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et:
L'info en questionS #33 - LIVE du 28 janvier 2021
avec Chloé F., M-Lyne, Sophie Meulemans, Salim Laïbi, JJC
Un vaccin contient 40 fois la dose maximale admissible en aluminium !
Vaincre la fraude au test COVID: note aux avocats et aux clients
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
26 février 2021
Comme je l'ai détaillé dans ma série d'articles actuels sur la fraude au test COVID PCR, le test est exécuté par cycles. [1]
Chaque cycle est un saut quantique de grossissement de l'échantillon sur écouvillon prélevé sur le patient.
Lorsque le test est exécuté à 35 cycles ou plus, le résultat n'a aucun sens. Des millions de ces résultats sont des faux positifs. Le patient est faussement dit qu'il est «infecté». [2]
Cependant, la plupart des laboratoires exécutent FRAUDULEMENT le test à 40 cycles, voire plus. Et les laboratoires ne divulguent pas, aux patients ou aux médecins, le nombre de cycles qu'ils déploient. [3] [3a] [3b]
Alors… voici une stratégie juridique que les avocats devraient envisager.
Si on dit à un client de se faire tester, son avocat déclare ce qui suit: «Mon client a besoin d'un affidavit sous serment du laboratoire déclarant combien de cycles seront utilisés.»
Si le laboratoire refuse de se conformer, poursuivez-les.
Si le laboratoire se conforme et que les cycles sont supérieurs à 35, poursuivez-les.
Nous savons également que les résultats des tests de divers laboratoires ne sont pas uniformes. Un laboratoire dira que le patient est testé positif; un autre laboratoire dira négatif. Ce fait est un secret de polichinelle dans la communauté des tests depuis des décennies.
Stratégie: un avocat fait tester son client dans plusieurs centres, en une journée, dans différents endroits, dans différents états, sachant qu'un laboratoire différent traitera chaque test.
Si les tests donnent des résultats différents, poursuivez les laboratoires.
Que se passerait-il si, disons, 50 avocats et leurs clients poursuivaient ces deux stratégies et intentaient des poursuites ? Que se passerait-il si une publicité importante entourait chaque avocat et son client ?
Une percée se produirait. Un grand nombre de personnes à travers le monde prendraient conscience que les tests COVID PCR sont remplis de fraudes.
Même si les juges et les tribunaux refusaient d'entendre les affaires, la seule publicité provoquerait une transformation majeure de la perception du public.
RépondreSupprimerIl existe un précédent récent pour exiger de connaître le nombre de cycles que les laboratoires de PCR déploient. Il vient du bureau du gouverneur de Floride et de son département de santé publique. Le 3 décembre 2020, les deux bureaux ont publié un règlement obligeant les laboratoires d'État à déclarer le nombre de cycles pour chaque test qu'ils effectuent. [4]
«Les valeurs de seuil de cycle (CT) [nombre de cycles] et leurs plages de référence, le cas échéant, doivent être communiquées par les laboratoires au FDOH [Florida Department of Health] via un rapport électronique de laboratoire ou par fax immédiatement.»
«Si votre laboratoire ne communique pas actuellement les valeurs CT et leurs plages de référence, le laboratoire doit commencer à signaler ces informations au FDOH dans les sept jours suivant la date de ce mémorandum.»
Nous pouvons supposer qu'il n'y a qu'une seule raison pour cette commande. Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis et le département d'État de la Santé sont conscients que les tests exécutés à 35 cycles ou plus sont inutiles et trompeurs, et ils veulent mettre fin à ce crime.
Des cabinets d’avocats d’intérêt public, des avocats isolés - faites quelque chose de vital maintenant. Exposez et éliminez le test COVID PCR. En le battant, vous révélez que des millions de soi-disant «cas COVID» sont une fraude massive et un mensonge.
Et vous battez également les verrouillages, qui sont basés sur le nombre de cas.
SOURCES:
[1] https://blog.nomorefakenews.com/tag/pcr/
[2] https://www.youtube.com/watch?v=a_Vy6fgaBPE (à partir de 3 min 50 s)
[3] https://www.fda.gov/media/134922/download
[3a] CDC-006-00019, révision: 06, CDC / DDID / NCIRD / Division des maladies virales, entrée en vigueur: 12/01/2020; voir: https://web.archive.org/web/20210102171026/https://www.fda.gov/media/134922/download
[3b] CDC-006-00019, révision: 05, CDC / DDID / NCIRD / Division des maladies virales, en vigueur: 13/07/2020; voir: https://web.archive.org/web/20200715004004/https://www.fda.gov/media/134922/download
[4] https://blog.nomorefakenews.com/2020/12/08/florida-forces-labs-to-report-number-of-pcr-test-cycles/
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog
https://www.lewrockwell.com/2021/02/jon-rappoport/defeating-covid-test-fraud-memo-to-lawyers-and-clients/
Petite information nécessaire:
SupprimerDepuis DES millions d'années notre magma expulse continuellement des nano-particules radioactives qui remontent à la surface des mers & océans grâce aux gaz qui s'élèvent avec elles. Ces poussières de 0,1 à 0,5 micron sont appelées des 'corona' et sont - en sommets de vagues - livrées aux alizés qui les promènent tout autour de la Terre.
Or, ces milliards, ces kilomètres de milliards ou ces milliards de kilomètres de milliards de virus n'irradient que pendant 3 semaines. Nous savons que nous respirons toutes & tous avec ou sans masque 200 000 microbes ou virus par minute et 2 millions en activité physique; or, dans ces milliards de nano-particules respirées depuis ce matin (et des milliards de kilomètres de milliards depuis que vous êtes né(e)) il y a 99,99999999999 % de virus inactifs (depuis des mois, des années, des siècles ou des millénaires) qui sont visibles aux microscopes des tests RT-PCR. Mais, comme ces gros cons de laborantins collabo(ratoire) de merde n'ont pas de mini-compteur Geiger pour voir qui irradie et qui n'irradie pas, ils peuvent dire CERTAINEMENT que vous avez en vos poumons DES milliards de virus corona !
C'est ce que vous vous devez de comprendre, c'est ce que vous vous devez de savoir.
Il ne peut donc exister de masque (le plus fin étant le N95 ou FFP2) qui fait... 3 microns de maillages ! Hahaha ! comme il ne peut exister de vaccins fabriqués en moins de 3 semaines ! Donc, sont rôle qui serait d''encapsuler' les virus (irradiation à moins de 1 micron de rayon), est tout-à-fait inutile car, de nos jours, ce n'est plus le magma qui fabrique ce même modèle depuis des millions d'années mais est tombé dans le domaine public et chacun peut fabriquer son corona ! (a condition d'avoir un laboratoire un peu plus que bien équipé pour contrefaire ce type de virus !). C'est ainsi que nous avons eu la joie de découvrir chaque mois un nouveau virus ! Le Nouveau Virus est arrivé ! Et les chaînes de supermarchés de les proposer à prix cassé 2 pour le prix d'1 ou le mien fait mieux que l'autre ou encore 'Virus garanti sans OGM' ! etc.
D'où, 'son-petit-vaccin-qui-va-avec' ! Mais comme 'son-petit-vaccin-qui-va-avec' est arrivé x mois trop tard: il ne sert à rien face à l'avant-avant-avant-dernier qui n'est plus actif depuis belle lurette !
Lanceurs d’alerte : qui n’avance pas recule
RépondreSupprimerPourquoi la France refuse-t-elle de protéger correctement les lanceurs d’alerte ?
Par Pierre Farge.
26 FÉVRIER 2021
L’actualité des lanceurs d’alerte s’accélère : l’affaire du Médiator, révélée par la lanceuse d’alerte Irène Frachon, fera l’objet d’un délibéré le 30 mars prochain, une transposition de la première directive les protégeant doit intervenir d’ici la fin de l’année, entraînant une multiplication des initiatives en France.
L’occasion de décrypter le jeu politique avec Pierre Farge, avocat de lanceurs d’alerte et auteur de l’ouvrage sur la question Le lanceur d’alerte n’est pas un délateur, à paraître le 10 mars chez J.C.Lattès.
En octobre 2019, le Parlement européen et le Conseil de l’union européenne ont adopté une directive visant à harmoniser les législations européennes en matière de protection des lanceurs d’alerte, et notamment pallier les faiblesses du droit français en la matière. La transposition de cette directive doit intervenir avant le 17 décembre de cette année pour le secteur public et pour les entreprises de plus de 249 travailleurs du secteur privé, et avant le 17 décembre 2023 pour les entités juridiques du secteur privé comptant 50 à 249 travailleurs.
Aucun État membre n’a encore achevé de transposer ce texte, mais beaucoup ont commencé, à la différence de la France.
Par exemple, en Suède, le 29 juin 2020, un comité de réflexion a remis un rapport de 802 pages contenant une proposition de transposition prévoyant notamment une entrée en vigueur le 1er décembre 2021, sachant, qu’à la différence de la France encore, la prise en charge financière des lanceurs d’alertes existe déjà.
Les autres pays nordiques tels que le Danemark et la Finlande progressent aussi, et espèrent soumettre une proposition de mise en œuvre d’ici le printemps 2021.
À l’Est, la Lettonie a invité le public à proposer en juillet des améliorations pour ses propres amendements à la loi de protection des lanceurs d’alerte.
En Irlande, une consultation publique a été lancée de façon semblable.
En revanche, certains pays, comme l’Italie, l’Autriche, la Belgique ou encore la France n’ont que très peu, voire pas avancé pour la transposition.
MANQUE DE VOLONTÉ ET ARGUMENTS FACILES
RépondreSupprimerDe façon générale, la France n’est pas mauvaise en matière de transposition de directive européenne : elle respecte les délais imposés. Ce n’est donc pas le symptôme d’un problème récurrent, mais bien un manque de volonté criant de l’exécutif que nous vivons en matière de protection des lanceurs d’alerte.
Cette transposition n’est effectivement toujours pas inscrite à l’agenda parlementaire. Et ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé.
En janvier 2020, la France Insoumise portait une proposition de loi examinée en Commission des Lois. Les Républicains précisaient qu’un consensus devrait être possible autour de la proposition de la France insoumise, proposant avec pragmatisme une coproduction de l’ensemble des groupes parlementaires. Tout semblait donc parfait pour voir ce texte aboutir dans un débat démocratique unissant l’extrême gauche et la droite.
Pourtant, la République en marche témoignait d’un refus de développer des mesures d’insertion pour les lanceurs d’alerte ou même les moyens préconisés par le Défenseur des droits, promettant ainsi de ne pas dépasser le contenu imposé par la directive européenne.
Le porte-parole de la majorité Raphael Gauvain, à l’époque rapporteur de la loi sur le secret des affaires, assurait par exemple vouloir une transposition « ambitieuse » (annonce, affichage, affirmation), mais s’opposait en réalité à toutes les mesures visant à aller plus loin que les minima imposés par l’Union européenne, au prétexte que le travail de fond n’aurait pas été suffisant, et que des améliorations seraient nécessaires.
Argument facile d’abord parce que ce ne sont pas les transpositions audacieuses qui manquent quand cela relève de l’intérêt général, à l’image de la loi pour la modernisation de notre système de santé en 2016, transposant la directive 2014 sur le tabac à l’origine des paquets de cigarettes aux phrases dissuasives et aux photos apoplectiques.
Argument facile ensuite parce qu’il n’y a pas besoin de « travail de fond » ou autres rapports bien fouillés pour comprendre qu’en refusant toute inclusion de mesures hors de la directive européenne, le groupe majoritaire prive les lanceurs d’alerte de nombreuses avancées qui auraient pu délier leurs initiatives rapidement.
Prenez par exemple le fait de refuser de chiffrer avec précision le « délai raisonnable » que doivent respecter les lanceurs d’alerte en passant du signalement interne (palier 1) à la révélation aux autorités judiciaires (palier 2). La République en marche prétexte que la directive européenne n’en parle qu’au conditionnel. Pour elle, ce n’est sans doute pas assez impératif pour mériter d’être clarifié en droit français.
La proposition de loi avait également le mérite de présenter un amendement obligeant les récepteurs du signalement d’accuser réception dans un délai de sept jours. Derechef, le porte-parole de la majorité sur ce texte rejette en estimant que cette disposition, imposée par la directive, devrait être « retravaillée » !
RépondreSupprimerDans le même esprit, le texte proposait une (petite) alternative financière par un accès facilité à l’aide juridictionnelle, ainsi que l’octroi d’une indemnisation par la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions, dite CIVI. Encore une fois, l’ensemble de ces mesures a été rejeté par le porte-parole de la majorité.
Prenant en considération la précarité de la situation des lanceurs d’alerte après leur signalement, le texte suggérait enfin de faciliter l’ouverture du lanceur d’alerte à la fonction publique pour sa réinsertion professionnelle. Rejeté, cet article aurait néanmoins permis aux lanceurs de se réinsérer plus aisément, un espoir après avoir souvent tout perdu pour contribuer à l’intérêt général.
QUELLES SONT LES RAISONS D’UN TEL REFUS ?
Pourquoi un tel refus en bloc de la majorité à la protection des lanceurs d’alerte, en dépit d’un consensus républicain exemplaire ? Pourquoi ce refus irraisonné à venir en aide aux lanceurs d’alerte, venant ainsi vider de substance cette transposition qui aurait été un formidable jalon si elle avait été large, et aurait pu redonner un certain leadership à la France dans l’Union européenne ?
Par cette transposition dite ambitieuse « souhaitée » par le porte-parole d’alors de la majorité, mais en réalité s’opposant à toutes les mesures au-delà des minima imposés par l’Union européenne, le député témoigne de la qualité de nos intentions.
Il nous dit : « continuez à vous battre pour ce projet », « je comprends ce besoin, ne vous découragez pas », « l’image, l’idée de la démocratie en dépend ».
On touche ici à la subtilité de ce jeu certes collectif du débat parlementaire, mais dans lequel chacun joue aussi sa partition personnelle, préserve ses intérêts, joue la carte de la carrière individuelle, des renvois d’ascenseur corporatistes.
En septembre 2020, cet état de fait n’a pas manqué d’être confirmé. Sylvain Waserman, député LREM et vice-président de l’Assemblée nationale, a interrogé le garde des Sceaux sur sa position quant à une transposition « ambitieuse » de la directive européenne. Sa réponse ne donne aucune illusion sur les intentions du gouvernement.
En substance, la France serait déjà à la pointe sur la protection des lanceurs d’alerte, je cite :
Le droit français connaît déjà de nombreux dispositifs sectoriels et un dispositif général de protection des lanceurs d’alerte. […] Le droit français actuel est par conséquent déjà conforme à de nombreuses dispositions de la directive.
Ces mots polis promettent donc une transposition a minima de la directive, et en tout cas en-deçà de ce que recommande les différentes parties prenantes à ces questions comme aussi la Commission nationale consultative des droits de l’Homme. Et l’actualité s’accélère en ce sens.
DÉMAGOGIQUES CONSULTATION PUBLIQUE ET MISSION D’ÉVALUATION
RépondreSupprimerEn janvier 2021, le ministère de la Justice a lancé une consultation publique (ouverte jusqu’au 21 mars) afin de recueillir l’avis de nos concitoyens sur la question de la transposition de cette directive, de même que des personnes qualifiées (institutionnels, universitaires, associatifs, avocats, entre autres).
Là encore, pourquoi exactement demander notre avis si une proposition de loi prévoyant une protection n’a déjà pas été suivie d’effet ? Si tous les intervenants se sont déjà exprimés dans le cadre de la proposition de loi de janvier 2020 ? Pour laisser croire au débat démocratique ? Pour laisser croire qu’on suit notre avis, même si au bout du compte, lorsqu’on lit entre les lignes, on sait déjà que le gouvernement n’a aucune intention de protéger le lanceur d’alerte au-delà des minimums imposés ?
C’est sans doute toujours dans ce même état d’esprit que le même député Raphaël Gauvain conduit actuellement une Mission d’évaluation de la loi Sapin 2 pour l’Assemblée nationale (un site dédié est disponible sur le site éponyme), qui proposera des « pistes » sur le statut de lanceur d’alerte.
Onctueuse démagogie donc que d’offrir à tout un chacun la possibilité de donner son avis, de multiplier les consultations, auditions et autres missions pour en réalité retarder d’autant la transposition de la directive et finalement précipiter, dans une parodie de débat, une transposition a minima ; car après ces quatre promesses de discussions en un peu plus d’un an, on imagine déjà le discours dans quelques mois : « pressons-nous pour tenir les délais et respecter notre droit européen ».
https://www.contrepoints.org/2021/02/26/391921-lanceurs-dalerte-qui-navance-pas-recule
voir photo sur site :
Supprimerhttps://www.lematin.ch/story/vue-de-google-earth-la-nature-na-aucune-pudeur-42168522300
La Californie s'effondre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 25 FÉVRIER 2021-21: 40
Rédigé par Martin Sieff via The Strategic Culture Foundation,
La Californie réalise maintenant la vision cauchemardesque de Fyodor Dostoyevsky dans son chef-d’œuvre prophétique «Les Possédés» sur ce que le libéralisme illimité doit inévitablement créer - s’il n’est pas arrêté dans son élan et reculé.
Là où la Californie va aujourd'hui, le reste des États-Unis et une grande partie du monde occidental partent demain. Mais ce que nous voyons maintenant dans l’État le plus peuplé d’Amérique, c’est l’effondrement interne complet de toute la civilisation progressiste libérale et de la société qui a le plus frénétiquement essayé de le réaliser.
Depuis plus de cent ans, la Californie, le soi-disant «Golden State», a ouvert la voie à l'avenir de l'Amérique, en particulier à travers les deux industries américaines célèbres de l'aérospatiale et du cinéma. Les télécommunications, les ordinateurs et l'intelligence artificielle sont désormais dirigés depuis la Silicon Valley et l'État a également dominé la politique nationale des États-Unis.
La Californie est rapidement devenue l'État américain le plus riche et le plus peuplé. Il a produit deux présidents à deux mandats (Richard Nixon et Ronald Reagan), l'un des juges en chef les plus importants de la Cour suprême (Earl Warren) et le prochain président probable - l'actuel vice-président Kamala Harris si Joe Biden, 78 ans ne peut pas terminer son mandat.
De 1928 à 2004, 14 des 19 billets gagnants pour l’élection présidentielle comprenaient une personne de Californie ou du Texas et le choix de Harris par Biden a remis la Californie au cœur de la politique électorale nationale l’année dernière.
Politiquement, la Californie reste un libéral solide comme le roc. Il n'a pas élu un seul républicain au bureau national ou à l'échelle de l'État depuis la réélection du gouverneur sortant Arnold Schwarzenegger en 2006. En 2016, le gouverneur de l'époque, Jerry Brown, a notoirement remis une accréditation d'État et des permis de conduire à des centaines de milliers d'immigrants illégaux, en sécurité dans le sachant qu'ils voteraient tous démocrates et cela s'est avéré. Les démocrates enregistrés détiennent maintenant un avantage de 46 % à 24 % sur les républicains enregistrés dans tout l'État.
La Californie détient également une emprise de fer sur le leadership national démocrate au Congrès par l'intermédiaire de la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi et de ses principaux alliés tels que le membre du Congrès Adam Schiff, dont les bousculades ridicules dans les deux mises en accusation du président Donald Trump n'ont pas entamé sa position immuable en tant que l'un des Les fils préférés les plus jeunes de Pelosi (il n'a que 60 ans).
Pourtant, maintenant, la Californie est en fin de crise et en effondrement. Le gouverneur Gavin Newsom, promu par les médias grand public nationaux (MSM) comme un chevalier blanc héroïque en armure brillante au début de la pandémie de COVID-19 au printemps dernier, a été dénoncé même dans son propre état comme un maladroit et un hypocrite catastrophique qui a jamais eu la moindre idée de ce qu'il faisait - ou plus généralement ne faisait pas. Au moment où j'écris, les citoyens californiens malades et fatigués sont sur le point de fournir les 1,5 million de signatures nécessaires pour attirer Newsom dans ce qui serait certainement une élection de rappel chaotique.
RépondreSupprimerLa Californie a également été ravagée l'année dernière par les pires incendies de forêt de son histoire. Les médias serviles - ont dit quoi penser par le Los Angeles Times stupide (autrefois un grand journal) et encore plus infantile San Francisco Chronicle - se sont pliés en quatre pour éviter de reconnaître les vraies causes, mais ils ont été documentés de manière exhaustive.
Les politiques environnementales vertes et romantiques sans esprit ont mis au rebut les pratiques sages et séculaires de création de pare-feu dans les forêts entre des touffes d'arbres qui limiteraient les incendies par temps chaud. Loin de «protéger les arbres» et la faune, comme l'exigeaient les Verts instinctifs, la fin des espaces brise-vent a au contraire permis aux incendies de forêt de s'enflammer à une échelle sans précédent et à une vitesse record.
Dans le même temps, plusieurs millions de personnes ont transpiré même dans les banlieues de luxe à travers les vagues de chaleur sans aucun soulagement de la climatisation parce que le réseau électrique de l'État - une autre victime de préjugés verts ignorants se faisant passer pour de la «science» - s'est effondré à plusieurs reprises, incapable de générer le niveaux de puissance requis fiables et nécessaires à des moments vitaux.
Los Angeles, la plus grande ville de l'État et sans doute la plus peuplée actuellement des États-Unis, est devenue un synonyme de crimes violents et en particulier le bastion de l'énorme organisation MS 13, ultraviolente et en croissance rapide, souvent qualifiée à tort de simple «gang» dans rapports des médias. MS 13 compte jusqu'à 50 000 membres dans le monde, dont au moins 10 000, officiellement, et probablement deux fois plus selon les évaluations privées de nombreux policiers à Los Angeles.
L'administration Trump a eu un succès remarquable - encore une fois non reconnu dans les médias libéraux - en expulsant plusieurs milliers de membres du MS 13. Cependant, le président Joe Biden a déjà assuré avec ses décrets exécutifs initiaux que les anciennes politiques de frontière ouverte des présidents démocrates (Bill Clinton et Barack Obama) et républicains (Ronald Reagan et George Bush) sont rétablies afin qu'ils puissent revenir en de nouveau.
San Francisco - la ville américaine du «tout va bien» - est dans un état encore pire. Ses endroits élégants les plus célèbres, historiquement populaires et beaux sont maintenant inondés de gens de la rue agressifs et insalubres qui urinent et défèquent ouvertement dans les rues. Les services publics, longtemps superbes, sont désormais épouvantables.
RépondreSupprimerMême les classes de banlieue libérales insensées qui ont voté et imposé sans relâche ces politiques catastrophiques au cours des 40 dernières années et plus fuient maintenant la Californie alors que la valeur des propriétés s'effondre et que les impôts deviennent trop écrasants, même pour eux.
Si la Californie continue de tracer la voie de l'avenir pour le reste des États-Unis, cet avenir est désormais clair: c'est une société à forte fiscalité avec une énorme classe pauvre, sans emploi et sans emploi où la classe moyenne est anéantie, des gangs organisés et La criminalité de rue chaotique générale, y compris les agressions, les viols et les meurtres, métastase dans toutes les grandes zones urbaines et des gangs plus nombreux et lourdement armés que la police opèrent ouvertement en toute impunité.
C'est une société où l'avortement illimité sur demande jusqu'au point de naissance et même au-delà est acclamé comme un impératif «moral» prétendument supérieur à tous les dix commandements.
Car la Californie réalise maintenant la vision cauchemardesque de Fyodor Dostoyevsky dans son chef-d'œuvre prophétique «Les Possédés» ou «Les Diables» quant à ce que le libéralisme illimité doit inévitablement créer - s'il n'est pas arrêté sur ses traces et reculé.
Tout comme la Californie, il en va de même pour le reste des États-Unis: pendant cent ans, depuis que l'industrie du cinéma muet infantile a fasciné le monde entier avant et pendant la Première Guerre mondiale, ce simple mantra est resté vrai.
Mais si l’avenir de l’Amérique n’a pas d’avenir, quel avenir le reste de l’Amérique peut-il espérer ?
https://www.zerohedge.com/political/california-collapsing
Comment tout cela se termine-t-il ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 25 FÉVRIER 2021-23: 40
Rédigé par Jeffrey Tucker via l'American Institute for Economic Research,
Il y a un sentiment dans l'air que la pandémie se termine, et la culture toxique de la division, de la peur et de la haine avec elle.
Les cas sont en baisse dramatique.
Les morts aussi.
Les hospitalisations ne sont plus irrégulières.
Les restrictions sont abrogées.
Vous pouvez suivre toutes les actions quotidiennement sur la nouvelle page de destination du CDC sur le virus (il ne leur a fallu qu'un an pour le construire).
Malgré tous les discours sur un nouveau mandat normal et infini, il y a espoir que tout se déroulera rapidement, poussé par la force de l'impatience et de la frustration du public face aux restrictions, et une ruée politique pour éviter la responsabilité en fuyant tout ce qu'ils ont fait pour la l'année dernière.
La liste des signes et symboles pourrait être très longue.
Les politiciens qui ont dépassé les limites sont soudainement tenus pour responsables, avec Andrew Cuomo et Gavin Newsom sur la sellette. Les appels aux gouverneurs et aux maires à démissionner consomment des informations nationales et locales. Il y a clairement un grand tumulte politique.
Les scientifiques de la Déclaration de Great Barrington peuvent difficilement répondre aux demandes d'entretiens respectueux, maintenant qu'il devient clair qu'ils avaient raison depuis le début.
L'expérience dans des États ouverts comme la Floride, la Géorgie, le Dakota du Sud, etc., rend impossible d'ignorer la sombre vérité selon laquelle les verrouillages n'ont rien apporté pour la santé publique mais ont nui à la santé, aux entreprises, aux libertés, au droit et à la vie civilisée.
La poussée pour ouvrir les économies, par les mêmes personnes qui ont verrouillé les économies, comme Boris Johnson au Royaume-Uni, est une répudiation implicite du mouvement insensé ZeroCovid. Tout le monde semble désormais d'accord avec ce que dit l'AIER depuis un an: l'humanité doit faire face intelligemment aux pathogènes et cesser de prétendre que les forces politiques peuvent les contrôler.
