Bientôt un ''Hold'Up II'' ?
Pourquoi un scientifique n'est pas interrogé par un autre scientifique ?
https://www.youtube.com/watch?v=rI3Q1OnME-k&feature=emb_rel_end
Bientôt un ''Hold'Up II'' ?
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L'épidémie mortelle de Candida imputée au COVID, l'OMS admet l'accumulation de gaz carbonique au masque et le rôle du gouvernement américain dans le chaos du Myanmar
RépondreSupprimerle 21 février 2021
Ryan Cristián
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(https://www.bitchute.com/channel/24yVcta8zEjY/)
https://www.thelastamericanvagabond.com/lethal-candida-outbreak-blamed-on-covid-who-admits-co2-mask-buildup-us-gov-role-in-myanmar-chaos/
S'engouffrant dans la débilité de Gretamoilescouilles (qui dit 'voir le gaz carbonique' !) voici LE masque anti gaz carbonique !
SupprimerLe NIH dit que «les masques humides sont bons pour vous», Patreon menace le TLAV de supprimer les informations COVID ou sinon & Hank Aaron
RépondreSupprimerle 18 février 2021
Ryan Cristián
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Les masques entraînent une pneumonie bactérienne, un muguet buccal, une inflammation systémique et peuvent être la cause du COVID «longue distance»
RépondreSupprimerle 16 février 2021
Ryan Cristián
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https://www.thelastamericanvagabond.com/masks-lead-to-bacterial-pneumonia-oral-thrush-systemic-inflammation-may-be-the-cause-of-long-haul-covid/
Le CDC chinois déclare qu'il "n'a pas isolé" COVID-19, GameStop Fiasco, revisiter les masques et la pneumonie bactérienne
RépondreSupprimer28 janvier 2021
Ryan Cristián
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D'où l'IMPOSSIBILITÉ de sortir un vaccin !
SupprimerL'OMS modifie tranquillement la définition de «l'immunité des troupeaux» dans un étonnant affichage de l'ingénierie sociale orwellienne
RépondreSupprimer24 décembre 2020
Ryan Cristián
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La première victime du Texas-Freeze: Just Energy Implose, Problèmes d'alerte de continuité
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 22 FÉVRIER 2021 - 8:59
Les actions de Just Energy se sont effondrées de plus de 21% sur le pré-marché après que la société a publié une déclaration sur les fortes pertes subies pendant les tempêtes hivernales qui ont balayé le Texas la semaine dernière, mettant en garde contre les doutes quant à la continuité d'une "entreprise en exploitation'' (traduction: elle pourrait ne pas survivre).
«L'impact financier pourrait changer à mesure que des informations supplémentaires deviendraient disponibles», a-t-il déclaré dans le communiqué.
«Par conséquent, l’impact financier de l’événement météorologique sur la société, une fois connu, pourrait être considérablement défavorable à la liquidité de la société et à sa capacité à poursuivre son exploitation.»
Just Energy a atteint un niveau record (4,05 $) dans le commerce avant commercialisation depuis son introduction en bourse en 2002 ... et a culminé au-dessus de 600 $ en 2007.
- voir graphique sur site -
Le fournisseur d'énergie de détail spécialisé dans l'électricité et le gaz naturel, les options d'énergie renouvelable et les compensations de carbone a révélé qu'il avait perdu 250 millions de dollars en raison du dernier «événement météorologique» du Texas.
"Les prix élevés qui ont persisté du 13 février 2021 au 19 février 2021, au cours desquels les prix du marché en temps réel ont été artificiellement fixés à 9000 USD / MWh pendant une grande partie de la semaine, il est probable que l'événement météorologique ait entraîné un impact financier pour la société. "
Sur la base des informations actuelles dont dispose l'entreprise au moment de la publication de ce communiqué de presse, l'entreprise estime que l'impact financier de l'événement météorologique sur l'entreprise pourrait être une perte d'environ 250 millions USD (environ 315 millions USD), mais l'impact pourrait changer à mesure que des informations supplémentaires deviennent disponibles pour l'entreprise », a déclaré Just Energy.
La société a averti que l'impact important pourrait entraîner des problèmes de «liquidité» et a émis des doutes sur sa capacité à continuer à fonctionner. Il discute actuellement avec les principales parties prenantes de l'impact de l'événement météorologique de la semaine dernière.
Comme nous en avons discuté pour la première fois il y a plus d'une semaine, et bien avant que l'étendue du gel du Texas ne soit révélée (voir "Energy Trader: We Officially Hit" Holy S * it Levels "), les mouvements extrêmes de natgas ont attiré beaucoup d'énergie et les compagnies d'électricité sont hors-jeu, et Just Energy pourrait bien être la première causalité de l'événement météorologique de la semaine dernière.Dans les prochains jours, davantage d'entreprises d'énergie pourraient publier des déclarations sur des pertes importantes.
RépondreSupprimer"Nous devrons voir quels types de défauts remontent à la surface", a encore déclaré John Kilduff de Capital, et à partir de ce moment, nous attendons de voir qui d'autre s'est noyé dans la "vague de voyous".
https://www.zerohedge.com/commodities/first-texas-freeze-casualty-just-energy-implodes-issues-going-concern-warning
Il ne faut pas confondre 'perte avec 'manque à gagner' ! Le plus gros manque à gagner sont les abonnés qui n'ont rien reçu alors que sur les factures est mentionné 'fournisseur' !
SupprimerLe gel de l'énergie au Texas démontre la folie politique du climat
RépondreSupprimerPar Larry Bell
21 février 2021
Le Texas vient d'envoyer un message très effrayant au reste du pays sur ce que vous attendez de votre vie avec le plan «Build Back Better» du président Biden, AKA, «Green New Deal», afin de sauver la planète de la surchauffe.
Il semble qu'il a déjà dépassé cet objectif.
Une explosion inhabituelle dans l'Arctique qui s'est répandue dans tout l'État de la pointe de la Panhandle jusqu'à la vallée du Rio Grande a laissé des millions de foyers et d'entreprises ici sans électricité.
Une série de coupures de courant forcées ont été nécessaires pour empêcher l'effondrement du réseau électrique, car des températures à un chiffre ont gelé les éoliennes et entravé des dizaines de centrales électriques.
Comment cela pourrait-il arriver ici au Texas ?
Ce n'est pas censé être la Californie, après tout, où la dépendance excessive à l'énergie éolienne et solaire a déstabilisé le réseau lors d'une vague de chaleur record en 2020.
La Californie est déjà en tête du pays avec le système électrique le moins fiable et le plus grand nombre de pannes annuelles… 4 297 ont été enregistrées entre 2008 et 2017. Et les conditions ne feront que s'aggraver car l'État exige désormais que toutes les nouvelles maisons soient presque entièrement électriques.
