le 29 septembre 2021
Les statines sont des molécules relativement simples qui sont des inhibiteurs d’une des activités enzymatiques de la voie de biosynthèse du cholestérol. Depuis leur découverte il y a maintenant 40 ans ces produits constituent, toutes statines confondues, le groupe de médicaments le plus prescrit dans le monde. Naturellement les laboratoires pharmaceutiques se sont gavés de milliards de dollars jusqu’à la fin de validité des brevets. Qu’à cela ne tienne une bonne petite étude randomisée en double-aveugle organisée par un laboratoire pharmaceutique dans le but de mettre en évidence une amélioration aussi minime soit-elle d’un dérivé d’une statine existante après avoir introduit un minuscule atome d’oxygène ou d’azote et le pactole est renouvelé pour 20 ans. Le laboratoire Pfizer compte parmi les spécialistes dans de genre d’escroquerie. Non contents de constater que leurs profits s’amenuisent ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont exercé une pression sournoise mais bien réelle pour que les autorités de santé nationales apportent quelques petites modifications dans le seuil de dangerosité de la teneur en cholestérol total dans le sang. Oubliez les millimoles par litre, c’est trop compliqué. Pour faire plus « vrai » dans une analyse sanguine le choix de la métrique s’est arrêté sur les milligrammes par décilitre. Dès lors la teneur en cholestérol s’exprime en centaines de milligrammes par décilitre, c’est plus sérieux.
Je me suis plié à une analyse sanguine il y a quelques jours et j’ai eu la surprise de constater que le seuil admissible de la teneur en cholestérol sérique était maintenant de 200 mg/dL. Au delà de cette valeur votre ticket de vie n’est plus valable et vous devez avaler des statines tous les jours ! Comme je suis un peu vieux jeu cette unité métrique signifie 2 grammes par litres. Seul le ministre des finances français ne comprendrait pas cette rapide conversion. Bref, avec 2,1 grammes par litre je suis éligible pour un traitement avec des statines ou alors pour un profond changement dans mes habitudes alimentaires plutôt malsaines puisque je mange au moins 4 œufs par semaine et que je me gave de fromages français. Quelle horreur, moi qui ne mange jamais de légumes ! Les médecins préconisent donc des régimes alimentaires pauvres en graisses pour tenter de maîtriser une trop forte teneur en cholestérol sanguin. Cette affirmation est l’une des plus grandes impostures sanitaires de cette fin de vingtième siècle.
Je ne suis pas du tout convaincu par cette science car le précurseur du cholestérol se trouve être l’hydroxy-méthylglutaryl-coenzyme A immédiatement transformé en acide mévalonique par l’enzyme, une réductase à NADPH, qui est précisément la cible des statines. Or l’HMG-CoA est « fabriqué » dans le foie à partir d’acétyl-coenzyme A. Vous avez certainement commencé à avoir mal à la tête en lisant ces quelques lignes mais il fallait que je les écrive pour bien préciser que le cholestérol n’est pas fabriqué à partir d’acides gras mais à partir de sucres, en l’occurence du glucose, la seule source d’acétyl-coenzyme A dans la cellule ! Morale de ce petit aparté de biochimie : il faut réduire sa consommation de sucre pour être en meilleure santé. Il y a 5 ans mon taux de cholestérol total était de 3,5 grammes par litre et le médecin m’a conseillé de prendre des statines. À l’époque le seuil fatal était de 3 g/L ou si vous voulez 300 mg/dL. J’ai fermement manifesté mon hostilité aux statines à ce médecin pollué par la propagande des laboratoires pharmaceutiques. Je n’ai jamais modifié mon régime alimentaire à un détail près : je m’administre tous les jours 12,5 grammes de levure de boulangerie fraiche. Mon taux de cholestérol est ainsi passé de 3,5 à 2,5 g/L. En conséquence quel que soit le changement de seuil d’alarme qui est tout simplement scandaleusement modifié par les autorités de santé sur ordre des laboratoires pharmaceutiques, je ne prendrai jamais de statines.
Enfin, le Docteur Ioannidis de l’Université de Stanford l’a dit à plusieurs reprises : les médecins traitants ne savent pas, dans la très grande majorité des cas, de quoi ils parlent et plus de 80 % des publications scientifiques médicales ne sont d’aucune qualité ou d’aucune utilité (liens ci-dessous) et un lien sur un exposé du Docteur Michel de Lorgeril au sujet du cholestérol.
https://www.atherosclerosis-journal.com/article/0021-9150(96)05851-0/pdf
https://journals.plos.org/plosmedicine/article?id=10.1371/journal.pmed.0020124
SQUID GAME. VALORISER CE QU'IL Y A DE PIRE, DÉTRUIRE CE QU'IL Y A DE MEILLEUR
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
22/09/2021
Dans Squid Game, la valeur d'un humain est de 72.000 euros.
On dit que l’économie est une « science » sociale.
Deux mots qui ne vont pas forcément bien ensemble.
Je ne crois pas que l’économie soit une science.
L’économie, si importante pour nos vies quotidiennes n’est pas une science, elle est la compréhension de l’addition des fonctionnements des millions d’agents économiques, hommes, femmes comme entreprises ou structures associatives qui interagissent continuellement entre eux.
L’économie c’est humain.
Si vous voulez comprendre l’économie, si vous voulez comprendre demain et l’anticiper au mieux, il faut comprendre les hommes, décrypter les tendances et les évolutions lourdes, lentes, ou rapides.
Il faut aussi parfois sortir uniquement des chiffres pour aller vers le « social », vers le « moral », car l’économie évolue en fonction des évolutions des hommes.
Quand leurs comportements changent, l’économie change.
Le théorème de « Squid Game ».
C’est le titre, « Squid Game » de la dernière série vidéo à la mode de Netflix qui fait un tabac.
Valoriser ce qu’il y a de pire, détruire ce qu’il y a de meilleur, voilà comment j’ai eu envie de résumer ce premier épisode et cette histoire que je viens de regarder pour vous et à des fins sociologiques.
Détruire ce qu’il y a de meilleur donc, et aussi de plus naïf. Voilà Netflix, voilà encore plus la dernière série de cette secte proposée au monde entier.
Squid Game n’est pas un navet.
Squid Game est une série brillante.
Malsaine.
Destructrice parce que déstructurante.
Elle nous renvoie au pire de l’humanité.
Elle détruit ce qu’il y a de meilleur et de plus innocent.
Les jeux des enfants, ceux de notre enfance et de notre inconscience.
Ces jeux d’enfants deviennent des jeux de morts.
Des nouveaux jeux du stade, où l’empereur médiatique tue, massacre, et achève.
Abject.
Tout commence sans doute sur celui qui sera le héro, je n’ai pas encore vu tous les épisodes et je dois vous avouer qu’en réalité, c’est assez pénible à voir.
Pas parce que ce n’est pas « bien ».
C’est « bien », même si c’est « mal ».
C’est pénible à voir parce justement c’est mal et ce qui est mal salit.
Cette série est une salissure.
Elle salit au plus profond votre âme et corrompt vos coeurs insidieusement, sans même que vous vous en rendiez compte.
Ainsi est le mal.
Rarement visible, souvent insidieux, masqué, camouflé.
Il ronge. Discrètement. Invisible.
Ce héros, déjà homme adulte et père de famille indigne est sous la surveillance de sa maman qui lui rappelle qu’aujourd’hui est l’anniversaire de sa fille. Nous voyons comment ce pauvre type va préférer aller jouer son argent aux courses que de donner à manger à sa fille. Il perd tout, se retrouve acculé de dettes et enrôlé dans un jeux de télé réalité où tous les jeux d’enfants, sont transformés en jeux de morts.
Ainsi le premier épisode s’achève sur un « 1, 2, 3 soleil », revisité brillamment où ceux qui bougent sont tués.
La cadavres s’amoncellent aux cours des 5 minutes que dure la partie.
C’est un bain de sang.
Qu’est-ce que cela veut dire pour la société ?
Lorsque l’on donne ce genre de spectacle à voir à nos enfants, à notre jeunesse, à nos adultes, il est une certitude.
Cela matérialise une société qui est et qui sera de plus en plus violente.
Immorale.
Amorale.
Une société où pour de l’argent tout est possible.
Tout.
La vente du corps, la marchandisation des organes, et bien évidemment la mort contre de l’argent.
C’est terrible.
Regardez cette série.
Elle porte en elle le témoignage terrible de notre époque et nous dessine notre triste avenir.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-squid-game-societe-analyse-fiction-bien-mal-sannat
Rappelez-vous du '11 Septembre' où des images d'avions braquaient à 90 ° ! Un 'Boeing' de 60 m d'envergure entrait au Pentagone dans un trou de 3 m de large !
SupprimerOui ! Désormais TOUT est possible ! Même la tour n°7 qui s'effondre de peur d'être touchée ! Hahaha !
Rappelez-vous les bons moments du 'Marathon de Boston' (2015) et de 'L'école de Sandy Hook à Newton' (2012) avec tous les 'morts' qui n'existent pas !
Aujourd'hui les nano-particules chemtraillées peuvent remplacer les tours-relais de la 5G ! Le 'Jour J' arrivera peut-être plus tôt que prévu !! Noel avant l'heure ?
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(...) Dans Squid Game, la valeur d'un humain est de 72.000 euros. (...)
Soit 46 800 000 anciens francs
ou
468 000 nouveaux francs (jusqu'à l'an 2000)
Hôpitaux assassinant des patients COVID-19 en les forçant à prendre des médicaments mortels comme le remdesivir et le midazolam – Clay Clark sur Brighteon.TV
RépondreSupprimerMardi 28 septembre 2021
par : Mary Villareal
(Natural News) Dans son dernier épisode du Thrive Time Show, Clay Clark explique à Mikki Willis pourquoi ceux qui ont COVID-19 ne devraient pas suivre les protocoles hospitaliers de remdesivir et de midazolam.
Dans leur premier segment, Clark parle des trois traitements efficaces éprouvés du COVID-19 : l'hydroxychloroquine et l'ivermectine. Ils ont également partagé les traitements qui tuent des gens : le remdesivir et le midazolam – qui ont été utilisés pour mettre fin à la vie de milliers de personnes qui seraient mortes du COVID-19. Un document du NHS a également prouvé que le personnel hospitalier avait reçu l'ordre de le faire.
Le midazolam peut provoquer des problèmes respiratoires graves ou potentiellement mortels pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou même la mort.
Hydroxychloroquine, ivermectine pour le traitement du COVID
Les personnes atteintes de la maladie COVID-19 sont prises en charge par des médecins à l'aide d'hydroxychloroquine et d'ivermectine.
Le traitement à l'hydroxychloroquine a réduit le taux de mortalité des patients gravement malades hospitalisés avec COVID-19. Dans une analyse à grande échelle en 2020, les résultats ont montré que 13% des personnes traitées avec de l'hydroxychloroquine seule sont décédées, seulement la moitié des 26,4% n'ont pas été traitées avec de l'hydroxychloroquine. De plus, ceux traités par l'azithromycine associée à l'hydroxychloroquine s'en sont légèrement mieux sortis.
"Notre analyse montre que l'utilisation de l'hydroxychloroquine a permis de sauver des vies", a déclaré le Dr Steven Kalkanis, neurochirurgien et PDG du Henry Ford Medical Group. « En tant que médecins et scientifiques, nous nous tournons vers les données pour mieux comprendre. Et les données ici montrent clairement qu'il y avait un avantage à utiliser le médicament comme traitement pour les patients malades et hospitalisés. »
La demande d'ivermectine augmente également à l'échelle mondiale, car certains pays recommandent le médicament comme traitement pour les patients atteints de COVID-19. Le médicament, qui a été découvert en 1975 et commercialisé au début des années 1980, est entré en scène lorsque des chercheurs australiens ont signalé qu'il pouvait inhiber les réplications de coronavirus in vitro à fortes doses. Il est désormais autorisé comme traitement pour les patients atteints de COVID-19 dans certains des pays les plus touchés au monde. (Connexe : les hôpitaux assassinent délibérément des patients en leur refusant l'accès à l'ivermectine.)
Le remdesivir ne doit pas être utilisé sur les patients hospitalisés COVID-19, selon l'OMS
RépondreSupprimerL'Organisation mondiale de la santé a déclaré que le médicament antiviral, le remdesivir, ne devrait pas être utilisé comme traitement pour les patients atteints de COVID-19.
Le remdesivir, connu sous le nom de Veklury, et le stéroïde dexaméthasone étaient à l'origine utilisés pour traiter les patients atteints de COVID-19, mais une récente étude mondiale sur l'efficacité du remdesivir a montré qu'il avait peu ou pas d'impact sur les patients hospitalisés.
"Le remdesivir n'a aucun effet significatif sur la mortalité ou sur d'autres résultats importants pour les patients, tels que le besoin de ventilation mécanique ou le délai d'amélioration clinique", ont déclaré les experts du groupe de développement des lignes directrices de l'OMS.
À la lumière des données de l'essai de l'OMS, qui comprenaient des données de plus de 11 200 personnes dans 30 pays, le remdesivir a été classé comme un médicament qui ne doit pas être utilisé chez les patients COVID-19.
Midazolam sous avertissement de boîte noire
Le midazolam a reçu un avertissement de boîte noire de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, car il a été associé à une dépression respiratoire et à un arrêt en ralentissant ou en arrêtant la respiration. Des avertissements de boîte noire sont généralement émis aux consommateurs lorsque les médicaments ont des effets secondaires graves ou potentiellement mortels qui pourraient entraîner une maladie grave, des hospitalisations et la mort.
Le midazolam peut causer la mort - en fait, ces dernières années, il a été utilisé comme l'un des trois médicaments qui, lorsqu'ils sont combinés, sont administrés aux prisonniers qui sont condamnés à mort.
Certains rapports ont vu l'utilisation du midazolam au Royaume-Uni pour "mettre fin prématurément à la vie de milliers et de milliers de personnes" qui seraient mortes de COVID. Le midazolam a très probablement été utilisé sur des patients COVID-19 ventilés, car il s'agit de l'un des deux médicaments à base de benzodiazépine les plus couramment utilisés pour la sédation en soins intensifs. Ceci est fréquemment utilisé chez les patients gravement malades pour les garder calmes et permettre à leur corps de récupérer.
Écoutez le «Thrive Time Show» avec Clay Clark alors qu'il parle avec ses invités de COVID-19 et d'autres sujets importants. "Thrive Time Show" est diffusé le vendredi à 15h30. sur Brighteon.TV.
Obtenez plus de nouvelles et de mises à jour sur COVID-19 sur Pandemic.news.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
HenryFord.com
Pharmaceutique-Technologie.com
NBCNews.com
Health-Desk.org
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-hospitals-murdering-covid-patients-with-poisonous-drugs.html
New York lance le déploiement de la loi martiale médicale avec des troupes pour prendre le contrôle des hôpitaux où des travailleurs de la santé non vaxés sont licenciés en masse
RépondreSupprimerMardi 28 septembre 2021
par : Mike Adams
(Natural News) La prise de contrôle de la société par la loi martiale a commencé à New York, où le gouverneur Kathy Hochul a annoncé le licenciement massif d'agents de santé non vaccinés, qui seront remplacés par des travailleurs étrangers et des troupes de la Garde nationale.
Ce même modèle de remplacement des travailleurs civils par des troupes militaires sera reproduit dans les forces de l'ordre, les ambulanciers paramédicaux, les pompiers, les chauffeurs de camion, les ouvriers d'usine et d'autres secteurs de l'économie qui s'effondrent rapidement en raison des restrictions de verrouillage de la covid. Le résultat est que nous assistons à une prise de contrôle militaire rapide de la société sous le couvert d'un «état d'urgence» à la suite de pénuries de personnel qui sont en fait causées par les propres politiques du gouvernement.
La seule raison pour laquelle les hôpitaux de New York manquent désespérément de travailleurs de la santé, bien sûr, c'est parce que des dirigeants gouvernementaux corrompus ont veillé à ce que tous les travailleurs non vaxxés soient licenciés. Ce sont les mêmes travailleurs qui ont survécu à 2020 sans vaccins contre le covid, travaillant en première ligne de la plandémie des protéines de pointe, mais maintenant ils sont jetés dans la rue parce qu'ils ne prendront pas de vaccin en 2021.
