Il était une fois un beau royaume qui avait construit un magnifique réseau autoroutier pour le bien-être de ses citoyens, augmenter la sécurité routière et contribuer à la croissance économique du pays.
4 AOÛT 2018
Par Michel Albouy.
Un article de The Conversation
À la veille des départs en vacances et afin de moraliser la rente perdue des autoroutes le Grand Vizir en charge des finances du Royaume, via son Autorité de la concurrence, venait de recommander au Roi de renégocier le plan de relance autoroutier, estimant que les sociétés concessionnaires du royaume affichaient une rentabilité exceptionnelle assimilable à une rente qui devait être davantage régulée en faveur de l’État et des usagers.
UN BEAU CONTE AUTOROUTIER… QUI FINIT EN MAUVAIS COMPTES
Il était une fois un beau royaume qui avait construit un magnifique réseau autoroutier pour le bien-être de ses citoyens, augmenter la sécurité routière et contribuer à la croissance économique du pays. Bien sûr, cela n’avait pas été sans peine et sans demander des efforts financiers significatifs à ses citoyens-contribuables. Mais ces derniers étaient fiers de leurs autoroutes, même s’il fallait payer un péage en sus des impôts divers et variés qu’ils devaient acquitter, notamment sur le carburant qui était le plus cher d’Europe.
Mais un jour, le Grand Vizir du Royaume fit remarquer à son Roi que l’État était désormais trop endetté et qu’il fallait vendre quelques bijoux de famille. Après un rapide inventaire des actifs qui pouvaient être cédés, le choix se porta sur le réseau d’autoroutes à travers un système de concessions limitées dans le temps. Restait à déterminer le prix de vente de ce réseau qui assurait bon an mal an des revenus substantiels au Royaume.
Nombreux furent les experts à se pencher sur la question. Les évaluations allaient de 12 milliards d’écus à 22, voire 40, milliards d’écus. C’est dire si la fourchette était large. Au-delà de l’estimation assez classique des flux de trésorerie générés par l’exploitation des autoroutes, se posait la question du taux d’actualisation à retenir pour calculer la valeur actuelle de ces flux.
DANS L’ÉTAU DES TAUX
Le rapporteur de la Commission des finances de l’Assemblée du Royaume estimait que le taux à retenir était celui recommandé par le Commissariat Général du Plan, soit 4 %, un taux proche du taux sans risque de l’époque.
Le rapporteur pour les transports estimait que le taux devait prendre en compte une prime de risque comme le faisait les investisseurs privés et préconisait un taux de 8 %. Le seul opposant à ces cessions, le Connétable du Béarn estimait quant à lui que le Royaume allait se priver de 40 milliards d’écus de dividendes d’ici à 2032, échéance des concessions. Finalement, le prix fixé pour la vente s’établit à 15 milliards d’écus.
Plusieurs années après, alors que la dette avait continué à augmenter malgré les cessions d’actifs jusqu’à atteindre pratiquement 100 % du PIB du Royaume, le Grand Vizir (qui avait changé entre-temps) s’enquit des profits « exorbitants » des sociétés d’autoroutes et ce d’autant plus qu’il venait d’abandonner une taxe écologique suite à des manifestations de manants qui se faisaient appeler les « bonnets rouges ». Il était temps de faire payer ces sociétés privées qui versaient de trop généreux dividendes à leurs actionnaires et les faire enfin contribuer au redressement des finances de l’État.
DES TAXES ? QUELLES TAXES ?
En effet, selon la ministre en charge du dossier, « lorsqu’une société d’autoroute fait payer 100 écus aux automobilistes, il y a 20 écus de trop qui sont empochés ». Dans un bel élan de démagogie, elle proposa même de rendre gratuites les autoroutes le week-end ! Les experts des transports firent remarquer que cela était une étrange façon d’optimiser l’exploitation du réseau car en rendant gratuites les autoroutes le dimanche on contribuait à augmenter la saturation du réseau et à augmenter le trafic et partant la pollution.
L’idée fut rapidement abandonnée mais pas celle d’une nouvelle taxe et/ou contribution spéciale sur les sociétés bénéficiaires de la rente autoroutière. Mais cette solution se heurtait aux contrats en béton que les sociétés d’autoroutes avaient signé avec l’État. Une clause prévoyait même que si de nouvelles charges étaient imputées à ces sociétés elles pouvaient les répercuter dans les tarifs des péages ou obtenir un allongement de la durée de la concession. En d’autres termes, l’État ne ferait que prendre dans la poche de ses usagers-contribuables ce qu’il demanderait aux sociétés privées. Bref, la situation semblait bel et bien perdue pour le Grand Vizir qui se demandait comment on avait pu en arriver là. L’État était donc un aussi mauvais gestionnaire que cela ?
Pour répondre à ses interrogations, il demanda l’avis d’un expert. Celui-ci lui dit à peu près ce qui suit. La principale erreur, cher Grand Vizir, fut de vendre un patrimoine qui avait une bonne rentabilité pour désendetter l’État. En effet, pourquoi céder des actifs qui génèrent des flux de trésorerie supérieurs au coût de la dette ?
PUIS LE CASSE-TÊTE DE LA DETTE… ET LES TROIS ERREURS
Certes, en remboursant une (petite) partie de la dette on améliore le fameux ratio Dette/PIB, et on fait ainsi plaisir aux agences de rating et aux fonctionnaires de Bruxelles, mais on ne fait pas pour autant une bonne gestion financière du Royaume. À quoi bon rembourser une dette dont le coût actuariel est inférieur à la rentabilité des actifs cédés ? En prenant une telle décision, on détruit de la valeur. Quitte à vendre des actifs, encore fallait-il choisir des actifs qui ne généraient pas de rentabilité.
La deuxième erreur fut de prendre pour l’évaluation un taux d’actualisation qui était proche (voire supérieur) de celui des investisseurs privés. En faisant de la sorte, on satisfaisait les contraintes des sociétés privées mais on tournait le dos à la spécificité de l’État comme acteur économique. En effet, celui-ci n’a pas de fonds propres à rémunérer et le coût de son capital est en fait celui de sa dette (coût qui de plus a beaucoup baissé ces dernières années). Naturellement, avec un tel coût du capital la valorisation des concessions d’autoroutes aurait été nettement plus élevée. Peut-être même que les sociétés privées n’auraient pas marché. Et alors ? Cela aurait été préférable pour les finances de l’État qui se trouve maintenant privé de la rente des autoroutes qu’il dénonce aujourd’hui.
La dernière erreur, dit l’expert, est de vouloir récupérer aujourd’hui sur le dos des actionnaires de ces sociétés (dont certains sont des salariés) une partie de la rente à travers de nouvelles taxes et/ou les obliger à la gratuité des péages le dimanche. Ce faisant, l’État envoie un très mauvais signal sur le respect de sa signature et donne l’impression de faire n’importe quoi en matière économique et de transport.
À l’instar de l’Autorité de la concurrence du Royaume, l’expert qui tenait quand même à sa situation recommanda néanmoins de renégocier le nouveau plan de relance autoroutier si celui-ci devait voir le jour. Il posa cependant plusieurs questions : ces investissements sont-ils vraiment utiles pour le Royaume ? N’avons-nous pas de meilleures opportunités d’investissement que de couler un peu plus de béton dans un réseau qui est parmi le plus moderne d’Europe ?
The Conversation Oui, mais grâce à ces investissements nous allons créer de nombreux emplois sur le territoire, lui rétorqua le Grand Vizir et nous arriverons ainsi à inverser la courbe du chômage chère à notre Roi ! Mais n’y-a-t-il rien de mieux à faire lui redemanda l’expert en lui citant des exemples d’investissement d’avenir dans les nouvelles technologies et les pratiques des autres grands pays. Le Grand Vizir commençait à douter de son argumentation. Au fond de lui il se demandait si l’État était condamné éternellement à une mauvaise gestion. Il se dit aussi que dans peu de temps il ne serait plus là pour constater les effets de sa gestion et que d’autres prendraient la patate chaude.
Michel Albouy, Professeur senior de finance, Grenoble École de Management (GEM)
Pourquoi n’y a-t-il pas d’Apple en France ?
RépondreSupprimerDans la grande bataille mondiale du leadership technologique, les deux grands blocs qui s’affrontent sont la Chine et les Etats-Unis. Pourquoi la France est-elle absente des débats ?
Par Erwann Tison.
4 AOÛT 2018
Jeudi 2 août un peu avant 18h, Apple est devenue la première entreprise privée au monde à dépasser les 1000 Md$ de capitalisation boursière. Un record absolu qui démontre encore une fois la suprématie des entreprises américaines du numérique sur l’économie mondiale (le podium des plus grosses capitalisations étant complété par Amazon et Google) et qui doit nous interroger sur l’absence de réponse française.
Apple, entreprise fondée en 1976 est devenue une référence en révolutionnant le marché des télécoms. Lorsqu’en 2007 elle lance l’iPhone, elle révolutionne par la même occasion la téléphonie, mais également notre façon d’écouter de la musique ou de photographier notre environnement.
