le 23 mars 2017
Depuis 1974, année mémorable pour la firme Monsanto qui commercialisa pour la première fois le glyphosate sous le nom de Roundup, combien y a-t-il eu de morts prouvées comme étant la conséquence directe de cet herbicide alors que des centaines de millions de personnes ont utilisé ce produit ?
Au début des années 1990 une Australienne s’est suicidée en avalant une bonne louche de cet herbicide, c’est tout ! Après autopsie réalisée à la demande de Monsanto (bien que ce fait n’ait jamais été officiellement reconnu) il fut prouvé sans contestation possible qu’elle était morte en raison d’un oedème pulmonaire fulgurant dont la cause était la formulation contenant des tensioactifs puissants et non pas la matière active elle-même du Roundup. Avalez une louche de liquide pour vaisselle les conséquences seront identiques : vous mourrez d’un oedème pulmonaire. Toutes les études consistant à rechercher la toxicité ou la carcinogénicité du glyphosate ont été réalisées avec la matière active et non la formulation de ce produit : elles sont donc toutes sans valeur. Pour un chimiste ou un biochimiste qui connait son métier il est impossible que la molécule de glyphosate puisse interférer avec l’ADN d’une quelconque manière que ce soit et provoquer l’apparition de cancers. C’est pourtant ce que l’organisme onusien IARC (Centre International de Recherche sur le Cancer) a déclaré il y a maintenant deux années en classant le glyphosate parmi les carcinogènes potentiels, un qualificatif obscur qui a relancé la controverse sur cet herbicide utilisé dans le monde entier en raison de son efficacité et de son coût modéré depuis plus de 40 ans.
L’Echa – agence européenne des produits chimiques – vient de conclure (15 mars 2017) que le glyphosate ne présentait aucun effet carcinogène dans la foulée des recommandations de l’EFSA (Agence Européenne pour la Sécurité Alimentaire) qui allaient dans le même sens. Comme on pouvait s’y attendre l’ONG multinationale et tentaculaire Greenpeace n’a pas attendu pour monter au créneau et bombarder du haut de sa superbe les experts tant de l’Echa que de l’EFSA en considérant que les conclusions de ces organismes étaient sans valeur, arguant du fait que ces experts travaillaient pour le compte de Monsanto ou avait été payés au moins quelques mois durant leur carrière par cette firme.
Il faut dire que Greenpeace excelle dans la stratégie du mélange des genres pour mieux entretenir la confusion. Le raisonnement de cet organisme qui oeuvre pour semer la terreur est le suivant : puisque Monsanto a mis au point des plantes génétiquement modifiées pour résister au glyphosate, le glyphosate est donc dangereux comme les plantes transgéniques le sont ou sont supposées l’être. En effet, la bête noire de Greenpeace est la firme Monsanto et tous les moyens – y compris les plus fallacieux – sont bons pour ternir la réputation de cette firme. À la suite des conclusions de l’Echa l’Agence Européenne pour la Protection des Cultures (ECPA) a déclaré qu’enfin la science prévalait sur les décisions politiques largement inspirées des conclusions erronées de Greenpeace et des fonctionnaires de l’IARC.
Puisque ce billet mentionne Monsanto, le leader mondial des plantes vivrières de grande culture génétiquement modifiées, la situation est identique à celle du Roundup. Depuis maintenant 40 ans que les êtres humains et les animaux consomment ou utilisent des plantes transgéniques et leurs produits dérivés, je pense au soja, au maïs et au coton, combien de personnes (ou d’animaux) se sont retrouvés indisposés ou malades après avoir consommé ces produits ? Combien de cas de relation directe de cause à effet ont été dûment répertoriés et étudiés ? Si j’ai mentionné le coton il ne faut pas oublier que la plupart des huiles végétales utilisées en cuisine contiennent des quantités non négligeables d’huile de graines de coton. Quant à la lécithine de soja transgénique elle se retrouve dans toutes les sauces et mayonnaises industrielles dans le monde entier …
Mais revenons au glyphosate. Pour l’anecdote, je me souviens avoir eu une discussion haletante avec des « formulateurs », ces spécialistes de la mise au point de formules permettant à une molécule chimique de pénétrer dans une plante, un insecte ou un champignon phytopathogène. Les formules mises au point par les firmes agrochimiques sont tenues secrètes. Elle ne sont protégées par aucun brevet car il s’agit d’un savoir-faire industriel. Personne ne connait la composition exacte des formulations qui contiennent parfois jusqu’à dix produits différents ! J’avais demandé à un formulateur si telle molécule dont j’avais mis en évidence la présence dans un champignon phytopathogène provenant de la dégradation d’un fongicide pouvait elle-même être considérée comme un fongicide potentiel. À la simple vue de la molécule il me répondit tout simplement « certainement pas, il faut la formuler « . Je découvris ainsi l’aspect parfois empirique de cette discipline particulière de l’agrochimie.
Greenpeace ne veut pas en rester là et a organisé une pétition citoyenne à l’échelle européenne pour que, forte d’un million de signatures, cette ONG puisse officiellement infléchir la Commission Européenne afin qu’elle ne revienne pas sur l’interdiction de l’utilisation du glyphosate et qu’elle entérine une autre décision beaucoup plus inquiétante pour le monde agricole, la réduction de l’usage des pesticides quels qu’ils soient à l’échelle européenne et à terme l’interdiction totale de leur utilisation. Autant dire que les agriculteurs qui se trouvent tous dans une situation économique précaire apprécieront les errements idéologiques infondés de cette ONG dont le rôle consiste uniquement à répandre la terreur, une terreur totalement infondée …
Source partielle : The Guardian
Le pire cataclysme de détail jamais: Sears avertit qu'il est sur le bord de l'effondrement que Payless se prépare à déposer pour faillite
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
Le 22 mars 2017
Plus de 3 500 magasins de détail fermeront dans toute l'Amérique au cours des prochains mois alors que le pire ralentissement de la vente au détail de l'histoire des États-Unis devient encore plus profond. Plus tôt cette semaine, Sears a choqué le monde quand il a annoncé qu'il y a un «doute substantiel» que la compagnie sera en mesure de «continuer comme une entreprise en cours» beaucoup plus longtemps. En d'autres termes, Sears a annoncé qu'elle est sur le point d'un effondrement imminent. Pendant ce temps, Payless stupéfié l'industrie du détail quand il est sorti qu'ils se préparent à déposer la faillite. L'apocalypse de détail dont je viens d'avertir s'accélère considérablement et beaucoup pensent que c'est l'un des premiers signes avant-coureurs que l'effondrement économique qui se produit déjà dans d'autres parties du globe va bientôt atteindre les côtes des États-Unis.
J'ai plusieurs fois averti mes lecteurs que "Sears va à zéro", et maintenant Sears dit officiellement que cela pourrait effectivement se produire. Lorsque vous déposez des documents officiels avec le gouvernement qui dit qu'il y a un «doute substantiel» que la société va survivre, cela signifie que la fin est très proche ...
La société qui exploite Sears, la chaîne de magasins de détail qui a dominé le commerce de détail depuis des décennies, a averti mardi qu'il est confronté à «doute substantiel» sur sa capacité à rester en affaires à moins qu'il ne peut emprunter plus et de tirer profit de plus de ses actifs.
«Nos résultats d'exploitation historiques indiquent qu'il existe un doute important quant à la capacité de l'entreprise de poursuivre son exploitation», a déclaré Sears Holdings dans un document déposé auprès de la Securities and Exchange Commission. Sears Holdings exploite à la fois les magasins Sears et Kmart.
Dans le sillage de cette déclaration, le prix des actions Sears plongé 13,69% à 7,85 $ par action.
Personnellement, je vais manquer beaucoup de Sears. Mais bien sûr, la vérité est qu'ils ne peuvent tout simplement pas continuer à fonctionner comme ils l'ont été.
Pour le trimestre qui s'est terminé le 28 Janvier, Sears a perdu une étonnante 607 millions de dollars ...
La société a déclaré perdre 607 millions de dollars, ou 5,67 $ par action diluée, au cours du trimestre qui s'est terminé le 28 janv. Cela comparativement à une perte de 580 millions de dollars, ou 5,44 $ par action diluée, un an plus tôt. Il a affiché une perte dans tous sauf deux des 24 derniers trimestres, selon S & P Global Market Intelligence.
Comment dans le monde est-il possible pour un détaillant de perdre ce montant d'argent en seulement trois mois ?
RépondreSupprimerComme je l'ai dit auparavant, s'ils avaient des employés de chasse des factures de dollars en bas des toilettes 24 heures par jour, ils ne devraient pas avoir des pertes aussi grandes.
Cette semaine, nous avons également appris que Payless se dirigeait vers la faillite. Selon Bloomberg, la chaîne prévoit de fermer imminemment au moins 400 magasins ...
Payless Inc, la chaîne de chaussures à prix discount, se prépare à déposer la faillite dès la semaine prochaine, selon des personnes familières avec la question.
La société prévoit initialement de fermer 400 à 500 magasins en réorganisant les opérations, a déclaré le peuple, qui a demandé à ne pas être identifié parce que les délibérations ne sont pas publiques. Payless avait initialement cherché à obturer jusqu'à 1 000 sites, et le nombre peut encore être en flux, selon une des personnes.
Bien sûr, ce ne sont là que deux exemples d'un phénomène beaucoup plus large.
Jamais auparavant, dans l'histoire des États-Unis, nous n'avons vu une telle vague dramatique de fermetures de magasins. Selon Business Insider, plus de 3 500 points de vente «devraient être fermés au cours des prochains mois» ...
Des milliers de magasins basés dans les centres commerciaux sont fermés dans ce qui devient rapidement l'une des plus grandes vagues de fermetures de magasins depuis des décennies.
Plus de 3 500 magasins devraient être fermés au cours des prochains mois.
Une fois que les centres commerciaux prospères sont rapidement transformés en villes fantômes. Comme je l'ai écrit tout récemment, «vous pourriez être tenté de penser que« Space Available »était la plus chaude nouvelle chaîne de vente au détail dans le pays entier.
