Glutamate, aspartame : ces poisons qui nous nourrissent
Petit raccourci de reportage qui dit bien ce qu'il veut dire !
Aspartam, glutamate : ces additifs alimentaires (du E100 au E1520) qui nous empoisonnent - vous pouvez vous fournir le guide de additifs alimentaires auprès de Corinne Gouget.
« Et si la France sortait de l’euro… par France 5 ! »
Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
L’Italie est en proie à la crise. En effet, suite à la faillite de quatre grandes banques italiennes, la troisième économie de la zone euro est obligée d’annoncer sa sortie et son retour à la lire… Voilà pour le scénario de départ.
Phase panique, catastrophe, crash des marchés, tout y passe, tout est noir, tout est affreux.
Pourtant, il ne doit s’agir ni de rassurer ni de faire peur mais de faire face !
Et là réside toute la bêtise d’une classe politico-médiatique qui, croyant bien faire pour « sauver » l’euro, ne fait en réalité que l’enfoncer chaque jour un peu plus dans l’esprit de citoyens commençant à se sentir pour le moins excédés par l’absence de décisions, de changements, d’évolution et de prise en compte de leurs réalités quotidiennes.
Faire face aux problèmes posés par l’euro !
Je suis pour l’euro (dans l’absolu et dans mes rêves) mais je suis contre dans la réalité. Pas contre parce que l’idée n’est pas belle, l’idée est belle, mais une idée aussi belle soit-elle doit-être réaliste. L’euro pourrait être viable sans problème mais cela demande un cadre permettant cette viabilité. Sans un cadre permettant la viabilité de l’euro alors il est condamné, et sa mise en place suivie de sa destruction nous apportera bien plus de malheur que si nous n’avions rien fait ! C’est en leur temps ce que des hommes comme Seguin ou encore comme J.P Chevènement avait tenté d’expliquer lors du référendum de Maastricht.
Il y a aujourd’hui deux catégories de gens : les idéologues doctrinaires défendant l’euro à cor et à cri et les pragmatiques qui ne veulent ni la mort de l’euro ni sa survie mais qui constatent factuellement son échec et son impossibilité à poursuivre son existence sans régler ses problèmes de fabrication.
Je rappelle, pour tous ceux et celles qui ne l’auraient pas encore compris, que l’euro c’est une monnaie unique sur des économies hétérogènes. Il n’y a rien à voir entre les structures de l’économie de la Grèce, de la France, de l’Allemagne et du Portugal… Résultat ? L’euro est super pour l’Allemagne, mauvais pour la France, catastrophique pour la Grèce. L’Allemagne bat tous ses records d’excédents et nous, de déficits commerciaux… Mais ce n’est pas grave si nous mettons en place une union de transfert.
C’est ce qu’il y a en France entre les Parisiens (très riches) qui payent tout plein d’impôts qui servent à financer les écoles à construire dans le Gers… Ce n’est pas une critique ! Je suis très fier en tant que citoyen de participer à l’équilibre économique dans notre pays. En clair, dans une union de transfert, les sous des uns les plus riches sont transférés vers les autres les plus pauvres. Vous avez la même chose entre l’Italie du Nord assez riche et l’Italie du Sud plutôt pauvre ! L’État central répartit les ressources.
Alors l’équation finalement est assez simple : soit nous allons vers plus d’Europe et l’Allemagne accepte de payer pour les pays les plus pauvres dans le cadre de la mise en place d’une vaste union de transfert européenne et à ce moment-là alors on pourra considérer l’euro éventuellement comme techniquement viable (bien que les problèmes de conception de l’euro soient tout de même plus larges et bien plus vastes), soit l’Allemagne refuse de payer pour les autres, ce qui relève de sa propre liberté et alors l’euro rien que sur ce point est condamné à l’échec.
Pour le moment, l’Allemagne ne veut pas payer et ne voudra jamais payer mais personne ne veut le reconnaître car cela obligerait à tirer des conclusions à savoir que s’il n’y a pas plus d’Europe alors ce sera plus d’Europe du tout !
Après restent le choix et la volonté politique
Et la question qui vient immédiatement est « veut-on seulement encore plus d’Europe ? », tout en sachant que l’ensemble des peuples composant l’Europe refusent désormais d’aller vers plus d’Europe tant cette Europe qui nous a été construite est la négation des choix démocratiques et un outil indéniable au service des multinationales, du grand capital, de la grande finance et aussi de l’idéologie ultralibérale au sens large. Dans cette Europe-là, aucun peuple n’y trouve son intérêt. Personne n’en veut. Pour imposer plus d’Europe, il n’y a donc pas d’autre choix que de dépasser la démocratie, expression pudique pour parler de l’instauration d’une dictature plus ou moins douce pour imposer en force une Europe détestée et rejetée… à juste titre par les peuples.
Nous en sommes donc là. Et croyez-moi, au bout du compte ne nous attendent que de mauvaises solutions et de mauvais choix. Il est déjà trop tard, préparez-vous.
Personne y a gagné ! Personne ! Sauf... les 'Dirigeants' ! C'est Dictature de non-élus.
Le clip joint à l'article ci-dessus, montre comment il serait terrible de vouloir se débarrasser de la dictature, le chaos montre promis et, pourquoi pas, la provocation de l'armée, des appariteurs (comme disait Coluche) qui brûlent des voitures et cassent des vitrines pour faire mal-voir une manifestation pacifiste et, qui dégénère très vite en guerre civile/loi martiale = renforcement de la dictature.
Tout le clip est monté pour faire peur !
Le passage du franc à l'euro: les français y ont tous perdu ! Le prix du pain, du café, des transports, etc
Le passage de l'euro au franc: les français devraient tous y perdre ! Bizarre, non ?
Regardez déjà les interviews dans le clip: ceux qui parlent en face et, ceux qui sont filmés de loin ! Montage amusant qui dit bien ce qu'il veut dire !
Notez aussi que l'épargne 2014 à atteint 4000 milliards d'€ soit 2 fois la dette de la France. D'où, la konfiscation à venir ! (y compris pour l'or dont l'achat... n'est PAS anonyme !).
Décryptage méticuleux d’une série de mensonges dont les historiens souriront demain
19 février 2015 « Courrier international », le produit offshore du « Monde » Thierry DERONNE
Cet article est un redoutable décryptage des enfumages médiatiques, des manipulations, voire des purs mensonges destinés à un public français à partir de situations dans des pays lointains.
Avec une précision chirurgicale, une profusion de sources irréfutables, l’auteur met en cause Le Courrier International, Le Monde, Libération que le grand public prend pour des médias insoupçonnables.
La plus récente tromperie voulait convaincre que les dirigeants vénézuéliens sont compromis (comme tout le monde !) dans le scandale d’HSBC. L’article qui suit est une leçon de journalisme et une fessée administrée à ceux qui, trop attachés à une cause, en oublient de respecter leurs lecteurs.
Le Grand Soir
Lorsque la Guerre Froide cèdera la place à l’équilibre multipolaire, les historiens souriront en étudiant la propagande médiatique déployée autour de la démocratie participative la plus avancée de l’Amérique Latine. D’un Paulo Paranagua (Le Monde) écrivant que Chavez avait nui à l’unité latino-américaine au moment précis où l’ensemble des gouvernements, organismes multilatéraux et mouvements sociaux du continent saluaient l’œuvre du principal artisan de l’unité (1), à un François-Xavier Freland expliquant pourquoi des millions de vénézuéliens saluaient la dépouille mortelle du « dictateur » Chavez : « oh vous savez il y a beaucoup de curieux » (2). Sans oublier ce Libération de 2006 où Jean-Hébert Armengaud, actuel rédacteur en chef de Courrier International, coupa et remonta un discours du président bolivarien pour prouver qu’il était antisémite (3).
Cette campagne lancée par le « Guysen Israël News » et relayée par la section argentine du Centre Wiesenthal, fut démontée le 11 janvier 2006 par le site ACRIMED qui révéla le trucage (4). Le président de la Confédération des Associations Juives du Venezuela Fred Pressner expliqua que Chavez n’avait rien d’antisémite, critiquant le Centre Wiesenthal pour sa précipitation et son refus de s’informer auprès de la communauté locale : “Vous avez interféré avec notre statut politique, notre sécurité et notre bien-être en tant que communauté. Vous avez agi unilatéralement, sans nous consulter, sur des thèmes que vous ne connaissez pas et ne comprenez pas” (5). Tant l’AJCommittee (Global Jewish Advocacy) que le Congrès Juif Américain appuyèrent le point de vue de la communauté juive du Venezuela pour qui les propos du président bolivarien avaient été totalement manipulés. Ses autorités se réunirent ensuite avec Chavez pour souligner publiquement d’excellentes relations jamais démenties depuis, comme en témoigne la réunion du président Maduro avec les représentants du Congrès Juif Mondial en novembre 2014 à New York (6).
Jean-Hébert Armengaud a caché ces faits aux lecteurs et a refusé d’admettre sa faute professionnelle. Il est devenu en 2012 rédacteur en chef de Courrier International, un produit du groupe Le Monde qui recycle des articles puisés dans l’apparente diversité qu’assure l’hégémonie des grands groupes médiatiques internationaux…
En 2007, cet hebdomadaire publie un article intitulé « Poutine et Chavez, de drôles de démocrates ». Quelques jours avant la tenue d’un référendum sur la constitution au Venezuela, Philippe Thureau-Dangin parle de « coups d’Etat en forme de plébiscites » et parie sur une victoire de Chavez pour l’analyser par avance : « on ne fait plus de coups d’Etat baïonnette au canon ; on se contente de les faire avaliser, tout à fait légalement, par des peuples subjugués ». Hélas pour Courrier International Chavez perd le référendum et félicite aussitôt l’opposition ! (7).
Le Venezuela bolivarien a organisé un nombre record de scrutins (19 en 15 ans), reconnus comme légitimes et transparents par les observateurs de l’Union Européenne, de l’Organisation des Etats Américains ou de l’Association des Juristes Latino-américains. “Excès de démocratie” pour l’ex-président du Brésil Lula. Meilleur système électoral du monde selon Jimmy Carter qui a observé 98 élections dans le monde (8). En mai 2011 le rapport de la canadienne Fondation pour l’Avancée de la Démocratie (FDA), qui prend régulièrement le pouls des systèmes politiques, place le système électoral du Venezuela à la première place mondiale pour le respect des normes fondamentales de démocratie et d’équité sociale (9). L’ONG chilienne LatinoBarometro (10) soutenue entre autres par le BID (Banque Inter-Américaine de Développement), le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement), l’OEA (Organisation des États Américains), l’états-unien Office of Research et les agences de coopération des gouvernements suédois, norvégiens et canadiens, a établi dans son rapport 2013 que le Venezuela bat tous les records de confiance citoyenne dans la démocratie pour toute l’Amérique Latine (87 %) suivi de l’Équateur (62 %) et du Mexique (21 %). Pour Latinobarometro, “le Venezuela est le pays où on observe la plus grande différence entre ce que pensent ses citoyens de leur démocratie et l’image qui circule dans la communauté internationale”. Le 10 février 2015, dès qu’éclate le scandale de la fraude fiscale organisée par HSBC pour ses clients, Courrier International tire à nouveau plus vite que son ombre et affirme que « la révolution bolivarienne confiait son argent à HSBC » (11), laissant entendre qu’il y a eu fraude et que le gouvernement bolivarien refuse de s’expliquer. L’objectif de Sabine Grandadam est transparent : surfer sur le scandale HSBC pour créer l’image d’une révolution corrompue. De fait, grâce à la convergence croissante des médias commerciaux et des médias sociaux, le buzz s’opère :twitter Or, la seule référence à l’Etat sur la liste vénézuélienne de Falciani concerne la Banque du Trésor qui en 2005 avait ouvert trois comptes à HSBC et une quinzaine d’autres dans des banques étrangères. Il ne s’agit ni de comptes individuels, ni de comptes secrets ni d’une fraude avec comptes codés et société-écrans offshore. Les noms qui apparaissent sont ceux des fonctionnaires qui ont effectué les signatures administratives et l’information n’évoque pas d’irrégularités.
Ce ne fut pas la seule fois que l’Etat Vénézuélien déposa une partie de ses fonds dans des banques suisses pour défendre ses intérêts. En février 2008, en pleine bataille légale contre la plus grande compagnie pétrolière états-unienne, ce fut pour protéger une partie de ses revenus pétroliers d’un possible embargo de la part d’Exxon Mobil que le gouvernement bolivarien les transféra dans des banques suisses (en 2014 le tribunal trancha en faveur du Venezuela.) Trois ans plus tard, en 2011, le président Chavez annonça le rapatriement des réserves d’or du pays, qui se montaient à 11 milliards de dollars et se trouvaient dans des banques d’Angleterre, du Canada, de France et des Etats-Unis. Il décida aussi de transférer les fonds des réserves et du Trésor vénézuélien à des pays membres des BRICS comme la Chine, la Russie et le Brésil, face à de possibles « sanctions » de la part des Etats-Unis.
Ces faits ultérieurs éclairent la relation de l’Etat vénézuélien avec la banque privée internationale mais n’ont aucun intérêt pour Sabine Grandadam puisque son objectif est simplement d’associer « révolution bolivarienne » à « corruption ». C’est aussi pourquoi elle reste muette sur les 99% de la liste « Venezuela » de Falciani (12) : 178 noms et 115 adresses de clients vénézuéliens possédant des comptes individuels à HSBC. On n’y trouve pas de dirigeants politiques de la révolution, ni le président Maduro ou sa famille, mais pas mal de membres du secteur privé, notamment des médias ou de PDVSA (compagnie pétrolière) avant sa récupération par le gouvernement. C’est plutôt une surprise quand on sait que la vulgate médiatique au Venezuela comme sur le plan international est de dénoncer « la corruption des chavistes ».
Bien sûr, un journaliste doué d’un minimum de conformisme n’a qu’à se baisser pour traduire les titres dont les grands groupes médiatiques usent pour faire campagne contre le socialisme bolivarien. Chacun est libre d’ajouter sa pierre aux milliers d’attaques subies par le Venezuela depuis qu’une démocratie de gauche y restitue les droits sociaux et politiques a une majorité d’exclus, et consciemment ou non, de renforcer l’environnement médiatique nécessaire aux coups d’Etat comme celui que le Venezuela vient de déjouer. Il est libre d’occulter à ses lecteurs l’ingérence états-unienne dénoncée par l’ensemble des gouvernements latino-américains (13), et de se refuser à effectuer le moindre reportage sur seize ans d’avancées sociales. Bref, libre d’ignorer la Charte du « Monde » : « 1/ Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité ; (..) 9/ Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste (14). »
Par Ron Holland Le Quotidien de Bell Le 19 février 2015
"Etes-vous prêt pour la guerre totale ?" "Sind Sie für bereit totalen Krieg ?" - Joseph Goebbels
Le 18 Février 1943, ministre de la Propagande Joseph Goebbels allemande a prononcé un vibrant discours à Berlin Sportpalast, demandant le peuple allemand, "Sind Sie für bereit totalen Krieg ?" Ou "Etes-vous prêt pour la guerre totale?" Allemagne avait prévues pour Blitzkrieg et une guerre courte et a été préparé pour une guerre mondiale que les forces militaires combinées des États-Unis, l'Angleterre et l'Union soviétique écrasés Reich sans relâche et systématiquement. Bien que les habitants et l'économie se sont rassemblés dans la défense de l'Allemagne, la guerre totale ne prolonge les horreurs de la guerre et a retardé leur défaite inévitable.
Aujourd'hui, 72 années plus tard, un autre empire quasi-fasciste autrefois au sommet du pouvoir économique mondial est repris, cette fois sur le plan économique, par la Chine et les pays BRIC. Pourtant, il conserve la capacité de projeter la puissance militaire sur tous les continents, avec des troupes déployées dans plus de 150 pays, et est impliqué simultanément dans les régions allant de l'Europe et l'Ukraine, à travers le Moyen-Orient et en Afrique pour les nations en Asie autour de la Chine. La direction de la plupart des Etats vassaux étrangers sont menacés, acheté hors tension ou chantage en faisant les ordres de l'empire de peur qu'ils ne soient renversés et remplacés par black-ops secrètes qui se font passer souvent que les soulèvements nationaux du cru comme le Printemps arabe ou le coup d'Etat en Ukraine en 2014.
Non-coopération des nations étrangères, les banques centrales, les nationalistes et les centres nationaux d'influence puissants sont menacés de sanctions de l'Etat commerciales, des sanctions individuelles et de listes noires, interdictions bancaires et de notation des obligations déclassements en plus à d'autres menaces économiques et militaires directes. Puissante machine de propagande de l'empire basé à New York et à Londres que, si nécessaire, peuvent dans les quelques semaines seulement tourner anciens alliés en despotes mal sans cause, la raison ou la preuve.
Un crime impardonnable est de menacer les montagnes de la dette publique et des milliards sans fin dans des instruments dérivés émis par des gouvernements vassaux de l'Etat dirigé par les dirigeants politiques étrangères contrôlées où les offres d'obligations anciennes sont simplement reconduire, avec les intérêts dus, dans de nouvelles obligations. Ce davantage le fardeau des citoyens et des contribuables tellement favorisé les intérêts des services bancaires d'investissement mondiaux aux États-Unis, Royaume-Uni, l'Allemagne et d'autres peuvent poursuivre leur frais et commissions gravy train. La Grèce est le talon d'Achille de l'Union européenne
Mais le péché cardinal pour un politicien ou dirigeant politique est de menacer l'entité dirigeante, que la Grèce est en train de faire avec l'Union européenne. L'UE a une junte au pouvoir des politiciens non élus et les intérêts bancaires obligataire maintien se cachent derrière les dirigeants politiques comme Merkel en Allemagne. Cette création moderne-jour d'une union permanente construite sur l'erreur fatale de l'Union américaine, où les Etats anciennement souverains sont libres d'adhérer, mais ne peuvent jamais sortir, est une recette pour un désastre.
Ce était le cas avec la guerre civile aux États-Unis ou d'aujourd'hui en Grèce, avec la destruction économique totale et la misère de l'État et le peuple aux intérêts bancaires étrangers et de l'esclavage de la dette. Ce statut de débiteur permanente aux intérêts bancaires allemandes et d'autres apparaît même pour empêcher la Grèce obtenir de l'aide financière de la Russie ou de la Chine.
Ne vous méprenez pas; minuscule Grèce ne menace la survie de la monstruosité de l'UE. Si la Grèce prévaloir dans ses efforts pour séparer de l'UE, l'Italie, l'Espagne, le Portugal et d'autres pays suivront certainement son chemin audacieux retour à la prospérité, de l'indépendance et de la souveraineté, pas possible sans un euro considérablement affaibli.