Depuis, Apple a vendu plus d’un milliard de ses appareils, grâce à deux facteurs : l’adoption d’un placement marketing de luxe pour ses produits et le développement d’une interface fermée permettant à la marque de conserver les consommateurs sur tous ses périphériques informatiques, la rendant ainsi incontournable. Mais, là où Apple a pu tirer son épingle du jeu, c’est en adoptant une stratégie du renouvellement perpétuel, sortant un nouvel appareil chaque année, qui vient révolutionner et rendre obsolète ses prédécesseurs.
C’est parce que la France n’a pas pu adopter cet esprit de renouvellement qu’elle ne dispose pas d’entreprises comparable.
LA FRANCE EN DERNIÈRE DIVISION
Jusque dans les années 90, la France était un des leaders mondiaux du secteur des télécoms. 20 ans plus tard, nous sommes relégués en dernière division, étant totalement dépourvus de constructeurs sérieux sur la scène internationale. Pour quelle raison ? Principalement à cause d’un manque de stratégie de long terme. En 1994, Édouard Balladur commande un rapport sur les « autoroutes de l’information » à Gérard Théry, créateur du Minitel. Celui-ci conclut qu’Internet n’est pas conçu pour offrir des services commerciaux et ne représente qu’un douzième du potentiel du Minitel. Celui-ci conclut que
- "le mode de fonctionnement coopératif d’internet n’est pas conçu pour offrir des services commerciaux. Le chiffre d’affaires mondial sur les services qu’il engendre ne correspond qu’au douzième de celui du Minitel. Les limites d’Internet démontrent ainsi qu’il ne saurait, dans le long terme, constituer à lui tout seul, le réseau d’autoroutes mondial." -
Le choix est alors fait de continuer à investir sur la technologie maison, laissant ainsi la France regarder passer la révolution internet. La suite on la connait, aucune de nos entreprises n’est aujourd’hui en mesure de rivaliser avec les géants en place.
Dans la grande bataille mondiale du leadership technologique, les deux grands blocs qui s’affrontent sont la Chine et les États-Unis. Les BATX et les GAFA se déploient sur tous les marchés possibles en développant de nombreux services plurisectoriels pour se rendre indispensables et omniprésents auprès du public. Dans cette bataille, la France est totalement absente des débats, Whaller, OVH ou Qwant ne pouvant rivaliser sérieusement (pour le moment ?) avec Facebook, Google et Microsoft. Pourtant c’est dans notre pays que sont formés les meilleurs ingénieurs et mathématiciens que s’arrachent les grandes firmes mondiales du numérique.
Le décrochage français est dû à 4 causes simples :
RépondreSupprimerLes salaires offerts à nos chercheurs et enseignants dans le secteur public sont bien trop faibles. Quand l’État offre à peine 2000 € par mois à un chercheur CNRS, les startups californiennes sont prêtes à proposer 500 fois plus.
La politique fiscale française est l’une des plus lourdes au niveau mondial. L’imposition pesant sur les entreprises et les ménages alourdit les incitations à l’investissement en France et à l’émergence de business angels
La politique publique d’innovation est trop faible. Aux États-Unis par exemple, la plupart des innovations des GAFA sont issues de la recherche publique. L’État se situe en amont du processus d’innovation et de recherche fondamentale, laissant ensuite les entreprises privées se charger de la recherche appliquée.
La France et ses 66 millions d’habitants sont trop petits pour espérer s’attaquer aux géants en place. Malgré ce que nous dictent notre ethnocentrisme et notre orgueil national, l’échelon le plus pertinent pour lutter ne peut être que celui de l’Union Européenne.
RETROUVER LE GOÛT DU RISQUE
La France dispose néanmoins de quelques pépites dans des domaines émergents. C’est le cas du véhicule autonome, où des entreprises comme Navya et Easymile ont développé des navettes sans chauffeur qui forcent l’admiration au niveau mondial. Mais la réglementation actuelle empêche ces véhicules de circuler. Un frein important au développement de notre potentiel technologique qui n’a pas échappé aux Chinois et aux Américains, qui ont largement assoupli leur législation et qui par l’intermédiaire de Baidu, Google et Tesla, se mettent en marche pour conquérir les marchés mondiaux.
Pour devenir une place forte de l’économie numérique, la France doit retrouver son goût du risque et son esprit entrepreneurial. Assouplir sa législation et alléger sa fiscalité pour inciter à l’innovation est une condition indispensable au début d’un rattrapage économique et technologique. Sinon, nous serons condamnés à continuer de nous gargariser d’avoir été les inventeurs du Minitel sans avoir pu développer une nouvelle innovation disruptive depuis.
https://www.contrepoints.org/2018/08/04/321757-pourquoi-pas-dapple-en-france
FRANCE - CANICULE: UN DES RÉACTEURS DE FESSENHEIM À L'ARRÊT
RépondreSupprimerLa centrale nucléaire située près de Bâle a dû prendre des mesures de sécurité en raison des fortes chaleurs qui sévissent actuellement.
Fessenheim est la plus vieille centrale du parc nucléaire français.
04.08.2018
Le producteur d'électricité français EDF a indiqué samedi avoir mis à l'arrêt l'un des deux réacteurs de la centrale nucléaire de Fessenheim, près de Bâle, en raison des fortes chaleurs. C'est la quatrième unité nucléaire en France à être arrêtée pour un tel motif.
Température de l'eau
La plus vieille centrale du parc nucléaire français, dont la fermeture est programmée lorsque l'EPR de Flamanville entrera en activité, prélève de l'eau dans le Grand Canal d'Alsace pour refroidir ses réacteurs et alimenter ses circuits de fonctionnement, puis la rejette.
En cas de fortes chaleurs, la centrale doit moduler sa production, afin de limiter l'échauffement de l'eau prélevée puis restituée au Grand Canal d'Alsace, dont la température moyenne journalière ne doit pas dépasser 28 degrés.
Le département du Haut-Rhin a été placé en vigilance «orange» canicule comme 66 autres départements en France.
Réduction de la demande
Un réacteur de la centrale nucléaire de Saint-Alban et un autre de celle du Bugey ont également été arrêtés déjà vendredi, afin d'éviter une hausse trop importante de la température du Rhône. Cette moindre production nucléaire d'EDF intervient en une période où la demande d'électricité est réduite, notamment avec la baisse de l'activité économique liée aux congés du mois d'août.
En Suisse, la centrale nucléaire de Mühleberg (BE) a dû réduire fin juillet sa puissance d'environ 10% en raison de la chaleur de l'Aar dont l'eau est utilisée pour refroidir le réacteur. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/canicule-reacteurs-fessenheim-arret/story/27460184
"Je suis complètement effrayé": le Brésilien élimine les effusions de sang et le chaos
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 08/04/2018 - 08:00
Au milieu de l'effondrement économique, politique et social, le Brésil a été décrit par beaucoup comme étant au milieu d'une "apocalypse zombie" alors que des années de corruption et de violence implosent de manière spectaculaire tout à la fois.
Horrifiés par la violence incontrôlable et pessimiste quant aux perspectives politiques et économiques du pays, des milliers de riches Brésiliens fuient maintenant le pays.
- voir graphique sur site -
Thiago Lacerda, acteur de premier plan, est l’un des milliers de célébrités, de banquiers, d’avocats et de Brésiliens aisés qui envisagent l’émigration avant la prochaine vague de troubles.
"Je suis totalement paniqué par ce qui se passe, en particulier à Rio [Rio de Janeiro]", a déclaré M. Lacerda au Wall Street Journal.
L'acteur de 40 ans a déclaré qu'il envisageait de déménager sa famille en Europe pour la sécurité de ses trois enfants. "Dans plusieurs années, ils vont vouloir sortir, commencer à sortir ensemble sans se soucier de se faire tirer dessus."
Naercio Menezes Filho, directeur du centre de politique publique d'Insper, une école de commerce de São Paulo, a commenté la situation et a souligné que l'élite fuyant le pays est la nouvelle tendance face à la violence des gangs et à l'instabilité économique.
Selon une étude publiée en juin par l’agence de sondage brésilienne Datafolh, environ 52% des Brésiliens les plus riches - ceux dont le revenu mensuel est supérieur à 2 500 dollars - souhaitent émigrer, tandis que 56% des diplômés universitaires envisagent de quitter le pays.
"L'espoir que les Brésiliens avaient par le passé dans leur pays est sorti de l'ombre, et beaucoup de personnes sont en train de conclure que les choses ne vont probablement pas changer dans les prochaines années", a déclaré M. Menezes Filho.
Les chiffres du gouvernement montrent que le nombre de Brésiliens déposant des avis d'émigration auprès de l'administration fiscale fédérale a atteint 21 700 en 2017, soit près de trois fois plus qu'en 2011, lorsque les fonctionnaires ont commencé à enregistrer les données. WSJ note que beaucoup déménagent dans la Riviera portugaise et dans des villes américaines comme Orlando et Miami.
Depuis l'effondrement économique, le taux de meurtres au Brésil a augmenté.
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La réponse: Les notifications d'émigration avec l'administration fiscale fédérale explosent.
