- ENTREE de SECOURS -



samedi 1 décembre 2018

Fraudeurs et tricheurs : Leurs arnaques nous coûtent des milliards

https://www.youtube.com/watch?v=eFxI6hHTKqY

20 commentaires:

  1. LE TRIANGLE DE NEVADA

    Le mystère de la zone américaine éloignée proche de la zone 51, où plus de 2 000 avions ont disparu au cours des 60 dernières années

    Cette région est deux fois plus petite que l'Angleterre et a coûté la vie à des centaines de pilotes au cours des décennies.

    Le soleil
    1er décembre 2018


    MYSTERY a balayé une vaste région de l'ouest des États-Unis où des milliers d'avions ont disparu pendant des années.

    Le Triangle du Nevada est devenu un cimetière d'avions au cours des 60 dernières années, alors que des centaines de pilotes qui s'y aventurent ne reviendront jamais.

    Un documentaire de 2010 sur Channel 4 a révélé un nombre impressionnant de 2 000 crashs, avec de nombreux autres sites sauvegardant cette affirmation.

    La région s'étend de Fresno, en Californie, à Reno, dans le Nevada, et s'étend jusqu'à l'ouest, en Arizona.

    À l’intérieur du triangle se trouvent Las Vegas, le parc national Yosemite et les bases secrètes de la base américaine Area 51 et de Death Valley.

    Il occupe une superficie de près de 25 000 milles carrés et représente la moitié de la taille de l'Angleterre.

    https://www.lewrockwell.com/2018/12/no_author/the-nevada-triangle-mystery-of-remote-us-zone-near-area-51-where-more-than-2000-planes-have-vanished-in-the-past-60-years/

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  2. Si demain le pétrole abiotique devenait abondant...


    Par Le Matin DZ | 13/08/2012
    jeudi 15 novembre 2012


    Il est évident que les compagnies pétrolières savent parfaitement que la théorie du pétrole abiotique est vraie, qu’il y a des quantités fantastiques de pétrole sous nos pieds, et qu’il n’y aura pas de crise d’approvisionnement avant des milliers d’années ou plus. Un certain nombre de responsables politiques des pays riches le savent aussi.

    Tous les pays survalorisent leurs réserves pétrolières.

    Ils mentent donc sciemment depuis plus de 100 ans quand ils disent que le pétrole vient de la décomposition des plantes et dinosaures, qu’il n’y en a qu’une quantité très limitée pour l’humanité. Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que le pétrole permet d’avoir l’argent et le pouvoir. La richesse des compagnies pétrolières est basée sur une relative rareté du produit et une très grosse partie de leur profit et basée sur le commerce international de celui-ci.

    Sur la relative rareté du produit, il est évident que si demain, tous les pays du monde étaient capables de produire du pétrole, celui-ci ne vaudrait plus rien. Son prix de vente baisserait quasiment au niveau de son coût d’extraction. Les marges, qui sont actuellement énormes, ne dépasseraient plus les 20 ou 30 %, voire moins, si les Etats se mêlaient de contrôler les prix. Les profits deviendraient donc dérisoires. Il y aurait une telle concurrence qu’il serait impossible d’avoir des prix élevés. Et ceci serait vrai au bas mot pour des milliers d’années. Donc, aucun espoir de voir une remontée des prix.

    Les compagnies pétrolière vivent aussi du commerce international, donc du fait qu’il y a des pays producteurs/exportateurs d’un côté et des pays acheteurs de l’autre. Il faut, pour elles, qu’il y ait un nombre limité de pays exportateurs pour pouvoir faire des profits à la vente plus facilement. Parce que, sur un marché national autosuffisant, le gouvernement peut décider de limiter les prix du baril. Tandis qu’avec le marché international, ce sont les compagnies qui peuvent magouiller pour faire optimiser leur profit et faire varier les prix selon leur convenance.

    On pourrait même préciser : il faut pour elles, de préférence, qu’il n’y ait que quelques pays producteurs faibles militairement et ayant des compétences techniques limitées. Ainsi, les grandes compagnies peuvent obliger les pays producteurs à passer par elles : d’une part à cause de leurs compétences techniques, et d’autre part parce qu’un pays puissant militairement peut leur forcer la main pour choisir ses compagnies pétrolières, sous peine d’avoir des problèmes. Et du coup, les pays consommateurs, eux aussi, sont obligés d’en passer par ces quelques compagnies, qui font dés lors un chiffre d’affaires gigantesque. Etant hors d’atteinte des Etats acheteurs, elles peuvent s’entendre pour manipuler les prix de façon à faire des profits gigantesques. Et les Etats consommateurs peuvent aussi être menacés d’embargo par les pays qui contrôlent ces compagnies, ou en tout cas, ils peuvent être menacés d’avoir des problèmes d’approvisionnement. Du coup, ils sont obligés de filer doux.

    Mais, si, d’un seul coup, tous les pays du monde ou presque produisent leur propre pétrole, c’est la fin de ce commerce international. Fini les manipulations du marché et les profits gigantesque, fini le contrôle des prix par les compagnies multinationales. Ce seront désormais les Etats qui pourront contrôler les prix. Et fini également les menaces d’embargo ou de problème d’approvisionnement. C’est la fin des pays qui vivent au dépend du pétrole et n’ont pas su convertir le cumul de leur rente pétrolière en richesse nationale (industrie, agriculture etc..).

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  3. Par ailleurs, si demain, les principaux pays consommateurs devenaient aussi des pays producteurs, dans la mesure où ce sont en général des pays de haut niveau technique, ils possèderaient la technicité pour exploiter eux-mêmes leur pétrole. Ils pourraient alors très bien décider de se passer des grandes compagnies pétrolières, et monter une compagnie nationale. Ce qui conduirait, en plus d’une diminution très importante des parts de marché des grandes compagnies pétrolière, à l’émergence de concurrents nouveaux. Et, les nouveaux pays producteurs qui n’auraient pas un niveau technique aussi bon auraient les coudées beaucoup plus franches pour mettre en concurrence les compagnies pétrolières. Un pays comme l’Ethiopie pourrait mettre en concurrence un éventuel Deutsch pétroleum, ou un China Petroleum, ou encore un Italian petroleum en fonction de leur transparence, de leur prix, etc. Enfin bon, de toute manière, ces marchés (dans les pays pauvres) sont et resteraient des marchés de niche, vu qu’étant pauvres, ils consomment, et donc, produisent peu.

    Oui, si demain, les gens venaient à apprendre que le pétrole se trouve en quantités gigantesques un partout sur terre, et que les conséquences économiques en étaient tirées, ce serait là mort du commerce, du pouvoir des compagnies pétrolière et des Etats de la providence.

