- ENTREE de SECOURS -



mardi 30 mars 2021

Nucléaire et « taxonomie » : Macron écrit à l’Union européenne

Étrangement, le financement du nucléaire dans le mix énergétique européen est actuellement écarté par la future « taxonomie » de l’Union européenne.


Par Michel Gay.

 30 MARS 2021 

 

Étrangement, le financement du nucléaire dans le mix énergétique européen est actuellement écarté par la future « taxonomie » de l’Union européenne.

Pour corriger cette anomalie, Emmanuel Macron et les Premiers ministres de six pays européens (Hongrie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Slovaquie et Slovénie) ont adressé une lettre commune à la Commission européenne (UE) le 19 mars 2021 pour rappeler le rôle de l’énergie nucléaire dans les efforts à accomplir pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

NUCLÉAIRE : UN APPEL URGENT

Cet appel intervient en pleine discussion à Bruxelles sur la future « taxonomie » européenne qui doit conditionner l’accès aux financements européens des énergies avantageuses pour la neutralité climatique visée en 2050.

Certains pays sont favorables à l’inclusion du nucléaire dans cette « taxonomie » permettant ainsi l’accès aux financements européens en raison de ses faibles émissions de CO2. Cette qualité est un avantage dans la lutte contre le réchauffement climatique pour succéder au gaz russe, au charbon allemand, et au pétrole.

D’autres pays y sont opposés, comme l’Allemagne qui rate sa transition énergétique, ainsi que l’Autriche.

Les sept signataires de haut niveau de cette lettre demandent ensemble à la Commission européenne :

d’assurer dans l’UE des règles équitables entre les différentes sources d’énergies décarbonées, dont le nucléaire,

de ne pas exclure le nucléaire des politiques climatiques et énergétiques,

et que « la politique énergétique et climatique de l’UE soutiennent toutes les voies vers la neutralité climatique, selon le principe de la neutralité technologique ».

Les signataires soulignent enfin que « toutes les technologies disponibles et futures à zéro et à faibles émissions doivent être traitées également dans toutes les politiques visant à atteindre la neutralité climatique d’ici 2050 ».

MANŒUVRES EN COULISSES ?


Il est stupéfiant que de sombres manœuvres de lobbies écologistes antinucléaires aient réussi à faire écarter des financements l’UE sur le principal moyen de produire de l’électricité décarbonée.

Pourtant, au Creusot le 8 décembre 2020, le Président Macron avait souligné le rôle central du nucléaire pour l’avenir de la France en précisant que « notre avenir énergétique et écologique passe par le nucléaire ».

https://www.contrepoints.org/2021/03/30/394193-nucleaire-et-taxonomie-macron-ecrit-a-lu

80 commentaires:


  1. Faut quand même être le roi des cons pour ne pas s'attaquer de front à ce qui serait gênant ! Le bon gaz carbonique (celui qui fait pousser les plantes) ne serait pas le même que celui expiré par 7 milliards d'individus + tous les ânes, éléphants, lions, veaux, vaches et couvées ! Et celui des industries encore un autre. Y aurait des gaz carbonique noirs, blancs, de gauche, de droite et des extrêmes, sans parler de ceux qui vont à la messe le dimanche ou qui s'enferment en des mosquées !

    Bref, rien que du beau monde pas fréquentable qui passe son temps à se recycler (formation non-payée par l'Etat) pour faire croire qu'il n'est plus là ! Et il y arrive ! Certains passent par les arbres pour se convertir en oxygène ! d'autres par la surface des eaux où des passeurs appelés des 'phytoplanctons' les travestissent en nano-particules de carbone (charbon) et recommencent le cycle du vas-y-qu'j'te-brûle et du fout-le-camps-enfumé !

    Mais... y des plus cons que çà ! Eux, ils s'appellent 'chef' (2 plumes: Une sur la tête et l'autre dans le cul) et veulent confiner tous les gaz carboniques car il y aurait un virus (appelé Oxygène) qui pourrait être recombinant, variant, mutant, bref, une vraie tantouze du recyclage qui cherche encore où est sa poubelle avec son nom dessus.

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  2. Fait indéniable: le «dioxyde de carbone» n'est PAS un «polluant» mais un donneur de vie


    28 mars 2021
    par Robert


    «Sans une dépendance continue au carbone-énergie, une grande partie de la population canadienne mourrait tout simplement de froid au cours des prochains hivers.»
    - Le chimiste Dr Klaus L.E. kaiser

    ____

    Lettre ouverte au Premier ministre canadien du chimiste Dr Klaus L.E. Kaiser.
    Fait indéniable: le «dioxyde de carbone» n'est PAS un «polluant» mais un donneur de vie

    27 mars 2021

    Cher Premier Ministre,

    Vraisemblablement, vous avez accueilli favorablement la décision de la Cour suprême sur la «taxe carbone».

    Je ne manque jamais de m'étonner à quel point le «changement climatique» est assimilé au «dioxyde de carbone» (communément appelé simplement «carbone») ou même appelé «pollution par le carbone». En fait, le gaz carbonique est la substance absolument vitale pour toute vie sur Terre !

    La décision ne mentionne que le «carbone» et la «pollution». C’est simplement plus de malentendus, de confusion et de «politique».
    Oui, le «changement climatique» se poursuit (de haut en bas) depuis que cette planète a vu le jour. Il y a à peine 22 000 ans, tout l'est du Canada était recouvert d'une couche de glace épaisse de 1 à 3 km. Depuis lors, sur une période d'environ 15 000 ans, il a tout simplement fondu avec le «changement climatique» naturel.

    Une personne sensée pense-t-elle vraiment que c'était à cause des feux de camp des quelques terriens habitant alors les continents ? Et pourquoi ce processus naturel aurait-il dû s'arrêter une fois que la glace avait disparu ? De plus, des analyses d'échantillons de carottes de glace profonde ont montré que le gaz carbonique a augmenté bien après que la glace a commencé à fondre, avec un décalage de près de 1000 ans.

    Le désir actuel de «décarbonisation», semblable à une secte, des besoins énergétiques de l’humanité entraîne de graves conséquences négatives, en particulier pour les générations futures - et n’a aucun effet sur le «changement climatique».

    La décision rendue hier par la Cour suprême du Canada (CSC), confirmant la légitimité de la «taxe sur le carbone», c'est-à-dire la loi de 2018, intitulée «Loi sur la tarification de la pollution par les gaz à effet de serre»: est une parodie.

    En tant que chimiste, je suppose que la loi elle-même, par son seul titre, est une parodie !

    Bien que la CSC n'ait peut-être pas eu le choix de statuer différemment, du point de vue de sa légalité, la loi elle-même repose sur un langage et une interprétation trompeurs / erronés de faits scientifiques.

    Bien sûr, peu de juges savants ont eu les connaissances ou la formation nécessaires pour comprendre la chimie, la physique, la biologie, l'écologie, la géologie et des domaines connexes; pas plus que la plupart de nos illustres politiciens.

    La décision ne mentionne que le «carbone» et la «pollution». C’est simplement plus de malentendus, de confusion et de «politique».

    Le fait indéniable est que le «dioxyde de carbone» n’est PAS un «polluant» mais un gaz trace absolument vital dans l’atmosphère terrestre, actuellement à environ 0,04 % de tous ses composants.

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  3. Faits scientifiques incontestés
    Sans ce gaz carbonique dans l'atmosphère, toute vie sur Terre cesserait d'exister!
    Sans ce gaz carbonique dans l'atmosphère, aucun oxygène ne serait produit; Le gaz carbonique est / a été la seule source d'oxygène moléculaire (que nous respirons à chaque respiration) !
    Sans l'approvisionnement régulier en gaz carbonique des milliers de volcans et de fumerolles actifs, la vie sur Terre serait déjà au point mort.
    Sans ce gaz carbonique dans l'atmosphère, les océans et (la plupart) des eaux douces deviendraient «acidifiés».
    Sans l'utilisation de ressources de type carbone (comme le charbon, le pétrole et le gaz naturel), le monde ne peut pas continuer.
    Sans une dépendance continue au carbone-énergie, une grande partie de la population canadienne mourrait de froid tout simplement au cours des prochains hivers.
    Les déclarations ci-dessus sont tous des faits scientifiques incontestés, connus depuis des décennies / siècles déjà !

    Meilleures salutations,
    Dr Klaus L.E. kaiser

    https://www.iceagenow.info/undeniable-fact-carbon-dioxide-is-not-a-pollutant-but-a-giver-of-life/

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    Réponses
    1. N'oublions pas qu'à chaque inspiration nous respirons toutes & tous du méthane, de l'azote, du gaz carbonique et aussi de l'oxygène. Mais, notre organisme ne transforme pas le méthane en gaz carbonique ! Notre organisme ne transforme pas l'azote en gaz carbonique ! Notre organisme ne transforme pas le gaz carbonique en nouveau gaz carbonique !

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  4. Il est temps de boycotter les panneaux solaires fabriqués par des esclaves ?

    Combien de maisons australiennes sont couvertes des pièges du travail des esclaves ? L'UE a découvert que certains rats éthiques habitent leurs toits.


    March 30th, 2021


    Tim Blair remarque une hypocrisie turbo parmi ceux qui nous font normalement la leçon sur le consumérisme éthique.

    Solaire: source d'esclavage, approuvé par le vert, subventionné par l'impôt
    La nourriture, les vêtements, le café et même les cristaux de guérison magiques d'origine éthique attirent beaucoup les types verts concernés, qui prétendent s'inquiéter profondément de l'origine de tout ce qu'ils achètent.

    Mais les mêmes types ne sont pas trop préoccupés par les origines de leurs panneaux solaires sacrés.

    En effet. Le mois dernier, une mauvaise nouvelle a été annoncée: «Presque tous les panneaux solaires vendus dans l’Union européenne ont leurs origines dans la région opprimée du Xinjiang en Chine.»

    Les craintes concernant le travail forcé des musulmans en Chine planent sur l'énergie solaire de l'UE
    Politico

    Les panneaux comprennent des composants produits dans la région chinoise du Xinjiang, où il y a des inquiétudes concernant les camps de travaux forcés pour les minorités musulmanes, y compris les Ouïghours.

    L’industrie solaire et les législateurs bruxellois affirment que la poussée des énergies renouvelables de l’Europe ne devrait pas avoir un coût humain au milieu des préoccupations internationales de longue date concernant les informations selon lesquelles la Chine a détenu 1 million de personnes d’origine musulmane dans des camps du Xinjiang et les met au travail.

    L'énergie solaire utilise des esclaves de tous les côtés
    Les esclaves orientaux fabriquent les panneaux, et les esclaves occidentaux paient pour subventionner les panneaux solaires d’autres personnes.

    Si seulement l'énergie solaire était compétitive - nous pouvions nous permettre de payer de vrais travailleurs dans de vraies usines, et dire non grâce aux subventions - et toujours obtenir de l'électricité bon marché à la fin.

    Paul Homewood souligne que les dix principaux fabricants de panneaux solaires sont des entreprises en Chine, en Chine, en Chine, au Canada, en Chine, en Chine, aux États-Unis, en Allemagne et à Taiwan. Même la fabrication canadienne dépend d’usines en Asie ou en Amérique latine et Panasonic a abandonné ses usines solaires en Malaisie et au Japon. Qui peut rivaliser avec le travail forcé ?

    - voir graphique sur site -

    Fabrication solaire, pays d'origine. Graphique.
    Statista h / t Paul Homewood, Notalotofpeople knowthat

    Homewood résume le Catch-22:

    Naturellement, les fabricants potentiels de panneaux solaires en Europe aimeraient voir des tarifs punitifs, mais cela aurait un impact drastique sur les coûts, détruisant l'idée que l'énergie solaire est compétitive.

    Je suppose que, malgré les protestations des députés européens, peu de choses changeront et les yeux seront fermés, tout comme avec le nouveau gazoduc russe vers l'Allemagne. Et tout pour quoi? L'énergie solaire dans l'UE ne représente que 1,8 % de la consommation d'énergie primaire.

    Greenpeace affirme que le changement climatique est une question de droits humains jusqu'à ce que ce ne soit pas le cas. C’est vraiment un problème économique, n’est-ce pas ?

    Plus d'argent pour les Verts et leurs amis.

    https://joannenova.com.au/2021/03/time-to-boycott-slave-made-solar-panels/

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  5. La dystopie totalitaire émergente — Entretien avec le professeur Mattias Desmet


    Patrick Dewals — Lockdown Sceptics
    Sott.net
    sam., 27 mar. 2021 16:51 UTC


    Peu de phénomènes ont eu un impact profond au niveau mondial aussi rapidement que l'actuelle épidémie de Coronavirus. En un rien de temps, la vie humaine a été complètement réorganisée. J'ai demandé à Mattias Desmet, psychothérapeute et professeur de psychologie clinique à l'université de Gand, comment une telle chose est possible, quelles en sont les conséquences et à quoi nous pouvons nous attendre à l'avenir.

    Près d'un an après le début de la Coronacrise, comment se porte la santé mentale de la population ?

    Mattias Desmet — Pour l'instant, il existe peu de chiffres qui montrent l'évolution d'indicateurs possibles comme la prise d'antidépresseurs et d'anxiolytiques ou le nombre de suicides. Mais il est surtout important de replacer le bien-être mental lié à la Coronacrise dans sa continuité historique. La santé mentale était en déclin depuis des décennies. Le nombre de dépressions et de problèmes d'anxiété ainsi que le nombre de suicides ont depuis longtemps régulièrement augmenté. Et ces dernières années, l'absentéisme dû à la souffrance psychologique et aux burnouts a connu une croissance énorme. L'année précédant l'épidémie de Coronavirus, on pouvait sentir ce malaise croître de manière exponentielle. Cela donnait l'impression que la société se dirigeait vers un point de basculement où une « réorganisation » psychologique du système social était impérative. C'est ce qui se passe avec la Coronacrise. Au début, nous avons remarqué que des personnes ayant peu de connaissances sur le virus évoquaient des peurs terribles, et une véritable réaction de panique sociale s'est manifestée. Cela se produit surtout si une forte peur sous-jacente existe déjà chez une personne ou au sein d'une population.

    Les dimensions psychologiques de l'actuelle Coronacrise sont sérieusement sous-estimées. Une crise agit comme un traumatisme qui prive un individu de son sens de l'histoire. Le traumatisme est considéré comme un événement isolé en soi, alors qu'il fait partie d'un processus continu. Par exemple, nous négligeons facilement le fait qu'une partie importante de la population a été lors du confinement initial étrangement soulagée, se sentant libérée du stress et de l'anxiété. J'ai régulièrement entendu des gens dire : « Oui, ces mesures sont sévères, mais au moins je peux me détendre un peu ». Parce que le train-train de la vie quotidienne s'est arrêté, un calme s'est installé dans la société. Le confinement a souvent libéré les gens d'une ornière psychologique, ce qui a permis de créer un soutien inconscient pour le confinement. Si la population n'avait pas déjà été épuisée par sa vie, et surtout par son travail, elle n'aurait jamais soutenu le confinement. Du moins pas en tant que réponse à une pandémie qui n'est pas trop grave par rapport aux grandes pandémies du passé. Quelque chose de similaire s'est produit lorsque le premier confinement a pris fin. On a alors régulièrement entendu des déclarations telles que « Nous n'allons pas recommencer à vivre comme avant, être à nouveau coincés dans les embouteillages », etc. Les gens ne voulaient pas revenir à la vie normale d'avant la Coronacrise. Si nous ne tenons pas compte du mécontentement de la population vis-à-vis de son existence, nous ne comprendrons pas cette crise et nous ne pourrons pas la résoudre. D'ailleurs, j'ai maintenant l'impression que la nouvelle normalité est redevenue une ornière, et je ne serais pas surpris que la santé mentale commence vraiment à se détériorer dans un avenir proche. Peut-être surtout s'il s'avère que le vaccin n'apporte pas la solution magique que l'on attend de lui.

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  6. Les cris de désespoir des jeunes apparaissent régulièrement dans les médias. Dans quelle mesure les prenez-vous au sérieux ?

    Mattias Desmet — Eh bien, vous devez savoir que les confinements et les mesures associées diffèrent complètement selon qu'il s'agit de jeunes ou d'adultes. À la différence d'un adulte d'âge moyen, la durée d'une année pour un jeune signifie une période au cours de laquelle il subit un énorme développement psychologique, dont une grande partie se déroule dans le dialogue avec ses pairs. Les jeunes d'aujourd'hui vivent cette période dans l'isolement, et il se pourrait bien que cela ait des conséquences négatives pour la majorité d'entre eux. Mais tout est complexe lorsqu'il s'agit des jeunes. Par exemple, ceux qui souffraient auparavant d'anxiété sociale aiguë ou d'isolement social se sentent peut-être mieux aujourd'hui parce qu'ils ne sont plus les inadaptés. Mais de manière générale, la jeunesse est sans doute la plus touchée par cette Coronacrise.

    Qu'en est-il de l'anxiété chez les adultes ?

    Mattias Desmet — Chez les adultes, la peur existe également, mais l'objet de la peur diffère. Certains ont surtout peur du virus lui-même. Certains habitants de ma rue osent à peine sortir de chez eux. D'autres ont peur des conséquences économiques des mesures. Et d'autres encore redoutent les changements sociaux qu'elles induisent. Ils craignent l'émergence d'une société totalitaire. Comme moi (rires).

    Les taux de mortalité et de morbidité associés au coronavirus sont ils proportionnels aux réactions de peur ?

    Mattias Desmet — La maladie et la souffrance sont toujours mauvaises, mais les effets délétères de la réponse du gouvernement sont disproportionnés par rapport au risque sanitaire du virus. Professionnellement, je suis impliqué dans deux projets de recherche sur le Coronavirus. Par conséquent, j'ai travaillé de manière assez intensive avec les données. Il est clair que le taux de mortalité du virus est assez faible. Les chiffres annoncés par les médias sont basés sur un décompte, disons, trop enthousiaste. Indépendamment de tout problème médical préexistant, à peu près toutes les personnes âgées qui sont mortes ont été ajoutées à la liste des décès imputables au virus. Je ne connais personnellement qu'une seule personne qui a été enregistrée comme morte du coronavirus. Il s'agissait d'un patient atteint d'un cancer en phase terminale qui est mort avec et non à cause du coronavirus. Le fait d'ajouter ces types de décès aux décès dus au coronavirus augmente les chiffres et accroît l'anxiété de la population.

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  7. Plusieurs médecins urgentistes m'ont appelé pendant la deuxième vague. Certains m'ont dit que leur service n'était absolument pas envahi de patients atteints du coronavirus. D'autres m'ont dit que plus de la moitié des patients de l'unité de soins intensifs n'avaient pas le syndrome du coronavirus ou présentaient des symptômes si légers qu'ils auraient été renvoyés chez eux pour guérir, si on leur avait diagnostiqué une grippe. Mais vu la panique ambiante, cela s'est avéré impossible. Malheureusement, ces médecins ont souhaité rester anonymes, de sorte que leur message n'a pas atteint les médias et l'opinion publique. Par la suite, certains d'entre eux ont également raconté leur histoire à un journaliste de la chaîne d'information VRT, mais malheureusement rien n'en est ressorti à ce jour. Et je tiens à mentionner que d'autres médecins ont interprété les faits apparents d'une manière complètement différente de celle décrite dans le récit conventionnel.

    Nous sommes frappés par la disparition de la capacité à critiquer le consensus et les mesures contre le coronavirus, même au sein du monde académique où les idéaux scientifiques exigent un tel esprit critique. Comment l'expliquez-vous ?

    Mattias Desmet — Ne vous méprenez pas : à l'université et dans le monde médical, de nombreuses personnes sont stupéfaites par ce qui se passe. J'ai pas mal d'amis dans le domaine médical qui n'acceptent pas la narration officielle. Ils disent « Ouvrez les yeux, ne voyez-vous pas que ce virus n'est pas la peste ? ». Mais trop souvent, ils ne font pas le pas de le dire publiquement. De plus, pour chaque voix critique, trente autres suivent la narration officielle, même si cela signifie qu'elles doivent abandonner leurs normes scientifiques critiques.

    Est-ce un signe de lâcheté ?

    Mattias Desmet — Dans certains cas, ça l'est. En fait, on peut en tout lieu distinguer trois groupes. Le premier groupe ne croit pas à la version officielle et le dit publiquement. Le deuxième groupe n'y croit pas non plus, mais l'accepte publiquement parce que, compte tenu de la pression sociale, il n'ose pas faire autrement. Enfin, le troisième groupe croit vraiment au récit dominant et éprouve une véritable peur du virus. Ce dernier groupe se retrouve certainement aussi dans les universités.

    Il est frappant de constater que les études scientifiques, également dans le cadre de cette Coronacrise, révèlent des résultats très divers. Sur la base de ces résultats, les scientifiques peuvent défendre des théories presque diamétralement opposées comme étant la seule vérité. Comment une telle chose est-elle possible ?

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  8. Mattias Desmet — La recherche sur le coronavirus regorge en effet de contradictions. Par exemple, en ce qui concerne l'efficacité des masques faciaux ou de l'Hydroxychloroquine, le succès de l'approche suédoise ou l'efficacité du test PCR. Plus curieusement encore, les études contiennent un nombre considérable d'erreurs improbables qu'une personne normalement saine d'esprit ne devrait pas commettre. C'est encore le cas pour ce qui est d'établir le nombre absolu d'infections, alors qu'un écolier sait que cela ne veut rien dire tant que le nombre d'infections détectées n'est pas comparé au nombre de tests effectués. Il est évident que plus vous effectuez de tests, plus votre taux d'infection risque d'augmenter. Est-ce si difficile à comprendre ? En outre, il faut garder à l'esprit que le test PCR peut donner un grand nombre de faux positifs, car cette technique est largement utilisée à mauvais escient pour ce qui est de diagnostiquer. Tout cela fait que l'inexactitude des chiffres diffusés quotidiennement par les médias est si grande que certaines personnes soupçonnent de manière légitime une conspiration, bien qu'apocryphe à mon avis.

    Là encore, il est préférable de replacer ce phénomène dans une perspective historique, car la qualité problématique de la recherche scientifique ne constitue pas un problème nouveau. En 2005, la « crise de la réplication » a éclaté dans les sciences. Plusieurs comités créés pour enquêter sur des cas de fraude scientifique ont constaté que la recherche scientifique fourmille d'erreurs. Souvent, les conclusions énoncées sont d'une valeur très douteuse. Dans le sillage de cette crise, plusieurs articles ont été publiés avec des titres qui laissent peu de place à l'imagination. En 2005, John Ioannidis, professeur de statistiques médicales à Stanford, a publié « Why most published research findings are false » [Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux - NdT]. En 2016, un groupe de recherche différent a écrit sur le même sujet, dans « Reproducibility: a Tragedy of Errors » [Reproductibilité : une tragédie d'erreurs - NdT] publié dans la revue médicale Nature. Ce ne sont là que deux exemples de la très vaste littérature décrivant ce problème. Je suis moi-même bien conscient de la fragilité des fondements scientifiques relatifs à de nombreux résultats de recherche. En plus de ma maîtrise en psychologie clinique, j'ai obtenu une maîtrise en statistiques. Mon doctorat portait sur les problèmes d'évaluation dans le domaine de la psychologie.

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  9. Comment la critique a-t-elle été reçue au sein du monde scientifique ?