« Gouv. Kathy Hochul a déclaré samedi qu'elle était prête à déclarer l'état d'urgence si le mandat de vaccination de l'État pour l'industrie des soins de santé entraînait une pénurie ingérable de travailleurs lorsque la règle entrera en vigueur lundi », a rapporté WSKG.org ce week-end.
New York annonce également l'utilisation de troupes de la Garde nationale et une prise de contrôle fédérale des soins de santé locaux. Comme le rapporte WSKG :
L'État envisage également d'activer des membres de la Garde nationale formés médicalement pour combler les lacunes dans les effectifs de la santé, et pourrait travailler avec le gouvernement fédéral pour faire venir des équipes de travailleurs médicaux pour aider les établissements de santé locaux.
C'est la phase d'ouverture de la prise de contrôle de la loi martiale médicale sur l'Amérique, et si elle n'est pas stoppée, elle risque de se transformer rapidement en manœuvres de plus en plus totalitaires de la part du régime :
Postes de contrôle des vaccins militaires sur les routes et les autoroutes.
Des troupes militaires assurent les livraisons de nourriture et de carburant, contrôlant les infrastructures critiques.
La militarisation de la nourriture, de l'essence, des fournitures médicales et d'autres articles essentiels, les limitant aux États rouges qui refusent de pousser les vaccins obligatoires.
Les troupes militaires gardent les entrées des épiceries, des églises, des centres commerciaux et d'autres bâtiments, exigeant des passeports vaccinaux « papiers s'il vous plaît » avant d'autoriser les gens à entrer.
Des troupes militaires extraient involontairement des personnes de leurs maisons sous la menace d'une arme et les emmènent dans des camps de la mort de covid gérés par le CDC.
Voici une carte des camps de la mort de covid actuellement en activité par le CDC. Vous pouvez confirmer cette carte sur le site Web du CDC.
New York crée sa propre "crise" du personnel, puis utilise la crise qu'elle a créée pour déployer la loi martiale médicale
Le modèle à reconnaître ici est que New York a créé cette crise en licenciant des travailleurs de la santé en premier lieu. Puis, au fur et à mesure que cette «crise du personnel» se déroule, New York utilise la crise pour déployer des migrants de remplacement (pour remplacer tous les démocrates sur le point de mourir qui ont subi un lavage de cerveau suffisamment pour prendre le jab) et installer des troupes militaires dans des postes d'infrastructure clés. .
RépondreSupprimerUne partie de cette opération psychologique consiste à habituer le peuple américain à voir des troupes tout gérer : hôpitaux, transports, usines, forces de l'ordre, etc. Une fois que toutes les troupes sont en place, Biden invoque simplement l'Insurrection Act, déclare que tous les anti-vaxxers sont engagé dans une « insurrection », puis dépêche les troupes pour rassembler et/ou exécuter tous les ennemis politiques de Biden. Cette liste d'exécution comprendra des chrétiens, des pasteurs, des médecins au franc-parler, etc.
Je couvre tout cela dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui, qui expose le programme génocidaire de l'industrie des vaccins et le régime criminel de Biden :
Brighteon.com/ce8bdd6d-8aab-48ef-b23c-82d2f73937bf
Découvrez chaque jour un nouveau podcast sur :
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-new-york-initiates-medical-martial-law-rollout-with-troops-to-take-over-hospitals.html
Les données des hôpitaux britanniques choquent le monde: 80% des décès dus au COVID sont parmi les vaccinés… Les décès dus au COVID en hausse de 3 000% après la vague de vaccins
RépondreSupprimerMardi 28 septembre 2021
par : Lance D Johnson
(Natural News) Une combinaison mortelle de fraude scientifique, de coercition institutionnelle, de corruption, de censure des Big Tech, de force gouvernementale et de propagande médiatique met le monde à genoux. Il n'y a AUCUNE donnée réelle montrant que les vaccins contre le covid-19 réduisent le risque d'hospitalisation et de décès. À l'heure actuelle, les données hospitalières du Royaume-Uni choquent le monde, fournissant des preuves sérieuses d'échec vaccinal et de décès induits par le vaccin. Au Royaume-Uni, jusqu'à 80% des décès dus au COVID proviennent actuellement de personnes vaccinées. Les décès dus au COVID à travers le Royaume-Uni sont désormais 3 000 % plus fréquents qu'ils ne l'étaient à la même époque il y a un an, lorsque la population n'était « non vaccinée ».
Pendant plus d'un an, l'efficacité des vaccins a été inlassablement promue, même si la réduction du risque absolu pour tous les vaccins COVID sur le marché était inférieure à 2 %, un nombre dénué de sens. Pour aggraver les choses, les vaccins augmentent le taux de mortalité iatrogène et rendent plus de personnes sensibles aux maladies respiratoires graves, préparant les cellules humaines à une amélioration dépendante des anticorps.
Les données de mortalité de la santé publique au Royaume-Uni choquent le monde
Le Yellow Card Scheme du Royaume-Uni, un système de surveillance des blessures vaccinales et des erreurs médicales, montre un schéma clair d'échec vaccinal. Les vaccins COVID augmentent les hospitalisations et les décès de personnes qui auraient pu facilement continuer leur vie, en bonne santé et sans VAX. Au lieu d'être contraints à des expériences de vaccin risquées et complexes, des milliers de personnes malades et mourantes auraient pu faire face à une infection potentielle et se rétablir avec une immunité naturelle et durable.
Les données des hôpitaux britanniques montrent que les décès dus au covid-19 sont 3 000 % plus élevés maintenant qu'à la même époque l'année dernière, et ce ne sont pas les « non vaccinés » qui meurent en plus grand nombre. Les dernières données de Public Health England montrent à quel point le culte et la coercition des vaccins sont dangereux. Du 1er février 2021 au 12 septembre 2021, les non vaccinés ne représentaient que 28 % des décès dus au covid tandis que les vaccinés représentaient 72 % des décès !
RépondreSupprimerPublic Health Scotland confirme le même schéma d'échec vaccinal. Du 14 août 2020 au 12 septembre 2020, l'Écosse n'a enregistré que sept décès dus au covid-19. Après avoir contraint une grande partie de la population à prendre les vaccins contre le covid, l'Écosse a enregistré 222 décès dus au covid-19 un an plus tard, au cours de la même période. Ce pic de mortalité lié au covid-19 est 3 071,4 % plus élevé après une campagne de vaccination de masse. Le plus choquant de tous : 80 pour cent de ces décès surviennent chez les vaccinés. (Connexe : les « entièrement vaccinés » connaîtront une maladie accrue lorsqu'ils seront réexposés à de nouvelles variantes de coronavirus.)
L'efficacité présumée à 95 % du vaccin est une fraude totale dans le monde réel, augmente en fait le risque de décès
Même si les non vaccinés sont contraints de tester plus fréquemment pour les voyages, l'éducation et le travail, leur nombre est toujours similaire à celui des « entièrement vaccinés ». Les données montrent que les cas de COVID sont relativement égaux parmi les vaccinés et les non vaccinés. Du 21 août au 17 septembre 2021, 69 639 cas positifs ont été enregistrés parmi la population non vaccinée et 79 613 cas parmi la population vaccinée, 60 923 de ces cas provenant des « totalement vaccinés ». De toute évidence, le vaccin n'empêche pas COVID, et peut même être une force motrice pour de nouvelles infections chez les non vaccinés.
Le plus choquant, le taux de mortalité n'est pas inférieur de 95 % dans le groupe vacciné. Du 14 août au 10 septembre 2021, l'Écosse a enregistré 208 décès dus au covid-19. Il y a eu 41 décès chez les non vaccinés, 9 décès chez les partiellement vaccinés et un nombre choquant de 158 décès chez les complètement vaccinés. Si les 95 % d'efficacité du vaccin étaient réels, 95 % des décès surviendraient chez les non vaccinés et seulement 5 % chez les vaccinés. Cependant, jusqu'à 80 % des décès sont chez les vaccinés et seulement 20 % des décès sont chez les non vaccinés. Les vaccins AUGMENTENT actuellement le risque de décès au Royaume-Uni de 400% !
Pour en savoir plus sur l'échec du vaccin COVID, consultez ScienceFraud.News.
Les sources comprennent :
HumansAreFree.com
NaturalNews.com
ScienceFraud.news
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-covid-deaths-in-vaccinated-3000-higher.html
TERRORISME ÉCONOMIQUE : l'Italie dit aux entreprises d'arrêter de payer les travailleurs « non vaccinés »
RépondreSupprimerMardi 28 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Pour aider à « sauver des vies », le gouvernement italien a publié un décret ordonnant à tous les employeurs des secteurs public et privé de cesser de payer les travailleurs qui refusent de prendre les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Afin de conserver leur emploi, on dit maintenant aux Italiens qu'ils doivent obtenir un « laissez-passer vert » de vaccination prouvant qu'ils ont reçu les injections « Opération Warp Speed » en obéissance au gouvernement et au Vatican.
Étant donné que des millions d'Italiens disent simplement non aux médicaments expérimentaux de Big Pharma, il pourrait très bientôt y avoir une pénurie massive de travailleurs dans toute l'Italie – ou du moins une pénurie massive de personnes prêtes à travailler sans salaire.
Il s'avère qu'il serait illégal pour le gouvernement d'ordonner simplement le licenciement de tous les travailleurs « non vaccinés ». Pour éviter d'éventuelles poursuites judiciaires, le gouvernement italien exige plutôt que les employeurs cessent de payer leurs employés non amputés.
« Au lieu de cela, ils devraient être considérés comme étant en absence injustifiée et voir leurs salaires ou traitements retenus », explique Ken Macon, écrivant pour Reclaim the Net.
« Ceux qui travailleraient sans passeport vaccinal pourraient être punis d'amendes pouvant aller jusqu'à 1 500 €. De plus, le gouvernement a déclaré qu'il ne prendrait pas en charge les coûts des tests pour ceux qui préféreraient ne pas prendre le vaccin. »
Même les personnes naturellement immunisées sont obligées de prendre au moins une dose de vaccin en guise de « manifestation de conformité »
Qu'en est-il des personnes qui ont déjà été testées « positives » pour la grippe de Wuhan dans le passé et qui ont maintenant des anticorps, c'est-à-dire une immunité naturelle, contre la maladie ? Eux aussi devront encore recevoir au moins une injection, selon les autorités.
La raison en est que le gouvernement italien veut que tout le monde, quel que soit son statut immunitaire, se fasse injecter quelque chose en signe de solidarité et de conformité avec le diktat.
À partir du 1er septembre, l'Italie a également commencé à exiger que les écoles et les universités obligent leurs étudiants et leurs enseignants à présenter une preuve de jab afin d'obtenir une éducation et de conserver leur emploi.
RépondreSupprimerLes « non vaccinés », comme ils les appellent, sont également interdits d'utiliser les transports publics en Italie. Cela signifie que de nombreuses personnes ne pourront pas voyager pour les vacances ou pour le travail, et certaines ne pourront peut-être plus jamais revoir leurs proches.
Voilà à quoi ressemble « sauver des vies » en 2021. Priver les gens de la vie et de la liberté est la façon dont le gouvernement protège tout le monde contre les germes chinois. Sans jab en Italie, on ne peut plus acheter, vendre ou faire à peu près n'importe quoi.
"Les lieux tels que les musées, les stades, les théâtres, les gymnases et les places assises intérieures dans les bars et les restaurants nécessitent tous une identification des vaccins et les entreprises peuvent se voir infliger des milliers d'euros d'amende pour ne pas avoir appliqué les règles", a rapporté Zero Hedge.
"Le" laissez-passer vert "en Italie permet également de suivre et de localiser l'individu, soulignant une fois de plus qu'il s'agit d'une carte d'identité numérique sous stéroïdes."
Le cliquet continuera à se resserrer jusqu'à ce que les gens décident qu'ils ne veulent plus être de force « gardés en sécurité » par le gouvernement. Une fois que cela se produira, il y aura probablement des troubles sociétaux incroyables, en particulier en Occident où les restrictions semblent être les plus intenses.
"Il va y avoir une panne à travers l'Ouest", a écrit un commentateur à Zero Hedge. "Préparez-vous en conséquence."
« La fusion des entreprises et du gouvernement est presque complète », a écrit un autre. "Et je dois admettre que notre descente dans le fascisme a été des plus éducatives."
"Il ne reste plus qu'à déterminer s'il est possible de survivre", a répondu un autre à propos du mariage qui a eu lieu entre les secteurs public et privé en raison de la plandémie.
Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles concernant les injections de « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), assurez-vous de visiter ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
NaturalNews.com
ReclaimTheNet.org
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-italy-tells-companies-stop-paying-unvaccinated-workers.html
Lu dans 'Terroriste-Matin' seul le président et le pape du groupe anarchiste FOPIKé seront exemptés.
SupprimerDes pénuries annoncées et programmées
RépondreSupprimermercredi 29 septembre 2021
Il y a une panique d'achat d'essence au Royaume-Uni. Les prix du gaz naturel en Europe et en Asie montent en flèche. Des manifestations éclatent à travers l'Europe en raison de la flambée des factures d'électricité. L'Inde et la Chine manquent de charbon pour les services publics. L'électricité est rationnée aux usines dans plusieurs provinces chinoises – et l'hiver approche.
Tout d'abord, la crise mondiale de la chaîne d'approvisionnement induite par la COVID pour le transport de conteneurs est arrivée. Vient maintenant une crise d'électricité en Asie et en Europe. Les stocks de produits énergétiques - tout comme les stocks de détail aux États-Unis - ne se sont pas reconstitués assez rapidement pour faire face à la demande post-confinement.
Comment la crise énergétique pourrait-elle affecter le transport maritime? Pour les importateurs américains de marchandises conteneurisées asiatiques, c'est un point négatif : un autre sertissage dans la chaîne d'approvisionnement. Pour le transport de marchandises - vrac sec, gaz naturel liquéfié (GNL) et éventuellement pétroliers - c'est une recette pour des tarifs plus élevés.
Selon Bloomberg, la consommation d'électricité est désormais limitée par des restrictions d'approvisionnement et d'émissions [C02] dans les provinces chinoises du Jiangsu, du Zhejiang et du Guangdong. Bloomberg a cité l'analyste de Nomura, Ting Lu, déclarant :
👉 "Les coupures de courant se répercuteront et auront un impact sur les marchés mondiaux. Très bientôt, les marchés mondiaux ressentiront l'arrivée d'une pénurie d'approvisionnement, des textiles et des jouets aux pièces de machines."
Lire la suite
https://www.zerohedge.com/markets/power-crisis-deepens-asia-and-europe-what-it-means-shipping
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/09/des-penuries-annoncees-et-programmees.html
Cela montre bien à quel point l'on peut dépendre de l'étranger !!!
SupprimerHors pétrole, tout le reste vient de l'étranger alors qu'on peut TOUT fabriquer chez soi !!
L'effondrement s'accélère alors que le rationnement du carburant commence en Europe
RépondreSupprimerMardi 28 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) L'achat de panique d'essence s'est ensuivi au Royaume-Uni après que le géant pétrolier BP a annoncé un nouveau rationnement de l'essence et du diesel.
Les problèmes persistants de la chaîne d'approvisionnement résultant de la réponse fasciste du gouvernement au coronavirus de Wuhan (Covid-19) ont laissé à peu près tout en ruine, y compris le secteur de l'énergie qui a du mal à transporter le carburant des raffineries aux stations-service.
Il n'y a plus assez de camionneurs prêts à transporter du carburant, affirment les autorités. Et la thésaurisation ne fait qu'empirer la situation, même si c'est normal avec l'écriture sur le mur.
Il devient de plus en plus évident que le monde est en mode d'arrêt, grâce à la tyrannie du virus chinois. Pourtant, les figures de proue du gouvernement essaient désespérément de garder les gens calmes avec leur divination.
"Tout le monde devrait continuer comme d'habitude", a annoncé le secrétaire britannique aux Transports Grant Shapps, qui affirme qu'il n'y a pas de pénurie réelle de carburant.
Techniquement, il a raison : il y a plus qu'assez de carburant sur la planète pour durer de nombreuses vies. Le problème est de faire entrer ce carburant dans les voitures et les maisons des gens, surtout à un moment où il est plus logique pour beaucoup de gens de ne pas travailler plutôt que de travailler.