    Compte tenu de l’importance du pétrole dans le fonctionnement de nos sociétés industrialisées aussi bien pour les transports, le fioul de chauffage, la pétrochimie ou l’agriculture, la diminution des quantités de pétrole disponible va entraîner des bouleversements importants qu’il est nécessaire d’anticiper. Or ce n’est pas réellement le cas actuellement. Nous pensons que la diffusion d’une information la plus réaliste et plus transparente possible à un large public est de nature à enclencher une prise de conscience et une réflexion sur nos modes de vie actuels, en vue notamment d’imaginer d’autres sources alternatives. Tous les experts et les scientifiques du monde tirent les mêmes conclusions. On estime que la demande mondiale en pétrole va croître de 50 % d’ici à 2025. Pour satisfaire cette demande, des volumes de pétrole plus larges que jamais vont devoir être produits. Par logique, et étant donné que la production de pétrole provenant de chaque champ pétrolifère est croissante jusqu’à un "pic pétrolier" pour ensuite décliner, de nouveaux champs doivent continuellement être découverts et le pétrole produit pour compenser l’épuisement des anciens champs et pour satisfaire la demande mondiale sans cesse elle aussi croissante.

    Si de grandes quantités de nouveau pétrole ne sont pas découvertes et produites quelque part dans le monde, alors la production mondiale de pétrole ne satisfera plus la demande. Les compagnies pétrolières et les gouvernements ont conduit des recherches étendues à travers le monde, mais les résultats ont été décevants durant des décennies. Sur cette base, il y a très peu de raison de s’attendre à ce que les découvertes futures de pétrole augmentent de façon importante. Durant le siècle dernier, le développement économique mondial a fondamentalement été façonné par la disponibilité et l’abondance du pétrole bon marché. Les transitions énergétiques précédentes (du bois au charbon, du charbon au pétrole, du pétrole au nucléaire, du gaz naturel aux schistes et quoi encore..!) furent progressives et évolutives ; le pic pétrolier sera abrupte et surprenant. Le monde n’a jamais fait face à un problème comme celui-ci, le pic pétrolier prendra de vitesse la transition du fossile au renouvelable. Sans une préparation massive au moins de 20 ans avant les faits, le monde vivra dans toutes les prochaines années au ralenti et dans l’obscurité.

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  4. Face à ces annonces apocalyptiques, le mouvement des survivalistes se popularise d’ailleurs de plus en plus. Le raisonnement est simple, logique et sans équivoque : la société telle que nous la connaissons ne peut subsister sans pétrole. L’or noir est le pilier de l’économie du monde industrialisé et l’économie des économies du monde, car notre système fonctionne grâce aux hydrocarbures : nos modes de transports, le chauffage de nos maisons, l’eau chaude, l’électricité, les matières plastiques, les produits de beauté, les vêtements, mais aussi et surtout l’agriculture devenue intensive et qui grâce ou à cause, selon le point de vue aux engrais chimiques, aux traitements herbicides, fongicides et insecticides à permis durant le XXe siècle de multiplier la population mondiale par trois. Notre confort, nos loisirs, notre sécurité alimentaire et sanitaire, les moindres de nos habitudes sont conditionnées et intégralement alimentées par le pétrole. Sa disparition équivaudrait par conséquent à une décroissance économique dramatique, à l’explosion du chômage massif (des Etats entiers vivent du pétrole) et à la réduction sensible du niveau de vie dans les pays industrialisés. Une vision qui laisse en somme très peu d’espoir à notre civilisation puisque que ce sont la famine, la désolation urbaine, l’exode voire la mort qui nous attendent. De plus en plus d’individus, essentiellement aux Etats-Unis et Japon, se préparent à une rupture économique et sociale d’envergure : des chefs d’entreprise, des commerciaux, des employés, des journalistes, professeurs et écrivains. Au programme, kits de survie, stocks de nourriture, installations autosuffisantes voire même pour certains un entraînement physique adapté et la sécurisation du domicile par tous les moyens, y compris les armes.

    Dénoncer la falsification des chiffres

    Les inexactitudes et les calculs sur l’avenir du pétrole sont l’objet d’une vraie gruge. En 1985, les pays producteurs réunis au sein de l’OPEP ont pris la décision, jugée fort saine à l’époque, d’indexer leurs quotas de production de pétrole sur le montant des réserves déclarées par chaque pays membre. Mais des faits étonnent : d’après les données de référence reprises par le groupe anglais BP dans son rapport 2003 sur l’énergie mondiale, l’Arabie Saoudite est passée, entre 1985 et 1990, de 169 milliards de barils de réserves « prouvées » de pétrole conventionnel à… 258 milliards, soit 50% de plus ! Tous les principaux pays producteurs de l’OPEP sont dans la même situation : Abu Dhabi (30 milliards de barils déclarés en 1985 contre 92 milliards en 1988), Iran (48 milliards en 1985, 92 milliards en 1988), Irak (44 milliards en 1985, 100 milliards en 1988), etc. Le tout sans qu’aucune découverte significative de nouveaux champ pétrolifère n’ait eu lieu dans ces pays au cours de la période… D’autres supercheries apparaissent chez pays non-OPEP, Triton, la compagnie américaine qui s’est chargée de l’évaluation des ressources du champ pétrolier ‘Cusiana’ a commencé par parler de 3 milliards de barils, une valeur remarquable, qui n’a pas laissé Wall Street indifférente. Triton devait vraiment avoir besoin de l’argent de ses actionnaires, parce que lorsque BP a démarré l’exploitation de Cusiana, ils sont prudemment redescendus à 1,5 milliard de barils. Et finalement, il y a à peine 800 millions de barils à exploiter.

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  5. Voyons les choses plus objectivement. Si le pétrole abiotique devait manquer (un peu comme l'air ou l'eau parce qu'on est trop nombreux à s'en servir), les populations (comme elles le font déjà aujourd'hui depuis longtemps) se déplaceraient vers les zones chaudes voire tropicales. Car après tout, si la planète tend à se refroidir (petit âge glaciaire), les fruits et légumes pousseront mieux là où il fait bon pousser et non dans la neige et glace pour faire joli !

    Donc déjà, elles consommeraient moins d'énergies. De plus, comme de partout existent des fleuves peuvent exister des barrages pour produire de l'électricité (Voyez déjà la quantité phénoménale de déplacement d'eau de l'Amazone et cela vous donnera une idée de toute l'énergie qui se perd chaque seconde).