    Mattias Desmet — Elle a d'abord provoqué une onde de choc, après quoi on a tenté de résoudre la crise en exigeant plus de transparence et d'objectivité. Mais je ne pense pas que cela ait résolu grand-chose. La cause du problème réside plutôt dans un type spécifique de science qui a émergé au cours du siècle des Lumières. Cette science est fondée sur une croyance absolue en l'objectivité. Selon les adeptes de cette vision, le monde est presque totalement objectivable, mesurable, prévisible et vérifiable. Mais la science elle-même a montré que cette idée est intenable. Il existe des limites à l'objectivité et, selon le domaine scientifique, on a de fortes chances de rencontrer ces limites. La physique et la chimie se prêtent encore relativement bien à l'évaluation. Mais c'est beaucoup moins le cas dans d'autres domaines de recherche tels que l'économie, la science biomédicale ou la psychologie, où un chercheur a plus de chances de découvrir que la subjectivité d'un chercheur a eu une influence directe sur ses observations. Et c'est précisément ce noyau subjectif que les scientifiques ont cherché à éliminer du débat scientifique. Paradoxalement — mais sans surprise — ce noyau s'épanouit dans son exil, conduisant à l'opposé complet du résultat espéré. À savoir, un manque radical dans l'objectivité et une prolifération de la subjectivité. Ce problème a persisté même après la crise de la réplication et n'a pas été résolu malgré les efforts des critiques. Par conséquent, aujourd'hui, 15 ans plus tard, dans les affres de la Coronacrise, nous continuons à faire face aux exacts mêmes problèmes.

    Les politiciens actuels fondent-ils les mesures contre le coronavirus sur des principes scientifiques incorrectement établis ?

    Mattias Desmet — Je pense que oui. Ici aussi, nous observons une sorte de croyance naïve en l'objectivité qui se transforme en son contraire : un grave manque d'objectivité avec des monceaux d'erreurs et de négligences. En outre, il existe un lien sinistre entre l'émergence de ce type de science absolutiste et le processus de manipulation et de totalitarisation de la société. Dans son livre Les origines du totalitarisme, la penseuse politique germano-américaine Hannah Arendt décrit brillamment comment ce processus s'est déroulé, entre autres, dans l'Allemagne nazie. Par exemple, les régimes totalitaires naissants s'appuient généralement sur un discours « scientifique ». Ils affichent une grande préférence pour les chiffres et les statistiques, qui dégénèrent rapidement en pure propagande, caractérisée par un radical « mépris des faits ». Par exemple, le nazisme a fondé son idéologie sur la supériorité de la race aryenne. Toute une série de données dites scientifiques étayaient leur théorie. Nous savons aujourd'hui que cette théorie n'avait aucune validité scientifique, mais les scientifiques de l'époque utilisaient les médias pour défendre les positions du régime. Hannah Arendt décrit comment ces scientifiques ont invoqué des références scientifiques douteuses, et pour le souligner elle utilise le mot « charlatans ». Elle décrit également comment l'émergence de ce type de science et de ses applications industrielles s'est accompagnée d'un inévitable changement social. Les classes ont disparu et les liens sociaux normaux se sont détériorés, dans un climat indéfinissable de peur, d'anxiété, de frustration et de manque de cohésion. C'est dans de telles circonstances que les masses développent des qualités psychologiques très spécifiques. Toutes les peurs qui hantent la société deviennent liées à un « objet » — par exemple, les Juifs — de sorte que les masses entrent dans une sorte de lutte énergétique avec cet objet. Et sur ce processus de conditionnement social des masses, se greffe ensuite une organisation politique et constitutionnelle totalement nouvelle : l'État totalitaire.

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  10. Aujourd'hui, on perçoit un phénomène similaire. La souffrance psychologique, le manque de cohésion et la dégradation des liens sociaux sont largement répandus dans la société. Puis survient une histoire qui désigne un objet de peur, le virus, après quoi la population associe fortement sa peur et son malaise à cet objet redouté. Pendant ce temps, tous les médias lancent un appel constant à combattre collectivement l'ennemi meurtrier. Les scientifiques qui transmettent le récit à la population sont en contrepartie récompensés par un formidable pouvoir social. Leur pouvoir psychologique est si grand que, sur leur suggestion, l'ensemble de la société renonce brusquement à une foule de coutumes sociales et se réorganise d'une manière que personne, au début de 2020, ne pensait possible.

    Selon vous, que va-t-il se passer maintenant ?

    Mattias Desmet — La politique actuelle de la Coronacrise rétablit de manière provisoire une certaine solidarité sociale et rend à la société une forme de cohésion. Le fait de travailler ensemble contre le virus crée une sorte d'intoxication, qui a pour effet de réduire considérablement l'attention, de sorte que d'autres sujets, tels que les préoccupations relatives aux dommages collatéraux, passent au second plan. Pourtant, les Nations unies et plusieurs scientifiques ont dès le départ alerté sur le fait que les dommages collatéraux mondiaux pourraient générer bien plus de décès que le virus, par exemple à cause de la faim et des retards dans les traitements médicaux.

    Le conditionnement social des masses a un autre effet curieux : il amène les individus à mettre psychologiquement de côté les motivations égoïstes et individuelles. De cette façon, on peut tolérer un gouvernement qui supprime certains plaisirs personnels. Pour ne donner qu'un exemple : les établissements de restauration où les gens ont travaillé toute leur vie peuvent être fermés sans grande protestation. Ou encore : la population est privée de spectacles, de festivals et d'autres plaisirs culturels. Les dirigeants totalitaires comprennent intuitivement que le conditionnement social se trouve encore renforcé en tourmentant la population de manière perverse. Je ne peux pas l'expliquer complètement pour le moment, mais le processus de conditionnement social est intrinsèquement autodestructeur. Une population affectée par ce processus est capable d'énormes atrocités envers les autres, mais aussi envers elle-même. Elle n'hésite absolument pas à se sacrifier. Cela explique pourquoi, contrairement aux simples dictatures, un État totalitaire ne peut pas survivre. Il finit par complètement s'auto-dévorer, pour ainsi dire. Mais ce processus nécessite généralement de nombreuses vies humaines.

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  11. Au sein de la crise actuelle et de la réponse qu'y apporte le gouvernement, identifiez-vous des caractéristiques totalitaires ?

    Mattias Desmet — Absolument. Quand on s'éloigne de l'histoire du virus, on découvre un processus totalitaire par excellence. Par exemple, selon Arendt, un État pré-totalitaire coupe tous les liens sociaux de la population. Les simples dictatures le font au niveau politique — elles veillent à ce que l'opposition ne puisse pas s'unir — mais les États totalitaires le font aussi au sein de la population, dans la sphère privée. Pensez aux enfants qui — souvent sans le vouloir — dénonçaient leurs parents au gouvernement dans les États totalitaires du XXe siècle. Le totalitarisme est tellement axé sur le contrôle total qu'il crée automatiquement la suspicion au sein de la population, amenant les individus à s'espionner et à se dénoncer mutuellement. En raison des restrictions, les gens n'osent plus s'exprimer contre la majorité et sont moins capables de s'organiser. Il n'est pas difficile dans la situation actuelle de reconnaître de tels phénomènes, en plus de nombreuses autres caractéristiques propres à un totalitarisme émergent.

    Quel est l'objectif ultime de cet État totalitaire ?

    Mattias Desmet — Au début, il n'exige rien. Son émergence est un processus automatique couplé d'une part à une grande anxiété de la population et, d'autre part, à une pensée scientifique naïve qui considère que la connaissance totale est possible. Aujourd'hui, il y a ceux qui pensent que la société ne doit plus être fondée sur des récits politiques mais sur des faits et des chiffres scientifiques, ce qui déroule le tapis rouge pour le règne de la technocratie. Leur image idéale est ce que le philosophe néerlandais Ad Verbrugge appelle « l'élevage intensif de l'homme ». Dans le cadre d'une idéologie biologique-réductionniste et virologique, un suivi biométrique permanent est préconisé et les populations sont soumises à des interventions médicales préventives continues, telles que des campagnes de vaccination. Tout cela pour soi-disant optimiser la santé publique. Et toute une série de mesures d'hygiène médicale doivent être mises en œuvre : éviter le contact, porter des masques, se désinfecter continuellement les mains, se faire vacciner, etc. Pour les tenants de cette idéologie, on n'en fait jamais assez pour atteindre l'idéal de la meilleure « santé » possible. Dans un article de journal, on pouvait lire que la population devait avoir encore plus peur. Ce n'est qu'ainsi qu'elle s'en tiendra aux mesures recommandées par les virologues. Pour eux, susciter la peur, c'est faire le bien. Mais en élaborant toutes ces mesures draconiennes, les responsables politiques oublient que les gens ne peuvent être en bonne santé, tant physique que mentale, sans suffisamment de liberté, de vie privée et de droit à l'autodétermination, des valeurs que cette vision technocratique totalitaire ignore complètement. Bien que le gouvernement aspire à une énorme amélioration de la santé de sa société, ses actions vont la ruiner. Soit dit en passant et selon Hannah Arendt, il s'agit d'une caractéristique fondamentale de la pensée totalitaire : elle aboutit à l'exact opposé de ce qu'elle poursuivait à l'origine.

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  12. Aujourd'hui, le virus crée la peur nécessaire sur laquelle repose le totalitarisme. La découverte d'un vaccin et la campagne de vaccination qui s'ensuivra permettront-elles d'apaiser cette peur et de mettre fin à cette flambée totalitaire ?

    Mattias Desmet — Un vaccin ne résoudra pas l'impasse actuelle. Car en vérité, cette crise n'est pas une crise sanitaire, il s'agit d'une profonde crise sociale et même culturelle. D'ailleurs, le gouvernement a déjà annoncé qu'après la vaccination, les mesures ne disparaîtront pas comme ça. Dans un article récent, on peut même lire qu'il est frappant de constater que les pays déjà très avancés dans la campagne de vaccination — comme Israël et la Grande-Bretagne — continuent étrangement à renforcer les mesures de manière significative. Je prévois plutôt ce scénario : malgré toutes les études prometteuses, le vaccin n'apportera pas de solution. Et l'aveuglement qu'entraîne le conditionnement social et la totalitarisation fera porter le chapeau à ceux qui ne suivent pas la narration officielle et/ou refusent de se faire vacciner. Ils serviront de boucs émissaires. On tentera de les faire taire. Et si cela réussit, le point de basculement redouté dans le processus de totalitarisation arrivera : ce n'est qu'après avoir complètement éliminé l'opposition que l'État totalitaire montrera sa forme la plus agressive. Il devient alors — pour reprendre les termes d'Hannah Arendt — un monstre qui mange ses propres enfants. En d'autres termes, le pire est peut-être encore à venir.

    Quelles sont vos réflexions en ce moment ?

    Mattias Desmet — Je pense que les systèmes totalitaires ont généralement tous les mêmes tendances à isoler les populations de façon méthodique et que leurs parties « malades » seront ultérieurement isolées et enfermées dans des camps, dans le but [sous couvert - NdT] de préserver la santé de la population. Cette idée a d'ailleurs été suggérée à plusieurs reprises pendant la Coronacrise, mais rejetée comme « irréalisable » en raison de la résistance sociale. Mais cette résistance persistera-t-elle si la peur continue à augmenter ? Vous me soupçonnerez peut-être d'être excessivement paranoïaque, mais qui aurait pensé, début 2020, que notre société ressemblerait à ce qu'elle est aujourd'hui ? Le processus de totalitarisation est basé sur l'effet hypnotique d'une narration et il ne peut être brisé que par une autre narration. J'espère donc que davantage de personnes remettront en question le danger supposé du virus et la nécessité des mesures actuelles, et oseront en parler publiquement.

    Pourquoi cette réaction de peur ne se produit-elle pas pour la crise climatique ?

    Mattias Desmet — La crise climatique pourrait bien ne pas être adaptée en tant qu'objet de peur. Elle est peut-être trop abstraite et nous ne pouvons pas l'associer à la mort instantanée d'un être cher ou de nous-mêmes. Et en tant qu'objet de peur, elle est aussi moins directement liée à notre vision médico-biologique de l'homme. Par conséquent, un virus constitue un objet de peur idéal.

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  13. Que nous dit la crise actuelle sur notre rapport à la mort ?

    Mattias Desmet — La science dominante perçoit le monde comme une interaction mécaniste d'atomes et autres particules élémentaires qui entrent en collision de manière aléatoire et produisent toutes sortes de phénomènes, y compris les humains. Cette science nous rend désespérés et impuissants dès qu'il s'agit de faire face à la mort. En même temps, la vie est vécue comme un acquis totalement insignifiant et mécaniste, mais nous nous y accrochons comme si elle était la seule chose que nous ayons, et nous entendons éliminer tout comportement susceptible de nous exposer à sa perte. Et c'est impossible. Paradoxalement, le fait de radicalement tenter d'éviter les risques, par exemple par des mesures anti-Coronavirus, crée le plus grand des risques. Il suffit de regarder les dommages collatéraux colossaux que ces mesures engendrent.

    Vous percevez l'évolution sociale actuelle comme allant dans une direction préjudiciable. Comment voyez-vous l'avenir ?

    Mattias Desmet — Je suis convaincu que quelque chose de beau résultera de tout cela. La science matérialiste part de l'idée que le monde est constitué de particules matérielles. Or, cette science révèle précisément que la matière est une forme de conscience, qu'il n'existe aucune certitude et que l'esprit humain ne parvient pas à appréhender le monde. Par exemple, le physicien danois et prix Nobel Niels Bohr a soutenu que les particules élémentaires et les atomes se comportent de manière radicalement irrationnelle et illogique. Selon lui, ils étaient mieux compris par la poésie que par la logique.

    Nous vivrons une expérience similaire sur le plan politique. Dans un avenir proche, nous ferons peut-être la tentative la plus poussée de notre histoire de tout contrôler de manière technologique et rationnelle. En fin de compte, ce système se révélera inefficace et révélera notre besoin d'une société et d'une politique complètement différentes. Le nouveau système reposera davantage sur le respect de ce qui est finalement insaisissable pour l'esprit humain et sur le respect de l'art et de l'intuition qui étaient au cœur des religions.

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  14. Aujourd'hui, sommes-nous dans un changement de paradigme ?

    Mattias Desmet — Sans aucun doute. Cette crise annonce la fin d'un paradigme historique culturel. Une partie de la transition a déjà été effectuée dans les sciences. Les génies qui ont jeté les bases de la physique moderne, de la théorie des systèmes complexes et dynamiques, de la théorie du chaos et de la géométrie non euclidienne avaient déjà compris qu'il n'existe pas une mais plusieurs logiques différentes, qu'en toute chose il existe une part de subjectivité intrinsèque et que les hommes vivent en résonance directe avec le monde qui les entoure et toutes les complexités de la Nature. De plus, l'homme est un être qui dans son existence énergétique dépend de ses semblables. Les physiciens le savent depuis un certain temps, maintenant c'est au tour du reste d'entre nous ! Nous assistons actuellement à la dernière poussée de l'ancienne culture basée sur le contrôle et la compréhension logique qui démontrera à une vitesse fulgurante l'échec total qu'elle entraîne et son incapacité à organiser véritablement une société de manière décente et humaine.
    L'article original en flamand contenant des liens vers des documents complémentaires est disponible sur le site du blog ici.

    L'interviewer et blogueur, Patrick Dewals, est un philosophe politique et un auteur.
    Merci à un groupe de lecteurs de Lockdown Sceptics de l'avoir traduit [en anglais - NdT] pour nous.


    Commentaire : Voir aussi nos articles suivants :
    De la psychologie des adeptes du déni de conspiration
    Emmurés dans les mensonges — Le Bon, Bernays, Ellul : de la propagande et du consentement
    La psychopathie et les origines du totalitarisme
    Les mesures de confinement n'empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n'apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux
    Covid-19 (bientôt Covid-21) — Pourquoi un telle campagne de terreur ?
    Coronavirus : Une nouvelle Inquisition
    Le pouvoir des élites est une illusion et leur contrôle n'est qu'une façade
    Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu'à ce que l'an 2020 arrive
    L'ère du Covid — Décryptage des « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires » servies par une technologie diaboliquement efficace
    La peur de la mort, et pourquoi les hommes ont besoin de héros

    Source de l'article initialement publié en anglais le 4 mars 2021 : Lockdown Sceptics
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/36824-La-dystopie-totalitaire-emergente-Entretien-avec-le-professeur-Mattias-Desmet

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  15. L'omertà du Collège des médecins


    lundi 29 mars 2021


    *Un médecin retraité signe un article qu'on n'espérait plus et qui met un peu de baume au coeur d'une société pas mal déprimée.

    Voici quelques extraits, mais l'entièreté de son propos est à lire.

    "Toutefois, le Collège, qui devrait protéger la population et favoriser, sinon imposer, un débat ouvert et libre parmi tous les membres de la société (médecins non experts inclus), est silencieux comme une tombe.

    👉 Pire, il impose l’omerta parmi ses membres, favorisant une dictature médico-politique et un discours aligné, monolithique et unidimensionnel, oubliant que l’erreur est monnaie courante en médecine. Or, la science, comme l’expliquait le philosophe Karl Popper, n’est science que si elle se fait le devoir de mettre en doute, de contester et de toujours tenter de réfuter toute « vérité » présumée.

    C’est donc la responsabilité de la médecine, qu’elle soit Santé publique ou civile, d’informer, de proposer, d’éduquer et de se méfier des tendances prétentieuses à imposer, infantiliser, culpabiliser et dicter. Or, le Québec, comme une bonne partie de l’Occident, s’est plié à une dictature sanitaire, une « doctature », où l’arbitraire est roi. 👉 La science est ainsi instrumentalisée et présentée comme un outil infaillible qui fournit une base incontestable pour justifier des décisions qui affectent toutes les couches de la société, tant celles menacées que celles très peu à risque.

    (...)

    Aveuglée par la pandémie, la Santé publique ignore une règle fondamentale en médecine : Primum non nocere, d’abord ne pas nuire.

    Actuellement, les seuls médecins qui peuvent impunément s’exprimer, émettre leurs opinions sans s’exposer aux foudres du Collège sont les retraités comme moi. Cet état de fait est inacceptable dans une démocratie. Les médecins sont aussi des citoyens et doivent pouvoir s’exprimer et débattre. Librement. Sans inquiétude. 👉En bâillonnant ses membres, le Collège continue de manquer à son devoir de « protéger la population ». Il convient de le dire haut et fort. Et de souhaiter un changement drastique d’attitude.

    Garder les yeux ouverts et l’esprit critique, c’est un devoir qui est au cœur de notre travail d’aidant. Un devoir citoyen aussi. Et pouvoir discuter librement, un droit que devrait âprement protéger et défendre sans compromis notre Collège, si son mandat est bien celui de protéger la population."

    https://plus.lapresse.ca/screens/b70dbbd5-4ad6-4cc6-8614-cfac48066d81__7C___0.html?utm_content=facebook&utm_source=lpp&utm_medium=referral&utm_campaign=internal+share

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/03/lomerta-du-college-des-medecins.html

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  16. Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ?


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 MAR 2021-21: 00
    Rédigé par Paul Alexander via l'American Institute for Economic Research,


    Dans cet article, l'accent est mis sur la vaccination des enfants de moins de 12 ans avec les vaccins Covid-19, car cela soulève des problèmes très graves et urgents auxquels les sociétés doivent faire face en termes d'éventuels dommages inutiles pour nos enfants.

    Le virus SRAS-CoV-2 qui conduit à la maladie Covid-19 peut être utilisé de manière interchangeable dans ce rapport.

    Pourquoi cette concentration ? Parce qu'il y a maintenant un effort majeur pour tester les nouveaux vaccins à base d'ARNm contre le virus SRAS CoV-2 chez les jeunes enfants.

    Quelle en est la raison et quelle en est la base? Pourquoi y aurait-il une pression pour vacciner les bébés de six mois ? Vacciner les nourrissons de deux ans ? Vacciner les enfants de six ans ? Des enfants de dix ans ? Via un vaccin expérimental qui délivre un code génétique dans vos cellules en lui demandant de produire une fausse partie du virus ?

    Avant d'examiner cette question directement, nous souhaitons situer l'illogisme et les préoccupations réelles de la vaccination des enfants dans les restrictions sociétales dévastatrices de Covid-19.

    Nous soulignons que les verrouillages, les fermetures d'écoles et les politiques de mandat masqué n'ont absolument aucun sens (en particulier les restrictions prolongées) et qu'en conséquence de leur mise en œuvre, une dévastation sociétale s'est produite et continue de se produire et l'impact sur la santé et le bien-être des enfants. n'a pas encore été examiné dans son intégralité. Les préjudices écrasants sont amplifiés et donc encore plus dramatiques pour les femmes et les membres les plus pauvres de la société.

    Nous savons également que les masques peuvent être potentiellement dangereux pour les enfants. En ce qui concerne les enfants et Covid-19, nous savons que les enfants ne transmettent pas le virus Covid-19 et que le concept de propagation asymptomatique a été sérieusement remis en question, en particulier pour les enfants. Les enfants, s'ils sont infectés, ne transmettent tout simplement pas le Covid-19 à d'autres personnes, que ce soit à d'autres enfants, à d'autres adultes de leur famille ou autrement, ni à leurs enseignants. Cela a été démontré avec élégance dans une étude réalisée dans les Alpes françaises. La littérature pédiatrique est une science établie à ce sujet.

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  17. Non seulement il n'y a pas de preuves à l'appui de l'idée que les enfants propagent le virus Covid-19 de manière significative, mais il existe des preuves directes montrant qu'ils ne propagent tout simplement pas cette maladie! Cela a été démontré dans les milieux scolaires et tel que publié dans d'autres articles. Les enfants, s'ils sont infectés, ont généralement une maladie asymptomatique. Il est notoire que les cas asymptomatiques ne sont pas les moteurs de la pandémie; quelque chose de particulièrement important pour les enfants car ils sont généralement asymptomatiques.

    À cet égard, il est évident que ni les enfants (ni les adultes asymptomatiques) ne sont les principaux moteurs du SRAS-CoV-2. Dans les rares cas où un enfant est infecté par le SRAS-CoV-2, il est exceptionnellement rare que l'enfant tombe gravement malade ou meure. Et je le répète, les enseignants ne risquent pas d'être transmis par les enfants et les écoles doivent être rouvertes immédiatement sans aucune restriction. Ils n'auraient jamais dû rester fermés et nous le savions depuis un an maintenant. La littérature pédiatrique suggère que c'est maintenant une science établie. Pourtant, il semble que les experts médicaux de la `` télévision '' et d'éminents représentants d'agences américaines, ainsi que les conseillers gouvernementaux et les bureaucrates ne lisent pas la science, ne comprennent pas la science, ne la `` comprennent '' pas, en sont aveuglées ou sont juste ignorant des données et de la science. La plupart de ce que nous venons de dire, nous le savons depuis un an maintenant. Ce n’est pas une preuve «nouvelle», cela est réglé depuis un an maintenant, et certainement depuis l’automne 2020.

    Nous connaissons même la première étude fondatrice "puissante'' remettant en question la propagation `` asymptomatique '' de Covid-19 qui a été publiée dans Nature et n'a pas été couverte par les experts médicaux des médias ou de la télévision, et qui a montré que sur un échantillon de dix millions, lorsque tous les cas positifs «asymptomatiques» ont été suivis et que tous les contacts étroits ont été retracés (n = 1 174), il n'y avait aucun (0) aucun cas de dissémination asymptomatique. Kerkhove de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré: «D'après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu'une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.» Nous sommes d'accord avec cela sur la base de la somme des preuves que nous avons vues jusqu'à présent. Dans le même temps, les réponses et les diktats de Covid-19 par les experts médicaux ont maintenant pris un sentiment d'absurdité et de ridicule et notre lecture des explications du Dr Fauci sur les raisons pour lesquelles le masquage et la distanciation sociale sont toujours nécessaires après la vaccination frise la confusion absolue. sinon ridicule.