Naomi Wolf, une collègue senior en visite à l'AIER, a eu un succès hier soir sur l'émission Tucker Carlson, et ils ont parlé en tant qu'alliés dans les efforts de réouverture après des années de combat idéologique.
Il y a une lassitude croissante des salades de mots quotidiennes d'Anthony Fauci qui ont massivement mélangé les messages de santé publique pendant une année complète, au point que Meghan McCain a appelé à son licenciement.
Il y a un an, Slate avait du sens jusqu'à ce que le virus devienne politique et qu'ils rejoignent la foule du lockdown. Maintenant, la publication est de nouveau sensée, avec cette excellente pièce.
Le journal médical britannique The Lancet publie d'excellents articles courts sur le coût des verrouillages, y compris cette lettre fascinante de Martin Kulldorff.
Une prestigieuse revue européenne de santé publique a publié une attaque fulgurante contre l'idée même qu'un gouvernement au pouvoir devrait jamais se voir confier l'atténuation des virus.
Les personnes qui ont consacré leur carrière et leur vie à cette pandémie et aux politiques qui l’entourent devront peut-être bientôt trouver une nouvelle raison d’être. Ensuite, le nettoyage commence - comment est-ce arrivé, qui l'a fait, comment s'assurer que cela ne se reproduira plus - et ne se termine peut-être pas avant des décennies.
RépondreSupprimerC’est fascinant de voir les premières ébauches sur les raisons. Il y aura des efforts superficiels pour créditer les verrouillages, les masques, la séparation humaine et les fermetures pour en quelque sorte faire disparaître le virus. Le problème est qu'il n'y a aucune preuve de cela. Il existe des preuves pour de nombreuses autres explications ayant trait à l'immunité collective et à la «saisonnalité» (une autre façon de dire que le pathogène va et vient) et peut-être plus de précision dans les tests.
Par exemple, ce nouvel article de la très sensée Jennifer Beam Dowd d'Oxford cite de nombreux facteurs (tout en minimisant le rôle des vaccins), mais dit des masques et ainsi de suite qu'il est «difficile d'identifier leurs effets spécifiques, et les cas diminuent presque tous les États, même avec un large éventail de politiques. »
En effet !
Le calcul se déroulera pendant des mois, voire des années. En fin de compte, les gens se demanderont pourquoi nous avons pris des mesures aussi extrêmes qui ont détruit tant de vies lorsque l'équilibre endémique arrive à temps, indépendamment de toutes ces mesures. Nous avons tenté une expérience folle de contrôle social et économique et il ne nous reste que peu de preuves que cela a fait une grande différence sur le virus, mais de nombreuses preuves qu'ils ont démoralisé et ruiné la vie de milliards de personnes.
Qu'en est-il de l'ouverture ? Il y aura toujours ceux qui se recroquevilleront dans la peur, encore aux prises avec le traumatisme psychologique profond qui vient de regarder des journalistes de télévision crier de panique pendant une bonne partie de l'année. Mais il y aura une majorité émergente qui sera plus que disposée à retourner à la vraie vie.
Mon livre de référence sur la pandémie et la riposte a été le remarquable roman d’Albert Camus, La peste. Il l'a écrit comme partiellement autobiographique sur sa propre quarantaine. Il a été publié en 1947. Il est toujours un compte rendu brillant de la sociologie et de la psychologie de la peur pendant la pandémie et le verrouillage.
Alors que nous approchons de la fin du roman, la peste commence à se dissiper, non à cause de tout ce que les citadins ont fait ou à cause des restrictions sur leur vie. Il se soulève parce que le virus a suivi son cours de pandémie. Ce qui est frappant, c'est la rapidité avec laquelle l'aube de la normalité se produit, suivie d'une nouvelle appréciation de la vie, du plaisir, des réjouissances et de l'exubérance.
Alors que les gens commencent à voir la fin, Camus enregistre la scène fictive.
Il ne fait aucun doute que la peste n'était pas encore terminée, ce dont il fallait se souvenir; pourtant, dans l'imagination, ils pouvaient déjà entendre, des semaines à l'avance, des trains siffler en route vers un monde extérieur sans limite, et des vapeurs hululer en partant du port à travers des mers brillantes. Le lendemain, ces fantaisies seraient passées et les scrupules du doute revenaient. Mais pour le moment toute la ville bougeait, quittant les confins sombres et lugubres où elle avait heurté ses racines de pierre, et se dirigeant enfin, comme une cargaison de survivants, vers une terre de promesse….
Dans les rues et sur les places, les gens dansaient. En vingt-quatre heures, le trafic automobile avait doublé et les voitures toujours plus nombreuses étaient retenues à chaque tournant par des foules joyeuses. Chaque cloche d'église était en plein sifflement tout au long de l'après-midi, et les cloches remplissaient le ciel bleu et or de leurs réverbérations. En effet, dans toutes les églises, des services d'action de grâce avaient lieu. Mais en même temps, les lieux de divertissement étaient bondés et les cafés, sans souci du lendemain, produisaient leurs dernières bouteilles d'alcool. Un hall bruyant déferlait autour de chaque bar, y compris des couples aimants qui se caressaient sans se soucier des apparences. Tous riaient ou criaient. Les réserves d'émotion accumulées pendant ces nombreux mois où pour tout le monde la flamme de la vie brûlée étaient négligemment gaspillées pour célébrer ce jour-là, la lettre rouge de leur survie. Demain, la vraie vie recommencerait, avec ses restrictions. Mais pour le moment, des gens de milieux très différents se côtoyaient, fraternisaient. Le nivellement que l’imminence de la mort n’avait pas réussi à accomplir dans la pratique s’est enfin réalisé, pendant quelques heures gaies, dans l’extase de l’évasion.
RépondreSupprimerEt ainsi de suite l'ouverture, lentement d'abord, puis rapidement, puis tout d'un coup. Le tournant décisif est celui où le public revient à penser rationnellement, refuse de rester enfermé et décide de faire confiance à lui-même et à la profession médicale plutôt qu'aux élites puissantes qui prétendent seulement gérer la maladie. Le traumatisme dure, bien sûr, mais la guérison commence aussi.
En avril dernier, à une époque plus naïve, j'imaginais vraiment que ces verrouillages et restrictions ne pouvaient pas durer. J'avais sous-estimé à la fois la panique du public et la volonté du gouvernement de doubler et tripler les politiques irréalisables.
J'ai également surestimé ce que j'avais imaginé auparavant comme un engagement généralisé en faveur de la liberté et de la propriété qui aurait inspiré une révolte publique dès le début. Nous voici donc un an plus tard, avec les rapports de carnage de verrouillage affluant jour et heure. C’est un gâchis gigantesque, bien sûr, mais la fin semble être en vue, et Dieu merci pour cela. Laissez le retour de flamme commencer.
https://www.zerohedge.com/political/how-does-all-end
Crise sanitaire : notre apathie nous condamne à la soumission politique
RépondreSupprimerParanoïa sécuritaire, esprit d’apartheid et citoyenneté de seconde zone sont donc au menu du monde d’après, qui risque fort d’être aussi un monde post-libéral, si nous ne réagissons pas.
Par Frédéric Mas.
25 FÉVRIER 2021
Après les mesures autoritaires à échelle nationale au nom du bien commun sanitaire, voilà celles à échelle locales. Après les Alpes-Maritimes, c’est Dunkerque qui va se retrouver en quarantaine pour faire face à un regain de covid, cette fois sous variant britannique. Le ministre de la santé Olivier Véran a annoncé le reconfinement de la ville de Jean Bart le week-end et demandé au préfet d’interdire la vente à emporter et la consommation d’alcool sur la voie publique.
LE PAYS OÙ L’AMITIÉ EST UN DÉLIT
Pourquoi ? Parce que les beaux jours reviennent, et que les jeunes pourraient être tentés de sortir pour boire quelques godets entre amis. L’amitié dans la France de la covid, est devenu un délit. Les seules mesures qui marchent aux yeux de notre nomenklatura politique, ce sont celles qui répriment la vie des citoyens ordinaires. Nous n’avions pas de masques ou de tests, nous n’avons pas de vaccins, mais les préfets, les gendarmes et les services fiscaux rivalisent de zèle.
Quel intérêt de reconfiner une ville le week-end ? Ceux qui le peuvent iront en week-end ailleurs dans leurs résidences secondaires ou dans leur famille ailleurs en France, et seuls les plus pauvres et ceux qui travaillent le week-end resteront sur place. Et la circulation du virus dans tout ça ? Elle continuera.
Est-il vraiment nécessaire d’interdire la vente d’alcool pour endiguer le virus ? Après tout, dans le registre des mesures loufoques, la ville de Lyon a fait fort la semaine dernière en invoquant la crise sanitaire pour proposer des menus sans viande dans les cantines.
Mais face à la panique sanitaire, les Français semblent résignés et prêt à accepter toutes les propositions, mêmes les plus absurdes, pour éloigner le spectre insaisissable et protéiforme du virus. Après les restrictions à la liberté de circuler, d’entreprendre, de commercer, de manifester, de vivre, quelles seront les nouvelles couleuvres que les citoyens seront prêts à avaler ?
CRISE SANITAIRE ET NORMALISATION DE LA RÉPRESSION
RépondreSupprimerQue les politiques profitent de la crise pour rogner sur les libertés publiques n’est pas étonnant. Avant de réglementer la viande, l’alcool et les balades en forêt, l’État a surfé sur la crise sanitaire pour normaliser une grande partie des dispositions de l’état d’urgence sanitaire. Il avait procédé de la même manière au plus fort de la guerre contre l’État islamique pour ajouter discrètement de nouvelles mesures liberticides à son arsenal sécuritaire.
C’est que la panique sanitaire entretenue par la classe politique est une opportunité sans précédent pour réprimer et s’étendre. Le 22 février dernier, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres déplorait que la pandémie soit utilisée dans certains pays pour faire taire les voix dissonantes :
« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales »
La répression exceptionnelle au nom de la crise covid ne pourrait cependant fonctionner sans l’assentiment d’une population totalement atone. Comme le note Luc Rouban dans un entretien donné à L’Opinion, la demande autoritaire émane de tout le spectre politique, bien au-delà de l’extrême-gauche et de l’extrême-droite :
« L’autoritarisme politique, qu’il passe par un renforcement du pouvoir exécutif, un affaiblissement des débats parlementaires ou un appel direct au peuple, puise ses racines dans la recherche d’une efficacité politique qui semble perdue. Dans notre étude, on s’aperçoit que cette demande d’autorité n’est pas réservée aux extrémismes. Elle se développe aussi chez les libéraux de plusieurs électorats, et dans toute la hiérarchie socioprofessionnelle. »
Si aujourd’hui la majorité est prête à troquer la plupart de ses libertés pour un peu de sécurité sanitaire, alors pourquoi l’État s’arrêterait en si bon chemin ? Emmanuel Macron prépare l’après-covid, qui promet d’être aussi liberticide que pendant la crise. Le passeport vaccinal pour voyager ou accéder aux lieux publics, les QR codes pour rentrer dans les restaus et les bars sont sur la table.
Paranoïa sécuritaire, esprit d’apartheid et citoyenneté de seconde zone sont donc au menu du monde d’après, qui risque fort d’être aussi un monde post-libéral, si nous ne réagissons pas.
https://www.contrepoints.org/2021/02/25/391927-crise-sanitaire-notre-apathie-nous-condamne-a-la-soumission-politique
Reconnaissons que les intervenants (du milieu médical) mettent des gants et marchent sur des œufs pour dénoncer les pédérastes criminels qui dirigent et peuvent les faire disparaître d'un claquement de doigts. C'est le monde qui est violé chaque jour et enfermé comme des fous car, ils ont même osé dire que le corona rendait fous et ceux qui protestaient contre la dictature au pouvoir étaient des fous !
SupprimerPARIS BIENTÔT CONFINÉE TROIS SEMAINES ?
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
26/02/2021
La ville de Paris compte 19% de l'ensemble de la population d'Île-de-France.
Lors de la conférence de presse sur la situation sanitaire que Jean Castex, Premier ministre, a tenue jeudi 25 février 2021… aucune nouvelle annonce n’aura été faite. Seules Nice et Dunkerque sont confinées, et toujours uniquement le week-end. La Ville de Paris, de son côté, veut mener son propre combat et reconfiner complètement.
Paris sous cloche ? La demande d’Anne Hidalgo
Sur FranceInfo, jeudi 25 février 2021, le premier adjoint de la ville de Paris, Emmanuel Grégoire, a été un peu déçu des annonces de Jean Castex qui, finalement, n’a pas fait évoluer la situation. 20 départements inquiètent le gouvernement, mais une décision concernant un confinement le week-end ou d’autres mesures ne sera annoncée que le 6 mars 2021 au mieux, lors d’un prochain point d’étape.
Or, Paris, tout comme la majorité des l’Ile-de-France, font partie de ces zones à risque. Dans la Capitale, le taux d’incidence a dépassé 300, 1,5 fois la moyenne nationale. C’est donc simple : la municipalité veut se mettre sous cloche. À la surprise générale, Emmanuel Grégoire a donc annoncé que la mairie de Paris demandera la mise en place d’un confinement généralisé dans sa commune.
Trois semaines confinés… pour rouvrir ?
Paris devra toutefois obtenir l’accord du gouvernement, ce qui risque d’être compliqué. Les élus parisiens veulent en effet confiner pour rouvrir par la suite, y compris les lieux culturels ou encore les bars. Mais Jean Castex, durant la conférence de presse, semble avoir écarté cette idée lorsqu’il a déclaré que la gestion de l’épidémie et la lutte contre le virus n’était pas aussi simple et qu’il ne suffisait pas de tout fermer pour se débarrasser du Sars-CoV-2.
Sur Twitter, dans la nuit de jeudi à vendredi, Emmanuel Grégoire a même précisé que la mesure « n’aurait de sens au moins qu’à l’échelle de l’Ile-de-France ». De quoi en compliquer un peu plus la mise en place puisqu’il faudra alors convaincre les autres élus franciliens.
http://www.economiematin.fr/news-paris-confinement-mesure-covid-decision-politique-idf
Comme tous bobos '"Il faut rire de tout !" disait leur chef JMB), Paris libéré ? OUI mais Paris enculé !
SupprimerMécanisme de mort: lorsque le gouvernement agit en tant que juge, jury et bourreau
RépondreSupprimerPar John W. Whitehead
L'Institut Rutherford
26 février 2021
«La police ne comprend pas qu'elle est des fonctionnaires de la paix. Ils devraient fournir une fonction publique, pour appliquer les lois de manière égale, sans parti pris et avec discrétion. Ils doivent comprendre qu'ils n'ont pas d'immunité ou de privilèges spéciaux et - surtout - sont simplement responsables de l'arrestation des suspects et ne doivent pas agir en tant que juge, jury et bourreau, ce que trop d'entre eux croient vraiment être. »- Frank Serpico , ancien détective de police qui a dénoncé la corruption au sein du NYPD
Le gouvernement ne devrait pas avoir pour objectif de tuer ses citoyens.
Néanmoins, le gouvernement américain continue d'agir en tant que juge, jury et bourreau sur une population qui a été pré-jugée et déclarée coupable, dépouillée de ses droits et laissée à souffrir aux mains d'agents gouvernementaux formés pour répondre avec le plus grand degré de la violence.
Le fait que la peine de mort ait été récemment abolie en Virginie n'est que la pointe de l'iceberg.
Alors que tout effort visant à réduire l'application aléatoire de la peine de mort par le gouvernement - infligée comme une punition, une menace et un aperçu effrayant de la quête du gouvernement pour la domination ultime sur ses électeurs - est bienvenu, la peine capitale reste une très petite partie de la machinerie de la mort de l'État policier américain.
Pourtant, il ne suffit pas de déclarer un moratoire sur les exécutions fédérales et étatiques pour la peine de mort.
Ce dont nous avons besoin, c'est d'un moratoire sur les violences fédérales et étatiques sous toutes leurs formes variées (sur les fusillades par la police de citoyens non armés, de civils innocents tués par les guerres sans fin de la nation à l'étranger, de victimes inconscientes d'expériences gouvernementales secrètes, de politiciens dont les priorités du profit sur le principe laissent Les Américains vulnérables aux tactiques prédatrices, etc.), car tant que les meurtres et le chaos sanctionnés par le gouvernement se poursuivront sans relâche, le droit à la vie affirmé par les fondateurs de la nation dans la Déclaration d'indépendance restera inaccessible.
Le danger est réel.
Tout dans la manière dont le gouvernement fonctionne aujourd'hui (impérial, irresponsable et manifestement corrompu) va à l'encontre de ce que les fondateurs ont cherché à faire aboutir: un gouvernement représentatif qui existe pour protéger et préserver la vie, la liberté, la propriété et le bonheur de son peuple.
La violence policière n'est qu'un aspect de la violence gouvernementale dispensée sans retenue ni respect des droits du peuple, mais elle est répandue.
Les victimes sont légion.
RépondreSupprimerÀ un moment où un nombre croissant de personnes non armées ont été abattues pour simplement se tenir debout d'une certaine manière, bouger d'une certaine manière ou tenir quelque chose - quoi que ce soit - que la police pourrait interpréter à tort comme une arme à feu ou susciter une peur centrée sur la gâchette. l'esprit d'un policier qui n'a rien à voir avec une menace réelle à sa sécurité, même les rencontres les plus bénignes avec la police peuvent avoir des conséquences fatales.
Malheureusement, les policiers - formés au pire des cas et donc prêts à tirer en premier et à poser des questions plus tard - posent de plus en plus de risques pour quiconque subit une crise de santé mentale ou a des besoins particuliers dont le handicap peut ne pas être immédiatement apparent ou exiger plus de finesse que la normale les tactiques de gel ou de tir utilisées par les forces de police américaines.
En effet, les personnes handicapées représentent un tiers à la moitié de toutes les personnes tuées par les forces de l'ordre. (Les personnes de couleur sont trois fois plus susceptibles d'être tuées par la police que leurs homologues blancs.) Si vous êtes noir et handicapé, vous êtes encore plus vulnérable.
Par exemple, la police californienne envoyée pour s'occuper d'un ancien combattant de la marine de 30 ans en crise de santé mentale se serait agenouillé sur le cou de l'homme pendant près de cinq minutes jusqu'à ce qu'il cesse de respirer. Angelo Quinto est mort quelques jours plus tard. Les circonstances sont incroyablement similaires à la condamnation à mort infligée à George Floyd, décédé après que des policiers de Minneapolis se soient agenouillés sur son cou pendant plus de neuf minutes.
En Caroline du Sud, la police a tué au pistolet un grand-père de 86 ans qui aurait été aux premiers stades de la démence, alors qu'il courait à reculons loin d'eux. Maintenant, cela s'est produit après qu'Albert Chatfield ait conduit la police dans une poursuite en voiture, allumant les feux rouges et tournant au hasard. Cependant, au moment où la police a choisi de choquer le vieil homme avec des charges électriques, il était hors de la voiture, debout, et dépassé en nombre par des policiers beaucoup plus jeunes que lui.
Dans l'Oklahoma, la police a abattu et tué un homme sourd de 35 ans vu tenant un tuyau métallique de deux pieds sur son porche (il a utilisé le tuyau pour repousser les chiens errants en marchant). Bien que des témoins aient averti la police que Magdiel Sanchez ne pouvait pas entendre - et donc se conformer - à leurs ordres criés de laisser tomber le tuyau et de se mettre à terre, la police a tiré sur l'homme alors qu'il était à environ 15 pieds d'eux.
Dans le Maryland, la police (agissant au clair de lune en tant que gardes de sécurité) a utilisé une force extrême pour éjecter un homme de 26 ans atteint du syndrome de Down et d'un faible QI d'un cinéma après que l'homme ait insisté pour assister à une deuxième projection d'un film. Les résultats de l'autopsie indiquent qu'Ethan Saylor est décédé des suites d'une asphyxie, probablement causée par un étranglement.
En Floride, des policiers armés de fusils d'assaut ont tiré trois coups de feu sur un homme autiste non verbal de 27 ans qui était assis par terre, jouant avec un camion jouet. La police a raté l'homme autiste et a plutôt tiré sur son thérapeute comportemental, Charles Kinsey, qui tentait de le ramener dans son foyer de groupe. Le thérapeute, qui saignait d'une blessure par balle, a ensuite été menotté et laissé allongé face contre terre pendant 20 minutes.
RépondreSupprimerAu Nouveau-Mexique, la police a tiré, puis a ouvert le feu sur un sans-abri de 38 ans souffrant de schizophrénie, le tout dans le but de faire quitter un camping de fortune à James Boyd. La mort de Boyd a provoqué une vague de protestations contre des tactiques répressives.
Dans l'Ohio, la police a maîtrisé de force une femme bipolaire de 37 ans vêtue d'une chemise de nuit à des températures proches de zéro qui n'était ni armée, ni violente, ni en état d'ébriété, ni soupçonnée d'activités criminelles. Après avoir été claquée sur le trottoir, menottée et laissée inconsciente dans la rue, Tanisha Anderson est décédée après avoir été immobilisée en position couchée.
C'est ce qui arrive lorsque vous habilitez la police à agir en tant que juge, jury et bourreau.
C’est ce qui se passe lorsque vous endoctrinez la police en lui faisant croire que sa vie et sa sécurité sont primordiales pour les autres.
Tout à coup, tout le monde et tout le reste est une menace qui doit être neutralisée ou éliminée.
Et puis vous avez les maréchaux américains - la force de police nationale de facto du gouvernement fédéral - qui sont peut-être encore plus violents et irresponsables.
«Une des raisons du niveau élevé de violence», selon une enquête approfondie menée par The Marshall Project, USA TODAY et Arizona Republic: «Les règles du service des maréchaux sont plus souples que celles de nombreux grands services de police. Les maréchaux ne sont pas tenus d'essayer de désamorcer les situations ou d'épuiser d'autres recours avant d'utiliser la force meurtrière. Et les maréchaux sont autorisés à tirer sur les voitures. Bien que les caméras corporelles soient devenues monnaie courante dans les principaux services de police, les commissaires ne les portent pas.
Les groupes de travail des maréchaux, qui sont composés d'agents chargés de l'application de la loi locaux qui sont suppléés en tant qu'agents fédéraux mais ne reçoivent pas nécessairement de formation spéciale, sont également à l'abri des poursuites par le ministère de la Justice.
Regardez de plus près et vous constaterez peut-être que bon nombre des mêmes flics qui servent dans les groupes de travail des maréchaux servent également dans les équipes locales du SWAT.
Par exemple, Casey Goodson, 23 ans, a été abattu devant sa maison familiale à Columbus, dans l'Ohio, par un policier adjoint qui se trouvait également membre d'un groupe de travail des maréchaux et de l'équipe locale du SWAT. Bien que le flic ait prétendu avoir tiré sur Goodson dans le dos pour avoir agité une arme au volant, ce compte rendu de la police est en conflit avec d'autres comptes, ce qui suggère que Goodson a été abattu sur le pas de la porte alors qu'il tenait un sac de sandwichs. Goodson n'a pas fait l'objet d'une enquête policière.
RépondreSupprimerSariah Lane, 17 ans, a été tuée alors qu'elle se rendait à l'épicerie lorsqu'un flic de l'Arizona, également membre du groupe de travail des maréchaux, a tiré sur une Toyota Corolla dans laquelle elle et son petit ami étaient passagers. Les membres du groupe de travail, venus chercher le conducteur de la voiture pour avoir violé sa libération conditionnelle, ont utilisé une voiture banalisée pour enfoncer la Corolla dans un parking, l'ont enfermée avec d'autres voitures non marquées, puis ont commencé à tirer dans la voiture. Lane a reçu une balle dans l'arrière de la tête avec une balle à pointe creuse.
Le meurtrier présumé de Lane, le détective Michael Pezzelle, forme les policiers de tout le pays à «être polis, professionnels, avoir un plan pour tuer tous ceux que vous rencontrez».
Parlez d'une recette pour un désastre: prenez des flics mal formés, remplacez-les comme maréchaux fédéraux, accordez-leur l'immunité de poursuites et autorisez-les à utiliser la force meurtrière pour tuer quelqu'un qui présente un «danger imminent».
À ce ragoût nocif s'ajoutent l'intérêt du gouvernement à adopter une législation nationale sur le terrorisme pour «mieux surveiller et réglementer les environnements dans lesquels les idéologies extrémistes prolifèrent» et le pivot de l'administration Biden pour que la FEMA (Federal Emergency Management Agency) aide les États et les villes dans leur lutte contre les extrémisme.
Pour ne pas être en reste, le Département de la sécurité intérieure envisage également d'intensifier ses initiatives de lutte contre le terrorisme domestique en élargissant la formation, en fournissant une assistance technique aux juridictions locales pour les enquêtes d'évaluation des menaces et en développant des stratégies pour lutter contre l'influence des faux récits en ligne.
Traduction: le gouvernement est sur le point d'étendre rapidement ses efforts de police pour se concentrer sur les crimes pré-criminels et les crimes de pensée.
Étant donné la tendance du gouvernement à manipuler les étiquettes en fonction de leurs objectifs (exemple: considérez à quel point le gouvernement utilise les termes terroriste, extrémiste et antigouvernemental de manière interchangeable), cela pourrait facilement mettre une cible sur le dos de tout Américain qui ose défier le le programme du gouvernement ou le tenir responsable de la primauté du droit.
C'est ainsi que «nous le peuple» devenons ennemis de l'État.
RépondreSupprimerLes ramifications sont si importantes qu'elles font de presque tous les Américains un extrémiste en paroles, en actes, en pensées ou par association.
Pourtant, là où beaucoup se trompent, c'est en supposant que vous devez faire quelque chose d'illégal ou contester l'autorité du gouvernement pour être signalé comme un personnage suspect, étiqueté comme un ennemi de l'État et enfermé comme un criminel dangereux.