    Car, même s'il y a doublement de la population, il n'y a pas forcément une multiplication par 2 du nombre de voitures ! (Une vie dans les bouchons !). Suffit de comprendre la réalité sur l'escroquerie des 'énergies gratuites' (Hahahaha !) pour se rendre compte que si elles ont été lancées c'est justement parce qu'elles ne pouvaient et ne pourraient JAMAIS marcher !

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  6. Double peine en France: prélèvements obligatoires en hausse, pouvoir d’achat en baisse


    14:31 01.12.2018
    Maxime Perrotin


    Pression fiscale en nette augmentation, baisse du pouvoir d’achat moyen des Français, l’OFCE et Eurostat sont venus confirmer que les ménages français ont bien vu leurs conditions financières se dégrader depuis dix ans. Retour sur la situation à l’occasion d’une nouvelle journée de mobilisation des Gilets jaunes.

    Voilà des chiffres dont le gouvernement se serait bien passé. Alors que le mouvement des Gilets jaunes trouve un soutien de plus en plus fort au sein de la population, deux études sont venues coup sur coup attester que la hausse des impôts et des taxes, ainsi que la baisse généralisée du pouvoir d'achat des Français, n'étaient pas qu'un «sentiment».

    Selon des statistiques publiées le 28 novembre par Eurostat, la France tient son rang de championne européenne des prélèvements obligatoires. Ceux-ci représentent près de 48,4% de son PIB en 2017. Au-delà de leur niveau, loin devant la moyenne de la zone euro (40,2 %), c'est son évolution qui marque les esprits. En effet, les recettes des impôts et des cotisations sociales représentaient 44,4 % du PIB en 2008, soit 4 points de moins.

    Figurant en 4e position il y a 10 ans, légèrement devancée par le Danemark, la Belgique et la Suède, la France se place aujourd'hui largement devant ses voisins européens. En effet, si la part des prélèvements dans la richesse nationale belge a progressé, elle s'est globalement maintenue au Danemark et en Suède. Dans d'autres pays, comme le Royaume-Uni et la Norvège, la part de ces prélèvements obligatoires dans le PIB a même baissé. En matière d'évolution, de tous les pays de la zone euro, seule la Grèce fait pire que l'hexagone.

    «Aujourd'hui, il y a deux préoccupations- très liées- qui obsèdent les Français: c'est leur pouvoir d'achat et c'est le niveau des prélèvements obligatoires et des taxes, qui est jugé très élevé, voire insupportable pour certains Français»,

    résumait au micro de nos confrères de France télévision Céline Bracq, co-fondatrice et directrice générale de l'institut Odoxa. Dans une étude d'opinion également publiée le 28 novembre, l'institut de sondage révèle que 84% des Français interrogés estiment le mouvement des Gilets jaunes justifié, soit une envolée de 10 points en 10 jours de leur cote de popularité. Une mauvaise nouvelle pour l'exécutif qui, lui, mise sur l'essoufflement du mouvement.

    Huit jours avant la parution des données de l'Office européen des statistiques, l'OFCE publiait sur le site de l'INSEE un dossier faisant état d'une diminution du pouvoir d'achat de presque tous (90%) les Français entre 2008 et 2016. «Le revenu disponible moyen par ménage en euros constants serait, en 2016, inférieur de 1,2% à son niveau de 2008», explique l'organisme, soit en moyenne 440 euros de revenus disponibles en moins par ménage.

    Une étude de l'OFCE qui prend le contrepied de celles de l'INSEE. Du moins de celles reprises par les médias, comme celle de janvier 2018, faisant au pire état d'une «décélération» du pouvoir d'achat des Français en 2017. Selon cette dernière étude annuelle de l'office public français, le pouvoir d'achat des Français aurait augmenté (+1,3 %) en 2017 «moins fortement» qu'en 2016 (1,8 %).

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  7. Des statistiques en contradiction avec le ressentit des Français qui, dans un sondage BVA, étaient près de 68% a estimer que leur pouvoir d'achat a «plutôt diminué au cours des 12 derniers mois.»

    Réalité contre l'Insee : quand un économiste dévoile le grand mensonge autour du pouvoir d'achat

    Dès les premières lignes du dossier, le ton est donné: l'OFCE s'est basée sur des données «harmonisées» d'Eurostat, qui ainsi «peuvent différer des données nationales diffusées par les instituts nationaux de statistique».

    Point intéressant du rapport, on remarque que ceux qui (jusqu'en 2016) ont le plus perdu en matière de revenu disponible sont les 5 % des ménages les plus aisés, accusant un recul moyen de leur revenu disponible annuel de 5.600 euros, dû à l'augmentation des cotisations, contributions sociales et des impôts.

    À l'inverse, ceux qui ont le plus gagné sont les deux premiers vingtiles (1/20e soit 5 %), soient les 10 % de ménages les plus modestes: les 5% des Français les plus pauvres ont ainsi vu leur pouvoir d'achat s'accroître de 450 euros et de 890 euros pour le vingtile supérieur.

    Il s'agit bien sûr de moyenne, comme le souligne l'institut. Si 2/3 des ménages les plus pauvres- appartenant au premier vingtile- voient leur revenu disponible augmenter de 1.000 euros, le tiers restant le voit en revanche reculer de 600 euros, notamment à cause de la baisse de l'aide au logement et des prestations familiales.

    «Si les pertes moyennes de revenu disponible restent modérées pour les ménages dont le niveau de vie est inférieur au 14e vingtile, elles sont significatives pour les ménages appartenant aux 35 % les plus aisés. En moyenne, ceux-ci ont vu leur revenu disponible amputé de 1.900 euros du fait des mesures nouvelles. Cette perte est de 600 euros en moyenne pour les ménages du 14e vingtile et atteint 2.370 euros pour le 19e vingtile et 5.640 euros pour les 5 % de ménages les plus aisés», notent les auteurs du rapport.

    L'OFCE souligne également que les raisons de cette diminution du revenu disponible des ménages ne s'expliquent pas uniquement par l'évolution de la législation socio-fiscale. L'augmentation du chômage, du travail à temps partiel, ainsi que celle du nombre de familles monoparentales et de personnes seules à peser sur l'évolution du pouvoir d'achat des ménages français. Une évolution à la baisse en partie contrebalancée par l'augmentation de la proportion de cadres et de personne occupant des professions intermédiaires.

    Du côté du gouvernement, on justifie l'importance des prélèvements fiscaux en France par la qualité des services publics, fustigeant ceux qui remettent en cause le sacro-saint consentement à l'impôt, comme ces commerçants qui appellent à ne plus prélever la TVA durant le mois de décembre.