L'établissement médias Assure la guerre la monnaie est une guerre secrète "La première victime quand la guerre est la vérité." - Hiram Johnson un politicien républicain de la Californie qui a servi dans le Sénat américain depuis près de 30 ans.
Merci aux médias de propagande de l'établissement - tous les principaux canaux de nouvelles de câble, y compris le néocon Fox Nouvelles - relativement peu d'Américains sont en mesure de voir le dollar mondiale en cours et les guerres économiques qui font rage depuis le Yémen, la Syrie, l'Irak et l'Iran à la Grèce et de l'Ukraine. La plupart supposent l'assaut bancaire de l'UE sur la Grèce en réponse à ses menaces de quitter l'Union européenne et de ses dettes obligataires des banques allemandes est un enjeu économique distincte de sanctions américaines et financiers de l'UE contre la Russie. De même, il ya peu de discussion et encore moins la compréhension par les Américains sur la façon dont le mouvement ISIS, créée à l'origine par les États-Unis comme une faction modérée contre le gouvernement syrien, transformé soudainement dans le sunnite mouvement califat contrôle désormais la majorité de la Syrie et de l'Irak.
La vraie question est de savoir si cette guerre économique et financière menée entre Washington et les Etats vassaux y compris l'Union européenne supra-nationale contre l'alliance Russie / Chine restera une guerre économique et monétaire ou aller chaud sur ISIS et la résistance nationaliste. Le but ultime de l'empire est de maintenir la survie du marché de l'énergie pétrodollar prix en dollars - et ce est la raison derrière le but US ultime, qui est d'arracher le contrôle des pipelines de pétrole et de gaz à travers l'Irak, la Syrie et l'Ukraine de l'opposition régimes.
En tant qu'Américain, je écris ici d'une dissimulation d'une guerre en cours entre Washington, Londres et l'UE contre la Russie et la Chine. La, historiquement un état vassal de l'UE contrôlée par Washington, est maintenant poussé dans un militaireconflit sur l'Ukraine. Aujourd'hui, il ya un fossé politique qui se déroule entre l'Allemagne Merkel, rejoints par d'autres grands pays européens, et les dirigeants autrefois dominante des États-Unis / Royaume-Uni quant à savoir si les armes militaires devraient être fournis au gouvernement américain installé à Kiev.
Rappelez-vous les Européens les horreurs de la Deuxième Guerre mondiale
Que la plupart des Américains ne réalisent pas est que, pendant la Deuxième Guerre mondiale, chaque nation européenne avait au moins un contingent de troupes de combat du côté de l'Allemagne contre les Russes - et les Russes sont difficiles combattants. Le taux d'approbation de 80% de Poutine en Russie éclipse la popularité de chaque politicien occidental et parti politique. Il est difficile d'imaginer les troupes allemandes ou françaises se battre et mourir pour Merkel Hollande ou dans les plaines de l'Ukraine, qui faisait autrefois partie de la Russie, où des millions de troupes soviétiques morts pendant la Seconde Guerre mondiale.
Alors que les porte-parole néo-conservateurs habituels comme John McCain et Lindsey Graham pourraient vouloir les États-Unis impliqués dans un conflit militaire avec la Russie en Ukraine, et les Américains incultes pourrions même aller avec eux, les Européens connaissent leur histoire et sont à juste titre horrifiés à l'idée.
Rappelez-vous, l'ancienne Union soviétique pendant la Guerre mondiale était un haï communiste gouvernement dirigé par un dictateur tyrannique. Conflits militaires actifs sont durs pour les politiciens pour justifier sauf se il ya un aspect culturel, religieux, patriotique ou ethnique à l'action militaire. Joseph Staline , l'un des plus grands tyrans du monde, a été en mesure d'obtenir le peuple russe derrière sa guerre avec Hitler seulement parce au public, la défaite signifiait soit la durée de vie du servage ou la mort sous le régime nazi étrangère. Lela cruauté des armées allemandes et SS finalement garantis leur défaite; bien que dans de nombreux domaines, ils ont d'abord été accueillis en libérateurs, l'occupation militaire par la suite par les nazis est devenue égale ou pire que les terreurs de Staline et l'Union soviétique.
Aujourd'hui, l'Internet limite l'efficacité des efforts de propagande gouvernement
Les gouvernements et les politiciens doivent maintenant faire face à la Internet Réforme où les prises de médias alternatifs présentent souvent une vue tout à fait différent de la guerre et les manipulations de marché financier que ne le fait l'establishment médiatique avec leur séquences vidéo aseptisée soutenue par les éditoriaux de propagande "patriotiques" et nouvelles financières commentaires.
Si, historiquement, l'Empire de Washington était un peu bénigne et même utiles pour les anciens adversaires suivants la Deuxième Guerre mondiale, des États-Unis incursions au cours des deux dernières décennies ont été plus d'une histoire d'horreur de la destruction de la nation de la libération et de la prospérité - témoin Irak, l'Afghanistan, la Syrie, la Libye et Yémen ne en nommer que quelques-uns. Bien sûr, toutes les nations et empires concurrence et aucun de nos concurrents en provenance de Russie, de la Chine ou de l'Iran, etc., sont gouvernés par des saints ou sans leurs propres atrocités, mais le châtiment ne se produisent et les poulets ne viennent à la maison pour se percher où les nations ou des empires perdent dans le domaine militaire, guerres économiques ou monétaires. Malheureusement, l'innocence de civils a pas de protection lorsque les marées flambée de l'empire tour.
Demandez aux centaines de milliers d'Allemands qui ont été rédigés dans le Volkssturm dans la dernière année de la Deuxième Guerre mondiale, étant donné un Panzerfaust et marcha vers l'avant pour attaquer les chars soviétiques et défendre les dirigeants nazis à Berlin. Ou considérer les civils innocents dans un Dresde incendiée où des dizaines de milliers ont été brûlé vif ou asphyxiés par les bombardements de terreur alliée à la fin de la guerre, pour ne pas mentionner les centaines de milliers au Japon qui ont été victimes de feu bombardement atomique et attentat à la bombe .
Personnellement, je ne prévois pas de défendre les politiciens américains à Washington d'une agression étrangère ou domestique ou le cartel de la banque centrale et de Wall Street banquiers d'investissement qui, finalement, va détruire le monde dans une mer de dette. Mais décrets présidentiels d'urgence garantissent nous ne serons pas en mesure de protéger nos fonds de retraite, d'épargne et de portefeuilles de placements de la confiscation lorsque les poulets rentrent à la maison pour se percher sur l'Empire Washington.
Si nous avons une certaine richesse ou des biens gauche lorsque le dollar échoue, nous ne pouvons pas arrêter l'avenir "signifie essai" de nos prestations de sécurité sociale et Medicare. Une grande partie de nos biens immobiliers domestiques peuvent ainsi être volés par des groupes favorisés et individus quand nous ne pouvons pas payer les exorbitantes taxes foncières annuelles tout comme beaucoup de biens dans le Sud vaincu a été prise par nord "ensacheuses de tapis" Après la guerre entre les États - ou perdu au cours de la Grande Dépression , qui est un scénario le plus probable pour la comparaison de ce que tous les Américains productives seront confrontés à l'avenir.
Actuellement, il ya une guerre mondiale qui a lieu juste en face de nous, mais tout ce que nous voyons sur le câble sont les nouvelles escarmouches militaires nocturnes sur la périphérie du conflit. La vraie guerre est économique, financière et monétaire lié et l'empire est déjà trop prolongée de la dette, les opérations militaires et la manipulation financière. Sûrement le court terme force du dollar est la preuve que tout défaite ne est pas imminent et que tous les marchés peut être manipulé pour une saison, en fin de compte réels forces du marché mondial prévaudront.
Ne attendez pas qu'il soit trop tard
Les Américains devraient profiter de la vigueur récente du dollar à se diversifier dans d'or , investissements , immobilier et refuges endroits en dehors du dollar américain et les États-Unis. Mieux vaut être tôt que trop tard parce que finalement les conséquences des actions militaires agressives, la manipulation de la banque centrale et la dette publique incontrôlée et passif non capitalisé rentreront au peuple américain. Ni la culpabilité de nos dirigeants politiques et de la banque, ni l'innocence de nos citoyens vous, protéger vos biens ou votre famille. (Ron va parler plus sur ce sujet à la 13 au 17 mai Conférence sur l'investissement alerte élevée .)
Ne attendez pas pour une sortie de la Grèce de l'UE, une course sur la dette euro, un tiers invasion américaine de l'Irak, guerre contre ISIL ou une escalade en Syrie ou en Ukraine pour tenter de sécuriser les pipelines de pétrole et de gaz d'agir. Ne oubliez pas que tous les empires finissent par devenir trop étendues financièrement, économiquement ou militairement et les conséquences de la répression et blowback sont réels et mortelle pour les populations innocentes.
Reproduit avec la permission de Le Quotidien de Bell .
DARPA développe l'Implant avec « Terminator » Vision: « brancher directement à l'ADN d'une personne et cortex visuel »
Mac Slavo 18 février 2015 SHTFplan.com
Pour l'instant, la technologie est sous forme « brute » en cours de R & D par le biais de l'expérimentation animale, plus particulièrement avec les connexions neuronales d'un poisson-zèbre.
À plus long terme, les chercheurs DARPA (du Pentagone Defense Advanced Research Projects Agency) croit le gène modifiant la technologie optique sera en mesure de restaurer la vision aux aveugles et malentendants et remplacé les conceptions actuelles de la réalité virtuelle, avec un écran interne qui fournira des statistiques vitales et plus d'infos sur la cible, err, objet en vue.
Selon CNET, les boffins DARPA travaillent auraient été sur un dispositif appelé un "modem cortical" qui se branche directement sur l'ADN d'une personne et cortex visuel. Non seulement ce dispositif unique aide quelqu'un vaincre la cécité ou mauvaise vue, il génère un intégré Heads-up display (HUD) qui s'affiche à droite dans sous leurs yeux.
Les implants créer une projection de réalité augmentée qui apparaît comme des lunettes magiques dans votre vision naturelle et sans la nécessité pour les casques ou spéciales. (source)
La superposition visuelle pourrait être développée, comme dans le "Terminator" de Schwarzenegger films, comme un panneau automatique de l'information qui concorde parfaitement avec le monde réel, ou il pourrait intégrer interactive "Minority Report"-style de panneaux, mais en interne. Malgré tout, les implications sont fantastiques et peut-être, troublant.
Si ce n'est guère la première incursion DARPA dans cerveau implants, cette technique représente une nouvelle percée, car il nécessite une modification de l'ADN d'une personne, une demande d'optogenetics qui permet de contourner notre système sensoriel visuel naturel et fait usage de ce qui est, pour l'instant en tout cas, un simple $10 appareils qui produit l'affichage LED-comme :
« Les implications de ce projet sont stupéfiantes, », a écrit Peter Rothman de L'humanité + Magazine, qui a assisté à l'événement. Tout d'abord, cette technologie pourrait être utilisée pour restaurer la fonction sensorielle aux personnes qui ne peuvent tout simplement être traités avec les approches actuelles. Deuxième, l'appareil pourrait remplacer toute la réalité virtuelle et augmentée des écrans de la réalité. "
"Sans passer par le système sensoriel visuel entièrement, un modem cortical peut directement afficher dans le cortex visuel permettant une sorte de virtual superposition sur le monde réel," a-t-il ajouté. "En outre, l'approche d'optogenetics permet la lecture et l'écriture d'informations. Donc on peut imaginer au moins un appareil dans lequel les objets virtuels apparaissent bien intégrées dans notre monde perçu. » (source)
Chercheurs croient que, bien que loin d'être terminé, cela rendrait la science-fiction tech possible, même ouvrir la porte à la télékinésie et la télépathie :
Les possibilités vont encore plus loin, cependant, dit Rothman. Le modem cortical pourrait potentiellement permettre électronique télépathie et télékinésie et pourrait rendre les interfaces neurales, rendus populaires par la science fiction writer est une réalité. Ces avances sont encore loin, toutefois, que le modem cortical dans sa forme actuelle est encore, dans les mots de Rothman, un dispositif « rudimentaire ».
Alors qu'elle pourrait être facturé comme un remède incroyable pour les non-voyants, les implications pour le champ de bataille militaire sont immenses.
Comme beaucoup de films dystopique et futuristes comme Ray Kurzweil ont prédit depuis longtemps, ces implants neurones, modifications et « upgrades » sont réunies pour la réalisation de super soldats, capables de faire des guerriers de l'homme plus-que-humain et capable de robots autonomes et ordinateurs IA un avantage déséquilibré contre des ennemis classiques dans tout conflit.
Avant que vous rêver sur les « cool » visions de l'avenir, n'oubliez pas que les geeks informatiques ont une fois de plus, a averti que la hausse d'Amnesty International et de la nanotechnologie a littéralement menace la survie de la civilisation. Un rapport de la Fondation mondiale de défis s'inquiétait de l'extinction de la race humaine et un chômage de masse qui viennent de la main de œuvre humaine :
« Ces intelligences extrêmes ne pouvaient facilement être contrôlés (par les groupes de leur création, ou par un régime réglementaire international) et agiraient probablement pour augmenter leur propre intelligence et acquérir des ressources maximales pour presque toutes les motivations initiales de AI, » suggèrent des auteurs Dennis Pamlin et Stuart Armstrong.
"Et si ces motivations ne pas détailler la survie et la valeur de l'humanité, l'intelligence sont amené à construire un monde sans humains. Cela rend extrêmement intelligents AIs un risque unique, qu'extinction est plus probable que le moindre impact."
Le rapport met également en garde du risque « que l'effondrement économique puisse suivre du chômage de masse que les humains sont remplacés par copiable capital humain » et se déclare préoccupé par la perspective de l'IA étant utilisé pour la guerre: « une course aux armements de AI could result in AIs en cours de construction avec des objectifs pernicieux ou manque de précautions de sécurité. »
Donc ce qui est plus proche à l'horizon : la fin de la vie comme nous le savons, ou la prochaine grande chose ?
La géoingénierie est poussé par les politiciens et les scientifiques ... Mais Il peut faire plus de mal que de bien
Posté le 19 Février, 2015 par WashingtonsBlog
Les scientifiques ont proposé de faire fondre la glace de l'Arctique Cap arrêter un nouvel âge glaciaire
Les propositions visant à utiliser la géoingénierie pour lutter contre le réchauffement climatique sont dans les nouvelles. En effet, les humains ont été modifiant intentionnellement la météo pour le contrôle climatique depuis des décennies. Mais la géoingénierie n'a pas toujours été considéré comme un moyen de lutter mondiale réchauffement ...
Dans les années 1950, 1960 et 1970, les scientifiques et les présidents ont considéré la géoingénierie à arrêter une nouvelle âge de glace et de créer plus de réchauffement.
Le 28 Avril 1975, Newsweek a écrit un article indiquant:
Les climatologues sont pessimistes que les dirigeants politiques prendront toute action positive pour compenser le changement climatique, ou même d'apaiser ses effets. Ils reconnaissent que certaines des solutions les plus spectaculaires proposées, telles que la fonte de la calotte glaciaire arctique en le couvrant avec de la suie noire ou détourner les rivières arctiques , pourrait créer des problèmes bien plus importants que ceux qu'ils ne en résolvent. Mais les scientifiques voient peu de signes que les dirigeants du gouvernement sont partout même prêt à prendre les mesures simples de stockage de la nourriture ou de l'introduction de variables de l'incertitude climatique dans les projections économiques de futurs approvisionnements alimentaires. Plus le délai de planificateurs, le plus difficile trouveront-ils à faire face au changement climatique, une fois les résultats deviennent triste réalité.
Ici est une réimpression de l'article dans le Washington Times, et ici est une copie de l'article 1975 Newsweek.
Pourquoi des scientifiques envisagent-ils la fonte de la calotte glaciaire de l'Arctique ?
Parce qu'ils étaient inquiets d'une nouvelle ère glaciaire.
Newsweek a discuté l'article 1975 à 2006:
En Avril, 1975 ... Newsweek a publié un petit retour page article sur un genre très différent de la catastrophe. Citant "des signes inquiétants que les conditions météorologiques de la planète ont commencé à changer de façon spectaculaire," le magazine a averti d'une imminente "baisse drastique de la production alimentaire." Perturbations politiques découlant de pénuries alimentaires pourraient affecter «à peu près toutes les nations sur la terre." Les scientifiques ont exhorté les gouvernements d'envisager des mesures d'urgence pour parer la terrible menace de. . . ainsi, si vous aviez été à la suite des débats sur le changement climatique à l'époque, vous auriez su que la menace était: refroidissement global ...
Les citoyens peuvent juger par eux-mêmes ce qui constitue une réponse prudente, qui, en effet, est ce qui se est produit il y a 30 ans. Dans l'ensemble, c'est probablement tout aussi bien que la société choisisse de ne pas suivre l'une des solutions possibles mentionnés dans l'article de Newsweek: à verser la suie sur la calotte glaciaire arctique, pour l'aider à fondre .
Principal conseiller scientifique d'Obama - John Holdren - était l'un de ceux avertissement d'un âge de glace catastrophique .
Le Boston Globe a rapporté en 2005:
Les plus grands schémas d'ingénierie climatique proviennent de l'Union soviétique. Le plus Promethean parmi eux était un fin des années 1950 proposition visant à endiguer le détroit de Béring et, en pompant l'eau de l'océan Arctique dans le Pacifique, puiser de l'eau chaude vers le nord de l'Atlantique à fondre la glace polaire paquet, faisant de l'océan Arctique et le réchauffement de la Sibérie navigable. Le climatologue soviétique leader, Mikhail I. Budyko, a mis en garde contre elle, faisant valoir que les effets ultimes étaient trop difficiles à prévoir (si lui-même avait joué avec l'idée du réchauffement de l'Arctique en le couvrant de suie pour diminuer sa réflectivité). John F . Kennedy, en tant que candidat à la présidentielle, a suggéré aux Etats-Unis se pencher sur la collaboration sur le projet. Bien que les deux pays ont poursuivi les discussions à bâtons rompus du plan détroit de Béring dans les années 1970, le gouvernement américain était alors de perdre intérêt pour l'ensemble du domaine de la modification du temps.
