À quoi joue « l’équilibriste » RTE-DGEC dont la chute entraînerait celle de l’activité économique de la France ?
Par Michel Gay et Jean Fluchère.
La production d’électricité doit toujours être égale à la consommation instantanée. Il suffit d’un déséquilibre de quelques secondes non compensé par le gestionnaire du système électrique, « l’équilibriste », pour que tout le système électrique s’effondre, tel un château de cartes.
QUI EST « L’ÉQUILIBRISTE » ?
Depuis la loi de février 2000, la responsabilité de la prévision de l’équilibre du système électrique français relève du ministère de la Transition écologique et solidaire, via la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) qui, elle-même, s’appuie sur les données prévisionnelles du gestionnaire du Réseau de transport de l’électricité (RTE) sans rien en changer.
Donc, la responsabilité de l’équilibre électrique en France incombe aujourd’hui en totalité au binôme RTE-DGEC, et non à EDF.
Si couper l’alimentation des sites industriels rémunérés (gain de 1500 MW), baisser la tension (gain jusqu’à 4000 MW) et déclencher des coupures localisées et tournantes, comme en Allemagne en juin 2019 ne suffisaient pas, alors le Centre National d’exploitation du système électrique (CNES), l’équilibriste en temps réel, provoquerait instantanément un black-out national, et peut-être même, par effet domino, un effondrement européen.
Toute la vie de la France s’arrêterait car tout dépend aujourd’hui de commandes électriques.
La dernière chute de l’équilibriste ayant entrainé un black-out en France a eu lieu le 19 décembre 1978. La remise en route de l’alimentation électrique (black-start) a duré une journée complète. Aujourd’hui, un black-start en France prendrait plus d’une journée et les conséquences seraient immenses.
FAIRE DES PRÉVISIONS…
Le binôme RTE-DGEC établit des projections de la consommation électrique sur plusieurs années afin de recommander au gouvernement de lancer les nouveaux moyens nécessaires pour assurer une production équilibrée. Ce bilan prévisionnel tient compte de ceux qui vont être retirés pour des raisons diverses, et de la durée entre la décision de construction et la mise en service.
L’entreprise EDF étant dorénavant un producteur parmi d’autres n’a plus de responsabilité dans ce domaine.
Toutefois, RTE ne peut faire des prévisions qu’avec les moyens dont la production est… prévisible, c’est-à-dire pilotable et disponible au moment voulu, comme les centrales thermiques (nucléaire et à flammes) et hydrauliques pour une partie seulement.
Les outils de production éoliens et photovoltaïques dépendants du vent et du soleil ne doivent pas être pris en compte en raison de leur imprévisibilité. Sauf, bien sûr, pour le solaire photovoltaïque qui, avec certitude, ne produit rien la nuit ni lors des pointes de consommation hivernales qui ont lieu entre 18 heures et 20 heures…
LA PRÉVISION ALLEMANDE
L’Allemagne compte uniquement (quasiment) sur les 80 gigawatts (GW) « pilotables » dont elle dispose toujours pour répondre à la pointe d’appel en puissance électrique de 82 GW.
Et ce parc essentiellement thermique (fissile et fossile) n’a pas diminué depuis 10 ans, malgré le développement de son parc éolien et photovoltaïque « aléatoirement variable » de 114 GW supplémentaires dont elle estime que seulement un résidu éolien égal à 1 % de la puissance installée est sûr le soir lors de la pointe de consommation.
Et les relevés de ces dernières années en hiver leur donnent raison !
La puissance totale installée de l’Allemagne est même de 221 GW. Ce chiffre inclut 9 GW de centrales en réserve stratégique, normalement hors marché, qui pourraient être mises en service en cas de besoin.
Toutefois, en France, au motif que pendant 90 % du temps, la puissance éolienne en France est au moins égale à 10 %, RTE retient dans ses prévisions une puissance de 10 % minimum !
Cette surprenante « niaiserie statistique » ignore les creux de production éolien à moins de 1 % de la puissance installée se produisant notamment lors des périodes anticycloniques qui sont des périodes froides de fortes consommations.
UNE INJONCTION DE SÛRETÉ NON RESPECTÉE ?
En outre, les autorités responsables de la sûreté interdisent de justifier un fonctionnement dégradé de la sûreté nucléaire en invoquant un cas de défaut générique sur plusieurs réacteurs du parc pour maintenir de l’équilibre production-consommation.
Or, cette année, l’incident générique se nomme Covid-19 qui, en raison des contraintes sanitaires pour la protection des salariés, a allongé les durées de révision du parc nucléaire.
Malgré des efforts remarquables, EDF a atteint 45 GW de puissance nucléaire au 15 novembre 2020 et atteindra probablement 50 GW début décembre 2020, sur les 61 GW de puissance nucléaire installée.
RTE semble n’avoir jamais tenu compte de cette injonction de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) dans ses bilans prévisionnels.
Et la DGEC, dont s’est aussi le rôle, n’a jamais relevé ce point fondamental alors qu’elle entérine les bilans prévisionnels proposés par RTE.
De plus, depuis 5 ans RTE surestime la disponibilité du parc de production et sous-estime la consommation. Ses bilans prévisionnels s’appuient sur les données fournies par l’ADEME, reproduisant elle-même celles de l’association antinucléaire Négawatt.
Résultat : ses bilans prévisionnels (confirmés par la DGEC) font apparaître des excédents de moyens de production et EDF a donc proposé d’arrêter définitivement les centrales thermiques qui devenaient inutiles.
RTE n’a pas demandé à la DGEC de conserver en secours une plus grande partie du parc thermique à flammes (quitte à la mettre dans les réserves de capacité), ni de reporter la décision d’arrêt de Fessenheim.
La pointe de consommation en France a atteint 102 GW en février 2012. RTE a pu faire face alors avec un parc thermique à flammes plus important qu’aujourd’hui, et une disponibilité de 100 % du parc électronucléaire. Seul 1 GW a dû être importé d’Allemagne.
ÇA PASSE OU ÇA CASSE…
Pour éviter le black-out généralisé, RTE peut enclencher des délestages tournants plongeant dans le noir des grandes métropoles qui représentent une partie significative de la consommation.
Dans le cas où 10 réacteurs nucléaires seraient arrêtés pour défaut générique avec une disponibilité de la totalité du parc de production pilotable de 95 %, il resterait 76 GW disponibles.
(Nucléaire : 50 GW, Thermique : 15 GW, Hydraulique à la pointe : 15 GW, soit 80 GW x 0,95 = 76 GW).
Pour équilibrer le maximum de consommation atteint en janvier 2020 (88 GW), il manque 12 GW…
Et pour celui atteint en février 2012 (102 GW), il manque 26 GW !…
La puissance disponible des interconnexions vers la France est de 14 GW… à condition que les pays voisins puissent fournir l’électricité manquante.
En effet :
1) selon le bilan prévisionnel de l’Allemagne pour l’hiver 2020/2021, la réserve pour l´exportation éventuelle vers la France lors de la pointe de consommation en Allemagne sera de seulement 2,6 GW en janvier 2021 dans l´hypothèse d´une simultanéité d’événements.
À partir de 2022, après l’arrêt de 4 GW de nucléaire et de 6 GW de charbon prévus en 2021, les marges restantes seront même négatives… L’Allemagne devra elle aussi intégrer l’importation d’autres pays (dont la France…) pour garantir l’équilibre offre-demande d’électricité.
Il reste à espérer que RTE connait ce bilan prévisionnel de l’Allemagne, et que la pointe de consommation en France ne tombera pas au même moment qu’en Allemagne qui dépense pourtant chaque année des dizaines de milliards d’euros pour subventionner ses énergies renouvelables intermittentes.
De part et d’autre du Rhin, les mêmes grosses ficelles tentent de masquer les sommes gigantesques ponctionnées sur le dos des citoyens. La France a plafonné la CSPE et l’Allemagne son équivalent « EEG-Umlage », mais chacun a ajouté des ponctions sur une ligne budgétaire de l’État. Pour la France, il s’agit du programme 345 « Service public de l’énergie »…
2) L’Italie, l’Angleterre et la Suisse sont structurellement déficitaires en hiver, tandis que la Belgique équilibre à peine sa consommation avec les arrêts actuels des centrales nucléaires Doel 1 et 2.
Restent les interconnexions avec l’Espagne et l’Allemagne qui permettraient d’importer 5 GW.
Il faudrait donc procéder à des délestages au-dessus des possibilités de délestages des industriels qui sont au maximum de 2 GW.
De plus, et pour les connaisseurs, certaines interconnexions en courant continu (avec les Anglais par exemple) ne participent pas à la synchronisation en fréquence du réseau Européen (UCTE).
ÉQUILIBRISTE SUR LA CORDE RAIDE SANS MARGE !
Alors que la puissance appelée n’était pourtant que de 88 GW en janvier 2020, et malgré le délestage de grands clients, RTE avait alors signalé que sa marge n’était plus que de 1 GW (soit un seul réacteur nucléaire).
Il n’y a donc plus aucune marge en puissance mobilisable.
RTE confirme que : « l’hiver 2020-2021 reste placé sous vigilance particulière, principalement à cause de la crise sanitaire. […] En cas de vague de froid, principalement en janvier et, surtout en février, des difficultés pourraient survenir ».
L’électricité est devenue le système sanguin d’une économie moderne. C’est un bien commun vital. Sans elle, même pendant quelques secondes, ou avec des productions erratiques, ce serait le chaos en France.
À quoi joue « l’équilibriste » RTE-DGEC dont la chute entraînerait celle de l’activité économique de la France ?
Pire qu’une guerre sanitaire, une guerre à l’encontre de la liberté
RépondreSupprimerOpinion : pire qu’une guerre sanitaire, la crise sanitaire est une guerre à l’encontre de la liberté.
21 NOVEMBRE 2020
Par Alexis Sémanne.
La France est entrée le 16 mars 2020, dans ce que le Président de la République a appelé « une guerre » contre un ennemi invisible, le coronavirus. Ainsi, au-delà de ces conséquences proprement sanitaires, encore difficiles à évaluer, cette épidémie va entraîner, à n’en pas douter, la plus grande secousse économique et sociale connue par le monde depuis la crise des années 1930 et la guerre mondiale qui lui a succédé1.
Pire qu’une guerre sanitaire, cette crise est une guerre à l’encontre de la liberté. Comme le rappelait Pierre Ronsanvallon dans son ouvrage La Crise de l’État Providence (1982), l’État n’est plus uniquement en crise d’efficacité, de légitimité, et de financement, il est également entré en crise d’autoritarisme.
Ainsi, au nom de la solidarité et l’intérêt général comme maîtres mots, l’État a accru ses marges de pouvoir, et cela au détriment de la liberté économique et politique des citoyens, consommateurs, travailleurs, et entrepreneurs français. Il n’est pas sans rappeler que la devise de la France est « liberté, égalité, et fraternité ».
Or les libertés politiques et économiques fondamentales sont aujourd’hui bafouées : être libre se traduit à l’heure actuelle comme le caractère de celui qui n’est pas malade d’une grippe ou cas contact, le principe d’égalité des droits semble disparaître au profit de l’égalité des conditions, et le principe de fraternité semble avoir totalement disparu de l’esprit d’une large part de nos concitoyens qui favorisent une logique individuelle, et parfois à juste titre.
Attestation justifiant le déplacement, politique de certification de l’État afin de définir ce qui relève des biens essentiels et non essentiels, politique de fermeture autoritaire de commerces et d’industries, prohibition de la chloroquine, il est temps pour les citoyens de comprendre et d’analyser que cette crise n’est pas uniquement une crise sanitaire, c’est une crise de légitimité de l’intervention de l’État et de nos libertés politiques et économiques qui se met en place et qui tend à s’aggraver et à s’institutionnaliser si nous n’en prenons pas conscience dès maintenant.
Il semble cependant légitime de questionner
1. les résultats sanitaires escomptés.
2. les motivations de notre gouvernement.
3. les raisons institutionnelles et démocratiques qui nous amènent à cette dérive totalitaire.
LE RÉSULTAT SANITAIRE ESCOMPTÉ
RépondreSupprimerQuel résultat sanitaire peut-on attendre de cette privation (espérons temporaire) de nos libertés individuelles ? Prenons une logique économique pour illustrer notre argument.
Comme le rappelle sensiblement l’économiste et philosophe autrichien Ludwig Von Mises dans Interventionism (1926), les mesures interventionnistes économiques finissent par conduire à une baisse du niveau de vie moyen, même si la distribution qu’elles opèrent peut bénéficier, surtout à court terme, à certaines parties de la population !
Ses thèses s’appliquent également aux enjeux sanitaires : les mesures interventionnistes sanitaires finissent par conduire à une baisse du niveau de vie sanitaire moyen (santé psychique, cognitive, psychologique, physique, physiologique) même si la distribution qu’elles opèrent peut bénéficier, surtout à court terme, à certaines parties de la population
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LE RÉEL INTÉRÊT DE L’ÉTAT ET DU GOUVERNEMENT
Quel est donc le réel intérêt de l’État et du gouvernement à appliquer ces politiques publiques castratrices ? Les thèses de James M. Buchanan (Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel 1986) semblent être des plus éclairantes à cette question séminale. Le chercheur nous rappelle que l’État demeure un agent économique rationnel comme les autres, au même titre que les entreprises et les ménages.
Dans son ouvrage Les limites de la liberté (1992), l’économiste de Chicago nous rappelle que l’État est un agent économique utilitariste, c’est-à-dire qu’il cherche à maximiser son pouvoir économique et politique par tous les moyens, et tous les moyens et arguments sont bons.
Et quand je pense à « tous les arguments sont bons », comme le disait si bien Milton Friedman dans son ouvrage fondamental A Monetary History of the United States, 1867-1960 (1963) à l’égard de l’échec des politiques monétaires menées par la banque centrale américaine durant la crise de 1929 : jamais une administration publique ne se dira elle-même responsable, même en partie, d’une catastrophe économique.
Se dédouaner de ses responsabilités est l’un des principes fondamentaux de l’incompétent et du cupide qui cherche à maintenir son emploi, et c’est bien normal.
Pire encore, accuser et blâmer des facteurs exogènes afin de détourner l’attention et accroître son pouvoir et sa légitimité demeurent une tactique fructueuse : argumentum ad hominem à l’encontre des chercheurs et individus ne se pliant pas au planisme bienveillant du gouvernement, interdiction de manifestation sélective (Gilets jaunes ou autres) pouvant remettre en cause la légitimité du gouvernement, retrait de licence médicale professionnelle « aux traîtres », technique de culpabilisation des populations pour leur « manque de discipline et de solidarité », invectives à l’encontre du « libéralisme » qui a contribué à « l’effondrement du système de santé » (et qui bien sûr implique une hausse impérative et immédiate des financements publics).
Rappelons un exemple historique éloquent utilisé par Milton Friedman afin d’illustrer cette technique employée par l’État à l’encontre des détracteurs de sa politique dans le but de limiter l’exposition au grand public d’une position antagoniste :
« Dans la pratique, un exemple frappant de ces principes abstraits nous est fourni par l’expérience de Winston Churchill. De 1933 jusqu’à l’éclatement de la Deuxième Guerre mondiale, Churchill se vit interdire de parler à la radio britannique, qui était, bien sûr, un monopole d’État géré par la British Broadcasting Corporation. Voilà donc un citoyen de premier plan, un parlementaire, un ancien membre du cabinet, un homme qui essayait avec la dernière énergie et par tous les moyens possibles de persuader ses compatriotes de prendre les mesures nécessaires pour écarter la menace de l’Allemagne hitlérienne — et à qui il n’était pas permis de s’adresser par la voie des ondes au peuple britannique parce que sa position était trop ‘sujette à controverse‘ ». Milton Friedman, Capitalisme et Liberté (1962).
RépondreSupprimerL’on remarque également cette bronca effectuée par le ministre de la Santé Olivier Véran, qui semble confirmer notre propos. Mardi 3 novembre à l’Assemblée nationale, d’un ton satisfait face à une crise sanitaire qui semble le dépasser tant émotionnellement que politiquement, le ministre de la Santé a en effet explosé de colère face aux députés de l’opposition lors de sa prise de parole à l’issue du projet de loi sur la prolongation de l’État d’urgence sanitaire à l’Assemblée nationale : « C’est ça la réalité, mesdames et messieurs les députés. Si vous ne voulez pas l’entendre, sortez d’ici ! »
Cette réplique doit se comprendre telle une dérive autoritaire, se faisant au nom de la « vérité ». Le gouvernement souhaitait en effet prolonger jusqu’au 16 février 2021 l’État d’urgence sanitaire, alors que, profitant du fait que les députés de la majorité étaient peu nombreux dans l’hémicycle, l’opposition avait réussi à adopter deux amendements pour instaurer sa prolongation jusqu’au 14 décembre.
COMMENT EXPLIQUER CETTE DÉRIVE INSTITUTIONNELLE ET DÉMOCRATIQUE
Avant toute chose, ce sont nos libertés fondamentales qui sont attaquées, et comme nous le rappelle le penseur de la démocratie Alexis de Tocqueville, dans son fabuleux ouvrage, De la démocratie en Amérique (1835), qui devrait être dans les bibliothèques de tout vrai démocrate, la démocratie court le risque de déboucher sur un « despotisme démocratique ».
En effet, l’État peut encourager l’individualisme par des politiques publiques favorisant le bien-être matériel des individus et en organisant leur vie dans les moindres détails (politique de redistribution des richesses, sécurité sociale, politique du logement et de l’urbanisme, éducation et recherche).
Les individus risquent alors de renoncer à exercer leur liberté dans l’arène politique pour se consacrer à leurs affaires et à leur famille. L’action de l’État va leur paraître d’autant plus légitime que ce dernier va traiter les membres de la société de façon perceptiblement égalitaire.
Selon Tocqueville, cette forme de despotisme peut donc être qualifiée de démocratique car elle est respectueuse en partie de l’égalité des droits et qu’elle est consentie par les citoyens.
Le second risque encouru par la démocratie est ce que Tocqueville appelle « la tyrannie de la majorité ». Dans un système démocratique, les individus ont « une passion ardente pour l’égalité », égalité sanitaire dans notre cas, et seulement « un goût naturel pour la liberté ».
Des individus réduits à l’atomicité sont sans pouvoir face à l’opinion publique et à la machine bureaucratique. Le risque majeur de la démocratie est donc la soumission plus ou moins volontaire de l’individu à la volonté du plus grand nombre, grand nombre terrorisé et affolé par les médias et les pouvoirs publics ; soit financés par le contribuable, soit aux services des grands monopoles, eux-mêmes en connivence avec les pouvoirs publics.
Comment remédier à ces mots selon Alexis de Tocqueville ? La tyrannie peut être évitée grâce à la participation des citoyens aux affaires publiques ! Reste à enlever le masque pour nous faire comprendre !
https://www.contrepoints.org/2020/11/21/384881-pire-quune-guerre-sanitaire-une-guerre-a-lencontre-de-la-liberte
(...) Selon Tocqueville, cette forme de despotisme peut donc être qualifiée de démocratique car elle est respectueuse en partie de l’égalité des droits et qu’elle est consentie par les citoyens. (...)
Supprimerelle est consentie par les citoyens ???! NON ! Elle n'est PAS consentie par les citoyens mais obligée par la dictature ! Rappel que la dictature est le contraire de la Démocratie et, qu'il n'existe QU'UN SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie: La Suisse !
La Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple;
En Suisse c'est le Peuple qui dirige.
Des acteurs parrainés par l'État cherchent 'très probablement' à attaquer l'approvisionnement en électricité, selon l'agence de renseignement
RépondreSupprimerLe CSE affirme que la Chine, la Russie, l'Iran et la Corée du Nord sont les plus grandes menaces parrainées par l'État
Catharine Tunney - CBC News
18 novembre 2020
Les acteurs parrainés par l'État tentent «très probablement» de renforcer leurs cybercapacités pour attaquer les infrastructures essentielles du Canada - comme l'approvisionnement en électricité - pour intimider ou se préparer à de futures agressions en ligne, prévient une nouvelle évaluation du renseignement.
«Alors que l'infrastructure physique et les processus continuent d'être connectés à Internet, les cybermenaces ont suivi, entraînant une augmentation des risques pour le fonctionnement des machines et la sécurité des Canadiens», indique une nouvelle évaluation nationale des cybermenaces rédigée par le Centre de la sécurité des télécommunications.
"Nous estimons que les acteurs parrainés par l'État tentent très probablement de développer les cybercapacités supplémentaires nécessaires pour interrompre l'approvisionnement en électricité au Canada."
Le rapport d'aujourd'hui - le deuxième de l'aile du Centre canadien pour la cybersécurité de l'agence - examine les principales cybermenaces à la sécurité physique et économique des Canadiens.
Le CSE dit dans le rapport que s'il est peu probable que les acteurs de la cyber-menace perturbent intentionnellement les infrastructures critiques - telles que l'approvisionnement en eau et en électricité - pour causer des dommages majeurs ou des pertes de vie, ils cibleraient les organisations critiques "pour collecter des informations, pré-positionner pour activités futures, ou comme forme d’intimidation. "
• Lire le rapport
• Le Norad a demandé au Canada «d'identifier et d'atténuer» les cybermenaces contre les sites civils critiques
De telles attaques préliminaires ont déjà eu lieu.
Le rapport indique que des acteurs associés à la Russie ont sondé les réseaux des services publics d'électricité aux États-Unis et au Canada l'année dernière et que les cyber-menaces parrainés par l'État chinois ont ciblé les employés des services publics américains. D'autres pays ont vu leurs systèmes de contrôle industriel ciblés par des groupes de piratage iraniens et des logiciels malveillants nord-coréens ont été découverts dans les réseaux informatiques d'une centrale électrique indienne, a-t-il déclaré.
La menace augmente à mesure que des infrastructures plus critiques deviennent de haute technologie.
Dans le passé, la technologie opérationnelle (OT) utilisée pour contrôler les barrages, les chaudières, l'électricité et les opérations de pipeline était largement à l'abri des cyberattaques - mais cela change à mesure que les fabricants intègrent de nouvelles technologies de l'information dans leurs systèmes et produits, indique le rapport.
Cette technologie pourrait faciliter les choses et réduire les coûts, mais elle comporte des risques, a déclaré Scott Jones, le responsable du cybercenter.