    «On doit expliquer aux gens ce qu'il y a en face de leur argent. Si personne n'en fait la pédagogie, nous finissons tous par croire que l'école, c'est normal que ce soit gratuit, que l'hôpital ce soit pour —beaucoup- gratuit […] que c'est normal que ce soit la collectivité qui paye.»

    Pas forcément la plus pertinente des lignes de défense, car de même que la répartition des richesses entre les ménages n'est pas homogène, celles des services publics ou services sociaux dans les territoires ne l'est pas non plus, en témoigne par exemple la fermeture de nombreux services publics (gare, postes, hôpitaux, maternités, etc.) dans des villes petites ou moyennes ou la formation de déserts médicaux.

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  8. Une désertification médicale qui ne touche pas que les départements les plus reclus. Aux portes de Paris, la Seine-et-Marne a perdu 5,8 % de ses médecins entre 2007 et 2016, selon le Conseil national de l'Ordre des médecins, le pire score des départements franciliens.

    Ce chiffre reste cependant moindre que dans le département voisin de l'Yonne, où la densité médicale s'est effondrée de 16,7 %, suivi de l'Indre et du Cher, avec respectivement 15,7 % et 14,8 % de médecins en moins.

    Une inégalité qui renforce le sentiment qu'au final, certains Français n'en ont pas pour leur argent, tout particulièrement ceux vivant en dehors des grandes métropoles et qui sont confronté à la diminution des services publics.

    Les «gilets jaunes» entament l’acte 2 de la mobilisation à Paris, 24 novembre 2018

    Comme le soulignait Ferghane Azihari dans une tribune publiée sur le site du Figaro, les Français apparaissent bien «conciliants» au regard de l'histoire. Ce journaliste et analyste rappelle deux des révoltes fiscales «les plus décisives de l'histoire moderne»:

    «Les Américains, dont la colère était renforcée par l'absence de représentation, ont déclenché une sécession contre l'Empire britannique quand ils n'étaient fiscalisés qu'à hauteur d'un ou deux pour cent de leurs revenus environ. Selon l'historien François Hincker, les Français se voyaient quant à eux confisquer annuellement un peu plus de dix-huit jours de travail par la monarchie à la veille de la Révolution française.»

    Avançant une étude de l'Institut économique Molinari publiée en juillet 2018, Ferghane Azihari souligne que le salarié moyen en France est aujourd'hui «exproprié» à hauteur de 56,7% de ses revenus, malgré une légère amélioration «liée à la mise en œuvre d'une partie des baisses de charges promises lors de la campagne présidentielle» soulignent les auteurs de l'étude. Ainsi, l'analyste estime qu'on ne parle plus d'une France championne d'Europe de la fiscalité, mais championne du monde.

    https://fr.sputniknews.com/france/201812011039135580-france-prlvements-pouvoir-achat/

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  9. En Europe, la "critique de la migration" en passe de devenir une infraction pénale


    par Tyler Durden
    Samedi, 12/01/2018 - 08:00


    Les Européens préoccupés par les frontières, la langue et la culture pourraient bientôt se trouver sur la sellette après que Marcel de Graaff, homme politique néerlandais et membre du Parlement européen, eut lancé un avertissement terrible concernant la "définition du discours de haine" qui criminalisera le discours s'opposant aux migrations massives Joe Schaeffer de LibertyNation.

    Lors d'une conférence de presse, De Graaff a sonné l'alarme lors d'une conférence internationale à Marrakech, au Maroc, les 11 et 12 décembre, au cours de laquelle le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière doit être signé. Bien que le pacte soit censé être non contraignant, il est censé jeter les bases d'une campagne orwellienne visant à cimenter la migration de masse en tant que droit de l'homme légalement au-dessus de toute critique.

    «L'un des éléments fondamentaux de ce nouvel accord est l'extension de la définition du discours de haine», déclare de Graaff. «L'accord veut criminaliser le discours sur la migration. La critique de la migration deviendra une infraction pénale. Les médias qui laissent place à des critiques sur la migration peuvent être fermés. ”-LibertyNation

    Dans le même temps, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a publié la transcription du discours prononcé le 20 novembre par Andrew Gilmour, Sous-Secrétaire général aux droits de l’homme, intitulé: «La parole est importante: le rôle et la responsabilité des médias dans la définition de la perception du public à l’égard des migrants et des personnes». réfugiés et la promotion de sociétés inclusives ".

    Gilmour appelle "les crimes de haine contre les migrants" une "manifestation particulièrement désagréable de ce que je considère comme une réaction quasi mondiale contre les droits de l'homme".

    Gilmour explique comment son bureau aidera les États à "distinguer la liberté d'expression du discours de haine" qui, bien entendu, n'a pas le droit d'exister. Il souligne que les reportages médiatiques qui ne sont pas suffisamment favorables à la migration ne peuvent être tolérés. «Il est clair pour nous tous que de nombreux médias échouent délibérément à promouvoir le concept d'humanité commune», dit Gilmour, définissant à nouveau la migration de masse comme un droit humain fondamental. «Les mots ont évidemment de l'importance: la rhétorique raciste déshumanisante conduit souvent à la haine, aux tensions, à la violence et aux conflits. La communauté internationale doit redoubler d'efforts pour confronter ceux qui, dans les médias, cherchent à attiser la haine. "-LibertyNation

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-30/criticism-migration-will-become-criminal-offense-says-european-parliamentary-leader

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    1. Vous êtes en passe de déménager d'une commune à l'autre ou d'un quartier à l'autre ? Demandez vite votre alloc spécial immigré 'Réfugié Climato Pognon'. Vous testerez très vite s'il y a du racisme xénophobique envers vous et pourquoi votre nom sonne différemment dans l'oreille du 'comité d'accueil' !

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  10. La tourbe c’est mauvais pour le climat mais bon pour le whisky, que choisir ?


    le 1 décembre 2018


    Il y a maintenant 20 ans j’eus l’occasion de rencontrer un Anglais dans un petit restaurant au bord de la baie de Port-Vila au Vanuatu, un petit coin de gastronomie française concoctée avec les produits locaux, un plaisir sublime. Contrairement à la majorité des expatriés vivant dans ce petit pays par ailleurs un paradis fiscal, cet Anglais m’expliqua quelles étaient ses « affaires ». Il était en réalité Écossais et il dirigeait son entreprise d’export tranquillement depuis le Vanuatu. Amateur de bons whiskys « pure malt » comme moi-même il m’expliqua qu’en Ecosse les tourbières utilisées pour griller le malt avaient été épuisées. Parlant couramment le russe il avait donc organisé en Russie l’exportation de tourbe vers l’Ecosse par pleins containers. Il avait eu la bonne idée au bon moment et il contrôlait maintenant ce marché de niche très lucratif car qui dit mauvaise tourbe dit mauvais whisky. Plutôt que de vivre dans le frimas d’une ville russe ou à Aberdeen, l’épicentre du whisky écossais des Highlands, il avait choisi de vivre à Port-Vila ce qui lui évitait de payer des taxes sur les coquets bénéfices de son entreprise.