Finalement, tout ce que vous aurez vraiment à faire est d'utiliser certains mots déclencheurs, surfer sur Internet, communiquer avec un téléphone portable, conduire une voiture, rester à l'hôtel, acheter du matériel dans une quincaillerie, prendre des cours de pilotage ou de navigation de plaisance, paraître suspect, question de l'autorité gouvernementale, ou vivent généralement aux États-Unis.
Nous jouons contre un deck empilé.
Comme l’a observé la journaliste Sharyl Attkisson, «Ce qui a été le plus frappant pour moi, c’est à quel point les règles sont unilatérales lorsque les Américains assument leur propre gouvernement…. Il a été consternant d'apprendre à quel point les règles et les lois protègent le gouvernement contre la responsabilité de ses abus - ou même des infractions à la loi…. C’est une longue et effrayante leçon…. Les règles semblent truquées pour protéger l'anarchie du gouvernement, et les règles du jeu sont inégales. Trop de processus favorisent le gouvernement. Le jeu est toujours empilé.
Parce que le système est truqué - parce qu'il n'y a pas de conséquences réelles pour les agents de l'État policier qui infligent de la violence au peuple américain - et parce que «nous, le peuple», sommes à la merci d'un gouvernement qui a le pouvoir presque absolu de décider qui est un menace, ce qui constitue une résistance et la dureté avec laquelle ils peuvent traiter les citoyens qu'ils sont censés «servir et protéger» - les Américains continueront de mourir aux mains d'un gouvernement qui se considère comme juge, jury et bourreau.
Quelque chose doit donner. Quelque chose doit changer.
Ce qui reste à voir, comme je le dis clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, est de savoir si l'un de ces changements sera pour le mieux.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/john-w-whitehead/machinery-of-death-when-the-government-acts-as-judge-jury-and-executioner/
Les responsables de la santé publique mentent sur les verrouillages
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
26 février 2021
- voir clip sur site -
Comme le démontre Ivor Cummins dans la vidéo ci-dessus, les données disponibles révèlent que les verrouillages ont été totalement inefficaces pour réduire les taux de tests positifs, tout en entraînant un coût énorme en termes de souffrance humaine et de santé sociale. Tous les rapports et études examinés dans sa vidéo sont également disponibles sur son site Web, TheFatEmperor.com.1
À cette longue liste de preuves, nous pouvons ajouter un autre rapport du spécialiste canadien des maladies infectieuses pédiatriques, le Dr Ari Joffe, qui montre que les méfaits du verrouillage sont environ 10 fois plus importants que les avantages.2
Dans son article de 51 pages, 3 «COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink», Joffe examine comment et pourquoi les prévisions de modélisation initiales ne correspondent pas à la réalité, quels ont été les dommages collatéraux des politiques de verrouillage et ce que les analyses coûts-avantages nous disent sur l'efficacité de la stratégie de verrouillage.
Les prévisions de mortalité étaient terriblement fausses
Alors que les modèles initiaux prévoyaient que 510000 Britanniques, 2,2 millions d'Américains et 40 millions de personnes dans le monde finiraient par mourir du COVID-19 à moins que des tactiques de suppression telles que le verrouillage ne soient mises en œuvre au moins les deux tiers du temps au cours des deux prochaines années, 4 de tels pronostics ont changé pour être complètement hogwash.
Comme l'a noté Joffe, la létalité du SRAS-CoV-2 s'est rapidement avérée être loin d'être aussi élevée que les 2 % à 3 % initialement prévus. Il écrit: 5
«L'OMS a récemment estimé qu'environ 10 % de la population mondiale était peut-être déjà infectée, ce qui, avec une population mondiale de 7,8 milliards et 1,16 million de décès, donnerait une approximation approximative de l'IFR [taux de mortalité par infection] à 0,15 % ...
Une estimation de l'IFR fondée sur la sérologie à Genève, en Suisse, a établi l'IFR à: 5 à 9 ans 0,0016%, 10 à 19 ans 0,00032 %, 20 à 49 ans 0,0092 %, 50 à 64 ans 0,14% et 65 ans et plus en dehors des établissements de soins assistés 2,7 %, pour une population globale IFR 0,32%.
De même, une vaste étude française a trouvé un point d'inflexion de l'IFR vers l'âge de 70 ans… Le facteur de risque de loin le plus important est la vieillesse. Il y a une différence d'environ 1000 fois le risque de décès pour les personnes de plus de 80 ans par rapport aux enfants. »
Seuil d'immunité du troupeau largement surestimé
RépondreSupprimerLes modélisateurs se sont également trompés lorsqu'ils ont prédit que 70% à 80% seraient infectés avant que l'immunité du troupeau ne permette naturellement à la propagation de l'infection de diminuer.
En réalité, le seuil d'immunité des troupeaux s'est avéré beaucoup plus bas, ce qui supprime la justification de la distanciation sociale et des verrouillages. Plus d'une douzaine de scientifiques affirment maintenant que le seuil d'immunité des troupeaux est probablement inférieur à 50%, 6 peut-être même aussi bas que 10% .7,8 Les données du comté de Stockholm, en Suède, montrent un seuil d'immunité des troupeaux de 17% .9 Dans un essai, Le professeur de l'Université Brown, le Dr Andrew Bostom, a noté: 10
«Le Dr Gomes, chercheur principal, de la Liverpool School of Tropical Medicine, et ses collègues ont conclu:« L'immunité naturellement acquise contre le SRAS-CoV-2 peut placer les populations au-dessus du seuil d'immunité du troupeau une fois que 10 à 20 % de ses individus sont immunisé. »11
Des calculs distincts de HIT [seuil d'immunité du troupeau] de 9 %, 12 10-20 %, 13 17%, 14 et 43 % 15,16 - chacun sensiblement en dessous de la valeur dogmatiquement affirmée de ~ 70 % 17 - ont été rapportés par les enquêteurs d'Oxford University, University College of London et Stockholm University, respectivement. »
Comment ont-ils pu se tromper ? L'immunité du troupeau est calculée à l'aide du nombre de reproducteurs, ou R-rien (R0), qui est le nombre estimé de nouvelles infections pouvant survenir chez une personne infectée.18 R0 inférieur à 1 (avec R1 signifiant qu'une personne infectée devrait infecter une autre personne) indique que les cas sont en baisse tandis que R0 au-dessus de 1 suggère que les cas sont à la hausse.
Cependant, c’est loin d’être une science exacte, car la vulnérabilité d’une personne à l’infection varie en fonction de nombreux facteurs, notamment sa santé, son âge et ses contacts au sein d’une communauté. Les calculs R0 initiaux du seuil d’immunité du troupeau du COVID-19 étaient basés sur des hypothèses selon lesquelles tout le monde a la même sensibilité et se mélangerait au hasard avec d’autres dans la communauté.
Cela ne se produit cependant pas dans la vraie vie. Selon le professeur Karl Friston, un statisticien, «population sensible efficace», c'est-à-dire ceux qui n'étaient pas déjà immunisés contre le COVID-19 et donc à risque d'infection, n'a jamais été à 100 %. Tout au plus, il était de 50% et très probablement seulement autour de 20% 19.
Malgré l'accumulation de ces données et la connaissance claire que les verrouillages causaient des dommages inimaginables à la santé mentale, à la santé physique, à l'éducation et aux économies locales, des verrouillages ont été mis en œuvre à plusieurs reprises dans diverses régions du monde.
Le rapport de modélisation initial de l'équipe d'intervention COVID-19 de l'Imperial College a en fait admis qu'il n'avait «pas tenu compte des implications éthiques ou économiques» des mesures de pandémie proposées, notant seulement que «les effets sociaux et économiques des mesures nécessaires pour y parvenir l'objectif politique sera profond. Aujourd’hui, nous avons une bien meilleure idée de la profondeur des effets sociaux et économiques, et ils sont dévastateurs.
La réalité austère face à la fiction
RépondreSupprimerLorsque nous considérons la voie à suivre, il est important de séparer la fiction créée et promulguée par les modélistes de l’Imperial College et d’autres prophètes apocalyptiques au sein de notre gouvernement et de diverses agences de santé, des données plus objectives et fondées sur la réalité.
Le fait que les verrouillages soient toujours mis en œuvre nous indique qu'ils fonctionnent toujours sur la base d'hypothèses fictives. La réponse est de repousser avec des données du monde réel et de refuser d'accepter les scénarios de fin du monde fantastique.
Nous devons également insister sur des analyses coûts-avantages formelles. À ce jour, aucun gouvernement n'a présenté une telle analyse au public, ce qui a poussé Joffe à enquêter sur la question. Comme l'a noté Joffe dans une interview avec le chroniqueur du Toronto Sun Anthony Furey: 20
«Puisque les verrouillages sont une intervention de santé publique, visant à améliorer le bien-être de la population, nous devons considérer à la fois les avantages des verrouillages et les coûts des verrouillages sur le bien-être de la population.
Une fois que je suis devenu plus informé, je me suis rendu compte que les verrouillages causaient beaucoup plus de dommages qu’ils n’en empêchaient… Les données émergentes ont montré une quantité impressionnante de soi-disant «dommages collatéraux» dus aux verrouillages. »
Les dommages collatéraux cités par Joffe comprennent: 21
Analyse coûts-avantages des verrouillages
L’article de Joffe est essentiellement l’analyse coûts-avantages des verrouillages qui auraient dû au moins être tentés avant d’être mis en œuvre dans le monde entier, puis maintenus en place pendant des mois. Dans son entretien avec Furey, Joffe explique sa démarche: 23
«Dans l'analyse coûts-avantages, je considère les avantages des verrouillages pour prévenir les décès dus au COVID-19, et les coûts des verrouillages en termes d'effets de la récession, de la solitude et du chômage sur le bien-être et la mortalité de la population.
Je n’ai pas pris en considération tous les autres soi-disant «dommages collatéraux» des verrouillages mentionnés ci-dessus. Il s'est avéré que les coûts des verrouillages [au Canada] sont au moins 10 fois plus élevés que les avantages. Autrement dit, les verrouillages causent beaucoup plus de dommages au bien-être de la population que le COVID-19 ne le peut. »
L'un des principaux avantages des verrouillages était censé être la prévention des décès dus au COVID-19. Comme détaillé dans le rapport de Joffe, 24 «En utilisant la répartition par âge des décès et des comorbidités, au Royaume-Uni, la personne moyenne décédée des suites du COVID-19 avait encore 3 à 5 années en bonne santé à vivre.» Il s'agit d'un score QALY (Quality Adjusted Life Years) de 3 à 5, ce qui équivaut à un score Wellbeing Years (WELLBY) de 18 à 30.
Joffe présente des données montrant que les verrouillages ont «sauvé» 58,5 QALY ou 360 millions WELLBY, tout au plus, voyant à quel point le seuil d'immunité du troupeau et les taux de mortalité par infection sont bien inférieurs aux prévisions. Joffe soupçonne que le nombre total de décès effectivement évités par les verrouillages est inférieur à 5,2 millions.
RépondreSupprimerPendant ce temps, le coût des verrouillages au Royaume-Uni, en termes de BIEN-ÊTRE, est cinq fois plus élevé que ce qui pourrait être économisé de manière optimiste, et pourrait en réalité être de 50 à 87 fois plus élevé.
Comme l'a mentionné Joffe dans la citation de l'entrevue ci-dessus, le coût des verrouillages au Canada est au moins 10 fois plus élevé que l'avantage. Dans son rapport, il cite des données montrant qu'en Australie, le coût minimum est 6,6 fois plus élevé et qu'aux États-Unis, le coût est estimé à au moins 5,2 fois plus élevé que l'avantage des verrouillages.
Une analyse coûts-avantages réalisée pour la Nouvelle-Zélande, qui a examiné le coût de l'ajout de seulement cinq jours supplémentaires de «niveau d'alerte COVID-19 4», a révélé que le coût en QALY était 94,9 fois plus élevé que l'avantage. Dans son rapport, Joffe cite également des recherches estimant que pour «atteindre l'équilibre et faire en sorte qu'une politique de confinement et d'éradication radicale en vaille la peine», le taux de mortalité par infection du SRAS-CoV-2 devrait être de 7,8% .25
Peu importe le nombre de décès non-COVID attribués à tort au COVID-19, vous n'atteindrez pas ce niveau de létalité, ce qui signifie que les verrouillages privent la population de plus de vie que le virus.
Les CDC ont gonflé les décès liés au COVID-19 de 1670%, enfreint la loi de la Fed
En effet, selon une étude révisée par des pairs d'octobre 202026,27 de la Public Health Policy Initiative de l'Institute for Pure and Applied Knowledge, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont gonflé les statistiques de mortalité du COVID-19 de 1670 %, mais nous sommes encore loin d'un taux de mortalité de 7,8 %.
Selon cette étude, le CDC semble avoir violé la loi fédérale, y compris la loi sur la qualité de l'information dans la section 515 de la loi publique 106-554 et la loi sur la réduction de la paperasse codifiée à 44 USC 3501, et ce faisant, la CDC a pu contourner supervision essentielle par le Bureau de la gestion et du budget et le Bureau de l’information et des affaires réglementaires.
Au 23 août 2020, le CDC a signalé un bilan de décès de COVID-19 de 161392. Pendant ce temps, le taux de mortalité plus précis, en utilisant les lignes directrices standard en vigueur depuis 2003, n'était que de 9 684.
C’est un rapport révélateur, que je vous encourage à lire. Il peut offrir une vérification de la réalité qui donne à réfléchir si vous êtes toujours inquiet. Par exemple, à la page 20, il y a un graphique comparant les décès dus au COVID-19 sur la base des directives de déclaration illégalement mises à jour du CDC, avec le nombre de décès s'ils avaient continué à utiliser les directives qui avaient été utilisées pendant les 17 dernières années.
Au 23 août 2020, le CDC a signalé un bilan de décès de COVID-19 de 161392. Pendant ce temps, le taux de mortalité plus précis, en utilisant les lignes directrices standard en vigueur depuis 2003, n'était que de 9 684. Quels que soient les ensembles de données que nous examinons, nous constatons que la pandémie de COVID-19 a été largement surfaite et maintenue en vie bien au-delà de sa date d'expiration naturelle.
RépondreSupprimerComment en sommes-nous arrivés là et comment avancer ?
Joffe répond à ces questions dans son entretien avec Furey, déclarant: 28
«[La] modélisation et les prévisions initiales étaient inexactes. Cela a conduit à une contagion de la peur et des politiques à travers le monde. Les médias populaires se sont concentrés sur les nombres absolus de cas et de décès de COVID-19 indépendamment du contexte. Il y a eu une concentration unilatérale pure sur la prévention du nombre d'infections.
L'économiste Paul Frijters a écrit qu'il s'agissait "de sembler réduire les risques d'infection et de décès dus à cette maladie en particulier, à l'exclusion de tous les autres risques pour la santé ou d'autres problèmes de vie.'' La peur et l'anxiété se sont propagées et nous avons élevé le COVID-19 par-dessus tout ce qui pourrait avoir de l'importance.
Nos biais cognitifs nous ont empêchés d'élaborer une politique optimale: nous avons ignoré les "décès statistiques'' cachés signalés au niveau de la population, nous avons préféré les avantages immédiats à des avantages encore plus importants à l'avenir, nous avons ignoré les preuves qui réfutaient notre théorie préférée et avons intensifié notre engagement dans le définir la marche à suivre…
Chaque jour, pendant les années non pandémiques, plus de 21 000 personnes meurent du tabagisme, 3 600 de pneumonie et de diarrhée chez les enfants de moins de 5 ans et 4 110 de tuberculose. Nous devons considérer les chiffres tragiques du COVID-19 dans leur contexte.
Je pense que nous devons prendre une «pause d’efforts» et reconsidérer les informations dont nous disposons. Nous devons calibrer notre réponse au risque réel, effectuer des analyses rationnelles coûts-avantages des compromis et mettre fin à la pensée de groupe de verrouillage. »
Il répète ces sentiments dans son rapport, dans lequel il insiste sur la nécessité de se concentrer sur la protection des personnes les plus exposées au risque de COVID-19 grave et de sa mort. Ceci comprend:
Patients hospitalisés
Résidents des foyers de soins
Institutions bondées telles que les refuges pour sans-abri, les prisons et tout grand rassemblement
Les personnes de plus de 70 ans, surtout si elles ont des comorbidités sévères
Dans ces cas, le masquage universel et d'autres stratégies de contrôle infectieux sont justifiés, dit Joffe. Le reste de la population peut et doit reprendre une vie normale. Certes, les gens ne devraient pas être traités universellement comme à haut risque. La fermeture d'écoles, par exemple, risque d'avoir des conséquences graves et dévastatrices qui sont totalement inutiles. Tel que noté par Joffe: 29
«Nous devons garder les écoles ouvertes car les enfants ont une morbidité et une mortalité très faibles dues au COVID-19, et (en particulier ceux de 10 ans et moins) sont moins susceptibles d'être infectés et ont une faible probabilité d'être la source de transmission du SRAS -CoV-2. »
RépondreSupprimerSources and References
1 The Fat Emperor Data on Lockdown Weak Efficacy and Huge Harms
2, 20, 21, 23, 28, 29 Toronto Sun January 9, 2021
3 Preprints.org 2020: 2020100330 DOI: 10.20944/preprints202010.0330.v2
4 Preprints.org 2020: 2020100330 DOI: 10.20944/preprints202010.0330.v2, Downloaded PDF, page 2
5 Preprints.org 2020: 2020100330 DOI: 10.20944/preprints202010.0330.v2, Downloaded PDF, pages 4 and 5
6, 10 Andrewbostom.org September 2020
7, 11 medRxiv May 21, 2020 DOI: 10.1101/2020.04.27.20081893 (PDF)
8 Off-Guardian July 7, 2020
9, 14 medRxiv May 22, 2020 DOI: 10.1102/2020.05.19.20104596 (PDF)
12 medRxiv September 10, 2020 DOI: 10.1101/2020.09.06.20189290
13 medRxiv August 31, 2020 DOI: 10.1101/2020.07.23.20160762
15 Cornell University arXiv.org May 6, 2020
16 Science August 14, 2020; 369(6505): 846-849
17 Immunity May 19, 2020; 52(5): 737–741
18 The New York Times April 23, 2020
19 Unherd.com June 4, 2020
22 Preprints.org 2020: 2020100330 DOI: 10.20944/preprints202010.0330.v2, Downloaded PDF, page 8
24 Preprints.org 2020: 2020100330 DOI: 10.20944/preprints202010.0330.v2, Downloaded PDF, page 10
25 Preprints.org 2020: 2020100330 DOI: 10.20944/preprints202010.0330.v2, Downloaded PDF, page 12
26 Science, Public Health Policy and the Law October 12, 2020; 2: 4-22 (PDF)
27 WND.com February 10, 2021
https://www.lewrockwell.com/2021/02/joseph-mercola/public-health-officials-are-lying-about-lockdowns/
Jusqu’à 60.000 euros d’amende pour ceux qui refusent de se faire vacciner dans cette région espagnole
RépondreSupprimer11:26 26.02.2021
Les habitants de la Galice, en Espagne, qui refusent de se faire vacciner contre le Covid-19 risquent de payer des amendes allant de 1.000 à 60.000 euros. Cette décision a été prise par les pouvoirs publics.
La cinquième région la plus peuplée d’Espagne, la Galice, a approuvé le 23 février une réforme de la loi sur la santé visant à sanctionner ceux qui refusent la vaccination contre le coronavirus, rapporte El Pais. Elle est ainsi devenue la première communauté indépendante du pays à mettre en place un cadre législatif pouvant sanctionner les anti-vaccins.
Saluée par le parti politique Partido Popular, cette décision, qui permet aux autorités d'infliger des amendes allant de 1.000 à 60.000 euros, va à l’encontre de la volonté du gouvernement central qui a basé sa campagne de vaccination sur le volontariat, précise la source.
Selon le média, la mesure a été fortement critiquée par l'opposition qui a rappelé que le gouvernement central avait annoncé dans sa stratégie nationale de vaccination que «comme tous les autres vaccins en Espagne, celui contre le Covid-19 ne serait pas obligatoire». Les partis socialistes et nationalistes ont souligné que cette loi «viole les droits fondamentaux et contredit les réglementations nationales».
La vaccination forcée
Federico de Montalvo, expert en droit de la santé et vice-président du Comité de bioéthique d’Espagne, cité par El Pais, a estimé que cette loi n’était juridiquement pas illégale. En Espagne, la vaccination obligatoire dans des situations comme la pandémie est légalement soutenue par la loi de 1986 sur la santé publique, précise le média. Celle-ci permet en effet de prendre des mesures qui limitent les droits individuels afin de profiter à l'ensemble de la communauté.
M.de Montalvo a indique de son côté que l'état d'urgence en place actuellement pourrait permettre au gouvernement d'imposer ses propres mesures, au niveau national, pour mettre fin à l'épidémie. L'opposition pourrait donc prochainement saisir le conseil constitutionnel pour trancher.
(...) En Espagne, la vaccination obligatoire dans des situations comme la pandémie (...)
Supprimeralors qu'il ne s'agit que d'une bénigne épidémie !
On recherche toutes & tous ce 'quelque chose d'autre', cet événement, ce machin-truc, ce système qui...
pourtant, pourtant l'Internet nous était prometteur. La Démocratie. Or, que réceptions-nous ? Un(e) naufragé(e) sur une île déserte ! Le 'comment ce-peut-il ?' nous est indiffèrent ou plutôt questionnatif sans réponse ! Les 'forums' (faux rhums) y sont trollés. Les sites y sont censurés, et les événementiels y sont détournés. Les vérités y sont mensonges et les devenir mis au rang du passé !
Chacune et chacun se doit de se reconfigurer. De se maintenir dans la réflexion et de se vivre comme elle ou il l'entend.
Tous les êtres de la Terre forment une individualité propre à définir sa vie, à se savoir constructif. A se savoir réfléchie et entreprenant pour soi en premier lieu et pour les autres si besoin est.
Après les millénaires de religions ou chacune & chacun se devait d'être plus con(ne) que l'autre nous en sommes arrivés à l'horreur canonique du masque pour tous ! (et du devoir de n'écouter que les merdias !)
Menu sans viande à Lyon : les écologistes ne vous laisseront pas le choix
RépondreSupprimerPourquoi garder la viande au programme, pourquoi garder le nucléaire, pourquoi autoriser les OGM, pourquoi aller vers la 5G si c’est mal pour la planète ?
Par Nathalie MP Meyer.
26 FÉVRIER 2021
En ces temps de pandémie, de quoi parler sinon du Covid, encore du Covid et toujours du Covid ? Je ne vous cache pas qu’une certaine lassitude s’installe. Mais par bonheur, les hasards de l’actualité nous fournissent de temps en temps de bien jolies petites polémiques. En ce moment, nous sommes gâtés, nous en avons deux !
Et dodues à souhait : celle sur l’islamo-gauchisme à l’université et celle sur le « menu unique sans viande » dans les cantines de Lyon. Intéressons-nous à la seconde.
Notez que le Coronavirus n’est pas totalement étranger à l’affaire. Ou du moins est-il avidement convoqué par le nouveau maire écologiste de Lyon Grégory Doucet pour démontrer la parfaite conformité de ses décisions alimentaires avec le protocole sanitaire renforcé du ministère de l’Éducation nationale applicable à partir du 1er février 2021 (effet variants). Comme les enfants doivent être espacés de deux mètres et installés par classe dans la cantine, il faut aller plus vite dans le service, d’où le menu unique.
MENU UNIQUE = MENU SANS VIANDE ?
Jusque-là, pourquoi pas. C’est d’ailleurs ainsi que se sont organisées la plupart des grandes villes, Lille par exemple :
menu sans viande
Vous remarquerez que la ville de Martine Aubry ne néglige aucune occasion de servir des menus végétariens aux enfants, mais elle n’a pourtant pas jugé nécessaire de supprimer la viande pour répondre au nouveau protocole sanitaire : sauté de porc aigre-doux, rôti de porc tex-mex, cuisse de poulet, émincé de dinde, gigot d’agneau, etc. sont au menu unique de Lille.
Mais il semblerait qu’à Lyon (voir menus ci-dessous), il soit impossible de servir de la viande avec la rapidité nécessaire. Il y a de la découpe à faire, de la sauce à ajouter, explique Leslie Brunner, porte-parole de la mairie. D’où le menu unique sans viande. En plus, cela permet de satisfaire les enfants qui ne mangent pas de porc. Et de toute façon, près de la moitié des familles avaient opté précédemment pour le menu sans viande.
menu sans viande
RépondreSupprimerL’argumentation laisse songeur : tout est déjà prêt quand les menus arrivent à l’école depuis la cuisine centrale du fournisseur, il n’y a plus qu’à réchauffer et servir. On voit mal en quoi la viande poserait plus de problèmes que le poisson. Et si près de la moitié des familles favorisent le menu sans viande en temps ordinaire, c’est forcément que plus de la moitié favorisent le menu avec viande… Quant à l’éviction du porc, qui sent en elle-même son petit clientélisme envers les familles musulmanes, en quoi oblige-t-elle à supprimer le veau, le bœuf et l’agneau ?
LA RÉACTION DES POLITICIENS AU MENU SANS VIANDE
Face à la bronca que cette décision a provoquée dans l’opposition lyonnaise qui dénonce « un passage en force », puis chez les éleveurs qui se sentent éliminés du « monde d’après », puis chez certains ministres comme Julien Denormandie (agriculture) ou Gérald Darmanin (intérieur), Grégory Doucet a eu beau jeu de rappeler que la même décision prise par l’ancien maire LREM de Lyon Gérard Collomb à l’époque du retour à l’école après le premier confinement n’avait pas soulevé la moindre contestation gouvernementale (vidéo ci-dessous, 02′ 04″) :
- voir tableau sur site -
Gérard Collomb et d’autres expliquent maintenant que l’an dernier, la situation était tout autre, qu’il avait fallu réagir dans l’urgence, dans un contexte épidémique bien moins clair qu’aujourd’hui.
