Legault serrera la vis aux récalcitrants et songe au reconfinement
Olivier Bossé 3 septembre 2020 18h37
SAINT-RAYMOND — À la lumière de la remontée des cas de COVID-19 dans les derniers jours, le gouvernement Legault sera plus sévère à l’endroit des personnes qui pourraient être infectées et qui refusent de s’isoler ou de respecter les consignes de la Santé publique. Un plan de reconfinement par région et même sous-région est aussi en préparation.
«On a eu des discussions avec la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault, pour voir comment on peut resserrer soit les amendes, soit le respect des consignes, pour les personnes qui refusent d’être isolées alors qu’elles sont porteuses du virus», a commenté le premier ministre François Legault, jeudi matin, lors d’un point de presse tenu à Saint-Raymond, dans Portneuf.
«Il en va de la santé de l’ensemble de la population, donc on va prendre les mesures nécessaires pour ce que ces personnes-là soient isolées», a-t-il poursuivi.
Amendes plus salées, conséquences plus graves? M. Legault veut une «façon de contraindre».
«Mme Guilbault va regarder comment ça se fait, pratiquement. Reste que c’est quelques exceptions, la grande majorité des Québécois suivent les consignes. Mais pour les quelques récalcitrants, on va regarder ce qu’on est capable de faire.»
Mercredi, le directeur régional par intérim de la santé publique de la Capitale-Nationale, le Dr Jacques Girard, avait confirmé que dans l’éclosion de COVID-19 survenue la semaine dernière au bar Le Kirouac, dans le quartier Saint-Sauveur de Québec, certaines personnes touchées avaient refusé de collaborer avec la santé publique dans son enquête de recherche de contacts.
Au moins un individu avait dû être isolé de force et au moins un autre avait continué de fréquenter des lieux publics en attendant le résultat de son test de COVID.
RECONFINEMENT PAR RÉGION ET SOUS-RÉGION
Dans l'éventualité d'une importante deuxième vague d'infection à la COVID-19, le premier ministre confirme que son gouvernement envisage un reconfinement par région et même par sous-région.
«Si jamais on se rendait là, oui, ce serait par région et par sous-région. Actuellement, on fait des tests pour identifier exactement les territoires où il y a des éclosions. On n'en est vraiment pas au reconfinement en ce moment. Mais si la situation le commande, dans les prochaines semaines ou prochains mois, on procéderait par région et même par sous-région», a confirmé M. Legault, reconnaissant que les 187 nouveaux cas du jour s'avèrent importants.
Les régions de Québec, de l'Estrie et du Grand Montréal connaissent un regain des cas de COVID-19 depuis quelques jours.
Ne pas dépasser une moyenne de 20 nouveaux cas par jour par million d'habitants sur une semaine constitue la cible régionale du ministère de la Santé.
«Il n'y a pas de déclenchement automatique quand on dépasse 20 cas par million», a toutefois rassuré M. Legault, expliquant que l'analyse de la provenance des cas constitue un élément-clé.
«Par exemple, si on se rendait compte que tous les cas sont dans les bars, la décision ne sera pas difficile à prendre», illustre-t-il.
SITUATION DANS LES ÉCOLES SOUS CONTRÔLE
Le premier ministre Legault a par ailleurs tenu à se faire rassurant quant à la situation actuelle dans les écoles. Même si on dénombre une quarantaine d'écoles primaires et secondaires à travers le Québec qui comptent au moins un élève atteint du coronavirus. La région de Québec en comptait sept à elle seule.
Une semaine après avoir établi le 14 septembre comme date de reprise possible des programmes scolaires sports-études et arts-études, M. Legault garde le cap.
«Même avec le niveau de cas d'aujourd'hui, si on avait à prendre la décision du 14 septembre aujourd'hui, on irait de l'avant. Mais il ne faut pas qu'il y ait d'augmentation importante», a-t-il indiqué, vantant la réussite du concept de bulle-classe pour éviter la fermeture d'écoles complètes. Quelque 200 élèves sont en isolement préventif à travers la province.
Le nombre d'écoles touchées est tiré du site internet CovidÉcolesQuébec.org mis sur pied par un Montréalais simple citoyen et papa.
Car pour l'instant, ni le ministère de la Santé ni celui de l'Éducation ne met ces données à la dispositions des Québécois. M. Legault promet que son gouvernement les rendra publiques «dans les prochains jours».
Un «arrimage entre la Santé publique et les centres de services scolaires est en train de se faire pour s'assurer de la fiabilité des données. Le citoyen, on ne sait pas si ces données-là sont fiables. J'invite les Québécois à être patients et dans quelques jours, ils vont avoir toutes les données», assure M. Legault.
The Lancet publie les résultats des essais cliniques du vaccin russe contre le Covid-19
14:07 04.09.2020
L’importante revue scientifique internationale The Lancet publie aujourd’hui les résultats des deux premières phases d’essais cliniques du vaccin russe contre le Covid-19. Ses concepteurs et le directeur du Fond d’investissements directs de Russie précisent à Sputnik quelles nouvelles données ils y indiquent.
Moins d’un mois après l’enregistrement en Russie du vaccin Spoutnik V contre le Covid-19, la revue scientifique The Lancet publie aujourd’hui les résultats des deux premières phases d’essais cliniques tant attendus en Russie et par la communauté scientifique internationale.
Le début d’une série de publications
The Lancet publie les résultats des phases 1 et 2, mais les concepteurs du vaccin du centre Gamaleïa assurent que c’est seulement le début d’un cycle de publications dans les revues scientifiques.
«En septembre, une étude animale complète du vaccin sera également présentée pour publication: chez les primates, les hamsters syriens, les souris transgéniques, pour lesquelles le vaccin a montré une efficacité protectrice de 100% (les résultats chez les primates et les hamsters syriens ont été obtenus avant les études cliniques). Les premiers résultats de l'étude clinique post-enregistrement déjà entamée impliquant 40.000 volontaires seront publiés en octobre-novembre».
Vaccin à l'innocuité prouvée
L'une des principales conclusions que les spécialistes du Centre Gamaleïa ont fait dans leur article est la sécurité du Spoutnik V. Selon les résultats des études cliniques des phases 1 et 2, ils n'ont trouvé aucun effet indésirable grave de la vaccination sur aucun des critères évalués. Les autres vaccins candidats ont un niveau d'effets indésirables graves allant jusqu'à 25%.
Immunité à long terme
La publication de The Lancet contient des preuves scientifiques sur l’efficacité du vaccin Spoutnik V, par exemple sur sa capacité à induire une réponse immunitaire à long terme au coronavirus chez 100% des personnes vaccinées grâce à sa technologie d’inoculation en deux étapes. Denis Logounov, directeur adjoint au travail scientifique du Centre Gamaleïa, explique que tous les vaccinés, dans 100% des cas, ont une réponse immunitaire humorale et cellulaire, laquelle sera suffisante pour protéger de manière fiable une personne contre l'infection par le Covid-19.
«Le niveau d'anticorps chez les volontaires vaccinés était 1,4-1,5 fois plus élevé que chez ceux qui avaient récupéré: à titre de comparaison la société pharmaceutique britannique AstraZeneca avait un niveau d'anticorps chez les volontaires vaccinés à peu près égal au niveau d'anticorps chez ceux qui avaient une infection au coronavirus.»
Le Centre Gamaleïa confirme que dans le cadre des essais cliniques du Spoutnik V, tous les volontaires ont développé une immunité aux cellules T, représentée à la fois par les cellules CD4+ et CD8+. Ces cellules permettent de reconnaître et de détruire celles infectées par le coronavirus.
L'une des plus grandes craintes de la communauté scientifique concernant l'utilisation de vaccins à vecteurs adénoviraux humains (la technique utilisée pour le Spoutnik V) était l'immunité préexistante aux adénovirus chez certaines personnes. En d'autres termes, la crainte que l’immunité humaine ne permette pas d’avoir la quantité requise d'adénovirus dans le corps, qui remplit la fonction de «taxi» dans le vaccin en délivrant le matériel génétique de la coque externe du coronavirus dans les cellules (il est important que le coronavirus lui-même n'entre pas dans le corps avec le vaccin, lequel élimine complètement la possibilité d'infection).
En raison du fait que les gens tombent souvent malades avec des adénovirus (rhume), ils auraient pu développer une immunité qui, en théorie, pourrait réduire l'efficacité du vaccin. Cependant, les résultats de l'étude présentée par l'équipe du Centre Gamaleïa prouve le contraire: l'immunité préexistante n'affecte pas l'efficacité de la vaccination.
«Le dosage optimal sûr a été choisi, fournissant une réponse immunitaire efficace chez 100% des personnes vaccinées, même celles qui ont récemment eu une infection à l’adénovirus. Cela réduit l'urgence de développer de nouveaux vaccins basés sur des plates-formes non testées.» Ces plates-formes non vérifiées sont utilisées par crainte des adénovirus humains, selon les scientifiques. Certains de ces développements, comme la technologie de l'ARNm (vaccin de Moderna) ou l'adénovirus chimpanzé (vaccin d'AstraZeneca), n'ont jamais été utilisés pour créer des vaccins enregistrés. Comme les scientifiques du Centre Gamaleïa l’expliquent, ces médicaments nécessitent des tests sur le long terme en raison des préoccupations concernant leur effet sur la fonction reproductrice du corps et d’éventuelles propriétés cancérigènes élevées qui contribuent au cancer.
Dans The Lancet, les scientifiques russes présentent des liens avec les recherches sur la sécurité et l’efficacité de l’adénovirus humain dans les vaccins. Depuis 1953, plus de 250 études cliniques ont été menées et plus de 75 publications internationales ont été publiées confirmant la sécurité des vaccins et des médicaments basés sur cela, explique Denis Logounov.
«Les médicaments à base de vecteurs adénoviraux humains sont utilisés dans la pratique depuis plus de 15 ans. Il s'agit en particulier des vaccins contre le virus Ebola et du médicament anticancéreux Gendicine, qui est utilisé en Chine depuis plus de 12 ans.»
Technologie unique à deux vecteurs
Une caractéristique unique du Spoutnik V, comme le dit l'académicien Alexander Gintsburg, est l'utilisation de deux adénovirus - sérotypes 5 et 26 - dans deux vaccinations distinctes. Aujourd'hui, la double vaccination est reconnue par de nombreux experts comme un facteur pouvant améliorer considérablement l'immunité contre le coronavirus. Cependant, dans le cas de l'utilisation du même vecteur pour deux vaccinations, le système immunitaire déclenche des mécanismes de défense et commence à rejeter le vaccin lors de la deuxième injection. L'utilisation du deuxième vecteur dans le cas du Spoutnik V résout complètement ce problème, aidant à éviter l'effet neutralisant décrit, explique M.Gintsburg.
En réponse aux critiques du nombre insuffisant de volontaires pour tester un vaccin de cette sorte, les scientifiques rappellent qu'ils ont pu le tester sur un plus large éventail de personnes que, par exemple, AstraZeneca, l'un des leaders dans le développement des vaccins candidats, ne l'a fait. Le géant pharmaceutique britannique a ainsi utilisé quatre fois moins de volontaires lors des phases 1 et 2 pour déterminer l'efficacité des deux injections de son vaccin
«Le nombre de participants aux essais cliniques du vaccin russe Spoutnik V au cours des phases 1 et 2, qui ont eu lieu avec deux injections, est quatre fois plus élevé que le nombre de sujets ayant reçu deux injections avec AstraZeneca.»
La seule technologie sûre
La semaine dernière, l'Agence américaine des médicaments a annoncé la possibilité d'utiliser la procédure d'enregistrement accélérée des vaccins candidats dans la situation épidémiologique actuelle. Les autorités britanniques ont également évoqué la possibilité de suivre une approche similaire. Dans le même temps, les régulateurs de ces pays notent la possibilité d'un enregistrement accéléré des seuls vaccins qui ont déjà prouvé leur efficacité et leur innocuité. Selon les spécialistes russes, il n'y a pas tellement de médicaments qui répondent à ces exigences.
«À ce jour, la seule technologie qui réponde à ces critères est une plate-forme basée sur des vecteurs adénoviraux humains. Elle a prouvé son innocuité dans de nombreuses études sur plusieurs décennies.»
La publication dans The Lancet est «une réponse finale»
Le directeur du Fond d’investissements directs de Russie, Kirill Dmitriev, explique que cette publication dans The Lancet est «une réponse finale dans ce cycle de questions adressées à la Russie» après l’enregistrement du Spoutnik V en août.
«Maintenant, la Russie, à son tour, peut poser des questions à la communauté internationale. Nous appelons à la publication de données officielles qui prouveraient l'efficacité à long terme des vaccins à base d'adénovirus ou d'ARNm de chimpanzé, l'absence de risques cancérigènes et l'effet sur la fertilité lorsqu'ils sont utilisés. Mais il serait également intéressant de savoir pourquoi AstraZeneca fait pression pour une clause de non-responsabilité pour les effets secondaires indésirables.»
(...) Le débat sur la nature des virus (vivants ou pas) repose sur des notions complexes11,12,13 et reste aujourd'hui ouvert. Selon de nombreuses définitions14 du vivant (entité matérielle réalisant les fonctions de relation, nutrition, reproduction), les virus ne sont pas des êtres vivants.
Cependant en élargissant la définition du vivant à une entité qui diminue le niveau d'entropie et se reproduit en commettant des erreurs, les virus pourraient être considérés comme vivants. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
Les agents infectieux microbes (bactéries) et virus sont considérés comme amenant à une infection. Infection d'êtres vivants (Microbes ou appelés bactéries) qui affectent l'organisme mais, là où apparaissent les virus il s'agit d'infections irradiantes (poussières ou particules minérales radioactives non-vivantes) provoquant un magnétisme (électricité), ou poussières ou particules émanantes, tandis que d'autres sont attirantes (aimantation).
Ces particules nanoscopiques ne sont donc pas vivantes au sens propre du terme mais tendent à modifier les éléments approchés (l'on ne peut tuer une pierre ou métal !). Il n'y a donc pas de vaccin pour en éliminer les aimantations ou émanations. Tout juste existe t-il des combinaisons enveloppantes pour se protéger des ses effets.
L'on fait donc appel à des chélateurs. La chélation 'élimine' ces particules logées en fines veines cervicales et autres parties du corps.
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Omniprésence des virus
On sait, depuis la fin du xxe siècle, que l'océan mondial est un immense réservoir de virus22, de la surface aux évents hydrothermaux23 en passant par l'Arctique et les sédiments marins24. Dans l'eau de mer, la concentration en particules virales est de 10(6 exposant) à 10(8 exposant) particules par millilitre25. En surface et près des rivages, les concentrations en virus habituellement rencontrées sont de l'ordre de 10(7 exposant) virus par millilitre (soit dix mille virus par millimètre cube (un millième de mililitre)22 ; la concentration décroissant avec la profondeur et la distance au rivage. Des concentrations plus élevées (10(8 exposant) à 10(9 exposant) / cm3) se rencontrent dans les sédiments marins proches de la surface22.
Ces virus jouent dans l'océan un rôle majeur dans le contrôle des blooms planctoniques, ainsi que dans les cycles biogéochimiques, en particulier dans le cycle du carbone océanique (quotidiennement environ 20 % des organismes constituant la biomasse microbienne océanique totale est tuée par des virus26 ; ces derniers s'attaquent massivement au phytoplancton27 et au zooplancton, mais aussi aux bactéries28 et cyanophycées29).
Grâce aux progrès de la cytométrie en flux et de l'analyse génétique (métagénomique notamment), en quelques décennies les chercheurs ont inventorié près de 200 000 types de populations virales en mer (en 2019, on en comptait 195 728 exactement, un chiffre douze fois plus élevé que celui de l'évaluation faite en 2016)30 ; 90 % des virus identifiés en mer entre 2016 et 2019 étaient jusqu'alors inconnus de la science. Remarque : on ne parle pas ici d'espèces mais de populations, au sein desquelles il y a plus de flux de gènes dans un groupe qu'entre groupes de virus (si les virus séquencés partagent au moins 95 % de leur ADN, alors ils sont classés dans une même population distincte des autres).
En 2007 on a estimé qu'il pourrait y avoir environ 10(30 exposant) virus dans l'océan ; étirés et mis bout à bout, ils formeraient une ligne s'étendant au-delà des 60 galaxies les plus proches. Et chaque seconde il y aurait environ 10(23 exposant) infections virales dans l'océan, jouant un rôle majeur dans l'évolution et l'entretien de la biodiversité marine. L'abondance virale semble liée à l'abondance et à la productivité en procaryotes, mais cette relation varie selon les environnements marins, notamment en fonction de la température26. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
(...) Virome
Le virome (en) est la composante virale d'un microbiome. Ainsi le virome humain (en) est l'ensemble des communautés virales du microbiote de l'organisme humain. La recherche actuelle estime que dans le corps humain il y a 100 fois plus de virus (10(15 exposant) que de cellules humaines (10(13 exposant)31. Chaque individu en bonne santé porte en moyenne plus de 10 types de virus responsables d'infections virales systémiques chroniques et asymptomatiques*32. (...)
*asymptomatiques: Qui ne présente pas de symptômes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
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Caractéristiques
Structure de base d'un virus.
On caractérise un virus par son incapacité à se reproduire par mitose, par scissiparité ou par méiose. Pour répliquer son acide nucléique, il dépend d'une cellule hôte qu'il doit infecter pour détourner et utiliser son métabolisme : un virus est nécessairement un parasite intracellulaire. Il est composé d'une ou plusieurs molécules d'acide nucléique (ADN ou ARN, simple ou double brin), éventuellement incluse dans une coque protéique appelée capside, voire d'une enveloppe lipidique (ex : l'Ebolavirus est un virus enveloppé). Parfois certaines capsides contiennent quelques enzymes (par exemple : transcriptase inverse du VIH) mais aucune pouvant produire de l'énergie.
Historiquement, les virus ont d'abord été considérés comme des particules organiques dites non filtrables, puis de petite taille (inférieure à celle d'une bactérie), en règle générale moins de 250 nanomètres, possédant un acide nucléique double ou simple toujours d'un seul type (ADN ou ARN). Les girus ont bousculé une première fois cette définition au moment de leur découverte33. Ces derniers appartiennent pourtant bien au règne des virus et leurs virions possèdent à la fois des molécules d'ADN et d'ARN, remettant en cause cette vision historique. Il fallut repenser la définition des virus et la création de classes tels les « virus géants » comme mimivirus avec sa taille de 400 nm ou « girus » ou les NCLDV, voire les pandoravirus avec une taille allant jusqu'à 1 000 nm (1 000 µ = 1 millimètre) et leur « capside » qui n'en est pas vraiment une. La découverte des virophages et des virus satellites a aussi modifié la vision qu'on avait des virus, révoquant l'idée qu'une virose cellulaire était la forme irréductible du parasitisme.