Avec moins de chauffeurs de camion et une demande plus élevée, les prix de l'essence grimpent en flèche. Et le problème ne fait qu'être aggravé par l'hyperinflation qui se produit en raison de la banque centrale privée et de ses stratagèmes de monnaie fiduciaire Ponzi.
Le covid n'est-il qu'une couverture pour l'effondrement artificiel de l'économie mondiale ?
Le pétrole n'est pas la seule chose qui souffre dans la chaîne d'approvisionnement. Le gaz naturel, les engrais, le dioxyde de carbone pour la conservation des aliments et plus encore sont tous rares en raison de l'impact dévastateur de la plandémie de la grippe Fauci.
Les choses tournent mal, et vite, à un moment où l'hémisphère nord est sur le point d'entrer dans une froide saison hivernale. Est-ce l'« hiver sombre » contre lequel Joe Pedophile Biden a mis en garde l'année dernière ?
Noël approche également, et les experts avertissent que les revenus attendus qui devraient normalement être générés à cette période de l'année seront grandement affectés par les problèmes d'approvisionnement, car des pétroliers remplis de marchandises flottent dans l'océan en attendant un endroit pour se mettre en port et décharger.
Il s'avère qu'il y a très peu de travailleurs dans les ports de nos jours, ce qui pose également un problème pour toutes sortes de biens de consommation. Ceci, ajouté à la fermeture des usines où les produits sont fabriqués, est de mauvais augure pour l'économie mondiale.
"Le dîner de Noël classique pourrait être décimé, avec de la dinde, des cochons dans des couvertures, des pommes de terre et des choux de Bruxelles [sic] tous en danger", prévient Jamie White, écrivant pour Newswars.
RépondreSupprimerÀ l'heure où les plus grosses bulles économiques de l'histoire du monde sont sur le point de s'effondrer, il est hautement suspect que tous ces nouveaux problèmes émergent, soi-disant dus aux dernières « variantes » du virus chinois.
Il semblerait que les pouvoirs en place maintiennent l'arnaque du covid pour que tout le monde soit distrait du gâchis financier monumental qu'ils ont fait, qui les laisse obscènes riches et le reste d'entre nous démunis – ou du moins c'est ainsi que les choses vont probablement se passer. finir une fois la poussière retombée.
"C'est le monde des mondialistes", a écrit un commentateur de Zero Hedge. "Ils ont démoli l'économie mondiale en moins de deux ans."
"Ils n'auraient pas pu le faire sans des décennies de travail pour expédier d'abord la production en Chine", a répondu un autre, faisant le lien entre ce que la "gauche" et la "droite" font en tandem depuis des décennies pour nous amener à cette critique. point dans la chronologie prophétique.
Pour en savoir plus sur la façon dont la grippe Fauci a été utilisée comme couverture de l'effondrement artificiel de l'économie mondiale, visitez Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
NewsWars.com
NaturalNews.com
ZeroHedge.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-collapse-accelerates-as-fuel-rationing-begins-in-europe.html
RUPTURE DE STOCK: Costco limite une fois de plus les achats de papier hygiénique, de produits de nettoyage et d'eau alors que les lignes d'approvisionnement se dénouent
RépondreSupprimerMardi 28 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Nous commençons à voir des signes qu'une autre série de pénuries d'approvisionnement en coronavirus de Wuhan (Covid-19) est en cours.
FedEx serait à court d'environ 25 % de ses fournitures d'emballage ; les centres d'expédition manquent d'environ 35 % de personnel ; et Costco rationne à nouveau ses achats de papier hygiénique, de produits de nettoyage et d'eau.
Pour le moment, les membres Costco ne seront autorisés à acheter qu'un certain nombre des produits susmentionnés. Cela n'est pas dû à une pénurie de l'approvisionnement réel, mais à des défaillances de la chaîne d'approvisionnement qui continuent de s'aggraver.
« Il y a un an, il y avait une pénurie de marchandises », a annoncé le directeur financier de Costco, Richard Galanti, lors d'un récent appel de résultats.
« Maintenant, ils ont beaucoup de marchandises, mais il y a des retards de deux ou trois semaines pour les faire livrer car il y a une limite aux changements à court terme des besoins de camionnage et de livraison des fournisseurs, donc c'est vraiment partout. "
Partout, les ports sont encombrés et les navires-citernes doivent s'asseoir dans l'océan sans nulle part où accoster. Par conséquent, certains produits disparaissent des magasins et ne reviennent pas forcément de sitôt.
Pour cette raison, des entreprises comme Costco doivent dépenser plus pour le transport et la main-d'œuvre, ce qui creuse leurs marges.
Les géants de la vente au détail affrètent désormais leurs propres navires
Selon Galanti, Costco passe désormais ses commandes beaucoup plus tôt afin d'éviter, espérons-le, des problèmes de réapprovisionnement. La société affrète également trois navires pour 2022 qui transporteront des conteneurs remplis de marchandises entre l'Amérique du Nord et l'Asie.
« Chaque navire est capable de transporter de 800 à 1 000 conteneurs à la fois », a rapporté le DailyMail Online.
D'autres entreprises comme IKEA et Walmart affrètent également leurs propres navires afin d'essayer de garder leurs magasins bien approvisionnés, en particulier à l'approche des fêtes de fin d'année.
Le PDG de Walmart, Doug McMillion, a admis qu'au cours de ses 30 années d'activité, les problèmes de chaîne d'approvisionnement et les pénuries de stocks qu'il constate actuellement sont sans précédent.
RépondreSupprimerMoins de personnes sont disposées à travailler et les frais d'expédition augmentent, ce qui crée une véritable tempête de problèmes pour le secteur de la vente au détail.
Il y a deux ans, il en coûtait moins de 2 000 $ pour expédier un conteneur de 40 pieds rempli de marchandises d'Asie vers les États-Unis. Désormais, ce même service coûte jusqu'à 25 000 $ si un importateur paie un supplément pour une livraison garantie à temps.
Chez Costco, le coût des conteneurs d'expédition a augmenté d'environ 600 %, ce que l'entreprise a répercuté sur les consommateurs sous la forme d'une augmentation de 8 % sur les produits en papier, d'une augmentation de 11 % sur les produits en plastique et en résine comme les sacs poubelles et les gobelets, et un 3- 10 % d'augmentation sur les vêtements.
D'autres produits tels que le papier d'aluminium, les sodas, la viande, l'huile et le café ont également augmenté de prix. Galanti dit que l'estimation de l'inflation des prix de Costco est passée de 2,5 à 3,5 % à une fourchette de 3,5 à 4,5 %.
On s'attend à ce que les ruptures de stocks se prolongent jusqu'en 2023 en raison des problèmes actuels associés aux semaines de production perdues et aux retards de transit. En d'autres termes, c'est quelque chose qui durera probablement très, très longtemps.
« Arrêtez tous les documents. Lever les vaccinations obligatoires. Fabriquez des produits en Amérique et les gens travailleront », a suggéré un commentateur du DailyMail Online à propos d'une solution. "Mais ce n'est pas ce que veulent les politiciens, les entreprises et l'élite. Ils veulent que ceux qui sont en dessous d'eux souffrent et ressentent le pincement pour pouvoir nous briser. »
"Ils ont notre argent et ils peuvent toujours étrangler les marchandises après qu'ils aient notre argent", a écrit un autre à propos du vol qui a eu lieu en plus de toutes les hausses de prix.
Les dernières nouvelles sur la façon dont le virus chinois perturbe les chaînes d'approvisionnement mondiales sont disponibles sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
DailyMail.fr
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-again-costco-limits-purchases-toilet-paper-water.html
L'Espagne interdit l'utilisation de film plastique pour les fruits et légumes
RépondreSupprimerMardi 28 septembre 2021
par : Mary Villareal
(Natural News) L'Espagne est le dernier pays à se concentrer sur la lutte contre la pollution plastique. Il interdit désormais l'utilisation d'emballages plastiques pour les fruits et légumes vendus dans les supermarchés.
Les produits emballés dans du plastique seront interdits en Espagne à partir de 2023, selon un décret en cours d'élaboration par le ministère de la Transition écologique.
Un porte-parole du ministère a déclaré que l'Espagne voulait lutter de la manière la plus efficace contre la surutilisation des emballages, ajoutant que la pollution plastique "a dépassé toutes les limites".
Rien qu'en Espagne, les emballages plastiques génèrent 1,6 million de tonnes de déchets plastiques chaque année, dont moins de la moitié sont recyclés.
Les déchets plastiques utilisés pour emballer les fruits et légumes ont été contestés par des groupes environnementaux en Espagne et à l'étranger. La décision de l'Espagne, en particulier, fait suite à celle de la législation française, qui entrera en vigueur à partir de janvier 2022.
Le décret espagnol, cependant, suivra la loi française en interdisant uniquement le film plastique pour les portions pesant moins de 1,5 kilogramme. En outre, le projet de décret envisage également des mesures qui contribueront à décourager l'utilisation de bouteilles d'eau en plastique en encourageant l'installation de fontaines publiques et la promotion d'autres alternatives. Il pourrait également commencer à réduire le nombre de gobelets en plastique distribués lors d'événements publics à partir de 2023. Dans l'ensemble, il devrait réduire le nombre de bouteilles en plastique de 50 % d'ici 2030 et garantir que 100 % des emballages deviennent recyclables.
Le ministère espagnol de la Transition écologique a déjà rencontré des chefs d'entreprise et des groupes écologistes pour discuter des nouvelles mesures.
Julio Bare de Greenpeace a déclaré que le groupe avait approuvé l'interdiction des emballages plastiques, mais qu'il attend toujours de voir comment elle serait appliquée. Dans l'ensemble, Barea a déclaré que le gouvernement n'avait pas encore fait assez pour réduire la pollution plastique. « Nous buvons du plastique, nous mangeons du plastique et nous respirons du plastique », a-t-il déclaré. (Connexe : un scientifique développe des sacs non plastiques biodégradables et comestibles pour mettre un terme à la pollution plastique continue du monde.)
Décret conforme aux recommandations de l'étude
Le nouveau décret espagnol est conforme aux recommandations formulées par un article publié dans le Marine Pollution Bulletin, qui a révélé une contamination par des microplastiques sur toute la côte espagnole. Le document décrit les mesures que les gouvernements internationaux et locaux, les entreprises et les particuliers pourraient prendre pour réduire les déchets.
« À notre avis, la solution va au-delà des mesures telles que le recyclage ou la réutilisation, et implique incontestablement de limiter l'utilisation des plastiques, principalement des plastiques à usage unique, et aussi de réduire drastiquement leur production à l'échelle mondiale », ont écrit les auteurs.
L'un des enjeux du décret est la mise en place d'un système de consigne et de retour des emballages, qui reflète les systèmes d'autres pays de l'UE. En Espagne, il y a un différend entre les organisations environnementales qui soutiennent le modèle et Ecoembes, l'entreprise en charge de la gestion de la plupart des emballages domestiques, qui lutte contre l'application de l'interdiction.
RépondreSupprimerChef du service de recherche sur les déchets chez Écologistes en action, Carlos Arribas explique que le ministère est ouvert à la possibilité d'introduire à terme ce système, qui implique que les consommateurs déposent quelques centimes de consigne pour chaque conteneur qu'ils utilisent, sur lesquels ils peuvent récupérer. son retour. Le texte du projet de loi reste encore ambigu sur le sujet.
Le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) et Unidas Podemos se sont mis d'accord sur un amendement commun au Parlement pour servir de guide à ce que la coalition a l'intention de faire : le système de consigne ne sera mis en œuvre que si les objectifs de collecte séparée pour les bouteilles en plastique ne sont pas rencontré.
Comme il se doit, au moins 70 % du poids des emballages introduits sur le marché devraient être collectés pour être recyclés d'ici 2023. D'ici 2027, ce chiffre devrait atteindre 85 %. Ce n'est que si ces objectifs ne sont pas atteints que le système de consigne et de retour devrait être introduit.
Cependant, les écologistes affirment que le système utilisé pour compter le pourcentage d'emballages récupérés n'est pas fiable. "Nous attendons de la Commission européenne qu'elle unifie la manière dont cela est compté", a déclaré Arribas.
Lisez plus de nouvelles et de mises à jour concernant les problèmes de plastique et plus sur Pollution.news.
Les sources comprennent :
EcoWatch.com
ScienceDirect.com
English.ElPais.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-spain-bans-the-use-of-plastic-wrap.html
L'intelligence est une chose que chacun se croit d'avoir.
SupprimerL'UICN et la biologie de synthèse : les espèces en péril pourront attendre, les humains aussi
RépondreSupprimer28 Septembre 2021
André Heitz*
(Source)
À Marseille, le Congrès de l'UICN a adopté une motion, « Vers l'élaboration d'une politique de l’UICN sur la biologie de synthèse en rapport avec la conservation de la nature » qui, faute d'accord sur le fond, balaie le travail accompli précédemment.
Une organisation singulière
L'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) est une organisation singulière : elle compte parmi ses membres des États, des agences gouvernementales, des organisations nationales et internationales non gouvernementales, des peuples autochtones et des « affiliés ».
La France est membre par l'intermédiaire du Ministère des Affaires Étrangères et du Développement International ; mais il y a aussi l'Association Française des Parcs Zoologiques, la Fédération Française de Spéléologie, la Fédération Nationale des Chasseurs, etc. ; comme « affiliés », le CIRAD, l'INRAE, l'IRD, l'Office Français de la Biodiversité, etc.
Certains sujets sont par nature controversés. Les décisions sont encore plus difficiles à prendre dans un tel contexte, les porteurs d'intérêts pouvant peser sur le vote, et pas seulement sur les votants par ce « lobbying » qu'ils appellent par euphémisme « plaidoyer ». S'agissant de la France, nous supposerons, un peu malicieusement, que les instances gouvernementales et publiques accordent leurs violons...
Un néologisme qui a sa source en... 1912
La « biologie de synthèse » est un tel sujet controversé.
Wikipedia la définit comme suit :
« La biologie de synthèse, ou biologie synthétique, est un domaine scientifique et biotechnologique émergeant qui combine biologie et principes d'ingénierie, dans le but de concevoir et construire (« synthétiser ») de nouveaux systèmes et fonctions biologiques, avec des applications notamment développées par les secteurs agropharmaceutique, chimique, agricole et énergétique. »
Bref, c'est un néologisme – quoique... la première occurrence date, semble-t-il, de 2012. Ses contours sont relativement imprécis mais il recouvre les biotechnologies, suscitant par conséquent des réactions d'une rare violence dans les milieux de l'activisme anti-OGM et plus généralement anti-technologies (certaines, pas celles qui permettent de déployer l'activisme en trois clics).
Le forçage génétique
L'activisme anti-OGM prenant des rides, les activistes ont trouvé une sous-espèce de « biologie de synthèse » apte à angoisser et indigner les foules : le forçage génétique (« gene drive »).
L'UICN – certains membres – a un intérêt particulier dans les techniques de forçage génétique. Celles-ci ont été au centre de grandes manœuvres à Marseille, lors du Congrès de 2020 qui s'est tenu du 3 au 11 septembre 2021 (Covid oblige)... comme les fois précédentes, depuis 2015. L'UICN a succombé à la pression : « la biologie de synthèse, y compris le forçage génétique » est devenu une expression incontournable.
RépondreSupprimerLa génétique accessible à un lycéen – pas à certains énarques issus des filières littéraires – nous apprend, par la loi de Hardy-Weinberg, qu'en l'absence de sélection, de dérive et d'apport extérieur, les fréquences alléliques et génotypiques restent constantes d’une génération à l’autre dans une population fermée.
Le forçage génétique est un mécanisme qui permet à un allèle (improprement appelé « gène » dans le langage courant, par exemple l'allèle A de notre système de groupes sanguins ABO) d'être préférentiellement transmis, à l'encontre des lois de Mendel de l'hérédité, et donc de se répandre au détriment des autres.
Une application particulièrement étudiée est la lutte contre les moustiques vecteurs de maladies tels que des anophèles (paludisme) et les moustiques tigres (dengue, Zika, chikungunya.
Une voie pourrait consister à rendre les moustiques résistants à l’agent pathogène de la maladie, afin qu’ils cessent de la transmettre. Une autre consiste à détruire ou au moins réduire les populations de vecteurs.