"Cela signifie que maintenant c'est une cible, elle est accessible et elle est vulnérable. Donc, ce que vous pouvez voir, c'est la fermeture des lignes de transmission, vous pouvez les voir ouvrir des disjoncteurs, ce qui signifie que l'électricité ne circulera tout simplement pas dans nos maisons pour notre entreprise. », a-t-il déclaré aux journalistes mercredi.
Bien que la probabilité de telles attaques reste faible, Jones a déclaré que l'objectif du briefing de mercredi était d'envoyer les premiers avertissements.
"Nous n'essayons pas de faire peur aux gens. Nous n'essayons certainement pas de faire peur aux gens en les faisant sortir du réseau en construisant une cabane dans les bois. Nous sommes ici pour dire: 'Abordons-les maintenant tant qu'ils sont encore sur papier, alors qu'ils sont encore une menace, nous écrivons.'"
RépondreSupprimerSteve Waterhouse, un ancien agent de cybersécurité du ministère de la Défense nationale qui enseigne maintenant à l'Université de Sherbrooke, a déclaré qu'une grâce salvatrice pour le Canada pourrait être la composition de ses systèmes électriques.
«Comme au Canada, ils sont très centralisés, c'est plus facile à défendre ... tandis qu'aux États-Unis, ils ont plusieurs entreprises partout. Le maillon le plus faible est donc très difficile à identifier, mais l'effet est un effet en cascade dans tout le pays ... Et cela pourrait avoir un impact sur le Canada, tout comme nous l'avons vu lors de la grande panne d'électricité dans le Nord-Est, la panne d'électricité de 2003 », a-t-il déclaré.
"Cela veut donc dire que nous devons être préparés. Et je pense que la plupart des sociétés énergétiques ont pris des mesures supplémentaires pour se protéger et se défendre contre ce type d'attaques."
À l'avenir, les attaques ciblant les villes dites intelligentes et les appareils connectés à Internet, tels que les appareils médicaux personnels, pourraient également mettre les Canadiens en danger, selon le rapport.
Plus tôt cette année, par exemple, Santé Canada a averti le public que les appareils médicaux contenant une puce Bluetooth particulière - y compris les stimulateurs cardiaques, les glucomètres et les pompes à insuline - sont vulnérables aux cyberattaques qui pourraient les faire planter.
• Les attaques de piratage contre le gouvernement sont de plus en plus sophistiquées, prévient l'agence de renseignement
• Un groupe russe a ciblé la recherche sur le vaccin COVID-19 au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni, selon les agences de renseignement
L'agence étrangère de renseignement électromagnétique affirme également que si les programmes parrainés par l'État en Chine, en Russie, en Iran et en Corée du Nord constituent «presque certainement» les plus grandes cybermenaces parrainées par l'État pour les individus et les organisations canadiennes, de nombreux autres États développent rapidement leurs propres programmes cybernétiques.
Waterhouse a dit qu'il était heureux de voir le gouverneur
Waterhouse a déclaré qu'il était heureux de voir l'agence gouvernementale appeler les pays par leur nom, ce qui représente un changement d'approche ces dernières années.
"Pour attaquer et être prêt à faire face à une cyber-attaque, vous devez connaître votre ennemi", a-t-il déclaré.
"Vous devez savoir ce qui est vulnérable au sein de votre organisation. Vous devez savoir à quel point ... il est vulnérable face aux menaces qui existent."
L'espionnage commercial se poursuit
Les acteurs parrainés par l'État continueront également leurs campagnes d'espionnage commercial contre les entreprises, les universités et les gouvernements canadiens pour voler la propriété intellectuelle canadienne et les informations exclusives, dit le CST.
"Nous estimons que ces acteurs de la menace continueront presque certainement à tenter de voler la propriété intellectuelle liée à la lutte contre le COVID-19 pour soutenir leurs propres réponses nationales de santé publique ou pour profiter de sa reproduction illégale par leurs propres entreprises", indique la section "Jugements clés". du rapport.
"La menace du cyberespionnage est presque certainement plus élevée pour les organisations canadiennes qui opèrent à l'étranger ou qui travaillent directement avec des entreprises d'État étrangères."
https://www.cbc.ca/amp/1.5806213?__twitter_impression=true
De nouvelles souches de COVID pourraient rendre les vaccins complètement inutiles, et 2 mutations dangereuses se propagent déjà
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 20/11/2020 - 19:40
Rédigé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Et si toutes les hypothèses que les gens font à propos de cette pandémie de COVID sont complètement fausses ? Lorsque Pfizer a annoncé avoir développé un vaccin efficace contre le COVID, le monde a applaudi. Et puis, lorsque Moderna a annoncé avoir développé un vaccin efficace contre le COVID, le monde a applaudi encore plus. Mais COVID est en train de muter et les scientifiques nous assurent qu'il continuera à muter. Alors que se passe-t-il si les vaccins en cours de développement finissent par être totalement inutiles contre de nouvelles souches mutantes du virus ? Cela nous ramènerait-il à la case départ (ou même pire) ?
Pour mettre ce problème en perspective, parlons un instant de la grippe. Chaque année, les autorités sanitaires proposent un vaccin antigrippal qui, à leur avis, sera efficace contre la variation ou les variations de la grippe qui, selon elles, seront dominantes cette année-là. La plupart des gens supposent simplement qu'un «vaccin contre la grippe» leur fournira une protection complète contre «la grippe», mais ce n'est en fait pas du tout vrai. Certaines années, la correspondance entre le vaccin contre la grippe et les variantes de la grippe qui circulent est plutôt bonne, et certaines années, ce n'est certainement pas le cas. Ce qui suit provient du site officiel du CDC…
Pendant les années où le vaccin antigrippal n'est pas bien adapté aux virus grippaux en circulation, il est possible que peu ou pas de bénéfice de la vaccination contre la grippe puisse être observé. Pendant les années où il y a une bonne correspondance entre le vaccin contre la grippe et les virus en circulation, il est possible de mesurer les avantages substantiels de la vaccination contre la grippe en termes de prévention de la grippe et des complications. Cependant, même pendant les années où le vaccin antigrippal est bon, les avantages de la vaccination antigrippale varieront en fonction de divers facteurs tels que les caractéristiques de la personne vaccinée, les virus grippaux qui circulent cette saison et même, potentiellement, le type de grippe. vaccin a été utilisé.
À ce stade, Pfizer et Moderna semblent tous deux convaincus que leurs vaccins seront efficaces contre la souche dominante de COVID qui traverse actuellement le monde.
Mais que faire si une nouvelle souche devient dominante?
Au Danemark, une nouvelle souche de COVID qui est transmise aux humains par les visons était considérée comme si dangereuse que le gouvernement a en fait annoncé qu'il tuerait les 17 millions de visons dans tout le pays ...
Le gouvernement du Danemark a choqué le monde il y a quelques jours en annonçant qu'il abattrait jusqu'à 17 millions de visons dans le pays, détruisant ainsi l'ensemble de l'industrie de la fourrure de vison dans le pays. Les responsables ont opté pour cette option radicale en raison du nouveau coronavirus, car l'agent pathogène a développé une mutation potentiellement dangereuse au sein de la population de visons captifs. Des rapports du pays ont déclaré que le coronavirus muté avait déjà infecté au moins 12 personnes. Les chercheurs craignent que la nouvelle souche ne soit si dangereuse qu'elle pourrait effectivement rendre les candidats vaccins COVID-19 actuels inutiles. Un nouveau rapport fournit désormais des nouvelles plus gênantes, car certains chercheurs pensent que la souche de coronavirus muté a un potentiel pandémique. D'autres, quant à eux, appellent au calme.
Heureusement, après un énorme tollé, le gouvernement danois a décidé de ne pas tuer tous les visons.
RépondreSupprimerMais cette souche se propage toujours, et comme la citation ci-dessus l'a noté, cette nouvelle souche «pourrait effectivement rendre les candidats vaccins COVID-19 actuels inutiles».
En d'autres termes, si cette souche danoise devient dominante, cela peut forcer les fabricants de vaccins à retourner à la planche à dessin.
Pendant ce temps, nous venons d'apprendre qu '«une nouvelle souche de COVID-19 à propagation rapide» est apparue en Australie…
L'Australie du Sud est aux prises avec une nouvelle souche de COVID-19 à propagation rapide alors qu'elle se prépare à un verrouillage de six jours pour tenter de contenir le virus.
Un cluster COVID-19 dans le nord d'Adélaïde est passé à 22 mercredi alors que des milliers de personnes continuaient à affluer vers les stations de test.
La raison pour laquelle les autorités ont décidé de verrouiller toute l'Australie du Sud pendant six jours est que cette nouvelle souche semble être beaucoup plus contagieuse que les souches précédentes ...
Une souche de Covid-19 derrière une épidémie en Australie-Méridionale pourrait se propager jusqu'à cinq fois plus vite que la normale, craignent les responsables.
Les responsables de la santé inquiets affirment que la période d’incubation - le temps qu’il faut à une personne pour présenter des symptômes après avoir été infectée - a été «très très courte».
Le professeur Nicola Spurrier, directeur de la santé pour l'Australie-Méridionale, a déclaré que les gens devenaient contagieux dans les 24 heures suivant la capture du virus. Elle a déclaré que la souche particulière à l'origine de l'épidémie avait «certaines caractéristiques».
S'il est vrai que cette nouvelle souche se propage cinq fois plus rapidement que les anciennes, elle pourrait facilement devenir dominante.
Et si cela se produit, les vaccins qui ont été développés ne sont peut-être d'aucune utilité.
Nous ne savons tout simplement pas à ce stade.
Mais ce que nous savons, c'est que le COVID continuera à muter dans les mois et les années à venir, ce qui pourrait potentiellement créer d'énormes maux de tête pour les développeurs de vaccins.
En ce qui concerne les vaccins déjà créés, certains experts soulignent qu'il y a tant d'inconnus à leur sujet.
La plupart des gens supposent que ces nouveaux vaccins sont similaires aux autres vaccins qu'ils ont déjà pris, mais ce n'est certainement pas vrai.
Ces nouveaux vaccins sont à eux seuls dans une classe entièrement nouvelle. Ils sont connus sous le nom de vaccins à «ARN messager» (ARNm), et ils agissent en détournant le mécanisme de fabrication de protéines dans vos cellules ...
Alors que Moderna venait de terminer son essai de phase I, The Independent a écrit à propos du vaccin et l'a décrit de cette façon: «Il utilise une séquence de matériel d'ARN génétique produit dans un laboratoire qui, une fois injecté dans votre corps, doit envahir vos cellules et détourner votre la machinerie de fabrication de protéines des cellules, appelées ribosomes, pour produire les composants viraux qui entraînent ensuite votre système immunitaire à combattre le virus. »
RépondreSupprimer"Dans ce cas, l'ARNm-1273 de Moderna est programmé pour que vos cellules produisent la tristement célèbre protéine de pointe de coronavirus du coronavirus qui donne au virus son apparence en forme de couronne (couronne en latin) pour laquelle il est nommé", a écrit The Independent.
Je ne veux certainement pas que mes cellules soient «détournées», et personne ne sait à quoi ressembleront les effets à long terme.
Et même si vous prenez l'un de ces nouveaux vaccins, cela pourrait finir par ne pas vous servir du tout si une souche différente émerge et devient dominante.
Malheureusement, je crois que nous sommes entrés dans une ère de pandémies mondiales, et je suis convaincu que tout cet enthousiasme pour les vaccins qui ont été développés est complètement erroné.
Nous savons que le COVID continuera à muter, mais nous n'avons aucune idée du tout si les vaccins actuels seront efficaces contre ces futures souches ou non.
Si la lutte contre les maladies était facile, nous aurions éradiqué le rhume et la grippe depuis longtemps.
Mais nous ne l’avons pas fait et nous n’éradiquerons pas non plus le COVID.
Même maintenant, de nouvelles souches dangereuses de COVID émergent, et j'ai le sentiment que ce sera COVID qui va avoir le dernier mot.
https://www.zerohedge.com/medical/new-strains-covid-could-render-vaccines-completely-useless-and-2-dangerous-mutations-are
GOP ceint pour les combats de "fraude électorale" dans le second tour en Géorgie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 20/11/2020 - 22:20
Rédigé par Susan Crabtree via RealClearPolitics.com,
Au milieu du feu et de la fureur de la conférence de presse bruyante de 90 minutes de Rudy Giuliani jeudi exposant les allégations du président Trump de fraude électorale généralisée, l'ancien maire de New York et procureur fédéral célèbre pour avoir brisé la foule dans les années 1980, a refusé de donner son avis sur Une question très importante: pense-t-il que le système électoral américain est si truqué et que les partisans de Trump sont si méfiants à l'égard du processus électoral que les autorités fédérales devraient surveiller les deux tours de scrutin du Sénat de Géorgie prévus le 5 janvier ?
«Je ne peux pas dire ce qui va être fait à ce sujet. … Je ne peux vraiment pas vous donner d’opinion là-dessus », a déclaré Giuliani à un journaliste lorsque le presseur, plein d’opinion, est passé aux questions des médias.
«Je pense que chaque élection devrait en tirer quelque chose et être très, très prudent avec les prochaines élections.»
Le journaliste qui a posé la première question à Giuliani a évoqué l'opération Greylord, une enquête menée par le FBI, la division criminelle de l'IRS, le US Postal Service et la police de Chicago qui a éradiqué la corruption des tribunaux dans le comté de Cook, dans l'Illinois, dans les années 1980.
L'opération d'infiltration de trois ans a abouti à la mise en examen de 92 juges et autres fonctionnaires, dont la plupart ont été condamnés. Les essais se sont étendus sur 10 ans.
Même s'il s'agissait d'une question amicale, Giuliani ne voulait pas y aller.
«Je n'ai aucune idée de l'endroit où se trouvait le FBI ces quatre dernières années», a-t-il fait remarquer.
«… Je ne sais pas ce que nous devons faire pour que le FBI se réveille. Peut-être avons-nous besoin d'une nouvelle agence pour nous protéger. Je n'ai aucune idée."
Peu importe ce que vous pensez de la conférence de presse provocante de Giuliani et du refus de Donald Trump de céder, la confiance dans le système électoral américain de près de la moitié de la nation qui a voté pour le président atteint de nouveaux creux.
Un sondage Morning Consult publié cette semaine a révélé que la part des républicains qui font confiance aux résultats officiels des élections a chuté de 43 points de pourcentage. Dans un sondage réalisé fin octobre, 70 % des républicains ont déclaré que les résultats officiels des élections seraient «très» ou «très probablement» fiables. Dans l'après-novembre. 3, seulement 27 % disent la même chose, les deux tiers des républicains affirmant que l'élection de 2020 n'était pas libre et juste.
Giuliani et d’autres affirment que la fraude généralisée est ce qui a fait passer la Géorgie aux démocrates dans la course à la présidentielle, et non les changements démographiques de l’État et les campagnes d’inscription et de participation tant vantées de Stacey Abrams. Alimentés par une armée de groupes libéraux bien fondés, les groupes Abrams ont inscrit 800 000 Géorgiens à voter cette année.
La Géorgie a achevé jeudi son recomptage manuel de 5 millions de bulletins de vote et - malgré la découverte de 6 000 bulletins de vote ignorés dans le processus initial - elle a validé le résultat initial: Joe Biden a remporté l'État par plus de 10 000 voix. Le secrétaire d'État républicain Brad Raffensperger prévoit de certifier les résultats plus tard vendredi.
RépondreSupprimerAvec le contrôle du Sénat en jeu, l'argent des groupes d'intérêts spéciaux aux poches profondes afflue dans l'État de Peach - quelque 125 millions de dollars au cours des deux dernières semaines - et une armée d'activistes de tous les horizons politiques est arrivée pour organiser et orchestrer des efforts de participation. La course est maintenant lancée pour que 23000 des 17 ans de l'État - ceux qui auront 18 ans avant le 5 janvier - s'inscrivent pour voter avant la date limite du 7 décembre, en utilisant les flux Twitch, les spots de jeux mobiles et l'algorithme en ligne. -des annonces ciblées.
Il y a tellement de choses à faire sur les deux tours qui opposent les sens GOP. David Perdue et Kelly Loeffler, respectivement, aux challengers démocrates Jon Ossoff et Raphael Warnock, que le candidat démocrate à la présidentielle raté Andrew Yang et le chroniqueur Tom Friedman ont encouragé les démocrates à s'installer temporairement dans l'État et à s'inscrire voter.
Le duo a depuis fait marche arrière, arguant que leurs remarques étaient désinvoltes et destinées à souligner les enjeux élevés du concours. Pourtant, certains riches démocrates californiens se rendraient en Géorgie pour stimuler les opérations de participation et faire tout ce qui est nécessaire pour aider les démocrates à remporter les sièges.
La question de savoir si les partis extérieurs qui affluent là-bas pourraient se retourner contre les démocrates en alimentant la fierté paroissiale est une question ouverte, mais les républicains sont en état d'alerte. Le procureur général de Géorgie, Chris Carr, a averti la semaine dernière que le fait de déménager temporairement dans l'État pour voter était un crime passible d'une peine de 10 ans de prison et d'une amende maximale de 100 000 dollars.
«Vous ne pouvez pas être un solliciteur pour [Michael] Bloomberg - vous ne pouvez pas être un solliciteur pour les frères Koch et décider:" Hé, je vais voter pendant que je suis ici "", Gabriel Sterling, géorgien fonctionnaire électoral, a déclaré la semaine dernière.
Bien que Yang insiste sur le fait qu'il était évident qu'il plaisantait, les conservateurs profondément préoccupés par la fraude électorale ne rient pas.
Hans von Spakovsky, un expert en droit électoral à la Heritage Foundation qui a plaidé pour des lois électorales plus strictes, exhorte les républicains de Géorgie à mettre en œuvre un plan détaillé avant le second tour pour lutter contre plusieurs types de fraude électorale potentielle.
Les responsables républicains devraient parcourir les listes d'inscription des électeurs et les diviser par les électeurs dans chaque circonscription, a-t-il déclaré à RealClearPolitics. Chaque bureau de vote a un comité de suivi local, a-t-il expliqué, et chaque président devrait obtenir la liste des électeurs de cette circonscription. Les listes d’inscription des électeurs peuvent ensuite être comparées à la liste des résidents du DMV et à d’autres bases de données d’enregistrement de l’État.
«Je distribuais la liste et disais:« Regardez tout le monde dans votre quartier qui se rend à ce bureau de vote - y a-t-il des gens qui ne font pas partie de votre communauté ? »Consultez la liste et vérifiez les adresses» et demandez aux voisins si les gens ont récemment déménagé là-bas, a-t-il dit.
«S'il y a une maison unifamiliale dans votre quartier et que 20 personnes y sont enregistrées, d'accord, c'est un problème», a-t-il déclaré.
RépondreSupprimer«Ils devraient immédiatement porter cela à l'attention des autorités locales. C’est ce qu’ils devraient faire maintenant. »
Mais la priorité n ° 1 pour lutter contre la fraude électorale - ou même la perception de celle-ci - devrait être de faire en sorte que les agents électoraux, et pas seulement les observateurs, ouvrent et comptent les bulletins de vote par la poste, en fournissant les yeux et les oreilles sur le terrain argumenté.
Von Spakovsky, qui a travaillé au nom des républicains lors du recomptage de Bush-Gore en Floride en 2000, a déclaré que les républicains devaient exiger plus de transparence. Il a cité les rapports des médias selon lesquels un seul observateur pour 10 tables de dépouillement était autorisé lors du recomptage de la Géorgie en raison des règles de distanciation sociale COVID-19.
"Whoa, qu'est-ce qui se passe avec ça ?" Il a demandé. «Il devrait y avoir un observateur à chaque table où le recomptage a lieu. C’est ce qu’ils ont fait en Floride. Je sais. J'étais là."
Heritage Action, la branche politique de la Heritage Foundation, affirme qu’elle mobilise 20 000 de ses membres locaux en Géorgie pour des coups de porte, des appels téléphoniques et des SMS. Il recrute également une équipe d'au moins 100 agents électoraux pour surveiller toute tentative de manipulation des résultats des élections. Jenny Beth Martin, présidente du Tea Party Patriots Citizens Fund, a déclaré que son groupe prévoyait de former les agents de vote et les observateurs de scrutin sur ce qu'il faut rechercher. «Nous nous engagerons dans des opérations de circonscription», a-t-elle déclaré au RCP.
Tous ces efforts prennent de la main-d’œuvre, et les républicains s'inquiètent en privé du fait que le GOP n’a pas fait assez pour empêcher le ruissellement en contrant les vastes activités populaires d’Abrams. Comme l'a signalé Giuliani, ils ne font pas non plus confiance au FBI ou aux autres autorités fédérales pour faire quoi que ce soit pour se prémunir contre la fraude ou enquêter sur la fraude s'il y a des preuves que cela se produit.
John Yoo, un avocat conservateur qui a travaillé dans l'administration George W. Bush Justice, dit que les préoccupations de Trump concernant l'élargissement du vote par correspondance conduisant à davantage d'opportunités de fraude électorale sont bien fondées. Le président Jimmy Carter et James A. Baker III, secrétaire d'État sous George H.W. Bush, est arrivé à la même conclusion en 2005 après avoir dirigé la Commission sur la réforme électorale fédérale, qui a conclu que «les bulletins de vote par correspondance restent la principale source de fraude électorale potentielle».
La pratique consistant à cibler les maisons de retraite et les hôpitaux pour personnes âgées et à aider les électeurs âgés à remplir leurs bulletins de vote est une pratique si courante qu’elle a un nom parmi les agents politiques: «l’agriculture des mamies». Pendant la pandémie, il y a eu de nouvelles inquiétudes concernant la privation du droit de vote des personnes âgées en raison de la réticence des Américains plus âgés à se rendre aux urnes. Mais cette peur a été abusée, a affirmé Yoo.
Les détracteurs de la collecte des bulletins de vote ou de la collecte de bulletins de vote par la poste par des tiers font souvent référence à un incident découvert par le Miami Herald en 1998 dans lequel une femme de 70 ans en convalescence après un AVC s'est plainte d'avoir été harcelée pour son bulletin de vote par correspondance. par un agent politique qui l'a ensuite rempli et lui a pris.
«Ce dont tout le monde devrait s'inquiéter, c'est si nous voyons des niveaux de vote suspects - plus de votes que les résidents - dans les maisons de retraite ou les foyers de groupe», a déclaré Yoo. Il est sceptique, cependant, qu'un nombre important de personnes ont déménagé illégalement pour voter.
