Vous vous sentez manipulés par les documentaires ? Voici pourquoi et comment, avec l’exemple d’un documentaire d’Arte, « les financiers qui dirigent le monde ».
Par Philippe Mösching.
7 OCTOBRE 2019
Alors qu’un documentaire devrait être une forme d’expression grand public qui éveille l’esprit en nous offrant des points de vue nouveaux, il se révèle au contraire être une arme militante qui impose son parti pris non pas par la force de ses arguments mais uniquement sur une mise en scène grandiloquente. Comment manipuler les mains vides : décryptage par l’exemple.
On peut s’attendre à ce qu’un documentaire essaie de confronter différentes opinions, d’offrir au spectateur plusieurs points de vue de sorte à développer son esprit critique, puis lui permette de se forger une opinion ou de réviser ses positions. Si les émissions de débats existent toujours, malheureusement trop souvent limités aux sujets politiques, un nouveau genre populaire est apparu : le documentaire à charge. On y trouve Cash Investigation de France Télévisions et, plus surprenant, la chaîne Arte.
Étudions le cas précis d’un documentaire intitulé « Le monstre de Wall Street – ces financiers qui dirigent le monde » que vous trouverez facilement sur les plateformes de vidéo en ligne. Le titre annonce déjà la couleur, celle de la haine du système financier. La cible est la société BlackRock, gestionnaire de fonds.
37 SECONDES SUFFISENT…
Les 37 premières secondes de ce documentaire suffisent à donner le ton et à présenter les trois seules accusations qui seront par la suite martelées à un rythme infernal, telle de la musique techno ne laissant aucun autre choix que de secouer son corps jusqu’à la reddition, et déclarer la finance comme la mère de tous les maux.
Durant ce laps de temps sont présents tous les éléments qui seront ensuite recyclés durant les 1 heure 29 minutes 32 secondes restantes.
Pour la forme : la bande-son constituée d’une musique oppressante, rythmique et parcourue de bruitages irréels évoquant parfois des cris inhumains. Les premières images présentent tous les symboles de la finance : la statue de la Liberté – les défenseurs de la liberté apprécieront – les gratte-ciel de New-York, des billets verts, des enseignes au nom du coupable BlackRock et des écrans de traders. Ambiance sombre et inquiétante, rythmée de flash lumineux agressifs.
Pour le fond : ces 37 secondes suffisent à énoncer les trois accusations définitives supposées mettre le monstre de Wall Street KO. La première dénonce la dimension de l’entreprise, la seconde est une accusation de manipulation et la dernière dénonce un culte du secret, confirmant la culpabilité. On reconnaît ici les ingrédients des thèses complotistes appliquées cette fois à la finance.
Résonne alors un discours célèbre qui a valu à son orateur l’élection de président de la République, ce qui donne une idée de l’enjeu dont il est question ici. Résonnent aussi des moments plus sombres de notre Histoire ; bien que la cible ne soit pas la même, la méthode l’est. La taille n’est ni une accusation, ni même une critique. La manipulation ne sera pas démontrée, le cas échéant l’entreprise aurait été condamnée. Et le secret pourrait être discutable voire critiquable s’il était érigé en système avec intention de nuire, mais ici rien de tel n’est montré.
…PUIS UNE HEURE ET DEMIE DE REPRISES
Ce qui est frappant dans ce documentaire c’est l’écart entre la pauvreté des arguments présentés et la grandiloquence de la mise en scène. Une heure et demie exactement résumée durant les 37 premières secondes. L’argument de la taille sera repris 44 fois au total : géant, mondial, colossal, explosion, inonder, écraser, puissance, milliards. Comme il n’existe pas 44 synonymes dans la langue française, les mots reviennent en boucle avec un effet entêtant et abrutissant exactement toutes les deux minutes. Curieux comme la taille peut constituer une accusation à elle seule.
Par contraste le « à taille humaine » deviendrait un gage de probité et de haute valeur morale. Cela reste à démontrer, et ce ne sera pas facile sachant que plus une entreprise est grande plus les décisions impliquent un nombre important de personnes et de contrôles faisant que mécaniquement les fraudeurs se trouvent plus souvent être des individus isolés ou des petites structures.
Les accusations de manipulation reviennent 15 fois. Manipulation des entreprises, des politiciens, des administrations, et même des États. Des accusations basées sur des témoignages anonymes et des allégations sans preuve. Sachant qu’au final aucune action en justice n’a abouti à une condamnation. À qui doit-on octroyer sa confiance ? À la justice ou au journalisme militant ?
Et pour finir, le soi-disant culte du secret, lui aussi ne tient sur rien. Dans un excès de confiance, les journalistes dénoncent au contraire une tendance à trop communiquer. Il s’agit là d’un moment fort de ce documentaire où un employé forcément repenti s’épanche, le visage dans le noir et la voix robotisée, sur une pratique qui fait froid dans le dos. Minute 26:52 :
« Ils [BlackRock] louaient des salles où le PDG présentait les résultats du trimestre et exposait aussi ses objectifs »
On touche ici du doigt le cœur du concept qui consiste à énoncer un fait, qui dans ce cas précis est une pratique réglementée par la loi et donc tout à l’honneur de ce PDG, avec une mise en scène et une intonation qui le feront passer pour une accusation de poids. Pour nous achever, deux secondes de musique oppressante plus tard, la voix off nous affirme exactement le contraire :
« ce qui se passe à l’intérieur de la société ne fuite presque jamais »
Le fond n’a donc aucun intérêt, seule la mise en scène porte le message.
LA MANIPULATION PAR LA FORME
Cet exemple n’est pas anecdotique. L’ensemble de ce documentaire se base sur des faits qui réels, supposés ou imaginés, seront versés immédiatement à l’accusation par leur mise en image et en musique. Parfois, par paresse sans doute, des attaques gratuites et irresponsables tentent d’emporter l’adhésion par la force de l’excès.
« Ils font ce qu’ils veulent » : non je ne crois pas, ils seraient en prison si c’était le cas.
« L’ascendant du capitalisme international sur la démocratie nationale » : il est vrai, qu’à l’inverse le collectivisme a bien servi la cause de la démocratie.
« Les géants de la finance qui se partagent le monde entre eux » : plus c’est gros, plus ça passe et avec un pléonasme si jamais on n’avait pas compris.
UN SUJET INTÉRESSANT SI L’ON PREND LA PEINE DE L’ÉTUDIER
Alors que certains thèmes survolés auraient pu servir d’introduction à des débats intéressants :
est-ce qu’un gestionnaire de fonds peut représenter un risque systémique, alors qu’il ne prête pas d’argent ?
est-il légitime qu’il bénéficie d’un pouvoir sur les entreprises où il investit l’argent de ses clients ?
peut-il représenter un risque pour la concurrence lorsqu’il a une influence et des intérêts dans des sociétés concurrentes ?
est-ce que les décisions prises par des intelligences artificielles peuvent représenter un risque de déstabilisation des marchés, de l’économie en général ?
quelles frontières définir entre liberté des marchés et régulation ?
jusqu’où les États doivent-ils faire appel à des sociétés privées pour évaluer les risques ?
Le plus grave est qu’à force de marteler de tels messages, on fabrique une opinion qui se renforcera par la suite selon le biais de confirmation. Le fait qu’on s’attaque à des symboles de pouvoir qui représentent finalement peu de personnes et qu’il est difficile de trouver un angle favorable à exposer donnent un avantage indéniable qui malheureusement fait oublier que les échanges financiers sont à la source de créations et de partages de richesses.
Faisant oublier que le capitalisme est indissociable de la notion de propriété privée inscrite dans l’article 2 de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, juste après la liberté. Faisant oublier que de nombreuses régulations ont été mises en place pour protéger les usagers, les entreprises, les institutions et les États : échanges automatiques d’informations pour traquer les fraudeurs, directives MIFID sur les marchés financiers pour assurer la transparence des risques et des prix, garantir l’adéquation et la connaissance par le client des produits vendus, ainsi que pour traquer les manipulations de marché, reporting des produits dérivés pour mesurer les expositions et contenir les risques de marché, séparation des banques de détail et d’investissement – le Glass-Steagall act aux États-Unis dont l’équivalent français n’a pas abouti – stress test pour anticiper les risques systémiques, accords de Bâle 3 limitant les encours des banques, etc.
EXPLIQUONS ET CONSTRUISONS
Le système financier doit être expliqué pour ce qu’il est. Il doit garantir un accès ouvert, transparent et équitable pour tous. Il doit servir à renforcer les liens entre les nations par le partage d’intérêts communs. Il doit être au service de chacun pour favoriser des échanges fluides et efficients. Il doit aussi rester sous surveillance pour éviter les dérives, les concentrations de risques et les effets systémiques.
Loin des messages toxiques et trompeurs que ce genre de documentaire véhicule, il vaudrait mieux expliquer au lieu d’alimenter la défiance et donc le rejet. Ironiquement, Arte présente aussi un documentaire intitulé « L’art de vous manipuler ». Les journalistes l’ont sans doute visionné avant, car on y retrouve toutes les ficelles dénoncées ici…
Qui a peur des statistiques de la criminalité en Scandinavie ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 10/07/2019 - 02:00
Écrit par Judith Bergman via le Gatestone Institute,
En Suède, discuter de l'identité de la cause de l'épidémie de criminalité dans le pays est depuis longtemps un sujet tabou. Une telle statistique n'a été publiée que deux fois par le Conseil national suédois pour la prévention du crime (BRÅ) en 1996 et en 2005. En 2005, lorsque BRÅ a publié son dernier rapport sur le sujet "La criminalité chez les personnes nées en Suède et à l'étranger" il contenait la note suivante:
"Les critiques ont fait valoir que les nouveaux résultats peuvent être gonflés, sortis de leur contexte, mal interprétés et conduit à renforcer la pensée du" nous et eux ". Il y a tout lieu de prendre de tels risques au sérieux. Cependant, l'évaluation de BRÅ est ... Il est préférable de se baser sur des suppositions et des perceptions personnelles pour éviter la criminalité basée sur l’immigration. L’absence de données actuelles sur le crime parmi les personnes nées à l’étranger et leurs enfants facilite la création et la consolidation de mythes. Si le crime est un problème dans certains nés à l’étranger, les problèmes ne disparaissent que si vous les soulignez et en parlez ouvertement: une image correcte de l’ampleur et de l’évolution des problèmes devrait être la meilleure base pour analyser les conditions et améliorer la capacité de tous les résidents à bien fonctionner en Suède, quelle que soit son origine ethnique ".
À ce moment-là, apparemment, les autorités ont encore apprécié les faits.
Douze ans plus tard, en janvier 2017, le ministre de la Justice, Morgan Johansson, a catégoriquement refusé de publier des statistiques sur les origines ethniques de criminels en Suède. Selon Johansson:
"[Des études] ont été réalisées en Suède dans le passé et d'innombrables études internationales montrent à peu près la même chose: les groupes minoritaires sont souvent surreprésentés dans les statistiques de la criminalité, mais lorsque vous supprimez les facteurs socio-économiques, la surreprésentation] disparaît presque complètement. Je peux donc déjà tirer les conclusions politiques que je dois tirer des études internationales et suédoises existantes. "
Johansson, qui est non seulement ministre de la Justice, mais aussi ministre de la politique d'immigration et d'asile, n'était pas seul dans ses vues. Lorsque la télévision suédoise a demandé aux partis politiques au parlement suédois, la majorité a déclaré qu’elle ne pensait pas qu’une telle statistique était nécessaire.
Cependant, cet été, en l'absence de toute nouvelle statistique publique sur une question publique d'une telle importance, une fondation privée, Det Goda Samhället ("La bonne société") a décidé de produire ces statistiques dans un nouveau rapport, Invandring och brottslighet - ett trettioårsperspektiv ("Immigration et criminalité - perspective de trente ans"). Toutes les données brutes ont été commandées et fournies par BRÅ. Les données brutes de BRÅ peuvent être consultées ici.
Selon le nouveau rapport de Det Goda Samhället:
RépondreSupprimer"Pour la première fois maintenant, plus de crimes - en valeur absolue - sont commis par des personnes d'origine étrangère que par des personnes d'origine suédoise ... Le sous-groupe de population le plus sujet au crime est celui des personnes nées [en Suède] de deux parents nés. "
Le rapport conclut:
"Au cours des plus de trente années couvertes par les enquêtes, une tendance est plus nette que toutes les autres, à savoir que la proportion du nombre total d'infractions commises par des personnes d'origine étrangère augmente régulièrement ... Au cours de la première des périodes d'enquête Entre 1985 et 1989, les personnes d'origine étrangère représentaient 31% du total des crimes, contre 58% pour la période 2013-2017, soit moins de la moitié des personnes d'origine suédoise, 42%, total de la criminalité en Suède, bien qu’il représente 67% de la population enquêtée. "
En 1996, dans son premier rapport sur la question, BRÅ déclara (p. 40) que "le tableau général des études étrangères sur la criminalité des enfants d'immigrants est que leur taux de criminalité est supérieur à celui des immigrants de première génération. Ce n'est pas le cas. cas en Suède ". Selon le nouveau rapport, c'est le cas actuellement, et c'est peut-être le plus grand acte d'accusation à l'encontre des politiques d'intégration suédoises des 30 dernières années: les politiques ne fonctionnent manifestement pas.
Une autre conclusion notable du rapport est l’augmentation du nombre de crimes commis par des personnes non enregistrées nées à l’étranger en Suède - il s’agit notamment des immigrants illégaux, des citoyens de l’UE et des touristes. Les crimes que ce groupe a commis sont passés de 3% entre 1985-1989 et 13% en 2013-2017.
Le rapport a été largement ignoré par la presse suédoise et les échelons politiques, à quelques exceptions près, comme les journaux locaux Göteborgs-Posten et Norrköpings Tidningar.
En Norvège, Fremskrittspartiet (FrP), qui fait partie du gouvernement norvégien, a commandé récemment à Statistics Norway un rapport sur la surreprésentation des immigrés et de leurs descendants dans les statistiques sur la criminalité. "Nous savions que les immigrés sont surreprésentés dans ces statistiques, mais pas beaucoup", a déclaré le porte-parole du FrP sur la politique d'immigration, Jon Helgheim.
"Par exemple, si nous utilisons les chiffres non ajustés ... les Afghans et les Somaliens sont cinq fois plus accusés de violence et d'abus que les Norvégiens. Ajusté pour l'âge et le sexe, la surreprésentation est presque triple ... La plupart des immigrants ne sont pas des criminels, mais la population immigrée est surreprésentée dans presque toutes les catégories de criminalité, alors il y a un problème dont nous devons oser parler ".
Selon Dagbladet, le FrP demande depuis des années des statistiques détaillées sur les crimes perpétrés par des immigrants et des enfants d'immigrés. En 2015, le parti a commandé des données à Statistics Norway, mais l'agence a refusé de compiler des statistiques sur la criminalité basées sur le pays d'origine des immigrants.
Deux ans plus tard, Statistics Norway a publié une étude montrant que les immigrés étaient fortement surreprésentés dans les statistiques de la criminalité, mais le rapport n'était pas assez détaillé, selon le FRP, qui a commandé un nouveau rapport, maintenant disponible. Selon Dagbladet, les nouvelles statistiques "montrent que les immigrés originaires de pays non occidentaux sont surreprésentés dans 65 catégories d'infractions sur 80. En 2017, 7,1% de la population norvégienne étaient des immigrés originaires d'un pays non occidental".
RépondreSupprimerSelon Dagbladet, les nouvelles statistiques montrent également que "la surreprésentation la plus importante [est] liée à la violence et à la maltraitance dans les relations étroites".
"Les immigrés non occidentaux et leurs descendants sont inculpés de violence familiale huit fois plus souvent que le reste de la population. Au total, 443 personnes ont été inculpées par an en moyenne entre 2015 et 2017, [et] 35% (155 ) parmi les inculpés venaient d'un pays non occidental ou avaient des origines non occidentales. Seule la moitié des personnes accusées de sévices dans des relations étroites était ce que SSB [le bureau de statistique] appelle le reste de la population ... Afrique, Asie, L’Amérique latine, l’Océanie, à l’exception de l’Australie, et l’Europe non membre de l’UE et de l’EEE sont considérés comme des pays non occidentaux. "
Selon Dagbladet, des hommes de l'Autorité palestinienne et de la Somalie sont accusés de violence et de sévices trois fois plus souvent que des hommes norvégiens.
FrP a été accusé par ses opposants politiques d'avoir commandé ces statistiques spécialement pour les élections municipales qui se sont déroulées en Norvège le 9 septembre 2019. Dagbladet a demandé à Helgheim si l'utilisation de ces statistiques était "cynique". Helgheim répondit:
"Non, ce n'est pas du tout cynique. Il est très important que les citoyens sachent quelque chose. Ce serait un échec de FrP de ne pas faire tout ce que nous pouvons pour informer les électeurs de la réalité et des faits. Nos adversaires nous critiquent constamment pour en tirant la carte d'immigration ... Je ne trouve aucune autre explication que celle qui dit que ceux qui ne veulent pas que cela soit connu ne veulent pas non plus connaître les conséquences de l'immigration en Norvège. "
Au Danemark, contrairement à la Suède et à la Norvège, la publication de telles statistiques n’est guère controversée. Le bureau danois de la statistique, Statistics Denmark, les publie tous les ans et est accessible à tous.