    Aujourd’hui l’Irlande connue pour son fameux whisky Jameson au goût très particulier provenant de la qualité de la tourbe se bat pour échapper aux « taxes climat » que veut lui imposer la Commission européenne au sujet de la tourbe. La société irlandaise semi-étatique Bord na Mona, exploitante de plus de 60 tourbières, a décidé d’en fermer 17 pour échapper à une amende de 600 millions d’euros pour non-respect des quotas d’émission de carbone. Elle s’est engagée à fermer toutes les autres tourbières d’ici 2025. Cette décision entre aussi dans le cadre du projet de faire de l’Irlande le leader mondial de la protection de la nature en investissant d’ici 2025 vingt-deux milliards d’euros pour réduire les émissions de carbone. Les ONGs de protection de la nature et du climat accusent néanmoins le gouvernement irlandais d’avoir trop trainé les pieds trop longtemps avant de se décider à arrêter l’exploitation des tourbières avançant l’argument sorti de leur chapeau que de toutes les façons même abandonnées à elles-mêmes les tourbières continuent à émettre des gaz à effet de serre à moins de les réhabiliter en pâturages ce qui est impossible car il n’y a pas assez de terre arable pour les recouvrir …

    La tourbe est l’un des combustibles les plus polluants pour produire de l’électricité. La petite centrale électrique d’Eddendery (comté d’Offaly) qui appartient à la société Bord na Mona s’est déjà reconvertie à des déchets de biomasse. Il n’empêche que la tâche est lourde car l’Irlande est le troisième plus gros émetteur de carbone d’Europe après l’Allemagne et la Pologne avec 23 tonnes par habitant et par an. Transformer les tourbières en pâturages serait encore pire pour le climat puisque, selon l’ONG « Les amis de l’Environnement Irlandais », élever des bovins serait beaucoup plus catastrophique pour le climat. On en reste là en espérant qu’un peu de tourbe sera toujours autorisée pour griller le malt utilisé pour produire de la Guinness et ce fameux whisky au goût si particulier.

    Source partielle : The Guardian, illustration tourbière d’Achill Island

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/12/01/la-tourbe-cest-mauvais-pour-le-climat-mais-bon-pour-le-whisky-que-choisir/

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  11. L'ESCROQUERIE EN SUISSE:

    A COMBIEN SERA LA HAUSSE DU PRIX DE L'ESSENCE ?

    Dès lundi, le National se lance dans un débat fleuve: celui de la révision de la loi sur le gaz carbonique. Il y aura des implications directes sur le portemonnaie des Suisses.


    PAR CHRISTINE TALOS
    01.12.2018, 12h03


    C'est un sujet complexe, à la fois technique et politique auquel s'attaque le National dès lundi et pour 3 jours de débat. En effet, il empoigne la révision de la loi sur le gaz carbonique, une révision qui aura des conséquences sur le portemonnaie des Suisses, en particulier des automobilistes.

    Pourquoi cette révision ?

    La Suisse a signé en 2015 l'accord de Paris qui vise à contenir le réchauffement climatique mondial sous les 2°C, idéalement 1,5°C, par rapport à l'ère pré-industrielle. Pour y arriver, les pays doivent drastiquement réduire leurs émissions de gaz carbonique, chacun comme ils le souhaitent. Des émissions dues essentiellement aux hydrocarbures que l'on brûle, que ce soit pour les transports, l'industrie ou le chauffage des bâtiments. La Suisse s'est engagée à diminuer de 50% ses émissions d'ici 2030. Elle a donc a mis en place de nombreuses mesures. Ces mesures seront débattues au Parlement via la révision de la loi sur le gaz carbonique.

    Une taxe incitative sur l'essence

    La Suisse possède l'un des parcs automobiles qui polluent le plus en Europe. Notre pays reprend depuis quelques années les prescriptions européennes, qui fixent une moyenne maximale d’émissions de gaz carbonique pour les nouvelles voitures, mais cela ne suffit pas. «Elle a mis en place un système qui est un bricolage discutable, et qui implique directement les importateurs», explique Benoît Genecand (PLR/GE), rapporteur de la commission. Ceux-ci devront compenser dans la nouvelle loi non plus 10 % des émissions de gaz carbonique dues à leurs produits comme aujourd'hui, mais 90 %. En outre, jusqu'ici, les importateurs n'étaient tenus de compenser que 5 % de leurs émissions en Suisse. Ils pourraient devoir le faire jusqu'à hauteur de 20% dans la nouvelle loi - ce que souhaite la commission - mais cela coûtera plus cher. Tout ceci va se répercuter sur les prix des carburants. Mais les Chambres vont fixer une hausse à ne pas dépasser.

    5, 8, 10, 12 ou 20 centimes de plus par litre d'essence?

    Une majorité de la commission souhaite fixer la limite à 8 centimes par litre d'essence. Une minorité emmenée par l'UDC prône 5 centimes, mais d'autres veulent des hausses jusqu'à 10, 12 voire 20 centimes. «A droite, on va dire que seul un plafond bas garantira que la loi soit mise en application, car au-delà d'une hausse de 10 centimes on risque un référendum. Mais à gauche, on estimera que ce plafond est largement insuffisant», explique Benoît Genecand.

    La conseillère nationale Adèle Thorens (Verts/VD) confirme: «Les Verts voulaient d'abord, comme le Conseil fédéral, ne pas fixer de plafond. Mais si déjà il en faut un, nous demanderons une hausse de 20 centimes au maximum, car il faut une taxe suffisamment incitative pour que les gens changent de comportement». Mais la Vaudoise, qui tient un blog sur les questions environnementales, précise: il faut l'accompagner d'alternatives intéressantes pour que les Suisses n'aient pas à payer cette taxe, «sinon ce serait injuste». Elle propose donc que l'argent perçu serve par exemple à la construction d'infrastructures pour recharger les véhicules électriques, un besoin urgent qui nécessite de gros investissements.

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  12. Hausse des billets d'avion ?