RépondreSupprimerAu lieu de cela, il dit que les deux domaines les plus préoccupants sont la récolte des bulletins de vote et le processus de tabulation ou de comptabilité de tous les bulletins de vote.
L’équipe juridique de Trump s’est attaquée au processus de tabulation du vote électronique et aux machines du système de vote du Dominion impliquées. Sidney Powell, l’un des avocats de Trump, insiste sur le fait que le président a gagné par «des millions de voix» et que le logiciel Dominion a modifié les chiffres. Elle a cité un affidavit signé par un ancien responsable militaire du Venezuela selon lequel le système a été utilisé pour inverser électroniquement les votes des hommes forts Hugo Chavez et de son successeur, Nicolas Maduro.
L'État de Géorgie utilise des machines et des logiciels du Dominion, mais Raffensberger, le secrétaire d'État, a déclaré qu'un audit de ces machines n'avait révélé aucun signe de jeu déloyal.
Et Jason Snead, le directeur exécutif du conservateur Honest Elections Project, affirme que l'équipe juridique de Trump n'a pas encore fourni suffisamment de preuves de fraude généralisée pour lui permettre de croire que Dominion a modifié ou falsifié «des millions de votes ou quoi que ce soit de ce genre».
«Il y a clairement des problèmes qui se sont produits le jour du scrutin, et certains d'entre eux ont été bien documentés», a-t-il déclaré. «Certains comtés de quelques États ont eu des problèmes avec certains équipements, mais rien qui n'était vraiment hors de la norme pour ce type de systèmes.»
Snead a déclaré que ceux qui élaborent les lois électorales ont la responsabilité de s'assurer qu'ils gèrent la demande d'augmentation des options de vote par correspondance pendant COVID d'une manière «qui garantira que ces bulletins de vote sont correctement protégés et que le système électoral dans son ensemble fonctionne bien, efficacement et en toute sécurité. »
L'un des problèmes est que la fraude électorale est difficile à prouver, et les procureurs de district locaux se sont montrés peu enclins à les poursuivre. De tels cas prennent beaucoup de temps à enquêter, et les législatures des États n’ont pas fait de la question une priorité de financement, disent von Spakovsky et d’autres.
En 2018, le procureur général de l'Arizona, Mark Brnovich, a lancé une unité d'intégrité électorale pour «préserver la confiance du public dans l'intégrité de nos élections en défendant avec vigilance les garanties de vote et les lois électorales de bon sens».
Mardi, Brnovich a appelé publiquement les critiques du processus électoral à présenter «des faits et des preuves» afin que son bureau puisse enquêter.
Après une élection qui a alimenté tant de méfiance à l'égard du système, von Spakosvksy exhorte tous les États à créer des unités d'intégrité électorale similaires dans leurs bureaux de procureurs généraux et que les législatures fournissent suffisamment de ressources pour que ces unités fassent un travail approfondi.
Snead a déclaré que Brnovich poursuivait une affaire de collecte de bulletins de vote «à succès» portant sur deux dispositions de la loi de l'Arizona que la Cour suprême a déclaré qu'elle examinerait cet automne. Un aspect concerne les lois des États exigeant que les gens votent dans leur circonscription spécifique et un autre de restreindre la collecte des bulletins de vote, en limitant qui peut recueillir et remettre le bulletin d’une personne à un membre de la famille, un membre du ménage ou un soignant.
RépondreSupprimerEn fonction de la manière dont la Haute Cour statue, des lois de vote plus restrictives dans plusieurs États pourraient être mises à l'écart - ou inscrites en tant que garanties nécessaires.
«Cela va donc être un très gros dossier», a-t-il déclaré. «Il a le potentiel d'aider à définir et à façonner la loi électorale à l'avenir.»
https://www.zerohedge.com/political/gop-girds-election-fraud-fights-georgia-runof
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Le Dominion vote les avocats avant de se retirer brusquement de l'audience d'enquête en Pennsylvanie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 20/11/2020 - 18:15
Rédigé par Debra Heine via American Greatness
Jeudi soir, Dominion Voting Systems a renoncé brutalement à assister à une audience d’enquête qui devait avoir lieu vendredi matin avec le comité du gouvernement de l’État de Pennsylvanie.
Lors d'une conférence de presse vendredi matin, le président du comité du gouvernement de l'État, Seth Grove, a déclaré le 1,3. million de Pennsylvaniens qui ont utilisé les machines à voter de Dominion ont été «traînés à sécher et giflés au visage».
Les législateurs de Pennsylvanie avaient prévu une audition avec le fabricant de machines à voter "pour aider à identifier et corriger toute irrégularité dans le processus électoral", selon le House Republican Caucus.
«Il est d'une importance vitale que les électeurs aient confiance dans les machines qu'ils utilisent pour voter. Dans la foulée de la décertification unilatérale par le gouverneur Tom Wolf de chaque machine à voter du Commonwealth, nous devons savoir si ces nouvelles machines ont répondu aux attentes, si elles sont fiables et si elles ne sont pas sujettes à des interférences », a déclaré le représentant Grove (R-York ).
Dominion avait initialement accepté d'assister à l'audience, avant qu'elle ne soit «brusquement annulée», a déclaré Grove.
«J'ai été impressionné par ce qui semblait être la volonté de Dominion Voting Systems de répondre aux accusations et cela aurait mis 1,3. millions de Pennsylvaniens qui utilisaient leurs machines à l'aise - y compris moi-même, pensant que Dominion était prêt à soutenir publiquement leur produit que les contribuables de l'AP ont investi des millions pour acheter », a-t-il noté pendant le presser.
«Malheureusement, hier soir, Dominion Voting Systems a fait appel à un avocat et a renoncé à son engagement envers la population de Pennsylvanie à fournir ses commentaires dans un format public.
Grove a reproché à l'entreprise de «se retirer dans l'obscurité», plutôt que de comparaître à l'audience avec «honnêteté et intégrité».
Le président du comité a dit qu'il voulait savoir pourquoi une entreprise qui n'avait rien à cacher se retirerait.
«Pourquoi un vendeur de biens publics aurait-il peur de discuter de son produit vendu au public pour le bien public? Si les produits de Dominion réussissaient et fonctionnaient comme ils étaient censés le faire, pourquoi Dominion ne profiterait-il pas de l'occasion pour évaluer publiquement son succès? » Demanda Grove. «À quel point est-il difficile de dire que« nos machines à voter ont fonctionné exactement comme promis et sont exactes à 100% »?»
«Après des semaines d'accusations, pourquoi Dominion Voting Systems n'a-t-il pas rendu public au public une analyse du succès de ses machines à voter afin d'arrêter leurs accusateurs dans leur élan ? S'ils n'ont rien à cacher, pourquoi se cachent-ils de nous? Il a demandé.
«Aujourd'hui, je suis attristé d'annoncer aux contribuables de Pennsylvanie et aux 1,3 million d'électeurs qui ont fait confiance à Dominion Voting Systems pour leurs bulletins de vote, que Dominion Voting Systems vous a mis à plat et vous a giflé au visage. déclara le président du comité.
RépondreSupprimerGrove a déclaré que le comportement de Dominion conférait de la crédibilité aux accusations de leurs accusateurs.
La représentante Dawn Keefer a noté que quatorze comtés utilisaient le logiciel Dominion Voting Systems, donc ils doivent aux électeurs de Pennsylvanie de se présenter et de répondre à certaines questions.
«Nous faisons confiance aux travailleurs de nos bureaux de vote et de nos comtés», a déclaré Keefer. «Mais ce que nous ne savons pas, c'est le rôle des entreprises tierces. Et lorsqu'ils annulent leur participation à notre audience, nous nous demandons pourquoi. "
Keefer a ajouté: «La transparence est la clé de notre sécurité électorale. Dominion Voting Software nous demande de ne leur accorder qu'une confiance aveugle. Nous sommes très déçus de l’annulation de dernière minute de Dominion lors de l’audience d’aujourd’hui.
La transparence est la clé de notre sécurité électorale. Dominion Voting Software nous demande de ne leur accorder qu'une confiance aveugle. Nous sommes très déçus de l’annulation de dernière minute de Dominion lors de l’audience d’aujourd’hui. »
https://www.zerohedge.com/political/dominion-voting-lawyers-abruptly-backing-out-pennsylvania-fact-finding-hearing
Contre l’imposition à la France d’un agenda climatique nuisible
RépondreSupprimer19 novembre 2020 / Association des climato-réalistes
Communiqué de l’Association des Climato-Réalistes
Ce matin, le Conseil d’État a donné trois mois à l’Etat pour « justifier » que ses engagements de réduction de 40 % des émissions de gaz à effet de serre en 2030 seront respectés.
Rappelons que le conseil d’Etat avait été saisi en janvier 2019 par Damien Carême, le maire écologiste de Grande-Synthe, (élu depuis député européen et qui a donc quitté son mandat), qui estimait que sa commune (Département du Nord) était menacée de submersion par « l’inaction climatique » du gouvernement. Lors de l’audience du 9 novembre, le conseil d’Etat a suivi les recommandations du rapporteur public, qui avait alors souligné que « le cœur du sujet est le calendrier des actions », puisqu’il « y a bien urgence climatique aujourd’hui ».
Alors même qu’il est bien établi que cette « pseudo urgence » n’est qu’un leurre, cette décision du Conseil d’État nous met sur le chemin d’une judiciarisation croissante de la question climatique qui permet à des activistes d’imposer la mise en œuvre de mesures idéologiques régressives et dangereuses. Elle pourrait par exemple inciter le Gouvernement à revenir sur sa décision de ne pas augmenter la taxe carbone, dont on sait l’impact social désastreux et contre laquelle s’était dressé le mouvement des Gilets Jaunes.
L’hystérie climatique n’a pour effet que d’affaiblir notre pays et d’appauvrir les plus démunis. Deux études scientifiques (Bjorn Lomborg et le MIT) ont montré à l’époque de l’Accord de Paris que les « engagements » pris ne pourraient de toute façon avoir aucun impact significatif sur l’environnement. Les coûts associés, eux, sont hélas bien réels et de plus en plus insoutenables pour la collectivité.
L’absurdité de cette décision du Conseil d’État est d’autant plus grande que la France figure au cinquième rang mondial des pays environnementalement les plus vertueux comme le montre le classement international établi par l’université de Yale.
L’Association des Climato-Réalistes appelle donc les citoyens à ne pas subir sans réaction une telle décision, sans rapport avec les problèmes majeurs que traverse notre pays en ces temps de pandémie. Elle appelle chacun à interpeller leurs élus de tous bords pour leur faire connaître leur mécontentement.
https://www.climato-realistes.fr/contre-limposition-a-la-france-dun-agenda-climatique-nuisible/
La Niña a développé
RépondreSupprimerTags: Climat El Niño / La Niña
29 octobre 2020
La Niña s'est développée et devrait durer l'année prochaine, affectant les températures, les précipitations et les tempêtes dans de nombreuses régions du monde, selon l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
La déclaration mondiale d'un événement La Niña est utilisée par les gouvernements pour mobiliser la planification dans des secteurs sensibles au climat comme l'agriculture, la santé, les ressources en eau et la gestion des catastrophes. L'OMM intensifie actuellement son soutien et ses conseils aux agences humanitaires internationales pour tenter de réduire les impacts parmi les plus vulnérables à un moment où les capacités d'adaptation sont épuisées par la pandémie COVID-19.
La Niña de cette année devrait être modérée à forte. La dernière fois qu'il y a eu un événement fort, c'était en 2010-2011, suivi d'un événement modéré en 2011-2012.
La Niña fait référence au refroidissement à grande échelle des températures de surface de l'océan dans l'océan Pacifique équatorial central et oriental, associé à des changements dans la circulation atmosphérique tropicale, à savoir les vents, la pression et les précipitations. Il a généralement des impacts opposés sur le temps et le climat comme El Niño, qui est la phase chaude de ce que l'on appelle l'oscillation australe El Niño (ENSO).
«El Niño et La Niña sont les principaux moteurs naturels du système climatique de la Terre. Mais tous les événements climatiques naturels se produisent désormais dans un contexte de changement climatique d'origine humaine qui aggrave les conditions météorologiques extrêmes et affecte le cycle de l'eau », a déclaré le Secrétaire général de l'OMM, le professeur Petteri Taalas.
«La Niña a généralement un effet de refroidissement sur les températures mondiales, mais cela est plus que compensé par la chaleur emprisonnée dans notre atmosphère par les gaz à effet de serre. Par conséquent, 2020 reste sur la bonne voie pour être l'une des années les plus chaudes jamais enregistrées et 2016-2020 devrait être la période de cinq ans la plus chaude jamais enregistrée », a déclaré le professeur Taalas. «Les années La Niña sont maintenant plus chaudes que les années avec de forts événements El Niño du passé.»
La nouvelle mise à jour ENSO de l’OMM indique qu’il est fort probable (90%) que les températures de surface de la mer du Pacifique tropical demeurent aux niveaux de La Niña jusqu’à la fin de 2020, et peut-être jusqu’au premier trimestre de 2021 (55%). Cela fait suite à plus d'un an de conditions ENSO neutres (c'est-à-dire ni El Niño ni La Niña). La mise à jour est basée sur les prévisions des centres mondiaux de production de prévisions à long terme de l'OMM et sur l'interprétation d'experts.
Il est important de noter qu'El Niño et La Niña ne sont pas les seuls facteurs qui déterminent les modèles climatiques mondiaux et régionaux. Il n'y a pas deux événements La Niña ou El Niño identiques, et leurs effets sur les climats régionaux peuvent varier en fonction de la période de l'année et d'autres facteurs. Par conséquent, les décideurs doivent toujours surveiller les dernières prévisions saisonnières pour obtenir les informations les plus à jour.
Pour cette raison, l'OMM complète désormais le portefeuille existant d'informations saisonnières fournies par le biais des forums nationaux et régionaux sur les perspectives climatiques et a augmenté la fréquence des mises à jour climatiques saisonnières mondiales (GSCU) de trimestrielle à mensuelle. Outre El Niño et La Niña, le GSCU intègre les influences d'autres facteurs climatiques, tels que l'oscillation nord-atlantique, le dipôle de l'océan Indien, pour évaluer leurs effets probables sur les régimes régionaux de température de surface et de précipitations et, en tant que tel, les discussions saisonnières avec les Nations Unies et d'autres partenaires.
RépondreSupprimerLe point sur le climat saisonnier mondial de l'OMM - Graphiques des précipitations et des températures de novembre à janvier 2021 Le point sur le climat saisonnier mondial 29.10.2020
- voir cartes sur site -
Planification humanitaire
À la suite des effets dévastateurs de l'événement El Niño 2015/16, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, l'OMM et les organisations humanitaires se sont réunis pour développer ce que l'on appelle la cellule ENSO afin de garantir que l'ONU et ses partenaires humanitaires reçoivent les actions appropriées Conseil. Cette cellule fournit actuellement des conseils axés sur l'impact aux décideurs des Nations Unies et du secteur humanitaire. Les informations climatiques saisonnières de l'OMM et d'autres centres d'expertise sont intégrées dans une évaluation humanitaire plus large pour identifier les zones considérées comme les plus à risque. La sécurité alimentaire, la capacité d'adaptation et un certain nombre d'autres facteurs sont combinés pour créer une évaluation plus holistique de la vulnérabilité réelle.
Des travaux sont actuellement en cours pour étendre ce soutien au système humanitaire en développant un mécanisme de coordination dédié pour canaliser l'expertise de la communauté de l'OMM directement vers les décideurs afin de sauver des vies et des moyens de subsistance. Cela permettra de disposer de prévisions à différentes échelles de temps pour la gestion des catastrophes, comme ce fut le cas lors des récentes inondations au Soudan, lorsque l'OMM a fourni des informations hydrométéorologiques au Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.
Impacts de La Nina 2020 (Résumé)
Les dernières prévisions saisonnières indiquent que la Grande Corne de l'Afrique (précipitations inférieures à la normale), l'Asie centrale (précipitations inférieures à la normale) et l'Asie du Sud-Est, certaines îles du Pacifique et la région nord de l'Amérique du Sud (précipitations supérieures à la normale) les anomalies de précipitations les plus importantes associées à l'événement La Nina 2020.
Afrique
L'événement La Niña de cette année coïncide avec une importante saison des pluies et des semis dans une grande partie de l'Afrique de l'Est, qui devrait connaître des conditions plus sèches que d'habitude. Ceci, ajouté aux impacts existants de l'invasion de criquets pèlerins, est un autre développement inquiétant qui peut ajouter aux défis de sécurité alimentaire dans la région.
La Niña peut entraîner une augmentation des précipitations en Afrique australe, comme l'indiquent certains modèles de prévisions saisonnières récents. Cependant, il y a quelques nuances dans ces derniers et donc les prévisions à jour devraient être surveillées au cours des prochains mois. La Niña peut également affecter la saison des cyclones tropicaux du sud-ouest de l'océan Indien, en réduisant l'intensité. Des experts de l'OMM et des collègues humanitaires se réuniront en novembre pour entreprendre une analyse approfondie de la saison à venir.
Asie centrale
RépondreSupprimerEn Asie centrale, les événements de La Niña ont entraîné une réduction des précipitations de janvier à mai. Cependant, les dernières prévisions saisonnières mettent en évidence une probabilité accrue qu'une région du Levant à l'Asie centrale connaisse des précipitations inférieures à la normale encore plus tôt que d'habitude.
Asie du Sud-Est et Pacifique
La Niña est souvent associée à des conditions humides dans de grandes parties de l'Asie du Sud-Est, en Australie et les dernières perspectives saisonnières sont cohérentes avec les conditions historiques de La Nina.
Pour les îles du Pacifique, les effets de La Niña varieront d'un pays à l'autre. Ceux du Pacifique central et oriental peuvent être plus sensibles à des précipitations inférieures à la normale, tandis que les pays du Pacifique Sud-Ouest deviendront plus sujets à des précipitations supérieures à la normale.
Asie du sud
Lors des précédents événements La Niña, l'Asie du Sud a subi un mélange d'effets, allant de conditions plus sèches que d'habitude dans l'extrême sud, plus humides dans une grande partie des régions centrales de juin à septembre, puis à nouveau plus sèches dans l'extrême nord / nord-ouest.
Les dernières perspectives saisonnières donnent une image mitigée similaire, avec des conditions sèches attendues au cours des prochains mois dans le nord de la région tandis que le reste de la région devrait connaître des conditions proches de la normale. Dans l'extrême sud de la région, le dernier GSCU indique une probabilité de précipitations supérieures à la normale, tandis que le numéro de septembre indiquait une possibilité de précipitations inférieures à la normale. La situation continuera d'être surveillée.
Amérique du Nord, Amérique centrale et Caraïbes
En Amérique du Nord, La Niña apporte généralement au-dessus de la moyenne le long du nord du continent avec des précipitations inférieures à la moyenne et dans le sud. Les derniers résultats du modèle de prévision sont cohérents avec cette analyse d'impact historique.
Dans les Caraïbes, les événements La Niña peuvent contribuer à une augmentation de l'intensité de la saison des ouragans. La saison 2020 a été l'une des plus actives jamais enregistrées.
Amérique du Sud
En Amérique du Sud, La Niña peut entraîner des précipitations supérieures à la normale dans de grandes parties du nord du continent, tandis que plus au sud, des précipitations inférieures à la normale peuvent être enregistrées sur les côtes est et ouest. L'événement La Niña 2020 présente des caractéristiques très similaires, la partie nord du continent étant susceptible de connaître des précipitations supérieures à la normale, tandis qu'une grande partie du cône sud devrait voir des précipitations inférieures à la normale.
Références supplémentaires
RépondreSupprimerCe communiqué de presse utilise les informations faisant autorité des Membres de l'OMM, des Centres régionaux du climat, des Forums régionaux sur les perspectives climatiques et du Global Seasonal Climate Update, qui est basé sur un ensemble de modèles des Centres mondiaux de production de prévisions à long terme de l'OMM - produits par le Centre principal de l'OMM pour l'ensemble multimodèle de prévision à long terme (LC LRFMME). Pour des informations plus détaillées, veuillez consulter les sites Web des services météorologiques et hydrologiques nationaux respectifs. Des liens vers les forums régionaux sur les perspectives climatiques, le Global Seasonal Climate Update et d'autres sources faisant autorité se trouvent ci-dessous.
Additional Information
https://www.wmolc.org/seasonPmmeUI/plot_PMME#
https://ftp.cpc.ncep.noaa.gov/mingyue/GSCUWMO/Forecasts/
https://public.wmo.int/en/our-mandate/climate/regional-climate-outlook-products
The International Centre for the Investigation of El Niño (CIIFEN)
International Research Institute for Climate and Society https://iri.columbia.edu/our-expertise/climate/enso/
The Caribbean Regional Climate Centre
https://www.climate.gov/enso
https://www.cpc.ncep.noaa.gov/products/analysis_monitoring/
http://www.bom.gov.au/climate/enso/
https://public.wmo.int/en/media/press-release/la-niña-has-developed
https://public.wmo.int/en/media/press-release/la-niña-has-developed
Les évènements 'El nino' ou 'El nina' sont des émergences Est-Pacifique en Amérique Centrale/Amérique du Sud qui sont fortement responsables du climat qui s'ensuit. Ces éruptions volcaniques (sources chaudes) magmatiques modifient grandement les climats de la Terre sujette aux millions d'éruptions (continuelles) maritimes et océaniques.
SupprimerLe Parlement allemand accusé d'avoir adopté une loi d'habilitation Covid-19
RépondreSupprimer21 novembre 2020
Les manifestants en Allemagne ont accusé l'État de mettre en danger les droits des citoyens, en accordant à l'exécutif allemand des pouvoirs étendus pour fermer des locaux ou imposer des couvre-feux pour contrôler les épidémies de Covid-19. Mais les défenseurs affirment que la loi exige une plus grande surveillance des décisions de verrouillage de Covid-19 et offre une protection spéciale pour les événements culturels.
La police interrompt les grandes manifestations à Berlin alors que l'Allemagne adopte des lois plus strictes sur les coronavirus
De grandes foules ont manifesté à Berlin contre la pression du gouvernement allemand pour inscrire les restrictions sur les coronavirus dans une loi existante. La police est intervenue alors que la foule cherchait à s'approcher du parlement.