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  18. Considérez simplement les déclarations déroutantes et certains diraient «imprudentes» du Dr Anthony Fauci quand il a déclaré pour la première fois qu'il était du «bon sens» de porter des masques doubles, pour ensuite retirer peu après la demande de double masque. Le Dr Fauci a encore une fois causé énormément d'angoisse et de confusion lorsqu'il a été interrogé au Sénat et lors d'un échange avec le sénateur Rand Paul au sujet du port d'un masque après avoir été vacciné ou après avoir eu une infection antérieure et l'a nettoyé et guéri. Nous savons qu’il n’existe aucune étude, aucune preuve de réinfection significative après avoir été vaccinée ou avoir déjà eu une infection «naturelle» à Covid-19. Rien. «Les réinfections semblent être très rares. Sur des dizaines de millions de cas de Covid-19 signalés dans le monde, il n'y en a eu que moins de cinq avec des réinfections correctement documentées. C'est un taux de 1,25 pour 10 millions d'infections basé sur une analyse brute. " De plus, aucune preuve de réinfection aux États-Unis à partir de variantes, mais le Dr Fauci ne pouvait toujours pas expliquer pourquoi on doit porter des masques après s'être rétabli de Covid-19 ou après avoir été vacciné, mais il réclame des masques comme protection.

    Dans cette optique, une étude fondamentale a révélé que 95% des survivants de Covid étaient protégés contre la réinfection pendant au moins 8 mois, voire plus. L'équipe de l'Institut d'immunologie La Jolla dirigée par le Dr Shane Crotty a mesuré les niveaux d'anticorps, de cellules B mémoire et de deux types de cellules T dans le sang de 188 patients atteints de Covid-19. Ils «ont suivi un groupe de survivants de Covid-19 jusqu'à huit mois après leur infection, et ont découvert qu'environ 95% avaient des niveaux élevés de cellules immunitaires sur mesure spécialement conçues pour lutter contre le SRAS-CoV-2», ... leurs résultats suggèrent que la grande majorité des Les survivants de Covid-19 ont les cellules immunitaires nécessaires pour lutter contre la réinfection pendant au moins huit mois et potentiellement beaucoup plus longtemps, sur la base des projections des données recueillies jusqu'à présent ... «il semble certainement qu'il y aura une mémoire immunitaire pendant plusieurs années et ce ne serait pas le cas. Il ne faut pas s’étonner qu’il y ait une mémoire immunitaire substantielle pendant dix ans. »

    Le sénateur Paul a fait le pas nécessaire en disant au Dr Fauci lors du témoignage du Sénat que le port du masque après le vaccin n'est «que du théâtre» sans preuve de transmission et de réinfection significatives après la vaccination ou une infection par exposition naturelle. Tout cela pour dire que l’appel du Dr Fauci pour un double masque ou le maintien du masque paraissait alors illogique, non scientifique et absurde, tout comme sa nouvelle position sur la vaccination des enfants de moins de 12 ans. Ce dernier soulève des questions très sérieuses.

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  19. Comme nous nous concentrons spécifiquement sur la question des enfants vaccinés contre Covid-19, quels que soient les arguments en faveur d'adultes consentants - les enfants ne devraient pas avoir carte blanche soumis aux mêmes politiques que les adultes sans un examen attentif des avantages par rapport aux risques. Bien sûr, le risque zéro n'est pas réalisable - avec ou sans masques, vaccins, thérapies, distanciation ou toute autre chose que la médecine peut développer ou que les agences gouvernementales peuvent imposer.

    En nous concentrant sur la vaccination Covid-19 des enfants, nous sommes contre cela et interrogons les décideurs car nous pensons que c'est totalement illogique sur la base de tout ce que nous savons. Les campagnes de vaccination contre Covid-19 ont véritablement commencé à travers le monde. Inexplicablement, il y a eu une vague récente de déclarations en faveur de la vaccination des enfants. Bien sûr, cela signifie également que les vaccins expérimentaux doivent être testés chez les enfants avant leur introduction et leur utilisation en masse! Nous considérons que cela est irrationnel étant donné qu'il n'y a aucune donnée qui pourrait être utilisée pour étayer la nécessité de vacciner les enfants dans cette pandémie de Covid-19. Et en raison de l'absence de données de soutien, nous suggérons que le concept de tester ce vaccin chez les enfants et / ou simplement de commencer à administrer ce vaccin aux enfants est au mieux irresponsable.

    Nous ne pouvons pas comprendre comment il est possible de suggérer, comme le Dr Fauci, que les enfants doivent être vaccinés pour prévenir le Covid-19! C'est une idée si odieuse qu'une fois de plus nous avons réalisé que nous devions prendre position contre les tests et / ou la fourniture de l'un des vaccins actuels contre le SRAS-CoV-2 chez les enfants. Et à moins que le Dr Fauci n'ait accès à des données que nous n'avons pas vues (ou devons-nous simplement faire confiance, jugements et opinions?), Nous sommes obligés d'exiger que cette atrocité (car c'est ce qu'elle est) ne se fasse pas. Est-ce la situation sur laquelle le Dr Fauci s'est récemment prononcé lorsqu'il a déclaré: «Souvent, il n'y a pas de données ou de preuves dans Covid-19, nous devons donc continuer sur la confiance et les jugements… ses jugements»? Nous devons rappeler au Dr Fauci que ce n'est pas de la science et que nous et lui ne devons pas prendre de décisions médicales ou élaborer des directives médicales fondées sur des spéculations, des hypothèses ou des suppositions. Ce sont des décisions beaucoup plus sérieuses qui nécessitent plus qu’une «hypothèse».

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  20. En essayant de comprendre ce qui sous-tend les décisions de promotion de la vaccination des enfants, nous avons d’autres réflexions qui pourraient expliquer ce qui se passe. Le faisons-nous pour les enfants? Parfois, la réponse est oui. Mais la première règle de la médecine est d'abord de ne pas nuire (Primum non nocere). Pour presque tous les enfants de moins de 20 ans, les risques de contracter Covid-19 sont extrêmement faibles et pour les enfants, le risque est pratiquement nul dans cette population - c'est le plus proche de zéro que nous pouvons atteindre - l'argument coût-bénéfice contre l'utilisation un vaccin essentiellement non testé est fortement en faveur du risque et pratiquement aucun avantage. Le risque potentiel d'effets secondaires inconnus et graves des vaccins flambant neufs et à peine testés est - en vérité - complètement inconnu. C’est parce qu’il n’est pratiquement pas possible qu’un vaccin soit rendu public aussi rapidement. Cela ne veut pas dire que vous ne devriez pas vous faire vacciner.

    Nous ne sommes certainement pas des anti-vaxxeurs et les enfants devraient certainement recevoir leurs vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, entre autres, car ceux-ci ont eu un effet dramatique sur la morbidité et la mortalité pendant des décennies. Pour les populations où le risque de décès ou de maladie grave dû à Covid-19 est important - adultes d'âge moyen et plus âgés ou personnes ayant d'autres vulnérabilités médicales chroniques telles que des problèmes respiratoires, cardiaques ou immunologiques graves - l'utilisation d'un nouveau vaccin à peine testé n'est pas seulement raisonnable, cela peut et peut être la chose la plus prudente et la plus responsable à faire. En effet, pour une population d'enfants de moins de 20 ans par ailleurs en bonne santé et ensuite lorsque l'on regarde les enfants de moins de 12 ans - où le risque de décès ou même de complications graves de Covid-19 est très faible - en fait, extrêmement rare, l'argument coût-bénéfice contre l'utilisation d'un vaccin essentiellement non testé est hors de propos et n'est pas en faveur du vaccin.

    Les gens pourraient demander; ces vaccins n’ont-ils pas été prouvés sûrs et fiables? N'ont-ils pas été développés par les meilleurs scientifiques du monde? Les «vaccins miracles» contre Covid-19 développés au cours de la dernière année sont de véritables miracles - mais pas seulement en raison de leurs réalisations scientifiques remarquables. Ils sont arrivés bien en avance sur tous les vaccins précédemment imaginables qui ont été développés et qui semblent plutôt miraculeux. Mais dans ce cas, le gouvernement a pu déroger aux règles de test normales et supprimer les obstacles bureaucratiques, réglementaires et associés (par exemple, développement, fabrication et logistique simultanés), le gouvernement absorbant tous les risques dès le départ. Il ne fait aucun doute que l'ancienne administration Trump mérite un énorme crédit pour sa capacité à innover avec agilité dans cette situation d'urgence. Gardez à l'esprit cependant que ces vaccins ont reçu l '«autorisation d'utilisation d'urgence» (EUA) et non la demande de licence biologique (BLA) éprouvée par le temps, où des tests et des analyses rigoureux et approfondis ont précédé la délivrance d'une telle licence.

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  21. À titre de comparaison, considérons que le vaccin contre la rougeole a également été développé assez rapidement - la science n’était pas si difficile. Mais il n’a pas été publié - même après que les scientifiques aient raccroché leur blouse de laboratoire - jusqu’à ce que des équipes de statisticiens et de chercheurs assidus aient près de 20 ans pour le tester. Heureusement, ils n'ont trouvé aucun problème avec celui-là - et j'espère que cela se révélera également vrai pour les vaccins Covid-19. Mais la vérité est qu'il est extrêmement prématuré de même deviner quels pourraient être les effets secondaires des vaccins actuels à plus long terme. Et nous devons souligner ici que ce n'est pas que nous ne faisons pas confiance à la science derrière le développement des vaccins - il est tout simplement impossible de prédire quels sont les effets à long terme (1-5 ans par exemple) de ces nouveaux vaccins. ce point. Les problèmes liés aux séquelles à plus long terme qui pourraient être associées aux vaccins ne peuvent être compensés par l'inclusion de plus en plus de personnes dans des études à court terme. Nous avons besoin de «temps» pour évaluer la sécurité des vaccins.

    C'est un réel sujet de préoccupation, en particulier pour nos enfants. Pour comparer, nous soulignons que le vaccin antipoliomyélitique, depuis la création du concept de vaccin en 1931 (10 ans après que FDR a été frappé par la poliomyélite), a mis 20 ans avant que Jonah Salk n'utilise le vaccin pour vacciner sa famille puis le monde. Au fil des ans, les vaccins ont sauvé d'innombrables vies et continueront de le faire. Nous pensons que les vaccins ont un rôle important et important dans la protection des vies humaines, mais ces protections ont été le résultat d'un rituel de tests approfondi et parfois fastidieux ainsi que d'une évaluation à long terme sur une période de plusieurs années afin d'être sûr que chacun le nouveau vaccin est à la fois sûr et efficace. Malheureusement, nous ne pouvons pas appliquer ces conditions éprouvées à la récolte actuelle de nouveaux vaccins. Mais encore une fois, nous réitérons que c'est une chose de laisser les adultes décider, après consentement éclairé, de se faire vacciner, mais c'en est une autre de se faire vacciner sans preuves de sécurité à long terme, en particulier lorsque leurs risques soit de tomber malades, ou souffrant d'une maladie grave du SRAS-CoV-2 sont infiniment petits.

    Les médecins sont chargés avant tout de «ne pas nuire». Nous exigeons certainement la même chose à ce stade. En réponse à la situation d'urgence pandémique, nous pensons que ces personnes, âgées de plus de 70 ans, fragiles, avec des conditions comorbides identifiées comme des risques potentiels d'infection, de maladie grave et où le potentiel de perte de vie est élevé, la vaccination pourrait s'avérer bénéfique. . Dans de telles circonstances, il existe un compromis acceptable. Mais lorsque l '«inconvénient» de contracter Covid-19 devient très, très faible - comme c'est le cas pour les enfants -, il peut être possible de prendre même un risque «modéré» d'effets secondaires graves d'un vaccin à peine testé. . . le mot qui vient à l'esprit est irresponsable. Il y a peu ou pas d'avantages étant donné le faible risque au départ, mais le préjudice potentiel est réel et très troublant.

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  22. Pour répondre aux préoccupations du grand public dans son ensemble, le meilleur mécanisme d'action serait peut-être d'adapter les besoins des personnes les plus à risque (leur donner la priorité pour les vaccins), puis les cohortes subséquentes de groupes d'âge inférieurs jusqu'aux 30-40 ans- vieux. En dessous de ce groupe d'âge, le risque de maladie grave est très faible (environ 0,01%) et l'équilibre entre le risque et le bénéfice est compensé par prudence. D'ici là, nous aurons probablement une immunité collective (en raison d'une combinaison de vaccin et d'infection naturelle), de sorte que l'argument social en faveur de plus de vaccinations sera probablement sans objet. Il faut garder à l'esprit que le taux de mortalité par infection (IFR) est proche de zéro pour les enfants (zéro) et les jeunes adultes.

    Même dans six mois à un an, nous aurons un peu plus d'expérience avec les effets secondaires, mais la réalité est qu'il faut normalement des années - parfois des décennies - pour être raisonnablement sûr qu'un vaccin est suffisamment sûr pour être utilisé sur des personnes de moins de 20 ans. Oui, cela prend aussi longtemps et donc pourquoi risquer nos enfants maintenant ? Compte tenu des faibles risques de la contracter et de la propager ou de tomber gravement malade. Nous pensons qu'un parent informé, informé sur le très peu ou pas d'avantages, mais sur un préjudice potentiel plus certain, accorderait plus de valeur à son enfant en évitant ce préjudice plus certain, et en tant que tel, optera pour aucun vaccin pour le moment.

    La nécessité d'écrire cet article est en grande partie liée au fait que Moderna Inc. a récemment annoncé qu'elle commençait une étude de vaccin ARNm sur des enfants de 6 mois à 11 ans aux États-Unis et au Canada, dans le dernier effort visant à élargir la masse. -Campagne de vaccination au-delà des adultes. «Cette étude pédiatrique nous aidera à évaluer l'innocuité et l'immunogénicité potentielles de notre candidat vaccin Covid-19 dans cette importante population d'âge plus jeune», a déclaré le directeur général de Moderna, Stéphane Bancel. Sur la base de la littérature dont nous avons discuté ici, il est clair que sa déclaration est manifestement fausse. De manière alarmante, nous en sommes venus à apprendre que le dosage a déjà été lancé par Moderna.

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  23. Nous savons déjà qu'il n'y a pas d'urgence chez les enfants concernant Covid-19. Et alors pourquoi Moderna Inc. chercherait-il à tester ce vaccin sur des enfants dont le taux de mortalité dans ce groupe est de 0,003% (IFR 0,00003) ? Moderna doit nous montrer pourquoi il n'est pas dangereux de mettre ce vaccin chez les enfants, et ils ne l'ont pas fait. Cela pose potentiellement un risque monumental pour les enfants à notre avis et sur la base de l'analyse qui précède de la façon dont les vaccins ont été développés et mis en œuvre pour protéger la population. Une analyse à court terme de quelques semaines ou quelques mois peut potentiellement entraîner des dommages irréversibles à long terme, en particulier pour une population plus jeune et croissante d'enfants avec 70 à 100 ans de vie devant eux. Les préjudices potentiels peuvent conduire à une future crise des soins de santé en raison de tels préjudices aux proportions bibliques si des garde-corps de sécurité éprouvés sont supprimés.

    C'est vraiment une question de gestion des risques et les parents doivent sérieusement considérer que Covid-19 est une maladie beaucoup moins dangereuse pour les enfants que la grippe. Les parents doivent être courageux et être disposés à évaluer cela uniquement à partir d'une position bénéfice par rapport au risque et se demander: "Si mon enfant a peu de risque, voire aucun, risque presque nul de séquelles graves ou de décès, et donc aucun avantage du vaccin, pourraient être des effets nocifs potentiels et encore inconnus du vaccin (comme cela a déjà été signalé chez les adultes qui ont reçu les vaccins), alors pourquoi soumettrais-je mon enfant à un tel vaccin ? '' Et en présence des risques potentiels, ainsi que le fait qu'un vaccin contre Covid-19 n'est tout simplement pas indiqué chez les enfants, pourquoi un parent aimant permettrait-il à leur enfant de se faire vacciner avec des vaccins encore expérimentaux ? Les enfants devraient vivre normalement, et s'ils sont exposés au SRAS-CoV-2, nous pouvons être assurés que dans la grande majorité des cas, ils ne présenteront pas ou seulement des symptômes bénins tout en développant une immunité naturellement acquise, et sans danger; une immunité nettement supérieure à celle qui pourrait être provoquée par un vaccin. Cette approche accélérerait également le développement de l'immunité collective dont on a beaucoup parlé.

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  24. En plus des préoccupations liées aux séquelles immédiates ou à long terme des nouveaux vaccins à ARNm chez les enfants, des données émergentes suggèrent que les vaccins pourraient ne pas être aussi efficaces que ceux initialement rapportés. Ils ne fournissent pas ce que l'on appelle une immunité stérilisante ou des anticorps neutralisants comme initialement proposé. Bansal, par exemple, a déclaré à propos des vaccins Moderna et Pfizer «[i] l n'est toujours pas clair s'ils protègent les gens contre l'infection ou contre la propagation du virus à d'autres. Cela pose un problème pour l'immunité collective. » Le plaidoyer du Dr Fauci et du CDC pour porter des masques faciaux et la distance sociale après la vaccination pourrait-il être un aveu tacite «voilé» que le vaccin Covid-19 ne fonctionne pas efficacement ? Si tel est le cas, c'est un vrai problème et ce n'est pas la façon dont le vaccin est vendu au public, surtout maintenant qu'on leur dit même avec le vaccin, que vous ne pouvez toujours pas voyager ou rendre visite à votre famille, etc. ou revenir à ' vie normale.

    En outre, il y a la préoccupation de «l’amélioration de la maladie» selon laquelle «dans le passé, pour quelques vaccins viraux, les personnes immunisées ont souffert d’une gravité accrue ou de la mort lorsqu’elles ont par la suite rencontré le virus ou s’étaient avérées avoir une fréquence accrue d’infection». Des effets nocifs et des événements indésirables (par exemple des caillots sanguins) sont signalés dans le système VAERS des CDC ainsi que dans le monde et nous avons besoin d’étudier de toute urgence la relation temporelle entre les événements indésirables rapportés et l’administration des vaccins. Actuellement, environ 1 900 décès liés aux vaccins ont été signalés au VAERS au 15 mars 2021. Il est trop tôt pour dire comment cela se déroulera avec ces vaccins Covid-19 et les effets nocifs signalés et nous restons prudemment optimistes tout en sachant que les essais n'ont pas couru pendant la durée optimale pour évaluer la sécurité.

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  25. Nous espérons que cela fonctionnera. Mais nous sommes préoccupés par le fait qu'en ce qui concerne les tests de sécurité, la taille de l'échantillon d'environ 6 750 enfants signalée par Moderna n'est pas alimentée pour détecter quoi que ce soit d'important concernant la sécurité, ce qui est un problème d'une importance critique. La sécurité est l’un des paramètres primaires les plus importants, sinon le plus important, en ce qui concerne la vaccination en général et la vaccination des enfants qui n’ont même pas besoin du vaccin en premier lieu. En effet, comme indiqué, il existe des rapports initiaux d'événements indésirables post-vaccination et à ce titre, ceux-ci doivent être clarifiés et validés. Cependant, il y a un signal de sécurité ici avec ces vaccins et tout autre médicament ou dispositif ou vaccin avec ces signaux, alors une pause aurait été mise en place maintenant.

    Pourquoi alors ? Pourquoi déménager pour vacciner les enfants? L'utilisation d'urgence accélérée des vaccins crée également des troubles dans l'Union européenne, où 19 pays ont suspendu l'utilisation du vaccin Astra Zeneca en raison de préoccupations liées à "l'excès de coagulation et les décès liés après les vaccinations. '' Les médecins et les scientifiques demandent des réponses à les questions de tels préjudices rencontrés en Europe. Les médecins déclarent: «Nous notons qu'un large éventail d'effets secondaires est signalé à la suite de la vaccination d'individus plus jeunes auparavant en bonne santé avec les vaccins Covid-19 basés sur le gène ... Bien que nous reconnaissions que ces événements pourraient, chacun d'eux, avoir été malheureux coïncidences, nous sommes préoccupés par le fait que les causes possibles de maladie ou de décès dans ces circonstances ont été et continuent d’être insuffisamment examinées, et en particulier en l’absence d’examens post-mortems. » Ces médecins déclarent en outre: «Il existe de sérieuses préoccupations, y compris, mais non limitées à celles décrites ci-dessus, que l'approbation des vaccins Covid-19 par l'EMA était prématurée et imprudente, et que l'administration des vaccins constituait et constitue toujours» l'expérimentation humaine, "qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg."

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  26. Soyons clairs. Nous sommes sérieusement préoccupés par cette position adoptée par le Dr Fauci et le prochain essai Moderna sur les enfants et nous demandons que cela soit inversé car il n'a aucun fondement et n'est absolument pas nécessaire compte tenu du profil de risque extrêmement faible des enfants et du potentiel de préjudice. Dans cette situation, les torts l'emportent largement sur les avantages possibles et cela ne doit pas aller de l'avant, comme nous le soutenons. Nous nous basons sur les preuves existantes des risques chez les enfants. En conclusion, la question des vaccins chez les enfants est vraiment une question de gestion des risques pour les parents et tout décideur. Nous insistons pour que le CDC et le Dr Fauci ainsi que le NIH attendent au moins 2 à 3 ans pour que les données de sécurité émergent des vaccins actuels, puis permettent l'approbation réglementaire complète de ces vaccins et ne pas aller de l'avant avec des vaccins expérimentaux chez les enfants. . La science quant au risque extrêmement faible pour les enfants est définie et établie. Pourtant, nous n'avons aucune, aucune étude à long terme sur l'innocuité de ces vaccins à la fois chez les adultes et maintenant, de manière menaçante, chez nos enfants.

    Nous demandons au CDC et aux autres porte-parole des agences gouvernementales de clarifier ce risque sociétal en plein essor. Comme indiqué ci-dessus, nous demandons que les tests des vaccins chez les enfants soient interrompus après la hâte. Ceci est basé non seulement sur les risques présumés associés à la vaccination de masse, mais encore plus spécifiquement parce que, et comme nous l'avons dit ci-dessus, les enfants n'ont tout simplement pas besoin d'un vaccin contre Covid-19. De plus, nous demandons aux agences gouvernementales d'élucider les risques-bénéfices de ces vaccins pour les enfants avant de procéder à une autre «autorisation d'utilisation d'urgence» des vaccins dans cette population.

    Nous écrivons également ceci comme un appel à la prudence. Il s'agit vraiment de décisions de gestion des risques que nous, en tant que personnes libres (en tant que parents), sommes autorisés à prendre aux États-Unis. Il ne s’agit pas uniquement de science. Il semble que les experts médicaux et Moderna ignorent les données sur les risques chez les enfants ainsi que l'épidémiologie actuelle du Covid-19. Nous leur demandons de consulter d'urgence l'ensemble des preuves pédiatriques. Rappelez-vous également que les enfants ne peuvent pas donner un consentement éclairé approprié, par ex. un enfant de 8 mois, un enfant d'un an. C'est une question éthique très importante. Le taux de mortalité des enfants de moins de 12 ans est aussi proche de zéro que possible. Nous avons masqué nos enfants, fermé des écoles, les enfermer, provoqué des flambées de suicides chez les adultes ainsi que chez nos enfants en raison de ces politiques, et maintenant nous cherchons à vacciner les enfants avec un vaccin expérimental pour lequel nous n'avons pas de données sur le long terme. terme nuit. C'est très dangereux à notre avis. Les données de sécurité à long terme ne sont pas là et ne seront pas là sur la base de ce que Moderna a proposé.