Pâle riposte, je trouve. Cette affaire expose une fois de plus au grand jour l’esprit étroitement partisan qui dicte la plupart des réactions des politiciens. Dans l’opposition, ils s’opposent ; au gouvernement, ils font corps. Et au final, on a du mal à prendre au sérieux leurs indignations, même s’il arrive parfois qu’elles soient totalement justifiées comme c’est le cas présentement.
Un bémol d’importance cependant dans l’argumentation gouvernementale : pour Gérald Darmanin, « de nombreux enfants n’ont souvent que la cantine pour manger de la viande. » Autrement dit, il existe en France une pauvreté et une précarité qui font que la cantine est un lieu de redistribution nutritionnelle et sociale indispensable. Certes, mais à qui la faute si ce n’est à nos gouvernements, dont l’actuel, qui s’ingénient depuis plus de 40 ans, sous l’influence de la gauche et des écologistes d’ailleurs, à décourager l’entreprise, le libre-échange, la croissance, le travail, et donc finalement l’emploi, le pouvoir d’achat et l’autonomie de trop nombreuses familles ?
Pas d’indignation en revanche chez Barbara Pompili, la ministre de l’Écologie, qui, en taxant les propos de ses collègues du gouvernement de « débat préhistorique » et de « clichés éculés » à propos de l’alimentation végétarienne, trouve enfin l’occasion de montrer à la planète écolo dont elle est issue qu’elle n’est pas qu’une simple petite marionnette tout juste bonne à servir de caution verte à Emmanuel Macron, mais qu’elle sait apprécier un bon menu végétarien quand elle en voit un :
- voir tableau sur site -
RépondreSupprimerLe « choix végétarien quotidien » que la ministre se flatte d’instaurer dans les cantines via la loi Climat et Résilience sera-t-il un vrai choix incluant une alternative qui n’exclura pas la viande, laquelle joue un rôle non seulement nutritionnel mais également culturel dans nos vies d’omnivores ? Là réside à mon sens le fond du problème. Et la question se pose d’autant plus quand on voit comment le maire écologiste de Lyon arrange ses petites affaires.
Il se défend évidemment de tout agenda végétarien caché. S’il s’est résolu à ce schéma alimentaire qui autorise œuf et poisson, c’est uniquement pour se conformer aux « contraintes techniques » imposées par le nouveau protocole scolaire. Mais il a beau dire, ce ne serait pas la première fois que des contraintes techniques lourdement exagérées serviraient de prétexte « acceptable » pour faire avancer une tout autre politique, en l’occurrence celle de la fin de la viande dans notre régime alimentaire.
Tout comme le maire de Bordeaux Pierre Hurmic souhaitait en finir avec « l’arbre mort » de Noël, nombreux sont les élus écologistes lyonnais qui, en bons anti-spécistes, comptent en finir avec « l’animal mort » dans nos assiettes. Le protocole sanitaire permet de créer un précédent dont la mairie pourra toujours se prévaloir ultérieurement : vous vous plaignez que la viande soit supprimée à la cantine, mais on l’a fait pendant la pandémie pour s’aligner sur le protocole sanitaire de M. Blanquer et tout s’est très bien passé. Voilà ce que M. Doucet pourra dire.
(Ou du moins, voilà ce qu’il pourra dire si son plan n’est pas entravé par le Préfet du Rhône saisi par le ministre de l’Agriculture ou par le référé-suspension annoncé par des parents d’élèves auprès du tribunal administratif de Lyon.)
Procès d’intention ? Eh bien peut-être, on verra. On sait néanmoins que côté clichés écolos, il ne nous a guère épargné depuis son élection. Pour commencer, « l’écologie est le sens de l’Histoire ». Vous n’auriez pas le cœur de vous opposer au sens de l’Histoire en réclamant de pouvoir choisir votre menu ! Ensuite, le Tour de France est « macho et polluant ». Et puis il y a trop de terrains de foot dans les cours d’école. Beaucoup trop masculin, le foot, et beaucoup trop compétitif. Bref, il est grand temps de passer au budget « genré » ! Etc.
UN MENU SANS VIANDE POUR RÉPONDRE AU PROTOCOLE SANITAIRE
Et voici donc maintenant qu’il est question de s’abriter hypocritement derrière le protocole sanitaire des écoles pour imposer un menu unique sans viande parfaitement idéologique que ledit protocole n’exige nullement. Comment imaginer dès lors que le maire de Lyon pourrait faire preuve de moins d’autoritarisme en d’autres circonstances ?
Les écologistes tels que M. Doucet et ses coreligionnaires ne comprennent rien à la notion de choix ni à celle de concertation. Ils sont tellement convaincus du bien-fondé supérieur de leurs idées qu’ils ne voient absolument pas pourquoi il faudrait tolérer la moindre position alternative. Pour eux, le progrès consiste avant tout en l’élimination de tout ce qui fait obstacle à leur idéologie, au mépris des libertés individuelles, au mépris de la consultation des autres élus et au mépris des choix de vie des personnes.
Pourquoi garder la viande au programme, pourquoi garder le nucléaire, pourquoi autoriser les OGM, pourquoi aller vers la 5G, pourquoi compter sur l’économie de marché et les échanges, etc. puisque de toute façon, la viande, le nucléaire, les OGM, la 5G, c’est mal pour la planète, et les lentilles, c’est bon pour la planète ? Ça promet.
https://www.contrepoints.org/2021/02/26/391912-menu-sans-viande-a-lyon-les-ecologistes-ne-vous-laisseront-pas-le-choix
Notez bien au passage qu'il est plus facile d'incorporer des nano-particules dans les plats de légumes que de les injecter dans des morceaux de viande. Et donc, que la 5G venant, ces progénitures transformées s'adonneront plus facilement à la délation des outrages parentaux (ils ne portent pas de masques !) et gagneront des smiles sur leur portable !
SupprimerNouvelles du Japon : les menus dans les écoles
RépondreSupprimerle 26 février 2021
J’ai appris avec stupéfaction que les petits écoliers japonais, dont mes petits-enfants, avaient le privilège de voir servi dans leur assiette au repas de midi des tranches d’une viande qu’il est impossible de trouver en Europe. Il s’agit de viande de baleine ! Selon mes petits-enfants c’est très bon … Renseignement pris la viande de baleine se vend à peu près au même prix que le bœuf, le bœuf de Kobé faisant exception quant à son prix prohibitif. Il y a deux raisons « justifiant » la pêche à la baleine au Japon. La première est fallacieuse : il s’agit d’une pêche dite « scientifique ». Depuis 2017 seuls deux articles scientifiques ont été publiés dans la littérature à comité de lecture, ce qui est loin de justifier cette pêche industrielle sous couvert de science. La deuxième raison est la très forte dépendance du Japon de l’étranger pour satisfaire la demande en nourriture de sa population. C’est ainsi que le Japon a constitué au cours des années passées un stock stratégique de plus de 6000 tonnes de viande de baleine. Près de 90 % des baleines pêchées par le Japon (environ 1400 prises en 2019) sont des baleines Minke plus petites que la baleine à bosse et au ventre blanc comme les orques. Elles se nourrissent de krill mais servent aussi de nourriture aux orques, c’est la dure loi de la nature. La baleine de Minke n’est pas considérée comme une espèce marine en danger.
L’histoire raconte que les enfants dans les écoles japonaises se voient servir des tranches de viande de baleine pour réguler le stock stratégique de cette viande. La viande de baleine, riche en graisses est également riche en mercure (dimethyl-mercure) et en résidus carbonés polycycliques. Enfin la pêche japonaise à la baleine n’a aucun intérêt économique puisqu’elle coûte au gouvernement plus de 50 millions de dollars par an. Sans subventions gouvernementales cette pêche aurait disparu depuis longtemps …
https://www.reuters.com/article/us-japan-whaling-whalewatching/in-japan-the-business-of-watching-whales-overshadows-resumption-of-hunt-idUSKCN1U402J avec une vidéo montrant une baleine de Minke.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/02/26/nouvelles-du-japon-les-menus-dans-les-ecoles/
Je n'ai pas goûté la viande de baleine mais celle plus répandue de requins. Sa texture est semblable à celle du thon et son goût moins prononcé. Son prix est dérisoire.
SupprimerBill Gates veut réduire la population mondiale de 10 à 15%
RépondreSupprimerFebruary 5th, 2021
Sous-titré en français
https://odysee.com/@BobTremblay:6/No.415:1?fbclid=IwAR2OFrBdjOJnpWKUf1MokyPbt1WP4yErD1sVMGO5dJk0b_yzs7tSiwd5mEA
Le "passeport sanitaire"est officiellement annoncé au Québec
RépondreSupprimerjeudi 25 février 2021
La mise en place d'un "passeport sanitaire" au Québec est officiellement confirmée: cet outil, ainsi que d'autres bidules numériques, sera déployé prochainement au Québec pour accorder des libertés aux vaccinés!
Écoutez le point de presse du 25 février: deux journalistes posent la question, vers la 38 ème minute et vers la fin.
https://youtu.be/Pkkm-yfTp7Y
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/02/le-passeport-sanitaireest.html
5G: les opposants répondent par une initiative
RépondreSupprimerAugmenter les valeurs limites des antennes ? Trois associations ne voient pas d’autres solutions que d’en appeler au peuple.
par Eric Felley
26 février 2021, 07:59
Les opposants à la 5G dénoncent la manœuvre des autorités fédérales pour dépasser les valeurs de rayonnement autorisées.
AFP
«En l’absence de toute consultation démocratique sur ces questions, il est temps que le peuple suisse puisse s’exprimer dans les urnes. Dès que possible, l’association Stop5G lance sa campagne de récolte de signatures pour l’initiative «Pour un développement raisonnable de la communication mobile».Dans un communiqué publié jeudi, trois associations réagissent à l’annonce faite mardi par l’Office fédéral de l’environnement (OFEV).
Dans une directive destinée aux cantons et aux communes, l’OFEV permet aux opérateurs de dépasser les valeurs limites. Les antennes adaptatives pourront le faire, car ces dépassements seront pondérés dans un laps de temps de six minutes de puissance émise.
«Le principe de précaution appliqué à la téléphonie mobile est mort», dénonce le communiqué signé par les associations Stop 5G, Stop 5G Glâne et 5G Moratoire pour la Suisse. «Les facteurs de réduction sont calculés en prenant en compte une moyenne de 6 minutes, ce qui ne correspond plus à la réalité et ne tient pas compte des valeurs de crête pouvant atteindre jusqu’à dix fois les valeurs limites actuelles.» Les opposants s’en prennent à l’OFEV: «qui ignore ainsi le refus par deux fois du Conseil des États d’augmenter les valeurs limites, et aussi celle du corps médical et de la population, qui se mobilisent au travers d’innombrables oppositions et pétitions.»
Pour une téléphonie «à faible rayonnement»
Sur la question des dangers pour la santé, les opposants se réfèrent à la position de l’association Médecins en faveur de l’environnement (Mfe), qui plaide pour un développement de la téléphonie mobile «à faible rayonnement» pour garantir la santé des gens. Dans un communiqué publié mardi, l’association dénonce également l’OFEV qu’elle accuse d’introduire le dépassement des valeurs limites «par une voie détournée».
Rappelons que plusieurs initiatives ont été lancées en Suisse depuis 2019 visant à contrer le développement de la 5G. Il existe celle de Frequencia.ch «Pour des espaces de vie faiblement irradiés et l’abaissement des valeurs limites de la téléphonie mobile». Une deuxième est intitulée: «Pour une téléphonie mobile respectueuse de la santé et économe en énergie». Et enfin, une troisième aborde la question de la «Responsabilité en matière de téléphonie mobile». La deuxième devrait être déposée le 15 avril prochain.
https://www.lematin.ch/story/5g-les-opposants-repondent-par-une-initiative-227439432500
VIVE LA SUISSE 🇨🇭 ET SA DÉMOCRATIE OU TOUT LE MONDE PEUT INTERVENIR !!
SupprimerLe retour masqué de l’écotaxe
RépondreSupprimerL’écotaxe bannie en 2014 pour le transport routier va-t-elle faire un retour masqué via une taxe plus discrète sur les routes nationales et départementales ?
Par Michel Gay.
26 FÉVRIER 2021
L’écotaxe avait été imaginée par le Grenelle de l’environnement de 2007, puis abandonnée fin 2014 suite à la fronde des « bonnets rouges » qui emporta les portiques et leurs caméras de contrôle après une coûteuse installation aux frais du contribuable et n’ayant jamais servi.
L’ÉCOTAXE : LA TAXE « ÉCOLOGIQUE » DE TROP
Suite aux réflexions orientées par des professionnels lors la Convention citoyenne pour le climat, et au projet de loi présenté le 10 février 2021 en conseil des ministres, l’exécutif s’interroge sur une nouvelle taxation des véhicules empruntant les routes pour financer leurs « externalités négatives sur les infrastructures ».
Toutefois, au mot honni « d’écotaxe » devrait succéder une « contribution spécifique assise sur le transport routier de marchandises », qui serait encaissée par les régions.
L’État repasserait donc la responsabilité du bébé épineux aux collectivités régionales qui gèrent une partie du réseau routier.
Par exemple, l’Alsace demande depuis longtemps à taxer les nombreux camions qui empruntent son réseau gratuit dans l’axe nord-sud, pour échapper à la fiscalité allemande.
D’autres régions songent à faire de même, comme la Nouvelle-Aquitaine ou l’Occitanie ou encore l’Île-de-France, pour taxer les nationales qui longent les autoroutes et qui détournent une partie du trafic… y compris pour les camionnettes de moins de 3,5 tonnes.
Cette taxe est supposée encourager le transport ferroviaire déclinant à cause de son manque d’efficacité et de son coût supérieur.
PRESSION FISCALE SUR LE GAZOLE
RépondreSupprimerL’avantage fiscal de quelques centimes sur la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) appliquée au gazole est aussi dans le viseur du gouvernement qui « s’appuie » sur les recommandations de la Convention citoyenne… Il veut la supprimer d’ici à 2030 pour aligner le litre de diesel sur le tarif du litre d’essence et engranger ainsi 1,5 milliard d’euros supplémentaires de recettes fiscales.
Mais c’est certainement une mauvaise idée…
En effet, faute de compétitivité salariale et fiscale, le transport routier français qui représentait 90 % des transports dans l’Hexagone en 1990, est tombé à 60 % en 2019. Et sa part se révèle encore plus faible sur le transport international.
Le parc des 600 000 poids lourds français en circulation est stable depuis 2010 mais le nombre des véhicules étrangers, notamment polonais ou immatriculés dans les États baltes, est plus élevé que jamais.
Or, un camion peut parcourir 1200 kilomètres avec un plein et traverser la France sans ravitailler, ce qui entraînera un manque à gagner pour les recettes fiscales françaises.
L’ÉCOTAXE : RACKET ÉCOLOGIQUE OU… LA RANÇON DE L’ÉCOLOGIE
Quelle que soit la façon de « rançonner » les transporteurs routiers ou l’aviation commerciale, ce sont les consommateurs qui, au final, paieront comme d’habitude ces taxes répercutées sur les prix de vente dans les magasins ou des billets d’avions.
Et si l’État, au lieu de dilapider l’argent des contribuables dans les énergies renouvelables (121 milliards d’euros selon la Cour des comptes !) se décidait à taxer les éoliennes et les panneaux photovoltaïques pour financer leurs « externalités négatives sur les infrastructures », notamment le nécessaire renforcement du réseau de transport d’électricité et le stockage dans des batteries polluantes ?
En voilà une bonne idée que l’ADEME pourrait suggérer au gouvernement… via la Convention citoyenne !
Pourquoi les déductions fiscales diminuent et les taxes s’ajoutent-elles les unes aux autres alors que les services sont réduits dans les campagnes ?
Qui paie les gabegies gouvernementales dans les énergies renouvelables et l’hydrogène ?
La question à se poser est de savoir où passe l’argent des Français et à quoi servent aujourd’hui les taxes et les impôts actuels qui jusqu’à présent servaient à payer les infrastructures routières et les services dans les campagnes ?
https://www.contrepoints.org/2021/02/26/391925-le-retour-masque-de-lecotaxe
Le tsar du climat américain tourne les vis à oreilles sur le charbon australien
RépondreSupprimerEt certaines personnes se sont demandées pourquoi j'avais prêté attention aux élections américaines. En plus d'être la plus grande histoire politique de ma vie, il y a cet effet que les dirigeants américains ont même de l'autre côté du monde.
February 26th, 2021
Cela ne fait que cinq semaines depuis l’inauguration et notre plus grand allié militaire s’appuie déjà sur l’Australie pour se sortir de l’énergie au charbon. Pour mettre en perspective l'ampleur de cette faveur, le charbon est notre principal produit d'exportation environ la moitié du temps, et la plupart des années, l'Australie est le plus gros exportateur de charbon au monde. Nous exportons plus de 400 millions de tonnes de charbon par an. Nous en conservons également et utilisons le charbon pour produire plus de la moitié de notre électricité. Même en brûlant les trucs noirs comme ça, nous avons encore 300 ans d'approvisionnement sous terre. Cela pourrait être très rentable pour douze autres générations d'Australiens. Ou non.
Notre principal partenaire commercial lance donc une guerre commerciale et agit de manière hostile, tandis que notre plus grand allié militaire dit vouloir une grande faveur. Quelle est la marge de manœuvre pour l'Australie ?
Pendant ce temps, l'année dernière, la Chine a construit trois fois plus d'électricité au charbon que le reste du monde. La super-usine du monde ne peut pas être trop déçue si la concurrence patsy jure d'essayer de construire des puces de silicium avec l'énergie solaire.
Les électeurs américains et australiens ne veulent peut-être pas cela, mais le président Xi applaudit John Kerry. Pour qui travaille t'il ?
L'envoyé américain pour le climat, John Kerry, appelle à une sortie plus rapide de l'énergie au charbon
Le gardien
L'envoyé climatique de Joe Biden, John Kerry, a publiquement reconnu les «différences» entre les États-Unis et l'Australie dans la lutte contre la crise climatique tout en appelant à une sortie plus rapide de l'énergie au charbon.
Les commentaires de Kerry ont mis en évidence la pression accrue exercée sur l’Australie pour qu’elle s’engage à faire plus avant la conférence sur le climat de Glasgow de cette année, même si le gouvernement Morrison maintient qu’il «joue son rôle».
Kerry dirait qu'il le fait pour «le climat», mais nous savons tous que si cela était vrai, il s'appuierait sur la Chine au lieu de l'aider à acquérir plus d'usines. Il ne s’agit jamais des émissions réelles.
Il pourrait y avoir un modèle ici:
Quelques jours à peine après que Joe Biden ait officiellement remporté * le collège électoral, le Premier ministre australien Scott Morrison avait officiellement abandonné la bataille pour utiliser les crédits de carbone de réserve que l'Australie avait gagnés il y a longtemps. Le pays avait respecté et dépassé l'accord de Kyoto, mais maintenant les crédits supplémentaires seraient jetés. L'Australie n'en avait pas besoin pour atteindre l'objectif, a-t-il déclaré. Mais nous aurions pu les utiliser et réduire la fuite en avant.
Dans les deux semaines suivant l'inauguration de Joe Biden en tant que président * avant tout effet de levier public, le Premier ministre australien Scott Morrison parlait déjà de son «espoir d'atteindre zéro émission nette d'ici 2050».
Parfois, les élections américaines influencent davantage les politiques australiennes que les élections australiennes.
RépondreSupprimerPendant ce temps, dans une note de bas de page étrange, alors même que la Chine a récemment rejeté le charbon australien, le pays d'origine de John Kerry vendait 500% de charbon en plus à la Chine pour combler le trou commercial qui restait. Bien que les États-Unis n'étaient pas un gros exportateur de charbon au départ, ils n'envoyaient que 200000 tonnes chaque trimestre avant la ruée vers 1000 à la fin de 2020.
En fin de compte, comme le dit Eric Worrall, plus de charbon sera brûlé que jamais sous la présidence de Joe Biden *:
John Kerry a déçu que l'Australie veuille continuer à exporter du charbon. WUWT
Loin de réduire l'utilisation du charbon, je soupçonne fortement que l'administration Biden présidera à la plus forte augmentation de la demande de charbon que le monde ait jamais connue.
La Chine et le Japon, malgré tous leurs défauts, font ce que l'Occident a refusé de faire - construire des milliers de nouvelles centrales à charbon, aider l'Afrique, l'Asie et l'Amérique du Sud à s'industrialiser rapidement, les aidant à élever leur niveau de vie aux niveaux occidentaux. Dans une décennie, la fumée du charbon australien, sud-africain et sud-américain montera sur de nouveaux centres industriels dans ce qui est aujourd'hui certains des endroits les plus pauvres du monde.
Les élections comptent.
h / t GWPF
https://joannenova.com.au/2021/02/us-climate-czar-turns-the-thumb-screws-on-australia-coal/
Loi climat : encore plus de normes et de taxes
RépondreSupprimerObnubilé par la crainte plus ou moins réaliste que la planète ne survive pas au XXIe siècle, l’État se croit le seul capable de sauver la situation.
Par Adélaïde Hecquet-Motte.
Un article de l’Iref-Europe
25 FÉVRIER 2021
La Loi Climat s’applique à boucher les rares trous dans la raquette des normes environnementales. Les privilégiés qui pouvaient encore respirer entre une taxe et une norme seront bientôt rattrapés.
Télétravail, interdiction de publicité pour les énergies fossiles, code de conduite pour les entreprises, supermarchés, véhicules, cantines, restauration collective, agriculture, aucun domaine ne doit échapper au Big Brother environnemental.
TOUJOURS PLUS DE RÈGLEMENTS ENVIRONNEMENTAUX DÉCONNECTÉS DE LA RÉALITÉ
La Loi Climat touchera tous les secteurs. Les grandes et moyennes surfaces devront consacrer 20 % de leur surface de vente au vrac d’ici 2030 sauf si les parlementaires suivent les recommandations du Conseil d’État qui s’y est opposé, et ce quels que soient les besoins de leurs clients habituels.
Les engins agricoles, eux, seront taxés à partir de 2024 s’ils n’ont pas suffisamment réduit leurs émissions. En ville, la Loi climat prévoit la création de zones à faibles émissions. Ces zones formeront des oasis réservées aux piétons et aux cyclistes, qui auront laissé leurs voitures dans de gigantesques parkings auxquels on parviendra après une demi-heure de bouchons.
Des bouchons encore empirés par la création de voies réservées au covoiturage, aux bus et aux véhicules à faible émission. Sans oublier les difficultés, pour un fauteuil roulant ou une poussette, de traverser la zone à faible émission.
Si la Loi climat est adoptée, les régions devront proposer des tarifs attractifs sur les trains régionaux. Une obligation qui ne rejoint pas forcément la réalité des différentes collectivités.
Tarif attractif ou non, s’il n’y a pas de train entre 10 heures et 15 heures, la voiture ne risque pas d’être détrônée. En revanche, les régions auront l’autorisation de créer une écotaxe routière, qui s’ajoutera aux centaines de taxes diverses et variées pesant déjà sur tout un chacun.
Les voyages en avion seront eux aussi encadrés, avec l’interdiction des vols domestiques s’il existe une alternative de moins de 2 heures 30 en train, au lieu des quatre heures demandée par la Convention citoyenne pour le climat.
Les vols intérieurs devront compenser 100 % leurs émissions. Les véhicules les plus polluants, eux, ne pourront plus être vendus à partir de 2030. Mais qu’est-ce qu’un véhicule polluant ? La fabrication des véhicules électriques pollue aussi et leurs batteries plus encore…
Le secteur du logement n’a pas été oublié. Ainsi, les propriétaires, déjà corsetés dans de multiples réglementations, ne pourront plus augmenter le loyer de leurs logements s’ils sont classés F ou G en classe énergie. Les particuliers seront obligés de mener des travaux coûteux sans pouvoir augmenter leur loyer immédiatement après les travaux pour retrouver leur investissement. À partir de 2028, il leur sera même interdit de mettre ces logements en location.
RépondreSupprimerL’ÉTAT ORIENTE LES DÉCISIONS DES INDIVIDUS VIA DES TAXES ET LA FISCALITÉ
Après la création de règlements, l’activité favorite de l’État c’est la création de taxes. La Loi climat ne les a pas oubliées, avec par exemple la création d’itinéraires préférés pour le transport des marchandises, et une « incitation fiscale » pour engager les entreprises à prendre les bons itinéraires.
Les taxes et les incitations fiscales déboucheront sur un accroissement des charges des entreprises, donc une augmentation des prix et un appauvrissement des individus. Or, les années passées prouvent que le meilleur allié de l’écologie n’est pas l’augmentation des taxes mais l’innovation.
Qu’il s’agisse d’un seuil maximal d’émission pour la commercialisation des véhicules, de la généralisation du télétravail, de l’interdiction de la création de nouvelles surfaces commerciales (pour éviter l’artificialisation des sols), du délit de pollution et d’écocide, la Loi climat multiplie les occasions de taxer et contrôler les comportements des individus et des entreprises.
Le CESE lui-même (Conseil économique, social et environnemental), entre deux propositions de taxes et de normes, préconise malgré tout dans son rapport de laisser au consommateur la liberté de choisir son véhicule.
Obnubilé par la crainte plus ou moins réaliste que la planète ne survive pas au XXIe siècle, l’État se croit le seul capable de sauver la situation. Oubliés donc les entrepreneurs et leurs innovations diverses et variées pour réduire l’empreinte carbone de tous. Il faut lutter contre la pollution, mais en évitant de nuire à la croissance.
Quant au combat obsessionnel contre le réchauffement, outre les aléas de ses résultats, ses coûts pourraient ne sauver la planète qu’en tuant l’humanité. Pour le moins il risque de conduire à la décroissance qui inévitablement augmentera la pauvreté ainsi que le démontrent les restrictions économiques dues à la Covid dans le monde.
Le gouvernement penserait-il que la crise sociale serait plus acceptable que la crise environnementale ?
https://www.contrepoints.org/2021/02/25/391880-loi-climat-encore-plus-de-normes-et-de-taxes
Quand des criminels suppriment la liberté personne ne peut s'y opposer.
