WEF : le Covid-19 n'a rien à voir avec la santé mais tout à voir avec l'obéissance
15 septembre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le Forum économique mondial (WEF) dit enfin la vérité sur le Covid : il s’agissait d’un « test » de notre obéissance à un « nouvel ordre mondial » en formation rapide. Ils voulaient tester combien de personnes subiraient une réorganisation complète de leur vie basée sur aucune science, mais plutôt sur des ordres aléatoires, dont certains frisent l'absurde.
Le TKP et de nombreux scientifiques critiques, médias, médecins et tous ceux qui pensent par eux-mêmes savaient et disaient qu'il n'y avait aucune raison épidémiologique ou scientifique pour les mesures Corona. Il a été conçu comme un test bêta pour le nouvel ordre mondial technocratique à venir. Cela a également été démontré par tous les pays qui n’ont pas participé ou n’ont participé que partiellement, comme la Suède, la Biélorussie ou les pays d’Asie et d’Afrique.
Nous avons récemment reçu la confirmation de l’absence de raisons scientifiques à travers les fuites du RKI et les protocoles pour lesquels Multipolar a intenté une action en justice.
Aujourd’hui, le Forum économique mondial admet que la « pandémie » de Covid-19 a dû se produire précisément pour cette raison.
Le WEF a eu plaisir à publier l’extrait suivant sur la page My Carbon de son site Internet, faisant la promotion de ce qu’on appelle les Smart Cities, qui n’est qu’un autre terme désignant les villes de 15 minutes. Leur objectif apparent est de sauver le climat en ne produisant plus de dioxyde de carbone, mais leur véritable objectif est d'avoir un contrôle total sur les gens en ne leur laissant que la marge de manœuvre qu'ils peuvent atteindre à pied en 15 minutes.
La première des trois « évolutions » qui, selon le WEF, doivent avoir lieu avant que le monde puisse évoluer vers sa vision orwellienne de « villes intelligentes et durables » est le respect des restrictions imposées à notre liberté. Il dit :
1. La COVID-19 a mis à l’épreuve la responsabilité sociale – Un grand nombre de restrictions de santé publique inimaginables ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde. Il existe de nombreux exemples dans le monde de distanciation sociale, de port de masques, de vaccination de masse et d’adoption d’applications de recherche de contacts en santé publique qui démontrent l’essence de la responsabilité sociale individuelle.
Alors ils nous ont testés. C’est ce qu’était le Covid. Ils voulaient voir combien d’entre nous abandonneraient leur liberté individuelle et leur souveraineté en adhérant à une « nouvelle normalité » composée de restrictions frisant l’absurde. Nous nous souvenons : gardez vos distances comme un petit éléphant ; Surveillez les personnes que vous rencontrez à l'aide d'applications pour smartphone développées et prises en charge par Google et Apple ; porter des masques qui ne protègent pas contre la transmission de virus mais rendent malade celui qui les porte ; interdictions de sortir et de voyager ; avoir constamment des bâtons enfoncés dans le nez pour un test qui ne permet pas de diagnostiquer une maladie ; Les confinements comme en prison ; Fermeture des commerces, restaurants, écoles ; Interdiction de rendre visite à des proches dans les foyers et les hôpitaux ; Vaccination obligatoire même s'il n'y a aucune protection contre l'infection et la transmission ; et ainsi de suite.
Ce que suggère le WEF dans sa déclaration ci-dessus, c’est que pour être « durables », les individus et les sociétés doivent se soumettre à un nouvel ordre mondial plus autoritaire. Ne posez pas de questions. Ne recourez pas à la logique. Obéissez simplement.
Serions-nous obéissants face à de nouvelles lois et réglementations idiotes ? Ne posez pas de questions. Si vous le faites, vous pourriez perdre votre emploi et être traité comme un paria social. De nombreuses personnes ont perdu des amis ou même des membres de leur famille proche à cause de ce « test » monstrueux de notre volonté de faire inconditionnellement ce qu’on nous dit.
Près de cinq ans plus tard, le WEF, sans doute le partenariat public-privé le plus puissant au monde, admet que tout cela n'était qu'un test de notre volonté et célèbre le fait que la plupart d'entre nous ont échoué au test (ou... l'ont réussi avec brio). , selon la façon dont on le regarde).
Ils voulaient savoir combien d’entre nous prouveraient leur soumission au système fasciste et anarchique en adhérant à des « restrictions inimaginables », dont beaucoup ont été créées de toutes pièces et pour lesquelles il n’existe absolument aucune preuve scientifique pour les étayer. ils contribuent à la santé publique.
Le gaz carbonique est un engrais pour les plantes ; la concentration optimale, comme celle utilisée par les agriculteurs dans leurs serres, se situe entre 1 000 et 1 400 ppm. Il n’y en a actuellement qu’une fraction dans l’air, soit 420 ppm.
Le programme successeur Climat-Covid stipule que nous devrions être obligés d’éviter le gaz carbonique :
« Il existe un nombre important de programmes et d’applications qui permettent aux citoyens de contribuer à réduire les émissions de carbone en les informant pleinement sur leurs choix personnels en matière de carbone dans l’alimentation, les transports, l’énergie domestique et le mode de vie. »
Et il existe des applications pour cela, comme les applications de surveillance des contacts pour Covid :
Sous prétexte de devoir sauver le climat, cela revient à un contrôle total, une surveillance et une restriction de toutes les libertés individuelles.
3,8%; c’ est le taux officiel d’efficacité du vaccin covid pour les femmes enceintes ! Et avec les effets secondaires, ils osent toujours le recommander
le 14 septembre 2024 par pgibertie
Christine Cotton OFFICIEL
- voir cadre sur site -
Vous allez continuer à recommander la vaccination des femmes enceintes sur vos sites encore longtemps ??? Je vous rappelle que l’efficacité vaccinale du vaccin démontré dans l’essai clinique #Pfizer initial était de 3.8 % !!! Merci de publier les résultats d’efficacité et de tolérance du vaccin XBB1.5 sur cette population afin que la population puisse se documenter. https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-vaccins-et-femmes-enceintes
Non les médecins ne sont pas des surhommes, ce sont des gens comme vous et moi, ni plus solides, ni plus fragiles. Pour expliquer pourquoi les médecins ont eu 10 à 20 fois moins de décès que prévu, arrêtons de nous voiler la face, regardons les choses en face et cessons toute hypocrisie. Nous savons ce qu’ont fait les médecins : ils ne se sont pas laissés mourir sans traitement, ils ne sont pas bêtes et ne sont pas non plus des anges.
Croyez-vous vraiment qu’en cas d’infection, ils n’ont rien pris sinon du Doliprane, attendant d’appeler le Samu quand cela allait mal, et qu’ils ont demandé à un collègue de les mettre au Rivotril sans rien essayer avant si cela tournait mal ? Soyons sérieux. Chacun y est allé de sa petite recette et il est regrettable que les autorités aient volontairement empêché que l’on sache qui a pris quoi, afin que la population ne puisse bénéficier d’aucun traitement possiblement efficace.
On s’en doutait à la lecture du livre d’Agnès Buzyn, mais Patrick Pelloux a été très clair : ils ont tous pris de l’hydroxychloroquine.
En premier a été lancé 'le virus' (poussière TOTALEMENT INOFFENSIVE sauf la poussière radioactive, ce qui n'est là pas le cas). Oui mais cette poussière (appelée au début 'Corona' pour sa forme de couronne) était précisée agressive et... mortelle ! HOULALA ! HOULALA !
Et là, remarquez bien, AUCUN 'docteur' ou 'chef de clinique' n'a crié à l'arnaque !! AUCUN ! Parce qu'une poussière (appelée 'virus') n'est PAS A CONFONDRE avec un microbe ! Un microbe est une bactérie vivante qui transporte une maladie. Ce qu'une poussière (qu'elle soit appelée 'virus' ou 'corona' ou 'cocovide19' ou 'charlie-bravo-omicron') ne peut pas faire. Mais, quand un diplômé de médecine reçoit beaucoup d'argent pour fermer sa gueule...
Nous respirons toutes et tous 200 000 poussières (appelées 'virus') et microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis CE MATIN et, DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! Et, NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Puis sont arrivés les 'vaccinodromes' avec ses bourreaux porteurs de seringues létales qui reçoivent 500 euros par jour !
Pourquoi ce mot de 'bourreaux' est-il employé ? Parce que, dès leurs sorties de laboratoires, les flacons injectables ont été analysés !! (Il y a maintenant PLUS DE 4 ANS !!) Analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej avec des microscopes a balayage électronique. Et le résultat a été effrayant !! Et, leurs analyses ont été PUBLIÉES ! Et, c'est le monde entier qui en a pris connaissance.
Chaque flacon (suivant les laboratoires) contenait et contient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !!: + des spikes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
Si avec çà t'es pas mort...
C'était le Plan Dépopulation21 appliqué. Et, 'le pire' a été l'arrivée du mot 'asymptomatique' , c'est-à-dire se croire en bonne santé alors qu'on est malade !! Donc: 8 milliards de malades sur Terre ! Car les 'tests' sont impartiaux ! ils sont appelés 'tests RT-PCR', il s'agit d'un coton en bout d'écouvillon qui est enfoncé dans le nez jusqu'aux fosses nasales !!! (qu'il est en médecine interdit de toucher !). Ces cotons déposent en cavité nasale des nano-particules d'oxyde graphène qui jouent le rôle de relais entre les signaux reçus sur téléphone portable et le cerveau.
Idem pour les gels hydroalcooliques qui contiennent aussi des nano-particules d'oxyde de graphène comme les masques 'appelés frauduleusement masque anti-virus' !! alors qu'il N'EXISTE PAS et NE PEUVENT EXISTER de masque 'anti-virus' (nano-poussière) ni de masque 'anti-microbe' car les mailles du tissus seraient si serrées qu'elles ne permettraient pas le passage de l'air !
C'est l'escroquerie internationale à son comble !
De plus: Il est STRICTEMENT INTERDIT de vacciner qui que ce soi durant une épidémie ou pandémie. IL DOIT OBLIGATOIREMENT être pratiqué une sérologie AVANT et APRÈS la piqûre.
Maintenant, après la poussière qui s'évade d'un laboratoire (et qui viendrait d'un pangolin et/ou d'une chauve-souris) voici qu'arrive le nouveau sida du contact sexuel de l'homme avec le singe et qui... ferait du MONDE ENTIER un vaste bordel pédérastique où TOUTES les clientes et TOUS les clients (8 milliards) DEVRONT être piqués ! INOCULÉS PROFOND ! COMPRIS ?!
Or, et ceci est TRÈS IMPORTANT, figurez-vous qu'il y a au monde des milliers de laboratoires qui - chaque jour - analysent la qualité de l'air et... et n'ont JAMAIS trouvé de 'cocovide19' ou de 'Charlie-Bravo-Omicron' dans l'air (poussières qui seraient susceptibles de... faire des petits !! d'avoir des frères et sœurs ! cousins-cousines et relations diverses et même le pouvoir de 'muter' !! ou de 'varier' !! La vraie pédale quoi !).
Mais alors me diriez-vous... MAIS OU EST CETTE POUSSIÈRE INVISIBLE EXTRATERRESTRE si elle n'est pas dans l'air ? (très bonne question !). Cette nano-poussière (1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre, 1 milliardième de mètre), nano-particule de poison est... dans la seringue ! Si t'es piqué tu l'as ! Si tu l'as t'es mort !
Le CDC indique également que Jynneos peut être administré aux femmes enceintes ou allaitantes.
Bien qu'on ne sache pas encore si Jynneos peut présenter des risques pour le développement du fœtus s'il est pris pendant la grossesse, les études sur les animaux n'ont montré aucun danger pour le développement du fœtus lorsque le vaccin a été administré à des animaux enceintes, a déclaré l'agence.
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Suzanne Burdick, Ph.D. , est journaliste et chercheuse pour The Defender basée à Fairfield, Iowa.
Mortalité liée au vaccin contre la COVID-19 dans l'hémisphère sud. Denis Rancourt
Par le Pr Denis Rancourt , le Dr Marine Baudin , le Dr Joseph Hickey et le Dr Jérémie Mercier Recherche mondiale, 14 septembre 2024
Abstrait
Dix-sept pays équatoriaux et de l'hémisphère sud ont été étudiés (Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, Uruguay), qui représentent 9,10 % de la population mondiale, 10,3 % des injections mondiales de COVID-19 (taux de vaccination de 1,91 injection par personne, tous âges confondus), pratiquement tous les types et fabricants de vaccins COVID-19, et s'étendent sur 4 continents.
Dans les 17 pays, il n’existe aucune preuve d’un quelconque effet bénéfique des vaccins contre la COVID-19 en termes de mortalité toutes causes confondues (MTC) selon les données temporelles . Il n’existe pas de lien temporel entre la vaccination contre la COVID-19 et une réduction proportionnelle de la MTC. C’est l’inverse qui se produit.
Les 17 pays ont tous adopté des régimes de forte concentration en ACM, qui se produisent lorsque les vaccins contre la COVID-19 sont déployés et administrés. Neuf des 17 pays n’ont pas d’excès détectable d’ACM au cours de la période d’environ un an après la déclaration de pandémie le 11 mars 2020 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), jusqu’à ce que les vaccins soient déployés (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay).
Des pics sans précédent de MCA se produisent au cours de l'été (janvier-février) 2022 dans l'hémisphère sud et dans les pays de latitude équatoriale, qui sont synchrones avec ou immédiatement précédés par des déploiements rapides de doses de rappel du vaccin COVID-19 (3e ou 4e doses). Ce phénomène est présent dans tous les cas où les données de mortalité sont suffisantes (15 pays). Deux des pays étudiés n'ont pas suffisamment de données de mortalité en janvier-février 2022 (Argentine et Suriname).
Les données détaillées sur la mortalité et la vaccination pour le Chili et le Pérou permettent une résolution par âge et par numéro de dose. Il est peu probable que les pics observés de mortalité toutes causes confondues en janvier-février 2022 (et également en juillet-août 2021, Chili ; juillet-août 2022, Pérou), dans chacun des deux pays et dans chaque groupe d'âge des personnes âgées, puissent être dus à une cause autre que les déploiements rapides de doses de rappel du vaccin COVID-19 associés dans le temps. De même, il est peu probable que les transitions vers des régimes de forte ACM, coïncidant avec le déploiement et l'administration soutenue des vaccins COVID-19, dans les 17 pays de l'hémisphère sud et des latitudes équatoriales, puissent être dues à une cause autre que les vaccins.
La synchronicité entre les nombreux pics d'ACM (dans 17 pays, sur 4 continents, dans toutes les tranches d'âge âgées, à des moments différents) et les déploiements rapides de rappels associés permet cette conclusion ferme concernant la causalité et la quantification précise de la toxicité du vaccin COVID-19.
Le taux de mortalité par dose de vaccin tous âges confondus (tdtv), qui est le rapport entre les décès induits par le vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population, est quantifié pour le pic de l'ACM de janvier-février 2022, pour se situer dans la fourchette de 0,02 % (Nouvelle-Zélande) à 0,20 % (Uruguay). Au Chili et au Pérou, le tdtv augmente de manière exponentielle avec l'âge (doublant environ tous les 4 ans) et est le plus élevé pour les dernières doses de rappel, atteignant environ 5 % dans les groupes d'âge de 90 ans et plus (1 décès pour 20 injections de la dose 4). Des résultats comparables sont observés pour l'hémisphère nord, comme indiqué dans les articles précédents (Inde, Israël, États-Unis).
Nous quantifions le vDFR global tous âges confondus pour les 17 pays à (0,126 ± 0,004) %, ce qui impliquerait 17,0 ± 0,5 millions de décès dus au vaccin COVID-19 dans le monde, sur la base de 13,50 milliards d'injections jusqu'au 2 septembre 2023. Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui aurait tué (0,213 ± 0,006) % de la population mondiale (1 décès pour 470 personnes vivantes, en moins de 3 ans), et n'aurait pas empêché de manière mesurable de décès.
Le risque global de décès induit par l’injection des vaccins contre la COVID-19 dans les populations réelles, déduit de la surmortalité toutes causes confondues et de sa synchronisation avec les déploiements, est omniprésent à l’échelle mondiale et bien plus important que celui rapporté dans les essais cliniques, la surveillance des effets indésirables et les statistiques sur les causes de décès à partir des certificats de décès, de trois ordres de grandeur (1 000 fois plus élevé).
La forte dépendance à l’âge et les valeurs élevées de vDFR quantifiées dans cette étude de 17 pays sur 4 continents, utilisant tous les principaux types et fabricants de vaccins COVID-19, devraient inciter les gouvernements à mettre immédiatement fin à la politique de santé publique sans fondement consistant à donner la priorité aux résidents âgés pour l’injection de vaccins COVID-19, jusqu’à ce que des analyses risques-bénéfices valides soient effectuées.
Introduction
La mortalité toutes causes confondues en fonction du temps constitue la donnée la plus fiable pour détecter et caractériser épidémiologiquement les événements causant la mort, et pour évaluer l’impact à l’échelle de la population de toute augmentation ou de tout effondrement des décès, quelle qu’en soit la cause .
Ces données peuvent être collectées par juridiction ou région géographique, par groupe d’âge, par sexe, etc. et ne sont pas susceptibles de biais de déclaration ou de biais dans l’attribution des causes de décès dans la mortalité elle-même.
(Aaby et al., 2020 ; Bilinski et Emanuel, 2020 ; Bustos Sierra et al., 2020 ; Félix-Cardoso et al., 2020 ; Fouillet et al., 2020 ; Kontis et al., 2020 ; Mannucci et al., 2020 ; Mills et coll., 2020 ; Olson et coll., 2020 ; Tadbiri et coll., 2020 ; al., 2020 ; Villani et al., 2020 ; Achilleos et al., 2021 ; 2021 ; Böttcher et al., 2021 ; Chan et coll., 2021 ; Dahal et coll., 2021 ; Das-Munshi et al., 2021 ; Deshmukh et al., 2021 ; Faust et coll., 2021 ; Gallo et coll., 2021 ; Islam, Jdanov, et al., 2021 ; Islam, Shkolnikov, et al., 2021 ; Jacobson et Jokela, 2021 ; Jdanov et al., 2021 ; Joffe, 2021 ; Karlinsky et Kobak, 2021 ; Kobak, 2021 ; Kontopantelis et al., 2021a, 2021b ; Kung et coll., 2021a, 2021b ; Liu et coll., 2021 ; Locatelli et Rousson, 2021 ; Miller et coll., 2021 ; Moriarty et coll., 2021 ; Nørgaard et al., 2021 ; Panagiotou et al., 2021 ; Pilkington et coll., 2021 ; Polyakova et al., 2021 ; Rancourt et al., 2021a, 2021b ; Rossen et coll., 2021 ; Sanmarchi et coll., 2021 ; Sempé et coll., 2021 ; Soneji et coll. 2021 ; Stein et coll., 2021 ; Stokes et coll., 2021 ; Vila-Corcoles et al., 2021 ; Wilcox et coll., 2021 ; Woolf et coll., 2021 ; Woolf, Masters et Aron, 2021 ; Yorifuji et coll., 2021 ; Ackley et coll., 2022 ; Acosta et coll., 2022 ; Engler, 2022 ; Faust et coll., 2022 ; Ghaznavi et al., 2022 ; Gobiņa et al., 2022 ; Lui et al., 2022 ; Henry et coll., 2022 ; Jha et coll., 2022 ; Johnson et Rancourt, 2022 ; Juul et coll., 2022 ; Kontis et coll., 2022 ; Kontopantelis et al., 2022 ; Lee et coll., 2022 ; Leffler et coll., 2022 ; Lewnard et coll., 2022 ; McGrail, 2022 ; Neil et coll., 2022 ; Neil et Fenton, 2022 ; Pálinkás et Sándor, 2022 ; Ramírez-Soto et Ortega-Cáceres, 2022 ; Rancourt, 2022; Rancourt et al., 2022a, 2022b ; Razak et coll., 2022 ; Redert, 2022a, 2022b ; Rossen et coll., 2022 ; Safavi-Naini et al., 2022 ; Schöley et al., 2022 ; Sy, 2022 ; Thoma et Declercq, 2022 ; Wang et coll., 2022 ; Aarstad et Kvitastein, 2023 ; Bilinski et coll., 2023 ; de Boer et coll., 2023 ; de Gier et coll., 2023 ; Démétriou et al., 2023 ; Donzelli et coll., 2023 ; Haugen, 2023 ; Jones et Ponomarenko, 2023 ; Kuhbandner et Reitzner, 2023 ; Lytras et coll., 2023 ; Masselot et al., 2023 ; Matveeva et Shabalina, 2023 ; Neil et Fenton, 2023 ; Paglino et coll., 2023 ; Rancourt et coll., 2023 ; Redert, 2023 ; Schellekens, 2023 ; Scherb et Hayashi, 2023 ; Sorli et al., 2023 ; Woolf et coll., 2023).
Nous avons précédemment rapporté plusieurs cas dans lesquels des pics anormaux de mortalité toutes causes confondues (MCC) sont temporellement associés à des déploiements rapides de doses de vaccin contre la COVID-19 et des cas dans lesquels le début de la campagne de vaccination contre la COVID-19 coïncide avec le début d'un nouveau régime de mortalité élevée et soutenue ; en Inde, en Australie, en Israël, aux États-Unis et au Canada, y compris dans les États et les provinces (Rancourt, 2022 ; Rancourt et al., 2022a, 2022b, 2023).
Ces études nous ont permis de faire les premières déterminations quantitatives du taux de mortalité par dose vaccinale (tdtv), qui est le rapport entre les décès induits par le vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population, basé sur l'évaluation de l'excès d'ACM sur une période donnée, par rapport au nombre de doses de vaccin administrées sur la même période.
La valeur de la vDFR pour tous les âges et toutes les doses était généralement d'environ 0,05 % (1 décès pour 2 000 injections), avec une valeur extrême de 1 % pour le cas particulier de l'Inde (Rancourt, 2022). Nos travaux, basés sur des données approfondies pour l'Australie et Israël, ont également montré que la vDFR est exponentielle avec l'âge (doublant tous les 5 ans), atteignant environ 1 % pour les personnes de 80 ans et plus (Rancourt et al., 2023).
L'exemple le plus clair est celui d'un pic d'ACM relativement marqué survenu en janvier-février 2022 en Australie, qui est synchrone avec le déploiement rapide de la troisième dose du vaccin australien contre la COVID-19 ; survenant dans 5 des 8 États australiens et dans toutes les tranches d'âge les plus âgées (Rancourt et al., 2022a, 2023).
En revanche, il faut souvent composer avec l’effet confondant de la variation saisonnière intrinsèque de l’ACM ; cependant, dans le cas présent pour l’Australie, le pic de janvier-février 2022 se produit à un moment du cycle saisonnier intrinsèque où l’on devrait avoir un creux estival stable (hémisphère sud) de l’ACM. Il n’existe aucun exemple antérieur d’un tel pic en été dans les données historiques de l’ACM pour l’Australie (Rancourt et al., 2022a).
Peu de juridictions nationales disposent de données aussi complètes sur la mortalité et la vaccination stratifiées par âge que celles disponibles pour l'Australie et Israël. Le Chili et le Pérou sont deux autres juridictions de ce type. Nous montrons ici que le Chili et le Pérou, comme l'Australie, connaissent un pic d'ACM relativement marqué en janvier-février 2022, ce qui est synchrone avec le déploiement rapide de la dose 4 du Chili et de la dose 3 du Pérou du vaccin COVID-19, respectivement, pour toutes les tranches d'âge les plus âgées.
Cette caractéristique commune au Chili, au Pérou et à l’Australie nous a conduit à rechercher d’autres exemples du phénomène de pic de MCA de janvier-février 2022 dans l’hémisphère sud et dans les régions équatoriales. Les pays équatoriaux n’ont pas de saisons d’été et d’hiver et aucune variation saisonnière dans leurs schémas de MCA. Nous avons constaté le même phénomène partout où des données étaient disponibles (Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Thaïlande, Uruguay), bien qu’incomplète pour la Bolivie et pas aussi distinctive pour la Nouvelle-Zélande. Nous rendons compte ici de ces résultats.
Les sources des données sur la mortalité et l’administration des vaccins sont présentées à l’annexe A : Sources des données sur la mortalité et la vaccination.
Annexe B : Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues et la vaccination contient des exemples de données : ACM national tous âges confondus par période (semaine ou mois), de 2015 à 2023, et administration de vaccins toutes doses tous âges confondus par semaine, en utilisant des échelles Y commençant à zéro, pour les 17 pays considérés dans la présente étude : Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay.
La figure 1 montre les 17 pays considérés, par rapport à l’équateur sur une carte du monde.
- voir carte sur site -
Figure 1 : Carte du monde montrant les 17 pays considérés dans la présente étude, par rapport à l’équateur et aux tropiques ― Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay.
Méthode pour détecter les transitions temporelles
Régimes de mortalité élevée toutes causes confondues Nous mettons en œuvre la méthode suivante développée par l'un d'entre nous (JH) pour détecter les changements de régime dans les données ACM en fonction du temps (jour, semaine, mois, trimestre).
Il est intéressant de détecter les transitions dans le temps (à mesure que l’on avance dans le temps à partir d’une période historique stable) vers des régimes de MCA « plus élevés que d’habitude » ou « plus élevés que récemment », qui peuvent être associés à la déclaration d’une pandémie ou au déploiement de vaccins. Bien que l’œil entraîné puisse détecter de telles transitions dans le MCA brut grâce aux données temporelles elles-mêmes, il est utile d’appliquer une transformation statistique, qui est conçue pour éliminer en grande partie la difficulté déroutante des variations saisonnières du MCA, qui se produisent dans les pays non équatoriaux.
Étant donné que la période dominante des variations saisonnières de l'ACM est d'un an et que nous souhaitons détecter les changements dans le temps, nous adoptons l'approche suivante. Nous appliquons une moyenne mobile rétrograde d'un an aux données de l'ACM dans le temps. Chaque point dans le temps de la moyenne mobile rétrograde d'un an est simplement la moyenne de l'ACM pour l'année se terminant à ce point dans le temps, et nous traçons cette moyenne mobile dans le temps. Les changements de régime de l'ACM apparaissent alors comme des ruptures (de pente ou de valeur) dans la moyenne mobile dans le temps.
Notez que la méthode de la moyenne mobile rétrograde sur 1 an produit un artefact important mais facilement discernable : des pics relativement importants et prononcés de l'ACM donnent lieu à des baisses artificielles de la moyenne mobile un an avant (plus tard que) lesdits pics relativement importants et prononcés de l'ACM.
Méthodes de quantification du taux de mortalité toutes causes confondues 4.1 Tendance historique de référence pour une période (ou un pic) de mortalité (méthode 1)
Notre première méthode (méthode 1) de quantification du vDFR par groupe d'âge (ou tous les âges) et par numéro de dose de vaccin (ou toutes les doses) est la suivante (Rancourt et al., 2022a, 2023), ici améliorée pour tenir compte des effets saisonniers systématiques :
i. Tracez l’ACM par heure (jour, semaine, mois) pour le groupe d’âge (ou tous les âges) sur une grande échelle de temps, y compris les années précédant la pandémie déclarée.
ii. Identifiez la date (jour, semaine, mois) du début du déploiement du vaccin (déploiement de la première dose) pour le groupe d’âge (ou tous les âges).
iii. Notez, par souci de cohérence, que l’ACM subit une augmentation progressive vers des valeurs plus élevées à l’approche de la date de début du déploiement du vaccin.
iv. Intégrer (ajouter) l'ACM depuis le début du déploiement du vaccin jusqu'à la fin des données disponibles ou la fin des vaccinations (toutes les doses), selon la première éventualité. Il s'agit de la fenêtre temporelle d'intégration de base utilisée dans le calcul, des dates de début à de fin.
v. Appliquez cette fenêtre et cette intégration sur des périodes successives et non superposées de durée égale, en remontant aussi loin que les données le permettent.
vi. Commencer chaque nouvelle fenêtre d’intégration au même point du cycle saisonnier que le début de la fenêtre d’intégration de base pour la période de vaccination, même si cela introduit des écarts entre les périodes d’intégration successives.
vii. Tracez les valeurs d'intégration résultantes en fonction du temps et notez, par souci de cohérence, que la valeur présente une tendance à la hausse, bien discernable de la tendance ou des valeurs historiques, pour la période de vaccination.
viii. Extrapoler la tendance historique des valeurs intégrées à la période de vaccination. La différence entre les valeurs intégrées mesurées et extrapolées (tendance historique prédite) de l'ACM au cours de la période de vaccination correspond à la surmortalité associée à la période de vaccination.
ix. L’extrapolation, dans la pratique, est obtenue en ajustant une ligne droite aux points d’intégration choisis avant la période de vaccination.
x. Si le nombre de points disponibles pour l'extrapolation est trop faible, ce qui donne une incertitude trop grande dans la pente ajustée, il faut alors imposer une pente de zéro, ce qui revient à utiliser une moyenne des valeurs récentes. Dans certains cas, il est même possible d'utiliser un seul point (généralement le point de la fenêtre d'intégration immédiatement précédente).
xi. L’erreur dans la valeur extrapolée est le plus souvent la principale source d’erreur dans le calcul de la surmortalité. Estimez « l’erreur d’exactitude » dans la valeur extrapolée comme l’écart moyen de la différence de valeur absolue avec la ligne ajustée (moyenne des valeurs absolues des résidus) pour les points choisis de l’ajustement. Cette erreur est une mesure des variations de la période d’intégration de toutes les causes sur une région proche ayant une tendance linéaire supposée.
xii. L’« erreur de précision » est généralement plus grande que l’« erreur de précision » (ou erreur statistique) de la valeur extrapolée, car elle représente la variabilité d’une année sur l’autre de l’ACM intégré dans la fenêtre d’intégration au cours des années précédant la période de vaccination ou de Covid.
xiii. Si les fenêtres d’intégration disponibles dans les années normales précédant le pic ou la région d’intérêt sont trop peu nombreuses pour obtenir une bonne estimation de la variabilité historique d’une année sur l’autre, ou si les erreurs statistiques dans les valeurs intégrées sont relativement importantes, il faut alors utiliser les erreurs statistiques pour mieux estimer l’incertitude nécessaire.
xiv. Appliquez la même fenêtre d’intégration (dates de début et de fin pendant la vaccination) pour compter toutes les doses de vaccin administrées pendant cette période.
xv. En fonction des circonstances particulières des données, il peut être nécessaire d'utiliser des limites d'intégration différentes (des fenêtres différentes) pour l'ACM et pour l'administration du vaccin. Nous n'avons pas jugé nécessaire de procéder ainsi et nous n'avons pas essayé de mettre en œuvre ou de tester une telle optimisation.
xvi. Définir vDFR = (surmortalité au cours de la période de vaccination) / (doses de vaccin administrées au cours de la même période de vaccination). Calculer l'incertitude de vDFR en utilisant l'erreur estimée de surmortalité au cours de la période de vaccination.
