économique» mortel de la junte.
RépondreSupprimerSalvador Allende a été assassiné sous les ordres d’Henry Kissinger
Par Prof Michel Chossudovsky
Mondialisation.ca, 11 septembre 2022
Cet article a été publié la première fois le 17 septembre 2016 en anglais (publication le 23 septembre 2017 en français).
*
Travailleurs de ma patrie ! J’ai confiance au Chili et à son destin.
D’autres hommes dépasseront les temps obscurs et amers durant lesquels la trahison prétendra s’imposer.
Allez de l’avant tout en sachant que bientôt s’ouvriront de grandes avenues sur lesquelles passeront des hommes libres de construire une société meilleure.
Vive le Chili!
Vive le peuple ! Vivent les travailleurs ! Dernier discours du président chilien Salvador Allende le 11 septembre 1973.
« Rares sont ceux qui ont le même esprit combatif, courage et parcours qu’Allende. C’est un homme qui a laissé sa marque dans l’histoire : il a donné le pouvoir à la gauche démocratiquement et a été limogé du gouvernement à coups de bombes. » Sénateur Pedro Simon
Chili : « traitement de choc » et mécanismes de la répression économique
Tout de suite après l’élection d’Allende en septembre 1970 et avant son inauguration en novembre 1970 :
Kissinger a lancé la discussion au téléphone avec le directeur de la CIA Richard Helm au sujet d’un coup d’État préventif au Chili. « Nous ne laisserons pas le Chili tomber à l’eau », a déclaré Kissinger. « Je suis avec vous », a répondu Helms. Leur conversation a eu lieu trois jours avant que le président Nixon, en 15 minutes lors d’une réunion avec Kissinger, a ordonné à la CIA « de faire crier l’économie » et a requis Kissinger en tant que superviseur des efforts secrets pour empêcher qu’Allende soit investi de ses fonctions. (National Security Archive)
C’est la CIA qui était le principal instigateur du programme économique néolibéral imposé au Chili. En août 1972, soit un an avant le coup d’État, la CIA avait financé un plan d’action économique de 300 pages à mettre en œuvre à la suite du renversement du gouvernement Allende.
L’objectif ultime du coup d’État militaire du 11 septembre 1973 au Chili était l’imposition du programme néolibéral (un « remède économique » mortel) qui a entraîné l’appauvrissement de tout un pays.
Wall Street était derrière le coup d’État en étroite collaboration avec la CIA, le département d’État des USA et les élites économiques du Chili. Henry Kissinger servait d’intermédiaire.
Après l’élection d’Allende en novembre 1970, les grandes banques commerciales de Wall Street (Chase Manhattan, Chemical, First National City, Manufacturers Hanover et Morgan Guaranty) ont annulé leurs crédits au Chili. En 1972, la Kennecott Corporation a pour sa part « lié les exportations de cuivre chilien à des poursuites en France, en Suède, en Italie et en Allemagne. (Voir John M. Swomley, Jr. “The Political Power of Multinational Corporations,” Christian Century, 91 [25 Septembre 1974], p. 881.)
RépondreSupprimerLe « changement de régime » a été imposé dans le cadre d’une opération clandestine de collecte de renseignements militaires par la CIA, qui a jeté les bases du coup d’État militaire et de l’assassinat du président Allende, puis des réformes macroéconomiques adoptées à la suite du coup d’État.
- voir sur site -
Au moment du coup d’État du 11 septembre 1973, j’enseignais l’économie à titre de professeur invité à l’Université catholique du Chili. Dans les heures qui ont suivi le bombardement du palais présidentiel de La Moneda, les nouveaux dirigeants militaires ont imposé un couvre‑feu de 72 heures.
- voir sur site -
Salvador Allende à la défense du Palacio de la Moneda le 11 septembre 1973.
À la réouverture de l’université plusieurs jours plus tard, j’ai commencé à rassembler des éléments de l’histoire du coup d’État à partir de notes écrites. J’ai vécu le 11 septembre 1973 comme j’avais vécu le coup d’État manqué du 29 juin. Plusieurs de mes étudiants de la Universidad Catolica ont été arrêtés par la junte militaire.
L’économie de Chicago à la sauce chili
Les réformes macroéconomiques radicales (privatisations, libéralisation des prix et gel des salaires) ont été imposées au début d’octobre 1973.
À peine quelques semaines après la prise de pouvoir par les militaires, la junte dirigée par le général Augusto Pinochet a ordonné une augmentation du prix du pain, qui est passé de 11 à 40 escudos, soit une hausse vertigineuse de 264 % du jour au lendemain. Ce « traitement de choc économique » était l’œuvre d’un groupe d’économistes appelés les « Chicago Boys », dont bon nombre étaient mes collègues à l’institut d’économie de l’Université catholique.
Ces réformes macroéconomiques mortelles étaient en grande partie dictées par Wall Street en liaison avec la CIA, « l’économie de Chicago » servant de paradigme et de justification idéologique au « marché libre ». Les professeurs Milton Friedman et Arnold Harberger de l’Université de Chicago étaient loin d’être les forces dirigeantes derrière ces réformes.
Pendant que les prix des aliments montaient en flèche, les salaires ont été gelés afin d’assurer « la stabilité économique et de conjurer les pressions inflationnistes ». Du jour au lendemain, on a précipité dans une pauvreté abjecte tout un pays. En moins d’un an, le prix du pain au Chili a été multiplié par 36 (3 700 %). Quatre‑vingt‑cinq pour cent de la population chilienne s’est ainsi retrouvée sous le seuil de la pauvreté.
En novembre 1973, à la suite de hausses de prix vertigineuses des aliments, j’ai rédigé en espagnol une première évaluation « technique » des réformes macroéconomiques mortelles de la junte.
RépondreSupprimerDe concert avec un médecin, collègue et ami de longue date qui enseignait à la faculté de médecine de l’Université du Chili, j’ai fait une estimation des effets des réformes économiques sur les taux de malnutrition due à la chute brutale du niveau de vie.
Au lendemain du coup d’État militaire et de la hausse orchestrée des prix des aliments, j’ai estimé qu’environ 85 % de la population chilienne ne répondait pas à ses besoins minimaux en calories et en protéines établis par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
- voir sur site -
En octobre 1973, l’indice « officiel » des prix des aliments affichait une hausse de 82,3 % (par rapport à septembre) selon l’Instituto Nacional de Estadistica (INE), qui était passé sous le contrôle de la junte.
Les données de l’INE concernant le prix des produits alimentaires de base avaient été toutefois falsifiées. En novembre, j’ai procédé à la collecte et à la mise en tableaux des taux réels d’augmentation des prix des aliments directement observés dans la région métropolitaine de Santiago. Cela m’a permis de constater un écart considérable par rapport aux statistiques officielles.
Selon mes estimations basées sur 31 catégories d’aliments, les prix des aliments avaient augmenté de 211,1 % en octobre et novembre 1973 par rapport à septembre (les données officielles de novembre rapportaient une hausse de 88,6 % par rapport à septembre). Par la suite, c’est sur la base de ces statistiques officielles (faussées) qu’on a estimé l’évolution du pouvoir d’achat réel et procédé aux rajustements salariaux officiels.
Craignant la censure de la junte dirigée par le général Augusto Pinochet, mon analyse se limitait à la chute des niveaux de vie à la suite des réformes de la junte et de la hausse des prix des aliments et du carburant, en mettant l’accent sur des estimations statistiques sans faire la moindre analyse politique.
L’institut d’économie de l’Université catholique hésitait au départ à publier le rapport. Il a été transmis à la junte militaire avant sa publication.
- voir sur site -
" Les opinions exprimées dans ce rapport sont celles de l’auteur. Par conséquent, elles relèvent de la responsabilité exclusive de l’auteur et n’engagent en rien l’institut d’économie".
(C’était la première fois que l’institut publiait un avis de non-responsabilité.)
RépondreSupprimerJ’ai quitté le Chili pour le Pérou en décembre 1973. L’Université catholique a publié le rapport à titre de document de travail (200 copies) quelques jours avant mon départ. Au Pérou, où j’ai rejoint le département d’économie de l’Université catholique du Pérou, j’ai pu rédiger une étude plus détaillée portant sur les réformes néolibérales de la junte et l’idéologie sur laquelle elles s’appuyaient. Cette étude a été publiée en 1974‑1975 en anglais et en espagnol.
Répression économique
En mars 1974, les prix des aliments au Chili (d’après mes estimations) avaient augmenté de 505,5 % (depuis septembre 1973). Les salaires réels se sont quant à eux effondrés.
Chili : Mouvement des salaires réels (1970-1977) selon les statistiques officielles
- voir sur site -
Chile: The movement of real wages (1970-77) based on official statistics
- voir sur site -
Source : Rudiger Dornbusch, Sebastian Edwards. Macroeconomic Populism in Latin America http://www.nber.org/papers/w2986 (p. 20)
Le graphique ci-dessus (basé sur les statistiques officielles) montre que les salaires réels ont chuté de près de 70 % par rapport à la période de base (1970), qui correspond aussi à l’arrivée au pouvoir du gouvernement du parti Unidad Popular (UP) de Salvador Allende. L’effondrement des salaires réels a été toutefois plus marqué que ce qu’indiquent les statistiques officielles.
Il convient de noter qu’en 1971, le gouvernement Allende avait augmenté les salaires réels de 20 %. La chute des salaires de 1971 jusqu’au début de 1974 était donc de l’ordre de 75 % selon les statistiques officielles sur le coût de la vie. La junte a majoré les salaires au début de mars 1974 (voir le graphique ci‑dessus).
Destruction de la vie économique
Les événements du 11 septembre 1973 m’ont profondément marqué dans mon travail d’économiste. La manipulation des prix, des salaires et des taux d’intérêt a détruit la vie des gens et déstabilisé une économie nationale au complet. La réforme macroéconomique n’était ni « neutre » (la pensée dominante parmi les universitaires), ni distincte du processus plus global de transformation sociale et politique.
J’ai également commencé à comprendre le rôle des opérations du renseignement militaire en appui à ce qui était habituellement décrit comme un processus de « restructuration économique ». Dans mes écrits précédents sur la junte militaire chilienne, je me suis penché sur les supposées réformes du « marché libre » ainsi que sur les instruments bien rodés de la « répression économique ».
La macroéconomie et la géopolitique sont étroitement liées. Les dimensions économiques des guerres menées par les USA doivent être comprises. La destruction de la vie économique en Afghanistan, en Irak, en Syrie et en Libye constitue un crime contre l’humanité, un « génocide économique » qui consiste à déstabiliser et à saboter une économie nationale.
RépondreSupprimerAujourd’hui, des guerres sont menées au Moyen-Orient. Plusieurs pays latino-américains sont victimes des coups bas des USA qui cherchent à imposer un changement de régime.