Aujourd'hui les chercheurs s'accordent sur une remise en cause du paradigme capsidocentré, eu égard aux découvertes d'espèces virales montrant que certaines peuvent avoir plusieurs formes, y compris acapsidées, mais chaque fois infectieuses sans l'aide d'un virus assistant34,35. Au-delà de ce paradigme, il semble que certains virus aient évolué à partir de putatifs ancêtres cellulaires s'étant simplifiés36, et parallèlement l'inverse à partir de réplicons génétiques autonomes tel les transposons, plasmides et affiliés ayant fini par acquérir une capside37.
Le débat sur le caractère vivant ou inerte des virus reste encore aujourd’hui ouvert38,39,40. Répondre à cette question exige de répondre au préalable à une autre : qu’est-ce que la vie ? D’après Ali Saïb, « la notion du vivant est une notion dynamique, évoluant en fonction de nos connaissances. En conséquence, la frontière entre la matière inerte et le vivant est tout aussi instable »41. L'existence ou non d'un métabolisme, c'est-à-dire d'un ensemble cohérent de processus chimiques (l'homéostasie et non la reproduction), constitue un discriminant possible, en tout cas commode, mais qui semble réducteur42.
Comme les cellules vivantes, les virus possèdent un acide nucléique (ADN ou ARN) et des protéines. Cependant, selon la définition du biochimiste Wendell Stanley, les virus ne sont pas des êtres vivants mais de « simples » associations de molécules biologiques, le fruit d’une auto-organisation de molécules organiques. François Jacob insiste aussi sur cette caractéristique des virus : « Placés en suspension dans un milieu de culture, ils ne peuvent ni métaboliser, ni produire ou utiliser de l’énergie, ni croître, ni se multiplier, toutes fonctions communes aux êtres vivants43 ». Les virus n'ont pas leur propre machinerie enzymatique, ne peuvent se multiplier qu’en utilisant celle d’une cellule qu'ils infectent. De plus, les virus contiennent bien un acide nucléique, de l’ADN ou de l’ARN, mais pas les deux à la fois, à la différence des cellules vivantes (sauf les mimivirus 0,7µ).
En revanche, Gustavo Caetano-Anollés (en) et Arshan Nasir (du laboratoire de bio-informatique évolutionnaire à l'université de l'Illinois, États-Unis) défendent une tout autre thèse. Ils avancent que, à côté des trois grandes "branches" du vivant (classiquement regroupées sous le nom de domaines) archées, bactéries (procaryotes) et eucaryotes, les virus en constitueraient une quatrième. Ils seraient la résultante de cellules ayant précédé le dernier ancêtre commun universel (Last Universal Common Ancestor, acronyme LUCA) des trois autres domaines. Pour avancer leur théorie les deux chercheurs se basent, non sur les séquences génétiques, mais sur les structures 3D des protéines qu'elles produisent. Depuis 1990, ils ont analysé 11 millions de protéines produites par 3 460 espèces de virus et 1 620 espèces de cellules appartenant aux trois domaines ; ils affirment ainsi pouvoir retracer l'histoire évolutive de ces structures ; les protéines ayant des structures proches seraient issues d'un même ancêtre hypothétique44,45.
Si cette hypothèse est encore minoritaire, Patrick Forterre, biologiste spécialiste de l'évolution, considère qu'elle a le mérite de « Favoriser le retour des virus dans la mire des évolutionnistes, alors qu'ils en étaient les grands absents ». (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
(...) « Placés en suspension dans un milieu de culture, ils ne peuvent ni métaboliser, ni produire ou utiliser de l’énergie, ni croître, ni se multiplier, toutes fonctions communes aux êtres vivants43 ». Les virus n'ont pas leur propre machinerie enzymatique, ne peuvent se multiplier qu’en utilisant celle d’une cellule qu'ils infectent. (...)
Pareillement à une particule radioactive, le virus affecte des cellules (vie) sans pour cela se détruire !
Les virus ont aussi un rôle dans l’évolution. Patrick Forterre avance même l’hypothèse que les virus seraient les premiers organismes à ADN48. À l’origine de la vie, l’ARN dominait (hypothèse du monde à ARN) et assurait à la fois les fonctions de stockage et transmission de l’information génétique et de catalyse des réactions chimiques. Seules existaient des cellules dont le génome était codé par de l’ARN et dont le métabolisme était assuré par des ARN-enzymes qui ont progressivement été remplacés par des protéines-enzymes. Ces protéines, déjà complexes, auraient « inventé » l’ADN49. L’ADN a été sélectionné en raison de sa plus grande stabilité. D’après Patrick Forterre, l’ADN confèrerait au virus le pouvoir de résister à des enzymes dégradant les génomes à ARN, arme de défense probable des protocellules. On retrouve le même principe chez des virus actuels, qui altèrent leur ADN pour résister à des enzymes produites par des bactéries infectées. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
C'est ce qui sont appelées 'les poussières intelligentes'. Leur contrôle est assuré par des ondes (nous vivons tous dans un atmosphère électrique constitué par le magma (masse ferrique incandescente au noyau de notre planète).
C'est pourquoi, les appareils électrique (téléphones, ordinateurs, etc) jouent un rôle de transmetteurs. Ces relais peuvent donc contrôler l'organisme humain. C'est aussi pourquoi les vaccins injectent des métaux lourds émetteur/récepteurs.
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(...) Virus et microbes Virus et micro-organismes (ou microbes) ne sont donc pas des notions de même nature. Elles s'opposent en ce que les microbes sont des organismes vivants, ce qui est contesté pour les virus. Mais leur portée est différente, les micro-organismes (bactéries, archées, levures, protistes, etc.) n'étant regroupés que pour leur taille microscopique, sans que ce regroupement ait un sens en termes de classification des espèces50, alors que les virus ont bien des caractéristiques phylogéniques communes, même si le concept d'espèce reste flou pour les acaryotes. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
Il y a donc des virus (immortels) qui irradient ou aimantent et vont transférer une partie de leur pouvoir (Virus-mère vers virus-petits/bactéries). Le capside joue uniquement un rôle de protection (comme les containers en plomb servent à transporter les crayons d'Uranium en toute sécurité).
(...) Les virus jouent également un rôle important dans les corps des humains. Selon le chercheur Clément Gilbert, « le corps d'un homme adulte sain abrite plus de trois mille milliards de virus, pour la plupart des bactériophages (mangeurs de bactéries) infectant les bactéries présentes dans le tractus intestinal et sur les muqueuses. L’impact de ces virus n’est pas encore complètement compris, mais on peut déjà parier qu’ils jouent un rôle important dans la régulation de la composition des communautés bactériennes vivant en symbiose avec l’homme »60. Il souligne également que « plus de 8 % du génome humain dérivent de rétrovirus », ce qui permet de dire que « nous sommes d’une certaine manière apparentés aux virus »60. (...)
(...) Certains virus sont utilisés en thérapie génique pour soigner diverses maladies génétiques, par exemple pour remplacer un gène défectueux provoquant des troubles fonctionnels ou mécaniques.
Les virus sont également utilisés dans la lutte64 contre le cancer. Certains virus peuvent être en quelque sorte programmés pour détruire spécifiquement des cellules cancéreuses. (...)
(...) Virus de virus
Virophage.
Découvert en 200870, Sputnik71 est un cas à part capable d'infecter un autre virus (Mamavirus) appartenant à la classe des virus géants72 (génome de plus de 300 000 pb et taille supérieure à 0,2 µm73). (...)
Hier après-midi était un grand jour pour apprécier jusqu’à quelle extrémité les autorités politiques ont osé installer leur pouvoir coercitif sur la population. La loi locale espagnole telle qu’elle est appliquée dans l’archipel des Canaries stipule que le port du masque dans la rue n’est obligatoire que si on ne peut pas respecter la « distanciation » établie à 1,5 mètres. Je me suis fait relever les brettelles par un flic qui m’a dit de porter un masque alors qu’il n’y avait personne autour de moi et que ce flic ne portait pas de masque lui-même. Une belle démonstration de l’autorité bien comprise par un représentant de cette même autorité. Sans autre commentaire.
Je suis ensuite allé faire mes petites courses au supermarché et un vigile à l’entrée du centre commercial m’a presque agressé parce que je n’avais pas mis mon masque correctement : le nez doit être couvert ! Mon espagnol n’est pas suffisant pour lui demander si on ne devrait pas aussi porter un masque de plongée puisqu’on peut attraper le virus en contact avec la conjonctive. Je pense qu’il n’aurait rien compris. À l’entré du supermarché – j’avais correctement mis mon masque – une caissière me demande de mettre des gants d’un ton autoritaire. Je lui montre mes mains et lui apprend que je suis allergique à la saloperie de matière transparente utilisée pour fabriquer les gants. Elle insiste. Je me suis retenu pour ne pas l’insulter et je suis allé faire mes petites courses.
J’avais déjà remarqué que ces gants provoquaient une allergie mais lassé par les remontrances des employés du supermarché je m’étais soumis à leurs injonctions et finalement trois jours de suite je remis des gants. Le résultat est sans ambiguïté :
- voir photo sur site -
Voilà où nous en sommes alors qu’il n’y a pratiquement plus de morts, que cette grippe coronavirale fait partie maintenant du passé et que les effets secondaires peuvent être tout à fait bénins comme cette allergie mais pas du tout bénins, pour reprendre cet adjectif, au sujet de l’économie, des relations sociales et de l’état psychologique des individus. L’économie va continuer à s’effondrer, les faillites d’entreprises n’en sont qu’au début. Toutes celles qui ont déjà disparu ne représentaient qu’un petit hors-d’oeuvre. On entre maintenant dans le vif du sujet : septembre, octobre et novembre vont être très sombres avec des millions de chômeurs supplémentaires. Une allergie aux mains ce n’est rien pour un petit retraité comme moi qui continue à percevoir sa retraite (jusqu’à quand ?) mais il est certain que la population va devenir allergique aux mesures autoritaires prises en dépit du bon sens par les dirigeants politiques, et ceci aussi bien en Espagne qu’en France ou d’autres pays européens.
Il est prévu que plus de 50 millions d'Américains lutteront contre la faim d'ici la fin de l'année
par Tyler Durden Ven, 09/04/2020 - 09:25 Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Y a-t-il déjà eu un moment dans votre vie où vous n’avez pas eu assez de nourriture pour passer la semaine ? Si vous n'avez jamais vécu cela, vous êtes extrêmement chanceux. Même dans les meilleurs moments, des millions d'Américains luttent contre la faim, et ce ne sont certainement pas les meilleurs moments. En raison de toutes les choses folles qui se sont produites jusqu'à présent en 2020, un grand nombre de personnes ont été contraintes de changer radicalement leur mode de vie. De nombreux Américains ont considérablement réduit leur budget alimentaire en raison d'un manque de revenus, d'autres ne mangent plus qu'un ou deux repas par jour, et nous constatons une demande plus forte dans les banques alimentaires du pays que jamais auparavant.
Il est tout à fait évident qu'un grand nombre de personnes souffrent vraiment, et Bloomberg rapporte qu'il est prévu que le nombre d'Américains qui «luttent contre la faim» atteindra «plus de 50 millions» d'ici la fin de cette année civile ...
Les rangs des Américains qui luttent contre la faim devraient grossir de 45% cette année pour atteindre plus de 50 millions.
Pour moi, c'est un chiffre absolument stupéfiant.
À l'heure actuelle, les États-Unis ont une population totale d'environ 328 millions de personnes, et donc ce chiffre cité par Bloomberg représente une partie importante du pays.
Et nous n’avons certainement pas à attendre la fin de l’année pour que les chiffres deviennent vraiment, vraiment mauvais. En fait, on rapporte qu’une enquête récente a révélé qu’environ un dixième de tous les ménages américains «n’ont pas eu suffisamment de nourriture au cours d’une semaine donnée»…
Pendant la pandémie, environ un dixième des ménages américains ont déclaré qu’ils n’avaient pas eu suffisamment de nourriture au cours d’une semaine donnée. C’est un chiffre choquant pour le pays le plus riche du monde. C'est plus du double des chiffres pré-Covid et le plus élevé depuis que les données gouvernementales comparables commencent en 1995.
Je me sens particulièrement mal pour les enfants qui ont faim.
Pouvez-vous imaginer à quel point les parents doivent se sentir mal quand leurs enfants leur disent qu'ils ont faim et que les parents n'ont rien à fournir ?
Et ce n'est que le début. Les prix des denrées alimentaires vont continuer à monter en flèche au cours de l'année à venir, ce qui ne fera qu'exacerber les budgets des familles.
Il y a quelques jours, j'ai fortement exhorté mes lecteurs à stocker de la nourriture pour les temps chaotiques à venir. Les prix des denrées alimentaires ne feront qu'augmenter et les conditions économiques continueront de se détériorer.
En fait, d'autres suppressions d'emplois majeures viennent d'être annoncées. Par exemple, Ford vient d'annoncer qu'il éliminera «1 400 emplois de col blanc»…
Ford cherche à supprimer 1 400 emplois de cols blancs dans le but de réaliser des économies.
Le constructeur automobile a envoyé des lettres aux employés mercredi disant que le personnel salarié éligible à la retraite recevrait des offres de retraite anticipée la semaine prochaine. Ceux qui accepteraient l'offre avant le 23 octobre quitteraient l'entreprise d'ici la fin de l'année.
Et United Airlines vient d'annoncer qu'elle mettra à pied plus de 16 000 travailleurs…
En l’absence de rebond du transport aérien ou d’une nouvelle aide fédérale en vue, United Airlines affirme qu’elle mettra à pied environ 20% de ses employés de première ligne dans moins d’un mois.
Dans une nouvelle note adressée à ses employés, United (UAL) indique que 16370 employés seront licenciés lorsque les restrictions salariales liées à un plan de sauvetage fédéral expireront le 1er octobre.
Parce que la plupart des Américains vivent de salaire en chèque de paie, une perte d'emploi peut plonger une famille dans une situation désespérée très rapidement. Partout aux États-Unis, nous voyons de longues files de personnes conduisant de très beaux véhicules qui attendent jusqu'à six heures pour se procurer de la nourriture dans les banques alimentaires locales.
Au cours des 23 dernières semaines, plus de 58 millions d'Américains ont déposé une demande initiale de prestations de chômage, et nombre d'entre eux se sont «soudainement» retrouvés dans le besoin de nourriture. Pour beaucoup d'entre eux, c'est la première fois que quelque chose comme ça leur arrive.
Et tant de gens à qui je parle croient que ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est que la pointe de l'iceberg et que bien pire est à venir. Il y a un tel sentiment d'urgence dans l'air, et les ventes d'armes à feu ne font que battre record après record. En fait, nous venons d'apprendre que les ventes d'armes à feu au cours du mois d'août étaient 57% plus élevées que l'année dernière…
Le Washington Free Beacon a rapporté mardi que les États-Unis avaient enregistré plus de ventes d'armes à feu en août 2020 que tout autre août depuis que le FBI enregistrait des données sur le sujet. Selon l’analyse du point de vente des données de vérification des antécédents du FBI, il y a eu au moins 1,6 million d’achats d’armes à feu au cours du mois dernier, une augmentation de 57% par rapport au mois d’août de l’année dernière.
D'autres Américains réagissent à notre situation actuelle en se vautrant dans la dépression et le désespoir. Selon le Daily Mail, le nombre d'Américains signalant des symptômes de dépression a «triplé au cours des huit derniers mois»…
Les chercheurs ont constaté que le pourcentage d'adultes américains signalant des symptômes légers, modérés ou sévères avait triplé au cours des huit derniers mois.
Et à mesure que les choses empirent, une tonne de personnes ne seront tout simplement pas en mesure de gérer ce qui se passe.
C'est pourquoi je voulais vraiment que mon nouveau livre soit un livre d'espoir. Oui, nous entrons dans un chapitre de l'histoire qui sera bien plus horrible que la plupart des gens oseraient l'imaginer. Mais je crois qu'il y a de l'espoir dans la compréhension de ce qui se passe, il y a de l'espoir pour se préparer, et il y a de l'espoir dans la confiance que Dieu a tout entre Ses mains.
Tant de gens ont encore tellement confiance dans le système, mais quand les choses deviennent vraiment folles, le gouvernement ne livrera pas de gros paniers de nourriture à votre porte pour vous et votre famille.
Ce soir, des millions et des millions de familles américaines n'ont pas assez à manger et de plus en plus d'emplois sont perdus chaque jour qui passe.
Vous pourriez penser que votre emploi est sûr, et j'espère que c'est vrai, mais des millions d'autres pensaient également que leur emploi était sécurisé juste avant d'être licenciés.
Récemment, beaucoup de gens m'ont posé des questions sur l'or et l'argent, et j'ai toujours pensé aux métaux précieux.
Mais vous ne pouvez pas manger d’or ou d’argent. Avant de vous concentrer sur les métaux précieux, assurez-vous d'avoir suffisamment de nourriture pour vous-même, votre famille, vos amis et vos voisins, car avoir suffisamment de nourriture sera absolument essentiel pendant les périodes où nous emménagerons.
Méfiez-vous des données indésirables et des conclusions indésirables Les données sur la mort sont devenues un outil politique (étiré à la fois vers le haut et vers le bas par des intérêts particuliers). Nous avons tous entendu parler du motocycliste qui a percuté le décompte de Covid et des paiements pour les documents américains. Nous savons qu’il existe des données inutiles, mais la suggestion de ne compter que les décès «de» Covid, et non les décès «avec» Covid n’est absolument pas scientifique.
Restez avec moi. Nous voulons tous que WuFlu ne soit rien, mais les scientifiques et les sceptiques doivent choisir leurs cibles avec soin. Ne perdez pas de vue le vrai scandale et les vraies solutions. C'est une parodie que les gens meurent alors que les vitamines bon marché et les antiviraux sont ignorés. Battons-nous pour la vitamine D, HCQ, l'ivermectine et tous les autres potentiels comme l'interféron, la bromhexine, la mélatonine, les stéroïdes, les médicaments contre l'asthme, etc. Mais ne soyons pas distraits par un fantasme plein d'espoir selon lequel le véritable «décompte» américain n'est que de 6% des décès de Covid aux États-Unis.