SupprimerL'agenda du Forum économique mondial derrière la réforme agricole de Modi
RépondreSupprimerF.William Engdahl
Mondialisation.ca
mar., 23 fév. 2021 20:48 UTC
En septembre 2021, les Nations unies organiseront un Sommet sur les Systèmes alimentaires. L'objectif sera de remodeler l'agriculture et la production alimentaire mondiales dans le contexte des objectifs malthusiens de l'Agenda 2030 des Nations unies en matière « d'agriculture durable ». Les récentes lois agricoles radicales du gouvernement de Narenda Modi en Inde font partie du même agenda mondial, et tout cela ne présage rien de bon.
Dans l'Inde de Modi, les agriculteurs protestent massivement depuis que trois nouvelles lois agricoles ont été adoptées à la hâte par le Parlement en septembre dernier. Les réformes de Modi ont été motivées par un effort bien organisé du Forum économique mondial (FEM) et de sa Nouvelle Vision de l'Agriculture, qui fait partie de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, le volet « entreprises » de l'Agenda 2030 des Nations unies.
Thérapie de choc de Modi
En septembre 2020, lors d'un vote parlementaire précipité, plutôt qu'un vote formel dûment enregistré, et apparemment sans consultation préalable avec les syndicats ou organisations d'agriculteurs indiens, le gouvernement du premier ministre Narenda Modi a adopté trois nouvelles lois déréglementant radicalement l'agriculture indienne. Cela a déclenché des mois de protestations nationales des agriculteurs et des grèves à l'échelle du pays, qui se répandent dans toute l'Inde et qui exigent l'abrogation des trois lois.
En effet, ces lois mettent fin aux restrictions imposées aux grandes entreprises qui achètent des terres et stockent des produits de base pour contrôler les prix des agriculteurs. Elles permettent également aux grandes entreprises multinationales de contourner les marchés d'État locaux ou régionaux où les produits des agriculteurs sont normalement vendus à des prix garantis, et aux entreprises de conclure des accords directs avec les agriculteurs. Tout cela aura pour conséquence la ruine de dizaines de millions de petits exploitants marginaux ou de petits exploitants agricoles et de petits intermédiaires dans la fragile chaîne alimentaire indienne.
Les nouvelles lois de Modi sont des mesures que le FMI et la Banque mondiale réclament depuis le début des années 1990 afin d'intégrer l'agriculture indienne dans le modèle d'entreprise agro-industrielle mis en place aux États-Unis par la Fondation Rockefeller il y a plusieurs décennies. Jusqu'à présent, aucun gouvernement indien n'a voulu s'attaquer aux agriculteurs, qui constituent le groupe de population le plus important du pays et dont beaucoup vivent sur de minuscules parcelles ou vivent de leur seule subsistance. L'argument de Modi est qu'en changeant le système actuel, les agriculteurs indiens pourraient « doubler » leurs revenus d'ici 2022, une affirmation douteuse et non prouvée. Il permet aux entreprises d'acheter des terres agricoles pour la première fois au niveau national, afin que les grandes sociétés, les entreprises de transformation alimentaire et les exportateurs puissent investir dans le secteur agricole. Contre eux, un petit agriculteur n'a aucune chance. Qui est à l'origine de cette poussée radicale ? On trouve ici le programme radical de mondialisation de l'agriculture du FEM et de la Fondation Gates.
Le FEM et les corporatistes
RépondreSupprimerCes lois sont le résultat direct de plusieurs années d'efforts du Forum économique mondial et de son initiative « Nouvelle Vision pour l'Agriculture » (NVA). Depuis plus de 12 ans, le FEM et sa NVA ont encouragé un modèle d'entreprise en Afrique, en Amérique latine et en Asie. La « grande cible » a été l'Inde, où la résistance à la prise de contrôle de l'agriculture par les entreprises est féroce depuis l'échec de la révolution verte de la Fondation Rockefeller dans les années 1960. Pour la Grande Réinitialisation du FEM, plus connue sous le nom d'Agenda 2030 des Nations unies pour une « agriculture durable », le système agricole et alimentaire traditionnel de l'Inde doit être brisé. Les petits exploitants agricoles familiaux doivent être contraints de vendre à de grands conglomérats agro-industriels et les protections régionales ou étatiques pour ces agriculteurs doivent être éliminées. Ce système sera « durable », non pas pour les petits agriculteurs, mais plutôt pour les grands groupes agro-industriels.
Pour faire avancer ce programme, le FEM a créé un puissant groupe d'intérêts d'entreprises et de gouvernements appelé le NVA India Business Council. Sur son site web, à la page d'accueil du FEM, on peut lire : « Le NVA India Business Council sert de groupe de direction informel et de haut niveau pour défendre la collaboration et les investissements du secteur privé afin de favoriser une croissance agricole durable en Inde ». L'idée de ce qu'ils entendent par « durable » se retrouve dans leur liste de membres.
En 2017, le NVA India Business Council du FEM comprenait Bayer CropScience, l'un des plus grands fournisseurs mondiaux de pesticides agricoles, et maintenant, de semences OGM de Monsanto ; Cargill India Pvt. du géant céréalier américain ; Dow AgroSciences, producteur de semences OGM et de pesticides ; la société DuPont, spécialisée dans les OGM et l'agrochimie ; le géant du cartel céréalier Louis Dreyfus Company ; Wal-Mart India ; India Mahindra & Mahindra (le plus grand fabricant de tracteurs au monde) ; Nestle India Ltd ; PepsiCo India ; Rabobank International ; State Bank of India ; Swiss Re Services, le plus grand réassureur au monde ; India Private Limited, un fabricant de produits chimiques ; et le groupe Adani de Gautam Adani, le deuxième homme le plus riche d'Inde et le principal financier du parti BJP de Modi. Remarquez l'absence d'organisations d'agriculteurs indiens.
En plus de Guatam Adani, le principal bailleur de fonds de Modi, qui siège au conseil d'administration du NVA India Business Council du FEM, Mukesh Ambani siège au conseil d'administration du Forum économique mondial de Klaus Schwab. Ambani, autre bailleur de fonds de Modi, est le président et le directeur général du plus grand conglomérat indien, Reliance Industries, et la deuxième personne la plus riche d'Asie, avec une valeur de 74 milliards de dollars. Ambani est un fervent défenseur de la réforme agricole radicale, car Reliance devrait engranger d'énormes bénéfices.
En décembre, des agriculteurs du Pendjab ont brûlé des effigies du premier ministre Modi, du président de Reliance Industries, Mukesh Ambani, et du président du groupe Adani, Gautam Adani, les accusant d'être derrière les nouvelles lois de Modi.
RépondreSupprimerPour quiconque a la moindre idée de ces mastodontes des entreprises, il est clair que les intérêts et le bien-être des 650 millions d'agriculteurs indiens ne sont pas la priorité. Notamment, l'économiste en chef du FMI, Gita Gopinath, un Indien qui vit actuellement aux États-Unis, a approuvé les lois et a déclaré que les lois agricoles récemment adoptées en Inde ont le « potentiel » d'augmenter les revenus des agriculteurs.
Le 26 novembre, une grève générale nationale a été lancée, impliquant environ 250 millions de personnes pour soutenir les agriculteurs. Les syndicats des transports, qui représentent plus de 14 millions de chauffeurs de camion, se sont prononcés en faveur des syndicats d'agriculteurs. Il s'agit du plus grand défi que le régime du BJP de Modi ait eu à relever jusqu'à présent. Le fait que le gouvernement refuse de faire marche arrière laisse penser que ce sera une bataille acharnée.
Pour que l'Agenda 2030, ou Grande Réinitialisation pour transformer les industries alimentaires et agricoles mondiales comme Klaus Schwab préfère l'appeler, réussisse, il est de la plus haute priorité que l'Inde, avec l'une des plus grandes populations du monde, soit amenée dans le réseau mondialiste de contrôle des entreprises de l'agrobusiness. Il est clair que le calendrier de la déréglementation de Modi a à l'esprit le Sommet sur les Systèmes alimentaires des Nations unies de 2021.
Commentaire : Lire : La plus grande grève au monde : 200 millions de travailleurs paralysent l'Inde
L'AGRA et le Sommet sur les Systèmes alimentaires des Nations unies
Le prochain Sommet sur les Systèmes alimentaires des Nations unies, qui se tiendra en septembre, est un bon indicateur de l'agenda qui attend les agriculteurs indiens. Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a annoncé en 2019 que les Nations unies accueilleront le Sommet sur les Systèmes alimentaires en 2021 dans le but de maximiser les avantages d'une « approche des systèmes alimentaires » conforme aux objectifs de développement durable des Nations unies pour 2030. Il a nommé Agnes Kalibata du Rwanda comme son Envoyé spécial pour le Sommet sur les Systèmes alimentaires de 2021. La déclaration fondatrice du sommet prône « l'agriculture de précision » comme le GPS, les Big Data et la robotique, et les OGM, comme solutions.
Kalibata, ancienne ministre de l'Agriculture du Rwanda, est également la présidente de l'AGRA, l'Alliance pour une Révolution verte en Afrique. L'AGRA a été créée par les Fondations Gates et Rockefeller pour introduire les semences brevetées OGM et les pesticides chimiques connexes dans l'agriculture africaine. Une personne clé que Gates a mis en charge de l'AGRA, Robert Horsch, a passé 25 ans comme cadre supérieur de Monsanto. La Fondation Bill & Melinda Gates est également un « partenaire contributeur » du FEM.
Après près de 15 ans et quelque 1 milliard de dollars de fonds provenant de Gates, Rockefeller et d'autres grands donateurs, l'AGRA n'a pas réussi à élever les agriculteurs vers un meilleur bien-être. Les agriculteurs sont contraints par leurs gouvernements à acheter des semences à des fournisseurs commerciaux, souvent liés à Monsanto et à d'autres sociétés d'OGM, ainsi que des engrais commerciaux. Le résultat est l'endettement et souvent la faillite. Les agriculteurs se voient interdire de réutiliser les semences commerciales et sont contraints d'abandonner les semences traditionnelles qu'ils pourraient réutiliser. L'accent mis par l'AGRA sur le « marché » désigne le marché mondial d'exportation contrôlé par Cargill et d'autres grands géants des cartels céréaliers. Dans les années 1990, sous la pression de Washington et de l'agrobusiness, la Banque mondiale a exigé que les gouvernements africains et autres des pays en développement mettent fin à leurs subventions agricoles. Cela, alors que l'agriculture des États-Unis et de l'UE reste fortement subventionnée. Les importations bon marché subventionnées de l'UE et de l'OCDE conduisent les agriculteurs locaux à la faillite. C'est voulu.
RépondreSupprimerCommentaire : Lire : A propos des « suicides Monsanto » en Inde
Un rapport de 2020 sur l'AGRA, intitulé « Fausses promesses », conclut que « les augmentations de rendement des principales cultures de base dans les années précédant l'AGRA ont été aussi faibles que pendant l'AGRA ». Au lieu de réduire de moitié la faim, la situation dans les 13 pays cibles s'est aggravée depuis le lancement de l'AGRA. Le nombre de personnes souffrant de la faim a augmenté de 30% pendant les années de l'AGRA... touchant 130 millions de personnes dans les 13 pays cibles de l'AGRA ». L'AGRA de Gates a rendu la production alimentaire africaine plus mondialisée et plus dépendante que jamais de la volonté des multinationales mondiales dont le but est d'obtenir des intrants bon marché. Elle oblige les agriculteurs à s'endetter et exige que des « cultures de rente » spécifiques, comme le maïs ou le soja OGM, soient cultivées pour l'exportation.
La stratégie de développement agricole 2008-2011, confidentielle, de la Fondation Gates en a exposé les grandes lignes :
« Les petits exploitants ayant le potentiel de produire un surplus peuvent créer un système agricole orienté vers le marché... pour sortir de la pauvreté... La vision du succès implique des agriculteurs orientés vers le marché exploitant des fermes rentables... cela nécessitera un certain degré de mobilité des terres et un pourcentage plus faible d'emplois totaux impliqués dans la production agricole directe ».
En 2008, Rajiv Shah était le directeur du développement agricole de la Fondation Gates et a supervisé la création de l'AGRA en collaboration avec la Fondation Rockefeller. Aujourd'hui, Rajiv Shah est président de la Fondation Rockefeller, partenaire de la Fondation Gates dans l'AGRA, qui a également financé la création de semences brevetées OGM dans les années 1970, la création des banques de semences du CGIAR avec la Banque mondiale et la Révolution verte indienne des années 1960, qui a échoué. Le monde est petit.
Le fait que le président de l'AGRA dirige le Sommet sur les Systèmes alimentaires des Nations unies de septembre 2021 (notez l'utilisation du terme « systèmes alimentaires ») expose les liens étroits qui existent entre les Nations unies, les fondations Gates et Rockefeller, le Forum économique mondial et leur réseau de méga entreprises mondiales.
L'Inde, avec 1,4 milliard d'habitants, dont peut-être la moitié dans l'agriculture, est le dernier bastion où l'agrobusiness mondial n'a pas pu dominer la production alimentaire. L'OCDE a été mondialisée par l'agrobusiness industriel depuis des décennies et la détérioration de la qualité des aliments et de la nutrition le confirme. La Chine s'est ouverte et est un acteur majeur dans le monde des OGM avec Syngenta, ainsi que le plus grand producteur mondial de glyphosate. Le rôle central de l'AGRA de Gates-Rockefeller dans le Sommet sur les Systèmes alimentaires de l'ONU de 2021, le rôle majeur du FEM dans la remise à zéro des « systèmes alimentaires » mondiaux et les pressions exercées ces derniers mois sur le gouvernement Modi pour qu'il mette en œuvre le même programme d'entreprise en Inde qu'en Afrique ne sont pas le fruit du hasard. Il prépare le monde à des récoltes catastrophiques, voire pire.
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/36566-L-agenda-du-Forum-economique-mondial-derriere-la-reforme-agricole-de-Modi
Canada: PROJET DE LOI C-273: Loi établissant une stratégie nationale pour un revenu de base garanti
RépondreSupprimerDéjà annoncé par le Forum économique mondial en avril 2020, ce "revenu minimum modeste est un nouveau contrat social qui doit émerger de cette crise parce qu'il rééquilibre les profondes inégalités qui prévalent dans les sociétés."
jeudi 25 février 2021
https://www.weforum.org/agenda/2020/04/covid-19-universal-basic-income-social-inequality/
On assiste depuis près d'un an à une véritable démolition dans plusieurs secteurs d'emploi et dans certaines industries "non essentielles" au nom de la gestion sanitaire et de la protection de la santé publique. Cette démolition [contrôlée] a créé des chômeurs à la tonne, a anéanti des entreprises, a brisé en un instant ce que plusieurs ont mis toute une vie à construire.
Les méga-sociétés se sont enrichies plus que jamais, certains secteurs d'activités ont fait des affaires d'or. Le malheur des uns fait le bonheur des autres bien sûr!
Ces injustices et ces inégalités créées par la pandémie [catalyseur à une réforme planétaire] sont et seront le moteur de ce qu'ils appellent la "grande remise à zéro" ou le "great reset".
À qui profite la crise ?
La misère humaine deviendra la propriété et la responsabilité du pouvoir politique et des entreprises privées, alliance que l'on appelle déjà le "capitalisme des parties prenantes".
Ce sont ces "bienfaiteurs" qui vont assurer un minimum vital aux citoyens en leur offrant de quoi manger ou encore mieux, le privilège de devenir un ouvrier !
👇
Première lecture le 22 février 2021
"Préambule
Attendu que tous les Canadiens ont le droit de voir leurs besoins fondamentaux satisfaits, de participer pleinement à la société et de vivre dans la dignité, quel que soit leur statut d'emploi;
Attendu que le gouvernement du Canada s'est engagé à promouvoir ces droits, notamment en réduisant les inégalités de revenu et les autres disparités qui existent dans les collectivités partout au pays;
Attendu que le gouvernement du Canada s'est engagé à soutenir la main-d'œuvre du XXIe siècle en veillant à ce que les structures de prestation de programmes et de services répondent mieux aux perturbations de la main-d'œuvre et que le système de protection sociale soit souple et adaptable;
Attendu que le gouvernement du Canada est déterminé à veiller à ce que son système de bien-être social soit mis à jour pour répondre aux besoins actuels et futurs des Canadiens et à réaligner ses structures de prestation de programmes et de services pour maximiser la capacité des Canadiens à innover;
Considérant qu'un programme de revenu de base garanti pourrait renforcer la capacité de l'économie à croître et améliorer sa productivité;
RépondreSupprimerEt attendu qu'un programme de revenu de base garanti pourrait sortir de nombreux Canadiens de la pauvreté et leur offrir la stabilité dont ils ont besoin pour accéder à l'éducation et aux possibilités d'emploi et pour atteindre leur plein potentiel;
Maintenant, par conséquent, Sa Majesté, sur l'avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte ce qui suit:"
(...)
https://parl.ca/DocumentViewer/en/43-2/bill/C-273/first-reading
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/02/canada-projet-de-loi-c-273-loi.html
Ne confondez pas monnaie électronique et monnaie virtuelle
RépondreSupprimerLe bitcoin est l’exemple le plus polémique de ce que l’on range sous la catégorie de « monnaie virtuelle ». Cette catégorie est souvent assimilée par le grand public à celle de « monnaie électronique ».
Par Adnan Valibhay.
25 FÉVRIER 2021
Quelques rappels terminologiques avant d’investir vos précieux deniers : qu’est-ce que la monnaie électronique ? Qu’est-ce que la monnaie virtuelle ? En quoi diffèrent-elles toutes les deux ?
POSITION DU PROBLÈME
Par un arrêt du 22 octobre 2015, la Cour de justice de l’Union européenne a considéré que le bitcoin échangé contre une devise traditionnelle dans le cadre d’une opération de change ne pouvait être qualifié de « bien corporel » au sens de l’article 14 de la directive relatif aux livraisons de biens.
Elle en a déduit, conformément à l’Article 24 de la même directive, que l’opération de change ne pouvait être regardée que comme une prestation de services. Ayant observé que cette cryptomonnaie constitue un moyen de paiement contractuel, la Cour a enfin estimé, en se fondant sur les finalités et l’économie de la directive, que les opérations de change de bitcoins contre monnaie traditionnelle devaient être traitées de la même manière que des opérations de change intermonétaires classiques.
Le bitcoin, que la Cour considère incidemment comme une monnaie, est l’exemple le plus polémique de ce que l’on range sous la catégorie de « monnaie virtuelle ». Cette catégorie est souvent assimilée par le grand public à celle de « monnaie électronique ». Il importe dès lors d’établir une distinction entre ces deux catégories.
DÉFINITION DE LA MONNAIE ÉLECTRONIQUE
La monnaie électronique, telle qu’elle est définie à l’Article 2 de la directive du 16 septembre 2009 concernant l’accès à l’activité des établissements de monnaie électronique et par l’article L 315-1 du Code monétaire et financier est
Une valeur monétaire […] stockée sous une forme électronique, y compris magnétique, représentant une créance sur l’émetteur, qui est émise contre la remise de fonds aux fins d’opération de paiement […] et qui est acceptée par une personne […] autre que l’émetteur de monnaie électronique.
En conséquence, quatre critères définissent la monnaie électronique :
le stockage sous une forme électronique ;
la représentation d’une créance sur l’émetteur ;
l’émission contre la remise de fonds aux fins d’opération de paiement ;
l’acceptation par une personne autre que l’émetteur de la monnaie électronique.
RépondreSupprimerDÉFINITION DE LA MONNAIE VIRTUELLE
Concernant la monnaie virtuelle, la Banque centrale européenne (BCE), dans une étude documentée publiée en octobre 2012, complétée en février 2015 en distingue trois types :
Le premier constitue une monnaie virtuelle fermée souvent utilisée dans les jeux- vidéo. Celle-ci ne peut être dépensée que dans une communauté virtuelle bien précise et ne peut être convertie en monnaie légale. Il n’existe en réalité aucun lien avec l’économie réelle. Seuls des biens ou services virtuels peuvent être acquis par son biais.
Le deuxième est la monnaie virtuelle avec un flux unidirectionnel. Elle peut ici être achetée directement avec de la devise légale, à un taux de change défini, mais ne peut être reconvertie en monnaie légale. Celle-ci permet cependant d’acheter à la fois des biens et services virtuels et des biens ou services réels (ex : NikeFuel, AmazonCoin, Miles des Compagnies Aériennes). Ces porte-monnaie virtuels affectés font l’objet de règles dérogatoires issues des textes européens et qui ne permettent que des échanges d’un montant limité.
Enfin, la monnaie virtuelle avec un flux bidirectionnel constitue le troisième type de monnaie au sens de la BCE. Dans ce schéma, les utilisateurs peuvent convertir leur monnaie virtuelle en monnaie légale. Il existe à la fois un cours d’achat de monnaie et un cours de revente (ex : bitcoin ou ethereum).
L’on se concentrera sur ce troisième type, et plus spécifiquement sur l’exemple du bitcoin, car il est celui qui pose le plus de problèmes en raison de sa ressemblance avec la monnaie traditionnelle.
À partir notamment des quatre critères qui définissent la monnaie électronique, quelle est la distinction que l’on peut établir entre la monnaie électronique et la monnaie virtuelle ?
LES CARACTÉRISTIQUES COMMUNES ENTRE LA MONNAIE VIRTUELLE ET LA MONNAIE ÉLECTRONIQUE
Le stockage sous forme électronique suppose l’utilisation d’un support électronique. Celui-ci se définit comme un support utilisant des dispositifs électroniques. Les bitcoins, notamment, sont stockés sur tous les nœuds de la chaîne de blocs, également appelée blockchain, une technologie de stockage et de transmission d’informations sans organe de contrôle. Or, il s’agit bien évidemment d’un dispositif électronique. Ainsi, les monnaies virtuelles sont comme les monnaies électroniques stockées sur un support électronique.
L’acceptation par une personne autre que l’émetteur est assez simple à caractériser, bien qu’en France, l’article 1343-3 du Code civil dispose que le paiement d’une obligation de somme d’argent s’effectue en euros. Le principe de la liberté contractuelle emporte que le créancier d’une somme d’argent est libre d’accepter en paiement une autre devise que l’euro si l’obligation procède d’un contrat international.
Le Code civil permet en outre au créancier de recevoir en paiement autre chose que ce qui lui est dû dans le cadre d’une dation en paiement et l’on peut donc concevoir qu’un débiteur se libère de son obligation par une dation de bitcoins.
LES DIFFÉRENCES FONDAMENTALES ENTRE LA MONNAIE VIRTUELLE ET LA MONNAIE ÉLECTRONIQUE
RépondreSupprimerEn ce qui concerne la représentation d’une créance sur l’émetteur, les choses se compliquent. Il n’y a aucun émetteur central de bitcoin, la gestion de la monnaie est répartie sur tous les nœuds du réseau, la fameuse blockchain, le bon fonctionnement du système repose uniquement sur des procédés cryptographiques.
Pour ce qui est de l’émission contre remise des fonds aux fins d’opération de paiement, on voit un fossé se creuser entre la monnaie électronique et la monnaie virtuelle. Effectivement, les crypto-actifs ne sont pas nécessairement « émis » contre remise de fonds, ils peuvent être émis en l’échange de l’activité de « minage » consistant justement à les fabriquer.
De surcroît, en cas d’acquisition de cryptomonnaies au moyen de fonds en devises ayant cours légal, il n’y a pas d’équivalence entre la valeur de l’actif et la valeur nominale des fonds collectés en contrepartie, à la différence de ce que prévoit sur ce point l’article L315-3 du Code monétaire et financier.
C’est là la principale différence entre ces deux types de monnaies, la monnaie électronique a pour cours l’euro et est soumise à l’autorité de la BCE, contrairement au bitcoin qui n’a pas de cours légal et qui n’est soumis à aucune autorité centrale, et encore moins à une autorité étatique.
https://www.contrepoints.org/2021/02/25/391814-ne-confondez-pas-monnaie-electronique-et-monnaie-virtuelle
Comme toutes monnaies, la chèretée d'une valeur fictive dépend de l'amour ou de l'incompréhension qu'on lui porte. Un coup d'EMP et Pchitt ! Tout est éteint, zéro monnaie électrique, reste les billets.
SupprimerComment les sociétés sont-elles emprisonnées: le monde entier ressemblera un jour à Hollywood ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 24 FÉVRIER 2021-23: 40
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
J'écris rarement sur Hollywood ou l'industrie cinématographique, principalement parce qu'il existe un vaste éventail d'analystes et de YouTubers dans les médias alternatifs qui discutent quotidiennement des comportements bizarres et des intrusions de Tinsel Town. Ils l'ont généralement couvert. Cela dit, de temps en temps, je trouve que les événements à Hollywood reflètent une dynamique beaucoup plus omniprésente dans notre culture et que la situation dans son ensemble doit être abordée.
Je veux aussi être clair que lorsque je parle de «Hollywood», je ne fais pas seulement référence à l'endroit; Je fais référence à l’ensemble de l’empire des entreprises. J'inclus Netflix et d'autres sociétés de streaming qui ne fonctionnent peut-être pas complètement hors de Los Angeles. Ils sont tous financés et gérés par les mêmes personnes de toute façon.
Hollywood et la cabale des entreprises qui le sous-tendent cherchent depuis longtemps à être le centre de l’univers culturel américain. En d'autres termes, ils cherchent à pervertir la dynamique naturelle pour que la vie imite l'art au lieu de l'art imitant la vie. Et, s’ils contrôlent tout l’art, ils contrôlent les perceptions de la vie des gens.
Le concept de «consentement à la fabrication», posé par des gens comme Noam Chomsky, joue un rôle ici, mais je pense qu'il va bien au-delà de cela. Au contraire, Hollywood cherche non seulement à fabriquer le consentement du public, mais aussi à fabriquer le rapport du public à la réalité. Ils ne veulent pas seulement que nous gardions la tête basse et que nous acceptions à contrecœur leur fanatisme idéologique; ils veulent nous faire croire que leur voie est et a toujours été la SEULE voie.