Une étape intermédiaire : les individus porteurs d'un facteur de stérilité
Une technique qui n'implique pas encore de forçage est notamment étudiée et mise en œuvre à titre expérimental pour le moment par la start-up Oxitec, une émanation de l'Université d'Oxford (mais n'oublions pas d'autres programmes comme Target Malaria).
En bref, c'est un développement de l'ancienne technique du largage de mâles rendus stériles par irradiation (pour plus de détails, voir « Forçage génétique et forçage politique »). Pour ce qu'il est convenu d'appeler la petite histoire, elle est fondée sur un principe similaire à celui des semences « Terminator » qui ont assuré le dessert, à défaut du gîte et du couvert, d'une partie de la faune activiste pendant de nombreuses années.
Elle consiste à relâcher dans la nature des mâles porteurs d'une construction génétique qui fait que les femelles fécondées par eux ne produiront que des mâles. La population de femelles peut ainsi rapidement diminuer, en fonction de l'effort de largage de mâles modifiés ; la construction génétique est aussi transmise par les nouveaux mâles, mais sa fréquence va diminuer, en particulier parce qu'elle n'est plus transmise par les femelles. Oxitec appelle ces moustiques (et autres insectes) « auto-limitants » et la technologie, « friendly ».
Les premiers essais sur moustique tigre montrent que cette technique peut être très efficace. Ainsi, le moustique d'Oxitec a supprimé jusqu'à 95 % de la population de moustiques en 13 semaines dans la ville brésilienne d'Indaiatuba sujette à la dengue.
Mais, dans un essai dans la ville brésilienne de Jacobina, des chercheurs ont établi l'existence d'un transfert de gènes – en fait tout à fait prévisible, les mâles d'Oxitec ayant été produits à partir d'une souche de moustiques non locale – et la machine à diffuser la peur s'en est emparée. L'article a fait l'objet de vives critiques et Nature a publié un éditorial portant « expression de préoccupations ».
RépondreSupprimerNotons, pour ce qu'il est convenu d'appeler la petite histoire, qu'une série de chercheurs désignés comme auteurs de l'article ont répondu aux critiques et demandes d'explication qu'ils n'avaient pas approuvé le texte final l'article. Il y a le forçage génétique... et aussi le forçage scientifique mâtiné de forçage militant !
Venons-en à l'UICN
Reprenons : l'accouplement d'une femelle « sauvage » et d'un mâle Friendly issu du laboratoire (porteur de deux exemplaires de la construction génétique produisant la stérilité femelle) ne peut transmettre cette construction qu'en un exemplaire à sa descendance mâle (qui hérite d'un chromosome homologue non transformé de la femelle sauvage). À leur tour ces mâles transmettront la construction à la moitié de leur descendance (dont les femelles qui en héritent ne survivront pas). Dans la solution avec forçage génétique, la construction génétique sera dupliquée dans les mâles porteurs par un mécanisme qui identifie le chromosome non transformé comme défectueux et le « répare » : la construction sera donc transmise à tous les mâles de la génération suivante où elle sera dupliquée, etc. Le forçage est ainsi un moyen d'action beaucoup plus puissant.
Mais cela pose aussi question : un tel mécanisme pourrait échapper à notre contrôle, se répandre au-delà de la zone ciblée, voire éradiquer toute une espèce. C'est pain bénit pour les marchands de peur.
Et c'est d'un sujet sur lequel l'UICN peut légitimement s'exprimer.
La « conservation de la nature » ne se réduit pas à la protection des espèces et des écosystèmes, comme l'entend généralement une opinion publique travaillée au corps par le militantisme environnemental. Dans nombre de cas, il s'agit au contraire de limiter les populations d'espèces indésirables, voire de les détruire.
Et c'est là que les outils modernes de la génétique peuvent intervenir.
C'est le cas en particulier pour les îles riches d'une faune et d'une flore endémiques, en partie menacées par des espèces introduites. Le Monde du 8 septembre 2021 (date de l'édition papier) a par exemple produit un excellent article, « Les oiseaux d’Hawaï ne cessent de mourir ». En cause : un paludisme aviaire à Plasmodium relictum véhiculé par un moustique, Culex quinquefasciatus. Éliminer le moustique, ce serait en fait rétablir sur ce point l'écosystème d'avant 1826, date de son introduction dans l'archipel.
Le congrès de Marseille avait devant lui un projet de motion, « IUCN Principles on Synthetic Biology and Biodiversity Conservation » (principes de l'UICN sur la biologie de synthèse et la conservation de la biodiversité – dernier texte préparatoire archivé). Encore agrémenté de texte entre crochets, signalant d'importantes divergences de vue, il comportait une longue annexe qui définissaient des [Principes] [Lignes directrices] [Orientations] de l'UICN sur la biologie de synthèse et la conservation de la biodiversité ».
Grandes manœuvres
RépondreSupprimerA l'issue d'un long processus de négociation, le congrès a adopté un texte profondément remanié. La dernière version mise en ligne à l'heure où nous écrivions comportait encore du texte entre crochets, ce qui permet de savoir ce qui était en jeu et ce qui a été adopté en plénière (le texte maintenant en ligne est le final)..
Les textes entre crochets et l'option 1 ont été adoptés. Le choix était entre :
« [4. APPELLE le Directeur général et les Commissions à rester neutres sur tous les aspects de la biologie de synthèse jusqu'à l'adoption officielle d'une politique de l'UICN sur la biologie de synthèse, en se maintenant informé des nouvelles connaissances lors du processus.]
et :
« [4. APPELLE le Directeur général et les Commissions à s'abstenir de soutenir ou d'approuver des recherches, y compris des essais sur le terrain, portant sur l'utilisation du forçage génétique à des fins de conservation ou autres, jusqu'à ce que la politique de l'UICN soit adoptée.] »
(Source)
L'option 2 était évidemment promue par les organisations dont l'opposition à la biotechnologie constitue le fond de commerce et le moyen d'exister et de prospérer.
Le Congrès a, en revanche, adopté deux de leurs considérants proposés, à savoir
« RECONNAISSANT qu'il y a encore des lacunes importantes de données et de connaissances sur la biologie de synthèse (y compris sur le génie génétique et les techniques de forçage génétique) et sur ses impacts écologiques, éthiques, sociaux et culturels »
et :
« NOTANT que, dans le contexte de la biologie de synthèse, le principe de précaution mérite une attention particulière, car certaines applications de la biologie de synthèse peuvent produire des organismes avec des modifications complexes de caractéristiques ou d'organismes biologiques qui persistent, se propagent et se diffusent intentionnellement dans les populations naturelles ».
Ça ne mange pas de pain, direz-vous car ce sont des évidences ? Ce sont au contraire des munitions que les opposants utiliseront dans d'autres contextes.
Ou ils n'ont pas compris, ou ils font semblant... Non, le texte ne « questionne » pas. (Source)
Bla bla bla
Se disant « CONSCIENT que le domaine de la biologie de synthèse progresse rapidement », le congrès s'est cantonné à un « Vers l'élaboration d'une politique de l’UICN sur la biologie de synthèse en rapport avec la conservation de la nature » devant être (en principe...) adoptée en... 2024. Objectif ?
« Il conviendra d’intégrer les présents critères d’orientation dans le processus d’élaboration de la politique de l’UICN sur la biologie de synthèse.
Ces critères ont pour objet de guider l’élaboration d’une politique de l’UICN au lendemain du Congrès mondial de la nature de l’UICN à Marseille. Ces critères d’orientation ne sont pas destinés à servir d’ensemble spécifique d’orientations pour la prise de décisions concernant l’utilisation de la biologie de synthèse (y compris le forçage génétique), ni à servir de méthode d’évaluation des risques, de processus d’évaluation des technologies ou de cadre réglementaire. Ces critères d’orientation ne doivent pas être interprétés comme en faveur ou en défaveur de l’application de la biologie de synthèse. »
RépondreSupprimerLe champ d’application de ces critères d’orientation est défini comme couvrant « tous les aspects de l’application actuelle et envisagée des outils et des technologies de la biologie de synthèse (y compris les organismes, les composants et les produits développés à l’aide de la biologie de synthèse, ainsi que le forçage génétique) [...] ».
Un texte raboté
Il y a un catalogue de critères dont on ne sait pas trop bien comment ils s'articulent avec le texte. Les voici, en lignes plutôt qu'en colonne comme dans le texte adopté :
« Intégrité et diversité de la nature ; Équité intergénérations ; Équité de genre ; Respect des droits, des croyances et des cultures ; Consentement libre, préalable et en connaissance de cause ; Inclusion des détenteurs de droits et de connaissances ; Participation des parties prenantes et des détenteurs de droits ; Multiples sources de types de connaissances et d’expertise ; Transdisciplinarité, intradisciplinarité, interdisciplinarité et multidisciplinarité ; Valeurs et éthiques multiples. »
Nous laisserons ce catalogue à la Prévert à l'appréciation des lecteurs...
En fait, ce sont là les mots clés de la longue annexe du texte de base que nous avons évoqué ci-dessus. Ne pouvant s'accorder sur le contenu des « [Principes] [Lignes directrices] [Orientations] », les négociateurs ont tout simplement supprimé le travail accompli précédemment au profit d'une déclaration générale !
Procédures et bien-pensance
Le texte adopté se réduit donc essentiellement à un « processus d'élaboration ».
Voici pour la première étape :
« a. Se basant sur les contributions du processus inclusif décrit ci-dessus, le groupe de travail, avec le Secrétariat de l'UICN, rédigera une première version provisoire de la politique de l'UICN sur la biologie de synthèse, qui reflétera les contributions reçues pendant le processus inclusif, et qui s'appuiera sur les critères d'orientation répertoriés dans l'Annexe section II et les précédentes résolutions, le rapport de l'UICN Genetic Frontiers in Conservation: Assessment of Synthetic Biology and Biodiversity Conservation, ainsi que sur d'autres sources d'informations pertinentes. »
Il faut arriver au point f. pour savoir comment s'écrira le mot « fin » :
« f. La troisième version provisoire de la politique de l'UICN sur la biologie de synthèse sera soumise au Conseil de l'UICN, qui la transmettra, sous la forme d'une motion, à la prochaine réunion du Congrès mondial de la nature de l'UICN, pour débat et adoption éventuelle par les Membres de l'UICN. »
Le monde attendra
RépondreSupprimerOuf ! Il est question d'une adoption « éventuelle ». Compte tenu de la capacité de nuisance des entités qui portent haut leur aversion pour la « biologie de synthèse », on peut penser, avec soulagement, que les chances de concrétisation du projet à l'horizon 2024 sont faibles.
Toutefois, l'UICN n'est pas simplement un moulin à produire des tigres de papier destinés aux gouvernements (ou à leurs corbeilles à papier). Ses textes influent sur les politiques de ses membres non étatiques et « affiliés ». Ses « non-textes » aussi : les instances de conservation de la nature tentées par, en l'occurrence, le recours à des forçages génétiques sont ainsi incités à temporiser, en attendant le texte sur la politique de l'UICN.
Pour les oiseaux de Hawaï, on envisage apparemment la possibilité d'utiliser une technologie faisant appel à la bactérie Wolbachia. Ils attendront... et nous déplorerons peut-être la disparition d'une ou plusieurs espèces endémiques.
En Nouvelle-Calédonie, le World Mosquito Program déploie un projet utilisant également la bactérie Wolbachia et portant sur le moustique tigre et les maladies associées. C'est long et partiel, la capacité de propager des virus n'étant que réduite, alors que la technologie Friendly est beaucoup plus performante et prouvée. Les néo-calédoniens attendront...
Les moustiques d'Oxitec ont été déployés, avec succès, en Floride, dans les Îles Keys. Un essai est en cours au Texas. Les choses avancent très lentement. Les populations exposées aux maladies propagées par le moustique tigre attendront.
Target Malaria expérimente au Burkina Faso à très petite échelle, sous le feu nourri d'un activisme local sans nul doute cornaqué et financé par l'activisme européen. Les Africains exposés au paludisme attendront.
Une organisation comme Island Conservation, membre de l’UICN, préconise d’utiliser le forçage génétique pour éradiquer les souris invasives sur les îles. Les souris ont encore de beaux jours devant elles, contrairement à leurs victimes.
La liste des applications potentielles est longue, très longue. Dans presque tous les cas où une technologie a été élaborée, les essais se heurtent à une violente propagande agitant des épouvantails.
Au niveau mondial, la prochaine étape sera la quinzième conférence des parties à la Convention sur la Diversité Biologique (Kunming, 11-15 octobre 2021 and 25 avril-8 mai 2022). Si le cœur vous en dit... Et il y a d'autres forums.
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* André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.
Une version de cet article a été publiée dans Contrepoints.
https://seppi.over-blog.com/2021/09/l-uicn-et-la-biologie-de-synthese-les-especes-en-peril-pourront-attendre-les-humains-aussi.html
La nature (notre planète) se modifie tous les jours.
SupprimerLes humains FONT partie de la nature.
L'édition de gènes a un « potentiel illimité » pour réduire la malnutrition, selon un expert mondial de l'alimentation
RépondreSupprimer28 Septembre 2021
Joseph Opoku Gakpo*
Ma note : « potentiel illimité » ? Il ne faut tout de même pas exagérer !
L'édition génétique est un outil au potentiel illimité pour aider à réduire la malnutrition dans le monde, a déclaré le Dr Lawrence Haddad, directeur exécutif de l'Alliance Mondiale pour l'Amélioration de la Nutrition (GAIN).
Le monde a besoin de cette technologie car des milliards de personnes ont du mal à accéder aux repas nutritifs nécessaires pour rester en bonne santé, a déclaré M. Haddad.
Le dirigeant de GAIN, une fondation basée en Suisse lancée par les Nations Unies en 2002 pour réduire la malnutrition dans le monde, a fait ses remarques lors d'un dialogue indépendant organisé par l'Alliance pour la Science dans le cadre du Sommet sur les Systèmes Alimentaires. M. Haddad préside également le volet d'action 1 du prochain sommet, qui est chargé de garantir l'accès à une alimentation sûre et nutritive.
« Les possibilités semblent illimitées s'agissant de ce qui peut être fait avec l'édition de gènes et CRISPR [...] il faudra des gouvernements activistes, courageux et audacieux, pour que cela devienne une réalité », a déclaré M. Haddad.
Le dialogue était l'un des milliers de dialogues organisés à travers le monde avant le Sommet des Nations Unies sur les Systèmes Alimentaires, qui se tiendra le 23 septembre et portera sur l'avenir des systèmes alimentaires mondiaux. La réunion a été jugée nécessaire parce que le monde n'est actuellement pas en mesure d'atteindre l'objectif de la faim zéro et d'autres objectifs de développement durable (ODD) d'ici 2030, à moins que des mesures draconiennes ne soient prises. Les participants délibéreront et lanceront de nouvelles actions audacieuses pour contribuer à la réalisation des 17 ODD, dont chacun repose, dans une certaine mesure, sur la réalisation de la faim zéro.
M. Haddad a fait remarquer que, selon le rapport des Nations Unies sur l'état de l'insécurité alimentaire, 3 milliards de personnes dans le monde n'ont pas les moyens de s'offrir un régime alimentaire sain et 1,5 milliard n'ont pas les moyens de s'offrir un régime alimentaire minimalement nutritif.
Les données de GAIN montrent qu'une personne sur trois souffre d'un type de malnutrition ou d'un autre. On estime que 821 millions de personnes n'ont pas accès à suffisamment de calories pour éviter la faim chronique. Environ 2 milliards de personnes dans le monde ne consomment pas suffisamment de vitamines et de minéraux pour assurer une croissance saine. On estime qu'un décès sur cinq dans le monde est lié à une mauvaise alimentation. Chaque année, environ 11 % du produit intérieur brut en Afrique et en Asie est perdu à cause de la malnutrition.
Le Dr Cecilia Acuin, professeur associé à l'Institut de la Nutrition Humaine et de l'Alimentation de l'Université des Philippines Los Baños, a déclaré au cours du dialogue que de nombreux pays à revenu faible ou intermédiaire luttent pour relever le défi de la malnutrition. Bien que les Philippines utilisent des méthodes d'amélioration des plantes conventionnelles, des organismes génétiquement modifiés (OGM) et d'autres outils pour enrichir les cultures vivrières en nutriments améliorés, l'édition de gènes permettra d'accélérer ces processus, a-t-elle déclaré.