Il y a une idée là-bas que seulement 9 680 personnes sont mortes de Covid aux États-Unis, et non 161 392 personnes. C’est à cause de cette citation du CDC:
«Pour 6% des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès avec des conditions ou des causes en plus du COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès. "
Posez-vous la question: le diabète vous protège-t-il de Covid ?
Réfléchissez bien. Dans ce scénario, pour être considéré comme un vrai décès par coronavirus, le défunt doit non seulement avoir été testé, mais il ne peut avoir aucun autre facteur contributif inscrit sur le certificat de décès. Ce qui signifie effectivement que les personnes souffrant d'hypertension, de cancer, de maladie cardiaque, d'asthme et de diabète ne peuvent plus mourir de Covid. (Ne seront-ils pas heureux d’entendre cela ?) Les personnes qui ne se font pas tester non plus. Et les personnes obèses ne peuvent pas non plus - à moins qu'elles ne mincissent d'abord, puis meurent.
Dans un monde où seuls 6% des décès de Covid aux États-Unis sont vraiment dus à Covid, vous pouvez vous protéger de Covid en grossissant, en ne vous faisant pas tester et en contractant le diabète. Je ne pense pas.
Les décès ne sont pas de simples événements à cause unique La plupart des décès sont dus à un tas de mauvais facteurs qui submergent le système. Les seuls morts purs sont des choses comme des balles dans la tête (dans l'homocide, pas même dans le suicide qui a sa propre collection de facteurs contributifs). Les certificats de décès reflètent cela, permettant aux médecins d'énumérer un grand nombre de facteurs contributifs (lire ZdoggMD pour une perspective de médecins américains). Les 6 % de certificats qui n’ont pas énuméré d’autres facteurs peuvent représenter 10 000 personnes totalement en bonne santé, coupées à l’avance, ce qui est sûrement une tragédie propre. Mais, banalement, cela peut aussi signifier que certains médecins occupés et distraits ne remplissent pas toujours le formulaire correctement.
La question qui compte est: combien de temps les victimes auraient-elles vécu si Covid ne les avait pas frappées ?
Nous mourrons tous un jour. Ce qui compte, c'est de savoir si nous perdons des personnes qui auraient vécu des années de plus. L'âge moyen du décès aux États-Unis est peut-être de 78 ans, mais cela signifie qu'environ la moitié de la population s'attend à vivre plus âgée que cela. Certains jeunes de 78 ans ont beaucoup à apporter. Au cours des quatre prochaines années, le leader du monde libre aura 78 ans.
La personne moyenne de 78 ans peut encore espérer vivre dix ans de plus.
Les personnes atteintes de comorbidites courent donc un risque plus élevé de mourir de Covid, mais une personne souffrant d'hypertension artérielle peut survivre des années avec cette maladie. Covid peut déclencher leur mort prématurée, mais si les frontières américaines avaient été fermées à temps, cette même personne aurait pu survivre pendant une autre décennie de vacances et de moments en famille. Une autre décennie de vote et d'ajouter une perspective de longévité aux jeunes générations.
Le bilan réel de Covid pourrait être plus élevé que les décès de Covid répertoriés
Préparez-vous: au lieu de représenter 6% du décompte officiel, il existe des arguments crédibles selon lesquels le décompte réel est probablement plus élevé que le décompte officiel, pas plus bas. Les États-Unis ne procèdent pas aux tests de manière adéquate, la positivité du test est toujours supérieure à 5% et, pendant de longues périodes, elle atteint 15%. La positivité des tests australiens a été pour la plupart inférieure à 1%. Nous savons qu'il y a de nombreux cas manqués aux États-Unis.
Les chiffres de mortalité sont bien plus élevés que les décès de Covid seuls:
Dans tout le pays, 223 900 personnes de plus sont mortes que d'habitude du 15 mars au 8 août, selon C.D.C. estimations, qui ajustent les enregistrements de décès actuels pour tenir compte des retards de déclaration typiques. Ce nombre est 62 000 plus élevé que le décompte officiel des décès de coronavirus pour cette période. Des taux de mortalité plus élevés que la normale sont maintenant répandus dans tout le pays; seuls l'Alaska et Hawaï, États en dehors des États-Unis contigus, affichent des chiffres similaires à ceux des dernières années. - New York Times.
Ainsi, 60 000 personnes supplémentaires sont mortes dans la pandémie au-delà des décès de covid énumérés sur les certificats de décès. Certains d'entre eux étaient dus à la pandémie et non à Covid. Mais également, certains d’entre eux étaient dus à Covid chez des personnes qui n’ont pas été testées. Il y a des gens qui sont morts de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux qui ne seraient pas morts s’ils n’avaient pas eu peur de se rendre à l’hôpital pendant une épidémie. Nous savons que des personnes sont décédées du cancer en raison de retards dans les traitements. Nous savons que des personnes vivant dans des maisons sont décédées parce que leurs familles ne pouvaient pas entrer pour les voir et signaler de la négligence ou des changements que seuls les êtres chers peuvent déceler. Nous savons que des gens sont morts à cause de la manière dont les gouvernements ont réagi à la pandémie - mais certaines de ces personnes, ou même plus, seraient mortes même s'il n'y avait pas eu de verrouillage. Si le virus était libre dans la population, davantage de personnes à haut risque auraient eu peur de se rendre aux urgences locales.
Pour chaque motocycliste qui a été répertorié comme un décès de Covid - et n'aurait pas dû l'être - il peut y avoir eu dix crises cardiaques ou accidents vasculaires cérébraux chez des personnes qui ne savaient pas qu'elles avaient Covid. Les officiers d'ambulance ont rapporté se rendre aux maisons pour trouver des personnes assises avec des niveaux de saturation en oxygène dans le sang que nous pensions impossibles - un signe classique de covid-19.
Nous devons connaître les décès excédentaires pour les dix prochaines années Covid a-t-il réduit l'espérance de vie de manière mesurable ? Quiconque prétend connaître la réponse définitive à ce stade invente des choses.
Toutes les statistiques de décès sont désormais sujettes à changement. Les trois quarts des cas de Covid légers à modérés ont montré des signes de lésions cardiaques. Comment savoir si une victime d'une crise cardiaque qui n'a pas été testée pour Covid avait une infection qui a finalement causé sa mort ? Pas nous.
Seuls les changements apportés à l'excès de décès dans les années à venir révéleront combien d'années effectives Covid a volé des gens. Nous ne le saurons jamais sur une base individuelle, mais uniquement à l’échelle de la population, car nous tracerons les changements continus des décès dus à de nombreuses conditions. Y aura-t-il une baisse des décès par accident vasculaire cérébral l'année prochaine parce que les personnes à haut risque d'AVC sont décédées un an trop tôt? Covid a-t-il chassé les personnes à haut risque de 100% ou seulement de 20% de la population?
Une fois la pandémie disparue depuis longtemps, les doctorats seront réalisés en étudiant des graphiques de surmortalité due à diverses conditions dans diverses villes. Y aura-t-il une baisse des chiffres de mortalité «après le virus» - un signe classique que le virus n'a pris que peu de temps en dehors du décompte, ou le pic se situera-t-il au-dessus des normes, marquant le décès de personnes décédées trop jeunes? Y aura-t-il moins de victimes d'AVC en 2021 parce qu'elles sont décédées en 2020, ou les AVC continueront-ils à peu près au même rythme ?
La cause de la mort n'est ni singulière ni évidente
La mort est un événement complexe avec une chaîne de variables dépendantes, qui contribuent toutes au résultat. La véritable cause du décès est souvent impossible à connaître sans une autopsie complète, et parfois même avec une.
Pour comprendre à quel point cela est compliqué, lisez le rapport du coroner de 8 pages sur Patricia Dowd, probablement le premier décès de Covid aux États-Unis. Elle avait 57 ans, sans facteur de risque cardiaque connu, mais était en surpoids. Pour comprendre avec précision ce qui a causé sa mort, il a fallu des heures de travail à une personne ayant des années de formation médicale, ainsi que de nombreux tests sanguins, une longue rédaction et un coût de 3 000 $ à 5 000 $.
Sa cause de décès est répertoriée - de manière quelque peu ambiguë et dans un besoin désespéré de ponctuation - comme suit:
«Hémopéricarde aigu dû à une rupture du ventricule gauche due à une ischémie myocardique transmurale (infarctus) avec une composante mineure de myocardite due à une infection à Covid-19.» 10 février 2020
L’ARN du SRAS-Cov2 a été détecté dans le cœur, la trachée, les poumons et l’intestin de Dowd. Elle n'avait ni athérosclérose coronarienne ni thombose. Elle s'est plainte d'une «maladie grippale» dans les jours qui ont précédé sa mort. Mais, comme elle était assez stupide pour avoir une comorbidité (excès de poids et un IMC de 31, peut-être en suivant le régime alimentaire faible en gras recommandé), elle sera plus tard décrite par certains comme «morte avec covid» et non «morte avec covid». Ainsi, même si son cœur a été officiellement décrit comme une «rupture», ce qui a été diffusé dans de nombreux titres sensationnels, certaines personnes semblent dire que c'est juste une coïncidence qu'elle soit décédée en même temps qu'elle avait un diagnostic de Covid. Sérieusement?
Même les accidents de voiture peuvent être causés par Covid
Cela semble ridicule. Mais il est même possible que les personnes décédées des suites d'un traumatisme routier ne l'aient pas été si elles n'étaient pas infectées. Combien ? Qui sait. Nous devrons attendre ces études sur les décès excessifs, et même dans ce cas, nous ne le saurons pas avec certitude. Je fais le point uniquement pour montrer à quel point la cause du décès peut être compliquée.
Imaginez quelqu'un avec Covid au stade précoce, non testé et ignorant qu'il était malade. Sombrant rapidement dans la fatigue, ils commettent une erreur de conduite stupide qu’ils n’auraient pas commise s’ils n’étaient pas infectés. Ce genre de chose se produit souvent, même avec la transition de l'heure d'été au printemps.
Une étude relie l'heure d'été à 28 accidents mortels de voiture par an aux États-Unis
Les preuves montrent une augmentation d'environ six pour cent du risque d'accidents de la route mortels dans la semaine suivant le changement d'heure chaque printemps. En d'autres termes, plus de 28 accidents mortels pourraient être évités chaque année aux États-Unis si la transition DST était abolie. L'effet est particulièrement prononcé le matin et dans des endroits plus à l'ouest dans un fuseau horaire.
Depuis son introduction, la transition printanière vers l'heure d'été a été liée à divers problèmes, notamment un risque accru de crise cardiaque, d'accidents du travail et de suicides. Il y avait également des preuves suggérant un risque accru d'accidents de voiture. (Fritz et al, 2020) *
La cause d'un décès au volant est souvent une erreur de jugement, et nous savons que les infections à Covid provoquent des déficits cognitifs, une perte d'attention, des étourdissements et de la fatigue. En d'autres termes, un véritable post mortem nécessiterait une analyse de la longueur de la thèse de doctorat de leur dossier de conduite passé, du niveau de maladie, du type d'erreur, des habitudes de sommeil, etc., à l'infini - et nous ne pourrions probablement toujours pas dire avec certitude si ils seraient vivants aujourd'hui s'ils n'avaient pas eu Covid.
À quoi ressemble, sent et agit comme une pandémie mortelle ? Une vague de décès excessifs parcourt le monde. Les endroits avec les pics les plus élevés de décès en excès ont également les plus grands tests positifs pour l'ARN du coronavirus. Coïncidence ? Ils ont également les taux les plus élevés de morbidité et de mortalité des travailleurs de la santé.
Douze jours après le début des restrictions de quarantaine ou une augmentation significative de la gravité, le taux de nouvelles infections chute à un taux de croissance exponentielle plus faible. Les gens changent de comportement en réaction à cette nouvelle menace à mesure qu'ils en apprennent plus à son sujet, ce qui change constamment toutes nos statistiques. C’est une situation très dynamique.
Covid est connu pour provoquer une coagulation sanguine majeure qui endommage les organes. Il a causé des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des lésions cardiaques, de faibles niveaux d'oxygène et des lésions rénales, même dans des cas légers à modérés. Il y a encore beaucoup de choses que nous ne savons pas à ce sujet. Covid est probablement sorti d'un laboratoire de guerre biologique chinois. Y a-t-il quelque chose qu'ils en savent que nous ne connaissons pas encore? Est-il significatif que les Chinois aient mis en place les mesures de quarantaine les plus strictes à ce jour, plus strictes que tout autre pays ? Ou est-ce juste une autre coïncidence ?
De façon inquiétante, il y a maintenant quatre cas connus de réinfection quelques mois seulement après l'infection initiale.
* * *
C’est un sujet controversé. Désolé si ce n'est pas ce que certains veulent entendre, mais merci beaucoup à ceux qui sont restés fidèles à cela et ont lu jusqu'ici. Félicitations aux sceptiques qui maintiennent la civilité et un langage précis même lorsqu'ils sont passionnément en désaccord. Le débat civil est ce qui rend les sceptiques grands. _______________
REFERENCES Current Biology, Fritz et al.: “A Chronobiological Evaluation of the Acute Effects of Daylight Saving Time on Traffic Accident Risk” www.cell.com/current-biology/f … 0960-9822(19)31678-1 , DOI: 10.1016/j.cub.2019.12.045
* Fritz et al say that there were no lives saved in the fall, though this seems rather odd: “there were no effects of the fall-back transition to Standard Time (ST) on MVA risk“.
Température globale UAH Mise à jour pour août 2020: +0,43 deg. C
4 septembre 2020 Tiré du blog du Dr Roy Spencer
L'anomalie de la température troposphérique inférieure (LT) moyenne mondiale de la version 6.0 pour août 2020 était de +0,43 degrés. C, essentiellement inchangé par rapport à la valeur de juillet 2020 de +0,44 deg. C.
- voir graphque sur site -
La tendance au réchauffement linéaire depuis janvier 1979 reste à +0,14° C / décennie (+0,12° C / décennie sur les océans en moyenne mondiale, et +0,18° C / décennie sur les terres en moyenne mondiale).
Différents écarts régionaux LT par rapport à la moyenne sur 30 ans (1981-2010) pour les 20 derniers mois sont:
ANNÉE MO GLOBE NHEM. SHEM. TROPIC USA48 ARCTIC AUST
Le rapport complet sur la température mondiale de l'UAH, ainsi que l'image d'anomalie du point de grille global LT pour août 2020, devraient être disponibles dans les prochains jours ici.
Les anomalies mensuelles mondiales et régionales des différentes couches atmosphériques que nous surveillons devraient être disponibles dans les prochains jours aux endroits suivants:
Des précédents pipeliniers potentiellement puissants
Par Craig Rucker 3 septembre 2020
La fracturation hydraulique (forage horizontal et fracturation hydraulique) a libéré des primes de pétrole et de gaz naturel aux États-Unis, réduit considérablement les prix de l'énergie par rapport à leur pic historique de 2008, sauvé des familles et des industries des milliards de dollars par an, contribué à créer et maintenir des millions d'emplois américains, fait les États-Unis militairement plus forte et en a fait un exportateur net d’énergie.
Ceux qui sont obsédés par les dangers climatiques présumés des combustibles fossiles s'en moquent. En fait, ils sont consternés et en colère contre cette renaissance du pétrole et du gaz. Incapables d'arrêter toute la production, ils se sont concentrés sur le blocage des pipelines. Si les entreprises ne peuvent pas acheminer le pétrole et le gaz sur les marchés, elles pensent que la production diminuera, que les entreprises feront faillite et que les arguments en faveur de l’énergie soi-disant renouvelable se renforceront.
Accédant à leurs demandes, des juges fédéraux à vision tunnel ont récemment bloqué le pipeline de la côte atlantique, ont dit aux opérateurs de fermer et de drainer le pipeline d'accès Dakota pleinement opérationnel et ont mandaté encore plus d'études pour Keystone XL et 75 autres pipelines.
Les juges ont rendu ces décisions au nom de la préservation des zones humides, de la prévention de l'envasement des cours d'eau, de la protection des espèces en voie de disparition, de la sauvegarde des vues panoramiques, de l'arrêt des émissions de gaz à effet de serre et de la protection d'autres valeurs environnementales.
Ils ont effectivement jugé inutile que les combustibles fossiles fournissent toujours plus de 80% de toute l'énergie qui alimente les industries, les maisons et le niveau de vie américains, et que des pipelines souterrains pratiquement invisibles remplacent des alternatives beaucoup plus dangereuses.
Le pipeline Dakota Access remplace à lui seul quelque 255 000 wagons pétroliers qui traversent nos villes et 730 000 camions-citernes semi-remorques sur nos autoroutes, chaque année !
Les militants et les juges ont déclaré que même à court terme, la sédimentation des cours d'eau et les impacts écologiques pendant la construction du pipeline sont inacceptables.
Même après qu'une décision de la Cour suprême des États-Unis a annulé la décision ACP, les sponsors de la société ont quand même annulé le projet, en raison de menaces de poursuites plus coûteuses et de retards à l'infini.
Encore plus extrême, Joe Biden et Kamala Harris ne veulent pas de combustibles fossiles et d'émissions nettes de dioxyde de carbone nulles d'ici 2050. Ils affirment que cela conduira le monde à éliminer les catastrophes climatiques et environnementales. En réalité, les impacts sur les environnements américains et mondiaux seraient monumentaux.
En 2018, le charbon et le gaz naturel ont produit 2,6 milliards de mégawattheures d'électricité américaine. Le gaz naturel a également fourni l'équivalent de 2,7 milliards de MWh de combustible pour les usines, les entreprises et les foyers. Les véhicules à combustion interne ont utilisé plus de 2,0 milliards de MWh équivalent d'essence et de diesel.
Dans le cadre du Green New Deal Biden-AOC, tous ces 7,3 milliards de mégawattheures d'électricité proviendraient de sources «propres, vertes, renouvelables et durables». Le vent et le soleil correspondent certainement à cette description.
Cependant, exploiter cette puissance intermittente ne le fait certainement pas. Cela nécessiterait un nombre inimaginable d'éoliennes et de panneaux solaires, et des entrepôts d'énormes batteries pour fournir une alimentation de secours pendant une semaine seulement de jours sans vent et sans soleil - d'autant plus que plus nous demandons de vent et de solaire, plus nous devons mettre des turbines et des panneaux en bas emplacements de qualité. Sans eux, nous serions frappés par des centaines de pannes de courant continuelles chaque année, comme celles qui ont frappé la Californie.