La pauvreté est créée par les conditions de remboursement des dettes imposées par le FMI.
Les prix des aliments et de l’énergie sont manipulés délibérément au moyen de transactions spéculatives (p. ex., sur les Chicago et New York mercantile exchanges).
Les dévaluations monétaires sont orchestrées au moyen d’opérations spéculatives sur les marchés des changes.
Les moyens d’intervention contemporains (« révolutions de couleur », « guerre contre le terrorisme », déstabilisation économique, sanctions, etc.) diffèrent de ceux des années 1970, mais l’objectif ultime demeure l’atteinte à la souveraineté nationale et l’imposition du néolibéralisme :
contrôle des entreprises, privatisation;
« marché libre » pillant les ressources naturelles;
remède économique mortel, mesures d’austérité;
abandon des programmes sociaux;
déréglementation des échanges;
effondrement des salaires;
mise en place d’une économie fondée sur une main-d’œuvre bon marché;
transformation de pays en territoires.
Je me rappelle que dans les mois précédant le coup d’État de septembre 1973 au Chili, la distribution des produits de première nécessité et des aliments avait été délibérément perturbée par la manipulation des marchés. Il n’y avait plus de pain, de lait et de sucre aux prix réglementés par le gouvernement. L’escudo chilien ne valait plus rien. Le marché noir florissait.
Une situation similaire est en train de se produire au Venezuela, où la monnaie nationale s’est effondrée. Les prix des aliments et des produits de première nécessité sur le marché noir sont montés en flèche. Tout comme au Chili en 1973, la manipulation du marché des changes (Forex) au Venezuela et le sabotage engendrent des pénuries, la pauvreté et l’instabilité politique. De pair avec la chute orchestrée du Bolivar, le pouvoir d’achat réel a dégringolé (voir ci‑dessous).
RépondreSupprimer- voir sur site -
Source: Los Angeles Times, May 31, 2016
Michel Chossudovsky, le 17 septembre 2016
Article original en anglais :
Salvador_Allende_Gossens-
Chile, September 11, 1973: The Inauguration of Neoliberalism, “Shock Treatment” and the Instruments of Economic Repression: The Junta’s Deadly “Economic Medicine”, publié le 17 septembre 2016
Traduit par Daniel pour Mondialisation.ca
Sources :
Michel Chossudovsky, La medicion del ingreso minimo de subsistencia y la politica de ingresos para 1974, Documentos de Trabajo no. 18, Noviembre de 1973.
Michel Chossudovsky, The Neo-liberal Model and the Mechanisms of Economic Repression, The Chilean Case, Research Paper No. 7411, Department of Economics, University of Ottawa, 1974, published in Co-Existence, Vol 12, 1975
Michel Chossudovsky, Hacia el nuevo modelo economico chileno : inflación y redistribución del ingreso, El trimestre económico. Mexico, Vol. 42. 1975, 2, p. 311-347.
Vidéo : Kissinger , le Chili et Allende
- voir sur site -
Vidéo (en anglais) : CIA, Chile & Allende
Vidéo (en anglais) : USA kills Chilean President 1973 (Chile 9/11)
- voir sur site -
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022
https://www.mondialisation.ca/chili-le-11-septembre-1973-entree-en-scene-du-neoliberalisme-du-traitement-de-choc-et-des-instruments-de-la-repression-economique-le-remede-economique-mortel/5547321
L'Europe d'aujourd'hui c'est Pinochet !
SupprimerLe plan Marshall n’a pas relevé l’Allemagne après-guerre
RépondreSupprimerLe plan Marshall n’a pas reconstruit l’Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. C’est la monnaie quis’en est chargée.
le 12 septembre 2022
Par Christian Monson.
Foundation for Economic Education
En 1939, l’Allemagne avait un PIB de près de 400 milliards de dollars, ayant dépassé l’URSS pour en faire la deuxième économie la plus puissante du monde, derrière les États-Unis. En 1946, après des années de guerre, le PIB de l’Allemagne était tombé à seulement 160 milliards de dollars, soit moins que le Royaume-Uni et la France. La production alimentaire avait été réduite de 50 %, le parc immobilier de 20 % et la production industrielle de 33 %.
Pourtant, en 1955, le PIB allemand était revenu à près de 400 milliards de dollars, dépassant à nouveau celui du Royaume-Uni. La production industrielle avait quadruplé en 1958, avec un taux de croissance constant d’environ 8 % par an tout au long des années 1950.
Ce « miracle économique » est communément appelé le Wirtschaftswunder. Mais comment l’Allemagne est-elle passée des décombres à la richesse en l’espace d’une décennie, alors que des pays neutres comme l’Espagne se contentaient de faire du sur place ? Si vous demandez à un étudiant en histoire américain moyen, il vous répondra le plan Marshall, bien sûr !
Le plan Marshall en tant que propagande
Malheureusement, l’omniprésence du mythe selon lequel le plan Marshall a reconstruit l’Allemagne est la preuve que l’enseignement contrôlé par l’État favorise la propagande au détriment de la culture économique. Bien que la plupart des historiens modernes n’accordent pas beaucoup de crédit au plan Marshall pour la reconstruction de l’Allemagne et lui attribuent moins de 5 % du revenu national de l’Allemagne pendant sa mise en œuvre, les manuels d’histoire standard le placent toujours au premier plan de la discussion sur la reconstruction d’après-guerre.
Considérez cette section de l’histoire mondiale de McDougal Littell (p. 968), le manuel que j’ai reçu au lycée :
Ce programme d’aide, appelé plan Marshall, devait fournir de la nourriture, des machines et d’autres matériaux pour reconstruire l’Europe occidentale. Alors que le Congrès débattait de ce programme de 12,5 milliards de dollars en 1948, les communistes ont pris le pouvoir en Tchécoslovaquie. Le Congrès a immédiatement voté l’approbation. Le plan est un succès spectaculaire.
Bien entendu, le manuel ne mentionne pas la cause réelle du Wirtschaftwunder : une politique économique saine. C’est parce que, pour l’État, le plan Marshall constitue une excellente mythologie étatiste.
Non seulement il est fréquemment évoqué pour justifier l’implication des États-Unis dans des conflits étrangers, mais il apporte tout simplement un soutien à la planification centrale. Il suffit de regarder le miracle économique que le gouvernement a pu créer grâce au crédit facile, disent-ils.
Et bien sûr, admettre que les milliards de dollars injectés en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale n’ont pratiquement rien donné, surtout si on les compare à quelque chose d’aussi simple qu’une monnaie saine, reviendrait à admettre que le gouvernement passe le plus clair de son temps à se rendre utile alors qu’il ne l’est pas, et qu’il ne fait donc rien d’autre que de gêner…
RépondreSupprimerLa vérité dérangeante de la réforme monétaire
Il est peu probable que vous trouviez la véritable cause du Wirtschaftwunder mentionnée dans un manuel d’histoire de lycée, mais voici ce qu’elle était.
En 1948, l’économiste et futur chancelier d’Allemagne de l’Ouest Ludwig Erhard a été choisi par le Conseil économique professionnel comme directeur de l’économie. Il a ensuite libéralisé l’économie ouest-allemande grâce à un certain nombre de bonnes politiques, la plus importante étant la réforme monétaire.
La monnaie utilisée en Allemagne immédiatement après la Seconde Guerre mondiale était encore le reichsmark, et les nazis, puis les autorités soviétiques d’occupation, avaient considérablement augmenté le montant en circulation. Par conséquent, en 1948, le reichsmark était tellement sans valeur que les gens se sont mis à utiliser des cigarettes et du café comme monnaie.
Pour donner aux gens une véritable réserve de valeur afin qu’ils puissent calculer les coûts économiques avec précision, évaluer les risques et investir dans l’avenir, Erhard crée le deutsche mark, la nouvelle monnaie de l’Allemagne de l’Ouest. Comme on arrache un pansement, il a réduit la masse monétaire de 93 % en une nuit.
Il convient également de noter que si Erhard, suivant son école d’ordolibéralisme, a créé une banque centrale, celle-ci était au moins conçue de manière indépendante du gouvernement et a suivi une politique de monnaie dure (préservant une quantité stable de monnaie) pendant toute la durée du Wirtschaftswunder. En fait, la Bank Deutsche Länder d’origine avait une portée plutôt limitée jusqu’à ce qu’elle soit réorganisée pour devenir la Bundesbank, beaucoup plus centralisée, en 1957, soit au moment où le miracle économique allemand a commencé à s’essouffler.
Parmi les autres politiques libérales notables instaurées par Erhard, citons la suppression de tout contrôle des prix et la réduction des impôts, qui sont passés de l’absurde 85 % des nazis à 18 %. Les autorités professionnelles américaines s’opposent à ces réformes, mais Erhard les met tout de même en œuvre. Cette libéralisation a un effet immédiat. Le marché noir disparaît presque du jour au lendemain et en un an la production industrielle a presque doublé.
Le plus poignant est peut-être que le chômage est passé de plus de 10 % à environ 1 % à la fin des années 1950. Normalement, le gouvernement tente de justifier la manipulation de la monnaie comme un moyen d’éliminer le chômage, mais le Wirtschaftwunder est la preuve qu’une monnaie saine fait bien mieux l’affaire…
RépondreSupprimerQue nous apprend l’Histoire sur le plan Marshall
Alors, que peut nous apprendre la vérité du Wirtschaftswunder, sinon que le gouvernement préfère sa propre promotion à une véritable éducation économique ? Alors que les politiciens détruisent de plus en plus nos économies par une politique monétaire inflationniste tout en essayant de nous convaincre que ces mêmes politiques sont le seul moyen de nous sauver, les leçons de l’Allemagne d’après-guerre ne deviennent que plus pertinentes.
Ce que j’ai toujours retenu principalement, c’est la simplicité et la rapidité du Wirtschaftswunder. Pendant que la Réserve fédérale débat sans fin pour savoir s’il faut augmenter les taux et dans quelle mesure, notre économie est de plus en plus alourdie par des investissements mal calculés, des prix en hausse et des salaires qui stagnent. Les riches régulateurs qui ont la main sur l’imprimante à billets peuvent faire passer ces problèmes pour compliqués, mais regardez comment l’économie post-apocalyptique de l’Allemagne d’après-guerre s’est rétablie en quelques mois seulement grâce à la monnaie saine, à la déréglementation et aux faibles impôts.
Nos politiciens et banquiers centraux admettront-ils jamais un remède aussi simple ? Tant qu’ils pourront nous le cacher, j’en doute.
—
Sur le web
Traduction Justine Colinet pour Contrepoints
https://www.contrepoints.org/2022/09/12/424159-le-plan-marshall-na-pas-releve-lallemagne-apres-guerre
Les législateurs du GOP sonnent l'alarme sur le projet de loi sur le "cartel des médias" qui permettra aux grandes technologies et aux grands médias de s'entendre sur plus de censure
RépondreSupprimerLundi 12 septembre 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Les démocrates de gauche savent depuis des décennies qu'ils ne peuvent pas gagner des débats sur des questions politiques, ils doivent donc recourir au truquage du système - tricherie, en d'autres termes - pour obtenir le pouvoir.