Plus de 30 villes, dont San Francisco, ont déjà interdit les nouveaux branchements d'appareils à gaz. La Californie prévoit d'interdire à terme les voitures à essence et diesel.
Hé vous tous… c'est le Texas, une terre de mecs beaucoup plus avertis dans un État réputé à juste titre pour être inondé d'énormes ressources de pétrole et de gaz naturel.
Le Texas n'est pas un endroit où nous, qui vivons ici, nous inquiétons généralement de mourir de froid en raison d'un manque d'énergie fossile et nucléaire fiable pour chauffer nos maisons ... contrairement aux latitudes nordiques qui deviennent régulièrement très froides avec des lignes électriques givrées en panne.
Alors, en plus d'enregistrer des températures basses, qu'est-il arrivé à changer cela ?
Je suppose que nous nous sommes un peu trop réveillés.
L'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT), qui supervise le marché de gros de l'électricité de l'État, a déplacé la dépendance du réseau du charbon, du nucléaire et du gaz naturel fiables vers une énergie éolienne fortement subventionnée par les contribuables (pas de déjeuner gratuit ici).
Cette production éolienne constitue désormais la deuxième plus grande source d'énergie électrique au Texas. Selon ERCOT, il représentait 23 % de l'approvisionnement de l'État l'an dernier, derrière le gaz naturel qui représentait 45 %.
RépondreSupprimerAu cours de la dernière décennie, des réglementations strictes en matière d’émission de gaz carbonique ont fait chuter de plus de moitié la part du charbon dans l’électricité du Texas, pour en fournir 18 %.
Une panne d'électricité s'est ensuivie, alors que des conditions humides et froides ont provoqué le gel des éoliennes dans l'ouest du Texas en même temps que les résidents ont fait monter leurs thermostats. Les régulateurs ont fait ce qu'ils pouvaient pour protéger la sécurité publique en rationnant le gaz à des fins commerciales et industrielles afin d'assurer le combustible des centrales électriques et du chauffage domestique.
Certaines têtes de puits de gaz naturel ont également gelé, ainsi que des installations de raffinage à certains endroits, purgeant à leur tour le gaz naturel nécessaire aux turbines qui fournissent une puissance de réserve de secours essentielle pour - au mieux intermittente - les sorties éolienne et solaire.
Et qui aurait pu imaginer ce qui s'est passé ensuite ?
Le prix au comptant de l'électricité en gros sur le réseau électrique du Texas a grimpé de plus de 10 000%, dépassant les 9 000 dollars le mégawatt-heure. Même pendant les mois d'été à forte demande, 100 $ par MWh seraient considérés comme élevés.
À la réflexion, peut-être que le Texas et tous les autres États auraient pu anticiper une grande partie de cela sur la base de l’expérience de l’Allemagne «Energiewende» (transition énergétique), une politique établie en 2000 pour décarboner son approvisionnement en énergie primaire.
Lorsque le programme a été lancé pour la première fois, 6,6% de l’électricité allemande provenait de sources renouvelables, principalement solaires et éoliennes. En 2019, près de deux décennies plus tard, cette part avait atteint 41 %.
En 2019, les coûts d'électricité moyens des ménages allemands au cours de la même période ont doublé pour atteindre 34 cents américains par kilowattheure. (Comparez cela avec 22 cents le kWh en France et 13 cents aux États-Unis.)
Les maigres conditions d’approvisionnement en énergie renouvelable se sont dramatiquement aggravées cet hiver, le temps le plus froid de l’Europe occidentale depuis une décennie ayant recouvert des millions de panneaux solaires allemands de neige et de glace et rendu 30 000 de ses éoliennes inactives. Cela a laissé la plus grande partie de l'énergie vitale provenant du charbon.
En janvier, le réseau de radiodiffusion public allemand RBB (Berlin-Brandebourg) a diffusé un rapport qui résume les conséquences de la fermeture continue des capacités de charbon et d'énergie nucléaire du pays en faveur de l'ajout de ces «alternatives vertes renouvelables».
Harald Schwarz, professeur de distribution d'énergie à l'Université de Cottbus, est allé droit au but en disant: «die gesicherte leistung von wind + sonne = 0», ce qui signifie:
RépondreSupprimer"La puissance garantie vent + soleil = 0."
Pour être plus charitable envers ces énergies renouvelables, le bénéfice réel se situerait entre zéro et deux ou trois pour cent.
L’émission RBB a poursuivi en avertissant que la tentative futile de l’Allemagne de remplacer l’énergie nucléaire et au charbon fiable par l’énergie éolienne et solaire élargirait dangereusement l’écart entre l’offre et la demande.
La tendance actuelle laisse l'Allemagne sans réelle alternative pour l'avenir, mais à compter davantage sur le gaz naturel de la Russie, l'énergie du charbon de la Pologne et l'énergie nucléaire de la France.
Et qu'en est-il de l'Amérique, où l'éolien et le solaire combinés fournissent, au maximum, environ 4% de notre réseau électrique (pas l'énergie totale), contre environ 80% à partir d'hydrocarbures?
Le programme de 2 billions de dollars Biden «Equitable Clean Energy Future» s'engage à éliminer ces émissions d'hydrocarbures provenant de l'électricité d'ici 2035, puis à atteindre un «carbone nul net» d'ici 2050.
Pour prouver qu'il est sérieux, lors de son tout premier jour dans le bureau ovale, le président Biden a plafonné le pipeline Keystone XL à la frontière canadienne avec environ 11000 emplois et 830 000 barils de pétrole par jour qu'il aurait livrés, qui doit maintenant être transporté par Rail et camions émettant du gaz carbonique.
En plus de décimer notre infrastructure actuelle d'approvisionnement en énergie, le plan est que les contribuables financent un demi-million de chargeurs de voitures électriques à travers le pays et ajoutent un nombre énorme de véhicules électriques assoiffés d'électricité pour accentuer davantage les capacités déjà précaires.
Avant de participer à cette crise climatique de folie provoquée par l'homme, exigez de savoir d'où proviendra suffisamment d'énergie et à quel coût économique et social pour climatiser des maisons d'hiver entièrement électrifiées au Texas et en Nouvelle-Angleterre - et recharger des millions de prises. -dans les véhicules - les jours et les nuits nuageux sans vent - en particulier pendant les inévitables périodes de demandes météorologiques extrêmes.
https://www.cfact.org/2021/02/21/texas-power-freeze-down-demonstrates-political-climate-craziness/
Ajoutez encore un autre aspect à l'assaut sur le gel profond du Texas
RépondreSupprimerPar Joe Bastardi
19 février 2021
Les combustibles fossiles sont maintenant également accusés pour la situation au Texas d'ajouter au changement climatique et à l'étranglement mondial. Il n'y a rien que ces gens n'utilisent pas la nature et les événements naturels. Alors, allons encore plus loin ici.