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  27. De plus, avec des risques aussi faibles chez les enfants de contracter et de propager le virus Covid-19, ou de tomber gravement malades, nous demandons à nouveau pourquoi ne pas permettre à nos enfants de vivre une vie raisonnablement normale, libres, exposés naturellement dans le cadre de la journée- la vie quotidienne, et le développement de l'immunité naturelle sans danger, avec des précautions raisonnables et des atténuations sociétales simultanées (qui doivent toujours être en place comme un aspect clé de la réponse) qui se concentre sur le doublement et le triplement des garanties pour nos risques élevés, par exemple les personnes âgées, les personnes souffrant de comorbidités et les personnes obèses? Avec un accent agressif sur l'hygiène, l'assainissement et la désinfection. Même étude du rôle de la propagation orofécale qui a été mise de côté. Si l'objectif est l'immunité des troupeaux au niveau de la population, alors une exposition à faible risque et une infection chez les enfants et les jeunes qui sont en bonne santé dans n'importe quelle société est la stratégie éprouvée et vraie pour y arriver sans danger et plus rapidement. Pourquoi soumettre nos enfants à un vaccin avec des effets secondaires possibles alors que nous pouvons y arriver sans danger ? Quel niveau d'effets secondaires le Dr Fauci et les fabricants de vaccins voudraient-ils accepter en soumettant nos enfants à faible risque à cela ? Cela n'a absolument aucun sens. Y a-t-il des facteurs autres que la science en jeu ici ?

    Pour terminer, nos enfants ne sont pas de «minuscules adultes» et leur réponse physiologique sera radicalement différente de celle des adultes. En fait, cela pourrait être dévastateur pour le vaccin. Ce n'est même pas s'ils montrent que le vaccin est sans danger pour les enfants, le problème est qu'il n'y a aucune base pour cela, aucune ! Le CDC et des experts comme le Dr Fauci se sont trompés sur les verrouillages, les fermetures d'écoles et les mandats de masques. Tout simplement faux! Ils ont tous créé un désordre total pour nos sociétés alors que nous commençons à sortir de la douleur des verrouillages punitifs et des fermetures d'écoles. Les parents doivent maintenant se mobiliser et exiger que le Dr Fauci, les CDC, les NIH et Moderna et les autres développeurs de vaccins (et toute entité ayant des intérêts dans le développement de ces vaccins) plaident en faveur de la vaccination de leurs enfants. N'acceptez pas simplement cela car il n'y a aucune raison crédible à cela. Nous vous demandons, en tant que parents, d’adopter les mots «gestion des risques» et «coût-bénéfice» comme principes directeurs dès maintenant sur tout ce qui concerne Covid-19, en particulier dans l’intérêt de vos enfants. Vous devez évaluer les faits et les exiger d'eux. Vous devez interroger ces experts médicaux qui se sont trompés sur à peu près tout ce qui concerne Covid-19. Catastrophiquement faux! Ne craignez pas cette responsabilité car les implications sont bien trop grandes pour faire autrement. Ne laissez pas nos gouvernements et les experts médicaux des médias nous mettre un «froid» sur nous en tant que parents et tuteurs de nos enfants, et nous empêcher de repousser et de poser les questions nécessaires.

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  28. Vous devez savoir que la communauté scientifique et les dissidents, les contraires et les sceptiques sont déjà attaqués, calomniés et salis par les médias, les politiciens et même d'autres scientifiques. Je suis et j'étais, mais aujourd'hui, moi-même et nos positions anti-lockdown anti-fermeture sont défendues et acceptées car ce qui a été fait était un pur échec. Nous étions coupables de considérer la «totalité» des risques, en particulier ceux résultant des restrictions sociétales, car ils causaient plus de torts et de décès que le virus lui-même. Nos positions se sont concentrées sur une approche «risque-âge» ciblée et plus ciblée qui sécurise principalement les personnes âgées et les personnes à haut risque. Des scientifiques de premier plan tels que le Dr Scott Atlas, le Dr John Ioannidis, le Dr Carl Heneghan, le Dr Sunetra Gupta, le Dr Martin Kulldorff, le Dr Kulvinder Gill, le Dr Harvey Risch, le Dr Peter McCullough, le Dr Ramin Oskoui, Le Dr Jonas Ludvigsson, le Dr Jay Bhattacharya et le Dr Abir Ballan sont calomniés et salis au lieu d'un véritable débat scientifique de fond. Ils sont agressés et leurs noms et carrières gravement endommagés par les médias. Même les sénateurs américains tels que Ron Johnson (Wisconsin) sont calomniés et salis par les experts médicaux de la télévision médiatique pour son remise en question des décisions de verrouillage vicieuses et la promotion de la thérapie ambulatoire précoce pour les personnes symptomatiques de Covid-19 (antiviraux combinés et séquencés, corticostéroïdes et médicaments anti-plaquettaires qui sont sûrs, efficaces, disponibles et bon marché).

    Vacciner nos enfants avec un vaccin potentiellement dangereux (non testé) pour eux et sans aucune base compte tenu de leur profil de risque, doit être repoussé par les parents. Comme ces opposants et sceptiques mentionnés qui ont soulevé les «vérités gênantes» entourant la réponse à Covid-19, les parents ont maintenant un rôle très égal, sensibilisé, concentré et critique pour soulever les bonnes questions et prendre position. Les parents sont les voix de leurs enfants maintenant sur la vaccination de leurs enfants et sur l’autre catastrophe imminente, les «passeports vaccinaux» Covid-19, qui sont aussi illogiques et dangereux que les vaccins pour les enfants de moins de 12 ans! Les Américains doivent se lever maintenant contre cela!

    Nous terminons en disant, nous devrions réfléchir à deux fois, puis réfléchir à deux fois, et même réfléchir encore une fois, avant de vacciner les enfants contre Covid-19. Les données, les preuves ou la science ne sont pas là pour étayer cela.

    * * *

    Contributing Authors

    Paul E Alexander MSc PhD, McMaster University and GUIDE Research Methods Group, Hamilton, Ontario, Canada elias98_99@yahoo.com

    Howard C. Tenenbaum DDS, Dip. Perio., PhD, FRCD(C) Centre for Advanced Dental Research and Care, Mount Sinai Hospital, and Faculties of Medicine and Dentistry, University of Toronto, Toronto, ON, Canada

    Dr. Parvez Dara, MD, MBA, daraparvez@gmail.com

    https://www.zerohedge.com/covid-19/why-are-we-vaccinating-children-against-covid-19

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    1. Les enfants seraient comme les poissons !? Les poissons, comme les coquillages & crustacés sont aux premières loges quand il s'agit d'absorber x millions de virus sortis d'y a peu de temps du magma qui les lâche.
      Comment se fait-il que les consommateurs de poissons, coquillages & crustacés n'en soient morts de les avoir consommés ?
      C'est là le type de questions jamais abordées par les pourtant scientifiques.

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  29. Le ministre du gouvernement britannique déclare que les gens devraient «appeler» les autres pour avoir étreint leurs êtres chers


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 30 MAR 2021 - 06:30
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Un ministre du gouvernement est apparu à la télévision du matin pour exhorter les Britanniques à «appeler» les autres s'ils étaient vus s'engager «d'une manière étrange», par exemple en serrant leurs proches dans leurs bras.

    Oui vraiment.

    Nigel Huddleston, le ministre britannique du tourisme et des sports, a fait ces remarques lors d’une interview sur BBC Breakfast.

    «Malgré la tentation, veuillez ne pas risquer la santé de vos proches en les serrant dans vos bras», a déclaré Huddleston, avant de suggérer que les gens devraient intervenir s'ils sont témoins d'un comportement aussi horrible.

    «Nous connaissons tous les règles… si vous voyez quelqu'un se comporter d'une manière un peu étrange, alors peut-être que vous le dénoncez de manière respectueuse, parce que parfois certaines personnes oublient tout simplement», a-t-il ajouté.

    Huddleston a déclaré qu'il était "un peu gênant" de refuser un contact physique étroit, mais "dans ces circonstances, c'est la bonne chose à faire."

    Les utilisateurs de Twitter ont réagi aux propos du ministre avec un mélange d’incrédulité et de mépris.

    «Étreindre quelqu'un est étrange ? Christ, nous avons été repris par les Borgs. Je peux imaginer les fous prenant des photos d’aires de jeux animées qui se promènent maintenant avec des mégaphones «appelant les gens».

    "Comportement étrange tel que défini par année - 2019: quelqu'un qui a l'air louche, détient ou transporte potentiellement un colis suspect, avec des intentions probablement liées au terrorisme 2021: quelqu'un qui embrasse un ami / parent proche", a déclaré un autre.

    D'autres ont été provocants en disant qu'ils embrasseraient leurs proches, l'un d'eux disant: «Je vois mes enfants le week-end prochain pour la première fois depuis la fin du mois de décembre ! Les chevaux sauvages ne m'empêcheraient pas de les serrer dans mes bras ! »

    Le ministre a fait ces remarques le jour où le verrouillage en Angleterre a franchi une nouvelle étape vers l'assouplissement, les gens étant autorisés à se réunir à l'extérieur en groupes de six personnes maximum.

    Cependant, comme nous l'avons souligné précédemment, d'autres responsables de la santé publique ont affirmé que la distanciation sociale et le port de masques continueront pendant des années, quelle que soit la fin de la pandémie.

    * * *

    À l'ère de la censure de masse dans la Silicon Valley, il est essentiel que nous restions en contact. J'ai besoin que vous vous inscriviez à ma newsletter gratuite ici. Soutenez mon sponsor - Turbo Force - un regain d'énergie propre suralimenté sans le ralentissement. De plus, j'ai un besoin urgent de votre soutien financier ici.

    https://www.zerohedge.com/political/uk-government-minister-says-people-should-call-out-others-hugging-their-loved-ones

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    1. La dictature reino-pharyngique se complaît dans son Alzheimer.

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  30. Les verrouillages aggravent la crise sanitaire


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 MAR 2021 - 17:00
    Rédigé par Kiley Holliday et Jenin Younes via l'American Institute for Economic Research,


    L'un des aspects les plus exaspérants d'une année remplie de mandats de santé publique illogiques et à courte vue a été l'incapacité totale des membres de la profession de la santé publique à traiter de manière adéquate le rôle qu'une mauvaise alimentation et le manque d'exercice ont joué dans l'aggravation de la crise des coronavirus. . En fait, nombre des décrets apparemment émis au nom de la santé publique n'ont eu pour effet que d'aggraver le problème sous-jacent.

    Une étude mondiale récente a révélé que l'obésité est un «facteur déterminant des décès dus au COVID-19» et que les taux de mortalité liés au Covid-19 sont étonnamment dix fois plus élevés dans les pays où la plupart des adultes sont en surpoids. Bien que l'âge avancé soit l'indicateur le plus fort d'une issue grave d'une infection à coronavirus, «le surpoids vient en deuxième position», a déterminé le rapport. Le PDG de la Fédération mondiale de l'obésité est allé jusqu'à blâmer «l'incapacité à s'attaquer aux causes profondes de l'obésité pendant de nombreuses décennies. . . pour des centaines de milliers de décès évitables. » Bien que l'étude montre à quel point une mauvaise santé sous-jacente est une force motrice dans les décès dus aux coronavirus, nous savons presque depuis le début que le surpoids ou l'obésité augmente considérablement le risque d'une issue grave.

    Compte tenu de ces informations, les Anthony Faucis et Eric Feigl-Dings du monde devraient se concentrer sur l'alerte des gens sur les dangers du surpoids et de l'obésité, et de déployer des efforts importants pour encourager l'exercice et une alimentation saine. Au lieu de cela, ils ont passé les douze derniers mois à exhorter les gens à «rester à la maison, sauver des vies» et à porter deux masques, sinon trois ou quatre, une mesure qui n'a pas du tout atténué les décès dus aux coronavirus.

    Dans le même ordre d'idées, les gouverneurs du pays ont ordonné la fermeture de gymnases, ainsi que d'innombrables autres entreprises. À New York, les gymnases sont ouverts depuis l'été dernier, mais les clients doivent porter un masque en tout temps, même lorsqu'ils font de l'exercice. En raison de l'inconfort extrême de faire de l'exercice en étant masqué, j'ai (Jenin) quitté ma salle de sport il y a des mois pour la première fois en deux décennies et j'ai commencé à compter uniquement sur des formes d'exercice en plein air pour rester en forme. Je doute que je sois le seul à l'avoir fait pour des raisons similaires.

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  31. Ainsi, les mandats de masques d'extérieur dans des États comme le Massachusetts sont tout aussi contre-productifs, qui ont pour effet pernicieux de décourager l'exercice à l'extérieur comme à l'intérieur. Tout cela, malgré le fait que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) déconseille de porter un masque pendant l'exercice, soulignant des recherches démontrant que le porter même pendant une activité physique légère à modérée peut «entraîner des effets cardiovasculaires et pulmonaires négatifs importants chez les personnes en bonne santé. et ceux qui souffrent de maladies respiratoires sous-jacentes. (Bien sûr, ces résultats contredisaient la religion des masques faciaux qui a dépassé notre société, et ont donc été automatiquement écartés, non pas sur le fond, mais parce qu'ils ne cadraient pas avec le récit dominant).

    De même, en particulier au début de la crise, les gouverneurs du pays ont fermé des terrains de jeux, des parcs nationaux et des sentiers de randonnée, un autre choix politique qui a simplement privé les gens de la possibilité de se livrer à des activités de plein air saines. Heureusement, bon nombre de ces ordonnances ont été annulées à la suite d'un refus important du public, bien que jamais avec une admission de la part des représentants du gouvernement que de telles mesures étaient préjudiciables à la santé publique.

    Bien que l'exercice soit vital pour la santé globale, des recherches importantes suggèrent que les personnes aux prises avec l'obésité ont besoin de changements alimentaires pour perdre du poids. Comme on pouvait s'y attendre, la stratégie de fermeture, qui impliquait des personnes travaillant à domicile beaucoup plus souvent ou exclusivement, a conduit à une forte augmentation des mauvaises habitudes alimentaires. Les gens ont commencé à grignoter des aliments transformés en beaucoup plus grandes quantités, en grande partie pour atténuer le stress, ce qui a donné à Mondelez International - le fabricant d'Oreos - et à d'autres collations malsaines et transformées une raison de se réjouir.

    Les exhortations de la foule «restez à la maison», ainsi que la mise en œuvre de mesures telles que la fermeture de salles de sport et de parcs ont eu l'effet escompté, à savoir que 42% des adultes aux États-Unis ont signalé une prise de poids indésirable au cours de l'année écoulée, avec une moyenne de vingt-neuf livres. Les milléniaux en tant que groupe ont fait le pire, avec 48 % signalant un gain de poids indésirable, à une moyenne de quarante et un livres. Qu'il suffise de dire qu'une partie importante des adultes qui, en mars 2020, ne présentaient pas de risque substantiel d'une issue grave du coronavirus peuvent désormais être classés dans un groupe à risque élevé.

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  32. - voir tableau sur site -

    La cause de ce relâchement de la ceinture nationale n'est pas simplement de rester à la maison et de moins se déplacer, mais aussi l'anxiété et la dépression causées par l'isolement social, qui ont toutes deux entraîné une prise de poids et une obésité. La société a maintenant organisé

    La cause de ce relâchement de la ceinture nationale n'est pas simplement de rester à la maison et de moins se déplacer, mais aussi l'anxiété et la dépression causées par l'isolement social, qui ont toutes deux entraîné une prise de poids et une obésité. La société s'est maintenant organisée autour du principe de priver les gens d'un contact social significatif avec la famille, les amis et les collègues pendant une bonne partie de l'année. Il n'est pas nécessaire d'avoir un diplôme en psychologie pour reconnaître qu'une telle approche ne peut qu'aggraver la crise de l'obésité, comme elle l'a d'ailleurs fait. En fait, notre chirurgien général nouvellement confirmé, le Dr Vivek H. Murthy a écrit un livre entier sur les effets de la solitude sur la santé, affirmant qu'elle est associée à un risque accru de maladie cardiaque, de démence, d'obésité et de troubles du sommeil.

    Pourtant, malgré ces circonstances, des publications telles que le New York Times ont publié des articles extrêmement irresponsables avec des titres tels que Devriez-vous vous inquiéter de la pandémie de gain de poids de votre enfant? (la réponse de l’auteur, Virginia Sole-Smith, est, d’une manière générale, «non»). De façon typique, Sole-Smith attribue l'incidence croissante de l'obésité infantile à la pandémie elle-même, plutôt qu'à la décision de fermer les salles de classe pendant plusieurs mois. Elle soutient que, étant donné que les régimes alimentaires pendant l’enfance peuvent entraîner des troubles de l’alimentation chez les adultes, les parents devraient éviter de considérer la prise de poids de leurs enfants comme un «problème à résoudre». Les parents devraient se renseigner sur la santé mentale de leurs enfants, mais aussi accepter que les circonstances à l'origine de leur dépression et de leur alimentation stressante tard le soir ne peuvent tout simplement pas être changées, comme s'il était parfaitement raisonnable du point de vue de la santé publique de donner la priorité à la prévention Covid (un virus moins nocif pour les enfants que la grippe) par-dessus tout.

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  33. Un article plus récent du Times, par Sandra E. Garcia a esquivé la question de la santé sous-jacente, et a plutôt fait valoir que les personnes dont l'indice de masse corporelle (IMC) les qualifiait pour une vaccination précoce devraient profiter de ce statut. L'article citait Emma Spectre du magazine Vogue, affirmant qu '«une mesure de la santé qui a longtemps été remise en question par les gros militants et les experts médicaux pourrait être bénéfique pour les personnes grasses pour la première fois.

    De même, Garcia a cité un tweet qui plaisantait «parce que mon IMC me permet de me faire vacciner demain, et parce que la vaccination me permettra de me protéger et de protéger les autres, mes cuisses épaisses sauveront en fait des vies.» Si l’IMC est une mesure imparfaite de la santé d’un individu et, bien entendu, que toutes les personnes minces ne sont pas en bonne santé, les trente dernières années nous ont montré que la hausse des taux d’obésité et de maladies chroniques va de pair.

    Apparemment, l'engagement idéologique de Garcia envers le récit de la politique identitaire exclut toute admission que le surpoids, et en particulier l'obésité, est un prédicteur significatif d'une issue grave d'une infection à coronavirus, et que de nombreuses personnes peuvent prendre des mesures pour perdre du poids et ainsi devenir en meilleure santé et en meilleure santé. se retirer même des catégories à risque. Se faire vacciner ne résoudra pas le problème plus vaste, car il ne peut en protéger qu'un seul du coronavirus et ne guérit pas les diverses comorbidités résultant d'une mauvaise alimentation et d'un mode de vie sédentaire.

    Sous prétexte de «positivité corporelle», les auteurs de ces articles normalisent un mode de vie qui entraîne des problèmes de santé importants. Au lieu de remettre en question les circonstances qui créent l'obésité - des conditions qui n'ont fait qu'empirer pendant la pandémie - ils avancent contre toute raison et toute logique que l'obésité n'est pas malsaine ou qu'il est en quelque sorte plus malsain de la reconnaître et de la gérer. Cela empêche effectivement les gens de tirer la conclusion trop évidente que la décision de fermer des écoles, des gymnases et des lieux de travail et de forcer les gens à s'abriter sur place pendant des mois d'affilée n'a jamais été dans l'intérêt de la santé publique.

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  34. Bien sûr, tout le monde ne peut pas perdre du poids pour diverses raisons, allant des troubles métaboliques à un accès insuffisant à une alimentation saine ou au temps de faire de l'exercice. L'incapacité de nombreuses personnes à mener une vie saine peut être directement liée à des problèmes systémiques importants dans notre société et notre pays aujourd'hui, et il n'est pas dans le cadre de cet article de traiter cette question. Nous ne préconisons pas non plus la «grosse honte», ni aucune cruauté envers les individus parce qu'ils sont en surpoids ou obèses. Nous suggérons plutôt que le gouvernement et les autorités de santé publique ne devraient pas émettre et soutenir, respectivement, des mandats qui restreignent la liberté au point de favoriser la dépression et la maladie dans la population générale. Cela comprend non seulement la fermeture de parcs et de gymnases, mais aussi des mesures telles que le port obligatoire du masque pendant l'exercice et les ordonnances de rester à la maison, ce qui conduit inévitablement à l'isolement social.

    Contrairement à l'approche qu'ils ont adoptée, les autorités de santé publique, et par extension les politiciens et les médias, devraient encourager le public à maintenir un poids santé, et pas seulement pendant la pandémie. En fait, il est de leur obligation morale de s'attaquer au problème de front, plutôt que de faire passer la politique identitaire ou le politiquement correct avant la santé publique, et de renoncer vigoureusement aux mesures qui créent une nation plus malsaine.

    Nous soupçonnons qu'un jour, la mise en quarantaine de sociétés entières qui a été effectuée en réponse à la pandémie de coronavirus, conduisant à de vastes pans de la population en général malsains et ironiquement plus sensibles aux conséquences graves du virus, sera considérée comme le 21e siècle. version de la saignée. Comme l'a observé l'épidémiologiste Martin Kulldorff, la santé publique ne concerne pas qu'une seule maladie, mais tous les effets sur la santé. Apparemment, en 2020, les autorités ont oublié cette vérité évidente.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/lockdowns-worsen-health-crisis

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  35. Ils sortent leurs proches de l'Ehpad - témoignages


    le 26/03/2021 à 00:01
    Pryska Ducoeurjoly, journaliste indépendante


    Epuisées par l’attente interminable d’un allègement des restrictions, certaines familles prennent aujourd’hui la décision de sortir leur proche de la maison de retraite. Témoignages.

    Depuis trois mois, Céline a repris sa mère à la maison après deux ans passés en Ehpad. « Les confinements à répétition, les parloirs, les privations de droits et de liberté ont largement motivé cette décision. Mais c’est aussi lié à l’absence de dialogue et de projets d’accompagnement, au refus de respecter le contrat de séjour et les droits de ma mère, à l’épuisement de ne pas pouvoir me faire entendre », explique la jeune femme de 36 ans, habitante du Var.

    Cela fait maintenant un an que les 600 000 résidents des Ehpad sont soumis à des normes sanitaires plus strictes que le reste de la population sanitaire sans que les aspects éthiques ne pèsent dans la balance face à l’impératif sécuritaire. Prolonger la vie oui, mais à quel prix ? Dans une tribune du Figaro, parue le 6 février, les proches aidants dénoncent « un principe de précaution poussé à l’extrême ». Confinés avant les autres dès le 9 mars, déconfinés plus tardivement mais pas complètement, les résidents demeurent encore interdits de sortie ou confinés en chambre selon les établissements.

    « Je me suis préparé psychologiquement »

    Pierre vient donc de renouer avec son rôle d’aidant familial, déjà assumé pendant 8 ans, avant le placement de sa mère en Ehpad. Depuis mars 2020, il appelait matin et soir pour soutenir le moral de Janine, âgée de 91 ans. Au fil des mois, ce coaching téléphonique quotidien compensait de moins en moins le manque affectif. Le 27 février dernier, Pierre est donc venu chercher sa mère pour la ramener définitivement à la maison. Un grand moment d’émotion après 5 mois d’interdiction de sorties (voir la vidéo ci-dessous). « Je préfère mourir maintenant dans tes bras plutôt que de vivre plus longtemps là-bas », confirme Janine pendant les embrassades.