C'est vraiment le but des élections de 2020: les démocrates savaient qu'ils n'avaient présenté aucun candidat qui aurait pu être aussi populaire que le président Donald Trump, ils ont donc présenté deux des candidats les plus vides de sens qu'ils aient pu trouver – Joe Biden et Kamala Harris – parce que ils savaient qu'ils allaient voler le résultat et ensuite contrôler les deux figures de proue du bureau ovale.
Mais le trucage des résultats est une stratégie démocrate en cours, comme en témoigne un projet de loi que le parti défend avec, malheureusement, beaucoup trop de RINO.
Il ne suffit pas que les médias « grand public » soient déjà biaisés de manière flagrante ou que les principales plateformes de médias sociaux le soient également. Maintenant, les démocrates poussent une législation qui permettrait aux deux industries de s'entendre pour censurer des points de vue encore plus conservateurs qu'ils ne le font déjà, mais au moins certains républicains repoussent et essaient de faire connaître ce que fait réellement le projet de loi.
L'un d'eux est le sénateur Marsha Blackburn du Tennessee. Elle a condamné la loi sur la concurrence et la préservation du journalisme (JCPA) pour la deuxième fois après que l'un de ses principaux auteurs, la sénatrice Amy Klobuchar (D-Minn.), L'ait "modifiée" d'une manière qui ne fait qu'exacerber les pires parties de l'original. version, rapporte Breitbart News, ajoutant :
Dans un message sur Twitter, le sénateur du Tennessee a déclaré que les efforts des lobbyistes des médias et des démocrates pour faire passer le JCPA – qui a été relancé à plusieurs reprises au cours des deux dernières années – étaient conformes aux récentes tentatives de discréditer, de diaboliser et de censurer les conservateurs.
« Biden a déclaré que les partisans de Trump sont des extrémistes. Ensuite, d'autres preuves ont révélé que WH travaillait avec Facebook pour censurer les conservateurs. Nous ne pouvons pas permettre aux démocrates d'adopter la loi sur la concurrence et la protection du journalisme, qui permet aux médias libéraux et aux grandes technologies de faire taire les conservateurs », a-t-elle écrit.
Biden a déclaré que les partisans de Trump sont des extrémistes.
Ensuite, d'autres preuves ont révélé que WH travaillait avec Facebook pour censurer les conservateurs.
Nous ne pouvons pas permettre aux démocrates d'adopter la loi sur la concurrence et la protection du journalisme, qui permet aux médias libéraux et aux grandes technologies de faire taire les conservateurs.
– Marsha Blackburn (@VoteMarsha) 6 septembre 2022
Breitbart News a noté: "Les commentaires de Blackburn interviennent après la publication récente d'une version modifiée du JCPA, qui permettrait au cartel des médias qu'il crée d'écrire ses propres critères pour exclure les médias indépendants et conservateurs."
Le point de vente a rapporté précédemment:
Cette disposition est significative notamment par sa spécificité. Ces cartels des médias grand public et de gauche ne peuvent pas exclure en fonction de leur taille ou des « opinions exprimées par leur contenu ». Mais ce n'est pas ainsi que l'exclusion se produit ou se produira.
Ces cartels autoproclamés des médias grand public et de gauche SONT autorisés à exclure sur la base des facteurs habituels, totalement subjectifs, qu'ils font toujours, tels que : « fiabilité », « fake news », « extrémisme », « désinformation », « discours de haine ». », « complot », « politique correctionnelle », « expertise », « autorité », etc.
Remarquez que ces termes sont censés être neutres, mais ils sont interprétés par les groupes de « surveillance des médias » de l'État profond comme NewsGuard pour cibler un seul côté du spectre politique, et ce n'est pas du côté des démocrates. De temps en temps, il y aura un avertissement symbolique de sortie «grand public», mais ceux-ci sont rares, a noté Breitbart.
RépondreSupprimerBlackburn tire la sonnette d'alarme sur cette monstruosité de projet de loi depuis des mois maintenant.
"La loi sur la concurrence et la préservation du journalisme donnera encore plus de pouvoir aux médias grand public et à la Silicon Valley", a déclaré Blackburn à Breitbart News l'année dernière.
« Nous devons protéger nos petits journaux et veiller à ce qu'ils soient rémunérés pour leur contenu. Cela permettra aux grandes technologies de consolider davantage leur pouvoir et de faciliter encore plus la censure des voix conservatrices sur les réseaux sociaux », a-t-elle déclaré.
Bien sur. Les démocrates ne peuvent pas gagner les débats politiques avec leurs idées loufoques, ils doivent donc tricher pour gagner du pouvoir ou truquer le jeu.
Les sources comprennent :
Breitbart.com
NewsFakes.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-gop-lawmakers-sound-alarm-media-cartel-bill-collude-censorship.html
Les États-Unis et l'OTAN envoient des armes à l'Ukraine pour tuer des Russes, tout comme Fauci et la Chine ont construit des armes biologiques pour TUER des Américains
RépondreSupprimerMonday, September 12, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) Par tous les moyens nécessaires, les États-Unis et les mondialistes tentent de réduire la population mondiale de plusieurs milliards, notamment en déclenchant des guerres nucléaires et en utilisant des armes biologiques génocidaires (vaccins) comme « médecine » pour les masses. Par crainte que les Russes n'exposent tous les laboratoires américains d'armes biologiques en Ukraine, le régime Biden et les faux médias américains ont créé une diversion massive destinée à hypnotiser les Américains dans un autre canular russe.
Alors maintenant, le régime communiste de Biden envoie des milliards de dollars, des armes et des forces de l'OTAN en Ukraine pour "combattre" la Russie et l'empêcher de conquérir le monde, comme le Vietnam ou pendant le conte de fées de la collusion Trump-Russie.
Les laboratoires américains d'armes biologiques en Ukraine sont comme le laboratoire de Wuhan - ils travaillent sur le gain de fonction du SRAS et les programmes de dépopulation pour propager la maladie
Si vous ne le savez pas maintenant, les États-Unis et le CDC sont au lit avec le Parti communiste chinois, créant et diffusant des virus concoctés en laboratoire, des agents pathogènes à haut risque et des vaccins qui propagent ces virus, et l'Ukraine est un épicentre pour ces laboratoires , tout comme Wuhan. Suivez la balle rebondissante, alors que les États-Unis créent un autre canular russe infusé par les médias, affirmant que la Russie tente à nouveau de conquérir le monde, un pays à la fois. Cette fois, au lieu de "truquer" une élection américaine, ils prennent le contrôle d'un "pays innocent" et tuent toutes les femmes et tous les enfants, ou quelque chose comme ça.
Alors qu'en réalité, les États-Unis et l'OTAN collaborent pour défendre leur propre attaque mondiale contre les nations, et il y a beaucoup à découvrir en Ukraine, y compris plus de laboratoires biologiques de coronavirus de chauve-souris où toute cette pandémie a été créée et est continuellement menée contre l'humanité.
Ces laboratoires d'armes biologiques ont été confirmés : « Les États-Unis admettent qu'il y a des laboratoires biologiques en Ukraine et disent maintenant que si une attaque biologique se produit, c'est la faute de la Russie. Bien sûr, tout est de la faute de la Russie », selon les médias grand public.
Ces laboratoires prouvent que les «théoriciens du complot» avaient raison depuis le début, affirmant que la grippe Fauci s'était déchaînée sur le monde exprès, après avoir été créée avec un gain de fonction afin qu'elle puisse passer des chauves-souris aux humains et des humains aux humains.
RépondreSupprimerLes laboratoires biologiques gérés par le Pentagone en Ukraine allaient être utilisés pour attaquer la Russie
On pourrait même sympathiser avec la Russie pour la guerre en Ukraine, étant donné que les États-Unis construisaient un arsenal d'armes biologiques juste à côté de leur pays. Ces virus sont des armes de destruction massive (ADM), ainsi que les vaccins utilisés pour favoriser la décimation sanitaire. Moscou a connecté EcoHealth Alliance et la famille criminelle Biden à ces laboratoires, qui étaient utilisés pour préparer des drones remplis d'armes biologiques pour attaquer la Russie.
Maintenant, une grande partie de cette preuve est entre les mains de l'armée russe, alors qu'elle envahit l'Ukraine afin de se protéger de la destruction totale par les communistes américains et les forces corrompues de l'OTAN. L'inquiétude de la Russie concernant l'OTAN et les États-Unis chargeant l'Ukraine d'armes de destruction massive est comparable à l'inquiétude des États-Unis concernant la crise des missiles cubains de 1962, pour ceux qui s'en souviennent. Les États-Unis (ainsi que l'OTAN, Fauci et le CDC) se précipitent pour détruire le matériel génocidaire lié à la pandémie dans leur douzaine ou plus de laboratoires d'armes biologiques en Ukraine avant que la Russie ne trouve et ne révèle tout.
- voir clip sur site -
Le canular russe continue, car chaque Américain est amené à croire que nous sommes censés blâmer Trump et la Russie pour tout ce qui est mauvais, y compris la guerre nucléaire, la pandémie, tous les décès induits par les vaccins et les prochaines «élections truquées» où les démoncrates perdent GROS et l'ordre est rétabli dans la République.
Réglez votre fréquence frauduleuse sur Censored.news pour obtenir des informations véridiques sur l'Ukraine, l'OTAN et le régime hautement corrompu de Biden / PCC qui est censuré par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
Les sources de cet article incluent :
NaturalNews.com
NewsTarget.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-usa-nato-weapons-to-ukraine-fauci-and-china-bioweapons.html
La crise des engrais est sur le point de réduire de 40 % la production mondiale de céréales, prévient l'ONU
RépondreSupprimerLundi 12 septembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Maximo Torero, économiste en chef à l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), prévient que près de la moitié de la production mondiale de céréales pourrait disparaître d'ici la prochaine saison de plantation.
L'inflation galopante, les pénuries d'approvisionnement et la crise énergétique en cours créent une tempête parfaite pour une réduction de 40% de la production céréalière, a déclaré Torero à Bloomberg TV dans une interview.
Blâmant la guerre russe en Ukraine, Torero a déclaré que le monde peut s'attendre à encore plus de problèmes dans les mois à venir qui érodent la capacité des agriculteurs à produire suffisamment de nourriture pour nourrir le monde. (Connexe: les agriculteurs du Midwest américain ont du mal à rester à flot au milieu d'une inflation galopante et de pénuries d'engrais.)