Selon l'un des derniers rapports de ce type, "Immigrants au Danemark en 2018", tel que rapporté par Berlingske Tidende en avril:
"Les chiffres montrent que la criminalité en 2017 était 60% plus élevée chez les immigrants de sexe masculin et 234% de plus chez les descendants masculins non occidentaux que l'ensemble de la population masculine. Si l'on prend en compte, par exemple, que beaucoup de descendants sont jeunes, et Dans le rapport, les chiffres sont de 44% pour les immigrants et de 145% pour les descendants, ce qui correspond à 21% et à 108% des immigrants et des descendants des pays non occidentaux."
En ce qui concerne la nationalité des criminels migrants, Berlingske Tidende a rapporté:
RépondreSupprimer"En tête de liste se trouvent les hommes libanais qui, en ce qui concerne leurs descendants, sont presque quatre fois plus criminels que les hommes moyens, lorsque les chiffres sont ajustés en fonction de l'âge. Pour les descendants de Somalie, du Maroc et de Syrie, l'indice de violence est de 351 pour les descendants de pays non occidentaux et 3,5 fois plus violent que la population dans son ensemble. "
À moins que les dirigeants politiques scandinaves ne s’engagent activement à examiner les faits décrits par ces statistiques, les problèmes ne feront que s’aggraver - au point de ne plus pouvoir être résolus du tout.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/whos-afraid-scandinavias-crime-statistics
Suède: 10 millions d'habitants
SupprimerDanemark: 5 millions 800 mille
Norvège: 5 millions 328 mille !
ENFIN LA SCIENCE PASSE AU-DESSUS DES ANTI-SCIENTIFIQUES
RépondreSupprimerALLEMAGNE - LE PLAN CLIMAT D'ANGELA MERKEL SUSCITE LA COLÈRE
Alors que l'Allemagne avait annoncé en septembre devenir «climatiquement neutre» d'ici 2050, le projet de loi a été vidé d'une partie de sa substance.
07.10.2019, 12h58
Le plan climat du gouvernement Merkel suscite lundi la colère, en pleine mobilisation du mouvement Extinction Rebellion. Celui-ci avait été présenté en grande pompe en septembre mais depuis vidé d'une partie de sa substance.
Le gouvernement d'Angela Merkel doit examiner mercredi en Conseil des ministres le projet de loi censé mettre en musique les annonces faites le 20 septembre par la chancelière pour réduire les émissions polluantes de l'Allemagne.
Mais ce texte marque plusieurs reculs par rapport aux annonces du gouvernement, alors que cette loi climat âprement négociée est l'un des principaux engagements du quatrième mandat d'Angela Merkel.
Neutralité «à long terme»
L'Allemagne devait ainsi devenir «climatiquement neutre» d'ici 2050, avait indiqué le gouvernement le 20 septembre. Le projet de loi ne fixe plus désormais comme objectif que la neutralité «à long terme».
De même, le gouvernement avait annoncé le 20 septembre qu'une commission d'experts ferait des propositions aux ministères par secteur si les objectifs de réduction des émissions n'étaient pas atteints. Deux semaines et demi plus tard, ce point n'apparaît plus dans le projet de loi.
Ces reculs, dévoilés en pleine mobilisation dans le monde du mouvement Extinction Rebellion, y compris à Berlin, ont suscité l'ire des partis d'opposition, les Verts établissant lundi un constat de «faillite».
«Un scandale»
«Le projet est un scandale en termes de politique climatique et de démocratie», s'est ému auprès de l'AFP le parti Die Linke, dénonçant une «violation de l'Accord de Paris». Au sein même de la coalition de Mme Merkel, le projet de loi fait grincer des dents.
«Si le paquet climat est encore affaibli par l'Union, ce ne sera plus qu'un tigre de papier», a ainsi critiqué le député Karl Lauterbach, un des candidats à la direction du parti social-démocrate (SPD), membre de la coalition avec les conservateurs (CDU/CSU).
L'association écologiste Deutsche Umwelthilfe (DUH) a elle aussi émis des critiques, utilisant les mêmes termes de «tigre de papier».
110 milliards pour le climat
Le ministère fédéral de l'Environnement a en retour défendu le fait que le «noyau essentiel» de la politique climatique, à savoir des objectifs sectoriels à atteindre en 2020 puis 2030, reste toujours d'actualité. Il a nié tout «affaiblissement des points clés» de son projet de loi de 60 pages, publié sur internet.
Au terme de mois de négociations, les partis de la coalition étaient tombés d'accord le 20 septembre pour investir 100 milliards d'euros (environ 110 milliards de francs suisses) d'ici 2030 dans la protection du climat, avec notamment un développement du réseau ferré ou des subventions en faveur des véhicules électriques. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/plan-climat-angela-merkel-suscite-colere/story/21250900
Les démocrates cachent délibérément au public les réalités mondiales en matière d'énergie et d'émissions de gaz carbonique
RépondreSupprimer5 octobre 2019
par Larry Hamlin
Les projets énergétiques Green New Deal du parti démocrate qui font rêver 100 % d'électricité sans émissions aux États-Unis d'ici à 2050 dissimulent des réalités mondiales bien établies en matière d'énergie et d'émissions montrant que la consommation mondiale de combustibles fossiles et les émissions de gaz carbonique continueront d'augmenter de manière significative dans les décennies à venir, sans se tromper, extrêmement coûteux (500 milliards de dollars par an) et incompétent (des quantités importantes de ressources fossiles de secours de la fiabilité du réseau empêchent zéro émission). Propositions d’énergie GND.
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L’analyse la plus récente de l’EIA sur l’utilisation de l’énergie et des émissions de gaz carbonique au cours de la période allant de 2018 à 2050 montre que les pays en développement du monde contrôlent près de soixante-dix pour cent de l’utilisation totale de l’énergie et les trois quarts de toutes les émissions de gaz carbonique d’origine humaine sur Terre en 2050.
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Ces énormes niveaux dominants d’utilisation de l’énergie et d’émission de gaz carbonique de l’année 2050 par les pays en développement accroissent encore leurs résultats en matière d’utilisation de l’énergie et d’émissions pour l’année 2018: environ deux tiers des émissions de gaz carbonique dues à la main-d'œuvre et 60% de toute l’énergie utilisée sur Terre proviennent de ces nations.
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En dépit du fait que les pays développés ne devraient connaître qu'une faible croissance énergétique et réduire leurs émissions d'ici 2050 par rapport à leur niveau de 2018, et que leur consommation de combustibles fossiles devrait diminuer pendant cet intervalle, leur consommation mondiale devrait augmenter de 25% et Les émissions de gaz carbonique causées par l'homme ont augmenté de 22% au cours de cette période, entraînée par la soif inextinguible des pays en développement de satisfaire leurs besoins énergétiques croissants pour améliorer leur économie.
Les pays en développement devraient être responsables de 87% de toute la croissance énergétique mondiale et à 100% de toute la croissance des émissions de gaz carbonique dues à l'activité humaine entre 2018 et 2050.
Les pays en développement devraient augmenter l'utilisation de tous les combustibles fossiles, y compris le gaz naturel, le pétrole et le charbon, ces ressources représentant près de 70 % des besoins énergétiques totaux de ces pays en 2050.
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Les pays développés devraient également utiliser des combustibles fossiles pour la majorité de leurs besoins énergétiques en 2050, près des deux tiers de leurs besoins énergétiques étant couverts par des combustibles fossiles. L'incidence des émissions de gaz carbonique d'origine humaine sur la dépendance mondiale constante à l'égard des combustibles fossiles (entièrement dominée par l'utilisation de l'énergie par les pays en développement) pour répondre aux besoins mondiaux en énergie est illustrée ci-dessous.
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Les projets démocrates GND coûteront des milliards de dollars aux citoyens américains et n’aboutiront à aucun résultat en ce qui concerne l’abaissement des niveaux d’émission de gaz carbonique qui sont complètement contrôlés par les pays en développement dans le monde, ces derniers étant pleinement déterminés à utiliser de manière continue et croissante les combustibles fossiles.
Les démocrates induisent délibérément le peuple américain en erreur au sujet de l’utilisation de l’énergie et des émissions de gaz carbonique dans le monde et se font mentir au sujet de leurs affirmations frauduleuses de «lutte contre le changement climatique», car les résultats de leur programme d’énergie GND n’ont aucune incidence sur la consommation d’énergie et les émissions de gaz carbonique (niveaux de gaz carbonique globaux) grimper inexorablement de plus de 8,4 milliards de tonnes d'ici 2050), qui sont uniquement contrôlés par les pays en développement du monde, qui dominent toutes les conséquences de la consommation d'énergie et des émissions de gaz carbonique dans le monde.
RépondreSupprimerLes démocrates et leurs propagandistes des médias doivent être tenus pour responsables de leurs déplorables distorsions, déceptions et malhonnêteté face au problème de l’énergie et des émissions de gaz carbonique avec le public américain.
Espérons que les élections de l’année prochaine fourniront l’occasion de remédier à cet échec de la part du parti démocrate de rendre compte de manière sincère aux citoyens de notre pays les résultats mondiaux en matière d’énergie et d’émissions de gaz carbonique.
Que le magma terrestre augmente ou diminue ses émissions de gaz carbonique n'ont RIEN A VOIR avec la présence humaine, animale ou industrielle sur Terre. Les mers & océans (78 % de la superficie planétaire) recyclent constamment la totalité des gaz (toxiques ou pas) sans quoi l'animal ne serait même pas apparu sur notre planète !
SupprimerCOMMENT OSES-TU !
RépondreSupprimerOctober 5, 2019
de Michael Kile
Le dernier service du catastrophisme climatique du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), publié juste avant la réunion de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York le mois dernier, contenait ironiquement de bonnes nouvelles; mais pas même des modèles «inadéquats», des observations «limitées», une compréhension médiocre, des «projections» douteuses et des révélations sur «une incertitude profonde» pourraient freiner l'hyperbole.
The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) est l'agence des Nations Unies qui «évalue» l'état des connaissances scientifiques sur les changements climatiques et produit des rapports à ce sujet. Il prépare également un résumé à l'intention des décideurs (SPM). Ce document a été conçu pour être digéré par les bureaucrates responsables du climat, les dirigeants nationaux et les médias, qui, pour la plupart, ont une rhétorique alarmiste nourrie au fil des ans depuis des années, voire des décennies.
The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) est une étrange tenue. Créé en 1988 par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (ONU-Environnement) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM), il n’est pas surprenant d’apprendre que son secrétariat est situé dans le bâtiment de cette dernière à Genève. À l'exception du secrétaire Abdalah Mokssit, mathématicien et météorologue appliqué marocain, la plupart de ses 18 employés semblent être des «spécialistes des communications et des médias» ou des administrateurs. Le président actuel est Hoesung Lee, un économiste sud-coréen. Il a été élu fin 2015, après la démission de Rajendra Pachauri.
Les rapports d’évaluation sont décrits comme «neutres, pertinents pour les politiques mais non normatifs». Traduction: nous ne vous disons pas quoi faire, nous vous encourageons à faire ce que nous vous disons. Ils sont «rédigés et révisés en plusieurs étapes». Ce processus byzantin avec son propre jargon - "un langage calibré pour la communication de confiance" - assure apparemment "l'objectivité et la transparence". The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) ne mène pas ses propres recherches.
Étant donné que les rapports «constituent un élément clé des négociations internationales visant à lutter contre le changement climatique», certains critiques suggèrent qu'il existe un conflit d'intérêts ici. Un groupe de scientifiques soigneusement sélectionné pourrait-il élaborer un document allant à l'encontre des souhaits de ses fondateurs ou de l'ONU elle-même, en particulier sur une question devenue une religion laïque mondiale ?
Après tout, un cynique pourrait dire que toute organisation qui encourage délibérément l'anxiété écologique et la radicalisation des mineurs «à nouer un dialogue constructif avec les décideurs sur la question déterminante de notre époque» - comme lors du Sommet des Nations Unies sur le climat et la jeunesse 2019 - est capable de tout, même être économique avec la vérité.
Plus sur cela plus tard. Les 20 et 23 septembre, The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) s'est réuni à Monaco pour examiner sa dernière offre, un rapport spécial de 173 pages sur l'océan et la cryosphère dans un climat en mutation (SROCC). Approuvé le 24 septembre, il a été lancé le lendemain au musée océanographique de Monaco.
Le projet final, nous a-t-on appris, a été préparé par 104 auteurs - 31 femmes et 73 hommes - de 36 pays, dont 19 (53%) étaient des pays en développement ou des pays à économie en transition.
La vérité peut-elle être déterminée par le nombre de références, quelle que soit leur portée, recherchées pour un effort de recherche, ou par le nombre de commentaires formulés au cours d'une évaluation ?
RépondreSupprimerSi tel est le cas, le SROCC est impressionnant avec 6 981 publications citées à titre de référence. En ce qui concerne les commentaires, il y a eu 31 176 examinateurs experts et gouvernements de 80 pays (Ébauche de premier ordre: 12 002; Ébauche de deuxième ordre: 16 137; Ébauche finale: 3037. Aucune ne semble appartenir au domaine public.)
Les principales conclusions du SROCC ont ensuite été reformulées en un résumé de 42 pages à l’intention des décideurs politiques par 49 «auteurs de la rédaction», sous la direction scientifique conjointe des groupes de travail I et II de l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC).
Le mot «cryosphère» vient du grec kryos, qui signifie froid ou glace. Combien de commentaires ont été échangés pour tenter de décider si un mot de ce type, qui glisse à peine de la langue en six langues - anglais, arabe, chinois, espagnol, français et russe - devrait être utilisé dans un rapport conçu pour exagérer la "crise existentielle" d'une terre à effet de serre ? L'alarmisme climatique n'est pas un plat qu'il vaut mieux servir froid.
Dans le contexte The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), «décrit les composants gelés du système terrestre, y compris la neige, les glaciers, les inlandsis et les plateaux de glace, les icebergs et la glace de mer, la glace sur les lacs et les rivières, ainsi que le pergélisol et les sols gelés en fonction de la saison».
Après la publication du rapport, un groupe de préoccupations préoccupant les médias a suivi la publication du rapport. Cependant, la plupart des agences semblent n'avoir lu que le communiqué de presse de The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) ou le MPS. Comment osent-ils !
L'Australian Broadcasting Commission (ABC) était l'un d'entre eux. Le 26 septembre, deux articles ont paru dans The World Today sous le titre: «Le climat menace la mer»:
The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) met en garde que l'élévation du niveau de la mer pourrait avoir des effets catastrophiques (4 minutes et 46 secondes)
Les océans sont peut-être déjà à un point critique, avertit un expert (5 min 11 s)
"Le dernier avertissement de The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) sur l'impact" catastrophique "du changement climatique", a déclaré le site Web ABC, "se concentre sur les océans et les côtes - et un expert a déclaré qu'il était peut-être déjà trop tard".
Bien entendu, un expert suffit lorsque l'alarmisme est la fin du jeu. À cette occasion, il s'agissait du professeur Matthew England, directeur adjoint du Centre de recherche sur le changement climatique de l'UNSW et auteur de deux rapports d'évaluation précédents du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC).
«Comme nous l’avons entendu, le rapport du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) révèle que les océans du monde absorbent 90% de la chaleur excédentaire de notre système climatique, ce qui a eu pour effet de limiter les températures atmosphériques», les implications pour des pays comme l’Australie pourraient être énormes ».
Le professeur England, «l’un des océanographes et climatologues les plus renommés au monde, prévient que nous sommes sur le point d’atteindre un point critique», a déclaré Eleanor Hall, l’organisateur du programme. "Il dit que l'avertissement du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) contre l'élévation" catastrophique "du niveau de la mer est très inhabituel pour une organisation conservatrice et doit être pris au sérieux." C'était une conclusion "très conflictuelle".
Le professeur England a partagé les préoccupations du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). Il a toutefois hésité à la suggestion du point de basculement, comme un cheval méfiant dans un steeple. La journée a été un peu trop difficile: «Nous ne savons pas à quel point nous sommes proches de ces points de basculement», a-t-il répondu. Apparemment, ils ne peuvent être «découverts» que lorsque nous les avons passés. En d'autres termes, ils sont imprévisibles. Oops.
RépondreSupprimerSe pourrait-il, cher lecteur, que les points de basculement soient plus à l’aise dans les courses que dans les cauchemars des modélistes du climat ?
Eleanor Hall: Ce rapport porte sur les océans et les calottes glaciaires. On prévoit une montée plus rapide du niveau de la mer et une fonte plus rapide des calottes glaciaires par rapport à il ya cinq ans à peine. Certaines personnes accusent les scientifiques d’exagérer la menace. Ce [nouveau rapport] suggère-t-il que les scientifiques ont fait preuve de trop de prudence dans leurs prévisions ? (1.50min.)