Une analyse récente conclut que la production de toute cette électricité nécessiterait quelque 17 milliards de panneaux solaires de suivi du soleil; ou 25 milliards de panneaux à couche mince fixes; ou 3,5 millions d'éoliennes terrestres de 1,8 MW; ou 260 000 turbines en mer monstrueuses de 10 MW; ou une combinaison de ces installations. Nous aurions également besoin de près de 2 milliards de modules de batterie Tesla d'une demi-tonne et de milliers de kilomètres de nouvelles lignes de transmission à travers l'Amérique.
La construction et l'installation de ces installations massives nécessiteraient des dizaines de milliards de tonnes de béton, d'acier, de cuivre, d'aluminium, de cobalt, d'éléments de terres rares, de composites en fibre de verre et de dizaines d'autres matériaux.
Obtenir ces matières premières nécessiterait l'extraction, le traitement et la fusion de centaines de milliards de tonnes de minerai, provenant de partout dans le monde, mais principalement d'entreprises détenues ou contrôlées par la Chine - presque toutes avec des combustibles fossiles; sans égard aux lois américaines sur le contrôle de la pollution, la protection de la faune ou la sécurité au travail; et trop souvent en utilisant le travail des enfants et des quasi-esclaves.
Les turbines et les panneaux s'étendraient sur des centaines de millions d'acres de terres cultivées, pittoresques et d'habitat. La construction endommagerait les paysages, enlèverait les sommets des montagnes, déchirerait les forêts, détruirait les vues panoramiques, effacerait les habitats fauniques, remplirait les ruisseaux de sédiments pendant la construction et déplacerait ou tuerait des plantes, des animaux et des oiseaux en voie de disparition.
À elle seule, Dominion Energy prévoit de construire des panneaux solaires dans les régions rurales de Virginie sur des terres totalisant huit fois Washington, DC, pour répondre à une petite fraction des besoins en électricité de l’État. Multipliez ce chiffre par 50 États et des milliers de communautés dans une économie 100% électrique, et vous pouvez commencer à imaginer la dévastation écologique de cette énergie «propre, verte, renouvelable et durable».
Les éoliennes de 600 (182 m) à 850 pieds (260 m) de hauteur abattraient des millions de rapaces, d'autres oiseaux et des chauves-souris chaque année, les éradiquant complètement dans de nombreuses régions. Les tarifs d'électricité dans les résidences, les entreprises, les hôpitaux et les écoles monteront en flèche. L’économie et le marché du travail américains ne se remettront jamais de Covid.
Quelques propriétaires fonciers - et de nombreux dirigeants et investisseurs de sociétés de services publics - deviendraient riches. Mais d'autres personnes souffriraient d'infrasons et de scintillement de la lumière, regarderaient leurs beaux paysages disparaître à jamais et n'obtiendraient aucune compensation.
Les turbines, panneaux et batteries ont une courte durée de vie et sont généralement non recyclables. La plupart finiraient dans d'énormes décharges. De vastes zones rurales seraient transformées en colonies d'énergie et de déchets pour des centres urbains politiquement puissants.
Mais sur une note positive, des années de poursuites judiciaires, de campagnes de défense des droits de l'homme et de batailles sur l'exploitation minière et la pollution de l'air et de l'eau aux États-Unis et dans le monde ont créé de puissants précédents juridiques.
Les propriétaires fonciers, les groupes de citoyens, les défenseurs des droits humains et les écologistes non attachés au changement climatique pourront les utiliser pour retarder, bloquer, mettre en faillite et saborder la plupart ou la plupart de ces projets d'énergie pseudo-renouvelable destructeurs. Ils exigeront également que les métaux, les minéraux et les composants éoliens, solaires, de batteries et de véhicules électriques soient approvisionnés de manière responsable - conformément à toutes les lois et à l'éthique américaines.
Les services publics pensent qu'ils ont frappé un buzz vu sur les pipelines. Les Verts radicaux pensent avoir gagné cette guerre. Ce pourrait être une victoire à la Pyrrhus si ces lois, règlements, règles EIS et décisions judiciaires sont appliqués à l'énergie éolienne et solaire. En fait, ce sont des précédents pipeliniers potentiellement puissants.
Et si les régulateurs, les politiciens et les tribunaux appliquent deux poids deux mesures - un pour les combustibles fossiles et un pour les pseudo-énergies renouvelables, semblable à un pour les émeutiers et un autre pour les fidèles - la situation pourrait devenir extrêmement gênante, c'est le moins qu'on puisse dire. Cela pourrait se transformer en véritable résistance, rébellion et conflit.
Il est temps pour les débats civilisés, sans interférence de la culture d'annulation, sur toutes ces questions, avant que cela se produise.
L'indice mondial de l'énergie cyclonique accumulée (ACE) n'augmente pas. C'est la mesure objective de l'énergie totale des tempêtes sur la planète. Alors, d'une belle manière, soulevons quelques défis à ce sujet.
Tout d'abord, une année difficile dans les Caraïbes ne fait pas de tendance. Depuis lors et avant et en fait depuis de nombreuses années, les Caraïbes ont été qualifiées de cimetière des tempêtes, en partie à cause du réchauffement! Comment ? Si les eaux à l'ouest du nord-ouest de l'Amérique du Sud sont chaudes, alors les pressions sont naturellement plus faibles sur le nord-ouest de l'Amérique du sud, ce qui augmente les vents d'est de bas niveau à travers l'ouest et le centre des Caraïbes. Lorsque cela se produit, lorsque l'air accélère loin d'une zone (le bassin atlantique environnant), alors il y a de l'air qui coule à grande échelle pour le remplacer pour un, et plus de cisaillement du vent pour 2. Ces deux raisons expliquent pourquoi de nombreux météorologues considèrent les Caraïbes comme un gant que les tempêtes doivent courir. En fait, dans les années 1960, quand j'étais jeune, j'ai entendu quelque chose que j'ai surnommé «la règle du Texas A et M» sur les tempêtes des Caraïbes. Alors que l'ouragan Flora entrait dans les Caraïbes, mon père, étudiant là-bas à l'époque, m'a amené à la station météo. (Il était le plus âgé des étudiants de première année sur les campus A et M en 1961 et a obtenu son diplôme en météorologie à 35 ans, alors le petit Joey était à bord pour le trajet). En tout cas, l'un des autres étudiants avait remarqué que pour qu'une tempête des Caraïbes s'intensifie, elle doit augmenter sa distance par rapport à l'Amérique du Sud et se déplacer entre 8 et 18 MPH. Les phénomènes susmentionnés dont j'ai parlé avec les basses pressions sur le nord-ouest de l'Amérique du Sud provoquent en fait une accélération de celles-ci à l'ouest loin de cette règle et la distance n'augmente pas de la côte sud-américaine à l'est de 70 ouest. . BTW j'ai appris cela de Gil Clark au National Hurricane Center dans les années 1980, donc les prévisionnistes sont au courant de ces choses depuis de nombreuses années.
Les Caraïbes ont toujours été un lieu de fête ou de famine. Hispaniola a été frappé par 3 ouragans majeurs en 4 ans, Flora en 1963 (qui a ensuite calé sur Cuba, ce qui a poussé Castro à accuser les États-Unis de manipuler le temps pour détruire son île ... bon à savoir que les suspects habituels étaient à bord pour contrôler le climat. alors trop hein ?) Cleo en 1964 et Inez en 1966. Jetez-y Betsy qui a frappé les Bahamas, la Floride et la Louisiane en 1965. Puis Beulah 1967 qui a atteint le Texas en tant que major et vous obtenez 5 années consécutives dans les années 1960, où des ouragans majeurs ont frappé, sinon à travers les Caraïbes, puis à proximité, qui ont eu un impact sur les gens. 2018/2019, rien de tel ne s'est produit après la grande année de 2017 et cette année, les prévisions de pré-saison de weatherbell.com, tout comme en 2017, avaient ciblé les îles, mais jusqu'à présent, seulement 2 tempêtes tropicales. J'ai montré ce tableau de bord dans le post de Laura.
Maintenant, si l'eau est un peu plus chaude et que vous obtenez les bonnes conditions, alors oui, une tempête pourrait être un peu plus forte qu'avant. Ou le fera-t-il ? Les ouragans, bien qu’ils utilisent de l’eau chaude comme source d’énergie, n’ont pas toujours tout prévu pour le pire des cas. En fait, le pire des cas est rare, ce que nous voyons cette année. Alors que les médias sont obsédés par le nombre total, l'intensité des tempêtes sur une base individuelle est l'une des plus faibles jamais enregistrées (ACE / Storm) 2017 était l'une des plus élevées jamais enregistrées, plus de 13 / tempête, mais la DÉCENNIE des années 1950 était le plus élevé jamais enregistré, plus de 10 / tempête. C'est comme la différence entre avoir un calendrier de la SEC (ACE des années 1950) et cette année gros 10. Attendez une minute, ce serait 0 / tempête alors choisissez une autre conférence.
Alors permettez-moi de concéder un point. Si l'événement anormal s'aligne, les tempêtes peuvent être fortes. Mais comment expliquer alors l'ouragan de 1935, comment cela est-il devenu si fort ? ou Camille ?. Alors que les gens regardaient Laura, elle a traversé les Caraïbes comme une tempête tropicale, pas comme un chat 3,4 ou 5 majeur. Isaias, pourquoi n’a-t-il pas explosé ? Pourquoi Gonzalo est-il mort (règle d'indication ci-dessus)
De nombreux facteurs sont impliqués dans les cyclones tropicaux et ce n’est pas parce qu’il fait un peu plus chaud que tout doit être pire. En fait, le réchauffement peut déformer suffisamment le modèle climatique global, alors que vous pourriez voir plus de petites tempêtes plus au nord, mais il y a une perturbation de la grande bête classique à longue piste qui a maintenu son intensité jusqu'à la côte. Chaque tempête est différente et chaque tempête doit être examinée individuellement.
Mais sa saison des ouragans et les ouragans sont amusants à armer pour le programme de changement climatique créé par l'homme, d'où les articles comme celui-ci. Je tiens simplement à souligner qu'il y a deux côtés à chaque histoire. Et tandis que je m'émerveille de la puissance de ces tempêtes comme tout le monde, je m'émerveille encore plus des gens qui rendent compte de ces choses sans même prendre la peine d'avoir une autre perspective. Bien que je montre des choses d'autrefois comme les exemples ci-dessus, étant similaires, quand il s'agit de rapports maintenant, ce n'est plus rien comme avant. Une époque où les gens rapportaient des choses cherchaient toujours un angle différent par rapport à ce qu'on leur disait, pas seulement relayer quelque chose que tout le monde souriait et hochait la tête.
« L’Europe va-t-elle sombrer dans la déflation ? » L’édito de Charles SANNAT
vendredi 4 septembre 2020 Par Charles Sannat
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
« Le spectre de la déflation menace l’Europe » c’est le titre de cet article du Figaro qui revient sur les derniers chiffres de l’inflation en Europe, des chiffres qui ne sont pas bons, des chiffres qui sont inquiétants et qui montrent plutôt une inflation négative que positive.
Et lorsque l’inflation est négative, cela porte le nom de déflation.
Ce n’est pas une bonne nouvelle la déflation, car comme en Grèce au pire de la crise des subprimes, cela signifie que votre PIB baisse chaque année.
Or, quand le PIB baisse et que les dettes augmentent, le ratio dettes/PIB lui, devient totalement déprimé et sombre dans le rouge écarlate.
Mais, nous n’en sommes pas là cette fois.
Inflation négative
« L’inflation est entrée en territoire négatif pour la première fois depuis 2016 dans la zone euro, ce qui traduit un recul des prix à la consommation. La première estimation de l’inflation pour le mois d’août, publiée mardi par Eurostat, fait état d’un taux de – 0,2 % (contre + 0,2% attendu). Un recul tiré en large partie par l’énergie et les produits industriels non énergétiques. Mais la tendance est profonde, comme le montre la chute inédite du niveau de l’inflation sous-jacente – hors effets volatils de l’énergie et de l’alimentation – qui tombe à son plus bas niveau historique, à 0,4 % sur un an, contre 1,2 % en juillet.
Ce recul des prix est en partie dû au décalage de la période des soldes d’été dans plusieurs pays, dont la France ou l’Italie, à la baisse de la TVA en Allemagne et à la chute des prix des forfaits touristiques, notamment en Espagne. La baisse est particulièrement prononcée en Belgique (- 1,5 %) et en Italie (- 1,3 %). En France, elle atteint – 0,1 %. En dehors de ces effets conjoncturels, cette désinflation signale l’échec des politiques publiques à encourager les consommateurs à dépenser ».
Bon les prix baissent, ce qui est logique puisque la demande s’effondre. Mais le comportement des prix est, ces derniers temps, très ambigu. On voit bien la hausse des prix incontestable et le choc inflationniste par exemple lorsque l’on va chez son coiffeur qui augmente la note, ou encore dans les prix de l’alimentaire, mais cela n’empêche pas les prix de façon générale de baisser.
Vous allez me dire, pas grave, il y a la BCE !
Pourtant le Figaro note que c’est « un casse-tête pour la Banque centrale européenne (BCE), qui a injecté plusieurs centaines de milliards d’euros dans l’économie pour éviter son effondrement depuis le début de la pandémie. Or ces injections massives de liquidités n’ont pas suffi à soutenir un redémarrage qui se manifesterait par une hausse, même modeste, des prix. Les projections de la BCE ne tablent sur un retour de l’inflation aux alentours de 0,9 % qu’à l’horizon 2022 – encore loin de son objectif de stabilisation proche de 2 %. Son conseil de politique monétaire doit se réunir la semaine prochaine. Si de nouvelles mesures accommodantes ne sont pas attendues dans l’immédiat, ce risque déflationniste devrait à moyen terme justifier la poursuite d’une politique d’assouplissement monétaire sur la durée. Dans le même temps, le taux de chômage ne fait que commencer à s’envoler, à 7,9 % pour la zone euro en juillet ».
Le Figaro pense donc que c’est un casse-tête pour la BCE.
Je n’en suis pas si sûr.
Lorsque le FMI de Christine Lagarde signe un papier de presque 100 pages consacré à « l’implémentation des taux profondément négatifs dans l’économie », et que notre Dame Christine est désormais devenue la présidente de la BCE la Banque centrale européenne, cela laisse entrevoir quelques possibilités d’action de la part de nos autorités monétaires européennes.
Si l’inflation devient négative, alors, il n’y aura pas d’autre choix que de rendre les taux d’intérêt encore plus négatifs, voir profondément négatifs.
Fondamentalement la BCE sait ce qu’il lui reste à faire.
Nous devons admettre que les lois économiques que nous prenions pour des vérités quasi-scientifiques et intangibles sont révolues.
Elles sont révolues parce que les autorités monétaires, économiques et politique ont décidé de s’en affranchir.
Nous en sommes rendus au niveau de l’économie menée par mes enfants autour d’un plateau de Monopoly.
Les marchés toujours à la hausse.
De leur coté les marchés, eux, poursuivent leur hausse.
Ils n’ont pas plus peur de la pandémie que du ralentissement de la croissance ou de ses effets que de la déflation.
Ce n’est pas bon pour une économie la déflation, pas du tout, sauf que nous ne sommes plus dans un monde normal.
Dans un monde normal la déflation fait très peur, et entraîne une déflagration économique.
Plus maintenant.
Plus maintenant parce que nous avons la monnaie gratuite et sans limite des banques centrales.
Nous ne parlons pas d’une seule banque centrale, nous parlons de toutes les banques centrales de la planète ou presque, ce qui représente un pouvoir économique considérable.
Toutes les banques centrales, toutes, mènent la même politique d’expansion monétaire.
Plus la situation est grave et plus il est prévisible que le soutien financier sera reconduit, amplifié, augmenté jusqu’à l’explosion de la bulle finale.
Les marchés restent donc sans réaction.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Legault serrera la vis aux récalcitrants et songe au reconfinement
RépondreSupprimerOlivier Bossé
3 septembre 2020 18h37
SAINT-RAYMOND — À la lumière de la remontée des cas de COVID-19 dans les derniers jours, le gouvernement Legault sera plus sévère à l’endroit des personnes qui pourraient être infectées et qui refusent de s’isoler ou de respecter les consignes de la Santé publique. Un plan de reconfinement par région et même sous-région est aussi en préparation.
«On a eu des discussions avec la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault, pour voir comment on peut resserrer soit les amendes, soit le respect des consignes, pour les personnes qui refusent d’être isolées alors qu’elles sont porteuses du virus», a commenté le premier ministre François Legault, jeudi matin, lors d’un point de presse tenu à Saint-Raymond, dans Portneuf.
«Il en va de la santé de l’ensemble de la population, donc on va prendre les mesures nécessaires pour ce que ces personnes-là soient isolées», a-t-il poursuivi.
Amendes plus salées, conséquences plus graves? M. Legault veut une «façon de contraindre».
«Mme Guilbault va regarder comment ça se fait, pratiquement. Reste que c’est quelques exceptions, la grande majorité des Québécois suivent les consignes. Mais pour les quelques récalcitrants, on va regarder ce qu’on est capable de faire.»
Mercredi, le directeur régional par intérim de la santé publique de la Capitale-Nationale, le Dr Jacques Girard, avait confirmé que dans l’éclosion de COVID-19 survenue la semaine dernière au bar Le Kirouac, dans le quartier Saint-Sauveur de Québec, certaines personnes touchées avaient refusé de collaborer avec la santé publique dans son enquête de recherche de contacts.
Au moins un individu avait dû être isolé de force et au moins un autre avait continué de fréquenter des lieux publics en attendant le résultat de son test de COVID.
RECONFINEMENT PAR RÉGION ET SOUS-RÉGION
Dans l'éventualité d'une importante deuxième vague d'infection à la COVID-19, le premier ministre confirme que son gouvernement envisage un reconfinement par région et même par sous-région.
«Si jamais on se rendait là, oui, ce serait par région et par sous-région. Actuellement, on fait des tests pour identifier exactement les territoires où il y a des éclosions. On n'en est vraiment pas au reconfinement en ce moment. Mais si la situation le commande, dans les prochaines semaines ou prochains mois, on procéderait par région et même par sous-région», a confirmé M. Legault, reconnaissant que les 187 nouveaux cas du jour s'avèrent importants.
Les régions de Québec, de l'Estrie et du Grand Montréal connaissent un regain des cas de COVID-19 depuis quelques jours.