Ce que je vois dans l'industrie cinématographique et dans le monde de l'entreprise en général aujourd'hui, c'est une propagande complète et sans entraves. Nous sommes passés de la phase des manipulations subversives cachées à une nouvelle étape dans laquelle la propagande est devenue flagrante et agressive. Presque tous les nouveaux films et séries télévisées, sans parler de la plupart des publicités, regorgent de distorsions gauchistes. Vous aurez du mal à trouver de nos jours un contenu qui ne pousse pas des idées comme:
1) Des platitudes féministes sans fin.
2) Mentions de patriarcat et de «privilège blanc».
3) Exagérations ridicules de racisme en Amérique (comme si rien n'avait changé depuis l'époque de Jim Crow).
4) Oppression des femmes, culture du viol, etc. comme si tous les principes du féminisme de la première et de la deuxième vague n'étaient pas déjà accomplis. Représentant l'oppression des femmes là où il n'en existe pas.
5) Les femmes sont toujours présentées comme ouvertement masculines avec des traits et des capacités qui défient leur biologie.
6) Les hommes sont systématiquement présentés comme faibles et féminins.
7) La masculinité, la force, la compétition et le mérite décrits comme destructeurs, «toxiques» et dépassés.
8) Traits féminins positifs communs (nourrir, élever les enfants, faire la maison) décrits comme obsolètes ou oppressifs.
9) Diversité forcée et irréaliste, qui déforme la composition raciale statistique réelle de la population américaine et des autres nations occidentales.
10) Saturation de la représentation homosexuelle et trans - Un petit pourcentage de la population apparaît comme s’il s’agissait d’un vaste mouvement qui habite l’expérience quotidienne de chaque personne.
11) Les générations plus âgées sont considérées comme confuses et ignorantes, ou complètement éloignées du cinéma et de la télévision.
12) Les jeunes gens dépeints comme des leaders sages «nettoyant les dégâts» des générations plus âgées, dotés en quelque sorte de connaissances et d'une expérience étendues en raison de leur jeunesse.
RépondreSupprimer13) L'histoire a été effacée et réécrite pour refléter les idéaux de gauche modernes.
Je pourrais continuer encore et encore, mais je pense que vous avez l'idée. La «représentation» en elle-même n'est pas une mauvaise chose, mais lorsqu'elle devient une arme utilisée pour déformer des vérités fondamentales à des fins politiques, alors c'est un problème. Aucun des concepts énumérés ci-dessus ne reflète fidèlement le monde humain réel. Au lieu de cela, ils cherchent à faire des valeurs aberrantes dans le courant dominant, et ils cherchent à prendre les normes biologiques et psychologiques humaines normales et à les présenter comme aberrantes et fausses.
Oui, il y a des cas où Hollywood se mêle de fantaisie et de science-fiction et cela pourrait être utilisé pour rationaliser certaines de leurs représentations étranges. Ce n’est pas ce dont je parle ici. Je parle de nourrir de force le public, un programme évident dans tout le spectre de la narration. Ce ne sont pas que des films. Ce ne sont pas que des émissions de télévision. Ce n'est pas seulement de la narration; c'est du lavage de cerveau.
Hollywood ne fait pas de l'art. Ils ne sont même plus dans le métier de gagner de l'argent. Ils s'occupent plutôt de l'endoctrinement. Oui, c'est une «conspiration». Pas une théorie du complot, mais une réalité du complot.
Leur travail consiste à faire croire au public que les idéaux de gauche (ou dans certains cas les idéaux mondialistes) sont les idéaux dominants. Si vous voyez les mêmes mensonges chaque jour dans chaque représentation fabriquée de la vie, vous pourriez commencer à penser que vos points de vue plus rationnels, traditionnels et fondés sont minoritaires. Vous pourriez commencer à vous autocensurer de peur d'être ridiculisé. Vous pourriez même rejoindre l'autre camp juste pour éviter d'être attaqué.
Afin de garder le contrôle sur la machine de propagande, un facteur très important est de s'assurer que les visages à l'écran ne sont jamais autorisés à s'écarter de la ligne du parti. Vos célébrités de marionnettes et d'animaux de compagnie doivent être gardées sous clé.
Comme la plupart des gens, j'ai récemment regardé l'interview de Ben Shapiro avec Gina Carano et cela a en gros confirmé tout ce que je savais déjà sur Hollywood (mon bref passage en tant que scénariste il y a 20 ans m'a exposé à la culture de vente sous-jacente et cela m'a repoussé).
Ce qui est frappant, c'est la mesure dans laquelle les élites des entreprises hollywoodiennes cherchent à violer l'esprit de leurs employés et à les forcer à se soumettre au culte. Ce n’est pas que Carano a été licencié pour avoir publié un fait historique sur Twitter, c’est tout ce qui s’est passé avant cela.
Nous assistons à des formations sur la diversité en entreprise telles que les séminaires «Soyez moins blancs» de Coca Cola et nous sommes dérangés par le culte et la manipulation. Mais écoutez l’histoire de Carano et vous vous rendrez compte qu’Hollywood est bien en avance dans l’exploitation des contrôles de justice sociale.
Carano mentionne que dès qu'elle a commencé à dire ce qu'elle pensait d'une position conservatrice, Disney et Lucasfilm ont commencé à la bombarder de représentants, d'agents d'édition, etc. dont la mission était de la convaincre de garder le silence ou de s'excuser publiquement pour ses déclarations personnelles. Ils ont même essayé de la forcer à subir une réprimande de masse devant 40 personnes trans parce qu'elle refusait de publier ses «pronoms» sur sa page Twitter.
RépondreSupprimerC'est ce que l'on appelle souvent une «session de lutte» dans les cercles communistes, un creuset utilisé pour réprimander et détruire les gens qui osent sortir de la ligne. Il est également utilisé pour semer la peur dans le cœur de toute autre personne qui pourrait envisager d'exprimer des opinions indépendantes.
Les séances de lutte étaient la principale tactique employée pendant la Révolution culturelle en Chine pour pacifier les citoyens et effacer toutes les idées qui s'opposaient au marxisme. Le film «Red Violin», produit en 1998, est l’un des seuls films que j’ai vu qui dépeint fidèlement les ravages de la stérilisation sociale communiste:
- voir clip sur site -
C'est ce qui se passe lorsque les grandes entreprises ou le gouvernement s'alignent sur le culte de gauche. Les SJW n'auraient aucun pouvoir du tout sans le soutien des entreprises et des institutions gouvernementales.
Vous voulez savoir pourquoi tant de célébrités ces jours-ci semblent désespérées de signaler la vertu en ligne tout le temps? Ce n'est peut-être pas parce qu'ils sont d'accord avec les gauchistes. Ils essaient peut-être simplement de garder leur emploi et d'éviter d'être étouffés par une foule armée. Ce que l'entretien avec Gina Carono m'a vraiment révélé, c'est à quel point les entreprises hollywoodiennes sont impliquées dans cette foule.
Des entreprises comme Disney ne suivent pas l'exemple de la foule - Au lieu de cela, elles utilisent la foule comme un outil. Ils dirigent le culte de la justice sociale, le culte ne les dirige pas, comme beaucoup le supposent à tort.
Après avoir terminé l’interview de Carano, je ne pouvais pas arrêter de penser à une émission des années 1960 intitulée «The Prisoner» avec Patrick McGoohan. Il dépeint un homme qui travaille pour le gouvernement et démissionne brusquement, pour être enlevé par une organisation inconnue infâme et transporté dans un endroit appelé «le village». Le village est un vaste complexe conçu pour ressembler à une joyeuse ville de vacances en bord de mer à la surface, mais en dessous se trouve une vaste grille de surveillance.
Toutes les personnes qui y vivent sont piégées, surveillées en permanence et le groupe qui dirige The Village utilise des jeux d'esprit élaborés pour briser les prisonniers. Le village fonctionne en transformant les prisonniers en informateurs et gardiens; son objectif n'a souvent rien à voir avec le fait de faire parler les gens. Au lieu de cela, le but est d'amener les prisonniers à se soumettre, de les amener à aimer le village et à en faire partie. Le village n'est pas une prison, le village est une expérience, un microcosme de ce que l'élite veut pour le monde entier.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerHollywood est le village.
La façon dont Carano a été essentiellement traquée par ses propres employeurs et incitée par des sessions de lutte et des jeux d'esprit, la façon dont Hollywood fonctionne dans les coulisses, est exactement ce que les élites de gauche et les entreprises ont l'intention pour le reste d'entre nous. Cela se produit déjà dans une certaine mesure. Combien de fois avons-nous entendu des conservateurs qualifiés d '«insurrectionnels, terroristes et racistes» au cours de la seule année écoulée? Combien de conservateurs ont été censurés par les plateformes Big Tech? Combien ont perdu leur emploi en raison de leurs opinions ou simplement en faisant des déclarations factuelles?
Le culte de la justice sociale et les entreprises qui les contrôlent veulent que le monde soit Hollywood. Ils veulent que cet environnement d'oppression et de peur devienne la norme. Ils veulent que tout le monde ait peur de parler, de ne pas être d'accord ou de s'éloigner de l'ordre du jour de quelque manière que ce soit. Chacun doit jouer son rôle pour perpétuer le monde fantastique. Chacun doit se battre pour paraître vertueux et pur pour la foule. Tout le monde est acteur, prétendant aimer son nouveau collectif totalitaire.
Il y a cependant une énorme faiblesse dans cette stratégie…
Tout cela dépend de l’aversion des gens pour la perte. Si vous avez peur de perdre quelque chose, alors ce quelque chose peut être utilisé pour vous contrôler. Carano n'avait pas peur de perdre et donc elle ne pouvait pas être contrôlée, et je la félicite pour cela. L'exemple qu'elle a donné aux autres est bien plus précieux que tout travail qu'elle aurait pu faire en se soumettant au Hollywood Cheka. Si seulement la majorité des gens faisaient de même, notre civilisation pourrait changer pour le mieux du jour au lendemain.
Toute tyrannie est une illusion fondée sur la peur dans l'esprit des esclaves. Alors n'ayez pas peur.
https://www.zerohedge.com/covid-19/how-societies-are-imprisoned-whole-world-will-one-day-be-hollywood
McMaken: Pourquoi les poursuites en diffamation du Dominion sont des ordures
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 25 FÉVRIER 2021 - 18:20
Rédigé par Ryan McMaken via The Mises Institute,
Dominion Voting Systems poursuit le PDG de MyPillow Mike Lindell pour 1,3 milliard de dollars. Cela fait suite à d'autres poursuites du Dominion contre les conseillers de Trump, Rudy Giuliani et Sidney Powell. Tous sont accusés d’avoir menti sur la prétendue complicité de Dominion en utilisant le logiciel de comptage des voix de la société pour favoriser le candidat à la présidentielle Joe Biden lors de l’élection présidentielle de 2020.
La société affirme que les accusations de Lindell «ont causé un préjudice irréparable à la bonne réputation de Dominion et menacé la sécurité de nos employés et clients». Dans le cas de Giuliani, la société affirme: «Pour Dominion - dont l'entreprise produit et fournit des systèmes de vote pour les élections - il n'y a pas d'accusations [autres que les allégations de fraude et de trucage électorales de Giuliani] qui pourraient faire davantage pour attaquer l'intégrité, l'éthique, l'honnêteté et l'intégrité financière de Dominion. »
Derrière tout cela se cache la logique habituelle d'un procès en diffamation. Les propriétaires de Dominion craignent que Lindell, Giuliani et Powell aient coûté de l’argent à la société en disant des choses qui pourraient potentiellement nuire financièrement à Dominion.
Il est tout à fait possible que Dominion ait un cas, au moins juridiquement parlant. Dominion est en principe une entreprise privée. Mais devra prouver les éléments habituels d'une poursuite en diffamation, à savoir que Lindell et al. ont fait de fausses déclarations au sujet de Dominion et qu'ils savaient que ces déclarations étaient fausses. Dominion doit également démontrer qu'elle a subi des dommages.
Heureusement, cela est très difficile à faire devant les tribunaux américains. Cela est particulièrement vrai pour les fonctionnaires du gouvernement et les «personnalités publiques» de toute nature. Dans ces cas, un demandeur doit également prouver que la diffamation a été commise avec une intention malveillante et une imprudence.
Cela présente une norme juridique très élevée à respecter. Et à juste titre.
Dans tous les cas, le respect de la liberté d'expression rendrait la plupart des poursuites pour diffamation, sinon toutes, nulles et non avenues. Comme je l’ai noté dans le passé, la loi sur la diffamation ouvre une boîte de Pandore de stratégies juridiques qui peuvent être employées pour faire taire les gens que le régime et ses alliés jugent peu pratiques.
Dans le cas de Dominion Voting Systems, cependant, la société ne devrait pas du tout être en mesure de poursuivre en diffamation. C'est parce que Dominion est une entreprise privée de nom seulement, et en réalité est un organisme gouvernemental de facto.
Les gouvernements (en Amérique) ne peuvent pas poursuivre en diffamation
RépondreSupprimerDans l'affaire New York Times c.Sullivan en 1964, la Cour suprême des États-Unis a conclu:
Pour de bonnes raisons, «aucun tribunal de dernier recours dans ce pays n'a jamais jugé, ni même suggéré, que les poursuites pour diffamation contre le gouvernement ont une place dans le système de jurisprudence américain.
Les raisons devraient être évidentes. Les agences gouvernementales jouissent de privilèges de monopole et sont financées par la perception coercitive des impôts. Même le sympathisant du régime le plus blasé peut probablement voir le danger qui découle de l'octroi également à cette agence monopolistique du droit de poursuivre les gens pour l'avoir critiquée. Après tout, la notion libérale de «liberté d’expression» a été codifiée dans des documents comme la Déclaration des droits, principalement dans le but de garantir que les critiques du régime seraient juridiquement à l’abri des tentatives de représailles du régime.
Cela nous amène à des organisations «privées» comme Dominion.
Dans ses poursuites contre Lindell, Giuliani et Powell, la société procède comme si elle n'était qu'une autre société privée. L'affirmation de base est "nous ne sommes qu'un groupe d'entrepreneurs pauvres et innocents qui sont diffamés!"
Mais «privé» n'est clairement pas un terme approprié pour décrire une entreprise comme Dominion. Et «l'esprit d'entreprise» n'a pas grand-chose à voir avec cela. Il s'agit d'une entreprise qui se consacre essentiellement à ne servir que les agences gouvernementales et à exécuter ce qui ne peut être décrit que comme des services gouvernementaux. Dominion fournit des logiciels de dépouillement et des services connexes. Ses seuls «clients» sont apparemment des agences gouvernementales. À ce titre, les revenus de Dominion proviennent des recettes fiscales. L'entreprise et ses fondateurs ne sont en aucun cas «entrepreneuriaux», sauf dans le sens d'un «entrepreneur politique», qui recherche le profit par le biais de subventions et de contrats gouvernementaux. L'entreprise n'interagit pas dans un marché libre et ouvert où de vrais clients échangent de l'argent avec l'entreprise en échange d'un bien ou d'un service. Au contraire, les contribuables sont obligés de soutenir Dominion par la fiscalité, et les contribuables n'ont pas vraiment leur mot à dire quant à savoir s'ils «paient» ou non la Dominion. En bref, la relation entre Dominion et les personnes qui finissent par financer Dominion est une relation de coercition et d'exploitation.
En ce sens, Dominion est comme de nombreux autres organismes gouvernementaux de facto qui prétendent de manière peu convaincante être «privés» dans un sens autre que juridique. Un tel exemple est Academi - anciennement connu sous le nom de Blackwater - qui fournit des troupes mercenaires et des services connexes aux agences gouvernementales. La société a été fondée et gérée par d'anciens agents de la CIA et d'autres bureaucrates qui voulaient vraisemblablement tirer profit des activités lucratives des contrats gouvernementaux. Les revenus d'Academi proviennent en grande partie de ces contrats et, en tant que tels, ils sont financés par la sueur et le labeur des contribuables.
Bien sûr, cela n’a pas empêché le fondateur d’Academi, Erik Prince, de prétendre ridiculement être une sorte d’entrepreneur du marché libre.
RépondreSupprimerNous pourrions également désigner d'autres entreprises «privées» qui s'adressent aux gouvernements. Cela inclurait des fabricants d'armes comme Lockheed Martin, ou même des entreprises de construction de routes dont le plan d'affaires est basé sur la construction de projets gouvernementaux.
Il n’est pas rare de rencontrer des ingénieurs et des propriétaires d’entreprises comme celles-ci qui font des remarques sarcastiques sur les «bureaucrates du gouvernement». En vérité, ces personnes ne font que se décrire. Si leurs revenus proviennent principalement de l'argent des contribuables, ils sont de facto des employés du gouvernement.
Naturellement, nous pourrions voir le danger qui découle de permettre à ces entreprises de poursuivre leurs détracteurs pour diffamation. Par exemple, étant donné qu'Academi a été un élément clé de l'occupation brutale et sanglante de l'Irak par les États-Unis, de nombreux critiques ont affirmé au fil des ans qu'Academi avait assassiné d'innombrables Irakiens. Ces déclarations sont-elles de la diffamation ? Un tribunal pourrait être d'accord. Si Academi poursuivait ces critiques, cependant, l'entreprise utiliserait simplement l'argent des contribuables pour poursuivre les contribuables pour avoir osé critiquer une agence appliquant la politique gouvernementale.
Cela est également vrai pour Dominion lorsqu'il tente de poursuivre les critiques pour diffamation.
Alors, Dominion a-t-il été diffamé par ses détracteurs ? On s'en fout ? Cela ne devrait pas être plus important que de savoir si l'ATF (Bureau de l'alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs) est diffamé lorsque les détracteurs du massacre de Waco soutiennent que des agents fédéraux ont assassiné des femmes et des enfants de la branche Davidian. Permettre à une agence gouvernementale de poursuivre dans de tels cas constituerait une attaque directe contre la liberté d'expression et la liberté d'attaquer verbalement les abus perçus par le régime.
Les agences gouvernementales de facto comme Dominion (ou Academi ou Raytheon) ne devraient pas être autorisées à se faire passer pour des entreprises privées légitimes méritant des protections juridiques du secteur privé. Si cela ne leur plaît pas, ces entreprises peuvent se lancer dans l’offre de véritables services volontaires sur le marché sans la générosité des contribuables.
https://www.zerohedge.com/political/mcmaken-why-dominions-defamation-lawsuits-are-garbage
L'armée américaine construit le laser le plus puissant du monde pour vaporiser des drones
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 24 FÉVRIER 2021-23: 20
L'armée américaine semble développer une arme laser qui est "un million de fois plus puissante" que tout ce qui a été utilisé auparavant - au lieu de concentrer un faisceau de lumière pour détruire une cible, la nouvelle arme tirera de courtes impulsions, un peu comme des armes à faisceau laser. des films de science-fiction, selon New Scientist.
Le laser pulsé ultracourte tactique (UPSL) pour les plates-formes de l'armée sera conçu pour tirer des rafales de type impulsion pendant 200 femtosecondes brèves ou un quadrillionième de seconde. Le laser, tirant des impulsions de lumière en forme de balle, suffirait à vaporiser un drone, un missile de croisière, un mortier et ou toute autre menace à proximité. UPSL peut également fonctionner comme une arme à impulsion électromagnétique (EMP).
"La quantité même d'intensité dans un laser à impulsion térawatt est capable de provoquer un effet non linéaire dans l'air résultant en un filament autofocus", selon le Small Business Innovation Research (ou SBIR) post intitulé Tactical Ultrashort Pulsed Laser for Plates-formes de l'armée.
Les armes laser sont utiles pour combattre les drones et les missiles ennemis. Le coût par tour dépend de la quantité d'énergie disponible, qui est beaucoup moins chère que le lancement de missiles intercepteurs coûteux.
Un modèle prototype UPSL pourrait être prêt d'ici 2022. Sous l'administration Trump, le financement a considérablement augmenté pour le développement d'armes laser. Plusieurs types d'armes laser à onde continue ont été mis en service ces dernières années.
Nous avons décrit certains de ces systèmes laser qui ont été mis en service, y compris l'arme laser à haute énergie (HEL) avec divers niveaux de sortie d'énergie mesurés en kilowatts.
La marine devrait installer le laser à haute énergie et l'éblouisseur optique intégré (HELIOS) avec des capteurs de surveillance à bord d'un destroyer Flight IIA de classe Arleigh Burke non spécifié au début des années 2020.
L'Air Force a mentionné une feuille de route pour les armes laser pour cette décennie. Il prévoit de monter des lasers sur des jets furtifs.
Au lieu de lasers à onde continue déjà déployés dans divers services, l'armée se prépare à tester le laser, en tirant des impulsions en forme de balle dès 2022.
RépondreSupprimerLes lasers, les hypersoniques, les chasseurs de cinquième génération et les machines de guerre autonomes sont quelques-unes des nouvelles technologies qui pénètrent déjà sur certains champs de bataille modernes.
Le stratège en actions de Bank of America, Haim Israel, a récemment déclaré à ses clients que la prochaine frontière entre les grandes superpuissances pourrait dépasser l'espace.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/us-army-building-worlds-most-powerful-laser-vaporize-drones
Contrairement aux hélicoptères et ULM, le drone peut voler très bas. Atterrir en cour d'écoles comme entrer dans un bâtiment public ou privé.
SupprimerQue fait le laser ? (Hahaha !)
Un volcan indonésien projette dans les airs une colonne de cendres sur 1.500 mètres
RépondreSupprimer14:40 25.02.2021
En entrant en éruption ce 25 février un volcan indonésien a formé un nuage de cendres d’environ 1.500 mètres de hauteur. Aucun blessé ni décès n'a été signalé.
Le volcan indonésien Sinabung, situé sur l'île de Sumatra, a connu ce jeudi 25 février une éruption, projetant une colonne de cendres haute d'environ 1.500 mètres, rapporte le portail Detik.
Telah terjadi erupsi G. Sinabung, Sumatera Utara pada tanggal 25 Februari 2021 pukul 10:08 WIB dengan tinggi kolom abu teramati ± 1.500 m di atas puncak (± 3.960 m di atas permukaan laut).
Foto: @id_magma pic.twitter.com/lzWQonF2QF
— Rizal (@Rizal06691023) February 25, 2021
Selon le chef du poste de surveillance du mont Sinabung cité par le portail, l’éruption a eu lieu à 10h08 (04h08, heure de Paris).
Il a indiqué que la colonne de cendres était grise avec une intensité de modérée à épaisse inclinée vers l'est et le sud-est. Cette éruption a été enregistrée sur un sismographe avec une amplitude maximale de 66 millimètres et une durée d'environ trois minutes 11 secondes, indique le portail.
Le chef du poste de surveillance a ajouté que le mont Sinabung est actuellement au niveau III d’alerte. Selon Xinhua, aucun blessé ni décès n'a été signalé. Les autorités conseillent aux habitants de rester en dehors d'une zone d'exclusion située à environ trois à cinq kilomètres du cratère.
"Cela n'a absolument aucun sens" - Biden annule le programme 'Operation Talon' de Trump ciblant les délinquants sexuels immigrés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 24 FÉVRIER 2021 - 23:00
Via HumanEvents.com,
Biden a clairement indiqué que sa mission numéro un en tant que président était d'annuler tout ce que l'administration Trump a accompli au cours des quatre dernières années.
Sa dernière annulation n'a tout simplement aucun sens.
L'administration de Biden a récemment annulé l'opération Talon, un programme de l'administration Trump visant à expulser les délinquants sexuels condamnés vivant illégalement aux États-Unis.
Bien que le programme semble être quelque chose que tout le monde devrait soutenir, ce n’est clairement pas le cas. Pourquoi quelqu'un voudrait-il que les délinquants sexuels restent au pays?
Le procureur général de Caroline du Sud, Alan Wilson, a rejoint une coalition de 18 procureurs généraux des États pour exhorter Biden à annuler l'annulation, selon ABC 4 News.
«Nous travaillons dur pour lutter contre la traite des êtres humains et les crimes sexuels en Caroline du Sud et permettre aux délinquants sexuels condamnés qui sont ici illégalement de rester dans notre pays n'a absolument aucun sens», a déclaré Wilson.
«Ces trafics et crimes sexuels sont contraires à la décence humaine en général et aux enfants en particulier», a-t-il ajouté.
La lettre, adressée à Joe Biden, le secrétaire du département de la Sécurité intérieure Alejandro Mayorkas et le directeur par intérim de l'ICE Tae Johnson, soulignait les problèmes liés à cette annulation. Les procureurs généraux ont fait valoir que l'annulation de l'opération Talon pourrait encourager les prédateurs sexuels à attaquer.
«La population d’immigrants illégaux des États-Unis comprend un nombre inquiétant de criminels ayant déjà été condamnés pour des crimes sexuels», indique la lettre.
Selon les données collectées par le Transactional Records Access Clearinghouse de l'Université de Syracuse, pendant la période d'octobre 2014 à mai 2018, l'ICE a arrêté 19572 étrangers illégaux condamnés au pénal pour lesquels la condamnation antérieure la plus grave était une condamnation pour une infraction sexuelle.
«Pendant ce temps, un nombre croissant d'étrangers clandestins entrent aux États-Unis après avoir été précédemment condamnés pour délits sexuels», poursuit-il.
«L'annulation de [l'Opération Talon] diffuse effectivement dans le monde entier que les États-Unis sont désormais une juridiction sanctuaire pour les prédateurs sexuels. Ce message crée une incitation perverse pour les prédateurs sexuels étrangers à chercher à entrer illégalement aux États-Unis et à attaquer davantage de victimes, à la fois dans le processus de migration illégale et après leur arrivée. Il diffusera également le message à d’autres étrangers criminels qui ont commis d’autres délits que toute forme d’application rigoureuse contre eux est peu probable. »
La lettre soulève peut-être la question la plus importante:
RépondreSupprimer«Si les États-Unis n'éliminent même pas les délinquants sexuels condamnés, qui vont-ils supprimer?»