Professeur England: Une partie de ce qui se passe est qu’un grand nombre des signaux que nous avions précédemment observés se sont accélérés à un certain taux. Ils se sont accrus au cours des cinq dernières années parce que nous rejetons de plus en plus de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Ils dynamisent le système. Ils réchauffent les océans. Ils font fondre les calottes polaires. Cette accélération est attendue, mais le fait qu’elle soit aussi élevée que nous l’avons vue a été surprenant. (2.09min.)
Eleanor Hall: Un scientifique estime que le déclin de la banquise arctique est sans précédent depuis au moins 1 000 ans. Sommes-nous en train de nous rapprocher de certains des points critiques redoutés du changement climatique aux pôles de la Terre ?
Professeur England: Oui, potentiellement. Nous ne savons pas à quel point nous sommes proches de ces points de basculement. Malheureusement, ils ne sont découverts que lorsque nous les avons passés. L’Arctique est un bon exemple. Une fois que la glace y a fondu, ce système absorbe la chaleur beaucoup plus rapidement qu'une surface de glace réfléchissante. Et le réchauffement dans l'Arctique est si rapide que la calotte glaciaire du Groenland qui se trouve juste à côté est exposée à des températures beaucoup plus chaudes.
Malheureusement, la glace est tellement bloquée que nous parlons d’une montée du niveau de la mer de 5 mètres d’ici 2300 (3.07mim.) Toutes les villes du monde devront penser à des digues à des coûts énormes ou abandonner des infrastructures gigantesques.
Lorsque vous avez des points de basculement, vous obtenez un taux de changement du système si rapide qu’en réalité, l’adaptation devient probablement impossible.
Eleanor Hall: Vous dites donc que même les scientifiques ne sont souvent pas au courant lorsque nous nous approchons d’un point critique ?
Professeur England: Oui. Les points de basculement sont dus à la non-linéarité du système [climatique]. Ce que je veux dire par là, c'est qu'un petit changement entraîne un impact plus important. Vous pouvez obtenir la fragmentation d'une couche de glace et un taux d'élévation du niveau de la mer auquel nous sommes [initialement] à l'aise pour nous adapter. À l’heure actuelle, nous n’avons eu que 15 cm d’élévation du niveau de la mer au cours des 30 à 40 dernières années. Cela a déjà causé beaucoup de dégâts à la côte. Mais 15 cm est une très petite fraction des cinq mètres prévus à 2300 (3.55min.)
Je devrais dire que 2300 sonne comme une longue, mais elle n’est que de six ou sept générations. C’est pourquoi nous assistons à toutes ces protestations des étudiants aujourd’hui. Ils reconnaissent le fait que nous leur laissons une énorme dette.
RépondreSupprimerOui, il l'a dit. Les scientifiques ne sont jamais (ou rarement) conscients d'un point de basculement «imminent» précisément parce que les points de basculement sont imprévisibles. Les affirmations contraires se situent quelque part entre spéculation et alarmisme, étant donné la «non-linéarité du système [climatique]».
Paradoxalement, le climat mondial lui-même correspond à ce que The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) avait l'habitude d'appeler «un système chaotique non linéaire couplé», d'où «la prévision à long terme des états climatiques futurs n'est pas possible» (3e rapport d'évaluation du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC); section 14.2.2.2, p. 774, 2001).
Le vrai mystère ici, cependant, n’est pas le climat. C’est la raison pour laquelle tant de chercheurs ont choisi de garder le silence sur la véracité des «prévisions» des modélisateurs, en particulier dans les décennies ou les siècles à venir, même lorsque cela a pour conséquence une hystérie climatique.
On peut difficilement blâmer l'ABC. Elle a simplement cité le communiqué de presse de Monaco du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) publié la veille:
Le niveau de la mer continuera à monter pendant des siècles. Il pourrait atteindre environ 30 à 60 cm d’ici à 2100, même si les émissions de gaz à effet de serre sont fortement réduites et le réchauffement de la planète limité bien au-dessous de 2 ° C, mais autour de 60 à 110 cm si les émissions de gaz à effet de serre continuent à augmenter fortement.
Selon Valérie Masson-Delmotte, coprésidente du groupe de travail I du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), le taux d'élévation du niveau de la mer s'est accéléré au cours des dernières décennies, «en raison de l'apport croissant d'eau provenant des inlandsis au Groenland et en Antarctique, ainsi que de la contribution de l'eau de fonte des glaciers et de la dilatation des eaux marines plus chaudes. "
L’Antarctique, le cinquième plus grand continent du monde, n’a pas été abordé dans l’entretien avec ABC. Mme Masson-Delmotte en a certainement parlé.
Cette nouvelle évaluation a également révisé à la hausse la contribution prévue de l'inlandsis antarctique à l'élévation du niveau de la mer d'ici 2100 en cas d'émissions élevées de gaz à effet de serre », a-t-elle déclaré. «L’éventail plus large des projections du niveau de la mer pour 2100 et au-delà est lié à la manière dont les inlandsis réagiront au réchauffement, en particulier en Antarctique, avec de grandes incertitudes qui demeurent. (Communiqué de presse du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) Monaco, 25 septembre 2019)
Une phrase de seulement cinq mots - avec encore de grandes incertitudes - mais un avec des implications majeures. Comment The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) peut-il justifier une révision à la hausse de la contribution projetée de l’Antarctique au niveau de la mer au vu de cet aveu ?
La réponse réside dans un monde glacial de profonde incertitude, celui dans lequel la température la plus froide de la planète a été enregistrée le 21 juillet 1983 - moins 128,56 degrés Fahrenheit (moins 89,2 degrés Celsius). Beaucoup trop froid, sûrement, pour que la fonte d’une si vaste couche de glace constitue une menace sérieuse.
RépondreSupprimer90 % de la glace mondiale (29 millions de kilomètres cubes) et environ 80% de son eau douce sont enfermés dans la calotte glaciaire antarctique. Si toute la glace fondait, le niveau des océans du monde s’éleverait de près de 60 m. Cependant, la réaction de la calotte glaciaire au réchauffement de la planète est la plus grande inconnue dans la projection du niveau de la mer pour les 100 à 1000 prochaines années. Division antarctique australienne
En outre, les déclarations alarmistes clés de la «haute confiance» du SROCC sont souvent contredites ou compromises par une déclaration de «confiance faible» ou par des mots tels que «potentiel», «peut être», «dans quelques siècles». Par exemple:
3.3 L’accélération de la fonte des glaces et du recul des glaces en Antarctique, susceptible de conduire à une élévation du niveau de la mer de plusieurs mètres en quelques siècles, est observée dans le bassin de la mer d’Amundsen, situé dans l’Antarctique occidental, et dans le Wilkes Land, en Antarctique ). Ces changements peuvent être le début d'une instabilité irréversible de la calotte glaciaire. L'incertitude liée à l'apparition de l'instabilité de la calotte glaciaire provient d'observations limitées, d'une représentation modèle inadéquate des processus de la calotte glaciaire et d'une compréhension limitée des interactions complexes entre l'atmosphère, l'océan et la calotte glaciaire. {3.3.1, encadré transversal 8 du chapitre 3, 4.2.3} (SROCC, 24 septembre 2019)
Ça s'empire. Extrait du chapitre 1 de la version finale de la SROCC (pages 41 à 48):
Dans certains cas, une incertitude profonde (encadré 5 dans le chapitre 1 du chapitre 1) peut exister dans les évaluations scientifiques actuelles des processus, du taux, du moment, de l’ampleur et des conséquences des futurs changements dans les océans et la cryosphère. Cela inclut des changements physiquement plausibles à fort impact, tels que des scénarios haut de gamme d'élévation du niveau de la mer.
Les directives existantes pour assurer un traitement cohérent des incertitudes par les équipes d'auteurs du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) (Mastrandrea et al., 2010; section 1.9.2) pourraient ne pas être suffisantes pour assurer la cohérence souhaitée ou orienter des conclusions solides lorsque des conditions de grande incertitude sont présentes (Adler et HirschHadorn, 2014). The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) et les évaluations précédentes ont été confrontés à une grande incertitude lors de l’évaluation de nombreux aspects du problème du changement climatique.
Profonde incertitude - Cas B - Inlandsis antarctique et élévation du niveau de la mer: Perte de glace dynamique en Antarctique (encadré 8 dans le chapitre 3) fournit un exemple de manque de connaissances sur les processus et de désaccord sur les modèles appropriés et les distributions de probabilité pour représenter l'incertitude Cependant, l'ampleur de l'augmentation supplémentaire au-delà de 2100 et la probabilité d'une élévation du niveau de la mer supérieure à celle incluse dans la plage probable avant 2100 sont caractérisées par une incertitude profonde (section 4.2.3).
Les auteurs demandent ce qui peut être appris en abordant les cas de grande incertitude du SROCC. Dans le cas B ci-dessus, le manque de modèles «adéquats» a produit «des points de vue divergents sur la probabilité de perte de glace et a entraîné une incertitude profonde», mais clairement pas pour les auteurs du communiqué de presse du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC).
RépondreSupprimerComme dans tout bon film d’horreur, le coup de grâce du SROCC n’apparaît que dans les dernières pages, au moins au chapitre 3. Notez les «priorités essentielles pour les initiatives futures» ci-dessous et préparez-vous à une manie encore plus modèle.
Le renversement de la circulation dans l'océan Austral est un facteur clé qui régit les échanges de chaleur et de carbone avec l'atmosphère et, partant, le climat mondial. Il n'existe toutefois aucune mesure directe à cet égard et seulement quelques indicateurs indirects indirects de son évolution. Ceci est une faiblesse critique dans les observations soutenues de l'océan global. (SROCC, version finale du chapitre 3, section 3.7, Principales lacunes et incertitudes en matière de connaissances, 2019)
La profondeur de la neige sur la glace de mer est essentiellement non mesurée, ce qui limite les estimations du bilan de masse et de la récupération de l'épaisseur de la glace. Une meilleure compréhension mécanistique des changements et des tendances observés dans la banquise antarctique est nécessaire, notamment l’augmentation décennale et le retrait très récent très rapide. Cela a des conséquences sur le climat, les écosystèmes et la pêche. Cependant, le manque de compréhension et les performances médiocres du modèle se traduisent par une compétence prédictive très limitée.
Il est nécessaire de mieux comprendre l'évolution des glaciers polaires et des inlandsis, ainsi que leurs influences sur le niveau de la mer. Des quantifications plus longues et améliorées de leurs changements sont nécessaires, en particulier lorsque les pertes de masse sont les plus importantes et (en conséquence) une meilleure attribution des facteurs naturels par rapport aux facteurs anthropiques. Une meilleure compréhension de la sensibilité de l'Antarctique à l'instabilité de la calotte glaciaire en mer est nécessaire, et si les changements récents dans l'Antarctique occidental représentent le début d'un changement irréversible.
Soyez donc vigilant lorsque vous parcourez un rapport sur le climat du The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). Lire entre les lignes, en particulier le communiqué de presse et le résumé à l'intention des décideurs. Pour le diable - ou monstre d'incertitude - est en effet dans les détails.
Qui aurait pensé qu'il y en avait (page 173): «des lacunes critiques dans les connaissances concernant les interactions entre l'atmosphère et des éléments spécifiques de l'océan polaire et de la cryosphère»?
Pour moi, un commentaire - le dernier du SPM - révèle le véritable objectif de l'ONU: convaincre The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) de développer un argument «scientifique» validant ses 17 objectifs de développement durable (ODD), tout en soulignant le besoin urgent » changement transformateur ".
RépondreSupprimerCette évaluation de l'océan et de la cryosphère dans un climat en mutation révèle les avantages d'une atténuation ambitieuse et d'une adaptation efficace pour un développement durable, et inversement, de l'escalade des coûts et des risques d'une action retardée. Le potentiel de cartographie des voies de développement résilient au climat varie dans et entre les régions océaniques, de haute montagne et les terres polaires. Réaliser ce potentiel dépend du changement de transformation. Cela souligne l'urgence de donner la priorité à des actions opportunes, ambitieuses, coordonnées et durables. (confiance très élevée) {1.1, 1.8, encadré, chapitre 1, 2.3, 2.4, 3.5, 4.2.1, 4.2.2, 4.3.4, 4.4, tableau 4.9, 5.5, 6.9, encadrement, chapitre 9, figure SPM.5 (SPM C4.7, page 42)
How dare you !
Michael Kile
1 October 2019
This article was first published in Australia at Quadrant Online
(...) 90 % de la glace mondiale (29 millions de kilomètres cubes) et environ 80% de son eau douce sont enfermés dans la calotte glaciaire antarctique. Si toute la glace fondait, le niveau des océans du monde s'élèverait de près de 60 m. (...) !!
SupprimerDepuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
Lorsque la glace font ELLE PERD du volume et non en gagne !
Les glaces qui perdent du volume aux pôles sont soit le fait de l'érosion naturelle des coups de butoir océanique, soit le fait qu'elles sont proche du magma. Ses sources chaudes (comme partout ailleurs au fond des bassins maritimes & océaniques) fondent les bases-mêmes des glaciers qui parfois se détachent pour flotter et sont aussi parfois emportés par les courants océaniques.
Aux millénaires antérieurs la terre était réunie puis s'est fractionné par des tremblements de terre et a donné naissance à des continents (terres séparées). Le gel s'est dissipé et la glace s'est donc transformé en eaux (d'où la baisse de niveau glace/eau).
Si la froid devait revenir, effectivement la glace comprimerait l'eau et s'élèverait.
Comprendre le mouvement climatique - Partie 3: Suivez l'argent
RépondreSupprimer6 octobre 2019
par le Dr Paul Rossiter
Après mes deux essais précédents consacrés au nouveau grand récit du groupe vert / gauche et à la corruption de la cause, je passe maintenant au principal moteur du mouvement climatique au jour le jour: l’argent. Je suis devenu très découragé de comprendre cela alors que je commençais à comprendre l’énorme somme d’argent qui dépend de la notion non prouvée que le gaz carbonique atmosphérique résultant de l’utilisation de combustibles fossiles est à l’origine du réchauffement climatique catastrophique / du changement climatique / de la peste et condamner. Quelques chiffres clés: la capitalisation du secteur des énergies renouvelables dépasse 1 billion de dollars; le financement des ONG utilisées comme publicité alarmiste et agences de lobbying dépasse les 2 milliards de dollars; et le montant des fonds de recherche consacrés par le gouvernement à la question dépasse un milliard de dollars. Nous espérons que la résolution de certains problèmes d’importance scientifique amènera ces agences à admettre que leur activité repose sur un mensonge et qu’elles s’en iront tranquillement, ou du moins qu’elles seront ramenées à une taille plus adaptée aux besoins réels du marché.
Une mise en garde avant de commencer: les chiffres que je cite sont ceux qui sont disponibles dans le domaine public par le biais de livres, de sites Web et de rapports annuels et financiers. Je ne suis pas économiste et je serais heureux de recevoir toute contribution supplémentaire de la part de lecteurs plus informés que moi. Pour tous les exemples cités dans les sections suivantes, les chiffres concernent généralement l'exercice 2017/18.
1. Industrie des énergies renouvelables: le complexe climato-industriel.
En 2009, Bjorn Lomborg a écrit:
Certains chefs d'entreprise coopèrent avec des politiciens et des scientifiques pour exiger une action rapide et drastique sur le réchauffement climatique. Il s’agit d’une nouvelle tournure d’une pratique très ancienne: les entreprises qui utilisent la politique publique pour se couvrir les poches.
Les relations étroites entre les groupes font écho aux relations entre les fabricants d’armes, les chercheurs et l’armée américaine pendant la guerre froide. Le président Dwight Eisenhower a mis en garde contre la puissance du "complexe militaro-industriel", soulignant que "le potentiel de la montée désastreuse d'un pouvoir mal placé existe et va persister". Il s'inquiétait de "la tentation récurrente de ressentir que certains une action coûteuse pourrait devenir la solution miraculeuse à toutes les difficultés actuelles. "
C'est certainement le cas des changements de saisons. On nous dit que des réglementations très coûteuses en matière de carbone sont le seul moyen de réagir au réchauffement de la planète, malgré de nombreuses preuves selon lesquelles cette approche ne satisfait pas à un test de base coûts-avantages. Nous devons nous demander si un «complexe climato-industriel» est en train d'émerger, poussant les contribuables à donner de l'argent pour plaire à ceux qui ont tout à gagner.
Naturellement, de nombreux PDG sont réellement préoccupés par le réchauffement de la planète. Mais beaucoup de ceux qui parlent le plus vont tirer profit de la réglementation sur le carbone. Le terme utilisé par les économistes pour désigner leur comportement est «recherche de rente».
https://www.wsj.com/articles/SB124286145192740987 2009
Selon les études de marché alliées:
https://www.alliedmarketresearch.com/renewable-energy-market
Le marché mondial des énergies renouvelables était évalué à 928,0 milliards de dollars en 2017 et devrait atteindre 1 512,3 milliards de dollars en 2025, enregistrant un TCAC de 6,1% de 2018 à 2025. Les technologies des énergies renouvelables convertissent l'énergie de différentes sources naturelles telles que le soleil, les marées, vent et autres, dans ses formes utilisables telles que l'électricité.