La disparition de Sears va être un cauchemar absolu pour de nombreux propriétaires de centres commerciaux. Une fois que les «points d'ancrage» commencent à se fermer, ce n'est généralement qu'une question de temps avant que les petits magasins ne commencent à se libérer ...
Lorsqu'un magasin d'ancres comme Sears ou Macy's se ferme, il déclenche souvent une spirale descendante dans la performance des centres commerciaux.
Non seulement les centres commerciaux perdent les revenus et le trafic des acheteurs des activités de ce magasin, mais la fermeture déclenche souvent des clauses de «co-tenancy» qui permettent aux autres locataires de terminer leurs baux ou de renégocier les conditions, généralement avec une période de loyers plus bas, Jusqu'à ce qu'un autre détaillant se déplace dans l'espace d'ancrage.
Il y a des années, j'ai écrit à propos d'une époque où nous verrions des vitrines à l'intérieur de toute l'Amérique, et maintenant cela se produit.
Au lieu de se demander quels détaillants vont fermer, peut-être devrions-nous demander quels sont ceux qui vont survivre à ce cataclysme de détail.
RépondreSupprimerDans le passé, on pouvait toujours compter sur les consommateurs américains de classe moyenne pour sauver la journée, mais aujourd'hui, la classe moyenne diminue régulièrement et les consommateurs américains sont de plus en plus touchés.
Par exemple, il suffit de regarder ce qui se passe à taux de délinquance sur les prêts automobiles ...
Les taux américains de sinistres sur prêts et crédit-bail se sont affaiblis au second semestre de 2016, selon un nouveau rapport de Fitch Ratings, qui indique qu'ils continueront de se détériorer.
"Les pertes de crédit à risque subprime s'accélèrent plus vite que le segment principal, et cette tendance devrait se poursuivre en raison de normes de souscription plus lâches par les prêteurs ces dernières années", a déclaré Michael Taiano, un administrateur de Fitch.
La dernière fois que de nombreux Américains ont obtenu derrière sur les prêts automobiles subprime a été lors de la dernière crise financière.
Nous voyons tant de similitudes avec ce qui s'est produit juste avant la dernière récession, et pourtant la plupart des Américains semblent toujours penser que l'économie américaine va être très bien en 2017.
Malheureusement, les grands drapeaux rouges font leur apparition dans les chiffres économiques difficiles et sur les marchés financiers.
La dernière récession aurait probablement dû commencer à la fin de 2015, mais grâce à la manipulation de la Fed et à une frénésie de la dette sans précédent par l'administration Obama, la croissance officielle du PIB des États-Unis a pu rester à peine au-dessus de zéro depuis un an et demi.
Mais juste parce que quelque chose est retardé ne signifie pas qu'il est annulé.
Tout au long de cela, nos déséquilibres économiques à long terme ont continué de s'aggraver, et une date avec le destin approche rapidement pour l'économie des États-Unis.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-worst-retail-cataclysm-ever-sears-warns-it-is-on-the-verge-of-collapse-as-payless-prepares-to-file-for-bankruptcy
SupprimerCe n'est pas que le peuple ne valorise plus par son travail (puisqu'aujourd'hui on produit plus, mieux et moins cher qu'avant), mais ce sont les 'Dirigeants' qui volent plus qu'avant.
La superpuissance états-unienne est en état de délabrement interne
RépondreSupprimerPar William Engdahl
Le 14 mars 2016
Source New Eastern Outlook
Les événements catastrophiques de ces dernières semaines autour du barrage d’Oroville en Californie soulignent un problème beaucoup plus urgent. L’American Society of Civil Engineers vient de publier son évaluation quadriennale des infrastructures essentielles des États-Unis, routes, approvisionnement en eau potable, digues, ports, barrages, ponts, réseau électrique. Le rapport donne à la nation une note de quasi-défaillance, la note D +. L’infrastructure états-unienne est en train de ressembler à celle de l’Union soviétique au moment de l’effondrement du communisme, à la fin des années 1980. La proposition récente de Donald Trump d’investir 1 000 milliards de dollars sur dix ans pour résoudre le problème, principalement par la construction de trains à grande vitesse (à ce jour, les États-Unis n’en ont pas un), se rapproche à peine des besoins en la matière.
Le programme de Wall Street, axé sur la mondialisation de la production américaine et son externalisation, a transformé l’Amérique en une superpuissance creuse, en état de délabrement. Depuis les années 1980, les États-Unis ont considérablement sous-investi dans les nouvelles infrastructures et dans le renouvellement des anciennes. Alors que les multinationales américaines déplacent leurs usines à l’étranger, là où elle disposent de main-d’œuvre bon marché, au Mexique, puis en Asie, en particulier en Chine, et ailleurs, elles ont trouvé des échappatoires fiscales qui leur ont permis d’arrêter de soutenir le pays qui, pas plus tard que dans les années 1960, était la puissance industrielle mondiale. De nos jours, les sociétés états-uniennes détiennent 2 400 milliards de dollars de bénéfices à l’étranger, qu’elles maintiennent à l’étranger pour éviter de payer des impôts aux États-Unis.
Le résultat de toute cette négligence est qu’au cours des trois dernières décennies, depuis la fin des années 1980, le financement fédéral de grands projets d’infrastructure tels que les barrages a diminué de moitié, passant de 1% à 0,5% du PIB.
Le bulletin de note des infrastructures
Le 9 mars, la Société américaine des ingénieurs civils (ASCE) a publié son Rapport sur les infrastructures de 2017. Elle examine l’état des infrastructures nationales tous les quatre ans. Depuis son rapport de 2013, en dépit de quatre ans d’une prétendue reprise économique sous Obama, la note donnée est resté inchangée à D +, F indiquant une défaillance totale des infrastructures.
Le président américain vient de rencontrer des représentants de l’industrie pour discuter de sa proposition de dépenser 1 000 milliards de dollars sur 10 ans, financés par une combinaison de fonds publics et privés, la plupart apparemment destinés aux routes et au train à grande vitesse. L’ASCE estime que près de cinq fois cette somme, soit 4 590 mille milliards de dollars, est nécessaire de toute urgence au cours des huit prochaines années seulement, pour ramener la situation à un niveau « adéquat », la note B, d’ici 2025. Le coût économique pour l’économie nationale de cette infrastructure en ruine est estimé à des centaines de milliards de dollars par an, qui sont gaspillés à cause de l’inefficacité économique.
Pourtant, même cette modeste proposition Trump de dépenser 1.000 milliards de dollars en infrastructures est susceptible d’être « mort-née », selon l’analyste de Wall Street Randall Forsyth, dans un rapport pour Barrons. Un des effets des plus de huit ans de taux d’intérêt anormalement bas de la Réserve fédérale est que les fonds de pension de l’État sont sérieusement sous-financés, ce qui les oblige à tirer davantage de fonds du budget général de l’État. Les États ne disposeront pas de l’argent nécessaire pour adhérer au plan national de Trump, même si celui-ci devait être adopté par le Congrès, ce qui n’est pas encore sûr. Forsyth remarque : « Aux États-Unis, les gouvernements des États et des comtés comptabilisent les projets d’infrastructure comme des dépenses courantes, pas comme des investissements capitalisés sur la durée de vie des projets, comme le font les entreprises privées ; les contraintes budgétaires entravent donc leur capacité à financer des projets. »
RépondreSupprimerEn outre, Trump a en même temps promis une réduction des impôts fédéraux. En bref, l’équipe économique du Donald n’a même pas encore ses projets d’infrastructure établis, encore moins alignés avec la réalité.
Des coupures d’électricité dignes du tiers monde
Certains des faits saillants du rapport sont instructifs et alarmants. Le réseau électrique de base du pays est dans un sale état. La plupart des lignes de transmission et de distribution électriques des États-Unis ont été construites dans les années 1950 et 1960, avec une espérance de vie de 50 ans. Les lignes construites en 1967 sont aujourd’hui à leur terme, mais toujours utilisées.
La demande croissante d’électricité signifie également que les 640 000 miles de lignes de transmission à haute tension qui forment les réseaux électriques de la nation sont à pleine capacité. Étant donné le manque d’investissements dans le réseau électrique, le vieillissement des équipements, les goulets d’étranglement et l’augmentation de la demande, ainsi que l’augmentation des dégâts dû aux tempêtes et au climat, des coupures d’électricité dignes du Tiers Monde sont à prévoir, à moins que des investissements urgents ne soient réalisés.
Les autoroutes sont en mauvais état
Les autoroutes du pays sont en très mauvaise condition. Il y a soixante ans, le Congrès des États-Unis a adopté la Loi fédérale de 1956, pendant l’administration Eisenhower, la Loi de défense des autoroutes nationales, comme elle était nommée. Cette loi prévoyait la somme alors immense de 25 milliards de dollars, pour la construction de 66 000 km de réseau routier inter-États, sur une période de 10 ans. C’était le plus grand projet d’infrastructure de travaux publics dans l’histoire américaine à cette date, équivalent à un investissement de $ 218 milliards aujourd’hui. L’économie du transport des États-Unis a délibérément été transférée des rails, comme elle l’avait été jusque avant la Seconde Guerre mondiale, aux grands camions-remorques, et cette loi sur les autoroutes interétatiques a permis un énorme gain en temps et en efficacité économique. La souplesse apportée par le transport par camion par rapport au transport ferroviaire a été importante et le financement a été payé à 90% par le gouvernement fédéral, par l’entremise d’un Fonds d’investissement routier financé par les taxes fédérales sur les carburants, qui fut utilisé exclusivement pour la construction et l’entretien des routes. Les États ont financé 10% de l’investissement.
Depuis 2007-2008 et la crise financière et économique, ce Fonds d’investissement routier est sérieusement sous-financé, nécessitant des injections d’urgence du budget fédéral pour maintenir sa solvabilité. En raison du refus répété du Congrès des États-Unis d’augmenter les taxes nationales sur l’essence ou les carburants pour assurer la réparation adéquate du réseau routier inter-États, l’état actuel des routes nationales est catastrophique, pour le dire poliment. La taxe fédérale sur les carburants pour le Fonds d’investissement routier a été fixée à 0,184 $ le gallon américain, niveau demeuré le même depuis 1993. En Allemagne, la taxe fédérale sur les carburants est de 6,14 $ par gallon américain.
