- ENTREE de SECOURS -



samedi 15 février 2020

La grande lessive ! (anti virus !)

Nous portons - toutes & tous - des vêtements sales ! (comment ce fait-ce ?). Car, les soi-disant 'machines-à-laver' (hahahaha !) super plus ultra dernier cri ne lavent qu'à 90°C !

(et oui ! c'est marqué sur l'étiquette !) et que, comme il en a été pour les faux testeurs-compteurs qui affichaient des mensonges sur la pollution véritable des voitures Volkswagen, il peut en être pour les 'machines-à-laver' qui ne laveraient qu'à 80°C ou même 70°C !. (vous avez un thermomètre véritable ? Là, je dit 'véritable' car, sur 50 thermomètres vendus en supermarchés, ils affichent tous 50 températures différentes sur les crochets aux rayons !!).

Donc, reprenons, pourquoi dis-je que "Nous portons - toute & tous - des vêtements sales !" (idem pour les infirmières ?) car AUCUNE machines-à-laver ne lave à 100°C ! Et donc: comme les microbes ou bactéries ne s'éliminent qu'à 100°C...

Donc là, je ne parle pas de 'saleté propre'. C'est-à-dire que (par exemple) vous vous essuyez les mains qui ont du cambouis sur un torchon blanc. Ce torchon ne sera jamais plus blanc. Pourquoi ? Parce que cette 'saleté propre' porte désormais le nom de 'teinture' ! Et oui ! Vos vêtements qui portent des rayures, des carreaux ou des fleurs ne sont pas sales mais seulement teints.

Maintenant, posons-nous la question intelligente du comment faisaient 'nos grand-mères pour avoir du linge blanc 'ancien temps' alors que n'existaient pas des merdes en poudre vendus sous le prétexte fallacieux de 'lessives' ??

Et bien, nos chères grand-mères, (mère Denis ?) utilisaient des lessiveuses ! Une lessiveuse est composée d'une bassine haute en fer où il y a à l'intérieur une sorte de couvercle troué posé au fond d'où part une tube vertical qui se termine en 'pommeau de douche tout en haut de la lessiveuse. Donc, seulement lorsque l'eau bout (comme dans une machine-à-café) l'eau monte dans le tube vertical est va verser de l'eau brûlante sur le linge entassé dans la lessiveuse et 'enroulé' autour du tube vertical. L'eau va agir sur la cendre de bois déposée en haut sur le linge et va nettoyer les draps comme tous vêtements proprement à 100°C !

J'ai dit 'cendre de bois' et non 'lessive' !


Ensuite, elles allaient non-pas 'étendre le linge sur des fils pour que le vent sèche les tissus mouillés' mais, étendre le linge sur l'herbe verte des près !
Pareillement qu'il en est sur les 'lessives écologiques' (hahahaha !) destinées à faire croire en la 'blancheur Persil' sous prétexte de ne contenir aucun agent blanchissant (hahahaha !), les boites vendus ne contiendront JAMAIS de la cendre de bois (gratuite !) pour votre lessiveuse perso !

Notons aussi que si TOUTES les personnes rencontrées portent des vêtements sales ils sont aussi infectieux ! Idem chez les artisans de 'produits de bouches' qui fabriquent du pain, des gâteaux, pâtés, et cuisinent et servent... avec la barbe ! (La barbe est l'endroit le plus sale devant le trou de cul) alors qu'est 'exigé' le 'port du calot' sur la tête des cuisiniers ! Leurs vêtements sont SALES ! Sales comme en milieux hospitaliers (où parfois aussi portent la barbe !!) où se développeraient des maladies dites nosocomiales et autres coran aux virus !

Ainsi, a t-on vu apparaître (non-dénoncé par les écologistes bien sûr), des fours électrique qui chauffent autant dehors que dedans ! (Hahahaha !) "Vive la sur-consommation d'électricité" comme dirait les 'verts', parce que TOUS les fours vendus en supermarchés vous font... super marcher ! Alors qu'un four de 'professionnels' n'a comme simple différence une carapace en briques réfractaires ! Donc, vous achetez des briques réfractaires (22x11x3cm) et en tapissez l'intérieur comme l'extérieur et n'y cuisez à l'intérieur QUE du pain ou des pizzas car, ce type de four n'est pas une rôtissoire ! 

Comme pour les chasses-d'eau des wc qui aujourd'hui se trouvent à 70 cm du sol plutôt qu'à 1,80m comme ancien temps, les concepteurs travaillent de concert avec les escrocs de l'eau qui leurs demandent de faire consommer beaucoup plus d'eau qu'avant pour nettoyer la même chose !


46 commentaires:

  1. Bientôt dans la rue TOUT le monde portera un masque (anti coran à virus) ! Carnaval toute l'année ! Yoopie !

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  2. Diane Ducret (« La Dictatrice ») : L’appropriation de la pensée par une idéologie


    14 FÉVRIER 2020
    THIERRY GODEFRIDI


    A la question de savoir en quoi le monde d’aujourd’hui lui avait donné l’idée d’écrire son roman La Dictatrice, qui raconte l’ascension irrésistible à la tête de l’Europe d’une femme révoltée par les injustices de la société, Diane Ducret répondit que l’on se croit aujourd’hui éduqué, mieux informé, hors d’atteinte de l’appropriation de la pensée par un parti politique. Mais, que l’on étudie comment sont nés les totalitarismes dans l’Histoire et l’on conviendra que notre époque consiste en un terreau idéal.

    Diane Ducret fait naître son héroïne, Aurore Henri, cent ans jour pour jour après Hitler et décalque l’ascension de sa Dictatrice sur celle d’Hitler avec un décalage de 100 ans. Certains des discours de sa chancelière de l’Europe reproduisent des parties de discours d’Hitler lui-même. Le lecteur est mis au défi de découvrir lesquelles, tant ces extraits paraissent d’actualité.

    « L’idéologie s’installe sur le vide de la pensée »

    « L’idéologie s’installe sur le vide de la pensée, la recherche de sens, la contestation, le sentiment de rejet de certains, le sentiment partagé par tous que la société ne répond plus à nos besoins », dit-elle. Elle dénonce le danger que représente la disparition de la notion de vérité, la distorsion du sens des mots et du langage, la persuasion par la jeunesse, l’embrigadement politique des femmes au moyen de mesures qui semblent les favoriser, tous thèmes qu’évoque son roman paru chez Flammarion le mois dernier.

    « L’homme est un animal crédule qui a besoin de croire. En l’absence de raisons valables de croire, il se satisfait de mauvaises », dit le philosophe, mathématicien, épistémologue et homme politique britannique Bertrand Russel. Une fois assurée sa subsistance, la quête du sens est probablement le plus grand désir de l’homme, ce « roseau pensant » (Pascal), si fragile qu’une vapeur ou une goutte d’eau suffirait à l’anéantir, mais pensant, doué de conscience et capable de se mettre en perspective par rapport à lui-même et au monde.

    Cette quête de sens, plus encore, si l’on y réfléchit, que la capacité de raisonner ou même de parler, est ce qui distingue l’homme de l’animal et des autres étants.

    La recherche de sens n’a pas de qualité morale inhérente. Le sens peut être trouvé dans le mal comme il peut être trouvé dans le bien, dans les pires abominations de l’Histoire et de l’actualité comme dans l’altruisme le plus désintéressé.

    Pour la plupart, jusqu’à la dernière génération, la famille, la religion, la communauté, le patriotisme remplissaient ce besoin en Occident, mais ces sources de sens se perdent. L’on se marie de plus en plus tard, quand on se marie, on a moins d’enfants, de plus en plus de familles sont recomposées ou atomisées, l’on s’identifie de moins en moins à une religion, les communautés sont de circonstance, quant au patriotisme…

    La perte des repères traditionnels

    Cette perte des repères traditionnels est sans doute la principale raison de l’épidémie de solitude qui afflige tant de personnes en Occident. Qu’est-ce qui peut se substituer à ces anciens repères dans la recherche de sens ? Pour beaucoup, ce sont les idées de gauche.

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  3. Les gauchistes trouvent une réponse à leur quête de sens dans l’environnementalisme, le féminisme, les droits des minorités, le socialisme et d’autres causes du même ordre. L’aspect « vitaliste » du gauchisme, au sens d’une doctrine qui postule l’existence d’un principe vital distinct de l’âme et de l’Humain, se trahit dans l’emploi, fréquent dans le discours de ses adeptes quand ils abordent nombre de questions qui leur tiennent à coeur, de la notion de « menace existentielle ».

    Il y a une chose qui dépasse toutes les autres dans ce registre de la menace existentielle : lutter pour l’existence même du monde et de l’humanité. C’est là que réside l’impulsion qui anime l’obsession de la gauche pour le réchauffement climatique et qui justifie à ses yeux toutes les déviances et toutes les privations.

    « Mais, dès lors qu’on vous impose votre bien, sans vous demander votre avis, dit Diane Ducret, le monde devient invivable. Peut-on faire le mal au nom du bien ? »

    https://palingenesie.com/diane-ducret-dictatrice-ideologie/

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    1. Vous [Diane Ducret/Thirry Godefridi] avez parfaitement raison de dénoncer cette dégradation intellectuelle instaurée par les politiques anti françaises et donc anti-Démocratiques ainsi que par les merdias, c'est un nano-groupuscule de dictateurs mais un virus qui fait peur et qui tue.

      L'horreur de voir des éoliennes qui consomment plus d'électricité qu'elles n'en peuvent produire ! (il est nécessaire de faire tourner le rotor même s'il n'y a pas de vent afin qu'il ne se grippe. Or, faire tourner des pales de 60 tonnes, multiplié par 3 ! demande beaucoup d'énergie ! Beaucoup !) sans compter les milliards d'oiseaux et d'abeilles tués, et le bruit insupportable de ces immenses échafauds dressés dans les campagnes !

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  4. A La Rochelle : la ville réalise un chantier de 5 M€ sans permis d'aménager valide...


    vendredi, 14 février 2020 15:07


    À La Rochelle, comme ailleurs, la loi est une simple convention conjoncturelle que le temps et les circonstances font paraître alternativement juste ou inique.

    Pour faire simple : la loi n’existe pas.

    Est-elle un rêve qui impacte la réalité, ou l’inverse ? Je ne sais pas.

    Ceux qui la créent la plupart du temps ne sont pas conscients de ces particularités, sans quoi leur vie ne serait que souffrances morales insupportables. La naïveté obligatoirement les habite, autrement le cynisme les rongerait. Pour autant, généralement, un peu de manipulation ne leur fait pas peur, cela leur paraît même naturel et légitime. L’état de limite est constant.

    Ceux qui ont la charge de la faire appliquer, les magistrats, n’échappent pas à ses contradictions. Ils s’en inquiètent ou s’en délectent selon leur personnalité. Eux seuls le savent, ils ne l’expriment jamais, cela les isole.

    En admettant que vous soyez d’accord avec cette analyse de la loi, vous vous dites : pourquoi à La Rochelle ?

    Tout simplement parce que, à La Rochelle, je vis l’exemple de cette ambiguïté, cette relativité, de la loi. Je vais vous raconter.

    D’abord les faits bruts.

    Il y a quinze ans, dans l’exercice de mes activités professionnelles, je maîtrise par promesses de vente cent hectares en zone urbaine centrale, au lieudit “Les Cottes-Mailles”. L’emplacement est superbe, je promets au propriétaires un prix en rapport avec cette situation privilégiée.

    Dans la semaine qui suit la signature de ces promesses de vente je suis convoqué par les services techniques municipaux qui m’expliquent que ces terrains ne me seront pas accessibles. Le pouvoir politique local se considère comme seul habilité à projeter sur le site.

    Je passe outre, avec l’accord des propriétaires. Nous présentons ensemble un grand projet d’urbanisme, dont la ville a le plus grand besoin, qui exposé au Grand Pavois reçoit un accueil unanimement favorable.

    Qu’importe, les élus ne sont pas à imaginer un projet pour la cité. Ils n’en n’ont ni les compétences ni l’envie. Pour eux la ville se développe seule, elle n’a pas besoin de projet, certains pensent même qu’il faudrait qu’elle se développe moins. En revanche ils souhaitent s’approprier le site au prix le plus vil.

    C’est ici que tout commence.

    Les élus multiplient les manœuvres pour dévaloriser le site.

    D’abord en le classant en zone agricole alors qu’il est factuellement en pleine zone urbaine. Mais dans ce cadre se sont eux qui créent la loi.

    Ensuite, ce classement sera pris comme référence par les services de l’Etat pour évaluer des expropriations, cela s’appelle une escroquerie.

    Ils évoquent pour motif, absurdement, une pénétration de la campagne dans la ville…

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  5. Puis ils massacrent le site en son plein milieu par un boulevard délirant, sans commune mesure avec son trafic à venir, dépossédant sur son passage les propriétaires pour une poignée de cacahuètes, conformément au classement précédant.

    Enfin, toujours sans imagination et sans grand projet pour cette cité — qui en a pourtant grand besoin tant elle est loin de tout et très fragile de sa dépendance au tourisme, à la mode, au superflu de richesse — ils engagent un projet contestable de rénovation de marais entre le centre historique et cette zone d’avenir des Cottes-Mailles, sur 50 hectares. Cela dans une région qui n’est que marais. L’originalité n’est pas le point fort de ce projet.

    Plus gravement, il introduit dans la ville un monde porteur de risque de maladie, tels que les moustiques ou les chauves-souris. Tout le monde, depuis le coronavirus de Wuhan, sait que le monde aseptisé de l’humain court des risques en cas de proximité avec la nature sauvage, sans la limiter aux lions ou aux crocodiles.

    Rencontre avec la loi.

    L’aménagement de ce marais implique de grands mouvements de terre, une régulation des eaux, en conséquence une enquête publique et un permis d’aménager du ressort des lois sur l’environnement.

    Il se trouve que ce type d’autorisation, concernant l’environnement, est de la compétence du Conseil d’Agglomération.

    Oui mais voilà, le maire de La Rochelle n’est pas du genre à négocier mais à imposer. Donc, il se passe, avec la complicité du Préfet, de l’autorisation du conseil d’agglomération.

    Il se délivre à lui-même, le plus illégalement du monde, les autorisations nécessaires à son projet.