La même méthode est adaptée à toute région d'intérêt (comme un pic dans l'ACM) de durée subannuelle, en déplaçant la fenêtre d'intégration (de la région d'intérêt) vers l'arrière par incréments d'un an.
La méthode décrite ci-dessus est robuste et parfaitement adaptée à la nature des données ACM. L'ACM intégré aura généralement une faible erreur statistique.
Une grande fenêtre d'intégration temporelle (par exemple, pour toute la période de vaccination) élimine en grande partie la difficulté découlant des variations saisonnières intrinsèques ; et cette difficulté est en outre résolue en commençant chaque nouvelle fenêtre d'intégration au même point du cycle saisonnier que le début de la fenêtre d'intégration de base pour la période de vaccination (point vi, ci-dessus).
La tendance historique est analysée sans introduire d'hypothèses ou d'incertitudes de modèle, si ce n'est que l'on suppose que la tendance proche peut être modélisée par une ligne droite, lorsque les données elles-mêmes le justifient. Une telle analyse prend par exemple en compte les variations d'une année sur l'autre de la taille de la cohorte par groupe d'âge résultant de la structure par âge de la population. La seule hypothèse est qu'une tendance proche localement linéaire pour la population non perturbée (non perturbée au niveau de l'ACM) est réaliste.
Bien que la méthode ci-dessus soit conçue pour les cas (juridictions) dans lesquels il n'existe aucune preuve dans les données de l'ACM de mortalité causée par des facteurs autres que le déploiement du vaccin, tels que les mesures Covid (protocoles de traitement, impositions sociétales, isolement, etc. ; étant donné qu'aucune surmortalité ne se produit pendant la période pré-vaccinale de la période Covid), elle peut être facilement adaptée aux cas dans lesquels la mortalité pendant la période de vaccination est confondue avec des facteurs causaux supplémentaires (période Covid) qui ne peuvent être exclus.
Une approche consiste simplement à adapter la méthode ci-dessus aux années civiles, indépendamment du fait que la surmortalité se produise avant ou après le déploiement du vaccin contre la COVID-19. On obtient l’excès de mortalité due à la COVID-19 par année civile, par rapport à la valeur attendue de la tendance historique déduite par extrapolation linéaire à partir d’une plage choisie de valeurs annuelles de mortalité due à la COVID-19 pour < 2020 (pour les années antérieures à 2020, date à laquelle l’annonce de la pandémie du 11 mars 2020 a été faite). On compare ensuite l’excès de mortalité due à la COVID-19 pour 2020 et pour 2021. Dans de nombreux pays (la plupart), il n’y a eu pratiquement aucune vaccination contre la COVID-19 en 2020, et un déploiement rapide a essentiellement commencé en janvier 2021.
Cas particulier d'un point historique unique intégré (méthode 2) Dans les cas où il n'est pas possible ou pratique d'obtenir plus d'une valeur d'intégration pour l'extrapolation requise (étapes v à ix, ci-dessus), plutôt que de supposer une pente nulle pour l'extrapolation (étape x, ci-dessus), la deuxième méthode suivante (méthode 2) peut être appliquée.
Si Y(−1) est le seul point historique intégré, alors prenez simplement la valeur extrapolée nécessaire, Y(0), comme suit :
Y(0) = Y(−1) + m ΔT W (1) où m est la pente du meilleur ajustement en ligne droite à travers l'ACM d'origine par unité de temps (jour, semaine, mois…) par rapport à l'unité de temps numérotée, ΔT est le nombre d'unités de temps entre Y(0) et Y(−1) (c'est-à-dire entre le début de la fenêtre d'intégration Y(0) et le début de la fenêtre d'intégration Y(−1)), et W est la largeur inclusive de la fenêtre d'intégration en nombre d'unités de temps.
Cela suppose que l'ACM varie dans le temps sur une ligne droite, nonobstant les variations saisonnières, sur le segment proche utilisé pour obtenir le meilleur ajustement en ligne droite.
La surmortalité résultante pour la fenêtre ou la période d'intégration, xACM(0), est alors :
xACM(0) = ACM(0) − Y(0) (2) où ACM(0) est l'ACM intégré dans la période d'intérêt.
L'erreur statistique (écart type) dans xACM(0) est alors donnée par :
sig(xACM(0)) = carré [ ACM(0) + Y(−1) + (ΔT W sig(m)) 2 ] (3) où sig(m) est l'erreur statistique nominale en m.
S'il n'y a pas de variation saisonnière dans l'ACM, comme c'est le cas dans les juridictions de latitude équatoriale, alors sig(m) est l'erreur statistique réelle dans m. Avec des variations saisonnières dans l'ACM, sig(m) extrait de l'ajustement par les moindres carrés à une ligne droite n'a pas de signification simple. Dans ce cas, sig(m) incorporera l'incertitude découlant des variations saisonnières et augmentera avec l'amplitude croissante de la variation saisonnière.
Application des méthodes aux pays spécifiques Les paramètres d’application des méthodes (méthodes 1 et 2) aux données sont donnés dans l’annexe C : Informations techniques et spécifiques pour les applications des méthodes aux données.
Bombe : « Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches ». L'ancien ministre japonais de l'Intérieur s'excuse auprès des non-vaccinés
Par Sean Adl-Tabatabai et le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 14 septembre 2024
Au Japon, le vaccin à ARNm a été lancé en février 2021, prétendument comme un moyen de protéger la population japonaise contre un « virus tueur » inexistant.
Plus de 206 millions de doses ont déjà été administrées. La population japonaise n’a pas été informée des dangers du vaccin à ARNm.
En décembre 2021, le ministère japonais de la Santé a autorisé les rappels des vaccins Moderna et Pfizer, soulignant le « faible taux d'effets secondaires tels que la myocardite ».
Selon les premiers avis du ministère japonais de la Santé (qui étaient similaires à ceux appliqués dans de nombreux pays) :
« Le gouvernement recommande aux gens de se faire vacciner car les avantages de la vaccination sont supérieurs au risque de réactions secondaires. »
Ce qui précède est trompeur, comme le souligne la déclaration courageuse de l’ancien ministre de l’Intérieur Kazuhiro Haraguchi :
« Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches » 」 « Ils essaient de bloquer notre liberté, notre résistance, notre pouvoir. Mais nous ne perdrons jamais. » Haraguchi a lancé un appel à l’action.
Il a exhorté le peuple à rester uni pour défier le gouvernement et ses décisions douteuses.
«Renversons ce gouvernement» a-t-il proclamé, soulignant la nécessité du changement et de la responsabilité.
Il a appelé les législateurs à continuer de lutter pour la vie et les libertés des citoyens : « Faisons en sorte que cela arrive », a-t-il conclu.
Surmortalité (Japon) (2020-2022) Au Japon, le vaccin a été lancé début 2021.
Notez la hausse des taux de suicide immédiatement après le confinement de mars 2020 (Source : Ministère de la Santé, de la Protection sociale et du Travail/Graphique : Jason Kwok et Natalie Croker, CNN)
« Le nombre de Japonais qui se suicident est bien plus élevé, sans doute exacerbé par les répercussions économiques et sociales de la pandémie, que par la maladie COVID-19 elle-même. [ …] Les statistiques provisoires de l’Agence nationale de police montrent que les suicides ont bondi à 2 153 rien qu’en octobre [2020], marquant le quatrième mois consécutif d’augmentation. » Rapport CBS de novembre 2020 (soulignement ajouté)
Suicides parmi les écoliers japonais
Un rapport de 2021 du ministère japonais de l'Éducation confirme que le suicide parmi les écoliers japonais a atteint un niveau record au cours de l'année scolaire 2020. Le rapport du ministère de l'Éducation suggère que
« La pandémie a provoqué des changements dans l'environnement scolaire et familial et a eu un impact sur le comportement des enfants » . (Pour plus de détails, voir le chapitre 6 du livre de Michel Chossudovsky)
Une note sur mon livre intitulée :
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité publié pour la première fois en japonais en avril 2022.
仕組まれたコロナ危機 : 仕組まれたコロナ危機:「世界の初期化」を目論む者たちTankobon Softcover deミ シ ェ ル ・ チ ョ ス ド フ ス キ ー (Michel Chossudovsky) (著),岩間 龍男 (翻訳) En anglais, il est disponible sous forme de livre électronique. (Voir ci-dessous).
Je reste redevable à l'éditeur japonais qui a publié et promu mon livre malgré les pressions politiques et un climat de censure. Mes remerciements vont aussi bien à l'éditeur qu'au traducteur.
Le récit frauduleux concernant le « vaccin » Covid s’effondre dans différentes parties du monde.
En Californie, la Cour du 9e circuit a statué que les injections d’ARNm contre la COVID-19 ne sont pas des « vaccins ».
En Allemagne, les autorités sanitaires ont reconnu le caractère dévastateur et les impacts des confinements liés au Covid, du port obligatoire du masque facial et des « vaccins » expérimentaux à ARNm.
Depuis le début, Global Research a couvert quotidiennement les effets dévastateurs du « vaccin ». Notre objectif est de SAUVER DES VIES.
En solidarité avec le peuple japonais.
En solidarité avec les peuples du monde entier.
Michel Chossudovsky , Global Research, 11 juin, 24 juin 2024
Kazuhiro Haraguchi , l'ancien ministre japonais de l'Intérieur, est devenu le premier grand homme politique à présenter des excuses aux non-vaccinés pour le tsunami de décès survenu au sein de la population vaccinée.
Sa présentation commence à 7'0”
Plus tôt cette semaine, de nombreux citoyens japonais sont descendus dans la rue pour protester contre les crimes contre l’humanité perpétrés par des organisations mondialistes telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial (WEF) pendant la pandémie.
Lors d'un discours d'ouverture des manifestations, Haraguchi a présenté des excuses puissantes et émouvantes pour le grand nombre de décès survenus actuellement à la suite du déploiement mortel de l'ARNm.
Haraguchi a commencé par évoquer le chagrin et la perte ressentis par les familles qui ont perdu des êtres chers contraints de se faire vacciner contre la COVID. Avec un profond sentiment de sincérité, il a présenté ses condoléances et a assumé la responsabilité des manquements des personnes au pouvoir. « Je m'excuse auprès de vous tous. Tant de personnes sont mortes, et elles n'auraient pas dû », a-t-il déclaré.
Le site Thelibertybeacon.com rapporte : L'un des points clés du discours de Haraguchi a été sa critique de l'interdiction de l'ivermectine, un médicament développé par le Dr Satoshi Omura, qui aurait pu, selon lui, jouer un rôle important dans la lutte contre la pandémie. Haraguchi a remis en question les motivations de l'interdiction, suggérant que les intérêts économiques étaient prioritaires par rapport à la santé publique. « Pourquoi ? Parce qu'ils sont bon marché. Ils n'en veulent pas parce que cela interférera avec les ventes de vaccins », a-t-il soutenu. Cette déclaration a suscité de vifs applaudissements de la part de la foule, dont beaucoup ont estimé que les profits des entreprises avaient pris le pas sur les vies humaines.
Haraguchi a ensuite partagé une histoire profondément personnelle sur ses propres problèmes de santé. Après avoir reçu des vaccins, il a développé une maladie grave, en particulier une forme de cancer à progression rapide. « À la même époque l’année dernière, je n’avais ni sourcils ni cheveux. Deux des trois vaccins supposés que j’ai reçus étaient des lots mortels », a-t-il révélé. Ce récit franc de sa bataille contre le cancer, qui comprenait des changements physiques importants comme la perte de cheveux, a touché une corde sensible chez le public. Il a raconté un incident où son apparence est devenue un point de distraction au sein de la Diète, un adversaire se concentrant davantage sur sa perruque que sur les problèmes en cours.
Haraguchi a ajouté qu'il n'était pas le seul membre de la Diète nationale japonaise (assemblée législative) à souffrir des effets indésirables des vaccins . Il a mentionné que trois de ses collègues avaient été gravement touchés, certains ayant même été hospitalisés. « Ils tombent en morceaux, certains sont hospitalisés. Mais ils ne parlent pas », a-t-il expliqué. Cette révélation met en évidence un problème plus vaste : la réticence ou l'incapacité des personnalités publiques à discuter ouvertement de leurs problèmes de santé personnels.
Haraguchi s'est montré particulièrement passionné par les tentatives visant à réduire au silence ceux qui remettent en question les politiques actuelles et les actions du gouvernement. Il a raconté un incident récent au cours duquel il a été interdit de parler sur Channel 3 après une interview avec son président.
« L’autre jour, j’ai parlé avec le président de la chaîne Channel 3, et j’ai été banni. Ils essaient de nous faire taire », a-t-il déclaré. Cette tentative de censure des voix dissidentes a mis en évidence une préoccupation majeure concernant la liberté de parole et d’expression. Haraguchi a exhorté le public à rester ferme dans sa résolution, en déclarant :
« Ils essaient de bloquer notre liberté, notre résistance, notre pouvoir. Mais nous ne perdrons jamais. » Dans la conclusion de son discours,
Haraguchi a lancé un appel à l'action. Il a exhorté le peuple à s'unir pour contester le gouvernement et ses décisions douteuses. « Renversons ce gouvernement », a-t-il proclamé, soulignant la nécessité du changement et de la responsabilisation. Il a appelé les législateurs à continuer de se battre pour la vie et les libertés du peuple. « Faisons en sorte que cela arrive », a-t-il conclu.
La manifestation qui se déroule actuellement (31 mai 2024), qui vise à rassembler des dizaines de milliers de participants, a marqué un moment important dans le débat mondial sur la gestion de la pandémie et les politiques de santé. Le discours de Haraguchi, rempli d'anecdotes personnelles et de critiques virulentes, a trouvé un profond écho auprès des participants.
Lisez ceci
爆弾：日本の元内務大臣が予防接種を受けていない人に謝罪：「あなたは正しかった、ワクチンは私たちの愛する人の何百万人もの人を殺している」 ミシェル・チョスドフスキーによる入門ノート Note introductive de Michel Chossudovsky Le 4 avril 2022で初めて出版されました。 英語版は電子書籍の形で入手できます。
Thelibertybeacon.com est disponible en ligne. 大村智博士が開発した イベルメクチンの禁止に対する批判だった。同氏は、この薬がパンデミック対策に大きな役割を果たせたと考 え て い た。先されたと示唆した。「なぜかって？ 安いからだ。ワクチンの売り上げに支障が出るから嫌がるんだ」と同氏は主張した。この発言は、企業の利益が人命よりも優先されたと感じていた聴衆から大きな拍手を浴びた。
原口氏はその後、自身の健康問題に関する非常に個人的な話をした。 ワクチン接種後、深刻な病気、具体的には急速に進行する癌を発症した。 「去年の今頃は、眉毛も髪の毛もありませんでした。私が受けた3つのワクチンのうち2つは致Description du produit ·彼は, 国会で彼の外見が気を散らす原Voir aussi :語った。
原口氏は、現在の政策や政府の行動に疑問を抱く人々を黙らせる試みに特に情熱を注いだ。同氏は、チ3ème partie de la série 3ついて語った 。 「先日、私はチャンネル 3 彼らは私たちの声を黙らせようとしている反対意見を検閲するこの試みは、言論と表現の自由に対する原口氏は聴衆に対し、「彼らは私たちの自由、私たちの抵抗、私たちの力を阻止しようとしている。しかし、私たちは決して負けません。」
Un programme de dépeuplement de la planète par la vaccination contre la COVID-19 révélé par des rapports gouvernementaux et des documents de Pfizer
Par The Expose Recherche mondiale, 14 septembre 2024
Si un vaccin expérimental devait endommager le cœur et le système immunitaire d’un nombre significatif d’individus qui le recevraient, il est possible qu’il puisse conduire à une diminution de la taille globale de la population.
Cela peut se produire pour plusieurs raisons.
Premièrement, les lésions cardiaques pourraient entraîner une augmentation des maladies cardiovasculaires, qui sont l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Cela pourrait entraîner un nombre plus élevé de décès parmi les personnes ayant reçu le vaccin. Deuxièmement, les dommages au système immunitaire pourraient rendre les individus plus vulnérables à d’autres infections et maladies, ce qui pourrait également contribuer à une augmentation de la mortalité. Enfin, et ce n’est pas le moins important, les effets négatifs du vaccin sur la fertilité et la santé reproductive pourraient entraîner une baisse du nombre de naissances, contribuant ainsi davantage à une diminution de la taille globale de la population. Si un tel vaccin devait être développé et distribué, il pourrait potentiellement conduire à un dépeuplement en raison d’une mortalité accrue et d’une fertilité diminuée.
Malheureusement, le monde se trouve dans une situation où des institutions et des gouvernements puissants ont contraint des millions de personnes à se faire vacciner contre le Covid-19, un vaccin expérimental qui provoque tous les effets néfastes mentionnés ci-dessus.
Les rapports officiels du gouvernement et les documents confidentiels de Pfizer le prouvent.
Vous êtes donc témoins d’un dépeuplement massif qui se déroule sous vos yeux.
La campagne de vaccination massive contre le Covid-19 n’a jamais eu pour objectif de combattre un virus, mais de réduire la population mondiale.
Cet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et de certains individus puissants qui ont tout à gagner d’une population plus petite et plus gérable, maintenant que l’IA est suffisamment avancée pour remplacer des centaines de millions de travailleurs.
Quelle que soit la cause spécifique, les implications de ce qui se passe actuellement dans le monde réel sont importantes.
Des millions de personnes sont « mortes subitement »
Saviez-vous que des données sur la surmortalité dans 15 % des pays du monde sont disponibles sur le site de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ?
Cela inclut des pays majeurs comme les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni.
De plus, nous avons pu extraire des données encore plus à jour sur 28 pays européens à partir d' EuroMOMO .
Toutes ces informations ont été fournies à l' OCDE et à EuroMOMO par les organisations gouvernementales de chaque pays, telles que les Centers for Disease Control aux États-Unis et l'Office for National Statistics au Royaume-Uni.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité dans les pays « Five Eyes » (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et États-Unis) ainsi que dans 27 autres pays européens.
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Êtes-vous conscient du nombre effarant de décès excédentaires survenus aux États-Unis et en Europe ces dernières années ?
En 2021, les États-Unis ont enregistré près de 700 000 décès supplémentaires, avec 360 000 décès supplémentaires supplémentaires d'ici le 11 novembre 2022.
L’Europe a connu un excédent de décès tout aussi alarmant de 382 000 en 2021, avec 309 000 décès supplémentaires en novembre 2022.
Et ces chiffres n’incluent même pas l’Ukraine !
Il est choquant de constater que même des pays comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada ont connu une surmortalité qui n’a pas diminué depuis le lancement du vaccin contre la Covid-19.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité globale en Australie en 2020, 2021 et jusqu'à la semaine 30 de 2022 –
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Saviez-vous que le déploiement du vaccin contre la Covid-19 en Australie a entraîné une augmentation choquante de 747 % des décès excédentaires, passant de 1 303 en 2020 à 11 042 en 2021 ?
Et la situation n’a fait qu’empirer depuis.
À la fin du mois de juillet 2022, on comptait 18 973 décès supplémentaires en Australie, soit une augmentation de 1 356 % par rapport à 2020.
Il s'agit d'un excès de décès en sept mois supérieur à celui enregistré au cours des deux années précédentes réunies.
Et la situation aux États-Unis est tout aussi alarmante.
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Êtes-vous au courant de la tendance inquiétante à la surmortalité aux États-Unis suite au déploiement du vaccin contre la Covid-19 ?
À la 38e semaine de 2022, 1 700 personnes supplémentaires étaient décédées par rapport à la même période en 2020, et à la 38e semaine de 2021, 109 000 personnes supplémentaires étaient décédées par rapport à la même période en 2020.
Ces chiffres indiquent que plutôt que de diminuer, les décès ont en fait augmenté après le déploiement du vaccin.
Les deux graphiques suivants illustrent l’excès total de décès dans les « Five Eyes » et en Europe depuis le début de 2021, lorsque le vaccin contre la Covid-19 a été introduit –
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Saviez-vous que plus de 1,8 million de décès supplémentaires ont eu lieu dans les « Five Eyes » et dans la majeure partie de l’Europe depuis le lancement du vaccin contre la Covid-19 ?
Ce chiffre choquant inclut plus d’un million de décès supplémentaires aux États-Unis et plus de 690 000 décès supplémentaires en Europe selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies et l’Organisation de coopération et de développement économiques, ainsi qu’un nombre important de décès supplémentaires en Australie, au Canada et en Nouvelle-Zélande.
Le récit officiel selon lequel le vaccin est sûr et efficace et réduirait le nombre de décès est complètement contredit par ces chiffres, qui suggèrent que les vaccins contre le Covid-19 pourraient être la principale cause de la surmortalité.
Des enfants, des adolescents et des jeunes adultes sont « morts subitement »
Saviez-vous que la surmortalité chez les enfants de 0 à 14 ans en Europe a augmenté de 755 % entre janvier et septembre 2022, selon les données officielles ?
Cette augmentation alarmante, qui a poussé l'Union européenne à lancer une enquête, s'est produite malgré les efforts d' EuroMOMO pour minimiser les chiffres.
Il convient de noter que le vaccin Pfizer Covid-19 a été approuvé pour une utilisation chez les enfants par l'Agence européenne des médicaments le 28 mai 2021. C'était la semaine 21 de 2021.
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Source Ensuite, des décès excédentaires ont commencé à être enregistrés « seulement « par coïncidence » à partir de la semaine 22, une fois cette autorisation d’utilisation d’urgence accordée.
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Dans l’ensemble, la surmortalité a augmenté de 630 % depuis l’approbation du vaccin pour une utilisation chez les enfants d’ici septembre 2022.
C’est une triste réalité : malgré les preuves de plus en plus nombreuses indiquant le danger évident des vaccinations contre le Covid-19 pour les enfants, il est très peu probable que les autorités reconnaissent ce risque.
Malheureusement, l’augmentation significative de la surmortalité chez les enfants en Europe depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé en urgence le vaccin pour une utilisation dans cette population risque d’être considérée comme une simple « coïncidence » dans la longue liste de tels événements depuis le début de la pandémie.
Il est essentiel que nous continuions à examiner et à analyser les données pour garantir que la santé et le bien-être de nos enfants sont protégés.
Saviez-vous également que selon les chiffres officiels publiés discrètement par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) , près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes sont morts au 9 octobre 2022 aux États-Unis depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois une autorisation d'utilisation d'urgence pour un vaccin contre le Covid-19 ?
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Cette évolution déchirante a entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne de la période 2015-2019.
Les chiffres révèlent également qu'il y a eu 7 680 décès supplémentaires parmi les enfants et les jeunes adultes en 2022 jusqu'à présent par rapport à la même période en 2020, au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
Cependant, l’année la plus meurtrière en termes de décès chez les 0 à 44 ans a été 2021, avec 291 461 décès excédentaires au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020.
Selon les chiffres officiels du CDC, cette augmentation est principalement due à une mystérieuse augmentation soudaine des décès parmi les enfants et les jeunes adultes à partir de la semaine 31 de 2021 environ.
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C'est une réalité déchirante que près d'un demi-million de personnes âgées de 0 à 44 ans soient décédées depuis la semaine 51 de 2020, ce qui représente un nombre stupéfiant de 117 719 décès excédentaires par rapport à la moyenne quinquennale de 2015-2019.
Selon les données officielles, l’espérance de vie moyenne aux États-Unis était de 77,28 ans en 2020.
Si l’on en croit le récit officiel selon lequel le Covid-19 est une maladie mortelle, il est peut-être compréhensible que 231 987 enfants et jeunes adultes jusqu’à 44 ans soient morts en 2020, ce qui a entraîné 40 365 décès supplémentaires comme conséquence malheureuse de cette prétendue maladie.
Cependant, si l’on accepte le récit officiel selon lequel les vaccins contre la Covid-19 sont sûrs et efficaces, comment expliquer la nouvelle augmentation des décès parmi les enfants et les jeunes adultes en 2021 et 2022 ?
Il convient de noter que des millions d’Américains ont subi des pressions pour se faire vacciner, et que des millions de parents ont été contraints de la même manière de forcer leurs enfants à recevoir les injections.
La réponse est claire : le récit officiel est un mensonge éhonté. Les vaccins contre le Covid-19 ne sont ni sûrs ni efficaces.
Les données difficiles à trouver fournies par le CDC ne font qu’esquisser cette tendance inquiétante des décès de jeunes Américains, mais d’autres données publiées par le gouvernement britannique la confirment .
Par exemple, un rapport publié le 6 juillet 2022 par l’Office for National Statistics du Royaume-Uni, une agence gouvernementale, fournit des preuves supplémentaires du danger de ces vaccins.
Le rapport s'intitule « Décès par statut vaccinal, Angleterre, du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 » et peut être consulté sur le site de l'ONS ici et téléchargé ici .
Avez-vous vu le tableau 2 du rapport de l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, qui contient les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge, par statut vaccinal et par groupe d'âge, pour les décès pour 100 000 années-personnes en Angleterre jusqu'en mai 2022 ?
Si ce n’est pas le cas, vous devriez y jeter un œil, car les chiffres qu’il contient sont vraiment inquiétants.
Nous avons pris les données fournies par l'ONS pour la période de janvier à mai 2022 et créé le graphique suivant, qui illustre les conséquences dévastatrices de la campagne de vaccination de masse contre le Covid-19.
Le graphique montre les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge et le statut vaccinal chez les 18 à 39 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.
Ces données montrent clairement que les risques associés à ces vaccins ne peuvent être ignorés.
C'est une tendance inquiétante : chaque mois depuis le début de l'année 2022, les jeunes de 18 à 39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont été plus susceptibles de mourir que les jeunes de 18 à 39 ans non vaccinés.
La situation est particulièrement désastreuse pour les jeunes de 18 à 39 ans triplement vaccinés, dont le taux de mortalité s'est aggravé de mois en mois depuis la campagne de rappel massif qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
En janvier, les personnes de 18 à 39 ans triplement vaccinées étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 chez les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 chez les triplement vaccinés.
Cependant, à partir de février, les personnes de 18 à 39 ans triplement vaccinées avaient 27 % plus de risques de mourir que les personnes non vaccinées, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 parmi les personnes triplement vaccinées et de 21 pour 100 000 parmi les non vaccinés.
La situation s'est encore aggravée en mai 2022, les personnes de 18 à 39 ans triplement vaccinées ayant 52 % plus de risques de mourir que les personnes non vaccinées de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés et de 14,1 parmi les non vaccinés.
Les personnes partiellement vaccinées s'en sortent également mal : en mai, les personnes partiellement vaccinées de 18 à 39 ans avaient 202 % plus de risques de mourir que les personnes non vaccinées de cette tranche d'âge.
Le rapport de l'Office for National Statistics du Royaume-Uni inclut également les taux de mortalité des enfants, bien que le gouvernement britannique ait tenté de dissimuler ces données.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité par statut vaccinal pour 100 000 personnes-années parmi les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre pour la période du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 –
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Source Selon l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, le taux de mortalité des décès dus au Covid-19 parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans est de 0,31 pour 100 000 années-personnes.
Cependant, pour les enfants vaccinés avec une seule dose, le taux de mortalité est de 3,24 pour 100 000 années-personnes, et pour les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité est alarmant : 41,29 pour 100 000 années-personnes.
La situation n’est pas meilleure en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Le taux de mortalité toutes causes confondues est de 6,39 pour 100 000 personnes-années chez les enfants non vaccinés et légèrement plus élevé, à 6,48 chez les enfants partiellement vaccinés.
Cependant, le taux s’aggrave à chaque injection supplémentaire : le taux de mortalité toutes causes confondues est de 97,28 chez les enfants doublement vaccinés et de 289,02 pour 100 000 personnes-années chez les enfants triplement vaccinés.
Cela signifie que, selon les données officielles du gouvernement britannique, les enfants doublement vaccinés ont 1 422 %, soit 15,22 fois plus de risques de mourir de n'importe quelle cause que les enfants non vaccinés, tandis que les enfants triplement vaccinés ont 4 423 %, soit 45,23 fois plus de risques de mourir de n'importe quelle cause que les enfants non vaccinés.
Les données fournies par l'Office for National Statistics, qui sont standardisées selon l'âge et les taux pour 100 000 habitants, sont la preuve définitive que les vaccins contre la Covid-19 augmentent le risque de décès d'une personne.
Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’un rapport secret du CDC confirme que près d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains sont décédés suite au déploiement du vaccin Covid-19, entraînant près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019.
Vous n'avez qu'un seul cœur et il ne se régénérera pas
Les conséquences potentielles d’un vaccin contre la COVID-19 nocif pour le cœur sont désastreuses. Si un tel vaccin était largement distribué et administré à une partie importante de la population, il pourrait entraîner des millions de décès soudains.
Le cœur est un organe vital qui joue un rôle essentiel dans le maintien du bon fonctionnement du corps. Par conséquent, tout effet indésirable sur celui-ci pourrait avoir des conséquences désastreuses.
Malheureusement, au moins deux vaccins contre la Covid-19 produits par Pfizer et Moderna font exactement cela, et ils ont maintenant été administrés à des millions de personnes à plusieurs reprises, et il est probable que ces vaccins soient responsables des millions de décès supplémentaires enregistrés dans le monde depuis leur déploiement.
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Le risque de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une mort subite si elle n’est pas traitée, est une préoccupation majeure en ce qui concerne le vaccin contre la Covid-19. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, qui peuvent ne présenter aucun symptôme de myocardite jusqu’à ce que la maladie ait atteint un stade sévère.
Les symptômes de la myocardite peuvent inclure des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des rythmes cardiaques anormaux. Si elle n’est pas traitée, elle peut entraîner une insuffisance cardiaque, un arrêt cardiaque et une mort cardiaque subite.
C’est probablement la raison pour laquelle une enquête sur les chiffres officiels publiés par Public Health Scotland en avril 2022 a révélé qu’il y a eu une augmentation de 67 % par rapport à la moyenne historique du nombre de personnes âgées de 15 à 44 ans victimes de crises cardiaques, d’arrêts cardiaques, de myocardites, d’accidents vasculaires cérébraux et d’autres maladies cardiovasculaires depuis que ce groupe d’âge s’est vu proposer le vaccin contre la Covid-19.
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Malheureusement, une étude menée par les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a montré que le risque de myocardite suite à la vaccination contre la COVID-19 à ARNm est environ 133 fois plus élevé que le risque de base dans la population.
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Cela signifie que la vaccination contre le Covid augmente de 13 200 % le risque de souffrir de myocardite, une maladie auto-immune provoquant une inflammation du cœur.