Les combustibles fossiles sont nécessaires pour créer des engrais, qui sont rares en raison des sanctions occidentales contre la Russie. Les Européens auront du mal à chauffer leurs maisons cette année, sans parler d'utiliser tout excès d'énergie pour créer des engrais pour la culture des aliments.
De nombreux producteurs d'engrais ont arrêté la production parce qu'il est tout simplement trop coûteux de continuer à fabriquer des produits comme l'azote et l'ammoniac. En conséquence, les agriculteurs n'auront rien pour faire pousser leurs cultures la saison prochaine.
La moitié de la population mondiale pourrait MOURIR l'année prochaine par manque de nourriture
La réduction de la production de riz est particulièrement préoccupante car le riz nourrit plus de la moitié de l'humanité et est un élément vital pour la stabilité économique en Asie et en Afrique subsaharienne.
Le manque d'engrais signifie le manque de riz, ce qui signifie finalement que des milliards de personnes pourraient mourir de faim en raison de pénuries d'approvisionnement, de perturbations et d'autres facteurs.
Tout cela devrait vraiment prendre forme dans les six prochains mois – et probablement avant l'arrivée de 2023.
Par rapport à 2020, les prix des engrais aujourd'hui en Amérique du Nord, où les choses vont légèrement mieux - du moins pour le moment - sont 220 % plus élevés. Ailleurs dans le monde, la situation est encore plus dramatique.
"Nous commençons vraiment à crier de chaque tour qu'il y a une crise des engrais", a déclaré à Politico un responsable anonyme de l'ONU qui n'a parlé que sous couvert d'anonymat. "Et la crise des engrais est énorme."
Trois ingrédients principaux - l'azote, le phosphore et le potassium - sont utilisés dans les engrais synthétiques. Les agriculteurs utilisent normalement ces nutriments pour augmenter les rendements des cultures, ce qui est le seul moyen de nourrir les près de huit milliards de personnes qui vivent actuellement sur la planète.
RépondreSupprimerSi l'inflation ne diminue pas et que les chaînes d'approvisionnement guérissent, les engrais seront difficiles à trouver d'ici la saison prochaine, ce qui signifie une diminution des récoltes. La crise énergétique, tant qu'elle perdurera, ne fera qu'exacerber encore plus le problème.
"Plus d'un tiers de la population de l'Inde mange à peine assez pour rester en vie au jour le jour", a écrit un commentateur sur la façon dont des centaines de millions d'Indiens pourraient en mourir.
"Cela va aussi être particulièrement difficile pour les Africains qui sont encore plus pauvres."
"Je suppose que Biden et l'UE n'auraient pas dû imposer de sanctions inutiles sur tout ce que la Russie exporte", a écrit un autre sur le fait que tout cela est le résultat direct de Joe Biden et des autres mondialistes qui tentent de diriger ce navire en perdition.
« La Russie ne souffre pas, car elle a augmenté ses exportations et ses profits en vendant du pétrole, du blé, du gaz naturel et des engrais à l'Inde et à la Chine, qui comptent environ 3,1 milliards d'habitants. L'ensemble de l'Europe ne compte que 749 millions d'habitants. De nombreux pays non européens qui achètent normalement directement à la Russie contournent les sanctions parce qu'ils achètent l'engrais russe via l'Inde et la Chine. Il n'y a pas de pénurie comme le prétend l'Occident. Les seules personnes qui semblent être en danger de souffrance sont l'Europe, les États-Unis, le Canada et toute autre personne suivant l'exemple de Biden.
Alors que l'ordre mondial existant s'effondre à dessein et est remplacé par un nouveau, nous vous tiendrons informés de ce qui se passe sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
Infowars.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-fertilizer-crisis-slash-grain-production-40-percent.html
Une enquête du CDC révèle que plus de la moitié de tous les bébés, les tout-petits souffrent d'une «réaction systémique» après une injection de covid
RépondreSupprimerlundi 12 septembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) De nouvelles données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis suggèrent que 55% des enfants âgés de six mois à deux ans souffrent d'une "réaction systémique" après avoir reçu leur première dose d'ARNm (ARN messager). ) "vaccin" de Pfizer-BioNTech ou Moderna.
Après la deuxième dose, l'enquête du CDC a révélé que 60 % des enfants souffrent d'une sorte de réaction négative. Ceci est basé sur une évaluation de plus de 13 000 enfants qui ont été évalués dans le cadre d'une analyse post-commercialisation.
« Une réaction du système est une réponse au-delà du site d'injection », a rapporté Margaret Menge de The Epoch Times.
"Alors que les réactions systémiques les plus courantes étaient la fatigue, la fièvre, l'irritabilité et les pleurs, les parents de plus de 6 % des enfants de l'étude ont déclaré que leur enfant était incapable d'effectuer des activités normales après la deuxième dose de Pfizer-BioNTech ou de Moderna. vaccin."
Le CDC a collecté ces données entre le 18 juillet et le 21 août de cette année à l'aide d'une application de surveillance basée sur un smartphone appelée V-Safe. Les parents peuvent télécharger l'application et suivre la santé de leurs enfants après l'injection. (En relation: Christine Grady, l'épouse de Tony Fauci, a joué un rôle majeur dans le déclenchement des injections de virus chinois sur les enfants et les bébés.)
Les parents de 8 338 enfants âgés de six mois à deux ans qui ont reçu le vaccin Moderna ont signalé un taux de réaction systémique de 55,7 % après la première dose et un taux de réaction systémique de 58 % après la deuxième dose.
Les parents d'enfants ayant reçu une injection de Pfizer, au nombre de 4 749, ont signalé un taux de réaction systémique de 55,8 % après la première dose et un taux de réaction systémique de 47 % après la deuxième dose.
Ce sont des chiffres étonnants qui suggèrent que les injections nuisent le plus souvent aux enfants tout en offrant des avantages minimes, voire inexistants.
"Les réactions les plus fréquemment signalées chez les enfants de 6 mois à 2 ans étaient l'irritabilité ou les pleurs, la somnolence et la fièvre", a expliqué Menge. "Les réactions les plus courantes chez les enfants âgés de 3 à 5 ans étaient la douleur au site d'injection, la fatigue et la fièvre."
Un enfant sur 10 entre six mois et deux ans souffre d'un "impact sur la santé" plus grave après l'injection d'ARNm
Une section spéciale de l'enquête du CDC a également examiné les réactions de santé plus graves, qualifiées de « tout impact sur la santé ». Étonnamment, environ 10 % des enfants âgés de six mois à deux ans ont subi un « impact sur la santé » après leur première dose de Pfizer ou de Moderna.
Une fois de plus, le taux de blessures après la deuxième injection était légèrement pire pour le vaccin de Moderna que pour le vaccin de Pfizer, peut-être parce que le vaccin de Moderna contient une dose plus élevée de produits chimiques à base d'ARNm.
RépondreSupprimerLes données ont été publiées le 1er septembre devant le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du CDC, qui est censé suivre ce genre de choses à des fins d'orientation.
Les données recueillies auprès du système officiel de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) du gouvernement ont également été présentées avant l'ACIP, ainsi que les données de plusieurs grandes organisations de maintien de la santé à travers les États-Unis.
Malgré une profusion de preuves du contraire, le chef de l'équipe de sécurité des vaccins du CDC, Tom Shimabukuro, a affirmé devant le comité qu'il n'y avait aucun "signal statistique" suggérant que les injections sont en aucune façon dangereuses pour les enfants. Les parents, a-t-il suggéré, devraient toujours aligner leurs enfants pour les vaccins que le gouvernement leur dit de recevoir.
"A quoi pensent ces parents ?" a demandé un commentateur du Times à propos des parents qui choisissent d'injecter leurs enfants pour le covid. «Je suppose que certaines personnes pensent toujours que le gouvernement ne tuerait jamais personne avec un vaccin exprès. Cela est allé trop loin.
"Les parents ne réfléchissent pas - c'est le problème", a répondu quelqu'un d'autre. "Ils ont peur de remettre en question le gouvernement ou la propagande médiatique."
Pour en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des vaccins contre la grippe Fauci, visitez ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-cdc-half-babies-systemic-reaction-covid-vaccination.html
Vous ou un de vos proches souffrez du syndrome allopathique ? Il y a un REMÈDE
RépondreSupprimerMonday, September 12, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) Les médicaments sur ordonnance, depuis leur conception au début des années 1900, ont été conçus pour apaiser ou éliminer la douleur et/ou les symptômes de la maladie, mais n'ont jamais été destinés à guérir quoi que ce soit. Au milieu des années 1900, des vaccins ont été concoctés pour escroquer les gens en leur faisant croire que les maladies infectieuses pouvaient être totalement évitées et éliminées, afin que tout le monde soit «sauvé» de la poliomyélite, de la variole et de bien d'autres. Les médecins ont été formés et payés généreusement pour pousser les pilules, la chirurgie et les vaccins dans une nouvelle ère révolutionnaire de la médecine occidentale où la «technologie» de laboratoire est le sauveur, et la médecine naturelle n'était réservée qu'aux charlatans, aux Indiens et aux hippies.
C'est l'ère de la médecine allopathique, et il n'y a jamais eu autant de malades chroniques ayant accès aux « traitements » médicaux modernes dans l'histoire de la planète.
La plupart des vaccins contiennent des produits chimiques mortels qui causent le cancer, des troubles neurologiques et un affaiblissement du système immunitaire
L'objectif principal des médecins aux États-Unis n'est pas de vous guérir de la maladie, mais de vous garder en tant que patient à vie, qui en a besoin lorsque la douleur et les symptômes d'une maladie profondément enracinée font leur apparition. C'est pourquoi les médecins offrent rarement, voire jamais, des conseils nutritionnels à leurs patients.
Si le patient est guéri de maladies en mangeant des aliments biologiques entiers et que le patient développe une immunité naturelle durable, alors les affaires répétées disparaissent et ces médecins ne peuvent pas vivre le style de vie luxueux auquel ils sont tous habitués.
Le syndrome allopathique commence et se termine par une mauvaise alimentation. Les vaisseaux sanguins obstrués, le manque de nutriments appropriés et les cargaisons de produits chimiques dans les aliments transformés créent les «quilles» pour la «grève», qui se présente souvent sous la forme d'une crise cardiaque, d'un accident vasculaire cérébral ou d'un cancer.
La plupart des boissons vendues en Amérique alimentent le syndrome allopathique, car elles contiennent des sucres ajoutés, des édulcorants artificiels, des huiles (oui, ils le font), des hormones synthétiques et des antibiotiques (pensez aux laits et crèmes à café conventionnels), des arômes artificiels, des colorants artificiels et d'autres concoctions fabriquées en laboratoire qui alimentent l'inflammation chronique, les maux de tête, la léthargie, l'obésité, l'arthrite et l'ostéoporose.