Ne pas dépasser une moyenne de 20 nouveaux cas par jour par million d'habitants sur une semaine constitue la cible régionale du ministère de la Santé.
RépondreSupprimer«Il n'y a pas de déclenchement automatique quand on dépasse 20 cas par million», a toutefois rassuré M. Legault, expliquant que l'analyse de la provenance des cas constitue un élément-clé.
«Par exemple, si on se rendait compte que tous les cas sont dans les bars, la décision ne sera pas difficile à prendre», illustre-t-il.
SITUATION DANS LES ÉCOLES SOUS CONTRÔLE
Le premier ministre Legault a par ailleurs tenu à se faire rassurant quant à la situation actuelle dans les écoles. Même si on dénombre une quarantaine d'écoles primaires et secondaires à travers le Québec qui comptent au moins un élève atteint du coronavirus. La région de Québec en comptait sept à elle seule.
Une semaine après avoir établi le 14 septembre comme date de reprise possible des programmes scolaires sports-études et arts-études, M. Legault garde le cap.
«Même avec le niveau de cas d'aujourd'hui, si on avait à prendre la décision du 14 septembre aujourd'hui, on irait de l'avant. Mais il ne faut pas qu'il y ait d'augmentation importante», a-t-il indiqué, vantant la réussite du concept de bulle-classe pour éviter la fermeture d'écoles complètes. Quelque 200 élèves sont en isolement préventif à travers la province.
Le nombre d'écoles touchées est tiré du site internet CovidÉcolesQuébec.org mis sur pied par un Montréalais simple citoyen et papa.
Car pour l'instant, ni le ministère de la Santé ni celui de l'Éducation ne met ces données à la dispositions des Québécois. M. Legault promet que son gouvernement les rendra publiques «dans les prochains jours».
Un «arrimage entre la Santé publique et les centres de services scolaires est en train de se faire pour s'assurer de la fiabilité des données. Le citoyen, on ne sait pas si ces données-là sont fiables. J'invite les Québécois à être patients et dans quelques jours, ils vont avoir toutes les données», assure M. Legault.
https://www.lesoleil.com/actualite/legault-serrera-la-vis-aux-recalcitrants-et-songe-au-reconfinement-8e66f321194233085fe7f4b021ac61fa
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/09/preparez-vous-un-reconfinement-plus.html
SupprimerQu'elle soit monarchique, républicaine ou impérialiste c'est toujours la dictature !
Un seul pays est en Démocratie ! La Suisse.
The Lancet publie les résultats des essais cliniques du vaccin russe contre le Covid-19
RépondreSupprimer14:07 04.09.2020
L’importante revue scientifique internationale The Lancet publie aujourd’hui les résultats des deux premières phases d’essais cliniques du vaccin russe contre le Covid-19. Ses concepteurs et le directeur du Fond d’investissements directs de Russie précisent à Sputnik quelles nouvelles données ils y indiquent.
Moins d’un mois après l’enregistrement en Russie du vaccin Spoutnik V contre le Covid-19, la revue scientifique The Lancet publie aujourd’hui les résultats des deux premières phases d’essais cliniques tant attendus en Russie et par la communauté scientifique internationale.
Le début d’une série de publications
The Lancet publie les résultats des phases 1 et 2, mais les concepteurs du vaccin du centre Gamaleïa assurent que c’est seulement le début d’un cycle de publications dans les revues scientifiques.
«En septembre, une étude animale complète du vaccin sera également présentée pour publication: chez les primates, les hamsters syriens, les souris transgéniques, pour lesquelles le vaccin a montré une efficacité protectrice de 100% (les résultats chez les primates et les hamsters syriens ont été obtenus avant les études cliniques). Les premiers résultats de l'étude clinique post-enregistrement déjà entamée impliquant 40.000 volontaires seront publiés en octobre-novembre».
Vaccin à l'innocuité prouvée
L'une des principales conclusions que les spécialistes du Centre Gamaleïa ont fait dans leur article est la sécurité du Spoutnik V. Selon les résultats des études cliniques des phases 1 et 2, ils n'ont trouvé aucun effet indésirable grave de la vaccination sur aucun des critères évalués. Les autres vaccins candidats ont un niveau d'effets indésirables graves allant jusqu'à 25%.
Immunité à long terme
La publication de The Lancet contient des preuves scientifiques sur l’efficacité du vaccin Spoutnik V, par exemple sur sa capacité à induire une réponse immunitaire à long terme au coronavirus chez 100% des personnes vaccinées grâce à sa technologie d’inoculation en deux étapes. Denis Logounov, directeur adjoint au travail scientifique du Centre Gamaleïa, explique que tous les vaccinés, dans 100% des cas, ont une réponse immunitaire humorale et cellulaire, laquelle sera suffisante pour protéger de manière fiable une personne contre l'infection par le Covid-19.
«Le niveau d'anticorps chez les volontaires vaccinés était 1,4-1,5 fois plus élevé que chez ceux qui avaient récupéré: à titre de comparaison la société pharmaceutique britannique AstraZeneca avait un niveau d'anticorps chez les volontaires vaccinés à peu près égal au niveau d'anticorps chez ceux qui avaient une infection au coronavirus.»
Le Centre Gamaleïa confirme que dans le cadre des essais cliniques du Spoutnik V, tous les volontaires ont développé une immunité aux cellules T, représentée à la fois par les cellules CD4+ et CD8+. Ces cellules permettent de reconnaître et de détruire celles infectées par le coronavirus.
Une réponse immunitaire efficace à 100%
RépondreSupprimerL'une des plus grandes craintes de la communauté scientifique concernant l'utilisation de vaccins à vecteurs adénoviraux humains (la technique utilisée pour le Spoutnik V) était l'immunité préexistante aux adénovirus chez certaines personnes. En d'autres termes, la crainte que l’immunité humaine ne permette pas d’avoir la quantité requise d'adénovirus dans le corps, qui remplit la fonction de «taxi» dans le vaccin en délivrant le matériel génétique de la coque externe du coronavirus dans les cellules (il est important que le coronavirus lui-même n'entre pas dans le corps avec le vaccin, lequel élimine complètement la possibilité d'infection).
En raison du fait que les gens tombent souvent malades avec des adénovirus (rhume), ils auraient pu développer une immunité qui, en théorie, pourrait réduire l'efficacité du vaccin. Cependant, les résultats de l'étude présentée par l'équipe du Centre Gamaleïa prouve le contraire: l'immunité préexistante n'affecte pas l'efficacité de la vaccination.
«Le dosage optimal sûr a été choisi, fournissant une réponse immunitaire efficace chez 100% des personnes vaccinées, même celles qui ont récemment eu une infection à l’adénovirus. Cela réduit l'urgence de développer de nouveaux vaccins basés sur des plates-formes non testées.»
Ces plates-formes non vérifiées sont utilisées par crainte des adénovirus humains, selon les scientifiques. Certains de ces développements, comme la technologie de l'ARNm (vaccin de Moderna) ou l'adénovirus chimpanzé (vaccin d'AstraZeneca), n'ont jamais été utilisés pour créer des vaccins enregistrés. Comme les scientifiques du Centre Gamaleïa l’expliquent, ces médicaments nécessitent des tests sur le long terme en raison des préoccupations concernant leur effet sur la fonction reproductrice du corps et d’éventuelles propriétés cancérigènes élevées qui contribuent au cancer.
Dans The Lancet, les scientifiques russes présentent des liens avec les recherches sur la sécurité et l’efficacité de l’adénovirus humain dans les vaccins. Depuis 1953, plus de 250 études cliniques ont été menées et plus de 75 publications internationales ont été publiées confirmant la sécurité des vaccins et des médicaments basés sur cela, explique Denis Logounov.
«Les médicaments à base de vecteurs adénoviraux humains sont utilisés dans la pratique depuis plus de 15 ans. Il s'agit en particulier des vaccins contre le virus Ebola et du médicament anticancéreux Gendicine, qui est utilisé en Chine depuis plus de 12 ans.»
Technologie unique à deux vecteurs
Une caractéristique unique du Spoutnik V, comme le dit l'académicien Alexander Gintsburg, est l'utilisation de deux adénovirus - sérotypes 5 et 26 - dans deux vaccinations distinctes. Aujourd'hui, la double vaccination est reconnue par de nombreux experts comme un facteur pouvant améliorer considérablement l'immunité contre le coronavirus. Cependant, dans le cas de l'utilisation du même vecteur pour deux vaccinations, le système immunitaire déclenche des mécanismes de défense et commence à rejeter le vaccin lors de la deuxième injection. L'utilisation du deuxième vecteur dans le cas du Spoutnik V résout complètement ce problème, aidant à éviter l'effet neutralisant décrit, explique M.Gintsburg.
Gamaleïa vs AstraZeneca
RépondreSupprimerEn réponse aux critiques du nombre insuffisant de volontaires pour tester un vaccin de cette sorte, les scientifiques rappellent qu'ils ont pu le tester sur un plus large éventail de personnes que, par exemple, AstraZeneca, l'un des leaders dans le développement des vaccins candidats, ne l'a fait. Le géant pharmaceutique britannique a ainsi utilisé quatre fois moins de volontaires lors des phases 1 et 2 pour déterminer l'efficacité des deux injections de son vaccin
«Le nombre de participants aux essais cliniques du vaccin russe Spoutnik V au cours des phases 1 et 2, qui ont eu lieu avec deux injections, est quatre fois plus élevé que le nombre de sujets ayant reçu deux injections avec AstraZeneca.»
La seule technologie sûre
La semaine dernière, l'Agence américaine des médicaments a annoncé la possibilité d'utiliser la procédure d'enregistrement accélérée des vaccins candidats dans la situation épidémiologique actuelle. Les autorités britanniques ont également évoqué la possibilité de suivre une approche similaire. Dans le même temps, les régulateurs de ces pays notent la possibilité d'un enregistrement accéléré des seuls vaccins qui ont déjà prouvé leur efficacité et leur innocuité. Selon les spécialistes russes, il n'y a pas tellement de médicaments qui répondent à ces exigences.
«À ce jour, la seule technologie qui réponde à ces critères est une plate-forme basée sur des vecteurs adénoviraux humains. Elle a prouvé son innocuité dans de nombreuses études sur plusieurs décennies.»
La publication dans The Lancet est «une réponse finale»
Le directeur du Fond d’investissements directs de Russie, Kirill Dmitriev, explique que cette publication dans The Lancet est «une réponse finale dans ce cycle de questions adressées à la Russie» après l’enregistrement du Spoutnik V en août.
«Maintenant, la Russie, à son tour, peut poser des questions à la communauté internationale. Nous appelons à la publication de données officielles qui prouveraient l'efficacité à long terme des vaccins à base d'adénovirus ou d'ARNm de chimpanzé, l'absence de risques cancérigènes et l'effet sur la fertilité lorsqu'ils sont utilisés. Mais il serait également intéressant de savoir pourquoi AstraZeneca fait pression pour une clause de non-responsabilité pour les effets secondaires indésirables.»
https://fr.sputniknews.com/russie/202009041044373447-the-lancet-publie-les-resultats-des-essais-cliniques-du-vaccin-russe-contre-le-covid-19-/
(...) Le débat sur la nature des virus (vivants ou pas) repose sur des notions complexes11,12,13 et reste aujourd'hui ouvert. Selon de nombreuses définitions14 du vivant (entité matérielle réalisant les fonctions de relation, nutrition, reproduction), les virus ne sont pas des êtres vivants.
SupprimerCependant en élargissant la définition du vivant à une entité qui diminue le niveau d'entropie et se reproduit en commettant des erreurs, les virus pourraient être considérés comme vivants. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
Les agents infectieux microbes (bactéries) et virus sont considérés comme amenant à une infection.
Infection d'êtres vivants (Microbes ou appelés bactéries) qui affectent l'organisme mais, là où apparaissent les virus il s'agit d'infections irradiantes (poussières ou particules minérales radioactives non-vivantes) provoquant un magnétisme (électricité), ou poussières ou particules émanantes, tandis que d'autres sont attirantes (aimantation).
Ces particules nanoscopiques ne sont donc pas vivantes au sens propre du terme mais tendent à modifier les éléments approchés (l'on ne peut tuer une pierre ou métal !). Il n'y a donc pas de vaccin pour en éliminer les aimantations ou émanations. Tout juste existe t-il des combinaisons enveloppantes pour se protéger des ses effets.
L'on fait donc appel à des chélateurs. La chélation 'élimine' ces particules logées en fines veines cervicales et autres parties du corps.
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Omniprésence des virus
On sait, depuis la fin du xxe siècle, que l'océan mondial est un immense réservoir de virus22, de la surface aux évents hydrothermaux23 en passant par l'Arctique et les sédiments marins24. Dans l'eau de mer, la concentration en particules virales est de 10(6 exposant) à 10(8 exposant) particules par millilitre25. En surface et près des rivages, les concentrations en virus habituellement rencontrées sont de l'ordre de 10(7 exposant) virus par millilitre (soit dix mille virus par millimètre cube (un millième de mililitre)22 ; la concentration décroissant avec la profondeur et la distance au rivage. Des concentrations plus élevées (10(8 exposant) à 10(9 exposant) / cm3) se rencontrent dans les sédiments marins proches de la surface22.
Ces virus jouent dans l'océan un rôle majeur dans le contrôle des blooms planctoniques, ainsi que dans les cycles biogéochimiques, en particulier dans le cycle du carbone océanique (quotidiennement environ 20 % des organismes constituant la biomasse microbienne océanique totale est tuée par des virus26 ; ces derniers s'attaquent massivement au phytoplancton27 et au zooplancton, mais aussi aux bactéries28 et cyanophycées29).
Grâce aux progrès de la cytométrie en flux et de l'analyse génétique (métagénomique notamment), en quelques décennies les chercheurs ont inventorié près de 200 000 types de populations virales en mer (en 2019, on en comptait 195 728 exactement, un chiffre douze fois plus élevé que celui de l'évaluation faite en 2016)30 ; 90 % des virus identifiés en mer entre 2016 et 2019 étaient jusqu'alors inconnus de la science. Remarque : on ne parle pas ici d'espèces mais de populations, au sein desquelles il y a plus de flux de gènes dans un groupe qu'entre groupes de virus (si les virus séquencés partagent au moins 95 % de leur ADN, alors ils sont classés dans une même population distincte des autres).
En 2007 on a estimé qu'il pourrait y avoir environ 10(30 exposant) virus dans l'océan ; étirés et mis bout à bout, ils formeraient une ligne s'étendant au-delà des 60 galaxies les plus proches. Et chaque seconde il y aurait environ 10(23 exposant) infections virales dans l'océan, jouant un rôle majeur dans l'évolution et l'entretien de la biodiversité marine. L'abondance virale semble liée à l'abondance et à la productivité en procaryotes, mais cette relation varie selon les environnements marins, notamment en fonction de la température26. (...)
Supprimerhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
(...) Virome
Le virome (en) est la composante virale d'un microbiome. Ainsi le virome humain (en) est l'ensemble des communautés virales du microbiote de l'organisme humain. La recherche actuelle estime que dans le corps humain il y a 100 fois plus de virus (10(15 exposant) que de cellules humaines (10(13 exposant)31. Chaque individu en bonne santé porte en moyenne plus de 10 types de virus responsables d'infections virales systémiques chroniques et asymptomatiques*32. (...)
*asymptomatiques: Qui ne présente pas de symptômes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
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Caractéristiques
Structure de base d'un virus.
On caractérise un virus par son incapacité à se reproduire par mitose, par scissiparité ou par méiose. Pour répliquer son acide nucléique, il dépend d'une cellule hôte qu'il doit infecter pour détourner et utiliser son métabolisme : un virus est nécessairement un parasite intracellulaire. Il est composé d'une ou plusieurs molécules d'acide nucléique (ADN ou ARN, simple ou double brin), éventuellement incluse dans une coque protéique appelée capside, voire d'une enveloppe lipidique (ex : l'Ebolavirus est un virus enveloppé). Parfois certaines capsides contiennent quelques enzymes (par exemple : transcriptase inverse du VIH) mais aucune pouvant produire de l'énergie.
Historiquement, les virus ont d'abord été considérés comme des particules organiques dites non filtrables, puis de petite taille (inférieure à celle d'une bactérie), en règle générale moins de 250 nanomètres, possédant un acide nucléique double ou simple toujours d'un seul type (ADN ou ARN). Les girus ont bousculé une première fois cette définition au moment de leur découverte33. Ces derniers appartiennent pourtant bien au règne des virus et leurs virions possèdent à la fois des molécules d'ADN et d'ARN, remettant en cause cette vision historique. Il fallut repenser la définition des virus et la création de classes tels les « virus géants » comme mimivirus avec sa taille de 400 nm ou « girus » ou les NCLDV, voire les pandoravirus avec une taille allant jusqu'à 1 000 nm (1 000 µ = 1 millimètre) et leur « capside » qui n'en est pas vraiment une. La découverte des virophages et des virus satellites a aussi modifié la vision qu'on avait des virus, révoquant l'idée qu'une virose cellulaire était la forme irréductible du parasitisme.
Aujourd'hui les chercheurs s'accordent sur une remise en cause du paradigme capsidocentré, eu égard aux découvertes d'espèces virales montrant que certaines peuvent avoir plusieurs formes, y compris acapsidées, mais chaque fois infectieuses sans l'aide d'un virus assistant34,35. Au-delà de ce paradigme, il semble que certains virus aient évolué à partir de putatifs ancêtres cellulaires s'étant simplifiés36, et parallèlement l'inverse à partir de réplicons génétiques autonomes tel les transposons, plasmides et affiliés ayant fini par acquérir une capside37.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
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(...) Nature
SupprimerVirus vivant ou pas
Le débat sur le caractère vivant ou inerte des virus reste encore aujourd’hui ouvert38,39,40. Répondre à cette question exige de répondre au préalable à une autre : qu’est-ce que la vie ? D’après Ali Saïb, « la notion du vivant est une notion dynamique, évoluant en fonction de nos connaissances. En conséquence, la frontière entre la matière inerte et le vivant est tout aussi instable »41. L'existence ou non d'un métabolisme, c'est-à-dire d'un ensemble cohérent de processus chimiques (l'homéostasie et non la reproduction), constitue un discriminant possible, en tout cas commode, mais qui semble réducteur42.