Il ressort clairement des données présentées que les vaccins Covid-19 produits par Pfizer et Moderna ont eu un impact significatif sur la santé de millions de personnes dans le monde.
Les effets indésirables potentiels sur le cœur, notamment la myocardite et un risque accru de crise cardiaque, d’arrêt cardiaque et d’autres maladies cardiovasculaires, pourraient entraîner un nombre important de décès subits si ces vaccins sont largement distribués et administrés à une partie importante de la population.
En outre, le nombre élevé de décès excédentaires survenus depuis le lancement des vaccins contre la Covid-19 suggère que ces vaccins pourraient contribuer à une tendance plus large au dépeuplement.
La surmortalité fait référence au nombre de décès supérieur à celui normalement attendu dans une population donnée, et le fait qu’il y ait eu des millions de décès excédentaires dans les pays « Five Eyes » et en Europe depuis le déploiement du vaccin contre la Covid-19 est une source d’inquiétude.
Les conséquences potentielles du dépeuplement sont de grande envergure et pourraient avoir des répercussions importantes sur la société, notamment des perturbations économiques et une diminution de la taille globale de la population. Il est impératif de mener des recherches supplémentaires pour comprendre l’ampleur réelle de l’impact des vaccins contre la Covid-19 sur la santé de la population et pour garantir que tout futur vaccin soit minutieusement testé et jugé sûr avant d’être distribué.
Il est évident que pour qu’il y ait dépopulation, il faut qu’il y ait plus de morts que de naissances. Et malheureusement, des documents confidentiels de Pfizer confirment que c’est désormais notre réalité.
Les documents confidentiels de Pfizer
Les données contenues dans ce document sont alarmantes et suscitent de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité du vaccin Pfizer contre la Covid-19 pendant la grossesse et l'allaitement. Selon ces données, de nombreux cas de femmes enceintes ont été victimes de réactions indésirables au vaccin, notamment des fausses couches, des mortinaissances et d'autres complications graves.
En outre, les données suggèrent que le vaccin peut également présenter des risques pour les nourrissons allaités. De nombreux cas de nourrissons ayant eu des réactions indésirables au vaccin lorsqu'il leur est transmis par le lait maternel ont été signalés.
Ces résultats sont extrêmement préoccupants et soulignent la nécessité de poursuivre les recherches sur la sécurité des vaccins contre la Covid-19 pendant la grossesse et l’allaitement. Si les risques associés à ces vaccins ne sont pas correctement pris en compte, cela pourrait avoir des conséquences importantes sur les taux de fécondité et la population globale.
Il est impératif que les autorités prennent ces préoccupations au sérieux et mènent des enquêtes approfondies sur la sécurité des vaccins contre la Covid-19 pendant la grossesse et l’allaitement. La santé et le bien-être des mères et de leurs enfants doivent être une priorité absolue.
Le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer a été associé à un nombre élevé d'effets indésirables chez les femmes enceintes. Selon les propres données de l'entreprise, sur les 270 cas connus d'exposition au vaccin pendant la grossesse, 46 % des mères (124) ont subi une réaction indésirable.
Parmi ces symptômes, 75 ont été jugés graves, notamment des contractions utérines et la mort du fœtus.
Cela signifie que 58 % des mères ayant signalé des effets indésirables ont subi un événement grave. Ces résultats inquiétants suscitent des inquiétudes quant à la sécurité du vaccin pour les femmes enceintes et soulignent la nécessité de poursuivre les recherches.
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Source – Page 12
Il est alarmant de constater que les données de Pfizer montrent que 124 des 270 femmes enceintes exposées au vaccin Pfizer contre la COVID-19 ont subi une réaction indésirable. Parmi celles-ci, 75 ont été considérées comme graves, y compris la mort fœtale.
Il est également inquiétant que Pfizer ne dispose d’aucune information sur les résultats de 238 grossesses sur 270. Ces chiffres soulèvent de sérieuses questions quant à la sécurité du vaccin Pfizer contre la COVID-19 pour les femmes enceintes et leurs fœtus.
Les résultats d’ une autre étude Pfizer sur des rats Wistar Han montrent que le vaccin Pfizer COVID-19 s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Les ovaires sont une paire de glandes féminines qui produisent des ovules et des hormones féminines, l'œstrogène et la progestérone.
L' étude , qui figure dans la liste des documents confidentiels de Pfizer publiés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis en vertu d'une ordonnance du tribunal, a administré une dose unique du vaccin Pfizer à 21 rats femelles et 21 rats mâles.
Les chercheurs ont mesuré la concentration de radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus des rats à différents moments après l'injection. L'accumulation du vaccin dans les ovaires soulève des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité et la santé reproductive.
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L’un des résultats les plus préoccupants de l’étude sur le vaccin Pfizer contre la Covid-19 est le fait que celui-ci s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Au cours des 15 premières minutes suivant l’injection, la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml, mais elle est passée à 1,34 ml après seulement une heure, à 2,34 ml après quatre heures et à 12,3 ml après 48 heures.
Bien que les scientifiques qui ont mené l’étude n’aient pas poursuivi leurs recherches au-delà de 48 heures, il n’est pas clair si cette accumulation inquiétante a continué.
Ces résultats soulèvent de sérieuses questions sur les effets potentiels à long terme du vaccin Pfizer sur la fertilité et la santé reproductive.
Mais selon les données publiées par Public Health Scotland, le nombre de personnes souffrant d’un cancer de l’ovaire a considérablement augmenté en 2021 par rapport à l’année précédente et à la moyenne 2017-2019.
Cela pourrait potentiellement être lié à l’accumulation du vaccin Pfizer contre la COVID-19 dans les ovaires, comme l’a révélé une étude sur des rats.
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Cancer de l’ovaire – Source
En Écosse, les décès de nouveau-nés ont également atteint un niveau critique pour la deuxième fois en seulement sept mois, selon les chiffres officiels.
Le taux de mortalité néonatale en mars 2022 était de 4,6 pour 1 000 naissances vivantes, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de mortalité attendu.
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Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a dépassé pour la deuxième fois un seuil d’alerte supérieur appelé « limite de contrôle » après le déploiement des vaccins Covid-19 auprès des femmes/femmes enceintes.
La dernière fois que ce seuil a été dépassé, c'était en septembre 2021, lorsque le nombre de décès néonatals pour 1 000 naissances vivantes a atteint 5,1. Ces niveaux sont comparables à ceux généralement observés à la fin des années 1980.
À l’époque, le PHS avait déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il existe une probabilité plus élevée que des facteurs au-delà de la variation aléatoire aient contribué au nombre de décès survenus ».
Cette nouvelle est choquante et soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le Covid-19.
Augmentation de la mortalité
Il est alarmant de constater, d'après les chiffres figurant dans un rapport publié par le gouvernement britannique intitulé « Décès par statut vaccinal, Angleterre, du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et accessible sur le site de l'ONS ici et téléchargeable ici , que chaque mois entre janvier et mai 2022, les personnes âgées de 18 à 39 ans partiellement ou totalement vaccinées étaient plus susceptibles de mourir de causes non liées au Covid que leurs homologues non vaccinés.
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La situation est particulièrement désastreuse pour les personnes triplement vaccinées, dont les taux de mortalité n’ont fait qu’empirer de mois en mois depuis la campagne de rappel généralisée de décembre 2021.
Ces chiffres choquants, fournis par l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, confirment que les vaccins contre le Covid-19 augmentent considérablement le risque de décès d'une personne.
Il est clair que les vaccins non seulement ne protègent pas les individus, mais qu'ils causent également des dommages. Il est crucial de prendre des mesures pour stopper leur distribution et d'enquêter sur les véritables dangers qu'ils représentent.
Mais cette situation ne concerne pas uniquement les 18-39 ans. Elle est courante dans toutes les tranches d'âge.
Les deux graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge et le statut vaccinal pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 pour tous les groupes d'âge -
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Vous pouvez lire une enquête complète sur les chiffres ci-dessus, répartis par groupe d'âge, ici .
Dépeuplement dû à la vaccination contre la COVID-19
Les conséquences potentielles de la campagne de vaccination contre le Covid-19 sont alarmantes et pourraient conduire à un dépeuplement à l’échelle mondiale.
Le cœur est un organe vital et tout effet indésirable sur celui-ci peut avoir des conséquences dévastatrices. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, car la myocardite peut ne provoquer aucun symptôme jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade sévère.
Les données de Pfizer révèlent que 46 % des femmes enceintes ayant reçu le vaccin ont souffert d’effets indésirables, dont 58 % ont connu des événements indésirables graves allant de la contraction utérine à la mort fœtale.
De plus, des études ont montré que le vaccin s’accumule dans les ovaires au fil du temps, ce qui soulève des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité.
Les chiffres officiels révèlent également que les taux de mortalité sont les plus élevés parmi les personnes vaccinées et les plus faibles parmi la population non vaccinée dans chaque groupe d’âge.
Avec toutes ces preuves, il est clair que la campagne de vaccination contre le Covid-19 pourrait avoir de graves conséquences sur l’avenir de l’humanité.
Mais pourquoi ?
Il existe diverses raisons pour lesquelles certaines personnes peuvent vouloir dépeupler la planète.
L’une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s’épuisent à un rythme insoutenable en raison de l’augmentation de la population.
D’autres pourraient soutenir que le dépeuplement est nécessaire en raison de l’impact négatif que les humains ont sur l’environnement, et que la réduction de la population pourrait aider à atténuer certains de ces problèmes.
Certaines personnes peuvent également prôner le dépeuplement en raison des inquiétudes concernant l’impact du changement climatique, car une population plus petite entraînerait probablement une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Enfin, certains peuvent simplement croire qu’une population plus petite serait plus facile à gérer et à contrôler, et peuvent prôner le dépeuplement pour cette raison.
Klaus Schwab et Bill Gates sont deux personnalités influentes qui ont exprimé leur soutien à l’idée de dépeuplement par divers moyens, notamment la vaccination.
Schwab, le fondateur du Forum économique mondial, a soutenu que la réduction de la population mondiale serait bénéfique pour l’environnement et l’économie, et a suggéré que les technologies avancées telles que l’intelligence artificielle pourraient jouer un rôle dans la réalisation de cet objectif.
De même, Bill Gates a déclaré que les campagnes de vaccination peuvent être utilisées pour réduire la population et a financé de nombreuses initiatives qui promeuvent la vaccination comme moyen de contrôler la croissance démographique.
On comprend donc maintenant pourquoi des personnalités influentes comme Bill Gates et Klaus Schwab militent en faveur de campagnes de vaccination généralisées.
La campagne de vaccination massive contre le Covid-19 ne vise pas à combattre un virus, mais à réduire la population mondiale.
Cet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et de certains particuliers qui pourraient bénéficier d’une population plus petite et plus gérable.
Quand la Terre était plus chaude, les poissons nageaient dans le Sahara
Par Jo Nova September 12th, 2024
Le froid est la catastrophe
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Un monde plus chaud ne serait peut-être pas si horrible. Au début de l'Holocène, il y a 10 000 ans, des rivières coulaient au milieu du désert du Sahara et étaient remplies de poissons. La photo ci-dessus montre ce qu'il reste du lac Takarkori aujourd'hui. Si seulement le changement climatique pouvait ramener les poissons ?
Pendant que nous étions distraits en 2020, des chercheurs ont publié un article sur un trésor d'os et de parties du corps qu'ils avaient creusé dans une grotte du sud-ouest de la Libye, qui se trouve à peu près au milieu du Sahara aujourd'hui. Étonnamment, ils ont trouvé 17 551 os, et plus surprenant encore, 80 % d'entre eux provenaient de poissons.
Les personnes qui y dînaient attrapaient des tilapias et des poissons-chats clariidés, et parfois une tortue de boue, un mollusque et un ou deux crocodiles. Le lac (photo ci-dessus) se trouve à environ 6 kilomètres de la grotte (ci-dessous), et tous les os semblent être des déchets humains. C'est en quelque sorte le dépotoir archéologique ultime du FOGO.
Ce restaurant, qui est resté ouvert pendant 6 000 ans, a laissé derrière lui des couches et des couches d'histoire culinaire intacte. Peu à peu, au fil des milliers d'années, les convives ont mangé moins de poisson et plus de bœuf, de chèvre et de mouton.
Étonnamment, 17 000 morceaux d'os et de morceaux ont été trouvés sur une zone de seulement 150 mètres carrés. D'une manière ou d'une autre, contre toute attente, les chercheurs ont pu identifier chaque arête de poisson. Cela semble étonnant, sauf que les chances étaient de 50/50 que chaque os soit un tilapia ou un poisson-chat Clariid. Les résidents étaient peut-être un peu fatigués de manger les mêmes deux poissons.
Bien que les rivières et les zones humides aient pu contenir beaucoup de poissons, il n'y avait pas beaucoup de variété.
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Grotte de Takarkori, restes de poissons holocènes. https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0228588
Les auteurs, Wim van Neer et al, spéculent que les poissons se sont probablement répandus dans ces lacs par le biais d’inondations massives qui les ont emportés sur le sol. (Imaginez l’ampleur de ces inondations ?) Ils se demandent si un oiseau aurait pu laisser tomber quelques œufs de poisson, mais ne pensent pas que ce soit aussi probable. Apparemment, même les tempêtes peuvent parfois ramasser des poissons et les projeter au loin. Si les humains contrôlaient un jour le climat et le fixaient dans son état actuel, ils empêcheraient le retour de la vie dans le désert et qualifieraient cela de « victoire » pour l’environnement. C’est fou, non ?
Au cours de cette période chaude de l’Holocène, il y avait de nombreuses autres rivières à travers le Sahara qui ne coulent plus là aujourd’hui. Les lacs près de Takarkori se sont asséchés lors de la vague de froid soudaine et choquante il y a 8 200 ans, mais sont revenus après quelques siècles. (Juste un changement climatique de plus !) Il y a environ 5 500 ans, elles se sont taries pour de bon (ou pour de mauvais, si vous étiez un berger nomade).
Une rivière à proximité a réussi à continuer à couler jusqu'à l'époque romaine, il y a environ 2 000 ans.
Rivières sahariennes Carte des rivières et des systèmes hydrographiques sahariens de l'Holocène. Fig 14. Présence actuelle de certaines espèces aquatiques (poissons, crocodiles et tortues) dans les cours d'eau d'Afrique du Nord. La répartition de Crocodylus doit être considérée comme continue dans les cours d'eau actuels au sud du désert du Sahara et le long du Nil au sud d'Assouan.
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Les vestiges de la grotte couvrent une période de 6 000 ans
Il est quelque peu dégrisant de se rappeler combien de générations se sont succédées et à quel point leurs vies ont dû être différentes. Que penseraient-ils s'ils voyaient le désert aride aujourd'hui ?
Les premiers humains à vivre dans la grotte sont arrivés il y a environ 10 000 ans. Des établissements permanents sont apparus il y a environ 8 300 ans, et les vaches laitières sont arrivées 800 ans plus tard. Il y a 6 000 ans, le site était utilisé pour de brèves visites par des éleveurs de chèvres et de moutons pendant l'hiver.
Les premiers habitants de l'abri sous roche de Takarkori étaient des chasseurs-cueilleurs-pêcheurs du début de l'Holocène, appelés localement « Acacus tardif » (LA1-3 : environ 10 200-8 000 cal BP). Les preuves archéologiques et archéobotaniques indiquent une occupation résidentielle prolongée, bien que saisonnière, et un système d'exploitation des ressources à retour différé [13, 33, 34, 35].
Des structures en pierre de différentes tailles et fonctions (huttes, brise-vent, plates-formes, etc.) et de grands foyers, ainsi que de grandes meules et une poterie abondante indiquent également un mode de vie semi-sédentaire, comme l'indiquent d'autres sites contemporains de la région, tels que Ti-n-Torha Est, Uan Afuda et Uan Tabu [7, 36, 37]. Les premières traces d'éleveurs pastoraux néolithiques (EP1-2) remontent à environ 8300 ans cal BP, principalement représentées par l'enterrement de femmes et d'enfants [38].
Une économie pastorale complète basée sur l'exploitation du bétail, y compris la production laitière, est attestée à partir d'environ 7100 ans cal BP [39], lorsque l'abri est occupé de manière saisonnière (MP1-2), probablement à partir de la fin de la saison des pluies et pendant l'hiver sec [13, 40]).
Les éleveurs nomades (LP1, vers 5900–4650 ans cal BP), se concentrant principalement sur le petit bétail (moutons/chèvres) plutôt que sur les bovins, campaient brièvement à Takarkori pendant l'hiver, utilisant une grande partie de la zone pour parquer les animaux, avec une épaisse couche durcie de crottin d'ovicaprine fermant la séquence
Le désert du Sahara actuel Juste pour nous rappeler à quel point il est incroyablement vaste :
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Google Map Sahara Desert.
Le communiqué de presse :
Du poisson dans le Sahara ? Oui, au début de l'Holocène ScienceDaily, février 2020
Le poisson-chat et le tilapia constituent une grande partie des restes d'animaux découverts dans l'environnement saharien de l'abri sous roche de Takarkori, dans le sud-ouest de la Libye, selon une étude publiée le 19 février 2020 dans la revue en libre accès PLOS ONE par Wim Van Neer du Musée d'histoire naturelle de Belgique, Belgique et Savino di Lernia, Université Sapienza de Rome, Italie, et ses collègues.
Aujourd'hui, les montagnes sahariennes de Tadrart Acacus sont venteuses, chaudes et hyperarides ; cependant, les archives fossiles montrent que pendant une grande partie de l'Holocène précoce et moyen (10 200 à 4 650 ans avant notre ère), cette région était humide et riche en eau ainsi qu'en vie, avec des preuves de multiples établissements humains et d'une faune diversifiée.
Les abris sous roche de Tadrart Acacus conservent non seulement d'importants vestiges floraux et fauniques, mais aussi d'importants artefacts culturels et d'art rupestre dus à l'occupation de ces abris au début de l'Holocène. Dans cette étude, les auteurs ont travaillé avec le Département libyen des antiquités pour fouiller des parties de l'abri sous roche de Takarkori afin d'identifier et de dater les restes d'animaux trouvés sur ce site et d'étudier les changements dans l'abondance et le type de ces restes animaux au fil du temps.
Les restes de poissons représentaient près de 80 % de l'ensemble des découvertes, qui comptaient 17 551 restes fauniques au total (19 % d'entre eux étaient des restes de mammifères, les restes d'oiseaux, de reptiles, de mollusques et d'amphibiens représentant les 1,3 % restants). Tous les poissons et la plupart des autres restes se sont révélés être des déchets alimentaires humains, en raison de marques de coupe et de traces de brûlure - les deux genres de poissons de Takarkori ont été identifiés comme étant des poissons-chats et des tilapias.
D’après les datations relatives de ces restes, la quantité de poissons a diminué au fil du temps (de 90 % de tous les restes il y a 10 200 à 8 000 ans avant notre ère contre seulement 40 % de tous les restes entre 5 900 et 4 650 ans avant notre ère) alors que le nombre de restes de mammifères a augmenté, ce qui suggère que les habitants de Takarkori se sont progressivement concentrés davantage sur la chasse et l’élevage. Les auteurs ont également constaté que la proportion de tilapias a diminué de manière plus significative au fil du temps, ce qui peut être dû au fait que les poissons-chats ont des organes respiratoires accessoires leur permettant de respirer de l’air et de survivre dans des eaux peu profondes et à haute température – une preuve supplémentaire que cet environnement désormais désertique est devenu moins favorable aux poissons à mesure que l’aridité augmentait.
Les auteurs ajoutent : « Cette étude révèle l’ancien réseau hydrographique du Sahara et son interconnexion avec le Nil, fournissant des informations cruciales sur les changements climatiques spectaculaires qui ont conduit à la formation du plus grand désert chaud du monde. L'abri sous roche de Takarkori s'est une fois de plus révélé être un véritable trésor pour l'archéologie africaine et au-delà : un lieu fondamental pour reconstituer la dynamique complexe entre les anciens groupes humains et leur environnement dans un climat en mutation.
REFERENCE
“Wim Van Neer, Francesca Alhaique, Wim Wouters, Katrien Dierickx, Monica Gala, Quentin Goffette, Guido S. Mariani, Andrea Zerboni, Savino di Lernia. Aquatic fauna from the Takarkori rock shelter reveals the Holocene central Saharan climate and palaeohydrography. PLOS ONE, 2020; 15 (2): e0228588 DOI: 10.1371/journal.pone.0228588
96 % des politiques climatiques sont un gaspillage d’argent, selon un article de Science
Par Jo Nova September 13th, 2024
Enfin, 15 ans et mille milliards de dollars trop tard, George Monbiot dit ce que les sceptiques disent depuis le début. Presque tous les programmes de réduction des émissions de carbone sont des machinations inutiles qui créent l’illusion que le gouvernement fait quelque chose. Il appelle cela du « perceptionware ».
Un nouvel article publié dans Science souligne qu’au cours des 25 dernières années, à peine 4 % des politiques climatiques dans 41 pays ont fait une réelle différence. Et par « réelle différence », nous entendons la réduction d’un engrais utile, c’est donc une bonne chose que 96 % des stratagèmes aient échoué, mais une tragédie qu’un millier de milliards de dollars aient été volés à des gens honnêtes.
Quoi qu’il en soit, Monbiot voit enfin la pointe de l’iceberg de la fraude et de la corruption, mais il ne se rend pas compte de son propre rôle dans tout cela, il ne se rend pas compte que les mêmes échecs de journalistes comme lui ont également échoué dans le monde scientifique où 96 % des journaux n’ont rien accompli de ce qu’ils avaient prévu de faire – comme prédire le climat. La science climatique tourne en rond, crée des perceptions et échoue à comprendre le climat depuis cinquante ans, mais George ne l’a pas remarqué.
Monbiot n’a même pas fait le saut évident : où étaient les Verts, les gens qui étaient censés être les plus intelligents et qui s’en souciaient le plus ? La plupart de ces échecs en matière de réduction des émissions de carbone étaient évidents pour quiconque possédait une calculatrice. Serait-ce George, que les Verts étaient les idiots enfermés dans leur propre jeu de perceptions, prétendant se soucier du gaz carbonique pour impressionner leurs amis lors de dîners mais s’en fichant vraiment ? Ou pire, se pourrait-il que certains Verts aient été achetés par des industries et des pays étrangers qui profitent de la fraude au carbone ?
Qui a défendu les pauvres, les travailleurs et les contribuables qui se faisaient avoir ? Seuls les sceptiques.
Sur 1 500 politiques climatiques mondiales, seules 63 ont vraiment fonctionné. C’est là que nous a mené le discours vert George Monbiot, The Guardian « De grands projets, souvent soutenus par les gouvernements, se font passer pour des mesures positives en faveur de l’environnement. Ils devraient être désavoués. »
Parlons du perceptionware. Le perceptionware est une technologie dont le but principal est de créer une impression d’action…
Monbiot se concentre sur la fantaisie sans fin qu’est la quête du biocarburant pour les compagnies aériennes :
… l’exemple le plus clair de perceptionware est peut-être le dévoilement répété, au cours des 25 dernières années, de jets à gros volume. Tout au long de cette période, les compagnies de combustibles fossiles et les compagnies aériennes ont annoncé des prototypes d’avions verts ou de prototypes de carburants verts, dont aucun n’a eu d’effet significatif sur les émissions ou, dans la plupart des cas, ne s’est concrétisé. Leur seul effet jusqu’à présent a été d’aider les entreprises à éviter une action législative.
Il craint maintenant que les pauvres meurent de faim alors que nous brûlons leur nourriture et abattons des forêts pour pouvoir voler jusqu’à Bali :
Mais qu’importe, cette perception est désormais aussi la politique du Parti travailliste. L’échec est ancré dans la mémoire. Même avec des restrictions sur les matières premières qui peuvent être utilisées, tout déploiement significatif de biocarburants pour l’aviation augmentera la demande totale, ce qui signifie soit que les cultures agricoles sont retirées de la consommation humaine, augmentant le prix des aliments et donc la faim dans le monde, soit que des écosystèmes sauvages sont détruits pour faire place à l’expansion agricole.
George ne réalise toujours pas que la racine du problème est le Big Government lui-même. Dans le marché fou des biocarburants, c’est le gouvernement qui a « choisi le gagnant » et a décidé que nous devrions brûler de la nourriture pour sauver le monde, et non le marché libre. Qui aurait pu deviner que des matières végétales à haute teneur énergétique seraient aussi la même chose que les gens voudraient manger ?
Quant à l’utilisation des déchets, cette promesse est répétée à maintes reprises pour justifier des politiques désastreuses. Le biodiesel serait fabriqué à partir d’huile de cuisson usagée, mais dès que la production a augmenté, de l’huile de palme neuve a été utilisée à la place. Les brûleurs de biomasse auraient dû nettoyer les déchets forestiers, mais ils ont rapidement commencé à utiliser des arbres entiers et, dans certains cas, des forêts entières. Le biogaz serait produit à partir des eaux usées et des déchets alimentaires, mais les exploitants ont rapidement découvert qu’ils pouvaient produire davantage avec des cultures dédiées comme le maïs et les pommes de terre. Pourquoi ? Parce que les déchets sont généralement peu énergétiques, variables et coûteux à gérer. Il existe déjà une concurrence intense pour la petite partie des déchets qui pourrait être commercialement utile, car les entreprises courent après les paiements carbone : à tel point que l’huile de palme fraîche a été vendue comme huile usagée, car elle attire une prime plus élevée.
Le monopole scientifique financé par le gouvernement a créé une fausse crise dont les parasites pourraient se nourrir, et il est surpris que les parasites se soient retrouvés au dîner.
Où étaient tous nos experts en climatologie, George, pendant que 25 ans d’argent et de temps étaient gaspillés ? Voulaient-ils ou non sauver le monde, ou étaient-ils trop stupides, ou trop effrayés pour dire l’évidence ?
Stechemesser et al (2024) Climate politics that achievement major emissions reductions: Global evidence from two decade, Science, 22 août 2024, vol 385, numéro 6711, pp. 884-892, DOI : 10.1126/science.adl6547
Les pales d'éoliennes sont fabriquées à partir de matériaux composites contenant un certain nombre de composants toxiques. Une partie de celui-ci est libérée lors du fonctionnement normal par abrasion. Cela peut conduire à des accidents catastrophiques dans lesquels les composants en fibre de verre et en fibre de carbone (GRP/CFRP), en particulier, présentent de graves risques pour l'environnement, les animaux et les personnes.
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TKP a rapporté ici un tel accident survenu dans une éolienne offshore à Nantucket, qui a propagé de dangereux éclats de fibre de verre dans la région . Les plages ont été transformées en "décharges" remplies d'épaves et d'éclats pointus de fibre de verre , ont rapporté les médias locaux. Certaines éoliennes du parc éolien de Wenchang étaient dans une situation encore pire, comme le montre la photo ci-dessus.
Le super typhon Yagi, la tempête la plus violente à avoir frappé l'Asie cette année, a déversé sa force sur la province de Hainan, la plus méridionale de la Chine, endommageant gravement un parc éolien en frappant la côte.
La tempête a eu de graves conséquences sur la centrale éolienne de Wenchang, un projet en cours d'agrandissement et de modernisation par la société Huaneng Hainan. La centrale électrique devait moderniser son infrastructure, en remplaçant 32 turbines vieillissantes par 16 nouveaux modèles résistants aux typhons et en augmentant sa capacité à 104 MW.
Le parc éolien autrefois
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et maintenant
Le terme énergies « renouvelables » prend ici un tout nouveau sens.
De tels accidents libèrent des pièces présentant des surfaces de fracture aux arêtes vives ainsi que toutes sortes de particules toxiques. Les hommes assument un risque pour la santé comme celui de l'amiante. Les services d'urgence qui doivent éliminer les fragments dispersés doivent utiliser des combinaisons de protection de la classe de sécurité la plus élevée.
Voici un extrait d'un article de son collègue Sander-Faes sur le potentiel dommageable des pales de rotor :
Le carbone/GRP/CFK sont toxiques pour les humains et les animaux et sont soupçonnés d'être toxiques pour la reproduction et cancérigènes à fortes doses (y compris le bisphénol-A) et sont assimilés à l'amiante (UBA 2020). Leur effet direct sur l’organisme n’a pas encore fait l’objet de nombreuses recherches. Cependant, l' excitation du cancer est incontestée . Il y a bien sûr un besoin de recherche, comme pour toutes ces substances. Cependant, notamment lors d'accidents militaires (accident d'avion avec du carbone/GRP/CFRP), l'élimination des résidus contaminés par du carbone/GRP/CFRP s'effectue toujours avec des efforts considérables et uniquement avec l'utilisation de combinaisons de protection complètes ( EPI) pour le personnel spécialisé déployé pour enlever/remplacer la surface terrestre sur et dans laquelle se trouvent ou pourraient se trouver des restes de matériaux) Les connaissances sont également suffisantes pour établir une interdiction de mise en décharge de ces substances (§ 6 DepotG)…
En savoir plus sur le sujet : Énergie éolienne et « fibres désagréables » : faits rapportés par l’avocat Thomas Mock
Les éoliennes, pièges mortels : « fibres désagréables » et risques de contamination
Une éolienne offshore se démonte et disperse de dangereux « éclats de fibre de verre »
À votre avis, qui contrôlera tous les codes QR personnels ?
Exactement, vous avez deviné juste.
QR est l’abréviation de Quick Response (réponse rapide). Il s’agit d’un code-barres « aux stéroïdes ». Alors que le code-barres retient l’information horizontalement, le code QR le fait à la fois horizontalement et verticalement. Le code-barres matriciel bidimensionnel a été inventé en 1994 par la société japonaise Denso Wave, à l’origine pour l’étiquetage des pièces automobiles.
Les obsédés du contrôle occidentaux ont rapidement découvert son potentiel et s’en sont emparés pour leur diabolique « programme pour l’avenir de l’humanité », dont l’administration et l’imposition à l’humanité ont été confiées au monde de l’informatique d’entreprise (dont la valeur combinée s’élève à environ 3 ou 4 billions de dollars). Un code QR individuel a une capacité de stockage pratiquement illimitée. Il peut donc vous connaître mieux que vous ne vous connaissez vous-même.
Le débat ou les « négociations » sur ce pacte numérique ont officiellement eu lieu les 20 et 21 septembre à huis clos, lors de l’Assemblée générale des Nations unies, mais le contexte avait été discuté et approuvé dans plusieurs versions clandestines, également appelées révisions 2 et 3, qui sont publiées sur le site internet de l’ONU pour le ” Sommet de l’avenir ».
En septembre, les dirigeantes et les dirigeants du monde entier se réuniront aux Nations Unies pour adopter le Pacte pour l’avenir, qui comprendra en annexe un Pacte numérique mondial et une Déclaration sur les générations futures.