Cela nous amène à l'insecticide appelé fluorure qui est mis dans l'eau du robinet à dessein et pour de mauvaises raisons (abaisse le QI et provoque le cancer et la fragilité des os). Ce n'est que la pointe de l'iceberg en ce qui concerne les toxines que la plupart des Américains n'essaient jamais de filtrer de leur apport quotidien, et leurs médecins et chirurgiens n'ont rien à dire à ce sujet.
C'est pourquoi on l'appelle syndrome allopathique, car un syndrome est un ensemble de signes et de symptômes médicaux qui sont tous corrélés et associés à la maladie et au trouble. En fait, le mot syndrome vient d'un mot grec qui signifie concurrence, puisqu'un syndrome peut être regroupé avec des causes précises, devenant éventuellement une maladie.
Top 10 des "composants clés" de la perpétuation du syndrome allopathique
RépondreSupprimerPourquoi et comment les vaccins vous maintiennent dans un état d'immunité affaiblie à long terme.
Comment les antihistaminiques provoquent des infections des sinus, qui peuvent entraîner des infections bronchiques.
Comment les antibiotiques tuent les mauvaises et les bonnes bactéries intestinales, laissant la personne très vulnérable aux attaques de virus, sans parler des agents pathogènes et des parasites.
Comment les vaccins multidoses contre la grippe maintiennent de fortes doses de mercure dans le corps humain, alimentant les troubles neurologiques et cérébraux.
Comment les publicités à la télévision pour des médicaments, avec des effets secondaires bien pires que la condition à traiter, convainquent TOUJOURS les gens de les demander à leurs médecins.
Pourquoi les personnes atteintes du syndrome allopathique croient à 100 % que tous les vaccins sont « sûrs et efficaces ».
Comment la plupart des Américains boivent quotidiennement de l'eau du robinet ou de l'eau en bouteille contenant des produits chimiques, pensant que ce n'est pas grave.
Comment l'huile de canola est-elle devenue «saine pour le cœur» lorsqu'elle obstrue le sang et entraîne une prise de poids rapide, une perte de mémoire et la démence ?
Pourquoi les gens croient qu'ils peuvent trouver des réponses à leurs problèmes de santé (évitables) en utilisant Google, WebMD ou Twitter.
Comment la plupart des médecins en Amérique poussent les pilules, les vaccins et la chirurgie pour de l'argent, alors qu'il existe des remèdes naturels beaucoup plus sûrs et plus efficaces dont ils pourraient facilement vous parler.
Les piqûres Covid sont les « clous dans le cercueil » pour ceux qui souffrent du syndrome allopathique
Ne cherchez pas plus loin que la FDA et le CDC pour les pires conseils qui non seulement causent et perpétuent le syndrome allopathique, mais aussi pour les mandats de vaccins et les protocoles Covid qui mettent les clous dans le cercueil, littéralement, pour des millions d'Américains. Les gens pensent que les procédures médicales invasives et les médicaments sur ordonnance sont le SEUL moyen de "maintenir" leur santé qui s'érode rapidement, et la plupart d'entre eux veulent juste tuer la douleur, pas eux-mêmes, mais ils ne savent pas grand-chose.
Désormais, les vaccins Covid sont conçus pour catapulter ces «conditions» préexistantes (syndrome allopathique) en obstruant le sang, en forçant le cœur, en provoquant de nouveaux cancers et en détruisant le système nerveux. Même les gens du Congrès dénoncent les injections du syndrome allopathique.
Maintenant, les moutons atteints de Covid souffrent d'un nouveau type d'inflammation chronique et de dysfonctionnement du système immunitaire comme jamais auparavant. Le remède est de commencer à filtrer toutes ces toxines de votre vie. Demandez conseil à un médecin naturopathe. Améliorez votre routine d'exercice. Mangez principalement un régime alimentaire à base de plantes, entier, biologique et cru. Buvez de l'eau filtrée, sûre et propre. Augmentez vos suppléments organiques.
Si vous ou un proche souffrez du syndrome allopathique, contactez immédiatement un médecin naturopathe. Même une consultation virtuelle pourrait faire des merveilles pour les changements nécessaires pour échapper au syndrome, et le faire naturellement. Réglez votre Internet sur Censored.news pour d'énormes pans d'informations sur la vérité qui sont censurées par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
Sources for this article include:
TheGatewayPundit.com
NaturalNews.com
TheGatewayPundit.com
Censored.news
TruthWiki.org
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-allopathic-syndrome-theres-a-cure.html
Les 8 meilleures façons dont l'AMA, la FDA et le CDC enterrent les CURES NATURELLES
RépondreSupprimerMonday, September 12, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) La médecine moderne est principalement une «médecine sale», car les risques graves pour la santé l'emportent de loin sur les avantages qui découlent de son utilisation. Le monde allopathique des produits pharmaceutiques et des vaccins est rempli d'"effets secondaires" cauchemardesques et d'"événements indésirables" qui proviennent de réactions allergiques, de surdoses (même lorsqu'elles sont prises selon les directives), de blessures permanentes et de décès, contrairement aux remèdes naturels qui provoquent rarement des effets secondaires graves. . Ce n'est pas nouveau. En fait, depuis plus d'un siècle, les agences de réglementation américaines ont enterré les remèdes naturels pour à peu près tout, et les médecins et les scientifiques qui les promeuvent sont interdits de pratiquer la médecine ou même tués pour cela.
AMA enterre les remèdes naturels
Saviez-vous que la première "Voice of American Medicine" était un charlatan ? Un paresseux nommé Morris Fishbein s'est frayé un chemin jusqu'à la première place de l'American Medical Association, après avoir à peine obtenu son diplôme en médecine, et a escroqué chaque médecin pour qu'il n'écrive que des médicaments sur ordonnance pour les maladies et les troubles cellulaires (cancer). Toutes les cliniques de santé naturelle et les guérisseurs naturels ont été fermés.
Ce règne pharmaceutique a duré 40 ans sous Fishbein, et les vitamines et les minéraux seraient balayés sous le tapis, pour ne jamais être considérés comme quoi que ce soit qui puisse guérir ou empêcher quoi que ce soit. Le « sceau d'approbation » pharmaceutique (AMA ou FDA) est tout aussi frauduleux aujourd'hui qu'il l'était à l'époque, lorsque Fishbein a empoché une fortune pour avoir qualifié les médicaments expérimentaux concoctés en laboratoire de « sûrs et efficaces » et publié de fausses études dans les revues médicales.
La FDA enterre les remèdes naturels
La FDA a vraiment commencé sous le nom de "Pure Food and Drugs Act" de 1906, lorsque l'agence a déréglementé les aliments frelatés (transformés) en les appelant "commerce interétatique". Enterrer le pouvoir des vitamines découvertes au début des années 1900 était la clé de la promotion des médicaments sur ordonnance, tandis que les Américains tombaient lentement mais sûrement malades et mouraient plus jeunes à cause d'aliments frelatés (et de carences en nutriments). L'Amérique a pratiquement inventé le cancer, le diabète et les maladies cardiaques, et la FDA a tout supervisé.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'industrie corrompue des médicaments a été dirigée par d'anciens scientifiques nazis qui n'ont servi que 4 à 7 ans pour meurtre de masse et génocide en Allemagne sous Hitler. Les nazis n'ont jamais été vraiment "vaincus", ils se sont seulement dissous pour devenir les principaux concepteurs de Big Pharma en Amérique, ce que la plupart des gens connaissent aujourd'hui sous le nom de Bayer (Monsanto) et Pfizer.
Un scientifique, nommé le Dr Stanislaw Burzynski, a littéralement découvert un remède non toxique ciblant les gènes, même pour les types de cancer les plus mortels, comme le cancer du tronc cérébral, et a guéri des enfants, comme leurs parents ont témoigné devant le tribunal, essayant de sauver Burzynski de la FDA. poursuite. La FDA a rendu illégal le traitement du cancer par la médecine naturelle.
Le CDC enterre les remèdes naturels
RépondreSupprimerLe CDC pousse délibérément toutes sortes de vaccins toxiques sur les Américains, connaissant les risques et les inconvénients pour la santé L'EMPORTANT DE LOIN sur les avantages, le cas échéant. Il y a du mercure dans les vaccins multidoses contre la grippe. Il y a un virus porcin mortel appelé circovirus (de Chine et de Russie) trouvé dans les vaccins contre le rotavirus pour enfants (vérifier Rotateq), et maintenant il y a des injections qui disent aux cellules humaines de créer des milliards de protéines de pointe imitant le virus qui obstruent le sang. Tout cela fait partie du modèle commercial à but lucratif du CDC consistant à garder les Américains malades à tout moment.
C'est pourquoi personne ne devrait faire confiance à tout ce qui vient des agences de réglementation américaines, car elles étaient toutes fondées sur la fraude, construites sur la fraude et conçues pour perpétuer la fraude qui décime la santé.
8 façons dont l'AMA, la FDA et le CDC enterrent les remèdes naturels
#1. Censurez-les complètement du public en contrôlant les recherches dans les médias (Google) et les données publiées.
#2. Manipulez-les dans un laboratoire pour les rendre faibles, puis brevetez la version faible, empêchez quiconque de vendre autre chose, puis dites qu'ils fonctionnent à peine (et rarement).
#3. Discréditer (par la diffamation) des médecins, des nutritionnistes et des scientifiques honnêtes qui les utilisent efficacement.
#4. Bloquer et mettre sur liste noire les blogueurs, les podcasteurs et les influenceurs YouTube qui dénoncent les mauvais médicaments et/ou font passer le mot sur les remèdes naturels qui fonctionnent.
#5. Avoir de faux «vérificateurs de faits» discrédite les remèdes et les appelle la désinformation ou la désinformation.
#6. Publier partout des informations erronées sur les remèdes naturels, y compris de fausses études et des données manipulées, et faire en sorte que ces recherches soient bien classées dans Google.
#7. Les régulateurs gouvernementaux répandent eux-mêmes des mensonges qui sont scénarisés et répétés par les présentateurs de nouvelles et les administrateurs d'hôpitaux pour que tous les médecins et infirmières régurgitent aux patients (et les patients entre eux).
#8. En assassinant littéralement des médecins et des scientifiques qui dénoncent des médicaments toxiques ou des vaccins sales, ou qui découvrent des remèdes naturels qui fonctionnent pour les maladies et troubles modernes, y compris Covid,
C'est pourquoi vous ne pouvez pas faire confiance à tout ce qui sort de la bouche des représentants et des soi-disant «experts» qui travaillent pour les agences de perpétuation des maladies aux États-Unis. Restez à l'écoute et restez glacial. Réglez votre Internet sur Censored.news pour d'énormes pans d'informations sur la vérité qui sont censurées par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
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NaturalNews.com
TheGatewayPundit.com
Censored.news
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-top-8-ways-ama-fda-cdc-bury-natural-cures.html
Un ancien professeur de Harvard prévient que "la science et la santé publique sont brisées"
RépondreSupprimerLundi 12 septembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le Dr Martin Kulldorff, un éminent épidémiologiste et statisticien de l'Université de Harvard, affirme que le paradigme actuel de la science et de la santé publique est clairement «cassé».
