lundi 16 septembre 2024

Vaccination ARNm Covid – cause de maladie et de décès ?! Interview avec le Dr. Ute Krüger

 

116 commentaires:

  1. Vaccination ARNm Covid – cause de maladie et de décès ?! Interview avec le Dr. Ute Krüger


    14.09.2024
    www.kla.tv/30466


    Présentatrice : Mesdames et Messieurs, je vous souhaite la bienvenue ici, à Berlin.
    Je reçois aujourd'hui le Dr Krüger. Je suis contente de vous voir.

    Dr. Krüger: Merci beaucoup pour l'invitation.

    Présentatrice: Madame Krüger, vous n'avez pas ménagé votre temps et vos efforts pour venir de Suède. Hier, votre avion a atterri à Berlin. Merci d'être venue.
    La raison de notre invitation : vous avez publié un livre que nous avons également ici "Vacciné - Décédé". Il s'agit d'un atlas histopathologique sur les lésions dues au vaccin Covid. Et nous allons parler un peu plus en détail aujourd'hui de ce que vous avez découvert. Mais tout d'abord, pour les spectateurs qui ne vous connaissent peut-être pas encore très bien.
    Pourriez-vous nous donner quelques informations sur vous, d'où vous venez, ce que vous faites et ce qui vous a finalement amenée ici. J'aimerais beaucoup vous entendre.

    Dr. Krüger: Bien volontiers. Je suis spécialiste en pathologie et j'ai travaillé pendant 25 ans dans le domaine de la pathologie. Et c'est peut-être important pour les spectateurs, la pathologie est l'étude des maladies. Et un pathologiste diagnostique des maladies. Et ce diagnostic est souvent à la base de la thérapie. Et souvent, les pathologistes sont associés aux autopsies. Les autopsies font certainement aussi partie du travail d'un pathologiste. Mais dans mon activité, cela ne représentait plus qu'un très faible pourcentage. Et donc, ces 18 dernières années, je me suis principalement consacrée au diagnostic du cancer du sein. Et je suis en Suède depuis 20 ans. J'ai travaillé pendant 10 ans à Växjö, dans le sud de la Suède, dans une clinique au service de pathologie en tant que chef de clinique. Et j'ai été directrice médicale du service de pathologie de Växjö pendant les quatre dernières années de mon travail là-bas. Je suis ensuite allée à Kalmar, qui se trouve également dans le sud de la Suède, où j'ai été engagée comme titulaire. Et en même temps, j'étais employée comme médecin-chef dans un hôpital universitaire à Lund et je faisais de la recherche sur le cancer du sein. Voilà pour mes antécédents professionnels.

    Présentatrice: Vous avez beaucoup d'expérience. Et c'est aussi intégré dans ce livre. C''est un atlas histopathologique. Pour moi, en tant que profane, ou peut-être pour certains de nos spectateurs, cela ne veut pas dire grand chose.
    Que signifie "histopathologique" ? Qu'est-ce que cela signifie ?

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  2. Dr. Krüger: Histo-pathologique, ce sont deux mots. L'histologie est l'étude des tissus.
    Et nous avons déjà parlé de la pathologie, l'étude des maladies.
    Et l'histopathologie signifie que le pathologiste examine les coupes de tissus au microscope. Et on peut donc observer le tissu. On voit donc les modifications pathologiques dans le tissu. Et c'est pour cela qu'on parle d'histopathologie.

    Présentatrice: D'accord. Et ce type d'atlas est un exemplaire unique au monde. Pourquoi est-il unique ?

    Dr. Krüger: Le livre résume les conclusions du professeur Burkhardt, qui a réévalué près de 90 cas d'autopsies. Et il s'agit ici de personnes décédées, qui sont donc apparues en relation temporelle avec les vaccinations Covid. Et le professeur Burkhardt s'est fait envoyer ces cas.
    Souvent, ce sont les proches qui pensaient que ces vaccinations pouvaient être la cause du décès de leur parent. Et donc, dans ce livre, il y a d'une part les images histologiques, donc ces images histopathologiques dont nous avons parlé. C'est la partie images. Et puis, plus loin, dans la deuxième partie, il y a les descriptions de cas.
    Cela signifie qu'il s'agit ici de l'ensemble des cas avec les antécédents, la vaccination, le laps de temps après la vaccination, quel vaccin. Tout cela se trouve ici, dans cette partie.
    Et une telle compilation n'existe pas encore dans le monde.

    Présentatrice: J'ai également regardé quelques extraits de l'atlas en préparation de cette interview. Et c'est exactement comme vous le décrivez. Donc, aussi bien pour les experts, les collègues de la pathologie, que pour quelqu'un qui ne s'est peut-être pas encore penché sur la question. Il y a en tout cas quelque chose à quoi on peut s'intéresser, justement parce que vous décrivez aussi l'histoire de fond et l'environnement et que vous présentez ainsi le tout de manière bien compréhensible.
    Cela a donc été pour moi une bonne occasion de m'y intéresser de plus près.
    Arne Burkhardt a également mené de nombreuses recherches dans ce domaine.
    Et vous avez également utilisé des photos du professeur Burkhardt dans votre livre.
    Comment en êtes-vous arrivés à vous croiser et à collaborer de la sorte ?

    Dr. Krüger: Le professeur Burkhardt a lancé la première conférence de pathologie en 2021, en collaboration avec Me Becker, avocat. Et le professeur Burkhardt y a présenté des cas qui sont donc survenus après ces vaccins, c'est-à-dire les décès.
    Et il a dit que si, en tant que pathologiste, on était d'avis que l'on souhaitait examiner les résultats de plus près, si on n'était pas tout à fait convaincu, on devait alors le contacter.
    Et comme je suis de nature curieuse, je l'ai contacté. Et nous avons regardé et discuté ensemble de plusieurs cas en ligne, ce qui a débouché sur une collaboration.
    Et nous nous sommes aussi souvent rencontrés lors de symposiums et de congrès.
    Et dernièrement, en janvier 2023, lors d'un grand congrès en Suède, à Stockholm.
    Et là, il était notamment question du fait qu'il était très important pour lui que ces connaissances soient publiées, c'est-à-dire qu'elles soient rendues publiques.
    Il m'a aussi dit que je pouvais utiliser ses photos. Qu'il est donc important que le public soit informé de ce qui s'est passé après ces vaccinations. Et dans le livre, il n'y a que deux photos du professeur Burkhardt et les 110 autres sont de moi.
    Je me suis donc rendue il y a un an à peu près à Reutlingen, dans l'institut du professeur Burkhardt, et j'y ai étudié les cas. Et j'ai choisi celles, les photos des coupes, qui convenaient le mieux à ce livre. Il se trouve en effet que le professeur Burkhardt est décédé subitement en mai de l'année dernière.
    Et j'ai été très choquée et j'ai ensuite écrit dans le livre de condoléances que je ferais tout pour que ces résultats soient rendus publics. Et puis j'ai passé un an à rassembler les résultats et à les présenter sous forme de livre.

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  3. Présentatrice: Et dans ce livre, vous décrivez 57 cas différents.
    Pourriez-vous nous donner quelques exemples de la manière dont il faut se représenter les choses ?
    De quelle manière avez-vous étudié la question ? Et quels sont les résultats et les conclusions auxquels vous êtes finalement parvenus ?

    Dr. Krüger: Avec plaisir. J'ai apporté quelques photos.
    Je vais poser ça, on verra mieux l'écran.
    En effet, voici par exemple le cas tragique d'une jeune fille de 16 ans. Elle voulait absolument participer à un voyage scolaire et voulait donc se faire vacciner, bien que sa mère lui ait dit : Ne fais pas ça, ce n'est pas bon. La mère travaille elle-même dans le secteur de la santé, mais elle a ensuite dit : "OK, je peux comprendre ma fille." Elle m'a alors dit : "D'accord, alors fais-le."
    Et donc, après la deuxième vaccination, huit jours après, elle s'est effondrée, la fille.
    Et elle ne se sentait pas bien, elle s'est effondrée à la table du dîner et sa mère l'a réanimée. La fille a ensuite été hospitalisée, mais elle est décédée 22 jours après cette deuxième vaccination. Et ici, on voit l'incision du cœur de la jeune fille.
    Et dans la zone où on voit les étoiles, on voit ces zones plus claires. C'est la destruction des tissus du muscle cardiaque. Sur le côté gauche, on voit encore un saignement, là où se trouve la flèche. Et si on y regarde de plus près, on voit ici dans la partie inférieure, les deux flèches montrent des points noirs comme ça.

    Il s'agit des lymphocytes, c'est-à-dire des cellules inflammatoires du muscle cardiaque. Et dans la partie supérieure, où c'est plus lâche, il y a des macrophages et du tissu cicatriciel lâche. Il s'agit donc d'une myocardite à plusieurs phases.
    Et le cœur ressemblait à ça à de nombreux endroits, ce qui n'est pas compatible avec la vie.
    Ensuite, j'ai apporté un autre cas.
    Il s'agit d'un jeune homme de 22 ans, nageur de haut niveau, qui a connu une nette baisse de ses performances après la deuxième vaccination. Il n'était ainsi plus capable de supporter l'effort et on lui a alors diagnostiqué une myocardite.
    Et on lui a aussi dit que le pronostic était qu'il ne pourrait plus être nageur de compétition ; ce n'était plus possible. Il s'est alors acheté un fusil et s'est tiré une balle. Et dans le cœur, on voit ici dans le cercle que le nombre de cellules inflammatoires est très discrètement augmenté, donc il y a trop de ces points noirs.

    C'est très difficile à voir pour un profane, mais dans le livre, c'est fait de telle sorte qu'un résultat est vraiment clair et que l'autre résultat est très discret.
    Et on voit bien que des changements très discrets ont un impact très fort sur la qualité de vie.
    Et sur l'image suivante, on peut voir qu'il s'agit aussi d'une coupe du cœur de ce jeune patient ou de la personne décédée. Et ces zones plus claires que l'on voit ici sur la photo sont les cicatrices qui sont apparues après ces inflammations.
    Et c'est justement ce qui est important. Des changements aussi minimes peuvent avoir un impact aussi important sur la qualité de vie.
    C'est très important.
    Vous avez certainement vu à la télévision des footballeurs professionnels s'effondrer. Oui. Et c'est probablement aussi lié à cela, aux inflammations du muscle cardiaque.
    Ensuite, j'ai apporté un autre cas.

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  4. Il s'agit ici d'un homme de 61 ans qui avait été vacciné deux fois contre le Covid et qui est décédé 25 jours après la deuxième vaccination. Et ici, on voit la coupe de l'aorte. L'aorte est le plus gros vaisseau sanguin du corps. Et dans la partie inférieure, on peut voir la paroi musculaire de l'aorte proprement dite. Et en haut, à l'endroit où l'on voit cette flèche, on voit comment le tissu attaché s'est nettement élargi. Et ici, on voit aussi cette forme de bande, ces points sombres répartis en forme de bande. Ce sont des cellules inflammatoires. Et normalement, on ne les voit pas à cet endroit. De plus, on voit du tissu cicatriciel. Et même dans la partie inférieure, dans la zone musculaire, on voit des petites modifications rondes.

    Ce sont des proliférateurs de vaisseaux. Donc des petits vaisseaux s'y développent. Et il y a donc aussi une cicatrisation ici. Et là, le sang a traversé la paroi. Et puis l'homme s'est vidé de son sang parce que cette paroi vasculaire n'était plus élastique à cause de l'inflammation. En outre, on pouvait également observer des destructions de tissus. Et une diminution des fibres élastiques, qui font que le vaisseau peut s'adapter à la pression.
    Ensuite, j'ai le cas d'une femme de 63 ans qui est également décédée d'une rupture aortique. ... exactement la même cause de décès qu'avant pour l'homme.
    Et ici, nous avons encore ces modifications noires comme résultat secondaire. C'est une coupe du poumon. Et vous voyez ces points noirs partout.
    Et c'est quelque chose que je n'avais jamais vu auparavant, pas plus que le professeur Burkhardt et le professeur Lang, qui a travaillé avec le professeur Burkhardt. Ce sont deux pathologistes très expérimentés, qui travaillent depuis longtemps. Ils n'ont jamais vu ça auparavant.
    Et donc, si on agrandit, on voit que cette matière noire est dans les vaisseaux.
    Et dans les vaisseaux, il devrait y avoir du sang. Cela n'a donc certainement pas permis d'améliorer la circulation sanguine.

    Présentatrice: Avec tous ces examens et ces constatations, qui ont manifestement conduit à la mort de la personne concernée, comment pouvez-vous en être sûrs ?
    Ou pourquoi soupçonne-t-on que c'est vraiment dû au vaccin Covid ?
    Alors comment vous faites, où faites-vous le lien ?

    Dr. Krüger: En fin de compte, c'est le contexte temporel, c'est-à-dire qu'on regarde quand le dernier vaccin Covid a été administré et quand le décès est survenu.
    Et souvent, cela s'inscrit dans un intervalle de temps relativement court. Il y a aussi d'autres cas de décès où de nombreux mois se sont écoulés. Mais comme on a trouvé des modifications récurrentes dans le corps, on doit quand même partir du principe que cette vaccination est la cause de la mort.

    Présentatrice: Maintenant, vous avez toujours donné des exemples d'organes qui ont été endommagés, comme le cœur ou même les vaisseaux.
    Avez-vous constaté des changements, des atteintes dans d'autres parties du corps ?

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  5. Présentatrice: Oui, et si vous dites que l'argument était qu'un tel cas a déjà été publié, pour moi ce n'est pas non plus un argument en soi. Parce qu'un cas et un autre cas, c'est tout de même très important de faire savoir que ce n'est pas seulement un cas isolé.
    Comment considérez-vous l'argument qui vous a été opposé ?

    Krüger: Je pense qu'ils n'étaient pas intéressés dès le départ.
    Parce que les bailleurs de fonds qui se cachent derrière le British Medical Journal posent de tout autres jalons. Ils n'étaient tout simplement pas intéressés.

    Présentatrice: Revenons au vaccin Covid en tant que tel et aux principales maladies que vous avez pu identifier dans le cadre de vos recherches. Quelles sont celles que vous pouvez citer ?

    Dr. Krüger: Ce que nous avons déjà regardé, la myocardite, est très fréquente.
    Ensuite, l'inflammation des vaisseaux est aussi très souvent visible. Des matériaux étrangers ont été trouvés, je les ai déjà montrés. On a pu observer une disparition des fibres élastiques. Et pas seulement dans les parois des vaisseaux, mais aussi dans la peau par exemple. Et je ne sais pas si vous avez remarqué que lorsque les gens ont reçu plusieurs fois ce vaccin Covid, ils vieillissent relativement vite.
    Et cela est peut-être lié à la disparition des fibres élastiques de la peau.
    C'est donc ce que nous avons pu démontrer. Que des caillots de sang apparaissent.
    Il existe donc des caillots sanguins typiques et des caillots sanguins atypiques.
    Et dans ces caillots atypiques, que nous n'avions jamais vus auparavant, il n'y a par exemple pas de globules rouges. Mais ce sont des choses qui ressemblent à du caoutchouc. Et cela, comme je l'ai dit, n'existait pas auparavant sous cette forme.

    Puis les maladies auto-immunes. Le professeur Arne Burkhardt a appelé cela un amok lymphocytaire [Accès de folie meurtrière des lymphocytes]. Et cela se voit aussi dans tous les organes. Ce n'est pas spécifique à un organe, mais c'est dans tout le corps Et donc des modifications très différentes à trouver. Ensuite, bien sûr, le turbo-cancer - comme celui que j'ai vu en 2021 - que je soupçonnais déjà d'être lié aux vaccins. Mais celui-ci n'est pas inclus dans le livre, car les personnes décédées d'un turbo-cancer ne sont souvent pas autopsiées. Parce qu'on sait d'emblée que c'est une tumeur. On n'a pas besoin de regarder plus loin.

    Présentatrice: Vos travaux scientifiques ont-ils eu un impact sur votre activité professionnelle ?

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  6. Dr. Krüger: Oui, du fait que j'ai regardé cela de très près. J'ai vu des choses que mes collègues de l'hôpital de Kalmar, par exemple, n'ont pas vues.
    Il y a eu un cas... j'étais responsable de la formation en pathologie et je formais des internes en pathologie. Et un interne est arrivé et a dit, oui, il a un cas ici.
    Il s'agissait d'une personne atteinte d'une tumeur et le décès aurait été soudain.
    Il s'est avéré que le décès était également lié à cette vaccination Covid. J'ai regardé le cœur et j'ai dit qu'on voyait une myocardite, à plusieurs endroits de très discrètes augmentations de lymphocytes, c'est-à-dire de cellules inflammatoires. Mais le jeune collègue était d'avis que c'était tellement peu prononcé que ce n'était pas une myocardite. Il a ensuite demandé à un autre pathologiste de notre cercle de pathologistes à Kalmar, qui lui a également confirmé que ce n'était pas une inflammation.
    Mais comme je travaille avec de nombreux pathologistes, y compris dans le monde entier, j'ai discuté de ce cas avec d'autres pathologistes. Et il s'est avéré que c'était une myocardite. Et il y a eu ensuite de vives discussions à Kalmar lors de la réunion des médecins, parce que pour moi, la myocardite était la cause de la mort. Et celle-ci était liée à la vaccination Covid.

    J'ai donc signalé ce cas à l'Agence suédoise des médicaments, car tout cas suspect doit être signalé. Lors de cette réunion de médecins, j'ai été véritablement attaquée sur la raison pour laquelle je me mêlais à d'autres cas et comment je pouvais alors inscrire ce cas. On m'a demandé de retirer immédiatement mon inscription. J'ai alors dit que ce cas n'appartenait pas à quelqu'un, mais qu'il s'agissait d'expliquer ce qui se passait après ces vaccinations et que je ne retirerais pas cela.
    Ma compétence a donc été remise en question. Et j'ai réalisé que je ne pouvais plus travailler dans cette médecine. J'ai notamment évoqué le turbo-cancer que je soupçonnais en 2021 d'être lié à ces vaccins.
    Je me suis alors dit que cela n'avait absolument aucun sens pour moi de diagnostiquer des tumeurs qu'un autre médecin avait peut-être provoquées par une injection. Puis j'ai démissionné, j'ai suivi de nombreuses formations ces dernières années. Et j'ai maintenant ouvert mon propre cabinet, un cabinet holistique. J'invite les spectateurs à consulter mon site Internet.

    Présentatrice: Cela semble très intéressant. Je pense que cela vaut vraiment la peine de jeter un coup d'œil à votre site.
    Revenons à l'actualité. Selon l'OMS, la variole du singe, désormais appelée Mpox, a fait son apparition dans certains pays africains. Et on entend aussi parler de la grippe aviaire de temps en temps. Et ce sont les plans actuels. On veut utiliser la technologie de vaccination par ARNm pour lutter contre cette prétendue pandémie.
    Mais, j'ai reçu des messages de votre part, et bien sûr de nombreux autres scientifiques, le public a reçu des messages de prudence, "ne touchez pas à la technologie de vaccination par ARNm".
    C'est justement parce que de nombreux effets secondaires sont apparus. Vous nous avez montré cela de manière très imagée. Et en même temps, l'OMS lance cet avertissement, ce niveau d'alerte supérieur, selon lequel la production de la technologie de vaccination par ARNm doit être augmentée. Comment cela s'accorde-t-il pour vous ?

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  7. Dr. Krüger: J'espère que les pathologistes, c'est-à-dire les spécialistes en pathologie ou en médecine légale, examineront ces résultats et qu'ils comprendront qu'il peut s'agir de résultats très subtils. Cela signifie donc qu'il faut vraiment chercher. On ne peut pas se contenter de faire glisser les coupes et de dire : Ah, je ne vois rien, mais il faut vraiment chercher.
    Et comme je l'ai dit tout à l'heure, un résultat tout petit et discret peut entraîner un changement énorme de la qualité de vie. C'est donc là qu'il est vraiment important de chercher. Le fait est que les pathologistes sont plus ou moins conscients de ce qui existe d’autre. Car c'est souvent : "Ce que je ne sais pas, je ne le vois pas."
    Et puis, bien sûr, le livre convient aussi aux médecins d'autres spécialités. Et aussi pour les non-médecins intéressés par la santé. Car à travers ces descriptions de cas, on voit clairement les souffrances infligées aux gens par ces prétendus vaccins.

    Présentatrice: Je pourrais donc commander ce livre chez vous. Et d'abord, bien sûr, regarder cela de près, même en tant que profane - regarder ce qui est compréhensible à mon niveau. Est-ce que je pourrais aussi aller chez mon médecin de famille et lui dire : "Je vous l'offre, jetez-y un œil."
    Ou que puis-je faire d'autre avec ce livre, à part le lire ?

    Dr. Krüger: Oui, ce n'est vraiment pas une mauvaise idée. Car il y a encore suffisamment de médecins qui inoculent ces substances, pour qu'ils se réveillent aussi, qu'on voit vraiment qu'on cause énormément de dommages aux gens. Et ce n'est pas seulement des dommages, ils meurent aussi. Des gens sont tués par ces injections.

    Présentatrice: Pour conclure, avez-vous encore quelques mots qui vous tiennent à cœur ?

    Dr. Krüger: J'aimerais que les gens soient intéressés, qu'ils fassent leurs propres recherches sur Internet et qu'ils ne croient pas tout ce qu'on leur présente, qu'ils agissent eux-mêmes. Et je souhaiterais qu'il y ait globalement plus d'amour dans notre société, que l'harmonie et la paix s'installent. Et je souhaiterais que nous revenions beaucoup plus à notre intuition. Cela signifie donc que nous allons dans la nature et que nous écoutons simplement notre intuition.

    Présentatrice: Merci beaucoup, Madame Krüger, pour ces mots très émouvants.
    Et c'est ainsi que nous prenons congé du studio de Berlin.
    Vous trouverez également toutes les informations complémentaires en lien sous cette émission.
    Et comme je l'ai déjà dit, soyez actifs vous-même. Merci beaucoup.

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  8. de ah.
    Sources / Liens :
    Histo-Atlas Vacciné-décédé
    http://histo-atlas.com/

    Site du cabinet du Dr Krüger
    www.active-health.se

    Efficacité du vaccin bivalent contre la maladie à coronavirus en 2019
    Étude de Cleveland - https://doi.org/10.1093/ofid/ofad209

    Efficacité à long terme des vaccins COVID-19
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9917454/pdf/main.pdf

    Mortalité dans le monde pendant la période COVID de 2020-2023
    https://correlation-canada.org/wp-content/uploads/2024/07/2024-07-19-Correlation-ACM-World-125-countries-Rancourt-Hickey-Linard.pdf

    Publication du Dr Ute Krüger
    https://doi.org/10.38207/JMCRCS/2022/DECB20031401104

    Effets secondaires des vaccins
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39078026/

    Une méta-analyse montre l'échec massif des vaccins COVID-19 dans la lutte contre le SRAS-COV-2
    https://open.substack.com/pub/petermcculloughmd/p/meta-analysis-finds-massive-failure?r=14jb45&utm_campaign=post&utm_medium=web

    https://www.kla.tv/fr

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    Réponses
    1. (...) Dr. Krüger: Je ne dirais pas que c'est un vaccin, mais plutôt que ce sont des liquides qui sont injectés. Parce que le bénéfice de cette prétendue vaccination est très faible. Et quand je vois les dégâts qu'ils causent, je me dis qu'il faudrait tout simplement les retirer de la circulation. Et je serais également très prudente avec tous les autres vaccins à venir basés sur l'ARNm, car ils n'ont pas été correctement testés. Cela entraînera alors les mêmes effets secondaires. (...)

      'des liquides qui sont injectés' ! Ces liquides qui sont injectés ont été examinés il y a plus de 4 ans par des scientifiques telles que les Dr( Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. Selon les laboratoires les flacons injectables contenaient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !! + des spîkes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine ce venins différents de serpents !!

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  9. « Guerre mondiale ou nouvelle pandémie » : le choix proposé par Bill Gates


    Par Arianna Graziato
    Mondialisation.ca,
    14 septembre 2024


    Bill Gates n’arrive plus à dormir la nuit.

    Ce qui inquiète le multimillionnaire, ce sont les 25 prochaines années, qui s’annoncent plutôt sombres selon les prédictions de l’homme qui a anticipé l’arrivée de Covid-19.

    Tant de troubles dans le monde d’aujourd’hui pourraient déclencher une guerre mondiale majeure », a déclaré M. Gates à la chaîne de télévision CNBC. Et aussi « si nous pouvons l’éviter… alors, oui, il y aura une autre pandémie, très probablement dans les 25 prochaines années ».
    Le fondateur de Microsoft semble donc annoncer deux alternatives, l’une excluant l’autre, mais aucune ne pouvant être évitée.

    Comme le rapportent les principaux journaux économiques américains, Fortune, Fox Business et The Economic Times, les options sont alors au nombre de deux : « soit la troisième guerre mondiale, soit une autre pandémie ».

    L’« autre » pandémie

    Dans l’interview accordée à CNBC, Bill Gates se préoccupe tout particulièrement de l’éventualité d’un nouveau virus (poussière totalement inoffensive) extrêmement contagieux.

    Selon le soi-disant « philanthrope », la question n’est pas de savoir si une autre pandémie se produira bientôt, mais si les nations seront mieux préparées qu’elles ne l’ont été à l’apparition du virus Covid-19.

    Après tout, nous sommes à l’ère des pandémies, comme l’ont déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula Von Der Leyen, et M. Gates lui-même.

    Le multimilliardaire ne se contente toutefois pas de prédire, il propose également des solutions. Notamment parce que « le pays que le monde attendait comme chef de file de la réponse à Covid et comme modèle à suivre n’a pas répondu à ces attentes », a déclaré M. Gates lors de son discours, en faisant référence aux États-Unis.

    Le plan de Bill Gates

    Que faire alors ? Comme le dit Bill Gates depuis quelque temps déjà, les gouvernements doivent se doter d’une task force qui agira sur le champ à la première sonnerie d’alarme.

    Ils doivent « identifier les personnes infectées », « mettre en œuvre un plan opérationnel » et « apprendre à la communauté » à « se protéger de l’infection ». Et bien sûr, il faudra aussi des « experts ».

    Des experts qui devront conseiller les gouvernements sur « des politiques de quarantaine plus strictes, des investissements dans la surveillance des maladies et l’intensification de la recherche et du développement de vaccins ».

    Des experts payés par Gates et des vaccins financés par lui ? On peut se poser la question, puisque c’est précisément pendant les deux années de l’urgence sanitaire que le magnat tirait les ficelles.

    En effet, dès septembre 2022, une enquête des quotidiens Politico et Welt révélait un réseau dense de liens financiers, mettant en lumière le fait que les stratégies sanitaires ne seraient pas décidées de manière autonome par les gouvernements occidentaux, mais par la Fondation Gates, à travers des activités de lobbying soutenues à travers un réseau de conflits d’intérêts.

    https://www.mondialisation.ca/guerre-mondiale-ou-nouvelle-pandemie-le-choix-propose-par-bill-gates/5692349?doing_wp_cron=1726489803.6985878944396972656250

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    Réponses
    1. Que faire lorsque l'on a de l'argent à ne plus savoir qu'en faire et un QI de babouin ?

      Primo: avoir SA chaîne privée de télévision lui permettant de valoriser ses débilités hégémonistes.
      Secundo: avoir la presse (les merdias du monde sont dirigées par... par 3 personnes !!) à ses pieds.
      Tertio: Parler pour ne rien dire mais se gratifier de ses commentaires.

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  10. Effet secondaire : profit !


    16 septembre 2024
    par le Dr. Johanna Weber


    Récemment, de plus en plus de faits et d'informations ont été mis à la disposition du public du côté officiel, ce qui confirme les critiques des mesures et de la campagne de vaccination. Il s'agit notamment des protocoles RKI divulgués ou publiés, ou de la confirmation extrêmement franche du WEF que la pandémie de Corona n'était qu'un test pour savoir jusqu'où l'on peut forcer les gens à obéir, même avec des mesures manifestement absurdes. Et bien sûr, de débloquer de nouveaux bénéfices pour les grandes sociétés pharmaceutiques.

    Les nouveaux 'vaccins' corona sont actuellement critiqués car ils provoquent des effets secondaires dans une grande partie de la population [1, 2, 3, 4]. Alors qu'en Allemagne, on pouvait constater des irrégularités dans les données de facturation de l'assurance maladie [4], il y avait une surmortalité accrue en Asie du Sud-Est, par exemple en Malaisie, à Singapour et aux Philippines [5, 6]. La croissance démographique mondiale stagne (voir les figures 1 à 5) ; un lien entre les effets secondaires graves, les décès et la vaccination a déjà été mis en évidence dans plusieurs études ; ce qui nous est vendu sous le nom de « Long Covid » est en réalité « Long Vaxx » [7, ​​8, 9, 10].

    - voir cadre sur site -

    Fig. 1 : Développement de la population mondiale (source : https://www.worldometers.info/world-population/world-population-by-year/ ).

    Fig. 2 : Taux de variation annuel de la population (source : https://population.un.org/wpp/Graphs/DemographicProfiles/Line/900 ).

    Fig. 3 : Taux de mortalité et de natalité (source : https://population.un.org/wpp/Graphs/DemographicProfiles/Line/900 ).

    Fig. 4 : Nombre de naissances et de décès (source : https://population.un.org/wpp/Graphs/DemographicProfiles/Line/900 ).

    Fig. 5 : Population mondiale (source : https://population.un.org/wpp/Graphs/DemographicProfiles/Line/900 ).

    - voir graph sur site -

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  11. Les 'vaccins' administrés aux enfants constituent une mine d'or particulière, car les enfants ont besoin d'un traitement à vie en cas d'effets secondaires graves, par ex. B. contre les maladies cardiaques qui surviennent souvent après la vaccination avec les nouveaux vaccins corona [11, 12, 13]. Compte tenu des bénéfices attendus, le fait de verser 710 millions de subventions au gouvernement américain à partir de 2021 n’aurait guère nui financièrement aux sociétés pharmaceutiques [14].

    Les effets secondaires qui se produisent actuellement dans le monde entier sont des effets secondaires dont les fabricants de vaccins pourraient être tenus responsables si l'UE (ou les partenaires contractuels concernés en dehors de l'UE) les poursuivait en justice. L'Afrique du Sud a montré la voie [15], et le texte du traité le montre. Au lieu de cela, les fabricants profitent actuellement également des effets secondaires, tels que les maladies cardiaques mentionnées ci-dessus chez les enfants.

    Il est intéressant de noter que les textes contractuels des trois fabricants BioNTech, Moderna et Astra Zeneca sont presque exactement les mêmes en ce qui concerne les questions de responsabilité dans l'UE (voir tableau 1) [29, 35, 56, 57]. Selon les contrats, un procès est possible si les points listés dans le tableau ci-dessous sont présents [29, 35]. Les contrats avec BioNTech et Moderna ont d'ailleurs été signés par Stella Kyriakides, contre qui des allégations de corruption avaient déjà été portées par le passé et dont le mari a été critiqué dans le cadre d'une affaire de prêt [55].

    - voir graph sur site -

    La Commission européenne a déclaré dans le contrat avec Moderna que l’utilisation du vaccin n’est possible que dans des conditions épidémiques qui nécessitent réellement son utilisation. Dans ce cas, la Commission pourrait elle-même s'être rendue coupable d'une rupture de contrat et avoir ainsi risqué son droit à une indemnisation, car la question de savoir si le déploiement était réellement nécessaire était et est toujours débattue [67, 70]. Selon le contrat de Moderna, tout conflit d'intérêts doit être évité, tout comme les actions de l'entreprise > 50 % pour les investisseurs [56]. Étant donné que l’Agence européenne des médicaments (EMA), qui conseille la Commission européenne, est financée à 89 % par l’industrie pharmaceutique et que de nombreuses sociétés pharmaceutiques appartiennent aux mêmes investisseurs, cela est très discutable [41].

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  12. Le contrat doit également être résilié si les résultats des études d'approbation clinique ne sont pas satisfaisants ou si le vaccin n'est pas classé comme suffisamment efficace et sûr ou en cas de rupture de contrat [56]. Dans le contrat, Moderna stipule l'injection intramusculaire. Il n'y a aucune mention de l'aspiration, c'est-à-dire de vérifier si un vaisseau sanguin a été touché et, si nécessaire, de le percer à nouveau, mais cela est considéré d'un œil critique dans les milieux médicaux, car le vaccin pourrait pénétrer dans le sang. directement de cette manière, Stiko recommande explicitement l'aspiration [64]. Cela pourrait également signifier que Moderna n’est pas responsable des dommages causés au vaccin parce que le vaccin a été utilisé « incorrectement ».

    Ce qui suit s'applique à Astra Zeneca : si des problèmes de sécurité surviennent, c'est l'UE qui doit financer des études supplémentaires et non le fabricant. Le vaccin ne peut être utilisé qu’en cas de pandémie [57]. La question de savoir s’il s’agissait réellement d’une pandémie dangereuse était et reste controversée, donc ici aussi l’UE risque de risquer son droit à compensation [68, 70] ; Il est possible que lors de sa signature en août 2020, l’UE ait déjà deviné qu’il ne s’agissait peut-être pas d’une pandémie. Les relations entre les parties contractantes ne sont pas autorisées. Comme pour Moderna, l’EMA est financée en grande partie par les sociétés pharmaceutiques et il existe donc des interconnexions [41].

    Dans le cas de BioNTech, le contrat contient des erreurs : il ne définit pas exactement ce que sont les « droits de propriété intellectuelle sur les vaccins » ; En fait, un article du contrat devrait y être lié, mais le PDF ne contient que les mots « Erreur ! Source de référence introuvable. Cela ne donne pas une bonne image du contrat en termes de soin apporté à sa rédaction et à sa vérification. De plus, le vaccin n’aurait pas dû être livré s’il y avait eu des erreurs techniques ou cliniques ou des erreurs de fabrication ; Cependant, sur la base des études actuelles, des différences de qualité entre les différents lots sont très probables [61]. Cela contredit également les « bonnes pratiques de fabrication » contenues dans le contrat [35].