« Le Sommet de l’Avenir » : https://www.un.org/fr/summit-of-the-future
Malheureusement, presque personne ne connaît cette page [internet] et pratiquement personne ne la consulte. Si les gens étaient mieux informés ou s’ils se souciaient davantage de s’informer, nous ne nous trouverions peut-être pas devant l’abîme numérique, comme c’est le cas aujourd’hui.
On ne sait pas exactement quelle entreprise, quel service informatique et quelle représentation de la société civile ont participé à ces « négociations » secrètes. Mais il est certain que le Forum économique mondial ( FEM) et le Club de Rome, tous deux basés dans la Suisse « paradisiaque » (on ne répétera jamais assez que la Suisse « neutre » accueille la majeure partie de ces organisations maléfiques, dont le but est de réduire et de contrôler l’humanité), ont participé à l’élaboration initiale et aux révisions ultérieures du texte.
Le pacte numérique ne laisse aucune place aux décisions de l’homme. Il n’y a aucune possibilité d’avoir une « option facultative ». En d’autres termes, un individu ne peut pas dire « Merci, et non merci, je préfère me retirer de ce monde numérique ». Les gens sont forcés d’entrer dans ce système, quoi qu’il arrive. Tel est le plan.
Le choix des gouvernements de participer a également été bloqué, car on leur a dit que c’était une obligation, ou sinon… Nous savons ce que signifie « ou sinon ».
Aucune exception n’est autorisée dans le cadre de la « numérisation intégrale », car cela reviendrait à jeter le contrôle mondial, ou le contrôle mondialiste, par la fenêtre, ou à le jeter aux loups, pour ainsi dire.
Les exceptions constitueraient une entrave définitive à l’ordre mondial unique qui s’annonce.
Le pacte explique clairement les énormes avantages offerts par les technologies numériques pour le bien-être de l’homme. Il est donc impératif qu’aucun fossé ne subsiste entre les personnes et les pays, et que TOUS naviguent sur la même longueur d’onde, à savoir le numérique intégral.
L’objectif du bien-être humain global, tel qu’il est expliqué dans le pacte – pas de guerres, pas de conflits, pas de pollution, pas de bruit, des maladies bien contrôlées, et bien d’autres choses encore – justifie l’évolution rapide vers la numérisation complète ou totale.
Sans le dire ouvertement, il s’agit de la première étape vers un ordre mondial unique et un gouvernement mondial unique. Ce dernier sera mis en œuvre par l’ONU, avec un cadre politique établi par le FEM et une tyrannie de type GESTAPO imposée par l’OMS.
L’ONU a été entièrement cooptée dans cette entreprise de destruction de l’humanité qui, rétrospectivement, remonte à une vingtaine d’années, alors que l’humanité était plongée dans un sommeil profond. Elle a finalement été officialisée, avec un accord de coopération entre l’ONU et le FEM, signé en juin 2019. Illégal en tant que tel, car l’ONU ne peut pas conclure d’accords avec des ONG, mais de facto non pertinent dans un monde ordonné par des règles.
Par ailleurs, les ressources et le budget de l’ONU, qui dépendent actuellement essentiellement des contributions des pays membres, pourraient être facilement remplacés par les grands payeurs, Big Tech et Big Finance, qui finiront par prendre les commandes. C’est tout à fait justifié dans le monde d’aujourd’hui, où « qui paie décide » des mandats.
Les futures assemblées annuelles des Nations unies pourraient être considérées comme des assemblées d’actionnaires pro forma, ou, selon les termes du FEM, comme des « réunions de parties prenantes », sans avoir en fait le moindre pouvoir de changer de direction ou de tracer une voie différente, plus humaine.
La gestion numérique est aux commandes, et la (trans)humanité sans voix suit presque aveuglément. Ceux qui ne sont pas aveugles et qui résistent peuvent facilement être éliminés numériquement. Tout le monde s’en moque. M. « digital » ne peut pas être accusé de meurtre. L’ordre fondé sur des règles n’a pas la notion de meurtre ; il s’agit simplement d’une suppression numérique.
Dans les rangs des services de conseil des Nations Unies les plus proches, on peut s’attendre à trouver les grandes sociétés de technologie de l’information. Ce sont elles qui décideront des orientations numériques, car elles reçoivent le scénario de Big Finance, qui n’a pas encore été désigné.
Avons-nous, nous, l’humanité, un choix, une alternative, un moyen de sortir de ce carcan numérique ? Oui, mais seulement lorsque nous réaliserons ce qui se prépare, lorsque nous reconnaîtrons les implications et lorsque nous agirons non pas en tant qu’individus, mais lorsque nous serons prêts à nous débarrasser de l’individualisme « imposé par le système » et à adopter le principe « Together we Can » (Ensemble, nous le pouvons).
Peter Koenig
Article original en anglais :
Towards an “Oppressive Digital New World Order”. UN “World for the Future” Conference. 22-23 September 2024. Borderless “Enslavement Package”, Digital Control over 8 Billion People
Rémunération du rachat de l'électricité solaire en Allemagne : des pénalités prévues pour les personnes qui injectent leur électricité dans le réseau !!
15 Septembre 2024 Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
Afin de limiter l'explosion des coûts liés aux tarifs de rachat, les propriétaires d'installations solaires devront payer pour alimenter le réseau en période de prix négatifs de l'électricité.
En cas de prix négatifs de l'électricité, les injecteurs d'électricité devront à l'avenir verser de l'argent ! Cela permettrait d'empêcher l'injection de courant. Parallèlement, on souhaite ainsi augmenter les investissements dans les possibilités de stockage et influencer le comportement des producteurs d'électricité. L'explosion des coûts de la rétribution du courant injecté en est la cause.
Ma note : Voilà où mènent les délires de l'Energiewende.
Le gouvernement fédéral prévoit des changements massifs dans la promotion de l'énergie solaire. Ainsi, dès l'année prochaine, les installations photovoltaïques soumises à la commercialisation directe obligatoire ne seront plus rémunérées dès la première heure où les prix de l'électricité sont négatifs. Actuellement, il s'agit de la troisième heure consécutive.
Mais l'augmentation massive des prix négatifs de l'électricité cette année et l'augmentation spectaculaire des subventions publiques obligent le gouvernement fédéral à agir. Les gestionnaires de réseau étaient depuis un certain temps déjà confrontés à l'explosion des coûts de la rétribution du courant injecté, à laquelle ils sont légalement tenus.
Ils s'attendent à des dépenses de 20 milliards d'euros rien que pour cette année. Jusqu'en juillet 2024, le gouvernement fédéral a déjà versé pour cette raison onze milliards d'euros aux gestionnaires de réseau. Sans correction de la promotion du solaire, les experts en énergie s'attendent à des coûts annuels d'au moins 30 milliards d'euros à partir de 2026.
Le déficit de financement ne cesse de s'aggraver, car les tarifs de rachat continuent d'être versés et l'électricité excédentaire (dont le prix est souvent négatif) n'a pas ou peu de valeur sur le marché de l'électricité. En outre, l'Allemagne doit payer une taxe à d'autres pays européens pour qu'ils achètent l'électricité excédentaire. Dans le cas contraire, le réseau électrique allemand pourrait être surchargé.
Les injecteurs devront payer lorsque les prix de l'électricité sont négatifs
La raison de cette évolution est le nombre croissant d'heures pendant lesquelles la production d'électricité solaire dépasse la consommation. En raison du développement rapide de la production d'énergie solaire, de plus en plus de propriétaires de maisons et d'entreprises injectent leur surplus d'électricité dans le réseau. En contrepartie, ils reçoivent la rétribution de l'injection garantie par la loi – indépendamment du prix momentané de l'électricité.
M. Christof Bauer, de l'Université Technique (TU) de Darmstadt, a étudié pour le compte du Handelsblatt les conséquences d'un plafonnement du tarif de rachat de l'électricité. Afin de limiter les coûts pour les contribuables, l'expert en énergie propose de faire payer aux propriétaires d'installations solaires l'injection de courant lorsque les prix de l'électricité sont négatifs.
Pour contrer l'injection de courant en cas de prix négatifs, il faudrait l'empêcher techniquement. Ou bien il faudrait faire payer aux injecteurs les coûts supplémentaires engendrés par la vente du surplus d'électricité, constate le scientifique.
Selon lui, ces deux mesures inciteraient clairement à stopper l'injection d'électricité en période de prix négatifs. En outre, les exploitants d'installations investiraient davantage dans des possibilités de stockage de l'électricité « excédentaire », par exemple dans des batteries, des réservoirs d'eau chaude alimentés en électricité ou des chargeurs pour véhicules électriques, explique M. Bauer.
Le développement du solaire n'est pas abordable – réduction des plans de développement ?
Dans son nouveau programme économique, le gouvernement a stipulé que pour les nouvelles installations, la promotion serait en principe suspendue à partir de janvier 2025 en cas de prix négatifs. Selon le professeur Manuel Frondel de l'Institut RWI-Leibniz, cette réglementation ne résout toutefois pas entièrement le problème. Il craint que ce ne soit que « la pointe de l'iceberg ».
Si cet été reste ensoleillé, les 19 milliards d'euros de subventions prévus pour 2024 pourraient être loin d'être suffisants. M. Frondel demande donc une suppression plus rapide des aides à l'électricité verte et une réduction des plans de développement.
Il prévient également que le triplement prévu du photovoltaïque et le doublement de l'éolien terrestre d'ici 2030 sont hors de prix et menacent la sécurité de l'approvisionnement en électricité.
Mme Kerstin Andreae, directrice générale de la Fédération Allemande de l'Industrie de l'Énergie et de l'Eau, conteste l'évaluation de M. Frondel. Elle souligne que la dynamique actuelle est nécessaire pour atteindre les objectifs de développement fixés par la loi.
Pour le gouvernement fédéral, la suppression complète du rachat de l'électricité produite par les installations solaires est liée à l'évolution future du marché de l'électricité : « En perspective, les énergies renouvelables ne bénéficieront plus d'aucun soutien dès que le marché de l'électricité sera suffisamment flexible et qu'un stockage suffisant sera disponible », peut-on y lire.
Parallèlement, le seuil de « contrôlabilité des installations d'énergie renouvelable » (déconnexion ?) pour les gestionnaires de réseau doit encore être abaissé. Le gouvernement fédéral et le RWI (Institut Leibniz de Recherche Économique) estiment que les signaux de prix parviennent ainsi directement aux exploitants des installations et que les excédents d'électricité ou les prix négatifs peuvent être évités, étant donné qu'il n'y aurait plus de rétribution fixe de l'injection.
L'USDA ouvre la voie au blé génétiquement modifié aux États-Unis d'Amérique, mais le marché mondial reste incertain
12 Septembre 2024 AGDAILY Reporters*
Le Département Américain de l'Agriculture (USDA) a levé un obstacle réglementaire majeur pour la technologie de blé HB4 de Bioceres Crop Solutions Corp., ouvrant potentiellement la voie à l'entrée du premier blé génétiquement modifié sur le marché nord-américain. Cette étape, annoncée aujourd'hui [le 29 août 2024], marque un tournant dans la biotechnologie agricole, même si elle n'est pas sans poser de problèmes.
Le Service d'Inspection de la Santé Animale et Végétale de l'USDA (APHIS) a procédé à une analyse approfondie du blé HB4. Il a conclu qu'il ne présentait pas plus de risques de devenir un parasite végétal que les variétés de blé traditionnelles. Par conséquent, le blé HB4 ne sera pas soumis aux réglementations strictes du 7 CFR part 340, qui régissent les organismes génétiquement modifiés.
« Partout où le blé est cultivé dans le monde, la sécheresse fait des ravages sur les rendements et la qualité, c'est pourquoi une innovation comme le HB4 présente beaucoup d'intérêt pour les producteurs comme moi », a déclaré M. Michael Peters, ancien président de U.S. Wheat Associates et producteur de blé à Okarche, dans l'Oklahoma. « La demande mondiale de blé atteignant de nouveaux records presque chaque année, on s'inquiète de la variabilité de la production. »
Cependant, malgré ce succès réglementaire, les principaux acheteurs internationaux de blé américain, notamment le Mexique, les Philippines et le Japon, n'ont pas approuvé le blé HB4. Cette situation soulève des inquiétudes quant à l'acceptation du blé génétiquement modifié par le marché, ce qui rappelle la situation d'il y a vingt ans.
À l'époque, Monsanto Co. avait tenté de commercialiser une variété de blé conçue pour résister aux traitements avec son désherbant Roundup. L'initiative a été interrompue en 2004 après que des acheteurs internationaux ont menacé de boycotter le blé américain si le produit était introduit. Bayer AG, qui a racheté Monsanto en 2018, a dû faire face à des pressions commerciales similaires par le passé, soulignant la tension permanente entre l'innovation agricole et la dynamique du commerce mondial.
Ce feu vert de l'USDA permet la production commerciale du blé HB4 aux États-Unis et s'appuie sur l'examen positif déjà reçu de la Food and Drug Administration (FDA) pour son utilisation dans l'alimentation humaine et animale. Les États-Unis, l'un des principaux producteurs de blé au monde, rejoignent ainsi l'Argentine, le Brésil et le Paraguay en autorisant la production de blé HB4, ce qui marque un changement important dans le paysage de la production de blé.
Bioceres a souligné que le blé HB4 a été approuvé pour l'alimentation humaine et animale dans plusieurs pays, dont l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud et le Chili. En Australie, une région clé pour la production de blé confrontée à de graves pénuries d'eau, Bioceres a obtenu une licence pour des essais sur le terrain visant à recueillir des données pour soutenir la production future.
Le blé HB4 a été conçu à partir de la variété Cadenza et intègre deux modifications génétiques essentielles. La première concerne le gène HaHB4 du tournesol, qui joue un rôle crucial en aidant la plante à résister aux stress environnementaux. La seconde modification introduit le gène bar de Streptomyces hygroscopicus, qui confère une résistance à l'herbicide glufosinate.
Étant donné la complexité du génome du blé, qui comprend environ 17 milliards de paires de bases et de nombreuses séquences répétitives, l'événement génétique connu sous le nom de IND-00412-7 a été méticuleusement caractérisé à l'aide de techniques de séquençage de nouvelle génération. Le gène HaHB4v a été localisé avec précision sur le chromosome 2D, ce qui a été confirmé par une analyse détaillée utilisant des marqueurs de polymorphisme de nucléotides simples dans diverses populations de blé. ______________
* Source : USDA clears path for GM wheat, yet global market uncertain | AGDAILY
Politique agricole : « Quoique ce soit de la folie, il y a de la méthode là-dedans » (Hamlet)
13 Septembre 2024 « Though this be madness, yet there is method in 't » (Hamlet)
Les récits médiatiques dans l'air du temps qui tournent en boucle reposent dans la grande majorité des cas sur un exercice digital manquant d'esprit critique, pratiqué depuis des années : les copier-coller de messages d'ONG.
Les exemples se lisent comme une rétrospective journalistique de l'année sous la devise « Tous mes petits poussins » :
La disparition des abeilles, qui n'a jamais eu lieu (surtout celle de la légendaire abeille du blé) [ma note : voir « Une sensationnelle découverte zoologique : Apis tritici ».]
Les instructions pour les câlins aux loups dans toute l'Europe au lieu de la lutte pour la survie des moutons qui entretiennent les digues de la mer du Nord ou du bétail qui pâture dans les régions alpines.
Les vaches productrices du méthane de l'apocalypse, les veaux en conteneur de l'univers imaginaire de Sky-Dumont, le kilo de viande bovine aux 15.000 litres d'eau.
Les bons pesticides toxiques bio, naturels et donc en aucun cas toxiques (bien que le bio, d'une certaine manière, n'utilise de toute façon pas de pesticides du tout), qui sont mélangés à de la poussière d'elfes à partir d'excréments de licornes au moyen de formules magiques ancestrales et sont répandus milligramme par milligramme à la pleine lune par plus ou moins de vierges en robes blanches en écoutant au choix des chants de sirènes ou des chants populaires celtiques, alors que...
Les méchants poisons synthétiques tellement toxiques, qui sont produits dans des laboratoires secrets, de préférence allemands, par des méchants du grand capital et des dirigeants syndicaux consentants, qui sont ensuite refilés au monde et sont déversés par tonnes par l'ensemble des agriculteurs conventionnels, jour et nuit, par pure cupidité, avec leurs méga-pulvérisateurs, dans un rire satanique.
Le génie génétique vert sorti de la cuisine du diable ou du laboratoire de Frankenstein. Même l'intelligentsia mondiale des prix Nobel (171 prix Nobel accusent Greenpeace de crime contre l'humanité et soutiennent les OGM et le riz doré) ne peut pas lutter contre de tels slogans sur l'IA (IA = intelligence absente) des activistes des ONG chouchous des médias. Mais les Jean-Kevin woke et les Marie-Chantal éduqués au Tik-Tok croient encore aujourd'hui que « D'abord l'abeille meurt, ensuite c'est l'homme » est d'Albert Einstein.
Les céréales, le maïs, le colza, le sucre d'Ukraine sont exclusivement destinés aux pays les plus pauvres du monde.
Pour avoir la conscience tranquille à propos du « broyage » des poussins d'un jour (qui n'a jamais eu lieu), on veut un élevage (non rentable) des coqs frères, et on se tire volontiers dans les pattes et se retire du marché par la voie politico-médiatique. L'Allemagne dans son nouveau rôle de parade : précurseur mondial sans aucun suiveur.
Le cycle annuel de la mort : en commençant par les asperges annuelles mortelles, le mensonge annuel des « fraises toxiques » [ma note : voir « Des fraises toxiques ? Des fraises saines ! »], la confiture d'abricots aux pesticides, le péché mortel et inexpiable de la consommation de viande tout au long de l'année, les pommes alléchantes de « Blanche-Neige », et si c'est de la drogue, alors s'il vous plaît, du cannabis en sachet au lieu du sucre de betterave automnal dans la tarte ou même dans le verre de vin, jusqu'au sapin de Noël poison issu de la culture intensive [ma note : voir « Un calendrier de l'Avent postfactuel : (12) les sapins de Noël poisons »].
Si vous êtes finalement décédé, ne vous faites pas envoyer de couronnes ou de fleurs, mais entretenez le cercle de mensonges en faisant des dons au plus grand nombre possible d'ONG et protégez vos descendants pour toujours de la corruption capitaliste en désignant votre ONG préférée comme unique héritier. Elles se chargent de toute façon « volontairement » de la diffusion médiatique avec la taxe obligatoire versée à la radio publique autrichienne ÖRR.
Et si on déplaçait les paramètres nécessaires sur le plan idéologique et linguistique jusqu'à ce qu'on puisse balayer la réalité sous le tapis de la volonté politique ?
Alors il est possible d'abattre des forêts protégées et des forêts naturelles, de niveler de larges routes d'accès ou d'« oublier » tout simplement les dommages causés à l'environnement (incendies, ruptures de pales, abrasions, fuites d'huile, etc.) pour les éoliennes. Si cela vient des « bons », tout devient soudain une contribution importante à la sauvegarde du monde. Si les « méchants » faisaient la même chose, cela s'appellerait soudain : compactage, destruction du sol, destruction du paysage, meurtre d'un arbre, intervention destructrice dans un écosystème, etc.
Alors que chaque insecte ou oiseau mort à la campagne est mis sur le dos des agriculteurs (en raison de leur mode de vie totalement erroné) en tant que menace existentielle pour toute la population, plusieurs millions d'oiseaux morts dans les villes et les espaces publics (en raison du mode de vie totalement sans problème dans ces lieux) n'ont absolument aucune influence négative sur la population – probablement parce qu'on y aime mourir pour la bonne cause et la prospérité des bons. (Les éoliennes sont coresponsables de la mort des insectes). [Ma note : voir « Éoliennes et insectes font-ils bon ménage ? »
Une comparaison de 20 à 270 millions :
La catastrophe (Vogelsterben: Globales Artensterben mit dramatischem Ausmaß – disparition des oiseau : extinction globale des espèces d'une ampleur dramatique) : « Le nombre de couples nicheurs dans les zones agricoles a diminué de 300 millions dans l'UE entre 1980 et 2010. Cela correspond à une perte de 57 % ! »
Remarque de Fritz l'agriculteur : donc un recul de 1,5 % par an, soit 10 millions de couples nicheurs ou 20 millions d'oiseaux en moins par an sur 30 ans. Et bien sûr, ils meurent tous à cause des pesticides, du manque de nourriture, du manque d'espace vital dans les monocultures... les coupables : les agriculteurs.
La pure normalité (« Windenergie: Die 5 häufigsten Einwände – und was wirklich dahinter steckt » – énergie éolienne : les cinq objections les plus fréquentes – et ce qui se cache vraiment derrière) : « En effet, en Allemagne, environ 100 millions d'oiseaux meurent rien qu'à cause des vitres des bâtiments – et ce, chaque année. Chaque année, on dénombre environ 70 millions d'oiseaux morts par collision dans le trafic routier et ferroviaire. En outre, environ 100 millions d'oiseaux sont dévorés chaque année par des chats sauvages ou par ceux qui sont en liberté. Rien que dans le réseau allemand de lignes à très haute et haute tension, la NABU estimait jusqu'à présent qu'il y avait au moins 1,5 million de victimes par an. En réalité, entre 10.000 et 100.000 oiseaux meurent chaque année en Allemagne à cause des éoliennes ».
Remarque de Fritz l'agriculteur : cela représente au total 270 millions d'oiseaux morts dans les villes chaque année. 14 fois plus qu'à la campagne ! Vous le saviez ? Non. Un problème ? Pff !
Postuler sans appréhension un bilan gaz carbonique nul pour les voitures électriques, ce qui permet ensuite aux constructeurs de ces voitures de réaliser des milliards de bénéfices avec les certificats de gaz carbonique gratuits (Tesla gagne 1,9 milliard de dollars US avec les certificats de gaz carbonique. Ne vendant que des voitures électriques, Tesla reçoit un grand nombre de certificats de gaz carbonique. Le constructeur peut les vendre à bon prix à ses concurrents qui, en Chine, aux États-Unis et en Europe, ne peuvent pas respecter les prescriptions en matière de gaz carbonique. En d'autres termes, le gaz carbonique peut provenir par exemple d'une Fiat-Chrysler, car cette entreprise entretient un étroit trafic d'indulgences avec Tesla. On y construit des automobiles aussi magnifiques que la Dodge Hellcat de 707 CV. Une véritable situation gagnant-gagnant. Mais dans le bilan global, pas un seul gramme de gaz carbonique n'est économisé.
Parce que, bien entendu, les forêts et le bois ne peuvent tout à coup plus rester neutres pour le climat, on a voulu imposer récemment une taxe sur le gaz carbonique pour des maux tels que les pellets. Dans le plus pur style d'AGORA, tout est bien sûr scientifiquement super propre, comme on le sait déjà suffisamment des organisations de soutien vertes.
Produire des « succès » dans le domaine du difficilement vérifiable avec des lois activistes coûtant des milliards, comme l'interdiction historique des pailles et des sacs en plastique (« Ein Jahr Einwegplastik-Verbot – was hat es gebracht ? » – un an d'interdiction du plastique à usage unique : qu'est-ce que ça a apporté ?) ou, plus récemment, les couvercles de boissons accrochés aux bouteilles et aux briques de lait (« Bringen die fixierten Deckel wirklich etwas für den Planeten ? Kritik auch von Experten » – les couvercles fixés apportent-ils vraiment quelque chose à la planète ? Critique également des experts). Il faut soit se convaincre des effets prétendument révolutionnaires, soit les chercher à la loupe ; mais les promoteurs et décideurs de ces mesures se moquent de toute analyse coûts-bénéfices et de toute étude d'impact. Ce qui laisse supposer qu'on ne les a de toute façon pas faites du tout. Du pays modèle de l'industrie de qualité au pays précurseur de l'économie de l'idéologie vaudou...
Annoncer volontiers comment on s'est « légèrement trompé » dans la microgestion de l'économie planifiée autour de diverses transitions vertes. C'est le cas par exemple de Jürgen Trittin, dit « boule de glace », avec le fabuleux changement de prix de l'électricité de 1 € : il coûte pourtant 300 fois plus par jour (« 2000 Euro mehr für Strom und Gas » – 2.000 euros de plus pour l'électricité et le gaz).
Cela soulève la question de savoir s'il est possible que l'on n'ait de toute façon plus qu'à « estimer » au doigt mouillé de telles « transformations » d'une économie nationale en raison d'un manque de connaissances, et ce, avec l'aide d'études idéologiques : cela semble relever de l'apprentissage par essais et erreurs adapté aux enfants et convenur à beaucoup de gens de l'univers politico-médiatique sans aucune formation professionnelle. Et cela devrait suivre la devise « Regardons une fois, et nous verrons bien ». Seuls les esprits étroits se demanderont si, dans le cadre d'un tel « gain » politique, on ne devrait pas aussi se poser la question des conséquences personnelles et de la responsabilité de tels « politiciens de haut niveau ».
Il en va de même pour la frénésie réglementaire et les excès de bureaucratie des diveres transitions agricoles et Green Deals (« Wohin mit der Agrarwende ? – Bartosz Bartkowski » – que faire du tournant agricole ? – Bartosz Bartkowski). Sans égards pour les pertes, l'idéologie l'emporte sur l'intelligence. Si les pertes mènent à de nouvelles dépendances aux importations, déjà prévisibles aujourd'hui, on s'empêtre aussi chaque année un peu plus dans des réglementations et des détails toujours plus compliqués ou abscons (voir « Farm to Fork Initiative to Restrict European Union Agricultural Inputs May Increase Food Prices, Further Global Food Insecurity » – USDA ERS : l'initiative Farm to Fork visant à restreindre les intrants agricoles de l'Union Européenne risque d'augmenter les prix des denrées alimentaires et d'aggraver l'insécurité alimentaire dans le monde ; ainsi que « Uni Wageningen veröffentlicht Studie zu Folgen der Farm to Fork-Strategie » – l'Université de Wageningen publie une étude sur les conséquences de la stratégie Farm to Fork).
De nombreuses personnes vivant sur une autre planète continuent à préparer sans relâche de nouvelles soupes vertes – à la mode des « Enfants de Bullerbü » d'Astrid Lindgren –, que l'on fait avaler aux agriculteurs européens. Les effets indésirables directs ou secondaires sont niés, acceptés à bon compte – ou carrément passés sous silence (« Green Deal: Kommission versteckt katastrophale Folgen für die Bauern » – Green Deal : la Commission cache les conséquences catastrophiques pour les agriculteurs). Au bout du compte, c'est inévitablement l'effondrement, sinon de l'économie agricole européenne, du moins des moyens d'existence d'une grande partie des agriculteurs et de l'espace rural. La solidarité qui s'est manifestée lors des manifestations paysannes dans toute l'Europe a montré que les petites et moyennes entreprises et les métiers voient bien plus tôt que les politiques qu'ils sont eux aussi massivement touchés par cette situation.
La population active, qui a le sens de la réalité, de la raison et du bon sens, se rend compte depuis longtemps de la situation :
« Quoique ce soit de la folie, il y a de la méthode là-dedans » Hamlet – William Shakespeare
Les contributions des invités reflètent l'opinion de l'auteur(e). ______________
* Source : "Ist es auch Wahnsinn, so hat es doch Methode" (Hamlet) - Bauer Willi
WEF : le Covid-19 n'a rien à voir avec la santé mais tout à voir avec l'obéissance
RépondreSupprimer15 septembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le Forum économique mondial (WEF) dit enfin la vérité sur le Covid : il s’agissait d’un « test » de notre obéissance à un « nouvel ordre mondial » en formation rapide. Ils voulaient tester combien de personnes subiraient une réorganisation complète de leur vie basée sur aucune science, mais plutôt sur des ordres aléatoires, dont certains frisent l'absurde.
Le TKP et de nombreux scientifiques critiques, médias, médecins et tous ceux qui pensent par eux-mêmes savaient et disaient qu'il n'y avait aucune raison épidémiologique ou scientifique pour les mesures Corona. Il a été conçu comme un test bêta pour le nouvel ordre mondial technocratique à venir. Cela a également été démontré par tous les pays qui n’ont pas participé ou n’ont participé que partiellement, comme la Suède, la Biélorussie ou les pays d’Asie et d’Afrique.
Nous avons récemment reçu la confirmation de l’absence de raisons scientifiques à travers les fuites du RKI et les protocoles pour lesquels Multipolar a intenté une action en justice.
Aujourd’hui, le Forum économique mondial admet que la « pandémie » de Covid-19 a dû se produire précisément pour cette raison.
Le WEF a eu plaisir à publier l’extrait suivant sur la page My Carbon de son site Internet, faisant la promotion de ce qu’on appelle les Smart Cities, qui n’est qu’un autre terme désignant les villes de 15 minutes. Leur objectif apparent est de sauver le climat en ne produisant plus de dioxyde de carbone, mais leur véritable objectif est d'avoir un contrôle total sur les gens en ne leur laissant que la marge de manœuvre qu'ils peuvent atteindre à pied en 15 minutes.
La première des trois « évolutions » qui, selon le WEF, doivent avoir lieu avant que le monde puisse évoluer vers sa vision orwellienne de « villes intelligentes et durables » est le respect des restrictions imposées à notre liberté. Il dit :
1. La COVID-19 a mis à l’épreuve la responsabilité sociale – Un grand nombre de restrictions de santé publique inimaginables ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde. Il existe de nombreux exemples dans le monde de distanciation sociale, de port de masques, de vaccination de masse et d’adoption d’applications de recherche de contacts en santé publique qui démontrent l’essence de la responsabilité sociale individuelle.
Alors ils nous ont testés. C’est ce qu’était le Covid. Ils voulaient voir combien d’entre nous abandonneraient leur liberté individuelle et leur souveraineté en adhérant à une « nouvelle normalité » composée de restrictions frisant l’absurde. Nous nous souvenons : gardez vos distances comme un petit éléphant ; Surveillez les personnes que vous rencontrez à l'aide d'applications pour smartphone développées et prises en charge par Google et Apple ; porter des masques qui ne protègent pas contre la transmission de virus mais rendent malade celui qui les porte ; interdictions de sortir et de voyager ; avoir constamment des bâtons enfoncés dans le nez pour un test qui ne permet pas de diagnostiquer une maladie ; Les confinements comme en prison ; Fermeture des commerces, restaurants, écoles ; Interdiction de rendre visite à des proches dans les foyers et les hôpitaux ; Vaccination obligatoire même s'il n'y a aucune protection contre l'infection et la transmission ; et ainsi de suite.
RépondreSupprimerCe que suggère le WEF dans sa déclaration ci-dessus, c’est que pour être « durables », les individus et les sociétés doivent se soumettre à un nouvel ordre mondial plus autoritaire. Ne posez pas de questions. Ne recourez pas à la logique. Obéissez simplement.