En plus de la Caroline du Sud, les procureurs généraux des États qui ont signé la lettre incluent: Alabama, Arkansas, Floride, Géorgie, Indiana, Kansas, Kentucky, Louisiane, Missouri, Mississippi, Montana, Nebraska, Oklahoma, Dakota du Sud, Texas, Utah et Virginie-Occidentale.
https://www.zerohedge.com/political/makes-absolutely-no-sense-biden-cancels-trumps-operation-talon-program-targeting
Nous consommons plus de particules radioactives que nous ne pouvons en respirer malgré qu'à chaque inspiration nous en aspirions 200 000 par minute ! Comment cela se fait-il ?
SupprimerLes poissons comme les coquillages vivent en milieu aquatique où ils respirent des milliards de nano-particules de corona (la grippe comme le rhume font partie des corona), c'est-à-dire des virus actifs donc irradiants comme des virus inactifs (donc non-irradiants) depuis qu'existe notre monde. Ils nous transmettent donc des milliards de virus (respirés/consommés) qui ont plus de chance d'être actifs car ils n'ont peut-être que quelques minutes ou heures ou jours depuis leur évacuation du magma.
Mais, ne craignez rien, nous l'avons 'dernièrement' vu avec les explosions à Tchernobyl (1986) et Fukushima (2011), les poussières radioactives transportées par le jet-stream n'ont eu aucun effet sur nous comme les météorites tombées sur Terre (dont parle Pierre-Henri Barnezet) qui émettent des millions de fois plus qu'une bombe atomique !
Nous sommes nous-mêmes des êtres vivants (donc: électrique) comme le sont les animaux (décharge électrique d'anguilles ou de raies manta) et les plantes (carnivores qui se referment à la seconde-même) et donc nous irradions nous-mêmes sans pour cela tuer quelqu'un !
Cauchemar maritime: la transmission d'aérosols a entraîné la propagation du SRAS-CoV-2 à bord d'un navire de croisière croisé en étoile
RépondreSupprimer26 FÉVRIER 2021
par Delthia Ricks, Medical Xpress
Parmi les nombreuses images surprenantes de la première pandémie de coronavirus figuraient les navires de croisière de luxe qui ont valu le surnom de «incubateurs flottants».
Aucune situation n'était plus fascinante que le malheureux Diamond Princess, un navire britannique qui navigue principalement dans toute l'Asie. La quarantaine légendaire - et mortelle - du navire en mer, qui a duré près d'un mois de février à début mars 2020, aide les scientifiques de l'environnement à apporter un nouvel éclairage sur la dynamique de la transmission virale par aérosol. Une nouvelle recherche sur la modélisation publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, illustre non seulement comment le SRAS-CoV-2 s'est propagé parmi les passagers et l'équipage, mais aussi comment le Diamond Princess peut servir de leçon à d'autres environnements construits et aux virus aéroportés.
Les chercheurs en santé environnementale du T.H. de l'Université Harvard. La Chan School of Public Health et ses collaborateurs ont démontré que la transmission aérienne représentait plus de 50 % de la maladie transmise à bord du bateau de croisière. L'inhalation d'aérosols chargés de virus par les passagers et l'équipage s'est produite lors d'un contact rapproché et à plus longue distance, ont découvert les scientifiques.
Écrivant dans le PNAS, les Drs. Parham Azimi, Joseph G. Allen et leurs collègues soulignent que ce ne sont pas les seuls aérosols qui ont alimenté une épidémie de SRAS-CoV-2 qui a touché des centaines de personnes à bord du paquebot de luxe. D'autres voies de transmission ont contribué à la contagion, y compris la transmission fomite, la propagation de l'infection par contact avec des objets contaminés.
Leur évaluation informatique des voies de transmission donne un nouvel aperçu d'une épidémie dans laquelle 712 des 3711 passagers et membres d'équipage ont été infectés, et plus d'une douzaine sont morts. Au-delà de l'évaluation de l'équipe de Harvard sur la façon dont les personnes à bord du Diamond Princess ont été infectées, la nouvelle recherche aborde les principales préoccupations au cœur de la pandémie en cours - à propos des gouttelettes, des aérosols ainsi que des contacts étroits et des infections à longue distance.
L'une des plus grandes préoccupations tout au long de la pandémie a été centrée sur cette question: qu'est-ce qui constitue le mode de transmission le plus courant du SRAS-CoV-2? Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis "ont mis à jour leur position à plusieurs reprises et soulignent actuellement que le SRAS-CoV-2 se propage principalement par contact étroit de personne à personne" (que le CDC définit comme à moins de 1,8 mètre, ou environ six pieds), ont écrit Azimi et ses collègues.
L'agence, quant à elle, a été tiède au sujet de la transmission fomite et de l'inhalation de gouttelettes respiratoires. Ces méthodes de transmission de la maladie ne sont probablement pas les principaux moyens de propagation du virus, selon le CDC.
"Il est important de noter qu'il y a eu un débat sur la taille de ces aérosols infectieux et la portée qu'ils transmettent", a déclaré Azimi à Medical Xpress. "Alors que l'Organisation mondiale de la santé considère généralement que ces particules ont un diamètre inférieur à 5 micromètres, les scientifiques des aérosols pensent que des particules atteignant 10 micromètres de diamètre ou même plus peuvent facilement se transmettre dans un environnement intérieur par de petits flux d'air se mélangeant [avec] l'air intérieur, interzonale ou des mécanismes tels que la recirculation [d'air] d'un système CVC », a déclaré Azimi, faisant référence à un système de chauffage, de ventilation et de climatisation.
RépondreSupprimerPour évaluer l'importance des multiples voies de transmission du SRAS-CoV-2 à bord du navire de croisière, l'équipe a développé un cadre de modélisation qui a utilisé des rames d'informations détaillées sur l'épidémie de Diamond Princess. Les scientifiques de la santé environnementale de Harvard ont modélisé 21 600 scénarios "pour générer une matrice de solutions à travers une gamme complète d'hypothèses pour huit facteurs de transmission épidémiques et mécanistes inconnus ou incertains", ont-ils écrit dans PNAS.
Les aérosols inférieurs à environ 10 micromètres, qui étaient probablement impliqués dans les trois modes de transmission - transmission courte-longue portée et fomite - ont probablement contribué à plus de la moitié de la propagation globale de la maladie à bord du navire. Les grosses gouttelettes et les petits aérosols contribuaient également à la transmission avant la mise en quarantaine des passagers, tandis que les petits aérosols dominaient la transmission par la suite.
Les nouvelles découvertes de Harvard soulignent l'importance d'instituer des mesures pour contrôler l'inhalation de petits aérosols ainsi que des mesures pour contrôler la transmission des grosses gouttelettes et des fomites. Les auteurs soulignent que des méthodes d'évaluation similaires peuvent être appliquées à l'étude du risque de transmission de maladies dans d'autres environnements bâtis et pour d'autres maladies infectieuses aéroportées.
Il s'avère que la Diamond Princess n'était pas étrangère aux flambées de maladies. Elle avait été le siège d'une épidémie majeure de norovirus en 2016. Mais la gastro-entérite et un virus respiratoire pandémique sont des types d'infection complètement différents nécessitant des considérations de contrôle de la maladie différentes. Lorsque le SRAS-CoV-2 a éclaté, la propagation rapide de l'infection à des centaines de passagers est devenue un cauchemar marin. Aucun port ne permettrait au navire d'accoster pendant des semaines. Les passagers venaient du monde entier: Australie, Grande-Bretagne, Canada, Inde, Malaisie, États-Unis et plusieurs autres pays. Il a été signalé que l'épidémie avait probablement été déclenchée par un passager isolé de Hong Kong âgé de 80 ans qui avait débarqué en janvier mais avait semé les graines de la contagion alors qu'il était encore à bord.
La nouvelle recherche de l'équipe de Harvard ajoute un nouveau contexte à une enquête du CDC qui a été menée à bord du Diamond Princess quelques semaines après son amarrage et le débarquement des passagers. Les scientifiques du CDC vêtus de combinaisons de matières dangereuses sont montés à bord du navire étoilé et ont prélevé des échantillons biologiques dans le cadre de leur évaluation de l'épidémie. Il y avait de nombreuses preuves de l'ARN du SRAS-CoV-2 dans les cabines des passagers, dans les couloirs et dans d'autres zones de l'énorme paquebot de croisière. La présence inévitable de l'ARN du coronavirus a suggéré une propagation explosive dans tout le navire.
Dans le cadre de leurs recherches de modélisation, Azimi et ses collègues se sont appuyés sur le modèle de chaîne de Markov, qui utilise «une chaîne de Markov à espace discret en temps discret» pour estimer le nombre de copies du SRAS-CoV-2 présentes dans de nombreux états physiques, comme ainsi que la probabilité de transmission du SRAS-CoV-2. "
RépondreSupprimer<< Nous avons choisi le modèle de chaîne de Markov par rapport aux autres modèles de risque de transmission d'infection existants en raison de sa capacité à suivre de manière stochastique tous les modes de transmission selon une grande variété d'hypothèses et avec une efficacité de calcul élevée. Cette approche offre des avantages par rapport au modèle Wells-Riley largement utilisé pour évaluation quantitative du risque d'infection des maladies respiratoires infectieuses dans les environnements intérieurs, qui ne prend pas en compte toutes les voies de transmission des maladies », ont écrit les scientifiques dans PNAS.
Pourtant, aussi détaillée que soit leur étude de modélisation - et c'est peut-être la plus vaste et la plus exhaustive de l'épidémie de Diamond Princess à ce jour - il reste encore des questions importantes auxquelles il reste encore à répondre. D'une part, combien de temps les particules virales restent-elles viables par voie aérienne?
"C'est l'un des facteurs biologiques qui est très incertain", a déclaré Azimi. "Dans l'un des articles les plus cités sur la viabilité du SRAS-CoV-2 [par le virologue Neeltje van Doremalen de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses], on estime que la demi-vie du SRAS-CoV-2 dans le l'air dure environ une heure. Cela signifie qu'il faudrait environ une heure à la moitié des virus infectieux pour perdre leur viabilité. Au bout de deux heures, 75% des virus perdraient leur viabilité dans l'air intérieur, et ainsi de suite. "
La recherche de modélisation menée par l'équipe dirigée par Harvard souligne que la transmission fomite a apparemment joué un rôle sur le navire, bien que beaucoup plus petit que la propagation des aérosols. Cependant, cette découverte suggère que la transmission fomite ne devrait pas être écartée en tant que facteur de risque possible.
"Bien que la contribution de la transmission fomite soit faible, elle reste plausible, a déclaré Azimi." Il est important de noter que lorsque nous utilisons nos meilleures estimations des entrées du modèle, calculées à partir de notre article PNAS, dans d'autres environnements, tels que les salles de classe la contribution de la transmission fomite est d'environ 5 pour cent. Cette contribution est faible mais elle n'est pas nulle. Par conséquent, nous ne recommandons pas aux gens d'arrêter de se laver les mains. "
https://medicalxpress.com/news/2021-02-seafaring-nightmare-aerosol-transmission-drove.html
(...) L'une des plus grandes préoccupations tout au long de la pandémie a été centrée sur cette question: qu'est-ce qui constitue le mode de transmission le plus courant du SRAS-CoV-2 ? (...)
SupprimerHAHAHA ! Un bateau navigue SUR un océan de virus !
(...) Il s'avère que la Diamond Princess n'était pas étrangère aux flambées de maladies. Elle avait été le siège d'une épidémie majeure de norovirus en 2016. Mais la gastro-entérite et un virus respiratoire pandémique sont des types d'infection complètement différents nécessitant des considérations de contrôle de la maladie différentes. Lorsque le SRAS-CoV-2 a éclaté, la propagation rapide de l'infection à des centaines de passagers est devenue un cauchemar marin. (...)
Tu m'étonnes !
Effectivement, les nano-particules (ne viennent pas de la lune !) remontent à la surface lors des dégazages continuels du magma et, après les poissons, viennent... les bateaux pour les respirer en primeur ! Whoâw !
Des assiettes plus petites aident à réduire le gaspillage alimentaire dans les réfectoires des campus
RépondreSupprimer25 FÉVRIER 2021
par Marianne Stein, Université de l'Illinois à Urbana-Champaign
Le gaspillage alimentaire est un problème majeur aux États-Unis et les jeunes adultes sont parmi les pires coupables. Beaucoup d'entre eux fréquentent un collège ou une université et vivent sur le campus, ce qui fait des réfectoires une cible de choix pour les efforts de réduction des déchets. Et une simple intervention peut faire une grande différence, selon une étude de l'Université de l'Illinois.
Passer d'une assiette ronde à une assiette ovale de plus petite surface peut réduire considérablement le gaspillage alimentaire dans les réfectoires, explique Brenna Ellison, professeure agrégée au Département d'économie agricole et de consommation (ACE) et co-auteur de l'étude.
«Les Américains gaspillent environ 31% de la nourriture disponible au niveau de la vente au détail et des consommateurs», dit Ellison. «Les paramètres à volonté [courants dans les réfectoires] sont très difficiles, car il n’ya pas d’incitations normales pour essayer de réduire les déchets par vous-même. Lorsque vous payez un montant fixe pour aller manger, vous voulez en avoir pour votre argent. "
L'équipe de recherche d'Ellison a précédemment travaillé avec University Housing à l'Illinois sur une campagne éducative visant à réduire les déchets.
«Il n'a pas été aussi réussi que nous l'espérions», dit-elle. "Le logement universitaire voulait donc voir si le changement des plaques serait un moyen plus efficace de réduire les déchets."
Thurman Etchison, directeur adjoint des installations de restauration et des opérations d'équipement à l'Université de l'Irlande, a déclaré qu'une étude de 2016 sur les déchets dans les réfectoires du campus a montré environ 93,5 grammes de nourriture gaspillée par repas servi. Cela s'élevait à 14 875 livres (6 747 kilogrammes) par semaine dans six restaurants résidentiels.
«Lorsque nous pensons au gaspillage alimentaire dans notre environnement, il est important de noter que ce ne sont pas seulement les ressources pour produire la nourriture qui sont gaspillées», dit Etchison. "La réfrigération, la préparation, le transport et le service de ces aliments gaspillent également beaucoup d'énergie, d'eau et de main-d'œuvre. Si cela ne suffisait pas, il y a aussi le gaspillage d'énergie, de main-d'œuvre et d'eau. qui entrent dans l'élimination de cette nourriture. La nourriture que nous gaspillons nous coûte plus cher par livre que la nourriture qui est consommée. "
Ellison et les co-auteurs Rachel Richardson, ancienne étudiante diplômée de l'ACE, et Melissa Pflugh Prescott, professeure adjointe au Département des sciences de l'alimentation et de la nutrition humaine, ont mené l'étude sur les assiettes dans deux réfectoires de logements universitaires sur le campus de l'U de I. les plaques rondes et ovales ont été testées à chaque emplacement, en veillant à utiliser le même menu pour les deux types de plaques.
Les chercheurs ont approché les convives après avoir sélectionné leur nourriture et ont demandé à prendre une photo de l'assiette et à peser la nourriture. Les convives ont ensuite rempli un court sondage, et lorsqu'ils ont fini de manger et ont apporté leur plateau au retour du plat, les chercheurs ont de nouveau pris une photo et pesé la nourriture restante.
RépondreSupprimerL'étude comprenait plus de 1200 observations, et les chercheurs ont trouvé des réductions significatives dans la sélection, la consommation et le gaspillage des aliments lorsque les convives utilisaient les assiettes ovales. Dans l'ensemble, le gaspillage alimentaire est passé de 15,8 % des aliments sélectionnés pour les assiettes rondes à 11,8 % pour les assiettes ovales. Cela représente près de 20 grammes (0,7 oz) de déchets alimentaires en moins par assiette, ce qui représente beaucoup pour une salle à manger qui sert des milliers de repas, note Ellison.
Les chercheurs n'ont pas pesé de plaques pour les convives qui sont revenus pendant quelques secondes, dit Ellison. Ils ont demandé aux convives s'ils revenaient quelques secondes sur le sondage. À l'aide de ces informations, ils ont estimé les effets potentiels des secondes et ont constaté que cela ne changerait pas significativement les résultats.
Ellison conclut que le changement de type d'assiette est une stratégie viable pour réduire le gaspillage alimentaire, bien que les gestionnaires de salle à manger doivent peser le coût d'achat de nouvelles assiettes par rapport aux économies potentielles. Combiner l'approche directe des assiettes plus petites avec une campagne d'éducation peut être encore plus efficace, note-t-elle.
https://phys.org/news/2021-02-smaller-plates-food-campus-dining.html
Et la 'Palme du Gros Con' revient aujourd'hui à...
Supprimer(...) Des assiettes plus petites aident à réduire le gaspillage alimentaire (...)
HAHAHAHA ! Si votre assiette ne fait que 10 cm de diamètre vous réduirez ainsi le gaspillage d'en laisser dedans !
Et celle de 5 cm t'as essayé ? HAHAHAHA !
(...) «Les Américains gaspillent environ 31% de la nourriture disponible (...)
Exemple d'une assiette de 21 cm de diamètre réduite à 14 ! HAHAHAHA !
Par contre, le gag de servir de la soupe dans une assiette plate est imparable ! HAHAHAHA !
Vérification des faits sur le coronavirus n ° 10: Pourquoi les «nouveaux cas» s'effondrent.
RépondreSupprimerLe nombre de «nouveaux cas» signalés est en baisse dans de nombreux pays à travers le monde, et ce depuis plus d'un mois. Alors qu'est-ce qui en est la cause ?
26 févr.2021254
Les chiffres rouges effrayants diminuent tous. Vérifiez n'importe quel site Web de suivi de journaux ou de covid que vous voulez. Cas. Des morts. Hospitalisations. Ils sont tous en baisse, brusquement, et ce depuis des semaines, en particulier aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Alors, pourquoi serait-ce ?
Les experts du monde des médias ont fait des suggestions - des vaccins aux verrouillages - mais il n’y en a qu’une qui ait vraiment du sens.
CE N'EST PAS DES VACCINS
L'hypothèse que la plupart des gens feraient, et seraient encouragés à faire par les têtes parlantes et les experts des médias, est que les divers «vaccins» ont pris effet et ont arrêté la propagation du «virus».
Est-ce le cas ? Non, ce n’est pas le cas.
Le déclin a commencé à la mi-janvier, bien trop tôt pour qu'un programme de vaccination ait un effet. De nombreux experts l'ont dit:
Le Dr Wafaa El-Sadr, professeur d'épidémiologie et de médecine à la Mailman School of Public Health de l'Université Columbia, a déclaré que la baisse du nombre de cas ne peut être attribuée au vaccin COVID-19, car même pas un dixième de la population n'a été vacciné, D'après le CDC.
En outre, la baisse se produit simultanément dans différents pays du monde entier, et tous les pays ne vaccinent pas au même rythme ou n'utilisent même pas le même vaccin. Donc non, les «vaccins» ne causent pas la baisse.
IL N'EST PAS VERROUILLÉ SOIT
Un autre suspect est le verrouillage, avec une propagande éclatante déclarant que toutes les diverses arrestations à domicile imposées par le gouvernement et les mesures de «distanciation» ont finalement eu un impact.
Ce n’est pas ça non plus.
La Suède, célèbre, n'a jamais été fermée du tout. Pourtant, leurs «cas» et «décès liés à Covid» ont chuté exactement en parallèle avec le Royaume-Uni:
- voir sur site -
De toute évidence, si les pays qui ne se sont jamais verrouillés voient également des baisses du nombre de cas, le verrouillage ne peut pas les provoquer.
Donc qu'est-ce ?
LES DIRECTIVES DU TEST PCR DE L'OMS
Peut-être pour notre réponse, nous devrions regarder la date à laquelle le déclin a commencé.
Observez ce graphique:
- voir sur site -
Comme vous pouvez le voir, le déclin mondial des «décès de Covid» commence à la mi-janvier.
Que s'est-il passé d'autre à cette époque ?
Eh bien, le 13 janvier, l'OMS a publié une note concernant le problème des cas asymptomatiques découverts par des tests PCR, et suggérant que tout test positif asymptomatique soit répété.
RépondreSupprimerCela faisait suite à leur mémo précédent, demandant aux laboratoires du monde entier d'utiliser des seuils de cycle inférieurs (valeurs CT) pour les tests PCR, car des valeurs supérieures à 35 pourraient produire des faux positifs.
Essentiellement, dans deux notes de service, l'OMS a assuré que les tests futurs seraient moins susceptibles de produire des faux positifs et qu'il était beaucoup plus difficile d'être qualifié de «cas asymptomatique».
En bref, la logique suggérerait que nous n’assistons pas du tout à une «baisse des cas de Covid» ou à une «diminution des décès de Covid».
Ce que nous constatons, c'est une baisse du nombre de personnes en parfaite santé qualifiées de «cas de covid» sur la base d'un faux positif issu d'un processus de test non fiable. Et nous constatons que de moins en moins de personnes mourant de pneumonie, de cancer ou d’autres maladies se voient ajouter «Covid19» à leur certificat de décès en fonction de critères de test conçus pour gonfler la pandémie.
Tout comme nous l'avions prédit chez OffG, cela se produirait au moment de la publication du mémo.
https://off-guardian.org/2021/02/26/coronavirus-fact-check-10-why-new-cases-are-plummeting/
C'est en baisse oui mais, un nouveau (le n°153202) a été lâché sur Los Angeles ! il va donc irradier durant 3 semaines tout au plus puis, un autre (le n°153203) sera lâché ailleurs (de l'autre bout du monde), etc, etc !
SupprimerLes garçons sont des filles: la grande session de lutte américaine
RépondreSupprimerPar Vasko Kohlmayer
27 février 2021
Nous avons écrit plus tôt sur les élections volées et la grande session de lutte à laquelle le peuple américain est soumis par la gauche politique.
L’élection volée n’est cependant que le dernier point à l’ordre du jour du projet de la gauche de subversion de la réalité.
Un autre fouet avec lequel la gauche tourmente douloureusement le public américain depuis quelques années est le mouvement dit «trans». Trans est un terme générique désignant un ensemble d'assertions, de notions et d'activités qui frappent la plupart des gens ordinaires comme étant largement absurdes. Le plus choquant d'entre eux est peut-être le concept de transsexualité. C'est l'idée que les garçons peuvent devenir des filles et les hommes peuvent devenir des femmes et vice versa.
L'hypothèse qui sous-tend le concept de transsexualité est que les êtres humains nés en tant que mâles biologiques peuvent se transformer en femelles et ceux nés en tant que femelles biologiques peuvent se transformer en mâles. Le processus de changement d'un sexe à un autre est appelé «transition».
Le problème avec cette idée est qu'il n'est tout simplement pas possible pour une personne de changer de sexe. C'est parce que notre sexe est lié à notre personne au niveau le plus fondamental de notre existence physique.
Comme beaucoup le savent, le sexe des êtres humains est déterminé par leur composition chromosomique. Les chromosomes sont des paquets microscopiques d'ADN qui transportent notre matériel génétique et déterminent nos caractéristiques physiques, entre autres.
Chez l'homme, le noyau de chaque cellule contient normalement quarante-six chromosomes, disposés en vingt-trois paires distinctes. Chez les hommes et les femmes, vingt-deux de ces paires se ressemblent. Ces chromosomes sont appelés autosomes. La vingt-troisième paire, cependant, est assez différente. Il contient les soi-disant chromosomes sexuels. Ces chromosomes diffèrent entre les hommes et les femmes. Les femmes ont deux copies du soi-disant chromosome X, tandis que les hommes ont un chromosome X et un chromosome Y. Ainsi, la vingt-troisième paire chromosomique prend la forme de XY chez les mâles et XX chez les femelles.
Le chromosome Y chez l'homme porte le gène SRY, qui est responsable du développement des caractères sexuels masculins. En revanche, le chromosome X chez la femme porte le gène responsable du développement des caractères sexuels féminins.
La plupart des 30 billions de cellules (une estimation prudente) qui composent le corps humain contiennent des chromosomes et toutes celles qui portent une copie de cette empreinte génétique. Cette empreinte prend forme dès la conception et se fixe désormais de manière inaltérable. C'est cette séquence génétique qui détermine si un être humain est un homme ou une femme.
Voici comment l'Encyclopedia Britannica déclare ce fait biologique:
«Chez la plupart des espèces animales [et humaines], le sexe des individus est déterminé de manière décisive au moment de la fécondation de l'œuf, au moyen de la distribution chromosomique. Ce processus est la forme la plus claire de détermination du sexe. »
Une fois réglé, il est impossible de modifier la composition chromosomique d’une personne. Cela signifie qu'une fois que vous aurez des chromosomes XY ou XX, vous les aurez aussi longtemps que vous vivrez. En d'autres termes, vous serez toujours un homme ou une femme.
RépondreSupprimerLe sexe d'une personne est un fait biologique qui ne peut être inversé. C'est ainsi qu'un généticien de Stanford a exprimé cette vérité:
«Aucune intervention chirurgicale, aucune injection d’hormones ou quoi que ce soit d’autre ne changera l’ADN d’une personne d’homme en une femme (ou vice versa). Comme vous le savez, pour les humains, le sexe est déterminé par la présence d'un chromosome Y - les humains avec un chromosome X et un chromosome Y sont des hommes et ceux qui ont deux chromosomes X sont des femmes. Aucune technologie actuelle (ou probablement future) ne peut remplacer un chromosome dans l'ensemble de nos billions de cellules. »
À savoir, la seule façon de modifier le fait biologique de notre sexe serait de changer la composition chromosomique des cellules dans tout le corps humain, ce qui, cependant, n'est pas possible.
C'est à cause de cela que toute la prémisse derrière le mouvement trans est fausse. En réalité, il n'est pas possible de véritablement «passer» de l'homme à la femme ou de la femme à l'homme.