    Il est intéressant de noter que les États membres de l'UE n'avaient que 24 heures pour vérifier les défauts des lots livrés et, si nécessaire, porter plainte [35]. Le passage aux conditions épidémiques est aussi dans le contrat Pfizer [35]. À la page 30 du contrat, il est explicitement stipulé que BioNTech-Pfizer n'est pas responsable des dommages causés aux vaccins, mais plutôt les États membres [35]. Le fabricant est également responsable en cas de faute intentionnelle, mais contrairement à Moderna et Astra Zeneca, pas en cas de négligence grave [35]. Le contrat contient également une clause selon laquelle le groupe n'est pas autorisé à offrir des avantages à un fonctionnaire européen ; Selon le contrat, les conflits d'intérêts ne sont pas non plus autorisés. C'est explosif à la lumière de l'affaire des SMS impliquant Ursula von der Leyen [35, 70, 71, 72]. Le traité accorde expressément à l'UE le droit de mener des enquêtes si, par exemple, il existe des soupçons concernant des B. La fraude existe [35]. Des allégations correspondantes avaient déjà été formulées [41] ; Il n’est pas clair si l’UE a pris des mesures dans ce domaine.

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  13. Les ruptures contractuelles sont évidentes car Pfizer était déjà au courant des effets secondaires graves et des décès grâce aux études initiales [30, 31, 32, 33, 34]. Il y a eu des décès dans les études initiales [36, 37, 38], et Pfizer était également très probablement conscient des effets secondaires chez les bébés de mères vaccinées [39]. Vous pouvez utiliser un moteur de recherche spécialement conçu pour rechercher directement les effets secondaires dans les études Pfizer [40].

    Lors d'un essai mené au Royaume-Uni, il a été constaté que Pfizer était effectivement conscient de divers effets secondaires [45] et que Pfizer avait également omis d'informer Santé Canada des ingrédients cancérigènes. Il y avait déjà un certain nombre d'incohérences et de manipulations de données dans les études d'approbation (41, 42, 43). Pfizer avait modifié la production au cours du processus sans garantir que la qualité n'en serait pas affectée [44]. Des carences similaires peuvent également s’étendre à des produits ultérieurs tels que le vaccin combiné grippe-corona [49, 50]. En ce qui concerne ce vaccin, il faut également considérer avec un certain scepticisme qu’une vaccination contre la grippe peut augmenter la sensibilité aux coronavirus [54] ; Il existe néanmoins un vaccin combiné et le Stiko ne recommande expressément aucun intervalle de temps entre les deux vaccinations [63].

    Il est également intéressant de noter qu’au moment de la signature des contrats (par exemple le 4 décembre 2020 pour Moderna) [56], l’UE aurait déjà dû savoir [73] que le virus n’était pas aussi dangereux qu’on le craignait initialement. Dans le même temps, l’UE était déjà consciente des lacunes en matière de sécurité des vaccins [62]. Néanmoins, des approbations rapides ont été exigées.

    Outre l’Afrique du Sud [15], d’autres pays réagissent déjà : l’Australie ouvre une enquête sur la surmortalité qui y est survenue [16], des hommes politiques japonais et philippins s’excusent publiquement [5, 17], tout comme un médecin de Malaisie [18] ; Les États-Unis annulent le financement du groupe qui a mené la recherche controversée sur le « gain de fonction » sur le coronavirus et retirent le statut juridique de vaccination aux vaccins corona [19, 20], et au Mexique, de telles activités sont également étouffées pour l’avenir. le virus se propage dès l'œuf et fait actuellement la différence entre les décès dus à la grippe aviaire AN et AVEC [21]. Le Texas poursuit Pfizer pour manque d'efficacité [52], et un médecin australien poursuit également pour contamination à l'ADN [53]. Il est peu probable que Pfizer ignorait tout cela [31].

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  14. Les bonnes pratiques de fabrication requises pour les trois vaccins ainsi que l'efficacité et la sécurité prouvées par des études d'approbation fiables n'ont pas été respectées dans chaque cas : avec Moderna, les patients ont été levés en aveugle avant même que des effets secondaires à long terme ne puissent survenir [60], et la Commission européenne n'a pas été immédiatement informé des préoccupations concernant la sécurité et l'efficacité du vaccin, alors que cela aurait dû se produire selon le texte du contrat [58, 59] ; Il y avait une gestion de la qualité insuffisante chez BioNTech parce que les paramètres de production de base ont été modifiés pendant la production [61], et il existe également des préoccupations scientifiques concernant l'efficacité et la sécurité [31, 41], et les décès dans l'étude d'approbation auraient été omis [74] ; dans le cas d'Astra Zeneca, le vaccin a été retiré en mai, prétendument pour des « raisons commerciales » ; Des effets secondaires graves sont survenus après les vaccinations avec Astra Zeneca [65], l'efficacité et la sécurité sont donc discutables au vu des décès associés [66], et cela ne serait pas non plus conforme au contrat.

    Dans le cas des trois vaccins, les directives de l’UE sur les bonnes pratiques de fabrication, qui doivent être respectées conformément au contrat, n’ont pas été respectées. Selon le texte du contrat, peu importe qu'il y ait eu intention ou négligence grave, du moins pour Moderna et Astra Zeneca, les deux sont exclues du contrat [35, 56, 57]. À première vue, il existe des ruptures de contrat potentielles de la part des fabricants pour les trois vaccins.

    Il reste à espérer que le gouvernement fédéral ou l’UE prendront désormais la bonne décision et ne répercuteront pas les coûts résultant des effets secondaires de la vaccination sur les personnes bénéficiant d’une assurance maladie. Et bien sûr, ne faites plus la même erreur. Cependant, cela semble trop demander, car les victimes du vaccin ont actuellement des difficultés à obtenir une compensation [51] et l'UE a récemment ordonné 40 millions de vaccinations contre la grippe aviaire [22, 25] et, là aussi, des travaux sont en cours pour Technologies d'ARNm [ 23]. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'emploie déjà à en faire la promotion [24, 26], et les États-Unis vaccinent déjà les vaches avec des vaccins à ARNm contre la grippe aviaire [27]. La Finlande a déjà fait un pas de plus et lance une campagne de vaccination des humains contre la grippe aviaire [28]. Pfizer a été financé par l'UE à hauteur de 375 millions d'euros pour le développement du vaccin contre le coronavirus [47] et ne veut désormais pas être tenu responsable d'éventuels effets secondaires [48] ; Moderna et Astra Zeneca présentent également très probablement des défauts de qualité (voir ci-dessus) ; , dont l'UE sait qu'Astra Zeneca devrait enquêter elle-même sur l'affaire, et dans le cas de Moderna, elle ne peut récupérer que jusqu'à 20 % du montant payé (voir tableau 1). L’UE ne devrait pas accepter cela.

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  15. Sources

    [1] https://sciencefiles.org/2024/05/21/t-zellen-krebs-pfizer-biontechs-comirnaty-laesst-einst-seltene-starke-kranken-normal-Werden/

    [2] https://clubderklarenworte.de/dieser-nobelpreis-haette-nie-verhaben- Werden- duerfen/

    [3] https://clubderklarenworte.de/flugkapitaen-verklagt-swiss-gefaehrdung-der-flugsicherheit-durch-impfpflicht/

    [4] https://clubderklarenworte.de/der-stieg/

    [5] https://www.aussie17.com/p/explosive-hearing-philippines-house

    [6] https://www.aussie17.com/p/just-in-furious-malaysians-unite

    [7] https://tkp.at/2024/06/05/british-medical-journal-covid-impfung-fuer-uebersterblichkeit-Responsible/

    [8] https://sciencefiles.org/2024/06/13/krank-durch-covid-19-shot-long-covid-ist-wahl-von-covid-19-impfung/

    [9] https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0296680#sec015

    [10] https://bmjpublichealth.bmj.com/content/2/1/e000282#sec-9

    [11] https://sciencefiles.org/2024/06/03/bnt162b2-comirnaty-fuer-kinder-und-jugendliche-nebeneffekten-guaranteed-sonst-nichts-neue-studie/

    [12] https://www.lifesitenews.com/news/uk-study-of-children-shows-heart-inflammation-develops-after-covid-vaccination-not-infection/

    [13] https://tkp.at/2024/06/04/daten-von-1-millionen-kindern-Shown-impf-risk/

    [14] https://www.lifesitenews.com/news/us-govt-scientists-received-710-million-from-big-pharma-during-covid-watchdog-finds/

    [15] https://clubderklarenworte.de/leak-suedafrika-pfizer-vertrag-effektigkeit-und-nebeneffekten-unknown/

    [16] https://www.lifesitenews.com/blogs/australian-senate-launches-landmark-excess-death-inquiry-following-covid-shot-rollout/

    [17] https://www.aussie17.com/p/japans-former-minister-for-internal

    [18] https://www.lifesitenews.com/news/malaysian-doctor-goes-viral-after-apologizing-for-administering-covid-shots/

    [19] https://www.lifesitenews.com/news/us-government-defunds-medical-group-that-helped-fund-gain-of-function-research-in-wuhan/

    [20] https://tkp.at/2024/06/10/us-gericht-mrna-stoffe-nicht-impfungen/

    [21] https://tkp.at/2024/06/09/mexico-entlarvte-who-luege-um-vogelgrippe/

    [22] https://tkp.at/2024/06/10/eu-bestellen-bis-zu-40-millionen-vogelgrippe-impfungen/

    [23] https://tkp.at/2024/06/03/mrna-gegen-vogelgrippe-am-weg/

    [24] https://tkp.at/2024/06/07/who-mit-neuer-vogelgrippe-panikpropaganda/

    [25] https://sciencefiles.org/2024/06/12/umdispersion-von-steuergelden-eu-besteller-40-millionen-dosen-nutzlosen-vogelfluppe-impfstoff/

    [26] https://www.lifesitenews.com/news/who-claims-bird-flu-strain-infected-human-for-first-time-has-potential-for-high-public-health-impact/

    [27] https://tkp.at/2024/06/14/gegen-vogelgrippe-usa-behandeln-erste-kuehe-mit-mrna/

    [28] https://tkp.at/2024/06/08/finnland-startet-vogelgrippe-impfaktion/

    [29] https://tkp.at/2023/10/26/ungeschwaerzter-vertrag-eu-pfizer-effektigkeit-nebeneffekt-und-langzeitthemen-unknown/

    [30] https://tkp.at/2024/06/13/australien-pfizer-unterschläge-todesfaelle-in-impfstudie/

    [31] https://tkp.at/2022/10/24/was-pfizer-wusste/

    [32] https://www.tichyseinblick.de/kolumnen/aus-aller-welt/pfizer-zulassensstudie-ungereimtheiten-covid-nebeneffekten/

    [33] https://childrenshealthdefense.org/defender/confidential-eu-documents-deaths-pfizer-biontech-shots/

    [34] https://www.lifesitenews.com/news/the-greatest-crime-against-humanity-in-history-naomi-wolfs-11-revelations-from-pfizer-vaccine-documents/

    [35] https://ia802304.us.archive.org/25/items/contract_03/Contract%203.pdf

    [36] https://www.preprints.org/manuscript/202309.0131/v1

    [37] https://www.lifesitenews.com/news/criminal-confidential-eu-documents-reveal-thousands-of-deaths-from-pfizer-biontech-shots/

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  16. [38] https://childrenshealthdefense.org/defender/confidential-eu-documents-deaths-pfizer-biontech-shots/

    [39] https://dailyclout.io/pfizer-fda-cdc-knew-dire-harm-to-babies-dr-walensky-urged-vaccination-for-pregnant-women-anyway/

    [40] https://vaccines.shinyapps.io/abstractor/

    [41] https://clubderklarenworte.de/arzneimittelzulassensbehoerden/

    [42] https://sciencefiles.org/2023/09/05/das-ausmass-von-pfizers-covid-betrug-ist-unbelievable-new-study-lays-open-how-pfizer-trial-results-manipulated /

    [43] https://www.tichyseinblick.de/kolumnen/aus-aller-welt/pfizer-zulassensstudie-ungereimtheiten-covid-nebeneffekten/

    [44] https://tkp.at/2023/08/01/how-bad-sind-die-batches-der-corona-impfstoffe-real/

    [45] https://www.lifesitenews.com/news/uk-watchdog-accuses-pfizer-of-making-misleading-claims-ignoring-side-effects-of-covid-shot/

    [46] https://www.lifesitenews.com/news/pfizer-reportedly-withheld-presence-of-cancer-linked-dna-in-covid-jabs-from-fda-health-canada/

    [47] Pfizer a été financé par l'UE

    https://investors.biontech.de/de/news-releases/news-release-details/biontech-erhaelt-bmbf-foerderung-von-bis-zu-375-millionen-euro

    [48] ​​​​https://sciencefiles.org/2023/07/01/biontech-milliardaere-pfeifen-auf-impfopfer-nicht-einmal-eine-mensche-geste-kommen-aus-der-mainzer-goldgrube/

    [49] https://tkp.at/2024/06/12/bedenken-gegen-die-covid19-influenza-impfstoff-studie-von-moderna-mit-mrna-1083/

    [50] https://sciencefiles.org/2024/01/05/korrupt-wie-pfizer-mit-gekauften-studien-die-oeffentlichkeit-taeuscht-und-forschung-zerstoert/

    [51] https://www.lto.de/recht/nachrichten/n/corona-covid-19-impfung-impfschäd-astrazeneca-biontech-pfizer- Schadenssatz-gegensgeld/

    [52] https://www.texasattorneygeneral.gov/news/releases/attorney-general-ken-paxton-sues-pfizer-misrepresenting-covid-19-vaccine-efficacy-and-conpiring

    [53] https://www.trialsitenews.com/a/legal-case-against-pfizer-and-moderna-for-dna-contamination-of-mrna-vaccines-8700bd69?utm_source=substack&utm_medium=email

    [54] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X19313647?via%3Dihub

    [55] https://de.wikipedia.org/wiki/Stella_Kyriakides

    [56] Le contrat Moderna est disponible sous forme papier

    [57] Le contrat AstraZeneca est disponible sous forme papier

    [58] https://www.gmp-navigator.com/guidelines/gmp-guideline/ec-2003-94-commission-directive-2003-94-ec-laying-down-the-principles-and-guidelines-of -bonnes-pratiques-de-fabrication-dans-le-respect-o

    [59] https://eur-lex.europa.eu/eli/dir/2017/1572/oj

    [60] https://clinicaltrials.gov/study/NCT04470427

    [61] https://tkp.at/2023/08/01/wie-bad-sind-die-batches-der-corona-impfstoffe-real/

    [62] https://sashalatypova.substack.com/p/letters-from-the-underworld?utm_source=%2Fsearch%2Flatypova&utm_medium=reader2

    [63] https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/COVID-Impfen/FAQ_Liste_Überfuehrung_Impfung.html?nn=2391120#FAQId16726212

    [64] https://www.deutschesapothekenportal.de/rezept-retax/nachrichten/arzneimittel/detail/stiko-empfiehlt-aspiration-bei-covid-19-impfungen/

    [65] .

    [66] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0022510X21003014

    [67] https://clubderklarenworte.de/dieser-nobelpreis-haette-nie-verhaben-Werden-duerfen/

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  17. [68] https://clubderklarenworte.de/die-spur-des-geldes/

    [69] https://www.bundestag.de/resource/blob/843532/1aca5ffd3465fef8dd7f1e5a4628b00d/19_14_0337-16-_Prof-Dr-Werner-Bergholz_IfSG.pdf

    [70] https://tkp.at/2024/04/18/freigabe-von-geheimen-sms-verkehr-zwischen-eu-leyen-und-pfizers-bourla-auch-bei-us-gericht-verlangt/? utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_source_platform=mailpoet&utm_campaign=daily-notification

    [71] https://www.tichyseinblick.de/daili-es-sentials/new-york-times-verklagt-eu-kommission-wegen-pfizer-deal/

    [72] https://youtu.be/zkiHxkrIcVU

    [73] https://www.restart-democracy.org/2022/12/14/mimikama-uebersterblichkeit-durch-coronatote-ist-erwiesen/

    [74] https://tkp.at/2024/06/13/australien-pfizer-unterschläge-todesfaelle-in-impfstudie/

    Dr. Johanna Weber est titulaire d'un doctorat en sciences du sport, avec une spécialisation en statistiques sportives. L'auteur est responsable de la santé et travaille depuis plusieurs années dans le domaine des statistiques médicales.

    https://tkp.at/2024/09/16/nebenwirkung-profit/

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  18. Depuis 2022, Leyen a extorqué 214 milliards aux Européens pour l'Ukraine et Big Pharma


    Égalité et Réconciliation
    jeu., 12 sept. 2024 19:17 UTC


    Les chiffres donnent le tournis. Si on était vaccinés, on aurait tourné de l'œil ou fait un AVC. Depuis 2022, date de la campagne de vaccination massive des Européens et de la contre-attaque russe en Ukraine contre l'OTAN, la Commission européenne, qui représente et défend théoriquement les intérêts de 447 millions d'Européens sans avoir été élue, a dépensé 71 milliards en faux vaccins produits principalement par les USA (Pfzer, Moderna, Johnson & Johnson) et 143 milliards en aides diverses pour l'Ukraine, dont une bonne partie a servi à acheter du matériel américain.

    Globalement, à travers la guerre que Big Pharma et l'OTAN font aux Européens via la fausse pandémie et la guerre en Ukraine, les Américains se sont mis plus de 100 milliards dans les poches. C'est entre autres pour cette raison qu'ils vont aujourd'hui mieux et que nous, Européens, allons de plus en plus mal.

    C'est la plus grande entreprise d'extorsion que l'Amérique a jamais imposée à l'Europe. Nous dirons, avec une pointe d'ironie, que ça ressemble à l'inversion du fameux plan Marshall qui, entre 1948 et 1952, a arrosé 17 pays européens (de l'Ouest) de 130 milliards d'euros actuels. On peut dire que l'Europe a sauvé les USA d'une crise économique majeure.

    C'est pourquoi, à court de pandémie (le lancement mondial de la variole du singe a foiré), les Américains font tout pour prolonger la guerre, plongeant l'Allemagne dans une récession industrielle et la France dans une crise politique et morale profonde. Car Macron est le pion des Américains. Parions que si les Russes et les Ukrainiens finissent par trouver un accord, un virus beaucoup plus mortel que le covid (ce ne sera pas difficile) verra le jour quelque part, près d'un laboratoire contrôlé par les Américains, mais pas en Ukraine.

    Le pillage américain de l'Europe ne date pas de l'UE

    - voir clip sur site :

    https://fr.sott.net/article/43952-Depuis-2022-Leyen-a-extorque-214-milliards-aux-Europeens-pour-l-Ukraine-et-Big-Pharma

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  19. Problèmes avec Leyen : le « ministre de la censure » de l’UE dit au revoir (OUF !)


    16 septembre 2024
    de Thomas Oysmüller


    Le commissaire européen français Thierry Breton, un personnage important de la bureaucratie européenne, a démissionné soudainement et de manière inattendue.

    En fait, Ursula von der Leyen aurait déjà dû présenter la nouvelle Commission européenne. Thierry Breton, commissaire européen depuis 2019 et responsable des règles de censure autour du « Digital Service Act », a effectivement été nommé pour un second mandat. Mais il abandonne désormais, et ce de manière très publique. Le conflit semble s'intensifier au sommet de la commission.

    De bons jours pour la liberté d’expression ?

    La France voulait à nouveau Breton comme commissaire français. Il s’était déjà disputé entre autres avec Elon Musk et souhaitait une censure plus stricte sur X/Twitter. La démission est soudaine et inattendue. Bien entendu, il est pratiquement impossible que quelque chose de mieux se produise. Néanmoins, les choses risquent de mijoter à Bruxelles. Et non plus seulement dans la rue devant les institutions européennes, mais désormais aussi au milieu d’elles. Le journaliste luxembourgeois Jean-Marie Jacoby écrit : « Émeute entre vassaux américains ».

    Dans sa lettre de démission, Breton a blâmé la « direction douteuse », à savoir la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen. "Je démissionne de mon poste de commissaire européen avec effet immédiat", indique la lettre. Il avait auparavant « demandé à la commission de retirer mon nom ».

    Alors, qu’est-ce qui met Breton, qui était auparavant commissaire chargé du marché intérieur et des services, à ce point en colère ? Il n’y a aucune contestation sur le contenu. Il y a quelques jours, Leyen aurait demandé à la France de retirer le nom de Breton à la nouvelle commission - pour des raisons personnelles dont elle n'avait pas discuté directement avec lui. « À la lumière de ces développements récents, qui constituent une preuve supplémentaire d’une gouvernance douteuse », il démissionne.

    Demain, Leyen doit présenter sa commission au Parlement européen. La date avait déjà été repoussée une fois, mais elle vacille à nouveau. On s'attendait à ce que Breton reçoive un portefeuille important. Ce n'est pas le cas actuellement. Mais on peut probablement exclure que Macron envoie à Bruxelles autre chose qu’un bureaucrate fidèle aux États-Unis. Breton était considéré comme arrogant.

    Leyen et Macron n'ont pas encore commenté le retrait de Breton.

    https://tkp.at/2024/09/16/aerger-mit-leyen-eu-zensurminister-verabschiedet-sich/

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  20. En Italie, le gouvernement Meloni propose un recul de l’âge de la retraite à 70 ans


    France-Soir
    le 13 septembre 2024 - 10:52


    Un sujet très brûlant en Italie. Paolo Zangrillo, ministre de l’Administration publique, a proposé dans le cadre de sa loi budgétaire pour 2025 la possibilité pour les fonctionnaires de continuer à travailler jusqu’à 70 ans. La proposition, bien loin des promesses de la Première ministre Georgia Meloni de réformer en profondeur le système des retraites et de révoquer l’âge légal de 67 ans pour ne laisser que le régime “quota 41”, a provoqué un farouche levé de boucliers chez les syndicats.

    Tout au long de sa campagne et tout juste après sa mise en place, le gouvernement Meloni avait promis de revenir sur la réforme de 2011 qui prévoyait un recul de l’âge de départ à la retraite de 64 à 67 ans pour les hommes, à 66 ans et 7 mois pour les femmes. Ni la loi budgétaire de 2023 ni celle de 2024 n’ont concrétisé ces promesses. Une première proposition consistait à autoriser le départ à la retraite à 62 ans pour tout le monde mais la nouvelle réforme, temporaire, a conservé l’âge de départ à 67 ans tout en permettant à ceux qui ont totalisé 41 ans de cotisations de prendre leur retraite à 62 ans.

    “La mesure est nécessaire” ... mais un “choix volontaire”

    Mais les promesses du gouvernement Meloni, tout comme sa réforme de 2023 risquait de fâcher Bruxelles et de peser considérablement sur les dépenses publiques, surveillées de près par l’UE. La Commission européenne et l’OCDE réclamaient déjà à Rome une réforme de son système et le pays fait actuellement l’objet, au même titre que la France, d’une procédure pour déficits publics excessifs.

    Faisant face à une crise démographique, à des dépenses de retraite représentant environ 17% du PIB italien et à des prévisions économiques peu reluisantes à l’horizon 2050, l’Italie réfléchit alors à repousser l’âge de la retraite à 70 ans. Du moins, pour les fonctionnaires. L’idée a été soufflée cette semaine par le ministre de l’Administration publique, Paolo Zangrillo, qui a justifié sa proposition par un contexte de pénurie de personnel dans plusieurs secteurs publics italiens ainsi que par “la pression financière” exercée par le système de retraite.

    Paolo Zangrillo dit également craindre un départ massif des travailleurs expérimentés les prochaines années, tentant d’embellir sa proposition en estimant qu’un âge de retraite à 70 ans “favoriserait le passage de témoin et le savoir-faire entre générations”.

    "La mesure est nécessaire”, écrit-on dans le projet de loi du ministère. “Principalement pour garantir au grand nombre de nouveaux employés le soutien nécessaire d'un personnel plus expérimenté, pour réaliser un transfert de compétences qui garantit le plus haut niveau d'efficacité et surtout, pour “une charge sociale moindre".

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  21. Comme il en est ailleurs en d'autres pays les partis dits 'd'opposition' (HAHAHA !) sont tous aussi pourris que le nano-groupuscule au pouvoir qui se dit être 'la majorité' !

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  22. L’anniversaire du 11 septembre : théorie du complot ou pensée critique ?

    Il ne devrait pas y avoir de stigmatisation liée au fait de remettre en question la version officielle de ce qui s’est passé il y a 17 ans.


    Par le professeur Graeme MacQueen
    Recherche mondiale,
    14 septembre 2024


    À l’occasion du 23e anniversaire des attentats du 11 septembre, l’opinion publique est en droit de se demander ce qui s’est réellement passé ce jour-là.

    Voici huit points sur lesquels réfléchir.

    1. Ceux qui remettent en cause la version officielle des événements du 11 septembre sont souvent qualifiés de « théoriciens du complot », mais cela n’a aucun sens. Un complot n’est qu’un plan secret, élaboré par deux ou plusieurs personnes, pour commettre un acte criminel ou immoral. Les attentats du 11 septembre impliquaient de toute évidence un complot.

    2. Certains pensent que la véracité de la version officielle accusant Al-Qaida est évidente pour toute personne sensée. Ce n'est pas vrai. Les sondages montrent que moins de la moitié de la population mondiale partage cette conviction.

    3. Si Ben Laden était le cerveau du crime, pourquoi le FBI ne l'a-t-il pas inculpé ? En 2006, un porte-parole du FBI a expliqué que le FBI ne disposait d'aucune preuve tangible le reliant aux attentats du 11 septembre.

    4. Ceux qui remettent en cause la version officielle des événements du 11 septembre ne sont pas tous des blogueurs à l’esprit confus. Beaucoup d’entre eux ont une expertise pertinente. Lynn Margulis, lauréate de la National Medal of Science aux États-Unis, a déclaré que les données scientifiques soutenant la version officielle étaient terriblement faibles. Plus de 3 000 architectes et ingénieurs qualifiés ont publiquement exprimé leur mécontentement à l’égard de la version officielle de la destruction du World Trade Center.

    5. En 2006, un article examiné par des pairs a révélé que 118 membres du Service des incendies de New York ont ​​déclaré avoir été témoins d'explosions lors de l'effondrement des Twin Towers . Des explosions ont été observées, circulant autour des bâtiments ainsi que de haut en bas. Cela contredit l'affirmation officielle selon laquelle les bâtiments ont été effondrés par l'impact d'un avion et les incendies. Cela suggère une démolition contrôlée.

    6. En 2009, un autre article évalué par des pairs a fait état de la découverte de grandes quantités d'un explosif exotique et incendiaire (nanothermite/plus puissant que le 'C4' car lui il font l'acier)) dans la poussière du World Trade Center. Les échantillons ont été collectés avant le début du nettoyage du site, ce qui a confirmé l'hypothèse de la démolition.

    7. L'Institut national des normes et de la technologie, chargé de rendre compte de la destruction du World Trade Center, n'a pas réussi à expliquer de manière satisfaisante à de nombreux scientifiques l'effondrement total d'un troisième gratte-ciel le 11 septembre, le World Trade Center 7, haut de 47 étages. Aucun avion n'a heurté ce bâtiment, et pourtant, à 17h21, il s'est effondré, entamant sa descente de manière symétrique, soudaine et avec une accélération de chute libre. Tout dans cet effondrement suggère une démolition.

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  23. 8. En avril 2018, huit avocats ont déposé une requête auprès du procureur du district sud de New York. La requête fournit des preuves détaillées de la destruction du Trade Center par des explosifs et exige que ces preuves d’un crime fédéral soient soumises à un grand jury, dans le but ultime d’inculper les responsables.

    Il est clair que la remise en cause de la version officielle des événements du 11 septembre ne doit pas être stigmatisée. Les lecteurs désireux d'en savoir plus peuvent consulter la pétition du Comité des avocats pour l'enquête sur le 11 septembre et les conclusions du Panel international de consensus sur le 11 septembre, tous deux disponibles sur Internet.

    *

    Cet article a été initialement publié dans The Hamilton Spectator .

    Graeme MacQueen, aujourd'hui décédé, était l'ancien directeur du Centre d'études sur la paix de l'Université McMaster. Il a été membre du 9/11 Consensus Panel, ancien coéditeur du Journal of 9/11 Studies et organisateur des audiences de Toronto de 2011, dont les résultats ont été publiés sous forme de livre sous le titre The 9/11 Toronto Report.

    Il a été chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG)

    https://www.globalresearch.ca/the-911-anniversary-conspiracy-theory-or-critical-thinking/5654847

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  24. Le lendemain du 11 septembre : le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 1368 et lance le « quatrième pilier » des Nations Unies


    Par Elias Davidsson
    Recherche mondiale,
    14 septembre 2024


    La première réalisation diplomatique manifeste des États-Unis dans le dossier du 11 septembre fut la résolution n° 1368. Elle fut adoptée à midi par le Conseil de sécurité de l’ONU le 12 septembre 2001. Elle contenait les déclarations obligatoires de condamnation et de solidarité avec les victimes du 11 septembre et leurs familles. Mais cette résolution particulière présentait trois caractéristiques déconcertantes dont les implications sont troublantes.

    La résolution 1368 comprenait un préambule d’un paragraphe dans lequel le Conseil « reconnaissait le droit naturel à la légitime défense individuelle ou collective conformément à la Charte ». Il n’était pas nécessaire de mentionner ce principe particulier dans la résolution, à moins que le Conseil n’ait eu l’intention de faire comprendre aux États-Unis qu’ils pouvaient, s’ils le souhaitaient, recourir à la force militaire contre tout pays de leur choix en réponse aux attentats du 11 septembre.

    Un clin d’œil

    Il convient de noter que le Conseil n’a pas « autorisé » les États-Unis à utiliser la force militaire, comme il l’avait fait dans le cas de l’invasion et de l’occupation du Koweït par l’Irak en 1990,[1] mais a choisi de transmettre indirectement aux États-Unis le message que le Conseil fermerait les yeux et ne poserait aucune question si les États-Unis utilisaient la force militaire contre des États étrangers en réponse au 11 septembre.

    C’est exactement ce qui s’est passé : la campagne de bombardements américains contre l’Afghanistan et l’occupation ultérieure de ce pays n’ont été condamnées par aucun membre du Conseil de sécurité, bien qu’elles aient constitué une violation du droit international coutumier – établi sur la base de la doctrine dite Caroline – et de la Charte des Nations Unies.

    Selon la doctrine caroline, le recours à la légitime défense requiert « une nécessité de légitime défense, immédiate, irrésistible, ne laissant aucun choix de moyens et aucun moment de délibération ». De plus, toute action entreprise doit être proportionnée, « puisque l’acte justifié par la nécessité de légitime défense doit être limité par cette nécessité et clairement maintenu dans les limites de celle-ci ».

    La résolution 1368 a également cautionné un acte d’agression flagrant. Le Tribunal militaire international de Nuremberg (1945) a qualifié la guerre d’agression de « non seulement un crime international, mais aussi le crime international suprême, qui ne diffère des autres crimes de guerre que par le fait qu’il contient en lui-même le mal accumulé de l’ensemble » [2].

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  25. Je soutiens qu’en incluant la disposition de la Charte sur la légitime défense dans la résolution n° 1368, les membres du Conseil ont contribué à la violation du droit international coutumier et à la commission du crime international suprême par le gouvernement américain, à savoir l’agression.

    Le 11 septembre était-il un acte international ?

    En outre, le Conseil a qualifié les événements de la veille d’acte de terrorisme « international » et de « menace à la paix et à la sécurité internationales » sans avoir reçu la moindre preuve à l’appui de ces deux affirmations. Il n’a jamais été donné au Conseil de demander ou d’obtenir de telles preuves.

    Remarque : c’est la formule « menace à la paix internationale » qui donne au Conseil de sécurité de l’ONU le pouvoir d’adopter des résolutions contraignantes pour les États membres. Je fais référence à l’article 39 de la Charte des Nations Unies :

    « Le Conseil de sécurité constate l’existence d’une menace contre la paix, d’une rupture de la paix ou d’un acte d’agression et fait des recommandations ou décide des mesures à prendre conformément aux Articles 41 et 42 pour maintenir ou rétablir la paix et la sécurité internationales. »

    Selon la version officielle des Etats-Unis, quatre avions de ligne effectuant des vols intérieurs ont été détournés par 19 passagers le 11 septembre 2001. Même si cette version avait été vraie – ce qui n'est pas le cas – il ne s'agirait pas d'un acte de terrorisme « international », mais d'un acte de terrorisme intérieur à grande échelle perpétré par des 'voyageurs' dont l'identité réelle reste incertaine.

    Un autre élément surprenant est la rapidité avec laquelle la résolution 1368 a été adoptée. Si les deux éléments susmentionnés n’avaient pas été inclus dans la résolution – qualifier le 11 septembre de terrorisme international et désigner le terrorisme comme une menace à la paix – il n’y aurait rien d’étrange à ce qu’elle ait été adoptée un jour après les attentats.

    Le jour même des attentats du 11 septembre 2001, de nombreux gouvernements et organisations intergouvernementales ont adopté des résolutions condamnant les attentats et exprimant leur solidarité avec les victimes. Ils se sont toutefois soigneusement gardés de qualifier ces attentats de dimension internationale.

    De vastes implications

    Les deux caractéristiques évoquées ci-dessus ne sont ni évidentes ni nécessaires, mais ont pourtant de vastes implications juridiques et politiques. Il est inconcevable que des personnes siégeant au Conseil, représentant leurs gouvernements, approuvent le libellé des résolutions du Conseil sur la base de leurs sentiments personnels, aussi forts soient-ils.

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  26. Les projets de résolution du Conseil de sécurité, notamment ceux qui contiennent des précédents juridiques ou entraînent des conséquences juridiques, sont généralement examinés – jusque dans leur ponctuation – par des experts juridiques des pays d’origine des membres du Conseil. Il est inconcevable que des experts du monde entier soient en mesure d’évaluer en quelques heures les ramifications juridiques et politiques des éléments évoqués ci-dessus.

    Je ne vois que deux explications possibles à cette apparente rapidité : soit les États-Unis (soutenus par leurs alliés de l’OTAN) ont menacé les gouvernements des autres membres du Conseil de sécurité de sanctions sévères s’ils n’adoptaient pas cette résolution, soit le projet de résolution avait été distribué et approuvé par certains membres du Conseil de sécurité avant les événements du 11 septembre, afin de garantir son adoption rapide le 12 septembre 2001. Ces deux explications suscitent des questions très inquiétantes.