Serions-nous obéissants face à de nouvelles lois et réglementations idiotes ? Ne posez pas de questions. Si vous le faites, vous pourriez perdre votre emploi et être traité comme un paria social. De nombreuses personnes ont perdu des amis ou même des membres de leur famille proche à cause de ce « test » monstrueux de notre volonté de faire inconditionnellement ce qu’on nous dit.
Près de cinq ans plus tard, le WEF, sans doute le partenariat public-privé le plus puissant au monde, admet que tout cela n'était qu'un test de notre volonté et célèbre le fait que la plupart d'entre nous ont échoué au test (ou... l'ont réussi avec brio). , selon la façon dont on le regarde).
Ils voulaient savoir combien d’entre nous prouveraient leur soumission au système fasciste et anarchique en adhérant à des « restrictions inimaginables », dont beaucoup ont été créées de toutes pièces et pour lesquelles il n’existe absolument aucune preuve scientifique pour les étayer. ils contribuent à la santé publique.
RépondreSupprimerLe gaz carbonique est un engrais pour les plantes ; la concentration optimale, comme celle utilisée par les agriculteurs dans leurs serres, se situe entre 1 000 et 1 400 ppm. Il n’y en a actuellement qu’une fraction dans l’air, soit 420 ppm.
Le programme successeur Climat-Covid stipule que nous devrions être obligés d’éviter le gaz carbonique :
« Il existe un nombre important de programmes et d’applications qui permettent aux citoyens de contribuer à réduire les émissions de carbone en les informant pleinement sur leurs choix personnels en matière de carbone dans l’alimentation, les transports, l’énergie domestique et le mode de vie. »
Et il existe des applications pour cela, comme les applications de surveillance des contacts pour Covid :
Sous prétexte de devoir sauver le climat, cela revient à un contrôle total, une surveillance et une restriction de toutes les libertés individuelles.
https://tkp.at/2024/09/15/wef-covid-19-hatte-nichts-mit-gesundheit-zu-tun-aber-alles-mit-gehorsam/
3,8%; c’ est le taux officiel d’efficacité du vaccin covid pour les femmes enceintes ! Et avec les effets secondaires, ils osent toujours le recommander
RépondreSupprimerle 14 septembre 2024 par pgibertie
Christine Cotton OFFICIEL
- voir cadre sur site -
Vous allez continuer à recommander la vaccination des femmes enceintes sur vos sites encore longtemps ??? Je vous rappelle que l’efficacité vaccinale du vaccin démontré dans l’essai clinique #Pfizer initial était de 3.8 % !!! Merci de publier les résultats d’efficacité et de tolérance du vaccin XBB1.5 sur cette population afin que la population puisse se documenter. https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-vaccins-et-femmes-enceintes
https://pgibertie.com/2024/09/14/38-c-est-le-taux-officiel-defficacite-du-vaccin-covid-pour-les-femmes-enceintes-et-avec-les-effets-secondaires-ils-osent-toujours-le-recommander/
Seulement... 3,8 % de placebo !!
SupprimerSURPRISE : la surmortalité concerne tous les Français sauf…les médecins , Se seraient ils soignés avec autre chose que du Doliprane ????
RépondreSupprimerle 15 septembre 2024
par pgibertie
Lire le blog de Gérard MAUDRUX
https://www.covid-factuel.fr/2024/09/11/supers-medecins-insensibles-au-covid-et-indemnes-des-potentiels-effets-secondaires-des-vaccins/
Non les médecins ne sont pas des surhommes, ce sont des gens comme vous et moi, ni plus solides, ni plus fragiles. Pour expliquer pourquoi les médecins ont eu 10 à 20 fois moins de décès que prévu, arrêtons de nous voiler la face, regardons les choses en face et cessons toute hypocrisie. Nous savons ce qu’ont fait les médecins : ils ne se sont pas laissés mourir sans traitement, ils ne sont pas bêtes et ne sont pas non plus des anges.
Croyez-vous vraiment qu’en cas d’infection, ils n’ont rien pris sinon du Doliprane, attendant d’appeler le Samu quand cela allait mal, et qu’ils ont demandé à un collègue de les mettre au Rivotril sans rien essayer avant si cela tournait mal ? Soyons sérieux. Chacun y est allé de sa petite recette et il est regrettable que les autorités aient volontairement empêché que l’on sache qui a pris quoi, afin que la population ne puisse bénéficier d’aucun traitement possiblement efficace.
On s’en doutait à la lecture du livre d’Agnès Buzyn, mais Patrick Pelloux a été très clair : ils ont tous pris de l’hydroxychloroquine.
https://pgibertie.com/2024/09/15/surprise-la-surmortalite-concerne-tous-les-francais-sauf-les-medecins-se-seraient-ils-soignes-avec-autre-chose-que-du-doliprane/
En premier a été lancé 'le virus' (poussière TOTALEMENT INOFFENSIVE sauf la poussière radioactive, ce qui n'est là pas le cas). Oui mais cette poussière (appelée au début 'Corona' pour sa forme de couronne) était précisée agressive et... mortelle ! HOULALA ! HOULALA !
SupprimerEt là, remarquez bien, AUCUN 'docteur' ou 'chef de clinique' n'a crié à l'arnaque !! AUCUN ! Parce qu'une poussière (appelée 'virus') n'est PAS A CONFONDRE avec un microbe ! Un microbe est une bactérie vivante qui transporte une maladie. Ce qu'une poussière (qu'elle soit appelée 'virus' ou 'corona' ou 'cocovide19' ou 'charlie-bravo-omicron') ne peut pas faire. Mais, quand un diplômé de médecine reçoit beaucoup d'argent pour fermer sa gueule...
Nous respirons toutes et tous 200 000 poussières (appelées 'virus') et microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis CE MATIN et, DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! Et, NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Puis sont arrivés les 'vaccinodromes' avec ses bourreaux porteurs de seringues létales qui reçoivent 500 euros par jour !
Pourquoi ce mot de 'bourreaux' est-il employé ? Parce que, dès leurs sorties de laboratoires, les flacons injectables ont été analysés !! (Il y a maintenant PLUS DE 4 ANS !!) Analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej avec des microscopes a balayage électronique. Et le résultat a été effrayant !! Et, leurs analyses ont été PUBLIÉES ! Et, c'est le monde entier qui en a pris connaissance.
Chaque flacon (suivant les laboratoires) contenait et contient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !!: + des spikes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
Si avec çà t'es pas mort...
C'était le Plan Dépopulation21 appliqué. Et, 'le pire' a été l'arrivée du mot 'asymptomatique' , c'est-à-dire se croire en bonne santé alors qu'on est malade !! Donc: 8 milliards de malades sur Terre ! Car les 'tests' sont impartiaux ! ils sont appelés 'tests RT-PCR', il s'agit d'un coton en bout d'écouvillon qui est enfoncé dans le nez jusqu'aux fosses nasales !!! (qu'il est en médecine interdit de toucher !). Ces cotons déposent en cavité nasale des nano-particules d'oxyde graphène qui jouent le rôle de relais entre les signaux reçus sur téléphone portable et le cerveau.
Idem pour les gels hydroalcooliques qui contiennent aussi des nano-particules d'oxyde de graphène comme les masques 'appelés frauduleusement masque anti-virus' !! alors qu'il N'EXISTE PAS et NE PEUVENT EXISTER de masque 'anti-virus' (nano-poussière) ni de masque 'anti-microbe' car les mailles du tissus seraient si serrées qu'elles ne permettraient pas le passage de l'air !
SupprimerC'est l'escroquerie internationale à son comble !
De plus: Il est STRICTEMENT INTERDIT de vacciner qui que ce soi durant une épidémie ou pandémie. IL DOIT OBLIGATOIREMENT être pratiqué une sérologie AVANT et APRÈS la piqûre.
Maintenant, après la poussière qui s'évade d'un laboratoire (et qui viendrait d'un pangolin et/ou d'une chauve-souris) voici qu'arrive le nouveau sida du contact sexuel de l'homme avec le singe et qui... ferait du MONDE ENTIER un vaste bordel pédérastique où TOUTES les clientes et TOUS les clients (8 milliards) DEVRONT être piqués ! INOCULÉS PROFOND ! COMPRIS ?!
Or, et ceci est TRÈS IMPORTANT, figurez-vous qu'il y a au monde des milliers de laboratoires qui - chaque jour - analysent la qualité de l'air et... et n'ont JAMAIS trouvé de 'cocovide19' ou de 'Charlie-Bravo-Omicron' dans l'air (poussières qui seraient susceptibles de... faire des petits !! d'avoir des frères et sœurs ! cousins-cousines et relations diverses et même le pouvoir de 'muter' !! ou de 'varier' !! La vraie pédale quoi !).
Mais alors me diriez-vous... MAIS OU EST CETTE POUSSIÈRE INVISIBLE EXTRATERRESTRE si elle n'est pas dans l'air ? (très bonne question !). Cette nano-poussière (1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre, 1 milliardième de mètre), nano-particule de poison est... dans la seringue !
Si t'es piqué tu l'as ! Si tu l'as t'es mort !
Le CDC indique également que Jynneos peut être administré aux femmes enceintes ou allaitantes.
RépondreSupprimerBien qu'on ne sache pas encore si Jynneos peut présenter des risques pour le développement du fœtus s'il est pris pendant la grossesse, les études sur les animaux n'ont montré aucun danger pour le développement du fœtus lorsque le vaccin a été administré à des animaux enceintes, a déclaré l'agence.
*
Suzanne Burdick, Ph.D. , est journaliste et chercheuse pour The Defender basée à Fairfield, Iowa.
https://www.globalresearch.ca/who-approves-first-mpox-vaccine-adults-africa/5867875
RépondreSupprimerMortalité liée au vaccin contre la COVID-19 dans l'hémisphère sud. Denis Rancourt
Par le Pr Denis Rancourt , le Dr Marine Baudin , le Dr Joseph Hickey et le Dr Jérémie Mercier
Recherche mondiale,
14 septembre 2024
Abstrait
Dix-sept pays équatoriaux et de l'hémisphère sud ont été étudiés (Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, Uruguay), qui représentent 9,10 % de la population mondiale, 10,3 % des injections mondiales de COVID-19 (taux de vaccination de 1,91 injection par personne, tous âges confondus), pratiquement tous les types et fabricants de vaccins COVID-19, et s'étendent sur 4 continents.
Dans les 17 pays, il n’existe aucune preuve d’un quelconque effet bénéfique des vaccins contre la COVID-19 en termes de mortalité toutes causes confondues (MTC) selon les données temporelles . Il n’existe pas de lien temporel entre la vaccination contre la COVID-19 et une réduction proportionnelle de la MTC. C’est l’inverse qui se produit.
Les 17 pays ont tous adopté des régimes de forte concentration en ACM, qui se produisent lorsque les vaccins contre la COVID-19 sont déployés et administrés. Neuf des 17 pays n’ont pas d’excès détectable d’ACM au cours de la période d’environ un an après la déclaration de pandémie le 11 mars 2020 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), jusqu’à ce que les vaccins soient déployés (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay).
Des pics sans précédent de MCA se produisent au cours de l'été (janvier-février) 2022 dans l'hémisphère sud et dans les pays de latitude équatoriale, qui sont synchrones avec ou immédiatement précédés par des déploiements rapides de doses de rappel du vaccin COVID-19 (3e ou 4e doses). Ce phénomène est présent dans tous les cas où les données de mortalité sont suffisantes (15 pays). Deux des pays étudiés n'ont pas suffisamment de données de mortalité en janvier-février 2022 (Argentine et Suriname).
Les données détaillées sur la mortalité et la vaccination pour le Chili et le Pérou permettent une résolution par âge et par numéro de dose. Il est peu probable que les pics observés de mortalité toutes causes confondues en janvier-février 2022 (et également en juillet-août 2021, Chili ; juillet-août 2022, Pérou), dans chacun des deux pays et dans chaque groupe d'âge des personnes âgées, puissent être dus à une cause autre que les déploiements rapides de doses de rappel du vaccin COVID-19 associés dans le temps. De même, il est peu probable que les transitions vers des régimes de forte ACM, coïncidant avec le déploiement et l'administration soutenue des vaccins COVID-19, dans les 17 pays de l'hémisphère sud et des latitudes équatoriales, puissent être dues à une cause autre que les vaccins.
La synchronicité entre les nombreux pics d'ACM (dans 17 pays, sur 4 continents, dans toutes les tranches d'âge âgées, à des moments différents) et les déploiements rapides de rappels associés permet cette conclusion ferme concernant la causalité et la quantification précise de la toxicité du vaccin COVID-19.
RépondreSupprimerLe taux de mortalité par dose de vaccin tous âges confondus (tdtv), qui est le rapport entre les décès induits par le vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population, est quantifié pour le pic de l'ACM de janvier-février 2022, pour se situer dans la fourchette de 0,02 % (Nouvelle-Zélande) à 0,20 % (Uruguay). Au Chili et au Pérou, le tdtv augmente de manière exponentielle avec l'âge (doublant environ tous les 4 ans) et est le plus élevé pour les dernières doses de rappel, atteignant environ 5 % dans les groupes d'âge de 90 ans et plus (1 décès pour 20 injections de la dose 4). Des résultats comparables sont observés pour l'hémisphère nord, comme indiqué dans les articles précédents (Inde, Israël, États-Unis).
Nous quantifions le vDFR global tous âges confondus pour les 17 pays à (0,126 ± 0,004) %, ce qui impliquerait 17,0 ± 0,5 millions de décès dus au vaccin COVID-19 dans le monde, sur la base de 13,50 milliards d'injections jusqu'au 2 septembre 2023. Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui aurait tué (0,213 ± 0,006) % de la population mondiale (1 décès pour 470 personnes vivantes, en moins de 3 ans), et n'aurait pas empêché de manière mesurable de décès.
Le risque global de décès induit par l’injection des vaccins contre la COVID-19 dans les populations réelles, déduit de la surmortalité toutes causes confondues et de sa synchronisation avec les déploiements, est omniprésent à l’échelle mondiale et bien plus important que celui rapporté dans les essais cliniques, la surveillance des effets indésirables et les statistiques sur les causes de décès à partir des certificats de décès, de trois ordres de grandeur (1 000 fois plus élevé).
La forte dépendance à l’âge et les valeurs élevées de vDFR quantifiées dans cette étude de 17 pays sur 4 continents, utilisant tous les principaux types et fabricants de vaccins COVID-19, devraient inciter les gouvernements à mettre immédiatement fin à la politique de santé publique sans fondement consistant à donner la priorité aux résidents âgés pour l’injection de vaccins COVID-19, jusqu’à ce que des analyses risques-bénéfices valides soient effectuées.
Introduction
La mortalité toutes causes confondues en fonction du temps constitue la donnée la plus fiable pour détecter et caractériser épidémiologiquement les événements causant la mort, et pour évaluer l’impact à l’échelle de la population de toute augmentation ou de tout effondrement des décès, quelle qu’en soit la cause .
Ces données peuvent être collectées par juridiction ou région géographique, par groupe d’âge, par sexe, etc. et ne sont pas susceptibles de biais de déclaration ou de biais dans l’attribution des causes de décès dans la mortalité elle-même.
(Aaby et al., 2020 ; Bilinski et Emanuel, 2020 ; Bustos Sierra et al., 2020 ; Félix-Cardoso et al., 2020 ; Fouillet et al., 2020 ; Kontis et al., 2020 ; Mannucci et al., 2020 ; Mills et coll., 2020 ; Olson et coll., 2020 ; Tadbiri et coll., 2020 ; al., 2020 ; Villani et al., 2020 ; Achilleos et al., 2021 ; 2021 ; Böttcher et al., 2021 ; Chan et coll., 2021 ; Dahal et coll., 2021 ; Das-Munshi et al., 2021 ; Deshmukh et al., 2021 ; Faust et coll., 2021 ; Gallo et coll., 2021 ; Islam, Jdanov, et al., 2021 ; Islam, Shkolnikov, et al., 2021 ; Jacobson et Jokela, 2021 ; Jdanov et al., 2021 ; Joffe, 2021 ; Karlinsky et Kobak, 2021 ; Kobak, 2021 ; Kontopantelis et al., 2021a, 2021b ; Kung et coll., 2021a, 2021b ; Liu et coll., 2021 ; Locatelli et Rousson, 2021 ; Miller et coll., 2021 ; Moriarty et coll., 2021 ; Nørgaard et al., 2021 ; Panagiotou et al., 2021 ; Pilkington et coll., 2021 ; Polyakova et al., 2021 ; Rancourt et al., 2021a, 2021b ; Rossen et coll., 2021 ; Sanmarchi et coll., 2021 ; Sempé et coll., 2021 ; Soneji et coll. 2021 ; Stein et coll., 2021 ; Stokes et coll., 2021 ; Vila-Corcoles et al., 2021 ; Wilcox et coll., 2021 ; Woolf et coll., 2021 ; Woolf, Masters et Aron, 2021 ; Yorifuji et coll., 2021 ; Ackley et coll., 2022 ; Acosta et coll., 2022 ; Engler, 2022 ; Faust et coll., 2022 ; Ghaznavi et al., 2022 ; Gobiņa et al., 2022 ; Lui et al., 2022 ; Henry et coll., 2022 ; Jha et coll., 2022 ; Johnson et Rancourt, 2022 ; Juul et coll., 2022 ; Kontis et coll., 2022 ; Kontopantelis et al., 2022 ; Lee et coll., 2022 ; Leffler et coll., 2022 ; Lewnard et coll., 2022 ; McGrail, 2022 ; Neil et coll., 2022 ; Neil et Fenton, 2022 ; Pálinkás et Sándor, 2022 ; Ramírez-Soto et Ortega-Cáceres, 2022 ; Rancourt, 2022; Rancourt et al., 2022a, 2022b ; Razak et coll., 2022 ; Redert, 2022a, 2022b ; Rossen et coll., 2022 ; Safavi-Naini et al., 2022 ; Schöley et al., 2022 ; Sy, 2022 ; Thoma et Declercq, 2022 ; Wang et coll., 2022 ; Aarstad et Kvitastein, 2023 ; Bilinski et coll., 2023 ; de Boer et coll., 2023 ; de Gier et coll., 2023 ; Démétriou et al., 2023 ; Donzelli et coll., 2023 ; Haugen, 2023 ; Jones et Ponomarenko, 2023 ; Kuhbandner et Reitzner, 2023 ; Lytras et coll., 2023 ; Masselot et al., 2023 ; Matveeva et Shabalina, 2023 ; Neil et Fenton, 2023 ; Paglino et coll., 2023 ; Rancourt et coll., 2023 ; Redert, 2023 ; Schellekens, 2023 ; Scherb et Hayashi, 2023 ; Sorli et al., 2023 ; Woolf et coll., 2023).
RépondreSupprimerNous avons précédemment rapporté plusieurs cas dans lesquels des pics anormaux de mortalité toutes causes confondues (MCC) sont temporellement associés à des déploiements rapides de doses de vaccin contre la COVID-19 et des cas dans lesquels le début de la campagne de vaccination contre la COVID-19 coïncide avec le début d'un nouveau régime de mortalité élevée et soutenue ; en Inde, en Australie, en Israël, aux États-Unis et au Canada, y compris dans les États et les provinces (Rancourt, 2022 ; Rancourt et al., 2022a, 2022b, 2023).
Ces études nous ont permis de faire les premières déterminations quantitatives du taux de mortalité par dose vaccinale (tdtv), qui est le rapport entre les décès induits par le vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population, basé sur l'évaluation de l'excès d'ACM sur une période donnée, par rapport au nombre de doses de vaccin administrées sur la même période.
La valeur de la vDFR pour tous les âges et toutes les doses était généralement d'environ 0,05 % (1 décès pour 2 000 injections), avec une valeur extrême de 1 % pour le cas particulier de l'Inde (Rancourt, 2022). Nos travaux, basés sur des données approfondies pour l'Australie et Israël, ont également montré que la vDFR est exponentielle avec l'âge (doublant tous les 5 ans), atteignant environ 1 % pour les personnes de 80 ans et plus (Rancourt et al., 2023).
RépondreSupprimerL'exemple le plus clair est celui d'un pic d'ACM relativement marqué survenu en janvier-février 2022 en Australie, qui est synchrone avec le déploiement rapide de la troisième dose du vaccin australien contre la COVID-19 ; survenant dans 5 des 8 États australiens et dans toutes les tranches d'âge les plus âgées (Rancourt et al., 2022a, 2023).
En revanche, il faut souvent composer avec l’effet confondant de la variation saisonnière intrinsèque de l’ACM ; cependant, dans le cas présent pour l’Australie, le pic de janvier-février 2022 se produit à un moment du cycle saisonnier intrinsèque où l’on devrait avoir un creux estival stable (hémisphère sud) de l’ACM. Il n’existe aucun exemple antérieur d’un tel pic en été dans les données historiques de l’ACM pour l’Australie (Rancourt et al., 2022a).
Peu de juridictions nationales disposent de données aussi complètes sur la mortalité et la vaccination stratifiées par âge que celles disponibles pour l'Australie et Israël. Le Chili et le Pérou sont deux autres juridictions de ce type. Nous montrons ici que le Chili et le Pérou, comme l'Australie, connaissent un pic d'ACM relativement marqué en janvier-février 2022, ce qui est synchrone avec le déploiement rapide de la dose 4 du Chili et de la dose 3 du Pérou du vaccin COVID-19, respectivement, pour toutes les tranches d'âge les plus âgées.
Cette caractéristique commune au Chili, au Pérou et à l’Australie nous a conduit à rechercher d’autres exemples du phénomène de pic de MCA de janvier-février 2022 dans l’hémisphère sud et dans les régions équatoriales. Les pays équatoriaux n’ont pas de saisons d’été et d’hiver et aucune variation saisonnière dans leurs schémas de MCA. Nous avons constaté le même phénomène partout où des données étaient disponibles (Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Thaïlande, Uruguay), bien qu’incomplète pour la Bolivie et pas aussi distinctive pour la Nouvelle-Zélande. Nous rendons compte ici de ces résultats.
Données
RépondreSupprimerLes sources des données sur la mortalité et l’administration des vaccins sont présentées à l’annexe A : Sources des données sur la mortalité et la vaccination.
Annexe B : Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues et la vaccination contient des exemples de données : ACM national tous âges confondus par période (semaine ou mois), de 2015 à 2023, et administration de vaccins toutes doses tous âges confondus par semaine, en utilisant des échelles Y commençant à zéro, pour les 17 pays considérés dans la présente étude : Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay.
La figure 1 montre les 17 pays considérés, par rapport à l’équateur sur une carte du monde.
- voir carte sur site -
Figure 1 : Carte du monde montrant les 17 pays considérés dans la présente étude, par rapport à l’équateur et aux tropiques ― Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay.
Méthode pour détecter les transitions temporelles
Régimes de mortalité élevée toutes causes confondues
Nous mettons en œuvre la méthode suivante développée par l'un d'entre nous (JH) pour détecter les changements de régime dans les données ACM en fonction du temps (jour, semaine, mois, trimestre).
Il est intéressant de détecter les transitions dans le temps (à mesure que l’on avance dans le temps à partir d’une période historique stable) vers des régimes de MCA « plus élevés que d’habitude » ou « plus élevés que récemment », qui peuvent être associés à la déclaration d’une pandémie ou au déploiement de vaccins. Bien que l’œil entraîné puisse détecter de telles transitions dans le MCA brut grâce aux données temporelles elles-mêmes, il est utile d’appliquer une transformation statistique, qui est conçue pour éliminer en grande partie la difficulté déroutante des variations saisonnières du MCA, qui se produisent dans les pays non équatoriaux.
Étant donné que la période dominante des variations saisonnières de l'ACM est d'un an et que nous souhaitons détecter les changements dans le temps, nous adoptons l'approche suivante. Nous appliquons une moyenne mobile rétrograde d'un an aux données de l'ACM dans le temps. Chaque point dans le temps de la moyenne mobile rétrograde d'un an est simplement la moyenne de l'ACM pour l'année se terminant à ce point dans le temps, et nous traçons cette moyenne mobile dans le temps. Les changements de régime de l'ACM apparaissent alors comme des ruptures (de pente ou de valeur) dans la moyenne mobile dans le temps.
Notez que la méthode de la moyenne mobile rétrograde sur 1 an produit un artefact important mais facilement discernable : des pics relativement importants et prononcés de l'ACM donnent lieu à des baisses artificielles de la moyenne mobile un an avant (plus tard que) lesdits pics relativement importants et prononcés de l'ACM.
Méthodes de quantification du taux de mortalité toutes causes confondues
RépondreSupprimer4.1 Tendance historique de référence pour une période (ou un pic) de mortalité (méthode 1)
Notre première méthode (méthode 1) de quantification du vDFR par groupe d'âge (ou tous les âges) et par numéro de dose de vaccin (ou toutes les doses) est la suivante (Rancourt et al., 2022a, 2023), ici améliorée pour tenir compte des effets saisonniers systématiques :
i. Tracez l’ACM par heure (jour, semaine, mois) pour le groupe d’âge (ou tous les âges) sur une grande échelle de temps, y compris les années précédant la pandémie déclarée.
ii. Identifiez la date (jour, semaine, mois) du début du déploiement du vaccin (déploiement de la première dose) pour le groupe d’âge (ou tous les âges).
iii. Notez, par souci de cohérence, que l’ACM subit une augmentation progressive vers des valeurs plus élevées à l’approche de la date de début du déploiement du vaccin.
iv. Intégrer (ajouter) l'ACM depuis le début du déploiement du vaccin jusqu'à la fin des données disponibles ou la fin des vaccinations (toutes les doses), selon la première éventualité. Il s'agit de la fenêtre temporelle d'intégration de base utilisée dans le calcul, des dates de début à de fin.
v. Appliquez cette fenêtre et cette intégration sur des périodes successives et non superposées de durée égale, en remontant aussi loin que les données le permettent.
vi. Commencer chaque nouvelle fenêtre d’intégration au même point du cycle saisonnier que le début de la fenêtre d’intégration de base pour la période de vaccination, même si cela introduit des écarts entre les périodes d’intégration successives.
vii. Tracez les valeurs d'intégration résultantes en fonction du temps et notez, par souci de cohérence, que la valeur présente une tendance à la hausse, bien discernable de la tendance ou des valeurs historiques, pour la période de vaccination.
viii. Extrapoler la tendance historique des valeurs intégrées à la période de vaccination. La différence entre les valeurs intégrées mesurées et extrapolées (tendance historique prédite) de l'ACM au cours de la période de vaccination correspond à la surmortalité associée à la période de vaccination.
ix. L’extrapolation, dans la pratique, est obtenue en ajustant une ligne droite aux points d’intégration choisis avant la période de vaccination.
x. Si le nombre de points disponibles pour l'extrapolation est trop faible, ce qui donne une incertitude trop grande dans la pente ajustée, il faut alors imposer une pente de zéro, ce qui revient à utiliser une moyenne des valeurs récentes. Dans certains cas, il est même possible d'utiliser un seul point (généralement le point de la fenêtre d'intégration immédiatement précédente).
xi. L’erreur dans la valeur extrapolée est le plus souvent la principale source d’erreur dans le calcul de la surmortalité. Estimez « l’erreur d’exactitude » dans la valeur extrapolée comme l’écart moyen de la différence de valeur absolue avec la ligne ajustée (moyenne des valeurs absolues des résidus) pour les points choisis de l’ajustement. Cette erreur est une mesure des variations de la période d’intégration de toutes les causes sur une région proche ayant une tendance linéaire supposée.
RépondreSupprimerxii. L’« erreur de précision » est généralement plus grande que l’« erreur de précision » (ou erreur statistique) de la valeur extrapolée, car elle représente la variabilité d’une année sur l’autre de l’ACM intégré dans la fenêtre d’intégration au cours des années précédant la période de vaccination ou de Covid.
xiii. Si les fenêtres d’intégration disponibles dans les années normales précédant le pic ou la région d’intérêt sont trop peu nombreuses pour obtenir une bonne estimation de la variabilité historique d’une année sur l’autre, ou si les erreurs statistiques dans les valeurs intégrées sont relativement importantes, il faut alors utiliser les erreurs statistiques pour mieux estimer l’incertitude nécessaire.
xiv. Appliquez la même fenêtre d’intégration (dates de début et de fin pendant la vaccination) pour compter toutes les doses de vaccin administrées pendant cette période.
xv. En fonction des circonstances particulières des données, il peut être nécessaire d'utiliser des limites d'intégration différentes (des fenêtres différentes) pour l'ACM et pour l'administration du vaccin. Nous n'avons pas jugé nécessaire de procéder ainsi et nous n'avons pas essayé de mettre en œuvre ou de tester une telle optimisation.
xvi. Définir vDFR = (surmortalité au cours de la période de vaccination) / (doses de vaccin administrées au cours de la même période de vaccination). Calculer l'incertitude de vDFR en utilisant l'erreur estimée de surmortalité au cours de la période de vaccination.
La même méthode est adaptée à toute région d'intérêt (comme un pic dans l'ACM) de durée subannuelle, en déplaçant la fenêtre d'intégration (de la région d'intérêt) vers l'arrière par incréments d'un an.
La méthode décrite ci-dessus est robuste et parfaitement adaptée à la nature des données ACM. L'ACM intégré aura généralement une faible erreur statistique.
Une grande fenêtre d'intégration temporelle (par exemple, pour toute la période de vaccination) élimine en grande partie la difficulté découlant des variations saisonnières intrinsèques ; et cette difficulté est en outre résolue en commençant chaque nouvelle fenêtre d'intégration au même point du cycle saisonnier que le début de la fenêtre d'intégration de base pour la période de vaccination (point vi, ci-dessus).
La tendance historique est analysée sans introduire d'hypothèses ou d'incertitudes de modèle, si ce n'est que l'on suppose que la tendance proche peut être modélisée par une ligne droite, lorsque les données elles-mêmes le justifient. Une telle analyse prend par exemple en compte les variations d'une année sur l'autre de la taille de la cohorte par groupe d'âge résultant de la structure par âge de la population. La seule hypothèse est qu'une tendance proche localement linéaire pour la population non perturbée (non perturbée au niveau de l'ACM) est réaliste.
RépondreSupprimerBien que la méthode ci-dessus soit conçue pour les cas (juridictions) dans lesquels il n'existe aucune preuve dans les données de l'ACM de mortalité causée par des facteurs autres que le déploiement du vaccin, tels que les mesures Covid (protocoles de traitement, impositions sociétales, isolement, etc. ; étant donné qu'aucune surmortalité ne se produit pendant la période pré-vaccinale de la période Covid), elle peut être facilement adaptée aux cas dans lesquels la mortalité pendant la période de vaccination est confondue avec des facteurs causaux supplémentaires (période Covid) qui ne peuvent être exclus.