    La révision de la loi pourrait aussi s'accompagner d'une hausse des billets d'avion, ce que souhaitent les Verts. «Les billets sont aujourd'hui à des prix dérisoires et n'ont plus aucun rapport avec la prestation fournie», critique Adèle Thorens. Du coup, les gens voyagent toujours plus et les émissions de gaz carbonique dans l'aviation suivent une courbe exponentielle.

    «En outre, ils tuent les alternatives de voyage comme les trains de nuit», regrette la Verte. Son parti veut introduire une taxe sur les billets, «comme d'autres pays européens le font déjà». Quant à son montant, il faudrait s'accorder avec les autres pays, car «si la taxe est trop haute, les Suisses prendront l'avion de l'autre côté de la frontière, et si elle est trop basse, elle ne servira à rien». Ensuite, l'argent recueilli pourrait revenir aux trains de nuit ou à la recherche sur des carburants plus propres, selon elle.

    Mais Benoît Genecand ne croît pas que l'idée soit acceptée par le plénum. «Il y a des arguments pertinents pour dire que cette hausse n'aura d'effets que si elle est appliquée largement», explique-t-il. En outre les compagnies d'aviation se sont unies pour tenter de maîtriser les émissions de gaz carbonique du secteur.

    Hausse controversées de la taxe sur le gaz carbonique

    Autre sujet qui risque de fâcher: la proposition de relever la taxe sur le gaz carbonique sur le mazout à 210 francs par tonne selon l’évolution des émissions, contre 96 francs actuellement. Non seulement la droite combat cette hausse, mais elle réclame davantage d'exemptions. En effet, aujourd'hui, les entreprises à forte consommation énergétique - celles qui émettent plus de 100 tonnes de gaz carbonique par an - peuvent être exemptées de la taxe. En retour, elles doivent s'engager à réduire leurs émissions de gaz carbonique, selon des critères établis par Berne. Mais la droite juge ces critères arbitraires et bureaucratiques. UDC, PLR et PDC se sont donc unis pour réclamer le droit à l'exemption pour l'ensemble des 600'000 firmes du pays.

    Quels sont les points positifs et négatifs de cette révision?

    Pour Adèle Thorens, une des victoires de cette révision est la prolongation du programme bâtiment, un programme obtenu grâce à la stratégie 2050 approuvée par le peuple et qui consiste à utiliser une partie de la taxe gaz carbonique sur le mazout pour permettre aux Suisses d'améliorer l'isolation des bâtiments et d'adopter des chauffages plus propres. «Il était limité à 2025, et là il devrait être prolongé jusqu'en 2030», se réjouit-elle. Benoît Genecand abonde dans son sens. Le plénum devrait suivre.

    En revanche, la Verte vaudoise est très critique sur la révision qui ne permettra pas d'appliquer l'accord de Paris. Celui-ci s'est durci et vise désormais à contenir le réchauffement sous 1,5 degré au lieu de 2. Mais le Conseil fédéral n'a pas adapté son projet qui est toujours calqué sur une baisse de 2 degrés, regrette-t-elle. Ce qui a un impact puisque Berne prévoit de réduire ses émissions de 85 % d'ici 2050. Or, l'objectif récent que vient de fixer la commission européenne est d'arriver à cette même date à la neutralité carbone.

    Où est passée la finance ?

    Autre point négatif: l'absence du monde de la finance dans cette révision. «Pour la première fois, l'accord de Paris considère que les investissements doivent aussi être comptabilisés et orientés vers des solutions durables», explique Adèle Thorens. «C'est très important car on peut agir en amont. Or, le mot finance ne figure même pas dans le projet suisse. Ce secteur n'est pas concerné alors que c'était la grande nouveauté de l'accord», critique-t-elle vertement.

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  13. C'est très injuste, selon elle. En effet, la loi va demander des efforts aux Suisses et entreprises, mais pas à des établissements comme la BNS par exemple. Or, «la Banque nationale suisse émet 20 fois plus de gaz carbonique via ses investissements dans des entreprises actives dans les énergies fossiles que l'ensemble de la Suisse», souligne-t-elle. Les Verts vont lancer des propositions pour y remédier mais sans trop d'illusions. «La droite estime qu'il ne faut aucune contrainte sur la place financière suisse et qu'il faut agir via des bases volontaires».

    (nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/hausse-prix-essence/story/17699725

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    1. L'escroquerie est de deux ordres, le premier est que le gaz carbonique continera de circuler dans le monde sans frontière comme il l'a toujours fait ! Ouf ! Et ce, quel qu'en soit le prix, le montant des taxes imposées sur toutes les personnes qui osent encore respirer en rejetant comme des assassins malotrus criminels terroristes du gaz carbonique (ADM) !
      Deuxièment, le gaz carbonique n'est nullement un poison et est nécessaire pour faire croître la végétation qui sans elle n'existerait pas l'oxygène qu'elle ose rejeter !

      Mais, la dictature s'immisçant dans la Démocratie Suisse, (en refusant d'expliquer que TOUS les gaz se recyclent depuis toujours et pour toujours), elle tend aujourd'hui à prendre TOUS LES SUISSES pour des cons qui n'ont pas l'âge de comprendre ni le niveau culturel d'un enfant de 5 ans !!!

      D'où, l'imposition non-débattue sur la justification d'une telle arnaque officialisée par les dictatures étrangères qui désormais font la loi en Suisse !!

      Rappel: La présence du gaz carbonique est nécessaire et demeure trop peu présent sur Terre. Pensez-donc qu'il y a 75 % de notre planète recouverte d'eaux qui le transforme en nano-particules de carbone (charbon) via le phytoplancton. Sur les 25 % restant (terre), il y a des zones désertiques et des zones bâties. C'est ainsi que ce trop peu d'arbres peut être décisif pour l'avenir de notre monde et peut-être mortel à court terme !

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  14. Un grain ou un oeuf qui peut tout faire


    dimanche 5 janvier 2014


    Nous avons vu dernièrement que un seul humain peut faire vivre un grand nombre de personnes (fonctionnaires - salaire/primes/vacances/retraite - ainsi que les chômeurs, les militaires, les enfants, etc), plus encore, le salaire d'un seul humain permet de construire des routes et des ponts, des bâtiments, des avions, tanks, paquebots, sous-marins, etc

    Aujourd'hui, nous allons comparer l'humain a un grain de riz ou de blé. Un grain va donner un plant avec un épi de 20 ou 30 grains. Chaque grain semé va donner autant de plants et 20 ou 30 fois plus de grains. Qui à leurs tours vont donner... etc

    Pareil pour une tomate avec ses graines, ou une pomme, une orange. C'est ce qui se passe aussi dans l'eau des océans ou des rivières. Une truite pond jusqu'à 500.000 oeufs ! Sur ces 500.000 oeufs, environ la moitié sont des truites femelles qui, à leurs tours, vont pondre chacune jusqu'à 500.000 oeufs ! etc, etc ! De sorte que, si nous protégeons leurs oeufs des prédateurs qui s'en nourrissent, nous aurons donc (comme pour le caviar) des millions, des dizaines de millions, des centaines de millions de poissons, etc.