RépondreSupprimerLe marché mondial des énergies renouvelables devrait connaître une forte croissance au cours de la période de prévision en raison de l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES), en particulier de gaz carbonique, en raison de l'utilisation de combustibles fossiles pour la production d'énergie. En outre, la présence limitée de combustibles fossiles sur la planète ainsi que la volatilité de ses prix alimentent le marché des énergies renouvelables.
La région Asie-Pacifique devrait connaître la croissance la plus rapide au cours de la période de prévision. En raison de l'augmentation de la demande d'énergie due à la montée de l'industrialisation dans les pays en développement tels que la Chine et l'Inde. La présence de ces pays stimule le marché des énergies renouvelables en raison de facteurs tels que la croissance démographique, une industrialisation rapide ainsi que des politiques favorables pour le secteur des énergies renouvelables.
Autre prévision d'Acciona:
Un habitant de la planète sur huit n'a toujours pas accès à l'électricité. Dans un contexte énergétique garantissant l'accès de chacun à une énergie abordable, fiable, durable et moderne, l'utilisation des énergies renouvelables doit passer des 25% actuels à 38% d'ici 2025. Cela impliquerait un investissement annuel de 441 milliards de dollars dans l'électricité renouvelable. génération.
https://www.acciona.com/sustainability/
Prenant les prévisions plus loin, l'idiotie d'un objectif «zéro carbone» d'ici 2050 a été discutée à plusieurs reprises. Une analyse récente de Roger Pielke a montré que cela nécessiterait la construction d'une centrale nucléaire chaque jour d'ici 2050 ! En tant que tel, je ne le poursuivrai plus ici.
https://wattsupwiththat.com/2019/10/02/net-zero-carbon-dioxide-emissions-by-2050-requires-a-new-nuclear-power-plant-every-day/.
Il peut être difficile de comprendre le sens de chiffres allant de plusieurs milliards de dollars et j’ai donc pensé qu’il serait intéressant de les décomposer au moins au niveau de l’entreprise, afin de les rendre plus tangibles. Ce faisant, j'ai utilisé des données obtenues à partir de divers rapports, mais cela doit être considéré à titre indicatif car certaines entreprises ont des intérêts très divers et il n'est pas toujours évident de savoir si les données concernent l'ensemble de l'entreprise ou uniquement le secteur des énergies renouvelables.
Fabricants et installateurs d’éoliennes.
L'énergie éolienne reste l'une des sources d'énergie renouvelables les plus couramment utilisées sur le marché mondial. Selon les prévisions, les ajouts mondiaux de nouvelles capacités éoliennes sont estimés à 689 GW au cours des dix prochaines années, ce qui portera le nombre total d'installations à 1 160 GW d'ici la fin de 2027, contre 541 aujourd'hui, ce qui signifie que la demande d'éoliennes sera plus élevé que jamais. L’avenir des 10 plus grands fabricants d’éoliennes du monde est donc très prometteur et offre de fortes perspectives de croissance dans les prochaines années.
Les 10 meilleurs fabricants d'éoliennes dans le monde (2018)
Certains des principaux fabricants de grandes éoliennes sont:
Vestas Wind Systems A / S (Danemark), capitalisation boursière de 75 milliards de dollars, ventes de 14,94 milliards de dollars, premier producteur mondial avec plus de 60 000 turbines au total, 112 GW dans 76 pays
RépondreSupprimerUnited power (technologie Cie Ltd de Guodian United Power), 100GW.
Enel Spa (Italie), capitalisation boursière de 67,8 milliards d'euros, 97 GW (inclut probablement une activité non renouvelable)
General Electric (US), capitalisation boursière de 74,3 milliards de dollars. 25 000 turbines au total, 92 GW
Parmi les autres entreprises importantes de l'ordre du milliard de dollars, on peut citer NextEra Energy, Inc., Suzlon, Envision, Senvion S.A., Goldwind, ENERCON GmbH, Orsted A / S (Danemark), Nordex et Acciona Windpower.
Fabricants solaires.
L’industrie mondiale de l’énergie solaire devrait atteindre 422 milliards de dollars d’ici 2022, contre 86 milliards en 2015, soit un TCAC de 24,2% de 2016 à 2022. L’énergie solaire est l’énergie rayonnante émise par le soleil, exploitée par diverses technologies comme chauffage solaire, cellules photovoltaïques et autres. Il s’agit d’une forme efficace d’énergie non conventionnelle et d’une solution renouvelable et pratique face aux émissions croissantes de gaz à effet de serre et au réchauffement de la planète.
https://www.alliedmarketresearch.com/solar-energy-market
First Solar, capitalisation boursière de 4,5 milliards de dollars
Canadian Solar Inc., Capitalisation boursière de 3,6 milliards de dollars
JA Solar Capitalisation boursière de 2,6 milliards de dollars
Yingli Solar (Chine), 20 GW livrés à 1,25 milliard de dollars de revenus annuels par 90 pays
Les autres fabricants importants comprennent Jinko, Qcells, Winiaco, REC, LG Energy, Trina Solar, SunPower et Panasonic.
Distributeurs d’énergie à forte teneur en énergies renouvelables.
Avangrid, actifs 32 milliards de dollars, 32GW, vent
Innergex, actifs de 6,5 milliards de dollars canadiens, revenus de 57,6 milliards de dollars canadiens, énergie hydroélectrique, éolienne et solaire
Boralex Capitalisation boursière 2 milliards $, éolienne, hydraulique, thermique, solaire
Berkshire Hathaway Energy, 32GW, éolien, solaire, biomasse, géothermique.
Transalta (éolienne, solaire, hydroélectrique, charbon, gaz), Invenergy (solaire, éolienne), Tata Power Company Limited (hydroélectricité, éolien, biomasse), Geronimo Energy (éolienne et solaire), EDF Energy (énergie nucléaire). éolienne, solaire, gaz),
Autres technologies
Ocean Power Technologies, Inc (États-Unis) (onde), On Power (géothermie), Tocardo BV (fabricant de turbines à marée et à eau), SynTech Bioenergy LLC (énergie à partir de biomasse).
Chaque grand fabricant emploie généralement environ 5 000 personnes et 10 des milliers d’entre elles travaillent dans les industries de soutien.
Outre les entreprises directement impliquées dans la fabrication et le support de produits d'énergie renouvelable, il existe toutes les entreprises fournissant des biens et des matériaux entrant dans la fabrication des produits, ainsi que des services juridiques et financiers fournissant un soutien (voir par exemple http : //dx.doi.org/10.1016/j.techfore.2017.05.021).
RépondreSupprimerBjorn Lomborg à nouveau:
Même les entreprises peu engagées dans les activités vertes ont tout à gagner. Les entreprises énergétiques européennes ont réalisé des dizaines de milliards d'euros au cours des premières années du système commercial européen lorsqu'elles ont reçu des allocations d'émissions de carbone gratuites.
Compte tenu de l’énorme investissement en capital et en personnel largement tributaire du mythe selon lequel le gaz carbonique anthropique constitue une menace pour l’avenir de la planète, il n’est pas surprenant qu’il existe un important lobbying pour renforcer ce mythe: le complexe climato-industriel à son meilleur. Bien qu’une grande partie du lobbying soit favorable aux énergies renouvelables, il serait également naïf de penser qu’il n’y avait pas non plus un aspect antinucléaire important.
Retour à Bjorn:
Les entreprises américaines et les groupes d’intérêts impliqués dans le changement climatique ont recruté 2 430 lobbyistes l’année dernière, en hausse de 300% par rapport à il y a cinq ans. Cinquante des plus grandes compagnies d’électricité des États-Unis - y compris Duke - ont dépensé 51 millions de dollars en lobbyistes en seulement six mois
Vestas, le plus grand fabricant d'éoliennes au monde, membre du Conseil du climat de Copenhague, exhorte les gouvernements à investir massivement dans le marché éolien. Elle parraine le segment «Climate in Peril» de CNN, renforçant ainsi le soutien aux politiques qui augmenteraient les revenus de Vestas. Un membre du conseil, la société d’investissements verts de M. Gore, Generation Investment Management, met en garde contre un risque important pour l’économie américaine, à moins qu’un prix ne soit rapidement placé sur le carbone.
De plus amples discussions sur l'émergence du complexe climat-industriel sont données dans Green Tyrrany par Rupert Darwall.
2. Les agences de recherche propageant le mythe de CAGW.
Il existe un certain nombre d’agences de recherche financées par les gouvernements, soit en tant qu’organisations isolées, soit en consortiums, réunissant un certain nombre de participants. Beaucoup d'entre eux ont des programmes qui étudient les effets du changement climatique sur l'environnement mais tous (autant que je puisse en juger) acceptent le mantra d'une cause anthropogénique du changement, généralement basée sur les rapports de l'IPCC, et cela pré-détermine leurs projections dans le futur. futur. Avant d’examiner quelques exemples précis, je tiens à préciser que je ne critique pas la qualité de leurs programmes de formation scientifique ou de formation supérieure, mais que je souligne leur conflit d’intérêts inhérent: ils dépendent du financement public et sont donc impératifs. fournir un avis scientifique à la mesure de la politique gouvernementale.
Quelques exemples basés sur les informations disponibles au public:
NOAA (États-Unis), 5,5 milliards de dollars.
Le budget de la NOAA était sous pression au sein du sous-comité du commerce, de la justice, des sciences et des organismes connexes de la Chambre des crédits de mars 2019. L’administration Trump a proposé de ramener le budget de la NOAA à environ 4,5 milliards de dollars pour l’exercice 2020, soit une baisse de près d’un milliard de dollars par rapport au budget adopté pour l’année 2019. Les coupes budgétaires ont ciblé les programmes de recherche sur le climat et les océans ainsi que les initiatives en matière d'éducation, les subventions et autres programmes des agences.
RépondreSupprimerInterrogé par le représentant du sous-comité Matt Cartwright (D-Pa.) Sur le changement climatique, Neil Jacobs (alors administrateur par intérim de la NOAA) a reconfirmé la validité de la quatrième évaluation nationale du climat, selon laquelle «la température moyenne mondiale a augmenté d'environ 1,8 ° C F de 1901 à 2016, et les preuves d'observation n'appuient aucune explication naturelle crédible de ce réchauffement; au lieu de cela, les éléments de preuve indiquent invariablement que les activités humaines, notamment les émissions de gaz à effet de serre ou de piégeage de la chaleur, en sont la cause dominante.
La vision de la NOAA en matière de leadership est donc alignée sur celle de l'IPCC et il n’est pas question de causes naturelles du changement climatique.
https://doi.org/10.1029/2019EO119557
Institut australien des sciences de la mer (Australie), 67,9 millions de dollars
La stratégie 2025 d’AIMS explique comment AIMS soutiendra l’économie bleue en Australie en produisant des impacts à long terme générant des avantages nationaux, améliorant la santé marine tropicale et protégeant les récifs coralliens des changements climatiques.
Cependant, ses rapports prétendent:
La Grande Barrière de Corail est incontestablement l’un des atouts naturels les plus importants au monde. Nous travaillons avec d'autres pour protéger et restaurer le récif, qui subit de fortes pressions du changement climatique et d'autres facteurs de stress. Les impacts cumulatifs comprennent l’élévation de la température de la mer, l’acidification des océans, la pollution, la dégradation de la qualité de l’eau et les épidémies d’étoile de mer destructrice à couronne épineuse.
Donc, AIMS semble accepter dès le départ qu'un changement climatique dommageable se produit, conformément aux prévisions de l'IPCC.
CSIRO (Australie)
En 2016, le directeur général du CSIRO, M. Larry Marshall, a annoncé que la recherche sur les principes fondamentaux de la climatologie n'était plus une priorité pour le CSIRO, ce qui entraînait des pertes d'emplois de la ou des sections de recherche sur le climat de l'unité Océans et atmosphère. Après des réactions négatives écrasantes tant en Australie qu’à l’étranger, le gouvernement australien est intervenu avec une directive et une promesse de nouveaux fonds pour soutenir le rétablissement de 15 emplois et la création d’un nouveau centre de science du climat basé à Hobart avec un financement garanti pour 10 ans à compter de 2016. La principale réaction à l'étranger est venue de l'ancien vice-président américain Al Gore et du World Climate Research Program. Une fuite étroite pour la cabale alarmiste du climat mondial.
CSIRO Climate Science Center. 100 personnes, 20 millions de dollars
Le centre dispose d'un large éventail de programmes de recherche, dont deux portent sur les effets du changement climatique. Le programme de recherche sur les niveaux de la mer, les vagues et les extrêmes côtiers affirme:
RépondreSupprimerDe nombreuses observations montrent que l'océan a changé au cours des dernières décennies. Environ 93% de la chaleur excédentaire produite par les gaz à effet de serre a été absorbée par les océans. L'élévation du niveau de la mer est une réponse à la concentration croissante de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et aux changements consécutifs du climat mondial.
Le programme de recherche sur la composition atmosphérique et la chimie affirme de la même manière: Le changement climatique est principalement dû à la concentration croissante de gaz à effet de serre (GES) à longue durée de vie dans notre atmosphère.
Aucune suggestion de la possibilité d'une cause naturelle significative du changement climatique ici.
Centres d’excellence des universités australiennes.
L'Australian Research Council (ARC) est l'une des principales sources de financement de la recherche universitaire en Australie. Les programmes les plus importants sont administrés par le biais d'un programme de centres d'excellence qui encourage la collaboration entre les universités, les autres agences de recherche gouvernementales et l'industrie.
Le Centre pour les extrêmes climatiques de l'ARC reçoit 4,4 millions de dollars australiens de l'ARC et 6,7 millions de dollars australiens en nature de ses partenaires. Il découle du Centre d'excellence pour la science des systèmes climatiques qui s'est achevé en 2018. Le rapport final de ce centre indiquait:
L'Australie devient de plus en plus chaude, les vagues de chaleur sont de plus en plus courantes et intenses et ces tendances se poursuivront dans le futur. Les modèles climatiques suggèrent que l’été chaud record de l’Australie en 2013 était 5 fois plus probable en raison du changement climatique anthropique, et cet été record pourrait être représentatif du climat australien d’ici 2035 dans le cadre de scénarios à fortes émissions.
La vague de chaleur marine de 2015/16 dans la mer de Tasman était plus intense et considérablement plus longue que toutes les précédentes. Ce changement est cohérent avec une réponse au changement climatique anthropique
Le nouveau centre va:
améliorer notre compréhension des processus qui déclenchent ou améliorent les extrêmes et intégrer cette compréhension dans nos systèmes de modélisation. L’amélioration des prévisions des extrêmes climatiques permettra d’améliorer la façon dont l’Australie gère les extrêmes actuels et futurs.
Il comprend un programme sur la sensibilité du climat mondial qui utilise des ensembles de modèles climatiques de la même manière que la modélisation de l'IPCC. Encore une fois, aucune allocation pour cause naturelle, bien que beaucoup de programmes expérimentaux semblent être plus ouverts.
Le Centre d’excellence ARC en études sur les récifs coralliens a des revenus de 11,2 millions de dollars australiens.
Sa mission est la suivante: Diriger l’effort de recherche mondial visant à fournir les connaissances scientifiques nécessaires au maintien des biens et services écosystémiques des récifs coralliens dans le monde en période de changements environnementaux sans précédent.
Le programme de recherche sur les écosystèmes de récifs coralliens s'intéresse aux organismes et aux processus qui sous-tendent la structure et la fonction des écosystèmes de récifs coralliens. Les projets en cours étudient les effets du changement climatique.
RépondreSupprimerLe programme sur l’écologie et les changements climatiques des poissons de récif vise à comprendre et à prévoir les impacts des changements climatiques et de l’acidification des océans sur les populations et les communautés de poissons de mer, à la fois directement par le biais de modifications de l’environnement physique et indirectement par des effets sur l’habitat des récifs coralliens.
L'un des partenaires universitaires de ce centre, l'Université James Cook, s'est fait connaître en renvoyant le Dr Peter Ridd pour avoir mis en doute la qualité de ses recherches sur les récifs de la barrière de corail (et donc, potentiellement, leur financement).
Centre Tyndall pour la recherche sur le changement climatique (Royaume-Uni, aucune donnée financière disponible).
Notre vision: nous fournissons des preuves pour guider la société dans la transition vers un avenir durable à faible émission de carbone et résilient au climat.
Le Centre Tyndall est un partenariat d’universités réunissant des chercheurs des sciences sociales et naturelles et de l’ingénierie afin de mettre au point des solutions durables au changement climatique. Nous travaillons avec des dirigeants des secteurs public et privé pour promouvoir des décisions éclairées en matière d'atténuation des effets des changements climatiques et d'adaptation à ces changements.
L'un des partenaires de recherche est l'université d'East Anglia, de renommée Climategate. L’Université de Manchester est un autre partenaire, qui utilise des objectifs scientifiques pour aider les autorités locales à calculer leur bilan carbone et à réduire leurs émissions conformément au climat et à l’Accord de Paris de l’ONU.
Peu d'espoir pour la prise en compte des causes naturelles du changement climatique dans cette région.