De même, l'American Institute of Physics note :
Autour de 1956, les ingénieurs soviétiques ont commencé à spéculer qu'ils pourraient être en mesure de jeter un barrage à travers le détroit de Béring et de pomper l'eau de l'océan Arctique dans le Pacifique. Cela puiser de l'eau chaude à partir de l'Atlantique. Leur objectif était d'éliminer la banquise, faire l'océan Arctique navigable, et de se réchauffer Sibérie. L'idée a attiré quelque attention aux États-Unis - candidat à la présidentielle John F. Kennedy a fait remarquer que l'idée valait la peine d'explorer un projet conjoint avec les Soviétiques, et de la discussion se est poursuivie dans les années 1970.
La suie est une cause majeure du réchauffement et de la fonte de la glace dans l'Arctique et dans l'Himalaya. Comme Institut Goddard de la NASA pour les études spatiales a montré, la suie dans la haute atmosphère se termine sur la surface des feuilles et des glaciers, tels que la calotte glaciaire arctique:
Asie du Sud est estimée à plus grandes émissions de suie industrielle dans le monde, et de la météorologie dans cette région balaie facilement la pollution dans la haute atmosphère où il est facilement transporté vers le pôle Nord.
Si les scientifiques avaient convaincu les décideurs de verser la suie sur la calotte glaciaire de l'Arctique dans les années 1970, nous aurions eu des problèmes réels. Accablant le détroit de Béring aurait été désastreux.
Tout d'abord, Do No Harm J'ai déjà souligné de nombreuses décisions concernant l'environnement qui ont causé plus de mal que de bien, comme le gouvernement de forcer le passage d'un type de produit chimique à un produit chimique qui se est avéré être 4470 fois plus puissant comme gaz à effet de serre que le gazcarbonique.
Voici un autre. La mangouste a été introduite à Hawaï afin de contrôler les rats (qui mangeaient la canne à sucre utilisée pour fabriquer du rhum). Il ne fonctionne pas très bien - les mangoustes sont des créatures de lumière du jour épris tandis que les rats sont nocturnes - et mangoustes ont saccagé les espèces indigènes à Hawaï.
Tout mon point est que nous devons nous assurer que nos actions ne causent pas plus de mal que de bien.
Par exemple:
- La prestigieuse revue scientifique a publié un rapport montrant que la géoingénierie pour combattre le réchauffement pourrait augmenter le risque de sécheresse
- BBC note que la géoingénierie pourrait nuire à des milliards de personnes
- Les scientifiques envisagent toutes sortes de régimes farfelues ... Par exemple, "les scientifiques du gouvernement étudient la faisabilité de l'envoi de près de particules microscopiques de verre spécialement conçu dans la haute atmosphère de la Terre pour tenter d'atténuer les effets de «réchauffement de la planète . » "D'autres sont actuellement suggérant abattre des arbres et de les enterrer . Autres façons de géoingénierie la planète sont étudiées et testées (et voir ce et ce ), impliquant des choses telles que le dumping baryum, d'aluminium et d'autres métaux toxiques dans l'atmosphère
(...) Les scientifiques ont proposé de faire fondre la glace (...) Les ? lesquels ? Disons plutôt des, des scientifiques.
(...) les humains ont été modifiant intentionnellement la météo pour le contrôle climatique depuis des décennies. (...) Les humains !! 7 milliards de personnes seraient fautives !!
Bref, ces idiots qui - à l'époque - se disaient déjà 'scientifiques' sont les mêmes qu'aujourd'hui à clamer le contraire !
6 mois dans le noir à -70 degrés : comment survivent ceux qui passent l’hiver en Antarctique Chaque hiver, les scientifiques du pôle sud sont coupés du monde pendant plusieurs mois, dans l'obscurité la plus totale.
Coup de froid Publié le 18 Février 2015
Entre octobre et février, l'Antarctique grouille de monde. La cinquantaine de bases scientifiques fait le plein et les touristes visitent le continent pour profiter des journées de soleil de 24h. Mais à partir de février, le temps s'arrête. Les températures chutent, les touristes repartent et la plupart des chercheurs suivent le mouvement.
Mais dans certaines bases du pôle sud, l'hivernage se prépare. Sur la dernière terra nullius de la planète (territoire qu'aucun Etat ne peut revendiquer), des scientifiques s'apprêtent à vivre coupés du monde, sans ravitaillement, sans soleil et dans les conditions climatiques les plus extrêmes de la Terre : en moyenne – 70 degrés Celsius avec des pointes dans certaines régions à -90 degrés.
A cette époque de l'année, les transports ne peuvent plus atteindre cette vaste étendue glaciaire qui regroupe 70% de l'eau douce de la planète. "Le dernier avion décolle mi-février au plus tard" raconte Christophe Leroy-Dos Santos, un chercheur parti sur la base Française Concordia en 2012. Après cette date, le kérosène risque de geler. Et n'espérez pas prendre le bateau qui serait alors bloqué dans les glaces polaires. Les chercheurs sont seuls, dans l'obscurité la plus totale puisque l'inclinaison de la Terre coupe tout contact avec le soleil pendant l'hiver austral.
A cette période, une trentaine de bases est encore active. Celles du littoral ou des îles avoisinantes, au climat plus clément, peuvent compter jusqu'à 250 personnes comme celle de McMurdo, grande comme un village où travaillent des scientifiques américains. Sa petite sœur Amundsen-Scott, la plus proche du pôle sud ne compte que 50 personnes en hiver. La base française Concordia ne garde que 13 personnes par an.
Et pour ces grappes d'hommes et femmes qui maintiennent les bases en vie durant les long mois d'hiver, il faut généralement se préparer comme des astronautes. Sans soleil, le corps humain n'a pas sa dose de vitamine D, et la principale conséquence de cette carence, c'est l'apparition d'épisodes de dépression. Sur Amundsen-Scott, certains ont d'ailleurs leur lampe personnelle pour se recharger en lumière, raconte le site The Atlantic. Lorsque un voyage scientifique se prépare, environ un tiers des candidats est recalé après une visite médicale et un entretien psychologique poussé.
Le but, c'est d'être capable de survivre en milieu clos, dans un environnement hostile et sans réellement d'intimité. "Vous vivez et vous travaillez dans des petits quartiers donc le problème n'est pas vraiment la solitude" explique Peter Rejcek, éditeur de The Antarctic Sun. Tout ce petit monde doit surtout maintenir la base en état. En 2005, la mission d'hiver de Concordia avait comme chef de mission…. Un plombier-chauffagiste. A côté des scientifiques, on retrouve donc des électriciens, de soudeurs et des médecins. Car si la déprime est passagère, un accident plus grave serait dramatique. L'hôpital, le plus proche se trouve sur les îles Malouines, à 1000 km au nord. "Les accidents les plus communs sont mineurs", explique Poly Penhale, qui s'occupe du département santé des stations américaines. "Sur place, nous sommes à la fois médecins généralistes, dentistes, pharmaciens, radiologues, biologistes, anesthésistes, chirurgiens, médecins du travail..." insiste Béatrice Laudet, médecin des Terres Australes. Limiter les mouvements, respirer consciencieusement… autant de gestes qui doivent devenir naturels lorsque le personnel est de sortie.
Et pour s'occuper pendant les rares heures que leur travail leur laisse, les scientifiques ont accès, selon les bases, à plus ou moins d'activités. Librairie, salle de gym et l'inévitable sauna, qui permet à certains de tenter une expérience unique : un différentiel de 300 degrés Fahrenheit (soit 180 degrés Celsius). Dix minutes dans le sauna puis une petite course nu dans la neige. Ceux qui expérimentent ça font ensuite partie du très select "club des 300". Après cela, ils peuvent se réchauffer au Club 90 South, un des rares bars du continent dans la base d'Amundsen-Scott.
Sur Concordia, on s'occupe avec une table de ping-pong, un billard, un baby-foot et même une console de jeux. Le site de l'Institut polaire français recommande d'ailleurs aux hivernants de "ramener des déguisements" pour les quelques soirées organisées. La vie n'est décidemment pas simple en Antarctique.
Le robot pâte de tranchage de Foxconn fait ses débuts à Taiyuan boutique de nouilles
Reporter du personnel 19/02/2015 15:12 (GMT + 17)
Foxconn (Hon Hai), le fabricant de Taiwan dont le siège électronique grand public le plus connu pour assembler l'iPhone et l'iPad d'Apple dans ses usines en Chine, a dévoilé une machine pâte tranchage à Taiyuan dans la province du Shanxi le nord de la Chine lundi, marquant la première fois que le géant de la fabrication a essayé sa main à quelque chose à voir avec l'industrie de la restauration.
Dans un restaurant du nom de Qian Yi Liang Mian, un robot baptisé "Fu Jiang" fait des nouilles par tranchage d'un morceau de pâte. Avec chaque coup de son bras de robot, cinq longues nouilles minces déposées dans un conteneur. En moins d'une minute, le conteneur était plein de nouilles prêtes pour la cuisson, beaucoup plus rapide qu'un chef humain. Le robot a fait sensation dans une province connue pour ses nouilles et autres aliments à base de farine. Il y a trois ans un robot de pâte tranchage similaire a été introduit dans le Shanxi, mais ce qui distingue "Fu Jiang" est en dehors de ses spécifications supérieures et sa capacité à nettoyer ses lames automatiquement, dit Wu Weibing, un dirigeant Foxconn responsable du programme.
En 2011, Foxconn Terry Gou, le patron a annoncé un plan pour faire 1 million de robots dans son usine dans la province de Jincheng, Jiangxi. L'année prochaine, la société prévoit de construire la plus grande base au monde pour la fabrication de robots intelligents.
Jusqu'à présent, les robots fabriqués à Jincheng ont été introduits pour les usines de Foxconn dans plus de 20 villes et provinces, a dit M. Wu. Ils ont pris le relais des emplois comme peinture à l'application et le chargement et le déchargement des travailleurs humains.
Jusqu'à présent, tous les robots Foxconn fabriqués ont été utilisées dans ses propres installations de fabrication de l'entreprise.
La société qui gère la chaîne de restaurants Mian Qian Yi Liang a dit qu'il se est intéressé après avoir vu un robot pâte tranchage Foxconn lors d'une exposition à Zhengzhou, a déclaré Yue Mei, président de la chaîne. "Fu Jiang" est un produit de la recherche et le développement conjoint entre la chaîne et Foxconn, a t-elle ajouté.
Il existe actuellement sept grands fabricants de robots utilisés dans l'industrie de la restauration en Chine, avec la plupart de leurs produits utilisés pour fournir de la nourriture. Les statistiques publiées récemment par un spectacle de l'institut de recherche basé à Shenzhen qui Jinghong était le meilleur vendeur de robots de ce type en Chine en 2014, avec quelques 300 unités vendues pour un total de 14 millions de yuans (2,2 millions de US $).
Ce n'est pas parce que l'on aura ajouté deux yeux à une cafetière ou à la machine à laver qu'elles seront meilleures après !
Cette modernisation de la machine-outils fera que les productions seront moins chères et donc, que le pouvoir d'achat des consommateurs sera augmenté d'autant.
Cyber-espionnage : Fanny le nouveau logiciel espion de la NSA dévoilé par Kaspersky Lab
Les News eco mer., 18 fév. 2015 09:12 CET
La société spécialisée en sécurité Kaspersky Lab a à trouvé l'origine d'attaques d'une complexité sans précédent infectant les disques durs de gouvernements, d'agences gouvernementales et de sociétés stratégiques. Un puissant outil de cyberespionnage, surnommé « Fanny », qui récolte de l'information dans des millions d'ordinateurs par le biais de logiciels malveillants installés secrètement.
Fanny : le nouveau ver de la NSA
Un rapport publié lundi par la firme de sécurité informatique russe Kaspersky n'a pas identifié la source de cette campagne de cyperpiratage, mais a mentionné certaines similarités avec Stuxnet, une cyberarme que beaucoup croient avoir été développée par les Etats-Unis et Israël pour contrecarrer le programme nucléaire iranien.
Kaspersky a indiqué que cette campagne « surpasse tout ce qui a été fait en matière de complexité et de sophistication », dans le domaine du cyberespionnage, et son utilisation remonte à aussi loin que 2001 par une équipe nommée « le groupe Equation ». « Le groupe Equation est probablement l'un des groupes de cyberpirates les plus sophistiqués au monde; et l'un des plus menaçants que nous ayons vu », mentionne le rapport.
Les manoeuvres d'espionnage utilisaient un ver que Kaspersky a surnommé « Fanny » qui infecte un ordinateur par une clé USB en exploitant deux failles pour syphonner de l'information d'ordinateurs au Moyen-Orient et en Asie, ajoute le rapport. Des preuves montrent que les développeurs de Equation et de Stuxnet « sont soit les mêmes, soit de proches alliés », poursuivent les chercheurs.
La NSA muette
L'agence américaine de sécurité nationale (NSA), qui a mené une vaste opération de surveillance à l'échelle mondiale pour la lutte au terrorisme, a refusé de confirmer toute implication dans le programme. »Nous sommes au courant du rapport. Nous ne commenterons publiquement aucune allégation soulevée par le rapport, ni aucune autre information », a indiqué Vanee Vines, la porte-parole de la NSA dans un courriel à l'AFP.
Sean Sullivan, de la firme de sécurité finlandaise F-Secure, a pour sa part mentionné que le rapport de Kaspersky semble décrire une division de la NSA connue sous l'acronyme ANT, qui a fait l'objet d'un rapport en 2013 sur les portes dérobées dans les produits technologiques. « L'étude de Kaspersky fait référence à un groupe nommé 'Equation', dont le pays d'origine est tenu secret, mais qui possède exactement les mêmes capacités qu'ANT », a précisé M. Sullivan dans un article de blogue mardi.
L'attaque a été en mesure d'infecter « environ 2.000 utilisateurs par mois » dans 30 pays, mentionne le rapport. La majorité des contaminations ont été détectées en Iran, en Russie, au Pakistan et en Afghanistan. Parmi les autres pays touchés, on compte la Syrie, le Kazakhstan, la Belgique, la Somalie, la Libye, la France, le Yemen, la Grande-Bretagne, la Suisse, l'Inde et le Brésil.
Une caractéristique particulière de ces attaques, selon les chercheurs, est la facilité avec laquelle il a été possible de piéger les grands fabricants de disques durs, dont Western Digital, Seagate, Samsung et Maxtor. Le logiciel espion a été conçu de telle manière qu'il résiste à un reformatage du disque dur et à l'installation d'un nouveau système d'exploitation.
Pour le chercheur de Kaspersky Serge Malenkovich, ces logiciels espions sont « invisibles et indestructibles », un véritable cauchemar en sécurité informatique. Mais comme cette attaque est si complexe a exécuter, a-t-il noté, « que même le groupe Equation ne l'a probablement réalisée qu'à quelques reprises. »
Disques compacts infectés
Les chercheurs de Kaspersky ont également indiqué que le logiciel malveillant avait aussi été enfoui dans les disques compacts d'une conférence scientifique de 2009, rendant possible la contamination des ordinateurs de plusieurs dizaines de scientifiques internationaux.
« On ne peut dire quand le groupe Equation a commencé son ascension. Les échantillons de logiciels espions que nous avons vu ont été identifiés en 2002, mais leur centre de commandement a été repéré en 2001?, précisent les chercheurs. Il est même possible de remonter la filière jusqu'en 1996.
Les autorités américaines n'ont pas donné de commentaire sur Stuxnet, mais les chercheurs, dont ceux de Kaspersky, ont dit que le virus développé par les Etats-Unis et Israël pour contenir les menaces de l'Iran, remonte à au moins 2007. Des cyberattaques contre les banques à l'origine de pertes massives
Une vague de cyberattaques d'un genre nouveau vise depuis 2013 des banques du monde entier, en premier lieu russes, causant des pertes estimées à près d'un milliard de dollars, révèle la société spécialisée Kaspersky Lab dans un rapport publié lundi à Moscou.
Cette campagne, toujours en cours, « indique clairement l'avènement d'une nouvelle ère pour la cybercriminalité », prévient Kaspersky dans cette enquête, dont le New York Times s'est fait l'écho ce week-end. Selon le laboratoire russe, une centaine de banques ont été visées, dont « au moins la moitié ont subi des pertes financières, la plupart des victimes étant situées en Russie, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Chine et en Ukraine ».
Si certains signes suggèrent que l'origine des attaques se situe en Chine, la société met en garde contre de possibles indices distillés sciemment afin de tromper les services de sécurité. Les victimes sont en majorité russes. Alors que les attaques informatiques sont utilisées de manière croissante à des fins géopolitiques, « la motivation des attaquants (...) semble être le gain financier plutôt que l'espionnage », selon ce document. Ses auteurs soulignent que les auteurs de la fraude sont « clairement très familiers des logiciels et réseaux de services financiers ».
Les hackers utilisent un programme baptisé « Carbanak » visant les employés des banques afin de les piéger à l'aide de pièces jointes par une méthode de « phishing » (hameçonnage). Ils parviennent alors à accéder au réseau de ces cibles, et ainsi aux opérations de transferts d'argent, aux distributeurs de billets et comptes bancaires. Les auteurs des attaques procèdent alors directement à des transferts vers des comptes sous leur contrôle ou des retraits à partir de distributeurs ciblés. Leur mode opératoire va jusqu'à enregistrer des images des systèmes de vidéosurveillance suivant les activités des employés visés.
Les fonds détournés ont été transférés vers des comptes aux Etats-Unis et en Chine, ajoute Kaspersky. La société souligne l'ampleur des sommes détournées : une banque perdant 7,3 millions de dollars via des retraits par distributeurs, une autre 10 millions de dollars via des opérations sur sa plateforme en ligne.
Selon ce rapport, les hackers tentent actuellement d'étendre leurs attaques aux pays d'Europe centrale et orientale ainsi qu'au Proche-Orient, en Asie et en Afrique.
Bizarre tout-de-même que des ordinateurs sortis tout propre de chez le fabriquant ne puissent le rester sans que l'ordi n'en révèle (ou ne puisse en révèler) les ajouts !
USA : l'arme de l'information contre les dirigeants européens
Georgy Voskresensky Strategic-Culture Foundation mer., 18 fév. 2015 08:17 CET Traduction : Christophe
Anonymous est apparu pour la première fois sur la toile d'Internet en 2003 comme un groupe de hackers activistes défendant la liberté d'expression et opérant comme un « cerveau digital global anarchiste. » Il s'agit d'un instrument, ou plutôt d'une arme destinée à être utilisée dans la guerre de l'information. Et cette arme a un avantage considérable : il s'est bien souvent avéré difficile de savoir qui l'utilisait vraiment. Pourtant, le problème ne se posait pas lorsqu'Anonymous publiait en 1993 une photo d'Angela Merkel rendant visite au Club Elbterrassen pour y rencontrer quelques skinheads et quelques autres personnages dont l'un exécutait un salut nazi...