RépondreSupprimerEn outre, les États qui financent l’entretien de leurs routes avec une taxe étatique sur les carburants sont gravement sous-financés par les impôts, là aussi. À la date du 1er juillet 2016, vingt-et-un États sur cinquante n’ont pas augmenté leur taxe sur l’essence depuis dix ans ou plus.
Selon le rapport sur l’infrastructure de l’ASCE, le sous-financement sévère et chronique des fonds routiers fédéraux et des autoroutes de l’État a pour conséquence que plus de 40% des autoroutes interurbaines états-uniennes sont encombrées et que les embouteillages ont coûté, en 2014, 160 milliards de dollars au pays, en temps perdu et essence gaspillée. Un kilomètre de bitume des autoroutes sur cinq est en mauvais état.
Les ponts vers l’abandon
Les États-Unis sont une vaste étendue de terre, allant de New York à la Californie, traversant les 48 États dits inférieurs (à l’exclusion de l’Alaska et de Hawaï). Le long de l’Interstate I-80, vous conduisez pendant presque 4 800 kilomètres. De nombreux ponts permettent cette traversée du pays.
Le rapport de l’ASCE sur l’infrastructure indique que sur les 614 387 ponts, près de quatre sur dix ont 50 ans ou plus. C’est non seulement une question d’âge, mais 56 007 ponts, soit 9,1% des ponts de la nation, étaient structurellement déficient en 2016. Ils ont calculé que ces ponts structurellement déficients supportaient une moyenne de 188 millions de traversées par jour. Ils estiment le coût de réhabilitation de ces déficiences structurelles à 123 milliards de dollars.
De l’eau, de l’eau partout, mais pas une goutte à boire…
Au début des années 1960, le statut de l’eau potable des réserves états-uniennes était de première classe. À titre d’exemple, les pratiques de gestion de l’eau de Dallas, au Texas, où j’ai grandi, étaient sous la direction de Henry J. Graeser, le père d’un proche ami du collège. Graeser est devenu président de l’American Water Works Association. Ses conseils sur l’ingénierie de la gestion de l’eau potable étaient demandés partout dans le monde. C’est simplement une anecdote personnelle sur la qualité de la gestion de l’eau américaine, il y a à peine cinq ans de cela. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.
Le rapport de l’American Society of Civil Engineers déclare qu’en 2017, l’eau potable est distribuée à travers les États-Unis grâce à 1,8 millions de miles de tuyaux. Beaucoup de ces conduites d’eau ont été posées entre la Première et la Seconde Guerre mondiale. Depuis leur installation, la population totale des États-Unis a augmenté de deux à trois fois, par rapport aux 100 millions de citoyens en 1914, aux 140 millions en 1945 et aux plus de 310 millions d’aujourd’hui.
RépondreSupprimerLes infrastructures destinées à fournir de l’eau aux populations américaines de plus en plus nombreuses comprennent aujourd’hui les barrages et les réservoirs, les puits, les stations de pompage, les aqueducs pour le transport de grandes quantités d’eau sur de longues distances, les stations d’épuration, les réservoirs du réseau de distribution.
Les conduites d’eau ont été conçues pour une durée de vie de 75 à 100 ans. À la suite de la détérioration du réseau de conduites d’eau potable, les États-Unis subissent environ 240 000 coupures d’eau par an. En conséquence, plus de deux mille milliards de gallons d’eau potable traitée sont gaspillés chaque année. Cela représente environ la moitié de la consommation nationale totale d’eau pendant un mois entier. Selon l’American Water Works Association, un montant estimé à mille milliards de dollars est nécessaire pour maintenir et élargir le service, afin de pouvoir répondre à la demande des 25 prochaines années.
Le rapport de la société des ingénieurs sur l’infrastructure continue, en annonçant aussi des résultats alarmants au sujet des aéroports américains, des barrages nationaux comme le barrage d’Oroville en Californie, qui pose encore des risques. Les États-Unis abritent aujourd’hui 2 170 barrages déficients, à haut risque potentiels, en raison du manque d’investissements. Les mêmes résultats alarmants ont été trouvés pour des usines de traitement des eaux intérieures, des digues, des ports, des voies de chemin de fer, des écoles et des stations de traitement des eaux usées.
À l’ère de la guerre du Vietnam de la fin des années 1960, le président Lyndon Johnson a parlé de « canons et de beurre ». Mais cela n’a pas marché.
Compte tenu du niveau beaucoup plus élevé de la dette nationale et de l’état bien pire dans lequel est l’infrastructure économique de base aujourd’hui par rapport aux années 1960, les fantasmes de canon et de beurre du programme Trump ont encore moins de chance de réussir à restaurer l’économie nationale.
Aujourd’hui, la sincérité de la revendication de Trump de « rendre sa grandeur à l’Amérique », se révèlera ou disparaîtra, suivant sa détermination à donner la priorité à un sérieux renouvellement de l’infrastructure économique nationale. Cela permettrait un retour sur investissement sous la forme de création d’emplois et d’une augmentation de l’efficacité et de la rentabilité de l’économie. Les guerres avec la Chine, avec l’Iran, avec la Syrie et apparemment aussi avec la Russie, que l’équipe de guerriers de Trump a l’intention de poursuivre, sont pires qu’un stupide gaspillage de ressources nationales restreintes. Construire des nations est beaucoup plus approprié et gratifiant que de les détruire.
William Engdahl
Traduit par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone
http://lesakerfrancophone.fr/la-superpuissance-etats-unienne-est-en-etat-de-delabrement-interne
France/Présidentielle : un long débat télévisé qui n'a pas fait bouger les lignes
RépondreSupprimerPar : Vivienne
le 22-03-2017
Très attendue, la joute médiatique, lundi soir, entre les 5 favoris à l'élection présidentielle des 23 avril et 7 mai prochains n'a guère apporté de nouveauté sur le fond. On peut légitimement douter qu'elle ait permis aux nombreux électeurs indécis dans l'Hexagone d'arrêter leur choix. Elle reflète surtout la fin de la bipolarisation de la vie politique française, marque de fabrique de la cinquième République.
Jamais une telle confrontation entre les candidats à la présidentielle n'avait eu lieu avant le premier tour. Si le débat diffusé lundi soir sur la chaîne de télévision TF1 a donné le coup d'envoi officiel d'une campagne jusqu'ici phagocytée par les affaires et les scandales politico-judiciaires, ce rendez-vous tant attendu, à défaut de recréer une agora politique, laisse un sentiment mitigé.
Les commentateurs s'évertuaient mardi à distribuer des bons points sans pour autant que ne se dessine de vrai vainqueur à l'issue d'un débat qui a duré près de trois heures et demie. Au-delà de quelques passes d'armes sur les thèmes de prédilection de la présidente du Front national (FN) Marine Le Pen, le ton est resté plutôt policé, sans vraies surprises ni accident pour l'un ou l'autre des candidats. Le débat aurait néanmoins attiré 9,8 millions de téléspectateurs en moyenne, soit 48 % de parts d'audience, selon des données de Médiamétrie communiquées mardi.
Les cinq prétendants à l'Elysée ont joué leur partition sans prendre de risque. A commencer par le candidat de la droite François Fillon, fragilisé par sa mise en examen dans l'affaire des emplois présumés fictifs de son épouse et de ses enfants. Paradoxalement, ses ennuis judiciaires tout comme ceux de la candidate du FN ont quasiment été occultés, malgré la saillie du leader du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon qui a ironisé sur la "pudeur de gazelle" qui régnait sur ces questions sur le plateau de TF1.
Pendant la plus grande partie du débat, François Fillon, ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy, est resté largement en retrait, préférant insister, comme il l'avait fait pendant les débats de la primaire, son "expérience". Fervent partisan de la rigueur et du libéralisme, il a une nouvelle fois cherché à se présenter comme "le seul capable de redresser la France", toisant tous ces adversaires sur les questions économiques.
Marine Le Pen, toujours donnée favorite au premier tour, a déroulé son argumentaire habituel, ne manquant de fustiger le "système". En ligne de mire : l'immigration, l'insécurité, et l'Union européenne. Elle a dû faire face à l'opposition de l'ensemble des autres candidats qui ont fait bloc contre elle. Nombre d'observateurs soulignaient mardi que son discours, si bien rodé soit-il, apparaissait quelque peu simpliste et aurait du mal à convaincre au-delà de sa base de l'électorat du FN.
RépondreSupprimerLa prestation d'Emmanuel Macron, le nouveau venu dans le cénacle politique, pas encore rompu à l'exercice du débat télévisé, était l'objet de toutes les attentions. Le fondateur du mouvement En Marche!, au coude à coude dans les sondages avec la présidente du FN, a certes taclé avec efficacité sa rivale mais ne s'est pas montré dans l'ensemble très offensif.
Sa posture "ni droite ni gauche" l'a conduit à se déclarer souvent en accord avec l'un ou l'autre de ses adversaires. L'ancien ministre de l'Economie du président Hollande a invoqué à plusieurs reprises le "pragmatisme" mais n'a pas pu tout-à-fait échapper à un discours aux accents technocratiques.
Selon un sondage publié mardi, le candidat d'En Marche! recueillerait néanmoins 29% d'opinions favorables de la part des 1.157 téléspectateurs interrogés devant Jean-Luc Mélenchon (20%), François Fillon et Marine Le Pen (19%). Le candidat socialiste, Benoît Hamon, serait le grand perdant de ce débat puisqu'il n'aurait été jugé convaincant que par 11% des téléspectateurs.
Lors de ce débat, le leader du Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon a manifestement gagné des points en tirant profit de ses talents d'orateur et en parvenant à faire rire le plateau par des bons mots, au risque de passer pour un animateur. Mais il n'est pas pour autant parvenu à se donner une véritable carrure présidentielle.
Quant au candidat socialiste, désigné à l'issue de la primaire de la Belle alliance populaire, Benoît Hamon, qui n'arrive toujours pas à décoller dans les sondages, il semble pris en tenaille entre Jean-Luc Mélenchon sur sa gauche et Emmanuel Macron sur sa droite. S'il s'est efforcé de faire preuve de pédagogie au sujet de sa proposition d'un revenu universel, il a toujours du mal à être audible.