Comme les cellules vivantes, les virus possèdent un acide nucléique (ADN ou ARN) et des protéines. Cependant, selon la définition du biochimiste Wendell Stanley, les virus ne sont pas des êtres vivants mais de « simples » associations de molécules biologiques, le fruit d’une auto-organisation de molécules organiques. François Jacob insiste aussi sur cette caractéristique des virus : « Placés en suspension dans un milieu de culture, ils ne peuvent ni métaboliser, ni produire ou utiliser de l’énergie, ni croître, ni se multiplier, toutes fonctions communes aux êtres vivants43 ». Les virus n'ont pas leur propre machinerie enzymatique, ne peuvent se multiplier qu’en utilisant celle d’une cellule qu'ils infectent. De plus, les virus contiennent bien un acide nucléique, de l’ADN ou de l’ARN, mais pas les deux à la fois, à la différence des cellules vivantes (sauf les mimivirus 0,7µ).
En revanche, Gustavo Caetano-Anollés (en) et Arshan Nasir (du laboratoire de bio-informatique évolutionnaire à l'université de l'Illinois, États-Unis) défendent une tout autre thèse. Ils avancent que, à côté des trois grandes "branches" du vivant (classiquement regroupées sous le nom de domaines) archées, bactéries (procaryotes) et eucaryotes, les virus en constitueraient une quatrième. Ils seraient la résultante de cellules ayant précédé le dernier ancêtre commun universel (Last Universal Common Ancestor, acronyme LUCA) des trois autres domaines. Pour avancer leur théorie les deux chercheurs se basent, non sur les séquences génétiques, mais sur les structures 3D des protéines qu'elles produisent. Depuis 1990, ils ont analysé 11 millions de protéines produites par 3 460 espèces de virus et 1 620 espèces de cellules appartenant aux trois domaines ; ils affirment ainsi pouvoir retracer l'histoire évolutive de ces structures ; les protéines ayant des structures proches seraient issues d'un même ancêtre hypothétique44,45.
Si cette hypothèse est encore minoritaire, Patrick Forterre, biologiste spécialiste de l'évolution, considère qu'elle a le mérite de « Favoriser le retour des virus dans la mire des évolutionnistes, alors qu'ils en étaient les grands absents ». (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
(...) « Placés en suspension dans un milieu de culture, ils ne peuvent ni métaboliser, ni produire ou utiliser de l’énergie, ni croître, ni se multiplier, toutes fonctions communes aux êtres vivants43 ». Les virus n'ont pas leur propre machinerie enzymatique, ne peuvent se multiplier qu’en utilisant celle d’une cellule qu'ils infectent. (...)
Pareillement à une particule radioactive, le virus affecte des cellules (vie) sans pour cela se détruire !
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(...) Virus et évolution
SupprimerLes virus ont aussi un rôle dans l’évolution. Patrick Forterre avance même l’hypothèse que les virus seraient les premiers organismes à ADN48. À l’origine de la vie, l’ARN dominait (hypothèse du monde à ARN) et assurait à la fois les fonctions de stockage et transmission de l’information génétique et de catalyse des réactions chimiques. Seules existaient des cellules dont le génome était codé par de l’ARN et dont le métabolisme était assuré par des ARN-enzymes qui ont progressivement été remplacés par des protéines-enzymes. Ces protéines, déjà complexes, auraient « inventé » l’ADN49. L’ADN a été sélectionné en raison de sa plus grande stabilité. D’après Patrick Forterre, l’ADN confèrerait au virus le pouvoir de résister à des enzymes dégradant les génomes à ARN, arme de défense probable des protocellules. On retrouve le même principe chez des virus actuels, qui altèrent leur ADN pour résister à des enzymes produites par des bactéries infectées. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
C'est ce qui sont appelées 'les poussières intelligentes'. Leur contrôle est assuré par des ondes (nous vivons tous dans un atmosphère électrique constitué par le magma (masse ferrique incandescente au noyau de notre planète).
C'est pourquoi, les appareils électrique (téléphones, ordinateurs, etc) jouent un rôle de transmetteurs. Ces relais peuvent donc contrôler l'organisme humain. C'est aussi pourquoi les vaccins injectent des métaux lourds émetteur/récepteurs.
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(...) Virus et microbes
Virus et micro-organismes (ou microbes) ne sont donc pas des notions de même nature. Elles s'opposent en ce que les microbes sont des organismes vivants, ce qui est contesté pour les virus. Mais leur portée est différente, les micro-organismes (bactéries, archées, levures, protistes, etc.) n'étant regroupés que pour leur taille microscopique, sans que ce regroupement ait un sens en termes de classification des espèces50, alors que les virus ont bien des caractéristiques phylogéniques communes, même si le concept d'espèce reste flou pour les acaryotes. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
Il y a donc des virus (immortels) qui irradient ou aimantent et vont transférer une partie de leur pouvoir (Virus-mère vers virus-petits/bactéries).
Le capside joue uniquement un rôle de protection (comme les containers en plomb servent à transporter les crayons d'Uranium en toute sécurité).
(...) Les virus jouent également un rôle important dans les corps des humains. Selon le chercheur Clément Gilbert, « le corps d'un homme adulte sain abrite plus de trois mille milliards de virus, pour la plupart des bactériophages (mangeurs de bactéries) infectant les bactéries présentes dans le tractus intestinal et sur les muqueuses. L’impact de ces virus n’est pas encore complètement compris, mais on peut déjà parier qu’ils jouent un rôle important dans la régulation de la composition des communautés bactériennes vivant en symbiose avec l’homme »60. Il souligne également que « plus de 8 % du génome humain dérivent de rétrovirus », ce qui permet de dire que « nous sommes d’une certaine manière apparentés aux virus »60. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
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Supprimer(...) Certains virus sont utilisés en thérapie génique pour soigner diverses maladies génétiques, par exemple pour remplacer un gène défectueux provoquant des troubles fonctionnels ou mécaniques.
Les virus sont également utilisés dans la lutte64 contre le cancer. Certains virus peuvent être en quelque sorte programmés pour détruire spécifiquement des cellules cancéreuses. (...)
(...) Virus de virus
Virophage.
Découvert en 200870, Sputnik71 est un cas à part capable d'infecter un autre virus (Mamavirus) appartenant à la classe des virus géants72 (génome de plus de 300 000 pb et taille supérieure à 0,2 µm73). (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
Petite chronique coronavirale.
RépondreSupprimerle 4 septembre 2020
Hier après-midi était un grand jour pour apprécier jusqu’à quelle extrémité les autorités politiques ont osé installer leur pouvoir coercitif sur la population. La loi locale espagnole telle qu’elle est appliquée dans l’archipel des Canaries stipule que le port du masque dans la rue n’est obligatoire que si on ne peut pas respecter la « distanciation » établie à 1,5 mètres. Je me suis fait relever les brettelles par un flic qui m’a dit de porter un masque alors qu’il n’y avait personne autour de moi et que ce flic ne portait pas de masque lui-même. Une belle démonstration de l’autorité bien comprise par un représentant de cette même autorité. Sans autre commentaire.
Je suis ensuite allé faire mes petites courses au supermarché et un vigile à l’entrée du centre commercial m’a presque agressé parce que je n’avais pas mis mon masque correctement : le nez doit être couvert ! Mon espagnol n’est pas suffisant pour lui demander si on ne devrait pas aussi porter un masque de plongée puisqu’on peut attraper le virus en contact avec la conjonctive. Je pense qu’il n’aurait rien compris. À l’entré du supermarché – j’avais correctement mis mon masque – une caissière me demande de mettre des gants d’un ton autoritaire. Je lui montre mes mains et lui apprend que je suis allergique à la saloperie de matière transparente utilisée pour fabriquer les gants. Elle insiste. Je me suis retenu pour ne pas l’insulter et je suis allé faire mes petites courses.
J’avais déjà remarqué que ces gants provoquaient une allergie mais lassé par les remontrances des employés du supermarché je m’étais soumis à leurs injonctions et finalement trois jours de suite je remis des gants. Le résultat est sans ambiguïté :
- voir photo sur site -
Voilà où nous en sommes alors qu’il n’y a pratiquement plus de morts, que cette grippe coronavirale fait partie maintenant du passé et que les effets secondaires peuvent être tout à fait bénins comme cette allergie mais pas du tout bénins, pour reprendre cet adjectif, au sujet de l’économie, des relations sociales et de l’état psychologique des individus. L’économie va continuer à s’effondrer, les faillites d’entreprises n’en sont qu’au début. Toutes celles qui ont déjà disparu ne représentaient qu’un petit hors-d’oeuvre. On entre maintenant dans le vif du sujet : septembre, octobre et novembre vont être très sombres avec des millions de chômeurs supplémentaires. Une allergie aux mains ce n’est rien pour un petit retraité comme moi qui continue à percevoir sa retraite (jusqu’à quand ?) mais il est certain que la population va devenir allergique aux mesures autoritaires prises en dépit du bon sens par les dirigeants politiques, et ceci aussi bien en Espagne qu’en France ou d’autres pays européens.
Viva la revolucion !
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/04/petite-chronique-coronavirale/
Il est prévu que plus de 50 millions d'Américains lutteront contre la faim d'ici la fin de l'année
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 09/04/2020 - 09:25
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Y a-t-il déjà eu un moment dans votre vie où vous n’avez pas eu assez de nourriture pour passer la semaine ? Si vous n'avez jamais vécu cela, vous êtes extrêmement chanceux. Même dans les meilleurs moments, des millions d'Américains luttent contre la faim, et ce ne sont certainement pas les meilleurs moments. En raison de toutes les choses folles qui se sont produites jusqu'à présent en 2020, un grand nombre de personnes ont été contraintes de changer radicalement leur mode de vie. De nombreux Américains ont considérablement réduit leur budget alimentaire en raison d'un manque de revenus, d'autres ne mangent plus qu'un ou deux repas par jour, et nous constatons une demande plus forte dans les banques alimentaires du pays que jamais auparavant.
Il est tout à fait évident qu'un grand nombre de personnes souffrent vraiment, et Bloomberg rapporte qu'il est prévu que le nombre d'Américains qui «luttent contre la faim» atteindra «plus de 50 millions» d'ici la fin de cette année civile ...
Les rangs des Américains qui luttent contre la faim devraient grossir de 45% cette année pour atteindre plus de 50 millions.
Pour moi, c'est un chiffre absolument stupéfiant.
À l'heure actuelle, les États-Unis ont une population totale d'environ 328 millions de personnes, et donc ce chiffre cité par Bloomberg représente une partie importante du pays.
Et nous n’avons certainement pas à attendre la fin de l’année pour que les chiffres deviennent vraiment, vraiment mauvais. En fait, on rapporte qu’une enquête récente a révélé qu’environ un dixième de tous les ménages américains «n’ont pas eu suffisamment de nourriture au cours d’une semaine donnée»…
Pendant la pandémie, environ un dixième des ménages américains ont déclaré qu’ils n’avaient pas eu suffisamment de nourriture au cours d’une semaine donnée. C’est un chiffre choquant pour le pays le plus riche du monde. C'est plus du double des chiffres pré-Covid et le plus élevé depuis que les données gouvernementales comparables commencent en 1995.
Je me sens particulièrement mal pour les enfants qui ont faim.
Pouvez-vous imaginer à quel point les parents doivent se sentir mal quand leurs enfants leur disent qu'ils ont faim et que les parents n'ont rien à fournir ?
Et ce n'est que le début. Les prix des denrées alimentaires vont continuer à monter en flèche au cours de l'année à venir, ce qui ne fera qu'exacerber les budgets des familles.
Il y a quelques jours, j'ai fortement exhorté mes lecteurs à stocker de la nourriture pour les temps chaotiques à venir. Les prix des denrées alimentaires ne feront qu'augmenter et les conditions économiques continueront de se détériorer.
En fait, d'autres suppressions d'emplois majeures viennent d'être annoncées. Par exemple, Ford vient d'annoncer qu'il éliminera «1 400 emplois de col blanc»…
Ford cherche à supprimer 1 400 emplois de cols blancs dans le but de réaliser des économies.
RépondreSupprimerLe constructeur automobile a envoyé des lettres aux employés mercredi disant que le personnel salarié éligible à la retraite recevrait des offres de retraite anticipée la semaine prochaine. Ceux qui accepteraient l'offre avant le 23 octobre quitteraient l'entreprise d'ici la fin de l'année.
Et United Airlines vient d'annoncer qu'elle mettra à pied plus de 16 000 travailleurs…
En l’absence de rebond du transport aérien ou d’une nouvelle aide fédérale en vue, United Airlines affirme qu’elle mettra à pied environ 20% de ses employés de première ligne dans moins d’un mois.
Dans une nouvelle note adressée à ses employés, United (UAL) indique que 16370 employés seront licenciés lorsque les restrictions salariales liées à un plan de sauvetage fédéral expireront le 1er octobre.
Parce que la plupart des Américains vivent de salaire en chèque de paie, une perte d'emploi peut plonger une famille dans une situation désespérée très rapidement. Partout aux États-Unis, nous voyons de longues files de personnes conduisant de très beaux véhicules qui attendent jusqu'à six heures pour se procurer de la nourriture dans les banques alimentaires locales.
Au cours des 23 dernières semaines, plus de 58 millions d'Américains ont déposé une demande initiale de prestations de chômage, et nombre d'entre eux se sont «soudainement» retrouvés dans le besoin de nourriture. Pour beaucoup d'entre eux, c'est la première fois que quelque chose comme ça leur arrive.
Et tant de gens à qui je parle croient que ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est que la pointe de l'iceberg et que bien pire est à venir. Il y a un tel sentiment d'urgence dans l'air, et les ventes d'armes à feu ne font que battre record après record. En fait, nous venons d'apprendre que les ventes d'armes à feu au cours du mois d'août étaient 57% plus élevées que l'année dernière…
Le Washington Free Beacon a rapporté mardi que les États-Unis avaient enregistré plus de ventes d'armes à feu en août 2020 que tout autre août depuis que le FBI enregistrait des données sur le sujet. Selon l’analyse du point de vente des données de vérification des antécédents du FBI, il y a eu au moins 1,6 million d’achats d’armes à feu au cours du mois dernier, une augmentation de 57% par rapport au mois d’août de l’année dernière.
D'autres Américains réagissent à notre situation actuelle en se vautrant dans la dépression et le désespoir. Selon le Daily Mail, le nombre d'Américains signalant des symptômes de dépression a «triplé au cours des huit derniers mois»…
Les chercheurs ont constaté que le pourcentage d'adultes américains signalant des symptômes légers, modérés ou sévères avait triplé au cours des huit derniers mois.
Et à mesure que les choses empirent, une tonne de personnes ne seront tout simplement pas en mesure de gérer ce qui se passe.
C'est pourquoi je voulais vraiment que mon nouveau livre soit un livre d'espoir. Oui, nous entrons dans un chapitre de l'histoire qui sera bien plus horrible que la plupart des gens oseraient l'imaginer. Mais je crois qu'il y a de l'espoir dans la compréhension de ce qui se passe, il y a de l'espoir pour se préparer, et il y a de l'espoir dans la confiance que Dieu a tout entre Ses mains.
RépondreSupprimerTant de gens ont encore tellement confiance dans le système, mais quand les choses deviennent vraiment folles, le gouvernement ne livrera pas de gros paniers de nourriture à votre porte pour vous et votre famille.
Ce soir, des millions et des millions de familles américaines n'ont pas assez à manger et de plus en plus d'emplois sont perdus chaque jour qui passe.
Vous pourriez penser que votre emploi est sûr, et j'espère que c'est vrai, mais des millions d'autres pensaient également que leur emploi était sécurisé juste avant d'être licenciés.
Récemment, beaucoup de gens m'ont posé des questions sur l'or et l'argent, et j'ai toujours pensé aux métaux précieux.
Mais vous ne pouvez pas manger d’or ou d’argent. Avant de vous concentrer sur les métaux précieux, assurez-vous d'avoir suffisamment de nourriture pour vous-même, votre famille, vos amis et vos voisins, car avoir suffisamment de nourriture sera absolument essentiel pendant les périodes où nous emménagerons.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/its-being-projected-over-50-million-americans-will-be-fighting-hunger-year-end
Comment ignorer 94% des décès de Covid ?
RépondreSupprimerSeptember 4th, 2020
Méfiez-vous des données indésirables et des conclusions indésirables
Les données sur la mort sont devenues un outil politique (étiré à la fois vers le haut et vers le bas par des intérêts particuliers). Nous avons tous entendu parler du motocycliste qui a percuté le décompte de Covid et des paiements pour les documents américains. Nous savons qu’il existe des données inutiles, mais la suggestion de ne compter que les décès «de» Covid, et non les décès «avec» Covid n’est absolument pas scientifique.
Restez avec moi. Nous voulons tous que WuFlu ne soit rien, mais les scientifiques et les sceptiques doivent choisir leurs cibles avec soin. Ne perdez pas de vue le vrai scandale et les vraies solutions. C'est une parodie que les gens meurent alors que les vitamines bon marché et les antiviraux sont ignorés. Battons-nous pour la vitamine D, HCQ, l'ivermectine et tous les autres potentiels comme l'interféron, la bromhexine, la mélatonine, les stéroïdes, les médicaments contre l'asthme, etc. Mais ne soyons pas distraits par un fantasme plein d'espoir selon lequel le véritable «décompte» américain n'est que de 6% des décès de Covid aux États-Unis.
Il y a une idée là-bas que seulement 9 680 personnes sont mortes de Covid aux États-Unis, et non 161 392 personnes. C’est à cause de cette citation du CDC:
«Pour 6% des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès avec des conditions ou des causes en plus du COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès. "
Posez-vous la question: le diabète vous protège-t-il de Covid ?
Réfléchissez bien. Dans ce scénario, pour être considéré comme un vrai décès par coronavirus, le défunt doit non seulement avoir été testé, mais il ne peut avoir aucun autre facteur contributif inscrit sur le certificat de décès. Ce qui signifie effectivement que les personnes souffrant d'hypertension, de cancer, de maladie cardiaque, d'asthme et de diabète ne peuvent plus mourir de Covid. (Ne seront-ils pas heureux d’entendre cela ?) Les personnes qui ne se font pas tester non plus. Et les personnes obèses ne peuvent pas non plus - à moins qu'elles ne mincissent d'abord, puis meurent.
Dans un monde où seuls 6% des décès de Covid aux États-Unis sont vraiment dus à Covid, vous pouvez vous protéger de Covid en grossissant, en ne vous faisant pas tester et en contractant le diabète. Je ne pense pas.