Une approche consiste simplement à adapter la méthode ci-dessus aux années civiles, indépendamment du fait que la surmortalité se produise avant ou après le déploiement du vaccin contre la COVID-19. On obtient l’excès de mortalité due à la COVID-19 par année civile, par rapport à la valeur attendue de la tendance historique déduite par extrapolation linéaire à partir d’une plage choisie de valeurs annuelles de mortalité due à la COVID-19 pour < 2020 (pour les années antérieures à 2020, date à laquelle l’annonce de la pandémie du 11 mars 2020 a été faite). On compare ensuite l’excès de mortalité due à la COVID-19 pour 2020 et pour 2021. Dans de nombreux pays (la plupart), il n’y a eu pratiquement aucune vaccination contre la COVID-19 en 2020, et un déploiement rapide a essentiellement commencé en janvier 2021.
Cas particulier d'un point historique unique intégré (méthode 2)
Dans les cas où il n'est pas possible ou pratique d'obtenir plus d'une valeur d'intégration pour l'extrapolation requise (étapes v à ix, ci-dessus), plutôt que de supposer une pente nulle pour l'extrapolation (étape x, ci-dessus), la deuxième méthode suivante (méthode 2) peut être appliquée.
Si Y(−1) est le seul point historique intégré, alors prenez simplement la valeur extrapolée nécessaire, Y(0), comme suit :
Y(0) = Y(−1) + m ΔT W (1)
où m est la pente du meilleur ajustement en ligne droite à travers l'ACM d'origine par unité de temps (jour, semaine, mois…) par rapport à l'unité de temps numérotée, ΔT est le nombre d'unités de temps entre Y(0) et Y(−1) (c'est-à-dire entre le début de la fenêtre d'intégration Y(0) et le début de la fenêtre d'intégration Y(−1)), et W est la largeur inclusive de la fenêtre d'intégration en nombre d'unités de temps.
Cela suppose que l'ACM varie dans le temps sur une ligne droite, nonobstant les variations saisonnières, sur le segment proche utilisé pour obtenir le meilleur ajustement en ligne droite.
La surmortalité résultante pour la fenêtre ou la période d'intégration, xACM(0), est alors :
xACM(0) = ACM(0) − Y(0) (2)
RépondreSupprimeroù ACM(0) est l'ACM intégré dans la période d'intérêt.
L'erreur statistique (écart type) dans xACM(0) est alors donnée par :
sig(xACM(0)) = carré [ ACM(0) + Y(−1) + (ΔT W sig(m)) 2 ] (3)
où sig(m) est l'erreur statistique nominale en m.
S'il n'y a pas de variation saisonnière dans l'ACM, comme c'est le cas dans les juridictions de latitude équatoriale, alors sig(m) est l'erreur statistique réelle dans m. Avec des variations saisonnières dans l'ACM, sig(m) extrait de l'ajustement par les moindres carrés à une ligne droite n'a pas de signification simple. Dans ce cas, sig(m) incorporera l'incertitude découlant des variations saisonnières et augmentera avec l'amplitude croissante de la variation saisonnière.
Application des méthodes aux pays spécifiques
Les paramètres d’application des méthodes (méthodes 1 et 2) aux données sont donnés dans l’annexe C : Informations techniques et spécifiques pour les applications des méthodes aux données.
Cliquez ici pour lire le rapport complet .
https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccine-associated-mortality-southern-hemisphere/5832806
Bombe : « Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches ». L'ancien ministre japonais de l'Intérieur s'excuse auprès des non-vaccinés
RépondreSupprimerPar Sean Adl-Tabatabai et le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
14 septembre 2024
爆弾：日本の元内務大臣が予防接種を受けていない人に謝罪：「あなたは正しかった、ワクチンは私たちの愛する人の何百万人もの人を殺している」
ミシェル・チョスドフスキーによる入門ノート
Note introductive de Michel Chossudovsky
Au Japon, le vaccin à ARNm a été lancé en février 2021, prétendument comme un moyen de protéger la population japonaise contre un « virus tueur » inexistant.
Plus de 206 millions de doses ont déjà été administrées. La population japonaise n’a pas été informée des dangers du vaccin à ARNm.
En décembre 2021, le ministère japonais de la Santé a autorisé les rappels des vaccins Moderna et Pfizer, soulignant le « faible taux d'effets secondaires tels que la myocardite ».
Selon les premiers avis du ministère japonais de la Santé (qui étaient similaires à ceux appliqués dans de nombreux pays) :
« Le gouvernement recommande aux gens de se faire vacciner car les avantages de la vaccination sont supérieurs au risque de réactions secondaires. »
Ce qui précède est trompeur, comme le souligne la déclaration courageuse de l’ancien ministre de l’Intérieur Kazuhiro Haraguchi :
« Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches »
」
« Ils essaient de bloquer notre liberté, notre résistance, notre pouvoir. Mais nous ne perdrons jamais. »
Haraguchi a lancé un appel à l’action.
Il a exhorté le peuple à rester uni pour défier le gouvernement et ses décisions douteuses.
«Renversons ce gouvernement»
a-t-il proclamé, soulignant la nécessité du changement et de la responsabilité.
Il a appelé les législateurs à continuer de lutter pour la vie et les libertés des citoyens : « Faisons en sorte que cela arrive », a-t-il conclu.
Surmortalité (Japon) (2020-2022)
Au Japon, le vaccin a été lancé début 2021.
Suicides au Japon suite au confinement (2020)
RépondreSupprimerNotez la hausse des taux de suicide immédiatement après le confinement de mars 2020 (Source : Ministère de la Santé, de la Protection sociale et du Travail/Graphique : Jason Kwok et Natalie Croker, CNN)
« Le nombre de Japonais qui se suicident est bien plus élevé, sans doute exacerbé par les répercussions économiques et sociales de la pandémie, que par la maladie COVID-19 elle-même. [ …] Les statistiques provisoires de l’Agence nationale de police montrent que les suicides ont bondi à 2 153 rien qu’en octobre [2020], marquant le quatrième mois consécutif d’augmentation. » Rapport CBS de novembre 2020 (soulignement ajouté)
Suicides parmi les écoliers japonais
Un rapport de 2021 du ministère japonais de l'Éducation confirme que le suicide parmi les écoliers japonais a atteint un niveau record au cours de l'année scolaire 2020. Le rapport du ministère de l'Éducation suggère que
« La pandémie a provoqué des changements dans l'environnement scolaire et familial et a eu un impact sur le comportement des enfants » . (Pour plus de détails, voir le chapitre 6 du livre de Michel Chossudovsky)
Une note sur mon livre intitulée :
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
publié pour la première fois en japonais en avril 2022.
仕組まれたコロナ危機 :
仕組まれたコロナ危機:「世界の初期化」を目論む者たちTankobon Softcover
deミ シ ェ ル ・ チ ョ ス ド フ ス キ ー (Michel Chossudovsky) (著),岩間 龍男 (翻訳)
En anglais, il est disponible sous forme de livre électronique. (Voir ci-dessous).
Je reste redevable à l'éditeur japonais qui a publié et promu mon livre malgré les pressions politiques et un climat de censure. Mes remerciements vont aussi bien à l'éditeur qu'au traducteur.
Le récit frauduleux concernant le « vaccin » Covid s’effondre dans différentes parties du monde.
En Californie, la Cour du 9e circuit a statué que les injections d’ARNm contre la COVID-19 ne sont pas des « vaccins ».
En Allemagne, les autorités sanitaires ont reconnu le caractère dévastateur et les impacts des confinements liés au Covid, du port obligatoire du masque facial et des « vaccins » expérimentaux à ARNm.
RépondreSupprimerDepuis le début, Global Research a couvert quotidiennement les effets dévastateurs du « vaccin ». Notre objectif est de SAUVER DES VIES.
En solidarité avec le peuple japonais.
En solidarité avec les peuples du monde entier.
Michel Chossudovsky , Global Research,
11 juin, 24 juin 2024
Kazuhiro Haraguchi , l'ancien ministre japonais de l'Intérieur, est devenu le premier grand homme politique à présenter des excuses aux non-vaccinés pour le tsunami de décès survenu au sein de la population vaccinée.
Sa présentation commence à 7'0”
Plus tôt cette semaine, de nombreux citoyens japonais sont descendus dans la rue pour protester contre les crimes contre l’humanité perpétrés par des organisations mondialistes telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial (WEF) pendant la pandémie.
Lors d'un discours d'ouverture des manifestations, Haraguchi a présenté des excuses puissantes et émouvantes pour le grand nombre de décès survenus actuellement à la suite du déploiement mortel de l'ARNm.
Haraguchi a commencé par évoquer le chagrin et la perte ressentis par les familles qui ont perdu des êtres chers contraints de se faire vacciner contre la COVID. Avec un profond sentiment de sincérité, il a présenté ses condoléances et a assumé la responsabilité des manquements des personnes au pouvoir. « Je m'excuse auprès de vous tous. Tant de personnes sont mortes, et elles n'auraient pas dû », a-t-il déclaré.
Le site Thelibertybeacon.com rapporte : L'un des points clés du discours de Haraguchi a été sa critique de l'interdiction de l'ivermectine, un médicament développé par le Dr Satoshi Omura, qui aurait pu, selon lui, jouer un rôle important dans la lutte contre la pandémie. Haraguchi a remis en question les motivations de l'interdiction, suggérant que les intérêts économiques étaient prioritaires par rapport à la santé publique. « Pourquoi ? Parce qu'ils sont bon marché. Ils n'en veulent pas parce que cela interférera avec les ventes de vaccins », a-t-il soutenu. Cette déclaration a suscité de vifs applaudissements de la part de la foule, dont beaucoup ont estimé que les profits des entreprises avaient pris le pas sur les vies humaines.
RépondreSupprimerHaraguchi a ensuite partagé une histoire profondément personnelle sur ses propres problèmes de santé. Après avoir reçu des vaccins, il a développé une maladie grave, en particulier une forme de cancer à progression rapide. « À la même époque l’année dernière, je n’avais ni sourcils ni cheveux. Deux des trois vaccins supposés que j’ai reçus étaient des lots mortels », a-t-il révélé. Ce récit franc de sa bataille contre le cancer, qui comprenait des changements physiques importants comme la perte de cheveux, a touché une corde sensible chez le public. Il a raconté un incident où son apparence est devenue un point de distraction au sein de la Diète, un adversaire se concentrant davantage sur sa perruque que sur les problèmes en cours.
Haraguchi a ajouté qu'il n'était pas le seul membre de la Diète nationale japonaise (assemblée législative) à souffrir des effets indésirables des vaccins . Il a mentionné que trois de ses collègues avaient été gravement touchés, certains ayant même été hospitalisés. « Ils tombent en morceaux, certains sont hospitalisés. Mais ils ne parlent pas », a-t-il expliqué. Cette révélation met en évidence un problème plus vaste : la réticence ou l'incapacité des personnalités publiques à discuter ouvertement de leurs problèmes de santé personnels.
Haraguchi s'est montré particulièrement passionné par les tentatives visant à réduire au silence ceux qui remettent en question les politiques actuelles et les actions du gouvernement. Il a raconté un incident récent au cours duquel il a été interdit de parler sur Channel 3 après une interview avec son président.
« L’autre jour, j’ai parlé avec le président de la chaîne Channel 3, et j’ai été banni. Ils essaient de nous faire taire », a-t-il déclaré. Cette tentative de censure des voix dissidentes a mis en évidence une préoccupation majeure concernant la liberté de parole et d’expression. Haraguchi a exhorté le public à rester ferme dans sa résolution, en déclarant :
« Ils essaient de bloquer notre liberté, notre résistance, notre pouvoir. Mais nous ne perdrons jamais. »
Dans la conclusion de son discours,
Haraguchi a lancé un appel à l'action. Il a exhorté le peuple à s'unir pour contester le gouvernement et ses décisions douteuses. « Renversons ce gouvernement », a-t-il proclamé, soulignant la nécessité du changement et de la responsabilisation. Il a appelé les législateurs à continuer de se battre pour la vie et les libertés du peuple. « Faisons en sorte que cela arrive », a-t-il conclu.
RépondreSupprimerLa manifestation qui se déroule actuellement (31 mai 2024), qui vise à rassembler des dizaines de milliers de participants, a marqué un moment important dans le débat mondial sur la gestion de la pandémie et les politiques de santé. Le discours de Haraguchi, rempli d'anecdotes personnelles et de critiques virulentes, a trouvé un profond écho auprès des participants.
Lisez ceci
爆弾：日本の元内務大臣が予防接種を受けていない人に謝罪：「あなたは正しかった、ワクチンは私たちの愛する人の何百万人もの人を殺している」
ミシェル・チョスドフスキーによる入門ノート
Note introductive de Michel Chossudovsky
Le 4 avril 2022で初めて出版されました。 英語版は電子書籍の形で入手できます。
政治的圧力と検閲にもかかわらず私の本を出版してくれた日本の出版社には今でも感謝しています。
出版社と翻訳者に感謝します。
日本では、存在しない「殺人ウイルス」から日本人を守る手段として、mRNAワクチンが2021年2月に発売されたとされている.
2 億600万回以上が投与された。日本 et ARNmワクチンの危険性について知らされていなかった。
Année 2021ル ナ 社とファイザー社のワクチンの追加接種を承認した。
日本の保健省の初期勧告によると（これは多くの国で適用されているものと同様でした。
「ワクチン接種のメリットは副反応のリスクよりも大きいため、 政府は人々にワクチン接種を推奨しています。」 (強調追加)
原口一博氏の勇気ある発言が指摘しているように、上記は誤解を招くものである。
「『あなたは正しかった。ワクチンは何百万人もの私たちの愛する人を殺している』」
世界のさまざまな地域で崩壊しつつある。
Il s'agit d'un rapport sur l'ARNm du COVID- 19 .
実験 的なARNm .
日本の人々と連帯して。
世界中の人々と連帯します。
2024 du 6 au 11 juillet
日本の元総務大臣である原口一博氏は、ワクチン接種者の間で津波による死亡者が発生したことについて、ワクチン未接種者に謝罪した最初の主要政治家となった。
Organisation mondiale de la santé Le WEF est également connu sous le nom de WEF.
L'ARNm est lié à l'ARNm et à l'ARNm.の死者について力強く、感情的に謝罪した。
原口氏はまず、新型コロナウイルスのワクチン接種を強制され愛する人を失った遺族が感じている悲しみと喪失感について語った。 氏は心から哀悼の意を表し、権力者の失策の責任を認めた。 . 」と氏は述べた。
Thelibertybeacon.com est disponible en ligne. 大村智博士が開発した イベルメクチンの禁止に対する批判だった。同氏は、この薬がパンデミック対策に大きな役割を果たせたと考 え て い た。先されたと示唆した。「なぜかって？ 安いからだ。ワクチンの売り上げに支障が出るから嫌がるんだ」と同氏は主張した。この発言は、企業の利益が人命よりも優先されたと感じていた聴衆から大きな拍手を浴びた。
原口氏はその後、自身の健康問題に関する非常に個人的な話をした。 ワクチン接種後、深刻な病気、具体的には急速に進行する癌を発症した。 「去年の今頃は、眉毛も髪の毛もありませんでした。私が受けた3つのワクチンのうち2つは致Description du produit ·彼は, 国会で彼の外見が気を散らす原Voir aussi :語った。
会話に加えて、原口氏は、 ワクチンによる副作用に苦しんだ日本の国会議員は自分だけではないことを明らかにした。同氏は、同僚3人が重篤な影響を受け、中には入院した人もいると述べた。 「彼らはバラバラになっていて、中には入院している人もいる。しかし、彼らは声を上げません」と彼は説明した。この暴露は、公人が個人の健康問題について公然と話し合うことに消極的である、あるいはそれができないという、より広範な問題を浮き彫りにした。
原口氏は、現在の政策や政府の行動に疑問を抱く人々を黙らせる試みに特に情熱を注いだ。同氏は、チ3ème partie de la série 3ついて語った 。 「先日、私はチャンネル 3 彼らは私たちの声を黙らせようとしている反対意見を検閲するこの試みは、言論と表現の自由に対する原口氏は聴衆に対し、「彼らは私たちの自由、私たちの抵抗、私たちの力を阻止しようとしている。しかし、私たちは決して負けません。」
原口氏は演説の最後に、行動を起こすよう呼びかけた。 政府とその疑わしい決定に異議を唱えるために国民が団結するよう促した。 「この政府を打倒しよう」と宣言し、変革と説明責任の必要性を強調した。議員らに国民の命と自由のために戦い続けるよう呼びかけ、「実現させよう」と締めくくった。
31 juillet 2024管理と健康政策に関す個人的な逸話と強い批判に満ちた原口氏の演説は、参加者の心に深く響いた。
C'est comme ça .
https://www.globalresearch.ca/japanese-leader-apologizes-unvaccinated-vaccines-killing-loved-ones/5859677
RépondreSupprimerUn programme de dépeuplement de la planète par la vaccination contre la COVID-19 révélé par des rapports gouvernementaux et des documents de Pfizer
Par The Expose
Recherche mondiale,
14 septembre 2024
Si un vaccin expérimental devait endommager le cœur et le système immunitaire d’un nombre significatif d’individus qui le recevraient, il est possible qu’il puisse conduire à une diminution de la taille globale de la population.
Cela peut se produire pour plusieurs raisons.
Premièrement, les lésions cardiaques pourraient entraîner une augmentation des maladies cardiovasculaires, qui sont l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Cela pourrait entraîner un nombre plus élevé de décès parmi les personnes ayant reçu le vaccin.
Deuxièmement, les dommages au système immunitaire pourraient rendre les individus plus vulnérables à d’autres infections et maladies, ce qui pourrait également contribuer à une augmentation de la mortalité.
Enfin, et ce n’est pas le moins important, les effets négatifs du vaccin sur la fertilité et la santé reproductive pourraient entraîner une baisse du nombre de naissances, contribuant ainsi davantage à une diminution de la taille globale de la population.
Si un tel vaccin devait être développé et distribué, il pourrait potentiellement conduire à un dépeuplement en raison d’une mortalité accrue et d’une fertilité diminuée.
Malheureusement, le monde se trouve dans une situation où des institutions et des gouvernements puissants ont contraint des millions de personnes à se faire vacciner contre le Covid-19, un vaccin expérimental qui provoque tous les effets néfastes mentionnés ci-dessus.
Les rapports officiels du gouvernement et les documents confidentiels de Pfizer le prouvent.
Vous êtes donc témoins d’un dépeuplement massif qui se déroule sous vos yeux.
La campagne de vaccination massive contre le Covid-19 n’a jamais eu pour objectif de combattre un virus, mais de réduire la population mondiale.
Cet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et de certains individus puissants qui ont tout à gagner d’une population plus petite et plus gérable, maintenant que l’IA est suffisamment avancée pour remplacer des centaines de millions de travailleurs.
Quelle que soit la cause spécifique, les implications de ce qui se passe actuellement dans le monde réel sont importantes.
Des millions de personnes sont « mortes subitement »
Saviez-vous que des données sur la surmortalité dans 15 % des pays du monde sont disponibles sur le site de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ?
Cela inclut des pays majeurs comme les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni.
De plus, nous avons pu extraire des données encore plus à jour sur 28 pays européens à partir d' EuroMOMO .
Toutes ces informations ont été fournies à l' OCDE et à EuroMOMO par les organisations gouvernementales de chaque pays, telles que les Centers for Disease Control aux États-Unis et l'Office for National Statistics au Royaume-Uni.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité dans les pays « Five Eyes » (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et États-Unis) ainsi que dans 27 autres pays européens.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Êtes-vous conscient du nombre effarant de décès excédentaires survenus aux États-Unis et en Europe ces dernières années ?
En 2021, les États-Unis ont enregistré près de 700 000 décès supplémentaires, avec 360 000 décès supplémentaires supplémentaires d'ici le 11 novembre 2022.
L’Europe a connu un excédent de décès tout aussi alarmant de 382 000 en 2021, avec 309 000 décès supplémentaires en novembre 2022.
Et ces chiffres n’incluent même pas l’Ukraine !
Il est choquant de constater que même des pays comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada ont connu une surmortalité qui n’a pas diminué depuis le lancement du vaccin contre la Covid-19.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité globale en Australie en 2020, 2021 et jusqu'à la semaine 30 de 2022 –
- voir graph sur site -
Saviez-vous que le déploiement du vaccin contre la Covid-19 en Australie a entraîné une augmentation choquante de 747 % des décès excédentaires, passant de 1 303 en 2020 à 11 042 en 2021 ?
Et la situation n’a fait qu’empirer depuis.
À la fin du mois de juillet 2022, on comptait 18 973 décès supplémentaires en Australie, soit une augmentation de 1 356 % par rapport à 2020.
Il s'agit d'un excès de décès en sept mois supérieur à celui enregistré au cours des deux années précédentes réunies.
Et la situation aux États-Unis est tout aussi alarmante.
- voir graph sur site -
Êtes-vous au courant de la tendance inquiétante à la surmortalité aux États-Unis suite au déploiement du vaccin contre la Covid-19 ?
À la 38e semaine de 2022, 1 700 personnes supplémentaires étaient décédées par rapport à la même période en 2020, et à la 38e semaine de 2021, 109 000 personnes supplémentaires étaient décédées par rapport à la même période en 2020.
Ces chiffres indiquent que plutôt que de diminuer, les décès ont en fait augmenté après le déploiement du vaccin.
RépondreSupprimerLes deux graphiques suivants illustrent l’excès total de décès dans les « Five Eyes » et en Europe depuis le début de 2021, lorsque le vaccin contre la Covid-19 a été introduit –
- voir graph sur site -
Saviez-vous que plus de 1,8 million de décès supplémentaires ont eu lieu dans les « Five Eyes » et dans la majeure partie de l’Europe depuis le lancement du vaccin contre la Covid-19 ?
Ce chiffre choquant inclut plus d’un million de décès supplémentaires aux États-Unis et plus de 690 000 décès supplémentaires en Europe selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies et l’Organisation de coopération et de développement économiques, ainsi qu’un nombre important de décès supplémentaires en Australie, au Canada et en Nouvelle-Zélande.
Le récit officiel selon lequel le vaccin est sûr et efficace et réduirait le nombre de décès est complètement contredit par ces chiffres, qui suggèrent que les vaccins contre le Covid-19 pourraient être la principale cause de la surmortalité.
Des enfants, des adolescents et des jeunes adultes sont « morts subitement »
Saviez-vous que la surmortalité chez les enfants de 0 à 14 ans en Europe a augmenté de 755 % entre janvier et septembre 2022, selon les données officielles ?
Cette augmentation alarmante, qui a poussé l'Union européenne à lancer une enquête, s'est produite malgré les efforts d' EuroMOMO pour minimiser les chiffres.
Il convient de noter que le vaccin Pfizer Covid-19 a été approuvé pour une utilisation chez les enfants par l'Agence européenne des médicaments le 28 mai 2021. C'était la semaine 21 de 2021.
- voir doc sur site -
Source
Ensuite, des décès excédentaires ont commencé à être enregistrés « seulement « par coïncidence » à partir de la semaine 22, une fois cette autorisation d’utilisation d’urgence accordée.
- voir graph sur site -
Dans l’ensemble, la surmortalité a augmenté de 630 % depuis l’approbation du vaccin pour une utilisation chez les enfants d’ici septembre 2022.
- voir graph sur site -
C’est une triste réalité : malgré les preuves de plus en plus nombreuses indiquant le danger évident des vaccinations contre le Covid-19 pour les enfants, il est très peu probable que les autorités reconnaissent ce risque.
RépondreSupprimerMalheureusement, l’augmentation significative de la surmortalité chez les enfants en Europe depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé en urgence le vaccin pour une utilisation dans cette population risque d’être considérée comme une simple « coïncidence » dans la longue liste de tels événements depuis le début de la pandémie.
Il est essentiel que nous continuions à examiner et à analyser les données pour garantir que la santé et le bien-être de nos enfants sont protégés.
Saviez-vous également que selon les chiffres officiels publiés discrètement par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) , près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes sont morts au 9 octobre 2022 aux États-Unis depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois une autorisation d'utilisation d'urgence pour un vaccin contre le Covid-19 ?
- voir graph sur site -
Cette évolution déchirante a entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne de la période 2015-2019.
Les chiffres révèlent également qu'il y a eu 7 680 décès supplémentaires parmi les enfants et les jeunes adultes en 2022 jusqu'à présent par rapport à la même période en 2020, au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
Cependant, l’année la plus meurtrière en termes de décès chez les 0 à 44 ans a été 2021, avec 291 461 décès excédentaires au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020.
Selon les chiffres officiels du CDC, cette augmentation est principalement due à une mystérieuse augmentation soudaine des décès parmi les enfants et les jeunes adultes à partir de la semaine 31 de 2021 environ.
- voir graph sur site -
C'est une réalité déchirante que près d'un demi-million de personnes âgées de 0 à 44 ans soient décédées depuis la semaine 51 de 2020, ce qui représente un nombre stupéfiant de 117 719 décès excédentaires par rapport à la moyenne quinquennale de 2015-2019.
Selon les données officielles, l’espérance de vie moyenne aux États-Unis était de 77,28 ans en 2020.
Si l’on en croit le récit officiel selon lequel le Covid-19 est une maladie mortelle, il est peut-être compréhensible que 231 987 enfants et jeunes adultes jusqu’à 44 ans soient morts en 2020, ce qui a entraîné 40 365 décès supplémentaires comme conséquence malheureuse de cette prétendue maladie.
Cependant, si l’on accepte le récit officiel selon lequel les vaccins contre la Covid-19 sont sûrs et efficaces, comment expliquer la nouvelle augmentation des décès parmi les enfants et les jeunes adultes en 2021 et 2022 ?
RépondreSupprimerIl convient de noter que des millions d’Américains ont subi des pressions pour se faire vacciner, et que des millions de parents ont été contraints de la même manière de forcer leurs enfants à recevoir les injections.
La réponse est claire : le récit officiel est un mensonge éhonté. Les vaccins contre le Covid-19 ne sont ni sûrs ni efficaces.
Les données difficiles à trouver fournies par le CDC ne font qu’esquisser cette tendance inquiétante des décès de jeunes Américains, mais d’autres données publiées par le gouvernement britannique la confirment .
Par exemple, un rapport publié le 6 juillet 2022 par l’Office for National Statistics du Royaume-Uni, une agence gouvernementale, fournit des preuves supplémentaires du danger de ces vaccins.
Le rapport s'intitule « Décès par statut vaccinal, Angleterre, du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 » et peut être consulté sur le site de l'ONS ici et téléchargé ici .
Avez-vous vu le tableau 2 du rapport de l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, qui contient les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge, par statut vaccinal et par groupe d'âge, pour les décès pour 100 000 années-personnes en Angleterre jusqu'en mai 2022 ?
Si ce n’est pas le cas, vous devriez y jeter un œil, car les chiffres qu’il contient sont vraiment inquiétants.
Nous avons pris les données fournies par l'ONS pour la période de janvier à mai 2022 et créé le graphique suivant, qui illustre les conséquences dévastatrices de la campagne de vaccination de masse contre le Covid-19.
Le graphique montre les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge et le statut vaccinal chez les 18 à 39 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.
Ces données montrent clairement que les risques associés à ces vaccins ne peuvent être ignorés.
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C'est une tendance inquiétante : chaque mois depuis le début de l'année 2022, les jeunes de 18 à 39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont été plus susceptibles de mourir que les jeunes de 18 à 39 ans non vaccinés.
RépondreSupprimerLa situation est particulièrement désastreuse pour les jeunes de 18 à 39 ans triplement vaccinés, dont le taux de mortalité s'est aggravé de mois en mois depuis la campagne de rappel massif qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
En janvier, les personnes de 18 à 39 ans triplement vaccinées étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 chez les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 chez les triplement vaccinés.
Cependant, à partir de février, les personnes de 18 à 39 ans triplement vaccinées avaient 27 % plus de risques de mourir que les personnes non vaccinées, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 parmi les personnes triplement vaccinées et de 21 pour 100 000 parmi les non vaccinés.
La situation s'est encore aggravée en mai 2022, les personnes de 18 à 39 ans triplement vaccinées ayant 52 % plus de risques de mourir que les personnes non vaccinées de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés et de 14,1 parmi les non vaccinés.
Les personnes partiellement vaccinées s'en sortent également mal : en mai, les personnes partiellement vaccinées de 18 à 39 ans avaient 202 % plus de risques de mourir que les personnes non vaccinées de cette tranche d'âge.
Le rapport de l'Office for National Statistics du Royaume-Uni inclut également les taux de mortalité des enfants, bien que le gouvernement britannique ait tenté de dissimuler ces données.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité par statut vaccinal pour 100 000 personnes-années parmi les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre pour la période du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 –
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Selon l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, le taux de mortalité des décès dus au Covid-19 parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans est de 0,31 pour 100 000 années-personnes.
Cependant, pour les enfants vaccinés avec une seule dose, le taux de mortalité est de 3,24 pour 100 000 années-personnes, et pour les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité est alarmant : 41,29 pour 100 000 années-personnes.
La situation n’est pas meilleure en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Le taux de mortalité toutes causes confondues est de 6,39 pour 100 000 personnes-années chez les enfants non vaccinés et légèrement plus élevé, à 6,48 chez les enfants partiellement vaccinés.
Cependant, le taux s’aggrave à chaque injection supplémentaire : le taux de mortalité toutes causes confondues est de 97,28 chez les enfants doublement vaccinés et de 289,02 pour 100 000 personnes-années chez les enfants triplement vaccinés.
Cela signifie que, selon les données officielles du gouvernement britannique, les enfants doublement vaccinés ont 1 422 %, soit 15,22 fois plus de risques de mourir de n'importe quelle cause que les enfants non vaccinés, tandis que les enfants triplement vaccinés ont 4 423 %, soit 45,23 fois plus de risques de mourir de n'importe quelle cause que les enfants non vaccinés.
RépondreSupprimerLes données fournies par l'Office for National Statistics, qui sont standardisées selon l'âge et les taux pour 100 000 habitants, sont la preuve définitive que les vaccins contre la Covid-19 augmentent le risque de décès d'une personne.
Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’un rapport secret du CDC confirme que près d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains sont décédés suite au déploiement du vaccin Covid-19, entraînant près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019.
Vous n'avez qu'un seul cœur et il ne se régénérera pas
Les conséquences potentielles d’un vaccin contre la COVID-19 nocif pour le cœur sont désastreuses. Si un tel vaccin était largement distribué et administré à une partie importante de la population, il pourrait entraîner des millions de décès soudains.
Le cœur est un organe vital qui joue un rôle essentiel dans le maintien du bon fonctionnement du corps. Par conséquent, tout effet indésirable sur celui-ci pourrait avoir des conséquences désastreuses.