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Et maintenant, l'élite du pays veut sortir.
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Marcelo Caio Corrêa de Melo, un directeur du commerce électronique âgé de 37 ans au Brésil, a déclaré à WSJ que la sécurité est la raison principale pour laquelle il émigre au Portugal à la fin du mois avec sa femme et ses deux enfants.
"Au début de cette année, j'étais au bureau et soudainement nous avons entendu une énorme explosion à l'extérieur et tout le monde a sauté", a-t-il déclaré. "C'était une grenade lancée par des criminels qui fuyaient la police". Quelques mois plus tard, il a déclaré que son père avait été volé sous la menace d’une arme à feu - et c’est à ce moment-là qu’il a décidé de s’échapper du pays.
RépondreSupprimerSelon Datafolha, l’économie pourrait croître à un rythme de 1,5% cette année, alors que le chômage reste élevé à 12,4%. Datafolha a demandé aux Brésiliens de 16 à 24 ans s'ils émigreraient, et le résultat a été choquant: 62% ont répondu oui.
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Outre les crimes violents et une économie effondrée, les Brésiliens de 16 à 24 ans pourraient vouloir fuir le pays en raison des taxes élevées, ce qui étoufferait la croissance économique, dont une part importante est consacrée aux retraites, a déclaré Tony Volpon, économiste en chef chez UBS Brésil. Pour ceux qui ont une bonne éducation, partir "ressemble à une bonne décision", at-il déclaré.
WSJ cite le ministère des Affaires étrangères du Brésil, qui indique que les États-Unis ont la plus grande part des expatriés brésiliens - plus d'un tiers des trois millions de Brésiliens estimés vivre à l'étranger.
"Les choses fonctionnent juste là. L'infrastructure est meilleure et tout n'est pas si cher ", a déclaré Vinícius Barbosa da Silva, 20 ans, un étudiant du sud du Brésil qui a déclaré qu'il s'apprêtait à émigrer aux Etats-Unis d'ici 2020.
Joseph Williams, un entrepreneur américain qui a déménagé au Brésil il y a huit ans, a déclaré que certains Brésiliens ne comprenaient pas pourquoi il faisait toujours des affaires dans le pays.
"Je dis à tous ceux qui viennent au Brésil que si quelqu'un vient à vous avec une arme à feu, vous leur donnez ce que vous avez", a-t-il déclaré. Récemment, à São Paulo, où il dirige une société de conseil et d'investissement immobilier, deux hommes ont volé les occupants dans la voiture à côté des siens aux feux de circulation. "J'ai jeté mon téléphone et mon sac par terre et je me suis glissé sur le siège", a-t-il déclaré.
Mais pour beaucoup de Brésiliens, quitter le pays est devenu plus attrayant. "Je veux donner à mes enfants une enfance, plus de liberté, plus d'égalité", a déclaré Lacerda, le célèbre acteur, ajoutant que "l'idée de me couper de mon pays est impensable", mais le pays doit sombrer dans le chaos. .
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-03/im-totally-freaked-out-brazils-elite-fleeing-bloodshed-and-chaos
Les taxes comme les impôts tuent l'activité.
SupprimerLes riches ont l'argent pour s'échapper, les pauvres n'ont que les poches vides pour rester.
MEXIQUE - À 12 ANS, IL ENTRE EN FAC DE PHYSIQUE BIOMÉDICALE
RépondreSupprimerCarlos Antonio Santamaria, âgé de 12 ans, va être le plus jeune étudiant à intégrer la prestigieuse université de l'Unam au Mexique.
«Si on arrive à fabriquer une cellule qui se maintienne seule, organite par organite, on peut alors soigner toutes les maladies», explique Carlos Antonio Santamaria en arborant un large sourire, qui dévoile des dents de lait récemment tombées. (Vendredi 3 août 2018)
04.08.2018, 02h14
A 12 ans, sa peluche favorite à la main, Carlos Antonio Santamaria va se rendre lundi à l'université de l'Unam pour y entamer des études de physique biomédicale, devenant le plus jeune étudiant à intégrer cette prestigieuse université de Mexico.
«Mon principal objectif est (...) d'apporter les éléments de base pour que médecins et biologistes puissent résoudre nos problèmes biologiques», explique Carlos devant une forêt de micros et de caméras, lors d'une conférence de presse à l'Unam.
Ruido en la Red
@RuidoEnLaRed
¿Qué recomienda Carlos Santamaría a niños que como él quieren aspirar a una educación superior de manera temprana?
00:30 - 4 août 2018
«Si on arrive à fabriquer une cellule qui se maintienne seule, organite par organite, on peut alors soigner toutes les maladies», explique-t-il en arborant un large sourire, qui dévoile des dents de lait récemment tombées.
Cet étudiant qui a de «hautes capacités cognitives», selon l'Unam, débutera lundi une licence de physique biomédicale, mais il n'aime pas qu'on le qualifie de «génie». Il dit qu'il va entrer à l'université avec une «soif d'apprendre». Mais sa mère, impatiente à ses côtés, voudrait surtout qu'il avale son goûter.
Avec sa peluche
«Je vais aller en classe avec ma peluche», un puma, mascotte du club de football de cette université, indique Carlos à l'AFP. Même si le football n'est pas sa passion, il est supporter de l'équipe universitaire. Il préfère toutefois les jeux de construction et les jeux vidéos.
Quand il n'est pas plongé dans ses livres d'études, il aime aussi lire des documents de vulgarisation scientifique ou de la littérature classique. «L'autre jour je lisais Don Quichote et Cent ans de solitude», raconte-t-il, ses lunettes bleues autour du cou.
Il va rejoindre la trentaine d'étudiants sélectionnés pour ce cursus sur environ 700 postulants. Pour en arriver là, son parcours n'a pas été de tout repos.
Si la compagnie des adultes lui est agréable, la relation avec les autres enfants «est un peu plus difficile», confie le jeune garçon. Il a subi une «ambiance hostile» dans les écoles où il est passé avant finalement d'obtenir ses diplômes à l'Institut national d'éducation pour adulte.
«Manque d'éducation»
RépondreSupprimer«Il a dû passer des examens pour adulte», ce qui n'est pas non plus normal, se plaint son père Fabian. «Il faudrait des examens pour enfants», estime son père, qui a dû batailler avec l'administration pour qu'il obtienne le droit de passer le baccalauréat.
Carlos aimerait que son université «accueille un groupe d'enfants comme lui, qu'elle fasse passer un test à tous les enfants qui veulent s'y inscrire». Le jeune prodige estime que le Mexique est «dans la tempête», principalement du fait «d'un manque d'éducation».
Il demande au président-élu Andres Manuel Lopez Obrador «de ne pas commettre les erreurs de ces prédécesseurs» et demande aux députés «de penser davantage aux minorités». (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/ameriques/12-ans-fac-physique-biomedicale/story/11164904
Le climat contre les libertés individuelles
RépondreSupprimerQuel constitutionnaliste pour rappeler que notre loi fondamentale n’a pas pour fonction d’afficher une vertu fût-elle écologiste mais d’organiser la répartition des pouvoirs ?
Par Benoît Rittaud.
4 AOÛT 2018
Les projets de dictature écologiste avancent désormais à visage découvert, et les garde-fous sociétaux n’opèrent plus : impossible d’éviter ce constat en lisant le titre de l’interview du climatologue François-Marie Bréon dans Libération du 29/07 : « La lutte pour le climat est contraire aux libertés individuelles ».
Ce titre seul pourrait laisser croire à une grille de lecture de bon aloi pour évaluer tel ou tel projet de loi écologiquement punitif. Hélas, c’est tout le contraire : pour lutter contre l’évolution du climat, l’interviewé s’affiche comme favorable à une restriction des libertés individuelles.
Le plus inquiétant est qu’il puisse ainsi le faire dans un quotidien national sans susciter une levée de boucliers. La phrase complète dont le titre est issu est pourtant encore plus claire : « On peut dire que la lutte contre le changement climatique est contraire aux libertés individuelles et donc sans doute avec la démocratie. »
Entendant cette affirmation, la journaliste a-t-elle un mouvement de recul, un mot pour inciter à pondérer un propos si évidemment dangereux ? Que nenni : les questions de démocratie et des libertés individuelles étant probablement secondaires, l’entretien se focalise aussitôt après sur la très grave question de la climatisation — évidemment mère de tous les vices puisque consommatrice d’énergie.
EN ROUTE VERS LA CLIMATOCRATURE
On pourra se rassurer en se disant que cette interview n’est que l’une de ces perles collectionnées par temps de chaleur dans certains journaux en manque de sujets, et que tout cela disparaîtra aux premiers frimas. Mais on peut aussi y voir l’illustration d’une faiblesse préoccupante du corps social, silencieux devant un appel à instituer ce qu’il faudrait bien appeler une climatocrature.
Sans réaction des citoyens, la climatocrature progresse lentement mais sûrement. Il y a trois ans, Cécile Duflot proposait d’inscrire la lutte contre les changements climatiques dans la Constitution. Personne n’y avait prêté attention. Aujourd’hui, la réforme constitutionnelle se prépare à donner satisfaction à l’ex-ministre du Logement de façon spectaculaire : c’est rien de moins que l’article premier qui doit être défiguré pour y mentionner la « lutte contre le changement climatique ».