Le froid AVANT les 5 jours du pire événement météorologique hivernal de l'histoire du Texas que je vantais (puisque je l'ai dit bien avant, je sens que je peux y faire référence) était un gros problème. Les modèles informatiques étaient bien trop chauds avant tout cela. Si votre système s'appuie sur ces modèles pour l'estimation de la charge et que personne ne vous dit à quel point ces chiffres sont déconnectés, alors devinez ce qui va se passer ? J'ai eu une conversation avec des clients la semaine dernière qui sont des météorologues et nous avons été stupéfaits de voir à quel point les modèles étaient mauvais, même à 6 heures de route.Quand un mannequin dit qu'il va avoir 40 ans et qu'il en fait 30 dans un endroit comme Dallas, vous ne pouvez qu'imaginer quel genre d'implications cela a pour la demande. Faites-le sur plusieurs jours et lorsque la pire période de 5 jours de temps hivernal frappe, comme nous le proclamions bruyamment depuis le milieu de la semaine dernière à quiconque voudrait écouter (ce n'est pas le quart-arrière du lundi matin. Nos publications sur Weatherbell.com et autant comme je peux sur Twitter décrivaient le désastre imminent, et d'ailleurs il était ridiculisé dans certains cercles) et il y aura effectivement un désastre.
Blâmer un aspect quelconque et essayer de marquer des points politiques est une erreur. Voici 5 points pour montrer pourquoi vous ne pouvez pas simplement dire cela, et soit vous ne le savez pas, soit vous le savez et vous essayez de tromper les gens. Le fait est que s'il y avait une préparation, que j'appelais bruyamment depuis plusieurs jours auparavant, faisant écho publiquement à ce que nous disions à nos clients et abonnés, nous aurions pu mieux atténuer les effets.
1) La demande a claqué deux fois au Texas: la consommation de gaz provenant de la production d'électricité s'est envolée pour répondre à la demande d'électricité qui montait en flèche, alors que la demande de gaz naturel était en plein essor pour le chauffage domestique.
2) Il y a eu des gels de puits de gaz naturel dans tout l'État du Texas et la production d'électricité à partir de l'énergie éolienne a également connu une baisse importante. Contrairement à la production éolienne dans le nord, l'énergie éolienne du Texas n'est pas équipée pour un froid intense et les turbines peuvent geler. C'est une situation terrible car au cours de la dernière décennie, le Texas est devenu le leader de la production d'énergie éolienne. Il aurait dû y avoir des réponses en place pour cela. Encore une fois des préparatifs avec du matériel et des fournitures, même si ce sont des hélicoptères pulvérisant les turbines, à l'avance.
Ce tweet datait du 10 février
RépondreSupprimerAjoutez encore un autre aspect à l'assaut sur le gel profond du Texas
Cela du 10
Ajoutez encore un autre aspect à l'assaut du Texas Deep Freeze 1
Vous ne pouvez pas être plus extrême si longtemps à l'avance.
Ce tweet date du 12 février
Ajoutez encore un autre aspect à l'assaut du Texas Deep Freeze 2
De toute évidence, aucun équipement de lutte contre la neige ou de dégivrage n'a été expédié vers le sud du Texas dans le cadre d'une préparation massive avant l'épidémie. Il n'y avait rien du gouvernement fédéral, c'est pourquoi il est si riche de les voir maintenant blâmer les combustibles fossiles pour cela. Ceux qui vivent dans des maisons de verre ne doivent pas jeter de pierres. La stratégie est après que cela se soit produit, de blâmer le changement climatique et les combustibles fossiles. Eh bien, si vous saviez que cela se produirait, pourquoi ne pas intervenir en premier. Soit vous vouliez que cela se produise pour pouvoir attribuer le blâme, soit vous n'aviez aucune idée de ce qui allait se passer.
Je n'ai entendu aucun commentaire du président avant que cela n'arrive, et je n'en ai entendu aucun après, bien que les commentaires de son porte-parole aient inspiré cette réponse.
3) En raison de la demande intense, les pipelines de toute la région imposaient des ordres de flux opérationnels (OFO) à faible inventaire et déclaraient un cas de force majeure partout ces derniers jours. Un OFO est un ordre du gazoduc où les minimums de gaz doivent être respectés afin que le pipeline puisse maintenir son intégrité opérationnelle et structurelle.
4) Ensuite, il y a eu le problème de l'incapacité du gaz naturel à circuler efficacement vers les plaques tournantes du marché. Avant l'administration Obama et avant l'imposition de `` mandats d'air pur '', la plupart des stations de compression et de compression de gaz naturel, qui acheminent le gaz naturel dans le pipeline, étaient auto-alimentées au gaz et auto-alimentées, tirant du gaz du pipeline lui-même pour faire fonctionner le gazoduc. station de compression. Cependant, après l’imposition de mandats écologiques / renouvelables dans de nombreuses régions du pays, de nombreuses stations de compression de gaz naturel sont devenues «alimentées à l’électricité». Cela a créé une boucle négative en termes de fiabilité car
chaque fois que l’électricité venait à être coupée, les stations de compression ne pouvaient pas acheminer le gaz naturel le long du pipeline vers les groupes électrogènes. Vous avez besoin de gaz naturel livré aux générateurs d’électricité pour produire de l’électricité, mais ils n’ont pas pu l’acheminer parce que l’électricité était coupée.
5) En raison du gel des puits, la production de gaz naturel est passée de près de 90 Gpi3 / jour à un peu moins de 70 Gpi3 / jour, soit le niveau le plus bas en plus de 3 ans.
RépondreSupprimerComme je l'ai dit, une combinaison d'événements, mais tout aurait pu être atténué avec une préparation avant l'événement. C'est ce que fait mon entreprise, conseiller les gens sur ces situations à l'avance, le pourquoi avant le qu'est-ce que nous faisons, pas du doigt après l'événement.
Laisse moi être clair. JE NE SUIS PAS ANTI-RENOUVELABLE. J'adore prévoir les énergies renouvelables car c'est un défi énorme, et je suis un accro aux défis. Mais je suis pro la vérité. Les énergies renouvelables, comme le climat et la météo, sont désormais un pion dans un jeu où tromperie et ignorance (le fait est que les gens se font dire des demi-vérités ou des choses dont ils ne sont pas conscients, ou peut-être même que le messager n'est pas au courant, comme un moyen de fin) sont 2 tactiques utilisées. C'est ce que fait la gauche et très bien. Armez les événements dans une fausse guerre climatique, pour pousser un point qui n'a rien à voir avec l'aide aux gens et tout à voir avec un autre agenda.