    Le souffle coupé devant tant d’audace, devant l’accumulation des incivilités avec la loi de la part des élus rochelais, les porteurs entravés du projet du site des Cottes-Maille, dont je suis, déposent un recours devant le Tribunal Administratif de Poitiers, puis un référé-suspension pour faire arrêter ces travaux d’environnement réalisés à partir d’un permis d’aménager illégal parce que délivré par une administration qui n’a pas la compétence voulue.

    Que croyez-vous qu’il advint ?

    Le Tribunal Administratif de Poitiers a décidé que la mairie de La Rochelle — même si dans le cadre de l’environnement elle n’a effectivement pas de compétence — peut dans le cadre de ses compétences en urbanisme…. se délivrer un permis d’aménager concernant exclusivement l’environnement.

    Trop fort, non ?

    Et voilà comment la loi n’existe pas, n’est qu’un leurre destiné à ceux qui y croient, ne s’applique pas à tous également, peut-être tordue par ceux qui sont les bénéficiaires du coup d’Etat dont nous avons parlé hier : https://www.temoignagefiscal.com/le-coup-detat/

    Je vous déconseille quand même de vous délivrer à vous-même un permis d’aménager ou de construire. Suivre l’exemple de la mairie de La Rochelle est risqué, même si vous pouvez arguer du fait que, chez vous, vous êtes compétant pour toute décision d’aménagement aussi surement que la mairie de la Rochelle l’est chez elle.

    Bien à vous. H. Dumas

    http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/a-la-rochelle-la-ville-realise-un-chantier-de-5-m-sans-permis-d-amenager-valide.html

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  6. Euros inutilisables Carte vitale: quand la sécu fait disparaître les fraudeurs


    11:30 15.02.2020
    Par Maxime Perrotin


    La Direction de la Sécurité sociale avance le nombre de 609.000 cartes Vitale en trop circulant en France. Annonce qui survient deux jours après que sa directrice ait admis, sous serment devant le Parlement, l’existence de 2,6 millions de cartes Vitale surnuméraires. Retour sur un miracle administratif qui masque un tabou français.

    Certains multiplient les pains, d’autres divisent les fraudeurs. Mathilde Lignot-Leloup, à la tête de la direction de la Sécurité sociale (DSS), a admis mardi 11 février, devant la Commission parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, qu’«environ» 2,6 millions de cartes Vitale en trop étaient en circulation dans l’Hexagone. En somme, une carte Vitale sur douze en France serait potentiellement utilisée par un fraudeur.

    «Nous sommes en train de poursuivre les travaux avec l’ensemble des régimes d’assurance maladie pour faire en sorte d’expliquer les raisons de cet écart, lorsqu’elles se justifient et le cas échéant de réduire ces écarts», a développé la haute fonctionnaire, sur un ton laconique, devant les députés.

    Visiblement pas très à l’aise sur cette thématique, Mathilde Lignot-Leloup, qui venait de prêter serment, évoque les progrès établis ces dernières années par la DSS avec le renforcement des «outils juridiques» pour mieux «détecter et lutter» contre la fraude sociale et souligne le «travail» encore «en cours pour réduire» l’«écart, à fin 2019, de 2,6 millions» entre le nombre de cartes et celui d’ayants droit, insistant à plusieurs reprises sur le fait que ses chiffres sont éloignés de ceux du rapport d’enquête parlementaire.

    Un rapport, corédigé par la sénatrice UDI Nathalie Goulet et la députée LREM Carole Grandjean, publié début en septembre 2019, où le nombre de cartes Vitale surnuméraires (différence entre le nombre de cartes Vitale valides et le nombre d’assurés) s’élevait à 5,2 millions, c’est-à-dire exactement deux fois plus que le chiffre avoué par la directrice de la Sécu.

    «Cela représente 8,75% des cartes» vitales, remarquait Patrick Hetzel, député Les Républicains (LR) de la 7e circonscription du Bas-Rhin et Président de la Commission parlementaire. Ce dernier rappelle que l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l’Inspection générale des finances (IGF) avaient, en 2013, estimé dans un rapport conjoint à 8 millions le nombre de cartes actives en trop dans le pays.

    Ce nombre de 2,6 millions de cartes Vitale en trop, avancé par la directrice de la Sécurité sociale, s’avère donc jusqu’à présent être le plus optimiste concernant l’ampleur d’une fraude dont la note pour les comptes publics pourrait s’avérer particulièrement salée.

    «Si je vous suis, avec 2,6 millions de cartes actives en trop, on arrive à 4,5% de cartes actives en trop, ce qui sur 200 milliards de prestations servies correspond à 9 milliards de fraude [potentielle, ndlr]. Quelque part, vous êtes d’accord avec ce chiffre», lançait Michel Zumkeller à la directrice de la sécurité sociale.

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  7. Le député UDI de la 2e circonscription du Territoire de Belfort, lors de sa question, reprenait la règle de trois déjà utilisé par la Cour des comptes dans son rapport. «La carte en elle-même ne permet pas de bénéficier de prestations d’assurance maladie supplémentaires», balaiera Mathilde Lignot-Leloup, ne partageant pas cette analyse liant automatiquement un «montant de prestations et de fraudes» à un «écart technique à un moment donné» entre le nombre de cartes et celui de bénéficiaires légitimes.

    Pourtant, l’estimation de la fraude de Michel Zumkeller n’est pas si importante. Charles Prats évoquait «potentiellement 14 milliards d’euros» de fraude par an par les personnes nées à l’étranger. Ce magistrat, spécialiste de la lutte contre la fraude fiscale et sociale, s’appuyait sur les conclusions de la Police aux Frontières (PAF) et de l’INSEE pour avancer un taux statistique de fraudes sur le fichier des personnes nées à l’étranger (NIR) qui s’élèverait à 10,4%.

    Il faut pourtant croire que cette évaluation, particulièrement basse par rapport aux autres estimations données jusqu’à présent du nombre de fraudeurs potentiels aux prestations sociales, était encore trop élevée. 48 h après cette audition qui a fait les choux gras de la presse, la DSS a, par voie de communiqué de presse, avancé un tout autre chiffre. Selon ce document, que le président de la commission Patrick Hetzel a retwitté, le nombre de cartes surnuméraires serait très précisément de 609.000 fin 2019… soit deux millions de moins que le montant annoncé –sous serment– par la directrice de cette même DSS.

    Entre tabou et aveu de faiblesse

    Il faut dire que le dossier, sur la table depuis des années, est particulièrement embarrassant pour les services de l’État. Au-delà du seul aveu d’échec, il s’avérerait être un aveu de laxisme, voire de complaisance à l’égard d’un phénomène bien connu et identifié.

    Politiquement, comment justifier qu’en France, pays où les contribuables subissent la plus forte pression fiscale au monde, l’administration ne soit pas en mesure de stopper une telle hémorragie? Rappelons que la réforme actuelle des retraites est motivée, selon le gouvernement, par les chiffres du Conseil d’orientation des retraites (Cor) qui estime à entre 8 et 17 milliards le déficit du régime de retraite en 2025.

    La fraude sociale est sans nul doute un tabou en France, où il est politiquement d’usage de pointer du doigt des patrons ou des contribuables peu scrupuleux pour expliquer le déficit du système social tricolore. Par exemple, sur le site aide-sociale.fr, on retrouve une infographie visant à démonter certaines idées reçues et où les montants des fraudes au RSA, arrêts maladie et prestations familiales sont respectivement comparés au montant des fraudes à l’Impôt sur les sociétés (IS), aux cotisations sociales (salaires non déclarés) et à l’Impôt sur le revenu (IR).

    Sauf que contrairement aux fraudes à l’IS, aux cotisations et à l’IR –qui sont le fait d’individus cachant leurs revenus– aboutissant à un manque de rentrées d’argent dans les caisses de l’État, la responsabilité de cette fraude aux prestations sociales incombe cette fois directement aux services de l’État, qui n’ont su contrôler les sorties d’argent de leurs caisses.

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  8. Une attitude tant de hauts fonctionnaires que de responsables politiques, une désinvolte à l’égard de la gestion de l’argent des Français, que dénonçait à notre micro Eudes Baufreton, délégué général de Contribuables associés.

    «J’ai entendu dire, à plusieurs reprises, qu’il y avait tout un business de Cartes vitales. Des gens qui n’étaient pas assurés louaient pour la journée une carte vitale afin de bénéficier de toutes les prestations auprès des professionnels de santé. La location était entre 100 et 150 euros la journée, me disait-on», relatait-il.

    Nous l’interrogions à l’époque de la publication du fameux rapport de Nathalie Goulet et de Carole Grandjean, qui s’attardait notamment sur certains errements de l’administration en matière de contrôle, comme le simple fait que l’on retrouvait dans ses fichiers 3,1 millions de centenaires. Un chiffre s’expliquant en partie par les difficultés de récupération par les autorités françaises des actes de décès d’ayant-droits vivant à l’étranger, ou encore par la non-déclaration des décès par les familles des défunts.

    https://fr.sputniknews.com/france/202002151043070614-carte-vitale-secu-disparaitre-fraudeurs/

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  9. La Chine se désintègre: demande d'acier, ventes de propriétés, trafic proche de zéro


    par Tyler Durden
    Ven., 14/02/2020 - 16:05


    Dans nos efforts continus pour glaner un aperçu objectif de ce qui se passe réellement "sur le terrain" dans la Chine notoirement opaque, dont l'économie a été ébranlée par l'épidémie de coronavirus, nous avons montré hier plusieurs indicateurs économiques "alternatifs" tels que des mesures en temps réel de la pollution atmosphérique (indicateur de la production industrielle), de la consommation quotidienne de charbon (indicateur de la consommation et de la fabrication d'électricité) et des niveaux de congestion du trafic (indicateur du commerce et de la mobilité), avant de conclure que l'économie chinoise semble s'être arrêtée.

    Cette conclusion a été cimentée après avoir examiné d'autres graphiques en temps réel qui suggèrent qu'il existe une très forte probabilité que le PIB de la Chine au premier trimestre non seulement se stabilise, mais cratère profondément dans le rouge pour une raison simple: aucune activité économique n'a lieu quoi que ce soit.

    Nous commençons par les investissements dans les infrastructures et les immobilisations de la Chine, qui représentaient jusqu'à récemment l'essentiel du PIB chinois. Comme l'écrit Goldman dans un rapport du jour au lendemain, au cours de la semaine du 7 au 13 février, la demande apparente d'acier a chuté de 40%, mais ce n'est que parce que l'acier plat n'a baissé "que" de 12% en glissement annuel, car certaines usines de voitures ont commandé leur employé de retourner au travail (probablement contre leur volonté car l'épidémie fait toujours rage).

    - voir graphique sur site -

    Cependant, c'est le secteur de l'acier de construction beaucoup plus important - pour le PIB chinois - où la demande apparente a littéralement atteint le bas du graphique, en baisse de 88% en glissement annuel ou, comme le dit Goldman, "la demande d'acier de construction approche de zéro. "

    - voir graphique sur site -

    Mais attendez, il y a plus.

    Avec la permission de Capital Economics, qui a compilé une ventilation pratique des indicateurs de la Chine en temps réel, nous pouvons voir à quel point l'ampleur de l'accident dans l'économie chinoise a été généralisée, à commencer par un indicateur familier, la congestion routière moyenne dans 100 villes chinoises, qui s'est effondré dans la nouvelle année et n'a depuis lors pas rebondi.

    - voir graphique sur site -

    Congestion routière moyenne dans 100 villes de Chine

    Parallèlement à cela, le trafic quotidien de passagers s'est également stabilisé depuis le nouvel an et n'a pas encore enregistré un rebond même modeste.

    - voir graphique sur site -

    Trafic passagers quotidien

    Et le plus grand choc: un effondrement total du trafic passagers (mesuré en changement de personnes-km y / y%), principalement en raison de la quarantaine imposée à des centaines de millions de citoyens chinois.

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  10. - voir graphique sur site -

    Trafic passagers (km / personne,% a / a)
    Et bien que nous ayons déjà noté la chute de la consommation de charbon dans les centrales électriques alors que la consommation d'électricité en Chine s'est cratérisée ...

    - voir graphique sur site -

    Consommation de charbon dans les centrales électriques

    ... ce qui est peut-être le plus frappant, c'est la dévastation à laquelle est confronté le secteur immobilier chinois où les ventes de propriétés dans 30 grandes villes ont pratiquement gelé.

    - voir graphique sur site -

    Ventes quotidiennes de propriétés dans 30 grandes villes (en milliers d'unités)

    Enfin, et ce qui est peut-être le plus inquiétant, à mesure que l'effondrement des cratères économiques et des chaînes d'approvisionnement internes, les prix des denrées de base quotidiennes comme la nourriture montent en flèche alors que la Chine fait face non seulement à l'effondrement économique, mais aussi à la flambée des prix des biens essentiels, tels que les aliments, comme indiqué dans le commerce de gros. graphique de l'indice des prix des denrées alimentaires ci-dessous ...

    - voir graphique sur site -

    Indice des prix de gros des aliments

    ... ce qui dans une nation de 1,4 milliard est un mélange catastrophique.

    Alors que la pandémie de coronavirus se propage sans confinement, et que les graphiques ci-dessus continuent de se stabiliser, l'économie chinoise aussi, ce qui signifie que non seulement la vision draconienne de Goldman de ce qui arrive au PIB du T1 est probablement optimiste, car la Chine fait maintenant face à une chute brutale du PIB du T1 ...

    - voir graphique sur site -

    ... mais toute attente d'une récupération en forme de V au T2 et au-delà se vaporisera plus rapidement qu'un flacon de virus ultra-biologiques dans un laboratoire de virologie de Wuhan.

    https://www.zerohedge.com/economics/china-disintegrating-steel-demand-property-sales-traffic-all-approaching-zero

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  11. La géopolitique des armes biologiques, partie 1: un aperçu factuel utile et opportun


    par Tyler Durden
    Ven, 14/02/2020 - 23:45
    Écrit par Larry Romanoff via GlobalResearch.ca,


    Le gouvernement américain et ses nombreuses agences et établissements d'enseignement et de santé mènent depuis de nombreuses décennies des recherches intensives sur la guerre biologique, dans de nombreux cas fortement axées sur les agents pathogènes spécifiques à la race.