Berlin s'était alors fendu d'explications circonstanciées, mais ce n'est pas là le problème. Une photo vieille de plus de 12 ans vient d'être publiée le 9 février dernier, juste avant la visite d'Angela Merkel à Washington, et après sa rencontre avec le président français François Hollande et le président russe Vladimir Poutine à Moscou, une réunion qui a duré plusieurs heures.
En publiant cette photo, Anonymous demandait si, pour diriger l'Allemagne, on pouvait vraiment faire confiance à une femme politique qui fut membre de l'Organisation de la Jeunesse socialiste en Allemagne de l'Est, qui était une espionne de Berlin Est, et qui fricotait avec les nazis.
L'attaque médiatique a été précédée par un événement notable : la chancelière s'est opposée à l'idée de fournir des armes létales à l'Ukraine. Angela Merkel a pris la parole lors d'une conférence sur la Sécurité à Munich le 7 février pour dire que « la situation de l'Ukraine ne s'améliorera pas en fournissant plus d'armes. » Et elle a réitéré cette affirmation un certain nombre de fois lors de ses récents voyages aux États-Unis et au Canada. Aux USA, ce sont le sénateur John McCain et la secrétaire d'État adjointe aux affaires européennes et asiatiques, Victoria Nuland, qui ont répondu en premier. Le Sénateur a comparé les tractations entre Merkel, Hollande et Poutine à la réunion d'apaisement entre Neville Chamberlin et Adolf Hitler. Mme Nuland a, comme à son habitude, utilisé un langage particulièrement obscène pour qualifier la dirigeante du principal État européen.
Il faut se rappeler aussi que depuis un certain temps, les services secrets américains ont abondamment collecté toute sorte d'informations, par différents moyens, dans le but de pouvoir les utiliser contre la chancelière allemande. On a appris par exemple en octobre 2013 que la NSA (National Security Agency) avait mis sur écoute le téléphone personnel de Mme Merkel, et l'information selon laquelle l'Agence américaine maintenait depuis plus de 10 ans la Chancelière sous surveillance a provoqué un énorme scandale. Mme Merkel a expliqué qu'elle n'attendait ni n'exigeait aucune excuse particulière, mais cette affaire a ouvert une importante brèche dans la confiance mutuelle et il a fallu des efforts importants pour tenter de la restaurer. Les promesses n'ont pas suffi, et la situation imposait des changements. Dans ces circonstances, la Chancelière pouvait difficilement calmer l'indignation générale, mais Washington a fait la sourde oreille sur ce qu'elle disait. L'histoire des enregistrements a finalement été étouffée et il n'y a eu aucun réel changement.
Angela Merkel n'est pas la seule dirigeante européenne à avoir fait l'expérience des pratiques de Washington concernant toute « liberté de pensée » des leaders européens, en particulier quand il s'agit de la Russie. Les exemples ne manquent pas.
La Hongrie, emmenée par son premier ministre Victor Orban, a signé avec la Russie un contrat pour achever la construction de deux centrales nucléaires situées à 100 km de Budapest. Les États-Unis ont [immédiatement] imposé des sanctions contre la Hongrie. Le Sénateur McCain, toujours aussi prompt à dégainer, a qualifié le premier ministre hongrois de « dictateur fasciste ». [Dans le même temps], le président Poutine était attendu à Budapest le 17 février.
L'administration US est aussi insatisfaite de la position de Milos Zeman, le président de la République tchèque, qui a osé demander des preuves que les troupes russes ont bien envahi l'Ukraine, et a appelé les États-Unis et l'Union européenne à mettre fin aux sanctions. Les USA ont alors utilisé leurs réseaux dans le pays pour lancer une vaste campagne discréditant le Président.
Alors qu'il était premier ministre de l'Italie, Silvio Berlusconi n'hésita pas à affirmer que la compréhension mutuelle entre la Russie et les États-Unis était une exigence pour la stabilité en Europe. Il a déclaré que les USA avaient agi de façon irresponsable en déployant des missiles de défense en Pologne et en République tchèque, en reconnaissant l'indépendance du Kosovo, et en poussant la Géorgie et l'Ukraine dans l'OTAN.
Dominique Strauss-Kahn, ex-directeur du fonds monétaire international, a été victime d'une provocation planifiée longtemps à l'avance et organisée contre lui aux États-Unis où il a été accusé d'avoir violé une femme de chambre noire lors de son séjour à New York. Il a dû faire faire à un procès aux États-Unis. On a su par la suite que la femme de chambre avait menti, mais cela est passé totalement inaperçu. Strauss-Kahn a perdu son poste au FMI et n'a pas pu se présenter aux élections présidentielles en France.(*)
Orban, Zeman, Berlusconi, Strauss-Kahn, et maintenant Merkel : tous sont devenus des cibles pour les frappes chirurgicales des armes de l'information US contre les politiciens européens montrant de bien trop grandes velléités d'indépendance en matière de politique étrangère, au goût de Washington.
L'establishment américain pense que l'Europe doit rester sur sa ligne et suivre la politique étrangère US sans aucune variante possible. Selon eux, c'est comme cela que s'obtient la quintessence de la coopération transatlantique. Juste après sa rencontre avec Angela Merkel, le président américain a expliqué lors d'une interview à Vox.com, que les États-Unis étaient obligés d'avoir « la plus puissante armée du monde. »Et il a ajouté « nous devons parfois tordre un peu le bras de certains pays qui ne veulent pas faire ce qu'on leur demande. » La brutalité de cette déclaration ne laisse aucun doute sur le fait que les États-Unis sont prêts à « tordre le bras » de n'importe quel allié qui n'aurait pas les mêmes vues qu'eux sur les différents problèmes dans le monde.
Les alliés (vassaux ?) européens, ou asiatiques peuvent être certain de cela. Le président turc Erdogan est très certainement le prochain sur la liste. On ne lui pardonne pas d'avoir signé avec Poutine l'accord sur le gazoduc « Turkish Stream ». Et on entend clairement le tic-tac de l'horloge.
Cuves de réacteurs nucléaires fissurés, un problème mondial
Enerzine jeu., 19 fév. 2015 06:16 CET
Des milliers de fissures ont de nouveau été découvertes dans les cuves des réacteurs belges Doel 3 et Tihange 2. Fait extrêmement inquiétant : ces fissures peuvent être dues ou aggravées par des phénomènes de corrosion, communs à l'ensemble des réacteurs aujourd'hui en fonctionnement.
"Depuis mi-2012, les cuves des réacteurs de Doel 3 et Tihange 2 ont fait l'objet d'inspections suite à la découverte de micro-fissures (d'une largeur de 20 mm). L'autorité de sûreté nucléaire belge affirmait alors qu'il s'agissait d'alvéoles apparues lors de la fonte de l'acier de la cuve et qu'elles ne menaçaient pas sa tenue. Les réacteurs avaient même été redémarrés en mai 2013 avant que l'on ne découvre une fragilité plus forte que théoriquement prévue, menant à un nouvel arrêt : personne ne connaît le comportement d'une cuve qui contient des fissures (défauts d'hydrogène) et surtout pas sa résistance aux phénomènes de vieillissement" a déclaré Michèle Rivasi**, responsable de la délégation française Verts/ALE au Parlement Européen.
"Le 13 février dernier, nouvelle fracassante, deux scientifiques annoncent que ces fissures peuvent être aggravées ou même être dues à la migration d'atomes d'hydrogène de l'eau du circuit primaire." a t-elle ajouté.
"L'opérateur GDF Suez a déclaré être prêt à sacrifier un de ses réacteurs pour réaliser des tests destructifs. Si ces tests confirment l'irruption et l'aggravation de fissures lors de l'utilisation "normale" de la cuve d'un réacteur nucléaire, alors cela devient un problème mondial."
Selon le directeur de l'autorité de sûreté belge : "Ceci pourrait être un problème pour l'ensemble de l'industrie nucléaire. La solution est de procéder à des inspections poussées des 430 réacteurs nucléaires."[1]
"La cuve est un élément fondamental de la sûreté nucléaire. Que ce soit soudainement ou suite à un choc thermique lors d'un arrêt "bénin", une rupture de cuve peut entraîner la perte du liquide de refroidissement et mener à un accident nucléaire avec rejets de radioéléments et fusion du cœur. C'est un événement hors dimensionnement qui n'a pas été envisagé pendant la conception ! Rappelons que la cuve et l'enceinte de confinement des réacteurs sont les deux éléments qui ne peuvent physiquement pas être remplacés" a également précisé députée européenne.
Et de conclure : "Les réacteurs belges de Doel 3 et Tihange 2 ont respectivement 33 et 32 ans. En France, ce sont plus de 24 réacteurs qui ont déjà dépassé cette durée d'utilisation. L'Autorité de Sûreté Nucléaire doit exiger d'EDF une inspection totale et en profondeur de l'ensemble des cuves du parc nucléaire français. Si l'origine des fissures belges par vieillissement est confirmée, il faut alors complètement revoir la politique de prolongation des centrales au-delà des 30 ans et ceci à l'échelle mondiale. A la veille des commémorations des accidents de Tchernobyl et Fukushima, c'est une nécessité absolue."
Notes :
** Michèle RIVASI (députée européenne, fondatrice de la CRIIRAD, cheffe de la délégation francophone du Groupe Verts / ALE)
C’est un peu comme le cheval. Les chevaux convenaient parfaitement jusqu’à ce que la voiture arrive. L’ère de la télévision et des programmes enregistrés durera probablement jusqu’en 2030 » Cette déclaration, c’est celle de Reed Hastings, le CEO de Netflix, la chaîne de films en streaming. Des chiffres de Morgan Stanley ont révélé récemment que les chaînes de la télévision américaine ont perdu plus de la moitié de leurs téléspectateurs a entre 2002 et 2012. Henry Blodget, Le CEO du site d'affaires américain Business Insider, a effectué une présentation le mois dernier à l'occasion de la conférence DLD à Munich, en Allemagne. Sur l'un des slides qu'il a montrés, on voit comment l'importance de la télévision continue de décliner dans nos vies. Dans la classe d'âge des 16-24 ans, moins de 1 sur 8 regarde encore la télévision (barre verte). Dans la catégorie des 25-35 ans, c’est moins de 1 sur 3. Même les 35-44 ans semblent se détourner peu à peu de la télévision. Moins de 35% des personnes de ce groupe d'âge regardent quotidiennement la petite lucarne. La télévision ne semble plus jouer un rôle important que dans les groupes d'âge au-delà de 45 ans. Les plus jeunes s’informent et se divertissent la plupart du temps en ligne sur un ordinateur ou une tablette (jaune) ou sur leur smartphone (orange). Lorsqu'on leur demande quel est le média qui leur manquerait le plus, les personnes de plus de 75 ans répondent majoritairement que ce serait la télévision. En revanche, les 16-24 ans semblent avoir du mal à imaginer la vie sans leur smartphone.
Malgré le nombre affolant de chaînes en service, l'Etat (car c'est de lui qu'il s'agit) NE RÉPOND PAS A LA DEMANDE RÉELLE DES CITOYENS ! Cela ne s'arrête pas seulement à ce qu'ils ont désigné comme malfaisant, dégoûtant, voire interdit à regarder, en un mot: le nu (ou 'le cul'). Les films d'amour appelés 'X' ou 'porno', la demande générale va vers les actualités. Actualités oui, mais lesquelles ? Les vraies ! Pas les truquées de la télé !
C'est pourquoi le temps passé sur Internet dépasse largement celui de la télé, car, les actualités y sont discuté et donc: aucun mensonge ne peut subsister !
Hollande fait appel à l'artillerie lourde du droit constitutionnel pour ébranler l'économie française sclérosée
par Audrey Duperron 18 févr. 2015
Mardi, le président français, François Hollande, a dû s’appuyer sur les pouvoirs constitutionnels exceptionnels pour mettre en œuvre un programme de réforme économique qui devrait contribuer à remettre l'économie française sclérosée sur la voie de la relance. Hollande a été obligé de mettre en œuvre l’article 49-3, qui permet à un gouvernement de faire adopter une loi sans l'approbation du Parlement. Autrement dit, il s’agit d’un passage en force. La dernière fois qu'un président y avait eu recours, c’était en 2006.
Hollande n’avait guère le choix, parce que le pays nécessite désespérément de se réformer, mais aussi de communiquer sa volonté de le faire auprès de Bruxelles. L’UE, et l’Allemagne en particulier, sont de plus en plus sourcilleuses, d’autant que la France, qui ne respecte pas la limite de 3% du PIB pour son déficit, a promis d'engager les réformes nécessaires pour mettre fin à cette situation. Mais les députés de l'Assemblée nationale (la chambre basse du Parlement de la France, qui compte deux chambres avec le Sénat) en avaient décidé autrement.
La loi dite "Macron" (du nom de l'actuel ministre de l'Economie) ne comporte pourtant aucune mesure exceptionnelle, mais elle constituait plutôt un premier pas vers la réforme d’un pays qui n’est plus jamais parvenu à l’équilibre budgétaire depuis 1974. Elle prévoit la privatisation d'un certain nombre d'entreprises publiques et la possibilité d’ouvrir les commerces 12 dimanches par an, au lieu de les 5, la libéralisation du secteur des transports en autocar, la remise en cause d’une série de mesures de protection pour les professions réglementées, ainsi que d’autres mesures de simplification ou d’assouplissement pour d’autres secteurs.
Des sondages montrent que 60% ??des Français sont favorables à de telles mesures, mais des députés du PS de Hollande et d’autres formations de gauche, ainsi que l'UMP du centre-droit voulaient bloquer le projet de loi, par principe ou par conviction politique. Maintenant que Hollande a fait appel à l’artillerie lourde du droit constitutionnel, il devient évident que la politique française a atteint un stade où la moindre remise en cause n’est plus possible.
Hollande, qui n’a pas hésité investir son capital politique dans des mesures pour relancer l'économie, malgré la faiblesse de ses chiffres de popularité mérite bien des éloges. L'UMP de Nicolas Sarkozy a déjà demandé une motion de censure qui pourrait aboutir au renversement de son gouvernement. Pendant ce temps, le taux de chômage dans le pays demeure très élevé et l'économie n’est parvenue à sortir de la récession qu’à la faveur d’une parité plus faible de l’euro et de la chute des cours du pétrole.
Pour Marc Fiorentino de Monfinancier.com, une chute du gouvernement Hollande est cependant peu probable, parce que les députés de gauche « frondeurs » qui s’opposaient à la loi Macron ne voteront pas dans ce sens : « Ils ne soutiennent pas la loi Macron, ni Valls, ni le gouvernement mais ils ne le font pas tomber de peur de perdre leur siège, leurs privilèges de députés, leurs salaires et réserves parlementaires ».
Aux Etats-Unis, le secteur de la fracturation hydraulique est en pleine débâcle
par Audrey Duperron 17 févr. 2015
« Le mot « boom » vient toujours avec son misérable jumeau que personne ne veut voir, « bust » (‘fichu’), Ils viennent invariablement en cycles, l’un après l’autre. On ne peut pas avoir l’un sans l’autre. C’est une question de temps. Et dans le monde du fracking, ce n’est pas différent», écrit Wolf Richter sur son blog Wolf Street.
Selon Richter aux Etats-Unis, l’avenir du secteur de la fracturation hydraulique est menacé.
Il rappelle que le boom de l’extraction du pétrole par facturation hydraulique a débuté en 2005, et que ce secteur s’était contracté de 60% pendant la crise financière en raison du manque de capitaux. Mais comme la Réserve fédérale américaine s’est lancée dans un programme de quantitative easing qui l’a conduite à inonder les marchés d'argent frais, ce secteur a connu un nouvel essor.
En mai 2009, au plus fort de la crise financière, on ne comptait que 180 sites de forage actifs, mais l’année dernière, à la mi-octobre leur nombre était passé à 1609. La production de pétrole a fortement augmenté en conséquence, et elle atteignait 9,2 millions de barils par jour en janvier.
La révolution de la fracturation hydraulique américaine a donc reposé sur l’exubérance d’investisseurs qui n’ont pas hésité à placer leur argent sur des produits à risque, et des particuliers qui ignoraient qu’ils investissaient dans ce secteur au travers de leurs fonds de pension gérés par des sociétés de gestion qui ont elles aussi investi dans ce boom.
Pendant une période de 5 ans, la production a fortement augmenté, mais elle a fini par dépasser la demande poussive. L’éclatement de cette bulle s’est produit en octobre 2014, après une chute des cours qui avait débuté 3 mois plus tôt. Depuis, chaque semaine, des dizaines de plates-formes de forage cessent leurs activités, et l’on est passé de 1.609 installations actives à seulement 1.056.
Si l’on assiste de nouveau à une contraction de 60% comme lors de la crise financière, il pourrait ne plus subsister que 642 plateformes, spécule Richter.
La crise s’est caractérisée par un choc sévère, mais de courte durée, suivie d'une relance rapide. Mais par le passé, il a souvent fallu beaucoup de temps pour résoudre les crises du secteur pétrolier. En outre, la production atteint toujours des niveaux record.
Si les cours ne se rétablissent pas rapidement, les producteurs et leurs fournisseurs risquent de connaître une longue période de grandes difficultés. La menace se fait déjà particulièrement sentir à Houston, au centre de l'industrie pétrolière américaine, où de nombreux projets ont déjà été suspendus.
« Et si la France sortait de l’euro… par France 5 ! »
RépondreSupprimerMes chères contrariennes, mes chers contrariens !
L’Italie est en proie à la crise. En effet, suite à la faillite de quatre grandes banques italiennes, la troisième économie de la zone euro est obligée d’annoncer sa sortie et son retour à la lire… Voilà pour le scénario de départ.
Phase panique, catastrophe, crash des marchés, tout y passe, tout est noir, tout est affreux.
Pourtant, il ne doit s’agir ni de rassurer ni de faire peur mais de faire face !
Et là réside toute la bêtise d’une classe politico-médiatique qui, croyant bien faire pour « sauver » l’euro, ne fait en réalité que l’enfoncer chaque jour un peu plus dans l’esprit de citoyens commençant à se sentir pour le moins excédés par l’absence de décisions, de changements, d’évolution et de prise en compte de leurs réalités quotidiennes.
Faire face aux problèmes posés par l’euro !
Je suis pour l’euro (dans l’absolu et dans mes rêves) mais je suis contre dans la réalité. Pas contre parce que l’idée n’est pas belle, l’idée est belle, mais une idée aussi belle soit-elle doit-être réaliste. L’euro pourrait être viable sans problème mais cela demande un cadre permettant cette viabilité. Sans un cadre permettant la viabilité de l’euro alors il est condamné, et sa mise en place suivie de sa destruction nous apportera bien plus de malheur que si nous n’avions rien fait ! C’est en leur temps ce que des hommes comme Seguin ou encore comme J.P Chevènement avait tenté d’expliquer lors du référendum de Maastricht.