Les décès ne sont pas de simples événements à cause unique
La plupart des décès sont dus à un tas de mauvais facteurs qui submergent le système. Les seuls morts purs sont des choses comme des balles dans la tête (dans l'homocide, pas même dans le suicide qui a sa propre collection de facteurs contributifs). Les certificats de décès reflètent cela, permettant aux médecins d'énumérer un grand nombre de facteurs contributifs (lire ZdoggMD pour une perspective de médecins américains). Les 6 % de certificats qui n’ont pas énuméré d’autres facteurs peuvent représenter 10 000 personnes totalement en bonne santé, coupées à l’avance, ce qui est sûrement une tragédie propre. Mais, banalement, cela peut aussi signifier que certains médecins occupés et distraits ne remplissent pas toujours le formulaire correctement.
La question qui compte est: combien de temps les victimes auraient-elles vécu si Covid ne les avait pas frappées ?
RépondreSupprimerNous mourrons tous un jour. Ce qui compte, c'est de savoir si nous perdons des personnes qui auraient vécu des années de plus. L'âge moyen du décès aux États-Unis est peut-être de 78 ans, mais cela signifie qu'environ la moitié de la population s'attend à vivre plus âgée que cela. Certains jeunes de 78 ans ont beaucoup à apporter. Au cours des quatre prochaines années, le leader du monde libre aura 78 ans.
La personne moyenne de 78 ans peut encore espérer vivre dix ans de plus.
Les personnes atteintes de comorbidites courent donc un risque plus élevé de mourir de Covid, mais une personne souffrant d'hypertension artérielle peut survivre des années avec cette maladie. Covid peut déclencher leur mort prématurée, mais si les frontières américaines avaient été fermées à temps, cette même personne aurait pu survivre pendant une autre décennie de vacances et de moments en famille. Une autre décennie de vote et d'ajouter une perspective de longévité aux jeunes générations.
Le bilan réel de Covid pourrait être plus élevé que les décès de Covid répertoriés
Préparez-vous: au lieu de représenter 6% du décompte officiel, il existe des arguments crédibles selon lesquels le décompte réel est probablement plus élevé que le décompte officiel, pas plus bas. Les États-Unis ne procèdent pas aux tests de manière adéquate, la positivité du test est toujours supérieure à 5% et, pendant de longues périodes, elle atteint 15%. La positivité des tests australiens a été pour la plupart inférieure à 1%. Nous savons qu'il y a de nombreux cas manqués aux États-Unis.
Les chiffres de mortalité sont bien plus élevés que les décès de Covid seuls:
Dans tout le pays, 223 900 personnes de plus sont mortes que d'habitude du 15 mars au 8 août, selon C.D.C. estimations, qui ajustent les enregistrements de décès actuels pour tenir compte des retards de déclaration typiques. Ce nombre est 62 000 plus élevé que le décompte officiel des décès de coronavirus pour cette période. Des taux de mortalité plus élevés que la normale sont maintenant répandus dans tout le pays; seuls l'Alaska et Hawaï, États en dehors des États-Unis contigus, affichent des chiffres similaires à ceux des dernières années. - New York Times.
Ainsi, 60 000 personnes supplémentaires sont mortes dans la pandémie au-delà des décès de covid énumérés sur les certificats de décès. Certains d'entre eux étaient dus à la pandémie et non à Covid. Mais également, certains d’entre eux étaient dus à Covid chez des personnes qui n’ont pas été testées. Il y a des gens qui sont morts de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux qui ne seraient pas morts s’ils n’avaient pas eu peur de se rendre à l’hôpital pendant une épidémie. Nous savons que des personnes sont décédées du cancer en raison de retards dans les traitements. Nous savons que des personnes vivant dans des maisons sont décédées parce que leurs familles ne pouvaient pas entrer pour les voir et signaler de la négligence ou des changements que seuls les êtres chers peuvent déceler. Nous savons que des gens sont morts à cause de la manière dont les gouvernements ont réagi à la pandémie - mais certaines de ces personnes, ou même plus, seraient mortes même s'il n'y avait pas eu de verrouillage. Si le virus était libre dans la population, davantage de personnes à haut risque auraient eu peur de se rendre aux urgences locales.
RépondreSupprimerPour chaque motocycliste qui a été répertorié comme un décès de Covid - et n'aurait pas dû l'être - il peut y avoir eu dix crises cardiaques ou accidents vasculaires cérébraux chez des personnes qui ne savaient pas qu'elles avaient Covid. Les officiers d'ambulance ont rapporté se rendre aux maisons pour trouver des personnes assises avec des niveaux de saturation en oxygène dans le sang que nous pensions impossibles - un signe classique de covid-19.
Nous devons connaître les décès excédentaires pour les dix prochaines années
Covid a-t-il réduit l'espérance de vie de manière mesurable ? Quiconque prétend connaître la réponse définitive à ce stade invente des choses.
Toutes les statistiques de décès sont désormais sujettes à changement. Les trois quarts des cas de Covid légers à modérés ont montré des signes de lésions cardiaques. Comment savoir si une victime d'une crise cardiaque qui n'a pas été testée pour Covid avait une infection qui a finalement causé sa mort ? Pas nous.
Seuls les changements apportés à l'excès de décès dans les années à venir révéleront combien d'années effectives Covid a volé des gens. Nous ne le saurons jamais sur une base individuelle, mais uniquement à l’échelle de la population, car nous tracerons les changements continus des décès dus à de nombreuses conditions. Y aura-t-il une baisse des décès par accident vasculaire cérébral l'année prochaine parce que les personnes à haut risque d'AVC sont décédées un an trop tôt? Covid a-t-il chassé les personnes à haut risque de 100% ou seulement de 20% de la population?
Une fois la pandémie disparue depuis longtemps, les doctorats seront réalisés en étudiant des graphiques de surmortalité due à diverses conditions dans diverses villes. Y aura-t-il une baisse des chiffres de mortalité «après le virus» - un signe classique que le virus n'a pris que peu de temps en dehors du décompte, ou le pic se situera-t-il au-dessus des normes, marquant le décès de personnes décédées trop jeunes? Y aura-t-il moins de victimes d'AVC en 2021 parce qu'elles sont décédées en 2020, ou les AVC continueront-ils à peu près au même rythme ?
La cause de la mort n'est ni singulière ni évidente
RépondreSupprimerLa mort est un événement complexe avec une chaîne de variables dépendantes, qui contribuent toutes au résultat. La véritable cause du décès est souvent impossible à connaître sans une autopsie complète, et parfois même avec une.
Pour comprendre à quel point cela est compliqué, lisez le rapport du coroner de 8 pages sur Patricia Dowd, probablement le premier décès de Covid aux États-Unis. Elle avait 57 ans, sans facteur de risque cardiaque connu, mais était en surpoids. Pour comprendre avec précision ce qui a causé sa mort, il a fallu des heures de travail à une personne ayant des années de formation médicale, ainsi que de nombreux tests sanguins, une longue rédaction et un coût de 3 000 $ à 5 000 $.
Sa cause de décès est répertoriée - de manière quelque peu ambiguë et dans un besoin désespéré de ponctuation - comme suit:
«Hémopéricarde aigu dû à une rupture du ventricule gauche due à une ischémie myocardique transmurale (infarctus) avec une composante mineure de myocardite due à une infection à Covid-19.» 10 février 2020
L’ARN du SRAS-Cov2 a été détecté dans le cœur, la trachée, les poumons et l’intestin de Dowd. Elle n'avait ni athérosclérose coronarienne ni thombose. Elle s'est plainte d'une «maladie grippale» dans les jours qui ont précédé sa mort. Mais, comme elle était assez stupide pour avoir une comorbidité (excès de poids et un IMC de 31, peut-être en suivant le régime alimentaire faible en gras recommandé), elle sera plus tard décrite par certains comme «morte avec covid» et non «morte avec covid». Ainsi, même si son cœur a été officiellement décrit comme une «rupture», ce qui a été diffusé dans de nombreux titres sensationnels, certaines personnes semblent dire que c'est juste une coïncidence qu'elle soit décédée en même temps qu'elle avait un diagnostic de Covid. Sérieusement?
Même les accidents de voiture peuvent être causés par Covid
Cela semble ridicule. Mais il est même possible que les personnes décédées des suites d'un traumatisme routier ne l'aient pas été si elles n'étaient pas infectées. Combien ? Qui sait. Nous devrons attendre ces études sur les décès excessifs, et même dans ce cas, nous ne le saurons pas avec certitude. Je fais le point uniquement pour montrer à quel point la cause du décès peut être compliquée.
Imaginez quelqu'un avec Covid au stade précoce, non testé et ignorant qu'il était malade. Sombrant rapidement dans la fatigue, ils commettent une erreur de conduite stupide qu’ils n’auraient pas commise s’ils n’étaient pas infectés. Ce genre de chose se produit souvent, même avec la transition de l'heure d'été au printemps.
Une étude relie l'heure d'été à 28 accidents mortels de voiture par an aux États-Unis
Les preuves montrent une augmentation d'environ six pour cent du risque d'accidents de la route mortels dans la semaine suivant le changement d'heure chaque printemps. En d'autres termes, plus de 28 accidents mortels pourraient être évités chaque année aux États-Unis si la transition DST était abolie. L'effet est particulièrement prononcé le matin et dans des endroits plus à l'ouest dans un fuseau horaire.
Depuis son introduction, la transition printanière vers l'heure d'été a été liée à divers problèmes, notamment un risque accru de crise cardiaque, d'accidents du travail et de suicides. Il y avait également des preuves suggérant un risque accru d'accidents de voiture. (Fritz et al, 2020) *
La cause d'un décès au volant est souvent une erreur de jugement, et nous savons que les infections à Covid provoquent des déficits cognitifs, une perte d'attention, des étourdissements et de la fatigue. En d'autres termes, un véritable post mortem nécessiterait une analyse de la longueur de la thèse de doctorat de leur dossier de conduite passé, du niveau de maladie, du type d'erreur, des habitudes de sommeil, etc., à l'infini - et nous ne pourrions probablement toujours pas dire avec certitude si ils seraient vivants aujourd'hui s'ils n'avaient pas eu Covid.
RépondreSupprimerÀ quoi ressemble, sent et agit comme une pandémie mortelle ?
Une vague de décès excessifs parcourt le monde. Les endroits avec les pics les plus élevés de décès en excès ont également les plus grands tests positifs pour l'ARN du coronavirus. Coïncidence ? Ils ont également les taux les plus élevés de morbidité et de mortalité des travailleurs de la santé.
Douze jours après le début des restrictions de quarantaine ou une augmentation significative de la gravité, le taux de nouvelles infections chute à un taux de croissance exponentielle plus faible. Les gens changent de comportement en réaction à cette nouvelle menace à mesure qu'ils en apprennent plus à son sujet, ce qui change constamment toutes nos statistiques. C’est une situation très dynamique.
Covid est connu pour provoquer une coagulation sanguine majeure qui endommage les organes. Il a causé des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des lésions cardiaques, de faibles niveaux d'oxygène et des lésions rénales, même dans des cas légers à modérés. Il y a encore beaucoup de choses que nous ne savons pas à ce sujet. Covid est probablement sorti d'un laboratoire de guerre biologique chinois. Y a-t-il quelque chose qu'ils en savent que nous ne connaissons pas encore? Est-il significatif que les Chinois aient mis en place les mesures de quarantaine les plus strictes à ce jour, plus strictes que tout autre pays ? Ou est-ce juste une autre coïncidence ?
De façon inquiétante, il y a maintenant quatre cas connus de réinfection quelques mois seulement après l'infection initiale.
* * *
C’est un sujet controversé. Désolé si ce n'est pas ce que certains veulent entendre, mais merci beaucoup à ceux qui sont restés fidèles à cela et ont lu jusqu'ici. Félicitations aux sceptiques qui maintiennent la civilité et un langage précis même lorsqu'ils sont passionnément en désaccord. Le débat civil est ce qui rend les sceptiques grands.
_______________
REFERENCES
Current Biology, Fritz et al.: “A Chronobiological Evaluation of the Acute Effects of Daylight Saving Time on Traffic Accident Risk” www.cell.com/current-biology/f … 0960-9822(19)31678-1 , DOI: 10.1016/j.cub.2019.12.045
* Fritz et al say that there were no lives saved in the fall, though this seems rather odd: “there were no effects of the fall-back transition to Standard Time (ST) on MVA risk“.
http://joannenova.com.au/2020/09/how-to-ignore-94-of-covid-deaths/
En fin d'année sont publiés le nombre de décès, et, s'afficheront:
SupprimerMorts de vieillesse : 0
Morts du cancer : 0
Morts du diabète : 0
Morts par accident de la route : 0
Morts par suicide : 0
etc !
HAHAHAHA !
Température globale UAH
RépondreSupprimerMise à jour pour août 2020: +0,43 deg. C
4 septembre 2020
Tiré du blog du Dr Roy Spencer
L'anomalie de la température troposphérique inférieure (LT) moyenne mondiale de la version 6.0 pour août 2020 était de +0,43 degrés. C, essentiellement inchangé par rapport à la valeur de juillet 2020 de +0,44 deg. C.
- voir graphque sur site -
La tendance au réchauffement linéaire depuis janvier 1979 reste à +0,14° C / décennie (+0,12° C / décennie sur les océans en moyenne mondiale, et +0,18° C / décennie sur les terres en moyenne mondiale).
Différents écarts régionaux LT par rapport à la moyenne sur 30 ans (1981-2010) pour les 20 derniers mois sont:
ANNÉE MO GLOBE NHEM. SHEM. TROPIC USA48 ARCTIC AUST
2019 01 +0,38 +0,35 +0,41 +0,35 +0,53 -0,14 +1,14
2019 02 +0,37 +0,47 +0,28 +0,43 -0,02 +1,05 +0,05
2019 03 +0,34 +0,44 +0,25 +0,41 -0,55 +0,97 +0,58
2019 04 +0,44 +0,38 +0,51 +0,53 +0,49 +0,93 +0,91
2019 05 +0,32 +0,29 +0,35 +0,39 -0,61 +0,99 +0,38
2019 06 +0,47 +0,42 +0,52 +0,64 -0,64 +0,91 +0,35
2019 07 +0,38 +0,33 +0,44 +0,45 +0,10 +0,34 +0,87
2019 08 +0,38 +0,38 +0,39 +0,42 +0,17 +0,44 +0,23
2019 09 +0,61 +0,64 +0,59 +0,60 +1,14 +0,75 +0,57
2019 10 +0,46 +0,64 +0,27 +0,30 -0,03 +1,00 +0,49
2019 11 +0,55 +0,56 +0,54 +0,55 +0,21 +0,56 +0,37
2019 12 +0,56 +0,61 +0,50 +0,58 +0,92 +0,66 +0,94
2020 01 +0,56 +0,60 +0,53 +0,61 +0,73 +0,12 +0,65
2020 02 +0,75 +0,96 +0,55 +0,76 +0,38 +0,02 +0,30
2020 03 +0,47 +0,61 +0,34 +0,63 +1,09 -0,72 +0,16
2020 04 +0,38 +0,43 +0,33 +0,45 -0,59 +1,03 +0,97
2020 05 +0,54 +0,60 +0,49 +0,66 +0,17 +1,16 -0,15
2020 06 +0,43 +0,45 +0,41 +0,46 +0,38 +0,80 +1,20
2020 07 +0,44 +0,45 +0,42 +0,46 +0,56 +0,40 +0,66
2020 08 +0,43 +0,47 +0,38 +0,59 +0,41 +0,47 +0,49
Le rapport complet sur la température mondiale de l'UAH, ainsi que l'image d'anomalie du point de grille global LT pour août 2020, devraient être disponibles dans les prochains jours ici.
Les anomalies mensuelles mondiales et régionales des différentes couches atmosphériques que nous surveillons devraient être disponibles dans les prochains jours aux endroits suivants:
Troposphère inférieure: http://vortex.nsstc.uah.edu/data/msu/v6.0/tlt/uahncdc_lt_6.0.txt
Milieu de la troposphère: http://vortex.nsstc.uah.edu/data/msu/v6.0/tmt/uahncdc_mt_6.0.txt
Tropopause: http://vortex.nsstc.uah.edu/data/msu/v6.0/ttp/uahncdc_tp_6.0.txt
Stratosphère inférieure: http://vortex.nsstc.uah.edu/data/msu/v6.0/tls/uahncdc_ls_6.0.txt
https://wattsupwiththat.com/2020/09/04/uah-global-temperature-update-for-august-2020-0-43-deg-c/
SupprimerNON le magma n'est pas anthropique !
Hahahaha !
Des précédents pipeliniers potentiellement puissants
RépondreSupprimerPar Craig Rucker
3 septembre 2020
La fracturation hydraulique (forage horizontal et fracturation hydraulique) a libéré des primes de pétrole et de gaz naturel aux États-Unis, réduit considérablement les prix de l'énergie par rapport à leur pic historique de 2008, sauvé des familles et des industries des milliards de dollars par an, contribué à créer et maintenir des millions d'emplois américains, fait les États-Unis militairement plus forte et en a fait un exportateur net d’énergie.
Ceux qui sont obsédés par les dangers climatiques présumés des combustibles fossiles s'en moquent. En fait, ils sont consternés et en colère contre cette renaissance du pétrole et du gaz. Incapables d'arrêter toute la production, ils se sont concentrés sur le blocage des pipelines. Si les entreprises ne peuvent pas acheminer le pétrole et le gaz sur les marchés, elles pensent que la production diminuera, que les entreprises feront faillite et que les arguments en faveur de l’énergie soi-disant renouvelable se renforceront.
Accédant à leurs demandes, des juges fédéraux à vision tunnel ont récemment bloqué le pipeline de la côte atlantique, ont dit aux opérateurs de fermer et de drainer le pipeline d'accès Dakota pleinement opérationnel et ont mandaté encore plus d'études pour Keystone XL et 75 autres pipelines.
Les juges ont rendu ces décisions au nom de la préservation des zones humides, de la prévention de l'envasement des cours d'eau, de la protection des espèces en voie de disparition, de la sauvegarde des vues panoramiques, de l'arrêt des émissions de gaz à effet de serre et de la protection d'autres valeurs environnementales.
Ils ont effectivement jugé inutile que les combustibles fossiles fournissent toujours plus de 80% de toute l'énergie qui alimente les industries, les maisons et le niveau de vie américains, et que des pipelines souterrains pratiquement invisibles remplacent des alternatives beaucoup plus dangereuses.
Le pipeline Dakota Access remplace à lui seul quelque 255 000 wagons pétroliers qui traversent nos villes et 730 000 camions-citernes semi-remorques sur nos autoroutes, chaque année !