    Passons maintenant à la question de la probité des informations présentées au Conseil de sécurité de l’ONU. Le Conseil de sécurité n’est pas tenu de fonder ses décisions sur des faits avérés. Il peut légalement fonder ses décisions opérationnelles sur des intuitions, des hypothèses, des ouï-dire et même des fantasmes. Le Conseil de sécurité serait légalement en droit de déterminer que la terre est plate, si une telle détermination convenait politiquement à ses membres.

    Les membres du Conseil de sécurité ont certes l’obligation juridique d’agir de bonne foi, mais aucune entité internationale n’a été créée pour vérifier s’ils ont respecté ce principe et, en cas de violation, pour invalider les décisions fondées sur la violation de ce principe.[3]

    La volonté de tous les membres du Conseil de sécurité de soutenir les objectifs de la politique étrangère américaine, tels qu’ils ressortent des dispositions de la résolution n° 1368, doit être considérée comme un tournant historique.

    Le quatrième pilier de l’ONU

    Pendant des années, j’ai été la seule voix à souligner que les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU (États-Unis, Royaume-Uni, France, Russie et Chine) se sont engagés à définir le « terrorisme international » comme une menace majeure pour la paix mondiale. Cette définition est un mensonge monumental, car le terrorisme ne constitue même pas une menace pour la souveraineté, la défense nationale ou l’ordre politique d’un pays.

    Si le terrorisme (attaques contre des civils à des fins politiques) est un crime, le nombre de personnes tuées chaque année par des actes terroristes dans la plupart des pays se situe entre zéro et dix. En Europe, un territoire de plus de 500 millions d’habitants, environ 44 personnes meurent en moyenne chaque année dans des attaques terroristes (comparé à plus de 5 000 homicides annuels).

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  27. J’ai déjà signalé à plusieurs reprises que l’ ONU avait adopté l’idéologie de la « lutte contre le terrorisme » comme l’un des piliers de l’ensemble du système onusien. Aujourd’hui, enfin et tardivement, d’autres confirment mes avertissements. En juin 2020, l’organisation britannique Saferworld a déploré la généralisation de l’idéologie de la lutte contre le terrorisme au sein de l’Organisation des Nations Unies.

    « Depuis trois quarts de siècle, la paix, les droits de l’homme et le développement sont les trois piliers fondamentaux qui définissent la vocation unique de l’ONU. Cependant, depuis le 11 septembre, la détermination collective des gouvernements à définir le terrorisme comme le défi sécuritaire mondial par excellence a profondément marqué l’ONU. La lutte contre le terrorisme est devenue une priorité grâce à un flot de résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, de stratégies de l’Assemblée générale, de nouveaux flux de financement, de bureaux, de comités, de groupes de travail et de personnel – tous dédiés à la lutte contre le terrorisme. » [4]

    Des bons gars ?

    J’invite tous ceux qui, pour diverses raisons, considèrent la Russie et la Chine comme « l’espoir de l’humanité » par opposition à l’impérialisme occidental, à reconsidérer cette perception. Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU sont fermement attachés à l’idéologie frauduleuse de la lutte contre le terrorisme, car elle fournit à tous les gouvernements du monde des justifications pour abolir la démocratie et instaurer une dictature numérique.

    L’idéologie antiterroriste, aujourd’hui complétée par une campagne mondiale de peur sanitaire, est précisément le ciment qui lie les dirigeants du P5, et elle n’a rien à voir avec Al-Qaïda, l’EI ou d’autres organisations terroristes réelles ou fausses. Le P5, au service de ses classes dirigeantes, a ainsi déclaré la guerre aux peuples du monde. Les Nations Unies, autrefois un espoir pour le monde, sont devenues un outil d’oppression. « Nous, le peuple », ne pouvons faire confiance à aucun gouvernement ni à aucune organisation d’États pour garantir nos droits et nos libertés. Nous devons nous unir par-delà les frontières, sans interférence des États ou des entreprises, pour rétablir un ordre mondial acceptable.

    *

    Elias Davidsson est un citoyen islandais vivant en Allemagne. Il est compositeur, militant des droits de l'homme et de la paix et auteur de plusieurs ouvrages sur le 11 septembre et le terrorisme sous fausse bannière.

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  28. Remarques

    [1] Extrait de la « guerre du Golfe » : En vertu de la résolution 678 du Conseil de sécurité du 29 novembre 1990, le Conseil de sécurité « autorise les États membres coopérant avec le gouvernement du Koweït […] à utiliser tous les moyens nécessaires pour faire respecter et mettre en œuvre la résolution 660 (1990) et toutes les résolutions ultérieures pertinentes et pour rétablir la paix et la sécurité internationales dans la région. »

    [2] Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale fait également référence au crime d’agression comme l’un des « crimes les plus graves qui touchent la communauté internationale » et prévoit que ce crime relève de la compétence de la Cour pénale internationale (CPI).

    [3] Voir notamment Elias Davidsson, « The Security Council's Obligations of Good Faith », Florida Journal of International Law, vol. XV, n° 4 (été 2003) ( http://www.aldeilis.net/bpb/goodfaith.pdf )

    [4] https://www.saferworld.org.uk/downloads/ct-textpp-final-file.pd

    https://www.globalresearch.ca/day-after-nine-eleven-security-council-passes-resolution-1368-starts-pillar-four-united-nations/5718707

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  29. VIDÉO : 11 septembre : une théorie du complot. « Parce que l’ignorance fait la force ». James Corbett


    Par James Corbett
    Recherche mondiale,
    14 septembre 2024


    Il y a 23 ans, le 11 septembre était une entreprise criminelle fondée sur d’innombrables mensonges et inventions. Le 11 septembre 2024, nous commémorons les événements tragiques du 11 septembre.

    Global Research publiera plusieurs articles importants concernant le 11 septembre et ses conséquences immédiates, qui ont conduit aux bombardements illégaux des États-Unis et de l’OTAN et à l’occupation de l’Afghanistan.

    Vous trouverez ci-dessous la vidéo soigneusement documentée et incisive de James Corbett, initialement publiée en 2011

    * *; *

    Transcription

    Le matin du 11 septembre 2001, 19 hommes armés de cutters dirigés par un homme [Oussama ben Laden] sous dialyse dans un hôpital à l'autre bout du monde, utilisant un téléphone satellite et un ordinateur portable, ont dirigé la pénétration la plus sophistiquée de l'espace aérien le plus fortement défendu au monde, maîtrisant les passagers et les pilotes militaires entraînés au combat de 4 avions commerciaux avant de faire dévier ces avions de leur trajectoire pendant plus d'une heure sans être molestés par un seul chasseur intercepteur.

    Ces 19 pirates de l'air, des fondamentalistes religieux fervents qui aimaient boire de l'alcool , sniffer de la cocaïne et vivre avec des strip-teaseuses aux cheveux roses , ont réussi à abattre 3 immeubles avec 2 avions à New York, tandis qu'à Washington un pilote qui ne savait pas piloter un Cessna monomoteur a réussi à piloter un 757 dans un virage en vrille de 270 degrés en descente à 8 000 pieds pour arriver exactement au niveau du sol, frappant le Pentagone dans le bureau des analystes budgétaires où les employés du DoD travaillaient sur le mystère des 2,3 billions de dollars que le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld avait annoncé « disparus » des caisses du Pentagone lors d'une conférence de presse la veille, le 10 septembre 2001.

    - voir clip suir site -

    Heureusement, les présentateurs des journaux télévisés ont su qui était le coupable en quelques minutes , les experts en quelques heures , l'administration en moins d'une journée , et les preuves sont tombées littéralement entre les mains du FBI. Mais pour une raison inconnue, une bande de théoriciens du complot fous a exigé une enquête sur la plus grande attaque jamais perpétrée sur le sol américain.

    L'enquête a été retardée , sous-financée , vouée à l'échec , a donné lieu à un conflit d'intérêts et à une dissimulation du début à la fin. Elle s'est basée sur des témoignages extorqués sous la torture et dont les dossiers ont été détruits .

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  30. Il a omis de mentionner l'existence du WTC7 , d'Able Danger , de Ptech , de Sibel Edmonds , d'OBL et de la CIA , ainsi que les exercices d'avions détournés qui s'écrasaient sur des bâtiments, qui étaient simulés au moment même où ces événements se produisaient réellement.

    Le Pentagone, la CIA, l’administration Bush ont menti et quant à Bush et Cheney… eh bien, personne ne sait ce qu’ils ont dit parce qu’ils ont témoigné en secret, en privé, sans serment et à huis clos . Elle n’a pas pris la peine de chercher à savoir qui finançait les attentats parce que cette question n’a « que peu d’importance pratique ». Pourtant, la Commission du 11 septembre a fait un travail brillant, répondant à toutes les questions du public (à l’exception de la plupart des questions des membres des familles des victimes ) et rejetant la faute sur tous les responsables (même si personne n’a perdu son emploi), en déterminant que les attentats étaient « un manque d’imagination » parce que « je ne pense pas que quiconque puisse imaginer faire voler des avions dans des bâtiments » à part le Pentagone , la FEMA , le NORAD et le NRO .

    La DIA a détruit 2,5 To de données sur Able Danger, mais ce n'est pas grave car ce n'était probablement pas important.

    La SEC a détruit ses dossiers sur l'enquête sur les délits d'initiés avant les attaques, mais ce n'est pas grave, car la destruction des dossiers de la plus grande enquête de l'histoire de la SEC fait simplement partie de la tenue de registres de routine.

    Le NIST a classifié les données qu'il a utilisées pour son modèle de l'effondrement du WTC7, mais ce n'est pas grave, car savoir comment il a élaboré son modèle de cet effondrement « mettrait en péril la sécurité publique ».

    Le FBI a fait valoir que tout le matériel lié à son enquête sur le 11 septembre devrait être gardé secret du public, mais ce n'est pas grave car le FBI n'a probablement rien à cacher .

    Cet homme n'a jamais existé, et rien de ce qu'il a pu dire ne mérite votre attention, et si vous dites le contraire, vous êtes un théoricien du complot paranoïaque et méritez d'être rejeté par toute l'humanité. De même que lui , lui , lui et elle . (et elle et elle et lui ).

    Oussama Ben Laden vivait dans une grotte forteresse dans les collines d'Afghanistan, mais il a réussi à s'échapper d'une manière ou d'une autre .

    Il s'est ensuite caché à Tora Bora mais a réussi à s'échapper d'une manière ou d'une autre .

    Puis il a vécu à Abottabad [Pakistan] pendant des années, se moquant du plus grand réseau de renseignements utilisant la technologie la plus sophistiquée de l'histoire du monde pendant 10 ans, diffusant vidéo après vidéo en toute impunité (et devenant de plus en plus jeune à mesure qu'il le faisait), avant d'être finalement retrouvé dans un raid audacieux de l'équipe SEAL qui n'a pas été enregistré sur vidéo , dans lequel il n'a pas résisté ni utilisé sa femme comme bouclier humain , et dans lequel ces agents d'élite des forces spéciales ont paniqué et tué cet homme non armé, soi-disant la meilleure source de renseignements sur ces ignobles terroristes de la planète.

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  31. Ils ont ensuite jeté son corps dans l'océan sans en parler à personne. Puis une vingtaine de membres de cette équipe [SEAL] sont morts dans un accident d'hélicoptère en Afghanistan.

    C'est l'histoire du 11 septembre, racontée par les médias qui vous ont dit la dure vérité sur JFK , les bébés incubés, les installations de production mobiles et le sauvetage de Jessica Lynch .

    Si vous avez des questions sur cette histoire… vous êtes un fou, un paranoïaque, un idiot, un odieux qui maltraite les chiens et qui déteste les bébés et qui sera méprisé par tout le monde. Si vous aimez votre pays et/ou la liberté, le bonheur, les arcs-en-ciel, le rock and roll, les chiots, la tarte aux pommes et votre grand-mère, vous n’exprimerez jamais de doutes sur aucun aspect de cette histoire à qui que ce soit. Jamais.

    Ceci est un message d'intérêt public diffusé par les Amis du FBI , de la CIA , de la NSA , de la DIA , de la SEC , des MSM , de la Maison Blanche , du NIST et de la Commission du 11 septembre . Parce que l'ignorance est une force.

    https://www.globalresearch.ca/911-conspiracy-theory/5793357

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  32. Qu'est-ce que l'État profond ? Le projet Doomsday et les événements profonds : JFK, le Watergate, l'affaire Iran-Contra et le 11 septembre. Professeur Peter Dale Scott


    Le professeur Peter Dale Scott définit « l'État profond »
    Par le professeur Peter Dale Scott
    Recherche mondiale,
    14 septembre 2024


    Cet article a été publié à l'origine en novembre 2011

    « Je sais que l’Amérique a la capacité de rendre la tyrannie totale, et nous devons veiller à ce que cette agence [la NSA] et toutes les agences qui possèdent cette technologie agissent dans le respect de la loi et sous une supervision appropriée, afin que nous ne traversions jamais cet abîme. C’est l’abîme d’où il n’y a pas de retour possible. » — Sénateur Frank Church (1975)

    Je voudrais aborder quatre événements majeurs et mal compris : l’assassinat de John F. Kennedy, le Watergate, l’affaire Iran-Contra et le 11 septembre. J’analyserai ces événements profonds dans le cadre d’un processus politique plus profond qui les relie, un processus qui a contribué à renforcer le pouvoir répressif en Amérique au détriment de la démocratie.

    Ces dernières années, j’ai parlé d’une force obscure derrière ces événements – une force que, faute d’un meilleur terme, j’ai maladroitement appelée « État profond », opérant à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de l’État public. Aujourd’hui, pour la première fois, je souhaite identifier une partie de cette force obscure, une partie qui opère depuis cinq décennies ou plus en marge de l’État public. Cette partie de la force obscure porte un nom que je n’ai pas inventé : le Projet Doomsday, le nom donné par le Pentagone au plan d’urgence « pour maintenir la Maison Blanche et le Pentagone en activité pendant et après une guerre nucléaire ou une autre crise majeure ».

    Mon propos est simple et important : montrer que le projet Doomsday des années 1980, et la planification d’urgence qui l’a précédé, ont joué un rôle dans le contexte de tous les événements profonds dont je vais parler.

    Plus important encore, elle a été à l’origine des trois événements inquiétants qui menacent aujourd’hui la démocratie américaine. Le premier de ces trois événements est ce que l’on a appelé la conversion de notre économie en ploutonomie – avec la division croissante de l’Amérique en deux classes, les riches et les pauvres, les 1 % et les 99 %. Le deuxième est la militarisation croissante de l’Amérique et surtout sa propension, devenue de plus en plus routinière et prévisible, à déclencher ou à provoquer des guerres dans des régions reculées du globe. Il est clair que les opérations de cette machine de guerre américaine ont servi les 1 %.2

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  33. Le troisième sujet – mon sujet d’aujourd’hui – est l’impact important et de plus en plus délétère sur l’histoire américaine d’événements structurels profonds : des événements mystérieux, comme l’assassinat de JFK, le cambriolage du Watergate ou le 11 septembre, qui violent la structure sociale américaine, ont un impact majeur sur la société américaine, impliquent à plusieurs reprises des violations de la loi ou de la violence et, dans de nombreux cas, procèdent d’une force obscure inconnue.

    Il existe de nombreuses analyses sur l’effondrement actuel de l’Amérique en termes de disparité de revenus et de richesses, ainsi que sur la militarisation et la belligérance croissantes du pays. Ce que je vais faire aujourd’hui est, je pense, nouveau : je soutiens que la disparité de revenus – ou ce que l’on a appelé notre ploutonomie – et la belligérance ont été considérablement favorisées par des événements profonds.

    Il faut comprendre que les disparités de revenus qui caractérisent l'économie américaine actuelle ne sont pas le résultat de forces du marché agissant indépendamment de toute intervention politique. Elles sont en grande partie le résultat d'un processus politique systématique et délibéré, qui remonte aux craintes des très riches des années 1960 et 1970 de voir le contrôle du pays leur échapper.

    C’est à cette époque que Lewis Powell, futur juge de la Cour suprême, a averti, dans un mémorandum de 1971, que la survie du système de libre entreprise dépendait d’une « planification et d’une mise en œuvre minutieuses à long terme » d’une réponse bien financée aux menaces de la gauche.3 Cet avertissement a été répondu par une offensive soutenue de la droite, coordonnée par des groupes de réflexion et généreusement financée par un petit groupe de fondations familiales.4 Rappelons que tout cela était une réponse aux graves émeutes de Newark, Detroit et ailleurs, et que des appels de plus en plus nombreux à la révolution provenaient de la gauche (en Europe comme aux États-Unis). Je me concentrerai aujourd’hui sur la réponse de la droite à ce défi et sur le rôle des événements profonds dans l’amélioration de sa réponse.

    Ce qui était important dans le mémorandum Powell, c’était moins le document lui-même que le fait qu’il ait été commandé par la Chambre de commerce des États-Unis, l’un des groupes de pression les plus influents et les moins discutés des États-Unis. Et le mémorandum n’était qu’un des nombreux signes de cette guerre de classe qui se développait dans les années 1970, un processus plus vaste à l’œuvre à la fois à l’intérieur et à l’extérieur du gouvernement (y compris ce qu’Irving Kristol a appelé une « contre-révolution intellectuelle »), qui a conduit directement à ce qu’on a appelé la « révolution Reagan »5.

    Il est clair que ce processus plus vaste a été mené pendant près de cinq décennies, injectant des milliards de dollars de la droite dans le processus politique américain. Ce que je souhaite montrer aujourd’hui, c’est que des événements profonds ont également joué un rôle essentiel dans cet effort de la droite, de l’assassinat de John F. Kennedy en 1963 au 11 septembre. Le 11 septembre a abouti à la mise en œuvre de plans de « continuité du gouvernement » (COG) (qui, lors des audiences d’Oliver North Iran Contra de 1987, ont été qualifiés de plans de « suspension de la constitution américaine »). Ces plans de COG, s’appuyant sur des plans antérieurs de COG, avaient été soigneusement élaborés depuis 1982 dans le cadre du « Projet Doomsday », par un groupe secret nommé par Reagan. Le groupe était composé de personnalités publiques et privées, dont Donald Rumsfeld et Dick Cheney.

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  34. Je vais essayer de montrer aujourd’hui qu’à cet égard le 11 septembre n’était que l’aboutissement d’une séquence d’événements profonds remontant à l’assassinat de Kennedy, voire avant, et que les germes du Projet Doomsday peuvent être détectés derrière chacun d’eux.

    Plus précisément, je vais essayer de démontrer à propos de ces événements profonds que

    1) les mauvaises pratiques bureaucratiques antérieures de la CIA et d’agences similaires ont contribué à l’assassinat de Kennedy et aux attentats du 11 septembre ;

    2) les conséquences de chaque événement profond comprenaient une augmentation du pouvoir répressif de haut en bas pour ces mêmes agences, au détriment du pouvoir démocratique de persuasion ;6

    3) il existe des chevauchements symptomatiques de personnel entre les auteurs de chacun de ces événements profonds et le suivant ;

    4) on voit dans chaque événement l’implication d’éléments du trafic international de drogue – suggérant que notre ploutonomie actuelle est aussi dans une certaine mesure une narconomie ;

    5) En arrière-plan de chaque événement (et jouant un rôle de plus en plus important), on voit le Projet Doomsday — la structure alternative de planification d’urgence avec son propre réseau de communication, fonctionnant comme un réseau fantôme en dehors des canaux gouvernementaux réguliers.

    Le mauvais comportement bureaucratique comme facteur contribuant à la fois à l’assassinat de JFK et au 11 septembre

    L’assassinat de JFK et le 11 septembre ont été facilités par la façon dont la CIA et le FBI ont manipulé leurs dossiers sur les auteurs présumés de chaque événement (Lee Harvey Oswald dans le cas de ce que j’appellerai JFK, et les pirates de l’air présumés Khalid al-Mihdhar et Nawaf al-Hazmi dans le cas du 11 septembre). Cette facilitation a été en partie due à la décision prise le 9 octobre 1963 par un agent du FBI, Marvin Gheesling, de retirer Oswald de la liste de surveillance du FBI. Cette décision a eu lieu peu de temps après l’arrestation d’Oswald à la Nouvelle-Orléans en août et son voyage au Mexique en septembre. De toute évidence, ces développements auraient dû faire d’Oswald un candidat à une surveillance accrue.7

    Ce comportement répréhensible est typique de celui des autres agences, notamment de la CIA, à la fois dans l'affaire JFK et dans celle du 11 septembre. En effet, le comportement de Gheesling cadre parfaitement avec la dissimulation coupable par la CIA au FBI, au cours du même mois d'octobre, d'informations selon lesquelles Oswald aurait rencontré à Mexico un agent présumé du KGB, Valeriy Kostikov. 8 Cela a également contribué à garantir qu'Oswald ne serait pas placé sous surveillance. En fait, l'ancien directeur du FBI Clarence Kelley s'est plaint plus tard dans ses mémoires que la dissimulation d'informations par la CIA était la principale raison pour laquelle Oswald n'a pas été placé sous surveillance le 22 novembre 1963. 9

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  35. Une provocation plus inquiétante fut celle des services secrets de l’armée américaine en 1963, dont une unité à Dallas ne se contenta pas de cacher des informations sur Lee Harvey Oswald, mais fabriqua de faux renseignements qui semblaient destinés à provoquer des représailles contre Cuba. J’appelle ces provocations les histoires de la première phase, des efforts pour présenter Oswald comme un conspirateur communiste (par opposition aux histoires de la deuxième phase, également fausses, qui le présentaient comme un solitaire mécontent). Un exemple frappant de ces histoires de la première phase est un câble du commandement de la quatrième armée au Texas, faisant état d’un tuyau d’un policier de Dallas qui était également dans une unité de réserve des services secrets de l’armée :

    Le chef adjoint Don Stringfellow, de la section du renseignement du département de police de Dallas, a informé le 112e groupe INTC [renseignement], ce quartier général, que des informations obtenues auprès d’Oswald révélaient qu’il avait fait défection à Cuba en 1959 et qu’il était membre en règle du Parti communiste. »10

    Ce câble a été envoyé le 22 novembre directement au commandement d’attaque américain à Fort MacDill en Floride, la base prête à subir une éventuelle attaque de représailles contre Cuba.11

    Ce télégramme n'était pas une aberration isolée. Il était corroboré par d'autres fausses histoires de la première phase en provenance de Dallas au sujet du prétendu fusil d'Oswald, et plus particulièrement par des traductions fausses et concaténées du témoignage de Marina Oswald, suggérant que le fusil d'Oswald à Dallas était un fusil qu'il avait possédé en Russie.12

    Ces derniers faux rapports, apparemment sans rapport, peuvent également être attribués à l'unité de la 488e réserve du renseignement de l'armée de l'officier Don Stringfellow.13 L'interprète qui a fourni le premier la fausse traduction des mots de Marina, Ilya Mamantov, a été choisi par un pétrolier de Dallas, Jack Crichton, et le chef adjoint de la police de Dallas, George Lumpkin.14 Crichton et Lumpkin étaient également le chef et le chef adjoint de l'unité de la 488e réserve du renseignement de l'armée.15 Crichton était également un homme d'extrême droite dans la communauté des pétroliers de Dallas : il était administrateur de la Fondation HL Hunt et membre des American Friends of the Katanga Freedom Fighters, un groupe organisé pour s'opposer à la politique de Kennedy au Congo.

    Il faut garder à l’esprit que certains chefs d’état-major interarmées étaient furieux que la crise des missiles de 1962 n’ait pas conduit à une invasion de Cuba et que, sous la direction du nouveau président du JCS, Maxwell Taylor, les chefs d’état-major interarmées, en mai 1963, croyaient toujours « qu’une intervention militaire américaine à Cuba était nécessaire ». 16 C’était six mois après que Kennedy, pour résoudre la crise des missiles en octobre 1962, ait donné des assurances explicites (bien que très nuancées) à Khrouchtchev que les États-Unis n’envahiraient pas Cuba. 17 Cela n’a pas empêché le J-5 de l’état-major interarmées (la Direction des plans et de la politique du JCS) de produire un menu de « provocations fabriquées pour justifier une intervention militaire ». 18 (Un exemple proposé de « provocations fabriquées » envisageait « l’utilisation d’avions de type MIG pilotés par des pilotes américains pour… attaquer la navigation de surface ou attaquer l’armée américaine ». 19

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  36. Les tromperies sur la venue d’Oswald de Dallas ont eu lieu immédiatement après l’assassinat ; elles ne permettent donc pas en elles-mêmes d’établir que l’assassinat lui-même était un complot de provocation et de tromperie. Elles en révèlent cependant suffisamment sur l’état d’esprit anti-Castro de la 488e unité de réserve du renseignement de l’armée à Dallas pour confirmer qu’il était remarquablement similaire à celui du J-5 au mois de mai précédent – ​​l’état d’esprit qui a produit un menu de « provocations fabriquées » pour attaquer Cuba. (Selon Crichton, il y avait « environ une centaine d’hommes dans [la 488e unité de réserve] et environ quarante ou cinquante d’entre eux étaient du département de police de Dallas »)20

    Il est peu probable que nous assistions à ce mauvais comportement bureaucratique de la part du FBI, de la CIA et de l’armée, les trois agences avec lesquelles Kennedy avait eu de sérieux désaccords au cours de sa présidence tronquée.21 Plus loin dans cet article, je ferai le lien entre le pétrolier de Dallas Jack Crichton et la planification d’urgence de 1963 qui est devenue le Projet Doomsday.

    Comportement bureaucratique analogue dans le cas du 11 septembre

    Avant le 11 septembre, la CIA a de nouveau, en 2000-2001, refusé de divulguer des preuves cruciales au FBI : des preuves qui, si elles avaient été communiquées, auraient conduit le FBI à surveiller deux des pirates de l’air présumés, Khalid al-Mihdhar et Nawaz al-Hazmi. Cette rétention prolongée de preuves a poussé un agent du FBI à prédire avec précision en août 2001 qu’« un jour quelqu’un mourra ». 22 Après le 11 septembre, un autre agent du FBI a déclaré à propos de la CIA : « Ils [la CIA] ne voulaient pas que le bureau se mêle de leurs affaires – c’est pourquoi ils n’ont rien dit au FBI… Et c’est pourquoi le 11 septembre s’est produit. C’est pourquoi il s’est produit… Ils ont du sang sur les mains. Ils ont trois mille morts sur les mains » 23 La rétention par la CIA de preuves pertinentes avant le 11 septembre (qu’elle était tenue de fournir selon ses propres règles) a été égalée dans ce cas par la NSA 24.

    En d'autres termes, sans ces dissimulations, ni l'assassinat de Kennedy ni le 11 septembre n'auraient pu se dérouler comme ils l'ont fait. Comme je l'ai écrit dans American War Machine , il semblerait que

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  37. Oswald (et plus tard al-Mihdhar) avaient été sélectionnés à un moment donné comme sujets désignés pour une opération. Il ne s’agissait pas initialement de commettre un crime contre le système politique américain : au contraire, des mesures avaient probablement été prises pour préparer Oswald à une opération contre Cuba et al-Mihdhar [je le soupçonne] à une opération contre Al-Qaïda. Mais à mesure que des légendes [exploitables] commençaient à s’accumuler sur les deux personnages, il devint possible pour des personnes bien intentionnées de subvertir l’opération autorisée en un plan d’assassinat qui serait plus tard étouffé. À ce stade, Oswald (et par analogie al-Mihdhar) n’était plus seulement un sujet désigné mais aussi un coupable désigné.25

    Kevin Fenton, dans son livre exhaustif Disconnecting the Dots , est depuis arrivé à la même conclusion concernant le 11 septembre : « qu’à l’été 2001, le but de la dissimulation des informations était devenu de permettre aux attentats de se poursuivre. »26 Il a également identifié la personne principalement responsable de cette mauvaise conduite : l’agent de la CIA Richard Blee, chef de l’unité Ben Laden de la CIA. Blee, alors que Clinton était encore président, faisait partie d’une faction au sein de la CIA qui faisait pression pour une implication plus belliqueuse de la CIA en Afghanistan, en collaboration avec l’Alliance du Nord afghane.27 Cela s’est produit immédiatement après le 11 septembre, et Blee lui-même a été promu au poste de nouveau chef de poste à Kaboul.28

    Comment la rétention de preuves par la CIA et la NSA lors du deuxième incident du golfe du Tonkin a contribué à la guerre avec le Nord-Vietnam

    Je vous épargnerai les détails de cette dissimulation, que vous trouverez dans mon ouvrage American War Machine , pp. 200-2002. Mais l’affaire du golfe du Tonkin est similaire à l’assassinat de Kennedy et au 11 septembre, dans la mesure où la manipulation des preuves a contribué à conduire l’Amérique – dans ce cas très rapidement – ​​à la guerre.

    Des historiens comme Fredrik Logevall ont convenu avec l’ancien sous-secrétaire d’État George Ball que la mission du destroyer américain dans le golfe du Tonkin, qui a abouti aux incidents du golfe du Tonkin, « était principalement destinée à la provocation ». 29 La planification de cette mission provocatrice est venue du J-5 de l’état-major interarmées, la même unité qui avait rapporté en 1963 à propos de Cuba que « l’organisation d’une série de provocations pour justifier une intervention militaire est faisable ». 30

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  38. La dissimulation de la vérité par la NSA et la CIA le 4 août s’inscrivait dans le contexte d’une détermination de haut niveau (mais controversée) à attaquer le Nord-Vietnam. À cet égard, l’incident du golfe du Tonkin est remarquablement similaire à la dissimulation de la vérité par la CIA et la NSA avant le 11 septembre, lorsqu’il y avait à nouveau une détermination de haut niveau (mais controversée) à entrer en guerre.

    Augmentation du pouvoir répressif après des événements profonds

    Tous les événements profonds évoqués ci-dessus ont contribué à l'augmentation cumulative des pouvoirs répressifs de Washington. Il est clair par exemple que la Commission Warren a utilisé l'assassinat de JFK pour accroître la surveillance des Américains par la CIA. Comme je l'ai écrit dans Deep Politics , c'était le résultat de

    les recommandations controversées de la Commission Warren, qui préconisaient que les responsabilités du Secret Service en matière de surveillance intérieure soient renforcées (WR 25-26). De manière quelque peu illogique, le rapport Warren concluait à la fois qu'Oswald avait agi seul (WR 22), ... et que le Secret Service, le FBI et la CIA devaient coordonner plus étroitement la surveillance des groupes organisés (WR 463). Il recommandait notamment que le Secret Service se dote d'une banque de données informatisée compatible avec celle déjà développée par la CIA.31

    Ce schéma se répétera quatre ans plus tard avec l’assassinat de Robert Kennedy. Dans les vingt-quatre heures qui s’écoulèrent entre le meurtre de Bobby et sa mort, le Congrès adopta à la hâte une loi – rédigée bien à l’avance (comme la résolution du Golfe du Tonkin de 1964 et le Patriot Act de 2001) – qui augmentait encore les pouvoirs secrets accordés aux services secrets au nom de la protection des candidats à la présidence.32

    Ce changement n’était pas anodin ou bénin : de cette loi, rapidement étudiée et adoptée sous Johnson, découlèrent certains des pires excès de la présidence Nixon.33

    Ce changement a également contribué au chaos et à la violence qui ont régné lors de la Convention démocrate de Chicago en 1968. Des agents de surveillance des services secrets de l’armée, détachés auprès des services secrets, étaient présents à l’intérieur et à l’extérieur de la salle de la convention. Certains d’entre eux ont équipé les « voyous de la Légion de la justice que l’escadron rouge de Chicago a lâchés contre les groupes antiguerre locaux »34.

    De cette manière, les pouvoirs secrets supplémentaires conférés après l’assassinat de RFK ont contribué aux troubles désastreux à Chicago qui ont effectivement détruit l’ancien Parti démocrate représentant les syndicats : les trois présidents démocrates élus depuis lors ont tous été nettement plus conservateurs.

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  39. En ce qui concerne le Watergate et l’affaire Iran-Contra, ces deux événements ont constitué, à un certain niveau, un revers pour les pouvoirs répressifs exercés par Richard Nixon et la Maison-Blanche de Reagan, et non une extension de ces pouvoirs. À première vue, c’est vrai : les deux événements ont abouti à des réformes législatives qui semblent contredire ma thèse d’une répression accrue.

    Il faut cependant faire une distinction entre les deux années de la crise du Watergate et l’effraction initiale. La crise du Watergate a vu un président contraint à la démission par un certain nombre de forces, associant à la fois les libéraux et les conservateurs. Mais les principaux acteurs de l’effraction initiale du Watergate – Hunt, McCord, G. Gordon Liddy et leurs alliés cubains – étaient tous bien plus à droite que Nixon et Kissinger. Et le résultat final de leurs machinations n’a été finalisé qu’au massacre d’Halloween en 1975, lorsque Kissinger a été évincé de son poste de conseiller à la sécurité nationale et que le vice-président Nelson Rockefeller a été informé qu’il serait retiré du ticket républicain de 1976. Ce bouleversement majeur a été orchestré par deux autres hommes de droite : Donald Rumsfeld et Dick Cheney à la Maison-Blanche de Gerald Ford.35

    Ce jour-là, en 1975, la faction dite « Rockefeller » ou « libérale » du Parti républicain fut définitivement défaite. Elle fut remplacée par la faction conservatrice Goldwater-Casey qui allait bientôt remporter la nomination et la présidence de Ronald Reagan.36 Ce coup de palais peu remarqué, ainsi que d’autres intrigues connexes au milieu des années 1970, ont contribué à la conversion de l’Amérique d’une économie capitaliste de bien-être, avec des réductions progressives des disparités de revenus et de richesses, à une ploutonomie financiarisée où ces tendances ont été inversées.37

    Dans l’affaire Iran-Contra, nous voyons une accumulation plus profonde du pouvoir répressif sous la surface des réformes libérales. À l’époque, non seulement la presse, mais même des universitaires comme moi-même ont célébré la fin de l’aide aux Contras nicaraguayens et la victoire du processus de paix de Contadora. Ce qui n’a pas été remarqué à l’époque, c’est que, même si Oliver North a été démis de ses fonctions dans le projet Doomsday, les plans de ce projet en matière de surveillance, de détention et de militarisation des États-Unis ont continué de se développer après son départ.38

    On n'a pas non plus remarqué que le Congrès américain, tout en réduisant l'aide à une petite armée mandataire de la CIA financée par le trafic de drogue, augmentait simultanément le soutien américain à une coalition bien plus importante d'armées mandataires financées par le trafic de drogue en Afghanistan.39 Alors que l'affaire Iran-Contra a révélé les 32 millions de dollars que l'Arabie saoudite, à la demande du directeur de la CIA, William Casey, avait fournis aux Contras, pas un mot n'a été murmuré sur les 500 millions de dollars ou plus que les Saoudiens, toujours à la demande de Casey, avaient fournis au cours de la même période aux moudjahidines afghans.40 En ce sens, le drame de l'affaire Iran-Contra au Congrès peut être considéré comme une diversion, détournant l'attention du public de l'engagement beaucoup plus intensif de l'Amérique en Afghanistan - une politique secrète qui a depuis évolué vers la plus longue guerre de l'Amérique.