Il y a aujourd’hui deux catégories de gens : les idéologues doctrinaires défendant l’euro à cor et à cri et les pragmatiques qui ne veulent ni la mort de l’euro ni sa survie mais qui constatent factuellement son échec et son impossibilité à poursuivre son existence sans régler ses problèmes de fabrication.
Je rappelle, pour tous ceux et celles qui ne l’auraient pas encore compris, que l’euro c’est une monnaie unique sur des économies hétérogènes. Il n’y a rien à voir entre les structures de l’économie de la Grèce, de la France, de l’Allemagne et du Portugal… Résultat ? L’euro est super pour l’Allemagne, mauvais pour la France, catastrophique pour la Grèce. L’Allemagne bat tous ses records d’excédents et nous, de déficits commerciaux… Mais ce n’est pas grave si nous mettons en place une union de transfert.
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Qu’est-ce qu’une union de transfert ?
RépondreSupprimerC’est ce qu’il y a en France entre les Parisiens (très riches) qui payent tout plein d’impôts qui servent à financer les écoles à construire dans le Gers… Ce n’est pas une critique ! Je suis très fier en tant que citoyen de participer à l’équilibre économique dans notre pays. En clair, dans une union de transfert, les sous des uns les plus riches sont transférés vers les autres les plus pauvres. Vous avez la même chose entre l’Italie du Nord assez riche et l’Italie du Sud plutôt pauvre ! L’État central répartit les ressources.
Alors l’équation finalement est assez simple : soit nous allons vers plus d’Europe et l’Allemagne accepte de payer pour les pays les plus pauvres dans le cadre de la mise en place d’une vaste union de transfert européenne et à ce moment-là alors on pourra considérer l’euro éventuellement comme techniquement viable (bien que les problèmes de conception de l’euro soient tout de même plus larges et bien plus vastes), soit l’Allemagne refuse de payer pour les autres, ce qui relève de sa propre liberté et alors l’euro rien que sur ce point est condamné à l’échec.
Pour le moment, l’Allemagne ne veut pas payer et ne voudra jamais payer mais personne ne veut le reconnaître car cela obligerait à tirer des conclusions à savoir que s’il n’y a pas plus d’Europe alors ce sera plus d’Europe du tout !
Après restent le choix et la volonté politique
Et la question qui vient immédiatement est « veut-on seulement encore plus d’Europe ? », tout en sachant que l’ensemble des peuples composant l’Europe refusent désormais d’aller vers plus d’Europe tant cette Europe qui nous a été construite est la négation des choix démocratiques et un outil indéniable au service des multinationales, du grand capital, de la grande finance et aussi de l’idéologie ultralibérale au sens large. Dans cette Europe-là, aucun peuple n’y trouve son intérêt. Personne n’en veut. Pour imposer plus d’Europe, il n’y a donc pas d’autre choix que de dépasser la démocratie, expression pudique pour parler de l’instauration d’une dictature plus ou moins douce pour imposer en force une Europe détestée et rejetée… à juste titre par les peuples.
Nous en sommes donc là. Et croyez-moi, au bout du compte ne nous attendent que de mauvaises solutions et de mauvais choix.
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
Charles SANNAT
http://www.lecontrarien.com/et-si-la-france-sortait-de-leuro-par-france-5-19-02-2015-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=d7ab53952b-daily_newsletter_2015_02_19&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-d7ab53952b-45320805
SupprimerPersonne y a gagné ! Personne ! Sauf... les 'Dirigeants' ! C'est Dictature de non-élus.
Le clip joint à l'article ci-dessus, montre comment il serait terrible de vouloir se débarrasser de la dictature, le chaos montre promis et, pourquoi pas, la provocation de l'armée, des appariteurs (comme disait Coluche) qui brûlent des voitures et cassent des vitrines pour faire mal-voir une manifestation pacifiste et, qui dégénère très vite en guerre civile/loi martiale = renforcement de la dictature.
Tout le clip est monté pour faire peur !
Le passage du franc à l'euro: les français y ont tous perdu ! Le prix du pain, du café, des transports, etc
Le passage de l'euro au franc: les français devraient tous y perdre ! Bizarre, non ?
Regardez déjà les interviews dans le clip: ceux qui parlent en face et, ceux qui sont filmés de loin ! Montage amusant qui dit bien ce qu'il veut dire !
Notez aussi que l'épargne 2014 à atteint 4000 milliards d'€ soit 2 fois la dette de la France. D'où, la konfiscation à venir ! (y compris pour l'or dont l'achat... n'est PAS anonyme !).
Décryptage méticuleux d’une série de mensonges dont les historiens souriront demain
RépondreSupprimer19 février 2015
« Courrier international », le produit offshore du « Monde »
Thierry DERONNE
Cet article est un redoutable décryptage des enfumages médiatiques, des manipulations, voire des purs mensonges destinés à un public français à partir de situations dans des pays lointains.
Avec une précision chirurgicale, une profusion de sources irréfutables, l’auteur met en cause Le Courrier International, Le Monde, Libération que le grand public prend pour des médias insoupçonnables.
La plus récente tromperie voulait convaincre que les dirigeants vénézuéliens sont compromis (comme tout le monde !) dans le scandale d’HSBC. L’article qui suit est une leçon de journalisme et une fessée administrée à ceux qui, trop attachés à une cause, en oublient de respecter leurs lecteurs.
Le Grand Soir
Lorsque la Guerre Froide cèdera la place à l’équilibre multipolaire, les historiens souriront en étudiant la propagande médiatique déployée autour de la démocratie participative la plus avancée de l’Amérique Latine. D’un Paulo Paranagua (Le Monde) écrivant que Chavez avait nui à l’unité latino-américaine au moment précis où l’ensemble des gouvernements, organismes multilatéraux et mouvements sociaux du continent saluaient l’œuvre du principal artisan de l’unité (1), à un François-Xavier Freland expliquant pourquoi des millions de vénézuéliens saluaient la dépouille mortelle du « dictateur » Chavez : « oh vous savez il y a beaucoup de curieux » (2). Sans oublier ce Libération de 2006 où Jean-Hébert Armengaud, actuel rédacteur en chef de Courrier International, coupa et remonta un discours du président bolivarien pour prouver qu’il était antisémite (3).
Cette campagne lancée par le « Guysen Israël News » et relayée par la section argentine du Centre Wiesenthal, fut démontée le 11 janvier 2006 par le site ACRIMED qui révéla le trucage (4). Le président de la Confédération des Associations Juives du Venezuela Fred Pressner expliqua que Chavez n’avait rien d’antisémite, critiquant le Centre Wiesenthal pour sa précipitation et son refus de s’informer auprès de la communauté locale : “Vous avez interféré avec notre statut politique, notre sécurité et notre bien-être en tant que communauté. Vous avez agi unilatéralement, sans nous consulter, sur des thèmes que vous ne connaissez pas et ne comprenez pas” (5). Tant l’AJCommittee (Global Jewish Advocacy) que le Congrès Juif Américain appuyèrent le point de vue de la communauté juive du Venezuela pour qui les propos du président bolivarien avaient été totalement manipulés. Ses autorités se réunirent ensuite avec Chavez pour souligner publiquement d’excellentes relations jamais démenties depuis, comme en témoigne la réunion du président Maduro avec les représentants du Congrès Juif Mondial en novembre 2014 à New York (6).
Jean-Hébert Armengaud a caché ces faits aux lecteurs et a refusé d’admettre sa faute professionnelle. Il est devenu en 2012 rédacteur en chef de Courrier International, un produit du groupe Le Monde qui recycle des articles puisés dans l’apparente diversité qu’assure l’hégémonie des grands groupes médiatiques internationaux…
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En 2007, cet hebdomadaire publie un article intitulé « Poutine et Chavez, de drôles de démocrates ». Quelques jours avant la tenue d’un référendum sur la constitution au Venezuela, Philippe Thureau-Dangin parle de « coups d’Etat en forme de plébiscites » et parie sur une victoire de Chavez pour l’analyser par avance : « on ne fait plus de coups d’Etat baïonnette au canon ; on se contente de les faire avaliser, tout à fait légalement, par des peuples subjugués ». Hélas pour Courrier International Chavez perd le référendum et félicite aussitôt l’opposition ! (7).
RépondreSupprimerLe Venezuela bolivarien a organisé un nombre record de scrutins (19 en 15 ans), reconnus comme légitimes et transparents par les observateurs de l’Union Européenne, de l’Organisation des Etats Américains ou de l’Association des Juristes Latino-américains. “Excès de démocratie” pour l’ex-président du Brésil Lula. Meilleur système électoral du monde selon Jimmy Carter qui a observé 98 élections dans le monde (8). En mai 2011 le rapport de la canadienne Fondation pour l’Avancée de la Démocratie (FDA), qui prend régulièrement le pouls des systèmes politiques, place le système électoral du Venezuela à la première place mondiale pour le respect des normes fondamentales de démocratie et d’équité sociale (9). L’ONG chilienne LatinoBarometro (10) soutenue entre autres par le BID (Banque Inter-Américaine de Développement), le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement), l’OEA (Organisation des États Américains), l’états-unien Office of Research et les agences de coopération des gouvernements suédois, norvégiens et canadiens, a établi dans son rapport 2013 que le Venezuela bat tous les records de confiance citoyenne dans la démocratie pour toute l’Amérique Latine (87 %) suivi de l’Équateur (62 %) et du Mexique (21 %). Pour Latinobarometro, “le Venezuela est le pays où on observe la plus grande différence entre ce que pensent ses citoyens de leur démocratie et l’image qui circule dans la communauté internationale”.
Le 10 février 2015, dès qu’éclate le scandale de la fraude fiscale organisée par HSBC pour ses clients, Courrier International tire à nouveau plus vite que son ombre et affirme que « la révolution bolivarienne confiait son argent à HSBC » (11), laissant entendre qu’il y a eu fraude et que le gouvernement bolivarien refuse de s’expliquer. L’objectif de Sabine Grandadam est transparent : surfer sur le scandale HSBC pour créer l’image d’une révolution corrompue. De fait, grâce à la convergence croissante des médias commerciaux et des médias sociaux, le buzz s’opère :twitter Or, la seule référence à l’Etat sur la liste vénézuélienne de Falciani concerne la Banque du Trésor qui en 2005 avait ouvert trois comptes à HSBC et une quinzaine d’autres dans des banques étrangères. Il ne s’agit ni de comptes individuels, ni de comptes secrets ni d’une fraude avec comptes codés et société-écrans offshore. Les noms qui apparaissent sont ceux des fonctionnaires qui ont effectué les signatures administratives et l’information n’évoque pas d’irrégularités.
Ce ne fut pas la seule fois que l’Etat Vénézuélien déposa une partie de ses fonds dans des banques suisses pour défendre ses intérêts. En février 2008, en pleine bataille légale contre la plus grande compagnie pétrolière états-unienne, ce fut pour protéger une partie de ses revenus pétroliers d’un possible embargo de la part d’Exxon Mobil que le gouvernement bolivarien les transféra dans des banques suisses (en 2014 le tribunal trancha en faveur du Venezuela.) Trois ans plus tard, en 2011, le président Chavez annonça le rapatriement des réserves d’or du pays, qui se montaient à 11 milliards de dollars et se trouvaient dans des banques d’Angleterre, du Canada, de France et des Etats-Unis. Il décida aussi de transférer les fonds des réserves et du Trésor vénézuélien à des pays membres des BRICS comme la Chine, la Russie et le Brésil, face à de possibles « sanctions » de la part des Etats-Unis.
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Ces faits ultérieurs éclairent la relation de l’Etat vénézuélien avec la banque privée internationale mais n’ont aucun intérêt pour Sabine Grandadam puisque son objectif est simplement d’associer « révolution bolivarienne » à « corruption ». C’est aussi pourquoi elle reste muette sur les 99% de la liste « Venezuela » de Falciani (12) : 178 noms et 115 adresses de clients vénézuéliens possédant des comptes individuels à HSBC. On n’y trouve pas de dirigeants politiques de la révolution, ni le président Maduro ou sa famille, mais pas mal de membres du secteur privé, notamment des médias ou de PDVSA (compagnie pétrolière) avant sa récupération par le gouvernement. C’est plutôt une surprise quand on sait que la vulgate médiatique au Venezuela comme sur le plan international est de dénoncer « la corruption des chavistes ».
RépondreSupprimerBien sûr, un journaliste doué d’un minimum de conformisme n’a qu’à se baisser pour traduire les titres dont les grands groupes médiatiques usent pour faire campagne contre le socialisme bolivarien. Chacun est libre d’ajouter sa pierre aux milliers d’attaques subies par le Venezuela depuis qu’une démocratie de gauche y restitue les droits sociaux et politiques a une majorité d’exclus, et consciemment ou non, de renforcer l’environnement médiatique nécessaire aux coups d’Etat comme celui que le Venezuela vient de déjouer. Il est libre d’occulter à ses lecteurs l’ingérence états-unienne dénoncée par l’ensemble des gouvernements latino-américains (13), et de se refuser à effectuer le moindre reportage sur seize ans d’avancées sociales. Bref, libre d’ignorer la Charte du « Monde » : « 1/ Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité ; (..) 9/ Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste (14). »
http://www.legrandsoir.info/courrier-international-le-produit-offshore-du-monde.html
Êtes-vous prêt pour Total War devise ?
RépondreSupprimerPar Ron Holland Le Quotidien de Bell
Le 19 février 2015
"Etes-vous prêt pour la guerre totale ?" "Sind Sie für bereit totalen Krieg ?" - Joseph Goebbels
Le 18 Février 1943, ministre de la Propagande Joseph Goebbels allemande a prononcé un vibrant discours à Berlin Sportpalast, demandant le peuple allemand, "Sind Sie für bereit totalen Krieg ?" Ou "Etes-vous prêt pour la guerre totale?" Allemagne avait prévues pour Blitzkrieg et une guerre courte et a été préparé pour une guerre mondiale que les forces militaires combinées des États-Unis, l'Angleterre et l'Union soviétique écrasés Reich sans relâche et systématiquement. Bien que les habitants et l'économie se sont rassemblés dans la défense de l'Allemagne, la guerre totale ne prolonge les horreurs de la guerre et a retardé leur défaite inévitable.
Aujourd'hui, 72 années plus tard, un autre empire quasi-fasciste autrefois au sommet du pouvoir économique mondial est repris, cette fois sur le plan économique, par la Chine et les pays BRIC. Pourtant, il conserve la capacité de projeter la puissance militaire sur tous les continents, avec des troupes déployées dans plus de 150 pays, et est impliqué simultanément dans les régions allant de l'Europe et l'Ukraine, à travers le Moyen-Orient et en Afrique pour les nations en Asie autour de la Chine.
La direction de la plupart des Etats vassaux étrangers sont menacés, acheté hors tension ou chantage en faisant les ordres de l'empire de peur qu'ils ne soient renversés et remplacés par black-ops secrètes qui se font passer souvent que les soulèvements nationaux du cru comme le Printemps arabe ou le coup d'Etat en Ukraine en 2014.
Non-coopération des nations étrangères, les banques centrales, les nationalistes et les centres nationaux d'influence puissants sont menacés de sanctions de l'Etat commerciales, des sanctions individuelles et de listes noires, interdictions bancaires et de notation des obligations déclassements en plus à d'autres menaces économiques et militaires directes. Puissante machine de propagande de l'empire basé à New York et à Londres que, si nécessaire, peuvent dans les quelques semaines seulement tourner anciens alliés en despotes mal sans cause, la raison ou la preuve.
Un crime impardonnable est de menacer les montagnes de la dette publique et des milliards sans fin dans des instruments dérivés émis par des gouvernements vassaux de l'Etat dirigé par les dirigeants politiques étrangères contrôlées où les offres d'obligations anciennes sont simplement reconduire, avec les intérêts dus, dans de nouvelles obligations. Ce davantage le fardeau des citoyens et des contribuables tellement favorisé les intérêts des services bancaires d'investissement mondiaux aux États-Unis, Royaume-Uni, l'Allemagne et d'autres peuvent poursuivre leur frais et commissions gravy train.
La Grèce est le talon d'Achille de l'Union européenne
Mais le péché cardinal pour un politicien ou dirigeant politique est de menacer l'entité dirigeante, que la Grèce est en train de faire avec l'Union européenne. L'UE a une junte au pouvoir des politiciens non élus et les intérêts bancaires obligataire maintien se cachent derrière les dirigeants politiques comme Merkel en Allemagne. Cette création moderne-jour d'une union permanente construite sur l'erreur fatale de l'Union américaine, où les Etats anciennement souverains sont libres d'adhérer, mais ne peuvent jamais sortir, est une recette pour un désastre.
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Ce était le cas avec la guerre civile aux États-Unis ou d'aujourd'hui en Grèce, avec la destruction économique totale et la misère de l'État et le peuple aux intérêts bancaires étrangers et de l'esclavage de la dette. Ce statut de débiteur permanente aux intérêts bancaires allemandes et d'autres apparaît même pour empêcher la Grèce obtenir de l'aide financière de la Russie ou de la Chine.
RépondreSupprimerNe vous méprenez pas; minuscule Grèce ne menace la survie de la monstruosité de l'UE. Si la Grèce prévaloir dans ses efforts pour séparer de l'UE, l'Italie, l'Espagne, le Portugal et d'autres pays suivront certainement son chemin audacieux retour à la prospérité, de l'indépendance et de la souveraineté, pas possible sans un euro considérablement affaibli.
L'établissement médias Assure la guerre la monnaie est une guerre secrète
"La première victime quand la guerre est la vérité." - Hiram Johnson un politicien républicain de la Californie qui a servi dans le Sénat américain depuis près de 30 ans.
Merci aux médias de propagande de l'établissement - tous les principaux canaux de nouvelles de câble, y compris le néocon Fox Nouvelles - relativement peu d'Américains sont en mesure de voir le dollar mondiale en cours et les guerres économiques qui font rage depuis le Yémen, la Syrie, l'Irak et l'Iran à la Grèce et de l'Ukraine. La plupart supposent l'assaut bancaire de l'UE sur la Grèce en réponse à ses menaces de quitter l'Union européenne et de ses dettes obligataires des banques allemandes est un enjeu économique distincte de sanctions américaines et financiers de l'UE contre la Russie. De même, il ya peu de discussion et encore moins la compréhension par les Américains sur la façon dont le mouvement ISIS, créée à l'origine par les États-Unis comme une faction modérée contre le gouvernement syrien, transformé soudainement dans le sunnite mouvement califat contrôle désormais la majorité de la Syrie et de l'Irak.