    « Je me suis préparé psychologiquement car je sais tout le travail et les sacrifices personnels que cela représente. Il est absolument vital de cultiver une bonne attitude intérieure et de pouvoir compter sur une bonne équipe d’intervenants. Il faut aussi prendre des temps de repos et maintenir des activités personnelles pour ne pas s’épuiser. Si je vais bien, le moral de ma mère se porte bien aussi ! Cette prise en charge est un défi quotidien, qui met à l’épreuve nos limites, mais je remercie la vie de nous offrir cette expérience pour grandir ensemble dans la solidarité et l’amour. Je remercie tous ceux qui nous apportent leur aide, notamment ma famille et tous les amis présents à nos côtés ».

    Janine quitte la maison de retraite :

    « J’ai l’esprit beaucoup plus tranquille »

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  36. Pour Céline, la décision de reprendre avec elle Monique, âgée de 76 ans, a aussi nécessité une importante réflexion, un travail de préparation en amont pour la constitution d’une équipe mais également un changement de domicile personnel, pour tenir compte de la sécurité et de l’ergonomie de la personne dépendante. Un cheminement que ne peuvent pas faire tous les proches des résidents. « En octobre, les choses étaient claires pour moi, je devais tout faire pour sortir maman. Mais ce n’est qu’à la fin de l’année 2020, le 18 décembre, que j’ai enfin pu venir la chercher ».

    Céline avait identifié au téléphone le syndrome de glissement mais, à la sortie, elle a découvert une situation plus grave : « Elle était dénutrie, avec de gros kystes aux reins, une insuffisance rénale aggravée et une hernie intestinale… Je regrette que, dans cet Ehpad comme dans le précédent, le suivi médical n’ait pas été à la hauteur, malgré un coût de 2700€ par mois… Aujourd’hui, ma mère va mieux. Je peux enfin assurer un accompagnement approprié. Bien que la charge de travail et l’organisation soit énorme, et malgré un contre-coup que je n’ai pas anticipé, j’ai l’esprit beaucoup plus tranquille et je me sens moins fatiguée. Et ma mère a pu éviter un troisième confinement en chambre, à nouveau décrété début 2021 dans son ancien Ehpad. »

    L’univers des aidants familiaux

    Pierre travaille à domicile et va donc pouvoir aménager ses plages de travail en fonction de l’emploi du temps de sa mère. Céline, pour sa part, a la chance d’avoir un employeur « très conciliant » avec son statut d’aidante, qui lui accorde une flexibilité dans les horaires. « Je conseille à tous ceux qui tentent cette expérience de se déclarer comme "aidant familial" car cela permet d’avoir le soutien de certaines structures [1]. Je leur conseille aussi de s’entourer d’intervenants à l’écoute, si possible formés à la santé de l’aidant. Il ne faut pas hésiter à changer si cela ne convient pas. La santé et le bien-être de l’aidant sont le pilier du dispositif à domicile. C’est nécessaire d’en avoir conscience si on veut tenir dans la durée ! »

    Des Ehpad devenus prisons

    Avec le recul, Céline estime que le mantra sanitaire « isoler pour protéger » a mis en danger la vie de sa mère : « Non seulement Monique a vécu deux confinements en chambre, délétères pour sa santé mentale, mais ses examens médicaux ont été annulés, comme son scanner. Elle a aussi passé 10 mois sans lunettes de vue et déclenché un début de cataracte. Impossible pour moi d’intervenir, et bien sûr, il ne m’a plus été possible de faire entrer dans l’établissement des accompagnants extérieurs comme l’art thérapeute et la sophrologue malgré le contrat d’accompagnement. Quant aux visites au parloir, je les ai évitées au maximum car il y avait une sono pour amplifier la conversation et en faire profiter tout l’établissement... Comment ma mère pouvait-elle me faire part des dysfonctionnements ? Où est l’intimité ? »

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  37. Au parloir de cet Ehpad du Var, le visiteur est dans le box. Un micro relié à une sono permet de s’entendre, mais sans confidentialité des échanges.

    Pour Céline, l’heure est donc au soulagement : « Je n’ai plus à gérer à distance la santé de ma mère ni à composer avec une institution qui devient maltraitante, au sens de la définition du Conseil de l’Europe de 1987 [2]. Cette maltraitance touche aussi bien le personnel, les résidents et leurs familles. Un exemple parmi d’autres, j’ai découvert qu’on avait vacciné ma mère contre la grippe sans notre consentement, simplement parce que le médecin coordinateur l’avait décidé, sans même prévenir le médecin traitant. Ma protestation par courrier n’a reçu aucune réponse ».

    Des familles impuissantes, usées moralement

    A la différence de Céline, Françoise ne peut pas sortir son mari de l’Ehpad. Son statut d’aidante ne serait d’ailleurs pas officiellement reconnu, car elle est la conjointe de Jacques. « C’est à contrecœur que j’ai placé mon mari, âgé de 85 ans, en Ehpad. Il y est entré juste avant la crise sanitaire. Mais comment faire lorsqu’on est allé au bout de ses forces et qu’on n’est plus en capacité d’assumer ? Aujourd’hui, c’est émotionnellement très compliqué, pour lui comme pour moi. Si je pouvais, je le reprendrais. Concrètement, il faudrait trouver plusieurs personnes de confiance pour se relayer 24h sur 24. Ce n’est pas évident. Par ailleurs, l’hospitalisation à domicile coûte extrêmement cher. Nous sommes en pleine réflexion, mais actuellement, nous ne voyons aucune alternative pour soulager Jacques », déplore Françoise, 84 ans.

    Comme beaucoup de familles, Françoise est confrontée à l’exclusion des proches aidants. « Cela use vraiment le moral. Nous pouvons voir les soignants serrer nos proches dans les bras mais, pour nous, cela reste interdit. C’est meurtrissant. Deux fois j’ai craqué au parloir et j’ai pris mon mari contre moi. Vaut-il mieux que Jacques meurt de manque affectif ou bien de maladie ? Tout le personnel de l’Ehpad a été déclaré positif et ils s’en sont tous sortis. Mon mari aussi. Mais s’il devait mourir aujourd’hui, dans l’état de santé qui est le sien, je ne dirais pas que c’est le covid qui l’a tué… »

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  38. Une logique de plus en plus comptable

    Françoise ne pensait pas vivre une telle situation dans sa paisible contrée de Dordogne. « Dans l’Ehpad de ma belle-mère, qui comptait 40 personnes, nous avons connu une gestion familiale. Puis un jour un changement s’est produit. D’immenses travaux ont été effectués pour augmenter la capacité à 80 personnes. Le directeur a été remplacé par une femme plus portée sur l’administratif que sur le contact humain. On a vraiment l’impression que le grand âge devient une grosse affaire. Des groupes cotés en bourse investissent dans les maisons de retraite et appliquent froidement leur impératif de rentabilité. Malheureusement, cette logique semble désormais contaminer les établissements publics. On ne s’occupe plus vraiment d’accompagnement personnalisé. La crise sanitaire éclaire plus crûment cette dérive dans la prise en charge de nos personnes âgées ».

    Alors qu’au niveau national les syndicats demandent depuis l’été 2020 la création de 200 000 emplois supplémentaires pour permettre aux Ehpad de mener correctement leur mission, nos aînés n’ont pas fini de payer la facture de l’abandon de l’Etat. Ils doivent aussi maintenant subir une nouvelle discrimination sanitaire, avec des sorties que le ministre de la Santé souhaite désormais conditionner à la vaccination…

    Une ligne d’écoute

    L’Agence régionale de santé (ARS) d’Occitanie en collaboration avec France Assos Santé (la voix des usagers) propose un service d’accompagnement d’écoute et de dialogue éthique (SAEDE) avec une ligne téléphonique dédiée (08 01 902 303) pour répondre aux situations difficiles et aux blocages entre les résidents ou leurs familles et les Ehpad. Si vous avez essayé ce service d’écoute, vos retours nous intéressent, en commentaires à la suite de cet article.

    Pryska Ducoeurjoly est journaliste indépendante, spécialisée en santé.

    Elle confie "Je suis également la conjointe de Pierre cité en témoignage. J’ai eu l’occasion d’être au plus près de la situation vécue dans les Ehpad et j‘ai ainsi pu filmer avec l’appui d’un professionnel la sortie de ma belle-mère, Janine. La charge mentale d’avoir un proche en souffrance en Ehpad est particulièrement difficile à vivre humainement. Même si je suis moins touchée que mon conjoint, la sortie de Janine est pour moi un soulagement car cela permet de reprendre la main sur une situation où je me sentais, comme beaucoup, impuissante".

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  39. [1] N’hésitez pas à solliciter les associations, le Conseil départemental, le Centre communal d’action sociale, votre mutuelle, votre caisse de retraite et caisse de retraite complémentaire, les plateformes d’accompagnement et de répit. Voir aussi "Quelles sont les différentes formes possibles de rémunération pour le proche aidant ?"

    [2] « Une violence se caractérisant par « tout acte ou omission commis par une personne, s’il porte atteinte à la vie, à l’intégrité corporelle ou psychique ou à la liberté d’une autre personne ou compromet gravement le développement de sa personnalité et / ou nuit à sa sécurité financière. » Par exemple : défaut de soins de base, non-information sur les traitements ou les soins, abus de traitements sédatifs ou neuroleptiques, défaut de soins de rééducation, limitation de la liberté de la personne.

    Lire aussi :

    ARS, syndrome de l’étatisation sanitaire, France Soir, 15 juin 2020
    Les Ehpad exténués par le confinement, Pryska Ducoeurjoly, 29 juin 2020

    Auteur(s): Pryska Ducoeurjoly, journaliste indépendante

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/ils-sortent-leurs-proches-de-lehpad-temoignages

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  40. Je vais vous parler du bitcoin...


    lundi, 29 mars 2021 08:11


    Laissez moi vous parler du bitcoin deux secondes, vu de ma porte d'ignard dépassé.

    D'un côté nous avons un pseudo virus positif qui n'a aucun impact sur le corps humain des moins de 55 ans, mais le monde entier est bloqué. Interdiction de bouger. Ce qui cache un souci politique du carbone qui dépasse tout ce que le commun des mortels imagine.

    De l'autre, nous avons une crypto monnaie dont le mining consomme une énergie de folie furieuse. Certains pays ne consomment pas autant à leur échelle que la grande messe mondiale du bitcoin.

    Excusez moi... mais deux secondes, en tant que désormais vieux con dépassé...

    Aucun politicien n'ignore la consommation d'énergie liée au bitcoin. Si d'un côté ils ferment le robinet avec le covid et de l'autre, le laissent ouvert pour le bitcoin... c'est qu'il y a une raison... et ce sera forcément un piège à terme.

    Un politicien, par essence, n'est jamais animé de bonnes intentions populaires. On l'a vu avec Trump ou H... ces gens là, des nationalistes qui aiment leur peuple, ils se font dégager assez rapidement et pas vraiment avec douceur. Comme les vrais ennemis du peuple sont dans l'ombre et non identifiés par le grand public, généralement, nous sommes dans un jeu de dupe avec des victimes qui n'en sont pas et des vrais victimes qui ne sont jamais reconnues...

    Donc méfiance tant que nous ne saurons pas quelle est la raison réelle du bitcoin...

    Après genre le bitcoin est inviolable... cela reste à prouver si la complaisance américaine cesse, nous verrons bien le niveau de sécurité réel !

    Deuxième chose.

    Dépenser autant d'énergie pour une activité aussi débile que le mining de bitcoin... désolé, mais si le collectif humain en arrive à ce niveau, il est peut être utile que nous subissions une punition pour nous rappeler à l'ordre. La destruction de la planète pour récupérer une ressource fictive digitale, c'est l'une des raisons qui m'ont toujours motivé à ne pas participer à ce marché. Ce n'est pas de la morale. C'est juste qu'il faut s'arrêter deux secondes, respirer, prendre du recul et se réveiller. Le bitcoin, tout est taré de A à Z. Toute l'histoire dans son intégralité. C'est au mieux un jeu vidéo pour humains déconnectés.

    Que des financiers tuent des entreprises dépassées non valides économiquement et qu'ils paraissent ensuite des requins sans pitié, ne me dérangent pas. Le process de destruction créatrice de Schumpeter est très peu saisi par le peuple. 90% des entreprises du SP500 en 1950 ne sont plus là. Tout est déflationniste. La valeur qui tient à long terme est d'une rareté extrême.

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  41. Mais là, on parle de dépenser des ressources précieuses immenses ( précieuses car à ce stade, l'énergie coute toujours beaucoup et détruit aussi beaucoup dans sa production) pour du vent dont l'humanité n'a pas franchement besoin.

    Comparer l'inutilité des requins de la finance qui régulent la viabilité des entreprises avec l'inutilité du bitcoin, c'est pour le moins osé...

    Le bitcoin en tant que monnaie. Avant il y avait l'or. Et cela n'a pas marché. Personne n'empêchera jamais la corruption et les humains parasites. On parie combien que le bitcoin n'est pas la réponse, ni le messie face à cette réalité humaine universelle tout autant que historique ? Le bitcoin finira violé, trahi, manipulé, détourné, comme tous les autres outils. Ce n'est juste qu'une question de temps... sauf que le bitcoin aura gaspillé tellement d'énergie qu'il en est écoeurant.

    Charles Dereeper

    https://www.objectifeco.com/economie/inflation-deflation/monnaie/je-vais-vous-parler-du-bitcoin.html

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  42. Pourquoi j'ai totalement modifié une nouvelle fois ma manière de gérer mon argent


    lundi, 29 mars 2021 07:27
    Charles Dereeper


    Dans la suite de je ne peux pas prédire le futur dans du pur chaos politique https://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/pourquoi-j-abandonne-le-jeu-de-la-prevision-global-macro-et-pourquoi-le-silence-est-la-seule-reponse-saine.html vu que je n'ai aucun copain au sein du WEF... je me suis dit que la vérité était dans les cours de bourse.

    J'ai conçu un nouveau système qui ne juge pas, qui n'anticipe pas, qui laisse les prix boursiers parler d'eux même. https://formation.objectifeco.com/investir-2030/

    J'ai mis en vente une partie de ces recherches. Et je pense que je vais louer le reste car j'ai pas envie qu'un crétin de youtuber français s'empare de la version élaborée de investir 2030.

    Toutes les personnes hautes placées à qui j'ai parlé dans ma vie ont toutes témoigné de la même chose. A un certain niveau, ce n'est QUE du délit d'initiés et jamais aucune compétence. Donc que de la triche.

    Les cours boursiers trahissent les initiés.

    J'ai appris à ranker les secteurs, puis les assets, puis les actions. Ce n'est qu'une question de vitesse et de ranking. Il n'y a pas d'autres moyens de suivre les initiés qui ont connaissance d'infos non officielles et impactantes.

    Je ne veux plus dépendre de ma compréhension.

    Je vais vous faire une confidence. Je suis un trader de génie. Depuis août 2020. Vraiment. Un gérant de hedge fund qui a 50 ans de trading dans les pattes. J'ai accès à toutes ses opérations. En temps réel.

    Devinez quoi ?

    Le mec est complètement aveugle avec la remontée des taux à 10 ans. Il est KO et ne parvient plus à comprendre. Toute son approche, toutes ses 50 années de trading ne lui servent à rien parce qu'une remontée des taux à 10 ans au niveau les plus extrêmes sur 20 ans et sans aucune justification réelle vient d'avoir lieu. Les corrélations entre indices boursiers et taux n'existent plus. Les variances et covariances sont modifiées totalement. Et plus rien ne marche comme d'habitude. Résultat. Plus aucun trade depuis 10 jours maintenant.

    perte stock

    - voir graphique sur site -

    La compréhension du covid en mars dernier sur les indices boursiers, c'était pareil. Je me souviens être en train de faire une interview de David Renan et on blague ensemble sur ce qui est une correction technique avant un énorme krach... nous sommes en avril ou mai 2020. Résultat ? Le plus gros bull market de l'histoire des marchés...

    D'un côté, nous avons des politiciens en train de suivre un agenda secret qui semble aberrant vu de l'extérieur.

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  43. De l'autre, des marchés qui ne bougent plus en fonction de la réalité économique.

    Et au milieu le bitcoin, royaume de la non valeur, encensé par la terre entière, qui fait 10 à 15% de variations quotidiennes, avec des intervenants qui filent des leçons à tout le monde avec moins de 2 ans d'expérience des marchés au compteur, les mêmes mecs ayant disparu lors du premier krach du bitcoin, le tout avec leur croyance que les Etats vont laisser se développer un cancer dans leur monnaie, principal outil pour asservir leur population... parce que le bitcoin est inviolable... lui qui ne tient qu'à une autorisation des USA d'échanger le bitcoin en dollar car les chinois (70% du volume) lavent leur argent sale avec... et ca, c'est censé être un outil patrimonial sérieux et moi avec mon ambition de 15% de gains par an (Madoff a conquis le monde avec 12% par an...) je suis un ringuard qui ne regarde que le passé...

    Comment voulez vous avoir l'ambition de comprendre ?????

    Moi je passe mon tour.

    Je bascule en mode stratégie sans réflexion, sans discrétionnaire. Le temps dira...

    Charles

    https://www.objectifeco.com/riche-rentier/argent/investir/pourquoi-j-ai-totalement-modifie-une-nouvelle-fois-ma-maniere-de-gerer-mon-argent.html

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  44. Pourquoi j'abandonne le jeu de la prévision global macro et pourquoi le silence est la seule réponse saine


    lundi, 29 mars 2021 06:54
    Charles Dereeper


    Je lisais le commentaire de MAX dans la communauté de la crise du siècle sur mes scénarios, que j'attendais une crise à horizon 2 ou 3 ans, que je misais sur la bouffe, que je pensais comme Armstrong (que je trouve grotesque et totalement malhonnête dans ses prévisions et ultra fin voire un pur génie en tant qu'analyste de l''histoire)...

    Alors il faut que ce soit clairement dit malgré toute ma communication récente et ancienne dans de nombreuses vidéos.

    Je crois totalement à une seule chose.

    Il est impossible de payer les retraites en occident. Donc, soit on tue les vieux avant. Soit on garde les vieux et on tue la monnaie. Soit un mix de deux.

    Mon obsession sur la bouffe est tout simplement une passion qui remonte à plus de 20 ans... plus la réponse au fait que presque obligatoirement la monnaie va être tuée. Le scénario le plus probable est la création d'une monnaie digitale en occident qui permettra une augmentation frénétique de la masse monétaire pendant qu'une partie de la population de l'économie privée est basculée artificiellement au chômage et en revenu universel... de là, découlera que la monnaie s'écroulera comme à chaque fois dans l'histoire de l'humanité.

    Maintenant, je ne partage pas bambi land et le bobo socialo français. De tout temps, les élites ont toujours tué le cheptel humain. Il suffit de regarder l'histoire pour piger que la seule période où le peuple a pu se reproduire, c'est depuis 1950... et il semblerait que 2020 ait marqué la fin du cycle avec la création d'une maladie fictive au taux de mortalité de 0.0028%... Les élites ont l'air d'avoir repris le chemin du contrôle des mouvements, du carbone et de la pollution ou de la consommation de matières premières et enfin à terme de la reproduction humaine. Qui sait si demain une nouvelle miraculeuse souche ne fera pas beaucoup plus de dégâts que celle actuelle ?... En tous les cas il n'est pas fou d'affirmer que nos libertés acquises depuis 1950 ont été sérieusement mises à mal avec un argument purement fictif qui est le danger d'être positif à un machin qui n'a aucune conséquence sur la vie... yen a qui n'ont toujours pas pigé en plus et qui croit à un danger réel d'être positif.

    En terme de prévision, je n'en ai aucune puisque nous ne sommes plus dans un jeu économique mais dans un game politique mondial.

    Alors j'ai bien compris que certains ne veulent pas croire à un pouvoir centralisé autour du WEF, de Soros et Gates et j'en passe. Donc pour ces personnes, c'est l'économie qui va diriger le monde. Et le covid est un événement réel.

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  45. J'en sais rien. 52 enfants sont morts aux USA et le pays a bouclé les écoles. Si la seule explication que certains trouvent est de dire que les politiciens sont idiots, ainsi soit il... les politiciens sont idiots 15 mois d'affilée, n'apprennent rien, ne comprennent rien et ne voient pas que seuls 52 enfants sont morts aux USA du covid alors qu'il en meurt beaucoup plus en voiture sur les trajets pour l'école... Par voie de conséquence, en écrivant cette réalité, je deviens supra méga intelligent et jamais aucun conseiller de aucun politicien dans le monde n'a jamais informé les dirigeants politiques de la comparaison entre le nombre de morts en voiture pour aller à l'école et le nombre de mort par covid des enfants américains. Au final chacun ses croyances. Perso, je pense que la probabilité que les politiciens ignorent les chiffres des enfants et soient réellement idiots chiffrent à 0%... C'est tellement menaçant qu'il puisse exister une autre explication que la bêtise que beaucoup se disent alors que les politiciens ne veulent pas prendre de risque... et c'est là où cela déraille, car les morts sont dans les voitures et non à l'école avec le covid. Le risque politique n'existe pas car cette maladie touche les vieux, les vieux est le problème numéro 1 de l'Occident, un simple hasard bien sûr...

    Maintenant ces gens qui veulent absolument croire à la bêtise des politiciens pourraient aussi admettre devant l'énorme éléphant dans la salle de bains que les politiciens ont pleinement conscience que 52 enfants morts et que cela ne peut pas justifier le bouclage de l'éducation d'un pays et que donc, d'autres paramètres entrent en compte dans les décisions...

    Pour moi, la seule indication que j'ai, c'est depuis 2009 un écho massif pour 2022 résonne dans mon radar. Pas 2023. 2022 et uniquement cette année là. Tout comme j'avais Q4 2019 comme dernier délai pour quitter la Thailande et ce, depuis 2009.

    Je ne sais pas si c'est l'économie ou la politique qui va diriger demain.

    Certains disent que le résultat du vaccin en Israel est un succès. D'autres parlent d'un pic de mort APRES le vaccinage. Je m'en branle. Mais c'est justement le fondement de ma communication.

    Le jeu est totalement aléatoire. Personne n'a les vrais chiffres. Personne n'a de certitude.

    Donc, je m'impose depuis plusieurs mois un silence. Je trouve de plus en plus prétentieux ce jeu de la prévision dans du pur chaos. Il faut savoir reconaître nos propres limites.

    En tous les cas, le monde actuel me montre mes propres limites. Et je pense qu'un homme sain doit choisir de se taire quand il ne peut pas avoir raisonnablement un avantage sur la réalité et dépasser le taux de réussite de 50%...

    Ce qui est fou, c'est que depuis que j'ai adopté cette position, les gens me prêtent des scénarios et des idées qui ne traversent même pas mon esprit. Comme si il était impossible de ne pas avoir une idée sur la réalité et de vivre tranquillement sans savoir...

    Charles

    https://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/pourquoi-j-abandonne-le-jeu-de-la-prevision-global-macro-et-pourquoi-le-silence-est-la-seule-reponse-saine.html

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  46. The Great Unvaxxed - Un regard "fictif '' sur ce qui nous attend


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 MAR 2021 - 23:40
    Rédigé par TE Creus via Off-Guardian.org,


    Le vaccin a été un succès retentissant. Oui, il y avait eu un taux de mortalité final de 10 % parmi les vaccinés, mais c'était surtout parmi les personnes âgées ou déjà malades, donc ce n'était probablement pas la faute du vaccin, et si c'était le cas, personne ne pourrait le prouver d'une manière ou un autre, et même s'ils le pouvaient, eh bien, les fabricants de vaccins n'étaient pas passibles de poursuites en raison des accords qu'ils avaient conclus avec les différents gouvernements.

    En tout cas, la pandémie était terminée, c'était certain.