    Dans un rapport au Congrès américain, le ministère de la Défense a révélé que son programme de création d'agents biologiques artificiels comprenait la modification de virus non mortels pour les rendre mortels et le génie génétique pour modifier l'immunologie des agents biologiques afin de rendre le traitement et les vaccinations impossibles. Le rapport militaire a admis qu'à l'époque, il exploitait environ 130 installations de recherche sur les armes biologiques, des dizaines dans des universités américaines et d'autres sur de nombreux sites internationaux en dehors de la compétence du Congrès américain et de la juridiction des tribunaux.

    Cette connaissance n'est plus un secret depuis longtemps. Dans un rapport classifié de 1948 du Comité du Pentagone sur la guerre biologique, le principal argument de vente était que:

    «Un pistolet ou une bombe ne laisse aucun doute qu'une attaque délibérée a eu lieu. Mais si… une épidémie déferle sur une ville surpeuplée, il n'y a aucun moyen de savoir si quelqu'un a attaqué, et encore moins qui », ajoutant en espérant qu'« une partie importante de la population humaine dans les zones cibles sélectionnées pourrait être tuée ou neutralisée »avec seulement de petites quantités d'un agent pathogène.

    Un manuel d'exploitation de l'armée américaine datant de 1956 déclarait explicitement que la guerre biologique et chimique faisait partie intégrante de la stratégie militaire américaine, n'était soumise à aucune restriction et que le Congrès avait donné à l'armée la «première frappe» sur son utilisation. En 1959, une tentative du Congrès de retirer cette autorisation de première frappe a été vaincue par la Maison Blanche et les dépenses en armes biochimiques sont passées de 75 millions de dollars à près de 350 millions de dollars. C'était une énorme somme d'argent au début des années 1960.

    Le secrétaire américain à la Défense, Robert McNamara, a exécuté 150 programmes d'armes biologiques ultra-secrets dans les années 1960, réalisant des expériences et des essais sur le terrain avec un public inconscient, parfois dans des pays étrangers mais le plus souvent contre des citoyens américains. McNamara a ordonné aux chefs d'état-major interarmées "d'envisager toutes les applications possibles" de ces agents contre les nations ennemies dans un plan cohérent pour une "capacité de dissuasion biologique et chimique totale", le plan comprenant des estimations de coûts et une "évaluation des conséquences politiques internationales".

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  12. En 2000, The Project for the New American Century a produit un rapport intitulé «Rebuilding America’s Defenses», qui contenait une ambition politique radicale et belligérante de droite pour l’Amérique. Leur rapport se qualifiait de «plan directeur pour maintenir la prééminence mondiale des États-Unis… et façonner l'ordre de sécurité internationale conformément aux principes et aux intérêts américains». Les auteurs, leur mentalité génocidaire évidente, ont déclaré:

    «Les formes avancées de guerre biologique qui peuvent« cibler »des génotypes spécifiques peuvent transformer la guerre biologique… en un outil politiquement utile.»

    L’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’armée américaine à Fort Detrick, dans le Maryland, est le principal centre de recherche militaire sur la guerre biologique. Il comprend 80 000 m². Au milieu des années 80, cette section des armes biologiques de Fort Detrick recevait près de 100 millions de dollars par an, et ce n'était qu'une des nombreuses sections.

    Lorsque le Japon a envahi la Chine, l'un des grands succès du Dr Ishii (unité 731) a été de développer des méthodes de production de masse de puces et de tiques infectées par la peste et d'autres agents pathogènes mortels pour la distribution parmi les populations civiles - c'est ainsi que les Américains ont appris à armer les insectes - d'élever et de disséminer des tiques infestées par la maladie de Lyme à partir de leur laboratoire secret de germe de Plum Island dans l'État de New York. C'était également la source des programmes américains d'élevage et de dissémination des moustiques et des puces infectés par le choléra et la fièvre jaune en Chine et en Corée du Nord, sans parler des programmes de moustiques domestiques que les États-Unis ont infligés à leur propre population.

    Fondée sur la recherche humaine d'Ishii, l'armée américaine a développé une installation de guerre entomologique (insecte) et a initialement préparé des plans pour attaquer la Russie et les États soviétiques avec des armes biologiques entomologiques. L'installation a été conçue pour produire 100 millions de moustiques infectés par la fièvre jaune par mois, sa production a été testée sur des civils américains involontaires en déposant des moustiques infectés et d'autres insectes sur de grandes parties des États-Unis. Comme c'est typique de l'armée américaine, ces projets commençant dans les années 1950 et 1960 ont reçu des appellations juvéniles comme «Project Big Buzz» et «Project Big Itch» et «Operation Mayday», mais étaient des tests de faisabilité de la production de milliards d'insectes , les infectant avec des agents pathogènes mortels, puis les chargeant dans des munitions et les dispersant sur la Russie à partir d'avions ou même de missiles.

    D'après un rapport de l'armée américaine de mars 1981, un écrivain a noté que «vous pouvez vous étonner de combien (ou combien) il aurait fallu lancer une attaque de moustiques infectés par la fièvre jaune sur une ville - avec un« coût par mort » "Tableau inclus!" L'incident de Dugway Sheep mérite également attention.

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  13. Ensuite, nous avons eu l'«Opération Drop Kick», conçue pour tester différentes façons de disperser les insectes infectés sur de grandes zones géographiques, les tests effectués dans diverses parties du continent américain, y compris la plupart de la côte Est. Nous avions le «Projet SHAD (Shipboard Hazard and Defense). Puis, jusqu'en 2000, nous avions conçu le «Projet Bacchus» pour déterminer la faisabilité de construire une installation de production d'anthrax dans un pays étranger tout en restant non détecté. Il y avait bien sûr d'autres de ces programmes, tous avec des noms insensés et tous conçus pour évaluer la dissémination d'insectes infectés et d'autres agents pathogènes mortels dans les populations civiles. Ils ont été gardés très secrets car ils étaient illégaux en droit interne et contrevenaient au droit international et à de nombreux traités sur les armes que d'autres nations ont signés de bonne foi avec les États-Unis.

    En plus de Fort Detrick, l'armée américaine a une usine de munitions pour armes biologiques à Vigo, dans l'Indiana, qui était une installation de production massive spécialisée dans les agents pathogènes biologiques, et capable de produire 275 000 bombes contenant du botulinum ou un million de bombes à charbon par mois. Les cuves de fermentation de Vigo contenaient 250 000 gallons, soit environ un million de litres, ce qui en fait, selon les rapports, de loin la plus grande installation de production de masse bactérienne au monde.

    Ce n'était pas une évolution récente; Vigo était pleinement opérationnel pendant la Seconde Guerre mondiale, essentiellement une usine de bio-anthrax, l'une de ses premières commandes provenant de Winston Churchill en 1944 pour 500 000 bombes au charbon, et qui, selon Churchill, ne devrait être considérée que comme le «premier versement». Vigo a finalement été confiée à Pfizer pour la «fabrication d'antibiotiques» et a été remplacée au milieu des années 1950 par une nouvelle installation ultramoderne à l'arsenal de Pine Bluff.

    Le Daily News a publié un article le 24 septembre 2005, dans lequel il détaillait les plans de l'armée américaine pour l'achat en gros d'anthrax, relatant une série de contrats découverts par Edward Hammond, directeur du Sunshine Project, qui émanaient de l'armée Dugway Proving Terrain en Utah. Ces avis demandaient à diverses sociétés de soumissionner pour la production de grandes quantités d'anthrax, ainsi que pour produire des «volumes importants» d'autres agents biologiques. Un contrat précisait que la société soumissionnaire «doit avoir la capacité et la volonté de cultiver (charbon) en quantités de 1 500 litres» et «doit également être capable de produire des lots de 3 000 litres» d'autres agents biologiques non spécifiés.

    Lorsque les forces armées d'un pays produisent des agents pathogènes biologiques mortels en quantités de millions de litres, il est temps de cesser de prétendre que nous ne sommes pas engagés dans une guerre biologique. Il n'est pas rassurant que l'armée puisse prétendre qu'il s'agit de souches d'agents pathogènes «inoffensives», car (1) toute installation capable de produire des agents pathogènes bénins peut facilement produire des variétés mortelles et (2) il n'y a rien de tel que l'anthrax «inoffensif» .

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  14. Il n'y a pas de différence matérielle entre un programme de guerre biologique défensif et offensif, et même les imbéciles ne peuvent pas prétendre à la «légitime défense» lorsqu'ils produisent des millions de litres d'anthrax. Même le Government Accountability Office des États-Unis, dans son rapport de 1994 sur ces programmes, a déclaré que le programme de défense biologique de l'armée américaine contenait «des dizaines de divisions, de départements, de groupes de recherche, de bio-intelligence et plus encore, en aucun cas tous liés à la« défense »dans aucun sens », et étaient par nature des programmes militaires belligérants et offensifs. Nous sommes néanmoins assurés que les États-Unis «n'ont jamais utilisé d'armes biologiques», par les mêmes personnes qui soumissionnaient simultanément des contrats pour la production d'anthrax et d'autres «agents pathogènes» en plusieurs lots de 3 000 litres. Il est impossible d'éviter la dissimulation de la propagande en Amérique, même dans les manuels médicaux militaires officiels.

    Outre Fort Detrick, d'autres sites et installations ont été construits par l'armée américaine uniquement pour le développement d'armes biologiques, notamment la station d'essai de Horn Island au Mississippi, qui devait être le principal site d'essais d'armes biologiques, et l'île Plum. Germ Laboratory dans l'État de New York d'où les militaires ont propagé la maladie de Lyme à la moitié de la population de la région.

    Une partie de l'installation de Plum Island a été conçue exclusivement pour développer et tester des agents pathogènes animaux mortels qui pourraient détruire l'approvisionnement alimentaire d'un pays ennemi - comme les États-Unis ont tenté de le faire en Corée du Nord. Des souches mortelles de fièvre aphteuse ont été l'un des résultats de cette recherche, que les Américains ont ensuite partagée avec leurs collègues psychopathes de Porton Down au Royaume-Uni - qui l'ont mise à profit. Une partie supplémentaire était le développement, les tests et la production de bombes contenant ce qu'on appelait un «acide tueur de légumes», et qui pourraient détruire les céréales, les céréales et la plupart des cultures maraîchères cultivées. Je soupçonne fortement que bon nombre des récentes épidémies de grippe aviaire et de grippe porcine proviennent de pathogènes créés à Plum Island.

    Le manuel intitulé Medical Aspects of Biological Warfare (2007), publié par le Surgeon-General de l'armée américaine, admet la création d'une «usine de production à grande échelle à Pine Bluff, Arkansas», avec la nouvelle usine dotée d'un «laboratoire avancé… mesures permettant la fermentation à grande échelle, la concentration, le stockage et l'armement des micro-organismes ».

    Et il admet également qu'en 1951, les États-Unis avaient produit leurs premières armes biologiques, bombes anti-récolte et munitions «antipersonnel», ayant «militarisé et stocké» tout cela. Il ajoute que la CIA avait indépendamment "développé des armes utilisant des toxines, notamment du venin de cobra et de la saxitoxine pour des opérations secrètes", mais que malheureusement "tous les dossiers concernant leur développement et leur déploiement ont été détruits en 1972" lorsque les informations sont devenues publiques.

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  15. Et l'armée américaine a tenté d'armer les maladies vénériennes, conduisant à des travestissements comme le projet Guatemala Syphilis, où ils ont infecté des milliers de personnes puis les ont laissées pour mort. Le récit officiel, tout en admettant la criminalité, adhère obstinément à l'histoire d'un but caritatif de tester des médicaments - pour des milliers de personnes qui se sont vu refuser spécifiquement les médicaments qui auraient pu leur sauver la vie.

    L'armée américaine semble désespérée non seulement de trouver des moyens biologiques de tuer des nations, mais elle s'intéresse également aux méthodes de destruction de leur approvisionnement alimentaire. En conséquence, il a également avoué plusieurs dizaines (au moins) occasions où des agents dévastateurs des maladies des cultures et des plantes avaient été libérés, lors d'expériences visant à tester des méthodes de destruction de toute la vie végétale vivrière d'une nation ennemie. En 2012, les médias japonais ont révélé que le gouvernement des États-Unis avait testé des armes biologiques spécifiques tueuses de cultures génétiquement modifiées à ADN à Okinawa et à Taïwan dans les années 1960 et au début des années 1970, et que l'armée américaine en avait également testé certaines sur le continent américain. Ils ont également été appliqués au Vietnam. L’agent Orange n’a jamais été aussi défoliant qu’on l’avait prétendu, mais s’est plutôt développé pour détruire la totalité des cultures de riz du Vietnam et contaminer suffisamment le sol pour empêcher sa repousse.

    This is Part 1 of a 3 Part article.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/geopolitics-biological-weapons-part-1-useful-and-timely-factual-overview

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  16. Les alarmistes du réchauffement climatique doivent revoir leur copie


    le 15 février 2020


    L’estimation des températures passées, au cours des dix mille dernières années, ont été largement et systématiquement surestimées en utilisant les « proxys » liés à l’évaporation différentielle entre l’eau contenant un oxygène-16 et l’eau contenant un oxygène-17 ou la présence de composés plus enrichis que la normale en carbone-13. Il en est de même en étudiant les pollens emprisonnés dans des sédiments car on est alors confronté à des conditions locales de pluviométrie, de régimes des vents et d’autres paramètres difficiles à calibrer. Pour reconstituer une évolution des températures au cours des millénaires passés il existe cependant un « proxy » qui a été très précisément calibré par une équipe de paléo-climatologues de l’Université Sun Yat-sen à Guangzhou en Chine. Il s’agit de constituants des parois bactériennes appelés dialkyl-glycerol-tetraethers provenant de bactéries acidophiles que l’on peut retrouver dans les sédiments des lacs ou les sédiments marins. Ces bactéries vivent dans le sol et sont lessivées par les précipitations pour se retrouver ensuite dans les sédiments lacustres ou marins. Selon l’hygrométrie et la température, des changements structuraux subtils ont pu être identifiés en procédant à des analyses détaillées des diverses familles de molécules de cette classe. En bref, si la « météorologie » est plus humide il y a plus de cyclisation de certaines parties de ces molécules complexes et si la température est plus élevée ces mêmes édifices moléculaires sont soumis à une méthylation plus intense. Ces découvertes récentes ont été très finement calibrées par cette équipe chinoise à la suite d’analyses de plus de 200 carottages de sédiments lacustres et de rivières disséminés sur la totalité du sol du territoire chinois. Rapprochant ces résultats issus d’une très haute technologie d’analyse moléculaire des chroniques relatives aux évènements climatiques puis des relevés beaucoup plus scientifiques des diverses stations météorologiques également disséminées sur le territoire de la Chine, ces infimes variations moléculaires ont pu être calibrées pour remonter finalement à une évaluation très précises des températures et des régimes pluviaux prévalant au cours des dix mille dernières années (lien ci-dessous dans le texte).