«La police appelle les manifestants à partir. Beaucoup de huée. Les manifestants veulent accéder à une zone bouclée autour du parlement où de nouveaux ajouts à la loi sur les infections sont débattus [pour le moment,] », a rapporté Nina Haase de DW.
Une impasse tendue s'est ensuivie alors que la police tentait de convaincre la foule de se disperser au milieu des cris de «Nous sommes le peuple!» et comme certains manifestants ont commencé à chanter l'hymne national.
…
Qu'impliquent les nouvelles règles ?
Les chambres inférieures et supérieures de l'Allemagne ont adopté des modifications de la loi allemande sur la protection contre les infections, répondant plus spécifiquement à la pandémie de coronavirus. Les nouvelles mesures permettront au gouvernement d'imposer des restrictions sur les contacts sociaux, des règles sur le port du masque, la consommation d'alcool en public, la fermeture des magasins et l'arrêt des événements sportifs.
…
Les manifestants qui ont pris part aux manifestations de mercredi ne portaient pas activement de masques ni de distance sociale. Mais un participant portait un masque avec les mots «Merkel-Muzzle» (museau), tandis que d'autres tenaient des banderoles avec des slogans tels que «Pour l'illumination. Paix et liberté. »
Les critiques disent que les lois sur les coronavirus donneraient au gouvernement trop de pouvoir et mettraient en danger les droits civils des citoyens.
L’AfD, populiste de droite, est même allée aussi loin en comparant les mesures proposées avec la loi d’habilitation de 1933 qui a ouvert la voie à la dictature d’Adolf Hitler, en particulier dans ses publications sur les réseaux sociaux. Un membre senior de l'AfD, Bernd Baumann, a fait le même parallèle au Bundestag.
…
En savoir plus: https://www.dw.com/en/police-break-up-large-berlin-protests-as-germany-passes-tougher-coronavirus-laws/a-55644706
La communauté artistique allemande semble satisfaite des nouvelles lois. Un grand défenseur des arts affirme que les nouvelles lois reconnaissent pour la première fois les événements culturels comme étant distincts des expositions d'art.
RépondreSupprimerLoi allemande sur les infections: un nouveau statut juridique pour la culture
Date 19.11.2020
Auteur Dagmar Breitenbach
En vertu de la loi allemande sur la protection contre les infections, la culture n’est plus considérée comme un divertissement. L'annulation des événements artistiques de la pandémie pourrait devenir difficile.
Dans la loi allemande sur la protection contre les infections récemment adoptée, la culture a désormais un statut juridique amélioré alors que le gouvernement lutte contre la pandémie de coronavirus en restreignant certains droits fondamentaux inscrits dans la constitution allemande. Auparavant, des décrets étaient utilisés pour faire face à la crise - y compris la fermeture pendant des semaines des théâtres, des salles de concert, des musées et d'autres lieux et l'interdiction générale de la plupart des événements artistiques et de divertissement au printemps, puis à nouveau en novembre 2020.
«Bonne chose»: nouveau statut de la culture
Le Conseil allemand de la culture a salué la modification de la législation qui confère désormais à la culture un statut particulier.
…
En savoir plus: https://www.dw.com/en/german-infection-law-a-new-legal-status-for-culture/a-55660182
Quel bordel. Si j'ai bien compris, en vertu des nouvelles lois, vous pourriez être arbitrairement interdit de rendre visite à votre famille à Noël ou même être obligé de vous isoler en restant à l'intérieur à la maison, mais au milieu de toute cette manie de verrouillage, vous pourriez toujours obtenir un spécial laissez-passer pour assister à des événements culturels comme l'Oktoberfest ou une visite aux célèbres marchés de Noël d'Allemagne, car les grands événements culturels bénéficient désormais de privilèges spéciaux !
https://wattsupwiththat.com/2020/11/21/german-parliament-accused-of-passing-a-covid-19-enabling-act/
TCI: taxer les pauvres au profit des riches
RépondreSupprimer20 novembre 2020
Republié de baconsrebellion.com
La défenseure de la justice environnementale dans le New Jersey, Maria Lopez-Nunez, en bas à gauche, s'entretient avec les organisateurs de l'Initiative pour les transports et le climat le 29 septembre. Écoutez-la ici.
Publié le 20 novembre 2020
Par Steve Haner
"Je pense que TCI ne fait que taxer les pauvres afin que nous puissions subventionner les voitures électriques des riches."
C'est ce qu'a déclaré Maria Lopez-Nuñez, du New Jersey, directrice adjointe de l'organisation et du plaidoyer pour l'Ironbound Community Corporation. Elle s'exprimait lors d'un séminaire en ligne organisé le 29 septembre par les défenseurs de l'Initiative des transports et du climat.
Ce commentaire particulier peut être entendu vers 3:10 dans cet enregistrement de son discours. La réunion complète est enregistrée ici, et ses remarques commencent à environ 1 heure et 43 minutes. Écoutez l'intégralité de son discours si vous le pouvez. Écoutez celles qui suivent et vous apprendrez qu'elle n'était pas seule.
Lopez-Nunez est tout à fait exact que TCI impose une taxe majeure et très régressive pour réduire légèrement les émissions de gaz carbonique, et que le fait de déplacer les gens vers des voitures électriques ne fait que déplacer la source des émissions de gaz carbonique des routes vers les centrales électriques.
Exécutez les économies d'émissions de gaz carbonique projetées de TCI à travers les modèles de changement climatique au cœur de tout ce débat mondial et le résultat est des changements infinitésimales dans les futures augmentations de température redoutées. Vendre cela comme sauver la planète n'est pas crédible, donc la pression est sur pour trouver une nouvelle justification. L'effort pour rendre cette «justice environnementale» en ciblant l'argent des impôts sur leurs causes n'est pas bien accueilli.
Plus tôt cette semaine, le gouverneur Charlie Baker du Massachusetts a indiqué que lui et d'autres gouverneurs reconsidèrent ce nouveau régime de taxes et de plafonnement des carburants au milieu d'une profonde récession. Le mécontentement émanant de la foule à faible revenu, de justice raciale et de justice environnementale que TCI cherchait à recruter peut également peser sur leurs esprits.
C'est un prix d'occasion typique. Une des utilisations encouragées de la taxe carbone TCI extraite de tous les achats d'essence ou de diesel serait les subventions pour les voitures électriques.
Notre gouverneur Ralph Northam n'a rien dit de ses projets en Virginie, ni s'il faisait partie de ceux dont Baker discutait. Les médias de Virginie ne demandent pas. Malgré le peu de temps qui reste avant la session, le mémorandum d’accord actuel est toujours tenu secret.
Les commentaires de Lopez-Nunez lors de la réunion ont été suivis d’un appel officiel de son organisation pour le New Jersey à rejeter l’adhésion au pacte des 12 États avec sa taxe carbone sur l’essence. La dénonciation de son groupe a été rejointe par Clean Water Action New Jersey et NJ Environmental Justice Alliance.
Leurs plaintes sont énoncées dans un communiqué. Ils déclarent TCI:
RépondreSupprimerN'impose pas de réduire la pollution. Le recours de TCI au commerce direct et indirect aura probablement un impact disproportionné sur les communautés EJ - appeler TCI «plafonner et investir» plutôt que «plafonner et échanger» ne change rien à cela.
Les profits ne sont pas mis dans une boîte verrouillée. Il n'y a aucune garantie que les fonds collectés profiteront aux initiatives climatiques et aux communautés EJ. L'histoire est presque certaine de se répéter indépendamment de qui est en fonction. Des milliards de dollars de fonds «dédiés» ont été perquisitionnés dans des programmes du NJ comme NJ Transit, Clean Energy, l'atténuation du plomb, et plus encore à des fins involontaires.
L'engagement en faveur de la «transparence» et de «l'équité» sonne creux et n'a pas réussi, dans le passé, à créer un rôle décisionnel significatif pour les voix d'EJ.
Impose une structure de redevance régressive sur l'essence, pas un véritable mécanisme pollueur-payeur. Malgré les récentes augmentations de la taxe sur l'essence et des péages, le coût sera répercuté sur ceux qui peuvent le moins se permettre une hausse des taxes ou une voiture électrique, au lieu de faire payer aux entreprises leur pollution et leur contribution au changement climatique.
De meilleures solutions existent. L'autorité réglementaire et financière fédérale et étatique est déjà substantielle et plus efficace.
"TCI à ce jour a été sourd au mieux et raciste au pire", a déclaré Lopez-Nunez dans le communiqué. «Le monde est en feu et nous avons besoin de solutions audacieuses et visionnaires qui centrent ceux qui sont le plus directement touchés pour construire une société juste. Nous ne nous contenterons pas de demi-mesures qui soutiennent des décennies de mauvaise élaboration de politiques comme l'a fait TCI.
L’Assemblée générale de Virginie de 2021 sera invitée à autoriser l’adhésion de Virginie à TCI. Cela devrait être fait dans la législation, mais il y a une chance que l'administration Northam essaie de le faire passer avec un langage budgétaire. Le fonctionnement de base du compact a déjà été expliqué et le sera à nouveau, mais de nombreux détails sont encore entourés de ce protocole d'entente manquant. Le verrons-nous avant ou après le vote des législateurs ?
La première taxe sur le carbone à être imposée aux Virginiens, qui fait partie d'un pacte interétatique similaire connu sous le nom d'Initiative régionale sur les gaz à effet de serre, ajoutera environ 2% aux factures d'électricité à partir de l'été prochain. Les premières informations de TCI ont mentionné que l'allocation de carbone ajoutera environ 17 cents par gallon au prix de l'essence (environ une augmentation de 8%), mais ses propres documents internes indiquent que la première année coûtera plus de 20 cents le gallon, passant à plus de 30 cents d'ici 2032. Un examen demandé par le Thomas Jefferson Institute for Public Policy prévoyait 33 cents le gallon.
La réduction proposée de 25 pour cent des émissions de CO2 provenant des combustibles fossiles sera accomplie non pas par la taxe, mais par un plafond sur la vente d'essence et de carburant diesel dans la région du Maine à la Virginie. Le nombre de quotas disponibles sous le plafond pour les grossistes de carburant diminuera lentement. Avec une évolution du marché déjà en cours vers les véhicules électriques ou hybrides, une grande partie de l'objectif sera atteint sans ce régime.
https://wattsupwiththat.com/2020/11/20/tci-taxing-the-poor-to-benefit-the-rich/
TOUT est fait pour ruiner le Peuple. Un Peuple riche s'instruit. Un Peuple pauvre accepte l'esclavage. Au 21 ème siècle nous devrions TOUTES et TOUS être riche à millions ! Or, la dictature va jusqu'à... taxer les machines qui travaillent (pour nous) pour rien.
SupprimerBrève. Un pavé dans le marigot français : le Remdesivir vivement déconseillé par l’OMS !
RépondreSupprimerle 21 novembre 2020
Serait-ce le début de la destruction du château de carte de la corruption généralisée du gouvernement français que l’épidémie de coronavirus a révélé, personnellement je le souhaite et j’espère que la justice fera son travail et ses décisions aboutiront à des incarcérations. Pour que l’OMS ait fini par reconnaître que le produit de Gilead était inefficace et toxique pour les reins il y a de sérieuses raisons que ces fonctionnaires onusiens aient fini par admettre qu’il était inutile de continuer à mettre la mains sur le galon de leur pantalon sur les ordres de l’immense pouvoir du lobby du « BigPharma ». En ce qui concerne le marigot français le quotidien France-Soir a publié le 24 juin 2020 un article révélateur dénonçant les compromissions de divers acteurs politiques et médicaux, jusqu’au treizième, mais il y en a une multitude, que j’invite mes lecteurs à relire (lien en fin de billet).
L’aveu de l’OMS, on ne peut pas appeler cela autrement, permettra peut-être d’identifier les fonctionnaires européens qui ont décidé d’acheter pour un milliard d’euros de doses de Remdesivir et de les traduire en justice, mais on peut toujours rêver d’un monde meilleur que celui de cette Europe ravagée par la corruption organisée au plus haut degré de sophistication à Bruxelles.
Il reste un point dont devront rendre des comptes au peuple et aux juges les décideurs politiques français (et d’autres pays européens) celui de l’interdiction de l’hydroxychloroquine pour le traitement précoce de la grippe coronavirale tel qu’il a été décrit par le Professeur Didier Raoult de l’IHU de Marseille. Ce traitement, sans toutes ces entraves provenant du gouvernement central parisien, un aréopage de coquins, des Agences régionales de santé et des Préfets, aurait pu sauver au moins 20000 vies, voire plus encore, même si la grande majorité des victimes du virus était malheureusement déjà en fin de vie.
Pour ce qui concerne les tests RT-PCR la France a déjà dépensé près de 3 milliards d’euros et les laboratoires d’analyse font n’importe quoi comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog. Au Brésil par exemple cette technique est utilisée en ne dépassant pas 18 cycles d’amplification alors qu’en France ce sont allègrement 40 cycles pour chaque test ! Qui a ordonné un tel nombre de cycles et pour quelles raisons ? Il faudra aussi que les autorités gouvernementales apportent des réponses scientifiquement circonstanciées pour expliquer leurs décisions.
Dans un prochain billet je narrerai le calvaire que j’ai vécu personnellement après avoir « attrapé » (avec les mains ou le nez ou les yeux, je ne sais pas) le SARS-CoV-2 au mois de mars dernier, quelles en sont les séquelles encore aujourd’hui et comment j’ai évité une mort certaine en me traitant moi-même avec de la chloroquine, de la vieille chloroquine que je gardais précieusement en cas de forte crise de malaria depuis plus de 20 ans.
http://www.francesoir.fr/societe-sante/top-13-des-revenus-annuels-recents-verses-par-lindustrie-pharmaceutique
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/21/breve-un-pave-dans-le-marigot-francais-le-remdesivir-vivement-deconseille-par-loms/
Les vaccins ne sont pas une 'solution miracle' pour le PDG de Moderna, qui appelle au respect des gestes barrières
RépondreSupprimerBusiness Insider
20/11/2020, 10:19 Tech
Stéphane Bancel, le PDG de la société de biotechnologies Moderna, a souligné que le port du masque et le respect de la distanciation sociale sont "la meilleure arme" pour contrôler la propagation du coronavirus à l'heure actuelle. Le Français, dont la société développe un vaccin contre le Covid-19, s'est exprimé jeudi 19 novembre au New Economy Forum de Bloomberg sur l'importance de suivre les directives de santé publique. Si les vaccins sont importants, a-t-il noté, la surveillance et des mesures telles que le port d'un masque et la distanciation sociale restent le meilleur moyen d'endiguer la progression de la pandémie.
"Ce n'est pas une solution miracle", a prévenu Stéphane Bancel à propos des vaccins. "Vous voyez des gens aller dans des endroits bondés sans masque ou manger dans des restaurants sans masque. Je ne comprends pas. Cela n'a aucun sens pour moi. Les chances d'être infecté sont énormes. La seule question est de savoir quand".
Moderna a récemment annoncé que son vaccin s'est révélé efficace à 94,5 % pour prévenir la transmission du coronavirus lors d'un essai en phase avancée avec 30 000 participants. Bien que les résultats de l'étude n'aient pas été publiés dans une revue à comité de lecture, la nouvelle entretient l'espoir d'une perspective prochaine de contrôle de l'épidémie.
La Food and Drug Administration (FDA), l'administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments, a déclaré qu'il faudrait peut-être des semaines pour qu'un vaccin obtienne l'approbation d'urgence. Et même après l'éventuel feu vert de la FDA, les difficultés liées au transport et au stockage d'un vaccin pourraient signifier que la plupart des Américains n'y auront pas accès avant le milieu de l'année 2021. Dans un récent entretien à Business Insider US, Stéphane Bance disait s'attendre à ce qu'un vaccin soit accessible à tous d'ici l'été.
À l'heure où les États-Unis établissent des records de contaminations et d'hospitalisations, les experts en santé publique ont souligné l'importance de porter un masque et de limiter les interactions sociales en dehors du foyer. Comme on ne sait pas exactement à quel point les personnes immunisées peuvent être contagieuses, des experts comme le Dr Anthony Fauci — l'immunologue et conseiller scientifique de Donald Trump — ont déclaré que le respect des gestes barrières sera important même après la vaccination.
En France, où les indicateurs épidémiologiques s'améliorent même si la tension hospitalière reste forte, les autorités continuent d'appeler à l'extrême précaution. "Il ne faut certainement pas relâcher nos efforts maintenant", a prévenu le ministre de la Santé Olivier Véran lors d'un point presse jeudi 19 novembre. Le Premier ministre Jean Castex avait lui annoncé le 17 novembre que des mesures de restrictions "perdureront' après la date butoir du 1er décembre. Selon Santé publique France, 21 150 nouveaux cas et 436 nouveaux décès ont été enregistrés en 24 heures le 19 novembre.
Lors du forum Bloomberg ,Wu Zunyou, l'épidémiologiste en chef du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, a passé un message similaire.
"Le port d'un masque, la distanciation sociale, le lavage des mains et la ventilation — toutes ces mesures de santé publique restent à ce jour les mesures les plus efficaces pour contrôler l'épidémie", a-t-il déclaré. Le scientifique a ajouté que si un vaccin est "une bonne arme technique pour contrôler l'épidémie", il n'arrivera vraisemblablement pas à l'endiguer avant le printemps, au moins.
RépondreSupprimerLa France devrait probablement voir arriver les premier vaccins à la même période, voire au mois de juin.
https://www.businessinsider.fr/les-vaccins-ne-sont-pas-une-solution-miracle-pour-le-pdg-de-moderna-qui-appelle-au-respect-des-gestes-barrieres-185893
(...) Les vaccins ne sont pas une 'solution miracle' pour le PDG de Moderna, qui appelle au respect des gestes barrières
SupprimerStéphane Bancel, le PDG de la société de biotechnologies Moderna, a souligné que le port du masque et le respect de la distanciation sociale sont "la meilleure arme" pour contrôler la propagation du coronavirus à l'heure actuelle. (...)
(...) "Vous voyez des gens aller dans des endroits bondés sans masque ou manger dans des restaurants sans masque. (...)
ou manger dans des restaurants sans masque !!!
(...) Moderna a récemment annoncé que son vaccin s'est révélé efficace à 94,5 % (...)
Soit: 5,5 % de morts vaccinés contre plus de 1 chance sur mille d'avoir le corona !! Le choix est vite fait !!
Youtube va mettre des publicités sur les vidéos de petits créateurs sans les rémunérer
RépondreSupprimerAlbane Guichard
19/11/2020, 12:37 Tech
Vous verrez bientôt des publicités sur les vidéos de petits créateurs, et ces derniers n'ont pas leur mot à dire. © Pexels
Youtube a mis à jour ses conditions générales d'utilisation et cela risque de ne pas plaire à certains créateurs. Une nouvelle section, intitulée "Droit à la monétisation", précise que la plateforme pourra désormais monétiser les vidéos d'utilisateurs qui ne font pas partie du "Programme Partenaire" — le programme permettant aux créateurs d'être rémunérés pour leurs contenus. Concrètement, cela signifie que Youtube diffusera des publicités sur des vidéos pour lesquelles les créateurs ne toucheront rien, et par extension fera du profit sur le dos de ces derniers.
Jusque-là, la plateforme, propriété de Google, diffusait des publicités uniquement sur les vidéos que les créateurs eux-mêmes avaient choisi de monétiser via le "Programme Partenaire". Les contenus des petits créateurs ne remplissant pas les critères d'éligibilité au programme (un minimum de 1 000 abonnés et 4 000 heures de visionnage valides sur des vidéos publiques au cours des 12 derniers mois) étaient de facto exclu du système de monétisation. C'est désormais de l'histoire ancienne. Mais les conditions pour intégrer le "Programme Partenaire", n'ont elles, pas changé.
Outre-Atlantique, la nouvelle n'a pas été bien reçue par les petits créateurs. Sur Twitter, ils ont été nombreux à faire connaître leur mécontentement.
"Ajouter des publicités aux vidéos de petits créateurs sans leur verser un seul centime! ??!? WTF !? !! Et si je ne veux pas de pubs sur mes vidéos! ??!", s'exclame cet internaute.
"YouTube vient d'annoncer qu'il diffusera des publicités même sur des vidéos qui ne font pas partie du programme partenaire, et ne donnera pas une part des revenus aux créateurs. YouTube est une entreprise qui exploite profondément les utilisateurs et devrait être démantelée ou syndiquée", estime cet autre utilisateur sur Twitter.
Et de poursuivre : "J'ai délibérément choisi de ne pas monétiser mes vidéos parce que je ne veux pas faire progresser les résultats financiers de YouTube. C'est extrêmement problématique qu'ils puissent balancer des publicités sur tout, sans tenir compte de ce à quoi leurs créateurs consentent."
Ces nouvelles conditions générales d'utilisation s'appliquent aux États-Unis dès le 18 novembre, mais Youtube a prévenu qu'elles concerneraient tous les pays "d'ici la fin de l'année prochaine". Il faut donc s'attendre à voir cette nouvelle politique de monétisation déployée en France en 2021.
https://www.businessinsider.fr/youtube-va-mettre-des-publicites-sur-les-videos-de-petits-createurs-sans-les-remunerer-185888
La dictature c'est la dictature.
SupprimerTrump accuse la Big pharma d’une campagne «de millions de dollars» contre lui à la présidentielle
RépondreSupprimer15:28 21.11.2020
Par Daria Petliaeva
Donald Trump a accusé le 20 novembre les grandes sociétés pharmaceutiques et technologiques d’avoir mené une campagne publicitaire contre lui. Lors d'une conférence de presse, le dirigeant américain s’en est également pris à Pfizer qui, selon lui, a intentionnellement reporté la date de l’annonce de l'efficacité de son vaccin à «après l’élection».
En réaffirmant sa victoire à l’élection présidentielle du 3 novembre lors d’une conférence de presse vendredi 20 novembre, Donald Trump a accusé les grandes sociétés pharmaceutiques d’avoir lancé contre lui une campagne publicitaire dont le coût s'élèverait à plusieurs «millions de dollars».
«Les grandes sociétés pharmaceutiques (Big pharma) ont dépensé des millions de dollars dans le cadre de publicités négatives contre moi pendant la campagne, que j'ai gagnée, soit dit en passant. Mais, vous savez, nous allons nous débrouiller», a-t-il déclaré avant d’ajouter que lors de la campagne électorale, les médias et les grandes industries technologiques eux aussi étaient «contre Trump».