Je ne suis pas journaliste et je ne veux pas non plus l'être. Mais étant donné les déclarations publiques bruyantes faisant écho à la position sans équivoque que mon entreprise prenait jusqu'à présent, je pense que j'ai mérité la chance de parler à ce sujet. Il y a 5 points en haut (6 si vous comptez l'aspect météo et préparation), c'est le tableau global qui compte. Comme la météo et le climat, rien ne mène à un événement, mais c'est le tableau global. Et l'image globale n'est pas présentée ici. Et il y a de nombreuses raisons pour que les gens jouent à un jeu de blâme après coup pour regarder dans le miroir ce qu'ils auraient pu faire avant que cela ne se produise.
https://www.cfact.org/2021/02/19/add-yet-another-aspect-to-the-assault-on-the-texas-deep-freeze/
Radical Deb Haaland sur le pont pour le département intérieur.
RépondreSupprimerPar Peter Murphy
21 février 2021
Je ne soutiens pas le Green New Deal.
- Le candidat Joe Biden lors du premier débat présidentiel, le 29 septembre 2020.
J'ai menti !
- Le président élu Joe Biden, en nommant la membre du Congrès Deb Haaland au poste de secrétaire à l'Intérieur, le 17 décembre 2020.
Une seule de ces déclarations a été prononcée publiquement par Joe Biden, aujourd'hui président des États-Unis. C'était le premier, à 84 millions de personnes, quand il a nié avoir soutenu le Green New Deal.
La dernière déclaration ci-dessus est inventée, mais elle décrit avec précision la stratégie de M. Biden avec le public américain quand ils se concentraient sur la campagne présidentielle au moment du débat.
Cette citation lapidaire, «J'ai menti», est un décollage d'un célèbre titre en première page du New York Post en 1990 lorsque le président de l'époque, George H.W. Bush a rompu sa promesse de ne pas augmenter les impôts. Dans ce cas, il a fallu 17 mois à M. Bush en tant que président avant de se féliciter; dans le cas de M. Biden, il a fallu 34 jours avant qu’il ne devienne président.
En quoi une nomination constitue-t-elle un reniement à une promesse électorale ou à une position? La représentante démocrate Deb Haaland soutient sans vergogne l'absurdité socialiste qu'est le Green New Deal, s'oppose à l'hydro-fracturation pour le gaz naturel et s'oppose au Dakota Access Pipeline qui transporte près de 600 000 barils de pétrole aux consommateurs américains. En tant que secrétaire de l'intérieur, elle serait en mesure de couper l'approvisionnement domestique en énergie.
La nomination d'un radical climatique comme le représentant Haaland à ce poste de haut niveau a démenti les assurances de campagne du président Biden, y compris ses déclarations répétées de soutien à la fracturation hydraulique pour s'assurer qu'il remporte le champ de bataille central de la Pennsylvanie riche en schiste.
«La fracturation est un danger pour l'air que nous respirons et l'eau que nous buvons», a écrit Mme Haaland en 2017. Ni l'un ni l'autre n'est vrai, c'est pourquoi l'administration Obama-Biden a autorisé la fracturation à proliférer au cours des huit années précédentes. De nombreuses études ont confirmé la santé et la sécurité de la fracturation hydraulique, ainsi que ses avantages économiques, tandis que d'autres études et activistes affirmant le contraire ont été discrédités. L'utilisation accrue de gaz naturel provenant de la fracturation a permis aux États-Unis de réduire chaque année les émissions de gaz à effet de serre de 2 % en 2019 et dans l'ensemble au cours des 15 dernières années.
Certains sénateurs républicains américains ont exprimé leur inquiétude face à la nomination du représentant Haaland, notamment Steve Daines du Montana et John Coryn du Texas. Les préoccupations de la sénatrice Coryn au sujet de son opposition aux pipelines et à la fracturation hydraulique sont particulièrement opportunes puisque son État, qui abrite 60% de l’énergie éolienne du pays, vient de rappeler au monde les nombreuses erreurs de l’énergie éolienne. Les tempêtes hivernales ont frappé cette semaine le Texas et le nombre croissant d'éoliennes occupant son paysage a gelé au point que l'État a perdu la moitié de son énergie éolienne.
RépondreSupprimerLes objections à la nomination de Mme Haaland au poste de secrétaire à l’intérieur expliquent précisément pourquoi les militants du climat soutiennent ardemment sa confirmation. Naturellement, les organisations tribales la soutiennent pour le poste de l'Intérieur également en se basant sur l'importance historique du fait qu'elle est la première Amérindienne à être nommée pour un poste au cabinet.
La personne à surveiller maintenant est le sénateur Joe Manchin de Virginie-Occidentale, le président démocrate du Comité de l’énergie et des ressources naturelles qui tiendra des audiences (toujours non programmées) sur la nomination du représentant Haaland. Les industries du charbon et de la fracturation hydraulique restent vitales pour l’économie de son État d’origine - des sources d’énergie qui sont dans le collimateur de Deb Haaland et de l’administration Biden.
Le sénateur Manchin s'est un jour prononcé avec force contre le Green New Deal si adopté par le représentant Haaland, et il s'est opposé à d'autres programmes climatiques tels que la législation sur le plafonnement et le commerce. En tant que président, il pouvait à lui seul tuer toute nomination devant son comité ou extraire des engagements de l'administration en échange d'approuver la nomination de Haaland.
Le sénateur Manchin a longtemps parlé d'un bon jeu sur les questions énergétiques et contre l'agenda vert, mais jusqu'à présent, il n'était pas en mesure d'influencer les résultats politiques. Aujourd'hui, il pourrait forcer le retrait de l'extrémisme climatique de l'administration Biden. La nomination Haaland est le premier de nombreux tests qui détermineront si sa rhétorique est authentique ou s'il se recroqueville. Pendant ce temps, le sénateur Coryn et d'autres devraient lutter contre cette nomination pour mettre en évidence les conséquences négatives pour les États énergétiques comme la Virginie occidentale, le Texas, la Pennsylvanie et l'ensemble du pays.