La pandémie de coronavirus de Wuhan (Covid-19) a révélé la corruption du système à un degré peut-être jamais vu. Lorsque la personne moyenne commence vraiment à remettre en question la légitimité du gouvernement et ses impositions de «santé publique», vous savez que quelque chose ne va pas.
«Pour une raison quelconque, un récit officiel public a été établi, et vous n'étiez pas autorisé à le remettre en question – ce qui, bien sûr, est très préjudiciable, à la fois à la pandémie et à la manière de gérer la pandémie, car vous devez avoir une dynamique discussion pour trouver la meilleure façon de gérer ces choses », a déclaré Kulldorff à Epoch Times dans une récente interview.
Au début de la plandémie, vous vous souviendrez peut-être que Kulldorff s'est mis dans le collimateur en exposant la plandémie pour ce qu'elle était, même lorsqu'on disait encore aux gens qu'il ne faudrait que deux semaines pour "aplatir la courbe".
En mars 2020, lorsque la plandémie a commencé, Kulldorff, originaire de Suède, essayait déjà de publier des études montrant que la grippe Fauci n'était vraiment pas si grave. Il a essayé de présenter des preuves de ce que les gens pouvaient faire pour aider à minimiser leur risque d'infection au lieu de simplement paniquer et vivre dans la peur.
Les recherches de Kulldorff ont été manifestement rejetées, comme on pouvait s'y attendre - mais il n'a pas cessé de se battre. En fait, il a continué à dire la vérité, mettant toute sa carrière et sa réputation en jeu.
"J'ai pu publier en Suède, dans les grands quotidiens là-bas au printemps 2020, donc ce n'était pas un problème", dit-il. "Mais les États-Unis n'ont pas été autorisés à avoir un débat, ce qui est très troublant."
Kulldorff mène le bon combat depuis le début de la pandémie
Les premiers efforts de Kulldorff ont abouti à la publication de la Déclaration de Great Barrington, qui a été publiée par les Drs. Sunetra Gupta et Jay Bhattacharya en octobre 2020. Cette déclaration appelait à une approche plus nuancée de la plandémie par opposition aux restrictions uniformes imposées principalement aux Occidentaux.
«L'approche la plus compatissante qui équilibre les risques et les avantages d'atteindre l'immunité collective, est de permettre à ceux qui courent un risque minimal de mourir de vivre leur vie normalement pour développer une immunité contre le virus par une infection naturelle, tout en protégeant mieux ceux qui sont à risque le plus élevé », indique cette déclaration.
RépondreSupprimerGupta, soit dit en passant, est un épidémiologiste spécialisé en immunologie, en développement de vaccins et en modélisation mathématique des maladies infectieuses, qui travaille également comme professeur à l'Université d'Oxford. Bhattacharya est un épidémiologiste, un économiste de la santé et un expert en politique de santé publique qui se concentre sur les maladies infectieuses et les populations vulnérables, et enseigne également au Stanford University Medical System.
«Ce ne sont que les principes fondamentaux de base de la santé publique qui existaient dans le plan de préparation à la pandémie préparé de nombreuses années auparavant», déclare Kulldorff à propos de la déclaration de Great Barrington. "C'est assez étonnant qu'il n'ait pas été suivi dès le début de la pandémie."
Kulldorff dit que la déclaration de Great Barrington n'était pas destinée aux politiciens, aux scientifiques ou même aux médecins, malgré le fait que des milliers d'entre eux l'ont signée. Au lieu de cela, il était destiné au grand public.
« Le public le plus important était le public », dit-il. "Parce que c'est le public qui finira par mettre fin à ces politiques de santé publique erronées. C'est le public, les gens ordinaires, qui en subissent les conséquences.
"L'essentiel était de briser le prétexte qu'il y avait un consensus scientifique pour ces verrouillages - ce qui n'était pas le cas."
La dernière couverture médiatique sur la plandémie peut être trouvée sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-former-harvard-professor-science-public-health-broken.html
BOOSTER LA COURBE : les boosters COVID blessent jusqu'à 98 jeunes adultes juste pour éviter une hospitalisation pour COVID-19
RépondreSupprimerlundi 12 septembre 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) Le gouvernement fédéral exhorte tous les Américains de plus de douze ans à faire la queue et à recevoir une cinquième dose du vaccin COVID, soulignant à nouveau l'importance de "faire votre part" pour "ralentir la propagation du coronavirus".
Cependant, une nouvelle étude, intitulée «Rappels de vaccins Covid-19 pour les jeunes adultes: une évaluation des risques et des avantages et cinq arguments éthiques contre les mandats dans les universités» révèle que les rappels COVID AUGMENTENT LA COURBE des hospitalisations, sans les empêcher. Selon les résultats de l’étude, les rappels COVID causent jusqu’à 98 blessures graves par vaccin chez les jeunes adultes juste pour empêcher UNE hospitalisation COVID-19. L'équipe de chercheurs qualifie désormais les mandats du vaccin COVID-19 de "contraires à l'éthique" car les piqûres sont près de 100 fois plus susceptibles de faire subir à un jeune une blessure grave due au vaccin que d'empêcher une hospitalisation pour COVID-19.
Il existe de nombreuses façons de prévenir les hospitalisations liées au COVID-19 qui ne nécessitent pas 98 blessures graves supplémentaires. Il existe de nombreuses façons de traiter les patients et d'obtenir une immunité naturelle qui ne nécessitent pas un risque aussi extrême pour la vie et les moyens de subsistance des jeunes. Les conclusions de l'étude sont encore plus choquantes, étant donné que l'auteur de l'étude, le Dr Kevin Bardosh, a reçu des fonds du Département de la santé de Floride pro-vaccination et du Wellcome Trust, adorateur des vaccins.
Les jeunes adultes sont plus susceptibles d'être gravement blessés par un programme de vaccination covid-19 coercitif et abusif
Afin d'éviter une hospitalisation au COVID-19 chez les adultes âgés de 18 à 29 ans, au moins 22 000 à 30 000 doivent être boostés avec le vaccin à ARNm. Selon les données sur les événements indésirables, environ 18 à 98 événements indésirables graves surviennent dans une population de cette taille. Ces événements indésirables graves ne sont pas les cas typiques de douleurs au bras, de fièvre, de frissons et de fatigue qui accompagnent souvent ce vaccin mal conçu. Ces événements indésirables graves comprennent des problèmes médicaux comme la myocardite, les caillots sanguins, la paralysie faciale, les convulsions et d'autres problèmes médicaux qui interfèrent avec la vie quotidienne d'une personne, à long terme. Entre 1,7 et 3 jeunes adultes seront contraints de vivre avec une myocardite juste pour prévenir un cas "grave" de covid-19.
Le gouvernement dit à la majorité de la population de prendre en charge des milliers de nouveaux problèmes médicaux juste pour prévenir une poignée de maladies. Il existe d'innombrables façons d'améliorer le système immunitaire inné pour prévenir l'hospitalisation liée au covid-19. Ces nutraceutiques, antiviraux, adaptogènes et traitements n'obligent pas la population à s'attaquer à de nouveaux problèmes médicaux qui perturbent la vie quotidienne, causent souffrance et décès.
RépondreSupprimerAu fur et à mesure que la population acquiert une immunité naturelle et s'adapte à l'excrétion et aux mutations induites par le vaccin, le profil de risque de la prise de nouveaux rappels COVID devient encore plus insensé. Pourtant, le gouvernement fédéral continue de demander aux jeunes de le prendre. Pourquoi les jeunes sont-ils contraints et contraints de prendre quelque chose qui cause près de 100 hospitalisations de plus que la maladie elle-même ? Pourquoi les campus universitaires et les écoles publiques poussent-ils les enfants à obéir aux agresseurs et à s'isoler, à s'attarder sur la maladie, à se bâillonner pendant des heures chaque jour et à prendre des injections qui sont plus susceptibles de les blesser et de les tuer - le tout par peur de quelque chose qui récupérer le plus facilement ?
Les chercheurs avertissent qu'il y a:
Pas d'évaluation formelle du rapport bénéfice/risque pour le groupe d'âge (18-29 ans) ou pour les enfants. Les jeunes adultes sont contraints de faire quelque chose qui est insensé du point de vue de l'évaluation des risques.
Les mandats de vaccination peuvent entraîner un préjudice net attendu pour les jeunes individuels, échangeant la possibilité et l'inévitabilité d'une simple maladie contre le risque délibéré de prendre un problème médical grave et inutile.
Les méfaits attendus des mandats de vaccination ne sont pas compensés par les avantages allégués, en particulier lorsque les vaccins ne parviennent pas à arrêter la transmission.
Les mandats violent le principe de réciprocité parce que les dommages rares et graves liés aux vaccins ne seront pas indemnisés de manière fiable en raison des boucliers de responsabilité dans les régimes actuels de dommages liés aux vaccins.
Les mandats créent des préjudices sociaux, une discrimination, une ségrégation plus larges, etc.
Les sources comprennent :
DailySceptic.org
Papers.SSRN.com
NCBI.NLM.NIH.gov
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-covid-boosters-cause-influx-serious-injuries.html
Les décès de cols blancs étaient en fait 23 % plus élevés que les décès de cols bleus et d'autres décès au cours de la même période.
RépondreSupprimerScott Davison de la compagnie d'assurance-vie OneAmerica, basée à Indianapolis, a été le premier à évoquer ce phénomène. Sa carrière a vu une augmentation massive de 40% des demandes de décès parmi les 18-64 ans après l'introduction des vaccins contre la grippe Fauci.
Ce que Davison a vu à OneAmerica est sans précédent, représentant un événement "trois sigma" - c'est-à-dire une catastrophe qui se produit une fois tous les 200 ans et qui est exceptionnellement rare.
OneAmerica est l'une des 20 entreprises qui ont participé au rapport SOA, avec Aflac, Anthem, The Hartford, Lincoln Financial Group, MetLife, New York Life et Principal Financial.
L'ancien gestionnaire de fonds spéculatifs Edward Dowd s'est également exprimé sur la question, déclarant que les mandats d'injection de virus chinois du régime Biden coïncident directement avec cette augmentation du nombre de décès.
"Temporairement, au cours de cette période de trois mois, le changement a été tel que quelque chose s'est produit", a déclaré Dowd.
« Eh bien, nous savons tous ce qui s'est passé en août, septembre et octobre. C'étaient les mandats de Biden le 9 septembre, et de nombreuses entreprises anticipaient ces mandats.