« L'IRRI (Institut International de Recherche sur le Riz) essaie de déterminer quels avantages nutritionnels peuvent être tirés des variétés de riz qui sont disponibles dans la banque de gènes. Si nous attendons que la sélection conventionnelle propage ces caractères dans le germeplasme du riz, cela nous prendra des centaines d'années. Mais si nous pouvons utiliser les technologies d'édition de gènes, cela peut atteindre les populations et les consommateurs beaucoup plus rapidement », a-t-elle expliqué.
RépondreSupprimerMme Patience Koku, PDG de Replenish Farms au Nigeria, a déclaré que le prochain sommet devrait être prêt à reconnaître la technologie d'édition de gènes comme un outil pouvant contribuer à améliorer l'agriculture.
« Je pense que le sommet sur les systèmes alimentaires est l'occasion pour nous tous de faire entendre que l'édition de gènes a beaucoup d'avantages pour le monde et l'Afrique en particulier », a-t-elle déclaré.
« Nous disons que l'édition génétique peut produire des cultures qui peuvent être efficaces en azote et peuvent augmenter la production. Maintenant, je fais le lien entre la production et la nutrition. Parce que lorsqu'il y a pénurie de nourriture, il y aura malnutrition », a déclaré Mme Koku.
« Pour la première fois dans l'histoire de notre pays, nous devions acheter du niébé, qui est la protéine du pauvre, pour des sommes ridiculement élevées et la plupart des gens ne pouvaient pas se le permettre. C'est parce que nous avons eu une mauvaise récolte », a-t-elle déclaré lors du dialogue.
Elle a fait remarquer que l'édition de gènes peut améliorer la production et enrichir les aliments en nutriments supplémentaires. Par exemple, de nombreuses personnes ne mangent que des patates douces en guise de repas. Si les patates douces étaient enrichies en protéines ou en vitamines supplémentaires, « cela serait très utile. Je vis dans un pays où je vois des retards de croissance tous les jours », a ajouté Mme Koku.
Selon les données de GAIN, environ 151 millions d'enfants de moins de cinq ans souffrent d'un retard de développement physique et cognitif dû à la malnutrition, et les enfants qui souffrent d'un retard de croissance à l'âge de trois ans ont des résultats scolaires nettement inférieurs et sont plus susceptibles de vivre dans la pauvreté à l'âge adulte. Parallèlement, 45 % des décès d'enfants de moins de trois ans sont liés à des retards de croissance et à des pertes de poids dus à la malnutrition. Les mauvais régimes alimentaires sont liés à environ 22 % des décès d'adultes.
L'ambassadeur Miguel J. Garcia-Winder, ancien sous-secrétaire à l'agriculture du Mexique, a fait obserer que l'édition de gènes pourrait avoir un impact sur la disponibilité et la qualité des aliments. Mais il a ajouté qu'elle n'aura qu'un impact limité sur les efforts visant à garantir l'accès à des aliments sains, à moins que d'autres questions socio-économiques ne soient traitées.
« L'édition de gènes n'est qu'un des outils potentiels pour aborder les questions de sécurité nutritionnelle », a-t-il déclaré. « Mais en soi, il est insuffisant pour répondre à la question globale de la sécurité nutritionnelle... Il y a des questions sociales, économiques, culturelles et environnementales concernant la technologie qui doivent également être abordées. »
RépondreSupprimerLe Dr Tom Adams, cofondateur et PDG de la société de biotechnologie Pairwise, a déclaré lors du dialogue que l'édition de gènes est une technologie émergente qui « donne beaucoup de pouvoir à la génétique pour faire des choses précises. » Pairwise est une entreprise basée aux États-Unis qui utilise l'édition de gènes pour améliorer les fruits et légumes afin que les gens puissent avoir une alimentation plus saine.
« L'édition de gènes élimine le caractère aléatoire de la sélection, ce qui rend possible des avancées rapides dans l'amélioration des plantes », a-t-il expliqué. « Pour obtenir une cerise sans noyau, la sélection normale prendrait plus de 100 ans, mais l'édition génétique prendra moins de cinq ans. L'édition de gènes apportera un large éventail d'avantages à l'agriculture et à la production alimentaire, augmentera la teneur en nutriments et supprimera les pépins et les noyaux, ce qui rendra la nourriture saine plus facile à consommer pour tous. »
Parmi les autres avantages potentiels de l'édition de gènes, citons notamment l'amélioration des cultures pour qu'elles s'adaptent aux environnements changeants, l'allongement de la durée de conservation des produits et l'adaptation des variétés pour permettre une production tout au long de l'année.
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* Source : Gene editing has 'limitless potential' to reduce malnutrition, says global food expert - Alliance for Science (cornell.edu)
https://seppi.over-blog.com/2021/09/l-edition-de-genes-a-un-potentiel-illimite-pour-reduire-la-malnutrition-selon-un-expert-mondial-de-l-alimentation.html
Newsweek exploite la tragédie d'une famille d'agriculteurs pour promouvoir un programme anti-viande
RépondreSupprimer27 Septembre 2021
Amanda Zaluckyj*
Il y a quelques semaines, la communauté agricole a appris une tragédie familiale impensable. Trois frères sont morts après avoir été intoxiqués par des émanations alors qu'ils travaillaient dans une fosse à purin. Les frères étaient apparemment en train de réparer une pompe lorsqu'ils se sont évanouis. Les équipes de secours les ont trouvés, mais leur décès a été constaté à l'hôpital.
Malheureusement, les militants anti-viande ne peuvent pas laisser passer une bonne tragédie.
Newsweek a publié un article de Jackie Day exploitant la mort des frères pour pousser à la fin de l'élevage. De manière incroyable, Day exhorte ses lecteurs à montrer qu'ils « se soucient » de ces frères en repensant leurs choix alimentaires. Au lieu de faire preuve d'une réelle sympathie, elle utilise tout l'article pour dénigrer l'élevage qui détruit prétendument la santé humaine, l'avenir de nos enfants et à peu près tout le reste.
C'est ignoble.
Arrêtons-nous un instant. Pouvez-vous imaginer si cela arrivait à votre famille ? Vous essayez de faire le deuil d'une énorme perte. Et puis vous voyez un article publié dans une source nationale utilisant la tragédie pour dénigrer votre mode de vie et le travail honnête que vous faites... Newsweek et Day utilisent votre perte pour monter les gens contre votre mode de vie. Quelle façon d'ajouter l'insulte au malheur !
C'est l'agriculteur Punk Rock qui a attiré mon attention sur ce point dans son article. Comme il le dit, l'argument est essentiellement « ne mangez pas de viande pour que les agriculteurs ne meurent pas ! » Voici ce qui est ironique. Je blogue depuis presque une décennie maintenant. J'ai entendu et lu d'innombrables histoires d'accidents et de décès, y compris d'enfants. Et même certains dans notre propre ferme (désolé, papa). Tous étaient liés aux cultures, au stockage des récoltes ou à l'équipement lié aux cultures. Je ne vois pas Day ou qui que ce soit d'autre préconiser de renoncer à manger des plantes pour sauver les agriculteurs.
Il en va de même pour toute autre industrie où les accidents sont courants. Selon Industrial Safety and Hygiene News, les trois premiers des 25 emplois les plus dangereux sont ceux de couvreur, d'éboueur et de chauffeur-livreur. Mme Day est-elle prête à renoncer à un toit étanche, à la collecte régulière des ordures et à ses livraisons Amazon ? Bien sûr que non. Et c'est bien là le problème : elle ne se souciait pas vraiment de ces frères, elle n'a fait qu'exploiter leur mort.
Encore une fois, c'est ignoble.
RépondreSupprimerJe ne connais pas cette famille d'agriculteurs. Je ne veux pas supposer ou leur attribuer quoi que ce soit injustement ou sans considération. Mais je sais que la plupart des agriculteurs ne peuvent s'imaginer faire autre chose. Il y a une passion pour l'agriculture. C'est un travail d'amour. Ils ne voudraient pas qu'un seul événement malheureux condamne l'ensemble. Pourtant, c'est exactement ce que Day et ses semblables espèrent accomplir.
Pour ce que ça vaut, la réponse appropriée est de considérer ce qui a mal tourné, et comment nous pouvons améliorer cela et le rendre plus sûr. Oui, l'agriculture est un métier dangereux. Les agriculteurs et les membres de leurs familles peuvent être mortellement blessés. Nous avons parcouru un long chemin, mais il y a toujours plus à faire. Ces frères ont perdu la vie, et le moins que nous puissions faire est d'essayer d'empêcher que cela ne se reproduise.
Si vous connaissez la famille, veuillez les soutenir en ce moment. Même si vous ne les connaissez pas, épaulez-les. Ils en ont besoin, et c'est ainsi que notre communauté répond à la tragédie.
[Note : Après avoir longtemps hésité, j'ai décidé de ne pas mettre le lien vers l'article de Newsweek. Vous pouvez le trouver si vous le souhaitez vraiment. Mais je ne veux pas lui donner des clics et du trafic supplémentaires. C'est ce qu'ils veulent, et je ne les soutiendrai en aucune façon].
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* Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.
* Source : Newsweek Exploits Farm-Family Tragedy to Push Anti-Meat Agenda - The Farmer's Daughter USA (thefarmersdaughterusa.com)
Ma note : J'ai jeté un œil dans l'article ? C'est vraiment une infamie.
https://seppi.over-blog.com/2021/09/newsweek-exploite-la-tragedie-d-une-famille-d-agriculteurs-pour-promouvoir-un-programme-anti-viande.html
La crise de l'électricité s'aggrave en Asie et en Europe : ce que cela signifie pour l'expédition
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 29 SEP 2021 - 07:59
Par Greg Miller d'American Shipper,
Il y a une panique d'achat d'essence au Royaume-Uni. Les prix du gaz naturel en Europe et en Asie montent en flèche. Des manifestations éclatent à travers l'Europe en raison de la flambée des factures d'électricité. L'Inde et la Chine manquent de charbon pour les services publics. L'électricité est rationnée aux usines dans plusieurs provinces chinoises – et l'hiver approche.
Tout d'abord, la crise mondiale de la chaîne d'approvisionnement induite par le COVID pour le transport de conteneurs est arrivée. Vient maintenant une crise de puissance en Asie et en Europe. Les stocks de produits énergétiques - tout comme les stocks de détail aux États-Unis - ne se sont pas reconstitués assez rapidement pour faire face à la demande après le verrouillage.
Comment la crise énergétique pourrait-elle affecter le transport maritime ? Pour les importateurs américains de marchandises conteneurisées asiatiques, c'est un point négatif : un autre sertissage dans la chaîne d'approvisionnement. Pour le transport de marchandises - vrac sec, gaz naturel liquéfié (GNL) et éventuellement pétroliers - c'est une recette pour des tarifs plus élevés.
Selon Bloomberg, la consommation d'électricité est désormais limitée par des restrictions d'approvisionnement et d'émissions serrées dans les provinces chinoises du Jiangsu, du Zhejiang et du Guangdong. Bloomberg a cité l'analyste de Nomura, Ting Lu, déclarant : « Les coupures de courant se répercuteront et auront un impact sur les marchés mondiaux. Très bientôt, les marchés mondiaux ressentiront le pincement d'une pénurie d'approvisionnement, des textiles et des jouets aux pièces de machines. »
Nikkei a rapporté qu'une filiale de Foxconn, le plus grand assembleur d'iPhone au monde et un fournisseur clé d'Apple et de Tesla, a interrompu la production dans son usine de Kunshan dans la province du Jiangsu dimanche en raison d'un manque d'approvisionnement en électricité. Un autre fournisseur d'Apple, Unimicron Technologies, a également interrompu la production à Kunshan dimanche, a déclaré Nikkei, citant des documents réglementaires.
Le New York Times a fait état de pannes de courant au cœur de la ceinture manufacturière sud de la Chine, à Guandong. Les usines de la ville de Dongguan n'ont plus d'électricité depuis mercredi dernier. Le Times a interviewé un directeur général d'une usine de Dongguan qui produit des chaussures en cuir pour le marché américain, qui a continué à fonctionner avec un générateur diesel et qui a déclaré que les pannes de courant avaient commencé cet été.
Les arrêts d'usines chinoises retarderaient davantage les livraisons d'importations américaines, qui ont déjà été entravées par une congestion extrême dans les ports du sud de la Californie et, plus récemment, dans les ports de Chine.
Expédition en vrac sec
RépondreSupprimer« Qu'il s'agisse de charbon, de gaz naturel ou de pétrole, il y avait très peu de capital disponible pour que les entreprises continuent à réinvestir [in production] pendant plusieurs années avant la pandémie », a expliqué l'analyste de Clarksons Platou Securities Omar Nokta dans une interview avec American Shipper sur Lundi.
«Nous avons constitué un gros stock au cours des premiers mois de la pandémie et nous l'avons traversé dès que les blocages se sont atténués, mais le capital n'a pas été redéployé. Il y a vraiment eu un vrai manque d'investissement.
En particulier, le charbon thermique — le charbon utilisé pour la production d'électricité — fait face à de fortes restrictions d'accès au capital pour des raisons environnementales.
Les approvisionnements en charbon thermique en Chine et en Inde ont diminué, car la consommation d'électricité après le verrouillage a grignoté les stocks; Les stocks de l'Inde sont au plus bas depuis quatre ans. Les approvisionnements de la Chine sont en outre limités par les restrictions environnementales imposées aux mines nationales et l'interdiction des importations australiennes. Le prix de référence du charbon thermique de Newcastle était jusqu'à 205 $ la tonne lundi.
C'est une bonne nouvelle pour les vraquiers secs des classes Capesize et Panamax, a déclaré Nokta. (Les Capesize ont une capacité d'environ 180 000 tonnes de port en lourd, ou DWT, et les Panamax de 65 000 à 90 000 DWT.)
Le spot Capesizes est passé à 69 000 dollars par jour mardi, les taux au comptant Panamax atteignant 36 200 dollars par jour, selon Clarksons.
"Les gens s'attendaient à un certain rebond de la demande de charbon thermique en 2021, mais la hausse de la demande n'était pas du tout anticipée", a déclaré Nokta.
« Cette résurgence maintient les Panamax et les Capes très occupés alors qu'ils ne peuvent pas compter sur les cargaisons qu'ils auraient normalement – du grain pour les Panamax et du minerai de fer pour les Capes. Le grain a été constant tout au long de l'année et maintenant les Panamax ont cet élément de charbon thermique ajouté. Capes a été confronté à un marché chinois de l'acier quelque peu incohérent [la production a plongé en août], mais cela n'a pas eu d'importance à cause de toutes ces cargaisons de charbon thermique qu'ils ont pu transporter. "
- voir graphique sur site -
Les taux Capesize ont augmenté au cours de la semaine dernière malgré les inquiétudes croissantes concernant le sort du promoteur immobilier chinois Evergrande et du marché immobilier chinois en général.
RépondreSupprimer"L'histoire de l'immobilier est toujours une question, et les régulateurs tempèrent la production d'acier pour limiter la pollution", a déclaré Nokta. "Mais nous pourrions avoir une situation où la demande de minerai de fer chute et il y a un transfert vers le charbon thermique, et lorsque la demande de charbon thermique diminue après la saison hivernale, le marché du minerai de fer reprend vie. Donc, vous ne le sentirez peut-être même pas.
Expédition de GNL
Le manque de gaz naturel en Europe et en Asie est clairement évident dans les prix au comptant historiquement élevés du gaz naturel.
L'indice de référence en Asie, le marqueur Japon-Corée (JKM), était passé à 27,50 $ par million d'unités thermiques britanniques (MMBtu) vendredi, soit près du double du prix d'août. Les deux références européennes, TTF Pays-Bas et le National Balancing Point (NBP), ont augmenté au même rythme que le JKM, à 26,51 $ et 26,23 $ par MMBtu, respectivement. Le TTF et le NBP sont à des niveaux record. Le prix du Henry Hub aux États-Unis a augmenté, mais bien en deçà de ces niveaux, à 5,51 $.