    C’est ce qu’une équipe de paléo-climatologues de l’Université scientifique de Lyon et de l’Ecole normale supérieure de la même ville a appliqué au carottage des sédiments d’un petit lac du Velay en France qui présente tous les avantages pour qu’une telle étude aboutisse à une évaluation incontestable de l’évolution des températures au cours des dix mille dernières années. Il faut ici faire quelques précisions pour bien comprendre de degré de difficulté de ce type d’approche. Le lac de Saint-Front près du Mont Mezenc, un lac de type volcanique de cratère, petit – 500 mètres de diamètre – mais d’une profondeur évaluée à une centaine de mètres offre tous les avantages d’une telle étude car ses eaux proviennent surtout de sources profondes et les eaux de ruissellement apportant les bactéries des sols environnants, objet de cette étude, ne sont pas prédominantes. Il n’a donc pas été nécessaire de procéder à une multitude d’ajustements ou de corrections pour atteindre un résultat qui au final aurait pu être contestable.

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  17. On peut honnêtement dire que les travaux réalisés sous la direction du Docteur Ménot de l’Université de Lyon et de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon ne sont entachés d’aucun biais contestable.

    Qu’a mis en évidence cette étude ?

    - voir graphique sur site -

    De l’article publié dans les Quarternary Science Reviews aimablement communiqué par le Docteur Ménot j’ai tiré le graphique ci-dessus qui mérite quelques explications pour être compréhensible aux néophytes dont je fais partie. Le cadre général est exprimé en milliers d’années avant le présent, c’est-à-dire que plus on est à la droite du graphique plus on remonte dans le temps. Juste au dessus de l’échelle de temps sont représentés les avancées et les reculs des glaciers alpins. Les zones hachurées représentent l’occupation humaine autour du lac de St-Front et entre 8000 et 11000 ans la forte abondance de pollens de noisetier (Corylus) aussi appelé coudrier. De haut en bas le graphe I est une reconstitution des températures annuelles moyennes à l’aide des pollen par deux techniques de calcul : WAPLS (Weighted Averaging Partial Least Square) et MAT (Modern Assemblage Technique) avec les marges d’incertitude figurées par les courbes en pointillé ou la zone verte respectivement. La reconstitution des températures annuelles moyennes est rendue possible en se reportant à une banque de données établie à l’échelle mondiale à partir de dizaines de milliers d’échantillons de pollen.

    Dans la partie inférieure du graphique figure une reconstitution des températures moyenne à partir de l’analyse fine des dialkyl-glycerol-tetraethers d’origine bactérienne en considérant les taux de méthylation (MBT) ou de cyclisation (CBT) de ces empreintes de parois bactériennes. Les curieux peuvent lire l’article relatif à ce sujet ( https://doi.org/10.1038/s41598-019-39147-9 ).

    https://www.nature.com/articles/s41598-019-39147-9

    L’incertitude est exprimée par la plage colorée. La courbe située en dessous représente la différence entre les deux techniques, pollens ou bactéries ayant permis de reconstituer les températures annuelles moyennes de l’air (?MAAT). Il existe une concordance satisfaisante entre ces deux approches jusque vers 8500 ans avant le temps présent.

    Toutefois, ces deux dernières courbes conduisent à une information supplémentaire qui n’apparaît pas clairement avec la reconstitution des températures moyennes annuelles à l’aide des grains de pollens. Cette information est la chute relative des températures correspondant à des épisodes de refroidissement généralisé du climat symbolisés par les barres verticales bleues. Il s’agit dans l’ordre, en remontant dans le temps de la période froide après la chute de l’Empire romain correspondant aux grandes invasions suivie (toujours en remontant dans le temps) de l’épisode froid à la fin de l’optimum climatique romain qui provoqua cette chute de l’Empire romain. Puis la période froide de l’âge du fer, puis vers 4000 et 6000 ans avant le temps présent deux épisodes froids bordant l’optimum climatique mycénien et enfin divers évènements de refroidissement général des températures identifiés aussi bien en Europe qu’en Chine. Si cet intervalle de temps correspond à une période interglaciaire il est important de rappeler ici que l’insolation moyenne en juillet a toujours eu tendance à diminuer depuis 10000 ans passant de 510 à 490 Watts par m²à la latitude de 45°N.

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  18. Depuis la fin du Dryas récent, c’est-à-dire la fin de la grande glaciation qui sévit sur l’Europe et d’autres régions du monde pendant près de 100000 ans, après une remontée brutale des températures favorisant la fonte des calottes glaciaires qui, puisqu’on se trouve dans la région lyonnaise, atteignaient la ville de Lyon, ces mêmes températures n’ont cessé de diminuer jusqu’à nos jours et l’analyse fine de ces dialkyl-glycerol-tetraéthers bactériens l’a montré sans ambiguïté. Depuis la fin du Dryas récent, c’est-à-dire depuis le début de l’Holocène, après un accroissement considérable des températures moyennes ayant provoqué la fonte des calottes glaciaires continentales ces températures n’ont cessé de chuter. Ce résultat contredit ce que les climatologues affirment, à savoir que la planète entière entre à nouveau dans une ère de réchauffement. Tout au contraire cette même planète se trouve vivre la fin d’une ère interglaciaire qui débuta au cours du Dryas récent et apporta des températures clémentes et une pluviométrie favorable ayant contribué à l’apparition de l’agriculture au Moyen-Orient et en Chine, l’abondance des récoltes, la création des villes, de l’écriture, en un mot la civilisation telle qu’on la connaît aujourd’hui.

    Source et illustrations : https://doi.org/10.1016/j.quascirev.2019.106109

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/02/15/les-alarmistes-du-rechauffement-climatique-doivent-revoir-leur-copie/

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    1. Ces '100 000 ans' de glaciation correspondent en l'arrivée brutale d'une masse de glace de l'atmosphère intersidéral sur la boule ferrique incandescente. Puis, fonte des glaces et formations des mers & océans.

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  19. Coronavirus: la quarantaine concerne aussi les billets de banque en Chine



    16:38 15.02.2020



    Afin de contrecarrer la contamination du coronavirus par des objets, les billets de banque chinois devront subir une désinfection avant d’être placés en isolement, indique la Banque centrale chinoise. La période de quarantaine durera de 7 à 15 jours en fonction de la région touchée par l’épidémie.

    Tandis que l’épidémie au coronavirus Covid-19 continue à se propager dans le monde, et en particulier en Chine, ce pays décide de mettre les billets de banque utilisés en quarantaine, a annoncé la Banque centrale chinoise (PBOC) citée par Euronews.

    Bien que le nouveau coronavirus ne puisse pas survivre sur les colis envoyés de Chine, on ignore combien de temps il peut rester vivant sur les surfaces, a indiqué l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Selon les premières informations, le virus reste actif pendant quelques heures ou plus hors de l’organisme humain.

    Les billets concernés se font désinfecter par des rayons ultraviolets ou par de hautes températures avant d’être placés en isolement pendant une ou deux semaines, a indiqué Fan Yifet, vice-gouverneur de la PBOC. Cette période dépendra de la gravité de la crise dans chaque région, a-t-il précisé.

    Une fois la quarantaine terminée, les billets de banque seront remis en circulation.

    «Nous devons assurer la sécurité et la santé des utilisateurs d'argent», a annoncé Fan Yifei, justifiant l’instauration de la quarantaine pour les billets de banque.

    Nouveaux chiffres concernant l’épidémie

    À l’heure actuelle, plus de 60.000 cas d’infection ont été recensés, tandis qu’au moins 1.526 personnes sont mortes des suites de la nouvelle pneumonie à travers le monde entier.

    Près de 600 cas de contamination ont été confirmés dans une trentaine de pays et territoires hors de Chine continentale, dont un premier sur le continent africain annoncé le 14 février. Le premier décès en Europe a été enregistré en France ce 15 février, un touriste chinois de 80 ans. C’est la quatrième victime de la pneumonie Covid-19 hors de Chine continentale, notamment, aux Philippines, à Hong Kong et au Japon.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202002151043074979-coronavirus-la-quarantaine-concerne-aussi-les-billets-de-banque-en-chine/

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    1. Comme quoi leur planche-à-billets doit dater de l'époque où les billets étaient tailler dans la pierre ! Hahaha !

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  20. L'UE est désormais sourde à leur défaite à venir


    par Tyler Durden
    Sam, 15/02/2020 - 08:10
    Écrit par Tom Luongo via le blog Gold, Goats, 'n Guns,


    Yanis Varoufakis a un jour décrit les négociations avec l'Union européenne comme si vous chantiez l'hymne national suédois. Quelle que soit la proposition que vous leur présentiez, ils agissaient comme s'ils ne comprenaient pas et se contentaient de réitérer les termes.

    Mais, au moins, ils ont entendu quelque chose. Cela peut être du charabia pour eux, mais au moins des ondes sonores ont atteint leurs oreilles.

    Aujourd'hui, ces gens sont comme des enfants autistes débordés qui ont besoin d'un casque antibruit pour éliminer les stimuli indésirables. Cela peut être thérapeutique, mais cela ne résout pas la situation.

    Maintenant que le Brexit est terminé, l'UE est allée encore plus loin, bloquant le désavantage stratégique et tactique très réel dont elle fait preuve dans ses négociations avec le Royaume-Uni sur les accords commerciaux.

    L'arrogance et l'intransigeance de l'UE en matière de négociations sont censées être leur plus grande arme. Ils projettent une étrange combinaison de force et d'indifférence qui ne peut venir que de personnes complètement isolées de la responsabilité personnelle de leurs erreurs.

    Négociateur en chef, l'ineptique révélé, Michel Barnier a exposé sa position de négociation en utilisant le même langage qui a été complètement rejeté par le Premier ministre britannique Boris Johnson en octobre, le soi-disant «terrain de jeu égal» de «l'alignement réglementaire» comme le base pour tout type d’accord commercial.

    Barnier n'a-t-il rien appris de son dernier échec? Pense-t-il vraiment pouvoir se couvrir les oreilles, se recroqueviller dans le coin et espérer que tout cela disparaît?

    Parce que s'il le fait, alors il a catastrophiquement mal lu l'état du plateau de jeu.

    De plus, il a convaincu le Conseil européen et le Parlement que le moyen de gagner finalement est de continuer à faire les mêmes choses qui viennent d’échouer.

    Puisqu'ils ont approuvé à une écrasante majorité les strictes exigences de négociation de Barnier envers le Royaume-Uni, signalant en outre qu'ils n'ont aucune idée du nid du frelon, ils viennent juste de frapper avec une batte de baseball, inconscients du bourdonnement et des avertissements venant du Royaume-Uni.

    M. Barnier a déclaré: «Tout futur accord devra être approuvé par les députés européens. Le délai pour la période de transition peut être prolongé, mais le Royaume-Uni continue d'insister pour qu'un accord soit conclu d'ici le 31 décembre. »

    {Réponse de Tom: parce que c'est maintenant le Royaume-Uni Law Mike, ou avez-vous manqué ça aussi?}

    Il a de nouveau averti que s'il n'y a pas d'accord d'ici là, le Royaume-Uni quittera l'union douanière et le marché unique et reviendra aux conditions de l'OMC, ce qui signifie des quotas et des tarifs sur les produits britanniques.

    {Réponse de Tom: et alors quoi ? Vous avez tous un excédent commercial avec le Royaume-Uni ou êtes-vous économiquement ignorant et stupide ?}

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  21. Michel Barnier a déclaré: «Je voudrais saisir cette occasion pour dire clairement à certaines personnes au Royaume-Uni détenant l'autorité qu'elles ne devraient pas se moquer de cela - il n'y aura pas d'équivalence générale, ouverte et continue dans les services financiers. "

    L'UE «garderait les mains libres pour prendre nos propres décisions».

    {Réponse de Tom: libre d'ignorer la réalité à vos risques et périls}

    Barnier menaçant le secteur financier est une menace vide pour amener les banquiers et les commerçants de la ville de Londres à faire pression sur Johnson pour qu'il se retire. Ils ont été les plaignants les plus forts lors de la lutte contre le Brexit.

    Mais Johnson comprend quelque chose que Barnier refuse d'admettre, car, comme toujours, il n'écoute pas, il l'exige. Le Brexit a été remporté malgré Londres. Son pouvoir politique s'affaiblit.

    Sans le soutien des Midlands et du nord industriel évidé, Johnson n'est pas Premier ministre. Barnier a tenté pendant trois ans d'exploiter la ville de Londres et a échoué.

    Mesdames et messieurs, je vous donne Mike Barnier, marchant sur la machine à devis Einstein.

    Il s'agit d'une menace technocratique vide émise par un bureaucrate de carrière avec un sentiment exagéré de sa propre pertinence.

    Le Royaume-Uni détient tous les leviers de négociation ici et ils ont accéléré le calendrier tandis que Barnier est inconscient.

    Barnier a jusqu'à fin juin pour retirer son casque et laisser entrer dans son cerveau des informations qui correspondent à la réalité. L'effondrement du coup d'État Remain en octobre a été un message fort à l'UE selon laquelle ils sont vulnérables et que le schtick de Barnier est fatigué.

    Et à cause de cela, Boris Johnson a non seulement durci son ton, mais il est également allé plus loin qu'il ne l'a fait pendant la campagne électorale, affirmant que même un accord de libre-échange à la canadienne pourrait ne pas suffire.

    Il invoque maintenant l'Australie en tant que mandataire d'un «Brexit dur» de type OMC. Et tout ce que Barnier peut faire, c'est menacer les tarifs et la guerre commerciale. C'est exactement le genre d'idiotie dont les Britanniques viennent de se battre pendant trois ans et demi pour se séparer.

    Et cela vient d'un organe politique qui n'a aucun espoir de voter un budget cet automne lorsqu'une Allemagne politiquement paralysée prend la présidence de la Commission européenne. Un budget, je pourrais ajouter, qui se profile à un trou de 10 milliards d'euros grâce à la perte du Royaume-Uni.