Malheureusement, au moins deux vaccins contre la Covid-19 produits par Pfizer et Moderna font exactement cela, et ils ont maintenant été administrés à des millions de personnes à plusieurs reprises, et il est probable que ces vaccins soient responsables des millions de décès supplémentaires enregistrés dans le monde depuis leur déploiement.
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Le risque de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une mort subite si elle n’est pas traitée, est une préoccupation majeure en ce qui concerne le vaccin contre la Covid-19. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, qui peuvent ne présenter aucun symptôme de myocardite jusqu’à ce que la maladie ait atteint un stade sévère.
Les symptômes de la myocardite peuvent inclure des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des rythmes cardiaques anormaux. Si elle n’est pas traitée, elle peut entraîner une insuffisance cardiaque, un arrêt cardiaque et une mort cardiaque subite.
C’est probablement la raison pour laquelle une enquête sur les chiffres officiels publiés par Public Health Scotland en avril 2022 a révélé qu’il y a eu une augmentation de 67 % par rapport à la moyenne historique du nombre de personnes âgées de 15 à 44 ans victimes de crises cardiaques, d’arrêts cardiaques, de myocardites, d’accidents vasculaires cérébraux et d’autres maladies cardiovasculaires depuis que ce groupe d’âge s’est vu proposer le vaccin contre la Covid-19.
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Malheureusement, une étude menée par les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a montré que le risque de myocardite suite à la vaccination contre la COVID-19 à ARNm est environ 133 fois plus élevé que le risque de base dans la population.
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Cela signifie que la vaccination contre le Covid augmente de 13 200 % le risque de souffrir de myocardite, une maladie auto-immune provoquant une inflammation du cœur.
Il ressort clairement des données présentées que les vaccins Covid-19 produits par Pfizer et Moderna ont eu un impact significatif sur la santé de millions de personnes dans le monde.
Les effets indésirables potentiels sur le cœur, notamment la myocardite et un risque accru de crise cardiaque, d’arrêt cardiaque et d’autres maladies cardiovasculaires, pourraient entraîner un nombre important de décès subits si ces vaccins sont largement distribués et administrés à une partie importante de la population.
En outre, le nombre élevé de décès excédentaires survenus depuis le lancement des vaccins contre la Covid-19 suggère que ces vaccins pourraient contribuer à une tendance plus large au dépeuplement.
La surmortalité fait référence au nombre de décès supérieur à celui normalement attendu dans une population donnée, et le fait qu’il y ait eu des millions de décès excédentaires dans les pays « Five Eyes » et en Europe depuis le déploiement du vaccin contre la Covid-19 est une source d’inquiétude.
Les conséquences potentielles du dépeuplement sont de grande envergure et pourraient avoir des répercussions importantes sur la société, notamment des perturbations économiques et une diminution de la taille globale de la population. Il est impératif de mener des recherches supplémentaires pour comprendre l’ampleur réelle de l’impact des vaccins contre la Covid-19 sur la santé de la population et pour garantir que tout futur vaccin soit minutieusement testé et jugé sûr avant d’être distribué.
Il est évident que pour qu’il y ait dépopulation, il faut qu’il y ait plus de morts que de naissances. Et malheureusement, des documents confidentiels de Pfizer confirment que c’est désormais notre réalité.
Les documents confidentiels de Pfizer
Les données contenues dans ce document sont alarmantes et suscitent de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité du vaccin Pfizer contre la Covid-19 pendant la grossesse et l'allaitement. Selon ces données, de nombreux cas de femmes enceintes ont été victimes de réactions indésirables au vaccin, notamment des fausses couches, des mortinaissances et d'autres complications graves.
En outre, les données suggèrent que le vaccin peut également présenter des risques pour les nourrissons allaités. De nombreux cas de nourrissons ayant eu des réactions indésirables au vaccin lorsqu'il leur est transmis par le lait maternel ont été signalés.
RépondreSupprimerCes résultats sont extrêmement préoccupants et soulignent la nécessité de poursuivre les recherches sur la sécurité des vaccins contre la Covid-19 pendant la grossesse et l’allaitement. Si les risques associés à ces vaccins ne sont pas correctement pris en compte, cela pourrait avoir des conséquences importantes sur les taux de fécondité et la population globale.
Il est impératif que les autorités prennent ces préoccupations au sérieux et mènent des enquêtes approfondies sur la sécurité des vaccins contre la Covid-19 pendant la grossesse et l’allaitement. La santé et le bien-être des mères et de leurs enfants doivent être une priorité absolue.
Le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer a été associé à un nombre élevé d'effets indésirables chez les femmes enceintes. Selon les propres données de l'entreprise, sur les 270 cas connus d'exposition au vaccin pendant la grossesse, 46 % des mères (124) ont subi une réaction indésirable.
Parmi ces symptômes, 75 ont été jugés graves, notamment des contractions utérines et la mort du fœtus.
Cela signifie que 58 % des mères ayant signalé des effets indésirables ont subi un événement grave. Ces résultats inquiétants suscitent des inquiétudes quant à la sécurité du vaccin pour les femmes enceintes et soulignent la nécessité de poursuivre les recherches.
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Source – Page 12
Il est alarmant de constater que les données de Pfizer montrent que 124 des 270 femmes enceintes exposées au vaccin Pfizer contre la COVID-19 ont subi une réaction indésirable. Parmi celles-ci, 75 ont été considérées comme graves, y compris la mort fœtale.
Il est également inquiétant que Pfizer ne dispose d’aucune information sur les résultats de 238 grossesses sur 270. Ces chiffres soulèvent de sérieuses questions quant à la sécurité du vaccin Pfizer contre la COVID-19 pour les femmes enceintes et leurs fœtus.
Les résultats d’ une autre étude Pfizer sur des rats Wistar Han montrent que le vaccin Pfizer COVID-19 s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Les ovaires sont une paire de glandes féminines qui produisent des ovules et des hormones féminines, l'œstrogène et la progestérone.
L' étude , qui figure dans la liste des documents confidentiels de Pfizer publiés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis en vertu d'une ordonnance du tribunal, a administré une dose unique du vaccin Pfizer à 21 rats femelles et 21 rats mâles.
Les chercheurs ont mesuré la concentration de radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus des rats à différents moments après l'injection. L'accumulation du vaccin dans les ovaires soulève des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité et la santé reproductive.
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L’un des résultats les plus préoccupants de l’étude sur le vaccin Pfizer contre la Covid-19 est le fait que celui-ci s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Au cours des 15 premières minutes suivant l’injection, la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml, mais elle est passée à 1,34 ml après seulement une heure, à 2,34 ml après quatre heures et à 12,3 ml après 48 heures.
Bien que les scientifiques qui ont mené l’étude n’aient pas poursuivi leurs recherches au-delà de 48 heures, il n’est pas clair si cette accumulation inquiétante a continué.
Ces résultats soulèvent de sérieuses questions sur les effets potentiels à long terme du vaccin Pfizer sur la fertilité et la santé reproductive.
Mais selon les données publiées par Public Health Scotland, le nombre de personnes souffrant d’un cancer de l’ovaire a considérablement augmenté en 2021 par rapport à l’année précédente et à la moyenne 2017-2019.
Cela pourrait potentiellement être lié à l’accumulation du vaccin Pfizer contre la COVID-19 dans les ovaires, comme l’a révélé une étude sur des rats.
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Cancer de l’ovaire – Source
En Écosse, les décès de nouveau-nés ont également atteint un niveau critique pour la deuxième fois en seulement sept mois, selon les chiffres officiels.
Le taux de mortalité néonatale en mars 2022 était de 4,6 pour 1 000 naissances vivantes, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de mortalité attendu.
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Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a dépassé pour la deuxième fois un seuil d’alerte supérieur appelé « limite de contrôle » après le déploiement des vaccins Covid-19 auprès des femmes/femmes enceintes.
La dernière fois que ce seuil a été dépassé, c'était en septembre 2021, lorsque le nombre de décès néonatals pour 1 000 naissances vivantes a atteint 5,1. Ces niveaux sont comparables à ceux généralement observés à la fin des années 1980.
À l’époque, le PHS avait déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il existe une probabilité plus élevée que des facteurs au-delà de la variation aléatoire aient contribué au nombre de décès survenus ».
Cette nouvelle est choquante et soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le Covid-19.
RépondreSupprimerAugmentation de la mortalité
Il est alarmant de constater, d'après les chiffres figurant dans un rapport publié par le gouvernement britannique intitulé « Décès par statut vaccinal, Angleterre, du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et accessible sur le site de l'ONS ici et téléchargeable ici , que chaque mois entre janvier et mai 2022, les personnes âgées de 18 à 39 ans partiellement ou totalement vaccinées étaient plus susceptibles de mourir de causes non liées au Covid que leurs homologues non vaccinés.
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La situation est particulièrement désastreuse pour les personnes triplement vaccinées, dont les taux de mortalité n’ont fait qu’empirer de mois en mois depuis la campagne de rappel généralisée de décembre 2021.
Ces chiffres choquants, fournis par l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, confirment que les vaccins contre le Covid-19 augmentent considérablement le risque de décès d'une personne.
Il est clair que les vaccins non seulement ne protègent pas les individus, mais qu'ils causent également des dommages. Il est crucial de prendre des mesures pour stopper leur distribution et d'enquêter sur les véritables dangers qu'ils représentent.
Mais cette situation ne concerne pas uniquement les 18-39 ans. Elle est courante dans toutes les tranches d'âge.
Les deux graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge et le statut vaccinal pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 pour tous les groupes d'âge -
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Vous pouvez lire une enquête complète sur les chiffres ci-dessus, répartis par groupe d'âge, ici .
Dépeuplement dû à la vaccination contre la COVID-19
Les conséquences potentielles de la campagne de vaccination contre le Covid-19 sont alarmantes et pourraient conduire à un dépeuplement à l’échelle mondiale.
Le cœur est un organe vital et tout effet indésirable sur celui-ci peut avoir des conséquences dévastatrices. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, car la myocardite peut ne provoquer aucun symptôme jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade sévère.
Les données de Pfizer révèlent que 46 % des femmes enceintes ayant reçu le vaccin ont souffert d’effets indésirables, dont 58 % ont connu des événements indésirables graves allant de la contraction utérine à la mort fœtale.
De plus, des études ont montré que le vaccin s’accumule dans les ovaires au fil du temps, ce qui soulève des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité.
Les chiffres officiels révèlent également que les taux de mortalité sont les plus élevés parmi les personnes vaccinées et les plus faibles parmi la population non vaccinée dans chaque groupe d’âge.
RépondreSupprimerAvec toutes ces preuves, il est clair que la campagne de vaccination contre le Covid-19 pourrait avoir de graves conséquences sur l’avenir de l’humanité.
Mais pourquoi ?
Il existe diverses raisons pour lesquelles certaines personnes peuvent vouloir dépeupler la planète.
L’une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s’épuisent à un rythme insoutenable en raison de l’augmentation de la population.
D’autres pourraient soutenir que le dépeuplement est nécessaire en raison de l’impact négatif que les humains ont sur l’environnement, et que la réduction de la population pourrait aider à atténuer certains de ces problèmes.
Certaines personnes peuvent également prôner le dépeuplement en raison des inquiétudes concernant l’impact du changement climatique, car une population plus petite entraînerait probablement une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Enfin, certains peuvent simplement croire qu’une population plus petite serait plus facile à gérer et à contrôler, et peuvent prôner le dépeuplement pour cette raison.
Klaus Schwab et Bill Gates sont deux personnalités influentes qui ont exprimé leur soutien à l’idée de dépeuplement par divers moyens, notamment la vaccination.
Schwab, le fondateur du Forum économique mondial, a soutenu que la réduction de la population mondiale serait bénéfique pour l’environnement et l’économie, et a suggéré que les technologies avancées telles que l’intelligence artificielle pourraient jouer un rôle dans la réalisation de cet objectif.
De même, Bill Gates a déclaré que les campagnes de vaccination peuvent être utilisées pour réduire la population et a financé de nombreuses initiatives qui promeuvent la vaccination comme moyen de contrôler la croissance démographique.
On comprend donc maintenant pourquoi des personnalités influentes comme Bill Gates et Klaus Schwab militent en faveur de campagnes de vaccination généralisées.
La campagne de vaccination massive contre le Covid-19 ne vise pas à combattre un virus, mais à réduire la population mondiale.
Cet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et de certains particuliers qui pourraient bénéficier d’une population plus petite et plus gérable.
https://www.globalresearch.ca/genocide-government-reports-pfizer-documents-reveal-sinister-agenda-depopulate-covid-vaccination/5834966
Quand la Terre était plus chaude, les poissons nageaient dans le Sahara
RépondreSupprimerPar Jo Nova
September 12th, 2024
Le froid est la catastrophe
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Un monde plus chaud ne serait peut-être pas si horrible. Au début de l'Holocène, il y a 10 000 ans, des rivières coulaient au milieu du désert du Sahara et étaient remplies de poissons. La photo ci-dessus montre ce qu'il reste du lac Takarkori aujourd'hui. Si seulement le changement climatique pouvait ramener les poissons ?
Pendant que nous étions distraits en 2020, des chercheurs ont publié un article sur un trésor d'os et de parties du corps qu'ils avaient creusé dans une grotte du sud-ouest de la Libye, qui se trouve à peu près au milieu du Sahara aujourd'hui. Étonnamment, ils ont trouvé 17 551 os, et plus surprenant encore, 80 % d'entre eux provenaient de poissons.
Les personnes qui y dînaient attrapaient des tilapias et des poissons-chats clariidés, et parfois une tortue de boue, un mollusque et un ou deux crocodiles. Le lac (photo ci-dessus) se trouve à environ 6 kilomètres de la grotte (ci-dessous), et tous les os semblent être des déchets humains. C'est en quelque sorte le dépotoir archéologique ultime du FOGO.
Ce restaurant, qui est resté ouvert pendant 6 000 ans, a laissé derrière lui des couches et des couches d'histoire culinaire intacte. Peu à peu, au fil des milliers d'années, les convives ont mangé moins de poisson et plus de bœuf, de chèvre et de mouton.
Étonnamment, 17 000 morceaux d'os et de morceaux ont été trouvés sur une zone de seulement 150 mètres carrés. D'une manière ou d'une autre, contre toute attente, les chercheurs ont pu identifier chaque arête de poisson. Cela semble étonnant, sauf que les chances étaient de 50/50 que chaque os soit un tilapia ou un poisson-chat Clariid. Les résidents étaient peut-être un peu fatigués de manger les mêmes deux poissons.
Bien que les rivières et les zones humides aient pu contenir beaucoup de poissons, il n'y avait pas beaucoup de variété.
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Grotte de Takarkori, restes de poissons holocènes.
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0228588
Les auteurs, Wim van Neer et al, spéculent que les poissons se sont probablement répandus dans ces lacs par le biais d’inondations massives qui les ont emportés sur le sol. (Imaginez l’ampleur de ces inondations ?) Ils se demandent si un oiseau aurait pu laisser tomber quelques œufs de poisson, mais ne pensent pas que ce soit aussi probable. Apparemment, même les tempêtes peuvent parfois ramasser des poissons et les projeter au loin. Si les humains contrôlaient un jour le climat et le fixaient dans son état actuel, ils empêcheraient le retour de la vie dans le désert et qualifieraient cela de « victoire » pour l’environnement. C’est fou, non ?
RépondreSupprimerAu cours de cette période chaude de l’Holocène, il y avait de nombreuses autres rivières à travers le Sahara qui ne coulent plus là aujourd’hui. Les lacs près de Takarkori se sont asséchés lors de la vague de froid soudaine et choquante il y a 8 200 ans, mais sont revenus après quelques siècles. (Juste un changement climatique de plus !) Il y a environ 5 500 ans, elles se sont taries pour de bon (ou pour de mauvais, si vous étiez un berger nomade).
Une rivière à proximité a réussi à continuer à couler jusqu'à l'époque romaine, il y a environ 2 000 ans.
Rivières sahariennes
Carte des rivières et des systèmes hydrographiques sahariens de l'Holocène. Fig 14. Présence actuelle de certaines espèces aquatiques (poissons, crocodiles et tortues) dans les cours d'eau d'Afrique du Nord.
La répartition de Crocodylus doit être considérée comme continue dans les cours d'eau actuels au sud du désert du Sahara et le long du Nil au sud d'Assouan.
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Les vestiges de la grotte couvrent une période de 6 000 ans
Il est quelque peu dégrisant de se rappeler combien de générations se sont succédées et à quel point leurs vies ont dû être différentes. Que penseraient-ils s'ils voyaient le désert aride aujourd'hui ?
Les premiers humains à vivre dans la grotte sont arrivés il y a environ 10 000 ans. Des établissements permanents sont apparus il y a environ 8 300 ans, et les vaches laitières sont arrivées 800 ans plus tard. Il y a 6 000 ans, le site était utilisé pour de brèves visites par des éleveurs de chèvres et de moutons pendant l'hiver.
Extrait de l'article :
RépondreSupprimerLes premiers habitants de l'abri sous roche de Takarkori étaient des chasseurs-cueilleurs-pêcheurs du début de l'Holocène, appelés localement « Acacus tardif » (LA1-3 : environ 10 200-8 000 cal BP). Les preuves archéologiques et archéobotaniques indiquent une occupation résidentielle prolongée, bien que saisonnière, et un système d'exploitation des ressources à retour différé [13, 33, 34, 35].
Des structures en pierre de différentes tailles et fonctions (huttes, brise-vent, plates-formes, etc.) et de grands foyers, ainsi que de grandes meules et une poterie abondante indiquent également un mode de vie semi-sédentaire, comme l'indiquent d'autres sites contemporains de la région, tels que Ti-n-Torha Est, Uan Afuda et Uan Tabu [7, 36, 37]. Les premières traces d'éleveurs pastoraux néolithiques (EP1-2) remontent à environ 8300 ans cal BP, principalement représentées par l'enterrement de femmes et d'enfants [38].
Une économie pastorale complète basée sur l'exploitation du bétail, y compris la production laitière, est attestée à partir d'environ 7100 ans cal BP [39], lorsque l'abri est occupé de manière saisonnière (MP1-2), probablement à partir de la fin de la saison des pluies et pendant l'hiver sec [13, 40]).
Les éleveurs nomades (LP1, vers 5900–4650 ans cal BP), se concentrant principalement sur le petit bétail (moutons/chèvres) plutôt que sur les bovins, campaient brièvement à Takarkori pendant l'hiver, utilisant une grande partie de la zone pour parquer les animaux, avec une épaisse couche durcie de crottin d'ovicaprine fermant la séquence
Le désert du Sahara actuel
Juste pour nous rappeler à quel point il est incroyablement vaste :
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Google Map Sahara Desert.
Le communiqué de presse :
Du poisson dans le Sahara ? Oui, au début de l'Holocène
ScienceDaily, février 2020
Le poisson-chat et le tilapia constituent une grande partie des restes d'animaux découverts dans l'environnement saharien de l'abri sous roche de Takarkori, dans le sud-ouest de la Libye, selon une étude publiée le 19 février 2020 dans la revue en libre accès PLOS ONE par Wim Van Neer du Musée d'histoire naturelle de Belgique, Belgique et Savino di Lernia, Université Sapienza de Rome, Italie, et ses collègues.
Aujourd'hui, les montagnes sahariennes de Tadrart Acacus sont venteuses, chaudes et hyperarides ; cependant, les archives fossiles montrent que pendant une grande partie de l'Holocène précoce et moyen (10 200 à 4 650 ans avant notre ère), cette région était humide et riche en eau ainsi qu'en vie, avec des preuves de multiples établissements humains et d'une faune diversifiée.
Les abris sous roche de Tadrart Acacus conservent non seulement d'importants vestiges floraux et fauniques, mais aussi d'importants artefacts culturels et d'art rupestre dus à l'occupation de ces abris au début de l'Holocène. Dans cette étude, les auteurs ont travaillé avec le Département libyen des antiquités pour fouiller des parties de l'abri sous roche de Takarkori afin d'identifier et de dater les restes d'animaux trouvés sur ce site et d'étudier les changements dans l'abondance et le type de ces restes animaux au fil du temps.
Les restes de poissons représentaient près de 80 % de l'ensemble des découvertes, qui comptaient 17 551 restes fauniques au total (19 % d'entre eux étaient des restes de mammifères, les restes d'oiseaux, de reptiles, de mollusques et d'amphibiens représentant les 1,3 % restants). Tous les poissons et la plupart des autres restes se sont révélés être des déchets alimentaires humains, en raison de marques de coupe et de traces de brûlure - les deux genres de poissons de Takarkori ont été identifiés comme étant des poissons-chats et des tilapias.
RépondreSupprimerD’après les datations relatives de ces restes, la quantité de poissons a diminué au fil du temps (de 90 % de tous les restes il y a 10 200 à 8 000 ans avant notre ère contre seulement 40 % de tous les restes entre 5 900 et 4 650 ans avant notre ère) alors que le nombre de restes de mammifères a augmenté, ce qui suggère que les habitants de Takarkori se sont progressivement concentrés davantage sur la chasse et l’élevage. Les auteurs ont également constaté que la proportion de tilapias a diminué de manière plus significative au fil du temps, ce qui peut être dû au fait que les poissons-chats ont des organes respiratoires accessoires leur permettant de respirer de l’air et de survivre dans des eaux peu profondes et à haute température – une preuve supplémentaire que cet environnement désormais désertique est devenu moins favorable aux poissons à mesure que l’aridité augmentait.
Les auteurs ajoutent : « Cette étude révèle l’ancien réseau hydrographique du Sahara et son interconnexion avec le Nil, fournissant des informations cruciales sur les changements climatiques spectaculaires qui ont conduit à la formation du plus grand désert chaud du monde. L'abri sous roche de Takarkori s'est une fois de plus révélé être un véritable trésor pour l'archéologie africaine et au-delà : un lieu fondamental pour reconstituer la dynamique complexe entre les anciens groupes humains et leur environnement dans un climat en mutation.
REFERENCE
“Wim Van Neer, Francesca Alhaique, Wim Wouters, Katrien Dierickx, Monica Gala, Quentin Goffette, Guido S. Mariani, Andrea Zerboni, Savino di Lernia. Aquatic fauna from the Takarkori rock shelter reveals the Holocene central Saharan climate and palaeohydrography. PLOS ONE, 2020; 15 (2): e0228588 DOI: 10.1371/journal.pone.0228588
https://joannenova.com.au/2024/09/fish-swam-in-the-sahara-when-the-earth-was-hotter/#more-94223
96 % des politiques climatiques sont un gaspillage d’argent, selon un article de Science
RépondreSupprimerPar Jo Nova
September 13th, 2024
Enfin, 15 ans et mille milliards de dollars trop tard, George Monbiot dit ce que les sceptiques disent depuis le début. Presque tous les programmes de réduction des émissions de carbone sont des machinations inutiles qui créent l’illusion que le gouvernement fait quelque chose. Il appelle cela du « perceptionware ».
Un nouvel article publié dans Science souligne qu’au cours des 25 dernières années, à peine 4 % des politiques climatiques dans 41 pays ont fait une réelle différence. Et par « réelle différence », nous entendons la réduction d’un engrais utile, c’est donc une bonne chose que 96 % des stratagèmes aient échoué, mais une tragédie qu’un millier de milliards de dollars aient été volés à des gens honnêtes.
Quoi qu’il en soit, Monbiot voit enfin la pointe de l’iceberg de la fraude et de la corruption, mais il ne se rend pas compte de son propre rôle dans tout cela, il ne se rend pas compte que les mêmes échecs de journalistes comme lui ont également échoué dans le monde scientifique où 96 % des journaux n’ont rien accompli de ce qu’ils avaient prévu de faire – comme prédire le climat. La science climatique tourne en rond, crée des perceptions et échoue à comprendre le climat depuis cinquante ans, mais George ne l’a pas remarqué.
Monbiot n’a même pas fait le saut évident : où étaient les Verts, les gens qui étaient censés être les plus intelligents et qui s’en souciaient le plus ? La plupart de ces échecs en matière de réduction des émissions de carbone étaient évidents pour quiconque possédait une calculatrice. Serait-ce George, que les Verts étaient les idiots enfermés dans leur propre jeu de perceptions, prétendant se soucier du gaz carbonique pour impressionner leurs amis lors de dîners mais s’en fichant vraiment ? Ou pire, se pourrait-il que certains Verts aient été achetés par des industries et des pays étrangers qui profitent de la fraude au carbone ?
Qui a défendu les pauvres, les travailleurs et les contribuables qui se faisaient avoir ? Seuls les sceptiques.
Sur 1 500 politiques climatiques mondiales, seules 63 ont vraiment fonctionné.
C’est là que nous a mené le discours vert
George Monbiot, The Guardian
« De grands projets, souvent soutenus par les gouvernements, se font passer pour des mesures positives en faveur de l’environnement. Ils devraient être désavoués. »
Parlons du perceptionware. Le perceptionware est une technologie dont le but principal est de créer une impression d’action…
RépondreSupprimerMonbiot se concentre sur la fantaisie sans fin qu’est la quête du biocarburant pour les compagnies aériennes :
… l’exemple le plus clair de perceptionware est peut-être le dévoilement répété, au cours des 25 dernières années, de jets à gros volume. Tout au long de cette période, les compagnies de combustibles fossiles et les compagnies aériennes ont annoncé des prototypes d’avions verts ou de prototypes de carburants verts, dont aucun n’a eu d’effet significatif sur les émissions ou, dans la plupart des cas, ne s’est concrétisé. Leur seul effet jusqu’à présent a été d’aider les entreprises à éviter une action législative.
Il craint maintenant que les pauvres meurent de faim alors que nous brûlons leur nourriture et abattons des forêts pour pouvoir voler jusqu’à Bali :
Mais qu’importe, cette perception est désormais aussi la politique du Parti travailliste. L’échec est ancré dans la mémoire. Même avec des restrictions sur les matières premières qui peuvent être utilisées, tout déploiement significatif de biocarburants pour l’aviation augmentera la demande totale, ce qui signifie soit que les cultures agricoles sont retirées de la consommation humaine, augmentant le prix des aliments et donc la faim dans le monde, soit que des écosystèmes sauvages sont détruits pour faire place à l’expansion agricole.
George ne réalise toujours pas que la racine du problème est le Big Government lui-même. Dans le marché fou des biocarburants, c’est le gouvernement qui a « choisi le gagnant » et a décidé que nous devrions brûler de la nourriture pour sauver le monde, et non le marché libre. Qui aurait pu deviner que des matières végétales à haute teneur énergétique seraient aussi la même chose que les gens voudraient manger ?
Quant à l’utilisation des déchets, cette promesse est répétée à maintes reprises pour justifier des politiques désastreuses. Le biodiesel serait fabriqué à partir d’huile de cuisson usagée, mais dès que la production a augmenté, de l’huile de palme neuve a été utilisée à la place. Les brûleurs de biomasse auraient dû nettoyer les déchets forestiers, mais ils ont rapidement commencé à utiliser des arbres entiers et, dans certains cas, des forêts entières. Le biogaz serait produit à partir des eaux usées et des déchets alimentaires, mais les exploitants ont rapidement découvert qu’ils pouvaient produire davantage avec des cultures dédiées comme le maïs et les pommes de terre. Pourquoi ? Parce que les déchets sont généralement peu énergétiques, variables et coûteux à gérer. Il existe déjà une concurrence intense pour la petite partie des déchets qui pourrait être commercialement utile, car les entreprises courent après les paiements carbone : à tel point que l’huile de palme fraîche a été vendue comme huile usagée, car elle attire une prime plus élevée.
Le monopole scientifique financé par le gouvernement a créé une fausse crise dont les parasites pourraient se nourrir, et il est surpris que les parasites se soient retrouvés au dîner.
Où étaient tous nos experts en climatologie, George, pendant que 25 ans d’argent et de temps étaient gaspillés ? Voulaient-ils ou non sauver le monde, ou étaient-ils trop stupides, ou trop effrayés pour dire l’évidence ?
RÉFÉRENCE
RépondreSupprimerStechemesser et al (2024) Climate politics that achievement major emissions reductions: Global evidence from two decade, Science, 22 août 2024, vol 385, numéro 6711, pp. 884-892, DOI : 10.1126/science.adl6547
https://joannenova.com.au/2024/09/96-of-climate-policies-are-a-waste-of-money-says-science-paper/
Un typhon démantèle un parc éolien en Chine
RépondreSupprimer13 septembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les pales d'éoliennes sont fabriquées à partir de matériaux composites contenant un certain nombre de composants toxiques. Une partie de celui-ci est libérée lors du fonctionnement normal par abrasion. Cela peut conduire à des accidents catastrophiques dans lesquels les composants en fibre de verre et en fibre de carbone (GRP/CFRP), en particulier, présentent de graves risques pour l'environnement, les animaux et les personnes.
- voir photos sur site -
TKP a rapporté ici un tel accident survenu dans une éolienne offshore à Nantucket, qui a propagé de dangereux éclats de fibre de verre dans la région . Les plages ont été transformées en "décharges" remplies d'épaves et d'éclats pointus de fibre de verre , ont rapporté les médias locaux. Certaines éoliennes du parc éolien de Wenchang étaient dans une situation encore pire, comme le montre la photo ci-dessus.
Le super typhon Yagi, la tempête la plus violente à avoir frappé l'Asie cette année, a déversé sa force sur la province de Hainan, la plus méridionale de la Chine, endommageant gravement un parc éolien en frappant la côte.
La tempête a eu de graves conséquences sur la centrale éolienne de Wenchang, un projet en cours d'agrandissement et de modernisation par la société Huaneng Hainan. La centrale électrique devait moderniser son infrastructure, en remplaçant 32 turbines vieillissantes par 16 nouveaux modèles résistants aux typhons et en augmentant sa capacité à 104 MW.
Le parc éolien autrefois
- voir photos sur site -
et maintenant
Le terme énergies « renouvelables » prend ici un tout nouveau sens.
De tels accidents libèrent des pièces présentant des surfaces de fracture aux arêtes vives ainsi que toutes sortes de particules toxiques. Les hommes assument un risque pour la santé comme celui de l'amiante. Les services d'urgence qui doivent éliminer les fragments dispersés doivent utiliser des combinaisons de protection de la classe de sécurité la plus élevée.