Pfizer dans le viseur de Trump
Qui plus est, le Président sortant s’en est pris à la société pharmaceutique américaine Pfizer qui, conjointement avec la société allemande BioNTech, a récemment annoncé avoir mis au point un vaccin contre le Covid-19. Selon Trump, l’entreprise a délibérément retardé l'annonce du succès de son vaccin pour en faire part après l'élection.
«Pfizer et d'autres étaient bien en avance sur les vaccins. Vous n’auriez pas de vaccin, si ce n’est grâce à moi», a-t-il exposé. Et d’expliquer: «Et Pfizer et d'autres ont même décidé de ne pas évaluer les résultats de leur vaccin; en d'autres termes, de ne présenter un vaccin que juste après les élections».
Pour rappel, Pfizer a annoncé le 9 novembre que son vaccin expérimental contre le Covid-19 était efficace à plus de 90%. Le 18 novembre, le géant pharmaceutique américain et son partenaire allemand ont ajusté le calcul de l’efficacité de leur candidat vaccin contre le nouveau coronavirus en la portant à 95%, selon l'analyse définitive des essais cliniques de phase 3.
L'élection du 3 novembre
L'élection présidentielle américaine a eu lieu le 3 novembre mais le décompte des voix n'est pas encore terminé. Les médias américains ont proclamé la victoire du candidat démocrate Joe Biden. De nombreux dirigeants mondiaux l'ont déjà félicité.
Et pour autant, le Président sortant se considère également comme vainqueur. Il est déterminé à défendre sa victoire devant les tribunaux. Trump accuse les Démocrates d'essayer de «voler les élections».
Un réveil brutal à venir en Europe
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 08:10
Rédigé par Peter Skurkiss via AmericanThinker.com,
La classe dirigeante européenne salive sur les perspectives d'une présidence Harris / Biden. Les bureaucrates qui dirigent l'Union européenne et les mondialistes derrière eux sont certains qu'avec le départ de Donald Trump, les choses reviendront à l'époque confortable d'avant Trump. Daddy Yankee jettera à nouveau sans se plaindre une couverture protectrice de sécurité sur l'Europe et, dans sa bienveillance, fermera les yeux sur les accords commerciaux injustes qui profitent à l'Europe.
Il y a deux problèmes avec cette vue.
Premièrement, il est loin d'être certain que Joe Biden prêtera serment en tant que président en janvier. Alors que de plus en plus de preuves de fraude électorale démocrate et de vol de votes se multiplient, cette perspective s'assombrit. La simple possibilité que Donald Trump continue à être président n'est même pas envisagée en Europe. L'élite européenne "toujours aussi intelligente" croit tout ce que ses compatriotes mondialistes américains lui ont dit et de sa consommation du New York Times, du Washington Post et de CNN. En conséquence, ils n'ont aucune idée.
Deuxièmement, même si Biden devenait président, il ne pourra pas restaurer le bon vieux temps dont l'Europe aspire ... et a besoin.
Prenons la question de la défense.
En tant que président, Trump a rendu acceptable non seulement d'émettre des objections à l'Europe concernant son chargement indépendant, mais aussi de commencer à faire quelque chose à ce sujet, ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait le moxie de faire. La propension de l'UE à se consacrer en tant que leader moral de l'Occident et à essayer de façonner la politique étrangère américaine à partir de ce point de vue a contribué à alimenter la colère américaine envers l'Europe. Le message européen non déclaré mais clair adressé à l'Amérique était "vous faites le travail, et nous allons vous asseoir et vous dire quoi faire et comment le faire".
Trump a exprimé ce que l'Américain moyen pensait depuis longtemps de l'Europe. Ce génie ne retourne pas dans la bouteille. De plus, quels que soient les sentiments personnels de Biden envers l'Europe, la réalité géopolitique exigera une désaccentuation à la fois des besoins européens et des engagements au Moyen-Orient. En effet, un véritable pivot vers l'Asie est nécessaire pour contrer la montée de la Chine communiste. Au moins Emmanuel Macron, de France, réalise tout cela, c'est pourquoi il persiste à essayer d'obtenir le soutien d'une armée paneuropéenne. Jusqu'à présent, ses appels tombent dans l'oreille d'un sourd.
Comme c'est le cas pour la défense, il en va de même pour le commerce.
RépondreSupprimerLes accords commerciaux actuels penchent fortement en faveur de l'Europe. C'est un vestige de la guerre froide. Trump ou pas Trump, ces accords et traités commerciaux ne sont pas viables de nos jours. Le mieux que l'Europe puisse attendre d'une administration Harris / Biden est que ses accords commerciaux avec les États-Unis seront rectifiés à un rythme plus lent que ne le ferait Trump. C'est une autre chose qui surprendra l'élite européenne.
Un point qui semble positif du point de vue de l'Europe si Biden entre à la Maison Blanche est que les démocrates vont causer des dommages considérables à l'économie américaine avec des augmentations d'impôts, des absurdités environnementales vertes et probablement plus de verrouillages. Cela rapprocherait l'Amérique de l'état sclérotique de l'Europe. Mais avant que l'Europe ne célèbre, elle doit se rendre compte qu'une Amérique affaiblie serait encore moins disposée qu'elle ne l'est actuellement à financer la défense de l'Europe et à tolérer des accords commerciaux injustes.
Peu importe comment les choses se passent aux États-Unis, l'Europe est dans une situation difficile. L'Amérique ne sera pas - ne peut pas - être le sauveur de l'Europe. L'époque de la guerre froide est révolue. Les problèmes fondamentaux de l'Europe sont de sa propre création. Tant que les peuples d’Europe, en particulier d’Europe occidentale, ne pourront relâcher l’emprise de la mort que l’élite de gauche et les bureaucrates exercent sur leur pays, le continent continuera de languir.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/rude-awakening-coming-europe
Un juge de Pennsylvanie rejette le procès de la campagne Trump, préparant le terrain pour la confrontation à la Cour suprême
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 20:28
Un juge fédéral a rejeté samedi le procès de la campagne Trump en Pennsylvanie cherchant à invalider des millions de votes, rejetant la demande "surprenante" en raison d'un manque de preuves et décidant que l'État peut aller de l'avant avec la certification de ses résultats électoraux. Le juge américain du Middle District, Matthew Brann, nommé par Obama, a déclaré que la campagne présentait «des arguments juridiques tendus sans fondement et des accusations spéculatives» qui n'étaient «étayées par des preuves».
Cette décision est un coup dur pour les efforts de la campagne Trump pour annuler les résultats des élections, Biden menant Trump par plus de 81000 voix en Pennsylvanie.
"Aux États-Unis d'Amérique, cela ne peut justifier la privation du droit de vote d'un seul électeur, et encore moins de tous les électeurs de son sixième État le plus peuplé. Notre peuple, nos lois et nos institutions exigent plus", a écrit le juge.
L'avocat personnel de Trump, Rudy Giuliani, s'est personnellement opposé à la motion de rejet de l'État devant Brann mardi, arguant que le Commonwealth ne devrait pas certifier ses résultats et faisant état d'un vaste complot démocrate pour voler les élections. En arrivant à sa conclusion, Brann a déclaré que la campagne n'était pas «formidablement armée d'arguments juridiques convaincants et de preuves factuelles de corruption endémique» nécessaire pour gagner une telle affaire.
«Ce tribunal a été présenté avec des arguments juridiques tendus sans fondement et des accusations spéculatives, non justifiés dans la plainte opérationnelle et non étayés par des preuves», a écrit le juge.
L'affirmation principale de la poursuite était que certains comtés dirigés par les démocrates avaient des règles plus clémentes pour accepter des bulletins de vote «défectueux» ou laisser les électeurs «guérir» de tels bulletins que ceux dirigés par les républicains, qui, selon la campagne, violaient les garanties de procédure régulière et d'égalité de protection de la Constitution. L’État a nié ces affirmations et a également déclaré que le remède proposé par la campagne consistant à priver des dizaines de milliers d’électeurs de leurs droits de vote était invraisemblable.
Pressé par Brann mardi s'il alléguait effectivement une fraude électorale, Giuliani a reconnu qu'il ne l'était pas. Le juge a déclaré dans sa décision que si la loi de Pennsylvanie n'autorise pas explicitement les responsables électoraux à laisser les électeurs remédier à leurs erreurs de scrutin, elle ne l'interdit pas non plus, et la plus haute cour de l'État a refusé de clarifier la question.
La campagne a également suggéré que des centaines de milliers de bulletins de vote à Philadelphie et à Pittsburgh devraient être annulés parce qu'ils auraient été comptés sans surveillance appropriée par des observateurs républicains, les exposant à une fraude potentielle. Les réclamations liées à de telles allégations ont été laissées de côté dans une plainte modifiée déposée dimanche mais partiellement rétablies dans une deuxième plainte révisée déposée mercredi.
La deuxième plainte amendée a également ajouté une proposition selon laquelle Brann déclare que l'ensemble du vote de la Pennsylvanie est «défectueux» et laisse la législature de l'État sous contrôle républicain décider de l'élection en faveur de Trump. Vendredi soir, des groupes de défense des droits civils ont fustigé l'argument et ont exhorté le juge à rejeter l'affaire, affirmant qu'elle était basée sur une «théorie du complot incohérente».
RépondreSupprimer«Le fait que les plaignants essaient de combiner des revendications pour contourner un précédent contraire n'est pas perdu pour le tribunal», a écrit Brann.
"Ces affirmations étaient sans fondement depuis le début et pour une audience d'un seul", a déclaré le procureur général de Pennsylvanie Josh Shapiro dans un communiqué. "La volonté du peuple prévaudra. Ces poursuites sans fondement doivent prendre fin."
La décision est la défaite la plus médiatisée de Trump dans sa tentative de renverser le résultat des élections. Les poursuites engagées par la campagne et ses alliés du GOP ont échoué dans le Michigan, la Géorgie, le Nevada et l'Arizona, les juges ayant refusé de rejeter des millions de votes sur la base de vagues affirmations d'avocats et de déclarations sous serment d'électeurs qui ont interprété les irrégularités perçues comme la preuve d'un complot démocrate.
Après que la Géorgie ait certifié ses résultats vendredi, le Michigan et maintenant la Pennsylvanie le feront probablement tous les deux lundi, laissant au président une voie incertaine pour inverser suffisamment de votes électoraux pour inverser sa défaite.
Trump va probablement adresser une requête à la Cour suprême: comme le note Bloomberg, la Pennsylvanie, le plus grand des six États du champ de bataille, a été au centre des contestations judiciaires de la campagne Trump, avec des poursuites engagées devant les tribunaux étatiques et fédéraux. La campagne Trump a suggéré qu'elle ferait appel, et Giuliani a déclaré qu'il considérait l'affaire comme un "véhicule" pour amener la majorité conservatrice 6-3 de la Cour suprême américaine à décider de l'élection.
En d'autres termes, tout dépend de la Cour suprême maintenant. Pour l'instant, cependant, la campagne Trump a déclaré qu'elle verrait un appel accéléré au troisième circuit selon un communiqué publié par Rudy Giuliani, qui a déclaré qu'il espère que "le troisième circuit sera aussi gracieux que le juge Brann pour décider de notre appel. d'une manière ou d'une autre aussi rapidement que possible »plutôt que« d'essayer simplement de manquer de temps ».
Et, comme prévu, Giuliani a déclaré que l'épreuve de force finale se déroulerait devant la Cour suprême: "c'est une autre affaire qui semble passer rapidement devant la Cour suprême des États-Unis."
https://www.zerohedge.com/markets/pennsylvania-judge-throws-out-trump-campaign-lawsuit
Pareillement que Laurent Gbagbo demeure le président de la Côte d'Ivoire (remplacé par un dictateur sanguinaire mis en place par les armée étrangères), Donald Trump est et demeurera président des États Unis d'Amérique après le 21 Janvier 2021.
SupprimerLe seul graphique qui prédit notre avenir
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 12h00
Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,
Que nos «dirigeants» reconnaissent «du pain et des cirques», c'est ce que veulent les 90 % des plus démunis est au-delà du pathétique.
Il y a un graphique qui prédit notre avenir, et non, il n'est pas lié à Covid - il est lié au capital, en particulier à la concentration du capital et du pouvoir entre les mains de quelques-uns aux dépens du plus grand nombre.
Le graphique est une carte, gracieuseté de Brookings, montrant les quelque 500 comtés que Biden a gagnés et les quelque 2500 comtés que Trump a gagnés.
Cela peut sembler être un graphique de polarisation politique, et superficiellement c'est clair, mais la vraie polarisation est économico-financière: il y a deux économies en Amérique, et il y a très peu de points communs entre les deux économies.
- voir graphique sur site -
70 % de l'économie américaine est générée dans moins de 500 comtés; les 2 500 autres comtés se retrouvent avec les 30 % restants. Le capital productif de la nation est encore plus concentré dans quelques mains et régions, et comme les revenus et le pouvoir politique circulent vers le capital, la disparité / inégalité financière dépasse de loin la répartition 70/30 représentée sur cette carte politique.
La propriété du capital est concentrée entre les mains des 10 % les plus riches, comme le montre le graphique de l'actionnariat, mais la concentration est en réalité beaucoup plus limitée: les 0,1 % les plus riches contrôlent tellement de richesse / capital qu'ils «possèdent» pratiquement tout le pouvoir.
- voir graphique sur site -
J'espère que ce n'est pas une grande surprise que l'Amérique soit maintenant une société et une économie rigoureusement à deux vitesses. Si vous êtes un cadre dans une grande banque d'investissement de Wall Street, vous pouvez truquer les marchés et détourner des milliards de dollars et vous ne serez jamais confronté à des conséquences juridiques personnelles telles que d'être inculpé pour fraude et emprisonné.
Mais essayez d'être un employé d'une coopérative de crédit locale et détournez 5 000 $ - une peine de prison est très prévisible.
Si vous faites partie des 500 000+ personnes arrêtées pour possession de cannabis aux États-Unis chaque année, alors vous n'êtes pas riche et puissant, car lorsque l'enfant gâté et pourri des riches et des puissants est arrêté, les accusations sont tranquillement abandonnées, ou une amende modeste et un délit, etc.
«Justice» est à vendre aux États-Unis, avec les marchés truqués, le pouvoir politique, les soins de santé et tout le reste. Pourquoi devrions-nous être surpris que l'économie soit également à deux vitesses ?
Le niveau inférieur de l'économie américaine a été décapitalisé: la dette a été remplacée par le capital. Les capitaux ne circulent que vers le niveau supérieur de plus en plus centralisé, qui possède et profite de la marée montante de la dette qui maintient le deuxième niveau à flot depuis 20 ans.
Le dicton suivre l'argent n'est qu'à moitié vrai - plus important encore, suivez le capital parce que le revenu et le pouvoir circulent vers le capital. Comme le montre ce rapport RAND, 50 billions de dollars ont été détournés de la main-d'œuvre et du niveau inférieur de l'économie vers les élites de haut niveau qui possèdent la grande majorité du capital: tendances des revenus de 1975 à 2018.
RépondreSupprimerCe qui manque sur la carte politique, c'est le pourcentage impressionnant de résidents dans les 500 comtés les plus riches qui sont des précariats vivant chèque de paie à chèque de paie, les Américains ALICE: Asset Limited, Income Constrained, Employed.
Comme je l'ai souvent observé ici, la mondialisation et la financiarisation ont largement récompensé le top 0,1 % et la classe technocrate de 5 % qui sert les intérêts des élites. Ces élites et leur capital sont concentrés dans les comtés urbains, et les boucles de rétroaction se renforcent d'elles-mêmes: le capital des comtés urbains attire plus de capital et de talent (main-d'œuvre qualifiée), saignant les 2500 autres comtés de main-d'œuvre qualifiée et de capital.
L'Amérique n'a aucun plan pour inverser cette marée destructrice. Le "plan" de nos dirigeants est une négligence bénigne: il suffit d'envoyer une allocation mensuelle de pain et de cirque à tous les ménages démunis et décapitalisés, urbains et ruraux, afin qu'ils puissent éviter les ennuis et ne pas déranger le pillage continu des élites sur l'Amérique et la planète.
On parle beaucoup de la reconstruction des infrastructures et du Green New Deal, mais notre première question doit toujours être: cui bono, au profit de qui ? Quelle part des dépenses sera réellement consacrée à modifier les déséquilibres croissants entre les nantis et les démunis, les plus riches qui profitent de l'augmentation de la dette et les serfs de plus en plus décapitalisés qui sont encore plus appauvris par l'augmentation de la dette ?
Comme je l'explique dans mon livre A Hacker's Teleology: Sharing the Wealth of Our Shrinking Planet, les gens ne veulent pas simplement s'en sortir, ils veulent une opportunité d'acquérir du capital sous toutes ses formes, une opportunité de contribuer à leurs communautés, de faire une différence, pour gagner le respect et la fierté.
Que nos «dirigeants» tiennent compte du pain et des cirques, c'est ce que veulent les 90 % des mineurs dénudés est au-delà du pathétique. Cette carte dicte notre avenir, qui est le pendule de la richesse et du pouvoir concentrés entre les mains de quelques-uns les plus avides, les plus rapaces atteignant un extrême puis s'inversant à l'autre extrême. Personne ne sait comment cela se passe, mais le balancement du pendule à l'extrême à l'autre extrémité du spectre est déjà cuit: la voie du Tao est l'inversion.
* * *
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https://www.zerohedge.com/personal-finance/one-chart-predicts-our-future
Si dès le départ vous vous dites que vous allez perdre, que vous êtes un gros con sans cervelle et qu'à la politique vous n'y comprenait rien: vous allez forcément perdre et tout perdre jusqu'à la vie.
SupprimerMais si vous raisonnez intelligemment à vous dire que nous sommes plus de 7 milliards de personnes intelligentes qui comportent plus de 20 % de surdoués aujourd'hui (4 % en l'an 2000) face à un nano-groupuscule de psychopathes criminels très dangereux qui vont décimer votre famille et vous, là vous commencerez à réfléchir au qui va gagner !
Le triomphe de l'humanité sur 'la grande réinitialisation': armes à feu, livres et contrat social
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim., 22/11/2020 - 00:00
Rédigé par Joaquin Flores via The Strategic Culture Foundation,
Dans The Dystopic Great Reset and the Fight Back: Population Reduction and Hope for the Children of Men, notre partie I, nous avons développé nos précédents essais sur l'obsolescence planifiée et les problèmes de l'ancien paradigme alors que nous entrons dans la 4e révolution industrielle. Nous avons examiné comment plusieurs œuvres de science-fiction comme «Le virus» et «Les enfants des hommes» dans la culture nous ont réellement prédit et nous ont permis de comprendre le nouveau cauchemar réifié qui se construit autour de nous. Enfin, nous avons examiné l ’« ISA »d’Althusser, l’appareil idéologique d’État, et la manière dont il s’est développé vers une culture d’élite politiquement correcte qui a ouvert la porte à la soi-disant« nouvelle normalité », où l’esclavage et l’automutilation sont des signaux de vertu.
À la fin de «The Dystopic Great Reset and the Fight Back […]», nous avons noté qu’il serait nécessaire de retracer des aspects de l’histoire du contrat social afin de jeter les bases de la compréhension
Dans notre essai précédent "Capitalism After Corona Lockdown: Have the Power to Walk Away", nous avons également posé la question du contrat social lui-même.
Parce que la grande majorité d’entre nous, aujourd’hui, sommes nés dans la civilisation, nous ne pensons pas toujours à ses origines en termes d’action des individus qui ont rejoint ou formé les premières civilisations. Nous avons tendance à apprendre à travers nos institutions que c'était quelque chose entre le volontaire et le naturel, et le grand romantisme nationaliste du XIXe siècle a promu une vision de l'autodétermination des peuples, une vision qui serait plus tard reprise par les mouvements nationalistes et de gauche monde au 20e siècle - plus tard inscrit dans l'ONU.
Mais une grande partie de l'histoire des premières civilisations de construction de l'État, comprenant que les gens sont une ressource lorsqu'ils sont organisés et mis au travail, est qu'un équilibre entre l'esclavage et la demi-liberté repose à sa base.
La production de masse de livres et d'armes, qui a eu lieu au cours de la même période historique, a complètement bouleversé l'ancien fondement de la société de classe. La production de masse d'armes à feu et de livres peut avoir, à un certain moment, été considérée comme de puissants renforts du statu quo. Des armées plus importantes pourraient être efficacement armées à moindre coût. L'appareil d'État idéologique, comme nous pouvons le déduire d'Althusser, pourrait être diffusé et internalisé plus efficacement. Mais comme pour la technologie, sont venues ses fonctionnalités à double usage. Les technologies mêmes développées dans le but de perfectionner les mécanismes de contrôle dans le statu quo des ordres oligarchiques, en fonction des technologies que d'autres réseaux électriques concurrents (pays, royaumes, nations, etc.), peuvent les technologies se sont démocratisées et sont tombées entre les mains du plus grand nombre de personnes possible. Tel a été le processus à la fois dans la Révolution américaine, et aussi par exemple dans la résistance vietnamienne au colonialisme japonais, français et américain au siècle dernier.
Pour la première fois depuis plusieurs siècles, la connaissance et la force brute n'étaient plus un quasi-monopole insurmontable détenu par l'État ou par ceux qu'il pouvait compromettre. Le pistolet - le grand égaliseur des hommes, et le livre - le grand libérateur des esprits.
Depuis cette époque de grande émancipation et de promesse, la technologie a continué sur cette voie contradictoire du double usage. Cependant, l'équilibre des pouvoirs et la nature des technologies développées jusqu'à présent ont considérablement changé, favorisant le statu quo et affaiblissant les larges masses. Cette condition lamentable, cependant, est bouleversée par les technologies appliquées que la véritable 4e révolution industrielle (et non le modèle du Forum économique mondial) fait naître.
RépondreSupprimerÀ la dernière époque du XXe siècle, nous avions entamé une trajectoire dangereuse vers une surspécialisation aveugle (compartimentation / fachidiotizmus) qui sont la marque de fabrique de la technocratie, et loin de l'époque libératrice des siècles passés qui a donné naissance aux républiques constitutionnelles.