    La possibilité de bouleversements politiques allemands entraîne un effondrement incontrôlé de l'euro. Après une remontée massive le dernier jour de janvier pour éviter une panne technique, l'euro ne flirte pas avec un crash au plus bas de 2017 à 1,034 $

    La crainte est ici une accélération rapide de la courbe des taux allemands qui est désormais plate à inversée à 7 ans. Pas étonnant que Mario Draghi ait redémarré le QE avant de faire exploser la ville pour laisser ce gâchis à Christine Lagarde, sans cela, il y aurait de réels problèmes sur les marchés européens de la dette souveraine.

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  22. Mais une désunion politique qui est sourde non seulement à ce que ses critiques externes lui disent, mais aussi à ses internes a une durée de vie limitée en termes d'investissement. Une fois que les traders auront cessé de faire avancer la BCE et que la faiblesse de l'euro forcera le dénouement des opérations de portage, à ce moment-là, quelqu'un devra taper Barnier sur l'épaule et lui dire d'écouter quelque chose d'approximative.

    À ce stade, pour être honnête, il sera probablement trop tard.

    Les élections irlandaises ont été une énorme réprimande de l'UE et de la manière dont elle a géré les négociations sur le Brexit. Ce fut vraiment embarrassant de voir le Sinn Fein fusionner le vote irlandais des eurosceptiques. Et pourtant, l'UE n'a rien appris parce qu'elle refuse d'écouter.

    Alors, que se passe-t-il lorsque nous nous réveillons un matin et qu'Angela Merkel n'est plus chancelière d'Allemagne, que les Gilets jaunes renversent Emmanuel Macron en France ou que Matteo Salvini remporte une élection instantanée italienne dans une cellule de prison à Rome?

    Entendront-ils alors les barbares populistes aux portes ou continueront-ils à se consoler des rêves de la Suède ?

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/eu-now-deaf-their-coming-defeat

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  23. Italie: Salvini fait face à un procès pour migrants "kidnappeurs"


    par Tyler Durden
    Sam, 15/02/2020 - 09:20
    Écrit par Soeren Kern via The Gatestone Institute,


    Le Sénat italien a voté pour priver l'ancien ministre de l'Intérieur Matteo Salvini de l'immunité parlementaire afin qu'il puisse faire face à des accusations d'enlèvement pour avoir refusé de permettre aux migrants de débarquer d'un navire dans un port de Sicile.

    Si Salvini, qui dirige le parti anti-migration de masse, La Lega (Ligue), est reconnu coupable, il risque une interdiction d'exercer une fonction politique et une peine pouvant aller jusqu'à 15 ans de prison. Il a déclaré qu'il avait agi dans l'intérêt national de l'Italie et que les charges retenues contre lui étaient politiquement motivées, visant à faire taire les critiques de la politique migratoire ouverte du pays.

    En vertu de la loi italienne, les ministres jouissent de l'immunité pour les mesures prises pendant leur mandat - à moins que le Sénat vote pour lever cette protection. Le 12 février, le Sénat italien a voté 152-76 en faveur de la levée de l'immunité de Salvini, après qu'une commission parlementaire le 21 janvier ait recommandé l'action.

    En décembre, la Cour des ministres de Catane (Sicile) a décidé que Salvini devait être inculpé d '"enlèvement aggravé" pour avoir privé 131 migrants à bord du navire des garde-côtes Gregoretti de leur liberté en refusant de leur permettre de débarquer. L'incident, qui s'est produit sur une période de quatre jours en juillet 2019, faisait partie de la politique de Salvini sur les «ports fermés» contre l'immigration illégale et une tentative pour forcer les États membres de l'UE à partager le fardeau des migrations massives.

    Plus de 600 000 migrants sont arrivés en Italie au cours des quatre dernières années. En vertu des règles de l'UE - connues sous le nom de règlement de Dublin - les migrants doivent demander l'asile dans leur pays d'arrivée, ce qui, pour des raisons géographiques, impose une charge excessive à l'Italie.

    Après que cinq autres États membres de l'UE ont accepté d'accueillir la plupart des migrants à bord du Gregoretti, Salvini le 31 juillet leur a permis de débarquer à Augusta, en Sicile, d'où ils ont été transférés à l'étranger.

    En septembre, le procureur sicilien Carmelo Zuccaro a déclaré que les accusations d'enlèvement contre Salvini étaient "sans fondement" et a recommandé qu'il soit acquitté de toutes les charges. La Cour des ministres a toutefois annulé Zuccaro, qui est désormais, paradoxalement, tenu de poursuivre Salvini, même s'il l'a déjà jugé innocent.

    Les accusations contre Salvini semblent faire partie d'une vendetta politique contre lui ainsi que son opposition à la migration de masse. Exemple: bien que la décision d'empêcher les personnes à bord du Gregoretti de débarquer en juillet 2019 ait été prise par Salvini en étroite coordination avec les hauts responsables du gouvernement italien, seul Salvini fait l'objet de poursuites.

    S'adressant au Sénat avant le vote pour lever l'immunité de Salvini, la sénatrice Lega Erika Stefani a présenté des documents montrant que le Premier ministre Giuseppe Conte, le vice-premier ministre Luigi Di Maio et le ministre de la Justice Alfonso Bonafede étaient tous profondément impliqués dans les discussions sur les Gregoretti. "Aucune position contraire n'a été prise par le Premier ministre Conte", a-t-elle déclaré. "Il y a eu un partage implicite et explicite de la position de Salvini ... Cela rend l'hypothèse d'une action individuelle du ministre Salvini totalement improbable."

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  24. La perspective d'une bataille juridique prolongée semble avoir dynamisé Salvini et l'a catapulté en mode campagne. Avant que le Sénat ne vote pour lever son immunité, Salvini a tweeté:

    "Si je dois aller au tribunal, je vais expliquer aux juges que défendre les frontières de mon pays et protéger les citoyens était mon devoir et, sereinement, je vais me rendre dans cette salle pour représenter des millions d'Italiens, parce que j'ai simplement fait ce qu'ils m'a demandé de faire: contrôler qui entre et qui quitte l'Italie. "

    Après le vote du Sénat, Salvini a tweeté: "Je n'ai rien à avoir honte. En effet, j'irai dans cette salle d'audience pour réaffirmer ce que j'ai fait. Je suis fier de ce que j'ai fait en tant que ministre." Il a également qualifié ses opposants politiques de véritables ravisseurs: "les ravisseurs de la démocratie".

    S'adressant à la télévision TG2, Salvini a ajouté:

    "Pendant mon mandat au gouvernement, nous avons réduit le nombre de morts en mer. Nous avons réduit les débarquements, les coûts et les problèmes pour les Italiens. J'attends un jugement impartial de la cour. Je me sens comme un vrai Italien, pas un criminel. J'ai défendu les frontières de mon pays. et la sécurité de mes enfants et des enfants de tous les Italiens. Je ne demande pas de médaille. Ils me donnent un procès. J'irai dans cette salle d'audience pour dire que défendre les frontières de mon pays est mon droit et mon devoir. "

    Salvini a fait face à des menaces juridiques supplémentaires. En août 2018, le procureur sicilien Luigi Patronaggio a accusé Salvini "d'enlèvement, d'arrestation illégale et d'abus de pouvoir" pour avoir empêché 150 migrants, pour la plupart érythréens, de quitter le navire de garde-côtes italien Diciotti, à moins que d'autres États membres de l'Union européenne n'aient accepté d'en accueillir certains.

    Après une impasse de six jours, le gouvernement italien a autorisé le 28 août 2018 les migrants à débarquer au port sicilien de Catane après que le Vatican, l'Albanie et l'Irlande ont accepté de les accueillir.

    En mars 2019, le Sénat italien a voté pour protéger Salvini de toute poursuite dans l'affaire Diciotti.

    Le 12 février 2020, le parquet de Milan a clos l'enquête sur Salvini pour avoir "diffamé" Carola Rackete, capitaine allemande de 31 ans d'un navire de sauvetage de migrants. Salvini a dénoncé Rackete pour avoir aidé l'immigration illégale, la traitant de "pirate" et de "hors-la-loi" et jurant de l'expulser d'Italie. L'avocat de Rackete, Alessandro Gamberini, a accusé Salvini d'avoir attisé la haine: "Nous avons déjà préparé le dossier contre le ministre Salvini".

    Entre-temps, le 26 février 2020, un comité sénatorial décidera s'il faut accuser Salvini de "kidnapping" 107 migrants à bord de l'Open Arms, un bateau d'une ONG espagnole en Sicile, entre le 14 et le 20 août 2019.

    Sans surprise, Salvini a comparé son harcèlement juridique à celui du président américain Donald J. Trump, qui a fait face à une multitude de poursuites visant à contester ses politiques. Salvini a tweeté:

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  25. "Moi comme Trump ? Il a encore quelques milliards et quelques années de plus, mais c'est une habitude de la gauche, partout dans le monde, d'essayer de gagner par des moyens judiciaires."

    Comme Trump, les problèmes juridiques de Salvini alimentent ses notes d'approbation. La Lega est désormais le parti politique le plus populaire d'Italie, avec un soutien électoral d'environ 30%, selon les sondages d'opinion. Des enquêtes indiquent que si l'Italie organisait des élections maintenant, Lega gagnerait une majorité avec ses alliés conservateurs.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/italy-salvini-facing-show-trial-kidnapping-migrants

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  26. Covid-19 Contagion - Un moment "sans précédent" pour notre planète hyper-connectée


    par Tyler Durden
    Sam, 15/02/2020 - 11:25
    Écrit par Chris Martenson via PeakProsperity.com,


    Il y a une raison pour laquelle nous avons redirigé une si grande partie de notre attention vers le reportage et la compréhension du roman coronavirus (covid-19) qui est originaire de Wuhan, en Chine, en décembre.

    Le cœur de notre approche est d'être des «penseurs de systèmes».

    «Apprenez à voir. Sachez que tout se connecte à tout le reste »

    ~ Leonardo Davinci

    Nous ne voyons pas l'économie comme un écosystème fermé à analyser et à comprendre tout seul. Il est lié aux flux d'énergie, en particulier au pétrole. Nous étudions donc ceux-ci également en vue de déterminer comment la diminution éventuelle des combustibles fossiles aura un impact sur un système économique qui dépend totalement de la croissance perpétuelle.

    Sans une planète saine, sans systèmes écologiques intacts et fonctionnels, rien n'a d'importance ni dans l'économie ni dans les marchés de l'énergie. Les deux ont un impact sur le monde écologique Et vice versa. Nous analysons et rapportons donc également l'environnement.

    C’est pourquoi nous sommes convaincus de prétendre que l’humanité est désormais confrontée à sa plus grande menace. Notre voie actuelle d'épuisement de nos ressources essentielles à un rythme accéléré dans la poursuite de «plus de croissance» est à la fois insoutenable et autodestructrice.

    Nous voici donc, avec une économie mondiale qui est très rentable mais pas résiliente. Il est merveilleux que Walmart ait trouvé un moyen de commander un nouveau tube de dentifrice en provenance de Chine, le deuxième étant retiré d'une étagère à Topeka, dans le Kentucky. Mais cela signifie qu'il n'y a pas de stockage profond sur lequel s'appuyer en cas de perturbation du statu quo. Aucun entrepôt stocké avec 12 mois de marchandises futures. Juste une chaîne d'approvisionnement brillamment compliquée de milliers de kilomètres de long qui doit fonctionner parfaitement pour que les choses continuent à fonctionner.

    À titre d'exemple qui nous rappelle ce point: nous avons appris lors du tremblement de terre de 2011 au Japon qu'une seule usine fabriquait un gel polymère nécessaire pour les batteries au lithium de forme irrégulière utilisées dans les smartphones et les iPod. Il n'y avait pas d'usine de sauvegarde.

    Nous avons observé de près au cours de cette énorme crise (qui a également déclenché la catastrophe nucléaire de Fukushima) que les sociétés d'électronique se sont précipitées pour trier leurs fournitures restantes et tenter de trouver de nouvelles sources. C'était très tactile et c'est parti. De vastes pans de l'industrie électronique alimentée par batterie se sont retrouvés dans un murmure consistant à simplement arrêter la production - le tout faute d'un gel polymère ésotérique.

    Oui, la façon la plus rentable de fabriquer ce gel était de tout ranger dans une seule usine. Mais cela n'avait aucun sens du point de vue de la redondance et de la résilience.

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  27. Et «avons-nous appris de cette expérience ? Nan.

    Chaîne d'approvisionnement Armageddon

    L'économie mondiale est plus interdépendante que jamais. Ses chaînes d’approvisionnement reposent sur un vaste réseau de dépendances avec de nombreux «points de défaillance uniques» répartis le long de ses nombreuses succursales.

    Quelqu'un peut-il prédire ce qui se passera ensuite ? Non.

    Mais nous constatons déjà des échecs précoces alors que les usines, usines et ports chinois restent inactifs face aux efforts massifs de quarantaine du pays:

    La Chine s'apprête à perdre la production de véhicules 1M alors que le coronavirus ferme des usines automobiles

    La Chine exporte pour environ 70 milliards de dollars de pièces et accessoires automobiles dans le monde, dont environ 20% aux États-Unis.

    5 février 2020 à 16h32 EST

    Par Paul A. Eisenstein

    La Chine pourrait subir la perte d'un million de véhicules pour une valeur de production car les usines de son industrie automobile cruciale resteront fermées jusqu'à au moins la semaine prochaine - et probablement plus longtemps à Wuhan, la «ville automobile» au centre de l'épidémie de coronavirus.

    Avec plus de 24 000 personnes infectées, l'impact de la maladie hautement contagieuse commence également à se faire sentir chez les constructeurs automobiles dans d'autres parties du monde. Hyundai suspend la production dans ses usines sud-coréennes en raison d'une pénurie de pièces de fabrication chinoise, et même les constructeurs automobiles européens pourraient être touchés: Volkswagen et BMW pourraient voir une baisse de 5% de leurs revenus pour le premier semestre 2020, selon cabinet d'études Bernstein.

    (Source - NBC)

    Nous prévoyons que ces arrêts automatiques ne font que commencer. Tout ce qu'il faut, c'est qu'un seul composant soit indisponible et que toute la ligne soit arrêtée.

    La Chine est-elle la seule source de nombreux composants essentiels dans l'industrie automobile? Absolument.