    Bien entendu, les masques et les mandats de verrouillage ont continué à être appliqués; la raison en était que si la pandémie avait très certainement été vaincue, le virus existait toujours sous sa forme naturelle quelque part là-bas, et il était donc vital de poursuivre les procédures de sécurité pour éviter toute éventuelle résurgence de la maladie.

    Et alors ? Les gens s'y sont habitués, car ils s'étaient habitués à tant d'autres choses avant cela. Et porter un masque était-il finalement bien pire que de porter un casque ou une ceinture de sécurité ? Le fait d'être forcé de rester à la maison pendant quelques mois chaque année était-il très différent d'être obligé de travailler au bureau pendant cinq jours sur sept dans la semaine ? Les règles sont des règles, et elles n'étaient pas aussi mauvaises que d'autres qui avaient été instituées dans le passé.

    Mais il y avait quelque chose qui inquiétait les autorités. Alors que la plupart des gens se sont conformés de manière prévisible à la campagne de vaccination obligatoire, quelques groupes l'ont refusée, alléguant des raisons religieuses ou de santé, et ont trouvé refuge dans des communautés rurales vivant hors réseau. Ils avaient abandonné l'utilisation de la technologie mobile et de réseau et ne pouvaient donc pas être retracés aussi facilement, et, comme l'argent non numérique avait été aboli, ils semblaient être revenus à une forme de commerce basée sur l'échange de biens physiques.

    Au début, les autorités les ont ignorées; la plupart des gens les voyaient comme une minorité de perdants, des «anti-vaxxers» comme on les appelait à l'époque pré-scientifique, et comme il était peu probable que trop parmi les masses opteraient pour un style de vie aussi dur loin du confort de la vie urbaine moderne, ils n'étaient pas considérés comme une menace.

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  47. Mais ce qui s'est passé, à la fin, c'est que des rumeurs ont commencé à apparaître, même dans les villes, à propos de petites communautés où personne n'avait besoin de porter de masque, et les gens dansaient et souriaient, et la nourriture était délicieuse et naturelle et les gens l'étaient même - halètement ! - tomber amoureux et procréer de manière naturelle.

    Bien sûr, c'était une fausseté évidente et mensongère, mais les autorités ne pouvaient pas permettre à de tels contes de fées d'être acceptés par le peuple en général. Alors ils ont commencé à persécuter «les grands non sollicités», comme ils les appelaient, ou les «renégats libres» comme ils préféraient s'appeler eux-mêmes.

    Leurs communautés étaient dispersées. Leurs dirigeants ont été arrêtés. La plantation de semences biologiques non modifiées est devenue illégale.

    C'était dangereux, ont allégué les autorités. Les cultures non génétiquement modifiées n'étaient pas sûres et pouvaient entraîner des maladies ou des malformations congénitales. De nombreuses personnes qui vivaient dans les communautés rurales auparavant libres ont été arrêtées et vaccinées de force, ou ont été tuées dans des fusillades avec la police.

    Mais en fin de compte, il n'a pas été possible de les arrêter ou de les vacciner tous de force. Désormais, cachés parmi la population normale, utilisant de faux certificats, vivaient un nombre non divulgué de personnes non vaccinées, que les autorités n'avaient pas pu localiser ni identifier.

    Une jeune femme du nom de Miranda, née dans une grange au sens littéral du terme, et jamais vaccinée, en faisait partie. Lorsque l'agriculture biologique a été interdite et que la plupart des terres ont été reprises par de grandes entreprises utilisant l'agriculture mécanisée, elle a été forcée de déménager dans un petit village où elle subsistait en faisant des petits boulots et en enseignant occasionnellement des cours d'art. Elle avait appris le dessin et la peinture depuis son enfance, et était assez talentueuse; elle pouvait très bien chanter aussi.

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  48. Elle avait un faux certificat de vaccin qui, à toutes fins utiles, était presque identique aux vrais, et même si un test biologique pouvait déterminer qu'elle n'avait pas vraiment pris la photo, ou le «jab» comme on l'appelait couramment, elle faisait attention à ne jamais être dans n'importe quelle position qui pourrait exiger n'importe quel type de test.

    Pendant quelques années, elle et des centaines d'autres comme elle avaient survécu de cette manière, mais ce n'était ni idéal ni facile. Parce qu'avant au moins, les renégats pouvaient vivre librement dans leurs propres communautés, selon leurs propres règles, mais maintenant ils devaient se cacher et porter des masques et suivre les diktats comme tout le monde, alors à quoi bon ? S'ils ne pouvaient pas être libres de toute façon, pourquoi ne pas faire comme tous les autres et simplement prendre le jab et en finir ?

    Miranda y pensait parfois. Mais elle avait promis à ses parents - décédés dans une fusillade avec la police - qu'elle resterait toujours fidèle à leurs idéaux. Et elle a donc refusé de faire des compromis. Elle savait, ou espérait, que la tyrannie actuelle ne pourrait pas être maintenue éternellement. Elle voulait croire qu'il serait possible, un jour, d'être à nouveau libre.

    Finalement, ils l'ont eue. C'était sa propre erreur stupide; elle était dehors, une patrouille de routine approchait et elle avait laissé son faux certificat chez elle. Cela n'arriverait pas normalement, mais elle avait récemment acheté une nouvelle veste et avait oublié le certificat dans la poche de l'ancienne.

    Se promener sans certificat était illégal, ils ont donc dû scanner son bras, ne trouvant aucun signe de vaccination, et plus tard un deuxième test n'a trouvé aucune trace d'anticorps dans son système. Incapable d'expliquer la raison, ou de produire un certificat de vaccin valide - elle savait maintenant que le faux qu'elle avait à la maison serait maintenant analysé au microscope et ne serait plus utile - elle a été emmenée à la prison locale, et plus tard à un prison fédérale.

    «Il existe un moyen facile de s'en sortir», a déclaré le capitaine Antoine Huxley-Ehrlich, chef de l'Unité de résistance aux vaccins. "Prends juste le coup, et tu seras libre."

    «Jamais», répondit Miranda. "Vous devrez le faire par la force."

    C'était une option, bien sûr, et juridiquement possible avec le récent changement de la constitution. Mais ce n'était pas ce que voulait Antoine. Non, elle devait choisir librement le vaccin. Non seulement parce qu'autrement elle aurait pu devenir une martyre et inspirer d'autres rebelles, ou parce que les gens pourraient commencer à penser qu'il y avait vraiment quelque chose de mauvais ou de sinistre dans le vaccin; mais parce qu'il croyait fermement que gagner par la persuasion était mieux que gagner par la force, et il était convaincu de sa propre justice.

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  49. Il ne pouvait pas comprendre son refus obstiné - n’avait-il pas, comme tous les autres, pris volontairement le vaccin ? En tant que membre des classes supérieures, lui rappela-t-il, il n'était pas obligé de le faire à l'époque; et pourtant il s'était porté volontaire. Pourquoi ? Parce qu'il croyait à la loi et à l'ordre, mais surtout parce qu'il croyait au vaccin.

    Il était sûr que tôt ou tard il serait en mesure de la convaincre que son malaise avec le médicament n'avait été causé que par le traumatisme de ses expériences d'enfance, vivant dans une zone rurale difficile et regardant ses parents mourir en tant que criminels combattant la loi.

    Mais Miranda était en effet très têtue. Elle a refusé toutes les options qui lui étaient offertes. Elle préférait la prison à la vaccination et le refus de faire des compromis. Elle a même refusé de voir un psychiatre. Elle est donc restée en prison pendant des mois et des mois.

    Un jour, la directrice a apporté dans sa cellule un nouveau livre qu'elle avait demandé à la bibliothèque de la prison - Désobéissance civile, de Thoreau. Alors qu'elle commençait à lire, elle trouva une note manuscrite coincée entre les premières pages. «Lorsque vous aurez votre dîner ce soir, demandez du sel», disait-il. «Un ami», c'était signé.

    Qui cela pourrait-il être ? Elle était perplexe, car cela faisait des années qu'elle n'avait eu aucun contact avec quelqu'un d'autre de son ancienne communauté. Mais plus tard dans la soirée, alors que le directeur lui apportait le dîner, elle lui a demandé docilement si elle pouvait avoir une quantité supplémentaire de sel. Le directeur n’a trahi aucun signe de reconnaissance ou de suspicion; elle vient de lui apporter une petite salière blanche. Il n'y avait rien d'inhabituel à cela, mais quand Miranda l'ouvrit, du bas, elle trouva une petite clé magnétique et une autre note à l'intérieur.

    La note expliquait que la clé ouvrirait la porte de sa cellule et que tous les gardes de sécurité avaient été soudoyés ou endormis. Elle pourrait s'échapper en toute sécurité. Des instructions supplémentaires lui indiquaient comment atteindre une cabane dans les bois à proximité où elle pourrait rejoindre ses collègues du mouvement de résistance.

    Elle a attendu jusqu'à minuit; quand tout se tut, elle essaya la clé. Ça a marché. Elle sortit lentement de sa cellule, puis de la prison, sans être dérangée.

    Elle a suivi les instructions pour couvrir son visage avec un masque et ses cheveux avec un voile pour éviter la reconnaissance. Elle craignait qu'une patrouille ne l'arrête alors qu'elle quittait la ville, car la présence policière était constante et parfois il y avait des couvre-feux, mais tout le temps elle ne voyait qu'un petit groupe de policiers qu'elle n'avait aucun mal à se soustraire.

    Elle a marché pendant plusieurs heures; la note avait clairement indiqué qu'elle devrait éviter toute forme de transport en commun. C'était déjà le matin lorsqu'elle atteignit la destination informée, à quelques kilomètres de la ville.

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  50. Elle a frappé. Personne n'a répondu. Mais elle tourna la poignée et se rendit compte que la porte était déverrouillée. Elle entra, très tranquillement, comme si elle avait peur de perturber le silence étrange. Enfin, elle vit un homme assis dans un fauteuil, le dos tourné vers elle. Il portait une veste sombre et un chapeau fedora noir.

    «Alors tu es enfin là», dit-il. Elle semblait reconnaître la voix, bien qu’elle ne puisse pas tout à fait la localiser. Était-ce peut-être quelqu'un de son ancienne communauté ?

    Puis il se tourna vers elle. C'était Antoine Huxley-Ehrlich.

    Cela avait été un piège, bien sûr. L'idée était d'élever ses espoirs uniquement pour les écraser, comme une forme supplémentaire de torture, un jeu de chat et de souris élaboré. De plus, maintenant qu'elle avait tenté de s'échapper et de rejoindre un mouvement rebelle, elle pouvait être accusée de sédition et d'autres charges. Elle pourrait facilement être jugée par un tribunal militaire et condamnée à mort.

    Et c'est exactement ce qui s'est passé.

    On lui a offert un pardon complet en échange d'une vaccination, mais elle a quand même refusé. Si elle devait mourir, elle pourrait tout aussi bien mourir selon ses propres conditions. Comme sainte Jeanne ou les premiers martyrs chrétiens, elle préfère brûler le bûcher ou être jetée aux lions plutôt que de renier.

    Ils ne pouvaient pas la convaincre d'obtenir le «jab», mais ils ne voulaient pas non plus la transformer en une sorte de héros pour une cause, même folle et sans espoir. Alors ils ont décidé que l'exécution se ferait en secret, et l'histoire officielle serait que, puisqu'elle avait refusé plusieurs fois la vaccination, elle n'était jamais immunisée contre le virus et avait finalement contracté la maladie.

    Aujourd'hui, Miranda sera abattue. Elle a refusé toutes les offres d'annonces publiques de regret et même un dernier repas. Elle a également refusé le bandeau; elle ne voulait rien pour couvrir une seule partie de son visage.

    Alors que les bourreaux lèvent leurs fusils, Miranda n'a pas peur. Ses cheveux dorés flottent au vent et elle regarde les soldats avec un sourire confiant. Elle sait qu'ils peuvent tuer son corps, mais ils ne peuvent pas toucher son âme.

    Et en attendant que les balles arrivent lentement, Miranda chante une chanson dont elle se souvient de son enfance, une chanson que sa mère lui a apprise et peut-être qu'elle a aussi chanté avant de mourir:

    And when you come and all the flowers are dying
    If I am dead, as dead I well may be
    You’ll come and find the place where I am lying
    And kneel and say an Ave there for me.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/great-unvaxxed-fictional-look-what-lies-ahead

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    1. https://educate-yourself.org/mc/

      https://rudy2.wordpress.com/smart-dustla-polvere-intelligenteitalianoenglish/

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  51. Le grand non-sens de "The Great Reset"


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 MAR 2021 - 22:20
    Rédigé par Thomas DiLorenzo via LewRockwell.com,


    «The Great Reset» est le dernier euphémisme trompeur pour le socialisme totalitaire qui est promu par un autre groupe d'élitistes d'entreprise riches qui pensent pouvoir planifier de manière centralisée l'ensemble de l'économie mondiale. Ils sont essentiellement les héritiers idéologiques de Frederick Engels et de sa marionnette intellectuelle Karl Marx. «La grande réinitialisation» suit les traces rhétoriques de ces euphémismes pour le socialisme comme «démocratie économique», «justice sociale», «théologie de la libération», «progressisme», «socialisme de marché» (un oxymore, comme «crevettes géantes» ou « renseignement militaire »),« écologisme »,« lutte contre le changement climatique »,« développement durable »et« nouvel accord vert », pour n'en citer que quelques-uns.

    La figure principale de ce mouvement est le riche ingénieur allemand Klaus Schwab, fondateur du «World Economic Forum», qui défend ce qu'il appelle le «transhumanisme», l'intégration de la nanotechnologie dans le corps humain afin que les humains puissent être contrôlés à distance par l'État. Comme l’a noté Ron Paul, «La proposition de Schwab de surveillance [de chaque citoyen] comprend son idée d’utiliser des scintigraphies cérébrales et des nanotechnologies pour prédire et, si nécessaire, prévenir le comportement futur des individus. Cela signifie que toute personne dont le cerveau est «scanné» peut avoir le sien. . . droits [constitutionnels] violés parce qu'un bureaucrate du gouvernement détermine que l'individu va commettre un crime. »

    Placé entre les mains des politiciens, cela créerait un niveau de totalitarisme dont les Soviétiques n'auraient pu que rêver. En d'autres termes, Schwab rappelle ce célèbre Allemand du XXe siècle qui rêvait également de créer une race de maître et de diriger le monde.

    Ce n'est pas nouveau, souligne Antony Mueller, car l'eugénisme, qui faisait fureur parmi tant d'élitistes de la classe dirigeante du début du XXe siècle, «s'appelle désormais transhumanisme». Parmi les eugénistes les plus éminents de la fin du XIXe et du XXe siècle figuraient HG Wells, George Bernard Shaw, le fils de Charles Darwin Leonard, John Maynard Keynes, Irving Fisher, Winston Churchill et Bill Gates, Sr. Bill Gates, Jr.est un financement enthousiaste. source de recherche sur le «transhumanisme» et, comme son père, aime l'eugénisme.

    Lors d'une récente conférence «Ted» Gates, Jr. s'est plaint que «le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards de personnes. .. cela va jusqu'à environ 9 milliards. " N'ayez pas peur, dit-il, car si «nous» faisons «un très bon travail sur les vaccins [avec des médicaments anti-fertilité ? Poisons ?] Les soins de santé, les services de santé reproductive [y compris l'avortement ?], Nous pourrions réduire cela de peut-être 10 à 15 %

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  52. Keynes était trésorier de la Cambridge University Eugenics Society et directeur de la Eugenics Society de Londres. Il a appelé l'eugénisme «la branche la plus importante et la plus significative de la sociologie» [Eugenics Archive]. Irving Fisher, icône de la Chicago School of Economics, a littéralement écrit le livre sur le sujet, intitulé Eugenics.

    Lorsqu'il était ministre britannique de l'Intérieur (1910-1911), Winston Churchill préconisait «le confinement, la ségrégation et la stérilisation d'une classe de personnes décrites à l'époque comme des« faibles d'esprit »» [International Churchill Society]. Son objectif déclaré était «l'amélioration de la race britannique». En conséquence, il soutient «la détention obligatoire des personnes mentalement insuffisantes»; la «stérilisation des inaptes»; et «colonies de travail appropriées» pour «les clochards et les vagabonds».

    Gouvernement mondial, n'importe qui ?

    Antony Mueller a également décrit comment la première tentative de créer une sorte d'institution dirigeante mondiale pour planifier le monde de manière centralisée a été la Société des Nations (1920), suivie par les Nations Unies en 1945 sous la direction de Staline, FDR et Churchill. Bien que Churchill aimait citer F.A. Hayek, en particulier The Road to Serfdom, FDR était essentiellement un fasciste dont la politique intérieure différait très peu de l'Italie fasciste et de l'Allemagne, et bien sûr, Staline était un communiste assassinant en masse.

    Churchill a été démis de ses fonctions et remplacé par Clement Atlee du Parti socialiste travailliste en 1945. Les trois «puissances alliées» de la Seconde Guerre mondiale étaient alors dirigées par deux socialistes et l'héritier politique du fascisme économique du FDR, Harry Truman.

    L'ONU a immédiatement créé l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont l'objectif déclaré était de «manipuler le développement humain». L’eugéniste Julian Huxley a été le premier directeur de l’UNESCO à déplorer que la tentative du marxisme de créer un nouveau type d’humain («homme socialiste») ait déjà échoué parce qu’elle manquait de «composante biologique».

    Néo-malthusianisme et naissance de «l'environnementalisme»

    [S [ocialisme. . . est . . . la société qui doit émerger si l’humanité doit faire face. . . le fardeau écologique que la croissance économique impose à l'environnement. . . . L'apitalisme doit être surveillé, réglementé et contenu à un tel degré qu'il serait difficile d'appeler le capitalisme d'ordre social final.
    - Robert Heilbroner, «After Capitalism», The New Yorker, 10 septembre 1990

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  53. La citation ci-dessus de l'économiste socialiste, feu Robert Heilbroner, a été écrite dans le contexte d'un article qui déplorait et pleurait l'effondrement mondial du socialisme en Union soviétique à la fin des années 1980. Le grand débat entre le capitalisme et le socialisme était terminé, a-t-il dit, et Ludwig von Mises avait toujours raison à propos du socialisme, a déclaré un homme qui avait passé le dernier demi-siècle à promouvoir le socialisme dans son enseignement, son discours et son écriture. Mais ne désespérez pas, a-t-il dit à ses camarades socialistes, car il y a encore un tour dans nos manches, à savoir le cheval de Troie de la réalisation du socialisme sous le couvert de «l'environnementalisme».

    La stratégie de base était alors, comme c'est le cas aujourd'hui, d'effrayer constamment le public crédule avec des prédictions de La Fin du Monde de la catastrophe environnementale à moins que nous n'abandonnions le capitalisme et n'adoptions une planification centrale socialiste. Cela a toujours été le thème constant du mouvement écologiste (à ne pas confondre avec le mouvement de conservation qui s'intéresse en fait à la santé de la planète et aux humains qui l'occupent) depuis les années 1960. Il ignore le fait que les pays socialistes du XXe siècle comme l'Union soviétique et la Chine avaient de loin les pires problèmes environnementaux de la planète, des ordres de grandeur pires que dans les pays capitalistes.

    En 2019, le Competitive Enterprise Institute (CEI) a publié «Wrong Again: 50 Years of Failed Eco-pocalyptic Predictions» de Myron Ebell et Steven Milloy. L'étude est une compilation de réimpressions d'articles de journaux et de magazines qui illustrent les fausses histoires de peur apparemment interminables diffusées par les «écologistes» et leurs marionnettes médiatiques. Le véritable fondateur du mouvement environnemental moderne était l'entomologiste Paul Ehrlich, et non Rachel Carson, auteur du roman largement cité, Silent Spring. Ehrlich était soutenu par un groupe de socialistes riches connu sous le nom de «Club de Rome». Son livre, The Population Bomb, a connu un succès incroyable, en vendant des millions en seulement quelques années, avertissant que le monde entier sera bientôt détruit par le capitalisme à moins qu'il ne soit terminé MAINTENANT et que des mesures réglementaires «sévères» ne soient prises.

    Le premier article affiché par CEI était du 17 novembre 1967 Salt Lake Tribune annonçant que le professeur Paul Ehrlich de Stanford a déclaré que le «temps des famines» est à nos portes et qu'il sera «désastreux» en 1975 à cause de la surpopulation. Un tel discours était une résurrection du malthusianisme chouette et complètement discrédité du dix-neuvième siècle, enveloppé des mots de «science moderne». Le contrôle des naissances peut devoir être rendu «involontaire», a déclaré Ehrlich, et accompagné de «l'introduction d'agents de stérilisation dans les aliments de base et l'eau potable». L'Église catholique doit être «pressée» par le gouvernement pour qu'elle soutienne la sienne, a déclaré Ehrlich, qui est devenu l'un des universitaires les plus célèbres, les plus riches et les plus célèbres du XXe siècle.

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  54. Le New York Times a cité Ehrlich le 10 août 1969, disant que "à moins que nous ne soyons extrêmement chanceux, tout le monde disparaîtra dans un nuage de vapeur bleue dans 20 ans."

    Hystérie de la période glaciaire des années 70

    Le refroidissement global qui créerait une nouvelle ère glaciaire était la prochaine tactique de peur. Un article du Boston Globe du 18 avril 1970 citait «l'expert en pollution» James P. Lodge, Jr., disant que «la pollution de l'air peut anéantir le soleil et provoquer une nouvelle ère glaciaire dans le premier tiers du siècle prochain.»

    Ehrlich intervint, naturellement. Un article du 6 octobre 1970 à Redlands, CA Daily Facts le citait comme prédisant que «les océans le seront. . . morte . . . en moins d'une décennie »à cause de la pollution causée par le capitalisme. Et ils seront gelés. Un article du Washington Post du 9 juillet 1971 citait un Dr S.I. Rasool de la NASA et de l'Université de Columbia qui a déclaré que la pollution entraînerait une baisse de température moyenne de jusqu'à dix degrés qui "pourrait être suffisante pour déclencher une ère glaciaire !"

    Le 3 décembre 1972, la National Oceanic and Atmospheric Administration a envoyé une lettre au président Nixon prédisant une «détérioration globale du climat» jamais vue auparavant par «l'humanité civilisée» qui conduirait à une nouvelle ère glaciaire.

    Un article du 29 janvier 1974 dans The Guardian était intitulé: «Les satellites spatiaux montrent que la nouvelle ère glaciaire arrive rapidement». Cela a été suivi par un article du 24 juin 1974 dans le magazine Time avertissant que «des signes révélateurs sont partout» que nous étions déjà dans une nouvelle ère glaciaire. L'hystérie mondiale du refroidissement était toujours bien vivante en 1978. Un article du 5 janvier 1978 du New York Times était titré, «Une équipe internationale de spécialistes ne trouve aucune fin en vue à une tendance de refroidissement sur 30 ans dans l'hémisphère nord.

    Pivoter en un clin d'œil: l'hystérie du réchauffement climatique

    En 1988, après plus d'une décennie d'avertissements d'une nouvelle ère glaciaire à moins que le capitalisme ne soit détruit n'a pas réussi à produire le résultat souhaité, beaucoup de ces mêmes «scientifiques» et bureaucrates ont soudainement commencé à avertir d'une apocalypse terrestre causée par le réchauffement climatique. L ’« effet de serre »de la pollution a été découvert / inventé, avec des avertissements à l’échelle nationale comme celui du Miami News du 24 juin déclarant que« 88 est en passe d’être le plus chaud de tous les temps alors que les températures mondiales augmentent fortement ». James Hansen de la NASA a averti dans le Lansing State Journal le 12 décembre 1988 que Washington, DC «passerait de ses 35 jours actuels par an de plus de 90 degrés (33°C) à 85 jours par an» et que «le niveau de l'océan augmentera» en tant que autant que six pieds (1,82 m). «La montée des mers pourrait anéantir les nations», a déclaré «l'ONU. officiel », a informé l'Associated Press le 30 juin 1989. En réalité, comme le souligne la CEI, le nombre de 90+ degrés-jours à Washington, D.C., a culminé en 1911 et continue de baisser.