3. ONG
Les organisations non gouvernementales (ONG) sont des organisations à but non lucratif financées par diverses sources: dons individuels, fiducies philanthropiques, subventions gouvernementales, recherches commanditées à des entreprises, syndicats et organisations non gouvernementales et vente de marchandises. Certains sont plus précis que d'autres sur les sources de financement (par exemple, certains n'accepteront pas de subventions gouvernementales au risque de faire croire à un programme politique partisan) et, souvent, les principaux donateurs ne sont pas identifiés pour préserver leur vie privée. Cela peut rendre la piste de l'argent difficile à suivre, encore plus avec ceux qui utilisent les services d'agences de distribution de fonds tiers.
Ce serait une grave erreur de considérer les ONG comme un groupe semi-organisé de hippies vieillissants. Ils sont très organisés et possèdent généralement un très haut niveau d’expertise au sein de leurs conseils d’administration, qui incluent souvent des personnalités publiques (certaines avec des distinctions d’État), des personnes possédant des diplômes universitaires et des années d’expérience dans le domaine. Prix Nobel en tant que mécène (Doherty). Les plus grandes emploient un personnel de recherche, de publicité et de marketing et comptent des millions de membres. Les plus petites avec des moyens plus modestes ont tendance à compter davantage sur un soutien volontaire. Cependant, ils représentent une force majeure dans le maintien du mythe du réchauffement planétaire anthropogénique catastrophique / du changement de saisons.
Climate Action Network International
RépondreSupprimerLes ONG s'intéressant au changement climatique sont coordonnées au niveau international par le biais du CAN (Climate Action Network International), organisme enregistré en Allemagne et regroupant 1 300 organisations membres d'ONG dans plus de 120 pays. La page d'accueil fournit également des liens vers les ONG membres.
http://climatenetwork.org/
Extrait de la déclaration de mission et des communiqués de presse du CAN:
La vie sur terre est gravement menacée par le changement catastrophique de saisons, causé par les humains à travers notre production constante de gaz à effet de serre.
Le RCA s'emploie à promouvoir des actions gouvernementales et individuelles visant à limiter les changements de saisons d'origine humaine à des niveaux écologiquement durables
Les membres du CAN travaillent à la réalisation de cet objectif grâce à l'échange d'informations et à l'élaboration coordonnée de la stratégie des ONG sur les questions climatiques internationales, régionales et nationales. Le CAN possède des centres de réseaux régionaux qui coordonnent ces efforts dans le monde entier.
Ainsi, la lutte contre le changement climatique nécessite une coordination locale et internationale impliquant d'importantes ressources financières, du personnel dévoué et des millions de fantassins volontaires.
Le nombre d'ONG des principaux pays participant à la CAN est le suivant:
USA 193
Canada 103
Australia 69
India 46
UK 30
Denmark 25
France 23
New Zealand 16
China 9
Russia 9
Norway 9
Sweden 5
Germany 7
Finland 7
Hungary 4
Austria 3
Italy 3
(Greenland, North Korea, Somalia 0)
Les ONG identifiées avec le groupe Climate Action ne sont pas toutes préoccupées par le changement climatique (certains groupes d'aide de l'église, par exemple). Cependant, la plupart ont des préoccupations environnementales liées au changement climatique (à l'exception du quoll tacheté, des récifs coralliens, des forêts tropicales, etc.), ou bien la prévention du changement climatique est une préoccupation essentielle et centrale dans leur mission. Tous sont opposés à l'utilisation de combustibles fossiles et de sources d'énergie nucléaires.
Dans tous les cas, le point de référence scientifique du changement climatique est l'IPCC. Encore une fois, à partir de documents CAN:
Les rapports scientifiques consécutifs (IPCC) tirent la sonnette d'alarme. La fenêtre pour agir se ferme. Les cibles actuelles nous amènent à un réchauffement de 3 ou 4 ° C, ce qui met fin à toute chance de survie de l’homme et d’autres espèces. Nous constatons des impacts mortels à seulement 1 ° C. Tous les pays doivent réduire de moitié les émissions d’ici 2030 pour maintenir le réchauffement en dessous de 1,5 ° C et disposent d’un an pour mettre au point les outils nécessaires à la mise en œuvre de la décarbonisation.
En 2019, il ne nous reste que 11 ans pour éviter les pires effets de la crise climatique, comme le signalait le rapport spécial de l'IPCC sur 1,5 ° C.
Le dernier rapport spécial de l'IPCC sur les océans et la cryosphère (SROCC) montre à quel point la vie marine, les océans, les glaciers, les montagnes et les écosystèmes polaires sont perturbés par la crise climatique. Ces changements, qui se produisent à un rythme et à une échelle sans précédent, ont des conséquences sur des centaines de millions de personnes qui sont poussées à des limites dangereuses et qui subissent les conséquences de leurs pertes et de leurs dommages.
RépondreSupprimerLe rapport montre que l'élévation du niveau de la mer, la fonte rapide des inlandsis et le réchauffement drastique des océans ont un prix écologique et social très élevé, qui augmentera avec des retards et nécessitera des choix difficiles avec des compromis complexes pour protéger la population et nos peuples. monde naturel. Il réaffirme les principales conclusions du rapport 1.5C de l'IPCC sur le réchauffement de la planète.
Et ainsi de suite. Cette confiance totale dans les rapports de l'IPCC s’applique aux ONG individuelles, comme il sera maintenant évident en regardant certaines des plus grandes. Tous ne sont pas représentés dans tous les pays, mais quelques-uns des plus grands sont actifs en Australie et aux États-Unis: Greenpeace, le Fonds mondial pour la nature (WWF) et les Amis de la Terre (FoE).
Union of Concerned Scientists (États-Unis), 39,8 millions de dollars
L'Union of Concerned Scientists est l'un des principaux organismes à but non lucratif à vocation scientifique œuvrant pour un environnement sain et un monde plus sûr. UCS combine recherche scientifique indépendante et action citoyenne pour développer des solutions innovantes et pratiques et garantir des changements responsables dans les politiques gouvernementales, les pratiques des entreprises et les choix des consommateurs.
Le réchauffement climatique a déjà des effets importants et néfastes sur nos communautés, notre santé et notre climat. L'élévation du niveau de la mer s'accélère. Le nombre de grands feux de forêt augmente. Les vagues de chaleur dangereuses deviennent de plus en plus courantes. Les tempêtes extrêmes augmentent dans de nombreuses régions. Des sécheresses plus graves se produisent dans d'autres.
Nous devons réduire considérablement les émissions de chaleur que nous rejetons dans l'atmosphère. En tant qu'individus, nous pouvons aider en prenant des mesures pour réduire nos émissions de carbone personnelles. Cependant, pour faire face à la menace du réchauffement climatique, nous devons exiger des dirigeants élus qu'ils agissent.
350.org (international), 19 millions de dollars
Pour préserver notre planète, les scientifiques nous disent que nous devons réduire la quantité de gaz carbonique dans l'atmosphère de son niveau actuel de 392 parties par million à moins de 350 ppm. Mais 350 est plus qu’un nombre, c’est un symbole de ce que nous devons faire en tant que planète.
En octobre 2009, nous avons coordonné 5 200 rassemblements et manifestations simultanés dans 181 pays, ce que CNN a qualifié de «journée d'action politique la plus répandue de l'histoire de la planète».
Greenpeace Australia, $19.7m
Greenpeace est une organisation de campagne indépendante qui utilise une action directe non violente pour dénoncer les problèmes environnementaux mondiaux et pour imposer des solutions essentielles à un avenir vert et pacifique. Greenpeace a également œuvré dans le Pacifique pour éliminer la pollution toxique et prévenir les changements climatiques néfastes.
La physique de base et la modélisation sophistiquée prédisent qu'une atmosphère plus chaude et, surtout, un océan plus chaud sont susceptibles de créer des événements plus extrêmes tels que cyclones, ouragans, sécheresse, vagues de chaleur et le froid.
RépondreSupprimerLe récif est sous une menace sans précédent. L'extraction et la combustion de combustibles fossiles réchauffent notre atmosphère et nos océans.
Mais nous pouvons peindre un avenir différent. La modélisation du climat nous montre que pour garder les récifs du monde entier intacts, nous devons limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 ° C. Cela signifie que nous avons besoin d'un ralentissement brutal de l'extraction de charbon, de gaz et de pétrole et d'une transition vers une énergie 100% renouvelable, dans les meilleurs délais.
Greenpeace USA, 39,7 millions de dollars, contributions totales de 28,2 millions de dollars, 25 000 membres.
Demandez Green New Deal maintenant !
The Australia Institute, 4 millions de dollars au total, 3 millions de dollars en dons.
L'Australian Institute a repris le rôle de défenseur du changement climatique de l'ancien institut australien pour le climat, qui a cessé ses activités en 2017. Il s'emploie activement à promouvoir les mesures d'atténuation du réchauffement planétaire et a critiqué le manque d'action perçu par le gouvernement fédéral australien contre le changement climatique.
Les dirigeants des îles du Pacifique ont clairement expliqué au monde ce qui était exigé de leurs voisins, y compris de l'Australie, pour assurer leur survie: la survie des nations des îles du Pacifique ne nécessite pas de nouvelle mine de charbon.
En 2017-2018, nous avons produit plus de 150 documents de recherche, y compris plus de 120 rapports de recherche, 25 soumissions à des demandes de renseignements et des processus d'évaluation de projets du gouvernement et 12 vérifications nationales des émissions d'énergie. Il a également présenté une pétition à la conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de 2019.
L'Australie Institute évalue son impact grâce à la valeur de 55,4 millions de dollars de ses publicités et à son audience cumulée de 82,7 millions de personnes.
Il a mené une enquête pour évaluer les attitudes des Australiens à l'égard du changement climatique, ses impacts, sa science, ses réponses potentielles, les opportunités qu'il offre et les performances de nos dirigeants à cet égard. Les résultats indiquent un fort soutien pour l'action climatique et ont été publiés dans Le climat de la nation en 2018, vraisemblablement dans l'espoir d'influencer l'élection fédérale de mai 2019. Heureusement, ils ne l'ont pas fait et le parti travailliste qui s'est battu contre le changement climatique la plate-forme a perdu l'élection «non praticable».
https://www.tai.org.au/content/climate-nation-climate-change-concern-reaches-five-year-high
Wilderness Society (Australie), total de 13 millions de dollars australiens, dons de 10 millions de dollars australiens, legs de 2 millions de dollars australiens.
Nous travaillons à la protection de nos sources d’eau et d’air pur, à la lutte contre les changements climatiques dévastateurs, à la création d’un avenir sûr pour la vie sur Terre et à la création d’un monde meilleur pour nos enfants.
La société dispose de: 8 centres de campagne; 26 groupes organisateurs locaux; 8 équipes de campagne; 32 formateurs de Movement For Life; 34 programmes de formation organisés cette année; 440 diplômés du Mouvement pour la vie; 1 974 volontaires actifs; 28 309 membres actifs.
RépondreSupprimerWorld Wildlife Fund USA (siège social).
Recettes d'exploitation totales de 335,1 millions de dollars, contributions de 69,6 millions de dollars, 46,8 millions de dollars de fonds publics contrats de subventions, salaires de 1,8 million de dollars aux États-Unis, 53,3 millions de dollars internationaux.
17 membres de l’équipe de direction, principalement des avocats et des financiers. 66 experts, 1 million de membres, 8 millions de militants.
Pour ralentir suffisamment le changement de saisons, nous devons réduire d’urgence les émissions mondiales de gaz à effet de serre. Nous exploitons la puissance du réseau d’organisations du WWF dans le monde entier pour susciter un soutien en faveur de l’action climatique mondiale.
En promouvant les efforts nationaux et internationaux visant à réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre d'au moins 80% par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2050, le WWF demande au Congrès et à l'administration américains d'agir résolument contre le changement de saisons.
À mesure que les glaciers et les calottes glaciaires rétrécissent, que moins de neige tombe et que le pergélisol fond, la montée de la mer se produit 2,5 fois plus rapidement qu'au cours du siècle dernier. Les scientifiques ont indiqué que les océans pourraient s’élever de 8 pieds d’ici à 2100, déplaçant probablement des centaines de millions de personnes dans le monde.
World Wildlife Fund Australia, 28 millions de dollars australiens, 20 millions de dollars de donateurs. 6 millions de dollars australiens.
Notre climat est en train de changer rapidement et de menacer les gens, les animaux et les endroits que nous aimons.
Ce que nous savons maintenant, ce sont des activités telles que la combustion de combustibles fossiles tels que le charbon, le pétrole et le gaz, et l’abattage de forêts, polluent notre atmosphère et réchauffent notre planète, entraînant une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes, l’élévation du niveau de la mer, ainsi que le réchauffement et l’acidification de la planète. océans. Notre faune et nos écosystèmes précieux ne peuvent pas s’adapter assez rapidement.
Nous aidons les entreprises à fixer des objectifs scientifiques de réduction des émissions et aidons les grandes entreprises à acheter de l’énergie renouvelable à moindre coût. Cela implique de travailler avec les gouvernements pour éliminer les obstacles et inciter l’industrie et les entreprises à accélérer le passage à la pollution zéro carbone.
Le WWF-Australie s'est engagé à: limiter le réchauffement climatique à 1,5 ° C au-dessus des niveaux préindustriels d'ici la fin du siècle; Atteindre une pollution nette en carbone zéro en Australie avant 2050; Atteindre 100% d'énergie renouvelable en Australie avant 2050, y compris une électricité 100 % renouvelable avant 2035.
Fonds mondial pour la nature Canada 24,2 millions de dollars canadiens, 70% des dons, 16% des fondations
Amis de la Terre Australie 1,4 million de dollars, dons A850k.
RépondreSupprimerPlus d'un siècle de développement industriel a rejeté des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, réchauffant la planète et rapprochant dangereusement le climat de points de basculement dangereux. L'alternative que nous cherchons à mettre en œuvre est une société durable. Cela implique de dépendre de l'utilisation de ressources renouvelables réparties équitablement. Cela implique de reconnaître qu’il existe un lien inextricable entre les personnes et l’environnement. FoE reconnaît que la résistance et l'action organisées sont des catalyseurs nécessaires des changements environnementaux, économiques et sociaux. Une telle action est essentielle si nous voulons créer une société durable fondée sur une répartition équitable des ressources et du pouvoir et sur la reconnaissance des droits de tous.
Les Amis de la Terre travaillent activement avec les communautés de première ligne du pays pour s'opposer à la prolifération des industries du nucléaire, du charbon et du gaz.
Amis de la Terre USA Total: 10,9 millions de dollars US, 6,7 millions de dollars de subventions, legs, contributions, 45 employés rémunérés.
Au cours des deux dernières années, nous avons résisté, mobilisé et engagé un travail de solidarité profond contre le programme dangereux de l’administration Trump.
En ce qui concerne le climat et l'énergie:
La crise climatique est le problème environnemental définitif de notre époque, mais il faudra plus que des technologies réduisant les émissions de gaz à effet de serre pour y faire face. Nous devrons changer la façon dont nous produisons notre énergie, cultivons notre nourriture, conduisons nos politiques, organisons nos économies et plus encore. Nous devons passer d'une économie d'extraction à une économie de régénération, tout en protégeant les communautés vulnérables. Les Amis de la Terre luttent pour mettre fin à notre dépendance aux combustibles fossiles polluants et à la dangereuse énergie nucléaire; et promeut des solutions telles que les énergies renouvelables, l'agriculture durable et la protection des forêts tropicales. Tout en plaçant les communautés, et non les entreprises, au centre.
Environmental Defence Fund Inc., 223 millions de dollars de contributions, d'adhésions et de fondations.
Avec votre aide, le Fonds de défense de l’environnement a réussi à faire échec aux tentatives de l’administration Trump d’annuler les sauvegardes environnementales bipartites au cours des deux dernières années.
Les enjeux sont élevés. Des rapports scientifiques récents montrent que la pollution de l'air tue 7 millions de personnes par an, que le monde perd de la faune et de la vie marine à un rythme alarmant et que la fenêtre de temps qui reste pour éviter un changement climatique dangereux se referme rapidement.
Certaines de leurs actions:
Michael Dourson, un pistolet embauché dans l’industrie chimique, a été nommé pour superviser le bureau de la sécurité des produits chimiques de l’EPA. Le FEPH déforme la candidature de Dourson en présentant des sénateurs clés aux familles de victimes de produits chimiques toxiques. EDF aide également à mettre fin à la nomination de Kathleen Hartnett White, nommée représentante du climat, à la tête du Conseil pour la qualité de l'environnement.
Le président Trump propose des coupes budgétaires paralysantes à l'EPA. Le Congrès d'EDF fait pression sur le Congrès, tandis que Moms Clean Air Force, une organisation partenaire d'EDF comptant un million de membres, rencontre des responsables dans 20 États. Le programme de campus EDF, Défendez notre avenir, organise des visites chez les élus. Le budget de l’EPA reste en grande partie intact.