    Voici une vue intérieure:

    Lundi, Steve Banker et moi avons eu l'occasion de parler avec Razat Gaurav, PDG de Llamasoft. Razat a eu des prises de position intéressantes sur l'épidémie, en particulier en ce qui concerne les chaînes d'approvisionnement automobile et pharmaceutique. En moyenne, il faut 30 000 pièces pour fabriquer une automobile finie.

    En raison du virus, les installations de production ont déjà indiqué qu'elles auront des volumes de pièces inférieurs à la normale. Cela a laissé les entreprises se démener pour élaborer des plans d'urgence. Au cours de ma conversation avec Razat, il a mentionné que les stocks de la plupart de ces pièces automobiles sont gérés sur une base juste à temps.

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  28. Cela signifie qu'en moyenne, les entreprises disposent de deux à douze semaines de stock tampon pour les pièces automobiles. Comme les volumes de production diminuent, cela peut entraîner une pénurie mondiale de pièces. L'inventaire tampon ne durera que très longtemps, et une fois que l'offre d'avant-vacances se tarira, l'industrie va avoir de sérieux problèmes. Selon Gaurav: «La plupart des composants OEM d'origine pour les véhicules neufs et la Chine en est un grand fournisseur.»

    (Source - Points de vue logistiques)

    L '«approvisionnement unique» est exactement ce qu'il implique. Il y a une seule usine quelque part produisant un seul composant qui est absolument vital pour fabriquer un véhicule motorisé. Si cette usine disparaît pour une durée indéterminée, une nouvelle source doit être identifiée ou - pire, du point de vue du temps et des coûts - construite à partir de zéro.

    Mais cette vulnérabilité aux chaînes d'approvisionnement dépendantes de la Chine n'est en aucun cas propre à l'industrie automobile:

    Le mois dernier, la Commission d'examen économique et de sécurité américano-chinoise a tenu une audience sur la dépendance croissante des États-Unis à l'égard des produits pharmaceutiques chinois. Le sujet m'a rappelé une discussion animée décrite dans le livre de Bob Woodward, Fear: Trump in the White House.

    Au cours de la discussion, Gary Cohn, alors conseiller économique en chef du président Trump, s'est opposé à une guerre commerciale avec la Chine en invoquant une étude du Département du commerce qui a révélé que 97% de tous les antibiotiques aux États-Unis provenaient de Chine.

    (Source - CFR)

    C'est aussi proche que possible d'une "source unique".

    Et pour mettre la cerise sur le gâteau: devinez le nom de la région en Chine responsable de la production de tous ces antibiotiques ? Oui, province du Hubei. Avec Wuhan, son centre de production le plus important.

    Pouvons-nous trouver une autre source pour nos médicaments génériques et nos antibiotiques ? L'Inde, peut-être. Mais là encore, nous rencontrons le même problème d'interdépendance mondiale:

    Une autre industrie qui ressent l'impact du coronavirus est l'industrie pharmaceutique. L'inventaire tampon moyen pour l'industrie pharmaceutique se situe entre trois et six mois. Cependant, cela ne raconte pas toute l'histoire. Gaurav a mentionné que la Chine est responsable de la production de 40% des ingrédients pharmaceutiques actifs (API) pour le monde pharmaceutique.

    De plus, la Chine fournit à l'Inde 80% des principaux produits de départ (KSM), qui sont les produits chimiques contenus dans les API. Ensemble, cela représente 70% de toutes les API à travers le monde.

    (Source - Points de vue logistiques)

    La production de l'Inde est directement liée à un approvisionnement ininterrompu en provenance de Chine:

    Les fabricants indiens de médicaments génériques pourraient faire face à des pénuries d'approvisionnement en provenance de Chine si le coronavirus se prolonge

    13 février (Reuters) - Des pénuries et des augmentations de prix potentielles de médicaments génériques en provenance d'Inde se profilent si l'épidémie de coronavirus perturbe les fournisseurs d'ingrédients pharmaceutiques en Chine en avril dernier, selon les experts de l'industrie.

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  29. Un important fournisseur de médicaments génériques dans le monde, les entreprises indiennes s'approvisionnent en Chine pour près de 70% des ingrédients pharmaceutiques actifs (API) pour leurs médicaments.

    Les fabricants de médicaments génériques indiens affirment qu’ils ont actuellement suffisamment d’approvisionnements en API en provenance de Chine pour couvrir leurs opérations pendant environ trois mois.

    "Nous sommes confortablement placés avec huit à 10 semaines de stock clé en place", a déclaré Debabrata Chakravorty, responsable de l'approvisionnement mondial et de la chaîne d'approvisionnement pour Lupin Ltd, ajoutant que la société a des fournisseurs locaux pour les ingrédients.

    Sun Pharmaceuticals Industries Ltd a déclaré disposer d'un stock suffisant d'API et de matières premières à court terme et ne pas avoir constaté de rupture majeure d'approvisionnement pour le moment.

    Le fabricant indien de médicaments a toutefois déclaré que l'approvisionnement en produits API avait été affecté et que la société suivait de près la situation. Il n'a pas identifié les produits.

    L'Inde fournit près d'un tiers des médicaments vendus aux États-Unis, le marché de la santé le plus important et le plus lucratif du monde.

    (La source)

    Est-ce une énorme préoccupation ? Bien sûr que oui.

    Si vous dépendez de quelque manière que ce soit de médicaments sur ordonnance, il serait tout à fait rationnel de rechercher si ceux-ci viennent de Chine ou d'Inde et, s'ils le sont, de commencer à discuter avec votre médecin des alternatives ou de ce qu'il faut faire si les fournitures sont pincées.

    Une situation en évolution rapide

    Écoutez, nous comprenons parfaitement pourquoi les autorités et les médias minimisent la pandémie de Covid-19. Nous le faisons vraiment. Ils ressentent le besoin de gérer la crise, ce qui signifie gérer le récit public.

    Mais allez. Est-il logique que le prix des actions d'Apple soit en hausse alors que son principal site de fabrication Foxconn est pratiquement fermé ?

    La réduction du nombre d'iPhones et d'Airpods devrait se traduire par une baisse des bénéfices futurs et donc par une baisse du cours des actions. Mais non, AAPL est en hausse au cours du dernier mois:

    Et c'est encore plus fou. Est-il logique que les actions de Boeing augmentent de 12 $ au cours du mois dernier? Comme il a annoncé sa première année (2019) de commandes NÉGATIVES et un mois de janvier (2020) totalement sans commande ? Non bien sûr que non.

    Mais ce sont les sortes de «signaux» qui, selon les responsables, doivent être envoyés afin d’empêcher les masses de saisir que quelque chose de vraiment préoccupant se passe.

    Malheureusement, ces signaux fonctionnent sur les masses. La hausse des cours des actions envoie un puissant message réconfortant: «tout va bien».

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  30. Mais les penseurs critiques prudents, qui définissent ceux de la tribu Peak Prosperity, peuvent facilement voir à travers la ruse et se préparer à ce qui s'en vient.

    Il est temps d'agir

    La situation avec covid-19 est fluide et évolue rapidement. Rester au courant des derniers développements et leur donner un sens est notre tâche principale.

    Mais l'information sans action éclairée est inutile.

    Après tout, savoir quelque chose d'inquiétant mais ne rien faire à ce sujet n'est que source d'anxiété sinon d'alarme.

    Les seules façons de rester calme et de protéger vos proches de la menace de cette pandémie sont enracinées dans des actions intelligentes.

    Oui, nous pouvons tous espérer que cela éclatera. Nous souhaitons sincèrement aux macro-planificateurs tout le succès possible pour façonner le récit et pour que la macro-économie fonctionne et soit collée.

    Mais nous allons nous préparer du mieux que nous pouvons, ici à notre niveau micro parce que c'est notre devoir envers nous-mêmes, nos familles et nos communautés.

    Créer une défense résiliente contre le coronavirus

    C'est un grand moment de l'histoire. La première pandémie mondiale à une époque où l'économie mondiale est à fournisseur unique et totalement interdépendante.

    Personne ne peut prédire ce qui va se passer ensuite. Voitures, médicaments… qui sait quelle sera la prochaine industrie à trébucher ?

    Étant donné le taux ridiculement élevé d'infectiosité de covid-19, il n'y a vraiment aucune chance d'arrêter sa propagation. Le taux n'est désormais qu'une équation de temps, de chance et d'actions officielles pour isoler et mettre en quarantaine les individus et les communautés infectés.

    Notre position nous offre de nombreux contacts expérimentés avec des experts du monde entier, et ceux que nous connaissons avec une formation médicale approfondie se préparent le plus agressivement en ce moment. Cette épidémie a toute leur attention; et cela nous informe qu'il devrait avoir le nôtre aussi.

    C'est pourquoi notre conseil est de vous préparer dès maintenant.

    La semaine dernière, nous avons publié le guide Comment nous nous préparons personnellement pour le coronavirus à nos abonnés premium. C'est une excellente ressource fournissant des recommandations spécifiques pour la prévention et le traitement.

    Aujourd'hui, nous publions un nouveau guide complémentaire Une défense résiliente contre le coronavirus, encore une fois pour nos membres premium.

    Particulièrement utile pour ceux qui ont récemment trouvé leur chemin vers PeakProsperity.com, il offre à la fois un cadre précieux à utiliser pour se préparer à toute catastrophe (y compris les pandémies) et détaille ensuite les mesures d'action spécifiques à prendre aujourd'hui dans tous les aspects de votre vie (c.-à-d. , pas seulement la santé et l'hygiène) contre une épidémie de coronavirus dans votre région.

    Cliquez ici pour lire ce rapport (résumé exécutif gratuit, inscription requise pour un accès complet).

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/covid-19-contagion-unprecedented-moment-our-hyper-connected-planet

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    Réponses

    1. (...) Étant donné le taux ridiculement élevé d'infectiosité de covid-19, il n'y a vraiment aucune chance d'arrêter sa propagation. (...)

      le taux ??! 1600 sur 7 milliards !
      100 fois moins que la grippe ou le sida !

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  31. Un universitaire de Cambridge affirme que la race humaine doit disparaître pour sauver la planète


    par Tyler Durden
    Sam, 15/02/2020 - 10:20
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit news,


    Un universitaire de Cambridge a appelé à l'extinction de l'humanité pour sauver la planète tout en notant que les hétérosexuels blancs, de sexe masculin, sont responsables de tous les malheurs du monde.

    Dans son nouveau livre The Ahuman Manifesto, la professeure Patricia MacCormack fait valoir que la seule façon de prévenir les catastrophes écologiques est de commencer à «éliminer progressivement la reproduction».

    S'adressant à CambridgeshireLive, le professeur MacCormack a clairement indiqué qui serait le premier sur le bloc de coupe évolutif.

    «La prémisse de base du livre est que nous sommes à l'ère de l'Anthropocène, l'humanité a causé des problèmes de masse et l'un d'eux crée ce monde hiérarchique où les blancs, les hommes, les hétérosexuels et les personnes valides réussissent, et les gens de différentes races, sexes, sexualités et personnes handicapées ont du mal à l'obtenir », a-t-elle déclaré.

    Selon Alistair Ryder de CambridgeshireLive, bien qu'il ait littéralement demandé que toute l'espèce humaine soit anéantie, le livre a un «ton joyeux et optimiste».

    Alors ok.

    MacCormack a déclaré que ses idées ont d'abord été inspirées par son intérêt pour «le féminisme et la théorie queer». Imaginez mon choc.

    Le professeur veut également démanteler complètement la religion, bien qu'il ne soit pas clair si cela s'étendrait à ses propres croyances.

    MacCormack apparaît dans une vidéo YouTube intitulée «Performing the Occult» dans laquelle elle discute du sujet crucial de la «deamonitalia vulvique».

    Elle a également figuré dans un DVD intitulé Video Nasties: The Definitive Guide, dans lequel elle passe en revue un film intitulé The Chant of Jimmie Blacksmith, qui parle d'un «Australien aborigène exploité» qui commet un massacre au nom de la justice raciale.

    «Chapeau à Morticia pour avoir été à la chasse», écrit Dave Blount. «Le culte de l'autre, la haine de votre espèce est au cœur de l'idéologie libérale. Cela a inévitablement conduit à soutenir les frontières ouvertes, l'action positive, l'anti-américanisme, et cetera. Cela conduit à vouloir que l'humanité soit exterminée tout aussi inévitablement. Un libéral qui ne veut pas que la race humaine s'éteigne n'a pas réfléchi. "

    https://www.zerohedge.com/political/cambridge-academic-says-human-race-must-become-extinct-save-planet

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  32. Au Québec, face aux végans radicaux, restaurateurs et éleveurs montrent les crocs


    18:05 15.02.2020
    Par Jérôme Blanchet-Gravel


    Les activistes végans font de plus en plus de bruit au Québec. Actes de vandalisme contre des restaurants et intrusions dans les installations de producteurs de viande se multiplient, une situation qui appelle des acteurs du milieu alimentaire à prendre des mesures de protection. Seront-elles suffisantes ? Sputnik fait le point.

    Complètement absent de l’espace public il y a à peine un ou deux ans, le véganisme est en train de devenir l’un des mouvements les plus remarqués, mais surtout les plus controversés au Québec.

    Ces dernières semaines, de célèbres restaurants montréalais ont été pris pour cible par des membres radicaux de cette mouvance. Pourtant réputés pour porter une attention particulière aux conditions d’élevage des bêtes, des établissements comme le restaurant Manitoba, à Montréal, ont été accusés d’avoir «du sang sur les mains». Le 22 janvier dernier, la serrure de ce restaurant a été bouchée avec de la colle et un message reprochant aux employés de «collaborer» aux méfaits du chef a été laissé dans sa boîte aux lettres. Une méthode déjà employée pour cibler des restaurants et boucheries.

    Les actions des radicaux se multiplient

    Comme ailleurs dans le monde, des activistes végans s’en prennent aussi à des fermes d’élevage, où ils entrent par effraction pour protester contre la production et consommation de viande. Le 7 décembre 2019, 11 activistes végans ont pénétré illégalement une porcherie de la région de la Montérégie, dans l’ouest du Québec. Une fois sur place, ils se sont assis sur le sol jusqu’à l’intervention des policiers, à qui ils ont demandé, sans succès, de rencontrer le Premier ministre québécois, François Legault. Le coup d’éclat des activistes a mis en péril la santé des bêtes, a-t-on appris par la suite, car les mesures élémentaires d’hygiène et de biosécurité n’avaient pas été respectées.