    Donc - en tant qu'êtres intelligents - nous sommes loin de connaître une famine naturelle dans les jours ou années à venir voire de notre vie. Pourtant, pourtant des personnes mal intentionnées (dissimulées sous des paravents d'organismes autant flous qu'anticonstitutionnels) nous promettent, nous menacent, nous avertissent que cette 'fin du monde' peut exister et même va exister !

    Jusqu'au... manque d'eau !!! (et pourquoi pas d'air ?!!). Alors que l'eau des rivières se jettent en fleuves/océans et s'infiltre en fond vers 'le centre de la Terre' pour y être réchauffée/bouillie qui la fera remonter et ressortir (chaude/geyser ou froide et/ou pétillante) en sources (de montagnes ou sous-marines) et toute propre. Depuis des millions d'années il n'y a pas une goutte d'eau en plus ou en moins et... et pourrait manquer ! (pour aller ou ?!) ou même, elle... elle pourrait monter ! monter jusqu'à 70 m ! Envahir, inonder, se répandre, noyer peut-être des millions de personnes suite à... la fonte des glaces ! Hahahaha !

    Rendez-vous compte que désormais un glaçon peut rendre plus d'eau qu'il ne contient ! Oui ! Vous avez bien lu ! (ou vu/entendu dans les médias), ils vous prennent pour des cons, chefs d'Etats compris, et, ils comptent sur vous pour les réélire, les conforter, les admirer, les soutenir grâce surtout à vos revenus !

    Le pétrole (comme l'eau) n'a nullement besoin d'être pompé, il sort tout seul sous pression, et, les années passant et le progrès venant, tout devrait donc être moins cher qu'avant, et surtout: l'eau gratuite ! Mais, comme l'humain est débordant et, plus il est intelligent plus il est intelligent, il va forcément (un jour ?) finir par comprendre ce qui l'entoure et se poser question du pourquoi des factures et d'où viennent les justifications ! Mais il est sans cesse 'obligé' d'avoir le dernier modèle coûteux pour être ce con qu'il est de se l'être payé alors qu'il est gratuit !

    C'est donc là un retardateur, barrière, embûche pour l'empêcher de progresser encore et encore car, l'homme d'aujourd'hui, en sait autant (sinon plus) que les 'Dirigeants' et... ils s'en sont aperçu !

    https://huemaurice5.blogspot.com/2014/01/un-grain-ou-un-oeuf-qui-peut-tout-faire.html

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  15. Derrière le mouvement des Gilets Jaunes, l’appauvrissement d’une partie de la France


    13:14 01.12.2018
    Jacques Sapir


    Quand est-ce que le gouvernement comprendra-t-il que le mouvement des Gilets Jaunes représente une insurrection non contre la fiscalité pesant sur les carburants mais contre la montée d’une pauvreté qui touche prioritairement ce que l’on appelle la « France Périphérique » ?

    Les français qui vivent dans les petites villes (moins de 40 000 habitants) ou dans les villages qui constituent l'extrême périphérie des grandes métropoles constituent l'essentiel des militants de ce mouvement. On y retrouve des salariés, des professions libérales, de petits entrepreneurs. On y retrouve aussi beaucoup de femmes, elles sont très présentes sur les blocages routiers. Face à cette réalité, le gouvernement aurait voulu mettre en scène un « conflit » entre la consommation et l'urgence écologique. Bref, il nous a joué la grande scène de « la fin du monde » alors que les Gilets Jaunes parlent de la fin du mois.

    Ce discours a achevé de le décrédibiliser, surtout qu'il est clair pour tous que la politique de ce même gouvernement n'a rien à voir avec les préoccupations écologiques. Le mouvement des Gilets Jaunes porte sur le pouvoir d'achat. C'est ce qui explique son immense popularité, car entre 75% et 84% des français le soutiennent.
    L'évolution des revenus

    Pouvoir d'achat, donc. Regardons ce que dit l'INSEE, une source dont tout le monde s'accordera à la considéré si ce n'est parfaite (aucun système statistique ne l'est) du moins largement fiable. Dans un rapport publié il y a peu (1), on lit: « la pauvreté des actifs (hors travailleurs indépendants) a augmenté. d'un tiers, en partie du fait de la hausse du chômage ». Bien sûr, le chômage de masse que nous vivons, et qui est très probablement sous-estimé dans les statistiques diffusée par le gouvernement, est une cause majeure de la pauvreté. Le suite du constat fait dans ce document est accablante: « Le fait marquant de ces vingt dernières années est surtout le développement de la pauvreté des familles monoparentales, dont les membres vivent sous le seuil de pauvreté dans prés d'un tiers des cas. Les différences entre catégories socioprofessionnelles se sont maintenues, même si la situation des agriculteurs exploitants, les plus touchés par la pauvreté, s'est améliorée et celle des artisans, commerçants et chefs d'entreprise, dégradée ». Ce qui est décrit ici est bien l'appauvrissement de ces familles, chassées des centres-villes par la hausse des loyers et la spéculation immobilière, obligées d'aller s'installer en zones rurales, zones qui sont bien souvent abandonnées par les services publiques, mais qui sont obligées de faire des déplacements de 40 km à 60 km pour aller au travail, voir pour avoir accès justement à ces services publics. Cet appauvrissement, on l'a dit, touche d'abord les familles mono-parentales, dont le nombre est en forte augmentation, mais aussi les jeunes couples.

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  16. A l'opposé, les ménages les plus riches voient, quant à eux, leur situation s'améliorer régulièrement, et les ménages que l'on peut considérer comme « ultra-riches » ont vu leurs revenus et leurs patrimoines littéralement exploser. Un indicateur de cette situation est l‘évolution discordante du niveau de vie moyen et du niveau de vie médian. Si le niveau de vie moyen (calculé comme l'ensemble des revenus divisé par la population) augmente depuis la crise de 2008, le niveau de vie médian (calculé comme le revenu qui partage en deux parties égales la population) quant à lui stagne depuis 2008. C'st bien la preuve d'une distorsion importante dans la structure des revenus.