La hausse des impôts du président Bush a sans doute contribué à la récession économique légère et éphémère de 1991, qui lui a coûté sa réélection l’année suivante. Les nominations par le président Biden du représentant Haaland et d’autres pour imposer le Green New Deal et réduire les sources d’énergie nationales porteront bien plus de tort à l’économie et au niveau de vie du pays pour les années à venir. Maintenant âgé de 78 ans, une tentative de réélection de Biden dans trois ans est peu probable, peu importe et sans importance.
https://www.cfact.org/2021/02/21/radical-deb-haaland-on-deck-for-interior-dept/
Une science suspecte menace de nouveau l'agriculture américaine
RépondreSupprimerPar Paul Driessen
20 février 2021
L'agriculture américaine moderne a fait des miracles au cours des 70 dernières années. La production agricole conventionnelle par acre et globalement presque triplée, la production de maïs a augmenté de 500 % par rapport à 20% de terres en moins - et les agriculteurs ont utilisé moins d'eau, moins de carburant, moins d'engrais et moins de pesticides et d'autres produits chimiques pour chaque boisseau de nourriture qu'ils récoltaient. Ils ont fait tout cela en utilisant des semences hybrides et génétiquement modifiées, des tracteurs guidés par GPS, des équipements qui peuvent espacer les semences précisément au pouce et appliquer des produits chimiques en quantités adaptées aux caractéristiques du sol qui peuvent changer tous les quelques pieds, et de nombreuses autres avancées de haute technologie.
En utilisant des produits chimiques de lutte contre les mauvaises herbes, ils évitent d'avoir à labourer et briser le sol, protégeant ainsi les organismes du sol, conservant l'humidité du sol, séquestrant le carbone, économisant du temps et du carburant pour le tracteur, permettant ainsi de conserver plus de terres comme habitat faunique au lieu d'être plantées en cultures , et réduire considérablement l'érosion.
Il est donc surprenant et troublant que des groupes écologistes continuent d’attaquer les fondements de ce succès - en particulier les semences OGM et les produits chimiques sûrs, efficaces, testés à plusieurs reprises et constamment contrôlés comme le glyphosate (Roundup) et les pesticides néonicotinoïdes.
Une autre cible à long terme est l'atrazine, utilisée pour empêcher la croissance des mauvaises herbes à feuilles larges et graminées parmi le maïs, le sorgho, le soja et la canne à sucre, sur les terrains de golf et les pelouses, et le long des autoroutes. C'est le deuxième herbicide le plus utilisé, après le glyphosate, et il supprime les mauvaises herbes résistantes au glyphosate. Plus d'une douzaine d'études gouvernementales depuis son introduction en 1958 ont conclu qu'il est sans danger pour les humains, les animaux et l'environnement.
Le Centre pour la diversité biologique et d’autres groupes opposés aux produits chimiques de synthèse ont néanmoins poursuivi l’Agence de protection de l’environnement, affirmant que les espèces en danger n’avaient pas été dûment prises en considération lors du processus d’examen des pesticides. Les tribunaux ont donné à l'EPA un temps limité pour analyser les effets possibles sur les espèces répertoriées et déterminer s'il existe des preuves «modérées» ou «fortes» que les espèces et les habitats figurant sur la liste du Fish & Wildlife Service (FWS) sont «menacés ou en danger» (ainsi que les candidats pour l'inscription) seront probablement tués ou autrement affectés par les herbicides et insecticides couramment utilisés.
Une fois que l'EPA aura terminé son «évaluation biologique» de chaque produit chimique, elle passera le relais au FWS pour des analyses plus approfondies, mais toujours insuffisantes, des effets sur chaque espèce - également dans des délais courts.
RépondreSupprimerConfrontée à une date limite imposée par le tribunal et manquant de données, de financement et de personnel pour des évaluations adéquates de chaque espèce répertoriée, l'EPA a eu recours à l'imagerie satellite, aux données sur les cultures et l'utilisation de l'atrazine à l'échelle de l'État, aux modèles informatiques, aux algorithmes, aux extrapolations et aux meilleures estimations - ainsi qu'aux études de toxicité disponibles de rats, hamsters, autres animaux de laboratoire et plantes testés pour l'efficacité du produit chimique de lutte contre les mauvaises herbes de prélevée. Les données n'étaient pas disponibles (ou n'ont pas été utilisées) au niveau du comté, et certainement pas au niveau de la ferme ou de l'habitat.
Il a produit un document affirmant que 1013 espèces et 328 habitats en voie de disparition ou menacés sont «susceptibles d'être affectés» par la rencontre d'une manière ou d'une autre d'atrazine, si elle est pulvérisée par inadvertance sur eux, de petites quantités «dérivent» dans leurs habitats, ou des animaux errent dans une cour pulvérisée. , champ fermier ou terrain de golf.
Ces chiffres représentent la plupart des espèces en voie de disparition ou menacées et des habitats critiques dans la zone continentale des États-Unis. Les chiffres auraient été plus élevés, sauf que, comme le note l'EPA, les fabricants d'atrazine «se sont engagés à limiter l'utilisation de produits d'atrazine» aux États-Unis continentaux.
En fin de compte, les agences doivent décider de laisser les règles actuelles en vigueur - ou de restreindre ou d’interdire l’atrazine à l’échelle nationale, régionale ou à proximité de certains ou de tous les habitats de l’espèce et des zones de piétinement occasionnelles.
La liste de l’EPA comprend 36 amphibiens, 207 invertébrés aquatiques, 190 poissons, 47 reptiles, 108 oiseaux, 99 mammifères, 160 insectes et invertébrés et 948 plantes. Au moins 8 des espèces sont déjà éteintes et des dizaines d'autres vivent dans des montagnes, des déserts et d'autres zones qui ne seront probablement jamais touchées par l'atrazine.
C’est un effort louable - peut-être le meilleur possible dans les circonstances. Ce n’est tout simplement pas assez bon, pas pour des décisions ayant des implications aussi monumentales et profondes pour l’agriculture américaine, d’autant que ces évaluations sont susceptibles de justifier de nombreuses autres poursuites contre d’autres produits chimiques vitaux.
Les résultats de l'agence sont présentés dans des équations complexes, plus de 100 pages d'explications sur les données et les méthodologies, et des feuilles de calcul stupéfiantes et presque incompréhensibles pouvant inclure plus de 1 800 lignes et 30 colonnes. Ils impressionneront probablement les citoyens et les tribunaux, les politiciens et les journalistes avec l'expertise, la précision et les détails qu'ils sont censés refléter. Mais en réalité, en fin de compte, il s’agit surtout de GIGO: de multiples incertitudes, de multiples analyses de boîtes noires effectuées, de multiples conclusions erronées.
RépondreSupprimerL'analyse de l'EPA commence par des espèces dont les populations et la présence réelles dans des parties spécifiques des aires de répartition et des habitats possibles sont pour la plupart inconnues. Il utilise ensuite des données sur la plantation de cultures et l'utilisation d'atrazine à l'échelle de l'État, moyennées et appliquées à des habitats possibles et à des plantes ou des animaux individuels - qui, en tant qu'individus ou espèces, peuvent réagir très différemment à différentes quantités d'atrazine et peuvent les contacter sous forme de pulvérisation directe ou dérivante, dilué rapidement ou sur des semaines dans le sol ou l'eau, ingéré ou en contact avec la peau.