Les militants et les juges ont déclaré que même à court terme, la sédimentation des cours d'eau et les impacts écologiques pendant la construction du pipeline sont inacceptables.
Même après qu'une décision de la Cour suprême des États-Unis a annulé la décision ACP, les sponsors de la société ont quand même annulé le projet, en raison de menaces de poursuites plus coûteuses et de retards à l'infini.
Encore plus extrême, Joe Biden et Kamala Harris ne veulent pas de combustibles fossiles et d'émissions nettes de dioxyde de carbone nulles d'ici 2050. Ils affirment que cela conduira le monde à éliminer les catastrophes climatiques et environnementales. En réalité, les impacts sur les environnements américains et mondiaux seraient monumentaux.
En 2018, le charbon et le gaz naturel ont produit 2,6 milliards de mégawattheures d'électricité américaine. Le gaz naturel a également fourni l'équivalent de 2,7 milliards de MWh de combustible pour les usines, les entreprises et les foyers. Les véhicules à combustion interne ont utilisé plus de 2,0 milliards de MWh équivalent d'essence et de diesel.
Dans le cadre du Green New Deal Biden-AOC, tous ces 7,3 milliards de mégawattheures d'électricité proviendraient de sources «propres, vertes, renouvelables et durables». Le vent et le soleil correspondent certainement à cette description.
RépondreSupprimerCependant, exploiter cette puissance intermittente ne le fait certainement pas. Cela nécessiterait un nombre inimaginable d'éoliennes et de panneaux solaires, et des entrepôts d'énormes batteries pour fournir une alimentation de secours pendant une semaine seulement de jours sans vent et sans soleil - d'autant plus que plus nous demandons de vent et de solaire, plus nous devons mettre des turbines et des panneaux en bas emplacements de qualité. Sans eux, nous serions frappés par des centaines de pannes de courant continuelles chaque année, comme celles qui ont frappé la Californie.
Une analyse récente conclut que la production de toute cette électricité nécessiterait quelque 17 milliards de panneaux solaires de suivi du soleil; ou 25 milliards de panneaux à couche mince fixes; ou 3,5 millions d'éoliennes terrestres de 1,8 MW; ou 260 000 turbines en mer monstrueuses de 10 MW; ou une combinaison de ces installations. Nous aurions également besoin de près de 2 milliards de modules de batterie Tesla d'une demi-tonne et de milliers de kilomètres de nouvelles lignes de transmission à travers l'Amérique.
La construction et l'installation de ces installations massives nécessiteraient des dizaines de milliards de tonnes de béton, d'acier, de cuivre, d'aluminium, de cobalt, d'éléments de terres rares, de composites en fibre de verre et de dizaines d'autres matériaux.
Obtenir ces matières premières nécessiterait l'extraction, le traitement et la fusion de centaines de milliards de tonnes de minerai, provenant de partout dans le monde, mais principalement d'entreprises détenues ou contrôlées par la Chine - presque toutes avec des combustibles fossiles; sans égard aux lois américaines sur le contrôle de la pollution, la protection de la faune ou la sécurité au travail; et trop souvent en utilisant le travail des enfants et des quasi-esclaves.
Les turbines et les panneaux s'étendraient sur des centaines de millions d'acres de terres cultivées, pittoresques et d'habitat. La construction endommagerait les paysages, enlèverait les sommets des montagnes, déchirerait les forêts, détruirait les vues panoramiques, effacerait les habitats fauniques, remplirait les ruisseaux de sédiments pendant la construction et déplacerait ou tuerait des plantes, des animaux et des oiseaux en voie de disparition.
À elle seule, Dominion Energy prévoit de construire des panneaux solaires dans les régions rurales de Virginie sur des terres totalisant huit fois Washington, DC, pour répondre à une petite fraction des besoins en électricité de l’État. Multipliez ce chiffre par 50 États et des milliers de communautés dans une économie 100% électrique, et vous pouvez commencer à imaginer la dévastation écologique de cette énergie «propre, verte, renouvelable et durable».
Les éoliennes de 600 (182 m) à 850 pieds (260 m) de hauteur abattraient des millions de rapaces, d'autres oiseaux et des chauves-souris chaque année, les éradiquant complètement dans de nombreuses régions. Les tarifs d'électricité dans les résidences, les entreprises, les hôpitaux et les écoles monteront en flèche. L’économie et le marché du travail américains ne se remettront jamais de Covid.
Quelques propriétaires fonciers - et de nombreux dirigeants et investisseurs de sociétés de services publics - deviendraient riches. Mais d'autres personnes souffriraient d'infrasons et de scintillement de la lumière, regarderaient leurs beaux paysages disparaître à jamais et n'obtiendraient aucune compensation.
Les turbines, panneaux et batteries ont une courte durée de vie et sont généralement non recyclables. La plupart finiraient dans d'énormes décharges. De vastes zones rurales seraient transformées en colonies d'énergie et de déchets pour des centres urbains politiquement puissants.
RépondreSupprimerMais sur une note positive, des années de poursuites judiciaires, de campagnes de défense des droits de l'homme et de batailles sur l'exploitation minière et la pollution de l'air et de l'eau aux États-Unis et dans le monde ont créé de puissants précédents juridiques.
Les propriétaires fonciers, les groupes de citoyens, les défenseurs des droits humains et les écologistes non attachés au changement climatique pourront les utiliser pour retarder, bloquer, mettre en faillite et saborder la plupart ou la plupart de ces projets d'énergie pseudo-renouvelable destructeurs. Ils exigeront également que les métaux, les minéraux et les composants éoliens, solaires, de batteries et de véhicules électriques soient approvisionnés de manière responsable - conformément à toutes les lois et à l'éthique américaines.
Les services publics pensent qu'ils ont frappé un buzz vu sur les pipelines. Les Verts radicaux pensent avoir gagné cette guerre. Ce pourrait être une victoire à la Pyrrhus si ces lois, règlements, règles EIS et décisions judiciaires sont appliqués à l'énergie éolienne et solaire. En fait, ce sont des précédents pipeliniers potentiellement puissants.
Et si les régulateurs, les politiciens et les tribunaux appliquent deux poids deux mesures - un pour les combustibles fossiles et un pour les pseudo-énergies renouvelables, semblable à un pour les émeutiers et un autre pour les fidèles - la situation pourrait devenir extrêmement gênante, c'est le moins qu'on puisse dire. Cela pourrait se transformer en véritable résistance, rébellion et conflit.
Il est temps pour les débats civilisés, sans interférence de la culture d'annulation, sur toutes ces questions, avant que cela se produise.
https://www.cfact.org/2020/09/03/potentially-powerful-pipeline-precedents/
Et les coups non scientifiques Continuez à venir - L'énergie des cyclones ne monte pas
RépondreSupprimerPar Joe Bastardi
3 septembre 2020
Un autre article qui, compte tenu des tendances actuelles, doit être remis en question:
https://www.sciencedaily.com/releases/2020/08/200827130612.htm
L'indice mondial de l'énergie cyclonique accumulée (ACE) n'augmente pas. C'est la mesure objective de l'énergie totale des tempêtes sur la planète. Alors, d'une belle manière, soulevons quelques défis à ce sujet.
Tout d'abord, une année difficile dans les Caraïbes ne fait pas de tendance. Depuis lors et avant et en fait depuis de nombreuses années, les Caraïbes ont été qualifiées de cimetière des tempêtes, en partie à cause du réchauffement! Comment ? Si les eaux à l'ouest du nord-ouest de l'Amérique du Sud sont chaudes, alors les pressions sont naturellement plus faibles sur le nord-ouest de l'Amérique du sud, ce qui augmente les vents d'est de bas niveau à travers l'ouest et le centre des Caraïbes. Lorsque cela se produit, lorsque l'air accélère loin d'une zone (le bassin atlantique environnant), alors il y a de l'air qui coule à grande échelle pour le remplacer pour un, et plus de cisaillement du vent pour 2. Ces deux raisons expliquent pourquoi de nombreux météorologues considèrent les Caraïbes comme un gant que les tempêtes doivent courir. En fait, dans les années 1960, quand j'étais jeune, j'ai entendu quelque chose que j'ai surnommé «la règle du Texas A et M» sur les tempêtes des Caraïbes. Alors que l'ouragan Flora entrait dans les Caraïbes, mon père, étudiant là-bas à l'époque, m'a amené à la station météo. (Il était le plus âgé des étudiants de première année sur les campus A et M en 1961 et a obtenu son diplôme en météorologie à 35 ans, alors le petit Joey était à bord pour le trajet). En tout cas, l'un des autres étudiants avait remarqué que pour qu'une tempête des Caraïbes s'intensifie, elle doit augmenter sa distance par rapport à l'Amérique du Sud et se déplacer entre 8 et 18 MPH. Les phénomènes susmentionnés dont j'ai parlé avec les basses pressions sur le nord-ouest de l'Amérique du Sud provoquent en fait une accélération de celles-ci à l'ouest loin de cette règle et la distance n'augmente pas de la côte sud-américaine à l'est de 70 ouest. . BTW j'ai appris cela de Gil Clark au National Hurricane Center dans les années 1980, donc les prévisionnistes sont au courant de ces choses depuis de nombreuses années.
Les Caraïbes ont toujours été un lieu de fête ou de famine. Hispaniola a été frappé par 3 ouragans majeurs en 4 ans, Flora en 1963 (qui a ensuite calé sur Cuba, ce qui a poussé Castro à accuser les États-Unis de manipuler le temps pour détruire son île ... bon à savoir que les suspects habituels étaient à bord pour contrôler le climat. alors trop hein ?) Cleo en 1964 et Inez en 1966. Jetez-y Betsy qui a frappé les Bahamas, la Floride et la Louisiane en 1965. Puis Beulah 1967 qui a atteint le Texas en tant que major et vous obtenez 5 années consécutives dans les années 1960, où des ouragans majeurs ont frappé, sinon à travers les Caraïbes, puis à proximité, qui ont eu un impact sur les gens. 2018/2019, rien de tel ne s'est produit après la grande année de 2017 et cette année, les prévisions de pré-saison de weatherbell.com, tout comme en 2017, avaient ciblé les îles, mais jusqu'à présent, seulement 2 tempêtes tropicales. J'ai montré ce tableau de bord dans le post de Laura.
Maintenant, si l'eau est un peu plus chaude et que vous obtenez les bonnes conditions, alors oui, une tempête pourrait être un peu plus forte qu'avant. Ou le fera-t-il ? Les ouragans, bien qu’ils utilisent de l’eau chaude comme source d’énergie, n’ont pas toujours tout prévu pour le pire des cas. En fait, le pire des cas est rare, ce que nous voyons cette année. Alors que les médias sont obsédés par le nombre total, l'intensité des tempêtes sur une base individuelle est l'une des plus faibles jamais enregistrées (ACE / Storm) 2017 était l'une des plus élevées jamais enregistrées, plus de 13 / tempête, mais la DÉCENNIE des années 1950 était le plus élevé jamais enregistré, plus de 10 / tempête. C'est comme la différence entre avoir un calendrier de la SEC (ACE des années 1950) et cette année gros 10. Attendez une minute, ce serait 0 / tempête alors choisissez une autre conférence.
RépondreSupprimerAlors permettez-moi de concéder un point. Si l'événement anormal s'aligne, les tempêtes peuvent être fortes. Mais comment expliquer alors l'ouragan de 1935, comment cela est-il devenu si fort ? ou Camille ?. Alors que les gens regardaient Laura, elle a traversé les Caraïbes comme une tempête tropicale, pas comme un chat 3,4 ou 5 majeur. Isaias, pourquoi n’a-t-il pas explosé ? Pourquoi Gonzalo est-il mort (règle d'indication ci-dessus)
De nombreux facteurs sont impliqués dans les cyclones tropicaux et ce n’est pas parce qu’il fait un peu plus chaud que tout doit être pire. En fait, le réchauffement peut déformer suffisamment le modèle climatique global, alors que vous pourriez voir plus de petites tempêtes plus au nord, mais il y a une perturbation de la grande bête classique à longue piste qui a maintenu son intensité jusqu'à la côte. Chaque tempête est différente et chaque tempête doit être examinée individuellement.
Mais sa saison des ouragans et les ouragans sont amusants à armer pour le programme de changement climatique créé par l'homme, d'où les articles comme celui-ci. Je tiens simplement à souligner qu'il y a deux côtés à chaque histoire. Et tandis que je m'émerveille de la puissance de ces tempêtes comme tout le monde, je m'émerveille encore plus des gens qui rendent compte de ces choses sans même prendre la peine d'avoir une autre perspective. Bien que je montre des choses d'autrefois comme les exemples ci-dessus, étant similaires, quand il s'agit de rapports maintenant, ce n'est plus rien comme avant. Une époque où les gens rapportaient des choses cherchaient toujours un angle différent par rapport à ce qu'on leur disait, pas seulement relayer quelque chose que tout le monde souriait et hochait la tête.
https://www.cfact.org/2020/09/03/and-the-unscientific-hits-just-keep-on-coming-cyclone-energy-not-rising/
« L’Europe va-t-elle sombrer dans la déflation ? » L’édito de Charles SANNAT
RépondreSupprimervendredi 4 septembre 2020
Par Charles Sannat
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
« Le spectre de la déflation menace l’Europe » c’est le titre de cet article du Figaro qui revient sur les derniers chiffres de l’inflation en Europe, des chiffres qui ne sont pas bons, des chiffres qui sont inquiétants et qui montrent plutôt une inflation négative que positive.
Et lorsque l’inflation est négative, cela porte le nom de déflation.
Ce n’est pas une bonne nouvelle la déflation, car comme en Grèce au pire de la crise des subprimes, cela signifie que votre PIB baisse chaque année.
Or, quand le PIB baisse et que les dettes augmentent, le ratio dettes/PIB lui, devient totalement déprimé et sombre dans le rouge écarlate.
Mais, nous n’en sommes pas là cette fois.
Inflation négative
« L’inflation est entrée en territoire négatif pour la première fois depuis 2016 dans la zone euro, ce qui traduit un recul des prix à la consommation. La première estimation de l’inflation pour le mois d’août, publiée mardi par Eurostat, fait état d’un taux de – 0,2 % (contre + 0,2% attendu). Un recul tiré en large partie par l’énergie et les produits industriels non énergétiques. Mais la tendance est profonde, comme le montre la chute inédite du niveau de l’inflation sous-jacente – hors effets volatils de l’énergie et de l’alimentation – qui tombe à son plus bas niveau historique, à 0,4 % sur un an, contre 1,2 % en juillet.
Ce recul des prix est en partie dû au décalage de la période des soldes d’été dans plusieurs pays, dont la France ou l’Italie, à la baisse de la TVA en Allemagne et à la chute des prix des forfaits touristiques, notamment en Espagne. La baisse est particulièrement prononcée en Belgique (- 1,5 %) et en Italie (- 1,3 %). En France, elle atteint – 0,1 %. En dehors de ces effets conjoncturels, cette désinflation signale l’échec des politiques publiques à encourager les consommateurs à dépenser ».
Bon les prix baissent, ce qui est logique puisque la demande s’effondre. Mais le comportement des prix est, ces derniers temps, très ambigu. On voit bien la hausse des prix incontestable et le choc inflationniste par exemple lorsque l’on va chez son coiffeur qui augmente la note, ou encore dans les prix de l’alimentaire, mais cela n’empêche pas les prix de façon générale de baisser.
Vous allez me dire, pas grave, il y a la BCE !
Pourtant le Figaro note que c’est « un casse-tête pour la Banque centrale européenne (BCE), qui a injecté plusieurs centaines de milliards d’euros dans l’économie pour éviter son effondrement depuis le début de la pandémie. Or ces injections massives de liquidités n’ont pas suffi à soutenir un redémarrage qui se manifesterait par une hausse, même modeste, des prix. Les projections de la BCE ne tablent sur un retour de l’inflation aux alentours de 0,9 % qu’à l’horizon 2022 – encore loin de son objectif de stabilisation proche de 2 %. Son conseil de politique monétaire doit se réunir la semaine prochaine. Si de nouvelles mesures accommodantes ne sont pas attendues dans l’immédiat, ce risque déflationniste devrait à moyen terme justifier la poursuite d’une politique d’assouplissement monétaire sur la durée. Dans le même temps, le taux de chômage ne fait que commencer à s’envoler, à 7,9 % pour la zone euro en juillet ».
Le Figaro pense donc que c’est un casse-tête pour la BCE.
RépondreSupprimerJe n’en suis pas si sûr.
Lorsque le FMI de Christine Lagarde signe un papier de presque 100 pages consacré à « l’implémentation des taux profondément négatifs dans l’économie », et que notre Dame Christine est désormais devenue la présidente de la BCE la Banque centrale européenne, cela laisse entrevoir quelques possibilités d’action de la part de nos autorités monétaires européennes.
Si l’inflation devient négative, alors, il n’y aura pas d’autre choix que de rendre les taux d’intérêt encore plus négatifs, voir profondément négatifs.
Fondamentalement la BCE sait ce qu’il lui reste à faire.
Nous devons admettre que les lois économiques que nous prenions pour des vérités quasi-scientifiques et intangibles sont révolues.
Elles sont révolues parce que les autorités monétaires, économiques et politique ont décidé de s’en affranchir.
Nous en sommes rendus au niveau de l’économie menée par mes enfants autour d’un plateau de Monopoly.
Les marchés toujours à la hausse.
De leur coté les marchés, eux, poursuivent leur hausse.
Ils n’ont pas plus peur de la pandémie que du ralentissement de la croissance ou de ses effets que de la déflation.
Ce n’est pas bon pour une économie la déflation, pas du tout, sauf que nous ne sommes plus dans un monde normal.
Dans un monde normal la déflation fait très peur, et entraîne une déflagration économique.
Plus maintenant.
Plus maintenant parce que nous avons la monnaie gratuite et sans limite des banques centrales.
Nous ne parlons pas d’une seule banque centrale, nous parlons de toutes les banques centrales de la planète ou presque, ce qui représente un pouvoir économique considérable.
Toutes les banques centrales, toutes, mènent la même politique d’expansion monétaire.
Plus la situation est grave et plus il est prévisible que le soutien financier sera reconduit, amplifié, augmenté jusqu’à l’explosion de la bulle finale.
Les marchés restent donc sans réaction.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles Sannat
https://insolentiae.com/leurope-va-t-elle-sombrer-dans-la-deflation-ledito-de-charles-sannat/