Qui pour questionner l’opportunité d’une telle modification ? Personne. Quel constitutionnaliste pour rappeler que notre loi fondamentale n’a pas pour fonction d’afficher une vertu fût-elle écologiste mais d’organiser la répartition des pouvoirs ? Aucun.
Le fait est que nous avons perdu toute capacité collective à mener un débat normal sur le climat. Chacun demeure tétanisé à la perspective que le plus léger questionnement de la doxa climatique ou de ses implications (transition énergétique, politique environnementale, diplomatie climatique…) lui colle aussitôt sur le front l’étiquette d’inconscient, d’égoïste, et pourquoi pas de négationniste.
Est-il encore temps de reprendre la main, ou n’est-ce plus qu’une question de temps avant l’instauration de cette climatocrature qui solderait les libertés publiques « pour le bien de la planète » ? Pour que l’église soit remise au milieu du village, commençons peut-être par réautoriser à chacun l’exercice de son esprit critique, sans aussitôt lui jeter un Trump à la figure. Songeons aussi à faire en sorte que la qualité de climatologue n’offre plus de protection morale à ceux qui affichent leur volonté de s’en prendre à nos valeurs.
RépondreSupprimerQue notre monde devienne plus chaud ou pas, et que nous en soyons responsables ou pas, nous avons le droit imprescriptible de rester libres.
https://www.contrepoints.org/2018/08/04/321722-le-climat-contre-les-libertes-individuelles
Windpower va détruire la puissance de base victorienne comme en Australie du Sud
RépondreSupprimerAugust 3rd, 2018
Mise à jour du mannequin Crash Test: analyse des données grâce à Tom Quirk
"Dans l’expérience sud-australienne, la capacité totale de production d’énergie éolienne est désormais bien supérieure à la demande moyenne de l’État pendant la plupart des heures de la journée. Cela détruit efficacement tout argument économique en faveur d'une alimentation de base bon marché "(j'ai entendu dire que c'était le but). Cette flotte de générateurs peu fiables est soutenue par des subventions forcées via des factures d'électricité provenant de toute l'Australie. Malheureusement, malgré cette pluie d’argent qui tombe en SA, ces fonds se retrouvent avec des investisseurs renouvelables, et non des consommateurs sud-australiens qui paient parmi les taux les plus élevés du monde.
Ces subventions imposées par la loi ont alimenté tellement l’énergie éolienne que l’État produit parfois plus d'électricité qu’il ne peut en utiliser. Cet excès de puissance sera exporté, mais peut ou peut ne pas être utile à tout moment. À moins que cela ne se produise aux heures de pointe, cela va nuire à l'efficacité des fournisseurs de base dans d'autres États. Comme une infection, l'inefficacité et la sous-utilisation des infrastructures se propagent ...
Cette volatilité semble rendre les pics de prix de gros plus probables. Quirk a calculé qu’un jour chaud de janvier de l’année dernière était si coûteux en Australie méridionale qu’il a ajouté 2 dollars / MWh au coût de gros moyen des années entières. Ne peut pas battre cela pour l'excitation dans la salle des marchés.
REC, demande, certificats d'énergie renouvelable, fourniture d'électricité, demande, courbe de charge, graphique, Australie méridionale, juin, hiver.
- voir graphique sur site -
Figure 4: Demande mensuelle moyenne par intervalles de 30 minutes pour juin 2018 et la demande maximale et minimale. La zone verte marque la capacité de 1 806 MW des parcs éoliens en exploitation en Australie méridionale.
Victoria est déterminée à suivre l’Australie du Sud. Bien qu’elle ait actuellement une faible proportion d’énergie éolienne, il y a tellement de nouvelles usines peu fiables qui sont planifiées de manière aléatoire, mais rend inévitablement impossible la production de base à bas prix. Le prix de gros de l'électricité augmentera, ce qui sera très rentable pour les entreprises d'énergies renouvelables et les détaillants d'électricité, ainsi que pour tous les producteurs qui survivent.
- voir graphique sur site -
REC, demande, certificats d'énergie renouvelable, fourniture d'électricité, demande, courbe de charge, graphique, Victoria, juin, hiver.
- voir graphique sur site -
Figure 6: Demande mensuelle moyenne par intervalles de 30 minutes pour juin 2018 et la demande maximale et minimale. Le bloc vert représente la capacité de 1 549 MW de l’énergie éolienne installée, et le bloc vert représente les 5 525 MW de parcs éoliens prévus pour Victoria.
Avec tant de vent venant sur la courbe de charge quotidienne, les infrastructures de charbon et de gaz resteront inutilisées pour des périodes aléatoires de la journée. Le personnel regardera des vidéos de chat sur youtube. Les factures d'hypothèque continueront à venir. Les coûts de maintenance vont augmenter. Les centrales au charbon et au gaz devront récupérer tous les mêmes coûts en moins d’heures par jour. (Les offres de 30 $ / MWh ont disparu pour toujours.)
RépondreSupprimerAux États-Unis, l'énergie éolienne rend le gaz à 30 $ / MWh plus cher. Cela s’ajoute à la facture de gaz alors qu’il s’agit en réalité d’un des milliers de coûts renouvelables cachés.
L'énergie renouvelable économise les combustibles fossiles, mais gaspille les infrastructures, les terres, la main-d'œuvre et les ressources. À l'instar d'une infection, l'énergie éolienne nuit à l'efficacité et à l'économie de tous les autres générateurs, à l'exception peut-être de l'énergie solaire, qui ressemble au vent, à la pourriture du système. Voir la courbe de canard, le 1000 MW qui va à la rupture et les avertissements. L'énergie solaire est une énergie dont nous n'avons pas besoin pendant la majeure partie de l'année.
Aucun investisseur sensé n'achèterait une centrale au charbon dans ces circonstances (à moins de pouvoir vendre hors réseau des transactions privées à des distributeurs chinois de crypto-monnaie). Seul le gouvernement serait assez fou pour en acheter un. Peut-être cela fait-il partie du plan aussi ?
Merci à Tom Quirk pour avoir parcouru ces chiffres et ces graphiques. The Crash Test Dummy peut voir les problèmes en perspective mais s’accélère, le projet de loi sur les CER se développe.
Cela ne doit pas être comme ça.
Jo
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Prix du marché national de l'électricité, de Victoria et de gros
Message de Tom Quirk avec l'aide de Jo Nova
August 3rd, 2018
Il existe des moyens de sauver le pays de l'étranglement de la réglementation dans l'approvisionnement en électricité. Le problème fondamental est l’approvisionnement variable en énergie éolienne. Son entrée privilégiée sur le marché de gros aura pour effet de détruire la viabilité financière des centrales électriques à charbon.
Le prix de gros de l’électricité n’est pas seulement affecté par les offres de gros, mais aussi par l’objectif d’énergie renouvelable. Pour atteindre cet objectif, les détaillants sont obligés d'acheter des certificats d'énergie renouvelable (CER). Même si les prix baissent sur le marché national de l'électricité, le coût total des CER devrait augmenter. Si la vague actuelle de développements de parcs éoliens approuvés à Victoria se poursuit, elle pourrait détruire la viabilité financière de l’énergie de base dans l’État. Pour arrêter cela, nous devons limiter la construction de nouveaux parcs éoliens et restreindre l'entrée privilégiée de l'énergie éolienne dans le NEM avant toutes les autres sources d'énergie.
Certificats NEM et énergie renouvelable
RépondreSupprimerL'Australian Energy Regulator dispose de quelques données intéressantes sur la contribution de l'énergie éolienne dans les cinq États du NEM. Il y a trois informations utiles
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le pourcentage d'électricité dérivé de l'énergie éolienne dans chaque État
les valeurs du certificat d'énergie renouvelable qui sont passées de 35 $ à plus de 80 $ par mégawattheure et les prix au comptant moyens annuels pondérés en volume
La fraction de l'électricité fournie par l'énergie éolienne (Figure 1) et le prix annuel des CER (Figure 2) multipliés ensemble donnent le coût supplémentaire de chaque MWh d'électricité de gros.
Certificats d'énergie renouvelable, graphique.
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Figure 1: Fraction annuelle d'énergie fournie par le vent
...
Certificats d'énergie renouvelable, graphique.
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Figure 2: Prix annuels des CER de 2011 à 2016 et estimations pour 2017 et 2018
Les prix au comptant moyens pondérés en fonction du volume annuel sont présentés à la figure 3, ainsi que les contributions au prix de gros de l'électricité provenant des CER.
Certificats d'énergie renouvelable, graphique.
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Figure 3: Prix au comptant moyens pondérés en fonction du volume annuel et contributions au prix de gros des générateurs provenant des CER
Victoria a affiché les prix au comptant les plus bas du NEM pour l'exercice 2016-2017, même si Hazelwood a fermé ses portes en mars 2017 vers la fin de cette période. L’année suivante, les prix de gros victoriens ont augmenté de 30 dollars, le comportement d’appel d’offres du marché ayant sensiblement changé (voir le rapport de l’ARE).