D'autres facteurs inconnus incluent le nombre de pulvérisations par an; à la main, par tracteur ou par avion; vitesse et direction du vent et température ambiante au moment de la pulvérisation; distance de l'habitat ou de la plante individuelle ou de la créature; montants réellement en contact avec le temps; et si un individu ou une espèce réagit à une quantité inconnue d'atrazine de la même manière qu'un animal de laboratoire très différent, avec des effets létaux ou sublétaux.
Même en supposant un niveau de confiance extrêmement optimiste de 90% pour chacune de ces 12 à 15 inconnues ou plus, le calcul de la preuve ultime «la plus forte» des effets néfastes nécessite de multiplier la confiance de 90% (0,9) pour chaque élément - donc 0,9 x 0,9 douze ou plus fois. Le meilleur scénario possible finit par être une confiance ridiculement basse de 28% ou moins que les conclusions finales de l'agence sont valides.
C'est inutile et inacceptable. Les décisions concernant nos fermes, nos produits et nos tables de repas ne doivent pas être prises de manière aussi cavalière, sur la base de preuves aussi manifestement insuffisantes et de suppositions de rang.
Mais supposons qu'ils interdisent l'atrazine. Quelles garanties aurons-nous que cela prolongera l'existence d'espèces déjà marginales et menacées par d'innombrables autres facteurs humains et naturels? Aucun.
RépondreSupprimerEt quelle est la prochaine étape pour les agriculteurs conventionnels? Il n'y a pas de substitut à l'atrazine ou à d'autres herbicides modernes, qui sont plus efficaces, moins toxiques et plus biodégradables que leurs prédécesseurs. En leur absence, les rendements du maïs diminueraient de près de 40% - et les producteurs devraient contrôler les mauvaises herbes à la main (par des milliers de travailleurs migrants et leurs enfants?) Et en labourant régulièrement leurs champs. Les prix des denrées alimentaires monteraient en flèche.
Le travail du sol signifie que le kilométrage et le carburant du tracteur grimperaient en flèche, les cultures auraient besoin de beaucoup plus d'eau et d'irrigation, les sols perdraient leur intégrité et de nombreux organismes, la séquestration du carbone chuterait et des millions de tonnes de terres agricoles s'éroderaient chaque année. Il faudrait planter des millions d’acres supplémentaires pour obtenir le maïs d’aujourd’hui et d’autres rendements - et une grande partie de cette superficie proviendrait de terres qui sont maintenant l’habitat de la faune.
C’est le «principe de précaution» à son pire: toujours se concentrer sur les risques présumés hautement spéculatifs liés à l’utilisation de produits chimiques - jamais sur les risques de ne pas les utiliser; soulignant toujours les risques qu'une technologie pourrait entraîner, mais en ignorant souvent des risques bien plus importants, elle réduirait ou préviendrait.
Enfin, si les écologistes, les tribunaux et les régulateurs sont vraiment préoccupés par les menaces chimiques pesant sur ces espèces et d'autres, ils ne s'intéresseraient pas seulement aux produits chimiques synthétiques conventionnels - mais aux produits chimiques organiques.
L'atrazine a une DL50 de 3090 pour les rats, ce qui signifie qu'il faut 3 090 milligrammes par kilogramme de poids corporel pour tuer la moitié d'un groupe test de rats qui l'ingèrent par voie orale. Le sulfate de cuivre utilisé dans des milliers de fermes biologiques est dix fois plus toxique: une DL50 de 300. Il est mortel pour les poissons, extrêmement nocif pour les systèmes de reproduction aviaire et hautement toxique pour l'homme. La DL50 pour la roténone est de 132; un peu tuera tous les poissons de votre étang boisé préféré. La pyréthrine (DL50: 200-2600 mg / kg) et l'huile de neem (DL50: 3540) abattent positivement les abeilles! Pourtant, ils (et bien d'autres
de ces vilains) sont approuvés pour l'agriculture biologique partout aux États-Unis, dans l'UE et dans le monde.
RépondreSupprimerQuand les écologistes vont-ils poursuivre en justice pour interdire les pesticides organiques dangereux? Quand les tribunaux et les agences fédérales entreprendront-ils des études sur leurs effets sur la liste de l'EPA de 1 795 espèces menacées et en danger ?
Il est temps que nous nous concentrions tous sur comment et où l’atrazine est réellement utilisée - et si des espèces en voie de disparition y seraient réellement exposées (et lésées par elle) dans des conditions d’utilisation réelle. Si vous voulez que votre voix soit entendue, soumettez vos commentaires au numéro de dossier EPA-HQ-OPP-2020-0514 avant le 19 février.
https://www.cfact.org/2021/02/20/suspect-science-threatens-us-farming-again/
Si les taux d’intérêts augmentent, quelles seront les conséquences pour la France ?
RépondreSupprimerle 22 février 2021
Le taux des T-bonds à dix ans a triplé en quelques mois passant de 0,45 % au mois d’août 2020 à un peu plus de 1,34 % le 19 février 2021 et cette augmentation n’a cessé depuis l’arrivée de Biden à la Maison-Blanche (source : marketwatch.com). Mécaniquement les pays européens gros demandeurs de prêts vont se heurter à une augmentation des taux qu’ils proposeront aux investisseurs sinon ces derniers iront tout simplement voir ailleurs. Seule la Banque Centrale européenne pourra répondre à l’appel au secours financier de pays comme l’Italie, l’Espagne ou la France, les plus importants pays demandeurs en Europe suivis par la Belgique et l’Irlande. La situation à laquelle ces pays vont se trouver confrontés face aux marchés va donc se compliquer en particulier pour la France.
Tout ce que les médias racontent au sujet de la dette souveraine de la France est grossièrement faux depuis l’entourloupe de Juppé consistant à classer dans les « hors-bilan » le plus gros de la dette y compris dans le sens des critères de Maastricht ! Les dettes des collectivités locales, des hôpitaux, des entreprises dont l’Etat est actionnaire partiel, toutes les entreprises de l’Etat comme la SNCF, l’EDF, … et également la dette des caisses de retraite des fonctionnaires, etc … une véritable énumération à la Prévert. Ce montant des hors-bilan atteint la somme rondelette approximative de 4000 milliards d’euros ! Il est très surprenant de constater que jamais personne n’en parle au journal télévisé de 20 heures. Les Français seraient tellement terrorisés qu’il est préférable de ne pas en parler. Avec la dette « officielle » de l’Etat français on arrive à un endettement total de la France égal à 2,9 fois le PIB du pays, PIB calculé par les experts du quai de Bercy en faisant abstraction de la chute d’au moins 12 % de ce PIB (voir les notes en fin de billet) en raison de l’épidémie coronavirale. Deuxième mensonge de l’Etat.