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  40. Nous devrions élargir notre conscience de l’affaire Iran-Contra pour y penser comme à une affaire Iran-Afghan-Contra. Et si nous le faisons, nous devons reconnaître que dans cet événement complexe et mal compris, la CIA en Afghanistan a de nouveau exercé la capacité paramilitaire que Stansfield Turner avait essayé de mettre fin lorsqu’il était directeur de la CIA sous Jimmy Carter. Ce fut en somme une victoire pour la faction d’hommes comme Richard Blee, le protecteur d’al-Mihdhar et le défenseur en 2000 d’une activité paramilitaire renforcée de la CIA en Afghanistan.41

    Chevauchements de personnel entre les événements successifs en profondeur

    Je n’oublierai jamais l’ article de la une du New York Times du 18 juin 1972, le lendemain du cambriolage du Watergate. Il y avait des photos des cambrioleurs du Watergate, dont une de Frank Sturgis alias Fiorini, dont j’avais déjà parlé deux ans plus tôt dans mon manuscrit inédit, « The Dallas Conspiracy », sur l’assassinat de JFK.

    Sturgis n’était pas un inconnu : ancien employé contractuel de la CIA, il était également bien connecté aux anciens propriétaires de casinos de La Havane liés à la mafia.42 Mes premiers écrits sur l’affaire Kennedy se concentraient sur les liens entre Frank Sturgis et un camp d’entraînement cubain anticastriste près de la Nouvelle-Orléans pour lequel Oswald avait montré un intérêt ; également sur l’implication de Sturgis dans de fausses histoires de « phase 1 » présentant Oswald comme faisant partie d’une conspiration communiste cubaine.43

    En 1963, Sturgis fut rejoint par un certain nombre de Cubains qui faisaient partie de l’armée de Manuel Artime, soutenue par la CIA en Amérique centrale. La base d’Artime au Costa Rica fut fermée en 1965, prétendument en raison de son implication dans le trafic de drogue.44 Dans les années 1980, certains de ces exilés cubains furent impliqués dans des activités de soutien aux Contras financées par le trafic de drogue.45

    Le mentor politique du mouvement MRR d'Artime était Howard Hunt, futur comploteur du Watergate. En 1972, Artime paya la caution des cambrioleurs cubains du Watergate. Le blanchisseur d'argent de la drogue Ramón Milián Rodríguez a affirmé avoir remis 200 000 dollars en liquide d'Artime pour payer certains des cambrioleurs cubains du Watergate. Plus tard, pour soutenir les Contras, il a dirigé deux entreprises costariciennes de fruits de mer, Frigorificos et Ocean Hunter, qui blanchissaient l'argent de la drogue.46

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  41. On prétend que Hunt et McCord avaient tous deux été impliqués dans les plans d’invasion d’Artime en 1963.47 Je crois que ce n’est pas un hasard si l’organisation du protégé de Hunt, Artime, s’est retrouvée embourbée dans le trafic de drogue. Hunt, comme je l’ai déjà dit ailleurs, gérait une filière de drogue aux États-Unis depuis son poste à Mexico en 1950 en tant que chef de l’OPC (Office of Policy Coordination).48

    Mais McCord n'avait pas seulement un passé dans les activités anticastristes de 1963, il faisait aussi partie du réseau de planification d'urgence du pays qui allait plus tard jouer un rôle si important dans l'affaire Iran-Contra et le 11 septembre. McCord était membre d'une petite unité de réserve de l'armée de l'air à Washington, rattachée au Bureau de préparation aux situations d'urgence (OEP) ; chargé « d’établir des listes de radicaux et d’élaborer des plans d’urgence pour la censure des médias et du courrier américain en temps de guerre »49. Son unité faisait partie du Programme de sécurité de l’information en temps de guerre (WISP), qui avait la responsabilité d’activer « des plans d’urgence pour imposer la censure de la presse, du courrier et de toutes les télécommunications (y compris les communications gouvernementales) [et] la détention préventive des civils « à risque pour la sécurité », qui seraient placés dans des « camps » militaires »50. En d’autres termes, ce sont ces plans qui sont devenus connus dans les années 1980 sous le nom de Projet Apocalypse, le plan de continuité du gouvernement sur lequel Dick Cheney et Donald Rumsfeld ont travaillé ensemble pendant vingt ans avant le 11 septembre.

    Un dénominateur commun pour les événements structurels profonds : le projet Doomsday et le COG

    La participation de McCord à un système de planification d’urgence concernant les télécommunications suggère un dénominateur commun dans les antécédents de presque tous les événements profonds que nous examinons. Oliver North, l’homme clé de l’OEP Reagan-Bush pour la planification de l’affaire Iran-Contra, était également impliqué dans cette planification ; et il avait accès au réseau de communication ultra-secret du pays pour la fin du monde. Le réseau de North, connu sous le nom de Flashboard, « excluait les autres bureaucrates ayant des points de vue opposés… [et] avait son propre réseau informatique antiterroriste mondial spécial, … par lequel les membres pouvaient communiquer exclusivement entre eux et avec leurs collaborateurs à l’étranger. »51

    Flashboard était utilisé par North et ses supérieurs pour des opérations extrêmement sensibles qui devaient être dissimulées à d’autres secteurs douteux ou hostiles de la bureaucratie de Washington. Ces opérations comprenaient des livraisons illégales d’armes à l’Iran, mais aussi d’autres activités, certaines encore inconnues, peut-être même contre la Suède d’Olof Palme. Flashboard, le réseau d’urgence américain des années 1980, était le nom donné en 1984-1986 au réseau d’urgence à part entière de Continuité du Gouvernement (COG), planifié en secret pendant vingt ans, au coût de plusieurs milliards, par une équipe comprenant Cheney et Rumsfeld. Le 11 septembre, le même réseau fut réactivé par les deux hommes qui l’avaient planifié pendant tant d’années.

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  42. Mais cette planification de la fin du monde remonte à 1963, lorsque Jack Crichton, chef de la 488e unité de réserve du renseignement de l’armée de Dallas, en faisait partie en sa qualité de chef du renseignement de la défense civile de Dallas, qui travaillait à partir d’un centre d’opérations d’urgence souterrain. Comme le rapporte Russ Baker, « comme il était destiné à assurer la « continuité des opérations gouvernementales » en cas d’attaque, [le centre] était entièrement équipé de matériel de communication ». 54 Un discours prononcé lors de l’inauguration du centre en 1961 fournit des détails supplémentaires :

    Ce centre d'opérations d'urgence [à Dallas] fait partie du plan national visant à relier les organismes gouvernementaux fédéraux, étatiques et locaux dans un réseau de communication à partir duquel les opérations de sauvetage peuvent être dirigées en cas d'urgence locale ou nationale. Il s'agit d'un élément essentiel du plan de survie opérationnel national, étatique et local.55

    En d’autres termes, Crichton faisait également partie de ce qui allait devenir dans les années 1980 le Doomsday Project, comme James McCord, Oliver North, Donald Rumsfeld et Dick Cheney après lui. Mais en 1988, son objectif fut considérablement élargi : il ne s’agissait plus de préparer une attaque atomique, mais de planifier la suspension effective de la constitution américaine en cas d’ urgence.56 Ce changement en 1988 permit la mise en œuvre du COG en 2001. À cette époque, le Doomsday Project était devenu ce que le Washington Post appelait « un gouvernement fantôme qui évoluait sur la base de plans de « continuité des opérations » de longue date »57.

    Il est clair que le Bureau de la préparation aux situations d’urgence (OEP, connu de 1961 à 1968 sous le nom de Bureau de la planification d’urgence) fournit un dénominateur commun pour le personnel clé dans pratiquement tous les événements structurels évoqués ici. Il est loin d’être possible d’établir que l’OEP lui-même (en plus des individus évoqués ici) a été impliqué dans l’un de ces événements. Mais je crois que le réseau de communication alternatif hébergé au départ par l’OEP (qui fera ensuite partie du Projet 908) a joué un rôle important dans au moins trois d’entre eux : l’assassinat de JFK, l’affaire Iran-Contra et le 11 septembre.

    Français Cela est plus facile à démontrer dans le cas du 11 septembre, où il est admis que les plans de Continuité du Gouvernement (COG) du Projet Doomsday ont été mis en œuvre par Cheney le 11 septembre, apparemment avant que le dernier des quatre avions détournés ne se soit écrasé.58 La Commission du 11 septembre n'a pas pu localiser les enregistrements des décisions clés prises par Cheney ce jour-là, suggérant qu'elles ont pu avoir lieu sur le « téléphone sécurisé » dans le tunnel menant au bunker présidentiel - avec une classification si élevée que la Commission du 11 septembre n'a jamais reçu les enregistrements téléphoniques.59 Il s'agissait probablement d'un téléphone du COG.

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  43. On ne sait pas vraiment si le « téléphone sécurisé » dans le tunnel de la Maison Blanche appartenait aux services secrets ou (comme on pourrait s’y attendre) faisait partie du réseau sécurisé de l’Agence de communication de la Maison Blanche (WHCA). Dans ce dernier cas, nous aurions un lien frappant entre le 11 septembre et l’assassinat de JFK. La WHCA se vante sur son site Web d’avoir été « un acteur clé dans la documentation de l’assassinat du président Kennedy ». 60 Cependant, on ne sait pas exactement pour qui cette documentation a été réalisée, car les journaux et les transcriptions de la WHCA n’ont en fait pas été communiqués à la Commission Warren. 61

    Les services secrets avaient installé une radio portative WHCA dans la voiture de tête du cortège présidentiel.62 Celle-ci était à son tour en contact par radio avec la voiture pilote qui la précédait, transportant le chef adjoint du DPD Lumpkin de la 488e unité de réserve du renseignement de l'armée.63 Les enregistrements des communications WHCA du cortège n'ont jamais atteint la Commission Warren, la Commission de la Chambre sur les assassinats ou le Conseil d'examen des dossiers d'assassinat.64 Nous ne pouvons donc pas dire s'ils expliqueraient certaines des anomalies sur les deux canaux du département de police de Dallas. Ils auraient pu par exemple éclairer l'appel sans source sur la police de Dallas.

    des enregistrements d'un suspect dont la taille et le poids étaient exactement ceux indiqués pour Oswald dans ses dossiers du FBI et de la CIA.65

    Aujourd’hui, en 2011, nous vivons toujours sous l’état d’urgence proclamé après le 11 septembre par le président Bush. Au moins certaines dispositions de la COG sont toujours en vigueur et ont même été renforcées par Bush par le biais de la directive présidentielle 51 de mai 2007. Commentant la PD-51, le Washington Post a rapporté à l’époque :

    Après les attentats de 2001, Bush a assigné environ 100 cadres supérieurs civils [dont Cheney] pour effectuer des rotations secrètes dans des lieux [du COG] situés hors de Washington pendant des semaines ou des mois à la fois pour assurer la survie de la nation, un gouvernement fantôme qui a évolué sur la base de « plans de continuité des opérations » établis de longue date. 66

    Il est probable que ce « gouvernement fantôme » ait finalisé des projets de longue date du COG, comme la surveillance sans mandat, en partie grâce au Patriot Act, dont les dispositions controversées étaient déjà mises en œuvre par Cheney et d’autres bien avant que le projet de loi n’atteigne le Congrès le 12 octobre.67 D’autres projets du COG mis en œuvre comprenaient la militarisation de la surveillance intérieure sous l’égide du NORTHCOM, et le projet Endgame du Département de la sécurité intérieure, un plan décennal visant à étendre les camps de détention pour un coût de 400 millions de dollars pour la seule année fiscale 2007.68

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  44. J’ai donc une recommandation à adresser au mouvement Occupy, qui est à juste titre irrité par les excès ploutonomiques de Wall Street au cours des trois dernières décennies. Il s’agit d’appeler à la fin de l’état d’urgence, en vigueur depuis 2001, en vertu duquel une brigade de combat de l’armée américaine est stationnée en permanence aux États-Unis depuis 2008, en partie pour être prête à « aider à faire face aux troubles civils et au contrôle des foules ».

    Les partisans de la démocratie doivent œuvrer pour empêcher que la crise politique qui se développe actuellement en Amérique ne soit résolue par une intervention militaire.

    En conclusion, je dirai que, depuis un demi-siècle, la politique américaine est limitée et déformée par la question non résolue de l’assassinat de Kennedy. Selon une note du 25 novembre 1963 du procureur général adjoint Nicholas Katzenbach, il était alors important de persuader l’opinion publique que « Oswald était l’assassin » et qu’« il n’avait pas de complices »70. Cette priorité est évidemment devenue encore plus importante après que ces propositions douteuses ont été approuvées par le rapport Warren, l’establishment américain et la presse grand public. Elle est restée une priorité embarrassante depuis lors pour toutes les administrations qui se sont succédées, y compris l’administration actuelle. Il y a par exemple un fonctionnaire du département d’État d’Obama (Todd Leventhal), dont le travail officiel consistait jusqu’à récemment à défendre la théorie du fou solitaire contre les soi-disant « théoriciens du complot »71.

    Si Oswald n’était pas un assassin solitaire, il ne faut pas s’étonner qu’il y ait une continuité entre ceux qui ont falsifié les rapports sur Oswald en 1963 et ceux qui ont déformé la politique américaine lors des événements ultérieurs, à commencer par le Watergate. Depuis l’événement de 1963, la légitimité du système politique américain repose sur un mensonge – un mensonge que les événements ultérieurs ont contribué à protéger.72

    Peter Dale Scott , ancien diplomate canadien et professeur d'anglais à l'Université de Californie à Berkeley, est l'auteur de Drugs Oil and War , The Road to 9/11 et The War Conspiracy: JFK, 9/11, and the Deep Politics of War .

    Son livre le plus récent est American War Machine: Deep Politics, the CIA Global Drug Connection and the Road to Afghanistan .

    Son site Web, qui contient une multitude de ses écrits, est ici http://www.peterdalescott.net/q.html

    Peter Dale Scott est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.

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  45. Remarques

    1 Tim Weiner, « La cachette secrète du Pentagone », Mother Jones Magazine mars-avril 1992, 26.

    2 JA Myerson, « La guerre est une force qui paie le 1 pour cent : la politique étrangère américaine occupante », Truthout, 14 novembre 2001, lien . Cf. Peter Dale Scott, The Road to 9/11 (Berkeley : University of California Press, 2007), 6, etc.

    3 Scott, La route vers le 11 septembre , 22, 29, 98.

    4 Scott, La route vers le 11 septembre , 22, 97.

    5 Scott, Road to 9/11 , 21, 51-52 ; Kristol cité dans Lewis H. Lapham, « Tentacles of Rage: The Republican Propaganda Mill, a Brief History », Harper's Magazine , septembre 2004, 36.

    6 Par exemple Peter Dale Scott, American War Machine , 204-05.

    7 Peter Dale Scott, La Conspiration de guerre , 354.

    8 Peter Dale Scott, Politique profonde II , 30-33 ; Scott, La conspiration de guerre , 387 ; Scott, La machine de guerre américaine , 152.

    9 Clarence M. Kelley, Kelley : L'histoire d'un directeur du FBI (Kansas City, MO :

    Andrews, McMeel et Parker, 1987), 268, cité dans Scott, The War Conspiracy (2008), 389.

    10 Scott, Deep Politics , 275 ; Scott, Deep Politics II , 80, 129n ; HSCA Critics Conference du 17 septembre 1977, 181, lien . Stringfellow travaillait sous les ordres de Jack Revill dans la brigade des mœurs du Bureau des services spéciaux du DPD. À ce titre, il rendait régulièrement des comptes au FBI sur des associés proches de Jack Ruby tels que James Herbert Dolan, un « voyou et homme de main notoire » figurant sur la liste des principaux criminels du FBI pour Dallas (Robert M. Barrett, FBI Report du 2 février 1963, NARA#124-90038-10026, 12 [Stringfellow] ; cf. NARA#124-10212-10012, 4 [voyou], NARA#124-10195-10305, 9 [principal criminel]). Cf. 14 WH 601-02 Ruby et Dolan]. Robert Barrett, qui a reçu les rapports de Stringfellow au FBI, surveillait de près l'ami de Ruby, Dolan ; il a également participé à l'arrestation d'Oswald au Texas Theater et a affirmé avoir vu l'officier de police Westbrook avec le portefeuille d'Oswald sur le lieu du meurtre de Tippit [Dale K. Myers, With Malice: Lee Harvey Oswald and the Murder of Officer JD Tippit (Milford, MI: Oak Cliff Press, 1998), 287-90]).

    11 Il fut envoyé pour information à Washington, qui le reçut trois jours plus tard (Scott, Deep Politics , 275 ; Scott, Deep Politics II , 80, 129n ; Scott, War Conspiracy , 382).

    12 Warren Commission Exhibit 1778, 23 WH 383. (Les mots réels de Marina, avant une mauvaise traduction, étaient tout à fait anodins : « Je ne peux pas le décrire [le fusil] parce que pour moi c'est un fusil comme tous les fusils » (Warren Commission Exhibit 1778, 23 WH 383 ; discussion dans Scott, Deep Politics , 168-72).

    13 Stringfellow lui-même fut la source d’un autre faux renseignement du 22 novembre : celui selon lequel Oswald aurait avoué les meurtres du président et de l’officier Tippit (Dallas FBI File DL 89-43-2381C ; Paul L. Hoch, « The Final Investigation? The HSCA and Army Intelligence », The Third Decade , 1, 5 [juillet 1985], 3),

    14 9 WH 106 ; Scott, Politique profonde , 275-76 ; Russ Baker, Famille de secrets , 119-22.

    15 Rodney P. Carlisle et Dominic J. Monetta, Brandy : notre homme à Acapulco (Denton, TX : University of North Texas Press, 1999), 128.

    16 Comité des chefs d’état-major interarmées, « Plans d’action relatifs à Cuba (cas II) », rapport du J-5 aux chefs d’état-major interarmées, 1er mai 1963, NARA #202-10002-10018, 12. Cf. pp. 15-16 : « Les États-Unis devraient intervenir militairement à Cuba et pourraient (a) organiser des incidents provocateurs ostensiblement perpétrés par le régime de Castro pour servir de cause à l’invasion… »

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  46. 17 Robert Dallek, Une vie inachevée , 568 ; James A. Nathan, La crise des missiles cubains revisitée , 283 ; Waldron et Hartmann, L'héritage du secret , 9.

    [18 Chefs d’état-major interarmées, « Plans d’action relatifs à Cuba (cas II) », rapport du J-5 aux chefs d’état-major interarmées, 1er mai 1963, NARA #202-10002-10018, 12.

    19 « Lignes de conduite relatives à Cuba (cas II) », NARA #202-10002-10018, 20. Je ne vois rien dans ce document qui indique que le Président devrait être informé que ces « provocations fabriquées » étaient fausses. Au contraire, le document préconisait un « compartimentage des participants » pour garantir que les faits réels ne soient pas divulgués (« Lignes de conduite relatives à Cuba (cas II) », NARA #202-10002-10018, 19).

    20 Cité dans Baker, Family of Secrets , 122. L'un d'eux, le détective John Adamcik du DPD, faisait partie de l'équipe qui a récupéré une couverture qui aurait contenu le fusil d'Oswald et que la Commission Warren a utilisée pour relier Oswald au célèbre Mannlicher Carcano. Adamcik était plus tard présent lors de l'interrogatoire de Marina par Mamantov au sujet du fusil et a corroboré le récit de Mamantov à ce sujet à la Commission Warren. Il y a des raisons de croire que la traduction du témoignage de Marina par Mamantov était inexacte (Scott, Deep Politics , 268-70, 276).

    21 Voir James Douglass, JFK et l’indicible (Maryknoll, NY : Orbis Books, 2008).

    22 Rapport de la Commission du 11 septembre, 259, 271 ; Lawrence Wright, La tour qui se profile :

    Al-Qaïda et la route vers le 11 septembre (New York : Knopf, 2006), 352–54 (agent du FBI).

    23 James Bamford, A Pretext for War: 9/11, Iraq, and the Abuse of America's Intelligence Agencies (New York : Doubleday, 2004, 224. Pour un compte rendu plus complet de la rétention d'informations par la CIA avant le 11 septembre, voir Kevin Fenton, Disconnecting the Dots ; Rory O'Connor et Ray Nowosielski, « Insiders Voice Doubts about CIA's 9/11 Story », Salon, 14 octobre 2011, lien .

    24 Fenton, Déconnecter les points , 7-12, 142-47, etc.

    25 Scott, Machine de guerre américaine , 203.

    26 Fenton, Disconnecting the Dots , 371, cf. 95. De manière tout à fait indépendante, Richard Clarke, ancien responsable de la lutte contre le terrorisme à la Maison Blanche le 11 septembre, a déclaré qu'« il y avait une décision de haut niveau de la CIA ordonnant aux gens de ne pas partager d'informations » (Rory O'Connor et Ray Nowosielski, « Insiders Voice Doubts about CIA's 9/11 Story », Salon, 14 octobre 2011).

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  47. 27 Coll, 467-69.

    28 Fenton, Déconnecter les points , 107-08.

    29 James Bamford, Body of Secrets , 201. Cf. Fredrik Logevall, Choosing War: The Lost Chance for Peace and the Escalation of War in Vietnam (Berkeley : University of California Press, 1999), 200, citant John Prados, The Hidden History of the Vietnam War (Chicago : Ivan R. Dee, 1995), 51.

    30 « Plans d’action relatifs à Cuba (cas II) », rapport du J-5 aux chefs d’état-major interarmées, 1er mai 1963, JCS 2304/189, NARA #202-10002-10018, lien .

    31 Peter Dale Scott, La politique profonde et la mort de JFK , 280.

    32 Public Law 90-331 (18 USC 3056) ; discussion dans Peter Dale Scott, Paul L.

    Hoch et Russell Stetler, Les assassinats : Dallas et au-delà (New York : Random

    Maison, 1976), 443–46.

    33 agents du renseignement de l’armée furent détachés auprès des services secrets et leur nombre augmenta considérablement à cette époque. Le Washington Star expliqua plus tard que « la grande intensification de la collecte d’informations [par l’armée]… ne se produisit qu’après l’assassinat du révérend Martin Luther King » ( Washington Star , 6 décembre 1970 ; reproduit dans Federal Data Banks Hearings , p. 1728).

    34 George O'Toole, Le secteur privé (New York : Norton, 1978), 145, cité dans

    Scott, La politique profonde et la mort de JFK , 278–79.

    35 Scott, La route vers le 11 septembre , 52-53.

    36 Scott, La route vers le 11 septembre , 53-54.

    37 Scott, La route vers le 11 septembre , 50-64.

    38 Peter Dale Scott, « Northwards without North », Social Justice (été 1989). Révisé sous le titre « North, Iran-Contra, and the Doomsday Project: The Original Congressional Cover Up of Continuity-of-Government Planning », Asia-Pacific Journal : Japan Focus, 21 février 2011.

    39 Scott, La route vers le 11 septembre , 132.

    40 Jonathan Marshall, Peter Dale Scott et Jane Hunter, The Iran-Contra Connection , 13 (Contras) ; Richard Coll, Ghost Wars , 93-102 ( moudjahidines ).

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  48. 41 Richard Coll, Guerres des fantômes , 457-59, 534-36,

    42 Selon le témoignage du directeur adjoint de la CIA, Vernon Walters, seuls « Hunt et McCord avaient été employés à temps plein par la CIA. Les autres [y compris Sturgis] étaient des employés sous contrat pour une courte ou une longue durée » (Watergate Hearings, 3427). Cf. Marshall, Scott et Hunter, The Iran-Contra Connection , 45 (propriétaires de casinos).

    43 Peter Dale Scott, « De Dallas au Watergate », Ramparts , décembre 1973 ; réimprimé dans Peter Dale Scott, Paul L. Hoch et Russell Stetler, The Assassinations: Dallas and Beyond , 356, 363.

    44 Peter Dale Scott, Crime et dissimulation , 20.

    45 Peter Dale Scott et Jonathan Marshall, Cocaine Politics , 25-32, etc.

    46 Alexander Cockburn et Jeffrey St. Clair, Whiteout : la CIA, les drogues et la presse (Londres : Verso, 1998), 308-309 ; Martha Honey, Actes hostiles : la politique américaine au Costa Rica dans les années 1980 (Gainesville, FL : University Press of Florida, 1994), 368 (Frigorificos).

    47 Tad Szulc, Espion compulsif : l'étrange carrière d'E. Howard Hunt (New York : Viking, 1974), 96-97.

    48 Scott, American War Machine , 51-54. Hunt a contribué à la création de ce qui est devenu la Ligue mondiale anticommuniste, liée au trafic de drogue. La base costaricienne d'Artime se trouvait sur des terres dont les propriétaires faisaient partie de la section locale de la WACL (Scott et Marshall, Cocaine Politics , 87, 220).

    49 Woodward et Bernstein, Tous les hommes du président (Paris : Gallimard, 1974), 23

    50 Jim Hougan, Secret Agenda (New York : Random House, 1984), 16, citant la directive 5230.7 du ministère de la Défense, 25 juin 1965, modifiée le 21 mai 1971.

    51 Peter Dale Scott , « Le Nord, l’affaire Iran-Contra et le projet Apocalypse : la dissimulation originelle par le Congrès de la planification de la continuité du gouvernement », Asia-Pacific Journal : Japan Focus, 21 février 2011. Cf. Peter Dale Scott, « Vers le nord sans le Nord : Bush, le contre-terrorisme et la continuation du pouvoir secret », Social Justice (San Francisco), XVI, 2 (été 1989), 1-30 ; Peter Dale Scott, « Le groupe de travail sur le terrorisme », Covert Action Information Bulletin , 33 (hiver 1990), 12-15.

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  49. 52 Peter Dale Scott et Jonathan Marshall, Cocaine Politics: Drugs, Armies, and the CIA in Central America (Berkeley: University of California Press, 1998), 140-41, 242 (Iran, etc.) ; Ola Tunander, The secret war against Sweden: US and British underwater deception in the 1980s , 309 (Suède).

    53 Scott, La route vers le 11 septembre , 183-87.

    54 Russ Baker, Famille de secrets , 121.

    55 « Déclaration du colonel John W. Mayo, président de la Commission de protection civile et de gestion des catastrophes de la ville et du comté, lors de l’inauguration du centre d’opérations d’urgence à Fair Park », 24 mai 1961, lien .

    Six pouces linéaires de dossiers administratifs de la défense civile sont conservés dans les archives municipales de Dallas ; un guide de recherche est consultable en ligne ici . J'espère qu'un chercheur intéressé souhaitera les consulter.

    56 Scott, La route vers le 11 septembre , 183-87.

    57 Washington Post , 10 mai 2007.

    58 9/11 Report, 38, 326, 555n9 ; Peter Dale Scott, La route vers le 11 septembre : richesse, empire et avenir de l'Amérique , 224.

    59 Scott, Road to 9/11 , 226-30. Une note de bas de page du rapport sur le 11 septembre (555n9) dit :

    « La crise du 11 septembre a mis à l’épreuve les plans et les capacités du gouvernement américain à assurer la continuité du gouvernement constitutionnel et la continuité des opérations gouvernementales. Nous n’avons pas enquêté sur ce sujet, sauf si cela était nécessaire pour comprendre les activités et les communications des principaux responsables le 11 septembre. Le président, le vice-président et les cadres supérieurs ont été informés de la nature générale et de la mise en œuvre de ces plans de continuité. »

    Les autres notes de bas de page confirment qu’aucune information des dossiers du COG n’a été utilisée pour documenter le rapport du 11 septembre. Au minimum, ces dossiers pourraient résoudre le mystère de l’appel téléphonique manquant qui a simultanément autorisé le COG et (en conséquence) déterminé que Bush devait continuer à rester à l’écart de Washington. Je soupçonne qu’ils pourraient nous en dire beaucoup plus.

    60 « White House Communications Agency », Signal Corps Regimental History, lien .

    Le personnel de la Commission Warren était au courant de la présence de la WHCA à Dallas par les services secrets (17 WH 598, 619, 630, etc.).

    62 Déclaration du responsable des services secrets Winston Lawson, 17 WH 630 (radio WHCA).

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  50. 63 Pamela McElwain-Brown, « La Lincoln Continental SS-100-X présidentielle », Dealey Plaza Echo, volume 3, numéro 2, 23, lien (radio de la police) ; Scott, Deep Politics and the Death of JFK , 272-75 (Lumpkin).

    64 Dans les années 1990, la WHCA a fourni des déclarations à l'ARRB concernant les communications entre Dallas et Washington le 22 novembre (NARA #172-10001-10002 à NARA #172-10000-10008). L'Assassination Records Review Board a également tenté d'obtenir de la WHCA les enregistrements originaux non édités des conversations d'Air Force One lors du voyage de retour de Dallas, le 22 novembre 1963. (Des versions éditées et condensées de ces enregistrements étaient disponibles depuis les années 1970 à la Lyndon Baines Johnson Library d'Austin, au Texas.) La tentative a échoué : « Les demandes répétées écrites et orales de la Commission d'examen auprès de l'Agence de communication de la Maison-Blanche n'ont pas porté leurs fruits. La WHCA n'a pu produire aucun document éclairant la provenance des enregistrements édités. » Voir Assassinations Records Review Board: Final Report , chapitre 6, partie 1, 116, lien . En novembre 2011, l'AP a rapporté que la copie personnelle des enregistrements d'Air Force One du général Chester Clifton était mise en vente, au prix demandé de 500 000 $ (AP, 15 novembre 2011, lien ).

    65 Voir Scott, War Conspiracy (2008), 347-48, 385-87.

    66 Washington Post , 10 mai 2007.

    67 Dick Cheney, In My Time: A Personal and Political Memoir (New York: Threshold Editions, 2011), 348 : « L’un des premiers efforts que nous avons entrepris après le 11 septembre pour renforcer les défenses du pays a été d’obtenir l’adoption du Patriot Act, que le président a signé en octobre 2001. » Cf. « Le Patriot Act, que le président a signé en octobre 2001 », lien ; « Questions et réponses sur le début du programme d’espionnage intérieur ; lien .

    68 Scott, Road to 9/11 , 236-45 ; Peter Dale Scott, « L’état d’urgence remplace-t-il notre Constitution ? Continuité de la planification gouvernementale, guerre et société américaine », 28 novembre 2010, http://1/japanfocus.org/-Peter_Dale-Scott/3448.

    69 « Les tournées des brigades sur le territoire national commencent le 1er octobre », Army Times , 30 septembre 2008, lien . Dans le cadre du plan d'urgence GARDEN PLOT de l'armée dans les années 1960, il y avait jusqu'en 1971 deux brigades (4 800 hommes) en alerte permanente pour réprimer les troubles.

    70 « Mémorandum pour M. Moyers » du 25 novembre 1963, FBI 62-109060, section 18, p. 29, lien . Cf. Nicholas Katzenbach, Some of It Was Fun (New York : WW Norton, 2008), 131-136.

    71 Le titre officiel de Leventhal est (ou était) « Chef de l’équipe de lutte contre la désinformation, Département d’État américain » ( lien ). En 2010, le Département d’État américain « a lancé une campagne officielle pour abattre les théories du complot… La page « Théories du complot et désinformation »… insiste sur le fait que Lee Harvey Oswald a tué John F. Kennedy seul et que le Pentagone n’a pas été touché par un missile de croisière le 11 septembre » Daily Record [Écosse], 2 août 2010, ( lien ). Le site existe toujours ici , (« Les théories du complot existent dans le royaume du mythe, où l’imagination se déchaîne, les peurs l’emportent sur les faits et les preuves sont ignorées. ») Le site attaque toujours les théories du 11 septembre, mais une page sur l’assassinat de Kennedy a été suspendue ( lien ). Cf. Robin Ramsay, « Government vs Conspiracy Theorists: The official war on “sick think”, Fortean Times, avril 2010, lien ; « Le Département d’État contre les « pensées malades »

    « L’assassinat de JFK, le 11 septembre et le député conservateur dopé au LSD », Fortean Times, juillet 2010, lien ; William Kelly, « Todd Leventhal : le ministre de Diz à Dealey Plaza », CTKA, 2010, lien .

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  51. 72 Pour la sensibilité de Nixon concernant l'assassinat de Kennedy, et la manière dont cela l'a entraîné dans certaines des intrigues connues collectivement sous le nom de Watergate, voir par exemple Scott, Hoch et Stetler, The Assassinations , 374-78 ; Peter Dale Scott, Crime and Cover-up (Santa Barbara, CA : Open Archive Press, 1993), 33, 64-66.

    https://www.globalresearch.ca/the-doomsday-project-and-deep-events-jfk-watergate-iran-contra-and-9-11/27806

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  52. Que s’est-il passé dans les avions le 11 septembre 2001 ? Le « scénario » de la Commission du 11 septembre a été inventé

    D'autres failles dans la version officielle : les appels téléphoniques du 11 septembre


    Par le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    14 septembre 2024


    L'article suivant, publié il y a vingt ans, en août 2004, réfute le scénario de la Commission du 11 septembre quant à ce qui s'est réellement passé dans les avions.

    Une grande partie de ces informations détaillées se fondaient sur de prétendues conversations téléphoniques entre passagers et membres de leur famille. Pourtant, la technologie permettant d'utiliser un téléphone portable à bord d'un avion à plus de 8 500 pieds d'altitude n'existait pas en septembre 2001.