L’administration Trump propose de limiter l’utilisation par l’EPA d’importantes études de santé publique lors de la prise de décisions, supprimant ainsi les preuves essentielles étayant des protections solides. Le FEPH mobilise une large coalition d’experts, fournit des témoignages d’experts et dépose des requêtes en vertu de la loi sur la liberté de l’information afin de révéler les motifs de l’EPA. Pour le moment, la proposition est bloquée.
RépondreSupprimerLe secrétaire à l'Énergie, Rick Perry, cherche à contraindre les entreprises d'électricité à brûler du charbon, tandis que l'EPA s'emploie à abaisser les limites d'émissions de gaz à effet de serre, de mercure et d'arsenic. Sous la pression d’EDF et d’autres, le plan de Perry est mis de côté. EDF intensifie sa lutte pour défendre le plan Clean Power et les limites cruciales imposées au mercure et à l'arsenic toxiques provenant de centrales au charbon.
Les exemples ci-dessus ne représentent qu’un petit échantillon des groupes militants du changement climatique. Il existe relativement peu de groupes ou d'organisations présentant le point de vue opposé selon lequel le changement climatique est en grande partie dû à des causes naturelles et toute action de «décarbonisation» est vaine et représente un gaspillage d'argent coûteux.
Opportunistes et mondialistes
En septembre 2018, 29 philanthropes ont promis 4 milliards de dollars sur cinq ans pour lutter contre le changement climatique - le plus important investissement philanthropique jamais consacré à l'atténuation du changement climatique. L’annonce, faite au Sommet mondial pour l’action pour le climat (GCAS) à San Francisco, représente un vaste engagement mondial en faveur de la recherche de solutions abordables, sobres et sans émissions de gaz carbonique afin de réduire les émissions nocives responsables du changement climatique. Une grande partie de cet investissement soutiendra les ONG actives sur le front du changement climatique: ce financement stimulera le développement d'efforts locaux fructueux pour résoudre la crise climatique et permettra aux personnes les plus touchées par la crise climatique de définir les solutions.
Chaque jour apporte de nouvelles preuves du changement climatique ayant une incidence sur les vies - des phénomènes météorologiques extrêmes à l'insécurité alimentaire croissante, en passant par des impacts tragiques sur la santé humaine. Nous constatons les souffrances qu'une planète en réchauffement constant cause aux peuples du monde entier.
Au cours des deux dernières décennies, le secteur des ONG - soutenu par la philanthropie - a fait d’importants progrès dans la lutte contre le changement climatique, notamment en élargissant l’accès à une énergie éolienne et solaire fiable et peu coûteuse; concevoir des politiques qui révolutionnent l'intégration d'une nouvelle génération de véhicules électriques; et fournir un appui essentiel aux pays qui s’emploient à satisfaire aux exigences de l’Accord de Paris historique.
En travaillant ensemble, en partageant les connaissances, en accueillant de nouveaux partenaires et en mobilisant les actions des gouvernements, du secteur privé et des citoyens ordinaires, la communauté philanthropique peut jouer un rôle catalyseur dans la lutte contre la plus grande menace de notre monde.
Le Réseau d'action pour le climat (CAN) International s'est félicité de l'annonce: «En soutenant une base solide de mobilisateurs, d'influenceurs et d'agents de changement au sein des communautés locales du monde entier, cet engagement peut contribuer à atteindre cet objectif».
La communauté philanthropique annonce un engagement de 4 milliards de dollars pour lutter contre le changement naturel de saisons
RépondreSupprimerCertaines fondations ont également fourni des fonds pour des projets individuels dans les domaines des énergies renouvelables / climat / développement durable. Ceux-ci incluent Rockefeller Brothers Fund Inc. (actifs de 1,1 milliard de dollars, subventions de 34 millions de dollars, 7,5 millions de dollars consacrés au développement durable). Fondation William et Flora Hewlett (actifs de 9,8 milliards USD, 465 millions USD de subventions, 30 millions USD de projets climatiques), Fondation Elon Musk (aucune donnée financière disponible) et Fondation David et Lucille Packard (actifs de 7,6 milliards USD, 288 millions USD de subventions, 2 USD). m en conservation et science).
Enfin, sur la piste de l'argent, il y a des individus qui ont gagné beaucoup d'argent avec des projets d'énergie renouvelable / verts, comme Al Gore dont la valeur personnelle est maintenant estimée à environ 350 millions de dollars:
https://www.forbes.com/sites/larrybell/2013/11/03/blood-and-gore-making-a-killing-on-anti-carbon-investment-hype/#50efd89332dc
D'autres fondations sont moins ouvertes, par exemple George Soros et l'Open Society Foundations (environ 15 milliards de dollars):
https://www.influencewatch.org/non-profit/open-society-foundations/
Conclusion.
Le montant total des sommes investies dans les entreprises et les organisations qui reposent sur le mythe selon lequel les émissions de gaz carbonique) provenant de la combustion de combustibles fossiles provoque un réchauffement planétaire dangereux (et toutes les suivantes) se situe probablement entre 1 000 et 2 000 milliards de dollars. C'est à peu près la même taille que le PIB total de l'Australie ou du Canada. Cela crée une incitation énorme à maintenir le mythe, à faire pression sur le gouvernement et à dénigrer ou détruire toute opinion contraire. De nombreux groupes soutenant l'ensemble de cet édifice de mauvaise qualité sont très bien coordonnés, comme on peut s'y attendre de leurs penchants socialistes, et sont très efficaces pour susciter l'émotion publique et faire pression sur le gouvernement. Ajoutez à cela un enfer basé sur la mondialisation et la redistribution de la richesse des pays industrialisés prospères vers le reste du monde, et vous obtenez ce que Patrick Moore a décrit comme étant The Perfect Storm. En revanche, les quelques voix d’opposition, principalement des individus éthiques et des groupes de réflexion conservateurs, ont tendance à être beaucoup moins coordonnées (reflétant peut-être leur penchant pour la libre entreprise) et semblent moins bien attirer l’attention et les sentiments du public.
Il me semble que la «science» ne sera réglée (ou oubliée) que lorsque Mère Nature fera exactement ce qu'elle veut: la température peut monter et les alarmistes se réjouiront d'avoir sonné l'alarme (même si cela n'a rien à voir avec gaz carbonique), ou il restera inchangé ou diminuera, auquel cas ils prétendent avoir réussi à apprivoiser le monstre ou disparaissent tranquillement et trouvent une nouvelle cause à jeter sur le public qui souffre depuis longtemps. Quoi qu'il en soit, le complexe industriel du climat et tout ce qui le supporte est maintenant probablement trop gros pour faire faillite.
RépondreSupprimerUn mannequin à l'effigie de Greta Thunberg pendu sous un pont de Rome
RépondreSupprimer14:02 07.10.2019
Le parquet de Rome a ouvert une enquête pour menaces aggravées après la découverte d'un mannequin à l'effigie de la jeune militante pour le climat Greta Thunberg pendu sous un pont de la ville, annoncent lundi les médias italiens.
Postée sur les réseaux sociaux, la photo du mannequin portant deux tresses semblables à celles de la jeune activiste suédoise de 16 ans montre également un écriteau attaché au parapet du pont sur lequel est écrit en anglais «Greta is your god» (Greta est ton dieu), rappotre l'AFP.
L'image a aussitôt fait réagir la classe politique, la maire de Rome Virginia Raggi (Mouvement 5 Etoiles, antisystème) exprimant sur Twitter la «solidarité» de sa ville envers la famille de Greta Thunberg et le patron du Parti démocrate (gauche, au pouvoir en Italie) Nicola Zingaretti condamnant la «violence macabre» d'un geste dont les auteurs «ne respectent pas les idées qu'ils ne partagent pas».
Greta Thunberg a lancé il y a un an «Friday for future», mouvement appelant les élèves du monde entier à «sécher» les cours le vendredi pour défendre le climat.
Le vendredi 27 septembre, elle avait salué l'importante mobilisation de l'Italie pour cette cause après une manifestation qui avait réuni ce jour-là, selon les organisateurs, un million de jeunes à travers la péninsule à l'appel de «Friday for future Italia».
https://fr.sputniknews.com/international/201910071042223687-un-mannequin-a-leffigie-de-greta-thunberg-pendu-sous-un-pont-de-rome/
SupprimerEffectivement comme dieu et diable sont jumeaux...
Réflexions disparates sur le changement du climat.
RépondreSupprimerle 7 octobre 2019
Mes lecteurs connaissent parfaitement ma position au sujet de cette histoire digne d’un roman de science-fiction qu’est le réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine, c’est-à-dire la production de gaz carbonique rejeté dans l’atmosphère, gaz qui a été considéré comme présentant un effet de serre susceptible de provoquer une augmentation de la température au sol, du moins dans les zones dites « tempérées ». Je fais partie des 3 % de scientifiques ou d’ex-scientifiques (bien que n’ayant jamais été climatologue) qui ne croient pas aux théories de l’effet de serre et du réchauffement du climat d’origine humaine. Je suis donc condamné à l’enfer brûlant de l’Eglise de Scientologie Climatique.
Le gaz carbonique d’origine « humaine » est différent du gaz carbonique naturel
Dans une revue très bien documentée le Professeur émérite François Gervais, géophysicien de son état, a mentionné que ce gaz carbonique avait une durée de vie (demi-vie) dans l’atmosphère de au plus 4,5 ans, ce qui a été bien démontré et de manière incontestable par plusieurs équipes de géophysiciens. Cette évidence est niée par l’IPCC qui appuie son dogme du réchauffement d’origine humaine sur le fait que le gaz carbonique produit par l’activité humaine – et curieusement pas celui produit par l’activité naturelle de la biomasse végétale et animale – s’accumulera pendant des siècles. Cette affirmation qui n’est basée sur aucune évidence scientifique connue ni même rationnellement imaginable a permis à cet organisme politique (et non pas scientifique) de proclamer que l’utilisation des combustibles fossiles allait détruire l’équilibre planétaire du climat.
La fabrique de l’imposture
Comment un organisme onusien en est-il arrivé là ? C’est très simple à comprendre. Il s’agit en réalité d’un concours de circonstances habilement exploité. Comme je l’ai rappelé dans un précédent billet et dans bien d’autres billets de ce blog le « réchauffement » auquel on a assisté objectivement ces cent dernières années, c’est-à-dire en faisant abstraction des fluctuations météorologiques, ne date pas des années 1970-1990 mais de la fin des années 1920. Cet épisode climatique optimal, conséquence directe de l’évolution de l’activité solaire au cours de la même période, a provoqué le recul des glaciers alpins mais aussi de bien d’autres langues glaciaires de par le monde, et également le dégazage des océans qui renferment sous forme dissoute 60 fois la totalité de tout le gaz carbonique atmosphérique. Pourtant le volume total des eaux océaniques est très inférieur à celui de l’atmosphère même en ne considérant que les 5000 premiers mètres de la couche gazeuse qui entoure la Terre. Ces deux phénomènes – recul des glaciers et augmentation du gaz carbonique atmosphérique – ont été presque simultanés et cette augmentation du gaz carbonique atmosphérique a été imputée à tort à l’activité humaine. La théorie erronée de l’effet de serre a fait le reste.
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Si on reprend les deux graphiques qu’avait présenté il y a plus d’une décennie le géophysicien Willie Soon, on constate sur la partie gauche qui rapproche l’évolution des températures moyennes globales et celle de la teneur en gaz carbonique atmosphérique que le premier épisode de l’optimum climatique moderne 1920-1960 est indépendant de cette teneur en gaz carbonique. Puis après les années 1960, compte tenu du dégazage océanique provoqué par ce réchauffement du climat on a assisté à une augmentation de cette teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère. Par pure coïncidence l’activité solaire a, à nouveau, connu un second optimum au cours de la période 1980-2010 et il a suffi d’ajuster les échelles des ordonnées de ce graphe pour faire ressortir une parfaite corrélation entre température et gaz carbonique. Soon a donc inséré sur la droite de cette même illustration la variation de l’activité solaire et la variation de la température moyenne globale. Où est l’effet du gaz carbonique ?
RépondreSupprimerLa théorie de l’effet de serre du gaz carbonique
Aujourd’hui, cet après-midi même, j’ai écouté une interview de Piketty sur Mediapart qui est intimement convaincu que le réchauffement du climat est bien une réalité. Il ne s’est certainement pas plongé dans la lecture d’articles scientifiques relatant les recherches sérieuses de spécialistes de la géophysique. Si je parlais suffisamment bien l’espagnol je suis convaincu que mon dentiste que j’ai consulté il y a quelques jours m’aurait avoué que mes problèmes dentaires étaient une conséquence du réchauffement climatique si je lui avait posé la question orientée à dessein ! En fait ce que l’IPCC a exploité de façon presque obscène est la relation entre l’augmentation des températures de surface sur l’ensemble de la Terre superbement mesurée par des satellites depuis la fin des années 1970 et l’augmentation de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère, une coïncidence qui a été exploitée habilement pour diaboliser les combustibles fossiles.
Là où le bât blesse est ce fait suivant très bien documenté par les paléoclimatologues : jamais dans le passé une augmentation de la teneur en gaz carbonique atmosphérique a provoqué une augmentation des températures, c’est exactement le contraire qui a toujours été observé. Quand le climat « se réchauffait » l’augmentation de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère suivait de quelques dizaines d’années ce réchauffement qui ne peut s’expliquer que par le dégazage des océans.
Cette observation pourtant vérifiée à de nombreuses reprises par des scientifiques honnêtes a été ignorée par les membres de l’IPCC car elle est contraire à leur thèse et à leur mission consistant à apporter sur un plateau aux gouvernements le prétexte incontournable d’imposer toutes les populations pour qu’elles versent leur dime afin de « sauver » le climat et restreindre leurs consommations de combustibles fossiles.
Les dangers du réchauffement du climat ?
Le fait est que l’IPCC n’est pas constitué de scientifiques mais de fonctionnaires politiques désignés par les gouvernements pour faire passer cette pilule amère auprès des populations afin que celles-ci soient consentantes. Il s’agit d’un cas typique de « fabrique du consentement » comme l’avait parfaitement décrit Gustave Le Bon, médecin, sociologue et anthropologue, dans son ouvrage « Psychologie des foules » paru en 1895 :
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RépondreSupprimerLes peuples, soumis à une propagande incessante, sont devenus d’une naïveté incommensurable que je trouve personnellement étonnante. Ce phénomène de consentement des foules décrit par Le Bon a été admirablement exploité par Edward Berneys dès les années 1930. Edward Berneys était le neveu de Sigmund Freud puisque sa mère Anna Freud n’était autre que la soeur de ce dernier. Il adapta les thèses de Le Bon au cours de sa longue carrière de publiciste aux USA en « industrialisant » le comportement des foules. D’où cette attitude presque universelle de l’acceptation du changement climatique comme un fait réel suscitant la peur et l’angoisse rendant les foules (de contribuables) consentantes.
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Ceci étant et pour revenir au sujet de ce paragraphe quand je vois des Allemands vivre ici dans les Îles Canaries toute l’année ils sont passés d’un climat plutôt rude au nord et à l’est de leur pays à une contrée où la température moyenne est d’environ 20 degrés supérieure à celle de leur pays natal et ils n’ont pas l’air d’en souffrir, bien au contraire. En France, que des habitants de la région Nord-Pas de Calais aillent vivre dans la région Midi-Pyrénées subissant un température moyenne supérieure de 6°C à celle de leur région d’origine ont-ils des problèmes de santé dus au climat ? J’en doute. C’est pourtant ce qu’affirme l’IPCC dans sa diarrhée épistolaire idéologique à longueur d’année. Tout simplement étonnant …
L’autre imposture de l’IPCC : le mouvement perpétuel !
Puisque tout l’édifice intellectuel de l’IPCC est basé sur la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique provenant de l’activité humaine et que les spécialistes auto-proclamés de cet organisme ont soigneusement nié et l’activité solaire et le fait que l’atmosphère est soumise à la gravitation comme la pomme de Newton, il fallait inventer une autre théorie pour justifier celle de l’effet de serre. Il s’agit du « rétro-forcing » radiatif. D’une part cette notion consistant à affirmer que les couches supérieures de l’atmosphère réchauffent les couches inférieures de cette dernière est en totale contradiction avec le second principe de la thermodynamique et d’autre part ce rétro-forcing radiatif consiste à créer de l’énergie à partir de rien … belle prouesse pour des individus qui se considèrent comme des scientifiques de haut vol. De plus ce forcing radiatif a comme propriété étonnante de pouvoir s’auto-entretenir. D’où les prévisions délirantes de réchauffement affirmées par des modèles faux puisqu’ils sont adossés à des théories scientifiques fausses : comme l’affirment certains dictons populaires « un menteur est condamné à continuer à mentir car il n’avouera jamais son premier mensonge » …
(suite dans un prochain billet)
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/10/07/reflexions-disparates-sur-le-changement-du-climat/
(...) Puis après les années 1960, compte tenu du dégazage océanique provoqué par ce réchauffement du climat on a assisté à une augmentation de cette teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère. (...)
SupprimerPuis après les années 1960, compte tenu du dégazage océanique provoqué par ce réchauffement du climat ? le climat ou le magma ? Car c'est bien le magma qui fait le climat même si l'incidence solaire a son rôle à jouer.