La vraie question est de savoir si cette guerre économique et financière menée entre Washington et les Etats vassaux y compris l'Union européenne supra-nationale contre l'alliance Russie / Chine restera une guerre économique et monétaire ou aller chaud sur ISIS et la résistance nationaliste. Le but ultime de l'empire est de maintenir la survie du marché de l'énergie pétrodollar prix en dollars - et ce est la raison derrière le but US ultime, qui est d'arracher le contrôle des pipelines de pétrole et de gaz à travers l'Irak, la Syrie et l'Ukraine de l'opposition régimes.
En tant qu'Américain, je écris ici d'une dissimulation d'une guerre en cours entre Washington, Londres et l'UE contre la Russie et la Chine. La, historiquement un état vassal de l'UE contrôlée par Washington, est maintenant poussé dans un militaireconflit sur l'Ukraine. Aujourd'hui, il ya un fossé politique qui se déroule entre l'Allemagne Merkel, rejoints par d'autres grands pays européens, et les dirigeants autrefois dominante des États-Unis / Royaume-Uni quant à savoir si les armes militaires devraient être fournis au gouvernement américain installé à Kiev.
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Rappelez-vous les Européens les horreurs de la Deuxième Guerre mondiale
RépondreSupprimerQue la plupart des Américains ne réalisent pas est que, pendant la Deuxième Guerre mondiale, chaque nation européenne avait au moins un contingent de troupes de combat du côté de l'Allemagne contre les Russes - et les Russes sont difficiles combattants. Le taux d'approbation de 80% de Poutine en Russie éclipse la popularité de chaque politicien occidental et parti politique. Il est difficile d'imaginer les troupes allemandes ou françaises se battre et mourir pour Merkel Hollande ou dans les plaines de l'Ukraine, qui faisait autrefois partie de la Russie, où des millions de troupes soviétiques morts pendant la Seconde Guerre mondiale.
Alors que les porte-parole néo-conservateurs habituels comme John McCain et Lindsey Graham pourraient vouloir les États-Unis impliqués dans un conflit militaire avec la Russie en Ukraine, et les Américains incultes pourrions même aller avec eux, les Européens connaissent leur histoire et sont à juste titre horrifiés à l'idée.
Rappelez-vous, l'ancienne Union soviétique pendant la Guerre mondiale était un haï communiste gouvernement dirigé par un dictateur tyrannique. Conflits militaires actifs sont durs pour les politiciens pour justifier sauf se il ya un aspect culturel, religieux, patriotique ou ethnique à l'action militaire. Joseph Staline , l'un des plus grands tyrans du monde, a été en mesure d'obtenir le peuple russe derrière sa guerre avec Hitler seulement parce au public, la défaite signifiait soit la durée de vie du servage ou la mort sous le régime nazi étrangère. Lela cruauté des armées allemandes et SS finalement garantis leur défaite; bien que dans de nombreux domaines, ils ont d'abord été accueillis en libérateurs, l'occupation militaire par la suite par les nazis est devenue égale ou pire que les terreurs de Staline et l'Union soviétique.
Aujourd'hui, l'Internet limite l'efficacité des efforts de propagande gouvernement
Les gouvernements et les politiciens doivent maintenant faire face à la Internet Réforme où les prises de médias alternatifs présentent souvent une vue tout à fait différent de la guerre et les manipulations de marché financier que ne le fait l'establishment médiatique avec leur séquences vidéo aseptisée soutenue par les éditoriaux de propagande "patriotiques" et nouvelles financières commentaires.
Si, historiquement, l'Empire de Washington était un peu bénigne et même utiles pour les anciens adversaires suivants la Deuxième Guerre mondiale, des États-Unis incursions au cours des deux dernières décennies ont été plus d'une histoire d'horreur de la destruction de la nation de la libération et de la prospérité - témoin Irak, l'Afghanistan, la Syrie, la Libye et Yémen ne en nommer que quelques-uns. Bien sûr, toutes les nations et empires concurrence et aucun de nos concurrents en provenance de Russie, de la Chine ou de l'Iran, etc., sont gouvernés par des saints ou sans leurs propres atrocités, mais le châtiment ne se produisent et les poulets ne viennent à la maison pour se percher où les nations ou des empires perdent dans le domaine militaire, guerres économiques ou monétaires. Malheureusement, l'innocence de civils a pas de protection lorsque les marées flambée de l'empire tour.
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Innocence ne offre pas la protection
RépondreSupprimerDemandez aux centaines de milliers d'Allemands qui ont été rédigés dans le Volkssturm dans la dernière année de la Deuxième Guerre mondiale, étant donné un Panzerfaust et marcha vers l'avant pour attaquer les chars soviétiques et défendre les dirigeants nazis à Berlin. Ou considérer les civils innocents dans un Dresde incendiée où des dizaines de milliers ont été brûlé vif ou asphyxiés par les bombardements de terreur alliée à la fin de la guerre, pour ne pas mentionner les centaines de milliers au Japon qui ont été victimes de feu bombardement atomique et attentat à la bombe .
Personnellement, je ne prévois pas de défendre les politiciens américains à Washington d'une agression étrangère ou domestique ou le cartel de la banque centrale et de Wall Street banquiers d'investissement qui, finalement, va détruire le monde dans une mer de dette. Mais décrets présidentiels d'urgence garantissent nous ne serons pas en mesure de protéger nos fonds de retraite, d'épargne et de portefeuilles de placements de la confiscation lorsque les poulets rentrent à la maison pour se percher sur l'Empire Washington.
Si nous avons une certaine richesse ou des biens gauche lorsque le dollar échoue, nous ne pouvons pas arrêter l'avenir "signifie essai" de nos prestations de sécurité sociale et Medicare. Une grande partie de nos biens immobiliers domestiques peuvent ainsi être volés par des groupes favorisés et individus quand nous ne pouvons pas payer les exorbitantes taxes foncières annuelles tout comme beaucoup de biens dans le Sud vaincu a été prise par nord "ensacheuses de tapis" Après la guerre entre les États - ou perdu au cours de la Grande Dépression , qui est un scénario le plus probable pour la comparaison de ce que tous les Américains productives seront confrontés à l'avenir.
Actuellement, il ya une guerre mondiale qui a lieu juste en face de nous, mais tout ce que nous voyons sur le câble sont les nouvelles escarmouches militaires nocturnes sur la périphérie du conflit. La vraie guerre est économique, financière et monétaire lié et l'empire est déjà trop prolongée de la dette, les opérations militaires et la manipulation financière. Sûrement le court terme force du dollar est la preuve que tout défaite ne est pas imminent et que tous les marchés peut être manipulé pour une saison, en fin de compte réels forces du marché mondial prévaudront.
Ne attendez pas qu'il soit trop tard
Les Américains devraient profiter de la vigueur récente du dollar à se diversifier dans d'or , investissements , immobilier et refuges endroits en dehors du dollar américain et les États-Unis. Mieux vaut être tôt que trop tard parce que finalement les conséquences des actions militaires agressives, la manipulation de la banque centrale et la dette publique incontrôlée et passif non capitalisé rentreront au peuple américain. Ni la culpabilité de nos dirigeants politiques et de la banque, ni l'innocence de nos citoyens vous, protéger vos biens ou votre famille. (Ron va parler plus sur ce sujet à la 13 au 17 mai Conférence sur l'investissement alerte élevée .)
Ne attendez pas pour une sortie de la Grèce de l'UE, une course sur la dette euro, un tiers invasion américaine de l'Irak, guerre contre ISIL ou une escalade en Syrie ou en Ukraine pour tenter de sécuriser les pipelines de pétrole et de gaz d'agir. Ne oubliez pas que tous les empires finissent par devenir trop étendues financièrement, économiquement ou militairement et les conséquences de la répression et blowback sont réels et mortelle pour les populations innocentes.
Reproduit avec la permission de Le Quotidien de Bell .
http://www.lewrockwell.com/2015/02/no_author/are-you-ready-for-total-war/
DARPA développe l'Implant avec « Terminator » Vision: « brancher directement à l'ADN d'une personne et cortex visuel »
RépondreSupprimerMac Slavo
18 février 2015
SHTFplan.com
Pour l'instant, la technologie est sous forme « brute » en cours de R & D par le biais de l'expérimentation animale, plus particulièrement avec les connexions neuronales d'un poisson-zèbre.
À plus long terme, les chercheurs DARPA (du Pentagone Defense Advanced Research Projects Agency) croit le gène modifiant la technologie optique sera en mesure de restaurer la vision aux aveugles et malentendants et remplacé les conceptions actuelles de la réalité virtuelle, avec un écran interne qui fournira des statistiques vitales et plus d'infos sur la cible, err, objet en vue.
Selon CNET, les boffins DARPA travaillent auraient été sur un dispositif appelé un "modem cortical" qui se branche directement sur l'ADN d'une personne et cortex visuel. Non seulement ce dispositif unique aide quelqu'un vaincre la cécité ou mauvaise vue, il génère un intégré Heads-up display (HUD) qui s'affiche à droite dans sous leurs yeux.
Les implants créer une projection de réalité augmentée qui apparaît comme des lunettes magiques dans votre vision naturelle et sans la nécessité pour les casques ou spéciales. (source)
La superposition visuelle pourrait être développée, comme dans le "Terminator" de Schwarzenegger films, comme un panneau automatique de l'information qui concorde parfaitement avec le monde réel, ou il pourrait intégrer interactive "Minority Report"-style de panneaux, mais en interne. Malgré tout, les implications sont fantastiques et peut-être, troublant.
Si ce n'est guère la première incursion DARPA dans cerveau implants, cette technique représente une nouvelle percée, car il nécessite une modification de l'ADN d'une personne, une demande d'optogenetics qui permet de contourner notre système sensoriel visuel naturel et fait usage de ce qui est, pour l'instant en tout cas, un simple $10 appareils qui produit l'affichage LED-comme :
« Les implications de ce projet sont stupéfiantes, », a écrit Peter Rothman de L'humanité + Magazine, qui a assisté à l'événement. Tout d'abord, cette technologie pourrait être utilisée pour restaurer la fonction sensorielle aux personnes qui ne peuvent tout simplement être traités avec les approches actuelles. Deuxième, l'appareil pourrait remplacer toute la réalité virtuelle et augmentée des écrans de la réalité. "
"Sans passer par le système sensoriel visuel entièrement, un modem cortical peut directement afficher dans le cortex visuel permettant une sorte de virtual superposition sur le monde réel," a-t-il ajouté. "En outre, l'approche d'optogenetics permet la lecture et l'écriture d'informations. Donc on peut imaginer au moins un appareil dans lequel les objets virtuels apparaissent bien intégrées dans notre monde perçu. » (source)
Chercheurs croient que, bien que loin d'être terminé, cela rendrait la science-fiction tech possible, même ouvrir la porte à la télékinésie et la télépathie :
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Les possibilités vont encore plus loin, cependant, dit Rothman. Le modem cortical pourrait potentiellement permettre électronique télépathie et télékinésie et pourrait rendre les interfaces neurales, rendus populaires par la science fiction writer est une réalité. Ces avances sont encore loin, toutefois, que le modem cortical dans sa forme actuelle est encore, dans les mots de Rothman, un dispositif « rudimentaire ».
RépondreSupprimerAlors qu'elle pourrait être facturé comme un remède incroyable pour les non-voyants, les implications pour le champ de bataille militaire sont immenses.
Comme beaucoup de films dystopique et futuristes comme Ray Kurzweil ont prédit depuis longtemps, ces implants neurones, modifications et « upgrades » sont réunies pour la réalisation de super soldats, capables de faire des guerriers de l'homme plus-que-humain et capable de robots autonomes et ordinateurs IA un avantage déséquilibré contre des ennemis classiques dans tout conflit.
Avant que vous rêver sur les « cool » visions de l'avenir, n'oubliez pas que les geeks informatiques ont une fois de plus, a averti que la hausse d'Amnesty International et de la nanotechnologie a littéralement menace la survie de la civilisation. Un rapport de la Fondation mondiale de défis s'inquiétait de l'extinction de la race humaine et un chômage de masse qui viennent de la main de œuvre humaine :
« Ces intelligences extrêmes ne pouvaient facilement être contrôlés (par les groupes de leur création, ou par un régime réglementaire international) et agiraient probablement pour augmenter leur propre intelligence et acquérir des ressources maximales pour presque toutes les motivations initiales de AI, » suggèrent des auteurs Dennis Pamlin et Stuart Armstrong.
"Et si ces motivations ne pas détailler la survie et la valeur de l'humanité, l'intelligence sont amené à construire un monde sans humains. Cela rend extrêmement intelligents AIs un risque unique, qu'extinction est plus probable que le moindre impact."
Le rapport met également en garde du risque « que l'effondrement économique puisse suivre du chômage de masse que les humains sont remplacés par copiable capital humain » et se déclare préoccupé par la perspective de l'IA étant utilisé pour la guerre: « une course aux armements de AI could result in AIs en cours de construction avec des objectifs pernicieux ou manque de précautions de sécurité. »
Donc ce qui est plus proche à l'horizon : la fin de la vie comme nous le savons, ou la prochaine grande chose ?
http://www.shtfplan.com/forecasting/darpa-develops-implant-with-terminator-vision-plugs-directly-into-a-persons-dna-and-visual-cortex_02182015
La géoingénierie est poussé par les politiciens et les scientifiques ... Mais Il peut faire plus de mal que de bien
RépondreSupprimerPosté le 19 Février, 2015
par WashingtonsBlog
Les scientifiques ont proposé de faire fondre la glace de l'Arctique Cap arrêter un nouvel âge glaciaire
Les propositions visant à utiliser la géoingénierie pour lutter contre le réchauffement climatique sont dans les nouvelles. En effet, les humains ont été modifiant intentionnellement la météo pour le contrôle climatique depuis des décennies. Mais la géoingénierie n'a pas toujours été considéré comme un moyen de lutter mondiale réchauffement ...
Dans les années 1950, 1960 et 1970, les scientifiques et les présidents ont considéré la géoingénierie à arrêter une nouvelle âge de glace et de créer plus de réchauffement.
Le 28 Avril 1975, Newsweek a écrit un article indiquant:
Les climatologues sont pessimistes que les dirigeants politiques prendront toute action positive pour compenser le changement climatique, ou même d'apaiser ses effets. Ils reconnaissent que certaines des solutions les plus spectaculaires proposées, telles que la fonte de la calotte glaciaire arctique en le couvrant avec de la suie noire ou détourner les rivières arctiques , pourrait créer des problèmes bien plus importants que ceux qu'ils ne en résolvent. Mais les scientifiques voient peu de signes que les dirigeants du gouvernement sont partout même prêt à prendre les mesures simples de stockage de la nourriture ou de l'introduction de variables de l'incertitude climatique dans les projections économiques de futurs approvisionnements alimentaires. Plus le délai de planificateurs, le plus difficile trouveront-ils à faire face au changement climatique, une fois les résultats deviennent triste réalité.
Ici est une réimpression de l'article dans le Washington Times, et ici est une copie de l'article 1975 Newsweek.
Pourquoi des scientifiques envisagent-ils la fonte de la calotte glaciaire de l'Arctique ?
Parce qu'ils étaient inquiets d'une nouvelle ère glaciaire.
Newsweek a discuté l'article 1975 à 2006:
En Avril, 1975 ... Newsweek a publié un petit retour page article sur un genre très différent de la catastrophe. Citant "des signes inquiétants que les conditions météorologiques de la planète ont commencé à changer de façon spectaculaire," le magazine a averti d'une imminente "baisse drastique de la production alimentaire." Perturbations politiques découlant de pénuries alimentaires pourraient affecter «à peu près toutes les nations sur la terre." Les scientifiques ont exhorté les gouvernements d'envisager des mesures d'urgence pour parer la terrible menace de. . . ainsi, si vous aviez été à la suite des débats sur le changement climatique à l'époque, vous auriez su que la menace était: refroidissement global ...
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Les citoyens peuvent juger par eux-mêmes ce qui constitue une réponse prudente, qui, en effet, est ce qui se est produit il y a 30 ans. Dans l'ensemble, c'est probablement tout aussi bien que la société choisisse de ne pas suivre l'une des solutions possibles mentionnés dans l'article de Newsweek: à verser la suie sur la calotte glaciaire arctique, pour l'aider à fondre .
RépondreSupprimerPrincipal conseiller scientifique d'Obama - John Holdren - était l'un de ceux avertissement d'un âge de glace catastrophique .
Le Boston Globe a rapporté en 2005:
Les plus grands schémas d'ingénierie climatique proviennent de l'Union soviétique. Le plus Promethean parmi eux était un fin des années 1950 proposition visant à endiguer le détroit de Béring et, en pompant l'eau de l'océan Arctique dans le Pacifique, puiser de l'eau chaude vers le nord de l'Atlantique à fondre la glace polaire paquet, faisant de l'océan Arctique et le réchauffement de la Sibérie navigable. Le climatologue soviétique leader, Mikhail I. Budyko, a mis en garde contre elle, faisant valoir que les effets ultimes étaient trop difficiles à prévoir (si lui-même avait joué avec l'idée du réchauffement de l'Arctique en le couvrant de suie pour diminuer sa réflectivité). John F . Kennedy, en tant que candidat à la présidentielle, a suggéré aux Etats-Unis se pencher sur la collaboration sur le projet. Bien que les deux pays ont poursuivi les discussions à bâtons rompus du plan détroit de Béring dans les années 1970, le gouvernement américain était alors de perdre intérêt pour l'ensemble du domaine de la modification du temps.
De même, l'American Institute of Physics note :
Autour de 1956, les ingénieurs soviétiques ont commencé à spéculer qu'ils pourraient être en mesure de jeter un barrage à travers le détroit de Béring et de pomper l'eau de l'océan Arctique dans le Pacifique. Cela puiser de l'eau chaude à partir de l'Atlantique. Leur objectif était d'éliminer la banquise, faire l'océan Arctique navigable, et de se réchauffer Sibérie. L'idée a attiré quelque attention aux États-Unis - candidat à la présidentielle John F. Kennedy a fait remarquer que l'idée valait la peine d'explorer un projet conjoint avec les Soviétiques, et de la discussion se est poursuivie dans les années 1970.