    L'évolution des patrimoines

    A cela, il convient d'ajouter l'inégalité croissante du patrimoine des ménages. L'INSEE calcule le patrimoine monétaire, qui va donc des sommes déposées sur le compte courant des ménages dans les banques, jusqu'aux logements, aux actifs professionnels, en passant pas les actifs financiers. Si ce patrimoine, à prix constants, a fortement augmenté, de 1995 à 2015 en moyenne il a baissé pour les 20% des ménages les moins riches. Cette situation d'appauvrissement des ménages les moins riches se combine avec la dégradation des services publics et des transferts sociaux (dont les différentes réformes des retraites sont un exemple). En effet, les services publics, comme les retraites, représentent une forme de patrimoine collectif des français. Nous en bénéficions tous. A chaque fois que les services publics sont réduits, cela représente une perte nette en patrimoine, une perte que les moins riches, parce qu'ils sont les plus grand utilisateurs de ce « patrimoine collectif » de la Nation, ressentent le plus.

    Cet appauvrissement, que ce soit en revenu ou en patrimoine, des français les plus vulnérables forme le substrat du mouvement des Gilets Jaunes. D'autres facteurs viennent s'y ajouter, comme la montée des consommations contraintes dites encore « pré-engagée » (qui laisse de moins en moins d'argent aux ménages les plus pauvres) (2), et la dégradation du système des retraites, que ce soit à travers le non-indexation des montants face à l'inflation ou dans la remise en cause des pensions de reversions, mesure particulièrement injuste dans la mesure ou, en moyenne, les femmes touchent une retraite plus faible que les hommes. Nous sommes dans une situation où les ménages les plus pauvres n'arrivent plus à faire face aux dépenses de santé ou aux dépenses alimentaires (3).

    Tout ceci permet de comprendre pourquoi la taxe sur les carburants a été le détonateur d'une immense colère sociale, mais aussi pourquoi le gouvernement reviendrait-il sur cette taxe qu'il ne calmerait pas cette même colère.

    Les revendications émises, ici ou là, par les Gilets Jaunes sont en réalité de nature sociale: augmentation du SMIC à 1300 euros, minimum vieillesse à 1200 euros. Ces revendications sont parfaitement légitimes. Mais, elles ne peuvent pas être acceptées par le gouvernement pour une raison fort simple: la France est mise en concurrence avec d'autres pays avec une monnaie qu'elle ne contrôle plus. En effet, une situation analogue existait dans les années 1960. Quand survint mai 1968, le gouvernement céda massivement sur le SMIC. Puis, pour rétablir la compétitivité de l'économie française, il dévalua le Franc. Aujourd'hui, à cause du système de l'Euro, nous ne pouvons plus le faire. C'est bien pourquoi, en réalité, le mouvement des Gilets Jaunes, même si ses participants n'en ont pas une claire conscience, est un mouvement anti-Euro.

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  17. (1) Julien Blasco, Marie-Cécile Cazenave-Lacrouts, Julie Labarthe (edits.), Le Revenu et le Patrimoines des Ménages, INSEE, Paris, 2018.

    (2) DREES, « Dépenses pré-engagées: quel poids dans le budget des ménages? », N°25, Mars 2018. Voir aussi D'Isanto A. et Rémila N., 2016, « Les dépenses contraintes des bénéficiaires de minima sociaux », Dossier de la DREES, n°11

    (3) Accardo J., Kranklader E. et Place D., 2013, « Les comportements de consommation — Pour certains ménages modestes, faire face aux dépenses alimentaires devient plus difficile », Insee Première n°1458, juillet.

    https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201812011039133912-gilets-jaunes-appauvrissement-partie-france/

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  18. Des arrestations massives à Paris alors que les manifestations du "gilet jaune" entrent dans la violente troisième semaine et se propagent en Belgique


    par Tyler Durden
    Samedi, 12/01/2018 - 10:45


    La police française a déployé des gaz lacrymogènes après que des milliers de militants du "gilet jaune" se soient retrouvés sur les Champs-Élysées pour une troisième semaine de manifestations contre le président Emmanuel Macron et son gouvernement. Plus de 122 arrestations ont été effectuées.

    En scandant "Sur le chemin de la démission de Macron", les manifestants ont été frappés au gaz lacrymogène alors que la police anti-émeute luttait pour contenir les violences de samedi, qui ont vu des voitures incendiées, de la peinture jetée sur des policiers et plusieurs blessés. Les manifestants ont tenté de franchir les barricades bloquant l'accès au palais présidentiel samedi matin. "allumer des feux, jeter des pierres et arroser les policiers de peinture jaune vif."

    Regarder en direct:

    - voir clip sur site -

    Les manifestants ont été frappés avec un canon à eau pour la deuxième semaine consécutive:

    Formés à l'origine pour protester contre la hausse du prix de l'essence, les manifestants du "gilet jaune" ont évolué pour devenir une manifestation plus large contre le gouvernement du président Emmanuel Macron ces dernières semaines. Après que le ministre français de l'Intérieur, Christophe Castaner, ait initialement accusé "l'extrême droite" de ces manifestations, le ministère de l'Intérieur a déclaré que les participants étaient des "manifestants d'extrême droite et d'extrême gauche", selon The Guardian.

    Les manifestations gilets jaunes (gilets jaunes) constituent l’un des défis les plus soutenus à ce jour pour le leadership d’Emmanuel Macron. Des centaines de milliers de manifestants ont barré les routes et bloqué les postes de péage et les dépôts de carburant en France au cours des deux dernières semaines, se plaignant de l'injustice de la politique fiscale de Macron en matière de fiscalité des entreprises et de l'impossibilité de joindre les deux bouts.

    Les automobilistes ont d'abord manifesté contre une augmentation de la taxe sur l'essence il y a deux semaines, mais les manifestants, qui n'ont pas de dirigeant et se sont largement organisés en ligne, ont maintenant des exigences beaucoup plus larges et des actions ultérieures ont suivi. -Le gardien

    Certains ont prétendu que "des groupes plus radicaux" s'étaient infiltrés dans le mouvement populaire, alors que Castaner a tweeté que "1 500 fauteurs de troubles" avaient dépassé ce qui avait commencé comme "200 manifestants pacifiques". Les réponses à son tweet suggèrent que les gens ne l'achètent pas ...

    Deux personnes ont été tuées dans des accidents de voiture et des centaines d'autres ont été blessées depuis le début des émeutes du 17 novembre.

    Pendant ce temps, les manifestations se sont étendues à Bruxelles, en Belgique, où des activistes de Yellow Vest ont incendié des fourgonnettes après que la police eut tiré un canon à eau sur la foule.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-12-01/mass-arrests-paris-yellow-vest-protests-enter-explosive-third-week-spread-belgium

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