    Une version révisée de l'article a été publiée ultérieurement sous forme de chapitre dans mon livre intitulé America's « War on Terrorism », Montréal 2005, qui peut être commandé directement auprès de Global Research.

    Remarque : Plusieurs liens vers des articles cités de 2001 à 2004 ne sont plus disponibles. L'auteur a effectué des mises à jour en citant les sources originales.

    « Nous avons des avions »
    Rapport de la Commission sur le 11 septembre — WikipédiaLe rapport de la Commission du 11 septembre fournit une description presque visuelle des pirates de l'air arabes. Il décrit dans les moindres détails les événements qui se sont déroulés dans la cabine des quatre avions détournés.

    En l'absence de passagers survivants, cette « preuve corroborante » s'appuyait sur les conversations téléphoniques des passagers avec leurs proches, sur leur téléphone portable ou leur téléphone portable. Selon le rapport, l'enregistreur de conversations du poste de pilotage (CVR) n'a été récupéré que dans le cas d'un des vols (UAL 93).

    En se concentrant sur le drame personnel des passagers, la Commission a construit une grande partie de son récit autour des conversations téléphoniques. Les Arabes sont représentés avec leurs couteaux et leurs cutters, complotant au nom d’Allah pour faire tomber les avions et les transformer « en gros missiles guidés ».

    (Rapport, chapitre 1, http://www.9-11commission.gov/report/911Report_Ch1.pdf ).

    La technologie de transmission sans fil

    Le rapport donne l’impression que les communications sol-air par téléphone portable à haute altitude étaient de qualité raisonnablement bonne et qu’il n’y avait aucun obstacle majeur à la transmission sans fil.

    Certaines conversations ont été effectuées avec des téléphones de bord qui, contrairement aux téléphones portables, offrent une bonne qualité de transmission. Le rapport ne fait pas de distinction claire entre les deux types d'appels.

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  53. Plus important encore, ce script soigneusement rédigé omet de mentionner que, compte tenu de la technologie prévalant en septembre 2001, il était extrêmement difficile, voire impossible, de passer un appel cellulaire sans fil à partir d'un avion volant à grande vitesse au-dessus de 8 000 pieds :

    « Les réseaux de communication sans fil n'ont pas été conçus pour les communications sol-air. Les experts en téléphonie cellulaire admettent en privé qu'ils sont surpris que les appels aient pu être passés depuis les avions détournés et qu'ils aient duré aussi longtemps. Ils supposent que la seule raison pour laquelle les appels ont pu être passés en premier lieu est que les avions volaient si près du sol.

    ( http://www.elliott.org/technology/2001/cellpermit.htm )

    L’opinion des experts du secteur des télécommunications sans fil jette un sérieux doute sur les « conclusions » de la Commission du 11 septembre. Selon Alexa Graf, porte-parole d’AT&T, qui s’exprimait juste après les attentats du 11 septembre :

    « C’est presque un hasard si les appels [du 11 septembre] sont parvenus à destination… À haute altitude, la qualité des appels n’est pas très bonne et la plupart des appelants subissent des baisses de fréquence. Bien que les appels ne soient pas fiables, les appelants peuvent décrocher et mettre en attente un petit moment en dessous d’une certaine altitude »

    ( http://wirelessreview.com/ar/wireless_final_contact/ )

    Nouvelle technologie sans fil

    Alors que de sérieux doutes concernant les appels cellulaires ont été exprimés immédiatement après le 11 septembre, un nouveau tournant dans le secteur des télécommunications sans fil a contribué à ébranler davantage la crédibilité de la Commission. Quelques jours après la publication du rapport de la Commission sur le 11 septembre en juillet, American Airlines et Qualcomm ont fièrement annoncé le développement d'une nouvelle technologie sans fil – qui permettra à un moment donné aux passagers des compagnies aériennes utilisant leurs téléphones portables de contacter leur famille et leurs amis à partir d'un avion commercial (sans doute moyennant des frais d'itinérance aérienne à tarif spécial).

    ( voir https://www.qualcomm.com/news/releases/2004/07/15/american-airlines-and-qualcomm-complete-test-flight-evaluate-cabine-mobile )​​​

    - voir doc sur site -

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  54. « Qualcomm Incorporated (Nasdaq : QCOM), pionnier et leader mondial de la technologie sans fil numérique CDMA (Code Division Multiple Access), et American Airlines, le plus grand transporteur au monde, ont aujourd'hui [14 juillet 2004] démontré avec succès la possibilité de communiquer en cabine à l'aide de téléphones mobiles CDMA disponibles dans le commerce sur un avion commercial d'American Airlines. Grâce à l'utilisation d'un réseau « picocell » de troisième génération (3G) en cabine, les passagers du vol d'essai ont pu passer et recevoir des appels comme s'ils étaient au sol.

    Le vol de démonstration de validation de principe a décollé de l'aéroport international de Dallas/Fort Worth. … Parmi les passagers figuraient des membres des médias et des représentants du gouvernement.

    Une petite station de base cellulaire CDMA embarquée dans l'avion, qui utilise des communications cellulaires standard, était connectée au réseau téléphonique terrestre mondial par une liaison satellite air-sol Globalstar.

    Les informations recueillies au cours de ce vol de démonstration de validation de principe seront utilisées pour approfondir les recherches sur la qualité, la commodité et la sécurité des communications avec les téléphones mobiles CDMA personnels transportés par les passagers d'un avion commercial.

    « Nous sommes ravis d’avoir travaillé en étroite collaboration avec American Airlines pour mener à bien cette démonstration de faisabilité de l’utilisation en vol de la technologie 3G CDMA », a déclaré le Dr Irwin Jacobs, président-directeur général de Qualcomm. « Ensemble, nous avons anticipé les besoins futurs des abonnés sans fil du secteur aérien et nous nous efforçons activement de proposer des solutions innovantes pour répondre à ces besoins. » Qualcomm , 14 juillet 2024

    Notez la date : 14 juillet 2004 [presque 3 ans après le 11 septembre 2001]

    Il va sans dire que ni le service, ni le matériel de « troisième génération », ni la station de base CDMA « Piccocell » à l’intérieur de la cabine (qui imite pour ainsi dire une tour de communication de téléphonie cellulaire à l’intérieur de l’avion) ​​n’étaient disponibles le matin du 11 septembre 2001.

    La Commission du 11 septembre souligne la clarté et le détail de ces conversations téléphoniques. En substance, le rapport Qualcomm de juillet 2004 cité ci-dessus crée un autre problème embarrassant dans la version officielle.

    L'annonce intempestive d'American Airlines et de Qualcomm a eu l'effet d'une douche froide. À peine évoquée dans les rapports de presse, elle a confirmé que l'administration Bush avait falsifié le récit des téléphones portables (comme elle l'avait fait avec les armes de destruction massive) et que le récit de la Commission du 11 septembre était soit erroné, soit grossièrement exagéré.

    Le Washington Post : (27 juillet 2004) confirme sans faire explicitement référence au 11 septembre que :

    « Les voyageurs pourraient parler sur leur téléphone portable dès 2006. Au début de ce mois [juillet 2004], American Airlines a effectué un essai sur un avion modifié qui permettait les appels par téléphone portable. »

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  55. (WP , 27 juillet 2004, c'est nous qui soulignons)

    Altitude et transmission par téléphone portable

    Selon les experts du secteur, le lien crucial dans la transmission sans fil des téléphones portables depuis un avion est l'altitude. Au-delà d'une certaine altitude, généralement atteinte quelques minutes après le décollage, les appels téléphoniques ne sont plus possibles.

    En d’autres termes, compte tenu de la technologie sans fil disponible le 11 septembre 2001, ces appels cellulaires n’auraient pas pu être passés à haute altitude.

    La seule façon pour les passagers de joindre leurs proches par téléphone portable était de voler à moins de 8000 pieds d'altitude. Pourtant, même à basse altitude, en dessous de 8000 pieds, la communication par téléphone portable est de mauvaise qualité.

    La question cruciale : à quelle altitude voyageaient les avions au moment des appels ?

    Bien que les informations fournies par la Commission soient limitées, la chronologie du rapport ne suggère pas que les avions volaient systématiquement à basse altitude . En fait, le rapport confirme qu'un bon nombre d'appels téléphoniques ont été passés alors que l'avion volait à une altitude supérieure à 8 000 pieds, ce qui est considéré comme l'altitude limite pour la transmission par téléphone portable.

    Passons en revue la chronologie de ces appels en relation avec les informations fournies par le rapport sur les trajectoires de vol et l’altitude.

    Vol 175 d'United Airlines

    Le vol 175 d'United Airlines est parti pour Los Angeles à 8h00 :

    « Il a quitté sa porte d'embarquement à 7h58 et a quitté l'aéroport de Logan à 8h14. »

    Le rapport confirme qu’à 8 h 33, « il avait atteint son altitude de croisière assignée de 31 000 pieds ». Selon le rapport, il a maintenu cette altitude de croisière jusqu’à 8 h 51, heure à laquelle il « s’est écarté de son altitude assignée » :

    « La première preuve opérationnelle que quelque chose d’anormal se produisait à bord du vol United 175 est apparue à 8 h 47, lorsque l’avion a changé de code de balise deux fois en une minute. À 8 h 51, le vol a dévié de l’altitude qui lui avait été assignée et une minute plus tard, les contrôleurs aériens de New York ont ​​commencé à essayer à plusieurs reprises, mais sans succès, de le contacter. »

    Et une minute plus tard, à 8h52, Lee Hanson reçoit un appel de son fils Peter.

    [Vol UAL 175] « À 8 h 52, à Easton, dans le Connecticut, un homme du nom de Lee Hanson a reçu un appel téléphonique de son fils Peter, passager du vol United 175. Son fils lui a dit : « Je pense qu'ils ont pris le contrôle du cockpit. Un membre du personnel a été poignardé. Il se peut qu'une autre personne à l'avant ait été tuée. L'avion fait des mouvements étranges. Appelez United Airlines. Dites-leur qu'il s'agit du vol 175, de Boston à Los Angeles. »

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  56. Les rapports de presse confirment que Peter Hanson utilisait son téléphone portable (c'est-à-dire qu'il ne s'agissait pas d'un téléphone aérien). À moins que l'avion n'ait piqué du nez, il se trouvait encore à haute altitude à 8 h 52. (De plus, l'appel de Hanson aurait pu être lancé au moins une minute avant que son père Lee Hanson ne décroche le téléphone.)

    Un autre appel a été reçu à 8 h 52 (une minute après avoir dévié de son altitude assignée de 31 000 pieds). Le rapport ne précise pas s'il s'agit d'un appel provenant d'un téléphone aérien ou d'un téléphone portable :

    À 8 h 52, un agent de bord a appelé un bureau de United à San Francisco et a pu joindre Marc Policastro. L'agent de bord a indiqué que le vol avait été détourné, que les deux pilotes avaient été tués, qu'un agent de bord avait été poignardé et que les pirates de l'air étaient probablement aux commandes de l'avion. L'appel a duré environ deux minutes, après quoi Policastro et un collègue ont essayé en vain de contacter le vol.

    On ne sait pas s'il s'agissait d'un appel au téléphone portable de Policastro ou au standard de l'UAL.

    À 8 h 58, le vol UAL 175 « a pris le cap vers New York » :

    « À 8 h 59, Brian David Sweeney, passager du vol 175, a essayé d’appeler sa femme, Julie. Il a laissé un message sur leur répondeur personnel indiquant que l’avion avait été détourné. Il a ensuite appelé sa mère, Louise Sweeney, lui a dit que le vol avait été détourné et a ajouté que les passagers envisageaient de prendre d’assaut le cockpit pour prendre le contrôle de l’avion des mains des pirates de l’air.

    À 9 heures, Lee Hanson a reçu un deuxième appel de son fils Peter :

    Ça devient grave, papa. — Une hôtesse de l'air a été poignardée. — Ils semblent avoir des couteaux et du gaz lacrymogène. — Ils ont dit qu'ils avaient une bombe. — Ça devient très grave dans l'avion. — Les passagers vomissent et tombent malades. — L'avion fait des mouvements saccadés. — Je ne pense pas que le pilote pilote l'avion. — Je pense que nous allons nous écraser. — Je pense qu'ils ont l'intention d'aller à Chicago ou ailleurs et de s'écraser sur un bâtiment. — Ne t'inquiète pas, papa. — Si cela arrive, ce sera très rapide. — Mon Dieu, mon Dieu.

    L’appel s’est terminé brusquement. Lee Hanson avait entendu une femme crier juste avant la coupure. Il a allumé une télévision, et chez elle, Louise Sweeney a fait de même. Tous deux ont alors vu le deuxième avion s’écraser sur le World Trade Center. À 9 h 03 min 11 s, le vol 175 d’United Airlines a percuté la tour sud du World Trade Center. Tous les passagers à bord, ainsi qu’un nombre inconnu de personnes dans la tour, ont été tués sur le coup.

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  57. Vol 77 d'American Airlines

    Le vol 77 d'American Airlines devait décoller de Washington Dulles à destination de Los Angeles à 8 h 10… « À 8 h 46, le vol a atteint son altitude de croisière assignée de 35 000 pieds. »

    À 8 h 51, le vol American 77 a transmis sa dernière communication radio de routine. Le détournement a commencé entre 8 h 51 et 8 h 54. Comme pour les vols American 11 et United 175, les pirates de l’air ont utilisé des couteaux (selon un passager) et ont déplacé tous les passagers (et peut-être l’équipage) à l’arrière de l’avion (selon un passager et une hôtesse de l’air). Contrairement aux vols précédents, les pirates de l’air du vol 77 auraient été munis de cutters, selon un passager. Enfin, un passager a signalé que le « pilote » avait annoncé que l’avion avait été détourné…

    Sur le vol AA 77, qui se serait écrasé sur le Pentagone, le transpondeur a été éteint à 8h56 ; l'altitude enregistrée au moment de l'extinction du transpondeur n'est pas mentionnée. Selon le rapport de la Commission, les appels cellulaires ont commencé 16 minutes plus tard, à 9h12, vingt minutes avant que l'avion ne s'écrase (soi-disant) sur le Pentagone à 9h32 :

    « [À 9 h 12], Renee May a appelé sa mère, Nancy May, à Las Vegas. Elle a dit que son vol avait été détourné par six individus qui les avaient déplacés vers l’arrière de l’avion. »

    Selon le rapport, lorsque le pilote automatique a été désactivé à 9h29, l'avion se trouvait à 7 000 pieds d'altitude et à environ 38 miles à l'ouest du Pentagone. Cela s'est produit deux minutes avant l'accident.

    La plupart des appels sur le vol 77 ont été passés entre 9h12 et 9h26, avant le désengagement du pilotage automatique à 9h29. L'avion aurait pu voler à une altitude supérieure ou inférieure à celle atteinte à 9h29. Pourtant, rien dans le rapport n'indique que l'avion volait en dessous du niveau de 7000 pieds, qu'il a atteint à 9h29.

    Entre 9 h 16 et 9 h 26, Barbara Olson a appelé son mari, Ted Olson, le solliciteur général des États-Unis. [en utilisant un téléphone aérien]

    (Rapport p 7, voir http://www.9-11commission.gov/report/911Report_Ch1.pdf )

    Vol 93 d'United Airlines

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  58. Le vol 93 de l’UAL fut le seul des quatre avions qui, selon la version officielle, ne s’est pas écrasé contre un immeuble. Les passagers du vol 93, apparemment « alertés par téléphone, ont tenté de maîtriser les pirates de l’air. Et les pirates ont fait s’écraser l’avion [en Pennsylvanie] pour empêcher les passagers de reprendre le contrôle » ( http://en.wikipedia.org/wiki/United_Airlines_flight_93 ). Une autre version des faits est que l’UAL 93 a été abattu.

    D'après le compte rendu de la Commission :

    « Les 46 premières minutes du vol United 93 se déroulèrent normalement. Les communications radio de l'avion étaient normales. Le cap, la vitesse et l'altitude se déroulèrent comme prévu. À 9 h 24, l'avertissement de Ballinger au vol United 93 fut reçu dans le cockpit. Deux minutes plus tard, à 9 h 26, le pilote, Jason Dahl, répondit avec une note de perplexité : « Ed, confirme le dernier message s'il te plaît, Jason. »70 Les pirates de l'air attaquèrent à 9 h 28. Alors qu'il volait à 35 000 pieds au-dessus de l'est de l'Ohio, le vol United 93 a soudainement chuté de 700 pieds. Onze secondes après le début de la descente, le centre de contrôle aérien de la FAA à Cleveland reçut la première des deux transmissions radio de l'avion… »

    Au moins dix appels téléphoniques auraient eu lieu à bord du vol 93.

    Le rapport confirme que les passagers ont commencé à passer des appels avec leurs téléphones portables et aériens peu après 9h32, soit quatre minutes après la confirmation par le rapport de l'altitude de l'avion à 35 000 pieds. En d'autres termes, les appels ont commencé environ 9 minutes avant que le Cleveland Center ne perde le signal du transpondeur de l'UAL 93 (9h41) et environ 30 minutes avant le crash en Pennsylvanie (10h03).

    « À 9 h 41, le Cleveland Center a perdu le signal du transpondeur du vol United 93. Le contrôleur l'a localisé sur le radar principal, a comparé sa position avec les observations visuelles d'autres avions et a suivi le vol alors qu'il tournait vers l'est, puis vers le sud.164 »

    Cela suggère que l'altitude était connue du contrôle aérien jusqu'au moment où le signal du transpondeur a été perdu par le Cleveland Center. (Les observations radar et visuelles ont fourni des informations sur sa trajectoire de vol de 9h41 à 10h03.)

    De plus, le rapport ne contient aucune indication selon laquelle l'avion aurait plongé à une altitude inférieure, à l'exception de la chute de 700 pieds enregistrée à 9 h 28 par rapport à une altitude de croisière de 35 000 pieds :

    [pages 12-14 du rapport] script de courrier comme dans le rapport.

    « À 9 h 32, un pirate de l'air, probablement Jarrah, a fait ou tenté de faire l'annonce suivante aux passagers du vol 93 : « Mesdames et Messieurs : Ici le capitaine, veuillez vous asseoir et rester assis.

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  59. Nous avons une bombe à bord. Alors asseyez-vous. » L'enregistreur de données de vol (également récupéré) indique que Jarrah a alors ordonné au pilote automatique de l'avion de faire demi-tour et de se diriger vers l'est. Les données de l'enregistreur de conversations du poste de pilotage indiquent qu'une femme, très probablement une hôtesse de l'air, était retenue captive dans le cockpit. Elle s'est battue avec l'un des pirates de l'air qui l'a tuée ou réduite au silence.

    Peu après, les passagers et l’équipage ont commencé à passer une série d’appels depuis les téléphones portables et les téléphones d’avion de GTE. Ces appels entre membres de la famille, amis et collègues ont duré jusqu’à la fin du vol et ont permis aux personnes au sol d’avoir des témoignages de première main. Ils ont permis aux passagers d’obtenir des informations cruciales, notamment la nouvelle que deux avions s’étaient écrasés contre le World Trade Center.77… Au moins deux personnes ayant appelé à bord ont déclaré que les pirates de l’air savaient que les passagers passaient des appels mais ne semblaient pas s’en soucier.

    Les pirates de l’air portaient des bandanas rouges et ont forcé les passagers à se rendre à l’arrière de l’avion.80 Des appelants ont signalé qu’un passager avait été poignardé et que deux personnes gisaient sur le sol de la cabine, blessées ou mortes – peut-être le commandant de bord et le copilote. Un appelant a signalé qu’une hôtesse de l’air avait été tuée.81 L’un des appelants de United 93 a également déclaré qu’il pensait que les pirates de l’air pouvaient être en possession d’une arme à feu. Mais aucun des autres appelants n’a signalé la présence d’une arme à feu. Une personne ayant reçu un appel depuis l’avion a déclaré avoir spécifiquement demandé à son interlocuteur si les pirates de l’air avaient des armes à feu.

    Le passager a répondu qu'il n'en avait pas vu. Aucune trace d'armes à feu ni de restes identifiables n'ont été retrouvés sur le lieu du crash de l'avion, et l'enregistreur de conversations du poste de pilotage ne donne aucune indication d'un tir ou d'une mention d'une arme à feu à un moment quelconque.

    Nous pensons que si les pirates de l'air avaient possédé une arme, ils l'auraient utilisée dans les dernières minutes du vol, alors que les passagers se défendaient.82 Les passagers de trois vols ont rapporté que les pirates de l'air avaient affirmé avoir une bombe. Le FBI nous a dit n'avoir trouvé aucune trace d'explosifs sur les lieux du crash. L'un des passagers qui a mentionné une bombe a déclaré qu'il pensait qu'elle n'était pas réelle. En l'absence de toute preuve que les pirates de l'air aient tenté de faire passer ces articles illégaux en contrebande au-delà des points de contrôle de sécurité, nous pensons que les bombes étaient probablement fausses. Au cours d'au moins cinq des appels téléphoniques des passagers, des informations ont été partagées sur les attaques qui avaient eu lieu plus tôt dans la matinée au World Trade Center. Cinq appels décrivaient l'intention des passagers et des membres d'équipage survivants de se révolter contre les pirates de l'air. Selon l'un des appels, ils ont voté pour savoir s'il fallait se précipiter sur les terroristes pour tenter de reprendre l'avion. Ils ont décidé et ont agi. À 9 h 57, l'assaut des passagers a commencé. Plusieurs passagers avaient mis fin à des appels téléphoniques avec leurs proches afin de se joindre à la révolte. L'un des appelants a terminé son message comme suit :

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  60. « Tout le monde court vers la première classe. Je dois y aller. Au revoir. » L'enregistreur vocal du poste de pilotage a enregistré les sons de l'agression des passagers, étouffés par la porte du poste de pilotage. Certains membres de la famille qui ont écouté l'enregistrement ont rapporté qu'ils pouvaient entendre la voix d'un proche au milieu du vacarme.

    Nous ne pouvons pas identifier les voix que l'on peut entendre. Mais l'assaut a été soutenu. En réponse, Jarrah a immédiatement commencé à faire tourner l'avion vers la gauche et la droite, essayant de déséquilibrer les passagers. À 9 h 58 min 57 s, Jarrah a demandé à un autre pirate de l'air dans le cockpit de bloquer la porte. Jarrah a continué à faire tourner l'avion brusquement vers la gauche et la droite, mais l'assaut a continué. À 9 h 59, Jarrah a changé de tactique et a incliné le nez de l'avion de haut en bas pour interrompre l'assaut. L'enregistreur a enregistré des bruits de coups violents, de collisions, de cris et de bris de verres et d'assiettes.

    À 10 h 00 min 03 s, Jarrah a stabilisé l'avion. Cinq secondes plus tard, Jarrah a demandé : « C'est tout ? On va l'achever ? » Un pirate de l'air a répondu : « Non. Pas encore. Quand ils seront tous là, on l'achèvera. » Les bruits de combat ont continué à l'extérieur du cockpit. De nouveau, Jarrah a levé et baissé le nez de l'avion. À 10 h 00 min 26 s, un passager en arrière-plan a dit : « Dans le cockpit. Si on ne le fait pas, on va mourir ! » Seize secondes plus tard, un passager a crié : « Roulez ! » Jarrah a arrêté les manœuvres violentes vers 10 h 01 min 00 s et a dit : « Allah est le plus grand ! Allah est le plus grand ! » Il a ensuite demandé à un autre pirate de l'air dans le cockpit : « C'est tout ? Je veux dire, on va le poser ? » ce à quoi l'autre a répondu : « Oui, posez-le dedans et tirez-le vers le bas. » Les passagers ont continué leur assaut et à 10 h 02 min 23 s, un pirate de l'air a dit : « Descendez ! "Descendez !" Les pirates de l'air sont restés aux commandes mais ont dû estimer que les passagers n'étaient qu'à quelques secondes de les vaincre. L'avion s'est dirigé vers le sol ; le volant était tourné à fond vers la droite.

    L'avion s'est renversé sur le dos et l'un des pirates de l'air s'est mis à crier : « Allah est le plus grand. Allah est le plus grand. » Alors que les bruits de la contre-attaque des passagers continuaient, l'avion s'est écrasé dans un champ vide à Shanksville, en Pennsylvanie, à 930 km/h, à environ 20 minutes de vol de Washington DC. L'objectif de Jarrah était de faire s'écraser son avion de ligne sur des symboles de la République américaine, le Capitole ou la Maison Blanche. Il a été défait par les passagers alertés et non armés d'United Airlines.

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  61. L'appel mystérieux d'Edward Felt de l'UAL 93

    Les informations antérieures sur le sort du vol UAL 93 se basaient en partie sur un appel téléphonique d'un passager nommé Edward Felt, qui avait réussi à joindre un responsable des services d'urgence en Pennsylvanie. On ignore encore comment il a obtenu le numéro du responsable des services d'urgence et a réussi à le joindre.

    L'appel a apparemment été reçu à 9h58, huit minutes avant l'heure signalée de l'accident à 10h06 en Pennsylvanie :

    « Les autorités locales de secours ont déclaré avoir reçu un appel téléphonique à 9h58 d'un homme qui a déclaré être un passager à bord de l'avion. L'homme a déclaré s'être enfermé dans les toilettes et avoir dit aux services d'urgence que l'avion avait été détourné. « Nous sommes en train d'être détournés ! Nous sommes en train d'être détournés ! » aurait-il déclaré. Un Californien identifié comme Tom Burnett aurait appelé sa femme et lui aurait dit que quelqu'un à bord de l'avion avait été poignardé. « Nous allons tous mourir, mais trois d'entre nous vont faire quelque chose », lui a-t-il dit. « Je t'aime chérie. »

    L'appel présumé d'Edward Felt depuis les toilettes de l'avion UAL 93 a été répondu par Glenn Cramer, le superviseur des urgences en Pennsylvanie qui a pris l'appel.

    Il convient de noter que Glenn Cramer a ensuite été bâillonné par le FBI. » (Voir l’analyse incisive de Robert Wallace publiée en septembre 2002 par le Daily Mirror, ( http://www.globalresearch.ca/articles/WAL403A.html ).

    Ironiquement, cet appel téléphonique très médiatisé d'Ed Felt, qui aurait fourni des preuves cruciales à la Commission du 11 septembre, n'a pas été, pour une raison quelconque, mentionné dans le rapport.

    Vol 11 d'American Airlines

    Le vol 11 a décollé à 7h59. Juste avant 8h14. Le rapport décrit une conversation téléphonique aérienne de l'hôtesse de l'air Betty Ong et une grande partie du récit repose sur cette conversation téléphonique aérienne

    Il n'existe pas de rapport précis sur l'utilisation de téléphones portables à bord du vol AA11. Selon le rapport, l'avion American 11 s'est écrasé sur la tour nord du World Trade Center à 8h46.

    Remarques finales

    Une grande partie de la description concernant les 19 pirates de l'air repose sur des conversations téléphoniques avec la famille et les amis.

    Si quelques-uns de ces appels (passés à basse altitude) auraient pu aboutir, la technologie sans fil n'était pas disponible. Sur cette question, l'opinion des experts du secteur des télécommunications sans fil est sans équivoque.

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  62. En d'autres termes, au moins une partie du scénario de la Commission, au chapitre 1, sur les conversations téléphoniques, est fabriquée.

    Selon l'annonce d'American Airlines / Qualcomm [2004], la technologie de transmission de téléphonie mobile à haute altitude ne sera disponible à bord des avions commerciaux qu'en 2006. C'est un fait incontournable.

    Aux yeux de l’opinion publique, les conversations téléphoniques sur les pirates de l’air arabes sont nécessaires pour entretenir l’illusion que l’Amérique est attaquée.

    La « guerre contre le terrorisme » qui sous-tend la doctrine de sécurité nationale s’appuie sur des « preuves » en temps réel concernant les pirates de l’air arabes. Ces derniers incarnent, pour ainsi dire, cet « ennemi extérieur » illusoire (Al-Qaïda) qui menace la patrie.

    Le récit des événements survenus dans l'avion transportant les pirates de l'air arabes est donc crucial dans le « scénario » du 11 septembre élaboré par la Commission. Il fait partie intégrante du programme de désinformation et de propagande de l'administration. Il constitue une justification de la législation antiterroriste dans le cadre des Patriot Acts et des guerres préventives menées par les États-Unis contre l'Afghanistan et l'Irak.

    https://www.globalresearch.ca/what-happened-on-the-planes-on-september-11-2001-the-911-commission-script-was-fabricated/5428771

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  63. Milton Friedman : concurrence et liberté sur le marché de l’éducation


    Benoit Malbranque
    16 septembre 2024


    L’école publique ne joue pas son rôle de transmission du savoir et soumet les enfants à des influences qui sont plus mauvaises que bonnes.

    Durant de nombreux siècles, l’éducation a été assurée par des organismes privés où le contrôle des parents fut important, et qui n’ont pu se développer qu’en fournissant une éducation de qualité.

    Les défauts du système d’éducation nationale

    À l’heure actuelle, soutient Milton Friedman, les écoles américaines ne sont plus des endroits de savoirs, elles sont au mieux des lieux qui permettent aux jeunes de ne pas traîner dans la rue. Lorsque vous entrez dans l’une d’elles et que vous devez passer par des détecteurs de métaux, au milieu d’une rangée de policiers, vous sentez que quelque chose ne va pas.

    Les parents des enfants qui sont inscrits dans les écoles publiques ont le plaisir de ne pas payer, ou de ne payer qu’une fraction du coût qu’implique l’instruction de leur enfant. Mais ils perçoivent bien qu’ils ne tirent aucun profit de cette gratuité. L’école publique ne joue pas son rôle de transmission du savoir et soumet les enfants à des influences qui sont plus mauvaises que bonnes.

    Les choses changent parfois, notamment avec le soutien d’institutions philanthropiques qui permettent de créer ou d’accompagner des formes éducatives différentes. Malheureusement, ces expériences, comme celle d’Harlem Prep, mentionnée dans l’épisode, sont rapidement la cible des bureaucrates du ministère de l’Éducation.

    Au niveau secondaire, les mêmes travers se retrouvent. À côté des écoles privées, qui font payer (directement, ou indirectement, via l’emprunt) et font comprendre à leurs élèves le coût de leur instruction supérieure, les universités publiques offrent à des masses de jeunes adultes les plaisirs d’un interlude de quelques années d’un enseignement gratuit agrémenté des épanouissements de la vie étudiante. Et cela, financé en grande partie par l’argent des impôts de ceux qui ne font pas d’études supérieures, et qui provient de manière disproportionnée des classes les plus pauvres de la population.

    Le chèque-éducation, une réforme simple pour une concurrence accrue

    Le chèque-éducation, défendu par Milton Friedman dans cet épisode, a été inséré dans les programmes politiques d’innombrables partis de tendance libérale à travers le monde, y compris en France. Cet épisode donne l’occasion de saisir les fondements et le contexte de cette proposition.

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  64. Défendant l’idée que l’État a le devoir de financer l’éducation des jeunes générations, Milton Friedman propose de leur attribuer cette allocation, non sous forme directe — par la construction et le fonctionnement d’écoles publiques — mais sous forme indirecte : leur chèque-éducation en main, les parents seront en mesure d’inscrire leur enfant dans l’école de leur choix et se serviront de ce chèque pour en régler les frais de scolarité.

    Grâce à ce système, soutient Friedman, les écoles, mises en concurrence les unes avec les autres, seraient toutes forcées de prodiguer un type d’éducation attractif et de produire des résultats assez bons pour s’attirer la préférence des parents. En d’autres termes, les bienfaits de la concurrence seraient à même de fonctionner sur le marché de l’éducation, comme ils le font sur tous les autres marchés où l’interférence étatique lui a laissé une place.

    https://www.contrepoints.org/2024/09/16/316063-education-friedman-concurrence-et-liberte

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    1. Durant des siècles et jusqu'à... maintenant (!) des comédiennes et comédiens apprennent par cœur des textes de Molière, de Victor Hugo ou même de Shakespeare ! Qui datent donc de l'époque où le savoir n'existait pas et était interdit, le temps des cons, le temps des riens ! ils ne connaissaient pas l'électricité !! Pas le climat !! Pas la santé, les moteurs, téléphone et tout çà !!

      L'intelligence faisait défaut. Les femmes et les hommes appelés 'préhistoriques' (avant l'histoire !!) avaient de l'eau, avaient du feu et avaient du fer. Ils et elles fabriquaient des couteaux, des casques, boucliers, casseroles mais... ne fabriquaient pas de tuyaux !!
      - "Des tuyaux ? Des tuyaux pour quoi faire ?"
      - "Pour y mettre de l'eau !"
      - "De l'eau dans les tuyaux ?! Pour quoi faire ?"
      - "Pour mettre le chauffage central dans toutes les grottes !"

      Même à l'époque de l'italien Cristofo Colombo et de son contemporain Leonardo de Vinci (dit 'le savant') ils ne savaient pas purifier l'eau !!
      Le marin partit donc de Gènes avec ses bateaux et des tonneaux d'eau pour aller découvrir les Indes. Des tonneaux d'eaux !! AH LE CON !
      Ils devaient avoir à cette époque un foyer de style cheminée à bord pour cuire le poisson péché. Il suffisait alors de prendre une boite d'eau sale (eau salée, urine, eau noire) et de poser la boite dans une poêle sur le feu. Puis, de recouvrir la boite centrale d'une plus grande boite dessus-dessous de style marmiton.
      L'eau va bouillir, va former des gouttelettes au fond du marmiton. Cette condensation va dégouliner vers la poêle. Cette eau est pure ! Sans goût, sans odeur, sans couleur et sans bactérie !
      C'est ce que fait le magma tous les jours avec les infiltrations d'eaux sales marines et océaniques qu'il dirige vers les sources et nappes phréatiques !

      Voyez, l'intelligence ne date pas des débuts du monde ! elle est récente ! très récente !
      C'est le Peuple qui s'est libéré de la dictature monarchique, impériale et républicaine. C'est le Peuple qui a inventé le progrès, les machines, les avions et le téléphone.

      Alors, parler aujourd'hui de l''éducation' privée ou publique !... Suffit de voir le QI des 'ministres' et 'chefs d’États' !! C'est pourquoi cette dictature refuse la Démocratie où c'est le Peuple qui dirige ! Le Peuple qui propose SES lois et vote lui-même SES lois ! comme en Suisse.