La suie est une cause majeure du réchauffement et de la fonte de la glace dans l'Arctique et dans l'Himalaya. Comme Institut Goddard de la NASA pour les études spatiales a montré, la suie dans la haute atmosphère se termine sur la surface des feuilles et des glaciers, tels que la calotte glaciaire arctique:
Asie du Sud est estimée à plus grandes émissions de suie industrielle dans le monde, et de la météorologie dans cette région balaie facilement la pollution dans la haute atmosphère où il est facilement transporté vers le pôle Nord.
Si les scientifiques avaient convaincu les décideurs de verser la suie sur la calotte glaciaire de l'Arctique dans les années 1970, nous aurions eu des problèmes réels. Accablant le détroit de Béring aurait été désastreux.
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Tout d'abord, Do No Harm
RépondreSupprimerJ'ai déjà souligné de nombreuses décisions concernant l'environnement qui ont causé plus de mal que de bien, comme le gouvernement de forcer le passage d'un type de produit chimique à un produit chimique qui se est avéré être 4470 fois plus puissant comme gaz à effet de serre que le gazcarbonique.
Voici un autre. La mangouste a été introduite à Hawaï afin de contrôler les rats (qui mangeaient la canne à sucre utilisée pour fabriquer du rhum). Il ne fonctionne pas très bien - les mangoustes sont des créatures de lumière du jour épris tandis que les rats sont nocturnes - et mangoustes ont saccagé les espèces indigènes à Hawaï.
Tout mon point est que nous devons nous assurer que nos actions ne causent pas plus de mal que de bien.
Par exemple:
- La prestigieuse revue scientifique a publié un rapport montrant que la géoingénierie pour combattre le réchauffement pourrait augmenter le risque de sécheresse
- BBC note que la géoingénierie pourrait nuire à des milliards de personnes
- Les scientifiques envisagent toutes sortes de régimes farfelues ... Par exemple, "les scientifiques du gouvernement étudient la faisabilité de l'envoi de près de particules microscopiques de verre spécialement conçu dans la haute atmosphère de la Terre pour tenter d'atténuer les effets de «réchauffement de la planète . » "D'autres sont actuellement suggérant abattre des arbres et de les enterrer . Autres façons de géoingénierie la planète sont étudiées et testées (et voir ce et ce ), impliquant des choses telles que le dumping baryum, d'aluminium et d'autres métaux toxiques dans l'atmosphère
http://www.washingtonsblog.com/2015/02/geoengineering.html
(...) Les scientifiques ont proposé de faire fondre la glace (...) Les ? lesquels ? Disons plutôt des, des scientifiques.
Supprimer(...) les humains ont été modifiant intentionnellement la météo pour le contrôle climatique depuis des décennies. (...) Les humains !! 7 milliards de personnes seraient fautives !!
Bref, ces idiots qui - à l'époque - se disaient déjà 'scientifiques' sont les mêmes qu'aujourd'hui à clamer le contraire !
6 mois dans le noir à -70 degrés : comment survivent ceux qui passent l’hiver en Antarctique
RépondreSupprimerChaque hiver, les scientifiques du pôle sud sont coupés du monde pendant plusieurs mois, dans l'obscurité la plus totale.
Coup de froid
Publié le 18 Février 2015
Entre octobre et février, l'Antarctique grouille de monde. La cinquantaine de bases scientifiques fait le plein et les touristes visitent le continent pour profiter des journées de soleil de 24h. Mais à partir de février, le temps s'arrête. Les températures chutent, les touristes repartent et la plupart des chercheurs suivent le mouvement.
Mais dans certaines bases du pôle sud, l'hivernage se prépare. Sur la dernière terra nullius de la planète (territoire qu'aucun Etat ne peut revendiquer), des scientifiques s'apprêtent à vivre coupés du monde, sans ravitaillement, sans soleil et dans les conditions climatiques les plus extrêmes de la Terre : en moyenne – 70 degrés Celsius avec des pointes dans certaines régions à -90 degrés.
A cette époque de l'année, les transports ne peuvent plus atteindre cette vaste étendue glaciaire qui regroupe 70% de l'eau douce de la planète. "Le dernier avion décolle mi-février au plus tard" raconte Christophe Leroy-Dos Santos, un chercheur parti sur la base Française Concordia en 2012. Après cette date, le kérosène risque de geler. Et n'espérez pas prendre le bateau qui serait alors bloqué dans les glaces polaires. Les chercheurs sont seuls, dans l'obscurité la plus totale puisque l'inclinaison de la Terre coupe tout contact avec le soleil pendant l'hiver austral.
A cette période, une trentaine de bases est encore active. Celles du littoral ou des îles avoisinantes, au climat plus clément, peuvent compter jusqu'à 250 personnes comme celle de McMurdo, grande comme un village où travaillent des scientifiques américains. Sa petite sœur Amundsen-Scott, la plus proche du pôle sud ne compte que 50 personnes en hiver. La base française Concordia ne garde que 13 personnes par an.
Et pour ces grappes d'hommes et femmes qui maintiennent les bases en vie durant les long mois d'hiver, il faut généralement se préparer comme des astronautes. Sans soleil, le corps humain n'a pas sa dose de vitamine D, et la principale conséquence de cette carence, c'est l'apparition d'épisodes de dépression. Sur Amundsen-Scott, certains ont d'ailleurs leur lampe personnelle pour se recharger en lumière, raconte le site The Atlantic. Lorsque un voyage scientifique se prépare, environ un tiers des candidats est recalé après une visite médicale et un entretien psychologique poussé.
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Le but, c'est d'être capable de survivre en milieu clos, dans un environnement hostile et sans réellement d'intimité. "Vous vivez et vous travaillez dans des petits quartiers donc le problème n'est pas vraiment la solitude" explique Peter Rejcek, éditeur de The Antarctic Sun. Tout ce petit monde doit surtout maintenir la base en état. En 2005, la mission d'hiver de Concordia avait comme chef de mission…. Un plombier-chauffagiste. A côté des scientifiques, on retrouve donc des électriciens, de soudeurs et des médecins. Car si la déprime est passagère, un accident plus grave serait dramatique. L'hôpital, le plus proche se trouve sur les îles Malouines, à 1000 km au nord. "Les accidents les plus communs sont mineurs", explique Poly Penhale, qui s'occupe du département santé des stations américaines. "Sur place, nous sommes à la fois médecins généralistes, dentistes, pharmaciens, radiologues, biologistes, anesthésistes, chirurgiens, médecins du travail..." insiste Béatrice Laudet, médecin des Terres Australes. Limiter les mouvements, respirer consciencieusement… autant de gestes qui doivent devenir naturels lorsque le personnel est de sortie.
RépondreSupprimerEt pour s'occuper pendant les rares heures que leur travail leur laisse, les scientifiques ont accès, selon les bases, à plus ou moins d'activités. Librairie, salle de gym et l'inévitable sauna, qui permet à certains de tenter une expérience unique : un différentiel de 300 degrés Fahrenheit (soit 180 degrés Celsius). Dix minutes dans le sauna puis une petite course nu dans la neige. Ceux qui expérimentent ça font ensuite partie du très select "club des 300". Après cela, ils peuvent se réchauffer au Club 90 South, un des rares bars du continent dans la base d'Amundsen-Scott.
Sur Concordia, on s'occupe avec une table de ping-pong, un billard, un baby-foot et même une console de jeux. Le site de l'Institut polaire français recommande d'ailleurs aux hivernants de "ramener des déguisements" pour les quelques soirées organisées. La vie n'est décidemment pas simple en Antarctique.
http://www.atlantico.fr/decryptage/6-mois-dans-noir-70-degres-comment-survivent-ceux-qui-passent-hiver-en-antarctique-2009142.html
Le robot pâte de tranchage de Foxconn fait ses débuts à Taiyuan boutique de nouilles
RépondreSupprimerReporter du personnel
19/02/2015
15:12 (GMT + 17)
Foxconn (Hon Hai), le fabricant de Taiwan dont le siège électronique grand public le plus connu pour assembler l'iPhone et l'iPad d'Apple dans ses usines en Chine, a dévoilé une machine pâte tranchage à Taiyuan dans la province du Shanxi le nord de la Chine lundi, marquant la première fois que le géant de la fabrication a essayé sa main à quelque chose à voir avec l'industrie de la restauration.
Dans un restaurant du nom de Qian Yi Liang Mian, un robot baptisé "Fu Jiang" fait des nouilles par tranchage d'un morceau de pâte. Avec chaque coup de son bras de robot, cinq longues nouilles minces déposées dans un conteneur.
En moins d'une minute, le conteneur était plein de nouilles prêtes pour la cuisson, beaucoup plus rapide qu'un chef humain. Le robot a fait sensation dans une province connue pour ses nouilles et autres aliments à base de farine.
Il y a trois ans un robot de pâte tranchage similaire a été introduit dans le Shanxi, mais ce qui distingue "Fu Jiang" est en dehors de ses spécifications supérieures et sa capacité à nettoyer ses lames automatiquement, dit Wu Weibing, un dirigeant Foxconn responsable du programme.
En 2011, Foxconn Terry Gou, le patron a annoncé un plan pour faire 1 million de robots dans son usine dans la province de Jincheng, Jiangxi. L'année prochaine, la société prévoit de construire la plus grande base au monde pour la fabrication de robots intelligents.
Jusqu'à présent, les robots fabriqués à Jincheng ont été introduits pour les usines de Foxconn dans plus de 20 villes et provinces, a dit M. Wu. Ils ont pris le relais des emplois comme peinture à l'application et le chargement et le déchargement des travailleurs humains.
Jusqu'à présent, tous les robots Foxconn fabriqués ont été utilisées dans ses propres installations de fabrication de l'entreprise.
La société qui gère la chaîne de restaurants Mian Qian Yi Liang a dit qu'il se est intéressé après avoir vu un robot pâte tranchage Foxconn lors d'une exposition à Zhengzhou, a déclaré Yue Mei, président de la chaîne. "Fu Jiang" est un produit de la recherche et le développement conjoint entre la chaîne et Foxconn, a t-elle ajouté.
Il existe actuellement sept grands fabricants de robots utilisés dans l'industrie de la restauration en Chine, avec la plupart de leurs produits utilisés pour fournir de la nourriture. Les statistiques publiées récemment par un spectacle de l'institut de recherche basé à Shenzhen qui Jinghong était le meilleur vendeur de robots de ce type en Chine en 2014, avec quelques 300 unités vendues pour un total de 14 millions de yuans (2,2 millions de US $).
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?id=20150219000029&cid=1303
Ce n'est pas parce que l'on aura ajouté deux yeux à une cafetière ou à la machine à laver qu'elles seront meilleures après !
SupprimerCette modernisation de la machine-outils fera que les productions seront moins chères et donc, que le pouvoir d'achat des consommateurs sera augmenté d'autant.
Cyber-espionnage : Fanny le nouveau logiciel espion de la NSA dévoilé par Kaspersky Lab
RépondreSupprimerLes News eco
mer., 18 fév. 2015 09:12 CET
La société spécialisée en sécurité Kaspersky Lab a à trouvé l'origine d'attaques d'une complexité sans précédent infectant les disques durs de gouvernements, d'agences gouvernementales et de sociétés stratégiques. Un puissant outil de cyberespionnage, surnommé « Fanny », qui récolte de l'information dans des millions d'ordinateurs par le biais de logiciels malveillants installés secrètement.
Fanny : le nouveau ver de la NSA
Un rapport publié lundi par la firme de sécurité informatique russe Kaspersky n'a pas identifié la source de cette campagne de cyperpiratage, mais a mentionné certaines similarités avec Stuxnet, une cyberarme que beaucoup croient avoir été développée par les Etats-Unis et Israël pour contrecarrer le programme nucléaire iranien.
Kaspersky a indiqué que cette campagne « surpasse tout ce qui a été fait en matière de complexité et de sophistication », dans le domaine du cyberespionnage, et son utilisation remonte à aussi loin que 2001 par une équipe nommée « le groupe Equation ». « Le groupe Equation est probablement l'un des groupes de cyberpirates les plus sophistiqués au monde; et l'un des plus menaçants que nous ayons vu », mentionne le rapport.
Les manoeuvres d'espionnage utilisaient un ver que Kaspersky a surnommé « Fanny » qui infecte un ordinateur par une clé USB en exploitant deux failles pour syphonner de l'information d'ordinateurs au Moyen-Orient et en Asie, ajoute le rapport. Des preuves montrent que les développeurs de Equation et de Stuxnet « sont soit les mêmes, soit de proches alliés », poursuivent les chercheurs.
La NSA muette
L'agence américaine de sécurité nationale (NSA), qui a mené une vaste opération de surveillance à l'échelle mondiale pour la lutte au terrorisme, a refusé de confirmer toute implication dans le programme. »Nous sommes au courant du rapport. Nous ne commenterons publiquement aucune allégation soulevée par le rapport, ni aucune autre information », a indiqué Vanee Vines, la porte-parole de la NSA dans un courriel à l'AFP.
Sean Sullivan, de la firme de sécurité finlandaise F-Secure, a pour sa part mentionné que le rapport de Kaspersky semble décrire une division de la NSA connue sous l'acronyme ANT, qui a fait l'objet d'un rapport en 2013 sur les portes dérobées dans les produits technologiques. « L'étude de Kaspersky fait référence à un groupe nommé 'Equation', dont le pays d'origine est tenu secret, mais qui possède exactement les mêmes capacités qu'ANT », a précisé M. Sullivan dans un article de blogue mardi.
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L'attaque a été en mesure d'infecter « environ 2.000 utilisateurs par mois » dans 30 pays, mentionne le rapport. La majorité des contaminations ont été détectées en Iran, en Russie, au Pakistan et en Afghanistan. Parmi les autres pays touchés, on compte la Syrie, le Kazakhstan, la Belgique, la Somalie, la Libye, la France, le Yemen, la Grande-Bretagne, la Suisse, l'Inde et le Brésil.
RépondreSupprimerUne caractéristique particulière de ces attaques, selon les chercheurs, est la facilité avec laquelle il a été possible de piéger les grands fabricants de disques durs, dont Western Digital, Seagate, Samsung et Maxtor. Le logiciel espion a été conçu de telle manière qu'il résiste à un reformatage du disque dur et à l'installation d'un nouveau système d'exploitation.
Pour le chercheur de Kaspersky Serge Malenkovich, ces logiciels espions sont « invisibles et indestructibles », un véritable cauchemar en sécurité informatique. Mais comme cette attaque est si complexe a exécuter, a-t-il noté, « que même le groupe Equation ne l'a probablement réalisée qu'à quelques reprises. »
Disques compacts infectés
Les chercheurs de Kaspersky ont également indiqué que le logiciel malveillant avait aussi été enfoui dans les disques compacts d'une conférence scientifique de 2009, rendant possible la contamination des ordinateurs de plusieurs dizaines de scientifiques internationaux.
« On ne peut dire quand le groupe Equation a commencé son ascension. Les échantillons de logiciels espions que nous avons vu ont été identifiés en 2002, mais leur centre de commandement a été repéré en 2001?, précisent les chercheurs. Il est même possible de remonter la filière jusqu'en 1996.
Les autorités américaines n'ont pas donné de commentaire sur Stuxnet, mais les chercheurs, dont ceux de Kaspersky, ont dit que le virus développé par les Etats-Unis et Israël pour contenir les menaces de l'Iran, remonte à au moins 2007.
Des cyberattaques contre les banques à l'origine de pertes massives
Une vague de cyberattaques d'un genre nouveau vise depuis 2013 des banques du monde entier, en premier lieu russes, causant des pertes estimées à près d'un milliard de dollars, révèle la société spécialisée Kaspersky Lab dans un rapport publié lundi à Moscou.
Cette campagne, toujours en cours, « indique clairement l'avènement d'une nouvelle ère pour la cybercriminalité », prévient Kaspersky dans cette enquête, dont le New York Times s'est fait l'écho ce week-end. Selon le laboratoire russe, une centaine de banques ont été visées, dont « au moins la moitié ont subi des pertes financières, la plupart des victimes étant situées en Russie, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Chine et en Ukraine ».
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Si certains signes suggèrent que l'origine des attaques se situe en Chine, la société met en garde contre de possibles indices distillés sciemment afin de tromper les services de sécurité. Les victimes sont en majorité russes. Alors que les attaques informatiques sont utilisées de manière croissante à des fins géopolitiques, « la motivation des attaquants (...) semble être le gain financier plutôt que l'espionnage », selon ce document. Ses auteurs soulignent que les auteurs de la fraude sont « clairement très familiers des logiciels et réseaux de services financiers ».
RépondreSupprimerLes hackers utilisent un programme baptisé « Carbanak » visant les employés des banques afin de les piéger à l'aide de pièces jointes par une méthode de « phishing » (hameçonnage). Ils parviennent alors à accéder au réseau de ces cibles, et ainsi aux opérations de transferts d'argent, aux distributeurs de billets et comptes bancaires. Les auteurs des attaques procèdent alors directement à des transferts vers des comptes sous leur contrôle ou des retraits à partir de distributeurs ciblés. Leur mode opératoire va jusqu'à enregistrer des images des systèmes de vidéosurveillance suivant les activités des employés visés.
Les fonds détournés ont été transférés vers des comptes aux Etats-Unis et en Chine, ajoute Kaspersky. La société souligne l'ampleur des sommes détournées : une banque perdant 7,3 millions de dollars via des retraits par distributeurs, une autre 10 millions de dollars via des opérations sur sa plateforme en ligne.
Selon ce rapport, les hackers tentent actuellement d'étendre leurs attaques aux pays d'Europe centrale et orientale ainsi qu'au Proche-Orient, en Asie et en Afrique.
http://fr.sott.net/article/24807-Cyber-espionnage-Fanny-le-nouveau-logiciel-espion-de-la-NSA-devoile-par-Kaspersky-Lab
Bizarre tout-de-même que des ordinateurs sortis tout propre de chez le fabriquant ne puissent le rester sans que l'ordi n'en révèle (ou ne puisse en révèler) les ajouts !
SupprimerUSA : l'arme de l'information contre les dirigeants européens
RépondreSupprimerGeorgy Voskresensky
Strategic-Culture Foundation
mer., 18 fév. 2015 08:17 CET
Traduction : Christophe
Anonymous est apparu pour la première fois sur la toile d'Internet en 2003 comme un groupe de hackers activistes défendant la liberté d'expression et opérant comme un « cerveau digital global anarchiste. » Il s'agit d'un instrument, ou plutôt d'une arme destinée à être utilisée dans la guerre de l'information. Et cette arme a un avantage considérable : il s'est bien souvent avéré difficile de savoir qui l'utilisait vraiment. Pourtant, le problème ne se posait pas lorsqu'Anonymous publiait en 1993 une photo d'Angela Merkel rendant visite au Club Elbterrassen pour y rencontrer quelques skinheads et quelques autres personnages dont l'un exécutait un salut nazi...