L'hiver dernier, au milieu d'un énorme écart entre les prix du gaz naturel, les prix au comptant du transport de GNL ont grimpé à 200 000 $ ou plus par jour (un voyage au comptant a atteint 350 000 $ par jour). Mais actuellement, les tarifs des transporteurs de GNL à moteur diesel à trois carburants sont de 51 000 $ par jour, juste en dessous de la moyenne quinquennale pour cette période de l'année, selon Clarksons.
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi les tarifs d'expédition au comptant du GNL n'augmentaient pas étant donné les prix extrêmement élevés des matières premières en Asie et en Europe et un écart important avec les prix américains, Nokta a cité deux raisons.
Premièrement, il a déclaré que les fortes hausses des tarifs d'expédition au comptant se produisent lorsqu'il existe un écart important entre les prix des produits de base européens et asiatiques, et qu'il y a des réexportations agressives d'Europe vers l'Asie par les commerçants. "Pour le moment, le JKM est à parité avec l'Europe, il n'y a donc pas autant d'échanges inter-hémisphériques."
Deuxièmement, lorsque les taux au comptant ont grimpé en flèche l'hiver dernier, les intérêts du fret ont pris des navires de GNL en affrètement à long terme pour se protéger contre les futurs taux au comptant élevés. « La plupart des affréteurs ont couvert leurs besoins et l'activité spot a vraiment diminué au cours des trois derniers mois. Donc, quand vous regardez les taux au comptant, ils peuvent vous dire que les choses ne sont pas en feu, mais il y a en fait beaucoup de mouvement [de fret].
Même ainsi, les tarifs d'expédition de GNL au comptant pourraient augmenter cet hiver si l'écart entre les prix européens et le JKM s'élargit et que davantage d'entreprises avec des navires affrétés les "remettent" sur le marché au comptant pour profiter de tarifs plus élevés.
Expédition par citerne
RépondreSupprimerLes taux des produits et des pétroliers restent inférieurs au seuil de rentabilité, mais certains analystes et courtiers pensent que la pénurie d'électricité en Asie et en Europe pourrait également aider à relancer ces marchés maritimes assiégés.
Comme pour les autres matières premières, les stocks de pétrole sont faibles. L'analyste d'Evercore ISI, Jon Chappell, a déclaré lundi que "les stocks de produits raffinés de l'OCDE sont désormais inférieurs aux niveaux d'avant COVID et sont bien en deçà des moyennes sur cinq ans, [cependant] à un certain moment, les stocks approchent d'un niveau où il n'y a plus beaucoup de mou dans le système."
https://www.zerohedge.com/markets/power-crisis-deepens-asia-and-europe-what-it-means-shipping
L'hiver est là ! et, sans charbon ni bois à domicile...
SupprimerLe deuxième plus gros consommateur d'électricité de Pologne se tourne vers l'énergie nucléaire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 29 SEP 2021 - 05:45
Hier, nous avons ajouté à notre dossier en cours pour l'uranium en publiant comment les mineurs de crypto commençaient à forger des partenariats avec des centrales nucléaires pour lutter contre l'argument « le bitcoin n'est pas bon pour l'environnement ». Aujourd'hui, le dossier du nucléaire a franchi une nouvelle étape positive.
C'est parce que le producteur de cuivre KGHM en Pologne s'est également tourné vers l'énergie nucléaire, selon FT.
Notant que trouver des sources d'énergie moins chères et plus vertes était dans "l'intérêt national de la Pologne", le PDG de KGHM, Marcin Chludzinski, a déclaré que la société construirait quatre petits réacteurs modulaires pour les énergies alternatives. Chaque réacteur aurait une capacité de 77 MW.
Le groupe américain NuScale sera chargé de construire les réacteurs, le premier devant entrer en ligne en 2029, note le rapport. Cela rendrait KGHM "autosuffisant dans la production d'énergie et isoler[d] de la volatilité des prix de l'énergie".
L'entreprise est déjà le deuxième plus gros consommateur d'électricité de Pologne.
Chludzinski a déclaré : « Pour être des entreprises compétitives à l'échelle mondiale et à forte intensité énergétique comme la nôtre . . . besoin d'avoir accès à l'électricité la moins chère possible, et c'est notre objectif. Ce n'est pas seulement un défi pour nous . . . c'est un défi pour toutes les entreprises en Pologne, car si l'énergie continue à devenir plus chère à ce rythme, alors notre capacité à investir va diminuer.
L'année dernière, la Pologne a généré près de 70 % de son énergie à partir du charbon. Cependant, le coût des émissions de gaz carbonique a augmenté, car l'Union européenne s'est activement employée à éliminer progressivement les combustibles fossiles au profit de l'énergie verte. Comme nous (et beaucoup d'autres) l'avons prédit, le nucléaire semble être le compromis « de bon sens » au milieu de l'équation.
En conséquence, "un certain nombre d'entreprises" autres que KGHM se sont penchées sur les petits réacteurs modulaires.
Chludzinski a fait valoir que la Pologne était trop sévèrement pénalisée pour sa dépendance à l'énergie du charbon, mais il a déclaré que des technologies telles que les petits réacteurs modulaires pourraient aider le pays à sortir des combustibles fossiles.
« Les pôles sont très flexibles. S'il s'avère que ce sont les conditions dans lesquelles nous devons être compétitifs et qu'elles ne peuvent pas être modifiées, alors nous sommes capables de nous adapter assez rapidement. Et je pense que la transformation énergétique, qui est censée se dérouler dans le temps, pourrait se produire plus rapidement », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLes SMR feront de KGHM un producteur net d'énergie, a-t-il conclu : « Nous n'allons pas passer du statut de producteur de cuivre à celui de société d'énergie. Nous nous concentrons avant tout sur le cuivre. Mais nous devons être autosuffisants en termes d'énergie, et si nous avons plus d'énergie que nous n'en avons besoin, alors nous la vendrons.
https://www.zerohedge.com/markets/polands-second-largest-electricity-consumer-turning-nuclear-power
Quand c'est le Peuple qui s'occupe de la gestion çà marche. Quand ce sont des fonctionnaires: c'est la merde !
SupprimerL'étonnante tyrannie australienne continue de croître
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 28 SEP 2021 - 22:45
Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,
Au début de l'été 1798, un tailleur de pierre irlandais nommé Philip Cunningham atteignit son point de rupture.
Cunningham en avait marre de la domination anglaise en Irlande. Et avec 50 000 de ses compatriotes irlandais, Cunningham a pris une arme et a commencé à se soulever contre la Grande-Bretagne.
Leur rébellion fut un désastre complet ; les rebelles espéraient que l'armée britannique était trop faible pour résister après leur défaite lors de la Révolution américaine.
Mais en quelques mois, les Britanniques avaient repris le contrôle de l'Irlande.
Naturellement, leur premier ordre du jour était de rassembler tous les rebelles restants – et Cunningham était parmi eux.
Sa punition était d'être envoyée dans une colonie pénitentiaire britannique dans le Pacifique sud, dans un endroit qui était généralement connu à l'époque sous le nom de « Nouvelle Hollande ».
Aujourd'hui, nous l'appelons l'Australie.
Cunningham n'était pas du genre à accepter son sort facilement. Même en route vers l'Australie, lui et d'autres prisonniers ont brièvement réussi à prendre le contrôle du navire… bien que les marines britanniques aient finalement repris le contrôle et donné 100 coups de fouet à Cunningham.
Mais Cunningham n'avait toujours pas fini. Quelques années plus tard, en mars 1804, il mena environ 300 prisonniers australiens dans une autre rébellion contre leurs geôliers britanniques.
Cette rébellion était si grave que le gouverneur britannique a été contraint de déclarer la loi martiale - la première, mais certainement pas la dernière fois dans l'histoire de l'Australie, cela se produirait.
Il est ironique que, chaque année, le "Australia Day" soit célébré le 26 janvier, qui commémore le jour où la marine britannique a navigué pour la première fois dans Sydney Cove, a hissé son drapeau et a déclaré la terre sa colonie pénitentiaire.
Ainsi, l'Australian Day ne célèbre pas tant la naissance d'une nation que l'inauguration d'une prison géante.
RépondreSupprimerDe toute évidence, en 2021, l'Australie est simplement revenue à ses racines en tant que plus grande prison du monde.
Vous connaissez l'histoire maintenant - "deux semaines pour contrôler la propagation" de COVID-19 sont devenues "une dictature indéfinie et une suspension totale des droits humains fondamentaux".
Au cours des 18 derniers mois, les gouvernements des États et fédéral australiens ont :
Interdit aux citoyens de quitter le pays sans autorisation.
Interdiction aux citoyens d'entrer dans le pays, avec menace de cinq ans de prison.
Interdit aux citoyens et aux résidents de traverser les frontières de l'État.
Interdit aux citoyens et aux résidents de voyager à plus de 5 km de chez eux sans autorisation.
Ironiquement, un site Web du gouvernement australien énonce le « droit à la liberté de mouvement » des citoyens et affirme que ce droit de l'homme très fondamental « ne peut pas dépendre de l'établissement d'un but ou d'une raison pour partir ».
Mais l'Australie n'a pas à suivre ses propres règles, ni à se soucier des droits humains de tous les petits, parce que c'est une urgence.
Au nom de COVID, la police australienne et les représentants du gouvernement ont également :
Suivi d'une grosse commande de restauration rapide à une fête pour infliger une amende de 26 000 $ aux invités pour un rassemblement non autorisé.
Déploiement de l'armée pour faire respecter les confinements. Des hélicoptères ont été déployés pour menacer de jeunes hommes en bonne santé jouant au football.
Dire aux gens de ne pas parler à leurs voisins.
Exécuté plusieurs chiens pour empêcher les secouristes de venir dans la ville.
Arrêté une mère enceinte devant ses enfants pour avoir publié un rassemblement anti-confinement sur les réseaux sociaux.
A refusé d'accorder une exception de voyage à un garçon de trois ans visitant ses grands-parents séparés de ses parents pendant des mois, en raison d'une fermeture surprise de la frontière.
A causé la mort d'un nouveau-né parce que la mère s'est vu refuser l'autorisation de traverser les frontières de l'État pour recevoir des soins médicaux.
Il est également désormais illégal de planifier, de publier ou de participer à des manifestations.
RépondreSupprimerLe droit de se réunir pacifiquement et d'organiser des manifestations publiques contre les actions gouvernementales injustes est inscrit dans la tradition juridique occidentale. Mais pour avoir organisé des manifestations contre la tyrannie du gouvernement australien, Anthony Khallouf a été condamné à plusieurs mois de prison.
Ses «crimes» incluent le non-respect des décrets COVID et «l'encouragement à la commission de crimes», c'est-à-dire le partage d'informations sur l'heure et le lieu des manifestations.
Il est prisonnier politique, comme nombre de ses ancêtres.
Mais au moins Philip Cunningham a été emprisonné parce qu'il s'est livré à de véritables violences.
Khallouf, quant à lui, a été reconnu coupable de… franchir illégalement les frontières de l'État australien.
Cela n'a cependant pas arrêté les protestations.
Des milliers d'ouvriers du bâtiment australiens, par exemple, ont protesté parce qu'ils refusent d'être contraints de se faire vacciner contre leur gré.
Il s'agissait en fait de manifestants pacifiques. Pour de vrai. Ils ont littéralement chanté l'hymne national.
Pourtant, la police les a aspergés de poivre et a tiré des balles en caoutchouc sur la foule de milliers de personnes (dont des enfants).
Ce qui est peut-être encore plus diabolique, c'est que le gouvernement a interdit aux médias de montrer des images de l'événement tel qu'il se déroulait et a restreint l'espace aérien pour empêcher les hélicoptères des médias de filmer.
Cela n'a pas empêché les gens sur le terrain de l'enregistrer avec leurs téléphones.
Dans un échange, un manifestant a filmé un officier de police en train d'accepter: "Je suis tout aussi dépassé par ce putain de [verrouillage] que vous", mais "nous sommes payés pour faire ça [tirer sur des manifestants pacifiques] mon pote..."
Je fais juste mon travail. Je ne fais que suivre les commandes.
D'autres policiers ont été filmés en train de faire du porte-à-porte pour demander aux résidents s'ils prévoyaient d'y assister ou s'ils étaient au courant de manifestations prévues.
Ils ont demandé à un propriétaire s'il se trouvait sur des plateformes de médias sociaux, mais ont refusé de lui dire pourquoi ils avaient ciblé cette adresse en particulier.
Ce qui est vraiment fou, c'est que cet autoritarisme va au-delà de l'hystérie COVID.
Le parlement australien a adopté un nouveau projet de loi éradiquant le droit des Australiens à la confidentialité numérique.
RépondreSupprimerIl s'intitule « Projet de loi 2021 modifiant la législation sur la surveillance (identifier et perturber) ».
Il donne à la police fédérale australienne (AFP) et à l'Australian Criminal Intelligence Commission (ACIC) de nouveaux pouvoirs pour non seulement surveiller les citoyens australiens en ligne, mais aussi prendre en charge et gérer leurs comptes en ligne, verrouiller l'utilisateur réel du compte et ajouter ou supprimer des données.
La police n'a jamais à informer une personne que son compte a été piraté par le gouvernement.
Ce qu'ils appellent des « mandats » n'exigent pas toujours l'approbation d'un tribunal ou d'un juge.
Une « autorisation d'urgence » permet à la police de contourner totalement les tribunaux. Et pourquoi quelqu'un devrait-il s'en préoccuper ? Ce n'est pas comme si le gouvernement australien avait déjà abusé de ses pouvoirs d'urgence auparavant...
Le droit de voyager, le droit de manifester, le droit à la vie privée, le droit à une procédure régulière, le droit de quitter son domicile et de gagner sa vie, ce sont des droits humains fondamentaux qui ont maintenant disparu en Australie.
Il devrait être évident maintenant pour chaque citoyen de n'importe quelle nation occidentale que des « pouvoirs d'urgence » sans fin peuvent facilement faire boule de neige en une dictature à part entière.
https://www.zerohedge.com/political/australias-astonishing-tyranny-keeps-growing
ShortageWatch : "Désolé - Pas de frites avec aucune commande, nous n'avons pas de pommes de terre"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 28 SEP 2021 - 21:25
Rédigé par Matt Stoller via BIG,
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Aujourd'hui, je vais revenir sur le numéro de la semaine dernière sur les pénuries. J'ai reçu une tonne de commentaires, et le sujet a même été abordé lors de la réunion de la Commission fédérale du commerce de la semaine dernière. La bonne nouvelle est que les pénuries sont désormais sur le radar politique, avec un commissaire de la FTC parlant de la montée des entreprises industrielles « Too Big to Fail » provoquant des pénuries dans l'ensemble de l'économie.
* * *
Et maintenant…
"Désolé. Pas de frites avec aucune commande. Nous n'avons pas de pommes de terre."
Dans le dernier BIG numéro, je vous ai demandé de l'aide pour identifier les pénuries dans votre coin de pays. Des centaines d'entre vous ont répondu, je vais donc parler de certaines des histoires de pénurie que vous partagez, ainsi que de la façon dont ce problème résonne parmi les décideurs politiques.
Mon histoire préférée est à la fois typiquement américaine et non américaine. Cela vient d'un agent immobilier de Floride qui était pressé et s'est arrêté chez un Burger King pour le déjeuner. Il a vu un panneau, "Désolé. Pas de frites avec aucune commande. Nous n'avons pas de pommes de terre." Au début, il pensait qu'il imaginait des choses. Quel genre de fast-food n'a plus de frites ? Est-ce, se demanda-t-il, un signe des choses à venir ?
C'est une bonne question. La restauration rapide existe dans un pays d'abondance, de surplus, de nourriture produite en masse avec une infrastructure fiable de camions, de trains, de fermes et de distributeurs. Les pénuries de biens du quotidien sont en conflit non seulement avec la plupart de nos expériences vécues, mais aussi avec notre conception même de qui nous sommes. Il y a un nom pour ce cadre, et ça s'appelle affluence.