Il y a près d'un an jour pour jour du décès de la reine Elizabeth II, le régime de Biden a publié un décret obligeant tous les employés fédéraux et les travailleurs de la santé des établissements certifiés par Medicare et Medicaid à se faire piquer pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
"Ce qui semble émerger chaque jour avec plus de preuves des meurtres de masse causés par l'arnaque du covid est la mère de tous les bourbiers juridiques", a souligné un commentateur d'Epoch Times à propos de ce qui va probablement suivre.
Les dernières nouvelles sur l'injection de virus chinois peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-middle-aged-died-twice-rate-covid-jabs.html
7 médicaments sur ordonnance les plus effrayants, selon les propres avertissements de Big Pharma
RépondreSupprimerMonday, September 12, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) Lorsque vous pensez aux "troubles d'apprentissage" pour les enfants américains, de nombreux types viennent à l'esprit, y compris le syndrome d'Asperger, l'autisme et le syndrome de Down, mais cela peut vous surprendre de savoir qu'il y a plus de 6 millions d'enfants américains diagnostiqués avec Attention Trouble déficitaire avec hyperactivité (TDAH) en ce moment. Près de 2 millions de ces enfants prennent des médicaments d'ordonnance dangereux pour cela. Ce qui est pire, c'est que le "diagnostic" est très vague et peut inclure à peu près n'importe quel comportement énergétique, sans prêter suffisamment "d'attention" au programme ennuyeux et tordu. Sans oublier que la plupart des enfants mangent une cargaison de sirop de maïs à haute teneur en fructose pour le petit-déjeuner dans les céréales, les boissons, les pains et les collations de ces enfants. Pas étonnant qu'ils ne puissent pas rester assis pendant des heures. Cela ne signifie PAS qu'ils ont un TDA ou un TDAH.
Pourtant, tous ces enfants sont bourrés de stimulants qui ont des effets secondaires comme une dépression sévère et des sentiments (accrus) d'homicide et de suicide. On dit aux médecins d'être à l'affût lorsqu'ils prescrivent ces concoctions expérimentales, pour les sautes d'humeur des patients, les troubles du sommeil, les migraines, la perte de poids et, bien sûr, les tendances suicidaires.
Ce n'est que le début des avertissements de la "boîte noire" qui accompagnent ces médicaments pour le TDAH, prescrits pour à peu près n'importe quel enfant, n'importe où, n'importe quand, sans discrétion.
Dans cet esprit, nous y allons avec les 7 médicaments sur ordonnance les plus effrayants lancés aux bébés, aux enfants, aux adolescents et aux adultes sans discrétion
#1. Médicaments pour le TDAH – Peuvent augmenter les pensées et les actions suicidaires chez les enfants, les adolescents ou les adultes atteints de TDAH, en particulier au cours des premiers mois de traitement ou lorsque la dose est modifiée
#2. Remdesivir pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) – Ce médicament peut décimer vos reins et provoquer une défaillance des organes (rénaux)
#3. ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) - médicaments psychotropes administrés pour l'anxiété, la dépression, le trouble bipolaire. Provoque (augmentation) des pensées suicidaires et des pensées meurtrières - souvent le coupable des fusillades de masse
#4. Médicaments contre le cholestérol
#5. Anticoagulants
#6. Chimiothérapie orale
#7. Paxlovid – la pilule « antivirale » de Pfizer – provoque un rebond de l’infection au COVID-19
Même lorsqu'ils sont "pris comme indiqué", ces médicaments sur ordonnance sont encore beaucoup plus dangereux que les conditions qu'ils sont censés traiter
Imaginez que vous alliez à l'hôpital parce que vous attrapiez un cas léger de COVID-19, et que les médecins, juste pour être «en sécurité», vous prescrivent Remdesivir, et vos reins commencent à défaillir. Ensuite, vous réalisez que vous n'avez même jamais été informé que cet événement est assez courant avec la drogue, et tout le monde semble le savoir, sauf vous.
Ensuite, il y a Paxlovid - la pilule dite "antivirale" de Pfizer qui PROVOQUE littéralement un rebond de l'infection au COVID-19. Le CDC lui-même avertit que vous pourriez voir des symptômes «réapparaître deux à huit jours après la fin du traitement et un test négatif.
Comment aimez-vous les pommes? Pourri jusqu'à la moelle. C'est le complexe médical et industriel en Amérique qui s'en sort littéralement avec un meurtre et au grand jour. Cela signifie que tout en "gérant votre risque de maladie grave", les médecins prescrivent un médicament qui vous expose à un RISQUE ÉLEVÉ de maladie grave, selon leurs propres descriptions de COVID-19 sous le laboratoire concocté, gain de fonction, saut de chauve-souris à humain, grippe de Wuhan financée par Fauci et Pfizer. Viennent ensuite les prescriptions de « monkeypox » pour protéger tous les Américains contre le syndrome des relations sexuelles avec des singes, des verrues anales, des orgies humaines.
RépondreSupprimerNe commencez même pas avec tous ces anticoagulants, où à peu près n'importe quelle légère bosse ou ecchymose sur le patient peut entraîner une hémorragie interne, qui peut rapidement entraîner la mort. L'anticoagulant fait le bon mort-aux-rats, et une fois que le M.I.C. les médecins (trafiquants de médicaments d'entreprise du complexe médical et industriel) mettent leurs patients sous ces médicaments cauchemardesques, ils les laissent rarement, voire jamais, les arrêter à nouveau.
Enfin, si la chimiothérapie vous fait peur, c'est normal. Qu'elle soit prise par « goutte-à-goutte » ou par voie orale, ce n'est rien de plus qu'une lente marche dans les « chambres à gaz », où la chimio elle-même provoque la formation de nouveaux cancers et les attaque avec vengeance. Les scientifiques le savent depuis sa création, dans les années 1950 et 1960.
Réglez votre fréquence Internet sur BigPharmaNews.com pour des mises à jour sur d'autres médicaments qui mutilent et tuent les humains sans raison valable.
Les sources comprennent :
NBCnews.com
ContemporaryPediatrics.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
Emergency.CDC.gov
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-7-scariest-prescription-medications-per-warnings-disclosed.html
Le CDC admet que des LOTS TUEURS de vaccins COVID-19 sont toujours donnés au public
RépondreSupprimerlundi 12 septembre 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Une enquête des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a révélé que certains lots de vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) liés à un nombre extrêmement élevé d'effets indésirables et de décès étaient toujours mis à la disposition du public.
L'agence de santé publique a découvert que des numéros de lot spécifiques des vaccins COVID-19 liés aux effets indésirables et aux décès étaient déjà identifiés, mais pas retirés. Ils ont également constaté que quatre à cinq pour cent des lots de vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 étaient responsables de chaque décès signalé comme effet indésirable. De plus, ces lots mortels ont été largement distribués à travers les États-Unis, tandis que les autres lots bénins ont été envoyés à quelques endroits seulement.
Le CDC a utilisé les données du Vaccine Adverse Event Reporting System soumises jusqu'au 15 octobre 2021. Il comprenait tous les effets indésirables liés aux vaccins Pfizer et Moderna. Les effets indésirables liés aux vaccins contre la grippe ont également été inclus pour servir d'ensemble de données de contrôle.
Au total, 171 463 effets indésirables, 14 262 hospitalisations et 2 828 décès étaient liés à 4 522 numéros de lot Pfizer, tandis que 188 998 effets indésirables, 10 225 hospitalisations et 2 603 décès étaient liés à 5 510 numéros de lot Moderna.
Quatre-vingt-seize pour cent des lots de vaccins Pfizer n'avaient aucun rapport de décès, ce qui signifie que les 2 828 décès liés au vaccin provenaient de quatre pour cent des lots. Pendant ce temps, 95% des lots de vaccins Moderna n'avaient aucun rapport de décès, ce qui se traduit par 2 603 décès associés à 5% des lots.
Des lots spécifiques de vaccins à ARNm distribués entre 13 et 50 États à travers les États-Unis ont présenté un nombre inhabituellement élevé de rapports d'événements indésirables et de décès, par rapport à ceux distribués à 12 États ou moins. Le CDC a conclu qu'il y avait "des découvertes préoccupantes qui justifient une enquête plus approfondie".
Pfizer balaie les problèmes de sécurité des vaccins COVID-19 sous le tapis
Alors que ces rapports pourraient simplement être imputés à des problèmes de contrôle de la qualité, un dénonciateur d'une usine de fabrication de Pfizer a dit le contraire. Elle a révélé qu'elle avait même été licenciée par l'entreprise pour avoir intensifié et signalé les irrégularités dans la qualité des vaccins qu'elle trouvait alarmantes.
Melissa McAtee, ancienne auditrice de la qualité à l'usine Pfizer du Kansas, a déclaré l'année dernière à l'animateur de "World View Report", Brannon Howse, qu'elle avait remarqué que le vaccin brillait sous une certaine lumière. Après avoir alerté la société, McAtee a déclaré que le problème était toujours ignoré. (Connexe : Pfizer demande au tribunal de rejeter le procès du lanceur d'alerte parce que le gouvernement était pleinement conscient de la fraude lorsqu'il a accepté de travailler avec l'entreprise.)
Alors que Pfizer a déclaré que 90% des employés de l'usine étaient vaccinés contre les injections de COVID-19, McAtee a déclaré que ce n'était pas le cas.
RépondreSupprimer« Soi-disant, la moitié de l'usine n'a pas été vaccinée ou partirait si elle était forcée de se soumettre au mandat de vaccination », a-t-elle déclaré.
L'ancien personnel de Big Pharma a en outre déclaré que le plus important était que les gens obtiennent un consentement éclairé. "Je tiens à ce que les gens soient informés et qu'ils sachent ce qui est injecté dans leur corps", a déclaré McAtee.
McAtee a déclaré que Pfizer était trompeur et omettait des informations et a également noté que la société s'était engagée dans le secret, comme la fermeture de couloirs et de certains processus alors qu'elle savait que la Food and Drug Administration viendrait à l'usine.
Parcourez BigPharmaNews.com pour en savoir plus sur la façon dont Pfizer et Moderna trompent les gens avec leurs vaccins expérimentaux.
Regardez la vidéo ci-dessous qui explique la signification des lots de vaccins COVID-19.
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Cette vidéo provient de la chaîne Prevent Global Genocide sur Brighteon.com.
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Les sources comprennent :
Expose-News.com
WorldViewWeekend.com
Mairie.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-killer-batches-covid-shots-still-given-public.html
"Lorsque nous avons examiné tous les décès survenus, nous avons examiné ceux qui étaient liés à un accident ou manifestement non proches du virus COVID-19", a-t-elle déclaré aux journalistes lors d'un autre point de presse. "C'était moins de 0,6% de ces décès qui appartenaient à cette catégorie où il s'agissait d'un accident, d'un homicide ou de quelque chose où le diagnostic de COVID n'était pas la cause immédiate du décès."