Le débat, dans son ensemble, a finalement tourné à un catalogue de mesures sans permettre d'aborder réellement des thématiques structurantes de la société française. A noter que les questions de l'Europe et de la politique étrangère ont été quelque peu expédiées. Or, comment la France du 21e siècle peut-elle penser sa politique intérieure sans s'inscrire étroitement dans le contexte international ?
Il est peu probable que la joute médiatique de lundi ait joué un rôle décisif et permis aux 66% de Français qui, selon la dernière enquête du CEVIPOF (Sciences Po) publiée le 17 mars, déclarent ne toujours pas savoir pour qui ils vont voter. Elle a surtout offert en miroir l'image d'une France en recomposition dans laquelle la bipolarisation de la vie politique, si ancrée dans la cinquième République, semble bien appartenir au passé.
http://french.china.org.cn/foreign/txt/2017-03/22/content_40488137.htm
Pourquoi AUCUNE personne dans ce FAUX-débat n'a abordé l'escroquerie de "La mer qui va monter" ! ou "de la glace qui va fondre", ou des inondations des fleuves suite au non-dragage de leurs lits ? Parce que ce sont EUX qui les ont mis en place !
SupprimerPERSONNE n'a abordé le sujet des milliers de morts dues au diesel et pollution des centrale électrique au charbon, pétrole et gaz !
Pourquoi ne sont-ils pas en mesure d'expliquer pourquoi depuis des millions d'années des milliards de km3 d'eaux (des pluies, fleuves & rivières) se sont déversé dans les océans... sans qu'ils ne montent !! Çà alors !
Pourquoi quand la glace font elle PERD du volume et non en gagne comme ils le disent !
Pourquoi rigolent-ils de voir des gens noyés, des gens qui perdent tout leurs biens dans des inondations parce que leurs fonds ne sont pas nettoyés régulièrement. Pourquoi laissent-ils la merde s'accumuler au fond des cours d'eaux depuis plus de 40 ans ?
RépondreSupprimerWikiLeaks lance "NightSkies 1.2": Problèmes de la CIA
Par Tyler Durden
23 mars 2017 11h08
Les dernières fuites de WikiLeaks 'Vault 7 est intitulé "Dark Matter" et prétend que la CIA a été écoute “factory fresh” iPhones depuis au moins 2008 par les fournisseurs. Les documents complets devraient être diffusés après une «conférence de presse» de 10 heures de l'EDT que WikiLeaks a promue sur son Twitter.
Voici un flux en direct de la conférence de presse en cours avec Julian Assange:
LIVE: briefing de presse WikiLeaks en quelques minutes: CIA # Vault7 "darkmatter" poser des questions avec #AskWL https://t.co/ldG78exSsu
- WikiLeaks (@wikileaks) 23 mars 2017
Et voici le communiqué de presse complet de WikiLeaks:
Aujourd'hui, le 23 mars 2017, WikiLeaks lance Vault 7 "Dark Matter", qui contient de la documentation pour plusieurs projets de la CIA qui infectent le firmware d'Apple Mac Computer (ce qui signifie que l'infection persiste même si le système d'exploitation est réinstallé) développé par la CIA Embedded Development Branch (EDB). Ces documents expliquent les techniques utilisées par la CIA pour gagner de la «persistance» sur les périphériques Apple Mac, y compris les Mac et les iPhones, et démontrent leur utilisation de logiciels malveillants EFI / UEFI et de microprogrammes.
Ces documents révèlent le projet «Sonic Screwdriver» qui, comme l'explique la CIA, est un «mécanisme d'exécution de code sur périphériques pendant qu'un ordinateur portable ou un ordinateur de bureau Mac démarre» permettant à un attaquant de démarrer son logiciel d'attaque, Une clé USB "même lorsqu'un mot de passe du microprogramme est activé". L'infuseur "Sonic Screwdriver" de la CIA est stocké sur le firmware modifié d'un adaptateur Apple Thunderbolt-to-Ethernet.
«DarkSeaSkies» est «un implant qui persiste dans le firmware EFI d'un ordinateur Apple MacBook Air» et se compose des implants «DarkMatter», «SeaPea» et «NightSkies», respectivement EFI, kernel-space et user-space.
Les documents sur les logiciels malveillants «Triton» MacOSX, son infuseur «Dark Mallet» et sa version persistante EFI «DerStake» sont également inclus dans cette version. Alors que le manuel DerStake1.4 publié aujourd'hui date de 2013, d'autres documents de Vault 7 montrent qu'à partir de 2016, la CIA continue de s'appuyer sur et de mettre à jour ces systèmes et travaille sur la production de DerStarke2.0.
Le manuel du «NightSkies 1.2» de la CIA est également inclus dans ce communiqué. Il s'agit d'un «outil de balise / chargeur / implant» pour l'iPhone d'Apple. Notons que NightSkies avait atteint 1,2 en 2008, et est expressément conçu pour être physiquement installé sur les iPhones fraîches d'usine. À-dire que la CIA infecte la chaîne d'approvisionnement iPhone de ses cibles depuis au moins 2008.
Bien que les actifs de la CIA soient parfois utilisés pour infecter physiquement les systèmes sous la garde d'une cible, il est probable que de nombreuses attaques d'accès physique de la CIA ont infecté la chaîne d'approvisionnement de l'organisation ciblée, notamment en interdisant les envois postaux et autres envois (ouverture, infection et renvoi) États-Unis ou autrement.
http://www.zerohedge.com/news/2017-03-23/nightskies-12-wikileaks-latest-leak-says-cia-bugging-factory-fresh-iphones-2008
Pour Moscou, Trump et Le Pen ne sont ni des «marginaux», ni des «populistes», mais des «réalistes»
RépondreSupprimer23 mars 2017, 18:50
Lors d'une conférence de presse, le chef de la diplomatie russe a salué le réalisme du président américain et de la candidate Front national à la présidentielle française, déplorant la diabolisation dont ils font l'objet dans les médias.
Alors qu'il s'exprimait à la tribune du quartier général des forces armées, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s'est légèrement écarté de son discours initial qui portait sur le rôle joué par la Russie sur la scène internationale. Il s'est alors livré à une description élogieuse du président américain Donald Trump et de la candidate frontiste à la présidentielle française, Marine Le Pen.
«Je ne dirais pas que Donald Trump ou Marine Le Pen sont des marginaux. Bien au contraire, pour moi, ils s'inscrivent pleinement dans les principes clefs qui régissent les sociétés américaine et française», a-t-il estimé.
Quand au terme «populiste», constamment utilisé par les médias mainstream pour qualifier la vision politique de Donald Trump et de Marine Le Pen, Sergueï Lavrov ne semble pas le porter dans son cœur. «Pour ma part, je les vois comme des réalistes opposés à la mondialisation», a-t-il expliqué.
Il est déjà bien connu que Moscou compte sur le nouveau locataire de la Maison Blanche pour relancer les relations bilatérales et la coopération entre la Russie et les Etats-Unis, tout en restant lucide et «sans se voiler la face».
En revanche, le Kremlin ne s'est prononcé qu'une seule fois sur la présidentielle française, en novembre dernier. Le président russe Vladimir Poutine avait alors fait l'éloge du candidat de droite, François Fillon, qu'il avait qualifié de «grand professionnel [...] capable de défendre son point de vue».
https://francais.rt.com/international/35747-pour-lavrov-trump-le-pen-ne-sont-ni-marginaux-ni-populistes-mais-realistes
Richie Allen se préoccupe de ce que les musulmans britanniques bombardent et invitent à une attaque
RépondreSupprimer23 mars 2017
«Nos valeurs partagées» «Nous ne serons jamais divisés» «Ils détestent notre liberté» «Ce mal doit être vaincu ...».
Ce sont les clichés nauséabonds qui sonnent autour de Westminster ce matin. C'est un vieux refrain fatigué en effet. Au cours des 15 dernières années seulement, les méchants qui habitent ce bâtiment ont assassiné des millions de personnes, oui des millions, en Irak, en Afghanistan, en Libye et en Syrie, grâce à l'autorisation d'interventions militaires.
Le GCHQ, ainsi que ses amis du Mossad et de la CIA, ont canalisé les armes et les liquidités pour les fils du Wahhabisme et les ont envoyés sur leur chemin joyeux pour apporter la destruction et le chaos aux pays pacifiques au Moyen-Orient. Rien de tout cela n'est nouveau. C'est un fait de pierre froide.
Les médias de la pire espèce prennent les communiqués de presse et les lisent textuellement. Il est incroyablement efficace. Ils, les médias et les élites ont créé un drame vivant. Placé dans un monde fictif, où nous, vertueux, décents et tolérants, sommes constamment attaqués par les méchants. On nous dit que nous sommes haïs pour notre diversité et pour nos valeurs. Personne n'a jamais été en mesure d'expliquer ce que nos «valeurs» sont accessoirement.
Quand un incident comme hier se produit, le média se met en action. Il n'y a pas de rapport ou d'enquête nulle part pour être vu. Ce que nous voyons aujourd'hui, c'est une présentation, un pur théâtre. Tous les médias du pays se sont installés sur les lieux. Les ancêtres agissaient et s'inquiétaient tout en nous rappelant constamment l'héroïsme du policier déchu, la bravoure du public, la fermeté du ministre qui tentait de sauver la vie du policier. Tout cela est imbriqué avec des extraits du premier ministre et des députés qui disent combien nous sommes merveilleux, combien notre démocratie est grande et comment elle ne sera jamais vaincue. C'est un scénario, un scénario même. Il est totalement absurde et absurde. Il n'y a aucun questionnement sérieux sur le Premier ministre, le chef de police et les ministres principaux.