Dans le passé, avant l'ancienne époque libératrice, tout comme une classe militaire dépendait d'un accès exclusif aux armements, se caractérise aujourd'hui par une combinaison de programmes pharmaceutiques et sociaux à travers des médias qui sont des pouvoirs hors de portée du peuple. Cette montée et cette perfection de ce que Heidegger définirait et de ce que Marcuse caractériserait comme un mode de société bureaucratique techno-industriel stable en permanence, caractérise le monde actuel d'influence des médias sociaux, d'antidépresseurs, d'opérations psychologiques de masse telles que les pandémies virtuelles ou holographiques (VIH, Covid-19, etc.) et l'état de surveillance.
Cette partie est la plus importante pour établir que dans un avenir prévisible, échapper à la 4e révolution industrielle est une impossibilité. Dans le même temps, la nature à double usage des technologies recèle encore un certain potentiel libératoire, mais les méthodes passées pour y parvenir ont changé.
Cela signifie que l'idéologie de la classe dirigeante est extrêmement importante. Contrairement aux conceptions révolutionnaires républicaines et bolchevistes du pouvoir et du changement qui partagent une présomption insurrectionnelle fondée sur l'ère libératrice des armes à feu et des livres (qui faisait du 'soldat politique' une possibilité), nous sommes de plus en plus entrés dans un point zénith dans les technologies de contrôle social où le La probabilité qu'un groupe contrôlé remporte un concours de pouvoir contre le groupe de contrôle approche de zéro, si nous imaginons cela comme un combat entre groupes armés où les militaires n'agissent pas dans l'intérêt de leurs familles élargies, mais dans l'intérêt de ceux qui rédigent les chèques.
De telles limitations étaient déjà comprises par ceux influencés par le bolchevisme, comme Antonio Gramsci dans sa discussion sur l'hégémonie dans son Quaderni del Carcere. L'hégémonie culturelle est une guerre d'usure sur tout le terrain idéologique, une composante de ce que nous pourrions appeler aujourd'hui la domination à spectre complet. Ce parallèle (et doit avoir influencé) la conception althussérienne plus tardive de l'appareil idéologique d'État (ISA).
Le document juridique le plus révolutionnaire qui soit apparu au cours des trois cents dernières années dans la tradition occidentale était la Constitution américaine. À sa base repose l'hypothèse que l'homme naît libre et entre volontairement dans un contrat social, une vision soutenue par une vision des droits naturels, de la loi naturelle et d'une égalité de l'âme dotée par le créateur.
C'est un contrat social que l'homme conclut tous les jours et peut sortir n'importe quel jour.
Comprendre le potentiel libérateur d'une 4e révolution industrielle, c'est comprendre la nature à double usage de la technologie dans l'histoire des époques libératrices.
Avant la montée en puissance des ordinateurs et des robots effectuant une grande partie du travail dans la société, les sociétés se renforçaient à mesure qu'elles grandissaient dans les gens. Avec l'automatisation et la robotisation, l'être humain devient un surcoût sans conséquence pour la production à condition que la société elle-même ne soit pas anthropocentrique.
RépondreSupprimerLa nouvelle norme proposée est celle sans liberté de pensée, et encore moins d'expression. C'est un avec le crédit social, le marquage des gens comme s'ils étaient des animaux dans une réserve faunique et la réglementation totale de la vie quotidienne. Les contours de ce à quoi la civilisation techno-industrielle peut conduire, de ce à quoi ressemble la tyrannie scientifique, sont non seulement visibles pour nous maintenant, mais s'insinuent dans nos vies depuis un siècle.
La réponse à cela aux États-Unis a été un soutien croissant à Trump et au phénomène qui peut vraiment être décrit comme du 'Trumpisme', qui, malgré l'hologramme médiatique d'une victoire de Biden, entraînera très probablement une deuxième administration Trump. Le trumpisme est devenu synonyme de constitutionnalisme, malgré le langage et les tropes de la vengeance fantasmagorique employés par un segment déconcertant de sa base. En Angleterre, nous avons assisté à un mouvement parallèle de la post-gauche, à une montée de l’activisme de «common law» et à une campagne d’éducation militante entourant la signification de la Magna Carta. Pour ces raisons parallèles, nous avions également précédemment caractérisé le phénomène Trump comme l'enfant d'un mouvement frustré Occupy Wall Street après sa liaison avec le Tea Party, mais de retour en nombre et en force par une classe ouvrière dépossédée trahie il y a longtemps par le travail organisé, le DNC et accords commerciaux déséquilibrés avec la Chine.
Mais si ces réponses (avec leurs défauts et leurs limites) sont un signe sain, elles n'ont pas encore la profondeur pour articuler une vision contraire de la société qui prend également en compte l'état de la technologie telle qu'elle existe aujourd'hui. C'est pourquoi nous n'avons pas assisté à un débat public très approfondi sur la réalité de la technologie et sur l'état des choses qui sont réelles et présentes.
Au lieu de cela, nous voyons dans la réaction conservatrice au 4IR - une réaction qui soulève toutes les bonnes préoccupations et lève toutes les critiques correctes contre la version du banquier de celui-ci. Cela ressemble historiquement aux Luddites, qui ont vu au début du XIXe siècle que l'industrie de masse remplaçait le travail des métiers spécialisés et des artisans par des machines.
Leur solution, détruire les machines, a échoué principalement parce que les machines produisent plus en volume que les hommes. Même s'ils avaient gagné la bataille politique, cela n'aurait été qu'une question de temps avant qu'une société concurrente utilisant pleinement l'industrie prenne le dessus sur la leur. Et peut-être que ceci raconte ici toute l'histoire de la conquête des sociétés nomades et agricoles aux mains des sociétés techno-industrielles de construction de l'État, il y a même des milliers d'années.
Et ainsi nous arrivons à la dure vérité - il n'y a pas de fuite ou de se cacher du futur.
Il incombe aux citoyens libres de prendre en main les nouvelles technologies émergentes, pour leurs propres objectifs: vivre dans une société qui agit en faveur de la liberté humaine et de la dignité de l'âme. Un monde où nos petits enfants peuvent grandir dans un monde sans humilité ni peur inutiles. Un monde où il y a de la promesse et de l'espoir, une promesse vraiment justifiée par une société réelle qui les entoure, basée sur ce qui est vrai, ce qui est beau et ce qui est bien.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/triumph-mankind-over-great-reset-guns-books-social-contract
Michigan AG appelle à des accusations criminelles contre les certificateurs GOP qui ne 'tomberont pas en ligne'
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 22:00
Rédigé par Jonathan Turley,
Nous avons discuté de la campagne du Lincoln Project et d'autres pour harceler et abuser des avocats qui représentent la campagne Trump ou d'autres partis apportant des défis électoraux. Des campagnes similaires ont ciblé des fonctionnaires électoraux qui s'opposent aux irrégularités de comptage. Maintenant, le procureur général du Michigan et d'autres suggèrent que les républicains qui s'opposent à la certification ou même rencontrent le président Donald Trump sur la question pourraient faire l'objet d'une enquête criminelle ou être inculpés. Une fois de plus, les médias gardent le silence sur cette utilisation manifestement abusive du code pénal ciblant les membres de la partie adverse lorsqu'ils soulèvent des objections en vertu du droit de l'État.
Vendredi après-midi, les dirigeants de la législature de l'État sous contrôle républicain du Michigan ont rencontré Trump à la Maison Blanche à son invitation. Ma chronique d'aujourd'hui explore la difficulté de toute stratégie pour déclencher un combat de collège électoral. Cependant, les objections des législateurs pourraient se concentrer sur une foule de plaintes sous serment d'électeurs ou d'irrégularités dans le décompte des voix. Je reste sceptique quant aux affirmations radicales faites par certains avocats de Trump et j’ai été très critique de la déclaration de conspiration communiste mondiale de Rudy Giuliani lors de la conférence de presse de cette semaine. Les législateurs des États ont le droit de soulever des objections électorales et de rechercher une résolution au sein du pouvoir législatif.
Selon le Washington Post, Dana Nessel «s'entretient avec des experts en droit électoral sur la question de savoir si des fonctionnaires ont violé des lois étatiques leur interdisant de se livrer à des pots-de-vin, des parjures et des complots». C'est la même militarisation du code pénal à des fins politiques que nous avons vu ces quatre dernières années contre Trump. Notamment, l'accent est mis sur la même interprétation discréditée utilisée contre Trump et notamment non adoptée par le comité judiciaire de la Chambre, avide de destitution: la corruption.
Dans Politico, Richard Primus a écrit que ces législateurs ne devraient pas assister à une réunion avec Trump car «cela menace personnellement les deux législateurs du Michigan du risque d'une enquête criminelle».
Cette prétention juridique ridicule est basée sur la théorie de la corruption:
Le danger pour Shirkey et Chatfield, alors, est qu'ils sont visiblement invités à une réunion où l'ordre du jour probable implique le crime de tentative de corruption d'un agent public.
En vertu de la loi du Michigan, tout membre de l'Assemblée législative qui accepte «par corruption» une promesse d'un acte bénéfique en échange de l'exercice de son autorité d'une certaine manière est «à jamais disqualifié pour occuper une charge publique» et «sera coupable d'un crime, punissable par un emprisonnement dans la prison d'État ne dépassant pas 10 ans [.] »
Nous avons discuté à plusieurs reprises de cette théorie pendant la présidence Trump. Comme je l'ai déjà écrit, l'un des principaux partisans a été l'ancien procureur et chroniqueur du Washington Post Randall D.Eliason, qui a insisté sur le fait que «les allégations de contrepartie illicite ne sont en réalité qu'une autre façon de dire qu'il y a eu un pot-de-vin ... c'est de la corruption si un la contrepartie est recherchée avec une intention corrompue, si le président ne poursuit pas la politique américaine légitime mais demande à tort des actions de la part de l'Ukraine qui lui profiteraient personnellement. Eliason a en outre approuvé le rapport de la Chambre et a assuré que «l'analyse juridique et factuelle de la corruption et de la fraude dans les services honnêtes dans le rapport de la Chambre est tout à fait juste» et «présente des preuves irréfutables de violations criminelles fédérales.
RépondreSupprimerLa théorie n'a jamais été «exactement» ni même de loin juste, comme en témoigne la décision de ne pas l'utiliser comme base de destitution. Et pourtant, il est de retour. En fait, le plus grand danger de la théorie n'était pas qu'elle passât un jour devant le système judiciaire fédéral, mais qu'elle serait utilisée (comme ici) dans le système politique pour criminaliser les désaccords politiques et juridiques. (Eliason a récemment défendu les attaques contre des collègues avocats représentés contre les résultats ou pratiques des élections).
Dans mon témoignage, je suis entré dans les détails historiques et juridiques pour expliquer pourquoi cette théorie n'a jamais été crédible. Bien qu'elle ait été joyeusement présentée par des journaux comme le Washington Post, elle a ignoré la jurisprudence qui rejetait précisément ce type de définition illimitée de l'infraction. Comme je l'ai dit au Comité judiciaire de la Chambre, la Cour suprême a restreint à plusieurs reprises la portée de la définition statutaire de la corruption, y compris des distinctions ayant un rapport direct avec la controverse actuelle dans des affaires comme McDonnell c.États-Unis, où la Cour a annulé la condamnation de l'ex-Virginie gouverneur Robert McDonnell. Le juge en chef John Roberts a éviscéré ce qu'il a appelé «l'interprétation illimitée de la loi fédérale sur la corruption». La Cour a expliqué que ces «interprétations illimitées» sont contraires aux droits constitutionnels parce qu'elles refusent aux citoyens d'être informés de ce que les actes sont présumés criminels: «[Sous] l'interprétation du gouvernement, le terme« acte officiel »n'est pas défini les gens ordinaires peuvent comprendre quelle conduite est interdite "ou" d'une manière qui n'encourage pas une application arbitraire et discriminatoire ".»
Je ne répéterai pas la litanie d’affaires rejetant ce type d’interprétation large. Cependant, la jurisprudence n’avait pas d’importance à l’époque et elle n’a plus aucune importance pour ceux qui estiment que le code pénal est infiniment flexible pour répondre à l’agenda politique.
Peu importe que la Cour suprême ait réaffirmé des refus antérieurs de telles interprétations larges dans une récente décision unanime rédigée par la juge Elena Kagan. Dans Kelly c.Etats-Unis, la Cour suprême a rejeté les condamnations dans l'affaire «Bridgegate» impliquant la fermeture controversée de voies sur le pont George Washington pour créer des problèmes de circulation pour le maire de Fort Lee, NJ, qui a refusé d'approuver alors- Gov. Chris Christie. La Cour a observé:
«Cette exigence, a clairement indiqué la Cour, empêche ces statuts de criminaliser tous les actes de malhonnêteté commis par les autorités nationales et locales. Il y a quelques décennies, les cours d'appel interprétaient souvent les lois fédérales sur la fraude comme «interdisant [] les stratagèmes visant à frauder les citoyens de leurs droits intangibles à un gouvernement honnête et impartial». McNally, 483 U. S., à 355. Notre Cour a refusé d'accepter. Les lois sur la fraude, que nous avons retenues dans McNally, étaient «limitées à la protection des droits de propriété». Id., P. 360. Ils n'ont pas autorisé les procureurs fédéraux à «fixer [] des normes de divulgation et de bonne gouvernance pour les fonctionnaires locaux et étatiques». Ibid. »
RépondreSupprimerC'est l'argument que j'ai soulevé lors de la mise en accusation contre les articles de mise en accusation proposés - soutenus par une foule d'experts sur MSNBC et CNN ainsi que par des membres démocrates - selon lequel les allégations ukrainiennes pourraient être accusées de fraude postale et électronique ainsi que de crimes comme extorsion.
Ce qui est le plus troublant est que, s'il y avait une objection aux irrégularités de vote ou à la fraude, ces législateurs agiraient sous l'autorité constitutionnelle de leur État. Ils feraient l'objet d'une enquête pour l'exercice de leurs fonctions officielles en vertu de la loi de l'État. Beaucoup d’entre nous peuvent ne pas être d’accord avec de telles objections. (J'ai déclaré à plusieurs reprises que je ne voyais pas la preuve de problèmes de vote systémiques pour renverser de tels résultats étatiques et j'ai critiqué la rhétorique du président Trump). Cependant, lorsque des démocrates comme la sénatrice Barbara Boxer (D., Californie) ont contesté la certification des votes électoraux de l’Ohio en 2004, personne n’a suggéré d’enquêtes criminelles. Nessel menace les législateurs des États que, s'ils se réunissent pour discuter de telles objections, ils pourraient être la cible d'enquêtes criminelles. Cela semblerait être un effort pour utiliser le code pénal à des fins d'intimidation ou de coercition. Imaginez s'il s'agissait du procureur général américain Bill Barr menaçant les législateurs démocrates d'une éventuelle enquête criminelle pour contestation des votes Trump. Les médias seraient apoplectiques. Pourtant, lorsqu'ils sont utilisés contre les républicains, les principales publications et les politiciens sont célébrés pour l'utilisation du code pénal pour de telles menaces à motivation politique.
Comme pour les attaques contre des avocats républicains, les menaces contre les législateurs républicains ont été accueillies dans un silence absolu dans les médias. Juste le son familier des grillons.
https://www.zerohedge.com/political/michigan-ag-calls-criminal-charges-against-gop-certifiers-who-wont-fall-line
Pourquoi contester des résultats électoraux suspects est-il «une menace pour notre démocratie» ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 16:10
Rédigé par Jack Hellner via AmericanThinker.com,
Jeudi, l'équipe juridique du président Trump a présenté de nombreuses informations sur l'élection qui méritent une enquête.
Mais les médias ne s'y intéressent pas.
Au lieu de cela, ils occultent essentiellement les nouvelles et demandent à Trump de concéder afin de pouvoir couronner leur roi choisi. Et pire que tout, ils continuent d'affirmer à tort qu'il n'y a aucune preuve de fraude.
Le New York Times et d'autres ont écrit sur la fraude potentielle sur les bulletins de vote universels dans le passé, comme l'ont fait d'autres médias, mais maintenant ils traitent Trump de menteur.
Les médias savent que les règles ont été modifiées pour rendre la vérification des bulletins de vote par correspondance moins vérifiable, mais ils s'en moquent.
Ils savent que l’observation du décompte a été essentiellement bloquée dans certaines villes en violation de la loi, et ils ne s’en soucient pas.
Ils savent que les responsables électoraux de certains États violent les lois, mais les lois n’ont pas d’importance tant que celle choisie par les médias est en avance.
Statistiquement, il est rare que le candidat du vote à la hausse, le président, sous-performe considérablement les candidats à la baisse, mais les médias s'en moquent.
Coattails sans manteau ? Dites-nous exactement comment cela pourrait arriver.
Ils savent, ou devraient savoir, que Biden n'a surpassé Hillary que dans quatre villes: Milwaukee, Detroit, Atlanta et Philadelphie, pas la nation dans son ensemble. Ils connaissent également les surévotes dans les villes, c'est-à-dire plus de votes que les électeurs inscrits, et encore une fois, ils s'en moquent.
Ils savent qu'il y a eu des questions sur Dominion, le fournisseur de logiciels dans de nombreux États, car ils les avaient certainement déjà posées.
Ils savent que les sénateurs démocrates Elizabeth Warren, Ron Wyden et Amy Klobuchar avaient des questions importantes sur Dominion en décembre 2019, mais ils s'en moquent. Quelqu'un peut-il imaginer à quel point les sénateurs et les journalistes seraient bruyants à propos de la fraude potentielle de Dominion si Biden était derrière? Mais ce que nous avons maintenant, c'est le silence des sénateurs et des supposés journalistes.
Ils savent que plusieurs États swing ont mystérieusement cessé de compter les votes le soir des élections, mais ils s'en moquent. En tant que CPA avec 43 ans d'expérience, la seule raison pour laquelle je peux penser qu'ils ont arrêté de compter est de préparer les livres, de commettre des fraudes et de changer le vote.
Pourtant, les journalistes ne demandent même pas aux États pourquoi ils ont arrêté de compter.
Les mêmes journalistes supposés qui disent que Trump détruit la démocratie en contestant les résultats des élections sont ceux qui:
A affirmé que Trump était un président illégitime pendant quatre ans. Ces mêmes journalistes et autres démocrates ont également qualifié Bush de président illégitime pendant quatre ans après avoir battu Al Gore vingt ans plus tôt. Le playbook est toujours le même. Pas une seule fois, je n'ai entendu dire que Gore menaçait la démocratie en contestant les résultats des élections pendant plus d'un mois. Au lieu de cela, les médias l'ont encouragé parce que les démocrates sont spéciaux.
RépondreSupprimerRégurgité le mensonge de collusion russe pendant des années sans aucune preuve.
Je ne me suis jamais soucié de tous les mensonges et crimes des gens de l'administration Obama / Biden alors qu'ils entreprenaient de détruire Trump et de protéger la criminelle de carrière, Hillary Clinton, contre les poursuites.
A qualifié Trump de menteur pour avoir dit que l'administration Obama avait espionné son équipe alors que c'était clairement vrai.
Utilise des menteurs congénitaux et des criminels comme James Comey, Andrew McCabe, Jim Clapper et John Brennan pour attaquer Trump avec des mensonges connus.
Acclamé Obama / Biden alors qu'ils mentaient continuellement sur Obamacare et l'accord avec l'Iran.
Répandez volontiers les mensonges sur ce que Trump a dit à Charlottesville et répandez le mensonge selon lequel Trump n'avait pas dénoncé les suprémacistes blancs radicaux.
Avec d'autres démocrates, a qualifié Trump et ses partisans de racistes, sexistes, fanatiques, homophobes, xénophobes et tous les autres noms du livre alors qu'ils se vantaient que Trump divisait et disent continuellement qu'ils sont pour l'unité. Les médias et les autres démocrates jouent toujours la carte de la race et du sexe parce que leurs politiques sont si impopulaires.
J'ai regardé de l'autre côté de tous les pots-de-vin aux familles Clinton et Biden provenant de sources étrangères et ne s'est jamais soucié des femmes que les Clinton et Biden ont été accusées d'abuser. Les femmes étaient consommables.
A cherché à détruire les garçons chrétiens blancs du Kentucky et le candidat à la Cour suprême Brett Kavanaugh, sans preuves, uniquement en raison de leur lien avec Trump. Le parti qui prêche l'unité détruira quiconque se met en travers de son chemin alors qu'il poursuit sa quête de pouvoir.
Mentez continuellement que Trump ne s'est jamais soucié du coronavirus et n'a jamais rien fait à ce sujet; ne se souciait pas de la mort des personnes et l’a faussement blâmé pour tous les décès liés au COVID. La vérité est, d'après les CDC en août, que moins de 7 % des personnes décédées avec COVID sont décédées uniquement à cause de COVID. Plus de 93 % sont décédés à cause d'un cancer, d'une maladie cardiaque, d'une maladie du foie, d'une maladie pulmonaire, du diabète, de l'obésité et d'autres facteurs de comorbidité. Par conséquent, blâmer tous les décès sur COVID est une décision politique, axée sur l'agenda, pas une décision scientifique. Je suppose que c'est pour effrayer le public et le soumettre. Pourquoi les médias ne demandent-ils pas aux CDC pourquoi ils n'ont jamais compté les décès de la même manière sur la grippe saisonnière ou la grippe porcine ?
Affirmez continuellement que la science est établie selon laquelle les humains et le pétrole provoquent une augmentation des températures et un changement climatique lorsqu'il n'y a pas de données scientifiques à l'appui. Les données scientifiques montrent qu'au cours des 150 dernières années, la consommation de pétrole brut est passée de zéro à environ cent millions de barils par jour, mais les températures ont augmenté et diminué et se situent entre un et deux degrés. Il est à noter qu'une petite période glaciaire s'est terminée en 1850 et qu'un petit réchauffement serait normal. Les faits n'ont pas compté depuis longtemps, seul le pouvoir du gouvernement avec les démocrates aux commandes.
RépondreSupprimerDernièrement, le public a eu droit à une tournée de vantardise d'Obama où lui et les médias acclamés ont réécrit l'histoire aussi vite que possible. Ils mentent qu'Obama / Biden a transmis une économie florissante. La vérité est qu'ils ont connu la reprise économique la plus lente en soixante-dix ans. Ils mentent qu'il n'y a pas eu de scandales pendant les années Obama / Biden. La vérité est que leurs scandales massifs et continus que les médias ont choisi d'enterrer. Obama ment que la seule raison pour laquelle Hillary a perdu est que nous sommes racistes. La vérité est que ses politiques étaient impopulaires et que les salaires stagnaient, surtout pour ceux qui étaient au bas de l'échelle.