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  55. En 2000, le mantra de l'hystérie du réchauffement climatique incluait des prédictions selon lesquelles «les chutes de neige appartiennent désormais au passé» et «les enfants ne sauront tout simplement pas ce qu'est la neige», a annoncé The Independent le 12 septembre 2015, citant un autre «expert» environnementaliste de l'Université d'East Anglia.

    D'ici 2013, «l'Arctique sera libre de glace de mer», a prédit James Hansen en 2008, comme le rapporte The Argus Free Press d'Owosso, Michigan. La même année, Al Gore nous a informés que «la calotte glaciaire du pôle nord aurait disparu», comme l'a rapporté l'Associated Press le 24 juin 2008. Pour de telles prédictions, le sénateur du Massachusetts ed Markey a désigné Hansen comme «un prophète du climat».

    Le célèbre scientifique atmosphérique Prince Charles a déclaré à The Independent le 9 juillet 2009 que «le prix du capitalisme et du consumérisme est tout simplement trop élevé». La planète sera détruite d'ici 2017 si le capitalisme n'est pas essentiellement détruit immédiatement, a déclaré le méga-riche prince dont la méthode de voyage préférée est la Rolls Royce et le jet privé gourmands en gaz.

    L'ancien Premier ministre britannique Gordon Brown a surpassé le prince en informant The Independent le 20 octobre 2009 que «nous avons moins de cinquante jours pour sauver notre planète de la catastrophe». Lorsque la députée new-yorkaise Alexandria Ocasio-Cortez a annoncé publiquement en 2019 avec une parfaite certitude que le monde se terminera dans douze ans, elle faisait référence à une «étude» des Nations Unies de 2018 sur le «changement climatique» qui disait la même chose. Le monde se terminera probablement dans douze ans, ont déclaré les bureaucrates de l'ONU, à moins que l'ONU ne reçoive de vastes nouveaux pouvoirs de gouvernement sur tous les pays du monde et de vastes sommes de recettes fiscales supplémentaires.

    AUCUNE de ces prédictions largement vantées et célébrées ne s'est réalisée. Les oiseaux n'ont même pas disparu de la planète comme prévu dans Silent Spring. le capitalisme n'a pas été remplacé par une planification centrale socialiste mondiale; les «scientifiques» de l'environnement ont donc pivoté une fois de plus et ont adopté le langage du changement climatique. Peu importe maintenant que la température du climat augmente ou diminue; l'un ou l'autre provoquera une «catastrophe» qui ne peut être évitée qu'en remplaçant ce qui reste du capitalisme par une sorte de planification centrale socialiste mondiale, nous informent-ils.

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  56. Un quart de siècle d'hystérie du «changement climatique» n'a toujours pas abouti au résultat escompté. La prochaine étape de cette croisade politique vieille de plus d'un siècle pour le socialisme mondial est donc «la grande réinitialisation».

    Le grand non-sens de la grande réinitialisation

    Klaus Schwab est titulaire d'un doctorat en ingénierie et en économie, bien qu'il semble ignorant des concepts économiques les plus élémentaires lorsqu'il soutient que l'économie mondiale dans son ensemble peut en quelque sorte être arrêtée par une main divine, à la manière d'un bouton-poussoir, et «réinitialiser» et «construire» en mieux », l'un de ses slogans préférés. Il est le fondateur du «Forum économique mondial», présenté comme une organisation qui promeut la «coopération public-privé». Comme Ayn Rand l'a dit un jour, cependant, chaque fois que le secteur privé «s'associe» avec le gouvernement, le gouvernement est toujours le partenaire principal et dominant.

    Schwab semble totalement inconscient de la façon dont les institutions du capitalisme ont évolué au cours des siècles grâce à l'ingéniosité et aux efforts de millions de personnes et n'ont pas été fixées ou réinitialisées comme par magie par un seul homme ou un comité gouvernemental. L'argent a évolué sur le marché libre et ne provenait pas de modifications gouvernementales. Même la langue a évolué et n'a été inventée par aucune bureaucratie gouvernementale. Il n'y a aucune reconnaissance dans aucun des livres de Schwab qu'il comprend (ou se soucie) quoi que ce soit de l'ordre spontané des marchés, de l'importance de la propriété privée et des prix du marché libre, des effets d'étouffement économique de la bureaucratie gouvernementale, ou des raisons économiques. pour les échecs inévitables du socialisme. Comme tous les autres idéologues socialistes, il ne prend même pas la peine de s'adresser aux critiques du socialisme alors qu'il défend aveuglément le socialisme mondial. Cela peut fonctionner, insiste-t-il, si seulement lui et ses camarades élitistes d'entreprise pouvaient être aux commandes.

    La «logique» de The Great Reset peut être énoncée dans un syllogisme:

    1) Le socialisme a échoué de façon désastreuse partout où il a été mis en œuvre;

    2) Tout le monde le sait;

    3) Par conséquent, ce dont le monde a besoin, c'est de plus de socialisme à la plus grande échelle de tous les temps.

    Schwab est un ingénieur et croit que la société mondiale peut être socialement «conçue» par des élitistes d'entreprise comme lui. Les Soviétiques qualifieraient ce genre de pensée de «socialisme scientifique».

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  57. Destructionnisme

    Comme tous les idéologues socialistes, le point de départ de Schwab est ce que Ludwig von Mises a appelé le «destructionnisme». Tous les socialistes, a déclaré Mises, ont préconisé la destruction des institutions existantes de la société, en particulier le capitalisme, la famille et la religion, qui forment toutes une barrière entre l'individu et les diktats de contrôle de l'État. Ce n'est qu'alors que la société pourra être «réinitialisée» pour créer une utopie socialiste. Car «le socialisme est. . . le spoiler de ce que des milliers d'années de civilisation ont créé. Il ne construit pas; il détruit. Car le destructionnisme en est l'essence. . . chaque pas menant au socialisme doit s'épuiser dans la destruction de ce qui existe déjà.

    C'est pourquoi Schwab, Gates, Biden et d'autres partisans de «la grande réinitialisation» célèbrent avec tant d'enthousiasme les verrouillages survenus pendant la soi-disant pandémie de 2020 et déclarent qu'il est temps de «reconstruire en mieux». Détruisez ce qui existe, nous disent-ils, puis faites-leur confiance pour «reconstruire» la planète entière «mieux». En fait, ils ont été filmés lors de leur réunion annuelle du Forum économique mondial au début de 2021, applaudissant une vidéo de rues vides de la ville et d'entreprises fermées à cause des verrouillages imposés par le gouvernement qui ont plongé littéralement des millions de personnes dans la pauvreté dans le monde. Les verrouillages «améliorent les villes du monde entier», a déclaré Schwab. Ils peuvent même modérer le «changement climatique», gloussa-t-il triomphalement. Les résidents sans emploi et pauvres de ces villes dévastées seraient évidemment en désaccord avec ce scénario optimiste.

    Une «équipe de chercheurs» de l'Université d'East Anglia, une institution connue pour ses «études» sur l'hystérie du réchauffement / refroidissement / changement climatique, a également plaidé pour un «verrouillage mondial» tous les deux ans pour soi-disant réduire émissions de gaz carbonique comme l'exige «l'Accord de Paris sur le climat». Ces verrouillages ne seraient liés à aucun virus, mais seraient simplement conçus pour détruire intentionnellement une grande partie de l'économie mondiale, laissant des millions de personnes dans une pauvreté abjecte, causant des maladies et la mort incalculables, dans le but de «lutter contre le changement climatique» et, bien sûr, pour y parvenir. leur objectif réel de détruire le capitalisme et d'adopter une version de la planification centrale socialiste mondiale.

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  58. Abolition de la propriété privée

    Les socialistes du Forum économique mondial (WEF) se révèlent comme des marxistes classiques en ce sens que beaucoup d'entre eux appellent à l'abolition de la propriété privée qui, par coïncidence, était la première planche des dix planches du Manifeste communiste de Marx et Engels. L'ancienne ministre danoise de l'environnement, Ida Auken, a reçu une tribune lors d'un événement du WEF pour expliquer sa définition d'une «bonne vie» qui impliquait l'abolition de la propriété privée:

    «Bienvenue en 2030. . . . Je ne possède rien, je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil ni aucun vêtement. . . quelqu'un d'autre utilise notre [maison] chaque fois que nous n'en avons pas besoin. . . . Je n'ai pas de véritable intimité. . . tout ce que je fais . . . est enregistrée [par l'État]. Dans l'ensemble, c'est une belle vie.

    Auken ici rêve évidemment d'une «bonne vie» où les gouvernements possèdent tous les biens et louent ou louent tout à leurs sujets. Bien sûr, cela signifie que les politiciens décideront à votre place de ce dont vous avez besoin. La souveraineté des consommateurs n'existerait pas plus qu'en Union soviétique (à part les marchés noirs). Et comme Hayek l'a dit, dans un tel système, le seul pouvoir qui vaille la peine d'être le pouvoir politique. Les pots-de-vin, la corruption et la recherche de rente se déchaîneraient dans une telle société.

    Ils veulent espionner chacun de vos mouvements, en utilisant les dernières nanotechnologies, ce qui signifie probablement implanter des appareils dans votre corps. Il n’y aura pas d’intimité, et c’est très bien avec Ida Auken et ses collègues du WEF.

    Auken raconte avec émotion comment, si elle n'utilisait pas une pièce de sa maison, il serait parfaitement normal que des étrangers l'occupent en son absence. Des étrangers approuvés par le gouvernement, bien sûr. Cela rappelle étrangement la façon dont les Soviétiques ont socialisé le logement et forcé des étrangers à vivre dans des espaces extrêmement exigus dans des logements collectifs. Il est facile d'imaginer une armée Auken faire de même au nom de la «durabilité».

    Après avoir reçu des critiques de cette vue scandaleuse, Auken a tenté de pédaler et de déguiser ses vraies croyances en disant qu'un tel monde n'était pas réellement son «utopie» mais seulement ce qu'elle croyait être l'inévitable. C'est un autre vieux truc socialiste - faire valoir que le socialisme est inévitable et qu'il est donc vain de s'y opposer. Son argument selon lequel elle expliquait simplement un avenir inévitable n'est pas crédible.

    En fait, le gadget de l’inévitabilité est le thème principal de tous les livres de Schwab sur le sujet. Ils ont tendance à entrer dans des détails atroces sur la numérisation de la vie, les nanotechnologies, etc., à décrire tout cela comme «inévitable», puis à expliquer pourquoi cela signifie supposément qu'un contrôle politique centralisé de toutes les sociétés est nécessaire.

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  59. Cependant, exactement le contraire est vrai. Comme Hayek l’a souligné dans presque toute l’œuvre de sa vie. Plus la société devient complexe, plus la nécessité de s'appuyer sur le volontarisme, la propriété privée et le libre marché est grand, les seuls moyens connus pour parvenir à une utilisation efficace des connaissances dans la société. La complexité nécessite l'utilisation de nombreux esprits (et corps) pour utiliser efficacement des connaissances de plus en plus complexes afin de progresser. Non seulement de nombreux esprits, mais de nombreux esprits dans un régime de liberté économique sont nécessaires - encore une fois à l'opposé de l'idéologie de la «grande réinitialisation».

    L'Union soviétique comptait de nombreuses personnes brillantes, mais il leur était largement interdit d'appliquer leurs talents de manière à améliorer la vie de leurs concitoyens. Ils étaient plutôt considérés par l'État comme des outils pour l'agrandir, et non pour servir les citoyens. Nier cela, c'est s'engager dans ce que Hayek a appelé une «vanité fatale».

    Le subterfuge des «parties prenantes»

    Les élitistes du WEF emploient également un autre subterfuge comme moyen d'abolir essentiellement la propriété privée. Pour ce faire, ils préconisent le remplacement des actionnaires de l'entreprise par des «parties prenantes», ce qui comprend à peu près tous les types de groupes d'individus de toute communauté dont on dit qu'ils ont le «droit» d'influer quotidiennement sur la prise de décision de l'entreprise. Ces groupes impliquent généralement divers groupes de pression politique de gauche tels que les syndicats, les écologistes, les lobbyistes des «droits civiques» / action positive, à l'infini. Les libertariens et les économistes du marché libre ne semblent jamais figurer sur les listes des «parties prenantes» adoptées par les théoriciens des parties prenantes de gauche.

    L'économie du choix public nous enseigne, cependant, que ces grands groupes ont tendance à être désorganisés en raison de leur taille, de leur diversité et, par conséquent, des coûts de prise de décision élevés et sont donc rarement efficaces. Cela soumettrait également la prise de décision des entreprises à une bureaucratie et à une indécision destructrices de profits, transformant effectivement les entreprises en versions, par exemple, du Department of Motor Vehicles ou du US Postal Service en termes d'efficacité.

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  60. Les défenseurs des «parties prenantes» le comprennent certainement, c'est pourquoi ils proposent que des personnes comme elles-mêmes servent de porte-parole non élus pour toutes les différentes «parties prenantes». Cela nécessitera la main lourde du gouvernement pour les habiliter à ordonner aux entreprises de faire ce qu'elles disent, et non comme le disent leurs clients et leurs actionnaires. C'est une nationalisation de fait, c'est-à-dire une abolition effective de la propriété privée dans les entreprises.

    En plus de n'offrir aucun indice qu'il comprend les principes économiques élémentaires, Schwab semble également complètement ignorant de la longue histoire des idées libérales classiques telles que la propriété privée, les marchés libres, le gouvernement constitutionnel limité, le gouvernement décentralisé, la primauté du droit et bien d'autres choses. Ou bien, il ne s'en soucie tout simplement pas parce qu'il est un tyran mégalomane. Il n'est pas différent, en d'autres termes, de tous les autres socialistes du XXe siècle qui étaient soit ignorants de ces choses, soit les ont ouvertement attaqués comme des barrières à leurs intentions totalitaires.

    De plus, la rêverie utopique d’Auken rappelle le livre de la fin du XIXe siècle, Looking Backward, d’Edward Bellamy. C'était une autre rêverie socialiste utopique sous la forme d'un roman dans lequel un Julian West s'endort en 1887 et se réveille 113 ans plus tard aux États-Unis en 2000, lorsque le pays était devenu une utopie socialiste. Auken croit apparemment qu'il ne faudrait qu'une seule décennie pour réaliser son utopie socialiste (et celle de Schwab), cependant.

    La grande réinitialisation en tant que super fascisme

    Le Forum économique mondial prétend exister pour promouvoir une intégration de l'entreprise privée et de l'État. C'est une définition parfaite du fascisme économique. Le fascisme économique dans l'Italie de Mussolini et l'Allemagne nazie a permis à des entreprises apparemment privées d'exister (contrairement aux socialistes russes), mais seulement s'il était soumis à un régime de régulation totalitaire qui obligeait toute production à servir «le bien commun» tel que défini par la classe politique dirigeante , pas les gouvernés. La souveraineté des consommateurs n'était pas du tout une préoccupation. Schwab utilise ce même langage du «bien commun» pour décrire son programme de «grande réinitialisation».

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  61. Il s'agit essentiellement d'un plaidoyer pour transformer l'ensemble de l'économie mondiale en une version du fascisme chinois. Au cours des dernières décennies, le gouvernement communiste chinois a permis à de plus en plus d'entreprises privées d'exister, mais elles sont toutes encore très fortement réglementées, régimentées et contrôlées par l'État. Bien entendu, on peut en dire autant de l'économie américaine; tout est une question de degré. Comme l'a dit Robert Higgs, le système économique américain est un système de «fascisme participatif», par lequel il entendait une combinaison de fascisme économique et de démocratie au lieu de dictature.

    Après avoir prétendu que la «quatrième révolution industrielle» sous la forme de la «numérisation» de presque tout est inévitable, et soutenu que cela signifie qu'il y a un besoin du gouvernement le plus centralisé que le monde ait jamais connu, Klaus et ses associés traînent les mêmes vieilles platitudes socialistes fatiguées que les gauchistes défendent depuis des générations comme les prétendues réponses à tous les problèmes de la société. Ils préconisent de fermer de plus en plus l'économie mondiale avec plus de verrouillages (destructionnisme); une énorme expansion de l'État providence en échec catastrophique avec l'impression illimitée de monnaie par les banques centrales afin de distribuer un «revenu de base universel» à tous; la suppression éventuelle de la viande bovine afin de lutter contre le «changement climatique» prétendument causé par les flatulences chez les vaches; l'abolition de pratiquement tous les autres types de viande, en la remplaçant par de l'herbe et des insectes dans le cadre de l'alimentation moyenne (probablement pas leur régime, cependant); l'abolition des industries énergétiques et leur remplacement par des éoliennes et des panneaux solaires; logement communal de style soviétique; le «nivellement» des différences salariales en réglementant les marchés du travail essentiellement nulles et non avenues, ce qui créerait un chaos communiste; et la nationalisation effective de tout ce qui reste de la société privée avec une augmentation de 400 % des impôts (pour commencer).

    Il n'y a pas d'opposition à cette recette d'utopie totalitaire parce que tout est fait au nom de «l'équité et de l'inclusion» (l'appel d'accouplement des gauchistes partout), de la «durabilité» et du «bien commun». S'opposer à cette dernière proposition d'ordre mondial totalitaire, c'est donc être un ennemi de la société. Le «bien commun avant le bien individuel», d'ailleurs, était aussi le thème explicitement énoncé de la plate-forme du parti nazi de 1920. Selon la foule du Forum économique mondial, c'est la «nouvelle» idéologie qui est censée nous guider tout au long de la «quatrième révolution industrielle» du XXIe siècle.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/great-nonsense-great-reset

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    1. Le monde ne s'est pas fait en un jour mais en des millions d'années. Encore aujourd'hui des millions d'enfants naissent avec LEUR intelligence et, en classe de 50, les élèves qui suivent le même programme n'est compris et mémorisé que par une partie des élèves. C'est ce que l'on appelle le progrès grâce à ces millions d'insoumises et insoumis qui complotent différemment pour le bien de l'humanité.

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  62. Ron Paul prévient que le deuxième amendement est dans la ligne de mire


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 MAR 2021 - 18H20
    Rédigé par Ron Paul via l'Institut Ron Paul pour la paix et la prospérité,


    Le contrôle des armes à feu était déjà une priorité de l'administration Biden avant les récentes fusillades en Géorgie, au Colorado et en Virginie. En fait, la Chambre des représentants a adopté deux projets de loi sur le contrôle des armes à feu des semaines avant les fusillades.

    L'un des projets de loi adoptés par la Chambre élargit la vérification des antécédents pour inclure les ventes privées, y compris celles effectuées lors de salons d'armes à feu.

    En vertu de ce projet de loi, une personne qui n'est pas un marchand d'armes à feu fédéral autorisé ne peut pas vendre une arme à feu sans la céder d'abord à un concessionnaire autorisé par le gouvernement fédéral. Le concessionnaire doit ensuite effectuer une vérification des antécédents de l'acheteur potentiel.

    Le deuxième projet de loi permet au gouvernement fédéral de retarder indéfiniment une vérification des antécédents, retardant ainsi indéfiniment l'achat d'une arme à feu. Une autre législation introduite au Congrès créerait un registre national des armes à feu, ce qui ne ferait que faciliter la confiscation des armes à feu.

    Cette même loi interdirait à toute personne de moins de 21 ans de posséder une arme à feu.

    L'interdiction ne s'applique pas aux militaires, elle n'arrêtera donc pas la majorité des actes de violence armée commis par des jeunes de 18 à 21 ans.

    Le projet de loi oblige les Américains à obtenir un permis fédéral avant d'obtenir une arme à feu, mais les individus ne peuvent pas recevoir de permis à moins de subir une évaluation psychologique. Le mandat d'évaluation psychologique pourrait amener des personnes à perdre leurs droits au deuxième amendement parce qu'elles souffraient autrefois de dépression. Cela pourrait également amener les gens à perdre leurs droits au deuxième amendement parce que quelqu'un a dit à la police qu'ils pourraient devenir violents.

    Les agents de police de 20 États et du district de Columbia ont déjà le pouvoir de retirer à un individu les droits du deuxième amendement sur la base d’allégations et sans accorder à l’individu une procédure régulière. Ces lois «drapeau rouge» sont soutenues par les politiciens des deux partis, y compris certains qui prétendent être favorables aux droits des armes à feu.

    Par exemple, l'ancien président Trump a soutenu les lois Red Flag. Le président Trump et les démocrates du Congrès étaient sur le point de conclure un accord «bipartisan» pour étendre les lois sur le drapeau rouge à l'automne 2019. Heureusement, la tentative des démocrates de destituer le président a mis fin à tous les efforts des accords «bipartis» pour nous retirer nos droits.

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  63. Une évaluation psychologique pourrait également être utilisée pour refuser à un individu les droits du deuxième amendement parce qu'il peut se livrer au «terrorisme national». Les opposants à la politique étrangère américaine, à la surveillance de masse, à l'impôt sur le revenu, à la Réserve fédérale et - ironiquement - au contrôle des armes à feu figurent parmi ceux susceptibles d'être considérés comme des «terroristes nationaux» potentiels.

    Il existe également une législation pour rétablir l'interdiction des armes d'assaut. À l'instar de l'interdiction initiale, qui était en vigueur de 1994 à 2004, la nouvelle loi interdit une liste arbitraire d'armes à feu et ne fera pas grand-chose pour réduire la violence armée.

    Les criminels et les psychotiques ne seront pas dissuadés par la vérification des antécédents et les exigences en matière de permis d'obtenir une arme à feu. Il y aura un marché noir pour desservir ceux qui ne peuvent pas obtenir d'armes à feu par des moyens légaux.

    En décourageant les Américains respectueux des lois de posséder des armes à feu, ces lois laissent des millions d'Américains sans défense contre la violence armée. Il y a une raison pour laquelle la plupart des fusillades de masse se produisent dans des zones exemptes d'armes à feu.

    Si le Congrès veut vraiment protéger les Américains de la violence, il abrogera toutes les lois fédérales sur le contrôle des armes à feu. Un bon point de départ serait la loi sur la vérification des antécédents de Brady et la loi mal nommée «Écoles sûres et sans armes à feu», qui laisse les enfants sans défense contre les tireurs de masse. Le Congrès mettant fin à la guerre anticonstitutionnelle et anti-liberté contre la drogue réduirait également considérablement la violence armée. Le contrôle des armes à feu, comme toutes les tentatives du gouvernement pour contrôler nos vies, nous rend moins sûrs et moins libres.

    https://www.zerohedge.com/political/ron-paul-warns-2nd-amendment-firing-line

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    1. Quand les 'forces de l'ordre' en sont incapables c'est le Peuple qui doit défendre sa vie.

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  64. Peter Schiff: la seule promesse que la Fed va tenir


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 30 MAR 2021-08: 51
    Via SchiffGold.com,


    Depuis le début de la pandémie, la dette publique et l'impression de l'argent sont hors de propos. Cela crée une pression inflationniste. Les prix sont à la hausse. Et c'est par conception. En fait, la Fed promet plus d'inflation depuis des années. Comme l'explique Peter Schiff, il semble que c'est une promesse que la Fed va tenir.