En 1958, John Kenneth Galbraith a inventé le terme « The Affluent Society » pour décrire une nation au-delà des préoccupations matérielles, une nation avec une immense richesse impensable. Dans un tel monde, où la souveraineté du consommateur est primordiale, la seule façon de s'en passer est si vous ne pouvez pas vous permettre quelque chose, pas si la société ne peut pas le produire. Pensez à tous les politiciens qui disent "dans le pays le plus riche du monde, nous pouvons sûrement nous permettre XYZ". Au cours des soixante dernières années, à l'exception de la crise pétrolière des années 1970, nous n'avons pas eu à penser à la production. Si vous avez l'argent, vous pouvez obtenir les choses. Mais maintenant, nos systèmes de production, autrefois si résistants et forts qu'ils semblaient invisibles, sont en train de s'effondrer.
Alors, que se passe-t-il dans le cas de ce Burger King en particulier ? C'est difficile à dire, mais le problème est clairement généralisé. Taco Bell, Chick-fil-A et Starbucks ont du mal à s'approvisionner en ingrédients, tout comme les cafétérias des écoles et des collèges. Voici un avis publié sur Reddit sur les districts scolaires ayant des problèmes similaires.
RépondreSupprimerL'un des coupables est l'industrie de la distribution alimentaire, qui est fortement consolidée (en raison de la litanie standard de tactiques anticoncurrentielles telles que les fusions et les contrats d'exclusivité avec les clients et les fournisseurs). Des problèmes dans certaines des plus grandes entreprises, comme Sysco, ont même forcé la fermeture des camps d'été et des restaurants dans certaines régions.
Burger King utilise McLane distribution, une entreprise leader dans la distribution d'épicerie. McLane a du mal à recruter des chauffeurs, ce qui est un problème évident partout. Vous entendrez un certain nombre de causes de cette pénurie, du braconnage par Amazon à un grand nombre de camionneurs prenant leur retraite plutôt que d'être sur la route pendant la pandémie. Voici un GROS lecteur sur le problème.
Les chauffeurs de camion qui transporteraient des marchandises sur des camions à plateau sont recrutés par Walmart et Amazon pour tirer exclusivement des remorques ou des conteneurs d'expédition. Les gros articles comme les pieux en acier et les pièces en béton préfabriqués ne peuvent pas être placés ou ne peuvent pas être chargés dans des conteneurs ou des remorques. Les vendeurs me disent que la demande atteint 40:1, ce qui signifie que pour chaque camion à plateau disponible, il y a jusqu'à 40 clients en attente. Les routes autour de la zone métropolitaine de New York sont plus encombrées que jamais par la circulation des camions, mais nous sommes confrontés à des attentes plus longues et à des prix plus élevés pour transporter des marchandises non conteneurisées.
Si vous écoutez les responsables des transports, ils vous diront la vraie cause. "Cela se résume à de l'argent pour les conducteurs à bien des égards", a déclaré Mark McKendry, vice-président régional de l'intermodalité chez NFI Industries. « Si nous obtenons le bon salaire, vous savez, nous aurons un peu plus de flexibilité. »
Conduire un camion, qui était un travail de la classe moyenne dans les années 1970, est devenu une profession cyclique peu rémunérée avec un épuisement professionnel élevé et peu de stabilité, un soi-disant « sweatshop sur roues ». Bien qu'il soit tentant d'attribuer cette situation aux entreprises de camionnage, la réalité est que le problème est dû à la structure du marché du transport créée par la déréglementation des années 1970. Avant la déréglementation, les régulateurs étatiques et nationaux fixaient les itinéraires et les prix pour les entreprises de camionnage, ce qui laissait une marge suffisante pour faire du camionnage une profession syndiquée bien rémunérée. De telles règles augmentaient les prix d'expédition et étaient souvent inutilement bureaucratiques, mais garantissaient également que le système serait stable, exempt de «concurrence ruineuse», ainsi que de baisses et de pics absurdes des prix et des salaires.
Jimmy Carter, cependant, et une litanie de démocrates, détestaient simplement le syndicat représentant les camionneurs, qui était les Teamsters. Le conseiller de Carter, Alfred Kahn, l'économiste qui a par la suite déréglementé les compagnies aériennes avec l'aide de Stephen Breyer, a été explicite sur la baisse des salaires des camionneurs et la rupture de leur pouvoir politique. (Kahn, ce n'est pas une coïncidence, est aimé des spécialistes de la lutte antitrust de centre-gauche.)
RépondreSupprimerLa déréglementation des années 1970 a forcé les entreprises de camionnage à se faire concurrence pour offrir des prix d'expédition plus bas, et la façon dont elles l'ont fait était en abaissant les salaires de leurs chauffeurs. Le camionnage au niveau de l'entreprise est devenu imprévisible et financièrement fragile, de sorte que pour les chauffeurs, l'horaire est devenu cauchemardesque et insoutenable, même si le salaire pendant les périodes de boom pouvait être élevé. Aujourd'hui, peu de gens pensent que le camionnage a un avenir, et même si les salaires sont élevés, les horaires écrasent les chauffeurs. Et donc, parce que nous avons autorisé un système de camionnage non réglementé pendant des décennies et traité les chauffeurs de camion comme de la merde pendant quarante ans, nous ne pouvons de plus en plus compter sur des frites de Burger King.
https://www.zerohedge.com/economics/shortagewatch-sorry-no-french-fries-any-order-we-have-no-potatoes
Le Dr David Martin expose un complot dangereux pour faire accepter à tout le monde les vaccins COVID-19 – Brighteon.TV
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par : Nolan Barton
- voir clip sur site -
(Natural News) Le Dr David Martin a produit des preuves convaincantes suggérant que le président de l'Alliance EcoHealth, Peter Daszak, prévoyait de générer des tonnes d'argent pour les investisseurs des grandes sociétés pharmaceutiques grâce aux vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) depuis 2015.
EcoHealth est le groupe à but non lucratif qui a reçu une subvention de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) pour étudier les coronavirus chinois des chauves-souris. Des rapports ont révélé qu'EcoHealth avait également reçu 39 millions de dollars du Pentagone et 123 millions de dollars au total de différentes agences gouvernementales jusqu'à l'année dernière.
Martin a cité Daszak disant : « Nous devons accroître la compréhension du public de la nécessité d'une contre-mesure médicale, telle qu'un vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l'économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage publicitaire à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu'ils verront un profit à la fin du processus.
"C'est Peter Daszak, l'architecte de cette pandémie avec [Anthony] Fauci. C'est lui en 2015 disant au monde que nous allons construire un vaccin contre le coronavirus, et la façon dont nous allons amener le public à le consommer est de suivre le battage médiatique. Ses mots, pas les miens », a déclaré Martin à Clay Clark lors du « Thrive Time Show » sur Brighteon.TV.
Selon Martin, la déclaration de Daszak se trouve dans un document intitulé « Développement de contre-mesures médicales (MCM) pour le coronavirus », qui fait partie des « Actes de l'Académie nationale des sciences » daté du 12 février 2016.
« Pourquoi ce type qui a enfreint les lois de financement de la recherche sur le gain de fonction avec les Chinois, pourquoi ce type qu'Anthony Fauci a-t-il laissé diriger l'intégralité de la campagne médiatique tout au long du printemps 2020, pourquoi ce type est-il à la barre ? de tout quand c'est lui qui a admis qu'il s'agissait d'un montage pour que chaque personne accepte un vaccin contre le pan-coronavirus ? » demande Martin.
Ce gars doit être un acteur majeur derrière tout ce gâchis.
RépondreSupprimerDes preuves circonstancielles relient Fauci et Daszak à la recherche sur le gain de fonction
Quelques semaines seulement avant le premier cas signalé de COVID-19 à Wuhan il y a près de deux ans, Daszak a essentiellement admis dans une interview en podcast qu'ils effectuaient des recherches sur le gain de fonction avec les coronavirus.
« Vous pouvez les manipuler assez facilement en laboratoire. La protéine de pointe est à l'origine d'une grande partie de ce qui se passe avec le coronavirus. Ainsi, vous pouvez obtenir la séquence, vous pouvez construire la protéine – et nous travaillons avec Ralph Baric pour ce faire – et insérer l'épine dorsale d'un autre virus et faire du travail en laboratoire », a déclaré Daszak à l'époque.
Dans un e-mail du 1er janvier 2020, le Dr Kristian Anderson, immunologiste au Scripps Research Institute, a déclaré à Fauci que certaines caractéristiques du virus pourraient potentiellement être d'origine humaine. Peu de temps après, Fauci a envoyé un e-mail urgent à son adjoint, Hugh Auchincloss, lui demandant d'examiner un document qu'il joignait, intitulé "Baric, shi et al nature Medicine SRAS gain of function".
Bien que le contenu de la pièce jointe soit inconnu, le titre fait probablement référence au virologue Dr Ralph Baric et au scientifique de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) Dr Shi Zhengli, spécialisé dans les transmissions de coronavirus chez les chauves-souris.
C'est le même avec qui Ralph Baric Daszak a travaillé. Ces e-mails de Fauci ont été rendus publics via des demandes en vertu de la Freedom of Information Act. (Connexe: les Drs Peter Daszak et Anthony Fauci doivent être ARRÊTÉS, alors que de nouvelles informations émergent documentant l'amélioration et le déploiement prévus du coronavirus.)
Dans l'un des e-mails, Daszak a remercié Fauci pour "s'être levé publiquement et avoir déclaré que les preuves scientifiques soutenaient une origine naturelle du COVID-19 à partir d'un débordement de chauve-souris à l'homme".
Daszak a envoyé cet e-mail le 19 avril 2020 – deux jours après que Fauci a annoncé que l'on pensait que le virus avait émergé de chauves-souris en Chine.
Le président d'EcoHealth a ensuite persuadé 26 scientifiques de signer une lettre qu'il avait écrite au Lancet, affirmant que le virus ne pouvait être que d'origine naturelle et suggérer le contraire crée "de la peur, des rumeurs et des préjugés". La lettre a nié catégoriquement que le virus aurait pu provenir d'un laboratoire de Wuhan et l'a rejeté comme une "théorie du complot".
Il peut y avoir un complot derrière cette pandémie, mais l'objectif est certainement plus que de simplement laisser le virus s'échapper d'un laboratoire. Le virus est une arme sans aucun doute, mais l'objectif ultime basé sur la déclaration de Daszak en 2015 est de gagner de l'argent grâce au chaos créé par le battage médiatique.
RépondreSupprimerAinsi, la contre-mesure médicale dont Daszak a parlé en 20015 passe au premier plan : le vaccin COVID-19.
Les investisseurs réagiront lorsqu'ils verront un profit à la fin du processus, a déclaré Daszak. Il est vrai que les dirigeants et les investisseurs de Big Pharma ont considérablement augmenté leur richesse pendant la pandémie.
Le vaccin COVID-19 crée de nouveaux milliardaires Big Pharma
Les militants de la People’s Vaccine Alliance ont analysé les données de Forbes pour mettre en évidence l’énorme richesse générée pour une poignée de personnes grâce à des vaccins largement financés par l’État.
Ils ont découvert que la pandémie a créé au moins neuf nouveaux milliardaires de l'industrie pharmaceutique. (Connexe : Big Money for Big Pharma : la Banque mondiale injectera plus d'argent dans les comptes de Big Pharma.)
Le PDG de Moderna, Stéphane Bancel, est en tête de liste et vaut désormais 4,3 milliards de dollars après que son entreprise est devenue la deuxième à obtenir une autorisation d'utilisation d'urgence aux États-Unis pour son vaccin COVID-19 en décembre de l'année dernière. Ugur Sahin, PDG et co-fondateur de BioNTech, n'est pas en reste avec une fortune de 4 milliards de dollars, suite à sa collaboration sur un vaccin avec Pfizer.
D'autres dirigeants de Moderna en ont également profité, avec l'immunologiste et premier investisseur Timothy Springer qui vaut désormais 2,2 milliards de dollars, le président Noubar Afeyan 1,9 milliard de dollars et le scientifique et investisseur fondateur Robert Langer 1,6 milliard de dollars.
Les cadres supérieurs de CanSino Biologics sont également devenus milliardaires au cours de l'année dernière avec le cofondateur et directeur scientifique de la société chinoise, Zhu Tao, qui vaut désormais 1,3 milliard de dollars, le cofondateur et vice-président principal Qiu Dongxu, qui vaut 1,2 milliard de dollars et le cofondateur et vice-président principal. Le président Mao Huinhoa 1 milliard de dollars. CanSino a développé un vaccin à dose unique dont l'utilisation a été approuvée en Chine en février dernier.
Le président du ROVI, Juan Lopez-Belmonte, figure également sur la liste avec 1,8 milliard de dollars. Le fabricant espagnol de médicaments sous contrat Rovi fabrique des flacons pour le vaccin de Moderna et a conclu le mois dernier un nouvel accord pour commencer à fabriquer ses ingrédients actifs.
RépondreSupprimerLes milliardaires existants de Big Pharma augmentent leur richesse combinée de 32,2 milliards de dollars
Huit milliardaires existants détenant de grosses participations dans de grandes sociétés pharmaceutiques ont également vu leur richesse combinée augmenter de 32,2 milliards de dollars.
Le président de Zhifei Biological Jiang Rensheng et sa famille ont augmenté leur valeur à 24,4 milliards de dollars cette année, contre 7,6 milliards de dollars l'année dernière ; Cyrus Poonawalla, fondateur du Serum Institute of India, vaut maintenant 12,7 milliards de dollars contre 8,2 milliards de dollars; Tse Ping de Sinopharm vaut maintenant 8,9 milliards de dollars contre 7,3 milliards de dollars; Wu Guanjiang, co-fondateur de Zhifei Biological, vaut désormais 5,1 milliards de dollars contre 1,80 milliard de dollars ; Thomas et Andreas Struengmann et leurs familles respectives, qui ont des participations dans BioNTech en Allemagne et Mega Pharma en Uruguay, valent maintenant 11 milliards de dollars chacun contre 9,6 milliards de dollars similaires l'an dernier ; Pankaj Patel de Cadila Healthcare vaut maintenant 5 milliards de dollars contre 2,9 milliards de dollars ; et Patrick Soon-Shiong d'ImmunityBio vaut maintenant 7,5 milliards de dollars contre 6,4 milliards de dollars l'année dernière.
Suivez Immunization.news pour plus d'actualités et d'informations sur les vaccins contre le coronavirus.
Regardez l'épisode du 23 septembre du "Thrive Time Show" ici.
You can catch new episodes of the “Thrive Time Show” with Clay Clark from Monday to Friday at 3:30-4 p.m. on Brighteon.TV
Sources include:
Brighteon.com
TheEpochTimes.com
DailyMail.co.uk
Oxfam.org
https://www.naturalnews.com/2021-09-28-daszak-plotting-to-make-everyone-accept-vaccine.html
L'ivermectine est si sûre que les médecins l'ont administrée aux enfants en âge d'aller à l'école primaire pour traiter les poux à Canberra
RépondreSupprimerSeptember 29th, 2021
En 2010, quelque 700 enfants ont été inscrits à un essai de lutte contre les poux de tête dans deux écoles de Canberra. L'école la plus infectée par les poux a non seulement donné des doses d'ivermectine à 93% de tous les enfants, mais a également envoyé le médicament à la maison pour leurs frères et sœurs. Les détails exacts sont derrière un mur payant, mais des essais similaires comme celui-ci utilisent des doses orales de 200 microgrammes par kilogramme, ce qui est, en l'occurrence, la même dose que la FLCCC recommande aux adultes d'utiliser pour la prévention contre Covid.
À la fin de l'essai scolaire, six mois plus tard, les infestations de poux étaient en baisse de 87 % et « aucun événement indésirable n'a été signalé. "
Mais attendez, qu'en est-il de la diarrhée, des vomissements, des convulsions et du coma qui ont pu s'abattre sur tous ces pauvres enfants ? Qui aurait l'imprudence de distribuer ce médicament ici-bas avec juste une "fiche d'information" ?!
C'est, après tout, ce que disent les experts de l'Université de Sydney, l'une de nos "meilleures" universités, à propos de l'ivermectine en 2021 :
Vous songez à essayer l'ivermectine pour COVID? Voici ce qui peut arriver avec ce médicament controversé
Adoptant une approche scientifique de la désinformation sur les «traitements» non prouvés et potentiellement dangereux, les experts de Sydney expliquent que les effets secondaires vont des vomissements et de la diarrhée aux convulsions et au coma.
Cela peut être un indice :
Qu'est-ce que cela fait à votre corps ?