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  65. Nous avons besoin de liberté médicale


    Par Llewellyn H. Rockwell, Jr.
    16 septembre 2024


    Dans une société libre, les gens ont le droit de décider ce qu’ils veulent faire de leur propre corps. Si vous voulez prendre quelque chose que la médecine « orthodoxe » vous déconseille, cette décision devrait vous appartenir. Si le gouvernement peut interdire les « drogues dangereuses », pourquoi ne pas interdire aussi les idées dangereuses ? Comme le souligne le grand Ludwig von Mises, « l’opium et la morphine sont certainement des drogues dangereuses qui créent une dépendance. Mais une fois admis le principe selon lequel il est du devoir du gouvernement de protéger l’individu contre sa propre folie, aucune objection sérieuse ne peut être avancée contre de nouvelles atteintes. On pourrait plaider en faveur de l’interdiction de l’alcool et de la nicotine. Et pourquoi limiter la providence bienveillante du gouvernement à la seule protection du corps de l’individu ? Le mal qu’un homme peut infliger à son esprit et à son âme n’est-il pas encore plus désastreux que n’importe quel mal corporel ? Pourquoi ne pas l’empêcher de lire de mauvais livres et de voir de mauvaises pièces de théâtre, de regarder de mauvais tableaux et de mauvaises statues et d’écouter de la mauvaise musique ? Les méfaits causés par les mauvaises idéologies sont certainement beaucoup plus pernicieux, tant pour l’individu que pour la société entière, que ceux causés par les stupéfiants.

    Ces peurs ne sont pas de simples spectres imaginaires terrifiant des doctrinaires reclus. C’est un fait qu’aucun gouvernement 'paternel', qu’il soit ancien ou moderne, n’a jamais hésité à réglementer les esprits, les croyances et les opinions de ses sujets. Si l’on abolit la liberté de l’homme de déterminer sa propre consommation, on lui enlève toutes les libertés. Les partisans naïfs de l’intervention gouvernementale dans la consommation se trompent lorsqu’ils négligent ce qu’ils appellent dédaigneusement l’aspect philosophique du problème. Ils soutiennent sans le savoir la censure, l’inquisition, l’intolérance religieuse et la persécution des dissidents. »

    Il s’agit de bien plus qu’une question théorique. La FDA contrôle les nouveaux médicaments d’une main de fer. Elle interdit les médicaments que les personnes vivant dans d’autres parties du monde peuvent se procurer et qui ont passé avec succès les tests de sécurité de leur pays. L’ambroxol, un médicament contre la toux très efficace et largement disponible en Europe, en est un exemple : « L’ambroxol est un médicament mucolytique utilisé pour traiter les maladies respiratoires associées à une sécrétion excessive de mucus. Son début d’action commence après 30 minutes d’administration orale. Il agit en réduisant l’épaisseur du mucus, ce qui le rend plus facile à évacuer. »

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  66. Avant qu’un nouveau médicament soit approuvé, il doit subir des années, voire des décennies, de tests. Ces tests coûtent des millions de dollars. Seules les 'grandes sociétés pharmaceutiques' peuvent se permettre de les payer. La FDA rend ainsi impossible la commercialisation de nouveaux médicaments par les personnes qui n’ont pas beaucoup d’argent. D’innombrables vies ont été perdues. Comme le dit le Dr Lisa Casanova, « aux États-Unis, les personnes qui ont besoin de médicaments pour traiter une maladie dépendent de la clémence de la Food and Drug Administration (FDA). Elle sert de gardien des services pharmaceutiques, décidant quels médicaments seront ou non disponibles pour les consommateurs. La FDA exige que les développeurs et les fabricants de médicaments fournissent des données sur l’efficacité et les effets secondaires d’un médicament, données qu’elle utilise pour prendre ses décisions.

    Certaines organisations réclament un changement dans le processus pour permettre aux malades en phase terminale d’accéder plus rapidement à d’éventuels traitements. Leurs demandes ont jusqu’à présent été rejetées par les régulateurs.

    Les tests de médicaments pour l’approbation de la FDA se composent généralement de trois phases d’essais, chaque phase impliquant un plus grand nombre de patients. Dans la phase 1, un médicament est administré à un petit nombre de personnes en bonne santé qui sont observées pour le développement d’effets secondaires aigus. La phase 2 s’étend à la population de patients pour laquelle le médicament est destiné et peut comprendre plusieurs centaines de personnes. La phase 3, qui peut concerner un millier de patients ou plus, comprend des essais en double aveugle contrôlés par placebo qui mesurent à la fois l’efficacité et surveillent les effets indésirables.

    Après ces études, la FDA doit encore évaluer les données et délibérer sur l’approbation. L’ensemble du processus peut prendre des années. Pour les patients atteints de maladies chroniques, l’attente peut signifier une perte de qualité de vie ou une progression du handicap. Mais pour les malades en phase terminale, le temps nécessaire aux médicaments pour suivre ce processus peut faire la différence entre la vie et la mort. »

    Vous pourriez objecter : « N’est-il pas important que les gens soient protégés contre les médicaments dangereux ? Et si les nouveaux médicaments n’aidaient pas les gens ? La FDA n’a-t-elle pas sauvé des vies ? » Il est bien plus probable que la FDA ait tué plus de personnes qu’elle n’en a sauvées.

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  67. En outre, un problème encore plus crucial se pose. Pourquoi le gouvernement devrait-il décider si un médicament est trop risqué pour être vendu ? Dans un marché libre, les gens peuvent faire leur propre évaluation. Comme le dit le Dr Casanova, « en fonction des préférences en matière de risque, les patients qui cherchent à se faire soigner pour une maladie peuvent être grossièrement divisés en deux groupes. Le premier groupe est composé de ceux qui sont prêts à essayer des médicaments non testés ou à peine testés. Cela peut être dû au fait qu’ils n’ont plus d’options thérapeutiques significatives (leur maladie est réfractaire au traitement avec les thérapies disponibles) ou que les thérapies existantes ne font pas assez pour leur maladie pour leur donner la qualité de vie qu’ils souhaitent.

    Ils peuvent également penser qu’avoir des personnes prêtes à essayer d’abord des médicaments non testés est un élément important de l’avancement des connaissances et de la science du traitement des maladies. Le deuxième groupe est composé de patients qui sont plus réticents au risque. Ces patients ne veulent pas prendre de médicaments à moins qu’ils n’aient été testés et que leurs risques et avantages soient définis dans une certaine mesure (c’est-à-dire que les médicaments ont été testés sur d’autres êtres humains en premier et que les résultats de ces tests sont connus). Bien que ce point soit souvent négligé, il peut y avoir des patients gravement malades ou en phase terminale qui appartiennent à ce deuxième groupe.

    Certaines personnes du premier groupe de patients pourraient vouloir avoir accès à des médicaments qui n’ont pas été soumis au système d’essais cliniques. Mais comme ils sont prêts à tolérer le risque de médicaments dont les effets sont inconnus, ils constituent également un vivier de personnes prêtes à participer à des essais cliniques, pour leur propre bénéfice et pour le plus grand bénéfice d’autres personnes atteintes des mêmes maladies, car elles sont prêtes à passer en premier. »

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  68. La liberté médicale couvre bien plus que les nouveaux médicaments. Supposons que vous ayez des idées sur la façon dont les maladies devraient être traitées. Vous ne pouvez pas ouvrir un cabinet médical à moins que le gouvernement ne vous accorde une licence. Si vous n’avez pas de licence, vous « pratiquez la médecine sans licence », un crime très grave. Pour exercer la médecine, vous devez vous inscrire dans une école de médecine approuvée par le gouvernement. Ces écoles limitent les admissions pour limiter le nombre de nouveaux médecins. Cela permet aux médecins de facturer aux gens des prix plus élevés que ceux qui prévaudraient sur le marché libre. Voici quelques exemples de ce que la Californie considère comme « l’exercice de la médecine sans licence » : « Quelqu’un utilise des méthodes non conventionnelles ou homéopathiques, par exemple l’hypnose, l’acupuncture, les remèdes à base de plantes pour « traiter » des maladies spécifiques. Même s’il ne prétend pas être médecin, il peut toujours être poursuivi pénalement pour avoir diagnostiqué et traité illégalement des maladies :

    Un médecin agréé émigrant d’un autre pays offre des traitements à d’autres immigrants de son pays d’origine à bas prix parce qu’ils n’ont pas les moyens de se payer des soins de santé. Il est agréé, mais pas en Californie ;
    Un médecin agréé d’un autre État traite un résident de Californie par télémédecine. Là encore, il n’est pas explicitement agréé en Californie ;
    Un entrepreneur qui n’est pas médecin achète un cabinet médical à un médecin puis engage ce médecin pour gérer le cabinet. Alors que seul un médecin agréé traite les patients, le nouveau propriétaire du cabinet viole le BPC 2052 parce qu’il n’est pas agréé. » La domination tyrannique de la médecine a mis un terme à de nombreux traitements prometteurs contre des maladies potentiellement mortelles, comme le Laetrile et, bien avant lui, le Krebiozen contre le cancer. Le cancer est l’une des maladies les plus mortelles et les plus redoutées, et c’est pourquoi la FDA et les patrons de l’agence Big Pharma ont naturellement tenté de réprimer la liberté d’expression concernant les traitements prometteurs contre cette maladie qui ne sont pas conformes à l’orthodoxie allopathique. « Le président de Christian Brothers Contracting Corp., Jason Vale, a été condamné le 18 juin à 63 mois de prison et trois ans de liberté surveillée pour avoir vendu du Laetrile, un faux remède contre le cancer, a statué le tribunal fédéral du district Est de New York. Le Laetrile, également connu sous le nom d’amygdaline, de vitamine B-17 et de « noyaux d’abricot », est « un produit hautement toxique qui n’a montré aucun effet sur le traitement du cancer », a déclaré la FDA. Vale a été reconnu coupable en juillet dernier de trois chefs d’accusation d’outrage criminel pour avoir violé une ordonnance du tribunal de 2000 interdisant la vente et la promotion du Laetrile (1’The Tan Sheet’ 28 juillet 2003, In Brief). »

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  69. Encore plus tôt, le Dr Andrew Ivy, l’un des chercheurs médicaux les plus éminents au monde, a été poursuivi pour fraude en 1965 parce qu’il avait fait la promotion du Krebiozen, un médicament que les experts de la FDA ont déclaré sans valeur. Bien qu’il ait été acquitté, le procès a ruiné sa réputation professionnelle. Le New York Times mentionne le procès ici, dans un article de 1965 : « CHICAGO, 3 avril — Le Dr Andrew C. Ivy, qui était considéré comme l’un des scientifiques médicaux les plus éminents du pays, est jugé lundi devant le tribunal fédéral de district pour fraude criminelle découlant de sa participation à la promotion du Krebiozen. »

    Faisons tout ce que nous pouvons pour promouvoir la liberté médicale et mettre fin à la tyrannie du gouvernement !

    https://www.lewrockwell.com/2024/09/lew-rockwell/we-need-medical-freedom/

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  70. Les BRICS, la montée de la Chine et comment l’hégémonie a enterré le concept de « sécurité »


    Par Pepe Escobar
    Culture stratégique
    16 septembre 2024


    La première réunion des experts en sécurité/conseillers à la sécurité nationale dans le cadre du format élargi des BRICS+ à Saint-Pétersbourg a dévoilé de nombreuses pépites.

    La première réunion des experts en sécurité/conseillers à la sécurité nationale dans le cadre du format élargi des BRICS+ au palais Konstantinovsky à Saint-Pétersbourg a dévoilé de nombreuses pépites.

    Commençons par la Chine. Le ministre des Affaires étrangères Wang Yi a proposé quatre initiatives de sécurité centrées sur les BRICS. Essentiellement, les BRICS+ – et au-delà, en envisageant une nouvelle expansion – devraient viser la coexistence pacifique ; l’indépendance ; l’autonomie ; et un véritable multilatéralisme, ce qui implique un rejet de l’exceptionnalisme

    A la table des BRICS, le thème général était la manière dont les pays membres devraient se soutenir mutuellement malgré tant de défis – la plupart déclenchés par vous-savez-qui.

    En ce qui concerne l’Inde, le secrétaire du Conseil de sécurité russe Sergueï Choïgou, qui a rencontré le conseiller à la sécurité nationale indien Ajit Doval, a souligné la force de l’alliance, qui « a résisté avec confiance à l’épreuve du temps ».

    Le contexte plus large a en fait été présenté en parallèle, en Suisse, au Centre de politique de sécurité de Genève, par le toujours charmant ministre des Affaires étrangères S. Jaishankar :

    « Il y avait un club appelé G7, mais vous ne laissiez personne d’autre y entrer – alors nous avons dit que nous allions créer notre propre club (…) C’est en fait un groupe très intéressant car si vous le regardez, en général, tout club ou tout groupe a soit une contiguïté géographique, soit une expérience historique commune, soit un lien économique très fort. » Mais avec les BRICS, ce qui ressort, c’est « l’émergence de grands pays dans le système international. »

    Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov, a souligné que la Russie et le Brésil « ont des approches similaires sur les questions internationales clés », soulignant que Moscou chérit la « compréhension mutuelle et l’interaction bilatérales actuelles, y compris à la lumière des présidences simultanées des BRICS et du G20 cette année ».

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  71. En 2024, la Russie présidera les BRICS tandis que le Brésil présidera le G20.

    Le partenariat stratégique Russie-Iran

    Le président Poutine, en plus de s’adresser à la réunion, a eu des entretiens bilatéraux avec tous les principaux acteurs. Poutine a noté que 34 pays « ont déjà exprimé leur désir de se joindre aux activités de notre association sous une forme ou une autre ».

    Lors de sa rencontre avec Wang Yi, Poutine a souligné que le partenariat stratégique Russie-Chine est en faveur d’un ordre mondial juste, un principe soutenu par le Sud global. Wang Yi a confirmé que le président Xi Jinping avait déjà accepté l’invitation officielle russe pour le sommet des BRICS le mois prochain à Kazan.

    Poutine a également rencontré le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien, Ali Ahmadian. Poutine a confirmé qu’il attendait une nouvelle visite du président iranien Masoud Pezeshkian en Russie, en plus du sommet des BRICS, pour signer leur nouvel accord de partenariat stratégique.

    La géoéconomie est essentielle. Le développement du corridor international de transport Nord-Sud (INSTC) a été confirmé comme une priorité absolue entre la Russie et l’Iran.

    Choïgou a pour sa part confirmé : « Nous sommes prêts à étendre la coopération entre nos conseils de sécurité. » L’accord sera bientôt signé par les deux présidents. De plus, Choïgou a ajouté que l’entrée de l’Iran dans les BRICS fait progresser la coopération entre les membres pour former une « architecture commune et indivisible de sécurité stratégique et un ordre mondial polycentrique équitable ».

    Comparons maintenant cela à la nouvelle « stratégie » collective occidentale – adoptée par les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne : une nouvelle vague de sanctions contre l’Iran liée à l’affaire des missiles iraniens transférés à la Russie.

    Ahmed Bakhshaish Ardestani, membre de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Parlement iranien, a confirmé en début de semaine que l’Iran envoyait des missiles et des drones à la Russie dans le cadre de leurs accords de défense.

    Mais le cœur de l’histoire est que ces missiles sont de toute façon russes ; ils sont simplement produits en Iran.

    Alors que la sécurité était discutée à Saint-Pétersbourg, la Chine accueillait le Forum des BRICS sur le partenariat pour une nouvelle révolution industrielle 2024 à Xiamen, dans la province du Fujian.

    Parlons de la coopération interdépendante des BRICS : alors que l’Iran, sous sanctions, tente d’accéder à de nouvelles technologies industrielles, la collaboration Iran-Chine sur tous les domaines, de l’IA aux technologies vertes, va encore s’intensifier à l’avenir.

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  72. Une nouvelle architecture de sécurité eurasienne

    Le cœur du problème est le statut croissant de la Chine en tant que première puissance commerciale mondiale – alors que des dizaines de pays du Sud global s’adaptent au fait que l’interaction avec la Chine est le vecteur privilégié pour améliorer leur propre niveau de vie et leur développement socio-économique. Ce changement monumental dans les relations internationales réduit l’Occident collectif à une bande de poulets sans tête.

    La montée en puissance de la Chine se reflète dans tous les grands mouvements géoéconomiques : du RCEP (Regional Comprehensive Economic Partnership), un méga accord de libre-échange inter-Asie (ALE) aux innombrables ramifications des projets Belt and Road Initiative (BRI), jusqu’à la coopération BRICS+. L’avenir de toutes les nations du Sud global concernées passe par un rapprochement de plus en plus étroit avec la Chine.

    En revanche, l’hégémon – et cela est bipartisan, depuis la ploutocratie raréfiée jusqu’à la Chine – ne peut tout simplement pas envisager un monde qu’il ne contrôle pas. Une UE sujette à une désagrégation aiguë « raisonne » essentiellement dans le même sens. Pour l’ensemble de l’Occident, le désir dément de maintenir l’hégémonie tout en empêchant la montée de la Chine est insoutenable.

    Ajoutez à cela l’obsession folle de l’administration américaine actuelle d’infliger une « défaite stratégique » à la Russie depuis qu’elle a rejeté la proposition de Moscou de fin 2021 pour une nouvelle architecture de sécurité européenne, en réalité une « indivisibilité de la sécurité » concernant l’ensemble de l’Eurasie.

    Ce nouveau système de sécurité pan-eurasien proposé par Poutine a été discuté en détail lors du dernier sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS). Poutine a d’ailleurs déclaré qu’une « décision a été prise de transformer la structure antiterroriste régionale de l’OCS en un centre universel chargé de répondre à l’ensemble des menaces à la sécurité ».

    Tout a commencé avec le concept de « Grand partenariat eurasien », que Poutine a avancé fin 2015. Il a été affiné lors de son discours annuel à l’Assemblée fédérale en février dernier. Puis, lors d’une réunion avec des diplomates russes clés en juin, Poutine a souligné que le moment était venu de lancer une discussion globale sur les garanties bilatérales et multilatérales intégrées dans une nouvelle vision de la sécurité collective eurasienne.

    L’idée, dès le départ, a toujours été inclusive. Poutine a souligné la nécessité de créer une architecture de sécurité ouverte à « tous les pays eurasiens qui souhaitent y participer », y compris « les pays européens et de l’OTAN ».

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  73. Ajoutez à cela la volonté de mener des discussions avec toutes sortes d’organisations multilatérales à l’échelle de l’Eurasie, telles que l’État fédéré de Russie et de Biélorussie, l’OTSC, l’UEE, la CEI et l’OCS.

    Fondamentalement, cette nouvelle architecture de sécurité devrait « éliminer progressivement la présence militaire des puissances extérieures dans la région eurasienne ». Traduction : OTAN.

    Et sur le front géoéconomique, outre le développement d’une série de corridors de transport internationaux à travers l’Eurasie tels que l’INSTC, le nouvel accord devrait « établir des alternatives aux mécanismes économiques contrôlés par l’Occident », de l’élargissement de l’utilisation des monnaies nationales dans les règlements à l’établissement de systèmes de paiement indépendants : deux priorités majeures des BRICS, qui figureront en bonne place au sommet de Kazan le mois prochain.

    Nous voulons une guerre sur trois fronts

    En l’état actuel des choses, un Washington sourd, muet et aveugle reste obsédé par son objectif déclaré unique d’infliger une défaite stratégique à la Russie.

    L’ambassadeur russe aux États-Unis, Anatoli Antonov, en est venu à la conclusion suivante : « Il est impossible de négocier avec les terroristes », ajoutant qu’« aucun plan ou soi-disant « initiative de paix » visant à mettre un terme aux hostilités en Europe de l’Est sans tenir compte des intérêts nationaux de la Russie n’est possible. Les conférences ne serviront à rien, aussi joliment nommées soient-elles. Comme dans les années de la Grande Guerre patriotique, le fascisme doit être éradiqué. Les buts et objectifs de l’opération militaire spéciale seront atteints. Personne ne doit douter que ce soit exactement ainsi que cela va se passer. »

    Et cela nous amène à la conjoncture actuelle. Il n’y a que deux options pour la guerre par procuration des États-Unis contre la Russie en Ukraine : une capitulation inconditionnelle de Kiev ou une escalade vers une guerre de l’OTAN contre la Russie.

    Riabkov ne se fait aucune illusion – même s’il le dit de manière très diplomatique :

    « Les signaux et les actions dont nous sommes témoins aujourd’hui visent à l’escalade. Cette remarque ne nous forcera pas à changer de cap, mais créera des risques et des dangers supplémentaires pour les États-Unis et ses alliés, clients et satellites, où qu’ils se trouvent. »

    Après avoir bombardé le concept de diplomatie, l’hégémon a également bombardé le concept de sécurité. La démence aiguë au sein du Think Tankland américain a même atteint le point de rêver d’une guerre sur trois fronts. Et cela de la part d’une « nation indispensable » dont la puissante marine a été complètement humiliée par les Houthis dans la mer Rouge.

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  74. C’est vraiment un spectacle pour les âges de voir la ploutocratie d’une nation sauvage de plus de 200 ans qui a essentiellement pillé la plupart de ses terres à d’autres croire qu’elle peut simultanément défier les Perses, les Russes et une civilisation asiatique avec 5 000 ans d’histoire enregistrée. Eh bien, les sauvages seront toujours des sauvages.

    The views of individual contributors do not necessarily represent those of the Strategic Culture Foundation.

    https://www.lewrockwell.com/2024/09/no_author/brics-the-rise-of-china-and-how-the-hegemon-buried-the-concept-of-security/

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  75. Vers un « nouvel ordre mondial numérique oppressif »

    Conférence de l’ONU « Le monde du futur ». 22-23 septembre 2024. « Paquet d’esclavage » sans frontières, contrôle numérique de 8 milliards de personnes


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale
    16 septembre 2024


    Dans moins de deux semaines, les Nations Unies présenteront lors d’une session spéciale – les 22 et 23 septembre – de leur réunion annuelle de l’ONU 2024 à New York, le Monde du futur. Il s’agit d’un monde entièrement numérisé. Pour la réunion de l’AG de l’ONU, un « paquet » de numérisation mondiale a été préparé par les gouvernements allemand et namibien. Bien sûr, avec « l’aide » des grandes entreprises technologiques et de la grande finance.

    Ce paquet d’esclavage numérique sera adopté sous l’exclusion presque totale du public, des gens comme vous et moi.

    La plupart des parlements et des gouvernements du monde entier ont apparemment déjà accepté cette proposition, de sorte que la présentation et la prétendue discussion lors de la Conférence annuelle de l’ONU ne sont qu’une feuille de vigne, une simple farce.

    Il s’agit d’une nouvelle façon « fondée sur des règles » de forcer une population entière à se plier à un carcan numérique dont il est presque impossible de sortir.

    Les gens n’ont été consultés ni même informés nulle part. Les gouvernements du monde entier ont été contraints par des pouvoirs en place anonymes d’accepter une numérisation complète de notre avenir – ce que le WEF appelle la 4e révolution industrielle.

    Chers amis, elle est là !

    N’attendez pas la fin de l’Agenda 2030 de l’ONU. Les objectifs ont été avancés de manière opportune. Vous – et moi – serons confrontés à l’élimination de l’argent liquide, déjà entamée dans de nombreux pays européens et dans une certaine mesure aux États-Unis ; et même dans certains « pays en développement » comme l’Inde, sans le consentement des populations.

    Tout sera contrôlé : nos dépenses, nos données de santé, notre alimentation et nos habitudes alimentaires, nos voyages, nos préférences de téléspectateurs, nos favoris à la radio, nos amis avec qui nous nous rencontrons et communiquons régulièrement, ainsi que d’autres du camp de l’opposition, nos habitudes d’achat et de dépenses, etc., tout cela sera contrôlé numériquement par le système de contrôle informatique et numérique des entreprises.

    Lire l’article complet ici (en allemand).

    Le moyen de le faire est le code QR à l’aspect inoffensif qui a été introduit progressivement et doucement au cours des deux dernières décennies – et qui est aujourd’hui devenu une apparition courante dans notre vie quotidienne. Dans de nombreux cas, vous ne pourrez peut-être pas lire un menu de restaurant sans le télécharger sur votre code QR personnel.

    Qui, selon vous, contrôlera tous les codes QR personnels ?

    Exactement, vous avez deviné juste.

    QR signifie Quick Response. C’est un code-barres sous stéroïdes. Alors que le code-barres contient des informations horizontalement, le code QR le fait à la fois horizontalement et verticalement. Le code-barres matriciel bidimensionnel a été inventé en 1994 par la société japonaise Denso Wave, à l’origine pour étiqueter les pièces automobiles.

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  76. Les maniaques du contrôle occidental ont rapidement découvert son potentiel et l’ont capturé pour leur « programme diabolique pour l’avenir de l’humanité », laissé au monde informatique des entreprises (d’une valeur combinée d’environ 3 à 4 billions de dollars) pour l’administrer et l’imposer à l’humanité. Un code QR individuel a une capacité de stockage pratiquement illimitée. Il vous connaît donc peut-être mieux que vous-même.

    Le débat ou les « négociations » pour ce pacte numérique ont lieu officiellement les 20 et 21 septembre à huis clos, pendant l’Assemblée générale des Nations unies, mais le contexte a été discuté et convenu dans plusieurs itérations clandestines, également appelées révisions 2 et 3, qui sont publiées sur le site Web de l’ONU pour le « Sommet du futur ». Voir ceci.

    Malheureusement, presque personne ne connaît cette page et encore moins la lit. Si les gens étaient mieux informés et plus informés ou voulaient s’informer, nous ne nous trouverions peut-être pas devant l’abîme numérique, comme nous le sommes aujourd’hui.

    On ne sait pas exactement quelles étaient les entreprises, les entreprises informatiques et la société civile qui participaient à ces « négociations » secrètes. Mais il est certain que le Forum économique mondial (WEF) et le Club de Rome, tous deux basés dans le « paradis » suisse (on ne répétera jamais assez à quel point la Suisse « neutre » accueille la majeure partie de ces organisations maléfiques, dont le but est de réduire et de contrôler l’humanité), ont participé à la rédaction initiale et aux révisions ultérieures.

    Le pacte numérique ne laisse aucune place aux choix humains. Il n’existe aucune « option volontaire ». En d’autres termes, un individu ne peut pas dire : « Merci, mais non merci, je préfère me retirer de ce monde numérique ». Les gens sont forcés d’entrer dans ce système, quoi qu’il arrive. C’est le plan.

    Le choix des gouvernements de participer a également été bloqué, car on leur a dit que c’était une obligation, sinon. Nous savons ce que signifie « sinon ».

    Il n’y a aucune exception autorisée dans la « numérisation complète » car cela jetterait le contrôle mondial, ou le contrôle mondialiste, par la fenêtre, ou aux loups, pour ainsi dire.

    Les exceptions constitueraient un obstacle définitif à l'avènement de l'ordre mondial unique.

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  77. Le pacte explique clairement les énormes avantages offerts au bien-être humain par les technologies numériques. Il est donc impératif qu’aucun fossé ne subsiste entre les peuples et les pays, que TOUS naviguent sur la même longueur d’onde – à savoir entièrement numérique.

    L’objectif du bien-être humain global, tel qu’il est expliqué dans le pacte – pas de guerres, pas de conflits, pas de pollution, pas de bruit, des maladies sous contrôle, etc. – justifie l’évolution rapide vers une numérisation totale ou totale.

    Sans le dire directement, il s’agit de la première étape vers un ordre mondial unique et un gouvernement mondial unique. Ce dernier est exécuté par l’ONU, avec un cadre politique établi par le WEF, et une tyrannie de type GESTAPO imposée par l’OMS.

    L’ONU a été pleinement cooptée dans cette entreprise de destruction de l’humanité qui, avec le recul, remonte aux 20 dernières années, alors que l’humanité était plongée dans un profond sommeil. L’accord de coopération entre l’ONU et le WEF, signé en juin 2019, a finalement été officialisé. Il est illégal en soi, car l’ONU ne peut pas conclure d’accords avec les ONG, mais il est de facto sans importance dans un monde ordonné par des règles.

    En outre, les ressources et le budget de l’ONU, qui dépendent actuellement principalement des contributions des pays membres, pourraient être facilement remplacés par les payeurs au pouvoir, les Big Tech et les Big Finance, qui finiront par prendre les décisions. À juste titre dans le monde d’aujourd’hui, où « qui paie décide » est un mandat.

    Les futures réunions annuelles de l’ONU pourraient être considérées comme des réunions d’actionnaires pro forma, ou, selon les termes du WEF, des « réunions des parties prenantes », sans avoir en fait le pouvoir de changer de direction ou de tracer une voie différente, plus humaine.

    La gestion numérique est aux commandes, avec une (trans)humanité sans voix qui suit presque aveuglément. Ceux qui ne sont pas aveugles et qui peuvent résister peuvent facilement être éliminés numériquement. Personne ne s’en soucie. M. « numérique » ne peut pas être accusé de meurtre. L’ordre fondé sur des règles n’a pas la notion de meurtre ; Il s’agit tout simplement d’une disparition numérique.

    Dans les rangs des services consultatifs les plus proches de l’ONU, nous devons nous attendre à trouver les grandes entreprises technologiques de l’informatique. Ce sont elles qui décideront des orientations numériques, car elles sont le scénario de la grande finance, jusqu’ici inconnue.

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  78. Avons-nous, l’humanité, un choix, une alternative, un moyen de sortir de cette emprise numérique ? Nous en avons, mais seulement si nous prenons conscience de ce qui est prévu, si nous en reconnaissons les implications et si nous agissons non pas en tant qu’individus, mais si nous sommes prêts à abandonner l’individualisme « imposé par le système » et à adopter le principe « Ensemble, nous pouvons ».

    The original source of this article is Global Research.

    https://www.lewrockwell.com/2024/09/no_author/towards-an-oppressive-digital-new-world-order/

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  79. Démantèlement de l’Amérique


    Par Valerie Protopapas
    16 septembre 2024


    Abraham Lincoln a assassiné des milliers de personnes pour maintenir « l’Union » unie. Il n’avait pas besoin de s’en soucier. Aujourd’hui, l’Amérique se démantèle tranquillement par le biais d’une invasion qui a été qualifiée à tort d’immigration. Pendant longtemps, cette affaire a été gardée relativement secrète, même si les Américains n’ont pas été aveugles au fait que les « coutumes » de notre nation sont en train d’être remodelées à l’image non seulement de l’Europe, mais surtout de ces « nations » du tiers monde d’où sont originaires nombre de nos nouveaux « voisins ». On ne trouve pas d’exemple plus évident de cette lente dégradation que le nouveau drapeau proposé pour l’État du Minnesota (frontière Canada, avec Dakota à l'Ouest et Wisconsin à l'Est).

    Selon Wikipédia, « le Minnesota est un État de la région du Midwest supérieur des États-Unis. C’est le 12e État américain le plus grand en superficie et le 22e le plus peuplé, avec plus de 5,75 millions d’habitants. Le Minnesota abrite des prairies occidentales, aujourd’hui consacrées à l’agriculture intensive ; des forêts caduques dans le sud-est, aujourd’hui partiellement défrichées, cultivées et habitées ; et les forêts du nord, moins peuplées, utilisées pour l’exploitation minière, la foresterie et les loisirs. » De plus, selon ce site Internet, bien que l’État n’ait pas de « langue officielle », 88,9 % des Minnesotans parlent anglais tandis que les autres langues sont l’espagnol, le somali et le hmong, une langue d’un peuple vivant dans une région de Chine.

    La plupart des gens devraient se rendre compte que le Minnesota n’est pas vraiment un « État d’immigration », étant situé à une grande distance des États côtiers et des villes qui sont généralement la cible des immigrants. Personne de Somalie – et le Minnesota compte le plus grand nombre de Somaliens vivant dans ce pays – n’aurait pu arriver en traversant une frontière à pied ! En d’autres termes, si des Somaliens sont présents en grand nombre au Minnesota, cela signifie que quelqu’un les y a amenés ! Ces personnes n’ont certainement pas été déplacées au Minnesota parce que le climat était propice à leur ancienne vie en Afrique ! En Floride ? Au Texas ? En Louisiane ? Au Mississippi ? En Arizona, etc. ? Oui. Ces États ont un climat bien plus propice aux Africains que le Minnesota ! Il semble donc qu’il y ait une raison au choix du Minnesota, une raison qui semble aujourd’hui « porter ses fruits », pour ainsi dire, puisque la force de cette minorité au sein d’un État américain a, malgré son nombre, pris le contrôle de son hôte.

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  80. Et « hôte » est un bon terme ici ! Les Somaliens n’ont rien apporté au Minnesota qui fasse d’eux une « étoile directrice » pour l’avenir de cet État ! Selon John Palmer, professeur retraité de l’université d’État de St. Cloud, compte tenu des données démographiques et des statistiques, la population somalienne de l’État a un taux de pauvreté et de chômage plus élevé et un pourcentage plus faible de personnes à la recherche d’un emploi que « la plupart » des autres groupes de l’État. Bien sûr, le terme « la plupart » utilisé ici peut être considéré comme un moyen de détourner les critiques contre Palmer pour avoir trouvé des problèmes avec n’importe quel groupe noir. Et, bien sûr, bien qu’il s’agisse du plus grand contingent de Somaliens en Amérique, il est petit de par la nature même de ses origines. La Somalie n’est pas la France, le Mexique ou l’Inde. C’est un pays relativement petit, même en Afrique. Comparée aux États-Unis, la Somalie est quinze fois plus petite et compte 325 millions de personnes de moins que la nôtre. Alors pourquoi non seulement y a-t-il un grand nombre de personnes originaires de ce petit pays africain vivant aux États-Unis, mais pourquoi semblent-elles toutes concentrées dans le Minnesota, un État qui ne semble pas avoir d’attrait possible pour ce type d’immigrants, compte tenu de sa situation et de son climat ! Il est évident que les Somaliens ne sont pas « venus » dans le Midwest supérieur, mais qu’ils y ont plutôt été envoyés.