    Le gouvernement américain a fait exploser la dette nationale de plus de 5 billions de dollars en seulement 18 mois. Pour soutenir tous ses emprunts et dépenses, la Fed a fait tourner la presse à haute vitesse. Le bilan de la banque centrale s’est élargi pour atteindre un montant record de 7,72 billions de dollars, car il a créé de l’argent à partir de rien afin d’acheter des billions de bons du Trésor américain et de titres adossés à des hypothèques. Peter a déclaré que la Fed imprimait environ la moitié de l'argent dépensé par le gouvernement américain.

    Il ne s’agit donc plus vraiment d’emprunter et de dépenser. C'est imprimer et dépenser. »

    Mais pratiquement personne dans le courant dominant ne voit cela comme un problème.

    Les gens semblent penser que nous sommes tombés sur l’équivalent d’une fontaine de jouvence monétaire. Les gens aiment l'appeler la théorie monétaire moderne, à savoir que nous pouvons avoir tout ce que nous voulons tant qu'un gouvernement imprime l'argent pour le payer, qu'il n'y a pas de limite, que le gouvernement est libre tant qu'il imprime de l'argent. "

    Pourquoi n’avons-nous pas compris cela plus tôt ? Après tout, l'imprimerie existe depuis des centaines d'années. Et Peter soulève une question intéressante: si c'est vrai, pourquoi devons-nous même payer des impôts ?

    Bien sûr, la réalité est qu'il s'agit d'un fantasme - du genre qui se termine par un désastre.

    Le fantasme est construit sur une incompréhension de l'argent. Les gens en sont venus à assimiler l'argent liquide à la richesse. Mais il y a une grande différence entre gagner de l'argent en échange de produire des choses et le gouvernement qui court des billets d'un dollar et les distribue.

    Quand les gens vont travailler, leur travail produit des choses. Il augmente l'offre de biens et de services disponibles dans l'économie. Vous apportez votre travail et en échange, vous gagnez de l'argent. Cela vous permet d'acheter des choses à partir du pool de biens et de services que vous avez contribué à produire. L’argent lui-même n’est pas une richesse. La richesse est constituée des biens et services produits par votre travail.

    Plus vous êtes productif, eh bien, plus vous gagnez, et plus la part de ce que produit la société vous permet de vous amuser. »

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  65. Mais avec l'intervention du gouvernement et de la Fed, nous avons des millions de chômeurs assis à la maison juste pour recevoir un chèque du gouvernement. Ils ne produisent rien. Ils n'ajoutent aucun bien ou service à l'économie.

    Pourtant, ils peuvent consommer des biens et des services dans les mêmes proportions que si quelqu'un avait réellement travaillé et était réellement un membre productif de la société.

    Qu'est-ce que cela fait ?

    Cela fait monter les prix.

    Si votre travail ajoute aux biens et services et que vous consommez maintenant les biens et services que vous avez contribué à créer, c'est très bien. Mais si maintenant vous commencez à consommer des biens et des services et que vous n’avez pas aidé à créer ces biens et services, vous avez juste plus d’argent pour faire face à une diminution de l’offre de biens et de services, et les prix vont augmenter. »

    Peter a déclaré qu'avec ce niveau d'impression et de dépenses monétaires, les prix augmenteraient comme jamais auparavant.

    Ironiquement, la Réserve fédérale a promis aux Américains plus d'inflation.

    Eh bien, c’est une promesse qu’ils vont tenir. En fait, ils vont y parvenir au-delà de leurs attentes les plus folles. "

    Les banquiers centraux et les décideurs du gouvernement affirment qu'un peu d'inflation est une bonne chose. Ce n'est pas.

    Une inflation plus élevée ne fait pas de progrès. »

    Pensez-y. Voulez-vous des prix plus élevés ? Bien sûr que non. Vous voulez un coût de la vie moins élevé.

    Lorsque les prix baissent, c’est un progrès. C’est le capitalisme. C’est ainsi que fonctionne le capitalisme. Lorsque vous avez un vrai capitalisme, les entreprises deviennent plus productives. Ils deviennent plus efficaces. Ils développent des économies d'échelle. Et ce faisant, le coût de production diminue. Et à mesure que le coût de production diminue, la demande augmente. Parce qu'à mesure que les prix baissent, plus de gens peuvent se permettre d'acheter plus de choses. C’est la baisse des prix qui a toujours conduit à l’augmentation du niveau de vie. Eh bien, le gouvernement a interrompu ce processus bienveillant par l'inflation. »

    Ce n’est pas seulement que l’inflation fait monter les prix. Cela empêche également les prix de baisser.

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  66. Une baisse de prix aurait été une aubaine pour le consommateur. Lorsque le consommateur se voit refuser cette manne par le gouvernement, c’est toujours une taxe. Le gouvernement continue de prendre votre pouvoir d'achat parce que les biens et services que vous souhaitez consommer sont plus chers en raison de l'inflation gouvernementale. »

    Quand on résume tout, l’inflation est une promesse que nous préférerions vraiment que le gouvernement et la banque centrale ne tiennent pas.

    https://www.zerohedge.com/economics/peter-schiff-one-promise-fed-going-keep

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    1. L'argent (valeur) n'existe pas et n'a jamais existé. L'escroquerie de l'adossement à l'or (cube de 21 m d'arête) est faux car ce cube devrait en réalité valoir 1000 fois plus !
      Alors, des billets ou de la monnaie électrique ? Ce n'est pas pareil ! Car, si l'Etat passe à l'électrique existera donc le troc (un lapin contre un poulet ?). Tandis que s'il y a encore du papier-monnaie, il sera donné une valeur à l'échange.

      L'hélicoptère à billets: Quelqu'un de riche dépense plus par jour qu'un pauvre. Çà alors !
      En réalité, aujourd'hui au 21è siècle, on devrait TOUTES & TOUS être millionnaires ! Millionnaires grâce aux machines qui travaillent gratos ! (et que c'est le Peuple qui a inventé et fabriqué !).

      L'inflation 'à la tête du client' existera toujours.

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  67. Des historiens de l'Antiquité souhaitent la disparition de leur discipline : merveilleuse Amérique !


    Arnaud Florac
    Boulevard Voltaire
    dim., 28 mar. 2021 11:01 UTC


    Le Figaro du 12 mars dernier a publié la tribune de Raphaël Doan, normalien, énarque et agrégé de lettres classiques. L'auteur y montre comment un certain nombres de spécialistes américains de l'Antiquité souhaitent ardemment la disparition de leur histoire. C'est un texte dont on ne sort pas indemne, tant on a la terrible impression qu'il décrit un acharnement qui prend l'allure d'un suicide collectif.

    Afin de déconstruire la « blanchité », plusieurs professeurs d'universités prestigieuses s'insurgent contre l'enseignement des classics, comme on dit là-bas. Parce qu'elles perpétuent la domination blanche, parce qu'elles sont la matrice de tous les fascismes et de toutes les oppressions coloniales, les études de lettres classiques, dont l'objet (Rome et la Grèce) n'aurait rien de particulièrement fascinant, perpétueraient l'ethnocentrisme occidental. Il faudrait, constate avec abattement M. Doan, qui cite l'un de ces fous dangereux, « tout détruire par les flammes ».

    Pire : il y aurait de la « cruauté » à demander aux étudiants en lettres classiques une maîtrise correcte du latin et du grec. Le professeur Padilla, de Stanford, considère que les gens devraient « penser à des gens de couleur » quand ils pensent aux études classiques. Et si ça ne marche pas, professeur ? « Je me débarrasserais carrément des lettres classiques. » Voilà, tout simplement.

    Tout d'abord, un grand merci à M. Raphaël Doan, véritable lanceur d'alerte. Un lieu commun, Dieu merci pas tout à fait exact, veut que ce qui se passe aux États-Unis doive fatalement arriver chez nous. Il semble que ce soit un peu le cas (avec le scandale inepte autour des Suppliantes d'Eschyle, à la Sorbonne, par exemple), mais que les études « décoloniales » en France n'aient pas étendu leur ombre malfaisante jusque dans le domaine des lettres classiques.

    Au contraire, pour l'instant, la culture classique « dominante » (au sens bourdieusien), qui est celle de la gauche intellectuelle (enseignants, professeurs, normaliens, Saint-Germain-des-Prés, philosophie allemande, folklore soviétique), comprend la connaissance du latin et du grec, ainsi que du monde antique et de son histoire. C'est pourquoi on a tort, me semble-t-il, de considérer que le mouvement décolonial, venu des États-Unis et qui racialise tout, est l'héritier naturel du gauchisme européen.

    Merveilleuse Amérique, en tous les cas ! Pays de l'inculture, du toc et du meurtre, du libéralisme débridé ; pays de protestants fanatiques qui a, fort logiquement, inventé le cocktail (boisson d'hypocrites) et le porno (divertissement de frustrés), prolongeant drôlement le célèbre parallèle de Max Weber entre éthique protestante et esprit capitaliste. Non seulement les États-Unis incarnent, à l'échelle du monde, la violence, l'autocentrisme, l'inculture et l'égoïsme, mais le peu de culture qu'ils ont, et qui leur vient de l'Occident blanc et chrétien (puisque, dans leur glorieuse épopée, les cow-boys ont massacré les Indiens), ils veulent désormais l'interdire...

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  68. Deux leçons - bien modestes - pourraient cependant être tirées de l'Antiquité pour les appliquer à l'Amérique contemporaine. D'abord, les défenseurs de la démocratie athénienne (Aristote le premier, dans La Politique) considéraient que le statut de citoyen n'était pas donné à tout le monde : en gros et pour faire simple, était citoyen athénien, le fils de citoyen athénien. Et, surtout, la damnatio memoriae, qu'on appelle maintenant cancel culture, consistait, à Rome, en l'effacement des statues (martelées) et des œuvres (détruites), et jusqu'au nom, de celui que l'on voulait faire oublier. Les communistes le firent à leur tour, avec les photos notamment. Les nationaux-socialistes aussi, en déportant des familles entières au nom d'une prétendue coutume franque, la Sippenhaft : c'est ainsi qu'en 1944, la comtesse von Stauffenberg, mère de cinq enfants, enceinte du sixième, fut déportée après l'exécution de son héroïque mari (célèbre auteur d'un attentat contre Hitler) et ses enfants placés dans des foyers.

    Par conséquent, en voulant détruire la culture classique, la stupide gauche américaine (qui devrait faire honte, à mon avis, à la gauche intellectuelle dont elle se réclame) utilise ironiquement un outil qui lui vient de la plus haute Antiquité. La bêtise en appui de la haine : c'est à ce genre de petits indices qu'on reconnaît la marque des grands.

    https://fr.sott.net/article/36832-Des-historiens-de-l-Antiquite-souhaitent-la-disparition-de-leur-discipline-merveilleuse-Amerique

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  69. Histoire d'une infamie majeure de santé publique ou les vaccins anti-Covid


    Brigitte Bouzonnie — Mediazone
    Sott.net
    mar., 30 mar. 2021 14:56 UTC


    Plus tard, les historiens seront très sévères. Pointant la folie et le mensonge médiatiques entourant les agissements misérables de Macron et des labos, visant à nous vacciner tous, malgré les dangers évidents, voire mortels de ces injections faites à la va-vite. Les uns pour se faire des c. en or. Macron déclarant ouvertement la guerre contre le peuple français...

    Plus tard, les historiens seront très sévères contre la folie vaccinale, qui s'est imposée dans le champ public français depuis six mois.

    Macron mène une véritable guerre de classes contre le Peuple français, à l'instar de la guerre de classes menée en 1914 par la Bourgeoisie contre les « rouges », la « révolution » prétendument menaçante, dans le cadre de la première guerre mondiale, selon la thèse brillante de Jacques Pauwels, dans son 1914-1918 La grande guerre des classes, édition Delga, 2016

    D'abord, il y a le risque de modification génétique de l'individu. En ce sens, Robert F. Kennedy junior pointe les dangers génétiques de ces vaccins :
    « Pour la première fois de l'Histoire de la vaccination, les vaccins dit ARN messager interviennent directement dans le matériel génétique du patient. Ils modifient son matériel génétique. Cette manipulation était considérée jusqu'à présent comme criminelle et interdite. »
    Cette vaccination reste problématique. en termes de santé, de morale et d'éthique, mais aussi en termes de dommages génétiques qui, contrairement à ceux causés par les vaccins précédents, seront irréversibles et irréparables.

    Mais pire encore, ces vaccins anti-Covid génèrent une mortalité importante, soigneusement occultée, niée par le Pouvoir en place.

    Selon la banque européenne comptabilisant les effets indésirables des vaccins en Europe au 13 mars 2021, on compte 3 963 décès causés par les vaccins anti-Covid :

    Pfizer : 2 540
    Moderna : 972
    AstraZénéca : 451

    3 963 décès, c'est un chiffre énorme pour des vaccins sensés nous guérir d'une maladie, le Covid, que l'on peut aussi soigner efficacement avec des antibiotiques, qui font zéro mort. Et je parle d'expérience, pour avoir eu le Covid, avoir été soignée avec succès avec des antibiotiques et des corticoïdes.

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  70. Comment en est-on arrivé à ce chiffre de presque 4 000 morts, rien que pour l'Union Européenne ? Rappelons la véritable guerre de l'information à laquelle nous avons modestement participée au cours de ces derniers mois.

    Souvenons-nous : c'est d'abord le Professeur Christian Perronne, invité d'André Bercoff, critiquant le recours à des vaccins, pour une maladie létale à 0,5 %. La suite ? Il perd son poste de Chef de service à l'Hôpital de Garches. Le Conseil départemental de l'Ordre des médecins des Hauts-de-Seine est saisi, afin qu'il statue sur d'éventuelles sanctions contre Perronne. Une autre procédure émane de l'AP-HP54. Plus aucun média ne l'invite à donner son analyse.

    Ensuite, la responsable scientifique de Moderna, Tal Zaks, déclare sur HBO que le vaccin anti-Covid ne montre pas qu'il empêche la transmission du virus, d'infecter d'autres personnes (cf Business Insider France du 24 novembre 2020).

    Que devient Mauricette ?

    Puis, c'est au tour de Mauricette d'être vaccinée le 28 décembre 2020. Depuis, que devient Mauricette ? Mauricette M. était devenue dimanche 27 décembre la première personne vaccinée contre le Covid-19 en France. La vaccination à l'Astrazeneca de cette pensionnaire de l'unité de soins de longue durée de l'hôpital René-Muret de Sevran, en Seine-Saint-Denis, avait été retransmise en direct sur les chaînes d'information en continu.

    Mais une fois vaccinée, on n'a plus jamais parlé d'elle, ni entendu parler de sa santé, ce qui est troublant, vu son statut de reine médiatique d'un jour.

    Gérard Luçon enfonce le clou : « comme on ne nous a pas montré son rappel de vaccin, c'est qu'elle est décédée [...] Point barre !!! »(sic), et je partage 5 sur 5 son analyse.

    Certes, le 17 janvier l'APHP, dont dépend l'hôpital René-Muret où se trouve la maison de retraite de Mauricette, un personnel soignant de l'établissement confirme également à France Info que « Mauricette va bien et qu'elle devrait recevoir sa seconde dose de vaccin dans les jours qui viennent »(sic).

    Sauf que depuis, on est sans nouvelles de Mauricette depuis le 17 janvier, soit 2 mois et demi ! Elle n'a jamais passé son rappel de vaccin.

    Pire encore, c'est Line Renaud qui a été la seconde personne vaccinée, comme pour faire oublier par sa célébrité, la pauvre Mauricette !

    Comme dit Eric Hazan : « L'occultation du passé fait partie des armes du maintien de l'ordre ». On fait basculer dans l'oubli, toutes les informations désagréables, dont devrait rendre compte en principe la dictature macronienne du moment.


    Commentaire : C'est aujourd'hui bien connu, le mensonge prend l'ascenseur et la vérité prend l'escalier... Et de plus en plus souvent, il n'y a même plus d'escalier !


    Censures de tout article critiquant les vaccins anti Covid

    Le 23 janvier 2021, je poste sur mon blog Médiapart un article citant les réserves de Robert Kennedy junior rappelée ci-dessus. Mais aussi une étude du British Medical Journal, estimant à seulement 29 % le taux de fiabilité des vaccins, alors que sur la boite, il y a écrit 90 % (voir article ZONE du 23 janvier 2021). La Direction de Médiapart censure aussitôt mon article, m'interdit de publier sur mon blog pendant 30 jours. Tout en ajoutant méchamment que je n'étais pas forcée de revenir sur Médiapart, au bout d'un mois de « prison ».

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  71. Mais ce n'est pas tout : Nicole Délépine rédige à son tour un billet, citant le même chiffre (29 %), et la même étude que moi du BMJ. Expliquant très clairement que ces « vaccins » n'auraient jamais du bénéficier de l'autorisation de mise sur le marché, à cause de l'existence de médications simples et efficaces : chloroquine et antibiotiques. En raison aussi de la faible efficacité de ces vaccins mal stabilisés : 29 %. Là encore et curieusement, son papier disparait d'Internet.

    Le 23 janvier 2021 aussi, Gérard Délépine, son mari, rédige dans Mondialisation un excellent article montrant comment la vaccination à marche forcée en Israël, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en Norvège s'accompagne d'une surmortalité inquiétante. Naturellement, je poste cet article sur différents murs de Facebook : d'abord, je n'ai pas un seul « like ». Puis il est supprimé.

    Bien sûr, il ne s'agit pas d'un cas isolé : la direction de Facebook supprime tous les tableaux montrant l'existence d'une surmortalité due aux vaccins, comme hier, celui de la banque européenne comptabilisant presque 4 000 décès.

    Inversement, je poste l'article de Gérard Délépine et le mien du 23 janvier 2021 sur le réseau social ZONE : tous les deux rencontrent un joli succès d'audience, et je remercie chaleureusement les responsables de ZONE et MEDIAZONE de cette précieuse liberté de parole.

    Le 12 mars, Castex se fait vacciner, recevant officiellement une injection d'Astrazeneca en piqûre intra musculaire. Mais la piqure est orange, autrement dit, c'est une piqure intra veineuse. Sur Tweeter, VK, plusieurs internautes estiment qu'il a reçu simplement du sérum physiologique.

    Le 16 mars, 13 pays européens suspendent l'utilisation de l'Astrazeneca : le Danemark en premier la semaine dernière, puis la Norvège, la Bulgarie, l'Islande, l'Irlande, les Pays-Bas, l'Allemagne, la France, l'Italie, la Slovénie, l'Espagne, le Portugal, et la Lettonie. Plus La Thaïlande et le Congo.

    Le 17 mars 2021, le journaliste Eric Montana rédige un article sur Mediazone intitulé : « Astrazeneca ; un scandale qui en annonce d'autres ! » (sic), où il dénonce le délire de cette vaccination.

    Le décès d'un jeune étudiant en médecine, suite à une injection d'Astrazeneca, déclenche la polémique !

    Le 23 mars, un jeune étudiant en médecine en bonne santé de 24 ans décède suite à l'injection du vaccin AstraZeneca. Un début de polémique éclate.

    C'est d'abord Didier Raoult qui tonne sur Sud-Radio du 23 mars :
    « Oui il y a eu des choses sur lesquelles j'ai eu tort mais est-ce que ceux qui persistent à dire que la solution reste le vaccin et le confinement n'ont pas tort ? Non seulement ils ont tort mais en plus ils persistent dans leurs erreurs, on ne s'en sortira pas comme ça, on est parti pour se confiner un siècle à cette allure et vous verrez quand la population en aura marre ce qu'il va se passer, on est pas loin de couver une guerre civile ! »(sic).
    De son côté, Hanouna organise un talk show le même jour sur le sujet entre Martin Brachier et Gérard Délépine. Sur le plateau de TPMP, le Docteur Gérard Délépine démolit l'efficacité du vaccin AstraZeneca. Et préconise les antibiotiques pour soigner le Covid-19.

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  72. On voit comment l'information selon laquelle les vaccins sont dangereux quittent les seuls réseaux sociaux dits « marginaux », « complotistes » (ZONE, MEDIAZONE, VK). Pour accéder au grand public, comme l'émission Touche pas à mon poste touchant 300 000 personnes par émission. Le scandale de santé publique éclate au grand jour !

    Le 27 mars 2021, l'Agence nationale de la Sécurité et du Médicament reconnait l'existence de thrombose rare en lien avec le vaccin Astrazeneca (info LCI).

    En résumé, on voit comment chaque pièce du puzzle pose problème, formant pourtant un tout cohérent dans l'incohérence. Une réalité scandaleuse émerge, incontournable.

    Cette vaccination à marche forcée est tout, sauf une politique publique rigoureuse de santé publique.

    Comme disait Victor Hugo : « rien ne peut arrêter la force d'une idée, lorsque son heure est venue ! »

    Voilà pourquoi le programme du rassemblement « Pouvoir au Peuple » rassemblant le PRCF, le PARDEM, le CNSJS, les Insoumis démocrates, le courant interne/externe à la FI « Rupture, Pouvoir aux militants » préconise une médecine humaniste soignant tout le monde, y compris les personnes âgées. Et la nationalisation de tous les laboratoires de santé, parce qu'ils ont fait échec à l'intérêt général.

    P.S. : Marie-Hélène Gauthier me signale le passé criminel du laboratoire Pfizer, responsable de la mort de 11 enfants au Nigeria, suite à la prise d'un antibiotique Pfizer prétendument contre la méningite :
    « Pfizer a promu la vente de Bextra pour plusieurs utilisations et dosages que la FDA spécifiquement refusé d'approuver en raison de problèmes de sécurité. L'entreprise paiera une amende pénale de 1,195 milliard de dollars, la plus grande amende criminelle jamais infligée aux États-Unis. Pharmacia Upjohn perdra également 105 millions de dollars, pour une résolution criminelle totale de 1,3 milliard de dollars. »
    En outre, Pfizer a accepté de
    « payer 1 milliard de dollars pour résoudre les allégations dans le cadre du FalseClaims Act que la société a illégalement promu quatre médicaments — Bextra ; Geodon, un antipsychotique drogue ; Zyvox, un antibiotique ; et Lyrica, un médicament antiépileptique — et a provoqué de fausses allégations soumis à des programmes de soins de santé gouvernementaux pour des utilisations non acceptées sur le plan médical indications et donc non couvertes par ces programmes » (sic) (extrait du blog).
    Un virus qui dure un an, cela n'existe pas, scientifiquement !

    1 - Isabelle Bolvin : Un virus qui dure depuis un an et à échelle mondiale, ca ne questionne personne ?

    D'abord ca n'existe pas scientifiquement sauf selon les prétendus experts qui écrivent ce qu'ils veulent dans les journaux. Et racontent ce qu'ils veulent dans les médias, tant que le gouvernement leur verse des subventions .

    C'est forcément une arnaque, puisque la plupart des dirigeants du monde, Macron compris eh oui !, sont en connivence pour préparer leur plan mondial.

    2 - Brigitte Bouzonnie : Tout à fait d'accord avec toi. Je me souviens de l'analyse de Didier Raoult, estimant que la pandémie de Covid devait revêtir une forme de « cloche » : après une asymptote (mars-avril 2020), elle devait décroitre inéluctablement. avec le changement de saison.

    C'est comme cela que cela s'était passé pour la crise du H1N1.

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  73. La seule « explication » possible pour expliquer cette durée exceptionnelle, c'est, soit des chiffres Covid truqués, ce que reconnait l'OMS ; soit les « variants » sont inventés en laboratoire, afin de pérenniser de façon artificielle la pandémie mondiale.

    https://fr.sott.net/article/36833-Histoire-d-une-infamie-majeure-de-sante-publique-ou-les-vaccins-anti-Covid

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