    Les activistes végans risquent toutefois de se casser les dents sur la résistance des autorités et pouvoirs publics. Le 7 février dernier, la Cour supérieure du Québec –l’un des plus hauts tribunaux de la Belle Province–, a statué que le groupe antispéciste Direct Action Everywhere (DxE) et ses 11 militants ne pouvaient plus se trouver à moins de 500 mètres d’un bâtiment agricole au Québec. Déposée par l’Union des producteurs agricoles du Québec, l’injonction demandait d’empêcher les militants végans de participer à un autre événement de perturbation qui était prévu le 9 février.

    «Les éleveurs et agriculteurs doivent maintenant exercer leur travail dans un climat d’insécurité. […] Comme psychologue, je constate une nette augmentation de la détresse vécue par les gens sur le terrain. La tranquillité d’esprit est fondamentale chez l’être humain. Les activistes radicaux font preuve de violence psychologique à l’endroit de personnes qui exercent un métier déjà stressant», déplorait à notre micro, le 12 décembre 2019, la psychologue en milieu agricole Pierrette Desrosiers.

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  33. Le 13 février dernier, l’Union des producteurs agricoles a également lancé un séminaire en ligne pour apprendre à ses membres comment se défendre contre l’intimidation et les actions illégales des activistes végans.

    «Le webinaire est destiné aux producteurs agricoles. Il a comme objectif de les informer sur les concepts juridiques liés à la diffamation, au harcèlement et à l’intimidation en milieu agricole. Il vise également à leur proposer des outils ou des approches pour réagir aux différentes situations qui pourraient se présenter», a précisé à Sputnik Patrice Juneau, directeur du contenu stratégique et des relations avec les médias de cet important syndicat.

    La seule centrale syndicale représentant les agriculteurs québécois suggère à ses membres de bloquer sur les réseaux sociaux toute personne qui les harcèlerait ou les diffamerait publiquement. Il est aussi recommandé «d’apposer des affiches concernant la propriété privée, l’interdiction d’entrer sans permission et les règles de la biosécurité sur les bâtiments» et «d’installer un système de caméras de surveillance (intérieur et extérieur)».

    Végans, une méconnaissance profonde du monde agricole

    Pour le célèbre écologiste québécois Roméo Bouchard, les militants perturbateurs témoignent d’une méconnaissance profonde du monde agricole. L’arrêt complet de la production de viande n’est ni possible ni souhaitable, observe-t-il en entrevue. M. Bouchard est l’auteur de plusieurs livres sur la question écologique et agricole.

    «Les végans qui prônent une diminution ou une abstention de consommation de viande au nom de l’empreinte écologique des élevages pointent un problème réel, mais souvent simplifié à outrance. En revanche, ils sont peu conscients du fait que l’agriculture –par sa nature réelle– est un écosystème dont on ne peut isoler les aspects végétaux et animaux, ne serait-ce que pour le besoin de fumier fertilisant et le besoin d’assurer des rotations de culture», affirme-t-il.
    M. Bouchard observe également une fracture entre une certaine élite urbaine et la réalité rurale:

    «Il y a un débat qui se fait tranquillement, mais il y a parmi ces végans des extrémistes et surtout plein d’urbains qui ne comprennent rien aux aspects écosystémiques de l’agriculture. De même, on se rend compte que le véganisme entre facilement en conflit avec la production locale biologique: on préfère importer des noix ou des laits de coco produits industriellement ailleurs que d’acheter des produits locaux bio. En d’autres mots, il y a beaucoup de contradiction et d’ignorance dans ce discours», ajoute-t-il.
    Le 5 février dernier, l’Assemblée nationale du Québec a unanimement adopté une motion «qui dénonce les intrusions illégales et le vandalisme commis par des militants sur la propriété privée de producteurs agricoles et de restaurateurs».

    https://fr.sputniknews.com/canada/202002151043071497-au-quebec-face-aux-vegans-radicaux-restaurateurs-et-eleveurs-montrent-les-crocs/

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  34. Assistants sexuels : l’État s’invite dans l’intimité des individus

    Décider qu’il « faut » avoir des relations sexuelles pour être « bien » n’est non seulement pas du ressort de qui que ce soit d’autre que le principal concerné, mais cela ne relève pas d’une administration.


    Par Margot Arold.
    16 FÉVRIER 2020


    Emmanuel Macron a promis des mesures en faveur des personnes handicapées lors de sa Conférence nationale sur le handicap. Il y a bien des choses à redire sur plusieurs d’entre elles ; comme la création de ce nouveau numéro de téléphone, supposé apporter de l’aide et des informations.

    Cela existe déjà et relève des missions des MDPH qui font un travail formidable qui renvoient de service en service quand elles arrivent au bout de leur « mission » (les missions étant saucissonnées en autant de morceaux qu’il y a de personnes à caser pour faire un boulot inutile). En résumé, les handicapés auront une strate administrative de plus.

    L’ÉTAT S’OCCUPE DE SEXE…

    Mais surtout, l’État dans sa grandeur, a aussi, dans ses dossiers, l’intention de s’immiscer dans la sexualité des individus. La santé sexuelle faisant « partie intégrante de la santé, du bien-être et de la qualité de vie dans son ensemble » pour l’OMS, il devient évident que l’État doit se préoccuper de cette partie intime de ses administrés.

    Et Sophie Cluzel, la secrétaire d’État chargée des personnes handicapées, détient la solution : elle veut légaliser pour les handicapés la pratique qui consistait jusqu’ici à proposer des services sexuels tarifés à des personnes qui en ont besoin (service auquel n’importe qui pouvait avoir recours, moyennant peut-être quelques négociations tarifaires bien normales).

    La secrétaire d’État déplore « que certaines personnes handicapées soient condamnées à vivre dans une abstinence non choisie ».

    On peut pourtant déplorer des tas d’autres choses auxquelles sont condamnées les personnes handicapées, mais l’État souhaiterait s’occuper de celle-là en particulier, comme la secrétaire d’État l’explique dans Le Figaro :

    « « Moi, je suis très favorable à ce qu’on puisse accompagner (la) vie intime, affective et sexuelle » des personnes handicapées, a indiqué la secrétaire d’État. »

    Comme l’État a rendu le recours à la prostitution passible d’une amende (ce qui revient à en faire une pratique illégale), il est prévu de créer une profession, celle des « assistants sexuels ». Autrement dit, une sorte de service sexuel (et affectif ?) rémunéré et encadré, qu’on ne nommera pas prostitution pour que le politiquement correct soit respecté, et parce qu’on va vous expliquer que dans ce cas il s’agit d’un besoin médical, et donc un service médicalisé.

    ASSISTANTS SEXUELS ET SEXE RÉGLEMENTÉ ?

    Imaginons un peu : à l’instar du plombier ou de l’électricien agréé « Qualibat », il y aurait des femmes (et des hommes, hein, pourquoi ne réduire les handicapés qu’à ceux qui ont un pénis ?) « QualiSex », agréés par l’État, pour venir faire des gâteries à domicile, ou en institution ou à l’hôpital.

    Évidemment, comme ce serait une profession certifiée conforme à l’usage réglementé par l’État, il serait assez rapidement question de prise en charge financière. Le handicapé pourrait avoir la visite d’un.e péripatéticien.ne remboursé.e par la Sécu. Avec des tarifs plafonnés, bien entendu.

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  35. Quand à l’aspect affectif promis par l’État, on peut être dubitatif : comment va-t-il s’y prendre pour faire éprouver de l’ « affection » sur commande ? Ou bien n’est-ce encore qu’une expression politiquement correcte destinée à faire croire aux handicapés qu’ils trouveront du sentiment entre les bras d’une personne dont c’est le métier ?

    QUI VA MONTER… UN DOSSIER POUR AVOIR DROIT AUX ASSISTANTS SEXUELS ?

    On ne sait pas trop où l’État place les limites et les « droits ». Qui aura droit à ces assistants ? À partir de quel degré de handicap ?

    De quel handicap parlons-nous ? De quels handicapés ? Du handicapé apte à prendre son téléphone pour appeler un copain qui l’emmènera voir une dame bienveillante qui s’occupera de lui ? L’opportunité de pratiquer sa sexualité dans un cadre tarifé existe déjà. Et en plus il peut choisir la personne avec laquelle pratiquer. Dans ce cas, de quoi se mêle l’État ?

    Ou bien parlons-nous de celui qui ne peut pas décrocher son téléphone, communiquer ? Alors, qui décidera de ce qui est « bon pour lui » ? L’État a-t-il à s’immiscer dans cette partie de la vie ? Ou bien fait-il du handicapé un être justement trop inférieur pour mener sa propre vie ?

    À trop vouloir faire des handicapés des personnes « comme les autres », à trop vouloir faire, comme toujours, dans l’égalitarisme, l’État va finir par instaurer de nouvelles inégalités.

    UTOPIE À TOUS LES ÉTAGES

    Les utopistes du Clhee (Collectif lutte et handicaps pour l’égalité et l’émancipation) qui déclarent que « la sexualité devrait être libre et non marchande, impliquer de la réciprocité dans le désir et un échange égalitaire », ont raison sur le fond : nous voudrions tous baiser avec une princesse ou un prince charmant, dans l’égalité et le désir.

    Malheureusement, le handicap est un monde où ne règnent ni le conte de fées, ni l’égalité, et tous les handicapés ne sont pas des princes et des princesses inspirant le désir — ce qui est finalement aussi le cas pour tous les laiderons et les « pas beaux » de la Terre : sur ce point, les moches et les handicapés sont bien à égalité –.

    Décider qu’il « faut » avoir des relations sexuelles pour être « bien » n’est non seulement pas du ressort de qui que ce soit d’autre que le principal concerné, mais cela ne relève pas d’une administration.

    Le sexe fait partie de ce que l’individu a de plus intime, de plus privé. Il ne doit jamais être question que ce domaine figure sur un formulaire cerfa, dans un fichier de l’administration, ni en dehors d’une sphère très privée, qui ne comprend que deux individus… ou plus si affinités.

    https://www.contrepoints.org/2020/02/16/364462-des-assistants-sexuels-quand-letat-se-mele-de-lintimite-des-individus

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  36. La géopolitique des armes biologiques, partie 2: efficacité et déploiement


    par Tyler Durden
    Sam, 15/02/2020 - 23:30
    Écrit par Larry Romanoff via GlobalResearch.ca,


    Il devrait être évident que le lancement de la bio-guerre, comme pour la guerre conventionnelle, est considérablement facilité par la localisation des bases militaires, des armes offensives et des vecteurs aussi près que possible physiquement de ses ennemis potentiels. C'est une des raisons pour lesquelles les États-Unis ont établi leurs près de 1 000 bases militaires étrangères - pour assurer la capacité de mettre un ennemi sous attaque en 30 minutes partout dans le monde. De toute évidence, la même stratégie s'applique à la guerre biologique, l'armée américaine ayant créé des dizaines de ces laboratoires définis par euphémisme comme «infrastructure de sécurité sanitaire» dans les pays étrangers.

    Il est effrayant d'apprendre que bon nombre de ces bio-installations étrangères sont classées comme «Top-Secret», elles échappent à la connaissance et au contrôle même des gouvernements locaux des pays où elles sont construites. Il est également effrayant d'apprendre que les épidémies d'Ebola se sont toutes produites à proximité de plusieurs de ces laboratoires de bio-armes américains bien connus (et très secrets) en Afrique.

    Il y a quelques années, il y avait de grandes craintes lorsque des scientifiques américains ont recréé le virus de la grippe espagnole qui a tué environ 50 millions de personnes en 1918. Ils ont passé neuf ans dans cet effort avant de réussir, et maintenant de grandes quantités de ce virus sont stockées dans un gouvernement de haute sécurité laboratoire à Atlanta, Géorgie. Plus récemment, les scientifiques ont créé une super-souche mutée du virus mortel de la grippe aviaire H5N1 qui est directement transmissible aux humains et aurait au moins un taux de mortalité de 50%, ce qui fait craindre en 2005 une pandémie mondiale qui pourrait tuer des centaines de millions de personnes.

    Fin 2013, plus de 50 des scientifiques les plus éminents du monde ont sévèrement critiqué la recherche Ron Fouchier et ses collègues du centre médical Erasmus de Rotterdam, qui ont développé des variétés mutantes du virus de la grippe aviaire H5N1 qui sont beaucoup plus dangereuses pour l'homme. Les scientifiques ont écrit que la recherche était conçue pour rendre le virus entièrement transmissible entre humains et avait clairement une double fonction civilo-militaire. Cette grippe artificielle pourrait tuer la moitié de la population mondiale, et non par accident. L'armée américaine a financé cette recherche avec plus de 400 millions de dollars.

    La guerre de Corée

    Pendant et après la guerre de Corée, la Chine a produit des preuves considérables que l'armée américaine employait des agents pathogènes biologiques contre les Chinois et les Nord-Coréens. Plus de 25 prisonniers de guerre américains ont soutenu les affirmations chinoises - et fourni des preuves corroborantes supplémentaires et très détaillées de l'anthrax, de divers insectes tels que des moustiques et des puces porteurs de la fièvre jaune, et même des tracts de propagande infectés par le choléra, dans tout le nord-est de la Chine et la quasi-totalité de la Corée du Nord. Le gouvernement américain a immédiatement déposé des accusations de sédition contre les soldats qui ont raconté leurs histoires de ces activités illégales, appliquant d'énormes pressions pour les faire taire, menaçant même les avocats de la défense d'une rétribution non spécifiée. Comme dernière tentative désespérée de faire taire ces anciens prisonniers de guerre, l'armée américaine s'est appuyée sur la CIA pour les soumettre à des traitements intensifs avec une drogue récemment découverte et dangereuse appelée Metrazol, dans le but d'effacer totalement tous les souvenirs de leurs activités en Corée, détruisant apparemment l'esprit des hommes dans le processus.

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  37. Global Research a publié un article le 07 septembre 2015 par David Swanson qui fournissait des détails sur les tentatives américaines d'inonder la Corée du Nord de la peste bubonique, en commençant par la déclaration: «Cela s'est produit il y a 63 ans, mais comme le gouvernement américain n'a jamais cessé mentir à ce sujet, et il n'est généralement connu qu'en dehors des États-Unis, je vais le traiter comme une nouvelle. »

    Correct sur tous les plans. Curtis LeMay a non seulement mené ses tentatives sincères d'exterminer toute la population civile de la Corée du Nord en bombardant pratiquement toutes les maisons du pays, mais il existe maintenant un volume énorme et toujours émergent de preuves incontestables que les Américains ont lâché sur les insectes et la Corée du Nord et la Chine. matériaux porteurs de la maladie du charbon, du choléra, de l'encéphalite et de la peste bubonique.