RépondreSupprimerAu moment de mettre sous presse, 39 445 personnes dans l'Illinois seraient mortes du COVID-19. En raison de la révélation d'Ezike, on ne sait toujours pas combien d'entre eux ont été réellement causés par le coronavirus et combien sont morts d'autres causes, mais il se trouve qu'ils avaient le COVID-19 au moment du décès.
On ne sait pas non plus combien de personnes dans l'Illinois, avec un taux de vaccination complet de plus de 70 %, sont décédées en raison de problèmes de santé causés par les vaccins COVID-19 et non du coronavirus.
En savoir plus sur la pandémie de COVID-19 sur Pandemic.news.
Regardez cet épisode du 8 septembre de "Keep the Republic" avec le Dr Daniel Bobinski.
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"Keep the Republic" avec le Dr Daniel Bobinski est diffusé tous les jeudis de 16h à 17h. sur Brighteon.TV.
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Les sources comprennent :
Brighteon.com
NBCChicago.com
NYTimes.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-12-former-official-admits-illinois-inflates-covid-deaths.html
Premier venu le 11 septembre. Puis COVID-19. Quelle est la prochaine crise pour verrouiller la nation ?
RépondreSupprimerPar John et Nisha Whitehead
L'Institut Rutherford
13 septembre 2022
"Le but de la politique pratique est de garder la population alarmée (et donc pressée d'être conduite à la sécurité) par une série interminable de hobgobelins, la plupart imaginaires." - H.L. Mencken
D'abord est venu le 11 septembre, que le gouvernement a utilisé pour se transformer en un État policier.
Puis la pandémie de COVID-19 a frappé, que l'État policier a utilisé pour tester ses pouvoirs de verrouillage.
À la lumière de la tendance du gouvernement à exploiter les crises (légitimes ou fabriquées) et à capitaliser sur les émotions, la confusion et la peur accrues de la nation comme moyen d'étendre la portée de l'État policier, on peut se demander quelle soi-disant crise il déclarera ensuite .
C'est une formule assez simple : d'abord, vous créez la peur, puis vous la capitalisez en prenant le pouvoir.
Franchement, peu importe la nature de la prochaine urgence nationale (terrorisme, troubles civils, effondrement économique, crise sanitaire ou environnement) tant qu'elle permet au gouvernement de verrouiller la nation et de justifier toutes les manières de la tyrannie au soi-disant nom de la sécurité nationale.
Signalez l'état d'urgence.
Attaques terroristes, fusillades de masse, « effondrement économique imprévu, perte de fonctionnement de l'ordre politique et juridique, résistance ou insurrection intérieure délibérée, urgences de santé publique généralisées et catastrophes naturelles et humaines catastrophiques » : le gouvernement anticipe et se prépare à de telles crises depuis des années à présent.
Comme l'écrit David C. Unger pour le New York Times : « La vie, la liberté et la poursuite du bonheur ont cédé la place à une gestion permanente des crises : faire la police de la planète et mener des guerres préventives d'endiguement idéologique, généralement sur un terrain choisi par et favorable. à, nos ennemis. Le gouvernement limité et la responsabilité constitutionnelle ont été écartés par le type de présidence impériale que notre système constitutionnel était explicitement conçu pour empêcher. »
Voici ce que nous savons : étant donné la vitesse à laquelle le gouvernement continue de concevoir de nouvelles façons de s'imposer comme la « solution » à tous nos problèmes mondains aux frais des contribuables, chaque crise subséquente inaugure des expansions toujours plus importantes du pouvoir gouvernemental et moins de liberté individuelle.
C'est la pente glissante vers la tyrannie pure et simple.
Vous voyez, une fois que le gouvernement acquiert (et utilise) des pouvoirs autoritaires - pour espionner ses citoyens, pour effectuer une surveillance, pour transformer ses forces de police en extensions de l'armée, pour saisir l'argent des contribuables, pour mener des guerres sans fin, pour censurer et faire taire dissidents, pour identifier les fauteurs de troubles potentiels, pour détenir des citoyens sans procédure régulière - il ne les abandonne pas volontairement.
La leçon pour les âges est la suivante : une fois qu'un gouvernement est autorisé à aller trop loin et à étendre ses pouvoirs, il est presque impossible de remettre le génie dans la bouteille. Comme le reconnaît Laurence Tribe, professeur de droit constitutionnel à Harvard, « la soif dictatoriale de pouvoir est insatiable ».
En effet, l'histoire des États-Unis témoigne du vieil adage selon lequel la liberté diminue à mesure que le gouvernement (et la bureaucratie gouvernementale) se développe. Autrement dit, à mesure que le gouvernement s'étend, la liberté se contracte.
De cette façon, chaque crise depuis les débuts de la nation est devenue une opportunité de création d'emplois pour le gouvernement.
Chaque crise a également été un test pour voir jusqu'où « nous, le peuple » permettrait au gouvernement de contourner la Constitution au soi-disant nom de la sécurité nationale ; un test pour voir dans quelle mesure nous avons assimilé les leçons du gouvernement en matière de conformité, de peur et de tactiques d'État policier ; un test pour voir à quelle vitesse nous marcherons au pas avec les diktats du gouvernement, sans poser de questions ; et un test pour voir le peu de résistance que nous offrons aux prises de pouvoir du gouvernement lorsqu'elles sont faites au nom de la sécurité nationale.
RépondreSupprimerPlus important encore, cela a été un test pour voir si la Constitution - et notre engagement envers les principes inscrits dans la Déclaration des droits - pourrait survivre à une crise nationale et à un véritable état d'urgence.
Malheureusement, nous échouons à ce test particulier depuis longtemps maintenant.
En effet, les pouvoirs en place ont poussé nos boutons et nous ont conduits comme autant de bétail depuis la Seconde Guerre mondiale, au moins, à commencer par les attaques japonaises sur Pearl Harbor, qui ont non seulement propulsé les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale, mais aussi unifié le peuple américain dans son opposition à un ennemi commun.
Cette peur d'une attaque par des menaces étrangères, commodément renforcée par le complexe militaro-industriel croissant, a à son tour donné lieu à la «peur rouge» de l'ère de la guerre froide. Promulgués par la propagande gouvernementale, la paranoïa et la manipulation, les sentiments anticommunistes se sont transformés en une hystérie de masse qui considérait tout le monde comme suspect : vos amis, le voisin d'à côté, même les membres de votre famille pourraient être des subversifs communistes.
Cette hystérie, qui a abouti à des audiences devant le House Un-American Activities Committee, où des centaines d'Américains ont été appelés devant le Congrès pour témoigner de leurs soi-disant affiliations communistes et intimidés pour faire de faux aveux, a également ouvert la voie à la montée d'un tout État de surveillance gouvernemental qui sait tout et qui voit tout.
Au moment où le 11 septembre s'est déroulé, tout ce que George W. Bush avait à faire était de prétendre que le pays était envahi par des terroristes, et le gouvernement a utilisé le USA Patriot Act pour revendiquer de plus grands pouvoirs pour espionner, rechercher, détenir et arrêter les citoyens américains dans afin de protéger l'Amérique.
Par le biais de la loi sur l'autorisation de la défense nationale, Barack Obama a poursuivi la tendance de Bush à saper la Constitution, allant jusqu'à donner à l'armée le pouvoir de dépouiller les Américains de leurs droits constitutionnels, de les qualifier d'extrémistes et de les détenir indéfiniment sans procès, le tout en le nom de garder l'Amérique en sécurité.
Malgré le fait que l'étendue du pouvoir de l'armée de détenir des citoyens américains viole non seulement la loi américaine et la Constitution, mais aussi les lois internationales, le gouvernement a refusé de renoncer à ses pouvoirs de détention rendus possibles par la NDAA.
Ensuite, Donald Trump a pris ses fonctions, affirmant que le pays était envahi par des immigrants dangereux et insistant sur le fait que la seule façon de protéger l'Amérique était d'étendre la portée de la police des frontières, de donner aux militaires les moyens d'"aider" au contrôle des frontières et de transformer essentiellement le pays en une zone sans Constitution.
Cette soi-disant crise de l'immigration s'est ensuite transformée en crises multiples (extrémisme domestique, pandémie de COVID-19, guerres raciales, troubles civils, etc.) que le gouvernement s'est empressé d'utiliser pour étendre ses pouvoirs.
Joe Biden, à son tour, a tout mis en œuvre pour étendre la portée de l'État policier militarisé, s'engageant à embaucher 87 000 agents de l'IRS et 100 000 policiers supplémentaires. Lisez entre les lignes et vous constaterez que Biden a pratiquement déclaré la guerre au peuple américain.
Personne ne sait quelle sera la prochaine crise, mais vous pouvez être sûr qu'il y aura une prochaine crise.
RépondreSupprimerAlors, à quoi devez-vous vous attendre si le gouvernement décide de déclarer un autre état d'urgence et institue un confinement à l'échelle nationale ?
Vous devriez vous attendre à plus de la même chose, mais à pire.
Plus de conformité, moins de résistance.
Plus de tactiques alarmistes et de contrôle de l'esprit et moins de tolérance pour ceux qui remettent en question les récits de propagande du gouvernement.
Surtout, comme je le souligne dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, vous devriez vous attendre à plus de tyrannie et moins de liberté.
Il y a tout lieu de s'inquiéter de la suite.
Certes, les antécédents du gouvernement et ses plans tant attendus d'instauration de la loi martiale (utilisation des forces armées pour résoudre les problèmes politiques et sociaux intérieurs) en réponse à une crise future sont suffisamment préoccupants quant à la manière dont le gouvernement gérera la prochaine « crise ». ”
Notez mes mots : si et quand un autre verrouillage national frappe enfin - si et quand nous sommes obligés de nous abriter sur place - si et quand la police militarisée patrouille dans les rues - si et quand des points de contrôle de sécurité ont été établis - si et quand la capacité des médias à diffuser les informations a été restreint par les censeurs du gouvernement - si et quand les systèmes publics de communication (lignes téléphoniques, Internet, messagerie texte, etc.) ont été restreints - si et quand ces camps de la FEMA que le gouvernement a construits subrepticement sont finalement utilisés comme détention des centres pour les citoyens américains – si et quand des équipes militaires « snatch and grab » sont déployées aux niveaux local, étatique et fédéral dans le cadre des plans activés de continuité du gouvernement pour isoler toute personne soupçonnée d'être une menace pour la sécurité nationale – et si et quand la loi martiale est promulguée avec peu de tollé ou de résistance réelle de la part du public - alors nous comprendrons vraiment à quel point le gouvernement a pleinement réussi à nous acclimater à un état de affaires dans lesquelles le gouvernement a tout le pouvoir et « nous le peuple » n'en avons aucun.
https://www.lewrockwell.com/2022/09/no_author/first-came-9-11-then-covid-19-whats-the-next-crisis-to-lockdown-the-nation/
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