Voici un extrait d'un article de son collègue Sander-Faes sur le potentiel dommageable des pales de rotor :
RépondreSupprimerLe carbone/GRP/CFK sont toxiques pour les humains et les animaux et sont soupçonnés d'être toxiques pour la reproduction et cancérigènes à fortes doses (y compris le bisphénol-A) et sont assimilés à l'amiante (UBA 2020). Leur effet direct sur l’organisme n’a pas encore fait l’objet de nombreuses recherches. Cependant, l' excitation du cancer est incontestée . Il y a bien sûr un besoin de recherche, comme pour toutes ces substances. Cependant, notamment lors d'accidents militaires (accident d'avion avec du carbone/GRP/CFRP), l'élimination des résidus contaminés par du carbone/GRP/CFRP s'effectue toujours avec des efforts considérables et uniquement avec l'utilisation de combinaisons de protection complètes ( EPI) pour le personnel spécialisé déployé pour enlever/remplacer la surface terrestre sur et dans laquelle se trouvent ou pourraient se trouver des restes de matériaux) Les connaissances sont également suffisantes pour établir une interdiction de mise en décharge de ces substances (§ 6 DepotG)…
En savoir plus sur le sujet :
Énergie éolienne et « fibres désagréables » : faits rapportés par l’avocat Thomas Mock
Les éoliennes, pièges mortels : « fibres désagréables » et risques de contamination
Une éolienne offshore se démonte et disperse de dangereux « éclats de fibre de verre »
https://tkp.at/2024/09/13/taifun-zerlegt-windpark-in-china/
À votre avis, qui contrôlera tous les codes QR personnels ?
RépondreSupprimerExactement, vous avez deviné juste.
QR est l’abréviation de Quick Response (réponse rapide). Il s’agit d’un code-barres « aux stéroïdes ». Alors que le code-barres retient l’information horizontalement, le code QR le fait à la fois horizontalement et verticalement. Le code-barres matriciel bidimensionnel a été inventé en 1994 par la société japonaise Denso Wave, à l’origine pour l’étiquetage des pièces automobiles.
Les obsédés du contrôle occidentaux ont rapidement découvert son potentiel et s’en sont emparés pour leur diabolique « programme pour l’avenir de l’humanité », dont l’administration et l’imposition à l’humanité ont été confiées au monde de l’informatique d’entreprise (dont la valeur combinée s’élève à environ 3 ou 4 billions de dollars). Un code QR individuel a une capacité de stockage pratiquement illimitée. Il peut donc vous connaître mieux que vous ne vous connaissez vous-même.
Le débat ou les « négociations » sur ce pacte numérique ont officiellement eu lieu les 20 et 21 septembre à huis clos, lors de l’Assemblée générale des Nations unies, mais le contexte avait été discuté et approuvé dans plusieurs versions clandestines, également appelées révisions 2 et 3, qui sont publiées sur le site internet de l’ONU pour le ” Sommet de l’avenir ».
En septembre, les dirigeantes et les dirigeants du monde entier se réuniront aux Nations Unies pour adopter le Pacte pour l’avenir, qui comprendra en annexe un Pacte numérique mondial et une Déclaration sur les générations futures.
« Le Sommet de l’Avenir » : https://www.un.org/fr/summit-of-the-future
Malheureusement, presque personne ne connaît cette page [internet] et pratiquement personne ne la consulte. Si les gens étaient mieux informés ou s’ils se souciaient davantage de s’informer, nous ne nous trouverions peut-être pas devant l’abîme numérique, comme c’est le cas aujourd’hui.
On ne sait pas exactement quelle entreprise, quel service informatique et quelle représentation de la société civile ont participé à ces « négociations » secrètes. Mais il est certain que le Forum économique mondial ( FEM) et le Club de Rome, tous deux basés dans la Suisse « paradisiaque » (on ne répétera jamais assez que la Suisse « neutre » accueille la majeure partie de ces organisations maléfiques, dont le but est de réduire et de contrôler l’humanité), ont participé à l’élaboration initiale et aux révisions ultérieures du texte.
Le pacte numérique ne laisse aucune place aux décisions de l’homme. Il n’y a aucune possibilité d’avoir une « option facultative ». En d’autres termes, un individu ne peut pas dire « Merci, et non merci, je préfère me retirer de ce monde numérique ». Les gens sont forcés d’entrer dans ce système, quoi qu’il arrive. Tel est le plan.
Le choix des gouvernements de participer a également été bloqué, car on leur a dit que c’était une obligation, ou sinon… Nous savons ce que signifie « ou sinon ».
RépondreSupprimerAucune exception n’est autorisée dans le cadre de la « numérisation intégrale », car cela reviendrait à jeter le contrôle mondial, ou le contrôle mondialiste, par la fenêtre, ou à le jeter aux loups, pour ainsi dire.
Les exceptions constitueraient une entrave définitive à l’ordre mondial unique qui s’annonce.
Le pacte explique clairement les énormes avantages offerts par les technologies numériques pour le bien-être de l’homme. Il est donc impératif qu’aucun fossé ne subsiste entre les personnes et les pays, et que TOUS naviguent sur la même longueur d’onde, à savoir le numérique intégral.
L’objectif du bien-être humain global, tel qu’il est expliqué dans le pacte – pas de guerres, pas de conflits, pas de pollution, pas de bruit, des maladies bien contrôlées, et bien d’autres choses encore – justifie l’évolution rapide vers la numérisation complète ou totale.
Sans le dire ouvertement, il s’agit de la première étape vers un ordre mondial unique et un gouvernement mondial unique. Ce dernier sera mis en œuvre par l’ONU, avec un cadre politique établi par le FEM et une tyrannie de type GESTAPO imposée par l’OMS.
L’ONU a été entièrement cooptée dans cette entreprise de destruction de l’humanité qui, rétrospectivement, remonte à une vingtaine d’années, alors que l’humanité était plongée dans un sommeil profond. Elle a finalement été officialisée, avec un accord de coopération entre l’ONU et le FEM, signé en juin 2019. Illégal en tant que tel, car l’ONU ne peut pas conclure d’accords avec des ONG, mais de facto non pertinent dans un monde ordonné par des règles.
Par ailleurs, les ressources et le budget de l’ONU, qui dépendent actuellement essentiellement des contributions des pays membres, pourraient être facilement remplacés par les grands payeurs, Big Tech et Big Finance, qui finiront par prendre les commandes. C’est tout à fait justifié dans le monde d’aujourd’hui, où « qui paie décide » des mandats.
Les futures assemblées annuelles des Nations unies pourraient être considérées comme des assemblées d’actionnaires pro forma, ou, selon les termes du FEM, comme des « réunions de parties prenantes », sans avoir en fait le moindre pouvoir de changer de direction ou de tracer une voie différente, plus humaine.
La gestion numérique est aux commandes, et la (trans)humanité sans voix suit presque aveuglément. Ceux qui ne sont pas aveugles et qui résistent peuvent facilement être éliminés numériquement. Tout le monde s’en moque. M. « digital » ne peut pas être accusé de meurtre. L’ordre fondé sur des règles n’a pas la notion de meurtre ; il s’agit simplement d’une suppression numérique.
Dans les rangs des services de conseil des Nations Unies les plus proches, on peut s’attendre à trouver les grandes sociétés de technologie de l’information. Ce sont elles qui décideront des orientations numériques, car elles reçoivent le scénario de Big Finance, qui n’a pas encore été désigné.
RépondreSupprimerAvons-nous, nous, l’humanité, un choix, une alternative, un moyen de sortir de ce carcan numérique ? Oui, mais seulement lorsque nous réaliserons ce qui se prépare, lorsque nous reconnaîtrons les implications et lorsque nous agirons non pas en tant qu’individus, mais lorsque nous serons prêts à nous débarrasser de l’individualisme « imposé par le système » et à adopter le principe « Together we Can » (Ensemble, nous le pouvons).
Peter Koenig
Article original en anglais :
Towards an “Oppressive Digital New World Order”. UN “World for the Future” Conference. 22-23 September 2024. Borderless “Enslavement Package”, Digital Control over 8 Billion People
Traduction : Mondialisation.ca
https://www.mondialisation.ca/vers-un-nouvel-ordre-mondial-numerique-oppressif-conference-des-nations-unies-un-monde-de-lavenir-22-23-septembre-2024-un-package-dasservissements-sans-f/5692280?doing_wp_cron=1726311326.0013759136199951171875
Rémunération du rachat de l'électricité solaire en Allemagne : des pénalités prévues pour les personnes qui injectent leur électricité dans le réseau !!
RépondreSupprimer15 Septembre 2024
Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
Afin de limiter l'explosion des coûts liés aux tarifs de rachat, les propriétaires d'installations solaires devront payer pour alimenter le réseau en période de prix négatifs de l'électricité.
En cas de prix négatifs de l'électricité, les injecteurs d'électricité devront à l'avenir verser de l'argent ! Cela permettrait d'empêcher l'injection de courant. Parallèlement, on souhaite ainsi augmenter les investissements dans les possibilités de stockage et influencer le comportement des producteurs d'électricité. L'explosion des coûts de la rétribution du courant injecté en est la cause.
Ma note : Voilà où mènent les délires de l'Energiewende.
Le gouvernement fédéral prévoit des changements massifs dans la promotion de l'énergie solaire. Ainsi, dès l'année prochaine, les installations photovoltaïques soumises à la commercialisation directe obligatoire ne seront plus rémunérées dès la première heure où les prix de l'électricité sont négatifs. Actuellement, il s'agit de la troisième heure consécutive.
Mais l'augmentation massive des prix négatifs de l'électricité cette année et l'augmentation spectaculaire des subventions publiques obligent le gouvernement fédéral à agir. Les gestionnaires de réseau étaient depuis un certain temps déjà confrontés à l'explosion des coûts de la rétribution du courant injecté, à laquelle ils sont légalement tenus.
Ils s'attendent à des dépenses de 20 milliards d'euros rien que pour cette année. Jusqu'en juillet 2024, le gouvernement fédéral a déjà versé pour cette raison onze milliards d'euros aux gestionnaires de réseau. Sans correction de la promotion du solaire, les experts en énergie s'attendent à des coûts annuels d'au moins 30 milliards d'euros à partir de 2026.
Le déficit de financement ne cesse de s'aggraver, car les tarifs de rachat continuent d'être versés et l'électricité excédentaire (dont le prix est souvent négatif) n'a pas ou peu de valeur sur le marché de l'électricité. En outre, l'Allemagne doit payer une taxe à d'autres pays européens pour qu'ils achètent l'électricité excédentaire. Dans le cas contraire, le réseau électrique allemand pourrait être surchargé.
Les injecteurs devront payer lorsque les prix de l'électricité sont négatifs
La raison de cette évolution est le nombre croissant d'heures pendant lesquelles la production d'électricité solaire dépasse la consommation. En raison du développement rapide de la production d'énergie solaire, de plus en plus de propriétaires de maisons et d'entreprises injectent leur surplus d'électricité dans le réseau. En contrepartie, ils reçoivent la rétribution de l'injection garantie par la loi – indépendamment du prix momentané de l'électricité.
M. Christof Bauer, de l'Université Technique (TU) de Darmstadt, a étudié pour le compte du Handelsblatt les conséquences d'un plafonnement du tarif de rachat de l'électricité. Afin de limiter les coûts pour les contribuables, l'expert en énergie propose de faire payer aux propriétaires d'installations solaires l'injection de courant lorsque les prix de l'électricité sont négatifs.
Pour contrer l'injection de courant en cas de prix négatifs, il faudrait l'empêcher techniquement. Ou bien il faudrait faire payer aux injecteurs les coûts supplémentaires engendrés par la vente du surplus d'électricité, constate le scientifique.
RépondreSupprimerSelon lui, ces deux mesures inciteraient clairement à stopper l'injection d'électricité en période de prix négatifs. En outre, les exploitants d'installations investiraient davantage dans des possibilités de stockage de l'électricité « excédentaire », par exemple dans des batteries, des réservoirs d'eau chaude alimentés en électricité ou des chargeurs pour véhicules électriques, explique M. Bauer.
Le développement du solaire n'est pas abordable – réduction des plans de développement ?
Dans son nouveau programme économique, le gouvernement a stipulé que pour les nouvelles installations, la promotion serait en principe suspendue à partir de janvier 2025 en cas de prix négatifs. Selon le professeur Manuel Frondel de l'Institut RWI-Leibniz, cette réglementation ne résout toutefois pas entièrement le problème. Il craint que ce ne soit que « la pointe de l'iceberg ».
Si cet été reste ensoleillé, les 19 milliards d'euros de subventions prévus pour 2024 pourraient être loin d'être suffisants. M. Frondel demande donc une suppression plus rapide des aides à l'électricité verte et une réduction des plans de développement.
Il prévient également que le triplement prévu du photovoltaïque et le doublement de l'éolien terrestre d'ici 2030 sont hors de prix et menacent la sécurité de l'approvisionnement en électricité.
Mme Kerstin Andreae, directrice générale de la Fédération Allemande de l'Industrie de l'Énergie et de l'Eau, conteste l'évaluation de M. Frondel. Elle souligne que la dynamique actuelle est nécessaire pour atteindre les objectifs de développement fixés par la loi.
Pour le gouvernement fédéral, la suppression complète du rachat de l'électricité produite par les installations solaires est liée à l'évolution future du marché de l'électricité : « En perspective, les énergies renouvelables ne bénéficieront plus d'aucun soutien dès que le marché de l'électricité sera suffisamment flexible et qu'un stockage suffisant sera disponible », peut-on y lire.
Parallèlement, le seuil de « contrôlabilité des installations d'énergie renouvelable » (déconnexion ?) pour les gestionnaires de réseau doit encore être abaissé. Le gouvernement fédéral et le RWI (Institut Leibniz de Recherche Économique) estiment que les signaux de prix parviennent ainsi directement aux exploitants des installations et que les excédents d'électricité ou les prix négatifs peuvent être évités, étant donné qu'il n'y aurait plus de rétribution fixe de l'injection.
https://seppi.over-blog.com/2024/09/remuneration-du-rachat-de-l-electricite-solaire-en-allemagne-des-penalites-prevues-pour-les-personnes-qui-injectent-leur-electricite-dans-le-reseau.html
L'USDA ouvre la voie au blé génétiquement modifié aux États-Unis d'Amérique, mais le marché mondial reste incertain
RépondreSupprimer12 Septembre 2024
AGDAILY Reporters*
Le Département Américain de l'Agriculture (USDA) a levé un obstacle réglementaire majeur pour la technologie de blé HB4 de Bioceres Crop Solutions Corp., ouvrant potentiellement la voie à l'entrée du premier blé génétiquement modifié sur le marché nord-américain. Cette étape, annoncée aujourd'hui [le 29 août 2024], marque un tournant dans la biotechnologie agricole, même si elle n'est pas sans poser de problèmes.
Le Service d'Inspection de la Santé Animale et Végétale de l'USDA (APHIS) a procédé à une analyse approfondie du blé HB4. Il a conclu qu'il ne présentait pas plus de risques de devenir un parasite végétal que les variétés de blé traditionnelles. Par conséquent, le blé HB4 ne sera pas soumis aux réglementations strictes du 7 CFR part 340, qui régissent les organismes génétiquement modifiés.
« Partout où le blé est cultivé dans le monde, la sécheresse fait des ravages sur les rendements et la qualité, c'est pourquoi une innovation comme le HB4 présente beaucoup d'intérêt pour les producteurs comme moi », a déclaré M. Michael Peters, ancien président de U.S. Wheat Associates et producteur de blé à Okarche, dans l'Oklahoma. « La demande mondiale de blé atteignant de nouveaux records presque chaque année, on s'inquiète de la variabilité de la production. »
Cependant, malgré ce succès réglementaire, les principaux acheteurs internationaux de blé américain, notamment le Mexique, les Philippines et le Japon, n'ont pas approuvé le blé HB4. Cette situation soulève des inquiétudes quant à l'acceptation du blé génétiquement modifié par le marché, ce qui rappelle la situation d'il y a vingt ans.
À l'époque, Monsanto Co. avait tenté de commercialiser une variété de blé conçue pour résister aux traitements avec son désherbant Roundup. L'initiative a été interrompue en 2004 après que des acheteurs internationaux ont menacé de boycotter le blé américain si le produit était introduit. Bayer AG, qui a racheté Monsanto en 2018, a dû faire face à des pressions commerciales similaires par le passé, soulignant la tension permanente entre l'innovation agricole et la dynamique du commerce mondial.
Ce feu vert de l'USDA permet la production commerciale du blé HB4 aux États-Unis et s'appuie sur l'examen positif déjà reçu de la Food and Drug Administration (FDA) pour son utilisation dans l'alimentation humaine et animale. Les États-Unis, l'un des principaux producteurs de blé au monde, rejoignent ainsi l'Argentine, le Brésil et le Paraguay en autorisant la production de blé HB4, ce qui marque un changement important dans le paysage de la production de blé.
Bioceres a souligné que le blé HB4 a été approuvé pour l'alimentation humaine et animale dans plusieurs pays, dont l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud et le Chili. En Australie, une région clé pour la production de blé confrontée à de graves pénuries d'eau, Bioceres a obtenu une licence pour des essais sur le terrain visant à recueillir des données pour soutenir la production future.
Le blé HB4 a été conçu à partir de la variété Cadenza et intègre deux modifications génétiques essentielles. La première concerne le gène HaHB4 du tournesol, qui joue un rôle crucial en aidant la plante à résister aux stress environnementaux. La seconde modification introduit le gène bar de Streptomyces hygroscopicus, qui confère une résistance à l'herbicide glufosinate.
RépondreSupprimerÉtant donné la complexité du génome du blé, qui comprend environ 17 milliards de paires de bases et de nombreuses séquences répétitives, l'événement génétique connu sous le nom de IND-00412-7 a été méticuleusement caractérisé à l'aide de techniques de séquençage de nouvelle génération. Le gène HaHB4v a été localisé avec précision sur le chromosome 2D, ce qui a été confirmé par une analyse détaillée utilisant des marqueurs de polymorphisme de nucléotides simples dans diverses populations de blé.
______________
* Source : USDA clears path for GM wheat, yet global market uncertain | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2024/09/l-usda-ouvre-la-voie-au-ble-genetiquement-modifie-aux-etats-unis-d-amerique-mais-le-marche-mondial-reste-incertain.html
RépondreSupprimerPolitique agricole : « Quoique ce soit de la folie, il y a de la méthode là-dedans » (Hamlet)
13 Septembre 2024
« Though this be madness, yet there is method in 't » (Hamlet)
Les récits médiatiques dans l'air du temps qui tournent en boucle reposent dans la grande majorité des cas sur un exercice digital manquant d'esprit critique, pratiqué depuis des années : les copier-coller de messages d'ONG.
Les exemples se lisent comme une rétrospective journalistique de l'année sous la devise « Tous mes petits poussins » :
La disparition des abeilles, qui n'a jamais eu lieu (surtout celle de la légendaire abeille du blé) [ma note : voir « Une sensationnelle découverte zoologique : Apis tritici ».]
Les instructions pour les câlins aux loups dans toute l'Europe au lieu de la lutte pour la survie des moutons qui entretiennent les digues de la mer du Nord ou du bétail qui pâture dans les régions alpines.
Les vaches productrices du méthane de l'apocalypse, les veaux en conteneur de l'univers imaginaire de Sky-Dumont, le kilo de viande bovine aux 15.000 litres d'eau.
Les bons pesticides toxiques bio, naturels et donc en aucun cas toxiques (bien que le bio, d'une certaine manière, n'utilise de toute façon pas de pesticides du tout), qui sont mélangés à de la poussière d'elfes à partir d'excréments de licornes au moyen de formules magiques ancestrales et sont répandus milligramme par milligramme à la pleine lune par plus ou moins de vierges en robes blanches en écoutant au choix des chants de sirènes ou des chants populaires celtiques, alors que...
Les méchants poisons synthétiques tellement toxiques, qui sont produits dans des laboratoires secrets, de préférence allemands, par des méchants du grand capital et des dirigeants syndicaux consentants, qui sont ensuite refilés au monde et sont déversés par tonnes par l'ensemble des agriculteurs conventionnels, jour et nuit, par pure cupidité, avec leurs méga-pulvérisateurs, dans un rire satanique.
Le génie génétique vert sorti de la cuisine du diable ou du laboratoire de Frankenstein. Même l'intelligentsia mondiale des prix Nobel (171 prix Nobel accusent Greenpeace de crime contre l'humanité et soutiennent les OGM et le riz doré) ne peut pas lutter contre de tels slogans sur l'IA (IA = intelligence absente) des activistes des ONG chouchous des médias. Mais les Jean-Kevin woke et les Marie-Chantal éduqués au Tik-Tok croient encore aujourd'hui que « D'abord l'abeille meurt, ensuite c'est l'homme » est d'Albert Einstein.
RépondreSupprimerLes céréales, le maïs, le colza, le sucre d'Ukraine sont exclusivement destinés aux pays les plus pauvres du monde.
Pour avoir la conscience tranquille à propos du « broyage » des poussins d'un jour (qui n'a jamais eu lieu), on veut un élevage (non rentable) des coqs frères, et on se tire volontiers dans les pattes et se retire du marché par la voie politico-médiatique. L'Allemagne dans son nouveau rôle de parade : précurseur mondial sans aucun suiveur.
Le cycle annuel de la mort : en commençant par les asperges annuelles mortelles, le mensonge annuel des « fraises toxiques » [ma note : voir « Des fraises toxiques ? Des fraises saines ! »], la confiture d'abricots aux pesticides, le péché mortel et inexpiable de la consommation de viande tout au long de l'année, les pommes alléchantes de « Blanche-Neige », et si c'est de la drogue, alors s'il vous plaît, du cannabis en sachet au lieu du sucre de betterave automnal dans la tarte ou même dans le verre de vin, jusqu'au sapin de Noël poison issu de la culture intensive [ma note : voir « Un calendrier de l'Avent postfactuel : (12) les sapins de Noël poisons »].
Si vous êtes finalement décédé, ne vous faites pas envoyer de couronnes ou de fleurs, mais entretenez le cercle de mensonges en faisant des dons au plus grand nombre possible d'ONG et protégez vos descendants pour toujours de la corruption capitaliste en désignant votre ONG préférée comme unique héritier. Elles se chargent de toute façon « volontairement » de la diffusion médiatique avec la taxe obligatoire versée à la radio publique autrichienne ÖRR.
RépondreSupprimerEt si on déplaçait les paramètres nécessaires sur le plan idéologique et linguistique jusqu'à ce qu'on puisse balayer la réalité sous le tapis de la volonté politique ?
Alors il est possible d'abattre des forêts protégées et des forêts naturelles, de niveler de larges routes d'accès ou d'« oublier » tout simplement les dommages causés à l'environnement (incendies, ruptures de pales, abrasions, fuites d'huile, etc.) pour les éoliennes. Si cela vient des « bons », tout devient soudain une contribution importante à la sauvegarde du monde. Si les « méchants » faisaient la même chose, cela s'appellerait soudain : compactage, destruction du sol, destruction du paysage, meurtre d'un arbre, intervention destructrice dans un écosystème, etc.
Alors que chaque insecte ou oiseau mort à la campagne est mis sur le dos des agriculteurs (en raison de leur mode de vie totalement erroné) en tant que menace existentielle pour toute la population, plusieurs millions d'oiseaux morts dans les villes et les espaces publics (en raison du mode de vie totalement sans problème dans ces lieux) n'ont absolument aucune influence négative sur la population – probablement parce qu'on y aime mourir pour la bonne cause et la prospérité des bons. (Les éoliennes sont coresponsables de la mort des insectes). [Ma note : voir « Éoliennes et insectes font-ils bon ménage ? »
Une comparaison de 20 à 270 millions :
La catastrophe (Vogelsterben: Globales Artensterben mit dramatischem Ausmaß – disparition des oiseau : extinction globale des espèces d'une ampleur dramatique) : « Le nombre de couples nicheurs dans les zones agricoles a diminué de 300 millions dans l'UE entre 1980 et 2010. Cela correspond à une perte de 57 % ! »
Remarque de Fritz l'agriculteur : donc un recul de 1,5 % par an, soit 10 millions de couples nicheurs ou 20 millions d'oiseaux en moins par an sur 30 ans. Et bien sûr, ils meurent tous à cause des pesticides, du manque de nourriture, du manque d'espace vital dans les monocultures... les coupables : les agriculteurs.
La pure normalité (« Windenergie: Die 5 häufigsten Einwände – und was wirklich dahinter steckt » – énergie éolienne : les cinq objections les plus fréquentes – et ce qui se cache vraiment derrière) : « En effet, en Allemagne, environ 100 millions d'oiseaux meurent rien qu'à cause des vitres des bâtiments – et ce, chaque année. Chaque année, on dénombre environ 70 millions d'oiseaux morts par collision dans le trafic routier et ferroviaire. En outre, environ 100 millions d'oiseaux sont dévorés chaque année par des chats sauvages ou par ceux qui sont en liberté. Rien que dans le réseau allemand de lignes à très haute et haute tension, la NABU estimait jusqu'à présent qu'il y avait au moins 1,5 million de victimes par an. En réalité, entre 10.000 et 100.000 oiseaux meurent chaque année en Allemagne à cause des éoliennes ».
Remarque de Fritz l'agriculteur : cela représente au total 270 millions d'oiseaux morts dans les villes chaque année. 14 fois plus qu'à la campagne ! Vous le saviez ? Non. Un problème ? Pff !
RépondreSupprimerPostuler sans appréhension un bilan gaz carbonique nul pour les voitures électriques, ce qui permet ensuite aux constructeurs de ces voitures de réaliser des milliards de bénéfices avec les certificats de gaz carbonique gratuits (Tesla gagne 1,9 milliard de dollars US avec les certificats de gaz carbonique. Ne vendant que des voitures électriques, Tesla reçoit un grand nombre de certificats de gaz carbonique. Le constructeur peut les vendre à bon prix à ses concurrents qui, en Chine, aux États-Unis et en Europe, ne peuvent pas respecter les prescriptions en matière de gaz carbonique. En d'autres termes, le gaz carbonique peut provenir par exemple d'une Fiat-Chrysler, car cette entreprise entretient un étroit trafic d'indulgences avec Tesla. On y construit des automobiles aussi magnifiques que la Dodge Hellcat de 707 CV. Une véritable situation gagnant-gagnant. Mais dans le bilan global, pas un seul gramme de gaz carbonique n'est économisé.
Parce que, bien entendu, les forêts et le bois ne peuvent tout à coup plus rester neutres pour le climat, on a voulu imposer récemment une taxe sur le gaz carbonique pour des maux tels que les pellets. Dans le plus pur style d'AGORA, tout est bien sûr scientifiquement super propre, comme on le sait déjà suffisamment des organisations de soutien vertes.
Produire des « succès » dans le domaine du difficilement vérifiable avec des lois activistes coûtant des milliards, comme l'interdiction historique des pailles et des sacs en plastique (« Ein Jahr Einwegplastik-Verbot – was hat es gebracht ? » – un an d'interdiction du plastique à usage unique : qu'est-ce que ça a apporté ?) ou, plus récemment, les couvercles de boissons accrochés aux bouteilles et aux briques de lait (« Bringen die fixierten Deckel wirklich etwas für den Planeten ? Kritik auch von Experten » – les couvercles fixés apportent-ils vraiment quelque chose à la planète ? Critique également des experts). Il faut soit se convaincre des effets prétendument révolutionnaires, soit les chercher à la loupe ; mais les promoteurs et décideurs de ces mesures se moquent de toute analyse coûts-bénéfices et de toute étude d'impact. Ce qui laisse supposer qu'on ne les a de toute façon pas faites du tout. Du pays modèle de l'industrie de qualité au pays précurseur de l'économie de l'idéologie vaudou...
Annoncer volontiers comment on s'est « légèrement trompé » dans la microgestion de l'économie planifiée autour de diverses transitions vertes. C'est le cas par exemple de Jürgen Trittin, dit « boule de glace », avec le fabuleux changement de prix de l'électricité de 1 € : il coûte pourtant 300 fois plus par jour (« 2000 Euro mehr für Strom und Gas » – 2.000 euros de plus pour l'électricité et le gaz).
Cela soulève la question de savoir s'il est possible que l'on n'ait de toute façon plus qu'à « estimer » au doigt mouillé de telles « transformations » d'une économie nationale en raison d'un manque de connaissances, et ce, avec l'aide d'études idéologiques : cela semble relever de l'apprentissage par essais et erreurs adapté aux enfants et convenur à beaucoup de gens de l'univers politico-médiatique sans aucune formation professionnelle. Et cela devrait suivre la devise « Regardons une fois, et nous verrons bien ». Seuls les esprits étroits se demanderont si, dans le cadre d'un tel « gain » politique, on ne devrait pas aussi se poser la question des conséquences personnelles et de la responsabilité de tels « politiciens de haut niveau ».
Il en va de même pour la frénésie réglementaire et les excès de bureaucratie des diveres transitions agricoles et Green Deals (« Wohin mit der Agrarwende ? – Bartosz Bartkowski » – que faire du tournant agricole ? – Bartosz Bartkowski). Sans égards pour les pertes, l'idéologie l'emporte sur l'intelligence. Si les pertes mènent à de nouvelles dépendances aux importations, déjà prévisibles aujourd'hui, on s'empêtre aussi chaque année un peu plus dans des réglementations et des détails toujours plus compliqués ou abscons (voir « Farm to Fork Initiative to Restrict European Union Agricultural Inputs May Increase Food Prices, Further Global Food Insecurity » – USDA ERS : l'initiative Farm to Fork visant à restreindre les intrants agricoles de l'Union Européenne risque d'augmenter les prix des denrées alimentaires et d'aggraver l'insécurité alimentaire dans le monde ; ainsi que « Uni Wageningen veröffentlicht Studie zu Folgen der Farm to Fork-Strategie » – l'Université de Wageningen publie une étude sur les conséquences de la stratégie Farm to Fork).
RépondreSupprimerDe nombreuses personnes vivant sur une autre planète continuent à préparer sans relâche de nouvelles soupes vertes – à la mode des « Enfants de Bullerbü » d'Astrid Lindgren –, que l'on fait avaler aux agriculteurs européens. Les effets indésirables directs ou secondaires sont niés, acceptés à bon compte – ou carrément passés sous silence (« Green Deal: Kommission versteckt katastrophale Folgen für die Bauern » – Green Deal : la Commission cache les conséquences catastrophiques pour les agriculteurs). Au bout du compte, c'est inévitablement l'effondrement, sinon de l'économie agricole européenne, du moins des moyens d'existence d'une grande partie des agriculteurs et de l'espace rural. La solidarité qui s'est manifestée lors des manifestations paysannes dans toute l'Europe a montré que les petites et moyennes entreprises et les métiers voient bien plus tôt que les politiques qu'ils sont eux aussi massivement touchés par cette situation.
La population active, qui a le sens de la réalité, de la raison et du bon sens, se rend compte depuis longtemps de la situation :
« Quoique ce soit de la folie, il y a de la méthode là-dedans »
Hamlet – William Shakespeare
Les contributions des invités reflètent l'opinion de l'auteur(e).
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* Source : "Ist es auch Wahnsinn, so hat es doch Methode" (Hamlet) - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2024/09/politique-agricole-quoique-ce-soit-de-la-folie-il-y-a-de-la-methode-la-dedans-hamlet.html
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