Les pics de prix faussent le marché
Lors d'une vague de chaleur le 18 janvier, les prix de gros en 2017 ont atteint plus de 10 000 dollars par mégawattheure en Australie-Méridionale et à Victoria. Ce seul jour aurait ajouté 2,00 $ au prix au comptant annuel.
Qu'en est-il des prix de détail ?
Le prix de détail final doit non seulement couvrir les coûts de gros, mais également les certificats d'énergie renouvelable.
L'objectif relatif aux énergies renouvelables exige que chaque détaillant vendant du NEM achète une certaine quantité d'énergie renouvelable pour atteindre l'objectif fixé. Ce chiffre était de 6% en 2011 et de 16 % en 2018. Les contributions des CER destinées aux producteurs d'énergie renouvelable doivent donc provenir de tous les États. Pour l'exercice clos en juin 2011, le CER ajoute environ 1 dollar par MWh au prix au comptant moyen pondéré en fonction du volume et, pour le dernier exercice, à 5 dollars par MWh.
Certains États récoltent les paiements du CER
État par État, les prix de gros et les contributions des CER sont indiqués dans les tableaux 1 et 2 et dans la figure 3 (ci-dessus). Les consommateurs dans ces États ne bénéficient pas cependant, seulement les générateurs. ***
RépondreSupprimerTableau 1 Prix de gros de l'électricité pour 2010-2011
2010 - 11
Annuel
place
prix
Contribution du REC aux générateurs
Contributions du CER
Annuel
place
prix avec coût REC
directement de
Etat
les consommateurs
de
autres
États
Nouvelle Galles du Sud
43 $
0 $
1 $
(1 $)
44 $
Queensland
34 $
0 $
1 $
(1 $)
35 $
Australie du Sud
42 $
8 $
1 $
7 $
43 $
Tasmanie
31 $
2 $
1 $
1 $
32 $
Victoria
29 $
1 $
1 $
30 $
Tableau 2 Prix de gros de l'électricité pour 2017-2018.
2017 - 18
Annuel
place
prix
Contribution du REC aux générateurs
Contributions du CER
Annuel
place
prix avec coût REC
directement de
Etat
les consommateurs
de
autres
États
Nouvelle Galles du Sud
83 $
3 $
5 $
(2 $)
88 $
Queensland
76 $
0 $
5 $
(5 $)
81 $
Australie du Sud
111 $
36 $
5 $
31 $
116 $
Tasmanie
91 $
9 $
5 $
4 $
96 $
Victoria
104 $
8 $
5 $
3 $
109 $
Il est clair que les générateurs renouvelables en Australie du Sud, en Tasmanie et à Victoria sont subventionnés par les consommateurs de la Nouvelle-Galles du Sud et du Queensland. Le Queensland n’a pas d’énergie éolienne importante et est le deuxième plus gros consommateur d’électricité (il suffit de dépasser Victoria au cours des dernières années). C'est le plus grand fournisseur de subventions aux États du sud.
RépondreSupprimerUne autre caractéristique insatisfaisante de ce système est que les «gentailers» dotés de parcs éoliens perçoivent tous deux des revenus de l’achat de CER et que les détaillants soumissionnent pour les certificats.
Australie du Sud et Victoria
L'Australie-Méridionale et Victoria démontrent les problèmes imminents des énergies renouvelables dans le NEM.
L'Australie-Méridionale a montré l'exemple en montrant comment l'influence des énergies renouvelables peu fiables peut nuire aux bénéfices des stations de base, ce qui les rend moins rentables.
L'État possède 1 806 MW d'énergie éolienne, à tel point que les turbines génèrent parfois plus d'électricité que l'État ne peut en utiliser et qu'il doit être exporté - même si ce n'est peut-être pas à un moment où d'autres États en ont besoin. L'excédent d'énergie éolienne peut affecter les marges bénéficiaires des fournisseurs de base dans d'autres États.
La demande d’électricité culmine en fin d’après-midi ou en soirée et se situe au minimum tôt le matin. Ainsi, la demande varie de 800 MW à 3000 MW par jour. Les centrales éoliennes pouvant fournir jusqu'à 1 806 MW ne peuvent donc pas fonctionner à un taux d'utilisation de 80%. La demande moyenne pour juin 2018 est illustrée à la figure 4 avec la capacité d'exploitation des parcs éoliens en Australie du Sud.
REC, demande, certificats d'énergie renouvelable, fourniture d'électricité, déman, courbe de charge, graphique, Australie méridionale, juin, hiver.
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Figure 4: Demande mensuelle moyenne par intervalles de 30 minutes pour juin 2018 et la demande maximale et minimale. La zone verte marque la capacité de 1 806 MW des parcs éoliens en exploitation en Australie méridionale.
Étant donné que l’énergie éolienne doit être acceptée par rapport à l’électricité produite par des générateurs plus fiables, la courbe d’été montre qu’il n’ya pas de place sur le marché australien pour qu’un générateur fiable et peu coûteux fonctionne sans périodes de sous-utilisation significatives.
Certificats d'énergie renouvelable, graphique.
- voir graphique sur site -
Figure 5: Demande mensuelle moyenne par intervalles de 30 minutes pour janvier 2018 et la demande maximale et minimale. La ligne verte correspond à la capacité de 1 806 MW des parcs éoliens en exploitation.
Ainsi, la capacité du parc éolien installé a été suffisante pour priver les centrales de base de fonctionnement de leur fonctionnement le plus efficace, le plus compétitif et le moins coûteux.
Victoria n'a pas appris de l'exemple de l'Australie-Méridionale. Victoria prévoit d'ajouter 3 976 MW de parcs éoliens au total actuel de 1 549 MW. Les progrès sont répertoriés dans le tableau 3
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Tableau 3 Capacité des parcs éoliens victoriens en MW
Statut
Capacité (MW)
en fonctionnement
1,549
En construction
662
Planification approuvée
2,312
En quête d'approbation
393
Proposé
350
Faisabilité
259
Total
5 525
Il y a actuellement 1 549 MW de parcs éoliens en exploitation qui ne perturbent pas sérieusement les centrales de base. La demande varie de 3 000 MW *** [Tom, le minimum dans le graphique est d'environ 4 000 MW] et potentiellement jusqu'à 9 000 MW. La demande moyenne pour juin 2018 est illustrée à la figure 5, tout comme la capacité opérationnelle actuelle des parcs éoliens à Victoria et la capacité future prévue.
Si un parc éolien supplémentaire de 3 976 MW rejoint le NEM, Victoria aura atteint le point où, comme l’Australie du Sud, les stations de base ne sont pas viables financièrement.
On peut le voir sur la figure 5, où la capacité totale de 5 525 MW de parcs éoliens est bien supérieure à la demande minimale au petit matin, où la demande de base peut être satisfaite.
- voir graphique sur site -
REC, demande, certificats d'énergie renouvelable, fourniture d'électricité, demande, courbe de charge, graphique, Victoria, juin, hiver.
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Figure 6: Demande mensuelle moyenne par intervalles de 30 minutes pour juin 2018 et la demande maximale et minimale. Le bloc vert représente la capacité de 1 549 MW de l’énergie éolienne installée, et le bloc vert représente les 5 525 MW de parcs éoliens prévus pour Victoria.
Et dans l'été victorien, les ennuis arrivent:
Certificats d'énergie renouvelable, graphique.
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Figure 7: Demande mensuelle moyenne pour janvier 2018 et la demande maximale et minimale. Les lignes vertes pâles et foncées ont une capacité installée de 1 549 MW et les parcs éoliens prévus de 5 525 MW pour Victoria
L’augmentation de l’énergie éolienne a de graves conséquences: bien que le prix au comptant dans le NEM puisse baisser à mesure que certains générateurs de gaz et de diesel à prix élevé sont sortis du marché, le coût des REC continuera à augmenter. Les coûts de tous les autres générateurs augmentent également pour compenser la sous-utilisation, et les coûts de stockage, de FCAS, etc. augmentent également.
La comparaison de la consommation d'électricité en Australie-Méridionale à Victoria donne une indication des conséquences de cette action.
RépondreSupprimerPour l'Australie-Méridionale, avec une demande moyenne de 1432 MW et 1806 MW de parcs éoliens en exploitation, l'utilisation (facteur de capacité) est de 33% et fournit une demande de 596 MW.
Pour Victoria, avec une demande moyenne de 4708 MW et 1549 MW de parcs éoliens en exploitation, l'utilisation (facteur de capacité) est de 29% et fournit 434 MW de demande. Ainsi, si l'énergie éolienne passe de 1549 MW à 5525 MW, Victoria générera 34% de son énergie, 1602 MW d'énergie éolienne et le coût supplémentaire des CER sera de 29 $ par MWh en supposant le prix actuel du REC. Il s’agit d’une augmentation par rapport au coût actuel des CER de 9 dollars par MWh.
Ainsi, les consommateurs de NSW et du Queensland devront également payer ces certificats REC s'ils sont un peu lents dans la construction de leurs propres parcs éoliens.