Les taux proposés par l’Agence France-Trésor (AFT) lors de ses prochaines adjudications vont donc immanquablement augmenter car la BCE ne pourra pas continuer comme elle le fait depuis un an sans retenue à acheter des titres de dette émises par le Trésor français et d’autres pays européens. Cette pratique est d’ailleurs contraire aux traités, ce qui fait assez désordre. Un jour ou l’autre les pays dits frugaux réagiront si ce n’est pas déjà le cas dans les couloirs feutrés des chancelleries. Qu’on dise que ce qui se passe aux USA n’arrivera jamais en Europe est une erreur. Les Allemands, les Autrichiens et les autres pays « sérieux » vont protester, c’est inévitable.
Pour la France en particulier il y a pire encore. Les entreprises, confrontées à un euro trop fort pour elles, voient leurs carnets de commande réduits à presque rien s’ils non pas pu ou voulu délocaliser leur activité vers des pays comme la Roumanie, la Bulgarie ou encore le Maroc, des pays où les niveaux de salaire sont comparables à ceux de la Chine. Il est vrai que c’est tentant de délocaliser, mettez vous à la place du CEO de Renault qui ne fait plus qu’assembler quelques véhicules en France, tous les composants étant fabriqués ailleurs. Toutes ces entreprises sont donc endettées. L’estimation de la dette globale du secteur privé de l’industrie et des services atteint aussi 4000 milliards d’euros, juste un détail qui ne concerne pas l’Etat. La BCE achète des titres de dette des entreprises, nul ne sait ce qu’elle en fait. Je n’ai pas écrit que la BCE achetait ces titres de dette aux entreprises directement mais elle les achète auprès des banques. La majorité de ces titres de dette est pourrie (junk en anglais) et on peut se demander pourquoi la banque centrale européenne prend de tels risques sinon pour dissimuler une création de monnaie. Le système monétaire européen, dans ces conditions malsaines, ne pourra pas perdurer. Pour assombrir encore ce tableau Renault dont l’Etat est actionnaire a perdu en 2020 8 milliards d’euros ainsi qu’Air France, même montant astronomique pour les financiers de Bercy qui n’ont plus aucun fond de tiroir à gratter.
RépondreSupprimerLa conséquence qu’entrevoient certains analystes est une partition de l’Europe, une zone euro telle qu’on la connait et une zone euro-mark rassemblant les « frugaux » et la sphère des pays proches économiquement de l’Allemagne englobant le club de Visegrad. Personnellement je ne pense pas que ce scénario se réalise. Je pense plutôt que le printemps sera très chaud voire sanglant à commencer en France et ses voisins espagnols et italiens suivront. Les citoyens ont atteint un niveau de lassitude concernant les stupides mesures prises par les pouvoirs politiques contre l’épidémie coronavirale, un niveau tel que ces pouvoirs politiques ne veulent plus évaluer sinon ils quitteraient le bateau ! Une grave crise sociale dans ces trois pays signera la fin de l’Union européenne et de l’euro, ce sera sanglant, destructeur, mais finalement libérateur. Cette union monétaire et législative, puisque la Commission européenne émet des diktats en direction de tous les membres de l’Union, est nuisible pour tous les peuples européens hors Allemagne et les autres « frugaux » et il faudra détruire cette union mais ce sera dans la douleur, c’est certain.
Pour en revenir à la France, ce pays reviendra au franc et comme toutes les dettes relèvent du droit français elles seront remboursées en francs (mais sur ce point je peux me tromper) et inévitablement une inflation à deux chiffres rongera la dette, l’épargne des particuliers et des rentiers, comprenez les quelques 12 millions de retraités, sera laminée mais l’activité économique retrouvera des bases saines car l’industrie redeviendra compétitive puisque la valeur du franc sur les marchés perdra au minimum 30 % de sa valeur par rapport à l’euro, comprenez encore qu’il faudra au moins 8,5 francs (nouveau) pour un « euro-mark ». Tout redeviendra normal mais pour cela il faudra faire un grand nettoyage dans la sphère dirigeante de l’Etat ainsi que dans l’administration pléthorique tant au niveau de l’Etat qu’au niveau des administrations supra-départementales qui, elles, ne servent à rien sinon à se gaver avec l’argent des contribuables, par exemple redonner à chaque département un degré de liberté prenant en compte les spécificités locales qui sont le secret de la réussite passée de la France. Ce pays est peut-être à la veille d’un grand renouveau et je le souhaite pour mes petits-enfants.
Note. Je me suis exilé au Vanuatu au tout début de l’année 1997 alors que la baguette de pain coûtait encore 1 franc (15 cts d'€), peut-être un franc dix centimes. Quand je suis revenu de ce pays, dès que l’euro a été mis en circulation le prix de la baguette de pain est devenu 1 euro. Je n’ai jamais compris ce tour de passe-passe. Si un de mes lecteurs peut m’apporter une explication il est le bienvenu. Pour ce qui concerne une sortie de la France de l’euro les fonctionnaires du Ministère des finances français ont calculé qu’elle signifierait une chute du PIB de 12 %. Personnellement je suis incrédule au sujet de cette évaluation parce que les Français ont fait des merveilles après la deuxième guerre mondiale alors que le pays était ruiné et je crois en l’esprit d’entreprise et en la créativité des Français mais il faudra libérer cet esprit d’entreprise et cette créativité, c’est-à-dire mettre un terme radical à l’invasion administrative des fonctionnaires, mais c’est une autre histoire.
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2021/02/22/si-les-taux-dinterets-augmentent-quelles-seront-les-consequences-pour-la-france/
Comme les Etats fabriquent tous de la FAUSSE monnaie (cause au non-adossement au prix de l'or qui demeure au plancher avec son volume mondial de 21 m3), et que les 'chefs' peuvent s'en créditer des km de milliards sur leurs comptes, il ne peut y avoir de dette ni d'endettés.
SupprimerOr, il faut bien que quelqu'un travaille ! (Les machines ou les ordinateurs ne peuvent pas tout faire !) et, cet état de dictature internationale permanente présente l'effet qu'à l'avenir... TOUT sera privé ! et donc: le Peuple n'aura plus droit de regard sur leurs affaires !
Nous allons donc vers une dictature officialisée où jusqu'aux rues qui seront payante pour circuler dès lors que les mairies seront remplacées par des bureaux feudataires au NWO.
Le Code du travail : le troisième frein à l’entreprise
RépondreSupprimerIl faut supprimer le Code du travail, cette exception française, dans sa version actuelle et le revoir en partant d’une feuille blanche et en limiter le nombre de pages à 200.
Par Claude Goudron.