24 heures roulant canaux d'information sont devenus des feuilletons en direct. Les gens sont devenus dépendants à eux. Allez dans n'importe quelle maison pendant la journée et ce n'est pas "The Bold & The Beautiful" ou un autre vieux savon de jour ou jeu-questionnaire sur la télévision. C'est FOX, CNN, BBC24 ou Nouvelles SKY. Ces «spectacles» sont ré-câblage du cerveau de ceux qui les consomment et la majorité de ceux qui regardent ne sont pas au courant. Ils sont comme Truman Burbank, dans la mesure où ils savent quelque chose est en place, ils ne peuvent tout simplement pas mettre leur doigt sur elle. Et avant qu'ils puissent le comprendre, il arrive un jeu commercial, un match de football ou une émission de télé-réalité.
RépondreSupprimerEn l'absence des médias, nous devons travailler plus que jamais pour contester ce système et présenter à nos auditeurs des informations crédibles et des preuves qui les incitent à s'arrêter et à réfléchir à ce que leurs gouvernements leur disent. C'est aussi simple que ça. Il n'y a pas de solution magique, pas de solution miracle. Le travail acharné, l'honnêteté, l'amélioration de nos valeurs de production et l'engagement avec les gens qui sont en désaccord avec nous d'une manière professionnelle, est à l'ordre du jour. Nous devons aussi avoir le courage d'aller là où la preuve nous amène.
Et il y a beaucoup à être optimiste. Les médias de l'élection présidentielle américaine et du référendum britannique Brexit ont vu des millions de personnes se détourner des médias d'entreprise. Prenons avantage de cela. Nous n'aurons jamais une meilleure occasion.
Richie Allen
Hôte de l'émission Richie Allen
Www.richieallen.co.uk
http://www.paulcraigroberts.org/2017/03/23/richie-allen-wonders-whats-great-uk-bombing-muslims-inviting-attack/
Le climat fait dire à Brexit le Gore
RépondreSupprimer24 mars 2017
Righto. Il est temps de blâmer le changement climatique pour avoir provoqué les électeurs britanniques de voter contre la règle allemande de Grande-Bretagne. Retour quand le climat était idéal, les Britanniques aurait été bien avec cela.
Au lieu de cela, même si le monde n'a pas réchauffé pour 80% de l'histoire de l'UE, l'UE se brise à cause du changement climatique.
Ce n'est pas comme Al Gore de tirer des conclusions d'une longue chaîne nébuleuse de raisonnement douteux, mais voici comment il va: Le charbon émet du gaz carbonique, ce qui provoque des sécheresses selon les modèles qui ne fonctionnent pas, et qui a fait migrer les Syriens. Tout le monde a été malheureux et a voté pour Brexit.
Le changement climatique a aidé Brexit, selon Al Gore
Brexit a été causé en partie par le changement climatique, l'ancien vice-président américain Al Gore a dit, l'avertissement que les conditions météorologiques extrêmes crée une instabilité politique «le monde sera extrêmement difficile à gérer».
Vraiment, il s'agit de charbon, de voitures et de sacs en plastique. Si l'UE avait seulement mis en place plus de parcs éoliens, le Royaume-Uni aurait voté pour rester dedans.
Si ce n'était le manque de pluie dans le moyen-orient, les îles britanniques voudraient laisser leurs décisions en matière d'immigration, de pêche et d'ampoules à leurs amis en Europe. Que pensaient-ils quand ils ont voté pour sauver des milliards et faire ces choix pour eux-mêmes ?
M. Gore, au cours d'une manifestation dans laquelle il présentait une suite de son documentaire de référence 2006, An Inconvenient Truth, a déclaré que la principale cause de la guerre civile syrienne avait été la pire sécheresse de 900 ans, ce qui a obligé 1,5 million de personnes à déménager de la campagne aux villes. Là ils ont rencontré un nombre semblable d'Iraquiens qui avaient fui le conflit dans leur patrie, créant des conditions de poudre de baril que les fonctionnaires de gouvernement syriens craignaient en privé pour exploser.
N'oublions pas que pour les mille dernières années, quand le temps était préindustriellement parfait, les Français, les Allemands et les Espagnols s'entendaient très bien avec les Britanniques. Ce n'est pas comme si il y avait dix siècles de guerre jusqu'à ce que le climat réchauffé et la paix arraché à travers le pays. (Le changement climatique provoque aussi la paix en Europe. Quel dommage peut-il avoir ?).
La preuve de Gore revient à dire qu'il y avait une mauvaise sécheresse dans ce désordre géopolitique intercontinental multivarié, plus Wikileaks montre quelqu'un en Syrie dire "il va y avoir une explosion sociale" juste avant il y en avait une. Eh bien, ça le fait pour moi ...
http://joannenova.com.au/2017/03/climate-caused-brexit-sayth-the-gore/
La guère froide ?
SupprimerWikiLeaks lance "NightSkies 1.2": Problèmes de la CIA
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
23 mars 2017 11h08
Les dernières fuites de WikiLeaks 'Vault 7 est intitulé "Dark Matter" et prétend que la CIA a été écoute “factory fresh” iPhones depuis au moins 2008 par les fournisseurs. Les documents complets devraient être diffusés après une «conférence de presse» de 10 heures de l'EDT que WikiLeaks a promue sur son Twitter.
Voici un flux en direct de la conférence de presse en cours avec Julian Assange:
LIVE: briefing de presse WikiLeaks en quelques minutes: CIA # Vault7 "darkmatter" poser des questions avec #AskWL https://t.co/ldG78exSsu
- WikiLeaks (@wikileaks) 23 mars 2017
Et voici le communiqué de presse complet de WikiLeaks:
Aujourd'hui, le 23 mars 2017, WikiLeaks lance Vault 7 "Dark Matter", qui contient de la documentation pour plusieurs projets de la CIA qui infectent le firmware d'Apple Mac Computer (ce qui signifie que l'infection persiste même si le système d'exploitation est réinstallé) développé par la CIA Embedded Development Branch (EDB). Ces documents expliquent les techniques utilisées par la CIA pour gagner de la «persistance» sur les périphériques Apple Mac, y compris les Mac et les iPhones, et démontrent leur utilisation de logiciels malveillants EFI / UEFI et de microprogrammes.
Ces documents révèlent le projet «Sonic Screwdriver» qui, comme l'explique la CIA, est un «mécanisme d'exécution de code sur périphériques pendant qu'un ordinateur portable ou un ordinateur de bureau Mac démarre» permettant à un attaquant de démarrer son logiciel d'attaque, Une clé USB "même lorsqu'un mot de passe du microprogramme est activé". L'infuseur "Sonic Screwdriver" de la CIA est stocké sur le firmware modifié d'un adaptateur Apple Thunderbolt-to-Ethernet.
«DarkSeaSkies» est «un implant qui persiste dans le firmware EFI d'un ordinateur Apple MacBook Air» et se compose des implants «DarkMatter», «SeaPea» et «NightSkies», respectivement EFI, kernel-space et user-space.
Les documents sur les logiciels malveillants «Triton» MacOSX, son infuseur «Dark Mallet» et sa version persistante EFI «DerStake» sont également inclus dans cette version. Alors que le manuel DerStake1.4 publié aujourd'hui date de 2013, d'autres documents de Vault 7 montrent qu'à partir de 2016, la CIA continue de s'appuyer sur et de mettre à jour ces systèmes et travaille sur la production de DerStarke2.0.
Le manuel du «NightSkies 1.2» de la CIA est également inclus dans ce communiqué. Il s'agit d'un «outil de balise / chargeur / implant» pour l'iPhone d'Apple. Notons que NightSkies avait atteint 1,2 en 2008, et est expressément conçu pour être physiquement installé sur les iPhones fraîches d'usine. À-dire que la CIA infecte la chaîne d'approvisionnement iPhone de ses cibles depuis au moins 2008.
Bien que les actifs de la CIA soient parfois utilisés pour infecter physiquement les systèmes sous la garde d'une cible, il est probable que de nombreuses attaques d'accès physique de la CIA ont infecté la chaîne d'approvisionnement de l'organisation ciblée, notamment en interdisant les envois postaux et autres envois (ouverture, infection et renvoi) États-Unis ou autrement.
http://www.zerohedge.com/news/2017-03-23/nightskies-12-wikileaks-latest-leak-says-cia-bugging-factory-fresh-iphones-2008
Trump publie un ultimatum à la Chambre des républicains: vote vendredi ou Obamacare séjours
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
23 mars 2017 20h36
Mise à jour: Le bluff de Trump peut déjà fonctionner. À la suite de l'ultimatum de Trump, Mark Meadows, président du Caucus de la liberté, a déclaré que le projet de loi sur la santé a été amélioré et que le caucus de la liberté se réunira et discutera du projet de loi révisé. Et tandis que Meadows maintient un front solide pour l'instant, en disant qu'il est un "non" vote en ce moment, avec Trump ayant brillamment mis l'accent sur le caucus de la liberté et fournissant ainsi aux républicains avec un bouc émissaire si le vote échoue demain, Il est tout à fait surprenant que le caucus de la liberté se plie pendant la nuit à la suite de «délibérations intenses».
* * *
Après une journée de virages narratifs et les virages en avant de ce qui était censé être un vote de jeudi soir pour annuler Obamacare, un vote qui a été tiré dans le dernier moment, quand plus de 30 conservateurs et modérés républicains House a menacé de voter contre le plan Ryan / Trump a eu assez avec les dissidents du caucus de liberté et a publié un ultimatum informel: vote pour abroger Obamacare le vendredi ou Obamacare reste.
Trump réclame un vote vendredi à la Chambre sur le plan républicain d'abroger et de remplacer Obamacare, a annoncé le directeur du budget de la Maison Blanche, Mick Mulvaney. Si le projet de loi échoue, Trump est prêt à aller de l'avant et laisser Obamacare en place, a ajouté le directeur du budget.
Trump officiels réunion avec la Conférence GOP House a déclaré Trump est fait de négociation sur la législation, qui était fixé à venir pour un vote jeudi, mais a été retardé.
Mulvaney a déclaré à la conférence du GOP que Trump veut un vote vendredi lors d'une spectaculaire réunion à huis clos, selon une source du GOP dans la salle. Si le vote échoue, Trump passera à d'autres priorités et ObamaCare restera comme la loi de la terre, Mulvaney dit.