Une conclusion
Les développements discutés ici augmenteront les prix de l'énergie car les REC sont inclus. En outre, l’augmentation de l’offre de parcs éoliens ne permettra pas aux stations de base alimentées au charbon de fonctionner comme base de base pour l’approvisionnement. En conséquence, ils devraient fonctionner avec une production variable et avec des subventions.
Le gouvernement fait face à la situation absurde consistant à étendre les subventions aux sources d’énergie renouvelables aux sources de charbon dont l’existence devait disparaître au fur et à mesure que les énergies renouvelables bon marché prenaient le relais.
Le vrai problème est le traitement de l’énergie éolienne dans le NEM en tant que fournisseur privilégié d’énergie devant les autres sources. C'est là que la réforme doit être.
Commençons par annuler tous les parcs éoliens approuvés ou prévus qui n'ont pas encore commencé la construction. Puis plafonnons le programme RET aux niveaux actuels et discutons de la vitesse à laquelle nous pouvons raisonnablement couper le RET à zéro.
Ensuite, égalisez les règles du jeu en exigeant que tous les producteurs, y compris les parcs éoliens, fournissent de l'énergie fiable pendant une demi-heure en tant qu'énergie «distribuable».
http://joannenova.com.au/2018/08/windpower-set-to-destroy-victorian-baseload-power-just-as-it-did-in-south-australia/#more-59769
Le Venezuela Maduro ciblé dans une tentative d'assassinat utilisant des drones explosifs
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 08/04/2018 - 18:58
Un discours du président vénézuélien Nicolas Maduro lors d'une cérémonie commémorative de l'armée a été brusquement interrompu en raison d'une tentative d'assassinat faisant état de plusieurs drones remplis d'explosifs, blessant sept soldats de la Garde nationale. L’ampleur de leurs blessures n’est pas connue, cependant, ils auraient reçu des soins médicaux.
Dans des images en direct, on peut voir Maduro et les fonctionnaires qui se tiennent derrière lui alors qu’une explosion se fait entendre au loin, après quoi les soldats peuvent être vus en déroute avant la fin de la transmission.
Alberto Rodríguez
@AlbertoRodNews
TILTIMA HORA | VIDEO - Situation irrégulière dans l'avenue Bolívar de Caracas Durante Cadena Nacional de Maduro en action avec le GNB.
VTV corto de émergence la transmission officielle.
12h00 - 5 août 2018
Sky News Briser
@SkyNewsBreak
Reuters rapporte qu'un discours du président vénézuélien Nicolas Maduro lors d'un événement militaire a été interrompu et que des soldats ont été vus courir avant que la transmission ne soit interrompue
12h39 - 5 août 2018
S'exprimant à la télévision d'Etat, le ministre de l'Information, Jorge Rodriguez, a confirmé qu'il s'agissait d'une tentative d'assassinat et que Maduro avait été évacué. Les pompiers près de la scène contestent cependant la version officielle des événements.
Alberto Rodríguez
@AlbertoRodNews
Répondre à @AlbertoRodNews
LO ÚLTIMO | VIDÉO - Régime de Maduro sur l'explosion et l'activation de la GNB fue un atentado: "Toutes les enquêtes sur les droits de l'homme et la liberté de l'aviation bolivienne" (asian loosguró Jorge Rodríguez).
01h31 - 5 août 2018
"La tentative d'aujourd'hui a échoué et les gens défendent Maduro", a déclaré Rodriguez.
L'explosion des forces de sécurité a été entendue lors d'une cérémonie avec le dictateur Nicolás Maduro à Caracas - Juan Barreto / AFP
Maduro donnait un discours dans la capitale de Caracas lors d'une célébration du 81e anniversaire de la garde nationale. Il portait la bannière présidentielle.
"Pour le Venezuela conscient, nous allons parier pour le bien de notre pays, l'heure de la reprise économique est arrivée et nous avons besoin ...", a déclaré Maduro avant que les caméras ne s'éloignent rapidement de lui.
Maduro était à côté de son épouse Cilia Flores et de plusieurs hauts responsables militaires pour l’événement.
Une vidéo montre Flores grimace, et Maduro et elle regardent tous deux un son non identifié. -AP
Guy Elster
RépondreSupprimer@guyelster
· 6h
Répondre à @guyelster
#Venezuela Selon des informations non confirmées, il s’agissait d’une tentative d’assassinat de Maduro par un drone, sans savoir s’il ya des victimes dans cet incident.
Guy Elster
@guyelster
#Venezuela Le feu dans un immeuble à #Caracas, probablement après que le drone qui visait à tuer Maduro se soit écrasé pic.twitter.com/nDzNVnwJ78
12h51 - 5 août 2018
Le journaliste vénézuélien Roman Camacho a rapporté sur Twitter, citant des "sources non officielles", qu'un drone chargé de l'explosif C4 avait explosé près du box présidentiel et que plusieurs cadets de l'armée avaient été blessés.
Camacho romain
@ CRamachoVzla
#Caracas Sobre hecho en la Av Bolívar, informa fuentes extraficiales que "un dron cargado con C4 habría detonado cerca del palco présidencial". Variétés cadets de la GNB resultaton heridos, pres Maduro fue retirado del lugar, salió ileso al igual que el gabinete
12h14 - 5 août 2018
Maduro s'exprimait lors de la célébration du 81e anniversaire de la garde nationale bolivarienne (GNB) au moment de l'incident. Nous nous attendons à ce que des allégations selon lesquelles il s’agisse d’un faux drapeau apparaissent à tout moment, car il n’est pas si difficile de faire voler un drone si l’on sait ce qu’il fait.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-04/explosions-during-maduro-speech-sends-venezuelan-military-running-their-lives
SupprimerAujourd'hui, avec ou pas l'aide gouvernementale, n'importe qui achète un drone qui monte à 1500 m et peut larguer une grenade sans être vu !
Voici pourquoi les pistolets d'impression 3D sont une victoire pour la paix mondiale et une mort potentielle pour la tyrannie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 08/04/2018 - 22:30
Auteur de Matt Agorist via ActivistPost.com,
Alors que le débat se poursuit sur la question de savoir si les plans d’armes à feu imprimés en 3D doivent être interdits, même les ostensibles amendements du 2e amendement craignent que ces plans ne soient publiés en ligne. Mais la réalité est très différente.
Depuis des générations, les défenseurs de la possession d’armes à feu se battent de manière exhaustive par le biais de canaux politiques pour protéger leur droit de garder et de porter des armes. Les propriétaires d'armes à feu ont même l'un des groupes de pression les plus puissants à Washington, la NRA hautement décevante. Pourtant, au fil des ans, les droits des armes à feu continuent de diminuer en Amérique, malgré les campagnes politiques constantes de la NRA et des politiciens qui prétendent soutenir les droits des armes à feu.
Cependant, au cours des dernières années, un type ayant une bonne idée a réussi à faire plus pour protéger les droits des armes à feu que la NRA ne le fait depuis des décennies. Cody Wilson est le fondateur de "Defense Distributed" et du projet "Wikiweapon", qui permet à toute personne disposant d'une imprimante 3D de créer son propre pistolet introuvable dans l'intimité de son domicile.
Alors que les alarmistes prétendent que les armes imprimées en 3D seront la fin de l’humanité, le fait est que ces plans sont en ligne depuis des années sur des sites Web de torrents et de ténèbres et que nous n’avons pas encore vu une seule personne être tuée.
De plus, comme le montre le meurtre-suicide sur un campus universitaire à Walnut Creek, en Californie, les gens n'ont même pas besoin de ces plans s'ils veulent fabriquer leur propre arme à feu introuvable. Scott Bertics a construit l'arme qu'il utilisait pour se tirer une balle sur lui-même et sur Clare Orton sans que personne ne le sache et en toute connaissance de cause.
Les psychopathes qui veulent nuire à autrui causeront un préjudice à autrui en utilisant tous les moyens nécessaires. Limiter la capacité des citoyens respectueux des lois à se protéger ne changera jamais cela.
Wilson ne cache pas que l'intention de distribuer des fichiers CAO pour créer des armes à feu artisanales est de rendre les mesures de contrôle des armes à feu obsolètes et de renforcer le deuxième amendement, qui est constamment attaqué par des militants anti-armes.
Comme l'explique Wilson, ces fichiers pourraient être utilisés pour habiliter les peuples opprimés du monde entier qui ont été désarmés et dirigés par des criminels et des chefs de guerre.
"Nous avons averti beaucoup de gouvernements du monde, et je pense que cela fait partie de l’histoire du rapport de force entre les souverains et les sujets", a déclaré Wilson à la Brown Political Review.
Du génocide arménien à l’Holocauste nazi en passant par les «codes des armes à feu noires» en Amérique: tout au long de l’histoire, les sociétés désarmées par leurs gouvernements ont cédé la place à un bain de sang massif. C'est encore le cas aujourd'hui dans les pays qui ont rendu leurs armes.
Selon le gouvernement actuel, la vie dans les sociétés désarmées peut durer un certain temps. Cependant, dans certains cas, les citoyens - hommes et femmes - sont massacrés par millions.