    Cependant, il y a une chose que le Minnesota a, c’est qu’il n’a aucun intérêt réel pour le reste du pays. Faites quelque chose en Californie, à New York, au Texas ou en Floride, et la nation s’en aperçoit. Faites quelque chose au Minnesota, et les gens, s’ils disent quoi que ce soit, diront : « Où ? » Oui, il était infiniment plus facile de semer des gens du tiers monde inaptes à vivre dans un pays du premier monde dans une région où peu de gens des couches supérieures de la culture prêteraient attention. Quand un New Yorkais demande : « Que se passe-t-il au Minnesota ? » Eh bien, il se peut qu’il commence à se poser cette question maintenant. Pourquoi ? Parce que le Minnesota adopte un nouveau drapeau d’État ! Pour voir la pertinence de ce fait, nous devons nous rappeler que la célèbre représentante Ilhan Omar est une Somalienne de la région du Puntland de ce pays. Le nouveau drapeau d’État proposé correspond bien plus au pays d’origine de cette représentante qu’à l’État qu’elle « représente » désormais. L’ancien drapeau d’État est retiré à cause de l’affirmation politiquement correcte du WOKE selon laquelle il est offensant pour les « Amérindiens ». Bien sûr, de telles affirmations sont tout ce qui est acceptable aujourd’hui. C’est pourquoi nous nous débarrassons des vieux drapeaux, démolissons les monuments et, en général, purgeons l’histoire de ce pays que nos élites actuelles souhaitent détruire.

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  81. Il n’est donc plus nécessaire d’expliquer ce qui se passe, car c’est devenu si évident que même les « Américains » d’aujourd’hui peuvent voir et comprendre, à condition, bien sûr, qu’ils le souhaitent. Les trois drapeaux ci-dessous sont les suivants : le drapeau original de l’État du Minnesota, son remplaçant « suggéré » et le drapeau de la région du Puntland en Somalie d’où est originaire le représentant Omar. Bien sûr, la question est infiniment facilitée par le fait que le gouverneur actuel du Minnesota est un certain Tim Walz du Parti démocrate-paysan-travailliste (DFL). Après avoir quitté l’armée, l’Université de Harvard a offert à ce monsieur « une opportunité d’acquérir une nouvelle perspective sur l’éducation mondiale » en enseignant en République populaire de Chine de 1989 à 1990, où il a rejoint l’un des premiers groupes d’enseignants américains approuvés par le gouvernement pour travailler dans des lycées chinois. D’une certaine manière, je ne crois pas que cette expérience ait renforcé sa loyauté envers le concept d’individus, qu’il s’agisse de nations ou de peuples, et on soupçonne que le gouverneur Walz est plus que favorable à toute tentative de mondialisation, même au Minnesota.

    - voir drapeaux sur site :

    https://www.lewrockwell.com/2024/09/valerie-protopapas/disassembling-america/

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  82. L’avenir de l’Occident est en danger


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    16 septembre 2024


    Comme je l’ai dit, le refus de Poutine de remporter rapidement le conflit avec l’Ukraine a élargi le conflit aux prémices de la troisième guerre mondiale.

    Poutine lui-même reconnaît désormais ce fait. En réponse à la question d’un journaliste sur les conséquences de ce qui semble être une décision des États-Unis et du Royaume-Uni d’autoriser les frappes de missiles depuis l’Ukraine jusqu’en Russie, Poutine a déclaré :

    « L’armée ukrainienne n’est pas capable d’utiliser des systèmes de pointe à longue portée et de haute précision fournis par l’Occident. Elle ne peut pas le faire. Ces armes sont impossibles à utiliser sans les données de renseignement provenant de satellites dont l’Ukraine ne dispose pas. Cela ne peut se faire qu’en utilisant les satellites de l’Union européenne, ou des satellites américains – en général, les satellites de l’OTAN. C’est le premier point.

    « Le deuxième point – peut-être le plus important, le point clé même – est que seul le personnel militaire de l’OTAN peut assigner des missions de vol à ces systèmes de missiles. Les militaires ukrainiens ne peuvent pas faire cela.

    « Il ne s’agit donc pas de permettre au régime ukrainien de frapper la Russie avec ces armes ou non. Il s’agit de décider si les pays de l’OTAN s’impliquent directement ou non dans le conflit militaire.

    « Si cette décision est prise, cela ne signifiera rien de moins qu’une implication directe – cela signifiera que les pays de l’OTAN, les États-Unis et les pays européens sont parties prenantes à la guerre en Ukraine. Cela signifiera leur implication directe dans le conflit, et cela changera clairement l’essence même, la nature même du conflit de manière radicale.

    « Cela signifiera que les pays de l’OTAN – les États-Unis et les pays européens – sont en guerre avec la Russie. Et si tel est le cas, alors, en gardant à l’esprit le changement de l’essence du conflit, nous prendrons les décisions appropriées en réponse aux menaces qui nous seront posées. »

    Mes commentaires sont les suivants :

    Poutine est en guerre avec l’OTAN depuis la Conférence de Munich sur la sécurité de 2007, lorsque Poutine a annoncé qu’un monde multipolaire remplacerait l’ordre unipolaire de Washington. En d’autres termes, il a jeté le gant aux néoconservateurs et à leur programme d’hégémonie de Washington.

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  83. Nous devons être honnêtes. C’est une représentation correcte de l’Amérique et de l’Occident tout entier aujourd’hui. Tous les gouvernements occidentaux sont du côté des envahisseurs immigrés contre les citoyens ethniques qui composent les pays.

    Maintenant, dites-moi, comment un système social, politique et de croyance aussi faible peut-il entrer en guerre contre des personnes réelles comme les Russes, les Chinois, les Iraniens ? Ils ne le peuvent pas.

    The only future the Western world has is Doom.

    https://www.lewrockwell.com/2024/09/paul-craig-roberts/doom-is-the-wests-future/

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  84. De nos jours, le discours et les écrits politiques sont en grande partie la défense de l’indéfendable. Des choses comme le maintien de la domination britannique en Inde, les purges et les déportations russes, le largage des bombes atomiques sur le Japon, peuvent en effet être défendus, mais seulement par des arguments trop brutaux pour la plupart des gens et qui ne cadrent pas avec les objectifs déclarés des partis politiques. Ainsi, le langage politique doit être en grande partie constitué d’euphémismes, de pétitions de principe et de vagues vagues. Des villages sans défense sont bombardés par les airs, les habitants chassés dans la campagne, le bétail mitraillé, les huttes incendiées par des balles incendiaires : c’est ce qu’on appelle la pacification. Des millions de paysans sont dépouillés de leurs fermes et envoyés sur les routes avec tout ce qu’ils peuvent porter : c’est ce qu’on appelle transfert de population ou rectification des frontières. Des gens sont emprisonnés pendant des années sans procès, ou abattus d’une balle dans la nuque, ou envoyés mourir du scorbut dans des camps de bûcherons de l’Arctique : c’est ce qu’on appelle l’élimination des éléments peu fiables. Une telle phraséologie est nécessaire si l’on veut nommer les choses sans évoquer des images mentales. Prenons par exemple un professeur d’anglais qui défend le totalitarisme russe. Il ne peut pas dire d’emblée : « Je crois qu’il faut tuer ses adversaires quand on peut obtenir de bons résultats en le faisant ». Il dira probablement quelque chose comme ceci :

    Tout en admettant volontiers que le régime soviétique présente certains traits que les humanitaires peuvent être enclins à déplorer, nous devons, je crois, admettre qu’une certaine restriction du droit à l’opposition politique est un corollaire inévitable des périodes de transition et que les rigueurs que le peuple russe a été appelé à subir ont été amplement justifiées dans le domaine des réalisations concrètes.

    Le style gonflé est lui-même une sorte d’euphémisme. Une masse de mots latins tombe sur les faits comme de la neige molle, brouillant les contours et masquant tous les détails. Le grand ennemi du langage clair est l’insincérité. Lorsqu’il y a un écart entre les objectifs réels et les objectifs déclarés, on se tourne comme instinctivement vers de longs mots et des idiomes épuisés, comme une seiche qui crache de l’encre. À notre époque, il n’existe pas de « se tenir à l’écart de la politique ». Toutes les questions sont des questions politiques et la politique elle-même est une masse de mensonges, de dérobades, de bêtises, de haine et de schizophrénie. Quand l’ambiance générale est mauvaise, la langue doit en souffrir.

    This originally appeared on Courageous Discourse.

    https://www.lewrockwell.com/2024/09/no_author/politics-and-the-english-language-3/

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  85. Elon Musk sur la différence entre un ingénieur et un entrepreneur


    Foundation for Economic Education
    14 septembre 2024


    L’ingénierie est un outil important pour la société, mais nous devons en reconnaître les limites.
    Voici un tweet très intéressant mettant en évidence certains commentaires d’Elon Musk :

    https://x.com/elon_docs/status/1810974582053933266

    Les commentaires de Musk m’ont intéressé parce qu’ils soulignent l’une des distinctions les plus mal comprises dans le monde de la politique : les problèmes d’ingénierie par rapport aux problèmes économiques.

    Examinons ces deux types de problèmes pour comprendre pourquoi Musk a raison de critiquer la suroptimisation des ingénieurs.

    Problèmes d’ingénierie

    Pour comprendre la différence entre les problèmes d’ingénierie et les problèmes économiques, il est utile d’utiliser un outil visuel. Le graphique ci-dessous représente les niveaux possibles de production de deux biens : les pizzas et les fusées. Les économistes appellent ce type de graphique la frontière des possibilités de production. Pour les besoins de notre exemple, nous supposerons que tous les autres biens susceptibles d’être produits sont maintenus constants.

    - voir graph sur site -

    Pour comprendre ce que montre la figure ci-dessus, nous pouvons commencer par regarder la ligne bleue. La ligne bleue représente les différentes combinaisons de production qu’une société peut produire au maximum. Considérons le point A, qui se trouve sur la ligne bleue. Le point A indique qu’avec le travail et le capital disponibles dans la société, le nombre maximum de fusées pouvant être produites est de 18. Si vous produisez 18 fusées, il n’y a pas de travailleurs ou de machines pour produire des pizzas.

    Si vous voulez aussi avoir des pizzas, vous devrez libérer des travailleurs et des matériaux pour la fabrication des pizzas. En d’autres termes, plus de pizzas signifie moins de fusées. Imaginez que vous passiez au point B. Vous passez de 0 à 150 pizzas, mais vous perdez deux fusées.

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  86. C’est vrai parce que les ressources sont rares. À court terme, le nombre de travailleurs, de matériaux et de capitaux utilisés pour produire des pizzas ou des fusées est limité. Par conséquent, si vous utilisez vos ressources au maximum de leur capacité, obtenir plus de pizzas signifie renoncer à des fusées.

    Considérons maintenant le point E. Au point E, la société produit 10 fusées et 150 pizzas. Ce qui est intéressant à propos de ce point, c’est qu’il se situe à l’intérieur de la ligne bleue. En d’autres termes, vous produisez moins de biens que ce qui est possible. Par exemple, il est possible de produire plus de pizzas (240) et le même nombre de fusées (10), comme le montre le point C.

    Les économistes qualifient le point E de technologiquement inefficace parce qu’il est technologiquement possible de produire davantage d’un bien sans renoncer à la production d’un autre bien.

    Le passage de l’intérieur de la courbe (point E) à un point situé le long de la courbe (comme le point C) est un problème d’ingénierie. Si la société améliorait la productivité du travail ou la façon dont le capital est utilisé, elle pourrait augmenter la production sans sacrifice.

    Ce processus est similaire à celui dont parle Musk. Passer du point E au point C, c’est ce que Musk appelle l’optimisation.

    Problèmes économiques

    Cependant, tous les problèmes ne sont pas des problèmes d’ingénierie. Remarquez que chaque point de la courbe est technologiquement efficace. Les points A, B, C, D et chaque point de la courbe sont des endroits où la production est optimisée d’un point de vue technique.

    Mais cela n’implique pas que tous les points de la courbe soient également bons ! Seriez-vous heureux dans un monde où toutes les pizzerias seraient fermées et où les travailleurs construiraient des fusées à la place ? Si vous achetez des pizzas dans le monde réel, vous montrez que vous voulez que les ressources soient utilisées pour produire des pizzas.

    Parmi les alternatives technologiquement possibles, quel est donc le meilleur modèle de production ? En d’autres termes, quel point est économiquement efficace ? Cette question constitue le problème économique. L’économie s’intéresse à la manière dont les individus organisent les institutions pour faciliter les échanges qui orientent les ressources vers des utilisations de plus ou moins grande valeur.

    Nous ne pouvons pas savoir à l’avance quelle combinaison reflète le mieux les préférences des consommateurs. Nous pouvons savoir quelle combinaison nous préférons personnellement, mais notre goût individuel pour les pizzas et les fusées ne reflète pas les valeurs de tous les membres de la société.

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  87. Comment faire face à ce problème en tant que société ? Différentes sociétés ont résolu ce problème de manière différente. Sur les marchés, les entrepreneurs qui achètent des intrants et les combinent pour obtenir des produits que les consommateurs désirent réalisent un profit. Ce comportement de recherche de profit pousse les intrants à passer d’utilisations de moindre valeur à des utilisations de plus grande valeur. Ainsi, si le point C est le meilleur et que la société se trouve au point B, un entrepreneur peut réaliser des bénéfices en prélevant des ressources sur la production de fusées pour les affecter à la production de pizzas.

    D’autres sociétés ont tenté de résoudre ce problème par la planification centrale. Par exemple, l’Union soviétique a été louée pendant des décennies pour ses capacités de production. De nombreux économistes pensaient que les Soviétiques dépasseraient les États-Unis sur le plan économique.

    Cependant, un économiste, Murray Rothbard, a fait remarquer que la capacité de production des Soviétiques n’illustrait pas le fait qu’ils avaient résolu le problème économique. Rothbard a déclaré :

    Nous pouvons illustrer notre analyse en notant le tapage qui a été fait ces dernières années sur le taux de croissance soviétique supposé énorme. Curieusement, on constate que la « croissance » semble se produire presque exclusivement dans les biens d’équipement, tels que le fer et l’acier, les barrages hydroélectriques, etc., alors que rien ou presque de cette croissance ne semble jamais se répercuter sur le niveau de vie du consommateur soviétique moyen. Le niveau de vie du consommateur, cependant, est la condition sine qua non de tout le processus de production. La production n’a de sens que comme moyen de consommation. L’investissement dans les biens d’équipement ne signifie rien d’autre que le passage obligé vers une consommation accrue… Tout indique que le jour où le niveau de vie s’élèvera enfin n’arrivera presque jamais. En bref, l’« investissement » gouvernemental, comme nous l’avons noté plus haut, s’avère être une forme particulière de « consommation » gaspillée par les fonctionnaires.

    Pour traduire les termes avec lesquels nous avons travaillé, Rothbard souligne que la capacité de production des Soviétiques (résoudre le problème d’ingénierie) n’est pas identique à la production de bien-être pour les consommateurs (résoudre le problème économique).

    Nous pouvons maintenant revenir aux commentaires de Musk pour trouver l’idée fondamentale. L’ingénierie peut répondre à la question « Comment optimiser ce processus ? » mais, comme le souligne Musk, elle ne peut pas répondre à la question « Faut-il produire quelque chose ? ».

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  88. La question de savoir comment produire au mieux quelque chose est différente de celle de savoir s’il est utile ou non de le produire. Le processus d’amélioration de la société en décidant de la manière d’allouer des ressources limitées ne peut pas être accompli uniquement par l’ingénierie. Dans un excellent article, les économistes David Skarbek et Peter Leeson posent la question suivante : « Que peut faire l’aide ? ».

    Les auteurs soulignent que l’aide étrangère peut augmenter les résultats. Par exemple, l’injection d’argent dans l’éducation dans les pays en développement peut augmenter le taux d’alphabétisation. Mais ce n’est pas la même chose que la croissance économique. Ils écrivent :

    [Les succès de l’aide étrangère] sont des succès d’augmentation d’un résultat prédéterminé en consacrant plus de ressources à sa production. Ce ne sont pas des succès économiques. L’aide ne peut pas, et n’a pas, augmenté la croissance économique. La croissance économique nécessite une solution au problème économique de l’allocation des ressources de manière à maximiser leur valeur.

    Musk a donc raison. L’ingénierie est un outil important pour la société, mais nous devons reconnaître ses limites. Le succès sociétal ne peut être atteint uniquement par des experts en optimisation. L’épanouissement humain dépend également des entrepreneurs qui posent une question très différente : ce processus d’optimisation devrait-il même exister en premier lieu ?

    Article original publié dans la Foundation for Economic Education.

    https://www.contrepoints.org/2024/09/14/478777-elon-musk-sur-la-difference-entre-un-ingenieur-et-un-entrepreneur

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    Réponses
    1. Pareillement que si un gros con investit dans des éoliennes tout en sachant par avance qu'elles ne fonctionneront jamais et ne seront jamais rentables, c'est là de l'argent qui ne profitera jamais à la constructions d'écoles, de routes ou à la retraite des personnes âgées !

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  89. Un appel téléphonique farfelu révèle des secrets au ministre polonais des Affaires étrangères


    14 septembre 2024
    de Thomas Oysmüller


    Les ministres des Affaires étrangères polonais ont été surpris par les comédiens téléphoniques russes. Il a parlé des plans de l'OTAN et de la Pologne, de Nordstream et de l'état désolé de l'Ukraine.

    Les comédiens russes Vovan & Lexus ont encore frappé. Ils se font passer pour des politiciens ukrainiens et téléphonent aux plus hauts responsables politiques occidentaux. Des gens comme le maire de Vienne Michael Ludwig, la patronne de la BCE Christine Lagarde, l'ancien président français François Hollande, un Rothschild et bien d'autres sont déjà tombés dans le piège. Cette fois, ils ont attrapé le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski, devenu célèbre avec son tweet Nord Stream « Merci, États-Unis ».

    Lignes rouges de l'OTAN

    Sikorski est marié à Anne Applebaum. Elle est l’une des propagandistes les plus importantes de la faction belliciste néoconservatrice de Washington. Ce n’est pas la seule raison pour laquelle il est considéré comme bien informé.

    Dans la conversation - Sikorski croit être au téléphone avec l'Ukrainien Peter Porochenko - il déclare très clairement que la Pologne et probablement le reste de l'OTAN n'ont pour le moment aucune chance d'abattre des avions russes ou d'intervenir dans la guerre : Nous ne voulons pas pour confirmer ce dont Medvedev, Poutine et la propagande russe nous accusent.»

    En intervenant directement dans la guerre, ils ne veulent donc pas confirmer la Russie, qui accuse l’OTAN de trop intervenir. En fin de compte, Sikorski affirme que l'OTAN ne veut pas non plus s'appuyer sur une escalade totale, mais qu'elle connaît également des lignes rouges :

    "Il n'y a aucune volonté en Europe d'entrer en guerre contre la Russie, c'est une ligne rouge absolue."

    Le blogueur Simplicius souligne :

    C’est une bonne nouvelle car cela montre qu’il y a des têtes plus sensées et plus calmes dans les coulisses en Europe qu’on ne l’imagine parfois. Sikorski admet même qu'une grande partie de son apparition est destinée au bien du public, pour « étonner » Poutine – une partie de la fameuse « ambiguïté stratégique » à laquelle l'Europe a recouru en désespoir de cause.

    Mais cela pourrait certainement changer. L’Ukraine ne doit pas « perdre » Odessa et ne pas laisser la Russie « couler dans le fleuve ». Ce serait une catastrophe pour l’Ukraine. Si « le front commence à s’effondrer », la position de la Pologne concernant sa participation directe à la guerre pourrait encore changer.

    C’est l’un des aveux les plus clairs que nous ayons entendus jusqu’à présent de la part de hauts responsables politiques selon lesquels l’OTAN pourrait très bien entrer dans le conflit.

    Mais Sikorski en a parlé beaucoup plus – ce n’est pas étonnant que l’on n’entende rien à ce sujet dans le courant dominant. Parce que c'est assez inconfortable. Quelques points de la conversation :

    Le plus gros problème en Ukraine est le réseau électrique, qui pourrait rendre des régions entières du pays inhabitables pendant une longue période. 70 % du réseau énergétique est actuellement détruit.
    L’attaque de Nord Stream est naturellement célébrée. Les Américains le savaient « à l’avance » et ne l’ont délibérément pas empêché. "Celui qui l'a fait a fait du bon travail."
    L’adhésion de l’Ukraine à l’UE est une chimère qui durera au moins plus d’une décennie.
    Les déserteurs ukrainiens ne sont pas les bienvenus dans l’UE
    Voici l'intégralité du discours technique :

    https://tkp.at/2024/09/14/telefonstreich-entlockt-polens-aussenminister-geheimnisse/

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  90. Les radars de covoiturage commencent à verbaliser


    France-Soir
    le 14 septembre 2024 - 17:00


    Alors même que les radars n’ont jamais rapporté autant d’argent à l’État, de nouvelles infractions inscrites au Code de la route vont permettre de faire monter un peu plus encore la note.

    Bien que la principale infraction mesurée par les radars soit la vitesse, certaines subtilités deviennent de plus en plus calculables par ces automates. Ainsi, comme le rapporte l'Internaute, une dizaine d’autres infractions vont être scrutées par ces machines, parmi lesquelles l’absence de port de la ceinture ou de respect des distances de sécurité. Le franchissement d’une ligne continue peut aussi faire l’objet d’une contravention par le biais des radars.

    Mais la nouvelle restriction est ailleurs. En effet, depuis quelques années, les voies de covoiturage s’immiscent sur les grandes voies. Principalement localisées sur la voie la plus à gauche, un losange sert à indiquer son existence. Tandis que la sensibilisation faisait son œuvre, de plus en plus de voies sont verbalisées depuis cet été. À cet effet, les radars sont mis à contribution pour contrôler la composition des habitacles et ainsi s’assurer qu’au moins deux personnes y sont présentes. Cependant, ils utilisent de leur côté des capteurs infrarouges afin d’identifier le nombre de personnes présentes. Le flash du radar automatique fera décaisser 135 euros.

    Alors que la mesure était censée entrer en application lundi 9 septembre à proximité de Grenoble, la mesure a nécessité un délai supplémentaire selon les informations de France Bleu Isère. Un retardement nécessaire pour permettre l’instruction de l’arrêté préfectoral. Un répit qui n’est pas présent partout. En effet, certaines villes telles Paris, Rennes ou Strasbourg ont sauté le pas et verbalisent déjà les conducteurs les moins attentifs.

    Bien que le panneau peine encore à se faire connaître, le lancement des amendes devrait aider à marquer les esprits des conducteurs et inciter à ne plus se déporter sur la voie de gauche lorsque celle-ci est annoncée par un losange.

    https://www.francesoir.fr/societe-transport/les-radars-de-covoiturage-commencent-verbaliser

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  91. Migration massive sans raison ni justice


    14 septembre 2024
    par Jan Müller


    Récemment, le TKP a publié plusieurs articles sur le thème de la migration massive. Cependant, ceux-ci sont généralement loin derrière les conclusions d’une opposition sociale et critique face au corona. Une objection.

    En Autriche notamment, plusieurs voix critiques à l’égard de l’immigration se sont également élevées dans le camp de gauche. Cela inclut non seulement l'éditeur Hannes Hofbauer avec son livre Critique de la migration [1] , mais surtout le groupe MAGIS (Marxisme contre l'islamisation) [2] . Ce n’est certainement pas un hasard si tous deux se sont retrouvés dans le camp des critiques à l’égard des mesures prises pendant la période Corona.

    Il faut dire que certaines des déclarations faites par Feistel/Lazić, qui traitent de la migration dans plusieurs articles du TKP, sont certainement exactes. Mais pour de nombreux lecteurs, le ton avec lequel ils ont été prononcés ne fait que confirmer leur perception selon laquelle les gauchistes sont arrogants et déconnectés de la réalité. Même s’ils affirment avoir eu l’intention d’unir les locaux et les migrants contre les capitalistes et les milliardaires, ils ont probablement réalisé exactement le contraire.

    Cet article vise à identifier les conditions préalables à la réalisation d’une politique aussi fondamentalement différente dans l’intérêt à la fois de la population native d’Europe et de la plupart des anciens migrants. Une condition préalable importante à cet égard est la reconnaissance des tristes réalités.

    Campagnes médiatiques contre les musulmans ou contre le « pain blanc » ?

    Dans un article du TKP du 8 septembre 2024 [3], Feistel et Lazić nient que les reportages des médias sur les meurtres au couteau soient basés sur une réelle augmentation des attaques. Cela fait plutôt partie d’une stratégie des médias traditionnels visant à raviver l’image d’ennemi de l’Islam, notamment en relation avec la guerre à Gaza. « L’incompétence politique, la prétendue bonne volonté d’un paysage partisan et médiatique de gauche vert et désemparé aurait assisté sans rien faire à la propagation de l’islam en Allemagne et aurait entrepris de prendre le contrôle du pays, de chasser les Allemands et même de les combattre ouvertement. » ]

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  92. En réalité, la situation était exactement le contraire. Les médias réveillés et de gauche verte ont essayé par tous les moyens d’éviter de rendre compte des nombreuses récentes attaques au couteau. S'ils rapportaient, ils le faisaient de manière extrêmement brève, délibérément sans mentionner l'origine de l'auteur et sans aucune empathie pour les victimes. Ce qui a été quelque peu réussi lors de l'attaque au couteau contre le critique islamique Michael Stürzenberger et le policier Rouven L. le 31 mai 2024, a ensuite échoué au vu des nombreuses autres attaques au couteau. En particulier, l’attaque au couteau à Solingen le 23 août 2024 lors du « Festival de la diversité », qui a fait trois morts et de nombreux blessés, ne pourrait plus être passée sous silence si les grands médias voulaient conserver une once de crédibilité. Cela était d’autant plus vrai que le pays se trouvait actuellement au milieu d’une campagne électorale cruciale au cours de laquelle l’AfD était censée réaliser des gains importants. Il est significatif qu’aucune de ces nombreuses attaques ne soit mentionnée par Feistel/Lazić. Cela donne en fait l’impression que les reportages ne sont que des « récits ».

    Le site Knife Incidence existe désormais. [5] Les attaques au couteau y sont automatiquement inscrites sur une carte. Cela signifie que très peu d'attaques au couteau qui apparaissent dans les rapports de police sont médiatisées dans les médias régionaux ou alternatifs. Parmi ceux-ci, très peu d’entre eux parviennent dans les médias grand public. Les grands médias sont donc loin de mener une campagne xénophobe ; Ils essaient plutôt de passer sous silence de tels incidents chaque fois que cela est possible.

    Lorsque des habitants auraient attaqué une jeune fille noire, les médias en font une affaire d’État. Mais lorsque les jeunes migrants battent assez régulièrement les jeunes locaux, cela est complètement ignoré. Après tout, le racisme anti-allemand ne saurait exister. À cela s’ajoute la violence dans les piscines extérieures, notamment à Berlin.

    Les gens ont à juste titre le sentiment que leur vie n’est plus en sécurité. Ceci est particulièrement comparable à la situation d’il y a 20 ans. Jusqu’à récemment, l’AfD et, en Autriche, le FPÖ étaient les seuls partis à s’attaquer à ces problèmes.

    La violence au couteau est loin d'être le seul problème dans ce pays. Mais c’est devenu le symbole de ce qui ne fonctionne plus ici. Précisément parce que les grands médias et les hommes politiques ont utilisé toutes leurs forces pour ignorer les problèmes liés à la migration de masse. Quiconque soulignait cela était présenté comme un homme de droite et un nazi. Il est compréhensible que cela ait provoqué une grande colère au sein de la population.

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  93. La déclaration suivante de Feistel et Lazić semble plutôt étrange. Tout d’abord, vous soulignez à juste titre que les États-Unis, en particulier, ont attaqué de nombreux pays arabes et rendu la vie extrêmement difficile à leurs habitants. «Il est tout à fait logique que de nombreux habitants de ces pays se dirigent ensuite vers l'Occident, qui promet de meilleures conditions de vie. Et vous pouvez également imaginer que tous les habitants de ces régions ne parlent pas particulièrement bien de l’Occident. Et il est également compréhensible que certains de ces gens qui ne parlent pas bien de l’Occident viennent également en Occident, peut-être avec l’intention de commettre des attentats ici [6] .

    Même ces attaques occidentales ne changent rien au fait que l’Europe en particulier ne peut pas absorber tous les pauvres du monde. L’affirmation selon laquelle l’intention des auteurs de commettre des attentats en Occident est compréhensible laisse perplexe. Pensez-vous qu’il serait justifié que des gens soient massacrés en Allemagne simplement parce que des milliardaires américains ont pris la décision de liquider les « anciens régimes clients de l’Union soviétique » en Irak, en Syrie et en Libye ? Ne faut-il pas encore tout tenter pour empêcher de nouvelles attaques ?

    Échange de population ?

    Bien entendu, Feistel et Lazić affirment également que l’affirmation selon laquelle des cercles importants en Occident envisagent un échange de population est absurde. Les militants migratoires admettent que c’est exactement leur intention. Le « sauveteur en mer » Axel Steier a menacé les Allemands : « La vie amusante du pain blanc sera bientôt terminée ! » et « La déshomogénéisation de la société progresse. Je soutiens cela avec mon travail .

    Le pain blanc est un terme raciste et diffamatoire utilisé pour décrire les Blancs.

    En outre, les auteurs anonymes du groupe Marxisme contre l’islamisation ont compilé dans leur brochure du même nom de 2018 de nombreuses citations de milliardaires et d’hommes politiques qui leur sont fidèles, qui indiquent que cet échange de population est bien le but de la migration de masse qu’ils initient.

    La migration de masse en tant que stratégie consciente visant à maintenir la population à un niveau bas n'a pas commencé en 2015, mais, selon les recherches du journaliste Douglas Murray, au plus tard depuis 1997, c'est-à-dire depuis l'arrivée au pouvoir du New Labour en Grande-Bretagne. [8]

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  94. L’objectif principal des milliardaires est de briser l’homogénéité ethnique des sociétés européennes. Ils estiment qu’il est beaucoup plus facile de construire un super-État européen avec une population islamique obéissante, au moins partiellement homogène, comme groupe ethnique numériquement dominant qu’avec des populations européennes vitales et diversifiées, dont chacune parle une langue différente.

    En outre, la fragmentation ethnique des différents pays entre les habitants locaux et les immigrés musulmans empêcherait les gouvernés de s'unir pour améliorer leur situation sociale. Les initiateurs de l’immigration de masse, comme le milliardaire George Soros, ont un œil attentif sur la situation aux États-Unis, où différents groupes ethniques cohabitent sans se mélanger. Cela a empêché la formation d’un mouvement ouvrier fort. [9]

    Selon MAGIS, du point de vue des milliardaires et des capitalistes, le fait que l’immigration massive exerce une pression massive sur les salariés du segment inférieur du marché du travail et sur le marché du logement est un effet secondaire agréable, mais ce n’est pas l’objectif principal. Cependant, une réduction généralisée des salaires est obtenue grâce à la surcharge délibérée des systèmes de sécurité sociale par une migration massive. Parce que cela crée des prétextes pour soit réduire les prestations, soit augmenter les cotisations. Les capitalistes en profitent directement.

    Les peuples d’Europe ont été conditionnés à accepter une migration massive à travers des décennies de propagande. Ils ont été persuadés par les médias que c’était eux – et non les capitalistes – qui étaient responsables de tous les crimes du capitalisme, depuis le pillage des pays du Sud à l’ère des découvertes jusqu’à l’impérialisme, en passant par les guerres mondiales et le fascisme. Ils devraient désormais payer pour les crimes de leurs ancêtres. L’antigermanisme n’est qu’une version particulièrement dégoûtante et extrême de cette idéologie qui s’est répandue dans toute l’Europe. L'acceptation de la migration massive est une réparation historique pour une injustice commise dans le passé, à laquelle les travailleurs blancs, de sexe masculin, doivent faire face aujourd'hui en particulier. [10]

    Conséquences de la migration massive

    Dans de nombreux articles sur le TKP, Feistel et Lazić lancent des appels abstraits à la solidarité envers la population « bio-allemande » et migrante. Mais il faut d’abord se demander si ces groupes ont des intérêts économiques communs.

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  95. Les travailleurs turcs invités recrutés dans les années 1960 exerçaient des travaux simples et peu qualifiés, mais principalement dans l'industrie elle-même. Ils étaient souvent employés dans de grandes entreprises, qui offrent déjà les conditions les plus favorables au mouvement ouvrier. C’est pourquoi les syndicats sont parvenus assez rapidement à intégrer ces travailleurs invités dans leurs structures. Les espoirs des capitalistes de monter les différents groupes de population les uns contre les autres ne se sont généralement pas réalisés.

    Mais ce sont précisément ces tâches simples dans l’industrie qui ont largement disparu en raison de l’automatisation et de la robotisation croissantes. De nombreuses personnes étaient encore employées dans l'industrie, au moins jusqu'en 2021, lorsque les feux de circulation ont pris le relais. Mais la qualification d'ouvrier qualifié était une condition préalable dans la plupart des cas.

    Même avant la grande crise des réfugiés de 2015, le chômage parmi les groupes d’origine turque était de 25 %, soit nettement plus que parmi les Allemands non issus de l’immigration. [11]

    C’est précisément à cause de ce manque de perspectives que l’islamisme radical s’est répandu au sein de ce groupe – notamment parmi la jeune génération. Les personnes d’origine turque s’isolent davantage qu’auparavant de la société majoritaire. Il était certainement évident que la jeune génération turque des années 2000 était nettement moins intégrée dans la société que ses parents.

    Le nombre de musulmans se décrivant comme croyants ou très croyants est passé de 55 à 85 % (2017) en Europe depuis le tournant du millénaire. [12] Cette tendance signifie qu'il y a une pression croissante parmi les musulmans pour qu'ils respectent la charia, fréquentent la mosquée, obligent les femmes à porter le foulard, interdisent aux femmes de travailler dans des emplois où elles sont avec des hommes, etc. intimidé et menacé. Les musulmans se concentrent dans certains quartiers où ils exercent de plus en plus d'hégémonie, la loi laïque est remplacée par la charia et les derniers habitants sont chassés.

    Bien avant 2015, une société parallèle islamiste est apparue en Allemagne.