22 FÉVRIER 2021
Tout d’abord une petite anecdote. C’était en 2007, Nicolas Sarkozy venait d’être élu et une de ses premières annonces a été : « nous allons dépoussiérer le Code du travail. »
J’ai bien entendu applaudi à cette nouvelle et j’ai patiemment attendu le passage à l’acte. C’est donc en 2008 que ce Code du travail dépoussiéré est arrivé, une experte du droit du travail est venue nous le présenter.
Je lui ai posé une question préalable :
« Pouvez-vous aller à la dernière page et nous donner le numéro de celle-ci ?
Elle m’a répondu :
« 3200 »
La version avant dépoussiérage ne comptait que 2800 pages. Sans commentaire !
UNE EXCEPTION FRANÇAISE
Le Code du travail en Suisse est inférieur à 200 pages, au Danemark il n’y en a pas et une récente étude européenne confirme que c’est justement dans ce pays que les employés se sentent le plus en sécurité, principalement grâce à la flexisécurité mise en place depuis 20 ans.
Le Code pénal français compte 3041 pages, celui du travail 3800 pages, uniquement pour les conflits en entreprise privée. Pour le passage aux 35 heures ce ne sont pas moins de 400 pages qui y ont été ajoutées. Une histoire de fous !
LE MÊME CODE DU TRAVAIL POUR LES TPE ET AU CAC 40
À part quelques obligations liées au passage des différents seuils d’effectifs, le Code du travail s’applique à tous les salariés… mais pas aux fonctionnaires !
Nul n’étant censé ignorer la loi, le petit artisan perd un temps fou dans ce maquis réglementaire et se trouve dans l’illégalité en permanence et sans le savoir.
Exemple de stupidité du Code du travail avec la création en 2001 du document unique de sécurité en entreprise. Un chef d’entreprise ne peut pas y être opposé. Le problème est que ce document s’ajoute aux 72 registres qu’une entreprise se doit par décret de tenir à jour et mettre à la disposition de l’inspection du travail à partir de dix salariés.
Devançant l’incrédulité des représentants de l’État invités par notre député Michel Zumkeller pour le projet CIEL du ministre Renaud Dutreil, j’avais au préalable demandé à mon responsable qualité d’en faire la liste avec numéro, date du décret et décret d’application.
Après l’avoir découvert, le représentant de l’État m’a répondu : « Mais on n’a pas pu faire ça ! »
Mais si, ils l’ont fait et en ont même ajouté depuis !
UN SEUIL MORTIFÈRE À 50 SALARIÉS
Une des plus stupides obligations du Code du travail est le passage de 49 à 50 salariés. En effet, il déclenche une liste de contraintes aussi impressionnantes que décourageantes.
Parmi les contraintes que chacun peut découvrir sur un site internet (la liste est trop longue pour les citer ici), le plus démotivant est le surcoût de 4 % supplémentaire sur la masse salariale.
Une conséquence de cette stupidité est qu’en France on compte 1600 entreprises à 49 salariés et seulement 600 à 50 salariés. Donc 1000 entreprises bloquent leur développement pour ne pas passer ce cap ! (source Insee)
DES TEXTES D’UN AUTRE ÂGE QU’ON NE PEUT SUPPRIMER
RépondreSupprimerIl existe dans notre Code du travail certaines aberrations qui ont la vie dure.
On peut citer le cas des boulangers qui ont obligation de fermer leur magasin un jour par semaine alors que le pain peut être vendu 7 jours sur 7 dans un magasin d’alimentation.
Aucune boisson alcoolisée autre que le vin, la bière, le cidre et le poiré n’est autorisée sur le lieu de travail, à boire « sans modération » car aucune limite n’est imposée.
Les mineurs n’ont plus le droit de monter sur un escabeau… Mais ils peuvent faire de l’alpinisme.
Les salariés qui travaillent pendant leurs congés peuvent être poursuivis… C’est tellement mieux de travailler au noir.
Des locaux dédiés à l’allaitement sont toujours obligatoires pour les entreprises de plus de 100 salariés… Mais pas le droit de venir avec un bébé.
Les 12 000 articles du Code du travail, qu’aucun patron n’est censé ignorer, ne doivent pas manquer d’autres contradictions !
CODE DU TRAVAIL ET PRUDHOMMES
Les deux sont extrêmement liés et là encore c’est une exception française. Nous avons vu que l’URSSAF disposait de sa propre juridiction ; le Code du travail aussi, en l’occurrence, le conseil de Prud’hommes.
En France on aime bien complexifier les choses jusqu’à ce qu’elles deviennent des monstres administratifs d’une lourdeur qui n’a aucun équivalent dans le monde judiciaire des pays évolués.
Le conseil des Prud’hommes se nourrit des complexités de notre Code du travail. Un chef d’entreprise qui n’a pas encore eu affaire à lui ne peut pas comprendre sa nuisance ; et dans le cas contraire il prie pour ne pas y retourner, quitte à faire des concessions que les syndicats maitrisent bien.
La seule et première fois que j’ai été aux Prud’hommes j’ai été roulé dans la farine : pour un motif non contestable j’ai choisi de ne pas trop charger un salarié dans le cadre de sa démission afin qu’il ne soit pas handicapé pour trouver un autre emploi… ça m’a coûté à l’époque 40 000 francs.
Pour les rares cas de licenciements suivants, l’accompagnateur du salarié cherchait systématiquement à me faire dire que j’avais l’intention de le licencier. C’est un piège grossier mais que peu de chefs de petites entreprises connaissent, car admettre cette intention signifie que le procès est perdu, quel que soit le motif du licenciement. En effet, aux Prud’hommes on juge majoritairement sur la forme. La loi m’obligeant à un délai de réflexion de 48 heures, j’aurais perdu d’avance. J’en étais venu à lire bêtement un texte pré-imprimé et ne surtout pas en dévier.
EN CONCLUSION
Il faut supprimer le Code du travail dans sa version actuelle, le revoir en partant d’une feuille blanche et en limiter le nombre de pages à 200.
Il faut supprimer cette exception française que sont les Prud’hommes, qui datent de Napoléon, et utiliser la voie judiciaire classique.
Tout le monde serait gagnant et cela libérerait des finances que l’on pourrait transférer à notre justice qui en manque cruellement.
En France, avec à ce jour 3800 pages, nous restons en conflit permanent, y compris pendant la pandémie.
https://www.contrepoints.org/2021/02/22/391608-le-code-du-travail-le-troisieme-frein-a-lentreprise
Juste avant je lisais le papier de Didier Cozin https://www.contrepoints.org/2021/02/23/391604-comment-mesurer-le-chomage-et-le-travail-au-xxie-siecle où les chiffres du chômage oscillent entre 3, 6 ou 10 millions sans compter bien sûr les plus de 10 millions d'immigrés climatique qui ne s'appellent pas chômeurs (ils ne savent ni lire, ni écrire, ni parler français !) et s'appellent 'réfugiés climatique'.
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