Peu importe ce que les gens peuvent faire ou dire, ils ne peuvent pas changer la réalité génétique de leur personne. Une personne née avec le chromosome XY peut se faire enlever ses organes mâles; il peut subir une chirurgie d'augmentation mammaire; il peut se soumettre à un traitement hormonal substitutif; il peut pousser ses cheveux longs ou porter une perruque; il peut porter des vêtements féminins, du maquillage et du rouge à lèvres, mais quoi qu’il fasse, il restera fondamentalement un homme.
Ce sera un homme dont le corps a été chirurgicalement altéré - ou mutilé, comme certains diraient - et qui orne sa personne avec des attributs externes de la féminité.
L'empreinte chromosomique dans chacune de ses cellules affirmera cette vérité inaltérable. Trente mille milliards de cellules dans tout son corps crieront la vérité biologique irréversible: «C'est un homme».
Cette réalité physique ne peut être annulée. Si des centaines d'années à partir de maintenant, de futurs archéologues trouvent les restes physiques d'une «femme» transsexuelle et les soumettent à une analyse ADN, ils détermineront rapidement la vérité sur le sexe de cette personne et concluront qu'il s'agissait d'un homme.
Ainsi, les femmes dites transsexuelles sont en réalité des hommes qui se font passer pour des femmes et vice versa. Une fois que nous sommes nés homme - un être humain avec des chromosomes XY - nous resterons toujours un homme, peu importe ce que nous préférons, disons ou faisons à notre corps. Et il en va de même pour les femmes qui sont nées femelles biologiques.
RépondreSupprimerSelon le Dr Paul McHugh, médecin formé à Harvard et ancien professeur de psychiatrie au service distingué de l'Université Johns Hopkins, à la Johns Hopkins University School of Medicine:
«Les hommes transgenres ne deviennent pas des femmes, et les femmes transgenres ne deviennent pas des hommes. Tous (y compris Bruce Jenner) deviennent des hommes féminisés ou des femmes masculinisées, des contrefaçons ou des imitateurs du sexe auquel ils «s'identifient». C'est là que réside leur avenir problématique. »
Et pourtant, la gauche prétend qu'il est possible de faire l'impossible et que l'impossible s'accomplit chaque jour comme, disent-ils, les hommes «passent» à la condition de femme et les femmes «passent» à la condition d'homme.
Ces affirmations ne sont tout simplement pas vraies. Ce sont des mensonges manifestes, ce qui est évident pour quiconque regarde attentivement les malheureux qui ont été recrutés pour ce style de vie et ont promis quelque chose qui ne pourrait jamais être livré. Ces personnes sont victimes d'un grand mensonge. Ce qui leur est arrivé est tragique et regrettable et ceux qui les ont encouragés dans cette voie devraient répondre et accepter la responsabilité de leurs conseils malavisés.
Mais le point le plus profond est le suivant: tout le mouvement trans est une tentative délibérée de contrevenir et de passer outre des faits physiques et biologiques immuables. Cela fait à son tour partie de l'assaut massif de la gauche contre la réalité qui s'est rapidement intensifié ces dernières années.
Peu de choses pourraient constituer une attaque plus flagrante contre la réalité que de prétendre qu'il est possible de transcender l'un des faits les plus fondamentaux et les plus fixes de l'existence humaine qui est le sexe biologique d'une personne.
Une définition de la folie est le déni flagrant de l'évidence. Prétendre que les hommes sont des femmes et que les femmes sont des hommes est - selon cette définition - une forme de folie. C'est en quoi consiste, à la base, le mouvement transsexuel.
La gauche politique impose ce dérangement au peuple américain dans son ensemble. Il veut que nous acceptions et acceptions quelque chose qui est impossible et évidemment faux: que les hommes peuvent devenir des femmes et que les femmes peuvent devenir des hommes.
Ce n'est en aucun cas un problème périphérique. L'un des premiers décrets que le président Biden a signés après son entrée en fonction était intitulé «Décret exécutif sur la prévention et la lutte contre la discrimination fondée sur l'identité de genre ou l'orientation sexuelle». Cet ordre permettrait, entre autres, aux femmes transsexuelles - c'est-à-dire aux hommes biologiques - de rivaliser avec des femmes de bonne foi en compétition sportive.
Abigail Shrier, journaliste au Wall Street Journal, décrit l'implication pratique de l'ordre de Biden:
RépondreSupprimer«Tout établissement d'enseignement qui reçoit un financement fédéral doit admettre des athlètes biologiquement masculins dans les équipes féminines, les bourses féminines, etc. Un nouveau plafond de verre vient d'être placé au-dessus des filles.»
Shrier déclare alors l'évidence. Cette mesure, conclut-elle, «éviscère unilatéralement le sport féminin».
Si l'approche de l'administration Biden n'est pas un dérangement, qu'est-ce que c'est? Depuis des temps immémoriaux, l'humanité a toujours clairement su et compris que les hommes et les femmes ne devraient pas se concurrencer dans des activités physiques. Les raisons en sont claires et évidentes. Les hommes et les femmes possèdent des physiologies différentes, les hommes dépassant généralement les femmes en taille, en masse musculaire, en force, en endurance et en vitesse, entre autres paramètres. C’est pourquoi jamais dans l’histoire les garçons n’ont concouru avec les filles dans le sport. Ce n'est que dans la deuxième décennie du XXIe siècle que cet engouement nous a été imposé par la gauche.
Cette application collective de la folie est intentionnelle. Cela fait partie de la grande session de lutte que la gauche inflige au peuple américain. L'objectif de cet effort est d'affaiblir notre emprise sur la réalité. S'ils peuvent nous faire admettre que les garçons sont des filles et les hommes sont des femmes, ils peuvent nous faire croire et accepter quoi que ce soit, aussi illusoire ou faux que cela puisse être. Et c'est ce que recherche la gauche - ils veulent subvertir notre sens de ce qui est vrai et faux, de ce qui est bien et faux.
Pourquoi voudraient-ils faire cela? Parce qu'ils veulent se déchaîner et détruire. Ils veulent démolir, profaner et ruiner tout ce qui est bon, saint, sublime et digne d'être préservé dans la vie humaine: tout de Dieu, l'amour, la beauté et la décence en passant par la grande littérature et l'art jusqu'à la vie elle-même. Mais pour y parvenir, ils doivent d'abord contrecarrer ceux qui se lèveraient instinctivement et défendraient ces choses dignes et merveilleuses. Et quelle meilleure façon de les neutraliser qu'en arrachant par les racines leur sens de la réalité. Le mouvement transsexuel fait partie de cet assaut.
Nous essaierons d'expliquer dans les prochaines tranches ce qui donne naissance à des forces psychologiques qui alimentent ce sombre désir destructeur.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/vasko-kohlmayer/boys-are-girls-americas-great-struggle-session/
Dire que Biden est une gonzesse serait lui faire trop d'honneur !
SupprimerLes trans sont ce qu'avant et encore aujourd'hui on appelait les excisé(e)s, c-à-d plus de h ni des f !
L'eugénisme est bien vivant et l'arnaque «Covid-19» est le moteur du dépeuplement
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
27 février 2021
«Je me demande simplement ce que ce serait d'être réincarné dans un animal dont les espèces ont été tellement réduites en nombre qu'elle était en danger d'extinction. Quels seraient ses sentiments envers l'espèce humaine dont l'explosion démographique lui avait refusé quelque part d'exister…. Je dois avouer que je suis tenté de demander la réincarnation en tant que virus particulièrement mortel. ~ Prince Philip, dans son Foreward to «If I Were an Animal» - Royaume-Uni, Robin Clark Ltd., 1986.
«Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards de personnes… cela représente environ 9 milliards. Si nous faisons un très bon travail en matière de vaccins, de soins de santé et de services de santé reproductive, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 à 15 pour cent peut-être. » ~ Bill Gates
«Le dépeuplement devrait être la plus haute priorité de la politique étrangère envers le tiers monde, car l'économie américaine aura besoin de quantités importantes et croissantes de minéraux de l'étranger, en particulier des pays moins développés» ~ Henry A. Kissinger
«Une population totale de 250 à 300 millions de personnes, une baisse de 95 % par rapport aux niveaux actuels, serait l'idéal.» ~ Ted Turner
«La chose la plus miséricordieuse que la grande famille fasse à l’un de ses enfants en bas âge est de le tuer.» ~ Margaret Sanger, La femme et la nouvelle race, chapitre 5, «La méchanceté de créer des familles nombreuses». (1920)
«Le fait qu'il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables signifie que nous verrons probablement à l'avenir l'avènement de bébés de conception qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique».
~ Klaus Schwab, Façonner l'avenir de la quatrième révolution industrielle: un guide pour construire un monde meilleur
«L'eugénisme est un mouvement social (et 'scientifique') basé sur la conviction que la qualité génétique de la race humaine peut être améliorée par l'utilisation de l'élevage sélectif, ainsi que d'autres moyens souvent moralement critiqués pour éliminer des groupes de personnes considérés comme génétiquement inférieurs , tout en encourageant la croissance de groupes jugés génétiquement supérieurs.
Ceux qui nient les efforts d'eugénisme de masse qui existent aux États-Unis et dans le monde aujourd'hui sont soit des menteurs pathologiques, sont des propagandistes manipulateurs motivés par la censure, ou sont complètement ignorants de toute réalité. L'ensemble des mouvements transhumains, technologiques et technocratiques qui consomment la classe dirigeante aujourd'hui sont fortement basés sur l'eugénisme. La «Grande Réinitialisation», ouvertement recherchée et planifiée, poursuivie par les prétendues «élites» dirigeantes qui dirigent actuellement ce pays et le monde; ceux qui désirent ce programme «progressiste» meurtrier et qui modifie l’humanité, sont la quintessence du mouvement eugéniste moderne. En raison de la nature odieuse et du concept déplaisant de cette croisade telle que décrite au début du XXe siècle, les termes utilisés dans le passé ont été modifiés pour tromper le troupeau collectif et abasourdi, et jusqu'à présent, cette tromperie a réussi.
RépondreSupprimerCette fausse pandémie est la première étape utilisée pour parvenir à la mort humaine et à l'altération génétique afin d'éliminer et de contrôler des millions ou des milliards de personnes ordinaires, mais le raisonnement en constante évolution pour poursuivre ces programmes se transformera bientôt en excuses du développement durable et ' le changement climatique. '' Et étant donné la destruction planifiée de l'approvisionnement alimentaire qui est déjà en cours, et le contrôle intentionnel et la rareté de l'énergie, les pénuries alimentaires et énergétiques délibérément créées seront utilisées non seulement pour inquiéter le public, mais pour créer panique aussi. Ces événements organisés seront blâmés pour le rationnement d'urgence contrôlé par le gouvernement, puis certains segments du public seront maudits pour leur utilisation excessive des nécessités vitales pendant une "crise''. Il s'agit d'une épée à double tranchant, car sans assez de nourriture et d'énergie, le meurtre de larges pans de la population peut être réalisé sous couvert d'efforts d'urgence pour protéger la population dépendante au détriment de ceux qui se sont préparés à ce type de situation critique. C'est l'utilisation ultime de la propagande qui divise en injectant un instinct de survie psychotique dans l'esprit d'une population déjà effrayée afin d'étouffer l'empathie pour les autres. Ces tactiques sont simplement une guerre psychologique contre la classe prolétarienne dans son ensemble.
La "vaccination'' (injection de poisons), l'introduction d'agents pathogènes par des tests, le contrôle de l'esprit, les verrouillages, le meurtre prémédité, la stérilisation et la peur seront les outils utilisés pour inverser la tendance en faveur de l'État en modifiant artificiellement la biologie humaine, par la manipulation psychologique, par des restrictions et des mandats toujours plus draconiens, et par la terreur parrainée par l'État aux mains de la branche d'exécution du gouvernement. Si le peuple ne se lève pas en masse contre cet assaut, la situation décrite ci-dessus en sera presque certainement le résultat.
À l'heure actuelle, l'élimination délibérée de certains humains, le gène et l'altération de l'esprit chez d'autres, et les grandes campagnes de stérilisation, en particulier dans les pays en développement, devraient être considérées comme un complot évident qui est souhaité et, à certains égards, est déjà en cours. Il est extrêmement difficile de considérer cette partie de la société qui revendique la supériorité sur les autres au point de vouloir pouvoir décider qui vit ou meurt, qui est libre ou esclave, et qui devrait être modifié de force pour être digne d'existence. , en tant qu'êtres humains. Ce sont de simples monstres maléfiques.
L'idée d'eugénisme n'a jamais disparu; il est juste passé dans l'ombre pendant quelques décennies. Mais aujourd'hui, il est à nouveau débattu plus ouvertement, bien que sous un autre nom. Les partisans de l'eugénisme, ceux qui professent la supériorité intellectuelle sur les autres sous une forme ou une autre, sont normalement des gauchistes, des progressistes, des postmodernistes, des néo-marxistes, des mondialistes ou des politiciens puissants qui ne cachent plus beaucoup de leurs points de vue. Ils comprennent des professeurs d’université, des scientifiques, des technocrates, des responsables d’organisations et d’institutions «de santé», ainsi que les prétendues «élites» et leurs fondations exonérées d’impôt qui tentent de remettre le monde à leur goût. Bill Gates, par exemple, vient immédiatement à l'esprit, mais il y en a beaucoup, et ces types occupent des positions puissantes aux États-Unis et dans le monde entier.
RépondreSupprimerLa promotion et l'avancement de certaines exterminations humaines, du développement transhumain et de la stérilisation massive peuvent être accomplis de nombreuses manières, et je dirais que cela se produit déjà dans une certaine mesure maintenant. Les `` vaccinations '' altérant les gènes, la destruction du système immunitaire, l'insertion de nanoparticules, les implants de puces, les technologies d'ondes radio, la libération d'armes biologiques, les techniques psychologiques d'isolement et de déshumanisation, la famine et la circulation des aliments OGM ne sont que quelques-uns des moyens de modifier la biologie humaine ou tuer les dissidents et les indésirables. Ce n’est pas de la science-fiction et ce n’est pas non plus tiré par les cheveux. C'est maintenant une réalité.
À mon avis, un nombre plus élevé de décès se produira avec le temps, en particulier pour ceux qui prennent cette injection toxique faussement appelée «vaccin». Des mois à partir de maintenant raconteront l'histoire, et ce ne sera pas une belle image. La solution est la désobéissance totale et la dissidence du plus grand nombre. Personne ne peut faire en sorte que cela se produise, sauf chaque individu, mais plus il y a de refus d'obtempérer, meilleures sont nos chances de survivre à cette guerre planifiée contre l'humanité.
Source links: Here, here, here, here, here, here, and here.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/gary-d-barnett/eugenics-is-alive-and-well-and-the-covid-19-scam-is-the-engine-for-accomplishing-depopulation/
Après la totalité des pays chemtraillés et les faux vaccins aux nano-particules voire qu'arrive la 5G !
SupprimerL'épidémie de COVID frappe deux navires de guerre de la marine déployés au moyen-orient
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 26 FÉV 2021 - 23:20
Dans ce qui semble être une répétition de la saga d'épidémie de coronavirus USS Theodore Roosevelt du printemps dernier qui a conduit au limogeage de son commandant qui a sifflé la mauvaise gestion du Pentagone, et à la démission de pas moins que le secrétaire à la Marine, il y a maintenant deux États-Unis. navires de guerre qui ont été touchés par des épidémies de COVID-19 lors de patrouilles dans les eaux régionales du moyen-orient.
Les deux seraient maintenant de retour au port de Bahreïn pour gérer la crise émergente, selon l'Associated Press vendredi. "Une douzaine de soldats à bord de l'USS San Diego, un quai de transport amphibie, ont été testés positifs au COVID-19, a déclaré le commandant Rebecca Rebarich, porte-parole de la 5e flotte basée à Bahreïn", rapporte AP.
De plus, le croiseur lance-missiles USS Philippine Sea qui a également été déployé dans les régions du golfe et de l'océan Indien a "confirmé plusieurs cas de COVID-19", selon le communiqué de la 5e flotte. Ceci sur environ 380 marins à bord. Le San Diego est le plus grand des deux, avec près de 600 marins et Marines.
"Tous les cas positifs ont été isolés à bord, et les (navires) restent dans une bulle COVID restreinte", a déclaré le commandant Rebarich. "La visite du port et le soutien médical ont été coordonnés avec le gouvernement du pays hôte et le ministère de la Santé de Bahreïn."
Pendant une grande partie de l'été qui a suivi la crise majeure de l'épidémie de porte-avions USS Theodore Roosevelt qui a vu plus de 1000 marins testés positifs - dont un mort - un certain nombre de navires de guerre ont opté pour des séjours prolongés en mer - évitant les escales dans les ports afin de maintenir l'isolement naturel d'une exposition potentielle. sur terre.
Cependant, il y a eu depuis un sentiment de reprise des protocoles de déploiement «normaux», bien qu'avec des mesures d'hygiène et de distanciation accrues, et ce que la marine a appelé des efforts «d'atténuation agressifs» pour combattre le virus.
Pendant ce temps, plus tôt ce mois-ci, le Roosevelt lui-même était de retour dans les nouvelles liées à la pandémie après qu'au moins trois marins aient été testés positifs au COVID-19. Le petit groupe d'infections a été découvert lors de tests de surveillance «aléatoires» pour le virus. Il n'en reste pas moins que la majorité des cas dans la marine sont asymptomatiques, ce qui explique pourquoi l'armée mène si régulièrement des tests de surveillance à grande échelle.
https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-outbreak-hits-two-navy-warships-deployed-middle-east
La mer est UN OCÉAN DE VIRUS !
SupprimerRemontés par les gaz exsudés des millions (milliards ?) de sources chaudes aux planchers maritimes & océaniques, les nano-particules radioactives durant 3 semaines (dont les poissons les respirent et s'en nourrissent) remontent à la surface ou les seconds touchés sont forcément les marins.
Donc: le poisson frais est forcément porteur de virus.
La vitamine B6 peut réduire les tempêtes de cytokines de Covid
RépondreSupprimerPeut-être qu'une quantité suffisante de vitamine B6 réduira les décès
February 27th, 2021
Les deux principales choses qui tuent les personnes atteintes de Covid sont la coagulation sanguine et une inflammation incontrôlable connue sous le nom de tempête de cytokines. Un groupe de chercheurs a remarqué que ces deux facteurs étaient connus pour réduire la vitamine B6: la coagulation sanguine et l'inflammation. En particulier, il y a une molécule appelée Interleukine 6 qui est un signal «maître» dans notre système immunitaire et - que savez-vous - B6 le réduit. Les souris qui n’ont pas été suffisamment nourries de B6 ont plus de pneumonie de souris que les souris suffisamment nourries. B6 est anti-inflammatoire, anti- et réduit les espèces réactives de l'oxygène (ROS).
Le grand trou noir de la recherche médicale ?
J'espérais que cet article était un rapport sur des expériences avec des patients Covid, mais l'article et le communiqué de presse sont essentiellement une revue de la littérature de nombreuses études pré-covid et un plaidoyer pour la recherche pour savoir si la vitamine B6 pourrait aider à arrêter la tempête mortelle des cytokines.
La plus grande question mondiale qu’ils ne posent pas est la suivante: pourquoi, malgré les millions (milliards) consacrés à la conception de vaccins et à la recherche sur les médicaments, presque personne n’étudie les questions évidentes et peu rentables? Peut-être avons-nous besoin de recherches financées par le gouvernement qui ne sont pas motivées par les profits… oh. attendre.? Qu'est-il arrivé à l'idée que la science universitaire financée par l'État pourrait être un contrecoup contre les grandes entreprises avides de profit? Au lieu de cela, c'est presque comme s'ils avaient sauté dans le lit avec eux. Ce n’est pas une idée radicale que B6 pourrait réduire les infections pulmonaires. L'étude sur la souris, Forgoodnesssake, a été réalisée en 1949. Potentiellement, les gens sont peut-être devenus plus malades que nécessaire depuis 70 ans. C’est un crime.
Un comprimé B6 coûte environ 7 cents ou pratiquement rien comparé à 3000 $ la dose de Remdesivir.
Excellent commentaire, Mike Jonas:
Le monde occidental est détruit par une maladie - la corruption. Le coronavirus est mauvais, mais il est insignifiant à côté de la corruption. Le coronavirus peut être combattu avec un vaccin ou avec des vitamines ou avec divers médicaments bon marché (obtenez une prescription d'inhalateur de budésonide maintenant, prenez comme indiqué dès que vous obtenez un symptôme de coronavirus).
La corruption peut être combattue avec une presse libre ou avec de véritables universités ou avec intégrité au sein du gouvernement, ou même avec des médias sociaux ouverts. Nous n'avons actuellement aucune de ces défenses.
RépondreSupprimerLes chercheurs font valoir qu'une carence en B6 est également associée à de nombreuses conditions qui prédisposent les gens à une covid-19 sévère
La vitamine B6 peut aider à éloigner les tempêtes de cytokines du COVID-19
par Chris Melore
En plus de favoriser la création de cellules sanguines saines, les auteurs de l'étude affirment qu'il existe des preuves que la vitamine B6 peut également protéger le corps contre les maladies chroniques telles que les maladies cardiaques et le diabète. Leur rapport révèle que B6 peut supprimer l'inflammation, les protéines inflammatoires du système immunitaire, le stress oxydatif et le stress carbonyle.
«Les coronavirus et la grippe font partie des virus qui peuvent causer des lésions pulmonaires mortelles et la mort par syndrome de détresse respiratoire aiguë dans le monde. Les infections virales évoquent une «tempête de cytokines», conduisant à une inflammation des cellules endothéliales capillaires pulmonaires, à une infiltration de neutrophiles et à une augmentation du stress oxydatif », expliquent les chercheurs.
Kumrungsee ajoute qu'il existe deux symptômes graves pouvant entraîner la mort chez les patients atteints de COVID-19, la thrombose et la tempête de cytokines. Cette tempête, ou hyperinflammation, se produit lorsque le système immunitaire du patient entre en surmenage et attaque les cellules saines. La thrombose, ou coagulation sanguine, peut bloquer les capillaires et endommager des organes comme le cœur, les poumons, le foie et les reins.
Les scientifiques disent que la vitamine B6 est un nutriment naturel anti-inflammatoire et anti-coagulation.
La vitamine B6 est impliquée dans environ 150 réactions dans votre corps impliquant l'énergie, la graisse, le sucre, l'ADN, les neurotransmetteurs - vous voyez l'idée. Il existe six formes différentes de B6 (les choses ne sont jamais aussi simples en biochimie). Il est préférable de rechercher la forme PLP de B6, et non la forme multivitaminée bon marché «Pyridoxine».
B6 peut aider ou non avec Covid, mais c'est une expérience qui vaut la peine d'être faite. B6 semble jouer un rôle dans la protection contre le diabète et le cancer et les maladies cardiaques. Il aide à réguler les niveaux d'homocystéine. Même si cela n'aide pas contre Covid, cela semble assez pratique.
Vous ne vous souvenez pas de vos rêves ? - si ce n’est pas le cas, essayez B6.
Le mieux est de manger plus, plutôt que de simplement prendre une pilule, mais les personnes souffrant d'inflammation intestinale, d'IBS, de femmes sous pilule ou de cortiocostéroïdes à long terme et les alcooliques ont besoin de plus de B6 que les autres. Les aliments les plus riches en vitamine B6 sont le saumon et le thon, la viande, les pommes de terre, les épinards et les bananes.
La RDA est d'environ 2 mg par jour. La limite supérieure de l'ingestion tolérable est fixée à 100 milligrammes par jour. L'utilisation à long terme de 500 mg par jour génère une toxicité. Il est rare de voir des personnes présentant une carence grave - les personnes atteintes ont des crises convulsives, mais des carences modérées ou légères semblent également avoir une importance. Chris Masterjohn recommande une dose de rattrapage si vous pensez que vous pourriez être déficient, mais pour le long terme, réduire la dose à 10 mg / jour.
RépondreSupprimerPour les symptômes d'une carence légère - voir ici. Le test, apparemment, consiste simplement à prendre la vitamine et à voir si cela aide.
REFERENCE
Kumrungsee T, Zhang P, Chartkul M, Yanaka N and Kato N (2020) Potential Role of Vitamin B6 in Ameliorating the Severity of COVID-19 and Its Complications. Front. Nutr. 7:562051. doi: 10.3389/fnut.2020.562051
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnut.2020.562051/full#B21
https://joannenova.com.au/2021/02/vitamin-b6-may-reduce-the-cytokine-storms-of-covid/#more-76255
Une pédopsychiatre s’alarme sur la santé mentale des jeunes à cause de la pandémie
RépondreSupprimer13:49 27.02.2021
Une pédopsychiatre a exprimé ses préoccupations auprès d’Europe 1 sur la santé mentale des plus jeunes, lesquels sont affectés par la crise sanitaire et les restrictions en cours. Elle a ainsi constaté la saturation des services de pédopsychiatrie.
La situation alarmante des services de pédopsychiatrie liée aux mesures anti-Covid a été évoquée le 27 février par Angèle Consoli, première pédopsychiatre du Conseil scientifique, invitée sur Europe 1.
«Le système en pédopsychiatrie était déjà très saturé, là c’est extrêmement difficile de trouver ne serait-ce qu’une place d’hospitalisation», a-t-elle déclaré.
Selon elle, les confinements successifs ont eu un effet délétère sur la santé mentale des plus jeunes, provoquant une forme de lassitude virant parfois aux troubles psychologiques.
«En pédopsychiatrie, on a vu une augmentation majeure des demandes de soins, des passages en urgence, des indications d’hospitalisations», a précisé Mme Consoli.
Elle a souligné que les mois d’octobre et novembre avaient été particulièrement difficiles.
Une «lueur d'espérance»
À cause de ces problèmes, la pédopsychiatre a invité les adultes à expliquer «avec des mots simples» la situation aux plus jeunes.
En outre, alors qu’elle s’inquiète que des confinements locaux puissent à nouveau provoquer des «moments difficiles» dans certaines régions, elle a supposé que quelques faits prêtaient à l’optimisme. Elle estime ainsi que la vaccination «est une porte de sortie» et que le printemps pourrait donner l’opportunité de respirer.
Il a fallut un an pour s'en apercevoir !!
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