Nous savons très peu de choses sur ce que le médicament fait aux humains, et le peu que nous savons provient principalement de son utilisation chez les animaux.
Qui étaient ces imbéciles, ignorants des 3,8 milliards de doses d'ivermectine administrées aux humains, plus un prix Nobel, et le titre de « médicament miracle » ? Il s'agissait de docteurs en pharmacologie : l'associé Nial Wheate, le professeur Andrew McLachlan et Slade Matthews de l'Université de Sydney. Des chercheurs qui adoptent apparemment servilement les campagnes Twitter de la FDA, mais ne savent même pas comment rechercher Wikipédia ?
RépondreSupprimerL'associé Nial Wheate, le professeur Andrew McLachlan et Slade Matthews de l'Université de Sydney.
Le genre d'experts que vous obtenez sur The Conversation où l'article a commencé.
La TGA sait que ce médicament est sûr lorsqu'il est prescrit par des médecins, mais ne laissera-t-il pas les médecins le prescrire ?
L'ivermectine a été utilisée avec succès en Australie, en Inde, au Brésil et au Mexique dans des essais cliniques pour réduire les poux de tête. Et il a été utilisé en Inde, au Mexique, au Pérou et en Indonésie pour sauver des vies de Covid. Le risque est faible et les Australiens veulent avoir le droit d'en discuter avec leur médecin. Si la TGA n'a pas examiné certaines des 65 études sur l'ivermectine contre le Covid, n'est-il pas temps de le faire ?
Le gouvernement sert-il le peuple ou le peuple sert-il le gouvernement ?
h/t OriginalSteve
Une étude pilote sur l'utilisation de l'ivermectine par voie orale pour traiter les poux de tête chez les élèves du primaire en Australie
Marian J Currie, et al.
Résumé
RépondreSupprimerLes poux de tête sont un problème de santé publique courant et coûteux dans le monde entier. Nous avons cherché à déterminer la faisabilité d'un programme d'intervention à l'ivermectine. Les élèves consentants de deux écoles ont été soumis à un dépistage des poux de tête. Les élèves et frères et sœurs infestés d'une école ont reçu une fiche d'information sur les poux de tête et deux doses d'ivermectine orale, à 7 jours d'intervalle. Les parents des élèves infestés de l'autre école ont reçu la même fiche d'information et ont été invités à traiter l'enfant et ses frères et sœurs en utilisant leur traitement topique préféré. Sept cent deux des 754 (93,1 %) élèves inscrits dans les deux écoles ont été sélectionnés ; 40 (5,3 % ; IC à 95 % 3,7-6,9) avaient des poux de tête ; 31 (9,4 % ; IC à 95 % 6,1-12,2) dans l'école d'intervention et neuf (2,5 % ; IC à 95 % entre 1,1 et 3,8) dans l'école témoin. Par la suite, 93,6 % des enfants de l'école d'intervention ont été traités à l'ivermectine par voie orale. Aucun événement indésirable n'a été signalé. À 6 mois, la réduction des taux d'infestation par les poux de tête pour les écoles d'intervention et de contrôle était de 87 % et 56 %, respectivement. Cette étude pilote suggère que le dépistage des poux de tête à l'échelle de l'école et l'administration d'ivermectine par voie orale sont réalisables et acceptables. Un essai contrôlé randomisé dans 20 écoles est prévu.
LES RÉFÉRENCES
Bryant, Andrew MSc1,*; Lawrie, Theresa A. MBBCh, PhD2; Dowswell, Thérèse PhD2; Fordham, Edmund J. PhD2; Mitchell, Scott MBChB, MRCS3; Hill, Sarah R. PhD1; Tham, Tony C. MD, FRCP4 (2021) Ivermectine pour la prévention et le traitement de l'infection au COVID-19, une revue systématique, une méta-analyse et une analyse séquentielle d'essais pour éclairer les directives cliniques
American Journal of Therapeutics : 17 juin 2021 – Publication du volume avant impression – Numéro –
doi: 10.1097/MJT.0000000000001402
Munirathinam et al (2009) Impact des combinaisons de médicaments à base d'ivermectine sur l'infestation de Pediculus humanus capitis chez les écoliers du primaire des villages ruraux du sud de l'Inde, Int J Dermatol,. 2009 novembre ; 48 (11) : 1201-5. doi: 10.1111/j.1365-4632.2008.04059.x.
Sanchezruiz et al (2018) Oral ivermectin for the treatment of head lice infestation, Am J Health Syst Pharm
1;75(13):937-943. doi: 10.2146/ajhp170464. Epub 2018 May 22. doi: 10.2146/ajhp170464. Epub 2018 May 22.PMID: 29789316 DOI: 10.2146/ajhp170464
Ameen et al (2010) Oral ivermectin for treatment of pediculosis capitis, Pediatr Infect Dis J, Nov ; 29(11):991-3.
Pilger et al (2009) Household-wide ivermectin treatment for head lice in an impoverished community: randomized observer-blinded controlled trial Bull World Health Organ, Feb;88(2):90-6. doi: 10.2471/BLT.08.051656. Epub 2009 Dec 21.
https://joannenova.com.au/2021/09/ivermectin-is-so-safe-doctors-fed-it-to-primary-school-age-children-to-treat-lice-in-canberra/#more-79581
(...) Nous savons très peu de choses sur ce que le médicament fait aux humains, et le peu que nous savons provient principalement de son utilisation chez les animaux. (...)
SupprimerCe médicament combat les microbes (vivant) et non les poussières inoffensives appelées 'virus'.
Hôpital: 5.700 lits supprimés en 2020 en France
RépondreSupprimer29/09/2021 à 08:28
AFP - Plus de 5.700 lits d'hospitalisation complète ont été fermés en 2020 dans les établissements de santé français, qui ont créé dans le même temps, près de 1.400 places d'hospitalisation partielle, selon une étude du ministère de la Santé publiée mercredi.
Le Covid-19 n'a pas interrompu la réduction inexorable des capacités hospitalières. Au contraire, la crise sanitaire a en partie amplifié les fermetures de lits.
Signe de ce déclin, la France compte désormais moins de 3.000 hôpitaux et cliniques. "Sous l'effet des réorganisations et des restructurations", 25 établissements publics et privés ont fermé l'an dernier, indique la Drees.
Les 2.983 structures encore ouvertes fin 2020 disposaient très exactement de 386.835 lits d'hospitalisation complète fin 2020, soit 5.758 de moins en un an - comparé au dernier bilan pour l'année 2019, publié en juillet par la même direction statistique des ministères sociaux.
Cette baisse est "un peu plus marquée" que les années précédentes, ce qui "pourrait s'expliquer par le contexte d'épidémie", avec "de nombreuses chambres doubles transformées en chambres simples pour limiter la contagion", ainsi que des déprogrammations massives pour réaffecter les personnels soignants dans les services de soins critiques.
Le nombre de lits de réanimation, qui a fortement varié au gré des vagues de Covid, a d'ailleurs terminé l'année en hausse de 14,5% (soit environ 6.200).
Cela n'a pas empêché la tendance de fond du "virage ambulatoire" - sur fond de "contraintes de personnel" - de se poursuivre: 1.369 places d'hospitalisation "de jour" ont été ouvertes en 2020, portant leur nombre total à 80.089.
L'hospitalisation à domicile a dans le même temps connu une "croissance particulièrement vive" de 10,8 %, soit 21.276 patients "pouvant être pris en charge simultanément sur le territoire".
Ce mode de prise en charge représentait ainsi, fin 2020, "7 % des capacités totales en hospitalisation complète" hors psychiatrie, contre 2,1 % en 2006.
https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/hopital-5700-lits-supprimes-en-2020-en-france
France - Nouvelle-Calédonie : "l’île va être un théâtre expérimental surprenant"
RépondreSupprimerle 28/09/2021 à 15:51 - Mise à jour à 15:52
Que le monde ouvre l’œil
Alors que l'obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l'actualité s'y montre dense depuis, nous avons recueilli les propos de l'association ReinfoCovid sur place pour faire un point sur la situation sanitaire :
En Nouvelle-Calédonie, l’obligation vaccinale pour les majeurs à été votée au début du mois. Comment voyez-vous l’épidémie évoluer depuis ?
L’obligation vaccinale pour les majeurs a été votée le 03 septembre 2021 par le Congrès, quelques jours avant la détection d’un premier cas officiel de covid-19 en Nouvelle-Calédonie sur l’année 2021, jusque-là "Covid-free". Depuis la détection de ce premier cas, de nombreux cas ont été détectés, avec, d’après les chiffres officiels au 25 septembre, 339 hospitalisations, 56 réanimations, 1 986 guérisons et 73 décès. Nous regrettons et dénonçons la décision de classer « covid » tout décès spontané sur le territoire, ce qui fausse les chiffres à la hausse et crée de la panique au sein de la population à l’annonce des décès dits « Covid » dans les médias locaux.
Pourtant, de nouvelles mesures de restrictions ont été remises en place juste après, et le gouvernement a annoncé renforcer ses aides économiques pour les entreprises calédoniennes. Comment la population réagit-elle face à cela ?
Le confinement strict a été annoncé le lendemain de la détection du premier cas covid-19, pour une durée de 15 jours, et a par la suite été prolongé jusqu’au 4 octobre (au moins). La population reste divisée sur la prolongation du confinement. Malgré les aides économiques, l’impact reste important, et d’autres secteurs comme l’éducation, avec la fermeture des établissements scolaires, sont fortement impactés. Une partie de la population est consciente qu’il n’a jamais été prouvé que le confinement réduisait la propagation de l’épidémie.
La population réagit très globalement dans la peur, celle d’attraper le virus et d’en mourir, comme cela est martelé quotidiennement dans les médias, avec désormais cette obligation à la vaccination pour les plus de 18 ans, qui est présentée comme la seule et unique solution pour éviter la mort.
Pour autant, le travail de ré-information de RéinfoCovid NC, depuis des mois maintenant, invite la population à la plus grande prudence face à l’injection expérimentale, avec le recul que l’on a des pays très majoritairement vaccinés. Ces derniers n’ont toujours pas « éradiqué » l’épidémie, bien au contraire, ils connaissent une recrudescence sans précédent de malades du covid parmi la population vaccinée et l’encombrement des hôpitaux.
RépondreSupprimerLa population du pays est de plus en plus consciente du besoin de traitements qui fonctionnent partout dans le monde, comme l’ivermectine, bien que les autorités locales ne permettent pas aux médecins de prescrire ces traitements précoces, ce que nous condamnons formellement. Depuis le vote de l’obligation vaccinale pour les plus de 18 ans, une partie de la population s’est jetée sur les « vaccinodromes » déployés en masse partout dans le pays. Après une quinzaine de jours, le rythme de vaccination a fortement diminué, ce que l’on explique par la réticence de la population non vaccinée à recevoir un produit expérimental, et du fait aussi de la survenue de nombreux effets indésirables, parmi lesquels plusieurs décès post-vaccinaux, qui n’ont pas fait la une des journaux locaux mais qui font l’objet de témoignages sur les réseaux sociaux.
D’un point de vue juridique, plusieurs recours en référé contre la délibération 44/CP ont été portés, notamment par une association locale et des citoyens.
Vous parliez d’un grand jour et d’un « ultimatum pour le gouvernement », pouvez-vous nous expliquer ?
Mercredi 22 septembre 2021, a été remis au gouvernement, au Congrès et au Haut-Commissariat de la République (représentant l’État français), un courrier commun signé par une quinzaine de collectifs, d’associations, de syndicats, de représentants du personnel, de professionnels et de citoyens, dans lequel nous demandons l’annulation pure et simple de la délibération 44/CP portant sur l’obligation vaccinale, pour laisser libre choix à chacun d’une liberté vaccinale avec une information claire, loyale, libre et appropriée.
Nous demandions également la mise en place de protocoles thérapeutiques préventifs et précoces pour la prise en charge du covid-19, en particulier l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et certains antibiotiques (azytromicine et doxycycline). Nous réclamions également la libre prescription par les médecins de terrain.
Nous demandions enfin de cesser les discussions visant à l’instauration d’un « passe sanitaire » en Nouvelle-Calédonie, dispositif liberticide et discriminatoire qui ne sera pas accepté par la population.
RépondreSupprimerDans ce courrier, nous avions invité expressément les autorités à accueillir les représentants de chaque entité signataire sous 48h afin d’obtenir une réponse à nos demandes. Aucune réponse n’a été faite à l’heure actuelle.
En parallèle, un rassemblement pacifique citoyen a été organisé à Nouméa par les entités signataires le 25 septembre, rassemblant environ 8 000 personnes, pour la liberté vaccinale, pour l’annulation de la délibération 44/CP, pour la liberté de se soigner, pour la libre prescription des médecins et le refus du « passe sanitaire ».
Lien vers la vidéo du rassemblement
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Non loin de chez vous, le Dr Théron, qui exerce sur l’île de Tahiti, a été placé en garde à vue au début du mois. Avez-vous eu vent des réactions en Polynésie ?
En effet, nous avons vu les réactions vives de la population, en soutien au Dr Théron, suite à cette mise en garde à vue. Les images de son « interpellation », où il a été traîné littéralement comme un terroriste par les forces de l’ordre ont profondément choqué les populations dans toute la zone pacifique. Nous adressons tout notre soutien au Dr Théron, ainsi qu’à la population de la Polynésie. En Nouvelle-Calédonie, la pétition de soutien au Dr Théron a été relayée massivement.
À la proue du monde, l’île va être un théâtre expérimental surprenant. Que le monde ouvre l’œil. Le peuple est éveillé. Témoignages et plaintes risquent de bouleverser l’épisode insulaire…
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/reinfo-covid-nouvelle-caledonie
PRIX DE L'ÉNERGIE : DES MESURES DE SOUTIEN EN PRÉPARATION PAR LE GOUVERNEMENT
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
29/09/2021
La hausse annuelle sur les factures de l'énergie pourra monter à 400 euros.
La flambée programmée des prix du gaz le 1er octobre 2021 et de l'électricité en début d'année prochaine est une bombe à fragmentation sociale et politique que le gouvernement cherche à désamorcer au plus vite. Des mesures de soutien supplémentaires vont être mises en place pour les ménages les plus modestes.
Une aide supplémentaire de 150 euros va être versée au printemps prochain dans le cadre du chèque énergie, a annoncé Bruno Le Maire à CNews. Cette somme s'ajoute aux 100 euros de plus que recevront les ménages les plus modestes au mois de décembre pour faire face à la flambée des factures de ces prochains mois : la hausse annuelle devrait en effet s'établir entre 300 à 400 euros. Le ministre de l'Économie prévient que la hausse sur les prix de l'énergie va « perdurer quelques mois ». En plus de l'augmentation vertigineuse du gaz, qui sera de 12,6% au 1er octobre, il indique qu'il existe des risques d'augmentation des tarifs de l'électricité pour le mois de janvier 2022.
Bombe sociale à retardement
« Le gouvernement a parfaitement conscience du problème et voit parfaitement à quel point cela peut peser sur le pouvoir d'achat des ménages », a-t-il insisté. La solution, pour le moment, n'est pas de baisser la TVA pour atténuer l'augmentation prévue des prix de l'énergie. « On n'a pas de marge de manoeuvre. La seule, c'est le chèque énergie », indique le ministre. Pour lui, il faut jouer la carte européenne, car « il y a une aberration au niveau européen. La flambée du gaz se répercute sur le prix de l'électricité. D'un point du vue économique c'est absurde et d'un point de vue écologique c'est incohérent ». Le gaz est une énergie fossile, l'électricité est produite, en France du moins, avec le nucléaire. « Je ne supporte pas la corrélation entre une énergie fossile et l'énergie nucléaire », assène-t-il.
Chèque énergie
Pour réduire le fardeau de la hausse des prix de l'énergie, Gabriel Attal a déclaré que le gouvernement travaillait à des mesures de soutien supplémentaires. « En plus du chèque énergie que l'on a augmenté de 100 euros pour 6 millions de ménages, on réfléchit à d'autres mesures, notamment s'agissant du prix du gaz », a indiqué le porte-parole du gouvernement sur Europe 1. Il n'a cependant pas voulu entrer dans les détails, mais il ne fait guère de doute que cette question des prix de l'énergie va occuper la pré-campagne présidentielle ces prochains mois.
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