Il y a eu des changements de dernière minute qui ont été étudiés au projet de loi. Mais il n'était pas clair si la Chambre des représentants serait en mesure de le passer, a déclaré le député de la Caroline du Nord Mark Meadows, le président d'un groupe de conservateurs connus sous le nom Caucus de la liberté, qui a critiqué le projet de loi. "Je suis toujours optimiste" sur la conclusion d'un accord, Meadows a déclaré aux journalistes.
Après avoir rencontré Paul Ryan jeudi soir, l'homme droit de Trump Steve Bannon a déclaré aux journalistes après la conférence de la Chambre républicaine qu'il attend des législateurs de voter vendredi sur le projet de loi sur les soins de santé. Lorsqu'on lui demande s'il est confiant, il ya suffisamment de voix pour le passage: «Nous allons voter et nous allons voir.
RépondreSupprimerLe représentant Chris Collins a confirmé le message de l'administration Trump après la réunion. Trump est fait de négociation, at-il dit. "Nous devons avoir un vote demain, il s'attend à ce qu'il passe, mais il se déplace si, pour une raison quelconque, il n'a pas," a déclaré Collins.
Selon The Hill, les développements ont mis en place un vote probable sur la mesure vendredi après-midi.
On ne sait toujours pas exactement comment l'ultimatum de Trump changera l'esprit de dizaines de républicains qui ont juré de s'opposer au projet de loi, les mettant en confrontation directe avec leur président. Avec tous les démocrates de la Chambre devrait voter contre le projet de loi, le GOP ne peut se permettre 22 défections.
De plus, même si leur plan de remplacement obtient finalement l'approbation de la Chambre, la loi fait face à un combat encore plus difficile dans le Sénat contrôlé par les républicains.
Dans le pire des cas, où la Chambre vote demain et ne parvient pas à obtenir la majorité requise, on ne sait pas exactement comment Trump peut «aller de l'avant» dans le cadre du processus de réconciliation, car la réforme fiscale fait partie intégrante du déficit, Réduction - comme noté par la CBO - Republican Health Bill. Si Trump pousser, au mieux, il signifie qu'il a un coussin de réduction d'impôt encore plus petite. De plus, Trump devrait-il encore s'opposer au caucus de la liberté, un problème beaucoup plus important pour Trump et le gouvernement sera si l'aile conservatrice refuse de bouger sur la négociation de plafond de la dette, parce que les États-Unis seraient incapables de prolonger indéfiniment le plafond, Les États-Unis auront soudainement beaucoup plus de problèmes que d'abroger Obamacare.
http://www.zerohedge.com/news/2017-03-23/trump-issues-ultimatum-house-republicans-vote-friday-or-obamacare-stays
Dans un pays où faute de démocratie (le peuple qui s'exprime par référendum) se sont des précepteurs multimillionnaires dits 'représentants du peuple' !! qui votent pour eux, le mot Liberté ne peut qu'être limité à une Statue.
SupprimerLe député du Congrès avertit d'un accident boursier de 1000 points si Obamacare Lite ne passe pas
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
Le 23 mars 2017
Est-ce que nous allons voir une baisse spectaculaire du marché boursier si l'effort pour obtenir «Obamacare Lite» par la Chambre des représentants des États-Unis échoue finalement ? Jeudi, un vote sur le projet de loi républicain sur la santé a été reporté une fois qu'il est devenu évident qu'il n'y aurait pas assez de voix pour qu'il soit adopté. Les dirigeants républicains de la Chambre sont toujours optimistes quant à la poursuite du vote vendredi, mais cela est loin d'être certain. Beaucoup de conservateurs puissants à la Chambre s'obstinent à appuyer ce projet de loi parce que, bien qu'il élimine quelques-unes des dispositions les plus gênantes de Obamacare, il maintient beaucoup des éléments de la loi de santé de Obama qui ont prouvé être populaire auprès du peuple américain. En d'autres termes, ce projet de loi est beaucoup plus sur «peaufiner» Obamacare que «l'abroger».
Il s'agit du premier grand test législatif du président Trump et du président de la Chambre, Paul Ryan, et jusqu'à présent, ils échouent. Les dirigeants républicains de la Chambre sont entrés dans le mode panique, parce qu'un «non» pourrait avoir des implications très sérieuses en dehors de Washington. En fait, un membre du Congrès a averti que si ce projet de loi ne passe pas que nous pourrions voir le Dow baisse de 1000 points en une seule journée ...
Il est arrivé dans la vraie vie le 29 septembre 2008, quand la Chambre a voté pour la première fois un plan de sauvetage de Wall Street destiné à endiguer la crise financière. Dans un tourbillon d'incertitude, les membres républicains ont frappé au "non", ont défait la mesure et ont observé le Dow tomber par plus de 700 points. La même chose pourrait se produire sur la facture de santé du GOP, un membre vétéran a dit CNBC jeudi - seulement plus grand.
"Si cela tombe, nous pourrions prendre un marché de 1 000 points", a déclaré le député. Pour être sûr, les commerçants et les investisseurs disent CNBC le marché va probablement aller plus bas s'il n'y a pas de compromis jeudi, mais le déclin ne sera probablement pas près d'une baisse de 1 000 points. Cela représenterait une baisse de près de 5 pour cent de la Dow, un peu moins que la baisse de 7 pour cent lorsque l'indice a chuté 777 points en Septembre 2008.
Et même si ce projet de loi est adopté, nous sommes probablement dirigés vers une sorte de ralentissement significatif de toute façon. Sven Henrich vient de dire à CNBC qu'il croit que «le marché pourrait voir une baisse de 5 à 10 pour cent à court terme» ...
Le marché a connu une course stellaire de taureau, mais une correction est probablement imminente, selon Sven Henrich, également connu sous le nom de «Northman Trader».
Une analyse à très long terme du S & P 500, en conjonction avec un examen de l'indice de volatilité CBOE, conduit Henrich à croire que le marché pourrait voir une baisse de 5 à 10 pour cent à court terme.
Mais fixer notre système de santé défaillant est beaucoup plus important que d'essayer d'étayer les marchés financiers, et ainsi les conservateurs puissants à la Chambre ont tout à fait raison de tenir leurs principes.
RépondreSupprimerSimplement "peaufiner" Obamacare ne va rien réparer, et il est extrêmement décevant que le président Trump et Paul Ryan préconisent une telle approche.
Heureusement, il y a un certain nombre de puissants conservateurs au Congrès qui sont prêts à prendre position pour ce qui est juste, même si cela signifie de se lever contre leur propre parti. L'un de ces conservateurs de principe est le sénateur Rand Paul, et il affirme qu'il y a au moins 35 votes «non» républicains à la Chambre, ce qui suffirait à tuer le projet de loi ...
Je crois qu'il n'y a pratiquement pas de voix pour le moment, donc, à moins que quelque chose ne se produise dans les 24 heures qui viennent, je prévois qu'ils tirent le projet de loi et recommencer. Je pense que si les conservateurs se tiennent ensemble, ils auront gagné un siège à la table où une vraie négociation pour faire de ce projet de loi un projet de loi acceptable se produira. Mais c'est intéressant ce que les conservateurs font pour changer le débat. Nous sommes allés de garder les impôts Obamacare pour une année-centaines de milliards de dollars-mais ils viennent vers nous parce que nous sommes debout ferme. Nous devons donc rester ensemble, et si nous nous en tenons ensemble, il y aura une véritable négociation à ce sujet. Le principal objectif que j'ai est de ne pas passer quelque chose qui ne corrige pas la situation. Si un an à partir de maintenant, les taux d'assurance et les primes sont toujours en cours de toit et c'est maintenant un plan républicain, il sera un mauvais service pour le président et nous tous si nous passons quelque chose qui ne fonctionne pas.
Si ce projet de loi est finalement battu, j'ai une idée qui pourrait fonctionner.
Pourquoi ne pas obtenir le gouvernement de l'entreprise de soins de santé entièrement ?
Il était une fois quand nous avons laissé le marché libre déterminer l'allocation des ressources de soins de santé, nous avons eu le meilleur système de santé dans le monde entier.
Mais après des décennies d'expérimentation avec des principes socialistes et ajoutant des montagnes de règles, de règlements et de bureaucratie au système, nous avons un mess géant dans nos mains.
Soit nous devons retourner à un véritable système de marché libre, soit nous pourrions aller de l'avant et simplement socialiser l'ensemble.
En ce moment, les familles qui travaillent dur doivent payer pour leurs propres soins de santé et aussi payer pour les soins socialisés que plus de 125 millions d'autres Américains reçoivent.
RépondreSupprimerOui, quand vous ajoutez tous les Américains qui sont sur Medicaid, CHIP, Medicare et d'autres programmes gouvernementaux, il s'agit de plus de 125 millions de personnes.
Ainsi, beaucoup de familles qui travaillent dur ont peur d'aller à l'hôpital parce que leurs franchises d'assurance sont si élevés, et pourtant leurs impôts vont payer pour tous les soins gratuits que les gens sur l'aide gouvernementale reçoivent.
Si le gouvernement va payer les soins de santé pour près de la moitié du pays, pourquoi le reste d'entre nous doit-il payer pour le nôtre ?
Ce que nous avons maintenant est un système aussi ridicule, et ce que le président Trump et Paul Ryan proposent n'est pas un «marché libre» d'aucune façon, forme ou forme.
Donc, je dis laisser ce projet de loi horrible échouer, même si cela signifie que les marchés financiers vont paniquer pendant un petit moment.
Espérons que ce qui se passe au cours des prochains jours fera remonter le leadership républicain à la planche à dessin, et une abrogation propre d'Obamacare serait un bon endroit pour commencer.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/member-of-congress-warns-of-a-1000-point-stock-market-crash-if-obamacare-lite-does-not-pass
Paul Craig Roberts: "En Amérique aujourd'hui, les faits ne peuvent pas rivaliser avec les mensonges"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
23 mars 2017 22h15
Auteur de Paul Craig Roberts,
Incapable de fournir une once de preuve qu'une conspiration Trump / Poutine a volé l'élection présidentielle de Hillary Clinton, les agences coréennes de "renseignement" des États-Unis se tournent vers les médias sociaux et vers des sites Internet comme Alex Jones et Breitbart. Peut-être l'enquête du FBI se glisse-t-elle vers Glenn Greenwald à The Intercept, Zero Hedge, l'Institut Ron Paul, Nomi Prins, Naked Capitalism, Lew Rockwell, Global Research, antiwar.com, et à d'autres sur la PropOrNot, Harvard Library, Le Monde, tels que les principaux responsables de l'administration Reagan, David Stockman et moi-même. Il est extraordinaire que le FBI est tellement désespéré de protéger le budget du complexe militaire / sécurité qu'il apporte tant d'embarras à lui-même. Qui à l'avenir croira n'importe quel rapport du FBI ou quelque chose un fonctionnaire du FBI dit ?