Berlin s'était alors fendu d'explications circonstanciées, mais ce n'est pas là le problème. Une photo vieille de plus de 12 ans vient d'être publiée le 9 février dernier, juste avant la visite d'Angela Merkel à Washington, et après sa rencontre avec le président français François Hollande et le président russe Vladimir Poutine à Moscou, une réunion qui a duré plusieurs heures.
En publiant cette photo, Anonymous demandait si, pour diriger l'Allemagne, on pouvait vraiment faire confiance à une femme politique qui fut membre de l'Organisation de la Jeunesse socialiste en Allemagne de l'Est, qui était une espionne de Berlin Est, et qui fricotait avec les nazis.
L'attaque médiatique a été précédée par un événement notable : la chancelière s'est opposée à l'idée de fournir des armes létales à l'Ukraine. Angela Merkel a pris la parole lors d'une conférence sur la Sécurité à Munich le 7 février pour dire que « la situation de l'Ukraine ne s'améliorera pas en fournissant plus d'armes. » Et elle a réitéré cette affirmation un certain nombre de fois lors de ses récents voyages aux États-Unis et au Canada. Aux USA, ce sont le sénateur John McCain et la secrétaire d'État adjointe aux affaires européennes et asiatiques, Victoria Nuland, qui ont répondu en premier. Le Sénateur a comparé les tractations entre Merkel, Hollande et Poutine à la réunion d'apaisement entre Neville Chamberlin et Adolf Hitler. Mme Nuland a, comme à son habitude, utilisé un langage particulièrement obscène pour qualifier la dirigeante du principal État européen.
Il faut se rappeler aussi que depuis un certain temps, les services secrets américains ont abondamment collecté toute sorte d'informations, par différents moyens, dans le but de pouvoir les utiliser contre la chancelière allemande. On a appris par exemple en octobre 2013 que la NSA (National Security Agency) avait mis sur écoute le téléphone personnel de Mme Merkel, et l'information selon laquelle l'Agence américaine maintenait depuis plus de 10 ans la Chancelière sous surveillance a provoqué un énorme scandale. Mme Merkel a expliqué qu'elle n'attendait ni n'exigeait aucune excuse particulière, mais cette affaire a ouvert une importante brèche dans la confiance mutuelle et il a fallu des efforts importants pour tenter de la restaurer. Les promesses n'ont pas suffi, et la situation imposait des changements. Dans ces circonstances, la Chancelière pouvait difficilement calmer l'indignation générale, mais Washington a fait la sourde oreille sur ce qu'elle disait. L'histoire des enregistrements a finalement été étouffée et il n'y a eu aucun réel changement.
(suite en dessous:)
Angela Merkel n'est pas la seule dirigeante européenne à avoir fait l'expérience des pratiques de Washington concernant toute « liberté de pensée » des leaders européens, en particulier quand il s'agit de la Russie. Les exemples ne manquent pas.
RépondreSupprimerLa Hongrie, emmenée par son premier ministre Victor Orban, a signé avec la Russie un contrat pour achever la construction de deux centrales nucléaires situées à 100 km de Budapest. Les États-Unis ont [immédiatement] imposé des sanctions contre la Hongrie. Le Sénateur McCain, toujours aussi prompt à dégainer, a qualifié le premier ministre hongrois de « dictateur fasciste ». [Dans le même temps], le président Poutine était attendu à Budapest le 17 février.
L'administration US est aussi insatisfaite de la position de Milos Zeman, le président de la République tchèque, qui a osé demander des preuves que les troupes russes ont bien envahi l'Ukraine, et a appelé les États-Unis et l'Union européenne à mettre fin aux sanctions. Les USA ont alors utilisé leurs réseaux dans le pays pour lancer une vaste campagne discréditant le Président.
Alors qu'il était premier ministre de l'Italie, Silvio Berlusconi n'hésita pas à affirmer que la compréhension mutuelle entre la Russie et les États-Unis était une exigence pour la stabilité en Europe. Il a déclaré que les USA avaient agi de façon irresponsable en déployant des missiles de défense en Pologne et en République tchèque, en reconnaissant l'indépendance du Kosovo, et en poussant la Géorgie et l'Ukraine dans l'OTAN.
Dominique Strauss-Kahn, ex-directeur du fonds monétaire international, a été victime d'une provocation planifiée longtemps à l'avance et organisée contre lui aux États-Unis où il a été accusé d'avoir violé une femme de chambre noire lors de son séjour à New York. Il a dû faire faire à un procès aux États-Unis. On a su par la suite que la femme de chambre avait menti, mais cela est passé totalement inaperçu. Strauss-Kahn a perdu son poste au FMI et n'a pas pu se présenter aux élections présidentielles en France.(*)
Orban, Zeman, Berlusconi, Strauss-Kahn, et maintenant Merkel : tous sont devenus des cibles pour les frappes chirurgicales des armes de l'information US contre les politiciens européens montrant de bien trop grandes velléités d'indépendance en matière de politique étrangère, au goût de Washington.
L'establishment américain pense que l'Europe doit rester sur sa ligne et suivre la politique étrangère US sans aucune variante possible. Selon eux, c'est comme cela que s'obtient la quintessence de la coopération transatlantique. Juste après sa rencontre avec Angela Merkel, le président américain a expliqué lors d'une interview à Vox.com, que les États-Unis étaient obligés d'avoir « la plus puissante armée du monde. »Et il a ajouté « nous devons parfois tordre un peu le bras de certains pays qui ne veulent pas faire ce qu'on leur demande. » La brutalité de cette déclaration ne laisse aucun doute sur le fait que les États-Unis sont prêts à « tordre le bras » de n'importe quel allié qui n'aurait pas les mêmes vues qu'eux sur les différents problèmes dans le monde.
Les alliés (vassaux ?) européens, ou asiatiques peuvent être certain de cela. Le président turc Erdogan est très certainement le prochain sur la liste. On ne lui pardonne pas d'avoir signé avec Poutine l'accord sur le gazoduc « Turkish Stream ». Et on entend clairement le tic-tac de l'horloge.
http://fr.sott.net/article/24804-USA-l-arme-de-l-information-contre-les-dirigeants-europeens
Cuves de réacteurs nucléaires fissurés, un problème mondial
RépondreSupprimerEnerzine
jeu., 19 fév. 2015 06:16 CET
Des milliers de fissures ont de nouveau été découvertes dans les cuves des réacteurs belges Doel 3 et Tihange 2. Fait extrêmement inquiétant : ces fissures peuvent être dues ou aggravées par des phénomènes de corrosion, communs à l'ensemble des réacteurs aujourd'hui en fonctionnement.
"Depuis mi-2012, les cuves des réacteurs de Doel 3 et Tihange 2 ont fait l'objet d'inspections suite à la découverte de micro-fissures (d'une largeur de 20 mm). L'autorité de sûreté nucléaire belge affirmait alors qu'il s'agissait d'alvéoles apparues lors de la fonte de l'acier de la cuve et qu'elles ne menaçaient pas sa tenue. Les réacteurs avaient même été redémarrés en mai 2013 avant que l'on ne découvre une fragilité plus forte que théoriquement prévue, menant à un nouvel arrêt : personne ne connaît le comportement d'une cuve qui contient des fissures (défauts d'hydrogène) et surtout pas sa résistance aux phénomènes de vieillissement" a déclaré Michèle Rivasi**, responsable de la délégation française Verts/ALE au Parlement Européen.
"Le 13 février dernier, nouvelle fracassante, deux scientifiques annoncent que ces fissures peuvent être aggravées ou même être dues à la migration d'atomes d'hydrogène de l'eau du circuit primaire." a t-elle ajouté.
"L'opérateur GDF Suez a déclaré être prêt à sacrifier un de ses réacteurs pour réaliser des tests destructifs. Si ces tests confirment l'irruption et l'aggravation de fissures lors de l'utilisation "normale" de la cuve d'un réacteur nucléaire, alors cela devient un problème mondial."
Selon le directeur de l'autorité de sûreté belge : "Ceci pourrait être un problème pour l'ensemble de l'industrie nucléaire. La solution est de procéder à des inspections poussées des 430 réacteurs nucléaires."[1]
"La cuve est un élément fondamental de la sûreté nucléaire. Que ce soit soudainement ou suite à un choc thermique lors d'un arrêt "bénin", une rupture de cuve peut entraîner la perte du liquide de refroidissement et mener à un accident nucléaire avec rejets de radioéléments et fusion du cœur. C'est un événement hors dimensionnement qui n'a pas été envisagé pendant la conception ! Rappelons que la cuve et l'enceinte de confinement des réacteurs sont les deux éléments qui ne peuvent physiquement pas être remplacés" a également précisé députée européenne.
(suite en dessous:)
Et de conclure : "Les réacteurs belges de Doel 3 et Tihange 2 ont respectivement 33 et 32 ans. En France, ce sont plus de 24 réacteurs qui ont déjà dépassé cette durée d'utilisation. L'Autorité de Sûreté Nucléaire doit exiger d'EDF une inspection totale et en profondeur de l'ensemble des cuves du parc nucléaire français. Si l'origine des fissures belges par vieillissement est confirmée, il faut alors complètement revoir la politique de prolongation des centrales au-delà des 30 ans et ceci à l'échelle mondiale. A la veille des commémorations des accidents de Tchernobyl et Fukushima, c'est une nécessité absolue."
RépondreSupprimerNotes :
** Michèle RIVASI (députée européenne, fondatrice de la CRIIRAD, cheffe de la délégation francophone du Groupe Verts / ALE)
[1] http://deredactie.be/cm/vrtnieuws/binnenland/1.2238955
http://fr.sott.net/article/24809-Cuves-de-reacteurs-nucleaires-fissures-un-probleme-mondial
Qui regarde encore la télévision ?
RépondreSupprimerpar Mylène Vandecasteele
19 févr. 2015
C’est un peu comme le cheval. Les chevaux convenaient parfaitement jusqu’à ce que la voiture arrive. L’ère de la télévision et des programmes enregistrés durera probablement jusqu’en 2030 »
Cette déclaration, c’est celle de Reed Hastings, le CEO de Netflix, la chaîne de films en streaming.
Des chiffres de Morgan Stanley ont révélé récemment que les chaînes de la télévision américaine ont perdu plus de la moitié de leurs téléspectateurs a entre 2002 et 2012.
Henry Blodget, Le CEO du site d'affaires américain Business Insider, a effectué une présentation le mois dernier à l'occasion de la conférence DLD à Munich, en Allemagne.
Sur l'un des slides qu'il a montrés, on voit comment l'importance de la télévision continue de décliner dans nos vies. Dans la classe d'âge des 16-24 ans, moins de 1 sur 8 regarde encore la télévision (barre verte). Dans la catégorie des 25-35 ans, c’est moins de 1 sur 3. Même les 35-44 ans semblent se détourner peu à peu de la télévision. Moins de 35% des personnes de ce groupe d'âge regardent quotidiennement la petite lucarne.
La télévision ne semble plus jouer un rôle important que dans les groupes d'âge au-delà de 45 ans. Les plus jeunes s’informent et se divertissent la plupart du temps en ligne sur un ordinateur ou une tablette (jaune) ou sur leur smartphone (orange).
Lorsqu'on leur demande quel est le média qui leur manquerait le plus, les personnes de plus de 75 ans répondent majoritairement que ce serait la télévision. En revanche, les 16-24 ans semblent avoir du mal à imaginer la vie sans leur smartphone.
http://www.express.be/business/fr/technology/qui-regarde-encore-la-television/211462.htm
SupprimerMalgré le nombre affolant de chaînes en service, l'Etat (car c'est de lui qu'il s'agit) NE RÉPOND PAS A LA DEMANDE RÉELLE DES CITOYENS ! Cela ne s'arrête pas seulement à ce qu'ils ont désigné comme malfaisant, dégoûtant, voire interdit à regarder, en un mot: le nu (ou 'le cul'). Les films d'amour appelés 'X' ou 'porno', la demande générale va vers les actualités. Actualités oui, mais lesquelles ? Les vraies ! Pas les truquées de la télé !
C'est pourquoi le temps passé sur Internet dépasse largement celui de la télé, car, les actualités y sont discuté et donc: aucun mensonge ne peut subsister !
Hollande fait appel à l'artillerie lourde du droit constitutionnel pour ébranler l'économie française sclérosée
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
18 févr. 2015
Mardi, le président français, François Hollande, a dû s’appuyer sur les pouvoirs constitutionnels exceptionnels pour mettre en œuvre un programme de réforme économique qui devrait contribuer à remettre l'économie française sclérosée sur la voie de la relance. Hollande a été obligé de mettre en œuvre l’article 49-3, qui permet à un gouvernement de faire adopter une loi sans l'approbation du Parlement. Autrement dit, il s’agit d’un passage en force. La dernière fois qu'un président y avait eu recours, c’était en 2006.
Hollande n’avait guère le choix, parce que le pays nécessite désespérément de se réformer, mais aussi de communiquer sa volonté de le faire auprès de Bruxelles. L’UE, et l’Allemagne en particulier, sont de plus en plus sourcilleuses, d’autant que la France, qui ne respecte pas la limite de 3% du PIB pour son déficit, a promis d'engager les réformes nécessaires pour mettre fin à cette situation. Mais les députés de l'Assemblée nationale (la chambre basse du Parlement de la France, qui compte deux chambres avec le Sénat) en avaient décidé autrement.
La loi dite "Macron" (du nom de l'actuel ministre de l'Economie) ne comporte pourtant aucune mesure exceptionnelle, mais elle constituait plutôt un premier pas vers la réforme d’un pays qui n’est plus jamais parvenu à l’équilibre budgétaire depuis 1974. Elle prévoit la privatisation d'un certain nombre d'entreprises publiques et la possibilité d’ouvrir les commerces 12 dimanches par an, au lieu de les 5, la libéralisation du secteur des transports en autocar, la remise en cause d’une série de mesures de protection pour les professions réglementées, ainsi que d’autres mesures de simplification ou d’assouplissement pour d’autres secteurs.
Des sondages montrent que 60% ??des Français sont favorables à de telles mesures, mais des députés du PS de Hollande et d’autres formations de gauche, ainsi que l'UMP du centre-droit voulaient bloquer le projet de loi, par principe ou par conviction politique. Maintenant que Hollande a fait appel à l’artillerie lourde du droit constitutionnel, il devient évident que la politique française a atteint un stade où la moindre remise en cause n’est plus possible.
Hollande, qui n’a pas hésité investir son capital politique dans des mesures pour relancer l'économie, malgré la faiblesse de ses chiffres de popularité mérite bien des éloges. L'UMP de Nicolas Sarkozy a déjà demandé une motion de censure qui pourrait aboutir au renversement de son gouvernement. Pendant ce temps, le taux de chômage dans le pays demeure très élevé et l'économie n’est parvenue à sortir de la récession qu’à la faveur d’une parité plus faible de l’euro et de la chute des cours du pétrole.
Pour Marc Fiorentino de Monfinancier.com, une chute du gouvernement Hollande est cependant peu probable, parce que les députés de gauche « frondeurs » qui s’opposaient à la loi Macron ne voteront pas dans ce sens : « Ils ne soutiennent pas la loi Macron, ni Valls, ni le gouvernement mais ils ne le font pas tomber de peur de perdre leur siège, leurs privilèges de députés, leurs salaires et réserves parlementaires ».
http://www.express.be/business/fr/economy/hollande-fait-appel-a-lartillerie-lourde-du-droit-constitutionnel-pour-ebranler-leconomie-franaise-sclrose/211419.htm
Toute la politique de l'équilibre du pays tient en une seule phrase ! la dernière citée ci-dessus par Marc Fiorentino de Monfinancier.com
SupprimerAux Etats-Unis, le secteur de la fracturation hydraulique est en pleine débâcle
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
17 févr. 2015
« Le mot « boom » vient toujours avec son misérable jumeau que personne ne veut voir, « bust » (‘fichu’), Ils viennent invariablement en cycles, l’un après l’autre. On ne peut pas avoir l’un sans l’autre. C’est une question de temps. Et dans le monde du fracking, ce n’est pas différent», écrit Wolf Richter sur son blog Wolf Street.
Selon Richter aux Etats-Unis, l’avenir du secteur de la fracturation hydraulique est menacé.
Il rappelle que le boom de l’extraction du pétrole par facturation hydraulique a débuté en 2005, et que ce secteur s’était contracté de 60% pendant la crise financière en raison du manque de capitaux. Mais comme la Réserve fédérale américaine s’est lancée dans un programme de quantitative easing qui l’a conduite à inonder les marchés d'argent frais, ce secteur a connu un nouvel essor.
En mai 2009, au plus fort de la crise financière, on ne comptait que 180 sites de forage actifs, mais l’année dernière, à la mi-octobre leur nombre était passé à 1609. La production de pétrole a fortement augmenté en conséquence, et elle atteignait 9,2 millions de barils par jour en janvier.
La révolution de la fracturation hydraulique américaine a donc reposé sur l’exubérance d’investisseurs qui n’ont pas hésité à placer leur argent sur des produits à risque, et des particuliers qui ignoraient qu’ils investissaient dans ce secteur au travers de leurs fonds de pension gérés par des sociétés de gestion qui ont elles aussi investi dans ce boom.
Pendant une période de 5 ans, la production a fortement augmenté, mais elle a fini par dépasser la demande poussive. L’éclatement de cette bulle s’est produit en octobre 2014, après une chute des cours qui avait débuté 3 mois plus tôt. Depuis, chaque semaine, des dizaines de plates-formes de forage cessent leurs activités, et l’on est passé de 1.609 installations actives à seulement 1.056.
Si l’on assiste de nouveau à une contraction de 60% comme lors de la crise financière, il pourrait ne plus subsister que 642 plateformes, spécule Richter.
La crise s’est caractérisée par un choc sévère, mais de courte durée, suivie d'une relance rapide. Mais par le passé, il a souvent fallu beaucoup de temps pour résoudre les crises du secteur pétrolier. En outre, la production atteint toujours des niveaux record.
Si les cours ne se rétablissent pas rapidement, les producteurs et leurs fournisseurs risquent de connaître une longue période de grandes difficultés. La menace se fait déjà particulièrement sentir à Houston, au centre de l'industrie pétrolière américaine, où de nombreux projets ont déjà été suspendus.
http://www.express.be/business/fr/economy/aux-etats-unis-le-secteur-de-la-fracturation-hydraulique-est-en-pleine-debacle/211402.htm