    Le 10 septembre 2012, le Los Angeles Times a publié un article sur le sujet des médecins «essayant toujours de diagnostiquer les mystères de l'hantavirus» plus de 20 ans après que ce pathogène mortel a été identifié pour la première fois aux États-Unis en 1993. Dans ce cas, le virus ne semble attaquer que les Indiens indigènes - les infections se concentrent dans une zone à quatre états - qui développent des problèmes respiratoires soudains et sont souvent morts en quelques heures. La plupart des victimes ont déclaré «ne pas se sentir bien» un jour et étaient mortes le lendemain, de ce qui semblait être un pathogène très mystérieux avec une source indéterminée. Mais ensuite, «un indice chanceux» est venu d'un téléspectateur, un médecin qui a déclaré que cette maladie semblait très similaire à celle causée par un virus qu'il avait observé utiliser par les États-Unis en Corée dans les années 1950. Et bien sûr, les tests ont prouvé que la maladie était causée par une variation du même Hantavirus qui a attaqué les troupes en Corée.

    Le virus a attiré l'attention parce que certaines troupes américaines y ont été accidentellement exposées, dont la plupart sont mortes très soudainement. Deux faits qui ont été éliminés des rapports publics de l'époque: (1) le virus a attaqué les Nord-Coréens et les Chinois en plus grand nombre, et (2) cet Hantavirus était un élément dans le trésor d'armes biologiques que les Américains ont hérité du Dr Ishii et son unité 731. Les Japonais avaient des années-lumière d'avance sur les Américains et les Alliés occidentaux dans la recherche sur les virus et avaient isolé le mortel Hantavirus à la fin des années 1930, avec de nombreuses preuves qu'il était utilisé contre la Chine par les Japonais et plus tard contre la Chine et Corée du Nord par les Américains. Il semble que certains de ces matériaux armés aient échappé au confinement et exposé les soldats américains et sud-coréens à leur propre travail.

    US Biowarfare sur Cuba

    L'un des programmes de guerre biologique connus (en dehors des États-Unis) menés par les États-Unis, remarquable pour sa longévité, est l'attaque offensive de plusieurs décennies contre Cuba. L'armée américaine et la CIA ont mené tellement de ces attaques biologiques qu'il y a un musée à La Havane qui fournit des preuves substantielles des nombreuses années de guerre biologique contre ce petit pays. Jeffrey St. Clair a noté dans un article quelques-uns de ces événements, comme suit:

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  38. «En 1971, les premiers cas documentés de peste porcine dans l'hémisphère occidental sont apparus à Cuba, entraînant la mort de plus de 500 000 porcs. Cuba a accusé les États-Unis d'importer ce virus dans le pays, et un agent de la CIA a admis plus tard qu'il avait livré le virus à des exilés cubains au Panama, qui ont transporté le virus à Cuba. La nouvelle était publique, mais les médias américains l'ont ignorée. En 1981, Fidel Castro a imputé une épidémie de dengue à Cuba à la CIA. La fièvre a tué 188 personnes, dont 88 enfants. En 1988, un dirigeant cubain en exil du nom d'Eduardo Arocena a admis avoir apporté des germes à Cuba en 1980. Une autre occasion a impliqué une épidémie de thrips palmi, un insecte qui tue les pommes de terre, les palmiers et autres végétaux. Les thrips sont apparus pour la première fois à Cuba le 12 décembre 1996, après des vols à basse altitude au-dessus de l'île par des avions de pulvérisation du gouvernement américain. Les États-Unis ont pu annuler une enquête des Nations Unies sur l'incident. »

    Ce n’était qu’une petite partie de l’agression biologique des États-Unis contre Cuba. En 1979, le Washington Post a publié des rapports sur un programme américain de longue date de lutte biologique contre l’agriculture cubaine qui existait au moins depuis 1962, par la section de la guerre biologique de la CIA. Et en 1980, les États-Unis pensaient avoir découvert un agent biologique qui ciblerait les Russes de souche et ont envoyé un navire de Floride à Cuba en mission pour «transporter des germes à Cuba pour les utiliser contre les Soviétiques». Et aussi récemment qu'en 1996 et 1997, le gouvernement cubain accusait à nouveau les États-Unis de s'engager dans une guerre biologique en aspergeant les cultures cubaines d'agents biologiques lors de «vols de reconnaissance» illégaux. Il a également été définitivement signalé que pendant la crise des missiles cubains, un grand nombre d'armes chimiques et biologiques ont été chargées sur des avions militaires américains en vue de leur utilisation à Cuba.

    Des efforts américains de lutte biologique ont également été lancés contre au moins plusieurs autres pays d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, impliquant un certain nombre d'agents pathogènes viraux, de cancers et de produits chimiques. Dans son article, St. Clair fait référence à une épidémie de dengue qui a éclaté à Managua, au Nicaragua, où environ 50 000 personnes sont tombées gravement malades et beaucoup sont mortes. L'attaque a eu lieu pendant la guerre de la CIA contre le gouvernement sandiniste, où l'épidémie a immédiatement suivi une série de soi-disant «vols de reconnaissance» à basse altitude menés par les Américains au-dessus de Managua.

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  39. Il a également été rapporté de manière fiable par plusieurs sources que l'armée américaine a utilisé Haïti comme une sorte de laboratoire biologique de «saison ouverte», exposant la population locale à presque tout ce qui est imaginable, les médias américains gardant un couvercle très étanche sur les fuites d'informations. Encore plus répréhensible était le traitement accordé aux Haïtiens qui ont commis la grave erreur de devenir des «boat people», c'est-à-dire qui ont fui leur laboratoire de pathologie américain en émigrant dans de petits bateaux vers les États-Unis. Le gouvernement américain a expulsé la plupart vers Porto Rico pour être utilisés comme cochons d'Inde et rats de laboratoire, où ils seraient hors de vue du Congrès et des médias et, selon les rapports, les auraient confinés dans des camps de concentration pour leur infliger quels que soient les tests scientifiques. 'ils ont évité à la maison. Dans un cas aussi récemment qu'en 1980, des centaines d'hommes haïtiens dans ces camps de détention ont développé des seins féminins de taille normale après avoir été injectés à plusieurs reprises avec des hormones inconnues par des médecins militaires américains. Le dossier historique nous dit que la même chose a été faite aux mêmes personnes dans une base militaire publiquement interdite en Floride.

    Avec Cuba, il y a le cas étrange de la survenue plus ou moins simultanée de cancers parmi les dirigeants des pays d'Amérique du Sud, coïncidence dans chaque cas, l'infection d'un dirigeant national que les États-Unis méprisaient et avaient tenté d'éliminer par plusieurs autres moyens. Nous avons eu Hugo Chávez, le président du Venezuela, la présidente argentine Cristina Fernández de Kirchner, la présidente du Brésil, Dilma Rousseff, le Paraguay Fernando Lugo et l'ancien président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva. Un ancien président brésilien, parlant de ces cancers, a déclaré dans une interview,

    «Il est très difficile d'expliquer, même avec la loi des probabilités, ce qui est arrivé à certains dirigeants d'Amérique latine. C'est à tout le moins étrange, très étrange. "

    Bio-partenariat secret entre les États-Unis et la Seconde Guerre mondiale
    Lorsque les troupes japonaises ont envahi le nord-est de la Chine en 1932, le Dr Shiro Ishii a commencé son programme d'expérimentation de guerre biologique notoire dans un secteur près de Harbin déguisé en unité de purification de l'eau, alors connue sous le nom d'unité 731. Il a commencé avec divers gaz toxiques, dont le gaz moutarde , a ensuite utilisé des avions pour distribuer des balles de coton et de riz contaminées par la peste bubonique, dans diverses régions du centre de la Chine. Son unité a recueilli des Chinois résistant à l'occupation japonaise, les utilisant pour des atrocités médicales illimitées, y compris la vivisection en direct. Le New York Times a rapporté un cas d'un médecin japonais décrivant son expérience là-bas:

    «Je l'ai ouvert de la poitrine à l'estomac et il a crié terriblement et son visage était tordu d'agonie. Il a fait ce son inimaginable, il criait si horriblement. Mais finalement, il s'est arrêté. Tout cela faisait partie d'une journée de travail pour les chirurgiens, mais cela m'a vraiment laissé une impression car c'était ma première fois. »

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  40. Ishii aurait d'abord ses équipes infecter les victimes avec l'anthrax, le choléra, la typhoïde, le tétanos, la dysenterie, la syphilis, la peste bubonique et d'autres agents pathogènes, puis les disséquer de leur vivant pour examiner les résultats, suivi de la crémation des preuves. Le département du chirurgien général de l’armée américaine a estimé que 580 000 Chinois avaient été tués de cette manière, des atrocités étant commises par certains des médecins japonais les plus éminents.

    À la fin de la guerre, quand il est devenu clair que le Japon perdait et devrait évacuer la Chine, Ishii a ordonné que tous les Chinois restés en détention soient tués et leurs corps brûlés, puis détruits avec des explosifs tout le complexe de l'unité 731 pour cacher toute trace de ses expériences. Le général Douglas MacArthur, alors commandant des puissances alliées au Japon, a conclu un accord secret avec Ishii et l'ensemble du personnel de l'unité 731 afin de transférer à l'armée américaine tous les dossiers de la guerre biologique et des vivisections pour une étude militaire américaine, en échange d'une couverture complète. - toutes les preuves de l'existence de ces activités et une promesse d'immunité contre les poursuites pour crimes de guerre.

    Ishii a remis à l'armée américaine une seule fois plus de 10 000 pages de ses «résultats de recherche», après quoi les Américains ont réécrit les livres d'histoire du Japon, c'est pourquoi ni les Japonais ni le monde ne connaissent les atrocités massives commises en Chine , et c'est là que l'armée américaine a acquis une grande partie de son expertise et de son savoir-faire dans les armes chimiques et biologiques et les méthodes d'expérimentation humaine qu'elle appliquerait plus tard si librement en Corée et au Vietnam et aux citoyens américains.

    Le 6 mai 1947, MacArthur a écrit à Washington que «des données supplémentaires, peut-être certaines déclarations d'Ishii, peuvent probablement être obtenues en informant les Japonais concernés que les informations seront conservées dans les canaux de renseignement et ne seront pas utilisées comme preuves de« crimes de guerre ». Certains Japonais ont été arrêtés par les forces soviétiques pour leurs crimes biologiques contre les Russes et jugés lors des procès pour crimes de guerre de Khabarovsk en 1949, mais, pour couvrir leurs propres traces, les Américains ont rejeté tous les témoignages de survivants et les procès pour crimes de guerre de la Russie contre les Japonais en tant que «communistes». la propagande".

    Non seulement le gouvernement et l'armée américains ont accordé au Dr Ishii et à son personnel une immunité totale contre les poursuites, mais ils ont importé tout le groupe aux États-Unis, tous secrètement stationnés sur des bases militaires américaines et sur la liste de paie de l'armée américaine. Ishii a été pendant des années un conférencier invité fréquent à l'école de guerre biologique de l'armée américaine à Fort Detrick, et a occupé un poste lucratif de professeur titulaire et de superviseur de la recherche biologique à l'Université du Maryland jusqu'à sa mort des décennies plus tard. Ce n'est qu'en 1995 que l'armée américaine a finalement admis qu'elle avait offert l'immunité, des identités secrètes et de bons emplois avec des salaires élevés à ces scientifiques et médecins japonais en échange de leurs travaux sur la recherche sur la guerre biologique et l'expérimentation humaine. Ces personnes ont été recrutées non seulement par l'armée, mais par le CDC, le Département d'État américain, les services de renseignements militaires, la CIA et le Département américain de l'agriculture, tous pour travailler sur des «projets gouvernementaux secrets».

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  41. Épilogue

    Dès les premiers jours des expériences de guerre biologique en Amérique, les dirigeants politiques et militaires américains, ainsi que les responsables de la CIA, n'ont fait aucun effort pour cacher leur intérêt à développer des méthodes pour infecter les individus atteints de cancer comme méthode pour se débarrasser des dirigeants nationaux qu'ils n'ont pas 'aime pas, une méthode avec un déni parfait. Le record américain d'avoir assassiné par divers moyens environ 150 dirigeants politiques dans d'autres pays attestera de cette affirmation.

    «L'attraction est que les bio-armes sont non seulement des tueurs de masse très efficaces, mais sont tout à fait rentables par rapport aux tirs de guerre. De plus, les armes génétiques peuvent être dispersées de multiples façons, à l'aide d'insectes ou de bactéries infectées par des virus, ou épissées en graines GM. Ces armes sont difficiles à détecter et à identifier, et souvent un traitement ou un vaccin peut prendre des années. »

    Le Dr Leonard Horowitz, le célèbre dénonciateur de l'industrie pharmaceutique, a cité un expert disant qu'il planifierait une bio-attaque

    «Avec une finesse subtile, pour lui faire ressembler à une épidémie naturelle. Cela retarderait la réponse et bloquerait le processus décisionnel. Même si vous soupçonnez un terrorisme biologique, c'est difficile à prouver. C'est tout aussi difficile à réfuter. . . Vous pouvez retracer un envoi d'armes, mais il est presque impossible de retracer l'origine d'un virus qui provient d'un bug. "

    Un auteur a noté qu'une libération correctement faite d'un agent infectieux rendrait le diagnostic et le traitement difficiles, ajoutant que ce type de guerre biologique ne peut pas être retracé à sa source et pourrait être considéré comme un «cas de force majeure».

    De nombreuses flambées récentes de maladies semblent correctement qualifiées d'agents de guerre biologique potentiels: SIDA, SRAS, MERS, grippe aviaire, grippe porcine, hantavirus, maladie de Lyme, virus du Nil occidental, Ebola, polio (Syrie), fièvre aphteuse, Syndrome de la guerre du Golfe et ZIKA.

    Les médias de masse occidentaux ont ignoré tout cela, censurant toute cette partie de l'histoire, et même Internet a été balayé par Google et Bing, incapables de trouver la vérité qui existe. Encore une fois, la liberté d'expression dépend entièrement de qui contrôle le microphone.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/geopolitics-biological-weapons-part-2-efficiency-deployment

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