RépondreSupprimerMême lorsque le contrôle des armes à feu semble fonctionner à court terme, les boucs émissaires ne sont jamais satisfaits. Comme nous le voyons au Royaume-Uni, les politiciens se tournent maintenant vers les couteaux comme «l'arme diabolique» à laquelle aucun citoyen respectueux de la loi ne devrait jamais avoir besoin.
Pour ceux qui ne se souviennent pas, le désarmement des citoyens a eu lieu aux États-Unis et a été utilisé comme un moyen d'abattre les Noirs et les Amérindiens.
La première tentative connue de désarmement des citoyens du nouveau monde a peut-être eu lieu en 1751, lorsque le code noir français a été promulgué pour obliger les colons à «arrêter tous les Noirs et à frapper tout noir porteur d’armes, comme une canne».
Cette tentative de désarmer les Noirs a été répétée sous le régime des États-Unis 50 ans plus tard, lorsque les États-Unis ont acheté le territoire de la Louisiane. Selon un article publié dans le Kansas Journal of Law & Public Policy:
Lorsque le premier responsable américain est arrivé à La Nouvelle-Orléans en 1803 pour prendre en charge cette nouvelle possession américaine, les planteurs ont cherché à désarmer la milice noire libre existante et à exclure par ailleurs "les Noirs libres des positions où ils devaient porter des armes". y compris des fonctions non militaires telles que des équipes de capture d’esclaves.
Après la défaite de la confédération pendant la guerre civile, de nombreux États du sud ont adopté des «codes noirs» qui interdisaient aux esclaves nouvellement libérés d'exercer leurs droits civils fondamentaux. Un exemple de ces nouvelles lois est l’acte adopté dans l’État du Mississippi:
aucun affranchi, aucun nègre ni mulâtre, ne faisant pas partie du service militaire du gouvernement des États-Unis et n'ayant pas été autorisé à le faire par le conseil de police de son comté, doit garder ou porter des armes à feu de quelque nature que ce soit ou des munitions , dirk ou couteau à bowie, et sur déclaration de culpabilité prononcée devant le tribunal de grande instance, sera puni d'une amende
Après l'adoption de ces lois, de nombreuses études ont conclu que les esclaves nouvellement libérés étaient essentiellement devenus sans défense contre des groupes tels que le Ku Klux Klan. Les désarmer, les a essentiellement rendus esclaves.
Les armes à feu - entre les mains de bonnes personnes - égalisent les armes à feu dans les mains des mauvaises personnes. C'est aussi simple que ça. Imaginez simplement la puissance qu’un pistolet imprimé en 3D donnerait à une mère dans un village africain alors que les seigneurs de la guerre viendraient en piratant les membres des enfants avec des machettes. Avec suffisamment de villageois possédant ces armes, ils pouvaient se défendre efficacement contre de grands groupes de tyrans, même s’ils avaient des armes automatiques.
Malheureusement, les statistes ne voient que les aspects potentiellement négatifs de ces pistolets imprimés en 3D.
RépondreSupprimer"Les personnes qui les fabriqueront seront des acteurs étatiques ou des cartels criminels bien financés capables d'exécuter des attaques criminelles bien organisées aux États-Unis et ailleurs", a déclaré Avery Gardiner, co-président de la campagne Brady pour la prévention des armes à feu. La violence.
Cette attitude protectionniste est intéressée et unilatérale et ignore les avantages d’une société armée ainsi que de l’histoire. Et cela ne fait que renforcer l'oppression de ceux qui ne peuvent pas se défendre.
Bien que ce soit certainement une pensée incroyable de pouvoir vivre dans un monde sans armes à feu, ce n’est tout simplement pas le cas. Jusqu'à ce que ce soit le cas, toute personne souhaitant se défendre et défendre sa famille devrait pouvoir le faire de la manière qui lui semble appropriée, la seule autre option étant la tyrannie.
Comme le note Wilson, «je pense que l’État devrait être aussi faible que possible par rapport à l’individu. La posture appropriée de l’État est celle qui, au moins, craint son citoyen, et non celui qui le domine. "
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-04/heres-why-3d-printing-guns-are-win-world-peace-and-potential-death-blow-tyranny
Bien sûr demain - pour citer un exemple - la CIA mettra en place un 'Sandy Hook 2' avec un gosse dit psychopathe qui serait porteur d'une arme 3D imprimé chez lui !!
SupprimerMais même si des plans d'armes 'parfaites' peuvent exister, ils ne concurrenceront pas les Glock et autres Kalachnikov !
Le streaming de télévision en double au cours du deuxième trimestre, selon le rapport
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 08/04/2018 - 19:45
En raison de l’accélération de la tendance à la réduction des câblages, la télévision en streaming a augmenté au deuxième trimestre, selon un nouveau rapport de Conviva, une plateforme de mesure et d’intelligence en temps réel pour les plus grands éditeurs de télévision en streaming que doublé au cours des 12 derniers mois.
Le capteur Conviva est installé dans 3 milliards d'applications vidéo en streaming pour plus de 200 marques. Cela représente le plus vaste réseau indépendant de collecte et de mesure de données de recensement au monde. Les données sont un recensement entièrement anonymisé mesurant tous les flux de clients de Conviva entre le 1er avril et le 30 juin 2018, et les comparant avec des ensembles de données de la même période de l’année dernière.
Au deuxième trimestre de 2018, les heures de visionnage ont augmenté de 115 % par rapport à la même période de l’année dernière, ce qui indique une augmentation de la croissance, représentée par la clientèle de Conviva.
Une autre indication de la croissance de la diffusion en continu est l’augmentation massive du nombre de sessions simultanées actives à chaque seconde. Il s’agit d’une mesure en temps réel de l’audience (concomitance), avec 7,9 millions de visiteurs. la Coupe du monde, qui a entraîné une hausse de 118 % de la concurence de pointe par rapport à la même période l’an dernier.
Le 15 juillet, la France et la Croatie ont enregistré un pic de concurrence de 9,12 millions de pièces, brisant les records précédents.
Le rapport spécifié en excluant la Coupe du monde, la concurrence des pics au deuxième trimestre de 2018 était encore élevée de plus de 45 % par an, atteignant 5,3 millions de jeux simultanés lors des finales de la Conférence Ouest de la NBA.
"Ces pics démontrent que le sport continue à conduire la télévision sur rendez-vous", même dans le domaine de la télévision en streaming ", indique le rapport. "Ils créent des opportunités, mais ils créent également une charge énorme sur l'écosystème de la distribution vidéo, qui continue à s'améliorer pour répondre à la demande croissante."
Conviva estime que l’Amérique du Nord reste le marché de croissance le plus robuste, affichant une croissance en glissement annuel de 124 % et une hausse de 139 % des heures de visionnage. La croissance des jeux en Asie a augmenté de 63 % en glissement annuel, mais avec une croissance modeste de 22 % en heures de visionnage.
Différents types de contenu sont visualisés sur différents appareils, le rapport a déterminé. La télévision en streaming s'éloigne des PC (24 % des parties) pour les appareils mobiles (49 % des jeux), en particulier pour les contenus de courte durée, notamment les séries télévisées, les sports et les émissions en direct. Les téléviseurs connectés (51 % des heures de visionnage) sont privilégiés pour les contenus longs, tels que les films.
«L’abandon des PC et des mobiles est sans équivoque lorsque nous comparons ces données au deuxième trimestre de 2017, alors que le mobile présentait une part de 39 % des jeux, tandis que les PC détenaient une part de 38 %. Parmi les plates-formes de télévision connectées, Roku continue d’être leader avec près de 8 % des jeux, tandis que la PlayStation de Sony et Google Chromecast ont connu la plus forte croissance en glissement annuel.
RépondreSupprimerGlobalement, les coupe-câbles continuent de préférer les smartphones en tant que périphériques consommant du contenu abrégé et des téléviseurs pour les films longs. La tendance la plus récente dans la recherche est que les PC perdent une part considérable dans les appareils mobiles, tandis que parmi les plateformes de télévision connectées, Samsung et autres plates-formes TV perdent du terrain face à Roku, Google Chromecast, PlayStation de Sony et Amazon TV.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-04/streaming-tv-doubles-during-second-quarter-report-says
Une banque suédoise va remplacer la moitié de son personnel par des robots
RépondreSupprimer5 AOÛT 2018
Arnaud Lefebvre
Quelque chose d'intéressant a eu lieu dans le secteur de la finance suédoise au dernier trimestre. Nordea Bank, la seule grande banque ayant réussi à réduire ses coûts, se retrouve également derrière l'un des plans les plus audacieux de l'industrie : remplacer les humains par des robots, écrit Niklas Magnusson, correspondant suédois de l'agence de presse Bloomberg.
Casper von Koskull, le PDG de Nordea Bank AB; affirme que d'ici dix ans, la moitié des emplois actuels auront disparu. La banque a déjà annoncé la suppression de 6.000 emplois.
Compétitivité
Selon von Koskull, cet ajustement est la seule manière de rester compétitif dans le futur. L'automatisation et les robots prendront le relais de toutes les activités : de la gestion d'actifs à la réponse aux communications des clients.