    Les réfugiés qui affluent en nombre croissant vers l’Europe depuis 2015 proviennent souvent de sociétés tribales archaïques comme l’Afghanistan et n’ont aucune qualification pour un emploi rémunéré dans une société de haute technologie. Ils ne maîtrisent pas suffisamment la langue allemande, sont souvent analphabètes, n'ont jamais appris la pensée opérationnelle formelle et sont souvent loin de répondre aux exigences requises en termes d'éthique de travail, de discipline et de fiabilité. En Allemagne, 70 % des réfugiés entrés en Allemagne en 2015 et qui avaient commencé un apprentissage l'ont arrêté.

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  96. Compte tenu de la forte pression exercée sur le marché du travail, seule une minorité de demandeurs d'asile seront alors en mesure de travailler de manière permanente. Tout au plus, cela sera possible dans le domaine des activités de services simples comme le coursier à vélo ou dans la restauration collective (McDonalds and Co.). Toutefois, ces segments inférieurs du marché du travail dans le secteur des services ne peuvent pas être organisés par les syndicats.

    Dans ces circonstances, il est rationnel pour de nombreux immigrants de vivre de l'argent des citoyens et de se concentrer autrement sur la création d'une famille et le travail politique au profit du futur califat. D'autres sont impliqués dans le crime organisé et sont impliqués dans le trafic de drogue, la prostitution, la traite des êtres humains et le blanchiment d'argent. Parce qu'ils sont particulièrement peu scrupuleux, les gangs arabo-islamiques supplantent les anciens chefs de file, comme certains originaires des Balkans. Cette activité peut aussi être légitimée par l’Islam : Allah a accordé les richesses de cette terre aux seuls musulmans. Si des non-croyants l’ont, il est tout à fait légitime de le leur retirer.

    Des centaines de milliers de jeunes hommes du monde islamique n’ont vu dans leur pays que des femmes profondément voilées et vêtues de longues robes amples. En raison de la stricte morale sexuelle, ils n’avaient aucune chance d’avoir des contacts sexuels. En Europe, ils rencontrent des jeunes femmes légèrement vêtues dans les espaces publics et des femmes en bikini dans les bains.

    En raison de leur faible statut social et de leur comportement, la grande majorité des femmes locales ont peu de chances de trouver une relation. Vos demandes directes de rapports sexuels dans les espaces publics sont rejetées. La tentation est évidemment grande de prendre par la force ce qu’ils croient leur appartenir. Le viol des femmes « infidèles » peut aussi être justifié par l’Islam.

    C'est ainsi que l'on peut expliquer les événements du réveillon du Nouvel An 2015/16 à Cologne. Un policier a secrètement déclaré à Alice Schwarzer que 70 à 80 % de tous les viols à Cologne étaient commis par des Turcs. Il n’a pas le droit d’en parler car c’est considéré comme du racisme.

    Dans les villes du nord de l’Angleterre, des gangs islamiques ont réduit en esclavage les filles locales et les ont vendues à des fins de prostitution pendant des décennies, dont 1 400 rien qu’à Rotherham. Ces filles étaient considérées comme des proies faciles car elles n’étaient pas protégées en tant que non-musulmanes. [13]

    La police n'a pas osé mettre un terme à cette activité car elle avait peur des accusations de racisme. Les médias ont également couvert ces événements monstrueux sous un manteau de silence.

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  97. De nombreux habitants, notamment les travailleurs, s’opposent à la migration massive. Premièrement, les demandeurs d’asile créent une sous-classe déclassifiée, ce qui exerce encore plus de pression sur les salaires et les conditions de travail dans le domaine du travail non qualifié, mais aussi sur le marché du logement. Deuxièmement, les travailleurs craignent que le grand nombre de demandeurs d’asile n’augmente massivement les coûts de l’État-providence. Cela menace encore davantage les bénéfices de la classe ouvrière locale, qui ont déjà été réduits par la bourgeoisie depuis des décennies. Cela est d’autant plus vrai qu’un renversement de la politique néolibérale dans le secteur social n’est pas prévisible.

    Les coûts de la migration massive sont donc placés sur les épaules des travailleurs locaux. Ils ne doivent plus seulement générer les profits des capitalistes, mais aussi faire face à une sous-classe musulmane croissante.

    Les conflits sont inévitables ici. Le succès des partis populistes de droite parmi les travailleurs est principalement alimenté par la colère face à ces conditions. Actuellement en Europe, une sous-classe musulmane croissante et soutenue par l’État et la classe ouvrière sont hostiles l’une à l’autre. Compte tenu des attaques continues des capitalistes contre le niveau de vie, les possibilités de distribution se rétréciront et la situation économique et sociale s'aggravera pour les deux groupes.

    Les conflits ethniques vont donc généralement augmenter. Pour la population majoritaire en diminution, en particulier les femmes, les possibilités de mouvement dans les espaces publics se sont considérablement détériorées depuis 2015 en raison d’un groupe de population musulman croissant et agressif.

    Le résultat est une division ethnique durable dans la société, qui rend presque impossible pour le mouvement syndical d’organiser les salariés.

    Aujourd’hui, les islamistes et les musulmans votent encore pour des partis de « gauche » comme le SPD et les Verts. Ils votent de manière déterminante parce qu’ils s’attendent – ​​à juste titre – à ce que ces partis soient les plus susceptibles de les soutenir dans la réalisation de leurs objectifs. Bien entendu, ils n’ont rien à voir avec les politiques sociales autrement représentées par ces partis, comme les droits LGBTQ, le genre, etc.

    Le comportement électoral des islamistes et des musulmans, motivé par des motivations ethniques et religieuses, se reflète dans le vote des travailleurs pour les partis populistes de droite. Ils voient la nécessité, en tant que population locale en danger, de se rapprocher, même dans le cadre de projets transclasses.

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  98. Le groupe MAGIS craignait en 2018 que ces conflits entre locaux et musulmans ne dégénèrent presque inévitablement en guerre civile.

    Cependant, les auteurs continuent de supposer que la migration massive était la seule attaque majeure menée par les milliardaires contre nos moyens de subsistance. Entre-temps, d’autres ont été ajoutés : le récit climatique, le récit corona ou épidémique et la guerre en Ukraine. Chaque attaque est susceptible de détruire le continent européen ou du moins la société. Apparemment, quelqu’un ne voulait rien laisser au hasard.

    Bien entendu, les attaques individuelles créent des interférences complexes qui, à ma connaissance, n’ont jamais fait l’objet d’enquêtes. En ce qui concerne les migrations de masse, des facteurs accélérateurs et inhibiteurs peuvent être identifiés :

    La désindustrialisation de l’Europe associée au discours climatique et à la guerre en Ukraine accélère l’effondrement de l’État et la fragmentation de l’appareil d’État selon des critères ethniques. À cet égard, ce n’est probablement pas une coïncidence si des conditions proches d’une guerre civile ont éclaté pour la première fois en Grande-Bretagne à l’été 2024.

    Le récit du Corona et le soutien de l’Occident à Israël dans la guerre actuelle à Gaza en 2024 ont conduit à l’aliénation des cercles islamistes des partis de gauche tels que le SPD et les Verts. Il y a même eu des manifestations de protestation contre ces partis en soutien aux Palestiniens de Gaza. Il ne faut cependant pas surestimer cet effet. L’objectif principal des islamistes était et reste l’établissement du califat dans leur propre pays. Leurs relations avec les partis de gauche ont toujours été déterminantes. Ils seront toujours nécessaires tant qu’il n’y aura pas de parti islamiste propre. Toutefois, si le SPD, les Verts et la gauche disparaissent presque complètement ou sont au moins chassés du pouvoir et qu’aucun remplaçant ne puisse être trouvé pour eux, cela pourrait inciter les islamistes à accélérer leurs projets de création de leur propre parti.

    Si la désindustrialisation de l’Europe se poursuit en même temps que le développement industriel en Arabie et en Afrique, le flux de réfugiés vers l’Europe pourrait se tarir, voire s’inverser. Mais c'est une chose du futur. À ce jour, il n’y a aucun signe de cela.
    Les appels aux migrants et aux travailleurs locaux à s'unir contre l'ennemi commun, à reconnaître les mécanismes de la « lutte des classes d'en haut » et à s'unir au-delà des divisions artificielles [14] comme dans l'article du TKP de Felix Feistel et Dejan Lazić sont complètement vides de contenu. et purement idéaliste.

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  99. Pourquoi les islamistes devraient-ils s’allier aux travailleurs locaux contre les milliardaires qu’ils ont amenés dans le pays ? Sous l’hypothèse d’une politique économique néolibérale immuable, les choses se passent très bien pour eux. Ils sont choyés par les politiques et les médias et seuls les travailleurs locaux sont brutalement condamnés pour les crimes de leurs ancêtres. Les islamistes peuvent raisonnablement espérer atteindre leur objectif tant attendu du califat dans un avenir pas trop lointain. Ensuite, de nombreuses positions et positions tombent pour eux.

    Aujourd’hui, tout gouvernement constitué d’un véritable parti d’opposition mettrait immédiatement fin à la migration massive destructrice, ce qui rendrait plus difficile à atteindre l’objectif ultime des islamistes : le califat.

    Cela signifie qu’il existe ici de véritables intérêts contradictoires qui ne peuvent être ignorés.

    Une alternative possible

    Mais quelles seraient alors les alternatives ? En 2018, MAGIS a évoqué de nombreux points qui ont été discutés à maintes reprises depuis : mettre fin à la migration de masse, expulser les personnes contraintes de quitter le pays, fournir une assistance locale, mettre fin aux guerres occidentales et changer l'ordre économique mondial injuste, en particulier l'OMC destructrice. accords. [15]

    Mais cela ne suffira plus en 2024. Il y a des dizaines de millions de musulmans en Europe, dont beaucoup d’islamistes. La plupart d’entre eux ont désormais la nationalité de leur pays respectif. Vous ne pouvez donc plus les expulser. Ceci est interdit non seulement par les constitutions respectives, mais aussi par l'héritage humaniste de l'Europe.

    Mais si rien ne se passe, nous pourrions nous réveiller dans le califat à un moment donné. Les batailles pour imposer ou empêcher cela seraient de toute façon menées avec la férocité typique d’une guerre civile, sans égard à aucune formalité. La guerre civile yougoslave des années 1990 nous a montré comment cela peut se produire.

    L’exigence de Feistel et Lazić selon laquelle les populations autochtones et immigrées s’unissent contre leurs capitalistes et milliardaires est, bien entendu, correcte dans l’abstrait. Cependant, ce projet échoue actuellement en raison des intérêts économiques et sociopolitiques différents de ces groupes. Pour que ces appels abstraits deviennent réalité, il faut d’abord créer une situation dans laquelle ces groupes ont réellement des intérêts économiques communs. Au moins un parti doit se présenter pour présenter des revendications correspondantes.

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  100. La seule option serait de s’attaquer aux racines économiques du problème. Comme nous l’avons vu, les sociétés parallèles islamistes sont apparues pour la première fois dans les années 1990 en raison du chômage et du manque de perspectives de toute une génération d’immigrés.

    Ce chômage et ce manque de perspectives devraient disparaître et il faudrait créer une situation dans laquelle les travailleurs seraient recherchés plutôt que licenciés. Cela réduirait les exigences de performance actuellement extrêmement élevées imposées aux travailleurs. Cela pourrait s’expliquer notamment par un vaste programme d’investissement visant à reconstruire les infrastructures énergétiques détruites par les Verts, à construire massivement des logements et à réparer d’autres infrastructures détruites.

    Comme on le sait, 20 000 ouvriers étaient employés à la construction de la centrale nucléaire de Biblis dans les années 1970, par réacteur ! Il y avait déjà parmi eux de nombreux travailleurs invités à l’époque. Environ 80 réacteurs nucléaires et 30 centrales nucléaires seraient nécessaires pour assurer l'approvisionnement complet en électricité de l'Allemagne. Vous pouvez calculer les besoins en main-d'œuvre pour cela.

    Avec la technologie moderne, ce sera peut-être un peu moins. Mais même aujourd'hui, il existe encore des emplois dans la construction où la force physique est plus importante que la pensée formelle et opérationnelle, comme c'est désormais le cas dans de nombreuses professions métallurgiques. Ce serait donc une manière idéale d’initier les réfugiés au processus de travail et de les intégrer. On peut ici compter particulièrement sur la jeune génération. Le système scolaire devrait être considérablement amélioré à cette fin.

    Une condition préalable importante à cette stratégie est bien entendu que les sociétés occidentales reconnaissent la valeur de leur propre culture et luttent pour sa préservation. Ce n’est que dans ces conditions sociales et économiques qu’une campagne éducative contre l’islamisme, qui devrait être dénoncé comme une idéologie et un mouvement totalitaires et fascistes, serait prometteuse. S’il existait des alternatives économiquement attractives à l’activité islamiste et, en particulier, de plus grandes opportunités de consommation pour les travailleurs, une telle campagne ne serait certainement pas sans impact.

    Avec cette double stratégie, de larges groupes de population musulmane pourraient probablement être intégrés dans les cultures européennes dominantes.

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  101. Ce vaste programme d’investissement devrait probablement être financé par les profits des capitalistes. Que ce soit par le biais d’impôts élevés sur les plus-values ​​ou par l’expropriation directe de capitaux spéculatifs inutilisés, un tel programme d’investissement exige que la société abandonne le discours vert sur le climat. Il faut rejeter fondamentalement la baisse du niveau de vie général et des niveaux de consommation au moyen de taxes sur le CO 2 , comme cela se pratique aujourd'hui. La lutte contre les voitures particulières doit cesser, tout comme la honte des vacances. Les exigences excessives en matière d'efficacité énergétique pour les bâtiments résidentiels doivent être éliminées sans remplacement.

    Le BSW est-il la solution ?

    Quelle est la probabilité d’un tel programme ? Quoi qu’il en soit, plus le temps passe sans une politique économique fondamentalement différente, moins cela devient probable. Il n’est pas non plus clair si les conditions matérielles et humaines nécessaires à un programme d’investissement aussi gigantesque existent encore ou si elles peuvent être créées à court terme. Mais un tel programme serait le seul moyen d’empêcher l’Europe de se suicider.

    Il est bien plus probable que l’Europe continue sur la voie de l’insignifiance et de la pauvreté, vidée de son sang par nos milliardaires et nos capitalistes. Les prétextes sont interchangeables : qu’il s’agisse de migrations massives, du récit climatique, d’une « peste » ou d’une guerre.

    Aujourd’hui, on ne peut raisonnablement s’attendre à ce que les partis néolibéraux existants lancent un tel programme. L’exigence minimale serait toutefois l’existence d’un parti qui réclame de manière crédible de tels projets et puisse ainsi se développer.

    La création de l’alliance Sahra Wagenknecht représentait probablement la toute dernière chance d’un renversement vers une politique économique véritablement différente, du moins en Allemagne.

    Mais Lazić sur le TKP rejette fondamentalement la politique migratoire très modérée du BSW [16] . Il accuse Sahra Wagenknecht de s'être radicalisée dans la politique migratoire. Elle exige simplement que les demandeurs d'asile souhaitant entrer en Allemagne via des pays tiers sûrs soient systématiquement refoulés. Pour Lazić, il s’agit de l’abolition du droit d’asile. Mais que dit réellement la Loi fondamentale ?

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  102. « Article 16a (1) Les personnes politiquement persécutées jouissent du droit d’asile.

    (2) Le paragraphe 1 ne peut être invoqué par toute personne entrant en provenance d'un État membre des Communautés européennes ou d'un autre pays tiers dans lequel l'application de l'accord sur le statut des réfugiés et de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales est assurée. " [17]

    Sahra Wagenknecht exige seulement que soit respectée la situation juridique actuelle, ignorée depuis 2015 ! Radical semble différent.

    Lazic affirme également que « même les personnes intégrées en Allemagne depuis des années peuvent soudainement devenir la cible d’une politique rigide d’exclusion et d’expulsion ».

    Cette idée n'est plus d'actualité. La pratique de la tolérance en chaîne existait encore dans les années 1900, où les demandeurs d'asile déboutés n'obtenaient un droit de séjour que pour un ou deux ans. En conséquence, dans de rares cas, il y a eu des scènes déchirantes dans lesquelles un père a été retiré de son travail ou une fille a été retirée de son projet de diplôme d'études secondaires et mise dans un avion. Cela a maintenant complètement changé. Les étrangers réellement bien intégrés peuvent demander la nationalité allemande après seulement trois (!) ans.

    La critique de Wagenknecht à l'égard de l'immigration de masse et l'exigence de gauche de « frontières ouvertes pour tous » constituent, pour ainsi dire, la marque centrale de la BSW. Si elle y avait renoncé, elle n’aurait pas eu à se séparer du Parti de gauche et à se laisser insulter massivement par les gauchistes.

    Les problèmes du BSW se situent ailleurs : comme nous l’avons montré ci-dessus, la migration massive n’est pas le seul vecteur d’attaque des milliardaires contre notre prospérité. Le récit climatique est au moins aussi important. Mais Sahra Wagenknecht l’a complètement avalé. Comme les Verts, il s’appuie de facto exclusivement sur les énergies renouvelables. Cela signifie des prix de l’énergie exorbitants et une désindustrialisation inévitable de l’Allemagne et de l’Europe. Cela signifie que les possibilités d’un vaste programme de dépenses et la dernière chance de réintégration des musulmans radicaux dans la société s’amenuisent. Alors que Sahra Wagenknecht avait prudemment flirté avec l'énergie nucléaire avant de fonder le BSW, elle la rejette à nouveau catégoriquement. [18]

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  103. Avant les élections du 1er septembre 2024 en Thuringe et en Saxe, on espérait encore que le BSW entamerait des négociations de coalition avec l'AfD, permettrait un réalignement fondamental de la politique et donnerait ainsi à la population l'espoir d'un changement dans l'ensemble de la politique fédérale. Les chances n'étaient pas mauvaises, car les deux partis avaient apparemment en commun le rejet de la politique migratoire des feux de circulation et le souci de l'Allemagne en tant que site industriel. La tâche du BSW aurait été d'intégrer les aspects de politique économique sociale et progressiste dans une telle coalition. Selon ses propres déclarations, le président de l'AfD de Thuringe, Björn Höcke, aurait été prêt à faire un compromis correspondant. C'est désormais clair : le BSW rejette non seulement une coalition avec l'AfD, mais rejette même, selon ses représentants de Thuringe, toute forme de coopération avec elle.

    Le BSW s’est ainsi révélé être une pseudo-opposition, partisane des partis du système. La coalition prévue avec la CDU garantit que rien ne changera dans ce pays.

    [1] Hannes Hofbauer : Critique de la migration, Vienne 2018, Promedia

    [2] Marxisme contre l'islamisation, Osnabrück 2018, éditeur de fond

    [3] Felix Feistel / Dejan Lazić : « Diviser pour régner » : le débat sur l'islamisme comme stratégie de pouvoir, TKP, 8 septembre 2024, sur Internet : https://tkp.at/2024/09/08/teile-und -herrsche- Islamism-debate-as-a-power-strategy/ , consulté le 13 septembre 2024

    [4] Feistel / Lazić, .ibid., 8 septembre 2024

    [5] Messerinzidenz, sur Internet : https://messerinzidenz.de/ , consulté le 13 septembre 2024

    [6] Feistel / Lazić, .ibid., 8 septembre 2024

    [7] Michael Leubacher : « La vie amusante du pain blanc sera bientôt terminée ! », Welt, 5 mai 2023, sur Internet : https://www.welt.de/politik/deutschland/article245146502/Rassismus-Bald -ist- Stop-with-the-funny-life-as-white-bread.html , consulté le 13 septembre 2024

    [8] Voir Douglas Murray : Le suicide de l’Europe, Munich 2019.

    [9] Voir Marxisme contre l'islamisation, ibid, p.

    [10] Voir Douglas Murray : The Suicide of Europe, Munich 2019, Chapitre 10 : La tyrannie de la culpabilité

    [11] Pour ce chapitre, voir Marxisme contre l'islamisation, ibid, p.

    [12] Voir Marxisme contre l'islamisation, ibid, p.

    [13] Voir Marxism against Islamization, ibid., p. 85, Murray 2019, ibid., chapitre 3 : Auto-justifications, sous-chapitre Diversité.

    [14] Voir Felix Feistel / Dejan Lazić : Civil War as Class Struggle from Above, TKP, 16 août 2024, sur Internet : https://tkp.at/2024/08/16/buergerkrieg-als-klassekampf-von -oben/ , consulté le 19 août 2024

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  104. [15] Voir Marxisme contre l'islamisation, ibid., p. 138 et suiv.

    [16] Dejan Lazić : Sans raison ni justice : la radicalisation de la politique migratoire de Sahra Wagenknecht, TKP, 12 septembre 2024, sur Internet : https://tkp.at/2024/09/12/ohne-vernunft-und-justigkeit- sahra-wagenknechts -migration-politique-radicalisation/ , consulté le 13 septembre 2024

    [17] Loi fondamentale de la République fédérale d'Allemagne, sur Internet : https://www.gesetze-im-internet.de/gg/BJNR000010949.html , consulté le 13 septembre 2024

    [18] Programme BSW pour les élections européennes de 2024, sur Internet : https://archive.is/rDuKA , consulté le 13 septembre 2024, programme électoral du Land de Thuringe BSW, 4. Politique énergétique et protection de l'environnement, sur Internet : https://bsw-th .de/programm/#Energiepolitik-und-Environmental Protection , consulté le 13 septembre 2024

    https://tkp.at/2024/09/14/massenmigration-ohne-vernunft-und-gerechtigkeit/

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  105. Le Pentagone examine les conséquences d'une guerre nucléaire en Europe


    14 septembre 2024
    de Thomas Oysmüller


    À quels dégâts peut-on s’attendre si une guerre nucléaire est menée en Europe ? Le ministère américain de la Défense a lancé un projet pour étudier exactement cela.

    Quelles conséquences pour l’Europe et le monde si l’Europe devient un champ de bataille nucléaire ? Le Pentagone veut en savoir plus. Un contrat de recherche d'un montant de 34 millions a été annoncé, destiné à étudier les effets d'une guerre nucléaire. Les gens s’intéressent particulièrement aux conséquences sur l’agriculture et l’agriculture ainsi que sur l’environnement.

    Europe de l'Est et Russie occidentale

    Le contrat a été annoncé mardi et la date limite était jeudi. Mais il n'y avait pas beaucoup de temps pour postuler. Vraisemblablement, l’agence du Pentagone « Engineer Research and Development Center » savait déjà qui obtiendrait le contrat et l’appel d’offres n’était qu’un effort formel.

    Weltwoche conclut du projet que "des calculs sont en cours dans le contexte militaire et politique américain en vue d'une guerre nucléaire en Europe". De tels jeux de simulation ne sont pas nouveaux, mais ils semblent également présenter un intérêt nouveau et actuel. le plus haut niveau de l’armée américaine reçoit. Le Pentagone exige que l’enquête se concentre sur « l’Europe de l’Est et la Russie occidentale ».

    Voici le contenu de l'offre dans l'original (souligné par TKP) :

    Le Centre de recherche et de développement des ingénieurs du Corps of Engineers de l'armée américaine (ERDC) a l'intention d'attribuer un contrat unique (conformément à la FAR 13.106-1(b)(1) à Terra Analytics, Inc., 966 10th Street, Boulder, Colorado 80302-7474, pour la recherche et le développement de programmes de recherche actifs axés sur la modélisation des impacts environnementaux et des impacts des armes nucléaires sur les systèmes agricoles et sur l'optimisation d'AgriShock, une suite de codes pour la modélisation des impacts des armes nucléaires sur les systèmes agricoles.

    L'objectif de ce projet, basé sur des recherches antérieures, est de développer et d'optimiser AgriShock, une suite de codes pour modéliser les effets des armes nucléaires sur les systèmes agricoles. Les exigences minimales de ce contrat sont que l'entrepreneur doit fournir tout le personnel, l'équipement, les installations, la supervision et autres éléments nécessaires pour mener des études démontrant la modélisation d'une guerre nucléaire à l'échelle mondiale conduisant à la destruction de systèmes agricoles tels que B. dirigerait des entreprises agricoles . L'entrepreneur doit être en mesure de : 1) exploiter AgriShock, la suite de codes, pour étendre la couverture géographique aux anciens pays du bloc de l'Est et accéder au code logiciel de niveau DoD TS/SCI pour mettre en œuvre les ressources de supercalcul de l'ERDC ; 2) Mettre à jour les régions au-delà de l'Europe de l'Est et de la Russie occidentalele code du logiciel AgriShock dans qui reflète la manière dont se produit un événement nucléaire non destructif ; et 5) garantir que le logiciel Agrishock mis à jour peut être mis en œuvre sur les environnements informatiques HPC sécurisés basés sur Linux existants et/ou nouveaux d'ERDC.

    https://tkp.at/2024/09/14/pentagon-prueft-folgen-von-atomkrieg-in-europa/

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  106. Les BRICS confirment que 159 participants vont adopter un nouveau système de paiement


    Joshua Ramos
    arretsurinfo.ch
    sam., 14 sept. 2024 16:24 UTC


    Après les récentes rumeurs concernant le nombre de nations qui adopteraient le futur système de paiement des BRICS, le bloc a confirmé que 159 participants sont prêts à adopter le nouveau système de paiement. En effet, le système de l'alliance économique est prêt à prendre son envol lorsqu'il sera enfin lancé.

    Aujourd'hui, tous les regards se tournent vers la date de ce lancement. Nombreux sont ceux qui ont supposé qu'il serait annoncé lors du très attendu Sommet 2024. En outre, il sera mis en ligne lors d'un événement révolutionnaire. Si cela devait se produire, le bloc a déjà fait remarquer qu'une longue file d'entités est prête à l'adopter.

    Le système de paiement des BRICS comptera 159 participants, confirme l'Alliance

    En début d'année, le bloc des BRICS a annoncé la création d'une plateforme de paiement basée sur la blockchain. Cette plateforme devrait redéfinir la position économique mondiale du collectif. En outre, elle concurrencerait certains des plus grands systèmes de paiement au monde. Il s'agit notamment du système SWIFT, dominé par l'Occident.

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  107. Aujourd'hui, le groupe des BRICS a confirmé que 159 participants adopteront le nouveau système de paiement. En effet, des fonctionnaires russes ont confirmé ce chiffre lors d'une récente mise au point, selon un article de Yahoo. Bien que des déclarations antérieures aient laissé entendre que 160 pays seraient concernés, le nombre a été clarifié dans des déclarations ultérieures.

    Le système de paiement est crucial pour les initiatives de dédollarisation en cours de l'Union européenne. Il fournira aux pays participants un moyen d'effectuer des échanges en monnaies locales. Par conséquent, il entravera considérablement la manière dont ces pays règlent leurs échanges commerciaux. En fin de compte, la nécessité internationale du billet vert diminuera.

    Cela serait vital pour la Russie, après les sanctions de 2022 qui ont grandement affecté ses capacités commerciales. Cette radicalisation a été l'une des principales raisons de sa volonté d'adopter des mesures de dédollarisation. Aujourd'hui, le bloc est prêt à rivaliser davantage sur la scène mondiale. Il en va de même pour les pays dont les monnaies seront de plus en plus adoptées par l'intermédiaire de la plateforme de paiement.

    La confirmation indique également que plus de 20 pays participeront à la plateforme BRICS Pay. Bien que ces nations n'aient pas été identifiées, il est probable qu'elles fassent partie des pays cherchant à rejoindre l'alliance cette année. Le sommet de 2024, qui est imminent, portera également sur les espoirs d'expansion en cours.

    Des pays comme le Venezuela, la Malaisie, la Thaïlande, le Nigeria et la Turquie cherchent à intégrer le bloc. Cette dernière est un membre reconnu de l'OTAN. Son inclusion modifierait considérablement la position du bloc d'un point de vue géopolitique. La Turquie serait reconnue comme la première nation de l'OTAN à être intégrée dans le collectif mondial basé sur le Sud.

    Source: https://watcher.guru/news/brics-confirms-159-participants-will-adopt-new-payment-system

    https://fr.sott.net/article/43957-Les-BRICS-confirment-que-159-participants-vont-adopter-un-nouveau-systeme-de-paiement

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  108. Nouvelle attaque contre les approvisionnements alimentaires par des ONG climatiques


    16 septembre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Une lettre ouverte appelle les grandes banques à cesser de financer l'industrie agricole mondiale afin de limiter la consommation de viande et de produits laitiers de la population. Une coalition de plus de 100 groupes climatiques dirigée par les Amis de la Terre fait pression sur JPMorgan Chase, Citigroup et d’autres grandes banques pour qu’elles cessent de financer les entreprises mondiales de viande et de produits laitiers.

    Selon un rapport d'Agriculture Dive, les groupes affirment que les prêts des institutions portent atteinte à leurs engagements environnementaux. Dans une lettre ouverte adressée à certaines des plus grandes banques mondiales, les groupes demandent l'arrêt de tout nouveau financement visant à développer l'élevage industriel. Les banques subissent des pressions pour exiger de leurs clients des secteurs de la viande, des produits laitiers et de l'alimentation animale qu'ils divulguent leurs plans de protection du climat.

    La lettre critique spécifiquement les banques pour leur soutien aux plus grands producteurs mondiaux de viande, de produits laitiers et d'aliments pour animaux, tels que JBS, Tyson Foods et d'autres. Bien que les entreprises alimentaires ne représentent qu'une petite partie du portefeuille total de prêts des banques, les groupes affirment qu'elles ont un impact bien plus important sur l'empreinte environnementale des institutions.

    La lettre indique que l'augmentation des prêts a permis aux plus grands émetteurs mondiaux d'étendre leurs opérations et leurs émissions. Les institutions financières ont accordé 15 % de prêts en plus aux plus grandes entreprises de viande, de produits laitiers et d'aliments pour animaux entre 2019 et 2022 par rapport aux quatre années précédentes, selon une étude de Profundo et Feedback Global .

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  109. Sur les 134 milliards de dollars de prêts et de souscriptions destinés au secteur de la viande et des produits laitiers, Bank of America, Citigroup et JPMorgan Chase représentent plus de la moitié. La lettre des groupes climatiques intervient alors que le plus grand producteur de viande au monde, JBS, cherche à être coté à la Bourse de New York, une décision fortement critiquée par les alarmistes climatiques. Cela précède également la Semaine du climat à New York, où les dirigeants de l'industrie, les organisations climatiques et les responsables gouvernementaux feront pression pour « agir » pour lutter contre le « réchauffement climatique ».

    Sur les 134 milliards de dollars de prêts et de garanties de souscription destinés au secteur de la viande et des produits laitiers, plus de la moitié est liée à Bank of America, Citigroup et JPMorgan Chase. La lettre des groupes climatiques intervient alors que le plus grand producteur mondial de viande, JBS, cherche à être coté à la Bourse de New York , une décision qui a été fortement critiquée par les alarmistes du climat. La lettre précède également la Semaine du climat à New York, où les dirigeants de l'industrie, les organisations climatiques et les responsables gouvernementaux prévoient de faire pression pour « agir » pour lutter contre le « réchauffement climatique ».

    Des experts d’universités renommées conseillent les responsables gouvernementaux sur les mesures drastiques nécessaires pour atteindre les objectifs « net zéro » fixés par les Nations Unies (ONU) et le Forum économique mondial (WEF). Le rapport contient une feuille de route qui indique quand certains objectifs doivent être atteints.

    Bien entendu, l’UE est également en première ligne avec la taxation des vaches, l’interdiction des moteurs à combustion, le passage complet au chauffage électrique et une transition énergétique vers la production d’électricité principalement à partir du solaire et de l’éolien. En fin de compte, toutes ces mesures aboutissent à une réduction de la population parce qu’elles ne peuvent pas être mises en œuvre de manière durable et entraînent une énorme augmentation du prix de l’énergie et de l’alimentation.

    Les ONG, fondées et financées en grande partie par des fondations d'oligarques comme Rockefeller, Gettys, Soros, Gates, etc., réclament des mesures radicales. Afin de répondre à l'obligation légale d'atteindre l'objectif zéro émission nette du FEM d'ici 2050 (et le Green Deal de l'UE), le rapport se décompose en une liste d'objectifs qui doivent être atteints d'ici 2029, et d'ici 2049, de nouvelles restrictions seront introduites.

    Le rapport appelle tous les membres du grand public à « cesser d’utiliser les avions ». En outre, le rapport indique que le public est invité à s'abstenir de toute activité susceptible de provoquer des émissions, quelle que soit la source d'énergie. Selon le rapport, cela signifie ne plus jamais manger de bœuf ou d’agneau.

    Quiconque consomme de la viande et des produits laitiers enfreint la loi sur le changement climatique, indique le rapport. Pour atteindre cet objectif, la consommation de bœuf et d’agneau devrait diminuer de 50 % entre 2020 et 2029. Entre 2030 et 2049, la consommation de viande et de produits laitiers devrait être totalement interdite. Sauf bien sûr la viande de laboratoire, le lait artificiel et le beurre chimique produits industriellement, qui appartiennent aux mêmes oligarques qui financent également ces ONG climatiques.

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  110. Hier, le TKP a rendu compte des projets du WEF , selon lesquels les déplacements dans les villes devraient être limités à un rayon de marche de 15 minutes et Covid était un test de la mesure dans laquelle les gens accepteraient des mesures absurdes.

    Cependant, la justification de ces mesures, à savoir qu'il ne faut plus émettre de CO2 afin d'éviter le réchauffement climatique, n'a aucune base scientifique.

    Ceci est démontré, entre autres, par les faits concernant la longueur des glaciers des Alpes. Comme indiqué ici, par exemple, en 2015, un pin a été récupéré dans la zone du glacier Pasterzen en retrait sur le Großglockner. Il y poussait au cours d’une période chaude antérieure.

    À propos, Pasterze est le mot slave pour pâturage. Ainsi, là où se trouvent encore des langues glaciaires, les tribus slaves possédaient encore il y a quelques siècles des pâturages pour le bétail pendant les périodes chaudes. Nous vivons encore dans une période froide par rapport aux temps anciens et à la période chaude médiévale.

    https://tkp.at/2024/09/16/neuer-angriff-auf-versorgung-mit-nahrungsmitteln-durch-klima-ngos/

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  111. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! 120-1 =119)

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  112. ENCORE 4 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 4 = 116)

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