C'est à la fraîcheur du jour descendant que le gaz carbonique se transforme en oxygène par la végétation. Une plante pousse 80 % la nuit et 20 % le jour.
The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) de l'ONU ne comprend AUCUN scientifique (car ils seraient rayés par les pairs du Conseil de l'Ordre) et ment comme il respire ! Il exploite le changement de saisons comme étant catastrophique ! Même chaque jour la température passe de 10°C à 20°C sans que PERSONNE ne meure ! Çà alors ! Des personnes passent même du -10°C de l'hiver à plus de 30°C l'été sans mourir ! Çà alors ! Des touristes danois passent du -40°C chez eux à + 30°C sous les Tropiques sans crever ! Çà alors !
Les consommateurs ne trouvent plus l’application Facebook indispensable
RépondreSupprimerAudrey Duperron
7 octobre 2019
Les consommateurs utilisent de moins en moins les fonctionnalités de messagerie instantanée et de partage de contenus visuels de Facebook. En conséquence, l’application n’est plus considérée comme étant indispensable sur le téléphone mobile. C’est ce que révèle une étude de marché de l’agence danoise AudienceProject.
Celle-ci se fonde sur une enquête menée auprès de 13 000 consommateurs aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne, au Danemark, en Suède, en Norvège et en Finlande.
WhatsApp, Messenger et Instagram
Il n’y a guère qu’en Allemagne qu’AudienceProject ne constate pas une forte diminution du nombre de personnes qui considèrent l’application Facebook comme étant la plus indispensable de toutes entre le second trimestre 2017 et le troisième trimestre 2019. En Suède, la popularité de Facebook est même tombée de 22% à 13%.
Néanmoins, les applications de WhatsApp, Messenger et Instagram, toutes acquises par Facebook, continuent de gagner en popularité. En Finlande, 53% des personnes sondées estiment même qu’Instagram est la plus indispensables de toutes. En Suède et en Norvège, elles sont 57 % à partager cet avis. De leur côté, 53% des Finlandais attribuent cet honneur à WhatsApp.
« C’est officiel: Facebook est pour les vieux »
Le désintérêt des jeunes pour Facebook est donc de plus en plus avéré. Cela fait déjà plusieurs années que les statistiques témoignent du désamour des jeunes à l’égard du plus gros réseau social. L’année dernière, un rapport de eMarketer avait indiqué que les adolescents et les jeunes adultes fuient de plus en plus Facebook. Malgré le déploiement de services destinés à maintenir les jeunes, tels qu’Instagram, racheté en 2012, Facebook ne parvient donc plus à convaincre les jeunes qui fuient en masse vers d’autres réseaux sociaux tels que Snapchat.
En revanche, les plus de 55 ans s’y retrouvent de plus en plus souvent, et sont désormais la seconde plus grosse population d’utilisateurs du réseau social. « C’est officiel: Facebook est pour les vieux », avait résumé le journal britannique The Guardian dans un de ses titres l’année dernière.
Les jeunes sont de plus en plus nombreux à fermer leur compte Facebook
L’utilisation de Facebook semble également être genrée. On observe ainsi que les femmes sont plus nombreuses que les hommes à considérer que Facebook est l’application la plus indispensable. Toutefois, ce n’est pas le cas en Allemagne, où l’on observe une quasi-égalité entre les sexes.
En outre, entre 25 et 33% des utilisateurs de Facebook envisagent même de fermer leur compte sur le réseau social. Chez les 15-25 ans, la proportion est encore plus forte, flirtant même avec les 40 % au Royaume-Uni et en Allemagne (respectivement 37 et 38%).
Des acquisitions judicieuses
RépondreSupprimer« Les médias sociaux continuent de dominer l’utilisation des applications sur tous les marchés. Cependant, nous constatons un changement portant sur le type de média social qui suscitent l’intérêt des utilisateurs. Même si elle est encore indispensable pour beaucoup, l’importance de Facebook a considérablement diminué sur tous les marchés. Désormais, nous constatons que les applications de messagerie instantanée et de partage de contenus visuels passent au premier plan », écrivent les analystes. Ils concluent donc que Zuckerberg, le CEO de Facebook, a pris une décision très judicieuse lorsqu’il a décidé d’acquérir les applications Instagram, WhatsApp et Messenger.
https://fr.express.live/facebook-declin-application-indispensable/
Non, le capitalisme ne menace pas l'humanité
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 10/07/2019 - 21:05
Écrit par Robert Murphy via l’Institute for Energy Research,
Probablement renforcés par les revendications enflammées de Greta Thunberg et le thème général de la Semaine du climat, les internautes ont déclaré sur Twitter que le capitalisme menaçait l'humanité. Cet angoisse a ravivé l'intérêt pour un article du Guardian paru il y a quelques mois, dans lequel l'auteur George Monbiot affirmait que la nature même du capitalisme est «incompatible avec la survie de la vie sur Terre». Non seulement de telles affirmations ignorent les progrès évidents de l'humanité. Les militants écologistes sont supposés être les empiriques de ce débat, mais même si les inquiétudes de Monbiot concernant le climat étaient correctes, le capitalisme resterait le meilleur système social pour faire face à la crise.
La cause de Monbiot contre le capitalisme
Le marché est déchiré par les fondamentaux, la Banque centrale est un stimulant: Oaktree Capital
L’extrait suivant résume l’argument à deux volets de Monbiot pour expliquer pourquoi le capitalisme menace notre espèce tout entière:
Les échecs du capitalisme découlent de deux de ses éléments déterminants. Le premier est la croissance perpétuelle. La croissance économique est l'effet global de la quête visant à accumuler du capital et à extraire des bénéfices. Le capitalisme s'effondre sans croissance, mais une croissance perpétuelle sur une planète finie mène inexorablement à une calamité environnementale.
... Le découplage absolu nécessaire pour éviter une catastrophe environnementale (réduction de l'utilisation des ressources matérielles) n'a jamais été atteint et semble impossible tant que la croissance économique se poursuivra. La croissance verte est une illusion.
Un système basé sur la croissance perpétuelle ne peut fonctionner sans périphéries et externalités. Il doit toujours y avoir une zone d’extraction - à partir de laquelle les matériaux sont extraits sans paiement intégral - et une zone d’élimination où les coûts sont évacués sous forme de déchets et de pollution. Au fur et à mesure que l’activité économique s’accroît jusqu’à ce que le capitalisme affecte tout, de l’atmosphère aux profondeurs des océans, la planète entière devient une zone de sacrifice: nous habitons tous à la périphérie de la machine à but lucratif.
...
Le deuxième élément déterminant est l’hypothèse bizarre selon laquelle une personne a droit à une part aussi grande que possible de la richesse naturelle mondiale que son argent peut acheter. Cette saisie de biens communs entraîne trois autres dislocations. D’abord, la course au contrôle exclusif des avoirs non reproductibles, qui implique soit de la violence, soit des troncatures législatives des droits des autres peuples. Deuxièmement, la misère des autres par une économie basée sur le pillage à la fois dans l’espace et dans le temps. Troisièmement, la traduction du pouvoir économique en pouvoir politique, car le contrôle des ressources essentielles conduit à contrôler les relations sociales qui les entourent.
La critique du capitalisme par Monbiot est totalement infondée. En premier lieu, il défie toute base empirique, ce qui est ironique, car c’est mon côté de ce débat qui serait composé de «négateurs» non scientifiques. D'autant plus que les pays anciennement communistes s'orientaient vers des marchés plus libres, tandis que la disponibilité pertinente de ressources «épuisables» a augmenté; même les décès liés au climat ont chuté avec le temps.
Mais la situation s’aggrave encore pour la thèse de Monbiot. Même si nous imaginions un scénario - contrairement à la réalité - dans lequel l’humanité serait confrontée à une crise en raison de la pénurie de ressources naturelles, le meilleur moyen de faire face à la situation serait de compter sur la propriété privée et les prix du marché. Blâmer le capitalisme pour les problèmes potentiels d'un monde fini, c'est comme blâmer les thermomètres pour la grippe.
RépondreSupprimerRien que les faits: la situation s'améliore constamment
Dans cette section, je vais illustrer quelques faits de base en montrant que le bien-être humain s’est considérablement amélioré au cours de la même période où nous avons ostensiblement constaté les ravages du changement climatique induit par l’homme.
Premièrement, considérons un graphique de Bjørn Lomberg (reproduit par Marlo Lewis) qui montre les décès liés au climat de 1920 à 2017:
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Il est difficile de voir des preuves d’un désastre imminent dans le tableau ci-dessus.
Ensuite, comme Monbiot s’inquiète pour la planète «finie», examinons les «réserves prouvées» de pétrole brut aux États-Unis, fournies par la Energy Information Administration (EIA):
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Réserves prouvées de pétrole brut américain
Comme le montre le graphique, les «réserves prouvées» américaines de pétrole brut ont atteint un niveau record, à quelque 39,2 milliards de barils (en 2017), contre 13,6 milliards de barils en 1930. L'augmentation des réserves de pétrole brut s'est produite malgré le fait que la Les États-Unis ont produit une quantité énorme de pétrole brut au cours de cette période.
En effet, comme le montre le graphique distinct ci-après, la production américaine de pétrole brut est rarement tombée sous la barre des 5 millions de barils par jour depuis 1950. Elle atteint actuellement (en juin 2019) un record de 12,1 millions de barils par jour.
- voir sur site -
Production de pétrole brut aux États-Unis
La tendance est similaire pour les réserves et la production mondiales de pétrole, mais j’ai choisi d’utiliser les données américaines parce que ce sont les plus fiables. Il en va de même pour le gaz naturel et le charbon; Comme le montre ce rapport IER 2011, l'Amérique du Nord à elle seule dispose de suffisamment de combustibles fossiles dans la catégorie plus large de «ressources récupérables» pour satisfaire les taux de consommation actuels pendant littéralement des siècles. Et ils grandissent. Selon le dernier rapport du Potential Gas Committee, les réserves de gaz naturel aux États-Unis ont augmenté de l’équivalent énergétique de 100 milliards de barils de pétrole au cours des deux dernières années seulement.
Maintenant, comment cela peut-il être possible ? Comment les États-Unis, par exemple, peuvent-ils avoir plus de «réserves prouvées» de pétrole maintenant qu’en (disons) en 1950 ? La réponse est qu’il n’a pas de sens que les humains partent à la recherche de la dernière goutte de pétrole (ou d’un morceau de charbon) logée sur la planète Terre. À tout moment, il n’est que judicieux d’avoir localisé les gisements précis d’une marge saine de telles ressources épuisables, qui ne représentent qu’une petite fraction du stock physique.
Oui, comme il y a une quantité finie de pétrole brut, il faut que l'humanité finisse par devoir passer à une autre source d'énergie. Mais l’humanité - en particulier à l’ère moderne des institutions relativement capitalistes - n’a jusqu’à présent eu aucune peine à maintenir des augmentations constantes de la production totale, malgré les ressources «finies» sur la Terre (ou l’univers physique, en l'occurrence).
RépondreSupprimerMonbiot dirait sans doute que les succès passés ne sont pas une garantie des performances futures, mais comme l'explique un autre article du Guardian, l'ONU indique que le monde a constaté des améliorations «étonnantes» du bien-être humain depuis 1990. Plus d'un milliard de personnes ont été sauvées sur «l'extrême pauvreté» avec «le nombre de personnes vivant avec moins de 1,25 dollar par jour [passant] de 1,9 milliard en 1990 à 836 millions en 2015».
À quoi les données devraient-elles ressembler pour justifier le capitalisme des accusations de Monbiot ?
Même dans un monde qui s'effondre, le capitalisme serait notre meilleure défense
Comme je l’ai illustré dans la section précédente, les avertissements hystériques de Monbiot sont totalement dissociés de la réalité. Il doit tout au plus affirmer que l'avenir sera radicalement différent du passé. En d'autres termes, Monbiot doit affirmer que «le capitalisme va commencer à nous tuer, à partir de… MAINTENANT».
Pourtant, même les prévisions les plus sombres du dernier résumé du GIEC sur la science du climat et les analyses d’impact sont loin de menacer l’humanité elle-même. Même dans les cas les plus défavorables examinés, le PIB mondial par habitant est beaucoup plus élevé (par exemple) en 2100 que maintenant. Dans un excellent article pour CEI, Marlo Lewis donne les détails, ainsi que d’autres éléments de preuve, montrant que le changement climatique, même s’il s’agit peut-être d’un défi sérieux, n’est guère une «menace existentielle», étant donné que Monbiot et plusieurs candidats à la présidentielle démocrate réclamer réellement.
Mais c'est encore pire. Même s’il était vrai que le milieu naturel était tel que l’humanité devait réellement se contenter d’un niveau de vie constant (voire même en déclin), la propriété privée et les prix du marché - c’est-à-dire le capitalisme - resteraient indispensables pour aider les humains à organiser leurs activités la meilleure voie.
Par exemple, Harold Hotelling a démontré dès 1931 ce qu’était la trajectoire d’équilibre des prix du pétrole au comptant, dans un scénario hypothétique où nous avions commencé avec un pool fixe et savions quel serait le taux de consommation pour différents prix au comptant possibles. La réponse élégante (compte tenu de certaines hypothèses) est que le prix du pétrole sur le marché augmenterait en fonction du taux d’intérêt, de sorte que le propriétaire du pool resterait indifférent entre la vente d’un baril de plus aujourd’hui et son maintien hors du marché. vendre l'année prochaine. (Par exemple, si le pétrole se vendait 100 dollars aujourd'hui et que le taux d'intérêt était de 5%, le prix au comptant devrait alors monter à 105 dollars l'année prochaine. En effet, le propriétaire pourrait toujours vendre un baril aujourd'hui à 100 dollars et investir ensuite dans des obligations. pour donner 105 $ l'année prochaine.)
Je suppose que Monbiot serait scandalisé par un tel décompte des haricots, mais c’est exactement le type de résultat que nous voulons que le capitalisme favorise. Étant donné qu’il existe une quantité finie d’une ressource utile telle que le pétrole, le modèle d’utilisation optimal consiste à la réduire progressivement au fil du temps et à la consacrer à des utilisations de plus en plus importantes, au fur et à mesure de sa raréfaction. Le prix au comptant plus élevé du futur garantit que les générations lointaines "enregistrent leurs revendications" sur l'utilisation du pétrole, tandis que le taux d'intérêt positif reflète en quelque sorte "l'impatience" de l'homme. (Si le taux d’intérêt était de 0% et la population toujours croissante, nous aurions le résultat absurde qu’aucun pétrole ne sera jamais utilisé: il continuerait à se transmettre de génération en génération, sa valeur marchande augmentant, mais il ne serait jamais rentable de brûler un seul baril.)
RépondreSupprimerConclusion
George Monbiot affirme que le capitalisme, non contrôlé, provoquera l'extinction littérale de l'humanité. Ses arguments ignorent toutes les preuves des avantages du capitalisme qui nous regardent en face. Pourtant, même sur le plan théorique, la propriété privée et les prix du marché aident à organiser l'activité humaine de manière à ce que nous puissions déployer nos ressources rares de la manière la plus efficace possible. Empiriquement, le capitalisme a permis à l’humanité de s’épanouir avec un niveau de vie toujours plus élevé. Mais même dans un scénario catastrophique où nous serions confrontés à une contrainte de ressources, le capitalisme serait toujours un outil important de notre défense, tout comme nous aurions cruellement besoin de mathématiques et de sciences pour nous aider à faire face à la situation d'urgence.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/no-capitalism-doesnt-threaten-humanity
SupprimerDès lors que le pétrole est abiotique, il se reconstitue dans les 10-15 ans, seule brèche au tableau la consommation.
Si cette dernière dépasse la fourniture...
Mais, comme pour l'eau où des attardés-mentaux d'urbanistes et de dirigeants mettent dix millions de personnes autour d'un seul robinet... la nappe risque d'être un peu petite !
"Le monde prend note !" - Le génocide des chrétiens au Nigeria s'intensifie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 10/08/2019 - 02:00
Écrit par Raymond Ibrahim via le Gatestone Institute,
Muhammadu Buhari, le président musulman du Nigéria - qui a atteint cette position en partie grâce à l'ancien président américain Barack H. Obama - continue d'alimenter le "génocide" des chrétiens dans son pays, selon les dirigeants chrétiens nigérians.