Nordea a vu ses coûts totaux chuter de 11% au deuxième trimestre par rapport à l'année précédente. Ses effectifs ont été réduits à 29.300 employés, soit une diminution de 8% par rapport à la même période de l'année précédente. À titre de comparaison, la banque britannique Barclays Plc, qui a à peu près la même valeur marchande que Nordea, comptait près de 80.000 collaborateurs à fin 2017, explique Niklas Magnusson.
Les autres grandes banques suédoises Skandinaviska Enskilda Banken, Svenska Handelsbanken AB et Swedbank AB reconnaissent également que l'ajout de technologie est la clé. Cependant, ces institutions ont des idées différentes sur la manière dont les humains doivent être remplacés par des robots. Ces banques ont été également beaucoup plus réticentes que Nordea en ce concerne les suppressions d'emplois. Certaines ont même embauché des spécialistes de la technologie et des informaticiens.
Suppression d'emplois
La baisse des coûts de Nordea a contribué à une augmentation annuelle de 31% de son bénéfice d'exploitation au quatrième trimestre, la meilleure performance des quatre principales banques suédoises. "Cela a également incité la concurrence à accélérer l'automatisation de ses activités", explique le journaliste de Bloomberg. D'autres banques suédoises essaient maintenant d'automatiser leurs activités plus rapidement.
John Torgeby, directeur général de Skandinaviska Enskilda Banken, affirme qu'il ne fait aucun doute que la nouvelle technologie "a des conséquences sur les comportements des clients et perturbe les modèles commerciaux existants des banques.. Selon lui, la technologie finira par prendre en charge toutes les activités pouvant être confiées à l'automatisation dans la pratique.
Enfin, les médias suédois ont signalé que la banque Svenska Handelsbanken AB aurait des plans pour supprimer deux mille emplois. Anders Bouvin, PDG de l'institution, a cependant déclaré qu'il ne souhaitait pas mettre ses employés au chômage.
https://fr.express.live/2018/08/02/une-banque-suedoise-va-remplacer-la-moitie-de-son-personnel-par-des-robots
Une planète bizarre et bizarre découverte dans notre galaxie
RépondreSupprimerAnthony Watts
4 août 2018
Une planète bizarre et voyante sans étoile parcourt la Voie Lactée à seulement 20 années-lumière du Soleil. Et selon une étude publiée récemment dans The Astrophysical Journal, cet étrange monde nomade possède un champ magnétique incroyablement puissant, environ 4 millions de fois plus puissant que celui de la Terre. De plus, il génère des aurores spectaculaires qui feraient honte à nos aurores boréales.
Les nouvelles observations, réalisées avec le très grand tableau Karl G. Jansky (VLA) de la National Science Foundation, sont non seulement les premières observations radio d’un objet de masse planétaire au-delà de notre système solaire, mais marquent aussi la première domaine d'un tel corps.
Dimensionnement du SIMP
L'objet étrange et libre, succinctement nommé SIMP J01365663 + 0933473 (nous l'appellerons SIMP pour simplifier), a été découvert en 2016. À l'époque, les chercheurs pensaient que SIMP était une naine brune: un objet trop gros pour être une planète, mais trop petite pour être une étoile. Cependant, l’année dernière, une autre étude a montré que le SIMP est juste assez petit, à 12,7 fois la masse et 1,2 fois le rayon de Jupiter, pour être considéré comme une planète, même si elle est gigantesque.
"Cet objet est juste à la frontière entre une planète et une naine brune, ou" étoile ratée ", et nous réserve des surprises susceptibles de nous aider à comprendre les processus magnétiques des étoiles et des planètes", a déclaré Melodie Kao, de l’Université d’Arizona. qui a mené la nouvelle étude sur SIMP, dans un communiqué de presse.
Pour une planète, le SIMP est aussi très chaud: le monde a une température de surface de plus de 1500 degrés Fahrenheit (825 degrés Celsius). À titre de comparaison, la planète la plus chaude de notre système solaire est Vénus, qui a une température moyenne d'environ 470 ° C (875 F), tandis que le Soleil, une étoile relativement petite et fraîche, a une température de surface d'environ 5 500 F. . Cependant, il est important de noter que Venus reçoit la majeure partie de sa chaleur du soleil. Et comme le SIMP solitaire ne tourne pas autour d'une étoile, sa chaleur doit être due à sa formation initiale, il y a 200 millions d'années. Ainsi, avec le temps, le goliath planétaire continuera à rayonner sa chaleur.
Magnétisme inégalé
Selon l'étude la plus récente, le SIMP est non seulement gigantesque par rapport aux normes planétaires, mais il possède également un champ magnétique des millions de fois plus puissant que celui de notre planète. Et bien que ce champ magnétique aide le SIMP à produire des jeux de lumière époustouflants, les aurores ne sont pas générées de la même manière qu’elles sont sur Terre.
Histoire complète ici
Le papier: Les champs magnétiques les plus forts sur les naines brunes les plus fraîches
Abstrait
RépondreSupprimerNous avons utilisé le très grand tableau Karl G. Jansky de NSF pour observer un échantillon de cinq naines T et T émettrices radioactives connues, âgées de 0,2 à 3,4 Gyr environ. Nous avons observé chaque cible pendant sept heures, atteignant des fréquences plus élevées que celles précédemment tentées et établissant des limites proportionnellement plus élevées pour les champs magnétiques de surface maximaux. Les détections d'impulsions polarisées circulairement à 8-12 GHz donnent des mesures de champs magnétiques localisés de 3,2 à 4,1 kG sur quatre de nos cibles, y compris la variable nuageuse archétypique et l'objet de masse planétaire probable T2.5 SIMP J01365663 + 0933473. Nous détectons en outre une impulsion à 15-16,5 GHz pour le nain 2MASS 10475385 + 2124234 T6.5, correspondant à un champ localisé de 5,6 kG.
Pour le même objet, nous détectons provisoirement une impulsion de 16,5-18 GHz, correspondant à un champ localisé de 6,2 kG. Nous mesurons des périodes de rotation comprises entre 1,47-2,28 h pour 2MASS J10430758 + 2225236, 2MASS J12373919 + 6526148 et SDSS J04234858-0414035, confirmant (i) un consensus émergent selon lequel une rotation rapide peut être importante pour produire de puissants champs dipolaires dans les dynamos convectives, et / ou (ii) la rotation rapide est un ingrédient essentiel pour piloter les systèmes actuels alimentant les émissions radio aurorales. Nous observons des preuves de structure variable dans les séries chronologiques dépendantes de la fréquence de nos cibles sur des échelles de temps inférieures à une période de rotation, suggérant un degré de variabilité plus élevé dans les systèmes actuels près des surfaces des naines brunes. Enfin, nous constatons que l'âge, la masse et la température ne peuvent pas expliquer les forts champs magnétiques produits par nos cibles.
https://wattsupwiththat.com/2018/08/04/bizarre-rogue-planet-discovered-wandering-in-our-galaxy/
Groenland : Cette année il y a plus de glace que d'habitude
RépondreSupprimerSott.net
sam., 04 août 2018 13:36 UTC
Groenland, glace, 2018
- voir graphiques sur site -
En haut : La contribution quotidienne totale au bilan massique de surface de l'ensemble de l'inlandsis (ligne bleue, Gt/jour) En bas : Le bilan massique de surface accumulé du 1er septembre à aujourd'hui (ligne bleue Gt) et la saison 2011-12 (rouge) qui a connu une très forte fonte estivale au Groenland. A titre de comparaison, la courbe moyenne de la période 1981-2010 est indiquée (gris foncé). Le même jour civil dans chacune des 30 années (dans la période 1981-2010) aura sa propre valeur. Ces différences d'une année à l'autre sont illustrées par la bande gris clair. Toutefois, pour chaque jour civil, les valeurs les plus basses et les plus élevées des 30 années ont été omises.
- voir graphiques sur site -
La courbe bleue du deuxième graphique (relevés 2017-18) montre que la fonte des glaces au Groenland est inférieure à la moyenne annuelle. En fait il y a eu 550 milliards de tonnes de glace supplémentaire cette année alors que la saison de la fonte se termine dans un mois.
Cette évolution pourrait bien être liée au grand minimum solaire qui se poursuit. Au fait, pourquoi les actualités parlent du gaz carbonique mais jamais de ce minimum solaire ? (voir graphique). Ne serait-ce pas la source des changements climatiques que nous observons ?
solar minimum
Figure 22. Habibullo Abdussamatov, Dr Sc. chef de l'Observatoire Pulkovo a prédit un déclin dans les cycles à venir à des niveaux du minima de maunder.
https://fr.sott.net/article/32884-Groenland-Cette-annee-il-y-a-plus-de-glace-que-d-habitude
SupprimerCe que certains appellent 'anthropique' est bien réel dans la seule mesure où existe HAARP en Alaska. Car, le gaz carbonique ou le méthane n'ont AUCUN effet sur le climat (même micro-climat), et, je le rappelle: TOUS LES GAZ SE RECYCLENT ! TOUS !