Ceux qui sont derrière cette «enquête» comprennent qu'il est si ridicule qu'ils doivent lui donner gravité et crédibilité. Ils ont choisi deux journalistes, Peter Stone et Greg Gordon, dans le McClatchy News Washington Bureau, qui correspondait à la définition d'Udo Ulfkotte de «journalistes achetés». Cachant derrière des sources anonymes - «deux personnes connaissant l'enquête» et «des sources qui ont parlé à condition de L'anonymat ", les pressistes sont tombés dans l'attaque contre les médias indépendants, rapportant qu'un ancien responsable du renseignement américain a déclaré:" C'est peut-être l'une des opérations d'information les plus percutantes dans l'histoire du renseignement.
"Http: //www.mcclatchydc. Com / news / politique-gouvernement / maison-blanche / article139695453.html
Hou la la ! Une «enquête» totalement ridicule est l'une des plus importantes de l'histoire. L'implication est que les Russes fonctionnent à travers des scores ou des centaines de sites de médias indépendants pour contrôler la façon dont les Américains votent.
Il y avait une fois une fois en Amérique quand les gens étaient sceptiques de sources anonymes. Il était entendu que tout le monde pouvait dire à un journaliste n'importe quoi et qu'un journaliste pouvait demander une source anonyme, que la source existait ou non. Peut-être était-ce l'enquête du Watergate par le Washington Post qui a donné l'anonymat à la crédibilité. Les rapports de la Poste ont fait sonner comme toutes les sources ratting sur la perfidie de Nixon était en danger de leur vie, et l'accent subtil sur le risque a donné l'anonymat la crédibilité.
La vraie histoire sous nos nez n'est pas Trump / Poutine / conspiration indépendante des médias pour voler l'élection présidentielle. La vraie histoire est la collusion totalement évidente entre les forces de Hillary, les médias américains de presse écrite et télévisée (à l'exception de Fox News) et la CIA et le FBI pour voler la nomination démocrate de Bernie Sanders, l'élection présidentielle de Donald Trump, Et de délégitimer l'élection de Trump.
Le vol de la nomination de Sanders est précisément ce que les emails filtrés Podesta montrer. Le soutien totalement partiel de la presse pour Hillary et l'assaut à grande échelle sur Trump montrent clairement la participation des prescripteurs à la collusion. Les mensonges extraordinaires racontés en public par le directeur de la CIA d'Obama, John Brennan, démontrent clairement que la CIA est la première dans la tentative de mise en scène de Trump et de son équipe. La déclaration du directeur du FBI, Comey, la veille de l'élection présidentielle, selon laquelle le FBI avait à nouveau libéré Hillary des accusations criminelles, a envoyé au Dow 371 points et a préparé la victoire aux élections présidentielles de Hillary.
RépondreSupprimerPourquoi ne sont pas ces faits durs dans les nouvelles ?
Pourquoi, au contraire, les pressistes et les agences de «renseignement» ne rapportent que des fausses nouvelles, appuyées par des «sources» anonymes? Pourquoi une fausse réalité est-elle construite, et les faits durs sont-ils ignorés ?
Notez une autre caractéristique extrêmement étrange de notre temps étrange. Les éléments du parti libéral / progressiste / gauche représentent le président Trump en tant que membre du One Percent opérant pour le Pourcentage contre le peuple et remplissant son gouvernement avec des généraux et son budget avec plus de dépenses militaires. Pourquoi alors Trump est-il assailli à plein régime par le complexe militaire / de sécurité? Pourquoi travaillent-ils à contredire, à délégitimer et à dénoncer leur propre agent ?
Si les Américains étaient un peuple pensant, ou même un peuple capable de penser, comment une telle désinformation incohérente pourrait-elle dominer la discussion publique ?
Ce dont nous devrions avoir peur, c'est qu'en Amérique aujourd'hui, les faits ne peuvent rivaliser avec les mensonges.
L'histoire de McClatchy décrivant une enquête inutile comme l'une des plus importantes dans l'histoire travaille son chemin à travers les médias. Voir:
Http://www.latimes.com/politics/washington/la-na-essential-washington-updates-some-right-wing-sites-under-1490115530-htmlstory.html
Http://dailycaller.com/2017/03/21/fbi-probing-breitbart-infowars-in-russian-influence-investigation/
Http://news.antiwar.com/2017/03/21/fbis-russia-probe-turns-focus-on-social-media-bots/print/
Devons-nous conclure que les agences de "renseignement" corrompues et déloyales de l'Amérique sont une menace directe pour la démocratie, qu'elles sont engagées à renverser la présidence d'Trump dans une "révolution couleur", incapable de fournir une preuve quelconque de leur théorie du complot d'un Trump / Poutine collusion pour voler l'élection présidentielle, les agences de «renseignement» sont passés à la discréditer les médias Internet indépendants qui sont dans le chemin du contrôle des agences de «renseignement» sur les explications ?
Les démocrates, les «renseignements» américains et les pressistes sont absolument déterminés à contrôler les explications données au peuple américain et au reste du monde.
RépondreSupprimerLes agents sont en force, et Neo n'est nulle part en vue.
La diabolisation de la Russie et le niveau extraordinaire de tension que les ignorants et insensés Clinton, George W. Bush et Obama ont créé avec la Russie déconcertent, voire effrayent ceux qui, comme moi, Patrick Buchanan et Stephen Cohen, Les longues décennies de la guerre froide. Nous n'avons jamais vu un tel comportement hautement provocateur et entièrement gratuit d'un pouvoir nucléaire à un autre que le comportement des États-Unis envers la Russie au cours des six derniers termes présidentiels. Ce que les guerriers froids de l'époque ont connu était une accumulation progressive de la confiance mutuelle qui a permis à Reagan et Gorbatchev de mettre fin à la guerre froide et de supprimer la menace de l'Armageddon nucléaire.
En revanche, les régimes de Clinton, de Bush et d'Obama, le FBI, la CIA, la NSA, le New York Times, le Washington Post, le CNN, NPR, MSNBC et le reste des pressants, les républicains de droite comme Lindsey Graham , John McCain et Ben Sasse, le Parti démocratique, et le parti libéral / progressiste / gauche ont convaincu la Russie, selon les mots du président russe Poutine, que "nous ne pouvons pas faire confiance aux États-Unis".
Cette "réalisation" de ces idiots comprend le plus grand crime que les humains ont commis dans leur histoire entière. Les bombes atomiques avec lesquelles les Américains ont gratuitement détruit deux villes japonaises sont de simples canons pop par rapport aux armes thermo-nucléaires d'aujourd'hui. Certains des néoconservateurs fous croient à tort que la Russie n'est pas suffisamment armée pour répondre à l'agression américaine, mais le fait est que les armes stratégiques de la Russie sont supérieures et plus puissantes que celles des États-Unis.
Comment peut-il être autre chose qu'un souhait de la mort pour les gouvernements européens de se précipiter sur le conflit avec la Russie, pour les femmes marchant pas contre la guerre, mais contre Trump pour vouloir réduire les tensions avec la Russie, «Menace russe» qui garantit la guerre thermo-nucléaire? On pourrait penser que les gens marcheraient en faveur de la réduction des tensions avec la Russie et exigeant que Trump respecter cette promesse, non pas qu'ils seraient en opposition à Trump. Quelle est l'importance de l'identité politique par rapport à la guerre nucléaire ?
Comment les Américains, les Démocrates, les Républicains, les Verts, les Européens, les Canadiens, les Australiens, les Néo-Zélandais et les Japonais peuvent-ils contenir leur indignation contre les gouvernements qui mettent la vie de la planète en péril sauf le budget et le pouvoir de l'armée américaine complexe ? Trump est stupide de rouler les protections environnementales, mais cela pâlit par rapport aux dommages environnementaux de la guerre thermo-nucléaire.
Comment la gauche peut-elle être perdue dans Identity Politics alors que la vie de la planète est mise en péril ?
RépondreSupprimerPourquoi CounterPunch a-t-il récemment abandonné soudainement la classe ouvrière et la paix et a-t-il repris la cause des groupes de victimes de la politique d'identité - femmes, noirs, homosexuels, lesbiennes, transgenres et réfugiés musulmans (voir Eric Draitser CP, Vol. 1), la cause de l'UE et la mondialisation (voir
http://www.counterpunch.org/2017/03/20/brexit-nationalism-and-the-damage-done/),
qui ne profite qu'à un pour cent et Diabolisation de Trump et de Poutine ? Peut-être n'est-ce qu'une coïncidence, mais l'effondrement de CounterPunch coïncide avec la mise en place et le retrait de CP de la liste PropOrNot d'agents / dupes russes. Mes colonnes, pendant des années une caractéristique bienvenue sur CounterPunch, a soudainement cessé d'apparaître. Nous n'avons eu aucune explication de CounterPunch pourquoi le site a soudainement abandonné la paix et le pain.
On pourrait penser que l'audace des mensonges du FBI, de la CIA, de la NSA et de leurs putains de médias provoquerait une réponse puissante de la part de la population libérale / progressiste / gauche et des populations européennes, mais ce n'est pas le cas.
Qu'en est-il de Trump lui-même? At-il été forcé d'abandonner son objectif de relations normales avec la Russie, comme l'indique cet article de l'Intercept ?
Https://theintercept.com/2017/03/21/revolving-door-military/
Si non, Trump remplit les positions du Pentagone et de la Sécurité intérieure avec les généraux et les entrepreneurs de la défense afin de neutraliser les militaires de participer à un CIA / Coup contre lui ?