Plus récemment, le père Valentine Obinna, prêtre du diocèse Aba du Nigéria, a attribué le massacre en cours de chrétiens à "l'islamisation du Nigéria":
Le Nigeria prêt à procéder à des coupes d'huile plus profondes si nécessaire, a déclaré le ministre
«Les gens lisent l’écriture sur le mur. C’est évident. C’est clandestin. C’est essayer de faire de tout le pays un pays musulman. Mais ils essaient de le faire dans un contexte de forte présence de chrétiens, et c’est pourquoi cela devient très difficile. pour lui [Buhari]. "
Le Nigeria est à peu près à moitié musulman et à moitié chrétien. Un reportage de ABC News de 2011 offre un contexte pour savoir quand et pourquoi la colère musulmane a atteint son point d'ébullition:
La vague actuelle d'émeutes [musulmanes] a été déclenchée par l'annonce faite lundi [18 avril 2011] par la Commission électorale nationale indépendante (INEC) que le président sortant, M. Goodluck Jonathan [un chrétien], avait remporté le premier tour de scrutin. Qu'il y ait eu des émeutes dans les États du Nord peuplés en grande partie de musulmans où la défaite du candidat musulman Muhammadu Buhari était intolérable, n'était pas surprenant. Les habitants du Nord [musulmans] estimaient avoir droit à la présidence du président déclaré vainqueur, Jonathan, après la mort du président musulman Umaru Yar'Adua l'année dernière et la mort de groupes radicaux dans le nord [Boko Haram]. son ascension [de Jonathan] est une question temporaire à corriger lors de l'élection de cette année. Maintenant, ils sont en colère malgré les experts et les observateurs s'entendant pour dire qu'il s'agit de l'élection la plus juste et la plus indépendante de l'histoire récente du Nigéria.
Entre 2011 et 2015, Boko Haram - un groupe djihadiste qui a commis des atrocités de type Daech avant même sa création - a terrorisé et massacré des milliers de chrétiens, en particulier ceux vivant dans le nord à majorité musulmane. En 2015, les musulmans du Nigéria ont finalement obtenu ce qu'ils voulaient: un président musulman en la personne de Muhammadu Buhari. La violence, cependant, n'a fait qu'empirer. Les pasteurs musulmans Peuls - la tribu ethnique dont Buhari est originaire - ont rejoint et même dépassé Boko Haram dans leur massacre de chrétiens.
Entre juin 2017 et juin 2018 seulement, les Fulani musulmans ont massacré environ 9 000 chrétiens et détruit au moins un millier d'églises. (Il a fallu trois fois plus de temps aux Fulani pour tuer une fraction [1 484] de chrétiens sous la présidence de Jonathan.) Au cours des six premiers mois de cette année, 52 attaques terroristes meurtrières visant des villages chrétiens ont été perpétrées.
"Presque chaque jour, je me réveille avec des SMS de partenaires au Nigeria, comme ce matin:" Des gardiens de troupeaux poignardent à mort un fermier de 49 ans à Ogan ", a déclaré l'avocate des droits de l'homme Ann Buwalda en juillet.
Chaque fois que les médias grand public évoquent la violence qui sévit au Nigéria, il répète ce que Johnnie Carson, secrétaire d'État adjoint aux Affaires africaines d'Obama, a revendiqué après le bombardement d'une église, faisant près de 40 morts parmi les fidèles chrétiens le dimanche de Pâques 2012.
RépondreSupprimer"Je veux saisir cette opportunité", a déclaré Carson, "pour souligner un point clé: la religion ne conduit pas à la violence extrémiste" au Nigeria.
Comme l'a récemment expliqué sœur Monica Chikwe:
"Il est difficile de dire aux chrétiens nigérians qu'il ne s'agit pas d'un conflit religieux puisque ce qu'ils voient, ce sont des combattants Peuls entièrement vêtus de noir, scandant" Allahu Akbar! " et crier 'Mort aux chrétiens' '
De même, l'Association chrétienne du Nigéria a demandé:
"Comment peut-il s'agir d'un affrontement [laïque ou économique] lorsqu'un groupe [de musulmans] attaque, tue, mutile, détruit, et que l'autre groupe [de chrétiens] est continuellement tué, mutilé et ses lieux de culte détruits?"
En bref, les éleveurs de Boko Haram et de Fulani prennent pour cible les chrétiens parce que, pour citer le p. Valentine Obinna, le président Buhari et son cabinet musulman "veulent faire en sorte que tout le pays devienne un pays musulman"
Comme le montrent clairement les citations suivantes, le p. Obinna n'est pas le seul à accuser le président Buhari d'alimenter clandestinement le djihad de son clan Fulani contre des chrétiens:
"Le président musulman [Buhari] n'a accordé aux meurtriers que l'impunité plutôt que la justice et a doté son gouvernement de responsables islamiques, sans rien faire pour que les chrétiens du pays, qui représentent la moitié de la population, soient dûment représentés. ... Des centaines de Chrétiens indigènes Numans dans l'Etat d'Adamawa ont été attaqués et tués par des éleveurs Peuls djihadistes, lorsqu'ils ont tenté de se défendre, le gouvernement Buhari a envoyé l'armée de l'air pour en bombarder des centaines et protéger les agresseurs Fulani. PRENDRE NOTE!" - Ancien ministre de l'aviation, Femi Fani-Kayode, 2017 (casquettes en original; voir ici aussi).
"Sous le président Buhari, les gardiens de troupeaux Fulani meurtriers bénéficiaient d'une protection et d'un favoritisme sans précédent ... Plutôt que d'arrêter et de poursuivre les bergers Fulani, les forces de sécurité généralement contrôlées par des musulmans du Nord leur offrent une protection, libérant la terreur impunément du peuple nigérian." - Rév. Musa Asake, Secrétaire général de l'Association chrétienne du Nigéria, 2018.
Buhari "est lui-même de la tribu des Foulani des djihadistes, alors à quoi pouvez-vous vous attendre?" - Emmanuel Ogebe, avocat des droits de l'homme basé à Washington DC, en conversation avec Gatestone, 2018.
"Ils veulent frapper les chrétiens et le gouvernement ne fait rien pour les arrêter, car le président Buhari appartient également à l'ethnie des Fulani." - Mgr Matthew Ishaya Audu, évêque de Lafia, 2018.
Buhari "poursuit ouvertement un programme antichrétien qui a abouti à d'innombrables meurtres de chrétiens dans tout le pays et à la destruction de communautés chrétiennes vulnérables." - Bosun Emmanuel, secrétaire du Forum national des aînés chrétiens, 2018.
Tout en reconnaissant le rôle du président Buhari, le Forum national des anciens chrétiens a été plus direct en ce qui concerne la source ultime de violence au Nigéria:
RépondreSupprimer"JIHAD a été lancé au Nigeria par les islamistes du nord du Nigeria dirigés par le groupe ethnique Fulani. Ce Jihad est basé sur la doctrine de la haine enseignée dans les mosquées et les madrasa islamiques du nord du Nigeria, ainsi que sur l'idéologie suprémaciste des Fulani. Le djihad conventionnel (violent) et le djihad furtif (civilisation), les islamistes du nord du Nigéria semblent déterminés à faire du Nigéria un sultanat islamique et à remplacer la démocratie libérale par la charia comme idéologie nationale ... Nous voulons un Nigéria où les citoyens sont traités également devant la loi à tous les niveaux ... "
Bien que les chrétiens ne représentent que récemment la majorité de la population nigériane, le génocide perpétré à leur encontre a entraîné une chute de leur population - au point que le christianisme au Nigéria est, selon le Forum national des aînés chrétiens, "au bord de l'extinction", grâce à "L'ascendance de l'idéologie de la charia au Nigeria [qui] sonne le bilan des morts pour l'église nigériane."
Telle est la situation actuelle: un djihad aux proportions génocidaires a été déclaré sur la population chrétienne du Nigéria - et selon les dirigeants chrétiens nigérians, dirigé par le président de ce pays et ses compatriotes membres de la tribu des Fulani - alors même que les médias et les analystes occidentaux présentent les problèmes du Nigéria en tant que produits de l'économie - ou "inégalité" et "pauvreté", pour citer l'ancien président américain Bill Clinton sur la source supposément vraie qui "alimente tout cela".
https://www.zerohedge.com/geopolitical/world-take-note-genocide-christians-nigeria-escalates
SupprimerNouveau Rwanda ou... répétition avant action en Scandinavie ? Les massacres à la machette.
Le Nigéria compte plus de 203 millions d'habitants.
L'AOC dévoile son manifeste: "Une société juste" signifie contrôle des loyers, suppression des prisons et protection sociale pour tous les illégaux
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi 10/07/2019 - 13h30
S'il se lit comme un manifeste communiste, des plans centraux comme un manifeste communiste et se redistribue comme un mainfest communiste, il s'agit probablement d'un manifeste communiste ...
La républicaine Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY), la préférée de tout le monde, a dévoilé son manifeste pour une "société juste" et si vous pensiez que The Green New Deal existait déjà, celui-ci amusera et émerveillera.
«Une société juste fournit un salaire décent, des conditions de travail sûres et des soins de santé. Une société juste reconnaît la valeur des immigrants pour nos communautés. Une société juste garantit des logements sûrs, confortables et abordables.
«En renforçant nos assises sociales et économiques, nous nous préparons à engager le voyage pour sauver notre planète en reconstruisant notre économie et en cultivant une société juste."
Loi sur la reconnaissance de la pauvreté
Loi sur le lieu de prospérité
La loi sur l'étreinte
La miséricorde dans la réintégration
Loi sur les travailleurs de soulèvement
Garantit les droits économiques, sociaux et culturels pour tous
"La loi sur la reconnaissance de la pauvreté" ajusterait le niveau de pauvreté fédéral pour tenir compte des différences régionales, ce qui semblerait aider davantage les "pauvres" sur les côtes que les "déplorables" du centre du pays.
La loi "Place to Prosper" empêcherait les augmentations de loyer d'une année à l'autre de plus de trois pour cent.
"The Embrace Act" permettrait aux immigrants clandestins de réclamer les mêmes avantages sociaux que les citoyens américains et que les immigrants ici légalement.
Pour rappel, un avantage public fédéral est défini comme suit: «toute subvention, contrat, prêt, licence professionnelle ou licence commerciale fournie par une agence des États-Unis ou par des fonds appropriés des États-Unis; et ... toute retraite, aide sociale, santé, invalidité, logement social ou assisté, études postsecondaires, aide alimentaire, allocation de chômage ou toute autre prestation similaire pour laquelle des paiements ou une assistance sont versés à l'admissibilité d'un particulier, d'un ménage ou de la famille unité par une agence des États-Unis ou par des fonds appropriés des États-Unis ».
"La Mercy In Re-entry Act" garantit aux personnes condamnées au pénal un accès complet aux avantages sociaux fédéraux.
Cette section a été suivie ce matin par une série de tweets faisant la promotion de "l'abolition de la prison, l'AOC appelant à" une véritable conversation sur la décarcération [et] l'abolition de la prison dans ce pays ", ajoutant:
«Une cage est une cage est une cage. Et les humains n’appartiennent pas à eux. "
"The Uplift Workers Act" modifiera la notation de la CAMO, qui passera de dollars à la "convivialité des travailleurs", y compris l'appartenance à un syndicat, pour décider quelles entités mériteront des fonds publics.
Enfin, le projet de loi demande au pouvoir exécutif de relancer les processus de ratification du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels. Le PIDESC stipule que toutes les personnes ont le droit de travailler, à des conditions de travail équitables, à la sécurité sociale, à un niveau de vie suffisant, y compris à une nourriture, des vêtements, un logement et des soins de santé adéquats.
RépondreSupprimerCliquez ici pour lire le manifeste "Une société juste" d'AOC:
https://ocasio-cortez.house.gov/ajs
https://www.zerohedge.com/political/aoc-unveils-manifesto-just-society-means-rent-control-abolish-prisons-welfare-all
La Gréta II vaut bien l'AOC américaine !
RépondreSupprimerSégolène Royal : la « Fake Science » n’a aucun secret pour elle !
Ségolène Royal continue à égrener ses fausses vérités avec un aplomb qu’on serait presque tenté de qualifier d’admirable vu que ce cirque dure sans interruption depuis trente ans.
Par Nathalie MP.
7 OCTOBRE 2019
Actualité écologique chargée ces derniers jours. Au menu : incendie de l’usine Lubrizol de Rouen, convention citoyenne sur le climat et débats sur l’épandage des pesticides à proximité des lieux habités. Pour BFMTV et Jean-Jacques Bourdin, pas d’erreur, qui de mieux que « la première femme de l’histoire de France à accéder au second tour de l’élection présidentielle » pour apporter des informations claires et sérieuses sur ces sujets complexes à des citoyens en plein questionnement ?
C’est ainsi que vendredi 4 octobre dernier, Ségolène Royal – encore elle – était interrogée – une fois de plus – par Jean-Jacques Bourdin – encore lui – qui l’accueillait dans sa matinale pour recueillir ses avis qualifiés d’experte ès science, ès médecine, ès chimie, ès énergie et ès agronomie. Entre autres. Elle est aussi experte en éducation nationale, en couverts en plastique, en voitures électriques, en routes solaires et en observation attentive des Pôles – une activité qu’elle mène surtout depuis Paris, c’est dire à quel point la science est si parfaitement infuse chez elle !
Et c’est ainsi que les Français ont eu droit – comme d’habitude s’agissant de notre ex-ministre de l’Écologie – à un festival d’affirmations péremptoires délivrées sur le ton du scandale inlassablement dénoncé sous couvert d’empathie la plus vive à l’égard des agriculteurs qui doivent vivre avec les pesticides et à l’égard des femmes qui souffrent de cancers du sein :
Premier problème, et de taille : Ségolène Royal raconte vraiment n’importe quoi. Second problème, tout aussi pénible : personne n’est présent pour la contredire en direct et remettre les pendules à l’heure, le journaliste moins que quiconque.
Et voici donc que par la grâce de la « fake science » dont madame Royal est décidément une experte, les cancers du sein seraient dus aux pesticides !
« Vous vous rendez-compte, tous les cancers ? Vous vous rendez compte qu’aujourd’hui plus d’une femme sur dix est touchée par le cancer du sein. Est-ce que vous vous rendez compte de ça ? C’est dû à quoi, ça ? C’est dû aux pesticides. »
Et voici donc que les agriculteurs seraient plus touchés par le cancer que la population française générale :
« Savez-vous que dans la population agricole, le taux de cancer est encore bien plus élevé que dans la moyenne de la population ? »
Sur le premier point, « débunkage » rapide et sans chichi dans un tweet du généticien et président de la Ligue contre le cancer Axel Kahn :
À noter que THM signifie traitement hormonal de ménopause et que les pesticides ne sont pas tous des perturbateurs endocriniens, ainsi qu’Axel Kahn a eu l’occasion de le préciser lui-même dans les commentaires de son tweet :
Sur le second point, l’enquête Agrican (pour Agriculture et Cancer) menée depuis 2005 sur 180 000 agriculteurs français montre au contraire que le taux de mortalité par cancer dans la cohorte Agrican est significativement inférieur à celui de la population générale : – 30 % chez les hommes et – 24 % chez les femmes.
Il existe cependant deux cancers plus fréquents en milieu rural que dans la population générale, le myélome chez les hommes et le mélanome chez les femmes (+ 26 % dans les deux cas) :
Ces résultats s’expliquent essentiellement par une moindre consommation de tabac et une plus grande exposition au soleil chez les agriculteurs que dans la population générale.
Ces deux exemples – et tant d’autres avant eux – devraient suffire à exclure définitivement Mme Royal des personnalités reconnues comme pouvant éclaircir les éléments complexes du débat public.
Mais non ! Elle intervient partout, elle est invitée et réinvitée partout, elle a même une certaine cote à gauche – à tel point qu’on se demande si elle ne cherche pas à récupérer le PS pour son propre compte en 2022 – et elle continue à égrener ses fausses vérités avec un aplomb qu’on serait presque tenté de qualifier d’admirable vu que ce cirque dure sans interruption depuis trente ans.
RépondreSupprimerSi l’on en croit les applaudissements qui ont salué son arrivée devant les étudiants de ESCP Europe (scène qu’elle a immédiatement mise en avant sur Twitter), elle a aussi la cote chez les jeunes, y compris auprès de ceux dont les études supérieures laisseraient espérer un petit peu d’esprit critique et une certaine distanciation avec les lieux communs écologiques :
Avec des experts de la désinformation et de la « fake science » de sa trempe dans le paysage politico-médiatique (et elle est loin d’être la seule à dominer cette expertise douteuse), comment s’étonner que ceux qui font confiance à sa prétendue autorité d’ex-ministre de l’Écologie accumulent les peurs irrationnelles en même temps qu’ils enregistrent ses mensonges comme si c’étaient des vérités ?
Comment s’étonner par exemple que 69 % des Français et 86 % des jeunes de 18 à 24 ans pensent que le nucléaire émet du gaz carbonique quand on leur répète comme le fait Ségolène Royal que la transition énergétique vers des méthodes moins carbonées passe par une diminution drastique du nucléaire dans la production d’électricité ?
L’âge dans lequel nous vivons est un âge de progrès technologiques fulgurants qui accroissent les possibilités d’autonomisation et de décentralisation des activités humaines. Un vrai risque pour tous ceux qui font profession de diriger leurs semblables.
Complètement dépassés, les politiciens et les idéologues ont cependant compris qu’ils ont encore une chance de continuer à s’imposer : maintenir les citoyens dans l’ignorance de tout ce que ce nouvel âge technologique pourrait faire de bien pour eux. À ce jeu, Ségolène est royale.
https://www.contrepoints.org/2019/10/07/355159-segolene-royal-la-fake-science-na-aucun-secret-pour-elle