Résumé: La plus grande menace pour notre démocratie, notre liberté et notre prospérité est un média sycophant qui fait campagne pour un parti et cherche à détruire l'autre. Nous ne sommes pas un pays systématiquement raciste et ce n'est absolument pas une menace pour notre démocratie que quiconque conteste les résultats d'une élection, surtout quand il y a tant de questions.
https://www.zerohedge.com/political/why-challenging-suspicious-election-results-threat-our-democracy
Plus de 200 armes à feu ont mystérieusement disparu du bureau du shérif de Philadelphie, selon une enquête
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 21:30
Plus de 200 armes à feu ont mystérieusement disparu d'un bureau du shérif de Philadelphie entre 1977 et 2015, un nouveau rapport du bureau du contrôleur de la ville découvert la semaine dernière.
Une enquête a été ouverte au bureau après le dépôt d'une plainte confidentielle en 2019, selon CBS 3 Philly. L'enquête a mis un an à se dérouler.
La plainte alléguait initialement que 15 carabines et fusils de chasse étaient absents de l'inventaire des armes à feu du bureau, mais l'enquête qui a suivi a révélé que 101 armes à feu de service et 109 armes de la Loi sur la protection contre les abus (PFA) étaient également absentes de l'inventaire du bureau.
Le contrôleur municipal, Rebecca Rhynhart, a déclaré: «Il est inacceptable que plus de 200 armes à feu qui devraient être sous la garde du bureau du shérif ne puissent pas être localisées. Le public doit avoir confiance que le bureau du shérif est un intendant fiable de ses propres biens, ainsi que des biens personnels remis au bureau du shérif pour la garde. "
Elle a poursuivi: «Bien que bon nombre des problèmes identifiés datent avant l’administration du shérif Bilal, j’espère qu’elle prendra des mesures rapides pour retrouver les armes manquantes, si possible, et assurer la maintenance appropriée de l’inventaire des armes à feu à l’avenir.»
Le shérif Rochelle Bilal a déclaré que les changements seraient mis en œuvre. L'enquête a révélé que bon nombre des documents émis pouvaient être attribués à une tenue de registres inadéquate et à «l'absence de procédures formelles» concernant la gestion des stocks.
Dans l'arsenal du bureau, les enquêteurs ont trouvé "des armes empilées sur le sol et au hasard dans des boîtes, des armoires et des barils". Certaines des armes étaient chargées.
https://www.zerohedge.com/political/more-200-firearms-mysteriously-went-missing-philadelphia-sheriffs-office-investigation
Chaque shérif de la région de Los Angeles refuse d'appliquer le couvre-feu COVID de Gavin Newsom
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 21:00
Rédigé par Thomas Lifson via AmericanThinker.com,
Les shérifs de 5 comtés du sud de la Californie, avec une population totale de 17,25 millions d’habitants, soit l’équivalent du cinquième État le plus peuplé, défient le gouverneur de cet État. Ils n'arrêteront pas les gens pour avoir violé le couvre-feu à l'échelle de l'État que le gouverneur Gavin Newsom a imposé à partir d'aujourd'hui, apparemment sur la croyance que le virus se réveille et s'éteint à 22 heures.
Bill Melugin de KTTV, Fox 11 à Los Angeles (pointe du chapeau: Breitbart) les a contactés au sujet de l'application du couvre-feu dans tout l'État:
Certains services de police municipaux s'opposent également:
Newsom a perdu toute crédibilité pour restreindre l'activité au nom de la suppression de la propagation de Covid. Il a été pris et exposé en train de bafouer ses propres restrictions ridicules en mangeant dans les restaurants (remettez votre masque entre les bouchées). L'exposition publique de sa participation sans masque à une fête pleine de lobbyistes dans l'un des restaurants les plus chics du monde sans distanciation sociale était déjà assez mauvaise. Mais ses excuses mensongères et souriantes sans excuses pourraient bien être le glas de sa carrière politique.
Son comportement était au mépris total de ses propres directives pour les Californiens observant Thanksgiving:
D'autres shérifs du nord de la Californie, y compris le comté de Sacramento, où vit actuellement le gouverneur, refusent également d'appliquer le couvre-feu.
Newsom fait face à un effort de rappel existant, avec une date limite du 17 mars 2021 pour collecter 1 95 09 signatures valides. Dans la pratique, comme certaines signatures seront contestées, au moins 1 700 000 signatures seront nécessaires pour que l'élection de rappel soit inscrite sur le bulletin de vote. Selon Rescue California, qui parraine l'effort de rappel, il y a déjà un départ en cours:
Lors d'une conversation téléphonique avec Paul Olson le 18 novembre, dont la société, GoCo Consulting, procède à la vérification de la pétition pour le rappel, il a confirmé que son entreprise avait déjà traité 494 000 pétitions signées qui venaient d'être remises ou étaient en cours de livraison à les greffiers du comté autour de l'état. Olson a également confirmé que son entreprise traite actuellement 230 000 signatures supplémentaires.
Combinée aux 55 000 livrées plus tôt dans l'année et à celles déjà signées mais toujours en cours de livraison, estimées de manière prudente à 60 000, cette campagne a déjà recueilli plus de 800 000 pétitions de rappel signées.
Les Californiens peuvent aller ici et télécharger des copies papier de la pétition de rappel et obtenir jusqu'à 5 signatures pour chaque copie, pour soumission.
Les Californiens ont déjà rappelé un gouverneur, Gray Davis, qui a mis fin à sa carrière politique. Newsom, qui regarde depuis longtemps le bureau ovale et qui est lié par mariage à Nancy Pelosi, est maintenant au centre du ressentiment du public face aux restrictions arbitraires au nom de Covid. C'est un statut qu'il a gagné.
https://www.zerohedge.com/political/every-sheriff-la-region-refuses-enforce-gavin-newsoms-covid-curfew
Les lignes croissantes des banques alimentaires à travers l'Amérique signalent une crise économique loin d'être terminée
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 20:35
Des millions d'Américains sont confrontés à l'insécurité alimentaire et du logement pendant la période des fêtes. Le taux de chômage se situe autour de 6,9 %, avec plus de dix millions de personnes toujours sans emploi. Les pertes d'emplois permanentes continuent de monter en flèche, maintenant environ 3,8 millions, alors qu'une récession à double creux devient de plus en plus probable d'ici la fin de l'année.
Nous avons récemment souligné que les lignes bancaires alimentaires continuent d'augmenter dans tout le pays alors que le ralentissement induit par le virus continue d'infliger des ravages financiers aux travailleurs pauvres.
Le week-end dernier, la North Texas Food Bank (NTFB) a distribué plus de 600 000 livres de nourriture à 25 000 personnes affamées - l'un des plus gros cadeaux alimentaires jamais distribués, ont expliqué les responsables du NTFB.
Le Daily Mail a compilé une liste de banques alimentaires à travers le pays faisant état d'une augmentation de la demande avant les vacances la semaine prochaine.
Vendredi, le personnel militaire américain a distribué de la nourriture lors d'une "collecte massive de nourriture" dans une banque alimentaire à Arlington, au Texas.
Des centaines de voitures ont été vues lors de l'événement organisé par la banque alimentaire de la région de Tarrant. Il a été décrit comme la "plus grande collecte de nourriture" de leur histoire.
Voici une femme qui fouille dans une banque alimentaire installée dans une église de Wilkes Barre, en Pennsylvanie.
Une banque alimentaire à Fort Washington, Maryland, distribuant des soins aux personnes affamées.
Vendredi, des bénévoles d'une banque alimentaire de Los Angeles ont distribué 1500 repas.
Les gens qui entrent dans une banque alimentaire au volant à Montgomery, Alabama.
À New York, une banque alimentaire distribue des soins aux personnes affamées alors que la ville continue de faire face à un chômage dépressif au milieu d'un hiver Covid.
Samedi, des centaines de voitures étaient alignées pour une distribution dans une banque alimentaire dans le nord de Jersey.
Un utilisateur de Twitter enregistre d'énormes files d'attente devant une banque alimentaire. Aucun emplacement n'a été indiqué.
Une banque alimentaire de Milwaukee a ce matin un embouteillage de personnes affamées en attente de colis de soins.
Dans tout le pays, les lignes de banques alimentaires sont en plein essor avant la période des fêtes.
Tout cela survient alors que l'hiver Covid commence et que la reprise économique s'essouffle. JPMorgan a averti vendredi qu'un hiver sombre était à venir.
L'indice surprise de Citi econ montre clairement que la reprise est au point mort.
L'économiste en chef du JPM Michael Feroli, qui écrit que si l'économie a traversé la vague de coronavirus de juillet, "à cette époque, la réouverture de l'économie a fourni un puissant vent arrière à la croissance. L'économie n'a plus ce vent arrière; au lieu de cela, elle fait maintenant face au vent contraire des restrictions d’activité croissantes. " Pendant ce temps, "la saison des fêtes - de Thanksgiving au Nouvel An - menace une nouvelle augmentation des cas. Cet hiver sera sombre, et nous pensons que l'économie se contractera à nouveau au 1Q, mais à" seulement "un taux annualisé de 1,0 %."
RépondreSupprimerEn d'autres termes, le double creux est sur le point de frapper.
Alors qu'en est-il de la récupération en "V" ??
Les recherches sur Internet pour «banque alimentaire» sautent la semaine dernière.
«La banque alimentaire près de chez moi» augmente également.
Vous rappeler quelque chose ?
- voir photos sur site -
Et pour ceux qui se demandent si le ralentissement économique induit par le virus est terminé - eh bien - vous voudrez peut-être écouter le dernier avertissement du PDG de SoftBank, Masa Son, concernant un crash économique imminent.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/growing-food-banks-lines-across-america-suggest-economic-crisis-far-over
Ne faites pas confiance aux gouvernements avec le contrôle de l'argent
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/11/2020 - 18:00
Rédigé par Richard Ebeling via l'American Institute for Economic Research,
S'il y a une chose assez certaine dans cette vie - en plus de l'apparente inéluctabilité de la mort et des impôts - c'est qu'une fois que quelqu'un est nommé à presque n'importe quel poste dans les structures politiques et bureaucratiques d'un gouvernement, il découvre rapidement à quel point l'organisation est importante et essentielle. dont ils font partie pour le bien-être de la nation. Le pays ne pourrait pas exister sans lui, avec son budget croissant et son autorité élargie. Cela s’applique à la Réserve fédérale, la banque centrale américaine, pas moins qu’aux autres secteurs du gouvernement.
Les médias ont rapporté que la nomination apparemment improbable du Dr Judy Shelton au Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale sera probablement manœuvrée avec succès tout au long du processus de confirmation du Sénat. Shelton siégerait ensuite au Conseil de la Réserve fédérale, remplissant l'équilibrage d'un mandat qui se termine en 2024, puis éligible pour un mandat de 14 ans. La sienne a été l'une des nominations les plus controversées à la Fed ces dernières années, les critiques exprimant avec ferveur leurs opinions négatives à son égard.
Par exemple, Tony Fratto, ancien fonctionnaire du Trésor et attaché de presse adjoint sous George W. Bush, a été récemment cité comme disant que la nomination de Shelton serait «un discrédit pour le Sénat et la Fed. Ça crie. Rien du tout n'est sérieux. Pas nous. Pas toi. Pas eux."
Les économistes traditionnels contre n'importe qui pour l'or
En août de cette année, plus d'une centaine d'économistes universitaires et d'affaires ont adressé une lettre ouverte aux membres du Sénat américain appelant au rejet de sa nomination à la Fed. Parmi ceux qui ont signé, il y avait des lauréats du prix Nobel d'économie, dont Robert Lucas et Joseph Stiglitz. Ils ont insisté sur son inaptitude à un tel rendez-vous. Pourquoi ? Ils ont dit: «Elle a préconisé un retour à l'étalon-or; elle a mis en doute la nécessité d'une assurance-dépôts fédérale; elle a même remis en question la nécessité d'une banque centrale.
Ils l'ont également accusée d'hypocrisie, affirmant que Shelton avait changé sa position sur la politique de la Réserve fédérale et la pertinence de l'institution en se basant simplement sur le désir d'être nommée au conseil d'administration de la Fed et de servir les souhaits du président qui l'avait nommée. Donc, elle est damnée si elle s'oppose à la Fed avec son appel à une monnaie adossée à l'or, et elle est damnée si elle modifie ses positions sur la politique monétaire censée être plus acceptable pour les sénateurs qui décident de son destin professionnel. De toute évidence, ses critiques ne cesseraient d'être critiques que s'ils étaient convaincus que Judy Shelton aimait vraiment la Fed, détestait l'étalon-or et soutenait la politique monétaire «activiste» et la manipulation des taux d'intérêt; et pendant les 14 années de son mandat au sein du Fed Board.
Les campagnes politiques regorgent de gens qui se disent attirés par des emplois gouvernementaux à un échelon supérieur afin de pouvoir «redonner» ou «servir» le pays, et il y en a sans aucun doute qui sont sérieusement sincères quand ils le disent. Mais qui peut nier que ce qui plaît aussi à ces personnes, et à beaucoup d’autres qui sont beaucoup plus grossièrement opportunistes, est l’attrait d’être un «acteur» et un «initié» dans les différentes salles du pouvoir politique et de la prise de décision pour déterminer le une image plus grande de la «forme-des-choses-à-venir ?»
Et il se peut que Judy Shelton, sur la base de ses propres déclarations de désir de «servir» le pays à ce titre particulier, veuille vraiment le faire, même avec tous ses changements apparents de points de vue et d'accentuation. Ou peut-être que c'est tout un jeu pour dire ce qu'elle pense que les autres veulent et ont besoin d'entendre afin de l'approuver en tant que membre du conseil d'administration de la Réserve fédérale, puis de s'asseoir à la table du Big Boy - oh, je veux dire la grande personne -.
RépondreSupprimerLe vrai problème est le cas de l'or, pas de la sincérité d'une personne
Quoi qu'il en soit, les véritables problèmes sont de savoir si ses opinions sur l'or et la Réserve fédérale sont raisonnables ou non aussi utiles dans le processus de prise de décision de la politique monétaire de la Fed. Pour commencer, il y a une histoire bien plus longue des sociétés humaines remontant aux anciens dans lesquels l'or ou l'argent ou une autre marchandise «réelle» a servi de moyen d'échange, le bien-argent facilitant les transactions. La période de l'histoire au cours de laquelle l'humanité s'est principalement appuyée sur les monnaies fiduciaires ou papier ne couvre que les cent dernières années.
Or, le simple fait qu'une idée ou une institution existe depuis longtemps ne prouve pas sa validité ou son utilité continue. Une variété de mauvaises idées et de mauvaises institutions ont obscurci le bien-être humain pendant de nombreux siècles jusqu'à ce qu'elles soient finalement renversées et remplacées par d'autres idées et institutions considérées plus en phase avec l'amélioration de la condition sociale, économique et politique humaine.
Fondamentalement, les arguments en faveur d'un étalon-or reposent sur l'idée que les gouvernements ont été notoires pour avoir abusé de leur capacité à tourner la poignée de l'imprimerie monétaire pour créer l'argent nécessaire pour financer leurs dépenses, plutôt que de s'appuyer entièrement sur perception des impôts. Par ce biais, les gouvernements sont capables de contourner la nécessité de dire à leurs citoyens la vérité sur le coût réel des activités qu'ils souhaitent entreprendre. Cela a été compris par de nombreux économistes de différentes convictions politiques.
«Progressiste» Richard T. Ely contesté la politique monétaire arbitraire
À titre d'exemple, Richard T. Ely (1854-1943) est généralement considéré comme l'un des premiers et couronnés de succès de l'État-providence interventionniste en Amérique à la fin du 19e et au début du 20e siècle. Après avoir obtenu son baccalauréat et sa maîtrise à l’Université Columbia de New York dans la seconde moitié des années 1870, il partit terminer ses études en Allemagne impériale. Il est revenu imprégné des idées économiques et des prescriptions politiques de l'École historique allemande, mettant l'accent sur le pragmatisme et l'opportunisme comme base nécessaire pour guider les gouvernements dans la régulation de l'industrie et la poursuite de diverses formes de redistribution de la richesse. Il a également été l'un des fondateurs de l'American Economic Association en 1885 et une figure de proue du mouvement progressiste américain dans les années 1890 et les premières décennies du 20e siècle.
Dans son manuel co-écrit, Outlines of Economics (1893, 4e édition révisée 1926), Ely a souligné les abus avec lesquels les gouvernements - y compris le gouvernement américain pendant la guerre civile des années 1860 - avaient utilisé l'émission de papier ou de monnaie fiduciaire pour financer dépenses avec de graves conséquences inflationnistes pour les citoyens de pays connaissant un pouvoir si dangereux de la part de ceux qui détiennent le pouvoir politique. Et pourquoi les gouvernements sont peu ou pas incités à maîtriser leurs méfaits monétaires:
«L'approvisionnement en or, comme nous l'avons vu, est soumis à des variations résultant d'influences telles que la découverte de nouveaux gisements, l'épuisement des anciens et les changements dans les méthodes de traitement des minerais. Les variations de la production d'or se reflètent dans les mouvements du niveau général des prix.
RépondreSupprimer«L'offre de monnaie fiduciaire, soutient-on, pourrait être arbitrairement contrôlée par le gouvernement et son pouvoir d'achat pourrait être maintenu à un niveau plus proche de la stabilité. Examiné de près, cet argument particulier en faveur de la monnaie fiduciaire devient le plus fort des arguments contre elle. Dans des conditions pratiques, l'expérience l'a montré, les gouvernements trouvent beaucoup plus facile de développer que de contracter leurs émissions de papier-monnaie.
«L'expansion permet des dépenses plus importantes; c'est, pour le moment, un substitut à la fiscalité; il augmente les prix et stimule les affaires. La contraction, en revanche, se fait au détriment d'une augmentation immédiate des impôts; il appelle à une économie rigide de la part du gouvernement; il a pour le moment un effet déprimant sur les activités commerciales.
«Avec toutes ses lacunes, l'étalon-or a le grand avantage que ses variations, largement le résultat du jeu des forces du marché, échappent au contrôle arbitraire du gouvernement. (p. 259)
J. Laurence Laughlin et les incitations perverses du papier-monnaie
Nous pouvons utiliser un autre exemple, mais cette fois par un économiste qui a presque exactement le contraire des vues de politique publique de Richard Ely. J. Laurence Laughlin (1850-1933) a obtenu son doctorat de l'Université de Harvard et est devenu l'un des fondateurs du département d'économie de l'Université de Chicago en 1892. Il était un partisan de la création d'une banque centrale aux États-Unis dans les années. menant à l'ouverture de la Réserve fédérale en 1914. Il est également souvent considéré comme un critique de la théorie quantitative traditionnelle de la monnaie. Sur les questions générales de politique économique, Laughlin était un fervent partisan d'un laissez-faire général et d'une société de marché libre.
Dans son argent et prix (1919), Laughlin a également souligné le danger des monnaies papier non liées à l'or par des exigences de remboursement pour empêcher les gouvernements de profiter de leur capacité à augmenter la quantité de papier-monnaie en circulation:
«L'existence même des émissions de papier [monnaie], provenant d'une mauvaise méthode d'emprunt [par le gouvernement], est une menace constante. Le simple laps de temps au cours duquel aucune blessure n'a été subie sert malheureusement à apaiser la peur de la colère. Si elles sont retenues, ces questions suggèrent des expansions similaires à l'avenir, lorsque les hommes sont trop excités pour juger calmement de leurs actes. Leur présence même est une incitation.
«Si les législateurs étaient tous des experts monétaires, et jamais influencés par des considérations politiques, il y aurait peu de risque à conserver pendant un certain temps [une telle monnaie fiduciaire]; mais nous devons prendre les hommes tels qu'ils sont et pourvoir aux actes probables de ceux qui sont incompétents et mal avisés. De toute évidence, ces gardiens nationaux de notre système monétaire ne perdent personnellement rien lorsqu'ils mettent le Trésor dans une situation désespérée. . .
«Ce qui est encore plus dangereux, c'est le fait que le caprice du gouvernement est la seule limite à ses émissions [de papier-monnaie]. . . Si un besoin imaginaire pèse sur des hommes inexpérimentés dans les opérations monétaires, surtout s'ils ont été inoculés avec l'erreur selon laquelle plus un pays a d'argent, mieux c'est, il y aura des problèmes excessifs, suivis de raids sur les réserves.
RépondreSupprimer«Le papier va se déprécier - et le pays subira des fluctuations rapides des prix, une perturbation des contrats, une période de spéculation folle, conduisant à la ruine inévitable d'une crise commerciale. . . Étant entendu [donc] que la convertibilité en or est la première condition préalable des émissions gouvernementales ou bancaires. » (pp. 265-266; 274)
Les échecs des systèmes de papier-monnaie au XXe siècle
Y a-t-il quelque chose dans l'histoire des cent dernières années qui invalide les questions et les préoccupations d'économistes tels que Richard T.Ely ou J.Laurence Laughlin, d'il y a si longtemps, qui les a conduits à soutenir et à plaider en faveur d'un étalon-or sur la politique terrains? Il y a eu la folie monétaire pendant et après la Première Guerre mondiale, avec des inflations de papier-monnaie pour financer les dépenses des puissances belligérantes, et les hyperinflations destructrices qui ont suivi la fin de ce conflit. (Voir mon article, «Les héritages durables de la Première Guerre mondiale: grand gouvernement, papier-monnaie et inflation».)
Il y avait un faux sentiment de stabilité économique et monétaire dans les années 1920, suivi de la Grande Dépression en raison d'une politique malavisée de la Réserve fédérale dans les années 20 et d'interventions gouvernementales perturbatrices et de plans de planification centralisés dans la décennie des années 1930. Puis plus d'inflation pour financer la Seconde Guerre mondiale, avec une montagne russe d'inflations et de récessions dans la période post-Seconde Guerre mondiale, suivies par les nouvelles erreurs de gestion monétaire de la Réserve fédérale qui ont conduit aux crises financière et immobilière de 2008-2009, avec la poursuite des manipulation au cours des dix prochaines années de reprise économique. (Voir mon article, «Dix ans après: récession, reprise et état réglementaire».)