Si Trump est éliminé, avec Pence comme VP et la liste des personnes nommées par l'Intercept, le gouvernement américain passera aux mains du complexe militaire / de sécurité pour le reste de son existence.
Trump se concentre-t-il maintenant sur sa protection, au lieu de nous protéger d'un conflit mortel avec la Russie ?
Si c'est le cas, c'est la réalisation des services de renseignement des États-Unis, le Parti démocrate, les républicains de droite, les médias de presse et le parti libéral / progressiste / gauche.
Si quelqu'un reste à écrire l'histoire de la Grande incinération, l'identité des responsables est tout à fait claire.
http://www.zerohedge.com/news/2017-03-23/paul-craig-roberts-america-today-facts-cannot-compete-lies
Décès et impôts ... et dette
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
23 mars 2017 21h50
Rien dans ce monde n'est certain, sauf la mort et les impôts ... et une dette de 62 000 $.
Selon les données de Décembre 2016 fournies à Credit.com par le bureau de crédit Experian, 73% des consommateurs avaient dette en suspens quand ils ont été signalés comme morts.
Ces consommateurs ont un solde total moyen de 61 554 $, y compris la dette hypothécaire. Sans prêts au logement, le solde moyen était de 12 875 $. Parmi les 73% de consommateurs qui avaient une dette au moment de leur décès, environ 68% avaient des soldes de cartes de crédit.
La dette la plus courante était la dette hypothécaire (37%), suivie des prêts automobiles (25%), des prêts personnels (12%) et des prêts étudiants (6%). Il s'agit de la moyenne des soldes impayés: les cartes de crédit, 4 531 $; Prêts auto, 17 111 $; Prêts personnels, 14 793 $; Et prêts étudiants, 25 391 $.
C'est beaucoup de dettes, et, comme Fox Business rapports, il ne disparaît pas seulement quand quelqu'un meurt.
Pour la plupart, votre dette meurt avec vous, mais cela ne signifie pas qu'il n'affectera pas les gens que vous laissez derrière.
«La dette appartient à la personne décédée ou à la succession de cette personne», a déclaré Darra L. Rayndon, avocate en planification successorale à Clark Hill à Scottsdale, en Arizona. Si quelqu'un a assez d'actifs pour couvrir ses dettes, les créanciers sont payés, et les bénéficiaires reçoivent tout ce qui reste. Mais s'il n'y a pas assez d'actifs pour satisfaire les dettes, les créanciers perdent (ils peuvent obtenir certains, mais pas tous, de ce qu'ils sont dus). Les membres de la famille ne deviennent pas alors responsables de la dette, comme certains le craignent.
C'est l'idée générale, mais les choses ne sont pas toujours aussi simples. Le type de dette que vous avez, où vous habitez et la valeur de votre succession affecte considérablement la complexité de la situation. (Par exemple, la dette de prêt d'étudiant fédéral est admissible à l'annulation à la mort d'un emprunteur, mais les sociétés de prêt étudiant privées ont tendance à ne pas offrir le même avantage.
Il y a beaucoup de façons dont les choses peuvent devenir désordonné. Dites que votre seul atout est une maison où d'autres personnes vivent po Cet atout doit être utilisé pour satisfaire les dettes, que ce soit l'hypothèque sur cette maison ou beaucoup de dette de carte de crédit, ce qui signifie que les gens qui vivent là peuvent avoir à reprendre l'hypothèque, Ou votre famille peut avoir besoin de vendre la maison afin de payer les créanciers. Comptes avec co-signataires ou co-candidats peuvent également entraîner la dette tombant sur les épaules de quelqu'un d'autre. Les États de propriété communautaire, où les conjoints partagent la propriété des biens, traitent également les dettes acquises au cours d'un mariage un peu différemment.
La ligne de fond - même après que vous êtes mort, la servitude de la dette est encore une ancre autour de votre cou.
http://www.zerohedge.com/news/2017-03-23/death-taxes-and-debt
Jeudi Humour: Medicare Part G ?
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
23 mars 2017 21h00
Étant donné le fiasco de vote d'aujourd'hui, cela semblait très approprié ...
Si vous êtes une personne âgée et ne pouvez plus prendre soin de vous-même et avez besoin de soins de longue durée, mais le gouvernement dit qu'il n'y a pas de soins infirmiers à domicile pour vous, que faites-vous ?
Vous pouvez opter pour Medicare Part G.
Le plan donne à quelqu'un de 75 ans ou plus un fusil (partie G) et une balle.
Vous pouvez alors tirer sur un politicien sans valeur.
Cela signifie que vous serez envoyé en prison pour le reste de votre vie où vous recevrez trois repas par jour, un toit sur la tête, le chauffage central et la climatisation, la télévision par câble, une bibliothèque et tous les soins de santé dont vous avez besoin.
Besoin de nouvelles dents ? Pas de problème. Besoin de lunettes ? C'est génial. Besoin d'un appareil auditif, de nouvelles hanche, de genoux, de reins, de poumons, de changements de sexe ou de cœur ? Ils sont tous couverts !
En prime, vos enfants peuvent venir vous rendre visite au moins aussi souvent qu'ils le font maintenant !
Et qui paiera pour tout cela ? Le même gouvernement qui vient de vous dire qu'ils ne peuvent pas se permettre pour vous d'aller dans une maison de soins infirmiers. Et vous vous débarrasserez d'un politicien inutile pendant que vous y êtes.
Et maintenant, parce que vous êtes un prisonnier, vous n'avez plus à payer d'impôt sur le revenu !
Est-ce un grand pays ou quoi ?
Maintenant que vous avez résolu votre problème de soins de longue durée, profitez du reste de votre semaine !
http://www.zerohedge.com/news/2017-03-23/thursday-humor-medicare-part-g
voir 'Prison Planet' !
SupprimerEnviro essaie-t-il de tuer l'agriculture en Californie ? 2017 Allocations de l'eau Imply 'Yes'
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
23 mars 2017 18h30
Plusieurs fois au cours des deux derniers mois, nous avons écrit sur les inondations historiques qui sont tombées sur la Californie pendant la saison des pluies 2016-2017 (voir ici et ici pour quelques exemples). En fait, l'inondation a été si grave qu'elle a presque causé l'échec complet d'un barrage majeur dans le nord de la Californie et a abouti à l'évacuation de 200 000 habitants dans les villes voisines (voir «Près de 200 000 personnes évacuent la« faillite imminente »de Oroville en Californie Dam - Live Feeds ").
Inutile de dire, par le graphique suivant, 2016/2017 a été l'année la plus humide qui a été enregistrée dans l'état de Californie dans les décennies et probablement l'un des plus humides jamais.
- voir graphique sur site -
Pluie
Et bien que les inondations aient eu des conséquences dévastatrices pour plusieurs villes du nord de la Californie, ces conséquences ont été au moins quelque peu compensées par le vaste réseau de canaux et de réservoirs de l'État, sur lequel les contribuables et les agriculteurs ont dépensé des milliards de dollars au début des années 1900. Permettre le mouvement rapide et facile de l'eau autour de l'état pour le stockage.
- voir graphique sur site -
Parrainé par NISSAN
En outre, ce stockage d'eau excédentaire était une bonne nouvelle pour les agriculteurs californiens de la vallée centrale car cela impliquait qu'après des années de sécheresse, de superficies en jachère, de pertes économiques et de 0% d'allocations d'eau des projets d'eau étatiques et fédéraux, Allocation pour la campagne agricole 2017 et vivre pour combattre un autre jour.
Par conséquent, vous pouvez imaginer notre «choc» complet d'apprendre que, en dépit des précipitations records, Californie Central Valley Water Project n'a alloué aux agriculteurs 65% de leurs allocations d'eau contractées pour 2017. Qui, combiné avec les restrictions de l'État sur le pompage des eaux souterraines, Loi sur la gestion durable des eaux souterraines "), rendra pratiquement impossible l'exploitation agricole dans l'État de Californie au cours des prochaines années.
- voir graphique sur site -
Ag
Tout cela, naturellement, pose la question de savoir si les agriculteurs ne peuvent pas obtenir des allocations complètes d'eau auxquelles ils ont droit contractuellement en une année d'inondations massives et de réservoirs littéralement débordants, est-ce qu'ils recevront de telles allocations ?
Et pendant que vous réfléchissez à cette question peut-être vous pouvez également deviner qui n'a pas eu à prendre une coupe de cheveux sur leurs allocations d'eau cette année ... si vous avez deviné «tous les projets d'animal de compagnie des écologistes de la Californie», alors vous êtes absolument correct.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Faune
Pendant ce temps, si rien d'autre, au moins cela va juste pour exposer le fait que Trump avait raison, une fois de plus, quand il a dit à un groupe d'agriculteurs à Fresno en mai dernier que "il n'y a pas de sécheresse" en Californie ...
«Il n'y a pas de sécheresse, ils transforment l'eau en océan.
«Nous allons résoudre votre problème d'eau, vous avez un problème d'eau tellement fou, c'est tellement ridicule que l'on prend l'eau et qu'on la met en mer».
"Si je gagne, croyez-moi, nous allons commencer à ouvrir l'eau pour que vos agriculteurs puissent survivre."
... parce que les faibles allocations d'eau aux agriculteurs ne portaient jamais sur la «sécheresse» ... il s'agissait toujours d'un groupe d'écologistes bien orchestrés cherchant à fermer l'industrie de l'ag dans leur «espace de sécurité» libéral de la Californie.
http://www.zerohedge.com/news/2017-03-23/are-enviros-trying-kill-farming-california-2017-water-allocations-imply-yes
C'est ce qui se passe partout !
SupprimerL'eau GRATUITE qui sort des sources, vient des pluies ou est pompée dans les nappes phréatiques perpétuellement reremplies par les infiltrations océaniques, doit être payée !!! par les consommateurs ! sinon... cette eau gratuite qui passe et repasse là continuellement depuis des millions d'années ira... à l'océan !
Rappelons qu'il est même interdit de faire des barrages à l'eau des rivières car... ils empêchent les poissons de fritures de remonter le courant pour pondre !!!
("Sauvons les éperlans ! par les humains ") !!