Les institutions restreignent les comportements potentiellement nocifs
Malheureusement, l'avantage d'un étalon-or n'a pas été qu'il a toujours empêché efficacement la mauvaise gestion et les abus monétaires du gouvernement; loin de là. Mais, comme de nombreuses institutions sociales, économiques et politiques, elle fixe des limites et des règles sur la conduite des acteurs de la société qui restreignent la conduite quotidienne qui, si elle est autorisée et régulièrement poursuivie, peut entraîner des changements d'attitudes et d'actions qui portent cumulativement des dommages à tous dans la société.
On peut facilement affirmer que l'idée «révolutionnaire» de John Maynard Keynes selon laquelle les gouvernements équilibrent leur budget sur le cycle économique - déficits budgétaires dans les «mauvaises» années et excédents budgétaires dans les «bonnes» années - plutôt que sur une base annualisée a libéré la politique perverse incitations des politiciens à ne jamais avoir à dire complètement aux citoyens d'où viendront tous les revenus pour couvrir les coûts de l'augmentation des dépenses gouvernementales avec lesquelles les contributions électorales et les votes sont achetés par les politiciens dans les cycles électoraux sans fin de la société démocratique moderne. Ce changement institutionnel a conduit à des déficits budgétaires du gouvernement américain pendant 63 des 75 dernières années depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945, avec, maintenant, des déficits budgétaires annuels d'un billion de dollars susceptibles d'être la norme pour autant que le regard budgétaire peut voir. (Voir mes articles, «Pourquoi les déficits et la dette du gouvernement sont importants» et «La dette et les déficits sont hors de contrôle» et «La dette, les déficits et le coût des repas gratuits».)
RépondreSupprimerIl en est de même de la mauvaise gestion du système monétaire avec, d'abord, l'affaiblissement de l'étalon-or pendant et après la Première Guerre mondiale, puis son abandon dans un pays après l'autre à partir des années 1930. Le monde est aux normes de la monnaie fiduciaire ou du papier avec un contrôle total entre les mains de divers planificateurs centraux monétaires avec peu ou pas de contrôle externe sur leurs décisions politiques, mis à part les modes et modes de théorie monétaire particuliers que les banquiers centraux et leurs conseillers économiques du personnel détiennent actuellement. comme guide pour les actions politiques réelles; ainsi que les pressions de la politique contemporaine, indépendamment de la mesure dans laquelle il peut être formellement ponctué que les principales banques centrales du monde entier font leurs choix politiques indépendamment du climat politique.
N'ayant pas à se soucier du remboursement obligatoire des billets de banque et autres équivalents monétaires qu'ils émettent, payés en or «à la demande» à un taux de change fixe par des détenteurs nationaux ou étrangers de leurs monnaies fiduciaires, les banques centrales ont pu se libérer ce que plus d'un économiste a appelé «l'âge de l'inflation» depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
L'or et la monnaie internationale contre les devises de papier fluctuantes
La fin de l’étalon-or a également affaibli la qualité internationale de ce qui avait été à bien des égards un système monétaire mondial dans lequel l’or était la monnaie du monde et les monnaies nationales n’étaient que des façons confessionnelles différentes d’exprimer les montants relatifs du même bien monétaire.
Le philosophe social français, économiste politique et «futuriste» Bertrand de Jouvenel (1903-1987), dans un article sur «L'argent sur le marché» (1955), a raconté l'expérience d'une famille britannique en vacances en France avant et après la fin de l'étalon-or dans les années 1930:
«En 1912, une famille anglaise passait ses vacances d'été dans un village français à l'écart. Une facture a été présentée, facturée en francs; le père anglais n'avait que des souverains d'or anglais, alors en circulation en Grande-Bretagne. Cela n'embarrassait pas l'aubergiste; certes, il n’avait jamais vu de pièces portant le profil du monarque britannique, mais il connaissait parfaitement les pièces d’or qui circulaient alors en France.
«En plaçant une pièce d'or de 20 francs à côté du souverain, il trouva ce dernier plus lourd (123,27 grains contre 99,56) et il lui sembla que deux souverains représentaient à peu près le même poids qu'une pièce d'or de 50 francs (50 francs = 248,9 grains; 2 souverains = 246,54). Aussi, sans consulter personne, il se décida à accepter deux souverains comme équivalant à 50 francs. . .
RépondreSupprimer«En 1932, la même famille anglaise retourna au même endroit, là encore le chef de famille n'avait pas d'autres moyens de paiement que ceux en vigueur en Grande-Bretagne à l'époque, c'est-à-dire des billets de banque. Le vieil aubergiste prit ces notes, les mit côte à côte avec des notes françaises, et cette fois n'apprit rien de la comparaison. . . La «pesée» des livres n’était plus un processus physique, c’était maintenant un processus de marché, une confrontation quotidienne de la demande française de livres avec la demande britannique de francs.
«Dans le premier cas, le taux de change dépendait de l'équilibre constant des poids physiques en or fin entre les pièces nationales: il était donc intrinsèquement stable; dans le second cas, il dépendait de l'évolution de l'équilibre des créances entre deux pays. . . il était donc intrinsèquement instable. (Voir Bertrand de Jouvenel, Economics of the Good Life [Transaction Publishers, 1999], pp. 179-180.)
L'évolution des opinions des économistes sur la politique monétaire
Lorsque la Grande-Bretagne en 1931, puis les États-Unis en 1933 ont abandonné l'étalon-or, la grande majorité des économistes et de nombreux membres du grand public criaient et criaient qu'une terrible erreur de politique avait été commise en mettant fin à l'or comme noyau. monnaie basée sur le remboursement obligatoire des billets de banque en un poids fixe d'or.
Il ne fait aucun doute que les économistes qui ont publié cette lettre ouverte en août 2020 pour protester avec colère devant le Sénat américain contre leur objection à la nomination de Judy Shelton au Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale considéreraient tous comme l'essence de la sagesse de la politique monétaire dans les années 1930 d'avoir libéré le Les systèmes monétaires britannique et américain de ce que Keynes avait dans les années 1920 appelait cette «relique barbare» - l'or.
Par implication, ils diraient également à quel point tous ces économistes des années 1930 étaient malavisés et mal intentionnés pour s'opposer à l'abandon de l'étalon-or afin que les gouvernements aient une plus grande latitude pour exercer une politique monétaire dans la tentative «activiste» de surmonter la Grande Dépression.
Permettez-moi de suggérer que ce n'est pas en dehors du domaine du possible, peut-être du probable, que dans 50 ans, beaucoup, peut-être une majorité significative, d'économistes se tourneront vers les signataires de cette lettre et penseront à quel point ils étaient malavisés et insensés. pensant que les gouvernements et leurs banquiers centraux avaient les connaissances, la sagesse et la capacité de microgérer l'économie par la macro-manipulation de la monnaie, du crédit et des taux d'intérêt.
La liberté de choisir la devise à utiliser
Ils se demanderont comment il se fait qu'un si grand nombre de membres de la profession économique aient pu souffrir de l'illusion que la planification centrale monétaire pourrait jamais être plus réalisable que l'échec du système soviétique de planification centrale générale des affaires humaines. Ces futurs économistes seront confus que ces économistes de 2020 n'aient pas accordé plus d'attention au raisonnement de l'économiste autrichien et lauréat du prix Nobel Friedrich A. Hayek (1899-1992), lorsqu'il a souligné que rien n'avait été plus faux. que de laisser le contrôle de l'argent entre les mains monopolistiques du gouvernement.
Que, comme Hayek l'avait soutenu dans Choice in Currency (1976), rien ne serait plus raisonnable et rationnel que de laisser tout le monde, n'importe où, choisir l'argent ou l'argent qu'il jugeait plus pratique et avantageux d'utiliser dans diverses transactions et échanges divers. Qu'une telle liberté de choix serait un moyen institutionnel inestimable de contenir la mauvaise gestion et les abus monétaires du gouvernement, car toute autorité politique qui réduirait sensiblement la valeur ou augmenterait l'incertitude sur la valeur future de sa monnaie nationale verrait une fuite hors de son utilisation par ses propres citoyens et d’autres citoyens du monde. (Voir mon article, «L'argent du monopole du gouvernement par rapport au choix personnel en devise».)
RépondreSupprimerEn effet, ces futurs économistes peuvent également se demander pourquoi il était si difficile pour ces premiers économistes de 2020 d'apprécier pleinement la valeur et l'efficacité de la banque libre concurrentielle privée en remplacement de la notion atavique selon laquelle une banque centrale était soit nécessaire, soit souhaitable. Ils seront surpris de l'ignorance générale de tout un sous-domaine de théoriciens monétaires qui avait émergé à la fin du 20e et au début du 21e siècle qui ont démontré pourquoi les banques centrales étaient l'instrument très institutionnel pour propager les types d'instabilités que la planification centrale monétaire était supposée éliminer, ou du moins réduire. Et pourquoi et comment se fait-il que la stabilité et la rétroaction nécessaires pour qu'un ordre économique fonctionnel et croissant prospère soit beaucoup plus probable et possible grâce à la liberté monétaire. (Voir mon eBook, Monetary Central Planning and the State.)
Et qui sait, si Judy Shelton est nommée au Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, et si elle épouse et défend les idées pour lesquelles elle est condamnée par tant d'économistes «traditionnels» aujourd'hui, cela pourrait être une étape utile pour la transformation sociétale vers une société plus libre, dont un élément clé à long terme doit être la libération de l'argent du contrôle politique.
https://www.zerohedge.com/commodities/do-not-trust-governments-control-money
CANTON DE SCHWYTZ:
RépondreSupprimerPrès de 1000 personnes à Lachen contre les mesures anti-Covid
Une manifestation contre le renforcement des mesures de sécurité sanitaire a réuni environ 1000 personnes samedi après-midi à Lachen. Les organisateurs seront dénoncés au ministère public, a annoncé la police cantonale.
La manifestation était organisée par «l’Alliance des cantons de Suisse centrale pour une politique raisonnée du Covid».
La manifestation était organisée par «l’Alliance des cantons de Suisse centrale pour une politique raisonnée du Covid».
La majorité des participants ne se sont pas conformés à l’obligation de porter un masque.
La manifestation pacifique s’est dispersée après environ deux heures.
Environ 1000 personnes ont manifesté samedi après-midi à Lachen (SZ) contre le renforcement des mesures pour lutter contre le coronavirus. En dépit des nombreux avertissements, la majorité des participants ne se sont pas conformés à l’obligation de porter un masque, a indiqué la police.
La manifestation était organisée par «l’Alliance des cantons de Suisse centrale (SZ/UR/OW/NW) pour une politique raisonnée du Covid». Parmi les orateurs figuraient le conseiller national Pirmin Schwander (UDC/SZ) et le satiriste Andreas Thiel.
La manifestation pacifique s’est dispersée après environ deux heures. La police s’est tenue en retrait et a renoncé à faire respecter le port du masque pour des raisons de proportionnalité. Parmi les participants se trouvaient de nombreuses familles avec des enfants. Les organisateurs seront dénoncés au ministère public, écrit la police cantonale.
https://www.lematin.ch/story/pres-de-1000-personnes-a-lachen-contre-les-mesures-anti-covid-461601986101
L'équipe de Trump dispose de serveurs allemands, de données brutes, avertit de la violence alors que des bombes seront lancées
RépondreSupprimerPlus de nouvelles que vous n'entendrez pas de l'ABC. BBC, CBC, etc.
November 22nd, 2020
De Newsmax: D'énormes revendications. L'histoire se déroule…?
Le personnel de Trump, Brian Trascher, confirme le raid de serveurs en Allemagne, analysant actuellement les données brutes.
«Les choses qui vont sortir vont ébranler les mondialistes au cœur.»
- voir clip sur site -
«Le soir des élections, en 68 secondes, Trump est passé de 10 000 voix d'avance - je pense que c'était dans le Wisconsin - à être en retard de dizaines de milliers de voix. C'est une anomalie statistique, ça ne peut pas arriver. »
«Le fait que Dominion et Smartmatic soient devenus des noms connus sur Twitter effraie les démocrates. Vous pouvez voir les médias fondre… »
«Aujourd'hui, c'est la première fois que nous comparaissons devant la Cour fédérale, toutes ces petites poursuites qui ont été rejetées étaient des tribunaux d'État dirigés par des juges démocrates.»
Site Web de Brian Trascher et sur Twitter @BTrascher
https://joannenova.com.au/2020/11/trumps-team-have-german-servers-raw-data-warn-of-violence-as-bombshells-will-be-released/
Cyberattaques Une menace plus importante à l’ère de la COVID-19
RépondreSupprimerSelon un rapport du Centre canadien pour la cybersécurité, les attaques en ligne pour voler des informations personnelles sensibles et perpétrer des fraudes demeurent les cybercrimes les plus susceptibles de toucher la population.
Les cyberattaques sont plus que jamais une menace au Canada en raison de la pandémie de COVID-19, qui a entraîné une forte augmentation des activités en ligne et multiplié les cibles potentielles tant pour des acteurs criminels que pour des États étrangers en quête d’informations stratégiques.
le 21 novembre 2020 à 8h00
Marc Thibodeau
LA PRESSE
« Face à la hausse subite du nombre de Canadiens travaillant à la maison, il est essentiel de protéger les infrastructures de télécommunications, le matériel, les logiciels et les chaînes d’approvisionnement qui les soutiennent pour assurer la sécurité nationale et la prospérité économique », plaide le dirigeant du Centre canadien pour la cybersécurité, Scott Jones, dans un rapport paru cette semaine.
Les analystes de l’organisation, qui relève du Centre de la sécurité des télécommunications (CST), préviennent que les attaques en ligne pour voler des informations personnelles sensibles et perpétrer des fraudes demeurent les cybercrimes les plus susceptibles de toucher la population.
En 2019, le laboratoire médical LifeLabs a notamment été victime d’une fuite de données médicales concernant 15 millions de Canadiens. Plusieurs autres établissements de santé ont été visés.
Les opérations visant à paralyser les activités électroniques de grandes entreprises ou d’organisations publiques en échange du versement d’une rançon devraient aussi continuer de se multiplier, prévient le CST.
Selon le rapport, le prix moyen des rançons demandées a bondi pour atteindre près de 150 000 $ et peut dépasser 1 million pour des sociétés importantes ne pouvant « tolérer d’interruption durable » sur leurs réseaux informatiques.
La Société de transport de Montréal a récemment été victime d’une attaque de cette nature qui a forcé l’organisation à réduire temporairement ses services, notamment en ce qui a trait au transport adapté. Une demande de rançon de près de 3 millions, que l’organisation dit avoir refusé de payer, a été reçue.
Le CST s’alarme aussi de la possibilité que des cybercrimes compromettent la sécurité physique d’individus et note à ce sujet qu’un nombre croissant de dispositifs sont désormais connectés à l’internet.
L’organisation relève notamment que les appareils médicaux connectés sont de plus en plus fréquents et pourraient être visés par des pirates qui cherchent à altérer leur fonctionnement.
Santé Canada a notamment émis en mars une mise en garde relativement à des stimulateurs cardiaques et des pompes à insuline utilisant un type de puce vulnérable aux attaques. Aucun cas concret de manipulation n’a cependant été signalé.
Acteurs étatiques
RépondreSupprimerBien que les cybercrimes commis à des fins pécuniaires soient les plus probables, le CST note que les attaques orchestrées au profit d’États étrangers sont les plus sophistiquées et les plus périlleuses pour le pays sur le plan stratégique.
L’organisation a notamment cité dans son rapport la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord comme les pays les plus susceptibles de vouloir cibler le Canada.
Il est « très probable », note le rapport, que des acteurs étatiques cherchent activement à développer leur capacité de s’attaquer à des infrastructures critiques du pays, les réseaux d’électricité étant une cible de choix.
Des attaques d’envergure causant des dommages majeurs ou des pertes en vies humaines apparaissent « improbables » en l’absence d’hostilités internationales déclarées, mais une telle capacité d’attaque pourrait servir notamment à des fins d’intimidation, relève le rapport.
Les efforts d’États étrangers pour dérober des informations scientifiques et commerciales sensibles se poursuivent par ailleurs de plus belle.
Le Centre canadien pour la cybersécurité a notamment sonné l’alarme l’été dernier quant aux actions d’un groupe qui visait les organisations engagées dans le développement d’un vaccin contre la COVID-19 aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni. Le rapport relève que les responsables de l’attaque étaient « fort probablement » liés aux services de renseignements de la Russie, qui a fait grand cas de ses avancées contre le coronavirus.
Le Canada reste par ailleurs la cible de campagnes de désinformation orchestrées de l’étranger même s’il demeure une cible « moins importante ». Les prises de position d’Ottawa sur des « enjeux géopolitiques suscitant de vives tensions » pourraient cependant changer la donne, dit le rapport, qui ne donne pas d’exemples précis à ce sujet.
« Les efforts de l’étranger pour influencer le discours public à travers les médias sociaux sont devenus la “nouvelle normale” », note en préambule du rapport le ministre canadien de la Défense, Harjit Sajjan, qui insiste sur la nécessité pour le pays de « ne pas baisser sa garde » en matière de cybersécurité.
https://www.lapresse.ca/actualites/2020-11-21/cyberattaques/une-menace-plus-importante-a-l-ere-de-la-covid-19.php
Vladimir Poutine explique pourquoi il n'a pas félicité Joe Biden
RépondreSupprimer14:09 22.11.2020
Par Youlia Zvantsova
Alors que de nombreux dirigeants ont déjà félicité Joe Biden à l’occasion de sa victoire à l’élection présidentielle aux États-Unis, la Russie ne se dépêche pas de le faire, estimant que tout doit être fait «en conformité avec la pratique établie et l’aspect juridique».
La Russie attend que cesse la confrontation politique intérieure aux États-Unis. Il n'y aucun dessous dans l’affaire des félicitations de Moscou au vainqueur de l’élection présidentielle américaine, a fait savoir Vladimir Poutine.
«Je tiens à vous assurer qu'il n'y aucun sous-entendu, ce n’est pas que quelqu’un nous plaise ou non, nous attendons simplement la fin de la confrontation politique intérieure [aux USA, ndlr]», a déclaré le Président russe à la chaîne de télévision Rossiya 1, en évoquant les félicitations adressées par d’autres dirigeants à Joe Biden.
Il a fait remarquer que Moscou avait «du respect pour tout le monde, aussi bien le Président sortant Donald Trump que le candidat à ce poste M.Biden».
«Il n'y a par conséquent aucun problème pour nous. Quant aux choses purement formelles, elles doivent être faites en conformité avec la pratique établie et l’aspect juridique de l'affaire. Il n'y a aucune arrière-pensée, rien qui soit inhabituel ou qui puisse devenir un élément destructeur de nos relations», a expliqué Vladimir Poutine.
Il a insisté sur le fait que c’était «purement formel».
«Nous travaillerons avec quiconque bénéficiera de la confiance du peuple américain. Mais cette confiance doit être accordée soit par une coutume politique, quand l'une des parties reconnaît la victoire de l'autre, soit par l’obtention de résultats définitifs de l'élection de manière légitime, légale», a-t-il encore noté.
Selon des données préliminaires, Joe Biden a totalisé suffisamment de voix de grands électeurs pour devenir Président. Le chef d’État sortant Donald Trump le conteste devant la justice qui, pour l’instant, ne se range pas de son côté.
Des relations «détériorées»
Le porte-parole du Président russe, Dmitri Peskov, avait précédemment déclaré aux journalistes que Vladimir Poutine adresserait ses félicitations au nouveau Président américain après l'annonce officielle des résultats des élections.
Nombreux sont les dirigeants de pays et organisations qui ont d’ores et déjà adressé leurs félicitations à Joe Biden, comme, par exemple, Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, le Premier ministre britannique Boris Johnson, la chef de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le président du Conseil européen Charles Michel ou encore le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg.
Pour ce qui est des relations bilatérales entre la Russie et les États-Unis, Vladimir Poutine avait précédemment laissé entendre qu’elles n’étaient pas au beau fixe et déclaré qu’il était «impossible de détériorer des relations détériorées».
https://fr.sputniknews.com/international/202011221044811565-vladimir-poutine-explique-pourquoi-il-na-pas-felicite-joe-biden/
Le leader européen prédit que l'enfer de COVID déclenchera une "réaction populiste" monumentale
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 22/11/2020 - 08:10
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Le Premier ministre de gauche de la Finlande, Sanna Marin, a averti que les verrouillages et autres mesures restrictives de COVID déclencheraient une énorme «réaction populiste» contre les gouvernements et les politiciens en Europe.
S'adressant au Financial Times, Marin a prédit que les restrictions draconiennes «provoqueront de plus en plus de protestations, et c'est un terreau fertile pour les mouvements populistes à travers l'Europe».
«Lorsque vous fermez une économie et les lieux de travail des gens, cela entraînera une instabilité politique. Les populistes viennent avec des réponses faciles à des problèmes difficiles, mais leurs solutions sont rarement les bonnes », a-t-elle ajouté.
La solution du premier ministre ? L'intégration mondialiste, évidemment.
Marin souhaite une stratégie coordonnée à l'échelle de l'UE pour faire face à la pandémie, vantant le propre 'régime de test et de traçage robuste' de son pays, qui a vu plus de la moitié de la population se soumettre à une application de suivi, ainsi que des 'restrictions ciblées', telles que la mise en quarantaine et tester presque toutes les personnes arrivant dans le pays en provenance d'Europe.
Le Premier ministre, qui n'a pas encore fait face à la deuxième vague du virus dans son pays, a vanté une augmentation des tests, de la recherche des contacts et des règles communes de l'UE sur les voyages.
Marin a fait valoir que l'UE doit prendre une «décision consciente que nous voulons maîtriser le virus. Je n'ai pas vu la décision prise ensemble que nous voulons supprimer le virus autant que possible. "
"La situation deviendra encore plus difficile si nous ne mettons pas en œuvre une stratégie commune ensemble", a ajouté Marin.
«Je pense que la situation pourrait empirer et que les gens pourraient être encore plus fatigués. La situation s'est aggravée à l'automne. Les gens veulent souvent trouver quelqu'un à blâmer et souvent les plus faciles à blâmer sont les gouvernements et les politiciens », a déclaré Marin, prévoyant davantage de soulèvement en réponse aux restrictions.
Les manifestations anti-lockdown font déjà rage dans toute l'Europe, avec des citoyens en colère descendant dans les rues en Espagne, en Allemagne, en France, en Italie, au Royaume-Uni et au-delà:
https://www.zerohedge.com/geopolitical/european-leader-predicts-covid-hell-will-trigger-monumental-populist-backlash